22 février 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Grâce à une censure massive et à des pressions sur les médecins, les agents de santé mais aussi sur les vaccinés, la véritable ampleur des dégâts causés par la campagne de vaccination a été minimisée et occultée pendant longtemps. Entre-temps, cependant, l'autorité américaine CDC a dû publier une évaluation dans laquelle les plus grands risques des vaccins Covid ont été confirmés . Les décès et les événements thromboemboliques en particulier auraient dû conduire à l'interdiction des préparations trois mois seulement après le début de la campagne de vaccination .
Mais maintenant, un autre méga scandale est en train d'éclater. Une étude de l'organisation américaine de patients React19, qui représente des milliers de personnes endommagées par le vaccin, a révélé qu'un total de 42 % des signalements ne sont pas acceptés, supprimés ou rendus publics. Dans tous les cas, seule une fraction des cas réels sont signalés dans ces systèmes. L' ORF a rapporté le 28 avril 2021 que, selon des experts de l'Association de l'industrie pharmaceutique autrichienne (Pharmig), seuls 6 % des effets secondaires survenus avaient été signalés.
Les résultats de cet audit de React19 ont été partagés avec ICAN (Informed Consent Action Network) et son équipe juridique . Les résultats sont choquants.
Le VAERS est une base de données utilisée pour surveiller la sécurité des vaccins aux États-Unis sur la base des rapports de méfaits des vaccins soumis par les patients et les médecins. Le VAERS est utilisé par des personnes à l'intérieur et à l'extérieur du gouvernement pour évaluer la sécurité des vaccins. Il va sans dire que le système VAERS doit donc effectivement contenir les données transmises au VAERS. Maintenant, les tests de React19 ont montré que ce n'est pas le cas dans de nombreux cas.
En examinant 126 rapports VAERS vérifiés collectés au hasard auprès des membres de React19, il s'est avéré que 5% n'ont jamais été inclus dans le système VAERS, et 22% supplémentaires ont été inclus dans le système mais n'étaient pas visibles publiquement et, incroyablement, 15% supplémentaires de rapports VAERS ont été saisis. dans le système mais ensuite simplement supprimé !
Encore plus troublant, la majorité des rapports supprimés concernaient des incapacités permanentes et des visites aux urgences ! Dans l'ensemble, 42% des rapports du système VAERS, qui est utilisé par de nombreuses personnes à travers le pays pour évaluer la sécurité des vaccins, n'étaient pas accessibles.
À la lumière de ces découvertes alarmantes, l'équipe juridique d'ICAN a envoyé une lettre au CDC et à la FDA leur demandant d'expliquer pourquoi ces données importantes, que le public paie et mérite de voir, sont soit indisponibles, soit supprimées. Nous vous tiendrons informés de leur réponse. Malheureusement, quelle que soit la réponse, c'est une preuve supplémentaire que nos autorités sanitaires ne sont pas intéressées à évaluer la sécurité, confirmant simplement leurs politiques et leurs idées préconçues selon lesquelles ces produits sont sûrs.
En conséquence , l' évaluation récemment publiée de la base de données pour les signaux de sécurité devrait également être réévaluée. Il devient de plus en plus évident que les graves dommages causés par la campagne de vaccination sont encore largement sous-estimés.
Une étude révèle un taux de mortalité pour le vaccin Covid à 1 dose sur 1000
RépondreSupprimer22 février 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Toutes les sources des autorités réglementaires montrent que les vaccins corona ont un nombre énorme d'effets secondaires jamais vus auparavant avec aucun médicament. La proportion de décès est également inconnue. Les bases de données des agences de réglementation européennes, britanniques, américaines et autres montrent d'énormes augmentations par rapport aux vaccinations précédentes, mais les rapports ne capturent qu'une fraction des cas réels.
Le document donne un moyen simple d'estimer le nombre de personnes tuées dans un pays en raison de l'utilisation des vaccins COVID : 0,001 fois le nombre de doses, soit 0,1 %. Ou prenez simplement le nombre de doses de vaccin en millions et remplacez « millions » par « milliers » pour estimer le nombre de personnes tuées par le vaccin. Dans l'étude, un taux de létalité par dose de vaccin (vDFR) est calculé de manière analogue à l'IFR (taux de létalité par infection). Ils sont à peu près dans la même fourchette à 0,1%, seule la répartition par âge est complètement différente et avec 3 doses pour la "vaccination de base" vous avez de bien mauvaises cartes.
L'étude de Denis G. Rancourt et al intitulée Age-stratified COVID-19 vaccin-dose fatality rate for Israel and Australia a été publiée pour la première fois ici dans Researchgate On le sait déjà par l'étude sur la maladie de Creutzfeldt-Jakob consécutive à la vaccination, sur laquelle le prix Nobel Luc Montagnier avait également travaillé avant sa mort.
L'étude peut actuellement encore être trouvée ici et pour être sûr aussi ici :
Décès-dose-de-vaccin-stratifié-par-âge-Israël-Australie
Sur la base de données d'Israël et d'Australie, l'étude estime le nombre de décès dus aux vaccins COVID à 13 millions dans le monde :
Non seulement les vaccins COVID-19 n'ont pas réussi à sauver des vies, mais ils sont hautement toxiques.
À l'échelle mondiale, étant donné les 3,7 millions de décès rien qu'en Inde avec un vDFR = 1 % (Rancourt, 2022), et compte tenu des résultats de vDFR stratifiés par âge présentés dans ce travail, il n'est pas déraisonnable d'avoir une valeur globale de vDFR = 0,1 % à supposer pour la population totale. Sur la base du nombre mondial de doses de vaccin COVID-19 administrées à ce jour (13,25 milliards de doses, au 24 janvier 2023, OurWorldInData), cela équivaudrait à 13 millions de décès dus aux vaccins COVID-19 dans le monde.
Selon le Dr. Mike Yeadon , ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, affirme que ce n'est que le début. Une mortalité sévère peut survenir 3 à 5 ans après la vaccination ou 5 à 10 ans après 3 ou 4 rappels, chacun diminuant l'immunité naturelle.
Le « succès » de la campagne de vaccination devient de plus en plus évident. En décembre 2022, la surmortalité en Europe a augmenté jusqu'à 30 %. L'Allemagne et l'Islande ont enregistré les plus fortes hausses, suivies de l'Autriche, de la Slovénie et de l'Irlande.
https://tkp.at/2023/02/22/studie-findet-sterblichkeitsrate-fuer-covid-impfungen-bei-1-von-1000-dosen/
Vidéo : La crise mondiale du coronavirus. Michel Chossudovsky
RépondreSupprimerCoup d'État mondial contre l'humanité
Par le Pr Michel Chossudovsky
Recherche mondiale,
21 février 2023
La crise du COVID-19 détruit la vie des gens. Ma responsabilité en tant qu'auteur est de révéler la vérité, de briser la vague de désinformation médiatique et d'atteindre le plus grand nombre de personnes possible dans le monde entier.
Nous avons affaire à un processus extrêmement complexe. Au cours des deux dernières années et demie, j'ai analysé presque quotidiennement la chronologie et l'évolution de la crise du COVID-19.
Dès le début en janvier 2020, les gens du monde entier ont été amenés à croire et à accepter l'existence d'une épidémie dangereuse et progressant rapidement. La désinformation des médias a joué un rôle déterminant dans le maintien du récit de la COVID-19.
Au moment d'écrire ces lignes, des mouvements de protestation ont éclaté dans de nombreux pays. La planète entière est en état de chaos économique et social. Une crise mondiale de l'alimentation et de l'agriculture se déroule avec des famines qui éclatent dans toutes les grandes régions du monde (voir chapitre IV).
Depuis le tout début en janvier 2020, des mensonges et des faussetés scientifiques ont été utilisés pour soutenir la légitimité des mandats politiques de la COVID-19, y compris les confinements, l'imposition du masque facial, la distanciation sociale et la suppression des droits humains fondamentaux.
Obtenez gratuitement un exemplaire du livre de Michel Chossudovsky au format pdf
https://www.globalresearch.ca/video-the-worldwide-corona-crisis-michel-chossudovsky/5809482
« Turbo Cancer » après la vaccination contre la COVID-19 ? Evan Fishel, 21 ans, est décédé d'une leucémie quatre jours seulement après le diagnostic.
RépondreSupprimerJe n'ai jamais vu une chose pareil...
Par le Dr William Makis
Recherche mondiale,
21 février 2023
En tant qu'oncologue, j'ai diagnostiqué 10 000 patients canadiens atteints de cancer et j'en ai traité des centaines avec la thérapie ciblée par radionucléides. J'ai vu beaucoup de choses horribles au cours de ma carrière. Mais je n'ai jamais vu une progression aussi rapide.
Du diagnostic à la mort en 4 jours
Evan Fishel, 21 ans , étudiant à l'Université de Californie, était diplômé de la Cal Maritime Academy et a été accepté à la faculté de droit de Berkeley. Il est décédé le 10 février 2023, 4 jours après avoir reçu un diagnostic de leucémie (cliquez ici ).
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Son université, Cal Maritime Academy, avait un mandat de vaccin COVID-19 et à ce jour, recommande des injections de rappel COVID-19 basées sur les directives du CDC ( cliquez ici ).
« Turbo cancer » après la vaccination contre la COVID-19
Je n'ai jamais aimé le terme « turbo cancer ». Cela ne semble pas très scientifique. Cependant, c'est un terme qui s'est répandu et est maintenant reconnu comme un phénomène effrayant suite à la vaccination contre la COVID-19.
En novembre 2021, un petit article a été publié par Goldman et al : « Progression rapide du lymphome à cellules T angioimmunoblastiques après le rappel du vaccin à ARNm de Pfizer » ( cliquez ici ).
Cette image sera familière à beaucoup :
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J'ai effectué des milliers d'examens TEP/TDM comme celui-ci à Edmonton, en Alberta, avec du glucose radiomarqué, pour diagnostiquer des patients atteints de cancer. Outre le cerveau normal, le cœur et l'urine radioactive dans la vessie, le reste des points noirs sont des ganglions lymphatiques remplis de cancer dans le cou, les aisselles et les régions iliaques.
Comme l'ont noté les auteurs d'une autre étude (cliquez ici ):
RépondreSupprimer"... a révélé des altérations spectaculaires de l'expression génique de presque toutes les cellules immunitaires après la vaccination "
La scientifique du MIT Stephanie Seneff et le cardiologue du Texas, le Dr Peter McCullough, ont écrit un article intitulé « Innate Immune Suppression by SARS-CoV-2 mRNA vaccinations » (cliquez ici ) qui décrit les mécanismes complexes par lesquels les vaccins à ARNm altèrent la signalisation du système immunitaire, conduisant à une suppression immunitaire innée :
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Il existe également une étude qui suggère que la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 interagit fortement avec les protéines suppresseurs de tumeurs p53 et BRCA-1/2, les éteignant potentiellement (cliquez ici ):
"p53 et BRCA sont les protéines suppresseurs de tumeurs bien connues, qui régulent les gènes en aval en réponse à de nombreux stress cellulaires et sont fréquemment mutées dans le cancer humain"
Chez certaines personnes, cette « reprogrammation » du système immunitaire ou la suppression du système immunitaire inné entraîne une perte complète de la protection contre les cellules cancéreuses apparaissant et se propageant rapidement.
Récemment, lors de l'émission "Ask Dr. Drew", le pathologiste américain Dr Ryan Cole a montré des preuves de la présence étendue de protéines de pointe dans les tumeurs du lymphome ( voir ici ).
Inutile de dire que la protéine de pointe du vaccin ARNm COVID-19 ne devrait pas être trouvée dans les tumeurs malignes.
Rapports anecdotiques sur Twitter…
Il existe de nombreux rapports anecdotiques sur Twitter de personnes qui décrivent des « cancers turbo » subis par les membres de leur famille après la vaccination contre le COVID-19. La plupart d'entre eux semblent assez honnêtes pour être pris au sérieux, mais il est clair que les médecins ne prennent pas ces cas suffisamment au sérieux.
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Ma prise…
De nombreuses nécrologies parlent désormais d'une "bataille brève mais courageuse contre le cancer". Nous avons besoin de plus d'autopsies avec coloration immunohistochimique pour la protéine de pointe dans les cas de cancer à progression rapide, mais nous n'en aurons pas de sitôt. Certainement pas au Canada.
Jusqu'à présent, les médecins ne prennent pas ce problème au sérieux, et le temps qu'ils le fassent, il sera beaucoup trop tard pour beaucoup, et nous pourrions avoir une catastrophe sanitaire à part entière.
https://www.globalresearch.ca/rapid-turbo-cancer-after-covid-19-vaccination-21-year-old-evan-fishel-died-leukemia-only-4-days-after-diagnosis/5809358
Les piqûres-covid obtiennent une protection de responsabilité permanente comme prévu
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
22 février 2023
Eh bien, comme prévu, les piqûres COVID ont maintenant reçu un bouclier de responsabilité permanent contre les blessures et la mort.
Le 20 octobre 2022, le Comité consultatif sur les pratiques d'immunisation (ACIP) des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis a voté à l'unanimité (15 voix contre 0) pour ajouter des injections COVID-19 non autorisées aux calendriers de vaccination des enfants, des adolescents et des adultes aux États-Unis.1,2 À À l'époque, le panel a justifié sa décision en disant qu'"il est logique" d'ajouter les injections puisque le COVID-19 est devenu endémique et ne s'en va pas.
Le 9 février 2023, le CDC a accepté la recommandation du 'groupe d'experts' et a officiellement ajouté une série primaire de « vaccins » à ARNm COVID à ses programmes de vaccination de routine pour les enfants et les adultes, ainsi qu'un rappel bivalent.3,4 Tel que rapporté par The Defender :5
«Bien que le CDC n'ait pas le pouvoir de fixer lui-même les exigences, le calendrier de vaccination de l'agence fournit des orientations formelles aux responsables de la santé publique des États et locaux qui établissent les règles pour lesquelles les vaccins sont nécessaires pour fréquenter l'école. Le calendrier est également la base des recommandations de vaccins faites par la plupart des médecins.
"Compte tenu de tout ce que nous avons appris sur les dangers et l'inefficacité des injections de COVID-19 au cours des deux dernières années, il est horrifiant de voir que le CDC le recommande maintenant comme injection de routine aux enfants", Mary Holland, Children's Health Defence (CHD) a déclaré le président et l'avocat général au Defender. "Bien que ce ne soit pas surprenant compte tenu de la capture de l'agence, c'est néanmoins tragique", a-t-elle ajouté.
Résumé des nouvelles directives piqûres-COVID du CDC
Les infographies suivantes illustrent les nouvelles directives des CDC :6,7,8
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Bien que l'ajout des vaccins COVID au calendrier de vaccination recommandé ne rende pas les piqûres obligatoires pour la fréquentation scolaire, leur inclusion permet aux États et aux juridictions locales de les rendre ainsi.
La FDA peut-elle légalement ajouter poignards-EUA au calendrier des vaccins ?
RépondreSupprimerIl est important de noter que tous les 'vaccins' COVID administrés aux États-Unis ne sont autorisés qu'en cas d'urgence, ce qui semble enfreindre la loi. Bien que la Food and Drug Administration des États-Unis ait accordé l'approbation complète au Comirnaty de Pfizer pour les personnes de 12 ans et plus, le Comirnaty n'est toujours pas disponible aux États-Unis.
Comme l'a noté The Defender, cela signifie que "tous les enfants qui reçoivent le 'vaccin' Pfizer reçoivent un produit EUA"9 et, selon la loi, tous les produits EUA sont considérés comme "expérimentaux".10
Fin août 2021, Children's Health Defence a poursuivi11 ,12 la FDA pour violation de la loi fédérale en autorisant simultanément Comirnaty et en étendant l'EUA pour la piqûre Pfizer-BioNTech.
Le CHD soutient que la licence de Comirnaty était un "appât et un interrupteur classiques", car on a dit aux gens d'obtenir la piqûre désormais "entièrement sous licence", alors qu'en fait les poignards qu'ils ont reçus n'étaient pas du tout sous licence, mais toujours l'EUA expérimental et sans licence produit.
Selon la loi, les EUA ne peuvent être accordées que lorsqu'il n'y a pas d'alternative approuvée, donc une fois que Comirnaty a été approuvé, la FDA a perdu sa capacité légale à préserver TOUTES les EUA. Si la loi était suivie, Comirnaty serait le seul et unique poignard-COVID disponible aux États-Unis, mais comme vous le savez, ce n'est pas le cas.
La piqûre létale pour COVID n'est pas couverte par le programme de blessures par 'vaccin'
Pire encore, les vaccins du calendrier de vaccination des enfants sont généralement couverts par le programme national d'indemnisation des blessures causées par les vaccins (NVICP), mais pas le 'vaccin' COVID.
En même temps que l'ACIP a voté pour ajouter le faux vaccin COVID au calendrier de vaccination des enfants, ils ont également décidé d'exclure les 'vaccins' COVID du NVICP. Au lieu de cela, la piqûre reste couverte par le programme d'indemnisation des contre-mesures pour les blessures (CICP), qui est encore plus difficile à naviguer et beaucoup plus limité en termes d'indemnisation que le NVICP.
Ainsi, en d'autres termes, non seulement les enfants reçoivent des injections expérimentales de transfert de gène d'ARNm non autorisées appelées "vaccins", ce qu'ils ne sont pas, mais les enfants blessés n'ont pratiquement aucune possibilité de recevoir une quelconque indemnisation.
Le NVICP est notoirement mauvais en ce qui concerne les paiements pour les blessures, mais le CICP est bien pire. Comme le note The Defender13, « depuis sa création en 2010, le CICP n'a indemnisé que 30 des près de 12 000 réclamations déposées ».
Le directeur du CDC fournit une fausse explication
Lors d'une audience du Congrès du 8 février 2023 sur la réponse COVID-19 de l'administration Biden, la directrice du CDC, le Dr Rochelle Walensky, a été confrontée à la décision de l'agence d'ajouter un «vaccin» EUA à son calendrier de vaccination infantile, en particulier en voyant comment COVID-19 pose pratiquement aucun risque pour les enfants.14
Selon les données du CDC, seuls 209 enfants âgés de 6 mois à 4 ans sont décédés de ou avec le COVID,15 et les preuves suggèrent que la plupart des enfants sont en fait morts « avec » le COVID et d'autres problèmes de santé graves tels que le cancer.16,17
RépondreSupprimerUne autre statistique révélatrice est que le nombre de tout-petits hospitalisés avec COVID entre octobre 2020 et septembre 2021 était environ la moitié du total
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Une autre statistique révélatrice est que le nombre de tout-petits hospitalisés pour COVID entre octobre 2020 et septembre 2021 représentait environ la moitié du nombre total de tout-petits hospitalisés pour la grippe l'hiver précédent18. Ces données, encore une fois, proviennent du CDC, donc clairement, ils sont pleinement conscients de la façon dont le risque COVID se compare à d'autres infections courantes.
Selon Walensky, la raison pour laquelle l'ACIP a recommandé l'ajout du 'vaccin' est que c'est la seule façon de le couvrir dans le cadre du programme Vaccins for Children du CDC. « C'était le seul moyen pour que nos enfants sous-assurés puissent avoir accès aux vaccins… C'était la raison de le mettre là », a-t-elle déclaré.19
La VRAIE raison pour laquelle le vaccin COVID a été ajouté au calendrier de vaccination des enfants est que c'est le seul moyen d'indemniser de manière permanente Pfizer et Moderna de toute responsabilité financière en cas de blessures et de décès.
Mais quelque chose me dit qu'il existe plusieurs façons de s'assurer que les enfants sous-assurés pourraient avoir accès au vaccin sans l'ajouter au calendrier de vaccination des enfants.
Il s'agit d'indemniser les grandes sociétés pharmaceutiques
Non, la VRAIE raison pour laquelle le vaccin COVID a été ajouté au calendrier de vaccination des enfants est que c'est le seul moyen d'indemniser de manière permanente Pfizer et Moderna de toute responsabilité financière en cas de blessures et de décès. (Vous pouvez en savoir plus sur ce processus d'indemnisation dans "La vraie raison pour laquelle ils veulent donner des piqûres COVID aux enfants", qui présente mon entretien avec Alix Mayer, présidente du conseil d'administration de la section californienne de Children's Health Defence.)
Et mon garçon, ont-ils besoin d'une indemnisation ! À la fin de 2022, il a été révélé que le CDC avait ignoré des centaines de signaux de sécurité, dont 96 signaux de sécurité dans le groupe d'âge des 12 à 17 ans et 66 dans le groupe des 5 à 11 ans.
Selon les procédures opérationnelles standard20,21 du système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS), qui est géré conjointement par le CDC et la FDA, le CDC est tenu d'effectuer des analyses d'exploration de données du rapport proportionnel de notification (PRR) pour identifier les problèmes de sécurité potentiels. Le PRR22 mesure la fréquence d'un événement indésirable pour un médicament spécifique par rapport à tous les autres médicaments de la base de données.
Dans le groupe d'âge des 12 à 17 ans, il existe 96 signaux d'innocuité, dont la myocardite, la péricardite, la paralysie de Bell, les ulcérations génitales, l'hypertension artérielle, les irrégularités menstruelles, l'insuffisance valvulaire cardiaque, l'embolie pulmonaire, l'arythmie cardiaque, la thrombose, et épanchement pleural, appendicite et appendice perforé, thrombocytopénie immunitaire, douleur thoracique et augmentation des taux de troponine (indiquant des lésions cardiaques).
RépondreSupprimerDans le groupe des 5 à 11 ans, il existe 66 signaux de sécurité, dont la myocardite, la péricardite, la dysfonction ventriculaire, l'insuffisance valvulaire cardiaque, l'épanchement péricardique et pleural, les douleurs thoraciques, l'appendicite et les appendicectomies, la maladie de Kawasaki, les irrégularités menstruelles et le vitiligo.
Le CDC a menti sur les résultats de l'étude de Pfizer
Le CDC a également menti sur les résultats des essais de Pfizer. Comme indiqué dans un tweet du 31 octobre 2022 du représentant Thomas Massie : 28
"L'essai vaccinal original de Pfizer, qui contenait 1 200 participants présentant des preuves d'infection antérieure, n'a montré aucun avantage de leurs vaccins pour ceux qui présentaient des preuves d'infection antérieure. Le CDC a menti, a déclaré que l'étude a montré qu'il était efficace à 92% pour ceux qui présentaient des signes d'infection antérieure.
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Massie – membre du Congrès républicain du Kentucky et scientifique primé – a d'abord révélé l'erreur du CDC en janvier 2021, après avoir tenté, en vain, d'amener le CDC à la corriger. J'ai détaillé les efforts de Massie dans « Pourquoi les agences de santé publique rejettent-elles l'immunité naturelle ? » À l'époque, Massie a déclaré : 29,30
"Il n'y a aucune efficacité démontrée dans l'essai Pfizer parmi les participants ayant des preuves d'infections antérieures par le SRAS-CoV-2 et en fait il n'y a aucune preuve dans l'essai Moderna non plus... Il [le rapport du CDC] dit exactement le contraire de ce que disent les données."
Le CDC a automatisé la falsification des données
En plus de tout cela, il existe des preuves suggérant que le CDC a automatisé la falsification des données pour masquer les événements indésirables. En passant au crible les données des rapports hebdomadaires sur la mortalité et la morbidité (MMWR) du CDC, The Ethical Skeptic – un analyste de données et enquêteur sur les fraudes – a découvert que le CDC cachait et supprimait systématiquement les décès excessifs liés à la piqûre, en particulier dans des catégories comme le cancer, les décès cardiaques et coups.
En juin 2022, le CDC a temporairement suspendu ses rapports MMWR pour effectuer une «mise à niveau du système». Cela a duré deux mois. Lorsqu'il est revenu en ligne, un grand nombre de catégories de décès liées à la piqûre avaient été déplacées, soit dans la catégorie des décès COVID, soit dans une catégorie «retenue» pour les décès indéterminés, donnant ainsi l'impression que les décès dus au cancer, aux crises cardiaques et aux accidents vasculaires cérébraux sont loin plus bas qu'eux.
RépondreSupprimerCe jeu de l'algorithme semble avoir été automatisé à partir de cette mise à jour du système. Selon The Ethical Skeptic :31
« La surmortalité par cancer est masquée par la réaffectation catégorique des causes multiples de décès par cancer (ci-après dénommées « MCoD ») à la cause sous-jacente de décès liée au COVID-19…
Les assassinats subits d'adultes sont dissimulés en conservant les décès liés à la péricardite-myocardite-cœur de conduction à l'intérieur du seau d'élimination temporaire R00-R99, bien plus longtemps que par la pratique historique, réduisant ainsi à tort la tendance de mortalité associée à la CIM-10 pour ces décès liés.
Enfin, le CDC utilise la technique exactement opposée, exploitant les attributions de causes multiples de décès et ajoutant également des décès complètement fictifs, afin de donner l'impression que ses vaccins à ARNm fonctionnent mieux qu'ils ne le sont.
Le CDC utilise le jeu catégorique à causes multiples de décès et crée de nouveaux décomptes de décès, afin de contrefaire une apparence selon laquelle les non vaccinés meurent à un rythme 12 fois supérieur à celui des vaccinés.
Doublure argentée potentielle
La dure vérité à laquelle nous sommes maintenant confrontés est que le CDC n'est plus chargé de protéger la santé publique. Ils assurent des profits pour l'industrie pharmaceutique. S'il y a une doublure argentée dans tout cela, il se pourrait que la décision du CDC d'ajouter un produit expérimental sans licence au calendrier de vaccination des enfants soit simplement la chose qui incite les parents à prendre conscience de la situation dans son ensemble. Comme Holland l'a dit au Defender :32
"L'horaire de l'enfance est déjà non scientifique et injustifiable. L'ajout de ce cliché pourrait bien être la paille qui fait déborder le vase. Les parents sont susceptibles de résister, remettant finalement en question tout le calendrier vaccinal de l'enfance. Ce jour a été long à venir, mais il est maintenant là. Je crois que nous assistons maintenant au début de la fin du règne de Big Pharma sur les enfants de la nation.
Sources and References
RépondreSupprimer1 Rumble October 20, 2022
2 The Defender October 20, 2022
3 The Hill February 9, 2023
4 Your News February 10, 2023
5, 9, 13, 14, 19, 32 The Defender February 10, 2023
6 CDC COVID Routine Vaccination
7 CDC COVID Routine Vaccination Infographic
8 CDC COVID Routine Vaccination Infographic for Immunocompromised
10 The Defender August 24, 2021
11 US District Court for Eastern District of Tennessee CHD vs FDA
12 The Defender September 7, 2021
15 CDC Provisional COVID-19 Death Counts
16 Medpage Today September 15, 2020
17 NBC September 15, 2020
18 CDC COVID-19 Epidemiology in Children Ages 6 Months-4 Years
20 VAERS Standard Operating Procedures January 2021
21 VAERS Standard Operating Procedures February 2022
22 All About Pharmacovigilance PRR
23, 25 Epoch Times January 3, 2023 (Archived)
24, 27 Where Are the Numbers? Substack January 4, 2023
26 Public Tableau PRR VAERS Data Summary 12/14/2020-7/29/2022
28 Twitter Thomas Massie October 31, 2022
29 Full Measure After Hours Podcast January 30, 2021
30 Full Measure News January 31, 2021
31 The Ethical Skeptic, Houston, the CDC Has a Problem Part 2
https://www.lewrockwell.com/2023/02/joseph-mercola/covid-jab-gets-permanent-liability-protection-as-predicted/
L'Italie met 16 millions de personnes en quarantaine : "L'effet prouve la cause"
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Blog de Jon Rappoport
22 février 2023
Allons à NBC News pour savoir ce qui se passe en Italie. 8 mars 2020, "Mises à jour du coronavirus en direct : des millions de personnes mises en quarantaine en Italie, alors que D.C. signale le premier cas". (voir aussi ceci du Wall Street Journal)
Cette pièce de NBC, comme tant d'autres le font, mélange et associe des rapports. Des millions de personnes mises en quarantaine là-bas, premier cas ici. La tactique est destinée à accumuler les détails d'une cascade écrasante de «preuves»: la menace est réelle, les nuages d'orage se sont ouverts et la pluie tombe.
NBC : « Le gouvernement italien a placé plus de 16 millions de personnes – un quart de la population – sous confinement, dans une tentative drastique d’empêcher la propagation du coronavirus. »
"La région de Lombardie, y compris la ville de Milan, a été mise en quarantaine, tout comme d'autres villes comme Venise, Parme et Modène."
"Pendant ce temps aux États-Unis, le premier cas a été confirmé dans la capitale Washington D.C. et des centaines d'autres cas ont été signalés dans tout le pays."
Au moment de la mise en quarantaine annoncée en Italie, le bilan officiel des morts dans ce pays était de 233.
OK, voici les "effets du coronavirus" officiels : environ 5800 cas, 233 décès, 16 millions de personnes mises en quarantaine. Donc…
La cause - le virus - doit être réelle et très dangereuse.
Faux.
Si Lee Oswald est arrêté et accusé du meurtre de JFK (effet), cela signifie-t-il automatiquement qu'il a commis le crime (cause) ?
Si un homme, traversant la rue à un feu rouge, est renversé par une voiture (effet), cela signifie-t-il qu'une sorcière autoproclamée, qui a fixé l'homme pendant trois secondes avant qu'il ne descende du trottoir, a jeté un sort sur lui (cause) ?
Bien sûr, les partisans du test affirment qu'il PEUT confirmer la quantité de virus qui se réplique dans le corps humain. Je leur demanderais, puisqu'ils en sont si sûrs, de le prouver.
RépondreSupprimerJe propose un essai simple. Sur une centaine de personnes, de minuscules échantillons de tissus seront prélevés - la première étape standard. Sans savoir qui sont ces patients, ou s'ils sont malades, les professionnels du test passeront les échantillons par leur PCR, puis, avec les résultats en main, ils rapporteront a) quels virus ils ont trouvés, et b) combien de virus. Dans les cas où ils ont trouvé une grande quantité de virus, les patients devraient être malades. Sont-ils?
Découvrons-le.
Découvrons ce que "un cas de coronavirus" signifie vraiment ou ne signifie pas.
Le fardeau de prouver que le test est fiable incombe aux personnes qui l'utilisent, signalant les nombres de cas en fonction de celui-ci et modifiant la forme de la société en conséquence. Ils auraient dû réaliser l'expérience que je propose il y a des décennies. Dix fois. Cinquante fois. Une centaine de fois.
Je ne vois aucune preuve qu'ils ont.
Par conséquent, le test tombe dans le domaine de la SUPERSTITION.
Et la mise en quarantaine de 16 millions de personnes en Italie prouve que 16 millions de personnes ont été mises en quarantaine. Rien d'autre.
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s Blog.
https://www.lewrockwell.com/2023/02/jon-rappoport/italy-quarantines-16-million-people-the-effect-proves-the-cause/
RépondreSupprimerÉmouvante soirée en hommage au Professeur Luc Montagnier
le 21 février 2023 - 17:05
REPORTAGE - Le 17 février 2023, des médecins et scientifiques se sont réunis pour rendre hommage au Professeur Luc Montagnier dont c'était le premier anniversaire de la disparition.
Lors de cet événement qui a accueilli beaucoup de proches, tous ont rappelé son rôle pionnier dès l'apparition de l'épidémie de Sida et les travaux qui ont permis l'identification du virus de l'immunodéficience humaine (VIH), ce qui lui a valu d'être honoré du prix Nobel de Médecine en 2008.
Beaucoup ont également rappelé, que malgré l'importance de ses découvertes, ce chercheur éminent n'avait pas eu droit à un hommage national. La raison à cela : un discours sur le Covid qui n'épousait pas le narratif officiel autorisé. En effet, depuis le début de l'épidémie de Covid-19, Luc Montagnier a fait entendre une voix différente concernant l'origine du virus.
- voir clip sur site -
Loin de la fable du pangolin et de la chauve-souris, dès avril 2020, suite à l'analyse du génome du virus du Sars-CoV-2, le professeur conclut que ce virus ne peut pas être naturel.
Sans jamais affirmer qu'il a été répandu de manière intentionnelle, son hypothèse est que "des recherches sur les vaccins contre le Sida auraient échappé à leurs auteurs : le nouveau coronavirus contiendrait, en effet, des séquences d'un autre virus qu'il connaît bien, le VIH, une combinaison impossible à obtenir par le seul hasard de la nature".
Sans prendre la peine de chercher à comprendre cette découverte, les médias et les autorités n'ont eu de cesse de décrier ses affirmations. Trois années ont passé et la thèse du virus artificiel ne peut plus être considérée comme fausse.
Le professeur Luc Montagnier a-t-il eu raison trop tôt ? C'est souvent le cas des grands savants. "Avoir raison trop tôt est socialement inacceptable" écrivait le grand romancier américain Robert Heinlein.
https://www.francesoir.fr/videos-reportage/soiree-en-hommage-au-professeur-montagnier
La découverte des composants a été faite par Li Meng-Yan.
SupprimerPénurie de médicaments: la méthode Coué du ministre de la Santé… en attendant les solutions européennes ?
RépondreSupprimerChloé Lommisan, France-Soir
le 21 février 2023 - 15:01
Les pénuries de médicaments, contrairement aux annonces rassurantes du ministre de la Santé, pourraient perdurer.
SANTÉ - Invité sur Europe 1, le 3 février dernier, le ministre de la Santé a déclaré la pénurie d’Amoxicilline proche d’être résolue. L’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament), dans une note d’information du 23 janvier, prévenait pourtant d’une situation perturbée jusqu’en mars. Sa directrice, Christelle Ratignier-Carbonneil, récemment auditionnée au Sénat, annonce des solutions à l’échelle de l’Union européenne “à partir de 2024 ou 2025”.
Médecins généralistes, infectiologues, pneumologues, pédiatres, gériatres, ORL, pharmaciens… L’ensemble des professionnels de santé ont été mis au courant par une note de l’ANSM, diffusée le 23 janvier, d’une “persistance des tensions d’approvisionnement”, voire de “ruptures de stocks” en France d’Amoxicilline (seule ou en association à l’acide Clavulanique).
Cette situation dégradée, qui concerne par ailleurs d’autres médicaments communément utilisés, comme le paracétamol (Doliprane), devrait “durer jusqu’en mars 2023”.
Sortie de crise selon le ministre
“Nous sortons de la crise” de la pénurie d’Amoxicilline, a estimé pourtant le ministre de la santé François Braun, lors d’un entretien sur Europe 1, le 3 février 2023, indiquant toutefois un délai de “deux semaines” afin de pallier à tous les manques.
Quinze jours plus tard, ce sont les prévisions de l’ANSM qui se confirment. Sur le site de l’agence, une page, qui recense les médicaments d’intérêt thérapeutique majeur (ITM), affiche encore des dizaines de références en rupture de stock ou en tension d’approvisionnements. Parmi elles figurent toujours l’Amoxicilline et l’acide Clavulanique.
Chargée de réguler la prescription des médicaments, la Haute Autorité de Santé (HAS) se doit d’anticiper les stocks de molécules afin de rédiger ses recommandations de santé publique. À l’instar de l’ANSM, la HAS ne s’en remet pas à la méthode Coué pratiquée par le ministre de la Santé.
La crise continue selon la HAS et l’ANSM
”Il ne s’agit pas d’un problème récent, mais d’un problème qui s’aggrave. Il est clair que les pénuries de médicaments que nous vivons sont de plus en plus récurrentes”, affirme sa présidente Dominique Le Guludec, auditionnée le 9 février par la Commission d’enquête sénatoriale à propos de la pénurie de médicaments et le positionnement de l’industrie pharmaceutique française.
Pourtant, Français Braun semble se persuader qu’il s’agit d’une difficulté ponctuelle et de nature saisonnière, qui s’expliquerait par exemple en raison du déroulement simultané de plusieurs épidémies sévissant l’hiver. Dans sa proposition de “plan blanc”, le ministre préconise d’éviter les pénuries en “période hivernale”, en faisant des “des stocks préalables (…) lorsqu’on sait qu’on en a besoin”.
RépondreSupprimerMais l’analyse de la HAS est bien confirmée lors d’une nouvelle session de la Commission d’enquête du Sénat, le mercredi 15 février, par la rapporteure Laurence Cohen (groupe communiste).
Alors qu’elle questionne la directrice de l’ANSM, Christelle Ratignier-Carbonneil, la sénatrice rappelle que “la pénurie n’est pas un phénomène récent. Si l’on regarde en 2016, 600 signalements ont été faits. En 2019, il y en avait 1500. 2400 en 2021. Et aujourd’hui, plus de 3500. (Ceux-ci) ont été multipliés par cinq en un court moment. Cela n’est pas lié à la crise du Covid.”
L’abandon des molécules "anciennes"
L’élue du Val-de-Marne, vice-présidente de la commission des affaires sociales, remarque que les médicaments les plus concernés sont ”les anciens, moins onéreux et donc moins rentables pour les exploitants”. Mme Cohen émet l’hypothèse que ces derniers connaitraient davantage de difficultés d’approvisionnement que les médicaments “innovants” sous brevet et donc toujours rentables pour l’industrie pharmaceutique.
La sénatrice s’étonne par ailleurs que cette industrie ne soit pas sanctionnée par les pénalités prévues par la loi, en cas de rupture par négligence de la production d’une molécule. “Je sais que vous pouvez infliger des pénalités financières, rappelle-t-elle à la directrice de l’ANSM, “mais il y en a extrêmement peu, avec une opacité sur (leurs) montants”. Pourtant, des sanctions dissuasives pourraient inciter les producteurs à veiller au maintien des approvisionnements.
Mme Cohen accuse aussi la délocalisation des industries d’être responsable du caractère “structurel” des pénuries : “nous sommes nombreux à penser qu’il faudrait relocaliser un certain nombre d’industries pour avoir de la production en France. Mais on sait pertinemment que la plupart des usines se trouvent en Chine ou en Inde, pour des raisons de rentabilité financière, pour le coût de la main d'œuvre mais aussi pour des raisons environnementales”.
“La maille européenne”
Après voir répondu qu’un “grand nombre de pays de l’UE sont concernés par la pénurie de paracétamol et d’Amoxicilline”, Christelle Ratignier-Carbonneil, qui est aussi vice-présidente de l’EMA (l’Agence européenne du médicament) expose “la dimension européenne” des solutions : “Il y a des travaux en cours pour la révision de la législation pharmaceutique au niveau européen, avec une mise en projet vers 2024 ou 2025."
Le premier projet qui “devrait être présenté fin mars (2023)”, s’inspirera de “l’encadrement législatif français” en matière de gestion des pénuries et d’obligations de déclaration. “L’ensemble de la réglementation sera reprise en base”, selon la directrice de l’ANSM.
RépondreSupprimerSur le plan économique, grâce à “la maille européenne”, les “vieux” antibiotiques qui connaissent des arrêts de commercialisation “faute d’attractivité pour les industriels” pourraient bénéficier d’un marché de nouveau rentable de par sa taille.
“La mondialisation n’est pas heureuse”
Une démonstration qui ne rassure pas le sénateur Alain Houpert (groupe Les Républicains) : “Nous sommes en insécurité et vos propos m’inquiètent. Les solutions que vous donnez ne sont que des pansements (…). Dans le cadre du médicament, la mondialisation n’est pas heureuse. Et je suis un libéral”. Lui-aussi évoque la nécessité de relocaliser “d’urgence” les chaînes de production en France.
En 2022, l’Observatoire de la transparence dans les politiques du médicament (OTMeds) publie un rapport intitulé “Relocalisation de l’industrie pharmaceutique en Europe et dans les États membres.” Cet observatoire, qui “veille à la mise en place en France de la ‘Résolution sur la Transparence’ des marchés pharmaceutiques votée à l’Assemblée mondiale de la Santé en mai 2019”, doute de l’efficacité des relocalisations au sein de l’Union européenne.
Ces dernières, au sein du système économique actuel, se produiraient “uniquement dans les conditions actuelles du marché, basées sur le principe de l’offre et de la demande” et seraient “vouées à l’échec”. Les pénuries risquent de durer bien au-delà de 2024 ou 2025.
https://www.francesoir.fr/societe-economie-sante/penurie-de-medicaments-la-methode-coue-du-ministre-de-la-sante-en-attendant
Biocytogen lance le « Nano 100 Project » pour développer des thérapies à nanocorps entièrement humains pour plus de 100 cibles
RépondreSupprimerpar Business Wire
Fév 21, 2023
PÉKIN--(BUSINESS WIRE)--Biocytogen Pharmaceuticals (Beijing) Co., Ltd. (« Biocytogen », HKEX : 02315) annonce aujourd’hui le lancement du « Nano 100 Project », qui vise à développer des médicaments à nanocorps entièrement humains pour plus de 100 cibles. Le projet combine la souris à nanocorps entièrement humain exclusive de Biocytogen, RenNano®, avec ses plateformes de criblage d'anticorps in vitro et in vivo à haut rendement pour développer des médicaments à nanocorps entièrement humains à grande échelle.
Comparés aux anticorps traditionnels, les nanocorps ont des poids moléculaires inférieurs et une meilleure capacité de pénétration tissulaire, ce qui les rend efficaces pour infiltrer les tumeurs et franchir les barrières hémato-encéphaliques. En outre, les nanocorps ont généralement des régions CDR3 plus longues, ce qui leur permet de mieux reconnaître les épitopes cachés. En raison de leur structure plus simple, les nanocorps sont plus stables et plus faciles à produire et à concevoir, ce qui en fait des blocs de construction idéaux pour des modalités complexes telles que la thérapie cellulaire, les anticorps bispécifiques et les engageurs, les anticorps multispécifiques, les conjugués anticorps-médicament (CAM) et les conjugués anticorps-radionucléide (CAR).
Après plusieurs années d’efforts, Biocytogen a réussi à concevoir la souris RenNano à partir de sa souris à anticorps entièrement humains, RenMab™. La souris RenNano possède des régions variables de chaîne lourde entièrement humaine et peut produire des anticorps exclusivement à chaîne lourde (HCAb). Les régions variables des HCAb, c’est-à-dire les nanocorps, ne nécessitent pas d’humanisation in vitro pour développer des médicaments. Nos recherches ont montré que la souris RenNano peut générer de solides réponses immunitaires après immunisations par différents antigènes. Les HCAb générés par la souris RenNano ont des séquences CDR3 très diverses et peuvent reconnaître de nombreux épitopes avec des affinités élevées au niveau nM. Des expérimentations in vitro et in vivo ont montré que les anticorps dérivés de RenNano ont des fonctions biologiques favorables.
En s'appuyant sur l’excellente capacité de RenNano à découvrir des nanocorps entièrement humains, Biocytogen a lancé le « Nano 100 Project », qui vise à développer des nanocorps thérapeutiques entièrement humains contre plus de 100 cibles, y compris les antigènes associés aux tumeurs (AAT), les GPCR, les points de contrôle immunitaires, les cytokines et les facteurs liés aux maladies neurologiques. Biocytogen recherche activement des collaborations avec des sociétés pharmaceutiques et biotechnologiques mondiales pour combiner ses capacités de développement de nanocorps à grande échelle avec l’expertise de collaborateurs dans les thérapies liées aux nanocorps, comme les thérapies cellulaires, les anticorps bispécifiques et multispécifiques, les CAM et les CAR, pour développer de nouveaux médicaments ayant le potentiel de devenir pionniers et/ou les meilleurs de leur catégorie.
RépondreSupprimer« Nous pensons qu’avec la capacité de développer rapidement des nanocorps entièrement humains contre des cibles choisies, le Nano 100 Project fournira à nos partenaires mondiaux des blocs de construction de nanocorps plus diversifiés et de meilleure qualité pour accélérer le développement de nouveaux médicaments », déclare le Dr Yuelei Shen, président et chef de la direction de Biocytogen. « C’est aussi un complément important au Project Integrum de Biocytogen. »
À propos de RenNano®
RenNano, la souris productrice de nanocorps entièrement humains exclusive de Biocytogen, est l’une des plateformes d’anticorps entièrement humains les plus complètes au monde. Les séquences de nanocorps générées à partir des souris RenNano présentent une diversité optimale et ne nécessitent pas d’humanisation des anticorps, ce qui permet d’économiser du temps et de l'argent et réduit le risque d’échec lors des stades ultérieurs du développement médicamenteux. En outre, par rapport aux espèces naturelles produisant des HCAb, comme les camélidés, les souris sont plus faciles à reproduire et à immuniser, ce qui les rend adaptées au développement de HCAb à grande échelle.
À propos de Biocytogen
RépondreSupprimerBiocytogen (HKEX : 02315) est une entreprise de biotechnologie mondiale qui promeut la recherche et le développement de nouveaux médicaments à base d'anticorps grâce à des technologies innovantes. À l'aide de ses plateformes de souris exclusives RenMab™/RenLite®/RenNanoy® pour le développement d'anticorps monoclonaux entièrement humains, d'anticorps bispécifiques/multispécifiques et de nanocorps, Biocytogen a intégré ses plateformes de criblage in vivo de l'efficacité des médicaments et sa solide expertise en matière de développement clinique afin de rationaliser l'ensemble du processus de développement de médicaments. Biocytogen entreprend un projet de grande envergure destiné à développer des anticorps pionniers et/ou les meilleurs de leur catégorie pour plus de 1 000 cibles, connu sous le nom de Project Integrum. Ce projet a donné lieu à 28 accords de codéveloppement de médicaments et à 16 contrats de licence RenMice™ avec des entreprises du monde entier, dont plusieurs partenariats avec des multinationales pharmaceutiques. Le pipeline de Biocytogen comprend 12 produits phares, dont deux sont actuellement en Phase II d'essais cliniques multirégionaux et deux autres, en Phase I. Basée à Pékin, Biocytogen possède des succursales à Haimen Jiangsu, Shanghai, Boston (États-Unis) et Heidelberg (Allemagne). Pour plus d'informations, veuillez consulter le site http://en.biocytogen.com.cn.
Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.
Contacts
Biocytogen
Plateformes d'anticorps et actifs d'anticorps : BD-Licensing@biocytogen.com
Médias : pr@bbctg.com.cn
https://www.chine-magazine.com/biocytogen-lance-le-nano-100-project-pour-developper-des-therapies-a-nanocorps-entierement-humains-pour-plus-de-100-cibles/
Symposium en ligne sur les "vaccins" basés sur les gènes - Le crime pharmaceutique du siècle ?
RépondreSupprimer22 février 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Le récit des acteurs de la pandémie tels que l'OMS, l'UE et l'industrie pharmaceutique sur l'efficacité de la campagne de vaccination s'effondre de plus en plus. De nouvelles études montrent 13 millions de décès par vaccin dans le monde d'ici la mi-janvier 2023. Les machinations des autorités réglementaires et des sociétés pharmaceutiques sont de plus en plus mises au jour.
Le grand symposium en ligne du MWGFD (médecins et scientifiques pour la santé, la liberté et la démocratie, eV ) sur le thème "Gene-based "vaccins" /vaccination COVID - le crime pharmaceutique du siècle?" offre un aperçu compact des connaissances acquises. . Il aura lieu le mardi 28 février 2023 de 18h00 à minuit heure allemande (CET).
Il sera diffusé sur deux chaînes chacune en allemand et en anglais avec traduction simultanée par OVALmedia .
Voici les liens : https://www.oval.media/mwgfd-impf-symposium/
Lors de cette longue soirée symposium, 20 experts de renom vous donneront la réponse à des questions importantes telles que :
Comment fonctionnent l'ARNm et les autres « vaccins » basés sur les gènes ? Pourquoi sont-ils si dangereux ?
Quels sont les plans et les intentions futurs de l'OMS et comment devrions-nous y répondre ?
Que pouvons-nous faire pour arrêter le plus rapidement possible ce qui est probablement le plus grand crime pharmaceutique de l'histoire de l'humanité ?
Quelles options juridiques pouvons-nous utiliser ?
Quelle aide pour les victimes de la vaccination sur le plan médical, thérapeutique et juridique ?
Voici le programme (sous réserve de modifications mineures) :
Programme:
RépondreSupprimerPartie 1 | Découvertes scientifiques et faits sur la "vaccination" COVID et les vaccins à base de gènes en général
Bienvenue et introduction au sujet - sur quoi devrions-nous nous concentrer maintenant ?
Prof. Dr. Sucharit Bhakdi, spécialiste en microbiologie et épidémiologie des infections, président du MWGFD eV
Comment fonctionnent les vaccins génétiques ? Pourquoi sont-ils si dangereux ?
Prof. Dr. Stefan Hockertz, ImmunotoxicologistGain-of-Function-Research -La protéine de pointe comme »arme biologique« ?
Prof. Dr. Ulrike Kämmerer, biologiste humaine
Les résultats de la "Conférence de pathologie" comme une pièce importante du puzzle pour prouver le crime. Prof. Dr. Arne Burkhardt, pathologiste
Effets de ces "vaccins" sur la fertilité et la grossesse.
docteur docteur Christian Fiala, spécialiste en gynécologie-obstétrique, médecin généraliste, médecine tropicale
Autres indications sur les dangers de la vaccination COVID :
Prof. Dr. Werner Bergholz, physicien, expert en gestion de la qualité et des risques
Approbation de vaccin douteuse et données d'assurance maladie évidentes:
Tom Lausen, programmeur et analyste de données
Des études récentes montrant les dangers de la vaccination COVID - et pourquoi de nombreux cas de "long-Covid" ne sont rien de plus qu'un syndrome post-vaccinal.
Prof. Dr. Andreas Sönnichsen, spécialiste en médecine interne et médecine générale
Les nouveaux plans menaçants de l'OMS et ce que nous pouvons y faire.
Philipp Kruse, avocat, Suisse
Remarques critiques sur le processus vaccinal à dominante pharmaceutique en général. Andreas Diemer, médecin et physicien
Partie 2 | Que faire d'un point de vue légal ?
RépondreSupprimerAccusations pénales contre le président suisse Berset pour abus de pouvoir – La Suisse deviendra-t-elle le premier pays à interdire les vaccinations contre le COVID ?
Pascal Najadi, homme d'affaires suisse, banquier d'affaires, triple vacciné
Le procès contre l'autorité de régulation suisse Swissmedic :
Philipp Kruse, avocat, Suisse
Actions civiles en dommages-intérêts des victimes de la vaccination :
Tobias Ulbrich, avocat
Accusations pénales contre le PEI, l'EMA et certains politiciens allemands :
Wilfried Schmitz, avocat -
Partie 3 | Comment pouvons-nous aider les personnes qui ont été vaccinées ou qui ont été lésées par la vaccination d'un point de vue médical et thérapeutique ?
Y a-t-il des pertes ? Et si oui, quels dangers sont réalistes ? :
Prof. Dr. Michael Palmer, spécialiste en microbiologie et épidémiologie des infections, pharmacologie clinique
Quels paramètres de laboratoire pour le diagnostic des dommages vaccinaux ?
Prof. Dr. Martin Haditsch, spécialiste en microbiologie, virologie et épidémiologie des infections
Quelles options de traitement et de prophylaxie des dommages causés par les vaccins se sont avérées efficaces jusqu'à présent (représentant les médecins) :
Dr. Walter Weber, spécialiste en médecine interne, co-fondateur de "Doctors for Enlightenment"
Quelles options de traitement et de prophylaxie des dommages causés par les vaccins se sont avérées efficaces jusqu'à présent (représentant les praticiens alternatifs) :
Kristina Wolff, praticienne alternative
La nutrition cétogène comme moyen d'auto-assistance :
Prof. Dr. Ulrike Kämmerer, biologiste humaine
Présentation du concept thérapeutique d'une équipe médicale japonaise
Dr. Fujisawa et al. , équipe médicale japonaise,
Organisation et modération :
docteur Ronald Weikl, spécialiste en gynécologie et obstétrique, médecin généraliste, traitement naturopathique, vice-président du MWGFD
Organisé en collaboration avec le personnel du MWGFD eV
Une autre remarque :
Quelques jours après le symposium, nous publierons un livret du symposium disponible en téléchargement gratuit sur le site Web du MWGFD. Ici, les informations les plus importantes et les liens des sujets abordés dans le symposium sont à nouveau répertoriés.
https://tkp.at/2023/02/22/online-symposium-ueber-genbasierte-impfstoffe-pharma-verbrechen-des-jahrhunderts/
Carte de vaccination électronique, système de crédit social et tyrannie : notre avenir dystopique ?
RépondreSupprimer22 février 2023
par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander-Faes
Carnet de vaccination électronique et ICD-11 : le pire des mondes arrive. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) est en train de lancer de nouveaux codes de classification pour le statut vaccinal Covid. Ces codes dits CIM ( Classification internationale des maladies) ont été adoptés par l'OMS au printemps 2019 et seront introduits prochainement. Aux États-Unis, la nouvelle version ICD-11 sera introduite le 1er avril 2023, en Autriche et en Europe, la date est toujours en attente. Vous pouvez découvrir ici pourquoi c'est une idée absolument folle.
Avant d'aller dans les médias, assurez-vous de lire les articles pertinents en anglais du Dr. Harvey Risch et Dr. Robert Malone a souligné; ceux-ci incluent une multitude de détails qui ne sont pas toujours discutés en détail ici.
Les carnets de vaccination numériques et les données de santé sont "l'or" de notre époque
La première chose à noter est de savoir qui prend quelles décisions ici : "Le système de classification de la CIM est administré par l'Organisation mondiale de la santé, et non par le gouvernement américain", a déclaré Malone. Les codes ICD pour le statut vaccinal Covid, qui doivent désormais être utilisés aux USA, ont été développés il y a une dizaine de mois par l'assureur-maladie américain Centers for Medicare and Medicaid Services (CMS) ; les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) mettent maintenant cela en œuvre le 1er avril 2023.
Plus précisément, selon Risch, les codes suivants sont impliqués :
Z28.0 signifie « vaccination non effectuée en raison de contre-indications »
Z28.1 signifie "vaccination non administrée sur la base d'une décision du patient basée sur la persuasion ou la pression des pairs".
Z28.2 signifie « Vaccination non administrée sur décision du patient pour d'autres raisons non précisées ».
Z28.8 signifie « vaccination non effectuée pour d'autres raisons », ce qui, en raison du code Z28.2, doit faire référence à des raisons non imputables aux décisions du patient.
Enfin, Z28.39 signifie « autre statut de vaccination », y compris « statut de vaccination par défaut » et « statut d'expiration du calendrier de vaccination ».
Ces entrées de statut semblent se référer à toutes les injections reçues, car aucun ajout spécifique sur les maladies ou les vaccins n'est mentionné.
C'est donc l'équivalent américain de celui en Autriche déjà carte de vaccination électronique déjà introduite en Autriche , qui « à l'avenir [devrait contenir] tous les vaccins qu'une personne a reçus ». C'est aussi, selon toute vraisemblance, la toile de fond de la numérisation intégrale de nos données de santé à laquelle on aspire depuis plus d'une décennie.
RépondreSupprimerLe « citoyen transparent » est déjà une réalité
Comme l'explique en détail le ministère des Affaires sociales et de la Santé le ministère des Affaires sociales et de la Santé , le "passeport vert" imposé par l'UE n'était pas un "accident du travail", mais s'inscrivait dans une planification à long terme.
Les "jalons" de ces développements comprennent la création du cadre pour une utilisation plus large des services de santé électroniques, y compris une "carte de vaccination électronique" conformément à l'article 7, paragraphe 4, de l'accord conformément à l'article I n° 98/2017 .
Avec la décision de la Federal Target Control Commission du 29 juin 2018, la conception et le financement du projet pilote eVaccination Card en tant qu'application eHealth ont été déterminés. Dans ce contexte, la base juridique de l'application eSanté eImpfpass a été créée avec un amendement à la loi de 2012 sur la télématique sanitaire (!) et la nouvelle promulgation d'un règlement eSanté.
Selon le ministère des Affaires sociales et de la Santé, cela implique les objectifs suivants :
Abolition des prétendus « inconvénients » du carnet de vaccination papier.
Développement d'une base de données électronique pertinente pour l'enregistrement statistique, car ce n'est qu'avec une telle "base de données complète et rapidement disponible qu'il est possible d'obtenir des taux de vaccination valables ou des informations sur les lacunes potentielles en matière de vaccination".
L'"amélioration de la gestion des épidémies et des crises" ne peut être obtenue qu'avec une carte de vaccination électronique.
En fin de compte, il est également question de "simplification de l'administration", dont le destinataire est "aussi le système de santé publique".
Comme mentionné, ces aspects sont inscrits dans la loi depuis 2012, ils étaient donc un objectif déclaré du gouvernement fédéral bien avant Corona.
Leçon n°1 : l'UE sape la souveraineté populaire et détruit le processus législatif au niveau national
RépondreSupprimerQuiconque traite, même superficiellement, du fonctionnement des organes de l'UE tombera inévitablement sur des termes tels que « législation primaire et secondaire » et « transposition ». Les deux considérations et leurs implications sont des connaissances incontournables si l'on veut classer les aspects ci-dessus.
Selon l'UE, le droit primaire et le droit dérivé doivent être distingués comme suit :
Les traités constituent la base du droit de l'UE et sont appelés « droit primaire » dans l'UE.
La législation fondée sur les principes et les objectifs des traités est appelée «législation secondaire» et comprend des règlements, des directives, des décisions, des recommandations et des avis.
Transféré cela signifie : le « droit primaire » crée les conditions juridiques, avec le « droit secondaire », celles-ci sont mises en œuvre.
Appliqué au niveau national, cela signifie que le parlement (législatif) élabore (promulgue) les dispositions légales, qui sont ensuite mises en œuvre par le gouvernement et ses autorités subordonnées (exécutif) au moyen d'ordonnances.
Comme le nom de ces deux aspects l'indique également, le droit primaire et secondaire sont des indications de la séparation des pouvoirs.
Soit dit en passant (car ce n'est pas le sujet de cet article) : alors que dans les systèmes républicains-représentatifs comme l'Autriche, le droit émane « du peuple » (art. 1 de la loi constitutionnelle fédérale) et émane principalement du parlement, c'est le cas dans l'UE pas directement le cas sur la base des différents contrats.
La « chaîne de représentation » est légèrement différente : Peuple => Parlement => Gouvernement (conclut les contrats) => Commission européenne
Ce qui passe généralement inaperçu, c'est le fait que la Commission européenne a le droit de créer un « droit primaire » « dans le sens opposé » sur cette base. Et sur cette base, « des règlements, des directives, des résolutions, des recommandations et des avis » sont ensuite élaborés, qui vont dans le sens inverse du « droit dérivé ».
Cette chaîne de causalité inverse est la suivante : Commission européenne => Gouvernement de l'État membre => Ministères et sous-agences => Personnes.
Nous notons donc que l'adhésion de l'Autriche à l'UE - vous souvenez-vous de la promesse faite par le gouvernement SPÖ-ÖVP que chaque Autriche recevrait "1 000 schillings de plus" en conséquence ? – a conduit au fait que la souveraineté populaire n'est pas abolie sur le papier, mais son existence a été drastiquement réduite par la mise en place des changements esquissés ici.
RépondreSupprimerBernard Steunenberg (La Haye) et Mark Rhinard (Stockholm) déclarent ce qui suit (c'est moi qui souligne) :
Les directives doivent être transposées au niveau national pour donner effet au droit européen, mais la plupart des autorités nationales sont confrontées à d'importantes difficultés de transposition...
La plupart des directives ne sont pas mises en œuvre par l'adoption d'une législation par le biais du processus législatif national . La mise en œuvre dépend donc moins de facteurs au niveau national que de différentes procédures administratives …
Le Parlement n'est impliqué que si la mise en œuvre d'une directive nécessite une modification de la législation ou fait l'objet d'une procédure de rappel. Le contexte de mise en œuvre est donc principalement déterminé par des processus administratifs, qui peuvent varier selon le secteur, plutôt que par des processus législatifs horizontaux au sein d'un pays .
Le reste de l'essai de Steunenberg et Rhinard est recommandé à tout citoyen responsable, car il montre clairement ce qui se passe ici : l'UE détruit la souveraineté populaire à travers des processus administratifs qui ont leur origine à Bruxelles et principalement dans les parlements - et les citoyens - être mis en œuvre par.
Cependant, cette longue digression est absolument nécessaire pour comprendre les problèmes des dossiers de santé électroniques.
Leçon n°2 : la fin de la souveraineté populaire à l'exemple de la carte de e-vaccination
La loi fédérale sur la télématique telle que modifiée stipule à l'article 1 (1) d'où vient l'impulsion :
L'objet de cette loi fédérale est le traitement (art. 4 Z 2 du règlement [UE] 2016/679 relatif à la protection des personnes physiques à l'égard du traitement des données à caractère personnel, à la libre circulation des données et à l'abrogation de la directive 95 /46/CE [Règlement général sur la protection des données], ABl n° L 119 du 04.05.2016 p. 1 [ci-après : RGPD]) données de santé électroniques personnelles et données génétiques (art. 4 Z 15 et Z 13 RGPD) par le prestataires de services conformément au § 2 Z 2.
À noter : la Commission européenne a publié un règlement (loi secondaire) en 2016, qui a ensuite entraîné une modification de la législation en Autriche. Le ministère des affaires sociales et de la santé explique (c'est moi qui souligne) :
RépondreSupprimerBien que l'infrastructure technique des composants ELGA soit utilisée en tout ou en partie pour la carte de vaccination électronique en tant qu'application de santé en ligne, la carte de vaccination électronique ne relève pas du régime réglementaire d'ELGA. Contrairement au régime réglementaire de l'ELGA, les citoyens n'ont pas le droit de s'opposer au stockage des données de vaccination dans le registre central de vaccination, car une telle objection - contrairement aux objections à la participation à l'ELGA - irait à l'encontre de l'opinion publique considérable l'intérêt de la société dans son ensemble, en particulier celui d'une meilleure réactivité face aux épidémies de maladies évitables par la vaccination et le respect des engagements pris pour atteindre les objectifs internationaux d'élimination et d'éradication.
On apprend ainsi que les données enregistrées dans la carte de e-vaccination ne relèvent expressément pas de la réglementation sur la protection des données personnelles. Ce qui est encore accordé au citoyen est autre chose :
Par conséquent, les citoyens n'ont pas le droit de s'opposer à la carte de vaccination électronique, mais plutôt à d'autres mesures appropriées et spécifiques pour sauvegarder les droits et libertés des personnes concernées. Outre les mesures organisationnelles et techniques de sécurité des données, cela comprend notamment le droit des citoyens à l'information sur les données et les données de journal les concernant stockées dans le registre central de vaccination , qui peut être exercé soit par voie électronique via le portail d'accès ELGA, soit par écrit à le médiateur ELGA.
Vous pouvez demander des informations sur vos propres données.
Au vu des deux à trois dernières années, tout cela est scandaleux, car non seulement on ne sait pas qui reçoit leurs données, mais aussi à quoi elles servent en cas de doute.
Injections de Covid, protection des données et autorités arbitraires
Comme le montre le passé récent, de telles données sur les "ingrédients actifs" administrés - la "vaccination Covid", qui, selon le fabricant, n'empêche ni l'infection ni la transmission - ont été utilisées par la caste des politiciens pour exclure arbitrairement des groupes entiers de population de la vie sociale. vie; Ce n'est pas tout, "les non-vaccinés" ont été diffamés dans tout le pays par des "experts" et les "médias de premier plan et de qualité" sans aucune preuve .
Mais ce n'est pas tout : comme l'explique Harvey Risch,
RépondreSupprimer[CIM-11] le code Z28.310 signifie « non vacciné contre le COVID-19 »…
Le seul autre code Covid-19 est Z28.311, qui signifie « partiellement vacciné contre le COVID-19 », où « partiellement » fait référence à la définition du CDC de « entièrement vacciné » au moment où le patient voit les visites du fournisseur de soins de santé qui note le statut vaccinal dans le dossier médical...
Il n'y a pas encore de codes spécifiques pour "refus de fournir le statut de vaccination COVID-19" ou "statut de vaccination COVID-19 inconnu", mais ces codes seront probablement ajoutés à une date ultérieure.
En d'autres termes : si vous ne soupçonnez rien de mal sur la base des expériences des deux à trois dernières années, vous ne pouvez guère être aidé. Risch élabore (c'est moi qui souligne):
Il y a certainement une raison de santé publique pour laquelle les autorités sont en mesure de surveiller le statut vaccinal de la population... En théorie, le statut vaccinal ne pourrait pas en être autrement...
Mais le Covid-19 et la vaccination qui l'accompagne sont différents. Les vaccins Covid et leurs rappels ont été développés sous les protocoles EUA (Emergency Use Authorization) et ne sont pas pleinement autorisés. Les versions officiellement approuvées, par exemple Comirnaty, ne sont pas largement disponibles aux États-Unis...
De nombreuses personnes ont vu leurs multiples amis et proches vaccinés tomber malades du Covid, certains même plusieurs fois. Beaucoup ont également vu des amis et des parents blessés par les vaccins, et la plupart des gens sont conscients des décès quotidiens incessants d'athlètes en bonne santé qui sont débattus comme "aléatoires".Les gens ont vu les vaccins être présentés comme une solution à la pandémie mais échouer complètement dans la population à supprimer la transmission de l'infection.
En outre, au cours des deux dernières années, les gens ont été bombardés quotidiennement de déclarations selon lesquelles les vaccins sont « sûrs et efficaces » et doivent être pris, et que les personnes non vaccinées sont « mauvaises » et « égoïstes » et sont diabolisées comme socialement nuisibles et devraient être évité.
Autrement dit, le statut vaccinal personnel est l'information personnelle la plus stigmatisante des temps modernes, même avant le sida. Par conséquent, toute compilation gouvernementale doit être « à l'épreuve des balles » contre le piratage et les abus. En outre, le gouvernement doit pouvoir être sûr que les données ne seront utilisées que de la même manière que d'autres données médicales personnelles.
RépondreSupprimerComme le montrent les explications présentées et les expériences des deux ou trois dernières années, tous ces aspects de la carte de e-vaccination sont très problématiques. Aucune des inquiétudes n'a été dissipée, les "médias de premier plan et de qualité" n'en parlent pas et quiconque regarde les fruits du " processus de réconciliation " récemment initié par le gouvernement a de mauvais soupçons.
Précédents américains
Ceux qui, après trois ans de politique corona ratée, sans preuve et nuisible par des «experts», des politiciens, des bureaucrates de la santé et leurs exécuteurs volontaires dans les «médias de premier plan et de qualité», peuvent continuer à croire que «ceux là-haut» n'ont que le meilleur pour nous est dédié l'épisode suivant (source originale ici ; je souligne) :
Le 8 février 2023, l'avocat John Bursch, s'exprimant au nom des travailleurs new-yorkais licenciés qui avaient refusé la vaccination contre le Covid , a déclaré en audience publique que les enseignants non vaccinés de New York portaient des codes de problème sur leurs dossiers personnels et que dans ce cas "Leurs empreintes digitales seront envoyées au FBI et au département de justice pénale de New York avec cet identifiant" .
Laissez cela pénétrer un instant : les dossiers médicaux des personnes qui ne se sont pas conformées au mandat de vaccination désormais illégal ont été envoyés – avec les biomarqueurs (empreintes digitales) – au FBI et au ministère de la Justice.
La source de cette information est Betsy Combier, qui dans l' affaire Kane contre de Blasio a écrit un affidavit (voir [le PDF lié ci-dessous dans l'article]) déclarant que les enseignants non vaccinés avec un "code de problème" qui "a ensuite été envoyé aux deux les bases de données nationales du Federal Bureau of Investigation (FBI) et du Department of Justice (DOJ) ».
L'avocate Susan Paulson, qui défend la ville de New York, a déclaré devant un tribunal fédéral le 8 février que les enseignants qui avaient été licenciés pour avoir refusé de se faire vacciner contre Covid l'avaient été non pas pour inconduite mais pour ne pas avoir satisfait à une exigence d' embauche .
RépondreSupprimerL'affidavit de Combier déclare en outre (ce que j'insiste également):
Lorsque le ministère de l'Éducation (DOE) entre un code de problème dans le dossier personnel de l'employé, les empreintes digitales de l'employé sont signalées et envoyées aux bases de données nationales du Federal Bureau of Investigation et de la State Division of Criminal Justice Services . [ma nouvelle ligne]
J'ai représenté plus de 15 employés du DOE devant le Bureau d'enquête sur le personnel du ministère de l'Éducation [audit interne] dans une procédure demandant la suppression de leurs codes d'anomalie. L'étiquette a des noms différents comme "code de problème", code "pr", code "pc", "inéligible" et code "pas d'embauche/enquête". Tous portent cependant sur un gel des salaires, quelle que soit l'étiquette présente. [ma nouvelle ligne]
J'ai aidé environ 20 employés du DOE à retirer leurs codes de problème de leurs dossiers personnels. Je connais de nombreux anciens employés du DOE qui ont des codes d'anomalie dans leurs dossiers personnels parce qu'ils ont refusé de se faire vacciner, contrairement aux mandats du DOE, et n'ont pas obtenu d'exemption religieuse ou médicale. Le DOE place un code de problème dans le dossier personnel de l'employé lorsqu'il apprend que l'employé n'a pas fourni de preuve de vaccination. Une fois que l'employé aura rattrapé sa vaccination et fourni une preuve, le code sera retiré de son dossier.
Veuillez lire vous-même le contenu lié dans son intégralité.
Épilogue : Résister aux débuts
Ce qui s'est passé aux États-Unis nous viendra bientôt à l'esprit. Les problèmes les plus importants sont :
Des interventions rétroactives et unilatérales dans les contrats de travail existants, qui, comme on le sait, ne peuvent être modifiés que d'un commun accord (d'ailleurs : c'est l'une des raisons pour lesquelles, par exemple, les « réformes des retraites » - coupes - conduisent souvent à des vagues de protestation, puisqu'une partie rompt le contrat)
La divulgation de données personnelles et biométriques aux autorités répressives parce qu'un citoyen n'a pas respecté un ordre éthiquement discutable et juridiquement problématique de l'État ou des autorités administratives.
Le système de crédit social ainsi mis en place, pour ainsi dire, « par la petite porte », où les personnes qui refusent une intervention médicale douteuse – qui doit également être réalisée sous la contrainte ou la menace de violence – sont stigmatisées comme un « problème cas », pour ainsi dire.
Ce n'est que la pointe proverbiale de l'iceberg, mais elle doit être catégoriquement rejetée dans tous les cas.
Presque personne ne peut dire qu'il ne savait rien.
RépondreSupprimerMais que faire ? Que pouvez -vous faire à ce sujet ?
Je pense que tout le monde devrait se battre bec et ongles contre la poursuite de la numérisation des données de santé et autres. Oui, la vie est un peu plus « encombrante » du coup, mais au vu des faits évoqués et des expériences des trois dernières années, c'est sans doute à privilégier dans tous les cas.
D'une manière ou d'une autre, les coûts de ces "services" lors d'une visite chez le médecin sont dans un premier temps répercutés sur le corps médical (ligne internet dédiée, lecteur de eCard, support et mises à jour...), qui sont ensuite répercutés sur le grand public en d'une manière ou d'une autre à la hausse des coûts d'assurance.
Refusez la numérisation rétrospective annoncée prochainement de vos données de santé.
Lisez les "petits caractères" dans diverses réglementations et les services numériques que vous utilisez, en particulier concernant "l'enregistrement à des fins d'assurance qualité" et le partage de données personnelles (voir ici pour ma discussion correspondante sur la vaccination obligatoire ) .
Trouvez un médecin que vous pouvez consulter en toute confiance en cas de doute. Comme nous l'avons vu, vous pouvez vous voir totalement arbitrairement refuser l'accès aux services de santé gouvernementaux que vous aidez à financer, ou vous en accorder l'accès uniquement dans des conditions d'un autre monde.
Refuser de fournir des données personnelles, quel que soit le contexte.
Organisez-vous avec des personnes partageant les mêmes idées et travaillons ensemble pour prévenir ou inverser cette folie - ainsi que le Crisis Security Act .
Outre le fait de quitter l'OMS, la question se pose de savoir si le fait de rester dans l'UE est compatible avec le maintien des libertés civiles ; Personnellement j'en doute fort.
Payez en espèces chaque fois que possible.
Et : assumez plus, et non moins, la responsabilité de votre vie et de celle de vos proches.
https://tkp.at/2023/02/22/eimpfpass-soziales-kreditsystem-und-tyrannei-unsere-dystopische-zukunft/
La viande de laboratoire présente des risques élevés de cancer et de santé
RépondreSupprimer22 février 2023
par Thomas Oysmuller
En plus des insectes, la viande d'imitation du laboratoire devrait également nous nourrir dans la "société respectueuse du climat". Les inquiétudes sanitaires sont sérieuses, mais l'oligarchie occidentale a investi.
Notre alimentation va être radicalement modifiée au cours des prochaines années sous prétexte de « changement climatique ». Surtout, la viande en tant que source de protéines doit être remplacée. Le WEF demande par exemple : "Avons-nous atteint la fin de la viande ?" Au lieu de cela, il y aura à l'avenir des protéines d'insectes ou de la "viande" de laboratoire - les risques pour la santé sont ignorés. Les insectes ont récemment fait l'objet de rapports intensifs (dont TKP, par exemple ici et ici), et l'industrie essaie de les commercialiser une fois qu'ils ont été approuvés par l'UE.
Cellules immortelles
Dans le même temps, la viande produite synthétiquement est présentée depuis des années par Bill Gates et d'autres parties de l'oligarchie occidentale comme une solution à la prétendue crise climatique. Sur la photo de couverture, Gates est vu avec un autre investisseur super riche de Memphis Meats, maintenant Upside Foods, qui vise à utiliser la biotechnologie pour produire de la viande d'imitation. Mais une nouvelle étude montre que les cellules utilisées pour fabriquer de la viande de laboratoire peuvent provoquer le cancer. Selon le magazine National Pulse :
« Tout indique que les principaux fabricants de ces nouveaux produits – y compris les « trois grands », Believer Meat, Eat Just et Upside Foods – font de leur mieux pour éviter un débat public sur la question. Mais s'ils peuvent continuer à le faire après cette récente vague de publicité négative, cela reste à voir.
Début février, un article de Bloomberg décrivait la production de viande synthétique. Il s'agit de cellules dites « immortelles » :
« Les cellules de viande normales ne se contentent pas de se diviser indéfiniment. Pour faire pousser des cultures cellulaires à une échelle suffisamment grande pour gérer une entreprise, plusieurs entreprises utilisent […] des cellules dites immortelles, quelque chose que la plupart des gens n'ont jamais mangé intentionnellement.
Alors que les lignées cellulaires immortalisées "sont un élément essentiel de la recherche médicale", l'auteur a noté que techniquement, elles sont précancéreuses et peuvent même parfois être complètement cancéreuses. L'auteur poursuit : « Le problème est que les matériaux utilisés pour fabriquer le produit – des « lignées cellulaires immortelles » – se reproduisent indéfiniment, tout comme le cancer. Cela signifie qu'ils sont en fait cancéreux.
RépondreSupprimerDivers risques
Cependant, elle est "confiante" que la consommation de tels produits ne présenterait pas de risque. Cependant, il n'y a pas de données correspondantes pour le prouver, et les données à long terme en particulier font totalement défaut. Mais qu'est-ce qui est clair selon « Bloomberg » ? Que les cellules immortelles de ces produits peuvent se multiplier indéfiniment dans de bonnes conditions.
D'autres ingrédients peuvent également causer des problèmes de santé. En septembre 2022, Children's Health Defence a cité une étude dans laquelle des rats ont été nourris avec l'Impossible Burger. L'entreprise qui fabrique le hamburger a entrepris l'étude et a supposé que l'alimentation de la viande d'imitation aurait un effet minime ou nul. Mais le résultat était différent.
L'étude a révélé que l'hémoglobine de la jambe de soja (SLH) provoquait " des changements inexpliqués dans la biologie des rats " . Les rats nourris avec SLH ont connu une prise de poids significative et inexpliquée et un changement dans le sang, indiquant l'apparition d'une inflammation ou d'une maladie rénale et des signes possibles d'anémie. SLH, dérivé de levure génétiquement modifiée, donne à l'Impossible Burger sa saveur charnue et le fait saigner comme de la viande animale lorsqu'il est coupé.
Le "Impossible Burger " : Difficile de se distinguer d'un vrai burger à l'œil nu.
Un autre ingrédient de l'Impossible Burger qui a causé des problèmes de santé est la protéine de soja tolérante aux herbicides (HTSP). Impossible Foods a introduit le HTSP dans la recette du burger en 2019 pour améliorer la texture du produit et éviter le gluten. En conséquence, les faux hamburgers à la viande peuvent contenir des résidus de l'herbicide glyphosate, qui est pulvérisé sur le soja, qui est ensuite transformé en HTSP.
Bill Gates et Google, entre autres, ont investi dans Impossible Burger.
https://tkp.at/2023/02/22/laborfleisch-hat-hohes-krebs-und-gesundheitsrisiko/
Avec la perspective de personnes dirigées par ondes depuis les nano-particules d'oxyde de graphène inoculées et de voir ces viandes de laboratoires déambuler dans la rue, voici qu'arrivent quelques spécimens sortis du four ou du frigo !
SupprimerÀ ceux qui portent encore des masques : jetez-les. Ils ne fonctionnent pas
RépondreSupprimerDe Michael J. Talmo
Recherche mondiale,
21 février 2023
Au cours des près de trois dernières années, j'ai écrit plusieurs articles scientifiques complets démontrant que le port de masques faciaux ne préviendra pas les maladies virales. Malgré les faits évidents présentés par moi-même et d'autres journalistes, ainsi que par de nombreux médecins et scientifiques, des représentants du gouvernement et des experts des médias d'entreprise ont continué à parler de la qualité des masques.
Le mois dernier, l'administration Biden a annoncé que le 11 mai 2023, les déclarations d'urgence nationale et de santé publique COVID-19 qui ont été mises en place sous l'ancien président Donald Trump au début de 2020 prendront fin. La raison en serait-elle que les mensonges et la propagande qui imprègnent le récit COVID sont devenus si flagrants ? Il semblerait que ce soit le cas parce que les anciens partisans inconditionnels des restrictions COVID comme les masques et les soi-disant vaccins COVID ont commencé à changer de ton. Ils commencent à se demander ce qui se passe vraiment. Et la presse grand public en parle.
Exemple : La chroniqueuse du Washington Post Leana Wen MD, qui est également analyste de l'actualité médicale pour CNN et diplômée du programme Young Global Leaders du Forum économique mondial, était un ardent défenseur de l'imposition de masques. En février 2022, National Review a rapporté que Wen préconisait que les gens portent des masques à triple épaisseur même à l'extérieur. Et que les enfants à l'école les portent. Elle a ensuite fait un 180 et préconise maintenant que le port de masques devrait appartenir à l'individu. Elle a également déclaré que « le masquage a nui au développement du langage de notre fils », comme le rapportent cette vidéo et cet article.
Exemple : En janvier dernier, Fox News a rapporté que dans sa chronique du Washington Post, Wen « a admis… que la communauté médicale surévalue le nombre de décès et d'hospitalisations liés au COVID ». En fait, c'est un euphémisme : les décès sont grossièrement gonflés. Depuis 2020, le CDC (Centers for Disease Control and Prevention) a signalé sur son site Web (voir comorbidités et autres conditions) que seulement plus de 5 % de tous les décès liés au COVID-19 lui étaient dus à lui seul. Les 95% restants des décès par COVID avaient de multiples comorbidités. En d'autres termes, ils sont morts d'autre chose. Les apologistes de COVID tentent d'expliquer ce fait en affirmant que les critiques interprètent et déforment les données. Mais lors d'une conférence de presseen 2020, le Dr Ngozi Ezike, directeur du Département de la santé publique de l'Illinois, déclare succinctement :
« … quand les universitaires et les politiciens ont commencé à sauter de joie à propos des masques. Nous les appelons des "militants véhéments". Ce sont des militants, pas des scientifiques. Néanmoins, "... les preuves n'ont vraiment pas changé de 2020 à 2023. Il n'y a toujours aucune preuve que les masques sont efficaces pendant une pandémie."
RépondreSupprimerNiveaux de preuve
Comme expliqué dans mes articles précédents, il existe trois types de recherche scientifique : observationnelle, expérimentale et de modélisation (généralement computationnelle, "utiliser des ordinateurs pour étudier quelque chose"). Les études observationnelles, dans le cas des masques, sont principalement épidémiologiques ou statistiques. La recherche expérimentale détermine l'efficacité des masques via des expériences contrôlées. La modélisation informatique est utilisée pour prédire l'effet que les masques auront sur le nombre de cas et les décès en fonction de leur capacité de filtrage combinée aux mandats. Cependant, seules les recherches observationnelles et expérimentales comptent comme preuves scientifiques. La modélisation informatique est très imprécise et ne compte pascomme preuves scientifiques, comme l'illustre cette hiérarchie des preuves scientifiques.
- voir graph sur site -
Source : Islon Woolf MD
Comme le montre l'image ci-dessus, l'étalon-or en science médicale est les essais contrôlés randomisés avec des résultats vérifiés (ECR) combinés à des méta-analyses et des revues systématiques, car ils éliminent les biais et les spéculations. Toutes les études observationnelles/épidémiologiques établissent une corrélation entre le port du masque et le nombre de cas et de décès de COVID-19, comme le montre cette étude. Mais comme indiqué dans cet article de l'Université Harvard de 2021, "les études observationnelles ne peuvent pas prouver la causalité".
Cet article de 2020 du JAMA (Journal of the American Medical Association) avertit que le fait de s'appuyer sur de faibles études observationnelles « entravera l'objectif de trouver des traitements efficaces pour le COVID-19 - et un grand nombre d'autres maladies ». C'est pourquoi les seules études qui comptent sont les ECR, car ils testent directement les masques pour voir s'ils fonctionnent réellement. Et tous les ECR correctement menés au cours des 80 dernières années montrent que les masques, quel qu'en soit le type, ne préviennent pas les maladies virales.
Exemple : Médecin de famille canadien. Étude de juillet 2020 . 11 revues systématiques, 18 ECR. 26 444 participants. Synthèse : "Dans l'ensemble, l'utilisation de masques dans la communauté n'a pas réduit le risque de grippe, d'infection respiratoire virale confirmée, de syndrome grippal ou de toute infection respiratoire clinique."
Exemple : Emerging Infectious Diseases, revue à comité de lecture publiée par le CDC. Étude de mai 2020 . Examen systématique de 10 ECR sur l'efficacité des masques faciaux de 1946 à 2018 (voir Masques faciaux) : "Dans l'analyse groupée, nous n'avons trouvé aucune réduction significative de la transmission de la grippe avec l'utilisation de masques faciaux."
RépondreSupprimerExemple : Annales de médecine interne. Étude de 2020 menée au Danemark. Premier ECR pour déterminer si les masques sont efficaces contre le SARS-CoV-2, le virus COVID-19. JAMA, le Lancet et le New England Journal of Medicine ne le publieraient pas. Le RCT a impliqué plus de 6 000 Danois et a trouvé ce que tous les autres RCT ont trouvé :
Discussion : "Nos résultats suggèrent que la recommandation de porter un masque chirurgical à l'extérieur de la maison, entre autres, n'a pas réduit, à des niveaux conventionnels de signification statistique, l'incidence de l'infection par le SRAS-CoV-2 chez les porteurs de masque dans un cadre où la distanciation sociale et d'autres mesures de santé publique étaient en vigueur.
Un autre problème avec les masques est qu'ils peuvent gravement nuire à la santé physique et mentale des adultes et des enfants. Un examen complet et massif des nombreuses études menées sur la santé et le bien-être des personnes portant des masques a été publié dans le Journal international de la recherche environnementale et de la santé publique en avril 2021. Il démontre clairement que le port du masque n'est en aucun cas une forme ou une forme petite chose à demander aux gens.
Obstruer le nez et la bouche avec un masque entraîne une privation d'oxygène, ce qui augmente les niveaux de gaz carbonique dans le sang, provoquant une hypoxie, une hypercapnie,maux de tête, confusion, épuisement physique et mental, que les auteurs appellent MIES (syndrome d'épuisement induit par le masque), cancer dû à la baisse des niveaux d'oxygène et aux substances toxiques dans les masques, lésions faciales, dommages aux dents et aux gencives, crises cardiaques, accidents vasculaires cérébraux, et détérioration psychologique. Les masques sont également un terreau fertile pour toutes sortes de microbes pathogènes qui "peuvent provoquer des infections fongiques, bactériennes ou virales cliniquement pertinentes". Les auteurs déclarent catégoriquement que "... les changements indésirables induits par le masque sont relativement mineurs à première vue, mais une exposition répétée sur de plus longues périodes... a des effets nocifs mesurables non seulement sur les personnes en bonne santé, mais aussi sur les personnes malades..."
Une mouche dans la soupe ?
RépondreSupprimerEn 2021, la revue à comité de lecture Science a publié une vaste étude sur les masques menée au Bangladesh qui aurait impliqué quelque 340 000 personnes. Cet essai randomisé n'a évalué que les masques en tissu et chirurgicaux. Les masques N95, également appelés respirateurs, n'étaient pas inclus. L'étude n'a trouvé aucun avantage à porter des masques en tissu, mais a constaté une diminution de 11 % des symptômes associés au COVID-19 dans les groupes qui portaient des masques chirurgicaux. Cependant, l'étude était profondément imparfaite, comme l'a souligné un article de 2021 du Dr Denis Rancourt, PhD, une revue de 2022 publiée dans ResearchGate et dans la revue Cochran dirigée par le Dr Tom Jefferson mentionnée précédemment.
Plus important encore, l'étude du Bangladesh n'était pas un ECR de 340 000 personnes comme le médiatisé. Il s'agissait d'un «essai randomisé en grappes» de 300 villages de traitement où il y avait une campagne d'intervention portant un masque et de 300 villages où il n'y en avait pas. 340 000 est la population totale de tous les villages combinés, et non du nombre de personnes qui ont participé individuellement à l'étude ou de la façon dont chacun portait correctement et régulièrement des masques, ce qu'il n'y aurait aucun moyen de savoir. De plus, les essais randomisés en grappes sont « plus sujets aux biais », que les ECR individuels sont conçus pour éliminer, et peuvent donner un résultat différent des ECR individuels. Par exemple, une revue Cochrane de 2005 sur les protecteurs de hanche. "Les essais en grappes ont montré un effet positif important alors qu'ils étaient exécutés individuellement
Logique défectueuse
En juillet 2020, le professeur Denis Rancourt, qui a rédigé des articles scientifiques démontrant que les masques sont inefficaces contre les agents pathogènes viraux, a débattu du professeur David Kyle Johnson qui a écrit des critiques cinglantes du travail de Rancourt. Bien que tous deux soient titulaires d'un doctorat, Rancourt est en physique. C'est un vrai scientifique qui a été publié de nombreuses fois dans la littérature scientifique. Le doctorat de Johnson est en philosophie. Il se spécialise et enseigne la logique et se spécialise soi-disant dans la démystification de la pseudoscience. Mais à en juger par le débat, Johnson ne pratique certainement pas la logique en ce qui me concerne. Il a agi comme un enfant gâté en colère, irritable et a même fait une crise de colère.
Johnson a qualifié Rancourt de théoricien du complot et de pseudoscientifique, ce qui est le sophisme ad hominem, invalidant ce qui est dit en attaquant le caractère ou la réputation de quelqu'un. Johnson a également déformé la position de Rancourt sur COVID-19 et l'a accusé de dire des choses qu'il n'a pas dites, un exemple de l' erreur de l'homme de paille, créant "une version malhonnête, déformée ou autrement inexacte de l'argument original d'une personne".
Tout le schtick de Johnson était que les masques peuvent réduire la quantité de particules virales infectieuses contenues dans les gouttelettes et les aérosols dans l'air, ce qui réduira l'infection au COVID-19. Il a comparé l' efficacité de filtration des masques avec le code de la route contre les excès de vitesse, réduisant ainsi les accidents. Il s'agit d'une fausse erreur d'équivalence, prétendant que deux choses entièrement différentes sont identiques parce qu'elles partagent des caractéristiques similaires.
RépondreSupprimerLes arguments de Johnson étaient basés sur des études d'observation inférieures, la modélisation informatique, qui n'est pas une preuve scientifique, et sur des études mécanistes, qui déterminent l'efficacité de la filtration. Comme expliqué dans ce rapport de l'EPA et démontré dans cette étude HSA de 2008 au Royaume-Uni, ces études et toutes les autres études sur l'efficacité de la filtration montrent que d'énormes quantités de particules virales infectieuses circuleront toujours autour et à travers tout type de masque.
Johnson reconnaît que forcer les gens à porter des masques n'éliminera pas toutes les particules infectieuses qui sont dans l'air et qu'ils peuvent passer à travers des masques. C'est pourquoi ses arguments sont fallacieux. La littérature scientifique montre clairement que la plupart des infections respiratoires sont causées par des « aérosols à petites particules » plutôt que par de grosses gouttelettes et peuvent rester indéfiniment dans l'air, comme le rapporte le Lancet. Et selon les estimations de Cambridge University Press, 100 particules de virus COVID-19 suffiraient à rendre un humain malade. Mais comme le rapporte Science Daily, même « une particule virale suffit à provoquer une maladie infectieuse ». En réalité, vous respirerez des milliers de particules virales infectieuses dans les bâtiments, peu importe ce que vous avez sur le visage.
Johnson a également affirmé à tort que la plupart des grosses gouttelettes existant dans la bouche d'une personne infectée portant un masque n'auront aucune chance de s'évaporer ou de s'aérosoliser en particules microscopiques plus petites qui pourraient éventuellement s'échapper du masque. Mais comme indiqué dans la revue International Journal of Environmental Research and Public Health citée précédemment, les porteurs de masque exhalent plus de fines particules d'aérosol microscopiques que les non-porteurs de masque, ce qui augmente le risque d'infection pour tout le monde.
En résumé : peu importe le nombre de gouttelettes et de masques à particules d'aérosol qui filtrent, car LES MASQUES NE FONCTIONNENT PAS. Peu importe le type de masque que vous portez, car LES MASQUES NE FONCTIONNENT PAS. Peu importe que vous portiez votre masque correctement ou non, car LES MASQUES NE FONCTIONNENT PAS. Peu importe combien se conforment ou ne se conforment pas aux règles du masque, car LES MASQUES NE FONCTIONNENT PAS. Aucune de ces choses n'a d'importance parce que LES MASQUES NE FONCTIONNENT PAS.
RépondreSupprimerRéflexions finales
Les gens qui adhèrent au mensonge masqué pensent qu'ils suivent la science alors qu'ils suivent en réalité des ordres autoritaires. Un consensus est défini comme : "Une opinion ou une position atteinte par un groupe dans son ensemble." Mais avant de faire confiance à un consensus scientifique sur quelque chose comme COVID-19, nous devons nous demander ce qui suit : est-ce un consensus éclairé ? Ou est-ce un consensus ignorant, capturé, corrompu ? La corruption massive dans la science médicale est une réalité comme expliqué ici et ici. Donc, si une majorité de médecins, de scientifiques et de politiciens n'ont pas étudié un sujet comme les masques, ou s'ils ont vendu leur âme au plus offrant en échange de richesse, de pouvoir et de statut au lieu de valoriser la vérité et de rendre le monde meilleur endroit, nous n'avons pas besoin de les écouter.
Tout vient avec une étiquette de prix. Il n'y a pas de repas gratuit. Il y a du positif et du négatif, du pour et du contre, quel que soit le chemin que nous choisissons de suivre. Dans une société libre, ce prix sera une petite classe de criminels qui opèrent en dehors de la loi. Mais c'est bien moins que le prix que nous payons pour un gouvernement criminel qui respecte la loi. Alors, ne croyez pas aveuglément ce que vous disent les laquais corrompus de la médecine, du gouvernement et des médias. Ne vous laissez pas diriger par une bande d'idiots qui ne distinguent pas leur trou du cul d'un trou de gopher. Doutez et remettez tout en question. Un esprit est une chose terrible à gaspiller et la liberté est un cadeau trop précieux pour être jeté.
https://www.globalresearch.ca/to-those-still-wearing-masks-throw-them-away-they-dont-work/5809361
Inutile de faire un article sur cette merde ! Mettre un masque sous microscope, que voit-on ? On voit que l'écart entre les mailles est mille fois plus large que le virus.
SupprimerNous SAVONS TOUTES ET TOUS qu'AVEC ou SANS masque nous respirons TOUTES ET TOUS 200 000 virus ou microbes PAR MINUTE !
Soit DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis que nous sommes nés !
et... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOOOOOOORT(E)S !! Çà alors !!
#Fluoride Lawsuit : Un examen censuré sur la toxicité du fluorure sera bientôt rendu public
RépondreSupprimerPar Derrick Broze
Recherche mondiale,
21 février 2023
Les avocats du Fluoride Action Network et du gouvernement américain ont accepté la publication d'un rapport censuré sur la toxicité du fluorure, le dernier développement dans le procès en cours concernant le fluorure.
Après de nombreux retards et l'intervention de la secrétaire adjointe à la santé Rachel Levine , l'examen du programme national de toxicologie des États-Unis sur la toxicité du fluorure sera bientôt rendu public. Cette décision est le dernier développement de la bataille juridique de près de dix ans entre le Fluoride Action Network, Food and Water Watch, l'Organic Consumers Association et l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA).
Les avocats du Fluoride Action Network et de l'Institut national des sciences de la santé environnementale (NIEHS), l'agence mère du programme national de toxicologie, ont accepté la publication de l'examen longtemps retardé du NTP sur la toxicité du fluorure. La publication des documents jouera un rôle majeur dans la prochaine phase du procès en cours contre l'EPA.
La décision de divulguer les documents a été prise lors d'une réunion du 3 février entre l'avocat du Fluoride Action Network et le NIEHS à la suite d'une assignation à comparaître demandant des commentaires à l'agence, les réponses du NTP et des documents supplémentaires pertinents à la décision non publiés dans le rapport complet sur le fluorure du NTP. monographie en mai 2022.
Le NIEHS a accepté de publier publiquement la monographie du NTP sur le site Web du NTP, ainsi que les commentaires fournis par une bureaucratie peu connue connue sous le nom de Conseil des conseillers scientifiques, et les réponses ultérieures du NTP. En plus de la monographie du NTP, ils publieront également une méta-analyse connexe qui a fait l'objet de débats lors d'audiences récentes.
Lors d'une audience le 10 janvier, Michael Connett, représentant le Fluoride Action Network et d'autres plaignants, a exprimé son intérêt à obtenir des commentaires de fonctionnaires du ministère de la Santé et des Services sociaux. Dans une déclaration au tribunal, le Dr Richard Woychik, directeur du NIEHS, a affirmé que ce sont ces commentaires de fonctionnaires inconnus du HHS qui ont conduit à la suspension de la monographie.
L'EPA a déclaré au juge Edward Chen que ces commentaires devraient être privilégiés et ne pas être autorisés comme preuves devant un tribunal ou rendus publics. Finalement, le juge Chen a ordonné aux deux parties de se rencontrer et de parvenir à un accord sur les documents qui seraient rendus publics.
RépondreSupprimerLe NIEHS a accepté de publier les documents au plus tard le 15 mars, avant la prochaine audience prévue le 11 avril.
Le juge Chen a précédemment déclaré qu'il fixerait probablement une nouvelle date de procès lors de l'audience d'avril. La publication de la monographie du NTP, une méta-analyse connexe et des commentaires interinstitutions joueront probablement un rôle majeur dans la deuxième phase d'essai de la bataille juridique qui dure depuis près d'une décennie.
Les e-mails de fluorure révèlent la corruption de la science
La discussion autour des commentaires liés à la monographie inédite du NTP découle de révélations contenues dans des courriels internes du CDC qui ont été obtenus via des demandes de Freedom of Information Act par Connett. Les e-mails indiquent que le rapport du NTP n'a pas été rendu public en raison de l'ingérence de la secrétaire adjointe à la Santé Rachel Levine et du directeur de l'Institut national de la santé Lawrence A. Tabak . Un e-mail du CDC daté du 3 juin 2022 indiquait spécifiquement : « ASH Levine a suspendu le rapport jusqu'à nouvel ordre ».
Connett a décrit les conclusions des e-mails dans plusieurs pièces soumises au juge Chen.
"Ces e-mails confirment que le NTP considérait la monographie de mai 2022 comme le rapport final du NTP", écrit Connett . "Ils confirment également que le CDC était opposé à la publication du rapport par le NTP, et que les dirigeants aux plus hauts niveaux du Département des services sociaux de la santé sont intervenus pour empêcher la publication du rapport."
Comme le note Connett, le 28 avril 2022, le Dr Mary Wolfe , directrice du Bureau de la politique, de l'examen et de la sensibilisation du NTP, a envoyé un e-mail à Casey Hannan , directeur de la division de la santé bucco-dentaire du CDC, et a déclaré que "l'analyse et les conclusions du NTP sont ensemble". Le Dr Wolfe a également fait savoir à Hannan que le NTP avait examiné les commentaires soumis par le CDC, mais prévoyait toujours de publier l'examen «mi / fin mai» 2022.
Dans un e-mail du 11 mai 2022, Wolfe notifie à nouveau à Hannan et au CDC que le NTP a « fixé le 18 mai 2022 pour la publication de la monographie. La monographie sera publiée sur le site Web du NTP et nous enverrons par e-mail un avis de publication aux abonnés de la liste de diffusion du NTP.
Cependant, plus tard dans la journée et le lendemain, le Dr Karen Hacker , directrice du Centre national de prévention des maladies chroniques et de promotion de la santé (NCCDPHP) du CDC, a déclaré au Dr Wolfe que le CDC craignait de publier l'examen du NTP sans un examen supplémentaire par la « direction des NIH ». Hacker a également posé des questions sur le potentiel d'un "examen interinstitutions" par le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS).
RépondreSupprimerLe Dr Wolfe a par la suite déclaré au CDC que "nous (le NTP) pensons que les résultats actuels, tels qu'indiqués dans la monographie, reflètent la portée de notre évaluation et la littérature scientifique disponible et qu'aucune révision n'est nécessaire".
Entre-temps, une autre étude sur la toxicité du fluor a été publiée par des scientifiques de l'Université York de Toronto dans la revue Science of the Total Environment. L'étude , Fluoride Exposure And Hypothyroïdism In A Canadian Pregnancy Cohort , a établi un lien entre l'exposition au fluorure et un risque accru d'hypothyroïdie chez les femmes enceintes.
"Les résultats sont préoccupants car l'hypothyroïdie est une cause connue de troubles cérébraux chez les enfants " , a déclaré Christine Till , PhD, neuropsychologue clinicienne et l'un des auteurs de l'étude.
https://www.globalresearch.ca/fluoride-lawsuit-censored-review-fluoride-toxicity-will-soon-made-public/5809450
NOUS SAVONS TOUTES ET TOUS que le fluor EST UN POISON ! (c'est marqué sur les tubes de dentifrices).
SupprimerVAUD: Des vers dans l’assiette des requérants
RépondreSupprimerUne association neuchâteloise dénonce la nourriture «vivante» servie au menu de midi de lundi au centre fédéral d’asile de Vallorbe.
21 février 2023, 16:55
par Vincent Donzé
L’image d’abord publiée sur le compte Instagram «Stopdublincroatie» qui milite contre les renvois de requérantes et requérants d’asile vers le pays des Balkans a été relayée sur la page Facebook du collectif «Droit de Rester Neuchâtel».
L’image d’abord publiée sur le compte Instagram «Stopdublincroatie» qui milite contre les renvois de requérantes et requérants d’asile vers le pays des Balkans a été relayée sur la page Facebook du collectif «Droit de Rester Neuchâtel».
Facebook – Droit de Rester Neuchâtel
Des vers dans les assiettes des requérants au centre fédéral d’asile de Vallorbe (VD), voilà le scandale dénoncé par l’association «Droit de Rester Neuchâtel». «La nourriture y est vivante!» a critiqué sur Facebook ce collectif constitué en 2015 pour «mettre en œuvre des moyens de défense» pour les migrants, à travers une permanence.
Les demandeurs d’asile ont réagi devant le menu servi lundi à midi: «Les requérant.es d’asile ont montré leur assiette ce midi au personnel du centre qui leur a dit sur un ton moqueur «ce sont des protéines»!» détaille l’association «Droit de Rester Neuchâtel».
Goût indescriptible
Le menu de lundi n’était pas le premier à générer du dégoût: «On nous a dit que la nourriture à Vallorbe a un goût indescriptible, comme si elle était restée plusieurs jours hors du frigo et que ce n’est pas la première fois que la présence de vers est constatée», rapportent les dénonciateurs.
«Ce n’est aucunement une blague et c’est totalement intolérable», conclut «Droit de rester Neuchâtel», pour qui ce dédain «reflète la valeur que le Secrétariat d’État aux migrations (SEM) accorde aux personnes en demande de protection».
Selon «Blick», le SEM confirme l’information et affirme avoir réagi «sans attente». Le service d’hygiène cantonal a été contacté et une entreprise privée a réalisé des prélèvements à des fins d’analyse.
https://www.lematin.ch/story/des-vers-dans-lassiette-des-requerants-829114443912
Les accouché(e)s (aux forceps ?) du 'réchauffement climatiques' passant tout-à-coup de 37°C à 20°C voire 15 par économie d'énergie (demain -15 !) se réveillent enfin passant des perfusions-mcdonald aux suppos-bio ordonnés et légiférés par le gouvernement ! Ouf ! ('Programme Enculé(e)23').
SupprimerLes gens s'inquiètent hystériquement des substances cancérigènes à faible risque. Et puis ils boivent !
RépondreSupprimer22 Février 2023
Josh Bloom*
Grâce en grande partie à la presse et à certains groupes environnementaux radicaux, la plupart des gens sont terrifiés par les produits chimiques parce qu'ils peuvent nous donner le cancer. La plupart de ces craintes sont fausses, mais l'une d'entre elles concerne un produit chimique très apprécié : l'alcool. Contrairement à un soda light, un verre d'alcool présente un vrai risque.
L'un de nos défis à l'ACSH est d'essayer d'informer le public sur l'évaluation du risque relatif. La plupart des gens sont incapables de faire cette évaluation. Ils s'inquiètent de prendre l'avion mais conduisent en envoyant des SMS. Ou bien ils refusent de prendre du Naproxène parce qu'ils « n'aiment pas les médicaments » [« drugs » en anglais, comme pour les drogues] mais fument de la marijuana tous les soirs. Cette déconnexion n'est nulle part plus évidente que dans l'évaluation des craintes, réelles ou imaginaires, de cancer. Mais vous ne pouvez pas blâmer le public pour cette confusion. Il est constamment manipulé par ce qu'il entend et lit et ne sait pas quoi ou qui croire. La presse, certains groupes de défense de l'environnement et un trop grand nombre de vendeurs de suppléments sur Internet sont connus pour diffuser des affirmations fausses ou exagérées sur les alertes au cancer.
Par exemple, peut-il y avoir une publication plus importante que le New York Times pour transmettre des informations, exactes ou non ? Malheureusement, le Times est un récidiviste dans la diffusion d'avertissements effrayants sur le cancer fondés sur des preuves fragiles ou inexistantes, en partie parce qu'il s'appuie sur Nicholas Kristof, un journaliste par ailleurs excellent qui ne connaît rien à la chimie ou à la toxicologie. Mais cela ne l'empêche pas d'écrire sur le sujet. Kristof s'est accroché à certains produits chimiques présents à l'état de traces dans les plastiques et « se dresse contre le cancer du sein », selon un article de 2014. En particulier, Kristof a tellement peur du bisphénol-A (BPA) qu'il ne touche pas aux tickets de caisse. Tout ce bruit à propos d'un produit chimique qui a été étudié ad nauseam mais qui est toujours considéré par certains comme étant à peu près équivalent à se tenir nu dans un bac en acier rempli d'eau salée au sommet du Chrysler Building tout en tenant un fer 7 pendant un orage électrique. Et cette crainte persiste malgré les résultats d'une étude exhaustive de deux ans parrainée par la FDA sur la substance chimique, laquelle a conclu que
- "La FDA reconnaît l'intérêt que de nombreux consommateurs portent à l'utilisation sûre du bisphénol A (BPA) dans les emballages alimentaires. La FDA a effectué des recherches approfondies et examiné des centaines d'études sur la sécurité du BPA. Nous rassurons les consommateurs sur le fait que les utilisations actuelles approuvées du BPA dans les récipients et emballages alimentaires sont sûres".
RépondreSupprimerQuestions et réponses sur l'utilisation du bisphénol A (BPA) dans les applications en contact avec les aliments (2018)
Et il n'y a pas que le BPA. L'Environmental Working Group, dont la science est contestée, voudrait vous faire croire que si vous utilisez des produits (sauf ceux qui sont approuvés par l'EWG, bien sûr) comme les écrans solaires, le maquillage, le shampoing, les nettoyants ménagers, ou même si vous buvez de l'eau du robinet, vous n'êtes qu'à un pas des soins palliatifs.
Oui, il est difficile de savoir ce qui va vous arriver. Mais la distorsion la plus flagrante de l'évaluation rationnelle des risques provient peut-être de personnes qui reculent d'horreur devant le coca light, le glutamate monosodique, les conservateurs ou les arômes chimiques, mais qui boivent pourtant quelques verres de vin chaque soir.
En effet, contrairement au BPA ou aux insecticides, le lien entre l'alcool et certains cancers (dont le cancer du sein) est solide. Selon l'American Cancer Society, la consommation d'alcool est liée aux cancers suivants :
Bouche ;
Gorge ;
Larynx ;
Œsophage ;
Foie ;
Colon et rectum.
Et il ne s'agit pas d'une simple association ; il existe une dépendance à la dose. Pour chacun des cancers susmentionnés, plus la consommation d'alcool est importante, plus le risque de cancer est élevé. La dépendance à la dose est une preuve assez solide de cause à effet plutôt qu'une simple corrélation. Ceci est vrai pour tous les cancers de la liste, à l'exception du cancer du sein. Une école de pensée soutient que pour le cancer du sein, il n'existe aucun niveau d'alcool sans danger (bien que cela me semble un peu tiré par les cheveux).
- "La consommation d'alcool, même en petites quantités, est liée à un risque accru de cancer du sein chez les femmes. L'alcool peut augmenter le taux d'œstrogènes dans l'organisme, ce qui peut expliquer en partie l'augmentation du risque".
Mais boire davantage est pire.
- "Une analyse groupée des données de 53 études a révélé que pour chaque boisson alcoolisée consommée par jour, le risque de cancer du sein augmentait d'environ 7 %. Les femmes qui consomment deux à trois boissons alcoolisées par jour ont un risque de cancer du sein 20 % plus élevé que les non-buveuses".
Source : Komen.org [1}
Des conseils ? En dehors de ce qui est évident, je dirais que toute personne qui, par souci de sécurité, boit un rhum-coca mais pas un rhum-coca light, est peut-être un peu perdue.
________________
[1] Drinking Alcohol in Moderation – Is the Glass Half-Full or Half-Empty ? - Komen Perspectives - Susan G. Komen®
* Josh Bloom, directeur des sciences chimiques et pharmaceutiques.
Josh Bloom, vice-président exécutif et directeur des sciences chimiques et pharmaceutiques, vient du monde de la découverte de médicaments, où il a fait de la recherche pendant plus de 20 ans. Il est titulaire d'un doctorat en chimie.
Source : People Worry Hysterically About Low Risk Carcinogens. And Then They Drink | American Council on Science and Health (acsh.org)
https://seppi.over-blog.com/2023/02/les-gens-s-inquietent-hysteriquement-des-substances-cancerigenes-a-faible-risque.et-puis-ils-boivent.html
Les principales régions viticoles de Chine
RépondreSupprimerpar Chine Magazine
Nov 4, 2022
- voir carte sur site -
En tant que sixième consommateur de vin au monde, la culture du vin en Chine remonte à des siècles. Le pays produit du vin depuis la dynastie Han (206 avant JC-220 après JC) et est le plus grand producteur de raisin. En effet, il contribue à près de la moitié de la production mondiale de raisin grâce à son immense territoire et à ses climats favorables.
On trouve une grande diversité de cépages dans le pays, les raisins de chaque région ayant leurs propres spécificités. Ces caractéristiques agricoles intéressantes combinées au développement du marché de la consommation de vin en Chine ont ainsi permis aux vins chinois d’être de plus en plus reconnaissables et d’attirer l’attention du monde entier.
- voir carte sur site -
Source : https://daxueconsulting.com/infographics/top-wine-producing-regions-china/
https://www.chine-magazine.com/les-principales-regions-viticoles-de-chine/
Turpan (N-O): 46°32' N
SupprimerSushou (O): 33°38' N
Yunnan (S-E): 25°N 101' E
Bismarck (Dakota du Nord): 45°48' N
Sud Floride: 25°24'
Il y a qq années des chinois ont acheté des cépages bordelais pour les planter en Chine mais n'ont jamais obtenu du 'vin de Bordeaux' en Chine ! Puis ils sont revenus et ont acheté des tonnes de terres de la région bordelaise et planté des vignes dedans, mais n'ont toujours as obtenu du 'vin de Bordeaux' en Chine ! Car chaque région a un climat différent même sous une latitude identique. C'est pourquoi existent des vins de Bordeaux, de Côtes du Rhône ou de Provence qui sont différents.
Pourquoi l'alcool provoque-t-il le cancer ?
RépondreSupprimer22 Février 2023
Josh Bloom*
- voir schéma sur site -
Lésions de l'ADN. Image gratuite d'Innovative Genomics.
Il ne fait plus aucun doute que la consommation d'alcool augmente le risque de plusieurs cancers. Pourquoi l'alcool ? Qu'est-ce qu'il nous fait ? Voici un épisode de la redoutable leçon de chimie de l'enfer. Sans supplément de prix !
Tout d'abord, tirons notre chapeau à l'Environmental Working Group qui a réussi à forcer Johnson & Johnson à reformuler son shampooing pour bébé, un produit de base pour les enfants depuis 1953. Quel était le problème de ce produit ? Rien en fait, mais l'EWG a fait tout un plat à propos d'une quantité minuscule de quaternium-15 – un conservateur qui se décompose et libère une quantité minuscule de formaldéhyde, un sujet sur lequel ma collègue Susan Goldhaber a écrit en 2022. Combien de formaldéhyde ? Presque rien. Quel est le risque de l'enlever ? Peut-être beaucoup.
- " En 2020, l'État de Californie est devenu le premier État des États-Unis à interdire 24 ingrédients dans les cosmétiques et les produits de soins personnels, dont le conservateur formaldéhyde, le quaternium-15 et plusieurs parabènes.
Cela présente un réel danger pour la santé publique, car la disponibilité de conservateurs sûrs et efficaces est réduite, ce qui entraîne une utilisation accrue d'alternatives inefficaces ou insuffisamment testées et un risque accru de graves épidémies bactériennes."
Susan Goldhaber MPH, 7 juin 2022. Sur ce site, 21 janvier 2023.
Le Dr Joe Schwarcz, alias « Dr Joe », ami de longue date de l'ACSH, directeur du prestigieux Bureau pour la Science et l Société de l'Université McGill et chimiste titulaire d'un doctorat, ne mâche pas ses mots :
- "Toute suggestion selon laquelle le formaldéhyde contenu dans le shampooing présente un risque de cancer est sans fondement. En fait, l'haleine de maman pourrait constituer un plus grand risque."
Dr Joe Schwarcz
Néanmoins, les bouffons de l'EWG ont célébré cet événement insignifiant comme s'ils avaient inventé le vaccin contre la polio, alors qu'ils n'ont fait qu'« encourager » J&J à passer d'un conservateur à un autre, ce qui ne fera aucune différence pour tous les bébés. Oh, ils étaient si contents d'eux !
RépondreSupprimer- "Les consommateurs ne devraient pas avoir à espérer que les entreprises feront ce qu'il faut et éviteront d'utiliser des ingrédients potentiellement dangereux [...] [n]ous avons besoin de réglementations chimiques plus strictes et de mesures qui peuvent empêcher les produits contenant de tels ingrédients d'être mis en rayon en premier lieu."
Heather White, [ancienne] directrice exécutive de l'EWG (une avocate), janvier 2014
Ce à quoi j'ajoute :
- "Il est regrettable que les entreprises soient obligées d'apporter des modifications insignifiantes à des produits tout à fait corrects parce qu'un groupe d'ignorants de la science sortent un produit chimique d'un chapeau, en font tout un plat, et se prélassent dans la gloire en tant que sauveurs autoproclamés de l'humanité alors que l'entreprise se plie comme une chaise de jardin à trois dollars et capitule devant des demandes soigneusement calculées. C'est, bien sûr, la finalité du jeu. En réalité, tout ce que EWG a fait, c'est un grand coup de relations publiques qui ne servira à rien, sauf peut-être à augmenter les dons."
Josh Bloom (chimiste et cynique)
Quel est le rapport avec l'alcool ? Beaucoup. Il ne fait aucun doute qu'en quantité suffisante, le formaldéhyde est cancérigène. Mais c'est aussi le cas de son cousin chimique, l'acétaldéhyde, auquel nous sommes exposés en grande quantité chaque fois que nous buvons de l'alcool. Comme je l'ai souligné récemment MODIFIER LE LIEN, les gens sont de piètres juges des risques relatifs, et ceci ne fait pas exception. Alors qu'ils s'inquiètent d'une quantité infinitésimale de formaldéhyde, ils boivent de l'alcool, qui est bien pire.
Pourquoi l'alcool cause-t-il le cancer ?
Il ne le fait pas !
Cela nécessite probablement une sorte d'explication.
Et pour cette explication, on sait qui à qui s'adresser, non ?
Tu parles ! Steve et Irving sont bien reposés, grincheux, et impatients de se lancer ! Cela signifie qu'il est temps pour un autre épisode de...
- voir dessin sur site -
Steve (à gauche) exprime une mauvaise idée [« Je boirais bien un coup ! »]. Irving répond de manière appropriée [« Espèce d'idiot, tu viens d'avoir ta troisième contredanse pour conduite sous l'emprise de l'alcool ! »].
Les métabolites des médicaments peuvent parfois être thérapeutiques (le Wellbutrin [Bupropion] est un précurseur du de la substance active) ou toxiques (le paracétamol est oxydé dans le foie pour former le NAPQI, une puissante toxine hépatique), selon la structure chimique du médicament. Comme dans le cas du paracétamol, ce n'est pas l'alcool lui-même qui est en cause, mais l'acétaldéhyde, un métabolite qui est un cancérigène connu. L'acétaldéhyde est le produit de la première des deux étapes du métabolisme de l'alcool, chacune étant régie par des enzymes différentes.
1. Alcool + éthanol déshydrogénase – > acétaldéhyde ;
RépondreSupprimer2. Acétaldéhyde + acétaldéhyde déshydrogénase – > acide acétique (inoffensif).
- voir schéma sur site -
Le formaldéhyde (gauche) et l'acétaldéhyde (centre) ne diffèrent que par un atome de carbone. Ils sont tous deux chimiquement très réactifs et donc toxiques. L'acide acétique (droite) n'est ni l'un ni l'autre.
Voici le problème. Bien que l'acétaldéhyde disparaisse rapidement une fois qu'il est formé (sinon vous seriez mort), si vous continuez à boire et à fournir de plus en plus d'éthanol à votre corps, une partie de l'acétaldéhyde reste en place pendant un certain temps. (L'acétaldéhyde est l'une des substances chimiques à l'origine de la gueule de bois.) C'est là que le cancer entre en jeu. Le formaldéhyde et l'acétaldéhyde sont des substances chimiques réactives appelées électrophiles (n'en demandez pas plus). Les électrophiles adorent les groupes amino (NH2). Devinez quel est l'endroit où l'on trouve le plus de groupes amino ? Dans l'ADN.
- voir schéma sur site -
Les quatre bases de l'ADN. La cytosine, la guanine et l'adénine possèdent des groupes amino (flèches jaunes) qui peuvent réagir avec des substances chimiques et des médicaments électrophiles et former des liaisons covalentes stables.
Voici pourquoi l'alcool est cancérigène (bonne chance pour le suivre) :
- voir schéma sur site -
À gauche, l'adénine telle qu'elle existe normalement dans l'ADN. Les cercles bleus indiquent le reste d'un (très) long brin d'ADN. L'étape 1 représente la réaction du groupe NH2 avec l'acétaldéhyde pour former une imine (encadré vert). Cette étape est chimiquement réversible, comme l'indique la double flèche. À droite, l'étape 2, une réduction, n'est pas réversible. L'imine est maintenant un simple groupe éthyle. Vous avez entendu parler de la méthylation de l'ADN, non ? Eh bien, c'est l'éthylation de l'ADN, qui cause le même type de dommage. Lorsque l'ADN est altéré chimiquement de cette façon, les deux brins ne s'emboîtent plus correctement. Il y a une mutation.
Pour conclure...
Le site TDCLFH©️ est généralement accessible aux chimistes, mais pas vraiment aux non-scientifiques. Mais la plupart d'entre eux disent qu'ils peuvent, peut-être avec l'aide d'une dose de crack, le suivre suffisamment pour apprendre quelques trucs sans mettre la tête dans un four. Pour des raisons que je ne peux pas expliquer, j'ai rendu cet article encore pire ; si vous avez réussi à vous en sortir, tant mieux pour vous !
Pour ce que ça vaut, vous avez de la compagnie...
RépondreSupprimer- voir dessin sur site -
Steve et Irving, qui ne sont pas le duo le plus joyeux, même dans un bon jour, expriment leurs sentiments sur cet article hideux.
« Purée ! Celui-ci est encore pire que d'habitude, et ce n'est pas facile.
– Tu m'en diras tant. Le vilain Bloom va nous rejoindre. »
Ils n'ont pas tort. Alors, si vous êtes passés au travers sans envisager de vous automutiler, la prochaine tournée est pour moi.
_____________
* Josh Bloom, directeur des sciences chimiques et pharmaceutiques.
Josh Bloom, vice-président exécutif et directeur des sciences chimiques et pharmaceutiques, vient du monde de la découverte de médicaments, où il a fait de la recherche pendant plus de 20 ans. Il est titulaire d'un doctorat en chimie.
Source : Why Does Drinking Cause Cancer? | American Council on Science and Health (acsh.org)
https://seppi.over-blog.com/2023/02/pourquoi-l-alcool-provoque-t-il-le-cancer.html
Le tourisme intérieur se redressera complètement durant la période estivale
RépondreSupprimerpar Chine Magazine
Fév 21, 2023
Les recettes intérieures liées au tourisme devraient atteindre 583 milliards de dollars cette année, en hausse de 89 % par rapport à l’année précédente.
L’Académie du tourisme de Chine prévoit une reprise complète du marché du tourisme intérieur pendant les vacances d’été cette année, car le marché a pris de l’ampleur depuis que le pays a optimisé ses politiques COVID-19 en janvier.
Les autorités estiment qu’environ 4,55 milliards de visites seront effectuées dans les attractions et destinations nationales cette année, soit une augmentation de 73 % en glissement annuel, selon un rapport publié lundi par l’académie. Le chiffre estimé est d’environ 76 % de celui de 2019.
L’académie a déclaré que les revenus liés au tourisme intérieur devraient atteindre 4 000 milliards de yuans (583 milliards de dollars) cette année, en hausse de 89 % par rapport à l’année précédente et d’environ 71 % par rapport au chiffre de 2019.
L’académie a également une vision optimiste du tourisme émetteur de cette année, qui devrait voir une double augmentation d’une année sur l’autre de 90 millions de visites. Le nombre, cependant, ne représente qu’environ 31,5 % de celui de 2019.
https://www.chine-magazine.com/le-tourisme-interieur-se-redressera-completement-durant-la-periode-estival/
La résistance afro-américaine dans le sud rural, du syndicat des métayers aux nouveaux fermiers d'Amérique
RépondreSupprimerPendant la Grande Dépression en Alabama, une organisation agricole dirigée par les communistes a été créée au mépris de la terreur raciale et de la dislocation massive de millions de personnes.
Par Abayomi Azikiwe
Recherche mondiale,
22 février 2023
Plusieurs années avant la formation de la Southern Tenant Farmers Union (STFU) en 1934, une série d'événements dans l'État de l'Alabama donnerait lieu à la formation de la Sharecroppers Union (SCU).
Cette organisation a été fondée avec l'aide de dirigeants afro-américains au sein du Parti communiste de l'Alabama, largement centrés sur l'industrie sidérurgique à Birmingham.
Après l'effondrement de Wall Street en octobre 1929 et l'incapacité du gouvernement des États-Unis à mettre en place des programmes efficaces pour aider les personnes vivant dans les zones rurales, les métayers, les métayers et les ouvriers agricoles afro-américains étaient impatients de demander de l'aide et des réparations pour leurs problèmes sociaux naissants. . Le SCU, également connu sous le nom d'Alabama Sharecroppers Union (ASU), est né au cours d'une période d'efforts du Parti communiste (PC) pour organiser le peuple afro-américain dans les zones rurales et urbaines.
Dès 1925, le PC avait créé l'American Negro Labour Congress (ANLC) en utilisant un petit groupe d'Afro-Américains des États-Unis et des Caraïbes qui avaient rejoint l'organisation pendant les années qui ont suivi la Première Guerre mondiale. Cette tentative a obtenu des résultats modestes du milieu à la fin des années 1920.
Néanmoins, la Grande Dépression a intensifié les niveaux d'exploitation et d'oppression dirigés contre le peuple afro-américain dans le sud rural. Le 25 mars 1931, neuf jeunes Afro-Américains ont sauté dans un train de marchandises à Chattanooga, dans le Tennessee, en direction de l'Alabama. Ils ont ensuite été faussement accusés d'avoir violé deux femmes blanches et ont été condamnés à la peine de mort dans l'État de l'Alabama.
Ces jeunes sont devenus connus internationalement sous le nom de Scottsboro Nine. Il s'agissait de Haywood Patterson, Olen Montgomery, Clarence Norris, Willie Roberson, Andy Wright, Ozzie Powell, Eugene Williams, Charley Weems et Roy Wright. Dans un simulacre de procès, huit des neuf ont été reconnus coupables et condamnés à mort par un jury entièrement blanc. En réponse aux protestations nationales et mondiales, leur affaire a été portée devant la Cour suprême où leurs condamnations ont été annulées dans Powell c. État de l'Alabama (1932).
L'État de l'Alabama rejugerait les accusés, ce qui entraînerait des condamnations supplémentaires. Les appels et autres actions en justice se sont poursuivis jusqu'à la fin des années 1940 jusqu'à ce que le dernier accusé libéré et libéré sur parole se soit enfui dans l'État du Michigan.
RépondreSupprimerUn an avant la parodie de justice de Scottsboro Nine, le PC a organisé la Ligue de lutte pour les droits des Noirs (LSNR) en 1930 dans le prolongement du projet ANLC. Le LSNR a joué un rôle important dans le renforcement du soutien à la campagne de défense internationale du travail pour libérer les neuf jeunes Afro-Américains.
C'est dans ce contexte que la SCU a été créée à l'été 1931. Une fois que les propriétaires terriens, les forces de l'ordre et les justiciers racistes blancs ont découvert les activités de la SCU, l'organisation a été confrontée à une répression sévère entraînant la mort de plusieurs agriculteurs et agriculteurs afro-américains. les travailleurs agricoles et l'encadrement d'autres personnes sur de fausses accusations criminelles.
Syndicat des métayers et droit à l'autodétermination
Après le sixième congrès de l'Internationale communiste de 1928 à Moscou, des changements majeurs ont été apportés à la ligne générale et à la stratégie de ses affiliés aux États-Unis. Cherchant à combattre le chauvinisme blanc et prenant la tête des communistes afro-américains tels que Harry Haywood, le parti accepté l'idée que les masses noires du Sud étaient un peuple opprimé ayant le droit à l'autodétermination. Cette position remonte également au deuxième congrès de l'Internationale communiste en 1920, où Lénine a reconnu le sort du peuple afro-américain aux États-Unis. Voir ceci .
Selon l' Encyclopédie de l'Alabama :
« En 1932, l'ASU avait attiré près de 600 membres. L'un de ces membres était Ned Cobb du comté de Tallapoosa. Cultivateur de coton prospère, il a acquis une plus grande renommée à la fin de sa vie lorsque ses souvenirs de métayage et d'activisme syndical au nom des agriculteurs noirs ont été racontés dans All God's Dangers: The Life of Nate Shaw, qui a été publié en 1974. Deux métayers natifs de Tallapoosa, les frères Ralph et Tommy Gray, ont été les premiers à attirer un public important. Ils se sont d'abord arrangés pour que Coad et d'autres organisateurs tiennent une réunion dans une église locale du comté de Tallapoosa, mais ils ont rencontré une forte résistance de la part des autorités locales. Le 15 juillet, lors d'un affrontement entre le shérif local et un certain nombre de membres de l'ASU, Ralph Gray a été tué. Le lendemain, des membres de l'ASU ont été arrêtés et quatre ont été lynchés pour leur implication dans la réunion.
Le SCU (ou ASU) a continué à gagner du terrain en Alabama et dans certains autres États du Sud. En 1935, l'organisation revendiquait 10 000 membres qui étaient majoritairement afro-américains.
RépondreSupprimerNéanmoins, le degré de répression violente et de racisme dans tout l'Alabama et d'autres régions où la SCU avait ouvert des succursales avait forcé les efforts d'organisation à la clandestinité depuis 1931, lorsque plusieurs organisateurs ont été lynchés. Malgré ses campagnes d'adhésion réussies et ses activités clandestines, le PC après 1934-1935 s'est orienté vers sa stratégie de "front populaire" cherchant à fusionner ses efforts d'organisation avec des groupements non communistes tels que l'Association nationale pour l'avancement des personnes de couleur (NAACP), le Confrérie entièrement noire des porteurs de voitures-lits et des femmes de chambre dirigée par le socialiste, journaliste et syndicaliste afro-américain A. Phillip Randolph, entre autres.
En 1935, la décision fut prise de convoquer un National Negro Congress (NNC) qui se réunit en février 1936 à Chicago avec 800 délégués. A. Phillip Randolph a été élu président avec le journaliste John P. Davis comme vice-président.
Ces développements ont entraîné le retrait du soutien au SCU après 1936 par la direction du Parti communiste. Le fait que la SCU ait opéré sur une base clandestine avec des succursales semi-autonomes dans tout l'Alabama et d'autres régions, ils ont pu continuer en tant qu'unités indépendantes jusque dans les années 1940.
La politique agricole du New Deal et les nouveaux agriculteurs d'Amérique
L'organisation indépendante de la part des Afro-Américains en dehors de l'influence des partis républicain et démocrate n'était en aucun cas subordonnée aux efforts du PC et de ses groupements de masse. L'existence de nombreuses organisations telles que la National Coloured Farmers Alliance de la fin du XIXe siècle et la Progressive Farmers and Household Union dans l'Arkansas après la Première Guerre mondiale, reflétait les traditions d'auto-organisation qui ont émergé pendant la période de l'esclavage et de la reconstruction dans le NOUS
Le Southern Tenant Farmers Union (STFU), formé en 1934 et composé d'une base majoritairement afro-américaine parmi les agriculteurs et les ouvriers agricoles, bénéficiait du soutien administratif de certaines personnalités du Parti socialiste. Cependant, s'il n'y avait pas eu l'enthousiasme de masse de la part du peuple afro-américain dans le Sud, en particulier au sein des églises, les efforts de la STFU n'auraient pas gagné une traction politique significative.
Les New Farmers of America (NFA) en sont un exemple parmi les Afro-Américains qui ont émergé à la fin des années 1920 et au début des années 1930. Au moment de la deuxième administration du président Franklin D. Roosevelt, la politique agricole avait changé après la décision de la Cour suprême qui a déclaré la loi sur l'ajustement agricole (AAA) comme inconstitutionnelle en 1936. (Voir ceci )
RépondreSupprimerEn 1937, des programmes de réinstallation et d'assistance pour les agriculteurs et les travailleurs agricoles appauvris, exploités et déplacés ont été mis en place. La Bankhead-Jones Farm Tenant Act a été adoptée et a donné au gouvernement fédéral l'autorité légale d'acquérir des terres endommagées et improductives pour les remettre en état et les redistribuer aux métayers démunis.
Bien que la NFA était davantage associée au ministère de l'Éducation et fonctionnait par le biais des systèmes scolaires ségrégués dans le Sud, une source de l'organisation a rapporté que :
«La NFA a commencé comme un mouvement localisé en Virginie vers 1927. HO Sargent, agent fédéral pour l'éducation agricole des nègres, et GW Owens, enseignant-formateur au Virginia State College, ont été deux des premiers partisans d'une organisation pour les jeunes agriculteurs afro-américains. . Alors qu'Owens a rédigé la constitution des New Farmers of Virginia et a aidé à jeter les bases de ce qui allait devenir une organisation nationale, Sargent a fait pression au sein du ministère de l'Éducation pour créer officiellement une organisation dans les écoles séparées. Au fur et à mesure que l'idée gagnait en popularité, des chapitres se formaient sporadiquement dans les États et la région du sud. En réaction à l'émergence des chapitres, les États s'organisent en associations étatiques et sectorielles basées sur la proximité.
La NFA a fourni des ressources pédagogiques pour améliorer la production et l'efficacité des agriculteurs afro-américains. L'organisation a continué de 1935 à 1965, lorsqu'en réponse au mouvement des droits civiques et à l'adoption des lois sur les droits civils et de vote de 1965, elle a fusionné avec les Future Farmers of America (FFA) dominés par les blancs.
La perte des terres noires et la grande migration
Pendant la Seconde Guerre mondiale et ses conséquences, il y avait des incitations supplémentaires pour les Afro-Américains et les Blancs à quitter le Sud rural. La terreur raciale s'est poursuivie après 1945 lorsque plus d'un million d'hommes et de femmes soldats afro-américains sont retournés dans leurs communautés avec une détermination renouvelée de mettre fin à Jim Crow et à ses fondements économiques.
Plusieurs lynchages très médiatisés et l'avènement de la guerre froide entre 1946 et 1949 ont renforcé la résistance de la classe dirigeante aux revendications de droits civiques et de suffrage universel. Les terres accumulées par les Afro-Américains après la guerre civile et la reconstruction ont rapidement diminué à mesure que le système de ségrégation et d'exploitation économique forçait des millions d'autres à quitter leurs fermes.
RépondreSupprimerNéanmoins, la lutte se poursuivra avec l'émergence du Montgomery Bus Boycott de 1955-56, la fondation du Student Nonviolent Coordinating Committee (SNCC) en 1960 et le militantisme croissant des Afro-Américains dans le Sud. Dans de prochains articles, nous examinerons le lien entre l'organisation dans les zones rurales et l'avènement du mouvement de masse des droits civiques dans les années 1950 et 1960.
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Abayomi Azikiwe est le rédacteur en chef du Pan-African News Wire. Il contribue régulièrement à Global Research.
https://www.globalresearch.ca/african-american-resistance-rural-south-from-sharecroppers-union-new-farmers-america/5809520
Inflation : commerçants et industriels s’accusent mutuellement de faire monter les prix
RépondreSupprimerL’inflation fait monter les prix. Industriels et commerçants s’accusent mutuellement d’en être la source en augmentant leurs marges respectives. Un renvoi de responsabilité qui ne trompe personne.
Par Benoit Vrignaud
le 22 février 2023 à 12h02
La hausse des prix en mars 2023 devrait être décidée à l'issue des négociations entre commerçants et industriels. Elle avoisinerait selon les prévisions les 10% d'augmentation.
Le jeu d’accusation des industriels et des commerçants face à l’inflation
Ça ne vous aura pas échappé : les prix montent dans tous les commerces, et la faute est rejetée sur l’inflation, cause de tous les problèmes. Mais la situation est plus compliquée puisque chacun cherche à se dédouaner de sa responsabilité dans la hausse des prix. Les commerçants accusent les industriels d’avoir augmenté leurs marges, alors que les industriels de leur côté portent la même accusation. La balle change de camp à chaque passage sur les plateaux ou via les communiqués. Mais à la fin, c’est le consommateur qui paie quoiqu’il arrive.
L’exemple de cette situation est donné par Jacques Creyssel, délégué général de la Fédération du Commerce et de l’Industrie, qui émet l’idée d’une responsabilité des industriels dans l’augmentation des marges faites sur les produits. Il dénonce « une attitude irresponsable sur le sujet », soupçonnant le profit des grands industriels qui « veulent profiter de la situation. Ils ont tous augmenté leur marge pour 2023 ». Chacun y va de son intérêt, comme le prouve la réponse de Christophe Piednoël, porte-parole du groupe Lactalis. Il signale des propos « totalement inacceptables ».
Hausse des prix et marges abusives, qui est en tort ?
Ce match a commencé il y a déjà quelques mois, entrainant de la part du ministère de l’Économie une première enquête clôturée par un rapport de l’inspection général des finances (IGF) en novembre 2022. « Il n'a pas bien lu le rapport de l'IGF » conclut le porte-parole de Lactalis. Ces hausses, dénoncées comme « abusives », viendraient de l'augmentation des prix des matières premières et de l’énergie et à l’inflation. Ce débat place les différents acteurs de vente dans des dispositions difficiles pour négocier.
Car si ce jeu de la responsabilité se joue, c’est bien parce que les négociations sur la hausse des prix sont en cours. Le dirigeant de la FCD prédit une issue des discutions « autour de 10 % ». Cette hausse additionnelle aux 13 % déjà actés en 2022 seraient de la responsabilité des industriels internationaux. Les intérêts financiers des Français n’ont pas de valeur pour eux, une « irresponsabilité totale ». Le mois de mars s’annonce donc difficile pour le pouvoir d’achat, mais pas insurmontable pour autant. Le délégué général de la FCD assure que la grande distribution va s’engager afin de prendre sur ces marges pour limiter cette hausse malgré l’inflation
https://www.economiematin.fr/inflation-commercants-et-industriels-accusent-monter-les-prix-marges
" Vous n'aurez plus rien et vous serez heureux !"
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RépondreSupprimerComment le colonialisme britannique tua 100 millions d’Indiens en quarante ans
le 20 février 2023
Article de Dylan Sullivan (Université Macquarie, Sydney) et Jason Hickel (Institut des Sciences et Technologies de l’Environnement, Université de Barcelone) paru sur le site Aljazeera le 2 décembre 2022, lien en fin de billet
Ces dernières années ont vu une résurgence de la nostalgie de l’Empire britannique. Des ouvrages de renom comme « Empire : How Britain Made the Modern World » de Niall Ferguson et « The Last Imperialist » de Bruce Gilley affirment que le colonialisme britannique a apporté prospérité et développement à l’Inde et à d’autres colonies. Il y a deux ans, un sondage YouGov a révélé que 32 pour cent des Britanniques sont activement fiers de l’histoire coloniale de la nation.
- voir photo de l'assassin et de ses victimes sur site -
Cette image rose du colonialisme entre en conflit dramatique avec la réalité historique. Selon les recherches de l’historien économique Robert C Allen, l’extrême pauvreté en Inde a augmenté sous la domination britannique, passant de 23 % en 1810 à plus de 50 % au milieu du XXe siècle. Les salaires réels ont diminué pendant la période coloniale britannique, atteignant un nadir au 19ème siècle, tandis que les famines sont devenues plus fréquentes et plus mortelles. Loin de bénéficier au peuple indien, le colonialisme britannique en Inde a été une tragédie humaine avec peu de parallèles dans l’histoire.
Les experts s’entendent pour dire que la période de 1880 à 1920 – le sommet de la puissance impériale britannique – a été particulièrement dévastatrice pour l’Inde. Des recensements complets de la population effectués par le régime colonial à partir des années 1880 révèlent que le taux de mortalité a augmenté considérablement au cours de cette période, passant de 37,2 décès pour 1000 habitants dans les années 1880 à 44,2 dans les années 1910. L’espérance de vie est passée de 26,7 à 21,9 ans.
Dans un article publié récemment dans la revue World Development, nous avons utilisé les données du recensement pour estimer le nombre de personnes tuées par les politiques impériales britanniques au cours de ces quatre décennies brutales ( https://doi.org/10.1016/j.worlddev.2022.106026 ). Des données robustes sur les taux de mortalité en Inde n’existent qu’à partir des années 1880. Si nous nous servons de cela comme base de référence pour la mortalité « normale », nous constatons que quelque 50 millions de décès supplémentaires se sont produits sous l’égide du colonialisme britannique pendant la période de 1891 à 1920.
Cinquante millions de décès est un chiffre ahurissant, mais c’est une estimation prudente. Les données sur les salaires réels indiquent qu’en 1880, le niveau de vie dans l’Inde coloniale avait déjà considérablement baissé par rapport à ses niveaux précédents. Allen et d’autres chercheurs soutiennent qu’avant le colonialisme, le niveau de vie des Indiens était peut-être « comparable à celui des régions en développement de l’Europe occidentale ». Nous ne savons pas avec certitude quel était le taux de mortalité pré-coloniale de l’Inde, mais si nous supposons qu’il était semblable à celui de l’Angleterre aux XVIe et XVIIe siècles (27,18 décès pour 1 000 personnes), nous constatons que 165 millions de décès supplémentaires se sont produits en Inde au cours de la période de 1881 à 1920.
RépondreSupprimerBien que le nombre exact de décès soit sensible aux hypothèses que nous faisons au sujet de la mortalité de base, il est clair qu’environ 100 millions de personnes sont mortes prématurément au plus fort du colonialisme britannique. C’est l’une des plus grandes crises de mortalité induite par les politiques de l’histoire humaine. Elle est plus importante que le nombre combiné de décès survenus au cours de toutes les famines en Union soviétique, en Chine maoïste, en Corée du Nord, au Cambodge de Pol Pot et en Éthiopie de Mengistu. Elle est plus importante que le nombre total de victimes civiles, militaires et collatérale de l’ensemble des deux premières guerres mondiales du vingtième siècle (ajout de votre serviteur et traducteur).
Comment la domination britannique a-t-elle causé ces pertes de vie ? Il y avait plusieurs mécanismes. Premièrement, la Grande-Bretagne a détruit le secteur manufacturier de l’Inde. Avant la colonisation, l’Inde était l’un des plus grands producteurs industriels au monde, exportant des textiles de haute qualité aux quatre coins du monde. Les tissus bon marché produits en Angleterre ne pouvaient tout simplement pas rivaliser. Cela a commencé à changer, cependant, lorsque la British East India Company a pris le contrôle du Bengale en 1757.
Selon l’historien Madhusree Mukerjee, le régime colonial a pratiquement éliminé les droits de douane indiens, permettant aux marchandises britanniques d’inonder le marché intérieur, mais a créé un système de taxes et de droits internes exorbitants qui a empêché les Indiens de vendre du tissu dans leur propre pays mais de le réserver exclusivement à l’exportation.
Ce régime commercial inégal a écrasé les fabricants indiens et a effectivement désindustrialisé le pays. Comme le président de l’ « East India and China Association » s’en est vanté devant le Parlement anglais en 1840 : « Cette entreprise a réussi à convertir l’Inde d’un pays manufacturier en un pays exportateur de produits bruts ». Les fabricants anglais ont gagné un avantage énorme, tandis que l’Inde a été réduite à la pauvreté et sa population a été rendue vulnérable à la faim et à la maladie.
Pour aggraver les choses, les colonisateurs britanniques ont établi un système de pillage légal, connu par leurs contemporains sous le nom de « ponction des richesses » (drain of wealth). La Grande-Bretagne a taxé la population indienne et a ensuite utilisé les revenus engendrés par ces taxes pour acheter des produits indiens – indigo, céréales, coton et opium – obtenant ainsi ces produits gratuitement. Ces marchandises étaient ensuite consommées en Grande-Bretagne ou réexportées à l’étranger, les revenus étant empochés par l’État britannique et utilisés pour financer le développement industriel de la Grande-Bretagne et de ses colonies de colons – les États-Unis, le Canada et l’Australie.
RépondreSupprimerCe système a vidé l’Inde de biens valant des milliers de milliards de dollars en argent d’aujourd’hui. Les Britanniques ont été impitoyables en imposant le « drain of wealth », forçant l’Inde à exporter des aliments même lorsque la sécheresse ou les inondations menaçaient la sécurité alimentaire locale. Les historiens ont établi que des dizaines de millions d’Indiens sont morts de faim au cours de plusieurs famines considérables provoquées par cette politique à la fin du XIXe siècle, car leurs ressources ont été acheminées vers la Grande-Bretagne et ses colonies de colons.
Les administrateurs coloniaux étaient pleinement conscients des conséquences de leurs politiques. Ils ont vu des millions de personnes mourir de faim, mais ils n’ont pas changé de cap. Ils ont continué de priver sciemment les gens des ressources nécessaires à leur survie. La crise de mortalité extraordinaire de la fin de la période victorienne n’était pas un hasard. L’historien Mike Davis soutient que les politiques impériales de la Grande-Bretagne « étaient souvent l’équivalent moral exact de bombes larguées depuis 18 000 pieds d’altitude (6000 mètres) ».
Nos recherches révèlent que les politiques d’exploitation de la Grande-Bretagne ont été associées à environ 100 millions de décès en trop au cours de la période 1881-1920. Il s’agit d’un cas simple de réparation, avec de forts précédents en droit international. Après la Seconde Guerre mondiale, l’Allemagne a signé des accords de réparation pour indemniser les victimes de l’Holocauste et plus récemment a accepté de payer des réparations à la Namibie pour les crimes coloniaux perpétrés là-bas au début des années 1900. Dans le sillage de l’apartheid, l’Afrique du Sud a payé des réparations aux personnes qui avaient été terrorisées par le gouvernement de la minorité blanche.
L’histoire ne peut être changée, et les crimes de l’empire britannique ne peuvent pas être effacés. Mais les réparations peuvent aider à remédier à l’héritage de privation et d’iniquité que le colonialisme a produit. C’est une étape critique vers la justice et la guérison.
Source : https://www.aljazeera.com/opinions/2022/12/2/how-british-colonial-policy-killed-100-million-indians via le site Informationclearinghouse.info traduit par votre serviteur.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/02/20/comment-le-colonialisme-britannique-tua-100-millions-dindiens-en-quarante-ans/
Pourquoi Madison et Hamilton se sont trompés sur les républiques
RépondreSupprimerPar Ryan McMaken
Mises.org
21 février 2023
Le débat entre les fédéralistes et les anti-fédéralistes à la fin du XVIIIe siècle était fondamentalement un débat sur la question de savoir si oui ou non les Américains voulaient ou avaient besoin d'un grand État national. Ainsi, dans leur effort pour pousser la ratification de la nouvelle constitution, les fédéralistes ont utilisé une grande variété d'arguments destinés principalement à convaincre le public que les États-Unis, tels qu'ils se présentaient en 1787, n'étaient pas suffisamment centralisés politiquement.
Nous trouvons souvent des mots comme «licence» et «anarchie» utilisés par les fédéralistes pour décrire ce qui affligera les États-Unis s'ils n'embrassent pas un gouvernement national plus grand et plus fort. Les fédéralistes ont souvent soutenu que l'abus de pouvoir était moins une menace que "trop" de liberté et qu'un État plus fort est donc un meilleur garant de la richesse et de l'ordre. (Les anti-fédéralistes, bien sûr, ont adopté la position opposée.) En effet, Madison, dans Federalist No. 48, accuse essentiellement les États d'être paranoïaques quant aux dangers pour la liberté posés par un régime fédéral plus robuste. Hamilton pousse cette attitude ricanante envers les craintes des anti-fédéralistes au niveau supérieur en affirmant dans Federalist No. 84 qu'il n'y avait même pas besoin d'une déclaration des droits dans la constitution. Après tout, affirme Hamilton, il n'y a aucun danger que le gouvernement national tente de revendiquer des pouvoirs qui ne sont pas explicitement écrits dans le texte. Si le terme « gaslighting » avait existé au XVIIIe siècle, il se serait appliqué ici.
Un grand nombre d'Américains en 1787, cependant, étaient généralement convaincus que leurs propres constitutions républicaines - plus la constitution nationale déjà en place - seraient suffisantes pour protéger à la fois leurs libertés et leurs biens. Cela ne faisait que quelques années, après tout, que la confédération américaine lâche avait vaincu le puissant Empire britannique dans un conflit militaire.
D'autre part, dans les Federalist Papers, les porte-parole fédéralistes Madison et Hamilton ont affirmé à plusieurs reprises que les républiques ont historiquement été trop souvent sujettes à des "agitations incessantes", à des influences étrangères et à des "révolutions fréquentes". L'implication ici est que si les Américains n'adoptent pas un gouvernement national beaucoup plus fort, les républiques américaines finiront sur le tas de cendres des républiques antiques et médiévales qui étaient censées être à la fois de courte durée et d'une violence inhabituelle.
Ce récit n'a jamais disparu. Nous le voyons encore une fois répété dans un essai de 2020 de l'historien Stephen Klugewicz, rédacteur en chef de The Imaginative Conservative. Klugewicz fournit un résumé utile de la position fédéraliste :
RépondreSupprimerLes Américains avaient toutes les raisons d'être pessimistes quant à leur expérience de républicanisme. L'histoire a enseigné que les républiques étaient intrinsèquement instables et vulnérables à la décadence. … Les histoires des républiques florentine et vénitienne de l'Italie de la Renaissance avaient également été glorieuse mais de courte durée. Les théoriciens… ont averti que les républiques souffrent de dangers particuliers que les monarchies et les despotismes ne connaissent pas. … Les républiques étaient supposées briller de mille feux mais brièvement en raison de leur instabilité inhérente. … Un élément de la société a toujours usurpé le pouvoir et établi une tyrannie.
Mais il y a un problème avec ces revendications. Ils ne sont pas vrais.
Certes, l'histoire européenne a connu de nombreuses républiques éphémères, tout comme il y a eu de nombreux royaumes et principautés éphémères. Le Royaume des Deux-Siciles, par exemple, n'est pas exactement connu depuis longtemps comme un État souverain.
De plus, il serait absurde de désigner les monarchies européennes des siècles avant la Révolution américaine comme des exemples de paix et de stabilité incessantes. Dans de nombreux cas, une grande monarchie « stable » était simplement un État qui excellait à réprimer les rébellions par les massacres et la torture. C'étaient souvent des régimes, pour paraphraser Ronald Hamowy, de « la crémaillère et la vis à oreilles ». Tout jugement porté sur les républiques au cours des siècles précédant l'époque des fédéralistes doit être considéré dans ce contexte.
Toutes les monarchies n'étaient pas également despotiques, bien sûr, tout comme toutes les républiques n'étaient pas également instables. De plus, à l'époque des fédéralistes, l'Europe avait déjà eu sa part de républiques qui fournissaient des exemples qui contredisent les notions fédérales populaires selon lesquelles toutes les républiques sont «glorieuses mais de courte durée». Certains d'entre eux étaient même d'importantes puissances européennes qui tenaient à distance certaines des monarchies les plus puissantes de l'époque.
La République de Venise
L'un des exemples les plus évidents qu'il convient de mentionner est la République de Venise, qui a duré mille ans et qui a dominé une grande partie de la Méditerranée orientale pendant des siècles. Que Klugewicz classe la République parmi les politiques « éphémères » est tout simplement mystifiant. Dans les années 1780, la République avait plus de 800 ans. Elle était si ancienne, en fait, que la République avait acquis une réputation « d'immortalité » en raison de sa remarquable capacité à maintenir la stabilité politique.
Certains peuvent prétendre que la République vénitienne n'était pas vraiment une république parce qu'elle n'était pas une république libérale et qu'elle avait très peu d'éléments populaires dans son gouvernement central. Pourtant, le libéralisme et les élections populaires n'ont jamais été une exigence pour qu'un régime soit considéré comme républicain. Même dans sa dénonciation des Vénitiens, Hamilton dans Federalist n ° 6 y fait référence comme «cette république hautaine» pour sa dépendance excessive présumée à une oligarchie marchande. Le rejet par Hamilton de Venise comme tyrannique, cependant, ne fait que refléter la mythologie historique de l'époque, qui alternait entre les vues des Vénitiens comme des hommes d'État remarquablement prudents ou comme des tyrans complices.
RépondreSupprimerNous ne devrions pas être surpris d'obtenir ici une analyse plutôt superficielle des Vénitiens de Hamilton. Les essais dans les Federalist Papers étaient essentiellement des pièces de propagande conçues moins pour informer que pour fabriquer le consentement à une nouvelle constitution.
Pour une vision plus fiable de Venise et des autres républiques de l'époque, nous pouvons nous tourner vers l'ouvrage plus sérieux de John Adams, A Defence of the Constitutions of Government of the United States of America. Adams finira par devenir un fédéraliste, bien sûr, mais lorsqu'il écrivit la Défense, il écrivait avant la rédaction de la nouvelle constitution américaine et ne poussait aucun programme politique particulier. En tant que tel, Adams a cherché à fournir une analyse historique plus informative des républiques du monde.
Ainsi, avec Adams, on retrouve une vision plus équilibrée et sophistiquée des Vénitiens. Adams note que Venise n'était pas libérale, mais que cette "république aristocratique" était remarquable pour sa "sagacité" et un état de droit bien établi qui a contribué à "la longue durée de cette aristocratie". L'utilisation par Venise de nombreux niveaux de freins et contrepoids sur les factions dirigeantes pour s'assurer qu'aucun groupe ou personne ne puisse gouverner par l'intermédiaire du directeur général connu sous le nom de "doge" était particulièrement remarquable pour Adams. Comme l'a montré l'historien du XXIe siècle Thomas Madden, la République vénitienne n'était pas tout à fait le despotisme qu'elle est souvent supposée être :
[À la fin du XIIe siècle] Venise, la république où de puissants doges gouvernaient des gens puissants, devenait quelque chose de différent - un gouvernement dans lequel un corps distinct d'élites… commençait à attirer en lui les pouvoirs du peuple et du doge. Ce n'était pas et ne serait jamais une oligarchie. Au contraire, la république vénitienne était dotée de nouveaux organes et procédures, qui garantissaient qu'elle agirait avec prudence, précaution et de manière prévisible.
La République néerlandaise
RépondreSupprimerL'exemple vénitien contredit évidemment le mythe selon lequel les républiques tendent vers le désordre interne et l'effondrement. La politique vénitienne, cependant, nous en dit peu sur les confédérations. Pour ceux qui recherchent des informations sur les républiques plus libérales et décentralisées, cependant, il y a la République néerlandaise. Au moment du débat sur la ratification, la République néerlandaise avait plus de 200 ans malgré l'immense handicap de partager une frontière terrestre avec la France, la plus grande puissance militaire d'Europe.
La République était caractérisée par des niveaux relativement élevés de tolérance religieuse, une liberté économique et politique inhabituellement élevée, un niveau de vie élevé et un système politique décentralisé. Ou comme le dit Joop de Jong :
La République néerlandaise a adopté une forme de gouvernement plutôt atypique. Ce n'était ni une cité-État comme Venise, ni un État territorial moderne (équivalant moderne à centralisation) comme la France. Au lieu de cela, les sept Provinces-Unies constituaient une confédération sans autorité centrale forte et dans laquelle la noblesse était moins importante que les autres élites.
Les élites, plutôt, étaient en grande partie des élites bourgeoises commerciales. Le pouvoir central reposait en grande partie sur un modèle consensuel et les républiques membres individuelles étaient presque totalement libres dans leurs propres affaires intérieures. Pourtant, étrangement, James Madison soutient dans le Federalist No. 20 que la République néerlandaise était un terrible modèle pour les États-Unis et était marquée par «l'imbécillité du gouvernement». Le principal problème de Madison ? Le gouvernement central de la confédération néerlandaise n'était pas assez fort et assez centralisé. Pour Madison, le fait que la constitution de la République néerlandaise ressemblait davantage à celle des articles de la Confédération des États-Unis, plutôt qu'à la nouvelle constitution proposée, a apparemment poussé Madison à l'écarter. Pourtant, « l'État » néerlandais avait déjà tenu bon dans un certain nombre de conflits militaires contre les grandes puissances, et même dans sa période de déclin relatif du XVIIIe siècle, il restait l'une des régions les plus dynamiques économiquement d'Europe.
Pour sa part, John Adams dans sa défense parle bien de la République néerlandaise, énumérant certaines des républiques membres parmi les « républiques aristocratiques » et certaines parmi les « républiques démocratiques ». Bien entendu, la « démocratie » était un terme relatif, et le suffrage n'était guère universel. Pourtant, Adams dans la Défense décrit ainsi les éléments populaires présents dans la République :
Avec toute la sagacité et plus de sagesse que Venise ou Berne, elle a toujours eu plus de considération pour le peuple qu'aucune d'elles, et a donné plus d'autorité au premier magistrat. Il n'a jamais eu de préférences exclusives de familles ou de nobles. Les bureaux ont, par la loi au moins, été ouverts à tous les hommes de mérite.
Les républiques suisses
RépondreSupprimerComme les républiques néerlandaises, les républiques suisses étaient également réunies en une confédération. Cependant, les Suisses, étant largement ruraux et enclavés à l'époque de l'ancienne confédération, n'ont jamais atteint le succès commercial des Néerlandais. Néanmoins, les Suisses, à leur manière, ont réussi à illustrer comment même une confédération lâche de petites républiques pouvait tenir à distance des pouvoirs comme les Habsbourg pendant des siècles.
La confédération suisse était considérablement plus ancienne que les Pays-Bas et, au moment du débat de ratification américain, la confédération existait depuis plus de 400 ans.
Comme pour le modèle néerlandais, Adams trouve que le modèle suisse est un mélange louable d'éléments républicains démocratiques et aristocratiques. Il conclut que l'ordre public est «bien réglementé… dans toute la Suisse» et utilise à plusieurs reprises le terme «liberté» pour décrire la situation dans plusieurs républiques suisses. Il est particulièrement élogieux du gouvernement républicain de Glaris dont il déclare :
[À Glaris,] La liberté ne dégénère pas en licence. La liberté, l'indépendance et l'exemption d'impôts compensent amplement le manque des raffinements du luxe. Il n'y en a pas d'assez riches pour prendre de l'ascendant par des largesses. S'ils se trompent dans leurs conseils, c'est une erreur de jugement et non de cœur. Comme on ne craint pas d'invasion, et qu'ils n'ont pas de conquêtes à faire, leur politique consiste à maintenir leur indépendance et à préserver la tranquillité publique.
Pourtant, ici encore, Madison utilise beaucoup de gestes de la main pour détourner les lecteurs d'un exemple des avantages d'une confédération décentralisée. Il affirme dans Fédéraliste n° 19 que « quelle que soit l'efficacité que l'union [suisse] ait pu avoir dans des cas ordinaires, il apparaît que dès qu'une cause de différence a surgi, capable d'essayer sa force, elle a échoué ».
Des observateurs plus modernes, cependant, ont constaté que le dossier historique ne supporte pas tout à fait le mépris de Madison. Par exemple, l'historien Andreas Würgler, en essayant de répondre à la question de savoir comment la Confédération suisse a réussi à survivre pendant si longtemps, écrit :
En tant que ligue de républiques, les cantons pouvaient pour la plupart éviter les mécanismes dynastiques de succession et de guerres héréditaires qui sévissaient dans une grande partie du reste de l'Europe moderne. La menace était néanmoins que le pays serait divisé entre les grands pays voisins… Les observateurs européens étaient souvent sceptiques quant à l'énigmatique système fédéraliste suisse. Ils doutaient de sa capacité à établir et à maintenir l'ordre, ou comme les contemporains avaient l'habitude de dire, "une bonne police". Les premiers commentateurs modernes ont souligné l'absence de monarque comme un signe évident de désordre, tandis que les historiens d'aujourd'hui préfèrent souligner le grand nombre de conflits sociaux en Suisse. Mais le nombre de conflits internes ne condamne pas nécessairement un système politique. Le nombre de conflits est moins important que la manière dont ils sont résolus. La gestion des conflits par la Suisse a été pour la plupart caractérisée comme fluide et réussie.
RépondreSupprimerLe fait que la Confédération ait été remarquablement flexible et habile à gérer les conflits internes ne prouve pas qu'elle « ait échoué » dans les périodes où des conflits éclataient. Les Suisses, après tout, ont évité le genre de guerre civile qui a détruit la moitié des États-Unis plus centralisés au XIXe siècle. L'endurance de la confédération sous diverses formes prouve simplement que les Suisses étaient habiles à faire face aux malheureuses réalités d'être pris en sandwich entre les Français et les Habsbourg.
L'observateur moderne, bien sûr, pourrait affirmer que ces États étaient en quelque sorte faibles parce qu'ils sont tombés sous la puissance militaire des Français à la fin des années 1790. Pourtant, le fait que les Néerlandais et les Suisses aient été subjugués par Napoléon ne prouve guère rien, car il en était de même de tous les régimes politiques - monarchie ou non - qui partageaient une frontière terrestre avec la France à l'époque. Le même sort aurait été réservé à la république américaine préférée de Madison si elle avait été géographiquement désavantagée.
Quant à la question de la longévité républicaine dans son ensemble, la constitution plus centralisée de Madison n'a pas réussi à impressionner. La république que lui et Hamilton ont forgée ensemble a mis moins d'un siècle pour dégénérer en un État défaillant et une guerre civile sanglante en 1861. Après cela, les États-Unis n'étaient plus basés sur le même prétendu contrat social qui avait été à la base de la constitution de 1787. L'ancienne constitution perdure aujourd'hui dans un sens de jure seulement. La république de facto d'après 1861 a toujours été basée sur la conquête militaire et une «loi» nouvellement inventée par des juges fédéraux déclarant que l'État fédéral n'était plus une union volontaire de républiques.
RépondreSupprimerLes partisans d'aujourd'hui du projet fédéraliste, cependant, ont tendance à accepter aveuglément "l'analyse" superficielle et dédaigneuse des autres républiques proposée dans The Federalist Paper par ses auteurs. Hamilton et Madison, cependant, étaient probablement moins motivés par un désir d'enquête honnête que par le désir de faire passer leur plate-forme politique d'un nouveau gouvernement national centralisé. Cela a souvent nécessité de peindre la constitution proposée sous un jour injustement bon tout en négligeant la faisabilité avérée des systèmes fédéraux moins centralisés à l'étranger.
Remarque : Les opinions exprimées sur Mises.org ne sont pas nécessairement celles de l'Institut Mises.
https://www.lewrockwell.com/2023/02/ryan-mcmaken/why-madison-and-hamilton-were-wrong-about-republics/
Pourquoi la liberté a besoin d’une philosophie
RépondreSupprimerLa liberté a besoin d’une philosophie en plus d’un activisme.
le 19 février 2023
Par Dan Sanchez.
Foundation for Economic Education
Partout dans le monde, les États ont mené une guerre contre la liberté, faisant disparaître nos droits par une succession rapide de politiques radicalement tyranniques. Comment ceux d’entre nous qui croient en la liberté peuvent-ils contrer cela ?
Tout d’abord, nous pouvons persuader davantage de personnes de se joindre à nous pour s’opposer aux mauvaises politiques. Mais cela peut être une bataille difficile. Comme vous le savez peut-être par expérience, il est difficile de faire changer d’avis les gens, en particulier leur position politique. Les défenseurs de la liberté sont souvent déconcertés par l’obstination avec laquelle certains s’accrochent à leurs positions antiliberté.
Pourquoi nous heurtons-nous sans cesse à ce mur ?
Selon Henry Hazlitt, c’est parce que les libertariens ne réalisent souvent pas que « certaines propositions qu’ils combattent ne sont qu’une partie de tout un système de pensée ». C’est pourquoi, explique Hazlitt, même les arguments irréfutables contre une mauvaise politique ne parviennent souvent pas à convaincre.
Ainsi, il ne suffit pas de critiquer une mauvaise politique spécifique de manière isolée.
Hazlitt conclut :
« C’est une philosophie globale quoique confuse que nous devons affronter et nous devons y répondre par une philosophie tout aussi globale. »
Illustrons l’affirmation de Hazlitt par un exemple.
Supposons que vous débattiez avec quelqu’un qui soutient le salaire minimum. Vous présentez clairement un argumentaire solide, étayé par une logique économique, un raisonnement moral et des preuves empiriques démontrant que le salaire minimum viole les droits et favorise le chômage, poussant les personnes qu’il est censé aider vers la pauvreté et la dépendance. Pendant ce temps, les contre-arguments de votre adversaire sont confus et mal informés. Et pourtant, malgré tout cela, il rejette avec colère vos affirmations et persiste dans son soutien au salaire minimum.
Comment cela se fait-il ?
RépondreSupprimerLe problème est que son soutien au salaire minimum « n’est qu’une partie de tout un système de pensée », comme l’a dit Hazlitt, à savoir l’idéologie économique, politique et morale progressiste dont il s’est imprégné à l’école, dans les médias ou sous une autre influence.
S’il devait se plier à votre argument supérieur et s’opposer au salaire minimum, cette opposition serait en désaccord avec le reste de sa vision du monde. Le simple fait d’envisager cette idée crée une dissonance cognitive. Il recule donc devant cet inconfort mental intense et rejette la raison elle-même au nom de l’autoprotection émotionnelle.
Selon le psychologue Jordan Peterson, il existe une « tendance humaine naturelle à répondre à […] l’idée étrange […] par la peur et l’agression… ». Cela s’explique par le fait que « prendre sérieusement en considération le point de vue d’autrui signifie risquer de s’exposer à une incertitude indéterminée – risquer une augmentation de l’anxiété existentielle, de la douleur et de la dépression… »
Il peut sembler idiot de considérer de nouvelles idées si effrayantes et des systèmes de croyance si précieux. Mais nous le faisons tous, et pour de bonnes raisons.
Comme l’explique Peterson dans son livre Maps of Meaning, nos systèmes de croyances (y compris nos visions sociopolitiques) nous permettent de donner un sens au monde. Ils sont les boussoles et les cartes que nous utilisons pour naviguer dans l’immense complexité de la vie. Sans paradigmes globaux pour structurer nos vies, nous nous sentons perdus en mer, confus et apeurés. C’est pourquoi nous sommes si attachés et si protecteurs de nos systèmes de pensée.
Comme l’a démontré l’historien des sciences Thomas Kuhn, même les scientifiques sont attachés à leurs paradigmes et ont tendance à s’y accrocher en dépit de la raison et des preuves contraires, jusqu’à ce que ces anomalies s’accumulent au point de précipiter une crise et que le paradigme finit par s’effondrer d’un seul coup sous leur poids. Le paradigme discrédité est alors supplanté par un paradigme alternatif. Ainsi, les changements de paradigme scientifique ont tendance à être révolutionnaires plutôt qu’évolutifs.
Comme l’a fait valoir Jordan Peterson, cela est vrai non seulement pour les paradigmes scientifiques mais aussi pour les systèmes de croyance en général, y compris sociopolitiques.
Ainsi, un progressiste peut préserver son précieux modèle en répondant à des anomalies comme vos arguments solides contre le salaire minimum par un déni général. Vous avez peut-être planté la graine du doute, mais il est réticent à la laisser germer, de peur qu’elle ne compromette et n’effondre toute sa philosophie progressiste. Une telle crise de paradigme bouleverserait son monde et il ne veut pas qu’elle se produise.
Mais si, en plus de remettre en question sa vision actuelle, vous lui en proposez également une alternative – « une philosophie tout aussi complète », comme l’a dit Hazlitt – cela peut atténuer son anxiété à l’idée d’abandonner son idéologie progressiste. Au lieu de la perspective de voir sa structure existante s’effondrer et être remplacée par rien d’autre qu’une confusion sans direction, on lui offre l’opportunité de la remplacer par une autre. C’est beaucoup moins effrayant.
RépondreSupprimerAinsi, au lieu de se contenter de démystifier le salaire minimum en particulier, il est essentiel de fournir au moins un aperçu d’une vision alternative plus large : c’est-à-dire la fonction économique des salaires en général, l’éthique des contrats en général, et ce que sont les marchés et les sociétés libres et comment ils fonctionnent. Une fois que votre adversaire commence à comprendre et à adopter la perspective de la liberté dans son ensemble, il lui sera beaucoup plus facile d’adopter les salaires du marché et de renoncer au salaire minimum.
Pour amener les gens à abandonner le progressisme, le socialisme, l’autoritarisme et autres idéologies illibérales, nous devons « avant tout », comme l’a conclu Hazlitt, « exposer les fondements d’une philosophie de la liberté ».
Pour détourner les gens des mauvaises politiques, nous devons d’abord et avant tout les orienter vers de bons principes fondamentaux et une bonne philosophie. Nous devons aller au-delà du jeu de la taupe avec les mauvaises propositions et poser les bases philosophiques nécessaires pour aider les individus à effectuer leurs propres changements de paradigme révolutionnaires – leurs propres expériences de conversion – vers la liberté.
Traduction Contrepoints
Article publié initialement le 9 août 2022
https://www.contrepoints.org/2023/02/19/436539-pourquoi-la-liberte-a-besoin-dune-philosophie
Prenons l'exemple de Mitterrand, les français n'ont pas voté pour lui mais ont voté contre VGE qui a vendu la Banque de France (7 Janvier 1973) à des banques privées ! De plus, le socialiste (de la nazional socialiste comme son premier ministre Pierre Mauroy) a... doublé les salaires des députés (corruption est le mot juste) tandis qu'il haussait les impôts car 'les caisses étaient vides et VGE était parti avec' !! Peut-être, mais notez bien que le Mitterrand ne l'a jamais poursuivi !!
SupprimerL’État républicain est une pièce ou les deux côtés sentent la merde ! (car notez bien qu'AUCUN parti dit 'd'opposition' n'a proposé de remplacer la dictature par la Démocratie (comme en Suisse) !
La mort annoncée de Julian Assange
RépondreSupprimerL’extradition de Julian Assange par l’Angleterre vers les États-Unis marque un nouveau recul de la protection des lanceurs d’alerte.
le 22 février 2023
Pierre Farge
D’abord, rappelons-nous. Onze ans après les révélations WikiLeaks, Julian Assange finit par être interpellé à l’ambassade d’Équateur à Londres. Il est immédiatement livré à la justice britannique et placé en détention provisoire. Les États-Unis réclament alors son extradition.
Le lanceur d’alerte avait de sérieux espoirs d’y échapper pour trois raisons :
Un état de santé préoccupant
La liberté d’expression et le droit à l’information dont son alerte est le symbole
La jurisprudence Snowden
Ce n’est en effet qu’à la faveur de fragilités psychiatriques que le refus d’extradition a d’abord été accordé, le magistrat appréciant un risque de suicide élevé, plutôt que les arguments sans cesse invoqués par le lanceur d’alerte comme la liberté d’expression ou le droit à l’information issus de ses leaks.
Il est en effet malheureux que le refus d’extradition d’un lanceur d’alerte, ayant permis par exemple de révéler des crimes de guerre au Moyen-Orient, se fonde essentiellement sur un état mental fragilisé, plutôt que sur des droits aussi fondamentaux.
Le cas de d’Edward Snowden mérite aussi d’être rappelé tant il témoigne de la différence de traitement avec Julian Assange.
Tous deux font l’objet de poursuites de la part des autorités américaines pour avoir divulgué des informations confidentielles. Tous deux se sont réfugiés dans un État différent de celui dont ils sont ressortissants. Tous deux font l’objet d’une demande d’extradition des États-Unis.
À la différence que la Russie a d’abord accueilli Snowden, refusé de l’extrader, sans jamais le placer en détention. Il a même successivement obtenu l’asile temporaire, un permis de séjour, et peut aujourd’hui librement se déplacer sur ce territoire ; aussi restreint soit-il depuis la guerre en Ukraine née entretemps.
Des garanties suffisantes ou un procès kafkaïen à venir pour Julian Assange
En dépit des espoirs légitimes du lanceur d’alerte, en décembre 2021, l’appel devant la justice britannique fait droit à la demande des États-Unis, estimant que des « garanties suffisantes » avaient été fournies quant au traitement réservé à Julian Assange.
Ces garanties suffisantes sont donc à ce jour les suivantes :
rien de moins qu’une prévention maximale de 175 ans de prison ;
rien de moins qu’un ancien président (Donald Trump) qui a promis d’en faire « un exemple » pour tous les journalistes d’investigation ;
rien de moins qu’une incarcération promise dans une prison de « très haute sécurité », en l’occurrence l’ADX dans le Colorado, aux côtés de membres d’Al-Qaida ;
une incarcération d’autant plus exceptionnelle qu’elle sera en isolement total.
Preuve supplémentaire de cette décision politique, la Suprem Court britannique refuse d’examiner le recours du lanceur d’alerte au prétexte qu’il ne soulèverait pas de question juridique particulière.
L’extradition vers les États-Unis ainsi ordonnée le 20 avril 2022 est donc définitive. Très concrètement, cela signifie que Julian Assange dépend maintenant de l’ordonnance d’extradition du ministre de l’Intérieur britannique. Une fois signée, il quittera le pays sous 28 jours.
Un départ donc sous forme de sentence, ici synonyme de condamnation à mort, preuve supplémentaire de l’allégeance de Londres à la puissance américaine, et signal fort du peu de cas que fait la Couronne à la cause des lanceurs d’alerte.
https://www.contrepoints.org/2023/02/22/425925-la-mort-annoncee-de-julian-assange
Opération militaire spéciale de la Russie en Ukraine. Explications
RépondreSupprimerle 22 février 2023
En prélude au premier anniversaire de l’opération spéciale russe dans le Donbass, Christelle Néant dresse un tableau du déroulement des évènements sur son site Donbass-Insider que je reproduis ici. Christelle Néant est une journaliste française vivant dans le Donbass depuis les évènements de Maïdan. Elle n’a jamais cessé de dénoncer les crimes commis par l’armée ukrainienne depuis ce coup d’État à l’encontre des populations civiles russophones en bombardant et détruisant des cibles civiles avec de l’artillerie à longue portée et des fusées. J’ai choisi de faire figurer cet article sur mon blog après avoir écouté de longs passages du discours de Vladimir Poutine sur l’Etat de la nation russe. Voici donc une copie de son article paru sur Donbass-Insider paru le 19 février 2023.
« Opération militaire spéciale russe en Ukraine – une année de révélations ».
Il y a un an, l’armée ukrainienne augmentait brusquement ses bombardements contre le Donbass, prélude à une future attaque contre la RPD et la RPL (Républiques Populaires de Donetsk et de Lougansk). Quelques jours plus tard, l’armée russe entrait sur le territoire des deux républiques populaires afin de les protéger. En un an, l’opération militaire spéciale s’est avérée être un catalyseur de révélations, tant pour la Russie que pour l’Ukraine, ainsi que sur le plan international.
Le 24 février 2022, la Russie lançait l’opération militaire spéciale en Ukraine, et toute la presse occidentale a hurlé comme un seul homme à l’agression injustifiée de Moscou contre son voisin. Comme atteints d’amnésie, les médias occidentaux ont totalement occulté la guerre qui ravageait le Donbass depuis 2014, et surtout ont fermé les yeux complaisamment sur les bombardements de l’armée ukrainienne avant le déclenchement de l’opération militaire russe en Ukraine.
Très vite, la montée du néo-nazisme en Ukraine, la corruption endémique du pays, les crimes de guerre de l’armée ukrainienne depuis 2014 dans le Donbass, la torture systémique dans les geôles du SBU et des bataillons néo-nazis, tout ce qui pouvait nuire à l’image de Kiev, a été méthodiquement caché sous le tapis par les médias occidentaux. Et très vite, ces mêmes médias occidentaux ont commencé à relayer sans plus aucun contrôle la propagande ukrainienne, se vautrant avec elle dans la russophobie la plus crasse et les mensonges les plus éhontés.
Si avant le 24 février 2022, la propagande occidentale se contentait de garder un silence coupable sur les bombardements réguliers de l’armée ukrainienne, et les crimes de guerre de Kiev, et qu’elle accusait constamment la Russie de ne pas respecter les accords de Minsk au lieu de se pencher sur leur non respect par l’Ukraine, tout en accusant Vladimir Poutine d’être un dictateur, le lancement de l’opération militaire spéciale a montré le visage hideux des médias occidentaux, qui n’ont pas hésité à relayer la propagande russophobe la plus immonde.
RépondreSupprimerL’opération militaire spéciale a révélé à quel point ces médias occidentaux qui se prétendent objectifs et neutres, ne sont que des relais de propagande de l’OTAN, prêts à rapporter n’importe quelle fausse information, ou à approuver les crimes les plus ignobles pourvu que cela soit contre la Russie. Massacre de Boutcha, accusation de viols de masse contre les civils ukrainiens, y compris des enfants ou des personnes âgées, distribution de viagra aux soldats russes, approbation d’une future épuration ethnique en Crimée pour en évincer les Russes, tous les relents de fosse sceptique publiés dans les médias ukrainiens, ont été repris par les médias occidentaux.
Cette année d’opération militaire spéciale a aussi été un catalyseur de révélations pour la Russie, les faux patriotes ont montré leur vrai visage en fuyant le pays, les failles de l’armée russe ont été révélées au grand jour, lui permettant de corriger ses erreurs et de se renforcer, des unités comme celles de la milice populaire, les bataillons Akhmat ou Wagner ont, via leurs succès sur le terrain, montré la voie à suivre en matière de combat au 21e siècle, les journalistes russes ont montré l’exemple sur ce que devrait être le 4e pouvoir, en faisant remonter les problèmes jusqu’au sommet de l’État, permettant ainsi de les résoudre, et prouvant à tous les propagandistes occidentaux, qu’il y a bien plus de liberté d’expression en Russie qu’en Occident, et enfin, l’écrasante majorité du peuple russe a montré que le patriotisme russe est toujours bien vivant.
En Ukraine, l’opération militaire spéciale a révélé toute l’horreur du régime de Kiev. La mobilisation à marche forcée de toute la population masculine du pays, l’utilisation des soldats ukrainiens comme de la vulgaire chair à canon, la dissimulation massive des morts parmi les soldats ukrainiens pour ne pas payer les compensations aux familles, les mauvais traitements voire l’exécution pure et simple des prisonniers de guerre, les meurtres des civils des villes récupérées par l’armée ukrainiennes au moindre soupçon d’avoir reçu ne serait-ce que de l’aide humanitaire russe, l’utilisation des civils comme boucliers humains par les soldats ukrainiens, la destruction systématique de tout ce qui est russe dans le pays, les plans d’offensive ukrainienne contre le Donbass, l’utilisation d’armes chimiques, les bombardements de la centrale nucléaire de Zaporojié, au risque de provoquer une catastrophe, et surtout la divulgation du travail extrêmement dangereux de dizaines de laboratoires biologiques ukrainiens, financés et dirigés par les États-Unis.
Enfin, cette année d’opération militaire spéciale russe en Ukraine aura été riche de révélations à l’international. Les preuves de la compromission de l’OSCE avec l’armée ukrainienne et les autorités de Kiev ont été trouvées lors de l’avancée des forces russes, l’Allemagne et la France ont avoué que les accords de Minsk n’avaient pas été signés pour rétablir la paix dans le Donbass, mais pour donner du temps à l’Ukraine pour se réarmer (justifiant ainsi pleinement l’opération militaire spéciale russe en Ukraine), les États-Unis ont révélé leur nature prédatrice (y compris envers leurs soi-disant alliés) et terroriste, en détruisant les gazoducs Nord Stream 1 et 2, l’Union Européenne a démontré qu’elle n’était qu’un laquais de Washington, en prenant des sanctions contre la Russie qui ont détruit l’économie européenne, et en déshabillant ses armées nationales pour fournir à l’Ukraine de plus en plus d’armes, dont elle se sert pour commettre des crimes de guerre.
RépondreSupprimerL’Occident a aussi démontré toute l’étendue de ses doubles standards et de ce que valent ses « valeurs humanistes » en fermant les yeux sur ces crimes de guerre ukrainiens commis avec des armes occidentales, tout en organisant une hystérie russophobe qui a viré à la censure pure et simple de tout ce qui est russe, allant des médias jusqu’aux sportifs et artistes russes.
L’Occident a enfin clairement révélé durant l’année écoulée ses plans visant à dépecer la Russie en plus petits États, démontrant ainsi le danger qui planait non seulement pour le Donbass, mais pour la fédération de Russie elle-même. Et le cynisme des pays occidentaux, qui utilisent l’Ukraine comme terrain de combat, et sa population comme chair à canon, a montré toute l’hypocrisie de cet Occident qui se prétend défenseur de la souveraineté du pays.
Au contraire, les véritables alliés de la Russie se sont révélés lors de cette année, aidant Moscou à mener son opération militaire spéciale, et à contourner les sanctions occidentales, isolant ainsi de plus en plus les pays occidentaux sur la scène internationale. D’ailleurs lors de l’année écoulée plusieurs pays, entre autre africains, ont commencé à tenir tête de plus en plus fermement aux pays occidentaux, l’opération militaire spéciale russe en Ukraine ayant révélé toutes les faiblesses de cet Occident qui se prend pour la communauté internationale toute entière.
Malheureusement, à l’heure où j’écris ces lignes, l’armée ukrainienne a bombardé cet après-midi le centre de Donetsk, tuant une civile et en blessant onze autres dont une enfant de neuf ans. L’opération militaire spéciale russe en Ukraine n’est pas encore terminée, mais les forces russes continuent d’avancer petit à petit pour libérer le territoire du Donbass et faire cesser ces crimes de guerre de l’armée ukrainienne.
En un an d’opération militaire spéciale russe en Ukraine, de nombreux civils ont été tués par les bombardements ou les techniques de combat de l’armée ukrainienne, qui les utilise comme des boucliers humains. Cette année fut la plus sanglante et la plus terrifiante des sept que j’ai vécues dans le Donbass. Celle où j’ai le plus pleuré devant les corps de civils, devant les corps d’enfants tués par des obus et des roquettes fournies par l’Occident, fournies par mon pays natal, la France. Si jusque là j’étais indignée du silence complice des autorités françaises qui fermaient les yeux sur les crimes de guerre et le non respect des accords de Minsk par l’Ukraine, durant l’année écoulée cette indignation s’est transformée en honte, de voir mon pays natal fournir à Kiev des armes qui ont tué des civils, dont des enfants, dans ce Donbass, cette Russie, qui est devenue ma patrie.
RépondreSupprimerLes révélations de cette première année d’opération militaire spéciale russe dans le Donbass ont montré que cette dernière était nécessaire pour éviter l’attaque de la RPD et de la RPL par l’armée ukrainienne, et le génocide pur et simple de la population civile qui s’en serait suivi. Ce qui s’est passé à Boutcha, Izioum, ou Koupiansk, lorsque les forces ukrainiennes ont assassiné purement et simplement ceux qui avaient travaillé avec les Russes, ou simplement accepté de l’aide humanitaire ou de la nourriture russes, a révélé ce qui attendait les habitants du Donbass, si l’armée ukrainienne n’avait pas été empêchée de mener son plan d’attaque prévu pour le mois de mars 2022.
Et la révélation des plans ukrainiens et occidentaux, ainsi que du travail dangereux des laboratoires biologiques financés par les États-Unis en Ukraine, a montré que la Russie elle-même était en danger, et devait agir si elle voulait tout simplement continuer d’exister en tant qu’État souverain et uni.
Il faut maintenant mener le processus à son terme, et terminer la dénazification, et la démilitarisation de l’Ukraine, afin de protéger non seulement le Donbass, mais aussi la Russie toute entière.
Christelle Néant
Lien : https://www.donbass-insider.com/fr/2023/02/19/operation-militaire-speciale-russe-en-ukraine-une-annee-de-revelations/
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/02/22/operation-militaire-speciale-de-la-russie-en-ukraine-explications/
Vu sur le Global Times.
RépondreSupprimerle 21 février 2023
L’ambassade de Chine a publié une liste des États que les USA ont délibérément agressé et bombardé après la Seconde Guerre Mondiale, sans jamais violer le droit international … évidemment ! J’ai passé en revue tous ces conflits mais il n’existe que peu de statistiques officielles du nombre de morts militaires et civils. Toutes les informations son disponibles sur Wikipedia en anglais si tant est qu’on peut encore considérer cette source de données est fiable. C’est une belle liste à méditer … et la conclusion de l’ambassade de Chine est éloquente. Les interventions américaines hors de leur sol national ont trois motifs principaux : la lutte contre le communisme, la main-mise sur les ressources en hydrocarbures et la protection des entreprises américaines comme par exemple United Fruits au Guatemala qui est caricaturale. Il est vrai que 30 % des terres arables de l’Ukraine ont été vendues à des fonds de pension américains sous forme de cash et de baux emphytéotiques d’une durée de 99 ans et c’est l’une des motivations du conflit ukrainien soutenu par les USA, raison trop peu mentionnée mais qui a son importance. Personne ne sait quel a été le devenir des dizaines de milliards de dollars engloutis dans cette manœuvre. Les petits exploitants agricoles ont été réduits à l’état de salariés d’entreprises américaines, ce qui explique en partie l’exode massif vers la Russie des petits agriculteurs russophones de l’est du pays. Des milliers de villages sont aujourd’hui totalement déserts. Le nombre d’Ukrainiens ayant fui leur pays vers la Russie seulement est estimé à plus de 10 millions … La liste ci-dessous n’est pas exhaustive car ne sont pas incluses les interventions des services américains dans les coups d’Etat, les changements de régime (exemple le Chili) qui ont souvent occasionné de nombreux morts.
Korea et Chine 1950-53 (guerre de Corée) (2,321 millions de morts)
Guatemala 1954 (plusieurs milliers de morts), coup d’Etat pour préserver les intérêts de United Fruits à la suite de la décision d’une réforme agraire
Indonesia (1958) lutte contre le communisme, CIA, Estimation 15000 morts
Cuba (1959-1961) « révolution cubaine », 3000 morts suivi de la « crise des missiles », exode massif vers la Floride, blocus économique toujours en vigueur
Guatemala (1960) révolution fomentée par la CIA, 200000 morts, le conflit durera jusqu’en 1970
Congo (1964) coup d’Etat anti-maoïste, 100000 morts
Laos (1964-1973) guerre civile, intervention américaine contre le Pathet Lao, 62000 morts
Vietnam (1961-1973) 3,4 millions de morts, hypothèse basse.
Cambodia (1969-1970) lutte contre le Kampuchea, 285000 morts
Guatemala (1967-1969) voir plus haut
Granada (1983) coup d’Etat, peu de morts (une centaine) mais risque d’escalade mondiale opposant les USA contre Cuba et l’Union soviétique
Liban (1983, 1984) (frappant des cibles dans les territoires du Liban et de la Syrie) camion piégé tuant des « casques bleus » américains et français à Beyrouth, nombre total de morts inconnu
RépondreSupprimerLibya (1986) début des ingérences américaines en Libye, de même que les USA ont soutenu le FLN en Algérie contre la France via l’Egypte. Le conflit se terminera avec l’assassinat de Khadafi à la suite de l’intervention franco-anglaise avec le soutien américain. Nombre de morts total : ?
Salvador (1980) guerre civile, intervention USA, Allemagne de l’Est, 80000 morts
Nicaragua (1980), voir plus haut
Iran (1981), crise des otages de l’ambassade américaine, 8 employés de l’ambassade tués, mise en place du blocus et des sanctions américaines qui existe toujours.
Panama (1989) Invasion de Panama par l’armée américaine pour capturer Manuel Noriega, opération qualifiée d’autodéfense par les USA, 3000 morts
Iraq (1991-2011) (Guerres du Golfe), libération du Koweit suivie de deux « guerres » sur le sol irakien, plus de 1 million de morts.
Kuwait (1991), voir ci-dessus
Somalia (1993-2000) intervention anglaise, française et américaine pour « pacifier » le pays en guerre contre l’Ethiopie et en proie à une guerre civile dans les provinces sud. 24000 morts, hypothèse basse. Mise en place durable d’une escouade maritime internationale pour lutter contre la piraterie
Bosnia & Yugoslavia (1994, 1995, 1999, jusqu’en 2001) débute par une guerre civile en Bosnie. Premier épisode 30000 morts et autant de civils, nombre de morts (militaires seulement) estimé à 140000, hypothèse basse, données réelles inconnues, probablement plus de 500000 morts civils compris, destruction de Belgrade, déplacement de plus de 4000000 de personnes, intervention de l’OTAN et des USA.
Sudan (1998) début du conflit entre le Soudan et les provinces méridionales dès 1983, soutenu par la CIA à la suite de la découverte de pétrole. Fin du conflit en 2005 avec la partition et la création du Sud-Soudan, nombre de morts plus de 2,5 millions essentiellement de famine et d’épidémies
Yugoslavia (1999), voir plus haut
Yemen (2002- toujours en cours) intervention des Occidentaux, de l’Iran en soutien aux provinces du sud, des Émirats arabes et de l’Arabie saoudite (se contente de bombarder à distance le pays depuis 2007 avec des équipements fournis par les USA et la France, et n’est pas en guerre officiellement. Nombre de morts inconnu, estimé à plusieurs millions en raison de famine et épidémies en particulier des enfants. Désastre humanitaire de grande ampleur.
Iraq (1991-2003) (forces conjointes américaines et britanniques), voir plus haut
Iraq (2003-2015), voir plus haut
Afghanistan (1998, 2001-2015) débute par une guerre civile après le retrait de l’armée russe. Invasion américaine, etc … 2,5 millions de morts, évacuation des Américains laissant un pays dévasté en proie à des luttes claniques
Pakistan (2007-2015), guerre dans les zones tribale du Khyber Pakhtunkhwa. Estimation du nombre de morts par le Watson Institute 39000, intervention américaine limitée à des « observateurs ».
Somalia (2007-2008, 2011), voir plus haut
Yemen (2009, 2011), voir plus haut
Libya (2011, 2015) plus d’un million de morts
Syria (2014-présent) pays toujours sous embargo, dévasté, privé de ses ressources pétrolières piratées par les Américains. Nombre de victimes important, certainement plus de 2 millions de morts mais inconnu avec précision. Interventions russe, américaine et européenne (OTAN), turque, iranienne, irakienne, conflit enlisé
Dans son communiqué repris par le Global Times en anglais la Chine nous exhorte à « ne jamais oublier qui est la véritable menace pour le monde ». Mais nous ne risquons pas de l’oublier, la TV nous le répète à longueur de journée, c’est la Russie et la Chine évidemment, ainsi que tous ceux qui « ne respectent-pas-nos-valeurs » démocratiques qui sont les fauteurs de guerre …
RépondreSupprimerhttps://jacqueshenry.wordpress.com/2023/02/21/vu-sur-le-global-times/
Conseil de sécurité de l'ONU sur l'attaque du Nord Stream - La Russie veut une indemnisation et une enquête indépendante
RépondreSupprimer22 février 2023
par Thomas Oysmuller
La Russie se méfie des enquêtes en Allemagne, en Suède et au Danemark et exige une enquête menée par l'ONU. De plus, les terroristes devraient réparer les dégâts. Les États-Unis continuent de nier toute responsabilité.
Lundi, le Conseil de sécurité de l'ONU a tenu une session spéciale pour discuter de l'attaque du Nord Stream. C'était une réponse directe à la révélation de Seymour Hersh selon laquelle les États-Unis (avec leur aide) avaient mené l'attaque et la Russie avait convoqué une session spéciale.
Priorité la plus élevée
Jeffrey Sachs, l'un des universitaires les plus éminents des États-Unis, président de la commission Covid du "Lancet" et professeur à Columbia, a également pris la parole au sein du conseil. Il a adressé quatre points à la congrégation :
La destruction de Nord Stream est un acte de terrorisme international et une menace pour la paix. Enquêter sur cet attentat terroriste est une priorité mondiale.
La destruction de gazoducs d'une telle ampleur est une question qui nécessite des connaissances spécialisées et un haut niveau de planification.
Peu de pays au monde ont la capacité technique et l'accès à la mer pour mener une telle opération. Selon Sachs, il s'agit des États-Unis, de la Grande-Bretagne, de la Russie, de la Pologne, de la Norvège, de l'Allemagne et de la Suède.
La Suède aurait le plus à dire au monde sur la scène du crime. Cependant, la Suède garde secrets les résultats de son enquête.
Le représentant américain à l'ONU était en colère. Il a déclaré que les allégations selon lesquelles Washington était impliqué dans l'explosion du Nord Stream étaient "un mensonge complet". Ce n'est pas surprenant. Un aveu des États-Unis bouleverserait probablement le monde. L'ambassadeur américain John Kelley a déclaré que la session extraordinaire était une tentative de détourner l'attention de la prochaine session d'urgence de l'Assemblée générale, qui aura lieu le 24 février 2022, un an après l'invasion de l'Ukraine par Moscou.
C'est sur cela que nous devrions nous concentrer ", a-t-il déclaré. "La Russie essaie désespérément de changer de sujet." La Russie "abuse de sa position de membre du conseil" en utilisant cette plateforme pour diffuser en ligne des théories du complot.
RépondreSupprimerLa Russie, quant à elle, a déclaré que des discussions sur une résolution étaient en cours. De plus, les pays derrière l'attaque devraient indemniser la Russie pour les dommages causés.
La Grande-Bretagne a condamné l'acte de sabotage, a déclaré Thomas Phipps, membre du personnel de la Mission permanente du Royaume-Uni. Mais il a également salué la lettre conjointe des autorités allemande, danoise et suédoise, qui montre que l'Allemagne, le Danemark et la Suède n'ont pas informé la Russie de l'enquête Nord Stream, selon les missions permanentes russes auprès de l'ONU.
La Russie croit Hersh
Cependant, selon le représentant de la Russie Vasily Nebenzya, il n'y a aucun doute sur le mobile, les auteurs et la méthode de commission du crime. Très probablement, la Russie sait non seulement qui a fait sauter Nord Stream, mais aussi comment. Il a émis des doutes sur l'intégrité et la transparence des enquêtes en cours au Danemark, en Allemagne et en Suède et a demandé une enquête indépendante. Nebenzya a proposé le Secrétaire général de l'ONU comme chef des enquêtes. Certains membres du conseil ont appuyé la proposition.
« Ce journaliste [Hersh, éd.] dit la vérité », a-t-il déclaré aux membres du conseil. "C'est plus que la preuve cruciale que les détectives adorent dans les superproductions hollywoodiennes. Il s'agit d'un principe fondamental de justice : tout est entre vos mains et nous pouvons clarifier cela aujourd'hui."
L'ONU elle-même ne peut ni confirmer ni infirmer le sabotage. Elle attend les résultats de l'enquête nationale, a indiqué le secrétaire général adjoint. Les spéculations doivent être évitées.
https://tkp.at/2023/02/22/un-sicherheitsrat-zu-nord-stream-anschlag-russland-will-entschaedigung-und-unabhaengige-untersuchung/
Perspectives de la guerre d'Ukraine - une tentative de comparaison
RépondreSupprimer22 février 2023
par Andrea Drescher
La première victime de la guerre est la vérité, disent-ils. Il n'est donc guère possible de trouver la « seule » vérité dans le différend entre la Russie et l'Ukraine. Les journalistes Billy Six et Thomas Röper étaient tous les deux là et montrent des perspectives complètement différentes sur cette vérité.
Thomas Röper se rend régulièrement en Orient et en rapporte d'un point de vue plus russe, sans suivre aveuglément une idéologie. Billy Six a travaillé dans l'ouest de l'Ukraine et y transmet plutôt le point de vue sans être un partisan de l'OTAN.
Qu'est-ce qui les relie tous les deux ? Dans leurs rapports, les deux parlent à plusieurs reprises des victimes de la guerre, les deux sont maintenant sur la liste des morts de Mirotworez en Ukraine, les deux recherchent des informations véridiques et les deux restent – à mes yeux – fidèles à eux-mêmes. C'est pourquoi les deux étaient disposés à traiter du contenu de la vérité de l'autre.
Soit dit en passant, le livre recommandable INSIDE CORONA est de Thomas Röper , dans lequel l'histoire de la pandémie est retracée dans les moindres détails et les ONG derrière elle, les fondations des oligarques et celles-ci elles-mêmes sont nommées.
Modéré par Robert Stein, Nuoviso a publié sa discussion de fond, que quiconque souhaite se forger sa propre opinion devrait consulter. Et non : il n'y a pas eu de « coups et poignardés », même si le titre de l'émission est « Röper vs Six : Ukraine – Une dispute ». C'est un discours factuel de deux personnes aux points de vue différents, dont le but commun est la recherche de la vérité et qui sont disposées à s'écouter.
- voir clip sur site:
https://tkp.at/2023/02/22/perspektiven-des-ukraine-kriegs-der-versuch-eines-abgleichs/
Billet du matin : ne serait-il pas temps de se secouer un peu ?
RépondreSupprimerpar Karine Bechet-Golovko à 10:37
mercredi 22 février 2023
Toutes les guerres sont sales, certainement. Lorsque les enjeux sont existentiels, il semble que les forces politiques soient prêtes à n'importe quoi pour emporter une victoire, qui fera oublier les moyens. Et l'armée atlantico-ukrainienne, joue l'existence du monde global, elle ne peut pas se permettre une défaite. Alors à la guerre comme à la guerre, le recours aux armes chimiques et tirer en profondeur sur des cibles civiles sont une stratégique, qui ne dérange absolument pas les dirigeants atlantistes, d'autant plus que les médias dociles n'en disent pas un mot et laissent les populations dormir en paix. La Russie doit passer à un rythme supérieur, si elle ne veut pas se faire enliser, dans un conflit de longue durée, qui utilise la normalité comme un chloroforme quotidien.
Les nouvelles armes fournies par les pays de l'OTAN commencent à produire leur effet : elles permettent de tirer plus en profondeur sur le territoire russe, ce qui se voit déjà dans la région de Donetsk :
"L'armée ukrainienne aurait utilisé de nouveaux types de munitions pour le MLRS. Des bombardements massifs ont été observés dans un certain nombre de villes de l'arrière du Donbass. La défense aérienne travaillait activement au-dessus de Donetsk. Au total, plus de 30 explosions ont retenti sur le territoire de la RPD.
De plus, Marioupol était attaqué. Selon une source de Readovka, il y a eu plus de 15 explosions dans la ville. Très probablement, les forces armées ukrainiennes ont utilisé de nouveaux types d'armes à longue portée, dont la fourniture avait été précédemment annoncée par les États-Unis, puisque Marioupol est situé profondément à l'arrière."
Les villes paisibles sont à nouveau des cibles, les civils sont à nouveau visés par l'Axe atlantiste, car ils ont voulu vivre en Russie.
RépondreSupprimerLa défense aérienne fonctionne, mais la fameuse avancée du front, qui est censée aller de pair avec la fourniture d'armes de plus en plus puissantes par l'Occident, elle, se fait dangereusement attendre. Or, quelle que soit les formules ampoulées utilisées, c'est bien le territoire russe, qui est ici touché. Et aucune réaction particulière de la Russie - militaire, n'est, à ce jour, visible. Au regard des résultats. Sans oublier, que le décalage de plus en plus visible entre les mots et les faits, est une bombe à retardement, difficilement maîtrisable.
La stagnation est évidente, sauf certainement pour ceux qui ne veulent le voir. A ce sujet, un début d'explication avec le commentaire ce matin d'Alexandre Khodakovsky, commandant du célèbre bataillon Vostok, concernant la réduction de l'approvisionnement en armes de Wagner et des armées privées :
"Le problème n'est pas que les unités militairaires privées ont cessé de recevoir des munitions, mais qu'elles ont commencé à en recevoir, comme tout le monde. Franchement, nous enviions les "Wagners" dans le bon sens lorsqu'ils avaient leur propre aviation de première ligne, une indemnité journalière de deux Iskander et un Caliber, lorsqu'ils signaient des demandes de deux mille cinq cents canons pour l'entraînement (!) pratique, quand ils ont été traînés vers eux avec tout le pays des condamnés ... Nous les envions, mais nous comprenions que tout le monde ne recevrait pas un tel approvisionnement - et il donnerait le même résultat qu'eux. Même si le résultat n'est pas seulement lié à la quantité ...
Maintenant, ils sont fournis comme tout le monde, et le plus déprimant n'est pas que leurs normes aient été spécifiquement abaissées aux normes générales, mais que ces normes générales ne leur permettent pas de donner le résultat souhaité. Sous Ugledar, avant l'offensive, l'armée réduisait au minimum la consommation quotidienne, afin d'accumuler un approvisionnement pour au moins le premier jour de l'offensive. Cela ne suffisait évidemment pas à réprimer la résistance de l'ennemi et les conséquences ne se firent pas attendre."
Nous sommes assez loin d'une stratégie d'offensive terrestre. Et il est difficile, autrement, de faire reculer le front, de contrôler le territoire et de protéger les populations et les territoires. Il est impossible autrement de libérer le territoire russe, qui se trouve aujourd'hui occupé, au regard du droit national - à moins de relativiser la valeur de la Constitution russe et donc de l'étaticité.
Ces demi-mesures sont assez surprenantes, surtout qu'en face tous les moyens sont bons. Et les moyens les plus sales sont particulièrement appréciés. Ainsi, les armes chimiques sont de retour dans ce conflit et il semblerait qu'elles soient régulièrement utilisées contre l'armée russe. Au début du mois, Pouchiline, le dirigeant de la région de Donetsk, avait lancé l'alerte en déclarant que dans la direction d'Ugledar et d'Artemovsk, les forces atlantico-ukrainiennes utilisaient des drones pour larguer des armes chimiques. Le Comité d'enquête de la Fédération de Russie a alors ouvert une enquête pénale sur ce sujet et a noté la présence de symptômes d'intoxication chez les militaires russes exposés.
RépondreSupprimerOr, il ne s'agit pas d'une utilisation ponctuelle, mais d'une stratégie militaire régulière. En fin de semaine dernière, l'armée atlantico-ukrainienne a de nouveau largué des armes chimiques :
"Des militairs ukrainiens ont largué des munitions contenant une substance toxique inconnue sur les positions des troupes russes en direction d'Ugledar, a déclaré l'armée russe à RIA Novosti"
- voir photo sur site -
Pendant ce temps, Biden en Pologne accuse la Russie de commettre des horreurs, de faire plonger l'Europe dans la brutalité, et promet d'entraîner l'Europe toujours plus loin, jusqu'au combat ultime :
Biden a promis que les États-Unis et leurs alliés de l'OTAN resteraient inébranlables. "Notre soutien à l'Ukraine ne faiblira pas, l'OTAN ne sera pas divisée et nous ne nous fatiguerons pas".
Rappelant que le conflit est loin d'être terminé. S'il faut en effet tenir sur la durée, si la Russie est en effet confrontée à une coalition d'une véritable puissance militaire, politique et idéologique, cela ne doit pas être une raison de ralentissement, d'économie de soi et de fuite en avant vers une normalité sociale totalement décalée de la réalité du front, mais dont on attend un patriotisme sans frein - tout en étant parfaitement maîtrisable.
Si la Russie ne passe pas à la vitesse supérieure, elle ne pourra pas reprendre l'offensive et donc l'initiative et s'épuisera dans des réponses tactiques, sans maîtriser le déroulement du conflit.
http://russiepolitics.blogspot.com/2023/02/billet-du-matin-ne-serait-il-pas-temps.html
La Chine se dit prête à "unir ses forces avec la Russie" pour "défendre les intérêts nationaux" alors que Poutine confirme la visite de Xi
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 22 FÉVRIER 2023 - 16:00
Malgré tous les derniers avertissements répétés de Washington à Pékin contre la coopération stratégique ou militaire avec Moscou, la Chine s'engage maintenant à « unir ses forces » avec la Russie, partenaire « partageant les mêmes idées », pour défendre les intérêts nationaux. La déclaration est intervenue à la fin de la première journée du voyage du directeur du Bureau de la Commission des affaires étrangères du Comité central du Parti communiste chinois Wang Yi à Moscou.
"La République populaire de Chine est prête à unir ses forces à celles de la Russie pour défendre résolument les intérêts nationaux et promouvoir une coopération mutuellement bénéfique dans tous les domaines", a déclaré M. Wang lors d'une rencontre avec le secrétaire russe du Conseil de sécurité, Nikolay Patrushev. Mercredi, il a rencontré le président russe Vladimir Poutine lors de ce qui a semblé être une visite chaleureuse et coopérative.
"Lors d'une réunion virtuelle à la fin de l'année dernière, nos dirigeants [Xi Jinping et Vladimir Poutine] ont élaboré un plan de développement ultérieur des relations bilatérales. Nous sommes prêts à unir nos forces avec la partie russe, conformément à l'accord de haut niveau accords, pour défendre résolument les intérêts et les vertus nationales et promouvoir une coopération mutuellement bénéfique dans tous les domaines", a indiqué le communiqué du diplomate chinois.
Il a ajouté que la Chine "avec tous les partenaires partageant les mêmes idées, promouvra davantage le développement de l'ordre international dans le sens d'un développement équitable".
"Il est nécessaire de libérer le potentiel de ce mécanisme, et il est également nécessaire de développer de nouvelles étapes d'interaction stratégique en fonction de l'évolution de la situation afin de fournir les garanties nécessaires au développement national", a ajouté M. Wang. "Je veux m'associer pleinement à votre appréciation de la coopération stratégique entre les deux pays."
Les déclarations positives et élogieuses au cours de la visite de haut niveau surviennent à un moment crucial où Moscou a besoin d'un soutien puissant dans son coin qui détient également un siège au conseil de sécurité nationale. La guerre en Ukraine est à quelques jours d'atteindre sa marque d'un an depuis le début de l'invasion.
Le Kremlin a salué la position de Wang en réponse, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov saluant "la position équilibrée de la Chine sur la question ukrainienne". Il a en outre déclaré que "la nôtre et la vision de la Chine sont sensiblement les mêmes" concernant la crise.
RépondreSupprimerCependant, il sera intéressant de voir si d'autres détails sur l'Ukraine ont émergé du côté chinois. Jusqu'à présent, Wang semble avancer la ligne officielle du parti qui a été quelque peu ambiguë, même lorsqu'il a déclaré à Moscou que la Chine maintiendrait sa "position objective et impartiale" sur la crise ukrainienne. À cette fin, il a déclaré que la Chine « apprécie la volonté de la Russie de résoudre la crise par des négociations », selon TASS.
Pékin a récemment exprimé son souhait que les parties belligérantes parviennent à un règlement pacifique négocié en Ukraine. Cela pourrait être l'objet du prochain voyage du président Xi Jinping en Russie. Alors que la nouvelle du futur voyage a éclaté mardi, le président Poutine a confirmé mercredi que cela se produira - une première symbolique très significative depuis l'invasion de l'Ukraine.
"Nous nous attendons à ce que le président de la République populaire de Chine se rende en Russie. Nous nous sommes mis d'accord sur cela plus tôt", a déclaré Poutine en accueillant Wang Yi au Kremlin. Les dirigeants russes ont salué les "nouvelles frontières" que les deux pays sont en train de forger ensemble :
Le président Vladimir Poutine a déclaré mercredi que le chinois Xi Jinping se rendrait en Russie, affirmant que les relations avaient atteint de "nouvelles frontières" alors que les États-Unis craignaient que Pékin puisse fournir un soutien matériel à l'invasion russe de l'Ukraine.
"Nous comprenons que [la Chine] a un agenda politique intérieur, mais nous supposons que lorsque nous abordons toutes les questions liées à cet agenda - avec l'Assemblée populaire nationale, qui est composée de députés chinois, qui doivent également résoudre de graves problèmes de personnel - nous mettrons également en œuvre nos projets de rencontres personnelles, ce qui donnera un élan supplémentaire à nos relations", a ajouté le président russe. Un calendrier précis n'a pas encore été rendu public, mais les décideurs politiques américains ainsi que le reste de l'OTAN et d'autres membres du Conseil de sécurité de l'ONU surveilleront sans aucun doute de près.
Pendant ce temps, Poutine passe à l'offensive contre ses ennemis proches et lointains...
RépondreSupprimerEt concernant les commentaires de Zelensky la veille sur la perspective d'une troisième guerre mondiale compte tenu de l'approfondissement des relations Moscou-Pékin...
* * *
Rabobank présente le plan de paix proposé par la Chine pour l'Ukraine dans l'analyse ci-dessous :
Dans le même ordre d'idées, vendredi verra le plan de paix proposé par la Chine pour l'Ukraine. Toute tentative de ce genre devrait être applaudie, mais la question est de savoir à quelles conditions. Les observateurs occidentaux restent sceptiques quant au fait que le plan verra des détails concrets, tandis que des rumeurs circulent également selon lesquelles la Chine pourrait menacer de faire pour la Russie ce que les États-Unis font pour l'Ukraine, amplifiées par la nouvelle que Xi Jinping se rendra bientôt à Moscou.
Logiquement, en supposant que la Chine ne va pas se débarrasser de la Russie, ce qu'elle ne fera pas, il y a peu de résultats potentiels :
La Chine n'offre rien de nouveau. Cependant, cela soulignerait qu'il reste un spectateur se faisant tirer dessus par la Maison Blanche, qui vient d'avertir que les entreprises chinoises qui tentent de contourner les sanctions contre la Russie subiront des "répercussions" : comme celles interdisant l'écoulement du pétrole iranien ?; ou
La Chine « intensifie pour désamorcer » avec une menace implicite de soutenir la Russie, auquel cas :
Les États-Unis acceptent un accord grandiose pour descendre et diviser l'Ukraine. Cela signifierait un recul occidental à une échelle historique qui pourrait faire boule de neige dans une partition plus large de l'architecture géopolitique et géoéconomique - et les États-Unis ne le voudront pas. Pourtant, cela permettrait également aux États-Unis de pivoter vers Taiwan - et la Chine ne le voudra pas ; ou
Les États-Unis réagissent comme si "la Chine venait d'acheter un billet pour le Titanic après avoir vu le film", et l'architecture géopolitique et géoéconomique vole en éclats.
En bref, la probabilité la plus logique est que ni le plan de paix chinois ni la prochaine visite de Xi à Moscou n'apportent quoi que ce soit de nouveau. Auquel cas, l'escalade ukrainienne, l'inflation et la polarisation mondiale, c'est le cas. Pourtant, le fait que nous ayons une guerre en Ukraine devrait souligner que les gros risques sont encore pires - un scénario que nous avions initialement signalé dans notre rapport sur la métacrise en Ukraine au début de 2022.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/china-says-ready-join-forces-russia-defend-national-interests-putin-confirms-xi-visit
L'union Russe et chinoise est confirmée afin d'empêcher toute guerre mondiale où les attaquants seraient détruits dans les minutes qui suivent
SupprimerLe service de gondole s'est arrêté à Venise alors que de célèbres canaux s'assèchent
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 22 FÉVRIER 2023 - 11:45
Une partie du vaste réseau de canaux de Venise s'est asséchée après des marées exceptionnellement basses et des conditions de sécheresse. La ville flottante est construite au milieu de la lagune vénitienne à la tête de la mer Adriatique dans le nord de l'Italie. Les petits canaux asséchés signifient que certaines gondoles et bateaux-taxis sont bloqués.
Venise est généralement sujette aux inondations, mais une combinaison de facteurs, notamment le manque de pluie, un système à haute pression, la pleine lune et les courants d'eau, a conduit à l'assèchement des canaux, selon Reuters.
Les rivières et les lacs italiens souffrent d'un grave manque d'eau, a déclaré lundi le groupe environnemental Legambiente, l'attention étant concentrée sur le nord du pays.
Le Pô, le plus long fleuve d'Italie qui s'étend des Alpes au nord-ouest jusqu'à l'Adriatique, a 61% moins d'eau que la normale à cette période de l'année, a-t-il ajouté dans un communiqué. --Reuters
Plusieurs photos et vidéos ont été publiées sur Twitter, montrant des canaux asséchés.
🚨| NOUVEAU: Des photos montrent des gondoles au sol et des touristes misérables à Venise alors que les canaux s'assèchent en raison de la sécheresse et de la marée basse‼️ pic.twitter.com/by2K1lQwSJ
– Pubity (@PubityIG) 21 février 2023
Les voies navigables de Venise s'assèchent alors que l'Italie se prépare à une autre année de grave sécheresse
L'hiver sec en Italie fait suite à une sécheresse exceptionnelle l'année dernière qui a amené le pays à déclarer l'état d'urgence pour les zones agricoles critiques entourant son plus long fleuve. pic.twitter.com/BW5ureV2xg
– objectif d'actualité (@gazzettanews1) 21 février 2023
Reuters a noté qu'il est impossible de traverser certains des canaux de la ville en gondoles et en bateaux-taxis.
RépondreSupprimer😳😳😢Les gondoles, les bateaux-taxis et les ambulances ne peuvent pas se déplacer librement dans la ville en raison de l'assèchement des canaux à Venise
The Guardian écrit à ce sujet.
La raison d'une sécheresse aussi anormale dans la ville, les experts citent notamment les marées basses, le manque de pluie, une baisse de... pic.twitter.com/Gczky8B1iF
— 🇺🇦 CA Tim Gravett 🇨🇦 🍁🇺🇸🇺🇦 (@TimGravett) 21 février 2023
Surveillez l'eau.
Venise. pic.twitter.com/Y2oAx9n0Wm
– Jabobfre likke (@541patriot) 11 février 2023
Dans les petits canaux, il n'y a que de la boue. Dans les grands canaux, les niveaux d'eau sont peu profonds. Le nord de l'Italie a désespérément besoin d'eau après la pire sécheresse de l'année dernière en 70 ans :
"Nous sommes dans une situation de déficit hydrique qui s'est accumulé depuis l'hiver 2020-2021", a déclaré le climatologue Massimiliano Pasqui de l'institut de recherche scientifique italien CNR, cité par le quotidien Corriere della Sera.
"Nous devons récupérer 500 millimètres dans les régions du nord-ouest : nous avons besoin de 50 jours de pluie", a ajouté Pasqui.
Étonnamment, Reuters n'a pas mentionné le réchauffement climatique d'origine humaine pour les problèmes d'eau de Venise. Au lieu de cela, ils ont dit :
Un anticyclone domine le climat en Europe occidentale depuis 15 jours, apportant des températures douces plus normalement observées à la fin du printemps. Les dernières prévisions météorologiques signalent cependant l'arrivée de précipitations et de neige indispensables dans les Alpes dans les prochains jours.
Venise pourrait utiliser une partie de l'eau de la fonte des glaces de l'Arctique contre laquelle Greta Thunberg et son gang d'alarmistes climatiques mettent en garde à plusieurs reprises.
https://www.zerohedge.com/weather/gondola-service-halted-venice-famous-canals-run-dry
Les cultures irriguées responsables de l’assèchement des puits
RépondreSupprimerPar Grain
Mondialisation.ca,
22 février 2023
« Trop de pluie, mais pas assez d’eau », titrait récemment un article au sujet des pluies torrentielles qui ont frappé la Californie en décembre dernier. L’État américain avait grandement besoin de cette pluie, mais, comme le souligne l’article, c’était loin de suffire à le sauver de la grave sécheresse qui touche la région. Au contraire, les principaux réservoirs de la Californie demeurent en-deçà de la moyenne pour cette période de l’année. Les ressources hydriques de la rivière Colorado, qui irrigue la Californie ainsi que six autres États de l’ouest des États-Unis, sont plus limitées encore, l’un des lacs qui alimentent la rivière connaissant son niveau le plus bas depuis un siècle. Par ailleurs, 64 pour cent des puits d’eau souterraine de l’État présentent des niveaux inférieurs à la normale.
Mais le problème ne se limite pas à la sécheresse. Les soucis d’approvisionnement en eau en Californie proviennent principalement de l’essor, rapide et massif, de la production industrielle de légumes, fruits à coque et produits laitiers, pour la plupart destinés à l’exportation vers le reste du pays. Les immenses laiteries industrielles californiennes et autres exploitations industrielles utilisent également des quantités d’eau astronomiques. Cette production industrielle dépend de l’eau utilisée pour l’irrigation, qui provient en grande partie des eaux souterraines de l’État. À titre d’exemple, la superficie occupée par les amandiers, très gourmands en eau, a presque doublé au cours de la dernière décennie. Des scientifiques ont calculé que, depuis 2019, le niveau d’épuisement des eaux souterraines s’est aggravé de près d’un tiers par rapport aux deux dernières sècheresses. Comme le dit Tom Philpott dans son excellent ouvrage Perilous Bounty[1] : « Fondamentalement, l’inextinguible soif des exploitations dont nous dépendons pour remplir les rayons de nos supermarchés a été telle que, même les années pluvieuses, celles-ci ont systématiquement surexploité les ressources en eau relativement modestes de la Californie ».
La chute du niveau des eaux souterraines californiennes qui en découle ont plusieurs conséquences désastreuses. En 2022, plus de 1400 puits asséchés ont été signalés dans l’État, un nombre record depuis que les autorités ont commencé à les recenser en 2013. Si l’on veut continuer à utiliser les eaux souterraines, il va falloir creuser plus profondément. L’épuisement des nappes phréatiques entraîne l’affaissement de certaines parties du sol dans la Vallée Centrale de Californie. À mesure que le niveau d’eau baisse, des espaces se créent sous terre, parmi les couches de gravier, de sable et d’argile, ce qui cause des effondrements et réduit à jamais la capacité de rétention d’eau des nappes phréatiques. À certains endroits de la vallée, le sol s’enfonce d’environ 30 cm par an, ce qui a endommagé les canaux et les puits. En s’affaissant et en devenant plus compact, le sol ne peut plus retenir l’eau et devient impropre à l’agriculture.
Le tarissement des eaux souterraines n’est pas l’apanage de la Californie. Il s’agit d’un phénomène mondial que l’on observe dans la plupart des grandes zones agricoles irriguées. Selon une étude, la superficie mondiale touchée par l’épuisement des eaux souterraines a plus que doublé entre 1960 et 2000, un phénomène qui s’est encore accéléré depuis. D’autres équipes de recherche estiment qu’un tiers des principales nappes phréatiques sont désormais menacées. « Ce qui est alarmant, c’est que plus de la moitié des principales nappes phréatiques se tarissent. On a dépassé un seuil critique au-delà duquel leur durabilité n’est plus garantie, et un tiers de ces importantes nappes phréatiques (13 au total), sont gravement menacées », a déclaré Jay Famiglietti, co-auteur de cette étude. Selon cette même étude, deux des régions les plus densément peuplées au monde, le nord de l’Inde et le nord de la Chine, connaissent un grave épuisement de leurs eaux souterraines. Trois cas sont particulièrement remarquables : les nappes phréatiques du Gange et du Bassin de l’Indus (tous deux situés en Inde), et celles du nord de la Chine. Comme partout ailleurs dans le monde, la surexploitation de l’eau pour l’irrigation constitue la cause principale de ce problème, et le changement climatique ne fait qu’aggraver la situation. Dans la région du Pendjab, épicentre de la Révolution verte, les agriculteurs et agricultrices ont pu constater une baisse du niveau des eaux souterraines allant jusqu’à un mètre par an, les contraignant à creuser leurs puits à plus de 60 mètres de profondeur ces dernières années. L’accentuation particulièrement préoccupante du phénomène d’épuisement des eaux souterraines ce siècle dernier est illustrée dans le diagramme ci-dessous.
RépondreSupprimer- voir sur site -
Graphique : estimation du niveau d’épuisement des eaux souterraines dans le monde entre 1900 et 2008. Source : Jean Margat & Jac van der Gun, “Groundwater around the world, a geographical synopsis”[2], 2013, p 136
À l’échelle mondiale, la superficie des terres irriguées a doublé entre 1950 et 1980, une croissance qui s’est poursuivie à un rythme soutenu depuis lors. L’un des facteurs principaux à l’origine de cette hausse considérable a été la Révolution verte, qui a fait se propager dans le monde entier de nouvelles variétés de blé, de riz et de maïs très gourmandes en eau. Mais c’est aussi l’époque où, sous la pression de la Banque mondiale, du FMI et d’autres agences, les pays du Sud ont commencé à se concentrer sur les cultures destinées à l’exportation. Or, la plupart de ces cultures nécessitent d’importantes quantités d’eau pour pousser. Tandis que le maïs a besoin de 500 à 900 mm d’eau pour une saison de végétation, le coton lui a besoin de 700 à 1300 mm, et certaines cultures, telles que la canne à sucre ou encore les bananes nécessitent de 1200 à 2500 mm. Pis encore, pour produire un kilo de viande de bœuf, les vaches ont besoin de pas moins de 15 000 litres d’eau !
On entend aujourd’hui fréquemment parler d’importation et d’exportation « d’eau virtuelle » lorsque l’on évoque la vente de marchandises agricoles. Néanmoins, l’eau entre rarement en compte dans les décisions prises au sujet d’importations et d’exportations de denrées alimentaires. Par exemple, le volume d’eau total nécessaire à la production de riz en Inde, en Thaïlande, au Pakistan et au Vietnam place ces pays à la première place des exportateurs d’eau virtuelle, alors que les agriculteurs et agricultrices de ces mêmes pays se heurtent à de graves problèmes d’accès à l’eau et de baisse des niveaux d’eau. Si ces pays continuent à exporter leur eau virtuelle à ce rythme, ils pourraient bientôt en manquer pour continuer à exporter ou, pire encore, pour produire suffisamment de riz pour nourrir leur propre population.
RépondreSupprimerUne autre facette de l’irrigation excessive est son impact sur les zones naturelles environnantes. La réserve naturelle de Doñana, située au sud de l’Espagne, en est le parfait exemple. Doñana est la plus grande zone humide d’Europe, constituée de plus de 100 000 hectares de lagunes et de marécages où des centaines de milliers d’oiseaux migrateurs viennent chaque année se reposer. Au cours des dernières décennies, la zone entourant la réserve a connu une formidable expansion des cultures de fraises et de myrtilles. Entre 1982 et 2000, la superficie des terres dédiées à la culture des fraises a été multipliée par six et les serres s’étendent aujourd’hui sur environ 6000 hectares. Étant donné qu’il s’agit également de l’une des régions les plus arides d’Europe, l’agriculture dans cette zone est fortement tributaire de l’irrigation provenant des aquifères sous-jacents, ce qui donne lieu actuellement au dessèchement du parc de Doñana et fait peser une menace sur l’écosystème de la zone humide, et par-là même les oiseaux qui en dépendent. Certes, la région caracole en tête des régions productrices de fraises en Europe, et également des exportateurs mondiaux, néanmoins, avec la cadence à laquelle elle épuise ses ressources en eau, il est peu probable qu’elle conserve la première marche du podium pour bien longtemps encore.
À quelques centaines de kilomètres à l’est se trouve la province d’Alméría et ses immenses serres qui fournissent à l’Europe la plupart de ses légumes verts d’hiver. Cette vaste étendue de 40 000 hectares est une véritable « mer de plastique » et abrite la plus grande superficie de serres au monde. Il s’agit également de l’une des zones les plus arides d’Europe et la consommation des serres en eau est 4 à 5 fois supérieure au volume annuel des précipitations. Afin d’accéder à l’eau, les agriculteurs et agricultrices doivent creuser des puits profonds pour atteindre les eaux souterraines, qui représentent 80% de l’eau utilisée dans le secteur agricole. Par ailleurs, non seulement les nappes phréatiques se tarissent mais leur qualité se voit également dégradée. L’augmentation spectaculaire à la fois de la salinité des eaux souterraines causée par l’intrusion d’eau de mer (un phénomène courant dans les nappes phréatiques côtières surexploitées) et de la concentration en nitrates, due au ruissellement des engrais, suscitent des inquiétudes quant à la biodiversité locale et la qualité de l’eau potable. Là encore, beaucoup s’interrogent sur la pérennité du miracle des légumes d’Almería.
Certains pays dépendent de ce que l’on appelle les « eaux fossiles », il s’agit essentiellement d’eaux souterraines présentes dans les nappes phréatiques depuis des milliers voire des millions d’années. Elles sont considérées comme non renouvelables car elles ne peuvent être réalimentées. L’Arabie Saoudite fait partie de ces pays. Au milieu des années 1980, le pays s’est lancé dans un ambitieux projet agricole consistant à cultiver des plantes dans ses zones désertiques en ayant recours à l’eau fossile située en profondeur sous le sable, à l’aide de systèmes d’irrigation à pivot central dans le bassin aride de Wadi Sirhan, située au nord-ouest du pays. Le désert saoudien s’asseyait alors sur environ 500 milliards de mètres cubes d’eau fossile. Néanmoins, on estime que, ces dernières années, 21 milliard de mètres cubes ont été prélevés annuellement afin de soutenir l’agriculture intensive moderne. Selon une étude préliminaire, 80 % de cette eau fossile aurait disparu depuis déjà un long moment.
RépondreSupprimerContraint de trouver une nouvelle solution, le pays a entrepris de chercher des terres arables ailleurs, principalement en Afrique, afin de produire de la nourriture destinée à être exportée vers l’Arabie Saoudite, ce qui a engendré une ruée massive d’envergure mondiale sur les terres agricoles, entraînant dans son sillage le déplacement d’agriculteurs, agricultrices, d’éleveurs et éleveuses en Afrique et ailleurs. L’Arabie Saoudite et d’autres États du Golfe poursuivent leurs recherches dans d’autres régions du monde, en quête d’une zone offrant un accès à l’eau et la possibilité d’installer leurs grandes exploitations agricoles, y compris dans des endroits tels que l’Arizona aux États-Unis, ou encore au Soudan, où l’accès à l’eau est déjà problématique. Un récent documentaire, intitulé The Grab(littéralement : l’accaparement), montre comment l’accès à l’eau pour la production alimentaire est désormais un enjeu géopolitique et sécuritaire majeur.
La tendance actuelle à l’irrigation est souvent présentée comme un moyen de faire face aux précipitations de plus en plus irrégulières dues au changement climatique. Toutefois, l’eau doit venir de quelque part et, pour irriguer, il faudra nécessairement en prélever dans les lacs, les retenues d’eau et les nappes phréatiques. Cela pourrait alors exacerber les conflits liés à l’eau, déjà aggravés par le changement climatique, et mener aux fameuses guerres de l’eau.
De toute évidence, utiliser l’eau pour irriguer des cultures destinées à l’exportation est une hérésie à laquelle il faut mettre un terme, sans quoi nous nous retrouverons réellement sans eau. Il est grand temps de soutenir les techniques culturales locales bien plus durables employées par la paysannerie du monde entier, des techniques soucieuses de la terre, tels que l’assolement, les cultures de couverture et les cultures associées, qui permettent d’économiser l’eau et de préserver la fertilité du sol. Il est par ailleurs urgent d’axer les politiques sur la souveraineté alimentaire pour nourrir les populations, et non pour remplir les poches des sociétés d’import-export.
Notes :
[1] Livre non traduit en français.
[2] Livre non traduit en français.
https://www.mondialisation.ca/les-cultures-irriguees-responsables-de-lassechement-des-puits/5675314
(...) Tandis que le maïs a besoin de 500 à 900 mm d’eau pour une saison de végétation, le coton lui a besoin de 700 à 1300 mm, et certaines cultures, telles que la canne à sucre ou encore les bananes nécessitent de 1200 à 2500 mm. Pis encore, pour produire un kilo de viande de bœuf, les vaches ont besoin de pas moins de 15 000 litres d’eau ! (...)
SupprimerJe vous rassure une vache de 15 tonnes n'existe pas ! Elle... rejette l'eau ! Cà alors !!
Depuis toujours l'eau qui sort aux sources de montagnes et remplit les nappes phréatiques provient exclusivement des infiltrations d'eaux de mers et océans en fond de bassins.
Tous les jours il y a des tremblements de terre (78 % sous les mers & océans et 22 % sous terre) qui défont ou refont des galeries d'acheminements d'eaux en provenance du magma.
Mais il y a des particularités autorisées par divers gouvernements d'en changer la nature des choses en acceptant par exemple que des explosions aient lieu sous terre afin de concentrer le gaz de shiste pour qu'il puisse être soutiré. Ces explosions ferment des conduites souterraines mais n'en ouvrent pas ! Or, ces boyaux qui sont formés entre roches mesurant parfois des milliers de kilomètres ! Ce qui peut rendre une sécheresse mondiale et pousser les population à la famine.
L'eau ne manquera jamais. Il n'y a pas une seule goutte d'eau en plus ou en mois sur notre planète depuis des milliards d'années.
Il est possible à moindre coût de dessaler l'eau de mers mise en casserole sur le feu en récupérant la vapeur. Cette eau est pure, sans goût ni couleur, ni odeur ni bactérie.
Le Royaume-Uni rationne les produits alors que le pays est aux prises avec une grave pénurie de tomates et d'autres légumes
RépondreSupprimerMercredi 22 février 2023
par : Cassie B.
(Natural News) Le Royaume-Uni connaît actuellement une grave pénurie de tomates, et les experts ont averti que d'autres fruits et légumes seront bientôt difficiles à obtenir également.
Les problèmes de transport et le mauvais temps en Europe et en Afrique ont rendu les tomates presque introuvables dans les supermarchés britanniques ces dernières semaines. En particulier, les fournisseurs de tomates ont imputé les conditions météorologiques défavorables au Maroc et en Espagne à la pénurie actuelle.
La plupart des tomates que les Britanniques consomment pendant les mois d'hiver proviennent de ces pays, et les deux ont été touchés par un temps chaud qui a eu un impact sur les rendements des cultures, suivi d'une vague de froid qui a entraîné des temps de croissance plus longs. Dans le même temps, de fortes pluies ont également entraîné des perturbations dans les transports qui empêchent les tomates d'atteindre le Royaume-Uni.
Le problème est aggravé par le fait que les producteurs de tomates britanniques ont planté moins de cultures et le font plus tard que d'habitude en réponse à la flambée des prix de l'énergie, ce qui a repoussé le début de la saison au Royaume-Uni et a donc accru leur dépendance à l'égard des importations.
Un grossiste fournissant des écoles, des cafés et des restaurants dans le sud-ouest de l'Angleterre, la société Heritage Fine Food, a déclaré sur son site Web que l'approvisionnement en tomates est actuellement "incroyablement difficile". Il a ajouté que les concombres sont « incroyablement limités en approvisionnement » pour le moment, tandis que de nombreux poivrons ne mûrissent pas.
Le directeur de l'alimentation et de la durabilité du British Retail Consortium représentant les supermarchés britanniques, Andrew Opie, a déclaré: «Les conditions météorologiques difficiles dans le sud de l'Europe et l'Afrique du Nord ont perturbé la récolte de certains fruits et légumes, dont les tomates.
"Cependant, les supermarchés sont aptes à gérer les problèmes de chaîne d'approvisionnement et travaillent avec les agriculteurs pour garantir que les clients puissent accéder à une large gamme de produits frais."
Plusieurs chaînes de supermarchés britanniques populaires ont commencé à rationner les légumes pour faire face aux pénuries actuelles et imminentes. Par exemple, Morrisons limitera les clients à l'achat de seulement deux articles lorsqu'ils achètent de la laitue, des concombres, des poivrons et des tomates.
Son concurrent Asda a imposé une limite de trois par client dans toutes les catégories, notamment la laitue, les concombres, les tomates, les poivrons, les framboises, le chou-fleur, le brocoli et les sacs de salade. D'autres supermarchés du pays prévoient des mesures similaires.
Le Brexit est-il responsable de la pénurie alimentaire au Royaume-Uni ?
Certaines personnes blâment le Brexit pour la situation actuelle, le groupe de campagne Stay European soulignant que l'Espagne et d'autres pays de l'UE ne connaissent pas de pénurie de tomates. Ils ont lancé un défi ouvert aux utilisateurs des médias sociaux pour envoyer des photos de produits frais rationnés d'ailleurs dans l'UE, mais jusqu'à présent, rien n'a été signalé.
Bien qu'ils admettent que le temps a effectivement été défavorable en Espagne pour la culture des tomates ces derniers temps, il doit y avoir une autre raison pour laquelle le Royaume-Uni est le seul pays à connaître une pénurie.
"Il n'y a qu'un seul pays qui a un problème, et encore une fois c'est celui qui s'est coupé du reste de l'Europe", ont-ils noté.
RépondreSupprimerL'augmentation des contrôles aux frontières sur les produits entrant dans le pays depuis l'UE depuis le Brexit a entraîné de longs retards et des sauvegardes de ports, et les producteurs européens ont plus de facilité à vendre leurs produits au sein de l'UE en raison de l'absence de barrières commerciales. Il est logique que les fournisseurs disposant de moins de tomates que d'habitude privilégient l'option la plus pratique et la plus rentable de vendre à l'intérieur des frontières de l'UE plutôt que d'exporter vers le Royaume-Uni.
Le seul point positif est le fait que la saison de croissance approche pour les producteurs britanniques. Cela devrait contribuer à atténuer les pénuries à long terme. En attendant, les Britanniques peuvent faire face à la pénurie alimentaire en se concentrant sur les légumes qui sont actuellement de saison là-bas et plus largement disponibles, comme le chou frisé, les choux de Bruxelles, les poireaux et le chou de Milan.
Les sources de cet article incluent :
Express.co.uk
MurciaToday.com
Standard.co.uk
https://www.naturalnews.com/2023-02-22-uk-rationing-produce-severe-shortages-tomatoes.html
Les fausses entreprises de viande échouent alors que les consommateurs abandonnent les alternatives végétales transformées à la vraie viande
RépondreSupprimerMercredi 22 février 2023
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Les fausses entreprises de viande échouent, car la majorité des consommateurs qui choisissent de manger de la viande abandonnent la contrepartie cultivée en raison des prix élevés, du goût décevant et des avantages douteux.
En 2020, les ventes au détail de fausses viandes à base de plantes ont augmenté de 45 % et ont dépassé pour la première fois la barre du milliard de dollars, alors que de plus en plus de consommateurs ont pris conscience de l'existence d'entreprises comme Beyond Meat et Impossible Foods. (Connexe: les fausses entreprises de viande soutenues par Bill Gates au bord de l'effondrement financier.)
D'autres facteurs, notamment les pénuries de viande, la disponibilité d'argent supplémentaire à dépenser pour les viandes cultivées et la nouveauté de manger des substituts de viande à base de plantes ont également stimulé les ventes. Mais les choses ont changé depuis lors, et les deux principales entreprises de fausse viande susmentionnées s'effondrent.
En décembre, les ventes des supermarchés de produits carnés à base de plantes réfrigérés ont chuté de 14 % par rapport à 2021. Les commandes de hamburgers à base de plantes dans les points de restauration ont également chuté de 9 % en novembre par rapport aux niveaux de 2019.
Face à ce ralentissement, Beyond Meat – dont le cours de l'action a également chuté de près de 75 % en 2022 – a licencié 20 % de ses effectifs en 2022. En octobre, Impossible Foods a licencié 6 % de ses employés, puis a annoncé fin janvier un autre licenciement massif, réduisant les effectifs de l'entreprise de 20% supplémentaires.
"Nous avons pris des mesures … pour positionner notre entreprise pour une croissance durable et équilibrée à long terme en alignant davantage nos coûts sur nos revenus, ce qui comprend la réduction de nos effectifs", a déclaré un porte-parole d'Impossible Foods. « Nous restons confiants dans la force de notre entreprise et dans notre croissance future, et nous sommes reconnaissants à tous les employés talentueux et dévoués qui ont contribué à notre mission.
Si les consommateurs veulent manger de la viande, ils préfèrent la vraie viande
Les résultats de plusieurs enquêtes suggèrent fortement que le nombre d'Américains végétariens ou végétaliens est resté stable à environ cinq à six pour cent. Cela signifie que la flambée des ventes de fausse viande ne s'est pas accompagnée d'une augmentation similaire du nombre d'Américains qui évitent la viande dans leur alimentation.
Brian Yarbrough, analyste en recherche sur les consommateurs à la société d'études financières et de marché Edward Jones, a noté que les viandes à base de plantes ne collent tout simplement pas avec de nombreux consommateurs.
"[C'est] un excellent produit pour un petit sous-ensemble de la population… [mais une] vente difficile pour la plupart des consommateurs", a-t-il déclaré.
RépondreSupprimerDe nombreux Américains qui ont essayé la viande végétale affirment que son goût est décevant et ne se rapproche pas exactement du goût de la viande réelle.
"L'imitation de la vraie viande introduit cette comparaison avec l'authenticité", a noté Steffen Jahn, professeur de marketing étudiant les choix alimentaires des consommateurs à l'Université de l'Oregon. "Ils essaient de l'imiter et disent:" Nous sommes presque réels ". Mais ensuite, certaines personnes diront:" Ouais, mais tu n'es pas vraiment réel. ""
De plus, un nombre croissant de recherches suggèrent fortement que la fausse viande n'est pas plus saine que la vraie viande.
"Personne ne devrait avoir l'illusion qu'il s'agit d'aliments santé", a noté le Dr Michael Greger, fondateur de NutritionFacts.org.
Sara Middleton, rédactrice pour Natural Health 365, a noté qu'il existe de nombreuses raisons valables pour lesquelles les gens adoptent des régimes végétariens ou végétaliens, y compris des préoccupations environnementales et éthiques et des préférences personnelles. Elle a noté que les végétariens et les végétaliens devraient envisager d'éviter les viandes de culture hautement transformées et malsaines.
"Si vous choisissez de suivre un régime végétarien ou végétalien, vous êtes encouragé à éviter les" substituts de viande "hautement transformés et à profiter du palais diversifié et riche en nutriments que les aliments végétaux peuvent vous offrir", a-t-elle déclaré. "La même chose peut être dite, bien sûr, pour les personnes qui souhaitent toujours inclure de la viande et des produits d'origine animale dans leur alimentation - c'est-à-dire éviter les aliments transformés plus nocifs pour la santé, denses en calories et pauvres en nutriments, en particulier les viandes transformées - et ' fausses viandes d'ailleurs.
Apprenez-en plus sur l'industrie de la viande de culture sur FakeMeat.news.
Regardez cet épisode de "Hugo Talks" expliquant comment les fausses entreprises de viande échouent.
Cette vidéo provient de la chaîne The Prisoner sur Brighteon.com.
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RépondreSupprimerLes lignées cellulaires immortalisées utilisées dans les viandes cultivées en laboratoire peuvent causer le CANCER.
Les fausses entreprises de viande s'effondrent en raison de la baisse des ventes et de la réaction anti-réveil.
La FDA déclare le poulet cultivé en laboratoire «sûr à manger» - mais les scientifiques et les défenseurs de la sécurité alimentaire ont des questions.
Bill Gates pousse discrètement la FAUSSE VIANDE soutenue par les mondialistes en investissant dans des entreprises qui la fabriquent.
Bill Gates, Jeff Bezos poussant pour une nouvelle industrie de la viande cultivée en laboratoire qui récolte le sang des fœtus de vache à naître.
Sources include:
NaturalHealth365.com
BusinessInsider.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-02-22-fake-meat-companies-failing-consumers-abandon-alternatives.html
Comme tous plats préparés il est possible d'inclure - dans la fausse viande fabriquée en usines - des nano-particules d'oxyde de graphène.
SupprimerConseils de préparation et d'élevage : 5 animaux à élever sur votre propriété
RépondreSupprimerMardi 21 février 2023
par : Zoey Sky
(Natural News) Les pénuries alimentaires, la flambée des prix de l'essence et une chaîne d'approvisionnement peu fiable peuvent amener les gens à reconsidérer leurs priorités. Et si vous êtes un préparateur qui vit dans une ville surpeuplée, il peut être judicieux de commencer à devenir propriétaire après avoir déménagé dans une zone rurale.
Si vous souhaitez devenir autonome ou essayer un nouveau passe-temps, vous pouvez envisager d'élever des animaux sur votre propriété pour la viande ou les produits laitiers. (h/t à Survivopedia.com)
Alors que les poulets sont le premier choix pour de nombreux fermiers, l'élevage va au-delà des poulets. Voici quelques animaux que vous pouvez élever sur votre ferme pour vous nourrir :
Animaux de pâturage
Au moment de choisir entre les animaux de pâturage, vous pouvez garder une vache ou un mouton. Ce que vous choisirez dépendra de la raison pour laquelle vous avez besoin de l'animal.
Si tu veux du lait, prends des brebis. Les moutons produiront également de la laine que vous pourrez utiliser pour fabriquer vos propres vêtements, que vous pourrez également utiliser pour la production textile comme source de revenus.
Gardez à l'esprit que si vous obtenez beaucoup de moutons, vous devrez vous assurer d'avoir suffisamment d'espace pour accueillir tous les animaux au pâturage.
Vous pouvez également obtenir de l'agneau ou du mouton de brebis, mais tout le monde n'aimera pas le goût du mouton. Si vous n'aimez pas le mouton, il serait peut-être préférable d'élever des vaches car elles produiront plus de viande.
Selon la race, vos vaches peuvent également être une source de lait et de viande.
Si vous avez une petite ferme, un ou deux animaux de pâturage peuvent suffire à votre famille. Cependant, si vous souhaitez élever du bétail à des fins lucratives, vous aurez besoin de plus d'espace pour vos animaux.
Vaches
RépondreSupprimerLes vaches sont le meilleur choix pour votre ferme si votre objectif est d'avoir une source de nourriture. Avant d'acheter une vache, faites vos recherches pour décider quelle race convient le mieux à votre budget, à vos préférences en matière de viande et à votre emplacement.
Les bovins de boucherie les plus populaires sont Angus, Hereford et Texas Longhorn.
Si l'argent est un problème, le nombre de vaches que vous gardez aura un impact sur votre budget de ferme car les coûts d'alimentation augmenteront en fonction du nombre d'animaux que vous avez. Les vaches auront également besoin de suffisamment de pâturage. (Connexe : poulets, vaches et plus : éléments à prendre en compte avant de choisir du bétail pour votre ferme.)
Mouton
Obtenez des moutons comme animaux de départ ou d'entraînement car leurs coûts d'alimentation et d'entretien sont assez faibles.
Contrairement aux bovins, les moutons n'ont pas besoin de clôtures très résistantes, ce qui permet de réduire considérablement vos coûts. Les moutons n'ont pas non plus besoin de mangeoires ou d'abreuvoirs car ils peuvent survivre uniquement sur l'herbe.
Les moutons sont des proies et ils ont tendance à vivre dans des communautés sociales pour fournir une sécurité supplémentaire et une protection contre les prédateurs. Les moutons vivent dans un groupe appelé troupeau et si l'on est séparé de son troupeau, il peut devenir anxieux, nerveux et déprimé car il se sentira vulnérable au danger.
Donnez à votre mouton la tranquillité d'esprit en essayant toujours de le garder avec d'autres moutons ou au moins d'autres animaux d'élevage comme les chèvres.
Si vous envisagez d'acheter des moutons, prévoyez d'en acheter plusieurs pour créer un environnement de troupeau. Idéalement, votre troupeau devrait avoir au moins quatre à cinq moutons pour fournir un cadre de troupeau sécurisé.
L'un des inconvénients de l'élevage des moutons est qu'ils sont plus sensibles aux parasites et aux vers que les bovins. Une infestation pourrait causer de réels dommages aux moutons avant que vous ne puissiez la contrôler.
Canards
RépondreSupprimerLes oies sont également d'excellentes pondeuses. Comme les poulets, les canards sont des oiseaux polyvalents qui vous fourniront de la viande et des œufs.
Si vous ne savez pas quelle race choisir, recherchez les canards de Barbarie. Techniquement pas un canard, les canards de Barbarie ont des descendants d'oies.
Ces canards n'ont pas été hybrides et sont plus sauvages que le canard moyen, mais cela les rend plus autonomes. Ce sont d'excellents butineurs, mais ils peuvent s'envoler si vous ne leur coupez pas les plumes d'une aile.
Un canard de Barbarie peut peser jusqu'à 15 livres et fournir le double de la viande d'un canard ordinaire. Ils ne sont pas aussi productifs que les poulets, mais les œufs que pondent les oies sont plus nutritifs.
Chèvres
Une chèvre laitière miniature est un excellent choix pour de nombreux débutants, car elle nécessite peu d'entretien et fournit du lait.
Les chèvres laitières miniatures sont obtenues en croisant des chèvres naines nigérianes avec des chèvres américaines de race pure. Il existe de nombreuses races parmi lesquelles choisir, mais la race naine nigériane est idéale pour les débutants.
Vous aurez besoin d'un cerf et d'une biche car les biches produiront du lait pour nourrir leurs petits. Ils vont allaiter jusqu'à huit mois après l'accouchement et cela ne les dérange pas de partager leur lait.
Les chèvres naines nigérianes sont une race polyvalente et elles sont très productives même si elles sont petites. Chaque biche produira au moins deux litres de lait par jour.
Avec un mâle et deux femelles, vous aurez plus d'enfants au fur et à mesure que les femelles mettent bas. Si vous souhaitez limiter la reproduction, séparez le mâle des biches. Lorsque le mâle est isolé, il déprime, arrête de manger et peut même mourir, donc un enclos séparé à proximité est souvent préférable.
Vous pouvez garder les chèvres ensemble si vous avez un mâle castré. Les mères sont moins agressives, moins sujettes à l'anxiété de séparation et vivent plus longtemps. Les moutons peuvent tenir compagnie aux femelles ou aux mâles et peuvent être utilisés pour la viande.
Les cochons
RépondreSupprimerSi vous voulez élever des cochons, gardez à l'esprit qu'ils sont plus difficiles à élever que les autres animaux.
Facilitez-vous la vie en vous procurant des cochons Kunekune, originaires de Nouvelle-Zélande. Ces porcs de taille moyenne ont un tempérament plus agréable que les porcs américains.
Les cochons Kunekune sont gros et ronds. Les femelles pèsent entre 100 et 180 livres et les mâles entre 200 et 250 livres.
Ces cochons ont un museau court et ils ne défieront pas les clôtures.
Les cochons Kunekune vivent dans l'herbe et adorent chercher de la nourriture. Ils ne dépendent pas des céréales comme les autres races, et si vous avez un pâturage pour les vaches ou les moutons, les cochons Kunekune sont un choix idéal.
Lapin
Les lapins de boucherie sont un choix idéal pour une petite ferme car ils ne nécessitent pas beaucoup d'espace s'ils sont logés dans des cages ou des clapiers.
Ils cohabitent également bien avec d'autres animaux, en particulier les volailles, vous pouvez donc construire un grand poulailler ou un poulailler et y loger à la fois vos poules et vos lapins.
Un élevage de lapins peut être très productif parce que les lapins se reproduisent beaucoup et qu'ils fournissent suffisamment de viande. Si vous vous retrouvez avec trop de lapins, vous pouvez vendre la progéniture pour gagner de l'argent.
Si vous avez aussi un jardin potager, utilisez le caca de lapin comme engrais naturel à haute teneur en azote.
Il est facile de placer un seau ou une auge sous vos clapiers ou de suspendre des cages à lapins au-dessus d'un tas de paillis pour attraper le caca. Assurez-vous simplement d'avoir des trous de drainage pour que l'urine s'écoule. Cela signifie que le caca se compostera avec le paillis et aidera à se débarrasser de l'odeur.
Conseils pour nourrir vos animaux
Une fois que vous avez des animaux pour votre ferme, vous devez les nourrir correctement pour les garder en bonne santé.
Nourrir les vaches
Le pâturage quotidien est recommandé.
Les vaches ont besoin de foin en hiver.
Obtenez un léchage minéral pour vos vaches.
Les vaches ont également besoin de beaucoup d'eau fraîche.
Nourrir les canards
RépondreSupprimerLe pâturage quotidien est également fortement recommandé pour les canards.
La nuit, donnez de la nourriture aux canards pour qu'ils retournent au poulailler. Les canards continueront à se nourrir s'ils ne sont pas bien nourris.
Vous pouvez aussi donner des restes de cuisine aux canards.
Nourrir les porcs
Le matin, donnez aux porcs une tasse de purée chacun. Le soir, donnez-leur des restes de cuisine. Puisqu'il peut y avoir des moments où il n'y a pas assez de restes de cuisine, vous pouvez donner aux porcs une tasse de purée chacun. (Si les porcs ne peuvent pas se nourrir, ils auront besoin de plus de nourriture.)
Donnez du foin aux porcs au besoin.
Nourrir les chèvres
Le pâturage quotidien est recommandé pour les chèvres. Les chèvres préfèrent les plantes à feuilles larges et les arbustes du pâturage à l'herbe.
Donnez aux chèvres une tasse de granulés de luzerne biologique le matin. La nuit, donnez à chaque chèvre une tasse de céréales.
Pour dégonfler, vous pouvez donner du bicarbonate de soude aux chèvres.
Les chèvres ont besoin de foin, surtout en hiver.
Obtenez une pierre à lécher.
Nourrir les lapins
Les lapins ont besoin de foin car cela facilite leur digestion.
Une demi-tasse (vous pouvez leur donner une pleine tasse, selon leur taille et leur appétit) de granulés de luzerne biologique le matin et le soir.
Donnez aux lapins des légumes-feuilles frais comme des pissenlits, de la menthe, de l'origan, du tournesol (feuilles et pétales) et des algues filamenteuses.
Bien que l'élevage d'animaux sur votre propriété ne soit pas trop compliqué, cela nécessite des essais et des erreurs, de la patience et beaucoup de travail acharné. Faites vos recherches et réfléchissez à ce dont vous avez besoin sur votre ferme afin de pouvoir choisir le ou les animaux qui vous conviennent.
Regardez la vidéo ci-dessous pour vous aider à décider si vous devez élever des poulets sur votre ferme.
RépondreSupprimerThis video is from JD Rucker’s channel on Brighteon.com.
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Sources include:
Survivopedia.com
SavvyFarmLife.com
OutdoorHappens.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-02-21-prepping-livestock-5-animals-to-raise-homestead.html
Lorsqu'une personne est 'appelée' à investir, il ne s'agit jamais de sommes sonnantes & trébuchantes mais faites avec son niveau intellectuel. Il ne s'agit pas de s'inventer du savoir ou de jouer à pile ou face (voir le nombre de millionnaires en loteries qui sont ruinés quelques temps après).
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