"Le scandale serait énorme'': le directeur de Pfizer s'inquiète des irrégularités menstruelles induites par Vax
Par Tyler Durden Vendredi 03 février 2023 - 01:30
Project Veritas a publié jeudi un nouveau segment de séquences d'infiltration du directeur de Pfizer Jordon Walker dans lesquelles le directeur de la R&D au sein de l'opération de l'ARNm de l'entreprise a exprimé sa préoccupation quant à la façon dont le vaccin Covid-19 peut affecter la santé reproductive des femmes.
"Il y a quelque chose d'irrégulier dans les cycles menstruels. Donc, les gens devront enquêter sur cela", a déclaré Walker à un journaliste infiltré qu'il pensait qu'il était avec un rendez-vous.
"Le vaccin [covide] ne devrait pas interférer avec ces [cycles menstruels]. Donc, nous ne savons pas vraiment", a-t-il ajouté.
Walker espère également que nous ne découvrirons pas que "en quelque sorte cet ARNm s'attarde dans le corps et que vous, car il doit affecter quelque chose d'hormonal pour avoir un impact sur les cycles menstruels", ajoutant "J'espère que nous ne découvrirons pas quelque chose de vraiment mal en bas de la ligne … Si quelque chose devait se produire en aval et c'était, comme, vraiment mauvais ? Je veux dire, l'ampleur de ce scandale serait énorme. "
Un nombre croissant de médecins disent qu’ils ne recevront pas de rappels de vaccin COVID-19, citant un manque de preuves d’essais cliniques.
Vendredi 03 février 2023 - 01:10 AM par Zachary Stieber
"J'ai pris mon dernier vaccin COVID sans preuve de niveau RCT, cela réduira mon risque de maladie grave", a écrit le Dr Todd Lee, un expert en maladies infectieuses à l'Université McGill, sur Twitter.
Lee soulignait le manque de résultats d'essais cliniques randomisés (ECR) pour les rappels de vaccins mis à jour, qui ont été autorisés aux États-Unis et au Canada à l'automne 2022, principalement sur la base de données d'expériences sur des souris.
Lee, qui a reçu trois doses de vaccin, a noté qu'il était infecté par la variante du coronavirus Omicron - les vaccins offrent peu de protection contre l'infection - et s'est décrit comme un homme en bonne santé dans la quarantaine.
Le Dr Vinay Prasad, professeur d'épidémiologie et de biostatique à l'Université de Californie à San Francisco, a également déclaré qu'il ne prendrait aucun rappel de vaccin supplémentaire tant que les données des essais cliniques ne seraient pas disponibles.
"J'ai pris au moins 1 dose contre ma volonté. C'était contraire à l'éthique et scientifiquement en faillite », a-t-il déclaré.
Allison Krug, une épidémiologiste qui a co-écrit une étude qui a révélé que les adolescents étaient plus susceptibles de souffrir d'inflammation cardiaque après la vaccination au COVID-19 qu'une infection au COVID-19, a raconté avoir expliqué à son médecin pourquoi elle refusait un rappel et a déclaré que son médecin était d'accord avec son poste.
Elle a appelé les gens à "rejoindre le mouvement pour exiger des preuves appropriées", pointant vers un article de blog de Prasad.
"Faites très attention à noter que ce n'est pas un sentiment anti-vaccin. Il s'agit de "fournir des preuves [solides] d'avantages pour justifier une utilisation continue", ce qui est très différent. Ce n'est que juste pour un produit de 30 milliards de dollars par an donné à des centaines de millions », a déclaré Lee.
le Dr Mark Silverberg, fondateur du Toronto Immune and Digestive Health Institute; Kevin Bass, étudiant en médecine ; et le Dr Tracy Hoeg, épidémiologiste à l'Université de Californie à San Francisco, a rejoint Lee et Prasad pour déclarer leur opposition à plus de rappels, du moins pour le moment.
Hoeg a déclaré qu'elle n'avait pas besoin d'essais cliniques pour savoir qu'elle ne recevait aucun rappel après avoir reçu une série primaire de deux doses, notant qu'elle avait pris la deuxième dose "contre ma volonté".
"J'ai également eu une réaction indésirable à la dose 1 de moderna et, si je pouvais le refaire, je n'aurais pas eu de vaccins covid", a-t-elle écrit sur Twitter. «J'étais content que mes parents dans la soixantaine aient pu se faire vacciner contre le covid, mais je n'ai pas encore vu de données non confondues pour les conseiller sur le rappel bivalent. J'aurais aimé voir un ECR pour le bivalent pour les personnes de leur âge et pour les adultes ayant des problèmes de santé qui les mettent en danger.
La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a accordé une autorisation d'utilisation d'urgence aux rappels de vaccins mis à jour, ou injections bivalentes, de Pfizer et Moderna en août 2022, malgré l'absence de données humaines.
Les données d'observation suggèrent que les rappels offrent peu de protection contre les infections et une protection solide contre les maladies graves, du moins au début.
Cinq mois après l'octroi de l'autorisation, aucune donnée d'essai clinique n'a été rendue disponible pour les bivalents, qui ciblent la souche Wuhan, ainsi que les sous-variantes BA.4 et BA.5 d'Omicron. Moderna a présenté des estimations d'efficacité pour un autre bivalent, qui n'a jamais été utilisé aux États-Unis, lors d'une récente réunion. La société a estimé que le rappel augmentait la protection contre les infections de seulement 10 %.
La FDA se prépare à ordonner que tous les vaccins Pfizer et Moderna COVID-19 soient remplacés par les bivalents. Les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, qui émettent des recommandations sur les vaccins, continuent de conseiller à pratiquement tous les Américains d'obtenir une série primaire et plusieurs rappels.
Un professeur demande l'arrêt des vaccins à ARN messager
Un professeur est devenu le dernier à demander l'arrêt des vaccins Pfizer et Moderna, qui sont tous deux basés sur la technologie de l'ARN messager.
"À ce stade, tous les [programmes] de vaccination par ARNm COVID devraient s'arrêter immédiatement", a déclaré Retsef Levi, professeur de gestion des opérations au Massachusetts Institute of Technology, dans un communiqué vidéo. "Ils devraient arrêter parce qu'ils n'ont complètement pas rempli l'une de leurs [promesses] annoncées concernant l'efficacité. Et plus important encore, ils devraient cesser en raison des preuves de plus en plus nombreuses et indiscutables qu'ils causent un niveau de préjudice sans précédent, y compris la mort de jeunes et d'enfants.
Levi faisait référence à une inflammation cardiaque post-vaccination, ou myocardite. La condition est l'une des rares dont les autorités ont reconnu qu'elle est causée par les vaccins à ARN messager.
Les responsables de Pfizer et de Moderna n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.
Levi a souligné la recherche, y compris une étude qui a révélé que près de 3 enfants sur 10 qui ont reçu le vaccin de Pfizer ont subi des effets cardiaques et une étude qui a détecté des antigènes de pointe dans le sang des jeunes vaccinés.
D'autres experts, dont le Dr Joseph Fraiman et le Dr Peter McCullough, ont précédemment appelé à l'arrêt de l'administration des vaccins.
Fraiman a déclaré à Epoch Times que l'arrêt devrait avoir lieu jusqu'à ce que les essais cliniques prouvent que les avantages des vaccins l'emportent sur les inconvénients.
"Nous devons déterminer … si leurs avantages l'emportent sur les dommages ou si les dommages l'emportent sur les avantages", a-t-il déclaré. "La seule chose qui puisse répondre à cette question sera un essai randomisé."
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Des données récentes montrent une "augmentation fulgurante" des rapports de blessures graves chez les jeunes pilotes en bonne santé : le lieutenant-colonel de l'armée Theresa Long
PAR TYLER DURDEN JEUDI 02 FÉVRIER 2023 - 18:10 Écrit par Carly Mayberry via The Epoch Times
Cela fait un an que quatre dénonciateurs du ministère de la Défense (DOD) ont découvert une augmentation soudaine de diverses maladies dans la base de données d'épidémiologie médicale de la Défense (DMED), qui a coïncidé directement avec l'introduction des vaccinations COVID-19. Maintenant, de nouvelles données montrent plus de preuves.
C'est selon le lieutenant-colonel Theresa Long, M.D., MPH, médecin diplômé en médecine aérospatiale et chirurgien de l'air de la brigade de l'armée avec une formation spécialisée en tant qu'enquêteur sur les accidents de l'aviation et agent de sécurité, qui était l'un des quatre lanceurs d'alerte. Les antécédents de Long l'ont équipée de manière unique pour reconnaître ce qu'elle a décrit comme "des diagnostics inhabituels et des tendances alarmantes seulement après l'introduction des vaccinations COVID-19".
Forte augmentation des rapports de blessures graves chez les pilotes : données du DOD Long a dit que ce qu'elle a maintenant découvert l'a amenée à déposer une autre plainte de lanceur d'alerte auprès du bureau du sénateur Ron Johnson (R-Wis.). Elle a décrit ces données comme "des données DMED plus alarmantes" après qu'elle "est retournée dans le DMED" fixe "pour rechercher des signaux de danger pour l'aviation de l'armée".
"Ce que j'ai trouvé était un signal clair, que quelque chose en 2021 a changé la santé des militaires", a déclaré Long à Epoch Times. Elle a déclaré que ces signaux étaient cohérents avec ceux des rapports du système de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS). Mais contrairement aux rapports du VAERS, les données du DMED ont montré des pics dans le nombre de diagnostics "faits par un professionnel de la santé au sein du DOD sur les membres du service".
Selon le système de santé militaire, le DMED fournit un accès à distance à un sous-ensemble de données contenues dans le système de surveillance médicale de la défense (DMSS). Le DMSS contient des données actualisées et historiques sur les maladies et les événements médicaux (y compris les événements à signaler) et « est disponible pour les utilisateurs autorisés tels que les prestataires de soins médicaux militaires américains, les épidémiologistes, les chercheurs médicaux, les agents de sécurité ou les opérations médicales / le personnel de soutien clinique pour enquêter sur les conditions de santé dans l'armée américaine.
«Après avoir interrogé tous les pilotes du DOD, pour la morbidité et la mortalité toutes causes confondues, j'ai constaté une augmentation étonnante du nombre d'événements à signaler, passant d'une moyenne de 226 événements à signaler par an (2016-2019) à 4 059 rapports en 2022, " elle a expliqué.
Un événement à signaler par le DOD est tout événement lié à la sécurité des patients entraînant la mort, un préjudice permanent ou un préjudice temporaire grave, et tous nécessitent une analyse systématique complète et un rapport de plan de mise en œuvre des actions correctives de suivi.
"Le fait est qu'il y a une augmentation statistiquement significative des décès, des dommages permanents ou des dommages temporaires graves chez les jeunes pilotes en bonne santé", a-t-elle poursuivi.
De telles blessures étaient plus évidentes dans cette population. Parce que les pilotes d'aviation doivent avoir un niveau de santé et de forme physique supérieur, et que leur état de santé fait l'objet d'une surveillance plus stricte, selon Long.
Ce qui a incité Long à tirer cette deuxième série de données, c'est lorsqu'elle a appris que la Federal Aviation Administration (FAA) avait discrètement modifié les paramètres acceptables des intervalles PR (représentatifs de la première partie d'un battement de cœur, mesuré en secondes ou millisecondes) sur électrocardiogrammes des pilotes. La FAA n'a pas répondu avec des recherches et des données pour étayer sa décision, selon Long.
Ces actions ont conduit au communiqué de presse daté du 27 janvier 2023 de Johnson dans une lettre à la FAA, où il a déclaré les détails suivants :
"Sur la base des données de la base de données sur l'épidémiologie médicale de la Défense, le dénonciateur [Theresa Long] a signalé que le nombre total de maladies et de blessures [événements à signaler] chez les pilotes du DOD était de 265 en 2016, 252 en 2017, 164 en 2018, 223 en 2019, 2 194 en 2020, 2 861 en 2021 et 4 059 en 2022. »
- voir cadre sur site -
Johnson a également déclaré à Epoch Times que ces statistiques "soulèvent des questions quant à savoir si la FAA a constaté des augmentations similaires de maladies et de blessures chez les individus de l'industrie aéronautique".
Long a noté que dans le DMED "post-glitch", le nombre d'événements à signaler au sein du DOD était passé d'une moyenne sur quatre ans (2016-2019) de 40 813 à 110 000 en 2020 à plus de 200 000 en 2022.
"Certains demanderaient pourquoi les chiffres commencent à augmenter en 2020, il faut se souvenir de l'étude Pfizer/DOD avec 43 448 participants commencée le 27 juillet 2020."
Long a souligné que ses opinions ne reflétaient pas celles de l'armée ou du DOD.
Avec le recul, elle a déclaré que c'était après avoir été bloquée pour obtenir des réponses concernant les événements indésirables du vaccin COVID qu'elle avait commencé à effectuer des requêtes dans le DMED. Elle voulait savoir si ce qu'elle voyait au sein de sa brigade était des anomalies isolées ou faisait partie d'une catastrophe plus large en cours.
Les dénonciateurs signalent d'abord les écarts dans les données du DOD
C'était en janvier 2022 lorsque Long, avec deux autres médecins militaires américains, le Dr Samuel Sigoloff et le chirurgien de l'air des forces spéciales, le lieutenant-colonel Peter Chambers, et l'officier de santé publique de l'armée, le lieutenant Mark Bashaw, ont dénoncé pour la première fois le DOD. . Ensemble, ils ont déposé les premières plaintes de lanceur d'alerte concernant les données DMED, qui montraient une quantité excessive de conditions de santé négatives liées au vaccin.
Les données DMED initiales fournies à Johnson ont montré une augmentation massive des cas d'anxiété, de cancer de l'œsophage, de cancer du sein, d'infertilité féminine, de fausses couches, de VIH, de myocardite aiguë et de paralysie de Bell, entre autres conditions, après que le vaccin a été rendu obligatoire pour les militaires américains.
Long a ajouté qu'après la présentation des données DMED, Moderna, la société pharmaceutique et biotechnologique à l'origine de l'un des vaccins COVID-19 et de sa technologie de réponse immunitaire à ARNm, a perdu 140 milliards de dollars en actions.
Pourtant, malgré les données alarmantes provenant directement de la propre base de données de surveillance médicale de 42 millions de dollars du DOD, le responsable du département a affirmé que la découverte des données était un "problème de données" et a procédé à la mise hors ligne de la base de données, censée la "réparer".
Comme rapporté dans The Epoch Times, le DOD a affirmé que les données dans DMED étaient incorrectes pour les années 2016-2020, mais le nombre de 2021 n'a pas été affecté. Les données corrigées ont vu les données des années précédentes augmenter, ce qui a rendu les données de 2021 normales.
Après que Long ait remis les documents au DOD, il a fallu 47 jours aux responsables pour formuler une réponse aux données, seulement pour expliquer que c'était une surprise pour eux.
Sur la base des données précédentes du DOD, "le groupe de conditions médicales représente un changement radical dans l'acuité des conditions médicales que nous voyons normalement", a déclaré Long, notant que les données sont "tellement catastrophiques", à tout le moins lorsque ces chiffres sont sortis. , l'armée mettrait tout en pause par réflexe et enquêterait.
"Ils n'ont rien interrompu et il leur a fallu [le DOD] un mois pour terminer leur fausse enquête." Dit-elle. "C'est un acte d'accusation grossier et un manquement au devoir."
"Nous introduisons un tout nouveau médicament dans notre population en très bonne santé et les personnes chargées de la surveillance ne prêtent même pas attention à leur propre système de 42 millions de dollars par an ?" a demandé Long, qui a noté qu'au cours de ses 30 années dans l'armée, dont beaucoup en tant que médecin, elle et d'autres collègues n'avaient jamais entendu parler d'une telle base de données fournie par l'entrepreneur du système Ussiant jusqu'en 2019. médicament qui a été acheminé d'urgence à toute une force combattante ferait du système de surveillance une priorité absolue ? »
Long a également demandé pourquoi, si le DMED venait d'avoir un "pépin" pendant la pandémie de COVID, personne n'est tenu responsable de cette défaillance flagrante du système de surveillance médicale. L'avocat de Long, Todd Callender, a noté que le DOD n'avait pas réussi à produire un seul témoin expert en informatique qui témoignerait sous serment que les données choquantes n'étaient qu'un "pépin".
"Donc, si les données étaient si alarmantes, pourquoi personne à la Defense Health Agency (DHA) n'a-t-il sonné l'alarme ou attrapé le" pépin "", a-t-elle poursuivi. "Comment n'ont-ils pas vu cet énorme pic de problèmes médicaux graves?"
Une autre question se pose de savoir pourquoi les médecins militaires comme Long n'ont reçu aucune communication concernant ce pic d'événements à signaler, qui ne se limitait pas seulement aux pilotes mais aussi aux officiers généraux et à ceux des forces spéciales.
"J'ai été averti de passer au peigne fin notre inventaire après qu'une notification d'alerte de gestion des risques m'a alerté sur deux bouchons d'oreille défectueux trouvés à Fort Sill, Okla." Long a déclaré: "Mais je ne peux même pas leur faire envoyer une alerte disant" Hé, vos pilotes pourraient attraper une myocardite à cause du vaccin "."
Pour cette histoire, The Epoch Times a sollicité les commentaires du directeur de la Défense Lloyd J. Austin, du Bureau du Surgeon General et du département américain de la Santé et des Services sociaux pour commentaires.
"Je ne peux pas ne pas voir les choses que j'ai vues"
Ces nouveaux développements surviennent alors que de plus en plus de médecins et de patients ont parlé d'un nombre croissant de blessures liées aux vaccins, tandis que la littérature scientifique et de recherche a simultanément validé leurs affirmations et leurs préoccupations.
Long a déclaré qu'elle avait non seulement été ignorée, mais avait reçu des menaces contre sa carrière après avoir pris la parole. C'est parce qu'aucune mesure n'a été prise de la part des chefs militaires pour enquêter pleinement sur le nombre et l'étendue des événements médicaux indésirables qu'elle, Sigoloff, Chambers et Bashaw ont initialement portés à leur attention.
"Quand j'ai trouvé les données du DOD, ils ont retiré mes informations d'identification et retiré tous mes patients de mon emploi du temps", a déclaré Long, notant que cela ne lui laissait que plus de temps pour examiner en profondeur les données.
Alors que Long continue d'ajouter à son nombre de blessures causées par des vaccins dont elle a personnellement été témoin, elle attend également une réponse des responsables gouvernementaux avec son dernier dossier.
Depuis qu'elle s'est manifestée pour la première fois, elle a également témoigné devant la législature de l'Idaho et au symposium sur la liberté médicale de l'Alaska. Apparaissant récemment sur Tucker Carlson Tonight de Fox News, elle a parlé du changement des exigences de santé de la FAA qui élargit considérablement la gamme d'électrocardiogrammes pour les pilotes et permet à ceux qui ont des lésions cardiaques de voler.
« À la lumière des données émergentes et accablantes montrant des dommages cardiaques causés par les vaccins COVID et COVID sur le muscle cardiaque, je ne peux pas imaginer pourquoi ils feraient ce geste et je pense que c'est une question qui devrait vraiment être posée au Dr Susan Northrup, senior chirurgien de l'air pour la FAA », a déclaré Long à Carlson.
Callender décrit Long comme une "Jeanne d'Arc", notant le rôle de Long dans la mise en lumière des conséquences négatives du vaccin. "C'est la dame qui se tient là, le poing en l'air."
"Vous êtes un officier de l'armée américaine et cela signifie toujours quelque chose pour les gens", a déclaré Long. "Quand ils entendent la vérité, ils la reconnaissent."
« Je n'ai pas d'ordre du jour. J'aimerais que ma vie revienne en arrière, mais je ne peux pas ignorer les choses que j'ai vues », a-t-elle ajouté. "Alors je vais me lever tous les jours et je vais construire cette arche."
Pfizer ne fait qu’exploiter les variants déjà là pour anticiper ses développements futurs par des vaccins, ce qui semble être quelque chose d’assez routinier dans le milieu. Après tout, l’évolution directe est quelque chose de commun en virologie, tout comme l’usage de singes en matière de recherches sur les virus de type SARS-2.
Si la vidéo est un non évènement sur le plan virologique ou pharmaceutique, pourquoi donc en parler ? Parce que son traitement médiatique chaotique, tout comme les fantasmes qu’elle suscite, en disent long sur la manière autoritaire et discrétionnaire dont s’est imposé le discours unique sur le covid porté par les labos, les médias et les États.
Cette volonté de contrôler le discours public sanitaire a provoqué une vague de défiance populaire sans précédent, pour le meilleur et pour le pire. Le meilleur s’est retrouvé du côté des défenseurs des libertés publiques atterrés par l’assaut des covidistes contre la liberté de la presse et le pluralisme politique, le pire du côté d’un sentiment des discours complotistes et antivax devenus malheureusement mainstream.
Imposer un discours unique sur le covid
Mais reprenons. Quelques heures après la publication de la vidéo du Project Veritas, elle disparaît de Google et n’apparaît plus en recherches sur les réseaux sociaux.
Dans un premier temps la grande presse ne s’y intéresse pas trop, et c’est finalement parce que la vidéo jouit d’une grande popularité sur Twitter qu’on assiste à quelques articles de fact-checking des jours après sa diffusion.
Un pseudo-débat se forme pour se demander si l’employé de Pfizer est réellement un employé de Pfizer (sans surprise, oui il travaille bien pour le labo).
Ghosting, censure préalable discrète, gaslighting sur les réseaux puis service après-vente de la presse pour rectifier le tir sur la « désinformation covid » et la mettre en conformité avec le discours porté par les labos et les institutions.
La manœuvre ne date pas d’hier, mais remonte à 2019. En effet, dès le 14 février de cette année, le directeur général de l’OMS déclare au cours de la conférence de Munich sur la sécurité que la lutte n’est pas seulement contre l’épidémie, mais contre « l’infodémie », c’est-à-dire les fake news et la désinformation sur la science. « Notre pire ennemi n’est pas le virus lui-même. Ce sont les rumeurs, les peurs et les marques d’infamie » affirme-t-il en une autre occasion.
C’est pour contrer cette « désinformation » que l’OMS va commencer à travailler main dans la main avec les médias et en particulier les réseaux sociaux comme Facebook, Google, Tiktok, Youtube ou encore Tencent et même Wikipédia. À partir de ce moment-là, l’OMS construit une stratégie de communication à échelle mondiale pour s’assurer que tous les messages de santé publique sur le covid aillent « dans le bon sens ».
Elle fait d’abord en sorte que Google répercute les bonnes informations en haut de sa page de recherches. Ensuite, elle va rechercher le soutien des principaux réseaux sociaux et même de compagnies comme Uber ou Airbnb pour relayer son discours sanitaire. Finalement, elle recrute des influenceurs et des faiseurs d’opinion pour contrôler le contenu des plateformes vidéos et réseaux sociaux.
C’est peu de temps après qu’on peut voir apparaître sur Facebook les fameux messages attachés à tous les contenus repartagés sur la question du Covid. La société a décidé de faire disparaître les propos et théories « conspirationnistes » dénoncées par les organismes internationaux, c’est-à-dire principalement l’OMS.
En résumé, l’organisation va s’assurer qu’une grande partie des entreprises de presse et des médias relaient le discours sur le covid proposé par l’OMS et s’attacher à discréditer tout ce qui s’en écarte. En ce sens, la réputation des industries pharmaceutiques qui marchent de concert avec les États et les organismes internationaux se révèlent aussi particulièrement attentifs à leur réputation publique.
Pas besoin de conspiration pour expliquer cette coordination verticale diffuse et totalisante, véritable bureaucratie parallèle qui va se mettre en place contre la désinformation : toutes les étapes de sa mise en place sont publiques et revendiquées, au nom de la sacro-sainte lutte contre l’infodémie.
Or ce qui s’écarte du discours officiel n’est pas nécessairement antiscience ou antivax, mais peut tout simplement être critique sur la stratégie adoptée, qui, rappelons-le faisait des confinements, du tracing numérique et de la vaccination à grande échelle avec ségrégation sociale des non-vaccinés pour l’ensemble de la population mondiale.
Et puis est arrivé Elon Musk, qui rachète Twitter et préfère la liberté d’expression au consensus covid obligatoire. Les Twitter Files, comme par hasard fort peu relayées par une grande presse tout occupée à critiquer le patron de Tesla, ont soulevé un coin du voile des méthodes de harcèlement des institutions comme des labos visant à faire taire les voix politiques mais aussi scientifiques discordantes sur le sujet covid sur Twitter. Il ne s’agissait pas seulement de proposer un seul récit scientifique acceptable mais aussi de faire taire toute critique qui s’écartait du plan média de l’OMS.
Sauf que l’OMS, qui va s’occuper de coordonner la réponse à la crise covid, est loin d’être un organe neutre et indépendant. Son orientation et sa stratégie globale relèvent de choix politiques et sur la question de la gestion covid, elle s’est alignée sur la politique autoritaire de la Chine à partir de février 2020. Pour la première fois dans l’histoire de la lutte contre les épidémies, on va employer des confinements, c’est-à-dire des techniques de contrôle qui relèvent davantage du droit pénal (les résidences surveillées) que des réponses pharmaceutiques classiques.
Toby Green et Thomas Fazi rappellent dans leur essai The Covid Consensus que, à cette époque, l’Italie subit la première crise sanitaire en dehors de la Chine, poussant les autorités à placer plusieurs municipalités de Lombardie en quarantaine.
Plus important, l’OMS publie le 24 un rapport cosigné par le Dr Bruce Aylward et le Dr Wannian Liang du ministère chinois de la Santé sur la crise covid à Wuhan. On y explique que l’origine du virus est clairement zoonotique et surtout on reprend les directives de Xi Jinping sur la nécessité d’éradiquer totalement le virus par tous les moyens possibles.
C’est cette volonté qui expliquera que le pouvoir politique va d’emblée écarter les solutions classiques limitées dans le temps et à certaines franges de la population de lutte contre la pandémie pour tester de nouvelles techniques, dont des mesures de santé publique « non pharmaceutiques » comme la détection et l’isolation, le traçage des contacts, et des quarantaines de type « cordon sanitaire ». « Les mesures qui ont été employées pour contenir le Covid-19 en Chine sont les seules mesures qui sont actuellement éprouvées pour interrompre ou minimiser les chaînes de transmission entre humains », peut-on lire noir sur blanc dans le rapport, vendant la solution chinoise comme unique et transposable dans toutes les situations possibles.
En l’espace de quelques semaines, au sein de l’OMS, le paradigme ancien en termes de lutte contre les épidémies est mis à la poubelle et un nouveau consensus s’établit au sein de la communauté scientifique en accord avec les directives d’un des pays les plus autoritaires, antidémocratiques au monde. En quelque sorte, pour résumer, l’acceptation par l’OMS du modèle sanitaire chinois a « nettoyé » son message de toute dimension politique visible pour le rendre manipulable par les technocrates du monde entier.
Le récit covid unique officiel qui va s’imposer va toutefois vite se désagréger. Aujourd’hui, la soi-disant gestion exemplaire chinoise offre au monde entier le spectacle d’un système à la fois carcérale et économiquement suicidaire.
Il n’y aura pas de Great Reset ou de société post-libérale vantée par des élites sous influence. La feuille de route covid avait des trous, elle a changé en fonction des circonstances et des intérêts particuliers, sa rhétorique technocratique dissimulait (mal) le riant modèle politique chinois sur lequel s’est appuyé l’OMS pour diffuser la bonne parole en matière de lutte contre la pandémie. Son impact catastrophique sur la santé, l’économie, les libertés publiques partout en Occident a incité beaucoup de ses défenseurs à le renier. Une partie même de ses plus fervents défenseurs a fini par exprimer des regrets, à l’image de Delfraissy, qui a cherché à minimiser son rôle dans la catastrophe générale.
Sur les revirements successifs de la vérité covidienne, prenons l’exemple évoqué par l’employé de Pfizer.
Dans la vidéo de Project Veritas, il suggère que le virus est sorti d’un laboratoire et n’a pas une origine naturelle. Or le discours officiel sur la question a longtemps considéré cette hypothèse comme relevant du complotisme, interdisant toute discussion sérieuse sur le sujet.
Il a fallu quelques esprits indépendants, comme Nicolas Wade aux États-Unis, Matt Ridley en Grande-Bretagne ou encore Yves Bourdillon dans les colonnes de Contrepoints pour évoquer cette piste jusqu’alors considérée comme impensable par les gens sérieux.
Sur le sujet, l’orthodoxie sanitaire a changé et les persécutions médiatiques contre les hérétiques « complotistes » ont cessé. Mais on retrouve le même type de mécanisme autoritaire interdisant tout débat rationnel au sein des populations quand il a été question d’interroger l’efficacité des masques, la pertinence des modèles mathématiques de prédiction (qui se sont révélés faux pour la plupart), la vaccination quasi obligatoire, ses effets secondaires indésirables, la nécessité de construire une immunité naturelle, l’isolement des fractions de population les plus susceptibles d’être victimes du covid, le caractère liberticide de zero covid, l’hospitalocentrisme de la réponse politique française, les traitements préventifs du covid, la pertinence sanitaire des confinements, ou bien entendu la nécessité d’un pass sanitaire et la normalisation de la ségrégation sociale pour raison sanitaire.
Quelques questions qui dérangent
Green et Fazi font du récit unique sur le covid l’origine du désastre global que fut la lutte contre la pandémie. Seulement, leurs interrogations – et les réponses qu’ils proposent – sont plus dérangeantes encore. Comment se fait-il que le modèle autoritaire chinois ait été accepté avec autant de facilité par notre classe politique, mais aussi par une fraction non négligeable de la population ?
Le premier élément de réponse proposé porte sur l’influence croissante de la Chine dans le monde, qui non seulement s’étend mais répond à une politique de compétition et donc d’influence avec les États-Unis.
En réponse au soft power américain, le gouvernement chinois cherche également à étendre discrètement son emprise. C’est grâce à cette stratégie d’influence que la Chine a réussi à défendre son « capitalisme autoritaire » comme un véhicule distinct du modèle occidental et plus efficace pour moderniser que celui porté par les démocraties libérales.
Plus inquiétant encore, le modèle chinois a tout pour séduire des élites technocratiques occidentales, qui ont pu retrouver dans le management autoritaire de la crise l’apparence d’efficacité qu’ils recherchent pour leurs propres organisations. Pour Fazi et Green, il faudrait s’inquiéter d’une possible convergence autoritaire entre Chine et Occident sur le sujet, dans laquelle les élites technocratiques se retrouvent pour cornériser au final les institutions traditionnelles du libéralisme politique.
Le second élément de réponse proposé par Fazi et Green repose sur l’acceptation par les populations de la gouvernance par l’exception permanente. Sur le sujet, pour les deux auteurs la crise covid n’a fait qu’accélérer une tendance de fond. Depuis maintenant plusieurs décennies, la succession de crises, terroriste, économique, sanitaire, militaire normalise l’idée que par souci d’efficacité politique, il convient de s’habituer à la précarité de situation et à l’extension des pouvoirs de l’État, en particulier en matière de surveillance. De facto, cela revient à admettre l’obsolescence de l’État de droit et d’un gouvernement aux pouvoirs limités pour respecter les libertés individuelles.
Derrière la vidéo du Project Veritas, il n’y a donc pas seulement la communication étrange de Pfizer, le flot de commentaires angoissés qu’elle a suscités et une compagne de communication étonnamment artificielle qui posent problème. C’est un témoignage des effets pervers du retour de la propagande à l’ère informationnelle et du recul généralisé de la culture libérale partout dans le monde.
Parler de 'mutation de virus' nous indique que l'auteur ne sait de quoi il parle. Car, (voir dictionnaire !) un virus est l'autre nom de la POUSSIÈRE. Une poussière est INOFFENSIVE (sauf les poussières radioactives ce qui n'est là pas le cas). Une poussière NE PEUT PAS MUTER ! Une poussière n'est PAS UN VIVANT comme le microbe (quand il transporte des maladies il est appelé microbe et quand il fait du bien il est appelée bactérie !). Une microbe ou bactérie peut muter. Pas un virus ! Compris ?
Les docteures Carrie Madej et Astrid Stuckelberger nous ont indiqué (il y a plus de 2 ans) que les flacons injectables contenaient de 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène ! + des spikes !! + des hydres !! + diverses maladies animales. Donc: des microbes. Donc, en plus des nano-particules pour diriger l'être humain en prenant le contrôle total de son cerveau sont inoculées diverses maladies qui donc, elles, peuvent effectivement muter.
Je rappelle toutefois que: Ces poussières (JAMAIS vues par les laboratoires d'analyses de l'air en ville et des millions dans le monde) ne sont PAS DANS L'AIR !! mais UNIQUEMENT offertes en seringues avec des chocolats pour les cons.
(Actualités naturelles) «Nous vivons maintenant dans une nation où les médecins détruisent la santé, les avocats détruisent la justice, les universités détruisent les connaissances, les gouvernements détruisent la liberté, la presse détruit les informations, la religion détruit la morale et nos banques détruisent notre économie» - Chris Hedges
(Article republié de Kunstler.com)
La question que vous pourriez poser ces jours-ci: comment avons-nous tout armé dans la vie américaine contre nous-mêmes ? Pouvez-vous nommer une institution qui n'est pas en guerre avec les habitants de cette terre ? Les mécanismes exacts de toutes ces mauvaises foi sont à la vue de nos jours, et les personnes responsables peuvent être facilement identifiées. Ce qui manque, ce sont des motifs discernables. Pour l'instant, cela ressemble à le plus grand acte collectif de couverture de cul dans l'histoire.
Il est assez clair, par exemple, que toute l'inconduite criminelle du FBI / DOJ - continue à ce moment - émane de l'effort de plusieurs années pour dissimuler la campagne séditieuse pour annuler Donald Trump à partir bien avant le 8 novembre 2016. Tout Les joueurs des agences et leurs complices médiatiques sont perdus au moins leur réputation, si le public se souciait de la malhonnêtement qu'ils ont agi. Beaucoup de ceux qui travaillent encore perdraient leur emploi et leurs moyens de subsistance aussi, et plusieurs perdraient leur liberté en prison. Ainsi, leur motif de maintenir le Skullduggery est une simple préservation.
La pandémie covide-19 ressemble à une opération de racket assez à grande échelle a mal tourné avec beaucoup à cacher. Vous avez les relations imprudentes et symbiotiques entre la bureaucratie de la santé publique américaine et les sociétés pharmaceutiques, et des tonnes d'argent en jeu, ainsi que l'ego colossal d'un malheureux Dr Anthony Fauci souhaitant se faire passer pour une bouée mondiale historique, un autre Louis Pasteur ou Alexander Fleming. Et puis vous avez l'acte incroyablement stupide d'imposer un «vaccin» dangereux non testé au monde, et des années de mensonge et de couverture de ses répercussions de blessures et de mort. Et puis les rôles opaques et néfastes d'autres acteurs dans l'histoire allant du CCP à la WEF aux Empires d'argent de Bill Gates et George Soros dans ce qui ressemble au génocide.
Il n'est pas étonnant que la capacité collective de la création de sens ait échoué. Il sera rapidement restauré par chacun de nous dans la course pour survivre à ces troubles et épreuves. Les hypothèses déroutantes de ces dernières années commencent à se dissoudre comme de la brume sur la montagne et les choses reviennent au point: votre santé, votre pain quotidien, votre abri, vos associations avec d'autres personnes proches de vous, vos valeurs et surtout le pouvoir de vos propres choix. La nature, très insultée et décriée, triera le reste.
La Thaïlande devient le premier pays au monde pour déclarer ses contrats pfizer nuls et non avenus
Jeudi 02 février 2023 par: Ethan Huff
(Natural News) Un porte-parole du gouvernement thaïlandais a déclaré cette semaine au professeur Sucharit Bhakdi que son pays pourrait bientôt devenir le premier au monde à annuler et à faire naître ses contrats avec le géant pharmaceutique Pfizer.
Selon Bhakdi, le porte-parole a déclaré, en référence aux «vaccins» expérimentaux de la société, que «nous veillerons à ce que la Thaïlande soit le premier pays au monde à déclarer ce contrat (avec Pfizer) null».
On nous dit que la famille royale en Thaïlande a été directement touchée par les injections covide de Pfizer, qui auraient nui à la fille du roi, la princesse Bajrakitiyabha. Pour cette raison, les autorités thaïlandaises travaillent à mettre fin aux relations du pays avec Pfizer.
(Connexes: la Thaïlande figurait parmi les nombreux pays qui ont été victimes d'intimidation par Pfizer pour pousser des piqûres covidés afin que la société puisse entraîner des milliards de dollars de bénéfices.)
Bhakdi dit qu'il a rencontré les meilleurs conseillers du gouvernement et leur a expliqué comment toute la prémisse derrière les «vaccins» est construite sur un trône de mensonges. La fraude à Pfizer est la seule chose qui soutient les coups car il n'y a pas de données de sécurité pour montrer qu'elles fonctionnent comme le prétend.
En entendant cela, les conseillers du gouvernement thaïlandais ont été choqués et ont assuré à Bhakdi qu’ils se préparaient à rompre les contrats de Pfizer avec le pays.
La Thaïlande cherche des milliards de châtirations de Pfizer pour des injections de covide frauduleuses En plus de mettre fin aux contrats Pfizer, le gouvernement thaï prévoit également de demander des châtiments à hauteur de milliards de dollars de remboursement de la société. Cet argent ira alors à compenser tous les Thaïlandais qui «ont perdu leur existence» à la suite du déploiement de piqûres Covid.
«La discussion qu'il a citée avec les porte-parole du gouvernement thaïlandais, en collaboration avec leurs conseillers de la famille royale thaïlandaise, est importante», écrit Nicholas Creed pour la cloche quotidienne.
«La monarchie est vénérée par les Thaïlandais, au point d'être sacro-saint et au-delà des reproches; Sous réserve des lois strictes de lèse-majerés invoquées lorsque la critique est faite de la famille royale. »
En bref, la famille royale de Thaïlande a une grande influence et une influence sur des affaires comme celle-ci. Le peuple thaïlandais fait confiance à ses décisions et sera sûr de soutenir cette décision pour retirer Pfizer de leur nation.
Il a été signalé en décembre que la princesse Bajrakitiyabha s'est effondrée après une crise cardiaque après avoir été frappé par Pfizer. C'est la base sur laquelle la famille royale évolue maintenant vers la tenue de Pfizer responsable de ses crimes contre l'humanité.
"Si quelque chose allait éveiller le peuple thaïlandais du sommeil endoctriné, encourant sa colère et son indignation à l'échelle de la façon dont ils ont été dupés - ce serait probablement ça", dit Creed, notant que jusqu'à présent, le peuple thaïlandais est tombé pour La psychose de masse et le «culte en uniforme de la nouvelle idéologie normale».
«Je veux me réveiller de ce cauchemar.»
Dans les commentaires, quelqu'un a écrit que Pfizer non seulement a intimidé mais aussi soudoyait les fonctionnaires du gouvernement, beaucoup par le chantage, pour acheter et distribuer des photos covide de Pfizer à leurs populations.
"La fraude vicine tout", a ajouté cette personne, notant que le droit des contrats, qui est de couleur droit, est affrété en vertu du droit du canon romain.
«La common law est supérieure à la couleur du droit. La Magna Carta est supérieure au droit canon romain. La Constitution des États-Unis d'Amérique est suprême en Amérique. »
Un autre a écrit que Pfizer et ses dirigeants, dont le PDG Albert Bourla, doivent faire saisir tous leurs actifs, y compris ceux qui se déroulent dans des banques du monde entier.
"Sortez et arrêtez tous les dirigeants de Pfizer sur votre sol", a ajouté cette personne. «Ces cafards doivent se cacher dans un pays quelque part.»
Les dernières nouvelles sur Pfizer peuvent être trouvées sur Evil.News.
Les autorités britanniques découvrent que le PDG de Pfizer, Albert Bourla, diffuse de fausses informations
3 février 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Depuis décembre 2020, on répète comme un mantra que les vaccinations corona sont sûres et efficaces. Ceci malgré le fait que toutes les tentatives pour produire un vaccin corona sûr et efficace ont échoué jusqu'à présent. Mais la vérité éclate peu à peu.
Le 2 décembre 2021, la BBC a publié une interview vidéo et un article d'accompagnement sur son site Web, son application d'actualités populaire et son programme BBC News at One intitulé " Pfizer boss : Annual Covid vaccinations for years to come ".
Interviewé par le rédacteur médical de la BBC, Fergus Walsh, sous la forme d'une conversation amicale au coin du feu, le Dr. Albert Bourla, PDG de Pfizer, une opportunité de publicité gratuite que l'argent ne peut pas acheter - en tant que radiodiffuseur de service public national du Royaume-Uni, il est généralement interdit à la BBC de s'engager dans la publicité commerciale ou le placement de produits.
Sans surprise, Pfizer a profité de cette formidable opportunité pour promouvoir le lancement de son vaccin. Comme le suggère le slogan de la BBC, le Dr. Bourla, qui a répondu à une question obéissante de M. Walsh, qu'il faudrait acheter et administrer beaucoup plus de vaccins pour maintenir le niveau élevé de protection au Royaume-Uni. Il a parlé juste avant que le gouvernement britannique n'achète 54 millions de doses supplémentaires de vaccin à Pfizer.
Déclarations trompeuses sur la sécurité
Parallèlement à ses encouragements explicites et implicites pour que le Royaume-Uni commande davantage de vaccins à sa société, le Dr. Bourla a insisté sur les avantages de la vaccination des enfants de moins de 12 ans, déclarant : « À mon avis, il ne fait aucun doute que les avantages sont pleinement favorables à cette [vaccination des enfants de 5 à 11 ans au Royaume-Uni et en Europe] » .
Aucune mention n'a été faite de risques ou d'effets secondaires possibles, et aucun facteur autre que les avantages présumés n'a été pris en compte.
Bien que le docteur Bourla a prôné sans condition et au plus haut degré la vaccination des enfants de moins de 12 ans, les autorités réglementaires britanniques n'ayant homologué le vaccin pour ces enfants que fin 2021 ; Cela survient quelques mois seulement après que le Comité mixte sur la vaccination et l'immunisation (JCVI) - l'organisme qui conseille le gouvernement sur l'opportunité et le moment d'utiliser des vaccins au Royaume-Uni - avait déjà refusé de conseiller au gouvernement de mettre en œuvre un programme de vaccination de masse pour les 12 à 12 ans en bonne santé. jeunes de 15 ans au motif que "la marge de profit, basée principalement sur une perspective de santé, est considérée comme trop faible pour justifier la recommandation d'un programme de vaccination universelle pour les jeunes de 12 ans par ailleurs en bonne santé". à 15 ans… ».
Peu de temps après la diffusion de l'interview , UsForThem - une organisation britannique de parents travaillant avec des enfants - a déposé une plainte auprès de la Prescription Medicines Code of Practice Authority (PMCPA) du Royaume-Uni, qui est responsable de la surveillance de la publicité des médicaments sur ordonnance au Royaume-Uni. La plainte concernait la nature ouvertement promotionnelle des reportages de la BBC et remettait en cause le fait que le Dr. Les déclarations de Bourla sur les enfants sont compatibles avec ce qui semble être des règles strictes sur la publicité des médicaments au Royaume-Uni.
Un processus long et douloureux
Plus d'un an plus tard, après un long processus d'évaluation et un appel tout aussi long de Pfizer contre les premières conclusions accablantes du PMCPA, la plainte et toutes les conclusions du PMCPA ont été publiées dans un rapport de cas publié sur le site Web du régulateur.
Bien que certains aspects de cette plainte n'aient finalement pas été confirmés en appel, un comité d'appel nommé par l'industrie a confirmé les conclusions initiales de la PMCPA selon lesquelles le Dr. Les commentaires de Bourla sur la vaccination des enfants de 5 à 11 ans étaient à la fois trompeurs et insuffisamment étayés en termes de publicité et de sécurité de la vaccination dans ce groupe d'âge.
Infractions multiples. Pas de pénalité significative
Un rapide coup d'œil au journal des plaintes du PMCPA confirme que Pfizer a enfreint les règles britanniques sur la publicité des médicaments quatre fois de plus depuis 2020 en ce qui concerne son vaccin Covid. Étonnamment, cependant, ni Pfizer ni le Dr. Bourla avec une pénalité importante pour ses violations dans ce dernier cas et dans tous les autres cas jugés contre elle (le PMCPA facturera des frais administratifs minimes pour couvrir le coût de traitement de chaque plainte). En pratique, donc, ni l'un ni l'autre n'a d'incitation à regretter la violation ou à éviter qu'elle ne se reproduise lorsqu'il est économiquement logique de le faire.
La raison de cette attitude détendue est que cette autorité est un département de l'Association de l'industrie pharmaceutique britannique. Si vous transformez la chèvre en jardinier, le jardin sera bien entretenu.
Même si un produit a déposé sa recette (donc: non-copiable) elle peut toujours être examinée, analysée et portée à la connaissance des consommateurs. C'est écrit sur l'étiquette. Or, en ce qui concerne les expérimentations géniques d'essais (frauduleusement et criminellement appelées 'vaccins' !!), rien n'était écrit sur l'étiquette (à part le mot trompeur) ni sur le papelard dans la boite (posologie) ! Et, cette escroquerie mondiale a été soutenue à 100 % par les chefs d’États !! (même en Suisse !!!) !
Ivermectine : une distribution à l'échelle de la population aurait-elle pu empêcher la récente épidémie massive de COVID en Chine ?
POINTS DE VUE SUR LA SANTÉ Dr Sean Lin Mingjia Jacky Guan 30 janvier 2023
Le programme d'assurance-maladie géré par l'État chinois n'a récemment pas réussi à conclure un accord avec Pfizer pour importer plus de Paxlovid, affirmant que le médicament de traitement COVID-19 est trop cher. Ceci malgré le fait que le médicament soit offert à l'État à un tarif réduit par rapport à celui offert à d'autres pays développés. Le manque de Paxlovid ne laissera que l'Azvudine, un médicament anti-VIH que le régime communiste chinois a précipité dans le développement et rebaptisé comme médicament anti-COVID, comme option de traitement.
Compte tenu de la propagation explosive récente du COVID et de la montée en flèche des taux d'hospitalisation qui en résulte, il est primordial de trouver des options de traitement viables.
L'ivermectine en Inde et au Pérou
Lorsque la variante Delta a éclaté en 2021 à travers l'Inde, de nombreux États ont proposé l'ivermectine à l'ensemble de la population. L'efficacité de l'ivermectine dans le traitement des infections précoces et légères au COVID-19 a été confirmée dans de grands États tels que l'Uttar Pradesh, où vivent 241 millions d'habitants, où l'utilisation de la prophylaxie a considérablement réduit à la fois le taux d'infection et le nombre de décès.
Même parmi les travailleurs de la santé de première ligne, l'ivermectine s'est avérée être une prophylaxie efficace contre le COVID-19. Une étude portant sur 3 532 agents de santé de première ligne de l'Institut indien des sciences médicales de Bhubaneswar a révélé que deux doses d'ivermectine orale (300 μg/kg administrées à 72 heures d'intervalle) en tant que chimioprophylaxie chez les agents de santé réduisaient le risque d'infection au COVID-19 de 83 % le mois suivant.
Au Pérou, des traitements de masse à l'ivermectine ont été menés dans le cadre d'un effort à grande échelle appelé Mega-Operación Tayta, ou MOT en abrégé. L'opération MOT a été menée par l'armée péruvienne et a impliqué 10 États, où le taux de mortalité excessif a connu une forte baisse avec une moyenne de 74 % sur 30 jours. Dans 14 États où l'ivermectine était administrée localement, la réduction moyenne des décès excessifs sur 30 jours par rapport aux décès était de 53 %.
Lima, la capitale du Pérou, où la distribution de l'ivermectine était restreinte, n'a enregistré qu'une réduction de 25 % des décès excessifs. Les conclusions des chercheurs, détaillées dans le diagramme ci-dessous, montrent le nombre d'infections, de décès et de décès dans les États péruviens qui ont mis en œuvre l'ivermectine (bleu) et ceux qui ne l'ont pas fait (rouge). La conclusion est qu'une réduction des décès était corrélée à la distribution de l'ivermectine avec une valeur de p statistiquement significative inférieure à 0,002.
L'ivermectine - Le médicament miracle
L'ivermectine a été découverte au Japon à la fin des années 70 en tant que dérivé de l'avermectine, produit à partir d'un seul organisme isolé à l'Institut Kitasato de Tokyo. Depuis lors, l'ivermectine a joué un rôle incommensurable dans l'amélioration de la vie de milliards de personnes avec ses modestes débuts en tant que médicament antiparasitaire.
L'ivermectine, approuvée par la Food and Drug Administration des États-Unis et déployée dans le monde entier depuis 1987, a fait des percées majeures contre deux maladies tropicales dévastatrices : l'onchocercose et la filariose lymphatique. De plus, certaines formes topiques d'ivermectine sont approuvées pour traiter les parasites externes comme les poux de tête et les affections cutanées comme la rosacée.
En plus de ses effets antiparasitaires, une étude de 2022 publiée dans le European Journal of Medicinal Chemistry Reports a révélé que l'ivermectine a une forte puissance à de faibles concentrations contre de nombreux virus à ADN et à ARN, notamment le VIH-1, la fièvre jaune, le paludisme, le virus du Nil occidental. virus, Zika, dengue, etc.
Selon l'étude, l'ivermectine a un effet inhibiteur étonnant sur plusieurs espèces et peut interrompre la motilité et la reproduction chez les arthropodes (tels que les insectes) et les nématodes (tels que les vers ronds). Cela explique pourquoi l'ivermectine est prescrite pour les infections parasitaires, et met également en lumière son potentiel comme prophylactique contre les maladies à transmission vectorielle. Chez les insectes et autres arthropodes en particulier, il peut interrompre la transmission de la maladie.
Mécanismes potentiels de l'ivermectine contre le COVID
Le SRAS-CoV-2 est un virus qui prend le contrôle des cellules hôtes pour se multiplier dans le corps. Pour pénétrer dans les cellules hôtes, le virus se lie au récepteur ACE-2 à la surface des cellules, ce qui leur permet d'entrer. L'ivermectine empêche le processus de liaison en interférant avec les protéines de pointe du virus - c'est le même mécanisme que les vaccins utilisent.
Si le virus glisse au-delà de la membrane cellulaire, sa priorité absolue est d'infiltrer le cerveau de la cellule - le noyau contenant l'ADN - pour commencer à se produire en masse. Le SRAS-CoV-2 se verrouille sur une classe spéciale de protéines de transport appelées IMP qui ont une habilitation de sécurité suffisante pour entrer dans le noyau. Dans le cas d'une infection virale, l'ivermectine se lie à ces protéines de transport et stoppe l'interaction.
L'ivermectine inhibe également le mécanisme de transport nucléaire médié par la protéine KPNA-1, qui a un effet similaire par rapport aux IMP. Les deux protéines peuvent pénétrer dans le noyau et l'ivermectine peut empêcher efficacement le virus d'atteindre le noyau. Dans le cas où le virus parvient à envahir le noyau, l'ivermectine a également un plan de secours.
Par exemple, lorsque le virus a pris le relais et initialisé l'auto-réplication, il le fait via une protéine appelée RdRp, qui est au cœur de la réplication virale et est directement inhibée par l'ivermectine avec une très grande efficacité.
L'ivermectine pourrait réduire les lésions pulmonaires graves chez les patients COVID
Une fois que le COVID-19 atteint des stades avancés, il peut nécessiter des soins intensifs pour se rétablir. Par exemple, le syndrome du poumon blanc (un symptôme caractéristique du syndrome de détresse respiratoire aiguë) qui se produit maintenant dans les infections graves au COVID en Chine, est un signe que le virus a profondément infecté les poumons et peut avoir provoqué des tempêtes de cytokines (une réaction immunitaire sévère dans le corps ) chez les malades.
D'autres complications qui découlent du COVID-19 impliquant les poumons sont des conditions telles que la fibrose pulmonaire et l'hypoxie. L'hypoxie se produit lorsque le virus infecte les tissus pulmonaires au point que les alvéoles, de minuscules sacs d'air à l'extrémité des branches pulmonaires responsables de l'échange d'oxygène, se cicatrisent, provoquant une grave perte d'oxygène dans le corps.
Les cytokines et les chimiokines sont responsables de l'inflammation, une réponse naturelle du système immunitaire aux envahisseurs étrangers. Cependant, un grand nombre de cytokines libérées dans le corps en même temps peuvent provoquer une «tempête de cytokines», dans laquelle le corps est inondé d'armées de globules blancs qui nuisent au corps.
Une tempête de cytokines peut être déclenchée par la voie TLR-4 par le virus. La même voie déclenche également la libération d'oxyde nitrique, provoquant des fuites de liquide, dilatant les vaisseaux sanguins, voire une septicémie et une accumulation de liquide dans les poumons.
Une tempête de cytokines est liée aux composants viraux qui modifient la façon dont le corps régule certaines molécules signal comme STAT-3 et TLR-4. Trop de STAT-3 conduira à la production de plus de TLR-4 via PAK-1 et c'est ainsi que le virus induit une voie telle qu'une forte réponse inflammatoire est initiée dans le corps.
L'ivermectine inhibe directement les voies NF-kb et STAT-3 en dégradant les molécules signal qui favorisent le cercle vicieux. Ainsi, l'ivermectine peut réduire le risque de tempêtes de cytokines et réduire le risque que les patients souffrent de lésions pulmonaires graves telles que les «poumons blancs».
L'ivermectine peut réduire les co-infections bactériennes pour les patients COVID
Les co-infections bactériennes sont courantes dans les infections virales respiratoires, et les patients atteints de COVID-19 ne font pas exception. Les patients avec des co-infections étaient plus susceptibles de mourir en soins intensifs que ceux sans co-infections. Parmi le groupe de composés de la famille des avermectines, l'ivermectine se distingue par ses effets antibactériens.
Dans les isolats cliniques de tuberculose multirésistante, l'utilisation de l'ivermectine s'est avérée efficace. Dans le même temps, l'ivermectine inhibe la croissance d'une multitude d'autres bactéries telles que Staphylococcus aureus (infection cutanée grave), Mycobacterium Bovis et d'autres à des concentrations cliniquement significatives allant de 1 à 8 µg/ml, ce qui signifie une forte puissance.
L'ivermectine peut également activer les récepteurs P2X4 dans les macrophages, augmentant sa capacité à détruire les bactéries et à protéger contre la septicémie, qui est l'effet antibactérien le plus important de l'ivermectine.
La réutilisation des médicaments, en cas de succès, est le meilleur accélérateur du développement prophylactique car elle peut faire gagner aux développeurs de trois à 12 ans, car les experts peuvent réutiliser les données des essais cliniques précédents et d'autres expériences.
Un «médicament miracle» comme l'ivermectine devrait être fortement considéré comme une défense contre les virus étant donné son succès à la fois dans les études de mécanismes et les essais cliniques ainsi que dans les applications dans une variété de maladies et d'infections. La suppression de l'utilisation de l'ivermectine pendant la pandémie de COVID-19 par les agences gouvernementales et les grandes entreprises pharmaceutiques est l'un des événements les plus tragiques de la médecine moderne au monde.
Ce qui est particulièrement triste, c'est que le régime chinois n'a pas assumé ses responsabilités sociales en assouplissant les restrictions zéro COVID en offrant des prophylactiques telles que l'ivermectine pour préparer son peuple à un tsunami d'infections, comme l'a fait le Pérou avec son opération de distribution d'ivermectine. Il aurait été très bénéfique d'équiper le peuple chinois d'ivermectine pour réduire le nombre exorbitant d'infections et les décès inutiles de COVID-19.
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État de la sécurité biomédicale, édition britannique
La dernière révélation des agences de renseignement gouvernementales espionnant et censurant leurs propres citoyens pour des idées fausses en matière de santé publique. Dans le pays d'origine d'Orwell, Big Brother veille toujours.
Par le Dr Aaron Kheriaty Recherche mondiale, 02 février 2023
Tout d'abord, à titre de toile de fond contextuelle, permettez-moi de proposer un bref récapitulatif de certains développements pertinents, que je décris plus en détail dans The New Abnormal :
Novembre 2021 : Comme l' a rapporté le New York Times, le gouvernement israélien a publié une législation d'urgence sur la pandémie permettant au Shin Bet (leur équivalent de la CIA) d'accéder aux téléphones portables et d'extraire les données de suivi et de traçabilité des patients suspects de covid à leur insu ou sans leur consentement.
Décembre 2021 : L'Agence de la santé publique du Canada a confirmé qu'elle avait extrait des données de téléphonie mobile dès le début de la pandémie pour suivre secrètement les mouvements des citoyens, encore une fois à leur insu ou sans leur consentement. Contrairement à Israël, cela n'a pas été fait législativement ou publiquement. L'agence a confirmé qu'elle prévoyait d'étendre et de poursuivre ce programme jusqu'en 2026.
Mai 2022 : Vice a annoncé qu'au cours des deux dernières années, « Le CDC a suivi des millions de téléphones pour voir si les Américains ont suivi les ordres de verrouillage du COVID. « Le CDC a utilisé les données de localisation téléphonique pour, entre autres, surveiller les mouvements des citoyens dans les écoles et les églises. Ils ont confirmé leur intention d'utiliser les données pour des applications au-delà de covid dans les années à venir. Des chercheurs de Princeton ont démontré qu'avec seulement quatre points de données de localisation, les données soi-disant anonymisées pouvaient facilement être reliées à des personnes spécifiques. Des preuves ont également émergé l'année dernière que la CIA utilisait une surveillance numérique non autorisée pour espionner les Américains. Deux membres de la commission sénatoriale du renseignement ont averti que "des documents révèlent de graves problèmes associés aux fouilles clandestines sans mandat d'Américains". Pour ne pas être en reste du jeu panoptique numérique, les nouvelles de Grande-Bretagne ont éclaté cette semaine avec le titre suivant :
Une unité ténébreuse de l'armée a secrètement espionné des citoyens britanniques qui ont critiqué les politiques de verrouillage du gouvernement contre Covid , peut révéler The Mail on Sunday.
Des agents militaires de la brigade britannique de "guerre de l'information" faisaient partie d'une opération sinistre qui ciblait des politiciens et des journalistes de renom qui ont émis des doutes sur la réponse officielle à la pandémie.
Ils ont compilé des dossiers sur des personnalités publiques telles que l'ancien ministre David Davis, qui a remis en question la modélisation derrière les prévisions alarmantes du nombre de morts, ainsi que des journalistes tels que Peter Hitchens et Toby Young. Leurs opinions divergentes ont ensuite été rapportées au 10 [Downing Street, le bureau du Premier ministre britannique].
Des documents obtenus par le groupe des libertés civiles Big Brother Watch, et partagés en exclusivité avec ce journal, ont exposé le travail de cellules gouvernementales telles que l'Unité de lutte contre la désinformation, basée au Département du numérique, de la culture, des médias et des sports, et l'Unité de réponse rapide à le Cabinet Office.
Mais la plus secrète est la 77e brigade du MoD, qui déploie "un engagement non létal et des leviers non militaires légitimes comme moyen d'adapter les comportements des adversaires".
Comme cela s'est produit avec tant de nos agences fédérales aux États-Unis, qui se sont éloignées de leur mission initiale de protéger les citoyens contre les menaces étrangères pour protéger l'État contre ses propres citoyens, nous constatons les développements suivants au Royaume-Uni :
Selon un dénonciateur qui a travaillé pour la brigade pendant les fermetures, l'unité s'est éloignée bien au-delà de son mandat de cibler les puissances étrangères.
Ils ont déclaré que les comptes des citoyens britanniques sur les réseaux sociaux étaient passés au crible – une activité sinistre que le ministère de la Défense, en public, a nié à plusieurs reprises.
Des articles montrent que les tenues ont été chargées de contrer la «désinformation» et les «récits nuisibles… de prétendus experts», avec des fonctionnaires et une intelligence artificielle déployés pour «gratter» les médias sociaux pour des mots clés tels que «ventilateurs» qui auraient été intéressants.
Les informations ont ensuite été utilisées pour orchestrer les réponses du gouvernement aux critiques de politiques telles que l'ordre de séjour à domicile, lorsque la police a été autorisée à infliger des amendes et à interrompre les rassemblements.
Cela a également permis aux ministres de pousser les plateformes de médias sociaux à supprimer des messages et à promouvoir des lignes approuvées par le gouvernement.
Le dénonciateur de l'armée a déclaré: "Il est tout à fait évident que nos activités ont abouti à la surveillance de la population britannique… à surveiller les publications sur les réseaux sociaux de personnes ordinaires et effrayées." Ces messages ne contenaient pas d'informations fausses ou coordonnées – c'était simplement de la peur.
Hier soir, l'ancien ministre du Cabinet, M. Davis, membre du Conseil privé, a déclaré: "Il est scandaleux que des personnes remettant en question les politiques du gouvernement aient fait l'objet d'une surveillance secrète" – et a remis en question le gaspillage de l'argent public.
Notre affaire Missouri c. Biden et les fichiers Twitter ont révélé que ce type de politiques de surveillance et de censure était en vigueur aux États-Unis, comme je l'ai déjà écrit ici.
Cette dernière histoire suggère que le gouvernement britannique s'est également engagé dans les mêmes politiques totalitaires contre ses propres citoyens.
Je me souviens ici de la CISA, une agence gouvernementale américaine peu connue qui n'existe que depuis environ six ans. La Cybersecurity Infrastructure Security Agency a été créée à l'origine pour nous protéger des cyberattaques - logiciels malveillants, virus informatiques, etc. un brillant euphémisme orwellien – des menaces intérieures pour notre « infrastructure cognitive ».
Maintenant, à quoi cela fait-il référence ? Les nouvelles menaces dangereuses pour notre infrastructure cognitive sont vos pensées, vos idées, les choses que vous exprimez par exemple sur Twitter ou Facebook ou dans le journal. Grâce à ce tour de passe-passe, la CISA s'est rapidement positionnée pour devenir la police de la pensée au centre du régime de censure illégal du gouvernement américain.
Mais revenons au Royaume-Uni. L'article décrit le ciblage d'un de mes journalistes britanniques préférés, Peter Hitchens :
Le journaliste du courrier du dimanche, M. Hitchens, a été surveillé après avoir partagé un article, basé sur des fuites de documents du NHS [British National Health Service], qui affirmaient que les données utilisées pour justifier publiquement le verrouillage étaient incomplètes. Un e-mail interne de l'unité de réponse rapide a déclaré que M. Hitchens souhaitait "poursuivre [un] programme anti-verrouillage et influencer le vote des Communes".
Écrivant aujourd'hui, M. Hitchens se demande s'il a été "banni de l'ombre" pour ses critiques, ses opinions étant effectivement censurées en étant rétrogradées dans les résultats de recherche.
Il dit: “ La chose la plus étonnante à propos de la grande panique de Covid était le nombre d'attaques que l'État a réussi à faire contre les libertés fondamentales sans que personne ne s'en soucie vraiment, sans parler de protester. Il est maintenant temps d'exiger une enquête complète et puissante sur le matériau sombre que Big Brother Watch a courageusement découvert.
Le lanceur d'alerte de la 77e Brigade, qui utilise à la fois des troupes régulières et de réserve, a déclaré: "J'ai eu l'impression que le gouvernement était plus intéressé à protéger le succès de sa politique qu'à découvrir toute ingérence étrangère potentielle, et je regrette d'en avoir fait partie. . Franchement, le travail que je faisais n'aurait jamais dû avoir lieu.
La source a également suggéré que le gouvernement était tellement concentré sur la surveillance des critiques qu'il a peut-être manqué de véritables campagnes de prolockdown dirigées par la Chine.
Silkie Carlo, de Big Brother Watch, a déclaré: “ Il s'agit d'un cas alarmant de glissement de mission, où l'argent public et le pouvoir militaire ont été détournés pour surveiller les universitaires, les journalistes, les militants et les députés qui ont critiqué le gouvernement, en particulier pendant la pandémie.
"Le fait que cette surveillance politique se soit déroulée sous le couvert de" contrer la désinformation "montre à quel point, sans garanties sérieuses, le concept de" fausses informations "est ouvert aux abus et est devenu un chèque en blanc que le gouvernement utilise pour tenter de contrôler les récits en ligne .
« Contrairement à leurs objectifs déclarés, ces unités de vérité du gouvernement sont secrètes et nuisibles à notre démocratie. L'unité de lutte contre la désinformation doit être suspendue immédiatement et faire l'objet d'une enquête approfondie.
Si vous faites défiler l' article jusqu'en bas , vous constaterez que le Mail a également publié un commentaire d'accompagnement du lanceur d'alerte anonyme,
" Cette espionnage était mauvaise, elle plane sur ma fière carrière dans l'armée comme un nuage noir",
et un commentaire de Peter Hitchens,
"Comment les censeurs ténébreux ont essayé de supprimer mes vues Covid" inutiles "de YouTube".
En Grande-Bretagne, le pays d'origine d'Orwell, sept décennies après la publication de 1984 , il s'avère que Big Brother veille toujours. C'est peut-être le bon moment pour rappeler à tout le monde que le roman dystopique classique d'Orwell était censé être un avertissement, pas un manuel d'instructions.
Cause inconnue : L'épidémie de morts subites en 2021-2022
Par John Leake Recherche mondiale, 02 février 2023
Aujourd'hui, j'ai reçu des informations selon lesquelles la star néerlandaise du cyclisme professionnel Lieuwe Westra (40 ans) et le nageur vedette de l'Université de l'Arizona, Ty Wells (23 ans), sont décédés subitement ces derniers jours. A en juger par les reportages des médias, la cause de leur mort est inconnue. Les deux grands athlètes, tous deux au sommet de la condition physique humaine, viennent apparemment de mourir.
La nouvelle de leur mort m'a rappelé un nouveau livre que je voulais revoir depuis six semaines. La seule raison pour laquelle j'ai hésité, c'est que ce livre en particulier me frappe comme l'un des plus importants jamais écrits, si étrange qu'il défie presque toute croyance. L'histoire qu'il raconte ressemble à quelque chose d'un roman de science-fiction dystopique, mais en fait, il s'inscrit pleinement dans le véritable genre du crime.
En son cœur se trouve un mystère auquel toute l'humanité est désormais confrontée. Quelque chose là-bas – un agent horrible qui est entré dans le monde en 2021 – tue les plus aptes de l'humanité. Qu'est ce que ça pourrait être? Quelle pourrait être la cause de cette "épidémie de morts subites", pour citer le sous-titre du nouveau livre d'Edward Dowd, CAUSE UKNOWN .
Comme Robert F. Kennedy, Jr. a présenté l'auteur dans Forward du livre :
Parmi les titans financiers les plus imposants du monde se trouve BlackRock, une entreprise dont l'économie est plus importante que celle de tous les pays du monde, à l'exception des États-Unis et de la Chine. Ils gèrent 10 000 milliards de dollars d'actifs. En 2002, BlackRock a recruté le brillant carriériste de Wall Street, Edward Dowd, et l'a rapidement promu au poste de directeur général. Il s'avère que BlackRock a fait un très bon pari sur Ed Dowd : le fonds de croissance qu'il gérait a démarré à 2 milliards de dollars ; au moment où il a quitté BlackRock, il était de 14 milliards de dollars. Son travail avec BlackRock nécessitait une grande capacité à comprendre les marchés, à sélectionner des actions, à analyser des statistiques et à identifier les tendances.
En 2021, Dowd s'est retrouvé à se retirer de Wall Street pour étudier un tout nouveau type de tendance : l'épidémie croissante et tragique de morts subites chez les jeunes en bonne santé.
CAUSE UNKNOWN présente les résultats de l'enquête de Dowd. Depuis que j'ai reçu mon exemplaire, j'ai essayé très fort de jouer l'avocat du diable contre lui, mais en fin de compte, la "tragique épidémie de morts subites chez les jeunes en bonne santé" ne peut pas être un hasard de détection et de signalement accrus, d'hyper-vigilance , ou biais de confirmation. Ce que M. Dowd documente est terriblement réel.
Qu'est-ce qui, demande Dowd, a été introduit dans notre monde en 2021, lorsque l'épidémie a commencé ? Comme tous les bons auteurs de vrais crimes, il ne saute pas aux conclusions, mais fait un travail formidable en rassemblant et en analysant les preuves.
À en juger par la postface de Gavin de Becker, fondateur de Gavin de Becker Associates, Dowd était assisté par l'un des enquêteurs les plus compétents au monde. Le livre de 1997 de M. de Becker, Gift of Fear , est largement considéré comme le plus perspicace jamais écrit sur le sujet de l'identification et de l'évaluation des dangers mortels.
Je ne gâcherai pas la fin en révélant la thèse de M. Dowd sur les causes de l'épidémie de morts subites chez les jeunes. Les lecteurs réguliers de cette sous-pile ne seront pas surpris, mais ils seront toujours stupéfaits par la documentation méticuleuse du livre sur la catastrophe mondiale, et attristés par sa page après page d'enfants et de jeunes souriants qui ne sont plus avec leurs parents, frères et sœurs, et copains.
Je recommande particulièrement le livre à tous les coroners et médecins légistes du monde qui, pour quelque raison que ce soit, semblent rester ignorants.
Cause Unknown : The Epidemic of Sudden Deaths in 2021 & 2022 , (Skyhorse Publishing/Children's Health Defence) Relié – 13 décembre 2022,par Ed Dowd(Auteur), Gavin de Becker (Postface), Robert F. Kennedy Jr. (Préface ).
Chicken Little ? Pas si vite, disent les prix des œufs !
3 Février 2023 Amanda Zaluckyj*
L'histoire de Chicken Little [Petit Poulet au Québec] est bien connue. Un gland tombe sur sa tête et il croit alors que c'est le ciel qui lui tombe sur la tête. Il fait paniquer tous ses voisins en leur racontant l'incident. Et puis, bien sûr, le ciel ne tombe pas vraiment. Ce conte est un avertissement contre l'alarmisme et les personnes qui alimentent la peur.
J'écris beaucoup sur la façon dont les événements peuvent influencer l'agriculture, de la ferme à votre table. Un changement dans la loi californienne fera augmenter les prix dans tout le pays ? La nouvelle réglementation de l'EPA sur les pesticides fera baisser les rendements ? La politique de la Chine freinera l'utilisation de la technologie agricole ? Le marketing alimentaire peut nuire aux personnes ayant des moyens socio-économiques plus faibles ? J'essaie toujours d'expliquer comment les questions agricoles auront un impact sur chacun d'entre nous.
Mais certaines personnes m'ont accusée d'être une Chicken Little, une poule mouillée. Les modifications des lois en Californie n'augmentent pas les prix ! Les décisions de l'EPA n'ont rien à voir avec les rendements ! La Chine ne peut pas influencer les marchés mondiaux ! Et personne ne fait vraiment attention aux étiquettes de commercialisation ! Ce n'est que de l'alarmisme !
Alors, en gardant cela à l'esprit, parlons du prix des œufs. Les œufs sont l'une des sources de protéines les moins chères et les plus nutritives. Mais le prix des œufs a grimpé en flèche en décembre 2022, certaines augmentations dépassant les 60 %. Bien que les prix aient commencé à baisser, la hausse du prix des œufs a suscité une avalanche de mèmes en ligne, certains magasins d'alimentation ont mis en garde contre les pénuries et les consommateurs ont refusé d'acheter leur douzaine habituelle.
L'épidémie de grippe aviaire en est la cause. Depuis février 2022, elle a tué environ 60 millions de volailles. Selon l'American Egg Board, il y a environ 6 % de poules pondeuses en moins dans les exploitations américaines qu'avant l'épidémie.
Comme je l'ai mentionné, nous assistons déjà à une augmentation du cheptel, à une hausse de la production et à une baisse des prix. Comparativement, les œufs restent une source de protéines abordable. Le ciel ne nous tombe pas sur la tête, même si nous assistons à des ajustements économiques à court terme.
Mais c'est pour cette raison que je parle de ce qui a un impact sur l'agriculture. Toutes mes préoccupations ne se matérialiseront pas. Tout ne fera pas réagir les gens. Pourtant, l'inquiétude des agriculteurs face à ces questions est réelle. Nous n'essayons pas d'alimenter l'alarmisme. Nous essayons simplement de mettre les choses en perspective. Cette fois, cela s'est avéré être justifié.
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* Amanda Zaluckyj blogue sous le nom The Farmer's Daughter USA. Son objectif est de promouvoir les agriculteurs et de lutter contre la désinformation qui tourbillonne autour de l'industrie agroalimentaire américaine.
Source : Chicken Little? Egg Prices Say Not-So-Fast - The Farmer's Daughter USA (thefarmersdaughterusa.com
Sans oublier que tu t'assures que tout soit fait (à un moment ou à un autre) même lorsque les conduites d'eau gèlent et se fendent. Même quand la machine à laver tombe en panne (merci, l'eau dure). Même quand personne ne veut enlever ses bottes pendant la saison des vêlages ? Vous. Vous y arrivez.
Certaines d'entre vous ont choisi ce monde, d'autres y sont nées. Certaines d'entre vous ont choisi un partenaire qui préfère parfois l'agriculture à la famille. Mais, en grande majorité, je lis des articles sur la valeur que l'agriculture apporte à votre assiette et à la vie de votre famille, en grande partie grâce à vous.
Les femmes qui travaillent en ville : la plupart des fermes, et des ranchs, ne pourraient pas fonctionner sans vous
Les femmes qui aident à soutenir financièrement leur famille et les exploitations agricoles, qui maintiennent le résultat net et qui, peut-être, veillent à ce que leurs relations restent intactes en ne travaillant pas à la ferme ou au ranch... Quel travail ! Certains d'entre vous rient lorsque la compagnie d'assurance automobile vous demande si vous roulez 15.000 miles par an. Vous êtes sur la route avant le lever du soleil – et longtemps après.
Entre-temps, vous enseignez, vous gérez les finances des autres, vous travaillez dans le domaine médical ; certaines d'entre vous sont peut-être avocates, politiciennes, postières ou font tout simplement ce qu'elles peuvent pour s'en sortir. Certaines d'entre vous peuvent même soutenir financièrement leur famille et la ferme tout en défendant l'agriculture sur le plan professionnel. Et cela ne vous dérangerait pas de prendre une partie ou deux sur le chemin du retour, n'est-ce pas ?
Agricultrices à temps partiel : vous maintenez les « bénéfices » et les produits en circulation
Le ranch ou la ferme ont-ils besoin d'aide ? Qu'il s'agisse d'un travail saisonnier pendant la récolte, de suivre une moissonneuse-batteuse dans une voiture avec des gyrophares, ou pourquoi pas de conduire la moissonneuse-batteuse ? Les femmes sont là pour se salir les mains dans leurs champs. Qui se présente encore lorsque la ferme ne peut ou ne veut pas embaucher un employé à temps plein (ou une femme) ? Vous. Besoin d'un coup de main supplémentaire pour le marquage ? Oui, vous êtes là – même si vous avez déjà aidé à préparer le repas et que vous devez ensuite aider à tout nettoyer.
Les entreprises américaines investissent des milliards dans le secteur de l'IA chinois: Rapport
Par Tyler Durden Vendredi 03 février 2023 - 05:10 AM Rédigé par Andrew Thornebrooke via l'époque Epoch Times (le nôtre),
Les entreprises américaines ont participé au moins 37 % des transactions d'investissement totales dans le secteur de l'intelligence artificielle (IA) en Chine entre 2015 et 2021, selon un nouveau rapport.
Le rapport (PDF), publié par le Georgetown University Center for Security and Emerging Technology, a révélé que 40,2 milliards de dollars de transactions d'investissement dans les sociétés d'IA chinois avaient un soutien américain, bien qu'il ne soit pas clair quel pourcentage de ce montant a été effectué par les investisseurs américains ou leur étranger homologues.
L'argent a été donné à 251 sociétés d'IA chinois, principalement en tant qu'anges de capital-risque, des semences et des investissements en scène pré-série.
Il y a des risques avec de tels investissements, indique le rapport, car ils sont généralement accompagnés d'autres avantages intangibles dans lesquels l'expertise américaine est livrée aux entreprises basées en Chine.
«Alors que les données Crunchbase suggèrent que les investissements sortants américains dans les sociétés d'IA chinois sont limités, ces activités financières, les liens commerciaux et l'expertise tacite qui transfèrent des bailleurs de fonds américains à des sociétés cibler de l'écosystème de l'IA en plein essor en Chine qui s'étendent au-delà du secteur des entreprises », A indiqué le rapport.
«Les investissements antérieurs en VC en particulier peuvent fournir des avantages intangibles au-delà du capital, notamment le mentorat et le coaching, la reconnaissance des noms et les opportunités de réseautage. En tant que tels, l'investissement sortant américain dans la technologie chinoise, et en particulier l'IA, mérite une attention et un suivi supplémentaires. »
Les entreprises américaines finançant les entreprises d'IA chinois
Les investissements américains dans des sociétés d'IA basées en Chine ont été critiqués ces dernières années en raison du montant du contrôle exercé par ces sociétés par le régime communiste chinois.
Le Parti communiste chinois (PCC), qui gouverne la Chine en tant qu'État à parti unique, a mis en œuvre plusieurs lois qui obligent les entreprises chinoises à mettre toutes les données en leur possession à la disposition du régime sur demande.
Cela signifie que toutes les données ou technologies développées par des sociétés chinoises avec un soutien américain pourraient être directement utilisées par le PCC pour améliorer ses capacités militaires, conformément à la stratégie de «fusion militaire civile» du régime.
De plus, ces investissements alimentent directement les efforts de la Chine pour dépasser les États-Unis comme le pouvoir technologique principal.
Cela est démontré par la valeur des investissements réalisés par des sources américaines dans les sociétés d'IA chinois. Alors que les transactions d'investissement impliquant des sources de financement américaines ne représentaient que 17 % du nombre total de transactions effectuées, selon le rapport, ces transactions ont représenté 37 % de la valeur totale de financement de toutes ces transactions.
Notamment, les investissements américains incluent également un financement majeur pour les entreprises chinoises dont la recherche pourrait profiter de manière tangible à la poursuite de l’IA et des systèmes autonomes par l’IA et dans l’IA.
"Certains des investissements les plus importants incluent l'investissement en solo de Goldman Sachs dans 1kmxc, une entreprise de robotique compatible AI, ainsi qu'un investissement de trois sociétés de capital-risque basées aux États-Unis dans Geek +, une société de robot mobile autonome", indique le rapport.
Backflip : BP "déçu" par les énergies renouvelables - signale un retour au pétrole et au gaz et "réalise des bénéfices"
Par Jo Nova February 3rd, 2023
Le défilé écolo a soudain une odeur… Il s'agit d'un changement notable : il y a vingt ans, BP s'appelait "Beyond Petroleum" (Au-delà du pétrole), et il y a seulement un an, le PDG a déclaré que BP "accélérait" ses investissements verts. Mais maintenant, le PDG rassure les investisseurs sur le fait que BP ne se laissera pas distraire par les objectifs environnementaux et se concentrera sur la maximisation des profits. De plus, ces bénéfices seraient trouvés là où il a un avantage concurrentiel, y compris ses « opérations pétrolières et gazières héritées ».
Juste comme ça : il n'y a pas de mal à parler de profits et de sécurité énergétique. Les mots clés ici sont « rappeler », « déçu », « plus étroit » et « moins d'emphase » et ils sont tous utilisés en relation avec les investissements environnementaux.
Après des années de soleil et de licornes sur la transition forcée vers une énergie peu fiable, l'ambiance semble changer.
h/t Paul Homewood à Notalotofpeopleknowthat
Logo BP, signe. Carburant. Le PDG de Petrol.BP minimise la poussée des énergies renouvelables alors que les rendements sont en retard Bernard Looney cherche à affiner l'orientation stratégique, en mettant moins l'accent sur les objectifs environnementaux
Jenny Strasberg, Wall Street Journal
Le directeur général Bernard Looney prévoit de rappeler des éléments de la poussée très médiatisée du géant pétrolier vers les énergies renouvelables, selon des personnes familières avec les discussions récentes.
M. Looney a déclaré qu'il était déçu des rendements de certains des investissements renouvelables du géant pétrolier et prévoit de poursuivre une stratégie d'énergie verte plus étroite, ont déclaré les gens. Il a dit à certaines personnes proches de l'entreprise que BP devait faire plus pour convaincre les actionnaires de sa stratégie visant à maximiser les profits dans les domaines où il a un avantage concurrentiel, y compris ses anciennes opérations pétrolières et gazières.
Dans certaines des conversations, M. Looney a déclaré qu'il prévoyait de mettre moins l'accent sur les soi-disant objectifs ESG - un terme fourre-tout pour environnementaux, sociaux et de gouvernance - pour aider à clarifier que ceux-ci ne détournent pas l'entreprise de sa capacité à livrer profits, disaient les gens.
Un investisseur de BP a déclaré que les actionnaires surveillaient attentivement la performance des investissements renouvelables.
Ils ont déclaré: «Sociétalement, les gens se concentrent désormais davantage sur la question de la sécurité énergétique – nous devons garder à l'esprit que lorsque nous développons le nouveau système d'énergies renouvelables, vous ne pouvez pas réduire l'ancien système de manière trop agressive; c'est une transition, ce n'est pas un changement d'étape.
Cela semble être un changement à l'échelle de l'entreprise. Il y a seulement trois jours, l'économiste en chef de BP a déclaré que nous aurions encore besoin de pétrole et de gaz pendant des décennies.
Des investissements dans le pétrole et le gaz sont nécessaires pendant encore 30 ans, prévient BP Par Rachel Millard, Le Télégraphe
Les combustibles fossiles sont le seul moyen de lutter contre les pénuries d'énergie, selon le géant pétrolier
Des investissements dans la production de pétrole et de gaz seront nécessaires au cours des trois prochaines décennies si le monde veut éviter davantage de pénuries et de fluctuations de prix, a averti BP. Le géant pétrolier a déclaré dans ses perspectives énergétiques annuelles publiées lundi que les combustibles fossiles devraient encore représenter environ 20% de l'énergie primaire en 2050, même dans le cadre d'un resserrement significatif des politiques climatiques.
"Ce serait la première fois dans l'histoire moderne qu'il y aurait une baisse soutenue de la demande de tout combustible fossile."
La rotation des médias est plus forte que jamais Cependant, les lecteurs du New York Times et de Reuters voient des titres comme celui-ci générés à partir du même rapport de BP.
« Le passage aux énergies renouvelables s'accélère. Voici comment." Le chef de la première organisation mondiale de l'énergie a qualifié la guerre en Ukraine d'"accélérateur" de la transition.
"La guerre d'Ukraine pour accélérer le passage à l'énergie propre, dit BP" "L'accent accru mis sur la sécurité énergétique à la suite de la guerre russo-ukrainienne a le potentiel d'accélérer la transition énergétique alors que les pays cherchent à accroître l'accès à l'énergie produite localement, dont une grande partie est susceptible de provenir d'énergies renouvelables et d'autres combustibles non fossiles. ", a déclaré Spencer Dale, économiste en chef de BP, dans le rapport.
C'est comme si nous vivions dans deux mondes différents. Certains investisseurs pourraient avoir une mauvaise surprise.
Pour être juste cependant, BP génère le genre de rapports qui « font appel dans les deux sens ». Mais ce qui est différent, c'est qu'il y a quelques années, ils n'auraient pas osé verser de l'eau froide sur le message environnemental ou parler de sécurité énergétique et du besoin de combustibles fossiles.
Mais ne vous méprenez pas, il y a encore beaucoup de conflits dans la mission principale de l'entreprise Ces plans sont-ils toujours d'actualité ?
BP a déclaré qu'il prévoyait d'ici 2030 de réduire sa production de combustibles fossiles de 40 % par rapport aux niveaux de 2019. M. Looney s'est fixé pour objectif d'augmenter les investissements dans ce qu'il appelle les « entreprises de croissance en transition », y compris les énergies renouvelables et les activités de dépanneur, à environ 50 % des dépenses totales en capital d'ici 2030, contre plus de 40 % d'ici 2025. M. Looney et ses lieutenants ont déclaré que la société équilibrait sa poussée plus profonde dans des projets à faibles émissions tout en continuant à entretenir des vaches à lait héritées comme la production et le commerce de pétrole et de gaz. - Le journal Wall Street
Selon le Wall Street Journal, les revenus du pétrole et du gaz devraient être de 30 à 35 milliards de dollars par an d'ici 2030, tandis que l'objectif de revenus des énergies renouvelables était de 10 milliards de dollars.
Pour la perspective, BP a abandonné le solaire et les biocarburants entre 2011 et 2015 :
En 2011-2015, BP a réduit ses activités d'énergie alternative. La société a annoncé son départ du marché de l'énergie solaire en décembre 2011 en fermant son activité d'énergie solaire, BP Solar.[136] En 2012, BP a mis fin au projet BP Biofuels Highlands, développé depuis 2008 pour fabriquer de l'éthanol cellulosique à partir de cultures énergétiques émergentes comme le panic raide et de la biomasse.[137][138] En 2015, BP a décidé de se retirer des autres activités liées à l'éthanol lignocellulosique.[139] Elle a vendu sa participation dans Vivergo à Associated British Foods.[140] BP et DuPont ont également mis sous cocon leur usine pilote commune de biobutanol à Saltend.[141] - Wikipédia
S'il y avait des profits faciles à réaliser dans l'énergie solaire ou les biocarburants, BP ne les aurait probablement pas supprimés.
Imaginez qu'il y ait un moyen bon marché de sauver 2 000 personnes et des villes sympas, mais cela n'a rendu personne riche ?
Par Jo Nova February 2nd, 2023
Un nouvel article estime que si nous augmentions notre canopée dans les villes à 30 %, nous pourrions refroidir nos villes de près d'un demi-degré. Fonctionne mieux qu'un moulin à vent...
Le camp du réchauffement climatique d'un billion de dollars est obsédé par plus de 1,5 ° C de chaleur, mais l'îlot de chaleur urbain a déjà rendu nos villes 1,5 ° C plus chaudes que la campagne qui les entoure, et personne ne s'en soucie. Les villes sont l'endroit où l'expérience humaine vécue est pour la plupart d'entre nous, et malgré la menace de cette chaleur extrême « aggravée par le changement climatique », aucun gouvernement ne fait l'évidence et fixe un objectif de couverture arborée. Il n'y a pas de ministres du reverdissement et pas de crédits carbone pour les banlieues. Tout ce que nous obtenons, ce sont des bornes en béton et des villes de douleur de quinze minutes.
Dans la révolution verte, au lieu de cultiver des gommiers, les gens les abattent parce qu'ils ombragent leurs panneaux solaires. Dans notre capitale, ils ont rasé une majestueuse allée d'arbres afin d'ajouter un métro léger. Un vrai Vert déteste les voitures plus qu'il n'aime les arbres.
La flore urbaine non seulement purifie l'air, elle réduit également les suicides, améliore la santé cardiaque et réduit la pollution particulaire. Une étude canadienne a estimé que vivre à proximité d'espaces verts réduit même la mortalité toutes causes confondues et d'un remarquable 8 à 12 %. (Crouse et al 2017). Nous le savons depuis des années, mais personne n'a organisé de convention annuelle des Nations Unies.
Verdir nos villes ne changera pas la température mondiale, mais cela met à nu l'hypocrisie Ils disent qu'ils sont là pour aider, mais ils choisissent les voies qui leur rapportent de l'argent.
Les arbres pourraient réduire d'un tiers la mortalité liée aux canicules urbaines : étude Planter plus d'arbres dans les zones urbaines pour abaisser les températures estivales pourrait réduire d'un tiers les décès directement liés au temps chaud et aux vagues de chaleur, ont déclaré mercredi des chercheurs.
La modélisation a révélé que l'augmentation de la couverture arborée à 30% réduirait localement 0,4 degré Celsius (0,7 degré Fahrenheit), en moyenne, pendant les mois chauds d'été, ont-ils rapporté dans The Lancet.
Sur les 6 700 décès prématurés attribués à des températures plus élevées dans 93 villes européennes en 2015, un tiers aurait pu être évité, selon les résultats.
En moyenne, la température dans les villes était de 1,5° C plus élevée pendant l'été 2015 que dans la campagne environnante. La ville avec la différence la plus élevée - 4,1°C - était Cluj-Napoca, en Roumanie.
Des études antérieures ont montré que les espaces verts peuvent avoir des avantages supplémentaires pour la santé, tels que la réduction des maladies cardiovasculaires, de la démence et de la mauvaise santé mentale, ainsi que l'amélioration du fonctionnement cognitif des enfants et des personnes âgées.
RÉFÉRENCES Refroidir les villes grâce à des infrastructures urbaines vertes : une évaluation de l'impact sur la santé des villes européennes, The Lancet (2023).
Crouse et al (2017) Verdurité urbaine et mortalité dans les plus grandes villes du Canada : une étude de cohorte nationale, Lancet Planet Health, . 2017 Oct;1(7):e289-e297. doi : 10.1016/S2542-5196(17)30118-3. Publication en ligne du 5 octobre 2017.
Tous les arbres du monde et toutes les plantes du monde peuvent disparaître sans qu'il n'y ait un quelconque amoindrissement en oxygène ! C'est notre magma qui fournit dans sa combustion la totalité (depuis DES milliards d'années) des gaz qui sont présents dans notre atmosphère où ils se recyclent tous instantanément ! Çà alors !! (sans quoi la vie sur Terre ne serait JAMAIS apparue !). C'est pourquoi l'eau de mer contient 86 % d'oxygène.
FRANCE: Électricité : la facture augmente de 16,4 % pour un foyer moyen
Courant septembre 2022, le gouvernement a annoncé une hausse du tarif bleu (tarif dit “réglementé”, proposé par EDF et fixé par les pouvoirs publics) plafonnée à 15%. Cette augmentation est en réalité bien différente d’un client à l’autre.
Par Aurian de Maupeou le 3 février 2023 à 6h40
Le prix moyen de l'électricité pour une personne en France était de 430,31 € TTC par an en 2021.
Le foyer français moyen consomme 4500 kWh par an. Dans ce cas de figure, l’augmentation de la facture est de 16,5%, ce qui représente quasiment 13€ par mois. Il n’y a pas de solution miracle à cette augmentation. La meilleure attitude consiste à réduire sa consommation, notamment au niveau du chauffage et de l’eau chaude, les deux premiers postes de coût. Cela peut passer par la rénovation énergétique ou la pose d’un chauffe-eau solaire.
Toutefois, l’augmentation des grilles tarifaires du tarif bleu d'EDF n’est pas uniforme. Elle résulte d’une volonté de favoriser les petits consommateurs, et ceux qui acceptent de déplacer leur consommation. Au contraire, elle pénalise les gros consommateurs et ceux qui n’adaptent pas leur comportement à leur option heures pleines heures creuses.
Cette augmentation démontre une volonté de l’État de favoriser les comportements vertueux. Les tarifs en heures creuses augmentent en moyenne de 9.86 % alors que les tarifs en heures pleines augmentent en moyenne de 21.2 %” souligne Aurian de Maupeou, co-fondateur de Selectra.
On note que l’option Tempo proposée par EDF est très largement favorisée par l’évolution du tarif bleu. Cette offre propose un prix du kWh très élevé 22 jours par an à ses quelques centaines de milliers d’abonnés et un prix quasiment 40% inférieur au prix du kWh de l’option base le reste de l’année. D’après les calculs réalisés par Selectra, la facture n’augmente que de 4% avec les nouveaux tarifs contre une augmentation oscillant entre 15 et 17 % pour les 3 autres options proposées au tarif bleu par EDF.
En conclusion, les factures augmentent le plus fortement pour les gros consommateurs et les foyers consommant pendant leurs heures pleines, il est donc clair que l’augmentation tarifaire annoncée par le gouvernement fin janvier 2023 vise à favoriser l’équilibre du réseau électrique français lors des pics de demande.
L'expert BoM s'excuse à propos d'un panneau solaire s'appuyant sur des buissons près du thermomètre officiel de Sydney
Par Jo Nova February 3rd, 2023
Deux jours de suite, ce blog a été cité dans le Daily Telegraph.
Félicitations à Clarissa Bye pour avoir braqué un flambeau sur la BoM
Craig Kelly a trouvé le panneau solaire errant appuyé sur un buisson près du thermomètre officiel de Sydney, et j'ai écrit sur l'étrange endroit qui devait laisser un panneau solaire. Puis Clarissa Bye du Daily Telegraph a repris l'histoire et le 25 janvier a demandé à la BoM pourquoi le panel était là. Après une semaine entière de délais manqués, avec des demandes de temps supplémentaire, le Daily Telegraph a renoncé à attendre et a publié l'histoire mercredi :
Questions soulevées sur le mystérieux panneau solaire de l'observatoire de Sydney Le blogueur scientifique Jo Nova a également interrogé l'emplacement du panneau solaire, décrivant le BOM comme « nonchalant » au mieux dans la maintenance des sites météorologiques. "Le panneau solaire est exactement au sud de l'écran Stevenson où le thermomètre est conservé", a-t-elle déclaré. "Si, hypothétiquement, quelqu'un voulait laisser un objet réfléchissant pointé vers la boîte à midi, ce serait l'endroit pour le faire."
"" Il n'y a eu qu'un seul jour au-dessus de 30 degrés depuis le 21 février de l'année dernière à Sydney, et c'était un jour où le panneau solaire errant visitait le thermomètre, apparemment connecté à rien et appuyé sur un buisson. "
Pendant ce temps, la BoM, qui n'a pas eu le temps de répondre aux questions, a trouvé le temps d'enlever le panneau embarrassant.
Puis finalement, la BoM a répondu à Mme Bye et mes pensées sont "wow... ça leur a pris une semaine entière pour trouver ça ?" Apparemment, l'étrange panneau est là depuis presque un an maintenant et servait d'alimentation de secours pour la station météo, juste au cas où il y aurait des coupures de courant dues à des rénovations à l'école voisine, et si vous croyez que…
BOM répond au mystère de la disparition des panneaux solaires Clarissa Bye, The Daily Telegraph, 2 février 2023
Le panneau solaire a mystérieusement disparu après que des questions ont été posées aux médias, mais le Bureau de météorologie a maintenant publié une déclaration indiquant que le panneau a été érigé en raison d'éventuelles interruptions de courant dues à la construction d'une école à proximité.
Il a déclaré que le panneau avait été installé en février 2022 et retiré en janvier 2023 "car il n'était plus nécessaire d'alimenter la station météo une fois que l'alimentation secteur a été rétablie en décembre 2022".
"Le panneau solaire ne pouvait pas être placé sur un toit en raison de restrictions patrimoniales, il a donc été placé à une distance appropriée sur l'herbe à proximité", a déclaré le BOM.
Comme l'a dit Jo Nova, il n'y a rien de "approprié" dans cette distance, et la BOM le sait.
- voir photo sur site -
Observatoire de Sydney, thermomètre, panneau solaire, janvier 2023. C'est un endroit étrange pour laisser un panneau… | Craig Kelly
Clarissa Bye m'a envoyé la réponse BoM et la plupart de mes réponses ont été mises dans la mise à jour en ligne du Daily Telegraph hier :
Lorsqu'on lui a demandé si la BOM était convaincue que la chaleur réfléchie n'affecterait pas les enregistrements sur la jauge de température, la porte-parole de la BOM a déclaré :
"Tout impact potentiel de l'installation et du retrait du panneau solaire sera évalué dans le cadre des processus d'assurance qualité de routine utilisés par le Bureau pour toutes les données des stations météorologiques.
La blogueuse sur le climat et la science Joanne Nova a déclaré que le panneau solaire aurait dû être situé ailleurs sur le site et placé de manière à ce que le reflet ne soit jamais sur l'écran Stevenson. "La BOM n'est pas convaincue que cela n'a aucun effet, sinon ils l'auraient dit", a-t-elle déclaré.
Et comme j'ai ajouté :
"Une réponse encore meilleure aurait été" nous avons acheté une rallonge de 30 m et mis le panneau loin ".
« Si ce panneau était une sauvegarde pour l'équipement Stevenson, alors où était la batterie ? Un panneau solaire seul ne sert à rien en remplacement du secteur en cas de panne de courant la nuit.
Tondre l'herbe autour de ce panneau pendant une année entière a dû être pénible aussi, n'est-ce pas ?
J'ai vraiment un problème avec le manque de soin pour les conditions du site et les données brutes. La science du climat est-elle importante ?
"Ils n'ont manifestement pas fait le moindre effort pour placer le panneau de manière à minimiser l'impact. "En effet, il est difficile d'imaginer comment ils auraient pu le placer dans un endroit plus suspect qu'ils ne l'ont fait.
Comme d'habitude, la nomenclature ne se soucie pas moins d'enregistrer des températures précises. Ils préfèrent jouer à des jeux statistiques après coup pour essayer de corriger les erreurs. Leur « assurance qualité de routine », évoquée plus haut, implique-t-elle une homogénéisation avec des « sites voisins » à mille kilomètres ? Peut-être que le site de Cobar détectera les effets du panneau solaire dans l'arrière-cour de l'observatoire ? Cela ressemble-t-il à une science experte?
La chose la plus importante ici est qu'il existe de nombreux meilleurs emplacements dans la petite enceinte pour ce panneau solaire, même si un pays du premier monde avait besoin d'un panneau de fortune au centre de sa plus grande ville «pour un approvisionnement fiable» - ce qui est une autre crise tout de sa propre. Le panneau aurait pu être placé pour obtenir le soleil du matin à l'extrémité ouest du patio (au moins). Il aurait pu être placé pour s'assurer que la réflexion n'était jamais sur l'écran Stevenson.
Une meilleure réponse de la BoM aurait été : « Nous avions besoin du panneau pour un approvisionnement de secours du jour x au jour z. Cet ajout temporaire a été enregistré dans les métadonnées. L'angle a été calibré à xx % pour s'assurer qu'il capte le soleil, mais qu'il ne se reflète à aucun moment directement sur l'écran Stevenson. »
Rien de tout cela n'est arrivé.
Craig Kelly a mis en place un FOI pour obtenir plus de réponses. Et Jennifer Marohasy veut des réponses au tribunal : La chercheuse principale de l'Institut des affaires publiques, le Dr Jennifer Marohasy - qui est dans une bataille judiciaire avec le BOM pour accéder aux enregistrements météorologiques historiques - a déclaré que les fracas des panneaux solaires "sapaient" le bureau en l'absence d'autres explications.
Le BOM a accidentellement admis que le panneau solaire était bel et bien là lorsque le site a enregistré 30,2°C le 18 janvier. En effet, les températures ont peut-être réchauffé tout le temps depuis la dernière fois que Sydney a atteint plus de 30 ° C le 21 février de l'année dernière. Pendant tout le temps où Sydney a été "en dessous de 30°C", il y avait un étrange panneau solaire pointé vers le thermomètre officiel.
Et ensuite : il est temps pour Tanya Plibersek d'expliquer la science BoM Tanya Plibersek est ministre de l'Environnement et de l'Eau et responsable de la BoM. Si les normes scientifiques y sont si basses et si la science du climat compte, que fait-elle pour y remédier ? Des milliards de dollars de politique reposent sur la résolution d'un prétendu problème avec le climat australien, mais la BoM ne peut même pas se donner la peine de mettre en place des stations météorologiques de qualité ou de les entretenir correctement ?
Les milliardaires derrière "Tout électrifier" et "Les interdictions de gaz". "L'impératif climatique"
L'hypocrisie des milliardaires qui financent des campagnes anti-hydrocarbures, dont l'interdiction des réchauds à gaz. Les interdictions de gaz naturel sont plus une question de classe que de changement climatique.
Par Robert Bryce Recherche mondiale, 02 février 2023
La Climate Imperative Foundation est le groupe anti-hydrocarbures et anti-gaz naturel le plus récent et le plus riche dont vous n'avez jamais entendu parler.
Quelle est la richesse de Climate Imperative ?
Selon le dernier rapport de Guidestar , le groupe a encaissé 221 millions de dollars au cours de sa première année complète d'exploitation. (Guidestar appelle le revenu "recettes brutes".)
Cela signifie que Climate Imperative, qui a moins de trois ans, reçoit déjà plus d'argent que le Sierra Club, qui se présente comme « l'organisation environnementale de base la plus grande et la plus influente du pays ».
Selon Guidestar, le Sierra Club a collecté 180 millions de dollars au cours de sa dernière année de rapport. Climate Imperative reçoit également plus d'argent que le Rocky Mountain Institute, qui a collecté environ 130 millions de dollars au cours de sa dernière année de rapport. J'utilise ces groupes à titre de comparaison parce qu'ils poussent des initiatives anti-gaz à travers le pays. Plus sur eux dans un instant.
L'émergence de Climate Imperative - qui n'a pratiquement pas retenu l'attention des médias traditionnels - est importante pour plusieurs raisons.
Tout d'abord, cela montre que l'effort pour « tout électrifier » et interdire l'utilisation du gaz naturel dans les foyers et les entreprises - et cela inclut les cuisinières à gaz - fait partie d'une campagne de plusieurs années, généreusement financée et financée par certains des plus grands acteurs du monde. personnes les plus riches.
Deuxièmement, malgré de nombreuses affirmations sur la façon dont des acteurs néfastes bloquent la "transition énergétique" tant médiatisée, la taille du budget de Climate Imperative fournit davantage de preuves que le complexe ONG-entreprises-industriel-climat a beaucoup plus d'argent que les pro-hydrocarbures et pro-hydrocarbure. -groupes nucléaires.
En effet, les ONG anti-hydrocarbures (dont la plupart sont également farouchement anti-nucléaires) ont beaucoup d'argent, de soutien médiatique et d'élan. Comme le montre le graphique ci-dessous, les cinq plus grandes ONG anti-hydrocarbures collectent désormais environ 1,5 milliard de dollars par an auprès de leurs donateurs. (Toutes les données proviennent de Guidestar.) Cette somme est environ trois fois supérieure au montant collecté par les cinq principales associations à but non lucratif qui sont soit pro-hydrocarbures, soit pro-nucléaire.
- voir cadre sur site -
Troisièmement, interdire l'utilisation directe du gaz naturel dans les foyers et les entreprises pourrait être pire pour le climat .
Vous avez bien lu. La combustion directe du gaz permet aux consommateurs d'utiliser environ 90 % de l'énergie contenue dans le combustible. L'utilisation indirecte du gaz - en le convertissant en électricité, puis en utilisant ce jus pour alimenter une pompe à chaleur, une cuisinière ou un chauffe-eau - gaspille plus de la moitié de l'énergie du carburant.
Ce point a été soulevé par Glenn Ducat, dans son excellent nouveau livre,
Blue Oasis No More : pourquoi nous n'allons pas « vaincre » le réchauffement climatique et ce que nous devons faire pour y remédier . Ducat est titulaire d'un doctorat. ingénieur nucléaire qui a travaillé à Argonne National Lab, ainsi que dans deux services publics d'électricité.
Il explique
« La combustion de gaz naturel par les clients résidentiels, commerciaux et industriels est au moins deux fois plus efficace et émet environ la moitié de gaz carbonique que les processus utilisant de l'électricité produite à partir de combustibles fossiles. La conversion des applications de chaleur industrielle en électricité avant que le réseau électrique ne soit complètement décarboné augmentera les émissions de gaz carbonique. (Souligné dans l'original.)
J'ai commencé à suivre Climate Imperative fin 2021, lorsqu'Axios a publié un article intitulé "Les vétérans du mouvement climatique lancent une nouvelle fondation majeure ".
Axios a indiqué que le nouveau groupe avait « un budget prévu de 180 millions de dollars par an sur cinq ans ». Ce numéro a attiré mon attention. Il s'agissait d'un nouveau groupe avec un budget prévu de 1 milliard de dollars sur cinq ans, et pourtant, Axios était le seul média à en parler.
Sur son site Web, le groupe indique clairement que l'électrification de tout est un objectif majeur de son travail, affirmant que ses "impératifs comprennent la mise à l'échelle rapide des énergies renouvelables, l'électrification généralisée des bâtiments et des transports, l'arrêt de l'expansion des infrastructures de combustibles fossiles, la réduction de la pollution des principales sources industrielles, et des voies à l'échelle de l'économie pour réduire les émissions des plus grandes sources. Le site Web répertorie certains des bénéficiaires de Climate Imperative, un groupe qui comprend la Building Decarbonization Coalition et l' American Lung Association.
Axios a poursuivi en notant que la fondation basée à San Francisco "a commencé à accorder des subventions au printemps 2020". Il a également noté que le groupe est dirigé par deux anciens responsables du Sierra Club : Bruce Nilles et Mary Anne Hitt. Nilles a passé plus d'une décennie à diriger la campagne Beyond Coal du groupe. Le conseil consultatif de Climate Imperative comprend Margo Oge, un ancien haut responsable de l'EPA, et Bill Ritter, l'ancien gouverneur du Colorado.
Où Climate Imperative tire-t-il son argent ? Le conseil d'administration détient probablement la réponse. Les noms les plus reconnaissables du conseil d'administration de six personnes sont le capital-risqueur de la Silicon Valley John Doerr et Laurene Powell Jobs, la veuve du défunt PDG d'Apple, Steve Jobs. Les autres membres du conseil sont Anita Bekenstein, Sanjeev Krishnan, Greg Nelson et George Pavlov. Une source connaissant le financement du groupe m'a dit cette semaine que la majorité de l'argent provenait de Doerr et Jobs. Le magazine Forbes estime que Doerr a une valeur nette de 12,7 milliards de dollars. Forbes évalue la valeur nette de Jobs à 17,7 milliards de dollars. Aucun des autres membres du conseil d'administration n'apparaît sur la liste Forbes des personnes les plus riches d'Amérique.
L'effort pour diaboliser les cuisinières à gaz a commencé au début de 2020, à peu près au même moment où Climate Imperative a été lancé. Cette année-là, le Sierra Club a affirmé que les cuisinières à gaz étaient «liées aux maladies respiratoires, et les enfants qui vivent dans des maisons équipées de cuisinières à gaz sont 42 % plus susceptibles de souffrir d'asthme ». La source de cette affirmation était un article du Rocky Mountain Institute, une organisation à but non lucratif basée au Colorado fondée par le promoteur des énergies renouvelables Amory Lovins .
L'un des premiers médias traditionnels à avoir publié un article faisant la promotion d'allégations sur la mauvaise qualité de l'air des cuisinières à gaz était The Atlantic . En octobre 2020, il a publié un article intitulé « Kill Your Gas Stove ».
C'est peut-être une coïncidence, mais The Atlantic appartient à Laurene Powell Jobs. Il est également intéressant de noter qu'en 2018, The Atlantic a publié un article intitulé "Comment le four à gaz a changé la relation des humains avec le feu", et a noté que la "capacité d'allumer et d'éteindre les flammes à volonté était l' un des plus grands contributeurs au bonheur humain dans la cuisine .'”
Depuis 2020, le Rocky Mountain Institute poursuit sa croisade anti-gaz . Plus tôt ce mois-ci, une série de reportages ont été publiés après que le groupe a publié un article affirmant que 12,7% des asthmes infantiles sont dus aux cuisinières à gaz. L'un des auteurs de cet article, Talor Gruenwald, travaille au RMI. Gruenwald est également associé de recherche chez Rewiring America , une organisation basée à San Francisco qui se fait appeler "la principale organisation à but non lucratif d'électrification, axée sur l'électrification de nos maisons, entreprises et communautés". (Rewiring American ne publie pas de formulaire 990. Il est parrainé par Windward Fund, qui a encaissé 273 millions de dollars en 2021. )
Mais les allégations d'asthme de RMI ne résistent pas à un examen minutieux. L'analyse la plus définitive de la question est peut -être une étude de 2013 publiée dans Lancet Respiratory Medicine qui a étudié un demi-million d'écoliers dans 47 pays sur une période de plusieurs années. Elle s'appuyait sur des questionnaires remplis par les mères des enfants. Qu'a-t-il trouvé ? "Nous n'avons détecté aucune preuve d'une association entre l'utilisation du gaz comme combustible de cuisson et les symptômes d'asthme ou le diagnostic d'asthme."
De plus, juste un jour ou deux après la publication de l'article sur le RMI, le groupe est revenu sur sa déclaration concernant l'asthme, un responsable du RMI déclarant au Washington Examiner que l'étude " ne suppose ni n'estime de relation causale " entre l'asthme infantile et le gaz naturel. poêles.
Où RMI trouve-t-il l'argent pour faire avancer son programme d'électrification ?
Une partie vient du milliardaire d'Amazon Jeff Bezos . En 2020, le Bezos Earth Fund a donné à RMI 10 millions de dollars , qui, selon le groupe, seront utilisés pour "réduire les émissions de GES des maisons, des structures commerciales et d'autres bâtiments, permettant à RMI d'accroître son travail actuel avec une coalition de partenaires dans des États clés. Le projet visera à rendre tous les bâtiments américains sans carbone d'ici 2040 en plaidant pour de nouvelles constructions entièrement électriques… »
Bezos est également un grand soutien du Natural Resources Defense Council, le groupe qui s'est vanté sans vergogne de son rôle dans la fermeture prématurée de la centrale nucléaire d'Indian Point à New York. En 2020, le NRDC a publié un communiqué de presse vantant la subvention de 100 millions de dollars qu'il a obtenue du Bezos Earth Fund . Il a déclaré que l'argent "sera utilisé pour aider le NRDC à faire progresser les solutions climatiques et la législation au niveau de l'État, [et] faire avancer les politiques et les programmes axés sur la réduction de la production de pétrole et de gaz …" (Soulignement ajouté.)
Le Sierra Club a été l'un des principaux bénéficiaires de Bloomberg Philanthropies de l'ancien maire de New York Michael Bloomberg, qui a promis 500 millions de dollars au projet Beyond Carbon. En 2019, la promesse de don était considérée comme le plus grand «don philanthropique jamais réalisé pour lutter contre le changement climatique». « Le Sierra Club a été l'un des principaux bénéficiaires des dons de Bloomberg. Il y a environ deux ans, un employé du Sierra Club m'a dit qu'il recevait environ 30 millions de dollars par an de Bloomberg. Sur son site Internet, le groupe vante son rôle dans l'initiative Beyond Carbon, la qualifiant de "plus grande campagne climatique aux États-Unis, avec pour objectif de fermer toutes les centrales au charbon nationales d'ici 2030 et d'arrêter l'utilisation du gaz comme carburant de transition ". (Soulignement ajouté.)
En août dernier, le Sierra Club a demandé à l'Environmental Protection Agency d' interdire tous les appareils au gaz naturel au niveau fédéral. Le groupe a réussi à faire adopter des interdictions en Californie. Selon son site Web, 69 communautés de l'État ont désormais « adopté des engagements de construction sans gaz ou des codes de construction d'électrification ». En septembre, le California Air Resources Board a voté pour interdire la vente de tous les appareils de chauffage et de chauffe-eau au gaz naturel dans l'État d'ici 2030. De plus, New York et Seattle ont interdit l'utilisation du gaz dans les nouvelles constructions . Le Massachusetts déploie également une nouvelle mesure qui permettra à jusqu'à 10 communautés d'interdire le gaz.
L'argent provenant de Bezos, Bloomberg, Doerr, Jobs et d'autres donateurs aux poches profondes signifie que le complexe ONG-entreprises-industriel-climat peut facilement dépenser plus que les entités qui font la promotion de l'énergie nucléaire.
Par exemple, le Nuclear Energy Institute, selon les derniers chiffres de Guidestar, a enregistré des recettes brutes d'environ 143 millions de dollars au cours de sa dernière période de référence. Pendant ce temps, les principales associations qui soutiennent les producteurs et les distributeurs d'hydrocarbures – notamment l'American Petroleum Association, l'American Gas Association, la Western States Petroleum Association et la Society of Petroleum Engineers – avaient combiné des recettes brutes inférieures à 400 millions de dollars.
Deux derniers points. Le premier est l'hypocrisie des milliardaires qui financent les efforts pour réduire l'utilisation des hydrocarbures alors qu'ils consomment des quantités stupéfiantes d'hydrocarbures. Selon un article de 2020 dans Vanity Fair , Michael Bloomberg possède huit maisons dans le seul État de New York, et "il possèderait également plusieurs propriétés à Londres, en Floride, au Colorado et aux Bermudes". Ainsi, Bloomberg peut posséder une douzaine de maisons. Combien de ces maisons ont des cuisinières à gaz ? Je vais faire une supposition sauvage et parier qu'il y en a plus d'un. Oh, et selon Vanity Fair , alors qu'il était maire de New York, Bloomberg « était connu pour passer les week-ends » chez lui aux Bermudes, « faisant des allers-retours sur des jets privés ». Et qu'est-ce qui alimente ces jets privés ? Je suppose ici, mais ce n'est probablement pas du quinoa biologique.
En parlant de jets, Forbes a récemment rapporté que Jobs possédait un Gulfstream G650 (prix catalogue d'environ 66 millions de dollars) qui brûle environ 500 gallons de carburéacteur par heure . Lorsqu'elle ne fait pas de zoom sur son jet, elle passe également du temps sur un yacht de 120 millions de dollars appelé le Venus . Bezos serait propriétaire de deux Gulfstream G-650ER . Après que Bezos se soit envolé pour la réunion sur le climat de 2021 à Glasgow, un représentant du Bezos Earth Fund a déclaré à Business Insider que tout allait bien parce que le milliardaire "utilise du carburant d'aviation durable et compense toutes les émissions de carbone de ses vols".
Cette ligne résume l'hypocrisie des milliardaires qui financent les initiatives anti-hydrocarbures : Bezos, Bloomberg, Jobs et d'autres élites ultra-riches et hyper-mobiles peuvent acheter des "compensations" pour leurs jets privés et leurs méga-yachts, mais les shlubs dans le quartier ne peuvent pas être autorisés à utiliser une cuisinière à gaz pour préparer le dîner car, selon les mots de Talor Gruenwald de RMI, « les émissions des cuisinières à gaz contribuent de manière significative à la crise climatique ». Peu importe que, comme l'a récemment noté Alex Trembath du Breakthrough Institute, les cuisinières à gaz ne représentent que 0,4 % de la consommation totale de gaz aux États-Unis .
Le dernier morceau d'hypocrisie à l'œuvre ici est la nature régressive des interdictions d'essence. En effet, il est clair que l'interdiction du gaz naturel entraînera des coûts plus élevés pour les consommateurs. En mars dernier, dans le Federal Register, le ministère de l'Énergie a publié son estimation annuelle des coûts énergétiques résidentiels . Il a constaté que sur une base par BTU, l'électricité coûte environ 3,5 fois plus que le gaz naturel. Il a également constaté que le gaz était, de loin, la forme d'énergie domestique la moins chère, coûtant moins de la moitié du prix des carburants comme le kérosène, le propane et le mazout.
Cela signifie que les efforts pour interdire le gaz naturel sont, en pratique, une taxe sur l'énergie pour les pauvres et la classe moyenne. Lors d'une récente interview, Jennifer Hernandez, une avocate basée en Californie qui représente The 200, une coalition de groupes latinos qui a poursuivi l'État pour ses politiques climatiques , m'a dit que « le gaz naturel est la dernière source d'énergie abordable à domicile. Et ces extrémistes du climat ne peuvent pas le supporter.
En octobre dernier, le ministère de l'Énergie a fourni davantage de preuves que le gaz naturel est la forme d'énergie la moins chère pour les propriétaires dans son Winter Fuels Outlook . Le DOE a estimé que le chauffage à l'électricité coûtera cet hiver environ 46 % de plus que le chauffage au gaz naturel. Ces chiffres montrent que l'électrification forcée se traduira par des factures énergétiques plus élevées pour les consommateurs. Les Américains à revenu faible et moyen supporteront le poids de l'électrification forcée, car ils devront consacrer un pourcentage plus élevé de leur revenu disponible à l'énergie que les consommateurs aisés.
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L'essentiel ici est évident : l'effort pour interdire le gaz naturel dans les foyers et les entreprises est, à la base, plus une question de classe qu'une question de changement climatique.
Au cours des derniers mois, j'ai envoyé plusieurs e-mails aux dirigeants de Climate Imperative, Mary Anne Hitt et Bruce Nilles, demandant des informations sur les bailleurs de fonds de la fondation, leurs bénéficiaires, leur position sur l'énergie nucléaire et l'impact potentiel sur les coûts des campagnes électrifier tout sur consommateurs à revenus faibles et moyens. J'ai suivi cette semaine avec un e-mail à Hitt. Elle n'a pas répondu.
J'ai envoyé des questions similaires à Panama Bartolomy, le directeur de la Building Decarbonization Coalition. Sa réponse : "Je ne répondrai pas à vos questions."
Superprofits : après ExxonMobil, Shell enregistre un record absolu
Les « superprofits » des compagnies pétrolières, que Bruno Le Maire avait jugé ne pas exister, se confirment de plus en plus chaque jour. Après l’américaine ExxonMobil, dont les bénéfices 2022 ont été critiqués par Joe Biden en personne, la britannique Shell fait plus fort. Le groupe a enregistré le plus haut bénéfice annuel de son histoire longue de plus de 100 ans.
Par Paolo Garoscio le 3 février 2023 à 6h40
En mai 2022 le prix du baril de pétrole a dépassé les 120 dollars.
ExxonMobil double son bénéfice en 2022
L’invasion de l’Ukraine par la Russie, et la guerre qui s’en est suivie et qui continue depuis quasiment un an, font le bonheur des compagnies pétrolières. Cumulée à la reprise de l’activité économique mondiale à la suite de la fin des restrictions concernant la Covid-19 (mais pas de la pandémie qui continue), la situation géopolitique permet aux compagnies pétrolières d’enregistrer des superprofits et de battre des records historiques.
ExxonMobil, le 1er février 2023, confirme la tendance. Le pétrolier américain a enregistré en 2022 un bénéfice net de 55,7 milliards de dollars. Or, c'est un record historique : le bénéfice est plus que doublé. En 2021, le résultat net du groupe avait été d’un peu plus de 22 milliards de dollars.
Mieux : le précédent record d’ExxonMobil datait de 2008, au début de la crise économique des subprimes. Mais là aussi, rien de comparable avec les superprofits de 2022. Le record de 2008 est battu de 10 milliards de dollars en 2022.
Superprofits : Joe Biden s’en mêle, contrairement au gouvernement français
Si les pétroliers voient leurs bénéfices exploser, c’est à cause de la hausse des prix du pétrole. En 2022 ils ont atteint des records, franchissant régulièrement les 100 voire 120 dollars le baril. Pour Joe Biden, président des États-Unis, c’est simple : c’est parce que les compagnies pétrolières veulent verser des dividendes aux actionnaires qu’elles n’augmentent pas la production de pétrole. Et ce serait pourtant la solution : augmenter la production reviendrait à faire baisser le prix du baril en Bourse, et donc les prix des carburants par la même occasion.
La Maison Blanche s’est même dite « outrée » par les bénéfices des pétroliers. Une position diamétralement opposée de celle du gouvernement français. Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, avait assuré devant le Medef ne pas savoir ce qu’était un « superprofit ».
Finalement, et parce que l’Union européenne est intervenue sur le sujet, une « contribution de solidarité sur les profits des groupes énergétiques » a été mise en place. Au grand dam de l’exécutif français et du Sénat, à majorité de droite, qui étaient opposés au principe.
Shell confirme à son tour l’ère des superprofits
Reste que l’Union européenne a vu juste. Le pétrolier britannique Shell a publié à son tour des résultats record pour l’année 2022, le 2 février 2023. Le bénéfice net atteint 39,9 milliards de dollars : le double de 2021. Le résultat est même tout simplement le plus élevé depuis… 115 ans, et la création de l’entreprise.
Au Royaume-Uni, la publication des résultats record de Shell a pris une toute autre ampleur à cause du Brexit. Sortis de l’Union européenne, les Britanniques ont été moins protégés face à l’explosion du prix des carburants, de l’électricité et surtout du gaz. La facture énergétique moyenne annuelle a été plafonnée, mais à un niveau élevé : 2.500 livres sterling, soit 2.800 euros, en 2022. Un plafond attendu à la hausse dès avril 2023. Il pourrait atteindre 3.000 livres, soit plus de 3.300 euros.
Parler de faire des bénéfices est une bonne affaire pour tous ! Car, cet argent entre les mains de gros patrons va permettre de donner du travail aux fabricants de yachts et d'avions comme aux constructeurs de maisons et aux équipementiers !
Oui mais, là où le bat blesse c'est qu'il y a l’État qui fait TOUT pour fermer les entreprises et les priver de rendements ! Car les merdes au pouvoir veulent s'accaparer les fruits volés sans travailler ! Et tous ces fruits iront dans la poches des criminels qui dirigent ! L’État n'est pas là pour créer des entreprises ! mais seulement pour détruire celles qu'il y a.
Pour un homme politique et un chef d’État en particulier, le mensonge permet d’accéder au pouvoir et/ou de s’y maintenir.
le 3 février 2023 Claude Goudron
Pour un homme politique et un chef d’État en particulier, le mensonge permet d’accéder au pouvoir et/ou de s’y maintenir.
Chefs d’État de la Cinquième République Il y a tout d’abord les mensonges lors des campagnes présidentielles.
François Mitterrand a utilisé son « programme commun » pour se faire élire et l’a abandonna dès 1983. Le mal était déjà irréversible et nous le payons encore aujourd’hui.
Lors du débat de l’entre deux tours de 1988 l’opposant à Jacques Chirac ce dernier l’a accusé d’avoir menti dans l’affaire Gordji : « Pouvez-vous vraiment contester ma version en me regardant dans les yeux ? » Mitterrand rétorque : « Dans les yeux je la conteste ». Il s’agissait bien d’un mensonge qui lui a permis de gagner l’élection.
François Hollande a menti en affirmant :
« Moi président je ne recevrai pas les parlementaires à l’Élysée », ce qu’il a fait un an plus tard le 19 avril 2013.
« Mon adversaire c’est le monde de la finance » alors qu’il occupait un poste à la Cour des comptes.
« Je n’aime pas les riches » alors que selon ses propres critères la richesse commence à partir de 4000 euros mensuels. Comme il doit se détester !
D’autres promesses ne seront également pas ou partiellement tenues :
« Je ferai en sorte que mon comportement soit à chaque instant exemplaire ». « J’aurai à cœur de ne pas avoir un statut pénal du chef de l’État, je le réformerai. » « J’introduirai la représentation proportionnelle »…
Certes d’autres présidents n’ont pas respecté tous leurs engagements mais pas avec les conséquences aussi catastrophiques pour l’avenir du pays !
Il y a ensuite les mensonges durant l’exercice du pouvoir.
C’est certainement pendant leur mandature que nos présidents mentent le plus. Le plus fréquemment utilisé : « c’est la faute de l’Europe ». En effet, il est facile pour le dirigeant de se dédouaner de ses erreurs ou de son manque de courage en accusant l’Europe de tous les maux de la Terre, avec comme conséquence la détestation de celle-ci par une part croissante de la population.
Un autre mensonge est de laisser croire que la France serait libérale voir ultralibérale alors qu’elle est le pays le plus étatique d’Europe avec des prélèvements obligatoires qui devraient la classer parmi les pays socialistes. D’ailleurs elle est fréquemment considérée comme un pays communiste qui a réussi. La réalité prochainement révélée est qu’elle est bien un pays communiste qui n’a pas encore échoué.
Le mensonge se rencontre également dans l’absence totale de reconnaissance de responsabilité des mauvaises décisions prises, la dernière étant celle de M. Macron à propos de la dénucléarisation du pays et la fermeture de Fessenheim lors de son premier mandat et sa volte-face au second.
La liste est malheureusement trop longue pour citer ici l’ensemble des mensonges proférés à des niveaux différents par la majorité des chefs d’État. Je laisse donc aux lecteurs le soin de se les remémorer.
Chefs d’États étrangers
La France n’a malheureusement pas le monopole du mensonge en politique. En voici quelques exemples récents :
Donald Trump a utilisé sans complexe le mensonge comme argumentaire lors de sa dernière campagne, mais aussi lors de la première qui l’a amené au pouvoir : la raison pour laquelle il a échappé au service militaire ; selon le Washington Post durant les 100 premiers jours de son mandat il aurait prononcé « 417 déclarations fausses ou trompeuses ».
Boris Johnson a utilisé et assumé le mensonge dans sa campagne pro Brexit. Il est convoqué par la justice britannique à ce sujet. Il est donc responsable des graves problèmes actuels en Grande Bretagne.
C’est durant leur mandat que les dirigeants des grandes puissances comme des petites ont le plus menti. La palme revient à Vladimir Poutine qui utilise le mensonge en permanence au point qu’il faut comprendre l’inverse de ce qu’il déclare à longueur de journée.
À des degrés différents toutes les dictatures, de Xi Jinping à Ebrahim Raïssi en Iran en passant par Erdogan et les 50 dictatures recensées par Wikipédia : 19 en Afrique sub-saharienne, 12 au Moyen-Orient et au nord de l’Afrique, 7 en Eurasie, trois en Amérique et une en Europe (Biélorussie).
Finalement le mensonge d’État est pratiqué dans le monde entier, soit pour se maintenir au pouvoir soit pour « protéger sa population », heureusement à des niveaux et des degrés très différents.
Les chefs d’État n’ont pas la prérogative du mensonge. À de rares exceptions près, toute la classe politique le pratique par volonté, par ignorance mais pire par idéologie.
Nous pouvons le constater aujourd’hui avec le traitement confondant du problème pourtant simple du report de l’âge de la retraite alors que même reporté à 64 ans, la France est en Europe le pays qui travaille le moins, et de loin, dans tout le parcours professionnel des Français !
Il y a plus grave encore : Dominique Voynet reconnait avoir trahi la République en se faisant complice de son homologue anglais avec qui elle a monté un complot contre Lionel Jospin qui lui avait dit de défendre, avec les Anglais, le nucléaire à Bruxelles.
La liste est longue des lâchetés de nos politiciens qui, pour satisfaire leur carrière politique, n’hésitent pas à mentir et ont mis le pays dans la situation déplorable actuelle alors qu’il avait les atouts pour rester en tête des puissances occidentales.
Conclusion
La France est devenu un pays à la dérive qui ne fonctionne plus : le système éducatif est totalement défaillant, le système de santé est au bord du gouffre, la police est débordée, la justice est dépassée et même la défense ne pourrait pas soutenir une guerre de haute intensité plus d’une semaine.
La France est endettée à outrance afin que nos bonimenteurs ne se déjugent pas de leurs engagements irréalistes. Ce sont nos petits-enfants qui devront payer ces inconséquences.
La CHD envisage d’intenter une action en justice après l’approbation par le comté de Los Angeles d’une procédure accélérée pour l’installation de tours de transmission sans fil
La Children's Health Defense prévoit de poursuivre le conseil des superviseurs du comté de Los Angeles après l'adoption, mardi, de deux ordonnances permettant la prolifération accélérée d'infrastructures sans fil sans procédure régulière et sans droit de recours des résidents.
Par Suzanne Burdick Mondialisation.ca, 02 février 2023
La Children’s Health Defense (CHD) prévoit de poursuivre le conseil des superviseurs du comté de Los Angeles (L.A.) après que celui-ci a adopté mardi deux ordonnances permettant la prolifération accélérée d’infrastructures sans fil sans procédure régulière et sans droit de recours des résidents.
Commentant le vote unanime de mardi, l’avocat W. Scott McCollough a déclaré :
« Le conseil d’administration a voté à 5 contre 0 pour trahir les habitants du comté, laisser les grandes entreprises de télécommunications installer des tours dangereuses partout, ruiner la vie d’un plus grand nombre de familles en raison des effets néfastes de l’exposition aux radiofréquences ( [radio frequency] ), ouvrir la voie à une surveillance accrue et ignorer toute la destruction environnementale qui s’ensuivra.
« Nous ne pouvons pas laisser faire ça. »
La CHD a retenu les services de M. McCollough, ancien procureur général adjoint du Texas et avocat spécialisé dans les télécommunications et le droit administratif, qui a déclaré au Defenderque la CHD avait l’intention de poursuivre le comté pour son mépris de la législation environnementale et des droits des résidents.
Il a dit :
« Nous continuerons à nous battre au nom des habitants de L.A., de la Californie et du pays tout entier. Les politiques mises en œuvre en Californie y restent rarement, elles se propagent rapidement à d’autres États.
« Nous devons mettre fin à ce laissez-passer pour les géants des télécommunications tant que nous le pouvons encore, et nous allons donc poursuivre le comté de Los Angeles en justice. »
En plus de la pression juridique, M. McCollough a déclaré : « Qu’il soit bien clair que les résidents se souviendront de cette affaire lors des prochaines élections. »
Les deux ordonnances, qui modifient le titre 16 et le titre 22 du code du comté de Los Angeles, établissent des règles pour les installations de communication sans fil à petites cellules sur les routes et pour les installations sans fil sur les propriétés privées dans les zones non incorporées du comté de Los Angeles, ainsi que des dispositions connexes.
Selon Fiber First Los Angeles County (Fiber First LA), un organisme à but non lucratif qui promeut les réseaux de fibres optiques sur les infrastructures sans fil, les amendements privent les résidents du droit de s’exprimer sur la manière dont la technologie sans fil est déployée dans leurs propres quartiers en supprimant « les avis publics, les marges de recul, la surveillance, la sécurité et l’examen environnemental, ainsi que toute possibilité d’appel ».
Les ordonnances stipulent également que les projets de petites cellules peuvent ne pas avoir à se conformer à la législation californienne sur l’environnement, selon Fiber First LA.
Le mois dernier, le conseil a reporté le vote prévu sur les ordonnances en raison de l’opposition du public. Mais les membres de Fiber First LA ont déclaré que le conseil d’administration de mardi n’a guère prêté attention à l’importante opposition publique, notamment aux plus de 37 570 messages que la CHD a envoyés aux superviseurs avant la réunion.
Commentant le vote, Fiber First LA a déclaré :
« Malgré l’opposition écrasante des citoyens locaux et le soutien de tout le pays, le conseil des superviseurs de Los Angeles a voté à l’unanimité le 10 janvier pour adopter les modifications de son code de zonage soutenues par l’industrie du sans fil.
« Les citoyens ont été dépouillés de leurs droits, les préoccupations en matière d’incendie et de sécurité ont été ignorées, les protections environnementales essentielles ont été écartées et tout contrôle de l’industrie du sans fil a été pratiquement éliminé.
« Nous sommes fiers de notre travail pour apporter la science et les faits au conseil d’administration, et bien que nous soyons déçus par le résultat, nous n’avons pas fini de dire la vérité au pouvoir.
« A tous ceux qui ont participé à cet effort, nos sincères remerciements. Votre soutien nous a permis de continuer et nous permettra de continuer à nous battre. »
Brenda Martinez, une résidente du comté de Los Angeles et militante du comité exécutif de Fiber First LA qui a témoigné lors de la réunion de mardi, a déclaré au Defender que l’« hypocrisie » dans la salle était « palpable ».
« Le conseil des superviseurs a commencé la réunion en reconnaissant qu’il se trouvait sur le territoire des Tongva, mais il n’a absolument pas tenu compte de la demande écrite du peuple Keetoowah d’annuler l’exemption catégorique de la loi environnementale de l’État, la California Environmental Quality Act (CEQA), et de s’opposer aux titres 16 et 22 », a déclaré Mme Martinez.
« Ils ont récompensé et reconnu les combats sociaux et les victoires environnementales de toute une vie de l’éminent pasteur de Los Angeles, Monseigneur John Morreta, parmi les communautés marginalisées – mais ils n’ont pas tenu compte de son plaidoyer écrit en opposition aux ordonnances.
« Ils ont ignoré la demande écrite de Fiber First LA de faire des changements réels et significatifs sur les titres 16 et 22. »
Selon Public News Service, ces ordonnances pourraient entraîner l’apparition de milliers d’émetteurs sans fil dans les zones non incorporées du comté de Los Angeles au cours des prochaines années.
Verizon a fait circuler une pétition de soutien frauduleuse, selon une organisation de base
Fiber First LA a accusé l’industrie des télécommunications d’essayer de manipuler la perception du public sur cette question.
Dans un mémo urgent, Fiber First LA a indiqué aux membres du conseil d’administration que Verizon avait soumis, via le portail de commentaires publics, une pétition prétendument signée par plus de 1 000 résidents du comté de Los Angeles demandant aux membres du conseil d’administration d’approuver les modifications proposées aux titres 16 et 22 – mais que de nombreuses signatures étaient frauduleuses.
« Les membres du comité exécutif de Fiber First LA examinent actuellement la liste des noms des prétendus signataires et nous tenions à vous informer de ce que nous avons découvert jusqu’à présent », ont-ils écrit, ajoutant que la pétition était apparemment générée par une « initiative dirigée par Verizon » appelée Communities for a Connected Future.
Selon Fiber First LA :
« De nombreux signataires présumés de la pétition (1) nient avoir jamais signé une telle pétition, (2) sont des mineurs connus ou des personnes décédées, ou (3) n’existent dans aucun registre public.
« Nous avons contacté des dizaines de personnes dont les noms figurent sur la pétition. Jusqu’à présent, aucune personne n’a reconnu avoir signé le document.
« Alors que nous recueillons des preuves de personnes qui contestent l’utilisation de leur nom pour soutenir l’effort de Verizon pour adopter les nouvelles révisions du code favorable aux télécommunications, nous vous demandons de retirer la lettre du dossier public et d’ignorer son contenu frauduleux. »
Néanmoins, les membres du conseil d’administration ont choisi d’approuver les amendements, permettant de rationaliser le déploiement du réseau sans fil et ignorant effectivement les preuves de manipulation frauduleuse de l’opinion publique par Verizon, a noté Fiber First LA.
Les changements récents ne sont que de la poudre aux yeux
Le vote initialement prévu pour le 6 décembre 2022 a été reporté parce que le conseil a déclaré qu’il restait des « questions sans réponse » qui ne pouvaient pas être abordées à temps pour respecter la date limite des commentaires publics.
Le personnel du comté de L.A. a recommandé quelques changements de dernière minute aux amendements proposés, ce qui a probablement facilité leur adoption mardi, a déclaré M. McCollough au Defender.
« Le libellé réel n’est pas encore disponible, mais sur la base des descriptions de deux superviseurs, ils semblent d’actualité et ne résoudront matériellement aucune des questions politiques et juridiques importantes que nous avons soulevées”, a déclaré M. McCollough.
Fiber First LA a également souligné que les changements de dernière minute n’ont pas « répondu de manière significative aux préoccupations soulevées par le conseil des superviseurs ou à celles que nous avons portées à l’attention du conseil ».
Dans une lettre adressée au conseil d’administration, Susan Foster – cofondatrice de l’association à but non lucratif California Fires & Firefighters et membre de Fiber First LA qui a assisté à la réunion de mardi – a déclaré que les changements proposés n’étaient « rien de plus que de la poudre aux yeux ».
Mme Foster, qui s’est exprimé au cours de la section des commentaires publics de la réunion de mardi, a déclaré que les changements proposés « ont l’air attrayants mais sont complètement dénués de sens et trompeurs ».
Le procès fédéral intenté par la bande unie des Cherokees de Keetoowah ouvre la voie à la prochaine bataille juridique en matière de la technologie sans fil
Dans leur lettre au conseil d’administration, la United Keetoowah Band of Cherokee Indians (UKB) a rappelé aux superviseurs qu’ils ont poursuivi avec succès la Commission fédérale des communications (FCC) en 2019, après que celle-ci a accordé une exemption catégorique de la loi nationale sur la protection de l’environnement (NEPA) à des projets de tours à petites cellules, en se fondant sur la proposition selon laquelle ces projets étaient « intrinsèquement peu susceptibles de déclencher des préoccupations en matière d’environnement et de préservation historique ».
Utilisant une logique similaire à celle de la FCC, le personnel du comté de L.A. a recommandé que les dispositions relatives au sans-fil par le biais d’amendements aux titres 16 et 22 soient exemptées de toute évaluation environnementale ou historique sur la base d’une prétendue « exemption catégorique ».
En outre, Fiber First LA a averti le conseil qu’il y aurait probablement des « conséquences environnementales négatives massives et irréversibles » si les projets de tours cellulaires autorisés par les modifications des titres 16 et 22 bénéficiaient d’une exemption catégorique de la CEQA.
« Il est vraiment inquiétant que la Commission de Los Angeles ne considère pas la CEQA comme nécessaire. La logique veut que l’installation de centaines ou de milliers de petites cellules ait une empreinte au sol qui doit être prise en compte », a déclaré Jodi Nelson, coprésidente de First Fiber LA, au Defender.
« La logique vous dit aussi qu’au moins un petit pourcentage de cette infrastructure aura des impacts environnementaux, basés simplement sur leur empreinte – sans même considérer les émissions – et que certains de ces équipements seront potentiellement installés sur des sites écologiquement vulnérables », a déclaré M. Nelson, qui a accusé le comté de permettre aux télécommunications de « dicter la politique environnementale ».
L’UKB a déclaré que la victoire de leur procès en 2019 montre que l’exemption catégorielle a déjà un précédent qui ne tient pas devant les tribunaux.
L’UKB a souligné que la décision fédérale de 2019 stipulait que « les points de vue des tribus doivent être pris en compte lorsque l’accord a le potentiel d’affecter les propriétés historiques sur les terres tribales ou les propriétés historiques d’importance religieuse et culturelle pour une tribu indienne ».
La bataille juridique de 2019 a vu le jour lorsque les responsables de la FCC ont affirmé qu’ils pouvaient déployer des milliers d’antennes sans fil pour les capacités 5G sans satisfaire aux exigences de consultation tribale en faisant valoir que les projets n’étaient pas définis comme des « entreprises » en vertu de la loi sur la préservation de l’histoire nationale ou des « actions fédérales majeures » en vertu de la NEPA.
Cependant, la Cour d’appel des États-Unis pour le circuit du district de Columbia – après avoir entendu les arguments oraux de l’UKB et de 20 autres tribus jointes – a statué que la FCC devait maintenir les exigences de consultation tribale pour les déploiements de petites tours cellulaires 5G.
En août 2021, le District of Columbia Circuit a statué contre la FCC et en faveur de la CHD, et a demandé à la FCC de réévaluer ses normes d’exposition aux rayonnements sans fil parce qu’elle n’avait pas tenu compte des preuves non cancéreuses concernant les effets néfastes de la technologie sans fil sur la santé.
Dans l’affaire UKB de 2019, le tribunal a estimé que le choix de la FCC de contourner la loi américaine sur la préservation de l’environnement et de l’histoire était « arbitraire et capricieux » car elle « n’a pas abordé de manière adéquate les inconvénients de la déréglementation ou justifié sa représentation de ces inconvénients comme étant négligeables ».
En outre, le tribunal a conclu que la FCC « n’a pas réussi à justifier sa confiance dans le fait que les déploiements de petites cellules posent peu ou pas de risques religieux, culturels ou environnementaux, en particulier compte tenu du grand nombre de déploiements proposés ».
L’UKB a rappelé au conseil que « le comté de Los Angeles compte plus d’Amérindiens que tout autre comté du pays », ajoutant :
« Le feu peut endommager les maisons, les terres et les objets amérindiens qui sont irremplaçables. »
Selon l’UKB, le conseil a « le devoir de protéger l’environnement et, en protégeant l’environnement, vous protégez les résidents du comté de Los Angeles ».
En autorisant la prolifération des tours sans fil sans tenir compte de la situation, ils ont déclaré que les membres du conseil « ne tiendraient pas compte de l’emplacement dans les zones sensibles, de l’environnement global, des rayonnements et de l’utilisation de l’énergie des antennes 5G ».
« Et vous ne tiendriez pas compte des risques d’incendie dans un État qui ne peut se permettre de nouveaux incendies », ont-ils ajouté.
« Ils ont juste jeté une allumette sur leurs épaules en descendant de l’estrade »
Mme Foster a prévenu les superviseurs que le comté de L.A. exempte les installations de télécommunications des codes de l’électricité et des incendies.
« Les télécoms seront toujours laissées à la police des télécoms et vous aurez sur les bras un autre incendie de Malibu Canyon déclenché par les télécoms ou un autre incendie provenant des [Southern California Edison’s] propres installations de télécommunication comme lors de l’incendie de Woolsey en 2018 », a-t-elle déclaré, rappelant que ce dernier incendie a brûlé pendant plus d’un mois et causé plus de 6 milliards de dollars de dégâts.
« Chacun des superviseurs a pris la décision aujourd’hui de se détourner de la sécurité publique, de se détourner de la protection de l’environnement, et dans un sens, ils ont juste jeté une allumette sur leurs épaules en descendant de l’estrade. »
Mme Foster a ajouté que certains fonctionnaires clés du comté de Los Angeles sont depuis longtemps « liés » à l’industrie des télécommunications et que l’impact de ces liens était évident lors du vote de mardi.
Les entreprises de télécommunications offrent parfois aux responsables municipaux des incitations financières pour faciliter le processus de demande et d’autorisation de leurs projets dans des villes potentiellement rentables, a-t-elle expliqué.
Mme Foster a déclaré au Defender qu’elle avait entendu de sources fiables des primes à la signature à six chiffres lorsqu’une tour macro est autorisée dans une ville rentable, comme la ville de Los Angeles ou d’autres villes côtières.
« C’est vraiment un « bonus » pour faire des affaires avec les télécommunications », a-t-elle déclaré.
Il est extrêmement rare, a ajouté Mme Foster, que les dirigeants locaux soient « prêts à se donner la peine de découvrir ce qui se passe réellement dans les communautés où des tours de téléphonie cellulaire ont été installées autour des gens ».
La Chine semble prête à réaliser par la coopération au 21e siècle ce que le Japon cherchait à réaliser par la coercition au 20e
Par Jeremy Kuzmarov Recherche mondiale, 02 février 2023
Comme on pouvait s'y attendre, les élites américaines ont réagi avec hystérie à la montée en puissance de la Chine et pourraient aller jusqu'à provoquer une guerre mondiale pour tenter de sauver leur empire d'Asie du Sud-Est, comme l'administration Roosevelt l'a fait avec le Japon à la veille de Pearl Harbor.
De 1991 à 2021, la Chine a multiplié par dix la croissance des revenus et de la productivité du travail et multiplié par treize le PIB, en grande partie grâce à des politiques économiques saines.
La primauté économique et technologique croissante du pays l'a placé dans une position de plus en plus forte pour créer un bloc économique et peut-être sécuritaire d'Asie de l'Est pour sortir les États asiatiques de leur dépendance vis-à-vis de l'Occident.
Le premier était en train d'être réalisé avec a) la création par la Chine de la Banque asiatique d'investissement dans les infrastructures (AIIB), qui accordait des prêts à d'autres pays d'Asie du Sud-Est sans les mêmes stipulations que celles imposées par le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale Banque; et b) l'avènement à partir de 2013 de la One Belt-One Road Initiative (BRI), qui a investi massivement dans des projets de développement d'infrastructures dans de nombreux pays différents, conçus pour lier leurs économies à celle de la Chine.
AB Abrams [1] souligne dans son livre, Power and Primacy: A History of Western Intervention in the Asia-Pacific (New York: Peter Lang, 2022), que la Chine est sur le point de réaliser par la coopération au cours de la prochaine décennie ce que le Japon a fixé par la coercition au cours des trois premières décennies du 20 e siècle, la création d'un bloc de pouvoir en Asie du Sud-Est capable de résister aux empires occidentaux qui ont ravagé l'Asie du Sud-Est depuis le 16 e siècle.
Comme on pouvait s'y attendre, les élites américaines ont réagi à la montée de la Chine pas trop différemment de celle du Japon - par une campagne de diabolisation et de renforcement militaire à grande échelle dans la région Asie-Pacifique, ainsi que par l'institution d'une guerre économique qui menace le déclenchement d'une autre guerre mondiale.
L'empire japonais menace de saper la primauté occidentale en Asie du Sud-Est Abrams propose une histoire révisionniste de l'empire japonais au tournant du XXe siècle qui remet en question l'interprétation orthodoxe présentant les dirigeants japonais des années 1930 et 1940 comme moralement équivalents aux nazis et qui blâme le Japon pour le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale dans le Pacifique.
Alors que les Japonais sont allés trop loin et ont commis des atrocités inadmissibles, comme dans le viol de Nankin, la sphère de la plus grande coprospérité du Japon - dans laquelle le Japon a colonisé Taiwan et la Corée et a pris des mesures pour essayer de prendre le contrôle des colonies européennes - a fourni un contrepoids et un défi à l'impérialisme occidental et inspiré les nationalistes asiatiques à renverser le joug de la domination coloniale occidentale.
L'historien Eri Hotta a attribué l'indépendance du Vietnam, de l'Indonésie, de la Malaisie, de Singapour, des Philippines, de la Corée et du Cambodge après la Seconde Guerre mondiale à "l'impact psychologique des victoires japonaises sur les empires occidentaux", qui avaient "défait l'idée de la suprématie européenne" tandis que " délégitimation de l'impérialisme occidental aux yeux des peuples asiatiques.
Le Japon avait échappé au sort des autres pays d'Asie du Sud-Est aux XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles en adoptant une politique stricte d'isolement sous le Tokugawa Bakufu et avait réussi à industrialiser son économie après la restauration Meiji à la fin des années 1860 tout en construisant une armée redoutable qui a vaincu la Russie. dans la guerre russo-japonaise de 1905.
MIT Visualiser les cultures
Lors de la bataille de Nanshan, le lieutenant Shibakawa Matasaburô mène ses hommes et massacre les troupes russes brandissant un soleil levant (1904). L'image provient d'une gravure sur bois de la collection du musée des beaux-arts de Boston. [Source : visualizingcultures.mit.edu ]
À partir du début du XXe siècle, les dirigeants japonais ont compris la nécessité de créer leur propre empire qui pourrait mener une nouvelle renaissance asiatique. Alors que la liberté politique était largement étouffée, Taïwan et la Corée ont connu des gains économiques importants sous la domination japonaise, marqués par une industrialisation et un développement infrastructurels importants.
Selon Abrams, l'écart de développement industriel entre les territoires sous contrôle japonais et occidental en Asie de l'Est était énorme, la production d'acier de la Mandchourie venant éclipser celle du Japon lui-même.
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Le barrage de Sui-ho en Corée en construction en 1942 lorsque le Japon dirigeait la Corée. Le barrage était le deuxième plus grand au monde. [Source : upload.wikimedia.org ]
L'industrialisation japonaise de la région élargie de l'Asie du Sud-Est constituait une menace imminente pour les intérêts occidentaux en « mettant fin à la grande disparité entre l'Occident industrialisé et le monde non occidental sous-développé ».
Pendant l'occupation militaire américaine du Japon de 1945 à 1952, le général Douglas MacArthur, chef du Commandement suprême des puissances alliées (SCAP), a soigneusement examiné tous les candidats politiques lors d'élections truquées pour favoriser le Parti libéral démocrate pro-américain ( LDP). [4] Le journaliste Robert Smith a conclu que le Japon à l'époque était « à peu près aussi loin d'une démocratie que l'on pouvait concevoir à moins de remettre le pouvoir entre les mains des shoguns [les dirigeants militaires du Japon jusqu'en 1861] ».
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Le général Douglas MacArthur avec l'empereur Hirohito après la capitulation japonaise. [Source : wikipedia.org ]
En 1983, le Premier ministre japonais Yasuhiro Nakasone a qualifié le Japon de « porte-avions américain insubmersible dans le Pacifique ». La région avait été transformée depuis la fin de la guerre du Pacifique en ce que le général MacArthur appelait un «lac anglo-saxon» - une transformation des plus spectaculaires depuis les années 1930 lorsque le Japon avait défié la primauté de l'Occident.
Guerre de trente ans pour détruire la République populaire
Le Japon fonctionnant comme un État client des États-Unis, la bannière de la résistance à l'empire en Asie du Sud-Est a été reprise par la Chine communiste après la victoire en 1949 de l'Armée populaire de libération (APL) dirigée par Mao Zedong dans la guerre civile chinoise.
Pendant la guerre civile, les États-Unis ont fourni environ 2 milliards de dollars d'aide militaire au chef nationaliste du Guomindang Chiang Kai-Shek, qui s'était séparé des maoïstes dans les années 1920.
Les forces militaires américaines ont bombardé les bastions de l'APL et ont mené de sévères représailles contre les guérilleros communistes qui s'étaient profondément enracinés dans la population locale.
Le général David Barr, chef de la mission militaire américaine en Chine, a conclu que la défaite du Guomindang, malgré une supériorité marquée dans tous les types d'équipements, était le résultat du « pire leadership du monde », « de la malhonnêteté et de la corruption généralisées dans les forces armées », et "de nombreux autres facteurs de destruction du moral qui ont conduit à une perte totale de volonté de se battre".
Les communistes sous la direction de Mao, en revanche, avaient travaillé pour augmenter le niveau de vie des paysans chinois et construit une réputation d'honnêteté, s'étant transformés en «la force politique la plus dynamique de Chine».
À l'été 1949, les dirigeants du GMD s'enfuirent à Taïwan, emportant avec eux de nombreux trésors nationaux et artistiques et les réserves d'or de la Chine.
Les massacres perpétrés contre la population locale ont entraîné la mort d'au moins 28 000 Taïwanais. Les Américains présents à Taiwan ont assimilé l'imposition de la règle du Guomindang au fait d'avoir «mis tous les Formosanes [Taïwanais] en esclavage».
« The Horrifying Inspection », une gravure sur bois du graveur taïwanais Li Jun. Elle montre un soldat du Guomindang tirant sur un natif taïwanais, ce qui était symptomatique de la période de terreur blanche qui est largement ignorée dans les discussions contemporaines sur Taiwan. [Source : wikipedia.org ]
L'agent de la CIA Ralph McGehee, qui travaillait à la station de la CIA à Taïwan, a déclaré que la CIA avait entraîné et équipé des forces spéciales à Taïwan qui avaient été larguées sur le continent chinois avec pour instructions de développer des mouvements de résistance, de mener des opérations de sabotage et de guerre psychologique et de recueillir des renseignements. sur le Parti communiste chinois (PCC).
Dans le même temps, la CIA a commencé à former les restes du Guomindang au Myanmar (Birmanie) pour organiser des incursions sur le territoire chinois, des armes étant transportées par avion sur des pistes d'atterrissage dans la jungle construites par des ingénieurs américains dans toute la Thaïlande.
Les opérations secrètes - financées en partie par l'opium et qui ont contribué à la déstabilisation du Myanmar - ont été révélées lorsque deux agents de la CIA, John Downey et Richard Fecteau ont été abattus alors qu'ils tentaient de faire passer des armes et d'autres fournitures militaires en Chine en 1952 (ils ont été libérés de captivité seulement en décembre 1971). [5]
D'avril 1951 à 1952 seulement, la CIA a dépensé 100 millions de dollars pour acheter suffisamment d'armes et de munitions pour 200 000 guérilleros.
Dans le nord-ouest de la Chine, la CIA a recruté des clans de la minorité musulmane Hui commandés par le chef tribal Mu Pu-Fang qui avait des liens avec le Guomindang.
L'agent de la CIA Douglas Mackiernan a travaillé depuis le consulat d'Urumqi sous la couverture du Département d'État pour tenter d'inciter les musulmans de la province du Xinjiang à "poursuivre la guerre civile contre les communistes chinois".
Remplir sa jeep d'armes et de lingots d'or, Mackiernan - le premier agent de la CIA tué au combat - a déménagé au Tibet, où la CIA a lancé une opération secrète pour former des guérilleros séparatistes tibétains, dont certains ont été transportés vers une base militaire dans les montagnes du Colorado. dont les hautes altitudes simulaient celles de leur patrie.
Pas tout à fait les pacifistes tels qu'ils étaient dépeints dans les médias occidentaux, les guérilleros tibétains de la CIA ont saboté les infrastructures, miné les routes, coupé les lignes de communication et tendu une embuscade à l'APL.
Ironiquement, la création de la RPC avait libéré les Tibétains des conditions féodales sous les lamas au pouvoir. Il a également émancipé les femmes et supervisé une augmentation des taux d'alphabétisation et de l'espérance de vie, en construisant de nombreux hôpitaux et écoles.
Le 14e dalaï-lama a écrit des années plus tard que le soutien occidental au séparatisme tibétain est venu "non pas parce qu'ils se souciaient de l'indépendance du Tibet, mais dans le cadre de leurs efforts mondiaux pour déstabiliser tous les gouvernements communistes". Il a également déclaré que la coopération avec la CIA « n'a entraîné que davantage de souffrances pour le peuple tibétain ».
Une histoire brutale qui en dit long sur aujourd'hui
L'histoire des efforts de déstabilisation des États-Unis en Chine, y compris par des tentatives de manipulation des minorités mécontentes et de fortification d'une base stratégique à Taiwan - que les Chinois considèrent comme faisant partie de la nation chinoise - aide à expliquer de nombreuses politiques de la Chine aujourd'hui ainsi que celles des dirigeants japonais à l'époque. les années 1930.
Pendant la guerre de Corée (1950-1953), le général Douglas MacArthur a plaidé pour une attaque nucléaire contre la Chine, qui est intervenue pour sauver l'autonomie de la République populaire démocratique de Corée (RPDC).
L'administration Truman avait justifié son agression en Corée en prétendant que la RPDC - sous la direction de Kim Il Sung, le fils d'un nationaliste éminent qui dirigeait des guérillas anti-japonaises en Mandchourie - était une marionnette des Soviétiques et des Chinois, qui était un mythe.
Entre 1946 et 1949, l'administration de Kim a obtenu un soutien interne important en augmentant la production industrielle de 340% et l'industrie d'État de 420%, les salaires des employés d'usine et de bureau nord-coréens augmentant de 83% pendant cette période.
Le dirigeant communiste nord-coréen Kim Il-sung pendant ses années de guérilla, février 1936 (lithographie couleur)
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Kim Il Sung dépeint au milieu des années 1930 comme un chef de la résistance de la guérilla anti-japonaise. [Source : wilsoncenter.org ]
Après la Seconde Guerre mondiale, l'administration Truman a tenté d'imposer un gouvernement client en Corée du Sud sous la direction conservatrice de Syngman Rhee, qui a présidé ce que le magazine Time a appelé "un désert économique" et a massacré des dizaines de milliers de personnes avant que la guerre de Corée n'éclate officiellement. .
Caractérisé par le général Archer Lerch comme "un homme que les forces américaines pourraient devoir enfermer en prison", Rhee avait été transporté par avion en Corée du Sud, après plus de 25 ans d'exil, à bord d'un avion du Bureau des services stratégiques (OSS) du général Douglas. Mac Arthur.
Aux petites heures du matin du 25 juin 1950, le Bureau de l'information publique de la Corée du Sud a signalé une attaque militaire sud-coréenne contre la ville frontalière de Haeju, que la Corée du Nord a confirmée mais que la Corée du Sud s'est rétractée plus tard.
Une étude détaillée de l'historien Karunakar Gupta de l'Université de Londres a révélé que le gouvernement sud-coréen prétend que leur attaque contre Haeju s'était produite beaucoup plus tard était effectivement impossible et qu'une attaque sud-coréenne s'est probablement produite pour précipiter la guerre.
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Guerre de Corée | Combattants, résumé, années, carte, pertes et faits | Britannique Source: britannica.com
Après que les forces des États-Unis et de l'ONU aient repris l'offensive en Corée du Nord à la suite du célèbre atterrissage derrière les lignes ennemies du général MacArthur à Inchon, de nombreuses régions de la Corée du Nord ont été laissées dans un paysage lunaire par les féroces bombardements américains.
Le général Matthew Ridgway a déclaré que c'était "la destruction pour la destruction", tandis que Dean Rusk, secrétaire d'État adjoint aux Affaires d'Extrême-Orient en 1950-1951, a déclaré que les bombardiers américains "attaqueraient tout ce qui bougeait en Corée du Nord, chaque brique se tenant au-dessus d'un autre." [6]
Les troupes américaines en Corée se sont généralement comportées comme elles l'ont fait au Japon : mitraillant des réfugiés, massacrant des civils et commettant des viols à grande échelle. Ils ont également imité la pratique japonaise en Chine en lâchant des insectes infectés par la maladie au-dessus de la Corée du Nord et de la Chine, tandis que des médecins américains ont effectué des expériences médicales sadiques sur des prisonniers de guerre nord-coréens et chinois capturés. [7]
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Une représentation de la scène sous le pont No Gun Ri du long métrage sud-coréen de 2009 A Little Pond . Les troupes américaines ont massacré des centaines de civils à No Gun Ri dans l'un des nombreux massacres qui ont eu lieu pendant la guerre. [Source : wikipedia.org ]
"Des centaines de mes lais"
Le comportement barbare des troupes américaines pendant la guerre de Corée a jeté les bases de la guerre du Vietnam où des atrocités comme My Lai - où les troupes américaines ont abattu un village de 500 personnes - ont contribué à déclencher une opposition anti-guerre à grande échelle.
Massacre de Mỹ Lai — Wikipédia
Victimes du tristement célèbre massacre de My Lai. [Source : wikipedia.org ]
Le colonel David Hackworth, récipiendaire de la Croix du service distingué, a noté que « le Vietnam était une atrocité dès le départ… Il y avait des centaines de My Lais. Vous avez votre carte perforée par le nombre de corps que vous avez compté.
Selon la «règle du simple gook», ce n'était «pas un crime de tuer ou de torturer ou de voler ou de mutiler un Vietnamien parce qu'il était un simple gook».
Des filles vietnamiennes ont été torturées avec des cigarettes allumées et à l'électricité et ont été mutilées après avoir été violées et tuées. Le fantassin Michael Farrell se souvient : « Notre sergent de peloton nous a dit : « s'il y a une femme dans un cul, soulevez sa robe, vous savez, et dites par son sexe ; si c'est un homme, tuez-le ; et si c'est une femme, violez-la.' » Le sergent était un vétéran de deux guerres précédentes, et pourrait bien avoir appris de telles pratiques en Corée, à Okinawa ou ailleurs.
Après la découverte du massacre de My Lai, un général américain nommé Willoughby a demandé de façon caractéristique : « Qu'est-ce que c'est que tout ce remue-ménage. En Corée, nous avions My Lais tout le temps.
Objectifs impériaux
Un facteur clé à l'origine de l'environnement producteur d'atrocités au Vietnam était le contexte impérial de la guerre, que la plupart des histoires traditionnelles obscurcissent.
Les objectifs de guerre des États-Unis étaient de transformer le Sud-Vietnam en un État client américain sur le modèle de la Corée du Sud, des Philippines et de l'Indonésie, et une base pour les opérations militaires régionales, et d'intégrer l'économie du Sud-Vietnam au bloc de puissance régional dirigé par le Japon.
Après avoir financé l'effort de guerre français, l'administration Eisenhower divisa artificiellement le Vietnam au 17e parallèle et bloqua les élections pour réunifier le pays sous le nationalisme Ho Chi Minh - qui avait mené la guerre de libération contre la France et cité la Déclaration d'indépendance des États-Unis dans son Discours d'indépendance de septembre 1945.
L'administration Eisenhower a également soutenu un gouvernement client au Sud-Vietnam, dirigé par Ngo Dinh Diem qui avait vécu en exil pendant la 1ère guerre d'Indochine, qui favorisait les catholiques par rapport à la majorité des bouddhistes et torturait ou tuait tous ses opposants politiques.
Lorsque Diem a perdu son utilité politique, l'administration Kennedy a parrainé un coup d'État contre lui qui a entraîné sa mort. L'administration Johnson a ensuite inventé l'incident du golfe du Tonkin qui a fait apparaître qu'un navire de la marine américaine avait subi une attaque non provoquée par le Nord-Vietnam dans la mer de Chine méridionale comme prétexte à l'escalade majeure des troupes américaines.
Pivot vers l'Asie et perspectives de guerre imminentes
Le dernier chapitre d'Abrams fournit des informations critiques sur le pivot vers la politique asiatique, ou le renforcement militaire régional à grande échelle, qui a été introduit symboliquement en novembre 2011 par la secrétaire d'État de l'époque, Hillary Clinton, sur un destroyer naval américain dans la baie de Manille, l'emplacement pour le pivot original de l'Amérique vers l'Asie lors de la guerre hispano-américaine des Philippines en 1898. [9]
Tout à coup, à cette époque, l'administration Obama et ses successeurs ont fait part de leur inquiétude concernant la saisie présumée par la Chine d'îles territoriales dans la mer de Chine méridionale sur lesquelles la Chine avait en fait des revendications historiques de longue date remontant à la dynastie Han il y a 1 800 ans.
La saisie présumée de ces îles par la Chine ainsi que les violations présumées des droits de l'homme envers les musulmans ouïghours du Xinjiang ont fourni le prétexte à une plus grande intervention militaire américaine ainsi que la répression présumée de la Chine contre les militants « pro-démocratie » à Hong Kong et la menace d'agression à Taïwan.
Depuis 2014, les États-Unis ont organisé des manœuvres militaires provocatrices pour préparer la guerre avec la Chine, tout en lançant une tentative de blocus économique du détroit de Malacca et en intensifiant la guerre économique .
Ces mesures ressemblent étrangement à celles initiées par l'administration Roosevelt dans les années 1930 qui ont provoqué l'attaque japonaise sur Pearl Harbor et la guerre mondiale dans le Pacifique.
La différence aujourd'hui est que les mesures de guerre économique des États-Unis sont largement contre-productives en raison de la dépendance de l'économie américaine à celle de la Chine.
La Chine a également éclipsé les États-Unis dans ses capacités militaro-technologiques et a efficacement cultivé des alliés régionaux grâce à une approche de puissance douce dans le cadre de la BRI, tout en travaillant à l'interconnexion des économies régionales dans une coalition anti-impérialiste qui semble être beaucoup plus durable que celle forgée par Le Japon de manière coercitive dans les années 1930.
Jeremy Kuzmarov est rédacteur en chef de CovertAction Magazine. Il est l'auteur de quatre livres sur la politique étrangère américaine, dont Obama's Unending Wars (Clarity Press, 2019) et The Russians Are Coming, Again, avec John Marciano (Monthly Review Press, 2018). Il peut être joint à : jkuzmarov2@gmail.com .
Remarques
1 Abrams est le pseudonyme d'un ancien officier du renseignement américain avec une expérience approfondie en Asie du Sud-Est, un écrivain prolifique sur la géopolitique et un analyste politique astucieux.
2 Wayne S. Cole, Charles A. Lindbergh et la bataille contre l'intervention américaine pendant la Seconde Guerre mondiale (New York: Harcourt Brace Jovanovich, 1974), 238.
3 Le président Franklin Roosevelt a déclaré à propos d'un crâne envoyé à la Maison Blanche : "C'est le genre de cadeau que j'aime recevoir... Il y aura beaucoup plus de tels cadeaux."
4 Nobusuke Kishi, Premier ministre japonais de 1957 à 1960, avait servi dans le cabinet de guerre de Hideki Tojo.
5 La guerre secrète contre la Chine s'est poursuivie jusqu'en 1961 environ, date à laquelle la plupart des conseillers de la CIA se sont rendus au Laos où ils ont organisé des tribus montagnardes productrices d'opium en une armée privée qui a combattu le Pathet Lao pro-communiste.
6 Pas moins de 30% de la population nord-coréenne a été tuée lors de l'assaut américain. Un marine américain a écrit à propos de ces morts dans les termes suivants : "Ce ne sont qu'une bande de gooks, qui se soucient des sentiments des gens comme ça."
7 Voir Wilfred Burchett, This Monstrous War (Melbourne : Joseph Waters, 1953), https://www.revolutionarydemocracy.org/archive/KoreanWar.pdf
8 Les Philippins de Lansdale ont été décrits de manière révélatrice comme le type qui "trancherait la gorge de leur grand-mère pour un dollar quatre-vingt-cinq". Ils ont joué un rôle clé dans le programme Phoenix, un programme d'assassinats ciblés pendant la guerre du Vietnam qui a été utilisé comme plan de chantage par le gouvernement sud-vietnamien.
9 Voir Jeremy Kuzmarov, Obama's Unending Wars: Fronting the Foreign Policy of the Permanent Warfare State (Atlanta: Clarity Press, 2009), 193.
Les limites de l'informatique : un informaticien explique pourquoi, même à l'ère de l'IA, certains problèmes sont tout simplement trop difficiles
par Jie Wang, La Conversation 30 JANVIER 2023
Grâce aux technologies de l'intelligence artificielle, les ordinateurs d'aujourd'hui peuvent engager des conversations convaincantes avec les gens, composer des chansons, peindre des tableaux, jouer aux échecs et diagnostiquer des maladies, pour ne citer que quelques exemples de leurs prouesses technologiques.
Ces succès pourraient être pris pour indiquer que le calcul n'a pas de limites. Pour voir si c'est le cas, il est important de comprendre ce qui rend un ordinateur puissant.
Il y a deux aspects à la puissance d'un ordinateur : le nombre d'opérations que son matériel peut exécuter par seconde et l'efficacité des algorithmes qu'il exécute. La vitesse du matériel est limitée par les lois de la physique. Les algorithmes - essentiellement des ensembles d'instructions - sont écrits par des humains et traduits en une séquence d'opérations que le matériel informatique peut exécuter. Même si la vitesse d'un ordinateur peut atteindre la limite physique, des obstacles de calcul subsistent en raison des limites des algorithmes.
Ces obstacles comprennent des problèmes qui sont impossibles à résoudre pour les ordinateurs et des problèmes qui sont théoriquement solubles mais qui, en pratique, dépassent les capacités des versions les plus puissantes des ordinateurs d'aujourd'hui imaginables. Les mathématiciens et les informaticiens tentent de déterminer si un problème est résoluble en les essayant sur une machine imaginaire.
Une machine informatique imaginaire
La notion moderne d'algorithme, connue sous le nom de machine de Turing, a été formulée en 1936 par le mathématicien britannique Alan Turing. C'est un appareil imaginaire qui imite la façon dont les calculs arithmétiques sont effectués avec un crayon sur du papier. La machine de Turing est le modèle sur lequel tous les ordinateurs sont basés aujourd'hui.
Pour tenir compte des calculs qui nécessiteraient plus de papier s'ils étaient effectués manuellement, l'approvisionnement en papier imaginaire dans une machine de Turing est supposé être illimité. Cela équivaut à un ruban imaginaire illimité, ou "bande", de carrés, dont chacun est vide ou contient un symbole.
Qu'est-ce qu'une machine de Turing ?
La machine est contrôlée par un ensemble fini de règles et démarre sur une séquence initiale de symboles sur la bande. Les opérations que la machine peut effectuer sont le déplacement vers une case voisine, l'effacement d'un symbole et l'écriture d'un symbole sur une case vierge. La machine calcule en effectuant une séquence de ces opérations. Lorsque la machine se termine ou "s'arrête", les symboles restant sur la bande sont la sortie ou le résultat.
L'informatique consiste souvent à prendre des décisions avec des réponses oui ou non. Par analogie, un test médical (type de problème) vérifie si l'échantillon d'un patient (un exemple du problème) présente un certain indicateur de maladie (réponse oui ou non). L'instance, représentée dans une machine de Turing sous forme numérique, est la séquence initiale de symboles.
Un problème est considéré comme "résoluble" si une machine de Turing peut être conçue qui s'arrête pour chaque instance, qu'elle soit positive ou négative, et détermine correctement la réponse que l'instance donne. Tous les problèmes ne peuvent pas être résolus De nombreux problèmes peuvent être résolus à l'aide d'une machine de Turing et peuvent donc être résolus sur un ordinateur, tandis que beaucoup d'autres ne le sont pas. Par exemple, le problème des dominos, une variante du problème du pavage formulé par le mathématicien sino-américain Hao Wang en 1961, n'est pas résoluble.
La tâche consiste à utiliser un ensemble de dominos pour couvrir une grille entière et, en suivant les règles de la plupart des jeux de dominos, en faisant correspondre le nombre de pépins aux extrémités des dominos attenants. Il s'avère qu'il n'y a pas d'algorithme qui peut commencer avec un ensemble de dominos et déterminer si oui ou non l'ensemble couvrira complètement la grille.
Rester raisonnable
Le problème du voyageur de commerce devient rapidement incontrôlable lorsque vous dépassez quelques destinations. Un certain nombre de problèmes solubles peuvent être résolus par des algorithmes qui s'arrêtent dans un laps de temps raisonnable. Ces "algorithmes en temps polynomial" sont des algorithmes efficaces, ce qui signifie qu'il est pratique d'utiliser des ordinateurs pour en résoudre des instances.
Des milliers d'autres problèmes solubles ne sont pas connus pour avoir des algorithmes en temps polynomial, malgré des efforts intensifs continus pour trouver de tels algorithmes. Ceux-ci incluent le problème du voyageur de commerce.
Le problème du voyageur de commerce demande si un ensemble de points avec certains points directement connectés, appelé graphe, a un chemin qui part de n'importe quel point et passe par tous les autres points exactement une fois, et revient au point d'origine. Imaginez qu'un vendeur veuille trouver un itinéraire qui passe exactement une fois par tous les ménages d'un quartier et revient au point de départ.
Ces problèmes, appelés NP-complets, ont été formulés indépendamment et ont démontré leur existence au début des années 1970 par deux informaticiens, le Canadien américain Stephen Cook et l'Ukrainien américain Leonid Levin. Cook, dont le travail est arrivé en tête, a reçu le prix Turing 1982, le plus élevé en informatique, pour ce travail.
Le coût de savoir exactement
Les algorithmes les plus connus pour les problèmes NP-complets recherchent essentiellement une solution parmi toutes les réponses possibles. Le problème du voyageur de commerce sur un graphique de quelques centaines de points prendrait des années à s'exécuter sur un supercalculateur. De tels algorithmes sont inefficaces, ce qui signifie qu'il n'y a pas de raccourcis mathématiques.
Les algorithmes pratiques qui traitent ces problèmes dans le monde réel ne peuvent offrir que des approximations, bien que les approximations s'améliorent. La question de savoir s'il existe des algorithmes efficaces en temps polynomial capables de résoudre des problèmes NP-complets fait partie des sept problèmes ouverts du millénaire publiés par le Clay Mathematics Institute au tournant du 21e siècle, chacun portant un prix de 1 million de dollars américains.
Qu'est-ce qu'un ordinateur quantique ? Au-delà de Turing
Pourrait-il y avoir une nouvelle forme de calcul au-delà du cadre de Turing ? En 1982, le physicien américain Richard Feynman, lauréat du prix Nobel, a proposé l'idée d'un calcul basé sur la mécanique quantique.
En 1995, Peter Shor, un mathématicien appliqué américain, a présenté un algorithme quantique pour factoriser des nombres entiers en temps polynomial. Les mathématiciens pensent que cela est insoluble par les algorithmes en temps polynomial dans le cadre de Turing. Factoriser un entier signifie trouver un plus petit entier supérieur à 1 qui peut diviser l'entier. Par exemple, l'entier 688 826 081 est divisible par un entier plus petit 25 253, car 688 826 081 = 25 253 x 27 277.
Un algorithme majeur appelé l'algorithme RSA, largement utilisé dans la sécurisation des communications réseau, est basé sur la difficulté de calcul de factoriser de grands nombres entiers. Le résultat de Shor suggère que l'informatique quantique, si elle devenait une réalité, changerait le paysage de la cybersécurité.
Un ordinateur quantique à part entière peut-il être construit pour factoriser des nombres entiers et résoudre d'autres problèmes ? Certains scientifiques pensent que cela peut être le cas. Plusieurs groupes de scientifiques du monde entier travaillent à en construire un, et certains ont déjà construit des ordinateurs quantiques à petite échelle.
Néanmoins, comme toutes les nouvelles technologies inventées auparavant, il est presque certain que des problèmes avec le calcul quantique surgiront qui imposeraient de nouvelles limites.
Le monde est passé au fil des siècles de la fanfare au concert soit de la cacophonie à la haute fidélité. Oui mais, le problème est le chef d'orchestre. Il ne veut qu'entendre qu'une musique !
La différence entre un robot-ordinateur et un être humain est que l'être humain raisonnera de sa conscience personnelle (comme il y en a 8 milliards au monde) tandis que l'ordi ne raisonnera qu'avec son programme limité chargé. Et, le plus tare est que, comme une calculette fabriquée le robot-ordi sera mis en série ! X millions de robots-cons avec le même programme ! (car aucun n'a eut de jeunesse, d'adolescence ou de vie adulte d'oisif ou de travailleur).
C'est pourquoi l''Intelligence Artificielle' n'existera jamais.
Les Suisses ne consacrent aujourd’hui pour leur retraite que 7,5 % de leur PIB (grâce notamment au recours à la capitalisation), mais malgré cette marge de manœuvre, ils préfèrent allonger encore leur durée de travail.
le 4 février 2023 Xavier Fontanet
Un sondage (Smartvote) fait en Suisse, le 19 août 2019, révèle que la majorité des candidats à la députation est en faveur d’un recul de l’âge de la retraite à… 67 ans. Impensable ici.
Pourtant, s’il y a une chose à expliquer dans cette période de consultation sur la loi retraite, c’est comment s’en tirer, chez nous, sans bouger significativement l’âge de la retraite ni augmenter la durée de cotisation ?
Surcharge pour les entreprises Rappelons quelques faits.
En 1983, quand Mitterrand a lancé l’idée de la retraite à 60 ans, il y avait quatre cotisants pour un retraité et l’espérance de vie était de 72 ans, soit 12 ans de retraite en moyenne. Aujourd’hui l’espérance de vie est de 84 ans, ce qui fait 22 ans de retraite. Et il n’y a plus que 1,7 cotisant par retraité. En 36 ans, la durée de retraite a été augmentée de 83 % et le pourcentage de ceux qui cotisent réduit de 57 %.
On en a remis une couche avec les 35 heures, qui reviennent à annihiler au moins quatre ans de cotisation. Pour faire simple, le ratio cotisants-retraités a été divisé par cinq. On a certes doublé la part du PIB consacrée aux retraites à 13,8 % (sous Mitterrand le ratio était d’environ 7 %), mais au prix d’une surcharge accrue pour nos entreprises. Il y a aussi eu des gains de productivité, mais la situation n’est absolument pas tenable.
Les Suisses ne consacrent aujourd’hui pour leur retraite que 7,5 % de leur PIB (grâce notamment au recours à la capitalisation), mais malgré cette marge de manœuvre, ils préfèrent allonger encore leur durée de travail. On dira : « Ils sont différents ! » Regardons alors nos autres voisins : le départ à la retraite se situe partout entre 65 et 67 ans. Si partir à 67 ans est un argument électoral de l’autre côté de la frontière, est-ce parce que le chocolat qu’ils consomment leur dérègle l’esprit ou parce que contrairement à nous devant les faits ils sont humbles et capables de se remettre en question ?
Il y a 1 cotisant qui cotise pour sa retraite = 1 retraité de sa propre cotisation. Or, si la capitalisation est la bienvenue (planche de salut venue de notre maréchal Philippe Pétain) les intérêts ont depuis fondus comme neige au soleil voire en négatif !! (Placer son argent en banque ne rapporte plus rien: on y perd !).
Mais le problème est autre part ! Où va l'argent cotisé ? (idem que celui des taxes et des impôts !), il va aux émigrés 'réfugiés climatiques' qui touchent 2000 € par mois sans jamais avoir cotisé !! Çà y est, vous avez compris ?
Idem aux USA, il n'y a pas d'argent pour les Américains mais il y en a pour les infiltrés avec armes et drogues qui passent la frontière par milliers chaque jour et aussi pour les nazis-ukrainiens dont on a rien à foutre !
Peugeot 208 : record de vente pour la voiture française
La Peugeot 208 se hisse à la première place du classement des ventes automobiles en Europe en 2022, un record pour le constructeur français.
Par Benoit Vrignaud le 3 février 2023 à 15h31
Une augmentation du nombre de vente de la Peugeot 208 de 5% lui permet de se hisser à la tête du classement des ventes pour l'année 2022.
La domination de la Peugeot 208 française sur les ventes en Europe
La Peugeot 208 se hisse à la tête du classement des voitures les plus vendues en Europe en 2022. La France domine le classement avec une deuxième tenue par la Dacia Sandero. La fin de la domination pendant 14 années consécutives de la Volkswagen Golf est donc actée. La voiture allemande était tenante du titre depuis 2009.
Fierté française bien que produite en Slovaquie, la Peugeot 208 a été vendue en 206.816 exemplaires en 2022 sur l’ensemble d’une zone Europe élargie, soit les pays membres et le Royaume-Uni, ainsi que la Suisse et l’Irlande. Placé quatrième un an auparavant, la Renault Clio chute à la 10e place, perdant ainsi la course contre sa rivale française.
Les voitures thermiques et françaises en tête des ventes
Les 177.203 exemplaires vendus de la Golf ne lui octroient en 2022 que la cinquième place. Elle est notamment doublée par son équivalent SUV, le modèle T-Roc de Volkswagen qui comptabilise 1881.153 ventes, le plaçant à la troisième place. La deuxième place se joue à 20.000 exemplaires vendus, et elle est fièrement détenue par la Dacia Sandero. Bien que roumaine, la marque est une propriété du groupe français Renault. La voiture est assemblée en Roumanie ainsi qu’au Maroc.
Yaris, Opel, Hyundai, la suite du classement des ventes surprend pou un critère en particulier. Toutes sont des voitures thermiques, à la limite hybrides, confirmant ainsi que la transition vers l’électrique n’est pas encore complètement acquise dans les plans des automobilistes au moment de l’achat.
La première voiture 100% électrique est la Tesla Model Y, située à la 13e place avec 138.128 ventes, soit une augmentation de 417% par rapport à l’année précédente. De plus en plus de constructeurs se tournent vers la recherche et le développement de modèles électriques, conscients de l’approche de l’échéance fixée par la loi européenne sur l’interdiction d’achat de modèles neuf thermiques à compter de 2035.
L’ancien fleuron de la marine française était passé sous pavillon brésilien en l’an 2000.
par Elie Courboulay 4 février 2023, 02:14
La marine brésilienne a annoncé vendredi avoir coulé dans l’océan Atlantique l’ancien porte-avions Foch rempli d’amiante, de peintures et autres déchets toxiques, une décision critiquée par plusieurs organisations de défense de l’environnement.
Le «naufrage planifié et contrôlé s’est produit en fin d’après-midi» vendredi, à quelque 350 km des côtes brésiliennes, dans une zone d’une «profondeur approximative de 5000 mètres», a indiqué la marine dans un communiqué. Elle avait estimé plus tôt dans la semaine qu’il n’y avait pas d’autre choix vu l’état très dégradé de cette vieille coque de 266 mètres de long, qualifiée de «colis toxique de 30’000 tonnes» par l’association Robin des Bois.
Construit dans les années 1950
«Face aux risques qu’implique le remorquage et en raison de la détérioration de la coque (…), la seule solution est d’abandonner la coque en la coulant de façon contrôlée», avait expliqué la marine tard mercredi dans un communiqué conjoint avec le ministère brésilien de la Défense. Il y a deux semaines, la marine avait annoncé avoir pris en remorque l’ancien porte-avions dans l’Atlantique. Il était jusque-là tracté par un remorqueur néerlandais pour le compte du chantier turc Sok Denizcilik.
Ce fleuron de la marine française passé en 2000 sous pavillon brésilien a longtemps erré en mer à la recherche d’un port refuge. Construit à la fin des années 50 dans le chantier naval de Saint-Nazaire, dans l’ouest de la France, le Foch a été pendant 37 ans au service de la marine française.
Les véhicules électriques sont une arnaque – voici pourquoi
Vendredi 03 février 2023 par : Ethan Huff
(Natural News) Il y a un chevauchement inquiétant entre le marketing qui a été utilisé pour vendre des masques et des "vaccins" pendant l'escroquerie covid et la poussée pour convertir la société aux véhicules électriques (VE) uniquement.
On nous dit que pour sauver la planète du « réchauffement climatique » et du « changement climatique », tous les véhicules à essence – et maintenant les réchauds à gaz – doivent disparaître. Y a-t-il une vérité à cela? La réponse est bien sûr non.
Prenez les plages revendiquées, par exemple. Quoi que vous entendiez sur la distance qu'un véhicule électrique peut parcourir en une seule charge, réduisez-la de moitié pendant la saison hivernale et vous obtiendrez une lecture plus précise. Ensuite, il y a la capacité de charge et de remorquage, dont les chiffres sont également exagérés.
"... dans le cas des camions électriques - lorsqu'ils sont utilisés pour faire les choses que les camions sont censés faire, comme tirer une remorque... Au lieu de cela, on leur a seulement dit - comme dans le cas du camion électrique F-150 Lightning de Ford - qu'il pouvait tirer une remorque de 10 000 livres. Ce qui est vrai. Pas pour longtemps. Ou plutôt, de loin », rapporte Eric Peters Autos à propos de cette supercherie.
«Le fait pertinent était laissé de côté que s'ils tentaient de tirer une remorque, ils s'arrêteraient pour une longue recharge tous les 80 milles environ. On leur a également dit qu'ils pouvaient recharger à la maison – ce qui est également vrai. Dans la mesure du possible."
« Mais on ne leur a pas dit combien de temps cela prendrait. Au lieu de cela, ils ont été amenés à croire qu'ils pourraient repartir en seulement 30 à 45 minutes environ. Mais cela n'est possible qu'en visitant des chargeurs dits "rapides", qui ne sont pas à la maison."
Les véhicules électriques sont sales, dangereux et peu fiables : pourquoi le culte vert les aime-t-il à nouveau ? Jerome Corsi, écrivant pour American Thinker, a également abordé ce sujet, notant qu'il n'y a rien de viable économiquement dans la conversion aux véhicules électriques.
Toute la poussée des véhicules électriques est motivée par l'idéologie plutôt que par l'aspect pratique ou ce qu'il décrit comme un "calcul économique rationnel". C'est en partie la raison pour laquelle quatre sénateurs et deux représentants de l'État du Wyoming ont présenté un projet de loi visant à interdire toutes les ventes de véhicules électriques dans le Wyoming d'ici 2035.
"Les vastes étendues d'autoroutes du Wyoming, associées à un manque d'infrastructure de recharge des véhicules électriques, rendent l'utilisation généralisée des véhicules électriques impraticable pour l'État", lit-on dans la résolution conjointe du Sénat n° SJ004, ajoutant que "les batteries utilisées dans les véhicules électriques contiennent des minéraux critiques". dont l'approvisionnement intérieur est limité et menacé de perturbations.
Si les militants de gauche dévoués aux causes vertes réussissaient à interdire la vente de véhicules à essence, en particulier si l'interdiction inclut les véhicules industriels et commerciaux, il y a également des implications majeures en matière de sécurité et de fiabilité à prendre en compte. Que se passe-t-il lorsqu'un semi-remorque électrique meurt au bord de la route au milieu d'un blizzard au milieu de nulle part ? Que deviendront le chauffeur et sa charge utile ?
Ensuite, il y a les implications environnementales de continuer à faire extraire par des enfants esclaves tous les minéraux de terres rares nécessaires à la production de batteries de véhicules électriques, qui, selon la même législation proposée dans le Wyoming, « ne sont pas facilement recyclables ou jetables, ce qui signifie que les décharges du Wyoming et d'ailleurs seront tenus de développer des pratiques pour éliminer ces minéraux de manière sûre et responsable.
Enfin, d'où viendra toute cette électricité supplémentaire pour recharger ces appareils ? Il existe déjà des problèmes d'infrastructure électrique qui affligent certains États à certaines périodes de l'année, car la configuration actuelle est inadéquate, même pour les quantités existantes de véhicules électriques sur la route. Que se passera-t-il une fois que tout le pays sera converti aux véhicules électriques ?
"Ils se fichent que ça ne marche pas", a écrit un commentateur à propos de tout cela. «Ils veulent que tout le monde vive dans les villes et n'aille là où on leur dit qu'en marchant ou en faisant du vélo. Vous ne posséderez rien et serez heureux.
Les dernières nouvelles sur la poussée des véhicules électriques et les mensonges qui l'accompagnent souvent peuvent être trouvées sur GreenTyranny.news.
11 des villes les plus violentes du monde se trouvent aux États-Unis et elles ont toutes une chose en commun : un parti les dirige
vendredi 03 février 2023 par : JD Heyes
(Natural News) Une nouvelle analyse des villes les plus dangereuses du monde a révélé que près d'une douzaine d'entre elles sont situées dans ce qui est censé être la nation la plus sophistiquée et la plus puissante de la planète - l'Amérique.
Il y a 11 villes américaines répertoriées parmi les 50 villes les plus dangereuses au monde, selon le classement 2023 de Numbeo, et elles ont un point commun : elles sont toutes dirigées par des démocrates, et de plus, elles le sont depuis des années, des décennies, dans la plupart des cas. .
Le Crime Index 2023 classe Baltimore au n° 15, Memphis au n° 18 et Detroit au n° 19. Deux villes supplémentaires, n° 23 Albuquerque et n° 27 St. Louis, figurent parmi les 30 pires.
Just the News a rapporté : « Brandon Scott, à peine âgé de 38 ans, est le maire de Baltimore. Jim Strickland Jr., avocat et homme politique, est le 64e et actuel maire de Memphis, où le département de police de Memphis vient d'annoncer son intention de désactiver définitivement l'unité à laquelle appartenaient cinq des officiers impliqués dans le passage à tabac vicieux de Tire Nichols. Mike Duggan, quant à lui, est actuellement maire de Detroit.
À Albuquerque, Tim Keller, 45 ans, est le maire, et à Saint-Louis, Tishaura Oneda Jones est le maire.
"Revenir en arrière pour une vue plus large donne une perspective encore plus sombre pour les démocrates, alors que six autres villes dirigées par des démocrates se classent parmi les 50 villes les plus dangereuses au monde : La Nouvelle-Orléans (#35), Oakland (#38), Milwaukee (#40), Chicago (#43), Philadelphie (#46) et Houston (#50). Encore une fois, toutes ces villes sont dirigées par des démocrates », a confirmé Just the News.
Les villes reçoivent à la fois un indice de criminalité et un indice de sécurité dans le graphique, les scores de criminalité inférieurs à 20 étant considérés comme excellents. Les scores de sécurité supérieurs à 80 sont considérés comme bons. Les villes américaines ne s'en approchent même pas. Baltimore a un score de criminalité de 75,5 et un score de sécurité de 24,5 - juste là avec Rosario, l'Argentine et d'autres cloaques de danger et de violence du deuxième et du tiers monde.
Le rapport a souligné que l'année dernière, la ville avait fait état d'une augmentation de 300 % des vols dans les dépanneurs. À Memphis, 4 501 crimes ont été signalés uniquement dans le centre-ville de la ville, et à Detroit, le jour du Nouvel An seulement, six personnes ont été abattues, dont cinq se sont retrouvées à la morgue. Plus de 200 policiers ont fui le département l'an dernier.
Just the News a déclaré: «Les démocrates ont souvent été qualifiés de« doux envers le crime »par leurs adversaires. Le dernier rapport Numbeo ne fera pas grand-chose pour endiguer de telles dénonciations.
Pendant ce temps, en ce qui concerne le nombre d'officiers qui ont quitté Baltimore, les services de police de tout le pays connaissent une pénurie d'officiers grâce à des procureurs de district «indulgents contre la criminalité» qui ne poursuivent pas les criminels et aux politiciens démocrates «defund the police» qui ont leur propre sécurité privée.
Fait intéressant, un rapport de Fox News d'octobre a révélé que 11 (certains d'entre eux faisant partie du groupe de 11 villes américaines dangereuses, sans surprise) les services de police du pays ont du mal à recruter suffisamment d'officiers, laissant beaucoup se demander ce que impact du nombre réduit de flics sur la sécurité publique globale :
Porte-parole de l'Association nationale de la police Ret. sergent. Betsy Branter Smith a souligné onze villes qui ont connu de graves problèmes de personnel après la rhétorique anti-policière de 2020 et ses retombées politiques : New York City; Chicago; Los Angeles; Philadelphia; Seattle; St. Louis; Louisville, Kentucky; Austin and San Antonio, Texas; and Phoenix and Tuscon, Arizona.
"Je pense que cela pourrait être un problème générationnel", a déclaré Branter-Smith lorsqu'on lui a demandé combien de temps elle s'attend à ce que les problèmes de personnel durent. « Cela pourrait durer des années. Même si, disons, je pouvais actionner un interrupteur magique demain, et que tout le monde aimait la police et que chaque enfant en Amérique voulait être flic… il faut de neuf mois à un an à compter de la date d'embauche pour qu'une personne devienne policier. Donc, il y a un problème. Même si nous pouvions résoudre ce problème demain, il faudra un an avant que l'un de ces problèmes de personnel ne soit résolu.
Les démocrates détruisent délibérément nos villes, alors les Américains paniquent et les supplient de mettre en œuvre des «réformes» autoritaires, niant ainsi notre Déclaration des droits.
Ils ne se sont pas trompés ! grâce à Biden et Soros ce sont des milliers de tonnes de drogues qui entrent aux USA avec des armes. Les petits gangs de quartiers deviennent des armées nationales !
Ukraine : les républiques de Donetsk et Lougansk déclarées organisations terroristes
KIEV, 16 mai 2014 - RIA Novosti/La Voix de la Russie
Le Parquet général d'Ukraine a déclaré les républiques autoproclamées de Donetsk et de Lougansk « organisations terroristes », a indiqué vendredi le premier procureur général adjoint de l'Ukraine Nikolaï Golomcha sur la chaîne de télévision Kanal 5.
« Les deux républiques autoproclamées sont des organisations terroristes », a-t-il déclaré. Selon le magistrat, le Parquet général dispose de preuves attestant que les combattants de Donetsk et de Lougansk ont bénéficié d'un financement important.
La population du sud-est de l'Ukraine s'est révoltée contre la politique des nationalistes arrivés au pouvoir à Kiev à la suite d'un coup d'Etat. Pour réprimer le mouvement de protestation, les autorités ukrainiennes soutenues par les Etats-Unis et l'UE ont lancé une opération armée dans les régions de Donetsk et de Lougansk.
Dimanche 11 mai, ces deux régions ont organisé des référendums sur leur futur statut politique. Dans la région de Donetsk, 89,7% des habitants ont voté pour l'indépendance de la république autoproclamée de Donetsk. Dans la région de Lougansk, 96,2% des votants ont soutenu l'acte d'indépendance de la République populaire de Lougansk. L'Union européenne a déclaré qu'elle ne reconnaissait pas et n'entendait pas reconnaître à l'avenir les résultats de ces consultations populaires.
MÉTÉO: Le nord-est des États-Unis et l’est du Canada sous un froid historique
4 février 2023, 01:03
Le Nord-Est américain et l’Est canadien sont confrontés depuis ce vendredi 3 février 2023 à des températures arctique, inédite depuis plus de trente ans. - 41° Celsius ont été enregistrés dans l’après-midi à Montréal, jusqu’à -51 degrés sont attendus dans l’État du Maine.
«Épique» et du jamais-vu depuis des «générations»: les services météorologiques des États-Unis et du Canada ont redoublé vendredi d’avertissements catastrophistes face aux températures polaires risquant d’atteindre -50 degrés ressenti dans le nord-est américain et l’est canadien soumis à un vent glacial.
L’État septentrional du Maine en particulier pourrait voir dans la soirée de vendredi et samedi la température chuter à -51 degrés Celsius ressenti, selon un bulletin du National Weather Service (NWS) pour la région de Caribou, non loin de la frontière avec le Canada. «C’est un coup (de froid) arctique épique», du jamais-vu à l’échelle d’une «génération», en particulier «quelque chose que le nord et l’est du Maine n’ont pas connu depuis 1982 et 1988», note le NWS.
En certains endroits du nord-est américain, et de cette région de la Nouvelle-Angleterre, les températures sous un vent glacial «pourraient atteindre leur plus bas niveau depuis des décennies voire un niveau jamais encore enregistré», selon le NWS.
De l’autre côté de la frontière, des alertes de froid polaire ont été émises pour l’est du Canada, selon le ministère de l’Environnement, qui a prévenu du risque d’engelures en quelques minutes.
La température ressentie était de -41° à Montréal vendredi après-midi. Le mercure pourrait descendre jusqu’à -50° ressenti dans les régions plus au nord du Québec. Une fumée blanche, appelée «fumée de mer arctique», s’élevait au-dessus du fleuve Saint-Laurent en raison du froid extrême passant au-dessus de l’eau non gelée. De fortes bourrasques de vent frappaient les rares passants croisés dans le centre-ville de Montréal lors d’un vendredi ensoleillé. La compagnie d’électricité Hydro-Québec se préparait à ce qu’un seuil de consommation historique survienne vendredi et samedi et a appelé ses clients à faire des économies d’énergie.
Dans la capitale Ottawa, des associations comme l’Armée du salut ont distribué aux personnes sans-abris non logées dans des foyers des sacs de couchage de haute montagne pour supporter des températures jusqu’à -40 degrés. Dans le même temps, les propriétaires de chiens ont été priés de les garder au chaud. En ville, la visibilité était presque nulle dans la nuit de jeudi à vendredi en raison de chutes de neige couplées à des vents forts.
Le pire du froid et du vent aux États-Unis devrait frapper dans la nuit de vendredi à samedi, notamment à Boston et à New York, plus au sud, où il pourrait faire -15 degrés. Avant que les températures ne remontent dimanche.
Pluie, neige, tempêtes, froid polaire et chaleur humide: le nord-est des États-Unis est tout au long de l’année soumis à des phénomènes météo extrêmes qui s’accompagnent de pertes en vies humaines et en dégâts matériels. Dernier en date, durant le week-end de Noël 2022, un blizzard et une tempête de neige ont frappé la ville de Buffalo, dans le nord-ouest de l’État de New York, faisant des dizaines de morts.
L'égoïsme pur dans les grandes embouchures du gouvernement affirmant qu'ils peuvent sauver l'humanité de toutes les menaces naturelles qui nous affligent devrait être risible. Et ne vous méprenez pas - pour beaucoup d'entre nous, il est. Pour mon argent, l'humour comme l'égoïsme ne peut pas faire plus évident que puis-gouverneur Arnold Schwarzenegger dire les travailleurs de laboratoire à Toronto, "Je suis impatient de guérir toutes ces maladies terribles."
Imaginez la scène, avec ces mots étant prononcés en accent emblématique de Arnold tout en suggérant que lui et les programmes gouvernementaux dont il préconisait avait le pouvoir de débarrasser le monde des menaces comme la maladie microbienne et le cancer. La déclaration indique que si seulement il pouvait simplement accroître la sensibilisation du public à ces maladies et s'approprier les fonds publics et autorité , il enfiler le blanc manteau de laboratoire, habilement l'homme les pipettes, et aider à trouver la solution pour éradiquer ces maladies où le secteur privé a échoué. Peut-être qu'il avait même craché une marque one-liner à toutes les maladies que les craintes de l'humanité, comme il livré dans l'oubli. "Hasta la vista, le cancer."
Eh bien, cette scène est ridicule pour moi, mais rien de tout cela est ridicule au plus crédules ou espoir parmi nous. Pour eux, la délivrance de gouvernement de circonstances naturelles est si progressive et élever une notion que c'est un impératif moral carrément. Les experts annonçaient son commentaire de dépenser l'argent des Californiens comme discours musclé, un fier exemple de "Les Nouveaux Héros d'action" de muscle du gouvernement, comme le magazine TIME a fait .
Aussi ridicule que que tous puissent paraître, il y a quelque chose d'aussi ridicule dans le réchauffement climatique ... oups, je veux dire le changement climatique ... euh, désolé, "le dérèglement climatique" alarmisme, qui un nouveau rapport par l'évaluation nationale Climat trouve apparemment une phrase d'emballage plus à la mode. Par exemple, considérez lorsque le président Obama a dit une audience en 2008 que le monde de revenir sur son élection comme le moment identifiable quand la «montée des océans a commencé à ralentir, et de notre planète a commencé à guérir," fin maudit hausse de nos océans que la Terre a été condamnée à souffrir avant sa venue.
Il aurait dû être ri de la scène pour cette absurdité. Honnêtement, il parlait comme si la terre, les vents et le ciel étaient simplement des éléments à manipuler à sa guise, si seulement il pouvait rassembler l'argent des contribuables américains assez et l' un utorité à l'impôt la consommation d'énergie de la volonté de son cœur. Et encore une fois, les masses d'idiots s'évanouit à la suggestion, comme si Obama était Poséidon incarné !
L'affirmation d'Obama était stupide, même à la hauteur de l'alarmisme climatique, mais les temps ont bien changé, et il devrait sembler doublement stupide maintenant. Parmi les plus accablantes de révélations est venu avec les e-mails fuite écrits par des climatologues de l'Université d'East Anglia en 2009 qui ont fourni la preuve irréfutable sur les données climatiques manipulés, qui James Delingpole lancé le mondial scandale connu sous le nom «Climategate».
Il semblerait d'insister sur le point de répondre à cette toute nouvelle, évidemment accusation que l'incident East Anglia reste clairement alarmistes anthropiques. Mais la répétition de déclarations évidentes ne fait pas mal, alors voici le verbiage utilisé par le professeur Phil Jones de East Anglia. Comme rapporté CNN, Jones a écrit: «Je viens de terminer« Nature Trick Mike «d'ajouter de véritables températures à chaque série de ces 20 dernières années ... pour cacher la baisse."
La baisse des températures réelles dont le professeur Jones rayon a été un sujet très discuté dans les années qui ont suivi le message messianique d'Obama en 2008. Et il a même été discutée par de nombreux scientifiques de haut niveau à tête qui semblent rester lié par l'idée aujourd'hui disparue qui les données doivent «prouver» la théorie plutôt que d'être manipulé pour "adapter" la théorie. Comme Peter Ferrara de Forbes a noté après avoir assisté à la septième Conférence internationale sur les changements climatiques en 2012, "les cycles climatiques naturels ont déjà tourné de réchauffement au refroidissement, les températures mondiales ont déjà été en baisse depuis 10 ans, et les températures mondiales vont continuer à diminuer pendant encore deux décennies ou plus".
Ok, la dernière observation (prévision, plutôt) est quelque chose que je vais prendre avec un grain de sel. Pourquoi ? Parce que je suis un être humain. Je recherche des modèles. Et quels sont les modèles que j'ai trouvé ? Eh bien, dans le sens le plus fondamental, tout au long de l'histoire humaine, monte et descend en température ont été observées avec des rimes et des raisons qui sont très au-delà de ma compréhension.
Mais les scientifiques du climat, paraît-il, ne font guère plus que les modèles observer, aussi, quand ils ne sont pas truquer les données pour observer les modèles qu'ils recherchent. Prendre une observation de la 20 ème siècle le réchauffement climatique anthropique ... excusez-moi, "le dérèglement climatique," la foule doit encore trouver assez troublant. Également noté dans le rapport de Ferrara de la même conférence, «les températures ont chuté de façon constante depuis la fin des années 1940 à la fin des années 1970. La presse populaire a même parlé d'une prochaine période glaciaire. Les périodes glaciaires ont eu lieu à peu près tous les 10.000 ans, avec une nouvelle raison maintenant. "
Donc, les températures ont chuté dans une période d'expansion économique industrialisée massive ? Des détails mineurs ?
Voici une autre observation gênant pour les alarmistes, également noté par Ferrara:
Don Easterbrook, professeur émérite de géologie à l'Université Western Washington ... prédit publiquement en 2000 que les températures mondiales pourraient diminuer d'ici à 2010. Il a fait cette prédiction, car l'AOP (décennale du Pacifique Observation) avait tourné à froid en 1999, quelque chose que les scientifiques politiques au GIEC de l'ONU ne savaient pas ou penser significative.
Eh bien, les résultats sont, et le gagnant est ... Don Easterbrook. Easterbrook a également parlé lors de la conférence de Heartland, avec une présentation intitulée «Les prévisions sont d'une tendance au refroidissement de 20 ans crédibles ?" Watch en ligne et vous verrez comment les scientifiques sont censés parler: cool rationnelle, analyse, logique des données, et pleine explication. Tout ce que je vois dans les alarmistes du réchauffement climatique, en revanche, est des relations politiques publiques, des attaques personnelles, ad hominem , arguments et injures, combinées avec les admissions qu'ils ne peuvent pas défendre leurs points de vue dans le débat public.
Mais alors, pourquoi les alarmistes devraient défendre le raisonnement qui soutient leurs points de vue dans le débat public, quand ils peuvent publier des rapports non contestés sans les inconvénients des raisons contradictoires pour justifier observations ?
Le rapport national d'évaluation du climat précitée fait exactement cela. J'avoue que je n'ai pas pataugé dans l'ensemble du rapport 840-pages, mais je ne peux rien trouver dans le matériau fourni pour la consommation de masse offre des liens probants entre les observations du rapport (ou de ses prédictions farfelues) et les causes potentiellement sous-jacentes. Il semble rien de plus simple présomption que la cause des observations et des prévisions est en carbone et la prolifération des combustibles fossiles. Vous êtes tout simplement à supposer que c'est vrai parce qu'ils le disent. Ne plus penser.
«Le changement climatique d'origine humaine a déjà augmenté le nombre et la force de ces [météorologiques] événements extrêmes», le rapport national d'évaluation du climat cite. La mesure dans laquelle les êtres humains sont d'"induire" les conditions météorologiques ne sont jamais abordées. Les observations sont tout simplement fait, et «le changement climatique induit par l'homme" est gouverné responsable des observations du rapport comme un donné. C'est comme si toutes les hypothèses contraires, y compris les variables qui restent inconsidéré, sur les causes sous-jacentes sont nulles et non avenues.
Mon, comment la théorie scientifique et la "prendre tous les arrivants" état d'esprit de ses pratiquants authentiques ont changé.
Mais une question demeure persistante. Mais qui est ce groupe qui a publié le rapport, l'évaluation nationale du climat ? Nul autre que le bras du programme de recherche aux États-Unis et le changement global. Sa recherche est financée par des fonds fédéraux, et ses conclusions ailleurs promouvoir le programme fédéral qui a sommeillé dans ce moment depuis ascendant de Barack qui a jeté le doute sur l'étendue de la culpabilité "humaine" pour "le dérèglement climatique." (Là, j'ai finalement obtenu right.)
Donc il n'est pas étonnant que Barack Obama est maintenant vantant ses «conclusions» et «prédictions» de la ruine de la terre entre les mains de l'énergie industrialisée ? "Ce n'est pas un problème lointain de l'avenir," Obama dit. Dérèglement climatique qui est "affecte déjà toutes les régions du pays et les secteurs clés de l'économie."
Et il devrait savoir. Le même président qui a juré qu'il pourrait prendre l'argent des contribuables et de réduire les marées de l'océan a commandé son propre rapport comme un témoignage du fait que vous avez vraiment besoin de lui pour régler vos coûts de consommation d'énergie, en dépit de votre propre ignorance troglodyte.
Nos élites gouvernementales comptent sur nous pour les aider à lutter contre les fantômes du climat sur la colline. Allons-nous jouer notre rôle de Sancho Panza à leur beaucoup plus lucide et manipulatrice Don Quichotte ? Étant donné que les démocrates sont de renier activement les textes politiques de cette administration, ils comptent sur nous pour le faire en 2014, et ils exigent que des millions d'Américains actuellement indifférents à "dérèglement climatique" prendre les armes dans une bataille dans laquelle la logique nous dit, il n'y a pas naturel, ou encore discernable, ennemi.
William Sullivan blogue sur politicalpalaverblog.blogspot.com et peut être suivi sur Twitter .
En France après guerre, on acceptait tout, aujourd’hui on n’accepte plus rien, Pourquoi ?
Les périodes d’inflation ont été importantes en France depuis 1900. Il y en a eu trois très conséquentes : De 1915 à 1920 le taux est monté jusqu’à près de 40 %, puis de 1923 à 1926 un pic à 31,7 %, ensuite entre 1936 à 1952 avec un plus haut à près de 60 % en 1948.
Par Daniel Moinier le 3 février 2023 à 15h10
93 % des actifs ne veulent pas du report de l'âge de la retraite.
Et pourtant pendant toutes ces périodes très difficiles à vivre, nos concitoyens subissaient, avec peu de réactions à l’encontre des gouvernants. Il est vrai que la situation de la France était très différente avec une part rurale très importante. C’est en 1935 que le taux entre ruraux et urbains s’est trouvé à l’équilibre.
De 1962 à 1968 ce fût une période de grand exode rural, la France passant à 34,8 millions d’urbains contre 14,9 millions de ruraux. Cela a continué pour atteindre en 2020 un taux de 80,7 % de personnes vivants en espace urbain.
La façon de vivre en campagne était très différente à celle d’aujourd’hui, hors les paysans qui vivaient de leurs produits, les ouvriers et employés pour compléter leur faible salaire, avaient de grands jardins qui permettaient avec porcs, volaille, lapins,…, de vivre presque en autonomie. L’hiver ils allaient « faire » leur bois qui était le principal moyen de chauffage. C’est donc cette autonomie qui permettait de moins ressentir les effets inflationnistes pendant les périodes extrêmement élevées.
Il n’existait aucune aide sociale avant 1930, année de création des allocations familiales et c’est en 1938 qu’elles deviendront indépendantes du salaire et de l’entreprise.
En 1936, création de deux semaines de congés payés, suivie de la semaine de 40 heures adoptée dans de nombreux pays.
Les allocations chômage sont créées en 1958. Avant il n’y avait pas de chômage, il existait seulement des bourses du travail qui permettaient de changer d’emploi avec les offres déposées.
Depuis les 40 heures, les salariés pouvaient augmenter leur salaire avec les heures supplémentaires, puisque la moyenne d’après guerre avoisinait les 50 heures. Dans certaines professions ce niveau était largement dépassé. Personnellement, dans un grand groupe international, les horaires étaient de 55 heures pour tous, cadres ou pas. Il était possible dans les périodes de fortes commandes d’effectuer 2 à 3 heures de plus par jour.
Tous ces changements, incompréhensions se sont encore amplifié avec le grand chamboulement dû à la transition écologique, énergétique. Il y a eu aussi la condition féminine, les rémunérations inférieures, les modifications face aux comportements masculins tel le mouvement MeToo, c’est aussi le "wokisme" qui s’attaque à la justice social, l’égalité raciale, la communauté LGBT qui est issu des « Black Lives Matter » aux Etas-Unis.
Il ne manquait plus que l’inflation pour déstabiliser le commerce local, régional, mondial. Les prix sont devenus très instables, modifiant toutes les règles économiques, avec des augmentations de prix de certains produits ou services, avec une pression sur les salaires. L’état n’entend plus les contestations, il essaie de les devancer, surtout depuis cette période des gilets jaunes qui ont révolutionné le pays et l’ont mis à feu et à sang.
Puis ce fût la période 2020-2023 et son Covid. La crise sanitaire a fait apparaître un autre syndrome durable de la société française, une autre façon de vivre, de consommer, de travailler en télé-travail, en valorisant le temps libre et la sphère privée : appelée « la grande flemme ».
Une enquête de l’IFOP de fin 2022, à la demande de la Fondation Jean Jaurès a déduit que 41% des français.es étaient plus fatigués, 37% moins motivés au travail et 30% moins passionnés dans leurs activités du quotidien. La société française est suspectée d’accorder trop de place aux temps libres, loisirs.
Alors sur quelle base pourrait-on objectiver l’idée d’un nouveau déclin de la valeur travail en France ?
La retraite à 65 puis 64 ans serait gagnée par une aggravation de son mal.
Que n’entend t-on pas dire des plus jeunes : Il ne nous sera pas possible d’arriver aux 64 ans, nous serons morts avant, ou tellement fatigués que l’on ne pourra pas profiter de la vie !
Ils rentrent dans l’emploi plus tard, terminent plus tôt que leurs ainés et se sentent déjà fatigués !
La faible appétence des Français pour le travail, notamment lorsque celui-ci est pénible, en serait-il la source ? L’absence d’objectivation ne nous permet pas d’évacuer pour autant ce ressenti bien palpable d’une démotivation dans les enquêtes et de considérer qu’il n’y a aucune conséquence sur le terrain. Que savons-nous de ce syndrome ?
A fin 2019, il y avait 41 milliards d’heures travaillées en France. Ce chiffre peut impressionner, mais par habitant cela ne fait que 610 heures, soit 3 mois et 16 jours. C’est un niveau bien plus faible que tous les pays européens : Belgique 625 heures, Italie 670, Danemark 684. Puis vient un groupe de trois à plus de 700 heures : Espagne, Allemagne, Norvège et plus haut encore : Grèce, Pays-Bas, Finlande, Autriche avec 750 heures et un groupe beaucoup plus haut entre 800 et 900 heures : Portugal, Suède, Irlande, Suisse, Royaume-Uni. Mais ce n’est pas tout, la France a plutôt eu une baisse de travail par habitant, alors que ses voisins ont vu leur temps de travail partir à la hausse. L’Allemagne qui était proche de nous en 2004, en augmentant son temps d’activité a gagné 88 heures par rapport à nous. Cette baisse a une forte incidence sur la productivité globale en passant de la 5ème place, puis 15ème, ensuite 24 ème et 29ème en 2019 !!!. Si cette tendance se confirme l’économie française va rapidement se trouver à la dérive et à la traîne de toutes les nations industrialisées. Sans suffisamment de temps travaillé collectivement, donc moins de revenu, de rentrées pour l’état, ce sont tous les commerçants, entreprises, services… qui vont péricliter. C’est se diriger vers moins d’avantages que l’on reçoit avec le travail des autres. On pourra toujours continuer à critiquer, rouspéter, crier, manifester, casser, l’état, sans finance ne pourra plus rien pour nous. Le seul secteur qui nous remonte un peu de ce « pétrin », c’est la très bonne tenue des startups et leur forte augmentation et aussi nos cadres, artisans, les non horaires qui sont à l’inverse en haut du tableau en nombre d’heures travaillées en Europe. A bien réfléchir.
www.danielmoinier.fr
Daniel Moinier
Daniel Moinier a travaillé 11 années chez Pechiney International, 16 années en recrutement chez BIS en France et Belgique, puis 28 ans comme chasseur de têtes, dont 17 années à son compte, au sein de son Cabinet D.M.C. Il est aussi l'auteur de six ouvrages, dont "En finir avec ce chômage", "La Crise, une Chance pour la Croissance et le Pouvoir d'achat", "L'Europe et surtout la France, malades de leurs "Vieux"". Et le dernier “Pourquoi la France est en déficit depuis 1975, Analyse-Solutions” chez Edilivre.
DU MÊME AUTEUR : UKRAINE, une guerre horrible, idéologique pour l’honneur jusqu’au boutiste? Un adage semble encore très présent « Supprimer » des seniors, il y aura plus de place pour les jeunes ? La décroissance peut-elle sauver la planète ? Est-ce la solution ou non ! SUR LE MÊME THÈME Crise Economique Sport Professionnel Foot Paris Saint-Germain / Real Madrid : Quels sont les véritables enjeux ? Data Valeur Donnees Internet Numerique Les data centers à l’épreuve du changement climatique et des perturbations géopolitiques Immobilier Groupe Duval La loi sur l’assurance emprunteur définitivement adoptée à l’unanimité : Plus de concurrence, de facilité, et de justice pour les emprunteurs PUB CA FAIT L'ACTU Societe France Changement Retraite Evolution Travail En France après guerre, on acceptait tout, aujourd’hui on n’accepte plus rien, Pourquoi ? LES EXPERTS Micro-Entreprise Plafond Depassement Chiffre Affaires Micro-entreprise : Les conséquences en cas de dépassement du seuil de chiffre d’affaires LES EXPERTS Le Nouveau Roi De Vendée Vaincre ou mourir : Les spectateurs nettement plus enthousiastes que Le Monde ou Libération LES EXPERTS Peugeot 208 Vente Voiture Europe Dacia Sandero Peugeot 208 : record de vente pour la voiture française ECOQUICK
Evolution du marché mondial de l’automobile : grosse surprise
le 3 février 2023
Alors que l’industrie de production d’électricité d’origine nucléaire est en Chine en plein essor avec une vingtaine d’usines en construction, j’y reviendrai dans un prochain billet, la Chine a en moins de deux ans égalé l’Allemagne au niveau des exportations d’automobiles individuelles, propulsées par des moteurs à combustion interne ou électriques. La firme japonaise Toyota reste le leader mondial sur ce marché export avec trois millions de véhicules exportés en agrégeant toutes les usines non situées sur le territoire national nippon. L’industrie automobile coréenne est maintenant dépassée par la Chine. L’article de Mish Shedlock sur son site mish.talk est éloquent et se passe d’autres commentaires :
- voir graph sur site -
Plus intéressant encore est le marché des pièces détachées relatives aux véhicules automobiles exportés par la Chine. De 2010 à à 2020 le marché à l’export stagnait aux alentours de 10-15 milliards de dollars par an. Le marché des pièces détachées a parallèlement fortement augmenté pour ensuite se stabiliser autour d’un volume de 50 milliards de dollars. L’examen du graphique ci-dessous indique clairement une recherche de la qualité et de la fiabilité des voitures individuelles “made in PRC”. Ce n’est en effet que ce seul facteur qui permet un accroissement potentiel du marché export à venir. Si la confiance du consommateur est assurée alors le marché peut s’accroître avec un service après vente correctement organisé dans les pays importateurs. Il est intéressant à ce propos de se souvenir des déboires de Peugeot et Citroën dans le courant des années 1970-1980 sur le marché export vers l’Amérique du Nord. Ce fut un véritable fiasco car les dirigeants de ces deux entreprises n’avaient pas saisi l’importance du service après vente et de la disponibilité des pièces de rechange afin de pérenniser les ventes à l’export.
- voir graph sur site -
Pour terminer le commentaire sur ce graphique, l’incroyable montée en puissance des exportations de véhicules individuels entre 2020 et 2022 triplant en deux ans seulement avec toujours parallèlement une augmentation de l’exportation des pièces détachées de seulement 37 %, ceci indiquant que la qualité des véhicules est devenue pleinement satisfaisante. Pour plus de précisions l’essentiel des voitures électriques dites chinoises en Europe proviennent en réalité de trois fabricants européens devenus chinois car rachetés par BYD Co et Nio Inc. Il s’agit des voitures électriques vendues sous les marques Volvo et MG, avec les voitures électriques Dacia Spring et BMW iX3 étant exclusivement produites en Chine ! L’explication est limpide : la Chine est devenue en seulement quelques années le premier producteur mondial de batteries pour véhicules électriques. L’objectif de l’Association chinoise des fabricants de véhicules automobiles individuels est de vendre à l’export deux fois plus de voitures que Toyota à l’horizon 2030.
Les yankees sont acculés car il savent qu’ils ont perdu la partie en Ukraine (cf. le nouveau rapport de la Rand Corporation). Ils espèrent ruiner l’Europe en l’obligeant à payer leurs dettes astronomiques, ils n’oseront jamais attaquer l’Arabie saoudite qui se fait payer en Yuans et en roupies, le pétrodollar est mort et plus personne ne fait confiance aux USA depuis qu’ils ont confisqué les actifs de la Russie (ça pourrait arriver à n’importe quel pays) et enfin c’est un gigantesque bordel sociétal aux USA avec une part croissance de la population qui ne veut plus de la politique étrangère américaine. L’aigle américain est blessé mais il ne pourra plus voler très longtemps. Les Chinois ont maintenant autant de navires de guerre que les Américains et ils disposent de missiles suffisants pour couler n’importe quel porte-avion qui s’approcherait trop des côtes du pays. Pour un résumé de la géopolitique en 2023 il y a ceci :
"Le scandale serait énorme'': le directeur de Pfizer s'inquiète des irrégularités menstruelles induites par Vax
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Vendredi 03 février 2023 - 01:30
Project Veritas a publié jeudi un nouveau segment de séquences d'infiltration du directeur de Pfizer Jordon Walker dans lesquelles le directeur de la R&D au sein de l'opération de l'ARNm de l'entreprise a exprimé sa préoccupation quant à la façon dont le vaccin Covid-19 peut affecter la santé reproductive des femmes.
"Il y a quelque chose d'irrégulier dans les cycles menstruels. Donc, les gens devront enquêter sur cela", a déclaré Walker à un journaliste infiltré qu'il pensait qu'il était avec un rendez-vous.
"Le vaccin [covide] ne devrait pas interférer avec ces [cycles menstruels]. Donc, nous ne savons pas vraiment", a-t-il ajouté.
Walker espère également que nous ne découvrirons pas que "en quelque sorte cet ARNm s'attarde dans le corps et que vous, car il doit affecter quelque chose d'hormonal pour avoir un impact sur les cycles menstruels", ajoutant "J'espère que nous ne découvrirons pas quelque chose de vraiment mal en bas de la ligne … Si quelque chose devait se produire en aval et c'était, comme, vraiment mauvais ? Je veux dire, l'ampleur de ce scandale serait énorme. "
https://www.zerohedge.com/covid-19/scandal-would-be-enormous-pfizer-director-worried-about-vax-induced-menstrual
Un nombre croissant de médecins disent qu’ils ne recevront pas de rappels de vaccin COVID-19, citant un manque de preuves d’essais cliniques.
RépondreSupprimerVendredi 03 février 2023 - 01:10 AM
par Zachary Stieber
"J'ai pris mon dernier vaccin COVID sans preuve de niveau RCT, cela réduira mon risque de maladie grave", a écrit le Dr Todd Lee, un expert en maladies infectieuses à l'Université McGill, sur Twitter.
Lee soulignait le manque de résultats d'essais cliniques randomisés (ECR) pour les rappels de vaccins mis à jour, qui ont été autorisés aux États-Unis et au Canada à l'automne 2022, principalement sur la base de données d'expériences sur des souris.
Lee, qui a reçu trois doses de vaccin, a noté qu'il était infecté par la variante du coronavirus Omicron - les vaccins offrent peu de protection contre l'infection - et s'est décrit comme un homme en bonne santé dans la quarantaine.
Le Dr Vinay Prasad, professeur d'épidémiologie et de biostatique à l'Université de Californie à San Francisco, a également déclaré qu'il ne prendrait aucun rappel de vaccin supplémentaire tant que les données des essais cliniques ne seraient pas disponibles.
"J'ai pris au moins 1 dose contre ma volonté. C'était contraire à l'éthique et scientifiquement en faillite », a-t-il déclaré.
Allison Krug, une épidémiologiste qui a co-écrit une étude qui a révélé que les adolescents étaient plus susceptibles de souffrir d'inflammation cardiaque après la vaccination au COVID-19 qu'une infection au COVID-19, a raconté avoir expliqué à son médecin pourquoi elle refusait un rappel et a déclaré que son médecin était d'accord avec son poste.
Elle a appelé les gens à "rejoindre le mouvement pour exiger des preuves appropriées", pointant vers un article de blog de Prasad.
"Faites très attention à noter que ce n'est pas un sentiment anti-vaccin. Il s'agit de "fournir des preuves [solides] d'avantages pour justifier une utilisation continue", ce qui est très différent. Ce n'est que juste pour un produit de 30 milliards de dollars par an donné à des centaines de millions », a déclaré Lee.
RépondreSupprimerle Dr Mark Silverberg, fondateur du Toronto Immune and Digestive Health Institute; Kevin Bass, étudiant en médecine ; et le Dr Tracy Hoeg, épidémiologiste à l'Université de Californie à San Francisco, a rejoint Lee et Prasad pour déclarer leur opposition à plus de rappels, du moins pour le moment.
Hoeg a déclaré qu'elle n'avait pas besoin d'essais cliniques pour savoir qu'elle ne recevait aucun rappel après avoir reçu une série primaire de deux doses, notant qu'elle avait pris la deuxième dose "contre ma volonté".
"J'ai également eu une réaction indésirable à la dose 1 de moderna et, si je pouvais le refaire, je n'aurais pas eu de vaccins covid", a-t-elle écrit sur Twitter. «J'étais content que mes parents dans la soixantaine aient pu se faire vacciner contre le covid, mais je n'ai pas encore vu de données non confondues pour les conseiller sur le rappel bivalent. J'aurais aimé voir un ECR pour le bivalent pour les personnes de leur âge et pour les adultes ayant des problèmes de santé qui les mettent en danger.
La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a accordé une autorisation d'utilisation d'urgence aux rappels de vaccins mis à jour, ou injections bivalentes, de Pfizer et Moderna en août 2022, malgré l'absence de données humaines.
Les données d'observation suggèrent que les rappels offrent peu de protection contre les infections et une protection solide contre les maladies graves, du moins au début.
Cinq mois après l'octroi de l'autorisation, aucune donnée d'essai clinique n'a été rendue disponible pour les bivalents, qui ciblent la souche Wuhan, ainsi que les sous-variantes BA.4 et BA.5 d'Omicron. Moderna a présenté des estimations d'efficacité pour un autre bivalent, qui n'a jamais été utilisé aux États-Unis, lors d'une récente réunion. La société a estimé que le rappel augmentait la protection contre les infections de seulement 10 %.
La FDA se prépare à ordonner que tous les vaccins Pfizer et Moderna COVID-19 soient remplacés par les bivalents. Les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, qui émettent des recommandations sur les vaccins, continuent de conseiller à pratiquement tous les Américains d'obtenir une série primaire et plusieurs rappels.
Un professeur demande l'arrêt des vaccins à ARN messager
RépondreSupprimerUn professeur est devenu le dernier à demander l'arrêt des vaccins Pfizer et Moderna, qui sont tous deux basés sur la technologie de l'ARN messager.
"À ce stade, tous les [programmes] de vaccination par ARNm COVID devraient s'arrêter immédiatement", a déclaré Retsef Levi, professeur de gestion des opérations au Massachusetts Institute of Technology, dans un communiqué vidéo. "Ils devraient arrêter parce qu'ils n'ont complètement pas rempli l'une de leurs [promesses] annoncées concernant l'efficacité. Et plus important encore, ils devraient cesser en raison des preuves de plus en plus nombreuses et indiscutables qu'ils causent un niveau de préjudice sans précédent, y compris la mort de jeunes et d'enfants.
Levi faisait référence à une inflammation cardiaque post-vaccination, ou myocardite. La condition est l'une des rares dont les autorités ont reconnu qu'elle est causée par les vaccins à ARN messager.
Les responsables de Pfizer et de Moderna n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.
Levi a souligné la recherche, y compris une étude qui a révélé que près de 3 enfants sur 10 qui ont reçu le vaccin de Pfizer ont subi des effets cardiaques et une étude qui a détecté des antigènes de pointe dans le sang des jeunes vaccinés.
D'autres experts, dont le Dr Joseph Fraiman et le Dr Peter McCullough, ont précédemment appelé à l'arrêt de l'administration des vaccins.
Fraiman a déclaré à Epoch Times que l'arrêt devrait avoir lieu jusqu'à ce que les essais cliniques prouvent que les avantages des vaccins l'emportent sur les inconvénients.
"Nous devons déterminer … si leurs avantages l'emportent sur les dommages ou si les dommages l'emportent sur les avantages", a-t-il déclaré. "La seule chose qui puisse répondre à cette question sera un essai randomisé."
Les opinions exprimées dans cet article sont les opinions de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement les opinions d'Epoch Times. Epoch Health accueille les discussions professionnelles et les débats amicaux. Pour soumettre un article d'opinion, veuillez suivre ces directives et soumettre via notre formulaire ici.
https://www.theepochtimes.com/growing-number-of-doctors-say-they-wont-get-covid-19-booster-shots_5019786.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge
Des données récentes montrent une "augmentation fulgurante" des rapports de blessures graves chez les jeunes pilotes en bonne santé : le lieutenant-colonel de l'armée Theresa Long
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 02 FÉVRIER 2023 - 18:10
Écrit par Carly Mayberry via The Epoch Times
Cela fait un an que quatre dénonciateurs du ministère de la Défense (DOD) ont découvert une augmentation soudaine de diverses maladies dans la base de données d'épidémiologie médicale de la Défense (DMED), qui a coïncidé directement avec l'introduction des vaccinations COVID-19. Maintenant, de nouvelles données montrent plus de preuves.
C'est selon le lieutenant-colonel Theresa Long, M.D., MPH, médecin diplômé en médecine aérospatiale et chirurgien de l'air de la brigade de l'armée avec une formation spécialisée en tant qu'enquêteur sur les accidents de l'aviation et agent de sécurité, qui était l'un des quatre lanceurs d'alerte. Les antécédents de Long l'ont équipée de manière unique pour reconnaître ce qu'elle a décrit comme "des diagnostics inhabituels et des tendances alarmantes seulement après l'introduction des vaccinations COVID-19".
Forte augmentation des rapports de blessures graves chez les pilotes : données du DOD
Long a dit que ce qu'elle a maintenant découvert l'a amenée à déposer une autre plainte de lanceur d'alerte auprès du bureau du sénateur Ron Johnson (R-Wis.). Elle a décrit ces données comme "des données DMED plus alarmantes" après qu'elle "est retournée dans le DMED" fixe "pour rechercher des signaux de danger pour l'aviation de l'armée".
"Ce que j'ai trouvé était un signal clair, que quelque chose en 2021 a changé la santé des militaires", a déclaré Long à Epoch Times. Elle a déclaré que ces signaux étaient cohérents avec ceux des rapports du système de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS). Mais contrairement aux rapports du VAERS, les données du DMED ont montré des pics dans le nombre de diagnostics "faits par un professionnel de la santé au sein du DOD sur les membres du service".
Selon le système de santé militaire, le DMED fournit un accès à distance à un sous-ensemble de données contenues dans le système de surveillance médicale de la défense (DMSS). Le DMSS contient des données actualisées et historiques sur les maladies et les événements médicaux (y compris les événements à signaler) et « est disponible pour les utilisateurs autorisés tels que les prestataires de soins médicaux militaires américains, les épidémiologistes, les chercheurs médicaux, les agents de sécurité ou les opérations médicales / le personnel de soutien clinique pour enquêter sur les conditions de santé dans l'armée américaine.
«Après avoir interrogé tous les pilotes du DOD, pour la morbidité et la mortalité toutes causes confondues, j'ai constaté une augmentation étonnante du nombre d'événements à signaler, passant d'une moyenne de 226 événements à signaler par an (2016-2019) à 4 059 rapports en 2022, " elle a expliqué.
RépondreSupprimerUn événement à signaler par le DOD est tout événement lié à la sécurité des patients entraînant la mort, un préjudice permanent ou un préjudice temporaire grave, et tous nécessitent une analyse systématique complète et un rapport de plan de mise en œuvre des actions correctives de suivi.
"Le fait est qu'il y a une augmentation statistiquement significative des décès, des dommages permanents ou des dommages temporaires graves chez les jeunes pilotes en bonne santé", a-t-elle poursuivi.
De telles blessures étaient plus évidentes dans cette population. Parce que les pilotes d'aviation doivent avoir un niveau de santé et de forme physique supérieur, et que leur état de santé fait l'objet d'une surveillance plus stricte, selon Long.
Ce qui a incité Long à tirer cette deuxième série de données, c'est lorsqu'elle a appris que la Federal Aviation Administration (FAA) avait discrètement modifié les paramètres acceptables des intervalles PR (représentatifs de la première partie d'un battement de cœur, mesuré en secondes ou millisecondes) sur électrocardiogrammes des pilotes. La FAA n'a pas répondu avec des recherches et des données pour étayer sa décision, selon Long.
Ces actions ont conduit au communiqué de presse daté du 27 janvier 2023 de Johnson dans une lettre à la FAA, où il a déclaré les détails suivants :
"Sur la base des données de la base de données sur l'épidémiologie médicale de la Défense, le dénonciateur [Theresa Long] a signalé que le nombre total de maladies et de blessures [événements à signaler] chez les pilotes du DOD était de 265 en 2016, 252 en 2017, 164 en 2018, 223 en 2019, 2 194 en 2020, 2 861 en 2021 et 4 059 en 2022. »
- voir cadre sur site -
Johnson a également déclaré à Epoch Times que ces statistiques "soulèvent des questions quant à savoir si la FAA a constaté des augmentations similaires de maladies et de blessures chez les individus de l'industrie aéronautique".
Long a noté que dans le DMED "post-glitch", le nombre d'événements à signaler au sein du DOD était passé d'une moyenne sur quatre ans (2016-2019) de 40 813 à 110 000 en 2020 à plus de 200 000 en 2022.
RépondreSupprimer"Certains demanderaient pourquoi les chiffres commencent à augmenter en 2020, il faut se souvenir de l'étude Pfizer/DOD avec 43 448 participants commencée le 27 juillet 2020."
Long a souligné que ses opinions ne reflétaient pas celles de l'armée ou du DOD.
Avec le recul, elle a déclaré que c'était après avoir été bloquée pour obtenir des réponses concernant les événements indésirables du vaccin COVID qu'elle avait commencé à effectuer des requêtes dans le DMED. Elle voulait savoir si ce qu'elle voyait au sein de sa brigade était des anomalies isolées ou faisait partie d'une catastrophe plus large en cours.
Les dénonciateurs signalent d'abord les écarts dans les données du DOD
C'était en janvier 2022 lorsque Long, avec deux autres médecins militaires américains, le Dr Samuel Sigoloff et le chirurgien de l'air des forces spéciales, le lieutenant-colonel Peter Chambers, et l'officier de santé publique de l'armée, le lieutenant Mark Bashaw, ont dénoncé pour la première fois le DOD. . Ensemble, ils ont déposé les premières plaintes de lanceur d'alerte concernant les données DMED, qui montraient une quantité excessive de conditions de santé négatives liées au vaccin.
Les données DMED initiales fournies à Johnson ont montré une augmentation massive des cas d'anxiété, de cancer de l'œsophage, de cancer du sein, d'infertilité féminine, de fausses couches, de VIH, de myocardite aiguë et de paralysie de Bell, entre autres conditions, après que le vaccin a été rendu obligatoire pour les militaires américains.
Long a ajouté qu'après la présentation des données DMED, Moderna, la société pharmaceutique et biotechnologique à l'origine de l'un des vaccins COVID-19 et de sa technologie de réponse immunitaire à ARNm, a perdu 140 milliards de dollars en actions.
Pourtant, malgré les données alarmantes provenant directement de la propre base de données de surveillance médicale de 42 millions de dollars du DOD, le responsable du département a affirmé que la découverte des données était un "problème de données" et a procédé à la mise hors ligne de la base de données, censée la "réparer".
Comme rapporté dans The Epoch Times, le DOD a affirmé que les données dans DMED étaient incorrectes pour les années 2016-2020, mais le nombre de 2021 n'a pas été affecté. Les données corrigées ont vu les données des années précédentes augmenter, ce qui a rendu les données de 2021 normales.
Après que Long ait remis les documents au DOD, il a fallu 47 jours aux responsables pour formuler une réponse aux données, seulement pour expliquer que c'était une surprise pour eux.
RépondreSupprimerSur la base des données précédentes du DOD, "le groupe de conditions médicales représente un changement radical dans l'acuité des conditions médicales que nous voyons normalement", a déclaré Long, notant que les données sont "tellement catastrophiques", à tout le moins lorsque ces chiffres sont sortis. , l'armée mettrait tout en pause par réflexe et enquêterait.
"Ils n'ont rien interrompu et il leur a fallu [le DOD] un mois pour terminer leur fausse enquête." Dit-elle. "C'est un acte d'accusation grossier et un manquement au devoir."
"Nous introduisons un tout nouveau médicament dans notre population en très bonne santé et les personnes chargées de la surveillance ne prêtent même pas attention à leur propre système de 42 millions de dollars par an ?" a demandé Long, qui a noté qu'au cours de ses 30 années dans l'armée, dont beaucoup en tant que médecin, elle et d'autres collègues n'avaient jamais entendu parler d'une telle base de données fournie par l'entrepreneur du système Ussiant jusqu'en 2019. médicament qui a été acheminé d'urgence à toute une force combattante ferait du système de surveillance une priorité absolue ? »
Long a également demandé pourquoi, si le DMED venait d'avoir un "pépin" pendant la pandémie de COVID, personne n'est tenu responsable de cette défaillance flagrante du système de surveillance médicale. L'avocat de Long, Todd Callender, a noté que le DOD n'avait pas réussi à produire un seul témoin expert en informatique qui témoignerait sous serment que les données choquantes n'étaient qu'un "pépin".
"Donc, si les données étaient si alarmantes, pourquoi personne à la Defense Health Agency (DHA) n'a-t-il sonné l'alarme ou attrapé le" pépin "", a-t-elle poursuivi. "Comment n'ont-ils pas vu cet énorme pic de problèmes médicaux graves?"
Une autre question se pose de savoir pourquoi les médecins militaires comme Long n'ont reçu aucune communication concernant ce pic d'événements à signaler, qui ne se limitait pas seulement aux pilotes mais aussi aux officiers généraux et à ceux des forces spéciales.
"J'ai été averti de passer au peigne fin notre inventaire après qu'une notification d'alerte de gestion des risques m'a alerté sur deux bouchons d'oreille défectueux trouvés à Fort Sill, Okla." Long a déclaré: "Mais je ne peux même pas leur faire envoyer une alerte disant" Hé, vos pilotes pourraient attraper une myocardite à cause du vaccin "."
Pour cette histoire, The Epoch Times a sollicité les commentaires du directeur de la Défense Lloyd J. Austin, du Bureau du Surgeon General et du département américain de la Santé et des Services sociaux pour commentaires.
"Je ne peux pas ne pas voir les choses que j'ai vues"
Ces nouveaux développements surviennent alors que de plus en plus de médecins et de patients ont parlé d'un nombre croissant de blessures liées aux vaccins, tandis que la littérature scientifique et de recherche a simultanément validé leurs affirmations et leurs préoccupations.
RépondreSupprimerLong a déclaré qu'elle avait non seulement été ignorée, mais avait reçu des menaces contre sa carrière après avoir pris la parole. C'est parce qu'aucune mesure n'a été prise de la part des chefs militaires pour enquêter pleinement sur le nombre et l'étendue des événements médicaux indésirables qu'elle, Sigoloff, Chambers et Bashaw ont initialement portés à leur attention.
"Quand j'ai trouvé les données du DOD, ils ont retiré mes informations d'identification et retiré tous mes patients de mon emploi du temps", a déclaré Long, notant que cela ne lui laissait que plus de temps pour examiner en profondeur les données.
Alors que Long continue d'ajouter à son nombre de blessures causées par des vaccins dont elle a personnellement été témoin, elle attend également une réponse des responsables gouvernementaux avec son dernier dossier.
Depuis qu'elle s'est manifestée pour la première fois, elle a également témoigné devant la législature de l'Idaho et au symposium sur la liberté médicale de l'Alaska. Apparaissant récemment sur Tucker Carlson Tonight de Fox News, elle a parlé du changement des exigences de santé de la FAA qui élargit considérablement la gamme d'électrocardiogrammes pour les pilotes et permet à ceux qui ont des lésions cardiaques de voler.
« À la lumière des données émergentes et accablantes montrant des dommages cardiaques causés par les vaccins COVID et COVID sur le muscle cardiaque, je ne peux pas imaginer pourquoi ils feraient ce geste et je pense que c'est une question qui devrait vraiment être posée au Dr Susan Northrup, senior chirurgien de l'air pour la FAA », a déclaré Long à Carlson.
Callender décrit Long comme une "Jeanne d'Arc", notant le rôle de Long dans la mise en lumière des conséquences négatives du vaccin. "C'est la dame qui se tient là, le poing en l'air."
"Vous êtes un officier de l'armée américaine et cela signifie toujours quelque chose pour les gens", a déclaré Long. "Quand ils entendent la vérité, ils la reconnaissent."
« Je n'ai pas d'ordre du jour. J'aimerais que ma vie revienne en arrière, mais je ne peux pas ignorer les choses que j'ai vues », a-t-elle ajouté. "Alors je vais me lever tous les jours et je vais construire cette arche."
https://www.theepochtimes.com/health/recent-data-on-stunning-increase-in-serious-harm-reports-in-young-healthy-pilots-army-lt-col-theresa-long_5021392.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge
Pfizer ne fait qu’exploiter les variants déjà là pour anticiper ses développements futurs par des vaccins, ce qui semble être quelque chose d’assez routinier dans le milieu. Après tout, l’évolution directe est quelque chose de commun en virologie, tout comme l’usage de singes en matière de recherches sur les virus de type SARS-2.
RépondreSupprimerSi la vidéo est un non évènement sur le plan virologique ou pharmaceutique, pourquoi donc en parler ? Parce que son traitement médiatique chaotique, tout comme les fantasmes qu’elle suscite, en disent long sur la manière autoritaire et discrétionnaire dont s’est imposé le discours unique sur le covid porté par les labos, les médias et les États.
Cette volonté de contrôler le discours public sanitaire a provoqué une vague de défiance populaire sans précédent, pour le meilleur et pour le pire. Le meilleur s’est retrouvé du côté des défenseurs des libertés publiques atterrés par l’assaut des covidistes contre la liberté de la presse et le pluralisme politique, le pire du côté d’un sentiment des discours complotistes et antivax devenus malheureusement mainstream.
Imposer un discours unique sur le covid
Mais reprenons. Quelques heures après la publication de la vidéo du Project Veritas, elle disparaît de Google et n’apparaît plus en recherches sur les réseaux sociaux.
Dans un premier temps la grande presse ne s’y intéresse pas trop, et c’est finalement parce que la vidéo jouit d’une grande popularité sur Twitter qu’on assiste à quelques articles de fact-checking des jours après sa diffusion.
Un pseudo-débat se forme pour se demander si l’employé de Pfizer est réellement un employé de Pfizer (sans surprise, oui il travaille bien pour le labo).
Ghosting, censure préalable discrète, gaslighting sur les réseaux puis service après-vente de la presse pour rectifier le tir sur la « désinformation covid » et la mettre en conformité avec le discours porté par les labos et les institutions.
La manœuvre ne date pas d’hier, mais remonte à 2019. En effet, dès le 14 février de cette année, le directeur général de l’OMS déclare au cours de la conférence de Munich sur la sécurité que la lutte n’est pas seulement contre l’épidémie, mais contre « l’infodémie », c’est-à-dire les fake news et la désinformation sur la science. « Notre pire ennemi n’est pas le virus lui-même. Ce sont les rumeurs, les peurs et les marques d’infamie » affirme-t-il en une autre occasion.
Contre les Fake News
RépondreSupprimerC’est pour contrer cette « désinformation » que l’OMS va commencer à travailler main dans la main avec les médias et en particulier les réseaux sociaux comme Facebook, Google, Tiktok, Youtube ou encore Tencent et même Wikipédia. À partir de ce moment-là, l’OMS construit une stratégie de communication à échelle mondiale pour s’assurer que tous les messages de santé publique sur le covid aillent « dans le bon sens ».
Elle fait d’abord en sorte que Google répercute les bonnes informations en haut de sa page de recherches. Ensuite, elle va rechercher le soutien des principaux réseaux sociaux et même de compagnies comme Uber ou Airbnb pour relayer son discours sanitaire. Finalement, elle recrute des influenceurs et des faiseurs d’opinion pour contrôler le contenu des plateformes vidéos et réseaux sociaux.
C’est peu de temps après qu’on peut voir apparaître sur Facebook les fameux messages attachés à tous les contenus repartagés sur la question du Covid. La société a décidé de faire disparaître les propos et théories « conspirationnistes » dénoncées par les organismes internationaux, c’est-à-dire principalement l’OMS.
En résumé, l’organisation va s’assurer qu’une grande partie des entreprises de presse et des médias relaient le discours sur le covid proposé par l’OMS et s’attacher à discréditer tout ce qui s’en écarte. En ce sens, la réputation des industries pharmaceutiques qui marchent de concert avec les États et les organismes internationaux se révèlent aussi particulièrement attentifs à leur réputation publique.
Pas besoin de conspiration pour expliquer cette coordination verticale diffuse et totalisante, véritable bureaucratie parallèle qui va se mettre en place contre la désinformation : toutes les étapes de sa mise en place sont publiques et revendiquées, au nom de la sacro-sainte lutte contre l’infodémie.
Or ce qui s’écarte du discours officiel n’est pas nécessairement antiscience ou antivax, mais peut tout simplement être critique sur la stratégie adoptée, qui, rappelons-le faisait des confinements, du tracing numérique et de la vaccination à grande échelle avec ségrégation sociale des non-vaccinés pour l’ensemble de la population mondiale.
Et puis est arrivé Elon Musk, qui rachète Twitter et préfère la liberté d’expression au consensus covid obligatoire. Les Twitter Files, comme par hasard fort peu relayées par une grande presse tout occupée à critiquer le patron de Tesla, ont soulevé un coin du voile des méthodes de harcèlement des institutions comme des labos visant à faire taire les voix politiques mais aussi scientifiques discordantes sur le sujet covid sur Twitter. Il ne s’agissait pas seulement de proposer un seul récit scientifique acceptable mais aussi de faire taire toute critique qui s’écartait du plan média de l’OMS.
L’OMS sous influence
RépondreSupprimerSauf que l’OMS, qui va s’occuper de coordonner la réponse à la crise covid, est loin d’être un organe neutre et indépendant. Son orientation et sa stratégie globale relèvent de choix politiques et sur la question de la gestion covid, elle s’est alignée sur la politique autoritaire de la Chine à partir de février 2020. Pour la première fois dans l’histoire de la lutte contre les épidémies, on va employer des confinements, c’est-à-dire des techniques de contrôle qui relèvent davantage du droit pénal (les résidences surveillées) que des réponses pharmaceutiques classiques.
Toby Green et Thomas Fazi rappellent dans leur essai The Covid Consensus que, à cette époque, l’Italie subit la première crise sanitaire en dehors de la Chine, poussant les autorités à placer plusieurs municipalités de Lombardie en quarantaine.
Plus important, l’OMS publie le 24 un rapport cosigné par le Dr Bruce Aylward et le Dr Wannian Liang du ministère chinois de la Santé sur la crise covid à Wuhan. On y explique que l’origine du virus est clairement zoonotique et surtout on reprend les directives de Xi Jinping sur la nécessité d’éradiquer totalement le virus par tous les moyens possibles.
C’est cette volonté qui expliquera que le pouvoir politique va d’emblée écarter les solutions classiques limitées dans le temps et à certaines franges de la population de lutte contre la pandémie pour tester de nouvelles techniques, dont des mesures de santé publique « non pharmaceutiques » comme la détection et l’isolation, le traçage des contacts, et des quarantaines de type « cordon sanitaire ». « Les mesures qui ont été employées pour contenir le Covid-19 en Chine sont les seules mesures qui sont actuellement éprouvées pour interrompre ou minimiser les chaînes de transmission entre humains », peut-on lire noir sur blanc dans le rapport, vendant la solution chinoise comme unique et transposable dans toutes les situations possibles.
En l’espace de quelques semaines, au sein de l’OMS, le paradigme ancien en termes de lutte contre les épidémies est mis à la poubelle et un nouveau consensus s’établit au sein de la communauté scientifique en accord avec les directives d’un des pays les plus autoritaires, antidémocratiques au monde. En quelque sorte, pour résumer, l’acceptation par l’OMS du modèle sanitaire chinois a « nettoyé » son message de toute dimension politique visible pour le rendre manipulable par les technocrates du monde entier.
Le faux consensus narratif sur le covid
RépondreSupprimerLe récit covid unique officiel qui va s’imposer va toutefois vite se désagréger. Aujourd’hui, la soi-disant gestion exemplaire chinoise offre au monde entier le spectacle d’un système à la fois carcérale et économiquement suicidaire.
Il n’y aura pas de Great Reset ou de société post-libérale vantée par des élites sous influence. La feuille de route covid avait des trous, elle a changé en fonction des circonstances et des intérêts particuliers, sa rhétorique technocratique dissimulait (mal) le riant modèle politique chinois sur lequel s’est appuyé l’OMS pour diffuser la bonne parole en matière de lutte contre la pandémie. Son impact catastrophique sur la santé, l’économie, les libertés publiques partout en Occident a incité beaucoup de ses défenseurs à le renier. Une partie même de ses plus fervents défenseurs a fini par exprimer des regrets, à l’image de Delfraissy, qui a cherché à minimiser son rôle dans la catastrophe générale.
Sur les revirements successifs de la vérité covidienne, prenons l’exemple évoqué par l’employé de Pfizer.
Dans la vidéo de Project Veritas, il suggère que le virus est sorti d’un laboratoire et n’a pas une origine naturelle. Or le discours officiel sur la question a longtemps considéré cette hypothèse comme relevant du complotisme, interdisant toute discussion sérieuse sur le sujet.
Il a fallu quelques esprits indépendants, comme Nicolas Wade aux États-Unis, Matt Ridley en Grande-Bretagne ou encore Yves Bourdillon dans les colonnes de Contrepoints pour évoquer cette piste jusqu’alors considérée comme impensable par les gens sérieux.
Sur le sujet, l’orthodoxie sanitaire a changé et les persécutions médiatiques contre les hérétiques « complotistes » ont cessé. Mais on retrouve le même type de mécanisme autoritaire interdisant tout débat rationnel au sein des populations quand il a été question d’interroger l’efficacité des masques, la pertinence des modèles mathématiques de prédiction (qui se sont révélés faux pour la plupart), la vaccination quasi obligatoire, ses effets secondaires indésirables, la nécessité de construire une immunité naturelle, l’isolement des fractions de population les plus susceptibles d’être victimes du covid, le caractère liberticide de zero covid, l’hospitalocentrisme de la réponse politique française, les traitements préventifs du covid, la pertinence sanitaire des confinements, ou bien entendu la nécessité d’un pass sanitaire et la normalisation de la ségrégation sociale pour raison sanitaire.
Quelques questions qui dérangent
Green et Fazi font du récit unique sur le covid l’origine du désastre global que fut la lutte contre la pandémie. Seulement, leurs interrogations – et les réponses qu’ils proposent – sont plus dérangeantes encore. Comment se fait-il que le modèle autoritaire chinois ait été accepté avec autant de facilité par notre classe politique, mais aussi par une fraction non négligeable de la population ?
Le premier élément de réponse proposé porte sur l’influence croissante de la Chine dans le monde, qui non seulement s’étend mais répond à une politique de compétition et donc d’influence avec les États-Unis.
RépondreSupprimerEn réponse au soft power américain, le gouvernement chinois cherche également à étendre discrètement son emprise. C’est grâce à cette stratégie d’influence que la Chine a réussi à défendre son « capitalisme autoritaire » comme un véhicule distinct du modèle occidental et plus efficace pour moderniser que celui porté par les démocraties libérales.
Plus inquiétant encore, le modèle chinois a tout pour séduire des élites technocratiques occidentales, qui ont pu retrouver dans le management autoritaire de la crise l’apparence d’efficacité qu’ils recherchent pour leurs propres organisations. Pour Fazi et Green, il faudrait s’inquiéter d’une possible convergence autoritaire entre Chine et Occident sur le sujet, dans laquelle les élites technocratiques se retrouvent pour cornériser au final les institutions traditionnelles du libéralisme politique.
Le second élément de réponse proposé par Fazi et Green repose sur l’acceptation par les populations de la gouvernance par l’exception permanente. Sur le sujet, pour les deux auteurs la crise covid n’a fait qu’accélérer une tendance de fond. Depuis maintenant plusieurs décennies, la succession de crises, terroriste, économique, sanitaire, militaire normalise l’idée que par souci d’efficacité politique, il convient de s’habituer à la précarité de situation et à l’extension des pouvoirs de l’État, en particulier en matière de surveillance. De facto, cela revient à admettre l’obsolescence de l’État de droit et d’un gouvernement aux pouvoirs limités pour respecter les libertés individuelles.
Derrière la vidéo du Project Veritas, il n’y a donc pas seulement la communication étrange de Pfizer, le flot de commentaires angoissés qu’elle a suscités et une compagne de communication étonnamment artificielle qui posent problème. C’est un témoignage des effets pervers du retour de la propagande à l’ère informationnelle et du recul généralisé de la culture libérale partout dans le monde.
https://www.contrepoints.org/2023/02/03/449680-pfizer-piege-le-recit-unique-sur-le-covid-19-continue-de-seffondrer
Parler de 'mutation de virus' nous indique que l'auteur ne sait de quoi il parle. Car, (voir dictionnaire !) un virus est l'autre nom de la POUSSIÈRE. Une poussière est INOFFENSIVE (sauf les poussières radioactives ce qui n'est là pas le cas). Une poussière NE PEUT PAS MUTER ! Une poussière n'est PAS UN VIVANT comme le microbe (quand il transporte des maladies il est appelé microbe et quand il fait du bien il est appelée bactérie !). Une microbe ou bactérie peut muter. Pas un virus ! Compris ?
SupprimerLes docteures Carrie Madej et Astrid Stuckelberger nous ont indiqué (il y a plus de 2 ans) que les flacons injectables contenaient de 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène ! + des spikes !! + des hydres !! + diverses maladies animales. Donc: des microbes. Donc, en plus des nano-particules pour diriger l'être humain en prenant le contrôle total de son cerveau sont inoculées diverses maladies qui donc, elles, peuvent effectivement muter.
Je rappelle toutefois que: Ces poussières (JAMAIS vues par les laboratoires d'analyses de l'air en ville et des millions dans le monde) ne sont PAS DANS L'AIR !! mais UNIQUEMENT offertes en seringues avec des chocolats pour les cons.
La guerre contre nous
RépondreSupprimerJeudi 02 février 2023
Par: éditeurs de nouvelles
(Actualités naturelles) «Nous vivons maintenant dans une nation où les médecins détruisent la santé, les avocats détruisent la justice, les universités détruisent les connaissances, les gouvernements détruisent la liberté, la presse détruit les informations, la religion détruit la morale et nos banques détruisent notre économie» - Chris Hedges
(Article republié de Kunstler.com)
La question que vous pourriez poser ces jours-ci: comment avons-nous tout armé dans la vie américaine contre nous-mêmes ? Pouvez-vous nommer une institution qui n'est pas en guerre avec les habitants de cette terre ? Les mécanismes exacts de toutes ces mauvaises foi sont à la vue de nos jours, et les personnes responsables peuvent être facilement identifiées. Ce qui manque, ce sont des motifs discernables. Pour l'instant, cela ressemble à le plus grand acte collectif de couverture de cul dans l'histoire.
Il est assez clair, par exemple, que toute l'inconduite criminelle du FBI / DOJ - continue à ce moment - émane de l'effort de plusieurs années pour dissimuler la campagne séditieuse pour annuler Donald Trump à partir bien avant le 8 novembre 2016. Tout Les joueurs des agences et leurs complices médiatiques sont perdus au moins leur réputation, si le public se souciait de la malhonnêtement qu'ils ont agi. Beaucoup de ceux qui travaillent encore perdraient leur emploi et leurs moyens de subsistance aussi, et plusieurs perdraient leur liberté en prison. Ainsi, leur motif de maintenir le Skullduggery est une simple préservation.
La pandémie covide-19 ressemble à une opération de racket assez à grande échelle a mal tourné avec beaucoup à cacher. Vous avez les relations imprudentes et symbiotiques entre la bureaucratie de la santé publique américaine et les sociétés pharmaceutiques, et des tonnes d'argent en jeu, ainsi que l'ego colossal d'un malheureux Dr Anthony Fauci souhaitant se faire passer pour une bouée mondiale historique, un autre Louis Pasteur ou Alexander Fleming. Et puis vous avez l'acte incroyablement stupide d'imposer un «vaccin» dangereux non testé au monde, et des années de mensonge et de couverture de ses répercussions de blessures et de mort. Et puis les rôles opaques et néfastes d'autres acteurs dans l'histoire allant du CCP à la WEF aux Empires d'argent de Bill Gates et George Soros dans ce qui ressemble au génocide.
Il n'est pas étonnant que la capacité collective de la création de sens ait échoué. Il sera rapidement restauré par chacun de nous dans la course pour survivre à ces troubles et épreuves. Les hypothèses déroutantes de ces dernières années commencent à se dissoudre comme de la brume sur la montagne et les choses reviennent au point: votre santé, votre pain quotidien, votre abri, vos associations avec d'autres personnes proches de vous, vos valeurs et surtout le pouvoir de vos propres choix. La nature, très insultée et décriée, triera le reste.
RépondreSupprimerRead more at: Kunstler.com
https://www.naturalnews.com/2023-02-02-the-war-against-us.html
La Thaïlande devient le premier pays au monde pour déclarer ses contrats pfizer nuls et non avenus
RépondreSupprimerJeudi 02 février 2023
par: Ethan Huff
(Natural News) Un porte-parole du gouvernement thaïlandais a déclaré cette semaine au professeur Sucharit Bhakdi que son pays pourrait bientôt devenir le premier au monde à annuler et à faire naître ses contrats avec le géant pharmaceutique Pfizer.
Selon Bhakdi, le porte-parole a déclaré, en référence aux «vaccins» expérimentaux de la société, que «nous veillerons à ce que la Thaïlande soit le premier pays au monde à déclarer ce contrat (avec Pfizer) null».
On nous dit que la famille royale en Thaïlande a été directement touchée par les injections covide de Pfizer, qui auraient nui à la fille du roi, la princesse Bajrakitiyabha. Pour cette raison, les autorités thaïlandaises travaillent à mettre fin aux relations du pays avec Pfizer.
(Connexes: la Thaïlande figurait parmi les nombreux pays qui ont été victimes d'intimidation par Pfizer pour pousser des piqûres covidés afin que la société puisse entraîner des milliards de dollars de bénéfices.)
Bhakdi dit qu'il a rencontré les meilleurs conseillers du gouvernement et leur a expliqué comment toute la prémisse derrière les «vaccins» est construite sur un trône de mensonges. La fraude à Pfizer est la seule chose qui soutient les coups car il n'y a pas de données de sécurité pour montrer qu'elles fonctionnent comme le prétend.
En entendant cela, les conseillers du gouvernement thaïlandais ont été choqués et ont assuré à Bhakdi qu’ils se préparaient à rompre les contrats de Pfizer avec le pays.
La Thaïlande cherche des milliards de châtirations de Pfizer pour des injections de covide frauduleuses
En plus de mettre fin aux contrats Pfizer, le gouvernement thaï prévoit également de demander des châtiments à hauteur de milliards de dollars de remboursement de la société. Cet argent ira alors à compenser tous les Thaïlandais qui «ont perdu leur existence» à la suite du déploiement de piqûres Covid.
«La discussion qu'il a citée avec les porte-parole du gouvernement thaïlandais, en collaboration avec leurs conseillers de la famille royale thaïlandaise, est importante», écrit Nicholas Creed pour la cloche quotidienne.
«La monarchie est vénérée par les Thaïlandais, au point d'être sacro-saint et au-delà des reproches; Sous réserve des lois strictes de lèse-majerés invoquées lorsque la critique est faite de la famille royale. »
En bref, la famille royale de Thaïlande a une grande influence et une influence sur des affaires comme celle-ci. Le peuple thaïlandais fait confiance à ses décisions et sera sûr de soutenir cette décision pour retirer Pfizer de leur nation.
RépondreSupprimerIl a été signalé en décembre que la princesse Bajrakitiyabha s'est effondrée après une crise cardiaque après avoir été frappé par Pfizer. C'est la base sur laquelle la famille royale évolue maintenant vers la tenue de Pfizer responsable de ses crimes contre l'humanité.
"Si quelque chose allait éveiller le peuple thaïlandais du sommeil endoctriné, encourant sa colère et son indignation à l'échelle de la façon dont ils ont été dupés - ce serait probablement ça", dit Creed, notant que jusqu'à présent, le peuple thaïlandais est tombé pour La psychose de masse et le «culte en uniforme de la nouvelle idéologie normale».
«Je veux me réveiller de ce cauchemar.»
Dans les commentaires, quelqu'un a écrit que Pfizer non seulement a intimidé mais aussi soudoyait les fonctionnaires du gouvernement, beaucoup par le chantage, pour acheter et distribuer des photos covide de Pfizer à leurs populations.
"La fraude vicine tout", a ajouté cette personne, notant que le droit des contrats, qui est de couleur droit, est affrété en vertu du droit du canon romain.
«La common law est supérieure à la couleur du droit. La Magna Carta est supérieure au droit canon romain. La Constitution des États-Unis d'Amérique est suprême en Amérique. »
Un autre a écrit que Pfizer et ses dirigeants, dont le PDG Albert Bourla, doivent faire saisir tous leurs actifs, y compris ceux qui se déroulent dans des banques du monde entier.
"Sortez et arrêtez tous les dirigeants de Pfizer sur votre sol", a ajouté cette personne. «Ces cafards doivent se cacher dans un pays quelque part.»
Les dernières nouvelles sur Pfizer peuvent être trouvées sur Evil.News.
Les sources de cet article comprennent:
Thedailybell.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-02-02-thailand-first-country-pfizer-contracts-null-void.html
Les autorités britanniques découvrent que le PDG de Pfizer, Albert Bourla, diffuse de fausses informations
RépondreSupprimer3 février 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Depuis décembre 2020, on répète comme un mantra que les vaccinations corona sont sûres et efficaces. Ceci malgré le fait que toutes les tentatives pour produire un vaccin corona sûr et efficace ont échoué jusqu'à présent. Mais la vérité éclate peu à peu.
Le 2 décembre 2021, la BBC a publié une interview vidéo et un article d'accompagnement sur son site Web, son application d'actualités populaire et son programme BBC News at One intitulé " Pfizer boss : Annual Covid vaccinations for years to come ".
Interviewé par le rédacteur médical de la BBC, Fergus Walsh, sous la forme d'une conversation amicale au coin du feu, le Dr. Albert Bourla, PDG de Pfizer, une opportunité de publicité gratuite que l'argent ne peut pas acheter - en tant que radiodiffuseur de service public national du Royaume-Uni, il est généralement interdit à la BBC de s'engager dans la publicité commerciale ou le placement de produits.
Sans surprise, Pfizer a profité de cette formidable opportunité pour promouvoir le lancement de son vaccin. Comme le suggère le slogan de la BBC, le Dr. Bourla, qui a répondu à une question obéissante de M. Walsh, qu'il faudrait acheter et administrer beaucoup plus de vaccins pour maintenir le niveau élevé de protection au Royaume-Uni. Il a parlé juste avant que le gouvernement britannique n'achète 54 millions de doses supplémentaires de vaccin à Pfizer.
Déclarations trompeuses sur la sécurité
Parallèlement à ses encouragements explicites et implicites pour que le Royaume-Uni commande davantage de vaccins à sa société, le Dr. Bourla a insisté sur les avantages de la vaccination des enfants de moins de 12 ans, déclarant : « À mon avis, il ne fait aucun doute que les avantages sont pleinement favorables à cette [vaccination des enfants de 5 à 11 ans au Royaume-Uni et en Europe] » .
Aucune mention n'a été faite de risques ou d'effets secondaires possibles, et aucun facteur autre que les avantages présumés n'a été pris en compte.
Bien que le docteur Bourla a prôné sans condition et au plus haut degré la vaccination des enfants de moins de 12 ans, les autorités réglementaires britanniques n'ayant homologué le vaccin pour ces enfants que fin 2021 ; Cela survient quelques mois seulement après que le Comité mixte sur la vaccination et l'immunisation (JCVI) - l'organisme qui conseille le gouvernement sur l'opportunité et le moment d'utiliser des vaccins au Royaume-Uni - avait déjà refusé de conseiller au gouvernement de mettre en œuvre un programme de vaccination de masse pour les 12 à 12 ans en bonne santé. jeunes de 15 ans au motif que "la marge de profit, basée principalement sur une perspective de santé, est considérée comme trop faible pour justifier la recommandation d'un programme de vaccination universelle pour les jeunes de 12 ans par ailleurs en bonne santé". à 15 ans… ».
RépondreSupprimerPeu de temps après la diffusion de l'interview , UsForThem - une organisation britannique de parents travaillant avec des enfants - a déposé une plainte auprès de la Prescription Medicines Code of Practice Authority (PMCPA) du Royaume-Uni, qui est responsable de la surveillance de la publicité des médicaments sur ordonnance au Royaume-Uni. La plainte concernait la nature ouvertement promotionnelle des reportages de la BBC et remettait en cause le fait que le Dr. Les déclarations de Bourla sur les enfants sont compatibles avec ce qui semble être des règles strictes sur la publicité des médicaments au Royaume-Uni.
Un processus long et douloureux
Plus d'un an plus tard, après un long processus d'évaluation et un appel tout aussi long de Pfizer contre les premières conclusions accablantes du PMCPA, la plainte et toutes les conclusions du PMCPA ont été publiées dans un rapport de cas publié sur le site Web du régulateur.
Bien que certains aspects de cette plainte n'aient finalement pas été confirmés en appel, un comité d'appel nommé par l'industrie a confirmé les conclusions initiales de la PMCPA selon lesquelles le Dr. Les commentaires de Bourla sur la vaccination des enfants de 5 à 11 ans étaient à la fois trompeurs et insuffisamment étayés en termes de publicité et de sécurité de la vaccination dans ce groupe d'âge.
Infractions multiples. Pas de pénalité significative
Un rapide coup d'œil au journal des plaintes du PMCPA confirme que Pfizer a enfreint les règles britanniques sur la publicité des médicaments quatre fois de plus depuis 2020 en ce qui concerne son vaccin Covid. Étonnamment, cependant, ni Pfizer ni le Dr. Bourla avec une pénalité importante pour ses violations dans ce dernier cas et dans tous les autres cas jugés contre elle (le PMCPA facturera des frais administratifs minimes pour couvrir le coût de traitement de chaque plainte). En pratique, donc, ni l'un ni l'autre n'a d'incitation à regretter la violation ou à éviter qu'elle ne se reproduise lorsqu'il est économiquement logique de le faire.
La raison de cette attitude détendue est que cette autorité est un département de l'Association de l'industrie pharmaceutique britannique. Si vous transformez la chèvre en jardinier, le jardin sera bien entretenu.
https://tkp.at/2023/02/03/britische-behoerde-stellt-bei-pfizer-ceo-albert-bourla-verbreitung-von-falschinformation-fest/
Même si un produit a déposé sa recette (donc: non-copiable) elle peut toujours être examinée, analysée et portée à la connaissance des consommateurs.
SupprimerC'est écrit sur l'étiquette.
Or, en ce qui concerne les expérimentations géniques d'essais (frauduleusement et criminellement appelées 'vaccins' !!), rien n'était écrit sur l'étiquette (à part le mot trompeur) ni sur le papelard dans la boite (posologie) !
Et, cette escroquerie mondiale a été soutenue à 100 % par les chefs d’États !! (même en Suisse !!!) !
Ivermectine : une distribution à l'échelle de la population aurait-elle pu empêcher la récente épidémie massive de COVID en Chine ?
RépondreSupprimerPOINTS DE VUE SUR LA SANTÉ
Dr Sean Lin
Mingjia Jacky Guan
30 janvier 2023
Le programme d'assurance-maladie géré par l'État chinois n'a récemment pas réussi à conclure un accord avec Pfizer pour importer plus de Paxlovid, affirmant que le médicament de traitement COVID-19 est trop cher. Ceci malgré le fait que le médicament soit offert à l'État à un tarif réduit par rapport à celui offert à d'autres pays développés. Le manque de Paxlovid ne laissera que l'Azvudine, un médicament anti-VIH que le régime communiste chinois a précipité dans le développement et rebaptisé comme médicament anti-COVID, comme option de traitement.
Compte tenu de la propagation explosive récente du COVID et de la montée en flèche des taux d'hospitalisation qui en résulte, il est primordial de trouver des options de traitement viables.
L'ivermectine en Inde et au Pérou
Lorsque la variante Delta a éclaté en 2021 à travers l'Inde, de nombreux États ont proposé l'ivermectine à l'ensemble de la population. L'efficacité de l'ivermectine dans le traitement des infections précoces et légères au COVID-19 a été confirmée dans de grands États tels que l'Uttar Pradesh, où vivent 241 millions d'habitants, où l'utilisation de la prophylaxie a considérablement réduit à la fois le taux d'infection et le nombre de décès.
Même parmi les travailleurs de la santé de première ligne, l'ivermectine s'est avérée être une prophylaxie efficace contre le COVID-19. Une étude portant sur 3 532 agents de santé de première ligne de l'Institut indien des sciences médicales de Bhubaneswar a révélé que deux doses d'ivermectine orale (300 μg/kg administrées à 72 heures d'intervalle) en tant que chimioprophylaxie chez les agents de santé réduisaient le risque d'infection au COVID-19 de 83 % le mois suivant.
Au Pérou, des traitements de masse à l'ivermectine ont été menés dans le cadre d'un effort à grande échelle appelé Mega-Operación Tayta, ou MOT en abrégé. L'opération MOT a été menée par l'armée péruvienne et a impliqué 10 États, où le taux de mortalité excessif a connu une forte baisse avec une moyenne de 74 % sur 30 jours. Dans 14 États où l'ivermectine était administrée localement, la réduction moyenne des décès excessifs sur 30 jours par rapport aux décès était de 53 %.
RépondreSupprimerLima, la capitale du Pérou, où la distribution de l'ivermectine était restreinte, n'a enregistré qu'une réduction de 25 % des décès excessifs. Les conclusions des chercheurs, détaillées dans le diagramme ci-dessous, montrent le nombre d'infections, de décès et de décès dans les États péruviens qui ont mis en œuvre l'ivermectine (bleu) et ceux qui ne l'ont pas fait (rouge). La conclusion est qu'une réduction des décès était corrélée à la distribution de l'ivermectine avec une valeur de p statistiquement significative inférieure à 0,002.
L'ivermectine - Le médicament miracle
L'ivermectine a été découverte au Japon à la fin des années 70 en tant que dérivé de l'avermectine, produit à partir d'un seul organisme isolé à l'Institut Kitasato de Tokyo. Depuis lors, l'ivermectine a joué un rôle incommensurable dans l'amélioration de la vie de milliards de personnes avec ses modestes débuts en tant que médicament antiparasitaire.
L'ivermectine, approuvée par la Food and Drug Administration des États-Unis et déployée dans le monde entier depuis 1987, a fait des percées majeures contre deux maladies tropicales dévastatrices : l'onchocercose et la filariose lymphatique. De plus, certaines formes topiques d'ivermectine sont approuvées pour traiter les parasites externes comme les poux de tête et les affections cutanées comme la rosacée.
En plus de ses effets antiparasitaires, une étude de 2022 publiée dans le European Journal of Medicinal Chemistry Reports a révélé que l'ivermectine a une forte puissance à de faibles concentrations contre de nombreux virus à ADN et à ARN, notamment le VIH-1, la fièvre jaune, le paludisme, le virus du Nil occidental. virus, Zika, dengue, etc.
Selon l'étude, l'ivermectine a un effet inhibiteur étonnant sur plusieurs espèces et peut interrompre la motilité et la reproduction chez les arthropodes (tels que les insectes) et les nématodes (tels que les vers ronds). Cela explique pourquoi l'ivermectine est prescrite pour les infections parasitaires, et met également en lumière son potentiel comme prophylactique contre les maladies à transmission vectorielle. Chez les insectes et autres arthropodes en particulier, il peut interrompre la transmission de la maladie.
Mécanismes potentiels de l'ivermectine contre le COVID
RépondreSupprimerLe SRAS-CoV-2 est un virus qui prend le contrôle des cellules hôtes pour se multiplier dans le corps. Pour pénétrer dans les cellules hôtes, le virus se lie au récepteur ACE-2 à la surface des cellules, ce qui leur permet d'entrer. L'ivermectine empêche le processus de liaison en interférant avec les protéines de pointe du virus - c'est le même mécanisme que les vaccins utilisent.
Si le virus glisse au-delà de la membrane cellulaire, sa priorité absolue est d'infiltrer le cerveau de la cellule - le noyau contenant l'ADN - pour commencer à se produire en masse. Le SRAS-CoV-2 se verrouille sur une classe spéciale de protéines de transport appelées IMP qui ont une habilitation de sécurité suffisante pour entrer dans le noyau. Dans le cas d'une infection virale, l'ivermectine se lie à ces protéines de transport et stoppe l'interaction.
L'ivermectine inhibe également le mécanisme de transport nucléaire médié par la protéine KPNA-1, qui a un effet similaire par rapport aux IMP. Les deux protéines peuvent pénétrer dans le noyau et l'ivermectine peut empêcher efficacement le virus d'atteindre le noyau. Dans le cas où le virus parvient à envahir le noyau, l'ivermectine a également un plan de secours.
Par exemple, lorsque le virus a pris le relais et initialisé l'auto-réplication, il le fait via une protéine appelée RdRp, qui est au cœur de la réplication virale et est directement inhibée par l'ivermectine avec une très grande efficacité.
L'ivermectine pourrait réduire les lésions pulmonaires graves chez les patients COVID
Une fois que le COVID-19 atteint des stades avancés, il peut nécessiter des soins intensifs pour se rétablir. Par exemple, le syndrome du poumon blanc (un symptôme caractéristique du syndrome de détresse respiratoire aiguë) qui se produit maintenant dans les infections graves au COVID en Chine, est un signe que le virus a profondément infecté les poumons et peut avoir provoqué des tempêtes de cytokines (une réaction immunitaire sévère dans le corps ) chez les malades.
D'autres complications qui découlent du COVID-19 impliquant les poumons sont des conditions telles que la fibrose pulmonaire et l'hypoxie. L'hypoxie se produit lorsque le virus infecte les tissus pulmonaires au point que les alvéoles, de minuscules sacs d'air à l'extrémité des branches pulmonaires responsables de l'échange d'oxygène, se cicatrisent, provoquant une grave perte d'oxygène dans le corps.
Les cytokines et les chimiokines sont responsables de l'inflammation, une réponse naturelle du système immunitaire aux envahisseurs étrangers. Cependant, un grand nombre de cytokines libérées dans le corps en même temps peuvent provoquer une «tempête de cytokines», dans laquelle le corps est inondé d'armées de globules blancs qui nuisent au corps.
RépondreSupprimerUne tempête de cytokines peut être déclenchée par la voie TLR-4 par le virus. La même voie déclenche également la libération d'oxyde nitrique, provoquant des fuites de liquide, dilatant les vaisseaux sanguins, voire une septicémie et une accumulation de liquide dans les poumons.
Une tempête de cytokines est liée aux composants viraux qui modifient la façon dont le corps régule certaines molécules signal comme STAT-3 et TLR-4. Trop de STAT-3 conduira à la production de plus de TLR-4 via PAK-1 et c'est ainsi que le virus induit une voie telle qu'une forte réponse inflammatoire est initiée dans le corps.
L'ivermectine inhibe directement les voies NF-kb et STAT-3 en dégradant les molécules signal qui favorisent le cercle vicieux. Ainsi, l'ivermectine peut réduire le risque de tempêtes de cytokines et réduire le risque que les patients souffrent de lésions pulmonaires graves telles que les «poumons blancs».
L'ivermectine peut réduire les co-infections bactériennes pour les patients COVID
Les co-infections bactériennes sont courantes dans les infections virales respiratoires, et les patients atteints de COVID-19 ne font pas exception. Les patients avec des co-infections étaient plus susceptibles de mourir en soins intensifs que ceux sans co-infections. Parmi le groupe de composés de la famille des avermectines, l'ivermectine se distingue par ses effets antibactériens.
Dans les isolats cliniques de tuberculose multirésistante, l'utilisation de l'ivermectine s'est avérée efficace. Dans le même temps, l'ivermectine inhibe la croissance d'une multitude d'autres bactéries telles que Staphylococcus aureus (infection cutanée grave), Mycobacterium Bovis et d'autres à des concentrations cliniquement significatives allant de 1 à 8 µg/ml, ce qui signifie une forte puissance.
L'ivermectine peut également activer les récepteurs P2X4 dans les macrophages, augmentant sa capacité à détruire les bactéries et à protéger contre la septicémie, qui est l'effet antibactérien le plus important de l'ivermectine.
La réutilisation des médicaments, en cas de succès, est le meilleur accélérateur du développement prophylactique car elle peut faire gagner aux développeurs de trois à 12 ans, car les experts peuvent réutiliser les données des essais cliniques précédents et d'autres expériences.
RépondreSupprimerUn «médicament miracle» comme l'ivermectine devrait être fortement considéré comme une défense contre les virus étant donné son succès à la fois dans les études de mécanismes et les essais cliniques ainsi que dans les applications dans une variété de maladies et d'infections. La suppression de l'utilisation de l'ivermectine pendant la pandémie de COVID-19 par les agences gouvernementales et les grandes entreprises pharmaceutiques est l'un des événements les plus tragiques de la médecine moderne au monde.
Ce qui est particulièrement triste, c'est que le régime chinois n'a pas assumé ses responsabilités sociales en assouplissant les restrictions zéro COVID en offrant des prophylactiques telles que l'ivermectine pour préparer son peuple à un tsunami d'infections, comme l'a fait le Pérou avec son opération de distribution d'ivermectine. Il aurait été très bénéfique d'équiper le peuple chinois d'ivermectine pour réduire le nombre exorbitant d'infections et les décès inutiles de COVID-19.
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État de la sécurité biomédicale, édition britannique
RépondreSupprimerLa dernière révélation des agences de renseignement gouvernementales espionnant et censurant leurs propres citoyens pour des idées fausses en matière de santé publique. Dans le pays d'origine d'Orwell, Big Brother veille toujours.
Par le Dr Aaron Kheriaty
Recherche mondiale,
02 février 2023
Tout d'abord, à titre de toile de fond contextuelle, permettez-moi de proposer un bref récapitulatif de certains développements pertinents, que je décris plus en détail dans The New Abnormal :
Novembre 2021 : Comme l' a rapporté le New York Times, le gouvernement israélien a publié une législation d'urgence sur la pandémie permettant au Shin Bet (leur équivalent de la CIA) d'accéder aux téléphones portables et d'extraire les données de suivi et de traçabilité des patients suspects de covid à leur insu ou sans leur consentement.
Décembre 2021 : L'Agence de la santé publique du Canada a confirmé qu'elle avait extrait des données de téléphonie mobile dès le début de la pandémie pour suivre secrètement les mouvements des citoyens, encore une fois à leur insu ou sans leur consentement. Contrairement à Israël, cela n'a pas été fait législativement ou publiquement. L'agence a confirmé qu'elle prévoyait d'étendre et de poursuivre ce programme jusqu'en 2026.
Mai 2022 : Vice a annoncé qu'au cours des deux dernières années, « Le CDC a suivi des millions de téléphones pour voir si les Américains ont suivi les ordres de verrouillage du COVID. « Le CDC a utilisé les données de localisation téléphonique pour, entre autres, surveiller les mouvements des citoyens dans les écoles et les églises. Ils ont confirmé leur intention d'utiliser les données pour des applications au-delà de covid dans les années à venir. Des chercheurs de Princeton ont démontré qu'avec seulement quatre points de données de localisation, les données soi-disant anonymisées pouvaient facilement être reliées à des personnes spécifiques.
Des preuves ont également émergé l'année dernière que la CIA utilisait une surveillance numérique non autorisée pour espionner les Américains. Deux membres de la commission sénatoriale du renseignement ont averti que "des documents révèlent de graves problèmes associés aux fouilles clandestines sans mandat d'Américains".
Pour ne pas être en reste du jeu panoptique numérique, les nouvelles de Grande-Bretagne ont éclaté cette semaine avec le titre suivant :
L'article commence :
RépondreSupprimerUne unité ténébreuse de l'armée a secrètement espionné des citoyens britanniques qui ont critiqué les politiques de verrouillage du gouvernement contre Covid , peut révéler The Mail on Sunday.
Des agents militaires de la brigade britannique de "guerre de l'information" faisaient partie d'une opération sinistre qui ciblait des politiciens et des journalistes de renom qui ont émis des doutes sur la réponse officielle à la pandémie.
Ils ont compilé des dossiers sur des personnalités publiques telles que l'ancien ministre David Davis, qui a remis en question la modélisation derrière les prévisions alarmantes du nombre de morts, ainsi que des journalistes tels que Peter Hitchens et Toby Young. Leurs opinions divergentes ont ensuite été rapportées au 10 [Downing Street, le bureau du Premier ministre britannique].
Des documents obtenus par le groupe des libertés civiles Big Brother Watch, et partagés en exclusivité avec ce journal, ont exposé le travail de cellules gouvernementales telles que l'Unité de lutte contre la désinformation, basée au Département du numérique, de la culture, des médias et des sports, et l'Unité de réponse rapide à le Cabinet Office.
Mais la plus secrète est la 77e brigade du MoD, qui déploie "un engagement non létal et des leviers non militaires légitimes comme moyen d'adapter les comportements des adversaires".
Comme cela s'est produit avec tant de nos agences fédérales aux États-Unis, qui se sont éloignées de leur mission initiale de protéger les citoyens contre les menaces étrangères pour protéger l'État contre ses propres citoyens, nous constatons les développements suivants au Royaume-Uni :
Selon un dénonciateur qui a travaillé pour la brigade pendant les fermetures, l'unité s'est éloignée bien au-delà de son mandat de cibler les puissances étrangères.
Ils ont déclaré que les comptes des citoyens britanniques sur les réseaux sociaux étaient passés au crible – une activité sinistre que le ministère de la Défense, en public, a nié à plusieurs reprises.
Des articles montrent que les tenues ont été chargées de contrer la «désinformation» et les «récits nuisibles… de prétendus experts», avec des fonctionnaires et une intelligence artificielle déployés pour «gratter» les médias sociaux pour des mots clés tels que «ventilateurs» qui auraient été intéressants.
Les informations ont ensuite été utilisées pour orchestrer les réponses du gouvernement aux critiques de politiques telles que l'ordre de séjour à domicile, lorsque la police a été autorisée à infliger des amendes et à interrompre les rassemblements.
Cela a également permis aux ministres de pousser les plateformes de médias sociaux à supprimer des messages et à promouvoir des lignes approuvées par le gouvernement.
RépondreSupprimerLe dénonciateur de l'armée a déclaré: "Il est tout à fait évident que nos activités ont abouti à la surveillance de la population britannique… à surveiller les publications sur les réseaux sociaux de personnes ordinaires et effrayées." Ces messages ne contenaient pas d'informations fausses ou coordonnées – c'était simplement de la peur.
Hier soir, l'ancien ministre du Cabinet, M. Davis, membre du Conseil privé, a déclaré: "Il est scandaleux que des personnes remettant en question les politiques du gouvernement aient fait l'objet d'une surveillance secrète" – et a remis en question le gaspillage de l'argent public.
Notre affaire Missouri c. Biden et les fichiers Twitter ont révélé que ce type de politiques de surveillance et de censure était en vigueur aux États-Unis, comme je l'ai déjà écrit ici.
Cette dernière histoire suggère que le gouvernement britannique s'est également engagé dans les mêmes politiques totalitaires contre ses propres citoyens.
Je me souviens ici de la CISA, une agence gouvernementale américaine peu connue qui n'existe que depuis environ six ans. La Cybersecurity Infrastructure Security Agency a été créée à l'origine pour nous protéger des cyberattaques - logiciels malveillants, virus informatiques, etc. un brillant euphémisme orwellien – des menaces intérieures pour notre « infrastructure cognitive ».
Maintenant, à quoi cela fait-il référence ? Les nouvelles menaces dangereuses pour notre infrastructure cognitive sont vos pensées, vos idées, les choses que vous exprimez par exemple sur Twitter ou Facebook ou dans le journal. Grâce à ce tour de passe-passe, la CISA s'est rapidement positionnée pour devenir la police de la pensée au centre du régime de censure illégal du gouvernement américain.
Mais revenons au Royaume-Uni. L'article décrit le ciblage d'un de mes journalistes britanniques préférés, Peter Hitchens :
Le journaliste du courrier du dimanche, M. Hitchens, a été surveillé après avoir partagé un article, basé sur des fuites de documents du NHS [British National Health Service], qui affirmaient que les données utilisées pour justifier publiquement le verrouillage étaient incomplètes. Un e-mail interne de l'unité de réponse rapide a déclaré que M. Hitchens souhaitait "poursuivre [un] programme anti-verrouillage et influencer le vote des Communes".
Écrivant aujourd'hui, M. Hitchens se demande s'il a été "banni de l'ombre" pour ses critiques, ses opinions étant effectivement censurées en étant rétrogradées dans les résultats de recherche.
Il dit: “ La chose la plus étonnante à propos de la grande panique de Covid était le nombre d'attaques que l'État a réussi à faire contre les libertés fondamentales sans que personne ne s'en soucie vraiment, sans parler de protester. Il est maintenant temps d'exiger une enquête complète et puissante sur le matériau sombre que Big Brother Watch a courageusement découvert.
RépondreSupprimerLe lanceur d'alerte de la 77e Brigade, qui utilise à la fois des troupes régulières et de réserve, a déclaré: "J'ai eu l'impression que le gouvernement était plus intéressé à protéger le succès de sa politique qu'à découvrir toute ingérence étrangère potentielle, et je regrette d'en avoir fait partie. . Franchement, le travail que je faisais n'aurait jamais dû avoir lieu.
La source a également suggéré que le gouvernement était tellement concentré sur la surveillance des critiques qu'il a peut-être manqué de véritables campagnes de prolockdown dirigées par la Chine.
Silkie Carlo, de Big Brother Watch, a déclaré: “ Il s'agit d'un cas alarmant de glissement de mission, où l'argent public et le pouvoir militaire ont été détournés pour surveiller les universitaires, les journalistes, les militants et les députés qui ont critiqué le gouvernement, en particulier pendant la pandémie.
"Le fait que cette surveillance politique se soit déroulée sous le couvert de" contrer la désinformation "montre à quel point, sans garanties sérieuses, le concept de" fausses informations "est ouvert aux abus et est devenu un chèque en blanc que le gouvernement utilise pour tenter de contrôler les récits en ligne .
« Contrairement à leurs objectifs déclarés, ces unités de vérité du gouvernement sont secrètes et nuisibles à notre démocratie. L'unité de lutte contre la désinformation doit être suspendue immédiatement et faire l'objet d'une enquête approfondie.
Si vous faites défiler l' article jusqu'en bas , vous constaterez que le Mail a également publié un commentaire d'accompagnement du lanceur d'alerte anonyme,
" Cette espionnage était mauvaise, elle plane sur ma fière carrière dans l'armée comme un nuage noir",
et un commentaire de Peter Hitchens,
"Comment les censeurs ténébreux ont essayé de supprimer mes vues Covid" inutiles "de YouTube".
En Grande-Bretagne, le pays d'origine d'Orwell, sept décennies après la publication de 1984 , il s'avère que Big Brother veille toujours. C'est peut-être le bon moment pour rappeler à tout le monde que le roman dystopique classique d'Orwell était censé être un avertissement, pas un manuel d'instructions.
RépondreSupprimerhttps://www.globalresearch.ca/biomedical-security-state-british-edition/5806951
Cause inconnue : L'épidémie de morts subites en 2021-2022
RépondreSupprimerPar John Leake
Recherche mondiale,
02 février 2023
Aujourd'hui, j'ai reçu des informations selon lesquelles la star néerlandaise du cyclisme professionnel Lieuwe Westra (40 ans) et le nageur vedette de l'Université de l'Arizona, Ty Wells (23 ans), sont décédés subitement ces derniers jours. A en juger par les reportages des médias, la cause de leur mort est inconnue. Les deux grands athlètes, tous deux au sommet de la condition physique humaine, viennent apparemment de mourir.
La nouvelle de leur mort m'a rappelé un nouveau livre que je voulais revoir depuis six semaines. La seule raison pour laquelle j'ai hésité, c'est que ce livre en particulier me frappe comme l'un des plus importants jamais écrits, si étrange qu'il défie presque toute croyance. L'histoire qu'il raconte ressemble à quelque chose d'un roman de science-fiction dystopique, mais en fait, il s'inscrit pleinement dans le véritable genre du crime.
En son cœur se trouve un mystère auquel toute l'humanité est désormais confrontée. Quelque chose là-bas – un agent horrible qui est entré dans le monde en 2021 – tue les plus aptes de l'humanité. Qu'est ce que ça pourrait être? Quelle pourrait être la cause de cette "épidémie de morts subites", pour citer le sous-titre du nouveau livre d'Edward Dowd, CAUSE UKNOWN .
Comme Robert F. Kennedy, Jr. a présenté l'auteur dans Forward du livre :
Parmi les titans financiers les plus imposants du monde se trouve BlackRock, une entreprise dont l'économie est plus importante que celle de tous les pays du monde, à l'exception des États-Unis et de la Chine. Ils gèrent 10 000 milliards de dollars d'actifs. En 2002, BlackRock a recruté le brillant carriériste de Wall Street, Edward Dowd, et l'a rapidement promu au poste de directeur général. Il s'avère que BlackRock a fait un très bon pari sur Ed Dowd : le fonds de croissance qu'il gérait a démarré à 2 milliards de dollars ; au moment où il a quitté BlackRock, il était de 14 milliards de dollars. Son travail avec BlackRock nécessitait une grande capacité à comprendre les marchés, à sélectionner des actions, à analyser des statistiques et à identifier les tendances.
En 2021, Dowd s'est retrouvé à se retirer de Wall Street pour étudier un tout nouveau type de tendance : l'épidémie croissante et tragique de morts subites chez les jeunes en bonne santé.
CAUSE UNKNOWN présente les résultats de l'enquête de Dowd. Depuis que j'ai reçu mon exemplaire, j'ai essayé très fort de jouer l'avocat du diable contre lui, mais en fin de compte, la "tragique épidémie de morts subites chez les jeunes en bonne santé" ne peut pas être un hasard de détection et de signalement accrus, d'hyper-vigilance , ou biais de confirmation. Ce que M. Dowd documente est terriblement réel.
RépondreSupprimerQu'est-ce qui, demande Dowd, a été introduit dans notre monde en 2021, lorsque l'épidémie a commencé ? Comme tous les bons auteurs de vrais crimes, il ne saute pas aux conclusions, mais fait un travail formidable en rassemblant et en analysant les preuves.
À en juger par la postface de Gavin de Becker, fondateur de Gavin de Becker Associates, Dowd était assisté par l'un des enquêteurs les plus compétents au monde. Le livre de 1997 de M. de Becker, Gift of Fear , est largement considéré comme le plus perspicace jamais écrit sur le sujet de l'identification et de l'évaluation des dangers mortels.
Je ne gâcherai pas la fin en révélant la thèse de M. Dowd sur les causes de l'épidémie de morts subites chez les jeunes. Les lecteurs réguliers de cette sous-pile ne seront pas surpris, mais ils seront toujours stupéfaits par la documentation méticuleuse du livre sur la catastrophe mondiale, et attristés par sa page après page d'enfants et de jeunes souriants qui ne sont plus avec leurs parents, frères et sœurs, et copains.
Je recommande particulièrement le livre à tous les coroners et médecins légistes du monde qui, pour quelque raison que ce soit, semblent rester ignorants.
Cause Unknown : The Epidemic of Sudden Deaths in 2021 & 2022 , (Skyhorse Publishing/Children's Health Defence) Relié – 13 décembre 2022,par Ed Dowd(Auteur), Gavin de Becker (Postface), Robert F. Kennedy Jr. (Préface ).
https://www.globalresearch.ca/cause-unknown-epidemic-sudden-deaths-2021-2022/5806929
Chicken Little ? Pas si vite, disent les prix des œufs !
RépondreSupprimer3 Février 2023
Amanda Zaluckyj*
L'histoire de Chicken Little [Petit Poulet au Québec] est bien connue. Un gland tombe sur sa tête et il croit alors que c'est le ciel qui lui tombe sur la tête. Il fait paniquer tous ses voisins en leur racontant l'incident. Et puis, bien sûr, le ciel ne tombe pas vraiment. Ce conte est un avertissement contre l'alarmisme et les personnes qui alimentent la peur.
J'écris beaucoup sur la façon dont les événements peuvent influencer l'agriculture, de la ferme à votre table. Un changement dans la loi californienne fera augmenter les prix dans tout le pays ? La nouvelle réglementation de l'EPA sur les pesticides fera baisser les rendements ? La politique de la Chine freinera l'utilisation de la technologie agricole ? Le marketing alimentaire peut nuire aux personnes ayant des moyens socio-économiques plus faibles ? J'essaie toujours d'expliquer comment les questions agricoles auront un impact sur chacun d'entre nous.
Mais certaines personnes m'ont accusée d'être une Chicken Little, une poule mouillée. Les modifications des lois en Californie n'augmentent pas les prix ! Les décisions de l'EPA n'ont rien à voir avec les rendements ! La Chine ne peut pas influencer les marchés mondiaux ! Et personne ne fait vraiment attention aux étiquettes de commercialisation ! Ce n'est que de l'alarmisme !
Alors, en gardant cela à l'esprit, parlons du prix des œufs. Les œufs sont l'une des sources de protéines les moins chères et les plus nutritives. Mais le prix des œufs a grimpé en flèche en décembre 2022, certaines augmentations dépassant les 60 %. Bien que les prix aient commencé à baisser, la hausse du prix des œufs a suscité une avalanche de mèmes en ligne, certains magasins d'alimentation ont mis en garde contre les pénuries et les consommateurs ont refusé d'acheter leur douzaine habituelle.
L'épidémie de grippe aviaire en est la cause. Depuis février 2022, elle a tué environ 60 millions de volailles. Selon l'American Egg Board, il y a environ 6 % de poules pondeuses en moins dans les exploitations américaines qu'avant l'épidémie.
Comme je l'ai mentionné, nous assistons déjà à une augmentation du cheptel, à une hausse de la production et à une baisse des prix. Comparativement, les œufs restent une source de protéines abordable. Le ciel ne nous tombe pas sur la tête, même si nous assistons à des ajustements économiques à court terme.
Mais c'est pour cette raison que je parle de ce qui a un impact sur l'agriculture. Toutes mes préoccupations ne se matérialiseront pas. Tout ne fera pas réagir les gens. Pourtant, l'inquiétude des agriculteurs face à ces questions est réelle. Nous n'essayons pas d'alimenter l'alarmisme. Nous essayons simplement de mettre les choses en perspective. Cette fois, cela s'est avéré être justifié.
____________
* Amanda Zaluckyj blogue sous le nom The Farmer's Daughter USA. Son objectif est de promouvoir les agriculteurs et de lutter contre la désinformation qui tourbillonne autour de l'industrie agroalimentaire américaine.
Source : Chicken Little? Egg Prices Say Not-So-Fast - The Farmer's Daughter USA (thefarmersdaughterusa.com
https://seppi.over-blog.com/2023/02/chicken-little-pas-si-vite-disent-les-prix-des-oeufs.html
S'il y a un coq l’œuf peut être couvé. 3 semaines plus tard: éclosion. Et 3 semaines plus tard une pondeuse !
SupprimerSans oublier que tu t'assures que tout soit fait (à un moment ou à un autre) même lorsque les conduites d'eau gèlent et se fendent. Même quand la machine à laver tombe en panne (merci, l'eau dure). Même quand personne ne veut enlever ses bottes pendant la saison des vêlages ? Vous. Vous y arrivez.
RépondreSupprimerCertaines d'entre vous ont choisi ce monde, d'autres y sont nées. Certaines d'entre vous ont choisi un partenaire qui préfère parfois l'agriculture à la famille. Mais, en grande majorité, je lis des articles sur la valeur que l'agriculture apporte à votre assiette et à la vie de votre famille, en grande partie grâce à vous.
Les femmes qui travaillent en ville : la plupart des fermes, et des ranchs, ne pourraient pas fonctionner sans vous
Les femmes qui aident à soutenir financièrement leur famille et les exploitations agricoles, qui maintiennent le résultat net et qui, peut-être, veillent à ce que leurs relations restent intactes en ne travaillant pas à la ferme ou au ranch... Quel travail ! Certains d'entre vous rient lorsque la compagnie d'assurance automobile vous demande si vous roulez 15.000 miles par an. Vous êtes sur la route avant le lever du soleil – et longtemps après.
Entre-temps, vous enseignez, vous gérez les finances des autres, vous travaillez dans le domaine médical ; certaines d'entre vous sont peut-être avocates, politiciennes, postières ou font tout simplement ce qu'elles peuvent pour s'en sortir. Certaines d'entre vous peuvent même soutenir financièrement leur famille et la ferme tout en défendant l'agriculture sur le plan professionnel. Et cela ne vous dérangerait pas de prendre une partie ou deux sur le chemin du retour, n'est-ce pas ?
Agricultrices à temps partiel : vous maintenez les « bénéfices » et les produits en circulation
Le ranch ou la ferme ont-ils besoin d'aide ? Qu'il s'agisse d'un travail saisonnier pendant la récolte, de suivre une moissonneuse-batteuse dans une voiture avec des gyrophares, ou pourquoi pas de conduire la moissonneuse-batteuse ? Les femmes sont là pour se salir les mains dans leurs champs. Qui se présente encore lorsque la ferme ne peut ou ne veut pas embaucher un employé à temps plein (ou une femme) ? Vous. Besoin d'un coup de main supplémentaire pour le marquage ? Oui, vous êtes là – même si vous avez déjà aidé à préparer le repas et que vous devez ensuite aider à tout nettoyer.
Les entreprises américaines investissent des milliards dans le secteur de l'IA chinois: Rapport
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Vendredi 03 février 2023 - 05:10 AM
Rédigé par Andrew Thornebrooke via l'époque Epoch Times (le nôtre),
Les entreprises américaines ont participé au moins 37 % des transactions d'investissement totales dans le secteur de l'intelligence artificielle (IA) en Chine entre 2015 et 2021, selon un nouveau rapport.
Le rapport (PDF), publié par le Georgetown University Center for Security and Emerging Technology, a révélé que 40,2 milliards de dollars de transactions d'investissement dans les sociétés d'IA chinois avaient un soutien américain, bien qu'il ne soit pas clair quel pourcentage de ce montant a été effectué par les investisseurs américains ou leur étranger homologues.
L'argent a été donné à 251 sociétés d'IA chinois, principalement en tant qu'anges de capital-risque, des semences et des investissements en scène pré-série.
Il y a des risques avec de tels investissements, indique le rapport, car ils sont généralement accompagnés d'autres avantages intangibles dans lesquels l'expertise américaine est livrée aux entreprises basées en Chine.
«Alors que les données Crunchbase suggèrent que les investissements sortants américains dans les sociétés d'IA chinois sont limités, ces activités financières, les liens commerciaux et l'expertise tacite qui transfèrent des bailleurs de fonds américains à des sociétés cibler de l'écosystème de l'IA en plein essor en Chine qui s'étendent au-delà du secteur des entreprises », A indiqué le rapport.
«Les investissements antérieurs en VC en particulier peuvent fournir des avantages intangibles au-delà du capital, notamment le mentorat et le coaching, la reconnaissance des noms et les opportunités de réseautage. En tant que tels, l'investissement sortant américain dans la technologie chinoise, et en particulier l'IA, mérite une attention et un suivi supplémentaires. »
Les entreprises américaines finançant les entreprises d'IA chinois
Les investissements américains dans des sociétés d'IA basées en Chine ont été critiqués ces dernières années en raison du montant du contrôle exercé par ces sociétés par le régime communiste chinois.
Le Parti communiste chinois (PCC), qui gouverne la Chine en tant qu'État à parti unique, a mis en œuvre plusieurs lois qui obligent les entreprises chinoises à mettre toutes les données en leur possession à la disposition du régime sur demande.
RépondreSupprimerCela signifie que toutes les données ou technologies développées par des sociétés chinoises avec un soutien américain pourraient être directement utilisées par le PCC pour améliorer ses capacités militaires, conformément à la stratégie de «fusion militaire civile» du régime.
De plus, ces investissements alimentent directement les efforts de la Chine pour dépasser les États-Unis comme le pouvoir technologique principal.
Cela est démontré par la valeur des investissements réalisés par des sources américaines dans les sociétés d'IA chinois. Alors que les transactions d'investissement impliquant des sources de financement américaines ne représentaient que 17 % du nombre total de transactions effectuées, selon le rapport, ces transactions ont représenté 37 % de la valeur totale de financement de toutes ces transactions.
Notamment, les investissements américains incluent également un financement majeur pour les entreprises chinoises dont la recherche pourrait profiter de manière tangible à la poursuite de l’IA et des systèmes autonomes par l’IA et dans l’IA.
"Certains des investissements les plus importants incluent l'investissement en solo de Goldman Sachs dans 1kmxc, une entreprise de robotique compatible AI, ainsi qu'un investissement de trois sociétés de capital-risque basées aux États-Unis dans Geek +, une société de robot mobile autonome", indique le rapport.
https://www.zerohedge.com/political/us-firms-investing-billions-chinas-ai-sector-report
Ne pas oublier que HAARP n'est pas qu'aux États-Unis ! Il y a HAARP aussi en Chine (en Inde, Japon, Australie, etc, etc !)
SupprimerBackflip : BP "déçu" par les énergies renouvelables - signale un retour au pétrole et au gaz et "réalise des bénéfices"
RépondreSupprimerPar Jo Nova
February 3rd, 2023
Le défilé écolo a soudain une odeur…
Il s'agit d'un changement notable : il y a vingt ans, BP s'appelait "Beyond Petroleum" (Au-delà du pétrole), et il y a seulement un an, le PDG a déclaré que BP "accélérait" ses investissements verts. Mais maintenant, le PDG rassure les investisseurs sur le fait que BP ne se laissera pas distraire par les objectifs environnementaux et se concentrera sur la maximisation des profits. De plus, ces bénéfices seraient trouvés là où il a un avantage concurrentiel, y compris ses « opérations pétrolières et gazières héritées ».
Juste comme ça : il n'y a pas de mal à parler de profits et de sécurité énergétique. Les mots clés ici sont « rappeler », « déçu », « plus étroit » et « moins d'emphase » et ils sont tous utilisés en relation avec les investissements environnementaux.
Après des années de soleil et de licornes sur la transition forcée vers une énergie peu fiable, l'ambiance semble changer.
h/t Paul Homewood à Notalotofpeopleknowthat
Logo BP, signe. Carburant. Le PDG de Petrol.BP minimise la poussée des énergies renouvelables alors que les rendements sont en retard
Bernard Looney cherche à affiner l'orientation stratégique, en mettant moins l'accent sur les objectifs environnementaux
Jenny Strasberg, Wall Street Journal
Le directeur général Bernard Looney prévoit de rappeler des éléments de la poussée très médiatisée du géant pétrolier vers les énergies renouvelables, selon des personnes familières avec les discussions récentes.
M. Looney a déclaré qu'il était déçu des rendements de certains des investissements renouvelables du géant pétrolier et prévoit de poursuivre une stratégie d'énergie verte plus étroite, ont déclaré les gens. Il a dit à certaines personnes proches de l'entreprise que BP devait faire plus pour convaincre les actionnaires de sa stratégie visant à maximiser les profits dans les domaines où il a un avantage concurrentiel, y compris ses anciennes opérations pétrolières et gazières.
RépondreSupprimerDans certaines des conversations, M. Looney a déclaré qu'il prévoyait de mettre moins l'accent sur les soi-disant objectifs ESG - un terme fourre-tout pour environnementaux, sociaux et de gouvernance - pour aider à clarifier que ceux-ci ne détournent pas l'entreprise de sa capacité à livrer profits, disaient les gens.
Un investisseur de BP a déclaré que les actionnaires surveillaient attentivement la performance des investissements renouvelables.
Ils ont déclaré: «Sociétalement, les gens se concentrent désormais davantage sur la question de la sécurité énergétique – nous devons garder à l'esprit que lorsque nous développons le nouveau système d'énergies renouvelables, vous ne pouvez pas réduire l'ancien système de manière trop agressive; c'est une transition, ce n'est pas un changement d'étape.
Cela semble être un changement à l'échelle de l'entreprise. Il y a seulement trois jours, l'économiste en chef de BP a déclaré que nous aurions encore besoin de pétrole et de gaz pendant des décennies.
Des investissements dans le pétrole et le gaz sont nécessaires pendant encore 30 ans, prévient BP
Par Rachel Millard, Le Télégraphe
Les combustibles fossiles sont le seul moyen de lutter contre les pénuries d'énergie, selon le géant pétrolier
Des investissements dans la production de pétrole et de gaz seront nécessaires au cours des trois prochaines décennies si le monde veut éviter davantage de pénuries et de fluctuations de prix, a averti BP. Le géant pétrolier a déclaré dans ses perspectives énergétiques annuelles publiées lundi que les combustibles fossiles devraient encore représenter environ 20% de l'énergie primaire en 2050, même dans le cadre d'un resserrement significatif des politiques climatiques.
"Ce serait la première fois dans l'histoire moderne qu'il y aurait une baisse soutenue de la demande de tout combustible fossile."
RépondreSupprimerLa rotation des médias est plus forte que jamais
Cependant, les lecteurs du New York Times et de Reuters voient des titres comme celui-ci générés à partir du même rapport de BP.
« Le passage aux énergies renouvelables s'accélère. Voici comment."
Le chef de la première organisation mondiale de l'énergie a qualifié la guerre en Ukraine d'"accélérateur" de la transition.
"La guerre d'Ukraine pour accélérer le passage à l'énergie propre, dit BP"
"L'accent accru mis sur la sécurité énergétique à la suite de la guerre russo-ukrainienne a le potentiel d'accélérer la transition énergétique alors que les pays cherchent à accroître l'accès à l'énergie produite localement, dont une grande partie est susceptible de provenir d'énergies renouvelables et d'autres combustibles non fossiles. ", a déclaré Spencer Dale, économiste en chef de BP, dans le rapport.
C'est comme si nous vivions dans deux mondes différents. Certains investisseurs pourraient avoir une mauvaise surprise.
Pour être juste cependant, BP génère le genre de rapports qui « font appel dans les deux sens ». Mais ce qui est différent, c'est qu'il y a quelques années, ils n'auraient pas osé verser de l'eau froide sur le message environnemental ou parler de sécurité énergétique et du besoin de combustibles fossiles.
Mais ne vous méprenez pas, il y a encore beaucoup de conflits dans la mission principale de l'entreprise
Ces plans sont-ils toujours d'actualité ?
BP a déclaré qu'il prévoyait d'ici 2030 de réduire sa production de combustibles fossiles de 40 % par rapport aux niveaux de 2019. M. Looney s'est fixé pour objectif d'augmenter les investissements dans ce qu'il appelle les « entreprises de croissance en transition », y compris les énergies renouvelables et les activités de dépanneur, à environ 50 % des dépenses totales en capital d'ici 2030, contre plus de 40 % d'ici 2025. M. Looney et ses lieutenants ont déclaré que la société équilibrait sa poussée plus profonde dans des projets à faibles émissions tout en continuant à entretenir des vaches à lait héritées comme la production et le commerce de pétrole et de gaz. - Le journal Wall Street
Selon le Wall Street Journal, les revenus du pétrole et du gaz devraient être de 30 à 35 milliards de dollars par an d'ici 2030, tandis que l'objectif de revenus des énergies renouvelables était de 10 milliards de dollars.
Pour la perspective, BP a abandonné le solaire et les biocarburants entre 2011 et 2015 :
RépondreSupprimerEn 2011-2015, BP a réduit ses activités d'énergie alternative. La société a annoncé son départ du marché de l'énergie solaire en décembre 2011 en fermant son activité d'énergie solaire, BP Solar.[136] En 2012, BP a mis fin au projet BP Biofuels Highlands, développé depuis 2008 pour fabriquer de l'éthanol cellulosique à partir de cultures énergétiques émergentes comme le panic raide et de la biomasse.[137][138] En 2015, BP a décidé de se retirer des autres activités liées à l'éthanol lignocellulosique.[139] Elle a vendu sa participation dans Vivergo à Associated British Foods.[140] BP et DuPont ont également mis sous cocon leur usine pilote commune de biobutanol à Saltend.[141] - Wikipédia
S'il y avait des profits faciles à réaliser dans l'énergie solaire ou les biocarburants, BP ne les aurait probablement pas supprimés.
BP Energy Outlook 2023 | Photo by Keith Edkins |
https://joannenova.com.au/2023/02/backflip-bp-disappointed-in-renewables-shifts-back-to-oil-and-gas-and-making-profi
Imaginez qu'il y ait un moyen bon marché de sauver 2 000 personnes et des villes sympas, mais cela n'a rendu personne riche ?
RépondreSupprimerPar Jo Nova
February 2nd, 2023
Un nouvel article estime que si nous augmentions notre canopée dans les villes à 30 %, nous pourrions refroidir nos villes de près d'un demi-degré. Fonctionne mieux qu'un moulin à vent...
Le camp du réchauffement climatique d'un billion de dollars est obsédé par plus de 1,5 ° C de chaleur, mais l'îlot de chaleur urbain a déjà rendu nos villes 1,5 ° C plus chaudes que la campagne qui les entoure, et personne ne s'en soucie. Les villes sont l'endroit où l'expérience humaine vécue est pour la plupart d'entre nous, et malgré la menace de cette chaleur extrême « aggravée par le changement climatique », aucun gouvernement ne fait l'évidence et fixe un objectif de couverture arborée. Il n'y a pas de ministres du reverdissement et pas de crédits carbone pour les banlieues. Tout ce que nous obtenons, ce sont des bornes en béton et des villes de douleur de quinze minutes.
Dans la révolution verte, au lieu de cultiver des gommiers, les gens les abattent parce qu'ils ombragent leurs panneaux solaires. Dans notre capitale, ils ont rasé une majestueuse allée d'arbres afin d'ajouter un métro léger. Un vrai Vert déteste les voitures plus qu'il n'aime les arbres.
La flore urbaine non seulement purifie l'air, elle réduit également les suicides, améliore la santé cardiaque et réduit la pollution particulaire. Une étude canadienne a estimé que vivre à proximité d'espaces verts réduit même la mortalité toutes causes confondues et d'un remarquable 8 à 12 %. (Crouse et al 2017). Nous le savons depuis des années, mais personne n'a organisé de convention annuelle des Nations Unies.
Verdir nos villes ne changera pas la température mondiale, mais cela met à nu l'hypocrisie
Ils disent qu'ils sont là pour aider, mais ils choisissent les voies qui leur rapportent de l'argent.
Les arbres pourraient réduire d'un tiers la mortalité liée aux canicules urbaines : étude
Planter plus d'arbres dans les zones urbaines pour abaisser les températures estivales pourrait réduire d'un tiers les décès directement liés au temps chaud et aux vagues de chaleur, ont déclaré mercredi des chercheurs.
La modélisation a révélé que l'augmentation de la couverture arborée à 30% réduirait localement 0,4 degré Celsius (0,7 degré Fahrenheit), en moyenne, pendant les mois chauds d'été, ont-ils rapporté dans The Lancet.
RépondreSupprimerSur les 6 700 décès prématurés attribués à des températures plus élevées dans 93 villes européennes en 2015, un tiers aurait pu être évité, selon les résultats.
En moyenne, la température dans les villes était de 1,5° C plus élevée pendant l'été 2015 que dans la campagne environnante. La ville avec la différence la plus élevée - 4,1°C - était Cluj-Napoca, en Roumanie.
Des études antérieures ont montré que les espaces verts peuvent avoir des avantages supplémentaires pour la santé, tels que la réduction des maladies cardiovasculaires, de la démence et de la mauvaise santé mentale, ainsi que l'amélioration du fonctionnement cognitif des enfants et des personnes âgées.
RÉFÉRENCES
Refroidir les villes grâce à des infrastructures urbaines vertes : une évaluation de l'impact sur la santé des villes européennes, The Lancet (2023).
Crouse et al (2017) Verdurité urbaine et mortalité dans les plus grandes villes du Canada : une étude de cohorte nationale, Lancet Planet Health, . 2017 Oct;1(7):e289-e297. doi : 10.1016/S2542-5196(17)30118-3. Publication en ligne du 5 octobre 2017.
Photo de Maria Orlova.
https://joannenova.com.au/2023/02/imagine-there-was-a-cheap-way-to-save-thousands-of-lives-and-reduce-the-temperature-but-it-didnt-make-anyone-rich/
Tous les arbres du monde et toutes les plantes du monde peuvent disparaître sans qu'il n'y ait un quelconque amoindrissement en oxygène !
SupprimerC'est notre magma qui fournit dans sa combustion la totalité (depuis DES milliards d'années) des gaz qui sont présents dans notre atmosphère où ils se recyclent tous instantanément ! Çà alors !! (sans quoi la vie sur Terre ne serait JAMAIS apparue !).
C'est pourquoi l'eau de mer contient 86 % d'oxygène.
FRANCE: Électricité : la facture augmente de 16,4 % pour un foyer moyen
RépondreSupprimerCourant septembre 2022, le gouvernement a annoncé une hausse du tarif bleu (tarif dit “réglementé”, proposé par EDF et fixé par les pouvoirs publics) plafonnée à 15%. Cette augmentation est en réalité bien différente d’un client à l’autre.
Par Aurian de Maupeou
le 3 février 2023 à 6h40
Le prix moyen de l'électricité pour une personne en France était de 430,31 € TTC par an en 2021.
Le foyer français moyen consomme 4500 kWh par an. Dans ce cas de figure, l’augmentation de la facture est de 16,5%, ce qui représente quasiment 13€ par mois. Il n’y a pas de solution miracle à cette augmentation. La meilleure attitude consiste à réduire sa consommation, notamment au niveau du chauffage et de l’eau chaude, les deux premiers postes de coût. Cela peut passer par la rénovation énergétique ou la pose d’un chauffe-eau solaire.
Toutefois, l’augmentation des grilles tarifaires du tarif bleu d'EDF n’est pas uniforme. Elle résulte d’une volonté de favoriser les petits consommateurs, et ceux qui acceptent de déplacer leur consommation. Au contraire, elle pénalise les gros consommateurs et ceux qui n’adaptent pas leur comportement à leur option heures pleines heures creuses.
Cette augmentation démontre une volonté de l’État de favoriser les comportements vertueux. Les tarifs en heures creuses augmentent en moyenne de 9.86 % alors que les tarifs en heures pleines augmentent en moyenne de 21.2 %” souligne Aurian de Maupeou, co-fondateur de Selectra.
On note que l’option Tempo proposée par EDF est très largement favorisée par l’évolution du tarif bleu. Cette offre propose un prix du kWh très élevé 22 jours par an à ses quelques centaines de milliers d’abonnés et un prix quasiment 40% inférieur au prix du kWh de l’option base le reste de l’année. D’après les calculs réalisés par Selectra, la facture n’augmente que de 4% avec les nouveaux tarifs contre une augmentation oscillant entre 15 et 17 % pour les 3 autres options proposées au tarif bleu par EDF.
En conclusion, les factures augmentent le plus fortement pour les gros consommateurs et les foyers consommant pendant leurs heures pleines, il est donc clair que l’augmentation tarifaire annoncée par le gouvernement fin janvier 2023 vise à favoriser l’équilibre du réseau électrique français lors des pics de demande.
https://www.economiematin.fr/electricite-hausse-facture-edf-prix-maupeou
L'expert BoM s'excuse à propos d'un panneau solaire s'appuyant sur des buissons près du thermomètre officiel de Sydney
RépondreSupprimerPar Jo Nova
February 3rd, 2023
Deux jours de suite, ce blog a été cité dans le Daily Telegraph.
Félicitations à Clarissa Bye pour avoir braqué un flambeau sur la BoM
Craig Kelly a trouvé le panneau solaire errant appuyé sur un buisson près du thermomètre officiel de Sydney, et j'ai écrit sur l'étrange endroit qui devait laisser un panneau solaire. Puis Clarissa Bye du Daily Telegraph a repris l'histoire et le 25 janvier a demandé à la BoM pourquoi le panel était là. Après une semaine entière de délais manqués, avec des demandes de temps supplémentaire, le Daily Telegraph a renoncé à attendre et a publié l'histoire mercredi :
Questions soulevées sur le mystérieux panneau solaire de l'observatoire de Sydney
Le blogueur scientifique Jo Nova a également interrogé l'emplacement du panneau solaire, décrivant le BOM comme « nonchalant » au mieux dans la maintenance des sites météorologiques. "Le panneau solaire est exactement au sud de l'écran Stevenson où le thermomètre est conservé", a-t-elle déclaré. "Si, hypothétiquement, quelqu'un voulait laisser un objet réfléchissant pointé vers la boîte à midi, ce serait l'endroit pour le faire."
"" Il n'y a eu qu'un seul jour au-dessus de 30 degrés depuis le 21 février de l'année dernière à Sydney, et c'était un jour où le panneau solaire errant visitait le thermomètre, apparemment connecté à rien et appuyé sur un buisson. "
Pendant ce temps, la BoM, qui n'a pas eu le temps de répondre aux questions, a trouvé le temps d'enlever le panneau embarrassant.
Puis finalement, la BoM a répondu à Mme Bye et mes pensées sont "wow... ça leur a pris une semaine entière pour trouver ça ?" Apparemment, l'étrange panneau est là depuis presque un an maintenant et servait d'alimentation de secours pour la station météo, juste au cas où il y aurait des coupures de courant dues à des rénovations à l'école voisine, et si vous croyez que…
BOM répond au mystère de la disparition des panneaux solaires
Clarissa Bye, The Daily Telegraph, 2 février 2023
Le panneau solaire a mystérieusement disparu après que des questions ont été posées aux médias, mais le Bureau de météorologie a maintenant publié une déclaration indiquant que le panneau a été érigé en raison d'éventuelles interruptions de courant dues à la construction d'une école à proximité.
RépondreSupprimerIl a déclaré que le panneau avait été installé en février 2022 et retiré en janvier 2023 "car il n'était plus nécessaire d'alimenter la station météo une fois que l'alimentation secteur a été rétablie en décembre 2022".
"Le panneau solaire ne pouvait pas être placé sur un toit en raison de restrictions patrimoniales, il a donc été placé à une distance appropriée sur l'herbe à proximité", a déclaré le BOM.
Comme l'a dit Jo Nova, il n'y a rien de "approprié" dans cette distance, et la BOM le sait.
- voir photo sur site -
Observatoire de Sydney, thermomètre, panneau solaire, janvier 2023.
C'est un endroit étrange pour laisser un panneau… | Craig Kelly
Clarissa Bye m'a envoyé la réponse BoM et la plupart de mes réponses ont été mises dans la mise à jour en ligne du Daily Telegraph hier :
Lorsqu'on lui a demandé si la BOM était convaincue que la chaleur réfléchie n'affecterait pas les enregistrements sur la jauge de température, la porte-parole de la BOM a déclaré :
"Tout impact potentiel de l'installation et du retrait du panneau solaire sera évalué dans le cadre des processus d'assurance qualité de routine utilisés par le Bureau pour toutes les données des stations météorologiques.
La blogueuse sur le climat et la science Joanne Nova a déclaré que le panneau solaire aurait dû être situé ailleurs sur le site et placé de manière à ce que le reflet ne soit jamais sur l'écran Stevenson. "La BOM n'est pas convaincue que cela n'a aucun effet, sinon ils l'auraient dit", a-t-elle déclaré.
Et comme j'ai ajouté :
"Une réponse encore meilleure aurait été" nous avons acheté une rallonge de 30 m et mis le panneau loin ".
Ce que la BoM n'a évidemment pas fait.
Et cela soulève d'autres questions :
« Si ce panneau était une sauvegarde pour l'équipement Stevenson, alors où était la batterie ? Un panneau solaire seul ne sert à rien en remplacement du secteur en cas de panne de courant la nuit.
RépondreSupprimerTondre l'herbe autour de ce panneau pendant une année entière a dû être pénible aussi, n'est-ce pas ?
J'ai vraiment un problème avec le manque de soin pour les conditions du site et les données brutes. La science du climat est-elle importante ?
"Ils n'ont manifestement pas fait le moindre effort pour placer le panneau de manière à minimiser l'impact. "En effet, il est difficile d'imaginer comment ils auraient pu le placer dans un endroit plus suspect qu'ils ne l'ont fait.
Comme d'habitude, la nomenclature ne se soucie pas moins d'enregistrer des températures précises. Ils préfèrent jouer à des jeux statistiques après coup pour essayer de corriger les erreurs. Leur « assurance qualité de routine », évoquée plus haut, implique-t-elle une homogénéisation avec des « sites voisins » à mille kilomètres ? Peut-être que le site de Cobar détectera les effets du panneau solaire dans l'arrière-cour de l'observatoire ? Cela ressemble-t-il à une science experte?
La chose la plus importante ici est qu'il existe de nombreux meilleurs emplacements dans la petite enceinte pour ce panneau solaire, même si un pays du premier monde avait besoin d'un panneau de fortune au centre de sa plus grande ville «pour un approvisionnement fiable» - ce qui est une autre crise tout de sa propre. Le panneau aurait pu être placé pour obtenir le soleil du matin à l'extrémité ouest du patio (au moins). Il aurait pu être placé pour s'assurer que la réflexion n'était jamais sur l'écran Stevenson.
Une meilleure réponse de la BoM aurait été : « Nous avions besoin du panneau pour un approvisionnement de secours du jour x au jour z. Cet ajout temporaire a été enregistré dans les métadonnées. L'angle a été calibré à xx % pour s'assurer qu'il capte le soleil, mais qu'il ne se reflète à aucun moment directement sur l'écran Stevenson. »
Rien de tout cela n'est arrivé.
Craig Kelly a mis en place un FOI pour obtenir plus de réponses. Et Jennifer Marohasy veut des réponses au tribunal :
La chercheuse principale de l'Institut des affaires publiques, le Dr Jennifer Marohasy - qui est dans une bataille judiciaire avec le BOM pour accéder aux enregistrements météorologiques historiques - a déclaré que les fracas des panneaux solaires "sapaient" le bureau en l'absence d'autres explications.
Le BOM a accidentellement admis que le panneau solaire était bel et bien là lorsque le site a enregistré 30,2°C le 18 janvier. En effet, les températures ont peut-être réchauffé tout le temps depuis la dernière fois que Sydney a atteint plus de 30 ° C le 21 février de l'année dernière. Pendant tout le temps où Sydney a été "en dessous de 30°C", il y avait un étrange panneau solaire pointé vers le thermomètre officiel.
RépondreSupprimerEt ensuite : il est temps pour Tanya Plibersek d'expliquer la science BoM
Tanya Plibersek est ministre de l'Environnement et de l'Eau et responsable de la BoM. Si les normes scientifiques y sont si basses et si la science du climat compte, que fait-elle pour y remédier ? Des milliards de dollars de politique reposent sur la résolution d'un prétendu problème avec le climat australien, mais la BoM ne peut même pas se donner la peine de mettre en place des stations météorologiques de qualité ou de les entretenir correctement ?
https://joannenova.com.au/2023/02/experts-bom-excuses-about-a-solar-panel-leaning-on-bushes-near-sydneys-official-thermometer/
Les milliardaires derrière "Tout électrifier" et "Les interdictions de gaz". "L'impératif climatique"
RépondreSupprimerL'hypocrisie des milliardaires qui financent des campagnes anti-hydrocarbures, dont l'interdiction des réchauds à gaz. Les interdictions de gaz naturel sont plus une question de classe que de changement climatique.
Par Robert Bryce
Recherche mondiale,
02 février 2023
La Climate Imperative Foundation est le groupe anti-hydrocarbures et anti-gaz naturel le plus récent et le plus riche dont vous n'avez jamais entendu parler.
Quelle est la richesse de Climate Imperative ?
Selon le dernier rapport de Guidestar , le groupe a encaissé 221 millions de dollars au cours de sa première année complète d'exploitation. (Guidestar appelle le revenu "recettes brutes".)
Cela signifie que Climate Imperative, qui a moins de trois ans, reçoit déjà plus d'argent que le Sierra Club, qui se présente comme « l'organisation environnementale de base la plus grande et la plus influente du pays ».
Selon Guidestar, le Sierra Club a collecté 180 millions de dollars au cours de sa dernière année de rapport. Climate Imperative reçoit également plus d'argent que le Rocky Mountain Institute, qui a collecté environ 130 millions de dollars au cours de sa dernière année de rapport. J'utilise ces groupes à titre de comparaison parce qu'ils poussent des initiatives anti-gaz à travers le pays. Plus sur eux dans un instant.
L'émergence de Climate Imperative - qui n'a pratiquement pas retenu l'attention des médias traditionnels - est importante pour plusieurs raisons.
Tout d'abord, cela montre que l'effort pour « tout électrifier » et interdire l'utilisation du gaz naturel dans les foyers et les entreprises - et cela inclut les cuisinières à gaz - fait partie d'une campagne de plusieurs années, généreusement financée et financée par certains des plus grands acteurs du monde. personnes les plus riches.
Deuxièmement, malgré de nombreuses affirmations sur la façon dont des acteurs néfastes bloquent la "transition énergétique" tant médiatisée, la taille du budget de Climate Imperative fournit davantage de preuves que le complexe ONG-entreprises-industriel-climat a beaucoup plus d'argent que les pro-hydrocarbures et pro-hydrocarbure. -groupes nucléaires.
RépondreSupprimerEn effet, les ONG anti-hydrocarbures (dont la plupart sont également farouchement anti-nucléaires) ont beaucoup d'argent, de soutien médiatique et d'élan. Comme le montre le graphique ci-dessous, les cinq plus grandes ONG anti-hydrocarbures collectent désormais environ 1,5 milliard de dollars par an auprès de leurs donateurs. (Toutes les données proviennent de Guidestar.) Cette somme est environ trois fois supérieure au montant collecté par les cinq principales associations à but non lucratif qui sont soit pro-hydrocarbures, soit pro-nucléaire.
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Troisièmement, interdire l'utilisation directe du gaz naturel dans les foyers et les entreprises pourrait être pire pour le climat .
Vous avez bien lu. La combustion directe du gaz permet aux consommateurs d'utiliser environ 90 % de l'énergie contenue dans le combustible. L'utilisation indirecte du gaz - en le convertissant en électricité, puis en utilisant ce jus pour alimenter une pompe à chaleur, une cuisinière ou un chauffe-eau - gaspille plus de la moitié de l'énergie du carburant.
Ce point a été soulevé par Glenn Ducat, dans son excellent nouveau livre,
Blue Oasis No More : pourquoi nous n'allons pas « vaincre » le réchauffement climatique et ce que nous devons faire pour y remédier . Ducat est titulaire d'un doctorat. ingénieur nucléaire qui a travaillé à Argonne National Lab, ainsi que dans deux services publics d'électricité.
Il explique
« La combustion de gaz naturel par les clients résidentiels, commerciaux et industriels est au moins deux fois plus efficace et émet environ la moitié de gaz carbonique que les processus utilisant de l'électricité produite à partir de combustibles fossiles. La conversion des applications de chaleur industrielle en électricité avant que le réseau électrique ne soit complètement décarboné augmentera les émissions de gaz carbonique. (Souligné dans l'original.)
J'ai commencé à suivre Climate Imperative fin 2021, lorsqu'Axios a publié un article intitulé "Les vétérans du mouvement climatique lancent une nouvelle fondation majeure ".
RépondreSupprimerAxios a indiqué que le nouveau groupe avait « un budget prévu de 180 millions de dollars par an sur cinq ans ». Ce numéro a attiré mon attention. Il s'agissait d'un nouveau groupe avec un budget prévu de 1 milliard de dollars sur cinq ans, et pourtant, Axios était le seul média à en parler.
Sur son site Web, le groupe indique clairement que l'électrification de tout est un objectif majeur de son travail, affirmant que ses "impératifs comprennent la mise à l'échelle rapide des énergies renouvelables, l'électrification généralisée des bâtiments et des transports, l'arrêt de l'expansion des infrastructures de combustibles fossiles, la réduction de la pollution des principales sources industrielles, et des voies à l'échelle de l'économie pour réduire les émissions des plus grandes sources. Le site Web répertorie certains des bénéficiaires de Climate Imperative, un groupe qui comprend la Building Decarbonization Coalition et l' American Lung Association.
Axios a poursuivi en notant que la fondation basée à San Francisco "a commencé à accorder des subventions au printemps 2020". Il a également noté que le groupe est dirigé par deux anciens responsables du Sierra Club : Bruce Nilles et Mary Anne Hitt. Nilles a passé plus d'une décennie à diriger la campagne Beyond Coal du groupe. Le conseil consultatif de Climate Imperative comprend Margo Oge, un ancien haut responsable de l'EPA, et Bill Ritter, l'ancien gouverneur du Colorado.
Où Climate Imperative tire-t-il son argent ? Le conseil d'administration détient probablement la réponse. Les noms les plus reconnaissables du conseil d'administration de six personnes sont le capital-risqueur de la Silicon Valley John Doerr et Laurene Powell Jobs, la veuve du défunt PDG d'Apple, Steve Jobs. Les autres membres du conseil sont Anita Bekenstein, Sanjeev Krishnan, Greg Nelson et George Pavlov. Une source connaissant le financement du groupe m'a dit cette semaine que la majorité de l'argent provenait de Doerr et Jobs. Le magazine Forbes estime que Doerr a une valeur nette de 12,7 milliards de dollars. Forbes évalue la valeur nette de Jobs à 17,7 milliards de dollars. Aucun des autres membres du conseil d'administration n'apparaît sur la liste Forbes des personnes les plus riches d'Amérique.
L'effort pour diaboliser les cuisinières à gaz a commencé au début de 2020, à peu près au même moment où Climate Imperative a été lancé. Cette année-là, le Sierra Club a affirmé que les cuisinières à gaz étaient «liées aux maladies respiratoires, et les enfants qui vivent dans des maisons équipées de cuisinières à gaz sont 42 % plus susceptibles de souffrir d'asthme ». La source de cette affirmation était un article du Rocky Mountain Institute, une organisation à but non lucratif basée au Colorado fondée par le promoteur des énergies renouvelables Amory Lovins .
RépondreSupprimerL'un des premiers médias traditionnels à avoir publié un article faisant la promotion d'allégations sur la mauvaise qualité de l'air des cuisinières à gaz était The Atlantic . En octobre 2020, il a publié un article intitulé « Kill Your Gas Stove ».
C'est peut-être une coïncidence, mais The Atlantic appartient à Laurene Powell Jobs. Il est également intéressant de noter qu'en 2018, The Atlantic a publié un article intitulé "Comment le four à gaz a changé la relation des humains avec le feu", et a noté que la "capacité d'allumer et d'éteindre les flammes à volonté était l' un des plus grands contributeurs au bonheur humain dans la cuisine .'”
Depuis 2020, le Rocky Mountain Institute poursuit sa croisade anti-gaz . Plus tôt ce mois-ci, une série de reportages ont été publiés après que le groupe a publié un article affirmant que 12,7% des asthmes infantiles sont dus aux cuisinières à gaz. L'un des auteurs de cet article, Talor Gruenwald, travaille au RMI. Gruenwald est également associé de recherche chez Rewiring America , une organisation basée à San Francisco qui se fait appeler "la principale organisation à but non lucratif d'électrification, axée sur l'électrification de nos maisons, entreprises et communautés". (Rewiring American ne publie pas de formulaire 990. Il est parrainé par Windward Fund, qui a encaissé 273 millions de dollars en 2021. )
Mais les allégations d'asthme de RMI ne résistent pas à un examen minutieux. L'analyse la plus définitive de la question est peut -être une étude de 2013 publiée dans Lancet Respiratory Medicine qui a étudié un demi-million d'écoliers dans 47 pays sur une période de plusieurs années. Elle s'appuyait sur des questionnaires remplis par les mères des enfants. Qu'a-t-il trouvé ? "Nous n'avons détecté aucune preuve d'une association entre l'utilisation du gaz comme combustible de cuisson et les symptômes d'asthme ou le diagnostic d'asthme."
De plus, juste un jour ou deux après la publication de l'article sur le RMI, le groupe est revenu sur sa déclaration concernant l'asthme, un responsable du RMI déclarant au Washington Examiner que l'étude " ne suppose ni n'estime de relation causale " entre l'asthme infantile et le gaz naturel. poêles.
Où RMI trouve-t-il l'argent pour faire avancer son programme d'électrification ?
Une partie vient du milliardaire d'Amazon Jeff Bezos . En 2020, le Bezos Earth Fund a donné à RMI 10 millions de dollars , qui, selon le groupe, seront utilisés pour "réduire les émissions de GES des maisons, des structures commerciales et d'autres bâtiments, permettant à RMI d'accroître son travail actuel avec une coalition de partenaires dans des États clés. Le projet visera à rendre tous les bâtiments américains sans carbone d'ici 2040 en plaidant pour de nouvelles constructions entièrement électriques… »
RépondreSupprimerBezos est également un grand soutien du Natural Resources Defense Council, le groupe qui s'est vanté sans vergogne de son rôle dans la fermeture prématurée de la centrale nucléaire d'Indian Point à New York. En 2020, le NRDC a publié un communiqué de presse vantant la subvention de 100 millions de dollars qu'il a obtenue du Bezos Earth Fund . Il a déclaré que l'argent "sera utilisé pour aider le NRDC à faire progresser les solutions climatiques et la législation au niveau de l'État, [et] faire avancer les politiques et les programmes axés sur la réduction de la production de pétrole et de gaz …" (Soulignement ajouté.)
Le Sierra Club a été l'un des principaux bénéficiaires de Bloomberg Philanthropies de l'ancien maire de New York Michael Bloomberg, qui a promis 500 millions de dollars au projet Beyond Carbon. En 2019, la promesse de don était considérée comme le plus grand «don philanthropique jamais réalisé pour lutter contre le changement climatique». « Le Sierra Club a été l'un des principaux bénéficiaires des dons de Bloomberg. Il y a environ deux ans, un employé du Sierra Club m'a dit qu'il recevait environ 30 millions de dollars par an de Bloomberg. Sur son site Internet, le groupe vante son rôle dans l'initiative Beyond Carbon, la qualifiant de "plus grande campagne climatique aux États-Unis, avec pour objectif de fermer toutes les centrales au charbon nationales d'ici 2030 et d'arrêter l'utilisation du gaz comme carburant de transition ". (Soulignement ajouté.)
En août dernier, le Sierra Club a demandé à l'Environmental Protection Agency d' interdire tous les appareils au gaz naturel au niveau fédéral. Le groupe a réussi à faire adopter des interdictions en Californie. Selon son site Web, 69 communautés de l'État ont désormais « adopté des engagements de construction sans gaz ou des codes de construction d'électrification ». En septembre, le California Air Resources Board a voté pour interdire la vente de tous les appareils de chauffage et de chauffe-eau au gaz naturel dans l'État d'ici 2030. De plus, New York et Seattle ont interdit l'utilisation du gaz dans les nouvelles constructions . Le Massachusetts déploie également une nouvelle mesure qui permettra à jusqu'à 10 communautés d'interdire le gaz.
L'argent provenant de Bezos, Bloomberg, Doerr, Jobs et d'autres donateurs aux poches profondes signifie que le complexe ONG-entreprises-industriel-climat peut facilement dépenser plus que les entités qui font la promotion de l'énergie nucléaire.
Par exemple, le Nuclear Energy Institute, selon les derniers chiffres de Guidestar, a enregistré des recettes brutes d'environ 143 millions de dollars au cours de sa dernière période de référence. Pendant ce temps, les principales associations qui soutiennent les producteurs et les distributeurs d'hydrocarbures – notamment l'American Petroleum Association, l'American Gas Association, la Western States Petroleum Association et la Society of Petroleum Engineers – avaient combiné des recettes brutes inférieures à 400 millions de dollars.
RépondreSupprimerDeux derniers points. Le premier est l'hypocrisie des milliardaires qui financent les efforts pour réduire l'utilisation des hydrocarbures alors qu'ils consomment des quantités stupéfiantes d'hydrocarbures. Selon un article de 2020 dans Vanity Fair , Michael Bloomberg possède huit maisons dans le seul État de New York, et "il possèderait également plusieurs propriétés à Londres, en Floride, au Colorado et aux Bermudes". Ainsi, Bloomberg peut posséder une douzaine de maisons. Combien de ces maisons ont des cuisinières à gaz ? Je vais faire une supposition sauvage et parier qu'il y en a plus d'un. Oh, et selon Vanity Fair , alors qu'il était maire de New York, Bloomberg « était connu pour passer les week-ends » chez lui aux Bermudes, « faisant des allers-retours sur des jets privés ». Et qu'est-ce qui alimente ces jets privés ? Je suppose ici, mais ce n'est probablement pas du quinoa biologique.
En parlant de jets, Forbes a récemment rapporté que Jobs possédait un Gulfstream G650 (prix catalogue d'environ 66 millions de dollars) qui brûle environ 500 gallons de carburéacteur par heure . Lorsqu'elle ne fait pas de zoom sur son jet, elle passe également du temps sur un yacht de 120 millions de dollars appelé le Venus . Bezos serait propriétaire de deux Gulfstream G-650ER . Après que Bezos se soit envolé pour la réunion sur le climat de 2021 à Glasgow, un représentant du Bezos Earth Fund a déclaré à Business Insider que tout allait bien parce que le milliardaire "utilise du carburant d'aviation durable et compense toutes les émissions de carbone de ses vols".
Cette ligne résume l'hypocrisie des milliardaires qui financent les initiatives anti-hydrocarbures : Bezos, Bloomberg, Jobs et d'autres élites ultra-riches et hyper-mobiles peuvent acheter des "compensations" pour leurs jets privés et leurs méga-yachts, mais les shlubs dans le quartier ne peuvent pas être autorisés à utiliser une cuisinière à gaz pour préparer le dîner car, selon les mots de Talor Gruenwald de RMI, « les émissions des cuisinières à gaz contribuent de manière significative à la crise climatique ». Peu importe que, comme l'a récemment noté Alex Trembath du Breakthrough Institute, les cuisinières à gaz ne représentent que 0,4 % de la consommation totale de gaz aux États-Unis .
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RépondreSupprimerLe dernier morceau d'hypocrisie à l'œuvre ici est la nature régressive des interdictions d'essence. En effet, il est clair que l'interdiction du gaz naturel entraînera des coûts plus élevés pour les consommateurs. En mars dernier, dans le Federal Register, le ministère de l'Énergie a publié son estimation annuelle des coûts énergétiques résidentiels . Il a constaté que sur une base par BTU, l'électricité coûte environ 3,5 fois plus que le gaz naturel. Il a également constaté que le gaz était, de loin, la forme d'énergie domestique la moins chère, coûtant moins de la moitié du prix des carburants comme le kérosène, le propane et le mazout.
Cela signifie que les efforts pour interdire le gaz naturel sont, en pratique, une taxe sur l'énergie pour les pauvres et la classe moyenne. Lors d'une récente interview, Jennifer Hernandez, une avocate basée en Californie qui représente The 200, une coalition de groupes latinos qui a poursuivi l'État pour ses politiques climatiques , m'a dit que « le gaz naturel est la dernière source d'énergie abordable à domicile. Et ces extrémistes du climat ne peuvent pas le supporter.
En octobre dernier, le ministère de l'Énergie a fourni davantage de preuves que le gaz naturel est la forme d'énergie la moins chère pour les propriétaires dans son Winter Fuels Outlook . Le DOE a estimé que le chauffage à l'électricité coûtera cet hiver environ 46 % de plus que le chauffage au gaz naturel. Ces chiffres montrent que l'électrification forcée se traduira par des factures énergétiques plus élevées pour les consommateurs. Les Américains à revenu faible et moyen supporteront le poids de l'électrification forcée, car ils devront consacrer un pourcentage plus élevé de leur revenu disponible à l'énergie que les consommateurs aisés.
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L'essentiel ici est évident : l'effort pour interdire le gaz naturel dans les foyers et les entreprises est, à la base, plus une question de classe qu'une question de changement climatique.
Au cours des derniers mois, j'ai envoyé plusieurs e-mails aux dirigeants de Climate Imperative, Mary Anne Hitt et Bruce Nilles, demandant des informations sur les bailleurs de fonds de la fondation, leurs bénéficiaires, leur position sur l'énergie nucléaire et l'impact potentiel sur les coûts des campagnes électrifier tout sur consommateurs à revenus faibles et moyens. J'ai suivi cette semaine avec un e-mail à Hitt. Elle n'a pas répondu.
J'ai envoyé des questions similaires à Panama Bartolomy, le directeur de la Building Decarbonization Coalition. Sa réponse : "Je ne répondrai pas à vos questions."
https://www.globalresearch.ca/the-billionaires-behind-electrifying-everything-and-the-gas-bans-the-climate-imperative/5806612
Superprofits : après ExxonMobil, Shell enregistre un record absolu
RépondreSupprimerLes « superprofits » des compagnies pétrolières, que Bruno Le Maire avait jugé ne pas exister, se confirment de plus en plus chaque jour. Après l’américaine ExxonMobil, dont les bénéfices 2022 ont été critiqués par Joe Biden en personne, la britannique Shell fait plus fort. Le groupe a enregistré le plus haut bénéfice annuel de son histoire longue de plus de 100 ans.
Par Paolo Garoscio
le 3 février 2023 à 6h40
En mai 2022 le prix du baril de pétrole a dépassé les 120 dollars.
ExxonMobil double son bénéfice en 2022
L’invasion de l’Ukraine par la Russie, et la guerre qui s’en est suivie et qui continue depuis quasiment un an, font le bonheur des compagnies pétrolières. Cumulée à la reprise de l’activité économique mondiale à la suite de la fin des restrictions concernant la Covid-19 (mais pas de la pandémie qui continue), la situation géopolitique permet aux compagnies pétrolières d’enregistrer des superprofits et de battre des records historiques.
ExxonMobil, le 1er février 2023, confirme la tendance. Le pétrolier américain a enregistré en 2022 un bénéfice net de 55,7 milliards de dollars. Or, c'est un record historique : le bénéfice est plus que doublé. En 2021, le résultat net du groupe avait été d’un peu plus de 22 milliards de dollars.
Mieux : le précédent record d’ExxonMobil datait de 2008, au début de la crise économique des subprimes. Mais là aussi, rien de comparable avec les superprofits de 2022. Le record de 2008 est battu de 10 milliards de dollars en 2022.
Superprofits : Joe Biden s’en mêle, contrairement au gouvernement français
Si les pétroliers voient leurs bénéfices exploser, c’est à cause de la hausse des prix du pétrole. En 2022 ils ont atteint des records, franchissant régulièrement les 100 voire 120 dollars le baril. Pour Joe Biden, président des États-Unis, c’est simple : c’est parce que les compagnies pétrolières veulent verser des dividendes aux actionnaires qu’elles n’augmentent pas la production de pétrole. Et ce serait pourtant la solution : augmenter la production reviendrait à faire baisser le prix du baril en Bourse, et donc les prix des carburants par la même occasion.
La Maison Blanche s’est même dite « outrée » par les bénéfices des pétroliers. Une position diamétralement opposée de celle du gouvernement français. Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, avait assuré devant le Medef ne pas savoir ce qu’était un « superprofit ».
Finalement, et parce que l’Union européenne est intervenue sur le sujet, une « contribution de solidarité sur les profits des groupes énergétiques » a été mise en place. Au grand dam de l’exécutif français et du Sénat, à majorité de droite, qui étaient opposés au principe.
RépondreSupprimerShell confirme à son tour l’ère des superprofits
Reste que l’Union européenne a vu juste. Le pétrolier britannique Shell a publié à son tour des résultats record pour l’année 2022, le 2 février 2023. Le bénéfice net atteint 39,9 milliards de dollars : le double de 2021. Le résultat est même tout simplement le plus élevé depuis… 115 ans, et la création de l’entreprise.
Au Royaume-Uni, la publication des résultats record de Shell a pris une toute autre ampleur à cause du Brexit. Sortis de l’Union européenne, les Britanniques ont été moins protégés face à l’explosion du prix des carburants, de l’électricité et surtout du gaz. La facture énergétique moyenne annuelle a été plafonnée, mais à un niveau élevé : 2.500 livres sterling, soit 2.800 euros, en 2022. Un plafond attendu à la hausse dès avril 2023. Il pourrait atteindre 3.000 livres, soit plus de 3.300 euros.
https://www.economiematin.fr/superprofits-shell-resultat-2022-exxonmobil-petrole
Parler de faire des bénéfices est une bonne affaire pour tous ! Car, cet argent entre les mains de gros patrons va permettre de donner du travail aux fabricants de yachts et d'avions comme aux constructeurs de maisons et aux équipementiers !
SupprimerOui mais, là où le bat blesse c'est qu'il y a l’État qui fait TOUT pour fermer les entreprises et les priver de rendements ! Car les merdes au pouvoir veulent s'accaparer les fruits volés sans travailler ! Et tous ces fruits iront dans la poches des criminels qui dirigent ! L’État n'est pas là pour créer des entreprises ! mais seulement pour détruire celles qu'il y a.
Quand le mensonge gouverne le monde
RépondreSupprimerPour un homme politique et un chef d’État en particulier, le mensonge permet d’accéder au pouvoir et/ou de s’y maintenir.
le 3 février 2023
Claude Goudron
Pour un homme politique et un chef d’État en particulier, le mensonge permet d’accéder au pouvoir et/ou de s’y maintenir.
Chefs d’État de la Cinquième République
Il y a tout d’abord les mensonges lors des campagnes présidentielles.
François Mitterrand a utilisé son « programme commun » pour se faire élire et l’a abandonna dès 1983. Le mal était déjà irréversible et nous le payons encore aujourd’hui.
Lors du débat de l’entre deux tours de 1988 l’opposant à Jacques Chirac ce dernier l’a accusé d’avoir menti dans l’affaire Gordji : « Pouvez-vous vraiment contester ma version en me regardant dans les yeux ? » Mitterrand rétorque : « Dans les yeux je la conteste ». Il s’agissait bien d’un mensonge qui lui a permis de gagner l’élection.
François Hollande a menti en affirmant :
« Moi président je ne recevrai pas les parlementaires à l’Élysée », ce qu’il a fait un an plus tard le 19 avril 2013.
« Mon adversaire c’est le monde de la finance » alors qu’il occupait un poste à la Cour des comptes.
« Je n’aime pas les riches » alors que selon ses propres critères la richesse commence à partir de 4000 euros mensuels. Comme il doit se détester !
D’autres promesses ne seront également pas ou partiellement tenues :
« Je ferai en sorte que mon comportement soit à chaque instant exemplaire ».
« J’aurai à cœur de ne pas avoir un statut pénal du chef de l’État, je le réformerai. »
« J’introduirai la représentation proportionnelle »…
Certes d’autres présidents n’ont pas respecté tous leurs engagements mais pas avec les conséquences aussi catastrophiques pour l’avenir du pays !
Il y a ensuite les mensonges durant l’exercice du pouvoir.
C’est certainement pendant leur mandature que nos présidents mentent le plus. Le plus fréquemment utilisé : « c’est la faute de l’Europe ». En effet, il est facile pour le dirigeant de se dédouaner de ses erreurs ou de son manque de courage en accusant l’Europe de tous les maux de la Terre, avec comme conséquence la détestation de celle-ci par une part croissante de la population.
Un autre mensonge est de laisser croire que la France serait libérale voir ultralibérale alors qu’elle est le pays le plus étatique d’Europe avec des prélèvements obligatoires qui devraient la classer parmi les pays socialistes. D’ailleurs elle est fréquemment considérée comme un pays communiste qui a réussi. La réalité prochainement révélée est qu’elle est bien un pays communiste qui n’a pas encore échoué.
RépondreSupprimerLe mensonge se rencontre également dans l’absence totale de reconnaissance de responsabilité des mauvaises décisions prises, la dernière étant celle de M. Macron à propos de la dénucléarisation du pays et la fermeture de Fessenheim lors de son premier mandat et sa volte-face au second.
La liste est malheureusement trop longue pour citer ici l’ensemble des mensonges proférés à des niveaux différents par la majorité des chefs d’État. Je laisse donc aux lecteurs le soin de se les remémorer.
Chefs d’États étrangers
La France n’a malheureusement pas le monopole du mensonge en politique. En voici quelques exemples récents :
Donald Trump a utilisé sans complexe le mensonge comme argumentaire lors de sa dernière campagne, mais aussi lors de la première qui l’a amené au pouvoir : la raison pour laquelle il a échappé au service militaire ; selon le Washington Post durant les 100 premiers jours de son mandat il aurait prononcé « 417 déclarations fausses ou trompeuses ».
Boris Johnson a utilisé et assumé le mensonge dans sa campagne pro Brexit. Il est convoqué par la justice britannique à ce sujet. Il est donc responsable des graves problèmes actuels en Grande Bretagne.
C’est durant leur mandat que les dirigeants des grandes puissances comme des petites ont le plus menti. La palme revient à Vladimir Poutine qui utilise le mensonge en permanence au point qu’il faut comprendre l’inverse de ce qu’il déclare à longueur de journée.
À des degrés différents toutes les dictatures, de Xi Jinping à Ebrahim Raïssi en Iran en passant par Erdogan et les 50 dictatures recensées par Wikipédia : 19 en Afrique sub-saharienne, 12 au Moyen-Orient et au nord de l’Afrique, 7 en Eurasie, trois en Amérique et une en Europe (Biélorussie).
Finalement le mensonge d’État est pratiqué dans le monde entier, soit pour se maintenir au pouvoir soit pour « protéger sa population », heureusement à des niveaux et des degrés très différents.
Mensonges politiques en France
RépondreSupprimerLes chefs d’État n’ont pas la prérogative du mensonge. À de rares exceptions près, toute la classe politique le pratique par volonté, par ignorance mais pire par idéologie.
Nous pouvons le constater aujourd’hui avec le traitement confondant du problème pourtant simple du report de l’âge de la retraite alors que même reporté à 64 ans, la France est en Europe le pays qui travaille le moins, et de loin, dans tout le parcours professionnel des Français !
Il y a plus grave encore : Dominique Voynet reconnait avoir trahi la République en se faisant complice de son homologue anglais avec qui elle a monté un complot contre Lionel Jospin qui lui avait dit de défendre, avec les Anglais, le nucléaire à Bruxelles.
La liste est longue des lâchetés de nos politiciens qui, pour satisfaire leur carrière politique, n’hésitent pas à mentir et ont mis le pays dans la situation déplorable actuelle alors qu’il avait les atouts pour rester en tête des puissances occidentales.
Conclusion
La France est devenu un pays à la dérive qui ne fonctionne plus : le système éducatif est totalement défaillant, le système de santé est au bord du gouffre, la police est débordée, la justice est dépassée et même la défense ne pourrait pas soutenir une guerre de haute intensité plus d’une semaine.
La France est endettée à outrance afin que nos bonimenteurs ne se déjugent pas de leurs engagements irréalistes. Ce sont nos petits-enfants qui devront payer ces inconséquences.
Réveillez vous Français de tous bords !
https://www.contrepoints.org/2023/02/03/449696-quand-le-mensonge-gouverne-le-monde
La CHD envisage d’intenter une action en justice après l’approbation par le comté de Los Angeles d’une procédure accélérée pour l’installation de tours de transmission sans fil
RépondreSupprimerLa Children's Health Defense prévoit de poursuivre le conseil des superviseurs du comté de Los Angeles après l'adoption, mardi, de deux ordonnances permettant la prolifération accélérée d'infrastructures sans fil sans procédure régulière et sans droit de recours des résidents.
Par Suzanne Burdick
Mondialisation.ca,
02 février 2023
La Children’s Health Defense (CHD) prévoit de poursuivre le conseil des superviseurs du comté de Los Angeles (L.A.) après que celui-ci a adopté mardi deux ordonnances permettant la prolifération accélérée d’infrastructures sans fil sans procédure régulière et sans droit de recours des résidents.
Commentant le vote unanime de mardi, l’avocat W. Scott McCollough a déclaré :
« Le conseil d’administration a voté à 5 contre 0 pour trahir les habitants du comté, laisser les grandes entreprises de télécommunications installer des tours dangereuses partout, ruiner la vie d’un plus grand nombre de familles en raison des effets néfastes de l’exposition aux radiofréquences ( [radio frequency] ), ouvrir la voie à une surveillance accrue et ignorer toute la destruction environnementale qui s’ensuivra.
« Nous ne pouvons pas laisser faire ça. »
La CHD a retenu les services de M. McCollough, ancien procureur général adjoint du Texas et avocat spécialisé dans les télécommunications et le droit administratif, qui a déclaré au Defenderque la CHD avait l’intention de poursuivre le comté pour son mépris de la législation environnementale et des droits des résidents.
Il a dit :
« Nous continuerons à nous battre au nom des habitants de L.A., de la Californie et du pays tout entier. Les politiques mises en œuvre en Californie y restent rarement, elles se propagent rapidement à d’autres États.
« Nous devons mettre fin à ce laissez-passer pour les géants des télécommunications tant que nous le pouvons encore, et nous allons donc poursuivre le comté de Los Angeles en justice. »
En plus de la pression juridique, M. McCollough a déclaré : « Qu’il soit bien clair que les résidents se souviendront de cette affaire lors des prochaines élections. »
Les deux ordonnances, qui modifient le titre 16 et le titre 22 du code du comté de Los Angeles, établissent des règles pour les installations de communication sans fil à petites cellules sur les routes et pour les installations sans fil sur les propriétés privées dans les zones non incorporées du comté de Los Angeles, ainsi que des dispositions connexes.
RépondreSupprimerSelon Fiber First Los Angeles County (Fiber First LA), un organisme à but non lucratif qui promeut les réseaux de fibres optiques sur les infrastructures sans fil, les amendements privent les résidents du droit de s’exprimer sur la manière dont la technologie sans fil est déployée dans leurs propres quartiers en supprimant « les avis publics, les marges de recul, la surveillance, la sécurité et l’examen environnemental, ainsi que toute possibilité d’appel ».
Les ordonnances stipulent également que les projets de petites cellules peuvent ne pas avoir à se conformer à la législation californienne sur l’environnement, selon Fiber First LA.
Le mois dernier, le conseil a reporté le vote prévu sur les ordonnances en raison de l’opposition du public. Mais les membres de Fiber First LA ont déclaré que le conseil d’administration de mardi n’a guère prêté attention à l’importante opposition publique, notamment aux plus de 37 570 messages que la CHD a envoyés aux superviseurs avant la réunion.
Commentant le vote, Fiber First LA a déclaré :
« Malgré l’opposition écrasante des citoyens locaux et le soutien de tout le pays, le conseil des superviseurs de Los Angeles a voté à l’unanimité le 10 janvier pour adopter les modifications de son code de zonage soutenues par l’industrie du sans fil.
« Les citoyens ont été dépouillés de leurs droits, les préoccupations en matière d’incendie et de sécurité ont été ignorées, les protections environnementales essentielles ont été écartées et tout contrôle de l’industrie du sans fil a été pratiquement éliminé.
« Nous sommes fiers de notre travail pour apporter la science et les faits au conseil d’administration, et bien que nous soyons déçus par le résultat, nous n’avons pas fini de dire la vérité au pouvoir.
« A tous ceux qui ont participé à cet effort, nos sincères remerciements. Votre soutien nous a permis de continuer et nous permettra de continuer à nous battre. »
Brenda Martinez, une résidente du comté de Los Angeles et militante du comité exécutif de Fiber First LA qui a témoigné lors de la réunion de mardi, a déclaré au Defender que l’« hypocrisie » dans la salle était « palpable ».
« Le conseil des superviseurs a commencé la réunion en reconnaissant qu’il se trouvait sur le territoire des Tongva, mais il n’a absolument pas tenu compte de la demande écrite du peuple Keetoowah d’annuler l’exemption catégorique de la loi environnementale de l’État, la California Environmental Quality Act (CEQA), et de s’opposer aux titres 16 et 22 », a déclaré Mme Martinez.
Elle a ajouté :
RépondreSupprimer« Ils ont récompensé et reconnu les combats sociaux et les victoires environnementales de toute une vie de l’éminent pasteur de Los Angeles, Monseigneur John Morreta, parmi les communautés marginalisées – mais ils n’ont pas tenu compte de son plaidoyer écrit en opposition aux ordonnances.
« Ils ont ignoré la demande écrite de Fiber First LA de faire des changements réels et significatifs sur les titres 16 et 22. »
Selon Public News Service, ces ordonnances pourraient entraîner l’apparition de milliers d’émetteurs sans fil dans les zones non incorporées du comté de Los Angeles au cours des prochaines années.
Verizon a fait circuler une pétition de soutien frauduleuse, selon une organisation de base
Fiber First LA a accusé l’industrie des télécommunications d’essayer de manipuler la perception du public sur cette question.
Dans un mémo urgent, Fiber First LA a indiqué aux membres du conseil d’administration que Verizon avait soumis, via le portail de commentaires publics, une pétition prétendument signée par plus de 1 000 résidents du comté de Los Angeles demandant aux membres du conseil d’administration d’approuver les modifications proposées aux titres 16 et 22 – mais que de nombreuses signatures étaient frauduleuses.
« Les membres du comité exécutif de Fiber First LA examinent actuellement la liste des noms des prétendus signataires et nous tenions à vous informer de ce que nous avons découvert jusqu’à présent », ont-ils écrit, ajoutant que la pétition était apparemment générée par une « initiative dirigée par Verizon » appelée Communities for a Connected Future.
Selon Fiber First LA :
« De nombreux signataires présumés de la pétition (1) nient avoir jamais signé une telle pétition, (2) sont des mineurs connus ou des personnes décédées, ou (3) n’existent dans aucun registre public.
« Nous avons contacté des dizaines de personnes dont les noms figurent sur la pétition. Jusqu’à présent, aucune personne n’a reconnu avoir signé le document.
« Alors que nous recueillons des preuves de personnes qui contestent l’utilisation de leur nom pour soutenir l’effort de Verizon pour adopter les nouvelles révisions du code favorable aux télécommunications, nous vous demandons de retirer la lettre du dossier public et d’ignorer son contenu frauduleux. »
Néanmoins, les membres du conseil d’administration ont choisi d’approuver les amendements, permettant de rationaliser le déploiement du réseau sans fil et ignorant effectivement les preuves de manipulation frauduleuse de l’opinion publique par Verizon, a noté Fiber First LA.
Les changements récents ne sont que de la poudre aux yeux
RépondreSupprimerLe vote initialement prévu pour le 6 décembre 2022 a été reporté parce que le conseil a déclaré qu’il restait des « questions sans réponse » qui ne pouvaient pas être abordées à temps pour respecter la date limite des commentaires publics.
Le personnel du comté de L.A. a recommandé quelques changements de dernière minute aux amendements proposés, ce qui a probablement facilité leur adoption mardi, a déclaré M. McCollough au Defender.
« Le libellé réel n’est pas encore disponible, mais sur la base des descriptions de deux superviseurs, ils semblent d’actualité et ne résoudront matériellement aucune des questions politiques et juridiques importantes que nous avons soulevées”, a déclaré M. McCollough.
Fiber First LA a également souligné que les changements de dernière minute n’ont pas « répondu de manière significative aux préoccupations soulevées par le conseil des superviseurs ou à celles que nous avons portées à l’attention du conseil ».
Dans une lettre adressée au conseil d’administration, Susan Foster – cofondatrice de l’association à but non lucratif California Fires & Firefighters et membre de Fiber First LA qui a assisté à la réunion de mardi – a déclaré que les changements proposés n’étaient « rien de plus que de la poudre aux yeux ».
Mme Foster, qui s’est exprimé au cours de la section des commentaires publics de la réunion de mardi, a déclaré que les changements proposés « ont l’air attrayants mais sont complètement dénués de sens et trompeurs ».
Le procès fédéral intenté par la bande unie des Cherokees de Keetoowah ouvre la voie à la prochaine bataille juridique en matière de la technologie sans fil
Dans leur lettre au conseil d’administration, la United Keetoowah Band of Cherokee Indians (UKB) a rappelé aux superviseurs qu’ils ont poursuivi avec succès la Commission fédérale des communications (FCC) en 2019, après que celle-ci a accordé une exemption catégorique de la loi nationale sur la protection de l’environnement (NEPA) à des projets de tours à petites cellules, en se fondant sur la proposition selon laquelle ces projets étaient « intrinsèquement peu susceptibles de déclencher des préoccupations en matière d’environnement et de préservation historique ».
Utilisant une logique similaire à celle de la FCC, le personnel du comté de L.A. a recommandé que les dispositions relatives au sans-fil par le biais d’amendements aux titres 16 et 22 soient exemptées de toute évaluation environnementale ou historique sur la base d’une prétendue « exemption catégorique ».
En outre, Fiber First LA a averti le conseil qu’il y aurait probablement des « conséquences environnementales négatives massives et irréversibles » si les projets de tours cellulaires autorisés par les modifications des titres 16 et 22 bénéficiaient d’une exemption catégorique de la CEQA.
RépondreSupprimer« Il est vraiment inquiétant que la Commission de Los Angeles ne considère pas la CEQA comme nécessaire. La logique veut que l’installation de centaines ou de milliers de petites cellules ait une empreinte au sol qui doit être prise en compte », a déclaré Jodi Nelson, coprésidente de First Fiber LA, au Defender.
« La logique vous dit aussi qu’au moins un petit pourcentage de cette infrastructure aura des impacts environnementaux, basés simplement sur leur empreinte – sans même considérer les émissions – et que certains de ces équipements seront potentiellement installés sur des sites écologiquement vulnérables », a déclaré M. Nelson, qui a accusé le comté de permettre aux télécommunications de « dicter la politique environnementale ».
L’UKB a déclaré que la victoire de leur procès en 2019 montre que l’exemption catégorielle a déjà un précédent qui ne tient pas devant les tribunaux.
L’UKB a souligné que la décision fédérale de 2019 stipulait que « les points de vue des tribus doivent être pris en compte lorsque l’accord a le potentiel d’affecter les propriétés historiques sur les terres tribales ou les propriétés historiques d’importance religieuse et culturelle pour une tribu indienne ».
La bataille juridique de 2019 a vu le jour lorsque les responsables de la FCC ont affirmé qu’ils pouvaient déployer des milliers d’antennes sans fil pour les capacités 5G sans satisfaire aux exigences de consultation tribale en faisant valoir que les projets n’étaient pas définis comme des « entreprises » en vertu de la loi sur la préservation de l’histoire nationale ou des « actions fédérales majeures » en vertu de la NEPA.
Cependant, la Cour d’appel des États-Unis pour le circuit du district de Columbia – après avoir entendu les arguments oraux de l’UKB et de 20 autres tribus jointes – a statué que la FCC devait maintenir les exigences de consultation tribale pour les déploiements de petites tours cellulaires 5G.
En août 2021, le District of Columbia Circuit a statué contre la FCC et en faveur de la CHD, et a demandé à la FCC de réévaluer ses normes d’exposition aux rayonnements sans fil parce qu’elle n’avait pas tenu compte des preuves non cancéreuses concernant les effets néfastes de la technologie sans fil sur la santé.
Dans l’affaire UKB de 2019, le tribunal a estimé que le choix de la FCC de contourner la loi américaine sur la préservation de l’environnement et de l’histoire était « arbitraire et capricieux » car elle « n’a pas abordé de manière adéquate les inconvénients de la déréglementation ou justifié sa représentation de ces inconvénients comme étant négligeables ».
En outre, le tribunal a conclu que la FCC « n’a pas réussi à justifier sa confiance dans le fait que les déploiements de petites cellules posent peu ou pas de risques religieux, culturels ou environnementaux, en particulier compte tenu du grand nombre de déploiements proposés ».
RépondreSupprimerL’UKB a rappelé au conseil que « le comté de Los Angeles compte plus d’Amérindiens que tout autre comté du pays », ajoutant :
« Le feu peut endommager les maisons, les terres et les objets amérindiens qui sont irremplaçables. »
Selon l’UKB, le conseil a « le devoir de protéger l’environnement et, en protégeant l’environnement, vous protégez les résidents du comté de Los Angeles ».
En autorisant la prolifération des tours sans fil sans tenir compte de la situation, ils ont déclaré que les membres du conseil « ne tiendraient pas compte de l’emplacement dans les zones sensibles, de l’environnement global, des rayonnements et de l’utilisation de l’énergie des antennes 5G ».
« Et vous ne tiendriez pas compte des risques d’incendie dans un État qui ne peut se permettre de nouveaux incendies », ont-ils ajouté.
« Ils ont juste jeté une allumette sur leurs épaules en descendant de l’estrade »
Mme Foster a prévenu les superviseurs que le comté de L.A. exempte les installations de télécommunications des codes de l’électricité et des incendies.
« Les télécoms seront toujours laissées à la police des télécoms et vous aurez sur les bras un autre incendie de Malibu Canyon déclenché par les télécoms ou un autre incendie provenant des [Southern California Edison’s] propres installations de télécommunication comme lors de l’incendie de Woolsey en 2018 », a-t-elle déclaré, rappelant que ce dernier incendie a brûlé pendant plus d’un mois et causé plus de 6 milliards de dollars de dégâts.
« Chacun des superviseurs a pris la décision aujourd’hui de se détourner de la sécurité publique, de se détourner de la protection de l’environnement, et dans un sens, ils ont juste jeté une allumette sur leurs épaules en descendant de l’estrade. »
Mme Foster a ajouté que certains fonctionnaires clés du comté de Los Angeles sont depuis longtemps « liés » à l’industrie des télécommunications et que l’impact de ces liens était évident lors du vote de mardi.
Les entreprises de télécommunications offrent parfois aux responsables municipaux des incitations financières pour faciliter le processus de demande et d’autorisation de leurs projets dans des villes potentiellement rentables, a-t-elle expliqué.
Mme Foster a déclaré au Defender qu’elle avait entendu de sources fiables des primes à la signature à six chiffres lorsqu’une tour macro est autorisée dans une ville rentable, comme la ville de Los Angeles ou d’autres villes côtières.
RépondreSupprimer« C’est vraiment un « bonus » pour faire des affaires avec les télécommunications », a-t-elle déclaré.
Il est extrêmement rare, a ajouté Mme Foster, que les dirigeants locaux soient « prêts à se donner la peine de découvrir ce qui se passe réellement dans les communautés où des tours de téléphonie cellulaire ont été installées autour des gens ».
https://www.mondialisation.ca/la-chd-envisage-dintenter-une-action-en-justice-apres-lapprobation-par-le-comte-de-los-angeles-dune-procedure-acceleree-pour-linstallation-de-tours-de-transmission/5674621
La Chine semble prête à réaliser par la coopération au 21e siècle ce que le Japon cherchait à réaliser par la coercition au 20e
RépondreSupprimerPar Jeremy Kuzmarov
Recherche mondiale,
02 février 2023
Comme on pouvait s'y attendre, les élites américaines ont réagi avec hystérie à la montée en puissance de la Chine et pourraient aller jusqu'à provoquer une guerre mondiale pour tenter de sauver leur empire d'Asie du Sud-Est, comme l'administration Roosevelt l'a fait avec le Japon à la veille de Pearl Harbor.
De 1991 à 2021, la Chine a multiplié par dix la croissance des revenus et de la productivité du travail et multiplié par treize le PIB, en grande partie grâce à des politiques économiques saines.
La primauté économique et technologique croissante du pays l'a placé dans une position de plus en plus forte pour créer un bloc économique et peut-être sécuritaire d'Asie de l'Est pour sortir les États asiatiques de leur dépendance vis-à-vis de l'Occident.
Le premier était en train d'être réalisé avec a) la création par la Chine de la Banque asiatique d'investissement dans les infrastructures (AIIB), qui accordait des prêts à d'autres pays d'Asie du Sud-Est sans les mêmes stipulations que celles imposées par le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale Banque; et b) l'avènement à partir de 2013 de la One Belt-One Road Initiative (BRI), qui a investi massivement dans des projets de développement d'infrastructures dans de nombreux pays différents, conçus pour lier leurs économies à celle de la Chine.
AB Abrams [1] souligne dans son livre, Power and Primacy: A History of Western Intervention in the Asia-Pacific (New York: Peter Lang, 2022), que la Chine est sur le point de réaliser par la coopération au cours de la prochaine décennie ce que le Japon a fixé par la coercition au cours des trois premières décennies du 20 e siècle, la création d'un bloc de pouvoir en Asie du Sud-Est capable de résister aux empires occidentaux qui ont ravagé l'Asie du Sud-Est depuis le 16 e siècle.
Comme on pouvait s'y attendre, les élites américaines ont réagi à la montée de la Chine pas trop différemment de celle du Japon - par une campagne de diabolisation et de renforcement militaire à grande échelle dans la région Asie-Pacifique, ainsi que par l'institution d'une guerre économique qui menace le déclenchement d'une autre guerre mondiale.
L'empire japonais menace de saper la primauté occidentale en Asie du Sud-Est
Abrams propose une histoire révisionniste de l'empire japonais au tournant du XXe siècle qui remet en question l'interprétation orthodoxe présentant les dirigeants japonais des années 1930 et 1940 comme moralement équivalents aux nazis et qui blâme le Japon pour le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale dans le Pacifique.
Alors que les Japonais sont allés trop loin et ont commis des atrocités inadmissibles, comme dans le viol de Nankin, la sphère de la plus grande coprospérité du Japon - dans laquelle le Japon a colonisé Taiwan et la Corée et a pris des mesures pour essayer de prendre le contrôle des colonies européennes - a fourni un contrepoids et un défi à l'impérialisme occidental et inspiré les nationalistes asiatiques à renverser le joug de la domination coloniale occidentale.
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Source : history.stackexchange.com
L'historien Eri Hotta a attribué l'indépendance du Vietnam, de l'Indonésie, de la Malaisie, de Singapour, des Philippines, de la Corée et du Cambodge après la Seconde Guerre mondiale à "l'impact psychologique des victoires japonaises sur les empires occidentaux", qui avaient "défait l'idée de la suprématie européenne" tandis que " délégitimation de l'impérialisme occidental aux yeux des peuples asiatiques.
RépondreSupprimerLe Japon avait échappé au sort des autres pays d'Asie du Sud-Est aux XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles en adoptant une politique stricte d'isolement sous le Tokugawa Bakufu et avait réussi à industrialiser son économie après la restauration Meiji à la fin des années 1860 tout en construisant une armée redoutable qui a vaincu la Russie. dans la guerre russo-japonaise de 1905.
MIT Visualiser les cultures
Lors de la bataille de Nanshan, le lieutenant Shibakawa Matasaburô mène ses hommes et massacre les troupes russes brandissant un soleil levant (1904). L'image provient d'une gravure sur bois de la collection du musée des beaux-arts de Boston. [Source : visualizingcultures.mit.edu ]
À partir du début du XXe siècle, les dirigeants japonais ont compris la nécessité de créer leur propre empire qui pourrait mener une nouvelle renaissance asiatique. Alors que la liberté politique était largement étouffée, Taïwan et la Corée ont connu des gains économiques importants sous la domination japonaise, marqués par une industrialisation et un développement infrastructurels importants.
Selon Abrams, l'écart de développement industriel entre les territoires sous contrôle japonais et occidental en Asie de l'Est était énorme, la production d'acier de la Mandchourie venant éclipser celle du Japon lui-même.
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Le barrage de Sui-ho en Corée en construction en 1942 lorsque le Japon dirigeait la Corée. Le barrage était le deuxième plus grand au monde. [Source : upload.wikimedia.org ]
L'industrialisation japonaise de la région élargie de l'Asie du Sud-Est constituait une menace imminente pour les intérêts occidentaux en « mettant fin à la grande disparité entre l'Occident industrialisé et le monde non occidental sous-développé ».
Pendant l'occupation militaire américaine du Japon de 1945 à 1952, le général Douglas MacArthur, chef du Commandement suprême des puissances alliées (SCAP), a soigneusement examiné tous les candidats politiques lors d'élections truquées pour favoriser le Parti libéral démocrate pro-américain ( LDP). [4] Le journaliste Robert Smith a conclu que le Japon à l'époque était « à peu près aussi loin d'une démocratie que l'on pouvait concevoir à moins de remettre le pouvoir entre les mains des shoguns [les dirigeants militaires du Japon jusqu'en 1861] ».
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Le général Douglas MacArthur avec l'empereur Hirohito après la capitulation japonaise. [Source : wikipedia.org ]
En 1983, le Premier ministre japonais Yasuhiro Nakasone a qualifié le Japon de « porte-avions américain insubmersible dans le Pacifique ». La région avait été transformée depuis la fin de la guerre du Pacifique en ce que le général MacArthur appelait un «lac anglo-saxon» - une transformation des plus spectaculaires depuis les années 1930 lorsque le Japon avait défié la primauté de l'Occident.
Guerre de trente ans pour détruire la République populaire
Le Japon fonctionnant comme un État client des États-Unis, la bannière de la résistance à l'empire en Asie du Sud-Est a été reprise par la Chine communiste après la victoire en 1949 de l'Armée populaire de libération (APL) dirigée par Mao Zedong dans la guerre civile chinoise.
Pendant la guerre civile, les États-Unis ont fourni environ 2 milliards de dollars d'aide militaire au chef nationaliste du Guomindang Chiang Kai-Shek, qui s'était séparé des maoïstes dans les années 1920.
Les forces militaires américaines ont bombardé les bastions de l'APL et ont mené de sévères représailles contre les guérilleros communistes qui s'étaient profondément enracinés dans la population locale.
Le général David Barr, chef de la mission militaire américaine en Chine, a conclu que la défaite du Guomindang, malgré une supériorité marquée dans tous les types d'équipements, était le résultat du « pire leadership du monde », « de la malhonnêteté et de la corruption généralisées dans les forces armées », et "de nombreux autres facteurs de destruction du moral qui ont conduit à une perte totale de volonté de se battre".
Les communistes sous la direction de Mao, en revanche, avaient travaillé pour augmenter le niveau de vie des paysans chinois et construit une réputation d'honnêteté, s'étant transformés en «la force politique la plus dynamique de Chine».
À l'été 1949, les dirigeants du GMD s'enfuirent à Taïwan, emportant avec eux de nombreux trésors nationaux et artistiques et les réserves d'or de la Chine.
Les massacres perpétrés contre la population locale ont entraîné la mort d'au moins 28 000 Taïwanais. Les Américains présents à Taiwan ont assimilé l'imposition de la règle du Guomindang au fait d'avoir «mis tous les Formosanes [Taïwanais] en esclavage».
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« The Horrifying Inspection », une gravure sur bois du graveur taïwanais Li Jun. Elle montre un soldat du Guomindang tirant sur un natif taïwanais, ce qui était symptomatique de la période de terreur blanche qui est largement ignorée dans les discussions contemporaines sur Taiwan. [Source : wikipedia.org ]
RépondreSupprimerL'agent de la CIA Ralph McGehee, qui travaillait à la station de la CIA à Taïwan, a déclaré que la CIA avait entraîné et équipé des forces spéciales à Taïwan qui avaient été larguées sur le continent chinois avec pour instructions de développer des mouvements de résistance, de mener des opérations de sabotage et de guerre psychologique et de recueillir des renseignements. sur le Parti communiste chinois (PCC).
Dans le même temps, la CIA a commencé à former les restes du Guomindang au Myanmar (Birmanie) pour organiser des incursions sur le territoire chinois, des armes étant transportées par avion sur des pistes d'atterrissage dans la jungle construites par des ingénieurs américains dans toute la Thaïlande.
Les opérations secrètes - financées en partie par l'opium et qui ont contribué à la déstabilisation du Myanmar - ont été révélées lorsque deux agents de la CIA, John Downey et Richard Fecteau ont été abattus alors qu'ils tentaient de faire passer des armes et d'autres fournitures militaires en Chine en 1952 (ils ont été libérés de captivité seulement en décembre 1971). [5]
D'avril 1951 à 1952 seulement, la CIA a dépensé 100 millions de dollars pour acheter suffisamment d'armes et de munitions pour 200 000 guérilleros.
Dans le nord-ouest de la Chine, la CIA a recruté des clans de la minorité musulmane Hui commandés par le chef tribal Mu Pu-Fang qui avait des liens avec le Guomindang.
L'agent de la CIA Douglas Mackiernan a travaillé depuis le consulat d'Urumqi sous la couverture du Département d'État pour tenter d'inciter les musulmans de la province du Xinjiang à "poursuivre la guerre civile contre les communistes chinois".
Remplir sa jeep d'armes et de lingots d'or, Mackiernan - le premier agent de la CIA tué au combat - a déménagé au Tibet, où la CIA a lancé une opération secrète pour former des guérilleros séparatistes tibétains, dont certains ont été transportés vers une base militaire dans les montagnes du Colorado. dont les hautes altitudes simulaient celles de leur patrie.
Pas tout à fait les pacifistes tels qu'ils étaient dépeints dans les médias occidentaux, les guérilleros tibétains de la CIA ont saboté les infrastructures, miné les routes, coupé les lignes de communication et tendu une embuscade à l'APL.
Ironiquement, la création de la RPC avait libéré les Tibétains des conditions féodales sous les lamas au pouvoir. Il a également émancipé les femmes et supervisé une augmentation des taux d'alphabétisation et de l'espérance de vie, en construisant de nombreux hôpitaux et écoles.
Le 14e dalaï-lama a écrit des années plus tard que le soutien occidental au séparatisme tibétain est venu "non pas parce qu'ils se souciaient de l'indépendance du Tibet, mais dans le cadre de leurs efforts mondiaux pour déstabiliser tous les gouvernements communistes". Il a également déclaré que la coopération avec la CIA « n'a entraîné que davantage de souffrances pour le peuple tibétain ».
Une histoire brutale qui en dit long sur aujourd'hui
RépondreSupprimerL'histoire des efforts de déstabilisation des États-Unis en Chine, y compris par des tentatives de manipulation des minorités mécontentes et de fortification d'une base stratégique à Taiwan - que les Chinois considèrent comme faisant partie de la nation chinoise - aide à expliquer de nombreuses politiques de la Chine aujourd'hui ainsi que celles des dirigeants japonais à l'époque. les années 1930.
Pendant la guerre de Corée (1950-1953), le général Douglas MacArthur a plaidé pour une attaque nucléaire contre la Chine, qui est intervenue pour sauver l'autonomie de la République populaire démocratique de Corée (RPDC).
L'administration Truman avait justifié son agression en Corée en prétendant que la RPDC - sous la direction de Kim Il Sung, le fils d'un nationaliste éminent qui dirigeait des guérillas anti-japonaises en Mandchourie - était une marionnette des Soviétiques et des Chinois, qui était un mythe.
Entre 1946 et 1949, l'administration de Kim a obtenu un soutien interne important en augmentant la production industrielle de 340% et l'industrie d'État de 420%, les salaires des employés d'usine et de bureau nord-coréens augmentant de 83% pendant cette période.
Le dirigeant communiste nord-coréen Kim Il-sung pendant ses années de guérilla, février 1936 (lithographie couleur)
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Kim Il Sung dépeint au milieu des années 1930 comme un chef de la résistance de la guérilla anti-japonaise. [Source : wilsoncenter.org ]
Après la Seconde Guerre mondiale, l'administration Truman a tenté d'imposer un gouvernement client en Corée du Sud sous la direction conservatrice de Syngman Rhee, qui a présidé ce que le magazine Time a appelé "un désert économique" et a massacré des dizaines de milliers de personnes avant que la guerre de Corée n'éclate officiellement. .
Caractérisé par le général Archer Lerch comme "un homme que les forces américaines pourraient devoir enfermer en prison", Rhee avait été transporté par avion en Corée du Sud, après plus de 25 ans d'exil, à bord d'un avion du Bureau des services stratégiques (OSS) du général Douglas. Mac Arthur.
Aux petites heures du matin du 25 juin 1950, le Bureau de l'information publique de la Corée du Sud a signalé une attaque militaire sud-coréenne contre la ville frontalière de Haeju, que la Corée du Nord a confirmée mais que la Corée du Sud s'est rétractée plus tard.
Une étude détaillée de l'historien Karunakar Gupta de l'Université de Londres a révélé que le gouvernement sud-coréen prétend que leur attaque contre Haeju s'était produite beaucoup plus tard était effectivement impossible et qu'une attaque sud-coréenne s'est probablement produite pour précipiter la guerre.
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Guerre de Corée | Combattants, résumé, années, carte, pertes et faits | Britannique
Source: britannica.com
Après que les forces des États-Unis et de l'ONU aient repris l'offensive en Corée du Nord à la suite du célèbre atterrissage derrière les lignes ennemies du général MacArthur à Inchon, de nombreuses régions de la Corée du Nord ont été laissées dans un paysage lunaire par les féroces bombardements américains.
RépondreSupprimerLe général Matthew Ridgway a déclaré que c'était "la destruction pour la destruction", tandis que Dean Rusk, secrétaire d'État adjoint aux Affaires d'Extrême-Orient en 1950-1951, a déclaré que les bombardiers américains "attaqueraient tout ce qui bougeait en Corée du Nord, chaque brique se tenant au-dessus d'un autre." [6]
Les troupes américaines en Corée se sont généralement comportées comme elles l'ont fait au Japon : mitraillant des réfugiés, massacrant des civils et commettant des viols à grande échelle. Ils ont également imité la pratique japonaise en Chine en lâchant des insectes infectés par la maladie au-dessus de la Corée du Nord et de la Chine, tandis que des médecins américains ont effectué des expériences médicales sadiques sur des prisonniers de guerre nord-coréens et chinois capturés. [7]
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Une représentation de la scène sous le pont No Gun Ri du long métrage sud-coréen de 2009 A Little Pond . Les troupes américaines ont massacré des centaines de civils à No Gun Ri dans l'un des nombreux massacres qui ont eu lieu pendant la guerre. [Source : wikipedia.org ]
"Des centaines de mes lais"
Le comportement barbare des troupes américaines pendant la guerre de Corée a jeté les bases de la guerre du Vietnam où des atrocités comme My Lai - où les troupes américaines ont abattu un village de 500 personnes - ont contribué à déclencher une opposition anti-guerre à grande échelle.
Massacre de Mỹ Lai — Wikipédia
Victimes du tristement célèbre massacre de My Lai. [Source : wikipedia.org ]
Le colonel David Hackworth, récipiendaire de la Croix du service distingué, a noté que « le Vietnam était une atrocité dès le départ… Il y avait des centaines de My Lais. Vous avez votre carte perforée par le nombre de corps que vous avez compté.
Selon la «règle du simple gook», ce n'était «pas un crime de tuer ou de torturer ou de voler ou de mutiler un Vietnamien parce qu'il était un simple gook».
Des filles vietnamiennes ont été torturées avec des cigarettes allumées et à l'électricité et ont été mutilées après avoir été violées et tuées. Le fantassin Michael Farrell se souvient : « Notre sergent de peloton nous a dit : « s'il y a une femme dans un cul, soulevez sa robe, vous savez, et dites par son sexe ; si c'est un homme, tuez-le ; et si c'est une femme, violez-la.' » Le sergent était un vétéran de deux guerres précédentes, et pourrait bien avoir appris de telles pratiques en Corée, à Okinawa ou ailleurs.
RépondreSupprimerAprès la découverte du massacre de My Lai, un général américain nommé Willoughby a demandé de façon caractéristique : « Qu'est-ce que c'est que tout ce remue-ménage. En Corée, nous avions My Lais tout le temps.
Objectifs impériaux
Un facteur clé à l'origine de l'environnement producteur d'atrocités au Vietnam était le contexte impérial de la guerre, que la plupart des histoires traditionnelles obscurcissent.
Les objectifs de guerre des États-Unis étaient de transformer le Sud-Vietnam en un État client américain sur le modèle de la Corée du Sud, des Philippines et de l'Indonésie, et une base pour les opérations militaires régionales, et d'intégrer l'économie du Sud-Vietnam au bloc de puissance régional dirigé par le Japon.
Après avoir financé l'effort de guerre français, l'administration Eisenhower divisa artificiellement le Vietnam au 17e parallèle et bloqua les élections pour réunifier le pays sous le nationalisme Ho Chi Minh - qui avait mené la guerre de libération contre la France et cité la Déclaration d'indépendance des États-Unis dans son Discours d'indépendance de septembre 1945.
L'administration Eisenhower a également soutenu un gouvernement client au Sud-Vietnam, dirigé par Ngo Dinh Diem qui avait vécu en exil pendant la 1ère guerre d'Indochine, qui favorisait les catholiques par rapport à la majorité des bouddhistes et torturait ou tuait tous ses opposants politiques.
Lorsque Diem a perdu son utilité politique, l'administration Kennedy a parrainé un coup d'État contre lui qui a entraîné sa mort. L'administration Johnson a ensuite inventé l'incident du golfe du Tonkin qui a fait apparaître qu'un navire de la marine américaine avait subi une attaque non provoquée par le Nord-Vietnam dans la mer de Chine méridionale comme prétexte à l'escalade majeure des troupes américaines.
Pivot vers l'Asie et perspectives de guerre imminentes
RépondreSupprimerLe dernier chapitre d'Abrams fournit des informations critiques sur le pivot vers la politique asiatique, ou le renforcement militaire régional à grande échelle, qui a été introduit symboliquement en novembre 2011 par la secrétaire d'État de l'époque, Hillary Clinton, sur un destroyer naval américain dans la baie de Manille, l'emplacement pour le pivot original de l'Amérique vers l'Asie lors de la guerre hispano-américaine des Philippines en 1898. [9]
Tout à coup, à cette époque, l'administration Obama et ses successeurs ont fait part de leur inquiétude concernant la saisie présumée par la Chine d'îles territoriales dans la mer de Chine méridionale sur lesquelles la Chine avait en fait des revendications historiques de longue date remontant à la dynastie Han il y a 1 800 ans.
La saisie présumée de ces îles par la Chine ainsi que les violations présumées des droits de l'homme envers les musulmans ouïghours du Xinjiang ont fourni le prétexte à une plus grande intervention militaire américaine ainsi que la répression présumée de la Chine contre les militants « pro-démocratie » à Hong Kong et la menace d'agression à Taïwan.
Depuis 2014, les États-Unis ont organisé des manœuvres militaires provocatrices pour préparer la guerre avec la Chine, tout en lançant une tentative de blocus économique du détroit de Malacca et en intensifiant la guerre économique .
Ces mesures ressemblent étrangement à celles initiées par l'administration Roosevelt dans les années 1930 qui ont provoqué l'attaque japonaise sur Pearl Harbor et la guerre mondiale dans le Pacifique.
La différence aujourd'hui est que les mesures de guerre économique des États-Unis sont largement contre-productives en raison de la dépendance de l'économie américaine à celle de la Chine.
La Chine a également éclipsé les États-Unis dans ses capacités militaro-technologiques et a efficacement cultivé des alliés régionaux grâce à une approche de puissance douce dans le cadre de la BRI, tout en travaillant à l'interconnexion des économies régionales dans une coalition anti-impérialiste qui semble être beaucoup plus durable que celle forgée par Le Japon de manière coercitive dans les années 1930.
*
Jeremy Kuzmarov est rédacteur en chef de CovertAction Magazine. Il est l'auteur de quatre livres sur la politique étrangère américaine, dont Obama's Unending Wars (Clarity Press, 2019) et The Russians Are Coming, Again, avec John Marciano (Monthly Review Press, 2018). Il peut être joint à : jkuzmarov2@gmail.com .
RépondreSupprimerRemarques
1 Abrams est le pseudonyme d'un ancien officier du renseignement américain avec une expérience approfondie en Asie du Sud-Est, un écrivain prolifique sur la géopolitique et un analyste politique astucieux.
2 Wayne S. Cole, Charles A. Lindbergh et la bataille contre l'intervention américaine pendant la Seconde Guerre mondiale (New York: Harcourt Brace Jovanovich, 1974), 238.
3 Le président Franklin Roosevelt a déclaré à propos d'un crâne envoyé à la Maison Blanche : "C'est le genre de cadeau que j'aime recevoir... Il y aura beaucoup plus de tels cadeaux."
4 Nobusuke Kishi, Premier ministre japonais de 1957 à 1960, avait servi dans le cabinet de guerre de Hideki Tojo.
5 La guerre secrète contre la Chine s'est poursuivie jusqu'en 1961 environ, date à laquelle la plupart des conseillers de la CIA se sont rendus au Laos où ils ont organisé des tribus montagnardes productrices d'opium en une armée privée qui a combattu le Pathet Lao pro-communiste.
6 Pas moins de 30% de la population nord-coréenne a été tuée lors de l'assaut américain. Un marine américain a écrit à propos de ces morts dans les termes suivants : "Ce ne sont qu'une bande de gooks, qui se soucient des sentiments des gens comme ça."
7 Voir Wilfred Burchett, This Monstrous War (Melbourne : Joseph Waters, 1953), https://www.revolutionarydemocracy.org/archive/KoreanWar.pdf
8 Les Philippins de Lansdale ont été décrits de manière révélatrice comme le type qui "trancherait la gorge de leur grand-mère pour un dollar quatre-vingt-cinq". Ils ont joué un rôle clé dans le programme Phoenix, un programme d'assassinats ciblés pendant la guerre du Vietnam qui a été utilisé comme plan de chantage par le gouvernement sud-vietnamien.
9 Voir Jeremy Kuzmarov, Obama's Unending Wars: Fronting the Foreign Policy of the Permanent Warfare State (Atlanta: Clarity Press, 2009), 193.
https://www.globalresearch.ca/china-appears-poised-achieve-through-cooperation-21st-century-what-japan-sought-achieve-through-coercion-20th/5806926
Les limites de l'informatique : un informaticien explique pourquoi, même à l'ère de l'IA, certains problèmes sont tout simplement trop difficiles
RépondreSupprimerpar Jie Wang,
La Conversation
30 JANVIER 2023
Grâce aux technologies de l'intelligence artificielle, les ordinateurs d'aujourd'hui peuvent engager des conversations convaincantes avec les gens, composer des chansons, peindre des tableaux, jouer aux échecs et diagnostiquer des maladies, pour ne citer que quelques exemples de leurs prouesses technologiques.
Ces succès pourraient être pris pour indiquer que le calcul n'a pas de limites. Pour voir si c'est le cas, il est important de comprendre ce qui rend un ordinateur puissant.
Il y a deux aspects à la puissance d'un ordinateur : le nombre d'opérations que son matériel peut exécuter par seconde et l'efficacité des algorithmes qu'il exécute. La vitesse du matériel est limitée par les lois de la physique. Les algorithmes - essentiellement des ensembles d'instructions - sont écrits par des humains et traduits en une séquence d'opérations que le matériel informatique peut exécuter. Même si la vitesse d'un ordinateur peut atteindre la limite physique, des obstacles de calcul subsistent en raison des limites des algorithmes.
Ces obstacles comprennent des problèmes qui sont impossibles à résoudre pour les ordinateurs et des problèmes qui sont théoriquement solubles mais qui, en pratique, dépassent les capacités des versions les plus puissantes des ordinateurs d'aujourd'hui imaginables. Les mathématiciens et les informaticiens tentent de déterminer si un problème est résoluble en les essayant sur une machine imaginaire.
Une machine informatique imaginaire
La notion moderne d'algorithme, connue sous le nom de machine de Turing, a été formulée en 1936 par le mathématicien britannique Alan Turing. C'est un appareil imaginaire qui imite la façon dont les calculs arithmétiques sont effectués avec un crayon sur du papier. La machine de Turing est le modèle sur lequel tous les ordinateurs sont basés aujourd'hui.
Pour tenir compte des calculs qui nécessiteraient plus de papier s'ils étaient effectués manuellement, l'approvisionnement en papier imaginaire dans une machine de Turing est supposé être illimité. Cela équivaut à un ruban imaginaire illimité, ou "bande", de carrés, dont chacun est vide ou contient un symbole.
RépondreSupprimerQu'est-ce qu'une machine de Turing ?
La machine est contrôlée par un ensemble fini de règles et démarre sur une séquence initiale de symboles sur la bande. Les opérations que la machine peut effectuer sont le déplacement vers une case voisine, l'effacement d'un symbole et l'écriture d'un symbole sur une case vierge. La machine calcule en effectuant une séquence de ces opérations. Lorsque la machine se termine ou "s'arrête", les symboles restant sur la bande sont la sortie ou le résultat.
L'informatique consiste souvent à prendre des décisions avec des réponses oui ou non. Par analogie, un test médical (type de problème) vérifie si l'échantillon d'un patient (un exemple du problème) présente un certain indicateur de maladie (réponse oui ou non). L'instance, représentée dans une machine de Turing sous forme numérique, est la séquence initiale de symboles.
Un problème est considéré comme "résoluble" si une machine de Turing peut être conçue qui s'arrête pour chaque instance, qu'elle soit positive ou négative, et détermine correctement la réponse que l'instance donne.
Tous les problèmes ne peuvent pas être résolus
De nombreux problèmes peuvent être résolus à l'aide d'une machine de Turing et peuvent donc être résolus sur un ordinateur, tandis que beaucoup d'autres ne le sont pas. Par exemple, le problème des dominos, une variante du problème du pavage formulé par le mathématicien sino-américain Hao Wang en 1961, n'est pas résoluble.
La tâche consiste à utiliser un ensemble de dominos pour couvrir une grille entière et, en suivant les règles de la plupart des jeux de dominos, en faisant correspondre le nombre de pépins aux extrémités des dominos attenants. Il s'avère qu'il n'y a pas d'algorithme qui peut commencer avec un ensemble de dominos et déterminer si oui ou non l'ensemble couvrira complètement la grille.
Rester raisonnable
Le problème du voyageur de commerce devient rapidement incontrôlable lorsque vous dépassez quelques destinations.
Un certain nombre de problèmes solubles peuvent être résolus par des algorithmes qui s'arrêtent dans un laps de temps raisonnable. Ces "algorithmes en temps polynomial" sont des algorithmes efficaces, ce qui signifie qu'il est pratique d'utiliser des ordinateurs pour en résoudre des instances.
Des milliers d'autres problèmes solubles ne sont pas connus pour avoir des algorithmes en temps polynomial, malgré des efforts intensifs continus pour trouver de tels algorithmes. Ceux-ci incluent le problème du voyageur de commerce.
RépondreSupprimerLe problème du voyageur de commerce demande si un ensemble de points avec certains points directement connectés, appelé graphe, a un chemin qui part de n'importe quel point et passe par tous les autres points exactement une fois, et revient au point d'origine. Imaginez qu'un vendeur veuille trouver un itinéraire qui passe exactement une fois par tous les ménages d'un quartier et revient au point de départ.
Ces problèmes, appelés NP-complets, ont été formulés indépendamment et ont démontré leur existence au début des années 1970 par deux informaticiens, le Canadien américain Stephen Cook et l'Ukrainien américain Leonid Levin. Cook, dont le travail est arrivé en tête, a reçu le prix Turing 1982, le plus élevé en informatique, pour ce travail.
Le coût de savoir exactement
Les algorithmes les plus connus pour les problèmes NP-complets recherchent essentiellement une solution parmi toutes les réponses possibles. Le problème du voyageur de commerce sur un graphique de quelques centaines de points prendrait des années à s'exécuter sur un supercalculateur. De tels algorithmes sont inefficaces, ce qui signifie qu'il n'y a pas de raccourcis mathématiques.
Les algorithmes pratiques qui traitent ces problèmes dans le monde réel ne peuvent offrir que des approximations, bien que les approximations s'améliorent. La question de savoir s'il existe des algorithmes efficaces en temps polynomial capables de résoudre des problèmes NP-complets fait partie des sept problèmes ouverts du millénaire publiés par le Clay Mathematics Institute au tournant du 21e siècle, chacun portant un prix de 1 million de dollars américains.
Qu'est-ce qu'un ordinateur quantique ?
Au-delà de Turing
Pourrait-il y avoir une nouvelle forme de calcul au-delà du cadre de Turing ? En 1982, le physicien américain Richard Feynman, lauréat du prix Nobel, a proposé l'idée d'un calcul basé sur la mécanique quantique.
En 1995, Peter Shor, un mathématicien appliqué américain, a présenté un algorithme quantique pour factoriser des nombres entiers en temps polynomial. Les mathématiciens pensent que cela est insoluble par les algorithmes en temps polynomial dans le cadre de Turing. Factoriser un entier signifie trouver un plus petit entier supérieur à 1 qui peut diviser l'entier. Par exemple, l'entier 688 826 081 est divisible par un entier plus petit 25 253, car 688 826 081 = 25 253 x 27 277.
Un algorithme majeur appelé l'algorithme RSA, largement utilisé dans la sécurisation des communications réseau, est basé sur la difficulté de calcul de factoriser de grands nombres entiers. Le résultat de Shor suggère que l'informatique quantique, si elle devenait une réalité, changerait le paysage de la cybersécurité.
RépondreSupprimerUn ordinateur quantique à part entière peut-il être construit pour factoriser des nombres entiers et résoudre d'autres problèmes ? Certains scientifiques pensent que cela peut être le cas. Plusieurs groupes de scientifiques du monde entier travaillent à en construire un, et certains ont déjà construit des ordinateurs quantiques à petite échelle.
Néanmoins, comme toutes les nouvelles technologies inventées auparavant, il est presque certain que des problèmes avec le calcul quantique surgiront qui imposeraient de nouvelles limites.
https://techxplore.com/news/2023-01-limits-scientist-age-ai-problems.html
Le monde est passé au fil des siècles de la fanfare au concert soit de la cacophonie à la haute fidélité. Oui mais, le problème est le chef d'orchestre. Il ne veut qu'entendre qu'une musique !
SupprimerLa différence entre un robot-ordinateur et un être humain est que l'être humain raisonnera de sa conscience personnelle (comme il y en a 8 milliards au monde) tandis que l'ordi ne raisonnera qu'avec son programme limité chargé. Et, le plus tare est que, comme une calculette fabriquée le robot-ordi sera mis en série ! X millions de robots-cons avec le même programme ! (car aucun n'a eut de jeunesse, d'adolescence ou de vie adulte d'oisif ou de travailleur).
C'est pourquoi l''Intelligence Artificielle' n'existera jamais.
Retraites : et si les Suisses avaient raison ?
RépondreSupprimerLes Suisses ne consacrent aujourd’hui pour leur retraite que 7,5 % de leur PIB (grâce notamment au recours à la capitalisation), mais malgré cette marge de manœuvre, ils préfèrent allonger encore leur durée de travail.
le 4 février 2023
Xavier Fontanet
Un sondage (Smartvote) fait en Suisse, le 19 août 2019, révèle que la majorité des candidats à la députation est en faveur d’un recul de l’âge de la retraite à… 67 ans. Impensable ici.
Pourtant, s’il y a une chose à expliquer dans cette période de consultation sur la loi retraite, c’est comment s’en tirer, chez nous, sans bouger significativement l’âge de la retraite ni augmenter la durée de cotisation ?
Surcharge pour les entreprises
Rappelons quelques faits.
En 1983, quand Mitterrand a lancé l’idée de la retraite à 60 ans, il y avait quatre cotisants pour un retraité et l’espérance de vie était de 72 ans, soit 12 ans de retraite en moyenne. Aujourd’hui l’espérance de vie est de 84 ans, ce qui fait 22 ans de retraite. Et il n’y a plus que 1,7 cotisant par retraité. En 36 ans, la durée de retraite a été augmentée de 83 % et le pourcentage de ceux qui cotisent réduit de 57 %.
On en a remis une couche avec les 35 heures, qui reviennent à annihiler au moins quatre ans de cotisation. Pour faire simple, le ratio cotisants-retraités a été divisé par cinq. On a certes doublé la part du PIB consacrée aux retraites à 13,8 % (sous Mitterrand le ratio était d’environ 7 %), mais au prix d’une surcharge accrue pour nos entreprises. Il y a aussi eu des gains de productivité, mais la situation n’est absolument pas tenable.
Les Suisses ne consacrent aujourd’hui pour leur retraite que 7,5 % de leur PIB (grâce notamment au recours à la capitalisation), mais malgré cette marge de manœuvre, ils préfèrent allonger encore leur durée de travail. On dira : « Ils sont différents ! » Regardons alors nos autres voisins : le départ à la retraite se situe partout entre 65 et 67 ans. Si partir à 67 ans est un argument électoral de l’autre côté de la frontière, est-ce parce que le chocolat qu’ils consomment leur dérègle l’esprit ou parce que contrairement à nous devant les faits ils sont humbles et capables de se remettre en question ?
https://www.contrepoints.org/2023/02/04/353944-retraites-et-si-les-suisses-avaient-raison
Il y a 1 cotisant qui cotise pour sa retraite = 1 retraité de sa propre cotisation. Or, si la capitalisation est la bienvenue (planche de salut venue de notre maréchal Philippe Pétain) les intérêts ont depuis fondus comme neige au soleil voire en négatif !! (Placer son argent en banque ne rapporte plus rien: on y perd !).
SupprimerMais le problème est autre part ! Où va l'argent cotisé ? (idem que celui des taxes et des impôts !), il va aux émigrés 'réfugiés climatiques' qui touchent 2000 € par mois sans jamais avoir cotisé !!
Çà y est, vous avez compris ?
Idem aux USA, il n'y a pas d'argent pour les Américains mais il y en a pour les infiltrés avec armes et drogues qui passent la frontière par milliers chaque jour et aussi pour les nazis-ukrainiens dont on a rien à foutre !
Peugeot 208 : record de vente pour la voiture française
RépondreSupprimerLa Peugeot 208 se hisse à la première place du classement des ventes automobiles en Europe en 2022, un record pour le constructeur français.
Par Benoit Vrignaud
le 3 février 2023 à 15h31
Une augmentation du nombre de vente de la Peugeot 208 de 5% lui permet de se hisser à la tête du classement des ventes pour l'année 2022.
La domination de la Peugeot 208 française sur les ventes en Europe
La Peugeot 208 se hisse à la tête du classement des voitures les plus vendues en Europe en 2022. La France domine le classement avec une deuxième tenue par la Dacia Sandero. La fin de la domination pendant 14 années consécutives de la Volkswagen Golf est donc actée. La voiture allemande était tenante du titre depuis 2009.
Fierté française bien que produite en Slovaquie, la Peugeot 208 a été vendue en 206.816 exemplaires en 2022 sur l’ensemble d’une zone Europe élargie, soit les pays membres et le Royaume-Uni, ainsi que la Suisse et l’Irlande. Placé quatrième un an auparavant, la Renault Clio chute à la 10e place, perdant ainsi la course contre sa rivale française.
Les voitures thermiques et françaises en tête des ventes
Les 177.203 exemplaires vendus de la Golf ne lui octroient en 2022 que la cinquième place. Elle est notamment doublée par son équivalent SUV, le modèle T-Roc de Volkswagen qui comptabilise 1881.153 ventes, le plaçant à la troisième place. La deuxième place se joue à 20.000 exemplaires vendus, et elle est fièrement détenue par la Dacia Sandero. Bien que roumaine, la marque est une propriété du groupe français Renault. La voiture est assemblée en Roumanie ainsi qu’au Maroc.
Yaris, Opel, Hyundai, la suite du classement des ventes surprend pou un critère en particulier. Toutes sont des voitures thermiques, à la limite hybrides, confirmant ainsi que la transition vers l’électrique n’est pas encore complètement acquise dans les plans des automobilistes au moment de l’achat.
La première voiture 100% électrique est la Tesla Model Y, située à la 13e place avec 138.128 ventes, soit une augmentation de 417% par rapport à l’année précédente. De plus en plus de constructeurs se tournent vers la recherche et le développement de modèles électriques, conscients de l’approche de l’échéance fixée par la loi européenne sur l’interdiction d’achat de modèles neuf thermiques à compter de 2035.
https://www.economiematin.fr/peugeot-208-record-vente-voiture-francaise
Xavier Fontanettwitter.com/lovecarindustry/status/1621044642753187840/photo/2
Où les voitures invendues du monde vont mourir
Supprimersamedi 17 mai 2014
https://huemaurice5.blogspot.com/2014/05/ou-les-voitures-invendues-du-monde-vont.html
Le Brésil a coulé l’ancien porte-avions Foch
RépondreSupprimerL’ancien fleuron de la marine française était passé sous pavillon brésilien en l’an 2000.
par Elie Courboulay
4 février 2023, 02:14
La marine brésilienne a annoncé vendredi avoir coulé dans l’océan Atlantique l’ancien porte-avions Foch rempli d’amiante, de peintures et autres déchets toxiques, une décision critiquée par plusieurs organisations de défense de l’environnement.
Le «naufrage planifié et contrôlé s’est produit en fin d’après-midi» vendredi, à quelque 350 km des côtes brésiliennes, dans une zone d’une «profondeur approximative de 5000 mètres», a indiqué la marine dans un communiqué. Elle avait estimé plus tôt dans la semaine qu’il n’y avait pas d’autre choix vu l’état très dégradé de cette vieille coque de 266 mètres de long, qualifiée de «colis toxique de 30’000 tonnes» par l’association Robin des Bois.
Construit dans les années 1950
«Face aux risques qu’implique le remorquage et en raison de la détérioration de la coque (…), la seule solution est d’abandonner la coque en la coulant de façon contrôlée», avait expliqué la marine tard mercredi dans un communiqué conjoint avec le ministère brésilien de la Défense. Il y a deux semaines, la marine avait annoncé avoir pris en remorque l’ancien porte-avions dans l’Atlantique. Il était jusque-là tracté par un remorqueur néerlandais pour le compte du chantier turc Sok Denizcilik.
Ce fleuron de la marine française passé en 2000 sous pavillon brésilien a longtemps erré en mer à la recherche d’un port refuge. Construit à la fin des années 50 dans le chantier naval de Saint-Nazaire, dans l’ouest de la France, le Foch a été pendant 37 ans au service de la marine française.
https://www.lematin.ch/story/le-bresil-a-coule-lancien-porte-avions-foch-361167928041
16 porte-containers polluent plus que toutes les voitures du monde !
Supprimermardi 12 mai 2015
https://huemaurice5.blogspot.com/2015/05/16-porte-containers-polluent-plus-que.html
Les véhicules électriques sont une arnaque – voici pourquoi
RépondreSupprimerVendredi 03 février 2023
par : Ethan Huff
(Natural News) Il y a un chevauchement inquiétant entre le marketing qui a été utilisé pour vendre des masques et des "vaccins" pendant l'escroquerie covid et la poussée pour convertir la société aux véhicules électriques (VE) uniquement.
On nous dit que pour sauver la planète du « réchauffement climatique » et du « changement climatique », tous les véhicules à essence – et maintenant les réchauds à gaz – doivent disparaître. Y a-t-il une vérité à cela? La réponse est bien sûr non.
Prenez les plages revendiquées, par exemple. Quoi que vous entendiez sur la distance qu'un véhicule électrique peut parcourir en une seule charge, réduisez-la de moitié pendant la saison hivernale et vous obtiendrez une lecture plus précise. Ensuite, il y a la capacité de charge et de remorquage, dont les chiffres sont également exagérés.
"... dans le cas des camions électriques - lorsqu'ils sont utilisés pour faire les choses que les camions sont censés faire, comme tirer une remorque... Au lieu de cela, on leur a seulement dit - comme dans le cas du camion électrique F-150 Lightning de Ford - qu'il pouvait tirer une remorque de 10 000 livres. Ce qui est vrai. Pas pour longtemps. Ou plutôt, de loin », rapporte Eric Peters Autos à propos de cette supercherie.
«Le fait pertinent était laissé de côté que s'ils tentaient de tirer une remorque, ils s'arrêteraient pour une longue recharge tous les 80 milles environ. On leur a également dit qu'ils pouvaient recharger à la maison – ce qui est également vrai. Dans la mesure du possible."
« Mais on ne leur a pas dit combien de temps cela prendrait. Au lieu de cela, ils ont été amenés à croire qu'ils pourraient repartir en seulement 30 à 45 minutes environ. Mais cela n'est possible qu'en visitant des chargeurs dits "rapides", qui ne sont pas à la maison."
Les véhicules électriques sont sales, dangereux et peu fiables : pourquoi le culte vert les aime-t-il à nouveau ?
Jerome Corsi, écrivant pour American Thinker, a également abordé ce sujet, notant qu'il n'y a rien de viable économiquement dans la conversion aux véhicules électriques.
Toute la poussée des véhicules électriques est motivée par l'idéologie plutôt que par l'aspect pratique ou ce qu'il décrit comme un "calcul économique rationnel". C'est en partie la raison pour laquelle quatre sénateurs et deux représentants de l'État du Wyoming ont présenté un projet de loi visant à interdire toutes les ventes de véhicules électriques dans le Wyoming d'ici 2035.
"Les vastes étendues d'autoroutes du Wyoming, associées à un manque d'infrastructure de recharge des véhicules électriques, rendent l'utilisation généralisée des véhicules électriques impraticable pour l'État", lit-on dans la résolution conjointe du Sénat n° SJ004, ajoutant que "les batteries utilisées dans les véhicules électriques contiennent des minéraux critiques". dont l'approvisionnement intérieur est limité et menacé de perturbations.
RépondreSupprimerSi les militants de gauche dévoués aux causes vertes réussissaient à interdire la vente de véhicules à essence, en particulier si l'interdiction inclut les véhicules industriels et commerciaux, il y a également des implications majeures en matière de sécurité et de fiabilité à prendre en compte. Que se passe-t-il lorsqu'un semi-remorque électrique meurt au bord de la route au milieu d'un blizzard au milieu de nulle part ? Que deviendront le chauffeur et sa charge utile ?
Ensuite, il y a les implications environnementales de continuer à faire extraire par des enfants esclaves tous les minéraux de terres rares nécessaires à la production de batteries de véhicules électriques, qui, selon la même législation proposée dans le Wyoming, « ne sont pas facilement recyclables ou jetables, ce qui signifie que les décharges du Wyoming et d'ailleurs seront tenus de développer des pratiques pour éliminer ces minéraux de manière sûre et responsable.
Enfin, d'où viendra toute cette électricité supplémentaire pour recharger ces appareils ? Il existe déjà des problèmes d'infrastructure électrique qui affligent certains États à certaines périodes de l'année, car la configuration actuelle est inadéquate, même pour les quantités existantes de véhicules électriques sur la route. Que se passera-t-il une fois que tout le pays sera converti aux véhicules électriques ?
"Ils se fichent que ça ne marche pas", a écrit un commentateur à propos de tout cela. «Ils veulent que tout le monde vive dans les villes et n'aille là où on leur dit qu'en marchant ou en faisant du vélo. Vous ne posséderez rien et serez heureux.
Les dernières nouvelles sur la poussée des véhicules électriques et les mensonges qui l'accompagnent souvent peuvent être trouvées sur GreenTyranny.news.
Les sources de cet article incluent :
EricPetersAutos.com
NaturalNews.com
AmericanThinker.com
https://www.naturalnews.com/2023-02-03-electric-vehicles-are-a-scam-heres-why.html
11 des villes les plus violentes du monde se trouvent aux États-Unis et elles ont toutes une chose en commun : un parti les dirige
RépondreSupprimervendredi 03 février 2023
par : JD Heyes
(Natural News) Une nouvelle analyse des villes les plus dangereuses du monde a révélé que près d'une douzaine d'entre elles sont situées dans ce qui est censé être la nation la plus sophistiquée et la plus puissante de la planète - l'Amérique.
Il y a 11 villes américaines répertoriées parmi les 50 villes les plus dangereuses au monde, selon le classement 2023 de Numbeo, et elles ont un point commun : elles sont toutes dirigées par des démocrates, et de plus, elles le sont depuis des années, des décennies, dans la plupart des cas. .
Le Crime Index 2023 classe Baltimore au n° 15, Memphis au n° 18 et Detroit au n° 19. Deux villes supplémentaires, n° 23 Albuquerque et n° 27 St. Louis, figurent parmi les 30 pires.
Just the News a rapporté : « Brandon Scott, à peine âgé de 38 ans, est le maire de Baltimore. Jim Strickland Jr., avocat et homme politique, est le 64e et actuel maire de Memphis, où le département de police de Memphis vient d'annoncer son intention de désactiver définitivement l'unité à laquelle appartenaient cinq des officiers impliqués dans le passage à tabac vicieux de Tire Nichols. Mike Duggan, quant à lui, est actuellement maire de Detroit.
À Albuquerque, Tim Keller, 45 ans, est le maire, et à Saint-Louis, Tishaura Oneda Jones est le maire.
"Revenir en arrière pour une vue plus large donne une perspective encore plus sombre pour les démocrates, alors que six autres villes dirigées par des démocrates se classent parmi les 50 villes les plus dangereuses au monde : La Nouvelle-Orléans (#35), Oakland (#38), Milwaukee (#40), Chicago (#43), Philadelphie (#46) et Houston (#50). Encore une fois, toutes ces villes sont dirigées par des démocrates », a confirmé Just the News.
Les villes reçoivent à la fois un indice de criminalité et un indice de sécurité dans le graphique, les scores de criminalité inférieurs à 20 étant considérés comme excellents. Les scores de sécurité supérieurs à 80 sont considérés comme bons. Les villes américaines ne s'en approchent même pas. Baltimore a un score de criminalité de 75,5 et un score de sécurité de 24,5 - juste là avec Rosario, l'Argentine et d'autres cloaques de danger et de violence du deuxième et du tiers monde.
Le rapport a souligné que l'année dernière, la ville avait fait état d'une augmentation de 300 % des vols dans les dépanneurs. À Memphis, 4 501 crimes ont été signalés uniquement dans le centre-ville de la ville, et à Detroit, le jour du Nouvel An seulement, six personnes ont été abattues, dont cinq se sont retrouvées à la morgue. Plus de 200 policiers ont fui le département l'an dernier.
RépondreSupprimerJust the News a déclaré: «Les démocrates ont souvent été qualifiés de« doux envers le crime »par leurs adversaires. Le dernier rapport Numbeo ne fera pas grand-chose pour endiguer de telles dénonciations.
Pendant ce temps, en ce qui concerne le nombre d'officiers qui ont quitté Baltimore, les services de police de tout le pays connaissent une pénurie d'officiers grâce à des procureurs de district «indulgents contre la criminalité» qui ne poursuivent pas les criminels et aux politiciens démocrates «defund the police» qui ont leur propre sécurité privée.
Fait intéressant, un rapport de Fox News d'octobre a révélé que 11 (certains d'entre eux faisant partie du groupe de 11 villes américaines dangereuses, sans surprise) les services de police du pays ont du mal à recruter suffisamment d'officiers, laissant beaucoup se demander ce que impact du nombre réduit de flics sur la sécurité publique globale :
Porte-parole de l'Association nationale de la police Ret. sergent. Betsy Branter Smith a souligné onze villes qui ont connu de graves problèmes de personnel après la rhétorique anti-policière de 2020 et ses retombées politiques : New York City; Chicago; Los Angeles; Philadelphia; Seattle; St. Louis; Louisville, Kentucky; Austin and San Antonio, Texas; and Phoenix and Tuscon, Arizona.
"Je pense que cela pourrait être un problème générationnel", a déclaré Branter-Smith lorsqu'on lui a demandé combien de temps elle s'attend à ce que les problèmes de personnel durent. « Cela pourrait durer des années. Même si, disons, je pouvais actionner un interrupteur magique demain, et que tout le monde aimait la police et que chaque enfant en Amérique voulait être flic… il faut de neuf mois à un an à compter de la date d'embauche pour qu'une personne devienne policier. Donc, il y a un problème. Même si nous pouvions résoudre ce problème demain, il faudra un an avant que l'un de ces problèmes de personnel ne soit résolu.
Les démocrates détruisent délibérément nos villes, alors les Américains paniquent et les supplient de mettre en œuvre des «réformes» autoritaires, niant ainsi notre Déclaration des droits.
Les sources comprennent :
FoxNews.com
Numbeo.com
JustTheNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-02-03-11-of-the-worlds-most-violent-cities-one-party-runs-them.html
Ils ne se sont pas trompés ! grâce à Biden et Soros ce sont des milliers de tonnes de drogues qui entrent aux USA avec des armes. Les petits gangs de quartiers deviennent des armées nationales !
SupprimerUkraine : les républiques de Donetsk et Lougansk déclarées organisations terroristes
RépondreSupprimerKIEV, 16 mai 2014 -
RIA Novosti/La Voix de la Russie
Le Parquet général d'Ukraine a déclaré les républiques autoproclamées de Donetsk et de Lougansk « organisations terroristes », a indiqué vendredi le premier procureur général adjoint de l'Ukraine Nikolaï Golomcha sur la chaîne de télévision Kanal 5.
« Les deux républiques autoproclamées sont des organisations terroristes », a-t-il déclaré.
Selon le magistrat, le Parquet général dispose de preuves attestant que les combattants de Donetsk et de Lougansk ont bénéficié d'un financement important.
La population du sud-est de l'Ukraine s'est révoltée contre la politique des nationalistes arrivés au pouvoir à Kiev à la suite d'un coup d'Etat. Pour réprimer le mouvement de protestation, les autorités ukrainiennes soutenues par les Etats-Unis et l'UE ont lancé une opération armée dans les régions de Donetsk et de Lougansk.
Dimanche 11 mai, ces deux régions ont organisé des référendums sur leur futur statut politique. Dans la région de Donetsk, 89,7% des habitants ont voté pour l'indépendance de la république autoproclamée de Donetsk. Dans la région de Lougansk, 96,2% des votants ont soutenu l'acte d'indépendance de la République populaire de Lougansk.
L'Union européenne a déclaré qu'elle ne reconnaissait pas et n'entendait pas reconnaître à l'avenir les résultats de ces consultations populaires.
http://french.ruvr.ru/2014_05_16/Ukraine-les-republiques-de-Donetsk-et-Lougansk-declarees-organisations-terroristes-7935/
MÉTÉO: Le nord-est des États-Unis et l’est du Canada sous un froid historique
RépondreSupprimer4 février 2023, 01:03
Le Nord-Est américain et l’Est canadien sont confrontés depuis ce vendredi 3 février 2023 à des températures arctique, inédite depuis plus de trente ans. - 41° Celsius ont été enregistrés dans l’après-midi à Montréal, jusqu’à -51 degrés sont attendus dans l’État du Maine.
«Épique» et du jamais-vu depuis des «générations»: les services météorologiques des États-Unis et du Canada ont redoublé vendredi d’avertissements catastrophistes face aux températures polaires risquant d’atteindre -50 degrés ressenti dans le nord-est américain et l’est canadien soumis à un vent glacial.
L’État septentrional du Maine en particulier pourrait voir dans la soirée de vendredi et samedi la température chuter à -51 degrés Celsius ressenti, selon un bulletin du National Weather Service (NWS) pour la région de Caribou, non loin de la frontière avec le Canada. «C’est un coup (de froid) arctique épique», du jamais-vu à l’échelle d’une «génération», en particulier «quelque chose que le nord et l’est du Maine n’ont pas connu depuis 1982 et 1988», note le NWS.
En certains endroits du nord-est américain, et de cette région de la Nouvelle-Angleterre, les températures sous un vent glacial «pourraient atteindre leur plus bas niveau depuis des décennies voire un niveau jamais encore enregistré», selon le NWS.
De l’autre côté de la frontière, des alertes de froid polaire ont été émises pour l’est du Canada, selon le ministère de l’Environnement, qui a prévenu du risque d’engelures en quelques minutes.
La température ressentie était de -41° à Montréal vendredi après-midi. Le mercure pourrait descendre jusqu’à -50° ressenti dans les régions plus au nord du Québec. Une fumée blanche, appelée «fumée de mer arctique», s’élevait au-dessus du fleuve Saint-Laurent en raison du froid extrême passant au-dessus de l’eau non gelée. De fortes bourrasques de vent frappaient les rares passants croisés dans le centre-ville de Montréal lors d’un vendredi ensoleillé. La compagnie d’électricité Hydro-Québec se préparait à ce qu’un seuil de consommation historique survienne vendredi et samedi et a appelé ses clients à faire des économies d’énergie.
Garder les chiens au chaud
RépondreSupprimerDans la capitale Ottawa, des associations comme l’Armée du salut ont distribué aux personnes sans-abris non logées dans des foyers des sacs de couchage de haute montagne pour supporter des températures jusqu’à -40 degrés. Dans le même temps, les propriétaires de chiens ont été priés de les garder au chaud. En ville, la visibilité était presque nulle dans la nuit de jeudi à vendredi en raison de chutes de neige couplées à des vents forts.
Le pire du froid et du vent aux États-Unis devrait frapper dans la nuit de vendredi à samedi, notamment à Boston et à New York, plus au sud, où il pourrait faire -15 degrés. Avant que les températures ne remontent dimanche.
Pluie, neige, tempêtes, froid polaire et chaleur humide: le nord-est des États-Unis est tout au long de l’année soumis à des phénomènes météo extrêmes qui s’accompagnent de pertes en vies humaines et en dégâts matériels. Dernier en date, durant le week-end de Noël 2022, un blizzard et une tempête de neige ont frappé la ville de Buffalo, dans le nord-ouest de l’État de New York, faisant des dizaines de morts.
https://www.lematin.ch/story/le-nord-est-des-etats-unis-et-lest-du-canada-sous-un-froid-historique-936275278547
Moulins à vent climatiques
RépondreSupprimerPar William Sullivan
8 mai 2014
L'égoïsme pur dans les grandes embouchures du gouvernement affirmant qu'ils peuvent sauver l'humanité de toutes les menaces naturelles qui nous affligent devrait être risible. Et ne vous méprenez pas - pour beaucoup d'entre nous, il est.
Pour mon argent, l'humour comme l'égoïsme ne peut pas faire plus évident que puis-gouverneur Arnold Schwarzenegger dire les travailleurs de laboratoire à Toronto, "Je suis impatient de guérir toutes ces maladies terribles."
Imaginez la scène, avec ces mots étant prononcés en accent emblématique de Arnold tout en suggérant que lui et les programmes gouvernementaux dont il préconisait avait le pouvoir de débarrasser le monde des menaces comme la maladie microbienne et le cancer. La déclaration indique que si seulement il pouvait simplement accroître la sensibilisation du public à ces maladies et s'approprier les fonds publics et autorité , il enfiler le blanc manteau de laboratoire, habilement l'homme les pipettes, et aider à trouver la solution pour éradiquer ces maladies où le secteur privé a échoué. Peut-être qu'il avait même craché une marque one-liner à toutes les maladies que les craintes de l'humanité, comme il livré dans l'oubli. "Hasta la vista, le cancer."
Eh bien, cette scène est ridicule pour moi, mais rien de tout cela est ridicule au plus crédules ou espoir parmi nous. Pour eux, la délivrance de gouvernement de circonstances naturelles est si progressive et élever une notion que c'est un impératif moral carrément. Les experts annonçaient son commentaire de dépenser l'argent des Californiens comme discours musclé, un fier exemple de "Les Nouveaux Héros d'action" de muscle du gouvernement, comme le magazine TIME a fait .
Aussi ridicule que que tous puissent paraître, il y a quelque chose d'aussi ridicule dans le réchauffement climatique ... oups, je veux dire le changement climatique ... euh, désolé, "le dérèglement climatique" alarmisme, qui un nouveau rapport par l'évaluation nationale Climat trouve apparemment une phrase d'emballage plus à la mode. Par exemple, considérez lorsque le président Obama a dit une audience en 2008 que le monde de revenir sur son élection comme le moment identifiable quand la «montée des océans a commencé à ralentir, et de notre planète a commencé à guérir," fin maudit hausse de nos océans que la Terre a été condamnée à souffrir avant sa venue.
Il aurait dû être ri de la scène pour cette absurdité. Honnêtement, il parlait comme si la terre, les vents et le ciel étaient simplement des éléments à manipuler à sa guise, si seulement il pouvait rassembler l'argent des contribuables américains assez et l' un utorité à l'impôt la consommation d'énergie de la volonté de son cœur. Et encore une fois, les masses d'idiots s'évanouit à la suggestion, comme si Obama était Poséidon incarné !
L'affirmation d'Obama était stupide, même à la hauteur de l'alarmisme climatique, mais les temps ont bien changé, et il devrait sembler doublement stupide maintenant. Parmi les plus accablantes de révélations est venu avec les e-mails fuite écrits par des climatologues de l'Université d'East Anglia en 2009 qui ont fourni la preuve irréfutable sur les données climatiques manipulés, qui James Delingpole lancé le mondial scandale connu sous le nom «Climategate».
RépondreSupprimerIl semblerait d'insister sur le point de répondre à cette toute nouvelle, évidemment accusation que l'incident East Anglia reste clairement alarmistes anthropiques. Mais la répétition de déclarations évidentes ne fait pas mal, alors voici le verbiage utilisé par le professeur Phil Jones de East Anglia. Comme rapporté CNN, Jones a écrit: «Je viens de terminer« Nature Trick Mike «d'ajouter de véritables températures à chaque série de ces 20 dernières années ... pour cacher la baisse."
La baisse des températures réelles dont le professeur Jones rayon a été un sujet très discuté dans les années qui ont suivi le message messianique d'Obama en 2008. Et il a même été discutée par de nombreux scientifiques de haut niveau à tête qui semblent rester lié par l'idée aujourd'hui disparue qui les données doivent «prouver» la théorie plutôt que d'être manipulé pour "adapter" la théorie. Comme Peter Ferrara de Forbes a noté après avoir assisté à la septième Conférence internationale sur les changements climatiques en 2012, "les cycles climatiques naturels ont déjà tourné de réchauffement au refroidissement, les températures mondiales ont déjà été en baisse depuis 10 ans, et les températures mondiales vont continuer à diminuer pendant encore deux décennies ou plus".
Ok, la dernière observation (prévision, plutôt) est quelque chose que je vais prendre avec un grain de sel. Pourquoi ? Parce que je suis un être humain. Je recherche des modèles. Et quels sont les modèles que j'ai trouvé ? Eh bien, dans le sens le plus fondamental, tout au long de l'histoire humaine, monte et descend en température ont été observées avec des rimes et des raisons qui sont très au-delà de ma compréhension.
Mais les scientifiques du climat, paraît-il, ne font guère plus que les modèles observer, aussi, quand ils ne sont pas truquer les données pour observer les modèles qu'ils recherchent. Prendre une observation de la 20 ème siècle le réchauffement climatique anthropique ... excusez-moi, "le dérèglement climatique," la foule doit encore trouver assez troublant. Également noté dans le rapport de Ferrara de la même conférence, «les températures ont chuté de façon constante depuis la fin des années 1940 à la fin des années 1970. La presse populaire a même parlé d'une prochaine période glaciaire. Les périodes glaciaires ont eu lieu à peu près tous les 10.000 ans, avec une nouvelle raison maintenant. "
Donc, les températures ont chuté dans une période d'expansion économique industrialisée massive ? Des détails mineurs ?
RépondreSupprimerVoici une autre observation gênant pour les alarmistes, également noté par Ferrara:
Don Easterbrook, professeur émérite de géologie à l'Université Western Washington ... prédit publiquement en 2000 que les températures mondiales pourraient diminuer d'ici à 2010. Il a fait cette prédiction, car l'AOP (décennale du Pacifique Observation) avait tourné à froid en 1999, quelque chose que les scientifiques politiques au GIEC de l'ONU ne savaient pas ou penser significative.
Eh bien, les résultats sont, et le gagnant est ... Don Easterbrook. Easterbrook a également parlé lors de la conférence de Heartland, avec une présentation intitulée «Les prévisions sont d'une tendance au refroidissement de 20 ans crédibles ?" Watch en ligne et vous verrez comment les scientifiques sont censés parler: cool rationnelle, analyse, logique des données, et pleine explication. Tout ce que je vois dans les alarmistes du réchauffement climatique, en revanche, est des relations politiques publiques, des attaques personnelles, ad hominem , arguments et injures, combinées avec les admissions qu'ils ne peuvent pas défendre leurs points de vue dans le débat public.
Mais alors, pourquoi les alarmistes devraient défendre le raisonnement qui soutient leurs points de vue dans le débat public, quand ils peuvent publier des rapports non contestés sans les inconvénients des raisons contradictoires pour justifier observations ?
Le rapport national d'évaluation du climat précitée fait exactement cela. J'avoue que je n'ai pas pataugé dans l'ensemble du rapport 840-pages, mais je ne peux rien trouver dans le matériau fourni pour la consommation de masse offre des liens probants entre les observations du rapport (ou de ses prédictions farfelues) et les causes potentiellement sous-jacentes. Il semble rien de plus simple présomption que la cause des observations et des prévisions est en carbone et la prolifération des combustibles fossiles. Vous êtes tout simplement à supposer que c'est vrai parce qu'ils le disent. Ne plus penser.
«Le changement climatique d'origine humaine a déjà augmenté le nombre et la force de ces [météorologiques] événements extrêmes», le rapport national d'évaluation du climat cite. La mesure dans laquelle les êtres humains sont d'"induire" les conditions météorologiques ne sont jamais abordées. Les observations sont tout simplement fait, et «le changement climatique induit par l'homme" est gouverné responsable des observations du rapport comme un donné. C'est comme si toutes les hypothèses contraires, y compris les variables qui restent inconsidéré, sur les causes sous-jacentes sont nulles et non avenues.
Mon, comment la théorie scientifique et la "prendre tous les arrivants" état d'esprit de ses pratiquants authentiques ont changé.
Mais une question demeure persistante. Mais qui est ce groupe qui a publié le rapport, l'évaluation nationale du climat ? Nul autre que le bras du programme de recherche aux États-Unis et le changement global. Sa recherche est financée par des fonds fédéraux, et ses conclusions ailleurs promouvoir le programme fédéral qui a sommeillé dans ce moment depuis ascendant de Barack qui a jeté le doute sur l'étendue de la culpabilité "humaine" pour "le dérèglement climatique." (Là, j'ai finalement obtenu right.)
Donc il n'est pas étonnant que Barack Obama est maintenant vantant ses «conclusions» et «prédictions» de la ruine de la terre entre les mains de l'énergie industrialisée ? "Ce n'est pas un problème lointain de l'avenir," Obama dit. Dérèglement climatique qui est "affecte déjà toutes les régions du pays et les secteurs clés de l'économie."
Et il devrait savoir. Le même président qui a juré qu'il pourrait prendre l'argent des contribuables et de réduire les marées de l'océan a commandé son propre rapport comme un témoignage du fait que vous avez vraiment besoin de lui pour régler vos coûts de consommation d'énergie, en dépit de votre propre ignorance troglodyte.
RépondreSupprimerNos élites gouvernementales comptent sur nous pour les aider à lutter contre les fantômes du climat sur la colline. Allons-nous jouer notre rôle de Sancho Panza à leur beaucoup plus lucide et manipulatrice Don Quichotte ? Étant donné que les démocrates sont de renier activement les textes politiques de cette administration, ils comptent sur nous pour le faire en 2014, et ils exigent que des millions d'Américains actuellement indifférents à "dérèglement climatique" prendre les armes dans une bataille dans laquelle la logique nous dit, il n'y a pas naturel, ou encore discernable, ennemi.
William Sullivan blogue sur politicalpalaverblog.blogspot.com et peut être suivi sur Twitter .
http://americanthinker.com/2014/05/tilting_at_climate_windmills.html
https://huemaurice5.blogspot.com/2014/05/moulins-vent-climatiques.html
En France après guerre, on acceptait tout, aujourd’hui on n’accepte plus rien, Pourquoi ?
RépondreSupprimerLes périodes d’inflation ont été importantes en France depuis 1900. Il y en a eu trois très conséquentes : De 1915 à 1920 le taux est monté jusqu’à près de 40 %, puis de 1923 à 1926 un pic à 31,7 %, ensuite entre 1936 à 1952 avec un plus haut à près de 60 % en 1948.
Par Daniel Moinier
le 3 février 2023 à 15h10
93 % des actifs ne veulent pas du report de l'âge de la retraite.
Et pourtant pendant toutes ces périodes très difficiles à vivre, nos concitoyens subissaient, avec peu de réactions à l’encontre des gouvernants. Il est vrai que la situation de la France était très différente avec une part rurale très importante. C’est en 1935 que le taux entre ruraux et urbains s’est trouvé à l’équilibre.
De 1962 à 1968 ce fût une période de grand exode rural, la France passant à 34,8 millions d’urbains contre 14,9 millions de ruraux. Cela a continué pour atteindre en 2020 un taux de 80,7 % de personnes vivants en espace urbain.
La façon de vivre en campagne était très différente à celle d’aujourd’hui, hors les paysans qui vivaient de leurs produits, les ouvriers et employés pour compléter leur faible salaire, avaient de grands jardins qui permettaient avec porcs, volaille, lapins,…, de vivre presque en autonomie. L’hiver ils allaient « faire » leur bois qui était le principal moyen de chauffage. C’est donc cette autonomie qui permettait de moins ressentir les effets inflationnistes pendant les périodes extrêmement élevées.
Il n’existait aucune aide sociale avant 1930, année de création des allocations familiales et c’est en 1938 qu’elles deviendront indépendantes du salaire et de l’entreprise.
En 1936, création de deux semaines de congés payés, suivie de la semaine de 40 heures adoptée dans de nombreux pays.
Les allocations chômage sont créées en 1958. Avant il n’y avait pas de chômage, il existait seulement des bourses du travail qui permettaient de changer d’emploi avec les offres déposées.
Depuis les 40 heures, les salariés pouvaient augmenter leur salaire avec les heures supplémentaires, puisque la moyenne d’après guerre avoisinait les 50 heures. Dans certaines professions ce niveau était largement dépassé. Personnellement, dans un grand groupe international, les horaires étaient de 55 heures pour tous, cadres ou pas. Il était possible dans les périodes de fortes commandes d’effectuer 2 à 3 heures de plus par jour.
Tous ces changements, incompréhensions se sont encore amplifié avec le grand chamboulement dû à la transition écologique, énergétique. Il y a eu aussi la condition féminine, les rémunérations inférieures, les modifications face aux comportements masculins tel le mouvement MeToo, c’est aussi le "wokisme" qui s’attaque à la justice social, l’égalité raciale, la communauté LGBT qui est issu des « Black Lives Matter » aux Etas-Unis.
RépondreSupprimerIl ne manquait plus que l’inflation pour déstabiliser le commerce local, régional, mondial. Les prix sont devenus très instables, modifiant toutes les règles économiques, avec des augmentations de prix de certains produits ou services, avec une pression sur les salaires. L’état n’entend plus les contestations, il essaie de les devancer, surtout depuis cette période des gilets jaunes qui ont révolutionné le pays et l’ont mis à feu et à sang.
Puis ce fût la période 2020-2023 et son Covid. La crise sanitaire a fait apparaître un autre syndrome durable de la société française, une autre façon de vivre, de consommer, de travailler en télé-travail, en valorisant le temps libre et la sphère privée : appelée « la grande flemme ».
Une enquête de l’IFOP de fin 2022, à la demande de la Fondation Jean Jaurès a déduit que 41% des français.es étaient plus fatigués, 37% moins motivés au travail et 30% moins passionnés dans leurs activités du quotidien. La société française est suspectée d’accorder trop de place aux temps libres, loisirs.
Alors sur quelle base pourrait-on objectiver l’idée d’un nouveau déclin de la valeur travail en France ?
La retraite à 65 puis 64 ans serait gagnée par une aggravation de son mal.
Que n’entend t-on pas dire des plus jeunes : Il ne nous sera pas possible d’arriver aux 64 ans, nous serons morts avant, ou tellement fatigués que l’on ne pourra pas profiter de la vie !
Ils rentrent dans l’emploi plus tard, terminent plus tôt que leurs ainés et se sentent déjà fatigués !
La faible appétence des Français pour le travail, notamment lorsque celui-ci est pénible, en serait-il la source ? L’absence d’objectivation ne nous permet pas d’évacuer pour autant ce ressenti bien palpable d’une démotivation dans les enquêtes et de considérer qu’il n’y a aucune conséquence sur le terrain.
Que savons-nous de ce syndrome ?
A fin 2019, il y avait 41 milliards d’heures travaillées en France. Ce chiffre peut impressionner, mais par habitant cela ne fait que 610 heures, soit 3 mois et 16 jours. C’est un niveau bien plus faible que tous les pays européens : Belgique 625 heures, Italie 670, Danemark 684. Puis vient un groupe de trois à plus de 700 heures : Espagne, Allemagne, Norvège et plus haut encore : Grèce, Pays-Bas, Finlande, Autriche avec 750 heures et un groupe beaucoup plus haut entre 800 et 900 heures : Portugal, Suède, Irlande, Suisse, Royaume-Uni. Mais ce n’est pas tout, la France a plutôt eu une baisse de travail par habitant, alors que ses voisins ont vu leur temps de travail partir à la hausse. L’Allemagne qui était proche de nous en 2004, en augmentant son temps d’activité a gagné 88 heures par rapport à nous. Cette baisse a une forte incidence sur la productivité globale en passant de la 5ème place, puis 15ème, ensuite 24 ème et 29ème en 2019 !!!. Si cette tendance se confirme l’économie française va rapidement se trouver à la dérive et à la traîne de toutes les nations industrialisées. Sans suffisamment de temps travaillé collectivement, donc moins de revenu, de rentrées pour l’état, ce sont tous les commerçants, entreprises, services… qui vont péricliter. C’est se diriger vers moins d’avantages que l’on reçoit avec le travail des autres. On pourra toujours continuer à critiquer, rouspéter, crier, manifester, casser, l’état, sans finance ne pourra plus rien pour nous. Le seul secteur qui nous remonte un peu de ce « pétrin », c’est la très bonne tenue des startups et leur forte augmentation et aussi nos cadres, artisans, les non horaires qui sont à l’inverse en haut du tableau en nombre d’heures travaillées en Europe. A bien réfléchir.
RépondreSupprimerwww.danielmoinier.fr
Daniel Moinier
Daniel Moinier a travaillé 11 années chez Pechiney International, 16 années en recrutement chez BIS en France et Belgique, puis 28 ans comme chasseur de têtes, dont 17 années à son compte, au sein de son Cabinet D.M.C. Il est aussi l'auteur de six ouvrages, dont "En finir avec ce chômage", "La Crise, une Chance pour la Croissance et le Pouvoir d'achat", "L'Europe et surtout la France, malades de leurs "Vieux"". Et le dernier “Pourquoi la France est en déficit depuis 1975, Analyse-Solutions” chez Edilivre.
DU MÊME AUTEUR :
RépondreSupprimerUKRAINE, une guerre horrible, idéologique pour l’honneur jusqu’au boutiste?
Un adage semble encore très présent « Supprimer » des seniors, il y aura plus de place pour les jeunes ?
La décroissance peut-elle sauver la planète ? Est-ce la solution ou non !
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https://www.economiematin.fr/france-protestation-retraite-travail-societe-changement-moinier
Avec la retraite personnelle par capitalisation le travailleur part à la retraite QUAND IL VEUT !
SupprimerEvolution du marché mondial de l’automobile : grosse surprise
RépondreSupprimerle 3 février 2023
Alors que l’industrie de production d’électricité d’origine nucléaire est en Chine en plein essor avec une vingtaine d’usines en construction, j’y reviendrai dans un prochain billet, la Chine a en moins de deux ans égalé l’Allemagne au niveau des exportations d’automobiles individuelles, propulsées par des moteurs à combustion interne ou électriques. La firme japonaise Toyota reste le leader mondial sur ce marché export avec trois millions de véhicules exportés en agrégeant toutes les usines non situées sur le territoire national nippon. L’industrie automobile coréenne est maintenant dépassée par la Chine. L’article de Mish Shedlock sur son site mish.talk est éloquent et se passe d’autres commentaires :
- voir graph sur site -
Plus intéressant encore est le marché des pièces détachées relatives aux véhicules automobiles exportés par la Chine. De 2010 à à 2020 le marché à l’export stagnait aux alentours de 10-15 milliards de dollars par an. Le marché des pièces détachées a parallèlement fortement augmenté pour ensuite se stabiliser autour d’un volume de 50 milliards de dollars. L’examen du graphique ci-dessous indique clairement une recherche de la qualité et de la fiabilité des voitures individuelles “made in PRC”. Ce n’est en effet que ce seul facteur qui permet un accroissement potentiel du marché export à venir. Si la confiance du consommateur est assurée alors le marché peut s’accroître avec un service après vente correctement organisé dans les pays importateurs. Il est intéressant à ce propos de se souvenir des déboires de Peugeot et Citroën dans le courant des années 1970-1980 sur le marché export vers l’Amérique du Nord. Ce fut un véritable fiasco car les dirigeants de ces deux entreprises n’avaient pas saisi l’importance du service après vente et de la disponibilité des pièces de rechange afin de pérenniser les ventes à l’export.
- voir graph sur site -
Pour terminer le commentaire sur ce graphique, l’incroyable montée en puissance des exportations de véhicules individuels entre 2020 et 2022 triplant en deux ans seulement avec toujours parallèlement une augmentation de l’exportation des pièces détachées de seulement 37 %, ceci indiquant que la qualité des véhicules est devenue pleinement satisfaisante. Pour plus de précisions l’essentiel des voitures électriques dites chinoises en Europe proviennent en réalité de trois fabricants européens devenus chinois car rachetés par BYD Co et Nio Inc. Il s’agit des voitures électriques vendues sous les marques Volvo et MG, avec les voitures électriques Dacia Spring et BMW iX3 étant exclusivement produites en Chine ! L’explication est limpide : la Chine est devenue en seulement quelques années le premier producteur mondial de batteries pour véhicules électriques. L’objectif de l’Association chinoise des fabricants de véhicules automobiles individuels est de vendre à l’export deux fois plus de voitures que Toyota à l’horizon 2030.
Source : https://mishtalk.com
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/02/03/evolution-du-marche-mondial-de-lautomobile-grosse-surprise/
Le 4 février 2023 à 8 h 27 min,
RépondreSupprimerjacqueshenry.wordpress.com
a dit :
Les yankees sont acculés car il savent qu’ils ont perdu la partie en Ukraine (cf. le nouveau rapport de la Rand Corporation). Ils espèrent ruiner l’Europe en l’obligeant à payer leurs dettes astronomiques, ils n’oseront jamais attaquer l’Arabie saoudite qui se fait payer en Yuans et en roupies, le pétrodollar est mort et plus personne ne fait confiance aux USA depuis qu’ils ont confisqué les actifs de la Russie (ça pourrait arriver à n’importe quel pays) et enfin c’est un gigantesque bordel sociétal aux USA avec une part croissance de la population qui ne veut plus de la politique étrangère américaine.
L’aigle américain est blessé mais il ne pourra plus voler très longtemps. Les Chinois ont maintenant autant de navires de guerre que les Américains et ils disposent de missiles suffisants pour couler n’importe quel porte-avion qui s’approcherait trop des côtes du pays.
Pour un résumé de la géopolitique en 2023 il y a ceci :
https://www.youtube.com/watch?v=EICGYo8aXZM&ab_channel=PublicationsAgora
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