- ENTREE de SECOURS -



lundi 13 février 2023

Alexandra Henrion-Caude - Les apprentis sorciers

 

53 commentaires:

  1. Point de vue : « Silent Earth » (terre silencieuse) n'est que l'alarmisme d'un administrateur d'ONG anti-pesticides (republié)


    13 Février 2023
    Amanda Zaluckyj, AGDAILY*


    Ça y est ! « Terre silencieuse – Empêcher l'extinction des insectes » de Dave Goulson est publié. Visiblement, l'auteur veut marcher sur les traces de Rachel Carson...

    Les prêcheurs d'apocalypse sont sur les chemins, agitant le spectre d'un monde sans insectes.

    C'est le cas, particulièrement, du Monde de M. Stéphane Foucart avec un conditionnel de prudence – « En Europe, l'abondance d'insectes pourrait avoir chuté de près de 80 % en trente à quarante ans » – et, bien sûr, une mise en cause des pesticides, « cause majeure du déclin de l'entomofaune sous nos latitudes ».

    Attention les yeux ! « Le livre qu’il faut donc lire, et faire lire ces jours-ci, est celui de Dave Goulson, professeur à l’université du Sussex... » [Nouveau paragraphe] « C’est non seulement un devoir moral, mais aussi une question vitale... »

    Republions donc un avis plus mesuré et plus critique.

    Les agriculteurs connaissent bien les ravageurs. Ils se présentent sous diverses formes – insectes, mauvaises herbes, champignons, bactéries, virus... Si on n'y prend garde, ces ravageurs peuvent décimer les plantes, les champs et des exploitations entières. Heureusement, nous vivons à une époque où la science et la technologie ont mis au point de nombreux moyens efficaces et sûrs de les combattre.

    Mais tout le monde n'apprécie pas nos innovations en matière de lutte contre les ravageurs, en particulier les pesticides. Et ces voix avaient quelque chose à célébrer la semaine dernière : le livre de Dave Goulson, Silent Earth, est sorti.

    Goulson y expose sa théorie selon laquelle la population mondiale d'insectes diminue de façon si dramatique que nous sommes confrontés à un armageddon. Pour Goulson, la vie moderne est à blâmer, et l'élimination des pesticides est la seule réponse logique.

    L'apocalypse des insectes n'est pas une idée nouvelle. Elle existe depuis une vingtaine d'années, mais elle a suscité un intérêt accru au cours des trois ou quatre dernières années. Et Goulson est souvent cité pour parler de l'apocalypse imminente et des méfaits des pratiques agricoles conventionnelles.

    Pour sa part, Goulson se présente comme un scientifique légitime et digne de confiance. Il est professeur de biologie à l'Université du Sussex en Angleterre et a écrit plusieurs livres sur les abeilles.

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  2. Mais vous ne serez pas surpris d'apprendre que Goulson n'est pas un chercheur impartial. Il est membre du conseil d'administration du Pesticide Action Network UK, une organisation militante qui s'efforce de réduire l'utilisation de produits de protection des plantes « dangereux » et « chimiques ». Pire encore, certains milieux considèrent Goulson comme un « scientifique à louer ». En d'autres termes, ses études aboutissent aux résultats que ses clients souhaitent.

    La bonne nouvelle est que Goulson a tort. Les enquêtes et études qu'il a menées et sur lesquelles il s'appuie sont pour le moins imparfaites et incomplètes. Heureusement, le scientifique Matthew Moran et son équipe triée sur le volet ont publié en 2020 une étude complète qui remet en question les conclusions de Goulson. L'approche de Moran a pris des données brutes couvrant des décennies pour divers insectes en Amérique du Nord. Devinez quoi ? Ils n'ont trouvé aucun changement significatif dans les populations.

    Malheureusement, « tout va bien ici » ne suscite pas autant de clics que « c'est la fin du monde ».

    Je suis peut-être trop dure avec Goulson. Après tout, il vient du Royaume-Uni, alors peut-être ne sait-il pas que l'utilisation des pesticides par les agriculteurs américains a considérablement changé depuis les années 1960. En fait, nous avons réduit la quantité appliquée par hectare de près de 60 %. Nous avons réduit la toxicité des pesticides de 98 %. Et nous avons réduit de moitié la persistance des pesticides dans l'environnement. L'utilisation des pesticides a atteint un pic en 1972 et a diminué la plupart des années suivantes jusqu'en 2008.

    Et voici le plus important : nous avons de très, très bonnes raisons d'utiliser ces pesticides. Par exemple, la Weed Science Society of America a travaillé avec l'Université d'État du Kansas pour déterminer ce qui se passerait si les mauvaises herbes n'étaient pas contrôlées dans les champs de maïs et de soja d'Amérique du Nord. Ils ont déterminé que cela réduirait les rendements de 50 % et entraînerait des pertes économiques annuelles de 43 milliards de dollars. La sécurité alimentaire à l'échelle nationale serait dévastée.

    Les pesticides contribuent également à promouvoir des pratiques de production respectueuses des sols. Le développement de cultures résistantes aux herbicides a permis à un plus grand nombre d'exploitations agricoles dans tout le pays d'avoir accès aux techniques culturales sans labour (semis direct) et aux cultures de couverture. Ces méthodes favorisent la santé des sols et réduisent l'érosion. Pourtant, Goulson s'oppose aux cultures génétiquement modifiées uniquement parce qu'il n'aime pas les sociétés qui les ont créées.

    Goulson et ses amis n'ont que faire d'une conversation nuancée. Au lieu de cela, ils promeuvent un programme aveugle visant à éliminer l'utilisation de tous les pesticides et à réorienter l'agriculture vers la production biologique. L'ironie est que Goulson admet que l'agriculture biologique a des rendements nettement inférieurs et utilise également des pesticides à des niveaux toxiques pour les insectes.

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  3. Goulson suggère que nous pouvons surmonter ces problèmes en réduisant ou en éliminant simplement le gaspillage alimentaire. C'est optimiste. Mais il n'en reste pas moins que cela entraînerait une diminution de notre approvisionnement alimentaire et une flambée des prix. Je ne suis pas sûre que ceux qui luttent déjà contre la faim et la malnutrition trouveront ses idées réconfortantes.

    Et tout cela pour prévenir un problème qui n'existe pas, du moins pas en Amérique du Nord. Silent Earth n'est rien d'autre qu'un ouvrage de propagande alarmiste rempli de demi-vérités et de désinformation. L'apocalypse des insectes n'est pas imminente.

    Nos insectes vont bien. Nos fermes vont bien. Tout va bien.
    ______________

    * Amanda Zaluckyj tient un blog sous le nom The Farmer's Daughter USA. Son objectif est de promouvoir les agriculteurs et de lutter contre la désinformation qui tourbillonne autour de la filière agroalimentaire américaine.

    Source : Silent Earth is simply alarmism from an anti-pesticide trustee | AGDAILY

    https://seppi.over-blog.com/2023/02/point-de-vue-silent-earth-terre-silencieuse-n-est-que-l-alarmisme-d-un-administrateur-d-ong-anti-pesticides-republie.html

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    1. CHAQUE JOUR ce sont DES milliards d'oiseaux et d'insectes ravageurs qui sont massacrés par les éoliennes.

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  4. Un consultant californien : la conversion au bio pourrait faire augmenter le prix des aliments et réduire les bénéfices des exploitations agricoles


    13 Février 2023
    AGDAILY Reporters*


    Un objectif politique de l'Union Européenne visant à faire passer l'agriculture biologique à 25 % [ma note : le texte original dit « 30 », ce qui semble être l'objectif californien envisagé] de l'ensemble de la production agricole d'ici 2030 – une expansion considérable par rapport à la situation actuelle de l'UE – devrait également être envisagé par le gouverneur de la Californie, Gavin Newsom, pour le budget de l'année prochaine. Cependant, une nouvelle analyse économique indique qu'un tel plan augmenterait considérablement le prix des aliments pour de nombreux consommateurs et mettrait en péril la solvabilité des exploitations biologiques.

    L'étude, intitulée Economic Considerations for Conceptual Organic Policy Targets, a été réalisée par Californians for Smart Pesticide Policy, une coalition d'agriculteurs et d'entreprises qui dépendent des agriculteurs, dont le but est de sensibiliser les décideurs aux avantages des outils agricoles scientifiques modernes. Elle a été réalisée pour le compte de la California Bountiful Foundation, la branche scientifique et de recherche 501(c)(3) [une organisation sans but lucratif, bénéficiant d'exemptions d'impôts] du California Farm Bureau.

    La Californie compte actuellement environ 2,97 millions d'hectares de terres cultivées irriguées, dont 186 000 hectares – soit 6 % – sont certifiées biologiques, et ces terres ne sont pas toutes exploitées au cours d'une année donnée.

    Une analyse préliminaire réalisée par ERA Economics, une société de conseil basée à Davis et spécialisée dans l'économie de l'agriculture et des ressources en eau en Californie, s'est concentrée sur les défis potentiels de l'application des normes européennes à une culture californienne : la tomate. L'État produit 95 % des tomates de transformation américaines et la récolte annuelle totale de tomates est évaluée à 1,2 milliard de dollars.

    Seuls 5 % des 92 000 hectares de tomates de transformation de la Californie sont actuellement nécessaires pour répondre à la demande des consommateurs en matière de produits biologiques. L'étude a révélé qu'atteindre une production biologique de 30 % d'ici 2030 entraînerait des perturbations importantes sur le marché. On estime que le prix à la production des tomates conventionnelles augmenterait de plus de 11 %. Et, surtout, le prix des tomates biologiques chuterait de 28 % au niveau de l'exploitation, ce qui pourrait faire passer le prix du marché en dessous du coût de production.

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  5. Cela pourrait signifier que les agriculteurs biologiques seraient contraints de cesser leur production, de vendre ou de cultiver autre chose – un résultat qui pourrait potentiellement faire s'effondrer le marché biologique et, en fin de compte, faire grimper les prix à la consommation. Rendre obligatoire l'augmentation des surfaces cultivées en agriculture biologique sans lien clair avec la demande des consommateurs pourrait entraîner des perturbations du marché qui nuiraient à la fois aux agriculteurs, aux employés agricoles et aux consommateurs, souligne l'étude.

    Toute baisse initiale du prix des produits biologiques profiterait principalement aux consommateurs les plus riches qui achètent des produits issus de l'agriculture biologique, les clients à faible revenu payant davantage pour les produits issus de l'agriculture traditionnelle. Tous les producteurs de tomates, biologiques ou non, pourraient voir leurs bénéfices diminuer, selon l'analyse.

    L'étude coïncide avec d'autres préoccupations soulevées par des chercheurs indépendants au sujet de la production biologique, notamment le fait que, malgré la forte perception du public selon laquelle l'agriculture biologique produit de meilleurs résultats environnementaux, les données montrent que l'agriculture conventionnelle est souvent plus performante en ce qui concerne les mesures environnementales, notamment l'utilisation des terres, les émissions de gaz à effet de serre et la pollution des masses d'eau.

    Les conclusions d'ERA Economics sont les suivantes :

    L'augmentation de la superficie consacrée aux tomates biologiques destinées à la transformation, qui passerait d'une moyenne de 4 % à 30 %, représenterait une multiplication par cinq ou six des superficies actuelles [ma note : c'est ce que dit l'original...]. Les producteurs et les transformateurs de tomates interrogés dans le cadre de l'analyse ont confirmé les données de l'industrie concernant le désir limité des consommateurs d'acheter des produits issus de tomates biologiques.

    Les producteurs de tomates peuvent se spécialiser dans la culture biologique, non biologique ou les deux, selon la demande et les conditions du marché. Le fait d'imposer une méthode de culture spécifique pourrait avoir un impact considérable sur la capacité des agriculteurs à maintenir la viabilité de leur exploitation, tant sur le plan financier qu'en ce qui concerne les autres défis à relever, comme le changement climatique, les parasites et les maladies.

    Les producteurs de tomates de transformation, tant conventionnels que biologiques, sont confrontés à des risques de pertes économiques. Les producteurs conventionnels, avec une réduction probable de la superficie cultivée, pourraient subir une baisse potentielle de 17 % par rapport aux revenus attendus.

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  6. La production biologique présente un risque plus élevé de mauvaises récoltes, de coûts de production plus élevés et de rendements plus faibles. Par conséquent, les agriculteurs biologiques sont susceptibles de connaître une moins grande stabilité. Ils seraient confrontés à un surcoût potentiel de 36 % du produit net prévu, ce qui rend la culture de tomates de transformation biologiques potentiellement non rentable.

    Il est surprenant qu'un État américain cherche à suivre l'UE en matière de politique agricole. Les résultats obtenus en Europe ne sont pas particulièrement bons. Par exemple, le projet de l'UE d'adopter une stratégie « de la ferme à la table » prévoyant une réduction de l'utilisation des produits phytosanitaires et des engrais, ainsi qu'une transition importante vers la production biologique, a été largement critiqué en raison de la probabilité d'une baisse considérable de la production alimentaire sur le continent et des dommages causés aux forêts vierges d'outre-mer, qui feraient les frais de la demande de nouvelles terres agricoles (et d'une augmentation des émissions de carbone) pour compenser le manque de production sur le sol européen.

    « L'agriculture fonctionne lorsque nous sommes en mesure de cultiver ce que le consommateur souhaite réellement et non ce que le gouvernement impose. Les consommateurs californiens ont déjà du mal à payer des prix plus élevés pour les denrées alimentaires que dans les autres États à cause des directives gouvernementales et ce type de propositions ne fait qu'aggraver la situation », a déclaré M. Jamie Johansson, président du California Farm Bureau. « Lorsque le gouvernement augmente le prix des denrées alimentaires, cela agit comme une taxe régressive qui frappe le plus durement les familles à revenus faibles et moyens. En fin de compte, le gouvernement doit laisser les marchés biologiques se développer de manière organique. »
    ________________

    * Source : Converting to organic could increase food prices, shrink farm profits (agdaily.com)

    https://seppi.over-blog.com/2023/02/un-consultant-californien-la-conversion-au-bio-pourrait-faire-augmenter-le-prix-des-aliments-et-reduire-les-benefices-des-exploitations-agricoles.html

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    1. Demain, les paysans produiront pour eux-mêmes.
      "Vous n'aurez rien et serez heureux !"

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  7. Le prix du jus d’orange devrait lui aussi fortement augmenter

    Parmi les produits du quotidien qui risquent bel et bien d’augmenter, les consommateurs vont pouvoir ajouter à leur corps défendant le jus d’orange ! Les cours mondiaux du nectar ont en effet explosé.


    Par Olivier Sancerre
    le 13 février 2023 à 17h43


    L'an dernier, le litre de jus d'orange revenait à 1,13 euro.

    Le jus d'orange risque bien de coûter plus cher dans les prochains mois. Les cours mondiaux ont en effet fortement augmenté : entre juillet 2022 et février 2023, ils ont même explosé de 77% ! Si, à l'heure actuelle, les prix demeurent raisonnables dans les rayons des supermarchés, ils pourraient progressé jusqu'à 60% très bientôt, préviennent les spécialistes du secteur. Sachant que le prix moyen d'un litre de jus d'orange à base de concentré s'établissait l'an dernier à 1,13 euro. D'une année sur l'autre, ce tarif reflétait déjà une hausse sensible de 4,4%.

    Ouragans et bactérie mortelle pour le jus d'orange

    La production mondiale du jus d'orange rencontre plusieurs difficultés d'ordre structurel et conjoncturel. Il y a d'abord les aléas climatiques qui ont bousculé les États-Unis, un des plus importants producteurs, et tout particulièrement la Floride. L'État américain a subi une saison des ouragans particulièrement forte, ce qui a eu un impact sur les plantations. Mais les professionnels floridiens font également face à une menace plus insidieuse : celle de la psylle, un insecte qui dévore la sève des oranges. Apparue en 2005, cette bactérie fait des ravages.

    Les États-Unis s'enfonce, le Brésil résiste

    Résultat : la production de Floride est passée de 9 millions de tonnes en 2005, à 1,6 million de tonnes en 2021-2022. Globalement, les États-Unis ne produisent plus que 20 à 30% du jus d'orange par rapport au niveau d'avant la psylle. Le Brésil tente de son côté de résister à la bactérie à grand coup d'insecticide, mais c'est insuffisant pour compenser la baisse américaine. Quant à l'Europe, où la bactérie n'est heureusement pas présente, la production se tourne surtout vers les oranges de table et non pas les oranges à jus. Par conséquent, la faiblesse de l'offre mondiale devrait relever les prix pour les consommateurs.

    https://www.economiematin.fr/le-prix-du-jus-dorange-devrait-lui-aussi-fortement-augmenter

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  8. S'ils sont prêts à empoisonner les poulets pour les empêcher de pondre, ils empoisonnent probablement l'approvisionnement alimentaire HUMAIN pour nous empêcher d'avoir des enfants.


    Sunday, February 12, 2023
    by: S.D. Wells


    (Natural News) Même les médias grand public ne peuvent éviter de rapporter la dévastation généralisée qui affecte les poulets et les œufs dans les fermes à travers le pays, faisant monter en flèche le prix de la viande et des sous-produits. Des incendies massifs et des explosions dans les usines de transformation des aliments aux aliments pour animaux empoisonnés à l'arsenic et aux produits chimiques contre l'infertilité, tout cela semble faire partie du "plan directeur" des mondialistes et des démocrates pour anéantir la classe moyenne et installer le redoutable socialisme en Amérique.

    Quelques entreprises d'alimentation animale détenues et contrôlées par des mondialistes fournissent aux agriculteurs des aliments pour poulets contaminés qui empêcheraient prétendument les poules de produire des œufs, ce qui aggraverait les pénuries alimentaires chaotiques et les ruptures de la chaîne d'approvisionnement. Est-ce une autre tentative de paralyser l'ensemble de l'approvisionnement alimentaire, y compris la viande et les œufs, afin que tout le monde coure aux épiceries et achète de la viande Franken génétiquement mutée et concoctée en laboratoire que Bill Gates finance ? Il semblerait que oui.

    La marque Dumor de Purina et la marque d'aliments pour poulets Producer's Pride de Tractor Supply empêchent les poules de pondre des œufs pendant des mois
    Non seulement les poules sont incapables de pondre des œufs pendant des mois après avoir consommé des aliments contaminés fabriqués par les mondialistes, mais est-il possible que ces poulets et ces œufs soient également toxiques pour les humains, ce qui peut également leur causer des problèmes d'infertilité ? Les fournisseurs d'œufs et les agriculteurs locaux dénoncent ce qui pourrait être la pointe de l'iceberg lorsqu'il s'agit d'entreprises qui tentent délibérément de paralyser l'approvisionnement en viande et en œufs de ce pays, faisant grimper l'inflation.

    Depuis octobre, plusieurs éleveurs d'œufs américains ont connu la production d'œufs ZÉRO de leurs poulets, jusqu'à ce qu'ils changent leur alimentation pour un autre type, certains allant même avec des aliments pour chèvres. Maintenant, tout à coup, les poules pondent à nouveau, presque à leur rythme normal. Quelle est l'explication? Les poulets produisent moins d'œufs en hiver en raison des heures de clarté plus courtes et de la mue (perte de plumes), mais ils n'arrêtent généralement pas complètement de pondre.

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  9. Beaucoup de ces agriculteurs disent que les médias et Big Food utilisent l'épidémie de grippe aviaire comme couverture pour le problème de la ponte des œufs, mais cela n'explique toujours pas pourquoi chaque poulet a complètement cessé de pondre des œufs alors qu'il suivait un régime alimentaire contaminé. Quelles entreprises les agriculteurs pointent-ils du doigt ?

    Aliments pour poulets de la marque Dumor de Purina et de la marque Producer’s Pride de Tractor Supply. Ce sont les coupables, et si vous suivez l'argent jusqu'au bout, cela mène directement aux gourous des entreprises et aux mondialistes qui exhortent tous les humains à arrêter de manger de la viande et des œufs, et à commencer à manger des vers et des cafards, afin de sauver la planète. du… réchauffement climatique. Bien sûr. Pendant ce temps, à la convention de Davos, les mondialistes mangent tous du saumon et des steaks. Alors, tu disais ?

    Des preuves solides que les fabricants d'aliments pour poulets contaminent les approvisionnements en aliments pour poulets afin de décimer la production alimentaire nationale et commerciale
    Il est maintenant plus qu'évident qu'une guerre délibérée contre la nourriture est menée contre les civils par les mondialistes. Les fournisseurs centralisés, en particulier ceux qui approvisionnent les agriculteurs ruraux qui sont pour la plupart des conservateurs et des républicains, cherchent évidemment à paralyser l'approvisionnement en œufs, car des preuves solides proviennent de deux marques particulières d'aliments que ces agriculteurs utilisent régulièrement.

    Cette tragédie oblige les gens à relier les points et à se rendre compte que ce n'est pas seulement la nourriture des poules qui cause des problèmes de production et d'infertilité, mais aussi la nourriture humaine. Les producteurs d'œufs déclarent maintenant publiquement : « S'ils sont prêts à empoisonner mes poulets pour m'empêcher de me fournir ou d'approvisionner les autres en œufs, ils empoisonneront sûrement la nourriture que je mange et nourriront ma famille.

    Il y a un réveil public massif en ce moment, alors que les prix des denrées alimentaires montent en flèche et que les approvisionnements s'étouffent. De plus en plus de personnes meurent à droite et à gauche de «causes inconnues» et la situation s'aggrave de jour en jour. Les gens meurent de crises cardiaques et d'accidents vasculaires cérébraux et beaucoup moins d'humains ont eu des bébés au cours des dernières années, depuis le début de l'arnaque. Hasard? C'est la réduction de la population, et c'est une guerre menée en utilisant de la nourriture, des médicaments, des virus, des vaccins sales et le démantèlement de la chaîne d'approvisionnement.

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  10. Réglez votre fréquence d'actualités alimentaires sur FoodSupply.news et obtenez des mises à jour sur les aliments plus toxiques et les pénuries alimentaires à venir dans les magasins près de chez vous.

    Sources for this article include:

    ThreadReaderApp.com
    NaturalNews.com
    CBSnews.com
    TheGatewayPundit.com

    https://www.naturalnews.com/2023-02-12-poisoning-chickens-likely-poisoning-human-food-supply.html

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    1. Pareillement ce sont TOUS les médicaments qui devraient être analysés par des laboratoires indépendants afin de repérer les fraudes, les poisons comme les nano-particules d'oxyde de graphène dans les expérimentations géniques d'essais frauduleusement et criminellement appelées 'vaccins' !
      Ainsi que tous les aliments ! (fruits, légumes et viandes !). Attention aux repas servis en classes de maternelles, écoles et maisons de retraites !!

      Rappel que la 5G permet de ne plus passer par un téléphone portable mais d'entrer directement dans la tête des inoculés !

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  11. Des chercheurs de l'USDA développent des lignées de coton naturellement résistantes au feu


    12 Février 2023
    AGDAILY reporters*


    Des chercheurs du Service de Recherche Agricole du Département Américain de l'Agriculture ont créé quatre lignées de cotonnier qui peuvent être utilisées pour fabriquer des textiles auto-extinguibles lorsqu'ils sont exposés au feu. L'espoir est que ces lignées de cotonnier réduiront la nécessité d'intégrer des produits chimiques ignifuges dans les produits de consommation.

    Les nouvelles lignées de cotonnier ont été développées à partir de variétés cultivées et dotées d'un nouveau caractère ignifuge. Lorsqu'il est exposé à une flamme nue, le tissu issu des nouvelles lignées de cotonnier s'éteint de lui-même, contrairement au tissu de coton ordinaire, qui brûle entièrement en quelques secondes.

    « L'utilisation de ces lignées pour développer des cultivars commerciaux crée une opportunité d'améliorer la sécurité des produits en coton tout en réduisant les impacts économiques et environnementaux des retardateurs de flamme chimiques », a déclaré M. Brian Condon, auteur principal de l'étude publiée dans PLOS ONE et chef de recherche retraité de l'unité de recherche ARS sur la chimie et l'utilisation du coton à la Nouvelle-Orléans. « Ces lignées bénéficieront considérablement aux producteurs et aux consommateurs. »

    Le coton produit généralement des fibres inflammables et est traité avec des produits chimiques pour être ignifugé lorsqu'il est utilisé pour des produits de consommation comme les vêtements, les matelas, les tissus d'ameublement et les tapis. Les nouvelles lignées de coton ont été créées par une approche de sélection multiparentale qui a donné lieu à de nouvelles opportunités pour les gènes naturels d'interagir et de développer la caractéristique inattendue de l'ignifugation.

    La vidéo ci-dessous montre que lors d'un test d'inflammabilité standard avec une inclinaison de 45 degrés, le coton ordinaire (en haut) brûle instantanément lorsqu'il est exposé à une flamme nue. Dans le même test, le coton résistant au feu (en bas) s'est éteint de lui-même lorsqu'il a été exposé à une flamme nue.

    - voir clip sur site -

    Les chercheurs de l'ARS Johnie Jenkins et Jack C. McCarty, chercheurs généticiens superviseurs à l'unité de recherche de l'ARS sur la génétique et l'agriculture durable dans le Mississippi, ont sélectionné des lignées de cotonnier pour identifier les gènes qui affectent les caractéristiques agronomiques telles que le rendement et la résistance aux parasites et les caractéristiques de qualité de la fibre telles que la longueur, la résistance et la finesse.

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  12. « Les scientifiques de l'ARS étudient chaque étape de la production du coton, de la terre à la chemise, y compris la diversité génétique, les pratiques de gestion des champs, les attributs de qualité de la fibre et les caractéristiques des textiles d'utilisation finale », a déclaré M. Jenkins.

    Bien que toutes les lignées parentales de coton aient produit des tissus inflammables, les chercheurs ont découvert que le retardement des flammes ne provenait pas d'un seul gène. Au contraire, ils ont constaté que de multiples gènes créaient un phénotype pour des fibres ayant des capacités de dégagement de chaleur nettement inférieures. Les nouvelles lignées de coton possédaient également les caractéristiques agronomiques et de qualité des fibres souhaitées, ce qui en fait des lignées recherchées pour la sélection et l'utilisation par les consommateurs.

    « Nous nous intéressons à la qualité des tissus et aux finitions chimiques qui permettent de créer des tissus repassés en permanence, infroissables et ignifugés. Nous avons maintenant trouvé des lignées dotées d'un mécanisme génétique nouveau et naturel pour le retardement des flammes », a déclaré M. Condon.
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    * Source : USDA researchers develop naturally fire-resistant cotton lines | AGDAILY

    https://seppi.over-blog.com/2023/02/des-chercheurs-de-l-usda-developpent-des-lignees-de-coton-naturellement-resistantes-au-feu.html

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  13. Alerte OVNI mondiale


    13 février 2023
    par Thomas Oysmuller


    Des objets volants inconnus ont mis le public et l'US Air Force en émoi. Au cours du week-end, des OVNIS ont été abattus au-dessus du Canada et des États-Unis. Une observation a également été signalée en Chine. Extraterrestres, tactiques de diversion ou la prochaine "théorie du complot" se réalisera-t-elle ?

    Cela a commencé avec le ballon météo chinois au-dessus des États-Unis. Mais ce n'était que le début du spectacle. Un "objet octogonal" à une altitude d'environ 20 000 pieds a été abattu dimanche par des avions de combat F-16 dans le Michigan. Le Canada, l'Uruguay et la Chine ont également signalé des OVNIS (objets volants non identifiés) au-dessus de leur espace aérien dimanche. Les États-Unis ont abattu quatre objets volants la semaine dernière. La Chine n'a reconnu la propriété que de la première propriété.

    Système d'entraînement inconnu

    Les États-Unis ont abattu samedi deux OVNIS dans l'espace aérien canadien. En Uruguay, ils ont signalé des "lumières clignotantes dans le ciel" qui feraient l'objet d'une enquête. Selon Trudeau, l'objet était "non identifié", le secrétaire à la défense parle d'un "petit objet cylindrique". La Chine a également annoncé l'attentat alors que l'avion s'approchait d'une base militaire. Il n'y a rien d'inhabituel à cela, à l'exception de l'attention médiatique - alimentée par le gouvernement américain - que ces événements sont soudainement accordés. Ensuite, il y a l'impitoyable US Air Force. Ça sent la distraction médiatique, et c'est le carburant d'une théorie du complot bien connue. Aux États-Unis, les ovnis provoquent une excitation massive, distrayant même du "Superbowl", qui s'est déroulé lundi soir.

    En tout cas, le cadre du concevable est déjà en train de se déplacer. Dans le "New York Times", on pouvait lire dimanche soir : "Des responsables de l'administration Biden ont assuré en privé qu'il n'y a aucune preuve que les objets soient des activités extraterrestres." C'est à supposer, alors pourquoi mentionner du tout qu'ils sont pas des extraterrestres. Plus tard lundi soir, le Pentagone a déclaré qu'il ne savait pas ce qui maintenait ces "objets" en l'air. Le système de propulsion est inconnu. "Nous ne les appelons pas des objets pour rien, pas des ballons", explique le général de l'US Air Force Glen VanHerck. Il n'a pas non plus "encore" exclu une origine extraterrestre. Le département américain de la Défense a alors déclaré via « Reuters » qu'il ne s'agissait pas d'extraterrestres.

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  14. spectacle extraterrestre ?

    Pendant ce temps, une très ancienne théorie du complot refait surface sur Internet. Elle se fait appeler "Projet Blue Beam". Leur quintessence : Sur le chemin du "Nouvel Ordre Mondial", une invasion extraterrestre serait truquée. Cela devrait être fait principalement avec des projections du ciel par des lasers ou des satellites. En tout cas, la théorie circule depuis au moins près de 2 décennies - les "vérificateurs de faits" du " Golden Aluhut " en ont rendu compte en 2021.

    Si le chapeau en aluminium a aidé bien mieux qu'un masque ou qu'un "vaccin" ces dernières années, il existe aussi des explications plus concrètes : les opposants américains estiment qu'il s'agit d'une manœuvre de diversion face à un immense incendie dans l'État de l'Ohio qui fait actuellement rage. Là-bas, le gouvernement américain brûle d'énormes quantités de chlorure de vinyle directement sur les terres agricoles.

    Ce n'est pas la seule chose qui a besoin de distraction. Il y a le scandale médical entourant le traitement de l'ARNm ou la divulgation de Nord Stream, pour ne citer que deux choses.

    https://tkp.at/2023/02/13/globaler-ufo-alarm/

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    1. Après le 'Jamais-vu-dehors' le 11 Septembre 2001 où 12 millions de new-yorkais n'ont vu d'avions qu'à la télé !! (comme plus de 6 milliards de personnes sur Terre), est passé le 'Jamais-vu-dehors II' en 2020 où des poussières dites extraterrestres passaient à l'attaque mondiale ! HAHAHAHAHA ! tandis qu'en 2023 débarquent le nouveau 'Mars Attacks de Tim Burton' dans la série 'Jamais-vu-dehors III' où des ballons atmosphériques seraient venus d'autres planètes pour nous voler notre gaz carbonique !

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  15. Un tel traumatisme affecte la partie réactive et émotionnelle du cerveau humain connue sous le nom d'amygdale, provoquant une réponse «combat ou fuite» dans la psyché qui l'emporte sur la réponse rationnelle, intégrative, aux événements externes qui seraient effectués par le cortex préfrontal dans conditions normales.

    Parce que nous, en tant qu'individus et en tant que populations, ne savons pas comment l'amygdale a pris le relais de la prise de décision du cortex préfrontal à cause de ces chocs artificiels, nous sommes incapables d'organiser, ni même de concevoir, une réponse à la menace réelle.

    Au lieu de cela, nous nous concentrons sur les menaces inventées qui nous sont offertes par les médias commerciaux comme le terrorisme islamique dans le cas du 11 septembre ou la propagation d'un virus dangereux dans le cas de l'opération COVID-19.

    La deuxième stratégie consiste à induire un état hypnotique dans le cerveau de l'individu, et de la population dans son ensemble, par la répétition constante de certains thèmes et images à travers des publicités, des publicités, des images et des thèmes articulés dans des films, des émissions de télévision, des reportages, et même l'emballage des produits.

    - voir clip sur site -

    La stimulation alterne entre les images intentionnellement ennuyeuses et distrayantes et les appels directs aux centres de plaisir du cerveau tels que le désir de nourriture, d'excitation sexuelle ou d'expériences agréables.

    Les publicités promouvant le plaisir de manger et encourageant une faible excitation sexuelle ne visent pas seulement, ni même principalement, la vente de produits. Ils visent à induire un état de passivité dans la population.

    La CIA explique le processus,

    "L'hypnose est fondamentalement une technique qui permet l'acquisition d'un accès direct au cortex moteur sensoriel et aux centres du plaisir, et aux parties cérébrales inférieures (émotionnelles) du côté droit du cerveau après un désengagement réussi de la fonction de dépistage des stimuli de l'hémisphère gauche du cerveau.

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  16. La Chine n'a peut-être pas dit son dernier mot au sujet de l'EMP salvatrice !

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  17. "Monnaie électronique" sous "The One World Order" (OWO) : Sommes-nous en train de devenir des "esclaves de l'argent" ?

    Solutions ? "Économie de résistance", "Dédollarisation", "Démondialisation"


    Par Peter Koenig
    Recherche mondiale, 12 février 2023


    Avec prévoyance, cet article opportun a été écrit par Peter Koenig il y a près de six ans. La "monnaie électronique" est actuellement à l'ordre du jour d'un ordre mondial

    La monnaie électronique, une société sans numéraire, est peut-être le moyen ultime et le plus direct du Nouvel Ordre Mondial (NWO), également appelé One World Order (OWO), pour nous contrôler tous via son système financier. Un système que le NWO aimerait maintenir en tant que système financier mondial, même s'il a déjà été réduit au système financier du monde occidental.

    Pourquoi réduit à l'Occident ? – Parce que l'Orient, la Chine, la Russie et les autres pays de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) et de l'Union économique eurasienne (UEE) se sont déjà largement déconnectés du système de fraude basé sur le dollar occidental. Ils sont sauvés de l'esclavage.

    Cela rappelle l'un des plus anciens et des pires agents criminels contre l'humanité au monde – toujours en vie et en pleine forme – Henry Kissinger :

    « Qui contrôle la nourriture, contrôle les gens ; qui contrôle l'énergie contrôle des continents entiers ; et qui contrôle l'argent contrôle le monde.

    Il a bien sûr raison sur tous les fronts et nous a donné cet indice il y a déjà plus de 40 ans. Mais personne ne l'a vraiment pris au sérieux et n'a donné suite à ces édits.

    Beaucoup, dont moi, ont écrit sur la libération du monde du contrôle de l'argent du NWO.

    http://www.globalresearch.ca/globalization-is-the-demise-of-humanity-towards-an-economy-of-peace-with-an-alternative-monetary-system/5545014 .

    Démondialiser serait un premier pas vers nous libérer tous des griffes sanglantes du Washington mis en place, et Dark State a dirigé NWO.

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  18. Les critiques parlent souvent d'une refonte et d'une réforme du système. Ce système monétaire ne peut pas être réformé. C'est une propriété privée et pourrie jusqu'à la moelle. Aucun des propriétaires privés, les clans Rothschild, Rockefeller et autres , ne permettrait d'interférer avec leur richesse, usurpée du dos des travailleurs du monde et de la population en général. Les tentatives antérieures (par exemple sous JFK) pour amener la FED (Réserve fédérale) sous le règne national, se sont soldées par un échec.

    Comparez le système monétaire basé sur le dollar à l'Union européenne – qui ne peut pas non plus être réformée. Toute 'réforme' ne fait que jouer à la marge – comme cela est inhérent au terme 'réforme'. Et ce n'est pas suffisant. Comme nous le savons maintenant, l'UE n'était pas la construction des Européens en soi , mais une idée derrière "l'État profond", déjà au début de la phase II de la Grande Guerre de Cent Ans (Seconde Guerre mondiale - septembre 1939 à septembre 1945) . La phase I (WWI - 1914 - 1918), ainsi que la phase II ont été induites pour affaiblir l'Europe, pour la préparer à une domination totale.

    Imaginez un « Picador » d'une corrida espagnole, dont le travail consiste à affaiblir le taureau au point où le torero et le matador ont une tâche relativement facile à maîtriser et à tuer le taureau. Eh bien, l'Europe est le taureau. Ils ne veulent pas complètement tuer l'Europe, bonne vieille Dame Europe, parce qu'ils ont besoin d'elle comme tremplin pour subjuguer le reste du monde, pour un commerce vital qui aide à justifier et à générer la machine à dollars illimitée - et, comme coussin pour l'Est, où des troupes militaires massives et des armes peuvent être stationnées au nom de l'OTAN, pour finalement lancer, ce qu'ils aimeraient penser, est le coup final porté à l'Est, à commencer par la Russie.

    Pour tout cela, la (non)-Union européenne a été créée, sa plaque tournante bruxelloise, dominée par la Commission européenne (CE) non élue qui dicte également la plupart des règles imposées à ses 28 États membres – et qui ne sont pas si -dirigé par coïncidence par des gouvernements néolibéraux, certains proches des gouvernements néofascistes. Bien sûr, en adhérant au diktat bruxellois, ils sont devenus dépourvus de souveraineté nationale. C'est un must. Un pays souverain ne se soumettrait pas aux horreurs de l'État policier et de la militarisation qui s'annoncent. L'euro avec la Banque centrale européenne (BCE) dirigée par Wall Street (Goldman Sachs - GS) n'est qu'un complément logique à la fausse UE. À l'heure actuelle, de nombreux universitaires sérieux ont conclu que ni l'UE ni l'euro ne sont viables, mais qu'ils sont voués à s'effondrer tôt ou tard.

    L'UE et l'euro sont une construction complexe, largement manipulée et portée par les principaux services secrets de l'État noir, la CIA, la NSA, le Mossad, le MI6 avec une étroite collaboration des services secrets nationaux européens. D'où la création d'un vassal politique et monétaire à part entière, l'Union européenne et sa monnaie, tout aussi frauduleuse que sa monnaie maîtresse, le dollar américain.

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  19. Nous devons promouvoir le concept d' économie de résistance par tous les moyens dont nous disposons ; en parler et écrire à un public aussi large que possible ; en faisant en sorte que des médias alternatifs, comme RT, Sputnik, TeleSur et d'autres, promeuvent l'idée ; et en pensant toujours fermement et fermement qu'un changement radical est possible, que les ténèbres ne gouvernent pas le monde – que la lumière peut briller et brillera, si nous, le Peuple le voulons – nous finirons peut-être par faire la différence. Ce qui manque encore à Nous, le Peuple, c'est l'organisation et la solidarité. Contre l'effort constant de l'État sombre pour diviser pour régner, une initiative de solidarité peut déplacer des montagnes, en dirigeant le navire de l'ombre vers le soleil. Tout est possible. Ne jamais abandonner.

    Et la Lumière est Paix .

    Peter Koenig est économiste et analyste géopolitique. Il est également un ancien membre du personnel de la Banque mondiale et a beaucoup travaillé dans le monde entier dans les domaines de l'environnement et des ressources en eau. Il enseigne dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour Global Research, ICH, RT, Sputnik, PressTV, The 4th Media (Chine), TeleSUR, The Vineyard of The Saker Blog et d'autres sites Internet. Il est l'auteur d' Implosion - Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l'environnement et la cupidité des entreprises - une fiction basée sur des faits et sur 30 ans d'expérience de la Banque mondiale dans le monde. Il est également co-auteur de The World Order and Revolution! – Essais de la Résistance.

    Peter Koenig est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation

    https://www.globalresearch.ca/electronic-money-under-the-one-world-order-owo-are-we-on-the-verge-of-becoming-western-money-slaves-solutions-resistance-economy-de-dollarization-and-de-globalization/5600200

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  20. Il n’y aura pas de transition énergétique sans progrès technologique

    Pour vraiment être moteur, il nous incombe de mobiliser nos scientifiques et ingénieurs pour développer les nouvelles technologies nécessaires et de remettre en cause les dogmes de la décroissance.


    le 13 février 2023
    Par Gilles David.


    Construire ou reconstruire des centrales nucléaires et modifier nos comportements ne suffira pas à changer la donne. Avec seulement 0,9 % des émissions mondiales de gaz carbonique, la France n’aura presqu’aucun impact sur la nécessaire transition écologique mondiale.

    Pour vraiment être moteur, il nous incombe de mobiliser nos scientifiques et ingénieurs pour développer les nouvelles technologies nécessaires et de remettre en cause les dogmes de la décroissance. Toujours pionnier en la matière, notre pays a le devoir moral de porter haut les couleurs du progrès technologique face aux menaces de théories malthusiennes qui se répandent.

    Émission de gaz carbonique et croissance du PIB : une corrélation démentie

    Si, historiquement, il est établi que les émissions de gaz carbonique sont liées à la quantité de ressources économiques dont une civilisation dispose (cf. Edgar Hertwich « A Global, Trade-Liked Analysis, Environmental Science and Technology » 1), cette théorie est désormais démentie pour les pays aux PIB les plus élevés. Preuve en est que parallèlement à une baisse drastique de leurs émissions ces économies ont malgré tout connu une croissance économique. C’est le cas, notamment, du Royaume-Uni dont le PIB par habitant a progressé entre 2009 et 2020.

    - voir sur site -

    Figure 1 : Évolution des émissions de gaz carbonique par habitant et du PIB, Royaume-Uni

    Dans ce cas précis, le remplacement des énergies fossiles par des énergies à faibles émissions, dont le nucléaire n’est qu’une des facettes, en est la principale explication. Preuve que certaines technologies peuvent s’avérer plus efficaces que certains discours mortifères.

    En finir avec l’illusion de l’épuisement des ressources

    Ce mythe ne date pas d’hier puisque déjà au XVIIIe siècle William Stanley Jevons théorisait un déclin rendu inévitable du fait d’un manque de ressources naturelles disponibles, conséquence d’un niveau de vie des populations en forte progression 2. Cette théorie fait le lit de nombre de décroissants mais est pourtant contredite par les faits.

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  21. Ainsi, depuis 2010, la consommation d’électricité domestique par habitant n’a cessé de baisser dans les pays occidentaux. Ce phénomène résulte d’importants gains en termes d’efficacité énergétique. Aujourd’hui, les ménages américains consomment ainsi moins d’électricité qu’il y a cinq ans.

    Il s’explique par le fait que plus de 450 millions de LED y ont été installées à ce jour contre moins d’un demi-million en 2009. Idem avec les ampoules fluocompactes (CFL) encore plus courantes, et que plus de 70 % des ménages utilisent.

    Pourtant, en matière d’efficacité énergétique dans un pays comme le nôtre, le potentiel reste énorme et très sous-exploité, parce que le coût de l’énergie était, est et sera peut-être encore demain, à un prix trop bas pour être économisé.

    Autre mythe auquel il convient de tordre le cou pour, enfin, donner toute sa place au progrès technologique : le Peak Oil ou pic pétrolier. Depuis longtemps, des experts cherchent à déterminer le moment où les réserves mondiales d’hydrocarbures commenceront à décliner. Hélas, annoncé depuis toujours, ce moment risque de se faire attendre. Malgré les tensions géopolitiques, les instabilités spéculatives ou les crises traversées par certains pays, leur succès ne se dément pas 3. Pire, depuis 2008, la production mondiale de pétrole a même progressé plus vite que la demande.

    En réalité, le Peak Oil se produira bien mais pas pour les raisons avancées par les partisans de la décroissance. Il sera le résultat d’une raréfaction de la demande et non de la ressource, raréfaction provoquée par le progrès technologique. N’avons-nous pas arrêté de chasser la baleine lorsque d’autres alternatives plus efficaces et moins coûteuses ont permis de s’éclairer ?
    *
    Edgar G. Hertwich and Glen P. Peters, Carbon Footprint of Nations: A Global, Trade-Linked Analysis, Environmental Science and Technology (2009) ↩

    Missemer, A. (2015). La peur du déclin économique face à l’épuisement des ressources naturelles, de W. Stanley Jevons à Herbert S. Jevons (1865-1915). Revue économique, 66, 825-842. ↩

    Orsenna, E. (2014). L’énergie nucléaire, une solution à ne pas écarter. Dans : L. des économistes & E. Orsenna (Dir), Un monde de ressources rares (pp. 83-92). ↩

    https://www.contrepoints.org/2023/02/13/450287-il-ny-aura-pas-de-transition-energetique-sans-progres-technologique

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    1. Premièrement le gaz carbonique n'a aucun impact calorifique et est continuellement recyclé dans notre atmosphère (comme tous les gaz qui y sont) et par toutes les surfaces d'eaux dans lequel il se dissout (grâce au phytoplancton) pour former des nano-particules de carbone (charbon).

      Deuxièmement il ne peut y avoir de décroissance de Matières Premières car elles sont abiotiques. Par exemple les nappes ne pétrole se reremplissent en 10 ou 12 années.

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  22. Comment est déterminée la valeur des choses ?

    Si vous cherchez à savoir quelle est la différence entre la valeur et le prix, la plupart du temps on vous dira que c’est la même chose. Qu’en est-il réellement ?


    le 14 février 2023
    Didier Marrec


    En ce qui concerne la valeur des choses, faites l’essai de demander à votre entourage comment se déterminent les prix ? On vous répondra soit qu’on n’en sait rien, soit que c’est par l’offre et la demande, soit que ce sont les marges que prennent les différents intervenants y compris les fabricants. Si vous cherchez à savoir quelle est la différence entre la valeur et le prix, la plupart du temps on vous dira que c’est la même chose. Qu’en est-il réellement ?

    Il a été posé que le travail représente la valeur absolue d’un bien. Il est également de toute évidence que la concurrence et la négociation, aussi appelées « l’offre et la demande », interviennent dans son prix.

    Le propos serait alors contradictoire puisqu’il existerait deux moyens d’évaluer un même objet :

    d’une part le travail pour le fabriquer,
    d’autre part l’intensité avec laquelle on négocie son prix.
    Pour être plus près du réel, on peut illustrer la question de la façon suivante : lorsqu’une mauvaise récolte provoque une pénurie, un cultivateur vendra plus cher sa marchandise alors qu’il aura travaillé le même temps. Si à l’inverse la récolte est abondante, il se trouvera contraint de vendre moins cher pour un même travail. Comment dans ce cas prétendre que le travail en est la mesure, puisque la force du marché va en modifier le prix ?

    Ce fut David Ricardo qui formula la réponse définitivement :

    « C’est le coût de production qui détermine en définitive le prix des marchandises, et non, comme on l’a souvent dit, le rapport entre l’offre et la demande. »

    On pourra être surpris, douter même de la réalité d’une telle assertion. Mais alors où est le bon sens, que penser ?

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  23. Si dans le cas évoqué le paysan ne peut plus subvenir à ses besoins faute d’une récolte suffisante, il est évident qu’il va en hausser le prix, sous peine d’être contraint de devoir mettre un terme à son activité. Mais que doit-on voir dans cette hausse ? Rien d’autre que la modification de son coût de production qui détermine la valeur de sa récolte. Autrement dit, lorsque l’on parle de pénurie ou de surproduction influant sur les prix, on ne doit pas mettre en cause un marché dont le besoin moyen reste à peu près stable, mais les variations dues aux aléas de la fabrication. Ceci n’est évidemment valable que dans un marché libre, c’est-à-dire sans intervention de l’État. Si des contraintes règlementaires ou des quotas interviennent, ce sont eux qu’il faudra considérer pour comprendre les mouvements du marché. Les modifications opérées par ces quotas seront directement proportionnelles à leurs rigueurs et influenceront du même coup les prix.

    Dans le cas où l’État est en charge lui-même de la production, cette organisation centralisée utilisera également le meilleur des moyens dont elle dispose afin de servir les consommateurs. Quel que soit le système choisi, les coûts des produits resteront essentiellement déterminés par les contraintes liées à leur fabrication.

    Suite à ce qui vient d’être dit sur les prix de production, que se passe-t-il en aval, juste après que les distributeurs se sont approvisionnés chez les producteurs ?

    Dans un marché libre, ces commerçants ont fait leurs achats à certains prix, ils ne peuvent plus modifier ce qu’ils proposent ou très peu. Ils débutent les ventes avec un résultat dont la limite leur est déjà connue, calculée sur des coûts de revient déjà payés. S’ils peuvent vendre plus cher c’est une aubaine, mais dans la plupart des cas un marché ouvert ne le permet pas, ou seulement pendant un laps de temps court. En deçà d’un certain prix ils perdront de l’argent et ne maintiendront pas cette offre. Ils se retourneront alors vers les fournisseurs, seuls capables de modifier réellement la donne. Pour cette raison, ceux-ci revoient en permanence leurs moyens de production, en bref ils améliorent constamment la division du travail. Tout cela doit être planifié sur plusieurs mois ou plusieurs années en fonction des biens considérés. C’est pour cette raison qu’ils n’attendent pas qu’on leur demande quoi que ce soit et anticipent continuellement les évolutions possibles du marché. Les meilleurs sont évidemment ceux qui arrivent à voir clair avant les autres. Observateurs méticuleux de la demande, ils investissent vers de nouveaux horizons, on peut même affirmer que leur métier trouve dans cette fonction créatrice sa plus belle expression.

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  24. En bout de chaîne, les utilisateurs ne font que réagir à une offre déjà entièrement construite, assortie de prix fermement établis, même s’ils engagent parfois la discussion afin d’obtenir quelques avantages. Il s’agit d’une relation constante entre un marché avide des meilleures conditions possibles, face à une production lente à se modifier. Cette dernière possède cependant une portée définitive quant au résultat. David Ricardo prend l’exemple d’une fabrique de chapeaux où l’on a réussi à diminuer fortement les coûts de fabrication. Il affirme que, même si la demande devait doubler ou tripler, leurs prix baisseraient nécessairement sur le marché. Il avait parfaitement raison, la suite de l’histoire vérifiera ses dires. En condensé, on peut dire que le marché ajuste les prix mais ne les détermine pas.

    Il existe toutefois deux exceptions au fait que le prix de production détermine la valeur.

    Une première famille est celle des marchandises non reproductibles. Elle est constituée par les œuvres d’art et les objets de collection. Il est certain qu’une bague datant de l’époque romaine ne sera pas évaluée par le seul travail qu’il faudrait pour la fabriquer à nouveau. Elle est en réalité non reproductible quelle que soit la qualité envisagée. L’explication est en fait une tautologie, ces biens échappent aux mécanismes de production tout simplement parce qu’ils ne peuvent plus être produits.

    Une seconde famille de marchandises n’est pas non plus directement liée au travail quant à son coût. Elle est définie d’après un critère simple : la rareté permanente. Cette contrainte empêche définitivement toute fabrication en quantité. Les pierres précieuses ainsi que toutes les matières premières peu courantes ou celles en train de le devenir constituent cette catégorie.

    En définitive, que tout ceci ne vous empêche surtout pas d’être satisfaits d’obtenir de bonnes remises quand vous faites vos emplettes. Trouver les meilleurs prix reste efficace pour gérer son propre budget. Par contre, en ce qui concerne l’évolution d’une société, voire d’une civilisation, ce critère n’est en rien déterminant. Les comparaisons à long terme livrent une vision très différente de ce que l’on perçoit immédiatement avec facilité.

    https://www.contrepoints.org/2023/02/14/450099-comment-est-determinee-la-valeur-des-choses

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    1. L'essayiste (Didier Marrec) s'est essayé. Recalé. Zéro.

      (...) lorsqu’une mauvaise récolte provoque une pénurie, un cultivateur vendra plus cher sa marchandise alors qu’il aura travaillé le même temps. Si à l’inverse la récolte est abondante, il se trouvera contraint de vendre moins cher pour un même travail. (...)

      (...) Si dans le cas évoqué le paysan ne peut plus subvenir à ses besoins faute d’une récolte suffisante, il est évident qu’il va en hausser le prix, (...)

      Ce qui est COMPLÈTEMENT FAUX puisque le prix des fruits et légumes comme celui de la viande est au même prix qu'il y a 40 ou 60 ans !!!

      Les acheteurs (centrales d'achats) forment une mafia qui fait sa loi. Il va (par exemple) proposer la tête de salade à 10 centimes (ce qui est le cas aujourd'hui). Si le paysan dit non et en veut 30 centimes pour payer les frais, l'acheteur refusera et la salade pourrira sur place faute d'acheteur ! Idem pour la viande ou le vin importés de l'étranger parce qu'ailleurs c'est moins cher, ailleurs ils peuvent mettre de l'engrais, ailleurs ils peuvent traiter les fruits et légumes pour éviter de les perdre, ailleurs le prix de l'heure de l'ouvrier et 10 ou 20 ou 50 fois moins cher !!!

      C'est pourquoi les entrepreneurs délocalisent tandis que le paysan ne peut le faire !! Les fruits, les légumes ne poussent pas partout, puis y a la barrière de la langue, l'Administration, etc, etc.

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  25. Les écologistes veulent ramener l’agriculture au XIXe siècle

    Plutôt que de soutenir les agriculteurs, une profession vitale pour notre pays, nos décideurs s’emploient à la rendre chaque jour plus difficile.


    le 14 février 2023
    Armand Paquereau


    L’idéologie écologiste qui a contaminé l’esprit des politiques et technocrates européens et français impose chaque mois, chaque semaine, des contraintes et interdictions supplémentaires aux agriculteurs qui les empêchent de faire leur métier dans des conditions acceptables et efficientes.

    Sous prétexte de préserver l’environnement, cette idéologie veut obliger quatre fois moins d’agriculteurs à produire dans des conditions identiques à celles de la fin du XIXe siècle pour nourrir deux fois plus de consommateurs. Elle veut supprimer la motorisation, soi-disant responsable de la pollution, et revenir à la traction animale. Mais cela ne serait pas suffisant pour satisfaire les défenseurs de la cause animale pour qui la traction animale serait une souffrance insupportable et inadmissible.

    Retour donc à la binette, la faux, la faucille et le fléau manié de la main de l’homme. Retour au servage du Moyen Âge, avec son cortège de disettes et de famines. L’écologie veut également supprimer ce qu’elle nomme outrancièrement « pesticides » des produits homologués selon des normes de sécurité identiques à celle des médicaments. Les médicaments protègent les humains, mais les phytosanitaires les empoisonneraient…

    La guerre des nitrates

    De longue date, les normes se sont attaquées aux nitrates qui permettent aux agriculteurs d’augmenter les rendements et la qualité de panification des farines. Non seulement l’emploi des nitrates d’origine synthétique est drastiquement limité, contrôlé et éventuellement sanctionné, mais même les nitrates d’origine naturelle, issus de la transformation de la masse végétale en humus, puis en ammoniaque sont inclus dans le cycle des restrictions.

    La dernière manifestation de cette contrainte excessive et injustifiée, comme démontré par la suite, réside dans la décision de la commission européenne de diminuer les émissions d’azote de 50 % d’ici 2030. Cette décision a suscité la vive réaction des agriculteurs néerlandais pour lesquels elle entraînerait la fermeture de 11 000 fermes et menacerait la pérennité de 17 000 autres sur 53 000 que compte le pays. Devant le tollé, une prolongation de la norme de 170 kg/ha a été décidée avec étalement et respect intégral en 2025.

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  26. Cependant, malgré la pression pour imposer cette notion de toxicité des nitrates, de nombreux travaux et scientifiques ont non seulement contredit cette thèse, mais démontré des effets bénéfiques.

    Ainsi le colloque international organisé à La Pitié Salpetrière le 31 mars 2011 a conclu :

    « Les données historiques, l’expérimentation animale, l’expérimentation aiguë humaine et l’épidémiologie établissent aujourd’hui que la consommation de nitrates est non seulement inoffensive chez l’homme, mais bénéfique. Dans ce sens, une classification des aliments a été proposée, « nitric oxyde index », basée sur le contenu en nitrates, nitrites et sur le pouvoir antioxydant (ORAC). Les nitrates doivent donc désormais être considérés comme des nutriments nécessaires à la santé humaine. »

    De plus, David Schindler, limnologue de réputation mondiale, a démontré que l’eutrophisation des masses d’eau n’était pas due à l’excès de nitrates, mais à la présence de phosphore.

    Et de préciser :

    « Il n’y a absolument aucune preuve que la restriction de l’azote permette de réduire l’eutrophisation dans les lacs ou les estuaires. […] ajouter de l’azote seul n’a jamais provoqué une augmentation de l’eutrophisation, tandis qu’ajouter du phosphore l’a toujours fait. »

    Les instances de la communauté européenne devraient appliquer leurs textes, à savoir la directive nitrates 91/676/CEE qui prévoit dans son article 8 : « Les annexes de la présente directive peuvent être adaptées au progrès scientifique et technique, conformément à la procédure prévue à l’article 9. »

    Ainsi, les avis de scientifiques renommés, les conseils de nutritionnistes préconisant la consommation de légumes qui contiennent jusqu’à 50 fois plus de nitrates par kg que la norme d’eau potable, n’interpellent pas les responsables technocratiques et politiques de l’Union européenne pour revoir cette politique délétère de lutte contre les nitrates.

    Les néonicotinoïdes

    La polémique sur ces insecticides dure depuis de nombreuses années et leur interdiction s’intensifie d’année en année.

    Ils sont accusés de détruire les populations d’abeilles, alors que la preuve n’en n’est pas formellement apportée. L’unité de pathologie de l’abeille de l’Agence française de Sécurité Sanitaire de Aliments (AFSSA) a publié le 15 février 2008 dans un rapport :

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  27. « Les résidus de pesticides, dont l’imidaclopride (Gaucho) et le fipronil (Régent), ont été recherchés sur la matrice apicole de 120 colonies d’abeilles. Les analyses ont révélé des résidus de pesticides à des doses très faibles dans la limite du seuil de détection. Selon les chercheurs « aucune relation statistique entre la présence de résidus et la dynamique des abeilles adultes et larvaires, ni avec la mortalité des colonies n’a pu être mise en évidence. »

    Le 26 avril 2006, le conseil d’État confirmait l’interdiction de l’insecticide Gaucho à base d’imidaclopride pour l’enrobage des semences.

    Cependant, une enquête diligentée par le ministère de l’Agriculture a mis en évidence durant l’hiver 2017-2018 une mortalité des colonies d’abeilles de 29,4 %, difficilement imputable aux insecticides utilisés sur les cultures.

    La Cour de justice européenne s’étant prononcée contre la prolongation de la dérogation d’utilisation des néonicotinoïdes sur les semences de betteraves, de nombreux agriculteurs ont manifesté leur colère, à l’instar de leurs collègues néerlandais contre les restrictions des nitrates, pour attirer l’attention de l’opinion publique sur les conséquences gravissimes de cette décision et son injustice.

    Les betteraves étant des plantes non butinées par les abeilles, la dangerosité des insecticides utilisés n’est nullement démontrée.

    L’avis de l’ANSES du 13 décembre 2021 relate au sujet des études dont elle a été saisie :

    « Les auteurs concluent que le colza succédant à une betterave sucrière en année N+3 n’a pas remobilisé de thiaméthoxame dans le nectar (ni d’autre substances actives néonicotinoïdes qui auraient pu être appliquées antérieurement) »

    Ainsi, l’Anses considère donc que :

    « Les données soumises ne permettent pas d’affiner le score relatif à la « probabilité de rémanence en fonction du positionnement dans la rotation après semis de betteraves sucrières » retenu dans l’avis de l’Anses du 23 décembre 2020 pour les cultures concernées. »

    L’ANSES relève également que :

    « Les doses d’emploi (appliquées via les semences de betteraves) étaient de 60 g imidaclopride/hectare pour toutes les parcelles. »

    On peut ici noter que l’imidaclopride est interdite en agriculture, mais que des produits commerciaux utilisés sous forme de pipette liquide à appliquer entre les épaules des animaux de compagnie contiennent de 100 à 600 mg d’imidaclopride (selon le poids de l’animal) et sont en vente libre !

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  28. On peut comparer l’aveuglement de la réglementation qui interdit d’utiliser 60 grammes de molécule à l’hectare et en autorise 600 mg au contact direct des mains du gamin de deux ans qui caresse son chien en suçant son pouce !

    Le glyphosate

    L’Union européenne repousse l’évaluation du glyphosate à la mi-2023.

    Son interdiction ardemment voulue par les militant écologistes est insuffisamment documentée relativement à sa toxicité et à la dangerosité qu’il représenterait. Ces militants ont mené une campagne d’intoxication médiatique qui s’est soldée par un échec tant la méthode et les résultats se sont révélés manipulés.

    J’ai repris dans un article objectif les tenants et les aboutissants des différentes positions sur le sujet.

    L’avis de l’ANSES du 12 02 2016 précise :

    « Le niveau de preuve de cancérogénicité chez l’animal et chez l’homme est considéré comme relativement limité et ne permet pas de proposer un classement 1A ou 1B (cancérogène avéré ou présumé pour l’être humain) dans le cadre de l’application des critères du règlement(CE) n° 1272/2008 (CLP) »

    Sans être spécialiste, mais simplement inspiré par le bon sens, il est curieux qu’après 45 années d’utilisation l’on ne soit pas scientifiquement capables d’avoir des conclusions précises, crédibles, indéniables sur la dangerosité du glyphosate.

    L’interdiction de cet herbicide, outre la perte de rentabilité due à son efficacité sur les adventices, sa non-sélectivité qui oblige à ne pas le pulvériser sur les cultures non OGM garantissant une absence de risque de contamination des fruits des cultures, entraînerait la remise en cause des nouvelles méthodes de culture en non labour, garantes d’économies de carburant. De plus, l’interdire serait compromettre la compétitivité des producteurs français face aux importations en provenance de pays où il continue d’être largement utilisé.

    Ce qui est interrogatif, c’est que les écologistes demandent l’interdiction du glyphosate en France, alors qu’on ne trouve pas des résidus dans les produits français, mais ils ne demandent pas l’interdiction d’importer des produits qui en contiennent et surtout occultent l’origine des produits analysés.

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  29. Le partage de l’eau

    L’article 641 du Code civil énonce :

    « Tout propriétaire a le droit d’user et de disposer des eaux pluviales qui tombent sur son fonds. »

    Il est évident que selon cet article les agriculteurs, qui possèdent l’immense majorité des surfaces françaises, peuvent disposer de la majorité de l’eau que nous dispense le ciel. Seulement, comme la majorité des citoyens habitent en ville, ils ont voulu que l’accès à l’eau soit considéré au niveau de la personne, et non de sa finalité.

    C’est ce qu’a défini la loi du 30 décembre 2006, Art 1-1 :

    « L’eau fait partie du patrimoine commun de la nation. Sa protection, sa mise en valeur et le développement de la ressource utilisable, dans le respect des équilibres naturels sont d’intérêt général. »

    Dans un contexte climatique où les sécheresses sont de plus en plus fréquentes et sévères, l’eau devient un bien de plus en plus précieux. Sa préservation est de plus en plus réglementée : restrictions des intrants agricoles, bandes enherbées et règles d’écoconditionnalité de la PAC pour les agriculteurs, assainissement individuel ou collectif pour les citoyens, mais eaux pluviales citadines déversées directement dans les cours d’eau, etc..

    Ainsi, l’efficacité des mesures de protection est bien différente à l’arrivée. Les analyses comparatives des eaux aux exutoires des stations d’épuration citadines et des retenues collinaires agricoles présentent des différences inquiétantes.

    Entre les extrêmes citadins et agricoles, on constate que les eaux agricoles contiennent 36 fois moins de glyphosate et 227 fois moins d’AMPA (produit de désagrégation du glyphosate et des lessives). Les eaux citadines contiennent au moins 5526 fois plus d’Eschérichia Coli que les eaux agricoles qui sont en dessous de la limite quantifiable !

    Notre pays étant bien pourvu en pluviométrie, laquelle est insuffisante en été. Le bon sens veut que l’on stocke l’eau lors des périodes de pluviométrie excédentaire, comme les pouvoirs publics le conseillent et le subventionnent pour les particuliers, pour l’utiliser en période de sécheresse.

    Mais les écologistes ne l’entendent pas de cette oreille et s’opposent au stockage de l’eau par les agriculteurs. Ils vont même jusqu’à affronter les forces de l’ordre (Sivens, Sainte Soline) avec mort et blessés à la clef, et saccager les retenues d’eau appartenant aux agriculteurs.

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  30. Les puits de carbone

    La lutte effrénée contre le gaz carbonique incite les décideurs à imposer des règles non seulement pour limiter les émissions, mais pour stocker le carbone. Les moyens préconisés sont le stockage dans le sol en favorisant les prairies et les forêts. Le gaz carbonique capté par les végétaux est en partie transféré dans les racines et est conservé un certain temps avant d’être relargué lors la mort de ces végétaux.

    Ainsi, pour être efficace, il faudrait remplacer les cultures par des prairies et de forêts. Mais comment pérenniser de prairies si les promoteurs de ce principe veulent aussi supprimer l’élevage ? Il faut des animaux pour entretenir une prairie ! Et comment nourrir les populations si l’on remplace les cultures par des forêts ?

    Il a cependant été démontré qu’un hectare de culture de maïs transformait annuellement plus de gaz carbonique en oxygène et hydrates de carbone qu’un hectare de forêt. Cette transformation participe à la purification de l’air et à l’alimentation des populations, avec un cycle annuellement renouvelé et comme principales énergies motrices le soleil, l’eau et le travail des agriculteurs.

    Les conséquences d’une idéologie

    La focalisation des causes de la pollution sur l’agriculture conduit les écologistes et les décideurs qui les écoutent aveuglément à un parangon fou : s’il n’y avait plus d’activité agricole, il n’y aurait plus de pollution. Et de penser que pour ne plus sentir l’odeur des élevages en France, il suffit d’acheter du poulet brésilien ou du bœuf argentin. Et pour ne plus utiliser d’herbicides, il suffit d’acheter à l’étranger. Même si les produits qui en proviennent contiennent des résidus, il n’y a pas ainsi de pollution des sols en France. L’examen des analyses précitées apporte la preuve que cette vision est non seulement fausse mais suicidaire.

    La récente crise de l’énergie, boostée par la guerre en Ukraine, devrait pourtant nous faire comprendre que la dépendance comporte des risques majeurs. Les contraintes et restrictions imposées aux agriculteurs érodent jour après jour leur compétitivité. On en constate les effets par le déficit croissant de la balance commerciale agricole qui en sept ans est passée d’un excédent de 6 milliards d’euros à un déficit de 300 millions d’euros.

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  31. À vouloir supprimer aux agriculteurs tout ce qui leur a permis en un demi-siècle des gains de productivité spectaculaires, lesquels ont eu pour effet de diminuer des deux tiers la part alimentaire dans le budget des ménages, on va les contraindre à se retrouver dans des conditions de travail identiques à celles de la fin du XIXe siècle.

    Leurs conditions de travail, dont la pénibilité n’est pas reconnue comme pour les salariés dans le cadre des départs anticipés à la retraite, ne sont pas de nature à encourager les jeunes à embrasser le métier. Les contraintes imposées par une réglementation en perpétuel changement, incompatible avec l’exercice d’un métier qui impose toujours le temps long, sont aussi de nature à décourager les jeunes à reprendre des exploitations. De 1982 à 2019, le nombre d’agriculteurs est passé de 1,6 million à 400 000, celui des ouvriers agricoles de 310 00 à 250 000.

    Plutôt que de soutenir une profession vitale pour le pays, nos décideurs s’emploient à la rendre chaque jour plus difficile. Sauront-ils s’arrêter avant que nous ne soyons devenus totalement alimentairement dépendants des importations, à la merci du bon vouloir des producteurs étrangers, de leurs prix imposés ou d’une pénurie mortifère ? Le retour des disettes des siècles anciens ?

    https://www.contrepoints.org/2023/02/14/450401-les-ecologistes-veulent-ramener-lagriculture-au-xixe-siecle

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    1. (...) « L’eau fait partie du patrimoine commun de la nation. Sa protection, sa mise en valeur et le développement de la ressource utilisable, dans le respect des équilibres naturels sont d’intérêt général. » (...)

      La quantité d'eau disponible dans le monde est éternelle. Il n'y a pas une goutte d'eau en plus ou en moins sur notre planète depuis des milliards d'années. L'eau des pluies, des fleuves et des rivières va à la mer ou l'océan (sans qu'elle ou il ne monte !! Çà alors !!). L'eau des bassins s'infiltre continuellement aux planchers maritimes & océaniques vers le magma où elle est chauffée/brûlée et repart en galeries souterraines sous forme de vapeurs. Cette eau va cheminer vers les sources de montagnes et les nappes phréatique qu'elle remplit depuis toujours. C'est pourquoi cette eau est pure, sans couleur, sans odeur et sans bactérie.

      Mais, mais il y a des sécheresses. Non-causées par l'absence d'infiltrations d'eau mais par l'absence de ses déplacements souterrains. Galeries bouchées par des tremblements de terre parfois dus aux explosions afin de soutirer du gaz de shiste ! (78 % de l'eau infiltrée ressort en mer et chauffe les courants qui ressortent aux côtes d'azur ou bretonnes).

      Cette eau éternelle qui court dans les fleuves & rivières est donc gratuite et toute propre. Mais, en dictatures elle doit être payée pour s'en servir !!!
      Payer de l'eau gratuite pour arroser les cultures ! Irriguer ses champs coûte une fortune !! C'est le parti nazi qui gouverne au centre, à droite et gauche et aux extrêmes ! Relever bien qu'aucun leader de parti n'a depuis DES milliers d'années pris la défense des paysans qui osent nourrir le Pays !!

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  32. Chèque bois, chèque carburant : la folie des friandises étatiques

    Le récent chèque au bois, après son cousin, le coup de pouce au carburant, illustre la dérive d’un système français de déductions fiscales et subventions injuste où un État paternaliste cherche à façonner un peuple frugal et vertueux.


    le 14 février 2023
    Yves Bourdillon


    L’exubérance d’un État distribuant subventions et exonérations fiscales comme autant de friandises a de quoi susciter de nouveaux abîmes de perplexité.

    Un sujet de finances publiques pourtant crucial dans un pays qui réussit l’étrange exploit d’être à a fois le plus fiscalisé de la planète (co-champion du monde des prélèvements obligatoires avec la Belgique, 420 impôts en vigueur, un de plus tous les deux mois depuis 1981) et sans doute recordman de la plus longue série de déficits budgétaires de l’Histoire, 49 ans, série en cours.

    Vérité aujourd’hui et erreur demain

    Ainsi, pour compenser la hausse du tarif du gaz, l’État subventionne désormais le chauffage au bois alors y a quelques années il voulait interdire les feux de cheminée sans insert (un préfet d’Île-de-France avait gobé un rapport selon lequel ils émettaient plus de particules dangereuses que tous les camions des embouteillages de la région).

    La subvention au bois et son cousin, le chèque carburant de 100 euros, ne survivront au demeurant sans doute pas longtemps au reflux du prix du gaz et du baril de pétrole, retombés sous le niveau constaté à la veille de l’invasion de l’Ukraine. Tant il est vrai que vérité subventionnée ou défiscalisée d’hier se révèle souvent erreur à combattre aujourd’hui, comme le rappelle la fermeture progressive des villes aux véhicules diesels considérés pourtant comme plus écologiques que ceux à essence il y a une quinzaine d’années.

    Bref, l’incohérence et l’incertitude menacent dans ce maquis/marais transformant ménages et entreprises en chasseurs de primes & exonération, d’une opacité et complexité telle que personne ne s’y retrouve mais espère mieux tirer son épingle du jeu que le voisin. Sur quel pied danser quand un dixième du Code général des Impôts change chaque année et que surgissent, pour disparaître presque aussitôt, les coups de pouce aux cabossés de la conjoncture ?

    Admettons toutefois qu’il soit légitime pour l’État de changer d’avis au gré des circonstances, cela s’appelle s’adapter. Mais, parallèlement, ce système, riche en folies listées par l’essayiste Jean-Marc Daniel1, se révèle injuste et dangereusement paternaliste.

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  33. Le règne de l’arbitraire

    Injuste ? Il regorge de deux poids deux mesures arbitraires.

    Jean-Baptise Say rappelait qu’une faveur particulière est généralement une injustice générale. Pourquoi, dans l’exemple ci-dessus, aider les ménages se chauffant au bois et pas à l’électricité ? Par ailleurs, nombre de professions, dont les journalistes, bénéficient de réductions fiscales dont la légitimité ne saute plus aux yeux aujourd’hui. Il en est de même de certaines exonérations de charges sociales, sous divers prétextes d’aménagement du territoire et de soutien à des métiers pénibles, ou en tensions, dont j’ai découvert l’existence en aidant quelque proche excentrique voulant se mettre à son compte. L’État se mêle aussi de subventionner les réparations d’appareils électroménagers. Pourquoi pas un chèque pour la rénovation de meubles ou le reprisage de pantalons ?

    Les réductions d’impôts pour petits travaux de jardinage ou entretien du logement bénéficient à des ménages pouvant souvent se les payer et soutiennent l’activité d’artisans gagnant généralement bien leur vie. Quant à la raison légitime pour laquelle les rénovations de fenêtres en bois ou aluminium bénéficiaient jadis de déductions fiscales mais pas de celles en PVC, cela fera partie des mystères que je n’arriverai pas à élucider ici-bas ; le dépit amoureux d’un ministre du Budget envers un entrepreneur en fenêtres PVC ?

    Façonner les vertus

    Quant au paternalisme, il saute aux yeux dans nombre de subventions & défiscalisations, suivant un fantasme constructiviste d’élus et hauts fonctionnaires attachés à « corriger » l’humanité par diverses incitations ou pénalités. Une idée dénoncée par l’essayiste libéral du XIXe siècle Frédéric Bastiat, méconnu en France, selon laquelle l’humanité serait « ‘ une matière inerte recevant du pouvoir la vie, l’organisation, la moralité et la richesse, ou bien, ce qui est encore pire que, d’elle-même elle glisserait vers sa dégradation et n’est arrêtée sur cette pente que par la main mystérieuse du Législateur ».

    À rebours de la Déclaration des Droits de l’Homme qui prévoit que l’impôt serve seulement à financer les charges communes, il s’agit d’orienter les comportements et façonner des vertus, de l’hygiène à l’empreinte carbone. Par exemple taxer le tabac pour dissuader de fumer (tout en prétendant que les lourdes charges pesant sur les salaires ne dissuadent pas l’embauche. Vous êtes sûrs que nous sommes encore un peuple cartésien ?). Des aides incitent à pratiquer le covoiturage ou à réparer son vélo, car c’est sain, le vélo. À quand le remboursement du dentifrice au nom de la lutte contre les caries ?

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  34. Existe pourtant une politique fiscale alternative n’ayant pas ces deux défauts majeurs2 et, disons, élégante, d’ailleurs pratiquée par 35 pays où elle a en outre souvent réduit la part de l’économie grise ; on supprime la grande majorité des mécanismes particuliers incitatifs ou pénalisants quitte à chagriner et on remplace la plupart des 420 impôts par une flat tax au taux unique de 14 à 17 % portant sur tous les revenus à partir d’un certain seuil, assorti en deça d’un impôt négatif (en clair, l’État verse un chèque aux nécessiteux) théorisé en 1968 par le penseur libéral Milton Friedman.

    L’inconvénient principal étant qu’aucun ministre ne pourrait se vanter de distribuer des chèques de bois.
    *
    Les Impôts. Histoire d’une folie française, Taillandier, 2017. ↩

    La plupart des critiques sur la flat tax se concentre sur le fait qu’elle serait injuste car non progressive. Au-delà du fait que la quasi-totalité des impôts, de la TVA à la CSG en passant par l’impôt sur les bénéfices, ne sont pas progressifs non plus, il faut remarquer une chose ; en fait la grande majorité des hauts salaires ne paye pas vraiment plus de 17 % d’impôt sur leurs revenus grâce à divers mécanismes de déductions, ou d’exonération des portions les plus basses de leurs recettes. Et ceux qui devraient payer nettement plus… émigrent généralement. ↩

    https://www.contrepoints.org/2023/02/14/450522-cheque-bois-cheque-carburant-la-folie-des-friandises-etatiques

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  35. Borne de recharge électrique : le crédit d’impôt est prolongé

    Le gouvernement continue d’aider les ménages qui veulent passer à la voiture électrique. Si le bonus pour l’achat du véhicule est en baisse, un crédit d’impôt reste en vigueur en 2023. Il peut être demandé lorsqu’une borne de recharge est installée, ce qui est bien évidemment quasi-nécessaire.


    Par Paolo Garoscio
    le 14 février 2023 à 7h23


    En 2022, Tesla détenait 79% du marché américain des voitures électriques.

    Borne de recharge électrique : qui peut bénéficier du crédit d’impôt ?
    Contrairement à de nombreuses aides de l’État, le crédit d’impôt pour l’installation d’une borne de recharge électrique n’est pas soumis à des conditions de ressources. Tous les ménages peuvent en profiter.

    Et ce n’est pas tout : il ne faut pas nécessairement être propriétaire du logement. Locataires et même occupants à titre gratuit, s’ils font les travaux, y sont éligibles. Enfin, il n’est pas non plus nécessaire que l’habitation soit la résidence principale : les résidences secondaires sont également éligibles.

    Et, surtout, il n’y a pas besoin d’être déjà propriétaire d’un véhicule électrique : seuls les travaux comptent. Il est donc possible de se faire installer une prise en prévision d’un futur achat.

    Quel montant pour le crédit d’impôt ?

    Le montant du crédit d’impôt qui sera accordé pour les travaux est limité : 300 euros maximum. Mais la somme ne peut pas dépasser 75% du montant total des dépenses, donc le montant final dépendra essentiellement du type de borne installée.

    Certains travaux ne sont par ailleurs pas éligibles. « Un point de recharge normale en courant alternatif dispose au minimum d'un socle de prise de courant de type 2 ou d'un connecteur de type 2, tels que décrits dans la norme NF EN 62196-2 », précise le décret 2017-26 du 12 janvier 2017. Il faudra donc s’informer auprès du près du professionnel en charge des travaux.

    On notera toutefois que le gouvernement prévoit la possibilité de bénéficier d’une aide doublée en cas d’installation de deux bornes, pour un couple. Pratique pour les ménages ayant une résidence secondaire, puisqu’il est possible de bénéficier, de fait, d’un crédit d’impôt pour la résidence principale et d’un autre pour la résidence secondaire.

    Initialement, le crédit d'impôt devait s'arrêter en 2023. Il est prolongé jusqu'en 2025 (pour les travaux payés jusqu'au 31 décembre 2025).

    https://www.economiematin.fr/borne-de-recharge-electriquecredit-impot-conditions

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    1. "Ce n'est pas vous qui payez c'est l’État !" (F.H.)

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  36. Douze années de déclin de la démographie française et européenne

    Pour le lecteur pressé, deux chiffres peuvent résumer l’évolution du nombre des naissances en France métropolitaine : en 2010, le nombre de bébés mis au monde s’élevait encore à 802 000 ; une décennie plus tard, en 2020, le chiffre annuel des naissances est tombé à 697 000. La disparition de 105 000 naissances annuelles est impressionnante !


    Par Jacques Bichot
    le 13 février 2023 à 15h46

    Le nombre de naissances a chuté de 16 % entre 2006 et 2019.

    L’Europe, natalité au plus bas

    Mais vous n’avez encore rien vu : pour l’ensemble de l’Europe, l’état de la démographie est hélas encore plus pitoyable. En 2020, année la plus récente pour laquelle l’INED (institut national d’études démographiques) fournit toutes les données, les pays qui comptent plus de décès que de naissances sont majoritaires. Nos voisins allemands ont eu en 2020 nettement plus d’enterrements que de naissances : le taux de mortalité y atteint 11,9 (pour mille habitants) en 2020, alors que le taux de natalité est 9,3.

    L’Italie fait encore pire : 12,6 pour la mortalité contre 6,8 pour la natalité, nos voisins en sont presque à deux enterrements ou incinérations pour une naissance ! La Bulgarie dépasse ce taux, avec 18 pour mille en mortalité et 8,5 pour la natalité.

    En Pologne, pays qui fut fécond, la mortalité (12,6 pour mille) dépasse largement la natalité (9,4 pour mille). Certes, heureusement, le Royaume-Uni et la France enregistrent encore plus de naissances que de décès (respectivement 10,7 en natalité contre 9 en mortalité pour le royaume et 10,9 contre 9,9 pour la république). Mais nos deux pays font plutôt exception en Europe : pour les 27 pays de l’Union, le taux de mortalité atteint 11,6, et le taux de natalité seulement 9,1.

    La faiblesse de la natalité contribue à celle de l’économie

    Cette évolution démographique est lourde de conséquences économiques. Ces conséquences relèvent principalement du long et du moyen terme, encore que la raréfaction des actes médicaux liés aux naissances risque d’entraîner rapidement une diminution des promotions de nouveaux gynécologues et obstétriciens : pourquoi les étudiants en médecine seraient-ils nombreux à se lancer dans une carrière d’obstétricien s’il y a de moins en moins de grossesses ? Or s’il arrive que les Françaises et les Français retrouvent le goût de fonder une famille et d’élever des enfants, la rareté du personnel médical et des équipements consacrés à l’obstétrique et à la petite enfance risque de créer des problèmes.

    Certains feront remarquer, à juste titre, que la natalité n’est pas plus élevée, et même, dans bien des cas, est moins élevée dans les pays européens autres que la France. Mais ce n’est pas une raison pour ne rien faire, bien au contraire ! L’Union européenne devrait logiquement s’inquiéter de voir les berceaux vides si nombreux dans quasiment tous les pays qui la composent. Le sort de l’Union européenne, à l’instar du sort de la France, dépend de la natalité.

    https://www.economiematin.fr/natalite-demographie-naissance-europe-france-analyse-bichot

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    1. (...) Le nombre de naissances a chuté de 16 % entre 2006 et 2019. (...)

      Comptez plutôt 30 ou 40 % de français en moins car cette différence enregistrée est celle des étrangers envahisseurs !

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  37. Comment estimer au plus juste une pharmacie avant de vendre ou acheter ?

    Le marché de la transaction d’officines est très contrasté, car les acquéreurs sont de plus en plus exigeants et ont tendance à rechercher en priorité des officines avec un certain CA (à partir de 2 M€ de CA généralement) et certaines régions sont plus plébiscitées que d’autres. Ainsi, certaines officines voient la valeur de leurs fonds de commerce exploser tandis que d’autres peinent à se vendre.


    Par Christophe Hirth
    le 13 février 2023 à 15h43


    La marge brute moyenne des officines en France est située entre 31 et 32 %

    Comment cela s’explique-t-il ?

    1- COVID 19, Nouvelles Missions : Face à l’évolution des missions des officinaux, le métier de Pharmacien se complexifie et l’intensité du métier est source de fatigue et de stress pour les titulaires. Le COVID 19, les nouvelles missions ont encore rajouté une pression supplémentaire sur les pharmacies. Les futurs titulaires recherchent ainsi des officines avec un certain CA pour pouvoir recruter des pharmaciens adjoints ou assistants afin de gagner en confort de travail.

    2- Manque de personnel : De plus, le manque de personnel et la difficulté à recruter ne facilitent en rien la gestion des officines qui sont pour la plupart en sous-effectif. 60 % des officines ont un ou plusieurs postes vacants. Le manque de personnel est une source d’inquiétude pour les repreneurs et notamment dans certains secteurs géographiques où le recrutement est devenu très complexe.

    3- Répartition des prescripteurs : Les médecins, pôles médicaux se font de plus en plus rares dans certaines régions (notamment dans certaines zones rurales) et ont tendance à se concentrer sur des zones plus attractives. Les pharmacies situées dans des zones manquant de prescripteurs sont beaucoup plus compliquées à vendre.

    Quels sont les indicateurs pour évaluer la valeur d’une Officine ?

    Le chiffre d’affaires
    Le chiffre d’affaires reflète en partie l’activité des officines. Dans le cadre d’une transaction, on retient d’ailleurs souvent un pourcentage du CA, mais il faut également tenir compte d’autres aspects tout aussi importants.

    L’EBE (Excédent Brut d’exploitation) permet de révéler plus précisément la valeur d’une entreprise puisqu’il tient compte de tous les indicateurs du Bilan comptable afin de déterminer la rentabilité de l’officine et ainsi son besoin en fonds de roulement (BFR), sa capacité d’endettement et sa capacité d’autofinancement (CAF).
    Pour évaluer une officine, on peut également appliquer un coefficient multiplicateur de l’EBE (en moyenne 6 à 8 fois l’EBE).

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  38. Voici les indicateurs à suivre de près au Bilan comptable et ayant une incidence sur la valeur des officines (EBE) :

    1- La marge brute

    La marge brute représente la différence hors taxes entre le prix de vente et le coût de revient total des produits et services vendus. La marge brute permet notamment de situer votre pharmacie par rapport à vos confrères. La marge brute est également le meilleur indicateur pour évaluer la performance et la pertinence de votre Groupement de Pharmacie.

    En effet, les groupements ont une incidence directe sur celle-ci puisque leur rôle est de vous fournir des conditions d’achats (générique, grossiste, parapharmacie, OTC, etc.) et ainsi vous permettre d’optimiser vos achats et donc votre marge brute. La marge brute moyenne des officines en France est située entre 31 et 32 % (hors Covid-19 et en tenant compte de 25 % du CA HT en produits chers).

    COVID19 : Le CA de la Covid-19 doit être entièrement retraité de la marge brute, car c’est un CA exceptionnel qui a permis d’augmenter significativement les marges des officines. À noter que le CA réalisé avec la Covid-19 n’est pas pris en compte dans le calcul de valorisation d’une officine.

    Produits chers : Les produits chers représentent en moyenne 25 % du CA HT d’une officine. Ainsi, si vous avez plus ou moins 25 % de produits chers, votre expert-comptable en tiendra compte pour établir l’impact sur votre marge brute avant de la comparer avec les autres officines.

    Politique de prix bas : Si vous avez une politique de prix agressifs sur la parapharmacie & OTC, due à une forte concurrence (grande distribution, enseigne discount, etc.), cela aura également une incidence sur la marge brute globale.

    2- Les charges externes

    Les charges externes regroupent un ensemble de comptes utilisés en comptabilité pour présenter le détail des charges et dépenses engagées par une entreprise autre que salaires, taxes et coûts des ventes. Les charges externes sont un poste important du compte de résultat.

    Les charges externes ont aussi une incidence directe sur l’EBE et donc un impact sur la valorisation de votre officine. Le montant du loyer et le bail commercial sont systématiquement analysés par les acquéreurs afin de vérifier s’il est dimensionné par rapport au CA et la rentabilité de l’officine.

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  39. 3- Les charges de personnel

    Les charges de personnel doivent être dimensionnées par rapport au CA de la pharmacie. Il faut environ un équivalent temps plein pour 350 000 € de CA HT en respectant également le nombre de diplômes nécessaires par rapport au CA.

    Ainsi, les repreneurs tiennent compte de ces charges de personnel pour établir leur prévisionnel et ainsi prévoir des licenciements ou des embauches en fonction des ajustements à faire.

    4- L'impact des stocks

    Une bonne gestion des stocks est indispensable pour une pharmacie. Elle permet notamment d’éviter les ruptures, de suivre et d’éviter les périmés, d’optimiser les commandes et donc d’améliorer à la fois la sécurisation et l’efficience de la pharmacie, mais aussi le développement de son Chiffre d’Affaires.

    Cette gestion ne dépend pas seulement de la pharmacie et est aussi influencée par les fournisseurs (laboratoires, grossistes/répartiteurs, centrales d’achat, etc.).

    Pour minimiser le coût de stockage qui ampute la marge du pharmacien, il faut :

    assurer une gestion rigoureuse et sélective en fonction des rotations et du coût des produits ;
    faire tourner le stock le plus rapidement possible en le maintenant à un volume idéal par rapport à l’activité. La rotation des stocks varie en fonction du débit réel des ventes et du type de produit (cf. ci-dessous : diagramme de répartition du CA).
    Le ratio de rotation des stocks : 360 X (stock moyen en €)/(Coût d’achat des marchandises). Ces ratios sont élaborés par des cabinets d’expertise comptable spécialisés en pharmacie.

    L’intérêt d’une amélioration de la rotation du stock est :

    De dégager immédiatement une trésorerie supplémentaire à un CA équivalent minorant d’autant le besoin en fonds de roulement.
    De diminuer les frais généraux liés au stockage.
    Cependant, le stock doit rester à un niveau suffisant pour maintenir le rythme de l’activité de l’officine et la qualité du service. En effet, la rupture de stock entraîne l’impossibilité d’honorer une prescription et représente un manque à gagner.

    https://www.economiematin.fr/pharmacie-estimation-achat-prix-vente-commerce-hirth

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    1. Primo la 'pharmacie d'ancien temps' n'existe plus ! Aujourd'hui l'on y vend des articles de bazars, de quincailleries, de supermarchés voire des camelots de foire !
      Secundo ils vendent même des... masques en pharmacie !! C'est tout dire des conseils que l'on doit attendre de la tenancière du bordel !

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  40. Plaidoyer pour que la science supplante finalement la science®

    Cessons le sabotage systématique de l’État sur nos vies.


    le 15 février 2023
    Pierre-Guy Veer


    Depuis la pandémie, les adorateurs du Dieu-État nous cassent les oreilles avec la science®. Maintenant que le virus semble endémique, il serait temps que la science, celle qui fonctionne par essai et erreur et qui peut être répliquée/discutée, reprenne sa place.

    Donc, si vous avez suivi mon conseil pour 2022 et fait un « régime » de gouvernement, continuez sur votre lancée et séparez le gouvernement de la science. Car contrairement à Midas, tout ce que le gouvernement touche se transforme en plomb.

    C’est particulièrement évident en ce qui concerne la nourriture. Depuis les années 1970, on nous martèle que le gras (surtout saturé) est le Vilain et que les glucides sont bons. Voyez le résultat. Établir un lien de cause à effet dans cette situation va de soi car n’en déplaise à la quasi totalité des régimes et recommandations des gouvernements, les calories ne sont pas égales.

    À l’exception des fibres les glucides se transforment tous en glucose, c’est-à-dire en sucre – y compris l’amidon des pâtes. Pour assimiler cet élément, le corps doit produire de l’insuline. Mais avec les recommandations officielles de plus de 300 g de glucides par jour – soixante fois le taux normal dans le sang – la production d’insuline doit augmenter de façon exponentielle afin d’éviter la mort de l’organisme. Cette surproduction d’insuline finit par rendre les cellules résistantes et causer un diabète de type 2, voire de type 3 – la maladie d’Alzheimer.

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  41. Malgré tout, le gouvernement continue de croire à la fausse théorie selon laquelle trop de gras = crises cardiaques. En fait, dès qu’on a proposé de drastiquement réduire la consommation de gras et de cholestérol, plusieurs scientifiques ont objecté, faisant valoir que les preuves étaient insuffisantes. Mais ils ont été sciemment ignorés, plaidant que le « gouvernement ne pouvait se permettre le luxe d’attendre. »

    Depuis donc 50 ans, le gouvernement ignore ses propres études ne démontrant aucun lien de cause à effet entre gras et crises cardiaques. Aussi il donne des conseils complètement déments en attribuant une meilleure cote à des céréales sucrées – que j’appelle personnellement des bombes diabétiques – qu’à un œuf frit dans le beurre. Évidemment, les médias se porteront à la défense de leur maitre, ignorant la commandite patente des produits « recommandés ».

    Le secteur privé n’est guère mieux en refusant même de publier des études exonérant la viande de tous méfaits. Et quand de telles études sont publiées, elles sont (presque) toutes basées sur des observations – des questionnaires envoyés aux consommateurs pour sonder leurs habitudes. C’est pourquoi le végétarisme est généralement recommandé car ses adeptes ont généralement de meilleures habitudes de vie (exercice, tabagisme, moins de nourriture transformée, etc.)

    Détruire l’environnement pour le sauver

    En plus de détruire notre santé, le gouvernement détruit aussi l’environnement au nom de sa sauvegarde.

    Ne vous méprenez pas : j’approuve la défense de l’environnement. Je vais en vélo au travail, je vais à pied au supermarché, je ne chauffe pas trop ma maison en hiver (15-17 degrés) et je tente de limiter mes déchets…

    Mais si urgence il y a vraiment d’agir pour « sauver » la planète, force est de constater que les agissements des gouvernements aggravent la situation à la fois pour l’environnement et pour les humains.

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  42. Ce n’est guère mieux sur terre. En 2014, l’administration Obama a exempté les éoliennes d’une loi protégeant les animaux en danger. Jusqu’en 2044, les producteurs auront donc le champ libre pour tuer autant de volatiles en danger qu’ils le souhaitent. Bref, comme le rappelle ce meme, les aigles décapités par les éoliennes ne reçoivent aucune publicité, contrairement à ceux couverts de pétrole.

    Faites ce que je dis…

    Finalement, aucun article parlant de science® ne serait complet sans mentionner l’hypocrisie crasse des pachas voulant nous faire vivre de simplicité volontaire dans un monde en décroissance.

    Durant leurs réunions fastueuses où l’on mange comme des rois, ils veulent nous forcer à manger #zebugs, à savoir des insectes bourrés de parasites et qui peuvent causer des réactions allergiques aux personnes intolérantes aux fruits de mer ; et sachant que leur consommation est courante là où des « vraies » sources de protéine (bœuf, poulet) sont trop chères.

    Ces mêmes pachas se rendent à leurs réunions en jet privé et/ou en limousine alors que la plèbe, si elle est chanceuse, doit se contenter de rencontres (sociales et professionnelles) virtuelles et faire un emprunt pour acheter une voiture électrique parce que celles à essence seront bannies. Sauf les voitures de luxe, naturellement.

    Bref, espérons que 2023 sera l’année où la science du siècle des Lumières supplantera la science® une fois pour toutes. Comme avec toute chose que le gouvernement touche, le résultat net est toujours pire que le statu quo ou « ne rien faire. »

    À ceux qui me traiteront de négationniste : sachez que je ne « croirai » pas tant et aussi longtemps que les pachas susmentionnés n’agiront pas comme ils le prêchent et qu’ils se trouveront des excuses pour justifier leur hypocrisie.

    https://www.contrepoints.org/2023/02/15/450567-plaidoyer-pour-que-la-science-supplante-finalement-la-science

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  43. ENCORE 8 ARTICLES CENSURÉS ! (60 - 8 = 52)

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