La guerre mondialiste contre les éléments de la vie
15.02.2023 www.kla.tv/25115
Chers spectateurs, Le gaz carbonique est nocif, nous dit-on. Nous devons réduire les émissions de gaz carbonique, sinon nous détruirons notre planète. Depuis peu, l'azote est également dans le collimateur des mondialistes et a été déclaré azote t. (Il se liquéfie à T = -196°C) Où tout cela nous mène-t-il encore ?
Écoutez Mike Adams, connu aux États-Unis comme le « Health Ranger », un scientifique, propriétaire d'un laboratoire de sciences alimentaires accrédité par l’ISO [ISO = International Organization for Standardization, laboratoire certifié selon la norme internationale]. Mike Adams a été banni des médias sociaux il y a plusieurs années et a donc créé sa propre plateforme - www.brighteon.com - ainsi qu'une chaîne de télévision et une station de radio pour continuer à jouir de sa liberté de parole. Écoutez ici son point de vue sur ce qu'il appelle la « guerre des mondialistes contre les éléments de la vie » !
Les éléments sont les composants de tout ce qui existe dans notre monde. Ils sont les éléments constitutifs de la vie elle-même. Les éléments forment des molécules, et ces molécules sont animées de vie, de conscience, de signification et de créativité. C'est la vie, un don de Dieu, mais qui s'exprime à travers la matière physique de notre monde, et cette matière physique peut être décomposée en éléments, comme vous pouvez le voir dans le tableau périodique des éléments.
Parmi ces éléments, on trouve l'hydrogène, l'hélium et ensuite des choses comme le carbone, l'azote, l'oxygène, le magnésium, n'est-ce pas ? Tous les métaux et les minéraux alimentaires sont des éléments, et sans ces éléments, nous ne pouvons pas survivre. Donc, quand les mondialistes attaquent des éléments, ils attaquent la vie sur la planète Terre.
Bienvenue dans ce reportage vidéo spécial, « La guerre des mondialistes contre les éléments de la vie ». Vous avez probablement entendu l'expression « guerre contre le carbone » et on nous a dit que le carbone était mauvais. Le carbone se trouve dans le dioxyde de carbone, et l'EPA [Environmental Protection Agency, agence gouvernementale américaine pour la protection de l'environnement et de la santé humaine] a déclaré que le gaz carbonique était un polluant.
Maintenant, avez-vous également réalisé que nous sommes des formes de vie basées sur le carbone et, en fait, toute la vie que nous connaissons dans le cosmos est une vie basée sur le carbone. Toute la vie sur la planète Terre, les pollinisateurs, les insectes, les microbes, les humains, les primates, les animaux, les dauphins et les baleines, les poissons dans la mer. Tout est basé sur le carbone. Une guerre contre le carbone est donc une guerre contre la vie.
Et saviez-vous que la plupart des molécules dont vous avez besoin pour vivre, comme la vitamine C, sont à base de carbone ? Saviez-vous que toutes les herbes médicinales sont des molécules à base de carbone ? Et saviez-vous que les plantes ont besoin de carbone pour survivre et que les plantes alimentaires ont besoin de carbone pour produire de la nourriture ?
Une guerre contre le carbone est donc une guerre contre la nourriture, et une guerre contre le gaz carbonique n'est pas seulement une guerre contre la production de nourriture et de plantes : c'est aussi une guerre contre l'oxygène, car le gaz carbonique contient naturellement à la fois du carbone et de l'oxygène. Et sans oxygène, aucun d'entre nous ne peut respirer.
Les animaux suffoqueraient et mourraient. Même les dauphins et les baleines, les insectes et les pollinisateurs, sans oxygène, tous mourraient.
Ainsi, lorsque les personnes au pouvoir déclarent la guerre au carbone et au dioxyde de carbone, elles déclarent la guerre aux deux éléments les plus importants pour la vie telle que nous la connaissons sur cette planète. Ils déclarent de facto qu'ils sont du côté de la mort. Ils participent au culte de la mort. Et dans ce culte de la mort, ils souhaitent la destruction totale de la vie sur Terre.
Ils ont maintenant compris que le moyen le plus simple de provoquer une extinction de masse est de provoquer une famine de masse. Ils s'attaquent donc à l'approvisionnement alimentaire en essayant d'éliminer le dioxyde de carbone de l'atmosphère. Il s'agit d'une opération de terraformation [remodelage de la terre], connue sous le nom de stockage du carbone.
Ils ont de grosses machines qui aspirent le gaz carbonique de l'atmosphère et le transforment en liquide. Ils le pompent dans des pipelines et le stockent ensuite sous terre pour empêcher les plantes du monde entier d'avoir accès au gaz carbonique.
Eh bien, pourquoi est-ce important ? À cause de la photosynthèse. Parce que la photosynthèse, le processus biologique le plus important sur la planète Terre, a besoin de gaz carbonique comme l'un de ses trois intrants. La photosynthèse a besoin de gaz carbonique, de lumière solaire et d'eau. Avec ces trois éléments, les plantes peuvent produire de la nourriture.
Eh bien, il y a plus d'un siècle, un scientifique allemand du nom de Haber, H-A-B-E-R, a mis au point une méthode qui permet de combiner l'azote avec l'hydrogène moyennant une forte pression et une haute température afin de produire du NH3, également connu sous le nom d'ammoniac. Il a utilise des hydrocarbures, donc du gaz naturel, pour obtenir l'hydrogène. Ensuite, il a tiré de l'azote de l'air. Et cette invention est l'une des découvertes les plus importantes de l'histoire du monde, car elle a permis de produire des engrais à base d'azote, grâce auxquels près de la moitié de la population mondiale peut être nourrie.
Environ 4 milliards de personnes sur la planète Terre peuvent donc se nourrir aujourd’hui grâce à cette invention de Haber. Cela est dû au fait qu'elle rend l'azote biodisponible pour les plantes sous forme d'ammoniac. Et ensuite, à partir de cet ammoniac, on obtient des composés comme le nitrate d'ammonium, qui est un engrais, ainsi que d’autres formes d'engrais minéralisés, comme le nitrate de calcium et ainsi de suite.
Mais les animaux peuvent produire quelque chose de similaire sans avoir besoin d'énormes usines. Les animaux peuvent absorber l'azote de l'air et même de la nourriture et le transformer en azote utilisable grâce à leur urine. Ce que Haber voulait faire, les vaches le font, et elles le font gratuitement.
Et l'azote de l'urine de vache, qui se compose en partie d'urée, peut être utilisé pour fertiliser des plantes et produire des aliments partout dans le monde. L'urine animale n'est donc pas un polluant. L'urine animale est un engrais pour des aliments et doit simplement être collectée, détournée et utilisée pour fertiliser les cultures. Ce qui par ailleurs serait du « Bio ».
Et cela réduirait le besoin d'engrais synthétiques issus de combustibles fossiles. L'urine animale devrait donc être recueillie et utilisée pour la culture de denrées alimentaires. Pourtant, une attaque contre l'azote est en train de se produire mondialement, notamment aux Pays-Bas et d’autres pays européens, et elle se propage dans le reste du monde. Et ça comme prétexte pour arrêter la production de viande animale.
Ils prétendent que l'azote serait un polluant, tout comme ils disent que le carbone est un polluant, que le gaz carbonique est un polluant ou même, que la lumière du soleil serait néfaste. Vous voyez donc que la guerre contre les éléments s'étend. Avant, c'était juste une guerre contre le carbone, plus récemment une guerre contre le dioxyde de carbone, et maintenant c'est une guerre contre le carbone, l'oxygène et l'azote, et tout cela est combiné avec une guerre contre la lumière du soleil, la photosynthèse.
La question se pose donc de savoir à quels éléments les globalistes vont s'attaquer par la suite ? Vont-ils dire que l'hydrogène est mauvais parce que l'hydrogène et l'hélium alimentent le soleil ? Vont-ils dire que la solution serait de détruire le soleil ?
Afin qu'une boule sombre et effondrée flotte dans l'espace, au lieu de cette étoile qui fournit de la lumière et de la chaleur et de l'énergie à la planète Terre ? Voudraient-ils tuer le soleil s'ils le pouvaient ? C'est fort probable. Après tout, ils célèbrent le culte de la mort. Ils sont orientés sur l'obscurité et la mort.
Et s'ils parvenaient à éliminer l'hélium et l'hydrogène, ils pourraient arrêter le réchauffement climatique et stopper le réchauffement de la planète, car elle deviendrait alors une boule de glace gelée et morte et toute la biosphère écologique s'effondrerait complètement. Cela semble être leur objectif.
Et... tout ce qu'ils ne peuvent pas détruire, ils veulent le taxer à mort. Et c'est ainsi qu'ils ont eu une idée : vous avez déjà entendu parler des taxes sur le gaz carbonique ? Maintenant, ils veulent taxer le tableau périodique des éléments. Eh bien, puisque chaque être vivant sur la planète Terre est constitué de carbone, ils admettent vouloir taxer tout être vivant sur la planète Terre.
Vous êtes faits de carbone. Ils veulent vous taxer pour l'élément carbone qui est contenu dans les molécules de votre corps. Il y a du carbone dans votre peau, il y a du carbone dans vos cheveux, du carbone dans vos organes et dans votre sang. Chaque système de votre corps contient du carbone. Ils veulent donc taxer chacun de ces systèmes.
Et lorsque vous respirez, vous expirez également du gaz carbonique . Ils veulent donc taxer votre souffle, ce qui signifie qu'ils veulent soit vous facturer chaque respiration, soit limiter vos émissions en réduisant le nombre de vos respirations.
Et bien sûr le moyen le plus efficace pour eux est tout simplement de vous tuer, car les morts ne respirent pas. Les personnes mortes ne produisent pas de dioxyde de carbone, pas plus que les bovins et autres animaux d’élevage.
Vous voyez donc que toutes les solutions se résument à la mort, parce qu'eux, les mondialistes, les climato-sectaires, ce sont des adeptes du culte de la mort, ils veulent la mort. Ils veulent que l'humanité soit détruite.
Et ils veulent que toute action humaine s'arrête, même s'il s'agit de la production alimentaire, de l'agriculture, des transports, de l'innovation, de l'activité économique et de tout le reste. Ils veulent que tout s’arrête parce que tout ça est néfaste, parce que c’est fait de carbone et que ça émet du gaz carbonique.
Jadis, le tableau périodique des éléments a été accueilli avec joie, parce que développé à l'époque moderne comme une merveilleuse compréhension de la vie. Regardez, disaient les scientifiques, nous avons découvert de quoi la vie est faite. C'est la matière qui définit la structure physique de la vie, et même les choses qui ne sont pas vivantes. C'est la matière dont le monde est fait. Quelle découverte étonnante !
Jamais ils n’auraient imaginé qu’à peine un siècle plus tard, d'autres scientifiques regarderaient ce tableau périodique des éléments et l'utiliseraient comme outil pour essayer de provoquer la mort en masse, non pas la vie, mais la mort, tout le contraire de ce que les scientifiques de l’époque avaient expliqué. Ils utilisent réellement la compréhension de la vie pour créer des outils tueurs. Et tout ça au nom de la science.
Le domaine entier de la science, qui était autrefois un domaine de découverte, d'innovation, de créativité et d'enthousiasme, est maintenant devenu un domaine de mort, de destruction et de tromperie.
Maintenant, la science sert à matraquer les gens, les contraindre à prendre des vaccins qui tuent ou à restreindre leurs activités comme l'agriculture ou la production alimentaire ou les transports, ou même la respiration. La science s’est transformée en une arme contre l'humanité et le tableau périodique des éléments est devenu leur cible.
Il est toutefois important que nous comprenions la science afin de pouvoir comprendre les armes que les mondialistes utilisent à notre encontre. Ils utilisent la science pour commettre des génocides. Ils utilisent la science pour commettre un meurtre contre l'humanité et ils utiliseront la science pour tenter de tuer la planète Terre et la transformer en une boule morte, congelée et sombre. Car c'est finalement ce que ce culte du climat veut pour nous tous. Ne l'oubliez jamais !
Merci beaucoup de m’avoir écouté. N'hésitez pas à partager ce mini-documentaire partout. Vous avez ma permission de le publier sur vos propres chaînes vidéo et d’autres plateformes. N'hésitez pas à visiter mon site NaturalNews.com ainsi que la plateforme que j'ai mise en place pour vous permettre de vous exprimer librement : Brighteon.com
Je suis Mike Adams, connu sous le nom de « Health Ranger ». Je suis un éditeur scientifique et propriétaire d'un laboratoire de sciences alimentaires accrédité par l’ISO [ISO = Organisation internationale de normalisation, association d'organismes de normalisation, élabore des normes internationales]. C'est l'un des laboratoires les plus actifs au monde en ce qui concerne le développement de techniques d'analyse pour la science alimentaire par spectrométrie de masse [méthode de mesure de la masse de molécules]. Donc, quand il s'agit de science et des éléments, je sais exactement de quoi je parle. Merci de m'avoir écouté. Que Dieu vous bénisse. Prenez soin de vous !
de Silvia/mmm. Sources / Liens : The Globalist WAR on the Elements of Life/ Der Krieg der Globalisten gegen die Elemente des Lebens https://www.brighteon.com/78f2882d-2c23-4b18-877f-4a5a65d4fb38
Hollywood m'étonne parfois. Ils prédisent constamment l'avenir (surtout à la télévision !). Soit ils ont une sorte de connexion avec Dieu, soit tout cela n'est qu'un gros jeu vidéo, un initié à la Maison Blanche, ou ils font juste de la drogue de haute qualité et, eh bien, juste, euh, "savoir des choses". (clin d’œil clin d’œil !)
Il existe une myriade d'exemples d'Hollywood prédisant l'avenir. Les films "Idiocracy" ont prédit notre journée actuelle, l'idiocratie. "2001 a Space Odyssey" a prédit les appels vidéo et l'intelligence artificielle de type Siri, bien que Siri ne soit pas encore devenu meurtrier comme HAL 9000. "Terminator" a prédit quelque chose qui s'est également réalisé : l'existence de drones militaires. La liste se rallonge de plus en plus.
Ce ne sont là que quelques exemples parmi tant d'autres. Je pourrais écrire un livre en les nommant tous ! Je suis tellement surpris de voir à quel point Hollywood est tout le temps.
En passant, je dirige un festival du film au Japon, le JIFF Japan Indies Film Festival. Je fais ce festival en coopération avec Raindance à Londres. Nous avons une catégorie "scénario" et je dois donc lire de nombreux scénarios chaque année.
Il y a plusieurs mois, j'ai reçu un script qui, maintenant que je m'en rends compte, m'époustoufle. Il s'agit d'un scénario pour une émission en particulier qui a été mondialement connue pour avoir prédit l'avenir à plusieurs reprises : les Simpsons. C'est un scénario télévisé.
Qui ne connaît pas les Simpson ? Il y a Homer, Marge, Bart, Maggie et une énorme équipe d'autres personnes hilarantes qui se présentent parfois : M. Burns, Ned Flanders, le chef Wiggum, Kent Brockman, Krusty le clown et bien d'autres.
Et en parlant de clowns. Que font les clowns ? Ils font rire les gens et gonflent des ballons, n'est-ce pas ?
Le script que j'ai eu parle des États-Unis faisant exploser tous ces ballons et objets volants !
Tout m'est revenu quand j'ai lu les informations, gonflé des ballons et abattu : les États-Unis ont dit qu'ils avaient fait exploser quelque chose dont ils ne savaient pas ce que c'était !
Je n'écrirai pas tout le script ici car il fait 64 pages! Donc, je ne copierai pas le script mais je peux copier le synopsis. Ce que j'ai lu dans ce synopsis m'a vraiment fait flipper !
Synopsis:
Les États-Unis sont le pays de la liberté ! C'est un rempart contre les malfaiteurs ! Les gens célèbrent leur liberté en mangeant et en buvant à l'excès.
Un jour, un ballon diabolique flotte au-dessus des États-Unis pendant des jours. Le président ne sait pas quoi faire à ce sujet. Enfin, avec ses sondages en baisse, il envoie les meilleurs avions de combat américains et fait exploser le ballon ! Le président est étourdi par lui-même alors que son nombre de sondages augmente.
Il ordonne que tous les objets volants soient explosés avec un préjugé extrême. "Fais exploser tous les objets, que nous sachions ou non ce qu'ils sont !"
Pendant ce temps, un vaisseau de «l'autre» empire a un vaisseau qui hurle dans l'espace à triple distorsion. Bien sûr, il s'agit d'un vaisseau spatial extraterrestre. Pour éviter l'alliance rebelle, le navire prend des mesures d'évitement et survole les États-Unis où il est abattu par des avions de chasse américains itinérants. La princesse impériale Leyva est tuée dans la fusillade.
De retour sur la planète Zirconia, le maléfique Dark Vador apprend la nouvelle de l'explosion de l'engin. Il est énervé et vraiment en colère ! Il ordonne à une flotte massive de ses meilleurs navires de se préparer à envahir la planète Terre et à tuer tout le monde.
Les navires des planètes environnantes se joignent à la flotte d'invasion. Grâce à une sorte de lecture d'esprit extraterrestre, ils découvrent que ce n'était pas nous, prolétaires et esclaves réguliers, qui faisions exploser ces objets, c'était la faute de Washington DC ! Ils attaquent le Capitole et zappent jusqu'au dernier d'entre eux !
Les gens applaudissent et la paix règne sur la terre. Nous devenons des amis proches des extraterrestres ! Mais, l'Alliance extraterrestre s'effondre rapidement lorsque les extraterrestres se rendent compte que se joindre à nous n'est qu'une perte de temps car la plupart des "gens ordinaires" ne sont que des idiots…
Mais, nous sommes maintenant "libres !" Comme les extraterrestres sont maintenant les maîtres de la terre, ils se joignent aux gros et gonflés de gauche (et de droite) et créent une utopie sur terre. Plus personne n'a à travailler et la nourriture est gratuite et abondante !
Les extraterrestres découvrent bientôt la télévision américaine et s'assoient et la regardent toute la journée et toute la nuit et se gavent de nourriture gratuite (fabriquée à partir de vrais produits chimiques) et deviennent super gros en mangeant de la malbouffe et deviennent comme nous…
À la fin, un gars traverse une foule de gens en criant : « C'est un livre de cuisine ! C'est un livre de cuisine !"
Aaaaa savoir: Un ballon transpercé explose, son enveloppe retombe donc (sur une cheminée ou le pare-brise avant d'une voiture sur l'autoroute !), puis il y a l'aiguille ! La balle traverse le ballon. Ok. oui mais... et après ? Bêh après... la balle tombe ! Tombe et tue quelqu'un (car le poids prend de la vitesse en descendant). Et s'il y a 10 000 ou 100 000 ballons lâchés dans l'espace au gré du vent... il faut... il faut réfléchir !
NSA Edward Snowden : Agitation artificielle autour des ballons pour distraire l'explosion du Nord Stream
14 février 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Depuis qu'un ballon météo en provenance de Chine a été découvert à environ 90 km au-dessus des États-Unis, l'hystérie OVNI a prévalu. Depuis lors, les observations et les abattages d'objets au-dessus de l'Amérique du Nord ont augmenté.
Le porte-parole du département américain de la Défense, Patrick Ryder, a déclaré le 2 février que les autorités américaines avaient repéré et suivaient un "ballon espion" au-dessus du continent américain. Il a été abattu par l'armée américaine au large de la Caroline du Sud dans l'espace aérien américain le 4 février.
La semaine dernière, le Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord (NORAD) a enregistré trois autres "objets non identifiés", dont deux ont été abattus par l'armée américaine dans l'espace aérien national et un autre au-dessus du territoire canadien. Les trois objets étaient significativement plus petits que le ballon chinois, à une altitude inférieure et d'apparence différente. Le dernier objet a été détruit dimanche au-dessus du lac Huron, à la frontière canado-américaine.
L'ancien secrétaire américain à la Défense, Mark Esper, a déclaré à Fox News qu'il pensait que les objets abattus par des avions de chasse américains au cours du week-end étaient "des ballons météorologiques ou des expériences scientifiques".
Pendant ce temps , l'actuel secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, a admis qu'aucun débris n'avait été récupéré de trois "objets" écrasés en Alaska, au Canada et dans le lac Huron.
La situation entourant trois objets volants non identifiés abattus au-dessus de l'Amérique du Nord vise à détourner l'attention des journalistes de l'enquête sur le sabotage des gazoducs Nord Stream, a déclaré lundi l'ancien responsable de la NSA et dénonciateur Edward Snowden.
"J'aimerais qu'ils soient des extraterrestres mais ce ne sont pas des extraterrestres ", a écrit Snowden sur Twitter lundi, commentant la descente de ballons et d'OVNIS aux États-Unis et au Canada. À son avis, c'est " juste la vieille panique artificielle " conçue pour s'assurer que les journalistes de la sécurité nationale " sont chargés d'enquêter sur les bêtises des ballons " et non sur les budgets ou les attentats à la bombe (à la Nord Stream). "
Le 8 février, le journaliste d'investigation américain Seymour Hersh aurait publié un article dans lequel il affirmait qu'en juin dernier, sous le couvert d'un exercice d'été très médiatisé de l'OTAN appelé BALTOPS 22, des plongeurs de la marine avaient placé les engins explosifs déclenchés à distance sous les gazoducs russes avec le soutien d'experts norvégiens placé. Hersh a déclaré que la décision du président américain Joe Biden de "saboter les pipelines est intervenue après plus de neuf mois de débats top secrets au sein de la communauté de la sécurité nationale à Washington ".
Les rapports sur ces révélations aux États-Unis et dans les pays de l'OTAN ont été muets ou inexistants. Au mieux, on pouvait lire des articles dans lesquels Hersh, plusieurs fois primé, était critiqué et calomnié.
Comme je l'ai précédemment dénoncé, ce sont TOUS les pays du monde qui sont capables de lancer chacun 10 000 à 50 000 ballons chaque jour !!! Et, ce sont actuellement quelques milliers de ballons qui sont dans l'espace et portés par les courants venteux, mais... que se passerait-il s'il y avait 50 000 ballons (ou 100 fois plus selon les pays) qui lâchent autant de ballons ? Vous imaginez vous le nombre de missiles disponibles pour les détruire ? Là, je vous avouerai tout de go que chaque État mettrait LA CLÉ SOUS LA PORTE !
L'armée de l'air a dépensé des millions pour abattre un ballon météo américain raté - Biden est heureux qu'il l'ait fait
Lune de l'Alabama 15 février 2023
Hier, l'armée de l'air américaine a abattu un autre ballon météo :
Le Pentagone a déclaré avoir abattu vendredi un objet non identifié au-dessus des eaux gelées autour de l'Alaska sur ordre du président Biden, moins d'une semaine après qu'un avion de chasse américain a abattu un ballon espion chinois au-dessus de l'Atlantique dans un épisode qui a accru les tensions entre Washington et Pékin.
Cet "objet non identifié" était beaucoup plus petit que le ballon précédent.
Trois responsables américains ont déclaré que vendredi soir, le gouvernement ne savait pas qui possédait ou avait envoyé l'objet vu au-dessus de l'Alaska, qui, comme le ballon chinois la semaine dernière, a été abattu par un avion de chasse F-22 utilisant un Sidewinder air-to - missile aérien. Plusieurs responsables ont déclaré qu'ils pensaient que l'objet abattu vendredi était un ballon, mais un responsable du ministère de la Défense a déclaré qu'il s'était brisé en morceaux lorsqu'il a heurté la mer gelée, ce qui a ajouté au mystère de savoir s'il s'agissait bien d'un ballon, un drone ou autre chose.
M. Kirby a déclaré que l'objet était "beaucoup, beaucoup plus petit que le ballon espion que nous avons abattu samedi dernier" et que "la façon dont il m'a été décrit était à peu près de la taille d'une petite voiture, par opposition à la charge utile qui était comme deux ou trois bus.
Le ballon météo chinois abattu plus tôt n'avait probablement rien à voir avec l'espionnage. La folle désinformation et la politique qui l'entourent ne sont que de la propagande. Il y avait des antennes sur le ballon météorologique chinois, mais tous les ballons météorologiques transportent des radiosondes pour envoyer tout ce qu'ils trouvent.
Une fois leurs tâches de mesure terminées, les ballons météorologiques sont censés voler plus haut jusqu'à ce que la pression à l'intérieur du ballon soit beaucoup plus élevée que l'air mince qui l'entoure. En conséquence, le ballon se déchirera et sa radiosonde et ses débris tomberont sur un petit parachute. Il y a généralement une adresse sur ceux-ci et une demande de les renvoyer pour réutilisation. Si vous en trouvez un, faites-le.
Parfois, le mécanisme qui envoie le ballon plus haut échouera. Le ballon suivra alors simplement les vents jusqu'à ce que quelque chose se produise qui le fasse tomber.
Cela pourrait bien être arrivé au ballon météo chinois ainsi qu'au ballon météo envoyé par le Service météorologique national depuis ses stations de mesure à Kotzebue ou Noma dans le nord-ouest de l'Alaska.
Dan Satterfield @wildweatherdan - 21:41 UTC · 10 février 2023J'ai prédit le dernier "ballon" abattu en AK. En fonction de l'emplacement et de l'heure, il remonte jusqu'à proximité du site de Kotzebue NWS Rawinsonde. Avons-nous abattu un ballon météo NWS ? ? Il n'y a pas de données pour le lancement 12Z à partir de ce site et tout le reste a fonctionné. #Chinaballoon
Sinon, il retourne dans la mer de Béring puis dans le nord-est de la Russie.
Il est également possible qu'ils n'aient pas lancé de ballon à Kotzebue ce matin à 12Z.
- voir carte sur site -
plus gros
Une rawinsonde est d'ailleurs une combinaison de capteurs de vent et de radiosonde :
rawinsonde - Un sondage en altitude qui comprend la détermination des vitesses et des directions du vent. Historiquement, les données sur le vent étaient obtenues en suivant une radiosonde portée par un ballon avec un radiogoniomètre. Les méthodes contemporaines comprennent la mesure de la position ou de la vitesse de la radiosonde à partir d'un système de positionnement global ou de signaux de radionavigation Loran.
Une autre station météo se trouve à Nome, en Alaska, qui se trouve dans la même région que Kotzebue.
Dan Satterfield @wildweatherdan - 21:54 UTC · 10 février 2023Le sondage de Nome s'est arrêté à 100 mb aujourd'hui. Il se peut que le ballon NOME rawinsonde ait eu des problèmes.
Si la mesure s'est arrêtée à une pression d'air de 100 millibars, le ballon n'a pas réussi à s'élever plus haut dans un air plus fin.
Plus:
Dan Satterfield @wildweatherdan 22:14 UTC · 10 février 2023Cela pourrait être le ballon NOME en cas d'échec et les données s'arrêtent à 100 Mo à NOME lors du lancement 12z. Il aurait pu ne pas monter et éclater comme il se doit.
Ce n'est pas le seul compte qui est venu avec de telles découvertes:
altNOAA @altNOAA - 3h15 UTC · 11 février 2023Je peux encore me tromper, mais il semble que le ballon ait été lancé vers 2h00 (heure normale de l'Alaska) depuis le National Weather Service WSO à Kotzebue, AK. Il était destiné aux données 12z (ballons lancés deux fois par jour environ 1 heure avant 00/12 heure zoulou). 6h00 de l'est.
Et à celui qui a volé celui-ci… J'espère que vos copains ne sont pas trop durs avec vous. Et merci pour votre service!
Cette page doit être remplie avec un diagramme SKEW-T montrant les données 12z de Kotzebue. Le diagramme de sondage n'existe pas car les données n'existent pas car la bulle qui devait envoyer ces données n'existe plus. (Photo de recherche de page échouée)
et
altNOAA @altNOAA - 8:04 UTC · 11 février 2023L'USAF a soit abattu le ballon météo 12Z de Kotzebue, soit (soyez patient), ils ont abattu un petit vaisseau spatial minuscule de la planète Smallrocksia. Je penche sérieusement vers notre ballon météo. Et c'est assez bien pris en charge avec l'optimisation du ballon Hysplit.
- voir carte sur site -
plus gros
J'admettrai que je ne suis pas encore à 100% sur l'une ou l'autre possibilité (positif à 99,998%, ce n'était pas un petit vaisseau spatial). Je ne suis même pas sûr à 100% si un ballon 12z a été lâché à Kotzebue. Mais, je vais me renseigner.
Il semble donc que l'armée de l'air ait envoyé un avion de surveillance AWACS, un pétrolier et un F-22, l'avion de chasse le plus cher de tous les temps, pour tirer un missile Sidewinder de 400 000 $ afin d'abattre un ballon météo en panne.
Si le ballon avait continué à voler, il aurait tourné vers le pôle nord. Ainsi, quelques millions ont été dépensés pour abattre un ballon météo raté lancé par les États-Unis sur la toute petite chance qu'un avion de ligne croise sa route à son niveau de vol inhabituel de 40 000 pieds.
Je pense que c'était un gaspillage d'argent.
Mais cela a apporté à Biden une meilleure presse que la catastrophe du ballon météo chinois. Il y a donc la vraie raison de le faire.
J’ai beaucoup rigolé en écoutant les fulgurances intellectuelles d’un colonel sur LCI hier parlant de ces histoires d’Ovnis aux États-Unis qui nous ont occupés une bonne partie du week-end.
Par Paolo Garoscio le 14 février 2023 à 8h33
Plus de 7.200 ovnis ont été "vus" aux Etats-Unis en 2020.
Pour ce colonel, ces objets volants sont des Ovnis et « personne ne peut dire d’où ils proviennent. Soit ce sont les Russes, soit les Martiens ! », et en bon colonel de l’armée, il a rajouté qu’il préférait nettement affronter les Russes que les Martiens.
Pour le coup, je pense que nous serons tous d’accord sur ce point et je vous laisse écouter l’enregistrement.
Bon, de vous à moi et d’un point de vue purement analytique, il y a tout de même très peu de chance qu’une civilisation extraterrestre qui serait capable de traverser l’espace intersidéral nous envahisse sans bouclier de force ni rayon laser de la mort qui tue. Traverser l’espace du fond de la galaxie pour terminer dézingué par un missile américain c’est assez humiliant pour une civilisation avancée.
De plus, la première prise de contact manquerait singulièrement de diplomatie. Remarquez, les Américains et leur diplomatie, c’est un rapport légendaire.
Alors, si ce n’est pas E.T qui veut venir à la maison, c’est probablement les Russes qui font mumuse au-dessus du territoire américain et qui disent en substance aux Américains, nous avons les moyens de pénétrer votre espace aérien comme bon nous chante, surtout si vous livrez des chars à l’Ukraine.
Du côté chinois et à l’approche du jour « anniversaire » de l’invasion russe en Ukraine, dans 10 jours, le ton n’est pas franchement très conciliant ni particulièrement aimable, alors que les propos chinois sont culturellement toujours mesurés et très pondérés. Voici l’un des derniers messages de l’Ambassade de Chine.
Quant au président chinois, il vient d’en remettre une couche, en désignant bien évidemment les Etats-Unis sans les nommer.
Du côté du front russe, à l’Est, il y a du nouveau.
Les Occidentaux demandent à tous leurs ressortissants de quitter la Biélorussie.
La probabilité est non négligeable que les forces russes stationnées en Biélorussie tentent une percée à l’Ouest de l’Ukraine pour couper Kiev de ses voies d’approvisionnement en armes occidentales.
Les jours qui viennent seront cruciaux et il est fort probable que le camarade E.T parle avec un fort accent russe.
Suite à la saga du ballon espion chinois traversant les États-Unis avant d'être abattu au large de la Caroline du Sud la semaine dernière, l'armée américaine a abattu trois objets volants non identifiés au-dessus de l'Alaska, du Canada et du Michigan ce week-end, suscitant l'inquiétude et un débat animé sur ce qui se passe dans le ciel au-dessus.
Et tandis que les responsables américains sont encore en train de déterminer quels étaient les objets volants abattus ce week-end et à quoi ils servaient, il peut y avoir une explication simple à la raison pour laquelle il semble soudainement y avoir un assaut d'objets volants non identifiés au-dessus des États-Unis. À la suite de l'incursion très publique du ballon chinois, l'armée américaine est extrêmement vigilante dans la surveillance de l'espace aérien et le signalement d'objets qui auraient pu auparavant voler littéralement sous le radar.
«À la lumière du programme de ballons chinois et de cette récente incursion dans notre espace aérien, les États-Unis et le Canada, par le biais du NORAD, ont examiné de plus près cet espace aérien, notamment en améliorant nos capacités radar, ce qui – en tant que commandant du NORTHCOM et du NORAD, le général VanHerck, a déclaré hier soir – peut au moins en partie expliquer l'augmentation du nombre d'objets qui ont été détectés », a déclaré lundi le coordinateur du Conseil de sécurité nationale pour les communications stratégiques, John Kirby, lors d'un point de presse à la Maison Blanche.
Cependant, comme le note Felix Richter de Statista, les objets volants non identifiés ou les phénomènes aériens non identifiés (UAP), comme on les appelle officiellement, n'ont rien de nouveau. En fait, le bureau du directeur du renseignement national a publié le mois dernier un rapport non classifié sur le sujet, montrant à quel point les observations et les signalements de PAN sont fréquents. Entre mars 2021 et août 2022, les autorités ont reçu 366 signalements de PAN, dont plus de la moitié présentaient des « caractéristiques banales ».
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Infographie : Est-ce un oiseau ? Est-ce un avion ? | Statistique Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
26 ont été classés comme des systèmes d'aéronefs sans pilote (principalement des drones), 163 ont été caractérisés comme des ballons ou des entités ressemblant à des ballons et six ont été attribués à l'encombrement, par ex. les oiseaux, les événements météorologiques ou les débris en suspension dans l'air tels que les sacs en plastique.
Lorsque le rapport a été publié, 171 UAP n'étaient pas encore caractérisés, mais le rapport indique que certains d'entre eux "semblent avoir démontré des caractéristiques de vol ou des capacités de performance inhabituelles, et nécessitent une analyse plus approfondie".
Notons qu'aujourd'hui figurent dans la série 'Aéronef ET' des oiseaux (aussi vrais que nature jusqu'aux insectes télécommandés !!), d'où le nombre très impressionnant de missiles à tirer ! HAHAHAHA ! Par contre s'il y a des hologrammes de type '11Septembre' Whôaw !
Attaque terroriste du Nord Stream : l'intrigue s'épaissit
Par Pepe Escobar Culture stratégique 16 février 2023
Ce qu'il nous reste à tous, c'est de nager dans un marais rempli de patsies abandonnés, de couvertures douteuses et de débris d'informations.
Le rapport explosif de Seymour Hersh sur la façon dont le gouvernement américain a fait sauter les pipelines Nord Stream 1 et 2 dans la mer Baltique en septembre dernier continue de générer des vagues géopolitiques ondulantes dans tout le spectre.
Sauf, bien sûr, dans la bulle parallèle des médias grand public américains, qui l'ont totalement ignorée, ou dans quelques cas choisis, ont décidé de tirer sur le messager, rejetant Hersh comme un journaliste "discrédité", un "blogueur" et un " adepte de la théorie de conspiration".
J'ai proposé une première approche, centrée sur les nombreux mérites d'un rapport apparemment complet, mais notant également quelques incohérences graves.
Le correspondant étranger de la vieille école basé à Moscou, John Helmer, est allé encore plus loin ; et ce qu'il a découvert peut être aussi incandescent que le propre récit de Sy Hersh.
Le cœur du problème dans le rapport de Hersh concerne l'attribution de la responsabilité d'une attaque terroriste industrielle de facto. Étonnamment, pas de CIA ; cela tombe directement sur le trio de planification toxique de Sullivan, Blinken et Nuland – néolibéral-contre faisant partie du combo « Biden ». Et le feu vert final vient du Décideur Ultime : le Président sénile, téléprompteur lui-même. Les Norvégiens figurent en tant qu'assistants mineurs.
Cela pose le premier problème sérieux : nulle part dans son récit Hersh ne fait référence au MI6, aux Polonais (gouvernement, Marine), aux Danois, et même au gouvernement allemand.
Il y a une mention qu'en janvier 2022, "après quelques hésitations", le chancelier Scholz "était désormais fermement dans l'équipe américaine". Eh bien, à ce jour, le plan était en discussion, selon la source de Hersh, depuis au moins quelques mois. Cela signifie également que Scholz est resté "dans l'équipe américaine" jusqu'à l'attaque terroriste, en septembre 2022.
Quant aux Britanniques, aux Polonais et à tous les jeux de l'OTAN qui se jouaient au large de l'île de Bornhom plus d'un an avant l'attaque, cela avait été largement rapporté par les médias russes - de Kommersant à RIA Novosti.
L'opération militaire spéciale (SMO) a été lancée le 24 février, il y a près d'un an. L'explosion de Nord Stream 1 et 2 s'est produite le 26 septembre. Hersh assure qu'il y a eu "plus de neuf mois de débats hautement secrets au sein de la communauté de la sécurité nationale de Washington sur la manière de" saboter les pipelines "".
Cela confirme donc que la planification de l'attaque terroriste a précédé, de plusieurs mois, non seulement le SMO mais, surtout, les lettres envoyées par Moscou à Washington en décembre 2022, demandant une discussion sérieuse sur "l'indivisibilité de la sécurité" impliquant l'OTAN, la Russie et l'après-guerre. Espace soviétique. La demande a été satisfaite par une réponse de non-réponse américaine dédaigneuse.
Alors qu'il écrivait l'histoire d'une réponse terroriste à un grave problème géopolitique, cela fait sourciller qu'un professionnel de premier ordre comme Hersh ne se soucie même pas d'examiner le contexte géopolitique complexe.
En un mot : l'anathème mackindérien ultime pour les classes dirigeantes américaines - et c'est bipartisan - est une alliance Allemagne-Russie, étendue à la Chine : cela signifierait l'expulsion des États-Unis d'Eurasie, et cela conditionne tout ce que tout gouvernement américain pense et fait en termes de l'OTAN et de la Russie.
Hersh aurait également dû remarquer que le moment choisi pour préparer le "sabotage des pipelines" brise complètement le récit officiel du gouvernement américain, selon lequel il s'agit d'un effort collectif de l'Occident pour aider l'Ukraine contre "l'agression russe non provoquée".
Cette source insaisissable
Le récit ne laisse aucun doute sur le fait que la source de Hersh – sinon le journaliste lui-même – soutient ce qui est considéré comme une politique américaine légale : combattre la « menace de la Russie contre la domination occidentale [en Europe] ».
Donc, ce qui semble être une opération secrète de la marine américaine, selon le récit, a peut-être été malavisé, non pas pour de sérieuses raisons géopolitiques ; mais parce que la planification de l'attaque a intentionnellement éludé la loi américaine "exigeant que le Congrès soit informé". C'est une interprétation extrêmement paroissiale des relations internationales. Ou, pour être franc : c'est une apologie de l'exceptionnalisme.
Et cela nous amène à ce qui pourrait être le Rosebud dans cette saga digne d'Orson Welles. Hersh fait référence à une "salle sécurisée au dernier étage de l'ancien bâtiment du bureau exécutif… qui abritait également le Conseil consultatif du renseignement étranger du président".
C'était soi-disant l'endroit où la planification de l'attaque terroriste était en cours de discussion.
Alors bienvenue au PIAB : le President Intelligence Advisory Board. Tous les membres sont nommés par l'actuel POTUS, en l'occurrence Joe Biden. Si nous examinons la liste des membres actuels du PIAB, nous devrions, en théorie, trouver la source de Hersh (voir, par exemple, « President Biden Announces Appointments to the President's Intelligence Advisory Board and the National Science Board » ; « President Biden Announces Key Appointments » ; « Le président Biden annonce des nominations clés aux conseils et commissions » ; « Le président Biden annonce des nominations clés aux conseils et commissions » ; et « Le président Biden annonce des nominations clés aux conseils et commissions ».
Voici les membres du PIAB nommés par Biden : Sandy Winnefeld ; Gilman Louie; Janet Napolitano ; Richard Verma; Evan Bayh; Anne Finucane; Mark Angelson; Margaret Hambourg; Kim Cobb; et Kneeland Youngblood.
La source de Hersh, selon son récit, affirme, sans l'ombre d'un doute, que "les troupes russes s'étaient accumulées de manière constante et inquiétante aux frontières de l'Ukraine" et que "l'alarme grandissait à Washington". C'est à croire que ce groupe soi-disant bien informé n'était pas au courant du rassemblement de troupes ukrainiennes dirigées par l'OTAN de l'autre côté de la ligne de contact, se préparant à lancer une guerre éclair contre le Donbass.
Ce que tout le monde savait déjà à ce moment-là – comme le montre le dossier même sur YouTube – c'est que le combo derrière "Biden" était déterminé à mettre fin aux Nord Streams par tous les moyens nécessaires. Après le lancement du SMO, la seule chose qui manquait était de trouver un mécanisme de déni plausible.
Malgré tous ses reportages méticuleux, le sentiment inéluctable demeure que ce que le récit de Hersh accuse est le stratagème terroriste combiné de Biden, et jamais le plan global des États-Unis visant à provoquer la Russie dans une guerre par procuration avec l'OTAN en utilisant l'Ukraine comme chair à canon.
De plus, la source de Hersh peut être éminemment erronée. Il – ou elle – a dit, selon Hersh, que la Russie "n'a pas répondu" à l'attaque terroriste contre le pipeline parce que "peut-être qu'ils veulent la capacité de faire les mêmes choses que les États-Unis".
En soi, cela peut prouver que la source n'était même pas membre du PIAB, et n'a pas reçu le rapport classifié du PIAB évaluant le discours crucial de Poutine du 30 septembre, qui identifie le parti "responsable". Si tel est le cas, la source est simplement connectée (le mien en italique) à un membre du PIAB ; n'a pas été invité à la planification de la salle de crise qui a duré des mois ; et n'est certainement pas au courant des détails les plus fins de la guerre de cette administration en Ukraine.
Compte tenu des excellents antécédents de Sy Hersh dans le journalisme d'investigation, il serait assez rafraîchissant pour lui d'élucider ces incohérences. Cela éliminerait le brouillard des rumeurs décrivant le rapport comme un simple lieu de rencontre limité.
Considérant qu'il existe plusieurs "silos" d'informations au sein de l'oligarchie américaine, avec leurs appareils correspondants, et que Hersh a cultivé ses contacts avec presque tous pendant des décennies, il ne fait aucun doute que les informations prétendument privilégiées sur la saga Nord Stream provenaient d'une source très précise. adresse – avec un ordre du jour très précis.
Nous devrions donc voir qui l'histoire inculpe vraiment : certainement le combo straussien néo-conservateur/néolibéral-con derrière « Biden », et le président bancal lui-même. Comme je l'ai souligné dans mon analyse initiale, la CIA s'en tire haut la main.
Et nous ne devons pas oublier que le grand récit change rapidement : le rapport RAND, l'humiliation imminente de l'OTAN en Ukraine, l'hystérie des ballons, l'opération psy OVNI. La véritable « menace » est – qui d'autre – la Chine. Ce qu'il nous reste à tous, c'est de nager dans un marais rempli de patsies abandonnés, de couvertures douteuses et de débris d'informations. Sachant que ceux qui dirigent vraiment le spectacle ne montrent jamais leur main.
Les opinions des contributeurs individuels ne représentent pas nécessairement celles de la Fondation pour la culture stratégique.
A L'INSTANT - Ancien conseiller de la CIA : Biden a bombardé Nord Stream ?
PAR PARADIM PRESSE
Cher lecteur,
Le matin du 26 septembre 2022…
Quatre explosions sous-marines ont creusé des trous de 60 pieds dans le pipeline russe Nord Stream...
Envoyer du gaz se déverser dans l'océan…
Et laissant le pipeline paralysé pendant des années.
L'administration Biden blâme la Russie, mais...
C'est un mensonge éhonté.
Vous êtes sur le point de voir pourquoi je suis maintenant certain…
Joe Biden a ordonné l'attaque du Nord Stream.
Et son erreur est sur le point de tous nous plonger en Enfer…
>>Bienvenue à l'Armageddon énergétique américain de Biden<<
A la vérité,
Jim Rickard Ancien conseiller de la CIA et du Pentagone
PS Au cours des 75 prochains jours, je prédis que les Américains seront confrontés à des pénuries de carburant, à des pannes d'électricité généralisées, à des étagères d'épicerie vides, à des factures d'énergie de 1 000 $, à des comptes de retraite épuisés… et à une nouvelle vague de criminalité. Voir mon avertissement complet ici.
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Sabotage du Nord Stream alors que les États-Unis attaquent l'Allemagne
15 février 2023 par Thomas Oysmuller
La Russie prévoit une session spéciale du Conseil de sécurité de l'ONU sur l'attaque contre Nord Stream. Le révélateur Hersh donne de nouvelles informations sur ce qu'aurait pu être le motif des États-Unis dans une interview. La révélation pourrait même conduire à la fin de l'OTAN.
Seymour Hersh, découvreur du Nord Stream, s'est expliqué dans une interview au « Berliner Zeitung ». Il donne un nouvel aperçu de ses recherches et explique le motif des États-Unis.Hersh aurait également de nombreuses questions pour le chancelier allemand Olaf Scholz. Par exemple, si Biden l'avait informé des plans. Il est clair que le gouvernement cache même certaines informations sur l'attaque au Bundestag. Scholz en sait donc plus qu'il ne l'admet publiquement.
Dégâts massifs à Washington
Mais pourquoi les États-Unis ont-ils mené l'attaque ? "La raison de la décision de faire sauter Nord Stream était que la guerre n'allait pas bien pour l'Occident et que les États-Unis avaient peur que l'Allemagne lève les sanctions à cause d'un hiver froid."
Dans une interview à la radio mardi, Hersh a également évoqué les critiques selon lesquelles il n'avait qu'une seule source. Cela ne doit pas être le cas. Il parle du principe suprême du journalisme d'investigation : la protection des sources. Il est tout à fait possible qu'il n'ait fait référence qu'à une seule source à cette fin, bien qu'il en ait eu plusieurs. La protection des sources devient encore plus importante lorsqu'il s'agit de secrets d'État et de services secrets. Une seule exposition à la source et il sera hanté (peut-être jusqu'à sa mort). Quoi qu'il en soit, Hersh a vérifié ses faits - c'est ce que signifie son nom.
Hersh est certain que l'attaque changera beaucoup à long terme. Et l'issue de la guerre sera également différente de ce que souhaiterait l'Occident, déclare Hersh :
« Ce que je sais, c'est qu'il n'y a aucun moyen que cette guerre se termine comme nous le souhaitons, et je ne sais pas ce que nous ferons alors que nous regardons plus loin. Cela me fait peur que le président soit prêt à faire quelque chose comme ça. Et les gens qui dirigeaient cette mission croyaient que le président était conscient de ce qu'il faisait au peuple allemand, qu'il le punissait pour une guerre qui n'allait pas bien. Et à long terme, cela ne nuira pas seulement à sa réputation de président, ce sera aussi très préjudiciable sur le plan politique. Ce sera un stigmate pour les États-Unis.
Il ne croit pas que le gouvernement américain ait réfléchi jusqu'au bout à la portée de la décision. Même si une partie de l'économie américaine, qui peut désormais exporter encore plus cher du gaz liquéfié vers l'Europe, s'en réjouit probablement :
" Je suis sûr que certaines personnes ont pensé, mon garçon, que cela va donner un coup de pouce à l'économie américaine à long terme. Mais à la Maison Blanche, je pense qu'ils ont toujours été obsédés par la réélection, et ils voulaient gagner la guerre, ils voulaient remporter une victoire, ils voulaient que l'Ukraine gagne comme par magie. Il y a peut-être des gens qui pensent que c'est peut-être mieux pour notre économie si l'économie allemande est faible, mais c'est fou. Je pense que nous avons été pris dans quelque chose qui ne fonctionnera pas, la guerre ne se terminera pas bien pour ce gouvernement."
Pendant ce temps, la Russie a annoncé qu'elle préparait une session spéciale du Conseil de sécurité de l'ONU sur l'attaque du Nord Stream. La révélation a une force explosive sans précédent, les conséquences pourraient être bien plus importantes que ce que soupçonne Hersh. C'était une attaque des pays de l'OTAN (la Norvège aurait soutenu les États-Unis) contre un autre pays de l'OTAN. Dans les documents fondateurs de l'OTAN, vous pouvez lire ce que cela signifie réellement, comme Jonas Danner l'a déterré : ce ne serait rien d'autre que la fin de l'alliance militaire. C'était du moins l'opinion en 1949, l'année de la création de l'OTAN.
Les experts universitaires disent que le changement climatique provoque des tremblements de terre. Arrêtons les tremblements de terre avec des panneaux solaires alors ?
Nécromancien, arts sombres, culte, occulte, sorcellerie.
Par TheMartic Par Jo Nova February 16th, 2023
Blâmer Exxon pour les enfants morts de Turquie, hein ? Ce ne sont pas les codes du bâtiment corrompus, les plaques crustales ou le champ magnétique solaire. Le changement climatique déclenche des tremblements de terre, vous savez.
Un grand prêtre écologiste a lu les entrailles de poulet et prophétise que les choses vont empirer. Votre voiture crée des tremblements de terre, des volcans et des tsunamis - à moins qu'il ne s'agisse d'un véhicule électrique. C'est difficile de faire la satire, c'est trop stupide.
Le changement climatique déclenche davantage de tremblements de terre. Les intérêts de Big Oil sont un facteur Par le professeur İbrahim Özdemir, conseiller de l'ONU, Euronews
Il n'y a pas que les tremblements de terre, il y a aussi les tsunamis et les volcans :
Nous ne savons pas avec certitude ce qui a déclenché cette horrible catastrophe naturelle, mais nous savons qu'il existe de plus en plus de preuves scientifiques que le changement climatique augmente le risque de tels tremblements, ainsi que les tsunamis et les éruptions volcaniques.
Voici la Science Occulte :
"Si une faille est amorcée ou prête à éclater, il suffit de la pression d'une poignée de main pour la déclencher […] Les changements environnementaux associés à une dégradation rapide et accélérée du climat pourraient facilement faire l'affaire", professeur de géophysique et de risques climatiques à l'University College de Londres, Bill McGuire l'a souligné en 2012.
Si un défaut est "prêt à se rompre" et que la pression d'une poignée de main le déclenche, alors les semi-remorques en Turquie sont probablement un non-non. Je veux dire, si le Big One n'avait pas été déclenché par le changement climatique à 4h17 du matin, il l'aurait été par le Ford F-Max à 4h18. Ces professeurs lisent-ils même ce qu'ils écrivent ?
Et l'enfer biblique régnera : De plus, les scientifiques de la NASA ont reconnu que le recul des glaciers dû au réchauffement climatique avait déclenché des tremblements de terre en Alaska au cours des dernières décennies.
L'impact ne se limite pas à l'Arctique. Alors que la fonte des glaciers modifie la répartition du poids sur la croûte terrestre, «l'ajustement isostatique glaciaire» qui en résulte entraîne des changements dans la tectonique des plaques qui pourraient entraîner davantage de tremblements de terre, réveiller des volcans et même affecter le mouvement de l'axe de la Terre.
La fonte de gigatonnes de glace pourrait bien affecter la tectonique de la croûte, mais l'activité solaire est beaucoup plus susceptible de faire fondre la glace, pas les climatiseurs de Sydney ou les sèche-cheveux de Londres - auquel cas tous les crédits carbone du monde n'arrêtera pas un seul événement sismique. L'effort pour nous protéger avec des moulins à vent ressemblera à des nécromanciens criant à la brise.
Et la science occulte coule directement dans la haine tribale
Tremblement de terre, crack. Tout ce que font les entreprises de combustibles fossiles est un crime contre l'humanité. Ce sont les « mauvais esprits » du culte climatique. Une recherche Google pour "les activistes du climat lancent des poursuites judiciaires" obtient 3 millions de résultats. Mais lorsque les entreprises de combustibles fossiles ciblent 150 militants écologistes, c'est la preuve qu'elles dirigent le monde :
Une série d'enquêtes et de procédures judiciaires au fil des ans ont montré comment les géants des combustibles fossiles mènent la barque : ils utilisent et abusent de l'État de droit pour échapper à la responsabilité de la pollution de l'environnement, de l'accaparement des ressources et du copinage. Ceux qui s'y opposent sont souvent réduits au silence.
Au cours de la dernière décennie, les entreprises de combustibles fossiles aux États-Unis ont ciblé plus de 150 militants écologistes avec des poursuites.
Oh malheur à nous, disent les pourvoyeurs d'absurdités. Ils ne peuvent pas persuader le monde de suivre leurs devins, alors ils se sentent réduits au silence et victimes s'ils ne peuvent pas fermer les robinets des principaux gazoducs à la place :
Pendant ce temps, des dizaines d'États américains sont en train de promulguer une législation sur les «infrastructures critiques», augmentant les sanctions pénales contre les militants qui protestent contre les pipelines qui détruiront la planète.
Le professeur İbrahim Özdemir exploite sans vergogne les morts en Turquie pour promouvoir sa propre carrière Voici sa signature :
Le professeur İbrahim Özdemir est conseiller de l'ONU et écologiste enseignant à l'Université d'Üsküdar. Il a été directeur général du Département des affaires étrangères du ministère turc de l'éducation et a été l'un des principaux membres de la rédaction de la Déclaration islamique sur le changement climatique mondial approuvée par la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC).
Une étude géologique réfute le programme d'énergie verte : pas assez de métaux pour remplacer le pétrole
par Selwyn Duke 13 février 2023
De nombreux points sont soulevés lors de la discussion de l'infaisabilité de l'agenda de l'énergie verte. Il a été noté que le vent et le solaire ne peuvent pas répondre à nos besoins énergétiques, qu'alimenter les États-Unis en énergie éolienne nécessiterait une superficie trois fois plus grande que la Californie. Il a en outre été affirmé que la production et l'utilisation de voitures électriques causent en fait plus de pollution que le statu quo de l'essence. Ce n'est pas seulement que la fabrication de véhicules électriques crée des rejets massifs de gaz carbonique (pas un polluant, attention), non plus ; c'est aussi que l'extraction des métaux et minéraux nécessaires à leur production cause des dommages environnementaux. Pourtant, il y a aussi un coup de pied ici, un point rarement soulevé :
Même si nous pouvions extraire plus proprement et plus efficacement les matériaux en question, il n'y en a tout simplement pas assez pour faire de l'énergie verte une réalité.
C'est la conclusion d'une étude géologique qui, sans surprise, n'a pas reçu l'attention qu'elle mérite. CounterPunch en a fait rapport, cependant, écrivant que la recherche
met un frein aux perspectives d'abandon des combustibles fossiles au profit des énergies renouvelables. Plus précisément, une élimination progressive des combustibles fossiles d'ici le milieu du siècle semble être une tâche de Sisyphe presque impossible. Il s'agit de quantités de minéraux/métaux contenus dans la Terre Mère. Il n'y en a pas assez.
Simon Michaux, PhD, Geological Survey Finland[,] a réalisé une étude détaillée de ce qui est nécessaire pour éliminer progressivement les combustibles fossiles au profit des énergies renouvelables, à savoir :
- voir cadre sur site -
"La quantité de métal nécessaire pour fabriquer une seule génération d'unités technologiques renouvelables pour remplacer les combustibles fossiles est beaucoup plus importante qu'on ne le pensait initialement. La production minière actuelle de ces métaux n'est même pas près de répondre à la demande. Les réserves minérales actuellement déclarées ne sont pas non plus suffisantes. Le plus préoccupant est le cuivre comme l'un des déficits signalés. L'exploration pour plus aux volumes requis sera difficile, avec ce séminaire abordant ces questions. (Source : Simon P. Michaux, professeur de recherche associé de l'unité de géométallurgie, traitement des minéraux et recherche sur les matériaux, Service géologique de Finlande, 18 août 2022 - Séminaire : Que faudrait-il pour remplacer le système de combustible fossile existant ?)
"L'étude approfondie de Michaux a révélé que les réserves de métaux estimées actuelles sont terriblement insuffisantes dans presque toutes les catégories", a ajouté samedi Robert A. Bishop du penseur américain. «Le tableau ci-dessous répertorie les exigences en métaux de base et en terres rares pour construire le nouveau réseau et les véhicules électriques. Les déficits sont surlignés en jaune. Par exemple, le cuivre fait partie intégrante d'un système de réseau à haute tension, manquant de 3,7 milliards de tonnes. Pouvons-nous creuser suffisamment de fosses à minerai ouvertes d'un kilomètre de profondeur pour combler ce manque à gagner ? Improbable."
Bishop poursuit en écrivant que ci-dessous "se trouve le tableau de l'étude estimant les années pour produire les métaux requis aux taux de production actuels. Par exemple, le lithium prendrait près de 10 millénaires pour être atteint. De plus, ces minéraux rares doivent être extraits, transportés et traités, en s'appuyant exclusivement sur des combustibles fossiles, ce qui créerait davantage d'émissions de carbone et épuiserait les réserves d'hydrocarbures.
"Les produits pétrochimiques issus du pétrole et du gaz naturel rendent plus de 6 000 produits de tous les jours indispensables à la société moderne", souligne également Bishop. « Il n'existe pas de substituts alternatifs connus pour les hydrocarbures. Pourtant, les fanboys du changement climatique ignorent de manière catastrophique les produits pétrochimiques qui fournissent de nombreux biens indispensables [sic] ».
La réalité a une façon d'intervenir, cependant (c'est juste une question de combien de douleur est nécessaire pour pénétrer les oreilles sourdes). À cet égard, la guerre en Ukraine a eu au moins un sous-produit positif. Autrement dit, "l'embargo européen sur le pétrole et le gaz naturel russes, ainsi que le sabotage terroriste des pipelines Nord Stream, exposent le mythe de l'énergie verte", déclare encore Bishop. "En conséquence, l'Allemagne, l'affiche de l'énergie verte, a eu recours à l'hérésie en réactivant ses centrales au charbon mises sous cocon."
"Les calculs ne soutiennent pas la rhétorique du mouvement activiste net zéro", conclut Bishop. «Éliminer les combustibles fossiles indispensables, comme l'Allemagne le connaît à un rythme accéléré, sans les remplacer par l'équivalent d'une énergie alternative, effondrerait rapidement la société moderne. Considérez-le comme le « massacre de Jonestown » à l'échelle mondiale. »
Loin d'être exagérée, cette alarme a déjà été tirée. Par exemple, l'ancien personnage de Greenpeace, Patrick Moore, a averti en 2019 que si le Green New Deal était institué à l'échelle mondiale, il pourrait "entraîner la mort de presque tous les humains sur Terre". Mais avant qu'ils ne rencontrent leur misérable fin, a-t-il souligné, ils avaient abattu tous les arbres pour se nourrir et tué tous les animaux pour se nourrir.
Il n'est pas surprenant qu'essayer de transformer artificiellement une économie mondiale avec la trique d'un grand gouvernement ait un effet dévastateur : c'est déjà arrivé. Par exemple, au XXe siècle, des dictateurs communistes tels que Joseph Staline en Union soviétique, Mao Zedong en Chine et Pol Pot au Cambodge ont institué des programmes de collectivisation agricole qui ont causé la mort de plus de 60 millions de personnes.
La leçon est également simple : si le marché ne justifie pas un programme ou un plan d'action, soyez plus qu'hésitant à le poursuivre. Ce n'est pas parce que le marché est parfait (hé, ça nous donne les Kardashian !), mais parce que c'est la démocratie appliquée à l'économie ; c'est-à-dire que chaque fois que des centaines de millions de personnes effectuent des achats, elles votent sur les biens et services qui prévaudront.
Faisant écho à ce que Winston Churchill a dit à propos de la démocratie politique, le marché est aussi le pire système au monde - à l'exception de tout le reste. C'était certainement un meilleur guide que Staline, Mao, Pol Pot et leurs cerveaux. Et qu'en est-il des oligarques d'aujourd'hui qui seraient à la tête de l'économie, l'enfant du climat Greta Thunberg, l'extraterrestre John Kerry, l'homme aux problèmes logiciels Bill Gates, et al. ? Voulez-vous parier qu'ils seront les premiers marionnettistes économiques de l'histoire dont la sagesse collective surpassera celle de la main invisible du marché ?
Les contrats à terme sur le gaz naturel suggèrent que la crise énergétique en Europe n'est pas terminée
PAR TYLER DURDEN JEUDI 16 FÉVRIER 2023 - 11:00 Par Tsvetana Paraskova de OilPrice.com
Les contrats à terme sur le gaz naturel en Europe indiquent des prix structurellement plus élevés pour le reste de l'année, car l'Europe devra bientôt commencer à remplir ses stocks pour l'hiver 2023/2024.
Le prix du TTF, la référence européenne, a glissé lundi au plus bas niveau depuis septembre 2021, et l'Europe semble confiante qu'il n'y aura pas de pénurie de gaz cet hiver.
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Cependant, la course pour assurer l'approvisionnement de l'hiver prochain n'a même pas encore commencé pour de bon. Les prix devraient rester plus élevés qu'avant l'invasion russe de l'Ukraine pendant l'été, car l'Europe devra faire face à une concurrence plus féroce de l'Asie pour l'approvisionnement en gaz naturel liquéfié (GNL). Les contrats à terme TTF pour décembre sont à un prix supérieur à 60 € par mégawattheure, nettement supérieur aux 54 € par mégawattheure de mars.
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L'année dernière, l'Asie – y compris la Chine – a connu une demande tiède dans un contexte de prix au comptant élevés et d'un ralentissement de l'économie chinoise. Avec la réouverture de la Chine, cependant, la demande de gaz et de GNL devrait rebondir, augmentant la concurrence entre l'Asie et l'Europe pour l'approvisionnement au comptant, selon les analystes.
De plus, le temps en Europe a été plus doux que d'habitude pendant de longues périodes cet hiver, ce qui a permis de réduire la consommation de gaz pour le chauffage et la production d'électricité. Il est loin d'être certain que l'Europe, et l'hémisphère nord dans son ensemble, connaîtront également des températures douces l'hiver prochain.
Les gouvernements et les régulateurs de l'UE affirment que si une grave crise de pénurie de gaz a été évitée pour cet hiver, l'hiver prochain pourrait être plus difficile.
"Les prix semblent susceptibles de rester structurellement plus élevés qu'ils ne l'étaient avant l'invasion russe", a déclaré Henning Gloystein, directeur de l'énergie, du climat et des ressources chez Eurasia Group, dans une note récente publiée par Bloomberg.
L'Europe continue d'ajouter de nouvelles capacités d'importation de GNL, en particulier en Allemagne et aux Pays-Bas, mais si l'offre mondiale se resserre, les prix grimperont à nouveau.
Les prix du gaz en Europe ont augmenté d'environ 3% à 58 dollars (54 euros) le mégawattheure (MWh) vers midi à Amsterdam mercredi.
Les prix se sont maintenus entre 53 et 64 dollars (50 à 60 euros) par MWh pendant des semaines dans un contexte de stocks de gaz plus élevés que la saison, de conditions météorologiques clémentes et d'afflux constants de GNL.
L'UE envisage une réduction de 90 % des émissions de gaz carbonique d'ici 2040 pour les camions
PAR TYLER DURDEN JEUDI 16 FÉVRIER 2023 - 09:30 Par Julieanne Geiger de Oilprice.com
La Commission européenne a proposé cette semaine des règles plus strictes en matière de gaz carbonique pour les véhicules utilitaires lourds, exigeant que tous les nouveaux camions réduisent leurs émissions de 90 % d'ici 2040 et que tous les nouveaux bus urbains n'émettent aucune émission à partir de seulement 7 ans, d'ici 2030, selon un communiqué de la Commission européenne.
L'objectif de l'UE n'est pas seulement d'aider l'UE à se rapprocher de ses émissions nettes de gaz à effet de serre nulles d'ici 2050, mais également de réduire ses importations de combustibles fossiles. Il existe déjà un accord pour que les nouvelles voitures soient sans gaz carbonique d'ici 2035, a rapporté Reuters mardi.
"Le secteur du transport routier représente un cinquième des émissions de gaz à effet de serre (GES) de l'UE et est la principale cause de pollution de l'air dans les villes", a déclaré la Commission, ajoutant que le secteur des transports est le seul secteur de l'UE où les émissions ont continué à hausse ces dernières années. Les poids lourds et les bus sont responsables de plus de 25 % des émissions de GES du transport routier dans l'UE et de 6 % des émissions totales de GES de l'UE.
La Commission a suggéré que les constructeurs doivent réduire les émissions de gaz carbonique typiques des nouveaux camions qu'ils vendent de 90 % par rapport aux niveaux de 2019 d'ici 2040.
Ils devraient également réduire le gaz carbonique de 65 % à partir de 2035.
L'UE a opté pour un objectif de 90 % au lieu d'un objectif de 100 % pour l'instant car, selon le chef de la politique climatique de l'UE Frans Timmermans, les technologies zéro émission ne sont pas encore disponibles pour tous les camions, et ils ne savent pas quand ce sera .
L'objectif ultime est toujours une réduction de 100 % des émissions de gaz carbonique pour les voitures et les camions, mais l'UE n'a pas commenté quand l'objectif pourrait être déplacé.
Les écologistes qui espéraient plus sont mécontents que le bloc ait décidé de renoncer aux 10 derniers pour cent. "Les camions polluants continueront d'être vendus pendant des années plus longtemps que nécessaire, rendant impossible l'objectif zéro net de l'UE", a déclaré un responsable du fret du groupe de campagne Transport & Environnement, cité par Reuters, en réponse à l'annonce de l'UE mardi.
Économiser l'eau grâce à une alimentation végétalienne – qu'en est-il ?
16 Février 2023 Ulrich Graf*
L'eau est l'aliment le plus important pour l'homme. Quelles formes de vie permettent de la protéger particulièrement bien ?
Combien d'eau peut-on économiser en renonçant aux produits d'origine animale ? De nombreux chiffres qui circulent à ce sujet sont nettement surestimés.
Actuellement, le Veganuary est en cours. Le nom est composé de Vegan et de January. L'action vise à inciter les gens à adopter une alimentation végétalienne pendant ce mois. De nombreux avantages pour l'environnement et le climat sont cités pour motiver les participants. Il est notamment affirmé que cela économise beaucoup d'eau. Mais est-ce vraiment le cas ?
Cycle de l'eau des précipitations surfaciques : l'empreinte hydrique ne prend en compte que les surfaces productives, c'est-à-dire celles qui sont cultivées. Là encore, seul le processus au sol, composé des précipitations et de l'évaporation, est pris en compte. Le processus atmosphérique de condensation et de formation des nuages ne l'est pas. Ce n'est donc pas le cycle de l'eau dans son ensemble qui est considéré, mais seulement un fragment de celui-ci. Cela s'explique par le fait qu'il s'agit d'un paramètre économique qui n'attribue une valeur utile qu'à l'eau liquide.
Un nombre de formules de calcul déconcertant
La réponse à cette question est diablement difficile. Il existe en effet une multitude de formules de calcul différentes pour une prétendue économie d'eau dans le cadre d'une alimentation végétalienne. Elles se fondent d'une part sur différents travaux scientifiques, d'autre part sur différentes valeurs de référence. Tantôt il s'agit de la masse produite, tantôt de la valeur nutritive ou encore d'une seule fraction, comme les protéines ou les graisses, jusqu'aux micronutriments. De même, les habitudes de consommation prises pour base peuvent varier considérablement. Il est donc très difficile de vérifier la véracité des affirmations en raison de leur diversité déconcertante.
Cependant, les noms de M. M. Mekonnen et A. Y. Hoekstra apparaissent dans presque tous les articles scientifiques cités. Ils sont les auteurs de l'étude « L'empreinte hydrique verte, bleue et grise des animaux d'élevage et des produits animaux ». L'Institut UNESCO-IHE pour l'Éducation à l'Eau a publié ce traité scientifique en décembre 2010 dans le cadre de sa série de publications, ce qui en fait en quelque sorte un ouvrage de référence.
Comment se calcule l'empreinte hydrique des animaux d'élevage ?
Mekonnen et Hoekstra ont inclus dans leur étude des bovins d'engraissement, du bétail laitier, des porcs, des moutons, des chèvres, des poulets de chair, des poules pondeuses et des chevaux. Ceux qui se penchent pour la première fois sur le modèle seront sans doute surpris de constater que la quantité d'eau utilisée pour les besoins immédiats des animaux est relativement faible. Pour les bovins, seuls 2 % sont basés sur l'abreuvement, l'eau industrielle et l'eau mélangée aux aliments.
La part du lion, soit 98 %, revient à l'alimentation. Pour la calculer, le modèle utilise l'indice de consommation, c'est-à-dire, par exemple, combien de kg de céréales sont nécessaires pour produire un kg de viande. Le cheval est le seul animal dont les besoins alimentaires totaux sont pris en compte.
Dans l'étude, la formule de l'empreinte hydrique (EH) est la suivante : EH = EH aliment + EH abreuvement + EH service.
Pour déterminer l'empreinte hydrique des animaux de rente, il faut donc prendre en compte l'empreinte hydrique des aliments consommés. Celle-ci est essentiellement déduite des précipitations. La quantité de précipitations divisée par le rendement fournit la valeur décisive. Si l'on irrigue, cette part d'eau est également prise en compte.
L'empreinte hydrique globale du blé est par exemple de 1871 litres/kg de blé [ma note : ici, par exemple, c'est 1.200 litres..., à comparer aux 590 litres souvent avancés pour produire 1 kg de matière sèche de blé]. Si un porc a besoin de 3 kg de blé pour produire un kg de viande sur les côtes, le calcul est le suivant : 1871 litres d'eau/kg de blé multiplié par 3 kg de blé/kg de viande est égal à 5613 litres d'eau/kg de viande provenant de l'alimentation.
Les bovins ont besoin de relativement beaucoup de biomasse pour produire du lait ou de la masse corporelle. Cela s'explique d'une part par le type de fourrage, comme l'herbe fraîche ou l'ensilage, et d'autre part par leur digestion, appelée fermentation entérique. Il en résulte une empreinte hydrique relativement importante. En revanche, ils peuvent transformer des aliments non digestibles pour l'homme en aliments de qualité.
Pourquoi le fait de ne pas consommer de viande n'économise-t-il pas nécessairement de l'eau ?
A quoi pourrait ressembler une économie d'eau ? Un modèle populaire consiste à prendre l'empreinte hydrique de la viande de bœuf et à en déduire une réduction de la consommation d'eau si l'on renonce à la viande de bœuf. La plupart du temps, on utilise la valeur moyenne mondiale de 15.415 litres d'eau/kg de bœuf au lieu de la valeur spécifique au pays de 7.712 litres d'eau/kg de bœuf pour l'Allemagne. Mais quelle que soit la valeur utilisée, les choses ne fonctionnent pas aussi simplement. Il y a trois raisons à cela.
La modélisation : l'empreinte hydrique est un système de répartition linéaire. Les précipitations sont imputées aux produits végétaux. Dans leur étude, Mekonnen et Hoekstra énumèrent une répartition de 87,2 % d'eau verte (précipitations sur la surface fourragère), 6,2 % d'eau bleue, 6,6 % d'eau grise sur l'ensemble des espèces d'animaux de rente.
La part du lion de l'eau imputée aux animaux de rente repose donc sur les plantes fourragères. Cette quantité d'eau issue de la production végétale ne peut toutefois pas être récupérée. Comment pourrait-elle l'être ? Le processus de perte dans la production végétale pris en compte dans le modèle est l'évaporation. Celle-ci ne peut pas être annulée après coup ou économisée.
Le calcul : « Mais si je consomme moins de viande, la demande diminue et, finalement, moins de viande est produite. Cela devrait alors entraîner une économie d'eau », est un argument que l'on entend souvent. Mais cela ne signifie pas une économie d'eau au sens de l'empreinte hydrique.
Si, dans un pays, la quantité de produits diminue alors que la surface agricole reste la même, la productivité diminue, ce qui entraîne une augmentation de l'empreinte hydrique par unité de produit. Le modèle ne neutralise donc pas la baisse de la quantité par un crédit d'eau, mais par une augmentation de l'empreinte hydrique.
L'argument selon lequel la surface agricole pourrait être réduite ne prospère pas non plus. Le modèle utilise une résolution spatiale de 5 minutes d'arc par 5 minutes d'arc, ce qui correspond à peu près à 9,25 km par 9,25 km. C'est considérable dans une perspective globale, mais cela signifie aussi qu'un changement significatif doit avoir lieu dans une zone de 85 kilomètres carrés. Si une région sort effectivement de la surface utile, le point 3 entre en jeu.
Le cycle de l'eau : C'est le point le plus important, car il permet d'une part de savoir quand on peut parler de consommation d'eau et d'autre part de comprendre pourquoi le modèle distingue trois catégories d'eau.
La question décisive est de savoir si, lors de la production d'un bien, l'eau subirait un traitement différent de celui qu'elle subirait en l'absence de ce bien.
Pour l'eau souterraine, on peut répondre par l'affirmative, car elle est prélevée dans son réservoir naturel. Ce n'est pas le cas pour l'eau verte. Le fait que les précipitations soient absorbées par les plantes et s'évaporent à nouveau est un processus naturel. Si l'on arrêtait la production agricole, les précipitations ne resteraient pas sous forme de colonne d'eau sur la surface. Cela ne serait pas non plus un avantage. L'eau stagnante risque de devenir saumâtre, il est donc préférable de la maintenir fraîche via le cycle de l'évaporation et de la condensation.
Il n'est donc absolument pas possible d'économiser la part d'eau verte, même si les surfaces sont retirées de la production ou si les rendements des plantes ne sont pas utilisés pour l'alimentation animale, car le processus sous-jacent des précipitations et de l'évaporation est un processus naturel qui se déroule également de manière analogue sur les surfaces en jachère ou sur les terres vierges. Et c'est une bonne chose. Car l'évaporation fait fonctionner l'importante pompe sol-atmosphère qui assure le cycle de l'eau et qui est très importante pour le refroidissement de notre planète.
Ainsi, la source d'eau primaire de l'agriculture, l'eau verte, ne peut pas être économisée. Et il n'y a pas besoin de le faire, car elle reste dans le cycle naturel de l'eau. Elle n'est pas perdue et doit donc être considérée différemment de l'eau bleue et de l'eau grise.
Ceux qui utilisent la modélisation de l'empreinte hydrique pour calculer la consommation ou les économies d'eau doivent donc impérativement tenir compte de la différenciation entre l'eau verte et l'eau bleue. Le fait que cette distinction soit souvent omise indique qu'il existe une intention d'attribuer un gaspillage d'eau à certains produits agricoles ou à l'agriculture dans son ensemble. Quant à savoir pourquoi, chacun peut se faire sa propre idée. _______________
* Source : Wasser sparen mit veganer Ernährung – was ist dran? | agrarheute.com
(...) L'empreinte hydrique globale du blé est par exemple de 1871 litres/kg de blé [ma note : ici, par exemple, c'est 1.200 litres..., à comparer aux 590 litres souvent avancés pour produire 1 kg de matière sèche de blé]. Si un porc a besoin de 3 kg de blé pour produire un kg de viande sur les côtes, le calcul est le suivant : 1871 litres d'eau/kg de blé multiplié par 3 kg de blé/kg de viande est égal à 5613 litres d'eau/kg de viande provenant de l'alimentation. (...)
Le gros con d'aujourd'hui s'appelle Ulrich Graf:
(...) La plupart du temps, on utilise la valeur moyenne mondiale de 15.415 litres d'eau/kg de bœuf au lieu de la valeur spécifique au pays de 7.712 litres d'eau/kg de bœuf pour l'Allemagne. (...)
Pour ce con (comme pour les autres), la vache devrait pesait 150 tonnes car elle a bu 150 tonnes d'eau dans sa vie !! mais (car il y a un 'mais') elle en a rejeté !! Çà alors !! Elle en a craché, sué, pissé toute sa vie ! Et alors ?
Depuis DES millions d'années il y a DES milliards de km³ d'eau (venus des pluies, des fleuves et des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans ! Çà alors !! Et... elles et ils n'ONT PAS MONTÉ ! Car (faites signe quand il passe) l'eau des bassins maritimes et océaniques s'infiltre CONTINUELLEMENT aux planchers de ces masses d'eaux ! S'infiltre vers le magma puis, chauffée/brûlée elle remonte en galeries souterraines (78 % d'où elle est venue !) et 22 % vers la terre où elle ressort aux sources de montagnes et nappes phréatiques ! Çà alors !!!
Cette eau est PURE, SANS COULEUR, SANS GOÛT, SANS ODEUR et SANS BACTÉRIE !
Il n'y a PAS sur notre planète UNE GOUTTE D'EAU en plus ou en moins depuis DES milliards d'années !
Le vote du Sénat pour les énergies renouvelables : des incohérences
Ce projet de loi prévoit en particulier un développement de l’éolien et du solaire qui entre en contradiction avec la volonté affichée de développer aussi le nucléaire.
le 15 février 2023 Michel Gay
Le projet de loi d’accélération des énergies renouvelables a été adopté au Sénat mardi 7 février par 300 voix « pour » et 13 voix « contre ».
Que cache ce vote du Sénat en faveur des énergies renouvelables contraires aux intérêts de la nation ?
Un vote aberrant
Ce vote aberrant de la plupart des sénateurs de droite (Les Républicains) pourtant souvent critiques envers les éoliennes et autres panneaux photovoltaïques est-il le résultat d’un marchandage ?
Quels sont les sombres calculs derrière cette décision ?
Les Sénateurs seraient-ils tombés dans un piège machiavélique ou bien ont-ils considéré qu’il était nécessaire d’en passer par cette gabegie financière contre l’intérêt général des Français pour faire accepter le développement du nucléaire en France ?
En effet, ce projet de loi prévoit en particulier un développement de l’éolien et du solaire (deux sources d’énergie aléatoirement variables, voire intermittentes) qui entre en contradiction avec la volonté affichée de développer aussi le nucléaire dont la production doit être massive et la plus stable possible.
Ce texte viserait à rattraper le « retard » de la France dans les énergies renouvelables intermittentes (EnRI), notamment l’éolien et le solaire.
Ces dernières sont pourtant nuisibles pour l’équilibre du réseau, les émissions de CO2 et le portefeuille des Français, alors que la France est en avance en Europe et dans le monde pour sa production d’électricité décarbonée grâce principalement au nucléaire !
Manque d’anticipation
En se soumettant aux diktats de l’Europe et particulièrement de l’Allemagne, les pouvoirs publics ont été surpris en 2022 par leur propre manque d’anticipation et leur impéritie depuis près de 20 ans dans le domaine de la production nationale d’électricité.
Ils ont soudain découvert la nécessité de la production d’électricité nucléaire décarbonée qui permet de diminuer la consommation de gaz et de charbon. Mais il est rapidement apparu à ces « décideurs éclairés » que de telles décisions n’auraient guère d’effets significatifs sur la production d’électricité avant une dizaine d’années au mieux.
D’où une réflexion visant à prolonger la durée du parc nucléaire existant à 60 ans, puis éventuellement à 80 ans, comme aux États-Unis…
Un vote bienvenu du Sénat a déjà supprimé la limitation arbitraire du nucléaire à 50 % dans le mix électrique en France en 2035.
En effet, les réacteurs nucléaires français n’ont pas une durée de vie déterminée à l’avance.
Leur prolongation intervient après une visite décennale approfondie de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Cette dernière consiste à vérifier la conformité des phénomènes de vieillissement et à augmenter le niveau de sûreté pour approcher au mieux celui des réacteurs de troisième génération du type EPR.
Or, le développement inconsidéré des énergies renouvelables (EnRI) envisagé par le projet de loi actuel risque de diminuer la durée de vie des réacteurs à cause de la production non pilotable et intermittente des EnRI nécessitant une modulation nucléaire pour répondre à la demande et équilibrer le réseau.
La modulation nucléaire
La modulation nucléaire (appelée encore suivi de charge et pratiquée en France depuis les années 1980) consiste à diminuer temporairement la puissance fournie par un réacteur, sans l’arrêter (son redémarrage demande environ 24 heures).
Cette modulation est rarement mise en œuvre dans le monde car compte tenu du coût de l’investissement initial, il est plus rentable de faire fonctionner ces réacteurs en permanence à pleine puissance, c’est-à-dire « en base ».
En effet, contrairement à une centrale thermique « à flamme » utilisant du gaz, du charbon, ou du bois, pour laquelle les coûts variables du combustible sont importants, les coûts d’un réacteur nucléaire sont essentiellement fixes (environ 90 % pour l’amortissement, le personnel et la maintenance car l’uranium ne coûte presque rien).
En revanche, le coût de production d’un réacteur nucléaire augmente rapidement s’il ne fonctionne pas à pleine capacité.
Ainsi, dans la plupart des pays, chaque réacteur produit environ 8 térawattheures (TWh) par an par gigawatt installé, alors qu’en France il atteint à peine 6 TWh à cause de cette modulation qui abaisse la production nucléaire pour laisser la place aux productions éoliennes et solaires quand elles sont présentes.
Historiquement, la France module son parc nucléaire depuis longtemps pour diminuer la production pendant les périodes de moindre consommation (nuits, jours fériés, été…) parce que c’est le seul pays au monde avec une proportion de 75 % de nucléaire dans son mix électrique.
Mais hélas, depuis plus de 10 ans, l’ajustement à la production aléatoire et intermittente des EnRI (éolien et photovoltaïque) devient prépondérant (puisqu’elles ont une priorité d’accès au réseau) et accroit cette modulation.
Quand ces EnRI produisent beaucoup (les jours de vent et de soleil) et que la demande est faible, il devient nécessaire de ralentir la production de près d’une trentaine des 56 réacteurs nucléaires existants (il y en avait 58 avant l’inique fermeture des deux réacteurs de Fessenheim en 2020) pour « désengorger » le réseau.
Complémentarité fictive
Il est inexact de parler d’une « complémentarité du nucléaire avec les EnRI » car cette soi-disant complémentarité fonctionne à sens unique à cause de la priorité d’injection donnée aux EnRI non pilotables au détriment du nucléaire contraint de s’effacer en diminuant sa production !
Puis il doit l’augmenter rapidement si nécessaire (avec les autres moyens pilotables) lorsque le vent et le soleil cessent de souffler et de briller…
En revanche, quand les EnRI sont absentes par manque de vent et/ou de soleil, le nucléaire doit faire face quasiment seul à la demande avec l’appui des faibles moyens thermiques à flammes pilotables restants (charbon, gaz et bois).
Et ce soutien bancal peut avoir de graves conséquences.
Modulation nucléaire et EnRi
La modulation nucléaire de plus en plus forcée par le développement nuisible des EnRI conduira donc à une impasse technique si des mesures correctives ne sont pas anticipées et mises en œuvre.
En effet, la modulation a des effets sur le matériel : dégâts possibles sur la structure des cœurs et vieillissement prématuré de certaines pièces et circuits. Les réacteurs américains ne sont pas soumis à de telles variations.
Le président de l’ASN a synthétisé le problème :
« Avec l’arrêt de la production pilotable utilisant des combustibles fossiles, les fluctuations de la demande d’électricité devront être encaissées par le parc nucléaire. D’où la question : est-ce que cela conduit à des effets particuliers en termes de prolongation du parc ? ».
Par ailleurs, la modulation a aussi des conséquences néfastes sur les finances d’EDF. Elle contrecarre les efforts attendus du groupe pour développer son parc de réacteurs nucléaires.
La perte est d’environ 10 milliards d’euros par an en estimant à 1,5 TWh non vendu par GW installé à cause de la modulation » (multiplié par les 61 GW nucléaires d’EDF) pour un prix de marché de 100 euros/MWh).
De plus, ces pertes de revenus augmentent le coût de l’électricité produite car les coûts fixes des installations et du personnel demeurent, et ils sont prépondérants.
Bien entendu, les producteurs d’électricité issue des EnRI ne sont pas tenus de compenser les coûts supplémentaires qu’ils engendrent pour EDF et pour la collectivité (clients et contribuables) et ne sont pas pris en compte dans le coût global des EnRI !
Cette modulation nucléaire au profit de sources d’électricité non pilotables éoliennes et photovoltaïques, plus chères et plus émettrices de gaz à effet de serre, est une aberration.
Ce choix étrange du « en même temps » gouvernemental risque de réduire la durée de vie des réacteurs par une usure prématurée. Il expose donc la France a une rude sobriété forcée mais aussi à une redoutable pénurie d’électricité.
Heureusement il existe des solutions.
Les solutions
Supprimer dès que possible la priorité d’injection sur le réseau d’électricité en faveur des renouvelables non pilotables. Cette priorité doit être attribuée d’abord à l’hydraulique fluviale (au fil de l’eau), puis au nucléaire.
Arrêter le développement des EnRI non pilotables, notamment éolien et solaire, néfastes au fonctionnement du réseau d’électricité et du parc nucléaire contrairement au vote récent du Sénat en leur faveur.
Accroître la durée de vie du parc nucléaire actuel le plus longtemps possible (il n’existe plus d’autres possibilités sauf à augmenter la production au gaz et au charbon).
Renforcer les capacités de stockage hydraulique du type STEP (Stockage par Transfert d’Énergie par Pompage).
Reporter sur les producteurs d’EnRI les coûts de leurs productions aléatoires et intermittentes aujourd’hui supportés principalement par le parc nucléaire et les contribuables.
Arrêter de promouvoir des mesures de sobriété incohérentes, notamment la nuit durant les « heures creuses » alors que la capacité de production est disponible. Elles perturbent le fonctionnement du parc de production sans intérêt pour les clients.
Ce n’est qu’en prenant en compte l’intérêt de la nation et non en se livrant à de sombres calculs politiciens que la situation énergétique précaire de la France pourra s’améliorer.
C’est donc en agissant à l’inverse du vote incohérent, probablement « politique » mais irresponsable, des sénateurs.
En effet, le développement des EnRI ruinent les Français et contribuent au cycle infernal de la modulation nucléaire nuisible à EDF.
Les Français retrouveront des prix acceptables de l’électricité et la sécurité d’approvisionnement électrique au moins jusqu’en 2060 et probablement largement au-delà lorsque les responsables politiques auront pris conscience de l’intérêt général et accepteront les lois de la physique.
Le Parlement européen décide de mettre fin aux voitures à moteur à combustion à partir de 2035 - abolition de la circulation des voitures particulières
15 février 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Désormais, la partie du plan «Fit for 55» de la Commission européenne relative aux voitures a également été approuvée par le Parlement. Si les nouvelles voitures à partir de 2035 ne sont plus autorisées à émettre des émissions lors de la conduite, c'est-à-dire que d'énormes quantités d'énergie électrique sont nécessaires, on peut s'attendre à ce que la conduite ne soit abordable que pour une petite classe supérieure.
Le communiqué de presse sur la décision se lit comme suit:
" Le Parlement a approuvé les nouveaux objectifs de réduction de gaz carbonique pour les voitures particulières et les véhicules utilitaires légers neufs, qui font partie du paquet "Fit for 55".
Avec 340 voix pour, 279 contre et 21 abstentions, les députés ont approuvé l'accord conclu avec le Conseil sur les normes révisées d'émissions de gaz carbonique pour les voitures et les camionnettes neuves, conformément aux objectifs renforcés de l'UE en matière de protection du climat.
La nouvelle législation trace la voie vers zéro émission de gaz carbonique pour les voitures particulières et les véhicules utilitaires légers neufs en 2035 (un objectif de flotte à l'échelle de l'UE visant à réduire les émissions de gaz carbonique des voitures particulières et des camionnettes neuves de 100 % par rapport à 2021). Les objectifs intermédiaires de réduction des émissions d'ici 2030 sont de 55 % pour les voitures et de 50 % pour les camionnettes.
Une réduction de 50 % de la consommation de la flotte est prévue d'ici 2030 . Afin de surveiller cela et les citoyens, un rapport sur les données techniques telles que le kilométrage et la consommation de PKẀ a été fourni pour les voitures neuves lors de l'inspection technique annuelle à une base de données centrale de l'UE.
La Commission a sécurisé les options juridiques pour cela:
" D'ici 2025, la Commission présentera une méthodologie d'évaluation et de communication des données sur les émissions de gaz carbonique sur l'ensemble du cycle de vie des voitures et des camionnettes vendues sur le marché de l'UE, accompagnée de propositions législatives, le cas échéant ;
Si le Starship de SpaceX peut voler, Mars sera à notre portée
La capacité du Starship que SpaceX est en train de finaliser nous permet d’envisager la faisabilité de l’installation de l’homme sur Mars.
le 14 février 2023 Pierre Brisson
La capacité du Starship que SpaceX est en train de finaliser1 nous permet d’envisager la faisabilité de l’installation de l’Homme sur Mars. En effet ce vaisseau spatial pourra déposer sur le sol de la planète plusieurs dizaines de personnes ou cent tonnes d’équipements dans un volume viabilisé de 1100 m3.
La progression satisfaisante du processus de réalisation du Starship nous permet d’envisager d’apporter sur Mars les équipements nécessaires à la caractérisation précise de l’eau martienne, nécessaires à son extraction (puisqu’elle se présente sous forme de glace sous un mort-terrain d’épaisseur à définir mais qui ne devrait pas dépasser quelques mètres), nécessaires à son transport et nécessaires à son utilisation, comme nous l’avons vu la semaine dernière.
Les défis de Mars
Comme chacun peut le comprendre la solution à ces problèmes de l’eau est vitale non seulement pour la vie à long terme mais aussi pour la réussite d’une mission habitée puisqu’au-delà du recyclage de l’eau pour les besoins humains (qui devrait atteindre au moins 80 %), les Hommes auront besoin d’eau pour obtenir l’hydrogène nécessaire à la production des ergols pour pouvoir revenir sur Terre (dans le cadre d’une réaction de Sabatier pour obtenir du méthane et de l’oxygène, après hydrolyse de l’eau).
J’ai évoqué ce problème de l’eau la semaine dernière mais dans l’étude à laquelle je me référais et à laquelle je me réfère encore aujourd’hui, les auteurs mentionnent tout ce qu’il conviendra de faire également pendant les toutes premières missions et que permettent d’envisager le Starship avec ses capacités de transport extraordinaires. Au moyen d’une première mission entièrement robotisée, il s’agit de tester les technologies essentielles, de bien vérifier l’habitabilité biologique de la planète, de prospecter les ressources locales nécessaires à la vie, donc celles qui permettront de déterminer l’implantation de la base, de prépositionner des équipements ou des ressources utiles qu’on ne pourra pas obtenir immédiatement du sol martien, et commencer à édifier quelques infrastructures utilisables par la suite (car pendant longtemps on reviendra au même endroit afin de ne pas gâcher le capital physique accumulé).
Tester les technologies essentielles c’est d’abord mesurer les doses et l’intensité de doses des radiations solaires et cosmiques au niveau du sol à l’endroit où l’on veut implanter la Base. On peut même imaginer évaluer le degré de protection contre ces mêmes radiations, procuré par le régolithe en fonction de la profondeur puisqu’on procédera à des forages. En cas de besoin, on pourrait même en déduire la prévision d’implantation de certains locaux sous le gisement de glace pour bénéficier d’une protection particulière.
Lors de cette première mission robotisée pourrait également être testée une production expérimentale de végétaux comestibles, de façon limitée puisque l’Homme ne pourra intervenir en direct. Mais cela serait suffisant pour tester l’alimentation en eau (par hydroponie), l’alimentation en gaz respirables, les quantités de lumière qu’il convient d’ajouter à la lumière naturelle, les réglages nécessaires de la température, la protection contre les radiations, la protection contre les micrométéorites sur une surface en verre (ou altuglas, ou autres semblables), l’effet de la gravité sur la croissance, l’adéquation du support matériel utilisé pour l’ISRU, l’efficacité des protections sanitaires contre les maladies phytosanitaires.
Il faudra également tester les techniques à utiliser pour la construction : possibilité réelle d’excavation, effet de la poussière sur les équipements (utilisation d’équipements ou de produits annulant les effets de l’électricité statique), possibilité réelle de l’hydratation pour créer du duricrete et capacités mécaniques de ce « béton martien », protection contre les micrométéorites (exposition de plaques de matériau permettant de mesurer et d’enregistrer la masse et la vitesse donc l’énergie des particules reçues).
Il faudra encore bien s’assurer de la viabilité pour l’Homme de la surface de Mars sur le plan biologique. Il s’agit de tester les techniques de transformation chimiques des sels de perchlorates en matières sans effets négatifs pour la vie et les techniques de protection des zones débarrassées de ces sels (donc du transport par le vent avec la poussière). Il s’agit aussi de vérifier qu’il n’y a pas sur Mars de molécules organiques qui pourraient être dommageables à la vie humaine. Rappelons-nous que les prions, par exemple, sont des molécules dont on ne soupçonnait pas l’existence avant 1982. Je veux dire qu’il serait intéressant de constater par exemple que la production de nourriture dans les conditions martiennes n’entraîne pas des malformations de protéines (du fait des radiations ?) qui pourraient avoir des conséquences aussi néfastes que les prions sur Terre. En dehors de cela, on n’aura évidemment pas épuisé le sujet de la vie sur Mars et autant on ne risque probablement pas de rencontrer de vie martienne en surface du fait de la forte irradiation subie depuis très longtemps, autant on ne connaît rien de ce qui peut « exister » en sous-sol (même si les émissions de méthane sont extrêmement faibles).
Il faudra enfin tester la production d’ergols à partir de l’atmosphère martienne. On pourra tenter une hydrolyse de la glace martienne (mais on pourrait au tout début de l’implantation de l’Homme, utiliser au moins en partie de l’eau importée de la Terre) et surtout de la production de méthane à partir de l’atmosphère martienne et de l’eau (réaction de Sabatier). Le test requerra une pompe, des filtres, des réactifs (nickel ou ruthénium), un peu d’énergie (RTG ou Kilopower ?), des réservoirs, des capteurs… et un peu de plomberie !
Simultanément, pendant la première mission robotisée, il faudra explorer les environs du site choisi a priori pour l’installation de la base à partir des orbiteurs. Outre la vérification des propriétés du gisement de glace comme développé la semaine dernière cette exploration minutieuse à l’aide de rovers et de drones hélicoptères servira à procéder à une étude géologique précise pour savoir de quelles autres ressources minérales on pourra disposer (fer, silice, alumine, phosphates, souffre, bore, etc.). Il faudra faire une étude géomorphologique du sol (avec radars) pour déterminer la surface d’atterrissage optimale pour le premier vaisseau habité. On pourra aussi déblayer le site choisi comme future plateforme d’atterrissage à l’aide d’un rover équipé d’une lame de bulldozer embarqué dans les soutes d’un des deux starships robotisés, aplanir le sol et monter des remblais de protection pour limiter les projections de poussière et pierres sur les premières installations lors des atterrissages suivants.
L’implantation sur Mars
Lorsque l’on aura bien repéré et analysé le site d’atterrissage et le site de l’implantation de la Base (aussi proche que possible mais avec une distance de sécurité d’au moins un km), on pourra prépositionner les équipements qui seront utiles pour les vols suivants (habités). Il s’agit notamment des engins de construction ; de traitement des matériaux martiens (pour l’extraction, la production de duricrete, de briques) ; de capteurs d’énergie (un réacteur à fission non activé, de panneaux solaires emballés) ; des éléments de structure de la serre (je vote pour un Biopod d’Interstellar Lab) qui pourront être montés ou activés dès l’arrivée des premiers hommes ; d’autres produits qui ne souffriront pas du temps restant avant cette mission habitée (y compris du sel, du sucre mais aussi des réactifs divers ou compléments pour l’industrie du verre, comme le bore, ou de l’acier, comme le carbone), et bien sûr des protections antiradiations dont on aura toujours besoin que ce soit dans la construction ou pour porter sur soi (veste et casque d’Astrorad). On pourra encore commencer à produire quelques infrastructures dans la mesure de disponibilités d’équipements robotisés capable de les réaliser et de temps pour le faire. Dans tous les cas, on veillera à la polyvalence et à la modularité des éléments ou des outils utilisés. Un élément quelconque doit pouvoir servir à autant d’objets que possible « afin de maximiser la flexibilité opérationnelle et d’optimiser l’allocation des masses qui seront transportées depuis la Terre » comme le disent les auteurs.
Ensuite un des deux starships, vidé de sa charge utile, pourra repartir vers la Terre, si l’on a pu produire suffisamment d’ergols pour son vol de retour au cours des 18 mois passé sur Mars. Ce n’est pas l’hypothèse retenue par les auteurs de l’étude sur laquelle je me fonde, car ils estiment sans doute que les premiers équipements embarqués ne permettront pas la production d’ergols en quantité suffisante de façon entièrement robotisée. Ce serait pourtant intéressant de le tenter pour tester la rentrée dans l’atmosphère terrestre à la vitesse impliquée par un retour de Mars (plus élevée que lorsqu’on vient de la Lune). Il faudra en effet vérifier la bonne capacité de résistance du revêtement de tuiles thermiques avant que des Hommes voyagent à bord (et après un atterrissage sur / suivi d’un décollage de Mars). Je pense personnellement que comme le préconise Robert Zubrin on pourra faire fonctionner la réaction de Sabatier par moyens robotiques et stocker suffisamment de méthane et d’oxygène pour revenir sur Terre sans équipage, surtout que le vaisseau restera présent pendant 18 mois sur Mars avant de pouvoir repartir (sauf urgence, voir ci-dessous) ce qui donne le temps de produire une quantité non négligeable d’ergols.
Au cas où l’on n’aurait pas totalement confiance dans le fonctionnement des équipements robotisés pour la méthanation ou s’ils ne fonctionnaient pas une fois sur place on pourrait du moins envisager d’extraire de la glace, de l’électrolyser et de stocker l’hydrogène (même s’il y aura des fuites, il en restera toujours un peu) et l’oxygène en quantité suffisante, toujours par moyens robotiques, avant l’arrivée de l’homme (32 mois après l’arrivée des vaisseaux robotisés sur Mars). Cela servirait toujours !
NB : on pourrait tenter de sauver une partie de l’hydrogène sous forme de « powerpaste » en le mélangeant à de l’hydrure de magnésium comme l’a démontré possible l’institut de recherche allemand IFAM. Dans le cas d’échec de la méthanation, ou si les réservoirs du starship ne peuvent être remplis ou bien si l’hydrolyse échouait, les deux vaisseaux resteraient sur le sol de Mars comme l’envisagent de toute façon les auteurs de l’étude. Ils serviraient alors d’annexes à l’habitat ou d’ateliers aux astronautes de la mission suivante habitée. Leurs équipements intégrés seraient également bienvenus pour ces Hommes puisqu’ils fourniraient une redondance. In fine l’ensemble des vaisseaux sera une source de matériaux.
Ces premières missions robotisées seront donc capitales pour décider ou non de nous établir sur Mars. Nous approchons de « l’heure de vérité » car je suis certain que si le Starship peut voler, atterrir et repartir avec des ergols produits par ISRU, Elon Musk trouvera un moyen pour aller sur Mars. Et si les tests de vie sur Mars nous « donnent le feu vert », il est certain que des Hommes prendront le risque du voyage puis de l’isolement, puis de la vie avec des ressources limitées, pour décider de s’installer sur la planète pour la durée d’une mission (30 mois tout de même entre départ et retour sur Terre) puis pour plus longtemps. Je connais suffisamment (indirectement) Elon Musk et je connais suffisamment les Américains pour n’avoir aucun doute là-dessus. Et probablement quelques Européens prendront aussi le risque de les accompagner (puisque l’ESA a décidé que l’aventure était pour les cow-boys). Le déclencheur de tout cela sera le parcours par le Starship de sa première orbite autour de la Terre, prévue pour cette année. Un événement très encourageant a au lieu ce 9 février avec la mise à feu statique réussie du SuperHeavy Booster 7. Faire fonctionner ensemble les 31 moteurs était un énorme défi. Une étape importante a donc été franchie. Nous vivons une époque formidable !
Mission Architecture Using the SpaceX Starship Vehicle to Enable a Sustained Human Presence on Mars (Architecture de mission utilisant le Starship de SpaceX pour rendre possible une présence humaine durable sur Mars). Lien : https://doi.org/10.1089/space.2020.0058
Publication en septembre 22 dans New Space, revue scientifique du groupe Mary Ann Liebert. Les 19 auteurs sont membres d’organisation et d’universités américaines de premier plan :
NASA Ames Research Center (dont l’auteure principale Jennifer Heldmann); Bechtel Corp.; NASA Kennedy Space Center; Honeybee Robotics; Purdue University; Planetary Science Institute, Tucson; United States Geological Survey…et Margarita Marinova, Docteure en Sciences planétaires du CalTech, ancienne de SpaceX où elle était « Senior Mars Development Officer » (que je mets en exergue parce qu’elle est auteure en second…et que je la connais pour avoir longuement discuté avec elle en compagnie de Richard Heidmann, fondateur de l’Association Planète Mars – France, sur introduction de Robert Zubrin).
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Sur le web
1 - même s’il ne faut pas vendre la peau de l’Ours, on peut maintenant évoquer avec un indice de confiance élevé la probabilité qu’il puisse voler. ↩
Des véhicules automatisés sans volant ni pédales frappent les routes américaines
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 15 FÉVRIER 2023 - 12:55
Des véhicules sans conducteur sans volant ni pédales arrivent déjà sur les routes américaines et pourraient révolutionner la façon dont les gens se déplacent. Il existe déjà une marque de véhicules autonomes sur les routes américaines, et deux autres entreprises s'efforcent de lancer bientôt leurs services de transport automatisé.
Dans une note publiée mardi, l'analyste de BloombergNEF, Siong-Hu Wong, couvre les trois premiers véhicules autonomes sans volant prêts à être commercialisés.
Le premier est que les navettes électriques VH6 d'Amazon, appartenant à Zoox, fonctionnent déjà sur les routes publiques de Californie. Le service de robotaxi est uniquement disponible pour les employés pour le moment, mais s'attend à ce que les approbations du gouvernement de l'État permettent d'offrir le service au grand public à court terme.
En février, Cruise, soutenu par General Motors, a reçu l'autorisation du Department of Motor Vehicles de Californie de tester sa navette Origin sur les routes.
Un autre robotaxi est le Zeekr M-Vision de Waymo, qui entrera en production l'année prochaine. Le Zeekr est similaire aux autres fabricants de robotaxi.
- voir cadre sur site -
Les véhicules automatisés, ou les navettes ci-dessus, pourraient être la chose la plus importante à avoir jamais frappé l'industrie automobile. Cela va complètement changer la façon dont les gens se déplacent.
Cependant, la chose dystopique à propos de tout cela est que les Américains doivent renoncer à posséder des voitures et compter plutôt sur les entreprises de robotaxi pour le transport. Le problème avec ça, c'est le contrôle.
L'intelligence artificielle dystopique n'est pas proche, elle est déjà là
PAR TYLER DURDEN JEUDI 16 FÉVRIER 2023 - 02:45 Écrit par le Dr Sean Lin et Jacky Guan via The Epoch Times,
En novembre 2022, la sortie d'un programme de chat en ligne d'intelligence artificielle (IA) nommé ChatGPT a choqué le monde. Ce programme est si "intelligent" qu'il offre des réponses effroyablement humaines et semble avoir très peu de défauts par rapport aux versions précédentes. Non seulement les gens la traitent comme un compagnon de conversation, mais ils ont également commencé à utiliser cette technologie d'IA pour une variété de tâches, telles que faire ses devoirs, créer des images époustouflantes, écrire des poèmes, etc.
Utiliser ChatGPT, c'est comme accéder au cerveau d'un superordinateur, ce qui rend cette technologie intrigante et excitante mais aussi un peu effrayante et menaçante. En 2014, Elon Musk a averti qu'avec l'IA, "nous invoquons le démon", mais cette menace ne pourrait devenir réelle que lorsque l'IA comme ChatGPT pourrait générer des réponses à des questions qui ne se distinguent pas de la façon dont un humain répondrait. Cette technologie est si puissante qu'il existe maintenant une inquiétude généralisée que le paysage de nombreuses industries sera transmuté par cette avancée, y compris le milieu universitaire et les soins de santé.
Les emplois qui nécessitent généralement une touche humaine, comme ceux dans les domaines du journalisme et de l'industrie des services, sont confrontés au remplacement et à l'automatisation. Nous avons longtemps pensé que l'art du langage se situe au sommet de la sagesse humaine, mais l'IA frappe à sa porte. Il défie notre unicité et empiète sur nos vies.
L'IA est maintenant extrêmement avancée et capable
ChatGPT peut discuter de tout ce que vous voulez. De l'analyse de code pour vous à l'écriture d'essais et de poèmes complets, ce programme en ligne gratuit se décrit comme un programme informatique conçu pour "comprendre et répondre aux entrées en langage naturel", telles que les conversations textuelles.
ChatGPT signifie Chat Generative Pre-trainer Transformer. Le programme est basé sur un ensemble de technologies développées et utilisées dans des programmes qui génèrent des réponses conviviales. L'IA est quelque chose qui doit apprendre à penser et à réagir en utilisant une technologie qui fonctionne comme des réseaux de neurones. Ce processus implique d'alimenter les montagnes d'informations de l'IA avant qu'elles ne puissent les traiter, s'adapter, apprendre, créer et devenir intelligentes.
ChatGPT utilise la dernière édition de GPT et est capable de générer une grande quantité de texte de type humain sur la base d'une entrée minimale. Il a déjà traité une quantité inimaginable de données qui lui a permis de savoir ce qu'il fallait renvoyer à l'utilisateur lorsqu'on lui posait une question. Par exemple, si vous demandez à ChatGPT de vous écrire un poème, cela générera quelque chose comme ceci :
« Sous le ciel étoilé si brillant,
Avec une douce brise et une lumière argentée,
Je me tiens debout et regarde la nuit,
Et laisse mes pensées s'envoler.
La lune et les étoiles au-dessus de moi brillent,
Me guidant à travers le sombre divin,
Me rappelant l'amour et le temps,
Et toute la beauté qui est mienne.
Le monde est vaste, mais petit et grand,
Un mystère attendant d'être scanné,
Avec des secrets cachés dans le sable,
Et des histoires qui attendent d'être mises en conserve.
Alors laisse-moi me tenir sous les étoiles,
Et laisse mon âme et mon esprit s'envoler,
Car dans cette beauté, sans barreaux,
Je trouve mon cœur pour toujours.
Ce poème n'est-il pas impressionnant ? Avec l'énorme volume de données alimentant ChatGPT, il peut traiter nos poèmes, les analyser et produire un nouveau poème en quelques secondes. Et le résultat peut être différent à chaque fois, même si vous écrivez la même commande.
ChatGPT peut également faire de même avec des essais, des morceaux de code entiers et bien plus encore. Il peut avoir une conversation informelle avec vous et sait comment ajuster son jargon pour même expliquer l'informatique quantique d'une manière que les élèves de septième année peuvent le comprendre.
Il est compréhensible que beaucoup soient instantanément attirés par le programme, car il peut apparemment résoudre de nombreux problèmes et offre un raccourci important pour accomplir des tâches. Le chat est gratuit et fonctionne extrêmement bien ; qu'est-ce qui pourrait mal tourner avec cette technologie, à part être le cauchemar d'un enseignant ?
ChatGPT ne peut pas être tenu responsable de son travail
Récemment, des scientifiques ont testé les limites de ChatGPT et lui ont demandé d'écrire des composants d'articles de recherche qui ont ensuite été publiés dans des revues scientifiques renommées comme Nature. Après que la nouvelle a éclaté qu'une IA était capable d'écrire des articles de recherche, elle est devenue l'épicentre d'un débat houleux qui secoue encore la communauté aujourd'hui.
Les arguments pro-IA considèrent la technologie comme ChatGPT comme la prochaine étape du progrès humain.
Cela rendrait même la science plus efficace, réduirait le travail humain et faciliterait la vie.
L'autre côté de l'argument est qu'il n'y a aucun moyen de tenir l'intelligence artificielle responsable de son travail. Si le programme arrive à de mauvaises conclusions ou si ses algorithmes ne sont pas assez matures, comment le programme peut-il en assumer la responsabilité ?
La question de la responsabilité ne concerne pas seulement les moments où les choses tournent mal. L'utilisation de texte généré par l'IA sans citation appropriée "pourrait être considérée comme du plagiat", déclare Holden Thorp, rédacteur en chef de la famille des revues scientifiques. Pour cette raison, quelques articles ont déjà été publiés avec ChatGPT répertorié comme l'un des auteurs, tandis que les éditeurs accélèrent la pression pour la réglementation.
En fait, après la publication d'articles dans Nature avec ChatGPT en tant que co-auteur, les rédacteurs en chef de Nature et Science ont conclu que "ChatGPT ne répond pas à la norme de paternité" car un tel titre engage sa responsabilité et sa responsabilité. , chose hors de question pour l'IA.
Cependant, le problème central derrière le différend sur la paternité est que les éditeurs de revues ne sont plus certains de la quantité ou de la mesure dans laquelle l'article a été généré par ChatGPT. Les expériences scientifiques nécessitent probablement encore des études menées par des humains. Mais les auteurs d'articles de revue qui attribuent ChatGPT l'ont probablement fait parce qu'il a joué un rôle important dans le processus d'écriture.
Certains chercheurs biomédicaux ont utilisé ChatGPT pour mener des recherches sur le développement de médicaments et ont été en mesure d'identifier des produits chimiques médicamenteux potentiels qui ont été manqués dans le passé. Avec l'aide de l'IA, une nouvelle ère de progrès explosifs dans le domaine biomédical est sûre d'être inaugurée.
Cependant, comment les chercheurs sauront-ils quand les données de l'IA deviennent trompeuses ? Quelqu'un osera-t-il défier les algorithmes derrière ces données ? Ce ne sont pas les seules questions auxquelles nous sommes confrontés aujourd'hui, car l'IA semble également prendre le contrôle des soins de santé, soit en fonctionnant comme un robot, soit via une application.
L'intelligence artificielle ne devrait pas remplacer les travailleurs de la santé
Certaines cliniques ont exploré l'utilisation de ChatGPT pour mener des consultations de patients. Les cliniques de santé mentale ont même obtenu de meilleurs résultats en matière de performances lorsqu'elles ont adopté ChatGPT pour prendre en charge les consultations avec leurs patients, de nombreux patients ne réalisant même pas qu'ils parlaient à un robot.
L'IA pourrait devenir la prochaine infirmière ou assistante médicale qui vous aide à récupérer après un accident, ou qui effectue les incisions clés lors de votre prochaine opération. L'avenir des soins de santé pourrait se transformer rapidement, car les gens pourraient même ne pas avoir à se rendre chez le médecin du tout avec la combinaison de l'IA et de la télémédecine. Tout ce que vous avez à faire est d'ouvrir une application sur votre téléphone et de parler avec un chatbot, de lui parler de vos symptômes et il vous préparera une ordonnance. Mais il y a un niveau de confiance développé lors des interactions en face à face qui manque à ce modèle d'IA.
Les robots IA utilisant un GPT peuvent également être utilisés pour traiter les patients à haut risque tels que ceux souffrant de troubles mentaux ou en cure de désintoxication en remplaçant le médecin lors de la surveillance des patients et de l'administration du traitement, en effectuant des bilans de santé, en évaluant les risques et en prenant des mesures si nécessaire. Cependant, la même question de responsabilité se pose lorsque nous mettons en œuvre l'IA dans le domaine médical.
Ici, la question de la responsabilité est plus préoccupante, car qui sera tenu responsable lorsque le patient connaît des complications dues au mauvais médicament ou à la mauvaise dose ? Vous ne pouvez pas blâmer le médecin parce qu'il ne faisait que suivre l'IA. Vous ne pouvez pas blâmer l'IA parce que c'est un programme. Au final, qui sera tenu responsable ?
Pour que les gens se sentent en sécurité autour de l'IA, des règles de responsabilité strictes doivent être imposées pour restreindre la liberté dont disposent ces choses. Cependant, si ces programmes doivent s'améliorer, ils doivent avoir plus de liberté pour fonctionner et apprendre. Bien que cela semble être un piège, la question centrale est de savoir si les humains devraient laisser l'IA et les robots s'occuper d'eux.
Alors que la capacité de l'IA augmente de façon exponentielle, pourquoi les facultés de médecine forment-elles même leurs étudiants, et pour quoi ? À l'avenir, si l'IA perd de la puissance ou fonctionne mal, les médecins agréés sauront-ils encore comment traiter les patients sans l'aide de l'IA ? À quel point deviendrons-nous dépendants de l'IA ?
Les êtres humains accélèrent vers un carrefour L'IA a beaucoup de potentiel et fera inévitablement partie de notre avenir. Cependant, permettre à l'IA de jouer un rôle plus important dans la médecine et les soins de santé lui donnera plus de pouvoir pour influencer notre compréhension de la santé et du bien-être. Cela peut même permettre à l'IA de modifier notre corps.
Si l'IA devient omniprésente, va-t-elle rendre les humains plus stupides et nous réduire dans tous les aspects ? Au fil du temps, les enfants pourraient simplement parler à leurs tablettes de chatbot au lieu de leurs parents, les gens pourraient oublier comment soulager les symptômes de choses aussi courantes que le rhume, et les tâches de base comme écrire un essai pourraient devenir des choses du passé. Cela fragilisera inévitablement les humains et affectera notre développement. Lorsque la technologie devient si avancée que nous pouvons commander des robots avec notre esprit, pourrions-nous un jour devenir ces extraterrestres aux membres dégingandés et aux têtes gonflées ?
Lorsque l'IA commence à imiter la pensée humaine et présente un langage semblable à celui de l'homme, nous commençons à voir la réalité du cerveau humain mise à nu : ce sont essentiellement des machines qui traitent l'information. Lorsque les ordinateurs collectent un volume de données suffisant, ils peuvent engager un algorithme sophistiqué pour générer une réflexion et une réponse de type humain. Plus les gens l'utilisent, plus l'IA ChatGPT sera formée pour devenir plus humaine, devenant éventuellement plus sage que l'humanité.
Alors, qu'est-ce qui nous rend uniques, les humains ?
Nous avons vu des superordinateurs vaincre les champions humains des jeux d'échecs et de Go.
Désormais, l'IA est arrivée dans des domaines dont les gens sont véritablement fiers, des domaines qui tournent autour de la création, de l'émotion, de l'interaction humaine, de l'expression artistique, etc.
C'est un moment critique où les êtres humains doivent réfléchir plus profondément à l'origine de notre sagesse. Nos inspirations sont-elles simplement nées d'une accumulation de myriades de données ? L'IA et les ordinateurs obtiennent leurs données de l'apport humain ou en parcourant les profondeurs des mers de données. Avons-nous nous aussi nos idées « originales » de cette façon ? Pourquoi les gens obtiennent-ils de l'inspiration et des idées créatives qui n'ont apparemment rien à voir avec leur expérience et leurs connaissances antérieures ?
La menace de l'IA et des superordinateurs ne consiste pas seulement à perdre plus d'emplois. Et cela va au-delà de la réduction de la capacité de réflexion humaine. La menace fondamentale de la technologie de l'IA incontrôlée est qu'elle coupe la connexion des êtres humains avec notre créateur. Grâce aux progrès technologiques, les êtres humains construisent des dieux numériques que les gens peuvent adorer. Utiliser l'IA ou des robots pour améliorer la vie peut être le côté doux de ce médicament, mais utiliser l'IA pour remplacer la pensée humaine est le côté le plus sombre.
La question urgente ici est de savoir comment sauvegarder notre spiritualité humaine. Comment maintenons-nous notre lien avec le divin ? Les êtres humains ne sont pas que de la chair et des os, comme une machine est simplement composée de pièces mécaniques.
Le développement de technologies d'intelligence artificielle telles que ChatGPT est le point de basculement d'un problème de longue date auquel nous sommes confrontés : la (dé)connexion avec Dieu et le véritable sens de nos vies humaines alors que nous remplaçons cette connexion. Nous sommes confrontés à un choix : continuons-nous de tomber dans ce gouffre technologique sans fond, ou devons-nous revenir à une voie traditionnelle où les êtres humains maintiennent leur lien avec le divin ?
Voici quelques pistes de réflexion : « How Humankind Came To Be » de Li Hongzhi
L''Intelligence Artificielle' n'est autre qu'un livre, un programme limité au nombre de pages téléchargées et non à un cerveau constructif de réflexion sur sa jeunesse et les milliards de souvenirs de l'époque.
L'Asie utilisera la moitié de l'électricité mondiale d'ici 2025
Photo de Tyler Durden PAR TYLER DURDEN JEUDI 16 FÉVRIER 2023 - 02:05
En 2025, les pays d'Asie utiliseront la moitié de l'électricité mondiale.
Comme le rapporte Katharina Buchholz de Statista, selon l'Agence internationale de l'énergie, la part de l'Asie dans la consommation mondiale d'électricité a augmenté rapidement, passant d'environ un quart en 2000.
- voir graph sur site -
Infographie : L'Asie utilisera la moitié de l'électricité mondiale d'ici 2025 | Statistique Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
La Chine est le principal facteur de cette transformation. Alors qu'en 2000, elle n'utilisait que 10 % de l'énergie mondiale, cette part devrait atteindre 33 % en 2025.
Alors que la croissance démographique chinoise s'est maintenant inversée, l'augmentation du niveau de vie continue d'entraîner une augmentation de la demande d'électricité, par exemple pour la climatisation. D'autres grands pays d'Asie devraient connaître une croissance démographique jusqu'à la seconde moitié du siècle actuel, ce qui signifie encore plus de demande d'électricité à mesure que ces nations augmentent le nombre de leurs habitants et les progrès de leur développement. L'Asie a augmenté son utilisation de sources d'électricité renouvelables mais, en partie à cause de sa demande géante, elle s'appuie également sur l'électricité au charbon dans de nombreux endroits. La Chine, par exemple, a énormément développé les deux sources d'électricité en tandem.
Malgré la construction en cours de centrales au charbon, les émissions causées en Chine devraient commencer à baisser prochainement tout en restant à un niveau élevé. En raison de leurs différents calendriers de développement, les émissions des autres pays asiatiques devraient continuer à augmenter. Cependant, leur part individuelle dans les émissions asiatiques est beaucoup plus faible pour commencer.
RépondreSupprimerLa guerre mondialiste contre les éléments de la vie
15.02.2023
www.kla.tv/25115
Chers spectateurs,
Le gaz carbonique est nocif, nous dit-on. Nous devons réduire les émissions de gaz carbonique, sinon nous détruirons notre planète. Depuis peu, l'azote est également dans le collimateur des mondialistes et a été déclaré azote t. (Il se liquéfie à T = -196°C) Où tout cela nous mène-t-il encore ?
Écoutez Mike Adams, connu aux États-Unis comme le « Health Ranger », un scientifique, propriétaire d'un laboratoire de sciences alimentaires accrédité par l’ISO [ISO = International Organization for Standardization, laboratoire certifié selon la norme internationale]. Mike Adams a été banni des médias sociaux il y a plusieurs années et a donc créé sa propre plateforme - www.brighteon.com - ainsi qu'une chaîne de télévision et une station de radio pour continuer à jouir de sa liberté de parole. Écoutez ici son point de vue sur ce qu'il appelle la « guerre des mondialistes contre les éléments de la vie » !
Les éléments sont les composants de tout ce qui existe dans notre monde. Ils sont les éléments constitutifs de la vie elle-même. Les éléments forment des molécules, et ces molécules sont animées de vie, de conscience, de signification et de créativité. C'est la vie, un don de Dieu, mais qui s'exprime à travers la matière physique de notre monde, et cette matière physique peut être décomposée en éléments, comme vous pouvez le voir dans le tableau périodique des éléments.
Parmi ces éléments, on trouve l'hydrogène, l'hélium et ensuite des choses comme le carbone, l'azote, l'oxygène, le magnésium, n'est-ce pas ? Tous les métaux et les minéraux alimentaires sont des éléments, et sans ces éléments, nous ne pouvons pas survivre. Donc, quand les mondialistes attaquent des éléments, ils attaquent la vie sur la planète Terre.
Bienvenue dans ce reportage vidéo spécial, « La guerre des mondialistes contre les éléments de la vie ». Vous avez probablement entendu l'expression « guerre contre le carbone » et on nous a dit que le carbone était mauvais. Le carbone se trouve dans le dioxyde de carbone, et l'EPA [Environmental Protection Agency, agence gouvernementale américaine pour la protection de l'environnement et de la santé humaine] a déclaré que le gaz carbonique était un polluant.
Maintenant, avez-vous également réalisé que nous sommes des formes de vie basées sur le carbone et, en fait, toute la vie que nous connaissons dans le cosmos est une vie basée sur le carbone. Toute la vie sur la planète Terre, les pollinisateurs, les insectes, les microbes, les humains, les primates, les animaux, les dauphins et les baleines, les poissons dans la mer. Tout est basé sur le carbone. Une guerre contre le carbone est donc une guerre contre la vie.
Et saviez-vous que la plupart des molécules dont vous avez besoin pour vivre, comme la vitamine C, sont à base de carbone ? Saviez-vous que toutes les herbes médicinales sont des molécules à base de carbone ? Et saviez-vous que les plantes ont besoin de carbone pour survivre et que les plantes alimentaires ont besoin de carbone pour produire de la nourriture ?
RépondreSupprimerUne guerre contre le carbone est donc une guerre contre la nourriture, et une guerre contre le gaz carbonique n'est pas seulement une guerre contre la production de nourriture et de plantes : c'est aussi une guerre contre l'oxygène, car le gaz carbonique contient naturellement à la fois du carbone et de l'oxygène. Et sans oxygène, aucun d'entre nous ne peut respirer.
Les animaux suffoqueraient et mourraient. Même les dauphins et les baleines, les insectes et les pollinisateurs, sans oxygène, tous mourraient.
Ainsi, lorsque les personnes au pouvoir déclarent la guerre au carbone et au dioxyde de carbone, elles déclarent la guerre aux deux éléments les plus importants pour la vie telle que nous la connaissons sur cette planète. Ils déclarent de facto qu'ils sont du côté de la mort. Ils participent au culte de la mort. Et dans ce culte de la mort, ils souhaitent la destruction totale de la vie sur Terre.
Ils ont maintenant compris que le moyen le plus simple de provoquer une extinction de masse est de provoquer une famine de masse. Ils s'attaquent donc à l'approvisionnement alimentaire en essayant d'éliminer le dioxyde de carbone de l'atmosphère. Il s'agit d'une opération de terraformation [remodelage de la terre], connue sous le nom de stockage du carbone.
Ils ont de grosses machines qui aspirent le gaz carbonique de l'atmosphère et le transforment en liquide. Ils le pompent dans des pipelines et le stockent ensuite sous terre pour empêcher les plantes du monde entier d'avoir accès au gaz carbonique.
Eh bien, pourquoi est-ce important ? À cause de la photosynthèse. Parce que la photosynthèse, le processus biologique le plus important sur la planète Terre, a besoin de gaz carbonique comme l'un de ses trois intrants. La photosynthèse a besoin de gaz carbonique, de lumière solaire et d'eau. Avec ces trois éléments, les plantes peuvent produire de la nourriture.
Eh bien, il y a plus d'un siècle, un scientifique allemand du nom de Haber, H-A-B-E-R, a mis au point une méthode qui permet de combiner l'azote avec l'hydrogène moyennant une forte pression et une haute température afin de produire du NH3, également connu sous le nom d'ammoniac. Il a utilise des hydrocarbures, donc du gaz naturel, pour obtenir l'hydrogène. Ensuite, il a tiré de l'azote de l'air.
RépondreSupprimerEt cette invention est l'une des découvertes les plus importantes de l'histoire du monde, car elle a permis de produire des engrais à base d'azote, grâce auxquels près de la moitié de la population mondiale peut être nourrie.
Environ 4 milliards de personnes sur la planète Terre peuvent donc se nourrir aujourd’hui grâce à cette invention de Haber. Cela est dû au fait qu'elle rend l'azote biodisponible pour les plantes sous forme d'ammoniac. Et ensuite, à partir de cet ammoniac, on obtient des composés comme le nitrate d'ammonium, qui est un engrais, ainsi que d’autres formes d'engrais minéralisés, comme le nitrate de calcium et ainsi de suite.
Mais les animaux peuvent produire quelque chose de similaire sans avoir besoin d'énormes usines. Les animaux peuvent absorber l'azote de l'air et même de la nourriture et le transformer en azote utilisable grâce à leur urine. Ce que Haber voulait faire, les vaches le font, et elles le font gratuitement.
Et l'azote de l'urine de vache, qui se compose en partie d'urée, peut être utilisé pour fertiliser des plantes et produire des aliments partout dans le monde. L'urine animale n'est donc pas un polluant. L'urine animale est un engrais pour des aliments et doit simplement être collectée, détournée et utilisée pour fertiliser les cultures. Ce qui par ailleurs serait du « Bio ».
Et cela réduirait le besoin d'engrais synthétiques issus de combustibles fossiles. L'urine animale devrait donc être recueillie et utilisée pour la culture de denrées alimentaires. Pourtant, une attaque contre l'azote est en train de se produire mondialement, notamment aux Pays-Bas et d’autres pays européens, et elle se propage dans le reste du monde. Et ça comme prétexte pour arrêter la production de viande animale.
Ils prétendent que l'azote serait un polluant, tout comme ils disent que le carbone est un polluant, que le gaz carbonique est un polluant ou même, que la lumière du soleil serait néfaste.
Vous voyez donc que la guerre contre les éléments s'étend. Avant, c'était juste une guerre contre le carbone, plus récemment une guerre contre le dioxyde de carbone, et maintenant c'est une guerre contre le carbone, l'oxygène et l'azote, et tout cela est combiné avec une guerre contre la lumière du soleil, la photosynthèse.
La question se pose donc de savoir à quels éléments les globalistes vont s'attaquer par la suite ? Vont-ils dire que l'hydrogène est mauvais parce que l'hydrogène et l'hélium alimentent le soleil ? Vont-ils dire que la solution serait de détruire le soleil ?
Afin qu'une boule sombre et effondrée flotte dans l'espace, au lieu de cette étoile qui fournit de la lumière et de la chaleur et de l'énergie à la planète Terre ? Voudraient-ils tuer le soleil s'ils le pouvaient ? C'est fort probable. Après tout, ils célèbrent le culte de la mort. Ils sont orientés sur l'obscurité et la mort.
Et s'ils parvenaient à éliminer l'hélium et l'hydrogène, ils pourraient arrêter le réchauffement climatique et stopper le réchauffement de la planète, car elle deviendrait alors une boule de glace gelée et morte et toute la biosphère écologique s'effondrerait complètement. Cela semble être leur objectif.
Et... tout ce qu'ils ne peuvent pas détruire, ils veulent le taxer à mort. Et c'est ainsi qu'ils ont eu une idée : vous avez déjà entendu parler des taxes sur le gaz carbonique ? Maintenant, ils veulent taxer le tableau périodique des éléments. Eh bien, puisque chaque être vivant sur la planète Terre est constitué de carbone, ils admettent vouloir taxer tout être vivant sur la planète Terre.
RépondreSupprimerVous êtes faits de carbone. Ils veulent vous taxer pour l'élément carbone qui est contenu dans les molécules de votre corps. Il y a du carbone dans votre peau, il y a du carbone dans vos cheveux, du carbone dans vos organes et dans votre sang. Chaque système de votre corps contient du carbone. Ils veulent donc taxer chacun de ces systèmes.
Et lorsque vous respirez, vous expirez également du gaz carbonique . Ils veulent donc taxer votre souffle, ce qui signifie qu'ils veulent soit vous facturer chaque respiration, soit limiter vos émissions en réduisant le nombre de vos respirations.
Et bien sûr le moyen le plus efficace pour eux est tout simplement de vous tuer, car les morts ne respirent pas. Les personnes mortes ne produisent pas de dioxyde de carbone, pas plus que les bovins et autres animaux d’élevage.
Vous voyez donc que toutes les solutions se résument à la mort, parce qu'eux, les mondialistes, les climato-sectaires, ce sont des adeptes du culte de la mort, ils veulent la mort. Ils veulent que l'humanité soit détruite.
Et ils veulent que toute action humaine s'arrête, même s'il s'agit de la production alimentaire, de l'agriculture, des transports, de l'innovation, de l'activité économique et de tout le reste. Ils veulent que tout s’arrête parce que tout ça est néfaste, parce que c’est fait de carbone et que ça émet du gaz carbonique.
Jadis, le tableau périodique des éléments a été accueilli avec joie, parce que développé à l'époque moderne comme une merveilleuse compréhension de la vie. Regardez, disaient les scientifiques, nous avons découvert de quoi la vie est faite. C'est la matière qui définit la structure physique de la vie, et même les choses qui ne sont pas vivantes. C'est la matière dont le monde est fait. Quelle découverte étonnante !
Jamais ils n’auraient imaginé qu’à peine un siècle plus tard, d'autres scientifiques regarderaient ce tableau périodique des éléments et l'utiliseraient comme outil pour essayer de provoquer la mort en masse, non pas la vie, mais la mort, tout le contraire de ce que les scientifiques de l’époque avaient expliqué. Ils utilisent réellement la compréhension de la vie pour créer des outils tueurs. Et tout ça au nom de la science.
Le domaine entier de la science, qui était autrefois un domaine de découverte, d'innovation, de créativité et d'enthousiasme, est maintenant devenu un domaine de mort, de destruction et de tromperie.
Maintenant, la science sert à matraquer les gens, les contraindre à prendre des vaccins qui tuent ou à restreindre leurs activités comme l'agriculture ou la production alimentaire ou les transports, ou même la respiration. La science s’est transformée en une arme contre l'humanité et le tableau périodique des éléments est devenu leur cible.
Il est toutefois important que nous comprenions la science afin de pouvoir comprendre les armes que les mondialistes utilisent à notre encontre. Ils utilisent la science pour commettre des génocides. Ils utilisent la science pour commettre un meurtre contre l'humanité et ils utiliseront la science pour tenter de tuer la planète Terre et la transformer en une boule morte, congelée et sombre. Car c'est finalement ce que ce culte du climat veut pour nous tous. Ne l'oubliez jamais !
RépondreSupprimerMerci beaucoup de m’avoir écouté. N'hésitez pas à partager ce mini-documentaire partout. Vous avez ma permission de le publier sur vos propres chaînes vidéo et d’autres plateformes.
N'hésitez pas à visiter mon site NaturalNews.com ainsi que la plateforme que j'ai mise en place pour vous permettre de vous exprimer librement : Brighteon.com
Je suis Mike Adams, connu sous le nom de « Health Ranger ». Je suis un éditeur scientifique et propriétaire d'un laboratoire de sciences alimentaires accrédité par l’ISO [ISO = Organisation internationale de normalisation, association d'organismes de normalisation, élabore des normes internationales]. C'est l'un des laboratoires les plus actifs au monde en ce qui concerne le développement de techniques d'analyse pour la science alimentaire par spectrométrie de masse [méthode de mesure de la masse de molécules]. Donc, quand il s'agit de science et des éléments, je sais exactement de quoi je parle.
Merci de m'avoir écouté. Que Dieu vous bénisse. Prenez soin de vous !
de Silvia/mmm.
Sources / Liens :
The Globalist WAR on the Elements of Life/
Der Krieg der Globalisten gegen die Elemente des Lebens
https://www.brighteon.com/78f2882d-2c23-4b18-877f-4a5a65d4fb38
https://www.kla.tv/fr
Faire exploser le mauvais ballon !
RépondreSupprimerPar Mike (à Tokyo) Rogers
16 février 2023
Hollywood m'étonne parfois. Ils prédisent constamment l'avenir (surtout à la télévision !). Soit ils ont une sorte de connexion avec Dieu, soit tout cela n'est qu'un gros jeu vidéo, un initié à la Maison Blanche, ou ils font juste de la drogue de haute qualité et, eh bien, juste, euh, "savoir des choses". (clin d’œil clin d’œil !)
Il existe une myriade d'exemples d'Hollywood prédisant l'avenir. Les films "Idiocracy" ont prédit notre journée actuelle, l'idiocratie. "2001 a Space Odyssey" a prédit les appels vidéo et l'intelligence artificielle de type Siri, bien que Siri ne soit pas encore devenu meurtrier comme HAL 9000. "Terminator" a prédit quelque chose qui s'est également réalisé : l'existence de drones militaires. La liste se rallonge de plus en plus.
Ce ne sont là que quelques exemples parmi tant d'autres. Je pourrais écrire un livre en les nommant tous ! Je suis tellement surpris de voir à quel point Hollywood est tout le temps.
En passant, je dirige un festival du film au Japon, le JIFF Japan Indies Film Festival. Je fais ce festival en coopération avec Raindance à Londres. Nous avons une catégorie "scénario" et je dois donc lire de nombreux scénarios chaque année.
Il y a plusieurs mois, j'ai reçu un script qui, maintenant que je m'en rends compte, m'époustoufle. Il s'agit d'un scénario pour une émission en particulier qui a été mondialement connue pour avoir prédit l'avenir à plusieurs reprises : les Simpsons. C'est un scénario télévisé.
Qui ne connaît pas les Simpson ? Il y a Homer, Marge, Bart, Maggie et une énorme équipe d'autres personnes hilarantes qui se présentent parfois : M. Burns, Ned Flanders, le chef Wiggum, Kent Brockman, Krusty le clown et bien d'autres.
Et en parlant de clowns. Que font les clowns ? Ils font rire les gens et gonflent des ballons, n'est-ce pas ?
Le script que j'ai eu parle des États-Unis faisant exploser tous ces ballons et objets volants !
Tout m'est revenu quand j'ai lu les informations, gonflé des ballons et abattu : les États-Unis ont dit qu'ils avaient fait exploser quelque chose dont ils ne savaient pas ce que c'était !
Je n'écrirai pas tout le script ici car il fait 64 pages! Donc, je ne copierai pas le script mais je peux copier le synopsis. Ce que j'ai lu dans ce synopsis m'a vraiment fait flipper !
Synopsis:
Les États-Unis sont le pays de la liberté ! C'est un rempart contre les malfaiteurs ! Les gens célèbrent leur liberté en mangeant et en buvant à l'excès.
Un jour, un ballon diabolique flotte au-dessus des États-Unis pendant des jours. Le président ne sait pas quoi faire à ce sujet. Enfin, avec ses sondages en baisse, il envoie les meilleurs avions de combat américains et fait exploser le ballon ! Le président est étourdi par lui-même alors que son nombre de sondages augmente.
Il ordonne que tous les objets volants soient explosés avec un préjugé extrême. "Fais exploser tous les objets, que nous sachions ou non ce qu'ils sont !"
RépondreSupprimerPendant ce temps, un vaisseau de «l'autre» empire a un vaisseau qui hurle dans l'espace à triple distorsion. Bien sûr, il s'agit d'un vaisseau spatial extraterrestre. Pour éviter l'alliance rebelle, le navire prend des mesures d'évitement et survole les États-Unis où il est abattu par des avions de chasse américains itinérants. La princesse impériale Leyva est tuée dans la fusillade.
De retour sur la planète Zirconia, le maléfique Dark Vador apprend la nouvelle de l'explosion de l'engin. Il est énervé et vraiment en colère ! Il ordonne à une flotte massive de ses meilleurs navires de se préparer à envahir la planète Terre et à tuer tout le monde.
Les navires des planètes environnantes se joignent à la flotte d'invasion. Grâce à une sorte de lecture d'esprit extraterrestre, ils découvrent que ce n'était pas nous, prolétaires et esclaves réguliers, qui faisions exploser ces objets, c'était la faute de Washington DC ! Ils attaquent le Capitole et zappent jusqu'au dernier d'entre eux !
Les gens applaudissent et la paix règne sur la terre. Nous devenons des amis proches des extraterrestres ! Mais, l'Alliance extraterrestre s'effondre rapidement lorsque les extraterrestres se rendent compte que se joindre à nous n'est qu'une perte de temps car la plupart des "gens ordinaires" ne sont que des idiots…
Mais, nous sommes maintenant "libres !" Comme les extraterrestres sont maintenant les maîtres de la terre, ils se joignent aux gros et gonflés de gauche (et de droite) et créent une utopie sur terre. Plus personne n'a à travailler et la nourriture est gratuite et abondante !
Les extraterrestres découvrent bientôt la télévision américaine et s'assoient et la regardent toute la journée et toute la nuit et se gavent de nourriture gratuite (fabriquée à partir de vrais produits chimiques) et deviennent super gros en mangeant de la malbouffe et deviennent comme nous…
À la fin, un gars traverse une foule de gens en criant : « C'est un livre de cuisine ! C'est un livre de cuisine !"
https://www.lewrockwell.com/2023/02/mike-in-tokyo-rogers/blowing-up-the-wrong-balloon/
Aaaaa savoir: Un ballon transpercé explose, son enveloppe retombe donc (sur une cheminée ou le pare-brise avant d'une voiture sur l'autoroute !), puis il y a l'aiguille ! La balle traverse le ballon. Ok. oui mais... et après ? Bêh après... la balle tombe ! Tombe et tue quelqu'un (car le poids prend de la vitesse en descendant). Et s'il y a 10 000 ou 100 000 ballons lâchés dans l'espace au gré du vent... il faut... il faut réfléchir !
SupprimerNSA Edward Snowden : Agitation artificielle autour des ballons pour distraire l'explosion du Nord Stream
RépondreSupprimer14 février 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Depuis qu'un ballon météo en provenance de Chine a été découvert à environ 90 km au-dessus des États-Unis, l'hystérie OVNI a prévalu. Depuis lors, les observations et les abattages d'objets au-dessus de l'Amérique du Nord ont augmenté.
Le porte-parole du département américain de la Défense, Patrick Ryder, a déclaré le 2 février que les autorités américaines avaient repéré et suivaient un "ballon espion" au-dessus du continent américain. Il a été abattu par l'armée américaine au large de la Caroline du Sud dans l'espace aérien américain le 4 février.
La semaine dernière, le Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord (NORAD) a enregistré trois autres "objets non identifiés", dont deux ont été abattus par l'armée américaine dans l'espace aérien national et un autre au-dessus du territoire canadien. Les trois objets étaient significativement plus petits que le ballon chinois, à une altitude inférieure et d'apparence différente. Le dernier objet a été détruit dimanche au-dessus du lac Huron, à la frontière canado-américaine.
L'ancien secrétaire américain à la Défense, Mark Esper, a déclaré à Fox News qu'il pensait que les objets abattus par des avions de chasse américains au cours du week-end étaient "des ballons météorologiques ou des expériences scientifiques".
Pendant ce temps , l'actuel secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, a admis qu'aucun débris n'avait été récupéré de trois "objets" écrasés en Alaska, au Canada et dans le lac Huron.
La situation entourant trois objets volants non identifiés abattus au-dessus de l'Amérique du Nord vise à détourner l'attention des journalistes de l'enquête sur le sabotage des gazoducs Nord Stream, a déclaré lundi l'ancien responsable de la NSA et dénonciateur Edward Snowden.
"J'aimerais qu'ils soient des extraterrestres mais ce ne sont pas des extraterrestres ", a écrit Snowden sur Twitter lundi, commentant la descente de ballons et d'OVNIS aux États-Unis et au Canada. À son avis, c'est " juste la vieille panique artificielle " conçue pour s'assurer que les journalistes de la sécurité nationale " sont chargés d'enquêter sur les bêtises des ballons " et non sur les budgets ou les attentats à la bombe (à la Nord Stream). "
Le 8 février, le journaliste d'investigation américain Seymour Hersh aurait publié un article dans lequel il affirmait qu'en juin dernier, sous le couvert d'un exercice d'été très médiatisé de l'OTAN appelé BALTOPS 22, des plongeurs de la marine avaient placé les engins explosifs déclenchés à distance sous les gazoducs russes avec le soutien d'experts norvégiens placé. Hersh a déclaré que la décision du président américain Joe Biden de "saboter les pipelines est intervenue après plus de neuf mois de débats top secrets au sein de la communauté de la sécurité nationale à Washington ".
RépondreSupprimerLes rapports sur ces révélations aux États-Unis et dans les pays de l'OTAN ont été muets ou inexistants. Au mieux, on pouvait lire des articles dans lesquels Hersh, plusieurs fois primé, était critiqué et calomnié.
https://tkp.at/2023/02/14/nsa-edward-snowden-kuenstliche-aufregung-um-ballons-zur-ablenkung-von-nord-stream-sprengung/
Comme je l'ai précédemment dénoncé, ce sont TOUS les pays du monde qui sont capables de lancer chacun 10 000 à 50 000 ballons chaque jour !!!
SupprimerEt, ce sont actuellement quelques milliers de ballons qui sont dans l'espace et portés par les courants venteux, mais... que se passerait-il s'il y avait 50 000 ballons (ou 100 fois plus selon les pays) qui lâchent autant de ballons ?
Vous imaginez vous le nombre de missiles disponibles pour les détruire ?
Là, je vous avouerai tout de go que chaque État mettrait LA CLÉ SOUS LA PORTE !
L'armée de l'air a dépensé des millions pour abattre un ballon météo américain raté - Biden est heureux qu'il l'ait fait
RépondreSupprimerLune de l'Alabama
15 février 2023
Hier, l'armée de l'air américaine a abattu un autre ballon météo :
Le Pentagone a déclaré avoir abattu vendredi un objet non identifié au-dessus des eaux gelées autour de l'Alaska sur ordre du président Biden, moins d'une semaine après qu'un avion de chasse américain a abattu un ballon espion chinois au-dessus de l'Atlantique dans un épisode qui a accru les tensions entre Washington et Pékin.
Cet "objet non identifié" était beaucoup plus petit que le ballon précédent.
Trois responsables américains ont déclaré que vendredi soir, le gouvernement ne savait pas qui possédait ou avait envoyé l'objet vu au-dessus de l'Alaska, qui, comme le ballon chinois la semaine dernière, a été abattu par un avion de chasse F-22 utilisant un Sidewinder air-to - missile aérien. Plusieurs responsables ont déclaré qu'ils pensaient que l'objet abattu vendredi était un ballon, mais un responsable du ministère de la Défense a déclaré qu'il s'était brisé en morceaux lorsqu'il a heurté la mer gelée, ce qui a ajouté au mystère de savoir s'il s'agissait bien d'un ballon, un drone ou autre chose.
M. Kirby a déclaré que l'objet était "beaucoup, beaucoup plus petit que le ballon espion que nous avons abattu samedi dernier" et que "la façon dont il m'a été décrit était à peu près de la taille d'une petite voiture, par opposition à la charge utile qui était comme deux ou trois bus.
Le ballon météo chinois abattu plus tôt n'avait probablement rien à voir avec l'espionnage. La folle désinformation et la politique qui l'entourent ne sont que de la propagande. Il y avait des antennes sur le ballon météorologique chinois, mais tous les ballons météorologiques transportent des radiosondes pour envoyer tout ce qu'ils trouvent.
Une fois leurs tâches de mesure terminées, les ballons météorologiques sont censés voler plus haut jusqu'à ce que la pression à l'intérieur du ballon soit beaucoup plus élevée que l'air mince qui l'entoure. En conséquence, le ballon se déchirera et sa radiosonde et ses débris tomberont sur un petit parachute. Il y a généralement une adresse sur ceux-ci et une demande de les renvoyer pour réutilisation. Si vous en trouvez un, faites-le.
Parfois, le mécanisme qui envoie le ballon plus haut échouera. Le ballon suivra alors simplement les vents jusqu'à ce que quelque chose se produise qui le fasse tomber.
Cela pourrait bien être arrivé au ballon météo chinois ainsi qu'au ballon météo envoyé par le Service météorologique national depuis ses stations de mesure à Kotzebue ou Noma dans le nord-ouest de l'Alaska.
RépondreSupprimerDan Satterfield @wildweatherdan - 21:41 UTC · 10 février 2023J'ai prédit le dernier "ballon" abattu en AK. En fonction de l'emplacement et de l'heure, il remonte jusqu'à proximité du site de Kotzebue NWS Rawinsonde. Avons-nous abattu un ballon météo NWS ? ? Il n'y a pas de données pour le lancement 12Z à partir de ce site et tout le reste a fonctionné. #Chinaballoon
Sinon, il retourne dans la mer de Béring puis dans le nord-est de la Russie.
Il est également possible qu'ils n'aient pas lancé de ballon à Kotzebue ce matin à 12Z.
- voir carte sur site -
plus gros
Une rawinsonde est d'ailleurs une combinaison de capteurs de vent et de radiosonde :
rawinsonde - Un sondage en altitude qui comprend la détermination des vitesses et des directions du vent. Historiquement, les données sur le vent étaient obtenues en suivant une radiosonde portée par un ballon avec un radiogoniomètre. Les méthodes contemporaines comprennent la mesure de la position ou de la vitesse de la radiosonde à partir d'un système de positionnement global ou de signaux de radionavigation Loran.
Une autre station météo se trouve à Nome, en Alaska, qui se trouve dans la même région que Kotzebue.
Dan Satterfield @wildweatherdan - 21:54 UTC · 10 février 2023Le sondage de Nome s'est arrêté à 100 mb aujourd'hui. Il se peut que le ballon NOME rawinsonde ait eu des problèmes.
Si la mesure s'est arrêtée à une pression d'air de 100 millibars, le ballon n'a pas réussi à s'élever plus haut dans un air plus fin.
Plus:
Dan Satterfield @wildweatherdan 22:14 UTC · 10 février 2023Cela pourrait être le ballon NOME en cas d'échec et les données s'arrêtent à 100 Mo à NOME lors du lancement 12z. Il aurait pu ne pas monter et éclater comme il se doit.
Ce n'est pas le seul compte qui est venu avec de telles découvertes:
altNOAA @altNOAA - 3h15 UTC · 11 février 2023Je peux encore me tromper, mais il semble que le ballon ait été lancé vers 2h00 (heure normale de l'Alaska) depuis le National Weather Service WSO à Kotzebue, AK. Il était destiné aux données 12z (ballons lancés deux fois par jour environ 1 heure avant 00/12 heure zoulou). 6h00 de l'est.
RépondreSupprimerEt à celui qui a volé celui-ci… J'espère que vos copains ne sont pas trop durs avec vous. Et merci pour votre service!
Cette page doit être remplie avec un diagramme SKEW-T montrant les données 12z de Kotzebue. Le diagramme de sondage n'existe pas car les données n'existent pas car la bulle qui devait envoyer ces données n'existe plus.
(Photo de recherche de page échouée)
et
altNOAA @altNOAA - 8:04 UTC · 11 février 2023L'USAF a soit abattu le ballon météo 12Z de Kotzebue, soit (soyez patient), ils ont abattu un petit vaisseau spatial minuscule de la planète Smallrocksia. Je penche sérieusement vers notre ballon météo. Et c'est assez bien pris en charge avec l'optimisation du ballon Hysplit.
- voir carte sur site -
plus gros
J'admettrai que je ne suis pas encore à 100% sur l'une ou l'autre possibilité (positif à 99,998%, ce n'était pas un petit vaisseau spatial). Je ne suis même pas sûr à 100% si un ballon 12z a été lâché à Kotzebue. Mais, je vais me renseigner.
Il semble donc que l'armée de l'air ait envoyé un avion de surveillance AWACS, un pétrolier et un F-22, l'avion de chasse le plus cher de tous les temps, pour tirer un missile Sidewinder de 400 000 $ afin d'abattre un ballon météo en panne.
Si le ballon avait continué à voler, il aurait tourné vers le pôle nord. Ainsi, quelques millions ont été dépensés pour abattre un ballon météo raté lancé par les États-Unis sur la toute petite chance qu'un avion de ligne croise sa route à son niveau de vol inhabituel de 40 000 pieds.
Je pense que c'était un gaspillage d'argent.
Mais cela a apporté à Biden une meilleure presse que la catastrophe du ballon météo chinois. Il y a donc la vraie raison de le faire.
Reprinted with permission from Moon of Alabama.
https://www.lewrockwell.com/2023/02/no_author/airforce-spent-millions-to-shot-down-a-failed-u-s-weather-balloon-biden-is-happy-it-did-so/
OVNIS. Simple. E.T ou Russie !
RépondreSupprimerJ’ai beaucoup rigolé en écoutant les fulgurances intellectuelles d’un colonel sur LCI hier parlant de ces histoires d’Ovnis aux États-Unis qui nous ont occupés une bonne partie du week-end.
Par Paolo Garoscio
le 14 février 2023 à 8h33
Plus de 7.200 ovnis ont été "vus" aux Etats-Unis en 2020.
Pour ce colonel, ces objets volants sont des Ovnis et « personne ne peut dire d’où ils proviennent. Soit ce sont les Russes, soit les Martiens ! », et en bon colonel de l’armée, il a rajouté qu’il préférait nettement affronter les Russes que les Martiens.
Pour le coup, je pense que nous serons tous d’accord sur ce point et je vous laisse écouter l’enregistrement.
Bon, de vous à moi et d’un point de vue purement analytique, il y a tout de même très peu de chance qu’une civilisation extraterrestre qui serait capable de traverser l’espace intersidéral nous envahisse sans bouclier de force ni rayon laser de la mort qui tue. Traverser l’espace du fond de la galaxie pour terminer dézingué par un missile américain c’est assez humiliant pour une civilisation avancée.
De plus, la première prise de contact manquerait singulièrement de diplomatie. Remarquez, les Américains et leur diplomatie, c’est un rapport légendaire.
Alors, si ce n’est pas E.T qui veut venir à la maison, c’est probablement les Russes qui font mumuse au-dessus du territoire américain et qui disent en substance aux Américains, nous avons les moyens de pénétrer votre espace aérien comme bon nous chante, surtout si vous livrez des chars à l’Ukraine.
Du côté chinois et à l’approche du jour « anniversaire » de l’invasion russe en Ukraine, dans 10 jours, le ton n’est pas franchement très conciliant ni particulièrement aimable, alors que les propos chinois sont culturellement toujours mesurés et très pondérés. Voici l’un des derniers messages de l’Ambassade de Chine.
Quant au président chinois, il vient d’en remettre une couche, en désignant bien évidemment les Etats-Unis sans les nommer.
Du côté du front russe, à l’Est, il y a du nouveau.
Les Occidentaux demandent à tous leurs ressortissants de quitter la Biélorussie.
La probabilité est non négligeable que les forces russes stationnées en Biélorussie tentent une percée à l’Ouest de l’Ukraine pour couper Kiev de ses voies d’approvisionnement en armes occidentales.
Les jours qui viennent seront cruciaux et il est fort probable que le camarade E.T parle avec un fort accent russe.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
https://www.economiematin.fr/ovnis-ballons-guerre-usa-chine-russie-crise-sannat
Est-ce un oiseau ? Est-ce un avion ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 16 FÉVRIER 2023 - 04:45
Suite à la saga du ballon espion chinois traversant les États-Unis avant d'être abattu au large de la Caroline du Sud la semaine dernière, l'armée américaine a abattu trois objets volants non identifiés au-dessus de l'Alaska, du Canada et du Michigan ce week-end, suscitant l'inquiétude et un débat animé sur ce qui se passe dans le ciel au-dessus.
Et tandis que les responsables américains sont encore en train de déterminer quels étaient les objets volants abattus ce week-end et à quoi ils servaient, il peut y avoir une explication simple à la raison pour laquelle il semble soudainement y avoir un assaut d'objets volants non identifiés au-dessus des États-Unis. À la suite de l'incursion très publique du ballon chinois, l'armée américaine est extrêmement vigilante dans la surveillance de l'espace aérien et le signalement d'objets qui auraient pu auparavant voler littéralement sous le radar.
«À la lumière du programme de ballons chinois et de cette récente incursion dans notre espace aérien, les États-Unis et le Canada, par le biais du NORAD, ont examiné de plus près cet espace aérien, notamment en améliorant nos capacités radar, ce qui – en tant que commandant du NORTHCOM et du NORAD, le général VanHerck, a déclaré hier soir – peut au moins en partie expliquer l'augmentation du nombre d'objets qui ont été détectés », a déclaré lundi le coordinateur du Conseil de sécurité nationale pour les communications stratégiques, John Kirby, lors d'un point de presse à la Maison Blanche.
Cependant, comme le note Felix Richter de Statista, les objets volants non identifiés ou les phénomènes aériens non identifiés (UAP), comme on les appelle officiellement, n'ont rien de nouveau. En fait, le bureau du directeur du renseignement national a publié le mois dernier un rapport non classifié sur le sujet, montrant à quel point les observations et les signalements de PAN sont fréquents. Entre mars 2021 et août 2022, les autorités ont reçu 366 signalements de PAN, dont plus de la moitié présentaient des « caractéristiques banales ».
- voir graph sur site -
Infographie : Est-ce un oiseau ? Est-ce un avion ? | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
26 ont été classés comme des systèmes d'aéronefs sans pilote (principalement des drones), 163 ont été caractérisés comme des ballons ou des entités ressemblant à des ballons et six ont été attribués à l'encombrement, par ex. les oiseaux, les événements météorologiques ou les débris en suspension dans l'air tels que les sacs en plastique.
Lorsque le rapport a été publié, 171 UAP n'étaient pas encore caractérisés, mais le rapport indique que certains d'entre eux "semblent avoir démontré des caractéristiques de vol ou des capacités de performance inhabituelles, et nécessitent une analyse plus approfondie".
https://www.zerohedge.com/geopolitical/it-bird-it-plane
Notons qu'aujourd'hui figurent dans la série 'Aéronef ET' des oiseaux (aussi vrais que nature jusqu'aux insectes télécommandés !!), d'où le nombre très impressionnant de missiles à tirer ! HAHAHAHA !
SupprimerPar contre s'il y a des hologrammes de type '11Septembre' Whôaw !
C'est fini les matches de football !
Attaque terroriste du Nord Stream : l'intrigue s'épaissit
RépondreSupprimerPar Pepe Escobar
Culture stratégique
16 février 2023
Ce qu'il nous reste à tous, c'est de nager dans un marais rempli de patsies abandonnés, de couvertures douteuses et de débris d'informations.
Le rapport explosif de Seymour Hersh sur la façon dont le gouvernement américain a fait sauter les pipelines Nord Stream 1 et 2 dans la mer Baltique en septembre dernier continue de générer des vagues géopolitiques ondulantes dans tout le spectre.
Sauf, bien sûr, dans la bulle parallèle des médias grand public américains, qui l'ont totalement ignorée, ou dans quelques cas choisis, ont décidé de tirer sur le messager, rejetant Hersh comme un journaliste "discrédité", un "blogueur" et un " adepte de la théorie de conspiration".
J'ai proposé une première approche, centrée sur les nombreux mérites d'un rapport apparemment complet, mais notant également quelques incohérences graves.
Le correspondant étranger de la vieille école basé à Moscou, John Helmer, est allé encore plus loin ; et ce qu'il a découvert peut être aussi incandescent que le propre récit de Sy Hersh.
Le cœur du problème dans le rapport de Hersh concerne l'attribution de la responsabilité d'une attaque terroriste industrielle de facto. Étonnamment, pas de CIA ; cela tombe directement sur le trio de planification toxique de Sullivan, Blinken et Nuland – néolibéral-contre faisant partie du combo « Biden ». Et le feu vert final vient du Décideur Ultime : le Président sénile, téléprompteur lui-même. Les Norvégiens figurent en tant qu'assistants mineurs.
Cela pose le premier problème sérieux : nulle part dans son récit Hersh ne fait référence au MI6, aux Polonais (gouvernement, Marine), aux Danois, et même au gouvernement allemand.
Il y a une mention qu'en janvier 2022, "après quelques hésitations", le chancelier Scholz "était désormais fermement dans l'équipe américaine". Eh bien, à ce jour, le plan était en discussion, selon la source de Hersh, depuis au moins quelques mois. Cela signifie également que Scholz est resté "dans l'équipe américaine" jusqu'à l'attaque terroriste, en septembre 2022.
Quant aux Britanniques, aux Polonais et à tous les jeux de l'OTAN qui se jouaient au large de l'île de Bornhom plus d'un an avant l'attaque, cela avait été largement rapporté par les médias russes - de Kommersant à RIA Novosti.
L'opération militaire spéciale (SMO) a été lancée le 24 février, il y a près d'un an. L'explosion de Nord Stream 1 et 2 s'est produite le 26 septembre. Hersh assure qu'il y a eu "plus de neuf mois de débats hautement secrets au sein de la communauté de la sécurité nationale de Washington sur la manière de" saboter les pipelines "".
Cela confirme donc que la planification de l'attaque terroriste a précédé, de plusieurs mois, non seulement le SMO mais, surtout, les lettres envoyées par Moscou à Washington en décembre 2022, demandant une discussion sérieuse sur "l'indivisibilité de la sécurité" impliquant l'OTAN, la Russie et l'après-guerre. Espace soviétique. La demande a été satisfaite par une réponse de non-réponse américaine dédaigneuse.
RépondreSupprimerAlors qu'il écrivait l'histoire d'une réponse terroriste à un grave problème géopolitique, cela fait sourciller qu'un professionnel de premier ordre comme Hersh ne se soucie même pas d'examiner le contexte géopolitique complexe.
En un mot : l'anathème mackindérien ultime pour les classes dirigeantes américaines - et c'est bipartisan - est une alliance Allemagne-Russie, étendue à la Chine : cela signifierait l'expulsion des États-Unis d'Eurasie, et cela conditionne tout ce que tout gouvernement américain pense et fait en termes de l'OTAN et de la Russie.
Hersh aurait également dû remarquer que le moment choisi pour préparer le "sabotage des pipelines" brise complètement le récit officiel du gouvernement américain, selon lequel il s'agit d'un effort collectif de l'Occident pour aider l'Ukraine contre "l'agression russe non provoquée".
Cette source insaisissable
Le récit ne laisse aucun doute sur le fait que la source de Hersh – sinon le journaliste lui-même – soutient ce qui est considéré comme une politique américaine légale : combattre la « menace de la Russie contre la domination occidentale [en Europe] ».
Donc, ce qui semble être une opération secrète de la marine américaine, selon le récit, a peut-être été malavisé, non pas pour de sérieuses raisons géopolitiques ; mais parce que la planification de l'attaque a intentionnellement éludé la loi américaine "exigeant que le Congrès soit informé". C'est une interprétation extrêmement paroissiale des relations internationales. Ou, pour être franc : c'est une apologie de l'exceptionnalisme.
Et cela nous amène à ce qui pourrait être le Rosebud dans cette saga digne d'Orson Welles. Hersh fait référence à une "salle sécurisée au dernier étage de l'ancien bâtiment du bureau exécutif… qui abritait également le Conseil consultatif du renseignement étranger du président".
C'était soi-disant l'endroit où la planification de l'attaque terroriste était en cours de discussion.
Alors bienvenue au PIAB : le President Intelligence Advisory Board. Tous les membres sont nommés par l'actuel POTUS, en l'occurrence Joe Biden. Si nous examinons la liste des membres actuels du PIAB, nous devrions, en théorie, trouver la source de Hersh (voir, par exemple, « President Biden Announces Appointments to the President's Intelligence Advisory Board and the National Science Board » ; « President Biden Announces Key Appointments » ; « Le président Biden annonce des nominations clés aux conseils et commissions » ; « Le président Biden annonce des nominations clés aux conseils et commissions » ; et « Le président Biden annonce des nominations clés aux conseils et commissions ».
Voici les membres du PIAB nommés par Biden : Sandy Winnefeld ; Gilman Louie; Janet Napolitano ; Richard Verma; Evan Bayh; Anne Finucane; Mark Angelson; Margaret Hambourg; Kim Cobb; et Kneeland Youngblood.
RépondreSupprimerLa source de Hersh, selon son récit, affirme, sans l'ombre d'un doute, que "les troupes russes s'étaient accumulées de manière constante et inquiétante aux frontières de l'Ukraine" et que "l'alarme grandissait à Washington". C'est à croire que ce groupe soi-disant bien informé n'était pas au courant du rassemblement de troupes ukrainiennes dirigées par l'OTAN de l'autre côté de la ligne de contact, se préparant à lancer une guerre éclair contre le Donbass.
Ce que tout le monde savait déjà à ce moment-là – comme le montre le dossier même sur YouTube – c'est que le combo derrière "Biden" était déterminé à mettre fin aux Nord Streams par tous les moyens nécessaires. Après le lancement du SMO, la seule chose qui manquait était de trouver un mécanisme de déni plausible.
Malgré tous ses reportages méticuleux, le sentiment inéluctable demeure que ce que le récit de Hersh accuse est le stratagème terroriste combiné de Biden, et jamais le plan global des États-Unis visant à provoquer la Russie dans une guerre par procuration avec l'OTAN en utilisant l'Ukraine comme chair à canon.
De plus, la source de Hersh peut être éminemment erronée. Il – ou elle – a dit, selon Hersh, que la Russie "n'a pas répondu" à l'attaque terroriste contre le pipeline parce que "peut-être qu'ils veulent la capacité de faire les mêmes choses que les États-Unis".
En soi, cela peut prouver que la source n'était même pas membre du PIAB, et n'a pas reçu le rapport classifié du PIAB évaluant le discours crucial de Poutine du 30 septembre, qui identifie le parti "responsable". Si tel est le cas, la source est simplement connectée (le mien en italique) à un membre du PIAB ; n'a pas été invité à la planification de la salle de crise qui a duré des mois ; et n'est certainement pas au courant des détails les plus fins de la guerre de cette administration en Ukraine.
Compte tenu des excellents antécédents de Sy Hersh dans le journalisme d'investigation, il serait assez rafraîchissant pour lui d'élucider ces incohérences. Cela éliminerait le brouillard des rumeurs décrivant le rapport comme un simple lieu de rencontre limité.
Considérant qu'il existe plusieurs "silos" d'informations au sein de l'oligarchie américaine, avec leurs appareils correspondants, et que Hersh a cultivé ses contacts avec presque tous pendant des décennies, il ne fait aucun doute que les informations prétendument privilégiées sur la saga Nord Stream provenaient d'une source très précise. adresse – avec un ordre du jour très précis.
Nous devrions donc voir qui l'histoire inculpe vraiment : certainement le combo straussien néo-conservateur/néolibéral-con derrière « Biden », et le président bancal lui-même. Comme je l'ai souligné dans mon analyse initiale, la CIA s'en tire haut la main.
Et nous ne devons pas oublier que le grand récit change rapidement : le rapport RAND, l'humiliation imminente de l'OTAN en Ukraine, l'hystérie des ballons, l'opération psy OVNI. La véritable « menace » est – qui d'autre – la Chine. Ce qu'il nous reste à tous, c'est de nager dans un marais rempli de patsies abandonnés, de couvertures douteuses et de débris d'informations. Sachant que ceux qui dirigent vraiment le spectacle ne montrent jamais leur main.
RépondreSupprimerLes opinions des contributeurs individuels ne représentent pas nécessairement celles de la Fondation pour la culture stratégique.
https://www.lewrockwell.com/2023/02/no_author/nord-stream-terror-attack-the-plot-thickens/
A L'INSTANT - Ancien conseiller de la CIA : Biden a bombardé Nord Stream ?
RépondreSupprimerPAR PARADIM PRESSE
Cher lecteur,
Le matin du 26 septembre 2022…
Quatre explosions sous-marines ont creusé des trous de 60 pieds dans le pipeline russe Nord Stream...
Envoyer du gaz se déverser dans l'océan…
Et laissant le pipeline paralysé pendant des années.
L'administration Biden blâme la Russie, mais...
C'est un mensonge éhonté.
Vous êtes sur le point de voir pourquoi je suis maintenant certain…
Joe Biden a ordonné l'attaque du Nord Stream.
Et son erreur est sur le point de tous nous plonger en Enfer…
>>Bienvenue à l'Armageddon énergétique américain de Biden<<
A la vérité,
Jim Rickard
Ancien conseiller de la CIA et du Pentagone
PS Au cours des 75 prochains jours, je prédis que les Américains seront confrontés à des pénuries de carburant, à des pannes d'électricité généralisées, à des étagères d'épicerie vides, à des factures d'énergie de 1 000 $, à des comptes de retraite épuisés… et à une nouvelle vague de criminalité. Voir mon avertissement complet ici.
Ce message est un contenu sponsorisé et Zerohedge a été rémunéré pour sa publication.
https://www.zerohedge.com/sponsored-post/breaking-former-cia-advisor-biden-bombed-nord-stream
Sabotage du Nord Stream alors que les États-Unis attaquent l'Allemagne
RépondreSupprimer15 février 2023
par Thomas Oysmuller
La Russie prévoit une session spéciale du Conseil de sécurité de l'ONU sur l'attaque contre Nord Stream. Le révélateur Hersh donne de nouvelles informations sur ce qu'aurait pu être le motif des États-Unis dans une interview. La révélation pourrait même conduire à la fin de l'OTAN.
Seymour Hersh, découvreur du Nord Stream, s'est expliqué dans une interview au « Berliner Zeitung ». Il donne un nouvel aperçu de ses recherches et explique le motif des États-Unis.Hersh aurait également de nombreuses questions pour le chancelier allemand Olaf Scholz. Par exemple, si Biden l'avait informé des plans. Il est clair que le gouvernement cache même certaines informations sur l'attaque au Bundestag. Scholz en sait donc plus qu'il ne l'admet publiquement.
Dégâts massifs à Washington
Mais pourquoi les États-Unis ont-ils mené l'attaque ? "La raison de la décision de faire sauter Nord Stream était que la guerre n'allait pas bien pour l'Occident et que les États-Unis avaient peur que l'Allemagne lève les sanctions à cause d'un hiver froid."
Dans une interview à la radio mardi, Hersh a également évoqué les critiques selon lesquelles il n'avait qu'une seule source. Cela ne doit pas être le cas. Il parle du principe suprême du journalisme d'investigation : la protection des sources. Il est tout à fait possible qu'il n'ait fait référence qu'à une seule source à cette fin, bien qu'il en ait eu plusieurs. La protection des sources devient encore plus importante lorsqu'il s'agit de secrets d'État et de services secrets. Une seule exposition à la source et il sera hanté (peut-être jusqu'à sa mort). Quoi qu'il en soit, Hersh a vérifié ses faits - c'est ce que signifie son nom.
Hersh est certain que l'attaque changera beaucoup à long terme. Et l'issue de la guerre sera également différente de ce que souhaiterait l'Occident, déclare Hersh :
« Ce que je sais, c'est qu'il n'y a aucun moyen que cette guerre se termine comme nous le souhaitons, et je ne sais pas ce que nous ferons alors que nous regardons plus loin. Cela me fait peur que le président soit prêt à faire quelque chose comme ça. Et les gens qui dirigeaient cette mission croyaient que le président était conscient de ce qu'il faisait au peuple allemand, qu'il le punissait pour une guerre qui n'allait pas bien. Et à long terme, cela ne nuira pas seulement à sa réputation de président, ce sera aussi très préjudiciable sur le plan politique. Ce sera un stigmate pour les États-Unis.
Il ne croit pas que le gouvernement américain ait réfléchi jusqu'au bout à la portée de la décision. Même si une partie de l'économie américaine, qui peut désormais exporter encore plus cher du gaz liquéfié vers l'Europe, s'en réjouit probablement :
" Je suis sûr que certaines personnes ont pensé, mon garçon, que cela va donner un coup de pouce à l'économie américaine à long terme. Mais à la Maison Blanche, je pense qu'ils ont toujours été obsédés par la réélection, et ils voulaient gagner la guerre, ils voulaient remporter une victoire, ils voulaient que l'Ukraine gagne comme par magie. Il y a peut-être des gens qui pensent que c'est peut-être mieux pour notre économie si l'économie allemande est faible, mais c'est fou. Je pense que nous avons été pris dans quelque chose qui ne fonctionnera pas, la guerre ne se terminera pas bien pour ce gouvernement."
RépondreSupprimerPendant ce temps, la Russie a annoncé qu'elle préparait une session spéciale du Conseil de sécurité de l'ONU sur l'attaque du Nord Stream. La révélation a une force explosive sans précédent, les conséquences pourraient être bien plus importantes que ce que soupçonne Hersh. C'était une attaque des pays de l'OTAN (la Norvège aurait soutenu les États-Unis) contre un autre pays de l'OTAN. Dans les documents fondateurs de l'OTAN, vous pouvez lire ce que cela signifie réellement, comme Jonas Danner l'a déterré : ce ne serait rien d'autre que la fin de l'alliance militaire. C'était du moins l'opinion en 1949, l'année de la création de l'OTAN.
https://tkp.at/2023/02/15/nord-stream-sabotage-als-us-anschlag-auf-deutschland/
Les experts universitaires disent que le changement climatique provoque des tremblements de terre. Arrêtons les tremblements de terre avec des panneaux solaires alors ?
RépondreSupprimerNécromancien, arts sombres, culte, occulte, sorcellerie.
Par TheMartic
Par Jo Nova
February 16th, 2023
Blâmer Exxon pour les enfants morts de Turquie, hein ? Ce ne sont pas les codes du bâtiment corrompus, les plaques crustales ou le champ magnétique solaire. Le changement climatique déclenche des tremblements de terre, vous savez.
Un grand prêtre écologiste a lu les entrailles de poulet et prophétise que les choses vont empirer. Votre voiture crée des tremblements de terre, des volcans et des tsunamis - à moins qu'il ne s'agisse d'un véhicule électrique. C'est difficile de faire la satire, c'est trop stupide.
Le changement climatique déclenche davantage de tremblements de terre. Les intérêts de Big Oil sont un facteur
Par le professeur İbrahim Özdemir, conseiller de l'ONU, Euronews
Il n'y a pas que les tremblements de terre, il y a aussi les tsunamis et les volcans :
Nous ne savons pas avec certitude ce qui a déclenché cette horrible catastrophe naturelle, mais nous savons qu'il existe de plus en plus de preuves scientifiques que le changement climatique augmente le risque de tels tremblements, ainsi que les tsunamis et les éruptions volcaniques.
Voici la Science Occulte :
"Si une faille est amorcée ou prête à éclater, il suffit de la pression d'une poignée de main pour la déclencher […] Les changements environnementaux associés à une dégradation rapide et accélérée du climat pourraient facilement faire l'affaire", professeur de géophysique et de risques climatiques à l'University College de Londres, Bill McGuire l'a souligné en 2012.
Si un défaut est "prêt à se rompre" et que la pression d'une poignée de main le déclenche, alors les semi-remorques en Turquie sont probablement un non-non. Je veux dire, si le Big One n'avait pas été déclenché par le changement climatique à 4h17 du matin, il l'aurait été par le Ford F-Max à 4h18. Ces professeurs lisent-ils même ce qu'ils écrivent ?
Et l'enfer biblique régnera :
RépondreSupprimerDe plus, les scientifiques de la NASA ont reconnu que le recul des glaciers dû au réchauffement climatique avait déclenché des tremblements de terre en Alaska au cours des dernières décennies.
L'impact ne se limite pas à l'Arctique. Alors que la fonte des glaciers modifie la répartition du poids sur la croûte terrestre, «l'ajustement isostatique glaciaire» qui en résulte entraîne des changements dans la tectonique des plaques qui pourraient entraîner davantage de tremblements de terre, réveiller des volcans et même affecter le mouvement de l'axe de la Terre.
La fonte de gigatonnes de glace pourrait bien affecter la tectonique de la croûte, mais l'activité solaire est beaucoup plus susceptible de faire fondre la glace, pas les climatiseurs de Sydney ou les sèche-cheveux de Londres - auquel cas tous les crédits carbone du monde n'arrêtera pas un seul événement sismique. L'effort pour nous protéger avec des moulins à vent ressemblera à des nécromanciens criant à la brise.
Et la science occulte coule directement dans la haine tribale
Tremblement de terre, crack. Tout ce que font les entreprises de combustibles fossiles est un crime contre l'humanité. Ce sont les « mauvais esprits » du culte climatique. Une recherche Google pour "les activistes du climat lancent des poursuites judiciaires" obtient 3 millions de résultats. Mais lorsque les entreprises de combustibles fossiles ciblent 150 militants écologistes, c'est la preuve qu'elles dirigent le monde :
Une série d'enquêtes et de procédures judiciaires au fil des ans ont montré comment les géants des combustibles fossiles mènent la barque : ils utilisent et abusent de l'État de droit pour échapper à la responsabilité de la pollution de l'environnement, de l'accaparement des ressources et du copinage. Ceux qui s'y opposent sont souvent réduits au silence.
Au cours de la dernière décennie, les entreprises de combustibles fossiles aux États-Unis ont ciblé plus de 150 militants écologistes avec des poursuites.
Oh malheur à nous, disent les pourvoyeurs d'absurdités. Ils ne peuvent pas persuader le monde de suivre leurs devins, alors ils se sentent réduits au silence et victimes s'ils ne peuvent pas fermer les robinets des principaux gazoducs à la place :
Pendant ce temps, des dizaines d'États américains sont en train de promulguer une législation sur les «infrastructures critiques», augmentant les sanctions pénales contre les militants qui protestent contre les pipelines qui détruiront la planète.
Le professeur İbrahim Özdemir exploite sans vergogne les morts en Turquie pour promouvoir sa propre carrière
Voici sa signature :
Le professeur İbrahim Özdemir est conseiller de l'ONU et écologiste enseignant à l'Université d'Üsküdar. Il a été directeur général du Département des affaires étrangères du ministère turc de l'éducation et a été l'un des principaux membres de la rédaction de la Déclaration islamique sur le changement climatique mondial approuvée par la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC).
RépondreSupprimerIl vend sa propre huile de serpent.
https://joannenova.com.au/2023/02/university-experts-say-climate-change-causes-earthquakes-should-we-stop-quakes-with-solar-panels-then/
Une étude géologique réfute le programme d'énergie verte : pas assez de métaux pour remplacer le pétrole
RépondreSupprimerpar Selwyn Duke
13 février 2023
De nombreux points sont soulevés lors de la discussion de l'infaisabilité de l'agenda de l'énergie verte. Il a été noté que le vent et le solaire ne peuvent pas répondre à nos besoins énergétiques, qu'alimenter les États-Unis en énergie éolienne nécessiterait une superficie trois fois plus grande que la Californie. Il a en outre été affirmé que la production et l'utilisation de voitures électriques causent en fait plus de pollution que le statu quo de l'essence. Ce n'est pas seulement que la fabrication de véhicules électriques crée des rejets massifs de gaz carbonique (pas un polluant, attention), non plus ; c'est aussi que l'extraction des métaux et minéraux nécessaires à leur production cause des dommages environnementaux. Pourtant, il y a aussi un coup de pied ici, un point rarement soulevé :
Même si nous pouvions extraire plus proprement et plus efficacement les matériaux en question, il n'y en a tout simplement pas assez pour faire de l'énergie verte une réalité.
C'est la conclusion d'une étude géologique qui, sans surprise, n'a pas reçu l'attention qu'elle mérite. CounterPunch en a fait rapport, cependant, écrivant que la recherche
met un frein aux perspectives d'abandon des combustibles fossiles au profit des énergies renouvelables. Plus précisément, une élimination progressive des combustibles fossiles d'ici le milieu du siècle semble être une tâche de Sisyphe presque impossible. Il s'agit de quantités de minéraux/métaux contenus dans la Terre Mère. Il n'y en a pas assez.
Simon Michaux, PhD, Geological Survey Finland[,] a réalisé une étude détaillée de ce qui est nécessaire pour éliminer progressivement les combustibles fossiles au profit des énergies renouvelables, à savoir :
- voir cadre sur site -
"La quantité de métal nécessaire pour fabriquer une seule génération d'unités technologiques renouvelables pour remplacer les combustibles fossiles est beaucoup plus importante qu'on ne le pensait initialement. La production minière actuelle de ces métaux n'est même pas près de répondre à la demande. Les réserves minérales actuellement déclarées ne sont pas non plus suffisantes. Le plus préoccupant est le cuivre comme l'un des déficits signalés. L'exploration pour plus aux volumes requis sera difficile, avec ce séminaire abordant ces questions. (Source : Simon P. Michaux, professeur de recherche associé de l'unité de géométallurgie, traitement des minéraux et recherche sur les matériaux, Service géologique de Finlande, 18 août 2022 - Séminaire : Que faudrait-il pour remplacer le système de combustible fossile existant ?)
"L'étude approfondie de Michaux a révélé que les réserves de métaux estimées actuelles sont terriblement insuffisantes dans presque toutes les catégories", a ajouté samedi Robert A. Bishop du penseur américain. «Le tableau ci-dessous répertorie les exigences en métaux de base et en terres rares pour construire le nouveau réseau et les véhicules électriques. Les déficits sont surlignés en jaune. Par exemple, le cuivre fait partie intégrante d'un système de réseau à haute tension, manquant de 3,7 milliards de tonnes. Pouvons-nous creuser suffisamment de fosses à minerai ouvertes d'un kilomètre de profondeur pour combler ce manque à gagner ? Improbable."
RépondreSupprimerBishop poursuit en écrivant que ci-dessous "se trouve le tableau de l'étude estimant les années pour produire les métaux requis aux taux de production actuels. Par exemple, le lithium prendrait près de 10 millénaires pour être atteint. De plus, ces minéraux rares doivent être extraits, transportés et traités, en s'appuyant exclusivement sur des combustibles fossiles, ce qui créerait davantage d'émissions de carbone et épuiserait les réserves d'hydrocarbures.
"Les produits pétrochimiques issus du pétrole et du gaz naturel rendent plus de 6 000 produits de tous les jours indispensables à la société moderne", souligne également Bishop. « Il n'existe pas de substituts alternatifs connus pour les hydrocarbures. Pourtant, les fanboys du changement climatique ignorent de manière catastrophique les produits pétrochimiques qui fournissent de nombreux biens indispensables [sic] ».
La réalité a une façon d'intervenir, cependant (c'est juste une question de combien de douleur est nécessaire pour pénétrer les oreilles sourdes). À cet égard, la guerre en Ukraine a eu au moins un sous-produit positif. Autrement dit, "l'embargo européen sur le pétrole et le gaz naturel russes, ainsi que le sabotage terroriste des pipelines Nord Stream, exposent le mythe de l'énergie verte", déclare encore Bishop. "En conséquence, l'Allemagne, l'affiche de l'énergie verte, a eu recours à l'hérésie en réactivant ses centrales au charbon mises sous cocon."
"Les calculs ne soutiennent pas la rhétorique du mouvement activiste net zéro", conclut Bishop. «Éliminer les combustibles fossiles indispensables, comme l'Allemagne le connaît à un rythme accéléré, sans les remplacer par l'équivalent d'une énergie alternative, effondrerait rapidement la société moderne. Considérez-le comme le « massacre de Jonestown » à l'échelle mondiale. »
Loin d'être exagérée, cette alarme a déjà été tirée. Par exemple, l'ancien personnage de Greenpeace, Patrick Moore, a averti en 2019 que si le Green New Deal était institué à l'échelle mondiale, il pourrait "entraîner la mort de presque tous les humains sur Terre". Mais avant qu'ils ne rencontrent leur misérable fin, a-t-il souligné, ils avaient abattu tous les arbres pour se nourrir et tué tous les animaux pour se nourrir.
Il n'est pas surprenant qu'essayer de transformer artificiellement une économie mondiale avec la trique d'un grand gouvernement ait un effet dévastateur : c'est déjà arrivé. Par exemple, au XXe siècle, des dictateurs communistes tels que Joseph Staline en Union soviétique, Mao Zedong en Chine et Pol Pot au Cambodge ont institué des programmes de collectivisation agricole qui ont causé la mort de plus de 60 millions de personnes.
RépondreSupprimerLa leçon est également simple : si le marché ne justifie pas un programme ou un plan d'action, soyez plus qu'hésitant à le poursuivre. Ce n'est pas parce que le marché est parfait (hé, ça nous donne les Kardashian !), mais parce que c'est la démocratie appliquée à l'économie ; c'est-à-dire que chaque fois que des centaines de millions de personnes effectuent des achats, elles votent sur les biens et services qui prévaudront.
Faisant écho à ce que Winston Churchill a dit à propos de la démocratie politique, le marché est aussi le pire système au monde - à l'exception de tout le reste. C'était certainement un meilleur guide que Staline, Mao, Pol Pot et leurs cerveaux. Et qu'en est-il des oligarques d'aujourd'hui qui seraient à la tête de l'économie, l'enfant du climat Greta Thunberg, l'extraterrestre John Kerry, l'homme aux problèmes logiciels Bill Gates, et al. ? Voulez-vous parier qu'ils seront les premiers marionnettistes économiques de l'histoire dont la sagesse collective surpassera celle de la main invisible du marché ?
https://thenewamerican.com/geological-study-refutes-green-energy-agenda-not-enough-metals-to-replace-oil/
Les contrats à terme sur le gaz naturel suggèrent que la crise énergétique en Europe n'est pas terminée
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 16 FÉVRIER 2023 - 11:00
Par Tsvetana Paraskova de OilPrice.com
Les contrats à terme sur le gaz naturel en Europe indiquent des prix structurellement plus élevés pour le reste de l'année, car l'Europe devra bientôt commencer à remplir ses stocks pour l'hiver 2023/2024.
Le prix du TTF, la référence européenne, a glissé lundi au plus bas niveau depuis septembre 2021, et l'Europe semble confiante qu'il n'y aura pas de pénurie de gaz cet hiver.
- voir graph sur site -
Cependant, la course pour assurer l'approvisionnement de l'hiver prochain n'a même pas encore commencé pour de bon. Les prix devraient rester plus élevés qu'avant l'invasion russe de l'Ukraine pendant l'été, car l'Europe devra faire face à une concurrence plus féroce de l'Asie pour l'approvisionnement en gaz naturel liquéfié (GNL). Les contrats à terme TTF pour décembre sont à un prix supérieur à 60 € par mégawattheure, nettement supérieur aux 54 € par mégawattheure de mars.
- voir graph sur site -
L'année dernière, l'Asie – y compris la Chine – a connu une demande tiède dans un contexte de prix au comptant élevés et d'un ralentissement de l'économie chinoise. Avec la réouverture de la Chine, cependant, la demande de gaz et de GNL devrait rebondir, augmentant la concurrence entre l'Asie et l'Europe pour l'approvisionnement au comptant, selon les analystes.
De plus, le temps en Europe a été plus doux que d'habitude pendant de longues périodes cet hiver, ce qui a permis de réduire la consommation de gaz pour le chauffage et la production d'électricité. Il est loin d'être certain que l'Europe, et l'hémisphère nord dans son ensemble, connaîtront également des températures douces l'hiver prochain.
Les gouvernements et les régulateurs de l'UE affirment que si une grave crise de pénurie de gaz a été évitée pour cet hiver, l'hiver prochain pourrait être plus difficile.
"Les prix semblent susceptibles de rester structurellement plus élevés qu'ils ne l'étaient avant l'invasion russe", a déclaré Henning Gloystein, directeur de l'énergie, du climat et des ressources chez Eurasia Group, dans une note récente publiée par Bloomberg.
L'Europe continue d'ajouter de nouvelles capacités d'importation de GNL, en particulier en Allemagne et aux Pays-Bas, mais si l'offre mondiale se resserre, les prix grimperont à nouveau.
Les prix du gaz en Europe ont augmenté d'environ 3% à 58 dollars (54 euros) le mégawattheure (MWh) vers midi à Amsterdam mercredi.
Les prix se sont maintenus entre 53 et 64 dollars (50 à 60 euros) par MWh pendant des semaines dans un contexte de stocks de gaz plus élevés que la saison, de conditions météorologiques clémentes et d'afflux constants de GNL.
https://www.zerohedge.com/commodities/natural-gas-futures-contracts-suggest-europes-energy-crisis-isnt-over
L'UE envisage une réduction de 90 % des émissions de gaz carbonique d'ici 2040 pour les camions
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 16 FÉVRIER 2023 - 09:30
Par Julieanne Geiger de Oilprice.com
La Commission européenne a proposé cette semaine des règles plus strictes en matière de gaz carbonique pour les véhicules utilitaires lourds, exigeant que tous les nouveaux camions réduisent leurs émissions de 90 % d'ici 2040 et que tous les nouveaux bus urbains n'émettent aucune émission à partir de seulement 7 ans, d'ici 2030, selon un communiqué de la Commission européenne.
L'objectif de l'UE n'est pas seulement d'aider l'UE à se rapprocher de ses émissions nettes de gaz à effet de serre nulles d'ici 2050, mais également de réduire ses importations de combustibles fossiles. Il existe déjà un accord pour que les nouvelles voitures soient sans gaz carbonique d'ici 2035, a rapporté Reuters mardi.
"Le secteur du transport routier représente un cinquième des émissions de gaz à effet de serre (GES) de l'UE et est la principale cause de pollution de l'air dans les villes", a déclaré la Commission, ajoutant que le secteur des transports est le seul secteur de l'UE où les émissions ont continué à hausse ces dernières années. Les poids lourds et les bus sont responsables de plus de 25 % des émissions de GES du transport routier dans l'UE et de 6 % des émissions totales de GES de l'UE.
La Commission a suggéré que les constructeurs doivent réduire les émissions de gaz carbonique typiques des nouveaux camions qu'ils vendent de 90 % par rapport aux niveaux de 2019 d'ici 2040.
Ils devraient également réduire le gaz carbonique de 65 % à partir de 2035.
L'UE a opté pour un objectif de 90 % au lieu d'un objectif de 100 % pour l'instant car, selon le chef de la politique climatique de l'UE Frans Timmermans, les technologies zéro émission ne sont pas encore disponibles pour tous les camions, et ils ne savent pas quand ce sera .
L'objectif ultime est toujours une réduction de 100 % des émissions de gaz carbonique pour les voitures et les camions, mais l'UE n'a pas commenté quand l'objectif pourrait être déplacé.
RépondreSupprimerLes écologistes qui espéraient plus sont mécontents que le bloc ait décidé de renoncer aux 10 derniers pour cent. "Les camions polluants continueront d'être vendus pendant des années plus longtemps que nécessaire, rendant impossible l'objectif zéro net de l'UE", a déclaré un responsable du fret du groupe de campagne Transport & Environnement, cité par Reuters, en réponse à l'annonce de l'UE mardi.
https://www.zerohedge.com/commodities/eu-eyes-90-co2-cut-2040-trucks
Économiser l'eau grâce à une alimentation végétalienne – qu'en est-il ?
RépondreSupprimer16 Février 2023
Ulrich Graf*
L'eau est l'aliment le plus important pour l'homme. Quelles formes de vie permettent de la protéger particulièrement bien ?
Combien d'eau peut-on économiser en renonçant aux produits d'origine animale ? De nombreux chiffres qui circulent à ce sujet sont nettement surestimés.
Actuellement, le Veganuary est en cours. Le nom est composé de Vegan et de January. L'action vise à inciter les gens à adopter une alimentation végétalienne pendant ce mois. De nombreux avantages pour l'environnement et le climat sont cités pour motiver les participants. Il est notamment affirmé que cela économise beaucoup d'eau. Mais est-ce vraiment le cas ?
Cycle de l'eau des précipitations surfaciques : l'empreinte hydrique ne prend en compte que les surfaces productives, c'est-à-dire celles qui sont cultivées. Là encore, seul le processus au sol, composé des précipitations et de l'évaporation, est pris en compte. Le processus atmosphérique de condensation et de formation des nuages ne l'est pas. Ce n'est donc pas le cycle de l'eau dans son ensemble qui est considéré, mais seulement un fragment de celui-ci. Cela s'explique par le fait qu'il s'agit d'un paramètre économique qui n'attribue une valeur utile qu'à l'eau liquide.
Un nombre de formules de calcul déconcertant
La réponse à cette question est diablement difficile. Il existe en effet une multitude de formules de calcul différentes pour une prétendue économie d'eau dans le cadre d'une alimentation végétalienne. Elles se fondent d'une part sur différents travaux scientifiques, d'autre part sur différentes valeurs de référence. Tantôt il s'agit de la masse produite, tantôt de la valeur nutritive ou encore d'une seule fraction, comme les protéines ou les graisses, jusqu'aux micronutriments. De même, les habitudes de consommation prises pour base peuvent varier considérablement. Il est donc très difficile de vérifier la véracité des affirmations en raison de leur diversité déconcertante.
Cependant, les noms de M. M. Mekonnen et A. Y. Hoekstra apparaissent dans presque tous les articles scientifiques cités. Ils sont les auteurs de l'étude « L'empreinte hydrique verte, bleue et grise des animaux d'élevage et des produits animaux ». L'Institut UNESCO-IHE pour l'Éducation à l'Eau a publié ce traité scientifique en décembre 2010 dans le cadre de sa série de publications, ce qui en fait en quelque sorte un ouvrage de référence.
RépondreSupprimerComment se calcule l'empreinte hydrique des animaux d'élevage ?
Mekonnen et Hoekstra ont inclus dans leur étude des bovins d'engraissement, du bétail laitier, des porcs, des moutons, des chèvres, des poulets de chair, des poules pondeuses et des chevaux. Ceux qui se penchent pour la première fois sur le modèle seront sans doute surpris de constater que la quantité d'eau utilisée pour les besoins immédiats des animaux est relativement faible. Pour les bovins, seuls 2 % sont basés sur l'abreuvement, l'eau industrielle et l'eau mélangée aux aliments.
La part du lion, soit 98 %, revient à l'alimentation. Pour la calculer, le modèle utilise l'indice de consommation, c'est-à-dire, par exemple, combien de kg de céréales sont nécessaires pour produire un kg de viande. Le cheval est le seul animal dont les besoins alimentaires totaux sont pris en compte.
Dans l'étude, la formule de l'empreinte hydrique (EH) est la suivante : EH = EH aliment + EH abreuvement + EH service.
Pour déterminer l'empreinte hydrique des animaux de rente, il faut donc prendre en compte l'empreinte hydrique des aliments consommés. Celle-ci est essentiellement déduite des précipitations. La quantité de précipitations divisée par le rendement fournit la valeur décisive. Si l'on irrigue, cette part d'eau est également prise en compte.
L'empreinte hydrique globale du blé est par exemple de 1871 litres/kg de blé [ma note : ici, par exemple, c'est 1.200 litres..., à comparer aux 590 litres souvent avancés pour produire 1 kg de matière sèche de blé]. Si un porc a besoin de 3 kg de blé pour produire un kg de viande sur les côtes, le calcul est le suivant : 1871 litres d'eau/kg de blé multiplié par 3 kg de blé/kg de viande est égal à 5613 litres d'eau/kg de viande provenant de l'alimentation.
Les bovins ont besoin de relativement beaucoup de biomasse pour produire du lait ou de la masse corporelle. Cela s'explique d'une part par le type de fourrage, comme l'herbe fraîche ou l'ensilage, et d'autre part par leur digestion, appelée fermentation entérique. Il en résulte une empreinte hydrique relativement importante. En revanche, ils peuvent transformer des aliments non digestibles pour l'homme en aliments de qualité.
Pourquoi le fait de ne pas consommer de viande n'économise-t-il pas nécessairement de l'eau ?
RépondreSupprimerA quoi pourrait ressembler une économie d'eau ? Un modèle populaire consiste à prendre l'empreinte hydrique de la viande de bœuf et à en déduire une réduction de la consommation d'eau si l'on renonce à la viande de bœuf. La plupart du temps, on utilise la valeur moyenne mondiale de 15.415 litres d'eau/kg de bœuf au lieu de la valeur spécifique au pays de 7.712 litres d'eau/kg de bœuf pour l'Allemagne. Mais quelle que soit la valeur utilisée, les choses ne fonctionnent pas aussi simplement. Il y a trois raisons à cela.
La modélisation : l'empreinte hydrique est un système de répartition linéaire. Les précipitations sont imputées aux produits végétaux. Dans leur étude, Mekonnen et Hoekstra énumèrent une répartition de 87,2 % d'eau verte (précipitations sur la surface fourragère), 6,2 % d'eau bleue, 6,6 % d'eau grise sur l'ensemble des espèces d'animaux de rente.
La part du lion de l'eau imputée aux animaux de rente repose donc sur les plantes fourragères. Cette quantité d'eau issue de la production végétale ne peut toutefois pas être récupérée. Comment pourrait-elle l'être ? Le processus de perte dans la production végétale pris en compte dans le modèle est l'évaporation. Celle-ci ne peut pas être annulée après coup ou économisée.
Le calcul : « Mais si je consomme moins de viande, la demande diminue et, finalement, moins de viande est produite. Cela devrait alors entraîner une économie d'eau », est un argument que l'on entend souvent. Mais cela ne signifie pas une économie d'eau au sens de l'empreinte hydrique.
Si, dans un pays, la quantité de produits diminue alors que la surface agricole reste la même, la productivité diminue, ce qui entraîne une augmentation de l'empreinte hydrique par unité de produit. Le modèle ne neutralise donc pas la baisse de la quantité par un crédit d'eau, mais par une augmentation de l'empreinte hydrique.
L'argument selon lequel la surface agricole pourrait être réduite ne prospère pas non plus. Le modèle utilise une résolution spatiale de 5 minutes d'arc par 5 minutes d'arc, ce qui correspond à peu près à 9,25 km par 9,25 km. C'est considérable dans une perspective globale, mais cela signifie aussi qu'un changement significatif doit avoir lieu dans une zone de 85 kilomètres carrés. Si une région sort effectivement de la surface utile, le point 3 entre en jeu.
Le cycle de l'eau : C'est le point le plus important, car il permet d'une part de savoir quand on peut parler de consommation d'eau et d'autre part de comprendre pourquoi le modèle distingue trois catégories d'eau.
Ce qu'il en est de l'eau verte, bleue et grise
RépondreSupprimerLa question décisive est de savoir si, lors de la production d'un bien, l'eau subirait un traitement différent de celui qu'elle subirait en l'absence de ce bien.
Pour l'eau souterraine, on peut répondre par l'affirmative, car elle est prélevée dans son réservoir naturel. Ce n'est pas le cas pour l'eau verte. Le fait que les précipitations soient absorbées par les plantes et s'évaporent à nouveau est un processus naturel. Si l'on arrêtait la production agricole, les précipitations ne resteraient pas sous forme de colonne d'eau sur la surface. Cela ne serait pas non plus un avantage. L'eau stagnante risque de devenir saumâtre, il est donc préférable de la maintenir fraîche via le cycle de l'évaporation et de la condensation.
Il n'est donc absolument pas possible d'économiser la part d'eau verte, même si les surfaces sont retirées de la production ou si les rendements des plantes ne sont pas utilisés pour l'alimentation animale, car le processus sous-jacent des précipitations et de l'évaporation est un processus naturel qui se déroule également de manière analogue sur les surfaces en jachère ou sur les terres vierges. Et c'est une bonne chose. Car l'évaporation fait fonctionner l'importante pompe sol-atmosphère qui assure le cycle de l'eau et qui est très importante pour le refroidissement de notre planète.
Ainsi, la source d'eau primaire de l'agriculture, l'eau verte, ne peut pas être économisée. Et il n'y a pas besoin de le faire, car elle reste dans le cycle naturel de l'eau. Elle n'est pas perdue et doit donc être considérée différemment de l'eau bleue et de l'eau grise.
Ceux qui utilisent la modélisation de l'empreinte hydrique pour calculer la consommation ou les économies d'eau doivent donc impérativement tenir compte de la différenciation entre l'eau verte et l'eau bleue. Le fait que cette distinction soit souvent omise indique qu'il existe une intention d'attribuer un gaspillage d'eau à certains produits agricoles ou à l'agriculture dans son ensemble. Quant à savoir pourquoi, chacun peut se faire sa propre idée.
_______________
* Source : Wasser sparen mit veganer Ernährung – was ist dran? | agrarheute.com
https://seppi.over-blog.com/2023/02/economiser-l-eau-grace-a-une-alimentation-vegetalienne-qu-en-est-il.html
Tant qu'il y a des cons sur Terre...
Supprimer(...) L'empreinte hydrique globale du blé est par exemple de 1871 litres/kg de blé [ma note : ici, par exemple, c'est 1.200 litres..., à comparer aux 590 litres souvent avancés pour produire 1 kg de matière sèche de blé]. Si un porc a besoin de 3 kg de blé pour produire un kg de viande sur les côtes, le calcul est le suivant : 1871 litres d'eau/kg de blé multiplié par 3 kg de blé/kg de viande est égal à 5613 litres d'eau/kg de viande provenant de l'alimentation. (...)
Le gros con d'aujourd'hui s'appelle Ulrich Graf:
(...) La plupart du temps, on utilise la valeur moyenne mondiale de 15.415 litres d'eau/kg de bœuf au lieu de la valeur spécifique au pays de 7.712 litres d'eau/kg de bœuf pour l'Allemagne. (...)
Pour ce con (comme pour les autres), la vache devrait pesait 150 tonnes car elle a bu 150 tonnes d'eau dans sa vie !! mais (car il y a un 'mais') elle en a rejeté !! Çà alors !! Elle en a craché, sué, pissé toute sa vie ! Et alors ?
Depuis DES millions d'années il y a DES milliards de km³ d'eau (venus des pluies, des fleuves et des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans ! Çà alors !! Et... elles et ils n'ONT PAS MONTÉ !
Car (faites signe quand il passe) l'eau des bassins maritimes et océaniques s'infiltre CONTINUELLEMENT aux planchers de ces masses d'eaux ! S'infiltre vers le magma puis, chauffée/brûlée elle remonte en galeries souterraines (78 % d'où elle est venue !) et 22 % vers la terre où elle ressort aux sources de montagnes et nappes phréatiques ! Çà alors !!!
Cette eau est PURE, SANS COULEUR, SANS GOÛT, SANS ODEUR et SANS BACTÉRIE !
Il n'y a PAS sur notre planète UNE GOUTTE D'EAU en plus ou en moins depuis DES milliards d'années !
Le vote du Sénat pour les énergies renouvelables : des incohérences
RépondreSupprimerCe projet de loi prévoit en particulier un développement de l’éolien et du solaire qui entre en contradiction avec la volonté affichée de développer aussi le nucléaire.
le 15 février 2023
Michel Gay
Le projet de loi d’accélération des énergies renouvelables a été adopté au Sénat mardi 7 février par 300 voix « pour » et 13 voix « contre ».
Que cache ce vote du Sénat en faveur des énergies renouvelables contraires aux intérêts de la nation ?
Un vote aberrant
Ce vote aberrant de la plupart des sénateurs de droite (Les Républicains) pourtant souvent critiques envers les éoliennes et autres panneaux photovoltaïques est-il le résultat d’un marchandage ?
Quels sont les sombres calculs derrière cette décision ?
Les Sénateurs seraient-ils tombés dans un piège machiavélique ou bien ont-ils considéré qu’il était nécessaire d’en passer par cette gabegie financière contre l’intérêt général des Français pour faire accepter le développement du nucléaire en France ?
En effet, ce projet de loi prévoit en particulier un développement de l’éolien et du solaire (deux sources d’énergie aléatoirement variables, voire intermittentes) qui entre en contradiction avec la volonté affichée de développer aussi le nucléaire dont la production doit être massive et la plus stable possible.
Ce texte viserait à rattraper le « retard » de la France dans les énergies renouvelables intermittentes (EnRI), notamment l’éolien et le solaire.
Ces dernières sont pourtant nuisibles pour l’équilibre du réseau, les émissions de CO2 et le portefeuille des Français, alors que la France est en avance en Europe et dans le monde pour sa production d’électricité décarbonée grâce principalement au nucléaire !
Manque d’anticipation
En se soumettant aux diktats de l’Europe et particulièrement de l’Allemagne, les pouvoirs publics ont été surpris en 2022 par leur propre manque d’anticipation et leur impéritie depuis près de 20 ans dans le domaine de la production nationale d’électricité.
Ils ont soudain découvert la nécessité de la production d’électricité nucléaire décarbonée qui permet de diminuer la consommation de gaz et de charbon. Mais il est rapidement apparu à ces « décideurs éclairés » que de telles décisions n’auraient guère d’effets significatifs sur la production d’électricité avant une dizaine d’années au mieux.
D’où une réflexion visant à prolonger la durée du parc nucléaire existant à 60 ans, puis éventuellement à 80 ans, comme aux États-Unis…
RépondreSupprimerUn vote bienvenu du Sénat a déjà supprimé la limitation arbitraire du nucléaire à 50 % dans le mix électrique en France en 2035.
En effet, les réacteurs nucléaires français n’ont pas une durée de vie déterminée à l’avance.
Leur prolongation intervient après une visite décennale approfondie de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Cette dernière consiste à vérifier la conformité des phénomènes de vieillissement et à augmenter le niveau de sûreté pour approcher au mieux celui des réacteurs de troisième génération du type EPR.
Or, le développement inconsidéré des énergies renouvelables (EnRI) envisagé par le projet de loi actuel risque de diminuer la durée de vie des réacteurs à cause de la production non pilotable et intermittente des EnRI nécessitant une modulation nucléaire pour répondre à la demande et équilibrer le réseau.
La modulation nucléaire
La modulation nucléaire (appelée encore suivi de charge et pratiquée en France depuis les années 1980) consiste à diminuer temporairement la puissance fournie par un réacteur, sans l’arrêter (son redémarrage demande environ 24 heures).
Cette modulation est rarement mise en œuvre dans le monde car compte tenu du coût de l’investissement initial, il est plus rentable de faire fonctionner ces réacteurs en permanence à pleine puissance, c’est-à-dire « en base ».
En effet, contrairement à une centrale thermique « à flamme » utilisant du gaz, du charbon, ou du bois, pour laquelle les coûts variables du combustible sont importants, les coûts d’un réacteur nucléaire sont essentiellement fixes (environ 90 % pour l’amortissement, le personnel et la maintenance car l’uranium ne coûte presque rien).
En revanche, le coût de production d’un réacteur nucléaire augmente rapidement s’il ne fonctionne pas à pleine capacité.
Ainsi, dans la plupart des pays, chaque réacteur produit environ 8 térawattheures (TWh) par an par gigawatt installé, alors qu’en France il atteint à peine 6 TWh à cause de cette modulation qui abaisse la production nucléaire pour laisser la place aux productions éoliennes et solaires quand elles sont présentes.
Historiquement, la France module son parc nucléaire depuis longtemps pour diminuer la production pendant les périodes de moindre consommation (nuits, jours fériés, été…) parce que c’est le seul pays au monde avec une proportion de 75 % de nucléaire dans son mix électrique.
RépondreSupprimerMais hélas, depuis plus de 10 ans, l’ajustement à la production aléatoire et intermittente des EnRI (éolien et photovoltaïque) devient prépondérant (puisqu’elles ont une priorité d’accès au réseau) et accroit cette modulation.
Quand ces EnRI produisent beaucoup (les jours de vent et de soleil) et que la demande est faible, il devient nécessaire de ralentir la production de près d’une trentaine des 56 réacteurs nucléaires existants (il y en avait 58 avant l’inique fermeture des deux réacteurs de Fessenheim en 2020) pour « désengorger » le réseau.
Complémentarité fictive
Il est inexact de parler d’une « complémentarité du nucléaire avec les EnRI » car cette soi-disant complémentarité fonctionne à sens unique à cause de la priorité d’injection donnée aux EnRI non pilotables au détriment du nucléaire contraint de s’effacer en diminuant sa production !
Puis il doit l’augmenter rapidement si nécessaire (avec les autres moyens pilotables) lorsque le vent et le soleil cessent de souffler et de briller…
En revanche, quand les EnRI sont absentes par manque de vent et/ou de soleil, le nucléaire doit faire face quasiment seul à la demande avec l’appui des faibles moyens thermiques à flammes pilotables restants (charbon, gaz et bois).
Et ce soutien bancal peut avoir de graves conséquences.
Modulation nucléaire et EnRi
La modulation nucléaire de plus en plus forcée par le développement nuisible des EnRI conduira donc à une impasse technique si des mesures correctives ne sont pas anticipées et mises en œuvre.
En effet, la modulation a des effets sur le matériel : dégâts possibles sur la structure des cœurs et vieillissement prématuré de certaines pièces et circuits. Les réacteurs américains ne sont pas soumis à de telles variations.
Le président de l’ASN a synthétisé le problème :
« Avec l’arrêt de la production pilotable utilisant des combustibles fossiles, les fluctuations de la demande d’électricité devront être encaissées par le parc nucléaire. D’où la question : est-ce que cela conduit à des effets particuliers en termes de prolongation du parc ? ».
Par ailleurs, la modulation a aussi des conséquences néfastes sur les finances d’EDF. Elle contrecarre les efforts attendus du groupe pour développer son parc de réacteurs nucléaires.
La perte est d’environ 10 milliards d’euros par an en estimant à 1,5 TWh non vendu par GW installé à cause de la modulation » (multiplié par les 61 GW nucléaires d’EDF) pour un prix de marché de 100 euros/MWh).
De plus, ces pertes de revenus augmentent le coût de l’électricité produite car les coûts fixes des installations et du personnel demeurent, et ils sont prépondérants.
RépondreSupprimerBien entendu, les producteurs d’électricité issue des EnRI ne sont pas tenus de compenser les coûts supplémentaires qu’ils engendrent pour EDF et pour la collectivité (clients et contribuables) et ne sont pas pris en compte dans le coût global des EnRI !
Cette modulation nucléaire au profit de sources d’électricité non pilotables éoliennes et photovoltaïques, plus chères et plus émettrices de gaz à effet de serre, est une aberration.
Ce choix étrange du « en même temps » gouvernemental risque de réduire la durée de vie des réacteurs par une usure prématurée. Il expose donc la France a une rude sobriété forcée mais aussi à une redoutable pénurie d’électricité.
Heureusement il existe des solutions.
Les solutions
Supprimer dès que possible la priorité d’injection sur le réseau d’électricité en faveur des renouvelables non pilotables. Cette priorité doit être attribuée d’abord à l’hydraulique fluviale (au fil de l’eau), puis au nucléaire.
Arrêter le développement des EnRI non pilotables, notamment éolien et solaire, néfastes au fonctionnement du réseau d’électricité et du parc nucléaire contrairement au vote récent du Sénat en leur faveur.
Accroître la durée de vie du parc nucléaire actuel le plus longtemps possible (il n’existe plus d’autres possibilités sauf à augmenter la production au gaz et au charbon).
Renforcer les capacités de stockage hydraulique du type STEP (Stockage par Transfert d’Énergie par Pompage).
Reporter sur les producteurs d’EnRI les coûts de leurs productions aléatoires et intermittentes aujourd’hui supportés principalement par le parc nucléaire et les contribuables.
Arrêter de promouvoir des mesures de sobriété incohérentes, notamment la nuit durant les « heures creuses » alors que la capacité de production est disponible. Elles perturbent le fonctionnement du parc de production sans intérêt pour les clients.
Ce n’est qu’en prenant en compte l’intérêt de la nation et non en se livrant à de sombres calculs politiciens que la situation énergétique précaire de la France pourra s’améliorer.
C’est donc en agissant à l’inverse du vote incohérent, probablement « politique » mais irresponsable, des sénateurs.
En effet, le développement des EnRI ruinent les Français et contribuent au cycle infernal de la modulation nucléaire nuisible à EDF.
Les Français retrouveront des prix acceptables de l’électricité et la sécurité d’approvisionnement électrique au moins jusqu’en 2060 et probablement largement au-delà lorsque les responsables politiques auront pris conscience de l’intérêt général et accepteront les lois de la physique.
RépondreSupprimerhttps://www.contrepoints.org/2023/02/15/450556-le-vote-du-senat-pour-les-energies-renouvelables-des-incoherences
Le Parlement européen décide de mettre fin aux voitures à moteur à combustion à partir de 2035 - abolition de la circulation des voitures particulières
RépondreSupprimer15 février 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Désormais, la partie du plan «Fit for 55» de la Commission européenne relative aux voitures a également été approuvée par le Parlement. Si les nouvelles voitures à partir de 2035 ne sont plus autorisées à émettre des émissions lors de la conduite, c'est-à-dire que d'énormes quantités d'énergie électrique sont nécessaires, on peut s'attendre à ce que la conduite ne soit abordable que pour une petite classe supérieure.
Le communiqué de presse sur la décision se lit comme suit:
" Le Parlement a approuvé les nouveaux objectifs de réduction de gaz carbonique pour les voitures particulières et les véhicules utilitaires légers neufs, qui font partie du paquet "Fit for 55".
Avec 340 voix pour, 279 contre et 21 abstentions, les députés ont approuvé l'accord conclu avec le Conseil sur les normes révisées d'émissions de gaz carbonique pour les voitures et les camionnettes neuves, conformément aux objectifs renforcés de l'UE en matière de protection du climat.
La nouvelle législation trace la voie vers zéro émission de gaz carbonique pour les voitures particulières et les véhicules utilitaires légers neufs en 2035 (un objectif de flotte à l'échelle de l'UE visant à réduire les émissions de gaz carbonique des voitures particulières et des camionnettes neuves de 100 % par rapport à 2021). Les objectifs intermédiaires de réduction des émissions d'ici 2030 sont de 55 % pour les voitures et de 50 % pour les camionnettes.
Une réduction de 50 % de la consommation de la flotte est prévue d'ici 2030 . Afin de surveiller cela et les citoyens, un rapport sur les données techniques telles que le kilométrage et la consommation de PKẀ a été fourni pour les voitures neuves lors de l'inspection technique annuelle à une base de données centrale de l'UE.
La Commission a sécurisé les options juridiques pour cela:
" D'ici 2025, la Commission présentera une méthodologie d'évaluation et de communication des données sur les émissions de gaz carbonique sur l'ensemble du cycle de vie des voitures et des camionnettes vendues sur le marché de l'UE, accompagnée de propositions législatives, le cas échéant ;
Si le Starship de SpaceX peut voler, Mars sera à notre portée
RépondreSupprimerLa capacité du Starship que SpaceX est en train de finaliser nous permet d’envisager la faisabilité de l’installation de l’homme sur Mars.
le 14 février 2023
Pierre Brisson
La capacité du Starship que SpaceX est en train de finaliser1 nous permet d’envisager la faisabilité de l’installation de l’Homme sur Mars. En effet ce vaisseau spatial pourra déposer sur le sol de la planète plusieurs dizaines de personnes ou cent tonnes d’équipements dans un volume viabilisé de 1100 m3.
La progression satisfaisante du processus de réalisation du Starship nous permet d’envisager d’apporter sur Mars les équipements nécessaires à la caractérisation précise de l’eau martienne, nécessaires à son extraction (puisqu’elle se présente sous forme de glace sous un mort-terrain d’épaisseur à définir mais qui ne devrait pas dépasser quelques mètres), nécessaires à son transport et nécessaires à son utilisation, comme nous l’avons vu la semaine dernière.
Les défis de Mars
Comme chacun peut le comprendre la solution à ces problèmes de l’eau est vitale non seulement pour la vie à long terme mais aussi pour la réussite d’une mission habitée puisqu’au-delà du recyclage de l’eau pour les besoins humains (qui devrait atteindre au moins 80 %), les Hommes auront besoin d’eau pour obtenir l’hydrogène nécessaire à la production des ergols pour pouvoir revenir sur Terre (dans le cadre d’une réaction de Sabatier pour obtenir du méthane et de l’oxygène, après hydrolyse de l’eau).
J’ai évoqué ce problème de l’eau la semaine dernière mais dans l’étude à laquelle je me référais et à laquelle je me réfère encore aujourd’hui, les auteurs mentionnent tout ce qu’il conviendra de faire également pendant les toutes premières missions et que permettent d’envisager le Starship avec ses capacités de transport extraordinaires. Au moyen d’une première mission entièrement robotisée, il s’agit de tester les technologies essentielles, de bien vérifier l’habitabilité biologique de la planète, de prospecter les ressources locales nécessaires à la vie, donc celles qui permettront de déterminer l’implantation de la base, de prépositionner des équipements ou des ressources utiles qu’on ne pourra pas obtenir immédiatement du sol martien, et commencer à édifier quelques infrastructures utilisables par la suite (car pendant longtemps on reviendra au même endroit afin de ne pas gâcher le capital physique accumulé).
Tester les technologies essentielles c’est d’abord mesurer les doses et l’intensité de doses des radiations solaires et cosmiques au niveau du sol à l’endroit où l’on veut implanter la Base. On peut même imaginer évaluer le degré de protection contre ces mêmes radiations, procuré par le régolithe en fonction de la profondeur puisqu’on procédera à des forages. En cas de besoin, on pourrait même en déduire la prévision d’implantation de certains locaux sous le gisement de glace pour bénéficier d’une protection particulière.
RépondreSupprimerLors de cette première mission robotisée pourrait également être testée une production expérimentale de végétaux comestibles, de façon limitée puisque l’Homme ne pourra intervenir en direct. Mais cela serait suffisant pour tester l’alimentation en eau (par hydroponie), l’alimentation en gaz respirables, les quantités de lumière qu’il convient d’ajouter à la lumière naturelle, les réglages nécessaires de la température, la protection contre les radiations, la protection contre les micrométéorites sur une surface en verre (ou altuglas, ou autres semblables), l’effet de la gravité sur la croissance, l’adéquation du support matériel utilisé pour l’ISRU, l’efficacité des protections sanitaires contre les maladies phytosanitaires.
Il faudra également tester les techniques à utiliser pour la construction : possibilité réelle d’excavation, effet de la poussière sur les équipements (utilisation d’équipements ou de produits annulant les effets de l’électricité statique), possibilité réelle de l’hydratation pour créer du duricrete et capacités mécaniques de ce « béton martien », protection contre les micrométéorites (exposition de plaques de matériau permettant de mesurer et d’enregistrer la masse et la vitesse donc l’énergie des particules reçues).
Il faudra encore bien s’assurer de la viabilité pour l’Homme de la surface de Mars sur le plan biologique. Il s’agit de tester les techniques de transformation chimiques des sels de perchlorates en matières sans effets négatifs pour la vie et les techniques de protection des zones débarrassées de ces sels (donc du transport par le vent avec la poussière). Il s’agit aussi de vérifier qu’il n’y a pas sur Mars de molécules organiques qui pourraient être dommageables à la vie humaine. Rappelons-nous que les prions, par exemple, sont des molécules dont on ne soupçonnait pas l’existence avant 1982. Je veux dire qu’il serait intéressant de constater par exemple que la production de nourriture dans les conditions martiennes n’entraîne pas des malformations de protéines (du fait des radiations ?) qui pourraient avoir des conséquences aussi néfastes que les prions sur Terre. En dehors de cela, on n’aura évidemment pas épuisé le sujet de la vie sur Mars et autant on ne risque probablement pas de rencontrer de vie martienne en surface du fait de la forte irradiation subie depuis très longtemps, autant on ne connaît rien de ce qui peut « exister » en sous-sol (même si les émissions de méthane sont extrêmement faibles).
Il faudra enfin tester la production d’ergols à partir de l’atmosphère martienne. On pourra tenter une hydrolyse de la glace martienne (mais on pourrait au tout début de l’implantation de l’Homme, utiliser au moins en partie de l’eau importée de la Terre) et surtout de la production de méthane à partir de l’atmosphère martienne et de l’eau (réaction de Sabatier). Le test requerra une pompe, des filtres, des réactifs (nickel ou ruthénium), un peu d’énergie (RTG ou Kilopower ?), des réservoirs, des capteurs… et un peu de plomberie !
Simultanément, pendant la première mission robotisée, il faudra explorer les environs du site choisi a priori pour l’installation de la base à partir des orbiteurs. Outre la vérification des propriétés du gisement de glace comme développé la semaine dernière cette exploration minutieuse à l’aide de rovers et de drones hélicoptères servira à procéder à une étude géologique précise pour savoir de quelles autres ressources minérales on pourra disposer (fer, silice, alumine, phosphates, souffre, bore, etc.). Il faudra faire une étude géomorphologique du sol (avec radars) pour déterminer la surface d’atterrissage optimale pour le premier vaisseau habité. On pourra aussi déblayer le site choisi comme future plateforme d’atterrissage à l’aide d’un rover équipé d’une lame de bulldozer embarqué dans les soutes d’un des deux starships robotisés, aplanir le sol et monter des remblais de protection pour limiter les projections de poussière et pierres sur les premières installations lors des atterrissages suivants.
RépondreSupprimerL’implantation sur Mars
Lorsque l’on aura bien repéré et analysé le site d’atterrissage et le site de l’implantation de la Base (aussi proche que possible mais avec une distance de sécurité d’au moins un km), on pourra prépositionner les équipements qui seront utiles pour les vols suivants (habités). Il s’agit notamment des engins de construction ; de traitement des matériaux martiens (pour l’extraction, la production de duricrete, de briques) ; de capteurs d’énergie (un réacteur à fission non activé, de panneaux solaires emballés) ; des éléments de structure de la serre (je vote pour un Biopod d’Interstellar Lab) qui pourront être montés ou activés dès l’arrivée des premiers hommes ; d’autres produits qui ne souffriront pas du temps restant avant cette mission habitée (y compris du sel, du sucre mais aussi des réactifs divers ou compléments pour l’industrie du verre, comme le bore, ou de l’acier, comme le carbone), et bien sûr des protections antiradiations dont on aura toujours besoin que ce soit dans la construction ou pour porter sur soi (veste et casque d’Astrorad). On pourra encore commencer à produire quelques infrastructures dans la mesure de disponibilités d’équipements robotisés capable de les réaliser et de temps pour le faire. Dans tous les cas, on veillera à la polyvalence et à la modularité des éléments ou des outils utilisés. Un élément quelconque doit pouvoir servir à autant d’objets que possible « afin de maximiser la flexibilité opérationnelle et d’optimiser l’allocation des masses qui seront transportées depuis la Terre » comme le disent les auteurs.
Ensuite un des deux starships, vidé de sa charge utile, pourra repartir vers la Terre, si l’on a pu produire suffisamment d’ergols pour son vol de retour au cours des 18 mois passé sur Mars. Ce n’est pas l’hypothèse retenue par les auteurs de l’étude sur laquelle je me fonde, car ils estiment sans doute que les premiers équipements embarqués ne permettront pas la production d’ergols en quantité suffisante de façon entièrement robotisée. Ce serait pourtant intéressant de le tenter pour tester la rentrée dans l’atmosphère terrestre à la vitesse impliquée par un retour de Mars (plus élevée que lorsqu’on vient de la Lune). Il faudra en effet vérifier la bonne capacité de résistance du revêtement de tuiles thermiques avant que des Hommes voyagent à bord (et après un atterrissage sur / suivi d’un décollage de Mars). Je pense personnellement que comme le préconise Robert Zubrin on pourra faire fonctionner la réaction de Sabatier par moyens robotiques et stocker suffisamment de méthane et d’oxygène pour revenir sur Terre sans équipage, surtout que le vaisseau restera présent pendant 18 mois sur Mars avant de pouvoir repartir (sauf urgence, voir ci-dessous) ce qui donne le temps de produire une quantité non négligeable d’ergols.
Au cas où l’on n’aurait pas totalement confiance dans le fonctionnement des équipements robotisés pour la méthanation ou s’ils ne fonctionnaient pas une fois sur place on pourrait du moins envisager d’extraire de la glace, de l’électrolyser et de stocker l’hydrogène (même s’il y aura des fuites, il en restera toujours un peu) et l’oxygène en quantité suffisante, toujours par moyens robotiques, avant l’arrivée de l’homme (32 mois après l’arrivée des vaisseaux robotisés sur Mars). Cela servirait toujours !
RépondreSupprimerNB : on pourrait tenter de sauver une partie de l’hydrogène sous forme de « powerpaste » en le mélangeant à de l’hydrure de magnésium comme l’a démontré possible l’institut de recherche allemand IFAM. Dans le cas d’échec de la méthanation, ou si les réservoirs du starship ne peuvent être remplis ou bien si l’hydrolyse échouait, les deux vaisseaux resteraient sur le sol de Mars comme l’envisagent de toute façon les auteurs de l’étude. Ils serviraient alors d’annexes à l’habitat ou d’ateliers aux astronautes de la mission suivante habitée. Leurs équipements intégrés seraient également bienvenus pour ces Hommes puisqu’ils fourniraient une redondance. In fine l’ensemble des vaisseaux sera une source de matériaux.
Ces premières missions robotisées seront donc capitales pour décider ou non de nous établir sur Mars. Nous approchons de « l’heure de vérité » car je suis certain que si le Starship peut voler, atterrir et repartir avec des ergols produits par ISRU, Elon Musk trouvera un moyen pour aller sur Mars. Et si les tests de vie sur Mars nous « donnent le feu vert », il est certain que des Hommes prendront le risque du voyage puis de l’isolement, puis de la vie avec des ressources limitées, pour décider de s’installer sur la planète pour la durée d’une mission (30 mois tout de même entre départ et retour sur Terre) puis pour plus longtemps. Je connais suffisamment (indirectement) Elon Musk et je connais suffisamment les Américains pour n’avoir aucun doute là-dessus. Et probablement quelques Européens prendront aussi le risque de les accompagner (puisque l’ESA a décidé que l’aventure était pour les cow-boys). Le déclencheur de tout cela sera le parcours par le Starship de sa première orbite autour de la Terre, prévue pour cette année. Un événement très encourageant a au lieu ce 9 février avec la mise à feu statique réussie du SuperHeavy Booster 7. Faire fonctionner ensemble les 31 moteurs était un énorme défi. Une étape importante a donc été franchie. Nous vivons une époque formidable !
Article de référence :
RépondreSupprimerMission Architecture Using the SpaceX Starship Vehicle to Enable a Sustained Human Presence on Mars (Architecture de mission utilisant le Starship de SpaceX pour rendre possible une présence humaine durable sur Mars). Lien : https://doi.org/10.1089/space.2020.0058
Publication en septembre 22 dans New Space, revue scientifique du groupe Mary Ann Liebert. Les 19 auteurs sont membres d’organisation et d’universités américaines de premier plan :
NASA Ames Research Center (dont l’auteure principale Jennifer Heldmann); Bechtel Corp.; NASA Kennedy Space Center; Honeybee Robotics; Purdue University; Planetary Science Institute, Tucson; United States Geological Survey…et Margarita Marinova, Docteure en Sciences planétaires du CalTech, ancienne de SpaceX où elle était « Senior Mars Development Officer » (que je mets en exergue parce qu’elle est auteure en second…et que je la connais pour avoir longuement discuté avec elle en compagnie de Richard Heidmann, fondateur de l’Association Planète Mars – France, sur introduction de Robert Zubrin).
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Sur le web
1 - même s’il ne faut pas vendre la peau de l’Ours, on peut maintenant évoquer avec un indice de confiance élevé la probabilité qu’il puisse voler. ↩
https://www.contrepoints.org/2023/02/14/450435-si-le-starship-de-spacex-peut-voler-mars-sera-a-notre-portee
Des véhicules automatisés sans volant ni pédales frappent les routes américaines
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 15 FÉVRIER 2023 - 12:55
Des véhicules sans conducteur sans volant ni pédales arrivent déjà sur les routes américaines et pourraient révolutionner la façon dont les gens se déplacent. Il existe déjà une marque de véhicules autonomes sur les routes américaines, et deux autres entreprises s'efforcent de lancer bientôt leurs services de transport automatisé.
Dans une note publiée mardi, l'analyste de BloombergNEF, Siong-Hu Wong, couvre les trois premiers véhicules autonomes sans volant prêts à être commercialisés.
Le premier est que les navettes électriques VH6 d'Amazon, appartenant à Zoox, fonctionnent déjà sur les routes publiques de Californie. Le service de robotaxi est uniquement disponible pour les employés pour le moment, mais s'attend à ce que les approbations du gouvernement de l'État permettent d'offrir le service au grand public à court terme.
En février, Cruise, soutenu par General Motors, a reçu l'autorisation du Department of Motor Vehicles de Californie de tester sa navette Origin sur les routes.
Un autre robotaxi est le Zeekr M-Vision de Waymo, qui entrera en production l'année prochaine. Le Zeekr est similaire aux autres fabricants de robotaxi.
- voir cadre sur site -
Les véhicules automatisés, ou les navettes ci-dessus, pourraient être la chose la plus importante à avoir jamais frappé l'industrie automobile. Cela va complètement changer la façon dont les gens se déplacent.
Cependant, la chose dystopique à propos de tout cela est que les Américains doivent renoncer à posséder des voitures et compter plutôt sur les entreprises de robotaxi pour le transport. Le problème avec ça, c'est le contrôle.
https://www.zerohedge.com/technology/automated-vehicles-no-steering-wheel-or-pedals-hit-us-roadways
L'intelligence artificielle dystopique n'est pas proche, elle est déjà là
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 16 FÉVRIER 2023 - 02:45
Écrit par le Dr Sean Lin et Jacky Guan via The Epoch Times,
En novembre 2022, la sortie d'un programme de chat en ligne d'intelligence artificielle (IA) nommé ChatGPT a choqué le monde. Ce programme est si "intelligent" qu'il offre des réponses effroyablement humaines et semble avoir très peu de défauts par rapport aux versions précédentes. Non seulement les gens la traitent comme un compagnon de conversation, mais ils ont également commencé à utiliser cette technologie d'IA pour une variété de tâches, telles que faire ses devoirs, créer des images époustouflantes, écrire des poèmes, etc.
Utiliser ChatGPT, c'est comme accéder au cerveau d'un superordinateur, ce qui rend cette technologie intrigante et excitante mais aussi un peu effrayante et menaçante. En 2014, Elon Musk a averti qu'avec l'IA, "nous invoquons le démon", mais cette menace ne pourrait devenir réelle que lorsque l'IA comme ChatGPT pourrait générer des réponses à des questions qui ne se distinguent pas de la façon dont un humain répondrait. Cette technologie est si puissante qu'il existe maintenant une inquiétude généralisée que le paysage de nombreuses industries sera transmuté par cette avancée, y compris le milieu universitaire et les soins de santé.
Les emplois qui nécessitent généralement une touche humaine, comme ceux dans les domaines du journalisme et de l'industrie des services, sont confrontés au remplacement et à l'automatisation. Nous avons longtemps pensé que l'art du langage se situe au sommet de la sagesse humaine, mais l'IA frappe à sa porte. Il défie notre unicité et empiète sur nos vies.
L'IA est maintenant extrêmement avancée et capable
ChatGPT peut discuter de tout ce que vous voulez. De l'analyse de code pour vous à l'écriture d'essais et de poèmes complets, ce programme en ligne gratuit se décrit comme un programme informatique conçu pour "comprendre et répondre aux entrées en langage naturel", telles que les conversations textuelles.
ChatGPT signifie Chat Generative Pre-trainer Transformer. Le programme est basé sur un ensemble de technologies développées et utilisées dans des programmes qui génèrent des réponses conviviales. L'IA est quelque chose qui doit apprendre à penser et à réagir en utilisant une technologie qui fonctionne comme des réseaux de neurones. Ce processus implique d'alimenter les montagnes d'informations de l'IA avant qu'elles ne puissent les traiter, s'adapter, apprendre, créer et devenir intelligentes.
ChatGPT utilise la dernière édition de GPT et est capable de générer une grande quantité de texte de type humain sur la base d'une entrée minimale. Il a déjà traité une quantité inimaginable de données qui lui a permis de savoir ce qu'il fallait renvoyer à l'utilisateur lorsqu'on lui posait une question. Par exemple, si vous demandez à ChatGPT de vous écrire un poème, cela générera quelque chose comme ceci :
RépondreSupprimer« Sous le ciel étoilé si brillant,
Avec une douce brise et une lumière argentée,
Je me tiens debout et regarde la nuit,
Et laisse mes pensées s'envoler.
La lune et les étoiles au-dessus de moi brillent,
Me guidant à travers le sombre divin,
Me rappelant l'amour et le temps,
Et toute la beauté qui est mienne.
Le monde est vaste, mais petit et grand,
Un mystère attendant d'être scanné,
Avec des secrets cachés dans le sable,
Et des histoires qui attendent d'être mises en conserve.
Alors laisse-moi me tenir sous les étoiles,
Et laisse mon âme et mon esprit s'envoler,
Car dans cette beauté, sans barreaux,
Je trouve mon cœur pour toujours.
Ce poème n'est-il pas impressionnant ? Avec l'énorme volume de données alimentant ChatGPT, il peut traiter nos poèmes, les analyser et produire un nouveau poème en quelques secondes. Et le résultat peut être différent à chaque fois, même si vous écrivez la même commande.
ChatGPT peut également faire de même avec des essais, des morceaux de code entiers et bien plus encore. Il peut avoir une conversation informelle avec vous et sait comment ajuster son jargon pour même expliquer l'informatique quantique d'une manière que les élèves de septième année peuvent le comprendre.
RépondreSupprimerIl est compréhensible que beaucoup soient instantanément attirés par le programme, car il peut apparemment résoudre de nombreux problèmes et offre un raccourci important pour accomplir des tâches. Le chat est gratuit et fonctionne extrêmement bien ; qu'est-ce qui pourrait mal tourner avec cette technologie, à part être le cauchemar d'un enseignant ?
ChatGPT ne peut pas être tenu responsable de son travail
Récemment, des scientifiques ont testé les limites de ChatGPT et lui ont demandé d'écrire des composants d'articles de recherche qui ont ensuite été publiés dans des revues scientifiques renommées comme Nature. Après que la nouvelle a éclaté qu'une IA était capable d'écrire des articles de recherche, elle est devenue l'épicentre d'un débat houleux qui secoue encore la communauté aujourd'hui.
Les arguments pro-IA considèrent la technologie comme ChatGPT comme la prochaine étape du progrès humain.
Cela rendrait même la science plus efficace, réduirait le travail humain et faciliterait la vie.
L'autre côté de l'argument est qu'il n'y a aucun moyen de tenir l'intelligence artificielle responsable de son travail. Si le programme arrive à de mauvaises conclusions ou si ses algorithmes ne sont pas assez matures, comment le programme peut-il en assumer la responsabilité ?
La question de la responsabilité ne concerne pas seulement les moments où les choses tournent mal. L'utilisation de texte généré par l'IA sans citation appropriée "pourrait être considérée comme du plagiat", déclare Holden Thorp, rédacteur en chef de la famille des revues scientifiques. Pour cette raison, quelques articles ont déjà été publiés avec ChatGPT répertorié comme l'un des auteurs, tandis que les éditeurs accélèrent la pression pour la réglementation.
En fait, après la publication d'articles dans Nature avec ChatGPT en tant que co-auteur, les rédacteurs en chef de Nature et Science ont conclu que "ChatGPT ne répond pas à la norme de paternité" car un tel titre engage sa responsabilité et sa responsabilité. , chose hors de question pour l'IA.
Cependant, le problème central derrière le différend sur la paternité est que les éditeurs de revues ne sont plus certains de la quantité ou de la mesure dans laquelle l'article a été généré par ChatGPT. Les expériences scientifiques nécessitent probablement encore des études menées par des humains. Mais les auteurs d'articles de revue qui attribuent ChatGPT l'ont probablement fait parce qu'il a joué un rôle important dans le processus d'écriture.
RépondreSupprimerCertains chercheurs biomédicaux ont utilisé ChatGPT pour mener des recherches sur le développement de médicaments et ont été en mesure d'identifier des produits chimiques médicamenteux potentiels qui ont été manqués dans le passé. Avec l'aide de l'IA, une nouvelle ère de progrès explosifs dans le domaine biomédical est sûre d'être inaugurée.
Cependant, comment les chercheurs sauront-ils quand les données de l'IA deviennent trompeuses ? Quelqu'un osera-t-il défier les algorithmes derrière ces données ? Ce ne sont pas les seules questions auxquelles nous sommes confrontés aujourd'hui, car l'IA semble également prendre le contrôle des soins de santé, soit en fonctionnant comme un robot, soit via une application.
L'intelligence artificielle ne devrait pas remplacer les travailleurs de la santé
Certaines cliniques ont exploré l'utilisation de ChatGPT pour mener des consultations de patients. Les cliniques de santé mentale ont même obtenu de meilleurs résultats en matière de performances lorsqu'elles ont adopté ChatGPT pour prendre en charge les consultations avec leurs patients, de nombreux patients ne réalisant même pas qu'ils parlaient à un robot.
L'IA pourrait devenir la prochaine infirmière ou assistante médicale qui vous aide à récupérer après un accident, ou qui effectue les incisions clés lors de votre prochaine opération. L'avenir des soins de santé pourrait se transformer rapidement, car les gens pourraient même ne pas avoir à se rendre chez le médecin du tout avec la combinaison de l'IA et de la télémédecine. Tout ce que vous avez à faire est d'ouvrir une application sur votre téléphone et de parler avec un chatbot, de lui parler de vos symptômes et il vous préparera une ordonnance. Mais il y a un niveau de confiance développé lors des interactions en face à face qui manque à ce modèle d'IA.
Les robots IA utilisant un GPT peuvent également être utilisés pour traiter les patients à haut risque tels que ceux souffrant de troubles mentaux ou en cure de désintoxication en remplaçant le médecin lors de la surveillance des patients et de l'administration du traitement, en effectuant des bilans de santé, en évaluant les risques et en prenant des mesures si nécessaire. Cependant, la même question de responsabilité se pose lorsque nous mettons en œuvre l'IA dans le domaine médical.
Ici, la question de la responsabilité est plus préoccupante, car qui sera tenu responsable lorsque le patient connaît des complications dues au mauvais médicament ou à la mauvaise dose ? Vous ne pouvez pas blâmer le médecin parce qu'il ne faisait que suivre l'IA. Vous ne pouvez pas blâmer l'IA parce que c'est un programme. Au final, qui sera tenu responsable ?
RépondreSupprimerPour que les gens se sentent en sécurité autour de l'IA, des règles de responsabilité strictes doivent être imposées pour restreindre la liberté dont disposent ces choses. Cependant, si ces programmes doivent s'améliorer, ils doivent avoir plus de liberté pour fonctionner et apprendre. Bien que cela semble être un piège, la question centrale est de savoir si les humains devraient laisser l'IA et les robots s'occuper d'eux.
Alors que la capacité de l'IA augmente de façon exponentielle, pourquoi les facultés de médecine forment-elles même leurs étudiants, et pour quoi ? À l'avenir, si l'IA perd de la puissance ou fonctionne mal, les médecins agréés sauront-ils encore comment traiter les patients sans l'aide de l'IA ? À quel point deviendrons-nous dépendants de l'IA ?
Les êtres humains accélèrent vers un carrefour
L'IA a beaucoup de potentiel et fera inévitablement partie de notre avenir. Cependant, permettre à l'IA de jouer un rôle plus important dans la médecine et les soins de santé lui donnera plus de pouvoir pour influencer notre compréhension de la santé et du bien-être. Cela peut même permettre à l'IA de modifier notre corps.
Si l'IA devient omniprésente, va-t-elle rendre les humains plus stupides et nous réduire dans tous les aspects ? Au fil du temps, les enfants pourraient simplement parler à leurs tablettes de chatbot au lieu de leurs parents, les gens pourraient oublier comment soulager les symptômes de choses aussi courantes que le rhume, et les tâches de base comme écrire un essai pourraient devenir des choses du passé. Cela fragilisera inévitablement les humains et affectera notre développement. Lorsque la technologie devient si avancée que nous pouvons commander des robots avec notre esprit, pourrions-nous un jour devenir ces extraterrestres aux membres dégingandés et aux têtes gonflées ?
Lorsque l'IA commence à imiter la pensée humaine et présente un langage semblable à celui de l'homme, nous commençons à voir la réalité du cerveau humain mise à nu : ce sont essentiellement des machines qui traitent l'information. Lorsque les ordinateurs collectent un volume de données suffisant, ils peuvent engager un algorithme sophistiqué pour générer une réflexion et une réponse de type humain. Plus les gens l'utilisent, plus l'IA ChatGPT sera formée pour devenir plus humaine, devenant éventuellement plus sage que l'humanité.
Alors, qu'est-ce qui nous rend uniques, les humains ?
Nous avons vu des superordinateurs vaincre les champions humains des jeux d'échecs et de Go.
Désormais, l'IA est arrivée dans des domaines dont les gens sont véritablement fiers, des domaines qui tournent autour de la création, de l'émotion, de l'interaction humaine, de l'expression artistique, etc.
RépondreSupprimerC'est un moment critique où les êtres humains doivent réfléchir plus profondément à l'origine de notre sagesse. Nos inspirations sont-elles simplement nées d'une accumulation de myriades de données ? L'IA et les ordinateurs obtiennent leurs données de l'apport humain ou en parcourant les profondeurs des mers de données. Avons-nous nous aussi nos idées « originales » de cette façon ? Pourquoi les gens obtiennent-ils de l'inspiration et des idées créatives qui n'ont apparemment rien à voir avec leur expérience et leurs connaissances antérieures ?
La menace de l'IA et des superordinateurs ne consiste pas seulement à perdre plus d'emplois. Et cela va au-delà de la réduction de la capacité de réflexion humaine. La menace fondamentale de la technologie de l'IA incontrôlée est qu'elle coupe la connexion des êtres humains avec notre créateur. Grâce aux progrès technologiques, les êtres humains construisent des dieux numériques que les gens peuvent adorer. Utiliser l'IA ou des robots pour améliorer la vie peut être le côté doux de ce médicament, mais utiliser l'IA pour remplacer la pensée humaine est le côté le plus sombre.
La question urgente ici est de savoir comment sauvegarder notre spiritualité humaine. Comment maintenons-nous notre lien avec le divin ? Les êtres humains ne sont pas que de la chair et des os, comme une machine est simplement composée de pièces mécaniques.
Le développement de technologies d'intelligence artificielle telles que ChatGPT est le point de basculement d'un problème de longue date auquel nous sommes confrontés : la (dé)connexion avec Dieu et le véritable sens de nos vies humaines alors que nous remplaçons cette connexion. Nous sommes confrontés à un choix : continuons-nous de tomber dans ce gouffre technologique sans fond, ou devons-nous revenir à une voie traditionnelle où les êtres humains maintiennent leur lien avec le divin ?
Voici quelques pistes de réflexion : « How Humankind Came To Be » de Li Hongzhi
https://www.zerohedge.com/personal-finance/dystopian-artificial-intelligence-not-near-it-already-here
L''Intelligence Artificielle' n'est autre qu'un livre, un programme limité au nombre de pages téléchargées et non à un cerveau constructif de réflexion sur sa jeunesse et les milliards de souvenirs de l'époque.
SupprimerL'Asie utilisera la moitié de l'électricité mondiale d'ici 2025
RépondreSupprimerPhoto de Tyler Durden
PAR TYLER DURDEN
JEUDI 16 FÉVRIER 2023 - 02:05
En 2025, les pays d'Asie utiliseront la moitié de l'électricité mondiale.
Comme le rapporte Katharina Buchholz de Statista, selon l'Agence internationale de l'énergie, la part de l'Asie dans la consommation mondiale d'électricité a augmenté rapidement, passant d'environ un quart en 2000.
- voir graph sur site -
Infographie : L'Asie utilisera la moitié de l'électricité mondiale d'ici 2025 | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
La Chine est le principal facteur de cette transformation. Alors qu'en 2000, elle n'utilisait que 10 % de l'énergie mondiale, cette part devrait atteindre 33 % en 2025.
Alors que la croissance démographique chinoise s'est maintenant inversée, l'augmentation du niveau de vie continue d'entraîner une augmentation de la demande d'électricité, par exemple pour la climatisation. D'autres grands pays d'Asie devraient connaître une croissance démographique jusqu'à la seconde moitié du siècle actuel, ce qui signifie encore plus de demande d'électricité à mesure que ces nations augmentent le nombre de leurs habitants et les progrès de leur développement. L'Asie a augmenté son utilisation de sources d'électricité renouvelables mais, en partie à cause de sa demande géante, elle s'appuie également sur l'électricité au charbon dans de nombreux endroits. La Chine, par exemple, a énormément développé les deux sources d'électricité en tandem.
Malgré la construction en cours de centrales au charbon, les émissions causées en Chine devraient commencer à baisser prochainement tout en restant à un niveau élevé. En raison de leurs différents calendriers de développement, les émissions des autres pays asiatiques devraient continuer à augmenter. Cependant, leur part individuelle dans les émissions asiatiques est beaucoup plus faible pour commencer.
https://www.zerohedge.com/energy/asia-use-half-worlds-electricity-2025
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