Martin Sprenger sur la réconciliation Covid : "Political Show"
16 février 2023 par Thomas Oysmuller
Réconciliation corona ? Martin Sprenger ne fait pas confiance au gouvernement pour dialoguer avec les citoyens. Cela a été démenti dès le départ. Au lieu de cela, il s'attend à un spectacle politique mis en scène.
L'expert en santé publique de Graz, Martin Sprenger, était lui-même expert corona pour le gouvernement de Sebastian Kurz jusqu'au printemps 2020. Il a ensuite pris sa retraite, assez peu de temps après avoir déclaré que "100 000 personnes mourraient".
La grande réconciliation ?
Sur sa page Facebook, il commente l'annonce du chancelier Nehammer selon laquelle ils veulent maintenant entamer un "processus de réconciliation". Il s'attend à une autre "politisation et mise en scène supplémentaires":
« ‘La fin de la pandémie corona devrait maintenant être suivie par la grande réconciliation. Le chancelier Karl Nehammer annonce qu'il a l'intention de tendre la main. Un processus de dialogue doit s'engager autour de Pâques, entre experts et citoyens
Je suis donc curieux de savoir comment cela se passera. Après avoir moi-même activement engagé un dialogue avec les citoyens en juin 2022 et pu avoir des discussions avec un total d'environ 3 000 personnes lors de 22 événements - presque complètement ignorés par les médias - je sais à quel point ce dialogue serait important. À quel point ce dialogue aurait été important dès le départ. Dans chaque communauté, chaque vallée, chaque quartier et district. Mais aussi dans chaque institution académique, dans les médias, en fait partout. Les politiciens ont refusé le dialogue depuis le début – mot-clé « contrôle des messages » – et je ne leur fais tout simplement pas confiance pour le dire honnêtement cette fois.
Au lieu de cela, nous connaîtrons davantage de politisation et de mise en scène. Un show politique de "processing", mis en scène par des spin-doctorants et des consultants en communication, avec l'aide de l'ORF et incluant des experts instrumentalisés aux conflits d'intérêts parfois massifs. Je serais très surpris si je me trompais et que cela se passe différemment."
Les co-fondateurs de Great Barrington posent dix questions essentielles sur la récupération de Covid
16 février 2023 par Thomas H
Que signifie "traitement Corona" ? De quelles questions une telle réponse a-t-elle besoin ? Les cofondateurs et les premiers partisans de la déclaration de Great Barrington ont formulé dix questions connexes.
La soi-disant pandémie corona touche enfin à sa fin. Les alarmistes les plus ardents perdent de plus en plus de soutien et cherchent de nouveaux champs d'activité. Face aux conséquences désormais visibles et terrifiantes de la propagande alarmiste, de plus en plus de politiciens et d'experts fuient. De nombreuses célébrités de la santé ont réalisé leur erreur et changent de camp. Ceci est documenté, par exemple, dans le blog de la sous-pile Pharmafiles .
Traitement - mais comment ?
C'est l'heure de la révision. Faire face à une soi-disant crise qui ne s'est réellement concrétisée qu'à la suite d'un grand nombre de mauvaises décisions. Dans certains pays, cela a déjà commencé. L'Autriche, en revanche, comme le sait l'histoire, est timide. C'est pourquoi l' Association verte pour les droits fondamentaux et la liberté d'information (anciennement connue sous le nom de Verts contre la vaccination obligatoire et 2G ) a pris l'initiative. Un bulletin d'information distinct est actuellement publié deux fois par semaine, chacun sur un sujet qui doit être abordé dans le bilan. Vous pouvez consulter les articles précédents et vous abonner à la newsletter ici .
Une initiative récemment fondée aux États-Unis, le Norfolk Group , s'est également penchée sur la question. Les huit membres sont également les fondateurs et les premiers partisans de la Déclaration de Great Barrington , ce sont donc de véritables professionnels dans leurs domaines. En plus d'un document principal assez complet, il y a un résumé dans lequel dix questions essentielles pour un examen sont posées. Bien que ceux-ci soient conçus pour la situation aux États-Unis, ils s'appliquent également à l'Autriche avec quelques ajustements.
1) Qu'est-ce qui aurait pu être fait pour mieux protéger les personnes les plus à risque de contracter ou de mourir du Covid-19 ?
2) Pourquoi l'immunité post-infection a-t-elle été largement remise en question, en particulier par le gouvernement et d'éminents experts ? Comment cela a-t-il affecté le cours de la pandémie ?
3) Pourquoi les écoles et les universités ont-elles été fermées alors que l'énorme gradient d'âge de la mortalité Covid était connu très tôt ; il n'y a pas eu de diffusion exceptionnelle dans les écoles ; les énormes dommages causés à l'éducation, à l'éducation et à la santé mentale des enfants et des jeunes ont été signalés dès le début ?
4) Pourquoi presque seul Covid-19 a-t-il reçu plus d'attention au détriment de l'identification et de l'atténuation d'autres problèmes de santé, par ex. B. Dépistage et traitement du cancer, diabète, maladies cardiovasculaires, vaccinations de routine ou santé mentale ?
5) Pourquoi les autorités compétentes n'ont-elles pas réussi à collecter des données et à établir des systèmes de déclaration en temps opportun et de manière appropriée ? Y compris le comportement du virus et les options de traitement, pourquoi était-on dépendant des initiatives privées et des informations de l'étranger ?
6) Pourquoi y a-t-il eu tant d'accent et de confiance dans des modèles épidémiologiques complexes, qui sont par nature peu fiables au milieu d'une pandémie avec des paramètres inconnus et des hypothèses discutables ?
7) Quelles informations les médecins et les agents de santé ont-ils reçus concernant l'efficacité et l'innocuité des divers médicaments ? Des médicaments efficaces étaient-ils facilement disponibles ? Pourquoi certaines drogues sont-elles devenues si politisées ?
8) Pourquoi les aspects critiques des études sur les vaccins (mortalité toutes causes confondues, hospitalisations, processus infectieux, interruption prématurée) n'ont-ils pas été pris en compte ? Pourquoi a-t-on accordé et accorde-t-on si peu d'attention aux systèmes de sécurité concernant les dommages causés par les vaccins ?
9) Pourquoi les tests de masse pour le Sars-Cov-2 chez les personnes asymptomatiques ont-ils été préférés aux tests ciblés dans les zones à haut risque ? Pourquoi tant d'efforts ont-ils été consacrés à la recherche des contacts ?
10) Pourquoi le port de masques dans les espaces publics et l'obligation de porter des masques ont-ils été si fortement soulignés, alors que des mesures efficaces ont été ignorées en même temps ? Pourquoi les exigences de masque sont-elles restées en place même après que des études randomisées au Danemark et au Bangladesh n'aient montré pratiquement aucun effet ? Pourquoi les effets nocifs potentiels et avérés du port du masque n'ont-ils pas été pris en compte ?
L'origine du Sars-Cov-2 et le rôle des médias ont été expressément laissés de côté par le groupe Norfolk. Le premier peut être un problème international. Ce dernier est particulièrement intéressant pour l'Autriche. Les soi-disant médias grand public, y compris la radiodiffusion publique, ont lamentablement échoué.
* L'auteur écrit de manière anonyme, est un spécialiste des sciences naturelles et est également représenté sur Twitter sous le nom de Thomas H.
Problèmes de thyroïde après la vaccination par l'ARNm contre le COVID-19 - Une nouvelle étude japonaise montre une augmentation des auto-anticorps thyroïdiens après deux doses et un rappel Le dysfonctionnement de la thyroïde après la vaccination par l'ARNm est une plainte fréquente
Par le Dr William Makis Recherche mondiale, 16 février 2023
Il y a eu un flot de rapports anecdotiques sur les médias sociaux concernant un dysfonctionnement de la thyroïde et de nouvelles maladies de la thyroïde après la vaccination par l'ARNm du COVID-19, tant pour Pfizer que pour Moderna.
Une nouvelle étude japonaise menée par Morita et al., sur 70 travailleurs de la santé, a montré une augmentation des auto-anticorps thyroïdiens après 2 piqûres Pfizer ainsi qu'une injection de rappel (cliquez ici ).
Ces effets ont été durables (> 32 semaines). L'augmentation des auto-anticorps thyroïdiens (TRAb) après 2 injections et après injection de rappel est visible dans le graphique ci-dessous :
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Les auteurs concluent :
« Le vaccin SARS-CoV-2 BNT162b2 (Pfizer) a non seulement perturbé l'état d'équilibre de la maladie de Basedow, mais a également induit à nouveau la perturbation de l'auto-immunité thyroïdienne. Ces résultats corroborent les cas et séries antérieurs qui ont montré la rechute ou même la nouvelle apparition de la maladie de Graves potentiellement associée au vaccin à ARNm SARS-CoV-2 BNT162b2. ”
Types de dysfonctionnement thyroïdien après la vaccination par l'ARNm :
Les vaccins à ARNm COVID-19 peuvent aggraver considérablement la fonction thyroïdienne (l'augmenter ou la diminuer). Ces effets sont généralement permanents, ce qui entraîne un besoin de médicaments à vie. Les symptômes apparaissent généralement dans les 10 à 15 jours suivant la vaccination par l'ARNm.
Thyroïdite subaiguë - inflammation de la thyroïde, principalement chez les femmes ( cliquez ici ). Semble être la maladie thyroïdienne la plus courante rapportée après la vaccination par l'ARNm, les symptômes se développant en moyenne 10 jours après la 1ère ou la 2ème dose. Traité avec des AINS ou des stéroïdes ( cliquez ici ).
La maladie de Graves est la maladie thyroïdienne auto-immune la plus fréquemment signalée après la vaccination par l'ARNm, qui peut provoquer une nouvelle apparition de la maladie de Basedow ou une rechute de l'hyperthyroïdie de la maladie de Basedow (cliquez ici ), également environ 10 à 15 jours après le 1er ou le 2ème vaccin.
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La maladie de Hashimoto (diminution de la fonction) commence également à apparaître (cliquez ici )
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Tempête thyroïdienne - un cas grave d'inflammation thyroïdienne nécessitant une hospitalisation a été rapporté dans la littérature ( cliquez ici ).
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Cancer de la thyroïde - ce sont les histoires les plus préoccupantes de toutes. Les gens développent des masses étranges dans le cou après la vaccination par l'ARNm et parfois celles-ci s'avèrent malignes.
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Ma prise…
C'est encore une preuve supplémentaire des dommages et du dysfonctionnement du système immunitaire après la vaccination par l'ARNm du COVID-19.
Cette nouvelle étude japonaise portant sur 70 travailleurs de la santé montre une augmentation des auto-anticorps thyroïdiens après chaque dose d'ARNm Pfizer. Les auteurs suggèrent que cela pourrait être dû au « mimétisme moléculaire des vaccins à ARNm du SRAS-CoV-2 codant pour des protéines qui peuvent réagir de manière croisée avec les antigènes thyroïdiens », ce qui entraîne la production d'auto-anticorps contre votre glande thyroïde.
Les problèmes de thyroïde après la vaccination par l'ARNm semblent augmenter en fréquence et toute personne présentant des symptômes inhabituels au cours des premières semaines suivant la vaccination par l'ARNm devrait faire vérifier sa fonction thyroïdienne par son médecin.
Une enquête menée en 2022 auprès d'experts en risques de la compagnie d'assurance AXA et d'autres grandes entreprises brosse un tableau pessimiste de la direction que pourrait prendre la situation géopolitique actuelle.
Comme l'a récemment averti le Bulletin of Atomic Scientists, les auteurs de la Doomsday Clock Statement,
"La guerre de la Russie contre l'Ukraine a soulevé de profondes questions sur la manière dont les États interagissent, érodant les normes de conduite internationale qui sous-tendent les réponses réussies à une variété de risques mondiaux."
Comme le montre Martin Armstrong de Statista dans l'infographie ci-dessous, basée sur une enquête Ipsos pour AXA, une grande majorité des experts interrogés ont déclaré qu'ils pensaient que la situation mondiale actuelle pourrait entraîner un certain nombre de conséquences inquiétantes...
- voir graph sur site -
Infographie : Une guerre mondiale à l'horizon ? | Statistique Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
... y compris les niveaux de tension qui persisteront à l'avenir (95 %), une propagation dans le monde entier (94 %), une menace pour les approvisionnements alimentaires et énergétiques nationaux (91 %) et le plus troublant : conduire à une guerre mondiale (84 %). pour cent)...
Dépossession des Droits civils: esclavage en vue. Valérie Bugault
FÉVRIER 15, 2023 PAR LHK Valérie Bugault, Docteure en Droit
Les attaques contre le Droit continental s’intensifient Je dénonce depuis des années l’infiltration de notre modèle de droit européen par des instances et autres organisations…
En marche vers l’esclavagisme et l’abandon de notre civilisation Contextualisation du débat
Je dénonce depuis des années l’infiltration de notre modèle de droit européen, fondé sur un droit civil commun, par des instances et autres organisations, y compris académiques, dévouées à la cause « commercialiste » chère au droit anglo-saxon. Il faut encore préciser que, par « droit anglo-saxon », je parle précisément du droit britannique en tant qu’arme absolue au service exclusif des puissances financières dominantes. Cette bifurcation malheureuse du droit anglo-saxon résulte de deux évènements historiques majeurs, à savoir :
La disparition de sa concurrence par le droit canon à la suite de l’éviction de l’Église catholique du territoire britannique par Henri VIII en 1531, suivi de L’avènement d’Olivier Cromwell qui a positionné la haute finance comme tête de proue du développement de l’empire britannique. A l’opposé de ce contre-modèle juridique « moderne » d’origine britannique, se trouvait notre Droit continental – assez généralement commun aux pays européens – fondé sur la prééminence d’un droit civil commun, au service de la justice, de la vérité et de la protection de la personne humaine. Il faut comprendre que ce modèle de Droit prit, après la Révolution française, la forme d’un droit civil commun, issu de la fusion du pouvoir règlementaire temporel, Roi et seigneurs inclus, avec le pouvoir normatif spirituel développé autour des principes de droit naturel développés tout au long du Moyen-Âge par les grands docteurs de l’Église, souvent issus du clergé régulier. Nous parlons ici du fameux Code civil de 1804.
Si les attaques systémiques contre ce modèle de Droit, appelé Droit continental, se manifestent ouvertement en France depuis 2004, elles arrivent aujourd’hui à leur terme : notre Droit civil commun, en soin intensifs et sous assistance respiratoire depuis une bonne quinzaine d’années, fait désormais l’objet d’un opération coordonnée tendant à son élimination par « mort assistée ».
On constate que le modèle de Droit axé autour de la défense de la dignité, du libre-arbitre et de l’intégrité de la personne humaine suit, logiquement, le sort réservé par les « puissants de ce monde » aux individus ordinaires, vaguement consentants… En d’autres termes, il en va, logiquement, du modèle de Droit comme de la personne humaine… leur obsolescence est programmée par les principaux argentiers d’un monde à la dérive.
Les faits Les attaques, débutées en 2004 à l’occasion du bicentenaires du Code civil, par la mise en accusation générale des « maux du droit », se sont au fil du temps précisées, notamment, par :
La mise en avant par les milieux académiques d’une prétendue « propriété économique », laquelle s’oppose directement au droit de propriété traditionnel et confère la disposition des biens et des choses aux principaux détenteurs de capitaux. Le modèle utilisé pour la théorie de la « propriété économique », est celui du contrôle juridique de la monnaie (seul bien dont la fongibilité juridique est absolue) par les banques ;
La lente et insidieuse marche vers l’assimilation du droit réel avec le droit personnel, aidé en cela par les fondamentaux de la « comptabilité en partie double », laquelle ne fait aucune distinction entre une « créance », non susceptible d’appropriation (sauf à considérer l’esclavage comme une « valeur sociale »), et un « bien matériel » susceptible d’appropriation ;
L’assimilation des conditions de la cession de créance civile avec celles de la cession de créance commerciale, dans laquelle le débiteur cédé n’a plus son mot à dire ;
La falsification de notre modèle de droit économique au moyen, notamment, de : L’avènement en droit français de la « fiducie » – qui s’en passait très bien jusqu’alors – qui eut pour objectif de rendre compatible notre Droit continental avec le « trust », dont usent et abusent les paradis fiscaux sous juridictions anglo-saxonne, accélérant dès lors la financiarisation de notre économie ;
L’avènement d’une pseudo « Société à mission », frauduleusement présentée comme un modèle de « participation » Gaulliste, mais qui n’a strictement rien à voir avec un quelconque alignement du statut des apporteurs de travail avec les apporteurs de capitaux. Tout au contraire de la véritable « participation », l’objectif de la « Société à mission » est, rien de moins, que la disparition de la liberté d’entreprendre par la soumission de l’entreprenariat aux banques globales via l’objectif mondialement revendiqué de décarbonisation. La mise en œuvre de la décarbonisation revient à faire passer les victimes (PME et citoyens) de la pollution généralisée de l’environnement pour les coupables dans le mêmes temps que les multinationales réellement coupables s’offrent une blancheur paradisiaque sur le dos de leurs victimes !
Enfin, et dernièrement par la mise en cause de notre modèle d’état civil comme relevant d’une prétendue fiducie ayant pour objet, et pour effet, de mettre la personne humaine sous le joug commercialiste d’un État lui-même prétendument entité commerciale (1) ! L’analyse juridique de l’état civil au regard des principes du Droit continental, à l’origine, rappelons-le, de la civilisation européenne
Il est parfaitement incroyable de devoir rappeler des choses aussi évidentes que le fait qu’en Europe continentale, l’état civil, successeur laïc des registres paroissiaux du Moyen-Âge, n’a jamais été une “fiducie(2)” chargée d’une quelconque mission patrimoniale (3) .
L’état civil est tout au contraire le fondement indispensable de la Nation formant un groupe politique en ce qu’il a pour mission de donner à chaque individu une reconnaissance sociale et, par là-même, de lui donner une juste place dans le groupe.
En effet, des droits et obligations résultent de la reconnaissance des personnes par leur inscription à l’état civil. Dit autrement, les droits et obligations sont des attributs de la personnalité juridique. Ce qui ne signifie évidemment pas qu’un enregistrement à l’état civil mettrait les individus sous le joug d’une entité commerciale. Rappelons à cet égard, puisqu’il le faut, que les articles 16 et suivants du Code civil assurent et garantissent la protection et l’inviolabilité de la personne humaine. Notamment l’article 16 dispose que « la loi assure la primauté de la personne, interdit toute atteinte à la dignité de celle-ci et garantit le respect de l’être humain dès le commencement de sa vie ». L’article 16-5 ajoutant que « Les conventions ayant pour effet de conférer une valeur patrimoniale au corps humain, à ses éléments ou à ses produits sont nulles ».
Il faut en l’espèce se garder de confondre « reconnaissance sociale » et « appropriation économique ». L’état civil garantit à l’individu sa place, de droit, au sein de la société humaine et politique à laquelle il appartient ; ainsi compris l’état civil est la première pierre de la Nation permettant d’organiser politiquement la vie collective. L’état civil en droit continental n’a absolument pas pour effet de le rendre les personnes esclaves d’une entité juridique qui serait de nature commerciale ; il répond exactement à l’objectif inverse de libérer l’individu en lui reconnaissant une juste place dans le groupe humain auquel il appartient.
En effet l’État est, en droit continental, une personne morale de droit public et non, en aucun cas, une entreprise commerciale ! Quelques soient par ailleurs les attaques consistant à inscrire des personnes morales de droit public sur des registres commerciaux, il existe une différence fondamentale, existentielle, entre une « entreprise », personne morale de droit privée régie par le droit commerciale et par le Code de sociétés, et une « personne morale de droit public » qui n’est soumise ni aux lois sur les Sociétés commerciales, ni aux règles générales du droit commercial. Il n’en va évidemment pas de même en droit anglo-saxon, dérivé du droit issu de l’empire maritime britannique, pour lequel toute entité autre que la personne physique relève, grosso modo, du droit commercial(4)…
Il faut noter que ces tentatives pour faire disparaître le Droit continental, s’incluent dans un mouvement géopolitique plus vaste dénoncé par des États étrangers, notamment la Russie, consistant à changer le droit international pour le transformer en vagues « règles », mouvantes en fonction des intérêts supérieurs bien compris de l’empire commercialo-maritime anglo-saxon.
En conclusion : nous assistons à la mise en œuvre d’une propagande massive en vue de faire disparaître le Droit continental, dernier bastion de défense de l’intégrité et de la dignité de la personne humaine
La « fraude du nom légal » est une analyse valide dans les pays soumis au droit anglo-saxon – qui ne connait pas le concept de personne morale de droit public – dans lesquels la personne humaine peut effectivement être mise sous emprise de fiducies appartenant à des entités commerciales. En revanche, prétendre imposer cette analyse dans les pays de Droit continental relève d’une imposture doublée d’une opération psychologique. Cette dernière opération, évidemment non dénuée d’intention chaotique, tend à insinuer dans l’esprit d’un public non averti le fait que toute personne qui n’est pas une personne physique relève du principe commercialiste.
Désormais, les promoteurs de la prétendue « fraude au nom légal » sur les territoires relevant du droit continental, se réfèrent au code civil(5) pour prétendre faussement que l’état civil serait compatible avec la fiducie. Si l’état civil existe en Europe depuis toujours, au moins depuis le Haut Moyen-Âge après la chute de l’empire romain, la fiducie n’existait pas en droit civil français jusqu’à l’intervention de la loi de 2007.
Cette tactique, qui s’intègre parfaitement dans la stratégie d’ensemble tendant à rendre le droit civil perméable au droit commercial, a pour objectif, à terme, de remplacer les principes protecteurs du droit civil par le droit commercial esclavagiste. Il s’agit, pour les grands détenteurs de capitaux, de mettre en œuvre le principe de la servitude volontaire sur des populations rendues passives par la désinformation de masse.
Au fur et à mesure des « modernisations » successives dont il a fait l’objet, notre légendaire « Code civil » se transforme inexorablement en coquille juridique vide destinée à amorcer le virage du tout commercial, c’est-à-dire à valider la dictature commercialiste des grands argentiers de ce monde global.
Finalement, le Droit, censé garantir la protection des personnes et la sécurité juridique se transforme, sous les incessants coups de boutoirs de l’empire financier apatride anglo-saxon agonisant, en un magma informe qui organise, au double niveau national et international, l’insécurité juridique et le chaos.
Les attaques contre le Droit continental s’intensifient
(1) Voir par exemple : https://www.change.org/p/procureur-de-la-r%C3%A9publique-fran%C3%A7aise-la-fraude-du-nom-legal
(2) La Fiducie n’existait pas en droit français jusqu’à ce que le sénateur Philippe Marini estime nécessaire de l’y faire entrer en 2007 (année de l’arrivée du scélérat Traité de Lisbonne)
(3) Rappelons que la fiducie, avant l’avènement de la loi Marini de 2007, était « un acte juridique par lequel une personne, nommée « fiduciant » transfère la propriété d’un bien corporel ou incorporel à une autre personne nommée « fiduciaire », soit à titre de garantie d’une créance (fiducie à fins de sûretés) sous l’obligation de rétrocéder le bien au constituant de la sûreté lorsque celle-ci n’a plus lieu de jouer (sauf si le bien acquis, par exemple une créance, a permis de désintéresser le créancier), soit en vue de réaliser une libéralité (fiducie à fins de libéralités) sous l’obligation de retransférer le bien à un tiers bénéficiaire après l’avoir géré dans l’intérêt de celui-ci ou d’une autre personne pendant un certain temps, soit afin de gérer le bien dans l’intérêt du fiduciant sous l’obligation de le rétrocéder à ce dernier à une certaine date (fiducie à fins de gestion). » Vocabulaire juridique, association Capitant, de Gérard Cornu.
(4) Lire à cet égard, par exemple : https://cours-de-droit.net/droit-public-anglais-a126577482/
(5) Cf. le récent fil Télégram intitulé « Le Bureau Juridique » avec, notons-le, les majuscules de rigueur en anglais pour les noms communs… utilise le Code civil comme illustration
Les attaques contre le Droit continental s’intensifient
Par Blake Lovewell Recherche mondiale, 15 février 2023
"Notre Alliance ne veut pas abolir l'argent physique", crie le gambit d'ouverture sur le site "BetterThanCash.org" . Il s'agit d'un organe des Nations Unies, qui poursuit ostensiblement l'objectif de développement durable des Nations Unies d'« inclusion financière ». Mais cela rejoint un phénomène plus large, la disparition de l'argent physique de l'économie.
Il s'agit d'une alliance d'États-nations, d'entreprises et d'ONG. Ils se réunissent sous l'égide du programme Capital des Nations Unies pour le développement (UNCFD). Ils comptent environ 80 membres , d'influence variable, allant des petits États de Guinée équatoriale et des îles Salomon aux grandes entreprises mondiales comme Unilever et Coca-Cola. Ils reçoivent également un financement important de la Fondation Bill et Melinda Gates, de l'USAID et de Visa inc.
Leur surnom, "Better Than Cash", sonnera l'alarme pour certains, qui se retirent de la numérisation de l'argent. Mais pour beaucoup, cela illustre une tendance de la dernière décennie. Il y a eu un abandon de l'utilisation des espèces pour les transactions quotidiennes dans les pays riches. Alors que les rails de paiement sont devenus plus fluides, les transactions électroniques sont devenues monnaie courante. Depuis l'avènement de la banque électronique dans les années 1980, il y a eu des développements technologiques qui permettent la communication rapide dans le secteur bancaire nécessaire pour effectuer des transactions de gré à gré.
Quand on paie un sac de farine au Royaume-Uni par exemple, en utilisant le « sans contact », ce qu'on fait en réalité, c'est : scanner sa carte à puce RFID sur le lecteur de carte du magasin. Le lecteur décode les détails du compte bancaire et les soumet au fournisseur de paiement, généralement un intermédiaire comme Visa ou Mastercard. Ce fournisseur effectue ensuite une vérification auprès de la banque du client, pour voir s'il dispose des fonds suffisants pour couvrir la transaction. Le fournisseur paiera alors la facture et fera une demande ou une réservation auprès de la banque du client. Le propriétaire du magasin aura reçu le paiement et le fournisseur, Visa ou Mastercard, soumettra une demande de paiement à la banque du client. Cela peut prendre jusqu'à trois jours complets pour être finalisé. Pourtant, la transaction à la caisse peut ne prendre que quelques secondes en raison de cette superposition complexe d'institutions et de technologies.
Maintenant, j'ai présenté ce résumé d'une transaction "sans contact" pour deux raisons. Tout d'abord, il s'agit d'éclairer ce qui, pour beaucoup de gens, est une situation trouble. Plusieurs millions de personnes au Royaume-Uni utiliseront de telles méthodes dans leur vie quotidienne sans regarder les écrous et les boulons sous le capot de la transaction. Je crois qu'il est en quelque sorte un devoir d'éduquer les gens sur les tenants et les aboutissants de la banque, pour mieux protéger les gens contre les activités les plus néfastes menées dans le monde financier. Mais deuxièmement, et de manière plus pertinente pour cet article, j'ai utilisé ce résumé pour mettre en évidence la complexité du système bancaire de détail moderne. De plus, il est très difficile de réaliser ce système dans de nombreux pays qui font partie de l'alliance "Better Than Cash". Là où il y a peu d'infrastructures technologiques, il peut être difficile de fournir un système stable de technologie de paiement. Là où il y a moins de prévalence d'utilisation de comptes bancaires, il y a moins d'incitation pour un propriétaire de magasin à investir dans ladite technologie. Par exemple : Papa New Guinea, membre de Better Than Cash Alliance, compte environ85% de sa population dans les zones rurales n'ont pas accès aux services financiers formels, et environ 15% de la population ont accès d'une manière ou d'une autre à Internet. Ici, comme dans de nombreux pays parmi les moins riches du monde, l'argent est roi .
Le cas contre l'argent
Examinons maintenant le cas contre l'argent comptant. Si l'ONU, Coca-Cola et Bill Gates conviennent tous qu'il doit y avoir un système Better Than Cash, il doit y avoir des problèmes avec l'argent liquide. Eh bien, prenons la phrase du site Web susmentionné:
"Cela signifie également que les gouvernements, les entreprises et les organisations internationales peuvent effectuer et recevoir des paiements de manière moins chère, plus sûre et plus transparente"
Cela implique 3 faiblesses de l'argent liquide : qu'il est plus coûteux à utiliser, qu'il est dangereux ou dangereux, et qu'il est opaque et non transparent.
Le premier d'entre eux est sa dépense. Cela semble être le plus faible des arguments, car une transaction en liquide, au corps à corps ne coûte rien. De même, c'est l'un des moyens les moins chers d'interagir avec une banque, qui ne facture souvent pas pour effectuer un dépôt en espèces. Il y a un coût associé à la manipulation de l'argent, au comptage et au transport de l'argent en toute sécurité. Cependant, le coût des transactions numériques est à l'opposé de cela. Je peux citer de nombreuses petites entreprises dans ma région avec des pancartes indiquant «Cash Preferred» en raison des frais exorbitants mis en place par des intermédiaires comme Visa ou Mastercard. Ils perdront souvent un pourcentage de chaque transaction. Le boucher local, par exemple, a passé un Noël exceptionnel, mais a ensuite reçu une facture exceptionnelle de son fournisseur de paiement. Comme il s'agit d'une entreprise à l'ancienne, ils avaient pris en compte tous les coûts de fonctionnement de la boutique, payer des marchandises, etc., mais n'avait pas pris en compte des frais aussi élevés, n'ayant adopté que récemment un nouveau lecteur de carte. Un autre magasin, comme beaucoup d'autres, a un minimum de dépenses par carte. Pour une raison similaire, qu'une charge pour 1 £ de marchandises peut coûter 1,50 £ à traiter avec le système bancaire numérisé. Ainsi, l'argument de l'organisme soutenu par l'ONU sur le bon marché doit être basé sur un facteur peu clair qu'ils ne divulguent pas.
Le deuxième argument a plus de validité. L'utilisation d'espèces peut comporter certains risques inhérents. Les espèces étant un actif physique, elles doivent être détenues, transportées et échangées en personne. Cela pourrait mettre le dépensier ou le receveur en danger, en particulier dans les zones où la sécurité, la police et la criminalité sont moindres. Si quelqu'un transporte une somme d'argent ou si un commerçant a une caisse pleine de revenus, il est la cible du crime. Ici, on pourrait justifier l'argument de la sécurité des systèmes monétaires numériques.
Le dernier argument avancé concerne la transparence, ou son absence. C'est probablement l'une des critiques les plus courantes à l'égard de l'argent des institutions, qu'il peut faciliter le crime, ou pire encore, le terrorisme, en raison de son caractère introuvable. Un criminel pourrait effectuer des transactions pour des biens et services illicites en dehors de la compétence des régulateurs en utilisant des espèces, par opposition aux systèmes surveillés de monnaie numérique. Maintenant, il y a eu des études sur ce sujet, mais de par sa nature, il est difficile de le cerner pour certaines statistiques – car un crime qui se poursuit sans être pris en flagrant délit n'entre pas dans les statistiques. Cependant, Europol, l'institution unifiée chargée de la criminalité et de la police dans l'UE, émet une estimation prudente de 1,5 milliard d'euros.sont détectés ou confisqués par les autorités de l'UE chaque année : ce qui représente une somme phénoménale pour un continent de la taille de l'Europe, malgré l'énorme écart dans le nombre de crimes qui réussissent à échapper à la saisie ou à la détection officielle. En outre, nous pouvons prendre l'opinion reçue du professeur Friedrich Schneider selon laquelle une interdiction totale de l'argent liquide ne réduirait pas de manière significative les niveaux de criminalité.
"Le professeur Friedrich Schneider, l'un des experts les plus renommés dans les domaines de l'économie souterraine et de l'évasion fiscale en Europe, a conclu qu'une interdiction de l'argent liquide réduirait la criminalité d'à peine 10 % et le crime organisé de moins de 5 %."
Une étude de cas intéressante à noter ici est le cas de la Suède. Grâce à la mise en place de nombreuses politiques anti-espèces, ils ont réduit leur utilisation d'espèces de la moyenne de l'UE de 11 à 12 % en 2009 à environ 2 % ou moins aujourd'hui. C'est peut-être en réponse à une série de vols d'argent très médiatisés dans le pays, qui ont abouti au tristement célèbre vol d'hélicoptère de Västberga . Il y a eu ensuite une campagne concertée, notamment de la part des syndicats, pour écarter l'usage du cash au profit des moyens numériques. Même si la politique a réussi à réduire les délits de vol d'argent liquide, elle a, admet la Banque centrale suédoise , entraîné une augmentation des délits liés à l'argent numérique, tels que la fraude. Même s'ils montrent qu'il n'est pas excessivement élevé, et reste dans la moyenne européenne.
J'ai moi-même quelques critiques à ajouter à l'argent liquide, mais elles sont plus hétérodoxes, c'est-à-dire en dehors de l'école de pensée économique dominante. Tout d'abord, je soulignerais le fait que l'argent liquide est la forme papier et métallique de la monnaie fiduciaire. C'est-à-dire que les banques centrales peuvent frapper une certaine quantité de monnaie chaque année. Les devises étaient autrefois liées à des actifs du monde réel comme l'or. Mais depuis le désancrage des monnaies dans les années 1970, il n'y a techniquement plus de limite au montant qu'une banque centrale peut imprimer et donc diluer l'offre de monnaie. Plus ils impriment, moins ça vaut. Alors que nous comptons toujours sur l'émission de monnaie de l'État-nation et de sa banque centrale concurrente, nous sommes à la merci de leurs caprices en termes de finance.
Deuxièmement, comme l'émission est contrôlée de manière centralisée, elle peut être victime d'une politique défaillante. Je prends par exemple le cas du franc centrafricain, qui est utilisé par environ 160 millions de personnes dans 14 États d'Afrique centrale, dont beaucoup participent au programme « Better Than Cash ». Le franc CFA est une gueule de bois coloniale instituée par la France en 1945 et conservée après le mouvement d'indépendance plus large des années 1960 en Afrique. Il est toujours contrôlé par la France, son décaissement est décidé par le Trésor français et il y a parité avec l'Euro. Cela signifie qu'à tout moment, le franc CFA peut être échangé en euros et à nouveau à 1: 1. Cependant, cela cause de nombreux problèmes et beaucoup de frictions. Pourquoi les États africains, qui sont sur le papier indépendants de leurs seigneurs coloniaux, ont-ils encore leur politique financière dictée par l'ancienne puissance impériale ? C'est une question non résolue qui se dresse encore, en 2019 le mouvement 5 étoiles àL'Italie accuse la France de néo-colonialismepar leur utilisation du franc CFA et soutiennent que l'instabilité économique causée par la politique française provoque d'importants flux migratoires vers l'Italie. Le facteur le plus pertinent pour notre débat sur l'argent liquide vient cependant de l'utilisation quotidienne du franc CFA en Afrique de l'Ouest. Comme les billets peuvent être échangés 1: 1 contre des euros, la France doit être très prudente lorsqu'il s'agit de frapper de nouveaux billets, car cela pourrait affecter la valeur de l'euro dans son ensemble. Pourtant, comme les États africains sont clairement considérés comme inférieurs en priorité, ce sont eux qui doivent souffrir. Si peu de billets sont frappés dans des pays comme la République centrafricaine qu'il est courant d'obtenir votre monnaie sous la forme d'une reconnaissance de dette signée par le propriétaire de l'entreprise. Vous payez votre tasse de thé avec un billet de 50 francs CFA et recevez un papier indiquant 45 francs CFA avec une date et une signature. Il appartient alors au citoyen de racheter ou d'essayer de transmettre ces reconnaissances de dette à une date ultérieure. Dans ce cas, l'argent liquide a échoué en raison de la politique postcoloniale de la France, mais illustre l'un des pièges des monnaies contrôlées centralement - en particulier dans des environnements monétaires volatils tels que ceux que l'on trouve dans le « monde en développement ».
Écoutons directement de la bouche du cheval. La banque centrale de l'UE, la BCE, a lancé un rapport en réponse à la baisse de l'utilisation des espèces pendant l'hystérie du coronavirus. Ils ont noté une baisse de l'utilisation des espèces où les gens étaient paranoïaques à propos de la transmission des devises, mais l'OMS maintient"Il n'existe actuellement aucune preuve pour confirmer ou réfuter que le virus COVID-19 peut être transmis par des pièces ou des billets de banque". Ce fut l'un des événements les plus marquants sur l'utilisation des espèces de mémoire récente ; dans l'UE, la préférence en espèces a chuté de plusieurs points de pourcentage. Le deuxième événement le plus marquant, notons-le, a été une augmentation de l'utilisation des espèces à la suite de la désastreuse crise financière mondiale de 2008/9 (souvent désignée dans la littérature bancaire par l'acronyme pratique GFC). Les gens avaient perdu confiance dans les banques et avaient décidé que détenir leurs propres liquidités était une bonne idée si les banques de détail risquaient de devenir insolvables. Cela se reflète dans le passage enterré dans le rapport de la BCE :
« L'argent liquide reste la seule forme d'argent public directement accessible à tous les citoyens, garantissant l'autonomie, la vie privée et l'inclusion sociale. En tant que réponse stratégique à divers développements ayant un impact sur la disponibilité et l'acceptation des espèces, la BCE a adopté une stratégie 2030 avec la vision de préserver les espèces en euros en tant qu'instrument de paiement généralement disponible, attractif, fiable et compétitif et une réserve de valeur de choix .”
Ils reconnaissent le pouvoir des espèces en tant que moyen de transaction et réserve de valeur. Je suppose que nous pouvons être tranquilles en sachant qu'ils ont une "stratégie avec la vision de préserver les liquidités en euros" jusqu'en 2030 au moins. Nous avons donc peut-être 7 années supplémentaires de liquidités disponibles auprès des banques européennes.
En annexe, voir cette directive de la Commission européenne de 2016 indiquant que « les paiements en espèces sont largement utilisés dans le financement d'activités terroristes… Dans ce contexte, la pertinence de plafonds potentiels pour les paiements en espèces pourrait également être explorée ». Ici, nous avons la vieille menace du terrorisme utilisée pour limiter les transactions en espèces, sans beaucoup de preuves démontrant l'utilité de l'argent pour le «terrorisme». Pourtant, la législation anti-cash continue sans relâche, passant dans l'acquis de l'UE.
Ainsi, la personne qui a créé l'alliance et qui est le nom et le visage du mouvement a également travaillé pour : 1) La Banque mondiale, qui contrôle les dettes des États-nations, en maintenant les États pauvres endettés tandis que leurs ressources sont pillées et jouent un rôle , aux côtés de la Banque des règlements internationaux pour dicter la politique financière mondiale. 2) La Fondation Soros, largement considérée comme une force politiquement destructrice vêtue d'une tenue philanthropique. Lié aux révolutions de couleur à travers l'Europe de l'Est, fomentant des troubles civils aux États-Unis et exerçant un contrôle politique sur les élections européennes . 3) DFID, le Département britannique pour le développement international ; qui ouvre l'aide internationale aux intérêts privéset agit en tant que bras commercial des industries militaires et du renseignement du Royaume-Uni après la récente fusion avec le Foreign Office . En somme, elle a le curriculum vitae de quelqu'un qui travaille avec de grandes institutions de pouvoir pour négocier des accords qui tournent généralement mal pour le citoyen ordinaire des pays. Donc, moi-même, j'ai des réserves sur le fait que son initiative soit liée à l'inclusivité et à l'aide aux pauvres, et plus à l'exercice néocolonial habituel du pouvoir et de l'exploitation à des fins matérielles. Mais ce n'est que mon avis.
Nous avons également mentionné l'implication de Coca-Cola, qui reconditionne l'eau, le sucre et l'aspartame à grand profit, et d'Unilever qui aime monopoliser les produits alimentaires et de santé dans le monde entier. Mais nous ne devons pas ignorer dans notre critique de la « Better Cash Alliance » l'UNCFD. Comme dans tout organe de l'ONU, il existe une certaine corruption, qui découle généralement des larges tranches de financement envoyées de Bruxelles ou de New York aux bureaucrates occupant des postes de direction dans les États-nations. Comme l'argent est collecté de manière indirecte auprès des populations à travers leurs gouvernements, il y a parfois un manque de contrôle. Dans l'UNCFD, il est documenté une utilisation frauduleuse généralisée des fonds en Somalie et au Somaliland. Cet article de recherche indépendantont constaté que l'ONU exerce un contrôle politique important en Somalie et au Somaliland, et que les fonds de l'UNCFD sont régulièrement utilisés pour s'attirer des faveurs politiques, plutôt que comme l'aide à laquelle ils étaient initialement destinés. Ils rapportent que leur enquête a même été entravée par l'UNICEF et que leur reportage sur la fraude est tombé dans l'oreille d'un sourd.
C'est un cas parmi tant d'autres, mais il représente une tendance que je pense que la plupart comprendront comme existant dans le cadre des Nations Unies. Cela ne veut pas dire que les institutions au sein de l'ONU sont pourries jusqu'à la moelle, je suppose que de nombreuses personnes qui travaillent pour les organes de l'ONU ont les meilleures intentions et que beaucoup réalisent de bonnes choses dans la politique mondiale et locale. Mais cela montre que plus nous enquêtons sur les badges d'approbation que l'Alliance «Better Than Cash» nous montre fièrement sur leur site Web, ne sont pas si clairs. Nous pourrions aussi passer en revue chacune de leurs revendications, une par une et les contester, mais cela remplirait un autre article long et sans grand résultat. Je vous charge vous-même de regarder les revendications et les sources sur betterthancash. org et voyez par vous-même avec quelle facilité ils peuvent présenter faussement une affirmation sur les systèmes monétaires numériques basée sur une recherche qui n'a rien à voir avec l'affirmation réelle. En fait, l'Alliance ne propose rien de nouveau dans sa promotion des paiements numériques. Ils ne font que revivifier les méthodes banales deCartes RFID et codes QR et agrémentez-les avec l'inclusion d'identifiants biométriques dystopiques : qui "incluent les empreintes digitales, la géométrie de la main, la géométrie du lobe de l'oreille, les motifs de la rétine et de l'iris, les ondes vocales, l'ADN et les signatures". Rien d'effrayant à ce sujet.
Comme je l'ai mentionné, l'alliance « Better Than Cash » n'est qu'un vairon dans les mers de l'influence politique, mais lorsque l'on étudie ces sujets, les mêmes conclusions émergent. Cet être; des projets flashy qui ont fière allure sur un site Web sont présentés par des institutions internationales bien financées pour couvrir leurs véritables agendas. Les Africains à l'air heureux utilisant un téléphone intelligent sont mis en avant d'une campagne et une belle statistique sur le nombre de femmes autonomisées par un projet fait le gros titre. Mais lorsque nous explorons les membres, les fondements et les origines de ces programmes, ils sont souvent soutenus par les mêmes quelques groupes, sociétés et institutions financières. Il s'agit en quelque sorte d'un bouclier humanitaire permettant à des intérêts particuliers de mener à bien leurs activités malveillantes.
Ici, nous avons présenté un débat sur les arguments fondamentaux pour et contre l'argent liquide. Mais il est exprimé dans les récits internationaux et les tendances historiques que nous ne devons pas ignorer. "Alors que nous nous précipitons pour récolter les bénéfices des paiements numériques", comme le dit l'organisation sœur de "Better Than Cash" , nous ne devons pas laisser tomber le vrai débat politique. À mon avis, cela permet de poser des rails de contrôle permanents des paiements. Et qu'une fois la voie ferrée posée, il sera difficile pour les plus pauvres du monde de changer de voie. Ce n'est pas seulement grâce à l'argent que nous et eux pouvons affirmer leur liberté. Mais la guerre contre l'argent est quelque chose que nous devrions creuser et garder à l'esprit lorsque nous évaluons les affaires économiques.
Pour terminer, j'équilibrerai la citation d'ouverture avec celle de 2017 du PDG de Visa , un autre partenaire fondateur de l'initiative « Better Than Cash » :
"Nous nous concentrons sur le retrait d'argent des affaires."
Ne vous prosternez pas devant un gouvernement dictatorial. L'Amérique est une prison déguisée en paradis
PAR TYLER DURDEN JEUDI 16 FÉVRIER 2023 - 05:45 Rédigé par John & Nisha Whitehead via The Rutherford Institute,
« Si tout ce que veulent les Américains, c'est la sécurité, ils peuvent aller en prison. Ils auront de quoi manger, un lit et un toit au-dessus de leur tête. Mais si un Américain veut préserver sa dignité et son égalité en tant qu'être humain, il ne doit pas s'incliner devant un gouvernement dictatorial. - Président Dwight D. Eisenhower
Le gouvernement veut que nous nous soumettions à ses diktats
Il veut que nous achetions dans le fantasme que nous vivons le rêve, alors qu'en fait, nous sommes piégés dans un cauchemar sans fin de servitude et d'oppression.
En effet, chaque jour qui passe, la vie dans l'État policier américain ressemble de plus en plus à la vie dans la série télévisée dystopique The Prisoner.
Diffusé pour la première fois il y a 55 ans aux États-Unis, The Prisoner – décrit comme « James Bond rencontre George Orwell filtré par Franz Kafka » – abordait des thèmes de société toujours d'actualité : la montée d'un État policier, la perte de liberté, -la surveillance de l'horloge, la corruption du gouvernement, le totalitarisme, la militarisation, la pensée de groupe, le marketing de masse et la tendance des êtres humains à accepter docilement leur sort dans la vie en tant que prisonniers dans une prison de leur propre fabrication.
Peut-être le meilleur débat visuel de tous les temps sur l'individualité et la liberté, The Prisoner est centré sur un agent secret britannique qui démissionne brusquement pour se retrouver emprisonné dans une prison virtuelle déguisée en paradis balnéaire avec des parcs et des champs verts, des activités récréatives et même un majordome.
Bien que luxueux, les habitants du Village n'ont pas de véritable liberté, ils ne peuvent pas quitter le Village, ils sont sous surveillance constante, tous leurs déplacements suivis par des drones militarisés, et dépouillés de leur individualité afin qu'ils ne soient identifiés que par des chiffres.
"Je ne suis pas un nombre. Je suis un homme libre », est le mantra chanté dans chaque épisode de The Prisoner, qui a été en grande partie écrit et réalisé par Patrick McGoohan, qui a également joué le rôle-titre de Number Six, l'agent du gouvernement emprisonné.
Tout au long de la série, Number Six est soumis à des tactiques d'interrogatoire, à la torture, à des drogues hallucinogènes, au vol d'identité, au contrôle de l'esprit, à la manipulation des rêves et à diverses formes d'endoctrinement social et de coercition physique afin de le "persuader" de se conformer, d'abandonner, de céder. et se soumettre à la volonté des pouvoirs en place.
Numéro Six refuse d'obtempérer.
Dans chaque épisode, Number Six résiste aux méthodes d'endoctrinement du Village, lutte pour maintenir sa propre identité et tente d'échapper à ses ravisseurs. "Je ne conclurai aucun accord avec vous", remarque-t-il ostensiblement au numéro deux, l'administrateur du village, alias le directeur de la prison. « J'ai démissionné. Je ne serai ni poussé, ni classé, ni tamponné, ni indexé, ni débriefé, ni numéroté. Ma vie m'appartient. »
Pourtant, peu importe jusqu'où Number Six parvient à aller dans ses efforts pour s'échapper, ce n'est jamais assez loin.
Surveillées par des caméras de surveillance et d'autres appareils, les tentatives d'évasion de Number Six sont continuellement contrecarrées par d'inquiétantes sphères blanches ressemblant à des ballons appelées "rovers".
Pourtant, il refuse d'abandonner.
"Contrairement à moi", dit-il à ses codétenus, "beaucoup d'entre vous ont accepté la situation de leur emprisonnement, et mourront ici comme des choux pourris."
Les évasions de Number Six deviennent un exercice surréaliste de futilité, chaque épisode étant un jour de la marmotte peu drôle et troublant qui aboutit au même dénouement frustrant: il n'y a pas d'échappatoire.
Comme le conclut le journaliste Scott Thill pour Wired, « La rébellion a toujours un prix. Au cours de la série acclamée de The Prisoner, Number Six est torturé, battu et même arraché au corps: dans l'épisode «Ne m'abandonnez pas, oh mon chéri», son esprit est transplanté dans le corps d'un autre homme. Le numéro six s'échappe à plusieurs reprises du village pour y être finalement renvoyé, piégé comme un animal, submergé par une énergie agitée qu'il ne peut pas dépenser et trahi par presque tout le monde autour de lui.
La série est une leçon effrayante sur la difficulté de gagner sa liberté dans une société dans laquelle les murs des prisons sont déguisés sous les pièges apparemment bienveillants du progrès technologique et scientifique, de la sécurité nationale et de la nécessité de se prémunir contre les terroristes, les pandémies, les troubles civils, etc.
Comme l'a noté Thill, "Le prisonnier était une allégorie de l'individu, visant à trouver la paix et la liberté dans une dystopie déguisée en utopie."
Le Prisoner's Village est également une allégorie appropriée de l'État policier américain, qui se transforme rapidement en un État de surveillance à part entière : il donne l'illusion de la liberté tout en fonctionnant comme une prison : contrôlé, vigilant, inflexible, punitif, meurtrier. et incontournable.
L'État américain de surveillance, tout comme The Prisoner's Village, est un panoptique métaphorique, une prison circulaire dans laquelle les détenus sont surveillés par un seul gardien situé dans une tour centrale. Parce que les détenus ne peuvent pas voir le gardien, ils sont incapables de dire s'ils sont surveillés ou non à un moment donné et doivent procéder en supposant qu'ils sont toujours surveillés.
Le théoricien social du XVIIIe siècle, Jeremy Bentham, envisageait la prison panoptique comme un moyen moins coûteux et plus efficace «d'obtenir le pouvoir de l'esprit sur l'esprit, en une quantité jusqu'ici sans exemple».
Le panoptique de Bentham, dans lequel les prisonniers sont utilisés comme une source de main-d'œuvre bon marché et subalterne, est devenu un modèle pour l'État de surveillance moderne dans lequel la population est constamment surveillée, contrôlée et gérée par les pouvoirs en place tout en finançant son existence. .
Nulle part où fuir et nulle part où se cacher : tel est le mantra des architectes de l'État de surveillance et de leurs collaborateurs corporatifs.
Les yeux du gouvernement vous regardent.
Ils voient chacun de vos mouvements : ce que vous lisez, combien vous dépensez, où vous allez, avec qui vous interagissez, quand vous vous réveillez le matin, ce que vous regardez à la télévision et ce que vous lisez sur Internet.
Chaque mouvement que vous faites est surveillé, extrait des données, analysé et tabulé afin d'établir un profil de qui vous êtes, de ce qui vous motive et de la meilleure façon de vous contrôler quand et s'il devient nécessaire de vous mettre en ligne.
Lorsque le gouvernement voit tout et sait tout et dispose d'une abondance de lois pour faire du citoyen le plus honnête un criminel et un hors-la-loi, alors le vieil adage selon lequel vous n'avez rien à craindre si vous n'avez rien à cacher n'est plus s'applique.
Outre les dangers évidents posés par un gouvernement qui se sent justifié et habilité à espionner son peuple et à utiliser son arsenal d'armes et de technologies en constante expansion pour le surveiller et le contrôler, nous approchons d'un moment où nous serons obligés de choisir entre s'incliner devant les diktats du gouvernement - c'est-à-dire la loi, ou tout ce qu'un fonctionnaire du gouvernement considère comme la loi - et maintenir notre individualité, notre intégrité et notre indépendance.
Lorsque les gens parlent de vie privée, ils supposent à tort qu'elle ne protège que ce qui est caché derrière un mur ou sous les vêtements. Les tribunaux ont favorisé ce malentendu avec leur délimitation constamment changeante de ce qui constitue une « attente en matière de vie privée ». Et la technologie a encore brouillé les eaux.
Cependant, la vie privée est bien plus que ce que vous faites ou dites derrière des portes verrouillées. C'est une façon de vivre sa vie en croyant fermement que vous êtes le maître de votre vie et en excluant tout danger immédiat pour une autre personne (ce qui est très différent des menaces soigneusement conçues contre la sécurité nationale que le gouvernement utilise pour justifier ses actions) , ce que vous lisez, ce que vous dites, où vous allez, avec qui vous passez votre temps et comment vous dépensez votre argent ne regarde personne.
Malheureusement, le 1984 de George Orwell – où « vous deviez vivre – vivait, par habitude devenue instinctive – dans l'hypothèse que chaque son que vous produisiez était entendu et, sauf dans l'obscurité, chaque mouvement scruté » – est maintenant devenu notre réalité.
Nous nous trouvons maintenant dans la position peu enviable d'être surveillés, gérés, encerclés et contrôlés par des technologies qui répondent aux dirigeants du gouvernement et des entreprises.
Considérez que chaque jour, l'Américain moyen vaquant à ses occupations quotidiennes sera surveillé, surveillé, espionné et suivi de plus de 20 façons différentes, par les yeux et les oreilles du gouvernement et des entreprises.
Un sous-produit de cette nouvelle ère dans laquelle nous vivons, que vous traversiez un magasin, conduisiez votre voiture, consultiez vos e-mails ou parliez au téléphone avec vos amis et votre famille, vous pouvez être sûr qu'une agence gouvernementale écoute et suit ton comportement.
Cela ne commence même pas à toucher aux trackers d'entreprise qui surveillent vos achats, votre navigation sur le Web, vos publications sur Facebook et d'autres activités se déroulant dans la cybersphère.
Des appareils Stingray montés sur des voitures de police pour suivre sans garantie les téléphones portables, des appareils radar Doppler qui peuvent détecter la respiration humaine et les mouvements à l'intérieur d'une maison, des lecteurs de plaques d'immatriculation qui peuvent enregistrer jusqu'à 1800 plaques d'immatriculation par minute, des caméras de trottoir et «d'espace public» couplées avec la reconnaissance faciale et la technologie de détection du comportement qui jettent les bases des programmes policiers "pré-crime", les caméras du corps de la police qui transforment les policiers en caméras de surveillance itinérantes, l'internet des objets : toutes ces technologies (et plus) s'ajoutent à une société où il y a peu de place pour les indiscrétions, les imperfections ou les actes d'indépendance - surtout pas lorsque le gouvernement peut écouter vos appels téléphoniques, lire vos e-mails, surveiller vos habitudes de conduite, suivre vos déplacements, scruter vos achats et regarder à travers les murs de ta maison.
Comme le concluait le philosophe français Michel Foucault dans son livre de 1975 Surveiller et punir, « La visibilité est un piège ».
C'est le camp de concentration électronique - la prison panoptique - le Village - dans lequel nous sommes maintenant enfermés.
Comme je l'explique clairement dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries, jusqu'à ce que vous acceptiez le fait que le gouvernement est le problème (quel que soit le parti qui domine), vous Je ne cesserai jamais d'être prisonnier.
Regardez: Klaus Schwab appelle le gouvernement mondial à «maîtriser» les technologies de l'IA
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 15 FÉVRIER 2023 - 18:04 Écrit par Steve Watson via Summit News,
L'archimondialiste Klaus Schwab a appelé les élites à se rassembler à l'échelle mondiale afin de "maîtriser" les technologies de pointe, les avertissant que si elles n'agissent pas rapidement, le monde pourrait "échapper à notre pouvoir".
Oui vraiment. Le gars ne se retient pas.
Le fondateur du Forum économique mondial s'exprimait lors d'un rassemblement à Dubaï pas si subtilement intitulé le Sommet mondial du gouvernement.
Schwab a évoqué les "technologies de la quatrième révolution industrielle" et a déclaré "Qui maîtrise ces technologies - d'une certaine manière - sera le maître du monde".
"Dans dix ans, nous serons complètement différents", a déclaré Schwab, ajoutant "Ma profonde préoccupation est que [avec] les technologies #4IR, si nous ne travaillons pas ensemble à l'échelle mondiale, si nous ne formulons pas, façonnons ensemble le politiques nécessaires, ils échapperont à notre pouvoir de maîtriser ces technologies.
Schwab est obsédé par l'IA et d'autres technologies de pointe et a déjà prédit que "ce à quoi la quatrième révolution industrielle mènera, c'est une fusion de nos identités physique, numérique et biologique".
Klaus Schwab : Une grande réinitialisation « conduira à une fusion de notre identité physique, numérique et biologique »
Schwab soutient également ouvertement quelque chose que les médias prétendent encore être uniquement un domaine de discussion pour les théoriciens du complot, à savoir «des micropuces implantables actives qui brisent la barrière cutanée de notre corps».
Le Forum économique mondial suggère qu'il existe des raisons "solides et rationnelles" pour que les enfants soient micropucés
La lente et silencieuse privatisation de l’enseignement en France
le 16 février 2023
Alors que le budget consacré à l’éducation nationale française ne cesse de progresser un phénomène totalement ignoré des médias de grand chemin suit son cours. Il s’agit du développement spectaculaire d’un organisme d’origine italienne devenu bien français aujourd’hui qui rachète des participations dans les écoles privées nouvellement créées par des transfuges de l’Education nationale ayant subi les contraintes administratives ubuesques de cet organisme tentaculaire devenu tellement gigantesque qu’il est devenu incapable de procéder à un « dégraissage du mammouth » comme l’avait suggéré un ancien ministre de l’Education et de la Recherche française lourdement pénalisé par la gauche française de l’époque, le géophysicien de réputation mondiale Claude Allègre.
Mais c’est de l’histoire et l’actualité concerne un organisme peu connu de ces médias de grand chemin, il s’agit de Galileo Global Education (GGE). Devant l’expansion rapide des écoles privées après leur création, environ 15 écoles de ce type sont créées chaque année en France, celles-ci sont rapidement à la recherche de capitaux pour investir dans leur expansion et le recrutement d’enseignants de haut niveau international. GGE se propose alors de prendre une participation dans ces dernières et ainsi cet organisme gère maintenant 57 écoles sur 106 campus répartis dans 15 pays. Chaque année plus de 200000 élèves fréquentent des établissements gérés par cet organisme et ces chiffres sont en constante augmentation. En France plus de 20 % des étudiants ont opté pour cette formule de l’enseignement privé dans des domaines aussi variés que les arts, la gestion, l’économie, le droit et … la médecine. Les sciences dites « dures » ne sont pas (encore) représentées significativement. Et pour cause, les mathématiques pourraient aisément être enseignées par des instituts privés mais la physique et la chime requièrent de lourds investissements pour être enseignées correctement.
GGE peaufine sa réputation en ayant pris récemment une participation dans le groupe EM Lyon (écoles de commerce) son implantation s’intensifie tant en France qu’à l’étranger comme par exemple la faculté de médecine du Costa-Rica. Martin Hirsch, ancien directeur de l’AP-HP vient d’intégrer GGE. Il est vrai que l’actionnaire principal de cet organisme est le fond de pension des retraités canadiens CPP Investments, mais également la BPI, banque publique d’investissement, entité de l’Etat gérée par la Caisse des Dépôts et Consignations. En France les établissements scolaires affiliés à GGE ont trouvé un gâteau de choix pour promouvoir leur image. Il s’agit du très controversé système ParcourSup ( https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F23476 ) dont l’idéologie, en bref, est de rajouter une couche au nivellement social par le bas, le grand rêve de la gauche française qui a produit les désastres que l’on connait. Cette usine à gaz n’oriente pas mais sélectionne les futurs étudiants et les organismes d’enseignement privés sont tout simplement ignorés par ParcourSup. L’article du quotidien en ligne Libération publié le 13 février 2023 sous la plume de Marie Piquemal dont ce billet s’est inspiré insiste sur quelques travers de GGE, la recherche du profit étant l’élément essentiel de cet organisme. Cependant il faut reconnaître que la quasi faillite du système éducationnel français, il suffit d’analyser le classement PISA de la France, est le fer de lance de la promotion de GGE. Le système français est figé depuis la mise en place de lois stupides comme l’école obligatoire jusqu’à 16 ans. Beaucoup de pays comme la Suisse, l’Allemagne ou encore le Japon et la Corée sélectionnent les élèves dès l’âge de 14 ans et l’apprentissage en entreprise est proposé à tous les collégiens incapables d’ingurgiter des matières qui les repoussent, le système français créant ainsi une masse de chômeurs qui se retrouveront ensuite dans des universités pour fumer des joints … alors que l’industrie peine à trouver des personnels qualifiés.
Pour conclure ce billet je voudrais relater le cas d’un ami boulanger. Il avait acquis son savoir-faire comme apprenti chez un maître boulanger, la voie normale pour produire du bon pain. Un jour il est devenu allergique à la farine et il s’est soumis à un nouvel apprentissage pour devenir menuisier. Fort heureusement il n’est pas devenu allergique à la sciure de bois. Cet exemple illustre clairement que l’apprentissage peut être suivi à tous âges et qu’une personne destinée à un travail manuel peut faire ce choix sans pour autant de sentir dévalorisée dans la société. À l’ère d’un monde informatisé l’artisanat reste nécessaire pour la survie de la société et restera encore longtemps irremplaçable. Je remercie la personne qui m’a communiqué cet article dont est issue l’illustration n’étant pas moi-même un lecteur du quotidien Libération.
La chose la plus proche d'une glacière était une boîte en métal dans le sol de la cuisine. Il avait un couvercle très étanche et servait à conserver le lait, les œufs et le beurre pendant un jour ou deux. Le beurre était fortement salé à l'extérieur pour l'empêcher de rancir ou de fondre. Le babeurre, le fromage cottage et le fromage ordinaire étaient fabriqués à partir de lait cru après avoir été collectés pendant un jour ou deux. La boîte était relativement fraîche en été et ne gelait pas en hiver.
Les souris et les rats aiment l'humanité parce que nous gardons notre environnement au chaud et avons tendance à négliger la nourriture qu'ils aiment. Les serpents adorent les rats et les souris, ils étaient donc toujours là. Si les enfants allaient jouer dehors, ils surveilleraient la zone avec une houe et une pelle. Après avoir tué et éliminé les serpents à sonnettes - il y en avait toujours au moins un - ils pouvaient alors jouer pendant un certain temps en toute sécurité.
Les souris et les rats étaient contrôlés par des pièges, des pierres de fronde, des chats et des coyotes. Les chats avaient une vie dure et généralement courte à cause des coyotes. Les coyotes étaient à peine maîtrisés et semblaient pouvoir sentir les armes à feu à distance. Il y avait des gens qui chassaient les nombres sans fin pour la prime.
Une fois les corvées terminées, l'imagination active des enfants a été utilisée dans leur jeu. Ils n'avaient pas beaucoup de jouets. Il y avait quelques poupées pour les filles, un couteau de poche et des billes pour le garçon, et tout un tas de vides à remplir. Les veaux de boucherie de leur père étaient assez doux au moment où ils ont été vendus au marché - les enfants les montaient régulièrement. (Pas beaucoup de graisse sur ces mollets mais beaucoup de muscles.) Ils cherchaient des pointes de flèches, des lézards et des fleurs sauvages. La cerise de Virginie, la baie de bison, la groseille à maquereau et les groseilles ont été cueillies pour la gelée et les sirops. Parfois, les enfants faisaient du vin de cerise de Virginie.
Par une chaude journée d'été dans l'après-midi, l'ombre du côté est de la maison était précieuse et le vent d'est, s'il venait, encore plus. Les adultes détestaient les tempêtes de grêle à cause de la destruction, les enfants les aimaient parce qu'ils pouvaient ramasser la grêle et faire de la crème glacée.
L'accouchement se faisait généralement chez un voisin avec une sage-femme si vous aviez de la chance. Si vous tombiez malade, vous étiez traité avec du thé au gingembre, du miel, de la soupe au poulet ou du soufre et de la mélasse. L'huile de ricin était également utilisée régulièrement. Les blessures étaient nettoyées avec du savon et désinfectées avec du whisky. Les cataplasmes à base de moutarde étaient souvent utilisés pour une variété de maux. La térébenthine, la moutarde et le saindoux étaient appliqués sur la poitrine en cas de pneumonie ou de toux sèche.
Le contact avec le monde extérieur consistait en un voyage occasionnel en ville pour s'approvisionner à l'aide d'un chariot et d'une équipe. Une radio à piles était utilisée avec parcimonie le soir. Une batterie de voiture rechargeable a été utilisée pour l'alimentation. L'école était à six milles à pied dans un sens et tu apportais ton propre déjeuner. Un enseignant mettait régulièrement des pommes de terre sur la cuisinière pour les faire cuire et les partageait avec les enfants. Elle était très appréciée des enfants et des parents.
Ces personnes étaient habituées à un nombre limité d'interactions sociales. Ils n'étaient habitués à aucune télévision, radio ou divertissement extérieur. Ils étaient habitués à n'avoir que trois ou quatre livres. Un joueur de violon ou de guitare pour un pique-nique ou une danse était une chose merveilleuse à apprécier. L'église était une occasion sociale aussi bien que religieuse. Les dames de l'église et leur argent du beurre et des œufs ont permis à la plupart des églises rurales d'être construites et de prospérer.
Les hommes étaient tenus de faire le gros travail, mais les dames l'ont fait se réunir. La civilisation de l'Occident est née de ces racines. Certaines de ces dames avaient des épines d'acier. Ils en avaient besoin. C'est une histoire partielle des années familiales. Les gens étaient très indépendants, têtus et forts mais avaient toujours besoin de la communauté et de l'accès à la technologie du monde extérieur pour le sel, le sucre, la farine, les épices, la nourriture pour poulets, le tissu, le kérosène pour les lumières et bien sûr le café. Il y a bien d'autres choses que je pourrais énumérer. Auraient-ils pu trouver une alternative si quelque chose n'était pas disponible ? Peut être. Comment obtiendriez-vous du sel ou des nitrates au Montana sans importer ? Est-ce que quelqu'un sait comment faire du kérosène ? Le café serait évalué comme l'or. Le grain rôti ou la chicorée ne l'ont tout simplement pas coupé.
L'un des plus grands avantages que nous avons est l'accès à une énorme quantité d'informations sur notre monde, comment les choses fonctionnent et tout dans nos vies. Nous devons être assez intelligents pour apprendre/comprendre autant que possible et stocker des références pour tout le reste. Certains d'entre nous ne dorment pas bien la nuit car nous sommes bien conscients de la fragilité de notre société et de notre infrastructure technologique. Essayer de vivre la vie du homesteader serait très douloureux pour la plupart d'entre nous. Je préférerais ne pas. J'espère et je prie pour que cela n'arrive jamais. Combien de temps nous faudrait-il pour reconstruire les outils de récupération aux niveaux du début des années 1900 ? Haricots? Il y avait presque toujours un pot de haricots sur la cuisinière en hiver. Des poulets et quelques vaches laitières ont fourni la nourriture nécessaire pour équilibrer le garde-manger. Ils n'auraient pas pu subvenir aux besoins d'une famille grandissante sans ces deux ressources.
Alors faites attention parce que cette vidéo va changer votre vie pour toujours pour le bien !
Le Mexique assouplit l'interdiction du maïs GM, mais les États-Unis restent déçus
16 Février 2023 AGDAILY reporters*
Enfin, des progrès sur l'interdiction du maïs génétiquement modifié au Mexique. Hier [13 février 2023], le président mexicain Andrés Manuel López Obrador a assoupli sa position sur l'interdiction du maïs génétiquement modifié en provenance des États-Unis, suite aux pressions de l'administration Biden.
Mais, les États-Unis disent que ce n'est pas suffisant. « Les États-Unis croient et adhèrent à un système commercial fondé sur la science et les règles et restent déterminés à empêcher les perturbations du commerce agricole bilatéral et les dommages économiques causés aux producteurs américains et mexicains », a déclaré le Secrétaire à l'Agriculture Tom Vilsack dans un communiqué.
Selon Reuters, le président mexicain a publié lundi un décret gouvernemental éliminant la date limite de janvier 2024 pour l'interdiction du maïs génétiquement modifié pour l'alimentation animale et l'utilisation industrielle.
Cependant, l'interdiction des céréales destinées à la consommation humaine restera en place. Cela comprendra le maïs GM destiné à la consommation humaine, y compris la farine, la pâte ou les tortillas fabriquées à partir de maïs modifié. L'interdiction ne concerne pas le maïs utilisé pour des produits tels que les cosmétiques, les textiles et le papier.
Ce que le décret maintient, c'est une révocation des autorisations et des permis d'importation, de production, de distribution et d'utilisation de l'herbicide glyphosate. Une période de transition sera en vigueur jusqu'au 31 mars 2024.
En outre, la COFEPRIS (Comisión Federal para la Protección contra Riesgos Sanitarios) mènera des études pour examiner les impacts que le maïs GM pourrait avoir sur la santé humaine.
Le Mexique est le deuxième marché d'exportation des États-Unis pour le maïs. Le Mexique achète actuellement aux États-Unis environ 17 millions de tonnes de maïs jaune GM pour l'alimentation animale. Parallèlement, environ 18 à 20 % du maïs que le Mexique importe des États-Unis est du maïs blanc. La question a mobilisé l'administration du président Joe Biden et les responsables politiques des États producteurs de maïs, qui craignent une perturbation de l'Accord Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM).
Bloomberg rapporte que le ministère mexicain de l'économie a déclaré que le nouveau décret « ne représente aucun impact sur le commerce ou les importations, entre autres raisons parce que le Mexique est largement autosuffisant dans la production de maïs blanc exempt de transgéniques ».
« Le fait d'isoler le maïs – notre principale exportation agricole vers le Mexique – et de précipiter l'interdiction d'importation de nombreux produits de qualité alimentaire fait de l'ACEUM une lettre morte, à moins qu'il ne soit appliqué », a déclaré Tom Haag, président de la National Gorn Growers' Association. ____________
* Source : Mexico loosens ban on GM corn, but U.S. still disappointed | AGDAILY
Est-il bien utile de faire inscrire la baguette de pain au patrimoine immatériel de l’UNESCO pour ensuite introduire des grillons dans la farine ?
le 16 février 2023 Christiane Chavane
Après deux ans d’études, l’Union européenne vient d’attribuer un monopole de 5 années à une entreprise vietnamienne (Cricket One) pour l’exportation et la vente en Europe de la poudre de grillon domestique partiellement dégraissée à usage alimentaire.
Ceci suit une première autorisation datant de 2015 pour le ver de farine (tenebrio molitor), la blatte (blattodea), (un insecte poubellivore), et le criquet migrateur (locusta migrans). Selon la FAO environ 1900 espèces d’insectes seraient éligibles à la consommation humaine ou animale et 11 sont en cours d’études.
Ici apparaissent quelques incongruités :
Depuis l’origine de l’agriculture l’Homme a toujours cherché à éliminer les nuisibles et en particulier écarter les insectes de ses cultures car ils causent des dégâts aux récoltes et les rendent impropres à la consommation. Quel étrange paradoxe que de les voir revenir dans nos assiettes.
Ce sont évidemment les partis écologistes qui applaudissent. C’est pourtant parmi eux que se trouvent les plus acharnés, à savoir les vegans et antispécistes. Leur compassion ne va pas jusqu’aux insectes ?
Ces gens veulent des circuits courts. Faire venir de la poudre de grillon du Vietnam ne leur pose pas de problème ?
Depuis quelques temps une propagande bien orchestrée et des coups de sonde médiatiques nous parlent de consommer différemment, d’envisager les insectes, etc., au motif que cela se fait déjà chez certains peuples. Sans doute le pithécanthrope en a t-il consommé quand il n’avait pas le choix. Oui, dans certains pays peu développés, on en consomme. En Asie aussi mais on y mange bien des pangolins ! Et alors ? Faut-il les imiter ?
Est-il bien utile de faire inscrire la baguette de pain au patrimoine immatériel de l’UNESCO pour ensuite introduire des grillons dans la farine ? Et la France qui se vante de sa gastronomie peut-elle accepter une telle dégradation de la qualité de la nourriture ?
Plus curieusement encore l’UE se demande s’il faut étiqueter les aliments – alors que c’est une obligation pour des produits bien moins douteux – , et s’il faut prévenir d’un risque d’allergie. Très peu d’études ont été faites à ce sujet mais on se doute bien que le risque est réel pour ceux qui ne supportent déjà pas les crustacés ou les fruits à coque. Il semble finalement que ce sera étiqueté Acheta Domesticus. Mais cela ne nous aidera pas si nous en avons dans les cantines scolaires, les restaurants d’entreprise, voire dans des restaurants peu scrupuleux. Si en prime ces produits sont utilisés dans l’alimentation du bétail, comment le saurons-nous ?
Rappelons d’abord que nous ne sommes ni des oiseaux ni des grenouilles ou des lézards dont le système digestif est adapté à leur régime à base d’insectes. Pas le nôtre ni celui du bétail. Or la carapace des insectes est constituée de chitine que nous sommes incapables de digérer. On pourrait déchitiniser à coups de solvants organiques et libérer ainsi des polluants dans la nature.
De plus, la chitine est cancérigène et souvent porteuse de parasites et de champignons qui ne vont guère améliorer la qualité nutritive des produits dans lesquels elle sera présente, mais au contraire présenter un risque non négligeable pour la santé.
Pire encore, le grillon contient un taux important de cyanure, de l’ordre de 5 mg/kg, soit au-delà de la dose létale pour l’Homme. Bien entendu les quantités ingérées dans une farine seront faibles mais est-ce bien nécessaire ?
Et cela n’exclut pas en prime la présence de traces de staphylocoques, de E.Coli et quelques autres toxines fort peu souhaitables.
Des contrôles vétérinaires sont-ils prévus sur ces petites bestioles ? Saurons-nous les déparasiter avant de les réduire en poudre ? Qui va s’en assurer ?
À croire que le scandale de la vache folle n’a pas suffi !
Personnellement je me fiche que des hurluberlus mangent des insectes. Puisque les écologistes en demandent, qu’on les distribue dans les magasins bio, ils en feront ce qu’ils veulent du moment qu’ils ne nous les imposent pas. En revanche, le fait de les glisser insidieusement dans un nombre incalculable de préparations et même dans l’alimentation animale est à la fois répugnant et profondément malhonnête.
Pourquoi nous imposer ça ?
Il faut savoir qu’il existe depuis 2015 un certain nombre de startups bien vues des pouvoirs publics et des banquiers toujours prompts à se poser en parangons du green washing. Or ces entreprises qui n’hésitent pas à faire du lobbying auprès de l’UE n’arrivent pas à s’ouvrir un marché. Les amateurs semblent se faire plus rares qu’espéré. Alors ils ont trouvé ce moyen pour écouler leurs marchandises.
Mais pourquoi ce monopole de 5 années sur le criquet domestique pour une entreprise vietnamienne ? Il se trouve que cette entreprise est particulièrement chouchoutée par les investisseurs. Il semble que les deux fondateurs vietnamiens ne soient que les hommes de paille d’un fonds d’investisseurs anonymes.
Avant de donner la liste interminable des ingrédients dans lesquels nous pouvons trouver ces insectes, il convient aussi de se demander si le remplacement d’une partie des farines de céréales par des grillons en poudre est pertinent sur le plan nutritif. Il s’agit de protéines animales ; or les céréales ont une tout autre fonction dans notre organisme. Elles contiennent des glucides et sont utiles pour leur apport en énergie et sont essentielles à notre alimentation. Cela signifie donc que l’ajout de protéines pourra se substituer progressivement à celles que nous consommons avec la viande.
En effet, pourquoi élever des insectes au lieu de laisser faire la nature et laisser les oiseaux et autres animaux insectivores se nourrir en paix ?
Tout simplement parce que sous prétexte que l’élevage de bovins pollue et génère des gaz à effet de serre, les intervenants au Forum de Davos, dont les militants écologistes ne sont que les idiots utiles, veulent les remplacer par des élevages plus faciles qui ne coûtent rien. Business is business. Et puisque vous ne voulez pas en manger, elles seront imposées dans toutes les préparations industrielles.
Il suffit de voir ce qui se passe aux Pays-Bas où le gouvernement veut drastiquement diminuer le cheptel bovin et exproprie des éleveurs. En France même, le cheptel est aussi en train de se réduire pour plusieurs raisons.
Au bout du compte nous arriverons à une viande de grande qualité mais rare et hors de prix, réservée à l’élite autoproclamée. Il restera à ceux que Macron appelle « ceux qui ne sont rien », c’est-à-dire presque tout le monde, à ingurgiter des protéines d’insectes en lieu et place de steaks, sachant que pour avoir la valeur nutritive d’un steak, il faudra beaucoup de grillons cyanurés.
Ensuite on s’étonnera de la chute de l’espérance de vie en Occident, mais finalement ça économisera des retraites !
Liste des produits concernés :
pains, biscuits secs et gressins, barres de céréales, biscuits, confiseries et chocolats – Ça va être compliqué pour le goûter des enfants ; plats surgelés et frais préparés ; produits secs à base de pâtes ; sauces ; produits transformés à base de pommes de terre, de légumineuses et légumes, pizzas et produits à base de pâtes ; lactosérum en poudre ; substituts de viande ; soupes ; préparations à base de farine de maïs ; fruits à coque et oléagineux ; fritures ; viande préparée ; bière.
Même si vous n’êtes pas accro aux produits industriels, il va quand même être difficile de passer à travers.
Ce n'est pas le poison qui tue, c'est la dose. Pourquoi cette incorporation de merdes d'insectes dans l'alimentation humaine ? La merde et la pisse sont des poisons rejetés chaque jour par notre organisme. Si nous en mangions ou si nous en buvions on serait mort. C'est pourquoi est appliquée de force le Plan 'Dépopulation21' par la dictature en place.
Les insectes dans les aliments rendus possibles par l'UE - des dangers pour votre santé
16 février 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Qualifié de manière propagandiste de «nouvel aliment», l'UE autorise initialement l'ajout de toutes sortes d'animaux aux plats cuisinés. Ce serait l'avenir de la nutrition et ils contiendraient tout ce dont vous avez besoin. Voilà pour la propagande. Ce qui est plus vrai, cependant, c'est que ce type d'aliments est déjà fondamentalement malsain et devient encore plus malsain si des insectes sont ajoutés, et peuvent même être dangereux.
La propagande rappelle celle de l'industrie sucrière d'il y a 60 ans, où la graisse était diabolisée et de grandes quantités de sucre étaient promues comme saines. Les conséquences sont le diabète, la démence, les maladies cardiovasculaires et bien plus encore, comme la susceptibilité aux maladies Covid sévères.
Les plats cuisinés sont malsains à bien des égards. Les vitamines et autres micronutriments sont détruits par le traitement et la chaleur, ce qui est inévitable dans la production. Vous n'avez aucun contrôle sur les ingrédients, qui peuvent inclure ce à quoi vous êtes sensible ou allergique. Au moins, le gluten est presque toujours à l'intérieur. Et enfin, chaque étape de traitement réduit le degré d'ordre (entropie négative - voir la 2ème loi de la thermodynamique). La nourriture ne doit pas seulement nous fournir de l'énergie, mais aussi maintenir l'ordre dans le corps et elle peut le faire d'autant plus qu'elle est naturelle et plus l'état d'ordre est élevé.
L a Commission européenne travaille depuis une dizaine d'années pour autoriser l'utilisation d'insectes, de vers et d'autres animaux dans les plats cuisinés. Comme indiqué , en 2018, le règlement (UE) 2015/2238 du Parlement européen et du Conseil du 25 novembre 2015 est entré en vigueur, introduisant le concept de "nouvel aliment" qui comprend également les insectes et leurs parties appartiennent. Parmi les espèces d'insectes les plus couramment utilisées figurent : les vers de farine (Tenebrio molitor), les blattes (Blattodea), les criquets migrateurs (Locusta migrans) auxquels, le 4 janvier 2023, se sont ajoutés les grillons domestiques (Acheta domesticus ) . TKP a été l'un des premiers médias rendu compte du règlement de l'UE. Cela a provoqué une vague d'indignation et a même amené la Commission européenne à s'expliquer.
Les travaux scientifiques sur les dangers des insectes et des vers comme aliments existent depuis longtemps. Henning Rosenbusch est l'auteur de l'étude intitulée "Une évaluation parasitologique des insectes comestibles et de leur rôle dans la transmission des maladies parasitaires aux humains et aux animaux" découverte en 2019. Comme son titre l'indique, il examine le rôle des animaux dans la transmission des parasites. Les résultats sont plutôt effrayants :
«Le matériel expérimental comprenait des échantillons d'insectes vivants (imagine) de 300 fermes familiales et animaleries, dont 75 fermes de vers de farine, 75 fermes de grillons domestiques, 75 fermes de cafards de Madagascar et 75 fermes de criquets migrateurs.
Des parasites ont été détectés dans 244 (81,33 %) des 300 (100 %) élevages d'insectes examinés. Dans 206 (68,67%) des cas, les parasites retrouvés n'étaient pathogènes que pour les insectes ; dans 106 (35,33%) cas, les parasites étaient potentiellement parasitaires pour les animaux et dans 91 (30,33%) cas, les parasites étaient potentiellement pathogènes pour l'homme.
Des perspectives peu édifiantes. La farine de grillon maison est fabriquée dans une usine au Vietnam, par exemple, qui a un sceau d'approbation de l'efsa (Agence européenne de sécurité des aliments), mais ...
Et l'étude montre aussi des dangers :
« Les insectes comestibles sont un réservoir sous-estimé de parasites chez l'homme et l'animal. Nos investigations montrent que ces insectes jouent un rôle important dans l'épidémiologie des parasites pathogènes des vertébrés. Les études parasitologiques réalisées suggèrent que les insectes comestibles pourraient être le vecteur de parasites le plus important pour les animaux domestiques insectivores.
(...)
" Il a été prouvé que les insectes peuvent être un facteur épidémiologique important dans la transmission des maladies bactériennes [3]."
Et comme si cela ne suffisait pas, les politiciens européens et leurs "experts" sont plutôt vagues en ce qui concerne l' allergénicité de la poudre de grillon domestique. Par exemple, il est indiqué que " la consommation d'Acheta domesticus [n'est] pas clairement associée à un certain nombre d'événements anaphylactiques " et que " l'Acheta domesticus contient un certain nombre de protéines potentiellement allergènes" . Néanmoins, il est approuvé et l'on se contente de la mention « Les autorités ont recommandé de poursuivre les recherches sur l'allergénicité d'Acheta domesticus . "
Nous connaissons cette méthode depuis les "vaccins" corona : premièrement, s'il y a des effets secondaires, des dommages et des problèmes, niez-les et, s'il n'y a pas d'autre moyen, nommez une commission "d'experts" pour élaborer des recommandations.
Douce France, ta culture gastronomique avec tous ces produits de terroir et de tradition fout le camp et tant pis pour la santé !
le 17 février 2023 Jean Kircher
Et voilà que de nouveaux ingrédients sont autorisés dans la composition des pains : poudre d’Acheta domesticus (grillons) partiellement dégraissés. Ce joli cadeau de nos instances européennes pour permettre une alimentation plus écocompatible n’est probablement pas vraiment adaptée à nos organismes qui bien qu’étant omnivores nous fera renouer avec les belles époques de famine où le peuple mangeait des racines et des rats…
Plus grave ! Depuis plusieurs années les professionnels de la boulangerie se sont ingéniés à éliminer tous les numéros E autorisés et soumis à déclaration comme les propionates, acidifiants, conservateurs, émulsifiants qui faisaient tache sur les étiquettes.
Pour obtenir des produits clean label les ingrédientistes ont élaboré une machine de guerre pour produire des pains à mie bien alvéolée et des croûtes bien dorées. Pour le goût ils inventent des poudres de perlimpinpin et faux levains qui colorent et aromatisent lesdits pains qui bientôt n’auront plus de pain que le nom…
Le secret : les enzymes
Pour qu’une pâte devienne pain on peut agir sur deux composantes de la farine : l’amidon et le gluten. Le premier qui est un sucre source de gaz carbonique qui agit sur le « gonflement » de la pâte et le deuxième qui devient la structure permettant de retenir la production gazeuse du premier. Un peu comme un ballon : l’enveloppe permet de retenir l’air insufflé.
Les pains modernes ont donc soit ajouté du gluten au mélange en corrigeant par des émulsifiants (E471-E472 par exemple) soit corrigé l’activité enzymatique. Cette dernière est dépendante de la qualité du blé qui contient naturellement des enzymes (alpha, bêta amylases par exemple) mais de qualité variable car dépendantes des sols, de la technique de culture, de la pluviosité, du climat etc. Donc nos petits chimistes bricoleurs ont cultivé des enzymes fongiques OGM à forte activité. De plus, ils ont également bricolé des enzymes bactériennes qui ont la particularité de résister à la chaleur et donc ne sont pas tuées pendant la cuisson du pain. Ces dernières vont donc se retrouver dans nos estomacs avec des conséquences encore non identifiées.
Le monde du lait et des fromages notamment pasteurisés utilise cette technique des enzymes depuis bien longtemps et il n’est pas étonnant que nous n’ayons plus aucun fromage français dans le top ten mondial…
De même les vignerons s’amusent également à bricoler des enzymes…
Les allergies alimentaires ont de beaux jours devant elles…
Le scandale dans toute cette affaire c’est que nos penseurs européens (et français) ne songent pas un instant à obliger les fabricants à déclarer les enzymes entrant dans la composition de leurs produits.
Douce France, ta culture gastronomique avec tous ces produits de terroir et de tradition fout le camp et tant pis pour la santé !
Comme pour les vers et les chenilles la bestiole contient dans son corps plus de merde que de cervelle (minus ministrius) c'est ce qui fait la saveur du discours (punaisus fabricatus de merdus) nommé E-666merdus.
La même chose aux États-Unis au début de la Seconde Guerre mondiale, qui a commencé pour eux en 1941 ; il y avait de la création d'emplois et c'était le moyen de sortir de la Grande Dépression sous le président Roosevelt. Mais cette guerre (faisant référence à une troisième guerre mondiale) n'est pas du même type ; c'est une guerre de haute technologie, pas une guerre d'assemblage ou de fabrication de matériel militaire . La guerre du Viet Nam a créé des emplois, tout comme la guerre de Corée. Cette guerre est une guerre caractérisée par un système d'armes très sophistiqué, employant une main-d'œuvre scientifique très avancée, des ingénieurs et autres… »
"... tout étudiant de première année sait que si vous imposez des mesures d'austérité au niveau national et mondial - comme proposé lors des réunions du G-20 et également sous les auspices de la Banque internationale des règlements, qui représente les banques centrales -, il y a une sorte de consensus que pour résoudre la crise, nous devons mettre en œuvre des mesures d'austérité, que les mesures d'austérité ne sont pas une solution, mais une cause de la crise. Réduire le budget, réduire les dépenses, réduire le crédit aux petites et moyennes entreprises en même temps augmente les niveaux de chômage et réduit les salaires. C'est le cas dans la plupart des pays européens.
« L'Espagne et le Portugal ont des taux de chômage supérieurs à 20 %, officiellement ; la question clé ici est que la solution proposée, non seulement au niveau national, mais dans tous les pays, prononcée par le consensus néolibéral, est que nous devons mettre en œuvre des mesures d'austérité… »
"... mais la stagnation de l'économie civile causée, en premier lieu, à cause du transfert de richesse, pas seulement ces dernières années mais disons depuis le début des années 1980, quand a commencé la soi-disant ère des politiques néolibérales qui a également conduit à la stagnation de l'économie civile […] si on parle des États-Unis, ces mesures ont été mises en place à la fin de l'administration Bill Clinton […] le Financial Services Modernization Act, mais ils ont créé un système financier qui n'est pas régulé , et qui se livre, dirons-nous, à des activités semi-illégales. D'une certaine manière, c'est la criminalisation de l'appareil financier, et ce n'est pas seulement un mot que j'utilise, de nombreux analystes, dont le Wall Street Journalon parle de la criminalisation, car il y a eu des fraudes financières ces dernières années, et ceux qui ont commis ces fraudes ne sont pas punis.
« … une crise économique, à mon avis la pire de l'histoire, sans précédent, pas même les années 1930, qui était une crise très localisée, pas une crise globale en tant que telle, elle avait une dynamique dans certains pays et régions du monde. "
« La situation en Haïti est également liée à un projet d'appropriation des ressources […] la situation humanitaire […] permet aux capitaux d'accéder aux ressources minérales et aux potentielles ressources pétrolières de la région. […] Je ne dis pas que c'est la seule raison de la militarisation de la région. L'autre est le trafic de drogue.
« … il y a des objectifs géographiques, géopolitiques et de ressources […] mais aussi le trafic de drogue, car c'est une source très importante de profits pour le capital.
« … il y a deux axes dans le commerce mondial de la drogue, l'un est l'Afghanistan et le Pakistan, qui représente le commerce de l'héroïne, et l'autre est la Colombie, le Pérou, la Bolivie. Le transfert passe par Haïti et d'autres pays des Caraïbes vers le marché américain. […] L'Afghanistan est un pays extrêmement riche, il produit annuellement environ 200 milliards de dollars de revenus provenant de l'exportation d'héroïne, du moins selon mes estimations. Depuis que les forces américaines sont entrées en Afghanistan, la production d'héroïne a été multipliée par 30. Eh bien, je m'égare.
« La militarisation de la région et les opérations en Équateur, une puissance pétrolière, le Venezuela, une puissance pétrolière, le Mexique est aussi une puissance pétrolière. Ce sont tous des pays qui ont un rôle stratégique dans la géopolitique de l'économie américaine. ”
« Un étudiant : je suis étudiant à la faculté des sciences économiques… »
« Ma question est la suivante : la mondialisation telle qu'elle a été vendue, telle que présentée par les pays dits développés, est-elle actuellement viable ou existe-t-il d'autres alternatives, comme des modèles d'intégration ?
"Merci."
« Michel Chossudovsky : Ce n'est certainement pas viable.
La mondialisation, telle que définie par les centres de pouvoir n'est pas viable. C'est peut-être viable pour un secteur, une minorité sociale qui s'enrichit, mais cela conduit à l'appauvrissement, et c'est maintenant très bien documenté. Cela fait partie d'un processus qui a affecté les pays en développement au cours des 30 dernières années. Vous pouvez voir les conséquences dans les pays voisins, l'appauvrissement qui existe au Brésil, au Mexique, au Pérou, un produit de ce modèle destructeur. […] De nombreux pays ont présenté des modèles de développement différents, comme dans le cas de la Yougoslavie.
« … La Yougoslavie avait un système socialiste, une économie de marché, une économie mixte avec un niveau de vie élevé, des services sociaux, une éducation, et qu'ont-ils fait ? Depuis le début des années 1980, il a été complètement détruit et fragmenté en de nombreux pays, une demi-douzaine de pays. Pourquoi? Car la Yougoslavie représentait un modèle, une alternative qui ne leur convenait pas.
« Michel Chossudovsky : Écoutez, à propos de cette soi-disant dynamique de l'économie, le leadership des États-Unis, d'un point de vue économique, ne repose pas sur sa capacité productive […] l'économie industrielle s'est arrêtée depuis 30 ans, il n'y a plus de chaînes de montage, la production a chuté, il y a une économie de services, il y a la question du contrôle de la propriété intellectuelle, il y a une économie d'investissement, il y a une économie où la plupart des biens de consommation viennent de Chine.
« … L'économie américaine est plus grande que celle de la Chine, mais même si elle est plus grande que l'économie chinoise, elle ne produit rien, et le PIB – comme nous le savons tous – est la somme de la valeur ajoutée. Le fait est qu'une grande partie du PIB américain est le résultat d'importations en provenance de Chine.
« La technique est simple. Si vous importez une chemise — et j'utiliserai des prix plus ou moins réels —, une douzaine de chemises de haute qualité coûtent 36 $. Ces chiffres correspondent aux années 1990, puisque ces prix sont encore plus bas de nos jours. […] une belle chemise coûte 3 $ à l'usine ; il est transporté aux États-Unis et il coûte 30 $, 40 $ ou 50 $. Quelle est l'augmentation du PIB américain qui en résulte ? Tandis que 30 $ moins 3 $ équivaut à 27 $ qui s'ajoutent au PIB sans avoir aucune sorte de production […] Cette croissance peut avoir lieu sans aucune production existante ; c'est ainsi que fonctionne un État-nation à économie impériale, la production se fait dans les colonies ou les semi-colonies.
« … La fiction de cette première économie mondiale est basée sur la puissance militaire […] c'est le fait le plus important. Les forces productives aux États-Unis sont très faibles ; nous pouvons en être témoins dans les entreprises qui font faillite, dans les niveaux de chômage, etc.
« Un étudiant : …Je voudrais reconnaître votre position car il est inhabituel pour nous de voir quelqu'un de vos origines critiquer fortement le système capitaliste comme vous l'avez fait. Cela mérite d'être reconnu. »
"Selon le marxisme, il s'agit d'une crise systémique, pas temporaire."
« A votre avis, quelle est la capacité réelle de l'opinion publique mondiale et de l'éventuelle prise de conscience de la population américaine pour éviter un conflit nucléaire, si l'on tient compte de la forte pression exercée par de petits cercles de pouvoir si souvent évoqués ces derniers temps ? fois?"
« Michel Chossudovsky : … Il s'agit d'une crise systémique, même si elle ne peut pas être mesurée à l'aide des lignes directrices énoncées dans Le Capital . La méthodologie marxiste est utile à notre compréhension, car elle est basée sur les conflits de classes, mais la structure d'aujourd'hui est assez différente de celle du milieu du 19e siècle […] en tant qu'économistes, nous ne pouvons pas l'adapter à un modèle, nous devons considérer sa structure institutionnelle nature, la relation entre les activités financières d'une part, les opérations secrètes.
« … La CIA est une entité à Wall Street, une entité majeure […] elle a des joint-ventures avec un grand nombre d'entités financières. […] puisque la CIA peut prévoir les événements, elle peut opérer dans la spéculation du marché… »
« … Décrire cette crise systémique est très important, mais nous devons établir le fonctionnement du capitalisme, sa structure institutionnelle, ses agences secrètes, ses opérations secrètes, tant sur les marchés financiers que dans le contexte géopolitique, la fonction de l'armée, les décisions des les groupes de réflexion à Washington, les entités étatiques, et nous devons également identifier qui sont les acteurs.
« Je pense que votre deuxième question partage un élément commun avec les précédentes ; la nécessité de changer l'opinion publique. Mais ma réponse est qu'il faut briser le consensus qui soutient ce système, qui est un mensonge […] Il existe différents codes de conduite dans les pays capitalistes. Il y a des gens politiquement actifs qui disent habituellement : « Nous faisons une pétition, s'il vous plaît, président Obama, arrêtez la guerre en Afghanistan. Ils ont diffusé ce message sur Internet : « S'il vous plaît, signez notre pétition, nous écrivons une lettre à Obama, etc. Mais tout cela est futile parce que c'est basé sur l'acceptation du consensus, sur l'acceptation du président qui est l'un des facteurs, et nous devons briser cette inquisition.
"... Les gens parlent de l'inquisition espagnole, insensée d'un point de vue historique, mais c'est encore plus insensé, des déclarations du genre : "Nous nous battons contre Ben Laden et vous devez nous rejoindre, sinon vous êtes un terroriste".
« Il y a quelques semaines, le FBI a perquisitionné et arrêté des militants anti-guerre et les a accusés de travailler avec Ben Laden. Cela a été rapporté dans les journaux américains, et cela fait partie de cette dynamique pour changer l'opinion publique, c'est dialectique, il faut renverser et démanteler ce discours qui soutient et légitime la guerre et ce projet économique, ainsi que les mensonges tels que "Le la crise est terminée.
« Vous lisez le Wall Street Journal , vous lisez le journal et il dit : 'La crise prendra fin en janvier 2011', personne ne remet en question cette affirmation, pas même les économistes. Ce rituel d'acceptation, n'est pas basé sur un manque d'information mais plutôt parce que tout le monde l'accepte. Nous devons briser ce rituel d'acceptation du consensus qui découle du pouvoir politique et des marchés financiers.
« Un étudiant : Le développement durable, qui pour moi est totalement incompatible avec la guerre car il n'y a jamais rien eu de plus destructeur que les guerres récentes, non seulement celle qui pourrait avoir lieu, mais toutes les guerres récentes fomentées par les États-Unis.
« …Ils insistent sur l'importance du développement humain, de la valorisation des rôles des régions et territoires locaux. J'aimerais avoir votre avis sur cette question, dans quelle mesure cet objectif est-il réaliste pour nos pays ?
« Michel Chossudovsky : Je suis d'accord avec le véritable objectif de développement durable, mais il faut voir le jeu de mots derrière cet objectif. Cet objectif a été formulé par plusieurs organisations environnementales, telles que Greenpeace, WWF, […] Je ne critique pas ces organisations, mais si vous considérez les sommets organisés sur l'environnement comme le Forum social mondial, les sommets du G-7 par exemple, le G-20, ils ne parlent presque jamais de l'impact de la guerre sur l'environnement. Ils font leurs présentations sur la pollution des villes, le réchauffement climatique, mais les ONG occidentales ne parlent pas de guerre, elles ne parlent pas de l'impact de la guerre sur l'environnement, qui est important.
« J'ai participé aux sommets sociaux jusqu'en 1999. Dès que j'ai évoqué la guerre en Yougoslavie, ils ne m'ont plus invité à y participer. La guerre peut être discutée dans un atelier ou un autre type de réunion, mais ce n'est pas une question abordée lors des débats sur « Un autre monde est possible », pas du tout. Cette sorte d'idée de gouvernance mondiale qui a caractérisé les mouvements sociaux, et je ne les critique pas parce que je pense qu'il y a de très bonnes personnes dans ces groupes, mais ils ont une certaine dynamique et il y a quelque chose dans le leadership de ces organisations qui ne convient pas. […] On ne peut pas avoir un mouvement altermondialiste qui ne se focalise que sur certains aspects, sans tenir compte du contexte géopolitique […] Les États-Unis et leurs alliés… en guerre pendant une grande partie de cette époque, qu'on appelle la poste -période de guerre,
C'est par ces mots que Michel Chossudovsky a conclu sa présentation à l'Université de La Havane, chaleureusement applaudie par les étudiants de la Faculté d'économie, leurs professeurs et les autres personnes qui remplissaient ce jour-là la salle Manuel Sanguily.
Avant que je [Fidel] ne rencontre le professeur Chossudovsky, une coïncidence s'est produite spontanément. Une coïncidence liée à la fois aux risques d'un conflit, qui conduirait inévitablement à une guerre nucléaire mondiale, et à la nécessité de mobiliser l'opinion mondiale face à un danger aussi dramatique.
Aux armes nucléaires s'ajoutent les cyber-armes. Un autre produit de la technologie qui, une fois transféré au secteur militaire, menace de devenir un autre problème sérieux pour le monde.
Les forces armées américaines possèdent quelque 15 000 réseaux de communication et 7 millions d'ordinateurs, comme le rapporte la journaliste Rosa Miriam Elizalde sur le site Cubadebate.
Qualifié d’historique, le programme Iris² de l’Union européenne, qui sera lancé en 2024, ouvre une nouvelle page de la révolution spatiale. Ce dispositif, qui devrait être opérationnel en 2027, développera la connectivité internet par satellite partout dans le monde, pour un coût estimé à 6 milliards d’euros avec la contribution de l’Agence Spatiale Européenne et d’investissements privés.
Par Rolando Grandi le 16 février 2023 à 15h33
Le programme Iris devrait coûter 6 milliards d'euros.
En démocratisant l’accès à l’espace, en réduisant la fracture digitale, l’espace 2.0 connecte aussi les machines et véhicules en haut débit à tout moment sur Terre, sur mer et dans les airs, avec un coût de maintenance des infrastructures de communication moins élevée que l’infrastructure terrestre. Et des applications… infinies.
Un marché ascensionnel
Grâce aux nouvelles technologies spatiales, le "Direct to Device" permet à tout matériel informatique sur Terre de se connecter aux satellites en orbite et d’accéder à l’Internet rapide. L’Europe entre dans la course avec Iris2, mais aussi avec la fusion en cours entre l’opérateur français de satellites Eutelsat et le Britannique OneWeb, spécialisé dans la communication par satellites en orbite basse, qui devrait créer un géant européen de l’internet spatial d’ici fin 2023.
En plein essor, le marché de l'internet spatial est estimé à 16 milliards de dollars à l'horizon 2030. Le marché mondial des services de communication par satellite devrait quant à lui atteindre 141 milliards de dollars et enregistrer un taux de croissance annuel de plus de 7% sur la période2. La raison de cet envol ? Les entreprises multiplient les projets de constellations de satellites en orbite terrestre moyenne ou basse, pour connecter les régions non desservies grâce à un modem satellite, avec un temps de latence réduit3.
Outre-Atlantique, les projets disruptifs s’enchaînent. Starlink, la constellation de SpaceX qui pourrait être introduite en Bourse d’ici 2025, compte déjà plus de 3 500 satellites en orbite basse, sur 44 000 prévus. Le lancement de 54 de ces satellites nouvelle génération, effectué en décembre 2022 par la fusée Falcon 9, préfigure une nouvelle ère pour l’univers des télécoms, qui entre dans une nouvelle dimension.
Les sociétés américaines Iridium4, spécialiste de communication par satellite, et Qualcomm, spécialiste de la conception de solutions de télécommunications, l’ont bien compris. De leur récent partenariat naîtra la première solution satellitaire au monde capable de prendre en charge la messagerie bidirectionnelle, pour activer la messagerie par satellite et les services d'urgence : technologie pour smartphones haut de gamme, Snapdragon Satellite pourra aussi être utilisée sur les voitures ou les ordinateurs. Un partenariat qui ouvre à Iridium un marché adressable bien plus vaste.
Les avancées technologiques spatiales en matière de communication, de navigation, miniaturisation, observation de la Terre fabrication en microgravité réinventent l'usage de l'espace. La double révolution Internet des Objets et Internet haut-débit sera, nous en sommes convaincus, bénéfique à la vie sur Terre. Elle ouvre des opportunités d’investissement inédites, au long cours. Et c’est irréversible.
Comme il y a de plus en plus de tours d'antennes 5G (et 6G bientôt) de détruites sur terre, ils lancent la communication par satellites (peu de gens possèdent des missiles).
FRANCE: La production électrique s’est effondrée en 2022
Les installations du pays n’avaient jamais été aussi peu productives depuis 1992, en raison notamment de l’arrêt de nombreux réacteurs nucléaires.
16 février 2023, 12:40
La France n’avait en 2022 jamais produit aussi peu d’électricité depuis 1992, un record à la baisse qui s’explique en large partie par l’arrêt de nombreux réacteurs nucléaires d’EDF affectés par des problèmes de fissures, a annoncé jeudi le gestionnaire du réseau de transport d’électricité RTE dans son bilan annuel.
«La production totale d’électricité se situe à son plus bas niveau depuis 1992, en raison de la faible production nucléaire et hydraulique», a indiqué RTE, dans un communiqué.
Seulement 62,7 % de l’électricité était d’origine nucléaire l’an dernier, contre 69 % en 2021 et plus de 70 % auparavant en France, qui s’appuie historiquement sur son parc nucléaire pour fournir du courant. Dans l’absolu, jamais aussi peu de térawattheures d’origine nucléaire n’avaient été produits depuis 1988, avant la fin de la construction du parc nucléaire, soit une production de 279 TWh en 2022, bien loin de l’époque où la France en produisait 430 TWh comme en 2005.
Consommation en baisse
Malgré une crise énergétique inédite depuis le choc pétrolier des années 1970, sur fond de tensions d’approvisionnements en lien avec la guerre en Ukraine, «la France a montré sa résilience et sa sécurité d’approvisionnement a été garantie», a déclaré lors d’une conférence de presse Xavier Piechaczyk, président du directoire de RTE. La France a ainsi évité le scénario noir de coupures électriques au cœur de l’hiver, grâce à des importations d’électricité et à la remontée du parc nucléaire en fin d’année, combinées à une baisse de la consommation nationale d’électricité par les ménages et les entreprises.
Par rapport aux valeurs moyennes historiques (2014-2019), la consommation de l’année 2022 a reculé de 4,2 % en 2022, une baisse essentiellement concentrée sur le dernier trimestre.
Martin Sprenger sur la réconciliation Covid : "Political Show"
RépondreSupprimer16 février 2023
par Thomas Oysmuller
Réconciliation corona ? Martin Sprenger ne fait pas confiance au gouvernement pour dialoguer avec les citoyens. Cela a été démenti dès le départ. Au lieu de cela, il s'attend à un spectacle politique mis en scène.
L'expert en santé publique de Graz, Martin Sprenger, était lui-même expert corona pour le gouvernement de Sebastian Kurz jusqu'au printemps 2020. Il a ensuite pris sa retraite, assez peu de temps après avoir déclaré que "100 000 personnes mourraient".
La grande réconciliation ?
Sur sa page Facebook, il commente l'annonce du chancelier Nehammer selon laquelle ils veulent maintenant entamer un "processus de réconciliation". Il s'attend à une autre "politisation et mise en scène supplémentaires":
« ‘La fin de la pandémie corona devrait maintenant être suivie par la grande réconciliation. Le chancelier Karl Nehammer annonce qu'il a l'intention de tendre la main. Un processus de dialogue doit s'engager autour de Pâques, entre experts et citoyens
Je suis donc curieux de savoir comment cela se passera. Après avoir moi-même activement engagé un dialogue avec les citoyens en juin 2022 et pu avoir des discussions avec un total d'environ 3 000 personnes lors de 22 événements - presque complètement ignorés par les médias - je sais à quel point ce dialogue serait important. À quel point ce dialogue aurait été important dès le départ. Dans chaque communauté, chaque vallée, chaque quartier et district. Mais aussi dans chaque institution académique, dans les médias, en fait partout. Les politiciens ont refusé le dialogue depuis le début – mot-clé « contrôle des messages » – et je ne leur fais tout simplement pas confiance pour le dire honnêtement cette fois.
Au lieu de cela, nous connaîtrons davantage de politisation et de mise en scène. Un show politique de "processing", mis en scène par des spin-doctorants et des consultants en communication, avec l'aide de l'ORF et incluant des experts instrumentalisés aux conflits d'intérêts parfois massifs. Je serais très surpris si je me trompais et que cela se passe différemment."
https://tkp.at/2023/02/16/martin-sprenger-zur-covid-versoehnung-politische-show/
Les co-fondateurs de Great Barrington posent dix questions essentielles sur la récupération de Covid
RépondreSupprimer16 février 2023
par Thomas H
Que signifie "traitement Corona" ? De quelles questions une telle réponse a-t-elle besoin ? Les cofondateurs et les premiers partisans de la déclaration de Great Barrington ont formulé dix questions connexes.
La soi-disant pandémie corona touche enfin à sa fin. Les alarmistes les plus ardents perdent de plus en plus de soutien et cherchent de nouveaux champs d'activité. Face aux conséquences désormais visibles et terrifiantes de la propagande alarmiste, de plus en plus de politiciens et d'experts fuient. De nombreuses célébrités de la santé ont réalisé leur erreur et changent de camp. Ceci est documenté, par exemple, dans le blog de la sous-pile Pharmafiles .
Traitement - mais comment ?
C'est l'heure de la révision. Faire face à une soi-disant crise qui ne s'est réellement concrétisée qu'à la suite d'un grand nombre de mauvaises décisions. Dans certains pays, cela a déjà commencé. L'Autriche, en revanche, comme le sait l'histoire, est timide. C'est pourquoi l' Association verte pour les droits fondamentaux et la liberté d'information (anciennement connue sous le nom de Verts contre la vaccination obligatoire et 2G ) a pris l'initiative. Un bulletin d'information distinct est actuellement publié deux fois par semaine, chacun sur un sujet qui doit être abordé dans le bilan. Vous pouvez consulter les articles précédents et vous abonner à la newsletter ici .
Une initiative récemment fondée aux États-Unis, le Norfolk Group , s'est également penchée sur la question. Les huit membres sont également les fondateurs et les premiers partisans de la Déclaration de Great Barrington , ce sont donc de véritables professionnels dans leurs domaines. En plus d'un document principal assez complet, il y a un résumé dans lequel dix questions essentielles pour un examen sont posées. Bien que ceux-ci soient conçus pour la situation aux États-Unis, ils s'appliquent également à l'Autriche avec quelques ajustements.
1) Qu'est-ce qui aurait pu être fait pour mieux protéger les personnes les plus à risque de contracter ou de mourir du Covid-19 ?
2) Pourquoi l'immunité post-infection a-t-elle été largement remise en question, en particulier par le gouvernement et d'éminents experts ? Comment cela a-t-il affecté le cours de la pandémie ?
3) Pourquoi les écoles et les universités ont-elles été fermées alors que l'énorme gradient d'âge de la mortalité Covid était connu très tôt ; il n'y a pas eu de diffusion exceptionnelle dans les écoles ; les énormes dommages causés à l'éducation, à l'éducation et à la santé mentale des enfants et des jeunes ont été signalés dès le début ?
RépondreSupprimer4) Pourquoi presque seul Covid-19 a-t-il reçu plus d'attention au détriment de l'identification et de l'atténuation d'autres problèmes de santé, par ex. B. Dépistage et traitement du cancer, diabète, maladies cardiovasculaires, vaccinations de routine ou santé mentale ?
5) Pourquoi les autorités compétentes n'ont-elles pas réussi à collecter des données et à établir des systèmes de déclaration en temps opportun et de manière appropriée ? Y compris le comportement du virus et les options de traitement, pourquoi était-on dépendant des initiatives privées et des informations de l'étranger ?
6) Pourquoi y a-t-il eu tant d'accent et de confiance dans des modèles épidémiologiques complexes, qui sont par nature peu fiables au milieu d'une pandémie avec des paramètres inconnus et des hypothèses discutables ?
7) Quelles informations les médecins et les agents de santé ont-ils reçus concernant l'efficacité et l'innocuité des divers médicaments ? Des médicaments efficaces étaient-ils facilement disponibles ? Pourquoi certaines drogues sont-elles devenues si politisées ?
8) Pourquoi les aspects critiques des études sur les vaccins (mortalité toutes causes confondues, hospitalisations, processus infectieux, interruption prématurée) n'ont-ils pas été pris en compte ? Pourquoi a-t-on accordé et accorde-t-on si peu d'attention aux systèmes de sécurité concernant les dommages causés par les vaccins ?
9) Pourquoi les tests de masse pour le Sars-Cov-2 chez les personnes asymptomatiques ont-ils été préférés aux tests ciblés dans les zones à haut risque ? Pourquoi tant d'efforts ont-ils été consacrés à la recherche des contacts ?
10) Pourquoi le port de masques dans les espaces publics et l'obligation de porter des masques ont-ils été si fortement soulignés, alors que des mesures efficaces ont été ignorées en même temps ? Pourquoi les exigences de masque sont-elles restées en place même après que des études randomisées au Danemark et au Bangladesh n'aient montré pratiquement aucun effet ? Pourquoi les effets nocifs potentiels et avérés du port du masque n'ont-ils pas été pris en compte ?
L'origine du Sars-Cov-2 et le rôle des médias ont été expressément laissés de côté par le groupe Norfolk. Le premier peut être un problème international. Ce dernier est particulièrement intéressant pour l'Autriche. Les soi-disant médias grand public, y compris la radiodiffusion publique, ont lamentablement échoué.
*
L'auteur écrit de manière anonyme, est un spécialiste des sciences naturelles et est également représenté sur Twitter sous le nom de Thomas H.
https://tkp.at/2023/02/16/great-barrington-mitgruender-stellen-zehn-wesentliche-fragen-zur-covid-aufarbeitung/
Problèmes de thyroïde après la vaccination par l'ARNm contre le COVID-19 - Une nouvelle étude japonaise montre une augmentation des auto-anticorps thyroïdiens après deux doses et un rappel
RépondreSupprimerLe dysfonctionnement de la thyroïde après la vaccination par l'ARNm est une plainte fréquente
Par le Dr William Makis
Recherche mondiale, 16 février 2023
Il y a eu un flot de rapports anecdotiques sur les médias sociaux concernant un dysfonctionnement de la thyroïde et de nouvelles maladies de la thyroïde après la vaccination par l'ARNm du COVID-19, tant pour Pfizer que pour Moderna.
Une nouvelle étude japonaise menée par Morita et al., sur 70 travailleurs de la santé, a montré une augmentation des auto-anticorps thyroïdiens après 2 piqûres Pfizer ainsi qu'une injection de rappel (cliquez ici ).
Ces effets ont été durables (> 32 semaines). L'augmentation des auto-anticorps thyroïdiens (TRAb) après 2 injections et après injection de rappel est visible dans le graphique ci-dessous :
- voir sur site -
Les auteurs concluent :
« Le vaccin SARS-CoV-2 BNT162b2 (Pfizer) a non seulement perturbé l'état d'équilibre de la maladie de Basedow, mais a également induit à nouveau la perturbation de l'auto-immunité thyroïdienne. Ces résultats corroborent les cas et séries antérieurs qui ont montré la rechute ou même la nouvelle apparition de la maladie de Graves potentiellement associée au vaccin à ARNm SARS-CoV-2 BNT162b2. ”
Types de dysfonctionnement thyroïdien après la vaccination par l'ARNm :
Les vaccins à ARNm COVID-19 peuvent aggraver considérablement la fonction thyroïdienne (l'augmenter ou la diminuer). Ces effets sont généralement permanents, ce qui entraîne un besoin de médicaments à vie. Les symptômes apparaissent généralement dans les 10 à 15 jours suivant la vaccination par l'ARNm.
Thyroïdite subaiguë - inflammation de la thyroïde, principalement chez les femmes ( cliquez ici ). Semble être la maladie thyroïdienne la plus courante rapportée après la vaccination par l'ARNm, les symptômes se développant en moyenne 10 jours après la 1ère ou la 2ème dose. Traité avec des AINS ou des stéroïdes ( cliquez ici ).
La maladie de Graves est la maladie thyroïdienne auto-immune la plus fréquemment signalée après la vaccination par l'ARNm, qui peut provoquer une nouvelle apparition de la maladie de Basedow ou une rechute de l'hyperthyroïdie de la maladie de Basedow (cliquez ici ), également environ 10 à 15 jours après le 1er ou le 2ème vaccin.
RépondreSupprimer- voir sur site -
La maladie de Hashimoto (diminution de la fonction) commence également à apparaître (cliquez ici )
- voir sur site -
Tempête thyroïdienne - un cas grave d'inflammation thyroïdienne nécessitant une hospitalisation a été rapporté dans la littérature ( cliquez ici ).
- voir sur site -
Cancer de la thyroïde - ce sont les histoires les plus préoccupantes de toutes. Les gens développent des masses étranges dans le cou après la vaccination par l'ARNm et parfois celles-ci s'avèrent malignes.
- voir sur site -
Ma prise…
C'est encore une preuve supplémentaire des dommages et du dysfonctionnement du système immunitaire après la vaccination par l'ARNm du COVID-19.
Cette nouvelle étude japonaise portant sur 70 travailleurs de la santé montre une augmentation des auto-anticorps thyroïdiens après chaque dose d'ARNm Pfizer. Les auteurs suggèrent que cela pourrait être dû au « mimétisme moléculaire des vaccins à ARNm du SRAS-CoV-2 codant pour des protéines qui peuvent réagir de manière croisée avec les antigènes thyroïdiens », ce qui entraîne la production d'auto-anticorps contre votre glande thyroïde.
Les problèmes de thyroïde après la vaccination par l'ARNm semblent augmenter en fréquence et toute personne présentant des symptômes inhabituels au cours des premières semaines suivant la vaccination par l'ARNm devrait faire vérifier sa fonction thyroïdienne par son médecin.
https://www.globalresearch.ca/thyroid-problems-post-covid-19-mrna-vaccination-new-japan-study-shows-increased-thyroid-auto-antibodies-after-2-doses-booster/5808774
Une guerre mondiale à l'horizon ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 16 FÉVRIER 2023 - 11:45
Une enquête menée en 2022 auprès d'experts en risques de la compagnie d'assurance AXA et d'autres grandes entreprises brosse un tableau pessimiste de la direction que pourrait prendre la situation géopolitique actuelle.
Comme l'a récemment averti le Bulletin of Atomic Scientists, les auteurs de la Doomsday Clock Statement,
"La guerre de la Russie contre l'Ukraine a soulevé de profondes questions sur la manière dont les États interagissent, érodant les normes de conduite internationale qui sous-tendent les réponses réussies à une variété de risques mondiaux."
Comme le montre Martin Armstrong de Statista dans l'infographie ci-dessous, basée sur une enquête Ipsos pour AXA, une grande majorité des experts interrogés ont déclaré qu'ils pensaient que la situation mondiale actuelle pourrait entraîner un certain nombre de conséquences inquiétantes...
- voir graph sur site -
Infographie : Une guerre mondiale à l'horizon ? | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
... y compris les niveaux de tension qui persisteront à l'avenir (95 %), une propagation dans le monde entier (94 %), une menace pour les approvisionnements alimentaires et énergétiques nationaux (91 %) et le plus troublant : conduire à une guerre mondiale (84 %). pour cent)...
https://www.zerohedge.com/geopolitical/global-war-horizon
Dépossession des Droits civils: esclavage en vue. Valérie Bugault
RépondreSupprimerFÉVRIER 15, 2023
PAR LHK
Valérie Bugault, Docteure en Droit
Les attaques contre le Droit continental s’intensifient
Je dénonce depuis des années l’infiltration de notre modèle de droit européen par des instances et autres organisations…
En marche vers l’esclavagisme et l’abandon de notre civilisation
Contextualisation du débat
Je dénonce depuis des années l’infiltration de notre modèle de droit européen, fondé sur un droit civil commun, par des instances et autres organisations, y compris académiques, dévouées à la cause « commercialiste » chère au droit anglo-saxon.
Il faut encore préciser que, par « droit anglo-saxon », je parle précisément du droit britannique en tant qu’arme absolue au service exclusif des puissances financières dominantes. Cette bifurcation malheureuse du droit anglo-saxon résulte de deux évènements historiques majeurs, à savoir :
La disparition de sa concurrence par le droit canon à la suite de l’éviction de l’Église catholique du territoire britannique par Henri VIII en 1531, suivi de
L’avènement d’Olivier Cromwell qui a positionné la haute finance comme tête de proue du développement de l’empire britannique.
A l’opposé de ce contre-modèle juridique « moderne » d’origine britannique, se trouvait notre Droit continental – assez généralement commun aux pays européens – fondé sur la prééminence d’un droit civil commun, au service de la justice, de la vérité et de la protection de la personne humaine.
Il faut comprendre que ce modèle de Droit prit, après la Révolution française, la forme d’un droit civil commun, issu de la fusion du pouvoir règlementaire temporel, Roi et seigneurs inclus, avec le pouvoir normatif spirituel développé autour des principes de droit naturel développés tout au long du Moyen-Âge par les grands docteurs de l’Église, souvent issus du clergé régulier. Nous parlons ici du fameux Code civil de 1804.
Si les attaques systémiques contre ce modèle de Droit, appelé Droit continental, se manifestent ouvertement en France depuis 2004, elles arrivent aujourd’hui à leur terme : notre Droit civil commun, en soin intensifs et sous assistance respiratoire depuis une bonne quinzaine d’années, fait désormais l’objet d’un opération coordonnée tendant à son élimination par « mort assistée ».
On constate que le modèle de Droit axé autour de la défense de la dignité, du libre-arbitre et de l’intégrité de la personne humaine suit, logiquement, le sort réservé par les « puissants de ce monde » aux individus ordinaires, vaguement consentants… En d’autres termes, il en va, logiquement, du modèle de Droit comme de la personne humaine… leur obsolescence est programmée par les principaux argentiers d’un monde à la dérive.
Les faits
Les attaques, débutées en 2004 à l’occasion du bicentenaires du Code civil, par la mise en accusation générale des « maux du droit », se sont au fil du temps précisées, notamment, par :
La mise en avant par les milieux académiques d’une prétendue « propriété économique », laquelle s’oppose directement au droit de propriété traditionnel et confère la disposition des biens et des choses aux principaux détenteurs de capitaux. Le modèle utilisé pour la théorie de la « propriété économique », est celui du contrôle juridique de la monnaie (seul bien dont la fongibilité juridique est absolue) par les banques ;
RépondreSupprimerLa lente et insidieuse marche vers l’assimilation du droit réel avec le droit personnel, aidé en cela par les fondamentaux de la « comptabilité en partie double », laquelle ne fait aucune distinction entre une « créance », non susceptible d’appropriation (sauf à considérer l’esclavage comme une « valeur sociale »), et un « bien matériel » susceptible d’appropriation ;
L’assimilation des conditions de la cession de créance civile avec celles de la cession de créance commerciale, dans laquelle le débiteur cédé n’a plus son mot à dire ;
La falsification de notre modèle de droit économique au moyen, notamment, de :
L’avènement en droit français de la « fiducie » – qui s’en passait très bien jusqu’alors – qui eut pour objectif de rendre compatible notre Droit continental avec le « trust », dont usent et abusent les paradis fiscaux sous juridictions anglo-saxonne, accélérant dès lors la financiarisation de notre économie ;
L’avènement d’une pseudo « Société à mission », frauduleusement présentée comme un modèle de « participation » Gaulliste, mais qui n’a strictement rien à voir avec un quelconque alignement du statut des apporteurs de travail avec les apporteurs de capitaux. Tout au contraire de la véritable « participation », l’objectif de la « Société à mission » est, rien de moins, que la disparition de la liberté d’entreprendre par la soumission de l’entreprenariat aux banques globales via l’objectif mondialement revendiqué de décarbonisation. La mise en œuvre de la décarbonisation revient à faire passer les victimes (PME et citoyens) de la pollution généralisée de l’environnement pour les coupables dans le mêmes temps que les multinationales réellement coupables s’offrent une blancheur paradisiaque sur le dos de leurs victimes !
Enfin, et dernièrement par la mise en cause de notre modèle d’état civil comme relevant d’une prétendue fiducie ayant pour objet, et pour effet, de mettre la personne humaine sous le joug commercialiste d’un État lui-même prétendument entité commerciale (1) !
L’analyse juridique de l’état civil au regard des principes du Droit continental, à l’origine, rappelons-le, de la civilisation européenne
Il est parfaitement incroyable de devoir rappeler des choses aussi évidentes que le fait qu’en Europe continentale, l’état civil, successeur laïc des registres paroissiaux du Moyen-Âge, n’a jamais été une “fiducie(2)” chargée d’une quelconque mission patrimoniale (3) .
L’état civil est tout au contraire le fondement indispensable de la Nation formant un groupe politique en ce qu’il a pour mission de donner à chaque individu une reconnaissance sociale et, par là-même, de lui donner une juste place dans le groupe.
RépondreSupprimerEn effet, des droits et obligations résultent de la reconnaissance des personnes par leur inscription à l’état civil. Dit autrement, les droits et obligations sont des attributs de la personnalité juridique. Ce qui ne signifie évidemment pas qu’un enregistrement à l’état civil mettrait les individus sous le joug d’une entité commerciale. Rappelons à cet égard, puisqu’il le faut, que les articles 16 et suivants du Code civil assurent et garantissent la protection et l’inviolabilité de la personne humaine. Notamment l’article 16 dispose que « la loi assure la primauté de la personne, interdit toute atteinte à la dignité de celle-ci et garantit le respect de l’être humain dès le commencement de sa vie ». L’article 16-5 ajoutant que « Les conventions ayant pour effet de conférer une valeur patrimoniale au corps humain, à ses éléments ou à ses produits sont nulles ».
Il faut en l’espèce se garder de confondre « reconnaissance sociale » et « appropriation économique ».
L’état civil garantit à l’individu sa place, de droit, au sein de la société humaine et politique à laquelle il appartient ; ainsi compris l’état civil est la première pierre de la Nation permettant d’organiser politiquement la vie collective. L’état civil en droit continental n’a absolument pas pour effet de le rendre les personnes esclaves d’une entité juridique qui serait de nature commerciale ; il répond exactement à l’objectif inverse de libérer l’individu en lui reconnaissant une juste place dans le groupe humain auquel il appartient.
En effet l’État est, en droit continental, une personne morale de droit public et non, en aucun cas, une entreprise commerciale ! Quelques soient par ailleurs les attaques consistant à inscrire des personnes morales de droit public sur des registres commerciaux, il existe une différence fondamentale, existentielle, entre une « entreprise », personne morale de droit privée régie par le droit commerciale et par le Code de sociétés, et une « personne morale de droit public » qui n’est soumise ni aux lois sur les Sociétés commerciales, ni aux règles générales du droit commercial.
Il n’en va évidemment pas de même en droit anglo-saxon, dérivé du droit issu de l’empire maritime britannique, pour lequel toute entité autre que la personne physique relève, grosso modo, du droit commercial(4)…
Il faut noter que ces tentatives pour faire disparaître le Droit continental, s’incluent dans un mouvement géopolitique plus vaste dénoncé par des États étrangers, notamment la Russie, consistant à changer le droit international pour le transformer en vagues « règles », mouvantes en fonction des intérêts supérieurs bien compris de l’empire commercialo-maritime anglo-saxon.
En conclusion : nous assistons à la mise en œuvre d’une propagande massive en vue de faire disparaître le Droit continental, dernier bastion de défense de l’intégrité et de la dignité de la personne humaine
RépondreSupprimerLa « fraude du nom légal » est une analyse valide dans les pays soumis au droit anglo-saxon – qui ne connait pas le concept de personne morale de droit public – dans lesquels la personne humaine peut effectivement être mise sous emprise de fiducies appartenant à des entités commerciales.
En revanche, prétendre imposer cette analyse dans les pays de Droit continental relève d’une imposture doublée d’une opération psychologique. Cette dernière opération, évidemment non dénuée d’intention chaotique, tend à insinuer dans l’esprit d’un public non averti le fait que toute personne qui n’est pas une personne physique relève du principe commercialiste.
Désormais, les promoteurs de la prétendue « fraude au nom légal » sur les territoires relevant du droit continental, se réfèrent au code civil(5) pour prétendre faussement que l’état civil serait compatible avec la fiducie. Si l’état civil existe en Europe depuis toujours, au moins depuis le Haut Moyen-Âge après la chute de l’empire romain, la fiducie n’existait pas en droit civil français jusqu’à l’intervention de la loi de 2007.
Cette tactique, qui s’intègre parfaitement dans la stratégie d’ensemble tendant à rendre le droit civil perméable au droit commercial, a pour objectif, à terme, de remplacer les principes protecteurs du droit civil par le droit commercial esclavagiste. Il s’agit, pour les grands détenteurs de capitaux, de mettre en œuvre le principe de la servitude volontaire sur des populations rendues passives par la désinformation de masse.
Au fur et à mesure des « modernisations » successives dont il a fait l’objet, notre légendaire « Code civil » se transforme inexorablement en coquille juridique vide destinée à amorcer le virage du tout commercial, c’est-à-dire à valider la dictature commercialiste des grands argentiers de ce monde global.
Finalement, le Droit, censé garantir la protection des personnes et la sécurité juridique se transforme, sous les incessants coups de boutoirs de l’empire financier apatride anglo-saxon agonisant, en un magma informe qui organise, au double niveau national et international, l’insécurité juridique et le chaos.
Les attaques contre le Droit continental s’intensifient
(1) Voir par exemple : https://www.change.org/p/procureur-de-la-r%C3%A9publique-fran%C3%A7aise-la-fraude-du-nom-legal
(2) La Fiducie n’existait pas en droit français jusqu’à ce que le sénateur Philippe Marini estime nécessaire de l’y faire entrer en 2007 (année de l’arrivée du scélérat Traité de Lisbonne)
(3) Rappelons que la fiducie, avant l’avènement de la loi Marini de 2007, était « un acte juridique par lequel une personne, nommée « fiduciant » transfère la propriété d’un bien corporel ou incorporel à une autre personne nommée « fiduciaire », soit à titre de garantie d’une créance (fiducie à fins de sûretés) sous l’obligation de rétrocéder le bien au constituant de la sûreté lorsque celle-ci n’a plus lieu de jouer (sauf si le bien acquis, par exemple une créance, a permis de désintéresser le créancier), soit en vue de réaliser une libéralité (fiducie à fins de libéralités) sous l’obligation de retransférer le bien à un tiers bénéficiaire après l’avoir géré dans l’intérêt de celui-ci ou d’une autre personne pendant un certain temps, soit afin de gérer le bien dans l’intérêt du fiduciant sous l’obligation de le rétrocéder à ce dernier à une certaine date (fiducie à fins de gestion). » Vocabulaire juridique, association Capitant, de Gérard Cornu.
RépondreSupprimer(4) Lire à cet égard, par exemple : https://cours-de-droit.net/droit-public-anglais-a126577482/
(5) Cf. le récent fil Télégram intitulé « Le Bureau Juridique » avec, notons-le, les majuscules de rigueur en anglais pour les noms communs… utilise le Code civil comme illustration
Les attaques contre le Droit continental s’intensifient
https://lilianeheldkhawam.com/2023/02/15/depossession-des-droits-civils-esclavage-en-vue-valerie-bugault/
La guerre contre l'argent est là
RépondreSupprimerPar Blake Lovewell
Recherche mondiale,
15 février 2023
"Notre Alliance ne veut pas abolir l'argent physique", crie le gambit d'ouverture sur le site "BetterThanCash.org" . Il s'agit d'un organe des Nations Unies, qui poursuit ostensiblement l'objectif de développement durable des Nations Unies d'« inclusion financière ». Mais cela rejoint un phénomène plus large, la disparition de l'argent physique de l'économie.
Il s'agit d'une alliance d'États-nations, d'entreprises et d'ONG. Ils se réunissent sous l'égide du programme Capital des Nations Unies pour le développement (UNCFD). Ils comptent environ 80 membres , d'influence variable, allant des petits États de Guinée équatoriale et des îles Salomon aux grandes entreprises mondiales comme Unilever et Coca-Cola. Ils reçoivent également un financement important de la Fondation Bill et Melinda Gates, de l'USAID et de Visa inc.
Leur surnom, "Better Than Cash", sonnera l'alarme pour certains, qui se retirent de la numérisation de l'argent. Mais pour beaucoup, cela illustre une tendance de la dernière décennie. Il y a eu un abandon de l'utilisation des espèces pour les transactions quotidiennes dans les pays riches. Alors que les rails de paiement sont devenus plus fluides, les transactions électroniques sont devenues monnaie courante. Depuis l'avènement de la banque électronique dans les années 1980, il y a eu des développements technologiques qui permettent la communication rapide dans le secteur bancaire nécessaire pour effectuer des transactions de gré à gré.
Quand on paie un sac de farine au Royaume-Uni par exemple, en utilisant le « sans contact », ce qu'on fait en réalité, c'est : scanner sa carte à puce RFID sur le lecteur de carte du magasin. Le lecteur décode les détails du compte bancaire et les soumet au fournisseur de paiement, généralement un intermédiaire comme Visa ou Mastercard. Ce fournisseur effectue ensuite une vérification auprès de la banque du client, pour voir s'il dispose des fonds suffisants pour couvrir la transaction. Le fournisseur paiera alors la facture et fera une demande ou une réservation auprès de la banque du client. Le propriétaire du magasin aura reçu le paiement et le fournisseur, Visa ou Mastercard, soumettra une demande de paiement à la banque du client. Cela peut prendre jusqu'à trois jours complets pour être finalisé. Pourtant, la transaction à la caisse peut ne prendre que quelques secondes en raison de cette superposition complexe d'institutions et de technologies.
Maintenant, j'ai présenté ce résumé d'une transaction "sans contact" pour deux raisons. Tout d'abord, il s'agit d'éclairer ce qui, pour beaucoup de gens, est une situation trouble. Plusieurs millions de personnes au Royaume-Uni utiliseront de telles méthodes dans leur vie quotidienne sans regarder les écrous et les boulons sous le capot de la transaction. Je crois qu'il est en quelque sorte un devoir d'éduquer les gens sur les tenants et les aboutissants de la banque, pour mieux protéger les gens contre les activités les plus néfastes menées dans le monde financier. Mais deuxièmement, et de manière plus pertinente pour cet article, j'ai utilisé ce résumé pour mettre en évidence la complexité du système bancaire de détail moderne. De plus, il est très difficile de réaliser ce système dans de nombreux pays qui font partie de l'alliance "Better Than Cash". Là où il y a peu d'infrastructures technologiques, il peut être difficile de fournir un système stable de technologie de paiement. Là où il y a moins de prévalence d'utilisation de comptes bancaires, il y a moins d'incitation pour un propriétaire de magasin à investir dans ladite technologie. Par exemple : Papa New Guinea, membre de Better Than Cash Alliance, compte environ85% de sa population dans les zones rurales n'ont pas accès aux services financiers formels, et environ 15% de la population ont accès d'une manière ou d'une autre à Internet. Ici, comme dans de nombreux pays parmi les moins riches du monde, l'argent est roi .
RépondreSupprimerLe cas contre l'argent
Examinons maintenant le cas contre l'argent comptant. Si l'ONU, Coca-Cola et Bill Gates conviennent tous qu'il doit y avoir un système Better Than Cash, il doit y avoir des problèmes avec l'argent liquide. Eh bien, prenons la phrase du site Web susmentionné:
"Cela signifie également que les gouvernements, les entreprises et les organisations internationales peuvent effectuer et recevoir des paiements de manière moins chère, plus sûre et plus transparente"
Cela implique 3 faiblesses de l'argent liquide : qu'il est plus coûteux à utiliser, qu'il est dangereux ou dangereux, et qu'il est opaque et non transparent.
Le premier d'entre eux est sa dépense. Cela semble être le plus faible des arguments, car une transaction en liquide, au corps à corps ne coûte rien. De même, c'est l'un des moyens les moins chers d'interagir avec une banque, qui ne facture souvent pas pour effectuer un dépôt en espèces. Il y a un coût associé à la manipulation de l'argent, au comptage et au transport de l'argent en toute sécurité. Cependant, le coût des transactions numériques est à l'opposé de cela. Je peux citer de nombreuses petites entreprises dans ma région avec des pancartes indiquant «Cash Preferred» en raison des frais exorbitants mis en place par des intermédiaires comme Visa ou Mastercard. Ils perdront souvent un pourcentage de chaque transaction. Le boucher local, par exemple, a passé un Noël exceptionnel, mais a ensuite reçu une facture exceptionnelle de son fournisseur de paiement. Comme il s'agit d'une entreprise à l'ancienne, ils avaient pris en compte tous les coûts de fonctionnement de la boutique, payer des marchandises, etc., mais n'avait pas pris en compte des frais aussi élevés, n'ayant adopté que récemment un nouveau lecteur de carte. Un autre magasin, comme beaucoup d'autres, a un minimum de dépenses par carte. Pour une raison similaire, qu'une charge pour 1 £ de marchandises peut coûter 1,50 £ à traiter avec le système bancaire numérisé. Ainsi, l'argument de l'organisme soutenu par l'ONU sur le bon marché doit être basé sur un facteur peu clair qu'ils ne divulguent pas.
Le deuxième argument a plus de validité. L'utilisation d'espèces peut comporter certains risques inhérents. Les espèces étant un actif physique, elles doivent être détenues, transportées et échangées en personne. Cela pourrait mettre le dépensier ou le receveur en danger, en particulier dans les zones où la sécurité, la police et la criminalité sont moindres. Si quelqu'un transporte une somme d'argent ou si un commerçant a une caisse pleine de revenus, il est la cible du crime. Ici, on pourrait justifier l'argument de la sécurité des systèmes monétaires numériques.
RépondreSupprimerLe dernier argument avancé concerne la transparence, ou son absence. C'est probablement l'une des critiques les plus courantes à l'égard de l'argent des institutions, qu'il peut faciliter le crime, ou pire encore, le terrorisme, en raison de son caractère introuvable. Un criminel pourrait effectuer des transactions pour des biens et services illicites en dehors de la compétence des régulateurs en utilisant des espèces, par opposition aux systèmes surveillés de monnaie numérique. Maintenant, il y a eu des études sur ce sujet, mais de par sa nature, il est difficile de le cerner pour certaines statistiques – car un crime qui se poursuit sans être pris en flagrant délit n'entre pas dans les statistiques. Cependant, Europol, l'institution unifiée chargée de la criminalité et de la police dans l'UE, émet une estimation prudente de 1,5 milliard d'euros.sont détectés ou confisqués par les autorités de l'UE chaque année : ce qui représente une somme phénoménale pour un continent de la taille de l'Europe, malgré l'énorme écart dans le nombre de crimes qui réussissent à échapper à la saisie ou à la détection officielle. En outre, nous pouvons prendre l'opinion reçue du professeur Friedrich Schneider selon laquelle une interdiction totale de l'argent liquide ne réduirait pas de manière significative les niveaux de criminalité.
"Le professeur Friedrich Schneider, l'un des experts les plus renommés dans les domaines de l'économie souterraine et de l'évasion fiscale en Europe, a conclu qu'une interdiction de l'argent liquide réduirait la criminalité d'à peine 10 % et le crime organisé de moins de 5 %."
Une étude de cas intéressante à noter ici est le cas de la Suède. Grâce à la mise en place de nombreuses politiques anti-espèces, ils ont réduit leur utilisation d'espèces de la moyenne de l'UE de 11 à 12 % en 2009 à environ 2 % ou moins aujourd'hui. C'est peut-être en réponse à une série de vols d'argent très médiatisés dans le pays, qui ont abouti au tristement célèbre vol d'hélicoptère de Västberga . Il y a eu ensuite une campagne concertée, notamment de la part des syndicats, pour écarter l'usage du cash au profit des moyens numériques. Même si la politique a réussi à réduire les délits de vol d'argent liquide, elle a, admet la Banque centrale suédoise , entraîné une augmentation des délits liés à l'argent numérique, tels que la fraude. Même s'ils montrent qu'il n'est pas excessivement élevé, et reste dans la moyenne européenne.
J'ai moi-même quelques critiques à ajouter à l'argent liquide, mais elles sont plus hétérodoxes, c'est-à-dire en dehors de l'école de pensée économique dominante. Tout d'abord, je soulignerais le fait que l'argent liquide est la forme papier et métallique de la monnaie fiduciaire. C'est-à-dire que les banques centrales peuvent frapper une certaine quantité de monnaie chaque année. Les devises étaient autrefois liées à des actifs du monde réel comme l'or. Mais depuis le désancrage des monnaies dans les années 1970, il n'y a techniquement plus de limite au montant qu'une banque centrale peut imprimer et donc diluer l'offre de monnaie. Plus ils impriment, moins ça vaut. Alors que nous comptons toujours sur l'émission de monnaie de l'État-nation et de sa banque centrale concurrente, nous sommes à la merci de leurs caprices en termes de finance.
RépondreSupprimerDeuxièmement, comme l'émission est contrôlée de manière centralisée, elle peut être victime d'une politique défaillante. Je prends par exemple le cas du franc centrafricain, qui est utilisé par environ 160 millions de personnes dans 14 États d'Afrique centrale, dont beaucoup participent au programme « Better Than Cash ». Le franc CFA est une gueule de bois coloniale instituée par la France en 1945 et conservée après le mouvement d'indépendance plus large des années 1960 en Afrique. Il est toujours contrôlé par la France, son décaissement est décidé par le Trésor français et il y a parité avec l'Euro. Cela signifie qu'à tout moment, le franc CFA peut être échangé en euros et à nouveau à 1: 1. Cependant, cela cause de nombreux problèmes et beaucoup de frictions. Pourquoi les États africains, qui sont sur le papier indépendants de leurs seigneurs coloniaux, ont-ils encore leur politique financière dictée par l'ancienne puissance impériale ? C'est une question non résolue qui se dresse encore, en 2019 le mouvement 5 étoiles àL'Italie accuse la France de néo-colonialismepar leur utilisation du franc CFA et soutiennent que l'instabilité économique causée par la politique française provoque d'importants flux migratoires vers l'Italie. Le facteur le plus pertinent pour notre débat sur l'argent liquide vient cependant de l'utilisation quotidienne du franc CFA en Afrique de l'Ouest. Comme les billets peuvent être échangés 1: 1 contre des euros, la France doit être très prudente lorsqu'il s'agit de frapper de nouveaux billets, car cela pourrait affecter la valeur de l'euro dans son ensemble. Pourtant, comme les États africains sont clairement considérés comme inférieurs en priorité, ce sont eux qui doivent souffrir. Si peu de billets sont frappés dans des pays comme la République centrafricaine qu'il est courant d'obtenir votre monnaie sous la forme d'une reconnaissance de dette signée par le propriétaire de l'entreprise. Vous payez votre tasse de thé avec un billet de 50 francs CFA et recevez un papier indiquant 45 francs CFA avec une date et une signature. Il appartient alors au citoyen de racheter ou d'essayer de transmettre ces reconnaissances de dette à une date ultérieure. Dans ce cas, l'argent liquide a échoué en raison de la politique postcoloniale de la France, mais illustre l'un des pièges des monnaies contrôlées centralement - en particulier dans des environnements monétaires volatils tels que ceux que l'on trouve dans le « monde en développement ».
Écoutons directement de la bouche du cheval. La banque centrale de l'UE, la BCE, a lancé un rapport en réponse à la baisse de l'utilisation des espèces pendant l'hystérie du coronavirus. Ils ont noté une baisse de l'utilisation des espèces où les gens étaient paranoïaques à propos de la transmission des devises, mais l'OMS maintient"Il n'existe actuellement aucune preuve pour confirmer ou réfuter que le virus COVID-19 peut être transmis par des pièces ou des billets de banque". Ce fut l'un des événements les plus marquants sur l'utilisation des espèces de mémoire récente ; dans l'UE, la préférence en espèces a chuté de plusieurs points de pourcentage. Le deuxième événement le plus marquant, notons-le, a été une augmentation de l'utilisation des espèces à la suite de la désastreuse crise financière mondiale de 2008/9 (souvent désignée dans la littérature bancaire par l'acronyme pratique GFC). Les gens avaient perdu confiance dans les banques et avaient décidé que détenir leurs propres liquidités était une bonne idée si les banques de détail risquaient de devenir insolvables. Cela se reflète dans le passage enterré dans le rapport de la BCE :
RépondreSupprimer« L'argent liquide reste la seule forme d'argent public directement accessible à tous les citoyens, garantissant l'autonomie, la vie privée et l'inclusion sociale. En tant que réponse stratégique à divers développements ayant un impact sur la disponibilité et l'acceptation des espèces, la BCE a adopté une stratégie 2030 avec la vision de préserver les espèces en euros en tant qu'instrument de paiement généralement disponible, attractif, fiable et compétitif et une réserve de valeur de choix .”
Ils reconnaissent le pouvoir des espèces en tant que moyen de transaction et réserve de valeur. Je suppose que nous pouvons être tranquilles en sachant qu'ils ont une "stratégie avec la vision de préserver les liquidités en euros" jusqu'en 2030 au moins. Nous avons donc peut-être 7 années supplémentaires de liquidités disponibles auprès des banques européennes.
En annexe, voir cette directive de la Commission européenne de 2016 indiquant que « les paiements en espèces sont largement utilisés dans le financement d'activités terroristes… Dans ce contexte, la pertinence de plafonds potentiels pour les paiements en espèces pourrait également être explorée ». Ici, nous avons la vieille menace du terrorisme utilisée pour limiter les transactions en espèces, sans beaucoup de preuves démontrant l'utilité de l'argent pour le «terrorisme». Pourtant, la législation anti-cash continue sans relâche, passant dans l'acquis de l'UE.
Ainsi, la personne qui a créé l'alliance et qui est le nom et le visage du mouvement a également travaillé pour : 1) La Banque mondiale, qui contrôle les dettes des États-nations, en maintenant les États pauvres endettés tandis que leurs ressources sont pillées et jouent un rôle , aux côtés de la Banque des règlements internationaux pour dicter la politique financière mondiale. 2) La Fondation Soros, largement considérée comme une force politiquement destructrice vêtue d'une tenue philanthropique. Lié aux révolutions de couleur à travers l'Europe de l'Est, fomentant des troubles civils aux États-Unis et exerçant un contrôle politique sur les élections européennes . 3) DFID, le Département britannique pour le développement international ; qui ouvre l'aide internationale aux intérêts privéset agit en tant que bras commercial des industries militaires et du renseignement du Royaume-Uni après la récente fusion avec le Foreign Office . En somme, elle a le curriculum vitae de quelqu'un qui travaille avec de grandes institutions de pouvoir pour négocier des accords qui tournent généralement mal pour le citoyen ordinaire des pays. Donc, moi-même, j'ai des réserves sur le fait que son initiative soit liée à l'inclusivité et à l'aide aux pauvres, et plus à l'exercice néocolonial habituel du pouvoir et de l'exploitation à des fins matérielles. Mais ce n'est que mon avis.
RépondreSupprimerNous avons également mentionné l'implication de Coca-Cola, qui reconditionne l'eau, le sucre et l'aspartame à grand profit, et d'Unilever qui aime monopoliser les produits alimentaires et de santé dans le monde entier. Mais nous ne devons pas ignorer dans notre critique de la « Better Cash Alliance » l'UNCFD. Comme dans tout organe de l'ONU, il existe une certaine corruption, qui découle généralement des larges tranches de financement envoyées de Bruxelles ou de New York aux bureaucrates occupant des postes de direction dans les États-nations. Comme l'argent est collecté de manière indirecte auprès des populations à travers leurs gouvernements, il y a parfois un manque de contrôle. Dans l'UNCFD, il est documenté une utilisation frauduleuse généralisée des fonds en Somalie et au Somaliland. Cet article de recherche indépendantont constaté que l'ONU exerce un contrôle politique important en Somalie et au Somaliland, et que les fonds de l'UNCFD sont régulièrement utilisés pour s'attirer des faveurs politiques, plutôt que comme l'aide à laquelle ils étaient initialement destinés. Ils rapportent que leur enquête a même été entravée par l'UNICEF et que leur reportage sur la fraude est tombé dans l'oreille d'un sourd.
C'est un cas parmi tant d'autres, mais il représente une tendance que je pense que la plupart comprendront comme existant dans le cadre des Nations Unies. Cela ne veut pas dire que les institutions au sein de l'ONU sont pourries jusqu'à la moelle, je suppose que de nombreuses personnes qui travaillent pour les organes de l'ONU ont les meilleures intentions et que beaucoup réalisent de bonnes choses dans la politique mondiale et locale. Mais cela montre que plus nous enquêtons sur les badges d'approbation que l'Alliance «Better Than Cash» nous montre fièrement sur leur site Web, ne sont pas si clairs. Nous pourrions aussi passer en revue chacune de leurs revendications, une par une et les contester, mais cela remplirait un autre article long et sans grand résultat. Je vous charge vous-même de regarder les revendications et les sources sur betterthancash. org et voyez par vous-même avec quelle facilité ils peuvent présenter faussement une affirmation sur les systèmes monétaires numériques basée sur une recherche qui n'a rien à voir avec l'affirmation réelle. En fait, l'Alliance ne propose rien de nouveau dans sa promotion des paiements numériques. Ils ne font que revivifier les méthodes banales deCartes RFID et codes QR et agrémentez-les avec l'inclusion d'identifiants biométriques dystopiques : qui "incluent les empreintes digitales, la géométrie de la main, la géométrie du lobe de l'oreille, les motifs de la rétine et de l'iris, les ondes vocales, l'ADN et les signatures". Rien d'effrayant à ce sujet.
RépondreSupprimerComme je l'ai mentionné, l'alliance « Better Than Cash » n'est qu'un vairon dans les mers de l'influence politique, mais lorsque l'on étudie ces sujets, les mêmes conclusions émergent. Cet être; des projets flashy qui ont fière allure sur un site Web sont présentés par des institutions internationales bien financées pour couvrir leurs véritables agendas. Les Africains à l'air heureux utilisant un téléphone intelligent sont mis en avant d'une campagne et une belle statistique sur le nombre de femmes autonomisées par un projet fait le gros titre. Mais lorsque nous explorons les membres, les fondements et les origines de ces programmes, ils sont souvent soutenus par les mêmes quelques groupes, sociétés et institutions financières. Il s'agit en quelque sorte d'un bouclier humanitaire permettant à des intérêts particuliers de mener à bien leurs activités malveillantes.
Ici, nous avons présenté un débat sur les arguments fondamentaux pour et contre l'argent liquide. Mais il est exprimé dans les récits internationaux et les tendances historiques que nous ne devons pas ignorer. "Alors que nous nous précipitons pour récolter les bénéfices des paiements numériques", comme le dit l'organisation sœur de "Better Than Cash" , nous ne devons pas laisser tomber le vrai débat politique. À mon avis, cela permet de poser des rails de contrôle permanents des paiements. Et qu'une fois la voie ferrée posée, il sera difficile pour les plus pauvres du monde de changer de voie. Ce n'est pas seulement grâce à l'argent que nous et eux pouvons affirmer leur liberté. Mais la guerre contre l'argent est quelque chose que nous devrions creuser et garder à l'esprit lorsque nous évaluons les affaires économiques.
Pour terminer, j'équilibrerai la citation d'ouverture avec celle de 2017 du PDG de Visa , un autre partenaire fondateur de l'initiative « Better Than Cash » :
"Nous nous concentrons sur le retrait d'argent des affaires."
La guerre contre le cash est lancée.
https://www.globalresearch.ca/war-cash-here/5808726
Ne vous prosternez pas devant un gouvernement dictatorial. L'Amérique est une prison déguisée en paradis
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 16 FÉVRIER 2023 - 05:45
Rédigé par John & Nisha Whitehead via The Rutherford Institute,
« Si tout ce que veulent les Américains, c'est la sécurité, ils peuvent aller en prison. Ils auront de quoi manger, un lit et un toit au-dessus de leur tête. Mais si un Américain veut préserver sa dignité et son égalité en tant qu'être humain, il ne doit pas s'incliner devant un gouvernement dictatorial.
- Président Dwight D. Eisenhower
Le gouvernement veut que nous nous soumettions à ses diktats
Il veut que nous achetions dans le fantasme que nous vivons le rêve, alors qu'en fait, nous sommes piégés dans un cauchemar sans fin de servitude et d'oppression.
En effet, chaque jour qui passe, la vie dans l'État policier américain ressemble de plus en plus à la vie dans la série télévisée dystopique The Prisoner.
Diffusé pour la première fois il y a 55 ans aux États-Unis, The Prisoner – décrit comme « James Bond rencontre George Orwell filtré par Franz Kafka » – abordait des thèmes de société toujours d'actualité : la montée d'un État policier, la perte de liberté, -la surveillance de l'horloge, la corruption du gouvernement, le totalitarisme, la militarisation, la pensée de groupe, le marketing de masse et la tendance des êtres humains à accepter docilement leur sort dans la vie en tant que prisonniers dans une prison de leur propre fabrication.
Peut-être le meilleur débat visuel de tous les temps sur l'individualité et la liberté, The Prisoner est centré sur un agent secret britannique qui démissionne brusquement pour se retrouver emprisonné dans une prison virtuelle déguisée en paradis balnéaire avec des parcs et des champs verts, des activités récréatives et même un majordome.
Bien que luxueux, les habitants du Village n'ont pas de véritable liberté, ils ne peuvent pas quitter le Village, ils sont sous surveillance constante, tous leurs déplacements suivis par des drones militarisés, et dépouillés de leur individualité afin qu'ils ne soient identifiés que par des chiffres.
"Je ne suis pas un nombre. Je suis un homme libre », est le mantra chanté dans chaque épisode de The Prisoner, qui a été en grande partie écrit et réalisé par Patrick McGoohan, qui a également joué le rôle-titre de Number Six, l'agent du gouvernement emprisonné.
Tout au long de la série, Number Six est soumis à des tactiques d'interrogatoire, à la torture, à des drogues hallucinogènes, au vol d'identité, au contrôle de l'esprit, à la manipulation des rêves et à diverses formes d'endoctrinement social et de coercition physique afin de le "persuader" de se conformer, d'abandonner, de céder. et se soumettre à la volonté des pouvoirs en place.
Numéro Six refuse d'obtempérer.
Dans chaque épisode, Number Six résiste aux méthodes d'endoctrinement du Village, lutte pour maintenir sa propre identité et tente d'échapper à ses ravisseurs. "Je ne conclurai aucun accord avec vous", remarque-t-il ostensiblement au numéro deux, l'administrateur du village, alias le directeur de la prison. « J'ai démissionné. Je ne serai ni poussé, ni classé, ni tamponné, ni indexé, ni débriefé, ni numéroté. Ma vie m'appartient. »
Pourtant, peu importe jusqu'où Number Six parvient à aller dans ses efforts pour s'échapper, ce n'est jamais assez loin.
RépondreSupprimerSurveillées par des caméras de surveillance et d'autres appareils, les tentatives d'évasion de Number Six sont continuellement contrecarrées par d'inquiétantes sphères blanches ressemblant à des ballons appelées "rovers".
Pourtant, il refuse d'abandonner.
"Contrairement à moi", dit-il à ses codétenus, "beaucoup d'entre vous ont accepté la situation de leur emprisonnement, et mourront ici comme des choux pourris."
Les évasions de Number Six deviennent un exercice surréaliste de futilité, chaque épisode étant un jour de la marmotte peu drôle et troublant qui aboutit au même dénouement frustrant: il n'y a pas d'échappatoire.
Comme le conclut le journaliste Scott Thill pour Wired, « La rébellion a toujours un prix. Au cours de la série acclamée de The Prisoner, Number Six est torturé, battu et même arraché au corps: dans l'épisode «Ne m'abandonnez pas, oh mon chéri», son esprit est transplanté dans le corps d'un autre homme. Le numéro six s'échappe à plusieurs reprises du village pour y être finalement renvoyé, piégé comme un animal, submergé par une énergie agitée qu'il ne peut pas dépenser et trahi par presque tout le monde autour de lui.
La série est une leçon effrayante sur la difficulté de gagner sa liberté dans une société dans laquelle les murs des prisons sont déguisés sous les pièges apparemment bienveillants du progrès technologique et scientifique, de la sécurité nationale et de la nécessité de se prémunir contre les terroristes, les pandémies, les troubles civils, etc.
Comme l'a noté Thill, "Le prisonnier était une allégorie de l'individu, visant à trouver la paix et la liberté dans une dystopie déguisée en utopie."
Le Prisoner's Village est également une allégorie appropriée de l'État policier américain, qui se transforme rapidement en un État de surveillance à part entière : il donne l'illusion de la liberté tout en fonctionnant comme une prison : contrôlé, vigilant, inflexible, punitif, meurtrier. et incontournable.
L'État américain de surveillance, tout comme The Prisoner's Village, est un panoptique métaphorique, une prison circulaire dans laquelle les détenus sont surveillés par un seul gardien situé dans une tour centrale. Parce que les détenus ne peuvent pas voir le gardien, ils sont incapables de dire s'ils sont surveillés ou non à un moment donné et doivent procéder en supposant qu'ils sont toujours surveillés.
Le théoricien social du XVIIIe siècle, Jeremy Bentham, envisageait la prison panoptique comme un moyen moins coûteux et plus efficace «d'obtenir le pouvoir de l'esprit sur l'esprit, en une quantité jusqu'ici sans exemple».
RépondreSupprimerLe panoptique de Bentham, dans lequel les prisonniers sont utilisés comme une source de main-d'œuvre bon marché et subalterne, est devenu un modèle pour l'État de surveillance moderne dans lequel la population est constamment surveillée, contrôlée et gérée par les pouvoirs en place tout en finançant son existence. .
Nulle part où fuir et nulle part où se cacher : tel est le mantra des architectes de l'État de surveillance et de leurs collaborateurs corporatifs.
Les yeux du gouvernement vous regardent.
Ils voient chacun de vos mouvements : ce que vous lisez, combien vous dépensez, où vous allez, avec qui vous interagissez, quand vous vous réveillez le matin, ce que vous regardez à la télévision et ce que vous lisez sur Internet.
Chaque mouvement que vous faites est surveillé, extrait des données, analysé et tabulé afin d'établir un profil de qui vous êtes, de ce qui vous motive et de la meilleure façon de vous contrôler quand et s'il devient nécessaire de vous mettre en ligne.
Lorsque le gouvernement voit tout et sait tout et dispose d'une abondance de lois pour faire du citoyen le plus honnête un criminel et un hors-la-loi, alors le vieil adage selon lequel vous n'avez rien à craindre si vous n'avez rien à cacher n'est plus s'applique.
Outre les dangers évidents posés par un gouvernement qui se sent justifié et habilité à espionner son peuple et à utiliser son arsenal d'armes et de technologies en constante expansion pour le surveiller et le contrôler, nous approchons d'un moment où nous serons obligés de choisir entre s'incliner devant les diktats du gouvernement - c'est-à-dire la loi, ou tout ce qu'un fonctionnaire du gouvernement considère comme la loi - et maintenir notre individualité, notre intégrité et notre indépendance.
Lorsque les gens parlent de vie privée, ils supposent à tort qu'elle ne protège que ce qui est caché derrière un mur ou sous les vêtements. Les tribunaux ont favorisé ce malentendu avec leur délimitation constamment changeante de ce qui constitue une « attente en matière de vie privée ». Et la technologie a encore brouillé les eaux.
Cependant, la vie privée est bien plus que ce que vous faites ou dites derrière des portes verrouillées. C'est une façon de vivre sa vie en croyant fermement que vous êtes le maître de votre vie et en excluant tout danger immédiat pour une autre personne (ce qui est très différent des menaces soigneusement conçues contre la sécurité nationale que le gouvernement utilise pour justifier ses actions) , ce que vous lisez, ce que vous dites, où vous allez, avec qui vous passez votre temps et comment vous dépensez votre argent ne regarde personne.
RépondreSupprimerMalheureusement, le 1984 de George Orwell – où « vous deviez vivre – vivait, par habitude devenue instinctive – dans l'hypothèse que chaque son que vous produisiez était entendu et, sauf dans l'obscurité, chaque mouvement scruté » – est maintenant devenu notre réalité.
Nous nous trouvons maintenant dans la position peu enviable d'être surveillés, gérés, encerclés et contrôlés par des technologies qui répondent aux dirigeants du gouvernement et des entreprises.
Considérez que chaque jour, l'Américain moyen vaquant à ses occupations quotidiennes sera surveillé, surveillé, espionné et suivi de plus de 20 façons différentes, par les yeux et les oreilles du gouvernement et des entreprises.
Un sous-produit de cette nouvelle ère dans laquelle nous vivons, que vous traversiez un magasin, conduisiez votre voiture, consultiez vos e-mails ou parliez au téléphone avec vos amis et votre famille, vous pouvez être sûr qu'une agence gouvernementale écoute et suit ton comportement.
Cela ne commence même pas à toucher aux trackers d'entreprise qui surveillent vos achats, votre navigation sur le Web, vos publications sur Facebook et d'autres activités se déroulant dans la cybersphère.
Des appareils Stingray montés sur des voitures de police pour suivre sans garantie les téléphones portables, des appareils radar Doppler qui peuvent détecter la respiration humaine et les mouvements à l'intérieur d'une maison, des lecteurs de plaques d'immatriculation qui peuvent enregistrer jusqu'à 1800 plaques d'immatriculation par minute, des caméras de trottoir et «d'espace public» couplées avec la reconnaissance faciale et la technologie de détection du comportement qui jettent les bases des programmes policiers "pré-crime", les caméras du corps de la police qui transforment les policiers en caméras de surveillance itinérantes, l'internet des objets : toutes ces technologies (et plus) s'ajoutent à une société où il y a peu de place pour les indiscrétions, les imperfections ou les actes d'indépendance - surtout pas lorsque le gouvernement peut écouter vos appels téléphoniques, lire vos e-mails, surveiller vos habitudes de conduite, suivre vos déplacements, scruter vos achats et regarder à travers les murs de ta maison.
Comme le concluait le philosophe français Michel Foucault dans son livre de 1975 Surveiller et punir, « La visibilité est un piège ».
C'est le camp de concentration électronique - la prison panoptique - le Village - dans lequel nous sommes maintenant enfermés.
Comme je l'explique clairement dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries, jusqu'à ce que vous acceptiez le fait que le gouvernement est le problème (quel que soit le parti qui domine), vous Je ne cesserai jamais d'être prisonnier.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/political/dont-bow-down-dictatorial-government-america-prison-disguised-paradise
Regardez: Klaus Schwab appelle le gouvernement mondial à «maîtriser» les technologies de l'IA
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 15 FÉVRIER 2023 - 18:04
Écrit par Steve Watson via Summit News,
L'archimondialiste Klaus Schwab a appelé les élites à se rassembler à l'échelle mondiale afin de "maîtriser" les technologies de pointe, les avertissant que si elles n'agissent pas rapidement, le monde pourrait "échapper à notre pouvoir".
Oui vraiment. Le gars ne se retient pas.
Le fondateur du Forum économique mondial s'exprimait lors d'un rassemblement à Dubaï pas si subtilement intitulé le Sommet mondial du gouvernement.
Schwab a évoqué les "technologies de la quatrième révolution industrielle" et a déclaré "Qui maîtrise ces technologies - d'une certaine manière - sera le maître du monde".
"Dans dix ans, nous serons complètement différents", a déclaré Schwab, ajoutant "Ma profonde préoccupation est que [avec] les technologies #4IR, si nous ne travaillons pas ensemble à l'échelle mondiale, si nous ne formulons pas, façonnons ensemble le politiques nécessaires, ils échapperont à notre pouvoir de maîtriser ces technologies.
Schwab est obsédé par l'IA et d'autres technologies de pointe et a déjà prédit que "ce à quoi la quatrième révolution industrielle mènera, c'est une fusion de nos identités physique, numérique et biologique".
Klaus Schwab : Une grande réinitialisation « conduira à une fusion de notre identité physique, numérique et biologique »
Schwab soutient également ouvertement quelque chose que les médias prétendent encore être uniquement un domaine de discussion pour les théoriciens du complot, à savoir «des micropuces implantables actives qui brisent la barrière cutanée de notre corps».
Le Forum économique mondial suggère qu'il existe des raisons "solides et rationnelles" pour que les enfants soient micropucés
https://www.zerohedge.com/geopolitical/watch-klaus-schwab-calls-global-government-master-ai-technologies
La lente et silencieuse privatisation de l’enseignement en France
RépondreSupprimerle 16 février 2023
Alors que le budget consacré à l’éducation nationale française ne cesse de progresser un phénomène totalement ignoré des médias de grand chemin suit son cours. Il s’agit du développement spectaculaire d’un organisme d’origine italienne devenu bien français aujourd’hui qui rachète des participations dans les écoles privées nouvellement créées par des transfuges de l’Education nationale ayant subi les contraintes administratives ubuesques de cet organisme tentaculaire devenu tellement gigantesque qu’il est devenu incapable de procéder à un « dégraissage du mammouth » comme l’avait suggéré un ancien ministre de l’Education et de la Recherche française lourdement pénalisé par la gauche française de l’époque, le géophysicien de réputation mondiale Claude Allègre.
Mais c’est de l’histoire et l’actualité concerne un organisme peu connu de ces médias de grand chemin, il s’agit de Galileo Global Education (GGE). Devant l’expansion rapide des écoles privées après leur création, environ 15 écoles de ce type sont créées chaque année en France, celles-ci sont rapidement à la recherche de capitaux pour investir dans leur expansion et le recrutement d’enseignants de haut niveau international. GGE se propose alors de prendre une participation dans ces dernières et ainsi cet organisme gère maintenant 57 écoles sur 106 campus répartis dans 15 pays. Chaque année plus de 200000 élèves fréquentent des établissements gérés par cet organisme et ces chiffres sont en constante augmentation. En France plus de 20 % des étudiants ont opté pour cette formule de l’enseignement privé dans des domaines aussi variés que les arts, la gestion, l’économie, le droit et … la médecine. Les sciences dites « dures » ne sont pas (encore) représentées significativement. Et pour cause, les mathématiques pourraient aisément être enseignées par des instituts privés mais la physique et la chime requièrent de lourds investissements pour être enseignées correctement.
- voir grand cadre sur site -
GGE peaufine sa réputation en ayant pris récemment une participation dans le groupe EM Lyon (écoles de commerce) son implantation s’intensifie tant en France qu’à l’étranger comme par exemple la faculté de médecine du Costa-Rica. Martin Hirsch, ancien directeur de l’AP-HP vient d’intégrer GGE. Il est vrai que l’actionnaire principal de cet organisme est le fond de pension des retraités canadiens CPP Investments, mais également la BPI, banque publique d’investissement, entité de l’Etat gérée par la Caisse des Dépôts et Consignations. En France les établissements scolaires affiliés à GGE ont trouvé un gâteau de choix pour promouvoir leur image. Il s’agit du très controversé système ParcourSup ( https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F23476 ) dont l’idéologie, en bref, est de rajouter une couche au nivellement social par le bas, le grand rêve de la gauche française qui a produit les désastres que l’on connait. Cette usine à gaz n’oriente pas mais sélectionne les futurs étudiants et les organismes d’enseignement privés sont tout simplement ignorés par ParcourSup. L’article du quotidien en ligne Libération publié le 13 février 2023 sous la plume de Marie Piquemal dont ce billet s’est inspiré insiste sur quelques travers de GGE, la recherche du profit étant l’élément essentiel de cet organisme. Cependant il faut reconnaître que la quasi faillite du système éducationnel français, il suffit d’analyser le classement PISA de la France, est le fer de lance de la promotion de GGE. Le système français est figé depuis la mise en place de lois stupides comme l’école obligatoire jusqu’à 16 ans. Beaucoup de pays comme la Suisse, l’Allemagne ou encore le Japon et la Corée sélectionnent les élèves dès l’âge de 14 ans et l’apprentissage en entreprise est proposé à tous les collégiens incapables d’ingurgiter des matières qui les repoussent, le système français créant ainsi une masse de chômeurs qui se retrouveront ensuite dans des universités pour fumer des joints … alors que l’industrie peine à trouver des personnels qualifiés.
RépondreSupprimerPour conclure ce billet je voudrais relater le cas d’un ami boulanger. Il avait acquis son savoir-faire comme apprenti chez un maître boulanger, la voie normale pour produire du bon pain. Un jour il est devenu allergique à la farine et il s’est soumis à un nouvel apprentissage pour devenir menuisier. Fort heureusement il n’est pas devenu allergique à la sciure de bois. Cet exemple illustre clairement que l’apprentissage peut être suivi à tous âges et qu’une personne destinée à un travail manuel peut faire ce choix sans pour autant de sentir dévalorisée dans la société. À l’ère d’un monde informatisé l’artisanat reste nécessaire pour la survie de la société et restera encore longtemps irremplaçable. Je remercie la personne qui m’a communiqué cet article dont est issue l’illustration n’étant pas moi-même un lecteur du quotidien Libération.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/02/16/la-lente-et-silencieuse-privatisation-de-lenseignement-en-france/
La chose la plus proche d'une glacière était une boîte en métal dans le sol de la cuisine. Il avait un couvercle très étanche et servait à conserver le lait, les œufs et le beurre pendant un jour ou deux. Le beurre était fortement salé à l'extérieur pour l'empêcher de rancir ou de fondre. Le babeurre, le fromage cottage et le fromage ordinaire étaient fabriqués à partir de lait cru après avoir été collectés pendant un jour ou deux. La boîte était relativement fraîche en été et ne gelait pas en hiver.
RépondreSupprimerLes souris et les rats aiment l'humanité parce que nous gardons notre environnement au chaud et avons tendance à négliger la nourriture qu'ils aiment. Les serpents adorent les rats et les souris, ils étaient donc toujours là. Si les enfants allaient jouer dehors, ils surveilleraient la zone avec une houe et une pelle. Après avoir tué et éliminé les serpents à sonnettes - il y en avait toujours au moins un - ils pouvaient alors jouer pendant un certain temps en toute sécurité.
Les souris et les rats étaient contrôlés par des pièges, des pierres de fronde, des chats et des coyotes. Les chats avaient une vie dure et généralement courte à cause des coyotes. Les coyotes étaient à peine maîtrisés et semblaient pouvoir sentir les armes à feu à distance. Il y avait des gens qui chassaient les nombres sans fin pour la prime.
Une fois les corvées terminées, l'imagination active des enfants a été utilisée dans leur jeu. Ils n'avaient pas beaucoup de jouets. Il y avait quelques poupées pour les filles, un couteau de poche et des billes pour le garçon, et tout un tas de vides à remplir. Les veaux de boucherie de leur père étaient assez doux au moment où ils ont été vendus au marché - les enfants les montaient régulièrement. (Pas beaucoup de graisse sur ces mollets mais beaucoup de muscles.) Ils cherchaient des pointes de flèches, des lézards et des fleurs sauvages. La cerise de Virginie, la baie de bison, la groseille à maquereau et les groseilles ont été cueillies pour la gelée et les sirops. Parfois, les enfants faisaient du vin de cerise de Virginie.
Par une chaude journée d'été dans l'après-midi, l'ombre du côté est de la maison était précieuse et le vent d'est, s'il venait, encore plus. Les adultes détestaient les tempêtes de grêle à cause de la destruction, les enfants les aimaient parce qu'ils pouvaient ramasser la grêle et faire de la crème glacée.
L'accouchement se faisait généralement chez un voisin avec une sage-femme si vous aviez de la chance. Si vous tombiez malade, vous étiez traité avec du thé au gingembre, du miel, de la soupe au poulet ou du soufre et de la mélasse. L'huile de ricin était également utilisée régulièrement. Les blessures étaient nettoyées avec du savon et désinfectées avec du whisky. Les cataplasmes à base de moutarde étaient souvent utilisés pour une variété de maux. La térébenthine, la moutarde et le saindoux étaient appliqués sur la poitrine en cas de pneumonie ou de toux sèche.
RépondreSupprimerLe contact avec le monde extérieur consistait en un voyage occasionnel en ville pour s'approvisionner à l'aide d'un chariot et d'une équipe. Une radio à piles était utilisée avec parcimonie le soir. Une batterie de voiture rechargeable a été utilisée pour l'alimentation. L'école était à six milles à pied dans un sens et tu apportais ton propre déjeuner. Un enseignant mettait régulièrement des pommes de terre sur la cuisinière pour les faire cuire et les partageait avec les enfants. Elle était très appréciée des enfants et des parents.
Ces personnes étaient habituées à un nombre limité d'interactions sociales. Ils n'étaient habitués à aucune télévision, radio ou divertissement extérieur. Ils étaient habitués à n'avoir que trois ou quatre livres. Un joueur de violon ou de guitare pour un pique-nique ou une danse était une chose merveilleuse à apprécier. L'église était une occasion sociale aussi bien que religieuse.
Les dames de l'église et leur argent du beurre et des œufs ont permis à la plupart des églises rurales d'être construites et de prospérer.
Les hommes étaient tenus de faire le gros travail, mais les dames l'ont fait se réunir. La civilisation de l'Occident est née de ces racines. Certaines de ces dames avaient des épines d'acier. Ils en avaient besoin. C'est une histoire partielle des années familiales. Les gens étaient très indépendants, têtus et forts mais avaient toujours besoin de la communauté et de l'accès à la technologie du monde extérieur pour le sel, le sucre, la farine, les épices, la nourriture pour poulets, le tissu, le kérosène pour les lumières et bien sûr le café. Il y a bien d'autres choses que je pourrais énumérer. Auraient-ils pu trouver une alternative si quelque chose n'était pas disponible ? Peut être. Comment obtiendriez-vous du sel ou des nitrates au Montana sans importer ? Est-ce que quelqu'un sait comment faire du kérosène ? Le café serait évalué comme l'or. Le grain rôti ou la chicorée ne l'ont tout simplement pas coupé.
L'un des plus grands avantages que nous avons est l'accès à une énorme quantité d'informations sur notre monde, comment les choses fonctionnent et tout dans nos vies. Nous devons être assez intelligents pour apprendre/comprendre autant que possible et stocker des références pour tout le reste. Certains d'entre nous ne dorment pas bien la nuit car nous sommes bien conscients de la fragilité de notre société et de notre infrastructure technologique. Essayer de vivre la vie du homesteader serait très douloureux pour la plupart d'entre nous. Je préférerais ne pas. J'espère et je prie pour que cela n'arrive jamais. Combien de temps nous faudrait-il pour reconstruire les outils de récupération aux niveaux du début des années 1900 ? Haricots? Il y avait presque toujours un pot de haricots sur la cuisinière en hiver. Des poulets et quelques vaches laitières ont fourni la nourriture nécessaire pour équilibrer le garde-manger. Ils n'auraient pas pu subvenir aux besoins d'une famille grandissante sans ces deux ressources.
RépondreSupprimerAlors faites attention parce que cette vidéo va changer votre vie pour toujours pour le bien !
https://preppgroup.home.blog/2023/02/13/wiping-out-our-technology-base-what-happens-if-an-event-such-as-a-solar-flare-emp-or-a-plague-takes-our-society-farther-back-than-the-early-1900s/
Le Mexique assouplit l'interdiction du maïs GM, mais les États-Unis restent déçus
RépondreSupprimer16 Février 2023
AGDAILY reporters*
Enfin, des progrès sur l'interdiction du maïs génétiquement modifié au Mexique. Hier [13 février 2023], le président mexicain Andrés Manuel López Obrador a assoupli sa position sur l'interdiction du maïs génétiquement modifié en provenance des États-Unis, suite aux pressions de l'administration Biden.
Mais, les États-Unis disent que ce n'est pas suffisant. « Les États-Unis croient et adhèrent à un système commercial fondé sur la science et les règles et restent déterminés à empêcher les perturbations du commerce agricole bilatéral et les dommages économiques causés aux producteurs américains et mexicains », a déclaré le Secrétaire à l'Agriculture Tom Vilsack dans un communiqué.
Selon Reuters, le président mexicain a publié lundi un décret gouvernemental éliminant la date limite de janvier 2024 pour l'interdiction du maïs génétiquement modifié pour l'alimentation animale et l'utilisation industrielle.
Cependant, l'interdiction des céréales destinées à la consommation humaine restera en place. Cela comprendra le maïs GM destiné à la consommation humaine, y compris la farine, la pâte ou les tortillas fabriquées à partir de maïs modifié. L'interdiction ne concerne pas le maïs utilisé pour des produits tels que les cosmétiques, les textiles et le papier.
Ce que le décret maintient, c'est une révocation des autorisations et des permis d'importation, de production, de distribution et d'utilisation de l'herbicide glyphosate. Une période de transition sera en vigueur jusqu'au 31 mars 2024.
En outre, la COFEPRIS (Comisión Federal para la Protección contra Riesgos Sanitarios) mènera des études pour examiner les impacts que le maïs GM pourrait avoir sur la santé humaine.
Le Mexique est le deuxième marché d'exportation des États-Unis pour le maïs. Le Mexique achète actuellement aux États-Unis environ 17 millions de tonnes de maïs jaune GM pour l'alimentation animale. Parallèlement, environ 18 à 20 % du maïs que le Mexique importe des États-Unis est du maïs blanc. La question a mobilisé l'administration du président Joe Biden et les responsables politiques des États producteurs de maïs, qui craignent une perturbation de l'Accord Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM).
Bloomberg rapporte que le ministère mexicain de l'économie a déclaré que le nouveau décret « ne représente aucun impact sur le commerce ou les importations, entre autres raisons parce que le Mexique est largement autosuffisant dans la production de maïs blanc exempt de transgéniques ».
« Le fait d'isoler le maïs – notre principale exportation agricole vers le Mexique – et de précipiter l'interdiction d'importation de nombreux produits de qualité alimentaire fait de l'ACEUM une lettre morte, à moins qu'il ne soit appliqué », a déclaré Tom Haag, président de la National Gorn Growers' Association.
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* Source : Mexico loosens ban on GM corn, but U.S. still disappointed | AGDAILY
https://seppi.over-blog.com/2023/02/le-mexique-assouplit-l-interdiction-du-mais-gm-mais-les-etats-unis-restent-decus.html
Grillons un peu avec les insectes à manger
RépondreSupprimerEst-il bien utile de faire inscrire la baguette de pain au patrimoine immatériel de l’UNESCO pour ensuite introduire des grillons dans la farine ?
le 16 février 2023
Christiane Chavane
Après deux ans d’études, l’Union européenne vient d’attribuer un monopole de 5 années à une entreprise vietnamienne (Cricket One) pour l’exportation et la vente en Europe de la poudre de grillon domestique partiellement dégraissée à usage alimentaire.
Ceci suit une première autorisation datant de 2015 pour le ver de farine (tenebrio molitor), la blatte (blattodea), (un insecte poubellivore), et le criquet migrateur (locusta migrans). Selon la FAO environ 1900 espèces d’insectes seraient éligibles à la consommation humaine ou animale et 11 sont en cours d’études.
Ici apparaissent quelques incongruités :
Depuis l’origine de l’agriculture l’Homme a toujours cherché à éliminer les nuisibles et en particulier écarter les insectes de ses cultures car ils causent des dégâts aux récoltes et les rendent impropres à la consommation. Quel étrange paradoxe que de les voir revenir dans nos assiettes.
Ce sont évidemment les partis écologistes qui applaudissent. C’est pourtant parmi eux que se trouvent les plus acharnés, à savoir les vegans et antispécistes. Leur compassion ne va pas jusqu’aux insectes ?
Ces gens veulent des circuits courts. Faire venir de la poudre de grillon du Vietnam ne leur pose pas de problème ?
Depuis quelques temps une propagande bien orchestrée et des coups de sonde médiatiques nous parlent de consommer différemment, d’envisager les insectes, etc., au motif que cela se fait déjà chez certains peuples. Sans doute le pithécanthrope en a t-il consommé quand il n’avait pas le choix. Oui, dans certains pays peu développés, on en consomme. En Asie aussi mais on y mange bien des pangolins ! Et alors ? Faut-il les imiter ?
Est-il bien utile de faire inscrire la baguette de pain au patrimoine immatériel de l’UNESCO pour ensuite introduire des grillons dans la farine ? Et la France qui se vante de sa gastronomie peut-elle accepter une telle dégradation de la qualité de la nourriture ?
Plus curieusement encore l’UE se demande s’il faut étiqueter les aliments – alors que c’est une obligation pour des produits bien moins douteux – , et s’il faut prévenir d’un risque d’allergie. Très peu d’études ont été faites à ce sujet mais on se doute bien que le risque est réel pour ceux qui ne supportent déjà pas les crustacés ou les fruits à coque. Il semble finalement que ce sera étiqueté Acheta Domesticus. Mais cela ne nous aidera pas si nous en avons dans les cantines scolaires, les restaurants d’entreprise, voire dans des restaurants peu scrupuleux. Si en prime ces produits sont utilisés dans l’alimentation du bétail, comment le saurons-nous ?
À quoi sert le principe de précaution ?
RépondreSupprimerRappelons d’abord que nous ne sommes ni des oiseaux ni des grenouilles ou des lézards dont le système digestif est adapté à leur régime à base d’insectes. Pas le nôtre ni celui du bétail. Or la carapace des insectes est constituée de chitine que nous sommes incapables de digérer. On pourrait déchitiniser à coups de solvants organiques et libérer ainsi des polluants dans la nature.
De plus, la chitine est cancérigène et souvent porteuse de parasites et de champignons qui ne vont guère améliorer la qualité nutritive des produits dans lesquels elle sera présente, mais au contraire présenter un risque non négligeable pour la santé.
Pire encore, le grillon contient un taux important de cyanure, de l’ordre de 5 mg/kg, soit au-delà de la dose létale pour l’Homme. Bien entendu les quantités ingérées dans une farine seront faibles mais est-ce bien nécessaire ?
Et cela n’exclut pas en prime la présence de traces de staphylocoques, de E.Coli et quelques autres toxines fort peu souhaitables.
Des contrôles vétérinaires sont-ils prévus sur ces petites bestioles ? Saurons-nous les déparasiter avant de les réduire en poudre ? Qui va s’en assurer ?
À croire que le scandale de la vache folle n’a pas suffi !
Personnellement je me fiche que des hurluberlus mangent des insectes. Puisque les écologistes en demandent, qu’on les distribue dans les magasins bio, ils en feront ce qu’ils veulent du moment qu’ils ne nous les imposent pas. En revanche, le fait de les glisser insidieusement dans un nombre incalculable de préparations et même dans l’alimentation animale est à la fois répugnant et profondément malhonnête.
Pourquoi nous imposer ça ?
Il faut savoir qu’il existe depuis 2015 un certain nombre de startups bien vues des pouvoirs publics et des banquiers toujours prompts à se poser en parangons du green washing. Or ces entreprises qui n’hésitent pas à faire du lobbying auprès de l’UE n’arrivent pas à s’ouvrir un marché. Les amateurs semblent se faire plus rares qu’espéré. Alors ils ont trouvé ce moyen pour écouler leurs marchandises.
Mais pourquoi ce monopole de 5 années sur le criquet domestique pour une entreprise vietnamienne ? Il se trouve que cette entreprise est particulièrement chouchoutée par les investisseurs. Il semble que les deux fondateurs vietnamiens ne soient que les hommes de paille d’un fonds d’investisseurs anonymes.
Avant de donner la liste interminable des ingrédients dans lesquels nous pouvons trouver ces insectes, il convient aussi de se demander si le remplacement d’une partie des farines de céréales par des grillons en poudre est pertinent sur le plan nutritif. Il s’agit de protéines animales ; or les céréales ont une tout autre fonction dans notre organisme. Elles contiennent des glucides et sont utiles pour leur apport en énergie et sont essentielles à notre alimentation. Cela signifie donc que l’ajout de protéines pourra se substituer progressivement à celles que nous consommons avec la viande.
En effet, pourquoi élever des insectes au lieu de laisser faire la nature et laisser les oiseaux et autres animaux insectivores se nourrir en paix ?
RépondreSupprimerTout simplement parce que sous prétexte que l’élevage de bovins pollue et génère des gaz à effet de serre, les intervenants au Forum de Davos, dont les militants écologistes ne sont que les idiots utiles, veulent les remplacer par des élevages plus faciles qui ne coûtent rien. Business is business. Et puisque vous ne voulez pas en manger, elles seront imposées dans toutes les préparations industrielles.
Il suffit de voir ce qui se passe aux Pays-Bas où le gouvernement veut drastiquement diminuer le cheptel bovin et exproprie des éleveurs. En France même, le cheptel est aussi en train de se réduire pour plusieurs raisons.
Au bout du compte nous arriverons à une viande de grande qualité mais rare et hors de prix, réservée à l’élite autoproclamée. Il restera à ceux que Macron appelle « ceux qui ne sont rien », c’est-à-dire presque tout le monde, à ingurgiter des protéines d’insectes en lieu et place de steaks, sachant que pour avoir la valeur nutritive d’un steak, il faudra beaucoup de grillons cyanurés.
Ensuite on s’étonnera de la chute de l’espérance de vie en Occident, mais finalement ça économisera des retraites !
Liste des produits concernés :
pains, biscuits secs et gressins, barres de céréales, biscuits, confiseries et chocolats – Ça va être compliqué pour le goûter des enfants ;
plats surgelés et frais préparés ;
produits secs à base de pâtes ;
sauces ;
produits transformés à base de pommes de terre, de légumineuses et légumes, pizzas et produits à base de pâtes ;
lactosérum en poudre ;
substituts de viande ;
soupes ;
préparations à base de farine de maïs ;
fruits à coque et oléagineux ;
fritures ;
viande préparée ;
bière.
Même si vous n’êtes pas accro aux produits industriels, il va quand même être difficile de passer à travers.
https://www.contrepoints.org/2023/02/16/450192-grillons-un-peu-avec-les-insectes-a-manger
Ce n'est pas le poison qui tue, c'est la dose.
SupprimerPourquoi cette incorporation de merdes d'insectes dans l'alimentation humaine ?
La merde et la pisse sont des poisons rejetés chaque jour par notre organisme. Si nous en mangions ou si nous en buvions on serait mort.
C'est pourquoi est appliquée de force le Plan 'Dépopulation21' par la dictature en place.
Les insectes dans les aliments rendus possibles par l'UE - des dangers pour votre santé
RépondreSupprimer16 février 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Qualifié de manière propagandiste de «nouvel aliment», l'UE autorise initialement l'ajout de toutes sortes d'animaux aux plats cuisinés. Ce serait l'avenir de la nutrition et ils contiendraient tout ce dont vous avez besoin. Voilà pour la propagande. Ce qui est plus vrai, cependant, c'est que ce type d'aliments est déjà fondamentalement malsain et devient encore plus malsain si des insectes sont ajoutés, et peuvent même être dangereux.
La propagande rappelle celle de l'industrie sucrière d'il y a 60 ans, où la graisse était diabolisée et de grandes quantités de sucre étaient promues comme saines. Les conséquences sont le diabète, la démence, les maladies cardiovasculaires et bien plus encore, comme la susceptibilité aux maladies Covid sévères.
Les plats cuisinés sont malsains à bien des égards. Les vitamines et autres micronutriments sont détruits par le traitement et la chaleur, ce qui est inévitable dans la production. Vous n'avez aucun contrôle sur les ingrédients, qui peuvent inclure ce à quoi vous êtes sensible ou allergique. Au moins, le gluten est presque toujours à l'intérieur. Et enfin, chaque étape de traitement réduit le degré d'ordre (entropie négative - voir la 2ème loi de la thermodynamique). La nourriture ne doit pas seulement nous fournir de l'énergie, mais aussi maintenir l'ordre dans le corps et elle peut le faire d'autant plus qu'elle est naturelle et plus l'état d'ordre est élevé.
L a Commission européenne travaille depuis une dizaine d'années pour autoriser l'utilisation d'insectes, de vers et d'autres animaux dans les plats cuisinés. Comme indiqué , en 2018, le règlement (UE) 2015/2238 du Parlement européen et du Conseil du 25 novembre 2015 est entré en vigueur, introduisant le concept de "nouvel aliment" qui comprend également les insectes et leurs parties appartiennent. Parmi les espèces d'insectes les plus couramment utilisées figurent : les vers de farine (Tenebrio molitor), les blattes (Blattodea), les criquets migrateurs (Locusta migrans) auxquels, le 4 janvier 2023, se sont ajoutés les grillons domestiques (Acheta domesticus ) . TKP a été l'un des premiers médias rendu compte du règlement de l'UE. Cela a provoqué une vague d'indignation et a même amené la Commission européenne à s'expliquer.
Les travaux scientifiques sur les dangers des insectes et des vers comme aliments existent depuis longtemps. Henning Rosenbusch est l'auteur de l'étude intitulée "Une évaluation parasitologique des insectes comestibles et de leur rôle dans la transmission des maladies parasitaires aux humains et aux animaux" découverte en 2019. Comme son titre l'indique, il examine le rôle des animaux dans la transmission des parasites. Les résultats sont plutôt effrayants :
«Le matériel expérimental comprenait des échantillons d'insectes vivants (imagine) de 300 fermes familiales et animaleries, dont 75 fermes de vers de farine, 75 fermes de grillons domestiques, 75 fermes de cafards de Madagascar et 75 fermes de criquets migrateurs.
Des parasites ont été détectés dans 244 (81,33 %) des 300 (100 %) élevages d'insectes examinés. Dans 206 (68,67%) des cas, les parasites retrouvés n'étaient pathogènes que pour les insectes ; dans 106 (35,33%) cas, les parasites étaient potentiellement parasitaires pour les animaux et dans 91 (30,33%) cas, les parasites étaient potentiellement pathogènes pour l'homme.
RépondreSupprimerDes perspectives peu édifiantes. La farine de grillon maison est fabriquée dans une usine au Vietnam, par exemple, qui a un sceau d'approbation de l'efsa (Agence européenne de sécurité des aliments), mais ...
Et l'étude montre aussi des dangers :
« Les insectes comestibles sont un réservoir sous-estimé de parasites chez l'homme et l'animal. Nos investigations montrent que ces insectes jouent un rôle important dans l'épidémiologie des parasites pathogènes des vertébrés. Les études parasitologiques réalisées suggèrent que les insectes comestibles pourraient être le vecteur de parasites le plus important pour les animaux domestiques insectivores.
(...)
" Il a été prouvé que les insectes peuvent être un facteur épidémiologique important dans la transmission des maladies bactériennes [3]."
Et comme si cela ne suffisait pas, les politiciens européens et leurs "experts" sont plutôt vagues en ce qui concerne l' allergénicité de la poudre de grillon domestique. Par exemple, il est indiqué que " la consommation d'Acheta domesticus [n'est] pas clairement associée à un certain nombre d'événements anaphylactiques " et que " l'Acheta domesticus contient un certain nombre de protéines potentiellement allergènes" . Néanmoins, il est approuvé et l'on se contente de la mention « Les autorités ont recommandé de poursuivre les recherches sur l'allergénicité d'Acheta domesticus . "
Nous connaissons cette méthode depuis les "vaccins" corona : premièrement, s'il y a des effets secondaires, des dommages et des problèmes, niez-les et, s'il n'y a pas d'autre moyen, nommez une commission "d'experts" pour élaborer des recommandations.
https://tkp.at/2023/02/16/insekten-im-essen-wie-von-eu-ermoeglicht-gefahren-fuer-deine-gesundheit/
Des grillons au repas : la dérive
RépondreSupprimerDouce France, ta culture gastronomique avec tous ces produits de terroir et de tradition fout le camp et tant pis pour la santé !
le 17 février 2023
Jean Kircher
Et voilà que de nouveaux ingrédients sont autorisés dans la composition des pains : poudre d’Acheta domesticus (grillons) partiellement dégraissés. Ce joli cadeau de nos instances européennes pour permettre une alimentation plus écocompatible n’est probablement pas vraiment adaptée à nos organismes qui bien qu’étant omnivores nous fera renouer avec les belles époques de famine où le peuple mangeait des racines et des rats…
Plus grave ! Depuis plusieurs années les professionnels de la boulangerie se sont ingéniés à éliminer tous les numéros E autorisés et soumis à déclaration comme les propionates, acidifiants, conservateurs, émulsifiants qui faisaient tache sur les étiquettes.
Pour obtenir des produits clean label les ingrédientistes ont élaboré une machine de guerre pour produire des pains à mie bien alvéolée et des croûtes bien dorées. Pour le goût ils inventent des poudres de perlimpinpin et faux levains qui colorent et aromatisent lesdits pains qui bientôt n’auront plus de pain que le nom…
Le secret : les enzymes
Pour qu’une pâte devienne pain on peut agir sur deux composantes de la farine : l’amidon et le gluten. Le premier qui est un sucre source de gaz carbonique qui agit sur le « gonflement » de la pâte et le deuxième qui devient la structure permettant de retenir la production gazeuse du premier. Un peu comme un ballon : l’enveloppe permet de retenir l’air insufflé.
Les pains modernes ont donc soit ajouté du gluten au mélange en corrigeant par des émulsifiants (E471-E472 par exemple) soit corrigé l’activité enzymatique. Cette dernière est dépendante de la qualité du blé qui contient naturellement des enzymes (alpha, bêta amylases par exemple) mais de qualité variable car dépendantes des sols, de la technique de culture, de la pluviosité, du climat etc. Donc nos petits chimistes bricoleurs ont cultivé des enzymes fongiques OGM à forte activité. De plus, ils ont également bricolé des enzymes bactériennes qui ont la particularité de résister à la chaleur et donc ne sont pas tuées pendant la cuisson du pain. Ces dernières vont donc se retrouver dans nos estomacs avec des conséquences encore non identifiées.
Le monde du lait et des fromages notamment pasteurisés utilise cette technique des enzymes depuis bien longtemps et il n’est pas étonnant que nous n’ayons plus aucun fromage français dans le top ten mondial…
De même les vignerons s’amusent également à bricoler des enzymes…
Les allergies alimentaires ont de beaux jours devant elles…
Le scandale dans toute cette affaire c’est que nos penseurs européens (et français) ne songent pas un instant à obliger les fabricants à déclarer les enzymes entrant dans la composition de leurs produits.
Douce France, ta culture gastronomique avec tous ces produits de terroir et de tradition fout le camp et tant pis pour la santé !
https://www.contrepoints.org/2023/02/17/450693-des-grillons-au-repas-la-derive
Comme pour les vers et les chenilles la bestiole contient dans son corps plus de merde que de cervelle (minus ministrius) c'est ce qui fait la saveur du discours (punaisus fabricatus de merdus) nommé E-666merdus.
SupprimerLa même chose aux États-Unis au début de la Seconde Guerre mondiale, qui a commencé pour eux en 1941 ; il y avait de la création d'emplois et c'était le moyen de sortir de la Grande Dépression sous le président Roosevelt. Mais cette guerre (faisant référence à une troisième guerre mondiale) n'est pas du même type ; c'est une guerre de haute technologie, pas une guerre d'assemblage ou de fabrication de matériel militaire . La guerre du Viet Nam a créé des emplois, tout comme la guerre de Corée. Cette guerre est une guerre caractérisée par un système d'armes très sophistiqué, employant une main-d'œuvre scientifique très avancée, des ingénieurs et autres… »
RépondreSupprimer"... tout étudiant de première année sait que si vous imposez des mesures d'austérité au niveau national et mondial - comme proposé lors des réunions du G-20 et également sous les auspices de la Banque internationale des règlements, qui représente les banques centrales -, il y a une sorte de consensus que pour résoudre la crise, nous devons mettre en œuvre des mesures d'austérité, que les mesures d'austérité ne sont pas une solution, mais une cause de la crise. Réduire le budget, réduire les dépenses, réduire le crédit aux petites et moyennes entreprises en même temps augmente les niveaux de chômage et réduit les salaires. C'est le cas dans la plupart des pays européens.
« L'Espagne et le Portugal ont des taux de chômage supérieurs à 20 %, officiellement ; la question clé ici est que la solution proposée, non seulement au niveau national, mais dans tous les pays, prononcée par le consensus néolibéral, est que nous devons mettre en œuvre des mesures d'austérité… »
"... mais la stagnation de l'économie civile causée, en premier lieu, à cause du transfert de richesse, pas seulement ces dernières années mais disons depuis le début des années 1980, quand a commencé la soi-disant ère des politiques néolibérales qui a également conduit à la stagnation de l'économie civile […] si on parle des États-Unis, ces mesures ont été mises en place à la fin de l'administration Bill Clinton […] le Financial Services Modernization Act, mais ils ont créé un système financier qui n'est pas régulé , et qui se livre, dirons-nous, à des activités semi-illégales. D'une certaine manière, c'est la criminalisation de l'appareil financier, et ce n'est pas seulement un mot que j'utilise, de nombreux analystes, dont le Wall Street Journalon parle de la criminalisation, car il y a eu des fraudes financières ces dernières années, et ceux qui ont commis ces fraudes ne sont pas punis.
« … une crise économique, à mon avis la pire de l'histoire, sans précédent, pas même les années 1930, qui était une crise très localisée, pas une crise globale en tant que telle, elle avait une dynamique dans certains pays et régions du monde. "
« La situation en Haïti est également liée à un projet d'appropriation des ressources […] la situation humanitaire […] permet aux capitaux d'accéder aux ressources minérales et aux potentielles ressources pétrolières de la région. […] Je ne dis pas que c'est la seule raison de la militarisation de la région. L'autre est le trafic de drogue.
RépondreSupprimer« … il y a des objectifs géographiques, géopolitiques et de ressources […] mais aussi le trafic de drogue, car c'est une source très importante de profits pour le capital.
« … il y a deux axes dans le commerce mondial de la drogue, l'un est l'Afghanistan et le Pakistan, qui représente le commerce de l'héroïne, et l'autre est la Colombie, le Pérou, la Bolivie. Le transfert passe par Haïti et d'autres pays des Caraïbes vers le marché américain. […] L'Afghanistan est un pays extrêmement riche, il produit annuellement environ 200 milliards de dollars de revenus provenant de l'exportation d'héroïne, du moins selon mes estimations. Depuis que les forces américaines sont entrées en Afghanistan, la production d'héroïne a été multipliée par 30. Eh bien, je m'égare.
« La militarisation de la région et les opérations en Équateur, une puissance pétrolière, le Venezuela, une puissance pétrolière, le Mexique est aussi une puissance pétrolière. Ce sont tous des pays qui ont un rôle stratégique dans la géopolitique de l'économie américaine. ”
« Un étudiant : je suis étudiant à la faculté des sciences économiques… »
« Ma question est la suivante : la mondialisation telle qu'elle a été vendue, telle que présentée par les pays dits développés, est-elle actuellement viable ou existe-t-il d'autres alternatives, comme des modèles d'intégration ?
"Merci."
« Michel Chossudovsky : Ce n'est certainement pas viable.
La mondialisation, telle que définie par les centres de pouvoir n'est pas viable. C'est peut-être viable pour un secteur, une minorité sociale qui s'enrichit, mais cela conduit à l'appauvrissement, et c'est maintenant très bien documenté. Cela fait partie d'un processus qui a affecté les pays en développement au cours des 30 dernières années. Vous pouvez voir les conséquences dans les pays voisins, l'appauvrissement qui existe au Brésil, au Mexique, au Pérou, un produit de ce modèle destructeur. […] De nombreux pays ont présenté des modèles de développement différents, comme dans le cas de la Yougoslavie.
« … La Yougoslavie avait un système socialiste, une économie de marché, une économie mixte avec un niveau de vie élevé, des services sociaux, une éducation, et qu'ont-ils fait ? Depuis le début des années 1980, il a été complètement détruit et fragmenté en de nombreux pays, une demi-douzaine de pays. Pourquoi? Car la Yougoslavie représentait un modèle, une alternative qui ne leur convenait pas.
« Michel Chossudovsky : Écoutez, à propos de cette soi-disant dynamique de l'économie, le leadership des États-Unis, d'un point de vue économique, ne repose pas sur sa capacité productive […] l'économie industrielle s'est arrêtée depuis 30 ans, il n'y a plus de chaînes de montage, la production a chuté, il y a une économie de services, il y a la question du contrôle de la propriété intellectuelle, il y a une économie d'investissement, il y a une économie où la plupart des biens de consommation viennent de Chine.
RépondreSupprimer« … L'économie américaine est plus grande que celle de la Chine, mais même si elle est plus grande que l'économie chinoise, elle ne produit rien, et le PIB – comme nous le savons tous – est la somme de la valeur ajoutée. Le fait est qu'une grande partie du PIB américain est le résultat d'importations en provenance de Chine.
« La technique est simple. Si vous importez une chemise — et j'utiliserai des prix plus ou moins réels —, une douzaine de chemises de haute qualité coûtent 36 $. Ces chiffres correspondent aux années 1990, puisque ces prix sont encore plus bas de nos jours. […] une belle chemise coûte 3 $ à l'usine ; il est transporté aux États-Unis et il coûte 30 $, 40 $ ou 50 $. Quelle est l'augmentation du PIB américain qui en résulte ? Tandis que 30 $ moins 3 $ équivaut à 27 $ qui s'ajoutent au PIB sans avoir aucune sorte de production […] Cette croissance peut avoir lieu sans aucune production existante ; c'est ainsi que fonctionne un État-nation à économie impériale, la production se fait dans les colonies ou les semi-colonies.
« … La fiction de cette première économie mondiale est basée sur la puissance militaire […] c'est le fait le plus important. Les forces productives aux États-Unis sont très faibles ; nous pouvons en être témoins dans les entreprises qui font faillite, dans les niveaux de chômage, etc.
« Un étudiant : …Je voudrais reconnaître votre position car il est inhabituel pour nous de voir quelqu'un de vos origines critiquer fortement le système capitaliste comme vous l'avez fait. Cela mérite d'être reconnu. »
"Selon le marxisme, il s'agit d'une crise systémique, pas temporaire."
« A votre avis, quelle est la capacité réelle de l'opinion publique mondiale et de l'éventuelle prise de conscience de la population américaine pour éviter un conflit nucléaire, si l'on tient compte de la forte pression exercée par de petits cercles de pouvoir si souvent évoqués ces derniers temps ? fois?"
« Michel Chossudovsky : … Il s'agit d'une crise systémique, même si elle ne peut pas être mesurée à l'aide des lignes directrices énoncées dans Le Capital . La méthodologie marxiste est utile à notre compréhension, car elle est basée sur les conflits de classes, mais la structure d'aujourd'hui est assez différente de celle du milieu du 19e siècle […] en tant qu'économistes, nous ne pouvons pas l'adapter à un modèle, nous devons considérer sa structure institutionnelle nature, la relation entre les activités financières d'une part, les opérations secrètes.
« … La CIA est une entité à Wall Street, une entité majeure […] elle a des joint-ventures avec un grand nombre d'entités financières. […] puisque la CIA peut prévoir les événements, elle peut opérer dans la spéculation du marché… »
« … Décrire cette crise systémique est très important, mais nous devons établir le fonctionnement du capitalisme, sa structure institutionnelle, ses agences secrètes, ses opérations secrètes, tant sur les marchés financiers que dans le contexte géopolitique, la fonction de l'armée, les décisions des les groupes de réflexion à Washington, les entités étatiques, et nous devons également identifier qui sont les acteurs.
« Je pense que votre deuxième question partage un élément commun avec les précédentes ; la nécessité de changer l'opinion publique. Mais ma réponse est qu'il faut briser le consensus qui soutient ce système, qui est un mensonge […] Il existe différents codes de conduite dans les pays capitalistes. Il y a des gens politiquement actifs qui disent habituellement : « Nous faisons une pétition, s'il vous plaît, président Obama, arrêtez la guerre en Afghanistan. Ils ont diffusé ce message sur Internet : « S'il vous plaît, signez notre pétition, nous écrivons une lettre à Obama, etc. Mais tout cela est futile parce que c'est basé sur l'acceptation du consensus, sur l'acceptation du président qui est l'un des facteurs, et nous devons briser cette inquisition.
RépondreSupprimer"... Les gens parlent de l'inquisition espagnole, insensée d'un point de vue historique, mais c'est encore plus insensé, des déclarations du genre : "Nous nous battons contre Ben Laden et vous devez nous rejoindre, sinon vous êtes un terroriste".
« Il y a quelques semaines, le FBI a perquisitionné et arrêté des militants anti-guerre et les a accusés de travailler avec Ben Laden. Cela a été rapporté dans les journaux américains, et cela fait partie de cette dynamique pour changer l'opinion publique, c'est dialectique, il faut renverser et démanteler ce discours qui soutient et légitime la guerre et ce projet économique, ainsi que les mensonges tels que "Le la crise est terminée.
« Vous lisez le Wall Street Journal , vous lisez le journal et il dit : 'La crise prendra fin en janvier 2011', personne ne remet en question cette affirmation, pas même les économistes. Ce rituel d'acceptation, n'est pas basé sur un manque d'information mais plutôt parce que tout le monde l'accepte. Nous devons briser ce rituel d'acceptation du consensus qui découle du pouvoir politique et des marchés financiers.
« Un étudiant : Le développement durable, qui pour moi est totalement incompatible avec la guerre car il n'y a jamais rien eu de plus destructeur que les guerres récentes, non seulement celle qui pourrait avoir lieu, mais toutes les guerres récentes fomentées par les États-Unis.
« …Ils insistent sur l'importance du développement humain, de la valorisation des rôles des régions et territoires locaux. J'aimerais avoir votre avis sur cette question, dans quelle mesure cet objectif est-il réaliste pour nos pays ?
« Michel Chossudovsky : Je suis d'accord avec le véritable objectif de développement durable, mais il faut voir le jeu de mots derrière cet objectif. Cet objectif a été formulé par plusieurs organisations environnementales, telles que Greenpeace, WWF, […] Je ne critique pas ces organisations, mais si vous considérez les sommets organisés sur l'environnement comme le Forum social mondial, les sommets du G-7 par exemple, le G-20, ils ne parlent presque jamais de l'impact de la guerre sur l'environnement. Ils font leurs présentations sur la pollution des villes, le réchauffement climatique, mais les ONG occidentales ne parlent pas de guerre, elles ne parlent pas de l'impact de la guerre sur l'environnement, qui est important.
RépondreSupprimer« J'ai participé aux sommets sociaux jusqu'en 1999. Dès que j'ai évoqué la guerre en Yougoslavie, ils ne m'ont plus invité à y participer. La guerre peut être discutée dans un atelier ou un autre type de réunion, mais ce n'est pas une question abordée lors des débats sur « Un autre monde est possible », pas du tout. Cette sorte d'idée de gouvernance mondiale qui a caractérisé les mouvements sociaux, et je ne les critique pas parce que je pense qu'il y a de très bonnes personnes dans ces groupes, mais ils ont une certaine dynamique et il y a quelque chose dans le leadership de ces organisations qui ne convient pas. […] On ne peut pas avoir un mouvement altermondialiste qui ne se focalise que sur certains aspects, sans tenir compte du contexte géopolitique […] Les États-Unis et leurs alliés… en guerre pendant une grande partie de cette époque, qu'on appelle la poste -période de guerre,
C'est par ces mots que Michel Chossudovsky a conclu sa présentation à l'Université de La Havane, chaleureusement applaudie par les étudiants de la Faculté d'économie, leurs professeurs et les autres personnes qui remplissaient ce jour-là la salle Manuel Sanguily.
Avant que je [Fidel] ne rencontre le professeur Chossudovsky, une coïncidence s'est produite spontanément. Une coïncidence liée à la fois aux risques d'un conflit, qui conduirait inévitablement à une guerre nucléaire mondiale, et à la nécessité de mobiliser l'opinion mondiale face à un danger aussi dramatique.
Aux armes nucléaires s'ajoutent les cyber-armes. Un autre produit de la technologie qui, une fois transféré au secteur militaire, menace de devenir un autre problème sérieux pour le monde.
Les forces armées américaines possèdent quelque 15 000 réseaux de communication et 7 millions d'ordinateurs, comme le rapporte la journaliste Rosa Miriam Elizalde sur le site Cubadebate.
Rosa Miriam Elizalde a également écrit :
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RépondreSupprimerQualifié d’historique, le programme Iris² de l’Union européenne, qui sera lancé en 2024, ouvre une nouvelle page de la révolution spatiale. Ce dispositif, qui devrait être opérationnel en 2027, développera la connectivité internet par satellite partout dans le monde, pour un coût estimé à 6 milliards d’euros avec la contribution de l’Agence Spatiale Européenne et d’investissements privés.
Par Rolando Grandi
le 16 février 2023 à 15h33
Le programme Iris devrait coûter 6 milliards d'euros.
En démocratisant l’accès à l’espace, en réduisant la fracture digitale, l’espace 2.0 connecte aussi les machines et véhicules en haut débit à tout moment sur Terre, sur mer et dans les airs, avec un coût de maintenance des infrastructures de communication moins élevée que l’infrastructure terrestre. Et des applications… infinies.
Un marché ascensionnel
Grâce aux nouvelles technologies spatiales, le "Direct to Device" permet à tout matériel informatique sur Terre de se connecter aux satellites en orbite et d’accéder à l’Internet rapide. L’Europe entre dans la course avec Iris2, mais aussi avec la fusion en cours entre l’opérateur français de satellites Eutelsat et le Britannique OneWeb, spécialisé dans la communication par satellites en orbite basse, qui devrait créer un géant européen de l’internet spatial d’ici fin 2023.
En plein essor, le marché de l'internet spatial est estimé à 16 milliards de dollars à l'horizon 2030. Le marché mondial des services de communication par satellite devrait quant à lui atteindre 141 milliards de dollars et enregistrer un taux de croissance annuel de plus de 7% sur la période2. La raison de cet envol ? Les entreprises multiplient les projets de constellations de satellites en orbite terrestre moyenne ou basse, pour connecter les régions non desservies grâce à un modem satellite, avec un temps de latence réduit3.
Outre-Atlantique, les projets disruptifs s’enchaînent. Starlink, la constellation de SpaceX qui pourrait être introduite en Bourse d’ici 2025, compte déjà plus de 3 500 satellites en orbite basse, sur 44 000 prévus. Le lancement de 54 de ces satellites nouvelle génération, effectué en décembre 2022 par la fusée Falcon 9, préfigure une nouvelle ère pour l’univers des télécoms, qui entre dans une nouvelle dimension.
Les sociétés américaines Iridium4, spécialiste de communication par satellite, et Qualcomm, spécialiste de la conception de solutions de télécommunications, l’ont bien compris. De leur récent partenariat naîtra la première solution satellitaire au monde capable de prendre en charge la messagerie bidirectionnelle, pour activer la messagerie par satellite et les services d'urgence : technologie pour smartphones haut de gamme, Snapdragon Satellite pourra aussi être utilisée sur les voitures ou les ordinateurs. Un partenariat qui ouvre à Iridium un marché adressable bien plus vaste.
Les avancées technologiques spatiales en matière de communication, de navigation, miniaturisation, observation de la Terre fabrication en microgravité réinventent l'usage de l'espace. La double révolution Internet des Objets et Internet haut-débit sera, nous en sommes convaincus, bénéfique à la vie sur Terre. Elle ouvre des opportunités d’investissement inédites, au long cours. Et c’est irréversible.
2 AB Research
RépondreSupprimer3 PwC France
4 Les valeurs citées sont données à titre d’exemple. Leur présence en portefeuille n’est pas garantie.
https://www.economiematin.fr/investissement-spatial-entreprise-satellite-futur-grandi
Comme il y a de plus en plus de tours d'antennes 5G (et 6G bientôt) de détruites sur terre, ils lancent la communication par satellites (peu de gens possèdent des missiles).
SupprimerFRANCE: La production électrique s’est effondrée en 2022
RépondreSupprimerLes installations du pays n’avaient jamais été aussi peu productives depuis 1992, en raison notamment de l’arrêt de nombreux réacteurs nucléaires.
16 février 2023, 12:40
La France n’avait en 2022 jamais produit aussi peu d’électricité depuis 1992, un record à la baisse qui s’explique en large partie par l’arrêt de nombreux réacteurs nucléaires d’EDF affectés par des problèmes de fissures, a annoncé jeudi le gestionnaire du réseau de transport d’électricité RTE dans son bilan annuel.
«La production totale d’électricité se situe à son plus bas niveau depuis 1992, en raison de la faible production nucléaire et hydraulique», a indiqué RTE, dans un communiqué.
Seulement 62,7 % de l’électricité était d’origine nucléaire l’an dernier, contre 69 % en 2021 et plus de 70 % auparavant en France, qui s’appuie historiquement sur son parc nucléaire pour fournir du courant. Dans l’absolu, jamais aussi peu de térawattheures d’origine nucléaire n’avaient été produits depuis 1988, avant la fin de la construction du parc nucléaire, soit une production de 279 TWh en 2022, bien loin de l’époque où la France en produisait 430 TWh comme en 2005.
Consommation en baisse
Malgré une crise énergétique inédite depuis le choc pétrolier des années 1970, sur fond de tensions d’approvisionnements en lien avec la guerre en Ukraine, «la France a montré sa résilience et sa sécurité d’approvisionnement a été garantie», a déclaré lors d’une conférence de presse Xavier Piechaczyk, président du directoire de RTE. La France a ainsi évité le scénario noir de coupures électriques au cœur de l’hiver, grâce à des importations d’électricité et à la remontée du parc nucléaire en fin d’année, combinées à une baisse de la consommation nationale d’électricité par les ménages et les entreprises.
Par rapport aux valeurs moyennes historiques (2014-2019), la consommation de l’année 2022 a reculé de 4,2 % en 2022, une baisse essentiellement concentrée sur le dernier trimestre.
https://www.lematin.ch/story/la-production-electrique-sest-effondree-en-2022-102374157467
Est-ce l'ampoule qui fait l’œuf ou l’œuf qui fait l'ampoule ?
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