Les grandes banques profitent de la faim dans le monde et de la crise énergétique
07.02.2023 www.kla.tv/25013
Les crises actuelles ont fait grimper les prix de l'énergie et des denrées alimentaires sur les marchés mondiaux des matières premières.
Cela a également aggravé la crise alimentaire mondiale. Pour les pauvres du monde entier – dont des millions vivent au seuil de la famine – les conséquences sont catastrophiques. L'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture estime que jusqu'à 828 millions de personnes se couchent chaque jour en ayant faim. Le nombre de personnes touchées par l'insécurité alimentaire aiguë serait passé de 135 millions à 345 millions depuis 2019.
En revanche, les négociants en matières premières de Wall Street réalisent des bénéfices extraordinaires.
Cette année les 100 banques les plus importantes du monde en termes de chiffre d'affaires sont en passe de battre tous les records de bénéfices liés au négoce de matières premières.
Ces dernières devraient gagner 18 milliards de dollars américains en 2022 grâce au commerce des matières premières, selon les estimations de Bloomberg (à l’écran : grande agence de presse financière américaine) qui se base sur les chiffres de la société londonienne Vali Analytics (à l’écran : société de services financiers).
Ce serait la valeur la plus élevée dans les données des 14 dernières années et dépasserait le précédent record de 2009.
Salvatore De Rosa, chercheur au Centre d'études sur la durabilité de l'Université de Lund, a twitté : « Avec la misère des gens, les capitalistes font du super profit. »
Les banques de Wall Street n'ont pas seulement profité de la hausse des prix des matières premières, elles ont activement contribué à l'alimenter. En juillet, Michael Greenberger, ancien directeur du département du commerce et des marchés de l'autorité américaine de surveillance des marchés à terme de marchandises, a déclaré :
« Nous sommes sur un marché où les spéculateurs font monter les prix. Il est trop facile de dire que la guerre en Ukraine a déséquilibré tous ces marchés, ou que les chaînes d'approvisionnement et les ports sont en panne, et qu'il y a une raison à ces hausses de prix. J'estime qu'au moins 10 à 25 % du prix des produits sont dus à des activités spéculatives déréglementées. »
Un exemple de plus montrant comment des profiteurs tirent des profits gigantesques de crises provoquées par l'homme avec en conséquence la souffrance et la mort de millions de personnes. Par conséquent, ne devrait-on pas imposer d’urgence une interdiction mondiale des profits de crise ?
de mfg. Sources / Liens : Uncut News https://uncutnews.ch/grossbanken-verdienen-an-welthunger-und-energiekrisen/
Children’s Health Defense https://childrenshealthdefense.org/defender/big-banks-global-hunger-energy-crises-cd/
Ticket: SE-665 Common Dreams https://www.commondreams.org/news/2022/09/09/wall-street-giants-set-smash-profit-records-global-hunger-energy-crisis
De nombreux agriculteurs américains ont cessé leurs activités en raison de l'inflation
Mardi 07 février 2023 par : Arsenio Toledo
(Natural News) L'inflation est toujours un problème persistant aux États-Unis, en particulier pour les agriculteurs américains, qui sont sur le point de commencer la saison de plantation de cette année dans les prochaines semaines.
Selon un sondage Gallup publié le 30 janvier, 15 % des Américains considèrent l'inflation comme le plus gros problème auquel l'Amérique est confrontée aujourd'hui – juste derrière le gouvernement et un leadership médiocre. John Boyd, un agriculteur de quatrième génération et président de la National Black Farmers Association, a noté que les problèmes d'inflation affectent toujours l'industrie agricole et que l'administration Joe Biden ne fait rien à ce sujet.
"L'inflation affecte certainement mon exploitation agricole et de nombreuses autres exploitations agricoles à travers le pays", a averti Boyd dans une interview sur Newsmax. « Les prix des équipements ont augmenté de 14 %… Le carburant diesel est à un niveau record. Engrais, à un niveau record. Ce sont tous des coûts d'intrants pour les agriculteurs américains.
Il a noté que l'administration Biden n'a apporté aucun réel soulagement aux agriculteurs américains. "Le président Biden n'a pas rencontré de dirigeants comme moi pour discuter des problèmes auxquels nous sommes confrontés", a-t-il déclaré.
Boyd a ajouté que son organisation reçoit chaque jour des appels d'agriculteurs au bord de la saisie. Son organisation a également tenté de faire pression sur le Congrès pour qu'il accorde aux agriculteurs une sorte de soulagement, y compris éventuellement un moratoire sur le remboursement des prêts.
"Nous avons actuellement de nombreux agriculteurs dans notre organisation qui font face à une saisie, et l'administration continue de fermer les yeux et de faire la sourde oreille aux agriculteurs américains", a-t-il déclaré. "Tous ces agriculteurs perdent leurs fermes, alors que nous continuons à ignorer le problème et les cris et les supplications des agriculteurs américains à travers le pays."
Si l'inflation continue de paralyser les agriculteurs, les consommateurs paieront inévitablement plus pour l'épicerie "Je ne sais pas si les Américains sont allés au supermarché ces derniers temps, mais le prix des œufs a presque triplé", a noté Boyd. "Tout ce que vous ramassez dans un supermarché, le prix a pratiquement doublé au cours de la dernière année, un an et demi." (En relation: l'inflation alimentaire induite par les démocrates devrait se poursuivre jusqu'en 2023, n'offrant aucun soulagement aux familles américaines aux abois.)
J.J. Goicoechea, un éleveur de bétail et directeur du département de l'agriculture du Nevada, a averti les Américains que le prix des produits d'épicerie – y compris le bœuf – continuera probablement d'augmenter en raison de l'inflation et d'une baisse de l'offre de bétail.
Goicoechea a noté que les coûts élevés de l'énergie, des aliments pour animaux et des engrais continueront de faire grimper les prix des denrées alimentaires, en particulier du bœuf. Sans aucun soulagement ou action significatif de l'administration Biden, ces prix élevés pourraient persister pendant des années.
"Le consommateur américain doit être prêt à payer plus cher à l'épicerie pour ses courses, et cela inclut le bœuf."
En 2022, les prix des denrées alimentaires ont augmenté de 9,9 %. Le prix du bœuf et du veau a augmenté de 5,3 %, tandis que les œufs ont enregistré le taux d'inflation le plus élevé en 2022, à 32,2 %.
"L'inflation est toujours un énorme problème pour les agriculteurs américains, les éleveurs de bétail en général", a déclaré Goicoechea, qui a noté que les coûts plus élevés de l'élevage du bétail conduisent les éleveurs à préférer des troupeaux plus petits, ce qui signifie alors une offre de bœuf plus faible et des prix plus élevés.
"Tout ce que les gens achètent à la quincaillerie, à l'épicerie, à la pompe à essence - nous, les éleveurs et les agriculteurs, devons l'acheter, mais à plus grande échelle."
Faisant écho à l'inquiétude de Boyd concernant la fermeture des exploitations par les agriculteurs, Goicoechea a noté qu'il avait vu de nombreux éleveurs liquider leurs troupeaux, choisissant de continuer à élever du bétail dans un proche avenir lorsque les prix se seraient stabilisés.
Goicoechea a prédit que cette situation pourrait maintenir les prix élevés pendant les deux à trois prochaines années alors que l'industrie peine à se reconstruire.
"Nous continuons à nourrir la nation … et nous continuerons à le faire", a-t-il déclaré. "Nous avons juste besoin de l'aide du gouvernement, moins de réglementation, un peu plus de soutien et écartons-nous de notre chemin."
En savoir plus sur la hausse des prix alimentaires sur FoodInflation.news.
Regardez ce clip de Newsmax mettant en vedette l'interview complète de l'hôte Shaun Kraisman avec John Boyd sur la façon dont l'inflation continue de mettre en faillite les agriculteurs américains.
Cette vidéo provient de la chaîne News Clips sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées : Une ferme commerciale d'œufs dans le Connecticut s'enflamme pendant le week-end ; plus de 100 000 poulets perdus alors que le prix des œufs explose.
Une autre attaque contre l'approvisionnement alimentaire : les éleveurs de poulets signalent que les poules ne pondent pas d'œufs, des aliments contaminés étant peut-être coupables.
Les prix élevés des engrais potassiques persisteront en 2023 alors que le monde lutte pour augmenter la production.
Les prix des légumes grimpent de 38 % en UN MOIS malgré l'affirmation de Biden d'une baisse de l'inflation.
Le gouvernement affirme que l'inflation est « sous contrôle » après que les prix des produits ont bondi de 38 % en novembre (et de 80 % d'une année sur l'autre).
DESTRUCTION ALIMENTAIRE : un agriculteur canadien contraint de jeter 30 000 litres de lait en raison de la flambée des prix des produits laitiers
lundi 06 février 2023 par : Ramon Tomey
(Natural News) Un agriculteur de la province canadienne de l'Ontario a été contraint de jeter 30 000 litres de lait de sa propre ferme alors que les prix des produits laitiers dans le pays montaient en flèche en raison de l'inflation.
Dans une vidéo publiée sur TikTok, le producteur laitier Jerry Huigen a déclaré que son cœur était brisé d'avoir été forcé de jeter le lait. « En ce moment, nous avons dépassé notre quota », a-t-il déclaré, ajoutant que la production de lait est réglementée par le gouvernement et les Dairy Farmers of Ontario (DFO).
"Regardez son lait s'enfuir [parce que] c'est la fin du mois. Je jette 30 000 litres de lait et ça me brise le cœur », a déploré Huigen alors qu'il se tenait à côté d'une machine crachant du lait frais dans un drain.
Selon un rapport de la Fondation pour l'éducation économique (FEE), Huigen a déclaré que les gens lui demandaient toujours pourquoi les prix du lait étaient si élevés.
« Ici, le lait canadien, c'est 7 $ CAN (5,22 $). Quand je vais me faire couper les cheveux, les gens disent : "Wow, 7 dollars canadiens, Jerry, pour un peu de lait." Je dis : "Eh bien, vous devez monter plus haut [parce que] nous n'avons plus rien à dire en tant que laiterie agriculteur sur notre propre ferme. Ils nous font le jeter.
La Commission canadienne du lait (CCL) basée à Ottawa supervise l'ensemble du système laitier du pays et détermine le prix du lait. Il a augmenté les prix des produits laitiers à trois reprises en 2022 et a attribué les hausses à «l'augmentation des coûts de production». Si Huigen n'avait pas reçu l'ordre de vider 30 000 litres de lait, il aurait maintenu les prix des produits laitiers bas en raison d'une offre abondante. (Connexe: les pénuries alimentaires pourraient être aussi meurtrières que la prochaine pandémie.)
Le phénomène ne se limite cependant pas au Canada, car les États-Unis ont également vu des épisodes de dumping de lait au début de la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19).
FEE a rapporté en avril 2020 qu'une ferme du Wisconsin avait été forcée de jeter 25 000 gallons de lait frais par jour car les blocages du COVID-19 lui fermaient tous les marchés. Golden E Dairy, une ferme familiale près de West Bend, a vidé le lait dans une lagune d'eaux usées.
Huigen expose les pratiques de dumping de lait « opaques » avec sa vidéo Selon la FEE, il y a deux raisons pour lesquelles la pratique consistant à jeter des produits alimentaires autrement comestibles tels que le lait persiste.
« L'une des raisons est le protectionnisme à l'ancienne. Des tarifs élevés protègent les producteurs de la concurrence et les quotas qui plafonnent la production sont également conçus pour empêcher l'entrée de nouveaux producteurs laitiers. Cela maintient les prix élevés, ce qui est censé rendre les agriculteurs heureux. Cela plaît également au gouvernement, qui tire des revenus des tarifs.
"Une autre raison est que très peu de gens - Canadiens ou Américains - réalisent que le dumping de lait est en cours et que les quotas de production existent."
La vidéo de Huigen a révélé que de telles politiques sont « moche » à la fois pour les consommateurs et les agriculteurs eux-mêmes. La fondation a fait remarquer : "Même les agriculteurs qui bénéficient de la protection sont devenus mécontents des quotas qui les empêchent de produire plus de lait - ce qui aurait le double avantage de rapporter plus de profits aux agriculteurs et de faire baisser les prix du lait pour les consommateurs".
Mac Slavo de SHTF Plan, cependant, a attribué le schéma à une raison différente.
"Tous les programmes de dumping de lait découlent d'un seul problème", a-t-il écrit. « Il y a un trône de pouvoir. Quand quelqu'un s'assoit dessus, le public croit qu'il est maintenant tenu de servir cette personne [et] il fera ce qu'on lui commande. Le "commandement" n'est pas le problème, le trône l'est et peu importe si vous changez qui siège. Le but est de contrôler et l'a toujours été.
La FEE a finalement souligné que même si le programme est « très opaque », le producteur laitier essaie de changer cela.
"Cette fois, je vais rendre public", a déclaré Huigen. «Je veux que les gens voient la douleur que nous, les producteurs, ressentons. Notre petit profit part en fumée.
Regardez cette vidéo InfoWars d'avril 2020 sur les agriculteurs contraints d'abattre leur bétail et leur volaille au milieu de la pandémie de COVID-19.
Cette vidéo provient de la chaîne Flashbacks de Brianroy sur Brighteon.com.
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Effondrement économique imminent : la Suède frappée par une vague de dépôts de bilan
Lundi 06 février 2023 par : Ramon Tomey
(Natural News) La nation scandinave suédoise a connu une forte augmentation du nombre d'entreprises qui ont déposé le bilan.
Russia Today (RT) a mentionné que le nombre de dépôts de bilan avait atteint son plus haut niveau depuis au moins une décennie en janvier. Il a cité un rapport de Bloomberg du 1er février qui a également souligné que l'augmentation coïncidait avec une crise actuelle du marché du logement.
Sur la base des données obtenues de l'agence suédoise de référence de crédit UC, Bloomberg a déclaré que le nombre de dépôts de bilan était passé à 622, soit une augmentation de 47 % par rapport à l'année précédente. Le secteur de la construction a été l'un des plus touchés par la récession économique, les défauts de paiement augmentant dans l'industrie. Rien qu'en janvier 2022, 130 constructeurs ont fait faillite.
Johanna Blome, économiste à l'UC, a déclaré: «Pendant [the] automne, nous avons vu des faillites dans des entreprises en contact avec les consommateurs telles que la vente au détail, les hôtels et les restaurants. Aujourd'hui, nous constatons que la plus forte augmentation se produit dans les secteurs étroitement liés à l'industrie et aux investissements à plus long terme. »
Le secteur immobilier suédois a endommagé la plus grande économie de la région nordique, les prix de l'immobilier tombant à leur plus bas niveau en trois décennies. Après un pic au premier trimestre 2022, les prix auraient baissé de 16 %. Les économistes prévoient que la diapositive continuera plus loin.
Selon les estimations du Conseil national suédois du logement, de la construction et de la planification, la construction de nouvelles maisons chutera de façon spectaculaire de 44 % pour atteindre 33 000. Une baisse de la construction pourrait avoir un impact supplémentaire sur l'activité économique.
Fin 2022, Stockholm a annoncé que le pays entrait en récession et qu'elle durerait jusqu'en 2025. Le produit intérieur brut (PIB) du pays devrait chuter de 0,7 %. Le chômage devrait atteindre 7,8 % cette année et 8,2 % en 2024.
Un autre rapport Bloomberg de décembre de l'année dernière a mis en garde contre la crise du logement en Suède. Il a souligné qu'après près de deux décennies de croissance stable, le marché immobilier du pays subit "un changement radical".
La flambée de l'inflation et la hausse des coûts d'emprunt ont fait chuter les prix de l'immobilier de 15 %. Une crise du coût de la vie en cours a coïncidé avec cette baisse, incitant les Suédois à réduire considérablement leurs dépenses. Le coup de poing qui en a résulté a encore affecté le secteur immobilier, les économistes prévoyant désormais que la baisse des prix des maisons dépassera le niveau de baisse de 20% initialement prévu.
Maria Wallin Fredholm, économiste à la Swedbank, basée à Stockholm, a fait remarquer que le marché immobilier suédois est le plus vulnérable des 27 États membres de l'Union européenne (UE). Cela est dû à la politique monétaire du pays qui "a une transmission plus rapide ici que dans d'autres économies", a-t-elle déclaré.
Alors qu'environ 64 % des Suédois sont propriétaires de leur maison, la plupart n'ont pas de prêts hypothécaires à long terme à taux fixe, a noté Bloomberg. Cela les expose à la hausse des taux d'intérêt, qui sont maintenant à leur plus haut niveau depuis plus d'une décennie, grâce aux hausses de taux de la Sveriges Riksbank - la banque centrale du pays. (Connexe : les taux hypothécaires atteignent leur plus haut niveau depuis 20 ans, entraînant une chute massive des ventes de maisons.)
Avec la chute des prêts et des ventes au détail, les craintes d'un arrêt complet des dépenses de consommation augmentent. Annika Winsth, économiste en chef de la Nordea Bank, basée à Copenhague, a averti qu'il n'y avait "aucun signal positif de l'économie nationale, et surtout pas des ménages ou du marché du logement".
Bloomberg a souligné que la dette des ménages représente 90% du PIB, ce qui signifie que des coûts d'emprunt plus élevés affecteront gravement la consommation.
De plus, l'article mentionne qu'un risque plus aigu peut résider dans le marché de l'immobilier commercial. Les prêts commerciaux représentent jusqu'à 36 % des portefeuilles de prêts des principales institutions financières suédoises. Un grave ralentissement du secteur pourrait exercer une pression importante sur les banques du pays, prévient-il.
Les économistes ont finalement averti que si l'inflation persistait, la situation du marché immobilier pourrait encore se détériorer. Compte tenu de cela, la Suède risque désormais de tomber dans la pire récession du bloc européen.
Regardez Josh Sigurdson de World Alternative Media mettre en garde contre la crise du logement aux États-Unis, le même problème auquel la Suède est confrontée.
Cette vidéo provient de la chaîne World Alternative Media sur Brighteon.com.
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La mort de l'Occident: le lac Mead et le lac Powell pourraient ne pas se remplir "de notre vivant", préviennent les experts
Mardi 07 février 2023 par : Ethan Huff
(Natural News) Même si le sud-ouest a connu de bonnes pluies soutenues ces derniers mois, les conditions de sécheresse qui ont fait chuter le lac Mead et le lac Powell à des niveaux désastreusement bas ne devraient pas se résoudre « de notre vivant », selon le Los Angeles Times. .
Ces deux réservoirs du fleuve Colorado, qui alimentent en eau de nombreuses grandes villes de l'Arizona, du Nevada et de la Californie, s'épuisent depuis un certain temps maintenant - et il est peu probable qu'ils se remplissent de si tôt. (En relation: le lac Mead et le lac Powell se dirigent vers l'effondrement depuis au moins une décennie.)
Les conditions de sécheresse y contribuent évidemment, mais il en va de même pour l'augmentation de la population dans les villes qui dépendent de l'eau de ces deux lacs. Il y a tout simplement trop de gens qui essaient d'utiliser trop peu d'approvisionnement, ce qui est une recette pour un désastre.
Le lac Mead, situé à la frontière entre l'Arizona et le Nevada, a été comblé dans les années 1980 et 1990. Il était également presque plein et clapotait aux vannes du déversoir en 2000 - bien qu'au cours des 23 années qui ont suivi, son niveau d'eau ait baissé en raison d'une "méga-sécheresse".
Actuellement, le lac Mead est vide à environ 70 %. Et il est peu probable que cela change de sitôt, même si de fortes pluies devaient persister.
La situation est pire en amont au lac Powell, qui est actuellement vide à 77% et approche d'un point où le barrage de Glen Canyon n'est plus en mesure de produire de l'électricité, entraînant une perte de plus de quatre milliards de kilowattheures d'énergie par an.
"Même avec le manteau neigeux supérieur à la moyenne de cet hiver dans les montagnes Rocheuses, les responsables de l'eau et les scientifiques disent que tout le monde dans le bassin du fleuve Colorado devra planifier des niveaux de réservoir bas pour les années à venir", a rapporté le Times.
"Et certains disent qu'ils pensent que les principaux réservoirs de la rivière ne se rempliront probablement pas de notre vivant."
L'Occident survivra-t-il aux guerres de l'eau ?
La perte d'énergie est l'une des conséquences de l'assèchement de ces deux lacs réservoirs importants, mais il en va de même pour la perte d'agriculture dans tout le sud-ouest. Sans l'eau que fournissent le lac Mead et le lac Powell, les agriculteurs de tout l'ouest des États-Unis souffriront.
La crise actuelle du fleuve Colorado est si grave que la Californie et six autres États tentent de négocier un nouvel accord sur l'eau - le premier depuis un siècle - pour allouer ces ressources rares de manière à éviter un effondrement total. Vont-ils réussir ?
"Le lac Mead reçoit à peu près la même quantité d'eau chaque année", a écrit un commentateur. « C'est comme ça depuis la construction du barrage. La raison pour laquelle le niveau d'eau baisse est que de plus en plus d'eau est prélevée du lac pour être utilisée dans des projets en aval. Le niveau d'eau du lac Mead n'a absolument rien à voir avec la panique climatique.
« Pas seulement en aval ; les nouveaux développements résidentiels à Las Vegas ne diminuent jamais », a répondu quelqu'un d'autre. « Il y a vingt ans, la région métropolitaine de Vegas comptait 500 000 habitants. Aujourd'hui, c'est plus de deux millions.
D'autres ont souligné que la Californie, l'État le plus peuplé du pays, ne connaîtrait aucun problème d'eau si elle arrêtait simplement de laisser couler de l'eau douce sans entrave dans l'océan Pacifique.
"Ils permettront au ruissellement de l'abondant manteau neigeux des Sierras de faire de même au printemps", a ajouté cette personne. « Les climatologues disent que ces pluies hivernales sont la nouvelle norme. Pourtant, les dirigeants de la Californie ne font RIEN pour capter cette eau du ciel. En fait, leurs discussions portent sur la façon d'éviter les inondations qui résultent de précipitations abondantes en dépensant des millions de dollars pour AIDER l'eau à s'écouler dans l'océan Pacifique !
Plus d'histoires comme celle-ci peuvent être trouvées sur WaterWars.news.
Avec les milliers de forages pour la captation du gaz de shiste par compression de galeries grâce aux explosifs, ce sont des milliers de couloirs d'eaux souterrains qui se sont aussi éboulés ! et, s'il n'y a plus de galeries capables d'amener l'eau aux sources de montagnes et aux nappes phréatiques... il n'y a plus d'eau ! Plus d'eau pendant des siècles et des millénaires !
Donc, l'eau des bassins maritimes et océaniques qui s'infiltre vers le magma ne ressortirait que d'où elle est venue ! (c'est cette eau chaude qui réchauffe les courants océaniques).
Mais, mais il y a aussi HAARP ! HAARP permet d’assécher des lacs et des rivières ! comme est capable de produire des inondations puisqu'il est capable de prendre la direction de l'eau (comme celle des nuages, des vents, de produire du froid ou du chaud, des tremblements de terre, etc !).
Depuis DES milliards d'années il n'y a pas une goutte d'eau en plus ou en moins sur notre planète. L'eau ne manquera donc JAMAIS. Juste qu'aujourd'hui, des terroristes criminels ont pris le contrôle de la distribution. Terres non irriguées = zéro plante, zéro récolte = famine.
Les pays occidentaux ont-ils encore une notion de morale économique ?
le 8 février 2023
La notion de réchauffement du climat d’origine anthropique, toujours non prouvée formellement, est la porte grande ouverte à toutes sortes de dérives dont la cause sous-jacente est d’ordre financier. Les énergies renouvelables n’auraient jamais connu un tel essor si des contrats léonins de prix garantis ne faisaient pas miroiter une rente mirifique aux investisseurs. Cette disposition est l’une des principales causes du tarif de l’électricité dans les pays européens, les analystes oublient trop souvent de le mentionner. Les délocalisations de pans entiers de l’industrie vers des pays peu respectueux de l’environnement et des émissions de carbone, toujours dans le même registre, conduisent les pays occidentaux à envisager de mettre en place une taxe carbone à l’importation des produits en provenance de ces pays. C’est le cas de l’Europe et de l’Amérique du Nord.
Cette mesure supposée protéger les industries domestiques est en réalité un protectionisme déguisé et dissimulé sous l’idéologie climatique. Dans ce sens le Parlement européen est arrivé à un accord incluant dans une première étape les industriels européens en les obligeant à respecter les quotas d’émission de carbone mis en place par la Commission européenne. Dans la réalité, encore une fois, cette mesure dissimule une autre réalité : combattre avec d’autres armes les effets de l’Acte de Réduction de l’Inflation « Inflation Reduction Act, IRA) qui a été mis en place par l’administration Biden en août 2022. Il s’agit de consacrer 370 milliards de dollars pour soutenir la politique industrielle verte. Mais cette définition dissimule une série de mesures de soutien aux entreprises qui produisent sur le sol américain avec des avantages fiscaux et des subventions diverses. L’Europe a été prise au piège et lors du dernier conseil européen (19 décembre 2022) la présidente de la Commission a présenté un plan pour aider l’innovation industrielle pour atteindre la neutralité carbone avec un volet devant faciliter le commerce équitable et ouvert. Bien que personne ne connaisse le montant financier de ce plan de relance économique organisé autour d’un fonds européen de souveraineté personne ne s’attend à un miracle.
Dans la réalité des faits économiques l’Europe un seul est prévisible : une diminution de plusieurs points de l’activité économique européenne en raison du coût exorbitant de l’énergie. Le monde politique européen se félicitera d’ici la fin de l’année d’une forte réduction des émissions de carbone, le Fonds monétaire international prévoyant une chute de l’activité frôlant les 5 % en Europe en 2023. Ainsi se justifieront les mesures prises par le Conseil européen et encore une fois le carbone et le climat servent d’alibi. Mais la mauvaise foi de la Commission ne s’arrête pas là. Pour faire bonne figure l’Europe a mis au point une « usine à gaz » financière afin de contrôler le carbone « importé » aux frontières depuis les pays situés hors de l’Union européenne :
Afin de satisfaire les places boursières ce système outrageusement complexe opérera sous la houlette du système d’émissions commerciales plus connu sous le nom d’ETS-EU (Emissions Trading System Europe). La Commission européenne se défend en prétendant que ce système n’est qu’un mécanisme d’ajustement pour harmoniser la production hors Union européenne à celle de l’Union elle-même. Allez comprendre ! En réalité il s’agit de mettre en place des droits de douane à l’entrée du marché européen et les taxes récupérées seront utilisées pour aider les entreprises résolument engagées dans une politique de neutralité carbone. Il est difficile d’imaginer que ce plan puisse réussir pour deux raisons. Le taux de l’inflation en 2023 dans l’ensemble de l’Union européenne sera d’environ 12 %, certaines prévisions des groupes de grande distribution prévoient une augmentation des prix pour certains articles de consommation courante pouvant atteindre plus de 50 %. Le CBAM (Carbon Border Adjustment Mechanism, lire aussi ceci : https://ieep.eu/news/agreement-on-cbam-a-long-way-to-go/ ) peut déjà être considéré comme une coquille vide qui ne suffira pas à stabiliser l’inflation, le but initial officiel, mais au contraire en favorisera l’envolée compte tenu du ralentissement général de l’activité industrielle au sein de l’Union. En conclusion ce sont les ménages modestes qui paieront la note … Ce CBAM est une pure folie, celle qui caractérise une manœuvre désespérée devant une catastrophe inévitable !
Aaaaa savoir que: Il ne suffit pas de souffler dans un ballon pour connaître le volume de gaz carbonique expiré car, lorsque l'on inspire, on INSPIRE TOUS LES GAZ DE L’ATMOSPHÈRE (et donc pas seulement un volume d'oxygène !). Et donc, le volume dans la ballon rassemble tous les gaz de l'atmosphère.
Mais (car il y a un 'mais') la totalité de tous les humains et de tous les animaux de la planète ne rassemblent qu'une infime partie (un dix milliardième ?) des gaz (carbonique, oxygène, azote, méthane, etc) émise par notre magma dont la combustion de la masse ferrique incandescente est le principal émetteur.
Et, de plus (parce que CE N'EST PAS FINI !) TOUS LES GAZ QUI FIGURENT DANS NOTRE ATMOSPHÈRE se RECYCLENT IMMÉDIATEMENT depuis DES milliards d'années. (sans quoi la vie sur Terre ne serait même pas apparue !
Donc, arrêtons de porter préjudice à notre intelligence. Merci.
La Russie est-elle le pays le plus « vert » du monde ?
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 08 FÉVRIER 2023 - 04:10
Selon les Nations Unies (ONU), les forêts couvrent 31% de la surface terrestre mondiale. Ils absorbent environ 15,6 milliards de tonnes de gaz carbonique chaque année.
Comme Freny Fernandes de Visual Capitalist le détaille ci-dessous, plus de la moitié de cette couverture verte est répartie dans les forêts boréales de Russie et du Canada, l'Amazonie en Amérique du Sud et les forêts de conifères et de feuillus de Chine. Ces forêts séquestrant le carbone purifient l'air, filtrent l'eau, préviennent l'érosion des sols et agissent comme un tampon important contre le 'changement climatique' (saisons).
- voir carte sur site -
Cette série de cartes d'Adam Symington utilise des données provenant d'images collectées à bord du capteur MODIS sur le satellite Terra pour refléter le rapport entre la surface du monde couverte de canopée et les zones non vertes.
- voir liste sur site -
Pour explorer l'intégralité de la carte forestière haute résolution, cliquez sur l'image ci-dessus. Ci-dessous, nous examinerons de plus près certaines des zones vertes du monde.
Asie
Abritant les forêts boréales de Russie, les forêts de feuillus de Chine, les forêts de mangroves d'Indonésie et la ceinture verte le long du puissant Himalaya, l'Asie possède certaines des canopées vertes les plus riches et les plus riches en biodiversité du monde.
- voir carte sur site -
La Russie détient plus d'un cinquième des arbres du monde sur 815 millions d'hectares, plus grands que la canopée de l'Amazonie. Comme la géographie du pays, la plupart des forêts russes sont situées en Asie, mais se répandent également en Europe.
Au sud-est et avec un couvert forestier de près de 220 millions d'hectares, la Chine est le cinquième pays le plus vert du monde. Cependant, ce n'était pas toujours le cas.
En 1990, les forêts chinoises ne s'étendaient que sur 157 millions d'hectares, couvrant 16,7 % de son territoire. Fin 2020, ce couvert forestier atteignait 23,4 %, grâce à des décennies d'efforts de verdissement.
D'autre part, le troisième pays le plus riche en biodiversité du continent, l'Indonésie, perd sa canopée verte. Avec un couvert forestier de 92 millions d'hectares, le pays abrite entre 10 et 15% des plantes, mammifères et oiseaux connus dans le monde. Malheureusement, au cours des 50 dernières années, 74 millions d'hectares de la forêt tropicale du pays ont été abattus, brûlés ou dégradés.
Pendant ce temps, les 72 millions d'hectares de couvert forestier indien peuvent être suivis de près avec les yeux. Des forêts tropicales le long de l'Himalaya au nord-est, aux forêts tropicales montagnardes des Ghâts du Sud-Ouest, et enfin aux forêts de mangroves côtières.
Les forêts amazoniennes et congolaises
En Amérique du Sud, le Brésil possède la deuxième plus grande couverture verte au monde.
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La majeure partie de son couvert forestier de 497 millions d'hectares se trouve dans « les poumons de la planète » - la forêt amazonienne.
L'un des endroits les plus riches en biodiversité de la planète, la forêt amazonienne abriterait environ 10% de la biodiversité mondiale, dont plus de trois millions d'espèces sauvages et plus de 2 500 espèces d'arbres.
De l'autre côté de l'Atlantique, s'étendant le long du bassin du fleuve Congo et de ses nombreux affluents, se trouvent les forêts tropicales congolaises.
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Répartie sur neuf pays d'Afrique centrale, cette collection de forêts tropicales humides de feuillus est l'une des dernières régions du monde qui absorbe plus de carbone qu'elle n'en émet.
Avec 126 millions d'hectares de la couverture verte mondiale, la République démocratique du Congo (RDC) contient la plus grande partie de cette forêt tropicale, soit environ 60 % de la couverture forestière des basses terres d'Afrique centrale.
Forêts nord-américaines
Le Canada, les États-Unis et le Mexique se combinent pour 723 millions d'hectares de forêts mondiales. Les vastes étendues de pins et de sapins du Grand Nord blanc, associées à la variété mixte de forêts des États-Unis, font du continent l'un des plus grands puits de carbone au monde.
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Avec plus de 347 millions d'hectares de forêts, le Canada se classe troisième dans la liste des pays les plus verts. Environ 40 % de sa masse continentale est couverte d'arbres, ce qui représente 9 % du couvert forestier mondial.
Ses forêts boréales stockent deux fois plus de carbone par unité que les forêts tropicales et contribuent à réguler l'empreinte carbone mondiale.
Les États-Unis, quant à eux, détiennent environ 8 % des forêts mondiales. Réparties sur 310 millions d'hectares de terres, ces forêts diversifiées vont des forêts boréales de l'Alaska aux plantations de pins dans le sud, et des forêts de feuillus de l'est des États-Unis aux forêts de conifères sèches de l'ouest. Le pays abrite également des forêts pluviales tempérées le long de sa côte ouest et des forêts tropicales humides à Porto Rico et à Hawaï.
Alors que la Chine et quelques pays sélectionnés ont prouvé qu'il y avait de l'espoir pour la construction des forêts du monde, l'histoire est différente dans d'autres endroits du monde. Cette carte d'Adam Symington utilise les données de l'Université du Maryland pour suivre l'évolution du couvert forestier mondial de 2000 à 2021.
- voir carte sur site -
Depuis 2000, le monde a perdu plus de 104 millions d'hectares de paysages forestiers vierges et intacts. Rien qu'en 2020, plus de 10 000 kilomètres carrés de l'Amazonie ont été détruits pour le développement de routes.
La déforestation et la fragmentation sont causées par une série d'activités de développement humain. Mais ils sont également exacerbés par le changement climatique, avec l'augmentation des incendies de forêt, des ouragans, des sécheresses et d'autres phénomènes météorologiques extrêmes, ainsi que des espèces envahissantes et des épidémies d'insectes qui perturbent les écosystèmes forestiers.
Lors de la Conférence des Nations Unies sur la biodiversité (COP15) de 2022 qui s'est tenue à Montréal, des nations du monde entier se sont engagées dans le plan 30X30, qui appelait à la conservation des écosystèmes terrestres et marins du monde d'ici 2030. Parallèlement à d'autres engagements visant à mettre fin à la déforestation et à accroître les canopées mondiales, il y a encore de l'espoir pour les forêts du monde.
(...) Selon les Nations Unies (ONU), les forêts couvrent 31% de la surface terrestre mondiale. Ils absorbent environ 15,6 milliards de tonnes de gaz carbonique chaque année. (...)
Oui mais comme les terres représentent seulement 22 % de la superficie planétaire... c'est 31 % de 22 % ! Et, comme les mers & océans représentent 78 % de la superficie planétaire, le rôle du phytoplancton à la surface des eaux (idem pour les lacs, rivières, flaque d'eau ou pluies, brouillards, neige, etc) est gigantesque face à la respiration des arbres !
Notons qu'on en a RIEN A FOUTRE de la surface des forêts because qu'il faut toute une forêt pour exhaler assez d'oxygène pour faire vivre une seule personne ! Les arbres sont là pour nous fournir de l'ombre, du bois de chauffage et du bois de meubles. C'est tout ! L'émetteur principal d'oxygène demeure notre magma (L'eau de mer contient 86 % d'oxygène).
Plus de 50 scientifiques interpellent le Boston College et le Florida International qui ont programmé des conférences de Vandana Shiva, qui diffuse de la désinformation « scientifique » sur les vaccins et la biotechnologie agricole.
8 Février 2023 Genetic Literacy Project*
Cette lettre se rapporte aux événements suivants :
- Boston College, 6 février 2023 : Vandana Shiva : My Life in a Biodiversity of Movements – dans le cadre de la série Rewilding Planet Earth ;
- Florida International University, 8 février 2023 : Voices for a Planetary Ethos: Conversations with Vandana Shiva
Nous sommes des chercheurs et des journalistes en sciences de la vie et en sciences sociales du monde entier qui ont publié des centaines de documents et d'articles scientifiques sur l'agriculture, l'alimentation, la biomédecine et les biotechnologies connexes ; certains d'entre nous sont des communicateurs scientifiques et des agronomes.
Nous vous contactons en réponse à l'intervention programmée du Dr Vandana Shiva. Nous sommes préoccupés par son passé de promotion de points de vue en décalage avec la science moderne et par son soutien à des politiques qui sapent la sécurité alimentaire mondiale. Les scientifiques et les journalistes (d'horizons aussi divers que Grist, Discover, The New Yorker et Forbes : voir les références ci-dessous) sont presque tous d'avis que Vandana Shiva véhicule des idées déformées, souvent manifestement fausses, sur toute une série de sujets, mais surtout sur la sécurité des vaccins et l'utilisation de technologies agroalimentaires durables.
Nous sommes surpris qu'une institution fondée sur la science et l'éthique l'ait invitée à s'exprimer, et encore plus sans avoir la possibilité d'équilibrer ses points de vue avec des données scientifiques étayées. Nous espérons que vous envisagerez de publier cette lettre dans l'annonce et de la mettre à la disposition des personnes qui assisteront à l'événement.
Voici quelques exemples des points de vue de Shiva qui finissent par nuire aux personnes qu'elle prétend soutenir.
1. Shiva promeut et soutient des points de vue conspirationnistes anti-vaccins.
Elle s'est imprudemment fait l'écho de l'affirmation d'extrême droite selon laquelle plus de personnes sont mortes après avoir été vaccinées contre la Covid que de la Covid elle-même. Elle a déclaré en juillet 2021 : « En Angleterre, plus de personnes sont mortes après avoir été vaccinées que de personnes qui ne l'ont pas été. » Une déclaration qui n'a été vraie en 2022 que pendant un mois, alors qu'une nouvelle variante a balayé l'Europe. Elle s'associe fréquemment à des promoteurs véhéments du négatisme vaccinal, dont le plus connu est Robert F. Kennedy Jr, qui a récemment publié un livre conspirationniste affirmant que la Covid était une conspiration du gouvernement et de Big Pharma. Shiva contribue à la désinformation sur le site du Children's Defense Fund de RFK Jr.
2. Shiva ne comprend pas certaines notions scientifiques de base.
Par exemple, en écrivant : « La plupart des OGMs sont des cultures tolérantes aux toxines Bt ou aux herbicides HT. Les toxines sont des poisons. OGM = Plantes productrices de poison. Les poisons n'ont pas leur place dans la nourriture. »
Le Bt est une protéine naturelle que les agriculteurs biologiques pulvérisent sur leurs cultures depuis plus d'un siècle. Intégrée au cotonnier, au soja, à l'aubergine (au Bangladesh) et à d'autres cultures, elle a permis de réduire jusqu'à 95 % la pulvérisation de produits chimiques de synthèse. Les protéines Bt sont toxiques pour certaines classes d'insectes clairement identifiées (ravageurs des plantes), mais pas pour les poissons, les oiseaux et les mammifères. Voir également les articles scientifiques cités en réponse à son message Twitter délirant, en particulier l'étude classique de Ames et al. qui précise que de nombreuses plantes produisent naturellement des substances pour se défendre contre les parasites et que 99,99 % des substances pesticides présentes dans les aliments sont naturelles – et inoffensives pour l'homme.
3. Shiva manifeste une tendance à l'absurde.
Voir sa déclaration absurde concernant les risques présumés de la technologie de restriction de l'utilisation de gènes (GURT), qui pourrait fournir les moyens de restreindre l'utilisation d'une variété végétale ou l'expression d'un caractère en activant ou désactivant un interrupteur génétique. Dans son livre Stolen Harvest (p. 82-83), elle écrit : « La possibilité que le Terminator se propage aux cultures alimentaires environnantes ou à l'environnement naturel DOIT être prise au sérieux. La propagation progressive de la stérilité dans les plantes produisant des semences entraînerait une catastrophe mondiale qui pourrait finalement faire disparaître de la planète les formes de vie supérieures, y compris les humains. » Elle a utilisé à plusieurs reprises les mêmes mots dans d'autres documents de ses sites web.
Contre toute logique, elle prétend que les semences stériles (de deuxième génération) – qui ne peuvent bien sûr pas germer – peuvent répandre la stérilité et faire des ravages dans le monde entier.
4. Shiva ne s'intéresse pas au discours courtois, recourant constamment aux attaques et aux hyperboles.
Un des nombreux exemples est ce tweet : « Dire que les agriculteurs devraient être libres de cultiver des OGM qui peuvent contaminer les fermes biologiques, c'est comme dire que les violeurs devraient avoir la liberté de violer. »
Il s'agit d'une insulte grotesque à l'égard de millions de travailleurs honnêtes qui utilisent les technologies modernes pour pratiquer une agriculture plus durable et plus efficace.
5. Shiva rejette les technologies qui aident les agriculteurs (principalement les femmes et les enfants) à alléger le travail pénible et éreintant du désherbage manuel, qu'elle a glorifié dans un article qui a été publié pendant des années sur son site Web.
Notez qu'elle l'a retiré récemment après des critiques universelles, mais qu'il est conservé ici : « Les femmes indiennes désherbent sélectivement à la main, préservant ainsi notre biodiversité. » Photo et légende à la p. 21.
C'est absurde : comme le montre ce récent article évalué par des pairs (parmi des centaines d'autres), le désherbage libère des gaz à effet de serre alors que l'agriculture sans labour [semis direct] limite les perturbations liées au changement climatique. Et sa référence à la « biodiversité » est trompeuse : tout acte de désherbage, à la main, à la machine ou à l'aide d'herbicides vise précisément à éliminer la biodiversité végétale nuisible qui, dans un champ ou un jardin, étouffe les cultures. Il faut souligner que les herbicides ont permis d'augmenter considérablement le rendement à l'hectare et que la toxicité des produits chimiques utilisés en agriculture diminue depuis 30 ans.
6. Shiva invente des liens trompeurs et mensongers entre les outils agricoles utiles et la guerre, en diabolisant l'utilisation des engrais.
Elle a prétendu : « Les engrais n'auraient jamais dû être autorisés dans l'agriculture. Je pense qu'il est temps de les interdire. C'est une arme de destruction massive. Leur utilisation est comme la guerre, parce qu'elle vient de la guerre. » (Cité dans divers articles référencés ci-dessous.)
Au contraire, les données montrent que les engrais ont entraîné une augmentation spectaculaire de la production mondiale depuis qu'ils ont été largement introduits dans les années 1940/50 après des millénaires d'utilisation de techniques agricoles inefficaces. Ils ont contribué à la Révolution Verte qui a permis de sauver des milliards de personnes, et notamment de transformer l'Inde, qui était un désastre pour la sécurité alimentaire mondiale, en un exportateur de nombreux produits agricoles.
Les politiques préconisées par Shiva ont été démasquées par les événements récents comme étant non seulement erronées mais aussi préjudiciables. Shiva a été consultante auprès du gouvernement sri-lankais qui, en 2021, a interdit les produits chimiques de synthèse, y compris les engrais, à sa demande. Comme le montrent cet article du New York Times : Sri Lanka's Plunge Into Organic Farming Brings Disaster (la plongé du Sri Lanka dans l'agriculture biologique apporte le désastre) et des dizaines d'articles similaires, Shiva a contribué à faire s'effondrer l'ensemble de l'économie sri-lankaise. Citation d'un article de Foreign Policy :
« Alors que le rendement des cultures sri-lankaises s'est effondré, exactement comme la plupart des grands experts agricoles l'avaient prédit, les principaux défenseurs de l'interdiction des engrais se sont tus. Vandana Shiva, activiste indienne et visage ostensible de l'agrarisme anti-moderne dans le Sud, était une partisane de l'interdiction mais est devenue muette lorsque les conséquences cruelles de l'interdiction sont devenues claires. »
En résumé, il a été démontré que la vision du monde et les recommandations politiques de Shiva sont plus que fantaisistes, elles sont néfastes.
Nous sommes convaincus que nos remarques raisonnées seront perçues par les destinataires de cette lettre, par leurs collègues et par leurs étudiants comme une critique constructive : il est essentiel que les établissements d'enseignement exposent leurs étudiants et le public à des perspectives équilibrées et fondées sur la science, plutôt qu'à des affirmations farfelues, nuisibles et préjudiciables.
Malheureusement, aucun d'entre nous ne sera en mesure d'assister à l'événement pour défier le Dr Shiva en personne. Nous apprécierions beaucoup qu'une personne compétente de l'université réponde point par point aux questions que nous soulevons en tant que discours fondé sur des preuves, refusant une propagande laissée sans réponse.
Nous espérons que, pour honorer un débat rationnel sur des questions d'importance mondiale, et dans l'esprit d'un engagement libéral, vous mettrez cette lettre à la disposition de tous les participants à l'événement, sous forme écrite, et que vous la diffuserez par le biais du site Internet et/ou de la lettre d'information de l'université.
Voici des liens vers une série d'articles de tout le spectre idéologique qui présentent une critique raisonnée des positions intenables de Shiva :
Seeds of Doubt| New Yorker
New Yorker editor David Remnick responds to Vandana Shiva criticism of Michael Specter profile | New Yorker
Vandana Shiva, Anti-GMO Celebrity: ‘Eco Goddess’ Or Dangerous Fabulist?| Forbes
Activism and the gift of delusion | Hindustan Times
Why Vandana Shiva is so right and yet so wrong | Grist
Fact-checking anti-GMO activist Vandana Shiva’s ‘Poison-Free, Fossil-Free’ food lecture | Prof. Alison Van Eenennaam
Vandana Shiva is confusing ideology for science – and getting rational people to believe her| Scroll
Vandana Shiva: ‘Rock Star’ of GMO protest movement has history of opposing Green Revolution and agricultural technological innovation | Genetic Literacy Project
The GMO-Suicide Myth| Issues in Science and Technology
Vandana Shiva Compares GMOs to Rape | Discover Magazine
Lies, Lies And More Lies| Swarjya
Vandana Shiva | RationalWiki
Germination of Outrage: How Vandana Shiva Fabricates Conspiracy Theories | Professor David Zaruk
Vandana Shiva’s Myth Busted: Monsanto Didn’t Cause Farmer Suicides in India| American Council on Science and Health
In GMO debate, Vandana Shiva has chosen fear-mongering and denialism| Scroll
Who is Vandana Shiva and why is she saying such awful things about GMOs?| Genetic Literacy Project
‘Social Justice Warrior’ Vandana Shiva Is A Poor Advocate for the Poor | American Council on Science and Health
Glyphosate causes kidney disease? Debunking anti-GMO activist Vandana Shiva’s herbicide junk science| Prof. Alison Van Eenennaam
Capitalising on Corona – Vandana Shiva – #1| Myles Power
[Formule de politesse]
Signataires par ordre alphabétique. L'affiliation institutionnelle est indiquée à des fins d'identification uniquement et ne constitue pas une approbation institutionnelle.
Klaus Ammann – University of Bern, Switzerland | Professor Emeritus, expert in agri-food biotech regulation
David J. Bertioli – University of Georgia, USA | Georgia Research Alliance Distinguished Investigator and Professor, Institute of Plant Breeding, Genetics and Genomics
Giuseppe Bertoni – Università Cattolica, Piacenza, Italy | Professor Emeritus of Animal Husbandry
Peter Beyer – Albert-Ludwigs University Freiburg, Germany | Professor (retired). Co-inventor of the Golden Rice. Member of the Golden Rice Humanitarian Board
Borut Bohanec – University of Ljubljana, Slovenia | Biotechnical Faculty, Plant Biotechnology and Breeding
Enrico Bucci – Temple University, Philadelphia, USA | Adjunct Professor in Systems Biology, Sbarro Health Research Organization
Trevor Charles – University of Waterloo, Canada | Professor in the Department of Biology, Director, Waterloo Centre for Microbial Research
Bruce M. Chassy – University of Illinois at Urbana-Champaign, USA | Professor Emeritus, expert in agri-food biotech regulation
Felice Cervone – University of Rome “La Sapienza”, Italy | Full Professor, Dept of Biology and Biotechnologies, M.A.E. (Member of Academia Europaea)
Pellegrino Conte – University of Palermo, Italy | Full Professor, Agricultural Chemistry
Gilberto Corbellini – Italian National Research Council (CNR), Rome, Italy | Professor of Bioethics and History of Medicine, “La Sapienza” University of Rome
Roberto Defez – Italian National Research Council (CNR), Naples, Italy | Senior Researcher, Microbial Biotechnology laboratory
Adrian Dubock – Member & Executive Secretary, Golden Rice Humanitarian Board
Jon Entine – Genetic Literacy Project, Cincinnati, OH, USA | Executive Director
Edgardo Filippone – University of Naples “Federico II”, Italy | Full Professor, Department of Agricultural Sciences, Section of Plant Genetics and Biotechnology
Kevin Folta – University of Florida | Department of Horticultural Sciences, Professor
Silvano Fuso – PhD in Chemistry, Science Communicator, Genua, Italy
Corrado Lodovico Galli – University of Milan, Italy | Department of Pharmacological and Biomolecular Sciences
L. Val Giddings, PhD – PrometheusAB, Inc., USA | Senior fellow at the Information Technology and Innovation Foundation (ITIF)
Tommaso Maggiore – University of Milan, Italy | Full Professor, Emeritus, General Agronomy, Dept. Agrarian and Environmental Sciences
Alan McHughen – University of California, Riverside, USA | Botany and Plant Sciences, expert in agri-food biotech regulation
Henry I. Miller, M.Sc., M.D. – Glenn Swogger Distinguished Fellow, American Council on Science and Health, New York, USA; Founding director of the FDA’s Office of Biotechnology
Giovanni Molteni Tagliabue – Como (Italy) | Independent researcher in socio-political/legislative aspects of ag biotech and political science
Angelo Moretto – University of Padua, Italy | Professor of Occupational Medicine, Dept. of Cardiac Thoracic Vascular and Public Health Sciences
Piero Morandini – University of Milan, Italy | Associate Professor of Plant Physiology
Jean-Paul Oury – Chief Editor of “The European Scientist” website, Paris, France | PhD in history of science and technology
Domenico Pignone – National Research Council, Italy | Emeritus Researcher, Plant genetics
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Daniele Rosellini – University of Perugia, Italy | Associate Professor of Agricultural Genetics
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Teemu Teeri – University of Helsinki, Finland | Professor in Plant Breeding
Roberto Tuberosa – University of Bologna, Italy | Professor in Biotechnology Applied to Plant Breeding, Department of Agricultural and Food Sciences
Ignazio Verde – Council for Agricultural Research and Economics (CREA), Rome, Italy | Senior scientist on Plant Genetics and scientific advisor
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Veuillez contacter les administrateurs suivants du Boston College et de la Florida International University pour leur faire part de votre point de vue :
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Rebecca Friedman, Director, Wolfsonian Public Humanities Lab: friedmar@fiu.edu; wphladmin@fiu.edu _____________
* Source : 50+ scientists challenge Boston College, Florida International for hosting philosopher Vandana Shiva, disseminator of science disinformation on vaccines and crop biotechnology - Genetic Literacy Project
La classe moyenne américaine n’a plus d’intérêt à travailler
Le système escroque donc les hauts revenus et décourage la classe moyenne en supprimant toute incitation financière à travailler.
le 8 février 2023 Rainer Zitelmann
En Europe, beaucoup pensent que le « capitalisme pur » règne aux États-Unis et que le pays n’a pas d’État-providence. Or, c’est le contraire qui est vrai. Aujourd’hui, l’État-providence et la redistribution aux États-Unis ont atteint de telles proportions que l’on peut se demander si travailler a encore un sens pour les Américains de la classe moyenne.
Une analyse des revenus aux États-Unis a montré que, par habitant, le ménage moyen du quintile inférieur (c’est-à-dire les 20 % qui gagnent le moins) reçoit plus de 10 % de plus que le ménage moyen du deuxième quintile et même 3 % de plus que le ménage moyen.
C’est l’un des résultats choquants des recherches menées par Phil Gramm, Robert Ekelund et John Early pour leur livre The Myth of American Inequality. Le membre d’une famille américaine de la classe moyenne dont les deux parents travaillent n’a finalement pas plus d’argent que le membre d’une famille dont aucun des deux parents ne travaille. Cette affirmation semble improbable mais elle est étayée par les chiffres suivants :
Même au niveau des ménages, les différences au sein des 60 % de ménages les plus pauvres (c’est-à-dire les trois quintiles inférieurs) aux États-Unis sont faibles : en tenant compte des subventions étatiques aux ménages (appelées paiements de transfert) d’une part et des paiements d’impôts d’autre part, le revenu des 20 % les plus pauvres est de 49 613 dollars par an, dans le deuxième quintile il est de 53 924 dollars et dans le quintile moyen de 65 631 dollars.
À eux seuls, les paiements de transfert de l’État aux 20 % des ménages américains les plus pauvres s’élèvent à 45 389 dollars, contre seulement 3996 dollars d’impôts payés par ce segment par an. Cela signifie que les paiements de transfert de l’État aux 20 % des ménages américains les plus pauvres sont supérieurs de 41 393 dollars aux paiements d’impôts !
Dans la classe moyenne, la situation est tout à fait différente : les ménages de la classe moyenne reçoivent, en moyenne, 17 850 dollars de transferts étatique par an, tout en payant 19 314 dollars d’impôts fédéraux, étatiques et locaux. Cela signifie que les ménages de la classe moyenne paient 1464 dollars de plus en impôts que ce qu’ils reçoivent en transferts étatiques.
Et contrairement à ce que l’on pourrait penser, un ménage américain du quintile inférieur compte moins de personnes (1,69) qu’un ménage de la classe moyenne (2,51 personnes). En tenant compte de ces différences, une personne appartenant au quintile inférieur reçoit 3 % de plus qu’une personne appartenant à la classe moyenne après transferts et impôts.
Cela n’a pas grand-chose à voir avec le capitalisme.
Le principe du mérite est réduit à néant parce qu’il n’est guère payant de travailler. Les Américains de la classe moyenne travaillent beaucoup plus d’heures que ceux des quintiles inférieurs, mais ne voient aucune récompense pour leur dur labeur. L’ensemble du système de redistribution engloutit d’énormes quantités d’argent et ne peut être compris qu’à moitié par les statisticiens.
Rien qu’aux États-Unis, il existe 100 programmes fédéraux qui distribuent chacun plus de 100 millions de dollars par an, auxquels s’ajoutent d’innombrables programmes au niveau des États et des collectivités locales.
Comme nous l’avons vu dans les chiffres ci-dessus, le résultat absurde est que le ménage typique de la classe moyenne reçoit presque autant en transferts étatiques qu’il paie d’impôts.
Bien entendu, la bureaucratie qui gère ce système engloutit des sommes considérables. De nombreux Américains de la classe moyenne sentent que quelque chose ne va pas dans ce système. Il est en grande partie financé par les 20 % des personnes les plus riches dont le revenu moyen par ménage est de 295 904 dollars mais qui paient près de 107 000 dollars d’impôts.
Cela réfute la croyance populaire selon laquelle les plus hauts revenus américains s’en tirent à bon compte lorsqu’il s’agit de payer des impôts. Non : plus d’un dollar sur trois gagné par ces ménages finit dans les caisses de l’État. Et les 20 % de ménages les mieux rémunérés paient plus de 60 % de l’ensemble des impôts. Si l’on considère uniquement l’impôt fédéral sur le revenu, les 20 % les plus riches paient 83 % de la facture totale de l’impôt sur le revenu !
Le système escroque donc les hauts revenus et décourage la classe moyenne en supprimant toute incitation financière à travailler. Et l’aspect le plus absurde de tout cela est peut-être qu’il ne contribue en rien à la lutte contre la pauvreté car depuis le début de la guerre contre la pauvreté aux États-Unis au milieu des années 1960, avec des programmes étatiques qui n’ont cessé de croître en taille et en portée, le taux de pauvreté est resté pratiquement le même, avec de légères fluctuations. Au cours des deux décennies qui ont précédé le début de la guerre contre la pauvreté, le taux de pauvreté aux États-Unis n’a cessé de diminuer, passant de 32,1 à 14,7 %.
Les seules personnes qui profitent du système actuel sont les politiciens qui prennent d’abord de l’argent aux ménages américains et qui promettent ensuite, lors des élections, de le redonner à leur propre clientèle.
Qui paye l’impôt sur la fortune : les riches ou les pauvres ?
Ironiquement l’impôt sur la richesse pénalise surtout les pauvres.
le 7 décembre 2022 Un article de Mises Institute Jesús Huerta de Soto
L’annonce par le gouvernement espagnol de son intention d’introduire un nouvel impôt de solidarité sur le patrimoine des personnes possédant plus de 3 millions d’euros a de nouveau mis en lumière le débat sur les impôts prélevés sur le patrimoine et le capital.
Le problème n’est pas seulement que cette annonce est hautement politisée dans une période préélectorale ni qu’elle pourrait perturber l’autonomie fiscale de Madrid, de l’Andalousie et de la Galice. (Rappelons que ces régions comptent dix-huit millions d’Espagnols, soit près de 38 % de la population totale de l’Espagne).
Il ne faut pas non plus se focaliser sur l’éventuelle illégalité, voire inconstitutionnalité de l’impôt en raison de son caractère potentiellement confiscatoire. La question principale n’est pas non plus le fait que les ménages ont déjà payé des impôts (par exemple, l’impôt sur le revenu des personnes physiques) sur leur richesse accumulée pendant le processus de sa formation. À l’époque, dans de nombreux cas, ces impôts absorbaient pratiquement la moitié du revenu des propriétaires actuels – dont la grande majorité sont aujourd’hui des personnes âgées et des veuves qui, après une vie d’efforts, d’épargne et de sacrifices, sont maintenant « riches » parce qu’elles possèdent plus de 3 millions d’euros.
En bref, le problème n’est pas non plus que nos politiciens ont employé une certaine démagogie enracinée dans la maladie morale de l’envie et dans la lutte des classes antisociale et source de division, et qu’ils ont ensuite tenté d’adoucir et de légitimer sémantiquement cette démagogie par le terme « impôt de solidarité. » (qui pourrait oser ne pas promouvoir la solidarité ?)
Non. Le principal argument contre tout impôt sur le stock de richesse ou de capital accumulé n’est aucun de ceux mentionnés ci-dessus, mais le tort qu’un tel impôt cause aux travailleurs et en particulier aux plus pauvres, aux plus vulnérables et aux plus défavorisés d’entre eux. L’emploi, la qualité des emplois et le niveau des salaires dépendent directement du volume de la richesse et du capital judicieusement investis par leurs propriétaires et mis à la disposition des travailleurs sous la forme de machines toujours plus sophistiquées, d’usines de fabrication, de ressources naturelles, d’équipements informatiques, etc.
Dans une économie de marché, les salaires tendent à être déterminés par la productivité de chaque travailleur. Une augmentation continue et durable de la productivité ne peut avoir lieu que si chaque travailleur dispose d’un ensemble de biens d’équipement de plus en plus grand et sophistiqué.
Si un agriculteur indien ne gagne que trois euros par jour et qu’un agriculteur américain gagne cent fois ce montant, ce n’est pas que le travailleur américain est plus intelligent ou travaille plus d’heures. C’est simplement qu’en moyenne, il bénéficie de cent fois plus de biens d’équipement (par exemple, un tracteur puissant à la pointe de la technologie et doté des accessoires les plus modernes) que son homologue indien (qui ne dispose pas de ces équipements sophistiqués et est souvent obligé de continuer à labourer avec des animaux et à récolter pratiquement à la main).
Et l’énorme différence entre leurs salaires provient du fait qu’avec un tracteur de pointe, le fermier américain peut labourer une surface cent fois plus grande que celle que le fermier indien peut labourer avec ses outils rudimentaires. Mais le tracteur de pointe n’a été rendu possible que grâce à plusieurs capitalistes ayant accumulé des richesses et des capitaux qu’ils ont mis à la disposition de l’agriculteur américain sous la forme de tracteurs, qui sont tout simplement des biens d’équipement sophistiqués qui augmentent considérablement la productivité et par conséquent le salaire du travailleur fortuné.
Ce raisonnement résume l’un des enseignements les plus importants de la science économique et illustre l’éternel exemple de grande sagesse populaire selon lequel les pauvres n’ont pas tant besoin qu’on leur donne un poisson, qui satisferait leur faim immédiate, mais d’une canne à pêche (c’est-à-dire un bien d’équipement), qui résoudrait leur problème de faim une fois pour toutes. Ici encore, la science se révèle être le meilleur antidote à la démagogie partisane.
Si, par exemple, le propriétaire de Zara, Amancio Ortega, possède une fortune de 60 milliards d’euros, il ne servirait à rien de lui retirer entièrement et de la distribuer, disons, aux deux milliards de personnes qui sont, relativement parlant, les plus pauvres du monde. Chacune d’entre elles ne recevrait que trente euros mais le coût de cet acte générateur de pauvreté serait lourd car il nécessiterait la disparition, la liquidation et la fermeture des innombrables usines, installations et bâtiments de cet éminent capitaliste, qui, heureusement pour ses dizaines de milliers d’employés et ses millions de clients, continuent quotidiennement à générer de la richesse et du bien-être dans le monde entier et donc à augmenter la productivité et les salaires de nombreuses personnes.
Par conséquent, si nous voulons lutter contre la pauvreté et promouvoir la prospérité – en particulier la prospérité de ceux qui ont des salaires plus bas – nous devons traiter tous les contribuables avec beaucoup de soin, en particulier les « riches », en les soutenant dans leur accumulation de richesse et en évitant toute persécution ou condamnation sociale.
En bref, tout impôt prélevé sur l’accumulation de richesse ou de capital, comme l’impôt sur la fortune existant ou l’impôt de « solidarité » annoncé, finit toujours par exercer un impact néfaste sur les travailleurs, en particulier les plus vulnérables en termes relatifs, qui bénéficieraient le plus d’une augmentation de leur productivité s’ils disposaient d’un capital plus important et de meilleure qualité.
En outre, il importe peu que le capital ou la richesse soit composé, comme c’est le plus souvent le cas, de titres, de fonds d’investissement, de dépôts bancaires ou de biens immobiliers, car tous ces éléments représentent tout une constellation de biens d’équipement spécifiques qui nécessitent invariablement la collaboration du travail, augmentent l’emploi et la qualité du travail et surtout, permettent d’accroître la productivité des travailleurs et par conséquent leurs salaires.
En revanche, un impôt comme celui qui a été annoncé – un impôt de 3,5 % sur les « grandes fortunes » – entraînerait en moins de dix ans et par simple arithmétique, une réduction de plus d’un tiers du capital qui aurait pu être accumulé en l’absence d’un tel impôt sur la fortune. Et cette réduction entraînerait à son tour la baisse de la productivité et des salaires réels par rapport à leur niveau potentiel.
Nous devons donc conclure que les impôts sur la fortune sont toujours payés en fin de compte – et grassement – par les travailleurs. Ils sont donc nuisibles et ils sont surtout l’antithèse de la solidarité envers les plus pauvres et les plus vulnérables.
Des chercheurs ont prédit des tremblements de terre - Des indices astrologiques
7 février 2023 par Thomas Oysmuller
Un chercheur des Pays-Bas a prédit le tremblement de terre dévastateur en Turquie et en Syrie. Il a dérivé cela de la "géométrie planétaire" spécifique. La science orthodoxe n'accepte pas ces théories. Un petit débat s'est développé sur la science et la philosophie des sciences.
Le 3 février, le chercheur néerlandais Frank Hoogerbeets a tweeté que "tôt ou tard", il y aurait un tremblement de terre de plus de 7,5 sur l'échelle de Richter dans le sud de la Turquie. Trois jours plus tard, sa prédiction est devenue réalité. Un tremblement de terre dévastateur a frappé la Syrie et la Turquie.
Les planètes ont donné des indices
Comment Hoogerbeets a-t-il pu faire cette prédiction ? Bien sûr, on peut parler de coïncidence, comme le font de nombreux scientifiques. Il n'a pas donné d'heure exacte et la région est connue pour être particulièrement sujette aux tremblements de terre. Il est donc sorcier d'affirmer qu'il y aura un nouveau tremblement de terre fort là-bas "tôt ou tard". C'était "plus ou moins aléatoire" lui-même, même s'il y avait des indications claires de cela.
Le tweet a depuis été vu 45 millions de fois. Même le "Standard" a dû le mentionner pour assurer que les "professionnels" n'y pensaient pas beaucoup. Ses idées vont dans le domaine de l'astrologie, une (supposée) pseudoscience.
Hoogerbeets travaille pour le Solar System Geometry Survey ( SSGEOS ), un institut de recherche qui surveille la géométrie des corps célestes liés à l'activité sismique. Des thèses scientifiquement contestées. Cependant, le chercheur néerlandais en est convaincu, après le tremblement de terre écrit : « Ma sympathie va à tous ceux qui ont été touchés par le grave tremblement de terre dans le centre de la Turquie. Comme je l'ai déjà dit, cela se produirait tôt ou tard dans cette région, semblable aux années 115 et 526. Ces tremblements de terre sont toujours précédés de géométries planétaires critiques, comme les 4 et 5 février.
Comme beaucoup d'autres, le sismologue Martijn van den Ende n'est pas du tout d'accord : « Quiconque lit cette 'prédiction' devrait s'il vous plaît ne pas tomber dans le piège. Les tremblements de terre ne sont pas déclenchés par des alignements planétaires et il n'existe aucune méthode scientifique pour prédire les tremblements de terre. Veuillez consulter un vrai sismologue si vous avez des questions.
Hoogerbeets répond : « Où sont vos preuves ou vos recherches scientifiques qui confirment que les positions des planètes n'ont pas d'importance ? Ou est-ce juste une hypothèse communément acceptée ? »
Un autre internaute a alors déclaré que la science exige de prouver « qu'une hypothèse est vraie, pas que vous pouvez réfuter vos pensées aléatoires ». "
Hoogerbets a répondu : « La science qui nécessite des preuves est une chose. Appeler quelque chose de « réfuté » sans AUCUNE enquête n'est pas du tout scientifique. Il existe déjà de nombreux rapports sur notre site Web montrant la géométrie planétaire/mondiale critique liée aux tremblements de terre. Au fil du temps, nous fournirons des statistiques solides.
Dans un autre tweet lundi, Hoogerbets a écrit : « Oui, il y a beaucoup d'opposition dans la communauté scientifique à l'influence des planètes et de la lune. Mais il n'y a pas de recherche approfondie qui "réfute" cela. C'est juste une supposition. Un article scientifique dans Nature suggère même le contraire.
L'article date de 1959 :
- voir doc sur site -
Aujourd'hui, il a réalisé une vidéo sur les prédictions futures basées sur la constellation planétaire :
Le tremblement de terre a déjà fait plus de 5 000 morts. Il y en aura beaucoup d'autres à venir. Une situation catastrophique pour la Syrie, qui souffre des sanctions occidentales. La Turquie a également un besoin urgent d'aide internationale.
NON ! On ne prédit pas un tremblement de terre ! Ceux qui 'voient' l'avenir ne sont que des charlatans, des escrocs, des complices criminels au services des trisomiques au pouvoir. Les chefs d’États se servent d'eux pour faire croire que les tremblements de terre sont naturels ou pire seraient dû au 'changement climatique' !! HAHAHAHA !
Ainsi, les ordures de dirigeants ont trouvé l'excuse pour tuer le monde. L'annonceur passe avant, il est devenu le sorcier, le marabout, le magicien, le 'voyant-du-jour' allumé au rouge !
De James Howard Kunstler Kunstler.com 8 février 2023
"Le monde, cependant, passe de la prescription de gouvernance mondiale unitaire de Davos à la décentralisation et à la multipolarité - dans la poursuite de la renaissance de l'autonomie, des valeurs historiques et de la souveraineté." —Alastair Crooke
Avez-vous déjà oublié l'incident du ballon chinois ? Ne vous inquiétez pas, vous le ferez. Ce n'était qu'une distraction momentanée de la crise au ralenti de notre pays. Et cela s'est accompagné d'un rapport sur les emplois boffo, mené par l'embauche dans « les loisirs et l'hôtellerie ». Curieusement, le même mois a vu un nombre record de rachats de voitures, encore plus élevé qu'il ne l'était dans les profondeurs du grand fiasco financier de 2009 - soulevant la question : comment toutes ces personnes sans voiture arriveront-elles réellement à Disney World ? Et s'ils le font, qu'utiliseront-ils comme argent là-bas ?
L'Amérique a été emmitouflée la semaine dernière, blottie à côté de radiateurs et de poêles à bois contre une super explosion arctique qui nous a également distraits du discours alarmiste sur le réchauffement climatique que l'industrie de l'agit-prop a intensifié pour remplacer l'histoire de Covid-19 en désintégration dans l'espace d'attention du public. Leçon : Plus notre gouvernement devient impuissant et incompétent, plus il recherchera l'apparence d'un contrôle exquis sur tout… l'emploi… la météo. La principale erreur de la croisade contre le changement climatique est qu'il n'y a rien que notre gouvernement puisse faire à ce sujet, sauf prendre position et faire semblant - et émettre des réglementations plus idiotes qui empêchent les gens de faire des affaires et de mener leur vie.
Les citoyens, c'est-à-dire le public, ont été divisés et formés avec succès en deux factions politiques. À gauche : ceux qui croient tout ce que les responsables gouvernementaux leur disent, aussi absurde soit-il. La plupart des membres supérieurs de cette faction étaient des gens qui ne croyaient rien du gouvernement, mais ils ont ensuite été «réveillés». Maintenant, ils croient que les vaccins à ARNm sont vraiment bons pour vous… que fonder toute conduite sociale sur la couleur de la peau exorcisera le racisme de la société… et que la confusion sexuelle est l'état psychologique le plus élevé et le meilleur. Si vous essayez de débattre de l'un de ces points avec eux, ils vous bloqueront ou vous annuleront. Si cela ne fonctionne pas, ils orchestreront un nouvel épisode de chaos politique comme excuse pour vous bousculer.
À droite : ceux qui sont sceptiques et inquiets des excès du gouvernement, ceux qui s'opposent à la censure officielle indiscrète, ceux qui résistent à la manipulation du langage pour inverser et subvertir un système de valeurs autrefois cohérent, ceux qui reconnaissent une agitation quand ils la voient et la coercition quand ils la voient. ressentez-le, ceux qui respectent la longue lutte de l'humanité pour construire une vision compréhensible de la réalité et des mécanismes pour la tester. Ceux qui insistent sur un certain degré de liberté personnelle dans le cadre d'un État de droit juste et droit.
Rien n'est plus évident que l'opposition implacable entre ces deux factions. L'ascension de la gauche suit exactement notre plan de descente vers l'effondrement. Le soi-disant phénomène de formation de masse se développe en fonction de la panique réprimée à propos du modèle économique chancelant de l'Amérique, en particulier parmi la classe managériale et les "experts" qui sont censés être aux commandes. Plus leur gestion et leur expertise échouent, plus ils cherchent désespérément à contrôler tous les leviers de la vie quotidienne. Très vite, leurs politiques deviennent irréfléchies – au sens pur du terme.
La droite perçoit que ses adversaires ont perdu la raison, mais il n'y a pas de discussion avec des gens qui sont littéralement fous. Ce qu'il faut faire, c'est leur arracher le pouvoir politique. Dans la folie de la gauche, le pouvoir est uniquement une force destructrice, et la coercition est une forme de recherche de plaisir. Incapables de contrôler la dynamique en jeu, ils cherchent à détruire la dynamique, à induire le plus de chaos possible, afin de punir les non-aliénés.
C'est exactement ce que fait le Green New Deal. Incapable de contrôler les changements dynamiques et perturbateurs de l'industrie mondiale du pétrole et du gaz dont dépendent nos économies de haute technologie, la gauche prétend qu'il existe un système d'énergie «verte» qui peut remplacer les combustibles fossiles par des dispositifs éoliens et solaires qui n'évoluent pas et dont la fabrication et le déploiement nécessitent des combustibles fossiles. C'est lisse et grandiosement hypothétique (c'est-à-dire un vœu pieux), et l'effet net de cette grande croisade sera d'accélérer l'effondrement et l'appauvrissement de notre société (ergo : la punition).
Gardez tout cela à l'esprit pendant que vous regardez les enquêtes du Congrès qui commencent à peine. Bien qu'ils soient susceptibles de révéler les machinations insensées et sans doute criminelles d'une bureaucratie paniquée et des personnalités qui la dirigent, la gauche restera insensible à toute révélation véridique qui émergera. Bien sûr, nombre de ces responsables sont coupables d'actions extrêmement préjudiciables au peuple de ce pays, et les masses de gauche qui ont soutenu ces actions - telles que les vaccinations obligatoires - seront parmi les plus touchées. Ces vrais croyants auront du mal à admettre qu'ils se sont fait ça.
Ainsi, les audiences à venir, telles que le sous-comité de la Chambre sur la militarisation du gouvernement, ne changeront probablement pas l'avis de vos amis et parents coincés dans la formation de masse de Jacobin-Wokery. Mais les audiences seront une étape pour arracher le pouvoir à ces maniaques. Une partie de cette étape doit consister à démontrer la malhonnêteté des récentes élections, afin de supprimer les mécanismes implantés qui ont permis cette malhonnêteté : envoi postal, bulletins sans carte d'identité, lois sur les « électeurs motorisés », machines de comptage électronique des votes. Si cela peut être corrigé, la gauche peut être chassée du pouvoir.
Les audiences auront lieu dans le contexte de notre mascarade qui se détériore en Ukraine. Le régime Zelensky que nous avons employé pour fomenter ce conflit avec la Russie est en train de perdre son mojo pour avoir semé le chaos dans ce coin du monde. Le câlin de réservoir nouvellement annoncé ne servira à rien. Le but de guerre de la Russie est simple : l'élimination du chaos à sa frontière. Cet objectif rationnel est quelque chose que le Parti du Chaos américain ne peut pas comprendre. Comment réagira-t-il lorsque le chaos sera annulé en Ukraine ? Probablement en tentant de fomenter le chaos dans un autre coin du monde, ou sur le front intérieur - une autre raison pour laquelle le pouvoir doit lui être arraché.
Aussi, bien sûr, il y a la détérioration de la scène économique en arrière-plan des choses politiques. La contagion de l'insolvabilité se propage maintenant parmi les grands - les corps mondiaux, les marques nationales, les constructeurs automobiles, les détaillants géants qui ferment leurs points de vente par centaines. Ce changement dans le paysage économique est en fait une tendance positive. Au fur et à mesure de la chute des géants, leurs rôles dans la vie quotidienne seront assumés par les organismes plus petits occupant des niches dans les écologies économiques locales. C'est un horizon radieux pour des jeunes autrement plongés dans le désespoir. Préparez-vous à faire des affaires ! L'opportunité vous attend! Lorsque vous l'embrasserez, votre folie se dissoudra et le monde retrouvera son sens.
"Les Russes ont décidé qu'il n'y avait aucun moyen de négocier pour mettre fin à cela. Personne ne négociera de bonne foi; il faut donc écraser l'ennemi. Et c'est ce qui s'en vient." Colonel Douglas MacGregor (9 min 35 s)
"Strictement parlant, nous n'avons encore rien commencé." Vladimir Poutine
La guerre en Ukraine ne se terminera pas par un règlement négocié. Les Russes ont déjà clairement indiqué qu'ils ne faisaient pas confiance aux États-Unis, ils ne perdraient donc pas leur temps dans un papotage inutile. Ce que les Russes vont faire, c'est poursuivre la seule option qui s'offre à eux : ils vont anéantir l'armée ukrainienne, réduire une grande partie du pays en ruines et forcer les dirigeants politiques à se conformer à leurs exigences de sécurité. C'est une ligne de conduite sanglante et inutile, mais il n'y a vraiment pas d'autre option. Poutine ne permettra pas à l'OTAN de placer son armée hostile et ses sites de missiles à la frontière russe. Il va défendre son pays du mieux qu'il peut en éliminant de manière proactive les menaces émergentes en Ukraine. C'est pourquoi Poutine a appelé 300 000 réservistes supplémentaires pour servir en Ukraine ; parce que les Russes sont déterminés à vaincre l'armée ukrainienne et à mettre fin rapidement à la guerre. Voici un bref récapitulatif du colonel Douglas MacGregor :
La guerre par procuration de Washington avec la Russie est le résultat d'un plan soigneusement élaboré pour embrouiller la Russie dans un conflit avec son voisin ukrainien. À partir du moment où le président Poutine a indiqué que son gouvernement ne tolérerait pas une présence militaire de l'OTAN aux portes de la Russie en Ukraine, Washington a cherché à accélérer le développement de l'Ukraine en une puissance militaire régionale hostile à la Russie. Le coup d'État de Maïdan a permis aux agents de Washington à Kiev d'installer un gouvernement qui coopérerait à ce projet. L'aveu récent de la Première ministre Merkel selon lequel elle et ses collègues européens ont cherché à exploiter les accords de Minsk pour gagner du temps pour le bâtiment militaire en Ukraine confirme la vérité tragique de cette affaire. ("Le colonel américain explique le rôle de l'Amérique dans la provocation du conflit russo-ukrainien", Lifesite)
Il s'agit d'un excellent résumé des événements qui ont mené à nos jours, même si nous devrions consacrer un peu plus de temps aux commentaires d'Angela Merkel. Ce que Merkel a réellement dit dans son interview avec Die Zeit était la suivante :
Le comportement de Washington et d'autres cette année « est le dernier avertissement à toutes les nations : il ne peut y avoir de commerce avec le monde anglo-saxon [parce que] c'est un voleur, un escroc, un tricheur qui pourrait tout faire…. À partir de maintenant, nous nous passerons d'eux jusqu'à ce qu'une nouvelle génération de politiciens sensés arrive au pouvoir… Il n'y a personne en Occident avec qui nous pourrions traiter de quoi que ce soit pour quelque raison que ce soit. (L'ancien président russe présente un calendrier pour la réconciliation avec l'Occident, RT)
Bien sûr, les warhawks de Washington ne seront pas dérangés par la perspective d'une rupture des relations avec la Russie, en fait ils s'en réjouissent probablement. Mais on ne peut pas en dire autant de l'Europe. L'Europe va regretter de s'être liée à l'enclume de Washington et de s'être jetée à la mer. Dans un avenir proche – lorsqu'ils réaliseront enfin que leur survie économique est inextricablement liée à l'accès à des combustibles fossiles bon marché – les dirigeants européens changeront de cap et mettront en œuvre une politique qui assure leur propre prospérité. Ils se retireront de la "guerre éternelle" de l'OTAN et rejoindront les rangs des nations civilisées à la recherche d'un avenir sûr et économiquement intégré. Nous nous attendons à ce que même NordStream, qui a été détruit lors du plus grand acte de sabotage industriel de l'ère moderne, soit reconnecté, établissant la principale artère énergétique qui relie la Russie à l'UE dans la plus grande zone de libre-échange du monde. Finalement, le bon sens l'emportera et l'Europe sortira du marasme provoqué par son alliance avec Washington. Mais, d'abord, la conflagration entre la Russie et l'Occident doit se dérouler en Ukraine, et le "garant de la sécurité mondiale" doit être remplacé par la seule nation prête à combattre Goliath selon ses propres conditions dans un concours où le vainqueur remporte tout. L'Ukraine s'annonce comme la bataille décisive dans la guerre contre le "système fondé sur des règles", une guerre dans laquelle les États-Unis vont utiliser "toutes les astuces du livre" pour maintenir leur emprise sur le pouvoir. Découvrez ce court texte de présentation de l'analyste politique John Mearsheimer qui explique les moyens par lesquels les États-Unis ont préservé leur rôle dominant dans l'ordre mondial :
Donc, si nous savons que la Russie va essayer de mettre fin à la guerre en battant l'armée ukrainienne, alors à quoi devons-nous nous attendre dans un avenir proche ?
C'est une question à laquelle ont répondu un certain nombre d'analystes qui ont suivi la guerre de près depuis le tout début. Nous fournirons quelques paragraphes de chacun d'eux dans une minute, mais d'abord, voici un récapitulatif des réunions qui ont eu lieu la semaine dernière qui suggèrent qu'une offensive russe majeure pourrait être dans quelques semaines. L'extrait est tiré d'un article publié dans Consortium News par Patrick Lawrence :
Alexander Mercouris… a récemment énuméré la série exceptionnelle de réunions que Poutine a tenues au cours des deux dernières semaines avec l'ensemble…. établissement militaire et de sécurité nationale. À Moscou, le dirigeant russe a rencontré tous ses principaux commandants militaires et responsables de la sécurité nationale (y compris) Sergei Surovikan, le général qu'il a chargé de l'opération ukrainienne….
Poutine s'est ensuite envolé pour Minsk avec le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov et le ministre de la Défense Sergueï Choïgou pour des échanges avec les dirigeants politiques et militaires biélorusses. Ensuite, il a rencontré les dirigeants des deux républiques, Donetsk et Lougansk, qui ont été intégrées par référendum à la Fédération de Russie l'automne dernier.
Il est impossible de ne pas conclure que ces réunions consécutives, à peine couvertes par la presse occidentale, laissent présager une nouvelle initiative militaire à court ou moyen terme en Ukraine. Comme l'a dit Mercouris, "quelque chose de très gros est en route".
L'une des rencontres les plus intéressantes dans tout cela a eu lieu à Pékin la semaine dernière, lorsque Dmitri Medvedev, actuellement vice-président du Conseil de sécurité russe et longtemps proche de Poutine, a eu des entretiens avec Xi Jinping….
À un moment donné dans un avenir pas lointain, la guerre de la rhétorique creuse au nom de l'orgueil impérial s'affaiblira et dérivera vers l'effondrement. Ce degré de détachement surréaliste de la réalité ne peut tout simplement pas être maintenu indéfiniment – pas face à une nouvelle initiative russe, quelle que soit la forme qu'elle prendra. (PATRICK LAWRENCE : "Une guerre de rhétorique et de réalité", Consortium News)
Est-ce que Lawrence, n'est-ce pas ? Est-ce que « quelque chose de grand est en route ?
Cela y ressemble certainement. Dans l'espace ci-dessous, j'ai transcrit des citations de vidéos récentes avec le colonel MacGregor et Alexander Mercouris, deux des meilleurs et des plus fiables analystes de la guerre en Ukraine. Tous deux conviennent qu'une «offensive hivernale» russe aura lieu dans un avenir proche, et tous deux s'accordent sur les objectifs stratégiques de l'opération. Voici un extrait de MacGregor :
« Le peuple américain ne comprend pas vraiment que l'armée ukrainienne dans le Donbass est sur le point de s'effondrer. Ils ont fait des centaines de milliers de victimes… (et) ils se rapprochent de cent cinquante mille morts. La 93e brigade de l'armée ukrainienne vient d'être retirée de Bahkmut – qui a été transformé en un bain de sang ukrainien par les Russes – et ils sont partis après avoir subi 70 % de pertes. Pour eux, cela signifie que sur 4 000 hommes… ils se sont retirés avec environ 1 200 hommes. C'est une catastrophe, mais c'est ce qui se passe réellement. Et lorsque les Russes lanceront enfin leur offensive, les Américains verront tout ce château de cartes s'effondrer. Ensuite, la seule question est de savoir si quelqu'un va enfin se lever et mettre fin à ce récit totalement faux. ("Colonel Douglas MacGregor", Real America, Rumble; 8:45 min)
Et voici plus de MacGregor :
Il semble de plus en plus que les Russes aimeraient terminer leur tâche dans le Donbass en premier. Ils veulent éliminer toutes les forces ukrainiennes qui sont dans le Donbass… Rappelez-vous, c'était toujours une mesure d'économie de force. Il a été conçu pour broyer autant d'Ukrainiens que possible au coût le plus bas possible pour les Russes. C'est ce qui se passe dans le sud de l'Ukraine (et) ça continue. Cela a fonctionné avec brio. Et Surovikin, le commandant du théâtre, a déclaré que cela continuerait jusqu'à ce qu'il soit prêt à lancer son offensive. Lorsque l'offensive sera lancée, ce sera une bataille très différente. Mais ce qui est intéressant, c'est que les Ukrainiens ont subi tant de pertes dans le Sud que nous commençons à entendre des informations selon lesquelles ils sont sur le point de s'effondrer. Et c'est pourquoi nous entendons parler d'adolescents de 14 ou 15 ans mis en service. … et nous recevons des vidéos de soldats ukrainiens disant : « Les habitants de Kiev feraient mieux d'espérer que les Russes les atteindront avant nous… parce que nous allons les tuer. Ils parlent des gens du gouvernement, parce qu'ils ne voient aucune preuve que le gouvernement de Zelensky... se soucie d'eux. Ils manquent de nourriture et de vêtements ; ils gèlent, ils subissent de lourdes pertes et ils sont repoussés. ("L'Ukraine aura-t-elle assez de puissance de feu?", Col MacGregor, Judging Freedom, You Tube; 17:35 min)
MacGregor et Mercouris semblent convenir que la stratégie russe consiste à "écraser" l'ennemi, (tuer autant de troupes ukrainiennes que possible) à consolider les gains russes tout en étendant leur contrôle sur les zones à l'est et le long de la mer Noire, et, finalement, partition de l'Ukraine en 2 entités distinctes ; un « État croupion dysfonctionnel » à l'ouest et un État industrialisé et prospère à l'est. Voici Alexander Mercouris d'une récente mise à jour sur You Tube :
Ma forte impression est que ... l'offensive hivernale russe - qui est en effet imminente - sera axée sur la fin de la bataille dans le Donbass, la rupture de la résistance ukrainienne dans le Donbass, le dégagement des forces ukrainiennes de la République populaire de Donetsk. Il ne me semble pas que les Russes planifient une grande avance sur Kiev ou sur l'ouest de l'Ukraine. Ce n'est pas ce que disent ces commentaires du général Gerasimov. … les Russes se concentrent sur Donetsk… C'est "à faible risque" mais c'est très efficace. Il écrase l'armée ukrainienne exactement comme l'a dit le général Surovikin. Il affaiblit la capacité future de l'Ukraine à poursuivre la guerre et, en même temps, il remplit la mission première de la Russie qui, depuis le début, a été la libération du Donbass.
Maintenant, ça ne va pas s'arrêter là. D'autres responsables russes ont dit qu'en 2023, nous devrions voir la reprise de la région de Kherson… et il y aura très certainement d'autres avancées russes ailleurs. Mais la bataille principale était et reste le Donbass. Une fois cette bataille gagnée, une fois la résistance ukrainienne brisée, l'armée ukrainienne sera mortellement affaiblie… ce qui signifie que l'Ukraine n'aura pas seulement perdu sa région la plus industrialisée et sa zone la plus fortifiée. Cela signifie également que les Russes auront un accès sans entrave jusqu'à la rive est du Dniepr. À ce moment-là, ils seront en mesure de couper l'Ukraine en deux. Cela me paraît logique et il me semble clairement que c'est le plan russe. Ils ne s'en cachent pas, mais ils gardent les gens sur leurs gardes et devinent les troupes qui sont en Biélorussie. Mais je soupçonne que le but principal de ces forces est de coincer les soldats ukrainiens… autour de Kiev d'une éventuelle offensive russe là-bas, et de contrer la très forte accumulation de troupes polonaises. C'est donc ce que dit Gerasimov. (« Alexandre Mercouris sur l'Ukraine », You Tube ; 31 min 35 s)
Bien que personne ne puisse prédire l'avenir avec une certitude absolue, il semble que MacGregor et Mercouris maîtrisent suffisamment les faits pour que leur scénario ne puisse être rejeté d'emblée. En fait, la trajectoire actuelle du conflit suggère que leurs prédictions sont probablement « exactes ». En tout cas, nous n'aurons pas à attendre longtemps pour le savoir. Les températures chutent rapidement dans toute l'Ukraine, ce qui permet le mouvement sans encombre des chars et des véhicules blindés. L'offensive d'hiver de la Russie n'est probablement qu'à quelques semaines.
Les grèves françaises interrompent les expéditions de carburant des raffineries et d'un dépôt de carburant
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 08 FÉVRIER 2023 - 08:45
La grève nationale française contre le projet de réforme des retraites (Macron cherche à faire passer l'âge de la retraite de 62 ans à 64 ans, les Français disent "non") dont nous avons parlé la semaine dernière, a interrompu mardi l'expédition de carburants des raffineries et d'un carburant dépôt de TotalEnergies, a déclaré la supermajor française à Reuters.
Les ouvriers et les employés de divers secteurs, dont le secteur de l'énergie, les fonctionnaires et les enseignants, organisent des grèves depuis des semaines pour protester contre le projet du président Emmanuel Macron de relever l'âge de la retraite.
Les travailleurs des raffineries de pétrole de Donges et de Feyzin, exploitées par TotalEnergies, sont en grève aujourd'hui, a déclaré à Reuters un représentant du syndicat Force ouvrière. Les travailleurs du dépôt de carburant Flandres ont également rejoint l'action revendicative massive en France, a ajouté le responsable.
Comme le note Oilprice, ce n'est pas la première fois que les livraisons de carburant sont perturbées par des grèves cette année.
Il y a deux semaines, la grève en France a interrompu les livraisons de carburant en gros de trois raffineries exploitées par TotalEnergies le premier jour d'une série de grèves nationales prévues dans de nombreux secteurs. Les raffineries de Donges, de Normandie et de Feyzin de TotalEnergies ont arrêté l'approvisionnement en gros d'essence et de gazole, tandis que la raffinerie de Feyzin a dû réduire au minimum les cadences de traitement le 19 janvier.
TotalEnergies et l'unité française d'ExxonMobil détiennent l'essentiel de la capacité de raffinage en France. Les grèves contre la réforme impopulaire des retraites de Macron devraient se poursuivre.
La vague de grèves la plus récente survient trois mois après que les travailleurs de la raffinerie se sont mis en grève pendant des semaines en septembre et octobre au milieu d'une dispute sur les salaires. Les grèves dans les raffineries en France à l'automne 2022 ont mis hors service plus de 60 % de la capacité de raffinage du pays, tandis que les stations-service à Paris et dans les environs et dans le nord du pays ont commencé à manquer de carburant.
Les grèves contre le projet de réforme des retraites surviennent également au moment où l'UE a interdit les importations de produits pétroliers en provenance de Russie à partir du 5 février.
La débilité du parti au gouvernement est de s'attaquer aux dépôts de carburant dont le Peuple àa besoin pour se déplacer au lieu de s'attaquer (s'il avait des couilles) au logement de fonction de leur chef !
Menace d'attaque EMP contre les États-Unis détaillée en 2013 - une décennie avant que des ballons "espions" chinois qui pourraient délivrer des armes EMP soient repérés au-dessus des États-Unis.
Mardi 07 février 2023 par : JD Heyes
(Natural News) Le ballon espion chinois repéré au-dessus des États-Unis la semaine dernière a suscité l'intérêt pour une présentation de 2013 mettant en vedette un ancien directeur de la CIA dans laquelle lui et d'autres experts ont discuté de la possibilité d'un événement d'impulsion électromagnétique (EMP) qui ferait des ravages sur le pays.
"Le 29 juillet 2013 à Washington D.C., l'ancien directeur du renseignement central du président Bill Clinton, R. James Woolsey, a dirigé une table ronde sur la menace croissante - et peut-être imminente - d'une impulsion électromagnétique naturelle ou nucléaire (EMP) pour les États-Unis. réseau électrique et d'autres infrastructures critiques qui soutiennent la civilisation moderne et la vie de millions d'Américains », a noté Infowars dans un article présentant la vidéo.
"L'événement a été parrainé par la nouvelle coalition EMP, dont Woolsey était le coprésident honoraire avec l'ancien président de la Chambre Newt Gingrich", a ajouté le message.
Dans la vidéo, les différents experts ont discuté de la manière dont une attaque nucléaire EMP pourrait être menée, et l'une des possibilités était la furtivité plutôt qu'un ICBM à pointe nucléaire - et les ballons sont très furtifs. Et à la fin de la semaine dernière, le Washington Examiner a rapporté qu'ils pourraient être utilisés pour transporter un appareil EMP au-dessus des États-Unis pour le faire exploser en temps de guerre, ou éventuellement pour déclencher une guerre.
"Les ballons à haute altitude, comme celui que la Chine a fait flotter au-dessus des bases militaires des États montagneux cette semaine, sont considérés comme une" plate-forme de livraison "clé pour les frappes nucléaires secrètes sur le réseau électrique américain, selon les responsables du renseignement", commence le rapport. "Les ballons espions, utilisés par le Japon pour larguer des bombes pendant la Seconde Guerre mondiale, sont maintenant beaucoup plus sophistiqués, peuvent voler jusqu'à 200 000 pieds (60 km), échapper à la détection et transporter une petite bombe nucléaire qui, si elle explosait dans l'atmosphère, s'arrêterait." le réseau et anéantir l'électronique dans une zone à l'échelle de plusieurs États.
Le rapport a noté que deux ans après l'événement organisé par Woolsey, le major de l'Armée de l'air David Stuckenberg a rédigé un rapport pour l'American Leadership & Policy Foundation qui a discuté exclusivement du potentiel des ballons à haute altitude pour transporter des bombes à pointe nucléaire et comment ils présentent un menace unique pour la sécurité nationale des États-Unis.
« Un ou plusieurs acteurs étatiques, pseudo-étatiques ou non étatiques peuvent-ils livrer des armes de destruction massive (ADM)/des armes à effet de masse (WME) pour avoir un impact stratégique sur l'infrastructure américaine en l'absence d'emploi de missiles balistiques intercontinentaux (ICBM), sous-marins ? -lancer des missiles balistiques (SBLM), ou d'autres moyens conventionnels ? La réponse est "oui". », a-t-il noté dans le rapport.
"Ainsi, la faisabilité de l'utilisation de nouvelles plates-formes de livraison pour obtenir des capacités offensives contre les États-Unis devrait être examinée et comprise par les communautés de gestion des urgences et de sécurité nationale", poursuit le rapport.
"Si une ogive nucléaire explosait à une hauteur de 200 miles (320 km) au-dessus des États-Unis, selon le National Technical Information Service : 'Pour une explosion à haut rendement à une altitude suffisante, la zone couverte par l'EMP à haute fréquence s'étend dans toutes les directions sur le sol jusqu'à la ligne de mire au-dessus du centre des États-Unis, presque tout le pays ainsi que certaines parties du Canada et du Mexique pourraient être affectés par l'EMP », note encore le rapport. "L'EMP détruirait la plupart des infrastructures critiques situées dans la zone de dépôt."
La taille de l'ogive nucléaire n'est pas claire pour causer ce genre de dégâts importants.
Stuckenberg a mentionné trois types d'engins différents qui pourraient être utilisés à cette fin : les avions commerciaux ou expérimentaux, les drones et les ballons, ces derniers étant « les plus faciles à ressourcer, à équiper et à lancer sont également les moins compris ».
Fait intéressant, un rapport publié lundi a affirmé que le ballon chinois que les États-Unis ont abattu au large de la Caroline du Sud transportait des explosifs. Le général de l'Air Force Glen D. VanHerck a déclaré aux journalistes "que le ballon transportait des explosifs pour se détruire, mesurait 200 pieds de haut, pesait des milliers de livres et sa charge utile était de la taille d'un avion de ligne".
Premièrement, la Chine s'est vantée depuis plus de 20 ans d'avoir 'La bombe propre'. Il s'agit là d'une bombe superpuissante qui, explosant à haute altitude (sur la Chine ou un océan) enverrait une onde de choc tout autour de la Terre grillant ainsi au passage TOUS les satellites ainsi que TOUS les appareils électriques sur Terre. C'est-à-dire zéro téléphone, radio, télé, centrales électrique, zéro voiture, zéro train, bateau ou avion ! TOUT ce qui fonctionne sur batteries, accus ou piles serait hors service. Seuls les véhicules anciens (démarrage à la manivelle), motobineuses, tondeuses a gazon, tronçonneuses, etc (lancement du moteur par courroie) pourraient encore fonctionner.
Deuxièmement, la bombe intitulée 'bombe propre' est un engin qui fonctionne à l'Impulsion ElectroMagnétique (EMP), il ne 'tue' pas les gens (sauf qu'il arrête les pacemakers), oblige les avions à s'écraser et bloque les ascenseurs.
Essayez de penser à quelque chose au sujet duquel le gouvernement a dit la vérité. Golfe du Tonkin ? Rubis Ridge ? Waco ? Attentat à Oklahoma City ? 11 septembre ? Les armes de destruction massive de Saddam Hussein ? L'utilisation d'armes chimiques par Assad ? Kadhafi ? Le Russiagate ? Insurrection du 6 janvier ? Covid? Vaccin contre le covid? Ukraine? Avion de ligne malaisien ? Trouvez une chose qui était vraie.
Tous les mensonges du gouvernement, répétés par les prestitutes, sont conçus pour faire avancer des agendas secrets. Les gens subissent un lavage de cerveau avec des mensonges afin qu'ils acceptent les ordres du jour. C'est ainsi que fonctionne le gouvernement américain. Il n'y a plus de média américain. Juste un ministère d'endoctrinement. Seuls les récits officiels s'il vous plaît. Tout le reste n'est que désinformation.
Ballon avec 3 missiles hypersoniques testés par la Chine en 2018
La Chine a testé des véhicules de glisse hypersoniques largués d'un ballon en 2018, selon la chaîne de télévision publique chinoise CCTV. (Capture d'écran via les réseaux sociaux chinois)
Par Andrew Thornebrooke 7 février 2023
La télévision publique chinoise a diffusé des images d'un ballon à haute altitude larguant des armes hypersoniques en 2018.
Les images époustouflantes montrent un ballon à haute altitude, semblable à celui qui a traversé les États-Unis la semaine dernière, transportant trois véhicules de glisse hypersoniques (HGV) à haute altitude et les laissant tomber pour des tests.
La chaîne de télévision publique chinoise CCTV a rendu compte de l'essai d'armes en septembre 2018. Les images ont depuis été supprimées des médias chinois, mais des photographies et de courts clips sont toujours disponibles en ligne.
Dans un article de 2018, un utilisateur de Twitter a partagé des images de Douyin, la version chinoise de TikTok, qui montre le ballon soulevant les trois poids lourds du sol.
Les poids lourds sont généralement lancés par des roquettes de la même manière que les missiles traditionnels. En atteignant l'orbite, cependant, les poids lourds se détachent de la fusée et volent dans l'atmosphère en utilisant leur propre élan.
Ces armes sont beaucoup plus rapides que les autres missiles lorsqu'elles sont en orbite basse, mais deviennent beaucoup plus lentes lorsqu'elles frappent l'air dense de l'atmosphère car elles n'ont pas de jets pour les propulser. Les trois poids lourds largués par le ballon dans les images semblent avoir été conçus pour tester ce phénomène.
Les poids lourds largués par ballon faisaient partie d'un effort visant à développer des ogives de précision pour les armes hypersoniques, ce qui donnerait à l'armée chinoise une "arme à capacité nucléaire imparable", selon le South China Morning Post.
Les ballons font partie des préparatifs de guerre de la Chine
Paul Crespo, président du Center for American Defence Studies, a déclaré que le ballon qui a traversé l'espace aérien américain cette semaine pourrait "absolument" être une course à vide pour une attaque utilisant une arme montée sur ballon, mais que les missiles hypersoniques ne seraient probablement pas une première choix pour le régime communiste chinois.
« Alors que la Chine a testé des missiles hypersoniques lancés à partir de ballons dans le passé, ce n'est pas une utilisation probable pour ces dirigeables », a déclaré Crespo à Epoch Times dans un e-mail. "La plus grande menace est d'envoyer un ou plusieurs de ces ballons à haute altitude au-dessus des États-Unis avec un petit dispositif nucléaire EMP (Electro Magnetic Pulse)."
"Détonant à une altitude extrêmement élevée, ils pourraient couper l'alimentation et les communications à travers les États-Unis, causant des ravages généralisés pendant un an ou plus sans tirer un coup de feu au sol."
Bien que Crespo ne croyait pas que l'hypersonique largué par ballon serait la prochaine grande chose dans un conflit nucléaire, les poids lourds largués dans les images pourraient bien avoir contribué au développement du système d'arme hypersonique secrètement testé par la Chine en 2021.
Ce système, alors vice-président des chefs d'état-major interarmées, a déclaré le général John Hyten, semblait être destiné à une frappe nucléaire de « première utilisation » contre les États-Unis.
"Ils ressemblent à une arme de première utilisation", a déclaré Hyten.
"Le rythme [China is] et la trajectoire sur laquelle ils se trouvent dépasseront la Russie et les États-Unis si nous ne faisons rien pour le changer."
La Chine communiste n'est pas la seule à développer de nouvelles façons d'utiliser des ballons à haute altitude comme armes de guerre.
Les États-Unis ont étudié et testé l'utilisation de ces ballons pour déployer des essaims de drones suicides chargés d'explosifs depuis au moins 2018.
Le Pentagone investit également des dizaines de millions de dollars dans des ballons à haute altitude qu'il entend utiliser pour la surveillance et, notamment, espère utiliser pour suivre l'arsenal hypersonique du PCC.
Epoch Times a demandé des commentaires à la Maison Blanche et au Pentagone.
Une autre déclaration absurde des médias américains : la Chine a plus d'ICBM que l'Amérique
Par Drago Bosnic Recherche mondiale, 08 février 2023
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Quelques jours seulement après que les États-Unis ont pompeusement annoncé qu'ils avaient vaincu un ballon météo à la dérive, une autre absurdité a fait les gros titres des médias grand public. Apparemment, la Chine a réussi à dépasser l'Amérique en nombre de lanceurs d'ICBM (missiles balistiques intercontinentaux). Cela a été rapporté par le Wall Street Journal le 7 février , citant les commissions des services armés du Sénat et de la Chambre. Selon le WSJ, le commandant du Commandement stratégique américain, qui supervise les forces nucléaires américaines, a informé le Congrès américain du supposé avantage chinois.
"Le nombre de lanceurs d'ICBM fixes et mobiles terrestres en Chine dépasse le nombre de lanceurs d'ICBM aux États-Unis", a déclaré le commandant.
L'auteur de l'article du WSJ a lui-même admis que les États-Unis modernisaient actuellement l'ensemble de leur triade nucléaire (armes nucléaires terrestres, maritimes et aériennes) et qu'ils "disposent d'une force nucléaire beaucoup plus importante que la Chine". Le Commandement stratégique a également informé les législateurs américains que l'Amérique avait toujours plus d'ICBM terrestres que la Chine, ainsi que plusieurs fois plus d'ogives thermonucléaires montées sur ces missiles. Pire encore, le rapport n'inclut même pas les SLBM (missiles balistiques lancés par sous-marin) et les bombardiers stratégiques qui rendent la domination américaine encore plus prononcée.
Mais les responsables et experts américains affirment que "de nombreux lanceurs terrestres chinois sont encore constitués de silos vides", ce qui signifie que Pékin "a potentiellement plus d'options de lancement". Les législateurs ont cité ces lanceurs comme "un présage de l'ampleur des ambitions à plus long terme de la Chine et exhortent les États-Unis à étendre leurs propres forces nucléaires pour contrer les forces russes et chinoises". Selon Mike Rogers, président du House Armed Services Committee, « la Chine se rapproche rapidement de la parité avec les États-Unis ».
« Nous ne pouvons pas permettre que cela se produise. Le moment est venu pour nous d'ajuster notre posture de force et d'augmenter nos capacités pour faire face à cette menace », a déclaré Rogers.
Il a ensuite critiqué le respect par les États-Unis du New START (Traité de réduction des armements stratégiques), affirmant que cela "empêche les États-Unis de constituer leur arsenal pour dissuader la Russie et la Chine". Et si la Chine n'est pas incluse dans le traité (qui doit expirer en 2026), la Russie l'est, ce qui signifie que Moscou en est également « inhibée » , ce qui rend l'affirmation d'autant plus illogique. D'un autre côté, de nombreux experts américains affirment maintenant qu'il est dans l'intérêt des États-Unis de préserver les limites du traité avec la Russie et de tenter également d'y entraîner Pékin, tout en poursuivant la modernisation constante de l'arsenal nucléaire américain.
Rose Gottemoeller, une experte américaine en contrôle des armements qui a participé à la négociation du nouveau START, a déclaré : « Il est dans notre intérêt national de maintenir les Russes sous les limites du nouveau START. Nous devons achever notre modernisation nucléaire conformément au plan, et non accumuler de nouvelles exigences. »
Le rapport du WSJ postule que les États-Unis essaient maintenant de traiter avec la Russie et la Chine en utilisant un mélange de traités de contrôle des armements et de forces nucléaires améliorées. L'examen de la posture nucléaire de 2022 du Pentagone a identifié les deux superpuissances comme des rivales stratégiques , déclarant que "d'ici les années 2030, les États-Unis seront, pour la première fois de leur histoire, confrontés à deux puissances nucléaires majeures en tant que concurrents stratégiques et adversaires potentiels".
Cependant, tout en affirmant qu'elle veut préserver le New START, l'administration troublée de Biden semble travailler à son élimination . Pas plus tard que la semaine dernière, les États-Unis ont accusé la Russie de violer le traité en refusant d'autoriser les inspections sur place, bien que les États-Unis eux-mêmes fassent de même, ce qui signifie que Moscou réagit simplement de la même manière . De telles actions indiquent que Washington DC pourrait essayer de saboter le New START parce qu'il est frustré que la Chine n'y soit pas incluse.
Le Pentagone affirme que Pékin augmentera son arsenal actuel de 400 ogives à 1 500 d'ici 2035. À l'heure actuelle, l'arsenal nucléaire chinois comprend un nombre indéterminé de lanceurs ICBM mobiles, tandis que l'armée américaine affirme que le géant asiatique exploite également environ 20 lanceurs à combustible liquide, ICBM basés sur des silos, mais qu'il construit également trois champs de silos ICBM destinés à abriter environ 300 missiles modernes à combustible solide. À titre de comparaison, les États-Unis utilisent 5 428 ogives, avec au moins 400 ICBM terrestres . En d'autres termes, l'arsenal nucléaire américain actuel est plus de 13 fois plus important que celui de la Chine, tandis que ses ICBM terrestres sont plus de 20 fois plus nombreux que ceux de Pékin.
Les experts américains débattent souvent de ce que la Chine envisage de faire avec les silos susmentionnés qu'elle est en train de construire. Certains prétendent que, bien que Pékin ne dispose pas actuellement d'assez d'ICBM à pointe nucléaire pour remplir tous les silos, il pourrait en laisser quelques-uns vides ou installer des missiles armés de manière conventionnelle. Pourtant, l'ampleur de la gymnastique mentale utilisée par l'establishment politique américain pour se présenter comme le « parti en danger » dans cette affaire est ridicule pour quiconque connaît la taille de l'arsenal nucléaire américain. Même avec l'affirmation selon laquelle la Chine disposera de 1 500 armes nucléaires en 2035, dont 400 ICBM terrestres, les États-Unis auraient toujours un avantage de 3 contre 1, ce qui rendrait les accusations contre Pékin sans objet.
Victoria Nuland : « FxxK l'UE ». North Stream est "Un morceau de métal au fond de la mer"
Par le Pr Michel Chossudovsky Recherche mondiale, 08 février 2023
Lors de développements récents, le procureur général allemand Peter Frank a confirmé « qu'il n'y a aucune preuve permettant de blâmer la Russie pour la destruction des gazoducs Nord Stream » :
"Cela n'a pour l'instant pas été prouvé (...) L'enquête est en cours (...) Nous évaluons actuellement tout cela de manière médico-légale. [Le soupçon] qu'il y avait eu un acte de sabotage étranger [dans cette affaire], n'a jusqu'à présent pas été étayé", a-t-il déclaré lors de l'entretien avec Die Welt.
Si ce n'est pas la Russie, qui l'a fait ?
"Aucune preuve de sabotage étranger" d'un acte qui a créé des ravages sociaux et des difficultés dans l'Union européenne, avec la hausse des prix de l'énergie ? Les gens gèlent, incapables de payer leurs factures de chauffage. Cette crise qui émane de Washington a été propice à un processus d'appauvrissement dans toute l'Europe à partir d'une flambée incessante des prix de l'énergie.
La preuve est là, elle est ignorée par le procureur allemand Peter Frank ainsi que par le chancelier Olaf Scholz. Il avait été ordonné par le président des États-Unis
Victoria Nuland : "Fxxk l'UE"
La décision de Biden d'ordonner le sabotage de North Stream (voir ci-dessous) est désormais confirmée par une déclaration de Victoria Nuland devant la commission sénatoriale des relations étrangères.
"Sénateur Cruz, je suis comme vous et je pense que l'administration est très heureuse de savoir que Nord Stream 2 est maintenant, comme vous aimez le dire, un morceau de métal au fond de la mer." cliquez sur Victoria Nuland ou sur l'image ci-dessous pour voir la vidéo de sa déclaration :
VIDÉO
Les États-Unis continuent leur escalade en Ukraine F ** k l'UE à nouveau: "Un morceau de métal au fond de la mer"
Déclaration de Joe Biden de février 2022
- voir clip sur site -
"On va, je vous promets, on va pouvoir faire ça", déclare Joe Biden le 7 février 2022
Président Joe Biden :
"Si la Russie envahit, cela signifie que des chars et des troupes traversent à nouveau la frontière ukrainienne, alors il n'y aura plus de Nord Stream 2."
Journaliste : "Mais comment allez-vous faire exactement, puisque le projet est sous le contrôle de l'Allemagne ?"
Biden: "Nous le ferons, je vous le promets, nous pourrons le faire." (nous soulignons)
Les grandes banques profitent de la faim dans le monde et de la crise énergétique
RépondreSupprimer07.02.2023
www.kla.tv/25013
Les crises actuelles ont fait grimper les prix de l'énergie et des denrées alimentaires sur les marchés mondiaux des matières premières.
Cela a également aggravé la crise alimentaire mondiale. Pour les pauvres du monde entier – dont des millions vivent au seuil de la famine – les conséquences sont catastrophiques. L'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture estime que jusqu'à 828 millions de personnes se couchent chaque jour en ayant faim. Le nombre de personnes touchées par l'insécurité alimentaire aiguë serait passé de 135 millions à 345 millions depuis 2019.
En revanche, les négociants en matières premières de Wall Street réalisent des bénéfices extraordinaires.
Cette année les 100 banques les plus importantes du monde en termes de chiffre d'affaires sont en passe de battre tous les records de bénéfices liés au négoce de matières premières.
Ces dernières devraient gagner 18 milliards de dollars américains en 2022 grâce au commerce des matières premières, selon les estimations de Bloomberg (à l’écran : grande agence de presse financière américaine) qui se base sur les chiffres de la société londonienne Vali Analytics (à l’écran : société de services financiers).
Ce serait la valeur la plus élevée dans les données des 14 dernières années et dépasserait le précédent record de 2009.
Salvatore De Rosa, chercheur au Centre d'études sur la durabilité de l'Université de Lund, a twitté :
« Avec la misère des gens, les capitalistes font du super profit. »
Les banques de Wall Street n'ont pas seulement profité de la hausse des prix des matières premières, elles ont activement contribué à l'alimenter. En juillet, Michael Greenberger, ancien directeur du département du commerce et des marchés de l'autorité américaine de surveillance des marchés à terme de marchandises, a déclaré :
« Nous sommes sur un marché où les spéculateurs font monter les prix. Il est trop facile de dire que la guerre en Ukraine a déséquilibré tous ces marchés, ou que les chaînes d'approvisionnement et les ports sont en panne, et qu'il y a une raison à ces hausses de prix. J'estime qu'au moins 10 à 25 % du prix des produits sont dus à des activités spéculatives déréglementées. »
Un exemple de plus montrant comment des profiteurs tirent des profits gigantesques de crises provoquées par l'homme avec en conséquence la souffrance et la mort de millions de personnes.
Par conséquent, ne devrait-on pas imposer d’urgence une interdiction mondiale des profits de crise ?
de mfg.
Sources / Liens :
Uncut News
https://uncutnews.ch/grossbanken-verdienen-an-welthunger-und-energiekrisen/
Children’s Health Defense
https://childrenshealthdefense.org/defender/big-banks-global-hunger-energy-crises-cd/
Ticket:
SE-665
Common Dreams
https://www.commondreams.org/news/2022/09/09/wall-street-giants-set-smash-profit-records-global-hunger-energy-crisis
Bloomberg
https://www-bloomberg-com.translate.goog/news/articles/2022-09-09/wall-street-s-commodity-traders-on-track-to-break-profit-records?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=de&_x_tr_hl=de&_x_tr_pto=sc
https://www.kla.tv/fr
De nombreux agriculteurs américains ont cessé leurs activités en raison de l'inflation
RépondreSupprimerMardi 07 février 2023
par : Arsenio Toledo
(Natural News) L'inflation est toujours un problème persistant aux États-Unis, en particulier pour les agriculteurs américains, qui sont sur le point de commencer la saison de plantation de cette année dans les prochaines semaines.
Selon un sondage Gallup publié le 30 janvier, 15 % des Américains considèrent l'inflation comme le plus gros problème auquel l'Amérique est confrontée aujourd'hui – juste derrière le gouvernement et un leadership médiocre. John Boyd, un agriculteur de quatrième génération et président de la National Black Farmers Association, a noté que les problèmes d'inflation affectent toujours l'industrie agricole et que l'administration Joe Biden ne fait rien à ce sujet.
"L'inflation affecte certainement mon exploitation agricole et de nombreuses autres exploitations agricoles à travers le pays", a averti Boyd dans une interview sur Newsmax. « Les prix des équipements ont augmenté de 14 %… Le carburant diesel est à un niveau record. Engrais, à un niveau record. Ce sont tous des coûts d'intrants pour les agriculteurs américains.
Il a noté que l'administration Biden n'a apporté aucun réel soulagement aux agriculteurs américains. "Le président Biden n'a pas rencontré de dirigeants comme moi pour discuter des problèmes auxquels nous sommes confrontés", a-t-il déclaré.
Boyd a ajouté que son organisation reçoit chaque jour des appels d'agriculteurs au bord de la saisie. Son organisation a également tenté de faire pression sur le Congrès pour qu'il accorde aux agriculteurs une sorte de soulagement, y compris éventuellement un moratoire sur le remboursement des prêts.
"Nous avons actuellement de nombreux agriculteurs dans notre organisation qui font face à une saisie, et l'administration continue de fermer les yeux et de faire la sourde oreille aux agriculteurs américains", a-t-il déclaré. "Tous ces agriculteurs perdent leurs fermes, alors que nous continuons à ignorer le problème et les cris et les supplications des agriculteurs américains à travers le pays."
Si l'inflation continue de paralyser les agriculteurs, les consommateurs paieront inévitablement plus pour l'épicerie
"Je ne sais pas si les Américains sont allés au supermarché ces derniers temps, mais le prix des œufs a presque triplé", a noté Boyd. "Tout ce que vous ramassez dans un supermarché, le prix a pratiquement doublé au cours de la dernière année, un an et demi." (En relation: l'inflation alimentaire induite par les démocrates devrait se poursuivre jusqu'en 2023, n'offrant aucun soulagement aux familles américaines aux abois.)
J.J. Goicoechea, un éleveur de bétail et directeur du département de l'agriculture du Nevada, a averti les Américains que le prix des produits d'épicerie – y compris le bœuf – continuera probablement d'augmenter en raison de l'inflation et d'une baisse de l'offre de bétail.
RépondreSupprimerGoicoechea a noté que les coûts élevés de l'énergie, des aliments pour animaux et des engrais continueront de faire grimper les prix des denrées alimentaires, en particulier du bœuf. Sans aucun soulagement ou action significatif de l'administration Biden, ces prix élevés pourraient persister pendant des années.
"Le consommateur américain doit être prêt à payer plus cher à l'épicerie pour ses courses, et cela inclut le bœuf."
En 2022, les prix des denrées alimentaires ont augmenté de 9,9 %. Le prix du bœuf et du veau a augmenté de 5,3 %, tandis que les œufs ont enregistré le taux d'inflation le plus élevé en 2022, à 32,2 %.
"L'inflation est toujours un énorme problème pour les agriculteurs américains, les éleveurs de bétail en général", a déclaré Goicoechea, qui a noté que les coûts plus élevés de l'élevage du bétail conduisent les éleveurs à préférer des troupeaux plus petits, ce qui signifie alors une offre de bœuf plus faible et des prix plus élevés.
"Tout ce que les gens achètent à la quincaillerie, à l'épicerie, à la pompe à essence - nous, les éleveurs et les agriculteurs, devons l'acheter, mais à plus grande échelle."
Faisant écho à l'inquiétude de Boyd concernant la fermeture des exploitations par les agriculteurs, Goicoechea a noté qu'il avait vu de nombreux éleveurs liquider leurs troupeaux, choisissant de continuer à élever du bétail dans un proche avenir lorsque les prix se seraient stabilisés.
Goicoechea a prédit que cette situation pourrait maintenir les prix élevés pendant les deux à trois prochaines années alors que l'industrie peine à se reconstruire.
"Nous continuons à nourrir la nation … et nous continuerons à le faire", a-t-il déclaré. "Nous avons juste besoin de l'aide du gouvernement, moins de réglementation, un peu plus de soutien et écartons-nous de notre chemin."
En savoir plus sur la hausse des prix alimentaires sur FoodInflation.news.
Regardez ce clip de Newsmax mettant en vedette l'interview complète de l'hôte Shaun Kraisman avec John Boyd sur la façon dont l'inflation continue de mettre en faillite les agriculteurs américains.
RépondreSupprimerCette vidéo provient de la chaîne News Clips sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Une ferme commerciale d'œufs dans le Connecticut s'enflamme pendant le week-end ; plus de 100 000 poulets perdus alors que le prix des œufs explose.
Une autre attaque contre l'approvisionnement alimentaire : les éleveurs de poulets signalent que les poules ne pondent pas d'œufs, des aliments contaminés étant peut-être coupables.
Les prix élevés des engrais potassiques persisteront en 2023 alors que le monde lutte pour augmenter la production.
Les prix des légumes grimpent de 38 % en UN MOIS malgré l'affirmation de Biden d'une baisse de l'inflation.
Le gouvernement affirme que l'inflation est « sous contrôle » après que les prix des produits ont bondi de 38 % en novembre (et de 80 % d'une année sur l'autre).
Sources include:
Brighteon.com
News.Gallup.com
FoxNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-02-07-american-farmers-stop-operations-due-to-inflation.html
DESTRUCTION ALIMENTAIRE : un agriculteur canadien contraint de jeter 30 000 litres de lait en raison de la flambée des prix des produits laitiers
RépondreSupprimerlundi 06 février 2023
par : Ramon Tomey
(Natural News) Un agriculteur de la province canadienne de l'Ontario a été contraint de jeter 30 000 litres de lait de sa propre ferme alors que les prix des produits laitiers dans le pays montaient en flèche en raison de l'inflation.
Dans une vidéo publiée sur TikTok, le producteur laitier Jerry Huigen a déclaré que son cœur était brisé d'avoir été forcé de jeter le lait. « En ce moment, nous avons dépassé notre quota », a-t-il déclaré, ajoutant que la production de lait est réglementée par le gouvernement et les Dairy Farmers of Ontario (DFO).
"Regardez son lait s'enfuir [parce que] c'est la fin du mois. Je jette 30 000 litres de lait et ça me brise le cœur », a déploré Huigen alors qu'il se tenait à côté d'une machine crachant du lait frais dans un drain.
Selon un rapport de la Fondation pour l'éducation économique (FEE), Huigen a déclaré que les gens lui demandaient toujours pourquoi les prix du lait étaient si élevés.
« Ici, le lait canadien, c'est 7 $ CAN (5,22 $). Quand je vais me faire couper les cheveux, les gens disent : "Wow, 7 dollars canadiens, Jerry, pour un peu de lait." Je dis : "Eh bien, vous devez monter plus haut [parce que] nous n'avons plus rien à dire en tant que laiterie agriculteur sur notre propre ferme. Ils nous font le jeter.
La Commission canadienne du lait (CCL) basée à Ottawa supervise l'ensemble du système laitier du pays et détermine le prix du lait. Il a augmenté les prix des produits laitiers à trois reprises en 2022 et a attribué les hausses à «l'augmentation des coûts de production». Si Huigen n'avait pas reçu l'ordre de vider 30 000 litres de lait, il aurait maintenu les prix des produits laitiers bas en raison d'une offre abondante. (Connexe: les pénuries alimentaires pourraient être aussi meurtrières que la prochaine pandémie.)
Le phénomène ne se limite cependant pas au Canada, car les États-Unis ont également vu des épisodes de dumping de lait au début de la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19).
FEE a rapporté en avril 2020 qu'une ferme du Wisconsin avait été forcée de jeter 25 000 gallons de lait frais par jour car les blocages du COVID-19 lui fermaient tous les marchés. Golden E Dairy, une ferme familiale près de West Bend, a vidé le lait dans une lagune d'eaux usées.
RépondreSupprimerHuigen expose les pratiques de dumping de lait « opaques » avec sa vidéo
Selon la FEE, il y a deux raisons pour lesquelles la pratique consistant à jeter des produits alimentaires autrement comestibles tels que le lait persiste.
« L'une des raisons est le protectionnisme à l'ancienne. Des tarifs élevés protègent les producteurs de la concurrence et les quotas qui plafonnent la production sont également conçus pour empêcher l'entrée de nouveaux producteurs laitiers. Cela maintient les prix élevés, ce qui est censé rendre les agriculteurs heureux. Cela plaît également au gouvernement, qui tire des revenus des tarifs.
"Une autre raison est que très peu de gens - Canadiens ou Américains - réalisent que le dumping de lait est en cours et que les quotas de production existent."
La vidéo de Huigen a révélé que de telles politiques sont « moche » à la fois pour les consommateurs et les agriculteurs eux-mêmes. La fondation a fait remarquer : "Même les agriculteurs qui bénéficient de la protection sont devenus mécontents des quotas qui les empêchent de produire plus de lait - ce qui aurait le double avantage de rapporter plus de profits aux agriculteurs et de faire baisser les prix du lait pour les consommateurs".
Mac Slavo de SHTF Plan, cependant, a attribué le schéma à une raison différente.
"Tous les programmes de dumping de lait découlent d'un seul problème", a-t-il écrit. « Il y a un trône de pouvoir. Quand quelqu'un s'assoit dessus, le public croit qu'il est maintenant tenu de servir cette personne [et] il fera ce qu'on lui commande. Le "commandement" n'est pas le problème, le trône l'est et peu importe si vous changez qui siège. Le but est de contrôler et l'a toujours été.
La FEE a finalement souligné que même si le programme est « très opaque », le producteur laitier essaie de changer cela.
"Cette fois, je vais rendre public", a déclaré Huigen. «Je veux que les gens voient la douleur que nous, les producteurs, ressentons. Notre petit profit part en fumée.
Regardez cette vidéo InfoWars d'avril 2020 sur les agriculteurs contraints d'abattre leur bétail et leur volaille au milieu de la pandémie de COVID-19.
Cette vidéo provient de la chaîne Flashbacks de Brianroy sur Brighteon.com.
RépondreSupprimerPlus d'histoires liées :
Le gouvernement fédéral ordonne à un agriculteur de détruire ses propres récoltes de blé : les révélations choquantes de Wickard contre Filburn.
Des milliers de livres d'avocats frais jetés à la décharge alors que l'Australie accélère la destruction alimentaire mondiale.
Détruire l'approvisionnement alimentaire est le PLAN : l'Australie saccage les avocats frais tandis que les préparations pour nourrissons sont expédiées à la frontière américaine alors que les bébés américains ont faim.
Les sources comprennent :
SHTFPlan.com
FEE.org 1
FEE.org 2
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-02-06-farmer-forced-dump-milk-amid-surging-prices.html
Effondrement économique imminent : la Suède frappée par une vague de dépôts de bilan
RépondreSupprimerLundi 06 février 2023
par : Ramon Tomey
(Natural News) La nation scandinave suédoise a connu une forte augmentation du nombre d'entreprises qui ont déposé le bilan.
Russia Today (RT) a mentionné que le nombre de dépôts de bilan avait atteint son plus haut niveau depuis au moins une décennie en janvier. Il a cité un rapport de Bloomberg du 1er février qui a également souligné que l'augmentation coïncidait avec une crise actuelle du marché du logement.
Sur la base des données obtenues de l'agence suédoise de référence de crédit UC, Bloomberg a déclaré que le nombre de dépôts de bilan était passé à 622, soit une augmentation de 47 % par rapport à l'année précédente. Le secteur de la construction a été l'un des plus touchés par la récession économique, les défauts de paiement augmentant dans l'industrie. Rien qu'en janvier 2022, 130 constructeurs ont fait faillite.
Johanna Blome, économiste à l'UC, a déclaré: «Pendant [the] automne, nous avons vu des faillites dans des entreprises en contact avec les consommateurs telles que la vente au détail, les hôtels et les restaurants. Aujourd'hui, nous constatons que la plus forte augmentation se produit dans les secteurs étroitement liés à l'industrie et aux investissements à plus long terme. »
Le secteur immobilier suédois a endommagé la plus grande économie de la région nordique, les prix de l'immobilier tombant à leur plus bas niveau en trois décennies. Après un pic au premier trimestre 2022, les prix auraient baissé de 16 %. Les économistes prévoient que la diapositive continuera plus loin.
Selon les estimations du Conseil national suédois du logement, de la construction et de la planification, la construction de nouvelles maisons chutera de façon spectaculaire de 44 % pour atteindre 33 000. Une baisse de la construction pourrait avoir un impact supplémentaire sur l'activité économique.
Fin 2022, Stockholm a annoncé que le pays entrait en récession et qu'elle durerait jusqu'en 2025. Le produit intérieur brut (PIB) du pays devrait chuter de 0,7 %. Le chômage devrait atteindre 7,8 % cette année et 8,2 % en 2024.
Le marché immobilier suédois va s'effondrer
RépondreSupprimerUn autre rapport Bloomberg de décembre de l'année dernière a mis en garde contre la crise du logement en Suède. Il a souligné qu'après près de deux décennies de croissance stable, le marché immobilier du pays subit "un changement radical".
La flambée de l'inflation et la hausse des coûts d'emprunt ont fait chuter les prix de l'immobilier de 15 %. Une crise du coût de la vie en cours a coïncidé avec cette baisse, incitant les Suédois à réduire considérablement leurs dépenses. Le coup de poing qui en a résulté a encore affecté le secteur immobilier, les économistes prévoyant désormais que la baisse des prix des maisons dépassera le niveau de baisse de 20% initialement prévu.
Maria Wallin Fredholm, économiste à la Swedbank, basée à Stockholm, a fait remarquer que le marché immobilier suédois est le plus vulnérable des 27 États membres de l'Union européenne (UE). Cela est dû à la politique monétaire du pays qui "a une transmission plus rapide ici que dans d'autres économies", a-t-elle déclaré.
Alors qu'environ 64 % des Suédois sont propriétaires de leur maison, la plupart n'ont pas de prêts hypothécaires à long terme à taux fixe, a noté Bloomberg. Cela les expose à la hausse des taux d'intérêt, qui sont maintenant à leur plus haut niveau depuis plus d'une décennie, grâce aux hausses de taux de la Sveriges Riksbank - la banque centrale du pays. (Connexe : les taux hypothécaires atteignent leur plus haut niveau depuis 20 ans, entraînant une chute massive des ventes de maisons.)
Avec la chute des prêts et des ventes au détail, les craintes d'un arrêt complet des dépenses de consommation augmentent. Annika Winsth, économiste en chef de la Nordea Bank, basée à Copenhague, a averti qu'il n'y avait "aucun signal positif de l'économie nationale, et surtout pas des ménages ou du marché du logement".
Bloomberg a souligné que la dette des ménages représente 90% du PIB, ce qui signifie que des coûts d'emprunt plus élevés affecteront gravement la consommation.
De plus, l'article mentionne qu'un risque plus aigu peut résider dans le marché de l'immobilier commercial. Les prêts commerciaux représentent jusqu'à 36 % des portefeuilles de prêts des principales institutions financières suédoises. Un grave ralentissement du secteur pourrait exercer une pression importante sur les banques du pays, prévient-il.
Les économistes ont finalement averti que si l'inflation persistait, la situation du marché immobilier pourrait encore se détériorer. Compte tenu de cela, la Suède risque désormais de tomber dans la pire récession du bloc européen.
RépondreSupprimerRegardez Josh Sigurdson de World Alternative Media mettre en garde contre la crise du logement aux États-Unis, le même problème auquel la Suède est confrontée.
Cette vidéo provient de la chaîne World Alternative Media sur Brighteon.com.
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Alors que les prix des maisons baissent, 270 000 Américains qui ont acheté des maisons cette année sont déjà sous l'eau sur leur hypothèque.
Sources include:
RT.com 1
RT.com 2
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-02-06-sweden-inundated-by-wave-of-bankruptcy-filings.html
La mort de l'Occident: le lac Mead et le lac Powell pourraient ne pas se remplir "de notre vivant", préviennent les experts
RépondreSupprimerMardi 07 février 2023
par : Ethan Huff
(Natural News) Même si le sud-ouest a connu de bonnes pluies soutenues ces derniers mois, les conditions de sécheresse qui ont fait chuter le lac Mead et le lac Powell à des niveaux désastreusement bas ne devraient pas se résoudre « de notre vivant », selon le Los Angeles Times. .
Ces deux réservoirs du fleuve Colorado, qui alimentent en eau de nombreuses grandes villes de l'Arizona, du Nevada et de la Californie, s'épuisent depuis un certain temps maintenant - et il est peu probable qu'ils se remplissent de si tôt. (En relation: le lac Mead et le lac Powell se dirigent vers l'effondrement depuis au moins une décennie.)
Les conditions de sécheresse y contribuent évidemment, mais il en va de même pour l'augmentation de la population dans les villes qui dépendent de l'eau de ces deux lacs. Il y a tout simplement trop de gens qui essaient d'utiliser trop peu d'approvisionnement, ce qui est une recette pour un désastre.
Le lac Mead, situé à la frontière entre l'Arizona et le Nevada, a été comblé dans les années 1980 et 1990. Il était également presque plein et clapotait aux vannes du déversoir en 2000 - bien qu'au cours des 23 années qui ont suivi, son niveau d'eau ait baissé en raison d'une "méga-sécheresse".
Actuellement, le lac Mead est vide à environ 70 %. Et il est peu probable que cela change de sitôt, même si de fortes pluies devaient persister.
La situation est pire en amont au lac Powell, qui est actuellement vide à 77% et approche d'un point où le barrage de Glen Canyon n'est plus en mesure de produire de l'électricité, entraînant une perte de plus de quatre milliards de kilowattheures d'énergie par an.
"Même avec le manteau neigeux supérieur à la moyenne de cet hiver dans les montagnes Rocheuses, les responsables de l'eau et les scientifiques disent que tout le monde dans le bassin du fleuve Colorado devra planifier des niveaux de réservoir bas pour les années à venir", a rapporté le Times.
"Et certains disent qu'ils pensent que les principaux réservoirs de la rivière ne se rempliront probablement pas de notre vivant."
RépondreSupprimerL'Occident survivra-t-il aux guerres de l'eau ?
La perte d'énergie est l'une des conséquences de l'assèchement de ces deux lacs réservoirs importants, mais il en va de même pour la perte d'agriculture dans tout le sud-ouest. Sans l'eau que fournissent le lac Mead et le lac Powell, les agriculteurs de tout l'ouest des États-Unis souffriront.
La crise actuelle du fleuve Colorado est si grave que la Californie et six autres États tentent de négocier un nouvel accord sur l'eau - le premier depuis un siècle - pour allouer ces ressources rares de manière à éviter un effondrement total. Vont-ils réussir ?
"Le lac Mead reçoit à peu près la même quantité d'eau chaque année", a écrit un commentateur. « C'est comme ça depuis la construction du barrage. La raison pour laquelle le niveau d'eau baisse est que de plus en plus d'eau est prélevée du lac pour être utilisée dans des projets en aval. Le niveau d'eau du lac Mead n'a absolument rien à voir avec la panique climatique.
« Pas seulement en aval ; les nouveaux développements résidentiels à Las Vegas ne diminuent jamais », a répondu quelqu'un d'autre. « Il y a vingt ans, la région métropolitaine de Vegas comptait 500 000 habitants. Aujourd'hui, c'est plus de deux millions.
D'autres ont souligné que la Californie, l'État le plus peuplé du pays, ne connaîtrait aucun problème d'eau si elle arrêtait simplement de laisser couler de l'eau douce sans entrave dans l'océan Pacifique.
"Ils permettront au ruissellement de l'abondant manteau neigeux des Sierras de faire de même au printemps", a ajouté cette personne. « Les climatologues disent que ces pluies hivernales sont la nouvelle norme. Pourtant, les dirigeants de la Californie ne font RIEN pour capter cette eau du ciel. En fait, leurs discussions portent sur la façon d'éviter les inondations qui résultent de précipitations abondantes en dépensant des millions de dollars pour AIDER l'eau à s'écouler dans l'océan Pacifique !
Plus d'histoires comme celle-ci peuvent être trouvées sur WaterWars.news.
Les sources de cet article incluent :
Breitbart.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-02-07-dying-west-lakes-mead-powell-might-not-refill.html
Avec les milliers de forages pour la captation du gaz de shiste par compression de galeries grâce aux explosifs, ce sont des milliers de couloirs d'eaux souterrains qui se sont aussi éboulés ! et, s'il n'y a plus de galeries capables d'amener l'eau aux sources de montagnes et aux nappes phréatiques... il n'y a plus d'eau ! Plus d'eau pendant des siècles et des millénaires !
SupprimerDonc, l'eau des bassins maritimes et océaniques qui s'infiltre vers le magma ne ressortirait que d'où elle est venue ! (c'est cette eau chaude qui réchauffe les courants océaniques).
Mais, mais il y a aussi HAARP ! HAARP permet d’assécher des lacs et des rivières ! comme est capable de produire des inondations puisqu'il est capable de prendre la direction de l'eau (comme celle des nuages, des vents, de produire du froid ou du chaud, des tremblements de terre, etc !).
Depuis DES milliards d'années il n'y a pas une goutte d'eau en plus ou en moins sur notre planète. L'eau ne manquera donc JAMAIS. Juste qu'aujourd'hui, des terroristes criminels ont pris le contrôle de la distribution. Terres non irriguées = zéro plante, zéro récolte = famine.
Les pays occidentaux ont-ils encore une notion de morale économique ?
RépondreSupprimerle 8 février 2023
La notion de réchauffement du climat d’origine anthropique, toujours non prouvée formellement, est la porte grande ouverte à toutes sortes de dérives dont la cause sous-jacente est d’ordre financier. Les énergies renouvelables n’auraient jamais connu un tel essor si des contrats léonins de prix garantis ne faisaient pas miroiter une rente mirifique aux investisseurs. Cette disposition est l’une des principales causes du tarif de l’électricité dans les pays européens, les analystes oublient trop souvent de le mentionner. Les délocalisations de pans entiers de l’industrie vers des pays peu respectueux de l’environnement et des émissions de carbone, toujours dans le même registre, conduisent les pays occidentaux à envisager de mettre en place une taxe carbone à l’importation des produits en provenance de ces pays. C’est le cas de l’Europe et de l’Amérique du Nord.
Cette mesure supposée protéger les industries domestiques est en réalité un protectionisme déguisé et dissimulé sous l’idéologie climatique. Dans ce sens le Parlement européen est arrivé à un accord incluant dans une première étape les industriels européens en les obligeant à respecter les quotas d’émission de carbone mis en place par la Commission européenne. Dans la réalité, encore une fois, cette mesure dissimule une autre réalité : combattre avec d’autres armes les effets de l’Acte de Réduction de l’Inflation « Inflation Reduction Act, IRA) qui a été mis en place par l’administration Biden en août 2022. Il s’agit de consacrer 370 milliards de dollars pour soutenir la politique industrielle verte. Mais cette définition dissimule une série de mesures de soutien aux entreprises qui produisent sur le sol américain avec des avantages fiscaux et des subventions diverses. L’Europe a été prise au piège et lors du dernier conseil européen (19 décembre 2022) la présidente de la Commission a présenté un plan pour aider l’innovation industrielle pour atteindre la neutralité carbone avec un volet devant faciliter le commerce équitable et ouvert. Bien que personne ne connaisse le montant financier de ce plan de relance économique organisé autour d’un fonds européen de souveraineté personne ne s’attend à un miracle.
Dans la réalité des faits économiques l’Europe un seul est prévisible : une diminution de plusieurs points de l’activité économique européenne en raison du coût exorbitant de l’énergie. Le monde politique européen se félicitera d’ici la fin de l’année d’une forte réduction des émissions de carbone, le Fonds monétaire international prévoyant une chute de l’activité frôlant les 5 % en Europe en 2023. Ainsi se justifieront les mesures prises par le Conseil européen et encore une fois le carbone et le climat servent d’alibi. Mais la mauvaise foi de la Commission ne s’arrête pas là. Pour faire bonne figure l’Europe a mis au point une « usine à gaz » financière afin de contrôler le carbone « importé » aux frontières depuis les pays situés hors de l’Union européenne :
Afin de satisfaire les places boursières ce système outrageusement complexe opérera sous la houlette du système d’émissions commerciales plus connu sous le nom d’ETS-EU (Emissions Trading System Europe). La Commission européenne se défend en prétendant que ce système n’est qu’un mécanisme d’ajustement pour harmoniser la production hors Union européenne à celle de l’Union elle-même. Allez comprendre ! En réalité il s’agit de mettre en place des droits de douane à l’entrée du marché européen et les taxes récupérées seront utilisées pour aider les entreprises résolument engagées dans une politique de neutralité carbone. Il est difficile d’imaginer que ce plan puisse réussir pour deux raisons. Le taux de l’inflation en 2023 dans l’ensemble de l’Union européenne sera d’environ 12 %, certaines prévisions des groupes de grande distribution prévoient une augmentation des prix pour certains articles de consommation courante pouvant atteindre plus de 50 %. Le CBAM (Carbon Border Adjustment Mechanism, lire aussi ceci : https://ieep.eu/news/agreement-on-cbam-a-long-way-to-go/ ) peut déjà être considéré comme une coquille vide qui ne suffira pas à stabiliser l’inflation, le but initial officiel, mais au contraire en favorisera l’envolée compte tenu du ralentissement général de l’activité industrielle au sein de l’Union. En conclusion ce sont les ménages modestes qui paieront la note … Ce CBAM est une pure folie, celle qui caractérise une manœuvre désespérée devant une catastrophe inévitable !
RépondreSupprimerhttps://jacqueshenry.wordpress.com/2023/02/08/les-pays-occidentaux-ont-ils-encore-une-notion-de-morale-economique/
Aaaaa savoir que: Il ne suffit pas de souffler dans un ballon pour connaître le volume de gaz carbonique expiré car, lorsque l'on inspire, on INSPIRE TOUS LES GAZ DE L’ATMOSPHÈRE (et donc pas seulement un volume d'oxygène !). Et donc, le volume dans la ballon rassemble tous les gaz de l'atmosphère.
SupprimerMais (car il y a un 'mais') la totalité de tous les humains et de tous les animaux de la planète ne rassemblent qu'une infime partie (un dix milliardième ?) des gaz (carbonique, oxygène, azote, méthane, etc) émise par notre magma dont la combustion de la masse ferrique incandescente est le principal émetteur.
Et, de plus (parce que CE N'EST PAS FINI !) TOUS LES GAZ QUI FIGURENT DANS NOTRE ATMOSPHÈRE se RECYCLENT IMMÉDIATEMENT depuis DES milliards d'années. (sans quoi la vie sur Terre ne serait même pas apparue !
Donc, arrêtons de porter préjudice à notre intelligence. Merci.
"You're not in Kansas Anymore !"
La Russie est-elle le pays le plus « vert » du monde ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 08 FÉVRIER 2023 - 04:10
Selon les Nations Unies (ONU), les forêts couvrent 31% de la surface terrestre mondiale. Ils absorbent environ 15,6 milliards de tonnes de gaz carbonique chaque année.
Comme Freny Fernandes de Visual Capitalist le détaille ci-dessous, plus de la moitié de cette couverture verte est répartie dans les forêts boréales de Russie et du Canada, l'Amazonie en Amérique du Sud et les forêts de conifères et de feuillus de Chine. Ces forêts séquestrant le carbone purifient l'air, filtrent l'eau, préviennent l'érosion des sols et agissent comme un tampon important contre le 'changement climatique' (saisons).
- voir carte sur site -
Cette série de cartes d'Adam Symington utilise des données provenant d'images collectées à bord du capteur MODIS sur le satellite Terra pour refléter le rapport entre la surface du monde couverte de canopée et les zones non vertes.
- voir liste sur site -
Pour explorer l'intégralité de la carte forestière haute résolution, cliquez sur l'image ci-dessus. Ci-dessous, nous examinerons de plus près certaines des zones vertes du monde.
Asie
Abritant les forêts boréales de Russie, les forêts de feuillus de Chine, les forêts de mangroves d'Indonésie et la ceinture verte le long du puissant Himalaya, l'Asie possède certaines des canopées vertes les plus riches et les plus riches en biodiversité du monde.
- voir carte sur site -
La Russie détient plus d'un cinquième des arbres du monde sur 815 millions d'hectares, plus grands que la canopée de l'Amazonie. Comme la géographie du pays, la plupart des forêts russes sont situées en Asie, mais se répandent également en Europe.
Au sud-est et avec un couvert forestier de près de 220 millions d'hectares, la Chine est le cinquième pays le plus vert du monde. Cependant, ce n'était pas toujours le cas.
En 1990, les forêts chinoises ne s'étendaient que sur 157 millions d'hectares, couvrant 16,7 % de son territoire. Fin 2020, ce couvert forestier atteignait 23,4 %, grâce à des décennies d'efforts de verdissement.
D'autre part, le troisième pays le plus riche en biodiversité du continent, l'Indonésie, perd sa canopée verte. Avec un couvert forestier de 92 millions d'hectares, le pays abrite entre 10 et 15% des plantes, mammifères et oiseaux connus dans le monde. Malheureusement, au cours des 50 dernières années, 74 millions d'hectares de la forêt tropicale du pays ont été abattus, brûlés ou dégradés.
Pendant ce temps, les 72 millions d'hectares de couvert forestier indien peuvent être suivis de près avec les yeux. Des forêts tropicales le long de l'Himalaya au nord-est, aux forêts tropicales montagnardes des Ghâts du Sud-Ouest, et enfin aux forêts de mangroves côtières.
Les forêts amazoniennes et congolaises
En Amérique du Sud, le Brésil possède la deuxième plus grande couverture verte au monde.
- voir carte sur site -
La majeure partie de son couvert forestier de 497 millions d'hectares se trouve dans « les poumons de la planète » - la forêt amazonienne.
L'un des endroits les plus riches en biodiversité de la planète, la forêt amazonienne abriterait environ 10% de la biodiversité mondiale, dont plus de trois millions d'espèces sauvages et plus de 2 500 espèces d'arbres.
RépondreSupprimerDe l'autre côté de l'Atlantique, s'étendant le long du bassin du fleuve Congo et de ses nombreux affluents, se trouvent les forêts tropicales congolaises.
- voir carte sur site -
Répartie sur neuf pays d'Afrique centrale, cette collection de forêts tropicales humides de feuillus est l'une des dernières régions du monde qui absorbe plus de carbone qu'elle n'en émet.
Avec 126 millions d'hectares de la couverture verte mondiale, la République démocratique du Congo (RDC) contient la plus grande partie de cette forêt tropicale, soit environ 60 % de la couverture forestière des basses terres d'Afrique centrale.
Forêts nord-américaines
Le Canada, les États-Unis et le Mexique se combinent pour 723 millions d'hectares de forêts mondiales. Les vastes étendues de pins et de sapins du Grand Nord blanc, associées à la variété mixte de forêts des États-Unis, font du continent l'un des plus grands puits de carbone au monde.
- voir carte sur site -
Avec plus de 347 millions d'hectares de forêts, le Canada se classe troisième dans la liste des pays les plus verts. Environ 40 % de sa masse continentale est couverte d'arbres, ce qui représente 9 % du couvert forestier mondial.
Ses forêts boréales stockent deux fois plus de carbone par unité que les forêts tropicales et contribuent à réguler l'empreinte carbone mondiale.
Les États-Unis, quant à eux, détiennent environ 8 % des forêts mondiales. Réparties sur 310 millions d'hectares de terres, ces forêts diversifiées vont des forêts boréales de l'Alaska aux plantations de pins dans le sud, et des forêts de feuillus de l'est des États-Unis aux forêts de conifères sèches de l'ouest. Le pays abrite également des forêts pluviales tempérées le long de sa côte ouest et des forêts tropicales humides à Porto Rico et à Hawaï.
Les forêts perdues du monde
RépondreSupprimerAlors que la Chine et quelques pays sélectionnés ont prouvé qu'il y avait de l'espoir pour la construction des forêts du monde, l'histoire est différente dans d'autres endroits du monde. Cette carte d'Adam Symington utilise les données de l'Université du Maryland pour suivre l'évolution du couvert forestier mondial de 2000 à 2021.
- voir carte sur site -
Depuis 2000, le monde a perdu plus de 104 millions d'hectares de paysages forestiers vierges et intacts. Rien qu'en 2020, plus de 10 000 kilomètres carrés de l'Amazonie ont été détruits pour le développement de routes.
La déforestation et la fragmentation sont causées par une série d'activités de développement humain. Mais ils sont également exacerbés par le changement climatique, avec l'augmentation des incendies de forêt, des ouragans, des sécheresses et d'autres phénomènes météorologiques extrêmes, ainsi que des espèces envahissantes et des épidémies d'insectes qui perturbent les écosystèmes forestiers.
Lors de la Conférence des Nations Unies sur la biodiversité (COP15) de 2022 qui s'est tenue à Montréal, des nations du monde entier se sont engagées dans le plan 30X30, qui appelait à la conservation des écosystèmes terrestres et marins du monde d'ici 2030. Parallèlement à d'autres engagements visant à mettre fin à la déforestation et à accroître les canopées mondiales, il y a encore de l'espoir pour les forêts du monde.
https://www.zerohedge.com/weather/russia-greenest-country-world
(...) Selon les Nations Unies (ONU), les forêts couvrent 31% de la surface terrestre mondiale. Ils absorbent environ 15,6 milliards de tonnes de gaz carbonique chaque année. (...)
SupprimerOui mais comme les terres représentent seulement 22 % de la superficie planétaire... c'est 31 % de 22 % !
Et, comme les mers & océans représentent 78 % de la superficie planétaire, le rôle du phytoplancton à la surface des eaux (idem pour les lacs, rivières, flaque d'eau ou pluies, brouillards, neige, etc) est gigantesque face à la respiration des arbres !
Notons qu'on en a RIEN A FOUTRE de la surface des forêts because qu'il faut toute une forêt pour exhaler assez d'oxygène pour faire vivre une seule personne !
Les arbres sont là pour nous fournir de l'ombre, du bois de chauffage et du bois de meubles. C'est tout !
L'émetteur principal d'oxygène demeure notre magma (L'eau de mer contient 86 % d'oxygène).
Plus de 50 scientifiques interpellent le Boston College et le Florida International qui ont programmé des conférences de Vandana Shiva, qui diffuse de la désinformation « scientifique » sur les vaccins et la biotechnologie agricole.
RépondreSupprimer8 Février 2023
Genetic Literacy Project*
Cette lettre se rapporte aux événements suivants :
- Boston College, 6 février 2023 : Vandana Shiva : My Life in a Biodiversity of Movements – dans le cadre de la série Rewilding Planet Earth ;
- Florida International University, 8 février 2023 : Voices for a Planetary Ethos: Conversations with Vandana Shiva
Nous sommes des chercheurs et des journalistes en sciences de la vie et en sciences sociales du monde entier qui ont publié des centaines de documents et d'articles scientifiques sur l'agriculture, l'alimentation, la biomédecine et les biotechnologies connexes ; certains d'entre nous sont des communicateurs scientifiques et des agronomes.
Nous vous contactons en réponse à l'intervention programmée du Dr Vandana Shiva. Nous sommes préoccupés par son passé de promotion de points de vue en décalage avec la science moderne et par son soutien à des politiques qui sapent la sécurité alimentaire mondiale. Les scientifiques et les journalistes (d'horizons aussi divers que Grist, Discover, The New Yorker et Forbes : voir les références ci-dessous) sont presque tous d'avis que Vandana Shiva véhicule des idées déformées, souvent manifestement fausses, sur toute une série de sujets, mais surtout sur la sécurité des vaccins et l'utilisation de technologies agroalimentaires durables.
Nous sommes surpris qu'une institution fondée sur la science et l'éthique l'ait invitée à s'exprimer, et encore plus sans avoir la possibilité d'équilibrer ses points de vue avec des données scientifiques étayées. Nous espérons que vous envisagerez de publier cette lettre dans l'annonce et de la mettre à la disposition des personnes qui assisteront à l'événement.
Voici quelques exemples des points de vue de Shiva qui finissent par nuire aux personnes qu'elle prétend soutenir.
1. Shiva promeut et soutient des points de vue conspirationnistes anti-vaccins.
Elle s'est imprudemment fait l'écho de l'affirmation d'extrême droite selon laquelle plus de personnes sont mortes après avoir été vaccinées contre la Covid que de la Covid elle-même. Elle a déclaré en juillet 2021 : « En Angleterre, plus de personnes sont mortes après avoir été vaccinées que de personnes qui ne l'ont pas été. » Une déclaration qui n'a été vraie en 2022 que pendant un mois, alors qu'une nouvelle variante a balayé l'Europe. Elle s'associe fréquemment à des promoteurs véhéments du négatisme vaccinal, dont le plus connu est Robert F. Kennedy Jr, qui a récemment publié un livre conspirationniste affirmant que la Covid était une conspiration du gouvernement et de Big Pharma. Shiva contribue à la désinformation sur le site du Children's Defense Fund de RFK Jr.
2. Shiva ne comprend pas certaines notions scientifiques de base.
RépondreSupprimerPar exemple, en écrivant : « La plupart des OGMs sont des cultures tolérantes aux toxines Bt ou aux herbicides HT. Les toxines sont des poisons. OGM = Plantes productrices de poison. Les poisons n'ont pas leur place dans la nourriture. »
Le Bt est une protéine naturelle que les agriculteurs biologiques pulvérisent sur leurs cultures depuis plus d'un siècle. Intégrée au cotonnier, au soja, à l'aubergine (au Bangladesh) et à d'autres cultures, elle a permis de réduire jusqu'à 95 % la pulvérisation de produits chimiques de synthèse. Les protéines Bt sont toxiques pour certaines classes d'insectes clairement identifiées (ravageurs des plantes), mais pas pour les poissons, les oiseaux et les mammifères. Voir également les articles scientifiques cités en réponse à son message Twitter délirant, en particulier l'étude classique de Ames et al. qui précise que de nombreuses plantes produisent naturellement des substances pour se défendre contre les parasites et que 99,99 % des substances pesticides présentes dans les aliments sont naturelles – et inoffensives pour l'homme.
3. Shiva manifeste une tendance à l'absurde.
Voir sa déclaration absurde concernant les risques présumés de la technologie de restriction de l'utilisation de gènes (GURT), qui pourrait fournir les moyens de restreindre l'utilisation d'une variété végétale ou l'expression d'un caractère en activant ou désactivant un interrupteur génétique. Dans son livre Stolen Harvest (p. 82-83), elle écrit : « La possibilité que le Terminator se propage aux cultures alimentaires environnantes ou à l'environnement naturel DOIT être prise au sérieux. La propagation progressive de la stérilité dans les plantes produisant des semences entraînerait une catastrophe mondiale qui pourrait finalement faire disparaître de la planète les formes de vie supérieures, y compris les humains. » Elle a utilisé à plusieurs reprises les mêmes mots dans d'autres documents de ses sites web.
Contre toute logique, elle prétend que les semences stériles (de deuxième génération) – qui ne peuvent bien sûr pas germer – peuvent répandre la stérilité et faire des ravages dans le monde entier.
4. Shiva ne s'intéresse pas au discours courtois, recourant constamment aux attaques et aux hyperboles.
Un des nombreux exemples est ce tweet : « Dire que les agriculteurs devraient être libres de cultiver des OGM qui peuvent contaminer les fermes biologiques, c'est comme dire que les violeurs devraient avoir la liberté de violer. »
Il s'agit d'une insulte grotesque à l'égard de millions de travailleurs honnêtes qui utilisent les technologies modernes pour pratiquer une agriculture plus durable et plus efficace.
5. Shiva rejette les technologies qui aident les agriculteurs (principalement les femmes et les enfants) à alléger le travail pénible et éreintant du désherbage manuel, qu'elle a glorifié dans un article qui a été publié pendant des années sur son site Web.
RépondreSupprimerNotez qu'elle l'a retiré récemment après des critiques universelles, mais qu'il est conservé ici : « Les femmes indiennes désherbent sélectivement à la main, préservant ainsi notre biodiversité. » Photo et légende à la p. 21.
C'est absurde : comme le montre ce récent article évalué par des pairs (parmi des centaines d'autres), le désherbage libère des gaz à effet de serre alors que l'agriculture sans labour [semis direct] limite les perturbations liées au changement climatique. Et sa référence à la « biodiversité » est trompeuse : tout acte de désherbage, à la main, à la machine ou à l'aide d'herbicides vise précisément à éliminer la biodiversité végétale nuisible qui, dans un champ ou un jardin, étouffe les cultures. Il faut souligner que les herbicides ont permis d'augmenter considérablement le rendement à l'hectare et que la toxicité des produits chimiques utilisés en agriculture diminue depuis 30 ans.
6. Shiva invente des liens trompeurs et mensongers entre les outils agricoles utiles et la guerre, en diabolisant l'utilisation des engrais.
Elle a prétendu : « Les engrais n'auraient jamais dû être autorisés dans l'agriculture. Je pense qu'il est temps de les interdire. C'est une arme de destruction massive. Leur utilisation est comme la guerre, parce qu'elle vient de la guerre. » (Cité dans divers articles référencés ci-dessous.)
Au contraire, les données montrent que les engrais ont entraîné une augmentation spectaculaire de la production mondiale depuis qu'ils ont été largement introduits dans les années 1940/50 après des millénaires d'utilisation de techniques agricoles inefficaces. Ils ont contribué à la Révolution Verte qui a permis de sauver des milliards de personnes, et notamment de transformer l'Inde, qui était un désastre pour la sécurité alimentaire mondiale, en un exportateur de nombreux produits agricoles.
Les politiques préconisées par Shiva ont été démasquées par les événements récents comme étant non seulement erronées mais aussi préjudiciables. Shiva a été consultante auprès du gouvernement sri-lankais qui, en 2021, a interdit les produits chimiques de synthèse, y compris les engrais, à sa demande. Comme le montrent cet article du New York Times : Sri Lanka's Plunge Into Organic Farming Brings Disaster (la plongé du Sri Lanka dans l'agriculture biologique apporte le désastre) et des dizaines d'articles similaires, Shiva a contribué à faire s'effondrer l'ensemble de l'économie sri-lankaise. Citation d'un article de Foreign Policy :
« Alors que le rendement des cultures sri-lankaises s'est effondré, exactement comme la plupart des grands experts agricoles l'avaient prédit, les principaux défenseurs de l'interdiction des engrais se sont tus. Vandana Shiva, activiste indienne et visage ostensible de l'agrarisme anti-moderne dans le Sud, était une partisane de l'interdiction mais est devenue muette lorsque les conséquences cruelles de l'interdiction sont devenues claires. »
RépondreSupprimerEn résumé, il a été démontré que la vision du monde et les recommandations politiques de Shiva sont plus que fantaisistes, elles sont néfastes.
Nous sommes convaincus que nos remarques raisonnées seront perçues par les destinataires de cette lettre, par leurs collègues et par leurs étudiants comme une critique constructive : il est essentiel que les établissements d'enseignement exposent leurs étudiants et le public à des perspectives équilibrées et fondées sur la science, plutôt qu'à des affirmations farfelues, nuisibles et préjudiciables.
Malheureusement, aucun d'entre nous ne sera en mesure d'assister à l'événement pour défier le Dr Shiva en personne. Nous apprécierions beaucoup qu'une personne compétente de l'université réponde point par point aux questions que nous soulevons en tant que discours fondé sur des preuves, refusant une propagande laissée sans réponse.
Nous espérons que, pour honorer un débat rationnel sur des questions d'importance mondiale, et dans l'esprit d'un engagement libéral, vous mettrez cette lettre à la disposition de tous les participants à l'événement, sous forme écrite, et que vous la diffuserez par le biais du site Internet et/ou de la lettre d'information de l'université.
Voici des liens vers une série d'articles de tout le spectre idéologique qui présentent une critique raisonnée des positions intenables de Shiva :
Seeds of Doubt| New Yorker
New Yorker editor David Remnick responds to Vandana Shiva criticism of Michael Specter profile | New Yorker
Vandana Shiva, Anti-GMO Celebrity: ‘Eco Goddess’ Or Dangerous Fabulist?| Forbes
Activism and the gift of delusion | Hindustan Times
Why Vandana Shiva is so right and yet so wrong | Grist
Fact-checking anti-GMO activist Vandana Shiva’s ‘Poison-Free, Fossil-Free’ food lecture | Prof. Alison Van Eenennaam
Vandana Shiva is confusing ideology for science – and getting rational people to believe her| Scroll
RépondreSupprimerVandana Shiva: ‘Rock Star’ of GMO protest movement has history of opposing Green Revolution and agricultural technological innovation | Genetic Literacy Project
The GMO-Suicide Myth| Issues in Science and Technology
Vandana Shiva Compares GMOs to Rape | Discover Magazine
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Germination of Outrage: How Vandana Shiva Fabricates Conspiracy Theories | Professor David Zaruk
Vandana Shiva’s Myth Busted: Monsanto Didn’t Cause Farmer Suicides in India| American Council on Science and Health
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Who is Vandana Shiva and why is she saying such awful things about GMOs?| Genetic Literacy Project
Fact-checking anti-GMO activist Vandana Shiva’s ‘Poison-Free, Fossil-Free’ food lecture| Genetic Literacy Project
‘Social Justice Warrior’ Vandana Shiva Is A Poor Advocate for the Poor | American Council on Science and Health
Glyphosate causes kidney disease? Debunking anti-GMO activist Vandana Shiva’s herbicide junk science| Prof. Alison Van Eenennaam
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Giuseppe Bertoni – Università Cattolica, Piacenza, Italy | Professor Emeritus of Animal Husbandry
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_____________
* Source : 50+ scientists challenge Boston College, Florida International for hosting philosopher Vandana Shiva, disseminator of science disinformation on vaccines and crop biotechnology - Genetic Literacy Project
https://seppi.over-blog.com/2023/02/plus-de-50-scientifiques-interpellent-le-boston-college-et-le-florida-international-qui-ont-programme-des-conferences-de-vandana-shiva-qui-diffuse-de-la-desinformation-scientifique-sur-les-vaccins-et-la-biotechnologie-agricole.html
La classe moyenne américaine n’a plus d’intérêt à travailler
RépondreSupprimerLe système escroque donc les hauts revenus et décourage la classe moyenne en supprimant toute incitation financière à travailler.
le 8 février 2023
Rainer Zitelmann
En Europe, beaucoup pensent que le « capitalisme pur » règne aux États-Unis et que le pays n’a pas d’État-providence. Or, c’est le contraire qui est vrai. Aujourd’hui, l’État-providence et la redistribution aux États-Unis ont atteint de telles proportions que l’on peut se demander si travailler a encore un sens pour les Américains de la classe moyenne.
Une analyse des revenus aux États-Unis a montré que, par habitant, le ménage moyen du quintile inférieur (c’est-à-dire les 20 % qui gagnent le moins) reçoit plus de 10 % de plus que le ménage moyen du deuxième quintile et même 3 % de plus que le ménage moyen.
C’est l’un des résultats choquants des recherches menées par Phil Gramm, Robert Ekelund et John Early pour leur livre The Myth of American Inequality. Le membre d’une famille américaine de la classe moyenne dont les deux parents travaillent n’a finalement pas plus d’argent que le membre d’une famille dont aucun des deux parents ne travaille. Cette affirmation semble improbable mais elle est étayée par les chiffres suivants :
Même au niveau des ménages, les différences au sein des 60 % de ménages les plus pauvres (c’est-à-dire les trois quintiles inférieurs) aux États-Unis sont faibles : en tenant compte des subventions étatiques aux ménages (appelées paiements de transfert) d’une part et des paiements d’impôts d’autre part, le revenu des 20 % les plus pauvres est de 49 613 dollars par an, dans le deuxième quintile il est de 53 924 dollars et dans le quintile moyen de 65 631 dollars.
À eux seuls, les paiements de transfert de l’État aux 20 % des ménages américains les plus pauvres s’élèvent à 45 389 dollars, contre seulement 3996 dollars d’impôts payés par ce segment par an. Cela signifie que les paiements de transfert de l’État aux 20 % des ménages américains les plus pauvres sont supérieurs de 41 393 dollars aux paiements d’impôts !
Dans la classe moyenne, la situation est tout à fait différente : les ménages de la classe moyenne reçoivent, en moyenne, 17 850 dollars de transferts étatique par an, tout en payant 19 314 dollars d’impôts fédéraux, étatiques et locaux. Cela signifie que les ménages de la classe moyenne paient 1464 dollars de plus en impôts que ce qu’ils reçoivent en transferts étatiques.
Et contrairement à ce que l’on pourrait penser, un ménage américain du quintile inférieur compte moins de personnes (1,69) qu’un ménage de la classe moyenne (2,51 personnes). En tenant compte de ces différences, une personne appartenant au quintile inférieur reçoit 3 % de plus qu’une personne appartenant à la classe moyenne après transferts et impôts.
Cela n’a pas grand-chose à voir avec le capitalisme.
RépondreSupprimerLe principe du mérite est réduit à néant parce qu’il n’est guère payant de travailler. Les Américains de la classe moyenne travaillent beaucoup plus d’heures que ceux des quintiles inférieurs, mais ne voient aucune récompense pour leur dur labeur. L’ensemble du système de redistribution engloutit d’énormes quantités d’argent et ne peut être compris qu’à moitié par les statisticiens.
Rien qu’aux États-Unis, il existe 100 programmes fédéraux qui distribuent chacun plus de 100 millions de dollars par an, auxquels s’ajoutent d’innombrables programmes au niveau des États et des collectivités locales.
Comme nous l’avons vu dans les chiffres ci-dessus, le résultat absurde est que le ménage typique de la classe moyenne reçoit presque autant en transferts étatiques qu’il paie d’impôts.
Bien entendu, la bureaucratie qui gère ce système engloutit des sommes considérables. De nombreux Américains de la classe moyenne sentent que quelque chose ne va pas dans ce système. Il est en grande partie financé par les 20 % des personnes les plus riches dont le revenu moyen par ménage est de 295 904 dollars mais qui paient près de 107 000 dollars d’impôts.
Cela réfute la croyance populaire selon laquelle les plus hauts revenus américains s’en tirent à bon compte lorsqu’il s’agit de payer des impôts. Non : plus d’un dollar sur trois gagné par ces ménages finit dans les caisses de l’État. Et les 20 % de ménages les mieux rémunérés paient plus de 60 % de l’ensemble des impôts. Si l’on considère uniquement l’impôt fédéral sur le revenu, les 20 % les plus riches paient 83 % de la facture totale de l’impôt sur le revenu !
Le système escroque donc les hauts revenus et décourage la classe moyenne en supprimant toute incitation financière à travailler. Et l’aspect le plus absurde de tout cela est peut-être qu’il ne contribue en rien à la lutte contre la pauvreté car depuis le début de la guerre contre la pauvreté aux États-Unis au milieu des années 1960, avec des programmes étatiques qui n’ont cessé de croître en taille et en portée, le taux de pauvreté est resté pratiquement le même, avec de légères fluctuations. Au cours des deux décennies qui ont précédé le début de la guerre contre la pauvreté, le taux de pauvreté aux États-Unis n’a cessé de diminuer, passant de 32,1 à 14,7 %.
Les seules personnes qui profitent du système actuel sont les politiciens qui prennent d’abord de l’argent aux ménages américains et qui promettent ensuite, lors des élections, de le redonner à leur propre clientèle.
https://www.contrepoints.org/2023/02/08/450049-la-classe-moyenne-americaine-na-plus-dinteret-a-travailler
Qui paye l’impôt sur la fortune : les riches ou les pauvres ?
RépondreSupprimerIroniquement l’impôt sur la richesse pénalise surtout les pauvres.
le 7 décembre 2022
Un article de Mises Institute
Jesús Huerta de Soto
L’annonce par le gouvernement espagnol de son intention d’introduire un nouvel impôt de solidarité sur le patrimoine des personnes possédant plus de 3 millions d’euros a de nouveau mis en lumière le débat sur les impôts prélevés sur le patrimoine et le capital.
Le problème n’est pas seulement que cette annonce est hautement politisée dans une période préélectorale ni qu’elle pourrait perturber l’autonomie fiscale de Madrid, de l’Andalousie et de la Galice. (Rappelons que ces régions comptent dix-huit millions d’Espagnols, soit près de 38 % de la population totale de l’Espagne).
Il ne faut pas non plus se focaliser sur l’éventuelle illégalité, voire inconstitutionnalité de l’impôt en raison de son caractère potentiellement confiscatoire. La question principale n’est pas non plus le fait que les ménages ont déjà payé des impôts (par exemple, l’impôt sur le revenu des personnes physiques) sur leur richesse accumulée pendant le processus de sa formation. À l’époque, dans de nombreux cas, ces impôts absorbaient pratiquement la moitié du revenu des propriétaires actuels – dont la grande majorité sont aujourd’hui des personnes âgées et des veuves qui, après une vie d’efforts, d’épargne et de sacrifices, sont maintenant « riches » parce qu’elles possèdent plus de 3 millions d’euros.
En bref, le problème n’est pas non plus que nos politiciens ont employé une certaine démagogie enracinée dans la maladie morale de l’envie et dans la lutte des classes antisociale et source de division, et qu’ils ont ensuite tenté d’adoucir et de légitimer sémantiquement cette démagogie par le terme « impôt de solidarité. » (qui pourrait oser ne pas promouvoir la solidarité ?)
Non. Le principal argument contre tout impôt sur le stock de richesse ou de capital accumulé n’est aucun de ceux mentionnés ci-dessus, mais le tort qu’un tel impôt cause aux travailleurs et en particulier aux plus pauvres, aux plus vulnérables et aux plus défavorisés d’entre eux. L’emploi, la qualité des emplois et le niveau des salaires dépendent directement du volume de la richesse et du capital judicieusement investis par leurs propriétaires et mis à la disposition des travailleurs sous la forme de machines toujours plus sophistiquées, d’usines de fabrication, de ressources naturelles, d’équipements informatiques, etc.
Dans une économie de marché, les salaires tendent à être déterminés par la productivité de chaque travailleur. Une augmentation continue et durable de la productivité ne peut avoir lieu que si chaque travailleur dispose d’un ensemble de biens d’équipement de plus en plus grand et sophistiqué.
RépondreSupprimerSi un agriculteur indien ne gagne que trois euros par jour et qu’un agriculteur américain gagne cent fois ce montant, ce n’est pas que le travailleur américain est plus intelligent ou travaille plus d’heures. C’est simplement qu’en moyenne, il bénéficie de cent fois plus de biens d’équipement (par exemple, un tracteur puissant à la pointe de la technologie et doté des accessoires les plus modernes) que son homologue indien (qui ne dispose pas de ces équipements sophistiqués et est souvent obligé de continuer à labourer avec des animaux et à récolter pratiquement à la main).
Et l’énorme différence entre leurs salaires provient du fait qu’avec un tracteur de pointe, le fermier américain peut labourer une surface cent fois plus grande que celle que le fermier indien peut labourer avec ses outils rudimentaires. Mais le tracteur de pointe n’a été rendu possible que grâce à plusieurs capitalistes ayant accumulé des richesses et des capitaux qu’ils ont mis à la disposition de l’agriculteur américain sous la forme de tracteurs, qui sont tout simplement des biens d’équipement sophistiqués qui augmentent considérablement la productivité et par conséquent le salaire du travailleur fortuné.
Ce raisonnement résume l’un des enseignements les plus importants de la science économique et illustre l’éternel exemple de grande sagesse populaire selon lequel les pauvres n’ont pas tant besoin qu’on leur donne un poisson, qui satisferait leur faim immédiate, mais d’une canne à pêche (c’est-à-dire un bien d’équipement), qui résoudrait leur problème de faim une fois pour toutes. Ici encore, la science se révèle être le meilleur antidote à la démagogie partisane.
Si, par exemple, le propriétaire de Zara, Amancio Ortega, possède une fortune de 60 milliards d’euros, il ne servirait à rien de lui retirer entièrement et de la distribuer, disons, aux deux milliards de personnes qui sont, relativement parlant, les plus pauvres du monde. Chacune d’entre elles ne recevrait que trente euros mais le coût de cet acte générateur de pauvreté serait lourd car il nécessiterait la disparition, la liquidation et la fermeture des innombrables usines, installations et bâtiments de cet éminent capitaliste, qui, heureusement pour ses dizaines de milliers d’employés et ses millions de clients, continuent quotidiennement à générer de la richesse et du bien-être dans le monde entier et donc à augmenter la productivité et les salaires de nombreuses personnes.
Par conséquent, si nous voulons lutter contre la pauvreté et promouvoir la prospérité – en particulier la prospérité de ceux qui ont des salaires plus bas – nous devons traiter tous les contribuables avec beaucoup de soin, en particulier les « riches », en les soutenant dans leur accumulation de richesse et en évitant toute persécution ou condamnation sociale.
RépondreSupprimerEn bref, tout impôt prélevé sur l’accumulation de richesse ou de capital, comme l’impôt sur la fortune existant ou l’impôt de « solidarité » annoncé, finit toujours par exercer un impact néfaste sur les travailleurs, en particulier les plus vulnérables en termes relatifs, qui bénéficieraient le plus d’une augmentation de leur productivité s’ils disposaient d’un capital plus important et de meilleure qualité.
En outre, il importe peu que le capital ou la richesse soit composé, comme c’est le plus souvent le cas, de titres, de fonds d’investissement, de dépôts bancaires ou de biens immobiliers, car tous ces éléments représentent tout une constellation de biens d’équipement spécifiques qui nécessitent invariablement la collaboration du travail, augmentent l’emploi et la qualité du travail et surtout, permettent d’accroître la productivité des travailleurs et par conséquent leurs salaires.
En revanche, un impôt comme celui qui a été annoncé – un impôt de 3,5 % sur les « grandes fortunes » – entraînerait en moins de dix ans et par simple arithmétique, une réduction de plus d’un tiers du capital qui aurait pu être accumulé en l’absence d’un tel impôt sur la fortune. Et cette réduction entraînerait à son tour la baisse de la productivité et des salaires réels par rapport à leur niveau potentiel.
Nous devons donc conclure que les impôts sur la fortune sont toujours payés en fin de compte – et grassement – par les travailleurs. Ils sont donc nuisibles et ils sont surtout l’antithèse de la solidarité envers les plus pauvres et les plus vulnérables.
https://www.contrepoints.org/2022/12/07/445294-qui-paye-limpot-sur-la-fortune-les-riches-ou-les-pauvres
Des chercheurs ont prédit des tremblements de terre - Des indices astrologiques
RépondreSupprimer7 février 2023
par Thomas Oysmuller
Un chercheur des Pays-Bas a prédit le tremblement de terre dévastateur en Turquie et en Syrie. Il a dérivé cela de la "géométrie planétaire" spécifique. La science orthodoxe n'accepte pas ces théories. Un petit débat s'est développé sur la science et la philosophie des sciences.
Le 3 février, le chercheur néerlandais Frank Hoogerbeets a tweeté que "tôt ou tard", il y aurait un tremblement de terre de plus de 7,5 sur l'échelle de Richter dans le sud de la Turquie. Trois jours plus tard, sa prédiction est devenue réalité. Un tremblement de terre dévastateur a frappé la Syrie et la Turquie.
Les planètes ont donné des indices
Comment Hoogerbeets a-t-il pu faire cette prédiction ? Bien sûr, on peut parler de coïncidence, comme le font de nombreux scientifiques. Il n'a pas donné d'heure exacte et la région est connue pour être particulièrement sujette aux tremblements de terre. Il est donc sorcier d'affirmer qu'il y aura un nouveau tremblement de terre fort là-bas "tôt ou tard". C'était "plus ou moins aléatoire" lui-même, même s'il y avait des indications claires de cela.
Le tweet a depuis été vu 45 millions de fois. Même le "Standard" a dû le mentionner pour assurer que les "professionnels" n'y pensaient pas beaucoup. Ses idées vont dans le domaine de l'astrologie, une (supposée) pseudoscience.
Hoogerbeets travaille pour le Solar System Geometry Survey ( SSGEOS ), un institut de recherche qui surveille la géométrie des corps célestes liés à l'activité sismique. Des thèses scientifiquement contestées. Cependant, le chercheur néerlandais en est convaincu, après le tremblement de terre écrit : « Ma sympathie va à tous ceux qui ont été touchés par le grave tremblement de terre dans le centre de la Turquie. Comme je l'ai déjà dit, cela se produirait tôt ou tard dans cette région, semblable aux années 115 et 526. Ces tremblements de terre sont toujours précédés de géométries planétaires critiques, comme les 4 et 5 février.
Comme beaucoup d'autres, le sismologue Martijn van den Ende n'est pas du tout d'accord : « Quiconque lit cette 'prédiction' devrait s'il vous plaît ne pas tomber dans le piège. Les tremblements de terre ne sont pas déclenchés par des alignements planétaires et il n'existe aucune méthode scientifique pour prédire les tremblements de terre. Veuillez consulter un vrai sismologue si vous avez des questions.
débat sur la science
RépondreSupprimerHoogerbeets répond : « Où sont vos preuves ou vos recherches scientifiques qui confirment que les positions des planètes n'ont pas d'importance ? Ou est-ce juste une hypothèse communément acceptée ? »
Un autre internaute a alors déclaré que la science exige de prouver « qu'une hypothèse est vraie, pas que vous pouvez réfuter vos pensées aléatoires ». "
Hoogerbets a répondu : « La science qui nécessite des preuves est une chose. Appeler quelque chose de « réfuté » sans AUCUNE enquête n'est pas du tout scientifique. Il existe déjà de nombreux rapports sur notre site Web montrant la géométrie planétaire/mondiale critique liée aux tremblements de terre. Au fil du temps, nous fournirons des statistiques solides.
Dans un autre tweet lundi, Hoogerbets a écrit : « Oui, il y a beaucoup d'opposition dans la communauté scientifique à l'influence des planètes et de la lune. Mais il n'y a pas de recherche approfondie qui "réfute" cela. C'est juste une supposition. Un article scientifique dans Nature suggère même le contraire.
L'article date de 1959 :
- voir doc sur site -
Aujourd'hui, il a réalisé une vidéo sur les prédictions futures basées sur la constellation planétaire :
Le tremblement de terre a déjà fait plus de 5 000 morts. Il y en aura beaucoup d'autres à venir. Une situation catastrophique pour la Syrie, qui souffre des sanctions occidentales. La Turquie a également un besoin urgent d'aide internationale.
https://tkp.at/2023/02/07/forscher-sagte-erdbebenvoraus-astrologischehinweise/
NON ! On ne prédit pas un tremblement de terre ! Ceux qui 'voient' l'avenir ne sont que des charlatans, des escrocs, des complices criminels au services des trisomiques au pouvoir.
SupprimerLes chefs d’États se servent d'eux pour faire croire que les tremblements de terre sont naturels ou pire seraient dû au 'changement climatique' !! HAHAHAHA !
Ainsi, les ordures de dirigeants ont trouvé l'excuse pour tuer le monde. L'annonceur passe avant, il est devenu le sorcier, le marabout, le magicien, le 'voyant-du-jour' allumé au rouge !
Où en sont les choses ?
RépondreSupprimerDe James Howard Kunstler
Kunstler.com
8 février 2023
"Le monde, cependant, passe de la prescription de gouvernance mondiale unitaire de Davos à la décentralisation et à la multipolarité - dans la poursuite de la renaissance de l'autonomie, des valeurs historiques et de la souveraineté." —Alastair Crooke
Avez-vous déjà oublié l'incident du ballon chinois ? Ne vous inquiétez pas, vous le ferez. Ce n'était qu'une distraction momentanée de la crise au ralenti de notre pays. Et cela s'est accompagné d'un rapport sur les emplois boffo, mené par l'embauche dans « les loisirs et l'hôtellerie ». Curieusement, le même mois a vu un nombre record de rachats de voitures, encore plus élevé qu'il ne l'était dans les profondeurs du grand fiasco financier de 2009 - soulevant la question : comment toutes ces personnes sans voiture arriveront-elles réellement à Disney World ? Et s'ils le font, qu'utiliseront-ils comme argent là-bas ?
L'Amérique a été emmitouflée la semaine dernière, blottie à côté de radiateurs et de poêles à bois contre une super explosion arctique qui nous a également distraits du discours alarmiste sur le réchauffement climatique que l'industrie de l'agit-prop a intensifié pour remplacer l'histoire de Covid-19 en désintégration dans l'espace d'attention du public. Leçon : Plus notre gouvernement devient impuissant et incompétent, plus il recherchera l'apparence d'un contrôle exquis sur tout… l'emploi… la météo. La principale erreur de la croisade contre le changement climatique est qu'il n'y a rien que notre gouvernement puisse faire à ce sujet, sauf prendre position et faire semblant - et émettre des réglementations plus idiotes qui empêchent les gens de faire des affaires et de mener leur vie.
Les citoyens, c'est-à-dire le public, ont été divisés et formés avec succès en deux factions politiques. À gauche : ceux qui croient tout ce que les responsables gouvernementaux leur disent, aussi absurde soit-il. La plupart des membres supérieurs de cette faction étaient des gens qui ne croyaient rien du gouvernement, mais ils ont ensuite été «réveillés». Maintenant, ils croient que les vaccins à ARNm sont vraiment bons pour vous… que fonder toute conduite sociale sur la couleur de la peau exorcisera le racisme de la société… et que la confusion sexuelle est l'état psychologique le plus élevé et le meilleur. Si vous essayez de débattre de l'un de ces points avec eux, ils vous bloqueront ou vous annuleront. Si cela ne fonctionne pas, ils orchestreront un nouvel épisode de chaos politique comme excuse pour vous bousculer.
À droite : ceux qui sont sceptiques et inquiets des excès du gouvernement, ceux qui s'opposent à la censure officielle indiscrète, ceux qui résistent à la manipulation du langage pour inverser et subvertir un système de valeurs autrefois cohérent, ceux qui reconnaissent une agitation quand ils la voient et la coercition quand ils la voient. ressentez-le, ceux qui respectent la longue lutte de l'humanité pour construire une vision compréhensible de la réalité et des mécanismes pour la tester. Ceux qui insistent sur un certain degré de liberté personnelle dans le cadre d'un État de droit juste et droit.
Rien n'est plus évident que l'opposition implacable entre ces deux factions. L'ascension de la gauche suit exactement notre plan de descente vers l'effondrement. Le soi-disant phénomène de formation de masse se développe en fonction de la panique réprimée à propos du modèle économique chancelant de l'Amérique, en particulier parmi la classe managériale et les "experts" qui sont censés être aux commandes. Plus leur gestion et leur expertise échouent, plus ils cherchent désespérément à contrôler tous les leviers de la vie quotidienne. Très vite, leurs politiques deviennent irréfléchies – au sens pur du terme.
RépondreSupprimerLa droite perçoit que ses adversaires ont perdu la raison, mais il n'y a pas de discussion avec des gens qui sont littéralement fous. Ce qu'il faut faire, c'est leur arracher le pouvoir politique. Dans la folie de la gauche, le pouvoir est uniquement une force destructrice, et la coercition est une forme de recherche de plaisir. Incapables de contrôler la dynamique en jeu, ils cherchent à détruire la dynamique, à induire le plus de chaos possible, afin de punir les non-aliénés.
C'est exactement ce que fait le Green New Deal. Incapable de contrôler les changements dynamiques et perturbateurs de l'industrie mondiale du pétrole et du gaz dont dépendent nos économies de haute technologie, la gauche prétend qu'il existe un système d'énergie «verte» qui peut remplacer les combustibles fossiles par des dispositifs éoliens et solaires qui n'évoluent pas et dont la fabrication et le déploiement nécessitent des combustibles fossiles. C'est lisse et grandiosement hypothétique (c'est-à-dire un vœu pieux), et l'effet net de cette grande croisade sera d'accélérer l'effondrement et l'appauvrissement de notre société (ergo : la punition).
Gardez tout cela à l'esprit pendant que vous regardez les enquêtes du Congrès qui commencent à peine. Bien qu'ils soient susceptibles de révéler les machinations insensées et sans doute criminelles d'une bureaucratie paniquée et des personnalités qui la dirigent, la gauche restera insensible à toute révélation véridique qui émergera. Bien sûr, nombre de ces responsables sont coupables d'actions extrêmement préjudiciables au peuple de ce pays, et les masses de gauche qui ont soutenu ces actions - telles que les vaccinations obligatoires - seront parmi les plus touchées. Ces vrais croyants auront du mal à admettre qu'ils se sont fait ça.
Ainsi, les audiences à venir, telles que le sous-comité de la Chambre sur la militarisation du gouvernement, ne changeront probablement pas l'avis de vos amis et parents coincés dans la formation de masse de Jacobin-Wokery. Mais les audiences seront une étape pour arracher le pouvoir à ces maniaques. Une partie de cette étape doit consister à démontrer la malhonnêteté des récentes élections, afin de supprimer les mécanismes implantés qui ont permis cette malhonnêteté : envoi postal, bulletins sans carte d'identité, lois sur les « électeurs motorisés », machines de comptage électronique des votes. Si cela peut être corrigé, la gauche peut être chassée du pouvoir.
Les audiences auront lieu dans le contexte de notre mascarade qui se détériore en Ukraine. Le régime Zelensky que nous avons employé pour fomenter ce conflit avec la Russie est en train de perdre son mojo pour avoir semé le chaos dans ce coin du monde. Le câlin de réservoir nouvellement annoncé ne servira à rien. Le but de guerre de la Russie est simple : l'élimination du chaos à sa frontière. Cet objectif rationnel est quelque chose que le Parti du Chaos américain ne peut pas comprendre. Comment réagira-t-il lorsque le chaos sera annulé en Ukraine ? Probablement en tentant de fomenter le chaos dans un autre coin du monde, ou sur le front intérieur - une autre raison pour laquelle le pouvoir doit lui être arraché.
RépondreSupprimerAussi, bien sûr, il y a la détérioration de la scène économique en arrière-plan des choses politiques. La contagion de l'insolvabilité se propage maintenant parmi les grands - les corps mondiaux, les marques nationales, les constructeurs automobiles, les détaillants géants qui ferment leurs points de vente par centaines. Ce changement dans le paysage économique est en fait une tendance positive. Au fur et à mesure de la chute des géants, leurs rôles dans la vie quotidienne seront assumés par les organismes plus petits occupant des niches dans les écologies économiques locales. C'est un horizon radieux pour des jeunes autrement plongés dans le désespoir. Préparez-vous à faire des affaires ! L'opportunité vous attend! Lorsque vous l'embrasserez, votre folie se dissoudra et le monde retrouvera son sens.
Reprinted with permission from Kunstler.com.
https://www.lewrockwell.com/2023/02/james-howard-kunstler/where-do-things-stand/
Mercouris : "Quelque chose de grand est en route"
RépondreSupprimerPar Mike Whitney
La revue Unz
8 février 2023
"Les Russes ont décidé qu'il n'y avait aucun moyen de négocier pour mettre fin à cela. Personne ne négociera de bonne foi; il faut donc écraser l'ennemi. Et c'est ce qui s'en vient." Colonel Douglas MacGregor (9 min 35 s)
"Strictement parlant, nous n'avons encore rien commencé." Vladimir Poutine
La guerre en Ukraine ne se terminera pas par un règlement négocié. Les Russes ont déjà clairement indiqué qu'ils ne faisaient pas confiance aux États-Unis, ils ne perdraient donc pas leur temps dans un papotage inutile. Ce que les Russes vont faire, c'est poursuivre la seule option qui s'offre à eux : ils vont anéantir l'armée ukrainienne, réduire une grande partie du pays en ruines et forcer les dirigeants politiques à se conformer à leurs exigences de sécurité. C'est une ligne de conduite sanglante et inutile, mais il n'y a vraiment pas d'autre option. Poutine ne permettra pas à l'OTAN de placer son armée hostile et ses sites de missiles à la frontière russe. Il va défendre son pays du mieux qu'il peut en éliminant de manière proactive les menaces émergentes en Ukraine. C'est pourquoi Poutine a appelé 300 000 réservistes supplémentaires pour servir en Ukraine ; parce que les Russes sont déterminés à vaincre l'armée ukrainienne et à mettre fin rapidement à la guerre. Voici un bref récapitulatif du colonel Douglas MacGregor :
La guerre par procuration de Washington avec la Russie est le résultat d'un plan soigneusement élaboré pour embrouiller la Russie dans un conflit avec son voisin ukrainien. À partir du moment où le président Poutine a indiqué que son gouvernement ne tolérerait pas une présence militaire de l'OTAN aux portes de la Russie en Ukraine, Washington a cherché à accélérer le développement de l'Ukraine en une puissance militaire régionale hostile à la Russie. Le coup d'État de Maïdan a permis aux agents de Washington à Kiev d'installer un gouvernement qui coopérerait à ce projet. L'aveu récent de la Première ministre Merkel selon lequel elle et ses collègues européens ont cherché à exploiter les accords de Minsk pour gagner du temps pour le bâtiment militaire en Ukraine confirme la vérité tragique de cette affaire. ("Le colonel américain explique le rôle de l'Amérique dans la provocation du conflit russo-ukrainien", Lifesite)
Il s'agit d'un excellent résumé des événements qui ont mené à nos jours, même si nous devrions consacrer un peu plus de temps aux commentaires d'Angela Merkel. Ce que Merkel a réellement dit dans son interview avec Die Zeit était la suivante :
Le comportement de Washington et d'autres cette année « est le dernier avertissement à toutes les nations : il ne peut y avoir de commerce avec le monde anglo-saxon [parce que] c'est un voleur, un escroc, un tricheur qui pourrait tout faire…. À partir de maintenant, nous nous passerons d'eux jusqu'à ce qu'une nouvelle génération de politiciens sensés arrive au pouvoir… Il n'y a personne en Occident avec qui nous pourrions traiter de quoi que ce soit pour quelque raison que ce soit. (L'ancien président russe présente un calendrier pour la réconciliation avec l'Occident, RT)
RépondreSupprimerBien sûr, les warhawks de Washington ne seront pas dérangés par la perspective d'une rupture des relations avec la Russie, en fait ils s'en réjouissent probablement. Mais on ne peut pas en dire autant de l'Europe. L'Europe va regretter de s'être liée à l'enclume de Washington et de s'être jetée à la mer. Dans un avenir proche – lorsqu'ils réaliseront enfin que leur survie économique est inextricablement liée à l'accès à des combustibles fossiles bon marché – les dirigeants européens changeront de cap et mettront en œuvre une politique qui assure leur propre prospérité. Ils se retireront de la "guerre éternelle" de l'OTAN et rejoindront les rangs des nations civilisées à la recherche d'un avenir sûr et économiquement intégré. Nous nous attendons à ce que même NordStream, qui a été détruit lors du plus grand acte de sabotage industriel de l'ère moderne, soit reconnecté, établissant la principale artère énergétique qui relie la Russie à l'UE dans la plus grande zone de libre-échange du monde. Finalement, le bon sens l'emportera et l'Europe sortira du marasme provoqué par son alliance avec Washington. Mais, d'abord, la conflagration entre la Russie et l'Occident doit se dérouler en Ukraine, et le "garant de la sécurité mondiale" doit être remplacé par la seule nation prête à combattre Goliath selon ses propres conditions dans un concours où le vainqueur remporte tout. L'Ukraine s'annonce comme la bataille décisive dans la guerre contre le "système fondé sur des règles", une guerre dans laquelle les États-Unis vont utiliser "toutes les astuces du livre" pour maintenir leur emprise sur le pouvoir. Découvrez ce court texte de présentation de l'analyste politique John Mearsheimer qui explique les moyens par lesquels les États-Unis ont préservé leur rôle dominant dans l'ordre mondial :
- voir carte sur site -
RépondreSupprimerDonc, si nous savons que la Russie va essayer de mettre fin à la guerre en battant l'armée ukrainienne, alors à quoi devons-nous nous attendre dans un avenir proche ?
C'est une question à laquelle ont répondu un certain nombre d'analystes qui ont suivi la guerre de près depuis le tout début. Nous fournirons quelques paragraphes de chacun d'eux dans une minute, mais d'abord, voici un récapitulatif des réunions qui ont eu lieu la semaine dernière qui suggèrent qu'une offensive russe majeure pourrait être dans quelques semaines. L'extrait est tiré d'un article publié dans Consortium News par Patrick Lawrence :
Alexander Mercouris… a récemment énuméré la série exceptionnelle de réunions que Poutine a tenues au cours des deux dernières semaines avec l'ensemble…. établissement militaire et de sécurité nationale. À Moscou, le dirigeant russe a rencontré tous ses principaux commandants militaires et responsables de la sécurité nationale (y compris) Sergei Surovikan, le général qu'il a chargé de l'opération ukrainienne….
Poutine s'est ensuite envolé pour Minsk avec le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov et le ministre de la Défense Sergueï Choïgou pour des échanges avec les dirigeants politiques et militaires biélorusses. Ensuite, il a rencontré les dirigeants des deux républiques, Donetsk et Lougansk, qui ont été intégrées par référendum à la Fédération de Russie l'automne dernier.
Il est impossible de ne pas conclure que ces réunions consécutives, à peine couvertes par la presse occidentale, laissent présager une nouvelle initiative militaire à court ou moyen terme en Ukraine. Comme l'a dit Mercouris, "quelque chose de très gros est en route".
L'une des rencontres les plus intéressantes dans tout cela a eu lieu à Pékin la semaine dernière, lorsque Dmitri Medvedev, actuellement vice-président du Conseil de sécurité russe et longtemps proche de Poutine, a eu des entretiens avec Xi Jinping….
À un moment donné dans un avenir pas lointain, la guerre de la rhétorique creuse au nom de l'orgueil impérial s'affaiblira et dérivera vers l'effondrement. Ce degré de détachement surréaliste de la réalité ne peut tout simplement pas être maintenu indéfiniment – pas face à une nouvelle initiative russe, quelle que soit la forme qu'elle prendra. (PATRICK LAWRENCE : "Une guerre de rhétorique et de réalité", Consortium News)
Est-ce que Lawrence, n'est-ce pas ? Est-ce que « quelque chose de grand est en route ?
RépondreSupprimerCela y ressemble certainement. Dans l'espace ci-dessous, j'ai transcrit des citations de vidéos récentes avec le colonel MacGregor et Alexander Mercouris, deux des meilleurs et des plus fiables analystes de la guerre en Ukraine. Tous deux conviennent qu'une «offensive hivernale» russe aura lieu dans un avenir proche, et tous deux s'accordent sur les objectifs stratégiques de l'opération. Voici un extrait de MacGregor :
« Le peuple américain ne comprend pas vraiment que l'armée ukrainienne dans le Donbass est sur le point de s'effondrer. Ils ont fait des centaines de milliers de victimes… (et) ils se rapprochent de cent cinquante mille morts. La 93e brigade de l'armée ukrainienne vient d'être retirée de Bahkmut – qui a été transformé en un bain de sang ukrainien par les Russes – et ils sont partis après avoir subi 70 % de pertes. Pour eux, cela signifie que sur 4 000 hommes… ils se sont retirés avec environ 1 200 hommes. C'est une catastrophe, mais c'est ce qui se passe réellement. Et lorsque les Russes lanceront enfin leur offensive, les Américains verront tout ce château de cartes s'effondrer. Ensuite, la seule question est de savoir si quelqu'un va enfin se lever et mettre fin à ce récit totalement faux. ("Colonel Douglas MacGregor", Real America, Rumble; 8:45 min)
Et voici plus de MacGregor :
Il semble de plus en plus que les Russes aimeraient terminer leur tâche dans le Donbass en premier. Ils veulent éliminer toutes les forces ukrainiennes qui sont dans le Donbass… Rappelez-vous, c'était toujours une mesure d'économie de force. Il a été conçu pour broyer autant d'Ukrainiens que possible au coût le plus bas possible pour les Russes. C'est ce qui se passe dans le sud de l'Ukraine (et) ça continue. Cela a fonctionné avec brio. Et Surovikin, le commandant du théâtre, a déclaré que cela continuerait jusqu'à ce qu'il soit prêt à lancer son offensive. Lorsque l'offensive sera lancée, ce sera une bataille très différente. Mais ce qui est intéressant, c'est que les Ukrainiens ont subi tant de pertes dans le Sud que nous commençons à entendre des informations selon lesquelles ils sont sur le point de s'effondrer. Et c'est pourquoi nous entendons parler d'adolescents de 14 ou 15 ans mis en service. … et nous recevons des vidéos de soldats ukrainiens disant : « Les habitants de Kiev feraient mieux d'espérer que les Russes les atteindront avant nous… parce que nous allons les tuer. Ils parlent des gens du gouvernement, parce qu'ils ne voient aucune preuve que le gouvernement de Zelensky... se soucie d'eux. Ils manquent de nourriture et de vêtements ; ils gèlent, ils subissent de lourdes pertes et ils sont repoussés. ("L'Ukraine aura-t-elle assez de puissance de feu?", Col MacGregor, Judging Freedom, You Tube; 17:35 min)
MacGregor et Mercouris semblent convenir que la stratégie russe consiste à "écraser" l'ennemi, (tuer autant de troupes ukrainiennes que possible) à consolider les gains russes tout en étendant leur contrôle sur les zones à l'est et le long de la mer Noire, et, finalement, partition de l'Ukraine en 2 entités distinctes ; un « État croupion dysfonctionnel » à l'ouest et un État industrialisé et prospère à l'est. Voici Alexander Mercouris d'une récente mise à jour sur You Tube :
RépondreSupprimerMa forte impression est que ... l'offensive hivernale russe - qui est en effet imminente - sera axée sur la fin de la bataille dans le Donbass, la rupture de la résistance ukrainienne dans le Donbass, le dégagement des forces ukrainiennes de la République populaire de Donetsk. Il ne me semble pas que les Russes planifient une grande avance sur Kiev ou sur l'ouest de l'Ukraine. Ce n'est pas ce que disent ces commentaires du général Gerasimov. … les Russes se concentrent sur Donetsk… C'est "à faible risque" mais c'est très efficace. Il écrase l'armée ukrainienne exactement comme l'a dit le général Surovikin. Il affaiblit la capacité future de l'Ukraine à poursuivre la guerre et, en même temps, il remplit la mission première de la Russie qui, depuis le début, a été la libération du Donbass.
Maintenant, ça ne va pas s'arrêter là. D'autres responsables russes ont dit qu'en 2023, nous devrions voir la reprise de la région de Kherson… et il y aura très certainement d'autres avancées russes ailleurs. Mais la bataille principale était et reste le Donbass. Une fois cette bataille gagnée, une fois la résistance ukrainienne brisée, l'armée ukrainienne sera mortellement affaiblie… ce qui signifie que l'Ukraine n'aura pas seulement perdu sa région la plus industrialisée et sa zone la plus fortifiée. Cela signifie également que les Russes auront un accès sans entrave jusqu'à la rive est du Dniepr. À ce moment-là, ils seront en mesure de couper l'Ukraine en deux. Cela me paraît logique et il me semble clairement que c'est le plan russe. Ils ne s'en cachent pas, mais ils gardent les gens sur leurs gardes et devinent les troupes qui sont en Biélorussie. Mais je soupçonne que le but principal de ces forces est de coincer les soldats ukrainiens… autour de Kiev d'une éventuelle offensive russe là-bas, et de contrer la très forte accumulation de troupes polonaises. C'est donc ce que dit Gerasimov. (« Alexandre Mercouris sur l'Ukraine », You Tube ; 31 min 35 s)
Bien que personne ne puisse prédire l'avenir avec une certitude absolue, il semble que MacGregor et Mercouris maîtrisent suffisamment les faits pour que leur scénario ne puisse être rejeté d'emblée. En fait, la trajectoire actuelle du conflit suggère que leurs prédictions sont probablement « exactes ». En tout cas, nous n'aurons pas à attendre longtemps pour le savoir. Les températures chutent rapidement dans toute l'Ukraine, ce qui permet le mouvement sans encombre des chars et des véhicules blindés. L'offensive d'hiver de la Russie n'est probablement qu'à quelques semaines.
Reprinted with permission from The Unz Review.
https://www.lewrockwell.com/2023/02/no_author/mercouris-something-big-is-on-the-way/
Les grèves françaises interrompent les expéditions de carburant des raffineries et d'un dépôt de carburant
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 08 FÉVRIER 2023 - 08:45
La grève nationale française contre le projet de réforme des retraites (Macron cherche à faire passer l'âge de la retraite de 62 ans à 64 ans, les Français disent "non") dont nous avons parlé la semaine dernière, a interrompu mardi l'expédition de carburants des raffineries et d'un carburant dépôt de TotalEnergies, a déclaré la supermajor française à Reuters.
Les ouvriers et les employés de divers secteurs, dont le secteur de l'énergie, les fonctionnaires et les enseignants, organisent des grèves depuis des semaines pour protester contre le projet du président Emmanuel Macron de relever l'âge de la retraite.
Les travailleurs des raffineries de pétrole de Donges et de Feyzin, exploitées par TotalEnergies, sont en grève aujourd'hui, a déclaré à Reuters un représentant du syndicat Force ouvrière. Les travailleurs du dépôt de carburant Flandres ont également rejoint l'action revendicative massive en France, a ajouté le responsable.
Comme le note Oilprice, ce n'est pas la première fois que les livraisons de carburant sont perturbées par des grèves cette année.
Il y a deux semaines, la grève en France a interrompu les livraisons de carburant en gros de trois raffineries exploitées par TotalEnergies le premier jour d'une série de grèves nationales prévues dans de nombreux secteurs. Les raffineries de Donges, de Normandie et de Feyzin de TotalEnergies ont arrêté l'approvisionnement en gros d'essence et de gazole, tandis que la raffinerie de Feyzin a dû réduire au minimum les cadences de traitement le 19 janvier.
TotalEnergies et l'unité française d'ExxonMobil détiennent l'essentiel de la capacité de raffinage en France. Les grèves contre la réforme impopulaire des retraites de Macron devraient se poursuivre.
La vague de grèves la plus récente survient trois mois après que les travailleurs de la raffinerie se sont mis en grève pendant des semaines en septembre et octobre au milieu d'une dispute sur les salaires. Les grèves dans les raffineries en France à l'automne 2022 ont mis hors service plus de 60 % de la capacité de raffinage du pays, tandis que les stations-service à Paris et dans les environs et dans le nord du pays ont commencé à manquer de carburant.
Les grèves contre le projet de réforme des retraites surviennent également au moment où l'UE a interdit les importations de produits pétroliers en provenance de Russie à partir du 5 février.
https://www.zerohedge.com/markets/french-strikes-halt-fuel-shipments-refineries-and-fuel-depot
La débilité du parti au gouvernement est de s'attaquer aux dépôts de carburant dont le Peuple àa besoin pour se déplacer au lieu de s'attaquer (s'il avait des couilles) au logement de fonction de leur chef !
SupprimerMenace d'attaque EMP contre les États-Unis détaillée en 2013 - une décennie avant que des ballons "espions" chinois qui pourraient délivrer des armes EMP soient repérés au-dessus des États-Unis.
RépondreSupprimerMardi 07 février 2023
par : JD Heyes
(Natural News) Le ballon espion chinois repéré au-dessus des États-Unis la semaine dernière a suscité l'intérêt pour une présentation de 2013 mettant en vedette un ancien directeur de la CIA dans laquelle lui et d'autres experts ont discuté de la possibilité d'un événement d'impulsion électromagnétique (EMP) qui ferait des ravages sur le pays.
"Le 29 juillet 2013 à Washington D.C., l'ancien directeur du renseignement central du président Bill Clinton, R. James Woolsey, a dirigé une table ronde sur la menace croissante - et peut-être imminente - d'une impulsion électromagnétique naturelle ou nucléaire (EMP) pour les États-Unis. réseau électrique et d'autres infrastructures critiques qui soutiennent la civilisation moderne et la vie de millions d'Américains », a noté Infowars dans un article présentant la vidéo.
"L'événement a été parrainé par la nouvelle coalition EMP, dont Woolsey était le coprésident honoraire avec l'ancien président de la Chambre Newt Gingrich", a ajouté le message.
Dans la vidéo, les différents experts ont discuté de la manière dont une attaque nucléaire EMP pourrait être menée, et l'une des possibilités était la furtivité plutôt qu'un ICBM à pointe nucléaire - et les ballons sont très furtifs. Et à la fin de la semaine dernière, le Washington Examiner a rapporté qu'ils pourraient être utilisés pour transporter un appareil EMP au-dessus des États-Unis pour le faire exploser en temps de guerre, ou éventuellement pour déclencher une guerre.
"Les ballons à haute altitude, comme celui que la Chine a fait flotter au-dessus des bases militaires des États montagneux cette semaine, sont considérés comme une" plate-forme de livraison "clé pour les frappes nucléaires secrètes sur le réseau électrique américain, selon les responsables du renseignement", commence le rapport. "Les ballons espions, utilisés par le Japon pour larguer des bombes pendant la Seconde Guerre mondiale, sont maintenant beaucoup plus sophistiqués, peuvent voler jusqu'à 200 000 pieds (60 km), échapper à la détection et transporter une petite bombe nucléaire qui, si elle explosait dans l'atmosphère, s'arrêterait." le réseau et anéantir l'électronique dans une zone à l'échelle de plusieurs États.
Le rapport a noté que deux ans après l'événement organisé par Woolsey, le major de l'Armée de l'air David Stuckenberg a rédigé un rapport pour l'American Leadership & Policy Foundation qui a discuté exclusivement du potentiel des ballons à haute altitude pour transporter des bombes à pointe nucléaire et comment ils présentent un menace unique pour la sécurité nationale des États-Unis.
« Un ou plusieurs acteurs étatiques, pseudo-étatiques ou non étatiques peuvent-ils livrer des armes de destruction massive (ADM)/des armes à effet de masse (WME) pour avoir un impact stratégique sur l'infrastructure américaine en l'absence d'emploi de missiles balistiques intercontinentaux (ICBM), sous-marins ? -lancer des missiles balistiques (SBLM), ou d'autres moyens conventionnels ? La réponse est "oui". », a-t-il noté dans le rapport.
RépondreSupprimer"Ainsi, la faisabilité de l'utilisation de nouvelles plates-formes de livraison pour obtenir des capacités offensives contre les États-Unis devrait être examinée et comprise par les communautés de gestion des urgences et de sécurité nationale", poursuit le rapport.
"Si une ogive nucléaire explosait à une hauteur de 200 miles (320 km) au-dessus des États-Unis, selon le National Technical Information Service : 'Pour une explosion à haut rendement à une altitude suffisante, la zone couverte par l'EMP à haute fréquence s'étend dans toutes les directions sur le sol jusqu'à la ligne de mire au-dessus du centre des États-Unis, presque tout le pays ainsi que certaines parties du Canada et du Mexique pourraient être affectés par l'EMP », note encore le rapport. "L'EMP détruirait la plupart des infrastructures critiques situées dans la zone de dépôt."
La taille de l'ogive nucléaire n'est pas claire pour causer ce genre de dégâts importants.
Stuckenberg a mentionné trois types d'engins différents qui pourraient être utilisés à cette fin : les avions commerciaux ou expérimentaux, les drones et les ballons, ces derniers étant « les plus faciles à ressourcer, à équiper et à lancer sont également les moins compris ».
Fait intéressant, un rapport publié lundi a affirmé que le ballon chinois que les États-Unis ont abattu au large de la Caroline du Sud transportait des explosifs. Le général de l'Air Force Glen D. VanHerck a déclaré aux journalistes "que le ballon transportait des explosifs pour se détruire, mesurait 200 pieds de haut, pesait des milliers de livres et sa charge utile était de la taille d'un avion de ligne".
Les sources comprennent :
conservateurBrief.com
Infowars.com
WashingtonExaminer.com
https://www.naturalnews.com/2023-02-07-emp-attack-threat-discussed-back-in-2013.html
Premièrement, la Chine s'est vantée depuis plus de 20 ans d'avoir 'La bombe propre'. Il s'agit là d'une bombe superpuissante qui, explosant à haute altitude (sur la Chine ou un océan) enverrait une onde de choc tout autour de la Terre grillant ainsi au passage TOUS les satellites ainsi que TOUS les appareils électriques sur Terre. C'est-à-dire zéro téléphone, radio, télé, centrales électrique, zéro voiture, zéro train, bateau ou avion ! TOUT ce qui fonctionne sur batteries, accus ou piles serait hors service. Seuls les véhicules anciens (démarrage à la manivelle), motobineuses, tondeuses a gazon, tronçonneuses, etc (lancement du moteur par courroie) pourraient encore fonctionner.
SupprimerDeuxièmement, la bombe intitulée 'bombe propre' est un engin qui fonctionne à l'Impulsion ElectroMagnétique (EMP), il ne 'tue' pas les gens (sauf qu'il arrête les pacemakers), oblige les avions à s'écraser et bloque les ascenseurs.
Tout-à-coup sur Terre c'est le monde du silence.
Essayez de penser à quelque chose au sujet duquel le gouvernement a dit la vérité. Golfe du Tonkin ? Rubis Ridge ? Waco ? Attentat à Oklahoma City ? 11 septembre ? Les armes de destruction massive de Saddam Hussein ? L'utilisation d'armes chimiques par Assad ? Kadhafi ? Le Russiagate ? Insurrection du 6 janvier ? Covid? Vaccin contre le covid? Ukraine? Avion de ligne malaisien ? Trouvez une chose qui était vraie.
RépondreSupprimerTous les mensonges du gouvernement, répétés par les prestitutes, sont conçus pour faire avancer des agendas secrets. Les gens subissent un lavage de cerveau avec des mensonges afin qu'ils acceptent les ordres du jour. C'est ainsi que fonctionne le gouvernement américain. Il n'y a plus de média américain. Juste un ministère d'endoctrinement. Seuls les récits officiels s'il vous plaît. Tout le reste n'est que désinformation.
https://www.lewrockwell.com/2023/02/paul-craig-roberts/the-chinese-spy-balloon-hoax/
Ballon avec 3 missiles hypersoniques testés par la Chine en 2018
RépondreSupprimerLa Chine a testé des véhicules de glisse hypersoniques largués d'un ballon en 2018, selon la chaîne de télévision publique chinoise CCTV. (Capture d'écran via les réseaux sociaux chinois)
Par Andrew Thornebrooke
7 février 2023
La télévision publique chinoise a diffusé des images d'un ballon à haute altitude larguant des armes hypersoniques en 2018.
Les images époustouflantes montrent un ballon à haute altitude, semblable à celui qui a traversé les États-Unis la semaine dernière, transportant trois véhicules de glisse hypersoniques (HGV) à haute altitude et les laissant tomber pour des tests.
La chaîne de télévision publique chinoise CCTV a rendu compte de l'essai d'armes en septembre 2018. Les images ont depuis été supprimées des médias chinois, mais des photographies et de courts clips sont toujours disponibles en ligne.
Dans un article de 2018, un utilisateur de Twitter a partagé des images de Douyin, la version chinoise de TikTok, qui montre le ballon soulevant les trois poids lourds du sol.
Les poids lourds sont généralement lancés par des roquettes de la même manière que les missiles traditionnels. En atteignant l'orbite, cependant, les poids lourds se détachent de la fusée et volent dans l'atmosphère en utilisant leur propre élan.
Ces armes sont beaucoup plus rapides que les autres missiles lorsqu'elles sont en orbite basse, mais deviennent beaucoup plus lentes lorsqu'elles frappent l'air dense de l'atmosphère car elles n'ont pas de jets pour les propulser. Les trois poids lourds largués par le ballon dans les images semblent avoir été conçus pour tester ce phénomène.
Les poids lourds largués par ballon faisaient partie d'un effort visant à développer des ogives de précision pour les armes hypersoniques, ce qui donnerait à l'armée chinoise une "arme à capacité nucléaire imparable", selon le South China Morning Post.
Les ballons font partie des préparatifs de guerre de la Chine
Paul Crespo, président du Center for American Defence Studies, a déclaré que le ballon qui a traversé l'espace aérien américain cette semaine pourrait "absolument" être une course à vide pour une attaque utilisant une arme montée sur ballon, mais que les missiles hypersoniques ne seraient probablement pas une première choix pour le régime communiste chinois.
« Alors que la Chine a testé des missiles hypersoniques lancés à partir de ballons dans le passé, ce n'est pas une utilisation probable pour ces dirigeables », a déclaré Crespo à Epoch Times dans un e-mail. "La plus grande menace est d'envoyer un ou plusieurs de ces ballons à haute altitude au-dessus des États-Unis avec un petit dispositif nucléaire EMP (Electro Magnetic Pulse)."
RépondreSupprimer"Détonant à une altitude extrêmement élevée, ils pourraient couper l'alimentation et les communications à travers les États-Unis, causant des ravages généralisés pendant un an ou plus sans tirer un coup de feu au sol."
Bien que Crespo ne croyait pas que l'hypersonique largué par ballon serait la prochaine grande chose dans un conflit nucléaire, les poids lourds largués dans les images pourraient bien avoir contribué au développement du système d'arme hypersonique secrètement testé par la Chine en 2021.
Ce système, alors vice-président des chefs d'état-major interarmées, a déclaré le général John Hyten, semblait être destiné à une frappe nucléaire de « première utilisation » contre les États-Unis.
"Ils ressemblent à une arme de première utilisation", a déclaré Hyten.
"Le rythme [China is] et la trajectoire sur laquelle ils se trouvent dépasseront la Russie et les États-Unis si nous ne faisons rien pour le changer."
La Chine communiste n'est pas la seule à développer de nouvelles façons d'utiliser des ballons à haute altitude comme armes de guerre.
Les États-Unis ont étudié et testé l'utilisation de ces ballons pour déployer des essaims de drones suicides chargés d'explosifs depuis au moins 2018.
Le Pentagone investit également des dizaines de millions de dollars dans des ballons à haute altitude qu'il entend utiliser pour la surveillance et, notamment, espère utiliser pour suivre l'arsenal hypersonique du PCC.
Epoch Times a demandé des commentaires à la Maison Blanche et au Pentagone.
https://www.theepochtimes.com/chinese-state-tv-showed-balloon-carrying-hypersonic-missiles-in-2018_5037040.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge
Une autre déclaration absurde des médias américains : la Chine a plus d'ICBM que l'Amérique
RépondreSupprimerPar Drago Bosnic
Recherche mondiale,
08 février 2023
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Quelques jours seulement après que les États-Unis ont pompeusement annoncé qu'ils avaient vaincu un ballon météo à la dérive, une autre absurdité a fait les gros titres des médias grand public. Apparemment, la Chine a réussi à dépasser l'Amérique en nombre de lanceurs d'ICBM (missiles balistiques intercontinentaux). Cela a été rapporté par le Wall Street Journal le 7 février , citant les commissions des services armés du Sénat et de la Chambre. Selon le WSJ, le commandant du Commandement stratégique américain, qui supervise les forces nucléaires américaines, a informé le Congrès américain du supposé avantage chinois.
"Le nombre de lanceurs d'ICBM fixes et mobiles terrestres en Chine dépasse le nombre de lanceurs d'ICBM aux États-Unis", a déclaré le commandant.
L'auteur de l'article du WSJ a lui-même admis que les États-Unis modernisaient actuellement l'ensemble de leur triade nucléaire (armes nucléaires terrestres, maritimes et aériennes) et qu'ils "disposent d'une force nucléaire beaucoup plus importante que la Chine". Le Commandement stratégique a également informé les législateurs américains que l'Amérique avait toujours plus d'ICBM terrestres que la Chine, ainsi que plusieurs fois plus d'ogives thermonucléaires montées sur ces missiles. Pire encore, le rapport n'inclut même pas les SLBM (missiles balistiques lancés par sous-marin) et les bombardiers stratégiques qui rendent la domination américaine encore plus prononcée.
Mais les responsables et experts américains affirment que "de nombreux lanceurs terrestres chinois sont encore constitués de silos vides", ce qui signifie que Pékin "a potentiellement plus d'options de lancement". Les législateurs ont cité ces lanceurs comme "un présage de l'ampleur des ambitions à plus long terme de la Chine et exhortent les États-Unis à étendre leurs propres forces nucléaires pour contrer les forces russes et chinoises". Selon Mike Rogers, président du House Armed Services Committee, « la Chine se rapproche rapidement de la parité avec les États-Unis ».
RépondreSupprimer« Nous ne pouvons pas permettre que cela se produise. Le moment est venu pour nous d'ajuster notre posture de force et d'augmenter nos capacités pour faire face à cette menace », a déclaré Rogers.
Il a ensuite critiqué le respect par les États-Unis du New START (Traité de réduction des armements stratégiques), affirmant que cela "empêche les États-Unis de constituer leur arsenal pour dissuader la Russie et la Chine". Et si la Chine n'est pas incluse dans le traité (qui doit expirer en 2026), la Russie l'est, ce qui signifie que Moscou en est également « inhibée » , ce qui rend l'affirmation d'autant plus illogique. D'un autre côté, de nombreux experts américains affirment maintenant qu'il est dans l'intérêt des États-Unis de préserver les limites du traité avec la Russie et de tenter également d'y entraîner Pékin, tout en poursuivant la modernisation constante de l'arsenal nucléaire américain.
Rose Gottemoeller, une experte américaine en contrôle des armements qui a participé à la négociation du nouveau START, a déclaré : « Il est dans notre intérêt national de maintenir les Russes sous les limites du nouveau START. Nous devons achever notre modernisation nucléaire conformément au plan, et non accumuler de nouvelles exigences. »
Le rapport du WSJ postule que les États-Unis essaient maintenant de traiter avec la Russie et la Chine en utilisant un mélange de traités de contrôle des armements et de forces nucléaires améliorées. L'examen de la posture nucléaire de 2022 du Pentagone a identifié les deux superpuissances comme des rivales stratégiques , déclarant que "d'ici les années 2030, les États-Unis seront, pour la première fois de leur histoire, confrontés à deux puissances nucléaires majeures en tant que concurrents stratégiques et adversaires potentiels".
Cependant, tout en affirmant qu'elle veut préserver le New START, l'administration troublée de Biden semble travailler à son élimination . Pas plus tard que la semaine dernière, les États-Unis ont accusé la Russie de violer le traité en refusant d'autoriser les inspections sur place, bien que les États-Unis eux-mêmes fassent de même, ce qui signifie que Moscou réagit simplement de la même manière . De telles actions indiquent que Washington DC pourrait essayer de saboter le New START parce qu'il est frustré que la Chine n'y soit pas incluse.
Le Pentagone affirme que Pékin augmentera son arsenal actuel de 400 ogives à 1 500 d'ici 2035. À l'heure actuelle, l'arsenal nucléaire chinois comprend un nombre indéterminé de lanceurs ICBM mobiles, tandis que l'armée américaine affirme que le géant asiatique exploite également environ 20 lanceurs à combustible liquide, ICBM basés sur des silos, mais qu'il construit également trois champs de silos ICBM destinés à abriter environ 300 missiles modernes à combustible solide. À titre de comparaison, les États-Unis utilisent 5 428 ogives, avec au moins 400 ICBM terrestres . En d'autres termes, l'arsenal nucléaire américain actuel est plus de 13 fois plus important que celui de la Chine, tandis que ses ICBM terrestres sont plus de 20 fois plus nombreux que ceux de Pékin.
RépondreSupprimerLes experts américains débattent souvent de ce que la Chine envisage de faire avec les silos susmentionnés qu'elle est en train de construire. Certains prétendent que, bien que Pékin ne dispose pas actuellement d'assez d'ICBM à pointe nucléaire pour remplir tous les silos, il pourrait en laisser quelques-uns vides ou installer des missiles armés de manière conventionnelle. Pourtant, l'ampleur de la gymnastique mentale utilisée par l'establishment politique américain pour se présenter comme le « parti en danger » dans cette affaire est ridicule pour quiconque connaît la taille de l'arsenal nucléaire américain. Même avec l'affirmation selon laquelle la Chine disposera de 1 500 armes nucléaires en 2035, dont 400 ICBM terrestres, les États-Unis auraient toujours un avantage de 3 contre 1, ce qui rendrait les accusations contre Pékin sans objet.
https://www.globalresearch.ca/absurd-us-propaganda-claims-china-has-more-icbms-than-america/5807756
Victoria Nuland : « FxxK l'UE ». North Stream est "Un morceau de métal au fond de la mer"
RépondreSupprimerPar le Pr Michel Chossudovsky
Recherche mondiale,
08 février 2023
Lors de développements récents, le procureur général allemand Peter Frank a confirmé « qu'il n'y a aucune preuve permettant de blâmer la Russie pour la destruction des gazoducs Nord Stream » :
"Cela n'a pour l'instant pas été prouvé (...) L'enquête est en cours (...) Nous évaluons actuellement tout cela de manière médico-légale. [Le soupçon] qu'il y avait eu un acte de sabotage étranger [dans cette affaire], n'a jusqu'à présent pas été étayé", a-t-il déclaré lors de l'entretien avec Die Welt.
Si ce n'est pas la Russie, qui l'a fait ?
"Aucune preuve de sabotage étranger" d'un acte qui a créé des ravages sociaux et des difficultés dans l'Union européenne, avec la hausse des prix de l'énergie ? Les gens gèlent, incapables de payer leurs factures de chauffage. Cette crise qui émane de Washington a été propice à un processus d'appauvrissement dans toute l'Europe à partir d'une flambée incessante des prix de l'énergie.
La preuve est là, elle est ignorée par le procureur allemand Peter Frank ainsi que par le chancelier Olaf Scholz. Il avait été ordonné par le président des États-Unis
Victoria Nuland : "Fxxk l'UE"
La décision de Biden d'ordonner le sabotage de North Stream (voir ci-dessous) est désormais confirmée par une déclaration de Victoria Nuland devant la commission sénatoriale des relations étrangères.
"Sénateur Cruz, je suis comme vous et je pense que l'administration est très heureuse de savoir que Nord Stream 2 est maintenant, comme vous aimez le dire, un morceau de métal au fond de la mer." cliquez sur Victoria Nuland ou sur l'image ci-dessous pour voir la vidéo de sa déclaration :
VIDÉO
Les États-Unis continuent leur escalade en Ukraine
F ** k l'UE à nouveau: "Un morceau de métal au fond de la mer"
Déclaration de Joe Biden de février 2022
- voir clip sur site -
"On va, je vous promets, on va pouvoir faire ça", déclare Joe Biden le 7 février 2022
Président Joe Biden :
"Si la Russie envahit, cela signifie que des chars et des troupes traversent à nouveau la frontière ukrainienne, alors il n'y aura plus de Nord Stream 2."
Journaliste : "Mais comment allez-vous faire exactement, puisque le projet est sous le contrôle de l'Allemagne ?"
Biden: "Nous le ferons, je vous le promets, nous pourrons le faire." (nous soulignons)
Joe Biden : "Il n'y aura plus de Nord Stream 2"
https://www.globalresearch.ca/victoria-nuland-fxxk-the-eu-north-stream-is-a-hunk-of-metal-at-the-bottom-of-the-sea/5807681
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