- ENTREE de SECOURS -



samedi 25 février 2023

L'avocat Philipp Kruse révèle les projets de pouvoir de l'OMS

 

105 commentaires:

  1. L'avocat Philipp Kruse révèle les projets de pouvoir de l'OMS


    23.02.2023
    www.kla.tv/25220


    « L'OMS et la Suisse – quelle suite ? » C'est sous ce titre qu'une manifestation organisée par Urs Hans de « Public Eye on Science » a eu lieu le 13 janvier 2023 à Turbenthal dans le canton de Zurich. Dans la première conférence, Astrid Stuckelberger, ancienne collaboratrice de l'OMS, a présenté les principales questions fondamentales relatives à la pandémie dite de « Covid ». Ensuite, l'avocat zurichois Philipp Kruse a résumé les événements depuis 2020. Il a remis en question les mesures relevées depuis le début de leur déclaration, par exemple : sur quelles bases la pandémie s'appuie-t-elle ? Quels ont été les effets des mesures prises ?

    Kruse se penche ensuite sur l'OMS, une organisation privée dont le siège est à Genève. Celle-ci publie ce qu'on appelle le « Règlement sanitaire international », auquel la plupart des États se sont conformés. Dans sa version actuelle, les mesures ne sont par exemple autorisées que dans le respect des droits de l'homme en vigueur, de la dignité et des libertés fondamentales des personnes. Or il est aujourd'hui envisagé de supprimer, entre autres, cette formulation.

    Qu'est-ce qui se cache derrière ces propositions d'amendement ?

    Quelles en seraient les conséquences ?

    Découvrez dans l'exposé suivant l’analyse de l'expert juridique Philipp Kruse.
    Exposé : Philipp Kruse

    Bonsoir à tous. Cher Urs, merci beaucoup pour l'invitation, pour l'excellente organisation et merci à tous d’être non seulement venus, mais d'être encore là. Il est déjà 22h14, le vendredi 13 janvier 2023.
    Urs, tu as dit que je me serais réveillé lorsque Kennedy était venu en Suisse en novembre 2021. C'était bien sûr beaucoup plus tôt, bien avant. Ma première action a eu lieu le 18 juin 2020. Je me suis rendu au Parlement, alors encore improvisé – son installation Expo à Berne - et j'ai remis physiquement aux parlementaires la lettre que je leur avais envoyée en deux exemplaires, également par e-mail. Elle avait été cosignée par des scientifiques et un avocat, mon collègue Heinz Raschein. Ensemble, nous y avions déjà expliqué au Parlement qu'il n'y avait absolument aucune cause, aucune raison à une épidémie. Qu'il n'y avait pas de menace, qu'il était urgent de revenir à la situation normale et que toutes les mesures étaient plus nuisibles que bénéfiques et devaient donc immédiatement être annulées. C'était le 18 juin 2020, j'avais essayé de joindre chaque parlementaire pour que cela arrive vraiment, et depuis, je n’ai plus abandonné.

    L’idée, j'aimerais faire écho à ce qu'Astrid Stuckelberger vient d’exposer de manière fort remarquable. Merci beaucoup, je peux vraiment souligner tout ce que tu as dit.
    Je suis heureux qu'Astrid ait dit si clairement à quel point il est important qu'il y ait des preuves d'une menace et que quelqu'un fasse une véritable analyse des risques. La particularité des menaces est qu'elles doivent toujours être réanalysées et vérifiées à nouveau. C'est d'ailleurs ce qui est écrit à deux endroits dans la loi sur les épidémies : réexaminer régulièrement la situation. C'est pourtant une évidence. Mais ici, cela n'a jamais été fait.

    C'était d'ailleurs la principale exigence de cette lettre du 18 juin, et elle l'est restée jusqu'à aujourd’hui. La caractéristique essentielle d'un État de droit démocratique est qu'il se compose de trois pouvoirs, afin que ces pouvoirs puissent se contrôler mutuellement et qu'ils puissent réparer des erreurs le cas échéant. C'était l'idée de base de Montesquieu, qui, après la Révolution française, a été mise en œuvre dans toute l'Europe. Une telle révision des questions les plus importantes n'a pas eu lieu depuis janvier 2020 jusqu'à aujourd'hui. Quelles sont les questions les plus importantes ? Astrid Stuckelberger les a toutes très bien énumérées, à savoir : Sommes-nous réellement menacés par un virus ? Où se trouve ce virus ? Existe-t-il une chaîne de causalités qui créent une maladie et quelle est la gravité de cette maladie qu’elle provoque ?

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  2. Alors, commençons brièvement, jusqu'ici, nous sommes au courant. L'avantage, quand on fait du droit fiscal, ce que j'ai fait pendant environ 20 ans, on a affaire à une matière qui se caractérise par le fait qu'en fin de compte, l'État vous prend toujours quelque chose. Cela signifie qu'il s'agit d'une sorte d'administration d'intervention. Et justement, le droit fiscal - il n'y a guère une autre matière réglée de manière aussi précise en Suisse - contient tous les principes de base que l'on peut également appliquer à la période de l’intervention administrative Covid. C'est pourquoi j'ai tout de suite posé le système de coordonnées du droit fiscal sur le système de coordonnées de l'administration d'intervention Covid et j'ai remarqué que cela ne pouvait pas du tout fonctionner. Ceci est une remarque pour tous ceux qui travaillent également dans le domaine du droit fiscal. Faites-le pour voir, placez-y votre réseau de coordonnées de la vie quotidienne et vous remarquerez où ça ne marche pas.

    Très brièvement les cas. J'ai engagé environ 20, 22 procédures judiciaires ordinaires contre les mesures - non pas parce que je suis opposé aux mesures par principe, mais parce que je suis opposé aux méthodes erronées, aux méthodes d'investigation erronées. Je voudrais que les tribunaux soient enfin convaincus que la méthode d'enquête, la méthode d'analyse de la menace virale est erronée.
    Nous avons fait un premier grand pas - arrêt du Tribunal fédéral de novembre 2021, c'est l'affaire 2C_228/2021, et là, le Tribunal fédéral a dit, un peu agacé, en considérant 5.2 : les plaignants amènent tellement d'évidences - ils n'auraient pas eu besoin de le faire - parce que les plaignants veulent dire que le test PCR n'est pas valable.

    Le Tribunal fédéral a encore dit : Il est tout de même notoire (noté officiellement par le tribunal) que le test PCR n'est pas approprié pour prouver une maladie. C'était en novembre 2021. Combien de journaux, croyez-vous, ont rapporté cette affaire depuis ? Pas un seul des médias d'État ! Pas un seul ! Ce n'était pas dans le NZZ. Pourtant j'ai donné deux interviews à la NZZ et j'ai dit à plusieurs reprises : « Parlez de ce cas, c'est important. Vous pourrez ainsi apaiser la peur des gens. » Non. Ensuite, nous avons également présenté ce cas au Parlement, en répétant sans cesse : « Chers parlementaires, veuillez en prendre connaissance. Le Tribunal fédéral s'est beaucoup investi dans cette affaire et a fait un travail très sérieux. » Cela n'a pas non plus intéressé les parlementaires, de sorte qu'à ce jour, nous avons toujours la méthode PCR comme base pour la loi Covid-19.

    Ensuite, la plainte pénale a été mentionnée - nous avons fait une petite conférence de presse le 14 novembre. Quelle en sera la suite? Bien sûr, nous ne voulons pas simplement jeter la balle dans l'eau, mais nous poursuivons cela avec la plus grande vigueur. Vous savez que ces substances ARNmessager ont été autorisées pour une durée limitée de deux ans. Nous avons donc dit : Nous ne laisserons pas à Swissmedic le soin d'évaluer l'évidence de ces deux années et de nous dire à la fin, dans la procédure pénale : Oui, mais il y a eu une étude en novembre, décembre 2022, où l'efficacité est quand-même apparue, ou la sécurité est finalement apparue. Non, donc nous disons : Avec nos scientifiques, avec nos collaborateurs - mais avec le soutien de très nombreux experts dans le monde entier - nous nous sommes penchés sur toutes les études, sur toutes les preuves de toute la période d'autorisation ; et nous allons les remettre intégralement au ministère public - c'est-à-dire notre rapport actualisé sur les preuves, pour qu'il n'y ait vraiment plus d'excuses possibles. Et où on pourrait dire, oui, mais il y a là encore une petite étude factice qui prouve la sécurité. Et ça, nous allons le faire avec beaucoup d'insistance.

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  3. Aujourd'hui, quelque chose de tout à fait nouveau : pour la première fois, une plainte a été déposée par du personnel navigant contre le licenciement, parce qu’une hôtesse de l'air a refusé obstinément de se faire vacciner et a été licenciée pour cette raison. Nous apporterons également un soutien très fort à cette affaire. Une compagnie aérienne qui, à l'heure actuelle, n'engage ses collaborateurs que s'ils sont vaccinés contre le Covid-19 devrait se voir retirer la croix suisse de son aileron arrière. [beaucoup d’applaudissements]

    J'en viens au cas type. Nous voyons une jeune femme en bonne santé, 28 ans, footballeuse professionnelle, qui profite de sa vie, indépendante, autonome – elle prend en octobre 2021, sous la pression de la Swiss Football League, un vaccin Johnson&Johnson, une simple injection. A partir de là, collapsus immédiat, fatigue permanente, ne peut plus exercer son métier de footballeuse et son autre métier, cinquante consultations en un an. Cela peut se résumer en un mot très simple : Les médecins ont dit : « Nous ne pouvons pas dire ce que c'est, mais nous pouvons exclure une chose : cela n'a aucun rapport avec la vaccination. Voyez avec un psychiatre ! » - Oui, c'est ce qu'on lui a dit : « Voyez ça avec un psychiatre. »

    La jeune femme, quand elle est venue nous voir, suicidaire, dans un hôpital psychiatrique. Quel est le schéma derrière tout cela ? Le schéma est le suivant : nous avons des personnes en bonne santé, des personnes saines qui ne sont pas menacées par le Covid, et elles sont mal informées et subissent des pressions pour qu'elles acceptent une substance qui leur fait du mal, qui leur cause des dommages à long terme. Ensuite, ils vont voir des médecins et leur expliquent la situation, mais les médecins ne leur apportent aucune aide. Une aide consisterait à rechercher toutes les causes possibles sans préjuger des résultats et à ne pas exclure d'emblée une cause bien précise.

    Non-assistance à personne en danger. Enfin, la non-assistance à personne en danger aggrave encore la situation des personnes concernées. C'est là que s'applique une grande partie du droit. Je résume très brièvement, mais nous avons la violation d'une série de normes impératives de protection de l'individu, issues du droit pénal : je l'ai dit, non-assistance à personne en danger ; du droit civil : atteinte à la personnalité (CO 28) - avec droit à des dommages et intérêts (CO 41) et, bien entendu, du droit constitutionnel et du droit international, qui s'appliquent également ici, car nous savons depuis l'introduction du Code de Nuremberg que personne ne peut être amené à se faire injecter quoi que ce soit sans son consentement volontaire et sans une base d'information correcte. Et le tout sur une longue période.

    Eh bien, le problème concerne l'ensemble de la population et la question est - beaucoup disent : « Euh, Philipp, détends-toi, c'est fini, va au « Sprüngli », bois un chocolat chaud - ça fait des miracles. »
    A ceux-là, je réponds : « Pas de fin en vue ». L'OMS continue d'entretenir la pandémie. Nous sommes toujours officiellement en Public Health Emergency of International Concern. (Urgence de santé publique de portée internationale).

    L'OMS a toujours pour objectif de vacciner 70 % de la population. Pire encore : l'OMS a déclaré cette technologie de ces substances vaccinales - nous savons qu'il ne s'agit pas de substances vaccinales - comme la norme, la technologie standard pour tous les vaccins contre la grippe et de nombreux autres vaccins - comme la norme, l'étalon-or ! Et, comme nous le savons aussi, le G20 a proclamé : Carnet de vaccination digital et carte d'identité digitale. Cela signifie qu’il faut le promouvoir. Et cela signifie qu'au lieu que l'OMS s'arrête et dise : Stop, regardons l'effet, regardons les effets secondaires, faisons le point sur les dommages, elle dit : Non, nous faisons le contraire. Nous accélérons et voulons envoyer encore plus de substances vaccinales.

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  4. Tout cela a un caractère expérimental - pourquoi ? Nous avons affaire à une nouvelle technologie de traitement. L'effet exact de cette injection d'ARNm n'est pas connu, on ne sait toujours pas exactement quelle quantité de protéines spike est produite dans le corps, sur quelle durée cette substance active est produite et avec quelle qualité. En bon français il s'agit du plus grand aveuglement qu'on puisse imaginer. Diverses normes n'ont pas été respectées et il n'existe pas d'études contrôlées à long terme pour un grand groupe de personnes, mais en revanche, un nombre extraordinairement élevé d'indices de dommages et les personnes concernées n'ont pas été correctement informées de tout cela.

    Oui, c'est tout à fait une tentative, une expérimentation humaine, et c'est interdit par le code de Nuremberg et par le Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Là Il est dit… (C'est un pacte de l'ONU, qui est donc valable pour pratiquement tous les pays du monde…) Il y est écrit, première phrase : « Nul ne sera soumis à la torture ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants ». Et comme exemple d'application de la torture, il est écrit : « En particulier, nul ne peut être soumis à des expériences médicales ou scientifiques sans son libre consentement » - et cela inclut l'information complète et correcte. C'est ce que l'OMS pousse à faire, contrairement à cette disposition précisément.

    Il est également important de noter que « cette disposition s'applique, précisément selon ce même pacte international, même pendant les pandémies ». C'est explicitement écrit là. Très remarquable. Je vais un peu plus vite, car j'ai déjà mentionné que l'ARNm doit rester le grand succès étalon en tant que technologie de base et plate-forme. Va tout de suite plus loin. Et Tedros – lui, comme toujours - dit : « C'est tellement bien qu'au moins 70 % devraient être inoculés ». Et c'est le point de départ.
    La question se pose maintenant, après trois ans, qu'il faut poser à l'OMS : « Monsieur Tedros, Monsieur Tedros, dites-moi pourquoi il ne vous est pas encore venu à l'esprit, jusqu'à aujourd'hui, de vous faire vraiment une idée des conséquences, du rapport bénéfice/risque de ces substances ?

    Était-ce même nécessaire d'introduire ces substances ? Quelle est la validité de votre test PCR de gestion des risques ? Dans quelle mesure avez-vous respecté les méthodes traditionnelles d'analyse des risques de l'OMS, telles qu'Astrid Stuckelberger les a présentées tout à l'heure et qu'elle a elle-même enseignées par le passé ? Pourquoi vous en écartez-vous à ce point ? » Et cette dynamique incroyable de l'OMS d'utiliser cette technologie ARNm, c'est l'une des raisons pour lesquelles nous mettons un accent très, très fort sur cette plainte pénale et que nous allons continuer à mettre les gaz ici. Ensuite... [grands applaudissements] ce n'est pas grave si personne ne peut lire ça (sur le web), c'est tellement important qu'on peut le résumer très simplement. Il s'agit de l'article 1 de la Constitution de l'OMS. Et si nous nous rendons compte maintenant de ce qui s'est passé au cours des trois dernières années. Combien de souffrances ont été causées sous le titre de « santé ». Et si on lit ensuite ce que l'OMS s'est elle-même fixé comme objectif, en 1948, dans sa propre constitution, à l'article 1, on ne peut que secouer la tête et dire : « Un instant, vous ne lisez donc pas votre propre constitution ? »

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  5. Tout cela a un caractère expérimental - pourquoi ? Nous avons affaire à une nouvelle technologie de traitement. L'effet exact de cette injection d'ARNm n'est pas connu, on ne sait toujours pas exactement quelle quantité de protéines spike est produite dans le corps, sur quelle durée cette substance active est produite et avec quelle qualité. En bon français il s'agit du plus grand aveuglement qu'on puisse imaginer. Diverses normes n'ont pas été respectées et il n'existe pas d'études contrôlées à long terme pour un grand groupe de personnes, mais en revanche, un nombre extraordinairement élevé d'indices de dommages et les personnes concernées n'ont pas été correctement informées de tout cela.

    Oui, c'est tout à fait une tentative, une expérimentation humaine, et c'est interdit par le code de Nuremberg et par le Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Là Il est dit… (C'est un pacte de l'ONU, qui est donc valable pour pratiquement tous les pays du monde…) Il y est écrit, première phrase : « Nul ne sera soumis à la torture ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants ». Et comme exemple d'application de la torture, il est écrit : « En particulier, nul ne peut être soumis à des expériences médicales ou scientifiques sans son libre consentement » - et cela inclut l'information complète et correcte. C'est ce que l'OMS pousse à faire, contrairement à cette disposition précisément.

    Il est également important de noter que « cette disposition s'applique, précisément selon ce même pacte international, même pendant les pandémies ». C'est explicitement écrit là. Très remarquable. Je vais un peu plus vite, car j'ai déjà mentionné que l'ARNm doit rester le grand succès étalon en tant que technologie de base et plate-forme. Va tout de suite plus loin. Et Tedros – lui, comme toujours - dit : « C'est tellement bien qu'au moins 70 % devraient être inoculés ». Et c'est le point de départ.
    La question se pose maintenant, après trois ans, qu'il faut poser à l'OMS : « Monsieur Tedros, Monsieur Tedros, dites-moi pourquoi il ne vous est pas encore venu à l'esprit, jusqu'à aujourd'hui, de vous faire vraiment une idée des conséquences, du rapport bénéfice/risque de ces substances ?

    Était-ce même nécessaire d'introduire ces substances ? Quelle est la validité de votre test PCR de gestion des risques ? Dans quelle mesure avez-vous respecté les méthodes traditionnelles d'analyse des risques de l'OMS, telles qu'Astrid Stuckelberger les a présentées tout à l'heure et qu'elle a elle-même enseignées par le passé ? Pourquoi vous en écartez-vous à ce point ? » Et cette dynamique incroyable de l'OMS d'utiliser cette technologie ARNm, c'est l'une des raisons pour lesquelles nous mettons un accent très, très fort sur cette plainte pénale et que nous allons continuer à mettre les gaz ici. Ensuite... [grands applaudissements] ce n'est pas grave si personne ne peut lire ça (sur le web), c'est tellement important qu'on peut le résumer très simplement. Il s'agit de l'article 1 de la Constitution de l'OMS. Et si nous nous rendons compte maintenant de ce qui s'est passé au cours des trois dernières années. Combien de souffrances ont été causées sous le titre de « santé ». Et si on lit ensuite ce que l'OMS s'est elle-même fixé comme objectif, en 1948, dans sa propre constitution, à l'article 1, on ne peut que secouer la tête et dire : « Un instant, vous ne lisez donc pas votre propre constitution ? »

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  6. Et voici l'article qui a fait parler de lui au début de cette année. L'article 3 de ce règlement sanitaire, il bat tous les records. Jusqu'à présent, il y était écrit que, lors de la mise en œuvre de ces dispositions sanitaires, les États devaient respecter la dignité humaine, les droits de l'homme et les libertés fondamentales des personnes. Tel était le texte jusqu'à présent - et il doit être supprimé ! Et on peut à nouveau objecter comme un auditeur critique attentif : « Mais Monsieur Kruse, ils ont déjà été piétinés jusqu'à présent, les droits de l'homme. » C'est exact, ils ont été piétinés. Là encore, nous avons dit : « Mais voilà, Parlement, regardez, vous n'avez pas le droit de le faire. Dans le Règlement sanitaire international, les droits de l'homme sont protégés ! » - Cela n'a intéressé personne non plus. Les parlementaires ne lisent pas les papiers qui font plus d'une page et qui ne contiennent pas d'images. C'est comme ça !

    N'ayez pas peur, je ne suis pas un politicien, je suis un citoyen. Mais je me permets une chose, après ces trois ans. Je suis déçu par nos parlementaires - à quelques exceptions près, je nomme ici Pirmin Schwander pour représenter les bonnes exceptions - je suis déçu par nos autres représentants du peuple. A l'heure actuelle, il n'y a absolument plus aucune raison de penser que le test PCR puisse mesurer quoi que ce soit d'utile en rapport avec l'épidémie et il n'y a absolument aucune raison de penser que les mesures prises aient apporté quoi que ce soit de positif.

    Il n'y a absolument aucune raison d'adopter cette loi Covid-19. Je suis énormément déçu par les parlementaires. [Applaudissements]

    Et je pense que c'est excellent, excellent qu'il y ait plusieurs citoyens de chez nous qui se soient dit : « J’en ai assez, nous en avons tous assez, ça ne peut pas continuer comme ça » et qu'ils vont se présenter aux élections et nous devons les soutenir afin d’occuper le plus de sièges parlementaires possible.
    Et je voudrais le dire plus clairement, le plus grand risque pour la Suisse vient de notre Parlement ! Voilà, je me suis un peu défoulé...

    Quelqu’un du public: je dis « bibliquement criminel »

    Kruse : Bibliquement criminel, oui c'est vrai, je suis d'accord, opinion personnelle, mais c'est ainsi.
    Selon ces propositions d'amendement, les États doivent être contraints de signaler à l'OMS dans les 48 heures toute mutation virale susceptible de se transformer en épidémie (aussi de manière bibliquement criminelle, d'ailleurs).

    Dans une telle situation de pression psychologique, quelle sera la décision de Monsieur Berset ? « Je préfère attendre encore un peu, jusqu'à ce que j'aie plus de preuves » ou va-t-il dire : « 48 heures, et hop, délai expiré, maintenant ! »

    Il est écrit : l'État a 48 heures pour évaluer cela, puis 24 heures après cette évaluation, il faut le signaler à l'OMS. Rien que ça c’est déjà criminel, car nous savons tous très bien que pour pouvoir évaluer le risque d'une éventuelle évolution pandémique, il faut du temps. Il faut étudier, il faut regarder de près, certainement pas en premier lieu appeler Tedros [Ghebreyesus] tout de suite.

    Ensuite, ce que je trouve le plus grave, le plus menaçant et qui doit être le plus clair dans notre esprit à tous, c'est ce bouton d'alarme d'urgence de la pandémie. Le terme technique : Public Health Emergency of International Concern (urgence de santé publique de portée internationale). C’est très facile de s'en souvenir, car le sigle PHEIC donne « Fake »

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  7. Donc, on peut s’en souvenir facilement : « Fake », c’est-à-dire faux. Tedros, en vertu de l'article 6 de ce règlement sanitaire international, pouvait jusqu'à présent déclarer ce « fake ». Et ce qui est remarquable maintenant, c'est que les possibilités, les conditions, le champ d'application pour déclarer un tel fake ont été élargis, et il ne s'agit pas seulement de pandémies réelles, mais aussi de développements qui pourraient potentiellement, potentiellement mettre en danger la santé publique. Il peut décider seul : L'Etat c'est moi. Il peut consulter le Comité d'urgence, mais - comme ça s'est déjà produit en juillet de l'année dernière - il peut mettre en minorité son Comité d'urgence, ses conseillers. Il peut décider seul si le monde entier se trouve dans cet état légal de pandémie.

    Cela signifie qu'il peut supprimer d'un coup le règne du droit et de l'ordre constitutionnel fondamental et passer aux règles d'urgence, c'est-à-dire à un état de droit où l'exécutif est aux commandes, en s'appuyant sur les directives de l'OMS - j'y reviendrai. C'est prévu, et il y a une annexe très importante avec un arbre de décision selon lequel - en théorie du moins - l'OMS devrait procéder pour déterminer : Y a-t-il une pandémie ? Oui ou non ? On peut y jeter un coup d'œil. L'OMS y a ajouté d'autres exemples d'application. On y lit en effet - et c'est également nouveau – qu’est-ce qui doit conduire à une telle pandémie : « Cluster(s) of other severe infections in which human to human transmission can not be ruled out.

    »Ouf ! Donc, si on ne peut pas exclure qu'une transmission humaine puisse se produire à partir de ces cas d’infections. Maintenant, trouvez un scientifique qui se tienne devant Tedros et qui dise : « Je peux exclure cela. » Non, ce n'est pas du tout possible. Ce sont des termes alibi, c'est - bibliquement criminel - quel est le mot-clé ? Exactement ! Disons que je ne dois pas le dire de façon aussi pathétique. Mais je voudrais souligner ici que nous pouvons, par l'intermédiaire d'un seul homme qui n'est pas contrôlé, qui ne peut être arrêté par personne, qui n'a de compte à rendre à personne, mettre le monde entier en état de pandémie sous un prétexte complètement futile. Et je me demande ce qu'il faut de plus pour qu'une telle chose se retrouve en première page du Neue Züricher Zeitung, du Tagesanzeiger et du Blick en même temps ? Que leur faut-il de plus ?

    Oui, là aussi, je double un peu la mise. Je suis sans voix parce que partout dans les bureaux de direction, il y a des gens qui sont allés à la même école que moi. Ils ont eu les mêmes professeurs, ils ont lu les mêmes livres, et ils sont maintenant incapables d'additionner un et un. Je suis indigné ! Heureusement, je peux toujours canaliser l’énergie de mon indignation dans des écrits juridiques. Ça a un effet thérapeutique.

    Et bon ça pourrait continuer indéfiniment, il est bientôt onze heures - il n'y a pas de bouton Stop. Il n'y a pas de bouton Stop pour la pandémie. Nous sommes maintenant - oui, toujours (selon le statut officiel) toujours en pandémie. Il faut y penser. Et ces possibilités de pandémie sont maintenant encore élargies, elles doivent être élargies. Et c'est littéralement la dernière chose qu'on doit attendre de l'OMS après trois ans de cette expérience, de toute cette expérience Covid, en tant qu’entité raisonnable et responsable. Or c'est tout le contraire. Cela signifie que si cela entre en vigueur, et c'est déjà le cas de facto, il faut parler d'un monopole de fait de l'OMS. De facto, et ce, contrairement aux règles de base qui ont été intégrées par l'ONU dans les principales chartes de l'ONU après la Seconde Guerre mondiale. Et l'idée initiale - on s'en est beaucoup éloigné.

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  8. Et le résultat, c'est quoi ? Le résultat est que l'organisation la plus puissante du monde - je sais qu'il y a des gens qui sont derrière, il y a le FEM et il y a d'autres organisations - mais appelons-la l'une des organisations les plus importantes et les plus puissantes du monde - peut, sans aucune difficulté, sans aucune possibilité de vérification, sans mécanisme d'arrêt, appuyer sur un simple bouton et s'autoriser à déclencher tout le jeu de cette pandémie, avec toutes les conséquences économiques que ça implique, à savoir des conséquences économiques mauvaises et terribles pour nous, mais des conséquences économiques très positives pour l'industrie pharmaceutique, pour l'industrie de l’informatique, pour mettre tout cela en route - en appuyant sur un simple bouton !
    Et cela - vous pouvez emporter cette image chez vous aujourd'hui - il faut y mettre fin. Il faut enfoncer un coin dans ce cercle vicieux, en s'appuyant sur nos Constitutions, sur le droit à l'autodétermination des personnes et sur le droit à l'autodétermination des peuples selon l'ONU. [Applaudissements]

    Car ce que nous voyons aujourd'hui - depuis des années déjà - c'est que l'Organisation mondiale de la santé s'est éloignée de sa bonne idée de base initiale - une idée de base noble et fondamentale - pour devenir une entreprise de marketing globale pour Big Pharma, Big IT, et ne se soucie absolument plus de la santé et du bien-être des gens. Et oui, je dois le dire, l'OMS est, sinon un pilote, du moins un complice de l'un des plus grands crimes contre l'humanité depuis la Seconde Guerre mondiale. C'est ainsi qu'il faut classer l'OMS. Juste pour que nous puissions voir cela à la bonne échelle.

    Et nous voyons une rupture fondamentale avec les propres bases constitutionnelles de l'OMS, où, en principe, la gestion des grippes et des pandémies reste l'exception. Cela doit devenir la règle et les droits fondamentaux ne seront plus valables - c'est ce que j'ai dit. Et ce qui devrait tous nous inquiéter, et nous allons maintenant arrêter tout le sarcasme. Cela devrait vraiment nous inquiéter et nous concerner en tant qu'êtres humains, quelle que soit notre couleur politique, quelle que soit notre condition. Il ne peut être dans l'intérêt de personne d'avoir une situation d'urgence factuelle et éternelle et des inconnus à la barre qui peuvent déterminer combien de temps cette situation d'urgence durera et avec quelles mesures nous devrons compter et finalement vivre. Ce n’est pas possible. Et vraiment, le seul point positif de ces propositions d'amendement, à mon avis, c'est qu'on peut l'expliquer très simplement à toute personne un tant soit peu intelligente, il y a donc une chance que même les parlementaires suisses puissent le comprendre.

    Je continue un peu, parce que je voudrais aussi montrer très brièvement les zones de conflit concernant le droit constitutionnel suisse, où nous l'avons vu particulièrement clairement. J'ai mentionné que le 18 juin 2020, j'ai été prié très poliment - j'ai mis un costume exprès - de me présenter devant le Palais fédéral - pardon, devant le bâtiment provisoire du Parlement à Berne - BEA, terrain EXPO - et justement devant le Parlement, j’ai écrit : S'il vous plaît, vérifiez, assumez votre obligation constitutionnelle de surveillance - c'est écrit dans l'art. 169, art. 170 de la Constitution fédérale.

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  9. Et, comme je l'ai également dit, nous n'avons cessé de le souligner en tant que comité de juristes : S'il vous plaît, procédez à cette révision, à cette révision attendue depuis longtemps. Et nous avons reçu une réponse, il y a un an à peu près. Le 21 février 2021, la Commission de gestion du Conseil national nous a écrit une lettre. Elle contenait les lignes suivantes : Tant que la pandémie de l'OMS se poursuit, il n'est pas possible de procéder à une vérification finale des mesures. C'est la preuve que sur ordre de l'OMS - en appuyant sur ce bouton - sur le bouton fake - par cette pression simple et bon marché, notre démocratie parlementaire avec les mécanismes de séparation des pouvoirs qui y sont ancrés de manière tout à fait centrale - je n'ai maintenant montré que l'exemple le plus important – notre démocratie peut être désactivée - en appuyant sur un bouton. C'est l'un des points. J'ai peut-être déjà suffisamment mentionné les autres points au début, à savoir les tribunaux.

    Jusqu'à présent, jusqu'à aujourd'hui, aucun tribunal ne s'est vraiment penché sur le fond, sur une révision efficace. Donc les tribunaux n'ont pas procédé à un examen, le Parlement n'a pas procédé à un examen, et le Conseil fédéral n'a pas non plus procédé à une adaptation de ses méthodes - des erreurs. Et cela veut dire que parce que tout vient de l'OMS, nous devons à l'avenir nous familiariser avec une disposition pénale du Code pénal. Il y est en effet écrit : Quiconque se livre à un acte visant à troubler ou à modifier de manière illicite l'ordre constitutionnel de la Confédération ou des cantons est passible d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire.

    Donc, bien sûr, ce n’est pas depuis hier matin que nous ne sommes pas impliqués dans toute cette affaire, c'est-à-dire depuis toutes ces procédures judiciaires, et nous avons des preuves qui s'accumulent à peu près aussi haut. Et je voudrais simplement mettre en garde par ce biais ceux qui, à Genève, pensent qu'ils doivent continuer à faire avancer ces développements. Car même si, formellement, il y a une immunité, le peuple est en général intelligent et le remarque - il remarque ce qui se joue ici. Et le peuple remarquera - à grande échelle - que notre ordre constitutionnel suisse est saboté - depuis Genève ! Et c'est l'un des titres pour lesquels nous pouvons clairement nous défendre en Suisse, ou que nous pouvons citer comme critère pour donner quelques indications aux représentants juridiques à Berne. J'ai délibérément choisi d'être un peu général, car il y a là un besoin d'agir et une grande possibilité d'action.

    Oui, je m'arrête là. Nous sommes arrivés à 11 heures exactement, et je voudrais conclure en exprimant ma grande inquiétude que nous en soyons arrivés là. Mais je suis convaincu que grâce à ce formidable travail d'information qui s’étend maintenant lentement grâce au travail de très, très nombreuses personnes qui, depuis deux ans, ou même trois ans, veillent inlassablement, sans relâche, à ce que les personnes de toute la Suisse comprennent ce qui se joue, et surtout grâce à cette approche ouverte, disons non camouflée, de l'OMS - ils font tout cela ouvertement - je suis confiant que, en lien aussi avec les dommages de plus en plus manifestes causés par les vaccins, la balance penchera lentement de notre côté. Il est très important que nous ne perdions pas courage et que nous assumions nos tâches de citoyens responsables, que nous nous informions, que nous informions les autres et que nous soyons conscients d'une chose : La démocratie part de la base. Les politiciens à Berne doivent faire ce dont nous, les gens de la base, avons besoin, ce que nous souhaitons et ce que nous leur demandons de faire. Et nous devons travailler dans ce sens. [Applaudissements]

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  10. Et il y a un article qui correspond à ça - l'article 6 de la Constitution fédérale - qui souligne notre propre responsabilité en tant qu'êtres humains, en tant que citoyens de ce grand pays, et qui nous dit : N'attendons pas que ceux d'en haut nous envoient des cadeaux à la maison, mais prenons notre destin en main - Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous - demandez ce que vous pouvez faire pour votre pays et pour notre peuple… C'est l'approche décisive - nous le faisons pour nous. Et nous allons continuer. Je vous remercie tous très chaleureusement pour votre longue persévérance et votre grande patience. Astrid a déjà présenté de très nombreuses et très bonnes propositions, dont certaines que j'aurais également présentées. C'est pourquoi je peux ici remercier Astrid de tout cœur - vous remercier de tout cœur pour votre attention - et je vais maintenant terminer mon exposé. Je vous souhaite à tous un bon retour chez vous !

    https://www.kla.tv/fr

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    Réponses
    1. PRIMO: Choses à ne pas confondre:
      Un virus est UNE POUSSIÈRE ! (voir dictio)
      et
      un microbe est un être VIVANT !

      SECUNDO: Une poussière n'est PAS offensive (sauf dans la cas de poussières radioactives). Elle ne peut donc occasionner de dégâts. (Nous respirons TOUTES & TOUS 200 000 virus ou microbes PAR MINUTE. Soit DES milliards depuis ce matin et, DES milliards de montagnes depuis notre naissance... et... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOOORT(E)S !! Çà alors !!

      TERTIO: Donc: s'il y a poussière (qui N'EST PAS DANS L'AIR !) elle ne peut être QUE dans la seringue létale administrée !

      QUARTO: Si cette poussière inoculée est responsable de maux voire de morts: elle ne doit être seringuée aux abrutis qui se la laisse piquer.

      RÉSUMO: C'est à VOUS de choisir. La mort ou la vie.

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  11. Vendre la peur - les «experts en épidémie» pèsent


    Par Jon Rappoport
    Blog de Jon Rappoport
    25 février 2023


    « Mais… mais… cette fois, c'est différent. Celui-ci est différent..."

    «Oui, eh bien… Nil occidental, SRAS, grippe porcine, Ebola, Zika, MERS… chaque fois qu'un de ces imposteurs se levait, ça allait être différent. Différent quantitativement et qualitativement. Et ce n'était pas le cas.

    9 mars 2020

    Allons à NBC News pour savoir ce qui se passe en Italie. 8 mars 2020, "Mises à jour du coronavirus en direct : des millions de personnes mises en quarantaine en Italie, alors que D.C. signale le premier cas". (voir aussi ceci du Wall Street Journal)

    Essayons tous d'avoir peur comme mode de vie. Que diriez-vous d'un virus non prouvé qui souffle dans le monde ? Ça pourrait être un coup de pied. Allumez simplement votre téléviseur.

    La nouvelle est une énorme épicerie fine.

    Les vendeurs de balivernes autoritaires et suprêmes coupent des tranches extra-épaisses pour le public.

    Zero Hedge: 3/8, "Un expert en maladies infectieuses à la pointe de la recherche d'un vaccin contre le coronavirus a déclaré vendredi qu'il s'agissait de la" maladie la plus effrayante "qu'il ait jamais rencontrée, et que" la guerre est une analogie appropriée "pour ce que le auquel le pays est confronté, car « 50 à 70 % de la population mondiale » pourrait être infectée. »

    "Dr. Richard Hatchett, qui a siégé au Conseil de sécurité intérieure de la Maison Blanche en 2005-2006 et a été l'un des principaux auteurs du plan de mise en œuvre de la stratégie nationale de lutte contre la grippe pandémique, et dirige actuellement la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations, a déclaré à Channel-4 au Royaume-Uni : "

    "C'est la maladie la plus effrayante que j'ai jamais rencontrée dans ma carrière, et cela inclut Ebola, cela inclut le MERS, cela inclut le SRAS. Et c'est effrayant à cause de la combinaison de l'infectiosité et d'une létalité qui semble être plusieurs fois plus élevée que la grippe ».

    Examinons ces « maladies effrayantes » que le Dr Hatchett a rencontrées. Sur une population de sept MILLIARDS de personnes…

    Ebola (2014-16) : 11 325 décès.

    SRAS (2003) : 800 décès.

    MERS (2012-2020) : 866 décès.

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  12. Ce sont des chiffres officiels. Dans mes articles sur les « épidémies » passées, j'ai présenté des preuves que des facteurs n'ayant rien à voir avec les virus ont causé la maladie et la mort ; et les tests de diagnostic des cas sont totalement inadéquats et peu fiables. (archive ici)

    Le Dr Hatchett a également travaillé sur la « pandémie » de grippe porcine (2009). J'ai largement couvert cette fraude. À l'été 2009, alors que le CDC affirmait qu'il y avait des milliers de cas en Amérique, la journaliste d'investigation vedette de CBS, Sharyl Attkisson, a découvert que le CDC avait secrètement cessé de compter les cas. Pourquoi ? Parce que le pourcentage écrasant d'échantillons prélevés sur les patients les plus probables de la grippe porcine, envoyés aux laboratoires, revenaient avec : aucun signe de grippe porcine ou de tout autre type de grippe. Environ un mois après la fin de l'enquête d'Attkisson au CBS, le CDC a estimé qu'il y avait, oui, 22 MILLIONS DE CAS de grippe porcine en Amérique.

    Un autre expert pèse actuellement sur le coronavirus : l'épidémiologiste de Harvard, Marc Lipsitch. Il a déclaré au journaliste de CBS, Jim Axelrod, qu'il prévoyait que 40 à 70 % de la population mondiale pourraient être « infectés » par le virus et que des millions de personnes mourraient.

    Cette prédiction, bien sûr, est basée sur un modèle informatique. Qu'est-ce qui pourrait mal tourner ? Nous devrions tous nous approcher du comptoir et acheter plus de balivernes. La même marque que le CDC vendait quand ils ont proclamé qu'il y avait 22 millions de cas de grippe porcine en Amérique. Chose amusante, chaque modèle d'ordinateur auquel j'ai été confronté a toujours semblé prédire PLUS. Plus de tout ce qu'il calculait. Je n'ai jamais rencontré de modèle informatique disant : "il n'y en aura que trois, au lieu de 40 millions". "Les projections de cinq années de sécheresse ont été ramenées à six jours."

    Il y avait une bizarrerie dans cette interview de CBS avec l'épidémiologiste de Harvard, Marc Lipsitch. C'est ce que le journaliste, Jim Axelrod, et Lipsitch n'ont ni demandé ni dit. Après tout, quand un expert vous dit que des millions vont mourir, vous voulez en savoir plus, n'est-ce pas ? Voici ma proposition de suite de la conversation. Cela pourrait aller de cette façon:

    Axelrod : Lorsque vous créez un modèle informatique, je suppose qu'il donne des détails, n'est-ce pas ?

    Lipsitch : Eh bien, oui. C'est pourquoi nous faisons des modèles.

    Axelrod : Dans ce cas, combien de décès - combien de millions de décès - dus au coronavirus votre modèle a-t-il prédit ?

    Lipsitch : Il y a une gamme de nombres.

    Axelrod : Je comprends. Mais vous devez comprendre que lorsque vous êtes assis ici et que vous dites à notre public que des millions de personnes vont mourir, il y a d'autres questions.

    Lipsitch : Le modèle ajuste la portée au fur et à mesure que nous recueillons plus d'informations.

    Axelrod : Combien de personnes vont mourir ? Nos téléspectateurs, je crois, savent qu'il y aurait une différence entre, disons, deux millions, dix millions et cent millions. Quand vous dites simplement des millions, cela laisse un trou…

    Et ensuite, Axelrod continuerait et découvrirait combien de millions de personnes, selon Lipsitch, vont mourir, sur la base du modèle informatique.

    En d'autres termes, obtenons le nombre ou la plage de nombres sur l'enregistrement. Laissons l'expert de Harvard aller jusqu'au bout.

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  13. Mais pour une raison quelconque, Axelrod et Lipsitch étaient satisfaits d'éviter de le faire. Peut-être s'agissait-il de "n'effrayez pas les enfants". Malheureusement, trop tard pour cela. Je préfère penser que CBS et Lipsitch ne voulaient pas soulever un rouleau de baloney très visible et spécifique et le couper en tranches épaisses devant le public. Dans un an – en parlant de millions – de nombreuses personnes pourraient republier cette interview et dire : POUVEZ-VOUS CROIRE CELA ? ET VOUS AVEZ CONFIANCE À CBS ET HARVARD ? REGARDEZ LE BALONEY.

    Le mème doux actuel, un virus d'entreprise et gouvernemental en col blanc, se propageant rapidement, est : la "distanciation sociale". Aussi connu, dans une version un peu plus dure, sous le nom d'"auto-isolement". Si vous pensez que vous pourriez éternuer au cours des quatre prochains mois, travaillez à domicile. Reste à la maison.

    Je pensais que nous étions déjà au milieu d'une pandémie de distanciation sociale, à en juger par le nombre de personnes qui marchent dans les rues et s'assoient dans les restaurants, la tête baissée, regardant leur téléphone portable et exerçant leurs pouces.

    Mais si les gens écoutent les experts, ils vont sans aucun doute rétrécir et se contracter encore plus. Ils vivront dans les cuisines et les salles de bains, fermeront le reste de leurs maisons et ne s'aventureront que pour acheter de la nourriture et du papier toilette.

    Le héros intrépide de notre temps sera le livreur de pizza Magellan, faisant le tour des quartiers vides, bravant l'air de la nuit.

    "Est-ce que vous faites des plats profonds baloney ? J'en prendrai six.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s Blog.

    https://www.lewrockwell.com/2023/02/jon-rappoport/selling-fear-the-epidemic-experts-weigh-in/

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  14. L'accord pandémique de l'OMS lui donnera le contrôle du bétail et de l'approvisionnement alimentaire aux États-Unis


    parKlark Barnes
    24 février 2023


    J'ai lu de nombreux articles sur la tentative de l'Organisation mondiale de la santé de prendre en charge la réponse américaine à la pandémie par le biais d'un accord qui lui permettra d'imposer des vaccins, des confinements et essentiellement toute mesure restrictive qu'elle souhaite au nom d'un virus. Mais personne ne parle de la façon dont l'accord donnera à l'OMS le contrôle total de l'agriculture - des animaux sauvages et domestiques - et de notre approvisionnement alimentaire.

    Le nouveau scientifique en chef de l'OMS a déclaré lundi que les gouvernements devraient investir dans des vaccins contre toutes les souches de grippe qui existent dans le règne animal en cas d'épidémie chez l'homme.

    Jeremy Farhar, qui quitte Wellcome pour rejoindre l'OMS plus tard cette année, a déclaré lors d'une conférence de presse en termes d'événement pandémique potentiel, le H5N1 est une "grande inquiétude".

    Farrar a averti que les virus de la grippe H5N1 (aviaire) sont autorisés à circuler parmi les volailles, les oiseaux sauvages et les mammifères – et c'est le moyen idéal pour «créer quelque chose de méchant».

    Important ci-dessous :

    Voici juste un petit aperçu de ce que vous trouverez dans The Lost SuperFoods :

    Le miracle alimentaire oublié de l'armée américaine et 126 superaliments que vous pouvez conserver sans réfrigération pendant des années

    Regardez la vidéo ci-dessous !

    Cela devrait attirer votre attention car l'OMS se prépare à se donner le pouvoir de déclarer des pandémies et de contrôler la réponse de ce pays à la pandémie. Comme je l'ai signalé dans un article publié plus tôt dans la journée, l'OMS a publié un projet d'accord sur la pandémie que l'administration Biden a pleinement l'intention de conclure.

    Ce dans quoi je n'ai pas plongé, c'est le langage inquiétant qui donne à l'OMS non seulement le pouvoir d'imposer des vaccins et des verrouillages obligatoires, mais lui permet d'utiliser des «virus» chez les animaux (grippe aviaire) et la menace d'une «pandémie» pour prendre le contrôle du bétail américain et de notre approvisionnement alimentaire.

    L'OMS nous fait déjà savoir qu'ils vont commencer par la volaille - et soit vous allez permettre à vos troupeaux d'être contrôlés, surveillés et vaccinés, soit ils seront tués pour que les virus qu'ils n'ont pas gagnés ne se propage pas aux gens (ou ne nuit pas à l'environnement). Ils préparent déjà le terrain pour cela, et l'autorité dont ils tireront ce pouvoir est l'accord sur la pandémie.

    Si vous lisez le projet de 32 pages de l'accord, vous verrez comment ce document donne à l'OMS le pouvoir de prendre le contrôle de l'agriculture américaine et de notre approvisionnement alimentaire :

    En signant l'accord, un pays reconnaît que "la plupart des maladies infectieuses émergentes trouvent leur origine chez les animaux, y compris les animaux sauvages et domestiques, puis se propagent aux humains". (Voir p. 6)

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  15. Dès le départ, ils posent les fondations que « la plupart des maladies infectieuses » commencent chez les animaux ; ainsi, leur capacité à réguler les animaux relève de leur compétence.
    Les Parties doivent réaffirmer l'importance d'une « approche One Health » pour détecter et prévenir les menaces sanitaires à l'interface animale et humaine, « en particulier les débordements et les mutations zoonotiques, et pour équilibrer et optimiser durablement la santé des personnes, des animaux et des écosystèmes ». .” (Voir p. 6)

    En d'autres termes, un État membre qui signe l'accord doit accepter de boire le Kool-Ade. Ils ne veulent pas que les États membres soient dissidents, donc chacun doit "réaffirmer" sa loyauté envers une initiative appelée "One Health Approach", dont le champ d'application inclut la santé des personnes, des animaux ET des écosystèmes.
    Les parties doivent reconnaître « la création de la Quadripartite » pour « mieux répondre à toute question liée à One Health ».

    Ici, vous voyez qui aura « l'autorité » sur l'alimentation et l'agriculture. Ce n'est pas le Département de l'agriculture des États-Unis, le Congrès, vos États, les propriétaires fonciers ou les agriculteurs. Ce ne sont même pas vos élus ou vos citoyens américains.

    Le projet stipule explicitement que le « quadripartite » comprend l'OMS, dont les trois principaux donateurs sont les États-Unis, la Fondation Bill et Melinda Gates et la République populaire de Chine, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture, l'Organisation mondiale pour la protection des animaux Santé et le Programme des Nations Unies pour l'environnement.
    En signant cet accord, un pays doit s'engager à intégrer un « système de surveillance One Health [. . .] pour identifier et évaluer les risques et l'émergence d'agents pathogènes et de variants à potentiel pandémique, afin de minimiser les débordements, les mutations et les risques associés aux zoonoses tropicales négligées et aux maladies à transmission vectorielle, en vue de prévenir les maladies à petite échelle épidémies chez les animaux sauvages ou domestiques de devenir une pandémie (page 24).

    En outre, chaque partie doit « favoriser des actions aux niveaux national et communautaire qui englobent des approches pangouvernementales et pansociétales pour contrôler les épidémies zoonotiques (chez les animaux sauvages et domestiques), y compris l'engagement des communautés dans la surveillance qui identifie les épidémies zoonotiques et résistance aux antimicrobiens à la source.

    Les sections qui suivent expliquent comment les parties doivent renforcer la surveillance pour « identifier et signaler les agents pathogènes » et renforcer « la prévention et le contrôle des infections dans les établissements de soins de santé, ainsi que l'assainissement et la biosécurité dans les élevages […] ».
    En d'autres termes, si vous avez vos propres animaux, l'OMS le saura et en aura le contrôle parce que . . . virus.

    Selon le site Web de l'OMS, OneHealth est une "approche intégrée et unificatrice pour équilibrer et optimiser la santé des personnes, des animaux et de l'environnement". Il est particulièrement important de prévenir, prévoir, détecter et répondre aux menaces sanitaires mondiales telles que la pandémie de COVID-19. »

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  16. OneHealth « implique les secteurs de la santé publique, vétérinaire, de la santé publique et de l'environnement » et est « particulièrement pertinent pour la sécurité alimentaire et de l'eau, la nutrition, le contrôle des zoonoses […], la gestion de la pollution et la lutte contre la résistance aux antimicrobiens […] ».

    Un groupe d'experts de haut niveau One Health a été formé en mai 2021 pour conseiller l'OMS et d'autres agences sur les questions « One Health ». Si ces "conseillers" ressemblent aux conseillers en vaccins du CDC ou de la FDA, nous pouvons nous attendre à ce qu'ils aient des liens douteux avec l'OMS, Bill Gates et les sociétés pharmaceutiques - et qu'ils soient simplement là pour faire respecter le programme de l'OMS.

    Le site Web de l'OMS déclare en outre:

    "Les domaines critiques que ce panel aborde comprennent la production et la distribution alimentaires, l'urbanisation et le développement des infrastructures, les voyages et le commerce internationaux, les activités qui entraînent la perte de biodiversité et le changement climatique, et celles qui exercent une pression accrue sur la base de ressources naturelles - qui peuvent toutes conduire à l'émergence de maladies zoonotiques.

    Voyez-vous ce que fait l'OMS ici ? Comme il est intelligent de faire glisser le langage dans un accord sur la pandémie qui oblige les parties à souscrire à cet agenda One Health - cela n'est pas du tout expliqué dans ce projet.

    L'OMS ne se contente pas de se charger des pandémies; ils utilisent la réalité que certains virus proviennent d'animaux pour prendre le contrôle du bétail et de l'approvisionnement alimentaire - et se donnent le large pouvoir de le faire au nom des virus, de la "biosécurité" et même du changement climatique.

    Étant donné que Bill Gates est le deuxième plus grand donateur de l'OMS et veut que les «nations riches» mangent du «bœuf 100 % synthétique» et des hamburgers aux toxines végétales génétiquement modifiées, cela devrait vous faire réfléchir. Cet accord pandémique est le véhicule par lequel toutes les initiatives ridicules colportées par l'élite du Forum économique mondial seront menées.

    Cet accord, s'il est conclu par les États-Unis, usurpera la souveraineté de notre nation, violera notre vie privée, restreindra notre indépendance et enfreindra notre droit de cultiver notre propre nourriture et d'élever nos propres animaux. Tout se fera au nom d'une « pandémie », et nous serons impuissants à l'arrêter.

    In this video you will see how you can get such a card!

    https://earlking56.family.blog/2023/02/24/whos-pandemic-accord-will-give-it-control-over-u-s-livestock-and-food-supply/

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  17. Lettre ouverte des « Avocats des droits fondamentaux » sur la neutralité et le conflit ukrainien


    24 février 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Les avocats des droits fondamentaux ont été actifs au cours des trois dernières années contre l'élimination de l'autodétermination et des droits fondamentaux de la population. Ils ont remporté de nombreux succès devant la Cour constitutionnelle contre les décrets souvent inconstitutionnels et illégaux du ministre de la Santé.

    Avec la lettre, ils ont dénoncé des développements inquiétants dans l'affaiblissement de l'État de droit, tels que la loi sur la sécurité en cas de crise en tant que dernier acte juridique vers un régime autoritaire, ou les dommages économiques causés à la population par l'inflation à la suite des sanctions.

    La surmortalité liée à la vaccination n'est pas étudiée et les médias sont devenus l'organe unifié de la propagande gouvernementale.

    « En raison des alternatives économiquement et médiatiquement réprimées, notre État de droit s'est transformé en une démocratie factice dans laquelle les électeurs sont amenés à croire qu'ils peuvent choisir librement leurs représentants. Les institutions et les individus s'accrochent au pouvoir par tous les moyens nécessaires, mais ne veulent pas ou ne peuvent pas apprendre.

    Cette situation se reflète également dans la position de l'État sur le conflit en Ukraine. Comme pour Corona, aucune discussion ou même une opinion controversée n'est autorisée. Les bienfaiteurs occidentaux et autrichiens ont de nouveau loué la seule vérité pour eux-mêmes. Quiconque ne condamne pas inconditionnellement la Russie et ne salue pas le régime ukrainien comme le sauveur héroïque de la liberté occidentale est un « compréhensif de Poutine », un anti-démocrate, un ennemi des valeurs occidentales et donc indigne d'être nommé à des fonctions politiques.

    Enfin, les politiciens sont invités à réfléchir sur le rôle de l'Autriche en tant que pacificateur et à maintenir la neutralité.

    Voici le texte intégral de la lettre :

    Lettre ouverte aux organes et représentants de la République d'Autriche sur la situation dans notre pays et sur la nécessaire position totalement neutre dans le conflit ukrainien

    Mesdames et Messieurs !

    En tant qu'"avocats des droits fondamentaux", nous sommes une association informelle de personnes partageant les mêmes idées qui se préoccupent du bien-être de notre État, en particulier celui de ses citoyens, en raison de la gestion des droits civils fondamentaux protégés par la Constitution ces dernières années et parce que du comportement des politiciens et des médias. L'évolution actuelle de la situation de conflit en Ukraine avec l'augmentation de la rhétorique de guerre ainsi que la situation, qui s'aggrave en raison des livraisons d'armes, est la raison pour laquelle nous vous écrivons avec cette lettre.

    Que se passe-t-il dans notre pays d'origine ? Où sont l'ancien confort, le contentement, la communauté et la libre autodétermination, toutes choses que l'Autriche représentait.

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  18. Bien sûr, en Autriche, nous ne pouvons pas empêcher ces actes géopolitiques de folie. Cependant, nous et toute l'Europe serions bien avisés de ne pas faire avancer la situation de guerre, mais d'utiliser tous les moyens pacifiques et diplomatiques pour y mettre fin. En raison de l'intensification sans cesse croissante des livraisons d'armes - les missiles à longue portée et les avions de combat sont déjà en discussion - le conflit a le potentiel réel de dégénérer en une conflagration européenne. Voulez-vous en assumer la responsabilité ?

    La position actuellement presque uniforme des politiciens occidentaux, consistant à mettre la Russie à genoux économiquement et à la vaincre militairement en Ukraine, est non seulement dangereuse, mais irréaliste et erronée. Nous ne devrions pas être attelés aux chariots des bellicistes et de ceux qui en profitent. L'Autriche, en particulier, a une longue tradition de médiation dans les conflits et de mise en scène de solutions politiques et de paix. Malheureusement, ils sont actuellement bien loin de cette tradition, au détriment de leurs propres concitoyens. Ce n'est pas pour rien que nos anciens billets étaient ornés du portrait de Bertha von Suttner. S'il disait encore "baissez les bras", cela signifie aujourd'hui "plus d'armes pour la paix" - des absurdités si dangereuses.

    Nous vous demandons donc de vous souvenir de la tradition autrichienne et, invoquant notre neutralité perpétuelle, de vous abstenir de tout soutien, y compris économique ou politique, d'une partie belligérante et de ne pas non plus le promouvoir par une diplomatie de voyage totalement inappropriée. Nous exigeons la fin de toutes les sanctions contre la Russie et une position claire au sein de l'UE, de ne pas soutenir leurs sanctions ainsi que tout soutien financier ou militaire à l'Ukraine, car cela n'est pas compatible avec notre neutralité. Nous devons nous limiter à l'aide humanitaire aux deux parties au conflit et prôner publiquement et sans relâche un cessez-le-feu et des négociations de paix. Il est nécessaire de fournir une plate-forme neutre pour les pourparlers indirects et directs indispensables et de travailler dur pour empêcher le conflit de s'aggraver.

    Par conséquent, en conclusion, notre demande :

    • Réfléchir à notre histoire en tant qu'artisans de la paix

    • Souvenez-vous de notre neutralité et agissez en conséquence

    • Nous, les Autrichiens, ne voulons pas de guerre ni de sanctions

    • Nous voulons une discussion ouverte, honnête et respectueuse les uns avec les autres

    • Nous ne voulons aucune restriction de nos droits et libertés fondamentaux, causée par une crise réelle ou perçue

    • Nous voulons l'autodétermination et une politique pour et non contre le peuple

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  19. S'ils ne le comprennent pas, tôt ou tard le baromètre politique sombrera dans l'abîme et le système de plus en plus autoritaire qui en résultera conduira à des troubles internes et à leur fin, si nous ne devons pas être anéantis par une escalade des conflits internationaux en Europe à la suite de affrontement nucléaire.

    Lettre ouverte neutralité avocats pour les droits fondamentaux

    https://tkp.at/2023/02/24/offener-brief-der-rechtsanwaelte-fuer-grundrechte-zu-neutralitaet-und-ukrainekonflikt/

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  20. Vu sur la toile ce jour.


    le 24 février 2023


    Ici, à l’heure où j’écris ce bref billet, nous sommes toujours le 23 février 2023, date de Polynésie française, à la veille du premier anniversaire de l’intervention spéciale russe dans les républiques indépendantes autoproclamées du Donbass dont le processus d’autodétermination aurait normalement du être reconnue par le secrétariat général de l’ONU conformément au statut de cette institution : Point de vue excellentissime de Pierre-Yves Rougeyron :

    Codicille 1. Selon EurasiaReview, reprenant un article du South China Morning Post, le Mossad aurait évalué le nombre de morts respectivement des armées ukrainiennes et russes (+ milices du Donbass + unités Wagner) les suivantes :

    Ukraine : Entre 140 000 et 180 000 morts, groupe russophone tel que détaillé ci-dessus : Entre 14 000 et 22 000 morts. L’information a été également reprise par la Turquie et brièvement mentionnée d’ailleurs par Jacques Baud.

    - voir clip sur site -

    Cette information souligne le fait que ni Israël (Bennett a été exclu par les ultra-nationalistes religieux israéliens pour cette raison) , ni la Turquie ni la Chine n’ont pu concrétiser le projet de négociations qu’ils préparaient pour mettre un terme au conflit ukrainien. L’échec de ce projet de traité de paix a été torpillé par les Américains avec l’assentiment aveugle des Européens. À ce propos je n’ai pas pu retrouver ces informations qui sans doute ont été censurées ou supprimées car elles sont dérangeantes. C’est la raison pour laquelle j’ai mentionné ces informations au conditionnel bien qu’elles aient été pourtant reprises, je le répète, par Jacques Baud …

    Codicille 2. La Chine et la Corée du Nord disposent de milliers de chars de fabrication soviétique parfaitement entretenus et que ces trains entiers parcourent l’est de la Russie correctement camouflés pour ne pas être repérés par les satellites espions occidentaux pour venir soutenir l’armée russe avec naturellement l’ensemble de la logistique d’entretien et de fourniture de munitions. Ces chars sont directement utilisables malgré leur conception ancienne. À propos du Transsibérien cette ligne ferroviaire est en cours de doublement sur toute sa longueur dans le cadre du projet «Belt and Road » chinois avec des diverticules vers l’Iran et la Turquie … le monde change. Et en bonus cette vidéo qui confirme mes informations :

    https://www.youtube.com/watch?v=Q1MtY0HwTK8&ab_channel=LigneDroite%E2%80%A2LamatinaledeRadioCourtoisie(Bernard Wicht

    reprend les chiffres du Mossad et mentionne jusqu’à 350 000 morts et blessés au sein de l’armée ukrainienne depuis le début des évènements …).

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/02/24/vu-sur-la-toile-ce-jour/

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  21. Comment les arsenaux nucléaires américains et russes ont évolué


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 23 FÉVRIER 2023 - 19:42


    Plus de 75 ans se sont écoulés depuis le bombardement atomique d'Hiroshima et plus de 12 000 ogives nucléaires sont encore dispersées à travers le monde, des silos du Montana aux coins isolés des bases aériennes européennes et même aux profondeurs de l'océan où les sous-marins lance-missiles balistiques se cachent comme un moyen de dissuasion presque impossible à détecter.

    Hiroshima a été le premier de deux bombardements atomiques en 1945 et il impliquait un appareil de 15 kilotonnes tandis que l'arme utilisée dans l'attaque de Nagasaki trois jours plus tard avait un rendement de 22 kilotonnes. Les ogives nucléaires modernes sont beaucoup plus puissantes, le missile américain Trident produisant une ogive de 455 kilotonnes tandis que le SS ICBM russe a un rendement de 800 kilotonnes.

    Comme le rapporte Martin Armstrong de Statista, ensemble, les États-Unis et la Russie possèdent environ 90 % des armes nucléaires mondiales avec un stock de plus de 8 000 armes, selon la Fédération des scientifiques américains. Ce chiffre s'élève à plus de 11 000 en comptant les ogives retirées mais encore intactes dans la file d'attente pour le démantèlement.

    Même si ces chiffres sont terriblement élevés, ils représentent toujours une énorme réduction du nombre d'ogives existantes au plus fort de la guerre froide.

    Cette infographie montre comment les stocks ont évolué, notamment lorsque divers traités de limitation des armements sont pris en compte.

    - voir graph sur site -

    Infographie : comment les arsenaux nucléaires américains et russes ont évolué | Statistique
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    Le nombre d'ogives a considérablement diminué à la suite du Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire signé par les États-Unis et l'URSS en 1987, à une époque où les deux pays possédaient plus de 60 000 armes nucléaires. La tendance au désarmement s'est poursuivie après la chute du mur de Berlin et s'est accélérée avec l'effondrement de l'Union soviétique. Le nouveau traité START, entré en vigueur en 2011 pour limiter le nombre d'ogives déployées par chaque pays à partir de 2018, a contribué à maintenir des niveaux relativement stables ces dernières années.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/how-us-and-russian-nuclear-arsenals-have-evolved

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  22. AUCUN TRAITEMENT AUTORISÉ: l'hôpital Sarasota Memorial punit un médecin pour avoir mentionné que l'ivermectine a guéri ses patients de covid


    Vendredi 24 février 2023
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Pour avoir osé témoigner en faveur de l'ivermectine, un médicament approuvé par la FDA qui figure parmi les médicaments les plus sûrs et les plus efficaces au monde, le Dr John Littell a été expulsé d'une réunion du conseil d'administration de l'hôpital Sarasota Memorial cette semaine.

    Le médecin de famille et ancien soldat de l'armée américaine était en train d'expliquer comment l'ivermectine avait aidé nombre de ses patients à surmonter le coronavirus de Wuhan (Covid-19) lorsque les membres du conseil d'administration déclenchés ont paniqué et lui ont dit de quitter la pièce immédiatement.

    Tout se passait bien et les personnes présentes, ainsi que le conseil d'administration, écoutaient avec intérêt jusqu'au moment précis où Littell a évoqué l'ivermectine en relation avec sa routine de soins aux patients. L'enfer s'est déchaîné alors que les membres du conseil d'administration atteints du syndrome de dérangement de l'ivermectine (IDS) ont subi une crise et lui ont ordonné de fuir leur présence.

    "J'ai des dizaines de cas que je peux partager avec vous", a tenté de déclarer Littell alors qu'il était interrompu par un autre membre du conseil d'administration en colère - regardez la vidéo ci-dessous.

    « Mais laissez-moi juste vous dire ceci. Si vous voulez être le meilleur, soyez le premier à admettre vos actes répréhensibles. Pensez au nombre de vies qui auraient pu être épargnées. Et j'ai été sanctionné pour avoir donné de l'ivermectine.

    (Connexe: Découvrez cette étude montrant que l'ivermectine réduit le risque de décès par covid de 92 pour cent.)

    Le Sarasota Memorial Hospital est une organisation fasciste qui déteste la science
    On s'attendait apparemment à ce que Littell ne parle que du soi-disant "vaccin", qui est le seul "remède" que le Sarasota Memorial Hospital accepte comme valable pour le traitement de la grippe Fauci.

    Malgré le fait que de nombreux autres employés de l'hôpital sont d'accord avec Littell, ayant eux-mêmes vu de première main les pouvoirs de l'ivermectine, il a été expulsé de la réunion et expulsé de force par un policier de la réunion.

    Personne qui est d'accord avec Littell n'est assez courageux pour dire quoi que ce soit de positif sur l'ivermectine "par crainte de représailles", dit-il. Beaucoup d'entre eux, cependant, appelaient régulièrement Littell tout au long de l'escroquerie pour lui demander l'accès à l'ivermectine.

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  23. "Dans tout l'État, j'ai reçu des appels de médecins, d'avocats, de maires et d'enseignants, et je les ai juste traités avec des trucs dont je savais qu'ils fonctionnaient et les gardaient hors de l'hôpital", a-t-il déclaré - regardez la vidéo de suivi ci-dessous de Littell parlant son esprit en dehors de la réunion du conseil :

    MONTRE! J'ai interviewé le Dr Littell après avoir été expulsé de la réunion à l'hôpital Sarasota Memorial où les protocoles Covid étaient en cours d'examen

    Partie 1 sur 2 pic.twitter.com/nGsW0Q37I7

    -Chris Nelson ?? ? (@ReOpenChris) 22 février 2023

    On dit que Littell a violé une sorte de "protocole", qui était l'excuse donnée pour son expulsion.

    "Je dois avouer: je n'ai jamais assisté à une réunion du conseil d'administration d'un hôpital", a expliqué Littell plus tard dans la journée, ajoutant qu'il était toujours sous le choc du fait qu'il avait été escorté hors de la propriété par un policier "comme si je Je suis une sorte de criminel et tout ce que j'ai fait, c'est dire ce que je pense.

    Cette semaine également, une nouvelle méta-analyse de l'ivermectine a révélé que le médicament produit des résultats "extrêmement positifs" lorsqu'il est administré comme protocole de traitement pour le covid. Cela va à l'encontre des avertissements de la Food and Drug Administration (FDA) selon lesquels l'ivermectine "devrait être évitée".

    "Les médecins connaissent l'ivermectine, mais ils ont des maisons chères dans de beaux quartiers et ils doivent payer pour qu'ils restent silencieux", a écrit quelqu'un sur Twitter expliquant pourquoi l'industrie médicale américaine est inexplicablement hostile à l'ivermectine.

    "Les médecins ont également prêté serment de" ne pas nuire "", a répondu un autre. « Le remdesivir a fait beaucoup de mal ! Et ils devaient le savoir.

    « Je ne fais plus confiance à aucun médecin généraliste. Et il n'y a plus de "médecin de famille". Ils se moquent bien de la santé de votre famille.

    La dernière couverture médiatique sur le fascisme dans le milieu médical est disponible sur Fascism.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Infowars.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-02-24-sarasota-memorial-hospital-punishes-doctor-mentioning-ivermectin.html

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  24. Les mandats masqués se sont maintenant révélés être une perte de temps totale et une fraude scientifique indésirable, mais les politiciens ont-ils appris de l'erreur de leurs manières ?


    Vendredi 24 février 2023
    par : Ethan Huff


    (Natural News) À la fin du mois dernier, l'analyse la plus rigoureuse et la plus complète des études scientifiques portant sur l'efficacité (ou l'absence d'efficacité) des masques faciaux contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) a été publiée par un épidémiologiste d'Oxford qui a catégoriquement admis que le plastique -les voiles de bouche et de nez chargés sont sans aucun doute inutiles.

    "Il n'y a tout simplement aucune preuve qu'ils fassent une différence", a admis Tom Jefferson, l'auteur principal de la revue, à la journaliste Maryanne Demasi.

    Même les masques N-95, dont les experts nous ont dit qu'ils sont "supérieurs" aux masques en tissu bleu chinois bon marché qui ont été distribués comme des bonbons - et qui flottent maintenant, utilisés et contaminés dans les océans du monde - sont une blague sans valeur.

    "Cela ne fait aucune différence - rien de tout cela", a déclaré Jefferson.

    Quant aux «études» que le gouvernement a présentées comme «preuves» que les masques fonctionnent, Jefferson a déclaré à Demasi qu'elles sont toutes corrompues et n'auraient jamais dû être acceptées comme «science solide».

    "Ils ont été convaincus par des études non randomisées, des études observationnelles erronées", a-t-il expliqué.

    Qu'en est-il de l'utilisation de masques en conjonction avec d'autres directives proposées comme le lavage excessif des mains, la « distanciation sociale » et les systèmes de filtration de l'air ? Ceux-ci aussi sont inutiles, selon la science.

    "Il n'y a aucune preuve que beaucoup de ces choses fassent une différence", a révélé Jefferson.

    (En relation: Le CDC corrompu savait depuis le début que les masques étaient inutiles, n'offrant aucune protection réelle contre le covid, mais les a quand même poussés.)

    Porter un masque pour éviter le covid est juste stupide
    Jefferson et 11 de ses collègues ont rassemblé le travail pour Cochrane, une organisation britannique à but non lucratif estimée qui est largement considérée comme la référence en matière d'examen des données sur les soins de santé.

    Pour leurs recherches, Jefferson et al. a examiné 78 essais contrôlés randomisés, dont six ont été publiés pendant l'escroquerie covid. Au total, 610 872 participants de plusieurs pays ont été inclus dans les essais.

    En un mot, l'examen a déterminé que les États avec des mandats de masque ne s'en sortaient pas mieux que les États sans eux en termes de cas de covid, d'hospitalisations et de décès. Les masques ne sont qu'un symbole politique, en d'autres termes, pas une intervention médicale viable.

    Quel que soit le type de masque qu'une personne utilise, les effets sont les mêmes : ils ne font que rendre la respiration plus difficile, sans parler des toxines présentes dans leur matériel.

    "Les gens peuvent avoir de bonnes raisons personnelles de porter des masques, et ils peuvent avoir la discipline de les porter systématiquement", rapporte DNYUZ. "Leurs choix sont les leurs."

    «Mais en ce qui concerne les avantages du masquage au niveau de la population, le verdict est tombé: les mandats de masque ont été un échec. Ces sceptiques qui ont été furieusement moqués comme des excentriques et parfois censurés comme des « désinformateurs » pour des mandats opposés avaient raison. Les experts et les experts du courant dominant qui soutenaient les mandats avaient tort. Dans un monde meilleur, il appartiendrait à ce dernier groupe de reconnaître leur erreur, ainsi que ses coûts physiques, psychologiques, pédagogiques et politiques considérables.

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  25. Malheureusement pour la société moderne, il n'est plus considéré comme honorable pour les fonctionnaires qui échouent dans leur travail de démissionner. Si tel était toujours le cas, il y aurait à ce stade de nombreux postes vacants dans la fonction publique, y compris et en particulier aux Centers for Disease Control and Prevention (CDC).

    La chef du CDC, Rochelle Walensky, est l'un de ces fonctionnaires en disgrâce qui a menti encore et encore sur les protocoles covid comme le masquage et la «vaccination», affirmant que la «science» soutient ces choses. Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité.

    "La dernière justification des masques est que, même s'ils se sont avérés inefficaces, ils semblaient être un moyen relativement peu coûteux et intuitivement efficace de faire quelque chose contre le virus dans les premiers jours de la pandémie", déclare DNYUZ.

    «Mais« faire quelque chose »n'est pas de la science, et cela n'aurait pas dû être une politique publique. Et les gens qui ont eu le courage de le dire méritaient d'être écoutés, pas traités avec mépris. Ils n'obtiendront peut-être jamais les excuses qu'ils méritent, mais la justification devrait suffire.

    Plus d'informations sur les masques "vaccins" peuvent être trouvées sur FakeScience.news.

    Les sources de cet article incluent :

    DNYUZ.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-02-24-mask-mandates-accomplished-nothing-good-politicians-error.html

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    1. Des adultes masqués ont obligé leurs enfants à être aussi cons qu'eux !

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  26. Un projet de loi au Brésil menace d'emprisonner des personnes pour avoir refusé la «vaccination» covid obligatoire


    Vendredi 24 février 2023
    par : Ethan Huff


    (Natural News) La panique et la paranoïa à propos du coronavirus de Wuhan (Covid-19) sont apparemment toujours d'actualité dans le pays sud-américain du Brésil, où les politiciens ont proposé plusieurs nouveaux projets de loi visant à infliger des amendes et à emprisonner les non vaccinés.

    La proposition de loi PL 5555 2020 ferait en sorte que les citoyens brésiliens pourraient être emprisonnés jusqu'à huit ans pour avoir refusé de retrousser leur manche pour une injection de thérapie génique expérimentale. La même peine de 2 à 8 ans de prison s'appliquerait également à ceux qui sont surpris à répandre de "fausses nouvelles" sur les piqûres.

    "C'est complètement fou. C'est un cauchemar », a déclaré la journaliste Karina Michelin lors d'une récente table ronde de Children's Health Defence (CHD) sur les projets de loi - regardez la vidéo ci-dessous :

    "C'est un cauchemar." En vertu du projet de loi PL 5555 2020, les citoyens brésiliens pourraient être emprisonnés pendant 2 à 8 ans pour avoir refusé la vaccination obligatoire.

    La même peine est encourue par toute personne qui diffuse de « fausses nouvelles » concernant les vaccins ou leur efficacité. ??? pic.twitter.com/VvJuUnaM3E
    – Défense de la santé des enfants (@ChildrensHD) 18 février 2023

    (En relation: L'année dernière, les politiciens brésiliens ont mis en danger l'approvisionnement alimentaire de leur pays en imposant des sanctions contre la Russie, en bloquant les importations d'engrais indispensables.)

    Luiz Inácio Lula da Silva est la version brésilienne de Joe Biden – fausse élection et tout
    Les projets de loi arrivent alors que le socialiste Luiz Inácio Lula da Silva, plus connu sous le nom de «Lula», a récemment été installé à la présidence du Brésil. Au cas où vous ne le connaîtriez pas, Lula est l'équivalent brésilien du faux président Joe Biden, ayant été installé de la même manière corrompue et frauduleuse.

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  27. Lula s'est donné pour priorité de forcer les Brésiliens à prendre des coups covid. Il a récemment révisé la réglementation sociale du pays pour obliger les parents à faire injecter leurs enfants afin de continuer à recevoir une aide financière du gouvernement.

    Les politiques brésiliennes "pas de piqûre, pas de liberté" représentent tout ce dont les "théoriciens du complot" nous ont avertis concernant ce qui se passerait si le gouvernement avait le pouvoir d'imposer des "médicaments" aux gens comme condition de travail et de vie.

    "C'est comme si les juifs descendaient du train à Treblinka ou à Auschwitz", a écrit un commentateur à propos des parallèles frappants entre ce que font les fascistes convoités aujourd'hui et ce que les nazis ont fait pendant la Seconde Guerre mondiale.

    "Et on leur a dit : 'Ne vous inquiétez pas, enlevez simplement vos vêtements, laissez-nous vous couper les cheveux, et ensuite vous pourrez prendre une douche vraiment agréable et chaude...'"

    Un autre a dit à peu près la même chose, comparant les paroles de Lula à un gardien de prison d'un camp de concentration ou même à Adolf Hitler lui-même :

    "Si votre peuple ne se présente pas de son plein gré à nos chambres de désintégration..."

    Concernant le fiasco des engrais de l'année dernière, un autre commentateur a suggéré que la décision du Brésil d'accepter les pénuries d'engrais de la Russie est "une décision stratégique visant à étouffer la production de maïs pour les exportations d'aliments pour bétail vers les États-Unis".

    "Les États-Unis ont toujours utilisé le Brésil comme un partenariat commercial provisoire pour combler les trous dans nos réserves de céréales", a expliqué cette personne. "Le Brésil produit deux récoltes gagnantes de maïs par an dans tout son beau pays et les négociants en matières premières peuvent généralement l'acheter moins cher en cas de besoin pendant notre saison de plantation dans l'hémisphère nord."

    "Le Brésil ne cultivant pas de maïs, les États-Unis sont encore plus menacés sur le plan calorique. Les Brésiliens réduiront simplement leur consommation de bœuf, exporteront l'excédent de bœuf vers la Russie et la Chine et feront paître leurs troupeaux jusqu'à ce que le conflit mondial soit réglé. Et les Brésiliens mangeront très bien et auront toujours un bon café frais pour démarrer.

    "Pendant ce temps, ici, nous continuerons à brûler du maïs OGM pour la production d'éthanol, à exporter notre nourriture vers nos ennemis, à ne pas nourrir nos troupeaux, à ne pas terminer nos pipelines, à ne pas soutenir nos petits agriculteurs et transformateurs locaux, et à manger des ordures en boîte tout en regardant le sport et en jouant. Candy Crush."

    Le fascisme Covid est toujours bien vivant dans certaines parties du monde. Pour vous tenir au courant des dernières nouvelles, visitez Fascism.news.

    Les sources de cet article incluent :

    RAIRFoundation.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-02-24-brazil-proposes-imprisonment-people-refusing-covid-vaccination.html

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  28. Les dommages cardiaques après la vaccination corona sont plus fréquents que prévu - y compris les troubles cognitifs


    25 février 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Des travaux récemment publiés à Taïwan et en Thaïlande suggèrent que le dysfonctionnement cardiaque après la vaccination par l'ARNm est beaucoup plus courant qu'on ne le pensait auparavant. Elle peut affecter un pourcentage élevé de personnes vaccinées. Un nombre important de personnes peuvent souffrir d'un certain degré de lésions cardiaques. Cela pourrait-il affecter les capacités cognitives dans une mesure mesurable ?

    Tout d'abord, l'étude de Taiwan intitulée Modifications des paramètres ECG après le vaccin BNT162b2 chez les lycéens .

    Le but de cette étude était de déterminer l'évolution des paramètres ECG et l'efficacité du dépistage ECG des événements indésirables cardiaques après la deuxième dose du vaccin BNT162b2 (Pfizer) chez les jeunes. A cet effet , une étude de dépistage ECG a été menée en décembre 2021 lors de la deuxième dose du vaccin BNT162b2 . 4928 étudiants ont été inclus dans l'étude , 4576 hommes et 352 femmes.

    « Au total, 763 étudiants (17,1 %) ont présenté au moins un symptôme cardiaque, principalement des douleurs thoraciques et des palpitations, après la deuxième dose de vaccin. Des ECG anormaux ont été obtenus chez 51 (1,0%) des étudiants, avec un patient diagnostiqué avec une myocardite légère et quatre autres diagnostiqués avec des arythmies cardiaques importantes.

    Allez à l'étude thaïlandaise intitulée Effets cardiovasculaires du vaccin BNT162b2 mRNA COVID-19 chez les adolescents .

    « Cette étude se concentre sur les effets cardiovasculaires, en particulier les événements de myocardite et de péricardite, suite à l'injection du vaccin BNT162b2 ARNm COVID-19 chez les adolescents thaïlandais. Cette étude de cohorte prospective a recruté des étudiants de deux écoles, âgés de 13 à 18 ans, qui avaient reçu la deuxième dose de vaccin BNT162b2 ARNm COVID-19.

    Les données de 301 participants n ont été évaluées .

    Les effets cardiovasculaires les plus courants étaient la tachycardie (7,64 %), l'essoufflement (6,64 %), les palpitations (4,32 %), les douleurs thoraciques (4,32 %) et l'hypertension (3,99 %). Sept participants (2,33 %) avaient au moins un biomarqueur cardiaque élevé ou un résultat de test de laboratoire positif. Des effets cardiovasculaires allant de la tachycardie aux palpitations en passant par la myopéricardite ont été notés chez 29,24 % des patients. Un patient a été diagnostiqué avec une myopéricardite après la vaccination. Une péricardite a été suspectée chez deux patients et une myocardite subclinique chez quatre patients.

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  29. Les cardiologues expérimentés supposent que des lésions cardiaques ont été causées chez environ 30 % des personnes vaccinées. Celles-ci se manifestent peu de temps après la vaccination ou se produisent au cours des mois suivants, mais aussi sur des périodes plus longues pouvant aller jusqu'à 5 ans ou plus.

    Les lésions cardiaques ont des effets et des conséquences à long terme assez différents. On pourrait également se demander si les vaccins à ARNm affectent les capacités cognitives. En fait, le déclin cognitif est un effet secondaire bien connu des maladies cardiaques. Un article de 2016 publié dans la revue Cardiac Failure Review, « Cognitive Decline in Heart Failure: More Attention is Needed », rapporte :

    " L'insuffisance cardiaque affecte négativement plusieurs domaines cognitifs, notamment l'attention, la mémoire d'apprentissage et de travail, la fonction exécutive et la vitesse de traitement de l'information."

    Les dommages causés par les préparations d'ARNm sont vraiment incalculables. Cependant, les gens parlent encore de "sûr et efficace".

    https://tkp.at/2023/02/25/herzschaeden-nach-corona-impfung-haeufiger-als-angenommen-kognitive-beeintraechtigung-inklusive/

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  30. La synchronisation rend libre : l'Université de Bonn licencie Ulrike Guérot


    24 février 2023
    par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander-Faes


    Quelque chose s'est encore produit. Le 31 mars 2023, l'Université de Bonn a démissionné de sa « querelleuse » – et honnête – professeure Ulrike Guérot. La raison : "plagiat" présumé dans des publications non scientifiques. Guérot est devenue connue d'un public plus large principalement pour sa position de principe contre les mesures Corona et ses positions sur le conflit ukrainien. Cela lui a valu beaucoup d'appâts dans les médias et en ligne, mais elle ne s'est pas laissée abattre. La semaine dernière c'était Jürgen Habermas, cette semaine Ulrike Guérot, à qui la suite ?

    Ce matin, j'ai ouvert mon profil LinkedIn - et j'ai été choqué :

    Bien pire étaient les nombreux commentaires manifestement malveillants sur Twitter :

    Bien sûr, toute personne qui s'exprime en public doit avoir la peau épaisse en conséquence. Cependant, ce qui frappe particulièrement dans « l'Affaire Guérot », ce sont les déclarations d'acteurs individuels qui – à première vue – ne correspondent pas à la vérité.

    L'Affaire Guérot, une tempête dans une tasse de thé ? Pas du tout.
    Ulrike Guérot a été nommée professeur de politique européenne à la Rheinische Friedrich-Wilhelms-Universität Bonn en 2021. Avant cela, sa carrière a montré un certain nombre de postes, notamment à l'Université du Danube de Krems (2016-21) et dans les universités de Francfort-sur-le-Main et de l'Oder, la Bucerius Law School à Hambourg et la Paul N. Nitze School for Études internationales avancées (SAIS) à Washington, DC

    Bien sûr, toute personne ayant la moindre connaissance de la pratique universitaire sait que de telles nominations ne sont que la proverbiale partie émergée de l'iceberg.

    Ces procédures commencent généralement des années à l'avance par des rapports structurels, des débats internes sur l'orientation et l'attribution de la chaire entre le comité des nominations, l'institut concerné, la faculté et la direction de l'université. « Ce n'est qu'après que toutes ces choses ont été discutées en profondeur que la partie publique (universitaire) du processus commence à annoncer le poste.

    L'essentiel est que cela signifie avant tout : les nominations aux chaises ne tombent pas du ciel. Au contraire : ceux-ci sont préparés longtemps à l'avance - et si le dicton "beaucoup de cuisiniers gâchent le bouillon" peut s'appliquer, c'est très probablement dans les consultations, les discussions souvent non officielles et les considérations "supplémentaires" qui accompagnent inévitablement chaque procédure de nomination.

    En bref : la nomination d'Ulrike Guérot en 2021 s'est certes accompagnée de considérations similaires et, tant paraît certaine, ne peut en aucun cas être qualifiée de quelque chose de "spécial" ou même "d'extraordinaire".

    Au contraire : la commission des nominations, qui a placé Guérot en tête de ses propositions en 2020/21, était bien consciente des positions que son nouveau collègue avait publiquement représentées.

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  31. Bien sûr, personne ne peut s'attendre à ce que les collègues qui viennent d'être nommés se comportent à l'avenir. Mais que les universitaires - après avoir réussi le gant qu'on appelle communément "carrière scientifique" - soient enfin conscients de leur responsabilité sociale dans une position supposée "sûre", cela peut "arriver".

    « Historia docet » : ce que l'histoire nous enseigne

    À ce stade, chers lecteurs de ces lignes, deux essais vous sont particulièrement chers : d'une part, le texte de Noam Chomsky sur précisément cette responsabilité, intitulé « La responsabilité des intellectuels ») paru dans la New York Review of Books .

    En revanche, l'essai d'Harold Rosenbaum « A Herd of Independent Minds », paru dans le magazine américain Commentary dès l'automne 1948 et dans lequel le critique culturel critiquait avec insistance le conformisme étouffant de la scène new-yorkaise d'après-guerre (je peux accéder facilement à ce texte depuis mon appareil, si vous trouvez le texte derrière un paywall, reportez-vous à ma sous-pile ).

    Pourquoi est-ce que j'y fais référence ?

    Car la plupart des collègues "nommés" sont plus susceptibles d'emprunter la deuxième voie que la voie incomparablement plus dure qu'empruntent Chomsky et maintenant Guérot.

    Pourquoi devriez-vous, cher lecteur, vous soucier de ces universitaires et de leurs problèmes ?

    Cela peut vous paraître surprenant à première vue, mais soyez assuré d'une chose : si les universités qui ont été mises au pas ne s'opposent plus à l'arbitraire gouvernemental, vos droits et libertés seront immédiatement restreints ou abolis, mais alors vous ne trouvera plus personne sous « les étudiants », qui souhaiterait vous soutenir.

    Notes sur l'(in)culture académique
    De nombreux "médias de premier plan et de qualité" en ont déjà parlé, ainsi que Guérot lui-même posté sur LinkedIn et Twitter. Outre les journaux rhénans, cela comprend également la Neue Zürcher Zeitung , mais aussi, entre autres, la Weltwoche et Tichys Insight . Et maintenant aussi TKP.

    De ces représentations accessibles au public, il ressort que Guérot est non seulement traité ici « injustement », mais aussi qu'un certain nombre d'autres aspects problématiques sont pour ainsi dire regroupés.

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  32. D'une part, il y a l'accusation de l'Université de Bonn selon laquelle le motif allégué du licenciement a eu lieu "pendant leur période de service". C'est le cas, d'une part, du livre « Pourquoi l'Europe doit devenir une république », paru en 2016 et qui paraît clairement environ six ans avant que Guérot ne prenne ses fonctions.

    Bien sûr, Ulrike Guérot a été embauchée en partie à cause de son profil public, puisque de nos jours tout professeur devrait avoir un profil médiatique complet en plus de la recherche et de l'enseignement. Dans le cas des femmes, il y a aussi des considérations supplémentaires (informelles) sur leur vie familiale, et dans le cas des hommes, l'hypothèse généralement implicite qu'en cas de doute, le partenaire attend « le fusil au pied » pour ainsi dire. pour les "missions supplémentaires". Pour être honnête, attendre une indignation correspondante à propos de ces aspects de la part du "juste milieu" ressemble à un drame de Beckett avec un résultat connu...

    Revenons à « l'Affaire Guérot », car la situation y est encore plus abstruse : Guérot aurait plagié l'essai « Pourquoi l'Europe doit devenir une république », publié en 2016 sous une pression de temps considérable. Soit le comité des nominations ne s'en est pas rendu compte, soit il a été délibérément ignoré « pour d'autres raisons », par exemple en raison de la visibilité médiatique considérablement accrue de l'Université de Bonn grâce à la nomination de Guérot.

    C'est peut-être bien beau, mais c'est en tout cas une indication que le comité des nominations n'y a pas regardé de très près ou l'a consciemment accepté. Personne n'a l'air bien ici, mais ce regard tordu s'applique moins à Ulrike Guérot.

    D'autre part, l'Université de Bonn fait référence à un certain nombre d'articles dans des "médias de premier plan et de qualité" dans la justification de la résiliation.

    Tout universitaire qui publie en dehors de sa propre situation professionnelle est soudainement confronté à un grand nombre d'objections de nature éditoriale ou autre qui, pour le dire crûment, n'ont que peu ou rien à voir avec la "bonne pratique scientifique".

    Ulrike Guérot peut facilement vous le confirmer, tout comme moi : les délais, les directives éditoriales et les "contraintes pratiques" (par exemple, pas de fonds pour la relecture ou les traductions correctes) font "partie du jeu".

    Le "juste milieu" comme récidiviste

    Mais qu'est-ce que la « Chute de l'homme » d'Ulrike Guérot ? Soit dit en passant, Stefan Millius propose l'explication la plus précise à mon avis dans Weltwoche :

    L'allégation de plagiat est un faux prétexte. Ce qui est ainsi étiqueté, ce sont des oublis mineurs comme des citations manquantes. Le professeur n'a rien copié systématiquement. Elle a toujours énuméré ses sources dans le texte.

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  33. Le Dr Mototaka Nakamura est un autre climatologue aux références irréprochables qui a rompu les rangs . Il affirme : « Nos modèles sont des moqueries Mickey mouse du monde réel ». Le Dr Nakamura a obtenu un doctorat en sciences du MIT et s'est spécialisé pendant près de 25 ans dans les conditions météorologiques anormales et les changements climatiques dans des institutions prestigieuses telles que le MIT, le Georgia Institute of Technology, la NASA, le Jet Propulsion Laboratory, le California Institute of Technology, le JAMSTEC et l'Université Duke. Le Dr Nakamura explique pourquoi la base de données qui sous-tend la science du réchauffement climatique n'est "pas fiable" et ne peut pas être invoquée et que : "Les températures moyennes mondiales avant 1980 sont basées sur des données non fiables".

    Le professeur John R. Christy, directeur des sciences de l'atmosphère et de la Terre à l'Université de l'Alabama, a fourni une analyse détaillée des données climatiques, voir la note [i]. Je résume ci-dessous les principaux points de son analyse :

    "La théorie établie du réchauffement climatique déforme considérablement l'impact des gaz à effet de serre supplémentaires ; le temps qui affecte le plus les gens ne devient pas plus extrême ou plus dangereux ; les températures étaient plus élevées dans les années 1930 qu'aujourd'hui; entre 1895 et 2015, 14 des 15 premières années avec les records de chaleur les plus élevés se sont produites avant 1960 ; les températures que nous connaissons actuellement en 2021 étaient les mêmes qu'il y a 120 ans…

    le nombre de tornades majeures entre 1954 et 1986 était en moyenne de 56/an, mais entre 1987 et 2020, la moyenne n'était que de 34/an ; entre 1895 et 2015, il n'y a eu en moyenne aucun changement dans le nombre de jours très humides par mois, et aucun changement dans le nombre de jours très secs par mois, et les 20 mois les plus secs étaient avant 1988. Entre 1950 et 2019, le pourcentage de la superficie des terres connaissant des sécheresses n'a pas augmenté à l'échelle mondiale – la tendance est stable ; l'incidence des incendies de forêt en Amérique du Nord entre 1600 et 2000 a considérablement diminué. Le niveau de la mer a augmenté de 12,5 cm par décennie pendant 8 000 ans, puis il s'est stabilisé, maintenant il n'augmente que de 2,5 cm par décennie… s'inquiéter d'une élévation du niveau de la mer de 30 cm en une décennie est ridicule, dans un ouragan, la côte est des États-Unis obtient un Élévation de 20 pieds en 6 heures, donc une élévation de 30 cm sera facilement gérée !

    Dans une conférence intitulée La crise climatique imaginaire – comment pouvons-nous changer le message ? Disponible sur le site Internet du Irish Climate Science Forum, voir Endnote [ii]. Richard L Lindzen , professeur émérite de sciences atmosphériques au MIT résume la bataille contre l'hystérie climatique comme suit :

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  34. Ces scénarios extrêmement improbables dominent la littérature et le rapport du IPCC ; par conséquent, le rapport du IPCC est biaisé. En bout de ligne, il y a une énorme confusion. Richard Moss du IPCC a averti que le RCP 8.5 ne devait pas être utilisé comme référence pour les autres RCP, mais 5 800 articles scientifiques dans le monde en abusent comme ça… L'ensemble du processus est sérieusement défectueux… Rien de proche du monde réel n'est représenté par l'IPCC scénarios. La science du climat a un énorme problème ! Le IPCC utilise actuellement le RCP 8.5 comme scénario « business as usual », mais le RCP 8.5 est un pays imaginaire sauvage et n'est pas du tout lié à la réalité actuelle… la science du climat connaît une crise d'intégrité scientifique. – Dr Roger Pielke Jr, Université du Colorado,

    8. La financiarisation de l'ensemble de l'économie mondiale repose désormais sur une stratégie mortelle d'émissions de gaz à effet de serre « nette zéro ».

    Le plan de l'Agenda 2030 des Nations Unies et l'objectif de l'Accord de Paris de réduire les émissions de gaz carbonique de 7 % par an jusqu'en 2030 est en effet un plan qui désactiverait les mécanismes actuels de ressources de l'économie industrielle pour la nourriture, l'énergie et les biens qui permettent la vie humaine et survie. Ceci est mis en œuvre avant que l'humanité ne se soit éloignée de l'économie industrielle transnationale polluante et défectueuse vers des économies locales/régionales autosuffisantes.

    Zéro émission de carbone, par essence, signifie débrancher les systèmes actuels d'agriculture industrielle, de transport, de production de biens, de production d'électricité, etc., et plusieurs millions de personnes qui dépendent de ces systèmes dans le monde pourraient être confrontées à un manque d'électricité, de nourriture, marchandises, etc. Cela pourrait avoir des conséquences terribles, en particulier dans les lieux et les pays qui sont actuellement incapables de produire beaucoup de nourriture.

    Il convient de noter que pendant des décennies, ces mêmes pouvoirs politiques, gouvernementaux et commerciaux ont promu de manière effrénée la mondialisation économique des entreprises et la dépendance aux combustibles fossiles. Tout en entravant activement le financement, la création ou le soutien gouvernemental de communautés/régions locales plus autosuffisantes et de coopératives locales. La majeure partie de la population mondiale est ainsi devenue dépendante du système mondialisé dépendant des combustibles fossiles.

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  35. Résumé

    En résumé, la réduction du gaz carbonique est l'objectif principal de l'hystérie du changement climatique encouragée par l'ONU qui sévit parmi la population mondiale. Cependant, la crise climatique proclamée n'existe que dans les modèles informatiques. Le culte du « changement climatique provoqué par l'homme » est une « idéologie » promue par les médias et les politiciens de l'ONU, qui est utilisée pour un programme politique et d'entreprise plus large. Le changement climatique d'origine humaine n'est pas fondé sur des faits et a détourné de véritables préoccupations environnementales.

    Les banquiers centraux du monde financent entièrement le « projet » mondial sur le changement climatique. Le truisme « suivre l'argent » vient à l'esprit – et ce faisant, on découvre rapidement qui dirige le monde des affaires, de la politique et des médias.

    En raison de la propagande incessante de l'ONU, du gouvernement et des entreprises sur le changement climatique, de nombreuses personnes sont donc dans un état de confusion induit par les médias et assument donc aveuglément leur rôle prédéterminé dans la société sous cette « dictature des mots ». sans même s'en rendre compte. Par exemple, nous avons maintenant des millions de soi-disant guerriers du changement climatique aveugles au fait que le changement climatique n'est pas réellement causé par les émissions de carbone. Tout cela pour effrayer les gens et les amener à accepter une autorité totalitaire et des limitations à leur liberté et à leur bien-être personnel.

    La réalité désagréable est que l'accès des gens à l'énergie et aux ressources est intentionnellement réduit par de fausses politiques de changement climatique, une inflation élevée, un théâtre géopolitique en cours et une guerre intentionnellement provoquée.

    Nous ne pouvons pas comprendre comment créer une société véritablement résiliente si nous ne percevons pas correctement la société actuelle dans laquelle nous vivons et comment elle a vu le jour. Alors, qui sont les architectes du paradigme actuel. Le livre ci-dessus est conçu pour aider à cet égard. À moins que nous ne reconnaissions les contrevérités du paradigme actuel, même si ce n'est pas « politiquement correct » de le faire, nous ne serons pas en mesure d'apporter les ajustements appropriés à nos communautés et réseaux locaux/régionaux actuels, ou de créer une véritable entreprise prospère et résiliente. société en Irlande. Dans cet esprit de vérité, de nouveaux réseaux émergent à travers le monde.

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  36. *

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    Mark Keenan est un ancien scientifique du Département de l'énergie et du changement climatique du Royaume-Uni ; et à la Division de l'environnement des Nations Unies ; et est l'auteur du livre Transcending the Climate Change Deception - Toward Real Sustainability disponible uniquement sur Amazon.

    Remarques

    [i] Source : Conférence du Forum irlandais sur la science du climat intitulée Testing Climate Claims 2021 Update disponible sur www.icsf.ie

    [ii] L'URL du site Web du Forum irlandais sur la science du climat est www.icsf.ie

    [iii] Source : Conférence du Forum irlandais sur la science du climat intitulée Que dit le GIEC AR6 sur les scénarios et les phénomènes météorologiques extrêmes ? disponible sur www/icsf.ie

    [iv] Source : https://data.parliament.uk/DepositedPapers/Files/DEP2019-0718/Green_Finance_Strategy.pdf

    https://www.globalresearch.ca/1500-scientists-say-there-no-climate-emergency-real-environment-movement-hijacked/5809791

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  37. L'asile de fous nucléaire

    Le revivalisme nucléaire en tant que culte et culture... et son remède


    De James Heddle
    Recherche mondiale,
    25 février 2023


    [Ce matin du 24 janvier 2023, le comité scientifique et de sécurité du Bulletin of the Atomic Scientists a déplacé sa célèbre horloge de la fin du monde pour lire 90 secondes à minuit, 10 secondes plus près qu'elle ne l'a jamais été auparavant. Cet essai examine certaines des forces qui font tourner cette horloge.]

    La connaissance de la situation au bord de notre avenir
    "La folie est l'exception chez les individus, mais la règle dans les groupes." - Friedrich Nietzsche

    « Vous devez comprendre que l'industrie nucléaire et les gens qui la dirigent – ​​et je le dis en connaissance de cause – ont une croyance religieuse dans l'énergie nucléaire. Les faits n'interfèrent donc pas. Vous savez, la religion est une croyance. Ils croient au nucléaire..." – S. David Freeman – 2011 – Ancien directeur de la Tennessee Valley Authority

    « Une caractéristique frappante des personnalités influentes de la Fraternité atomique américaine est une dévotion presque religieuse à l'énergie atomique et à tout ce qu'elle représente. Ces hommes partagent une foi profonde dans la bonté essentielle et surtout l'inévitabilité historique de l'énergie atomique. – Mark Hertzgaard , Nucléaire Inc., 1983

    « Dans les conseils de gouvernement, nous devons nous prémunir contre l'acquisition d'une influence injustifiée, recherchée ou non, par le complexe militaro-industriel. Le potentiel de montée désastreuse d'un pouvoir mal placé existe et persistera. Nous ne devons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés ou nos processus démocratiques. Nous ne devrions rien prendre pour acquis. Seule une population alerte et bien informée peut contraindre l'enchevêtrement approprié de l'énorme machinerie industrielle et militaire de défense avec nos méthodes et nos objectifs pacifiques, afin que la sécurité et la liberté puissent prospérer ensemble…. Nous devons également être attentifs au… danger que les politiques publiques deviennent elles-mêmes captives d'une élite scientifique et technologique. – Dwight D. Eisenhower , Discours d'adieu. 1961

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  38. « La question brûlante d'aujourd'hui », nota Lovins avec prévoyance, « ne concerne pas les nouveaux réacteurs américains, que les investisseurs évitent, mais les 96 réacteurs existants , qui dépassent déjà en moyenne d'environ une décennie leur durée de vie nominale initiale. La plupart coûtent désormais plus cher à exploiter, y compris les réparations majeures qui ont tendance à augmenter avec l'âge, que leur production ne peut rapporter.

    "Ils coûtent également plus cher à exploiter qu'à fournir les mêmes services en construisant et en exploitant de nouvelles énergies renouvelables, ou en utilisant l'électricité plus efficacement."

    Néanmoins, un article d'opinion récent et haletant de Newsweek affichait avec optimisme : « La renaissance de l'énergie nucléaire est arrivée !

    Quill Robinson, l'auteur "conservateur" de l'article, a cité des rapports selon lesquels les législateurs californiens - confrontés à la "menace de pannes d'électricité imminentes face au changement climatique" - ont voté pour prolonger le fonctionnement des réacteurs de Diablo Canyon. Il a également rapporté que le Premier ministre japonais Fumio Kishida, deux fois dévasté par le nucléaire, a récemment annoncé qu'en raison de la "menace de pannes d'électricité imminentes face au changement climatique", l'énergie nucléaire est "essentielle pour procéder à une transformation verte".

    L'opinion euphorique de Newsweek a poursuivi en affirmant avec confiance – dans le déni de toutes les preuves accumulées du contraire – que « les accidents très médiatisés sont l'exception à la règle ; le nucléaire est incroyablement sûr et devient de plus en plus sûr.

    L'uniformité des "points de discussion" qu'il a cités - un script actuellement standard - est un indice qu'il y a une opération psychologique concertée, ou psyop, en cours ici. Pourquoi vanter une industrie moribonde souffrant de ce que l'expert en énergie Amory Lovins a diagnostiqué il y a longtemps comme « une attaque incurable des forces du marché ? ”

    Quelle puissante institution à portée mondiale dispose des stratégies psyop et des technologies de guerre de l'information les plus développées et les plus sophistiquées ?

    Connue sous le nom de Cinquième Gradient de la Guerre, ou 5GW , « La guerre morale et culturelle est menée en manipulant les perceptions et en modifiant le contexte par lequel le monde est perçu…. La capacité à façonner la perception - et donc les opinions - d'un public cible est bien plus importante que la capacité à fournir de l'énergie cinétique, et déterminera le vainqueur ultime des guerres de demain.

    Pourquoi ces outils de "guerre cognitive" bien rodés et à la pointe de la technologie seraient-ils lancés sur la population américaine pour soutenir une industrie de l'énergie nucléaire civile défaillante ?

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  39. WTF se passe ici ?

    Bienvenue dans l'asile de fous nucléaire

    Les États-Unis sont la nation, la société et la culture les plus militarisées – et nucléarisées – de l'histoire du monde.

    Faites une pause, prenez quelques respirations profondes et laissez ce fait – plus ses implications omnidirectionnelles qui donnent à réfléchir – s’imprégner un instant.

    Selon ExecutiveGov , le budget projeté du ministère de la Défense du pays – sans compter le soi-disant « budget sombre » (voir ci-dessous) – a atteint 778 milliards de dollars en 2022, en hausse de 14 % par rapport à 2017. Cela se compare au deuxième budget militaire de la Chine, qui dispose d'un budget militaire de 229 milliards de dollars .

    Le bureau du budget du Congrès a rapporté :

    « S'ils sont mis en œuvre, les plans de forces nucléaires définis dans les demandes de budget pour l'exercice 2021 du ministère de la Défense (DoD) et du ministère de l'Énergie (DOE), soumis en février 2020, coûteraient un total de 634 milliards de dollars sur la période 2021-2030. période, pour une moyenne d'un peu plus de 60 milliards de dollars par an, estime le CBO.
    « Près des deux tiers de ces coûts seraient supportés par le DoD ; ses coûts les plus importants seraient pour les sous-marins lance-missiles balistiques et les missiles balistiques intercontinentaux. Les coûts du DOE seraient principalement pour les laboratoires d'armes nucléaires et les activités de soutien.
    Vous n'avez pas besoin d'être un analyste situationnel de groupe de réflexion titulaire d'un doctorat pour avoir une idée.

    Pour un pays qui, au 8 octobre 2022, avait une dette nationale totale de 31,1 billions de dollars, les dépenses américaines en moyens de destruction massive sont clairement illogiques, immorales, contraires à l'éthique et suicidaires.

    Voici un bref aperçu éclairant.

    Selon le Bulletin of Atomic Scientists' Nuclear Notebook: United States Nuclear Weapons, 2023 de Hans M. Kristensen et Matt Korda, à partir de cette année, le département américain de la Défense maintient un «stock» estimé d'environ 3 708 ogives nucléaires à livrer par voie terrestre. - et des missiles et avions balistiques lancés par sous-marins. Les auteurs déclarent que les armes nucléaires américaines sont stockées dans environ 24 emplacements géographiques dans 11 États américains et cinq pays européens, et que les États-Unis ont déployé 659 lanceurs stratégiques avec 1 420 ogives dans divers endroits.

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  40. L'arsenal américain d'armes nucléaires et de vecteurs est dans un processus perpétuel de renouvellement et de modernisation qui devrait se poursuivre jusqu'en 2039 et au-delà, avec un budget de 1,2 billion de dollars sur les trois prochaines décennies. Une soi-disant « famille de plans de grève » est maintenue et constamment révisée, ses principales cibles actuelles étant la Chine, la Russie, la Corée du Nord et l'Iran.

    La marine américaine gère une flotte de 14 sous-marins à propulsion nucléaire de classe Ohio qui rôdent constamment dans les océans du monde , chacun capable de transporter jusqu'à 20 missiles balistiques lancés par la mer Trident (SLBM). Chaque SLBM peut transporter jusqu'à huit ogives nucléaires pouvant être ciblées individuellement. Une nouvelle génération de sous-marins nucléaires américains encore plus grands de la classe Columbia est en cours de développement avec un budget de projet de 112 milliards de dollars.

    Pendant ce temps - pour ne pas être en reste - l'US Air Force exploite un réseau de 400 ICBM Minuteman III basés sur des silos avec une force totale de 800 toujours disponibles - avec un programme de mise à niveau constant en cours - ainsi qu'une flotte de plus de 40 missiles stratégiques à capacité nucléaire. des bombardiers transportant des bombes nucléaires et des missiles de croisière à lancement aérien en mouvement constant depuis des bases du monde entier. Le système de commandement et de contrôle de la flotte de bombardiers s'interface avec la constellation de satellites MILSTAR exploités par l'US Space Force.

    Cette « machine apocalyptique » mobile d'envergure mondiale - comme l'appelle le lanceur d'alerte des Pentagon Papers Dan Ellesberg - s'interface avec les militaires partenaires de l'OTAN dans un système qui est également constamment dans un processus de « modernisation » et « d'harmonisation » des armes nucléaires et conventionnelles « interopérables » systèmes de destruction massive, dominés par les États-Unis et leur complexe d'industries de « défense », dont Lockheed Martin, Boeing, Raytheon et Northrop Grumman.

    Comme nous le verrons dans ce qui suit, ce système est parfaitement intégré et co-dépendant de l'industrie américaine de l'énergie nucléaire commerciale civile et de son infrastructure, de son bassin de main-d'œuvre qualifiée et de l'industrie de la (mauvaise) gestion des déchets radioactifs.

    Nucléarisme militaire hégémonique

    Comme les poissons, inconscients de leur environnement liquide environnant, nous, les Américains, sommes enveloppés dans un complexe militariste/nucléariste omniprésent qui est omniprésent, mais pratiquement invisible pour le citoyen moyen, en dehors du domaine collectif de la conscience publique, et donc à l'abri d'un contrôle démocratique informé. et contrôle.

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  41. L'avertissement de Jungk, comme celui de Melman et d'Eisenhower, était prémonitoire, mais il est resté lettre morte.

    En fait, Eisenhower lui-même avait involontairement jeté les bases de ce qu'il craignait le plus dans son Fireside Chat de 1959 annonçant le programme Atoms for Peace . Cette couverture/psyop au début de l'ère atomique a réussi à mettre un visage heureux sur "Our Friend the Atom" et "Reddy Kilowatt". Il a également – ​​comme l'explique Alfred Meyer dans son récent article progressiste Tout tourne autour de la bombe – « placé des matières nucléaires et des réacteurs dans plus de quarante pays, dont l'Iran . Cela a généré des activités continues pour de nombreuses entreprises nucléaires américaines tout en soutenant et en développant l'infrastructure et la capacité nucléaires de l'armée américaine aux États-Unis.

    Atoms for Peace est devenu le mythe d'origine de la First Church of Nukes Forever ; un culte, une culture et une industrie basée - comme nous le verrons ci-dessous - sur un gros mensonge.

    Comme les aveugles proverbiaux et l'éléphant, Ike, Melman et Jungk avaient chacun une prise sur un appendice d'une bête plus grande dont l'étendue totale restait au-delà de leur connaissance.

    Une connaissance de la situation mise à jour

    Comme l'a montré la journaliste d'investigation Whitney Webb dans son opus révélateur en deux volumes One Nation Under Blackmail , à l'époque d'Ike, à partir du début du XXe siècle, il y avait eu une intégration transparente du complexe militaro-industriel-renseignement avec le réseau international du crime organisé. et le cartel bancaire transnational qui l'a permis.

    C'était, et c'est toujours, une matrice de commandement et de contrôle dépassant de loin la portée des institutions démocratiques du gouvernement. Ceux qui s'opposent à ce système en paient le prix.

    Le livre de 2008 de James Douglass, JFK and the Unspeakable - Why he dead and why it matter , a finalement déballé l'histoire compliquée de la façon dont l'immersion et l'opposition de John Kennedy dans cette matrice dominante ont conduit inexorablement à son assassinat en 1963 à Dallas. C'était un coup d'État dont le pays ne s'est pas encore remis – ni même reconnu.

    Tout au long du siècle dernier, le «complexe militaro-industriel» qu'Eisenhower a entrevu, nommé et mis en garde dans son émission d'adieu présidentielle de 1961 s'est métastasé dans tous les organes et voies neuronales du corps politique américain et a pénétré toutes ses institutions… et au-delà.

    Il pourrait maintenant être plus précisément appelé le «complexe militaire-industriel-renseignement-grande technologie-économique-académique-médias-communications-médical-pharmaceutique-organisé-crime-surveillance-population-contrôle».

    Les sous-ensembles de cette méta-matrice, l'économie de guerre permanente et l'énergie nucléaire basée sur le plutonium, les armes et l'économie des déchets ont fusionné en symbiose. Ensemble, ils sont devenus le médium dans lequel nous nageons désormais.

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  42. Les budgets sombres masquent les actions sombres

    Dans leur récente étude sur la criminalité pandémique au sein du gouvernement, les co-auteurs David A. Hughes, Valerie Kyrie et Daniel Broudy soulignent que,
    « L'anarchie a germé aux États-Unis depuis la naissance de l'État de sécurité nationale en 1947, avec son mythe fondateur de la « sécurité nationale » permettant aux agences de renseignement d'opérer en dehors de tout contrôle démocratique significatif. … L'histoire de la politique étrangère américaine depuis la naissance de la CIA a été une histoire de violations quasi continues du droit international et de crimes de guerre ( Hughes 2022a ), opérant sous le couvert de la propagande et de la guerre psychologique au nom de la « sécurité nationale » et un gamme de mythes exceptionnalistes ( Blum 2006 ; Chomsky 2007 ; Hughes 2015 ).

    «Des sommes d'argent époustouflantes ont été canalisées des budgets fédéraux américains vers des budgets noirs que le public n'est pas autorisé à connaître. Par exemple, un montant estimé à 21 000 milliards de dollars américains ne peut pas être comptabilisé dans les dossiers financiers du ministère de la Défense et du ministère du Logement et du Développement urbain entre 1998 et 2016 ( Skidmore & Fitts, 2019 ). Le Federal Accounting Standards Advisory Board (FASAB), qui établit les principes comptables généralement reconnus (GAAP) pour le gouvernement fédéral américain, a introduit la norme 56 le 4 octobre 2018, permettant aux préoccupations de sécurité nationale de l'emporter sur le besoin de transparence financière publique. FASAB-56, selon Fitts et Betts (2021), "permet au gouvernement fédéral, par une action administrative - sans approbation législative, réglementaire, judiciaire ou exécutive formelle - de conserver des livres secrets tels que déterminés par un groupe secret de personnes conformément à un processus secret". En d'autres termes, il prévoit le pillage clandestin de la richesse publique. Le gouvernement américain, selon Fitts et Betts (2021) , "agit suffisamment en dehors de la Constitution, de la gestion financière et d'autres lois pour être qualifié d'" entreprise criminelle "".

    Dans son rapport pour Solari.org, The Going Direct Reset , l'analyste John Titus note qu'il est devenu clair 5 ans après la crise financière de 2007/8 que, "il était de notoriété publique que les crimes à Wall Street n'étaient même pas enquêtés, encore moins poursuivis. Ce que Titus considère comme « l'immunité pénale dont jouissent les banques », l'amène à se demander si les États-Unis peuvent encore être considérés comme une république constitutionnelle régie par l'État de droit.

    Le sociologue William Robinson, dans son récent livre Global Civil War – Capitalism Post-Pandemic , postule que les peuples du monde vivent désormais sous une dictature de « gangsters capitalistes » transnationaux.

    Cet article explorera les hypothèses selon lesquelles les capitalistes gangsters se sont en fait amalgamés avec des fantômes et des militaristes gangsters, et des nucléaristes gangsters dans une tentative de prise de pouvoir pour la gouvernance mondiale.

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  43. Nous commençons par l'observation que les affaires de l'Amérique sont la guerre et que les États-Unis ont toutes les caractéristiques d'une ville de compagnie.

    Cartographier la métastase
    L'étendue de ce syndrome est rendue visible par l'étendue physique des installations militaires et nucléaires américaines et les énormes impacts économiques des budgets généreux qu'elles commandent.

    Le ministère de la Défense (DOD) rapporte que, prises dans leur ensemble, les branches combinées de l'armée américaine maintiennent 4 775 bases dans le monde, dont 4 150 aux États-Unis seulement - dont 5 sont les plus grandes installations militaires au monde. La portée mondiale du DOD s'étend également à d'autres pays par le biais de l'alliance de l'OTAN, qu'il domine.

    - voir carte sur site -

    Bases militaires aux États-Unis continentaux – https://motivasi.my.id/

    De nombreuses bases ont la taille de petites villes et, comme les villes, servent de plaques tournantes pour les entreprises, les industries et les organisations et institutions civiques des régions environnantes, ce qui leur confère un impact et une influence considérables sur les populations résidentes. De plus, les champs d'entraînement militaire et de bombardement occupent de vastes zones du territoire national.

    - voir graph sur site -

    Les dépenses militaires mondiales ont totalisé plus de 1,6 billion de dollars en 2015. Les États-Unis représentaient 37 % de ce total. – Graphique : nationalpriorities.org

    Selon la politologue Joan Roelofs, cette portée et ce niveau de financement expliquent qu'il y ait si peu de protestations anti-guerre aux États-Unis. C'est le silence des agneaux bien nourris… ou est-ce des moutons ? Le livre du professeur Roelofs, The Trillion Dollar Silencer, montre à quel point le financement et la propagande militaires infestent et influencent pratiquement tous les États et secteurs publics.

    Le petit livre révélateur de Roelofs détaille tous les nombreux vecteurs par lesquels s'exerce cette influence omniprésente.

    Un canal clé par lequel l'armée pénètre dans pratiquement tous les aspects de la vie civile est le système de contrats du DoD avec des sociétés privées et, à travers elles, leurs filiales, sous-traitants, organisations d'employés, « philanthropies » et fondations, dans les marchés locaux, régionaux. , institutions et organisations étatiques, nationales et internationales. Roelofs répertorie les 10 meilleurs entrepreneurs du DOD en 2020 comme suit :

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  44. Lockheed Martin
    Raytheon Technologies
    Dynamique générale
    Boeing
    Northrup Grumman
    Huntington Ingalis
    Humana (une compagnie d'assurance maladie privée)
    Systèmes BAE
    L3Harris Technologies
    General Electric
    Roelofs rapporte : « Le DoD lui-même et les départements gouvernementaux concernés s'engagent dans la philanthropie. Certaines écoles et les organisations nationales suivantes sont éligibles pour recevoir des dons de biens excédentaires du DoD :

    Croix-Rouge américaine
    Forces armées YMCA des États-Unis
    Grands Frères/Grandes Sœurs d'Amérique
    Clubs Garçons et Filles d'Amérique
    Scouts d'Amérique
    Feu de camp, Inc.
    Centre d'excellence en éducation
    Éclaireuses des États-Unis
    Petite Ligue de Baseball, Inc.
    Cadets de la Marine d'Amérique
    Association nationale pour l'égalité des chances dans l'enseignement supérieur
    Corps national de la communauté civile
    Système national de patrouille du ciel, Inc.
    Corps de cadets de la marine Navel
    United Service Organizations, Inc.
    Comité olympique américain
    Jeunes Marines du Corps des Marines, et
    Ligue/Ligue du Corps des Marines..."
    Roelofs écrit que les Girl Scouts et les Boy Scouts s'engagent dans des «partenariats» avec Lockheed Martin et d'autres sociétés.

    International Largess en tant que « guerre non conventionnelle »
    Elle note : « Malgré ses connotations, l'aide humanitaire fait partie de la « guerre non conventionnelle » selon le Commandement des opérations spéciales des États-Unis, qui rappelle la doctrine de « gagner les cœurs et l'esprit ». » Elle observe que « Les chefs d'état-major interarmées publient un guide de l'aide humanitaire étrangère et des organisations avec lesquelles coordonner les opérations militaires… ».

    Selon Roelofs, d'autres canaux d'influence militaire comprennent les portes tournantes entre les postes de direction militaire et les organisations à but non lucratif telles que les libertés civiles, les droits de l'homme et les organisations de défense des minorités comme l'American Indian Science and Engineering Society, Asians Against Domestic Abuse, l'American Communauté, la NAACP et la Ligue urbaine.

    Ensuite, il y a les groupes de réflexion, les universités, les fondations et les associations professionnelles peuplées d'anciens militaires et financées par des subventions d'agences militaires et d'entrepreneurs de la défense.

    L'étendue et la portée des réseaux et connexions militaires Les documents de Roelofs sont révélateurs et ahurissants dans leur complexité.

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  45. Le système des industries de l'énergie nucléaire, des armes et de la gestion des déchets radioactifs et leurs installations de recherche connexes s'interpénètrent dans cette matrice et compliquent encore le tableau.

    Nation nucléarisée

    Trois cartes brossent le tableau – nous vivons à la fois géographiquement, économiquement et culturellement dans un environnement nucléaire :

    - voir carte sur site -

    Source : Commission de réglementation nucléaire

    - voir carte sur site -

    Sous licence Creative Commons

    - voir carte sur site -

    Source : sonsétranges.net

    Tout au long de «l'ère atomique», couvrant essentiellement mes 82 ans (jusqu'à présent) de vie, de nombreux livres ont été publiés, expliquant clairement l'histoire et l'impact de la technologie nucléaire. Pourtant, pour la plupart de la population (à l'exception du nombre décroissant de cheveux blancs comme moi) et en particulier pour la cohorte actuelle de la génération Y, cet ensemble facilement disponible d'informations existentiellement vitales reste en dehors de leur conscience de la situation.

    Quelques-unes méritent une mention spéciale dans le contexte actuel.

    The Nuclear Barons - The Inside Story of How They Created Our Nuclear Nightmare de 1981 , de Peter Pringle et James Spigelman, a ouvert la voie. Un texte de présentation de l'éditeur le résume bien :

    Les barons du nucléaire : une élite internationale de scientifiques, de technocrates et d'hommes d'affaires qui, depuis plus de quatre décennies, contrôlent le destin du monde. Leurs décisions – généralement gardées secrètes, souvent à courte vue, parfois voilées par des mensonges et des obscurcissements – ont conduit inexorablement au gâchis nucléaire actuel. Risques radiologiques, coût énergétique prohibitif, problèmes d'élimination des déchets, sûreté des centrales, prolifération des armes : les cauchemars nucléaires que nous vivons sont le résultat direct de choix qui n'ont jamais été réfléchis jusqu'à leurs conclusions logiques, jamais ouverts au débat public.

    Le journaliste chevronné Mark Hertzgaard a été qualifié par au moins un critique de « manivelle nucléaire » pour avoir écrit son livre de 1983, Nuclear Inc : The Men and Money Behind Nuclear Energy , mais il s'agit d'un classique d'investigation aux sources impeccables.

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  46. Hertzgaard a passé trois ans dans les couloirs de l'industrie elle-même. Il a eu accès à des bibliothèques d'entreprise privées et à des documents autrefois secrets. Il a interviewé de nombreux initiés de Washington et des dirigeants d'entreprises qui n'avaient jamais parlé publiquement auparavant. Le résultat est un regard sur ce qu'il a appelé « la fraternité atomique de l'Amérique » de l'intérieur.

    Sans se laisser décourager par la non-viabilité commerciale et la dépendance à l'égard des subventions gouvernementales, les accidents répétés et les preuves récurrentes d'une mauvaise gestion chronique, ou l'inévitabilité évidente de la prolifération des armes nucléaires résultant de la possession de la technologie de l'énergie nucléaire, cette Fraternité persiste à ce jour dans sa quête du contrôle du marché mondial partage et domination de la politique locale et nationale.

    Hertzgaard a mis à nu le manuel des stratégies employées par les dirigeants des services publics pour dominer les institutions locales comme les banques, les journaux et les organisations civiques et influencer les programmes d'enseignement à tous les niveaux.

    Il a conclu que «les vingt-quatre sociétés transnationales géantes qui dominent l'industrie de l'énergie nucléaire constituent ce qui pourrait être l'entreprise commerciale la plus grande et la plus puissante de l'histoire. Ils ont vendu pour 400 milliards de dollars de produits en 1981, et tous sauf cinq se classent parmi les cent cinquante plus grandes entreprises américaines. Leur énorme influence sur l'économie américaine est encore amplifiée par une association étroite avec huit des neuf plus grandes banques du pays et bon nombre de ses principaux cabinets d'investissement et d'avocats. Avec leurs alliés dans l'industrie de l'électricité, ils ont investi d'innombrables milliards dans le secteur nucléaire. Naturellement, ils se sont engagés à récupérer des bénéfices sur leur investissement.

    Mais c'est une analyse cynique et condescendante qui attribue les appels de l'industrie à la relance du nucléaire à la simple cupidité des entreprises. En fait, la plupart des dirigeants du nucléaire croient profondément que leur cause est morale et juste. Ils considèrent le nucléaire comme l'incarnation même du progrès et se sentent privilégiés de contribuer à sa réalisation. Dans leur esprit, ce qui est en jeu dans la lutte pour l'énergie nucléaire n'est pas seulement la rentabilité de leurs propres entreprises, mais l'avenir du capitalisme américain, de la société technologique et même de la civilisation occidentale.

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  47. Démocratie ou malheur

    Elaine Scarry est titulaire de la chaire Walter M. Cabot d'esthétique et de théorie générale de la valeur à l'Université de Harvard. Son livre de 2014, Monarchie thermonucléaire : Choisir entre la démocratie et le destin reprend le point de Robert Jungk, mentionné ci-dessus, selon lequel la technologie nucléaire est essentiellement totalitaire. Le professeur Scarry, qui porte bien son nom, explique clairement le pouvoir absolument dictatorial que le contrôle de l'armement nucléaire confère aux politiciens sans scrupule, aux vrais cadres croyants et aux techniciens éthiquement désemparés qui ont la main sur les commandes - un pouvoir dépassant de loin celui de tout potentat autocratique du passé.

    Elle cite la vantardise de Richard Nixon, "Je peux entrer dans mon bureau et décrocher le téléphone et dans vingt-cinq minutes, soixante-dix millions de personnes seront mortes", notant que Nixon décrivait avec précision non seulement son propre pouvoir mais aussi le pouvoir de chaque Américain. président à l'ère nucléaire.

    Le professeur Scarry rapporte que les présidents Eisenhower, Kennedy, Johnson et Nixon ont chacun envisagé d'utiliser des armes nucléaires - Eisenhower deux fois, Kennedy trois fois, Johnson une fois, Nixon quatre fois. Il reste classé si oui ou non les présidents suivants, de Ford à Obama, ont envisagé de les utiliser.

    Son point de vue est qu'aucun individu, groupe ou institution ne devrait posséder le pouvoir unilatéral d'effacer toute vie sur terre. Pourtant, c'est notre situation existentielle actuelle, réelle.

    Le président 'Slow Joe' Biden a les codes d'accès.

    Les variétés de la culture nucléaire – sociétale et institutionnelle

    La pénétration omniprésente du militarisme et du nucléarisme dans les systèmes institutionnels locaux, étatiques, régionaux, nationaux et transnationaux, brièvement cartographiés ci-dessus, a été clairement décrite dans le microcosme de l'étude de Paul Loeb de 1982 sur la vie dans la réserve nucléaire Hanford de l'État de Washington, bien nommée, où Hiroshima et Nagasaki bombes ont été développées.

    La moitié de la taille de Rhode Island, sur les rives du fleuve Columbia désormais pollué par la radioactivité, Hanford est le plus grand complexe d'énergie atomique au monde. Dans son récent livre, Atomic Days Counterpunch, rédacteur en chef, Joshua Frank, le décrit comme « un désert tentaculaire d'eaux usées radioactives et chimiques, une masse continentale trois fois plus grande que le lac Tahoe. C'est aussi le projet d'assainissement environnemental le plus coûteux que le monde ait jamais vu et, sans doute, l'endroit le plus contaminé de la planète entière.

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  48. Franck continue,

    "Non seulement le site regorge d'énormes quantités de déchets radioactifs, mais tous ces déchets sont également une bombe à retardement qui pourrait éclater à tout moment, créant une explosion nucléaire de type Tchernobyl, entraînant une tragédie singulière comme tout ce que les États-Unis ont fait. jamais expérimenté. C'est une possibilité réelle et effrayante….

    Loin des yeux et de l'esprit de la plupart des Américains, le complexe de Hanford est emblématique de l'héritage pratiquement éternellement toxique de l'ère atomique.

    Avec son flux continu de contrats gouvernementaux, Hanford est également un pôle clé de l'activité économique dans la région. Il est desservi par un groupe de ce qui sont effectivement des «villes d'entreprise» dans la région, dont la majeure partie des résidents sont des employés multigénérationnels de The Reservation, ou de la pléthore d'entreprises locales, d'organisations civiques et d'instructions qui la soutiennent.

    La culture locale et l'iconographie omniprésente du nuage de champignons, avec la taverne de la ville, l'Atomic Ale Brewpub, servant Plutonium Porter, et ses équipes sportives de lycée locales appelées "The Bombers", font également de Hanford un microcosme emblématique de la mesure dans laquelle la culture nucléaire peut être intériorisée et normalisé par une population enveloppée.

    Le livre de Loeb, Culture nucléaire - Vivre et travailler dans le plus grand complexe atomique du monde, enregistre ses entretiens approfondis avec des travailleurs, des scientifiques, des gestionnaires et des femmes au foyer qui composent la population essentiellement captive de la région.

    Fait révélateur, les noms ont été changés pour protéger les personnes interrogées.

    Quoth le corbeau , Livermore

    - voir photo sur site -

    Installation nationale d'allumage, Lawrence Livermore National Laboratory (LLNL), Livermore, Californie. – present5.com

    Le laboratoire national Lawrence Livermore, géré par l'Université de Californie, à Livermore, en Californie, est un nœud clé du complexe d'armes nucléaires américain.

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  49. En collaboration avec le Laboratoire national de Los Alamos au Nouveau-Mexique, ses scientifiques et techniciens sont reconnus pour avoir conçu toutes les armes nucléaires de l'arsenal des États-Unis, ainsi que pour avoir contribué de manière significative au développement des superordinateurs, de l'IA et d'autres technologies de pointe.

    Le site Web du laboratoire l'a humblement présenté comme "l'endroit le plus intelligent sur Terre". En 2019, il a été honoré d'un Glassdoor Employees' Choice Award , reconnaissant le Lab comme l'un des meilleurs lieux de travail, selon l'évaluation de ses propres employés satisfaits.

    En tant que siège du National Ignition Facility (NIF), Livermore Lab est un lieu du programme américain de gestion des stocks d'armes nucléaires, dont la mission est de maintenir la « préparation » de l'arsenal d'armes nucléaires américain, bien que sans essais atmosphériques ou souterrains. L'approche du NIF consiste à effectuer des tests de simulation « sur banc » à petite échelle à l'aide de lasers de grande puissance.

    Confusion fusionnelle

    Récemment, les médias grand public et sociaux ont rendu compte à bout de souffle d'une "percée" dans le développement de la technologie de fusion nucléaire à Livermore, la vantant comme une innovation commerciale potentielle dans le domaine de l'énergie nucléaire qui sera notre sauvetage de dernière minute contre le changement climatique.

    Des commentateurs moins enthousiastes observent [ Ici , Ici & Ici ] que le développement « jalon » annoncé est plus pertinent pour faire exploser une nouvelle génération de bombes thermonucléaires que pour sauver le monde du changement climatique. Malgré le fait qu'il est peu probable que la production d'énergie de fusion soit augmentée à temps pour être déployée face au changement climatique imminent, l'euphorie médiatique persiste.

    Comme son homologue dans la recherche sur les armes biologiques, la recherche sur la fusion nucléaire du NIF est caractérisée par le terme « double usage », ce qui signifie que ses découvertes peuvent être appliquées à la fois de manière défensive et offensive. Cela signifie également qu'une « percée » dans un domaine d'application est également une « percée » dans l'autre. D'où l'histoire de couverture pratique de la «percée énergétique», une psyop conçue pour faire ressembler la recherche sur les armes thermonucléaires de destruction massive à une quête pour sauver le monde.

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  50. La haute église de Nukes Forever
    Livermore Lab a longtemps été largement considéré comme une citadelle principale de la prêtrise atomique américaine, ajoutant à sa mystique quasi-religieuse. En 1996, Hugh Gusterson, ancien militant anti-nucléaire devenu anthropologue, a publié un livre intitulé Nuclear Rites: A Weapons Laboratory at the End of the Cold War. Son immersion ethnographique dans la culture du Lab lui a donné une expérience transformatrice de conversion « Venir à Jésus ». Ses découvertes pourraient être exprimées de la manière la plus succincte par la phrase, "les 'nukies' autoproclamés sont aussi des gens vraiment sympas." Voir ceci .

    Gustafson a analysé l'éthique et la politique du personnel de laboratoire, décrivant avec respect leurs coutumes internes et leurs comportements et protocoles enrégimentés comme des «rituels d'initiation et de transcendance». Ses descriptions personnelles dépeignaient des scientifiques de Livermore en train de s'identifier de manière presque érotique ou religieuse à la puissance des engins de destruction massive qu'ils conçoivent et créent – ​​et dont, rapporte-t-il sur un ton respectueux, ils ne craignent pas.

    Pouvez-vous prononcer le mot « déni » ?

    Selon Gustafson, de nombreux employés du Lab sont de fervents chrétiens motivés par des idéaux élevés qui sont personnellement perturbés par la condamnation et l'opposition de certains membres de l'église à leur travail. Apparemment, ils se demandent quotidiennement : « Quel genre d'armes thermonucléaires de destruction massive Jésus construirait-il ?

    Avec l'attitude relativiste culturelle « sans valeur » de l'anthropologue bien endoctriné, Gustafson a découvert qu'il y avait de nombreux points communs de motivation idéaliste partagés par les ardents nukies du Lab et les manifestants qui manifestaient constamment devant les portes bien gardées des installations.

    Dans ses recherches, l'anthropologue Hugh Gusterson a interrogé un haut responsable du Livermore Lab sur l'objectif du programme laser du NIF, le responsable a répondu: «Cela dépend à qui je parle… Un moment, c'est un programme énergétique, le suivant c'est un programme d'armement. Tout dépend du public ».

    C'est le sens inquiétant du terme « double usage ».

    Résistance persistante à Livermore à une « nouvelle course aux armements nucléaires »
    L'importance de Livermore en tant que plaque tournante du complexe de production d'armes thermonucléaires aux États-Unis en a fait le point zéro des manifestations annuelles et des rassemblements d'enseignement pendant des décennies, organisés par Tri-Valley Cares, la Western States Legal Foundation et d'autres.

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  51. EON a documenté de nombreux événements de ce type à Livermore sur notre chaîne YouTube . Un discours de 2019 de Danial Ellsberg, "Designing Armageddon", reste d'actualité aujourd'hui.

    - voir clip sur site -

    Triplés réunis à la hanche - La connexion commerciale / militaire / Radwaste

    Comme indiqué dans les articles précédents ( ici et ici ), depuis les jours grisants d'Atoms for Peace et le rêve d'une « énergie trop bon marché pour être mesurée », les partisans du nucléaire se sont efforcés de dissimuler tout lien nécessaire entre l'énergie nucléaire commerciale et production d'armes nucléaires. Cependant, les défenseurs de l'énergie nucléaire comme l'ancien secrétaire américain à l'énergie, Ernest Moniz, ont maintenant fait marche arrière et soutiennent actuellement qu'une infrastructure nucléaire commerciale et une main-d'œuvre qualifiée sont essentielles au maintien de la marine nucléaire américaine et de sa doctrine militaire fièrement publiée de Full Spectrum Dominance ( FSD).

    Moniz est le président-directeur général de l' Energy Futures Initiative . L'EFI a publié un rapport de 2017 intitulé The US Nuclear Energy Enterprise: A Key National Security Enabler, mettant en évidence la symbiose fusionnelle entre les industries de l'énergie nucléaire et de l'armement.

    Moniz et l'EFI célèbrent actuellement la loi sur la réduction de l'inflation (IRA) favorable à l'industrie nucléaire, promulguée le mois dernier par le président Biden.

    Tout cela dans le contexte de la menace imminente d'une guerre nucléaire résultant de l'escalade de la confrontation OTAN-Russie en Ukraine.

    Comme le rapporte le Service d'information et de ressources nucléaires (NIRS) , « L'IRA dispose d'environ 100 milliards de dollars ou plus en provisions qui financent et encouragent l'énergie nucléaire. Ces dispositions volent les ressources des véritables solutions de justice climatique et environnementale et perpétuent le statu quo polluant et corrompu. L'ensemble de la chaîne du combustible nucléaire repose toujours sur les combustibles fossiles, contamine les communautés à travers le pays et dans le monde et génère des déchets mortels pour toujours. L'analyse NIRS de l'IRA est ici .

    Une course aux armes nucléaires autonomes a commencé

    "Les armes nucléaires autonomes introduisent de nouveaux risques d'erreur et des opportunités pour les mauvais acteurs de manipuler les systèmes. L'IA actuelle n'est pas seulement fragile ; il est facile de tromper. Un seul changement de pixel suffit à convaincre une IA qu'un bombardier furtif est un chien. – Zachary Kallenborn – Bulletin des scientifiques atomiques

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  52. Chatbots, Warbucks et Warbots
    ChatGPT est présenté comme un nouveau "robot d'assistance" de pointe par la société de technologie OpenAI, soutenue par Elon Musk. Sott.net rapporte que « Microsoft a annoncé lundi un nouvel investissement pluriannuel de plusieurs milliards de dollars avec le fabricant de ChatGPT OpenAI ».

    Selon le New York Post , "Cette technologie surhumaine peut effectuer une variété de tâches compliquées à la volée, de la rédaction de dissertations complexes sur Thomas Locke à la rédaction de schémas de design d'intérieur et même permettre aux gens de converser avec leurs plus jeunes."

    Ouah! Pensez-vous que cette technologie merveilleuse pourrait peut-être être militarisée avec une intention malveillante ?

    Vous pariez que c'est possible… Et ça l'est.

    En 2021, Henry A. Kissinger, Eric Schmidt et Daniel Huttenlocher ont co-écrit un livre intitulé The Age of AI And Our Human Future. Comme vous vous en doutez, ces gars-là sont des boosters d'intelligence artificielle. Les critiques ont souligné que,

    "Son seul titre - L'ère de l'IA : et notre avenir humain - déclare une époque et aspire à parler au nom de tous. Il présente l'IA comme une entité, comme surhumaine et comme inévitable, tout en effaçant une histoire d' érudition et de critique des technologies de l'IA qui démontre leurs limites et leurs risques inhérents, le travail irréductible nécessaire pour les soutenir et les incitations financières des entreprises technologiques qui produisent et en tirer profit.

    Les examinateurs ont objecté que l'adoption de l'IA par les militaires est présentée par les trois auteurs comme une fatalité, plutôt que comme un choix politique actif qui implique des complexités éthiques et des compromis moraux.

    Aujourd'hui, quelques mois plus tard, la guerre en Ukraine a mis ces complexités et ces compromis au premier plan.

    The Expose' rapporte que « le 30 juin 2022, l'OTAN a annoncé la création d'un fonds d'innovation d'un milliard de dollars qui investira dans des start-ups en démarrage et des fonds de capital-risque développant des technologies « prioritaires » telles que l'intelligence artificielle, le traitement des mégadonnées , et l'automatisation.

    L'histoire de Rhoda Wilson note également que "le département américain de la Défense a demandé 874 millions de dollars pour l'intelligence artificielle pour 2022". Bien sûr, les pays européens, la Chine – et sans doute la Russie – se précipitent pour suivre. Les pays dotés d'armes nucléaires dans une course de warbot mettent la course aux armements nucléaires sous stéroïdes. Plusieurs forces NukeBot en lice – qui peuvent confondre un chien avec un bombardier furtif – prenant des décisions en nanosecondes basées sur un pixel. Armageddon Man a poussé une autre tête.

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  53. Cette nouvelle course aux armes nucléaires autonomes est une aubaine potentielle pour les géants de la Big Tech comme Palantir de Peter Thiel, mais aussi pour les nouveaux arrivants en herbe dans la Silicon Valley.

    En juillet dernier, Melissa Heikkilä a écrit un article dans le MIT Technology Review intitulé Why Business is Booming for Military AI Startups .

    Elle souligne que "En fin de compte, la nouvelle ère de l'IA militaire soulève une multitude de questions éthiques difficiles auxquelles nous n'avons pas encore de réponses."

    Elle interviewe Kenneth Payne, qui dirige des recherches sur les études de défense au King's College de Londres et est l'auteur du livre I, Warbot: The Dawn of Artificially Intelligent Conflict . Il dit qu'un concept clé dans la conception de systèmes d'armes IA est que les humains doivent toujours garder le contrôle. Mais Payne pense que ce sera impossible à mesure que la technologie évolue.

    "L'intérêt d'un [système] autonome est de lui permettre de prendre une décision plus rapidement et avec plus de précision qu'un humain ne pourrait le faire et à une échelle qu'un humain ne peut pas faire", dit-il. "Vous vous paralysez en fait si vous dites" Non, nous allons avocat pour chaque décision. ""

    Si c'est de l'IA, c'est piratable - Des bombes nucléaires autonomes ?

    Le livre Command and Control du journaliste primé Eric Schlosser en 2014 et le documentaire éponyme basé sur celui-ci , présélectionné aux Oscars, réalisé par Robert Kenner, ont montré comment l'histoire de l'arsenal nucléaire américain est parsemée d'exemples de la façon dont à la fois l'erreur humaine grave et les interventions courageuses de l'intelligence humaine individuelle a à plusieurs reprises risqué et sauvé le monde de la destruction thermonucléaire. C'était alors et c'est maintenant, lorsque le déplacement des humains avec des algorithmes d'IA est sérieusement (et insensé) envisagé.

    Mikko Hypponen est un expert mondial finlandais en cybersécurité dont la carrière de trente ans a coïncidé avec la croissance de la criminalisation d'Internet. Dans son livre récent, If It's Smart, It's Vulnerable , il donne un survol des étapes de développement de la cybercriminalité, des virus aux vers, en passant par les logiciels malveillants, les rançongiciels, Stuxnet et au-delà.

    "Question : Combien de Fortune 500 sont piratés en ce moment ?

    "Réponse : 500"

    C'est ainsi qu'Hypponen met en place son affirmation de base issue d'une vie de détective en matière de cybersécurité : "Si un réseau d'entreprise est suffisamment grand, il aura toujours des vulnérabilités, et il se passera toujours quelque chose d'étrange…" rendant possible la sécurité du système mesures pour être « ... violées par les attaquants ».

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  54. Dans ce contexte, la perspective de donner aux robots de guerre IA les codes des arsenaux d'armes nucléaires du monde n'est clairement qu'une concession sociétale suicidaire de plus à Armageddon Man.

    Up, Up and Away - Nukes dans l'espace
    Un autre aspect clé de la doctrine Full Spectrum Dominance de l'armée américaine est la croyance croissante dans certains cercles que « le nucléaire spatial va être l'avenir ».

    Cette déclaration vient d'Alex Gilbert, directeur de la régulation spatiale et planétaire chez Zeno Power, basé à Washington, DC. Karl Grossman rapporte que, lors d'un webinaire du 4 août de l'American Nuclear Society , Gilbert a annoncé : « nous sommes à un moment unique. J'appelle cela une opportunité spatiale. Il a poursuivi: "" nous pourrions en fait voir une croissance exponentielle. À l'heure actuelle, l'économie spatiale représente environ 400 milliards de dollars dans le monde. Au milieu du siècle, cela pourrait représenter 4 000 milliards de dollars.

    Son point de vue a été repris par Kate Kelly, directrice des programmes spatiaux et émergents de la société BWXT Advanced Technologies, basée à Lynchburg, en Virginie. Kelly a déclaré que l'utilisation de l'énergie nucléaire dans l'espace est arrivée à un "point d'inflexion". Elle a expliqué: "Au cours des dernières années, il y a eu cet intérêt et cet investissement réémergents de la part du gouvernement dans les systèmes de fission pour la puissance et la propulsion dans l'espace."

    Dans un article prémonitoire de 2014 intitulé The Pentagon's Strategy for World Domination: Full Spectrum Dominance, from Asia to Africa , Bruce Gagnon, le coordinateur du Global Network Against Weapons & Nuclear Power in Space , a décrit le résultat probable de la stratégie de l'OTAN consistant à encercler la Russie. et infiltrer l'Ukraine.

    Il a écrit : « L'ensemble de l'empire militaire américain est lié à l'aide de la technologie spatiale. Avec des satellites militaires dans l'espace, les États-Unis peuvent voir pratiquement tout sur la Terre, peuvent intercepter toutes les communications sur la planète et peuvent cibler pratiquement n'importe quel endroit à tout moment. La Russie et la Chine comprennent que l'objectif militaire des États-Unis est d'atteindre une « domination totale » au nom du capital des entreprises.

    "L'utilisation des nouvelles technologies spatiales pour coordonner et diriger la guerre moderne permet également au complexe militaro-industriel de récolter des profits massifs en construisant l'architecture de ce que l'industrie aérospatiale prétend être le" plus grand projet industriel "de l'histoire de la Terre."

    Une histoire récente de Space.com indique que la NASA rejoindra la fusée de démonstration de la DARPA pour les opérations cislunaires agiles, ou DRACO, illustrée dans l'image de conception de l'artiste ci-dessus. L'administrateur adjoint de la NASA, Pam Melroy, a déclaré :

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  55. "La NASA collabore depuis longtemps avec la DARPA sur des projets qui permettent nos missions respectives, telles que l'entretien dans l'espace. L'élargissement de notre partenariat à la propulsion nucléaire contribuera à faire avancer l'objectif de la NASA d'envoyer des humains sur Mars…. DRACO sera un élément essentiel de l'évaluation des technologies qui nous emmèneront plus profondément dans le système solaire…. Notre intention est de diriger et de développer un plan pour l'exploration humaine et une présence soutenue dans tout le système solaire. C'est un objectif très important. Et nous pensons que ces technologies de pointe en seront un élément essentiel. »

    Ainsi, il devient clair que le contexte général de l'engouement actuel pour le revivalisme nucléaire est que le nucléarisme commercial et militaire sont mutuellement co-dépendants et, en fait, liés à la hanche avec la production de déchets radioactifs.

    Nukes Forever Dreams that Will Not Die - les têtes d'hydre d'Armageddon Man
    En plus du rêve fiévreux constamment récurrent et toujours insatisfait – mentionné ci-dessus – d'une fusion nucléaire durable et commercialement évolutive, trois autres espoirs jaillissent à jamais dans les cœurs et les esprits des revivalistes dévoués :

    Éleveurs inutiles

    Selon un rapport de l'Université de Stanford de 2019 sur The Rise and Fall of Plutonium Breeder Reactors , la notion d'un soi-disant «réacteur surgénérateur» - un réacteur nucléaire alimenté au plutonium qui pourrait produire plus de combustible qu'il n'en consomme - est au moins aussi ancienne que le projet Manhattan.

    Frank von Hippel, l'un des huit éminents co-auteurs du rapport, explique qu'il "examine l'expérience et l'état des programmes de réacteurs surgénérateurs en France, en Inde, au Japon, en Union soviétique/Russie, au Royaume-Uni et aux États-Unis". Il le note. "Les problèmes décrits dans les études de cas de pays dans les chapitres suivants rendent difficile de contester la sommation de l'amiral Hyman Rickover en 1956, basée sur son expérience avec un réacteur refroidi au sodium développé pour alimenter un des premiers sous-marins nucléaires américains, que de tels réacteurs sont "chers". à construire, complexe à exploiter, susceptible d'arrêt prolongé à la suite de dysfonctionnements même mineurs, et difficile et longue à réparer.

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  56. Le rapport Stanford 2019 conclut :

    « Le rêve du réacteur surgénérateur n'est pas mort, mais il s'est éloigné loin dans le futur. Dans les années 1970, les défenseurs des surgénérateurs prédisaient que le monde compterait désormais des milliers de réacteurs surgénérateurs en fonctionnement. Aujourd'hui, ils prédisent une commercialisation vers 2050. En attendant, le monde doit faire face à l'héritage du rêve ; environ 250 tonnes de plutonium séparé utilisable à des fins militaires et des programmes de retraitement en cours - bien que parfois en difficulté - en France, en Inde, au Japon, en Russie et au Royaume-Uni….

    "Bien qu'il existe des problèmes de sécurité génériques pour les réacteurs rapides à métal liquide, il ne semble pas qu'ils aient été les principales raisons de la disparition du programme surgénérateur aux États-Unis. Plus importantes étaient les préoccupations de prolifération et la conviction croissante que les réacteurs surgénérateurs ne seraient pas nécessaires ou économiquement compétitifs avec les réacteurs à eau légère pendant des décennies, voire jamais.

    Dans le cadre du GNEP [Global Nuclear Energy Partnership], le DOE a manifesté un regain d'intérêt pour les réacteurs rapides, initialement comme réacteurs à brûleur pour fissionner les actinides du combustible usé des réacteurs à eau légère. Jusqu'à présent, les nouveaux modèles sont pour la plupart des études sur papier, et la perspective d'un effort important pour développer les réacteurs à brûleur est au mieux incertaine. L'administration Obama a mis fin à la déclaration d'impact environnemental programmatique du GNEP et aux efforts du DOE pour passer à la commercialisation à court terme des réacteurs rapides et au cycle du combustible fermé pour la transmutation des déchets. Au moment où ce rapport allait sous presse, il était question de savoir s'il fallait même poursuivre la R&D sur les réacteurs à neutrons rapides. Les arguments économiques et de non-prolifération contre de tels réacteurs restent solides.

    Retraitement

    Une autre idée stupide persistante avec des contre-indications fournies par des années d'expérience amère est celle du « retraitement », une option que l'Union of Concerned Scientists rejette comme « dangereuse, sale et coûteuse ». ”

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  57. Ils expliquent,

    « Le retraitement est une série d'opérations chimiques qui séparent le plutonium et l'uranium des autres déchets nucléaires contenus dans le combustible usé (ou « usé ») des réacteurs nucléaires de puissance. Le plutonium séparé peut être utilisé pour alimenter des réacteurs, mais aussi pour fabriquer des armes nucléaires. À la fin des années 1970, les États-Unis ont décidé, pour des raisons de non-prolifération nucléaire, de ne pas retraiter le combustible usé des réacteurs de puissance américains, mais plutôt de l'éliminer directement dans un dépôt géologique souterrain profond où il resterait isolé de l'environnement pendant au moins des dizaines de milliers d'années.

    « Alors que certains partisans d'un programme américain de retraitement croient qu'il aiderait à résoudre le problème des déchets nucléaires, le retraitement ne réduirait pas le besoin de stockage et d'élimination des déchets radioactifs. Pire encore, le retraitement permettrait aux terroristes d'acquérir plus facilement des matières d'armes nucléaires et aux nations de développer des programmes d'armes nucléaires.

    Robert Alvarez, de l'Institute for Policy Studies, est d'accord. Dans un article intitulé « Reprocessing Spent Nuclear Fuel Too Risky », il note :

    Les partisans affirment que le retraitement du combustible usé des réacteurs est vital pour la croissance de l'énergie nucléaire car il réduirait les déchets qui doivent être stockés profondément sous terre.

    Le sénateur John McCain, un éminent partisan du retraitement nucléaire, a pointé du doigt la France, où il a déclaré que le retraitement se poursuivait "depuis de très nombreuses années sans aucun accident ni difficulté ni problème".

    Pourtant, derrière la rhétorique se cachent des faits crus :

    • Une installation de retraitement deviendrait un dépotoir pour la source la plus importante et la plus mortelle de radioactivité à haute température aux États-Unis et peut-être dans le monde.

    • Le retraitement ne réduit pas significativement la quantité de déchets radioactifs à enfouir.

    • Le coût du recyclage nucléaire rivalise avec le récent renflouement des banques d'investissement de Wall Street.

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  58. Le premier problème majeur du retraitement est qu'il est loin de résoudre le défi des déchets nucléaires. En fait, lorsqu'une installation de retraitement hache et dissout des barres de combustible usagées, elle libère des milliers de fois plus de radioactivité dans l'environnement que les réacteurs nucléaires et génère plusieurs flux de déchets dangereux. Le Danemark, la Norvège et l'Irlande ont demandé la fermeture d'usines de retraitement en France et en Grande-Bretagne en raison des déchets radioactifs échoués sur leurs côtes. Quelques grammes de déchets suffiraient à délivrer des doses de rayonnement mortelles en quelques secondes dans une zone surpeuplée.

    Néanmoins, les complices journalistiques de l'industrie à double usage d'Armageddon Man continuent de publier des articles avec des titres tels que « Le retraitement du combustible nucléaire usé aux États-Unis pourrait faire un retour » ou le plaintif « Pourquoi les États-Unis ne retraiteront-ils pas le combustible nucléaire usé ? ”

    "Réacteurs nucléaires avancés"
    Vient enfin la « chose chaude ( à plus d'un titre ) » actuelle , les réacteurs nucléaires avancés - principalement sous la forme de petits réacteurs modulaires.

    Rapports d'études de marché Polaris ,

    Le marché mondial des petits réacteurs modulaires était évalué à 9,54 milliards USD en 2021 et devrait croître à un TCAC de 3,6 % au cours de la période de prévision. Le faible coût des petits réacteurs modulaires (SMR) en raison de la modularisation et de la construction d'usines, ainsi que l'intérêt croissant pour les réacteurs de petite et moyenne taille en raison de leur capacité à répondre aux besoins de production d'électricité, influencent positivement le marché.

    Selon Forbes , les investisseurs "intelligents", de Bill Gates à Kris Singh en passant par les gouvernements du Canada et de l'Alberta , sont en train de murmurer massivement vers les SMR.

    Cependant, comme l'explique Arjun Makhijani de l'Institut de recherche sur l'énergie et l'environnement (IEEF), " les petits réacteurs modulaires ne vont pas sauver la situation ".

    Une étude de mai 2022 publiée dans Actes de l'Académie nationale des sciences par Lindsay Krall, Rodney Ewing et l'ancienne présidente du CNRC Allison Macfarlane, intitulée Déchets nucléaires provenant de petits réacteurs modulaires , convient :

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  59. "Les petits réacteurs modulaires (SMR), proposés comme l'avenir de l'énergie nucléaire, présentent des avantages supposés en termes de coût et de sécurité par rapport aux réacteurs à eau légère (LWR) existants à l'échelle du gigawatt. Cependant, peu d'études ont évalué les implications des SMR pour l'aval du cycle du combustible nucléaire. La caractérisation des flux de déchets de faible, moyenne et haute activité présentée ici révèle que les SMR produiront des déchets plus volumineux et chimiquement/physiquement réactifs que les LWR, ce qui aura un impact sur les options de gestion et d'élimination de ces déchets. Bien que l'analyse se concentre sur seulement trois des dizaines de conceptions de SMR proposées, la fuite de neutrons intrinsèquement plus élevée associée aux SMR suggère que la plupart des conceptions sont inférieures aux LWR en ce qui concerne la production, la gestion et l'élimination finale des radionucléides clés dans les déchets nucléaires.

    Flockinng investisseurs méfiez-vous.

    La loi d'airain de la capture réglementaire
    Le rôle de l'énergie nucléaire commerciale en tant que «facilitateur» du complexe d'armes nucléaires et de la marine nucléaire américaine contribue sans aucun doute à l'attitude amicale, voire laxiste envers ses agences de réglementation au fil des ans.

    La prise en charge des agences de réglementation étatiques et fédérales par les industries mêmes qu'elles sont chargées de gérer est un phénomène bien documenté avec sa propre littérature abondante regorgeant de modèles explicatifs et de théories sur les incitations, les fonctionnaires de la porte tournante et la tendance apparemment endémique à l'ONU. -corruption réformable.

    En 2006, Werner Troesken a publié un article dans une publication du National Bureau of Economic Research « Corruption and Reform: Lessons from America's Economic History » intitulé Regime Change and Corruption. Une histoire de la réglementation des services publics . Dans ce document, Troesken a examiné l'histoire des commissions des services publics et s'est demandé pourquoi, malgré les tentatives publiques et privées de réforme, la réglementation des services publics semble toujours sombrer dans la corruption. Voici comment il décrit son enquête et ses conclusions dans ce qu'on pourrait appeler la loi d'airain de Troesken sur la corruption PUC :

    « Premièrement, la corruption est endémique dans les industries de services publics ; la corruption existe, sous une forme ou sous une autre, dans tous les régimes de réglementation et de propriété. Deuxièmement, le changement de régime dans les industries de services publics n'élimine pas la corruption ; elle ne fait que modifier le type de corruption observé. Troisièmement, pour tout type de régime de gouvernance (par exemple, réglementation étatique ou propriété municipale), la corruption devient de plus en plus grave au fil du temps et, à un moment donné, devient politiquement intenable… ». p. 260

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  60. "Sur la base des preuves historiques présentées ci-dessus, il semble que la corruption, et la nécessité d'éliminer la corruption lorsqu'elle devient trop coûteuse, expliquent l'efficacité du changement de régime. Dans ce contexte, la direction du changement de régime – du public au privé, ou du privé au public – est d'une importance secondaire. Ce qui compte, c'est un remaniement radical de la matrice institutionnelle pour perturber les relations corrompues sous-jacentes. Malheureusement, cette perturbation n'est que temporaire, et progressivement de nouvelles formes de corruption émergent et doivent à nouveau être combattues par des changements institutionnels. p. 278

    L'attention principale de ce domaine de recherche est concentrée sur les soi-disant «monopoles naturels» comme les sociétés de services publics appartenant à des investisseurs géants connues sous l'acronyme ironiquement approprié IOUs.

    La relation symbiotique entre la Commission de réglementation nucléaire (NRC) et les reconnaissances de dette nucléaires qu'elle « réglemente » supposément s'incarne dans la manière dont l'agence est financée. Une loi fédérale adoptée en 1990 exige qu'environ 90 % du budget de la NRC provienne des frais facturés à ceux qui sont réglementés par l'agence. Le NRC dispose d'un système défini de « frais » qu'il facture à des reconnaissances de dette pour ses « services », comme les inspecteurs sur place, ou l'examen des demandes d'extension ou d'exemption de licence. Les reconnaissances de dette ne paient pas ces frais sur leurs bénéfices, elles les répercutent sur leurs contribuables en tant que dépenses d'exploitation. Ainsi, en effet, "l'agence de régulation" dépend pour son financement, non des contribuables fédéraux dont elle est censée protéger les intérêts, mais des sociétés privées dont elle est censée réglementer rigoureusement les actions.

    C'est ce système symbiotique et co-dépendant qui rend les relations du CNRC avec les reconnaissances de dette si obscures et vulnérables aux compromis apparents et à la corruption.

    Des exemples personnels tirés d'années de rapports sont la California Public Utilities Commission (CPUC) et le NRC.

    En un mot, le schéma est le suivant : si une « entité réglementée » putative trouve qu'il est trop coûteux ou peu pratique de se conformer à une réglementation ou à une loi existante, l'organisme de réglementation la modifiera ou accordera une exemption.

    Une personne qui a été témoin de ce processus tout au long de sa carrière est le regretté ingénieur, avocat et auteur, S. David Freeman. Au cours de sa longue carrière controversée et accomplie, Freeman a dirigé un certain nombre d'organisations énergétiques, notamment la Tennessee Valley Authority, la New York Power Authority, le Sacramento Municipal Utility District et le Los Angeles Department of Water and Power (LADWP). Il détient le record de la fermeture de plus de réacteurs de puissance que tout autre administrateur de services publics.

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  61. L'une de ses dernières réalisations avant sa mort en 2020 a été d'aider à négocier un accord type pour l'arrêt ordonné de la centrale à deux réacteurs de Diablo Canyon de PG&E, un accord en cours d'abrogation par les revivalistes nucléaires et un NRC conforme.

    Dans une interview de 2012 pour notre prochain documentaire The San Onofre Syndrome , M. Freeman avait ceci à dire à propos du NRC : « Je ne pense pas qu'il soit possible pour la Nuclear Regulatory Commission de changer ses habitudes d'être principalement un chiot plutôt qu'un chien de garde. En raison de l'influence de l'industrie - en fait - vous n'êtes pas confirmé aujourd'hui pour siéger à la Commission de réglementation nucléaire à moins que vous ne "croyiez" en l'énergie nucléaire.

    De plus, l'industrie nucléaire fournit 70 % du budget de la NRC.

    Les éléments du culte
    Comme nous l'avons vu, les similitudes frappantes entre la mystique de la culture nucléaire quasi-religieuse et diverses formes de véritable culte des croyants ont été évidentes depuis les débuts de ce que Hertzgaard a surnommé la Fraternité nucléaire américaine. Karl Grossman a interviewé un certain nombre de défenseurs de la sécurité nucléaire sur le sujet dans un article de 2012 intitulé The Nuclear Cult .

    Certaines caractéristiques sociologiques des sectes couramment citées comprennent :

    1. Leadership autoritaire et doctrinaire

    2. Conformité et obéissance inconditionnelles de la part des membres du groupe

    3. Croyance partagée en une orthodoxie ou une idéologie rigide

    4. Revendications de connaissances supérieures et expertes - conviction de partager les connaissances des «faits scientifiques réels»

    5. Redoubler d'affirmations de certitude face à des événements indéniablement contradictoires

    6. Opposition à la dissidence éclairée et réflexion indépendante de la part des membres du groupe

    7. Pressions orchestrées par les pairs et les institutions pour l'application de la conformité

    8. Expulsion, diffamation et persécution des dissidents.

    Tous ces comportements peuvent être observés dans la communauté des revivalistes nucléaires.

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  62. Les deux camps du revivalisme - Héritage et néo-nucléaristes
    La génération senior des partisans du nucléaire de l'après-guerre froide motivés par une idéologie axée sur la sécurité nationale et la compétitivité mondiale a maintenant été rejointe par une génération plus jeune, qui est innocente du lien entre l'énergie et les armes. Au lieu de cela, ils sont motivés par la conviction que – malgré des preuves massives du contraire – l'énergie nucléaire est nécessaire pour sauver le monde du changement climatique. Le même engagement envers l'orthodoxie sectaire semble toujours prévaloir avec cette cohorte, dont beaucoup ont grandi en étant constamment exposés à des manuels et à des programmes scolaires conçus et fournis par l'industrie nucléaire pour présenter l'énergie nucléaire comme « propre, verte, non polluante et sans carbone », un récit extrêmement faux qui sera discuté ci-dessous.

    Un article du New Yorker de 2021 intitulé Les activistes qui adoptent l'énergie nucléaire par Rebecca Tuhus-Dubrow a dressé le profil de trois membres de cette nouvelle race de revivalistes. Michael Shellenberger du Breakthrough Institute est décrit comme « un personnage controversé, connu pour sa défense pugiliste de l'énergie nucléaire et sa critique acerbe des écologistes dominants », c'est-à-dire ceux qui défendent les énergies renouvelables.

    Après avoir vu Shellenberger en vedette dans le film pro-nucléaire "Pandora's Promise", et l'avoir entendu parler, deux jeunes femmes, Heather Hoff et Kristin Zaitz, ont rejoint le combat pour "Save Diablo Canyon" et ont cofondé une petite organisation à but non lucratif appelée Mothers for Nucléaire , « qui soutient que le nucléaire est un outil indispensable dans la quête d'une société décarbonée ».

    Le site Web joyeux du groupe présente des images de mamans heureuses et de leurs petits enfants et proclame son objectif d'avoir "un dialogue avec d'autres qui veulent protéger la nature pour les générations futures".

    Le revivalisme nucléaire n'est plus un culte réservé exclusivement aux cheveux gris.

    Balayé sous le tapis cognitif - L'insoluble devient l'indicible devient l'invisible
    Les nouveaux bombes nucléaires et les happytalk revivalistes - à l'exception des assurances standard de Pollyanna - sont les problèmes fondamentalement insolubles de 1) la prolifération, 2) la pollution, 3) la séquestration permanente des déchets et 4) l'empoisonnement du pool d'ADN de toutes les formes de vie de la planète. Appelez-les les quatre P toxiques de l'économie du plutonium (Pu).

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  63. 1. Prolifération

    La co-dépendance symbiotique entre l'énergie nucléaire et la production d'armes - longtemps niée depuis l'époque d'Atoms for Peace, mais maintenant, comme indiqué ci-dessus, utilisée comme justification du renouveau nucléaire - n'a jamais vraiment été un secret. Ipso facto, une nation dotée d'une capacité de production d'énergie nucléaire est un État potentiellement doté d'armes nucléaires. Ajoutez à cela le fait, illustré par les récents événements survenus au complexe ukrainien de Zaporizhzhia, que chaque réacteur nucléaire et site de stockage de déchets radioactifs sont des bombes nucléaires en place attendant d'être ciblées par tout adversaire ayant accès à des explosifs ou des projectiles conventionnels.

    Mais ajoutez à cela la notion actuellement évoquée d'"armes nucléaires utilisables ou à faible rendement". C'était un concept introduit sous l' administration Trump en 2019, et reste dans l'examen de la posture nucléaire (NPR) de 2022 de l'administration Biden.

    La Campagne pour le désarmement nucléaire (CND) et Beyond Nuclear rapportent que,

    En octobre, l'administration Biden a publié son Examen de la posture nucléaire (NPR) 2022, bien plus tard que prévu. Le retard aurait été dû à des divergences sur des aspects importants de la politique nucléaire américaine.

    La position déclarée de Biden lors de sa campagne électorale indiquait que les nouvelles armes nucléaires de l'ancien président Trump seraient abandonnées, que la dépendance à l'égard des armes nucléaires dans la stratégie militaire américaine serait réduite et que le contrôle des armements serait relancé.

    Il a également indiqué qu'il s'orienterait vers une politique de « non-utilisation en premier » et de « but unique » pour les armes nucléaires ; "unique but" signifie que "dissuader" et répondre à une attaque nucléaire serait le seul objectif de l'arsenal nucléaire américain plutôt que la posture nucléaire actuelle qui envisage son utilisation potentielle contre une série de menaces, y compris une cyber-attaque écrasante.

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  64. Le document est loin des changements espérés. Le système de missiles de croisière lancé par sous-marin de Trump est annulé et la bombe à gravité B83-1 est retirée, mais la bombe nucléaire "utilisable" de Trump, la W76-2, est conservée, bien qu'elle soit décrite comme "inutile, inutile et inutile". indéfendable » dans le manifeste du Parti démocrate.

    Le non-emploi en premier et l'objectif unique n'ont pas été adoptés, et le remplacement complet de la «triade» et d'autres programmes de modernisation nucléaire sont en cours.

    Malgré leurs obligations au titre du Traité de non-prolifération , les États-Unis semblent une fois de plus ouvrir la voie à la normalisation de… la prolifération des armes nucléaires.

    2. Pollution

    Les émissions chimiques radioactives et toxiques de routine dans l'air ambiant et les environnements aquatiques impliqués dans le fonctionnement quotidien normal de toutes les centrales nucléaires sont invisibles et invisibles. Faire mentir les affirmations de "propre, vert, non polluant et sans carbone" est le fait que l'ensemble du cycle nucléaire, de l'extraction et de l'usinage au transport de la chaîne d'approvisionnement en passant par la gestion des déchets, est à forte intensité de carbone.

    À l'exception de la centrale électrique de Palo Verde en Arizona, qui utilise l'eau d'égout traitée des communautés environnantes pour le refroidissement, les centrales nucléaires sont uniformément situées sur les rivières, les lacs et les océans. Des milliers de gallons d'eau provenant de ces sources circulent quotidiennement dans ces usines pour être refroidies et rejetées dans les environnements marins à des températures beaucoup plus élevées qu'au moment où elles y sont entrées. L'impact nocif de ces rejets sur la vie aquatique est largement documenté. Ajoutez à cela les centaines de contaminants radioactifs - y compris le carbone 14 radioactif - qui sont régulièrement rejetés sous forme gazeuse dans l'atmosphère.

    Et puis il y a le brouillard de tritium qui entoure chaque centrale nucléaire en activité. Le Dr Ian Fairlie, spécialiste des rayonnements dans l'environnement, explique, « Les installations nucléaires émettent de très grandes quantités de tritium, 3H, l'isotope radioactif de l'hydrogène. De nombreuses preuves issues d'études cellulaires/animales et de la théorie de la biologie des rayonnements indiquent que le tritium est plus dangereux que les rayons gamma et la plupart des rayons X.… Le taux d'échange moléculaire exceptionnellement élevé du tritium avec les atomes d'hydrogène sur les molécules adjacentes le rend extrêmement mobile dans l'environnement. Ceci, ajouté au fait que la forme la plus courante de tritium est l'eau, c'est-à-dire l'eau radioactive, signifie que, lorsque le tritium est émis par les installations nucléaires, il contamine rapidement tout le biote des zones adjacentes. Le tritium se lie à la matière organique pour former du tritium organiquement lié (OBT) avec de longs temps de séjour dans les tissus et les organes, ce qui le rend plus radiotoxique que l'eau tritiée (HTO). Des études épidémiologiques indiquent une augmentation des cancers et des malformations congénitales à proximité des installations nucléaires. Il est recommandé que les exploitants nucléaires et les scientifiques soient correctement informés des dangers du tritium ; que les facteurs de sécurité du tritium doivent être renforcés ; et qu'un système de risque pour les radionucléides communs soit établi.

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  65. Indian Point et Pilgrim comme exemple - Decom et Radwaste Management en tant que «nouvelle classe d'actifs» et secteur de profit… pour les capitalistes de Radwaste Vulture
    Alors que les réacteurs vieillissants sont arrêtés à la fin de leur durée de vie nominale et de leurs accords de licence d'exploitation, ils deviennent le centre de ce que l'on pourrait appeler « le derby de démolition radioactive ». Tous les composants de l'usine usée - à la fois les infrastructures en surface et souterraines, la plupart radioactives - doivent être soigneusement démontés en morceaux de gravats gérables afin d'être emportés vers "Ailleurs".

    Cela double effectivement la zone contaminée, car il est impossible d'éliminer complètement toutes les particules radioactives sur le site d'origine, malgré les assurances de l'industrie. De plus, le transport des substances contaminées implique inévitablement des fuites et le rejet de petites particules en cours de route. En « diluant » le pourcentage de matériaux intensément radioactifs avec des gravats moins contaminés, une grande partie des déchets radioactifs peut être déversée dans les dépotoirs municipaux ordinaires. Cela peut créer des lixiviats radioactifs dans les cours d'eau et les eaux souterraines à proximité.

    Radwaste Vulture Capitalists

    Une telle entreprise à grande échelle et à long terme a besoin d'une industrie d'entrepreneurs ambitieux qui prennent des risques. Créez le besoin, et ils viendront. Et en effet ils l'ont fait. Appelez-les Radwaste Vulture Capitalists.

    Le principal enfant emblématique de cette nouvelle race est Kris Singh, PDG de son conglomérat familial mondial opérant sous l'égide de Holtec International, une société privée exemptée de divulgation financière publique.

    Le conglomérat Holtec se compose de plus de 20 divisions, filiales et fiducies sous le contrôle personnel de M. Singh, couvrant au moins 8 pays des États-Unis à l'Europe, l'Amérique du Sud, l'Afrique, l'Asie et l'Ukraine.

    Deux des nombreux projets d'Holtec aux États-Unis et dans le monde sont le démantèlement des centrales nucléaires d'Indian Point et de Pilgrim, récemment fermées, l'une sur l'Hudson, l'autre sur la baie de Cape Cod.

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  66. L'Indian Point Safe Energy Coalition (IPSEC) a rassemblé des profils d'entreprises révélateurs pour Holtec et son homologue canadien SLC-Lavalin. Le casier judiciaire d'Holtec comprend des condamnations pour corruption, fraude fiscale dans au moins deux États et un dossier de contrôle de la qualité de fabrication douteux, de rapports erronés au NRC et de multiples cas d'abus de travail.

    La vision de Singh semble non seulement imposer une domination horizontale du démantèlement et du stockage des déchets radioactifs, de la fabrication de conteneurs à l'installation et à l'exploitation d'installations indépendantes de stockage du combustible usé (ISFSI) dans les usines à l'arrêt, à la construction et à l'exploitation d'un stockage provisoire consolidé (CIS). ) installations. Il vise également à conquérir le marché de la fabrication d'une nouvelle génération proposée de réacteurs dits petits modulaires (SMR).

    Les deux circonstances clés sous-jacentes au démantèlement d'Holtec. modèle d'affaires sont ceux-ci:

    Accès à d'énormes fonds fiduciaires de déclassement
    La centrale nucléaire de chaque service public dispose d'un fonds en fiducie pour le déclassement (DTF) constitué à partir des contributions requises des contribuables au cours des années d'exploitation de la centrale.

    Celles-ci vont de plusieurs millions de dollars à plusieurs milliards pour chaque centrale nucléaire.

    L'intention initiale derrière le DTF était qu'une fois l'usine fermée, les fonds accumulés seraient utilisés pour couvrir les coûts de démolition de l'usine, l'élimination des décombres (la plupart radioactifs), ramenant théoriquement le site au «statut de terrain vierge». sans danger pour les loisirs, le développement résidentiel et d'autres utilisations. Tout argent DTF restant à la fin de ce processus reviendrait aux contribuables.

    Accès au remboursement fédéral des frais de stockage de combustible nucléaire «usé»
    L'autre élément clé du contexte est que, selon la loi de 1982 sur la politique des déchets nucléaires, les compagnies d'électricité qui exploitent des réacteurs nucléaires américains ont des contrats avec le ministère de l'Énergie (DoE) pour l'enlèvement du combustible usé des réacteurs. Le DOE devait commencer à déplacer le combustible usé des réacteurs des installations d'énergie nucléaire à partir de 1998 vers le stockage géologique en profondeur.

    Le seul site de ce type qui ait jamais été développé, Yucca Mountain au Nevada, a été choisi pour des raisons politiques et fermé pour des raisons scientifiques après que des milliards aient été dépensés.

    Puisqu'il n'existe aucun dépôt géologique, les services publics doivent conserver les déchets « échoués » sur place et ont commencé à poursuivre avec succès le gouvernement fédéral pour récupérer les dépenses encourues. C'est une autre cagnotte financée par les contribuables.

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  67. Entrez dans le modèle économique Holtec :
    Sécuriser le contrat pour fournir les composants de l'ISFSI - conception, construction et gestion ;
    Sécuriser le contrat de démantèlement de l'usine ;
    Achetez la plante;
    Rechercher et recevoir diverses exemptions réglementaires de la NRC ;
    Démolir l'usine rapidement et à moindre coût grâce à la nouvelle technologie de segmentation de réacteur HI-CUT d'Holtec ;
    Empochez les fonds DTF restants, au lieu de les restituer aux contribuables ;
    S'il ne reste plus d'argent DTF, demandez aux contribuables de payer l'onglet;
    Poursuivre le DoD pour le stockage du SNF bloqué ;
    Établir et exploiter une installation de stockage provisoire consolidé (CIS) ;
    Sécurisez le contrat pour transporter le SNF échoué vers le CIS Holtec, en utilisant des fûts de transport Holtec.
    Intention possible de retraiter le combustible nucléaire "usé"
    Il suffit de voir comment l'argent rentre.

    Mais, pour en revenir à la question de la pollution , dans le cas d'Indian Point et de Pilgrim, il y a un autre problème : que faire des centaines de gallons d'eau toxique, extrêmement radioactive et tritiée maintenant contenus dans les piscines de traitement du combustible des usines ?

    La réponse d'Holtec est - sans tenir compte du terrible avertissement d'Ian Fairlie cité ci-dessus - "déversez-le dans la baie d'Hudson et de Cape Cod", sans parler de l'impact sur l'approvisionnement en eau potable de sept communautés voisines de la rivière Hudson, ou sur la vie marine de Cape Cod. sanctuaire marin.

    3. Recherche de séquestration - Dépôts géologiques profonds, trous de forage profonds et Doo-Doo profond

    La fin de Yucca Mountain - comme indiqué, pour des raisons scientifiques et non politiques - n'a pas refroidi l'enthousiasme des revivalistes qui poussent à faire revivre Yucca Mountain ou un nouvel homologue. Mais cela met en évidence des problèmes plus larges et plus profonds avec le concept même de confinement radiologique à long terme au moyen d'un enfouissement profond de toute sorte.

    En plus des cavernes d'enfouissement profondes contenant plusieurs centaines ou milliers de conteneurs de déchets simultanément, l'idée de séquestrer les conteneurs de déchets dans ce qu'on appelle des forages profonds a récemment gagné en popularité dans certains cercles revivalistes. Ceux-ci seraient dispersés à la fois sur terre et sous la mer dans la roche ou la boue du fond de l'océan.

    Impliqués dans tous ces concepts, il y a beaucoup de ce que l'ancien secrétaire américain à la Défense, Donald Rumsfeld, a un jour appelé les «inconnus inconnus». Voici une courte liste de quelques-uns de ce que Rumsfeld aurait pu appeler les "inconnus connus":

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  68. Les événements sismiques à court et à long terme et leurs résultats sont inconnus
    Le taux et les effets de l'accumulation de chaleur à partir de plusieurs conteneurs de déchets thermiquement chauds au fil du temps sont inconnus
    Le taux et les effets de l'accumulation au fil du temps d'hydrogène et d'autres gaz explosifs sont inconnus

    Le taux et l'étendue de la corrosion et de la dégradation des contenants au fil du temps sont inconnus
    Il n'existe pas de capteurs robotiques à longue durée de vie pour une large gamme d'éléments potentiellement émis et la possibilité ou le rythme de leur développement est inconnu
    Tous les moyens d'empêcher la génération future d'accéder accidentellement ou intentionnellement aux matériaux souterrains mortels sont inconnus.

    L'analyste des systèmes Donna Gilmore, qui exploite SanOnofreSafety.org , cite plusieurs rapports gouvernementaux pour étayer sa conclusion selon laquelle "tout dépôt géologique n'est pas réalisable à court ou à long terme". Elle note que le «Rapport de décembre 2017 de la Commission d'examen technique des déchets nucléaires au Congrès» indique que les déchets de combustible nucléaire usé doivent être surveillés et conservés dans un stockage à sec de manière à prévenir les explosions d'hydrogène gazeux pour le stockage à court et à long terme. Cela n'est pas fait actuellement et ne peut pas être fait avec les canisters soudés à paroi mince. Cela ne peut être fait qu'avec des fûts à couvercle boulonné à paroi épaisse, comme ceux utilisés dans la plupart des pays du monde et dans certaines installations américaines. Voir ici .

    Et ici .

    Elle fait référence à Rock Solid? Un examen scientifique du stockage géologique des déchets hautement radioactifs , un rapport de septembre 2010 pour Greenpeace par Helen Wallace :

    "Cet aperçu de l'état de la recherche et des preuves scientifiques concernant le stockage souterrain à long terme des déchets hautement radioactifs montre qu'il n'existe aucune solution permanente sûre connue. [soulignement ajouté] Cet examen identifie un certain nombre de phénomènes qui pourraient compromettre les barrières de confinement, entraînant potentiellement des rejets importants de radioactivité :

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  69. ▪ Les conteneurs et les suremballages en cuivre ou en acier contenant du combustible nucléaire usé ou des déchets hautement radioactifs pourraient se corroder plus rapidement que prévu.

    ▪ Les effets de la chaleur intense générée par la décroissance radioactive et des perturbations chimiques et physiques dues à la corrosion, à la génération de gaz et à la biominéralisation pourraient altérer la capacité des matériaux de remblai à piéger certains radionucléides.

    ▪ L'accumulation de pression de gaz dans le stockage, résultant de la corrosion des métaux et/ou de la dégradation des matières organiques, pourrait endommager les barrières et forcer des voies rapides d'échappement des radionucléides à travers les fractures des roches cristallines ou les pores des roches argileuses.

    ▪ Des effets chimiques mal compris, comme la formation de colloïdes, pourraient accélérer le transport de certains des éléments les plus radiotoxiques comme le plutonium.

    ▪ Des fractures et des failles non identifiées, ou une mauvaise compréhension de la manière dont l'eau et le gaz s'écouleront à travers les fractures et les failles, pourraient entraîner le rejet de radionucléides dans les eaux souterraines beaucoup plus rapidement que prévu.

    ▪ Le creusement du stockage endommagera les zones rocheuses adjacentes et pourrait ainsi créer des voies rapides d'évacuation des radionucléides.

    ▪ Les générations futures, à la recherche de ressources souterraines ou d'installations de stockage, pourraient accidentellement creuser un puits dans la roche autour du stockage ou un puits dans les eaux souterraines contaminées au-dessus de celui-ci.

    ▪ Les futures glaciations pourraient provoquer des failles dans la roche, la rupture des conteneurs et la pénétration des eaux de surface ou du pergélisol jusqu'à la profondeur du stockage, entraînant la rupture des barrières et une dissolution plus rapide des déchets.

    ▪ Les tremblements de terre pourraient endommager les conteneurs, le remblai et la roche.

    Il semble que la Yellow Brick Road menant à l'élimination / à l'abandon en profondeur soit jonchée de gouffres profonds - sans parler des problèmes de transport liés à des milliers d'expéditions de matières radioactives mortelles circulant sur des routes, des rails et des ponts mal entretenus. Des barges sujettes aux tempêtes, s'échouant et chavirant sont également proposées pour déplacer ces charges létales.

    Ergo : stockez-le là où il se trouve sur les sites de réacteurs dans les systèmes de confinement les plus sûrs, les plus robustes et les plus modernes actuellement disponibles.

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  70. 4. ADN et dommages environnementaux
    La contamination massive due à l'extraction de l'uranium et à la production d'énergie nucléaire et d'armes a déjà affecté de manière irréversible l'environnement planétaire et les pools génétiques des humains et de toutes les autres espèces. Avant le traité interdisant les essais d'armes nucléaires dans l'atmosphère, dans l'espace extra-atmosphérique et sous l'eau, à Moscou le 5 août 1963, les nations nucléaires avaient déjà contaminé l'environnement terrestre et proche de l'espace avec 528 explosions atomiques atmosphériques, au moins une dans le Ceinture de rayonnement de Van Allen entourant la terre. 1 528 explosions nucléaires souterraines ultérieures ont également évacué des matières radioactives dans l'atmosphère et laissé une contamination radioactive dans le sol. Selon l' Arms Control Association, un total de 2 056 tests de toutes sortes ont été effectués. Les populations autochtones du monde entier sont les plus directement touchées, mais l'ensemble de la population mondiale continue d'être touchée.

    - voir graph sur site -

    Graphique : Arms Control Association

    Il n'existe aucune solution d'« élimination » permanente
    L'élimination permanente des déchets qui restent mortels pour tous les êtres vivants depuis plus longtemps que la civilisation n'existe encore, est un défi toujours non relevé malgré plus d'un demi-siècle de tentatives infructueuses et de promesses vides. Compte tenu des mouvements terrestres imprévisibles, de la mobilité de l'eau et de l'inévitable accumulation de chaleur provenant de conteneurs densément concentrés hautement radioactifs, les milliers de tonnes de «combustible usé» thermiquement et radioactivement chaud provenant de quelques décennies seulement d'exploitation du réacteur ne peuvent pas être stockés de manière sûre ou permanente. « éliminé » avec la technologie actuelle.

    Le rêve d'un enfouissement et d'un abandon géologiques profonds et permanents s'est jusqu'à présent révélé irréalisable et continuera probablement de le faire. Aux États-Unis, bien que le ministère de l'Énergie ait promis de prendre possession de ces déchets, aucun site central de stockage fédéral n'existe encore, ni à l'horizon.

    Des milliers de tonnes de déchets radioactifs mortels provenant de centrales nucléaires sont "bloqués" et stockés de manière dangereuse dans des conteneurs en acier minces et sujets à la corrosion, sur au moins 85 sites de réacteurs américains à travers le pays. 92 réacteurs américains en fonctionnement génèrent 2 000 tonnes de déchets supplémentaires chaque année.

    La meilleure approche disponible
    La meilleure approche disponible semble être les composantes de ce que font les Suisses et les Allemands. Ils utilisent des constructions très coûteuses conçues pour durer plus de cent ans : des bâtiments renforcés à ambiance contrôlée dans lesquels les déchets sont stockés dans des emballages à parois épaisses, robustes, contrôlables, mobiles et réparables.

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  71. - voir schéma sur site -

    Installation de confinement des déchets radioactifs à la pointe de la technologie – zwilag.ch

    Il faut également sur chaque site une cellule dite sèche ou chaude, une installation hermétique dans laquelle les emballages endommagés peuvent être réparés ou les déchets reconditionnés à distance et de manière robotisée. Ces "cellules chaudes" sont nécessaires car les assemblages combustibles "usés" de l'énergie nucléaire sont mortels pour l'homme et l'exposition à l'oxygène doit être évitée pour éviter la combustion et l'explosion.

    Les cellules 'sèches' ou 'chaudes' permettent la manipulation à distance de matières hautement radioactives dans un environnement scellé, rendant possible le reconditionnement des déchets. – Photo d'archive.

    L'espoir d'un entretien transgénérationnel et continu de ces types d'installations - nécessitant l'engagement, le savoir-faire et les ressources nécessaires - est qualifié par les partisans de Rolling Stewardship . Cette méthode transmet aux générations futures le fardeau existentiellement nécessaire de gérer l'héritage mortel de quelques décennies seulement de production d'énergie nucléaire.

    Intendance à long terme (LTS) ou abandon
    Le Dr Gordon Edwards est le président de la Coalition canadienne pour la responsabilité nucléaire (CCNR) et l'un des principaux défenseurs de ce qu'il appelle l'intendance à long terme, ou LTS. Il explique,

    « Les déchets nucléaires restent nocifs pendant des périodes de temps inimaginables. Jusqu'à ce que les déchets puissent être éliminés, ils doivent être gérés sur une base multigénérationnelle. Cela implique une surveillance continue et une récupération et un reconditionnement périodiques (par exemple, 50 à 100 ans). Rolling Stewardship implique la persistance de la mémoire : la transmission précise des informations et le transfert de responsabilité d'une génération à l'autre. Par exemple, il pourrait y avoir un cérémonial de « relève de la garde » tous les 20 ans, accompagné d'une profonde refamiliarisation et requalification des déchets.

    « Rolling Stewardship garantira que les fuites peuvent être rapidement détectées et corrigées. Il constituera également une incitation constante à améliorer le confinement et à trouver une solution au problème des déchets. Mais cela nécessite une planification et un engagement méticuleux pour réussir.

    « Les concepts d'abandon et d'élimination sont intimement liés. Selon l'AIEA, « élimination » signifie qu'il n'y a aucune intention de récupérer les déchets à l'avenir – bien qu'une telle récupération puisse, avec difficulté, être possible ; les déchets sont abandonnés.

    - voir cadre sur site -

    Source graphique : http://www.ccnr.org/CCNR_NRC_2013.pdf

    Une telle éthique de responsabilité à long terme est absente des idéologies mutuellement compliquées des deux cultes et cultures imbriqués dont nous avons discuté.

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  72. Deux cultes sont plus puissants qu'un
    Les mêmes comportements sectaires détaillés ci-dessus en référence aux vrais croyants de la renaissance nucléaire peuvent également être observés dans le comportement des membres de la Première Église de la Guerre Permanente pour le Profit Perpétuel.

    Ces deux cultes et cultures symbiotiques, co-dépendants et mutuellement entrelacés - War Heads et Reactor Heads - tirent le meilleur parti de leurs moments historiques de domination.

    Appelez ce monstre à deux têtes la matrice militaro-nucléaire - appelez-les ensemble, Armageddon Man.

    L'espoir de cet essai est qu'une fois rendue visible, cette entité pernicieuse ne puisse pas redevenir invisible, et donc sans opposition, par ce qu'Eisenhower appelait autrefois, espérons-le, "une population alerte et bien informée".

    Ce monstrueux modèle de gouvernance est, en fait, remis en question par au moins deux paradigmes en lice : le modèle transhumaniste, technocratique, centré sur l'entreprise, promulgué par le Forum économique mondial (WEF), et le modèle décentralisé, centré sur Nous le Peuple, démocratie profonde, grande diversité, paradigme planétaire commençant à émerger de la base.

    Mais c'est un sujet pour de futurs articles.

    Un message d'adieu d'un homme qui savait de quoi il parlait
    Dans l'interview mentionnée ci-dessus, feu David Freeman a évoqué ses expériences à la tête de la Tennessee Valley Authority (TVA) et, plus tard dans sa longue carrière, du Sacramento Municipal Utility District (SMUD). Il semble approprié de conclure avec ses sages paroles.

    « Ma première exposition à l'énergie nucléaire en tant que cadre était à l'époque [à la TVA], et j'ai trouvé que pour rendre même les normes de sécurité du CNRC, elles coûtaient tout simplement trop cher, et nous étions mieux avec la conservation, et nous avions un énorme programme d'efficacité énergétique moins cher, plus rapide et beaucoup plus propre que l'énergie nucléaire.

    "Puis je suis [plus tard] passé à la gestion du district municipal de Sacramento (SMID), et les gens ont voté pour fermer le réacteur nucléaire là-bas. J'avais pour tâche d'enterrer la plante. Il fournissait cinquante pour cent de l'alimentation électrique de SMUD, et nous avons pu le remplacer sans augmentation de tarifs, et Sacramento était maintenant l'un des meilleurs services publics du pays - des tarifs raisonnables, et la vie était bien meilleure après l'énergie nucléaire.

    "Mais ce qui m'a vraiment fait changer d'avis, c'est quand j'ai visité Tchernobyl cinq ans après l'accident de 1991, et j'ai vu un monument avec le nom de villageois qui étaient morts.

    «Je suis allé là-bas et j'ai parlé à quelques personnes qui traînaient encore, et quand je leur ai parlé de la possibilité de l'énergie solaire, ils ont en fait pleuré de joie qu'il y avait une alternative. Et j'ai rencontré les mères des enfants pauvres qui défilaient le 1er mai, cinq jours après l'accident et qui ont été exposées parce que les Soviétiques ne leur en avaient pas parlé, et j'ai réalisé que c'était un monstre.

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  73. "Et donc aujourd'hui, j'ai le sentiment que nous avons reçu le dernier réveil à Fukushima et que nous devons éliminer progressivement et fermer les 104 [maintenant 92] réacteurs en Amérique.

    "Je vais le dire très crûment : nous devons les tuer avant qu'ils ne nous tuent."

    La dénucléarisation en trois étapes - Une vision
    1. Éliminer et arrêter tous les réacteurs nucléaires, y compris ceux qui alimentent toutes les marines nucléaires du monde.

    2. Proscrire la production et la possession d'armes thermonucléaires et de technologies de propulsion sur terre, sous la mer et dans l'espace.

    3. Exiger, par un traité international exécutoire, le confinement des déchets radioactifs existants avec les meilleures méthodes de pointe disponibles, et interdire toute production supplémentaire.

    "Là où il n'y a pas de vision, le peuple périt..." – Proverbes 29:18-27

    "Le plus long voyage commence par un seul pas" - Laozi, Dao De Jing, Chapitre 64

    Une action que vous pouvez entreprendre pour arrêter Armageddon Man :
    L'horloge de la fin du monde a coché 10 secondes plus près de minuit. Envoyez un e-mail MAINTENANT…

    À : audience.docket@nrc.gov , paul.bollwerk@nrc.gov

    Objet : Proposition de demande de modification de licence, Services de combustible nucléaire, Dossier n° 70-143

    Dans le corps du message, incluez les salutations et les lignes d'ouverture suivantes…

    Honorable président du comité de l'ASLB et personnel d'élaboration des règles et d'arbitrage du CNRC :

    Merci pour votre MEMORANDUM du 23 janvier 2023. Je soumets une déclaration de comparution limitée afin d'informer le Conseil de la sécurité atomique et des licences de mes préoccupations en cause dans la procédure en question.

    Ensuite, écrivez vos commentaires, signez avec /s/ avant votre nom et envoyez dès que possible.

    Merci pour votre solidarité et pour avoir gêné la bombe ~~ ECAN & APEC (Appalachian Peace Education Center's Peaceful Planet Committee)

    https://www.globalresearch.ca/hydra-heads-armageddon-man/5807430

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    1. Le nucléaire est la meilleure arme qu'il soit de posséder car le pays agresseur s'élimine de lui-même.

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  74. Inflation galopante, ballons espions chinois et encore plus de guerre


    De David Stockman
    Homme international
    25 février 2023


    Eh bien, au moins, nous commençons à avoir des éclaircissements. L'Amérique n'est pas attaquée par des extraterrestres et probablement pas par les Chinois rouges non plus. Cependant, il est définitivement bombardé par l'inflation, la fièvre de la guerre et, apparemment, la Northern Illinois Bottlecap Balloon Brigade (NIBBB).

    Déballons.

    La récente frénésie médiatique à propos des intrus dans le ciel est devenue silencieuse sur CNN et dans le New York Times. C'est peut-être parce que Sleepy Joe lui-même nous a maintenant assuré que les trois derniers intrus abattus avec des missiles Sidewinder d'un demi-million de dollars n'ont pas été envoyés par les Chicoms, après tout.

    "L'évaluation actuelle de la communauté du renseignement est que ces trois objets étaient très probablement des ballons liés à des entreprises privées, des instituts de loisirs ou de recherche étudiant la météo ou menant d'autres recherches scientifiques",

    Ensuite, pour faire bonne mesure, l'attachée de presse toujours risible de la Maison Blanche, Karine Jean-Pierre, a assuré qu'ils n'étaient pas non plus la progéniture d'extraterrestres extraterrestres.

    "Je sais qu'il y a eu des questions et des inquiétudes à ce sujet, mais il n'y a aucune - encore une fois, AUCUNE - indication d'extraterrestres ou d'activité extraterrestre avec ces récents démontages."

    Ouf ! Bon à savoir.

    Pourtant, nous apprenons maintenant qu'il y a encore plus de bonnes nouvelles. Selon un rapport d'Aviation Week, au moins l'un des objets pourrait avoir été un ballon de loisir porté disparu par un club de l'Illinois qui lance de petits ballons avec des dispositifs de repérage capables de parcourir le globe à haute altitude.

    Le club, la Northern Illinois Bottlecap Balloon Brigade (NIBBB), a déclaré que son ballon de 12 $ avec radio amateur attaché avait été capté pour la dernière fois par signal radio le 10 février à 38 910 pieds au large de la côte ouest de l'Alaska, et qu'il était projeté de flotter au-dessus territoire du centre du Yukon le jour suivant, le 11 février.

    À propos, c'était le même jour qu'un F-22 américain a abattu un objet dans la même zone, ce qui en fait sûrement l'objet à emporter le plus cher de l'histoire militaire.

    Hélas, ce ballon abattu a disparu dans la substance blanche ci-dessous - nous n'avons donc pas encore la preuve officielle des intrépides défenseurs de l'espace aérien américain que ce n'était pas un ballon rouge menaçant. Mais le NIBBB assure avoir lancé ce qu'on appelle un "pico ballon" qui a traversé les territoires décrits ci-dessus aux jours et heures indiqués.

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  75. Dans tous les cas, un "pico ballon" est un petit ballon argenté de style fête qui porte un émetteur. Par coïncidence, une note de service du Pentagone décrit l'objet qui a été abattu au-dessus du Canada comme un "petit ballon métallique avec une charge utile attachée en dessous".

    Ainsi, comme Edward Snowden l'a tweeté,

    …… s'il vous plaît, dites-moi que la maison blanche n'a pas passé le mois de février à brouiller des jets pour tirer des missiles de 400 000 $ sur le BALLON DE DOUZE DOLLARS du club de loisir local …… .. seigneur, ayez pitié

    Oui, la toute petite chose verte dans la main du monsieur ci-dessus est la dangereuse "charge utile" que Joe Biden a ordonné d'effacer. Sans aucun doute, voici un gros plan de ladite charge utile.

    Source : qrp-labs

    Il reste, bien sûr, le ballon original repéré au-dessus du Montana à l'œil nu qui a déclenché toute la frénésie. Mais pour notre argent, nous doutons sérieusement qu'il s'agisse d'un ballon de surveillance chinois hostile.

    Après tout, les Chicoms ont lancé plus de 100 satellites de surveillance dotés d'une technologie d'espionnage de pointe, qui leur a dit il y a longtemps tout ce qu'ils devaient savoir sur les sites de missiles américains Minuteman. Et, bien sûr, ce n'est rien comparé aux quelque 350 satellites fouineurs de Washington (y compris les recrues du secteur privé), qui suivent tout et n'importe quoi - civils et militaires - qui sont lancés dans le ciel au-dessus de l'Empire du Milieu.

    En effet, le stratagème du ballon rouge est si ridicule qu'il rappelle aux débutants de la propagande incessante de l'État profond qu'il y a près de 63 ans, Gary Powers a été abattu au-dessus de l'Union soviétique et capturé vivant. Cela a également fait la une des journaux du jour, en partie parce qu'il a été révélé que son avion espion U-2 transportait du matériel photographique capable de capturer des images aussi petites que trois pieds de large au niveau du sol.

    Pour avoir crié à haute voix, c'était il y a six décennies !

    Dans l'intervalle, le secteur de la surveillance est passé des avions à haute altitude à des satellites à altitude beaucoup plus élevée, équipés d'équipements de surveillance de haute technologie que même Gary Powers aurait pensé être de la pure science-fiction. Sur la base de ces capacités, la Chine savait déjà tout ce qu'il y avait à savoir sur les sites Minuteman du Montana et du Dakota du Sud.

    Autrement dit, les trucs extra-secrets qu'ils n'auraient pas pu obtenir de sources publiques !

    Quant à la façon dont le ballon chinois a traversé les Aléoutiennes en Alaska puis s'est dirigé vers le sud dans le Montana, ce n'était probablement pas dû à un pilote de l'armée de l'air chinoise assis derrière un écran d'ordinateur en temps réel, un joystick à la main.

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  76. Et ne nous croyez pas sur parole. L'explication du pistolet fumant ci-dessous vient probablement directement de la CIA via son patsy en propriété exclusive autrement connu sous le nom de Washington Post :

    Au moment où un ballon espion chinois a traversé l'espace aérien américain à la fin du mois dernier, les agences militaires et de renseignement américaines le suivaient depuis près d'une semaine, le regardant décoller de sa base d'attache sur l'île de Hainan, près de la côte sud de la Chine.

    Des moniteurs américains ont observé le ballon s'installer dans une trajectoire de vol qui semblerait l'avoir conduit au-dessus du territoire américain de Guam. Mais quelque part le long de cette route vers l'est, l'engin a pris une direction nord inattendue, selon plusieurs responsables américains, qui ont déclaré que les analystes examinaient maintenant la possibilité que la Chine n'ait pas l'intention de pénétrer le cœur des États-Unis avec son dispositif de surveillance aéroporté.

    Vers le 24 janvier, alors que le ballon se serait trouvé à environ 1 000 milles au sud du Japon, des simulations de modèles montrent qu'il a commencé à prendre de la vitesse et à virer rapidement vers le nord. Cela aurait été en réponse à un fort front froid qui avait libéré un air exceptionnellement glacial sur le nord de la Chine, la péninsule coréenne et le Japon.

    Normalement, les mouvements de direction atmosphériques auraient maintenu le ballon sur une trajectoire beaucoup plus ouest-est, selon les données météorologiques historiques. Cependant, le front froid intense a forcé le courant-jet et les courants de direction à haute altitude à plonger vers le sud et a peut-être entraîné le ballon vers le nord.

    Le ballon a flotté au-dessus des îles Aléoutiennes de l'Alaska à des milliers de kilomètres de Guam, puis a dérivé au-dessus du Canada, où il a rencontré des vents violents qui semblent avoir poussé le ballon vers le sud dans la partie continentale des États-Unis, ont déclaré les responsables, s'exprimant sous couvert d'anonymat pour décrire intelligence sensible. Un avion de chasse américain a abattu le ballon au large des côtes de la Caroline du Sud le 4 février, une semaine après avoir traversé l'Alaska.

    Ce nouveau récit suggère que la crise internationale qui s'en est suivie et qui a exacerbé les tensions entre Washington et Pékin pourrait avoir été au moins en partie le résultat d'une erreur.

    Vous ne dites pas !

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  77. Mais considérez simplement les implications. Washington est tellement en proie à la fièvre de la guerre qu'il a apparemment suffi de deux fronts froids, l'un sur le nord de la Chine et l'autre sur l'ouest du Canada, pour transformer ce gros ballon rouge errant en une attaque menaçante contre la souveraineté même de la patrie.

    Comme l'a observé le toujours astucieux Moon of Alabama, l'hystérie des ballons n'a jamais été crédible en premier lieu :

    Cela rejette également les risibles affirmations du Pentagone selon lesquelles le ballon avait des hélices et un gouvernail et était donc orientable. Il n'y a rien que les hélices à énergie solaire puissent faire lorsqu'un objet énorme comme un ballon de 200 pieds de haut dérive dans des vents de jetstream de 200 mph. Toute l'idée était évidemment dingue. La seule façon de diriger quelque peu un ballon est d'élever ou d'abaisser son altitude jusqu'à ce que l'on trouve un courant d'air qui le souffle dans la direction souhaitée. Bien que cela fonctionne à une altitude de quelques centaines de pieds, il n'y a aucune chance réelle de le faire dans la haute atmosphère.

    Si l'attaque du ballon chinois était plus ou moins « fausse », ce même cycle d'actualités englobait une autre attaque sur un territoire souverain qui était très certainement réelle. Nous faisons référence aux révélations explosives de Seymour Hersh la semaine dernière selon lesquelles Washington était en effet le coupable qui a fait exploser les pipelines Nord Stream.

    Comme Jim Kunstler l'a résumé,

    Si vous pensez que les raisons de la Première Guerre mondiale étaient incompréhensibles, imaginez ce que les historiens du futur - faire frire des longes de pécari sur leurs feux de camp - penseront de la Troisième Guerre mondiale. Certaines personnes ont commencé quelque chose en Ukraine… puis les États-Unis ont fait sauter la principale ligne d'approvisionnement en énergie de son allié de l'OTAN, l'Allemagne… disons, quoi… ?!?

    Bizarre, un peu. Une personne saine d'esprit dans un monde sain d'esprit qualifierait le sabotage des pipelines Nord Stream d'acte de guerre contre une nation amie, puisque le résultat était de pratiquement détruire la base de l'industrie allemande, sans parler du confort domestique des citoyens allemands. Aujourd'hui, grâce à Seymour Hersh, 85 ans, l'enquêteur indépendant qui a découvert le massacre de My Lai en 1969 et a rendu compte des bouffonneries dépravées des geôliers américains à la prison d'Abu Ghraib en Irak en 2004, nous avons une assez bonne idée de la façon dont le Les câpres du Nord Stream ont chuté.

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  78. Pendant un an avant l'opération, "Joe Biden" et la sous-secrétaire d'État Victoria Nuland - architecte du coup d'État de Maidan en Ukraine en 2014, qui a déclenché le fiasco actuel là-bas - ont parlé de "mettre fin" aux Nord Streams. Curieusement, les Allemands n'ont rien dit. Pendant ce temps, les États-Unis ont conclu un accord pour renforcer les bases militaires en Norvège, un des premiers signataires de l'OTAN (1949), pour avoir organisé l'opération de sabotage du Nord Stream. Bien sûr, la Norvège, étant le seul exportateur de pétrole et de gaz d'Europe occidentale, avait intérêt à éliminer sa concurrence.

    En juin 2022, sous le couvert d'un exercice naval annuel de l'OTAN en mer Baltique, des plongeurs de la marine américaine ont attaché des mines aux pipelines Nord Stream. Les mines avaient des déclencheurs qui pouvaient être activés à distance à tout moment choisi, et ce moment est arrivé le 26 septembre… kaboom !

    Mme Nuland et le secrétaire d'État Antony Blinken ont jubilé publiquement. Naturellement, les États-Unis ont blâmé la Russie. Les médias d'information américains - catamite de la communauté Intel - ont amplifié l'accusation, malgré l'absurdité de voir la Russie faire exploser sa source de revenus d'exportation la plus lucrative. Le New York Times n'a jusqu'à présent fait aucune mention de la récente mise à jour de M. Hersh sur le sabotage du Nord Stream.

    L'Allemagne, elle aussi, a à peine jeté un coup d'œil, pas plus que le reste de l'Europe occidentale, qui fait maintenant face à un avenir qui ressemble, du point de vue énergétique, à un retour assez rapide au XIVe siècle. Peut-être sont-ils tous blasés par la vie moderne, tous ces bains fastidieux et ces simulations dans les cafés illuminés. Sous la direction avisée du WEF, ils passaient tous au « vert », de toute façon – mais était-ce vert comme les feuilles en forme de cœur du tilleul ou vert comme les veines moisies du Roquefort ? Je suppose qu'ils le découvriront.

    Enfin, ne négligeons pas l'attaque finale de la semaine. Nous faisons référence, bien sûr, à une autre poussée de pression inflationniste qui a mis KO l'illusion de Wall Street selon laquelle la bataille de l'inflation a été gagnée et terminée, et que la Fed allumera bientôt les presses à imprimer pour une autre série de plaisir bubilieux .

    Le gain de 6,3 % sur un an de l'IPC de janvier rapporté récemment était bien plus chaud que prévu, mais ce qui a vraiment jeté les dés, ce sont de nouvelles indications en amont selon lesquelles l'inflation ne se renouvelle pas rapidement comme l'avaient prédit les permabulls et les sbires de Biden.

    Par exemple, les prix de gros plafonnent à un niveau élevé, l'IPP de janvier atteignant +8,7 % sur une base Y/Y. Cependant, le fait est que si les prix à la production ne baissent pas rapidement, il n'y a pratiquement aucune chance que les prix de détail en aval chutent dans les mois à venir.

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  79. De plus, compte tenu de «l'effet de base», qui est évident dans le graphique ci-dessous, le plafonnement réel est encore plus prononcé lorsque l'impact des chutes temporaires de 2020 est supprimé via l'analyse empilée sur deux ans. Depuis début 2022, il n'y a pratiquement pas eu d'affaiblissement du taux à deux chiffres de gain PPI :

    Variation annualisée des prix à la production des produits finis, base empilée sur deux ans :

    February 2022: +8.2%;
    March 2022: +10.3%;
    April 2022: +12.4%;
    May 2022: +12.2%;
    June 2022: +13.4%;
    July 2022: +12.2%;
    August 2022: +11.6%;
    September 2022: +11.7%;
    October 2022: +11.9%;
    November 2022: +12.1%;
    December 2022:+10.9%;
    January 2023: +11.0%
    Y/Y Change In PPI Index For Finished Goods, 2020-2023

    Le plafonnement des pressions inflationnistes en amont est encore plus prononcé dans le cas du PPI des services. Après que le taux Y/Y ait atteint un sommet au milieu de 2022 (ligne violette), le taux mensuel de gain annualisé (ligne brune) s'est stabilisé à environ 5 %, entraînant également un aplatissement de la hausse de l'indice Y/Y.

    En bref, l'attaque inflationniste contre l'économie américaine est loin d'être terminée, et le retour réticent de la Fed à des taux d'intérêt supérieurs au taux d'inflation courant a encore du chemin à parcourir.

    Indice des prix à la production pour les services : variation en glissement annuel par rapport au taux de variation mensuel annualisé, février 2020 à janvier 2023

    Dans ce contexte, le rapport d'aujourd'hui sur les prix des voitures d'occasion, qui ont fait baisser l'IPC global depuis la mi-2022, montre qu'eux aussi ont réaccéléré pour le deuxième mois consécutif.

    Cox Automotive a indiqué que son indice de valeur des véhicules d'occasion Manheim, qui suit les prix des ventes aux enchères des voitures d'occasion en gros, a de nouveau augmenté, cette fois de 4,1 % par rapport à janvier au cours des 15 premiers jours de février.

    Selon Cox, "il s'agit de la plus forte augmentation de février depuis le gain de 4,4 % sur un mois complet en 2009.

    Il se trouve que les prix de Manheim ont une avance de deux mois sur l'indice IPC des voitures et camions d'occasion. Alors que le rapport IPC de janvier a montré une légère baisse des véhicules d'occasion, les données en temps réel ci-dessus signifient que les 2-3 prochains mois verront un rebond important dans cette catégorie IPC en raison du décalage.

    En effet, la corrélation historique laisse peu de place au doute : l'indice Manheim en temps réel et à haute fréquence révèle que les futurs tirages de l'IPC pour la composante des voitures et camions d'occasion augmenteront probablement fortement dans les mois à venir.

    Le filet de tout cela n'est pas difficile à comprendre. Nos estimés dirigeants aux deux extrémités du corridor d'Acela ont-ils la moindre idée de ce qui se passe réellement dans le monde ?

    Peut-être le font-ils réellement, mais ils ne le disent évidemment pas au public américain.

    Reproduit avec la permission d'International Man.

    L'ancien membre du Congrès David A. Stockman était le directeur de l'OMB de Reagan, dont il a parlé dans son best-seller, . Ses derniers livres sont The Great Deformation: The Corruption of Capitalism in America et . Il est le rédacteur en chef et l'éditeur du nouveau Contra Corner de David Stockman. Il était un partenaire original du groupe Blackstone et lit LRC dès la première chose tous les matins.
    Copyright © Phyle1, LLC

    Previous article by David Stockman: The Absurd Budgetary Math of the GOP’s Sacred Cows

    https://www.lewrockwell.com/2023/02/david-stockman/soaring-inflation-chinese-spy-balloons-and-more-war/

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    1. ÔH PUTAING !! T'as pas intérêt à te balader en Montgolfière ou dirigeable sur les États-Unis !!!

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  80. Nouvelles du Japon : Le mix énergétique électrique japonais


    le 25 février 2023


    Pour la première fois depuis l’accident de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi, un sondage organisé par le Asahi Shimbun a indiqué qu’une majorité de Japonais était favorable au redémarrage des réacteurs nucléaires arrêtés pour des raisons de sécurité et toujours à l’arrêt à ce jour. Le principal facteur qui a influencé l’opinion est le renchérissement du prix de l’énergie provoqué par les évènements d’Ukraine. L’Asahi Shimbun a réalisé ce sondage par téléphone auprès de 1181 personnes prises au hasard dans toutes les préfectures japonaises les 18 et 19 février dernier. Les résultats ont montré que 51 % des réponses étaient en faveur du redémarrage des réacteurs à l’arrêt alors que 42 % étaient contre cette décision. Au cours de toutes les consultations précédentes depuis 2013 jamais plus de 30 % des personnes contactées étaient en faveur de la reprise des activités des centrales nucléaires.

    - voir graph sur site -

    Parmi les « sondés » 81 % d’entre eux ont déclaré que l’augmentation du coût de l’énergie représentait une charge difficile à supporter contre 18 %. Au début du mois de février le cabinet du premier ministre a approuvé une politique consistant à maximiser le plus rapidement possible la reprise d’activité des centrales nucléaires à l’arrêt par une modification des procédures locales qui ne seront plus élaborées par les gouvernements des préfectures mais directement par le gouvernement central. De plus les autorités japonaises ont décidé de prolonger la vie opérationnelle des réacteurs au delà de la limite actuelle de 60 ans si toutes les inspections de sécurité sont satisfaisantes. Selon la nouvelle politique gouvernementale le Japon va développer un programme de réacteurs innovants de nouvelle génération pour remplacer la vingtaine de réacteurs existants encore à l’arrêt dont le redémarrage n’est plus planifié ou abandonné définitivement. Sur ce dernier point l’opinion est partagée 45/46 %.

    Il y a actuellement 33 réacteurs en opération au Japon, 2 réacteurs en construction, 27 encore à l’arrêt dont 16 devraient être remis en service avant la fin de l’année 2023. Le Japon importe 90 % de son énergie, charbon en provenance d’Australie, gas naturel liquéfié (Australie et Qatar essentiellement et dans le cadre de contrats à long terme, voir note en fin de billet pour le GNL russe). Le mix énergétique électrique du Japon est actuellement le suivant : GNL 37 %, charbon 32 %, hydro 8 %, solaire 7 %, nucléaire 6 %, déchets 4 %, pétrole 3 %, éolien 0,7 %. L’opinion japonaise est très défavorable à l’installation de moulins à vent qui défigurent le paysage et les risques de typhons jouent un rôle prépondérant dans les décisions très timides du gouvernement sur ce point particulier. L’objectif du gouvernement japonais est d’atteindre vers 2030 la même part du nucléaire dans le mix énergétique électrique qu’avant le grand tsunami du 11 mars 2011, c’est-à-dire 30 %, un objectif difficile à atteindre sans construire de nouvelles usines.

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  81. Les conditions climatiques japonaises sont défavorables aux énergies intermittentes dites renouvelables car l’enneigement d’une grande partie de l’archipel en hiver et les caprices des vents sont des facteurs dissuasifs. L’abandon du charbon à l’horizon 2070 nécessitera donc la construction de nouvelles centrales nucléaires, les filières petits réacteurs modulaires et installations à haute température étant envisagées dans le futur mix énergétique électrique en particulier pour les installations décentralisées comme dans les petites îles et la production d’hydrogène qui intéresse les grande firmes automobiles japonaises. Dans le cadre d’une rationalisation du réseau de distribution concernant les grandes îles il est enfin envisagé une homogénéisation de la fréquence et de la tension du courant moyenne et basse tension, trop de disparités existant encore aujourd’hui. Le dernier volet du mix énergétique électrique japonais est l’approvisionnement en combustible et le Japon a développé une collaboration étroite, tant technique que financière avec l’Australie, une collaboration du même type avec l’Australie que celle concernant le gaz naturel Pour conclure ce panorama, le japon continue à développer la filière neutrons rapides et le retraitement du combustible dans le cadre d’une collaboration historique avec la France. Et les grandes firmes japonaises comme Mitsubishi Heavy Industry collaborent étroitement avec la Chine dans le domaine du nucléaire, en particulier pour la fourniture de cuves de réacteurs.

    - voir photo sur site -

    Source : World Nuclear Association, illustration : Centrale nucléaire de Kashiwazaki-Kariwa (TEPCO), Préfecture de Niigata au bord de la Mer du Japon dont le redémarrage des réacteurs 6 et 7 sont prévus à très court terme, cliché TEPCO. Cette usine est la plus grande installation électro-nucléaire du monde en terme d’énergie électrique produite avec 7 réacteurs BWR dont deux ABWR construits par Toshiba et Hitachi, partenaires de general electric, le créateur de la technologie BWR ( https://en.wikipedia.org/wiki/Boiling_water_reactor ).

    Note. Au grand dam des USA, la puissance occupante du Japon depuis 1945 avec près de 60 installations militaires sur le sol nippon, le Japon est actionnaire via Mitsubishi d’un consortium mis en place par la société russe Gasprom en partenariat avec la société Sakhalin Energy pour acheminer du gaz naturel par gazoduc depuis l’immense gisement pétrolier et gazier de la Mer d’Okhotsk. Ce projet est néanmoins au point mort et l’unité de liquéfaction construite entre autres partenaires par Chiyoda Co et Toyo Engineering Co sur l’île de Sakhalin est maintenant opérationnelle. Le partenariat Russie-Japon a permis de définir des contrats de longue durée d’acheminement du LNG vers le Japon à des prix indépendants du marché international. C’est à peu près le rare volet de souveraineté du Japon vis-à-vis des États-Unis. Enfin les partenaires occidentaux de Sakhalin Energy se sont désolidarisés de ce projet dès le début de l’opération spéciale russe en Ukraine.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/02/25/nouvelles-du-japon-le-mix-energetique-electrique-japonais/

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    1. (...) Le principal facteur qui a influencé l’opinion est le renchérissement du prix de l’énergie provoqué par les évènements d’Ukraine. (...)

      'Le principal facteur qui a influencé l’opinion' ??! disons plutôt que c'est l'intelligence publique japonaise qui a primé !
      A savoir que le 11 Mars 2011 ce n'est pas le raz-de-marée ou tremblement de terre (magn.9) qui a endommagé les réacteurs mais la conception de l’approvisionnement en eau !
      Des tuyaux en fer ou PVC étaient affectés à faire passer - via pompes - de l'eau du Pacifique dans les réacteurs. Or, CES PUTAINGS DE TUYAUX DE MERDE étaient posés à-même le sol !!
      Ce qui a fait que lorsque la terre bouge... les tuyaux bougent aussi !! Çà alors !!
      Et, n'étant pas montés sur vérins... ils se sont cassés ! MERDE ALORS !!
      Et l'eau ne pouvant approvisionner les réacteurs a donc fait défaut !
      Et, les réacteurs se vidant ont fait monter la température ! Çà alors ! Passant de 300 à 3000 °C et donc fondant les crayons (tubes verticaux en zirconium contenant les capsules d'Uranium) qui se sont coulés au cuvier (confiture brûlante appelée 'Corium-made-in-Tepco') et a fondu la base du réacteur pour se répandre sous terre. Çà alors !!

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  82. Diffusion en direct : la vraie crise, le changement climatique ou la politique climatique ?

    Regardez la 15e Conférence internationale sur le changement climatique diffusée en direct depuis la Floride


    February 25th, 2023


    Incroyable qu'avec autant d'instituts scientifiques d'un milliard de dollars, les groupes de réflexion du marché libre organisent les meilleures conférences scientifiques au monde.

    Keynote du petit-déjeuner – 8 h 00 – 9 h 45 HE
    Regardez le discours d'ouverture du petit-déjeuner de Patrick Moore.

    Conférence du déjeuner – 13 h 00 – 14 h 10 HE
    Ian Plimer est géologue et fera une présentation scientifique. Marlo Oaks est le trésorier de l'état de l'Utah. Il parlera de ses efforts dans son état pour lutter contre les efforts ESG (Environnement, Social, Gouvernance).

    Dîner Keynote - 18h30 - 20h00 HE
    Alex Epstein parlera de politique énergétique. Ken Haapala du SEPP remettra le Frederick Seitz Memorial Award à Christopher Essex. Craig Rucker de CFACT remettra le prix Dauntless Purveyor of Climate Truth à un invité mystère.

    Horaire ci-dessous

    Panel 1A – 9 h 00 – 10 h 30 HE
    Prendre la température des températures mondiales

    Anthony Watts expliquera comment les données de température américaines ont été désespérément corrompues ; Willie Soon, Ph.D., parlera de l'effet du soleil sur les températures mondiales et de la façon dont cela n'est pas suffisamment pris en compte ; et Joe Bastardi parleront de l'effet des océans sur les températures mondiales.Panel 2A - 10h45 - 12h15 ET
    Comprendre ce qui se passe réellement avec le climat

    Judith Curry, Ph.D., fera une présentation (à distance par vidéo) intitulée « Climate Uncertainty and Risk » ; Ross McKitrick, Ph.D., fera une présentation intitulée « Mise à jour de la sensibilité climatique et du coût social du carbone » ; Richard Lindzen, Ph.D., donnera une présentation intitulée "Actual Climate vs. Policy".

    Panel 3A – 14h30 – 16h00 HE
    La science du climat est-elle scientifique ?

    Nous examinons les failles des modèles climatiques. Tom Sheahen expliquera la nécessité d'appliquer la méthode scientifique à la modélisation. Howard Hayden soulignera l'incohérence numérique flagrante entre les modèles climatiques AR-6 et la réalité physique. Ken Haapala discutera de l'impact des erreurs persistantes du GIEC.

    Panel 4A – 16 h 15 – 17 h 45 HE
    L'impact de l'agenda vert sur les gens

    Donna Jackson parlera de la façon dont la « justice environnementale » pour les communautés de couleur est une arnaque ; Bob Carlstrom parlera de l'impact des coûts plus élevés de «l'énergie verte» sur les pauvres et les personnes âgées; Margaret Byfield parlera du programme «30 × 30» de l'administration Biden et de son impact sur les propriétaires fonciers

    ———

    Panel 1B – 9 h 00 – 10 h 30 HE
    Conséquences de la rareté de l'énergie

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  83. Vijay Jayaraj donnera une présentation intitulée « Green or Blood Red » ; Benjamin Zycher, Ph.D., donnera une présentation intitulée « Biden, pas Poutine, à blâmer pour les prix élevés de l'énergie » ; et Marc Morano donneront une présentation intitulée "The Great Reset: Global Elites and the Permanent Lockdown".Panel 2B - 10h45 - 12h15 HE
    Vaincre l'ESG (Environnement, Social, Gouvernance)
    Jason Isaac fera une présentation qui donnera une explication globale de l'ESG, de ses objectifs et de ses conséquences imprévues ; Paul Watkins parlera de la lutte contre les efforts ESG au niveau de l'État ; Marlo Lewis fera une présentation qui n'a pas encore été déterminée.

    Panel 3B – 14h30 – 16h00
    La science du climat est-elle scientifique ?

    Ronald Stein donnera une présentation intitulée « Nous avons eu 200 ans pour remplacer les combustibles fossiles : l'éléphant dans la pièce » ; Linnea Lueken donnera une présentation intitulée « Pourquoi le « gros pétrole » pousse « l'énergie verte » » ; Alex Epstein donnera une présentation intitulée "L'épanouissement humain mondial nécessite beaucoup plus d'énergie".

    Panel 4B – 16 h 15 – 17 h 45 HE
    « Solutions » climatiques irréalisables

    Steve Milloy donnera une présentation intitulée "Net Zero is Unachievable and Will Kill People" ; Kevin Dayaratna donnera une présentation intitulée "Les coûts non durables de l'agenda climatique de Biden" ; et Ben Lieberman donneront une présentation intitulée "La guerre mondiale contre la climatisation".

    https://joannenova.com.au/2023/02/livestreamed-the-true-crisis-climate-change-or-climate-policy/#more-89659

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    1. ... mais AUCUN de ces 'scientifistes' ne parlera du magma ! La masse ferrique incandescente sous nos pieds fait CE QU'ELLE VEUT ! Compris ?

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  84. La transition vers les œufs de poules non élevées en cage aux États-Unis d'Amérique


    25 Février 2023
    Jason Lusk*


    Voici une étude économique, se rapportant certes aux États-Unis d'Amérique, qui tombe à pic, alors que l'Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA) vient de faire des recommandations de grande envergure « pour améliorer le bien-être des poules pondeuses et des poulets de chair ».

    C'est le titre d'un nouveau rapport de recherche que j'ai cosigné avec Vincenzina Caputo et Aaron Staples de l'Université d'État du Michigan et Glynn Tonsor de l'Université d'État du Kansas. Cette recherche a été financée à la fois par les producteurs d'œufs, représentés par les United Egg Producers (EUP) et la United Egg Association, et par les détaillants alimentaires, représentés par la Food Industry Association Foundation (FMI Foundation).

    Voici les motivations de l'étude :

    « Les réglementations nationales, les engagements des détaillants et la demande des consommateurs finaux ont contribué à l'augmentation de la proportion de poules pondeuses élevées dans des systèmes sans cages au cours de la dernière décennie. Néanmoins, la conversion du mode d'élevage conventionnel au mode d'élevage sans cages est coûteuse, tant pour les producteurs d'œufs que pour les consommateurs finaux. C'est pourquoi on ne sait toujours pas dans quelle mesure les producteurs d'œufs voudront et pourront poursuivre la transition vers l'élevage sans cages à un rythme correspondant aux engagements pris par les détaillants en la matière. Pour explorer cette question, cette étude examine les défis et les opportunités associés à la transition vers l'élevage sans cages, y compris des entretiens avec et une enquête auprès des producteurs d'œufs, une enquête auprès des consommateurs d'œufs, et une modélisation économique du secteur. »

    Il y a beaucoup de choses dans ce rapport de près de 100 pages, mais un document de synthèse de deux pages est ici. Les points saillants sont donnés ci-dessous.

    Points de vue des consommateurs

    Bien que le grand public soit très favorable à ce que les détaillants s'engagent en faveur des œufs sans cages, plus de la moitié des consommateurs (56 %) ne savent pas si leur magasin d'alimentation a pris un tel engagement, et seulement 19 % pensent que leur magasin en a pris un. Les consommateurs ne s'attendent pas à une conversion complète aux systèmes d'œufs sans cages d'ici 2026, et s'attendent en moyenne à une augmentation de 10 points de pourcentage de poules pondeuses sans cages d'ici janvier 2026.

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  85. Les consommateurs préfèrent les politiques gouvernementales visant à subventionner la transition vers l'élevage sans cages ou les étiquettes obligatoires aux politiques qui obligent les producteurs à adopter certaines pratiques d'élevage. Parmi les politiques visant à restreindre les pratiques d'élevage, les consommateurs préfèrent les exigences relatives à la taille minimale des cages à l'interdiction pure et simple de la production conventionnelle.

    Il y a des segments de consommateurs prêts à payer des primes importantes pour des œufs de poules élevées sans cages, mais le segment le plus important (représentant 55 % des consommateurs) est principalement motivé par le prix et ne fait pas de distinction entre les œufs de poules élevées sans cages et de celles élevées en cages.

    Si les prix restent inchangés et que les œufs conventionnels sont retirés du marché, la part des consommateurs qui choisissent de ne pas acheter d'œufs augmentera de 20 points de pourcentage.

    Points de vue des producteurs

    Les entretiens avec les producteurs d'œufs révèlent la prévalence de relations contractuelles de longue durée avec les détaillants, l'importance de la demande des détaillants pour l'évolution du marché vers le sans cages, et les possibilités de relancer la conversation avec les organisations de défense des animaux. Cependant, ces entretiens révèlent également plusieurs obstacles et conséquences involontaires à la poursuite de la transition vers le sans cages, notamment :

    Des coûts et des exigences de main-d'œuvre plus élevés associés à la production sans cages ;

    Des difficultés à obtenir du financement pour convertir ou construire des installations sans cages sans des engagements à plus long terme de la part des détaillants, en particulier dans un contexte de hausse des taux d'intérêt et lorsque les installations existantes ne peuvent plus servir de garantie ;

    Des intérêts divergents des secteurs de la distribution et des services alimentaires/produits à base d'œufs en ce qui concerne le logement des poules ;

    Le scepticisme quant à la possibilité de respecter les engagements des détaillants d'ici janvier 2026 sans incitations financières importantes, en particulier en raison du coût élevé des matériaux de construction et des longs délais de construction associés à l'obtention de permis et aux perturbations de la chaîne d'approvisionnement.

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  86. Une majorité de producteurs d'œufs considèrent que le logement conventionnel est supérieur à la production sans cages en termes d'accessibilité alimentaire, d'efficacité de production et d'impact environnemental.

    Les producteurs prévoient que les revenus des systèmes sans cages seront en moyenne 8 % plus élevés que ceux des systèmes conventionnels. Mais les coûts sont estimés être supérieurs d'au moins 8 à 19 %, en moyenne, selon la catégorie de dépenses, les coûts supplémentaires de main-d'œuvre et de capital étant les catégories qui devraient connaître les plus fortes augmentations.

    Les producteurs sont plus susceptibles d'être disposés à passer à la production sans cages lorsque des contrats à prix coûtant majoré sont disponibles et lorsque le retour sur investissement (RSI) prévu est plus élevé.

    Dans l'ensemble, les producteurs d'œufs pensent que la production sans cages atteindra 51 % de la production totale d'ici janvier 2026.

    La modélisation économique axée sur le marché des œufs en coquille indique ce qui suit :

    Pour chaque réduction de 1 % de la quantité d'équilibre d'œufs conventionnels produits et vendus, il faut une augmentation d'environ 1,9 % de la quantité d'équilibre d'œufs sans cage produits et vendus et une augmentation d'au moins 21,6 millions de dollars par an des dépenses totales en œufs en gros pour que les profits des producteurs d'œufs ne soient pas affectés.

    Si la part des œufs en coquille sans cages vendus augmente de 20 points de pourcentage, que le coût de production des œufs sans cages est supérieur de 20 % à celui des œufs conventionnels et que la demande des consommateurs ne change pas, les bénéfices des producteurs d'œufs chuteraient de 572,5 millions de dollars par an au total, sans compter les coûts fixes supplémentaires que les producteurs devraient supporter pour faciliter la transition.

    https://seppi.over-blog.com/2023/02/la-transition-vers-les-oeufs-de-poules-non-elevees-en-cage-aux-etats-unis-d-amerique.html

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    1. A vrai dire une poule se nourrit d'herbe puis de graines (blés ou maïs). Une volaille enfermée n'a pas cette possibilité de liberté de choix ! Elle doit manger sous hangars du 'totaliments' qui contiendrait différentes substances se rapportant à l''herbe et au graines comestibles'.
      Mais, les poules libres (dites 'de pleins champs') n'iront pas pour autant faire des œufs carrés ou en formes de pyramides !
      Mais, disons que de favoriser les poules dehors ira certainement à signifier un contingentement par satellites et donc de cibler tel ou tel endroit pour avoir la 'grippe aviaire' !

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  87. Méga récolte de céréales en Russie : combien récoltent réellement les Russes ?

    Selon les analystes, l'évaluation de l'offre mondiale et des stocks de clôture changerait si l'USDA augmentait sa production en Russie de 10 millions de tonnes.


    docteur Olaf Zinke,
    agricole aujourd'hui
    le Jeudi, 19.01.2023 - 12:09



    Les informations sur la récolte de blé russe sont extrêmement différentes. Cela a des conséquences sur les prix mondiaux des céréales et l'offre mondiale. Qu'y a-t-il derrière ?

    Récolte de blé en Russie.

    La Russie, premier exportateur mondial de blé, a récolté une récolte céréalière record de 151,0 millions de tonnes, après séchage et nettoyage, selon les données officielles préliminaires pour 2022. Cela comprend 102,7 millions de tonnes de blé. Le ministère russe de l'Agriculture prévoit que la récolte de blé de l'année prochaine ne sera que de 80 à 85 millions de tonnes.
    Le département américain de l'Agriculture a maintenu ses prévisions de blé pour la Russie en janvier, qui sont bien inférieures à la méga-récolte projetée par l'agence russe de statistiques Rosstat, ainsi que par de nombreux autres analystes. L'USDA a laissé son estimation de la récolte de blé à 91 millions de tonnes dans son rapport de janvier.

    Cette estimation contredit les données officielles du ministère russe de l'Agriculture, qui fait état d'une production de blé de 102,7 millions de tonnes et d'une récolte totale de 151 millions de tonnes. "Les rendements rapportés par Rosstat seraient d'environ 10% supérieurs au précédent record établi en 2017", a déclaré l'USDA. "Les indicateurs de télédétection tout au long de la saison de croissance montrent une santé des stocks supérieure à la moyenne, mais aucun rendement record."

    L'analyste SovEcon russe bien connu Andrey Sizov s'attendait à ce que l'USDA relève ses prévisions "de manière significative" après tout, mais cela ne s'est pas produit. Il estime également que les agriculteurs russes ont récolté plus de 100 millions de tonnes de blé, dont 1,3 million de tonnes en Crimée. L'USDA n'inclut pas la Crimée dans son estimation, mais cela ne fait pas beaucoup de différence dans les prévisions.

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  88. - voir graph sur site -

    Les analystes estiment souvent 100 millions de tonnes de blé

    Cependant, les chiffres des exportations sont très similaires. Par exemple, l'USDA prévoit 43 millions de tonnes d'exportations, tandis que SovEcon est à 43,4 millions de tonnes.

    Les analystes disent que l'évaluation de l'offre mondiale et des stocks de clôture serait complètement différente si l'USDA augmentait son chiffre de production pour la Russie de 10 millions de tonnes. "Les stocks des exportateurs sont souvent évalués comme une mesure importante de l'approvisionnement du marché mondial et sont étroitement corrélés aux prix à l'exportation", explique l'USDA.

    L'USDA prévoit les stocks de clôture des principaux exportateurs mondiaux en janvier à 54,9 millions de tonnes pour la campagne de commercialisation 2022/23 en cours. C'est le niveau le plus bas depuis dix ans. Ces faibles stocks expliquent en grande partie pourquoi les prix du blé restent à des niveaux élevés, quoique bien en deçà des sommets atteints plus tôt cette année.

    Neil Townsend, analyste principal chez FarmLink Marketing Solutions, a déclaré au service agricole en ligne The Western Producer qu'il avait tendance à se ranger du côté de l'USDA sur la récolte de céréales en Russie. Mais cela mis à part, de nombreux analystes qu'il connaît et en qui il a confiance suggèrent que la récolte russe est plus proche de 100 millions de tonnes que de 90 millions de tonnes.

    Townsend a également souligné que s'il existe de grandes divergences dans les estimations de production, les prévisions d'exportation sont proches. Par exemple, l'USDA prévoit 43 millions de tonnes d'exportations de blé russe, tandis que les analystes de SovEco l'évaluent à 43,4 millions de tonnes.

    Cependant, le ministre russe de l'Agriculture, Dmitry Patrushev, a déclaré en octobre que la récolte de céréales russe augmenterait d'environ 5 millions de tonnes par an en raison de "l'incorporation des quatre territoires ukrainiens". "Compte tenu de la quantité de terres arables là-bas, je pense qu'au moins 5 millions de tonnes supplémentaires de céréales seront acheminées vers les installations de stockage russes", a-t-il déclaré, cité par l'agence de presse officielle TASS.

    https://www.agrarheute.com/markt/marktfruechte/russlands-mega-getreideernte-viel-ernten-russen-wirklich-602547

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  89. « Peace & Food », un ouvrage de M. Étienne Fourmont


    25 Février 2023


    Non, ce « Peace & Food » n'est pas en anglais. Il est sous-titré : « Le plus célèbre des agriyoutubeursrépond aux idées reçues sur l'agriculture ».

    En réalité, il en fait bien plus dans cet ouvrage.

    En voici la première page :

    « Préface

    - voir clip sur site -

    Il existe beaucoup d'idées reçues aujourd'hui sur le monde agricole. En tant qu'éleveur de vaches laitières, je consulte régulièrement les médias et je lis des tas de choses sur notre métier et notre façon de vivre qui sont totalement fausses. Quand j'entends des personnes qui ne sont pas du milieu et qui ne le connaissent nullement propager des informations erronées, je me dis que rien ne vaut la parole d'un agriculteur pour expliquer son métier et remettre les choses à leur place I Lorsque l'on m'a proposé d'écrire un livre pour démonter les clichés sur l'agriculture, je n'ai pas hésité une seconde, d'autant plus que J'allais pouvoir utiliser un autre support, le papier. Je suis connu par mes vidéos sur YouTube et mes stories sur Instagram. Ce nouveau format, le livre, me permet donc de toucher un public plus large, peut-être moins habitué aux réseaux sociaux.

    Une ferme familiale

    Je suis installé à Viré-en-Champagne, dans la Sarthe, au lieu-dit Les Guerets. Le nom de ma ferme signifie « terres à travailler ». Les plus vieux bâtiments ont plus de deux cents ans ! moi, je suis la cinquième génération. Cette ferme appartenait à ma grand-mère, seule fille parmi six frères. Lorsque mon grand-père a repris la ferme après avoir épousé ma grand-mère, cela a été mal perçu car ses beaux-frères y travaillaient déjà. C'était au début des années 1960.

    Pour la suite, vous savez comment faire... C'est aux éditions Hugo Doc.

    N'oubliez sa chaîne vidéo.

    Post scriptum

    Je suis accro à un compte twitter : la vie d'Aimée Rolland (1913-1993), de sa famille, de son entourage, etc. Elle a vécu dans une ferme de la Nièvre. C'est passionnant.

    https://seppi.over-blog.com/2023/02/peace-food-un-ouvrage-de-m.etienne-fourmont.html

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  90. Un milliardaire Norvégien fait construire un navire qui collectera 5 tonnes de plastique par jour dans les océans


    Nathalie Kleczinski
    13 octobre 2020


    Un milliardaire norvégien, Kiel Inge Røkke va investir une grande partie de sa fortune pour construire un navire capable de récupérer et transformer 5 tonnes de plastique chaque jour !

    Il y a des milliardaires qui utilisent leur argent pour acheter des yachts de luxe et se pavaner dans les criques de Saint Tropez et il y a des milliardaires qui utilisent leurs fortunes pour lutter contre la pollution. C’est le cas de l’un des hommes les plus fortunés de Norvège, Kiel Inge Røkke qui a construit son empire (estimé à 8 milliards de dollars) grâce à l’Océan.

    Il est à la tête de l’une des principales entreprises de pêches norvégiennes. La fortune lui venant de la mer, il a décidé de lui « renvoyer la balle » en construisant un navire exceptionnel qui sera capable de récupérer jusqu’à 5 tonnes de plastique chaque jour !

    Kiel Inge Røkke avance ceci : ” La mer m’a offert de grandes opportunités. Je suis reconnaissant pour cela. Je veux rendre à la société l’essentiel de ce que j’ai gagné. Ce navire fait partie de cela. L’idée d’un tel navire a évolué au fil des ans, mais les plans se sont concrétisés l’an dernier. “

    Le REV (Navire d’expédition de recherche) devrait pouvoir prendre la mer en 2020. Il sera exploité par le WWF qui œuvre dans le monde entier pour la conservation de notre planète. Le REV accueillera 90 personnes (dont 60 chercheurs) et permettra d’observer l’Océan jusqu’à 6000 m de profondeur et autant en milieu aérien. Mais surtout il sera capable de récupérer 5 tonnes de plastique chaque jour, 5 tonnes qui seront fondues directement dans le navire dans le respect écologique total.

    À LIRE AUSSI : Elle invente à 14 ans un dispositif pour réduire les émissions des voitures (finaliste d'un concours scientifique national)

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  91. Si seulement tous les riches hommes d’affaire de notre planète pouvaient réagir comme Kiel Inge Røkke, elle ne s’en porterait que mieux. D’autres initiatives sont en projet comme le Sea Cleaner soutenu par Yvan Bourgnon mais aucune n’a encore vu le jour. On espère vraiment que c’est pour très bientôt !

    *
    Nathalie Kleczinski
    Mes sujets de prédilection sont l'écologie, l'environnement, les innovations solidaires et les actualités en général. J'espère que vous prendrez plaisir à me lire. Ma devise : "Carpe Diem" parce que la vie est trop courte et qu'il faut en savourer chaque instant.

    https://www.facebook.com/maudlecoqauteur

    https://www.neozone.org/auto-moto/un-milliardaire-norvegien-fait-construire-un-navire-qui-collectera-5-tonnes-de-plastique-par-jour-dans-les-oceans/?fbclid=IwAR1K_vNDqLmAmXcoBbTFp1zCENFmgYyyAXto0JhGdCwRg31OlhxtImtXdGQ

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  92. Cette invention française anéantit toute émission de polluant sur une chaudière à fuel ou à charbon

    À 75 ans, il travaille depuis 30 ans sur une invention qui vient d'être validée par l'APAVE. Elle permettrait aux chaudières polluantes de ne plus émettre aucune fumée toxique !


    Nathalie Kleczinski
    27 janvier 2023


    Les chaudières au fioul et au charbon, bientôt interdites ? Les chaudières au fioul et au charbon, bientôt interdites ?

    Qu’ils soient au gaz, électriques, au fuel ou au bois, ils sont tous en marche avec le froid qui revient ! Certes, nous n’atteindrons pas les −62 °C enregistrés en Sibérie cette semaine, mais nous avons bien rallumé nos chauffages. Nos systèmes de chauffages polluent l’atmosphère à différents degrés selon le mode utilisé. Parmi eux, la chaudière au fuel est l’une des plus polluantes. Selon l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME), « le chauffage au fioul émet 300 g de gaz carbonique par kilowattheure d’énergie générée, contre 274 g pour le propane et 234 g pour le gaz ». Dans le Maine-et-Loire, un ancien motoriste de Mercedes a inventé un système qui permet à sa chaudière fuel de ne plus polluer et même d’utiliser les polluants pour chauffer l’eau. Découverte.

    Quelle est cette invention ?

    Philippe Rousseau est donc un ancien motoriste qui a travaillé chez Mercedes puis chez Bosch où il s’était spécialisé dans les systèmes d’échappement. Aujourd’hui, âgé de 75 ans et se chauffant au fuel, les onze chats qu’il possède profitent d’une chaleur douce et confortable sans que la vieille chaudière au fuel émette de polluants. Il a inventé un procédé breveté qui permet d’éliminer totalement les fumées toxiques sur ce type de chaudière. Son invention vient confiner les émissions polluantes et les recombinent dans un réacteur. L’hydrogène, le carbone et l’oxygène dégagés produisent ainsi du méthane qu’il réinjecte dans le brûleur. « La consommation est ainsi réduite de 10 % et le rendement amélioré de 15 % » explique Philippe Rousseau dans une interview accordée au journal Le Parisien. Grâce à son invention, il affirme que la seule chose qui « sort » de sa chaudière est de l’eau déminéralisée qu’il récupère et réutilise évidemment !

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  93. Trente années de travail

    Cela fait près de trente ans qu’il a transformé son garage en laboratoire expérimental. Alors qu’il travaillait pour Mercedes, il avait déjà inventé un pot d’échappement qui n’émettait aucun gaz carbonique pour les moteurs de 500 CV. En 2009, lorsque la conférence de Copenhague débouche sur un accord mondial pour lutter contre le réchauffement climatique, il est convaincu qu’il peut aller encore plus loin que les moteurs de voiture. Sa maison devient son laboratoire et sa chaufferie, un banc d’essai. L’invention de Philippe est bien sûr protégée par une dizaine de brevets et vient d’être validée par l’APAVE, un bureau de contrôle. Son invention intéresse également l’ADEME et un premier prototype a été installé à Longjumeau (91), dans l’entreprise Barata, spécialisée dans les générateurs à vapeur. Philippe Rousseau explique que sa technique peut s’appliquer dans les usines, sur les incinérateurs, mais également sur les centrales à charbon, encore plus polluantes que celles au fuel. Le charbon reste effectivement la principale source de production d’électricité dans le monde et est responsable de plus de 30 % de l’ensemble des émissions produites par les énergies non renouvelables.

    À LIRE AUSSI : Pellematic Condens : la chaudière à granulés à condensation avec « les plus hauts rendements du monde »

    Quel avenir pour l’invention française ?

    Philippe Rousseau confie que l’Allemagne est très intéressée par son système d’élimination des pollutions. On peut aisément le comprendre puisque, dans ce pays, le charbon est encore plus présent qu’ailleurs. En revanche, il explique aussi que la France boude son invention qui semble pourtant essentielle. Pour lui, les politiciens français ne mesurent pas l’urgence de la situation et les lobbies ne souhaitent pas que l’on touche à la « poule aux œufs d’or » que sont les énergies fossiles ! Nous sommes certains que cette invention a de l’avenir. Que ce soit en France ou ailleurs, ce seront toujours des émissions de gaz en moins dans l’atmosphère ! Plus d’informations : Barata

    https://www.neozone.org/innovation/cette-invention-francaise-aneantie-toute-emission-de-polluant-sur-une-chaudiere-a-fuel-ou-a-charbon/

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  94. Gitanjali Rao : cette jeune fille de 17 ans seulement est déjà à l’origine de trois inventions révolutionnaires

    Une jeune américaine de 17 ans, déjà reconnue comme inventrice et scientifique, a déjà conçu trois inventions majeures pour améliorer la vie des gens !


    Méline Kleczinski
    14 février 2023



    Le nom de Gitanjali Rao ne vous dit peut-être pas grand-chose, pourtant cette jeune fille de 17 ans possède déjà sa page Wikipédia. Elle y est présentée comme une inventrice américaine née le 19 novembre 2005, à la fois scientifique et promotrice des disciplines STEM. En 2017, elle remporte le Challenge Discovery 3M du jeune scientifique alors qu’elle n’a que 12 ans. En 2020, Forbes la classe dans sa liste des 30 personnes de moins de 30 ans les plus influentes pour leurs innovations. Les inventions de cette jeune fille ont toutes un point commun, celui de vouloir améliorer la vie des personnes. Les trois principales inventions de Gitanjali concernent une IA qui protège les personnes du cyberharcèlement, un appareil qui permet de détecter précocement les addictions aux opioïdes, et des nanotubes qui mesurent la pollution de l’eau. Une petite graine de génie cette jeune femme ! Découverte de ces trois inventions.

    Tethys, les nanotubes capables de détecter la pollution de l’eau

    Gitanjali a choisi ce nom en référence à la déesse grecque de l’eau fraîche. Tethys se présente comme un appareil apte à mesurer la teneur en plomb de l’eau. Rappelons que la présence de plomb dans l’eau peut provoquer, en cas de consommation récurrente, divers effets toxiques aigus (anémie, troubles digestifs) et chroniques (atteintes du système nerveux). Cette idée d’invention lui est venue après un scandale d’eau contaminée dans le Michigan. Elle a donc souhaité inventer un système simple et peu coûteux qui permettrait aux habitants d’évaluer eux-mêmes la présence de plomb dans l’eau. En 2014, pour économiser sur l’approvisionnement en eau, la ville décide de changer la source. La rivière Detroit remplace de ce fait la rivière Flint, mais celle-ci est très fortement polluée et acide. La conséquence est immédiate et en étant propulsée dans les vieilles canalisations, cette eau acide provoque une teneur en plomb bien supérieure aux normes autorisées.

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  95. L'invention du Tethys

    La mère de Gitanjali tentait d’évaluer la quantité de plomb, mais le dispositif était long et pas très fiable. Elle imagine alors Thetys en lisant un article du MIT, consacré aux nanotubes de carbones. Elle parvient à obtenir une visite du laboratoire et une rencontre avec la directrice, Selene Hernandez-Ruiz. Cette dernière lui offre la possibilité de venir chaque mois, pour développer son invention. La jeune inventrice utilise alors des nanotubes en carbones composés de feuillets d’atomes de carbone enroulés, qu’elle produit en graphène d’une épaisseur d’un seul atome. Les nanotubes en carbone savent répondre aux changements du flux d’électrons. Par conséquent, le plomb présent dans l’eau va adhérer aux ions carbones du tube et créer une résistance. Le changement est ensuite mesuré via un processeur qui indiquera si l’eau est polluée ou potable. Pour cette invention, elle a reçu une récompense de 25 000 dollars par le « Young Challenge Discovery 3M » alors qu’elle n’avait que 11 ans.

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    Kindly pour lutter contre le cyberharcèlement

    Dans un tout autre registre, la jeune scientifique a également inventé un système qui fonctionne via l’IA pour lutter contre le cyberharcèlement, un fléau dans notre société actuelle. Nous connaissons tous les ravages et les dangers du cyberharcèlement sur les plus jeunes. Gintajali a ainsi inventé une application ainsi qu’une extension Chrome qui permettent de détecter, en amont, les tentatives de cyberintimidation, puis de cyberharcèlement. Pour parvenir à cette invention, elle a codé des mots couramment utilisés par les cyberharceleurs. Dès que certains mots ou synonymes sont détectés dans les conversations, Kindly émet une alerte sur le vocabulaire utilisé. « Le but n’est pas de punir. En tant qu’adolescent, je sais que les adolescents ont parfois tendance à se laisser emporter. Cela vous donne plutôt la possibilité de repenser ce que vous dites » expliquait la jeune fille lors d’un entretien pour la revue Time en 2020.

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  96. Epione, pour détecter une dépendance aux opioïdes

    Les opioïdes sont un véritable fléau aux États-Unis et tuent chaque année plus de 50 000 personnes à travers une overdose. Comme leur nom l’indique, les opioïdes sont des médicaments dérivés de l’opium, prescrits principalement pour soulager la douleur. En les détournant et en les consommant à outrance, ils sont assimilés à une drogue et provoquent des effets secondaires, une dépendance et une possibilité d’overdose. Remportant le prix « Top Health Pillar Prize for the TCS Ignite Innovation Student Challenge » en 2019, Epione est un appareil portatif qui permet aux médecins de repérer les symptômes d’une dépendance à ces analgésiques.

    - voir photo sur site -

    La couverture du TIME.

    Epione permet d’identifier le gène humain appelé OPRM1 qui agit comme un récepteur opioïde. Notre corps ne peut pas absorber une certaine quantité d’opioïdes, et lorsque l’organisme dépasse cette limite d’absorption, le gène OPRM1 produit plus de protéines qu’auparavant. Grâce à des ciseaux pour couper l’ADN : CRISPR-cas9 (prix Nobel de chimie 2020) et la levure (Saccharomyces cerevisiae), l’inventrice a créé un spectre qui reflète les gènes humains lorsqu’il est exposé à des agents opioïdes. Avec ce spectre, elle a ensuite ajouté des anticorps et des enzymes à l’échantillon d’ADN : plus la couleur est foncée, plus il y a de protéines produites, et plus l’individu serait dépendant des opioïdes. À 17 ans à peine, elle est déjà à l’origine de trois inventions majeures et ce n’est probablement pas les seules, puisqu’elle souhaite évidemment intégrer le MIT du Massachussetts, haut lieu des innovations et inventions mondiales. Plus d’informations sur son site officiel : gitanjalirao.net.

    https://www.neozone.org/innovation/gitanjali-rao-cette-jeune-fille-de-17-ans-seulement-est-deja-a-lorigine-de-trois-inventions-revolutionnaires/

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  97. 14 ARTICLES DE CENSURÉS ! (120 - 14 = 106)

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