Par Tyler Durden
Couverture zéro
7 février 2023
L'industrie de la fausse viande semble être dans une spirale mortelle alors que les ventes des entreprises de «viande» à base de plantes Impossible Foods et Beyond Meat ont implosé.
Comme le rapporte Axios, "après des années de battage médiatique, le vent tourne contre la première génération de fabricants de protéines végétales".
L'année dernière, les deux sociétés étaient à la hauteur - avec un emplacement de choix dans les rayons des supermarchés, et Burger King a même ajouté un Impossible Whopper à son menu.
Impossible Meat a même commencé à se diversifier, cherchant à étendre ses offres aux viandes hautement transformées telles que les pépites de poulet et les saucisses.
Cependant, les ventes se sont effondrées, ce qui, selon un récent rapport de Bloomberg, a conduit Impossible Foods à licencier environ 20 % de ses employés.
Impossible Foods Inc., le fabricant de hamburgers et de saucisses sans viande, s'apprête à supprimer environ 20 % de ses effectifs, selon une personne proche du dossier.
L'entreprise basée à Redwood City, en Californie, emploie actuellement environ 700 personnes. La nouvelle série de licenciements pourrait réduire ce montant de plus de 100.
Impossible Foods a également offert des paiements et des avantages de départ volontaire aux employés à la fin de 2022, a déclaré la personne, qui a demandé à ne pas être nommée en discutant d'informations privées. Un document interne consulté par Bloomberg a confirmé les forfaits de séparation proposés. L'entreprise avait précédemment réduit ses effectifs en octobre, supprimant environ 6% de ses effectifs à l'époque. -Bloomberg
Les ventes de Beyond Meat ont chuté de plus de 22 % au troisième trimestre 2022, alors que l'entreprise se prépare à supprimer de la même manière 20 % de ses effectifs. L'entreprise a également perdu plusieurs dirigeants.
Selon le rapport, les ventes des supermarchés ont chuté de 15 % en glissement annuel au 1er janvier, selon le cabinet d'études de marché IRI, tandis que les commandes dans les restaurants ont chuté de 9 % au cours des 12 mois se terminant en novembre, selon NPD Group.
Pendant ce temps, les données de la société de stratégie d'expérience client HundredX suggèrent une baisse de l'intérêt en général - car le pourcentage d'acheteurs interrogés qui ont mangé des produits Impossible et disent qu'ils ne le feront plus a augmenté.
Le stock de Beyond Meat est également en baisse d'environ 67% par rapport à il y a un an.
Réimprimé avec la permission de Zero Hedge.
Bouffez de la merde avec du sucre !!
RépondreSupprimerInsectes dans les aliments : lettre ouverte au ministre de la santé
RépondreSupprimer6 février 2023
par Thomas Oysmuller
Le Qatar interdit l'ajout d'insectes à la nourriture. Il est approuvé dans l'UE. Un ancien employé du ministère de l'Agriculture a donc écrit au ministre de la Santé Johannes Rauch. Elle demande si le ministre de la Santé sait à quel point la "poussière d'insectes" dans les aliments peut être nocive ?
L'approbation d'insectes tels que les grillons domestiques comme aliments dans l'UE fait des vagues. Alors que le courant dominant se limite aux campagnes publicitaires, il y a des critiques de la part de la société civile. Le Qatar a récemment annoncé qu'il interdisait l'ajout d'insectes à la nourriture.
Le 28 janvier, lorsque le règlement européen correspondant est entré en vigueur , un ancien employé du ministère autrichien de l'agriculture a écrit une lettre ouverte au ministre de la santé. Le groupe "Doctors for Enlightenment" a publié des extraits de la lettre sur leur chaîne Telegram . Dans celui-ci, l'ancien responsable met en garde contre les risques pour la santé de la nourriture pour insectes et se demande jusqu'où les Verts sont descendus ?
Cher Monsieur. ministre de la fumée,
Jusqu'où ce gouvernement, et surtout les Verts, sont-ils allés pour donner aux citoyens autrichiens des aliments à base d'insectes pathogènes en les ajoutant à leur alimentation !
En tant que ministre de la santé, ne savez-vous pas que les farines animales dans l'alimentation animale sont depuis longtemps interdites, mais les citoyens sont censés en manger ???
De plus, la chitine est hautement allergène chez les mammifères, elle stimule le système immunitaire et est donc impliquée dans le développement de nombreuses maladies chroniques. Les insectes contiennent également d'innombrables germes et parasites pathogènes pour l'homme. Le traitement de cette saleté dans les aliments n'est pas seulement négligent, c'est intentionnel
Voici un article scientifique sur la chitine :
RépondreSupprimerIncidemment, la chitine a également été trouvée dans le tissu cérébral des patients atteints de la maladie d'Alzheimer. Voici les travaux scientifiques à ce sujet. Il y a des années, lorsque je travaillais pour le Ministère de l'Agriculture, je traitais de ce sujet des "insectes comestibles" et j'avais également rédigé un rapport interne à ce sujet. Maintenant, je comprends pourquoi j'ai été chargé d'écrire ce rapport, il a dû être planifié depuis longtemps.
Voici l'article sur la maladie d'Alzheimer et la chitine.
Nous n'avons même pas le droit de nourrir les animaux qui donnent du lait ou qui finissent dans nos assiettes avec de la farine d'insectes. C'est le résultat de la crise de l'ESB, lorsque des vaches sont tombées malades parce qu'elles avaient été nourries avec les restes de ruminants malades. Depuis lors, les farines animales sont interdites dans l'alimentation animale en général - et pas seulement les farines d'insectes - dans l'élevage.
Dangers des produits à base d'insectes ?
Les recherches sur les risques que les aliments à base d'insectes présentent pour l'homme sont encore insuffisantes.
Les larves d'insectes sont très riches en matières grasses et des polluants tels que le cadmium peuvent s'accumuler dans les corps gras, ce qui peut entraîner des lésions rénales ou osseuses.
Les insectes contiennent des structures allergènes qui peuvent déclencher des allergies pouvant aller jusqu'au choc anaphylactique.
Lors de la reproduction, des insectes, des champignons et d'autres agents pathogènes peuvent se propager. Les bactéries, les virus, les parasites, les asticots et les insectes se nourrissent souvent de déchets et de restes de nourriture. Les agents pathogènes qui s'y trouvent pourraient alors pénétrer dans la chaîne alimentaire.
La nourriture pour insectes est toxique (!), dégoûtante et dangereuse : Aujourd'hui, un règlement de l'UE entre en vigueur qui autorise l'ajout d'insectes à la nourriture sur un large front.
Cela est nocif pour la santé, comme le montre une étude de la Faculté de médecine vétérinaire de l'Université de León. La chitine, qui constitue l'exosquelette de nombreux insectes, est particulièrement dangereuse.
Autres dangers : les alcaloïdes présents chez de nombreux insectes, selon l'étude, "sont toxiques pour les consommateurs au-delà d'une certaine dose", tout comme de nombreux coléoptères, "dont la consommation doit être évitée car ils contiennent des hormones stéroïdes comme la testostérone". Il existe un risque de masculinisation chez la femme, d'œdème, de jaunisse et même de cancer du foie !
RépondreSupprimerLes Verts ont-ils encore un reste de pudeur et de caractère ???
Pensez-vous vraiment que les Autrichiens sont si stupides et ne l'ont pas reconnu ou ne le reconnaissent pas maintenant ?
Et maintenant VOUS laissez notre nourriture être empoisonnée avec la saleté de la farine d'insectes, pour ainsi dire, bien que vous sachiez que cela rend les gens malades et que les gens peuvent aussi mourir de chocs allergiques ?
Qu'en pensez-vous, M. Fumer qu'une personne âgée, lorsqu'elle fait ses courses, lit les ingrédients sur les produits pour reconnaître cette saleté d'insecte ?
https://tkp.at/2023/02/06/insekten-in-lebensmittel-offener-brief-an-gesundheitsminister/
Comme tous êtres vivants, chacun attrape des maladies qui lui sont propres.
SupprimerChaque organisme réagit différemment suivant la consommation.
Peut-on consommer des tomates atteintes de mildiou ?
Peut-on consommer des insectes qui s'en régalent ?
Peut-on consommer des excréments d'insectes alors que nous savons toutes et tous que la merde ou l'urine sont des poisons rejetés par les organismes ?
25 façons de refuser le Grand Reset
RépondreSupprimer6 février 2023
par Thomas Oysmuller
Comment puis-je dire non au Great Reset ? Une liste qui circule actuellement fournit un guide.
Plusieurs listes circulent actuellement sur internet intitulées "Comment refuser le Grand Reset". D'abord, vous pouviez les lire sur Simon Goddek sur Twitter. La liste n'est certainement pas complète - TKP a légèrement changé et ajouté. En tout cas, il sert de guide pour une vie autodéterminée, alors que la société doit être radicalement transformée d'en haut. Si certains points sont assez faciles à mettre en œuvre, d'autres nécessitent une transformation fondamentale de sa vie.
Cultiver la terre (agroforesterie et permaculture). planter des arbres.
Insistez sur votre vie privée - consultez Linux et CalyxOS pour quitter Microsoft.
Payez toujours en espèces, évitez les "offres de bonus" comme la "JÖ-Card" en Autriche.
Refusez le smartphone ou au moins laissez-le à la maison.
Envisagez l'enseignement à domicile pour éviter de laver le cerveau des enfants.
Achetez des produits locaux; boycotter Nestlé, PepsiCo, Kraft et d'autres géants de l'entreprise.
Ne marchez pas, prenez l'avion (blague sur le gaz carbonique).
Réduisez l'utilisation de Google et des méta-plateformes. Ce sont des ventouses de données et en savent probablement plus sur vous que vous n'en savez sur vous-même.
Apprenez une nouvelle compétence par semaine/mois.
Conduisez une voiture robuste sans beaucoup d'électronique.
Oubliez les vaccins, les passeports gaz carbonique) et les cartes d'identité numériques.
Essayez de devenir autonome en eau, nourriture et électricité.
Joignez-vous à des personnes partageant les mêmes idées et organisez-vous.
Prenez la responsabilité de votre propre santé.
Éteignez le téléviseur et ne l'utilisez pas souvent.
Continuez à exprimer vos opinions même si vous obtenez 1000 problèmes.
Bougez plus au lieu de vous asseoir devant Internet.
Préférez les livres à Netflix.
Ne consommez pas de pornographie.
Avoir plus de deux enfants.
Mangez beaucoup de viande nourrie à l'herbe, de fruits et de légumes frais. Meilleur du cru.
Ne donnez que des insectes aux poulets.
Ne mangez pas plus de 8 g de sucre par jour (le sucre crée une dépendance).
Consommez des médias alternatifs et objectifs. Apprenez à lire et à interpréter des études scientifiques.
Travaillez sur vous-même, devenez meilleur et plus fort que vous n'êtes entré dans la période de crise. & Investissez en vous-même.
https://tkp.at/2023/02/06/25-wege-um-den-great-reset-zu-verweigern/
(...) Cultiver la terre (agroforesterie et permaculture). planter des arbres.
SupprimerPour... manger des arbres ? Hahaha !
Éteignez le téléviseur et ne l'utilisez pas souvent.
Ne soyez plus con mais demeurez-le quand-même !!
Ne consommez pas de pornographie. (...)
Branlez vous la nuit sans regarder c'est horrible ! Hahahaha !
Un incendie dans la plus grande ferme d'œufs de Nouvelle-Zélande tue 75 000 poules en raison d'une pénurie nationale
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 07 FÉVRIER 2023 - 03:20
Le dernier grand fournisseur de produits alimentaires à s'enflammer, après des décennies de non-incendie, est le plus grand producteur d'œufs de Nouvelle-Zélande – après qu'un incendie s'est déclaré lundi, tuant environ 75 000 poules.
L'incendie de la ferme de Zeagold avait "pris la plus grande partie de la journée pour être maîtrisé", selon l'entreprise, ajoutant que douze ouvriers sur le site étaient "indemnes mais très affligés".
Avant l'incendie, les agriculteurs néo-zélandais estimaient que le pays avait besoin de 300 000 poules supplémentaires pour faire face à une pénurie nationale d'œufs, rapporte The Guardian.
Le porte-parole a ajouté que même s'il était encore trop tôt pour évaluer à quel point l'incendie affecterait la chaîne d'approvisionnement, "il y aura évidemment un impact - ce n'est pas une bonne chose de se produire au milieu d'une pénurie".
La Nouvelle-Zélande est en proie à une pénurie d'œufs depuis le début de l'année, lorsqu'elle a mis fin à l'élevage en batterie. L'interdiction était en cours depuis 2012 et le nombre de poules en batterie avait chuté au fil du temps pour ne représenter que 10 % de la production globale d'œufs – mais leur interdiction finale début janvier a encore suffi à secouer la chaîne d'approvisionnement en œufs, laissant le supermarché les étagères sont vides, les propriétaires de magasins surveillent les achats de plateaux et les amateurs de gros déjeuners sont privés.
La pénurie a atteint le point de discorde : un supermarché d'une petite ville a interdit à l'équipage d'un bateau de croisière d'acheter d'autres œufs après avoir vidé les étagères ; les journaux ont publié des colonnes de conseils sur la cuisson sans œufs et les brouillages de tofu; et en janvier, la SPCA a publié un avis disant aux Néo-Zélandais de ne pas se livrer à des achats instinctifs de volaille de basse-cour, après avoir craint qu'une augmentation de la propriété de poulets amateurs n'entraîne un manque de soins appropriés pour les animaux. -Le gardien
"L'approvisionnement en œufs est limité, donc cela n'aidera en rien", a déclaré Michael Brooks, directeur exécutif de la Fédération des producteurs d'œufs.
L'incendie survient environ une semaine après que l'un des principaux fournisseurs d'œufs d'Amérique, Hillandale Farms, a brûlé, tuant jusqu'à 100 000 poulets.
RépondreSupprimerEn rapport:
Les craintes de pénurie augmentent alors que certains magasins Costco et Walmart manquent d'œufs
La crise des œufs suscite un intérêt croissant pour les fermes d'arrière-cour
Une autre usine de transformation alimentaire aux États-Unis prend feu
https://www.zerohedge.com/commodities/fire-new-zealands-largest-egg-farm-kills-75000-hens-amid-national-shortage
Comme il en est pour les incendies de montagnes qui naissent de façon 'inexpliquée', il en est pour les entreprises qui n'ont pas des poules ininflammables !
RépondreSupprimerHAARP est là !
Les élites de Davos applaudissent les politiques qui nuiraient le moins à ceux qui en ont le moins
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 07 FÉVRIER 2023 - 01:00
Rédigé par Chandra Dharma-wardana via RealClearMarkets.com,
Tout en mangeant du caviar et en sirotant du bon vin, les élites fortunées du Forum économique mondial (WEF) de Davos ont côtoyé un assortiment d'universitaires, de chefs de gouvernement et de militants écologistes pour discuter de leurs plans pour une transition mondiale de la production agricole. Ils ont tous convenu que les pratiques conventionnelles qui nourrissent actuellement le monde doivent être abandonnées et remplacées par une agriculture de type biologique, qui, selon eux, contribuerait à lutter contre le changement climatique et à rendre les systèmes alimentaires plus sûrs.
Ils ont mis l'accent sur le fait de lier l'aide aux 600 millions de petits exploitants agricoles du monde avec des efforts pour "encourager" l'adoption de méthodes biologiques, qu'ils ont décrites avec tous les mots à la mode familiers, tels que "régénératif" et "durable". Mais la nouvelle mode est «l'agroécologie», qui non seulement interdit les pesticides modernes, les engrais synthétiques et les OGM, mais décourage également la mécanisation.
On se demande si ces dirigeants autorisés ont pris une pause momentanée dans leurs délibérations pour considérer la souffrance et la famine en cours au Sri Lanka, où l'ancien président Gotabhaya Rajapaksa a suivi ce genre de conseil et a adhéré au fantasme de devenir le premier "entièrement biologique et sans toxines" au monde. ”
Au milieu des acclamations des éco-extrémistes de type Davos, Rajapaksa a fièrement annoncé ses plans lors du Sommet sur le climat de Glasgow en 2021. Presque du jour au lendemain, il a interdit les produits agrochimiques et forcé les producteurs à adopter l'agriculture biologique et à se «synchroniser» avec la nature.
Peu de temps après, en juillet 2022, Rajapaksa a fui pour la vie au milieu des manifestations de masse et du chaos alors que la production agricole chutait de 40 %.
Aujourd'hui encore, plus de 43 % des enfants de moins de cinq ans y souffrent de malnutrition.
Les élites de Davos présentent l'agriculture biologique comme le moyen de mettre fin à l'insécurité alimentaire, même si elle produit en moyenne 35 % de nourriture en moins par acre et ne pourrait pas soutenir la population actuelle, sans parler des près de 10 milliards prévus d'ici 2050. Leurs experts suisses admettent : et les chercheurs confirment qu'il ne peut pas être mis à l'échelle pour nourrir ne serait-ce que la moitié de la population mondiale actuelle.
En fait, chaque objectif de développement durable annoncé à Davos serait sapé par un passage au bio. Être 35 % moins productif signifie 50 % de terres supplémentaires nécessaires pour cultiver la même quantité de nourriture. Augmenter massivement les terres agricoles signifie abattre les forêts et détruire l'habitat. Cela dévasterait la biodiversité et produirait 50 à 70 % de gaz à effet de serre (GES) en plus.
Les promoteurs biologiques devraient admettre que les agriculteurs biologiques utilisent beaucoup de pesticides. Ce sont juste des pesticides plus anciens et moins ciblés comme le sulfate de cuivre, qui sont largement toxiques pour les humains et la faune et doivent être utilisés en plus grande quantité car ils sont moins efficaces.
Quelques semaines à peine avant le WEF lors de la Conférence des Parties de cette année, alias la Convention des Nations Unies sur les changements climatiques en Égypte (COP27) et la Convention des Nations Unies sur la diversité biologique à Montréal (COP15), les dirigeants chantaient le même mauvais air, appelant à une « agriculture », « intensification durable » et le mot sur toutes les lèvres : « agroécologie ».
Ce cocktail de termes de durabilité n'est qu'une agriculture paysanne non durable reconditionnée, et ces efforts sont les enfants bâtards de décideurs infectés par la désinformation alimentée par les activistes.
RépondreSupprimerCe n'est pas seulement qu'il faut plus de terres pour le bio. Les émissions de GES augmentent parce que les agriculteurs doivent labourer (labourer) les champs ou les inonder pour contrôler les mauvaises herbes, plutôt que d'utiliser des herbicides modernes. Le remplacement de 100 kg d'engrais synthétique nécessite 2 à 3 tonnes de compost organique, et les engrais organiques fabriqués à partir de déchets agricoles contiennent des toxines de métaux lourds phyto-accumulées provenant des sols, favorisant un ruissellement dangereux.
Pourtant, le Green Deal européen – un excellent exemple de politiques biologiques défaillantes similaires à celles essayées au Sri Lanka – était toujours vanté lors de ces réunions.
L'agriculture conventionnelle a triplé la productivité des terres agricoles entre 1948 et 2019. À l'échelle mondiale, elle a fait grimper la production céréalière de plus de 300 %. Bien que les connaisseurs prétendent le contraire, l'agriculture conventionnelle a adopté de nombreuses pratiques véritablement régénératrices. Dans l'agriculture sans labour, les agriculteurs utilisent des herbicides, comme l'atrazine et le glyphosate, pour contrôler les mauvaises herbes au lieu de labourer à la machine.
Oui, l'atrazine et le glyphosate réduisent l'érosion et créent un sol de meilleure qualité. Ils réduisent également les émissions de gaz carbonique de 280 000 tonnes métriques et économisent 588 millions de gallons de diesel par an, soit l'équivalent des émissions d'un million de voitures. Et, non, ces herbicides ne sont pas mauvais pour les gens et l'environnement. L'atrazine ne s'infiltre pas dans les eaux souterraines, comme l'a montré Santé Canada en réponse à l'interdiction de l'atrazine par l'UE ; et le glyphosate ne cause pas de cancer, comme en témoigne la plus grande et la plus longue étude sur la santé au monde.
Les élites riches qui dirigent le WEF et la COP pourraient progresser vers leurs objectifs louables si elles fondent leurs politiques sur des faits aussi démontrables, plutôt que sur des fantasmes organiques à la mode.
Pourtant, la pseudo-écologie qui hante la COP27, la COP15, Davos et l'UE canalise la sécurité alimentaire, la biodiversité et les efforts d'atténuation des GES de la planète vers le désastre, comme le Sri Lanka pourrait en témoigner.
RépondreSupprimerCes dirigeants rentrent donc chez eux à bord de leurs jets émetteurs de gaz à effet de serre, ignorant ou indifférents aux dommages humains et environnementaux que leurs politiques promeuvent.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/davos-elites-cheer-policies-would-harm-those-least
Pourquoi les fumiers ont du mal à faire pousser les plantes ?
SupprimerQu'est-ce que la merde et l'urine ? Ce sont des déchets consommés et rejetés par tous les organismes vivants. C'est-à-dire tous les poisons absorbés.
Mais, certaines plantes vont y trouver de quoi se construire. Oui mais... pas plus !
Donc, inutile de rêver remplacer les engrais (appropriés, analysés pour chaque plante) par des excréments ou du purin.
Le glyphosate et la perturbation endocrinienne : quo vadis INRAE ? (Republié)
RépondreSupprimer7 Février 2023
À propos d'un communiqué de presse déroutant (euphémisme)
et
en complément sur la polémique de la conférence de l'AFIS
(Source)
Nous avons publié hier le communiqué de l'Association pour l'Information Scientifique (AFIS) et « L'éco-intégrisme contre l'AFIS et la science », une analyse d'un réquisitoire sur Twitter contre l'AFIS et le glyphosate.
Si on élimine les facteurs de pollution du débat, le fossé entre les positions des uns et des autres pourrait se résumer à un différend sur une question : risque ou danger ? Et, partant, élimination ou mitigation et acceptation du risque si cela est raisonnable, pour les uns ; refus catégorique du danger, pour les autres.
Encore faut-il identifier les dangers et les risques. C'est là qu'intervient un autre facteur : la qualité et la crédibilité des recherches, et l'usage qui en est fait dans les instances de décision et sur la place publique.
Il y a sans aucun doute des études de mauvaise qualité sur les risques qui tendent à montrer qu'ils sont inexistants, gérables ou acceptables.
Il y a bien plus d'études tendant à montrer – ou suggérer – des dangers ou encore des risques inacceptables. Cela a donné lieu à une véritable industrie « scientifique » largement instrumentalisée et médiatisée.
Une « étude » médiatisée par l'INRAE en offre un bel exemple. C'est pourquoi nous republions « Le glyphosate et la perturbation endocrinienne : quo vadis INRAE ? »
Arrogance ou incompétence ?
Dies irae ! Commençons par un coup de gueule incident : l'INRAE – ou INRAE, sans article, pour succomber à leur snobisme ridicule – fait partie de ces organismes, arrogants ou stupides, qui estiment inutile de mentionner leur nom complet bien en évidence sur les pages de leurs sites. Ça dérange les « anciens », habitués à l'« INRA », d'autant plus que la structure de la dénomination a changé.
L'INRAE, c'est donc maintenant l'Institut National de Recherche pour l'Agriculture, l'Alimentation et l'Environnement. Le « A » est partagé par deux objectifs, alors que l'environnement a un droit entier sur le « E ». Cela semble correspondre à l'évolution récente de l'institut...
Un communiqué de presse
Cocorico...
L'INRAE a publié le 9 mars 2022 un communiqué de presse au titre tonitruant : « Le glyphosate perturbe les fonctions de reproduction animale et humaine ».
RépondreSupprimerEn chapô :
« Une synthèse bibliographique met en évidence les mécanismes d'action du glyphosate et des herbicides à base de glyphosate sur la fertilité mâle et femelle sur les animaux modèles et chez les humains. »
C'est plutôt présomptueux. Du texte, plus réaliste :
« Une synthèse bibliographique a été réalisée à partir des travaux scientifiques portant sur les mécanismes d'action du glyphosate et des herbicides à base de glyphosate sur la fertilité mâle et femelle chez les animaux modèles et les humains. Au cours des dernières décennies, les chercheurs ont montré, en utilisant divers modèles animaux, que les GBH sont des perturbateurs endocriniens des fonctions de reproduction. »
La synthèse bibliographique – sélective ! – est une juxtaposition d'affirmations associées à des renvois à la bibliographie. Point barre !
...sous la forme d'un gloubi-boulga...
Suit un long paragraphe d'une lecture pénible. Extrayons ceci :
« […] En outre, des impacts intergénérationnels de l'exposition au G ou aux GBH sont rapportés. [Trois phrases sur d'autres aspects] Les effets transgénérationnels sont également encore méconnus. »
Peut-être y a-t-il une nuance entre « inter... » et « trans... » qui nous échappe...
Mais la conclusions, que nous présentons ici sous forme d'un large extrait, est péremptoire (c'est nous qui graissons) :
« Les G et les GBHs peuvent donc induire à des doses équivalent glyphosate parfois inférieures à la NOAEL (dose sans effet nocif observable) des altérations de l'ensemble de l'appareil reproducteur chez les mâles et les femelles. D’autres études sont prévues afin d'analyser les conséquences de ces impacts physiologiques sur la fertilité, c’est-à-dire sur l’aptitude à se reproduire, mais aussi sur les pathologies éventuelles induites, notamment dans l’espèce humaine. Les effets transgénérationnels sont également encore méconnus. Certains auteurs envisagent enfin de trouver des stratégies pour diminuer ou éviter les impacts négatifs des GBH, même si à terme, ces substances ont vocation à être interdites.
Vraiment INRAE ?
Aurait-on mal déterminé la NOAEL et remettez-vous en cause les travaux en matière de toxicologie ?
Vous faites-vous prescripteurs, ou du moins voyants extra-lucides, pour le sort futur du glyphosate ?
...à quelles fins ?
Visiblement, on a quitté la sphère scientifique pour entrer dans celle du militantisme.
Et pourquoi diable publier un communiqué de presse le 9 mars 2022, à propos d'un article publié le 8 novembre 2021 ?
D'un article qui n'est qu'un catalogue d'articles scientifiques (et vendons la mèche : pseudo-scientifiques), un catalogue qui n'apporte rien de nouveau et qui aurait été considérablement élagué si on avait procédé à une méta-analyse fondée sur des bases réalistes ?
RépondreSupprimerCertains ont évoqué sur Twitter une manœuvre souvent qualifiée de « complot », même si c'était pour la mettre en doute. L'hypothèse n'est pourtant pas à écarter ! Pas en relation avec la campagne présidentielle, mais la campagne annuelle de gesticulation de Générations Futures intitulée, selon le cas, « Semaine sans pesticides » ou « Semaine pour les alternatives aux pesticides ».
(Source)
La synthèse bibliographique
Données bibliographiques de l'article
« Review: Mechanisms of Glyphosate and Glyphosate-Based Herbicides Action in Female and Male Fertility in Humans and Animal Models » (Revue : Mécanismes d'action du glyphosate et des herbicides à base de glyphosate sur la fertilité féminine et masculine chez l'Homme et les modèles animaux) de Loïse Serra, Anthony Estienne, Claudine Vasseur, Pascal Froment et Joëlle Dupont a été publié dans Cells, dans un numéro spécial sur les effets et mécanismes des perturbateurs endocriniens sur les cellules germinales, les gonades et les embryons.
L'article a été reçu le 13 octobre 2021, révisé et accepté le 4 novembre 2021 et publié le 8 novembre 2021. Quelle incroyable célérité !
Le résumé
Voici le résumé, que nous découpons comme de coutume en paragraphes pluslisibles, mais en les numérotant :
1. Le glyphosate (G), également connu sous le nom de N-(phosphonométhyl)glycine, est l'ingrédient actif déclaré des herbicides à base de glyphosate (GBH) tels que le Roundup, largement utilisés dans l'agriculture conventionnelle. Il est toujours utilisé en mélange avec des produits de formulation.
2. Le G agit notamment sur la voie du shikimate, qui existe chez les bactéries, pour la synthèse des acides aminés aromatiques, mais cette voie n'existe pas chez les vertébrés.
3. Au cours des dernières décennies, les chercheurs ont montré, en utilisant divers modèles animaux, que les GBH sont des perturbateurs endocriniens qui pourraient altérer les fonctions de reproduction.
4. Notre revue décrit les effets de l'exposition aux G ou aux GBH sur l'axe hypothalamo-hypophyso-gonadique (HPG) chez les mâles et les femelles en termes de perturbation endocrinienne, de viabilité cellulaire et de prolifération.
5. La plupart des principaux régulateurs de l'axe reproducteur (GPR54, GnRH, LH, FSH, estradiol, testostérone) sont altérés à tous les niveaux de l'axe HPG (hypothalamus, hypophyse, ovaires, testicules, placenta, utérus) par l'exposition aux GBHs qui sont considérés comme plus toxiques que le G seul en raison de la présence de formulants tels que la polyoxyéthylène tallow amine (POEA)".
6. En outre, nous rapportons les impacts intergénérationnels de l'exposition au G ou aux GBH et, enfin, nous discutons des différentes stratégies pour réduire les effets négatifs des GBH sur la fertilité.
RépondreSupprimerPetit arrêt
Pourquoi « déclaré » au paragraphe 1 ? Cela nous rappelle furieusement la rhétorique séralinienne...
Les plantes ne sont pas évoquées au paragraphe 2... la revue par les pairs a bien fonctionné (ironie) !
Le paragraphe 3 se limite aux GBH, aux produits formulés... Il implique cependant que tous les herbicides, quels que soient les co-formulants, sont des perturbateurs endocriniens. Mais il y a un conditionnel de prudence pour les effets (« that might alter reproductive functions »)...
À lire le paragraphe 5, les herbicides à base de glyphosate – le glyphosate seul n'est à nouveau pas impliqué – auraient des effets extraordinaires. La multiplicité des effets allégués dans les divers travaux scientifiques mis à contribution n'a pas intrigué les auteurs.
Il y a aussi, en fin de paragraphe (de phrase) un signe typographique incongru. Anticipons sur le texte de l'article : les numéros renvoyant vers les références bibliographiques ne sont pas toujours corrects. Précipitation comme le suggère l'historique de la publication ou amateurisme ?
Enfin, au paragraphe 6, on allègue des effets du glyphosate seul.
Un perturbateur endocrinien... vraiment ?
Une analyse détaillée du fond exigerait une connaissance approfondie du sujet, sur le plan tant de la physiologie que des travaux scientifiques, ainsi qu'une vérification des 113 publications incluses dans la synthèse quant à leur sérieux et crédibilité, et la concordance entre celles-ci et ce qui a retenu l'attention des auteurs de la synthèse.
On peut cependant se limiter à un examen par sondage orienté.
La question fondamentale à se poser est la suivante : comment l'INRAE peut-elle titrer de manière outrancière et putaclic « Le glyphosate perturbe les fonctions de reproduction animale et humaine » – ce que les auteurs de la synthèse se sont gardé de faire –, alors que les agences d'évaluation et d'homologation s'inscrivent en faux, souvent avec une formulation prudente étant donné qu'« absence de preuve ne vaut pas preuve de l'absence » ?
Ainsi, selon un document d'information présentant notamment le projet de RAR (renewal assessment report – rapport d'évaluation du renouvellement),
« Sur la base d'une évaluation des données disponibles sur le glyphosate conformément au guide EFSA/ECHA sur l'évaluation de la perturbation endocrinienne, l'AGG [groupe d'évaluation du glyphosate] propose que les critères de la PE [perturbation endocrinienne] tels que définis dans le règlement (CE) n° 1107/2009 tel que modifié par le règlement (UE) n° 2018/605 ne sont pas remplis. »
En bref, la réponse est que ces études scientifiques ou « scientifique d'opinion » selon une formule de M. Philippe Stoop sont – pour la plupart (limitation de prudence, nous n'avons évidemment pas vérifié de manière exhaustive) – non conventionnelles : de l'in vitro (ce qui est loin de l'in vivo), des études sur des modèles animaux éloignés de l'humain, des doses, des modes d'administration et des durées d'administration extravagants...
Des doses invraisemblables
RépondreSupprimerSelon une recherche rapide sur les tableaux résumés, une seule étude a utilisé la dose journalière admissible européenne de 0,5 mg/kg p.c./jour, et encore, comme dose la plus basse, sur des rats ou des souris. On rappellera ici que les doses susceptibles d'être – occasionnellement – ingérées dans la vie réelle sont inférieures de deux à trois ordres de grandeur à la dose admissible... Merci les « pisseurs de glyphosate » !
La dose maximale évoquée dans la synthèse est de 2.000 mg/kg poids corporel/jour, administrée à un groupe de 5 – oui, cinq – rats pendant 60 jours. Cela correspond en gros à un tiers de litre de Roundup concentré pour une petite personne de 60 kg !
Dans une autre étude qui a trouvé grâce auprès des auteurs de la synthèse, les chercheurs ont analysé les effets d'un mélange de zinèbe (15 mg/kg p.c.), glyphosate (10 mg/kg p.c.) et diméthoate (15 mg/kg p.c.) administré par voie intrapéritonéale à des rats mâles trois fois par semaine pendant cinq semaines. Les DJA – par voie orale, évidemment – sont de 0,03 mg/kg p.c./jour, 0,5 mg/kg p.c./jour et 0,001 mg/kg p.c./jour, respectivement.
L'amalgame G - GBH
La synthèse bibliographique est précise – a priori autant que possible – sur les substances mises en œuvre dans les essais.
Mais ce n'est souvent pas le cas dans la « presse d'opinion scientifique », particulièrement laxiste sur les amalgames entre le glyphosate seul et les herbicides formulés. Quand on ne trouve pas d'effet avec le glyphosate seul, mais avec un produit formulé, on s'arrange pour incriminer le glyphosate...
Le problème qui n'a jamais été abordé – au mieux rarement –, est de connaître la dynamique des co-formulants dans leur parcours environnemental et, le cas échéant, alimentaire et humain. Gesticuler sur la nature de perturbateur endocrinien d'un produit formulé n'a guère de sens si le co-formulant en cause n'atteint pas l'humain (autre que, peut-être, l'applicateur).
Des sources étonnantes
Séralini et Cie. – La synthèse bibliographique comporte pas moins de 14 références à M. Gilles-Éric Séralini et son équipe.
Il y a parmi elles, quasiment d'entrée de jeu, l'allégation que les/des produits formulés contiennent-- comme co-formulants – des métaux lourds.
Mettons en deuxième position dans la liste des horreurs, « Dig1 Protects against Locomotor and Biochemical Dysfunctions Provoked by Roundup » (Dig1 protège contre les dysfonctionnements locomoteurs et biochimiques provoqués par le Roundup).
Les auteurs de la synthèse n'ont pas été rebutés par le fait que cet article a été publié dans BMC Complementary Medicine and Therapies ; que « Dig1 », une sorte de faux nez pour Digeodren de Sevene Pharma, est décrit comme un « médicament homéopathique indiqué dans le traitement des digestions lentes et difficiles » ; que la liste des auteurs comprend une personne de Sevene Pharma ; que la recherche (ou « recherche ») a été financée notamment par Sevene Pharma et des fondations liées au biobusiness.
RépondreSupprimerNous nous sommes payé du bon temps sur cette étude dans « C'est prouvé par M. Gilles-Éric Séralini : on peut boire du glyphosate, moyennant... ! »
Enfin, il y a l'infameuse étude sur les rats rétractée puis republiée dans une revue moins-disante grande ouverte à la science d'opinion « anti » !
On cherchera en vain les références aux vastes et très coûteuses études réalisées sur fonds européens pour, en quelque sorte, réfuter l'étude précitée – notamment le GMO90+ Project (voir ici et ici sur ce site).
(Source)
Y a-t-il d'autres études qui n'ont pas été mentionnées et auraient mérité de l'être ? Anderson Tadeu de Araújo-Ramos et al. « Controversies on Endocrine and Reproductive Effects of Glyphosate and Glyphosate-Based Herbicides: A Mini-Review » (controverses sur les effets endocriniens et reproductifs du glyphosate et des herbicides à base de glyphosate : une mini-revue) – un titre tout à fait pertinent – par exemple ?
L'Institut Ramazzini. – On trouve aussi au moins une référence à l'Institut Ramazzini, connu pour produire des études anxiogènes en série.
Nous avons démonté et mis en perspective l'article en question dans « Le glyphosate suspecté d’être un perturbateur endocrinien ? Que dit la dernière étude ? » Notons un élément de nature générale : trouver une différence statistiquement significative ne dit encore rien sur la différence sur le plan biologique (et dans les conditions de la vraie vie).
Notons aussi que l'Institut Ramazzini était membre de consortium italien Stoglifosato et que sa directrice, Mme Fiorella Belpoggi, s'était associée à une opération anti-OGM, finalement foireuse, Factor GMO organisée depuis la Fédération de Russie.
Samsel et Seneff. – Mais le clou est encore « Glyphosate, Pathways to Modern Diseases II: Celiac Sprue and Gluten Intolerance » (glyphosate, voies d'accès aux maladies modernes II : la sprue cœliaque et l'intolérance au gluten) d'Anthony Samsel et Stephanie Seneff. Des auteurs prolifiques de corrélations déjantées sévèrement critiqués par Robin Mesnage et Michael Antoniou (voir ici et ici).
- voir graph sur site -
Ce graphique loufoque est tiré de « Aluminum and Glyphosate Can Synergistically Induce Pineal Gland Pathology: Connection to Gut Dysbiosis and Neurological Disease » (l'aluminium et le glyphosate peuvent induire de manière synergique une pathologie de la glande pinéale : lien avec la dysbiose intestinale et une maladie neurologique), des ineffables Stephanie Seneff, Nancy Lee Swanson et Chen Li, n'a pas de lien direct avec l'article ci-dessus.
RépondreSupprimerL'article de Samsel et Seneff cité par les auteurs de la synthèse comporte aussi des graphiques montrant des corrélations invraisemblables – en fait facilement « démontables ». Par exemple quand l'un des facteurs est le « glyphosate appliqué sur le blé », il s'agit essentiellement de glyphosate utilisé en pré-semis ! Comment ont-ils pu, dès lors, écrire :
« De plus, dans une étude récente, l'exposition maternelle à G a été liée à une augmentation des cas de comportement autistique [110] et de maladies cœliaques [111]. Cette dernière étude a également fait état d'une déficience de nombreuses enzymes du cytochrome P450, de certains problèmes d'infertilité, de fausses couches et de malformations congénitales. » [Nos liens mênent vers les bons articles.]
Quo vadis, INRAE ?
L'« étude a également fait état » ? Les auteurs de la synthèse ne se sont-ils pas aperçu que cette « étude » est au mieux un montage de conjectures ? Que les « certains problèmes » sont évoqués essentiellement en tant que conséquences de la maladie cœliaque ?
Cette phrase pourrait être un bon résumé de l'objectif de la synthèse : militant. Mais cela ne nuit pas à l'intérêt de la synthèse, au contraire : outre la mise en évidence de l'approche adoptée par ses auteurs, il y a ce fort utile « musée des horreurs » anti-glyphosates et panorama des « recherches » déployées pour mettre le glyphosate (et d'autres substances) sur la sellette.
De manière classique, les auteurs se font cependant prudents dans la conclusion de la conclusion :
« En conclusion, les G ou GBHs peuvent induire des altérations de l'ensemble de l'appareil reproducteur chez les mâles et les femelles. Ces altérations pourraient être prévenues ou réduites par des molécules protectrices (tableau 7). Cependant, d'autres études doivent être réalisées afin d'analyser les impacts de l'exposition aux GBH sur la fertilité humaine, les conséquences sur la santé humaine en termes de pathologies reproductives, les effets transgénérationnels et, enfin, de trouver des stratégies pour diminuer ou éviter les impacts négatifs des GBH. »
Oubliant cette prudence, le service de communication de l'INRAE a fait une publicité grossièrement mensongère, outrageusement anxiogène, pour cette synthèse.
RépondreSupprimerQuo vadis, INRAE ?
https://seppi.over-blog.com/2023/02/le-glyphosate-et-la-perturbation-endocrinienne-quo-vadis-inrae-republie.html
(...) Ce graphique loufoque est tiré de « Aluminum and Glyphosate Can Synergistically Induce Pineal Gland Pathology: Connection to Gut Dysbiosis and Neurological Disease » (l'aluminium et le glyphosate peuvent induire de manière synergique une pathologie de la glande pinéale (...)
SupprimerRappel que depuis 1929 de l'aluminium figure DANS TOUS LES VACCINS ! (Plus t'es piqué plus t'en as !). Et, que l'aluminium favorise l'arrivée de l'Alzheimer. Mais çà tous les laboratoires le savent depuis bientôt 100 ans !! C'est pourquoi il y en a.
L'inconduite flagrante de Nestlé nous montre les ténèbres du capitalisme
RépondreSupprimerPar CovertAction Magazine et Ashley Gjøvik
Recherche mondiale,
07 février 2023
Qu'il s'agisse d'inventer le besoin de lait maternisé à grande échelle entraînant la mort de nourrissons, de rediriger l'eau indispensable des zones pauvres pour l'embouteiller et la revendre aux mêmes communautés, d'exploiter le travail des enfants et l'esclavage, Nestlé s'abaissera à tout bas moral pour faire de l'argent.
Cet article inaugure la nouvelle chronique de Mme Gjovik pour le magazine CovertAction qui met en lumière les abus des multinationales américaines dans le monde. —CAQ Editors
***
Les entreprises comme Nestlé sont essentiellement des machines apocalyptiques : des créations humaines qui finiront par détruire l'humanité si on les laisse continuer comme elles sont. Les sociétés multinationales sont tenues par la loi de placer les intérêts financiers des actionnaires au-dessus de toute autre question, même si cela les oblige à faire passer le résultat net avant le bien commun. Dans ce cauchemar de notre propre création, s'il est plus rentable pour les entreprises de commettre des atrocités de masse et de payer une amende que de ne pas commettre d'atrocités, l'entreprise est obligée de commettre des atrocités pour assurer le retour des actionnaires.
De plus, cette maximisation du profit par le biais de pratiques commerciales et de tactiques d'investissement désordonnées crée un cycle de destruction alimenté par les gouvernements et les institutions assouplissant les règles pour inciter les entreprises à faire des affaires d'une manière qui profite financièrement à ce gouvernement. Cela permet aux entreprises de créer plus de profit en coupant les coins ronds autour des droits du travail, des protections de sécurité et des normes environnementales. Alors que la négligence se normalise davantage, les gouvernements doivent attirer les entreprises avec plus de concessions, ce qui encourage un comportement encore pire de la part des entreprises. Les gouvernements et les entreprises se font ensuite la course vers le bas dans une spirale destructrice qui nuit à tout le monde.
Aux États-Unis, les entreprises revendiquent un statut juridique comme si elles étaient des êtres humains. Bien qu'il s'agisse d'un concept fictif, si la société Nestlé était une personne, Nestlé serait la pire des personnes, quelqu'un avec qui vous ne voudriez jamais être dans la même pièce. Nestlé est le psychopathe américain des entreprises.
Pourtant, une entreprise comme Nestlé n'existe que grâce à l'acquiescement et à la facilitation de sa faute grave par les gouvernements et la société. Cette étude de cas sur les pratiques commerciales de Nestlé met en évidence certains des comportements les plus flagrants des entreprises.
[Source : nstle.cz ]
RépondreSupprimerUne société appelée Nestlé
Fondée en 1866 par Henri Nestlé , la société Nestlé possède aujourd'hui plus de 2 000 marques. [1] Nestlé est la plus grande entreprise alimentaire au monde et l'une des entreprises les plus multinationales, avec plus de 450 usines de fabrication dans plus de 79 pays, des ventes dans 186 pays et un emploi de 276 000 personnes. En 2021, Nestlé a réalisé un chiffre d'affaires de 87 milliards de dollars et un bénéfice mondial de 22 milliards de dollars. Environ 30 % des ventes totales de Nestlé provenaient des États-Unis, où Nestlé a réalisé un chiffre d'affaires de 26 milliards de dollars. [2]
La farine lactée d'Henri Nestlé
Henri Nestlé [Source : nestle.cz ]
Le nom Nestlé est largement associé à une controverse. Le succès de Nestlé est sans doute dû à son incroyable brutalité - de l'invention du besoin de lait maternisé à grande échelle entraînant la mort de nourrissons, ou la réorientation de l'eau indispensable des zones pauvres pour l'embouteiller et la revendre aux mêmes communautés, l'exploitation du travail des enfants et l'esclavage pour rassembler des ingrédients pour des produits de consommation dont il admet qu'ils n'ont aucune valeur nutritionnelle - Nestlé est une entreprise incroyablement contraire à l'éthique.
1911 Annonce Nestlé dans le magazine Good Housekeeping . [Source : zmscience.com ]
Pourtant, la plupart d'entre nous achetons probablement régulièrement des produits Nestlé, même si nous pensons éviter de le faire. Nestlé possède une liste impressionnante de marques populaires, notamment : Acqua Panna, Alpo, Beneful, Blue Bottle Coffee, Boost, Buitoni, Carnation, Cheerios, Coffee Mate, DiGiorno, Dreyer's, Fancy Feast, Garden of Life, Gerber, Haagen Dazs, Hot Pockets, Kit Kat, Lean Cuisine, Nature's Bounty, Nescafé, Nespresso, Nesquik, Ovaltine, Perrier, Purina, Pure Life, Stouffers, Starbucks Coffee at Home, Sweet Earth, San Pellegrino et Tombstone Pizza. [3]
Nestlé est également un actionnaire majeur de L'Oréal , le conglomérat multinational de cosmétiques, que Nestlé déclare comme une « associée » dans ses rapports financiers. [4] L'Oréal lui-même possède de nombreuses marques de soins personnels populaires comme Lancôme, Garnier, Maybelline, Essie, Redkin, NYX, CeraVe, Urban Decay et Kiehl's. [5]
Description du diagramme générée automatiquement avec un niveau de confiance moyen
[Source : zmescience.com ]
"Nestlé tue des bébés"
Le scandale le plus tristement célèbre de Nestlé concerne ses préparations pour nourrissons.
Si les mères sont capables d'allaiter leur bébé, il leur est conseillé de ne donner à leur bébé que du lait maternel pendant les six premiers mois de la vie. [6] Cependant, dans les années 1970, Nestlé a commencé à envoyer des représentants déguisés en infirmières dans les hôpitaux des pays pauvres pour promouvoir le lait maternisé de l'entreprise en remplacement du lait maternel, notamment en renvoyant les familles à la maison avec une boîte gratuite. Dans ces zones, l'eau qui devait être utilisée pour mélanger le lait maternisé et nettoyer les biberons n'était pas sûre. [7] Nestlé a convaincu ces mères de rejeter leur propre lait maternel en faveur de son lait maternisé. [8] Ensuite, les mères n'ont pas pu reprendre l'allaitement car, après on peut, il était trop tard dans le cycle de lactation.
RépondreSupprimerDescription textuelle générée automatiquement
[Source : theboycottbook.com ]
Le résultat a été estimé à un million de bébés morts chaque année à cause de la malnutrition ou de maladies contractées par l'eau sale ou les biberons. [9] En 1974, un rapport a été publié en Suisse intitulé « Nestlé tue les bébés ». [10] Tout cela a conduit à des boycotts massifs à la fin des années 1970 et au début des années 1980. Nestlé a insisté sur le fait que le vrai problème n'était que l'accès à l'eau, tout en commençant à s'emparer des eaux publiques pour embouteiller et polluer l'eau qui restait. [11]
En mai 2007, une enquête a révélé que Nestlé se livrait toujours à des pratiques douteuses de commercialisation des préparations pour nourrissons au Bangladesh. [12] Puis, en 2011, Nestlé a fait l'objet d'une enquête pour corruption sur le marché chinois des préparations pour nourrissons, notamment pour avoir soudoyé du personnel médical afin de promouvoir ses préparations pour nourrissons auprès des nouvelles mères. [13]
Sans se laisser décourager, en avril 2012, Nestlé a approfondi son implication sur le marché en achetant l'activité de préparations pour nourrissons de Pfizer (SMA) pour plus de 11 milliards de dollars. [14] En 2019, le propre rapport de Nestlé a encore relevé au moins 107 cas de non-conformité aux règles internationales de commercialisation du lait pour bébés. [15]
L'année dernière, l'Organisation mondiale de la santé et l'UNICEF ont publié un rapport faisant état de "pratiques de marketing étendues et agressives utilisées par l'industrie du lait maternisé pour cibler les nouveaux parents potentiels" qui "exploitent les émotions, les peurs et les ambitions des femmes et des familles à la fois". ils sont potentiellement les plus vulnérables. [16] Les pratiques en matière de préparations pour nourrissons de Nestlé sont un exemple frappant de meurtre sur le marché libre au cours de décennies.
RépondreSupprimerEmbouteillage des biens communs
Dans les régions pauvres, Nestlé et d'autres prélèvent l'eau des aquifères, des sources, des rivières et des lacs - et la mettent dans des bouteilles en plastique ou la transforment en boissons aromatisées et sucrées - puis rejettent leur eau usée et sale dans les sources d'eau. Les habitants ne sont alors pas en mesure de boire l'eau du robinet et finissent par payer des prix exorbitants aux entreprises européennes et américaines pour des versions en bouteille de leur propre eau du robinet auparavant non contaminée. [17] En 2020, Nestlé a rapporté 6,4 milliards de dollars de ventes d'eau en bouteille. [18]
[Source : pinterest.com ]
Pendant des années, des militants ont accusé Nestlé de se remplir les poches en privatisant de manière dérobée les approvisionnements publics en eau. L'accès à l'eau est un droit humain.
La privatisation des biens communs par les entreprises s'empare d'une ressource publique et la convertit en un bien privé, et Nestlé y est impliquée depuis des décennies. En fait, la source de la crise de l'eau des entreprises américaines remonte à 1976, lorsque Perrier a ouvert un bureau à New York. [19] L'entreprise s'est associée à un cadre américain qui avait récemment quitté Levi Strauss, et ils ont construit une campagne de marketing pour convaincre les Américains de payer pour l'eau. [20]
Nestlé a acquis Perrier en 1992 pour 2,6 milliards de dollars. [21] À ce moment-là, Perrier avait émis un rappel en raison de rapports de benzène dans l'eau en bouteille et faisait également face à une amende à New York pour publicité mensongère. [22] Perrier était apparemment une culture digne de Nestlé.
En 2016, les ventes d'eau en bouteille avaient dépassé les boissons gazeuses en tant que plus grande catégorie de boissons aux États-Unis, les Américains consommant 12,8 milliards de gallons cette année-là. [23] En plus de saisir les eaux publiques, le processus de fabrication de Nestlé utilise beaucoup plus d'eau que la production n'en fournit (seulement environ 70%). Pendant ce temps, Nestlé rejette également une quantité importante d'eau désormais polluée dans les bassins hydrographiques et les aquifères. [24]
Alors que d'autres entreprises ont déplacé leurs opérations hors de la Californie ravagée par la sécheresse, le PDG de Nestlé a déclaré qu'il pomperait davantage de la forêt nationale de San Bernardino s'il le pouvait. Personne ne sait réellement combien Nestlé extrait de cette source - ce qu'elle fait sans permis depuis 1988 - en ne payant que 524 $ par an pour contourner l'exigence. [25] En 2021, le Conseil de contrôle des ressources en eau de Californie a demandé à Nestlé d'arrêter les dérivations d'eau non autorisées après qu'une enquête a révélé de multiples violations et des ressources épuisées. [26]
Nestlé n'a montré aucune honte ni contrition pour tout cela. En fait, l'ancien PDG et président de Nestlé, Peter Brabeck, a qualifié l'eau de "produit d'épicerie" qui devrait "avoir une valeur marchande". Il a ensuite modifié cela, arguant que l'eau peut être un droit humain, mais seulement 25 litres par jour. [27] Aujourd'hui, le site Web de Nestlé continue d'affirmer que l'utilisation "non essentielle" de l'eau n'est pas un droit humain et devrait "avoir un coût". [28]
RépondreSupprimerFabriqué en esclavage
Les pratiques commerciales illégales de Nestlé ne se limitent pas à un marketing fatalement contraire à l'éthique. Nestlé a également été impliqué dans le travail des enfants.
Le département américain du travail rapporte que plus de 1,5 million d'enfants travaillent dans l'industrie du cacao au Ghana et en Côte d'Ivoire, qui produisent 60 % de la récolte mondiale annuelle de cacao. Plus de 40 % de ces enfants sont exposés à des conditions de travail dangereuses, notamment l'utilisation de produits chimiques, le brûlage des champs, le balancement des machettes et le levage de charges lourdes, des activités que les autorités internationales considèrent comme les « pires formes de travail des enfants ». [29]
Dans Nestlé USA v. Doe (2021), d'anciens enfants esclaves qui ont été victimes de la traite en Côte d'Ivoire pour travailler dans des plantations de cacao ont intenté une action en vertu de l'Alien Tort Statute (ATS) contre Nestlé USA. [30] Ils ont accusé la société d'avoir aidé et encouragé l'asservissement illégal de milliers d'enfants dans les plantations de cacao des chaînes d'approvisionnement de Nestlé. [31]
Nestlé USA contrôle effectivement une grande partie de la production de cacao en Côte d'Ivoire et opère « dans le but unilatéral de trouver la source de cacao la moins chère en Côte d'Ivoire », ce qui se traduit par un « système fondé sur l'esclavage des enfants pour faire baisser les coûts de main-d'œuvre ». [32] Nestlé a sciemment profité du travail illégal d'enfants et les fournisseurs sous contrat de Nestlé ont pu proposer des prix inférieurs à ceux s'ils avaient employé des travailleurs adultes dotés d'un équipement de protection approprié. [33]
Dans la pétition de Nestlé pour Certiorari, les avocats de Nestlé n'ont pas nié l'existence d'esclavage dans sa chaîne d'approvisionnement, mais ont plutôt soutenu, entre autres, que les entreprises ne peuvent être tenues responsables des violations du droit international coutumier ou des violations des droits de l'homme. [34] Les avocats de Nestlé ont largement fait référence aux procès de Nuremberg dans leur argumentation en faveur de l'impunité, plaidant désespérément que même la société qui a fourni le gaz Zyklon B, que les nazis ont utilisé pour tuer des millions de personnes, n'a pas été condamnée lors de ce procès. [35]
Lors des plaidoiries, le ministère américain de la Justice, au nom du gouvernement américain, a soutenu Nestlé. Le solliciteur général adjoint Curtis E. Gannon a soutenu qu'une nouvelle loi du Congrès serait nécessaire pour créer une responsabilité pour les sociétés nationales en vertu de l'ATS (responsabilité que l'avocat a décrite comme des sociétés faisant l'objet de « discrimination »). [36] Gannon, au nom des États-Unis, a déclaré que l'affaire contre Nestlé alléguant l'esclavage des enfants pourrait « menacer les intérêts des affaires étrangères » du gouvernement américain. [37]
RépondreSupprimerAprès avoir demandé au juge en chef John Roberts si le gouvernement américain pensait qu'une société pourrait jamais être tenue responsable de la création d'une société américaine et de l'envoi d'employés américains en Côte d'Ivoire dans le but exprès de créer une plantation de cacao qui utilise l'esclavage des enfants, Gannon a répondu: " Eh bien, je pense que cela dépend de la quantité de conduite qui se produit aux États-Unis et de la quantité de conduite qui se produit à l'étranger ." [38]
Le solliciteur général adjoint Curtis Gannon, l'avocat du gouvernement américain, est l'auteur célèbre du mémorandum du ministère de la Justice approuvant «l'interdiction des musulmans» du président Trump (décret exécutif 13769) en 2017, alors qu'il était sous-procureur général adjoint principal du bureau du conseiller juridique du DOJ. Avant de rejoindre le ministère de la Justice, Gannon a travaillé dans la tristement célèbre entreprise antisyndicale Gibson, Dunn & Crutcher. [39]
Nestlé USA c. Doe a été rejetée en faveur de Nestlé.
Cette décision était la dernière d'une série de décisions américaines imposant des limites strictes aux poursuites intentées devant un tribunal fédéral pour violation des droits de l'homme à l'étranger. [40] Pour aggraver les choses, ce qui n'est possible qu'avec la dépravation d'une entreprise comme Nestlé, l'entreprise a également été accusée d'avoir orchestré un complot de fixation des prix du chocolat, violant les lois antitrust dans la vente de ses produits fabriqués avec des enfants esclaves. . [41]
La chaîne d'approvisionnement de Nestlé en matière d'esclavage humain n'est pas exclusive au chocolat. En 2020, un documentaire a révélé l'utilisation du travail des enfants dans la chaîne d'approvisionnement de Nespresso dans les fermes guatémaltèques. [42] Le documentaire a visité sept fermes liées à Nespresso et a trouvé des enfants travaillant huit heures par jour, six jours par semaine, et qui avaient l'air aussi jeunes que huit ans. [43]
Auparavant, des enquêtes avaient également révélé que des migrants avaient été attirés par de fausses promesses de travailler dans le secteur thaïlandais des produits de la mer, puis maintenus en servitude pour dettes et dans des conditions dégradantes. Lorsque les travailleurs sont morts au travail, il a déclaré que les corps avaient simplement été « jetés à l'eau ». En 2014, Nestlé a confirmé que le travail forcé faisait partie de sa chaîne d'approvisionnement en Thaïlande. [44]
Déchets… jusqu'au bout
RépondreSupprimerL'inconduite de Nestlé comprend également la dégradation de l'environnement et un rôle direct dans la cause de la crise climatique actuelle.
Les emballages en plastique de Nestlé sont fabriqués à partir de résine plastique créée par des sociétés pétrochimiques comme Exxon, Total, Aramco et Shell. Le processus de fabrication du plastique, ainsi que l'extraction des matières premières pour celui-ci, libèrent d'énormes quantités de dioxyde de carbone, environ 108 millions de tonnes métriques par an. [45]
Le plastique entre également dans le produit. Les concentrations de microplastiques dans les bouteilles d'eau Nestlé Pure Life atteignaient 10 000 morceaux de plastique par litre d'eau, la plus élevée de toutes les marques testées. [46] Certains des microplastiques que les chercheurs ont trouvés dans l'eau de Nestlé comprenaient du polypropylène, du nylon et du polyéthylène téréphtalate. [47] Nestlé a été poursuivie en justice en 2018 pour les niveaux élevés de microplastiques, les plaignants alléguant que Nestlé "a intentionnellement, par négligence et par imprudence dissimulé et omis la vérité" sur la contamination par le plastique. [48]
Nestlé a publié une déclaration disant qu'elle avait des "ambitions" pour que ses emballages soient 100% recyclables ou réutilisables d'ici 2025. Cependant, des groupes environnementaux et d'autres critiques ont souligné que Nestlé n'avait pas publié d'objectifs clairs ou de calendrier pour accompagner ses ambitions, ni fait des efforts supplémentaires pour aider à faciliter le recyclage par les consommateurs. [49] Greenpeace a publié une déclaration disant,
«La déclaration de Nestlé sur les emballages en plastique comprend davantage les mêmes petites étapes de greenwashing pour faire face à une crise qu'elle a contribué à créer. Cela ne fera pas réellement avancer l'aiguille vers la réduction des plastiques à usage unique de manière significative, et établit une norme incroyablement basse en tant que plus grande entreprise d'aliments et de boissons au monde. [50]
Dans le rapport 2020 de l'organisation « Break Free From Plastic », Nestlé a été nommé l'un des principaux pollueurs de plastique au monde pour la troisième année consécutive. [51] Nestlé a même admis que la plupart de ses bouteilles n'étaient pas recyclées, alors même que Nestlé inondait simultanément le marché de publicités trompeuses affirmant le contraire. Environ 31 % seulement des bouteilles en plastique finissent par être recyclées, créant des millions de tonnes de déchets chaque année, dont une grande partie finit dans des décharges ou dans l'océan. [52]
Une seule bouteille en plastique peut mettre entre 450 et 1 000 ans à se décomposer dans une décharge. [53]
RépondreSupprimerAprès tant de controverses, Nestlé s'est largement désengagée de son activité d'embouteillage d'eau en Amérique du Nord, vendant la majeure partie de l'activité en 2021. [54] Bien que Nestlé ne soit plus le visage du problème de l'eau embouteillée aux États-Unis, elle est toujours responsable des dommages causés à l'environnement et les terribles systèmes qu'il a mis en place.
[Source : boucherie-abolition.com ]
Nestlé a également été surpris en train d'acheter de l'huile de palme à des moulins dotés de moyens de production imprudents, notamment en abattant des millions d'hectares de forêts et en expulsant les peuples autochtones de leurs terres. [55] En 2010, Greenpeace a fait campagne pour que Nestlé mette fin à la déforestation dans sa chaîne d'approvisionnement.
Nestlé a promis de le faire d'ici 2015, mais en 2017, Nestlé a noté que 47 % de son huile de palme provenait encore de plantations problématiques. [56] Puis en 2019, Nestlé a également été accusé de s'approvisionner en huile de palme auprès de producteurs liés aux incendies de forêt en Indonésie. [57] Un récent rapport de Global Witness a documenté les préjudices, la terreur et l'appauvrissement des communautés toujours en cours en raison de la poursuite de l'huile de palme par les entreprises, y compris par Nestlé. [58] Rassurez-vous, Nestlé affirme toujours « travailler dur » sur la question. [59]
[Source : palmoildetectives.com ]
De plus, un ancien dirigeant de Nespresso a averti en 2016 que les dosettes Nespresso créaient d'importants déchets. Fabriquées à partir d'une combinaison de plastique et d'aluminium, les dosettes de café ne sont pas biodégradables. Cela peut prendre entre 150 et 500 ans pour que les capsules d'aluminium et de plastique se décomposent dans une décharge. Pour recycler les dosettes, il faut déchiqueter les capsules en aluminium, enlever le café avec de l'eau, brûler le vernis et refondre l'aluminium. [60]
Les capsules Nespresso ne sont pas en aluminium pur en raison de la propriété intellectuelle et des intérêts anticoncurrentiels de Nestlé : les capsules contiennent du silicium dans le cadre d'un brevet qui a été utilisé pour empêcher les concurrents de fabriquer leurs propres dosettes qui pourraient fonctionner dans les machines Nespresso. [61] En 2019, on supposait que 70 % des dosettes Nespresso étaient destinées aux décharges. [62]
L'Oréal a sa propre histoire honteuse, à commencer par le fondateur de l'entreprise, le sympathisant nazi connu Eugène Schueller. [63]
L'Oréal a fait face à des protestations et à des boycotts en raison de tests de cosmétiques sur des animaux, [64] d'utilisation présumée du travail des enfants pour obtenir du mica pour les cosmétiques, [65] de publicité trompeuse, [66] et de niveaux élevés de plomb dans les produits de rouge à lèvres. [67]
L'Oréal utiliserait également des produits chimiques cancérigènes et perturbateurs endocriniens dans ses produits de beauté, notamment : formaldéhyde, PFOA, noir de carbone, dioxyde de titane, BHA et autres. [68] L'Oréal fait actuellement face à de nombreuses poursuites concernant la teneur en PFAS de ses produits de beauté. [69] . [Source : whathappensinthechairstaysinthechair.blogspot.com ]
Il a également été découvert que les produits alimentaires de Nestlé contenaient non seulement des produits chimiques toxiques, mais également des produits de remplissage de mauvaise qualité, y compris un scandale de "viande de cheval" dans l'une de ses marques de pâtes en 2013. [70]
RépondreSupprimerUn ami des paramilitaires
Nestlé ne se soucie apparemment pas de qui elle nuit avec sa chaîne d'approvisionnement ou son marketing, alors pourquoi les droits du travail seraient-ils différents ?
Aux États-Unis, la base de données publique du National Labor Relations Board montre 169 accusations de pratique déloyale de travail déposées contre Nestlé (bien qu'il puisse y en avoir d'autres sous les noms d'autres filiales). [71]
Dans une affaire récente, le NLRB a condamné Nestlé USA en 2020, émettant une ordonnance contre la société pour pratiques de travail déloyales dans une usine du Wisconsin qui produit des pizzas DiGiorno. [72]
[Source : wpr.org ]
Le NLRB a ordonné à Nestlé USA de cesser et de s'abstenir, entre autres : d'interroger de manière coercitive les employés sur leurs activités concertées protégées et de suspendre ou de licencier les employés parce qu'ils se livrent à des activités concertées protégées. » [73] Le Conseil a ordonné à Nestlé d'afficher un avis aux employés admettant qu'il avait violé les lois fédérales du travail et promettant de suivre les lois fédérales du travail à l'avenir. [74]
L'année précédente, un rapport de l'AFL-CIO alléguait que Nestlé avait été impliquée dans plusieurs violations des droits des travailleurs, que la direction de Nestlé USA avait continuellement interféré avec les droits d'organisation des travailleurs et que Nestlé était impliquée dans des campagnes antisyndicales. [75]
L'action antisyndicale de Nestlé est mortelle en Amérique du Sud. Un syndicaliste colombien, Luciano Romero, a fait campagne pour les droits des travailleurs de l'usine Nestlé en Colombie pendant des années, notamment en documentant les violations des droits de l'homme dans l'usine. Avant son assassinat, Romero a été à plusieurs reprises faussement qualifié de guérillero par les représentants locaux de Nestlé. Il a également été accusé, sans fondement, d'être responsable d'un attentat à la bombe contre les locaux de l'usine en 1999. En Colombie, une diffamation de ce type peut effectivement équivaloir à une condamnation à mort. [76]
En septembre 2005, Luciano Romero a été poignardé 50 fois lors d'un meurtre par des paramilitaires. [77]
En 2006, Nestlé et les membres paramilitaires ont été poursuivis pour le meurtre de Romero, car l'entreprise entretenait une relation de longue date avec les forces paramilitaires et la veuve de Romero a allégué que le meurtre était en représailles pour avoir dénoncé l'utilisation par Nestlé de lait périmé dans sa célèbre boisson de marque Milo. [78]
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En 2007, les assassins de Romero ont été reconnus coupables et, tout en prononçant la peine, le juge a également ordonné une enquête sur le rôle de la direction de la filiale Nestlé où travaillait Romero. [79] Une plainte pénale a été déposée contre Nestlé devant les tribunaux suisses en 2012, puis rejetée en 2013 en raison de l'expiration du délai de prescription. [80] Le Centre européen des droits constitutionnels et humains a alors déposé une plainte demandant à la Cour européenne des droits de l'homme d'examiner le pouvoir judiciaire qui a rejeté la plainte, qui a également été rapidement rejetée. [81]
En 2012, un tract a été laissé au domicile de Rafael Esquivel, un autre dirigeant syndical de Nestlé, avec une menace de mort disant « tu devras être exterminé, tu as jusqu'au premier décembre pour disparaître de Valle, sinon tu verras le sang couler deuxième décembre . [82] En 2013, d'autres menaces de mort ont été adressées à des dizaines de syndicalistes et de défenseurs des droits humains, dont d'autres membres d'un syndicat Nestlé. [83]
En 2013, le même syndicat avec lequel Romero avait travaillé a accusé Nestlé d'avoir ordonné le meurtre d'Oscar López Trevino, qui travaillait pour l'entreprise depuis 25 ans. Trevino a été abattu par des paramilitaires cette année-là, à la suite du déclenchement d'une campagne de grève de la faim par les travailleurs contre Nestlé pour des accords de travail non respectés. [84]
Aujourd'hui, Nestlé a une page sur son site Web intitulée "Est-ce que Nestlé autorise les syndicats ?" ce à quoi Nestlé répond : "Nestlé soutient le dialogue collectif et les négociations avec les syndicats d'employés... partout où la législation locale s'applique... Les fournisseurs de Nestlé devraient autoriser la liberté d'association et la négociation collective, à moins que les politiques gouvernementales ou d'autres normes ne les empêchent de le faire."
Le propre site Web de Nestlé indique qu'il ne pense pas que les fournisseurs doivent respecter les droits de l'homme si cela est contraire aux «normes» locales. [85]
Espionner les critiques
Nestlé est tout aussi mauvais avec ses détracteurs. En 2003, Nestlé a utilisé une société de sécurité privée pour infiltrer le groupe altermondialiste ATTAC. Nestlé a planté un espion qui a rejoint le comité de rédaction d'ATTAC et a surveillé les recherches d'ATTAC et la rédaction d'un livre critiquant les pratiques de Nestlé qui a été publié en 2004 (" Attac Contre L'Empire Nestlé") . [86] L'espion a même assisté à des réunions de groupe de travail au domicile des membres. [87]
L'espion était employé par une société appelée Securitas et dirigée par un ancien officier du MI6 travaillant pour Nestlé. ATTAC a intenté une action en justice pour cette violation et a exprimé sa crainte que les syndicalistes des sites Nestlé en Colombie qui ont été ciblés par des paramilitaires aient pu être mis en danger. [88] Nestlé a été reconnu responsable de l'espionnage et un tribunal suisse a ordonné à Nestlé et à sa société de sécurité de verser une indemnisation . [89]
Rien que cette année, Nestlé a été surpris en train d'offrir des "quid pro quos" à l'Académie de nutrition et de diététique, un groupe politique américain influent. [90] Nestlé a été identifié comme l'un des principaux "contributeurs", envoyant au groupe politique des centaines de milliers de dollars. [91]
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Affiche Boycott Nestlé de 1978. [Source : zmscience.com ]
Prendre jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien
Il semble qu'il n'y ait aucune ligne que Nestlé ne veuille franchir, l'Éthiopie en étant un exemple clé.
Après 30 ans de guerres et de famines, le peuple éthiopien souffrait terriblement dans les années 1990. [92] Nestlé a acquis une société dont la filiale a été nationalisée par le gouvernement éthiopien en 1975 (des décennies auparavant) puis vendue en 1998. [93]
En 2001, malgré les luttes en Éthiopie, Nestlé a déposé une réclamation de 6 millions de dollars auprès du gouvernement éthiopien, « par principe ». [94] 6 millions de dollars ne représentent que 0,01 % des ventes annuelles de Nestlé, mais constitueraient une perte dévastatrice pour un pays déjà en difficulté. [95] Nestlé a finalement réduit la demande à 1,5 million de dollars suite à l'indignation du public. [96]
Conclusion
La réfutation de Nestlé à la plupart des accusations d'inconduite consiste essentiellement à prétendre qu'il s'agit d'un ours en peluche éthique, attentionné et adapté aux enfants d'une société transnationale qui ne sait tout simplement pas ce qui se passe dans sa chaîne d'approvisionnement et veut toujours faire mieux, mais est constamment harcelé par des critiques haineux. Lorsqu'il est pris en flagrant délit, Nestlé est alors prêt à pointer du doigt IG Farben et à utiliser le précédent juridique de l'Holocauste pour expliquer pourquoi il devrait bénéficier de l'impunité pour les violations flagrantes des droits de l'homme.
Depuis 2000, en ne considérant que les États-Unis, Nestlé et ses filiales ont été citées pour plus d'une centaine d'infractions à la loi, encourant 27 millions de dollars d'amendes. [97] Il faut se demander : est-ce que toute cette inconduite et cette dévastation contribuent à quelque chose de réellement bénéfique pour la société ? Non. Nestlé, une entreprise alimentaire, a récemment reconnu que plus de 60 % de ses produits alimentaires et boissons ne répondent pas à une « définition reconnue de la santé » et que certains produits « ne seront jamais sains ». [98] Nestlé ne vend même pas d'aliments à valeur nutritive. Nestlé vend des idées et des charges terribles, produites par des violations des droits de l'homme, mais qui génèrent des milliards de profits pour l'entreprise sans âme.
Cependant, aussi terrible que soit Nestlé, ce n'est qu'un chef de file de l'hydre des entreprises. Il y en a beaucoup d'autres. Nous pouvons parler de protestations et de boycotts – nous pouvons écrire des exposés et intenter des poursuites – mais cela ne fait que tenter de tenir le coup. Pour réellement arrêter la spirale descendante, nous devons abolir l'atrocité du capitalisme et de la mondialisation qu'est la multinationale.
Tout en prétendant que les entreprises ont les droits d'un être humain, tout en exigeant que ces entreprises ne donnent la priorité qu'au profit et au plaisir des actionnaires, nous avons créé un monstre dionysiaque dément qui considère avec joie l'opportunité fiscale dans la destruction de l'humanité.
RépondreSupprimerNous ne pouvons pas rester les bras croisés et espérer que les États-Unis interviendront au profit du bien commun. Lorsque le gouvernement démocratiquement élu du Guatemala a décidé d'imposer des obligations sur les biens immobiliers appartenant à la United Fruit Company, les États-Unis ont violemment renversé ce gouvernement. Lorsque le Chili a élu un président socialiste qui voulait nationaliser les mines de cuivre, ce gouvernement démocratique a été détruit par les États-Unis et remplacé par une dictature dirigée par le général Augusto Pinochet. [99] Les États-Unis ont une longue histoire de soutien aux intérêts des entreprises à tout prix.
Le célèbre tableau de Diego Rivera «Glorious Victory» sur United Fruit et le coup d'État de 1954 au Guatemala, accroché au musée Pouchkine de Moscou. [Source : pinterest.com ]
Avec Nestlé, les États-Unis ont déjà travaillé pour lutter contre les poursuites et rejeter les accusations visant à tenir Nestlé responsable d'horribles violations des droits de l'homme. Les États-Unis sont apparemment heureux de courir vers le bas, main dans la main avec ces sociétés monstrueuses. La société et l'État sont déjà devenus une seule institution, avec un pouvoir économique centralisé étendu et un comportement de plus en plus destructeur.
Nous avons besoin d'un réveil mondial et d'une révolution par le peuple. Comme l'a dit Johann Wolfgang von Goethe en 1809 : "Nul n'est plus irrémédiablement asservi que ceux qui croient à tort qu'ils sont libres."
Nous ne sommes pas libres et ensemble, nous sommes notre seul espoir d'arrêter cette spirale descendante de dégradation de l'environnement et de violations des droits de l'homme.
Remarques
1
« The Case Against Nestlé », Lakota People's Law Project, 14 juin 2018, https://lakotalaw.org/news/2018-06-13/the-case-against-Nestlé ↑
2
Nestlé, « Rapport sur la gouvernance d'entreprise 2021 » ; Rapport de rémunération 2021 ; États financiers 2021 » (« Rapport sur la gouvernance d'entreprise 2021 »), 2022, https://web.archive.org/web/20230106174601/https://www.nestle.com/sites/default/files/2022-03/2021 -corp-governance-compensation-financial-states-fr.pdf ↑
3
« Marques », Nestlé, https://www.Nestle.com/brands ; "Marques", Nestlé USA, https://www.Nestléusa.com/brands ↑
4
RépondreSupprimerNestlé, « Rapport sur la gouvernance d'entreprise 2021 ». ↑
5
L'Oréal, "Nos marques mondiales", https://web.archive.org/web/20230106174728/https://www.loreal.com/en/our-global-brands-portfolio/ ↑
6
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Stephen Solomon, « The Controversy Over Infant Formula », The New York Times Magazine , 6 décembre 1981, https://www.nytimes.com/1981/12/06/magazine/the-controversy-over-infant-formula. html ↑
7
Martha Rosenberg, « Big Food veut que vous croyiez que l'obésité est causée par le manque d'exercice et non par la malbouffe et que la rotation fonctionne », CounterPunch , 24 août 2018, https://www.counterpunch.org/2018/08/24/ big-food-veut-vous-croire-que-l'obésité-est-causée-par-le-manque-d'exercice-et-pas-la-malbouffe-et-le-spin-fonctionne/ ↑
8
Solomon, « La controverse sur les préparations pour nourrissons ». ↑
9
« The Build Up to the Nestlé Boycott », The Boycott Book , http://www.theboycottbook.com/thebuildup.pdf ↑
10
Solomon, « La controverse sur les préparations pour nourrissons ». ↑
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RépondreSupprimerNestlé USA c. Doe , Cour suprême des États-Unis, n° 19-416, arguments oraux, 1er décembre 2020, https://www.supremecourt.gov/oral_arguments/argument_transcripts/2020/19-416_dc8f.pdf ↑
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RépondreSupprimerGraham Readfearn, "WHO launches health review after microplastics found in 90% of bottled water", The Guardian , 14 mars 2018, https://www.theguardian.com/environment/2018/mar/15/microplastics-found-in -plus-de-90-de-l'eau-en-bouteille-dit-une-étude ↑
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Macias, "L'eau 'Pure Life' de Nestlé remplie de plastique, dit la classe." ↑
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Libérez-vous du plastique, "Branded: Global Audit Report." ↑
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Heather Kohlmann, « Une eau en bouteille « respectueuse de l'environnement » ? Rien de tel », This , 15 mai 2009, https://this.org/2009/05/15/environment-water-bottle/ ↑
"Groups Challenge Nestlé's Bottled Water 'Greenwashing'" , Institut Polaris , 2 décembre 2008, https://web.archive.org/web/20141022031038/http:/www.polarisinstitute.org/groups_challenge_nestl%C3%A9%E2% 80%99s_bottled_water_greenwashing [REMARQUE : Je n'ai pas trouvé ceci sous « Polaris Institute » bien que je l'aie trouvé sous la source « web.archive ». Cependant, la source "web archive" est datée de 2014 alors que l'article original, que j'ai trouvé sous "Common Dreams", est daté du 2 décembre 2008. J'utiliserais la source suivante plutôt que "web archive, etc." : https : //www.commondreams.org/newswire/2008/12/01/groups-challenge-nestles-bottled-water-greenwashing ] ↑
« Le cas contre Nestlé », Projet de loi populaire Lakota. ↑
Arthur Neslen, "Nestlé, Hershey and Mars 'breaking promises over palm oil use'", The Guardian , 28 octobre 2017, https://www.theguardian.com/environment/2017/oct/27/nestle-mars-and -hershey-brise-les-promesses-sur-l'utilisation-de-l'huile-de-palme-dire-les-campagneurs ↑
« Le vrai prix de l'huile de palme », Global Witness, 14 juin 2022, https://www.globalwitness.org/en/campaigns/forests/true-price-palm-oil/ ↑
RépondreSupprimerIdem. ↑
Nestlé, « Human rights issues in palm oil », https://web.archive.org/web/20230106181912/https://www.nestle.com/ask-nestle/human-rights/answers/amnesty-international-report -travail-abus-chaîne-d'approvisionnement-huile-de-palme ↑
Zoe Ferguson et Margot O'Neill, "L'ancien patron de Nespresso avertit que les dosettes de café tuent l'environnement", Australian Broadcasting Corporation (ABC) , 24 août 2016. ↑
Katia Moskvitch, "Il s'avère que les dosettes de café sont en fait plutôt bonnes pour l'environnement", WIRED , 3 mai 2019, https://www.wired.co.uk/article/coffee-pods-nespresso-recycling ↑
Ferguson et O'Neill, "L'ancien patron de Nespresso prévient que les dosettes de café tuent l'environnement." ↑
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Nicole Mowbray, "" Nous avons vu de jeunes enfants sortir des mines ": le coût humain du maquillage" brillant "", The Telegraph , 19 novembre 2022, https://www.telegraph.co.uk/beauty/make -up/dark-truth-really-inside-make-up/ ; Doris Rajakumari John, « L'Oréal : En mission pour l'extraction éthique du mica ? Centre de cas , 2017, https://www.thecasecentre.org/products/view?id=143347 ↑
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"L'Oréal : plus de produits chimiques anticancéreux dans les cosmétiques", Partenaires de prévention du cancer du sein, https://www.bcpp.org/resource/loreal-no-cancer-chemicals-cosmetics/ ↑
RépondreSupprimerJohn Gardella, « L'Oréal PFAS Lawsuit Shows the Danger of ESG Marketing », National Law Review , 14 mars 2022, https://www.natlawreview.com/article/l-oreal-pfas-lawsuit-shows-danger- esg-marketing ↑
"Nestlé retire les plats de pâtes alors que le scandale de la viande de cheval se propage", Reuters , 18 février 2013, https://www.Reuters.com/article/uk-nestle-horsemeat/nestle-withdraws-pasta-meals-as-horsemeat-scandal- spreads-idUKBRE91H0R920130219 ↑
Commission nationale des relations de travail, https://www.nlrb.gov/search/all/Nestlé?f[0]=case_type:C ↑
Nestlé USA Inc et Tou Vang , NLRB, numéro de dossier : 18-CA-231008, décision et ordonnance, 11 mars 2020. ↑
Idem. ↑
Idem. ↑
« Nestlé SA », Consommateur éthique. ↑
« Bulletin spécial sur la plainte pénale contre Nestlé dans l'affaire du syndicaliste colombien assassiné Luciano Romero », Centre européen pour les droits constitutionnels et humains, https://media.business-humanrights.org/media/documents/files/media/ ecchr_-_nestle_special_newsletter.pdf ↑
Idem. ↑
« ILRF poursuit Nestlé pour complicité dans les meurtres syndicaux colombiens », Forum international des droits du travail, 26 octobre 2006, https://laborrights.org/releases/ilrf-sues-Nestlé-complicity-colombian-union-murders ↑
Brent Patterson, « Groups Seek Prosecution Of Nestle For Murder Of Colombian Trade Unionist », The Canadians , 20 mai 2013, https://canadians.org/analysis/update-groups-seek-prosecution-nestle-murder-colombian-trade -syndicaliste/ ↑
« Nestlé lawsuit (re Colombia) », Business & Human Rights Resource Centre, 5 mars 2012, https://www.business-humanrights.org/en/latest-news/nestl%C3%A9-lawsuit-re-colombia / ↑
« Affaire précédente Nestlé : meurtre du syndicaliste Romero en Colombie », ECCHR , https://www.ecchr.eu/en/case/Nestlé-precedent-case-murder-of-trade-unionist-romero-in-colombia/ ↑
« Action urgente : les syndicalistes reçoivent davantage de menaces de mort », Amnesty International, 12 novembre 2012, https://www.amnesty.org/en/wp-content/uploads/2021/06/amr230432012en.pdf ↑
"Idem. ↑
RépondreSupprimer« Trois travailleurs syndiqués de Nestlé assassinés à Valle del Cauca », Justice pour la Colombie , 29 mai 2018, https://justiceforcolombia.org/news/three-unionised-nestle-workers-murdered-in-valle-del-cauca/ ↑
Nestlé, "Est-ce que Nestlé autorise les syndicats?" https://web.archive.org/web/20230106183253/https://www.nestle.com/ask-nestle/human-rights/answers/labour-unions-operations ↑
« Le géant alimentaire suisse Nestlé condamné à une amende pour avoir infiltré un groupe d'activistes », Independent, 31 janvier 2013, https://www.independent.co.uk/news/world/europe/swiss-food-giant-nestle-fined-for-infiltrating -groupe-activiste-8474189.html ↑
James Shotter et Louise Lucas, « Nestlé déclaré responsable d'avoir espionné une ONG », CNN , 30 janvier 2013, https://www.cnn.com/2013/01/30/business/swizterland-nestle-spying-civil-case /index.html ↑
"Baby Milk Action Update", Baby Milk Action , numéro 41, novembre 2008, http://archive.babymilkaction.org/pdfs/update41.pdf ↑
James Shotter et Louise Lucas, « Nestlé reconnu coupable d'espionnage d'une ONG », Financial Times , 2013. ↑
Tom Perkins, « Révélé : un groupe façonnant la nutrition américaine reçoit des millions de la grande industrie alimentaire », The Guardian , 9 décembre 2022, https://www.theguardian.com/science/2022/dec/09/academy-nutrition-financial- liens-transformés-alimentaires-contributions ↑
Carriedo, A., Pinsky, I., Crosbie, E., Ruskin, G. et Mialon, M., "La capture par les entreprises de la profession de nutrition aux États-Unis : le cas de l'Académie de nutrition et de diététique", Public Santé Nutrition , 25(12), 2022, 3568-3582. doi:10.1017/S1368980022001835 ↑
« Evil Days: 30 Years of War and Famine in Ethiopia », Africa Watch, une division de Human Rights Watch, septembre 1991, https://www.hrw.org/sites/default/files/reports/Ethiopia919.pdf ↑
Nestlé, "Nestlé et le gouvernement éthiopien parviennent à un règlement", 24 janvier 2003, https://web.archive.org/web/20230106184353/https://www.nestle.com/media/pressreleases/allpressreleases/ethiopiangovernmentsettlement-24jan03 ↑
Kevin Begley, "L'histoire de Nestlé et d'une nation en famine", CounterPunch , 24 décembre 2002, https://www.counterpunch.org/2002/12/24/the-tale-of-nestle-and-a- nation en famine ↑
Idem. ↑
96
"La réclamation de 6 millions de dollars de Nestlé contre l'Éthiopie suscite la controverse", Voice of America , 21 décembre 2002, https://www.voanews.com/a/a-13-a-2002-12-21-8-Nestlé-67414107/ 383607.html ; Nestlé, « Nestlé et le gouvernement éthiopien parviennent à un règlement », 24 janvier 2003 ; Nestlé, « Nestlé et l'Éthiopie. Une déclaration du PDG de Nestlé Peter Brabeck », 23 décembre 2002, https://web.archive.org/web/20230106184353/https://www.nestle.com/media/pressreleases/allpressreleases/ethiopiastatementbrabeckceo-23dec02 ; Nestlé, « Nestlé et l'Éthiopie. Une déclaration du PDG de Nestlé, Peter Brabeck », 23 décembre 2002, https://web.archive.org/web/20230106184353/https://www.nestle.com/media/pressreleases/allpressreleases/ethiopiastatementbrabeckceo-23dec02 ↑
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RépondreSupprimer« Suivi des violations : Nestlé », Good Jobs First, https://violationtracker.goodjobsfirst.org/prog.php?parent=Nestlé ↑
98
Judith Evans, "Le document Nestlé indique que la majorité de son portefeuille alimentaire est malsain", Financial Times , 31 mai 2021, https://www.ft.com/content/4c98d410-38b1-4be8-95b2-d029e054f492 ↑
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Michael Diamond, « Mettre fin à la tyrannie des entreprises : Solutions à la peste qui nous afflige tous », CovertAction Magazine, 18 février 2021, https://covertactionmagazine.com/2021/02/18/ending-corporate-tyranny-solutions-to- le-fléau-qui-nous-afflige-tous/ ↑
https://www.globalresearch.ca/nestles-blatant-misconduct-shows-us-the-darkness-of-capitalism/5807573
GRIPPE AVIAIRE: Berne va monitorer la grippe aviaire pour éviter la transmission aux humains
RépondreSupprimerLe virus H1N5 ayant infecté un nombre croissant de mammifères, la Confédération met en place une surveillance pour détecter d’éventuelles mutations inquiétantes pour l’homme.
5 février 2023, 18:04
La semaine dernière, la Confédération avait pris des mesures de prévention de la transmission de la grippe aviaire à l’intention des élevages d’animaux de rente et des personnes détenant des volailles en amateur. Berne met maintenant en place un monitoring de la maladie pour prévenir sa transmission aux humains, rapporte la NZZ am Sonntag du jour. Une mesure prise à la suite de l’augmentation des cas d’infection par le virus H5N1 d’un nombre croissant de mammifères au niveau européen.
Désormais, chaque nouveau cas sera séquencé et transmis au Centre national de l’influenza à Genève, spécialisé dans la reconnaissance des virus humains. «Cela nous permettra également de découvrir des mutations inquiétantes qui pourraient rendre le virus dangereux pour les mammifères et l’homme», explique Barbara Wieland, directrice de l’Institut de virologie et d’immunologie (IVI) de la Confédération.
Risque de transmission à l’homme encore modéré
«Ainsi, le laboratoire genevois pourra s’assurer que ses tests peuvent également détecter les variantes circulantes du H5N1 chez l’homme », précise-t-elle encore. En parallèle, l'Office fédéral de la santé publique est chargé de régulièrement informer les médecins cantonaux et le corps médical «par mesure de précaution, si le virus devait tout de même se propager soudainement à l’homme», indique Barbara Wieland.
Depuis octobre 2021, 208 millions d’oiseaux ont été victimes du virus. Selon les experts, le risque de transmission à l’homme reste modéré. Toutefois, il serait possible que les virus de la grippe aviaire se mélangent à d’autres virus de la grippe et que de nouveaux virus aux propriétés inconnues apparaissent. «Les virus ont une grande capacité de transformation», rappelle un virologue de l’Institut de virologie et d’immunologie (IVI) de la Confédération dans la NZZ am Sonntag.
En Suisse, le H5N1 n’a été détecté jusqu’à présent que de manière sporadique chez des oiseaux sauvages. Le virus circule moins en Suisse que dans d’autres pays européens. Selon Barbara Wieland c’est probablement lié au fait que le virus sévit surtout chez les oiseaux aquatiques des régions côtières et que les oiseaux migrateurs n’utilisent les eaux suisses que brièvement comme lieux de repos.
https://www.lematin.ch/story/berne-va-monitorer-la-grippe-aviaire-pour-eviter-la-transmission-aux-humains-714639838095
Premièrement il n'y a pas de transmissibilité entre la volaille et l'être humain comme il n'y en a pas plus entre les poules et les chiens ou chats ou autres poules !*
SupprimerDes poules qui vivent ensemble peuvent avoir un certain nombre de malades sans que les autres n'en soient touchées.
Deuxièmement, l'objectif de la dictature en place est de faire disparaître des millions de poules sans même qu'aucune ne soit malade ! (un peu comme les faux tests 'RT-PCR' où les 'asymptomatiques' se faisaient fileter le trou du nez avec un écouvillon dont le coton était chargé de nano-particules d'oxyde de graphène à déposer en fosse nasales !!)
Troisièmement, on voit la tournure des choses qui s'approche de nous ! En cas de grippe c'est tout un quartier ou ville qui sera abattu !
* Tous les éleveurs vous le diront.
Les femmes dans l'agriculture : il n'y a pas de parcours unique
RépondreSupprimer5 Février 2023
Markie Hageman, AGDAILY*
L'avenir de l'agriculture est-il féminin ? Environ 36 % des agriculteurs américains sont des femmes, et 56 % des exploitations agricoles comptent au moins une femme décideuse, selon le recensement de l'agriculture de 2017. Ce chiffre n'a cessé de croître et démontre les rôles importants que jouent les femmes dans le secteur agricole.
De l'extérieur, il semble que les femmes dans l'agriculture soient à l'avant-garde de l'égalité et de l'autonomisation des femmes. Elles occupent des postes de direction dans leurs communautés, et même au niveau national, semblant ainsi briser le plafond de verre sous lequel les femmes des autres secteurs ont tendance à rester coincées. De nombreuses femmes dans l'agriculture pensent que les restrictions auxquelles la société prétend que les femmes sont confrontées ne sont pas réellement des problèmes pour elles – elles se sentent égales à leurs homologues masculins, et se réjouissent même de la différence des rôles entre les sexes.
Certaines femmes se sentent heureuses de travailler aux côtés des hommes et n'ont pas peur du fait que leurs forces et leurs compétences soient différentes de celles des hommes.
Jordan Johnson est une femme de ranch et a posé à son public sur les réseaux sociaux des questions qui poussent à la réflexion : « Quand arrêterons-nous de crier : "Je suis une femme, je suis une cowgirl, je suis du sexe féminin !" Et de nous mettre au travail ? À quel moment allons-nous demander de l'aide lorsque quelque chose est trop lourd ou trop difficile, et ne pas rechigner à demander de l'aide ? »
Mme Johnson poursuit en reconnaissant les différences uniques entre les hommes et les femmes et en les considérant comme des forces. Elle souhaite simplement que les femmes assument ce qu'elles sont, et qu'elles « laissent un gentleman ouvrir la porte à notre place ».
RépondreSupprimerC'est une école de pensée populaire parmi les femmes dans l'agriculture. Elles ont été élevées dans l'appréciation de ce que les hommes et les femmes peuvent faire pour s'entraider et reconnaissent qu'il est important d'avoir des compétences différentes. Les femmes ne sont pas inférieures aux hommes ; elles sont leurs partenaires, et le fait de devoir prouver qu'elles peuvent faire le travail fait partie de la récompense.
« J'ai appris que je devais faire mes preuves pour obtenir le même respect que les hommes dans la même profession », a déclaré Haley Ammann-Ekstrom, éleveuse dans le Minnesota. « Au début, je pensais que c'était une mauvaise chose, mais maintenant je vois que mes clients préfèrent travailler avec moi plutôt qu'avec un homme parce que j'ai le sens du détail, je suis rapide pour obtenir des résultats et livrer le produit, et je suis authentique. Peu d'hommes présentent ces mêmes qualités. »
D'un autre côté, il y a une énorme disparité pour les femmes et une forte conviction que cela doit changer. Selon les membres du Farm Bureau interrogés à la suite du recensement de 2017, 91 % ont déclaré qu'ils pensaient que davantage de femmes devraient occuper des rôles de direction au sein de la communauté agricole. Cependant, ce n'est pas le seul problème qui doit être résolu. Les femmes ont été victimes de manque de respect et de jugement de la part de leurs homologues masculins et en ont assez de se sentir inférieures.
Mme Ammann-Ekstrom est souvent confrontée à ce genre de situation, car même les commentateurs qui n'ont pas de mauvaises intentions ont tendance à donner l'impression aux femmes du secteur agricole qu'elles sont plus petites et qu'elles ont peur d'être féminines alors qu'elles travaillent dans un monde d'hommes, de peur de ne pas être prises au sérieux.
En tant que femme qui a grandi dans le secteur de l'élevage et qui travaille dans un département de vente de produits agricoles, il y a des choses subtiles comme « Vous avez besoin d'aide pour soulever cela ? » Ou « Vous vendez du carburant et du propane ? Vous n'avez pas peur d'abîmer votre manucure ? »
Pour d'autres femmes, cela ressemble aussi à des occasions manquées, et à l'un des problèmes les plus marquants : ne pas être prises au sérieux dans leurs rôles respectifs.
Lauralee Doman en a fait l'expérience dès l'école secondaire. Elle a perdu des emplois dans le secteur agricole au profit d'hommes qui avaient moins d'expérience qu'elle et a été ignorée lorsqu'il s'agissait de tâches agricoles qu'elle voulait apprendre.
« En tant que fille, j'ai l'impression que c'est un combat pour que mes désirs ou mes connaissances soient pris au sérieux. Les femmes doivent travailler plus dur pour trouver des opportunités et des mentors. Je pense que, de manière générale, les femmes doivent sortir de leur zone de confort plus que les hommes pour pouvoir communiquer efficacement. »
Karlee Kay, qui travaille dans le domaine de la génétique et de l'élevage des bovins, a déclaré qu'il a fallu des années pour qu'un homme la prenne au sérieux lorsqu'elle exprimait une opinion ou énonçait un fait, ce qui est courant pour les femmes dans de nombreux scénarios.
RépondreSupprimerUn autre écart que l'on peut remarquer est la différence entre les organisations agricoles féminines et celles qui pratiquent davantage la mixité.
Les groupes axés sur les femmes sont excellents pour rassembler des femmes talentueuses et passionnées ayant des intérêts similaires et pour donner à ces femmes un but à servir. Cependant, certaines femmes ont l'impression qu'elles ne font que dramatiser ou qu'elles ne s'intéressent pas aux questions sérieuses du secteur agricole.
Kacy Atkinson, éleveuse dans le Wyoming, préfère les groupes mixtes.
« Les femmes n'ont toujours pas appris à s'entendre, et c'est trop de drame pour moi. Je préfère l'équilibre des groupes mixtes ; ils sont plus productifs, plus amusants et tout simplement plus faciles. »
Carrie Sue Meeks, candidate au doctorat à l'Université d'État de l'Iowa, pense que les groupes de femmes en agriculture se concentrent souvent sur « le fait d'être une bonne épouse qui défend les intérêts des membres de sa communauté et sur des aspects plus mignons ». Elle pense que ces groupes ont besoin d'un meilleur équilibre entre les compétences et les connaissances, ainsi que les aspects amusants, pour les ramener dans leurs exploitations et réussir en tant que femmes dans la communauté agricole.
Allyson Spears, animatrice du podcast Ag Chicks, attend également davantage de ses organisations féminines.
« J'ai l'impression que les organisations féminines se concentrent parfois trop sur les aspects positifs. Si la réunion des éleveurs a une session sur les prix des aliments pour animaux, je veux une session sur les prix des aliments pour animaux à la réunion des femmes aussi ! »
Jordan Medlin, qui travaille dans le domaine des finances, souligne l'importance d'intégrer davantage de femmes dans les groupes dominés par les hommes.
« Faire participer plus de femmes permet de briser les clubs de "bons vieux garçons" et d'amener des personnes plus jeunes dans le groupe. La jeune génération doit être impliquée pour maintenir une organisation en vie. »
Bien sûr, il y a des femmes qui voient l'avantage d'avoir des organisations agricoles féminines à côté de groupes à dominante masculine.
Alyson Connolly, membre des deux groupes locaux, Cattlewomen et Cattlemen, comprend pourquoi les deux existent.
RépondreSupprimer« Notre groupe d'éleveuses fait un travail fantastique en s'adressant aux jeunes générations, en organisant des cours sur le boeuf ou en interagissant avec le public. Elles organisent également de grandes collectes de fonds et attribuent des bourses d'études, alors que les hommes peuvent être intimidants pour les enfants. En revanche, le groupe des éleveurs fait un travail formidable pour améliorer notre secteur d'activité. Je pense que les deux sont nécessaires pour pouvoir soutenir la filière bovine. »
La réalité des femmes dans l'agriculture est que nous avons toutes des perspectives et des expériences différentes qui ont façonné nos opinions sur la façon dont les femmes sont traitées dans le secteur d'activité. Ce n'est pas seulement le résultat du traitement par les hommes, mais aussi par les autres femmes. Il n'y a pas de parcours unique, et si beaucoup se sentent habilitées dans ce domaine, il y en a tout autant qui pensent avoir été lésées.
Il ne fait aucun doute que les femmes ont dû travailler dur pour atteindre les positions et les succès qu'elles ont aujourd'hui, et nous avons encore du chemin à parcourir avant de ressentir une véritable représentation dans le secteur agricole.
_____________
* Markie Hageman a étudié l'agrobusiness à l'Université d'État de Fort Hays. Elle participe activement à l'association des éleveurs de son État, au chapitre des jeunes agriculteurs et à la National Cattlemen's Beef Association. Ses articles sur AGDAILY sont disponibles ici.
Source : Women in ag: There is no one-size-fits-all journey | AGDAILY
https://seppi.over-blog.com/2023/02/les-femmes-dans-l-agriculture-il-n-y-a-pas-de-parcours-unique.html
La loi vénézuélienne sur les semences devrait être un modèle mondial
RépondreSupprimerPar Owen Schalk
Mondialisation.ca,
05 février 2023
Les semences sont un champ de bataille politique souvent négligé dans les pays industrialisés comme ceux d’Amérique du Nord et d’Europe, mais pour les paysans du Sud, la bataille sur les droits des semences est essentielle à leurs moyens de subsistance.
Les semences partagées localement sont cruciales pour de nombreuses communautés rurales – « les clés génétiques de la biodiversité et de la résistance au changement climatique », comme l’affirme le chercheur Afsar Jafri, ainsi que « les archives des connaissances culturelles » et « le symbole ultime de la sécurité alimentaire ». Cependant, la capacité des agriculteurs à continuer à partager et à planter ces semences est constamment menacée par les multinationales et les États qui les soutiennent.
En 2015, les six plus grandes sociétés agroalimentaires – BASF, Bayer AG, Dow, DuPont, Monsanto et Syngenta – contrôlaient 63 % du marché des semences commerciales. En 2018, Bayer a acquis Monsanto pour 66 milliards de dollars. L’entité corporative qui en résulte contrôle près de 60 pour cent de l’approvisionnement en semences brevetées dans le monde.
Les semences brevetées contre les moyens de subsistance des agriculteurs
L’imposition des semences transgéniques brevetées aux communautés rurales a eu un impact catastrophique sur les moyens de subsistance des hommes et la protection de la biodiversité. Dans de nombreux pays, les semences sont traditionnellement la propriété collective des agriculteurs. Cependant, le droit de ces derniers à contrôler leur propre approvisionnement en semences est attaqué par les forces corporatives qui se sont emparées des États capitalistes du monde entier.
En 2010, le gouvernement colombien a adopté la loi 970 dans le cadre d’un accord de libre-échange (ALE) avec le gouvernement des États-Unis. Selon les termes de l’ALE, Bogota a accordé un monopole légal aux semences produites par des sociétés américaines et européennes et a contraint les agriculteurs colombiens à n’utiliser que des semences certifiées fabriquées par ces sociétés. Les agriculteurs qui étaient surpris à conserver des semences ou à planter des semences non enregistrées étaient passibles d’amendes ou de peines de prison. Ces lois étaient une condition pour que Washington accepte l’ALE.
La loi 970 n’a pas seulement précipité la hausse des prix de la production alimentaire, puisque les agriculteurs ont été contraints d’acheter des semences à des entreprises comme Monsanto plutôt que d’utiliser des semences communes ; elle a également amené l’État colombien à détruire des produits alimentaires cultivés à partir de semences conservées. Cela s’est produit en 2011 dans des villes comme Campo Alegre, où les autorités colombiennes ont fait une descente dans l’entrepôt et les camions des riziculteurs et ont détruit 70 tonnes de riz qui n’avait pas été produit conformément à la loi 970.
La criminalisation violente par l’État de la conservation des semences et de la production alimentaire localisée à Campo Alegre et dans d’autres villes a provoqué une protestation des agriculteurs à l’échelle nationale, qui a réussi à faire suspendre la loi pendant deux ans et à la réécrire. Toutefois, ces changements n’ont pas représenté un renversement de politique, car les attaques contre les moyens de subsistance des paysans et les assassinats ciblés de leaders paysans continuent de sévir dans les campagnes à un rythme terrifiant.
RépondreSupprimerMonopoles de semences et capitalisme mondialisé
En Inde, l’imposition par le gouvernement du type d’agriculture capitaliste industrielle promu par le FMI et la Banque mondiale a entraîné des taux énormes de dépossession et de pollution – et, bien sûr, une résistance de masse, comme l’ont démontré les manifestations des agriculteurs de 2020-2021. Ces politiques s’attaquent également à la capacité des agriculteurs à conserver et à partager les semences au niveau local. Selon une statistique, sur les quelque 100 000 variétés de semences de paddy qui existaient dans l’Inde d’avant l’indépendance, il n’en reste plus qu’environ 5 000 aujourd’hui.
Comme l’écrit Jafri :
Le remplacement forcé des semences traditionnelles par des semences hybrides sensibles aux produits chimiques… érode la riche diversité génétique que les agriculteurs indiens ont développée au fil des siècles, ce qui accroît la vulnérabilité des agriculteurs au changement climatique, aux inondations, aux sécheresses et aux autres catastrophes environnementales. À la vitesse fulgurante à laquelle les semences traditionnelles sont déjà remplacées par des semences d’entreprise, le jour n’est pas loin où les agriculteurs indiens seront contraints de devenir complètement dépendants des [entreprises transnationales] pour leur approvisionnement en semences.
La privatisation des semences et la criminalisation de la conservation des semences est une caractéristique clé de la poussée de l’après-guerre froide en faveur d’une mondialisation capitaliste du type de celle incarnée par les programmes d’ajustement structurel (PAS) néolibéraux préconisés par le FMI, la Banque mondiale et le Consensus de Washington. Ces réformes d’austérité et la poussée agressive des pays occidentaux en faveur des ALE dans le Sud ont exercé une pression énorme sur les moyens de subsistance ruraux de nombreuses façons, notamment en s’attaquant à la production et à la distribution des variétés de semences locales par les petits agriculteurs. La plantation de ces semences est écologiquement, économiquement et socialement régénératrice, mais elle ne rapporte rien aux sociétés transnationales dont les intérêts sont primordiaux dans les négociations des ALE.
Le « projet colonial » des banques de gènes
RépondreSupprimerLa conservation des semences est un élément clé de la production agricole durable car, comme l’écrit le chercheur canadien Patrick Chassé, « ce processus de sélection progressive a permis de créer des landraces uniques, ou variétés de plantes bien adaptées à leur environnement. » Cependant, les pressions nationales et internationales exercées sur les agriculteurs qui conservent leurs semences sont immenses :
Certains agriculteurs conservent encore assidûment leurs semences, mais la plupart ont abandonné cette tradition en raison de la pression financière exercée sur eux pour produire de gros volumes de cultures uniformes pouvant être vendues dans les épiceries. Dans le monde entier, les agriculteurs sont devenus dépendants de grandes entreprises qui vendent des semences spécialisées qui, de par leur conception, ne peuvent pas être conservées… De nombreuses variétés héritées qui étaient bien adaptées à des écorégions spécifiques ont été perdues dans cette course aux rendements maximums.
Des semences sont encore conservées dans des pays occidentaux comme le Canada, mais elles ont tendance à être traitées comme des artefacts, isolées dans des centres de recherche appelés « banques de gènes » qui sont conçus pour préserver les semences pendant des décennies. Si les banques de gènes peuvent sauver les semences de l’extinction, elles ne se préoccupent généralement pas de les réintégrer dans leur environnement naturel, ce qui menacerait les marges bénéficiaires des grandes sociétés agroalimentaires avec lesquelles l’État canadien s’est historiquement allié. Comme l’écrit Chassé : « Cela signifie que l’acte naturellement démocratique de la conservation des semences a été remplacé par une dépendance à l’égard de grands centres de recherche qui stockent les semences loin des communautés et des paysages qui ont créé la plante. »
Après avoir visité Plant Gene Resources of Canada (PGRC), une banque de gènes située sur le campus de l’Université de la Saskatchewan, Chassé n’a pas pu se défaire de l’impression que cette installation et d’autres semblables sont un « projet colonial ».
Les banques de gènes stockent des milliers de variétés de plantes, mais la plupart d’entre elles ont été créées par des agriculteurs et des paysans anonymes. Aujourd’hui, cette diversité de cultures profite souvent à l’industrie. Dans le monde entier, les petits producteurs se sont battus pour rester compétitifs face aux exploitations industrielles qui investissent massivement dans l’augmentation de la production et la réduction des coûts. Ces exploitations monolithiques sont toujours à la recherche de nouvelles variantes de cultures, d’hybrides qui produisent davantage tout en résistant à l’éventail de maladies créées par une monoculture incessante. Ces caractéristiques souhaitables qui favorisent le commerce sont souvent extraites des variétés « patrimoniales » qui ont été créées par des siècles de petits agriculteurs. Comme l’a fait remarquer Michael Taussig de manière acerbe, « les banques de semences sont un butin, des reliques de la spoliation ».
L’agriculture dans le Venezuela de Chávez
RépondreSupprimerLes Vénézuéliens ont décidé d’adopter une approche totalement différente de la politique des semences. Avec l’élection d’Hugo Chávez en 1999, le développement rural et l’autonomie ont été mis en avant par des lois axées sur la réforme agraire et la redistribution des terres. En outre, la nouvelle constitution, approuvée par référendum populaire en décembre 1999, a souligné l’importance de la sécurité alimentaire « par la promotion de l’agriculture durable comme base stratégique du développement rural intégré ».
Chávez lui-même s’est élevé à maintes reprises contre les aliments transgéniques, soulignant la manière dont ce modèle d’agriculture démantèle la souveraineté alimentaire d’une nation. En 2004, par exemple, il a mis fin à un contrat avec Monsanto pour la plantation de 500 000 acres de soja transgénique sur le sol vénézuélien, annonçant à la place que les terres seraient utilisées pour la culture du yuca, une plante indigène.
Le gouvernement vénézuélien a encouragé l’organisation locale par des mesures participatives telles que la loi organique des conseils communaux, plaçant un contrôle plus démocratique de la production entre les mains des communes rurales et urbaines et érodant ainsi le rôle central des entreprises agricoles nationales et multinationales.
En plus de soutenir la production de base dans les centres urbains, Chávez a cherché à organiser une renaissance rurale en encourageant la migration hors des villes vers les carrières agricoles. Il a souligné la nécessité d’atteindre la souveraineté alimentaire nationale en abandonnant les importations au profit de réseaux autosuffisants produisant des cultures indigènes de manière écologique. Il a expliqué que la population vénézuélienne était attirée vers les villes par une « force centripète » et que ses politiques visaient à inverser la tendance afin « d’occuper l’espace géographique du pays de manière plus harmonieuse et équilibrée ».
L’une des mesures les plus progressistes visant à protéger l’agriculture à petite échelle dans le pays a été prise après la mort de Chávez, avec l’adoption par l’Assemblée nationale d’une nouvelle loi sur les semences en 2015. Mais si la loi sur les semences a été approuvée après sa mort, ses racines se trouvent dans la philosophie agricole et la doctrine de la participation populaire épousées par son gouvernement de 1999 à 2013.
La loi sur les semences de 2015
Quincy Saul, collaborateur de Telesur, a qualifié l’adoption de la loi sur les semences de 2015 de « sans doute la plus grande chose qui se soit produite au Venezuela depuis la mort d’Hugo Chavez », un événement dans lequel « un mouvement de petits agriculteurs s’est opposé à l’une des plus grandes entreprises du monde [Monsanto], et a gagné ».
Après l’approbation de la loi sur les semences :
RépondreSupprimerles semences importées (surtout de légumes de jardin) ont pratiquement disparu, entrant dans l’économie illégale. Dans le même temps, les semences de cultures plus traditionnelles, qui ont toujours été sous contrôle populaire, sont devenues plus importantes dans la production paysanne… En ce sens, la loi est plus qu’une loi : c’est un plan d’action pour obtenir la souveraineté sur les semences.
Alors que les mesures radicales de réforme agraire prises sous Chávez sont au point mort sous Maduro, l’adoption de la loi sur les semences à un moment de crise politique et économique croissante a représenté une victoire majeure pour les scientifiques, les mouvements de petits agriculteurs et les organisations locales qui poussaient l’État à adopter une telle législation depuis des années.
La loi sur les semences est le résultat d’années de consultation avec les mouvements sociaux et les organisations paysannes du pays. En plus d’interdire la transgénèse et la privatisation des variétés de semences, la loi promet un soutien gouvernemental pour la protection et l’expansion des systèmes de semences gérés par les agriculteurs. Les objectifs de la loi, tels que définis par l’Association pour la sélection végétale au profit de la société (APBREBES), sont les suivants :
soutenir une transition de l’agriculture industrielle vers l’agroécologie et une agriculture éco-socialiste ; promouvoir la production de semences au niveau national et assurer l’autosuffisance ; protéger l’agrobiodiversité ; promouvoir les connaissances et pratiques traditionnelles et locales des paysans, des populations afro-descendantes et indigènes, et des autres communautés locales ; interdire les brevets et les droits d’obtenteur sur les semences ; interdire les semences transgéniques ; et orienter les politiques publiques afin que des normes et politiques différenciées soient appliquées en fonction de l’échelle de production…. la loi interdit les semences qui mettent en danger les écosystèmes, la biodiversité, la santé humaine et la souveraineté alimentaire. La violation de ces interdictions peut être sanctionnée par 5 à 10 ans de prison.
La loi sur les semences a créé une Commission nationale des semences, composée de quatre représentants du gouvernement et de trois représentants des mouvements sociaux, ainsi qu’un Conseil populaire pour la protection des semences locales, paysannes, afro-descendantes et indigènes. Comme l’explique APBREBES, « le rôle du Conseil est de promouvoir les systèmes de semences paysannes, y compris la conservation, l’utilisation et l’échange de semences, les banques de semences locales, les entreprises communautaires de production de semences, la sélection collaborative et les mécanismes de certification participative ; ainsi que de participer à l’élaboration des politiques et de fournir des contributions à la Commission nationale des semences. »
Mise en œuvre de la loi sur les semences depuis la base
RépondreSupprimerAlors que la confrontation politique s’intensifiait au Venezuela, l’Assemblée nationale, contrôlée par l’opposition, a adopté une autre loi sur les semences qui demandait le retour des semences transgéniques importées et des brevets sur les semences. Dans le même temps, les manifestations de l’opposition contre l’État ont parfois vandalisé les centres de recherche et de distribution alimentaire gérés par le gouvernement, notamment l’Institut national de nutrition et les laboratoires de production d’intrants agricoles écologiques. Dans le même temps, les sanctions imposées par les États-Unis ont précipité l’effondrement des recettes publiques, ce qui signifie que l’État disposait de peu de ressources pour soutenir la mise en œuvre de la loi sur les semences.
Néanmoins, les organisations et communautés locales ont commencé à mettre en œuvre la loi sur les semences depuis la base. Plan Pueblo a Plan, une initiative créée par les paysans pour lutter contre la réduction de l’accès des Vénézuéliens à la nourriture en raison des sanctions, s’est associée à Proinpa (Producteurs intégraux du Páramo) pour créer cinq centres de production et de distribution locales de semences de pommes de terre indigènes. Les producteurs de Pueblo a Pueblo ont également entrepris des efforts pour récupérer des variétés de semences de maïs, de légumineuses et de tubercules qui avaient largement disparu sous le modèle d’agriculture industrielle d’avant Chávez.
Et il n’y a pas que Pueblo a Pueblo et Proinpa. Des centres de production de semences ont été construits dans tout le pays après l’adoption de la loi sur les semences – mais, dans le même temps, la position précaire de la révolution bolivarienne a entraîné la réapparition de forces plus axées sur le marché au sein de l’État et le renforcement du pouvoir de groupes d’intérêt tels que l’agrobusiness. Par conséquent, les gains obtenus après 2015 se trouvent dans une position dangereuse.
La loi sur les semences en danger
Malgré le fait que la loi sur les semences interdise l’utilisation de semences transgéniques, il a été signalé que des entreprises utilisaient des semences génétiquement modifiées sur des terres vénézuéliennes. En novembre 2022, Esquisa Omaña, de l’organisation Venezuela Free from GMOs, a déclaré : « Les paysans ont dénoncé la présence de semences OGM dans différentes régions du pays. Cela constitue une violation de la loi sur les semences de 2015. » L’organisation a demandé à la Commission nationale des semences d’examiner les plaintes mais n’a apparemment trouvé « aucune capacité ou intérêt » de la part des institutions étatiques pour enquêter.
Ricardo Vaz impute à l’influence accrue des entreprises privées depuis 2015 le manque d’intérêt de l’État pour les enquêtes sur les allégations de violation de la loi sur les semences. « Il y a un processus de reconfiguration en cours qui abandonne le protagonisme au secteur privé et aux multinationales », soutient-il. « En ce qui concerne la production alimentaire, les agro-industries sont devenues les principaux acteurs, le gouvernement appelant ouvertement à l’investissement étranger dans le secteur et offrant tous les avantages possibles. »
En 2022, plusieurs responsables vénézuéliens ont lancé l’idée de réviser la loi sur les semences afin de susciter des investissements internationaux dans le pays, tandis que des éléments de la presse ont condamné les semences échangées entre agriculteurs comme étant des « semences pirates. » Les entreprises agroalimentaires vénézuéliennes ont organisé des événements autour de la réintroduction et de la promotion des semences transgéniques, notamment un événement en avril dans la ville de Maracay intitulé « L’avenir de la technologie des organismes génétiquement modifiés ». L’un des groupes à l’origine de ces manifestations, l’Association vénézuélienne des entreprises semencières (AVESEM), est associé aux géants multinationaux Bayer et Syngenta.
RépondreSupprimerPablo Alvarado, représentant de l’État de Guárico pour le parti Pátria Para Todos (PPT), a appelé à une révision de la loi sur les semences afin de générer davantage d’investissements étrangers. « La propriété intellectuelle doit être protégée », a-t-il déclaré, « car nous devons nous adapter à la mondialisation, aux nouveaux investisseurs, nous devons protéger les idées, la technologie. »
Si Alvarado affirme qu’il ne demande pas l’annulation de la loi sur les semences, les organisations paysannes et les agroécologistes du Venezuela trouvent ces déclarations inquiétantes. La militante et biologiste Giselle Perdomo a déclaré qu’il y a des intérêts économiques évidents derrière ces appels à modifier la loi sur les semences :
Les intérêts sont clairement économiques, avec une volonté d’introduire des semences transgéniques dans le pays, notamment le maïs, et ainsi développer ce type d’agriculture industrielle avec des pesticides, qui d’une part promet la productivité, et d’autre part contamine les rivières, les sols et affecte la souveraineté alimentaire… La loi sur les semences renforce également la viabilité du commerce des semences paysannes. Nous voyons dans différents articles de presse une volonté de criminaliser le commerce de ce qu’ils appellent les » semences pirates. «
La loi sur les semences comme modèle mondial
Malgré les résistances auxquelles la loi sur les semences continue de faire face, elle reste un modèle de la manière dont les pays du monde entier peuvent protéger leur biodiversité, leur écologie, leur tissu social et économique et leurs systèmes de production alimentaire contre l’agrobusiness national et transnational.
D’autres mouvements sociaux de la région l’ont clairement remarqué. Par exemple, la Chambre des représentants colombienne a été saisie à plusieurs reprises d’un projet de loi visant à « interdire l’entrée, la production, la commercialisation et l’exportation de semences génétiquement modifiées ». Ces propositions ont été rejetées sous l’ancien président Iván Duque, mais le dirigeant actuel Gustavo Petro, qui critique les cultures génétiquement modifiées et utilise le langage de la souveraineté alimentaire pour promouvoir des pratiques agricoles durables, pourrait revenir sur la question à l’avenir.
Alors que le Venezuela a souvent fait l’objet de discussions dans les médias, généralement comme une arme simpliste contre la gauche, les réalités de la lutte politique dans le pays ont produit de nombreux gains qui peuvent et devraient inspirer d’autres, au premier rang desquels la loi sur les semences de 2015. Cette loi constitue un modèle de la manière dont les connaissances et les traditions de l’agriculture à petite échelle peuvent être défendues contre la dépossession des entreprises – mais les débats en cours sur sa révision soulignent également la précarité de tels changements et la nécessité de continuer à défendre les acquis même après qu’ils aient apparemment été assurés.
RépondreSupprimerOwen Schalk
Traduction Bernard Tornare
Version française publiée sur le site nouveau-monde.ca
Source originale en anglais
La loi vénézuélienne sur les semences devrait être un modèle mondial
Owen Schalk est un écrivain basé à Winnipeg (Manitoba – Canada). Il s’intéresse principalement à l’application des théories de l’impérialisme, du néocolonialisme, du sous-développement au capitalisme mondial et au rôle du Canada à cet égard. Visitez son site Web à l’adresse www.owenschalk.com
https://www.mondialisation.ca/la-loi-venezuelienne-sur-les-semences-devrait-etre-un-modele-mondial/5674736
L’homme est-il capable de faire un choix ? Ce choix ne dépend pas de l’homme car quelle que soit l’évolution des technologies créées par l’homme la Terre s’auto-régule et répond aux évolutions du climat, on l’a bien montré par la mise en évidence incontestable de l’alternance de glaciations et de périodes climatiques favorables par le passé. Les variations du niveau des océans et l’expansion suivie de la régression des forêts et de toute autre couverture végétale n’a jamais dépendu de l’homme durant les centaines de millénaires passés. De même la teneur en gaz carbonique de l’atmosphère a toujours fluctué en obéissant à des lois complexes mal connues.
RépondreSupprimerDepuis environ 40 ans les observations à l’aide de satellites de la Terre ont montré que celle-ci “verdissait”. Les instruments de mesure embarqués dans les satellites permettent de quantifier deux paramètres importants pour comprendre l’effet global du gaz carbonique atmosphérique sur l’évolution des conditions climatiques et de la couverture végétale terrestre. Ces deux paramètres sont la température à la surface des terres LST (Land Surface Temperature) et l’indice de couverture végétale mesuré à partir de la couleur verte émise par les feuilles de cette couverture végétale LAI (Leaf Area Index). Disposant des résultats accumulés depuis 20 ans il a été possible de corréler ces deux paramètres en calculant l’évolution de la température, LST, par rapport à la couverture végétale, LAI, au cours des saisons et localement selon les latitudes. Et les résultats obtenus par une équipe de scientifiques de l’Université de Beijing sont tout simplement spectaculaires ( https://doi.org/10.1038/s41467-023-35799-4 ).
En exprimant la relation entre les deux paramètres mentionnés ci-dessus, c’est-à-dire l’évolution en fonction de LAI de l’albedo, de la chaleur latente au sol, de la chaleur sensible au sol, des radiations atteignant la surface du sol dans les courtes longueurs d’onde, visible et UV et les plus longues, infra-rouge, appliquant la différentielle de LST “biophysique” versus LAI (δLSTbio/δLAI) les résultats globaux obtenus à partir de toutes les observations rassemblées au cours des 18 dernières années montrent que plus la couverture végétale augmente plus la température au sol diminue. Cette diminution de température est donc une conséquence indirecte de l’augmentation de la teneur en gaz carbonique dans l’atmosphère.
Globalement voici le résultat obtenu (fig. 5 de l’article cité), la température étant exprimée en °K :
- voir sur site -
Et pour chaque type de couverture végétale et selon les latitudes et les saisons l’effet de la végétation est encore plus spectaculaire (OWV englobant les autres végétations ligneuses, essentiellement les savanes semi-arides et les steppes :
RépondreSupprimer- voir sur site -
En fonction des latitudes le profil saisonnier est inversé selon qu’il s’agit des latitudes nord et sud et c’est normal mais la différence entre ces deux parties du profil qui devrait être symétrique est due à l’importance des océans dans l’hémisphère sud en comparaison de celle de l’hémisphère nord. Les types de végétation jouent également un rôle significatif. Mais il faut souligner que toutes les surfaces cultivées (cropland) jouent un rôle central dans ce processus d’amortissement de la température globale mesurée au sol. Que se passe-t-il au sud de la Somalie, au Kenya et au nord de la Tanzanie ainsi qu’au nord-est du Brésil ? La déforestation intense afin de transformer la forêt en terres cultivées a provoqué un bouleversement de l’équilibre formulé par la différentielle évoquée ci-dessus (δLSTbio/δLAI) provoquant un échauffement probablement transitoire puisque les terres consacrées à la culture (cropland) sont considérées selon les résultats de cette étude des “puits” de chaleur vive.
L’apport hydrique dans ces situations nouvelles fait l’objet d’un débat dont le futur pourrait être houleux. Mais encore une fois la surface la Terre est un système très complexe qui saura s’adapter à toutes les nouvelles conditions. Il n’y a donc pas lieu de désespérer et de prévoir un apocalypse proche, car somme toute le gaz carbonique semble indirectement bénéfique, c’est la source de toute vie et la Terre considérée globalement est en cours d’adaptation depuis la fin du récent épisode glaciaire, qu’est-ce que 15 000 années dans un cycle de 100 000 ans … À la lecture de cet article de haute tenue scientifique il faut se rendre à une évidence : la “science” climatique n’est pas arrêtée (“settled”) mais elle continue à évoluer au fur et à mesure que les données observationnelles sont interprétées le plus objectivement possible, ce qu’ont fait les auteurs chinois. Puissent les écologistes aveuglés par leur idéologie et les décideurs politiques s’inspirer de tels travaux pour réviser leur prise de position au sujet du climat.
En effet si le taux de gaz carbonique atmosphérique continuait à augmenter le verdissement de la planète s’accélérerait et par conséquent un “refroidissement” tel qu’il a été démontré dans cet article deviendrait encore plus significatif. Il n’y a donc plus de raison logique de s’occuper de toutes sortes de projets inutiles et coûteux comme le piégeage du gaz carbonique, la transition énergétique vers plus de sources d’énergie bas carbone ou dites “renouvelables” ou le bannissement des combustibles fossiles carbonés et également le projet insensé de généralisation des véhicules électriques alors que les sources accessibles de cobalt et de nickel sont limitées. Cet article remet donc en cause le mouvement actuel de restriction des énergies carbonées.
RépondreSupprimerOh je vois venir les protestations et les critiques de toute part. C’est une étude chinoise donc elle n’a pas de valeur puisque la Chine est le premier utilisateur de combustibles fossiles carbonés. Je rappelle que les universités chinoises forment plus de 10 millions de diplômés de haut niveau par an et que ce pays est maintenant classé le premier du monde pour le nombre de publications scientifiques. Raisonnant sur le long terme les autorités chinoises développent l’énergie nucléaire car il ne leur a pas échappé que le temps des combustibles fossiles à bon marché est limité, il faut ainsi se préparer dès aujourd’hui. L’écologie et les critères ESG concernent les pays occidentaux et la Chine est imperméable à cette idéologie et reste pragmatique. Enfin il faut mentionner que la Russie, petit pays par sa population exporte des réacteurs à neutrons rapides dont la fiabilité est maintenant prouvée. Ce dernier point fera l’objet d’un prochain article sur ce blog.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/02/06/climat-enfin-une-bonne-nouvelle-plus-de-co2-moins-de-rechauffement/
Les fabricants d'énergie éolienne subissent d'énormes pertes et veulent abandonner un projet majeur
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 06 FÉVRIER 2023 - 17:10
Écrit par Thomas Lifson via AmericanThinker.com,
Le rêve des écologistes d'une énergie «propre» (à l'exception de millions d'oiseaux morts) provenant de parcs éoliens est en train de mourir face à une économie médiocre (même avec des subventions fiscales) et à une technologie peu fiable. Les grands acteurs de la construction d'éoliennes sont confrontés à des pertes et des dépréciations massives et à l'annulation de grands projets éoliens offshore. Préparez-vous à des demandes pour encore plus de subventions à l'industrie défaillante.
La filiale d'énergie verte du géant allemand de l'équipement électrique Siemens vient d'annoncer jeudi avoir perdu près d'un milliard de dollars au dernier trimestre. Via Fox News (Conseil : Beege Welborn, Hot Air) :
La société mondiale d'énergie verte Siemens Gamesa a annoncé jeudi qu'elle avait perdu 967 millions de dollars au cours de la période de trois mois allant d'octobre à décembre.
La société basée en Allemagne, qui se présente comme "le leader mondial de la production d'électricité offshore", a noté que l'industrie éolienne a fait face à diverses pressions défavorables conduisant à une croissance négative ces derniers mois et années, dans son rapport sur les résultats du premier trimestre de l'exercice. 2023 sorti jeudi matin. La société a ajouté que les gouvernements devraient aider davantage l'industrie pour assurer une croissance positive future.
"L'évolution négative de notre activité de services souligne que nous avons beaucoup de travail devant nous pour stabiliser notre activité et revenir à la rentabilité", a déclaré le PDG de Siemens Gamesa, Jochen Eickholt, dans un communiqué.
"Le début de l'exercice 2023 a vu une nouvelle augmentation des perspectives de la demande mondiale d'énergie éolienne pour les dix prochaines années, mais de nouvelles mesures gouvernementales sont nécessaires pour combler l'écart entre les objectifs ambitieux et les installations réelles", a ajouté la société dans son communiqué.
La traduction de « nouvelles mesures gouvernementales » est une augmentation des subventions, au-delà de celles déjà offertes dans la mal nommée « Loi sur la réduction de l'inflation », qui subventionne principalement l'énergie verte. Pensez aux garanties de prêt de type Solyndra au-delà de celles déjà disponibles.
Le gros problème pour Siemens et d'autres fabricants (voir ci-dessous) est la défaillance de l'équipement et la nécessité d'engager d'énormes dépenses de garantie. Reuters :
RépondreSupprimerLe mois dernier, la société a signalé une augmentation des taux de défaillance de composants non spécifiés de ses éoliennes terrestres et offshore installées, déclenchant des provisions de garantie plus élevées qui ont également tourmenté son rival danois Vestas (VWS.CO).
Un problème fondamental avec l'énergie éolienne (mis à part la faible quantité d'énergie fournie par rapport aux générateurs alimentés au charbon et au gaz naturel) est la variabilité du vent. Il change à la fois d'intensité (vitesse) et de direction de manière imprévisible. Je sais par le travail de ma carrière de consultant il y a longtemps (dont je ne peux pas discuter en détail en raison d'accords de confidentialité) que des contraintes incroyables sont exercées sur les générateurs, les pales et les transmissions (semblables à la transmission d'une voiture) lorsque le vent change brusquement vitesse ou direction. Afin d'obtenir une puissance significative, les pales doivent être GROSSES, c'est pourquoi les tours des grands parcs éoliens sont très hautes). Mais les longues pales qui tournent rapidement peuvent faire en sorte que les pointes brisent le mur du son, et les contraintes sur les matériaux utilisés dans les pales (souvent la fibre de carbone car les pales doivent être légères) sont intenses. Et modifiable rapidement.
Conséquence, les carnets de commandes des grands constructeurs se tarissent :
Comme le rapporte Beege Wellborn, un autre acteur majeur, General Electric, fait également face à des pertes et réduit :
Ici aux États-Unis, General Electric bourdonnait dans ses finances sauf… * trombone triste *… quand il est arrivé à leur activité de turbines. Ooo, ils ont aussi pris un coup. Des chiffres vraiment nuls.
… L'activité d'énergie renouvelable de l'entreprise a été confrontée à des défis en raison de l'inflation et des pressions de la chaîne d'approvisionnement. L'unité a déclaré une perte de 2,2 milliards de dollars en 2022.
GE réduit les effectifs mondiaux de l'unité éolienne terrestre d'environ 20 % dans le cadre d'un plan de restructuration et de redimensionnement de l'entreprise.
Quelle surprise. Regardez sur qui GE compte pour sauver la journée venteuse ! Renflouement du crédit d'impôt.
… Culp a déclaré que l'activité onshore devrait être stimulée suite au rétablissement du crédit d'impôt pour les projets éoliens.
Au moins un projet majeur risque d'être abandonné, comme le souligne Wellborn :
Dans une tournure des événements intéressante dans le New Hampshire, une entreprise sous contrat avec l'État pour un parc éolien offshore est impliquée dans une bataille majeure avec le département des services publics de l'État. Avangrid a dit à l'État qu'il ne pouvait pas se permettre d'aller de l'avant, alors "nous ne le construisons plus".
RépondreSupprimerL'état dit autrement.
Le développeur à l'origine du plus grand parc éolien offshore du pipeline de l'État a déposé jeudi un avis d'appel formel pour contester l'approbation par le Département des services publics des contrats que le développeur a acceptés mais dit qu'il n'autorisera plus le financement ou la construction de son projet.
Le mois dernier, le DPU a déterminé que les contrats, que les développeurs éoliens et les entreprises de services publics ont acceptés en mai, "sont dans l'intérêt public" et les ont approuvés malgré les objections du développeur. La société mère de Commonwealth Wind, Avangrid, a déclaré pendant des mois que l'augmentation des prix des matières premières, la hausse des taux d'intérêt et les pénuries d'approvisionnement signifient que son projet d'énergie renouvelable de 1 200 mégawatts "ne peut pas être financé et construit" selon les termes de ces contrats d'achat d'électricité (PPA).
Avec l'énergie éolienne, la chanson de Kenny Roger donne de sages conseils. "Vous devez savoir quand les tenir, savoir quand les plier." Il est temps de s'éloigner des subventions à l'énergie éolienne.
Il n'est plus temps de mettre fin aux subventions à l'énergie éolienne. Non seulement le gaz carbonique atmosphérique a augmenté sans conséquence grave, les modèles catastrophiques se sont avérés systématiquement faux, mais le coup de pouce financier sur l'échelle via les subventions a encouragé le développement d'une technologie encore immature, si jamais elle sera viable.
https://www.zerohedge.com/weather/wind-power-makers-suffer-huge-losses-want-abandon-major-project
Carburants : et l’essence redevint plus chère que le diesel
RépondreSupprimerL’évolution des prix des carburants durant la dernière semaine du mois de janvier 2023 a mis fin à une injustice. L’essence SP95-E10 était moins chère que le diesel depuis des mois. Mais face à une évolution du prix des carburants plutôt disparate, mais tendanciellement en baisse, c’est terminé. L’essence coûte désormais plus cher que le diesel en France.
Par Paolo Garoscio
le 7 février 2023 à 6h16
L'indemnité carburant pour 2023 est de 100 euros forfaitaires.
Mais que les diésélistes n’espèrent pas que la situation perdure.
Le prix des carburants baisse en France
Après plusieurs semaines de hausse continue, exacerbée par la fin de la ristourne à la pompe, les automobilistes seront ravis de l’apprendre : les prix des carburants ont baissé. Pas de quoi effacer les hausses précédentes, mais c’est une bonne nouvelle pour le portefeuille.
Surtout pour celui de ceux qui roulent au diesel. Le carburant voit son prix chuter de 5,6 centimes d’euro en moyenne sur le territoire. Et le litre affichait, selon les données du ministère arrêtées au 2 février 2023, 1,8873 euro le litre.
Du côté de l’essence SP-95 E10, qui reste la moins chère de celles vendues en France, la baisse est moins significative. Seulement 1,1 centime d’euro le litre de moins. Suffisant, toutefois, pour faire retomber le prix du litre sous la barre des 1,90 euro, à 1,8996 euro.
Vers une explosion du prix du diesel à cause de la guerre en Ukraine ?
Conséquence de ces évolutions de prix : le diesel coûte désormais quelques centimes d’euro de moins que l’essence en France. Un retour à la période d’avant la guerre en Ukraine, notamment. Mais c’était surtout depuis juin 2022 que cette inversion dans la hiérarchie des prix des carburants n’avait pas eu lieu. Toutefois, la situation pourrait bien n’être temporaire et que de courte durée.
Depuis dimanche 5 février 2023, en effet, de nouvelles sanctions frappent la Russie, sur fond de guerre en Ukraine. L’Union européenne a mis un embargo sur les produits pétroliers raffinés en provenance du Kremlin. Or, ce pourrait bien être un problème pour les véhicules roulant au diesel.
Car la Russie représentait encore environ un quart des importations de diesel de l’Union européenne. Les autres carburants sont également touchés. L’UE devra donc trouver d’autres sources d’approvisionnement… potentiellement plus chères. Et les prix continueront d’augmenter, fort probablement plus vite pour le diesel que pour l’essence.
https://www.economiematin.fr/carburants-prix-essence-diesel-russie-baisse
Qui savait que les éoliennes écossaises sont maintenues au chaud grâce à l'énergie diesel…
RépondreSupprimerPar Jo Nova
February 7th, 2023
Alors que les Britanniques ne peuvent pas se permettre de chauffer leurs propres maisons en hiver, certaines éoliennes écossaises tournent et sont dégivrées avec la chaleur des générateurs diesel qui ont également laissé échapper quelque 4 000 litres de diesel. Étant donné que cela était dû à un défaut de câblage, les autres éoliennes frissonnantes sont vraisemblablement alimentées par le secteur ?
Si les aubes de turbine géantes restent immobiles trop longtemps, les roulements peuvent générer des dommages Brinelling permanents. Alternativement, des micro-oscillations ou des vibrations peuvent provoquer un faux Brinelling. De petits fragments de métal broient alors davantage de métal autour de lui, réduisent l'efficacité et augmentent le frottement, la chaleur et le risque d'incendie. Il s'agit de quelques-uns des coûts cachés de l'entretien d'un vaste réseau d'infrastructures pour collecter de l'énergie à faible densité. Les turbines à charbon doivent également tourner lentement pour éviter que l'arbre ne se plie, mais les turbines à charbon fonctionnent pendant des mois d'affilée sans s'arrêter. Une turbine à charbon peut peser jusqu'à 600 tonnes, mais les nacelles des éoliennes pèsent généralement entre 100 et 300 tonnes, mais peuvent peser jusqu'à 700 tonnes)*. Les plus grandes pales d'éoliennes peuvent peser 35 tonnes chacune. Le rapport puissance/maintenance des éoliennes est absurde.
L'industrie éolienne d'aujourd'hui ressemble à l'industrie des moteurs à réaction des années 1950. Il faudra des décennies de travail pour le peaufiner et déterminer les véritables coûts de maintenance. La différence entre les jets et les éoliennes est qu'en 1950, nous savions que nous avions besoin de jets, mais les éoliennes ne sont utiles que dans le pays imaginaire des modèles climatiques indésirables.
Si jamais il y avait la preuve que l'énergie éolienne est un problème de sécurité nationale, un tort et un risque…
Des dizaines d'éoliennes écossaises alimentées par des générateurs diesel versent de l'huile hydraulique dans la campagne
Jack Montgomery, Breitbart
Scottish Power – dirigé par un Espagnol, Ignacio Galan, et en fait une filiale de la société espagnole Iberdrola – a admis que quelque 71 de ses turbines devaient être raccordées à des générateurs diesel pour les garder au chaud en décembre, selon le Sunday Mail, avec un dénonciateur disant au journal de gauche que les problèmes avec les turbines sont profondément enracinés.
RépondreSupprimer"Au cours du mois de décembre, 60 turbines à Arecleoch et 11 à Glenn App ont été mises hors tension en raison d'un défaut de câblage... Afin de remettre ces turbines sous tension, les générateurs diesel fonctionnaient plus de six heures par jour", ont-ils révélé.
"Les turbines sont régulièrement hors ligne en raison de défauts où elles prélèvent de l'énergie sur le réseau plutôt que de la produire, et fonctionnent également à mi-puissance pendant de longues périodes en raison de pièces qui n'ont pas été remplacées", ont-ils poursuivi.
… le Record a poursuivi en disant que quelque 4 000 litres (plus de 1 000 gallons américains) d'huile hydraulique qui fuyait ont été « pulvérisés sur la campagne » par les turbines
La maintenance est un cauchemar selon un dénonciateur de l'industrie éolienne qui a parlé à The Record :
Il a également affirmé que d'autres problèmes techniques et problèmes environnementaux avaient été découverts. Ils comprennent:
Les turbines ont fonctionné à mi-puissance pendant de longues périodes en raison de modules convertisseurs défectueux.
D'autres sont en « mode test » où ils prélèvent de l'électricité sur le réseau plutôt que d'y contribuer.
Plus de 4 000 litres d'huile se sont échappés des groupes hydrauliques des turbines et ont été pulvérisés sur la campagne.
Préoccupations concernant les normes de sécurité et la transparence.
Le lanceur d'alerte a déclaré: «Les turbines sont régulièrement hors ligne en raison de défauts où elles prélèvent de l'énergie sur le réseau plutôt que de la produire, et fonctionnent également à mi-puissance pendant de longues périodes en raison de pièces qui n'ont pas été remplacées.
Le président espagnol de Scottish Power aurait gagné 11 millions de livres sterling en 2021.
Richard Tice, le chef du Parti réformiste, a souligné qu'environ 83 % des éoliennes offshore britanniques appartiennent à des étrangers. (Le Parti réformiste était auparavant le Parti du Brexit).
* Il est même difficile de comparer les coûts d'entretien du charbon et du vent. Les ingénieurs qui lisent ici peuvent être en mesure d'aider à déterminer le poids et les performances comparatifs des éoliennes dont la taille augmente rapidement et qui sont composées de rotors, de nacelles et de pales. Leurs poids sont souvent rapportés en termes ambigus et comme le souligne TonyfromOz, ils n'ont au total qu'un facteur de capacité de 30 %. De toute évidence, plus il y a de vent dans un système, plus l'énergie au charbon nécessite également de l'entretien. Juste un autre fardeau des « énergies renouvelables ».
RépondreSupprimerh/t Krishna Gans, Saighdear, Richard K.
https://joannenova.com.au/2023/02/who-knew-scottish-wind-turbines-are-kept-warm-with-diesel-power/#more-89348
Le vrai coût d'ignorer l'énergie nucléaire au Royaume-Uni
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 07 FÉVRIER 2023 - 09:30
Via OilPrice.com,
La négligence du Royaume-Uni vis-à-vis de son industrie nucléaire a entraîné des difficultés à répondre aux demandes d'énergie pendant l'hiver et un risque accru de pannes d'électricité.
Le manque de soutien du gouvernement au secteur nucléaire a entraîné un déclin de l'énergie nucléaire en tant que source d'énergie au Royaume-Uni.
Les experts mettent en garde contre les conséquences d'ignorer l'industrie nucléaire et appellent à une relance du secteur, en mettant l'accent sur la construction d'un pipeline de projets pour sécuriser l'approvisionnement énergétique et répondre aux besoins énergétiques du pays.
Le prix du blocage continu des ambitions nucléaires du Royaume-Uni a été révélé la semaine dernière, lorsque le National Grid a payé les ménages pour qu'ils éteignent leurs sèche-linge, téléviseurs et fours électriques alors qu'il se précipitait pour renforcer l'approvisionnement en énergie afin d'atténuer la menace de pannes d'électricité au milieu d'un hiver glacial. temps.
Les fournisseurs du secteur ont offert des remises aux ménages utilisant des compteurs intelligents lundi et mardi soir qui étaient prêts à réduire leur consommation d'énergie aux heures de pointe en échange de réductions sur leurs factures d'électricité.
Il a également placé trois demandes distinctes au cours de la semaine pour réchauffer les dernières centrales au charbon du Royaume-Uni en attente au cas où les marges d'exploitation seraient tendues – dont la durée de vie a été prolongée en cas de pénurie d'approvisionnement au cours de l'hiver.
Cela a jeté une lumière crue sur la négligence de l'industrie nucléaire britannique, qui aurait été en mesure de fournir une puissance suffisante si plusieurs gouvernements n'avaient pas à plusieurs reprises échoué à soutenir le secteur.
Les experts ont également averti les députés la semaine dernière des conséquences de l'incapacité du gouvernement à soutenir correctement l'énergie nucléaire.
La conseillère en ingénierie Dame Sue Ion a déclaré la semaine dernière au BEIS Select Committee que l'approbation et la construction d'une centrale nucléaire à la fois plutôt que le développement d'un véritable portefeuille de projets mettaient en péril les ambitions de sécurité d'approvisionnement du pays.
« Nous avons perdu le fil de ce dont nous avons besoin pour faire fonctionner un système d'énergie nucléaire viable et dynamique au 21e siècle. Un design pour chaque parlement est une façon folle de faire les choses », a déclaré Ion.
RépondreSupprimerElle a fait valoir que le gouvernement devait montrer son engagement envers une flotte, même s'il ne s'agissait que d'une petite flotte "pour donner aux investisseurs la possibilité d'avoir confiance dans la politique gouvernementale".
L'industrie a soutenu les efforts du gouvernement pour relancer le parc nucléaire vieillissant du pays, avec pour objectif d'augmenter la production de 7 GW à 24 GW d'ici 2050 et huit nouveaux réacteurs approuvés d'ici la fin de la décennie.
Néanmoins, il est devenu de plus en plus préoccupé par le rythme des progrès.
Alistair Evans, directeur des affaires gouvernementales et corporatives de Rolls-Royce – qui a proposé ses propres petits réacteurs modulaires (SMR) avec un consortium d'investisseurs – a déclaré aux députés lors d'une session ultérieure que l'engagement du gouvernement à transformer le secteur nucléaire était "insensé sans un plan."
Il est peu probable que Sizewell C reçoive une décision de financement finale avant l'année prochaine, tandis que les ministres se disputent les coûts liés à l'autorisation d'un plus grand nombre de SMR de Rolls-Royce, ce qui laisse entrevoir la possibilité qu'une décision d'approuver les petits réacteurs ne soit pas prise avant le prochain parlement en 2025.
Actuellement, la seule usine en construction est Hinkley Point C, qui ne devrait pas être achevée avant 2027 pour un coût de 26 milliards de livres sterling, soit deux ans de retard et 45 % de plus que le budget.
- voir cadre sur site -
Le parc nucléaire vieillissant du Royaume-Uni est désormais prêt pour le démantèlement
Le nucléaire a désespérément besoin de relance
L'énergie nucléaire ne représente plus que 15 % de la production du Royaume-Uni, bien en deçà de son pic de 26 % de capacité en 1997.
Les cinq centrales électriques et les neuf réacteurs en exploitation au Royaume-Uni devraient être déclassés d'ici 2035 au plus tard, ce qui signifie que de nouvelles centrales sont essentielles pour augmenter la production.
Les riches sont pris POUR DES CONS !
RépondreSupprimerQuand vous avez une montre au poignet qui vaut 100 000 dollars cette pacotille ne coûte pas 100 000 $ ! HAHAHAHA !
Oui mais c'est le prix à payer pour avoir 'l'air riche' !
Ils vous voient venir ! Exposent des sourires larges de 150 mètres et des poitrines généreuses 'prêtes-à-toucher' !
Puis, ils ont perdus 100 000 dollars.
Les réacteurs nucléaires surrégénérateurs : Russie et Chine
RépondreSupprimerle 7 février 2023
Il a donc été fait mention de la Chine dans le précédent billet et de son ambitieux programme électro-nucléaire. Il s’agit de la “transition énergétique” à la chinoise. Actuellement 55 réacteurs nucléaires sont opérationnels, 21 sont en cours de construction, 80 autres sont déjà planifiés pour être concrétisés dans un futur proche et enfin 76 autres installations sont prévues dans un futur plus lointain c’est-à-dire au delà de 2030. L’objectif premier de ce programme était de réduire la pollution des grandes villes et c’est la raison pour laquelle de nombreuses unités en cours de construction ou planifiées comportent aussi une cogénération lorsqu’elles sont situées près de grandes agglomérations afin de profiter de la chaleur de refroidissement du circuit secondaire pour le chauffage urbain. Toujours dans le registre de cette transition énergétique les technologies intermittentes sont confiées à des entreprises privées dont les projets sont très partiellement financés par l’Etat, à ces entreprises de produire un kWh compétitif pour le marché intérieur. Le réseau de transport comporte de plus en plus de lignes haute tension de 1 million de volts alternatif et 800 000 volts continu.
Dès le début de ce programme les autorités scientifiques ont insisté sur la nécessité pour la Chine de disposer d’un circuit combustible fermé, en d’autres termes la nécessité de construire des surrégénérateurs à neutrons rapides pour prendre en charge les transuraniens de haute activité. Dans le décompte ci-dessus les premières usines comportant un ensemble de SMRs couplés à une seule turbine sont considérés comme étant une seule unité de production. La technologie SMR (100 MW électrique par unité au minimum) pourrait être généralisée à l’horizon 2030 si le coût de construction d’une unité équivalant à celle d’un réacteur de 400 MW électrique s’avère avantageux. Quant aux réacteurs à très haute température ou à lits fluidisés, il s’agit d’installations expérimentales qui permettront dans le futur d’ouvrir d’autres applications industrielles telles que la production d’hydrogène. Divers billets de ce blog l’ont déjà mentionné. L’objet du présent billet est de décrire l’état d’avancement de la filière à neutrons rapides en Chine.
Depuis l’abandon du projet NERSA en France plus connu sous le nom de Super-Phénix il n’existe aucun projet de surrégénérateur en Europe occidentale ou aux USA. Aujourd’hui il faut aller en Russie, au Japon et en Chine pour trouver un programme nucléaire incluant les réacteurs à neutrons rapides. Le petit surrégénérateur japonais, frère jumeau du réacteur Phénix de Marcoule en France et fruit d’une étroite collaboration avec la France est en cours d’amélioration. La Russie est incontestablement le leader mondial des réacteurs à neutrons rapides avec le réacteur de recherche BOR-60 (60 MW électrique) opérationnel depuis 1968, le BN-600 (500 MW électrique) opérationnel depuis 1980 et le BN-800 (880 MW électrique) opérationnel depuis 2016. Ces unités sont couplées au réseau électrique. Il faut également mentionner les sous-marins russes à propulsion nucléaire équipés de petits surrégénérateurs refroidis avec du sodium qui présentent l’avantage de pas nécessiter de rechargement de combustible pendant plus de deux années.
RépondreSupprimerLa Chine, compte tenu de son programme électro-nucléaire ambitieux dans la filière des neutrons thermiques type PWR de conception originelle sous licence Westinghouse pour leur grande majorité nécessite le développement de la filière à neutrons rapides, c’est-à-dire non modérés par l’eau utilisée dans ces PWR. La filière à neutrons rapides permet en effet de se débarrasser des transuraniens dont principalement les divers isotopes du plutonium et le curium. On pourrait dire que dans l’urgence la Chine a importé la technologie russe. Il s’agit des deux CFR-600 du site de Xiapu d’une puissance électrique de 600 MW. La construction du premier réacteur a commencé à la fin de l’année 2017 et est en cours de chargement de combustible (voir ci-après) et la construction de la deuxième unité, sur le même site a commencé à la fin de l’année 2020. Ces deux unités sont identiques et les assemblages de combustible sont produits par TVEL ( https://www.tvel.ru/en/ ), un département de Rosatom. Les deux CFR-600 sont des clones améliorés des BN-600. Comme pour le BN-600 le fluide caloporteur transparent aux neutrons est le sodium liquide.
La fermeture de Super-Phénix installé en France, un projet coopératif international et européen, constitue encore aujourd’hui la plus grande erreur de la France dans le domaine énergétique, la France ne pouvant qu’entretenir son parc nucléaire existant mais fatalement condamnée à accumuler des déchets de haute activité en l’absence de ce maillon essentiel que constituait ce surrégénérateur. En effet l’avantage du réacteur à neutrons rapides, c’est-à-dire non modérés par le fluide caloporteur comme dans le cas de l’eau des PWR, BWR ou Candu est de favoriser la capture de ces neutrons d’énergie supérieure à 1 MeV pour induire la fission des noyaux transuraniens ainsi que l’uranium-238 fertile mais non fissile. Il n’existait aucun argument scientifique pour justifier la fermeture de cette usine.
À ce propos et pour insister sur l’incurie des décideurs politiques français il en est de même pour la fermeture de l’usine de Fessenheim : les seules motivations étaient d’ordre bassement politique. L’unité de temps des réflexions des politiciens est leur échéance électorale, c’est-à-dire 5 ans en France. Les projets énergétiques incluant l’énergie nucléaire, le combustible nucléaire entrant pour moins de 5 % dans le coût global du MW électrique final étant le moins coûteux et paradoxalement “renouvelable” grâce à la filière neutrons rapides, demandent des investissements de recherche et développement sur le long terme. Dans le cas d’un réacteur à eau pressurisée classique, le seul élément de l’usine qui ne peut pas être remplacé est la cuve du réacteur : tous les autres éléments de l’installation peuvent être remplacés par du matériel neuf, en particulier les pompes primaires et les générateurs de vapeur. La durée de vie d’un PWR type Fessenheim correspondant à l’AP-1000 dépend de l’état de cette cuve. À chaque arrêt pour rechargement en combustible cette cuve est minutieusement inspectée à l’aide de robots construits à cet effet. La surface de la cuve est nettoyée à l’aide du même robot. Pour l’anecdote j’ai de mes yeux vu un tel robot en opération dans une cuve de 900 MW sur le site de Tricastin en France. Jusqu’à présent jamais aucune détérioration notoire de cette cuve n’a été notée. C’est la raison pour laquelle les autorités de sureté américaines par exemple ont prolongé la durée de vie opérationnelle de la plupart des réacteurs type Westinghouse comme ceux du parc nucléaire français jusqu’à 80 ans. La fabrication de ces cuves est confiée à des entreprises spécialisées et il n’en existe plus qu’un nombre limité dans le monde, en Chine, au Japon, en Russie.
RépondreSupprimerL’avantage du réacteur à neutrons rapides est exceptionnel en comparaison du PWR. Le réacteur lui-même est de type “piscine” puisqu’il baigne dans sa totalité dans un bain de sodium liquide (température de fusion 98°C et d’ébullition 882°C) transparent aux neutrons et à la pression atmosphérique contrairement aux quelques 100 bars de pression de l’eau des PWR. Technologiquement la situation est beaucoup plus simple à mettre en œuvre. Le seul point plus compliqué dans ce type d’installation est la nécessité d’une boucle sodium secondaire également à la pression atmosphérique pour produire la vapeur de très bonne qualité qui va vers la turbine de l’alternateur. Les opérations de chargement en combustible sont entièrement robotisées sous atmosphère inerte (argon). Le cœur du réacteur est entouré d’une couverture d’assemblages de combustibles pouvant aisément contenir les transuraniens dont on veut se débarrasser afin de réduire pratiquement à zéro les déchets de haute activité tout en produisant de l’énergie. Enfin l’autre avantage, et mes lecteurs auront l’impression que je me répète, le réacteur à neutrons rapides permet de “brûler” l’uranium naturel appauvri ainsi que le thorium.
En conclusion cette filière abandonnée par la France est celle de l’avenir et la Russie et la Chine l’ont très bien compris. Il n’y aura jamais de pénurie d’uranium puisque l’uranium appauvri servira avantageusement de combustible pour produire de l’énergie électrique. Grâce à l’énergie nucléaire on peut lucidement envisager un avenir meilleur …
L’intervention de Jospin devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale est un sommet de la mauvaise foi des politiciens qui exposent une problématique dont ils ignorent suprêmement les ressorts scientifiques, ici de l’énergie nucléaire. Clamer haut et fort que “la filière à neutrons rapides n’a aucun avenir” relève de l’ignorance sinon de la sénilité. On peut tout de même pardonner à Jospin qui, à 85 ans, a au moins gardé en mémoire son idéologie de gauche sympathisant avec les ultra-gauchistes que constituent les partis écologistes. Il est vrai qu’un politicien de carrière comme Jospin ne peut pas créer la surprise en osant faire amende honorable devant des députés, lui qui fut un sinistre premier ministre …
RépondreSupprimerhttps://jacqueshenry.wordpress.com/2023/02/07/les-reacteurs-nucleaires-surregenerateurs-russie-et-chine/
Il faut libéraliser le marché de l’électricité (2)
RépondreSupprimerIl faut réfléchir aux moyens de revenir à un vrai marché de l’électricité plutôt que le marché administré d’aujourd’hui qui recèle les défauts des deux systèmes qu’il essaie vainement de concilier.
le 7 février 2023
Un article de l’Iref-Europe.
Jean-Philippe Delsol
Première partie de cet article ici.
Des voies et des moyens
Par suite de la douceur des températures au début de l’hiver et des efforts de réduction des besoins, dans le sillage d’une réduction du prix du gaz, de 300 euros le mégawattheure (MWh) en août 2022 à un prix plus proche 70 euros le MWh, les tarifs de l’électricité sur les marchés de gros se tassent : ils sont montés à 700 euros le MWh l’été 2022 et le 23 janvier 2023 à 121,48 euros en prix spot du lendemain. Mais la baisse des prix exprime aussi la décélération de l’économie, ce qui est moins bon signe. Et les aléas du climat peuvent nous réserver des surprises.
Une solution provisoire a été adoptée par l’Espagne d’abord puis par l’Europe pour bloquer le prix du gaz. Mais c’est une solution mauvaise à long terme, notamment parce qu’elle risque de réduire l’approvisionnement en gaz de l’Europe qui doit importer 90 % du gaz dont elle a besoin. La Commission européenne a pris conscience du besoin de réformer le marché électrique : « Nous travaillons à une intervention d’urgence et à une réforme structurelle du marché européen de l’électricité », a dit Mme Ursula von der Leyen le 29 août 2022. Mais on attend toujours.
L’efficacité de la concurrence
L’électricité est aujourd’hui aussi importante pour un pays que l’était – et l’est toujours autrement – le blé autrefois. Et malgré cette malchance, pour lui, que ses réformes de libération du marché du blé aient eu lieu au cours de deux années de disette, Turgot a démontré que sur le fond et dans le temps, il avait raison de vouloir instituer « la liberté du commerce, qui seule peut, par son activité, procurer des grains dans les cantons où se feraient sentir les besoins, et prévenir, par la concurrence, tout renchérissement excessif » (Arrêt de Turgot du 22 avril 1774). C’est la concurrence mondiale qui nous permet aujourd’hui d’avoir partout la possibilité d’acheter du blé.
Il faut donc réfléchir aux moyens de revenir à un vrai marché de l’électricité plutôt que le marché administré d’aujourd’hui qui recèle les défauts, plutôt que les qualités, des deux systèmes qu’il essaie vainement de concilier.
Dans de nombreux pays, les centrales nucléaires elles-mêmes sont confiées à la construction et à la gestion d’entreprises privées. C’est le cas aux États-Unis où la plupart de la centaine de centrales existantes sont gérées par des entreprises privées (Exelon, Entergy, Duke Energy…). La Suède faisait gérer ses quatre centrales par la société allemande UNIPER, une société privée jusqu’aux difficultés subies par celle-ci après l’abandon du nucléaire en Allemagne et à la crise du gaz. L’Espagne a confié à deux entreprises privées, Iberdrola et Endesa, la gestion de son nucléaire dont elle veut sortir (sauf si la crise actuelle devait la faire changer d’avis).
La France pourrait donc utilement sans doute démultiplier ses opérateurs, voire ses maîtres d’ouvrage, notamment pour ses nouvelles installations nucléaires. La concurrence est toujours créatrice de nouvelles offres et de solutions innovantes que les monopoles et oligopole ont de la peine à faire émerger.
RépondreSupprimerLa vérité des prix
La concurrence qui s’établirait entre opérateurs ne pourrait toutefois être stimulante que si chacun était libre de ses prix.
Ne faudrait-il pas alors que chaque opérateur ne soit autorisé à exercer sur le marché que s’il peut garantir sa capacité à délivrer l’électricité requise par ses clients par lui-même y compris à la pointe. C’est-à-dire que chacun devrait disposer d’une capacité à la pointe. Les fournisseurs d’énergies intermittentes devraient ainsi pouvoir offrir d’autres sources d’énergie en cas d’arrêt sauf à subir des pénalités dissuasives. Il est probable qu’on verrait fleurir moins d’éoliennes, ce qui améliorerait la fluidité du marché.
Les prix moyens, plutôt que celui de la dernière centrale, pourraient tenir compte de ce risque de production à des tarifs plus élevés. On éviterait la volatilité des prix de 2022 tout en incitant chacun à investir pour disposer de moyens de production globalement économiques
Une augmentation des capacités de production
L’Europe qui importe 90 % de son gaz pourrait chercher à développer son gaz de schiste en fixant les conditions pour que cette exploitation soit peu nuisible.
Mais il y a surtout urgence à prévoir le renouvellement, voire l’extension de notre parc nucléaire. À cet égard, le récent vote du Sénat pour fixer un plancher à 50 % de nucléaire plutôt qu’un plafond va dans le bon sens, de même que l’annonce de M. Macron d’un plan de construction de six réacteurs EPR (plus huit posés en option) à déployer en urgence. Il faut aussi dès à présent prévoir le renouvellement à terme des centrales actuelles. Des sociétés privées pourraient utilement financer ces projets.
La recherche doit être privilégiée dans ce domaine crucial pour améliorer les modes de production nucléaire, en trouver de nouveaux (mini réacteurs), développer les solutions de recyclage et enrichissement d’uranium où la France est déjà très riche de compétences (ORANO)…
Il faut travailler bien entendu à la découverte de nouvelles énergies et à leur stockage. Et pour ce faire, il faudrait peut-être commencer par moins taxer la production d’énergie pour lui donner les moyens de la recherche et de l’investissement.
Des taxes plus raisonnables
RépondreSupprimerL’électricité est surtaxée. Le prix de détail de l’électricité intègre en France deux contributions, la contribution tarifaire d’acheminement CTA et contribution au service public de l’électricité CSPE, ainsi que deux taxes, sur la valeur ajoutée (TVA) et sur la consommation finale d’électricité. Au total, sur les tarifs non réglementés, les taxes représentent 34 % du prix payé par le consommateur. En résumé, le prix de l’électricité payé par les consommateurs résidentiels se répartit en un tiers pour la part fourniture, un tiers pour le transport et la distribution et un dernier tiers pour les taxes. Il n’y a aucune raison que le produit essentiel qu’est l’électricité soit plus taxé que les autres.
Certes, la question est encore de savoir si et comment on peut sortir de nos accords européens actuels. Mais la décision est politique et question de volonté. L’évolution du marché ne se fera pas sans quelques délais et s’il fallait encore administrer une partie du marché électrique, il serait sans doute préférable de subventionner seulement les centrales de dernières sources pour réduire le prix de référence imposé aujourd’hui. Mais il ne faut pas attendre pour décider d’une réforme en profondeur.
https://www.contrepoints.org/2023/02/07/449981-il-faut-liberaliser-le-marche-de-lelectricite-2
Électricité : les renouvelables créent une hausse des prix
RépondreSupprimerLa forte corrélation entre poids des renouvelables dans le mélange électrique et niveau des prix de l’électricité le suggère
le 7 février 2023
Rémy Prud'homme
On sait depuis longtemps que la multiplication des énergies renouvelables (éolien et photovoltaïque) entraîne une hausse du coût moyen de la production de l’électricité. La forte corrélation entre poids des renouvelables dans le mélange électrique et niveau des prix de l’électricité le suggère : à faible poids, prix bas (Hongrie) ; à poids moyen, prix moyen (France) ; à poids considérable, prix élevé (Allemagne).
On sait également que l’année 2022 a montré qu’à cette inflation par les coûts s’ajoute une inflation par la mécanique du marché de gros européen. Les prix de l’électricité en Europe ont été largement déconnectés des coûts de production de l’électricité. En France, par exemple, le coût moyen de production a augmenté d’environ 15 % (du fait de l’augmentation du prix du gaz utilisé pour produire de l’électricité) alors que le prix de vente moyen a augmenté d’environ 130 %. Cette augmentation des prix de vente provient principalement de la généralisation du prix qui s’établit sur le marché européen de l’électricité à l’ensemble des prix de l’électricité en Europe. En 2022 ce prix a été largement celui de la production des centrales au gaz allemandes.
Ce que l’on sait moins, c’est qu’il y a une double relation causale entre les renouvelables et cette mécanique infernale :
la hausse du prix du gaz est liée au développement des renouvelables,
le marché européen a été conçu dans le but de favoriser ces mêmes renouvelables.
L’éolien et le photovoltaïque sont intermittents
Durant la majorité des heures de l’année, le vent ne souffle pas et le Soleil ne brille pas. Qui plus est, en particulier pour l’éolien, cette intermittence est aléatoire car on ne sait guère longtemps à l’avance quand les installations vont produire. Pour répondre à la demande, notamment de pointe, il faut donc avoir sous le coude des centrales capables de démarrer instantanément. Les centrales les mieux adaptées à cette tâche sont les centrales au gaz qui est ainsi un complément nécessaire aux renouvelable. Plus de renouvelables, c’est davantage de gaz.
L’Allemagne, mais aussi l’Italie et l’Autriche étaient et sont toujours des pays très dépendants des importations de gaz, et en particulier de gaz russe. La décision de Gazprom de diminuer brutalement ses ventes de gaz à ses clients européens a évidemment fait flamber le prix du gaz en Europe, et le prix de l’électricité au gaz sur le marché européen de l’électricité.
RépondreSupprimerCet enchaînement maintenant bien connu n’explique pas la contagion de la hausse des prix dans le reste de l’Europe et notamment en France. La part de notre électricité achetée sur le marché européen est faible (même si elle a augmenté en 2022 du fait de l’indisponibilité temporaire d’une vingtaine de nos centrales nucléaires) et de plus l’essentiel de ces achats se font de gré à gré, hors marché.
Cela aurait dû nous protéger de la contagion. Si cela n’a pas été le cas, c’est à cause d’une « règle » particulière de ce marché européen. La Cour des comptes européenne, qui n’est pas suspecte d’hostilité à ce marché et à cette règle, la présente en ces termes :
« Toutes les offres de fournisseurs ayant trouvé preneur […] doivent être rémunérées au même prix que l’offre la plus élevée qui équilibre le marché ».1
D’où sort cette règle ?
La Cour des comptes européenne mange le morceau et avoue clairement :
« Cette méthode vise à faire en sorte que les producteurs d’énergie verte dégagent un bénéfice, et donc un retour sur investissement, ainsi qu’à accroître l’approvisionnement en énergie produite à partir de sources renouvelables».
Pour faire plaisir aux industriels de l’éolien et du photovoltaïque, les achats obligatoires à prix rémunérateurs (qui existent dans la plupart des pays européens, notamment en France) ne suffisent pas, peut-être parce qu’ils sont trop voyants. L’Union européenne a tenu à les renforcer par des prix élevés totalement déconnectés des coûts de production.
Les prix élevés de l’électricité qui ruinent les ménages et les industries européennes ne sont donc pas seulement une conséquence imprévue des renouvelables, ils sont au contraire une cause voulue, un moyen conscient de la multiplication des renouvelables. Les boucliers énergétiques dont nos gouvernants dotent à grands frais les consommateurs ne servent qu’à les protéger des flèches et des javelots que ces gouvernants eux-mêmes ont systématiquement et savamment décochés.
Le gouvernement actuel n’est pas à l’origine de cette absurdité mais il la perpétue. Le président déclare que « l’électricité doit être vendue aux Français à un prix qui correspond à son coût de production », mais en même temps il fait voter le doublement rapide des renouvelables et ne remet pas en cause le mécanisme inflationniste du marché européen qui a la double vertu d’être un marché et d’être européen.
*
1 Cour des comptes européenne 2023. L’intégration du marché intérieur de l’électricité. Encadré n°1, p. 33. ↩
https://www.contrepoints.org/2023/02/07/449884-electricite-les-renouvelables-creent-une-hausse-des-prix
Mais lorsque le vent est tombé, nous avons importé d’Allemagne. Autrement dit nous avons exporté du vent et importé du charbon. On ne saurait mieux dire ! Dans cette situation de janvier, le vent ne nous a été d’aucun intérêt, quand il ne soufflait pas bien sûr, mais aussi quand il soufflait !
RépondreSupprimer- voir graph sur site -
Et la finance, dans tout ça ?
- voir graph sur site -
L’évolution des prix est spectaculaire, elle aussi. On voit bien certains passages à prix nuls. Et on a exporté à 120 euros/MWh et importé à 175 euros/MWH en moyenne. Belle opération !
Électricité : les Allemands raflent la mise
Contrairement à la France, les Allemands ont gardé toute leur capacité pilotable en termes d’électricité. Les 130 GW qu’ils ont installés en éolien et solaire sont en plus de leur capacité normale.
Ils profitent à plein du manque de capacité en Europe et de la fixation de prix débiles. Entre Energiewende (Transition énergétique) et Ostpolitik (gaz russe) ils ont créé la crise et contre toute morale (si tant est qu’il y ait une morale en énergie) ils en retirent des bénéfices.
Faut-il les en blâmer ? Nous n’avons pas eu besoin d’eux pour nous mettre nous-mêmes dans une situation impossible.
https://www.contrepoints.org/2023/02/07/449902-electricite-analyse-du-mois-de-janvier-2023
Le canular du ballon espion chinois
RépondreSupprimerPar le Dr Paul Craig Roberts
Recherche mondiale,
07 février 2023
Après le canular du Russiagate, le canular de Covid et le canular de l'insurrection, nous avons maintenant le canular du ballon espion chinois
Selon Washington et les médias putains, la Chine a envoyé un ballon qui, selon le Pentagone, « pourrait » être chargé d'explosifs pour espionner l'Amérique. Un général de haut rang a déclaré que des ballons similaires étaient entrés dans l'espace aérien américain sans être détectés auparavant. Le ballon est énorme - 200 pieds de haut et pèse plus de quelques milliers de livres. Donc, si un objet aussi gros peut entrer dans notre espace aérien sans être détecté, cela signifie-t-il que des ICBM beaucoup plus petits le peuvent également ?
Comprenez que ce qui se passe ici est la création délibérée d'un incident à des fins de propagande pour attiser plus d'animosité contre la Chine et dépenser plus d'argent pour la défense en Asie. Nous n'avons pas d'avion de ligne malaisien à blâmer pour la Chine, mais nous avons un ballon météo.
Après avoir reçu un lavage de cerveau par un briefing du Pentagone, le représentant Jim Himes (D, Connecticut) dit que les responsables américains « apprendront beaucoup » des pièces du « métier d'espionnage chinois » qui a été abattu.
Deux autres membres stupides de la Chambre, l'un républicain, l'autre démocrate, déclarent que le ballon météo dévié est " une violation de la souveraineté américaine ".
L'explication chinoise est la seule qui ait un sens :
"C'est un dirigeable civil utilisé à des fins de recherche, principalement météorologiques. Affecté par les Westerlies et avec une capacité d'auto-direction limitée, le dirigeable a dévié loin de sa trajectoire prévue. La partie chinoise regrette l'entrée involontaire du dirigeable dans l'espace aérien américain en raison d'un résultat imprévu et involontaire. La partie chinoise continuera à communiquer avec la partie américaine et gérera correctement cette situation inattendue causée par le vent et la capacité de direction limitée. (Une traduction utilise le terme "force majeure", un événement imprévu.)
Mais l'histoire d'espionnage continue. Elle est nécessaire pour aggraver les relations avec la Chine, la deuxième puissance nucléaire que Washington fait tout pour contrarier. Gardez à l'esprit qu'à l'heure actuelle, l'espionnage est effectué par des satellites, et non par des ballons météorologiques. Si la Chine utilise des ballons pour espionner les États-Unis, pourquoi la Chine a-t-elle envoyé un ballon au-dessus de la Colombie ? Pourquoi la Chine espionne-t-elle l'Amérique du Sud ?
L'armée colombienne a déterminé que le ballon ne représentait aucune menace pour la sécurité nationale, la défense ou la sécurité aérienne. Washington n'a pas la capacité de l'armée colombienne, parce que Washington est en train de créer un problème de canular.
Jeanne Traduction
RépondreSupprimer🧠 Dr Robert Malone, concepteur de la technologie ARNm : "Au cours des 3 dernières années, vous avez été soumis à la campagne de propagande la plus massive, harmonisée et coordonnée au niveau mondial de l'histoire du monde occidental, point final."
- voir clip sur site :
https://www.facebook.com/JeanneTraduction/
Étude : Les personnes qui se trouvent peu attrayantes sont plus susceptibles de porter des masques
RépondreSupprimer5 février 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Il y a eu une vive polémique sur les masques depuis le début de 2020. En 2020, toutes les preuves scientifiques montraient un manque de protection contre les virus mais des dommages collatéraux. Ils ont maintenant été abolis dans le monde entier, à l'exception de Vienne. Mais certaines personnes portent encore des masques. Une étude clarifie maintenant qui a tendance à le faire.
Récemment, TKP a rendu compte d'une revue Cochrane qui a de nouveau confirmé que les masques n'offrent aucune protection. Une autre grande méta-étude a mis en évidence le large éventail de problèmes de santé causés par les masques. Bien que la revue Cochrane représente la norme la plus élevée en matière de recherche médicale et que les conclusions soient claires, les grands médias tels que le Berliner Zeitung se livrent à des tentatives de justification, affirmant que l'étude Cochrane est "souvent mal interprétée". Pour la première fois, un média d'entreprise examine les restrictions répertoriées, puis fait toutes sortes de pull-ups pour justifier l'exigence d'un masque nocif pour la santé.
Mais revenons à quel type de personne a tendance à porter un masque. Des chercheurs de l'Université nationale de Séoul en Corée du Sud ont voulu savoir si l'attractivité perçue joue un rôle dans les intentions des gens de porter un masque. Ils ont mené trois expériences sur des Américains recrutés par Amazon Mechanical Turk, un site Web de crowdsourcing commercial.
L'étude intitulée Post COVID-19, portez-vous toujours un masque facial ? L'attractivité faciale auto-perçue réduit l'intention de porter un masque » paru dans Frontiers in Psychology .
L'âge moyen dans toutes les études était de 33 ans et la proportion d'hommes dans la population étudiée était d'environ 44 % dans chaque cas.
La conclusion la plus remarquable de l'équipe est venue de la troisième étude.
La troisième étude a porté sur 442 personnes, dont la moitié ont été informées qu'elles allaient promener le chien et l'autre moitié ont été informées qu'elles se rendaient à un entretien.
On leur a demandé : " Dans ce scénario, pensez-vous que les autres vous percevront comme plus attirant en portant un masque ?"
On leur a également demandé : « À quel point voulez-vous faire une bonne première impression sur les autres ? »
Les personnes qui devaient se rendre à un entretien étaient plus intéressées à savoir si le port d'un masque affectait leur attrait facial.
La première étude a impliqué 244 personnes.
Les participants ont évalué leur attrait facial avant d'être invités à imaginer un scénario dans lequel ils seraient invités à un entretien dans une entreprise qu'ils aiment vraiment.
RépondreSupprimerVous devez répondre aux questions suivantes : " Pensez-vous que les enquêteurs vous trouveront plus attirant en portant un masque ?" et " Si le port d'un masque est facultatif pour cet entretien, porteriez-vous un masque lors de l'entretien avec l'entreprise ?"
Les personnes qui se sont jugées très attirantes étaient moins susceptibles de répondre oui. Ils étaient également moins susceptibles d'être d'accord avec la conviction que le port d'un masque améliore leur apparence, ce qui réduit encore leur intention de porter un masque pour les entretiens d'embauche.
Une autre étude a demandé à 344 personnes se présentant pour un entretien dans une entreprise réputée : " Pensez-vous que si vous portez un masque facial, les enquêteurs vous percevront comme [digne de confiance/compétent/attrayant] ?
Les personnes qui ont répondu "oui" à ces questions étaient plus disposées à porter un masque lors d'un entretien.
Les auteurs de l'étude ont écrit : « Dans l'ensemble, nous avons obtenu une nouvelle découverte selon laquelle l'attractivité auto-perçue a des implications significatives sur l'intention de porter un masque, via la croyance en l'attractivité du masque dans la pandémie post-COVID-19.
Nos résultats suggèrent que le port du masque peut évoluer d'une mesure d'autoprotection pendant la pandémie de COVID-19 à une tactique d'expression de soi dans l'ère post-pandémique. "
https://tkp.at/2023/02/05/studie-maske-tragen-eher-personen-die-sich-unattraktiv-finden/
De cette façon, les Verts et la Salonleft sont devenus des fantassins de l'impérialisme
RépondreSupprimer7 février 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Avec la pandémie corona, une évolution est apparue au grand jour depuis la guerre d'agression de l'OTAN contre la Serbie en 1999 au plus tard. Les groupes politiques et les personnes assignées à un spectre « de gauche » ou libéral de gauche sont apparus comme de bruyants propagandistes de la restriction des droits fondamentaux et comme des représentants des intérêts de l'industrie pharmaceutique, avec la vaccination obligatoire au premier plan. Ils se présentent maintenant comme les bellicistes les plus féroces. Quel est leur rôle et comment est-il arrivé ?
Un article d'Al Mayadeen traite du livre de 2007 de James Petra, Les ONG : au service de l'impérialisme . Il s'agit des diverses fondations « philanthropiques » des Rockefeller, Ford, Soros, Clinton, Gates, Warburg et autres. Petras examine le développement de l'impérialisme en tant que sous-produit nécessaire du capitalisme et les forces qui le soutiennent.
L'article explique la motivation:
« Le but d'études comme celle-ci est un profond désenchantement vis-à-vis du discours de gauche contemporain, qui a déformé le socialisme scientifique sous prétexte de moderniser une théorie dépassée en une idéologie d'activisme politique institutionnalisée par des ONG et promue avec des fonds occidentaux, alors qu'elle utilise des expressions idiomatiques."
L'article traite d'abord de la façon dont Petras décrit le développement de l'impérialisme depuis les compradores coloniaux jusqu'à nos jours et ses manifestations dans différentes régions du monde.
Les ONG et leurs dirigeants
James Petras identifie les néo-compradores comme les chefs d'ONG financées par des fonds/organisations occidentaux tels que le National Endowment for Democracy (NED) et d'autres variantes telles que l'Open Society Foundation, le National Democratic Institute, le European Endowment for Democracy, les États-Unis Agency for International Development, l'International Republican Institute, le Middle East Policy Institute et des variantes européennes telles que l'European Endowment for Democracy, qui servent principalement de façade pour le financement secret des ONG par le gouvernement.
Le Fonds NED a été créé par le président américain Lyndon Johnson dans les années 1960 pendant la lutte idéologique de la guerre froide entre les États-Unis et l'URSS comme alternative au financement secret de la CIA. Après qu'il a été révélé que des journaux privés et des partis politiques d'Europe de l'Est étaient financés par la CIA, afin d'éviter des escalades diplomatiques avec les pays communistes dans les forums internationaux, le président Johnson a décidé de transformer cette relation donateur-bénéficiaire étranger en une relation privé-privé. mécanisme au lieu d'un mécanisme public-privé en introduisant la NED. Par ailleurs, le fondateur de l'Open Society Foundation, le philanthrope américain Georges Soros,
RépondreSupprimerLes ONG en question, dont les dirigeants forment la classe néo-comprador, sont notamment celles qui se préoccupent de façonner et d'introduire des récits dans le discours politique, c'est-à-dire des ONG de type parti ou journal comme les think tanks, certainement pas des ONG comme Médecins sans frontières .
Des intellectuels qui mènent un discours de gauche
Une autre caractéristique distinctive des néoconservateurs que Petras souligne est le bagage intellectuel et le type de discours qu'ils utilisent pour mobiliser les gens.
« Les ONG adoptent le langage de la gauche : 'pouvoir du peuple', 'empowerment', 'égalité des genres', 'développement durable', 'bottom-up leadership', etc. Le problème est que ce langage est combiné à un cadre de coopération liée aux bailleurs de fonds et aux agences gouvernementales qui subordonnent les activités » (J. Petras, 2007, p:434).
En construisant ces réseaux de néo-guerriers, l'impérialisme a utilisé ses propres méfaits (c'est-à-dire les conditions sociales d'exploitation du néolibéralisme) pour donner une impulsion à ses fantassins « révolutionnaires ».
"La croissance des mouvements et des luttes sociopolitiques radicaux a fourni une marchandise lucrative aux anciens intellectuels radicaux et pseudo-populaires à vendre à des fondations privées et publiques intéressées, concernées et bien financées travaillant en étroite collaboration avec des multinationales européennes et américaines et les gouvernements sont connectés. . (J.Petras, 2007, p:432).
Le besoin de néo-compradores de l'impérialisme a transformé l'activisme politique en marché du travail. Les intellectuels sans emploi et les gauchistes indisciplinés rivalisent pour vendre leur expérience et leur potentiel révolutionnaires aux intérêts impérialistes.
Les néo-compradores surgissent en temps de crise pour prendre des positions anti-gouvernementales. Ils sont à l'avant-garde des mouvements sociaux qui émergent en opposition au gouvernement et commencent à façonner le discours en faveur des intérêts économiques et sécuritaires de leurs clients. Cela décrit assez précisément la fonction des Verts, tout comme l'AntiFa germanophone.
Les néo-ambassadeurs moins charismatiques font office de lanceurs d'alerte locaux : ils choisissent les cibles des sanctions de leur client. Les néo-ambassadeurs les plus charismatiques se voient confier la noble tâche de façonner le contre-discours. Ils se font souvent passer pour des militants des droits de l'homme défendant des causes populaires telles que le féminisme, la libération des homosexuels et/ou l'antiracisme.
En bref, les néo-compradors forment une nouvelle classe socio-économique qui émerge comme un sous-produit de l'impérialisme tardif. Ils libèrent les intellectuels de leur statut de petite bourgeoisie.
https://tkp.at/2023/02/07/so-wurden-gruene-und-salonlinke-zu-fusssoldaten-des-imperialismus/
Cause de l'augmentation de la surmortalité en décembre 2022 : virus corona plus dangereux ou système immunitaire affaibli chez les personnes vaccinées ?
RépondreSupprimer7 février 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Depuis 2021, nous avons une surmortalité en augmentation significative et depuis le deuxième trimestre 2022 une baisse significative de la natalité. Et cela dans presque tous les pays qui ont vacciné avec des préparations d'ARNm. Les changements sont très clairement corrélés avec les taux de vaccination respectifs. En décembre 2022, cependant, il y a une augmentation significative.
Igor Chudov rapporte dans son blog :
"Les données de l'UE, de l'Allemagne, de la Suède et du Royaume-Uni montrent une augmentation soudaine de la mortalité toutes causes confondues, bien au-delà de ce que 2022 a déjà apporté : de 10 à 15 % de surmortalité à 25 à 36 % de surmortalité par rapport aux valeurs pré-pandémiques. . La surmortalité a culminé en décembre à environ 20 % au Royaume-Uni, 36 % en Allemagne, 22 % en Suède et 35 % dans l'UE.
Voici les sauts soudains de la mortalité :
- voir graph sur site -
Chudov, dont j'admire les analyses par ailleurs, suppose que l'augmentation n'est pas seulement due aux effets de la vaccination, mais peut également être due à des variantes plus dangereuses, dont l'émergence a été favorisée par le taux de vaccination élevé et une immunité incomplète. La théorie a été développée et adoptée par le virologue belge Geert Vanden Bossche, un ancien employé de la Fondation Gates. Chudov à ce sujet :
"En mars 2021, Geert a prédit avec beaucoup de drame qu'une variante beaucoup plus virulente ou mortelle de Covid-19 émergerait en raison de la vaccination de masse. Une telle variante affectera les personnes dont le système immunitaire a été ajusté au virus original de Wuhan éteint grâce à des vaccinations répétées. Ces individus surexcités ne seraient pas en mesure de se défendre contre les nouvelles variantes d'épidémies.
La thèse selon laquelle les mutations se produisent plus rapidement dans une population vaccinée avec de l'ARNm est soutenue par de nombreux scientifiques et s'explique facilement. Les pointes ne sont qu'une petite partie du virus et lorsqu'elles mutent, le système immunitaire généré par le vaccin ne les reconnaît que mal ou pas du tout. Les mutations qui échappent à cette défense spécifique se propagent alors préférentiellement dans une population fortement vaccinée.
RépondreSupprimerLe système immunitaire est crucial, pas le virus
Cependant, lorsqu'il est exposé au virus entier, le système immunitaire monte une défense contre toutes les parties du virus, y compris celles qui ne peuvent pas changer sans détruire le virus, comme la protéine d'enveloppe. Cependant, les lymphocytes T et les anticorps se développent quelque peu différemment chez chaque personne. Si un virus muté saute ensuite d'une personne à une autre avec une immunité naturelle, il rencontre un système immunitaire avec un comportement de défense différent et une variante qui était avantageuse chez l'hôte précédent perd au mieux cet avantage.
Nous pouvons déjà en déduire que la fonctionnalité du système immunitaire et sa compétence sont plus importantes que le virus. Chudov le confirme en observant une surmortalité dans d'autres pays :
"Curieusement, dans les pays où il n'y a pratiquement pas de vaccination, comme la Bulgarie ou l'Afrique du Sud, cette surmortalité n'existe pas."
Dans les pays à faible taux de vaccination, les non vaccinés ont apparemment été en mesure de créer une immunité collective suffisante, empêchant ou interrompant rapidement la propagation du SRAS-CoV-2, de sorte que les non vaccinés restent en sécurité. Il n'y a rien d'étrange à cela, c'est ce que l'on savait en épidomiologie jusqu'au début des années 2020. Sunetra Gupta, professeur d'épidémiologie théorique à l'Université d'Oxford, a calculé à l'été 2020 qu'en aucun cas 60 ou 70% n'ont besoin d'être immunisés pour obtenir une immunité collective.
Système immunitaire affaibli par la vaccination
Des études récentes ont montré qu'à partir de la deuxième injection d'ARNm, le système immunitaire forme des anticorps de sous-type IgG4, qui entraînent une tolérance au virus. Ceci est causé par les cellules T, et celles-ci produisent elles-mêmes des cellules T régulatrices inhibant la défense, ainsi que des cellules T auxiliaires, qui contrôlent le développement de cette inhibition.
Le résultat est que les cours de Covid sont plus sévères et il faut souvent des semaines avant que l'infection puisse être conjurée. L'IgG4 elle-même provoque un certain nombre de maladies telles que la MPOC ou diverses maladies auto-immunes.
RépondreSupprimerMais le système immunitaire inné est également endommagé. Un nombre réduit de cellules NK est mesuré chez les personnes vaccinées. Les cellules tueuses naturelles sont nécessaires à la destruction des cellules cancéreuses, par exemple, et elles constituent la première ligne de défense dans tous les types d'infections.
Dès mai 2021, une étude a été publiée qui a démontré la suppression et la perturbation du système immunitaire inné, comme je l'ai signalé à l'époque . Cela rend les personnes vaccinées plus sensibles à tous les autres virus respiratoires qui sévissaient en décembre. Et parmi eux, il y en avait des assez agressifs, comme le RSV, qui m'a également tourmenté pendant quatre jours.
La raison beaucoup plus probable du pic de surmortalité en décembre est l'affaiblissement du système immunitaire et la défense contre le SRAS-CoV-2, qui est même négative, comme l'ont montré de nombreuses études. S'il existait une variante particulièrement dangereuse du virus, comme le soupçonnait Vanden Bossche, nous en aurions entendu parler tous les jours de Lauterbach, de l'OMS, de l'UE et des autres opérateurs pandémiques. Ils n'auraient pas accepté cet argument pour la vente des millions de doses de vaccins qu'ils avaient achetés.
https://tkp.at/2023/02/07/ursache-fuer-erhoehte-uebersterblichkeit-im-dezember-2022-gefaehrlicheres-corona-virus-oder-geschwaechtes-immunsystem-bei-geimpften/
Avant même la piqûre il a été annoncé en préventive que l'injection létale l'était à court ou moyen terme. Donc.
SupprimerRisques Vaxxing pour les personnes âgées
RépondreSupprimerPar Ron Unz
La revue Unz
7 février 2023
J'ai récemment publié plusieurs articles affirmant que les statistiques nationales et internationales de mortalité indiquent que les peurs généralisées promues par les principaux anti-vaxxers de Covid semblaient extrêmement exagérées. Contrairement à leurs affirmations, les données semblaient montrer peu ou pas de preuves que les vaccins à ARNm avaient été responsables d'un nombre important de décès en âge de travailler. Au lieu de cela, la majeure partie de la surmortalité dans différents pays était beaucoup plus étroitement associée à des facteurs de santé tels que le taux national d'obésité.
Vaxxing Deaths ou Covid Deaths?
Ron Unz • La revue Unz • 2 janvier 2023 •
L'obésité et la fin du débat Vaxxing ?
Ron Unz • La revue Unz • 9 janvier 2023 •
Vaxxing, Covid et taux de mortalité internationaux
Ron Unz • La revue Unz • 23 janvier 2023 •
J'ai été agréablement surpris par la réaction à mes articles des vaccino-sceptiques les plus modérés et les plus rationnels. Le podcasteur Kevin Barrett a suggéré que j'avais présenté un dossier assez solide et quelques écrivains de Substack ont réagi plutôt favorablement, tandis que d'autres personnes de ce camp, telles que les libertaires éminents Lew Rockwell et Tom Woods, ont tweeté mes articles à leurs abonnés :
La surmortalité américaine ne reflète pas (encore) les méfaits du vaccin Covid
Approbation partielle de la "réfutation décisive" de Ron Unz d'un lien entre les vaccins Covid et la surmortalité
Brian Mowrey • Sous-pile • 10 janvier 2023 •
À la recherche de décès excessifs chez les jeunes, inspiré par Ron Unz
Spud Taters • Sous-pile • 12 janvier 2023 •
L'âge est le facteur déterminant de la gravité des infections à Covid, les personnes de plus de 60 ans ayant peut-être 100 fois le taux de mortalité des moins de 40 ans. Différents pays ont souvent des répartitions d'âge très différentes et leurs totaux de mortalité en seraient considérablement influencés. Par conséquent, j'ai cherché à minimiser cette distorsion en limitant mon analyse à la population en âge de travailler de 15 à 64 ans.
De plus, comme les taux de mortalité de Covid sont relativement faibles dans cette tranche d'âge, cela m'a permis de détecter le "signal" possible de décès par vaxxing sans que ceux-ci soient submergés par les décès de Covid. J'en ai conclu que les décès en âge de travailler dus aux vaccinations Covid avaient probablement été négligeables.
RépondreSupprimerDe nombreux anti-vaxxeurs ont affirmé qu'il y avait une épidémie en cours de décès par vaxxing dans cette tranche d'âge et des livres publiés sur ce sujet tels que "Cause Unknown" d'Edward Dowd ont attiré une attention considérable. Mon analyse a donc directement réfuté ces croyances répandues au sein de la communauté anti-vaxxer.
Cependant, certains autres anti-vaxxeurs de premier plan ont adopté une position différente, Alex Berenson se concentrant sur les décès de personnes âgées dus au vaxxing. Il a fait valoir qu'en ignorant cette tranche d'âge, mon analyse était gravement erronée.
- voir sur site -
De même, Steve Kirsch m'avait contacté juste avant la publication de mon troisième article et nous avions passé une heure à discuter de mes découvertes. Il a semblé très surpris par mes statistiques de mortalité aux États-Unis et dans d'autres pays, et a déclaré qu'il assimilerait soigneusement les données, puis envisagerait de produire une réponse détaillée à mon analyse. Il ne l'a pas encore fait, mais le lendemain de la parution de mon article, quelques-uns de ses Tweets soulignaient que les personnes âgées étaient en fait les plus grandes victimes du vaxxing.
Ces sortes d'objections semblaient parfaitement valables. Les épidémies majeures de Covid ont souvent produit des taux de mortalité élevés pour les personnes âgées, ce qui rend évidemment difficile de déterminer combien de décès ultérieurs devraient être attribués aux conséquences persistantes des infections à Covid et combien aux effets secondaires des campagnes de vaccination qui les accompagnent.
Cela est particulièrement vrai en ce qui concerne les problèmes cardiovasculaires tels que les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux mortels, car des études de recherche ont désigné à la fois les infections à Covid et les vaccinations par ARNm comme des coupables possibles. La forte augmentation de ces décès américains est survenue en 2020, avant le début du vaxxing, mais une fraction inconnue des décès ultérieurs en 2021 et 2022 pourrait en fait être due aux vaccins.
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Bien qu'il semble peu probable qu'un nombre significatif de décès en âge de travailler aient été dus au vaxxing, l'écrasante majorité de la surmortalité au cours des trois dernières années s'est concentrée chez les personnes âgées, et il serait utile de savoir si oui ou non les vaccins ont joué un rôle négatif important dans cette calamité mondiale.
RépondreSupprimerLes ensembles de données complexes et déroutants sont parfois mieux explorés en se concentrant sur les cas extrêmes. La répartition par âge du Japon est une valeur aberrante considérable parmi les principaux pays, une fraction inhabituellement importante de sa population étant âgée. Selon la Banque mondiale, 30 % de tous les Japonais ont 65 ans ou plus, contre seulement 24 % en Italie au deuxième rang ou 17 % aux États-Unis ou en Corée du Sud. Ainsi, malgré l'absence d'obésité au Japon, on pourrait s'attendre à ce qu'il ait enregistré l'un des taux de surmortalité les plus élevés au monde au cours des trois dernières années.
Je suis tombé sur un article récent suggérant qu'une énorme vague de décès japonais récents avait probablement été causée par le programme de vaccination par ARNm exceptionnellement lourd du pays.
Des experts japonais déconcertés par le nombre élevé de décès dus à des problèmes cardiaques malgré un taux de vaccination élevé
Guy Gin • Le sceptique quotidien • 13 janvier 2023 •
Cet article avait souligné que la campagne de vaccination contre le Covid au Japon était l'une des plus lourdes au monde, sa population âgée étant «vaxxée au maximum» et ce n'était guère exagéré. Selon l'un des graphiques, le taux total par habitant d'injections de vaccin Covid était près du double de celui des pays européens très fortement vaxxés, le ratio étant beaucoup plus élevé par rapport aux États-Unis relativement non vaxxés :
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Ainsi, le Japon semble un test idéal pour l'hypothèse selon laquelle le vaxxing de l'ARNm de Covid est une menace mortelle pour les personnes âgées : le pays avec la fraction la plus élevée de personnes âgées semble également avoir le programme de vaxxing Covid le plus extrême au monde.
Mes articles récents s'appuyaient sur les statistiques de mortalité commodément fournies sur le site Web de HMD, mais pour une raison quelconque, les données japonaises n'y sont pas incluses. Heureusement, The Economist fournit une page Web affichant les taux de surmortalité pour le Japon et presque tous les autres pays du monde, et il montre également ces décès par rapport à la taille de la population de 65 ans et plus. J'ai compilé ces chiffres dans un tableau pratique qui inclut le Japon, la plupart des grands pays européens, les États-Unis, le Canada et la Corée du Sud, tout en considérant l'Indonésie et l'Afrique du Sud comme des pays du tiers monde plus typiques. Les entrées sont classées par ordre décroissant de la part relative de leurs populations âgées.
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RépondreSupprimerLes résultats sont saisissants. Bien que nous nous serions attendus à ce que le Japon très âgé ait les taux de mortalité excédentaires les plus élevés, il a plutôt l'un des plus bas, rivalisé uniquement par le Canada et la Corée du Sud. La population américaine est beaucoup plus jeune et aussi beaucoup moins fortement vaxxée, mais notre taux de mortalité excédentaire est environ trois fois plus élevé, et il en va de même pour l'Italie, également plus jeune et moins fortement vaxxée que le Japon.
De plus, la dernière colonne est probablement la plus importante et affiche un excès de décès pour 100 000 personnes vulnérables de 65 ans et plus. Les résultats du Japon sont absolument exceptionnels, bien meilleurs que ceux de tout autre pays présenté. Par rapport à la taille de sa population âgée, les décès ont été inférieurs de 80% à ceux des États-Unis et de 70% inférieurs à ceux de la Grande-Bretagne. Nous ne pouvons pas ignorer que ces résultats exceptionnellement bons ont été obtenus en conjonction avec ce qui était probablement la campagne de vaccination par ARNm Covid la plus agressive au monde.
Qu'en est-il de l'article mentionné ci-dessus qui avait indiqué une situation très différente ? L'analyse a suggéré que le vaxxing et le boosting avaient en fait été responsables d'une forte augmentation des décès de Covid au Japon et comprenait un graphique qui semblait étayer cette conclusion, montrant que les taux de mortalité avaient récemment augmenté malgré le très lourd vaxxing.
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Cependant, selon le site Web Worldometers, les fortes mesures de santé publique du Japon avaient réussi à prévenir un nombre important d'infections à Covid jusqu'au début de 2022. Puis, avec la campagne de vaxxing terminée et l'Omicron ultra-contagieux se répandant dans le monde entier, ces efforts ont été relâchés, entraînant une énorme vague d'infections japonaises, naturellement accompagnée de quelques décès. Ce changement, plutôt que tout impact nocif des vaccins, explique probablement les récentes augmentations de la mortalité de Covid.
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Un aspect surprenant des données japonaises est qu'une fraction aussi importante - entre la moitié et les deux tiers - de tous les décès en excès dans ce pays n'a pas été signalée comme due à Covid, un ratio égalé ou dépassé dans notre tableau uniquement par l'Indonésie et l'Afrique du Sud. Bien qu’on puisse s’attendre à une telle sous-déclaration massive des décès de Covid dans les pays du tiers monde mal gérés, cela semble absolument contraire à la réputation irréprochable du Japon en matière de précision et d’efficacité du gouvernement.
Selon l'article du Daily Skeptic, une fraction considérable des décès récents est due à des problèmes cardiaques plutôt qu'à une pneumonie typique de Covid, et cela peut fournir l'explication. Des études de recherche publiées ont affirmé que même des infections très légères à Covid peuvent entraîner des dommages cardiovasculaires à long terme, et comme les vaccins Covid ont simplement tendance à réduire la gravité de la maladie, cela suggère qu'ils peuvent être inefficaces pour prévenir ces problèmes de santé à plus long terme. Pendant ce temps, les critiques vaxxing ont régulièrement cité des études indiquant que les vaccins Covid eux-mêmes ont également le même effet négatif. Il semble donc tout à fait plausible que la combinaison d'un tel vaxxing massif et d'une augmentation de l'ensemble de la population ainsi que de plusieurs dizaines de millions de nouvelles infections à Covid ait entraîné ensemble un nombre très important de décès cardiovasculaires, un total encore plus important que ceux directement attribués à Covid lui-même.
RépondreSupprimerMais c'est exactement pourquoi la statistique globale de « mortalité excessive » est une mesure bien supérieure à utiliser que celle qui se concentre étroitement sur le total supposé des décès de Covid. Tous les traitements médicaux doivent être évalués en fonction de leur balance des risques et des avantages. Si la campagne massive de vaxxing a joué un rôle dans la mort de dizaines de milliers de Japonais mais a simultanément sauvé des centaines de milliers d'autres de la mort, elle devrait être considérée comme une politique de santé publique extrêmement réussie.
Ainsi, notre résultat crucial est que le Japon âgé était le pays au monde le plus vulnérable à Covid et après avoir choisi de mettre en œuvre la campagne de vaxxing la plus extrême, il est sorti avec succès avec un taux de mortalité remarquablement bas. Bien que la cause et l'effet ne puissent pas être établis de manière concluante, ces résultats importants ne soutiennent guère l'hypothèse selon laquelle les vaccins Covid sont dangereux pour les personnes âgées.
Certes, toute cette analyse a été basée sur les statistiques officielles de mortalité du Japon et de tous les autres pays qui fournissent de telles données, et il en était de même pour mes résultats antérieurs axés sur les décès en âge de travailler. Les anti-vaccins sont très suspects, et beaucoup de ceux qui hantent mon site Web ont rejeté toutes ces informations gouvernementales, arguant qu'elles étaient probablement frauduleuses.
Je suppose qu'il est possible que toutes ces dizaines de grands pays aient manipulé leurs statistiques officielles de mortalité, prétendant que plus (ou moins) de personnes mouraient chaque année que ce n'était réellement le cas. Peut-être que tout cela fait partie d'un complot mondialiste diabolique impliquant Bill Gates et Klaus Schwab. Cependant, si nous ne tenons pas compte de toutes ces données mondiales sur la mortalité, déterminer les risques possibles pour la santé du vaxxing ou de toute autre chose devient assez difficile.
RépondreSupprimerCertaines méthodologies alternatives existent. Bien que Steve Kirsch n'ait pas encore publié de réponse à mes résultats internationaux frappants, au cours de notre conversation, il avait admis que les statistiques officielles semblaient étayer ma position, mais a déclaré qu'il ne pouvait pas croire que mon analyse était correcte en raison de la quantité massive de preuves anecdotiques qu'il avait accumulées de l'autre côté. Il avait personnellement parlé à de très nombreuses infirmières et soignants qui lui avaient dit que les vaccins étaient dangereux et il était sûr que c'était le cas. Il m'a demandé à plusieurs reprises si j'avais parlé à des infirmières individuelles et j'ai répondu que non.
Il y a quelques jours à peine, il a compilé ses preuves connexes dans une analyse statistique massive de 6 200 mots qui, selon lui, a pleinement confirmé toutes ses affirmations sur le nombre énorme de décès par vaxxing en Amérique et ailleurs.
*VOUS* pouvez PROUVER que les vaccins COVID tuent des personnes de tous âges et doivent être immédiatement arrêtés
Grâce à une nouvelle technique d'analyse, n'importe qui peut désormais prouver qu'il ne fait plus aucun doute que les vaccins raccourcissent la durée de vie de TOUS ceux qui les prennent. Ils doivent être immédiatement arrêtés.
Steve Kirsch • Sous-pile • 29 janvier 2023 • 6 200 mots
Ses découvertes étaient basées sur une méthodologie ingénieuse. Il a simplement sondé son lectorat et leur a demandé de signaler toutes les personnes qu'ils connaissaient qui étaient décédées de n'importe quelle cause depuis 2020 et quand ils avaient été vaccinés, puis a analysé statistiquement l'ensemble de données résultant. De manière assez surprenante, il a découvert que son lectorat fanatiquement anti-vaxxing avait signalé un pic considérable de ces décès peu de temps après le vaxxing.
Selon lui, cela prouvait de manière concluante que le vaxxing était extrêmement dangereux et que les statistiques officielles du gouvernement suggérant le contraire n'étaient absolument pas fiables. Il a déclaré avec audace : "tous les gouvernements du monde ont tué des millions de personnes dans le monde".
- voir sur site -
En l'occurrence, Brian Mowrey, un écrivain sceptique sur les vaccins sur Substack, a rapidement découvert les failles logiques fatales de la méthodologie de Kirsch, comme il l'a expliqué dans un article et une mise à jour, que l'un de nos propres commentateurs a utilement résumés.
RépondreSupprimerMais pour moi, le problème le plus évident était le biais de sélection extrême du groupe de répondants de Kirsch, et une technique similaire pourrait sûrement être appliquée à de nombreuses autres causes controversées défavorisées par notre établissement politique au pouvoir. Par exemple, VDare pourrait mener une enquête Twitter auprès de son lectorat et prouver ainsi que 99,8 % de tous les Américains soutiennent fermement des réductions drastiques des niveaux d'immigration.
Ou comme meilleure analogie, les dirigeants d'une organisation ufologique pourraient sonder leurs membres sur le nombre d'entre eux qui avaient vu un ovni, puis extrapoler ces résultats à la population nationale dans son ensemble, concluant ainsi que des dizaines de millions d'Américains avaient vu des ovnis.
Reprinted with permission from The Unz Review.
https://www.lewrockwell.com/2023/02/ron-unz/vaxxing-risks-for-the-elderly/
Comment le gouvernement américain a construit une structure fantôme qui a permis le «bioterrorisme» COVID vax
RépondreSupprimer"Le Congrès et les présidents américains ont légalisé et financé le renversement de la Constitution américaine… par le biais d'un programme national massif de bioterrorisme rebaptisé programme de santé publique… au nom de l'Organisation mondiale de la santé et de ses bailleurs de fonds", écrit la chercheuse juridique Katherine Watt.
Patrick Delaney
mer. 1 févr. 2023 - 12 h 24 HNE
Au delà des mots
Note de l'éditeur : cet article est le quatrième d'une série sur le rôle du gouvernement américain dans l'orchestration d'une attaque bioterroriste contre ses propres citoyens en utilisant des "agents de guerre biologique" commercialisés sous le nom de "vaccins COVID-19". Les trois articles précédents sont accessibles ici, ici et ici.
(LifeSiteNews) – Avec des détails et une exhaustivité exceptionnels, un chercheur parajuridique et journaliste de Pennsylvanie a documenté les vastes structures « pseudo-légales » mises en place au fil des décennies qui ont permis au département américain de la Défense (DoD) d'exécuter son « vaccin COVID-19 ». ” Attaque bioterroriste contre ses propres citoyens, tuant et mutilant des milliers de personnes en toute impunité.
Katherine Watt s'identifie comme "une écrivaine catholique romaine, américaine, Gen-X, parajuriste, graveuse, épouse et mère". Avant de devenir parajuriste, Watt a obtenu un diplôme en philosophie de la Penn State University, a travaillé comme journaliste pour de petits journaux, puis a finalement fondé Bailiwick News en 2016.
L'ancienne cadre pharmaceutique et chercheuse Sasha Latypova, qui a été à l'origine de plusieurs rapports explosifs importants au cours de la dernière année, s'est plus récemment appuyée sur la documentation de Watt et a fortement encouragé "tout le monde à s'abonner à elle et à lire son travail". C'est une encyclopédie de références juridiques, méticuleusement recherchée depuis des années, décrivant comment la structure [pseudo-légale] [du programme gouvernemental de bioterrorisme] a été mise en place et ce qu'elle implique.
"Je dis" pseudo-légal "parce que vous ne pouvez pas légaliser un crime", a expliqué Latypova dans une conférence vidéo en décembre. "Ils l'ont rendu légal sur papier… [mais] rien de tout cela n'est légal parce qu'ils commettent un crime."
Latypova a rapporté comment les «vaccins» COVID-19 ont été entièrement produits, contrôlés et distribués par le DOD, qui a réussi à les classer non pas comme médicaments ou produits pharmaceutiques, mais comme «contre-mesures COVID» sous l'autorité de l'armée. Cela signifie qu'ils ne sont pas tenus de se conformer à la loi américaine régissant la qualité de fabrication, les tests, l'efficacité, la sécurité et l'étiquetage des médicaments ou d'autres produits médicaux.
Pourtant, même si ces «contre-mesures» ne relevaient pas de l'autorité de réglementation et de surveillance de la FDA et du CDC, ces agences ont orchestré une «fausse représentation théâtrale» de relations publiques donnant l'impression à une population sans méfiance que ces garanties standard étaient bien en place.
RépondreSupprimerAvec les sociétés pharmaceutiques, les agences gouvernementales et bien d'autres ont été impliquées dans "un complot visant à commettre des meurtres de masse par le biais d'opérations de bioterrorisme et de guerre informationnelle dans le monde entier", a affirmé Latypova. "Les preuves sont accablantes qu'il y a une intention de nuire aux gens par les injections de COVID 19, les soi-disant" vaccins "et d'autres mesures de réponse COVID absurdes mises en œuvre en parallèle par les gouvernements du monde entier", y compris les verrouillages, les mandats de masque et fermetures d'écoles.
"L'objectif fondamental des architectes, qui a été atteint", est de "transformer légalement des citoyens libres en sujets asservis"
En documentant comment de tels crimes contre l'humanité ont été rendus "légaux", Watt a conçu un "outil de recherche et d'organisation" intitulé American Domestic Bioterrorism Program (ADBP) qui est soumis à des mises à jour continues à mesure que de nouvelles informations sont révélées. Son objectif déclaré est de monter "le dossier pour poursuivre les membres du Congrès, les présidents, les secrétaires du HHS et du DOD et les juges fédéraux pour trahison sous 18 USC 2381".
S'étendant actuellement sur 67 pages lorsqu'il est imprimé, le document répertorie les lois, réglementations, décrets et autres événements pertinents de 1907 à nos jours qui ont permis à l'attaque bioterroriste du «vaccin COVID» d'avoir lieu avec une architecture «juridique» complète servant à faciliter ses crimes et accorder une immunité totale à tous les criminels impliqués.
"L'objectif fondamental des architectes, qui a été atteint", écrit Watt, "était de créer des conditions juridiques dans lesquelles tout le pouvoir de gouvernement aux États-Unis pourrait être automatiquement transféré des citoyens et des trois branches constitutionnelles aux deux mains de le secrétaire à la Santé et aux Services sociaux, en vigueur au moment où le secrétaire du HHS lui-même a déclaré une urgence de santé publique, transformant légalement des citoyens libres en sujets asservis.
2023-02-07T00:00:00.000Z
RépondreSupprimer"Cela s'est produit le 31 janvier 2020, en vigueur du 27 janvier 2020 à nos jours", a-t-elle observé.
"En d'autres termes : le Congrès et les présidents américains ont légalisé et financé le renversement de la Constitution américaine, du gouvernement américain et du peuple américain, par le biais d'un programme national massif de bioterrorisme rebaptisé programme de santé publique, mené par le secrétaire du HHS et le secrétaire à la Défense le au nom de l'Organisation mondiale de la santé et de ses bailleurs de fonds », a résumé Watt (souligné dans l'original).
Violant la Constitution américaine, le Congrès a « autorisé la concentration du pouvoir de gouvernement fédéral » entre les « seules » mains du secrétaire du HHS
Les points de «dégradation critique» du code juridique mis en évidence dans le vaste tract de Watt incluent la création en 1983 d'un «programme d'urgence de santé publique» complet sous la direction du secrétaire du HHS. Avec cette législation, les «urgences de santé publique» (PHE) ont été ajoutées aux guerres, aux catastrophes naturelles et à d'autres circonstances d'urgence «apparemment capables de subordonner ou de fédéraliser les autorités gouvernementales étatiques, locales et tribales».
Une telle suspension des «protections constitutionnelles et statutaires des vies, des libertés et des biens américains, contre les excès et les abus du gouvernement» peut apparemment être effectuée unilatéralement par le président, «sans contrôle du Congrès [42 USC 247d-6d(b)(9)] ou contrôle judiciaire [42 USC 247d-6d(b)(7)], et sans égard aux dispositions constitutionnelles réservant des pouvoirs non énumérés aux gouvernements étatiques et locaux et au peuple lui-même », a écrit Watt dans le résumé de son ADBP.
En outre, avec cette loi et les modifications ultérieures, "le Congrès semble avoir autorisé la concentration du pouvoir de gouvernement fédéral entre les mains du secrétaire à la Santé et aux Services sociaux pendant toute" urgence de santé publique "telle que déterminée et étendue par le secrétaire du HHS à sa seule discrétion."
Dans une interview vidéo avec Latypova, Watt a expliqué comment, selon le cadre juridique actuel, aucune autorité étatique, du Congrès ou judiciaire n'est en mesure d'annuler la décision du secrétaire du HHS lors d'une telle « urgence de santé publique » autoproclamée.
"C'est une boucle complètement fermée", a-t-elle expliqué. Une fois qu'ils déclarent un PHE "ils ont tout le pouvoir, et ils sont les seuls à pouvoir suspendre leur pouvoir à cause de la façon dont ils ont écrit les lois".
RépondreSupprimerPourtant, Watt a demandé, comment le Congrès « a-t-il donné un pouvoir qu'il n'avait pas le pouvoir de donner ? Le Congrès n'a pas le pouvoir de se dissoudre. Le Congrès n'a pas le pouvoir de dissoudre le pouvoir judiciaire fédéral en vertu de la Constitution américaine… Vous ne pouvez pas donner un pouvoir qui ne vous appartenait pas au départ. Et le pouvoir dans notre pays est censé être dans la Constitution, la loi suprême du pays. Personne n'est censé être au-dessus », comme un secrétaire non élu du HHS.
De plus, Watt déclare qu'à sa connaissance, il n'y a pas de critères objectifs pour déterminer ce qu'implique un PHE, et donc il peut être arbitrairement déterminé et prolongé tous les 90 jours par le secrétaire du HHS. Plus récemment, ce «renouvellement» du PHE a été publié le 11 janvier par le secrétaire du HHS de l'administration Biden, Xavier Becerra.
Toutes les exigences de sécurité et de consentement éclairé suspendues pour les "agents de guerre biologique" COVID sans "condition d'arrêt"
Comme l'a décrit Latypova, la déclaration d'une PHE est «la clé de voûte» qui maintient ensemble la «structure criminelle» du bioterrorisme du «vaccin COVID-19», qui comprend, 1.) la création en 1997 de «l'autorisation d'utilisation d'urgence» (EUA) statut pour les produits médicaux, 2.) l'expansion des autres accords d'autorité de transaction (OTA) pour le DoD en 2015, et 3.) la loi PREP de 2005 et ses modifications les plus récentes.
Le programme EUA permet au secrétaire du HHS "à sa seule discrétion, de suspendre sciemment et délibérément la réglementation fédérale ordinaire sur la sécurité des médicaments pendant la durée de toute" urgence de santé publique "", qui est également déterminée et prolongée par sa seule autorité, Watt explique
Ces suspensions incluent, mais sans s'y limiter, tous les essais cliniques, la collecte de données, les tests de produits et les normes d'étiquetage, de sérialisation, de distribution, de stockage, de publicité, de marketing et de consentement éclairé. Sont également suspendues les normes de surveillance et de déclaration des effets indésirables, l'application de la sécurité des produits et les dispositions de rappel.
Comme indiqué précédemment par LifeSite, la législation OTA a permis au DoD d'éviter presque toutes les exigences légales et de transparence pertinentes dans leur commande et fabrication de «contre-mesures COVID» (c'est-à-dire de «vaccins»), qui, par définition, «sont des agents de guerre biologique, légalement pas des médicaments , pas des produits pharmaceutiques, et non réglementés en tant que tels.
Troisièmement, Latypova souligne comment la loi PREP a été modifiée juste avant l'annonce du PHE en janvier 2020, exonérant explicitement et très complètement toute personne participant à "ce programme de bioterrorisme de toute responsabilité, de poursuites, de blessures et de décès causés par ces actions".
RépondreSupprimerÉgalement cruciale pour cette structure pseudo-légale, une disposition du Code américain stipule que "l'utilisation" de produits de contre-mesures médicales couverts par l'EUA, une fois désignés comme tels par le secrétaire du HHS, "ne doit pas être considérée comme constituant une investigation clinique. ”
Ainsi, selon Watt, lors de la déclaration du secrétaire du HHS, "l'utilisation de tels produits est autorisée même s'il n'y a pas de données de sécurité ou d'efficacité, même si ces produits sont toxiques et inefficaces". De plus, même avec les morts et les blessés qui s'accumulent, "(l) il n'y a pas de condition d'arrêt, car il n'y a pas d'"enquête clinique" juridiquement pertinente à arrêter."
Et puisque les produits EUA ne font partie d'aucune investigation clinique, ils ne sont pas expérimentaux, et il n'y a donc aucune obligation légale de se conformer aux lois et réglementations qui s'appliquent à l'utilisation de médicaments expérimentaux, y compris le consentement éclairé.
LIS: Le Leprechaun n'a pas de vêtements: Notre Dame viole le Code de Nuremberg de 1947
Ainsi, par la délivrance du PHE, puis de l'EUA pour ces bioagents, le secrétaire du HHS a seul suspendu les obligations de consentement éclairé pour l'ensemble de la nation, autorisant ceux qui administrent ces injections à « retenir des informations sur les ingrédients des produits ; contenu du flacon ; les risques et avantages individuels potentiels en fonction des conditions de santé individuelles ; alternatives de traitement; et la possibilité d'accepter ou de refuser les produits.
Objectif de la structure « pseudo-légale » : « monter une attaque biologique secrète » contre le peuple américain
De plus, citant directement le code américain, Watt explique comment "toutes les évaluations des risques et des avantages [pour les produits EUA sont] réservées au seul secrétaire du HHS, [sans] aucune donnée requise et aucune donnée ou examen décisionnel par le Congrès, les tribunaux ou les destinataires individuels [étant ] autorisé.
De plus, bien que l'année dernière, Latypova et de nombreux autres experts aient été perplexes quant à la raison pour laquelle aucun régulateur n'intervenait pour arrêter la campagne de «vaccins» COVID en raison du fait que ces injections étaient clairement falsifiées, la recherche de Watt apporte de la clarté en citant le code américain lui-même qui ordonne que les produits EUA "ne soient pas considérés comme frelatés ou mal étiquetés".
C'est le cas du non-respect des réglementations régissant "la fabrication, les tests, la pureté, la qualité, la variabilité des lots et des lots, l'adultération, les dates de péremption, l'étiquetage, la sérialisation, la commercialisation, l'image de marque, la distribution et les prescriptions".
En fait, en 2021, les chiffres de l'assurance maladie collective ont montré que les personnes actives, âgées de 25 à 64 ans, "connaissent soudainement une surmortalité de 40%, par rapport à [la déjà extrêmement élevée] 32% dans la population générale".
RépondreSupprimerScott Davison, président de OneAmerica Insurance à Indianapolis, a expliqué l'importance de ces chiffres, en particulier en ce qui concerne l'augmentation de 40% du secteur des taux de mortalité au troisième trimestre 2021, qui étaient les plus élevés que la société ait "vu dans l'histoire de l'entreprise". ”
"Juste pour vous donner une idée de la gravité de la situation, une catastrophe à trois sigma ou une catastrophe sur 200 ans représenterait une augmentation de 10% par rapport à la période pré-pandémique", a-t-il déclaré. "Donc, 40%, c'est tout simplement du jamais vu."
« Les personnes les plus valides », les jeunes et les sportifs, connaissent la plus forte augmentation des taux d'invalidité et de mortalité en raison des mandats d'emploi et d'injection scolaire
De plus, depuis mai 2021, la population américaine dans son ensemble a subi une augmentation de 11 % des incapacités, tandis que pour les salariés, elle était encore beaucoup plus élevée, atteignant une augmentation de 26 %.
L'ancien analyste et gestionnaire de fonds de BlackRock, Edward Dowd, a observé qu'il était donc particulièrement "préjudiciable à votre santé d'être employé en 2021 et 2022... Il se passe quelque chose pour les plus valides d'entre nous, les étudiants, les employés, les militaires. , les travailleurs de première ligne.
"La seule explication à cela que je puisse voir, ce sont les mandats pour les inoculations biologiques expérimentales", a-t-il déclaré.
D'autres indicateurs incluent une épidémie de jeunes athlètes qui subissent un arrêt cardiaque ou meurent subitement alors qu'ils jouissent d'un niveau de santé physique optimal.
Une source appelée Real Science, dont les auteurs souhaitent expressément rester anonymes, a actuellement documenté une "liste non exhaustive et en croissance continue" de 1700 athlètes qui ont subi des arrêts cardiaques et d'autres problèmes de santé graves, dont 1197 décès, depuis le vaccin COVID-19 déploiement vers le 1er janvier 2021.
D'autres chercheurs ont mis cette documentation dans un format vidéo intitulé "1 000 athlètes s'effondrant, mourant, problèmes cardiaques, caillots sanguins - mars 2021 à juin 2022".
Alors que les sociétés héritées et les médias sociaux ont exercé une suppression implacable de ces informations, la conscience publique de ces réalités est plus importante que certains ne le pensent.
Au début de ce mois, un sondage Rasmussen a révélé que 28 % des Américains connaissent « personnellement » quelqu'un dont la mort, selon eux, pourrait avoir été causée par l'un de ces « vaccins COVID ». De plus, bien qu'il y ait très peu de différences partisanes dans les résultats de ce sondage, il a révélé qu'environ la moitié des Américains pensent qu'il est au moins quelque peu probable que les injections de COVID aient causé "un nombre important de décès inexpliqués".
En ce qui concerne le gouvernement américain qui a délibérément lancé une campagne de génocide contre ses propres citoyens, il est également intéressant de noter qu'en 2018, la "société écran de la CIA" Deagel a apparemment prévu que les États-Unis subiraient une dépopulation d'environ 70 % d'ici 2025, sans aucune indication de ce qu'ils espéraient provoquerait une telle catastrophe.
Les intérêts bancaires internationaux, par l'intermédiaire de l'OMS, encouragent la mise en quarantaine et la détention forcées légalisées, "suspicion d'avoir un rhume"
RépondreSupprimerPourtant, selon Watt, derrière ces entreprises criminelles de gouvernements individuels existe un principe organisateur qui appuie ce programme de dépopulation identique à travers le monde.
Dans son analyse intitulée Legal Walls of the Covid-19 Kill Box, Watt identifie les intérêts bancaires internationaux, en particulier «les hommes et les femmes qui possèdent à titre privé la Banque des règlements internationaux» (BRI) de Bâle, en Suisse, comme l'un des principaux moteurs de ce programme. . Citant et fournissant de la documentation à une présentation faite par l'avocat Todd Callender sur ce sujet, Watt adopte sa même désignation abrégée pour ce groupe de «huit familles», les appelant simplement «les propriétaires».
Comme l'ont rapporté Callender et Watt, les propriétaires détiennent des participations majoritaires dans les banques centrales privées de presque tous les pays occidentaux et en développement, y compris la Réserve fédérale américaine, et ont consolidé le contrôle des « systèmes énergétiques, de l'approvisionnement en eau et en nourriture ; les masses monétaires utilisées comme moyen d'échange; et la plupart (mais pas tous) des médias et des canaux d'information.
Étant donné que les populations importantes et croissantes sont plus difficiles à contrôler, Callender déclare que vers 1990, "les propriétaires ont décidé que le dépeuplement était nécessaire" et ont soutenu l'idée à travers le monde de la nécessité d'un "développement durable" et des actions nécessaires pour "atténuer le changement climatique". ”
Au cours des années suivantes, ils ont facilité l'adoption de trois conventions des Nations Unies - Agenda 21/30 (1990), Cadre sur les changements climatiques (1994) et Programme d'action pour la population et le développement (1994) - créant avec succès un cadre juridique international "qui subordonne les droits de l'homme et la souveraineté nationale à des instruments de gouvernance mondiaux gérés en privé par une poignée d'hommes et de femmes qui ne rendent de comptes qu'à eux-mêmes », a écrit Watt.
Ces efforts ont été soutenus par d'intenses campagnes de propagande mondiale tout au long des années 1990 et au XXIe siècle et ont été en outre aidés par la création par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) du « Règlement sanitaire international » (RSI) en 2005.
Cent quatre-vingt-seize nations ont signé cet accord, qui est devenu « un instrument contraignant du droit international » engageant les signataires à mettre en œuvre ces RSI dans les structures juridiques de leur propre pays.
L'adoption du RSI aux États-Unis réglemente non seulement les activités de quarantaine à l'étranger, mais aussi les activités interétatiques et intra-étatiques pendant les « urgences de santé publique de portée internationale » (USPPI).
RépondreSupprimerLes décrets exécutifs ultérieurs des présidents George W. Bush et Barack Obama ont défini les pouvoirs du secrétaire du HHS pour mettre en quarantaine les Américains identifiant très largement les maladies quarantenaires comme non seulement des affections graves telles que la variole et la fièvre jaune, mais aussi des virus équivalents au rhume (2003) , la grippe commune (2005), et enfin, comme le résume Watt, les « rhumes suspects mais asymptomatiques » (2014).
Enfin, comme le documente Watt, une réglementation HHS révisée en janvier 2017 (42 CFR Section 70) "autorise le gouvernement fédéral à appréhender les citoyens américains soupçonnés d'avoir un rhume". Par conséquent, "des citoyens américains en bonne santé peuvent également être détenus involontairement pour nous empêcher de voyager à l'intérieur d'un État (à l'intérieur des frontières d'un État)".
La structure pseudo-juridique suspend avec succès « vos droits humains, vos droits souverains, vos droits constitutionnels »
Cumulativement, ces structures « pseudo-juridiques » des pouvoirs législatif et exécutif ont permis au gouvernement fédéral, par l'intermédiaire de l'agence du CDC, sous la direction du secrétaire du HHS, aux côtés des gouverneurs des États et des autorités sanitaires locales de :
placer tous les Américains - y compris les Américains en bonne santé ne présentant aucun symptôme - en détention à domicile/hôpital/maison de retraite/entreprise/école/caserne militaire/prison/centre de détention ;
fermer les écoles, les entreprises, les églises et les bureaux du gouvernement ;
ordonner que les Américains en bonne santé portent des dispositifs médicaux (masques en tissu) contre leur gré ; sans évaluation personnelle des risques et avantages ; sans diagnostic clinique individuel ou preuve d'efficacité pour le contrôle des infections, et sans ordonnance d'un médecin personnel ; et
se soumettent à l'injection forcée de toxines d'ARNm et d'ADN sous peine de perdre leur emploi ou d'être expulsés de l'école.
Comme l'a expliqué Callender, ces structures permettent, "dans tous les cas, une suspension de vos droits de l'homme, de vos droits souverains, de vos droits constitutionnels, [et] des droits de la Charte".
"Cela explique, entre autres, le refus de la Cour suprême des États-Unis, de la Cour pénale internationale et d'autres tribunaux fédéraux et étatiques du monde entier d'entendre même des affaires contestant les mesures démocratiques de contrôle de la population de Covid-19 sur les droits de l'homme, la constitution, les libertés civiles terrains », observe Watt. C'est le cas, même si certains tribunaux ont entendu de telles affaires "contestant certaines de ces mesures pour des motifs réglementaires et procéduraux, et ont même décidé quelques-uns en faveur de citoyens plaignants cherchant à être exemptés des "mandats" du gouvernement".
"Les juges fédéraux américains savent que - dans la mesure où ils acceptent le cadre juridique des propriétaires comme loi légitime, déterminante et de contrôle - la Constitution américaine n'est pas pertinente", a résumé Watt.
RépondreSupprimerAinsi, depuis que le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a publié son PHEIC, et que le secrétaire du HHS de l'administration Trump, Alex Azar, a publié son PHE les 30 et 31 janvier 2020, respectivement, les droits humains et constitutionnels de chaque citoyen américain dans "le pays du libre et la maison des braves », ont été légalement subordonnés aux diktats de ces fonctionnaires nommés en collaboration avec d'autres personnes nommées par l'État et la santé locale.
Les forces de l'ordre formées pour faire respecter le cadre juridique des propriétaires refusent généralement d'appliquer les lois contre les coups et blessures, la famine et les faux emprisonnements
En outre, les forces de l'ordre ont montré qu'elles sont formées pour soutenir ces directives par la force, si nécessaire, ou par le refus d'intervenir lorsque les droits humains et constitutionnels sont ouvertement violés.
Comme cela a été bien documenté et largement expérimenté aux États-Unis, en raison des dispositions financières massives mises à disposition dans la loi CARES, promulguée le 27 mars 2020, les hôpitaux ont reçu de somptueuses incitations monétaires pour chaque diagnostic positif de COVID, admission, traitement avec le dangereux et souvent mortel Remdesivir, et des primes encore plus élevées si un patient est ventilé mécaniquement, et plus pour chaque certificat de décès qu'ils ont émis mentionnant le COVID comme cause de décès.
En outre, les hôpitaux ont reçu des dérogations moralement illicites pour supprimer et violer les droits des patients et ceux de leurs substituts, isoler les patients, leur refuser des traitements efficaces connus et même la possibilité d'être transférés hors de leur hôpital, même s'ils le suppliaient continuellement.
Malgré le fait que la famine et les coups et blessures restent des actes criminels, Watt et Callender rapportent que lorsque les membres de la famille se sont efforcés de sauver leurs proches, même en appelant la police, ils "ont généralement refusé de s'impliquer" et "dans certains cas, ils ont arrêté les membres de la famille". qui essayaient de protéger les patients contre les abus.
Le gouvernement « le meurtre de citoyens a été légalisé » tandis que « l'auto-préservation et le sauvetage d'autrui ont été criminalisés », « Les forces de l'ordre et les tribunaux ne vont pas nous sauver »
En résumé, Watt note comment les contestations «constitutionnelles, civiles et pénales» de ces «pseudo-lois» ont été empêchées «de passer à la découverte, au procès et au jugement» par le gouvernement américain et son système judiciaire, tandis que les forces de l'ordre ont dans une large mesure ont été formés pour agir à l'appui du cadre juridique des Propriétaires.
"En d'autres termes, depuis le 30 janvier 2020, aux États-Unis et dans la plupart des autres pays, le meurtre de citoyens par le gouvernement (démocide) a été légalisé", écrit-elle. "Et l'auto-préservation et le sauvetage des autres ont été criminalisés."
RépondreSupprimer«À un moment donné, il deviendra clair pour un segment plus large de la population américaine que depuis plus de deux ans maintenant, nous sommes déjà gouvernés par un syndicat mondial du crime organisé.
« Les forces de l'ordre et les tribunaux ne nous sauveront pas. Nous devons comprendre cette réalité et nous devons y répondre », a conclu Watt.
Postlude : Conseils aux titulaires de charge, y compris les militaires et les forces de l'ordre qui ont prêté serment pour défendre la Constitution des États-Unis
Lorsqu'on lui a demandé par LifeSiteNews si elle avait des suggestions pour les titulaires de charge, y compris les membres de l'armée, qui ont prêté serment de "défendre la Constitution des États-Unis contre tous les ennemis, étrangers et nationaux", Watt a répondu :
Considérez les secrétaires des agences du cabinet fédéral et les présidents américains comme des "ennemis, étrangers et nationaux", défiez ouvertement leurs ordres illégaux (y compris chaque décret exécutif, déclaration, détermination, proclamation et directive classifiée) et expliquez pourquoi vous faites ce que vous fais.
Les soldats de base qui ont défié les ordres illégaux de tirer ont montré au reste de l'armée et des forces de l'ordre la manière de gérer cela depuis déjà deux ans.
Pour les membres du Congrès, en particulier à la Chambre, ils peuvent commencer à présenter des projets de loi pour abroger les lois inconstitutionnelles et démanteler les agences fédérales, y compris la Réserve fédérale ; ils peuvent déposer des plaintes fédérales demandant aux juges fédéraux d'annuler des lois inconstitutionnelles ; ils peuvent révoquer le financement de tous les programmes de lutte contre le terrorisme CBRN gérés par le DoD, le HHS et le DHS sous le prétexte du « Global Health Security Agenda » ; et ils peuvent clarifier et souligner que les États ont le pouvoir, en vertu de la constitution fédérale, de gérer leurs propres systèmes financiers, y compris les banques d'État et les dépositaires de lingots d'État.
Le nom de Watt’s Bailiwick News reflète « le statut sociopolitique, économique et juridique du peuple américain en tant que sujets paysans dans une juridiction néo-féodale mondiale de contrôle et d’oppression ; nous ne sommes plus des citoyens souverains d'une république constitutionnelle qui fonctionne.
Fait intéressant, comme décrit dans son Orientation pour les nouveaux lecteurs, Katherine publie également de l'art sacré avec ses articles parce que, dit-elle, « je suis catholique, l'art est beau, les saints sont inspirants, et sans la foi que mon père a transmise à moi, je ne pourrais pas faire ce travail.
RépondreSupprimerSaint Agnes. Painting by Massimo Stanzione.
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Dr. Peter McCullough: COVID jabs should be the presumed cause of unusually high excess deaths
Dr. McCullough: NFL player’s cardiac arrest may have been caused by ‘vaccine-induced myocarditis’
https://www.lifesitenews.com/analysis/how-the-us-govt-built-a-shadow-structure-that-enabled-covid-vax-bioterrorism/
Les experts veulent que les étiquettes des vaccins Pfizer et Moderna COVID-19 soient mises à jour pour reconnaître les limites
RépondreSupprimerVACCINS ET SÉCURITÉ
Zachary Stieber
6 février 2023
Une coalition d'experts appelle les responsables américains à mettre à jour les étiquettes des vaccins Pfizer et Moderna COVID-19 pour reconnaître les limites des essais cliniques, notamment en indiquant clairement que les essais de phase III qui ont conduit à l'autorisation n'ont pas fourni de preuves d'efficacité contre la mort .
"Un étiquetage incomplet, inexact ou trompeur de tout produit médical peut avoir un impact négatif sur la santé et la sécurité des Américains, avec des ramifications mondiales compte tenu de l'importance internationale des décisions de la FDA [Food and Drug Administration]", Peter Doshi, professeur agrégé à l'Université de Maryland School of Pharmacy dont l'expertise comprend les essais cliniques, et huit autres experts ont écrit dans une pétition.
Le groupe, connu sous le nom de Coalition Advocating for Adequately Labelled Medicines, a envoyé la pétition à la FDA, qui a autorisé les vaccins fin 2020 et les a approuvés en 2021.
Les experts notent que les essais cliniques qui ont conduit à l'autorisation "n'ont pas été conçus pour déterminer et n'ont pas fourni de preuves substantielles de l'efficacité du vaccin contre la transmission ou la mort du SRAS-CoV-2". Comme preuve, ils ont cité les notes d'examen de la FDA, qui indiquaient, en partie, que "les données sont limitées pour évaluer l'effet du vaccin contre la transmission du SRAS-CoV-2 par des personnes infectées malgré la vaccination".
Le SRAS-CoV-2 est l'agent pathogène qui cause le COVID-19.
RépondreSupprimer- voir cadre sur site -
La FDA précise sur son site Internet que "la communauté scientifique ne sait pas encore" si les vaccins réduiront cette transmission.
"Bien que le langage dans l'étiquetage qui indique ce qu'un produit n'a pas fait ses preuves soit rare, il est nécessaire lorsque les soignants et les patients peuvent supposer à tort quelque chose qui est faux", a déclaré la coalition, citant comment le Dr Anthony Fauci, un ancien haut responsable américain. responsable de la santé ; le président Joe Biden ; et d'autres ont suggéré à tort que les vaccins préviennent la transmission et conduiraient à une immunité collective.
Les gens devraient également être informés que l'efficacité du vaccin de Pfizer diminue après seulement deux mois, selon les experts. Ils ont souligné les résultats provisoires de l'essai de Pfizer, qui étaient disponibles en avril 2021 mais n'ont été divulgués au public qu'en juillet 2021.
Ils souhaitent également que les sections sur les événements indésirables soient élargies pour inclure la mort cardiaque subite, l'embolie pulmonaire et la diminution de la concentration de spermatozoïdes, entre autres types d'événements.
Des études de la FDA et d'autres ont trouvé une association entre l'un ou les deux vaccins et les conditions.
« La mission de la FDA est de faire progresser la santé publique en partie en aidant le public à obtenir des informations précises et fondées sur la science. Cependant, nous craignons que l'étiquetage actuel approuvé par la FDA pour les vaccins à ARNm COVID soit sérieusement obsolète et, par conséquent, ait le potentiel de désinformer les fournisseurs et les patients », a déclaré Kim Witczak, fondateur de Woody Matters et l'un des signataires. Epoch Times par e-mail.
La FDA, Pfizer et Moderna n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.
Commentaires publics
Les membres du public peuvent ajouter des commentaires à la pétition ici.
Les premiers commentaires soutiennent la pétition.
"Le moins que vous puissiez faire est d'étiqueter correctement ces produits médicaux et de donner aux gens un consentement éclairé, afin qu'ils connaissent les mêmes risques que vous connaissez, qui ont été prouvés cliniquement et à travers de nombreuses tragédies individuelles", a déclaré un commentaire.
RépondreSupprimerUn autre a déclaré que la FDA devrait exiger que les fabricants de vaccins mettent à jour les étiquettes "pour garantir la sécurité et l'efficacité".
Refus précédent
La coalition a soumis une pétition à la mi-2021 demandant à la FDA de n'accorder l'approbation, une étape au-dessus de l'autorisation d'urgence, à aucun des vaccins COVID-19 jusqu'à ce qu'au moins deux ans de suivi aient été effectués.
Ils ont également exhorté les régulateurs à s'assurer que "des preuves substantielles d'efficacité clinique l'emportent sur les méfaits dans des populations particulières", telles que les nourrissons, les femmes enceintes et les personnes qui se sont remises du COVID-19, et à mener une évaluation approfondie de la sécurité des protéines de pointe. que les vaccins introduisent dans l'organisme.
Selon la coalition, les raisons illégitimes d'accorder l'approbation incluent le renforcement de la confiance du public et l'activation des mandats de vaccination.
La FDA a répondu le même jour qu'elle avait accordé l'approbation au vaccin Pfizer, affirmant que la pétition "ne contient pas de faits démontrant des motifs raisonnables pour l'action demandée".
Les e-mails qui ont été divulgués plus tard montrent que la FDA a précipité son examen du vaccin en raison du désir d'activer les mandats de vaccin et dans l'espoir que l'approbation conduirait à la vaccination d'un plus grand nombre de personnes.
https://www.theepochtimes.com/experts-want-labels-for-pfizer-moderna-covid-19-vaccines-updated-to-acknowledge-limitations_5036548.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge
IL EST INTERDIT DE VACCINER DURANT UNE ÉPIDÉMIE OU PANDÉMIE !
SupprimerIL EST OBLIGATOIRE DE FAIRE UNE SÉROLOGIE AVANT ET APRÈS PIQÛRE
Vous a-t-on fait une sérologie avant et après ? Non !
Vous a t-on expliquer qu'il est strictement INTERDIT de piquer quelqu'un durant une épidémie ou plus encore une pandémie ? Non !
La Californie abandonne tranquillement le mandat COVID-19 pour les écoliers
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 07 FÉVRIER 2023 - 02:40
Vendredi, le département de la santé publique de Californie a discrètement abandonné son projet d'imposer le vaccin COVID-19 aux enfants pour qu'ils fréquentent les écoles K-12.
Cette décision est un renversement de l'annonce du gouverneur démocrate Gavin Newsom en 2021 selon laquelle l'État obligerait les étudiants à se faire vacciner – une décision qui a été retardée par les responsables de l'État jusqu'à au moins l'été 2023.
Maintenant, les responsables de la santé publique de l'État disent qu'ils "recommandent toujours" de vacciner les enfants et le personnel, mais que toute décision concernant les exigences doit être "correctement traitée par le processus législatif".
Comme le note le Redlands Daily,
Le site d'information sur l'éducation EdSource a rapporté le 1er février que l'État ne le poursuivrait plus, citant des responsables anonymes. Lorsque le Bay Area News Group a demandé si l'État abandonnait les plans pour le mandat, le Département de la santé publique de Californie n'a pas répondu directement mais n'a pas contesté le rapport d'EdSource, notant que "les réglementations d'urgence ne sont pas appliquées".
"La législature a examiné cette question l'année dernière et n'a pas promulgué de législation rendant obligatoire les vaccins COVID-19 pour les élèves de la maternelle à la 12e année", a déclaré le CDPH dans un communiqué, ajoutant que "l'état d'urgence COVID-19 de l'État prendra fin plus tard ce mois-ci, et par l'annonce récente du gouvernement fédéral, l'urgence fédérale de santé publique prendra fin en mai. »
En octobre 2021, Newsom a déclaré que le mandat commencerait pour les élèves de la 7e à la 12e année en juillet 2022 si la FDA avait accordé une approbation complète aux élèves de ces classes. Les mandats pour les élèves de la maternelle à la 6e devaient suivre.
Selon le CDC, 25 % des enfants californiens âgés de 12 à 17 ans et 60 % de ceux âgés de 5 à 11 ans n'ont pas été complètement vaccinés contre le Covid-19.
https://www.zerohedge.com/political/california-quietly-ditches-covid-19-mandate-school-children
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