- ENTREE de SECOURS -



dimanche 18 juillet 2021

THE CODE - Morgan freeman, Antonio Banderas, Radha Mitchell, Alec Baldwin

 https://www.youtube.com/watch?v=dtjD_7SOXpY

50 commentaires:

  1. Ténèbres sur la France et l'Europe : « Pass sanitaire » ou le nouveau Rideau de Fer d'un dangereux autocrate


    Renaud Bouchard
    Agoravox
    sam., 17 juil. 2021 06:53 UTC


    « Elle était merveilleuse, cette vague tonique de force qui, de tous les rivages de l'Europe, battait contre nos cœurs. Mais ce qui nous rendait si heureux recelait en même temps un danger que nous ne soupçonnions pas », écrit Stephan Zweig dans son œuvre posthume qui décrit l'abîme de tristesse qui fut le sien en voyant comment, à deux reprises, l'Europe si brillante, si riche de promesses, s'était tout simplement suicidée.

    Je ne crains pas de dire en ce 14 juillet 2021, anniversaire symbolique s'il en est, qu'il se pourrait bien que nous assistions une fois de plus en France comme en Europe à une autre œuvre de destruction qui, grâce à la volonté et à l'action mortifère conjuguées de « dirigeants politiques » assistés d'auteurs et complices innombrables mais parfaitement identifiés, guidés par des intérêts économiques, financiers, médicaux foncièrement étrangers au bien-être humain comme aux principes qui guident et protègent la santé publique de millions d'hommes, de femmes et d'enfants, sont tout simplement en train de conduire l'Europe en général et la France en particulier vers une nouvelle forme de suicide à une échelle nationale et continentale dont trop peu de gens mesurent l'ampleur du désastre qui frappera chacun sans exception.

    « Maintenant, disait-il, nous devions tous agir, chacun à sa place, chacun dans son pays, chacun dans sa langue. Il était temps d'être vigilant, de plus en plus vigilant. Les puissances qui poussaient à la haine étaient, en raison même de la bassesse de leur nature, plus véhémentes et plus agressives que les forces de conciliation ; se tenaient en outre derrière elles des intérêts matériels qui en eux-mêmes étaient plus dénués de scrupules que les nôtres. L'absurdité était visiblement à l'œuvre et la lutte contre elle plus importante même que notre art. »

    Stephan Zweig, à propos d'une conversation avec Romain Rolland, Stefan Zweig (1881-1942), Les rayons et les ombres sur l'Europe, 1944, éd. Posthume.[i]
    Il est plus qu'inutile de se gargariser encore avec un regard entendu du « 1984 » d'Orwell ou du « Meilleur des mondes » d'Huxley, en oubliant d'autres œuvres aussi puissantes que le « Nous Autres » d'E. Zamiatine[ii] qui leur a servi d'inspiration.

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  2. Ces dystopies ne sont plus des fictions. Elles sont en effet devenues réalité tangible du monde qui est en train de devenir le nôtre à cause d'une folie criminelle généralisée.

    Voilà maintenant que pour nourrir ce Moloch à la dévoration insatiable, ce sont les enfants qui sont jetés par leurs parents et dirigeants politiques interposés dans cette gueule monstrueuse !

    Nul besoin de lire ou relire Oswald Spengler pour comprendre - ce dont le million de pleutres qui se sont précipités sur Doctolib à la suite de l'allocution présidentielle du 12 juillet 2021 se fichent complètement -, le piège mortel dans lequel un psychopathe est en train de précipiter la France sans que personne ne décide d'enrayer ce processus insane.

    - voir clip sur site -

    Des manifestations ont éclaté dans vingt villes de France en même temps que le chef de l'Etat était hué en descendant l'avenue des Champs-Elysées lors du défilé du 14 juillet.

    Un président parjure.

    Quel individu sensé serait incapable de comprendre cette phrase pourtant simple : "Macron, démission !" Qu'y a-t-il donc de si difficile à saisir dans cette injonction ? Faudra-t-il que le peuple de France vienne enfin chercher, extirper, chasser de son piédestal celui dont elle ne veut plus, cet autocrate honni qui, non content d'avoir fait tirer sur ses compatriotes et concitoyens, entreprend de les diviser et de les assujettir à un ordre tyrannique ?

    Je n'ai ici personnellement aucune crainte, aucun état d'âme à écrire, énoncer, déclarer avec tout le courage et l'énergie dont je puis faire preuve ma volonté de m'opposer de toutes mes forces à ces agissements qui, sous couvert de politique de santé publique, laissent en réalité une bande de fous dangereux agir en roue libre avec la caution d'une population de lâches prêts à abdiquer à chaque occasion qui leur est offerte toute liberté pour « retrouver la vie d'avant » tout en l'interdisant à d'autres au nom d'une norme inacceptable.

    Le « Monde d'hier » dont parlait Stephan Zweig a bel et bien disparu dans la chimie du brouillard vert et la blancheur éblouissante des bombardements au gaz et au phosphore, en Europe et en Allemagne, avec, pour couronner le tout, la transformation en chaleur et lumière d'un Japon mené au suicide par une clique de militaires ivres, là encore, d'une visée nationaliste impériale inepte qui aura laissé derrière d'un bout à l'autre du contient Eurasiatique des millions de morts.

    Ici, en France, en ce XXIè siècle, en ce mois de juillet 2021, comme dans une partie de l'Europe, la nécessité de prendre des mesures pour lutter contre une affection dont il ne serait pas sérieux de nier l'importance et dont on laisse soigneusement de côté les auteurs et le pays d'origine sans leur demander d'explications, sans les prier de rendre compte de leur responsabilité dans l'origine de cette pandémie, est ainsi devenue l'aubaine, au nom d'une « nouvelle guerre », le prétexte à contrôler et cadenasser en une prison informatique, numérique, digitale, toute une population aveugle et sourde au point de refuser de voir et comprendre qu'elle collabore en réalité à sa perte en se précipitant en un élan commun vers la route d'une servitude volontaire.

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  3. Un processus inepte

    J'affirme donc que ce processus inepte doit désormais être enrayé et combattu sans relâche tant il révèle une trahison des idéaux et des principes éthiques, humains, politiques, sociaux que des textes internationaux mais aussi notre propre Constitution ont su affirmer et décliner dans tous leurs aspects.

    Comprenons bien et affirmons chacun haut et fort, sans désemparer, que la France est guidée par un principe intangible qui est celui de la Liberté, principe aujourd'hui galvaudé et piétiné par des hommes qui ont amplement démontré leur incapacité alliée à l'arrogance de leur folie criminelle, je le répète, à être les gardiens d'institutions garde-fous qui ne jouent plus leur rôle et qu'ils détruisent systématiquement en usant de plastrons pseudo-légaux pour se donner les coudées franches.

    L'heure est grave. Très grave.

    A l'image de la phrase bien connue de Winston Churchill qui déclarait qu'un Rideau de Fer était tombé sur l'Europe[iii], nous nous trouvons désormais face à une mesure inique, une disposition scélérate prise par un Chef de L'État, président de la République qui ne dispose plus d'aucune légitimité, traître à son pays, qui a tout simplement entrepris de diviser la population française, de créer un véritable apartheid citoyen entre détenteurs et non détenteurs d'un « Pass Vaccinal » qui s'accompagne d'une paralysie complète de la Liberté d'Aller et de Venir, et tout simplement de vivre réellement normalement.
    5.820.849 français ont été officiellement contaminés par le Covid-19, soit 8,60 % de la population.

    111.375 décès ont été constatés, officiellement liés au Covid-19, soit 0,16 % de la population (source : Santé Publique France).

    M.Macron aura finalement réussi à mettre le pays à l'arrêt pendant 1 an pour peu de victimes tout en envoyant l'économie française dans le mur.

    Et voilà qu'aujourd'hui il décide de mettre au pas 68 millions de Français alors que 91% d'entre eux n'ont jamais été contaminés par le C-19.
    Ce processus sournois et mortel doit immédiatement cesser.

    On ne saurait en effet garder plus longtemps encore dans ses fonctions dont il mésuse un individu qui, avec ses complices et co-auteurs zélés, aura réussi à susciter pareil sentiment d'exaspération et de rébellion tout au long d'un quinquennat calamiteux auprès de toute une population désormais considérée et réduite à une caste de parias en puissance, d'individus intouchables (comme les Dalits en Inde), destinés à être poursuivis, fichés par défaut, soumis à des amendes financières, frappés au portefeuille, empêchés de se déplacer et parqués dans leur propre pays pour avoir simplement refusé de jouer un rôle de cobaye médical ou tout simplement pour avoir usé d'une faculté : la simple liberté de penser, d'agir, de décider différemment et autrement et de dire non à ce qu'ils perçoivent avec raison comme une menace mortelle.

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  4. Un dispositif de lois scélérates préparées avec célérité pour subjuguer les Français

    Si d'aventure, comme on est désormais en droit de sérieusement l'imaginer dans cette dégradation continue des piliers et des valeurs du pays, des institutions telles que le Conseil Constitutionnel et le Conseil d'État venaient à valider prochainement un projet de loi scélérate (élaboré comme par hasard en pleine période estivale) et dont on comprend que la « représentation parlementaire » qui a abdiqué toute dignité ne fera rien pour s'y opposer puisqu'elle en est la chambre d'enregistrement, alors oui, un autre Rideau de Fer, une chape de plomb sera tombée sur la France.

    Il suffit simplement de voir la précipitation avec laquelle le gouvernement vient de boucler son avant-projet de loi sur l'extension du pass sanitaire et l'obligation vaccinale qui sera sur la table du Conseil des ministres le 19 juillet prochain, avant un examen rapide à l'Assemblée.
    L'exploitant d'un lieu qui manquerait aux futures obligations de contrôle du pass sanitaire sera passible d'une amende allant jusqu'à 45.000 euros et d'un an de prison, selon l'avant-projet de loi incorporant les nouvelles dispositions annoncées par Emmanuel Macron.

    Et pourquoi pas la liquidation judiciaire immédiate, la confiscation des biens, la privation de droits civiques et la réclusion à perpétuité en cas de récidive ?
    (On appréciera le "deux poids-deux mesures" judiciaire et la dissonance de la répression pénale en comparant l'amende de 3750 € requise dans la récente affaire Bygmalion où le "dérapage" et dépassement frauduleux des dépenses électorales a été établi à hauteur de 17.000.000 €...)

    Le texte crée par ailleurs un nouveau motif de licenciement, et élargit à toute personne contaminée les mesures de placement à l'isolement pendant dix jours. Tous les clients à partir de 12 ans des lieux et transports concernés devront avoir leur pass, ainsi que leurs salariés (serveurs des restaurants, contrôleurs de trains, etc.) mais pas les policiers ou gendarmes. Au nom de quoi ?

    « Le fait, pour un exploitant d'un lieu ou établissement, le responsable d'un événement ou un exploitant de service de transport, de ne pas contrôler la détention par les personnes qui souhaitent y accéder (du pass sanitaire) est puni d'un an d'emprisonnement et de 45.000 euros d'amende », stipule son article 1er.

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  5. Le chef de l'État a annoncé lundi que la présentation du pass sanitaire conditionnera l'accès aux salles de spectacle et aux cinémas à partir du 21 juillet, et aux cafés, restaurants, centres commerciaux ou encore aux trains et avions à partir du 1er août, même si certaines mesures de « souplesse » s'appliqueront pour les adolescents et les salariés des cafés et restaurants.

    Ces gens déraisonnent complètement.

    Puisqu'il n'y aura plus rien pour "garder les Gardiens", (comme le disait Juvénal voici 2000 ans ( Quis custodiet ipsos custodes ? que l'on pourrait traduire par « Mais qui donc garde les gardiens ? ») , la Constitution ne pourra alors qu'entrer en application avec l'exercice du Droit à l'insurrection, sur fond de guerre civile, médicale, sanitaire dont il faudra juger le boutefeu, l'auteur, en le chassant et en le châtiant ainsi que ses complices.

    Le temps n'est plus à observer les chassés-croisés, les pas-de-deux, les minauderies et les fausses entrées et sorties de vedettes, histrions ou analystes politiques, les déclarations de candidats désireux de se présenter à la grande consultation électorale de 2022.

    Choisissez-vous un vrai champion libre d'attaches et de compromissions financières et partisanes pour m'aider à recueillir vos suffrages, chasser cette pestilence qui surgit de tous côtés.

    « Le vent se lève... ! Il faut tenter de vivre ! », écrit Paul Valéry dans son superbe poème intitulé le Cimetière marin[iv].

    Les choses comme les événements se précipitent. A ceci près qu'il n'est plus temps de tenter de vivre mais de vivre, tout simplement, pour survivre libres, sains, en bonne santé, prospères, libérés des actions et mesures qui ne servent qu'un projet démentiel d'asservissement.

    Alors levez-vous ! Avec moi. Sans crainte, écrasez l'infâme et l'infamie ! Chassez ce Président parjure qui a trahi sa parole donnée publiquement aux Français ! Chassez les et choisissez la Relève !

    Nous avons en effet tout à gagner pour conserver, protéger, défendre et affirmer ce qui est notre essence, l'essence de chacun de nous, en France : notre Liberté, celle des nos enfants, de nos familles, de nos proches, de nos amis, de tous ceux que nous connaissons et que nous ne connaissons pas, prêts à se battre pour survivre, tout simplement.

    N'oubliez pas qui vous êtes réellement ! Soyez vraiment Français !

    https://fr.sott.net/article/37538-Tenebres-sur-la-France-et-l-Europe-Pass-sanitaire-ou-le-nouveau-Rideau-de-Fer-d-un-dangereux-autocrate

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  6. Sras-CoV-2 — Le racket et la corruption sont à l'origine du déploiement du virus du Covid dont l'origine est humaine


    Neville Hodgkinson — The Conservative Woman
    Sott.net
    sam., 17 juil. 2021 17:22 UTC


    Nous avons hier présenté les preuves présentées par le Dr David Martin, dirigeant d'une société étatsunienne de surveillance des innovations en lien avec des intérêts financiers, preuves fournies le vendredi 9 juillet au Comité d'enquête international sur le coronavirus dirigé par l'Allemagne. Il a déclaré qu'un examen de plus de 4 000 brevets délivrés autour du coronavirus du Sras (syndrome respiratoire aigu sévère) avait conduit à la conclusion dramatique suivante : « Nous avons créé le Sras ». Nous poursuivons aujourd'hui le compte-rendu de son témoignage, dont la vidéo diffusée en direct se trouve ici.

    Les États-Unis ont une loi fédérale connue sous le nom de loi RICO. Elle a l'air sympathique, mais sa cible est très précise : les organisations influencées par le racket et la corruption. Cette loi a été introduite en raison de la complexité de la procédure d'inculpation des structures du crime organisé.

    Le Dr David Martin a déclaré au Comité d'enquête international sur le coronavirus qu'en avril 2003, une société pharmaceutique étatsunienne a déposé un brevet sur les agents antiviraux, le traitement et le contrôle des infections par le coronavirus, trois jours seulement après que — dans une demande supposée secrète — les Centres de contrôle des maladies aient cherché à breveter le coronavirus du Sras lui-même. La première épidémie de Sras s'est déclarée en Chine en février de la même année.

    Sa description a amené le président de la commission d'enquête, l'avocat allemand Reiner Fuellmich, spécialisé dans la dénonciation des escroqueries d'entreprise, à commenter :
    « Tout cela pourrait bien finir par éclater et devenir une affaire RICO. »
    Le Dr David Martin a répondu :

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  7. « Pas pouvoir éclater et devenir une affaire RICO — C'est une affaire RICO. Et le schéma RICO qui a été établi en avril 2003 pour le premier coronavirus s'est déroulé exactement selon le même calendrier lorsque nous avons vu apparaître le Sras-CoV-2. »
    Il a affirmé que Moderna (à l'origine baptisée ModeRNA) avait reçu par transmission téléphonique — du centre de recherche sur les vaccins de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses — la séquence génétique de la protéine Spike qui constitue la base de son « vaccin » anti-Covid, avant même que la nouvelle sous-classe du virus ne soit définie. Le Dr David Martin s'interroge :
    « Comment est-il possible de résoudre un problème avant même qu'il ne se pose ? »
    Moderna (dans son nom complet d'origine ModeRNA Therapeutics) est une entreprise du Massachusetts fondée en 2010 par une équipe d'investisseurs pour développer la technologie de l'ARN (acide ribonucléique), considérée comme extrêmement prometteuse pour exploiter la puissance du code de l'ARN afin que de nouveaux médicaments soient conçus par notre organisme lui-même.

    Selon le Dr David Martin, une autre date importante est celle du 5 juin 2008. C'est à peu près à ce moment-là que le programme de recherche avancée de la défense des États-Unis (le DARPA) s'est intéressé au coronavirus en tant qu'arme biologique. C'est également à cette date qu'une société pharmaceutique — qui fait aujourd'hui partie du géant Sanofi basé à Paris — a déposé une série de brevets visant des gènes qui, douze ans plus tard, seraient les [soi-disant - NdT] « nouvelles » caractéristiques du Sras-CoV-2 qui en font un risque pour la santé humaine.

    À partir de 2008, les dépôts de brevets de nombreuses organisations ont identifié « chaque attribut » du virus, tel qu'il a finalement été décrit par la suite. L'article de référence publié en mars 2020 et couramment utilisé pour l'identifier prétendait démontrer que les nouvelles caractéristiques étaient apparues de manière naturelle et que le virus « provenait de multiples événements recombinants naturels survenant parmi les virus présents chez les chauves-souris et d'autres espèces sauvages. »

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  8. Ce à quoi le Dr David Martin répond :
    « Malheureusement, quand on considère réellement ce qu'ils déclarent être « nouveau », on constate que 73 brevets, délivrés entre 2008 et 2019, comportent les éléments prétendument nouveaux qui composent le Sras-CoV-2. Donc, il n'y a pas eu d'épidémie de Sras, parce que tous les éléments de ce virus ont été fabriqués par des êtres humains. »
    Depuis 2016, il a été affirmé que ce virus supposé nouveau était prêt à émerger dans la population humaine. Mais, et comme le déclare le Dr David Martin :
    « il n'était pas seulement prêt à émerger chez les humains, il a été breveté pour une exploitation commerciale — 73 fois. Sur la base des séquences génétiques réelles, qui sont publiées dans le dossier de brevet, toute affirmation selon laquelle cet agent pathogène est en quelque sorte unique ou nouveau s'écroule. »
    Les chercheurs de l'université de Caroline du Nord à Chapel Hill (qui ont collaboré avec le laboratoire de Wuhan, en Chine, dans le cadre des travaux sur le « gain de fonction » du coronavirus), ainsi que l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses et Moderna, ont commencé le séquençage d'un vaccin à base de protéine spike en novembre 2019, soit un mois avant que l'épidémie de Wuhan apparaisse.

    Le Dr David Martin a également contesté l'idée selon laquelle injecter la séquence d'ARN de la protéine Spike constitue un véritable « vaccin ». La théorie sous-jacente est qu'en apprenant au système immunitaire à reconnaître la protéine Spike, qui en soi présente des effets toxiques, l'organisme sera mieux équipé pour faire face à la toxine lorsqu'il sera exposé au virus.
    « Le fait de débattre pour savoir si nous disposons d'un « vaccin » contre un virus est une illusion dans laquelle nous continuons malheureusement à voir des personnes très bien intentionnées se laisser piéger. Le fait est que nous ne disposons pas d'un tel « vaccin ». Ce qui est injecté, c'est une séquence ARN de la protéine Spike, qui est elle-même une simulation informatique d'une séquence connue et brevetée depuis des années. Elle n'est pas d'origine naturelle.

    La nature ridicule de l'histoire selon laquelle « vacciner » pour lutter contre le Covid serait une sorte de prophylaxie ou de prévention va à l'encontre de cent pour cent des preuves, car ces preuves montrent clairement qu'aucun effort pour combattre le virus n'a été fait par aucune des sociétés pharmaceutiques. Il s'agit d'injecter aux gens la protéine Spike, tout en sachant qu'elle est nocive. »
    La raison de cette démarche, toujours selon le Dr David Martin, est de rendre les gens « accros » à un « vaccin » universel contre le coronavirus.

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  9. « Les gouvernements du monde entier ont pendant une décennie désespérément, désespérément, désespérément encouragé l'obligation de recourir à un vaccin antigrippal universel. Ils ont échoué. Et ils ont décidé que si la grippe ne remplissait pas la promesse publique d'inciter tout le monde à se faire vacciner, il fallait changer d'agent pathogène.

    Il faut créer l'illusion d'une demande, et rien aujourd'hui ne saurait mieux créer l'illusion de cette demande que l'urgence d'un événement qui a été fabriqué.

    Voici la triste et sobre ironie : j'ai soulevé ces questions en 2002, après l'alerte à l'anthrax, et ce qui est tragique, c'est que nous vivons désormais dans un monde où des centaines de millions de personnes se font injecter une séquence informatique stimulant les agents pathogènes, vendue sous le nom de ce que l'Office des brevets, la profession médicale et la FDA (Food and Drug Administration) ne considéreraient même pas comme un vaccin selon ses propres normes cliniques. Mais en utilisant ce terme, des centaines de millions de personnes sont aujourd'hui soumises à ce que l'on savait déjà en 2005 être une arme biologique. »

    La vidéo diffusée en direct par le Dr David Martin qui apporte ces éléments de preuve reçoit déjà des dizaines de milliers de vues. Les données qu'il présente devraient à tout le moins mettre un terme à l'idée que le virus est d'origine naturelle et qu'il a développé par hasard la capacité de passer des animaux aux humains.

    Rien que ce qui précède comporte d'énormes implications en soi. D'une part, pourquoi devrions-nous croire les affirmations de la Coalition pour la préparation aux épidémies (CEPI) — lancée en 2017 avec une énorme injection de fonds en provenance de la Fondation Gates — selon lesquelles la quête proposée de 3,5 milliards de dollars pour obtenir un vaccin universel contre le coronavirus dans le but de « contenir le Sras-CoV-2 et ses variants » est un objectif souhaitable ou réalisable ?

    Pour soutenir le projet, le cofondateur Bill Gates a déclaré :
    « La CEPI a aidé la communauté scientifique mondiale à faire quelque chose d'incroyable : développer des vaccins anti-Covid-19 en moins d'un an. »
    Cette affirmation sonne plus que creux à la lumière des brevets déposés depuis vingt ans tels que le Dr David Martin l'a révélé.

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  10. De plus, ce dernier a démontré que même les prétendus « variants » du Sras-CoV-2 sont artificiels, puisqu'ils correspondraient à l'identification de différents fragments de gènes plutôt que de véritables variations en tant que telles. Le Dr David Martin poursuit :

    « Il s'agit simplement d'ajuster le moment auquel vous démarrez et arrêtez ce que l'on appelle le cadre de lecture. Si ce que nous cherchons est une chose que nous avons décidé digne d'être recherchée, alors nous la trouverons [...] à l'endroit précis où sera choisi le démarrage ou l'arrêt, je serai en mesure de dire que je l'ai trouvée. Ou que je ne l'ai pas trouvée ! Je n'ai pas trouvé la correspondance que j'avais projetée sur les données, parce que j'ai choisi de regarder les données d'une manière qui ne me permettait pas de trouver la correspondance. »
    Alors que les conseillers du gouvernement semblent sortir des « nouveaux variants » de leurs chapeaux chaque fois qu'ils ont l'impression que l'emprise de la terreur s'atténue, nous touchons là à un autre domaine qui appelle une réévaluation sobre de ce qui se trame réellement.
    Note de la rédaction

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    À propos de l'auteur

    Neville Hodgkinson est un ancien correspondant médical et scientifique du Sunday Times et l'auteur de AIDS : The Failure of Contemporary Science, publié en 1996 aux éditions Fourth Estate.
    Note du traducteur : Voici un téléchargement en miroir de la présentation du Dr David Martin au Comité d'enquête international sur le coronavirus dirigé par l'Allemagne [en anglais] :

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  11. - voir clip sur site -

    Cette vidéo vaut la peine d'être visionnée dans son intégralité, mais pour ceux qui n'ont pas le temps, ce blogueur a fourni un résumé point par point de la présentation [en anglais aussi], y compris le profil du Dr David Martin et ses conclusions.

    Le Dr David Martin observe depuis plus de vingt ans maintenant la concoction de cette cuisine de sorcières. Voici un PDF téléchargeable de son « Dossier Fauci/Covid-19 ».

    Le Sras-CoV-2 est donc bien une création humaine, tout comme l'ensemble de l'infrastructure des « tests de dépistage » et des « vaccins visant à résoudre le problème », concoctée par des prédateurs sans scrupules qui n'ont pas hésité à terroriser le monde entier afin de tirer profit de la crise qu'ils ont créée, et de contrôler la vie des gens jusque dans leurs pensées et leurs comportements quotidiens.

    Voir aussi notre article sur l'intervention du Dr David Martin, lors d'une conférence tenue en Californie en mai 2021 : La guerre bactériologique est en marche — « Nous sommes en guerre ! », l'article développant les preuves irréfutables de l'origine humaine du Sras-Cov-2, ainsi que celui traitant de l'ineptie des « vaccins » à ARN pour « traiter » le Covid-19

    Source de l'article initialement publié en anglais le 14 juillet 2021 : The Conservative Woman
    Traduction : Sott.net

    https://fr.sott.net/article/37537-Sras-CoV-2-Le-racket-et-la-corruption-sont-a-l-origine-du-deploiement-du-virus-du-Covid-dont-l-origine-est-humaine

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  12. "GAGNER À ÊTRE VACCINÉ": 1 MILLION $ À GAGNER...


    vendredi 16 juillet 2021


    Ainsi que plusieurs prix de désolation... fou raide!

    https://www.quebec.ca/sante/problemes-de-sante/a-z/coronavirus-2019/deroulement-vaccination-contre-la-covid-19/concours-gagner-a-etre-vaccine

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    Réponses
    1. Malheureusement toutes les personnes gagnantes étaient décédées immédiatement suite à l'injection létale !
      Mais le chèque est remis en jeu !! Whôaw !

      Il y en a un qui voulait se faire piquer 10 fois pour multiplier ses chances mais est mort suite à la première piqûre !

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  13. Le groupe d'experts D4CE exige l'arrêt immédiat des vaccins Pfizer pour les adolescents


    Children's Health Defense
    ven., 16 juil. 2021 15:17 UTC


    Dans un rapport de 20 pages, trois médecins, tous membres fondateurs de D4CE Doctors for COVID Ethics, exposent en détail les arguments convaincants qui expliquent pourquoi les vaccins COVID sont non seulement inutiles et inefficaces, mais aussi dangereux pour les enfants et les adolescents.

    Depuis des mois, Doctors for COVID Ethics, une alliance internationale basée en Europe regroupant des centaines de médecins et de scientifiques concernés, lance des avertissements urgents sur les risques à court et à long terme des vaccins COVID, en particulier pour les enfants.

    En mai, la Food and Drug Administration (FDA) américaine et l'Agence européenne des médicaments (EMA) ont étendu l'autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) de Pfizer - précédemment accordée pour les 16 ans et plus - aux jeunes de 12 à 15 ans.

    Pfizer a été la première société à tester les vaccins expérimentaux COVID chez les enfants, et est le seul fabricant à avoir obtenu jusqu'à présent l'autorisation de l'UE pour les vaccinés de moins de 18 ans.

    En plus d'avoir envoyé trois lettres d'avertissement à l'EMA - le 10 mars, le 1er avril et le 20 avril, Doctors for COVID Ethics a envoyé le 18 mai des avis de responsabilité à tous les membres du Parlement européen pour les dommages et les décès d'enfants liés au vaccin COVID.

    Aujourd'hui, trois des signataires fondateurs du groupe - le Dr Michael Palmer (Canada), le Dr Sucharit Bhakdi (Allemagne) et Stefan Hockertz, docteur en sciences (Allemagne) - ont rassemblé dans un seul document des preuves d'experts irréfutables montrant que les vaccins COVID sont non seulement inutiles et inefficaces, mais aussi dangereux pour les enfants et les adolescents.

    Le 3 juillet, l'avocate italienne Renate Holzeisen a soumis le document d'expertise au Tribunal européen dans le cadre d'une action en justice contestant la décision prise fin mai par l'EMA d'étendre l'utilisation d'urgence du vaccin de Pfizer aux enfants de 12 à 15 ans.

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  14. La valeur de ce rapport de 20 pages ne tient pas seulement aux références professionnelles irréprochables des trois auteurs, mais aussi à l'agrégation et à l'analyse méticuleuses des données des fabricants, des évaluations des agences de réglementation et des publications scientifiques.

    Comme l'affirme de manière convaincante le trio médico-scientifique, les preuves ne permettent qu'une seule conclusion possible : non seulement le vaccin de Pfizer ne doit pas être administré aux adolescents, mais son utilisation doit cesser immédiatement dans tous les groupes d'âge.

    Non nécessaire

    Le rapport commence par démolir l'argument selon lequel les adolescents doivent être vaccinés contre le COVID. Les trois experts soulignent que la prévalence "particulièrement faible" du COVID-19 chez les adolescents et l'absence totale de cas graves chez les enfants et les adolescents âgés de 10 à 17 ans ne justifient pas la vaccination des jeunes, d'autant plus qu'il existe des traitements efficaces pour l'infime proportion de personnes qui souffrent plus que d'une maladie légère.

    Des études récentes confirment ce point crucial, montrant que "les risques de maladie grave ou de décès dus au SARS-CoV-2 sont extrêmement faibles chez les enfants et les jeunes".

    Le résumé des experts met également en évidence d'autres facteurs qui réfutent les arguments en faveur de la vaccination des adolescents. Par exemple :
    Une "grande proportion d'individus dans tous les groupes d'âge, y compris les adolescents, ont déjà une immunité spécifique et fiable contre le COVID-19" et sont également protégés de la maladie grave par une immunité croisée robuste, qui, soulignent les experts européens, "sera particulièrement efficace chez les adolescents et les jeunes adultes en bonne santé."

    Selon les Doctors for COVID Ethics, des études à grande échelle ont réfuté "sans ambiguïté" la notion de "transmission asymptomatique" (utilisée pour soutenir l'affirmation selon laquelle les enfants représentent un risque pour les autres). Ces études montrent qu'aucune maladie n'a été attribuée à des personnes dont le test était "positif" mais qui ne présentaient pas de signes de maladie.
    Depuis le début, le taux de létalité des infections (IFR) du COVID - le nombre de décès divisé par le nombre d'infections - a été fortement biaisé en faveur des personnes âgées. En outre, une étude récente, qui a révisé à la baisse les "estimations gonflées par le biais" de l'IFR pour les ramener à une moyenne de 0,15 %, rend "rassurant" le fait que l'IFR du COVID soit comparable à celui de la grippe.
    Les trois auteurs mentionnent, au passage, que peu de pays européens considèrent la vaccination des enfants contre la grippe comme "urgente ou nécessaire". En fait, les experts européens en maladies infectieuses ont déclaré qu'ils ne voulaient pas que le calendrier vaccinal pédiatrique soit "trop chargé", tout en reconnaissant également les preuves "mitigées" de l'efficacité du vaccin contre la grippe et l'inconnu de "l'effet à long terme d'une vaccination annuelle répétée dès le plus jeune âge".

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  15. Ces mises en garde pourraient tout aussi bien s'appliquer aux injections anti-COVID qui menacent de se transformer en une exigence annuelle (voire plus fréquente). Fait inquiétant, la France s'apprête à administrer des millions de piqûres de rappel en septembre, soit à peine sept à huit mois après le début de la vaccination expérimentale COVID.

    Non efficace

    La deuxième section du rapport d'expertise examine les affirmations de Pfizer concernant l'efficacité de 95 % à 100 % de son vaccin COVID - des affirmations qui, selon les auteurs du rapport, "ne sont pas dignes de confiance".

    Les trois scientifiques notent d'abord (comme l'ont fait Children's Health Defense et d'autres ) que les chiffres des fabricants représentent une efficacité relative plutôt qu'absolue. En termes absolus, l'efficacité du vaccin Pfizer est "très modeste", protégeant (au mieux) moins de 1 % des participants aux essais cliniques qui ont reçu le vaccin.

    Toutefois, selon les trois experts, même cette réussite douteuse "ne peut être acceptée telle quelle". Leur examen minutieux des évaluations préparées par la FDA et l'EMA montre que les données de Pfizer sont truffées "d'affirmations et de contradictions improbables", notamment l'affirmation selon laquelle, après la première dose de vaccin, l'immunité s'installe "très soudainement et uniformément le 12e jour exactement".

    Étant donné que l'immunité se développe généralement plus lentement et progressivement, les auteurs du rapport affirment que l'effet du 12e jour n'est "pas du tout un résultat biologiquement plausible".

    Un autre résultat déroutant concerne deux séries de données contradictoires sur l'incidence du COVID-19 dans les groupes vaccin et placebo - des résultats qui "ne peuvent pas être réconciliés". La conclusion des experts ? L'un des deux ensembles de données était, selon toute vraisemblance, "fabriqué".

    En analysant une étude de Pfizer menée sur des adolescents, les trois scientifiques concluent que les injections ont produit un résultat net négatif en raison de leur impact sur la morbidité globale. Alors qu'aucun des adolescents participants n'a connu de COVID grave, les effets secondaires du vaccin étaient "extrêmement fréquents", 55% à 65% d'entre eux ayant souffert de maux de tête, entre autres réactions indésirables.

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  16. Le trio d'experts souligne que les maux de tête sévères sont parfois associés à des caillots sanguins - un événement indésirable grave associé aux quatre vaccins COVID actuellement autorisés en Europe et/ou aux États-Unis.

    Si l'on tient compte des effets secondaires, il apparaît clairement que "la morbidité globale était bien plus importante dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo", écrivent les auteurs.

    Comme le soulignent les trois scientifiques, "le fait que ni la FDA ni l'EMA n'aient relevé aucune de ces incohérences n'inspire pas confiance dans la rigueur et l'intégrité de leurs processus d'examen".

    Ils concluent :

    "Les essais cliniques menés par Pfizer ne contiennent aucune preuve d'un quelconque bénéfice conféré par le vaccin en ce qui concerne les critères d'évaluation cliniquement pertinents. Cela s'applique à tous les groupes d'âge testés, et en particulier aussi aux adolescents."

    Dangereux

    La section la plus alarmante du rapport est l'exposé de Palmer, Bhakdi et Hockertz sur le profil de sécurité "catastrophiquement mauvais" du vaccin Pfizer chez les adultes et les adolescents.

    L'impact destructeur de l'injection de Pfizer est facilement perceptible par quiconque a la patience d'éplucher les rapports de blessures liées aux vaccins soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) aux États-Unis ou à la base de données EudraVigilance en Europe.

    Pour les Américains de 12 à 17 ans ayant reçu une injection de COVID, le VAERS a reçu plus de 13 000 rapports d'événements indésirables au 2 juillet, dont plus de 1 909 rapports (Pfizer seul) d'anaphylaxie, 343 rapports(Pfizer seul) de problèmes cardiaques, 56 rapports (Pfizer seul) de troubles de la coagulation sanguine et 14 décès, dont 13 ont été signalés après un vaccin Pfizer.

    Il ne s'agit pas d'absoudre les autres vaccins COVID administrés aux personnes âgées de 18 ans et plus - par exemple, l'injection de Johnson & Johnson est désormais accompagnée d'avertissements concernant les risques accrus de caillots sanguins et desyndrome de Guillain-Barré.

    En ce qui concerne les deux vaccins à ARN messager (ARNm) - ceux de Pfizer et de Moderna - les experts européens s'inquiètent de la toxicité des nanoparticules lipidiques (LNP) qui délivrent la charge utile des injections d'ARNm et la protéine spike exprimée par cet ARNm.

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  17. Normalement, la barrière capillaire est censée empêcher les grosses molécules de passer dans le sang. Dans les études précliniques des vaccins à ARNm, les chercheurs ont toutefois constaté que les LNP circulaient dans le sang et se concentraient dans des organes vitaux tels que les ovaires, le foie et la rate.

    D'autres recherches montrent qu'après une injection intraveineuse, les LNP peuvent pénétrer la barrière capillaire la plus "fortifiée" de toutes - la barrière hémato-encéphalique.

    Le "résultat", selon les scientifiques européens, est que " le vaccin apparaîtra dans le sang, en grande quantité et en peu de temps" [emphasis in original]. Malheureusement, d'autres complications liées à la coagulation du sang sont à craindre.

    En outre, les niveaux élevés d'expression de la protéine spike dans des endroits tels que les ovaires, le placenta et les glandes mammaires en lactation laissent présager des effets inquiétants sur la reproduction et la période néonatale, notamment l'infertilité féminine, les fausses couches et, comme cela a été rapporté de manière anecdotique, les décès de nouveau-nés allaités.

    Mettre fin à la "négligence systématique" et à la fraude

    En 2020, Pfizer était la deuxième plus grande société pharmaceutique en termes de revenus, fabriquant non seulement les vaccins COVID mais aussi plus de 350 produits pharmaceutiques, dont beaucoup sont des noms familiers.

    Mais il est important de ne pas perdre de vue les antécédents criminels de Pfizer - un modèle de fraude et de malhonnêteté "habituelles" si répandu et si ancien qu'il ne peut être compris que comme un modèle commercial intentionnel.

    Décrivant le refus des procureurs de tenir les dirigeants de Pfizer personnellement responsables d'actes criminels, un analyste des politiques de santé a conclu en 2010 que "les sanctions pénales et civiles semblent être, pour Pfizer du moins, une dépense commerciale qui vaut la peine d'être encourue".

    Malgré ce bilan troublant, les analystes célèbrent la solide présence de Pfizer sur le marché, déclarant que "les gens connaissent et font confiance aux [the company's] marques". Les produits Pfizer les plus utilisés sont Advil, Ativan, Centrum multivitamines, Chapstick, le contraceptif Depo Provera, Emergen-C, EpiPen, Flagyl, Lipitor, Lyrica, Neosporin, Premarin, Preparation H, Prevnar, le vaccin infantile le plus vendu, Robitussin sirop contre la toux, Viagra, Xanax, Zithromax et Zoloft.

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  18. Pour les consommateurs angoissés par le carnage qui semble suivre les injections de COVID de Pfizer - et par les poursuites judiciaires à répétition, les rappels de produits et les problèmes concernant le contrôle de la qualité- il est peut-être temps d'arrêter d'acheter les nombreux "produits "instantanément identifiables" et de se distancer des plus de 96 000 employés dans le monde qui rendent possibles les méfaits injustifiés de l'entreprise.

    Forts des preuves soigneusement rassemblées par les Doctors for COVID Ethics, il va également de soi que nous devons repousser de toutes les manières imaginables l'obligation de vaccination des enfants contre le COVID.

    Ressource supplémentaire pour les parents : Les 10 principales raisons de ne pas laisser votre enfant se faire vacciner contre le COVID.

    Publié originellement dans The Defender.

    https://fr.sott.net/article/37535-Le-groupe-d-experts-D4CE-exige-l-arret-immediat-des-vaccins-Pfizer-pour-les-adolescents

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  19. Gabriel Attal: «Dorénavant, c’est soit la vaccination générale, soit le tsunami viral, il n’y a pas d’alternative»


    08:11 18.07.2021)URL courte



    Dans une interview au Parisien, Gabriel Attal critique une nouvelle fois les «anti-vaccins» qui sont descendus dans les rues ce samedi et les exhorte à se faire vacciner.

    Après une manifestation qui a connu un succès phénoménal par son nombre de participants dans toute la France, voilà des propos qui pourraient bien faire brûler encore plus le torchon entre les opposants au vaccin et le gouvernement.

    Anti-vaccins: Darmanin demande aux préfets de renforcer la protection des élus
    Dans une interview accordée au Parisien ce samedi, Gabriel Attal a une nouvelle fois fustigé les Français qui ont pris part à la manifestation de samedi contre le pass sanitaire en les qualifiant de «frange capricieuse et défaitiste, très minoritaire, qui se satisferait bien de rester dans le chaos et l’inactivité».

    Il ajoute que cette partie de la population est largement minoritaire, ce que n’ont pas l’air de montrer les chiffres et les images de la dernière mobilisation, de la même manière que les médias mainstream traditionnels ont largement sous-estimé le nombre de participants.

    Face à ces manifestants, il oppose ce qu’il appelle la majorité d’une «France laborieuse et volontariste, qui veut mettre le virus derrière elle et travailler». Si la comparaison peut sembler douteuse au premier abord, on peut légitimement dire que les Français veulent naturellement sortir de la crise sanitaire qui secoue le monde depuis un an et demi. Cependant c’est la question de la vaccination qui crispe le débat.

    Il exhorte par ailleurs les personnes vaccinées à inciter les non-vaccinés à se rendre à un centre de vaccination pour recevoir à leur tour une dose de vaccin. Enfin, il ajoute que le choix des non-vaccinés ne doit pas peser sur celui des vaccinés.

    Pourquoi le gouvernement veut-il jouer la montre ?

    Ces propos font écho à l’allocution télévisée du chef de l’État le 12 juillet qui par ailleurs est à l’origine de la mobilisation du 17 juillet. Dans son discours, Emmanuel Macron a affirmé que la réforme des retraites ne serait pas mise en œuvre tant que la situation sanitaire ne sera pas stabilisée. Et pour obtenir cette stabilisation de la situation, le gouvernement mise logiquement tout sur la vaccination massive de la population.

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  20. Oui, mais voilà, les Français ne l’entendent pas de cette oreille et le problème est là pour le gouvernement. L’exécutif est pressé par le temps de son côté, la présidentielle se déroulant en avril 2022, il ne lui reste plus beaucoup de temps pour mettre en place cette réforme des retraites suspendue à cause de la pandémie de Covid-19 depuis l’an dernier.

    De plus, Matignon sait très bien que cette réforme des retraites donnera lieu à des blocages et des manifestations supplémentaires qui retarderont encore le passage de cette réforme.

    Enfin, le pouvoir sait parfaitement que promulguer une réforme pareille qui est impopulaire aux yeux des Français en plus de celle de l’assurance chômage qui entrera en vigueur au 1er octobre constitue un mauvais timing en pleine période électorale, qui plus est quand on a besoin de rassembler un maximum d’électeurs autour de son camp en vue d’une échéance électorale importante qui décide de la destinée de l’Hexagone pour les cinq prochaines années.

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  21. La grande leçon des votations suisses : communiquer, réseauter !


    17 Juillet 2021
    André Heitz, ingénieur agronome (en retraite)*


    Le 13 juin 2021 était jour de votations pour les Suisses. Avec une participation forte (60 %), ils ont notamment rejeté deux initiatives populaires « écologiques » par 60 % de « non » et 20 cantons et cinq demi-cantons contre un demi-canton (Bâle-Ville, le plus grand bénéficiaire suisse de la manne de l'agrochimie...). Dans un référendum, il ont aussi retoqué une loi sur le gaz carbonique par 51,6 % des voix.

    L'initiative « Pour une eau potable propre et une alimentation saine – Pas de subventions pour l’utilisation de pesticides et l’utilisation d’antibiotiques à titre prophylactique » voulait contraindre, sans interdire, dans un délai de huit ans en coupant les subventions à certains agriculteurs, y compris aux éleveurs qui ne sont pas en mesure de nourrir leur bétail avec le fourrage produit dans leur exploitation, ce qui aurait condamné une grande partie de l'agriculture de montagne.

    L'initiative « Pour une Suisse libre de pesticides de synthèse » proposait une interdiction totale, après une période transitoire de 10 ans, de l'utilisation des pesticides de synthèse ainsi que l’importation de denrées alimentaires qui en contiennent.

    Le Conseil fédéral (le gouvernement) et le Parlement ont préconisé le « non » en faisant valoir que les initiatives allaient trop loin, que des mesures sont déjà prises pour assurer la sécurité des êtres humains, des animaux et de l'environnement et qu'il y aurait de graves conséquences sur l'approvisionnement alimentaire.

    La campagne a été émaillée d'incidents très inhabituels dans le cadre helvétique. L'intitulé des textes suffit à démontrer l'intention des initiants d'utiliser les grosses ficelles démagogiques. Les sondages ont longtemps indiqué une forte adhésion populaire, majoritaire jusque vers les derniers jours, alors que les perspectives d'obtenir une majorité des cantons étaient faibles, sinon nulles.

    Les 60 % de « non » constituent une belle surprise. Au-delà de la radicalité des propositions, c'est en partie le résultat d'une campagne de communication active des milieux agricoles – mais certains membres et entités du bio ont appelé à voter « oui » à l'initiative anti-pesticides... de synthèse.

    Les grands distributeurs Migros et Coop – 78 % du chiffre d'affaires bio en Suisse – ont aussi fait campagne pour le « non », faisant par exemple valoir les menaces sur la production locale ou encore la crainte d'une hausse des intoxications. Dans une prise de position, Migros s'est même prononcée en faveur des nouvelles techniques génétiques, à l'instar, du reste, du Parti Vert Libéral.

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  22. Enfin, les médias ont généralement fait œuvre de pédagogie. Notons à cet égard le remarquable « Dans les bottes d'un paysan » de M. Boris Busslinger, du Temps.

    La leçon est simple : communiquer, expliquer, en ciblant. Et aussi réseauter, créer des synergies.

    Cela devient d'autant plus urgent que, comme l'ont montré les votations, le fossé villes-campagne – qui recouvre en partie le fossé gauche-droite en Suisse – se creuse et que certains milieux sont prêts à actionner tous les leviers démagogiques faisant appel à l'émotion pour un travail de sape.

    Les paysans suisses peuvent déjà se préparer pour la suite. Le Conseil fédéral a proposé, à titre de contre-projet aux initiatives, un plan pour réduire de 50 % les risques liés à l'usage des produits phytosanitaires, des biocides et des engrais. Une initiative populaire veut interdire l'élevage intensif, le Conseil fédéral proposant en réponse d'inscrire le bien-être animal dans la Constitution. Et le moratoire sur les OGM, qui arrive à échéance en décembre, revient sur le tapis.

    https://seppi.over-blog.com/2021/07/la-grande-lecon-des-votations-suisses-communiquer-reseauter.html

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  23. Le SARS-CoV-2Δ est arrivé !


    le 18 juillet 2021


    Ce billet s’inspire largement d’un article du Docteur Gérard Maudrux qui sur son blog réalise des prouesses d’analyses relatives à l’épidémie coronavirale occupant outre mesure les politiciens. Ces tristes individus ont trouvé avec cette épidémie un alibi pour dissimuler la gestion calamiteuse du pays dont ils ont la responsabilité depuis la crise des sub-prime de 2008. C’est à cette date en effet que le système économique occidental a été orienté vers sa destruction inévitable. La pandémie est arrivée à point nommé pour divertir l’opinion publique, restreindre les libertés sous prétexte que le virus rodait afin de prévenir tout mouvement de protestation populaire et ainsi permettre à ces dirigeants politiques de se protéger contre toute accusation de leurs exactions répétées tant sur le plan économique que sanitaire.

    Quand tout un peuple est paralysé par la peur de la maladie il est alors totalement malléable et le pouvoir politique s’est libéré de toute contrainte démocratique. Il est maintenant fini le temps où ces peuples exigeaient de leurs dirigeants des explications, il est fini le temps où ces peuples osaient demander à leurs gouvernements de dire la vérité. En France nous ne sommes plus en 1789, les temps ont changé et jamais le Président français ne rendra de comptes ni ses prédécesseurs tant qu’ils seront encore en vie. C’est exactement la même situation en Italie, en Espagne, au Portugal et bien d’autres pays européens.

    La Grande-Bretagne qui a bien eu raison de quitter ce panier de crabes qu’est l’Union européenne s’est penchée sur l’évolution récente de l’épidémie. En GB la souche prédominante est le variant delta qui provoque une vulgaire rhinopharyngite et parfois une diarrhée de courte durée sans conséquences graves. Mais toute personne ayant contracté cette souche de virus est alors immunisée contre toutes les autres souches, ou mutants, ou variants, plus pathogènes. Boris Johnson, curieux et intelligent contrairement à la majorité des dirigeants des autres pays européens, a tout de suite compris qu’il n’était plus nécessaire d’emmerder son peuple avec des histoires de vaccins, de distanciation, de masques et d’autres misères du genre pass sanitaire. Les Britanniques sont libres de leurs mouvements !

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  24. Le Docteur Maudrux l’a parfaitement exposé dans son article paru sur son blog et il mérite le respect. Il semble que les autorités de santé françaises ne s’abaissent même pas à faire un peu de bibliographie pour se faire une idée de la situation. Ils ne se réfèrent qu’à l’OMS qui comme chacun sait est l’un des organismes onusiens les plus corrompus. Le SARS-CoV-2Δ, beaucoup plus contagieux que ses ancêtres mais bénin, un vague rhume accompagné éventuellement d’une diarrhée passagère, va peut-être constituer l’explication tant attendue de la disparition spontanée d’une épidémie, un fait qui a toujours préoccupé les épidémiologistes et les infectiologues …

    https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/07/12/le-top-des-vaccins-contre-le-sars-cov-2-est-sorti-precipitez-vous/

    Note. Cette prochaine semaine je séjournerai dans la région d’Alicante et je ne suis pas certain de pouvoir assurer mon devoir de bloggeur aussi fidèlement que je souhaiterais.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/07/18/le-sars-cov-2δ-est-arrive/

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  25. Le projet fou d’ITER construit sur du sable ?


    le 17 juillet 2021


    Le sable dont il est question dans ce titre dérangeant réside dans le fait que beaucoup de questions et de problèmes au sujet du fonctionnement futur de l’usine expérimentale de production d’énergie par fusion nucléaire ne sont toujours pas résolus.

    Alors que 22 milliards de dollars ont été déjà investis dans ce projet et que le coût total avoisinera 65 milliards pour un résultat déjà prévu comme médiocre, il y a deux points centraux qui ont été dès la phase initiale de ce projet totalement éludés : l’approvisionnement en tritium d’une part et le remplacement des boucliers de protection de la « bouteille magnétique » confinant le plasma à haute température. La meilleure combinaison pour atteindre une fusion est un mélange des isotopes de l’hydrogène appelés deutérium et tritium. La fusion de deux de ces noyaux produit de l’hélium avec une production d’énergie très importante mais aussi l’apparition d’un neutron également de haute énergie (14 MeV).

    L’énergie récupérable provient donc de l’énergie cinétique du noyau d’hélium (3,5 MeV) produit et de l’augmentation de la température du bouclier de protection par le bombardement neutronique. Par rapport à la fission d’un noyau d’uranium-235 c’est tout simplement ridicule. L’énergie cinétique des produits de fission, krypton-92 et baryum-141, provoque un fort échauffement des barres de combustible. Les neutrons lents non impliqués dans une autre fission chauffent également l’eau de refroidissement dans le cas des PWR ou tout autre fluide caloporteur. Avec le projet ITER il apparaît donc deux gros problèmes non encore résolus. Combien de jours ou d’années le bouclier de protection des circuits magnétiques supra-conducteurs résistera-t-il au bombardement neutronique intense, principale source de chaleur récupérable du système ? La réponse est très claire : on n’en a aucune idée ! Le simple changement de ce bouclier après par exemple 2 ans de fonctionnement satisfaisant, c’est-à-dire en récupérant plus d’énergie qu’il n’en faut pour créer le tore de plasma à très haute température, provoquera la production de 3000 tonnes de déchets radioactifs. Cette technologie n’est donc pas du tout propre comme la propagande le prétend.

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  26. Mais il y a un autre problème très préoccupant. Du deutérium il en existe dans l’eau de mer, la production d’eau dite lourde ne pose pas de problème et l’électrolyse de l’eau lourde produit du deutérium. Pour le tritium c’est une toute autre histoire. La plus grande usine au monde de retraitement des combustibles nucléaires provenant de toute une série de pays clients à la Hague en France évacue dans la Manche 11000 Tbq (tera Becquerel) (ou 11000 milliards de bq) chaque année soit environ 40g de tritium ! On ne va pas très loin avec de telles quantités, environ 120 litres sous forme gazeuse.

    L’autre technique de production de tritium consiste à bombarder l’isotope léger du lithium (Li-6) présent dans la nature avec des neutrons. C’est économiquement abordable mais complexe à mettre en œuvre. J’ai parcouru le site www.ITER.org mais ces problèmes pourtant majeurs ont l’air d’être résolus puisqu’ils ne sont mentionnés nulle part. J’émets tout de même quelques doutes mais je peux me tromper. Quand on sait qu’avec des surrégénérateurs valorisant l’uranium-238 l’ensemble de l’humanité peut disposer d’électricité à un prix abordable pendant des milliers d’années pourquoi gaspiller des fortunes pour un projet qui risque bien de se terminer par un fiasco total. D’ailleurs les Américains, contributeurs à hauteur de 9 % dans ce projet commencent à se poser de sérieuses questions …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/07/17/le-projet-fou-diter-construit-sur-du-sable/

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    1. (...) L’énergie récupérable provient donc de l’énergie cinétique du noyau d’hélium (3,5 MeV) produit et de l’augmentation de la température du bouclier de protection par le bombardement neutronique. Par rapport à la fission d’un noyau d’uranium-235 c’est tout simplement ridicule (...)

      Choses qui m'interpellent sont les températures naturelles élevées lors de la 'catastrophe' de Fukushima le 11 Mars 2011. Passant intérieurement, (faute d'alimentation en eau des réacteurs) de 300°c à 3000 °C !

      Reste à savoir ce que contenaient les crayons (de 4 m de haut) à la centrale japonaise.

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  27. Seulement 7% de notre ADN est propre à l'homme moderne, selon une étude


    16 JUILLET 2021
    par Christina Larson


    Qu'est-ce qui rend les humains uniques ? Les scientifiques ont franchi une nouvelle étape vers la résolution d'un mystère persistant avec un nouvel outil qui pourrait permettre des comparaisons plus précises entre l'ADN des humains modernes et celui de nos ancêtres disparus.

    Selon une étude publiée vendredi dans la revue Science Advances, seulement 7% de notre génome est uniquement partagé avec d'autres humains, et non partagé par d'autres ancêtres primitifs.

    "C'est un pourcentage assez faible", a déclaré Nathan Schaefer, biologiste computationnel à l'Université de Californie et co-auteur du nouvel article. "Ce genre de découverte est la raison pour laquelle les scientifiques se détournent de penser que nous, les humains, sommes si différents des Néandertaliens."

    La recherche s'appuie sur l'ADN extrait de restes fossiles de Néandertaliens et de Dénisoviens aujourd'hui éteints remontant à environ 40 000 ou 50 000 ans, ainsi que de 279 personnes modernes du monde entier.

    Les scientifiques savent déjà que les gens modernes partagent un peu d'ADN avec les Néandertaliens, mais différentes personnes partagent différentes parties du génome. L'un des objectifs de la nouvelle recherche était d'identifier les gènes exclusifs aux humains modernes.

    C'est un problème statistique difficile, et les chercheurs "ont développé un outil précieux qui prend en compte les données manquantes dans les génomes anciens", a déclaré John Hawks, paléoanthropologue à l'Université du Wisconsin, Madison, qui n'était pas impliqué dans la recherche.

    Les chercheurs ont également découvert qu'une fraction encore plus petite de notre génome – seulement 1,5% – est à la fois unique à notre espèce et partagée entre toutes les personnes vivantes aujourd'hui. Ces fragments d'ADN peuvent contenir les indices les plus significatifs sur ce qui distingue vraiment les êtres humains modernes.

    "Nous pouvons dire que ces régions du génome sont hautement enrichies en gènes liés au développement neuronal et à la fonction cérébrale", a déclaré Richard Green, co-auteur de l'article, biologiste informatique de Santa Cruz.

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  28. En 2010, Green a aidé à produire la première ébauche de séquence d'un génome de Néandertal. Quatre ans plus tard, le généticien Joshua Akey a co-écrit un article montrant que les humains modernes portent des restes d'ADN de Néandertal. Depuis lors, les scientifiques n'ont cessé d'affiner les techniques pour extraire et analyser le matériel génétique des fossiles.

    "De meilleurs outils nous permettent de poser des questions de plus en plus détaillées sur l'histoire et l'évolution humaines", a déclaré Akey, qui est maintenant à Princeton et n'a pas été impliqué dans la nouvelle recherche. Il a fait l'éloge de la méthodologie de la nouvelle étude.

    Cependant, Alan Templeton, généticien des populations à l'Université de Washington à St Louis, a remis en question l'hypothèse des auteurs selon laquelle les changements dans le génome humain sont distribués de manière aléatoire, plutôt que regroupés autour de certains points chauds du génome.

    Les résultats soulignent "que nous sommes en fait une très jeune espèce", a déclaré Akey. "Il n'y a pas si longtemps, nous partagions la planète avec d'autres lignées humaines."

    https://phys.org/news/2021-07-dna-unique-modern-humans.html

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    Réponses
    1. (...) "Nous pouvons dire que ces régions du génome sont hautement enrichies en gènes liés au développement neuronal et à la fonction cérébrale", a déclaré Richard Green, co-auteur de l'article, biologiste informatique de Santa Cruz. (...)

      Intrinsèquement, nos facultés de concevoir reposent sur le système neuronal adjectif de la mémoire et de la découverte.
      Il est dont évident que notre 'ADN' se modifie au travers des âges.

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  29. Un 'assembloïde' 3D montre comment le SRAS-CoV-2 infecte les cellules du cerveau


    16 JUILLET 2021
    par l'Université de Californie - San Diego


    Des chercheurs de la faculté de médecine de l'Université de Californie à San Diego et du Rady Children's Institute for Genomic Medicine ont produit un modèle de cellules souches qui démontre une voie d'entrée potentielle du SRAS-CoV-2, le virus qui cause le COVID-19, dans le cerveau humain.

    Les résultats sont publiés dans le numéro en ligne du 9 juillet 2021 de Nature Medicine.

    "Les observations cliniques et épidémiologiques suggèrent que le cerveau peut être impliqué dans l'infection par le SRAS-CoV-2", a déclaré l'auteur principal Joseph Gleeson, MD, professeur Rady de neurosciences à la faculté de médecine de l'UC San Diego et directeur de la recherche en neurosciences au Rady Children's Institute. pour la médecine génomique.

    "La perspective de lésions cérébrales induites par COVID19 est devenue une préoccupation majeure dans les cas de" long COVID ", mais les neurones humains en culture ne sont pas sensibles à l'infection. Des publications antérieures suggèrent que les cellules qui fabriquent le liquide céphalo-rachidien pourraient être infectées par le SRAS- CoV-2, mais d'autres voies d'entrée semblaient probables."

    Gleeson et ses collègues, qui comprenaient à la fois des neuroscientifiques et des spécialistes des maladies infectieuses, ont confirmé que les cellules neurales humaines sont résistantes à l'infection par le SRAS-CoV-2. Cependant, des études récentes ont laissé entendre que d'autres types de cellules cérébrales pourraient servir de « cheval de Troie ».

    Les péricytes sont des cellules spécialisées qui s'enroulent autour des vaisseaux sanguins et portent le récepteur du SRAS-CoV2. Les chercheurs ont introduit des péricytes dans des cultures de cellules neurales tridimensionnelles – des organoïdes du cerveau – pour créer des « assembloïdes », un modèle de cellules souches plus sophistiqué du corps humain. Ces assembloïdes contenaient de nombreux types de cellules cérébrales en plus des péricytes et présentaient une infection robuste par le SRAS-CoV-2.

    Le coronavirus a pu infecter les péricytes, qui ont servi d'usines localisées pour la production de SARS-CoV-2. Ces SARS-CoV-2 produits localement pourraient ensuite se propager à d'autres types de cellules, entraînant des dommages étendus. Avec ce système modèle amélioré, ils ont découvert que les cellules de soutien appelées astrocytes étaient la cible principale de cette infection secondaire.

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  30. Les résultats, a déclaré Gleeson, indiquent qu'une voie potentielle du SRAS-CoV-2 dans le cerveau passe par les vaisseaux sanguins, où le SRAS-CoV-2 peut infecter les péricytes, puis le SRAS-CoV-2 peut se propager à d'autres types de cerveau cellules.

    "Alternativement, les péricytes infectés pourraient entraîner une inflammation des vaisseaux sanguins, suivie d'une coagulation, d'un accident vasculaire cérébral ou d'hémorragies, complications observées chez de nombreux patients atteints du SRAS-CoV-2 hospitalisés dans des unités de soins intensifs."

    Les chercheurs prévoient maintenant de se concentrer sur le développement d'assembloïdes améliorés qui contiennent non seulement des péricytes, mais également des vaisseaux sanguins capables de pomper le sang pour mieux modéliser le cerveau humain intact. Grâce à ces modèles, a déclaré Gleeson, une meilleure compréhension des maladies infectieuses et d'autres maladies du cerveau humain pourrait émerger.

    https://medicalxpress.com/news/2021-07-3d-assembloid-sars-cov-infects-brain.html

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    1. (...) Des publications antérieures suggèrent que les cellules qui fabriquent le liquide céphalo-rachidien pourraient être infectées par le SRAS- CoV-2, mais d'autres voies d'entrée semblaient probables." (...)

      La présence inappropriée de nano-particules de graphène dans les seringues-de-mort proposées aux trisomiques explique ce lien avec la 5G capable de les réorienter et de s'en servir pour tuer les personnes heureuses de s'être faites inoculer !

      (...) Les résultats, a déclaré Gleeson, indiquent qu'une voie potentielle du SRAS-CoV-2 dans le cerveau passe par les vaisseaux sanguins, où le SRAS-CoV-2 peut infecter les péricytes, puis le SRAS-CoV-2 peut se propager à d'autres types de cerveau cellules.

      "Alternativement, les péricytes infectés pourraient entraîner une inflammation des vaisseaux sanguins, suivie d'une coagulation, d'un accident vasculaire cérébral ou d'hémorragies, complications observées chez de nombreux patients atteints du SRAS-CoV-2 hospitalisés dans des unités de soins intensifs." (...)

      C'est exactement ce qui se passe lors des inoculations d'expérimentations géniques d'essais (appelées faussement des 'vaccins').

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  31. Quels centres commerciaux seront concernés par le pass sanitaire ? Bruno Le Maire précise


    18.07.2021


    Le ministre de l’Économie a expliqué au JDD que seuls les centres commerciaux de plus de 20.000 mètres carrés seraient obligés de contrôler le pass sanitaire. Il estime aussi que si «les sanctions doivent être dissuasives, elles ne doivent pas être excessives».

    Les contaminations au Covid-19, marquées par la propagation du variant Delta, plus contagieux, sont de plus en plus nombreuses en France, avec environ 11.000 nouveaux cas le 17 juillet. Un regain qui a poussé Emmanuel Macron à annoncer de nouvelles mesures pour lutter contre la crise, dont l’extension du pass sanitaire.

    À partir de début août, le document sera nécessaire dans les centres commerciaux. Ainsi, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, a expliqué dans une interview accordée au Journal du dimanche (JDD) le 17 juillet que seuls les centres commerciaux d’une superficie supérieure à 20.000 mètres carrés devraient être concernés par l’obligation de contrôler le pass sanitaire.

    «Un consensus de la profession sur ce seuil est à portée de main», a-t-il dit auprès du média, voulant rassurer les chefs d’entreprise.
    Aucune menace pour le chiffre d’affaires ?
    Il a également assuré que le pass sanitaire n’impacterait pas le chiffre d’affaires des secteurs concernés, en ajoutant que «c’est la reprise de la pandémie et le retour du confinement qui pourraient menacer leur chiffre d’affaires».

    «Le passe sanitaire ne devrait pas affecter le chiffre d’affaires des secteurs concernés, que nous continuons par ailleurs à soutenir tout au long de l’été grâce au fonds de solidarité. Présenter un QR code, ça ne prend que quelques secondes et ça préserve du risque de contamination».
    Pas de sanctions «excessives»
    M.Le Maire a précisé au JDD que les sanctions devaient être «dissuasives», mais pas «excessives».

    «Ce sera aux parlementaires d'en débattre sur la base de la proposition du gouvernement et du projet de loi qui sera présenté demain en Conseil des ministres», a déclaré Bruno Le Maire.

    «Il serait injuste que ceux qui respectent les règles et qui feront contrôler le pass sanitaire à l'entrée de leur établissement soient pénalisés par ceux qui ne respecteraient pas ces règles», a-t-il précisé en soulignant que ceux qui ne les respecteront pas «ne seront plus éligibles au fonds de solidarité».
    Le projet de loi sur l’extension du pass sanitaire doit être adopté en Conseil des ministres le 19 juillet.

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  32. Où faudra-t-il présenter son pass sanitaire?

    Lors de son allocution le 12 juillet, le Président de la République a déclaré que dès le 21 juillet le pass sanitaire sera obligatoire dans certains lieux de loisir et de culture.

    Il concernera également les cafés, restaurants et certains transports. La mesure s’appliquera à toutes les personnes quel que soit leur statut: clients, usagers, salariés.

    L’initiative a été mal accueillie par certains qui ont accusé le gouvernement de vouloir restreindre les libertés individuelles en imposant ce document. Des manifestations contre le pass sanitaire ont ainsi eu lieu cette semaine dans plusieurs grandes villes du pays.

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    1. (...) Il concernera également les cafés, restaurants et certains transports. (...)

      Au-dessus de 20 000 m² ?

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  33. Note sur les manifestations sous le règne du NOM


    Joseph Stroberg
    Nouveau Monde
    dim., 18 juil. 2021 16:36 UTC


    Les manifestations collectives peuvent-elles servir à quelque chose sous le règne de la « Bête », du Nouvel Ordre Mondial de « Babylone » ?

    Les agents de la Bête que sont les gouvernements et leurs armées et forces policières ont peaufiné sur plusieurs décennies un système répressif tel que seule une manifestation épique et courageuse réunissant au minimum plusieurs millions de Français (pour ce qui concerne la France, prise ici comme exemple) serait capable de l'ébranler aux entournures. Il y a bien longtemps que ces agents ne travaillent plus pour le peuple, si un jour et par hasard ils l'ont fait. Ils servent des intérêts « supérieurs » et souvent invisibles, voire occultes. Une bonne partie d'entre eux, de manière croissante, est choisie dans la population des psychopathes, des sociopathes et autres pervers narcissiques. Aucune clémence ni humanité n'est à espérer de la part de tels individus. Ils ne fonctionnent pas comme le commun des mortels, ce que ces derniers mettent souvent trop longtemps à réaliser.

    Quelques centaines de milliers de manifestants « anti-pass » ou anti « quoi que ce soit d'autre », probablement perçus comme des « majorettes » par les agents de la Bête, pourront-ils empêcher la poursuite du plan de Nouvel Ordre Mondial babylonien ?


    Commentaire : Sans doute pas. Néanmoins, on notera la pitoyable tentative des médias de minimiser ces manifestations : à peine 100 000 manifestants hier d'après eux, alors que la réalité - quand on voit les images et vidéos sur les réseaux sociaux - serait plus proche de 500000. Malgré les mensonges que nous servent BFMTV et consorts, à coup de sondages truqués et/ou biaisés (60% des Français approuveraient le pass sanitaire), il est probable qu'une majorité de Français désapprouve ces mesures. Une majorité pour le moment silencieuse, mais qui pourrait bien finir par s'énerver quand un nouveau confinement sera mis sur la table (quel que soit le taux de vaccination atteint), comme c'est le cas actuellement pour Israël, pays ultra vacciné.


    « Plan ? Quel plan ? Mais vous délirez, mon cher ! Une telle planification mondiale est impossible. »

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  34. Intellectuel sceptique lambda qui croit que la science a réponse à tout (ce qui se comprend depuis qu'elle est devenue la religion universelle de l'Humanité).
    Quel plan ? Celui que bien des prophètes puis des « complotistes » ont révélé au cours des âges. La finalité en est l'asservissement de l'Humanité, du moins de sa partie qui n'aura pas été détruite auparavant. Il est apparemment en très bonne voie, réalisé à plus de 90 %. La vaccination anti-Covid en est une des toutes dernières étapes. Les « complotistes » avaient averti depuis le début de cette présente crise « plandémique » que le but de celle-ci était la vaccination de 7 milliards d'êtres humains, de gré ou de force, pour imposer une identification universelle. Celle-ci commence dans divers pays par l'établissement d'un passeport sanitaire], une prétendue preuve de bonne santé sans laquelle il ne sera bientôt plus possible de vivre normalement. Elle se terminera assez probablement par un implant de nature microscopique ou nanotechnologique, suffisamment petit (et dont diverses approches ont été brevetées) pour pouvoir être contenue dans un « vaccin ».

    Si ceci est réel, pensez-vous que des manifestations ridicules (dans la perception des agents de la Bête) de quelques centaines de milliers de « majorettes » pourront y changer quelque chose ? Surtout lorsque ces amuseurs qui défilent en arborent le signe de leur soumission au Système de la Bête : le « masque » de l'antique comédie et de l'esclavage. Et même si par hasard un Macron tombait, il serait simplement remplacé par un autre agent, éventuellement encore pire. En passant, que signifie « Emmanuel » en hébreu ?

    Dieu est parmi nous.
    Mais de quel « Dieu » s'agit-il ici ? Étant donné le contexte actuel, il est raisonnable d'estimer qu'il s'agisse de la même entité qui se trouve derrière la planification du NOM.

    Récapitulons brièvement la situation (que bien sûr sur un plan strictement scientifique on gagne à ne voir que comme une théorie) :
    il existe un plan plus que millénaire ;
    ce plan est presque achevé ;
    l'étape actuelle est le marquage de l'humanité comme du bétail, par le biais de la vaccination anti-Covid ;
    quelques millions de « majorettes » dans le monde s'imaginent pouvoir simplement l'interrompre par quelques manifestations de mécontentement ici es là alors que dans le même temps, elles portent le signe de la soumission à la Bête ;
    ce Système babylonien du Nouvel Ordre Mondial est basé sur la science (notamment la pharmacie) et la technologie (et particulièrement tout ce qui a été permis par l'informatique) ;
    il est financé par des milliardaires (dont Bill Gates, son principal prophète) qui se sont arrangés pour contrôler les principaux médias, y compris ceux de l'Internet pour s'assurer que le discours qui en sort soit favorable à leur plan.

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  35. Comme évoqué dans l'article Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial, le point crucial de la phase actuelle du plan élitiste est la vaccination propulsée par les entreprises pharmaceutiques, les médias dominants et les gouvernements de presque tous les pays du monde. Pour l'instant rien ne l'arrête. Si cette étape va jusqu'au bout, la prophétie apocalyptique du marquage de l'Humanité sera complétée. Une seule chose peut l'empêcher : le point faible. Celui-ci est la théorie virale qui est en fait fallacieuse (comme démontré dans l'article cité ci-dessus, du moins à ceux qui ont des yeux pour voir et des oreilles pour entendre. Pour les autres, cet article ne sera qu'une insignifiante brise d'été qui passe sans être remarquée).

    Si la théorie virale est reconnue comme frauduleuse et fallacieuse, alors bien évidemment le dogme vaccinal en prend aussi largement pour son grade et s'effondre à son tour. Et la vaccination finit enfin par être massivement reconnue comme une vaste escroquerie et comme un crime contre l'Humanité, alors le plan du NOM s'arrête dans les heures suivantes. C'est à la fois imparable, très simple, mais aussi très difficile, car cela nécessite que même les personnes les plus impliquées dans le processus, et surtout elles (celles du monde médical et pharmaceutique) se réveillent véritablement et ne continuent pas à rêver qu'elles sont réveillées (pour certaines d'entre elles) ni à dormir au gaz (pour la grande majorité des autres).

    https://fr.sott.net/article/37539-Note-sur-les-manifestations-sous-le-regne-du-NOM

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    1. Pourquoi ce 'Plan Dépopulation21' est-il sur pied ?

      Parce que les guerres n'ont jamais permis d'éliminer le nombre d'individus sur Terre. Il est FAUX de dire que notre planète ne peux supporter 7 milliards d'habitants car elle peux en faire vivre tous même avec ce chiffre multiplié par 10. Il peux y avoir 70 milliards de personnes avec véhicules et maisons, notre planète ne pèsera pas un gramme de plus ! (comme il peut y avoir 100 milliards d'arbres).
      Depuis l'aube de la vie sur Terre tout se recycle. Une forêt incendiée part en fumées et tous les gaz se recyclent et redeviennent matière.

      Ce 'Plan' est une lutte contre l'intelligence qui dépasse de loin celle des dictateurs au pouvoir. L'arrivée de l'Internet a fait exploser les Q.I. C'est pourquoi tout est prêt pour accéder à la Démocratie où c'est le Peuple qui dirige. C'est le Peuple qui propose SES propres lois et vote SES propres lois.

      Ce plan aboutit à transformer des virus (sortis naturellement du magma depuis des milliards d'années) en des virus différents réputés n'avoir de remède miracle dans les 48 heures. C'est là que la phase 2 entre en piste avec des FAUSSES vaccinations où c'est le virus lui-même qui est injecté !! et, pour les personnes qui en survivent, le 'marquage de la bête'. En quoi cela consiste t-il ? L'inoculation de nano-particules ferriques issus du graphène porte à ce que ces dernières puissent être captées par la 5G (donc sans besoin de téléphone à proximité). Les personnes porteuses de ces relais perdront leur propre esprit car les informations du quoi-penser et du quoi-dire seront transmises par les tours-relais installées dans toutes villes ou campagne (en plus des éoliennes qui sont déjà de puissantes antennes).
      C'est ce qui est appelé le transhumanisme.
      D'où la perte TOTALE d'autonomie.
      C'est la domestication de toutes les personnes qui se sont faite inoculer.
      C'est donc la régression du nombre de naissance et exponentielle augmentation du nombre de meurtres commandés tandis que tous souvenirs en seront effacés.

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  36. Covid-19 - Rapport de situation planétaire du 17 juillet 2021


    Dominique Delawarde
    Réseau International
    dim., 18 juil. 2021 17:06 UTC


    Observations factuelles : La contamination et la mortalité sont, à l'été 2021 et après 3,6 milliards de doses de vaccins injectées, beaucoup plus élevées (à très peu près, le double) de ce qu'elles étaient à l'été 2020 sans vaccination.

    Les pays les plus pauvres, dont 1% seulement de la population est vacciné, sont ceux qui affichent les taux de mortalités Covid les plus faibles (inférieurs à 1, mais le plus souvent à 0,5 pour mille).

    - voir carte sur site -

    Les pays les plus riches, les plus « avancés », les plus vaccinés (de 30% à 70%), les plus assistés médicalement, mais aussi les plus âgés, les plus fragiles, les plus touchés par le surpoids et l'obésité, sont ceux qui continuent d'afficher les taux de mortalité les plus élevés au monde. (supérieurs à 1, voire à 2 ou 3 pour mille).

    Après 18 mois d'épidémie, le taux de mortalité Covid planétaire reste dérisoire (0,525 pour mille habitants), comparé à d'autres maladies plus ou moins difficilement curables (cancer, sida et surtout « famines »).

    La population terrestre continue d'augmenter, malgré la Covid au rythme élevé de 70 à 73 millions d'habitants par an.

    En 18 mois d'épidémie, 4,1 millions d'individus, très âgés, fragiles et souvent déjà malades sont décédés « avec la Covid » alors que plus de 100 millions d'individus sont décédés dans le monde, de bien d'autres causes...

    Il faut donc RE...LA...TI...VI...SER, apprendre à « vivre avec », apprendre à « traiter précocement » pour limiter la mortalité, comme on l'a déjà fait dans le passé pour nombre de maladies. Il faut aussi, en Europe, cesser de supprimer des lits d'hospitalisation au nom de la « rentabilité » alors que notre population vieillit et donc se fragilise.

    En Europe, la gestion suédoise de l'épidémie qui a donné des résultats bien meilleurs que les nôtres, devrait désormais être prise en exemple, en palliant ses faiblesses dans la prise en charge et le traitement des personnes âgées en établissements hospitaliers.

    Après avoir plafonné dans la semaine du 24 avril au 1er mai, puis baissé fortement en mai et juin les nombres hebdomadaires de contamination et de décès ont amorcé une nouvelle hausse depuis début juillet, en dépit d'une vaccination de masse déjà bien avancée dans de nombreux pays.

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  37. Cette évolution reste très contrastée d'un pays à l'autre. La situation s'est nettement améliorée, comme l'année dernière à la même époque, en Europe, en Amérique septentrionale et en Asie de l'Ouest qui sont au cœur de l'été. Les deux exceptions les plus notables à ce tableau sont ceux de la Russie et du Royaume Uni dont la situation se détériore depuis début juin. L'Inde, est très largement sortie d'un épisode épidémique sévère qui a duré deux mois. Le nombre hebdomadaire de décès en Inde a encore baissé de 10 % par rapport à la semaine précédente. Cette baisse devrait se poursuivre dans les jours prochains. Notons que c'est le traitement précoce et massif à l'ivermectine et non la vaccination qui est à l'origine de cette évolution spectaculaire, puisque moins de 6% de la population indienne (moins de 78 millions) ont reçu, à ce jour, leurs deux doses requises.

    En dépit d'une vaccination à marche forcée et très avancée (au Chili, par exemple), la situation de l'Amérique latine, dont de nombreux pays sont entrés en hiver austral, ne s'améliore pas très vite.

    Le caractère saisonnier de la maladie semble bien l'emporter sur l'immunité vaccinale présumée. L'Amérique latine est donc redevenue, avec l'Asie (Indonésie, Inde) l'épicentre actuel de l'épidémie, comme l'année dernière à la même époque.

    La situation de l'Afrique se stabilise. L'Afrique du Sud, qui vaccine pourtant beaucoup plus que les autres, mais qui est en hiver austral, a été sujette à un fort accès de fièvre mais s'est désormais stabilisée à un niveau élevé pour un pays africain (+ 2 512 décès en 1 sem).

    Sur le plan de la vaccination, on observe clairement que les campagnes vaccinales massives n'ont pas les résultats escomptés pour mettre un terme à l'épidémie. Malgré le taux de vaccination et l'arrivée de l'été, la contamination hebdomadaire repart en très forte hausse au Royaume Uni (+36 % en 1 sem) suivie par la mortalité (+57 % en 1 sem). Au Chili, pourtant vacciné d'une première dose à 70 % et qui est entré en période hivernale, le nombre de décès reste encore équivalent à ce qu'il était l'année dernière, à la même époque, sans vaccin (96 décès/j contre 99). Par ailleurs, après plusieurs mois d'observation (6 à 7 mois selon les pays), il s'avère que les nombres d'effets secondaires post-vaccinaux graves et de décès observés, sont sous-déclarés, peu relayés dans les médias et très supérieurs à ce qu'on attendait et à tout autre vaccination connue.

    Dans ces conditions, il reste encore impossible d'établir une balance bénéfice-risque fiable des vaccins expérimentaux, notamment pour les moins de 50 ans dont les taux de mortalité Covid sont dérisoires. Ces faits ne peuvent qu'interpeller un analyste attentif.

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  38. L'observation de l'évolution actuelle de l'épidémie en Amérique latine dans les pays les plus vaccinés devrait nous alerter sur ce qui pourrait bien nous arriver très bientôt. Vaccinés ou pas, nous pourrions bien connaître un autre épisode épidémique, avec d'autres variants résistant au vaccin, sachant que les caractères saisonnier et mutant de cette maladie virale apparaissent de plus en plus clairement.

    Cela étant dit, la mortalité Covid se substituant à d'autres causes et restant dérisoire, il n'y a pas vraiment de perte d'espérance de vie d'une part, et l'augmentation de la population mondiale se poursuit à un rythme soutenu d'autre part (+44 millions de « terriens » depuis le début de l'année 2021 et cela, malgré l'épidémie en cours).

    Il n'y a donc pas encore matière à s'inquiéter pour une très improbable réduction de la population de la planète dans les années qui viennent.

    Mais comme le font déjà les asiatiques et les africains, les britanniques et les israéliens, ainsi que l'IHU de Marseille qui a montré l'exemple, la France devrait faire effort sur la recherche et l'application de traitements précoces à domicile pour éviter la saturation rapide de ses structures hospitalières au moindre accès de fièvre. Le vaccin ne réglera certainement pas tout.

    Présentation des courbes de contamination et de décès planétaires :

    - voir graphique sur site -

    S'agissant de la mortalité, la baisse observée depuis le 4 mai semble provisoirement terminée. Le nombre de décès est reparti en légère hausse sur tous les continents en 2ème semaine de juillet.

    - voir graphique sur site -

    À noter que l'arrivée de la vaccination n'a pas changé grand-chose, à ce jour. Aujourd'hui, 3,6 milliards de doses de vaccin auraient été injectées mais moins de 12 % seulement des habitants de la planète auraient reçu leurs deux doses de vaccin.

    Les taux de guérison sont très rassurants, sur 190 millions de personnes déclarées positives à la Covid depuis le début de l'épidémie, 173,5 millions ont été déclarés guéris, soit plus de 91%. 12,7 millions seraient encore en cours de soin, 4,1 millions seraient décédés « avec la Covid », et pour l'énorme majorité de ces derniers, des personnes déjà très âgées, et atteintes de comorbidité.

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  39. Ces taux de guérison varient d'un continent à l'autre en fonction de l'âge des population concernées et surtout de la gestion plus ou moins efficace de l'épidémie. Mais il est aujourd'hui presque partout supérieur à 90% à l'exception de l'Amérique latine, qui est entré dans l'hiver austral et qui est devenu, avec l'Asie (Indonésie) le nouvel épicentre de l'épidémie.

    Pour conclure cet avant propos, le lecteur est invité à prendre connaissance, en vidéo sous titrée, des commentaires du professeur américain Peter McCullough sur le discours du 12 juillet du président Macron. Ce professeur fait autorité aux USA et y a déjà été auditionné par le Sénat sur la question de la Covid. Ses commentaires me semblent devoir être pris au sérieux.

    https://fr.sott.net/article/37540-Covid-19-Rapport-de-situation-planetaire-du-17-juillet-2021

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    1. Du jamais vu de chez jamais vu ! Il y a des grippes ou rhumes en plein été !

      Depuis toujours, ces coronas n'étaient lestés et ne retombaient sur terre qu'avec les brouillards, les pluies ou la neige, c'est-à-dire en hivers. Or, cette année (comme l'an passé !) il y a des arrivées de virus difficilement explicables sinon par l'emploi de drones ou de chemtrails derrière les avions.

      Pareillement que de 'nouveaux virus' est scientifiquement impossible (car le magma ne cache pas sous terre quelques laboratoires secrets), aucun merdias ou politichiens ne peut en expliquer la présence de ces nano-particules dans l'air !! Çà alors !

      De plus, alors que cette nano-épidémie est discutée dans le monde, il est proposé... des inoculations létales pour tous !

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  40. L'auto-défense immunitaire, un espoir et une piste


    lephénix
    Agoravox
    sam., 17 juil. 2021 07:21 UTC


    Les maladies du système immunitaire sont en nette augmentation ainsi que les maladies chroniques dites de « civilisation ». Une méthode permet de mobiliser les ressources propres de l'organisme pour lutter contre elles.

    Notre corps dispose de ses propres défenses contre ce qui entrave son bon fonctionnement ou ce qui menace son intégrité comme sa survie. Le terme « immunité » désigne cette capacité du corps à se défendre contre les agents pathogènes qui l'envahissent . Ces pathogènes sont légion dans notre société hyper industrialisée, hyper complexifiée et hyper fragilisée qui suractive et épuise notre système immunitaire... Ce dernier peut être comparé à une armée qui défend son château, c'est-à-dire notre organisme dont il assure la bonne régulation.

    Notre corps est mis à mal dans une « civilisation » sursaturée de toxines en tous genres (métaux lourds, perturbateurs endocriniens, etc.).. Ces dernières nous pénètrent sans répit, jour après jour, par la pollution de l'air, de l'eau, de l'alimentation dénaturée et même de nos habitats. De pire en pire : les nanotoxiques produits par l'ingénierie moléculaire des nanotechnologies envahissent notre quotidien, des aliments humains et animaux jusqu'aux cosmétiques, vêtements, prothèses, médicaments et même compléments alimentaires.

    Naturopathe et titulaire d'un doctorat en immunologie, Karine Bernard constate une « augmentation des maladies du système immunitaire telles que les maladies auto-immunes ou allergiques » ainsi qu'une « augmentation des maladies chroniques modernes qui incluent l'obésité, le diabète de type 2, les maladies cardiovasculaires, l'athérosclérose, les maladies neurodégénératives et les cancers ».

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  41. L'alimentation, modulateur de l'inflammation chronique

    La « malbouffe » industrielle semble « la cause la plus fréquente de l'immunodéficience au niveau mondial ». Notre alimentation hyper-transformée suractive notre système immunitaire. Celui-ci produit alors des anticorps « et parfois se trompe en produisant des auto-anticorps ». Ainsi, « l'alimentation toxique perturbe énormément notre écosystème intestinal et facilite l'hyperperméabilité intestinale et la bascule de notre microbiote vers une prédominance de flore pathogène ». Ne creuserions-nous pas notre tombe avec le chariot de « victuailles » que nous poussons bien trop distraitement vers la caisse de notre supermarché ? La réponse inflammatoire est la « première ligne de défense du corps contre les lésions tissulaires et/ou l'invasion microbienne ». Cette « réponse immunitaire devrait s'auto-limiter » et ne pas s'installer dans une chronicité silencieuse qui déstabilise l'immunité. Un état inflammatoire chronique pourrait mener à une « lésion tissulaire irréversible ».

    Aussi nous faudrait-il, pour ménager et stimuler notre système de défense, adopter une nutrition anti-inflammatoire, antioxydante et immuno stimulante, à base de graisses monoinsaturées de type oméga-9 (huile d'olive, avocat) et de graisses poly-insaturées de type oméga-3 (colza, lin, poissons gras). Dans notre trousse de secours d'urgence, il nous faudrait intégrer au quotidien des aliments anti-inflammatoires bien connus (ail, ail des ours, légumes à feuilles vertes, céleri, betterave, graines de chia ou de lin) et privilégier des nutriments anti-oxydants (vitamine C, D, E, caroténoïdes, polyphénols et minéraux comme le zinc, le cuivre, le manganèse et le sélénium).

    Les piliers de la santé

    Notre écosystème intestinal constitue le premier pilier de notre santé. Autant prendre soin de son microbiote et de sa muqueuse intestinale en privilégiant des aliments contenant des fibres non digestibles, des aliments fermentés (chou blanc lacto-fermenté, kéfir, tempeh, jus de légumes fermentés, kimchi, etc.). et, dans certains cas, des compléments alimentaires sous forme de probiotiques, prébiotiques, symbiotiques et anti-microbiens naturels.

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  42. Il est évident que « l'hygiène intestinale démarre bien souvent dans la bouche ». Une hygiène bucco-dentaire appropriée, avec des bains de bouche à l'huile (sésame, coco) empêche la formation de la plaque dentaire et prévient les gingivites ainsi que les periodontitis. Nombre de substances bénéfiques (huile essentielle de basilic sacré ou d'eucalyptus, extraits de feuilles de romarin, gel d'Aloe Vera, gingembre, etc.) favorisent également la santé bucco-dentaire.

    Second pilier de notre santé, pour rappel : l'immunonutrition par une alimentation anti-inflammatoire et antioxydante. Troisième pilier : l'homéostasie de notre milieu intérieur. Elle est assurée en bonne partie par le foie, considéré comme un véritable « organe immunologique ». Aussi supprimera-t-on les sources de surcharge hépatique (blé, produits laitiers, aliments frits, gras hydrogénés et trans, gras saturés, abats et charcuteries, confiseries, biscuits et produits sucrés, alcool, café, etc.). L'on favorisera la synthèse naturelle de glutathion, cette molécule synthétisée dans l'organisme à partir de trois acides aminés (glutamine, glycine et cystéine) par l'apport de différentes substances en quantités suffisantes comme les vitamines C, E, B1, B2, B6, B12, folate, sélénium, magnésium et zinc. L'action hépato-protectrice de l'artichaut et du radis noir sont bien connues ainsi que celle du curcuma aux propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires éprouvées et du Chardon-Marie qui stimule la régénération des cellules hépatiques.

    Autres piliers : une bonne hygiène de vie par l'activité physique et la « mise à terre » (en privilégiant le contact de la peau avec la surface de la Terre), l'attention portée au système psycho neuro endocrinien et une action directe sur le système immunitaire par des approches d'immuno-phytothérapie, d'immuno-aromathérapie, de mycothérapie et de micro-immunothérapie. Les vertus anti-inflammatoires de certaines huiles essentielles comme celles de l'encens, de la myrrhe, de la noix de muscade ou de la menthe poivrée stimulent le système immunitaire.

    L'utilisation de certains champignons comme le Reishi, le shitaké, le coriolus ou le Maïtaké est également recommandée pour moduler le système immunitaire. Ainsi que la consommation d'eau alcaline ou ionisée.

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  43. Le mal des ondes

    Après quatre années d'études sur le cancer du mélanome (laboratoire NIH, Bouder, Colorado), Karine Bernard rappelle une « association claire entre l'augmentation de l'incidence et de la mortalité du mélanome de la peau et le rayonnement des radiofréquences FM ». Des chercheurs suédois ont conclu que la « perturbation continue des mécanismes de réparation cellulaire par des champs électromagnétiques semble amplifier les effets cancérogènes résultant des dommages cellulaires causés par les rayonnements UV ».

    Ainsi, la « cause principale du mélanome est un manque de réparation cellulaire lié à un système immunitaire perturbé par les champs radiofréquences ». Au nombre des stratégies susceptibles de réduire les effets nocifs des champs électromagnétiques : l'exercice, la restriction calorique (comme le jeûne intermittent), l'optimisation du niveau de magnésium, une alimentation riche en antioxydants et anti-inflammatoires, etc.

    Bien évidemment, l'on évitera les gadgets « connectés » et autres téléphones sans fil ainsi que le WI-FI et l'on préférera une connexion filaire. Idéalement, l'on choisira un habitat loin de toute antenne... Ainsi, ce qui caractérise la vie, la vraie « vie bonne », se révèle comme l'exact contraire d'une relation d'indifférence et d'apathie à son milieu... Karine Bernard a créé la méthode ISIS (« Solutions en Immunomodulation intégrative et systémique »). Ce modèle, on l'a vu, intègre le système immunitaire dans le traitement des maladies par un changement de mode de vie et une optimisation des défenses immunitaires. Sa méthode est mise en volume en un précis d'immunothérapie hyper documenté mettant à la portée de tous une véritable éducation à la santé avec un arsenal d'armes anti-âge des plus naturelles, susceptibles de déprogrammer un vieillissement qui n'a rien d'une fatalité...

    Notre auto-défense immunitaire se fonde autant sur notre capacité à cesser de nous nuire qu'à nous réinventer et à réinventer notre société confrontée à l'incertitude environnementale comme aux lois de la thermodynamique et aux pénuries annoncées : un corps sain dépend aussi d'un écosystème sain. Comment rester sain sous la pression d'injonctions à nous adapter à une société de plus en plus folle ? S'éteindre paisiblement à un âge avancé et en bonne santé est somme toute une mort rare, réservée à quelques privilégiés. Ce privilège de durer dans son être en conscience, affranchi de l'insoutenable « nécessité » du vieillissement, peut-il être considéré comme un "droit humain" et la « vraie mesure de notre vie » ?

    https://fr.sott.net/article/37541-L-auto-defense-immunitaire-un-espoir-et-une-piste

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