- ENTREE de SECOURS -



lundi 12 juillet 2021

Discution Dr Louis Fouché-Dr-Eric-Loridan - 11 Juilet 2021

https://odysee.com/@fredericdotto:9/Discution-Dr-Louis-Fouch%C3%A9-Dr-Eric-Loridan:7 

60 commentaires:

  1. 😎 Visualisation de la taille relative des particules (comme COVID-19)

    mardi 20 octobre 2020

    https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/visualisation-de-la-taille-relative-des.html

    alors que 'le masque le plus fin' (FFP2/N95 avec valve d'expiration) a un écart de mailles de 3 MICRONS !
    HAHAHAHAHA !

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  2. "Pas ESG-Friendly" - 20 tonnes d'eau utilisées pour éteindre l'incendie de Tesla à Taïwan


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 12 JUIL 2021 - 05:45


    Dans le cadre de la grande réinitialisation de COVID, la période de transformation a été une énorme opportunité pour les législateurs et les entreprises de pousser les voitures électriques aux masses car ils disent que ces véhicules sont « ESG-Friendly ».

    Nous garderons la partie minière des minéraux pour les batteries électriques pour une conversation entièrement différente. Aujourd'hui, nous voulons nous concentrer sur la quantité d'eau douce nécessaire pour éteindre un incendie dans une voiture électrique par rapport à un moteur à combustion interne.

    La semaine dernière, dans la ville de Tainan, à Taïwan, les pompiers ont utilisé environ 20 tonnes d'eau pour éteindre un incendie après qu'une Tesla s'est écrasée et a pris feu.

    Le capitaine des pompiers Chiu Yuan-ming a déclaré à Taiwan News qu'environ trois tonnes d'eau sont nécessaires pour éteindre un incendie de moteur à combustion interne. Cependant, a-t-il noté, une énorme quantité d'eau est nécessaire pour éteindre un incendie de véhicule électrique.

    La Tesla en question a percuté un immeuble résidentiel mercredi et a pris feu. Le conducteur a survécu et a été secouru avant que le feu ne dévore le véhicule. Il n'y avait aucun mot si le véhicule Tesla était en pilote automatique lors de la collision.

    Il a fallu au moins une heure aux pompiers pour éteindre l'incendie en pulvérisant 20 tonnes d'eau sur la Tesla.

    Le capitaine des pompiers Chiu a souligné les recherches selon lesquelles plus de 75 tonnes d'eau sont nécessaires pour éteindre un incendie Tesla. La raison en est que les batteries sont compactées avec du lithium métal hautement combustible.

    Un autre incendie plus tôt ce mois-ci dans une banlieue de Philadelphie a poussé les pompiers à pulvériser un jet d'eau constant pendant plus de 90 minutes sur une Tesla Plaid qui avait pris feu dans ce qu'on a appelé des « circonstances étranges ».

    Les ventes de véhicules électriques montent en flèche dans le monde entier et les pompiers n'ont pas encore reçu la formation ou l'équipement adéquat pour éteindre rapidement un incendie de batterie au lithium - ils gaspillent donc 20 à 75 tonnes d'eau pour un incendie de véhicule unique par rapport à un moteur à combustion qui n'en a besoin que de 3 tonnes.

    Gaspiller des tonnes et des tonnes d'eau pour les incendies de véhicules électriques n'est pas respectueux de l'ESG, en particulier lorsque certaines régions du monde connaissent des mégasécheresses violentes.

    https://www.zerohedge.com/markets/not-esg-friendly-20-tons-water-used-extinguish-tesla-fire-taiwan

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    1. 20 mètres cubes d'eau pour éteindre... une voiture !!! HAHAHAHA !

      Imaginez que... 2 voitures (ou plus !) électrique entrent en collision ! HAHAHAHA !

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  3. Leçons d'or des années 1970


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 12 JUIL 2021 - 06:30


    Par perception des variantes

    Le cas à long terme pour l'or reste intact. Le ratio du M1 américain total (ajusté pour tenir compte de la récente reclassification des dépôts d'épargne) par rapport à l'or a continué d'augmenter, montrant que la tendance sous-jacente reste haussière.

    - voir graphique sur site -

    Une tendance haussière à long terme ne signifie pas que les choses évoluent en ligne droite. Même le marché haussier de l'or pendant la forte inflation des années 1970 a connu un krach prolongé de plus de 40 % pendant un an et demi à partir de 1974/75 et un autre krach de 20 % en 1980 qui a finalement abouti à 50 % du pic au creux.

    - voir graphique sur site -

    Contre-intuitivement, les taux extrêmement négatifs observés en 1974/75 et 1980 marquaient des sommets en or. En 1975, les citoyens américains privés ont été autorisés à recommencer à posséder de l'or dans un environnement macroéconomique d'inflation accrue, on aurait donc pu s'attendre à ce que les prix de l'or augmentent à partir de 1975, mais c'est exactement le contraire qui s'est produit.

    https://www.zerohedge.com/markets/gold-lessons-1970s

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    1. Le 'prix de l'or' (Hahaha !) n'a subi qu'une très légère hausse depuis 1970 !
      Or, en cinquante ans les choses ont évoluées un plus rapidement !!
      Et, 'le prix de l'or' n'a pas suivi ! Çà alors ! Hahahaha !

      Alors qu'aujourd'hui le cube de 21 m d'arête devrait être à 100 fois (1000 ?) plus cher... il n'en est rien !!!
      (augmentation de la population = nombre de billets en circulation en hausse)
      Çà alors ! Hahahaha !

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  4. Fuir… En Chine ?


    lundi, 12 juillet 2021 06:53


    Ce qui était juste une boutade, une provocation dans ma bouche il n’y a que quelques mois de cela est en train de faire son chemin.

    Si vraiment ça part en cacahuète à l’ouest, s’ils veulent faire en quelques mois à l’Occident et dans une violence absolue ce que la Chine d’après Mao à mis 50 ans à faire, ne serait-t-il pas plus intelligent que pendant cette "brève période de transition", d’aller se réfugier directement au quartier général du parti communiste, en Chine, là où le taff a déjà été fait ? A mon avis ça devrait être plus tranquille en Chine pendant cette période non ?

    On oublie tout nos rêves de liberté d’expression qui n’existent plus de toutes les façons dans le monde libre, on oublie aussi notre liberté d’entrepreneurs, on oublie tout là. Et la seule chose qui importe c’est juste de pouvoir vivre et d’attendre, s’ils viennent de notre vivant des jours meilleurs pour rentrer au pays. Eh bien dans ce cas précis, je me pose sérieusement la question de fuir en Chine. Sérieusement, on vit pas trop mal en Chine si on ferme sa gueule et si on accepte de ne plus trop avoir de libertés individuelles. (Putain, je ne crois même pas ce que je suis en train d’écrire… en 2021 on en est là, à se poser la question de fuir l’Europe pour aller se réfugier… en Chine ! En Chine putain de merde !!!)

    On voit bien que les dirigeants à l’Ouest rêvent de transformer le monde libre d’hier en Chine d’aujourd’hui et utilisent cette pandémie, qu’elle soit vraiment grave ou pas, qu’elle soit naturelle ou d’origine humaine pour forcer en quelques mois un calendrier qui aurai du prendre 50 ans.

    L’Occident est gravement en retard par rapport à la Chine en termes de contrôle total de la population et ça ne peux plus durer. La transition va-t-être rapide et d’une violence inouïe et sérieusement il ne fera pas bon vivre en Occident dans les mois à venir. Donc moi je dis : Pourquoi pas la Chine ?

    Et dans l’absolue, Hong Kong, là où je réside pour le moment me semble l’option la plus sûre pour le moment. On est déjà protégé et annexé par la Chine, tout est sous contrôle, tout en étant dans un pays à forte influence Occidentale. Pour un expat venant de l’Ouest c’est l’Idéal. Au fait, je continue à voir tous les jours des Hongkongais qui fuient Hong Kong pour aller se réfugier en Angleterre... Les gars sont malades. Mais ça permet aussi de mettre sur le marché plein de belle voitures et du beau mobiliers pour pas cher.

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  5. Certains parlent de l’Amérique du Sud, mais j’ai des doutes. Il n’y a qu’à voir ce qu’ils ont fait au président d’Haïti qui n’était pas assez coopératifs en matière d’obligation vaccinatoire. A mon avis certains d’entre eux ne vont pas tarder à coopérer bien comme il le faut. Je pense au président du Salvador qui parle de s’émanciper du Dollar Américain au profit du BTC, à mon avis ils vont là lui faire à la Lybienne. Pour info, le Colonel est mort peu après avoir sérieusement parlé de créer une monnaie Africaine accolée à de véritables réserves d’Or.

    Bref… c’est la merde et je raconte n’importe quoi non ?

    https://www.objectifeco.com/dans-la-vie-des-auteurs/fuir-en-chine.html

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    1. Quitter une dictature pour une autre ? Whôaw !
      La Chine (comme les USA) est un république ! et non une Démocratie comme en Suisse.

      Faut dire que la nano-épidémie y est pour beaucoup ! Pensez-donc ! Entreprises fermées = vive le déménagement !

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  6. Les rendements obligataires faibles signifient une croissance faible


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 12 JUIL 2021 - 09:08
    Rédigé par Daniel Lacalle,


    Les banques centrales doivent savoir maintenant que vous ne pouvez pas avoir de taux d'intérêt négatifs avec des rendements obligataires faibles et une forte croissance. Un ou l'autre.

    Les banques centrales ont choisi à tout prix des rendements obligataires bas, malgré tous les signes d'une stagnation à venir. Cela crée d'énormes problèmes et des incitations perverses.

    Il n'est pas surprenant que les marchés aient rebondi de manière agressive, tirés par le secteur de la technologie, après une chute due aux inquiétudes concernant le rythme de la croissance économique. Les effets du plan de relance sont de plus en plus courts, et c'était assez évident dans les mauvais chiffres de la production industrielle et la jauge des attentes de l'enquête ZEW. Il en va de même pour l'affaiblissement de l'indice ISM aux États-Unis. Aux États-Unis, l'ISM Services PMI s'est établi à 60,1, en deçà des attentes (63,5) en juin, précisément dans le secteur où la reprise devrait être la plus forte.

    Fait intéressant, les marchés européens ont fortement baissé après que la Banque centrale européenne a envoyé le message ultime de dovish, un changement de son objectif d'inflation qui permettrait à la banque centrale de dépasser sa limite de 2% sans changement de politique. Qu'est-ce que tout cela nous dit ?

    Premièrement, que l'effet placebo des plans de relance montre un impact plus court. Les milliards de dollars dépensés créent un petit effet positif qui dure moins de trois mois mais laisse derrière lui une énorme traînée de dettes.

    Deuxièmement, les banques centrales sont de plus en plus les otages de gouvernements qui ne limiteront tout simplement pas les dépenses déficitaires et ne mettront pas en œuvre des réformes structurelles. L'indépendance des autorités monétaires a longtemps été mise en doute, mais il est désormais clair que les gouvernements utilisent des politiques accommodantes comme un outil pour abandonner les réformes structurelles, et non pour gagner du temps. Aucune économie développée ne peut tolérer une légère augmentation des rendements des obligations d'État, et avec une inflation persistante des biens et services non reproductibles, cela signifie une stagnation à venir avec des prix plus élevés, un mauvais présage pour l'économie globale.

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  7. Troisièmement, ce qui est plus préoccupant, les acteurs du marché le savent et prennent des niveaux de risque incrémentiels sachant que les banques centrales ne diminueront pas, ce qui conduit à un environnement plus fragile et à des niveaux extrêmes de complaisance.

    - voir graphique sur site -

    Les secteurs dits de valeur se sont repliés sur les marchés actions, ce qui montre que la reprise a été valorisée et que le risque à venir est l'affaiblissement des marges et la faible croissance, tandis que les bénéficiaires traditionnels des « taux bas pour toujours » ont atteint de nouveaux sommets.

    Malgré les inquiétudes des agences de notation concernant le chiffre croissant de la dette providentielle déchue, il y a une extrême complaisance parmi les investisseurs à la recherche de rendement, et ils achètent des obligations de pacotille au rythme le plus rapide depuis des années malgré un nombre croissant de faillites.

    Les banques centrales justifient ces actions en considérant que l'inflation est transitoire mais ignorent les risques de prix élevés même si le rythme d'augmentation de ces prix ralentit. Si les prix des aliments et de l'énergie augmentent de 30 % puis chutent de 5 %, ce n'est pas « transitoire » pour les consommateurs qui subissent l'augmentation des prix des choses qu'ils achètent tous les jours, un problème qui s'est déjà produit en 2020 et 2019. Les plus affectées sont les classes moyennes-basses et pauvres, car elles ne voient pas d'effet de richesse de la hausse des prix des actifs.

    Une inflation persistante et des politiques budgétaires et monétaires mal orientées ne sont pas des outils de croissance, mais de stagnation et d'endettement.

    Jusqu'à présent, les banques centrales pensent que leurs politiques fonctionnent car les marchés des actions et des obligations restent solides. C'est comme donner plus de vodka à un alcoolique parce qu'il n'est pas encore mort d'une cirrhose. Les faibles rendements obligataires et les niveaux élevés de dette à rendement négatif ne sont pas le signe d'un succès monétaire mais la preuve d'une profonde déconnexion entre les marchés et l'économie réelle.

    Les banques centrales ont déjà déclaré qu'elles continueraient d'appliquer des politiques ultra accommodantes, quoi qu'il advienne de l'inflation dans au moins un an et demi. Pour les consommateurs, c'est beaucoup de temps pour affaiblir le pouvoir d'achat des salaires et de l'épargne. Les marchés peuvent continuer à récompenser les excès et les risques élevés, mais ce n'est pas quelque chose qui doit être ignoré, et encore moins célébré. Le risque extrême sera blâmé pour la prochaine crise, comme toujours, mais la cause de ce risque extrême - une politique monétaire toujours accommodante - ne s'arrêtera pas. En fait, il sera utilisé comme solution en cas d'effondrement du marché.

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  8. Les banques centrales devraient déjà réduire leurs dépenses et si elles pensent que les faibles rendements souverains sont justifiés par les fondamentaux, que les marchés le prouvent. Si des rendements nominaux et réels négatifs sont justifiés par la solvabilité des émetteurs, pourquoi faut-il que les autorités monétaires achètent 100 % des émissions nettes ? La réalité est bien plus effrayante. Si les banques centrales commençaient à se réduire, les rendements souverains grimperaient à des niveaux qui feraient trembler de nombreux gouvernements déficitaires. Par conséquent, en maintenant les rendements artificiellement bas, les banques centrales sèment également les graines d'une dette plus élevée, d'une productivité plus faible et d'une croissance plus faible. La recette de l'éviction, de la surcapacité et de la stagnation.

    https://www.zerohedge.com/economics/low-bond-yields-mean-weak-growth

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  9. Pourquoi la géographie de l'Afrique est un obstacle à la croissance


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 12 JUIL 2021 - 02:00
    Rédigé par Lipton Matthews via The Mises Institute,


    En parcourant l'histoire, nous pouvons identifier plusieurs exemples d'États surmontant les obstacles de la géographie pour réaliser de grands exploits. Bien que le fléau d'une géographie inhospitalière ne soit pas un obstacle insurmontable au développement, il reste crucial pour comprendre les disparités de revenus entre les pays. Cependant, certains économistes traditionnels accordent une grande importance au développement institutionnel en tant que panacée pour la croissance économique. Les institutions sont certes importantes, mais l'héritage de la géographie persiste.

    Par rapport au reste du monde, la croissance économique en Afrique a été assez lente. Un fait étonnant est qu'entre 1965 et 1990, la croissance du PIB (produit intérieur brut) par habitant en Afrique était en moyenne de 0,8 % par an. Pourtant, la croissance dans les sept pays en développement à la croissance la plus rapide en dehors de la région était en moyenne de 5,8 %, et la croissance dans le reste du monde en développement a enregistré une croissance moyenne de 1,8 %. Le déclin économique a été si dramatique que le niveau moyen du PIB de 1972 n'a été atteint à nouveau qu'en 2004.

    Les économistes admettent que l'exploration des performances médiocres de l'Afrique nécessite une approche multidimensionnelle. Cependant, beaucoup soutiennent que la géographie est un contributeur majeur à la performance anémique de l'Afrique. Selon une étude historique de Sachs et Warner (1997), les pays des régions tropicales croissent plus lentement que les pays des environnements tempérés et, malheureusement, une proportion importante de la population africaine vit sous les climats tropicaux.

    Par rapport aux zones tempérées, les pays tropicaux rencontrent une litanie de maladies parasitaires qui sont moins répandues dans les premiers. De plus, comme le rapporte Austin (2008), ces lieux sont également caractérisés par des sols fragiles. Lorsqu'elles sont combinées, ces caractéristiques inhibent grandement la productivité agricole dans les climats tropicaux. Pour certains spectateurs, les implications négatives d'un environnement hostile peuvent ne pas sembler évidentes, mais des études montrent que les conséquences pour le développement sont énormes.

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  10. L'analyse économique suggère qu'après avoir tenu compte de la pauvreté initiale, de la politique économique et de la situation tropicale, entre autres variables, les pays à paludisme intensif ont augmenté de 1,3 % de moins par personne et par an, mais une réduction de 10 % du paludisme a augmenté la croissance de 0,3 %. Le paludisme est l'une des nombreuses maladies responsables de limiter le dynamisme des économies africaines par son impact négatif sur le temps de travail en diminuant l'espérance de vie.

    De même, la mouche tsé-tsé s'ajoute au fardeau du paludisme. Marcella Alsan dans un article de 2012 a identifié cet insecte comme un obstacle au développement en Afrique. Alsan soutient que la mouche TseTse a restreint la capacité des Africains à générer un excédent agricole en limitant historiquement l'utilisation d'animaux domestiqués et en empêchant l'adoption d'appareils à propulsion animale. En minant le potentiel de l'élevage, la mouche tsé-tsé a rendu difficile l'émergence d'une agriculture à forte intensité de capital en Afrique.

    Les estimations indiquent que le pays africain typique serait 30 % plus riche si la mouche n'avait pas eu d'impact sur la qualité des institutions. De plus, des recherches récentes postulent que la mouche tsé-tsé continue d'affecter le développement de la finance moderne en Afrique. Jianfu An et Wenxuan Hou dans un article de 2017 soutiennent qu'à cause de la mouche TseTse, certaines parties de l'Afrique n'ont pas réussi à exploiter les institutions propices aux transactions interclaniques : « Les groupes ethniques dans les zones infestées de TseTse étaient plus susceptibles de compter sur la chasse et la cueillette et donc petites bandes. Cela a par conséquent solidifié et perpétué des identités ethniques étroites et créé des sociétés ethniquement fragmentées qui entravent le développement d'institutions associées aux droits de propriété et à l'exécution des contrats.

    Outre le torrent de maladies, l'Afrique est également victime d'une pluviométrie irrégulière. En fait, les précipitations sont en baisse en Afrique depuis les années 1960. Salvador Barrios, Luisito Bertinelli et Eric Strobl soutiennent que si les précipitations ne diminuaient pas, l'écart du PIB africain par habitant par rapport au reste du monde en développement diminuerait d'environ 15 à 40 %.

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  11. Une autre caractéristique frappante de l'Afrique est qu'elle contient la plus grande partie des pays enclavés. Ces pays sont confrontés à des coûts considérablement plus élevés dans le commerce et le transport. Par exemple, la recherche révèle que le coût des matières premières échangeables est plus élevé pour l'Afrique subsaharienne en raison du paysage et des côtes de la région. Dans leur étude sur la croissance économique en Afrique, Tin Mang et Dwayne Woods concluent :

    « La géographie est la plus favorable à la production économique pour l'Europe, à côté de l'Amérique, puis de l'Asie, et la moins favorable à l'Afrique…. Sans l'environnement physique défavorable, les pays africains seraient mieux lotis économiquement que les pays d'Amérique du Sud. »

    En général, nous ne voulons pas dire que les défis de l'Afrique sont impossibles à résoudre. Cependant, en raison de sa géographie unique, la région nécessite des politiques qui tiennent compte de sa situation particulière. En tant que tel, la primauté devrait être accordée à l'amélioration des réseaux de transport et à la réduction des obstacles au commerce. Résoudre le problème d'une géographie difficile exige une réflexion audacieuse et les Africains sont certainement à la hauteur de la tâche.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/why-africas-geography-barrier-growth

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  12. LES PRIX DE L'ÉLECTRICITÉ POURRAIENT FLAMBER


    par PAOLO GAROSCIO
    12/07/2021


    Le prix du mégawattheure d'électricité a grimpé à 74 euros au premier semestre 2021.

    Les dépenses énergétiques des Français ne cessent d’augmenter… et ce n’est pas réellement leur faute. Ils ne consomment pas forcément plus d’électricité ou de gaz, mais le coût de ces énergies est en hausse, et le budget mensuel trinque. Après le gaz, c’est l’électricité qui va inquiéter le portefeuille…
    Flambée des prix de l’électricité en 2022 ?

    La mauvaise surprise du mois de juillet 2021, pour les ménages, a été la forte hausse des tarifs réglementés du gaz : +10%. De quoi renvoyer les prix de cette énergie à des niveaux jamais atteints depuis 2015… et de quoi faire exploser les factures. Une hausse qui se ressentira surtout durant l’hiver 2021-2022, lorsque les ménages se chauffant au gaz vont rallumer leurs radiateurs.

    Mais, malheureusement, une autre mauvaise nouvelle attend les Français : une hausse du prix de l’électricité, qui commence déjà à inquiéter alors qu’elle n’est pas attendue pendant plusieurs mois. Si une hausse des tarifs réglementés sera sans doute au rendez-vous début août 2021, elle ne sera pas exceptionnelle : de l’ordre de 1%, la Commission de Régulation de l’Énergie devant encore trancher. En 2022, par contre, c’est une toute autre histoire.

    Février 2022 : une explosion des prix de l’électricité à prévoir

    Comme le prix du gaz, indexé sur le prix du pétrole en forte hausse depuis la reprise de l’activité économique, le prix de l’électricité a explosé dans le monde : +40%… et la hausse devrait se poursuivre. Si au premier trimestre 2021, hausse comprise, le prix du Megawattheure est monté à 74 euros, les prévisions les plus pessimistes s’attendent à un Mégawattheure proche des 100 euros fin 2021…

    Or, le prix du Mégawattheure en décembre est celui qui est prix en compte pour la révision des prix du mois de février suivant. C’est donc en février 2022 que la flambée, pour les consommateurs, pourrait être d’actualité. La hausse pourrait atteindre 5%, 6%… et même plus.

    Mais 2022 est également une année électorale, ce qui pourrait jouer en faveur des ménages : le gouvernement a des leviers pour réduire la facture, comme une baisse des taxes.

    http://www.economiematin.fr/news-prix-electricite-hausse-prevision-risque-menages-budget-2022

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  13. COUPURE D'ÉLECTRICITÉ POUR LES OPPOSANTS AUX ÉOLIENNES


    par LUDOVIC GRANGEON
    12/07/2021


    Enn 2020, l'éolien a produit 8,9% de la production d'électricité de la France.

    L’électricité sera bientôt coupée aux 40 millions de Français qui refusent la folie éolienne.

    Jean François Carenco, Président de la CRE l’a annoncé à la télévision avec un cruel sourire de Grand Inquisiteur. Il semble ignorer et mépriser le fait que la France est une démocratie, pays des Droits de l’Homme. Le Défenseur des Droits intervient tous les jours pour lutter contre la honte de notre société : la discrimination selon l'origine, le sexe, l'âge, l'orientation sexuelle, les convictions politiques, philosophiques ou religieuses. En principe, le Président de la République exige dans l’heure la démission de tout responsable portant atteinte aux principes fondamentaux de notre démocratie. En pleine crise Covid, le directeur d’une agence régionale de santé avait été limogé pour des propos dix fois moins graves. Le proche avenir nous donnera la réponse d’Emmanuel Macron.

    Et voici que du sommet le délit de faciès vient frapper ceux qui défendent le développement durable de leur territoire : paysans, agriculteurs, pêcheurs, artisans, ménages paisibles, maires, départements, régions, élus au suffrage universel. Des spéculateurs froids gris et anonymes viennent installer des monstres d’acier et de béton dans leurs champs, leurs maisons, leurs forêts… et puis s’en vont…. ces monstres rapportent beaucoup d'argent, une pollution silencieuse à retardement, et bien peu d'électricité. Mais ce sont les hommes et les femmes drapés dans leur dignité contre cette injustice qu’il faut écarter.

    La fatwah est tombée. Le jihad est déclaré. Le Grand Commandeur décrète l’élimination des infidèles. La mort électrique frappera désormais tout opposant aux éoliennes. La spéculation financière engage des moyens immenses pour dissimuler l’échec de cette solution qui accroit le réchauffement climatique au lieu de le diminuer. Les fortunes construites sur le contribuable commencent à trembler.

    La solution finale allemande sur l'éolien

    L’exemple allemand qui suggère cette fuite en avant est pourtant flagrant : depuis avril 2021, le ministre fédéral de l’Agriculture Julai Klöckner (CDU) annonce un plan d’urgence pour sécuriser l’approvisionnement alimentaire, face au risque permanent de «panne d’électricité massive». Comme amorcé en Basse Saxe, par exemple à Altenstedt, les éoliennes sont abattues avant leur fin de vie et ne seront pas renouvelées. Le ministre allemand de l'économie et l’énergie Peter Altmeyer est chargé de jouer les nettoyeurs et de liquider la solution éolienne avec le plus de discrétion possible, surnommé "le fossoyeur" par les promoteurs éoliens allemands.

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  14. Doubler les éoliennes doublerait nos émissions de gaz carbonique. Nous avons dépensé 140 milliards pour obtenir avec les éoliennes une électricité incertaine qui pèse moins de 10% de notre énergie et ne fonctionne avec incertitude qu’un jour sur quatre. L’absurdité est de doubler encore les éoliennes, car elle ne fonctionneront toujours qu’un jour sur 4 au hasard et notre faiblesse en sera encore plus grande. Il faudra doubler aussi les centrales de secours au gaz ou au fuel car un hôpital, un commerce, un lycée, une administration, ne fonctionnent pas seulement un jour sur quatre, ni nos cuisines ou nos salles de bains.

    On ne coupe pas encore des têtes mais on coupe l’électricité. Le plus haut degré du fanatisme est atteint par le Président de l’Organe chargé de réguler l’énergie en France, haut magistrat tenu en principe à l’objectivité la plus rigoureuse. Même Camus ou Kafka n’osaient imaginer les pires dangers de la peste qui se répand dans nos institutions. Les plus hauts magistrats du pays sont eux aussi atteints par cet eugénisme qui exclut tout contradicteur au nom de prophéties absurdes. Ils affirment de nouveau que la Terre est plate, décident de ce que nous mangeons, restreignent nos déplacements, et nous contestent même nos coutumes familiales les plus intimes jusque dans nos foyers. La peste brune se teinte de vert.

    L’extermination électrique des masses rebelles serait-elle désormais programmée ?

    http://www.economiematin.fr/news-coupure-eletricite-opposition-eoliennne-ecologie-grangeon

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  15. Discussion sur l'intelligence artificielle et la robotisation avec un client Objectif Eco - un appel est lancé !


    dimanche, 11 juillet 2021 23:58


    Je surveille de longue date la robotisation, l'AI...

    Pour lui la tech profonde va provoquer une rupture très violente dans le futur entre les pays et les individus à pognon qui pourront en acquérir et les autres qui ne pourront pas.

    Du reste, nous en revenons à peu près tous au scénario du film ELYSIUM avec Matt Damon qui paraît inévitable si le scénario de James Cameron TERMINATOR 2 n'a pas lieu.

    Voici donc un morceau d'échanges avec l'un d'entre vous.


    Aujourd'hui déjà, les usines tournent avec 1 mec. Je regarde pas mal les IA (pour l’instant c’est rudimentaire), interfaces homme machine, mais j’en reviens toujours a l’énergie et les terres rares. Sans elle, pouffff pas de robotisation. Et puis robotiser, c’est bien, mais faut un but car ca a un cout. Les japs sont obligés pas assez de naissances, pareils bientôt allemands, mais de la main d’oeuvre y en a encore pas mal dispo donc je modère mon propos.

    J’imagine sur l’augmentation physique, exo squelettes, medecine, soldats...deja moi qui y suis dedans, le problème de la robotisation, c’est qu’il faut une IA implacable, des systèmes autonomes ultra fiables, et franchement, ce que je vois en datacenter, c’est comme des bébés qui ont toujours besoin d’une attention permanente. Les applications et systèmes en self healing, mouais, ca pete tout le temps, faut toujours être derrière.

    On est tres loin des films de SF ou tout marche sans problème, un petit bug, le système se répare seul, on change une cartouche de couleur vert fluo et c’est reparti. Il y a les discours ou tout semble genial, là prêt en pay as you go off the shelf, et la realité des millions d’informaticiens qui bossent dans le noir pour que toute cette machine s’ecroule pas....ou se fasse pas defoncer par des hackers et pays entiers.

    Tu verra le jour ou une Telsa, que dis je, 50.000 teslas se font hacker et partent au mur ! Je vois pas la revolution dans 10ans. Ca me semble un chemin plus long.Bref, l’objet d’une discussion


    A titre perso, le destin de l'humanité et sa techno ne m'intéresse pas trop, car l'homme n'a pas réussi à développer un centimètre de sagesse depuis Aristote et Socrates. Donc filer de la techno à des gamins qui ne grandissent jamais quand bien même on leur donne le temps pour le faire, 2500 ans... ce n'est pas réjouissant.

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  16. Mais il y a un seul secteur où je suis cela de très très près. La robotisation de l'agriculture.

    En effet, nous sommes restés des milliers d'années dans le noir du moyen Age car une calorie dépensée récoltait 1.1 calorie. Donc il était impossible de sortir de l'esclavagisme et de la dépendance à la loi de la nature.

    A partir du moment où les machines sont arrivées et la production en grande quantité de denrées similaires, la productivité a explosé et nous avons enfin pu croitre. Le souci c'est que le modèle est parti en couille en détruisant tout et hypothétiquant fortement un futur à très long terme.

    En outre libre de la contrainte calorique mais toujours dépendant de son immaturité, l'homme s'est dupliqué en masse, ce qui est en train de ramener le débat au point de départ, à produire assez de calories pour continuer à croître sans retrouver la dépendance à la nature en flinguant tout.

    Je partage aussi ce souci de l'énergie, base angulaire avec la calorie produite de notre civilisation.

    Donc toutes les initiatives actuelles pour produire de l'énergie et de la calorie avec l'aide de la puissance informatique, de la robotisation, sans tomber dans le gigantisme destructeur de la révolution verte, est pour moi des informations capitales pour le futur à horizon 15 ans.

    Tout ce que vous voyez passer comme expérience en cours, je suis preneur.

    Toute personne qui veut écrire sur ces sujets et faire la veille est la bienvenue dans le team auteur sur Objectif Eco

    Charles

    https://www.objectifeco.com/entreprendre/tendances-sectorielles/discussion-sur-l-intelligence-artificielle-et-la-robotisation-avec-un-client-objectif-eco-un-appel-est-lance.html

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    1. Oui mais... comme il existe des hackers pour les inoculés-de-la-dernière-heure et les 'voitures' électrique qui prennent feu avec pilote enfermé avec, existe aussi des robots qui ne fonctionnent plus ou qui changent de programmes ! Et, pour ce qui est de l'agriculture, là, regardez juste autour de vous ! Des chaleurs pas possible ici ou là, des tornades ou des tremblements de terre. Çà c'est du HAARP pur et dur. Celui qui mettra le feu aux récoltes ou du moins 40 pour faire aussi crever les animaux !
      La fabuleuse invention de Nikola Tesla a pris un bien mauvais chemin !

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  17. En quoi imposer des « vaccins » expérimentaux à toute la population serait illégal


    Laurent Mucchielli — Blog Mediapart
    Sott.net
    dim., 11 juil. 2021 10:23 UTC


    Le gouvernement cherche à imposer une obligation vaccinale à l'ensemble de la population. S'agissant de vaccins expérimentaux qui sont loin d'avoir terminé leurs phases d'expérimentation, une telle obligation serait toutefois illégale avant cette échéance. En attendant, le droit français, comme le droit international, exigent le consentement libre et éclairé de chaque citoyen.

    Selon Philippe Ségur, professeur de droit public à l'université de Perpignan Via Domitia, voici pourquoi il serait illégal d'imposer des « vaccins » expérimentaux à toute la population.

    * * * * *

    Quatre « vaccins » anti-covid sont aujourd'hui autorisés en France : le Moderna, le Pfizer & BioNTech (nom de marque : Comirnaty), l'Astrazeneca (nom de marque : Vaxzevria) et le Johnson & Johnson (nom de marque : Janssen). La vaccination — technique médicale consistant à inoculer une substance capable de procurer une immunité contre une maladie infectieuse — est la réponse prioritairement choisie par les pouvoirs publics français en réponse à la pandémie de covid-19. Devant les résistances d'une partie de la population, la question de savoir s'il ne faudrait pas la rendre obligatoire pour les soignants, voire pour tous les Français, a fait son entrée dans le débat public[1].

    De manière générale, l'obligation vaccinale trouve son fondement dans plusieurs textes internationaux et nationaux. Le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels du 16 décembre 1966 prévoit qu'afin de garantir le droit à la santé individuel, les États devront prendre les mesures nécessaires pour assurer « la prophylaxie et le traitement des maladies épidémiques » (art. 12). En France, c'est le ministre chargé de la santé qui élabore la politique de vaccination et la loi qui détermine quels vaccins sont obligatoires. Onze d'entre eux le sont aujourd'hui pour les enfants (art. L3111-2 CSP)[2]. Les professionnels de santé et thanatopracteurs sont également assujettis à certaines obligations vaccinales de même que les voyageurs qui souhaitent se rendre en Guyane. Il est, par ailleurs, admis que « lorsqu'un petit nombre de décès survient dans le cadre d'un programme de vaccination dont le seul but est de protéger la santé de la société en éliminant les maladies infectieuses », cela ne constitue pas une atteinte au droit à la vie protégé par la Convention européenne des droits de l'homme du 4 novembre 1950[3]. Les bénéfices de la vaccination, en effet, ne sont plus à démontrer : elle a permis l'éradication de la variole, une diminution de 99 pour cent des cas de poliomyélite entre 1988 et 2016, une réduction considérable des cas de tétanos, rougeole, diphtérie, coqueluche, etc.[4].

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  18. Commentaire : Il est permis, toutefois, de considérer ce qui précède en lisant ou re-lisant, notamment, cet article Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l'humanité ?


    Dans une affaire récente, la Cour européenne des droits de l'homme a paru donner des gages aux États désireux d'imposer cette obligation en matière de lutte contre le covid-19. Dans l'arrêt Vavřička du 8 avril 2021, elle a considéré que si la vaccination obligatoire des enfants était une ingérence dans la vie privée, celle-ci était nécessaire dans une société démocratique au nom de la solidarité sociale[5]. Ce jugement, assorti du fait que le gouvernement français était intervenu dans la procédure, a été interprété comme un argument supplémentaire en faveur de l'obligation. Cela d'autant plus que le Conseil constitutionnel avait déjà refusé en 2015 de déclarer contraire à la Constitution l'obligation de vaccination infantile contre la poliomyélite, la diphtérie et le tétanos[6].

    La crise sanitaire née de la pandémie de covid-19 pourrait donc justifier de rendre la vaccination obligatoire par voie législative pour un motif de santé publique. Le caractère exceptionnel des circonstances ne doit cependant pas faire oublier celui du moyen médical employé pour la faire cesser, à savoir le caractère inédit des procédés vaccinaux utilisés. Ainsi l'autorisation de mise sur le marché qui a été donnée aux fabricants en procédure accélérée par l'Agence européenne des médicaments (EMA) est conditionnelle. Selon l'EMA, ce type d'autorisation est délivrée « sur la base de données moins complètes que ce qui est normalement requis » et suppose que le fabricant s'engage à « fournir des données cliniques complètes à l'avenir ». Les rapports européens publics d'évaluation (EPAR) rendus au sein de l'Agence européenne des médicaments pour Pfizer[7] et Moderna[8] indiquent que les laboratoires pharmaceutiques doivent encore « fournir les résultats de l'essai principal, qui se poursuit pendant deux ans ». L'autorisation de mise sur le marché a été octroyée à Pfizer le 21 décembre 2020 jusqu'en décembre 2022. Le « rapport final de l'étude clinique » sera remis en décembre 2023. Pour Moderna, l'autorisation a été donnée le 6 janvier 2021 jusqu'en janvier 2023. Le « rapport final de l'étude clinique » sera remis en décembre 2022. Le fait qu'il s'agisse d'une vaccination en phase expérimentale ne saurait donc faire de doute.

    Pour les deux autres « vaccins », l'autorisation de mise sur le marché est également conditionnelle. L'AstraZeneca a été autorisé le 29 janvier 2021 et le Johnson & Johnson le 11 mars 2021. Les sociétés qui les commercialisent devront continuer de « de fournir les résultats des essais cliniques, qui sont en cours », comme l'indiquent les rapports d'évaluation du premier et du second[9]. Pour AstraZeneca, les « rapports d'étude cliniques finaux » sont attendus le 31 mai 2022[10]. Ceux du vaccin Johnson & Johnson sont attendus le 31 décembre 2023[11]. La formule « essai clinique » utilisée par l'Agence européenne est sans équivoque. Cette notion est définie par la directive 2001/20/CE du Parlement européen et du Conseil du 4 avril 2001[12]. Selon ce texte, un essai clinique est une
    « investigation menée chez l'homme, afin de déterminer ou de confirmer les effets cliniques, pharmacologiques et/ou les autres effets pharmacodynamiques d'un ou de plusieurs médicaments expérimentaux [...] dans le but de s'assurer de leur innocuité et/ou efficacité. »
    On notera, par exemple, qu'en dehors même des incertitudes relatives à leur technique spécifique — ARNm ou ADN recombiné[13] — « aucune étude de cancérogénicité n'a été réalisée » pour le « vaccin » Moderna et « aucune étude de génotoxicité ou de cancérogénicité n'a été réalisée » pour les « vaccins » Pfizer, AstraZeneca et Johnson & Johnson.

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  19. Commentaire : Pour plus d'informations sur ce qui précède, voir 18 raisons pour lesquelles je ne me ferai pas vacciner contre le Covid


    L'ensemble de ces informations suffisent à convaincre que la pandémie de covid-19 a conduit les autorités sanitaires à autoriser une expérimentation vaccinale à grande échelle inédite dans l'histoire de la médecine. En période d'urgence, rien ne paraît juridiquement s'y opposer tant sur le plan de la santé individuelle afin de protéger les personnes vulnérables que sur le plan de la santé publique pour éviter la saturation des structures hospitalières. En revanche, le caractère expérimental de la vaccination invite le juriste à en recontextualiser l'usage, car en cette matière, le droit interne comme le droit international ont historiquement construit la notion de consentement du sujet comme garde-fou pour empêcher toute dérive (I). Dès lors, ce principe du consentement semble suffisamment bien établi pour constituer un obstacle à l'obligation vaccinale aussi longtemps que les phases de tests cliniques ne seront pas terminées (II).

    I — Le libre consentement, un frein à l'expérimentation médicale

    Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, vingt médecins et trois fonctionnaires nazis seront accusés de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité et jugés à Nuremberg du 9 décembre 1946 au 20 août 1947. Le jugement du Tribunal militaire américain des 19 et 20 août 1947[14] établit une liste des dix critères retenus pour apprécier les expérimentations reprochées aux accusés et connus aujourd'hui sous le nom de « Code de Nuremberg »[15]. Parmi eux, se trouve le principe du consentement éclairé du sujet. Pour leur défense, les accusés prétendaient qu'en temps de guerre, le serment d'Hippocrate ne tenait plus et que l'État pouvait décider de faire primer l'intérêt de la science sur celui de l'individu pour le bénéfice de la Nation. En réponse à cet argument, les juges de Nuremberg définirent des principes qui ne devaient pas dépendre d'une consécration juridique déterminée — c'est-à-dire du droit de tel ou tel État — mais d'une éthique médicale universelle et même du droit international[16]. C'est pourquoi le Pacte international sur les droits civils et politiques, adopté par l'Assemblée générale des Nations-Unies le 16 décembre 1966, prévoit à son tour qu'« il est interdit de soumettre une personne sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique » (art. 7).


    Commentaire : Voir sur le sujet du Code de Nuremberg notre article Covid-19 — La campagne vaccinale expérimentale à venir constitue un viol du Code de Nuremberg et une atteinte à l'intégrité d'autrui

    Quant à ce que nous avons mis en gras ci-dessus : « en temps de guerre, le serment d'Hippocrate ne tenait plus et que l'État pouvait décider de faire primer l'intérêt de la science sur celui de l'individu pour le bénéfice de la Nation. »

    Est-ce la raison pour laquelle, dès le départ, le président Macron a martelé que nous étions en guerre ? De manière à pouvoir a priori tout justifier, y compris l'injustifiable ? La question reste posée.

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  20. En raison de leur atrocité, les crimes des médecins nazis ont laissé croire qu'il s'agissait d'un accident monstrueux de l'Histoire, faisant ainsi oublier ce qu'Hannah Arendt appelle « la banalité du mal ». Or, tout au long du XXe siècle, d'autres drames ont résulté d'expérimentations médicales sans l'accord des personnes[17]. L'histoire des États-Unis où elles sont bien documentées est édifiante :
    alimentation d'enfants retardés avec des céréales radioactives par des chercheurs du MIT à la Fernald State School (Massachusetts) dans les années 1940 et 1950[18] ;
    faux traitements administrés à des Noirs atteints de syphilis par le Service de santé publique de Tuskegee (Alabama) de 1932 à 1972[19] ;
    contamination d'enfants handicapés mentaux à l'hépatite par deux médecins universitaires à la Wilowbrook State School de New York de 1956 à 1972[20] ;
    essai sur 20 000 Américains du thalidomide — un sédatif responsable de graves malformations fœtales — sur simple prescription par des généralistes à la fin des années 1950 et jusqu'en 1961[21] ;
    injection de cellules cancéreuses à des malades âgés et indigents au Jewish Chronicle Disease Hospital de Brooklyn en 1963[22] ;
    etc.
    Ces exemples attestent que pour certains, la fin peut toujours justifier les moyens. C'est pourquoi l'Association médicale mondiale, une organisation non gouvernementale de médecins créée en 1947, a jugé bon d'adopter en juin 1964 la déclaration d'Helsinki. Il s'agit du premier texte international postérieur à Nuremberg qui revient sur les questions d'éthique dans l'expérimentation. Ce texte affirme que « la participation de personnes capables à une recherche médicale doit être un acte volontaire » (art. 25). En France, les principes du Code de Nuremberg inspirent largement les garanties apportées par le droit. Ils ont été repris par le Comité consultatif national d'éthique dans un avis rendu en 1984[23] et par le rapport du Conseil d'État sur les sciences de la vie, l'éthique et le droit en 1988[24] C'est toutefois la loi du 20 décembre 1988, dite loi Huriet-Sérusclat, qui a prévu pour la première fois une permission spécifique pour les essais médicaux sur des volontaires en bonne santé — jusqu'alors interdits — tout en tout en rappelant la nécessité d'un « consentement libre, éclairé et exprès »[25].

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  21. II — Le libre consentement : un obstacle à l'obligation vaccinale

    A — L'encadrement juridique des expérimentations

    Les recherches médicales, y compris quand elles comportent une finalité thérapeutique, sont aujourd'hui régies par la loi du 5 mars 2012, dite loi Jardé[26]. Selon le Code de la santé publique, aucune recherche interventionnelle impliquant la personne humaine ne peut être pratiquée « sans son consentement libre et éclairé recueilli par écrit, après que lui a été délivrée l'information prévue » (article 1122-1-1). Les recherches interventionnelles sont celles « qui comportent une intervention sur la personne non justifiée par sa prise en charge habituelle » (article 1121-1), c'est-à-dire une intervention non dénuée de risque pour les personnes qui y participent. En font partie les recherches sur les médicaments, mais aussi les thérapies cellulaires ou les thérapies géniques comme le rappelle l'INSERM. Par leur nature comme par leur méthodologie expérimentale, les quatre « vaccins » anti-covid semblent entrer dans cette catégorie. Quant à l'information préalable, elle doit inclure notamment « les risques prévisibles » et « les éventuelles alternatives médicales » (article 1122-1).


    Commentaire : Comme nous le savons, ces « éventuelles alternatives médicales » existent mais font l'objet d'interdictions diverses et variées sous des prétextes divers et variés, là aussi. Par ailleurs, le Centre français d'évaluation des médicaments a conclu dans un rapport que la vaccination avec les produits Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Janssen doit être interrompue.


    Ces recherches interventionnelles supposent un avis favorable d'un organisme régional, le Comité pour la Protection des Personnes (CPP), qui dépend de l'Agence Régionale de Santé (ARS), suivi d'une autorisation par l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM). En principe, le fait de ne pas avoir recueilli ce consentement est puni de trois ans de prison et de 45 000 euros d'amende par le Code pénal (art. 223-8). Néanmoins, la question du « vaccin » anti-covid a entraîné le dessaisissement des autorités sanitaires françaises au profit de l'Agence européenne des médicaments (EMA) sur le fondement du Règlement (CE) n° 726/2004 du 31 mars 2004. En ce qui concerne les « médicaments à usage humain contenant une nouvelle substance active », notamment pour le traitement des maladies virales, ce règlement prévoit, en effet, une autorisation centralisée d'autorisation au niveau européen. En d'autres termes, ces médicaments doivent recevoir une autorisation de l'Agence européenne des médicaments (EMA) valable pour tous les États membres de l'Union européenne. Ce dessaisissement fait alors obstacle à une éventuelle action devant le juge français pour non-respect de la procédure d'avis et d'autorisation en droit interne, puisque sous la pression des circonstances, celle-ci s'est vu substituer une procédure européenne. En revanche, il ne dispense en rien de l'obligation d'obtenir l'accord des personnes.

    Au sein du Conseil de l'Europe, la Recommandation n°R(90)3 du Comité des Ministres concernant la recherche médicale sur l'être humain, adoptée le 6 février 1990, énonce un certain nombre de principes.

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  22. Selon le troisième,
    « aucune recherche médicale ne peut être effectuée sans le consentement éclairé, libre, exprès et spécifique de la personne qui s'y prête »
    et, selon le treizième,
    « les personnes susceptibles de faire l'objet de recherches médicales ne doivent pas être incitées à s'y soumettre d'une manière qui compromette leur libre consentement. »
    Ce texte, s'il vaut engagement politique et éthique, n'a cependant pas de valeur juridique obligatoire. En revanche, le règlement (CE) du 31 mars 2004 prévoit d'une manière contraignante au sein de l'Union européenne le respect de certaines exigences éthiques lors de la conduite d'essais cliniques de médicaments autorisés au niveau européen (point 16). Ces exigences sont prévues par la directive 2001/20/CE du 4 avril 2001 qui se réfère explicitement à la déclaration d'Helsinki et qui prévoit elle aussi le consentement éclairé (art. 3). Enfin, la Cour européenne des droits de l'homme a eu l'occasion de juger en 2002 que l'imposition d'un traitement sans le consentement du patient est
    « une atteinte à l'intégrité physique de l'intéressé »[27]
    et que
    « les vaccinations obligatoires en tant que traitements médicaux non volontaires constituent une ingérence dans le droit au respect de la vie privée. »[28]
    Une question demeure : ce principe s'applique-t-il lorsque l'expérimentation consiste en un « vaccin » ? La réponse est positive, car la directive du 4 avril 2001 vise les médicaments tels qu'ils sont définis par un autre texte, la directive 65/65/CEE du 26 janvier 1965. Selon celle-ci, un médicament est
    « toute substance ou composition présentée comme possédant des propriétés curatives ou préventives à l'égard des maladies humaines ou animales. Toute substance ou composition pouvant être administrée à l'homme ou à l'animal en vue d'établir un diagnostic médical ou de restaurer, corriger ou modifier des fonctions organiques chez l'homme ou l'animal est également considérée comme médicament » (art. 1er).
    Les « vaccins » anti-covid répondent sans conteste à cette définition. Dans la mesure où ils sont encore en phase expérimentale, ils sont soumis aux principes éthiques imposés par le règlement de 2004. La règle du consentement libre et éclairé à une expérimentation est donc bien établie en droit français comme en droit de l'Union européenne.

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  23. B — Inviolabilité du corps humain et dignité de la personne

    Si l'arrêt Vavřička rendu par la Cour européenne le 8 avril 2021 ne fait pas obstacle à l'obligation vaccinale anti-covid, il ne la rend pas pour autant plausible ni juridiquement acceptable. Dans cette affaire, il s'agissait de vaccins longuement éprouvés qui ne suscitent plus que des contestations marginales chez les adversaires radicaux de toute vaccination. Il en va tout autrement des « vaccins » anti-covid. Ceux-ci se trouvant, de l'aveu même de l'Agence européenne des médicaments, en phase d'essais cliniques, il paraît difficile de les imposer compte tenu des garanties juridiques existantes. Une obligation vaccinale dans un contexte d'expérimentation risquerait fort de se heurter à la sanction du juge, ce d'autant plus que le droit français est fondé sur le principe de l'inviolabilité du corps humain. Cette prohibition s'exprime dans l'adage Noli me tangere, « ne me touche pas », repris de la parole du Christ ressuscité à Marie Madeleine[29] et traduisant le caractère sacré du corps. Si ce principe d'inviolabilité n'a pas reçu de consécration constitutionnelle, il traverse toutefois tout notre système juridique et est couvert par la « sauvegarde de la dignité de la personne », notion plus large que le Conseil constitutionnel a élevé au rang de principe constitutionnel dans sa décision du 27 juillet 1994 à propos de la loi relative au respect du corps humain[30].

    Il est commun de dire que l'expérimentation médicale profite à l'espèce humaine tout entière bien qu'elle puisse s'exercer au détriment éventuel de celui qui s'expose à ses risques. Autrement dit, le bénéfice attendu par le plus grand nombre vaudrait bien le danger encouru par quelques-uns. Cependant l'expérimentation médicale sur l'être humain ne peut pas se réduire à une équation qui la rendrait aussi évidente qu'un calcul avantages/inconvénients. En effet, un tel raisonnement postule sa finalité désintéressée en faisant l'économie de ses déterminants économiques, politiques et sociaux. Dans l'affaire Vavřička, le juge Wojtyczek a observé dans une opinion dissidente publiée à la suite de l'arrêt
    « qu'il n'a été soumis à la Cour aucun élément propre à montrer que les États ayant mis en place l'obligation vaccinale obtiennent de meilleurs résultats en matière de santé publique que les États qui n'ont pas instauré cette obligation. »
    La remarque est cruciale et lourde d'implications.

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  24. Conclusion

    Il faut se garder d'une vision idéalisée de la [soi-disant - NdE] rationalité scientifique qui conduirait à faire abstraction des enjeux de pouvoir, des intérêts financiers et des stratégies institutionnelles qui la conditionnent. La recherche médicale possède sa propre logique de déploiement qui n'est pas nécessairement humaniste et qui peut être assujettie à la quête du profit comme l'a rappelé encore récemment l'affaire du Médiator[31]. C'est un fait, par ailleurs, que la rationalité pure échappe à toute norme morale et menace de se retourner contre elle-même comme l'a montré Max Horkheimer[32]. Un marqueur de la civilisation peut alors se transformer en « progrès régressif » selon la formule de Theodor Adorno[33].

    Si l'idée de neutralité scientifique est un leurre[34], le seul usage du terme « éthique » dans les textes juridiques ne suffit pas à en garantir l'innocuité. Même lorsque les recherches sont strictement encadrées par le droit, le principe du libre consentement paraît souvent fragile dans le rapport asymétrique qui lie l'autorité médicale au sujet. On voit mal, du reste, comment le consentement pourrait être tout à fait « éclairé » en présence d'un risque inconnu et d'une technique vaccinale complexe. Comme le rappelait Yannick Bardie en 2016, un essai clinique est par nature « un exercice très dangereux et non éthique »[35]. Compte tenu des nombreuses incertitudes qui pèseront jusqu'à la fin des essais sur les « vaccins » anti-covid, s'il est [peut-être - NdE] légitime de laisser aux volontaires, en particulier aux personnes vulnérables, la possibilité de les recevoir en toute connaissance de cause, il paraîtrait contraire au droit en vigueur et aux principes qui fondent notre système libéral de vouloir les imposer à tous les citoyens.
    Références [tous les liens Url sont entre les crochets numérotant les références - NdE]

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  25. [1] Académie nationale de médecine, « La vaccination des soignants contre la Covid-19 doit devenir obligatoire », Communiqué de l'Académie nationale de médecine, 9 mars 2021.

    [2] Loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018, JORF, 31 déc. 2017.

    [3] Commission EDH, 12 juill. 1978, Association X. Contre Royaume-Uni, n°7154/75.

    [4] D. Lévy-Bruhl. « Politique vaccinale », in F. Bourdillon (dir.), Traité de santé publique. Lavoisier, 2016, pp. 311-322.

    [5] CEDH, 8 avr. 2021, Vavřička c. République tchèque, n°46621/13.

    [6] CC, déc. n° 2015-458 QPC, 20 mars 2015, Époux L.

    [7] Comirnaty. An overview of Comirnaty and why it is authorised in the EU, EMA/215190/2021, p. 4.

    [8] Covid-19 Vaccine Moderna. An overview of COVID-19 Vaccine Moderna and why it is authorised in the EU, EMA/704373/2020, p. 4.

    [9] COVID-19 Vaccine Janssen. An overview of COVID-19 Vaccine Janssen and why it is authorised in the EU, EMA/229490/2021; Vaxzevria. An overview of Xaxzevria and why it is authorised in the EU, EMA/213411/2021.

    [10] Committee for Medicinal Products for Human Use, Covid-19 Vaccine AstraZeneca, Assessment report, EMA/94907, 20 January 2021, p. 176.

    [11] Committee for Medicinal Products for Human Use, Covid-19 Vaccine Janssen, Assessment report, EMA/158424, 11 March 2021, p. 209.

    [12] Directive 2001/20/CE du Parlement européen et du Conseil du 4 avril 2001 concernant le rapprochement des dispositions législatives, réglementaires et administratives des États membres relatives à l'application de bonnes pratiques cliniques dans la conduite d'essais cliniques de médicaments à usage humain, J.O. n° L121, 1er mai 2001, p. 34-44.

    [13] Janssen Vaccines & Prevention B.V., Summary Notification Information Format for the Release of Genetically Modified Organisms Other Than Higher Plants in Accordance with Article 11 of Directive 2001/18/EC, Ad26COVS1, 6 July 2020.

    [14] Ph. Amiel, « Expérimentations médicales : les médecins nazis devant leurs juges », in F. Vialla, Les grandes décisions du droit médical, LGDJ, 2009, pp. 431-444.

    [15] Ph. Amiel, «"Code de Nuremberg" : traductions et adaptations en français», in Des cobayes et des hommes, op. cit.

    [16] Ph. Amiel, F. Vialla, « Le "code de Nuremberg", une jurisprudence pénale inaugurale en droit international de la santé », in E. Cadeau, É. Mondielli, F. Vialla (dir.), Mélanges en l'honneur de Michel Bélanger : modernité du droit de la santé, Les éditions hospitalières, 2015, pp.573-585.

    [17] A. M. Salam, A. S. Carr, « Racing for Covid-19 Vaccine and Cure: Lessons and Tragedies in Human Subject Research », Heart Views, 2020 Jul-Sep, 21(3), p. 229-234.

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  26. [18] R. Leung, « America's Deep, Dark Secret », CBS News, Apr. 29, 2004.

    [19] Center for Disease Control and Prevention, The Tuskegee Timeline.

    [20] S. Krugman, « The Willowbrook Hepatitis Studies Revisited: Ethical Aspects », Reviews of infectious diseases, vol. 8, n°1, Jan.-Febr. 1986, 157-162.

    [21] B. Fintel, A. T. Samaras, E. Carias, « The Thalidomide Tragedy: Lessons for Drug Safety and Regulation », Helix, Jul. 28, 2009.

    [22] « Hospital Accused on Cancer Study », The New York Times, Jan. 21, 1964.

    [23] CCNE, Avis sur les essais de nouveaux traitements chez l'homme. Réflexions et propositions, n°2, 9 oct. 1984.

    [24] Sciences de la vie : de l'éthique au droit, Rapport G. Braibant, La Documentation française, 1988.

    [25] Loi n°88-1138 du 20 déc. 1988 relative à la protection des personnes qui se prêtent à des recherches biomédicales, JORF, 22 déc. 1988.

    [26] Loi n° 2012-300 du 5 mars 2012 relative aux recherches impliquant la personne humaine, JORF, 6 mars 2012. Voir : J. Ducruet, « Protection des personnes qui se prêtent à des recherches biomédicales », Laennec, vol. 56, n°3, 2008, pp. 6-24.

    [27] CEDH, 29 avr. 2002, Pretty c. Royaume-Uni, n°2346/02.

    [28] CEDH, 9 juill. 2002, Salvetti C. Italie, n°42197/98.

    [29] Jean, 20, 17.

    [30] CC, déc. n° 94-343/344 DC, 27 juillet 1994, Loi relative au respect du corps humain et loi relative au don et à l'utilisation des éléments et produits du corps humain, à l'assistance médicale à la procréation et au diagnostic prénatal, JORF, 29 juill. 1994, p. 11024.

    [31] CAA Paris, 8e ch., 4 août 2017, 16PA00157 et 16PA03634.

    [32] M. Horkheimer, Éclipse de la raison, 1947, Payot, 1974.

    [33] Th. W. Adorno, Minima Moralia. Réflexions sur la vie mutilée, 1951, Payot, 2016.

    [34] K. Abbasi, « Covid-19: politicisation, "corruption," and suppression of science », The British Medical Journal, 2020, 371. En ligne: (consulté le 7 mai 2021).

    [35] L'Obs, 15 janv. 2016. Voir aussi Y. Bardie, Essai clinique : du patient à l'objet de science, Éd. Sauramps Médical, 2013.
    Source de l'article publié le 5 juillet 2021 : Blog Mediapart

    https://fr.sott.net/article/37494-En-quoi-imposer-des-vaccins-experimentaux-a-toute-la-population-serait-illegal

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  27. Richard Boutry à Didier Raoult : « Vous nous devez vraiment des explications claires ! »


    Le média en 442
    sam., 10 juil. 2021 18:46 UTC


    Dans sa chronique La Minute de Ricardo, Richard Boutry, abasourdi, souhaite avoir des réponses face au tweet du Pr Raoult se disant favorable à la vaccination des soignants et des sujets à risque. Que s'est-il passé ? Des pressions ? des menaces ? un sacrifice pour maintenir l'IHU ?


    Commentaire : Nous nous posions la même question dans cet article :

    Pouvons-nous poser l'hypothèse [que le Pr Raoult] a fait (et fait encore, voire fera à l'avenir) l'objet de menaces, suffisantes pour « l'obliger » à se prononcer dans ce sens ?

    L'ancien bras droit de Martin Hirsch à l'Assistance publique des hôpitaux de Paris, François Crémieux (également membre du conseil d'administration de l'IHU de Marseille), a pris la tête le 9 mai dernier de l'AP-HM (Assistance publique-Hôpitaux de Marseille). Est-ce une coïncidence ?

    L'interview donnée hier par François Crémieux dans La Provence laisse entendre — à qui lit entre les lignes — que Didier Raoult ET Louis Fouché pourraient être sur la sellette, ou en tout cas, sous haute surveillance pour s'assurer de leurs « bons comportements » :
    « l'IHU ne bénéficie pas d'un droit d'exception dans aucun des domaines qui relèvent de ses missions.
    [...]
    J'ai un désaccord clair avec Louis Fouché dont le discours sur les vaccins conduit à perturber la compréhension des enjeux de la vaccination de nos concitoyens, y compris de nos professionnels de l'AP-HM. Nous avons lancé un appel à la vaccination des hospitaliers par des hospitaliers pour témoigner du fait que la prise de parole d'une personne, aussi médiatique soit-elle sur les réseaux sociaux, n'emporte pas la parole de l'AP-HM ni du plus grand nombre. Louis Fouché n'a, en aucun cas, à s'exprimer, à quel que titre que ce soit, au nom de l'AP-HM et j'y serai extrêmement vigilant. »
    Comme Louis Fouché est intelligent en plus d'avoir du cœur, il ne s'est jamais exprimé au nom de l'AP-HM.

    https://fr.sott.net/article/37491-Richard-Boutry-a-Didier-Raoult-Vous-nous-devez-vraiment-des-explications-claires

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  28. Devant la menace de démantèlement de l'IHU, Raoult a donc cédé (?)


    Lucien Samir Oulahbib
    Nouveau Monde
    dim., 11 juil. 2021 14:13 UTC


    Dans un entretien très récent Didier Raoult avait annoncé très explicitement (6 juillet, à 0.55) qu'il est question pour l'IRSEM de démanteler l'I.H.U (l'organisme a démenti sur le champ bien entendu) afin d'empêcher la constitution d'un pôle de prudence et de vérité comme le demandait d'ailleurs il y a quelques mois le professeur Caumes (avant de se rétracter bien sûr et vouloir piquer jusqu'aux enfants déjà affaiblis par le confinement comme l'indique la professeure Martine Duclos) on voit donc que cette Secte H.A! (hygiéniste-affairiste) est prête à tout casser (la "déconstruction" en temps réel) pour arriver à ses fins. C'est évidemment ignoble, minable, dangereux.

    L’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection (IHU) de Marseille

    Ignoble, car au lieu de laisser les médecins prescrire des traitements ayant des centaines d'études positives derrière eux maintenant (et surtout des millions de personnes guéries au contraire de ce que prétendent les faux vérificateurs à la solde de la Secte), ces scientistes démiurges, assoiffés de puissance par définition, persistent et signent, balayant toute idée alternative (comme l'indique pourtant l'ISERM dans ce schéma en 3.3) qui remettrait en cause leur stratégie hygiéniste-affairiste disproportionnée par rapport à la menace réelle de cette syndémie très peu létale en réalité pour la très grande majorité des... malades (surtout s'ils sont soignés de manière précoce). Ne parlons pas des... 7 milliards d'humains guère touchés par elle en comparaison à d'autres maladies dites "chroniques", en réalité très mal soignées (car seule l'approche allopathique est privilégiée) et qui causent, elles, des millions de morts.

    Minable, puisqu'ils sont obligés de détruire toute opposition avec leur rouleau compresseur alors qu'ils se targuent de faire de la pédagogie et de la persuasion, mais leur impatience est telle que même leurs coupe-jarrets montrent leurs dagues de façon de plus en plus évidente, comme il a été vu avec tous ces seconds couteaux venant harceler, menacer, enfin assaillir ceux qui refusent d'être les cobayes de cet "essai clinique" toujours en cours (malgré les dires fallacieux du "ministre" français de la Santé).

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  29. Dangereux: au lieu de tout faire pour renforcer les fonctions immunitaires par diverses méthodes bien connues des naturopathes (dont les vitamines D et C aux effets secondaires bien moindres que ceux de ces injections, bien sûr, dont en plus on ne connaît pas les effets à plus long terme...) l'on voit un 1er Ministre déclamer qu'en raison de leur "affaiblissement"il faudrait une "troisième dose" (officiellement pour les "personnes vulnérables", alors que nous avons des traitements aussi pour elles), comme s'il s'agissait en fait de remplacer à terme nos fonctions immunitaires par l'artifice génique ou le cyborg en perspective.

    Mais en croyant battre en retraite (alors que pour ses ennemis il se rend (tel Vercingétorix) avec armes et bagages), Didier Raoult pense certes pouvoir limiter les dégâts, sauf qu'il les renforce. Car forts de cette victoire, ses ennemis voudront aussi sa tête (celle de Jean-Baptiste). C'est ainsi. Jamais des ennemis de cette trempe (un nihilisme de très haut degré) ne feront quartier. Aucune clémence n'est à attendre venant d'eux, tant les enjeux sont immenses. Aussi, cet éminent chercheur et médecin pourrait encore dévoiler le pot aux roses plus explicitement. Ce n'est pas trop tard et cela aurait même plus de force, d'ailleurs, afin qu'un vaste front de résistance puisse se constituer et passer enfin à l'offensive en créant par exemple une association d'amis de l'IHU qui prendrait rapidement des décisions (comme créer une chaîne d'alerte lorsque les menaces de l'IRSEM deviendront réalité) avant de former un cordon humain 24 heures sur 24 autour des bâtiments de l'IHU, ce Fort Alamo, cet Alésia en apparence, cette Angleterre sous le feu en 40 en réalité, et qui sut tenir et ensuite contre-attaquer victorieusement, n'en déplaise à certains [Ndlr : grâce aux Américains et au sacrifice des Russes. Quel est l'équivalent de ces derniers, de nos jours ? Existe-t-il encore beaucoup d'êtres humains, surtout en Occident, capables de se sacrifier, d'abandonner leur confort (matériel, intellectuel, moral...) et leur illusoire sécurité pour sauver ne serait-ce que leur nation, à défaut de l'Humanité ? Car oui, nous sommes en guerre, mais pas contre un virus. Nous le sommes contre les ennemis de l'Humain. Une guerre aux proportions épiques, aux dimensions bibliques].

    https://fr.sott.net/article/37496-Devant-la-menace-de-demantelement-de-l-IHU-Raoult-a-donc-cede

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    1. La 'potion magique' qui est dans la seringue n'a rien d'un tour de carte ni du lapin sorti du chapeau, mais tout d'un acharnement criminel a faire jusqu'à se composer de nano-particules ferriques !
      Quelle explosion se prépare t-elle ?
      La détonation est implosante puisque ces petits bouts de métaux aimantés reçoivent par onde (téléphone ou 5G) l'ordre de se regrouper en caillot (mort) ou de s'aligner en fil (morgellon) qui servira d'antenne intérieure pour prendre le contrôle total de votre esprit !
      Le dernier souffle de vie sera échelonné sur plusieurs mois ou semaines à travers les pays de façon à ce que 'discrètement' les corps soient retirés des appartements sans trop attirer l'attention de celles et ceux qui sont en attente d'en faire partie.

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  30. Delta Variant : il donne le rhume, curable par traitements précoces


    Dr Gerard Delépine
    France-Soir
    dim., 11 juil. 2021 21:41 UTC


    Depuis quelques semaines, le manque de volontaires à la vaccination inquiète nos autorités. Pour la relancer leurs principaux arguments en faveur de celle-ci vont du chantage brutal (sans vaccin pas de liberté), à l'altruisme (faites-vous vacciner pour les autres) ou la peur injustifiée du variant delta (le seul moyen d'éviter la prochaine vague au variant delta est d'être tous vaccinés) et même la corruption via un chèque de 100 €...

    Tous ces arguments sont mensongers car les pseudo-vaccins actuels sont incapables de protéger celui qui les reçoit contre le variant delta, ni d'empêcher ni la transmission aux proches, ni la diffusion du variant delta dans la population, comme le prouvent les échecs patents de la vaccination en Israël et en Grande-Bretagne.

    L'échec des injections géniques en essai, Astra Zeneca et autres en Grande-Bretagne

    Depuis le début des injections en Grande-Bretagne, nous avons souligné le caractère totalement expérimental de la campagne organisée par le gouvernement anglais.

    Sept mois après le début des injections, au 28 juin 2021, un total de 77 038 257 doses de « vaccin », essentiellement des Astra Zeneca, avait été administré. Le bilan de cette campagne est catastrophique. Pendant les 4 mois qui ont suivi la vaccination les nombres de contaminés et de morts ont plus que doublé établissant au passage les records mensuels de contaminations et de mortalité depuis le début de l'épidémie dans ce pays. L'injection génique se révèle non seulement inefficace, mais même délétère car la mortalité est trois fois plus élevée chez les vaccinés que chez les non vaccinés.

    - voir graphique sur site -

    Et depuis presque deux mois, le variant delta se propage de manière exponentielle dans la population malgré une couverture vaccinale record.

    L'échec de l'injection expérimentale Pfizer en Israël

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  31. Israël est le champion de l'injection expérimentale Pfizer pour laquelle le gouvernement a accepté de payer un prix majoré et de fournir les données sanitaires de sa population au fabricant. Il a aussi utilisé une propagande mensongère, une censure féroce des opposants et des moyens de coercition majeurs (confinement, pass sanitaire) pour l'imposer. Là aussi la campagne de « vaccination » a été suivie d'une explosion de contaminations et de morts pendant deux mois avec au total plus du doublement du nombre global de cas et de morts et, de plus des complications cardiaques chez les enfants vaccinés alors qu'ils n'avaient rien à craindre du Covid.

    Et depuis début juin Israël, malgré son taux record de vaccinés, doit faire face à une poussée épidémique à variant delta démontrant que l'injection Pfizer ne protège pas contre ce variant.

    - voir graphique sur site -

    Actuellement, aucune étude scientifique publiée n'apporte le moindre argument en faveur d'une trace d'efficacité des pseudo-vaccins actuels contre les variants et en particulier le variant delta.

    L'examen de l'évolution de l'épidémie chez les champions de la vaccination démontre que les pseudo-vaccins actuels sont inefficaces sur le variant delta. Alors pourquoi le gouvernement et les médias répètent-ils la propagande mensongère des communiqués publicitaires des marchands ?

    Le chantage aux libertés

    Comme tous les racketteurs dans l'Histoire, les pro-vaccins utilisent la menace en promettant une protection si on paie une rançon (ici l'injection expérimentale). « Vous ne retrouverez vos libertés que si vous acceptez le vaccin ». Mais cette promesse n'engage que ceux qui y croient et n'est jamais tenue. Ainsi les footballeurs qui se sont fait vacciner restent astreints à toutes les mesures pseudo-sanitaires inutiles. Ainsi les athlètes vaccinés pourraient subir des sanctions financières ou être expulsés des JO de Tokyo s'ils enfreignent les mesures anti-Covid, notamment les tests quotidiens et le port du masque, ont averti récemment les organisateurs, en dévoilant des règles actualisées à 37 jours des Jeux.

    Ainsi un pensionnaire d'Ehpad qui avait cru la promesse des racketteurs au vaccin et s'était fait vacciner pour retrouver sa liberté a dû déchanter et s'est retrouvé comme avant l'injection, privé de ses libertés par une ordonnance du Conseil d'état sur les conseils du ministre Véran.

    On ne doit jamais céder au chantage et encore moins si celui-ci porte sur nos droits fondamentaux. La liberté ne se monnaie pas, elle s'arrache aux tyrans.

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  32. Depuis Caligula, Néron, Vitellius et Galère (empereurs romains), Charles 1er Tudor, Louis XVI, Ceausescu, Kadhafi l'ont appris à leurs dépens. Les Américains ont manifesté contre les confinements et autres prétendues mesures sanitaires, jusqu'à leur abandon dans les États où ils ont été suffisamment nombreux. La Floride vit libre par exemple depuis des mois. Boris Johnson qui exerçait le même chantage sur sa population a dû lever ses restrictions après des manifestations dont l'une rassemblait un million de manifestants pacifiques à Londres le 29 juin. Si nous voulons retrouver nos libertés, il faudra vraisemblablement suivre ces exemples.

    L'altruisme dévoyé

    Ne pouvant convaincre la population (et en particulier les moins de 50 ans) que les injections expérimentales pourraient lui apporter le moindre bénéfice personnel, le gouvernement s'appuie sur notre altruisme pour nous faire accepter ces traitements expérimentaux « pour protéger les autres ». Mais il ment, car les vaccinés peuvent tout autant transmettre la maladie, l'attraper et même faire des formes graves.

    Les exemples cliniques en sont innombrables et ce risque de transmission par les vaccinés a même été reconnu par O. Véran dans le plaidoyer écrit au Conseil d'Etat : « le vaccin n'empêche pas de transmettre le virus aux tiers. »
    Être vacciné ne protège donc pas les autres et faire appel à l'altruisme pour promouvoir la vaccination constitue une escroquerie.
    La panique créée par le variant delta est totalement injustifiée

    Certes, le variant delta va se propager en France comme ailleurs, mais c'est une chance car ce variant est beaucoup moins dangereux que les précédents qu'il supplante. C'est ce que montre l'évolution de la mortalité quotidienne en Grande-Bretagne depuis que le variant delta prédomine.

    - voir graphique sur site -

    Même constatation heureuse en Israël : le variant delta est moins mortifère que le précédent.

    - voir graphique sur site -

    Un variant très contagieux mais peu grave et sensible aux traitements précoces

    Alors sur quel élément du monde réel se base le ministère de la Santé pour tenter de recréer la panique ?

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  33. Le variant delta se comporte le plus souvent comme un rhume des foins. Grâce à cela, l'incapacité totale de la vaccination à empêcher la récidive de l'épidémie ne devrait pas causer une recrudescence de la mortalité d'autant qu'en cas de problème, ce variant est parfaitement sensible aux traitements par chloroquine Ivermectine comme l'a démontré l'Inde (comme tous les autres variants jusqu'à maintenant).

    En conclusion, l'épidémie a disparu en France comme le montre la surveillance régulière du réseau Sentinelle.

    Bulletin du Réseau Sentinelles INSERM, 7 juillet 2021 : Infection respiratoire aiguë (IRA) (COVID-19, GRIPPE et autres virus respiratoires) - Activité faible en médecine générale.

    La surveillance des IRA a pour objectif le suivi des épidémies de COVID-19, de GRIPPE ainsi que celles dues aux autres virus respiratoires saisonniers (VRS, rhinovirus et métapneumovirus).

    En France métropolitaine, la semaine dernière (2021s26), taux d'incidence des cas d'infection respiratoire aiguë (IRA) vus en consultation (ou en téléconsultation) de médecine générale estimé à 33 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [25 ; 41]). Taux stable par rapport à la semaine 2021s25 (données consolidées : 25 [20 ; 30]).
    Au niveau régional, les taux d'incidence les plus élevés ont été observés en : Bretagne (78 [30 ; 126]), Occitanie (65 [28 ; 102]) et Pays de la Loire (42 [1 ; 83]).
    Surveillance de la COVID-19 : La semaine dernière (2021s26), le taux de positivité au SARS-CoV-2 des patients consultant pour une IRA était de 0%, 6% et 0%, respectivement chez les 0-14, 15-64 et 65 ans et plus.

    Le taux d'incidence des cas d'IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé 1 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [0 ; 2]) ce qui représente 787 [297 ; 1 277] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste.

    Ce taux est stable par rapport à la semaine précédente (données consolidées pour 2021s25 : 1 [0 ; 1], soit 204 [64 ; 344] nouveaux cas d'IRA dus à la COVID-19 vus en médecine générale).

    - voir cadre sur site -

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  34. Les malades sporadiques doivent recevoir les traitements précoces

    En cas de maladie sporadique de type Covid liée ou non au variant, il faut traiter précocement par l'association d'antibiotiques type macrolides, d'hydroxychloroquine et /ou ivermectine et adjuvants associés (zinc, vitamines C et D, anticoagulants).

    Cesser l'expérimentation des « injections géniques » le plus rapidement possible

    Il faut cesser cette « vaccination » basée sur les substances géniques en essai thérapeutique qui ne sont pas des vaccins type Pasteur, attendre les résultats des essais cliniques en cours qui seront dévoilés au mieux en 2023 et faire le point actuel sur les effets secondaires graves, et les décès en consultant directement les banques de données des agences européenne EMA sur EudraVigilance, l'agence anglaise (MHRA) et l'agence américaine FDA sur VAERS.

    Un moratoire s'impose.

    - voir cadre sur site -

    https://fr.sott.net/article/37498-Delta-Variant-il-donne-le-rhume-curable-par-traitements-precoces

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  35. Confirmation par l'OMS de ce que les nombreux signalements de myocardites laissaient déjà entendre : il existe un lien « probable » entre des problèmes cardiaques et certains vaccins anti-Covid


    RT France
    ven., 09 juil. 2021 14:18 UTC


    Il existe un lien «probable» entre des cas d'inflammation au niveau du cœur et l'injection de vaccins contre le Covid à ARN messager mais les avantages de ces sérums l'emportent sur les risques, a déclaré l'OMS, confirmant l'expertise américaine.


    Commentaire : On remarquera le cynisme d'une telle déclaration.
    « Les causes du décès de Jacob Clynick, 13 ans, ont été annoncées sur Twitter par sa tante, Tami Burages, qui est la soeur du papa de Jacob. Tami explique que 3 jours après la seconde injection du vaccin Pfizer, l'adolescent est décédé :

    "Les premiers résultats de l'autopsie (vendredi) étaient que son cœur était hypertrophié et qu'il y avait du liquide autour. Il n'avait aucun problème de santé connu, ne prenait aucun médicament." »

    L'hécatombe post-vaccinale se poursuit à travers le monde


    Un lien peut être fait entre la vaccination et des problème au cœur selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Dans un communiqué, les experts du Comité consultatif mondial de l'OMS pour la sécurité des vaccins expliquent que des cas de myocardite - une inflammation du muscle cardiaque - et de péricardite - une inflammation de la membrane enveloppant le cœur - ont été signalés dans plusieurs pays, en particulier aux Etats-Unis. «Les cas rapportés sont généralement survenus dans les jours qui ont suivi la vaccination, plus fréquemment chez les jeunes hommes et plus souvent après la deuxième dose des vaccins à ARN messager contre le Covid-19», ont-ils indiqué.

    Après examen des informations disponibles à ce jour, les experts de l'OMS concluent ainsi que «les données actuelles suggèrent un lien de causalité probable entre la myocardite et les vaccins à ARN messager». Toutefois, soulignent-ils, «les avantages des vaccins à ARN messager l'emportent sur les risques en réduisant les hospitalisations et les décès dus aux infections au Covid-19».

    Les experts de l'OMS font aussi savoir que les données suggèrent que l'évolution immédiate de la myocardite et de la péricardite après la vaccination est généralement légère et répond aux traitements.

    «Un suivi est en cours pour déterminer les effets sur le long terme», précisent-ils. Les experts de l'OMS vont continuer à évaluer la situation afin d'actualiser leurs recommandations.

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  36. Le 23 juin, les autorités sanitaires américaines avaient déjà informé qu'il existait un lien «probable» entre les vaccins contre le Covid-19 de Pfizer et de Moderna - des vaccins à ARN messager - et de rares cas d'inflammations au niveau du cœur chez des adolescents et de jeunes adultes, mais les bénéfices de ces remèdes «surpassaient» toujours largement les risques encourus.

    Selon l'OMS, le Comité pour l'évaluation des risques en matière de pharmacovigilance de l'Agence européenne des médicaments (EMA) a examiné, lors de sa réunion du 5 au 8 juillet, les dernières données en provenance d'Europe et a de fait confirmé l'existence d'une relation de causalité plausible entre la myocardite et les vaccins à ARN messager.

    La myocardite est une maladie rare, dont les experts pensent qu'elle est généralement déclenchée par un virus. Le symptôme le plus fréquent est une douleur à la poitrine, et elle est souvent traitée en administrant des anti-inflammatoires, ou si besoin en procurant un soutien en oxygène. Les premiers cas de myocardite été signalés en Israël, où la campagne d'immunisation a été plus rapide que dans la majorité des pays.

    https://fr.sott.net/article/37497-Confirmation-par-l-OMS-de-ce-que-les-nombreux-signalements-de-myocardites-laissaient-deja-entendre-il-existe-un-lien-probable-entre-des-problemes-cardiaques-et-certains-vaccins-anti-Covid

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  37. Dr Geert Vanden Bossche : « La vaccination va rendre le virus si infectieux que nous ne pourrons plus le contrôler »


    Del Big Tree
    Sott.net
    mar., 06 juil. 2021 14:39 UTC


    « Les autorités sanitaires autorisent l'administration de vaccins d'une manière qui menace la santé publique, et plus particulièrement lorsque les preuves scientifiques sont ignorées. La situation actuelle, extrêmement critique, m'oblige à lancer cet appel d'urgence. L'ampleur sans précédent de l'intervention humaine dans la pandémie de Covid-19 risque maintenant d'aboutir à une catastrophe mondiale sans équivalent, et cet appel ne peut être entendu assez fort et assez fermement. » Vaccination Covid-19 - Dernier avertissement par le dr Vanden Bossche = danger

    - voir clip sur site -

    https://fr.sott.net/article/37465-Dr-Geert-Vanden-Bossche-La-vaccination-va-rendre-le-virus-si-infectieux-que-nous-ne-pourrons-plus-le-controler

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    1. Ici et là des abattoirs s'ouvrent et offrent même un cornet de glace ou un tour de manège pour attirer les prochaines victimes.

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  38. L’urgence sanitaire et sécuritaire renforce la « datazerisation » de l’individu

    De lois pérennisant des outils de surveillance de masse non évalués en tentatives dites expérimentales, les états d’urgence qui se sont succédé présentent un point commun : la datazerisation de l’individu à marche forcée.


    Par Yannick Chatelain.
    12 JUILLET 2021


    De l’état d’urgence à l’état d’urgence sanitaire jamais la collecte de données individuelles initiée et commanditée par l’État – sous couvert de motif impérieux et pour le bien du collectif – n’a été aussi débridée ; jamais la mise en chantier d’une société de surveillance de masse n’a été aussi décomplexée, dans une approche d’inversion systématique des responsabilités, l’État posant comme postulat de base les citoyens comme tous suspects a priori… Suspects de comportements déviants et ipso facto nuisibles au collectif.

    L’aboutissement d’une telle approche a conduit – notamment dans le cadre de la gestion de la crise sanitaire – à la rédaction d’un rapport prospectif du Sénat, ciblant un citoyen posé comme seul et unique responsable de notre destin collectif, puisque posé comme seule variable d’ajustement pour endiguer la crise.

    Ce rapport pourrait faire une excellente et distrayante dystopie alarmiste, si elle ne se prétendait force de proposition et de débat sans débat. Dans une inversion totale des responsabilités, il oublie d’évoquer les carences de l’État et les améliorations nécessaires en termes de moyens humains et logistiques en cas de nouvelle crise.

    Ces États d’urgence ont mis entre parenthèses notre État de droit tout en étant supposés s’inscrire dans ce dernier (le recours à l’état d’urgence étant encadré) et ont néanmoins été utilisés de mon point de vue de façon opportune pour multiplier les initiatives (décrets, lois) attentatoires à des libertés fondamentales, en tentant régulièrement et autant que faire se peut, d’inscrire ce recul de libertés dans le temps afin qu’il se poursuive une fois les crises passées, ce qui implique une sortie de ces états d’urgences successifs, sans retour possible à l’État de droit qui aurait dû être rendu au citoyen… en l’état.

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  39. LA POURSUITE D’UNE VOLONTÉ DE CONTRÔLE SOCIAL OUTRANCIER EN TERRE DÉMOCRATIQUE

    De lois (loi sécurité globale) pérennisant des outils de surveillance de masse non évalués (Boîtes noires) en tentatives dites expérimentales (reconnaissance masquale), les états d’urgence qui se sont succédé (état d’urgence, puis état d’urgence sanitaire) présentent un point commun : la poursuite de la datazerisation de l’individu à marche forcée, à une cadence infernale, et tous azimuts. Cette datazerisation de l’humain est de mon point de vue une matérialisation de la négation de l’individu et par voie de conséquence une négation de notre humanité.

    La crise sanitaire n’a fait qu’amplifier le phénomène. Si je pointe le cas de « la reconnaissance que je qualifie de reconnaissance masquale », c’est qu’il est édifiant ! Il mérite de s’y arrêter un instant pour réfléchir ensemble et posément sur sa raison d’être et d’avoir été ! Au Journal officiel du 11 mars, le gouvernement avait fait publier un décret autorisant le « recours à la vidéo intelligente pour mesurer le taux de port de masque dans les transports ».

    Après s’être régulièrement opposée au recours à la reconnaissance faciale, tant à l’entrée des lycées que dans d’autres usages, à savoir le recours à des caméras intelligentes Anticoronavirus, la CNIL a souligné le risque de « porter atteinte au bon fonctionnement de notre société démocratique » . Quoi qu’elle puisse en dire, elle a fini par céder, au prétexte d’une observation comportementale sans a priori de reconnaissance faciale à proprement parler.

    Pour autant les questions qui se posent à toute personne de bon sens sont :

    Où sont les résultats ?
    Quelle a été l’exploitation des résultats obtenus ?
    En quoi cette expérimentation et la collecte d’informations sur des êtres humains devenus objets d’étude a-t-elle servi d’une quelconque façon à agir pour endiguer la pandémie ?
    Je crains fort que mes questions candides restent sans le moindre début de réponse. Hormis fabriquer au forceps un consentement à une surveillance très discutable légalement et éventuellement, agir sur les comportements par crainte (pour certains) d’une potentielle répression future…

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  40. Au demeurant ces avancées vers une société de contrôle outrancière qui se met en place, transgression après transgression, sont certainement rentables pour les vendeurs de ce type de solutions au service du contrôle social. Nous pouvons émettre l’hypothèse que ces expérimentations discutables visent, à défaut de résultats exploitables, à améliorer ou tenter d’améliorer leur technologie balbutiante.

    Le même procès en « inutilité » et en récupération de données et/ou altération de libertés fondamentales peut être fait à l’application TousAntiCovid : si tout a été tenté par l’exécutif pour obliger les citoyens français à le télécharger (dont l’intégration d’une fonctionnalité pour générer des attestations à l’envi) je repose naïvement les mêmes questions :

    Quelle a été son utilité dans la gestion de la crise ?
    Des millions de téléchargements, des millions de datas récupérés, pour quels résultats ?

    LA « DATAZERISATION » : ENTRE MANNE ÉCONOMIQUE ET ÉLECTORALISME

    L’un des enjeux des élections présidentielles portera, appuyé par les médias, sur la sécurité. Il n’est alors guère étonnant que le politique lance autant d’offensives en faveur de la vidéosurveillance et de la reconnaissance faciale. Il ne s’agirait pas de perdre des électeurs – quitte à s’appuyer sur leur ignorance – le politique semblant considérer que cette surenchère dans la surveillance technologique est la plus à même de répondre à l’attente légitime des citoyens qui réclament davantage de sécurité en matière de délinquance ou d’un point de vue sanitaire.

    Pour ce qui est de la sécurité relative à la délinquance, toutes les méta-analyses montrent le manque d’efficacité de la vidéosurveillance. Que toutes les expérimentations sérieuses menées en matière de reconnaissance faciale ont montré leurs limites du fait des biais algorithmiques multipliant les faux positifs importe peu.

    L’important pour le politique est de donner le sentiment d’agir en jouant sur l’ignorance d’une majorité de citoyens et pour les prestataires – outre le fait de trouver des débouchés économiques démultipliables au plus grand nombre de collectivités – de tenter d’améliorer à grands renforts d’expérimentations sur l’humain – les technologies encore aujourd’hui balbutiantes.

    Il est notable et inquiétant que ces avancées se fassent quitte à transgresser sans complexe la législation européenne en la matière et/ou en exploiter toutes les faiblesses pour tenter de contourner tous les garde-fous… quitte à pousser le Conseil d’État à « défier la justice européenne sur les données de connexions ».

    Pour ce qui est de la reconnaissance faciale, le secrétaire d’État au numérique parle même d’une nécessité pour faire progresser « nos industriels ». Toujours selon lui, la France doit parvenir à créer une « reconnaissance faciale éthique ».

    Une fois le mot éthique prononcé, vous pouvez dormir intranquille. Il demeure un mot peu en rapport avec la réalité de la biométrie actuelle. Comme le pointe le site Technopolice :

    « Comme si la surveillance biométrique de masse pouvait être autre chose qu’un outil de contrôle autoritaire mettant fin à l’anonymat de nos déplacements dans l’espace public. »

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  41. LES RÉGIMES AUTORITAIRES POUR MODÈLES… CHERCHEZ L’ERREUR !

    Quand on lit attentivement le rapport prospectif surréaliste du Sénat, on s’étonne de le voir en pâmoison devant la gestion de la crise sanitaire des régimes les plus autoritaires. Ce rapport signe l’air de ce temps politique, le pose comme base de toute discussion future. S’il a prétention à préparer et donner des pistes pour nos lendemains, ces derniers seraient alors bien sombres.

    À sa lecture, nous sommes en droit d’être si ce n’est sidéré, tout du moins dubitatif quant à l’amour porté par nos politiciens au respect de libertés fondamentales des citoyens, ces libertés fondamentales qui sont les pierres angulaires de toute démocratie.

    Cette fuite en avant dans la surveillance de masse s’explique facilement.

    Depuis quelques années le système français s’étant progressivement rapproché du système pervers anglais évoqué par Guillaume Gormand dans sa thèse : un système identifié par Martin Gill :

    Pendant les années 1990, le gouvernement britannique a présenté la situation ainsi aux collectivités locales : « si vous avez des problèmes d’insécurité, la vidéosurveillance peut vous aider. Vous obtiendrez des fonds pour en installer dans votre ville. Vous êtes libres de choisir un autre dispositif, mais dans ce cas vous n’obtiendrez pas d’aide financière ».

    La situation de la France est désormais quasi-analogue.

    La principale raison du succès de la vidéosurveillance n’est pas à chercher du côté de son efficacité, mais tient purement d’un couplage entre une injonction politique et des incitations financières. Depuis 2007 notamment, l’État et les collectivités locales

    […]

    Beaucoup de maires concèdent qu’ils sont cernés par les pressions qu’elles viennent d’élus, des politiques des communes avoisinantes, des demandes de certaines catégories de citoyens. Face à la pression globale de conformité, bien peu parviennent à résister. « La vidéosurveillance est un symbole visant à donner l’impression d’une action sur le thème de la sécurité. Le Monde

    En effet, le sociologue Laurent Mucchielli (@lmucchielli), le montre fort bien dans ses études :

    La vidéosurveillance s’impose par contagion et sous la pression citoyenne qui voit dans les promesses de la vidéosurveillance une solution pour réduire le sentiment d’insécurité réel comme ressenti.

    La vidéosurveillance est ainsi utilisée comme une réponse pour calmer colère et inquiétude. Elle permet de mener une action concrète et visible.

    Comme le pointe le sociologue :

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  42. Localement, le choix de la vidéosurveillance apparaît le plus souvent comme une décision d’élus cherchant à afficher leur action en matière de politique de sécurité.

    Qu’ajouter ?

    À titre d’illustration de cette dérive perverse au niveau de la France, pour les lecteurs et lectrices qui ne seraient pas convaincus, l’exemple le plus caricatural – qui est naturellement reproductible à l’envi – est la prise de position du ministre de l’Intérieur pour « venir en aide » au maire de Grenoble suite aux événements qui ont agité le quartier Mistral fin août 2020.

    Le tweet du ministre de l’Intérieur, puisque gouverner c’est désormais twitter… parle de lui-même et ne nécessite aucun commentaire :

    SURVEILLANCE DE MASSE ET EN MÊME TEMPS LIBERTÉS INDIVIDUELLES ?

    On vous surveille en masse et en même temps on protégerait vos libertés individuelles. Dans un meilleur des mondes vendu au citoyen, autrement dit en utopie, cela peut-être crédible. A contrario, dans le pire des mondes qui se profile, si aucun halte-là salvateur et légal ne ramène les gouvernements à la raison, cela ne fonctionnerait malheureusement pas ainsi ! Tout ce qui est fait par l’homme peut être défait par ce dernier, et ce quels que soient les garde-fous promis.

    Il n’y a pas en matière technologique -entre autres- de en même temps viable. Aussi puisqu’il faudrait selon le président de la République « une hygiène démocratique de l’information », pour ceux qui aspirent à un monde parfait conjuguant mort zéro et délinquance zéro, nous voilà en route vers une « hygiène démocratique des comportements ». Tout un programme.

    Récemment, pour aller toujours plus avant dans cette société du contrôle qui semble devenir totalement hors contrôle et prête à s’affranchir de toutes les lois ou tout du moins d’en exploiter toutes les failles et de tenter de les contourner par tous moyens « des chercheurs et ingénieurs français ont mis au point le premier dispositif de reconnaissance faciale entièrement cryptée ».

    Comme à l’habitude le discours est le même : jurer ses grands dieux de se conformer aux directives européennes du Règlement Général de la Protection des Données qui interdit d’identifier une personne en se servant de ses données biométriques. Après tout, pourquoi pas ?

    Pour ce qui est de l’approche de toutes ces initiatives au service d’une surveillance de masse de la population, par-delà les discours rassurants des acteurs qui œuvrent à ces déploiements – d’aucuns pour des raisons financières, d’autres à des fins électoralistes – une fois de plus les faits qui se succèdent sont têtus. Question fiabilité et utilité ils ne semblent pas vraiment corroborer les discours des aficionados d’une surveillance de masse idyllique.

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  43. Quant à l’inquiétude régulière des pratiques françaises en matière de surveillance tous azimuts, elle n’inquiète pas seulement ceux qui sont rapidement traités de complotistes voire d’irresponsables, fussent-ils des experts modérés, et exclus d’un débat qui se devrait de prendre en considération les multiples alertes.

    Ce débat n’existe pas. La liberté de penser étant insidieusement réduite à la liberté de penser comme les bâtisseurs d’une société de contrôle toujours plus oppressante.

    NUL N’EST CENSÉ IGNORER LA LOI ! LE POUVOIR EXÉCUTIF NE PEUT S’EN EXONÉRER

    Pour rappel : en juin 2021 « la France a été priée de se mettre en règle avec le droit européen… »

    Pour rappel : un arrêt de la Cour européenne des droits de l’Homme condamnant le Royaume-Uni révèle l’illégalité de nombreuses pratiques françaises. La France fait d’ailleurs actuellement l’objet d’un recours devant la CEDH sur la conformité de ses moyens de surveillance avec le droit européen.

    Pour ce qui est d’une technologie de surveillance – parmi d’autres – la reconnaissance faciale, il se pourrait fort que les apprentis sorciers d’une société de contrôle totale et d’une datazerisation de l’être humain outrancière en soient pour leurs frais. Leurs discours sur un cadre éthique censé être une caution de toute régression en matière de libertés ne sont que des mots de bonimenteurs technosolutionnistes.

    Ces mots sont supposés rassurer la population. Ils n’engagent que ceux qui les prononcent et les utilisent comme un label légitimant tous leurs excès. « La loi est dure, mais c’est la loi ». N’en déplaise aux hygiénistes holistiques promettant à la population la mort zéro et la délinquance zéro par des moyens factuellement extrêmement contestables, ces discours se heurtent et se heurteront à un mur que nous sommes en droit d’espérer inébranlable : le droit français et le droit européen.

    Le droit qui saura reconnaître sans le moindre recours à des outils biométriques ce qui relève de l’inacceptable en démocratie. Et si les États d’urgence en France, quelles que soient leur nature, se sont mis à ignorer le droit au profit de l’action en se retranchant derrière l’urgence, si ces états d’urgence successifs ont visé à pérenniser la dictature temporelle infligée légalement aux citoyens, si le pouvoir exécutif d’alors est sorti en conscience du cadre démocratique dans lequel il devait impérieusement s’inscrire, il se devra demain d’en répondre.

    Le véritable progrès démocratique n’est pas d’abaisser l’élite au niveau de la foule, mais d’élever la foule vers l’élite – Gustave Le Bon

    https://www.contrepoints.org/2021/07/12/401406-lurgence-securitaire-et-sanitaire-renforce-la-datazerisation-de-lindividu

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  44. 40 % des Britanniques veulent que les mandats de masque soient en place pour toujours, les non vaccinés définitivement interdits de voyages à l'étranger, selon un nouveau sondage


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 12 JUIL 2021 - 03:30
    Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Un nouveau sondage révèle que 40 % des Britanniques souhaitent que les mandats de masque restent en place pour toujours, tandis que près de la moitié pensent que les personnes non vaccinées devraient être définitivement interdites de voyager à l'étranger.

    Oui vraiment.

    "Un nouveau sondage d'Ipsos MORI pour l'économiste suggère qu'un pourcentage élevé de Britanniques pense qu'un certain nombre de restrictions de verrouillage devraient rester en place" en permanence ", y compris les couvre-feux nocturnes (19 %), la quarantaine de voyage (35%) et les masques faciaux (un 40 % énorme !) », rapporte LockdownSceptics.

    "Bien plus de 40 % des Britanniques pensent également que seuls ceux qui ont été vaccinés contre Covid - et sont en mesure de le prouver - devraient être autorisés à voyager à l'étranger (encore une fois, "de façon permanente")."

    En d'autres termes, près de la moitié de la population ne veut jamais se démuseller et pense que ceux qui n'ont pas pris le jab devraient rester sous verrouillage de facto pour toujours.

    Ce sera de la musique aux oreilles de la conseillère du gouvernement et membre à vie du Parti communiste Susan Michie, qui, lorsqu'on lui a demandé combien de temps les mandats de distanciation sociale et de masque devraient rester en place, a répondu "pour toujours".

    Plus d'un cinquième des Britanniques sont également "très nerveux" à propos de la levée des restrictions de verrouillage existantes, qui doit avoir lieu le 19 juillet.

    Les résultats du sondage soulignent une fois de plus à quel point les psychologues comportementaux ont si bien réussi à terrifier le public britannique dans une soumission absolue.

    Comme nous l'avons souligné précédemment, les scientifiques agissant en tant que conseillers du gouvernement ont reconnu avoir utilisé des méthodes «totalitaires» et «non éthiques» pour instiller la peur dans la population afin de l'effrayer pour qu'elle se conforme aux règles de verrouillage.

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  45. Les commentaires ont été faits par des membres du Groupe scientifique sur le comportement en cas de pandémie de grippe (SPI-B), un sous-comité du Groupe consultatif scientifique pour les urgences (SAGE), le principal groupe consultatif scientifique du gouvernement.

    Les scientifiques ont admis avoir exagéré le risque de COVID pour le public et utilisé des méthodes «dystopiques» de «contrôle mental» pour rendre les gens plus craintifs qu'ils n'auraient dû l'être.

    Comme le prouvent les résultats du sondage, cela a conduit un grand nombre de la population à développer une forme de SSPT qui les a traumatisés en pensant que la vie pourrait jamais revenir à la normale avant le coronavirus.

    « Quel genre de nation sommes-nous devenus ? » demande Michael Curzon.

    Pendant ce temps, l'élite politique et les célébrités britanniques continuent de violer de manière flagrante les mêmes règles qu'elles exigent agressivement que tous les autres suivent.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/40-brits-want-mask-mandates-place-forever-unvaccinated-permanently-banned-foreign-travel

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    1. Même si le nombre d'anglais favorable au masque ne dépasse pas zéro % ils diront que c'est 40 ! HAHAHAHA !

      😎 Visualisation de la taille relative des particules (comme COVID-19)

      mardi 20 octobre 2020

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/visualisation-de-la-taille-relative-des.html

      alors que 'le masque le plus fin' (FFP2/N95 avec valve d'expiration) a un écart de mailles de 3 MICRONS !
      HAHAHAHAHA !

      Y a t-il Internet en Grande-Bretagne ? Hahahaha !

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  46. Après le coronavirus et le réchauffement, quel sera le cygne noir suivant ?


    le 12 juillet 2021


    Ce sujet est presque inépuisable et je vais pour l’instant en aborder seulement deux. On peut citer l’antispécisme en hors-d’œuvre, car d’autres petits articles à venir sur ce blog s’attacheront à décrire tout ce qui menace les fondements de la civilisation occidentale, fondements qui remontent à la nuit des temps. J’aborderai quelques autres sujets qui préfigurent les anges exterminateurs de l’Apocalypse, concept qui envahit le sub-conscient de tous ceux qui constituent une civilisation héritée d’une longue histoire des ancêtres dont nous sommes tous issus. Puisque j’ai mentionné l’antispécisme autant dire tout de suite qu’il s’agit d’une attitude idéologique dont le but est d’abaisser le statut des êtres humains au rang d’animaux. Nous sommes déjà plongés dans cette problématique puisque nous sommes tous considérés comme des animaux de laboratoire à propos de ce que l’on nomme abusivement des vaccins, les fameux ARN messagers bientôt obligatoires pour protéger les populations contre le coronavirus. On vaccine les animaux d’élevage sans leur demander leur avis et dans quelques semaines il en sera de même pour les humains. Nos lointains ancêtres étaient des chasseurs-cueilleurs. Probablement lassés de se nourrir de charognes qu’ils disputaient aux carnassiers sauvages ils ont appris à chasser et l’invention du feu les a protégés de ces bêtes sauvages et a en outre permis de faire cuire la viande de leurs proies. Ce changement alimentaire, selon les paléontologues, a contribué à l’augmentation du volume du cerveau. L’antispécisme conduit à toutes sortes d’extravagances comme ces projets stupides de production de protéines in vitro pour remplacer la viande bovine ou porcine. L’idéologie sous-jacente de l’antispécisme est là, dissimulée par la nécessité impérative de protection du climat en rabaissant l’homme à l’état d’animal … Comme aurait dit Pierre Desproges : « J’en pouffe ».

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  47. Dans la rubrique énergie les critères ESG vont conduire à une pénurie ingérable de combustibles carbonés fossiles et la mauvaise image de l’énergie nucléaire va amplifier cette situation. À court terme, une dizaine d’années tout au plus, l’Europe va souffrir de black-out à répétition d’abord localisés puis généralisés. Selon l’étude décrite dans un billet de ce blog (voir le lien) il faut au moins une semaine pour retrouver un semblant d’alimentation électrique. Le choc économique et social d’un black-out généralisé est difficilement imaginable. Toutes les technologies modernes, télévision, radio, internet, téléphone, GPS, disparaitront instantanément et paralyseront totalement les transports ferroviaires et aériens dépendant étroitement de ces technologies elles-mêmes dépendantes de la fourniture d’électricité. De nombreuses industries lourdes subiront des dégâts irréparables car un black-out ne prévient pas. À tort les Français peuvent penser qu’ils seront à l’abri d’un black-out européen généralisé car l’énergie nucléaire, dans leur esprit, les protégerait contre un tel événement. En effet, si le réseau de transport haute tension de l’électricité qui interconnecte tous les pays européens devient inutilisable, tous les réacteurs, ne pouvant plus évacuer sur le réseau l’électricité produite, sont mis à l’arrêt automatiquement. Il reste alors à contrôler la chaleur résiduelle des réacteurs en laissant fonctionner les pompes de refroidissement alimentées avec des groupes électrogènes diesel. Je crois me souvenir que chaque réacteur dispose d’une réserve de sécurité d’un mois car en cas de black-out il est également nécessaire de refroidir les piscines de stockage des assemblages de combustibles récemment extraits des réacteurs lors du précédent rechargement en combustible. Donc, il n’y a pas de place pour la moindre illusion il faudra au moins dix jours pour un retour à la normale.

    Un black-out provoqué par la politique énergétique stupide et suicidaire de l’Allemagne mais également de la Suisse (interconnectée malgré qu’elle soit neutre, un jeu de mot à l’intention de ceux qui comprennent ce qu’est l’énergie électrique) et enfin de la Belgique qui a décidé d’arrêter progressivement ses installations nucléaires conduira peut-être les autorités de Bruxelles à reconsidérer leur politique « énergies vertes ». À mon âge qu’on me laisse le droit de rêver … Ce mardi pas de billet car je me rends en France, puis je ferai en sorte de rédiger de courts articles sur ce sujet, de mon point de vue, des cygnes noirs qui tournent au dessus de nos têtes. Quelques pensées mais pas tous les jours, excusez-moi fidèles lecteurs.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/10/22/petite-histoire-pas-du-tout-fictive-un-black-out-generalise-en-europe-occidentale/

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/07/12/apres-le-coronavirus-et-le-rechauffement-quel-sera-le-cygne-noir-suivant/

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    1. Un FAUX vaccin pour se protéger des... attentats !!

      Dans quel monde sommes-nous ??!

      A savoir que si depuis plus de 10 000 ans existe le corona (nano-poussière métallique expulsée continuellement par le magma et qui remonte à la surface des eaux par ses émissions de gaz produit par la masse ferrique incandescente), l'on connaît (depuis peu) cette nano-particule chargée électriquement pour 3 semaines. Mais, car il faut en parler, il y a des nouvelles ! Des nouvelles ???! Mais d'où sortent-elles ? Des laboratoires !

      Eh oui ! ces Nouveaux coronas sont des coronas captés dans l'air ambiant et qui sont rechargés différemment !
      Cela permet aux hégémonistes laboratoires (soutenus par les dictatures en place) d'en créer des centaines de différents ! Des milliers ! Des millions ! (nous n'en sommes qu'aux numéros 5 et 6 !! de ceux qui sont appelés 'des variants').

      Donc, à les écouter, nous n'en viendrons JAMAIS à bout ! Car, les laboratoires terroristes sont hyper protégés, pareils pour les drones et chemtrails derrière les avions qui les diffusent dans l'air !

      Demandez donc aux politichiens et a certains 'professeurs' corrompus si ces nouveaux coronas sont naturels !

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  48. Ancien directeur du CDC: des scientifiques ont modifié le coronavirus avant qu'il ne s'échappe du laboratoire de Wuhan


    Lundi 12 juillet 2021
    par : Ramon Tomey


    (Natural News) Le virologue Dr Robert Redfield a déclaré qu'il pensait que le coronavirus de Wuhan (COVID-19) avait été modifié par des scientifiques chinois avant qu'il ne s'échappe de l'Institut de virologie de Wuhan (WIV) dans la province centrale du Hubei en Chine. L’ancien directeur des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) a ajouté que la capacité du virus COVID-19 à passer d’un animal à un humain n’est pas « biologiquement plausible ». Alors que des rapports antérieurs affirmaient que l'agent pathogène provenait de chauves-souris, de nouvelles preuves suggèrent qu'il provenait du laboratoire WIV, ce qui a déclenché un débat en cours.

    Redfield a doublé sa croyance en la théorie des fuites de laboratoire dans une interview du 15 juin avec le contributeur de Fox News, le Dr Marc Siegel. Il a déclaré que la capacité du virus à se propager rapidement n'avait jamais été observée dans d'autres coronavirus. Et tandis que la plupart des coronavirus peuvent passer des animaux aux humains, la zoonose se produit généralement à un rythme beaucoup plus lent que ce qui a été observé avec le coronavirus de Wuhan.

    « J’ai dit auparavant que je ne pensais pas qu’il était biologiquement plausible que COVID-19 soit passé d’une chauve-souris à un animal inconnu en [humains], et soit maintenant devenu l’un des virus les plus infectieux. Ce n'est pas cohérent avec la façon dont d'autres coronavirus sont entrés dans l'espèce humaine », a déclaré Redfield, qui soupçonne que le virus COVID-19, bien qu'il ait fui involontairement, avait subi des modifications génétiques.

    « Il existe une hypothèse alternative selon laquelle il est passé d’un virus de chauve-souris [et] est entré dans un laboratoire, où … il a été enseigné [et] éduqué. [Il a ensuite] évolué… [et] est devenu un virus capable de se transmettre efficacement [de] d'humain à humain », a expliqué Redfield.

    Selon Siegel, Redfield avait le pressentiment que le coronavirus de Wuhan avait fui du laboratoire WIV dès janvier 2020. Cependant, le groupe de travail sur le coronavirus de la Maison Blanche à l'époque se concentrait sur ce qui se passait dans le pays.

    L'ancien président Donald Trump et ses partisans ont été critiqués pour avoir épousé la théorie des fuites de laboratoire en 2020. Tout récemment, le président Joe Biden a ordonné la clôture d'une enquête du département d'État menée par l'ancien secrétaire d'État Mike Pompeo sur cette possibilité. Mais alors que des preuves à l'appui de la théorie ont été révélées, Biden lui-même a annoncé une nouvelle enquête de 90 jours sur la question.

    Redfield critique Fauci et l'Organisation mondiale de la santé
    Dans son interview avec Siegel, Redfield a également fait un tour à l'expert en maladies infectieuses, le Dr Anthony Fauci. Redfield a comparé le directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) à un « chien se tenant fermement à un os » avec son insistance sur les origines naturelles de COVID-19.

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  49. « D'autres individus – Tony Fauci, par exemple – préféreraient soutenir que cela a évolué à partir de la nature. Je pense que Tony s'accroche fermement à cette [théorie]. Pourquoi serait-ce? Parfois, les scientifiques mordent dans un os sur une hypothèse. C'est difficile pour eux de passer à autre chose », a commenté l'ancien directeur du CDC.

    Assez vrai apparemment, car les courriels récemment publiés de l'expert en maladies infectieuses ont montré son soutien indéfectible à la théorie des origines naturelles du coronavirus. Un e-mail qui lui a été envoyé en janvier 2020 a averti que le virus COVID-19 semblait être "peut-être conçu" après un examen plus approfondi – un avertissement que Fauci semblait avoir rejeté, car le directeur du NIAID n'a jamais mentionné cette information dans aucune de ses interviews. (Connexe: un immunologiste dit à Fauci que le coronavirus de Wuhan semble conçu – dès janvier 2020.)

    Dans son e-mail à Fauci, Kristian Andersen, immunologiste au Scripps Research Institute en Californie, a écrit : « Sur un arbre phylogénique, le virus semble normal et le regroupement étroit avec les chauves-souris suggère [ils] servent de réservoir. [One] doit examiner de très près toutes les séquences pour voir que certaines des fonctionnalités semblent « potentiellement » conçues. » Andersen a également déclaré que lui et d'autres scientifiques avaient trouvé le génome du coronavirus de Wuhan "incohérent avec les attentes de [the] théorie de l'évolution".

    Le démenti ferme de Fauci quant à la possibilité que le virus COVID-19 ait été conçu est également clair dans une autre correspondance envoyée par l'enquêteur de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Peter Daszak. Dans un e-mail d'avril 2020, Daszak a remercié Fauci d'avoir publiquement insisté sur le fait que COVID-19 avait des origines naturelles. "Je voulais juste dire un merci personnel … pour s'être levé publiquement et avoir déclaré que les preuves scientifiques soutiennent une origine naturelle pour COVID-19 d'un débordement de chauve-souris à l'homme, pas d'une libération en laboratoire." (Connexe : Courriel : Le chercheur qui a financé le laboratoire de Wuhan a admis avoir manipulé des coronavirus, a remercié Fauci d'avoir rejeté la théorie des fuites de laboratoire.)

    Mis à part Fauci, Redfield a également porté un coup à l'OMS, qui, selon lui, a été « hautement compromise » par la Chine. Il a critiqué l'organisme mondial de la santé pour ne pas avoir réprimé le pays communiste et laissé Pékin dicter les termes de son enquête sur les origines du COVID-19. « Je pense que [l'OMS est] hautement compromise. De toute évidence, [it was] incapable de contraindre la Chine à adhérer aux accords du traité … sur la santé mondiale. »

    Redfield a finalement reconnu qu'il aurait dû pousser plus fort pour que le CDC soit autorisé à l'intérieur du laboratoire WIV lorsque le virus est apparu pour la première fois. Redfield a été nommé directeur du CDC en 2018 et a été remplacé par le Dr Rochelle Walensky en janvier 2021 après l'entrée en fonction du président Biden.

    Visitez Pandemic.news pour lire plus d'histoires sur les origines du virus COVID-19.

    Sources include:

    DailyMail.co.uk
    FoxNews.com
    TheNationalPulse.com
    Summit.news

    https://www.naturalnews.com/2021-07-12-former-cdc-director-coronavirus-modified-before-leaking.html

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    1. Personne ne peut dire qu'il vient de là ou de là. Même le premier lâché n'a pas d'origine de sa transformation. Quant aux autres, appelés des 'variants' issus du premier, ne sont pas du tout issus du premier mais sont TOUS différents.
      De plus, les criminels présentent un FAUX vaccin créé en 48 h !! (alors qu'il faut 10 à 15 ans pour faire un vaccin !).

      Mais ?? si ce n'est pas un vaccin, pourquoi cherchent-ils à l'inoculer ?
      De l'argent ? ils s'en foutent ! Les billets sont fabriqués à la pelle !
      Mais alors pourquoi ?
      Parce que les seringues contiennent des nano-particules métalliques destinées à VOTRE MORT !

      Ces nano-particules (les mêmes qui sont dans les masques neufs vendus) peuvent se rassembler, former un caillot (mort) ou simplement une antenne-relais vers la 5G ou votre portable.
      Au signal reçu vous devenez transhumaniste (assassin commandé) ou... mort !

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  50. Groupe de recherche britannique : le vaccin contre le coronavirus « dangereux pour l'homme » en raison d'événements indésirables


    dimanche 11 juillet 2021
    par : Ramon Tomey


    (Natural News) Un groupe de recherche médicale au Royaume-Uni a souligné que les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) sont « dangereux pour l'homme » sur la base de rapports d'événements indésirables. Les scientifiques et les médecins ont examiné les données du système de déclaration des événements vaccinaux de la carte jaune du gouvernement britannique. Ils ont découvert que le nombre « écrasant » d'effets indésirables des vaccins COVID-19 avait définitivement sonné l'alarme.

    Le système Yellow Card est l'équivalent britannique du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) aux États-Unis. Le système est géré par la Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency (MHRA). Grâce au système de carte jaune, la MHRA surveille en permanence les vaccins COVID-19 «pour s'assurer que leurs avantages continuent de l'emporter sur les risques».

    Cependant, des chercheurs du groupe de recherche Evidence-based Medicine Consultancy (EbMC) basé à Bath, en Angleterre, ont dévoilé des résultats inquiétants. La directrice d'EbMC, le Dr Tess Lawrie, a écrit sur les conclusions de son groupe dans une lettre du 9 juin adressée au directeur général de la MHRA, le Dr June Raine.

    Lawrie a écrit dans sa lettre qu'entre le 4 janvier et le 6 mai de cette année, un total de 888 196 événements indésirables et 1 253 décès ont été signalés à Yellow Card. Semblables aux données du VAERS, il n'a pas été prouvé qu'elles étaient directement corrélées avec le vaccin COVID-19. Malgré cela, le directeur de l'EMBC a soulevé des problèmes de sécurité pour ceux qui reçoivent le vaccin. Elle a écrit qu'étant donné les chiffres de la carte jaune, "la MHRA a maintenant plus qu'assez de preuves … pour déclarer le vaccin COVID-19 dangereux pour une utilisation chez l'homme".

    Lawrie a ensuite posé des questions urgentes à la MHRA pour y répondre dans les plus brefs délais. Elle a demandé combien de personnes sont décédées dans les 28 jours suivant la vaccination et combien de personnes ont été hospitalisées pour la même période. Elle a également demandé le nombre total de personnes handicapées par la vaccination.

    Dans une interview ultérieure avec TrialSiteNews, elle a décrit le nombre total de cas comme « concernant » et a appelé à un suivi des personnes qui ont signalé des effets indésirables « pour s'assurer qu'il n'y a pas d'autres problèmes ». Lawrie a déclaré: "L'étendue de la morbidité est frappante, mettant en évidence de nombreux incidents et ce qui équivaut à un grand nombre de malades."

    Les rapports dans le système de la carte jaune prouvent seulement que les vaccins contre le coronavirus sont dangereux
    Lawrie a également déploré que Yellow Card soit "incroyablement opaque" lors de son interview à TrialSiteNews. Elle a expliqué que les chercheurs sont incapables de filtrer les incidents de sécurité des vaccins par âge, sexe ou autre attribution. Selon le directeur d'EbMC, environ 60% ou plus des vaccins COVID-19 au Royaume-Uni provenaient d'AstraZeneca, le reste du vaccin Pfizer/BioNTech.

    La lettre appelait la MHRA à rendre publics de toute urgence les rapports sur les effets indésirables des vaccins, étant donné que les données de pharmacovigilance sont connues pour être par la suite sous-déclarées. Il a également appelé le régulateur à aider les personnes à signaler les effets indésirables. (Connexe: les médias grand public britanniques insistent sur le fait que les vaccins contre les coronavirus sont efficaces même si la plupart des décès par covid se produisent désormais chez des personnes vaccinées.)

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  51. Lawrie a conclu la lettre : « Des préparatifs doivent être faits pour intensifier les efforts humanitaires pour aider les personnes blessées par les vaccins COVID-19, et pour anticiper et atténuer les effets à moyen et long terme. Comme le mécanisme des dommages causés par les vaccins semble être similaire à celui du COVID-19 lui-même, cela comprend la collaboration avec de nombreux médecins et scientifiques internationaux ayant une expertise dans le traitement réussi du COVID-19. »

    Mais selon un article publié fin juin 2021, les décès dus aux vaccins et les effets indésirables ne sont pas alarmants. Il a même soutenu que les personnes décédées des vaccins COVID-19 servaient de preuve de leur efficacité. (Connexe: The Guardian dit que les personnes qui meurent des vaccins contre le covid sont une «preuve» qu'elles fonctionnent.)

    Dans un article du 27 juin pour The Guardian, David Spiegelhalter et Anthony Masters ont appelé les gens à éviter de considérer les décès par vaccin comme «un mauvais signe». Au contraire, ils ont insisté sur le fait que de tels décès étaient attendus d'un vaccin « efficace mais imparfait ». Ils ont écrit : « Cela signifie-t-il que les vaccins [COVID-19] sont inefficaces ? Loin de là, c'est ce que l'on attend d'un vaccin efficace mais imparfait. »

    Les deux ont également pris connaissance des informations faisant état de décès liés au vaccin circulant sur diverses plateformes de médias sociaux. « La couverture et l'efficacité sont importantes… pour évaluer les programmes de vaccination. Il vaut mieux regarder une analyse cool par analyse, plutôt que des prises de vues à chaud sur les [médias] sociaux », ont-ils écrit.

    Visitez DangerousMedicine.com pour en savoir plus sur les risques d'effets indésirables provoqués par les vaccins COVID-19.

    Sources include:

    WakingTimes.com
    TheFreeThoughtProject.com
    Gov.uk
    TrialSiteNews.com 1 [PDF]
    TrialSiteNews.com 2
    TheGuardian.com

    https://www.naturalnews.com/2021-07-11-coronavirus-vaccine-unsafe-humans-adverse-events.html

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