- ENTREE de SECOURS -



samedi 3 juillet 2021

L’éolien renouvelable n’a pas vraiment été renouvelé en juin

 Le mois de juin a été particulièrement peu venteux. Les opérateurs d’éolien n’ont donc pas vendu grand-chose.


Par Michel Negynas.

 3 JUILLET 2021

 

Le site Révolution énergétique, faux nez du syndicat des énergies renouvelables, ose tout. Son dernier article est censé démontrer que l’éolien n’est pas intermittent et qu’il y a foisonnement. Le lecteur du site pourra juger de la pertinence des arguments. Il suffit pourtant d’observer ce qui s’est passé en juin.

EAU DE JUIN RUINE LE MOULIN

C’est un vieux dicton météo parmi beaucoup d’autres. Mais il colle bien avec la situation des opérateurs d’éoliennes en juin : ils n’ont pas vendu grand-chose.

Le mois de juin a été particulièrement peu venteux. Comme d’habitude, regardons les sites de egaz carbonique mix de RTE, le réseau d’électricité français, et de Energy Charts de Fraunhofer, en Allemagne. Ces deux sites sont très bien documentés et ils donnent un aperçu de la production d’électricité pour un territoire de plus de 150 millions d’habitants, aux conditions géographiques très diverses, de la mer du Nord, à l’océan et à la mer Méditerranée. S’il devait y avoir foisonnement, on devrait le voir sur une zone si vaste.

France


Allemagne


On voit que mises à part deux brèves périodes autour du 12 et du 20 juin, l’éolien n’a quasiment rien produit tout le mois, ni en France, ni en Allemagne. Le 9 juin à 10 heures, la production a été de 1 GW en France et 0,5 GW en Allemagne, pour un parc total de 81 GW, soit 1,8 % de la capacité installée.

Si ce n’est pas de l’intermittence, ça y ressemble beaucoup… Notons aussi que l’off shore n’a rien sauvé du tout, il a fait comme l’on shore.

ANALYSE DE L’ÉOLIEN EN FRANCE

La France a produit quasiment sans émissions de gaz carbonique. Le peu de gaz utilisé ne l’a été que parce que même faible, la production de l’éolien, hautement variable à court terme, nécessite de suivre les fluctuations par des centrales à gaz très agiles.

L’Allemagne a produit essentiellement avec du solaire, du lignite et du gaz. Le charbon et le gaz ont été réduits au minimum. C’est contraire aux engagements climatiques, puisque le lignite est le pire des combustibles fossiles. Mais c’est une production locale, alors que le charbon est importé.

Le cas des importations est intéressant.

Globalement, la France exporte chez tous ses voisins européens qui sont tous dans le besoin, vu l’absence de vent, ou qui trouvent l’électricité nucléaire nettement moins chère que leurs productions en réserve. Mais elle importe à intervalles très réguliers. Pourquoi diable le fait-elle ?

Il faut regarder les imports exports de l’Allemagne : imports, exports, imports, exports, imports, exports… au rythme du soleil. Avec ses 56 GW de solaire, l’Allemagne est dans une impasse. Certes, la pointe de production à midi correspond à la pointe de consommation, mais elle dépasse de loin les besoins. Et surtout, la montée et la descente vertigineuse de cette puissance mettrait à mal la réactivité des centrales pilotables. L’Allemagne s’en sort en parasitant ses voisins : elle se met en situation d’importation avant la montée, exporte pendant la montée, et vice-versa à la descente. C’est pratique, sauf que si tout le monde voulait le faire…

ET LE STOCKAGE DE L’ÉOLIEN ?

On peut estimer grossièrement ce qu’il aurait fallu stocker avant juin pour suppléer aux fossiles et au nucléaire. Le nucléaire a été en moyenne de 44 GW, le lignite de 11 GW, soit 55 GW pendant 30 jours soit 39 600 GWh.

Un GWh ce sont  10 exposant 6 kWh, et 10 exposant 6 x 3,6 x 10 exposant 6 joules. L’énergie à stocker serait donc de 142 x 10 exposant 15 joules. Certes, un joule c’est petit, mais avec 15 zéros….

Regardons ce que cela donnerait en stockage par une station de pompage (STEP), qui est la seule méthode de stockage de masse que l’on connaisse actuellement.

L’énergie emmagasinée par le lac supérieur est : m, la masse d’eau, par h, la hauteur de chute, et par g, soit 9,81.

Le lac de Constance fait 48 km3, le Léman 89 km3, soit 137 x 10 exposant 9 m3 ou 137 x 10 exposant 12 kg.

Il faut donc pomper entièrement les deux plus grands lacs d’Europe et élever leurs eaux de 105 mètres. 

Par cet exemple, on voit bien que le problème du stockage est insoluble quelle que soit la technologie choisie, connue à ce jour ou pas. C’est un problème d’ordre de grandeur.

CONCLUSION

L’énergie éolienne est non seulement intermittente, contrairement à ce que disent ses défenseurs, mais elle est aléatoire. Et l’intermittence peut durer un mois entier.

Stocker l’énergie nécessaire pour combler cette intermittence est hors de portée de quelque technologie que ce soit, connue ou à venir.

https://www.contrepoints.org/2021/07/03/400838-leolien-renouvelable-na-pas-vraiment-ete-renouvele-en-juin

50 commentaires:

  1. Comme sur des billets ils écrivent 10, 100 ou 1000 francs, euro ou dollars pour 'y donner une valeur' (Hahahaha !), ils pensent que le théorie énergétique imprimée sur l'ordinateur est un stockage en mémoire ! Hahahaha !

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  2. Ce que la voiture électrique va coûter au budget

    Notre cher quoi qu’il en coûte signe le triomphe du verbe sur le chiffre, du rêve sur la réalité, de l’utopie sur la politique.


    Par Rémy Prud’homme.
    3 JUILLET 2021


    La France a décidé de généraliser la voiture électrique. La Loi d’Orientation sur les Mobilités votée en décembre 2019 prescrit qu’en 2040, dans moins de vingt ans, la totalité des voitures neuves vendues en France sera électrique.

    Comme le dit le texte voté :

    La France devient le premier pays européen à inscrire cette ambition dans la loi.

    Cette décision a été prise quoi qu’il en coûte. On n’y trouve aucune estimation de ce que cela signifie pour les finances publiques. Cette note tente de remédier à cette négligence. Bien entendu, la politique d’électrification des voitures a aussi d’autres dimensions : environnementales, industrielles, sociales, etc. Mais ce n’est pas une raison pour ignorer sa dimension budgétaire, particulièrement dans le contexte de l’état déplorable de nos finances publiques.

    Le nombre de voitures neuves immatriculées annuellement en France est actuellement de deux millions. Il est pratiquement stable depuis 30 ans. On fera l’hypothèse raisonnable qu’il restera à ce niveau dans les 20 années à venir. Chaque voiture électrique supplémentaire, c’est une voiture thermique en moins.

    Cette substitution voulue a pour les finances publiques un double coût : un coût en augmentation des dépenses, et un coût en diminution des recettes, qui sont tous les deux assez faciles à évaluer.

    À cet effet, il faut commencer par estimer le flux annuel de voitures électriques immatriculées prescrit par la loi. Il est actuellement très faible et doit atteindre deux millions en 2040. Faisons l’hypothèse, également raisonnable, d’une progression arithmétique.

    On peut alors calculer, année par année, le stock de voitures thermiques éliminées, égal au stock de voitures électriques ajoutées. Il est faible aujourd’hui, mais il augmentera régulièrement : il atteindra six millions en 2030, 22 millions en 2040.

    VOITURE ÉLECTRIQUE : LES DÉPENSES SUPPLÉMENTAIRES

    Les voitures électriques sont subventionnées.

    Sur le site officiel du ministère de la Transition énergétique, sous la protection du drapeau tricolore, dans un encart intitulé « Sympathique, la voiture électrique », on lit :

    Pas si chère ! Aide : jusqu’à 11 000 euros d’aides de l’État à l’achat.

    Pour l’administration française le coût d’un bien est le prix payé par l’acheteur, et une subvention pudiquement baptisée une aide, fait baisser ce coût.

    Ce chiffre de 11 000 euros est sans doute une vantardise de l’État, une publicité mensongère. Le montant moyen de la subvention actuelle est moins important et il va être réduit. Mais il ne peut pas trop diminuer si l’on veut respecter la loi et vendre des millions de voitures électriques.

    Retenons une subvention unitaire à l’achat de 5000 euros. Elle entraînera pour les finances publiques une subvention annuelle d’environ 5 milliards en 2030 et 10 milliards en 2040. Le total cumulé sur les années 2021-2040 s’élèvera à plus de 220 milliards d’euros. Ces chiffres sous-estiment le coût de l’aide aux voitures électriques, car ils ignorent des dépenses publiques telles que le financement de centaines de milliers de bornes électriques, ou les subventions à la création d’usines de batteries, sans parler de l’électrification des véhicules utilitaires légers.

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  3. DES RECETTES EN MOINS

    Les véhicules à essence et au diesel, lequel est déjà condamné à mort par ailleurs, sont lourdement imposés. Le principal impôt spécifique (en plus des impôts qui frappent les biens ordinaires), est un impôt sur l’essence de 0,81 euro par litre. Une voiture qui consomme environ 6 litres aux 100 km et parcourt en moyenne 13 000 km par an, paye ainsi un impôt de 632 euros par an. 100 000 véhicules à essence de moins, ce sont 63 millions d’impôts par an de moins.

    Cette perte augmentera comme le stock des voitures thermiques éliminées par les véhicules électriques. En 2040, elle atteindra 14 milliards d’euros. Cumulé sur les vingt prochaines années, la perte de recettes fiscales engendrée par le véhicule électrique s’élève à environ 108 milliards.

    - voir tableau sur site -

    Le coût pour les finances publiques de la généralisation de la voiture électrique décidée dans la Loi d’Orientation sur les Mobilités est la somme des deux coûts précédents.

    Il est élevé et rapidement croissant : une dizaine de milliards par an en 2030, plus du double en 2040. C’est l’ordre de grandeur des subventions aux éoliennes et au solaire. C’est plus que les dépenses consacrées à la justice et aux prisons, qui sont actuellement inférieures à 10 milliards et augmentent lentement. C’est aussi, selon les prévisions du Conseil d’Orientation des Retraites, l’ordre de grandeur des déficits associés au système actuel des retraites – présentés comme l’un des problèmes majeurs de la France.

    Les coûts budgétaires estimés impliquent nécessairement soit une diminution d’autres dépenses publiques, soit une augmentation des impôts, soit une combinaison des deux.

    Consolons-nous en pensant que le pire n’est pas toujours sûr. Le regretté Giulio Andreotti disait hier que les promesses engagent seulement ceux qui les croient, pas ceux qui les font. Peut-être faut-il ajouter aujourd’hui que les lois engagent seulement ceux qui les applaudissent, pas ceux qui les votent. Le plus remarquable et en tout cas le plus inquiétant c’est que notre cher quoi qu’il en coûte (cher au double sens de chéri et de coûteux) signe le triomphe du verbe sur le chiffre, du rêve sur la réalité, de l’utopie sur la politique.

    https://www.contrepoints.org/2021/07/03/400840-ce-que-la-voiture-electrique-va-couter-au-budget

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  4. Cinq pays asiatiques construiront 600 centrales à charbon, épave du monde, mais qui s'en soucie ?


    July 3rd, 2021


    L'Australie et le Royaume-Uni peuvent fermer une centrale au charbon chacun, mais l'Asie en construira 600.

    Il y a un moment socialement gênant à venir lors du prochain dîner du G20, mais malgré le mal égoïste combiné des théoriques Asian Planet Wreckers, personne ne dira vraiment grand-chose, ne mettra en place des embargos commerciaux ou ne boycottera les Jeux olympiques.

    En fin de compte, tout le monde autour de la table sait que Carbon Voodoo est un jeu de dîner occidental, pas un polluant sérieux.

    La Chine, l'Inde, l'Indonésie, le Japon et le Vietnam prévoient de construire plus de 600 centrales au charbon
    - Jillian Ambrose, The Guardian

    Cinq pays asiatiques mettent en péril les ambitions climatiques mondiales en investissant dans 80% des nouvelles centrales au charbon prévues dans le monde, selon un rapport.

    Ce sont tous des pays en développement, apparemment, ils peuvent donc être pardonnés, même si la liste comprend les numéros 2 et 3 sur la liste des plus grandes économies du monde, et l'un de ces oisillons vient de quitter le nid et d'atterrir sur Mars.

    Repérez la folie :

    Carbon Tracker, un groupe de réflexion financier, a découvert que la Chine, l'Inde, l'Indonésie, le Japon et le Vietnam prévoyaient de construire plus de 600 centrales au charbon, même si les énergies renouvelables sont moins chères que la plupart des nouvelles centrales au charbon.

    Pourquoi suppriment-ils toute l'énergie solaire et éolienne bon marché ? Se pourrait-il que la Chine, l'Inde, l'Indonésie, le Japon et le Vietnam soient remplis de gens stupides qui ne peuvent pas compter. Ou est-ce qu'ils peuvent faire les sommes et ils ont remarqué que chaque nation avec des énergies renouvelables a également une électricité chère ?

    https://joannenova.com.au/2021/07/five-asian-countries-will-build-600-coal-plants-wreck-world-but-who-cares/

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  5. PÉNURIE D'ÉLECTRICITÉ EN CHINE... C'EST UN PROBLÈME POUR LE MONDE ENTIER !


    par CHARLES SANNAT
    01/07/2021


    60% de l'électricité de Chine est produite à partir du charbon.

    Le dossier du mois de Juin est enfin en ligne dans vos espaces lecteurs en téléchargement. Je m’excuse du retard pour la mise en ligne et je vous souhaite une bonne lecture, bon vous n’y trouverez pas forcément de quoi vous remonter le moral, mais après lecture il est certain que vous pourrez savourer vos vacances avec délectation et pleinement dans l’esprit « ce qui est pris n’est plus à prendre » ! A défaut donc de vous rendre joyeux, ce dossier consacré aux pénuries et à leurs causes vous présente notamment une hypothèse qui a pour intérêt majeur d’unifier tout ce qui se passe et de mettre les évènements et les différents éléments en cohérence.
    Pour accéder à votre espace lecteur c’est ici.

    Pour vous abonner tous les renseignements sont là.

    Cet article que je vous traduis aujourd’hui et que je n’ai pas pu mettre dans le dossier stratégies consacré aux pénuries vous apportera une confirmation de plus en ce qui concerne l’hypothèse clef, la numéro 6. Vous êtes en plein dedans.

    Tenez jusqu’au bout de ce long article de CNN, car il est très important. Fondamental.

    La Chine est confrontée à sa pire pénurie d’électricité depuis une décennie. C’est un problème pour le monde entier
    C’est un article de CNN qui nous annonce que la Chine est confronté à une terrible pénurie d’électricité. Source CNN.com ici

    « La Chine est au milieu d’une énorme crise de production d’électricité alors que les conditions météorologiques extrêmes, la demande croissante d’énergie et les limites strictes de l’utilisation du charbon portent un triple coup dur au réseau électrique du pays. C’est un problème qui pourrait durer des mois, et mettre à rude épreuve la reprise économique du pays et peser sur le commerce mondial .

    Plusieurs provinces chinoises ont déclaré qu’elles étaient confrontées à une crise de puissance ces dernières semaines, y compris certains des moteurs les plus importants du pays pour la croissance économique.
    La province du Guangdong – un centre de fabrication responsable de plus de 10 %, de la production économique annuelle de la Chine et d’une plus grande part de son commerce extérieur – rationne son électricité depuis plus d’un mois. Les restrictions ont forcé des entreprises de toute la province à fermer leurs portes quelques jours par semaine. Certaines autorités locales préviennent que le rationnement de l’électricité pourrait durer jusqu’à la fin de l’année.

    Il n’y a pas que le Guangdong. Au moins neuf provinces ont déclaré qu’elles étaient confrontées à des problèmes similaires, notamment le Yunnan, le Guangxi et le centre de fabrication du Zhejiang, obligeant les autorités régionales à annoncer des coupures de courant dans une région de la Chine de la taille du Royaume-Uni, de l’Allemagne, de la France et du Japon réunis.

    La crise de l’électricité a même contribué au ralentissement de la croissance de l’activité des usines en Chine en juin, a reconnu mercredi le Bureau national des statistiques du pays.

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  6. Cette fois-ci, le boom des matières premières post-pandémique et les conditions météorologiques extrêmes obligent à nouveau les centrales électriques au charbon à réduire leur production, tout en entravant l’hydroélectricité. Mais il y a une différence clé : la Chine est également aux prises avec la façon de répondre à la pression du président Xi Jinping pour une Chine neutre en carbone d’ici 2060. Cet objectif ambitieux pour le plus grand consommateur de charbon au monde a conduit les mines de charbon du pays à produire moins, entraînant une augmentation prix, selon Yao Pei, stratège en chef de la société de courtage chinoise Soochow Securities.

    Les pénuries pourraient donner un coup de poing qui pourrait faire dévier la fragile reprise de la Chine, tout en créant de nouveaux problèmes pour les chaînes d’approvisionnement mondiales qui ont déjà du mal à faire face.

    « Le rationnement de l’électricité nuira inévitablement à l’économie », a déclaré Yan Qin, analyste principal du carbone pour Refinitiv.

    Une pénurie d’électricité pourrait réduire la production dans pratiquement tous les secteurs de l’économie, y compris les principales industries de la construction et de la fabrication. Ces entreprises ont utilisé près de 70 % de l’électricité de la Chine l’année dernière, selon le Bureau national des statistiques, et ont été les principaux moteurs de la reprise en 2021.

    Chengde New Material, basé à Guangdong, l’un des plus grands producteurs d’acier inoxydable du pays, a déclaré à ses clients à la fin du mois dernier qu’il fermerait ses activités deux jours par semaine jusqu’à ce que l’électricité n’ait plus besoin d’être rationnée. La société s’attend à ce que les volumes de production diminuent de 20 %, soit jusqu’à 10 000 tonnes d’acier par mois.

    « Les entreprises ne sont pas satisfaites de cela », a déclaré Klaus Zenkel, président de la Chambre de commerce de l’Union européenne dans le sud de la Chine. Il a déclaré que jusqu’à 80 des sociétés membres de la chambre pourraient avoir été affectées par les ordres du gouvernement de suspendre leurs opérations pendant quelques jours par semaine, ajoutant que les fabricants nationaux ont également été contraints d’échelonner la production. Certaines entreprises ont même commencé à louer des générateurs diesel coûteux pour poursuivre leurs activités, a-t-il déclaré.

    Le rationnement de l’électricité dans la province clé productrice de métaux du Yunnan a même provoqué une baisse de l’offre de certains types de métaux, notamment l’aluminium et l’étain, selon des données gouvernementales et des recherches indépendantes.

    Les réductions de production et la perspective de délais de livraison non respectés dans toute la Chine risquent également d’étirer une chaîne d’approvisionnement mondiale déjà serrée. Le Guangdong est à lui seul un centre manufacturier qui représente un quart du commerce total de la Chine, y compris les vêtements, les jouets et l’électronique.

    « Cela [la pénurie d’électricité] pourrait ajouter aux retards d’expédition qui peuvent être ressentis dans le monde entier », a déclaré Henning Gloystein, directeur de l’énergie, du climat et des ressources chez Eurasia Group.

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  7. Les experts attribuent l’ampleur de la crise énergétique à une multitude de problèmes, allant de la forte demande d’énergie aux conditions météorologiques extrêmes.

    Le plan de relance économique de Pékin axé sur les infrastructures est très intensif en carbone, selon Lauri Myllyvirta, analyste en chef pour le Centre de recherche sur l’énergie et l’air pur. Au cours des cinq premiers mois de l’année, la consommation d’électricité dans le sud de la Chine a dépassé les niveaux d’avant la pandémie, en hausse de 21 % par rapport à la même période en 2019, selon China Southern Power Grid, un grand opérateur de réseau public.

    Le charbon participe toujours à la production d’environ 60 % de l’électricité du pays . Mais le gouvernement se méfie de l’augmentation de ce chiffre – et a donc essayé de réduire la consommation de charbon alors qu’il tente d’atteindre son objectif de devenir neutre en carbone d’ici 2060.

    Les limitations de l’utilisation du charbon, cependant, ont coïncidé avec une soif d’énergie causée par le rajeunissement économique , ainsi que des conditions météorologiques extrêmes. Cela provoque une tension croissante entre l’offre et la demande ».

    Pour résumer c’est Pékin qui fait baisser volontairement la production électrique…
    Donc vous avez compris. Certes il y a bien quelques problèmes de niveau d’eau dans les barrages, mais il n’y a là rien d’insurmontable si l’on remet en route les centrales à charbon volontairement éteinte par Pékin.

    D’ailleurs comme le dit CNN, « finalement, les autorités devront peut-être penser à céder sur certains objectifs climatiques. Il a suggéré que Pékin pourrait « remettre en ligne » les centrales électriques qui ont été fermées plus tôt cette année pour lutter contre la pollution excessive ».

    Pourtant, cela ne sera pas fait. « Qin a déclaré que les pénuries d’électricité resteront probablement un problème « assez souvent » pendant au moins un certain temps. La Chine semble déterminée à contrôler l’énergie sale et tente d’augmenter son utilisation des sources renouvelables et de réduire l’utilisation des combustibles fossiles.
    « Le problème auquel est confrontée l’approvisionnement électrique de la Chine est de savoir comment répondre à la fois aux besoins croissants d’électrification et à l’objectif de décarbonisation », a déclaré Qin, ajoutant que si la Chine développe de nombreuses sources d’énergie renouvelables, ces sources ne sont pas encore aussi stables que celles qui utilisent des combustibles fossiles. »

    Tout le monde a bien compris que l’on ne pouvait pas se passer des énergies fossiles comme le charbon et le pétrole à court terme sans que cela n’entraîne quelques conséquences fâcheuses du type coupure d’électricité.

    Et pourtant Pékin ne rallume pas les centrales à charbon.

    Pékin éteint la lumière.

    Vous vous demandez pourquoi.

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

    Préparez-vous !

    http://www.economiematin.fr/news-electricite-penurie-chine-danger-energie-sannat

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  8. "Ils veulent juste notre argent" : la taxe sur l'essence en Californie a encore augmenté


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 02 JUIL 2021 - 17:20


    Vous savez ce que nous pensions juste que la Californie pourrait utiliser ? Des impôts plus élevés.

    Et cela ne doit pas seulement être nous "penser clairement" parce que l'État est sur le point de faire passer une nouvelle augmentation de la taxe d'accise sur l'essence qui a tellement agacé les citoyens de l'État qu'ils se sont engagés à "n'aller nulle part". Cela soulève la question inspirée de la courbe de Laffer : que vaut une taxe de 51,1 cents par gallon lorsque les habitants de l'État viennent d'abandonner complètement l'achat d'essence ?

    La nouvelle taxe est entrée en vigueur jeudi, selon CBS 8. Elle provient d'une augmentation automatique dans le cadre du projet de loi 1 du Sénat qui a été promulgué en 2017. Le projet de loi augmente progressivement la taxe d'accise sur le carburant chaque année pour la réparation des routes et des ponts. Le rapport indique que la taxe est désormais de 51,1 cents le gallon, ce qui place les taxes californiennes sur l'essence et les États les plus élevées du pays.

    La taxe californienne sur l'essence a augmenté de 21 cents depuis l'adoption du SB1 en 2017. À ce taux, il n'y aura littéralement plus rien à taxer dans quelques années.

    Doug Shupe de AAA a parlé du coût pour les conducteurs : « C'est environ six dixièmes de cent par gallon, et pour ce réservoir de carburant typique de 14 gallons, cela signifie que vous payez environ 8 cents de plus par plein, donc pas une énorme différence."

    Mieux encore, les électeurs ont eu la possibilité de supprimer la taxe sur l'essence en 2018 dans le cadre de la proposition 6 - mais la mesure a échoué au scrutin.

    Les conducteurs californiens étaient furieux.

    "Les politiciens continuent de nous arnaquer de plus en plus. Peu importe qu'ils soient démocrates ou républicains. Ils veulent juste notre argent et le fait est que nous n'obtenons pas la valeur que nous payons pour cela, ", a déclaré le résident Richard Matz.

    Un autre habitant, Carl Demaio, a déclaré : « C'est une taxe frauduleuse parce qu'on nous a dit que nous allions avoir de belles routes. Eh bien, nos routes sont les pires du pays selon divers indicateurs.

    San Diego coûte actuellement en moyenne 4,26 $ le gallon (3,78 l.) pour l'essence ordinaire sans plomb. La taxe sur l'essence coûte environ 800 $ par an à une famille de quatre personnes, note le rapport.

    https://www.zerohedge.com/markets/they-just-want-our-money-californias-gas-tax-has-risen-again

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  9. Contrôle de la réalité : le professeur écrit une lettre expliquant le drainage des ressources naturelles créé par des objectifs de « zéro émission nette »


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 02 JUIL 2021 - 20:40


    Alors que l'idée de mettre en œuvre des émissions nettes zéro dans certains délais a semblé bonne pour les entreprises, les pays et les États qui ont fixé des objectifs, la réalité de la réalisation est légèrement plus difficile.

    C'est ce que le Royaume-Uni découvre après que le professeur Richard Herrington, directeur des sciences de la Terre du Natural History Museum, a écrit une lettre au Comité sur le changement climatique sur la grande quantité de ressources naturelles qui seront nécessaires pour effectuer la conversion. La lettre a été remise à la baronne Brown, qui préside le sous-comité d'adaptation du comité sur le changement climatique.

    En plus de noter que le Royaume-Uni aurait besoin d'une augmentation de 20 % de l'électricité produite au Royaume-Uni, le communiqué note également que « pour atteindre les objectifs de voitures électriques du Royaume-Uni pour 2050, nous aurions besoin de produire un peu moins de deux fois la production mondiale annuelle actuelle de cobalt presque toute la production mondiale de néodyme, les trois quarts de la production mondiale de lithium et au moins la moitié de la production mondiale de cuivre."

    La lettre dit :

    « Le besoin urgent de réduire les émissions de gaz carbonique pour assurer l'avenir de notre planète est clair, mais il y a d'énormes implications pour nos ressources naturelles non seulement pour produire des technologies vertes comme les voitures électriques, mais aussi pour les maintenir chargées.

    « Au cours des prochaines décennies, l'approvisionnement mondial en matières premières doit changer radicalement pour s'adapter non seulement à la transformation du Royaume-Uni vers une économie à faible émission de carbone, mais à celle du monde entier. Notre rôle en tant que scientifiques est de fournir les preuves de la meilleure façon d'évoluer vers une économie à zéro carbone - la société doit comprendre qu'il y a un coût en matières premières pour passer au vert et que de nouvelles recherches et investissements sont nécessaires de toute urgence pour évaluer les moyens de s'en procurer. Cela peut inclure la possibilité de considérer des sources beaucoup plus proches de l'endroit où les métaux doivent être utilisés. »

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  10. Il souligne ensuite les défis évidents pour répondre aux besoins de conversion de toutes les voitures et camionnettes en véhicules électriques, en particulier en ce qui concerne le cobalt :

    Pour remplacer tous les véhicules basés au Royaume-Uni aujourd'hui par des véhicules électriques (à l'exclusion des flottes de LGV et de poids lourds), en supposant qu'ils utilisent les batteries NMC 811 de nouvelle génération les plus économes en ressources, il faudrait 207 900 tonnes de cobalt, 264 600 tonnes de carbonate de lithium (LCE) , au moins 7 200 tonnes de néodyme et de dysprosium, en plus de 2 362 500 tonnes de cuivre. Cela représente un peu moins de deux fois la production mondiale annuelle totale de cobalt, la quasi-totalité de la production mondiale de néodyme, les trois quarts de la production mondiale de lithium et au moins la moitié de la production mondiale de cuivre en 2018. Même en assurant l'approvisionnement annuel de véhicules électriques uniquement, à partir de 2035, comme promis, exigera du Royaume-Uni qu'il importe chaque année l'équivalent de la totalité des besoins annuels en cobalt de l'industrie européenne.

    La ponction sur les ressources se ferait sentir dans le monde entier, et pas seulement au Royaume-Uni, poursuit la lettre :

    Si cette analyse est extrapolée à l'estimation actuellement projetée de deux milliards de voitures dans le monde, sur la base des chiffres de 2018, la production annuelle de néodyme et de dysprosium devrait augmenter de 70 %, la production de cuivre devrait plus que doubler et la production de cobalt devrait augmenter. au moins trois fois et demie pour toute la période d'ici 2050 pour satisfaire la demande.

    Enfin, il souligne le coût énergétique croissant de la production de métal (presque 4 fois la production électrique annuelle totale du Royaume-Uni) et les défis supplémentaires liés à l'utilisation de « l'énergie verte » pour fournir de l'électricité aux véhicules électriques :

    Coût énergétique de la production de métal : Ce choix de véhicule s'accompagne également d'un coût énergétique. Les coûts énergétiques pour la production de cobalt sont estimés à 7000-8000 kWh pour chaque tonne de métal produite et pour le cuivre à 9000 kWh/t. Les coûts de l'énergie des terres rares sont d'au moins 3350 kWh/t, donc pour l'objectif de 31,5 millions de voitures qui nécessitent 22,5 TWh d'électricité pour produire les nouveaux métaux pour la flotte britannique, ce qui représente 6 % de la consommation électrique annuelle actuelle du Royaume-Uni. . Extrapolée à 2 milliards de voitures dans le monde, la demande d'énergie pour l'extraction et le traitement des métaux est près de 4 fois la production électrique annuelle totale du Royaume-Uni

    ...

    Défis liés à l'utilisation de « l'énergie verte » pour alimenter les voitures électriques : si les parcs éoliens sont choisis pour produire l'énergie nécessaire aux deux milliards de voitures projetées à une utilisation moyenne au Royaume-Uni, cela nécessite l'équivalent d'une année supplémentaire d'approvisionnement mondial en cuivre et 10 ans ' valeur de la production mondiale de néodyme et de dysprosium pour construire les parcs éoliens.

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  11. L'énergie solaire est également problématique – elle est également gourmande en ressources ; tous les systèmes photovoltaïques actuellement sur le marché dépendent d'une ou plusieurs matières premières classées comme « critiques » ou « quasi critiques » par le ministère de l'Énergie de l'UE et/ou des États-Unis (silicium de haute pureté, indium, tellure, gallium) en raison de leur la rareté naturelle ou leur récupération en tant que sous-produits mineurs d'autres produits de base. Avec un facteur de capacité d'environ 10 % seulement, le Royaume-Uni aurait besoin d'environ 72 GW d'entrée photovoltaïque pour alimenter le parc de véhicules électriques ; plus de cinq fois la capacité installée actuelle. Si l'on utilise de l'énergie photovoltaïque de type CdTe, cela consommerait plus de trente ans d'approvisionnement annuel en tellure actuel.

    La lettre indique clairement qu'il existe plusieurs « vérités gênantes » associées à la réalité de tous les signaux de vertu « d'énergie propre » qui ont eu lieu. La lettre fait suite le mois dernier à la publication d'un article signalant que les véhicules électriques peuvent offrir une différence négligeable par rapport aux véhicules ICE en termes d'émissions de gaz carbonique. C'était le sujet d'un article de blog par les investisseurs en ressources naturelles Goehring & Rozencwajg (G&R), une "société de recherche fondamentale axée exclusivement sur les investissements dans les ressources naturelles à contre-courant avec une équipe avec plus de 30 ans d'expérience dans le domaine des ressources".

    La société, créée en 2015, a publié une entrée de blog intitulée "Exploring Lithium-ion Electric Vehicles' Carbon Footprint", dans laquelle elle remettait en question une ancienne comparaison ICE vs EV effectuée par le Wall Street Journal et, tout en citant des travaux effectués par Jefferies , soutiennent qu'il pourrait littéralement y avoir "aucune réduction de la production de gaz carbonique" dans certaines comparaisons EV vs ICE.

    Leur analyse « détaille l'énorme quantité d'énergie (et par extension de gaz carbonique) nécessaire à la fabrication d'une batterie lithium-ion. Étant donné qu'un véhicule électrique typique est en moyenne 50 % plus lourd qu'un moteur à combustion interne similaire, l'analyse note que le « carbone intégré » dans un véhicule électrique (c'est-à-dire lorsqu'il sort du lot) est donc 20 à 50 % supérieur à celui d'un moteur de véhicule à combustion interne.

    https://www.zerohedge.com/markets/reality-check-earth-sciences-professor-pens-letter-outlining-massive-natural-resource-drain

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  12. Saisies de fentanyl au pic de la frontière sud des États-Unis 4000 %


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 02 JUIL 2021 - 22:40


    La crise frontalière du président Biden s'est transformée en crise de la drogue alors que les cartels mexicains ont pris le contrôle de certaines parties de la frontière sud. Ces gangs criminels pompent des quantités record de fentanyl à travers la frontière et contribuent à une augmentation du nombre de décès par surdose de drogue.

    Selon NBC News, les agents de la US Border Patrol ont saisi 4 000 % de fentanyl de plus cette année qu'en 2018. Les politiques d'immigration assouplies de Biden ont permis aux cartels et aux étrangers en situation irrégulière de franchir certaines parties de la frontière. Les agents ont jusqu'à présent saisi 41 livres de fentanyl en 2021, contre neuf livres en 2020, deux livres en 2019 et une livre en 2018.

    Les données de NBC sont principalement axées sur les saisies entre les ports d'entrée terrestres, comme en plein désert.

    "Pour la première fois, nous commençons à voir ces tactiques où le fentanyl est introduit en contrebande entre les ports d'entrée", a déclaré l'agent en chef de la patrouille frontalière Gloria Chavez. "Les cartels sont très créatifs. Ils trouvent des moyens d'intimider les migrants et de leur faire transporter illégalement ce stupéfiant aux États-Unis."

    Quarante et un livres ne semblent pas être beaucoup de drogues, mais gardez à l'esprit que le puissant narcotique est 80 à 100 fois plus puissant que la morphine, et qu'un seul kilogramme, soit environ 2,2 livres, peut potentiellement tuer 500 000 personnes. Faites le calcul, et la saisie jusqu'à présent cette année est suffisamment forte pour tuer environ 9,3 millions d'Américains.

    Les agents de la Drug Enforcement Administration ont déclaré à NBC que le fentanyl est devenu la drogue de prédilection des cartels pour entrer en contrebande aux États-Unis, car elle est facile à transporter et très rentable.

    Dans les ports terrestres, les saisies de fentanyl et de méthamphétamine ont également augmenté de 719% et 781%, respectivement. Les cartels inondent la drogue mortelle à chaque ouverture possible à la frontière sud, et les politiques frontalières brisées de Biden le rendent possible.

    Un nombre choquant de 90 722 décès par surdose a été signalé aux États-Unis jusqu'en novembre 2020. Si la trajectoire se poursuit, les surdoses de cette année pourraient dépasser les chiffres de l'année dernière. La pandémie de virus a intensifié la crise de la drogue (lire : ici et ici) alors que des millions de personnes ont perdu leur emploi et que l'économie a plongé dans une récession. Pourtant, des millions de personnes sont sans emploi et s'enfoncent dans un trou profond de drogue et d'alcool. En plus de tout cela, les politiques frontalières ratées de Biden pour annuler la sécurité stricte des frontières de l'ancien président Trump avaient aggravé la crise de la drogue et de l'immigration.

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  13. Tragiquement, cette situation dangereuse qui se joue à la frontière sud était très prévisible. Les républicains pourraient utiliser les politiques frontalières ratées de Biden contre les démocrates pour les élections de mi-mandat de 2022 et les élections présidentielles de 2024.

    Cette semaine, un milliardaire républicain et gouverneur du Dakota du Sud, Kristi Noem, ont pu financer un futur déploiement de la Garde nationale de l'État à la frontière en tant que gouverneur du Texas, Greg Abbott, a fréquemment combattu l'administration Biden au sujet de leur travail moche de protection des Américains contre les cartels et les extraterrestres.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/fentanyl-seizures-southern-us-border-spike-4000

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  14. Les États-Unis subissent une explosion dans des cas urgents de santé mentale alors que COVID recule


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 02 JUIL 2021 - 19:20


    La dernière indication que la pandémie de COVID-19 (et les blocages sévères imposés aux États-Unis et ailleurs) conduit à une crise de santé mentale relativement calme, mais toujours grave, est apparue dans le Wall Street Journal de lundi via un rapport sur la flambée des les cas urgents liés à la santé mentale obstruent les salles d'urgence et les hôpitaux psychiatriques à travers le pays.

    Et alors que les États-Unis s'apprêtent de plus en plus à rouvrir, l'odeur de la liberté retrouvée pousse apparemment plus de gens au bord du gouffre.

    Le WSJ commence son histoire dans le plus grand hôpital psychiatrique de Pittsburgh, où un médecin travaillant la nuit a vu le nombre moyen de cas quotidiens doubler, passant de près d'une douzaine à près de deux douzaines.

    "Il semble que tout le monde retienne son souffle depuis un an, et maintenant, c'est juste une explosion totale de tout, à la fois en termes de volume élevé mais aussi de gravité des cas", a déclaré le Dr Sparks. "Vous voyez beaucoup plus de gens qui étaient, avant la pandémie, un peu dépassés et stressés, et maintenant ils souffrent de troubles anxieux ou de dépression."

    La vague de cas de santé mentale s'est « transformée en tsunami », inondant un système de santé déjà surchargé. Les services d'urgence disent qu'ils sont submergés par des patients qui ont soit reporté les soins, soit n'ont tout simplement pas pu y accéder, pendant la pandémie, ou dont les symptômes ont été exacerbés ou aggravés par les blocages.

    Certains médecins craignent que ce ne soit que le début et que le plein impact de la pandémie sur la santé mentale ne soit pas vérifiable avant des années. Voici une ventilation de certaines des autres informations clés de l'histoire du WSJ :

    Les enfants ont été particulièrement touchés. Les fermetures d'écoles ont conduit à de graves problèmes de santé mentale qui sont passés inaperçus, car les enseignants et les psychologues scolaires sont la principale source d'aiguillage. Même avant la pandémie, le pays était confronté à une pénurie de professionnels de la santé mentale au service des mineurs : l'American Academy of Pediatrics a estimé l'année dernière le besoin de pédopsychiatres à 47/100 000 personnes, soit environ 4 fois le nombre en pratique. Les visites aux urgences pour des crises de santé mentale chez les 12 à 17 ans ont augmenté de 31% entre 2019 et 2020 selon le CDC. Au centre médical de l'Université de Pittsburgh, le volume des consultations pédiatriques ambulatoires a augmenté de 30 % au cours des quatre premiers mois de 2021 par rapport à l'année précédente. "Nous avons plus d'enfants en attente de soins que jamais auparavant", a déclaré Abigail Schlesinger, chef de la psychiatrie pour enfants et adolescents de l'hôpital. "Nous sommes dans la phase d'urgence en santé mentale de cette pandémie."

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  15. Les suicides ont augmenté chez les mineurs. Les visites aux urgences pour suspicion de suicide chez les enfants de 12 à 17 ans ont augmenté de 22 % l'été dernier par rapport à l'année précédente, et de 39 % l'hiver dernier par rapport à l'hiver précédent.

    De plus en plus de crises de santé mentale se terminent dans les salles d'urgence en partie parce que les établissements de soins ambulatoires, y compris les cabinets de psychiatres privés, les cabinets de thérapie et les centres de crise, sont tout simplement débordés. "Pour nous, il s'agit certainement de nombreuses personnes qui souffraient d'affections préexistantes ou qui ont négligé de traiter leur nouveau déséquilibre émotionnel", a déclaré Damir Huremovic, psychiatre au North Shore University Hospital à Long Island. "Beaucoup ont développé de l'anxiété ou de l'insomnie, et ils ont essayé de voir un prestataire mais personne ne prenait de nouveaux patients, puis les choses ont fait boule de neige."

    Les hotlines de crise se bousculent. Le volume global de Resolve, une hotline de crise desservant une partie appauvrie de Pittsburgh, a vu les taux d'appels entre janvier et avril augmenter de 27% par rapport à la période de l'année précédente. Au cours des six derniers mois, Resolve a traité des centaines d'appels téléphoniques par jour, dont une cinquantaine d'entre eux suffisamment graves pour nécessiter une visite à domicile par des cliniciens qualifiés. C'est 2x à 3x le niveau d'il y a deux ans. "L'isolement est le thème dominant", a déclaré Jeff McFadden, un clinicien de crise téléphonique au centre qui dit que le volume d'appels est le plus élevé qu'il ait vu au cours de ses 13 années à Resolve. "C'est tout, de" je suis seul "ou" ma petite amie a rompu avec moi "à" j'ai une arme juste à côté de moi, donne-moi une raison de vivre "... Il y a cette tempête parfaite où les gens se sentent piégés leurs propres maisons et seuls. Nous le voyons de plus en plus. "

    Les retards dans la recherche de soins sont également un problème. "Les cliniques qui pouvaient faire entrer les gens en quelques jours, cela prend maintenant quelques semaines ou mois", a déclaré un médecin. L'année dernière a « brisé tous les paradigmes » sur la façon de traiter les cas de santé mentale dans la communauté.
    De plus en plus, les médecins et les infirmières qui s'occupent des patients qui demandent des soins urgents pour des problèmes psychiatriques ressentent l'intensification des facteurs de stress liés au travail comme l'épuisement professionnel. "Vous ne pouvez en prendre autant lorsque vous êtes privé de sommeil, épuisé et que vous jonglez avec les problèmes des autres comme des balles en feu pendant tant de nuits d'affilée", a déclaré un médecin.

    Et une autre épidémie de travailleurs de la santé prenant un congé ou démissionnant en raison de l'épuisement professionnel est la dernière fois que le système de santé a besoin.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/us-suffers-explosion-urgent-mental-health-cases-covid-recedes

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  16. Apple prévient que l'iPhone peut « interférer » avec les appareils cardiaques


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 02 JUIL 2021 - 21:20


    Apple a publié une longue liste de produits qui, selon lui, devraient être tenus à l'écart des stimulateurs cardiaques et des défibrillateurs implantés, car ils pourraient « interférer » avec les dispositifs médicaux.

    "De nombreux appareils électroniques grand public contiennent des aimants ou des composants et des radios qui émettent des champs électromagnétiques", a déclaré Apple, ajoutant que "pour éviter toute interaction potentielle avec ces types d'appareils médicaux, gardez votre produit Apple à une distance sûre de votre appareil médical (plus distants de plus de 6 pouces/15 cm ou de plus de 12 pouces/30 cm en cas de chargement sans fil)."

    Apple n'explique pas ce qui pourrait arriver lorsque ses produits entrent en contact étroit avec des stimulateurs cardiaques et des défibrillateurs. Pourtant, on pourrait supposer que la pire des circonstances pourrait être la désactivation d'un dispositif médical et pourrait entraîner la mort.

    "Si vous pensez que votre produit Apple interfère avec votre appareil médical, arrêtez d'utiliser votre produit Apple et consultez votre médecin et le fabricant de votre appareil médical", a averti la société.

    Voici les produits qu'Apple souhaite conserver à l'écart de vos appareils médicaux :

    AirPods et étuis de recharge
    AirPods et étui de chargement
    AirPods et étui de chargement sans fil
    AirPods Pro et étui de chargement sans fil
    AirPods Max et Smart Case
    Apple Watch et accessoires
    Apple Watch
    Bracelets Apple Watch avec aimants
    Accessoires de charge magnétique Apple Watch
    AccueilPod
    AccueilPod
    AccueilPod mini
    iPad et accessoires
    iPad
    ipad mini
    ipad air
    iPad Pro
    Smart Covers et Smart Folios pour iPad
    iPad Smart Keyboard et Smart Keyboard Folio
    Clavier magique pour iPad
    Accessoires iPhone et MagSafe
    modèles d'iPhone 12
    Accessoires MagSafe
    Mac et accessoires
    Mac mini
    Mac Pro
    Macbook Air
    Macbook Pro
    iMac
    Apple Pro Display XDR
    Beats
    Beats Flex
    Temps X
    PowerBeats Pro
    UrBeats3

    Peut-être que l'avertissement d'Apple intervient alors qu'une nouvelle analyse dans l'American Heart Association Journal avertit que certains iPhones d'Apple peuvent causer des problèmes importants avec les dispositifs électroniques implantables cardiaques.

    https://www.zerohedge.com/medical/apple-warns-iphone-can-interfere-cardiac-devices

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    1. La cause de la mort des inoculés est renvoyée sur... votre putain de téléphone de merde qui tue !
      Hahahaha !
      Quelqu'un vous appelle ? Vous demandez qui c'est ! (Hahaha !) "C'est la moooort !" répondit-elle.

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  17. Virus Z : une expérience de pensée


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 02 JUIL 2021 - 17:40
    Rédigé par Charles Hugh Smith via le blog OfTwoMinds,


    Ce qui est frappant dans notre expérience de pensée, c'est le peu de données fiables dont nous disposons sur la transmissibilité de notre hypothétique Virus Z et les conséquences à long terme de ses mutations.

    Exécutons une expérience de pensée sur un virus hypothétique que nous appellerons Virus Z, une variété respiratoire ordinaire pas très différente des autres virus qui sont 1) très petits ; 2) muter rapidement et 3) infecter les cellules humaines et modifier la machinerie cellulaire pour produire plus de particules virales.

    Comme d'autres virus, Virus Z améliore continuellement les chances de réplication future via la sélection naturelle de toutes les mutations qui améliorent ses capacités de réplication. Étant donné que les virus ont besoin des cellules hôtes pour se répliquer, les principaux avantages sélectionnés par mutation sont d'éviter les réponses immunitaires des hôtes aux virus envahissants.

    Comme dans tous les organismes dans lesquels des mutations avantageuses surviennent et se propagent finalement dans les instructions génétiques de l'organisme, la sélection naturelle des mutations dans les virus n'est pas téléologique, ce qui signifie qu'il n'y a pas d'objectif défini pour le processus évolutif autre que ce qui est avantageux dans un cadre particulier.

    Pour utiliser une analogie avec le football, les mutations virales n'ont pas pour objectif d'avancer de 10 mètres pour obtenir un premier essai et continuer sur le terrain pour marquer un touché. Toute mutation qui aide le virus à échapper au système immunitaire de l'hôte est conservée, car les virus qui sont attaqués et engloutis par le système immunitaire ne se répliquent plus, tandis que le virus qui échappe au système immunitaire continue de se répliquer. Quelles que soient les mutations qui lui permettent d'échapper à l'attaque, elles sont conservées dans le codage génétique de tous les futurs virus.

    Dans notre expérience de pensée, le virus Z est un nouveau virus respiratoire, c'est-à-dire qu'il se propage via des particules d'humidité exhalées par des hôtes humains, de sorte que la plupart des hôtes humains n'ont pas d'immunité naturelle contre lui parce que le système immunitaire de leur corps ne l'a jamais rencontré auparavant. En conséquence, de nombreuses personnes exposées au virus Z tombent malades car le virus déclenche une réponse immunitaire (inflammation, fièvre, congestion) qui perturbe divers processus (absorption d'oxygène, digestion, etc.)

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  18. Comme de nombreux autres agents pathogènes, le virus Z entraîne la mort de certaines personnes infectées dont le système immunitaire est compromis ou affaibli. Dans notre expérience de pensée, le virus Z entraîne l'hospitalisation d'un pourcentage de personnes infectées et la mort d'environ 2% de toutes les personnes qui contractent la maladie.

    Ce n'est pas un taux exceptionnel dans l'histoire de l'humanité, et comme beaucoup d'autres agents pathogènes, le virus Z a tendance à rendre malade les personnes âgées et fragiles qui ont un système immunitaire moins robuste.

    Mais néanmoins, 2% n'est pas zéro, et donc la bioscience développe un vaccin contre le virus Z qui réduit avec succès la gravité de la maladie et cela réduit naturellement le taux de ceux qui meurent de la maladie virale.

    Le vaccin est testé dans un seul but : réduit-il ou non la gravité de la maladie ? En raison de cet objectif et du protocole de test, on ne sait pas si le virus peut rester à de faibles niveaux chez les individus vaccinés et être transmissible à d'autres.

    En d'autres termes, on ne sait pas si certaines personnes vaccinées pourraient être contagieuses même si elles ne présentent aucun symptôme de maladie.

    Tout comme les vaccins antigrippaux ne sont pas efficaces à 100 % contre toutes les souches de grippe, il s'avère que le vaccin contre le virus Z est très efficace pour réduire les risques de contracter le virus et la gravité de toute maladie ultérieure, mais il ne réduit pas la transmissibilité à zéro ou le nombre de ceux qui tombent malades malgré avoir été vaccinés à zéro.

    Comme il n'est pas pratique de tester en permanence chaque individu vacciné, le nombre d'individus vaccinés qui hébergent encore de faibles niveaux de virus tout en étant asymptomatiques (c'est-à-dire asymptomatiques) est inconnu. Un individu vacciné peut être exempt de virus mais être ensuite réinfecté par l'exposition à une nouvelle variante qui survit à l'attaque immunitaire mais ne génère pas de symptômes.

    Ainsi, dans ce pool d'un nombre X d'individus vaccinés, le virus continue de muter, les mutations qui aident le virus à échapper au système immunitaire amélioré par le vaccin de l'hôte étant les mutations qui sont conservées, comme les virus qui sont combattus par le système immunitaire. système ne se réplique plus tandis que ceux avec la mutation utile continuent de se répliquer.

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  19. Les virus qui échappent aux attaquants du système immunitaire sont également sélectionnés pour une transmissibilité améliorée, ce qui signifie que ceux dont la transmissibilité est limitée n'infectent pas d'autres hôtes tandis que ceux dont la transmissibilité est améliorée (c'est-à-dire sont plus contagieux) se propagent avec une relative facilité à d'autres hôtes, à la fois non vaccinés et vaccinés, car le vaccin supprime la transmissibilité mais ne la réduit pas à zéro.

    Étant donné que l'objectif du programme de vaccination était de réduire le nombre de personnes gravement malades et nécessitant une hospitalisation, le système ne compte que les personnes qui tombent suffisamment malades pour nécessiter une hospitalisation : les personnes hospitalisées sont compilées dans deux champs, non vaccinés ou vaccinés.

    Comme prévu, la majorité des personnes hospitalisées pour une maladie grave ne sont pas vaccinées, car le vaccin a effectivement réduit le nombre de personnes qui développent des cas graves après avoir contracté la maladie.

    Ce que le vaccin ne fait pas, c'est réduire à zéro le nombre de personnes vaccinées qui contractent la maladie, ni la transmissibilité des porteurs vaccinés du virus à zéro.

    Cela signifie qu'un pourcentage inconnu (inconnu car il n'est pas pratique de tester systématiquement des dizaines de millions de personnes) d'individus vaccinés deviennent porteurs du virus. Un pourcentage inconnu contractera la maladie mais pas assez gravement pour nécessiter une hospitalisation, ils ne seront donc pas comptabilisés par le système. Un petit nombre d'entre eux nécessiteront une hospitalisation et seront comptés comme des "cas révolutionnaires", c'est-à-dire des personnes vaccinées qui ont contracté le virus, sont tombées malades et ont dû être hospitalisées.

    Mais parce que le système ne compte pas les personnes vaccinées qui tombent malades et restent à la maison, le nombre de « cas révolutionnaires » officiellement comptabilisés est un sous-dénombrement du nombre total.

    Étant donné que relativement peu de personnes vaccinées qui sont malades à la maison se traîneront jusqu'à un centre de test pour confirmer qu'elles ont le virus Z, le nombre total de personnes vaccinées qui sont porteuses (c'est-à-dire contagieuses) et qui sont devenues suffisamment malades pour rester à la maison est également inconnu.

    Comme beaucoup d'autres virus, le virus Z déclenche des symptômes débilitants à long terme chez un pourcentage de ceux qui tombent malades, et un certain pourcentage de ces effets à long terme se produisent chez les personnes dont la maladie était relativement bénigne. Comme il n'est pas pratique de tester régulièrement des dizaines de millions de personnes vaccinées, le nombre de ceux qui ont contracté la maladie et qui présentent des symptômes débilitants à long terme est inconnu.

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  20. Ce que nous savons grâce à une recherche minutieuse des contrats, c'est qu'un individu vacciné a transmis le virus à 20 autres personnes, à la fois non vaccinées et vaccinées, lors d'une rencontre dans un espace clos, et cette variante est génétiquement distincte du virus Z initial.

    C'est inquiétant, car la transmissibilité d'un virus est plus dangereuse que le taux de mortalité des personnes infectées. Si un virus à faible transmissibilité provoque la mort de 5 % des personnes qui contractent la maladie et rend 1 000 personnes malades, alors 50 des personnes atteintes mourront. Un virus hautement transmissible avec un taux de mortalité de 2% peut paraître moins dangereux, mais s'il rend malade 100 000 personnes et que 2 % en meurent, ce sont 2 000 personnes qui ont perdu la vie.

    Étant donné que le virus a muté chez un nombre X d'individus vaccinés à un taux de mutation typique des virus (c'est-à-dire un taux élevé), un nombre petit mais significatif de ces millions de mutations aide le virus muté à échapper au système immunitaire de l'hôte et quels que soient les avantages conféré par le vaccin.

    Au sein de ce pool de mutations qui ont échappé aux attaquants du système immunitaire, les mutations qui améliorent également la transmissibilité se propagent rapidement à d'autres hôtes humains, à la fois non vaccinés et vaccinés, en fonction de l'efficacité relative de la vaccination chez chaque individu, de la robustesse relative de leur système immunitaire et une variété d'autres facteurs complexes tels que l'immunité naturelle partielle, l'exposition à des variantes antérieures du virus Z, etc.

    Au sein de ce pool de mutations qui améliorent la transmissibilité, un certain pourcentage augmentera la transmissibilité aux individus plus jeunes et en meilleure santé qui étaient moins sensibles au virus Z initial.

    Ce qui est frappant dans notre expérience de pensée, c'est le peu de données fiables dont nous disposons sur la transmissibilité de notre hypothétique Virus Z et les conséquences à long terme de ses mutations. Ce qui est frappant, c'est le nombre de champs de données importants qui sont inconnus, uniquement collectés au hasard, ou dans lesquels les données sont si incomplètes qu'elles sont trompeuses.

    La science ne peut pas avancer si les données ne sont pas disponibles, peu fiables ou recueillies si sélectivement qu'elles sont trompeuses. Ce qui est frappant dans notre expérience de pensée, c'est le peu d'informations fiables sur la transmissibilité, la virulence ou les effets à long terme du virus Z.


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    https://www.zerohedge.com/medical/virus-z-thought-experiment

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    1. Une nano-poussière métallique chargée ne SE RÉPLIQUE PAS ! Zéro photocopie ! Niet ! S'il est reconnu un virus différent (appelé 'mutant' ! Hahaha !) c'est qu'il a été largué (par drones ou par chemtrails depuis des avions avant la pluie) dans l'espace.

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  21. Si vous avez eu COVID, vous êtes probablement protégé à vie


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    3 juillet 2021


    Si vous avez eu COVID-19, même un cas bénin, félicitations majeures car vous avez plus que probablement une immunité à long terme, selon une équipe de chercheurs de la Washington University School of Medicine. Vous êtes susceptible d'être immunisé à vie, comme c'est le cas pour la guérison de nombreux agents infectieux – une fois que vous avez eu la maladie et que vous vous êtes rétabli, vous êtes immunisé, très probablement à vie.

    Les preuves sont solides et prometteuses, et devraient être des nouvelles bienvenues et réconfortantes pour un public qui a passé l'année dernière à paniquer à propos du SRAS-CoV-2. Grosse surprise (pas) que ce message ne soit pas partagé par nos autorités de santé publique ! Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis – la principale agence chargée de protéger la santé et la sécurité des Américains – refusent de faire passer le mot.

    Au lieu de cela, ils encouragent toujours ceux qui ont une immunité naturelle probable au COVID-19 à se faire vacciner, même en admettant qu'il est rare de retomber malade si vous avez déjà eu le COVID-19.2 La raison la plus évidente est que cela entrerait en conflit avec leur objectif principal, qui est de faire vacciner autant que possible avec le vaccin COVID.

    On leur demande fréquemment : « Si j'ai déjà eu COVID-19 et que je me suis rétabli, dois-je toujours me faire vacciner avec un vaccin COVID-19 ? » Leur réponse est que oui, vous devriez le faire, car « les experts ne savent pas encore combien de temps vous êtes protégé contre une nouvelle maladie après votre rétablissement du COVID-19. »3 Cependant, de plus en plus, des preuves montrent qu’il existe une immunité durable.

    Les premiers rapports selon lesquels l'immunité au COVID était éphémère étaient erronés

    Les coronavirus saisonniers, dont certains provoquent des rhumes, ne confèrent qu'une immunité protectrice de courte durée, les réinfections se produisant six à 12 mois après l'infection précédente. Les premières données sur le SRAS-CoV-2 ont également révélé que les titres d'anticorps diminuaient rapidement au cours des premiers mois après la guérison du COVID-19, ce qui a amené certains à supposer que l'immunité protectrice contre le SRAS-CoV-2 pourrait également être de courte durée.4

    L'auteur principal de l'étude, Ali Ellebedy, Ph.D., professeur agrégé de pathologie et d'immunologie à la Washington University School of Medicine à St. Louis, a souligné que cette hypothèse est erronée, déclarant dans un communiqué de presse :5

    « L'automne dernier, il a été rapporté que les anticorps avaient diminué rapidement après l'infection par le virus qui cause le COVID-19, et les médias grand public ont interprété cela comme signifiant que l'immunité n'était pas de longue durée. Mais c'est une mauvaise interprétation des données. Il est normal que les niveaux d'anticorps diminuent après une infection aiguë, mais ils ne descendent pas à zéro ; ils plafonnent.

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  22. Les chercheurs ont trouvé un schéma biphasique de concentrations d'anticorps contre le SRAS-CoV-2, dans lequel des concentrations élevées d'anticorps ont été trouvées dans la réponse immunitaire aiguë qui s'est produite au moment de l'infection initiale.

    Les anticorps ont diminué au cours des premiers mois suivant l'infection, comme il fallait s'y attendre, puis se sont stabilisés à environ 10 à 20 % de la concentration maximale détectée. Dans un commentaire sur l'étude, Andreas Radbruch et Hyun-Dong Chang du Centre allemand de recherche sur le rhumatisme de Berlin ont expliqué :6

    « Cela est cohérent avec l'hypothèse selon laquelle 10 à 20 % des plasmocytes dans une réaction immunitaire aiguë deviennent des plasmocytes à mémoire7 et indique clairement un passage de la production d'anticorps par des plasmocytes à courte durée de vie à la production d'anticorps par le plasma à mémoire. cellules. Ce n'est pas inattendu, étant donné que la mémoire immunitaire à de nombreux virus et vaccins est stable sur des décennies, voire toute une vie. »

    Lorsqu'une nouvelle infection survient, des cellules appelées plasmablastes fournissent des anticorps, mais lorsque le virus est éliminé, des cellules B à mémoire de plus longue durée se déplacent pour surveiller le sang afin de détecter des signes de réinfection.8

    Les plasmocytes de la moelle osseuse (BMPC) existent également dans les os, agissant comme « des sources persistantes et essentielles d'anticorps protecteurs ».9 Selon Ellebedy, « Un plasmocyte est notre histoire de vie, en termes d'agents pathogènes auxquels nous avons été exposés, ”10 et c'est dans ces BMPC à longue durée de vie que réside l'immunité contre le SRAS-CoV-2.

    Immunité à long terme probable après une infection au COVID-19

    Pour l'étude, des échantillons de sang ont été prélevés sur 77 personnes11 qui s'étaient rétablies du COVID-19, environ un mois après l'apparition des symptômes ; la plupart avaient connu des cas bénins. Des échantillons de sang supplémentaires ont été prélevés trois fois de plus à des intervalles de trois mois pour suivre la production d'anticorps ; Les cellules mémoire B et la moelle osseuse ont également été collectées chez certains des participants.

    Les niveaux d'anticorps anti-protéine de pointe (S) du SRAS-CoV-2 ont diminué rapidement au cours des quatre premiers mois après l'infection, puis ont ralenti au cours des sept mois suivants.12 La partie la plus excitante de la recherche est que, à la fois à sept mois et 11 mois après l'infection, la plupart des participants avaient des BMPC qui sécrétaient des anticorps spécifiques de la protéine de pointe codée par le SRAS-CoV-2.

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  23. Les BMPC ont été trouvés en quantités similaires à celles trouvées chez les personnes qui avaient été vaccinées contre le tétanos ou la diphtérie, qui sont considérées comme procurant une immunité de longue durée.

    « Dans l'ensemble, nos données fournissent des preuves solides que l'infection par le SRAS-CoV-2 chez l'homme établit de manière robuste les deux bras de la mémoire immunitaire humorale : les BMPC à longue durée de vie et les cellules B mémoire », ont noté les chercheurs13. C'est peut-être la meilleure preuve disponible de immunité de longue durée, ont expliqué Radbruch et Chang, car cette mémoire immunologique est une partie distincte du système immunitaire qui est essentielle à la protection à long terme, au-delà de la réponse immunitaire initiale au virus :14

    « Dans la phase de mémoire d'une réponse immunitaire, les cellules B et T spécifiques d'un virus sont maintenues dans un état de dormance, mais sont prêtes à entrer en action si elles rencontrent à nouveau le virus ou un vaccin qui le représente. Ces cellules mémoires B et T proviennent de cellules activées lors de la réaction immunitaire initiale.

    Les cellules subissent des modifications de leur ADN chromosomique, appelées modifications épigénétiques, qui leur permettent de réagir rapidement aux signes ultérieurs d'infection et de déclencher des réponses visant à éliminer l'agent pathogène.15

    Les cellules B ont un double rôle dans l'immunité : elles produisent des anticorps capables de reconnaître les protéines virales, et elles peuvent présenter des parties de ces protéines à des cellules T spécifiques ou se développer en plasmocytes qui sécrètent des anticorps en grande quantité.

    Il y a environ 25 ans16, il est devenu évident que les plasmocytes peuvent devenir eux-mêmes des cellules mémoire et peuvent sécréter des anticorps pour une protection de longue durée. Les plasmocytes à mémoire peuvent être conservés pendant des décennies, voire toute une vie, dans la moelle osseuse.17 »

    De plus, en 2020, il a été signalé que les personnes qui s'étaient rétablies du SRAS-CoV – un virus génétiquement étroitement lié au SRAS-CoV-2 et appartenant à la même espèce virale – maintenaient des niveaux importants d'anticorps neutralisants au moins 17 ans après infection initiale.18 Cela suggère également qu'il faut s'attendre à une immunité à long terme contre le SRAS-CoV-2.19 Ellebedy a même déclaré que la protection devrait se poursuivre « indéfiniment » :20

    « Ces cellules [BMPC] ne se divisent pas. Ils sont au repos, assis dans la moelle osseuse et sécrétant des anticorps. Ils le font depuis la résolution de l'infection, et ils continueront à le faire indéfiniment. »

    Pourquoi vous ne devriez pas vous faire vacciner si vous avez eu COVID

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  24. La découverte qu'une immunité à long terme est probable après l'infection au COVID-19 est importante non seulement pour ceux qui vivent encore dans la peur en raison de la peur induite par les médias, mais aussi pour ceux qui se sont rétablis et envisagent la vaccination.

    Comme je l'ai déjà prévenu, si vous avez eu COVID-19, veuillez ne pas vous faire vacciner. Le Dr Hooman Noorchashm, Ph.D., chirurgien cardiaque et défenseur des patients, a averti à plusieurs reprises la FDA qu'un « danger clair et présent » existe pour ceux qui ont eu le COVID-19 et se font ensuite vacciner.21

    Ce qui est en cause, ce sont les antigènes viraux qui restent dans votre corps après votre infection naturelle. La réponse immunitaire réactivée par le vaccin COVID-19 peut déclencher une inflammation dans les tissus où les antigènes viraux sont présents. La paroi interne des vaisseaux sanguins, les poumons et le cerveau peuvent être particulièrement exposés à de telles inflammations et dommages.22 Selon Noorchashm :23

    « De manière plus pertinente, lorsque des antigènes viraux sont présents dans l'endothélium vasculaire, et en particulier chez les personnes âgées et fragiles atteintes de maladies cardiovasculaires, la réponse immunitaire spécifique à l'antigène induite par le vaccin est presque certaine d'endommager l'endothélium vasculaire.

    Une telle inflammation endothéliale dirigée par un vaccin provoquera certainement la formation de caillots sanguins avec un potentiel de complications thromboemboliques majeures, au moins dans un sous-ensemble de ces patients. Si une majorité de patients plus jeunes et plus robustes peuvent tolérer de telles lésions vasculaires dues à une réponse immunitaire vaccinale, de nombreux patients âgés et fragiles atteints de maladies cardiovasculaires ne le feront pas. »

    Noorchashm a cité l'un de ses anciens professeurs de faculté de médecine, qui a déclaré: "Les yeux ne voient pas ce que l'esprit ne sait pas". Par cela, il voulait dire que dans le cas d'une réponse immunitaire spécifique à un antigène induite par le vaccin, qui peut déclencher des complications thromboemboliques 10 à 20 jours après la vaccination, y compris chez ceux qui peuvent déjà être âgés et fragiles, la réaction n'est pas susceptible d'être enregistré comme événement indésirable lié au vaccin.

    Parce que tant de cas sont asymptomatiques, Noorchashm recommande aux cliniciens de « dépister activement autant de patients présentant un risque cardiovasculaire élevé que cela est raisonnablement possible, afin de détecter la présence du SRAS-CoV-2, avant de les vacciner ».24 Dans l'état actuel des choses, Noorchashm souligne qu'en ignorant ce qu'il considère être un risque imminent pour une minorité importante de personnes, la crédibilité de la FDA, et celle de la campagne de vaccination de masse en général, est gravement menacée.25

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  25. La vaccination de masse a-t-elle toujours été le plan ?

    Si la protection de la santé publique était vraiment l'objectif ultime de la riposte à la pandémie, les personnes qui se sont remises du COVID-19 devraient se voir offrir le même type de « passeports » d'immunité et les mêmes avantages que ceux qui ont été vaccinés. En fait, ils devraient se voir accorder encore plus d'« accès », car leur immunité est probablement supérieure à celle de ceux dont l'immunité induite par la vaccination.

    Ce n'est pas le cas, cependant, car tout le monde est invité à se faire vacciner avec un vaccin expérimental, quels que soient leurs antécédents d'infection au COVID-19 et même s'ils n'ont que 12 ans - dans certains cas sans le consentement des parents.26

    Pendant ce temps, des traitements efficaces comme l'ivermectine - un antiparasitaire à large spectre qui a également une activité anti-inflammatoire - ont montré un succès remarquable dans la prévention et le traitement du COVID-19,27 mais il continue d'être ignoré au profit de traitements plus coûteux et moins efficaces. et vaccination expérimentale de masse.28

    Comme l'a déclaré le Dr Peter McCullough, vice-chef de la médecine interne au Baylor University Medical Center, « Tous les chemins mènent au vaccin »,29 il est possible que le but de la pandémie était d'alimenter la campagne mondiale de vaccination qui se déroule actuellement. Cela permettrait d'enregistrer la population vaccinée dans une base de données sur les vaccins, essentiellement en vous « marquant », qui pourrait être utilisée comme un outil de contrôle de la population via les passeports vaccinaux.

    À ce stade, cependant, avec des traitements efficaces disponibles, le taux de survie élevé documenté de COVID-1930 et le fait de savoir que si vous avez eu COVID-19, vous êtes probablement déjà immunisé contre une nouvelle infection, la justification de la vaccination est défaillante, même parmi les groupes dominants. Un grand pourcentage de policiers et de Marines refusent les vaccins COVID-19, par exemple.31

    Il est important d'être informé que si vous choisissez de vous faire vacciner contre le COVID-19, vous participez à une expérience sans précédent avec une thérapie génique non approuvée, dont les avantages peuvent ne pas l'emporter sur les risques, surtout si vous avez déjà eu le COVID- 19.

    S'il vous plaît assurez-vous et notez dans votre calendrier pour revoir mon entretien révolutionnaire avec le Dr Vladimir Zelenko ce dimanche, qui n'est que dans deux jours. Nous discutons de la possibilité très distincte que toutes les personnes qui reçoivent le vaccin COVID meurent de complications au cours des deux à trois prochaines années.

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  26. C'est en grande partie parce que le fait de recevoir le jab maintenant place immédiatement la personne injectée à un risque très élevé de mourir de COVID. La plupart ont la fausse assurance qu'ils sont protégés, mais en réalité, ils sont beaucoup plus vulnérables et, par conséquent, ne prendront pas de mesures proactives très agressives pour éviter de mourir d'un amorçage pathogène ou d'un renforcement immunitaire paradoxal avant qu'il ne soit trop tard.

    Sources and References

    1, 4, 9, 13 Nature May 24, 2021
    2 U.S. CDC, COVID-19 Vaccination FAQs April 30, 2021
    3 CDC, COVID-19 FAQs June 15, 2021
    5, 20 NewsWise May 24, 2021
    6, 12, 14, 19 Nature June 14, 2021
    7, 16 Nature. 1997 Jul 10;388(6638):133-4. doi: 10.1038/40540
    8, 10, 11 Nature May 26, 2021
    15 Adv Immunol. 2002;80:115-81. doi: 10.1016/s0065-2776(02)80014-1
    17 European Journal of Immunology May 19, 2021
    18 Emerg Microbes Infect. 2020; 9(1): 900–902
    21 The Defender March 24, 2021
    22 The Defender April 5, 2021
    23, 24, 25 The Defender January 28, 2021
    26 East Bay Times Updated May 17, 2021 (Archived)
    27 Collective Evolution April 13, 2021
    28 Mountain Home May 1, 2021
    29 Rumble May 27, 2021
    30 NBC 26 October 20, 2020
    31 Alliance for Natural Health International June 10, 2021

    https://www.lewrockwell.com/2021/07/joseph-mercola/if-youve-had-covid-youre-likely-protected-for-life/

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    1. Petite remarque: Chacun de nous a dans sa vie respiré DES milliards de milliards de milliards de corona (et n'en est mort) c'est un fait que l'immunité n'est pas accordée qu'à celles et ceux qui sont du signe du poisson qui en consomme du tout frais tous les jours !

      Mais là où il n'y a PAS d'immunité est qu'il y a l'apparition soudaine de tout nouveaux (derniers modèles) virus lancés sur le marché et existent de différentes couleurs, tailles et ont peut même en changer tous les jours !
      Et, The pire est qu'ils peuvent être 'dormant' (comme l'abeille aux bois ?), c'est-à-dire que ces dits estrangéros attendent de recevoir The signal 5G pour passer à l'action: regroupement familial en caillots ou fils (morgelons) antennes pour recevoir la télé couleur ? Programme du jour: La mort.

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  27. Dr Pierre Kory : ivermectine, alternative aux vaccins


    le 01/07/2021 à 18:22


    le Dr Pierre Kory, de l’Alliance Front Line Covid-19 Critical Care revient sur l’ivermectine, un médicament qu’il juge très efficace contre la covid 19 puisqu’elle permet selon lui d’éviter 75% des hospitalisations.

    Malgré l’attitude de l’OMS qui ne recommande toujours pas l’ivermectine et continue à ignorer toutes les études sur cette molécule, de plus en plus de médecins la prescrivent aux malades du covid 19 aux Etats-Unis, hors autorisation de mise sur le marché, une chose légale et possible pour un médicament connu depuis longtemps.

    Il décrit les liens d’intérêt financiers opaques entre les géants de l’industrie pharmaceutique et les différentes agences de régulation notamment l’OMS dont il dénonce l’attitude de rejet systématique de toutes les études sur l’ivermectine.

    - voir clip sur site -

    Pierre Kory cite l’exemple de Merck qui vient de percevoir 1,2 milliards de dollars du gouvernement pour l’élaboration d’un médicament antiviral contre le covid 19, et qui pourrait produire jusqu’à 1,7 million de doses si celui-ci venait à obtenir l’autorisation de la FDA.

    Il revient longuement sur l’expérience de l’Inde et celle du Mexique, deux pays qui ont eu des résultats très concluants dès que la population a pu de bénéficier de l’ivermectine.

    Pierre Kory qui se définit plutôt comme un démocrate de gauche regrette que les seuls représentants politiques ouverts au débat sur l’ivermectine et enclins à aller contre l’avis des agences de régulation comme l’OMS se situent chez les conservateurs républicains. Défendant sa position d’homme de science, de médecin, il regrette que le débat prenne un tournant idéologique.

    Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org, en version originale sous-titrée en français par France Soir.

    https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/dr-pierre-kory-livermectine-une-alternative-aux-vaccins

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  28. La Commission européenne et la vaccination anti-coronavirus, encore des mensonges … par omission ?


    le 3 juillet 2021


    L’Union européenne vient donc de décider de mettre en place un pass sanitaire à l’échelle de l’Europe … Le totalitarisme post-covid se met ainsi en place et personne n’y échappera. Il faudra par conséquent que tout le monde sans exception subisse même à son corps défendant une injection d’ARN messager pour soit-disant être protégé contre toute infection à venir par le coronavirus. Compte tenu de la médiocre efficacité de ce type de protection vaccinale d’un nouveau genre, autant dire tout de suite que la Commission européenne et tous les gouvernements des Etats membres de l’Union ont pris ou vont prendre des décisions inappropriées et c’est très inquiétant.

    L’article paru dans la revue « Vaccines » (doi : 10.3390/vaccines9070693 ) co-écrit par les Docteur Harald Walach, Rainer Klement et Wouter Aukemia est pourtant clair : le rapport bénéfice/risque de tous les vaccins « occidentaux » à ARN messager est nul voire défavorable. Ces auteurs sont arrivé à cette conclusion en analysant les données médicales provenant d’Israël et des Pays-Bas. Étendre cette analyse à tous les pays européens aurait été compliqué par le fait que les standards respectés dans chaque pays européen sont différents en ce qui concerne le signalement aux autorités des cas individuels de complications apparues à la suite des vaccinations.

    Il apparaît néanmoins clairement deux faits indéniables. En analysant les données rassemblées en Israël et concernant plus d’un million de personnes celles-ci indiquent qu’au cours de la campagne de vaccination 4460 personnes sur l’échantillon d’un million ont été infectées par le virus et 9 personnes sont mortes. Aux Pays-Bas sur 8,5 millions de personnes vaccinées, rapporté à 100000 personnes afin de standardiser les données provenant de deux canaux de traitements statistiques, il y a eu 16,6 cas graves rapportés (pour 100000) et 4,15 décès. La situation était donc (l’est-elle toujours, il faudra attendre d’autres données) beaucoup plus préoccupante aux Pays-Bas qu’en Israël. Les auteurs de cette étude ont pu donc calculer combien il fallait vacciner de personnes pour éviter un mort dans la même population non vaccinée. Ils sont arrivés à 16000 vaccinations avec un intervalle de confiance de 95 % sur la plage d’incertitude de 9000 à 50000 personnes. En tenant compte de toutes les données rassemblées et dûment contrôlées par les autorités sanitaires des Pays-Bas ces auteurs en ont conclu que pour sauver 4 vies la vaccination provoque 3 décès. Il s’agit de statistiques mais dans la vraie vie la situation peut être beaucoup plus sérieuse.

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  29. Où est le bénéfice de la vaccination ? Les auteurs de cet article qui a été censuré puis retrouvé sur des sites alternatifs et enfin éliminé par le comité d’édition de la revue Vaccines expliquent ce résultat décevant par le fait que l’on sait maintenant que la protéine Spike du SARS-CoV-2 que l’organisme du vacciné va produire afin d’orienter son système immunitaire à produire des anticorps supposés ensuite le protéger contre le virus entier est en elle-même toxique pour l’organisme. Elle se fixe sur l’enzyme de conversion de l’angiotensine (ACE2) présent à la surface des cellules épithéliales des vaisseaux sanguins et des voies respiratoires. Ce mécanisme peut provoquer des thromboses pouvant être fatales et ainsi expliquer le très faible rapport bénéfice/risque observé. Le CDC américain est arrivé aux mêmes conclusions en levant toutes les ambiguïtés présentes dans les données disponibles publiquement aux USA.

    Pourquoi la Commission européenne et les gouvernements nationaux européens continuent-ils à s’acharner pour rendre la vaccination par cette technique expérimentale obligatoire et exiger de chaque ressortissant européen un pass sanitaire avec QR-code ? Pourquoi cette même Commission a-t-elle toujours refusé de divulguer les termes des contrats passés entre Bruxelles et les fabricants d’ARN messager ? Pour l’instant tout ce que l’on sait provient de sources indirectes. Pour la France seulement les comptes de la sécurité sociale étaient à l’équilibre en 2019, ils accusent aujourd’hui un déficit de 225 milliards d’euros. Au coût des vaccins il faut ajouter celui des tests RT-PCR. Certes ce déficit abyssal n’est pas seulement provoqué par le coût des vaccins mais on est en droit de se poser des questions. Il devient urgent que des journalistes d’investigation courageux arrivent à clarifier les interférences entre la Commission et les lobbyistes qui représentent les grandes firmes pharmaceutiques, il y en a des centaines à Bruxelles, car cette arnaque des vaccins à ARN va continuer …

    Autre lien pour accéder à l’article cité : https://www.mdpi.com/2076-393X/9/7/693/htm#table_body_display_vaccines-09-00693-t002 Je signale à mes lecteurs que l’article de Walach fait l’objet d’une très vive controverse des deux côtés de l’Atlantique et ce billet n’a pas pour but d’alimenter cette controverse mais d’exposer des faits.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/07/03/la-commission-europeenne-et-la-vaccination-anti-coronavirus-encore-des-mensonges-par-omission/

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    1. Il ne s'agit pas d'un 'vaccin' (car la solution proposée n'en présente les composants) mais seulement d'une expérimentation d'essais sur cobayes (non avertis) destinée à injecter des nano-particules métalliques (visibles en radios) qui sont elles-mêmes destinées à se grouper en caillots entraînant la mort au signal lancé par la 5G !

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  30. Covid : Nice légalise l'étoile jaune pour les commerçants vaccinés


    samedi 3 juillet 2021


    Il a fallu à peine deux ans de ce nouveau régime global, pour que les insignes extérieurs de différenciation fassent officiellement leur apparition. Bienvenus à Nice, avec son "label sanitaire vaccin". Nous vivons une époque formidable ... surtout si nous pourrons en sortir vivant - et encore humain.

    A Nice, dans cette douce ville ensoleillée du Sud de la France, les commerçants vaccinés pourront apposer un label sanitaire vaccin, quel progrès ! Le grand bond en arrière se précise :

    À l’image du “label confiance sanitaire” que nous avions mis en place à la sortie du premier confinement afin de rassurer les clients et accompagner les commerçants, artisans et chefs d’entreprise dans l’application des règles sanitaires, j’ai décidé de mettre en place un “label sanitaire vaccin”", a indiqué ce jeudi le maire de Nice Christian Estrosi.

    Et d’ajouter: "Celui-ci permettra aux restaurants et aux commerces, sur la base du volontariat, d’indiquer à leur clientèle que tout leur personnel est vacciné. Apposé à l’entrée des établissements, ce label sera un gage de confiance pour les clients. Je labelliserai les premiers établissements dès la semaine prochaine".

    Ainsi, il y a aura les commerces (et les gens) sains ... et les autres. Puisque, comme nous l'avons bien compris, en dehors du vaccin, rien n'existe, le Virus n'est pas un virus comme les autres, personne ne semble avoir l'intention de soigner les malades, que leur inconscience rend responsable de tomber malade. Chers compatriotes, restez entre gens sains, les autres sont trop dangereux. Certains disent même qu'ils pourraient être d'extrême-droite, c'est pas peu dire ...

    Évidemment, la seule vaccination qui intéresse désormais est celle contre le Covid. Donc si vous êtes vaccinés contre l'hépatite, par exemple, tout le monde s'en moque, vous n'entrez pas dans la catégorie des élus "sains". Aux poubelles de la société.

    J'ai un doute, à quelle époque, la dernière fois, nos sociétés ont-elles différencié leur population entre catégorie saine et autre ? Mais oui, c'était à la grande heure nazie, dont manifestement nos dirigeants semblent regretter la matrice de gouvernance. Ironie du sort, l'on marquait alors les personnes non-saines ...

    A la différence de ces heures funestes pour l'humanité, quand le monde était divisé et certaines forces combattaient le mal, aujourd'hui, il n'y a plus de forces réelles pour combattre la globalisation. Soit les pays qui constituent une force ne combattent pas cette dérive totalitaire, soit ceux qui ne se plient pas ne sont pas des forces. Les pays qui se sont construits sur l'idéal libéral sont soumis, ceux qui parlaient il n'y a pas si longtemps de leur souveraineté sont entrés dans la danse covidienne. Car le "danger" est au-dessus du droit et de la morale, dit-on. Il peut donc détruire les États de droit et l'humanité.

    N'oubliez pas votre signe de propreté en sortant ... Où sera-t-il cousu ?

    http://russiepolitics.blogspot.com/2021/07/covid-nice-legalise-letoile-jaune-pour.html

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  31. Le génie génétique offre l'espoir d'un vaccin efficace contre le paludisme



    3 Juillet 2021
    Joan Conrow*


    Des scientifiques ont utilisé le génie génétique pour mettre au point un vaccin qui offre une protection totale contre le paludisme dans des études sur des animaux.

    Les chercheurs et les responsables de la santé cherchent depuis longtemps un vaccin contre le paludisme, qui, en 2019, a affecté environ 229 millions de personnes et causé 409.000 décès dans le monde. Une fois infectées, de nombreuses personnes souffrent de crises récurrentes qui minent leur santé et leur qualité de vie. Les femmes enceintes, les enfants et les voyageurs n'ayant jamais été exposés aux parasites du paludisme transmis par des moustiques sont les plus exposés au risque de maladie grave.

    Les forces militaires des États-Unis étant également exposées au risque lorsqu'elles sont déployées dans des zones où le paludisme est endémique, la lutte contre cette maladie est depuis longtemps une priorité pour le Ministère de la Défense. Le nouveau vaccin basé sur la technologie ARNm a été mis au point par des scientifiques du Walter Reed Army Institute of Research (WRAIR) et du Naval Medical Research Center, en partenariat avec des chercheurs de l'Université de Pennsylvanie et d'Acuitas Therapeutics.

    Les chercheurs ont utilisé la technologie de l'ARNm déjà utilisée pour la mise au point des vaccins BioNTech/Pfizer et Moderna qui sont très efficaces contre la Covid-19, un exploit que les chercheurs sur le paludisme ont souligné en publiant leurs résultats dans npj Vaccines.

    « Les récents succès remportés par les vaccins contre la Covid-19 mettent en évidence les avantages des plate-formes basées sur l'ARNm, notamment une conception très ciblée, une fabrication souple et rapide et la capacité de promouvoir de fortes réponses immunitaires d'une manière qui n'a pas encore été explorée », a écrit le Dr Evelina Angov, chercheuse à la Malaria Biologics Branch du WRAIR et auteur principal de l'article. « Notre objectif est de traduire ces avancées en un vaccin sûr et efficace contre le paludisme. »

    Le WRAIR a déjà participé au développement de RTS,S, un produit de première génération qui est actuellement le vaccin le plus avancé contre le paludisme. RTS,S est basé sur la protéine circumsporozoïte de Plasmodium falciparum, l'espèce de parasite à l'origine du paludisme la plus dangereuse et la plus répandue. Bien que le RTS,S soit une contre-mesure efficace dans la lutte contre le paludisme, les études sur le terrain ont révélé des limites quant à son efficacité et à la durée de la protection. Les scientifiques se sont donc tournés vers de nouvelles plate-formes et des approches de deuxième génération pour les vaccins contre le paludisme

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  32. Les vaccins à ARNm ne sont pas très différents du fonctionnement des vaccins traditionnels. Mais au lieu d'injecter un virus vivant affaibli ou tué, l'approche ARNm entraîne le système immunitaire directement avec une seule protéine. Le nouveau vaccin contre le paludisme s'appuie sur la protéine circumsporozoïte pour déclencher une réponse immunitaire, de manière similaire à RTS,S. Cependant, plutôt que d'administrer directement une version de la protéine, la nouvelle approche utilise l'ARNm, accompagné d'une nanoparticule lipidique qui le protège de la dégradation prématurée et aide à stimuler le système immunitaire, pour inciter les cellules à coder elles-mêmes la protéine circumsporozoïte. Ces protéines, qui ne peuvent pas réellement provoquer d'infection, déclenchent alors une réponse protectrice contre le paludisme.

    « Notre vaccin a atteint des niveaux élevés de protection contre l'infection par le paludisme chez les souris », écrit Katherine Mallory, auteur principal de l'article. « Bien qu'il reste encore du travail avant les tests cliniques, ces résultats sont un signe encourageant qu'un vaccin efficace contre le paludisme, basé sur l'ARNm, est réalisable. »

    Diverses méthodes ont été explorées pour tenter de réduire les infections, notamment l'utilisation d'insecticides pour lutter contre les moustiques qui propagent la maladie, de médicaments antipaludéens, de vaccins et de barrières comme les moustiquaires. Mais tous ces moyens ont leurs limites, notamment le problème de la résistance des insectes aux pesticides.

    Les efforts les plus récents portent sur des stratégies de biocontrôle, telles que l'utilisation de CRISPR pour modifier les gènes de l'intestin d'un moustique, l'utilisation du forçage génétique qui limite la reproduction des moustiques vecteurs de la maladie, l'application d'un champignon génétiquement modifié pour exprimer un venin d'araignée sur des draps qui peuvent être suspendus dans les maisons et la création artificielle de moustiques porteurs de la bactérie Wolbachia, qui s'est avérée réduire la transmission d'autres maladies transmises par les moustiques.

    Il est probable qu'une variété d'outils sera nécessaire pour faire reculer le paludisme, qui reste un grave problème de santé en Afrique subsaharienne, en Asie du Sud, en Nouvelle-Guinée et dans d'autres régions tropicales. Les chercheurs internationaux craignent que la maladie ne devienne encore plus répandue à mesure que le changement climatique entraîne une hausse des températures mondiales, augmentant ainsi sa virulence dans les zones où elle est déjà endémique et l'introduisant dans des régions où elle n'existait pas auparavant.
    ____________

    * Source : Genetic engineering offers hope for effective vaccine against malaria - Alliance for Science (cornell.edu)

    https://seppi.over-blog.com/2021/07/le-genie-genetique-offre-l-espoir-d-un-vaccin-efficace-contre-le-paludisme.html

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  33. COVID-19 : LA HAS ENVISAGE LA VACCINATION OBLIGATOIRE DES 12 ANS ET PLUS


    par PERRINE DE ROBIEN
    02/07/2021


    La HAS envisage la vaccination obligatoire des 12 ans et plus.


    La vaccination obligatoire des 12 ans et plus n’est pas encore à l’ordre du jour. Cependant, « en fonction de la situation épidémique, en fonction du taux de vaccination qu’on aura atteint, il faudra l’envisager », a détaillé la présidente de la Haute autorité de santé (HAS) le vendredi 2 juillet 2021.
    Vaccin anti-Covid 19 obligatoire à l’automne ?

    Face à la progression du variant indien, aussi appelé variant Delta, et au risque de quatrième vague, Dominique Le Guludec, la présidente de la Haute autorité de santé (HAS), souhaite prendre le taureau par les cornes. Invitée sur le plateau de BFMTV le vendredi 2 juillet 2021, elle a évoqué la vaccination obligatoire pour les plus de 12 ans. Pour elle, il s’agit d’une « arme » qui permettrait d’éviter un pic de l’épidémie à l’automne 2021.

    Pour l’instant, pas de vaccination obligatoire mais, « en fonction de la situation épidémique, en fonction du taux de vaccination qu’on aura atteint, il faudra l’envisager », a détaillé la présidente de la Haute autorité de santé (HAS). Les personnes concernées ne seraient pas que des adultes. Il y aurait aussi les adolescents. Pour rappel, depuis le 15 juin 2021, la vaccination contre le Covid-19 est ouverte aux adolescents de 12 à 18 ans en France.

    D’abord la vaccination obligatoire des soignants ?

    Mais avant de rendre la vaccination obligatoire pour les 12 ans et plus, il sera d’abord question des soignants. Ils pourraient être les premiers pour qui le vaccin contre le Covid-19 sera imposé. La Fédération hospitalière de France et le Pr Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique, y sont eux aussi favorables.

    Selon Dominique Le Guludec, « Il faut que les soignants entendent qu’ils ont un rôle particulier dans la transmission de ce virus, et qu’ils en tirent les conséquences et qu’ils aillent encore plus massivement se faire vacciner ». Cependant, « Il n'est pas question de stigmatiser les soignants, qui ont quand même beaucoup donné dans cette crise », a-t-elle précisé.

    http://www.economiematin.fr/news-covid-vaccination-obligatoire

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    1. "S'ils n'ont pas le Pen ils auront de la broche !" (6 pieds sous terre).

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  34. Le mythe de la liberté : existe-t-il vraiment ?


    Par Gary D. Barnett
    3 juillet 2021


    « Nous ne prenons pas les décisions, faisons simplement ce qu’on nous dit où et quand on nous le dit. Nous vivons selon des règles établies ailleurs par des fils dont les salopes ne connaissent rien à cet endroit.
    ~ Annie Proulx, L'actualité du transport maritime

    Ah, la liberté ; la chose la plus apparemment recherchée, mais très rarement (jamais) atteinte.

    Johann Wolfgang von Goethe a dit un jour que « Nul n'est plus désespérément esclave que ceux qui croient à tort qu'ils sont libres ». Cette déclaration incarne le collectif américain dans son ensemble, car ils se sont non seulement faussement crus libres, mais les plus libres de tous les temps dans l'histoire de l'homme. La plupart croient encore à cette absurdité aujourd'hui, même au milieu de cette prise de contrôle totalitaire la plus diabolique de tous les temps. Les gens de ce pays célèbrent ce qu'on appelle à tort « le jour de l'indépendance » en ce moment même ; après 2 siècles et demi de perdre toutes les libertés possibles qui aient jamais existé.

    Depuis des milliers d'années, l'animal humain s'est non seulement incliné devant des « chefs » ou des maîtres, et a recherché la reconnaissance d'une importance locale ou nationale, mais a activement poursuivi son propre asservissement soit en permettant un règne despotique, soit en choisissant volontairement d'autres pour le gouverner. Dans ce pays, le peuple était gouverné par un roi lointain, mais a décidé de se révolter pour renverser cette règle en faveur d'un autre. Au lieu de la liberté ou d'une autre monarchie, ils ont choisi la domination de la foule dirigée par une classe de maître qui siégeait au-dessus d'eux, faisait toutes les lois, appliquait toutes les lois et contrôlait toutes les lois et tous les tribunaux. C'était en fait un système bien pire, et plus mûr pour la corruption que celui qu'ils remplaçaient. La seule différence était que la plupart ont accepté volontairement ce nouveau système, et au fil du temps, ils ont continué à soutenir la tyrannie en « votant » pour le maintenir en place, croyant tout le temps à tort qu'ils contrôlaient la situation.

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  35. À ce jour, les Américains continuent de célébrer bruyamment leur liberté inexistante et se délectent de la mode des fanfaronnades en prétendant être exceptionnels et les plus libres du monde. Si von Goethe avait raison, et je pense qu'il l'était, alors en réalité, les Américains doivent être l'exact opposé de ce qu'ils croient à tort, et sont les plus esclaves de la terre. L'ironie bien sûr, c'est que la majorité ne croirait jamais qu'ils sont asservis, et cela ne fera que contribuer à assurer leur place dans un servage permanent.

    Pratiquement tous les aspects de la vie en Amérique sont contrôlés, réglementés, imposés, restreints ou mandatés ; des enfants vendant de la limonade dans un stand de quartier à la réparation, l'amélioration ou la construction de sa propre maison. Tous les mouvements et toute capacité de le faire sont entièrement contrôlés, et la plupart des entreprises, des plus simples aux plus complexes, dépendent de l'octroi de licences par des fonctionnaires gouvernementaux corrompus et non qualifiés. Ce n'est rien de plus qu'un bordereau d'autorisation qui doit être payé par extorsion, et est utilisé pour le vol de biens privés et le contrôle de chaque fonction de la vie, et est appliqué par les hommes de main armés de l'État.

    Le gouvernement sélectionné revendique son pouvoir en raison d'une partie de cette population pathétique qui vote pour laquelle un politicien maléfique et criminel doit avoir le dernier mot dans les fonctions quotidiennes, que ce soit du chasseur de chiens local au président national, et toute la boue entre les deux. La liberté appartient entièrement à l'individu, et s'il existe une autorité suprême sur l'individu, quelle qu'elle soit, alors la liberté ne l'est pas. Cela n'a jamais été compris par le public américain.

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  36. Considérez seulement cette dernière année ; un an dans toute l'histoire des « États-Unis ». Une « pandémie virale » frauduleuse a été revendiquée sans aucune preuve. Des confinements et des quarantaines ont été ordonnés. L'auto-emprisonnement a été le résultat, et la plupart des petites entreprises ont reçu l'ordre de fermer, laissant tous leurs employés et eux-mêmes sans aucun moyen de survivre. Les voyages ont été fortement restreints ou éliminés, les approvisionnements alimentaires ont été décimés et la destruction économique a été délibérément avancée. Les hôpitaux ont été fermés, les patients ont été assassinés par l'État, les procédures médicales ont été annulées et les familles n'ont pas été autorisées à voir leurs proches. Le gouvernement a organisé des pillages, des émeutes et l'agression armée d'innocents a été autorisée et laissée sans poursuites, des bâtiments et des entreprises ont été incendiés et les faillites forcées étaient monnaie courante. Le plus grand transfert de richesse vers les plus riches d'entre nous a eu lieu, alors que des centaines de millions de personnes ont été lésées en faveur de leurs maîtres. La brutalité policière contre des citoyens innocents est devenue courante et on a dit à tous qu'il était obligatoire de porter des masques mortels. Des trillions et des trillions de dollars ont été imprimés pour le soi-disant soulagement, mais le peuple a reçu une somme dérisoire tandis que le gouvernement et ses partenaires criminels et Wall Street ont pris le reste, augmentant leur richesse de trillions. Le meurtre de masse de la population par « vaccination » mortelle, le tout entre les mains du gouvernement, a commencé pour de bon, et l'État prévoit d'injecter ce poison à chaque enfant d'ici l'année prochaine. Les menaces de pannes d'électricité, de restrictions d'eau, de pénuries alimentaires, de perturbations sanitaires et médicales, et d'autres blocages sont évidentes.

    Ce n'est qu'une liste partielle de ce qui s'est passé au cours des 16 derniers mois, tous perpétrés par le gouvernement et un public faible et apathique qui croit toujours que c'est gratuit. Seul un imbécile pouvait croire à une telle folie.

    Peut-être que si les gens comprenaient réellement qu'ils ne sont que des esclaves, et que la liberté n'existe pas dans ce pays, ils finiraient par se rebeller et prendre leur liberté au lieu d'attendre qu'elle leur soit donnée par leurs maîtres. Ceux qui demandent ou demandent la liberté ne le sauront jamais ; seul l'individu est libre. Toute liberté doit être prise, et elle doit être protégée par tous les moyens nécessaires. Si le gouvernement existe, la liberté n'existe pas.

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  37. L'indépendance n'existe pas en Amérique, donc au lieu de célébrer comme le gouvernement dictatorial le fait, levez-vous et prenez votre indépendance au lieu d'espérer et de prétendre que vous êtes libre alors que vous ne l'êtes pas. Jetez les chaînes qui vous lient, refusez de vous conformer à tout ordre, désobéissez à chaque mandat du gouvernement et rejetez toute autorité gouvernementale. La seule façon d'être libre est d'agir librement, et cela exige de la force individuelle, du courage, de la responsabilité et une volonté de s'opposer à l'État à tout prix.

    « La seule façon de faire face à un monde non libre est de devenir si absolument libre que votre existence même est un acte de rébellion. »
    ~ Albert Camus

    https://www.lewrockwell.com/2021/07/gary-d-barnett/the-myth-of-freedom-does-it-really-exist/

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    1. La Liberté, la Démocratie c'est la vie. On l'a à la naissance.
      Nous en priver c'est tuer.

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  38. Néolibéralisme, le bouc émissaire bien commode

    Que d’idées reçues à propos du « néolibéralisme », chimère tant fantasmée devenue un bouc émissaire bien commode pour expliquer toutes les fautes et malheurs du monde.


    Par Johan Rivalland.
    4 JUILLET 2021


    Le penchant de l’homme à chercher des boucs émissaires responsables de ses malheurs était l’objet du célèbre ouvrage de René Girard intitulé Le bouc émissaire. Il semble bien qu’en ces temps troublés, un néologisme déjà très en vogue depuis un certain temps occupe plus que jamais ce rôle bien commode et rédempteur.

    Il n’est plus un journal, un magazine, une émission radiophonique ou télévisuelle, un ouvrage à la mode, un discours public ou privé, qui ne nous serve à l’heure actuelle des analyses très vagues et très conventionnelles (mais qui se veulent originales) sur ce mystérieux mal qui nous ronge et qui a pour nom « néolibéralisme ». Ne me demandez pas de le définir, je ne sais pas ce que c’est.

    Pas plus que ne le savent vraiment ceux qui le dénoncent, puisqu’à son sujet ils sortent souvent des propos incohérents ou contradictoires qui montrent qu’ils se font leur propre idée du mal en question, en étant tantôt dans le domaine du fantasme, tantôt dans l’erreur la plus manifeste.

    Chacun peut d’ailleurs mettre ce qu’il veut derrière ce mot, c’est ce que l’on constate en écoutant ou lisant les propos des uns et des autres sur tous les côtés de l’échiquier politique ou dans la large palette des « intellectuels ».

    Nous voici presque revenus aux temps mythiques de la chasse aux sorcières. À quand les procès ? À quand les condamnations en bonne et due forme ? À quand les interdits ? (cela a déjà plus que largement commencé).

    Dix-septième volet de notre série « Ce que le libéralisme n’est pas ».

    UN LEURRE BIEN COMMODE

    « Le monde va mal. Une pandémie l’a touché. Nous sommes pris au dépourvu. Tout va mal, tout s’écroule. Qu’a-t-il donc pu se produire ? D’où cela est-il venu ?

    – Le néolibéralisme, pardi !
    – Des morts plein les hôpitaux, plein les Ehpad, plein les demeures.
    – Le néolibéralisme.
    – Mais comment a-t-on donc pu ne pas voir venir ? Pourquoi n’avons-nous rien prévu ?
    – Le néolibéralisme.
    – Nous avions pourtant le meilleur système de santé au monde…
    – Le néolibéralisme.
    – Comment avons-nous pu laisser faire ? Comment en sommes-nous arrivés là ?
    – Le néolibéralisme.
    – Des riches toujours plus riches, des pauvres toujours plus pauvres, des hôpitaux sans moyens, un monde sans contrôle, une planète qui va disparaître, un effondrement total… (dépité) : et que sais-je encore ?
    – Le néolibéralisme, vous dis-je.
    – Mais que faire alors, docteur ?
    – Un seul remède : se couper du monde, mettre fin aux égoïsmes et à cette fichue société de consommation. Et promouvoir les solidarités, en lieu et place, en restaurant la paix, l’amour et la solidarité. Vivre d’amour et d’eau fraîche. Chanter la joie, la planète, les petits oiseaux et mettre fin à cette monstrueuse haine qui nous tue à petit feu.
    – Et quoi d’autre ?
    – Mettre fin à cette odieuse mondialisation.
    – Quoi encore, docteur ?
    – S’unir contre cette hydre qu’est le néolibéralisme.

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  39. LE FAMEUX « MONDE D’APRÈS » CONTRE LE NÉOLIBÉRALISME

    Les adversaires du néolibéralisme sont légion, ils n’ont même jamais été aussi nombreux et font actuellement feu de tout bois. Les anaphores aussi ont le vent en poupe. Et en la matière, nous avons de grands champions, grands prophètes du désormais très prisé « monde d’après ». Nicolas Hulot égrène ainsi ses 100 préceptes, plus idylliques et exaltés les uns que les autres.

    Sans oublier ces indécents, insupportables et révoltants donneurs de leçons qui, telle une Juliette Binoche – pas à une contradiction près – vivent dans l’aisance, promeuvent les valeurs du luxe (tant que cela rapporte), mais entendraient priver ceux qui ont besoin de consommer. Tandis que d’autres encore – à l’image de notre chère petite Greta – prônent, là aussi pour les autres, ce qu’ils ne s’appliquent pas vraiment à eux-mêmes.

    Mais en matière d’anaphores, nous avons aussi ceux qui, sans cette fois-ci se réfugier derrière l’épouvantail de l’odieux néolibéralisme, s’en prennent plus directement au libéralisme lui-même. À l’image de Laurent Dandrieu, rédacteur en chef culture à Valeurs actuelles (un journal naguère d’esprit plutôt libéral, qui semble en être devenu en l’espace de trois ou quatre ans à peine, un adversaire farouche), qui écrit dans le numéro du 14 mai 2020 un article intitulé « Ne pas faire du libéralisme une vache sacrée ». Une longue litanie déclinée en « C’est bien au nom d’une logique libérale que… », avec pêle-mêle :

    – la mise en cause de la libre circulation des biens et des personnes (vivons confinés)

    – celle du non renouvellement des stocks de masques (bien sûr, la faute au libéralisme, cela va de soi)

    – la dépendance vis-à-vis de la Chine pour l’approvisionnement en masques à cause de la logique économique des coûts de production (le libéralisme, bien sûr, avec son amour entre autres des lourdes charges qui pèsent sur les entreprises, c’est bien connu…)

    – la renonciation à l’indépendance pharmaceutique de la France, qui a laissé aux mains de la Chine et de l’Inde la production de la quasi-totalité des médicaments, au risque de nous asphyxier en cas de conflit mondial (mais c’est bien sûr !)

    – l’abandon par la France de certains de ses fleurons industriels passés sous fleuron étranger (l’inverse, par contre, n’existe pas)

    – la privatisation envisagée par l’État (cherchez l’erreur) d’autres entreprises stratégiques telles ADP

    – la folie (reprenant les formulations de notre cher Président, il y a peu encore qualifié de libéral) de déléguer notre alimentation, notre protection, notre capacité à soigner, notre cadre de vie à d’autres (halte à l’invasion, replions-nous !).

    Passons sur l’idée de « logique libérale », pour peu que le libéralisme soit doté d’une logique organisée, voire planificatrice, là où elle est plutôt – nous l’avons évoqué à de multiples reprises – une philosophie du droit et des libertés fondamentales. Il n’en reste pas moins que c’est bien de bouc émissaire qu’il s’agit ici. Comme si tous les problèmes évoqués avaient bien pour source commune et fondamentale le libéralisme.

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  40. C’est pourquoi le même journal, dans un numéro spécial du Spectacle du monde, éditait un dossier intitulé « Coronavirus, le monde d’après », dossier entièrement à charge contre le néolibéralisme, la mondialisation libérale, l’idéologie mondialiste, les mécanismes qui ont affaibli l’État, l’individualisme, la soumission commerciale et le consumérisme. Des thèmes devenus chers aujourd’hui à ce journal de droite qui en a fait quelques-unes de ses cibles privilégiées.

    Aujourd’hui, en effet, plus rien ne distingue vraiment droite et gauche en la matière. Et tous s’accordent à rêver du fameux « monde d’après ».

    LA COURSE À L’ÉTATISME

    Et pour cela, un seul remède, si l’on en revient à notre fameux docteur, sur le mode Malade imaginaire : l’argent (public) qui coule à flots. Là encore, nous sommes dans la surenchère. Droite et gauche confondues, chacun y va de ses propositions à qui mieux mieux. Il suffit de créer de l’argent en abondance… et même de la dette perpétuelle. Mais pourquoi diable ne pas y avoir pensé plus tôt ? (Jean-Luc Mélenchon, lui était un visionnaire, avec quelques-uns de ses amis).

    À gauche comme à droite, cela ressemble même à une véritable compétition, mettant en avant ceux qui se sentent une âme de hérauts. Un Julien Aubert, comme le montre bien Nathalie MP Meyer, ne fait-il pas ainsi partie de ceux qui « osent » dresser le bilan de la « mondialisation néolibérale » ? Oubliant le fait que l’on savait ce qui risquait fortement d’arriver mais qu’on ne l’avait pas anticipé dans les actes.

    Nonobstant qu’il est resté proche de ceux qui ont gouverné la France il y a peu encore (sans jamais s’être réclamés du libéralisme, loin s’en faut) et doivent assumer, de fait, une part certaine de l’héritage français, Julien Aubert ose qualifier la politique sanitaire de la France de « digne du tiers-monde » et met en cause la « pensée bruxello-budgétaro-néolibérale » de la droite (tout un programme). Oubliant au passage que la droite française n’a jamais été libérale.

    Il réclame ainsi l’avènement d’un État-stratège et la souveraineté de la France. Ne se distinguant guère de ce que propose la quasi-totalité de l’échiquier politique actuellement, de Jean-Luc Mélenchon à Marine Le Pen, sans oublier les grands journaux, de Marianne ou Libération à Valeurs actuelles.

    Mais surtout, il omet de remarquer, comme le rappelle une nouvelle fois et à juste titre Nathalie MP Meyer, que la France reste championne des dépenses publiques et que les effectifs de la fonction publique demeurent eux aussi à un niveau record.

    Comment oser, dans ce contexte, qualifier la politique de la France -que ce soit hier ou aujourd’hui – de « néolibérale » ? Il faut vraiment être de très mauvaise foi ou inculte. Ou alors ne plus avoir le sens des réalités et se laisser emporter par ses fantasmes et la perte du sens des réalités (je pencherais plutôt pour cette solution, en y ajoutant toutefois une certaine dose d’opportunisme politique, bien sûr).

    Le problème est qu’à force de répétition, ces discours creux et purement politiques finissent par s’imprimer dans les esprits, et par déboucher sur toujours les mêmes recettes à base de protectionnisme (quelle que soit sa coloration, « vertueux » ou autre). Dont Pascal Salin, entre autres, avait particulièrement bien mis en lumière les effets dévastateurs.

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  41. L’EXEMPLE DE LA COURSE AU VACCIN

    Après le scandale des masques vient la grande naïveté au sujet de la recherche d’un vaccin. Nous n’en sommes même pas encore à l’assurance d’en trouver un rapidement que déjà on se dispute ou on érige certaines morales au sujet de la gratuité que devra avoir l’éventuel vaccin, de son caractère de « bien commun » et de l’interdiction éventuelle que devra avoir l’entreprise qui le trouvera d’en dégager des bénéfices.

    Oubliant les vertus de la concurrence et des initiatives privées sur la stimulation de la recherche, on veut à tout prix imaginer une grande coopération internationale, sous l’égide de gouvernements ou d’organismes publics, dans un contexte de guerre larvée entre la Chine et les États-Unis, qui veulent vraisemblablement en faire une arme pour asseoir leur domination.

    On se souvient du triste spectacle des cargaisons de masques subtilisées par des États à d’autres États. On entrevoit aussi l’immense problème qui va immanquablement se poser le jour où un vaccin sera enfin prêt à être fabriqué mais qu’il faudra de nombreux mois pour en produire des quantités suffisantes pour approvisionner toute la planète. Et on veut faire croire que les États rivaux sauront s’entendre tout d’un coup pour définir les « bonnes » priorités ?

    En attendant, plutôt que de laisser de grands laboratoires tels que ceux de Sanofi travailler en toute quiétude, on leur dresse déjà de mauvais procès avant l’heure. Craignant là encore, n’en doutons pas, les fameux travers du grand méchant « néolibéralisme ». On est toujours mieux servi par la magnifique puissance publique qui, elle, est réputée si efficace.

    Au fait… quel était, déjà, ce fameux « meilleur système médical au monde » ? Ah oui, la France. Et son glorieux service public que le monde entier nous enviait (mais ayant dégénéré sans qu’on s’en soit rendu compte en gestion « néolibérale » ?).

    Et quel est le pays dans lequel on déplore à l’heure actuelle le plus de victimes du covid-19 en proportion de la population ? Ah oui, le Royaume-Uni. Et son fameux système de santé… totalement étatisé. Mais je suis sans doute mauvaise langue.

    Toujours est-il que pendant ce temps-là, la Chine réalise actuellement des essais de 5 vaccins sur un échantillon de 2500 cobayes, pardon, humains. Tous vraiment volontaires ? Et attendra-t-elle, vous croyez, pour lancer la première son vaccin à l’échelle de la planète, pendant que les autres pays se livreront à une foire d’empoigne sous couvert de plan de recherche publique concerté qui relève plus de l’incantation que d’autre chose ? J’en doute.

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  42. LE PROTECTIONNISME, DU NÉOLIBÉRALISME ?

    Car à bien écouter nos politiques, nous en sommes plutôt à mettre en avant les valeurs de patriotisme. N’est-ce pas d’ailleurs ce que la Chine ou l’Amérique trumpienne tentent d’ériger également ? Tandis que l’Inde, de son côté, semble pratiquer le national populisme. Mais est-ce vraiment le modèle que nous souhaitons suivre ?

    Car le patriotisme chinois, c’est aussi la propagande autour de la supériorité chinoise (il est vrai que nous aussi ne manquions jamais de faire référence à notre « meilleur système de santé au monde, tel que rappelé plus haut).

    En conclusion, si le « néolibéralisme », aux contours flous et mal définis, est un bouc émissaire bien commode pour exorciser tous les maux réels ou imaginaires qui nous poursuivent, nous ferions bien d’envisager des modes de coopération bien plus réalistes et sereins.

    Oui à des relocalisations bien choisies et bien pensées (qui peuvent être d’initiative privée) dans des cas très précis, lorsqu’il y a un réel risque de mise en péril de notre sécurité (peut-on toujours coopérer sans risque avec des États totalitaires ?), mais non, ne nous imaginons pas reconstruire de toutes pièces un monde idéal et fantasmé, fondé autour d’un protectionnisme dont l’histoire a montré qu’il était l’un des plus grands dangers qui nous menacent et une source d’appauvrissement de tous lorsqu’il devient généralisé par un regrettable effet d’escalade.

    Le bien de tous me semble résider plutôt dans l’échange et la coopération (essentiellement privée) que dans les grands schémas ou les grandes constructions théoriques fondés davantage sur le rejet que sur la confiance.



    À lire aussi :

    Ce que le libéralisme n’est pas
    Pourquoi le libéralisme n’est pas une idéologie
    Pourquoi le libéralisme n’est pas « sauvage »
    Pourquoi le libéralisme n’est pas la défense du grand capital
    Pourquoi le libéralisme n’est pas la marchandisation de la culture
    Le libéralisme n’est ni responsable, ni coupable, de la « casse sociale »
    Pourquoi il ne faut pas confondre libéralisme et matérialisme
    Le libéralisme ne peut être réduit à une doctrine économique
    Le libéralisme défend des individus, non des élites
    Non, le libéralisme ne recherche pas l’intérêt général
    Non, le libéralisme n’est pas un déterminisme
    Pourquoi le libéralisme n’est ni le laisser-faire, ni le laisser-aller
    Pourquoi le libéralisme n’est pas du tout ce que croit Michel Onfray
    Pourquoi le libéralisme n’est pas bien vu d’une grande partie des Français
    Pourquoi le cataclysme du Covid-19 n’a aucun rapport avec le libéralisme
    Non, le libéralisme n’est pas mort avec la crise sanitaire

    https://www.contrepoints.org/2021/07/04/371695-neoliberalisme-la-strategie-du-bouc-emissaire

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    1. Le 'néo (nouveau) libéralisme' c'est quoi ? Se libérer nouvellement. Oui mais, se libérer de quoi ?
      Du mal pour aller vers le bien ou, se libérer du bien pour aller vers le mal ?
      C'est donc un mot qui n'appartient à rien de concret puisqu'il ne se définit qu'en allusions.
      Notez que s'il est employé par les politiciens et les journalistes c'est au grand jamais pour éviter d'évoquer une approche de l'ombre de la Démocratie cachée dans le brouillard ! Car c'est bien elle qui dérange !
      Ce mot est glissé parfois pour expliquer qu'une dictature peut être... Démocrate !!!
      D'ailleurs je ne ferais pas la liste des dictatures qui se vante d'être... Démocrate !!!
      Bref, comme la Démocratie c'est 'Par le Peuple, Pour le Peuple', c'est à dire que c'est LE PEUPLE QUI DIRIGE ! Là, les putains de dictatures sont dégoûtées d'entendre cette idée rêvée par tous les révolutionnaires !
      Pourtant elle existe ! Un SEUL pays au monde est en Démocratie ! Et, quand on sait que le contraire de Démocratie c'est la dictature...
      Ce pays où ses habitants proposent eux-mêmes leurs propres lois et votent eux-mêmes leurs propres lois s'appelle la Suisse. Dans les dictatures ce sont des tuteurs qui proposent leurs lois et votent leurs lois (sans bien-sûr jamais demander l'avis du Peuple !).

      C'est aussi pourquoi AUCUNE candidate et AUCUN candidat aux prochaines élections ne propose de passer à la Démocratie ! Car ces ordures reçues aux plateaux de télés qui affichent un grand sourire et font semblant de débattre avec leur faux adversaire tiennent trop aux salaires sans limites qu'ils et elles ont et multiplieront dès qu'ils et elles seront en place au mirador du camps d’Auschwitz !

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  43. Auvergne-Rhône-Alpes : le « poumon vert » de l’Europe

    La filière nucléaire en ARA compte 42 600 emplois directs et indirects dans 645 entreprises, et exporte son savoir-faire jusqu’en Chine.


    4 JUILLET 2021
    Par Michel Gay.


    Première région de France productrice d’électricité décarbonée, la région Auvergne-Rhône-Alpes (ARA) est le poumon vert de l’Europe grâce à ses 14 réacteurs nucléaires et à ses installations hydroélectriques.

    Elle produit le double de sa consommation d’électricité bas carbone et alimente une partie de la France (dont elle fournit plus du quart des besoins en électricité) et de l’Europe.

    La filière nucléaire en ARA compte 42 600 emplois directs et indirects dans 645 entreprises, et exporte son savoir-faire jusqu’en Chine.

    TRICASTIN, LE HUB NUCLÉAIRE

    Plus grand site nucléaire d’Europe à cheval sur la Drôme et le Vaucluse, Tricastin emploie plus de 7000 personnes sur des postes non délocalisables et hautement qualifiés.

    Le site du Tricastin accueille à la fois une centrale nucléaire (1400 salariés) et des installations du cycle du combustible, dont « Georges Besse II », la plus grande usine d’enrichissement en Europe. Cette dernière produit des combustibles nucléaires qui alimentent 90 millions de foyers en énergie bas carbone, soit la population de la France, de l’Allemagne et du Royaume-Uni.

    L’usine Framatome à Romans-sur-Isère (Drôme) fabrique des assemblages de combustible dans la plus grande usine mondiale dans ce domaine. Elle alimente notamment les deux réacteurs EPR de Taishan en Chine, ainsi que ceux à venir.

    Le site est également leader mondial dans la production d’éléments combustibles pour les réacteurs de recherche, et de cibles d’irradiation à usage médical.

    Par ailleurs, deux sites de Framatome, Jarrie (Isère) et Ugine (Savoie), interviennent dans le processus de transformation du zirconium, matériau essentiel à la fabrication du combustible nucléaire.

    Plus largement, trois régions (Auvergne-Rhône-Alpes, Occitanie, PACA) et plus particulièrement quatre départements (Vaucluse, Drôme, Ardèche et Gard) profitent de ce hub nucléaire.

    LA RÉGION GRENOBLOISE, UN PÔLE INDUSTRIEL…

    La métropole de Grenoble regroupe plusieurs entreprises spécialisées dans la conception et la fourniture de systèmes d’automatisme liés à la conduite et à la sûreté des réacteurs (ROLLS-ROYCE, ATOS, CORYS) ainsi que les laboratoires du CEA en charge de la recherche et développement (R&D) sur les nouvelles technologies pour l’énergie.

    Près de 700 chercheurs du CEA Grenoble portent la vision d’un système intégré de l’énergie, s’appuyant sur les synergies possibles entre production d’électricité d’origine nucléaire et renouvelable.

    La formation des ingénieurs dans le domaine du nucléaire se partage aujourd’hui essentiellement entre deux écoles (PHELMA et ENSE3) qui apportent les compétences nécessaires à la maîtrise des systèmes de production d’énergie et permettent d’accéder à tous les métiers du secteur du nucléaire.

    Enfin, 300 personnes travaillent quotidiennement sur le plus gros chantier nucléaire de la région (Superphénix) sur le site de Creys-Malville (Isère).

    UNE DYNAMIQUE À ENTRETENIR

    La région ARA, riche de son nucléaire, souhaite maintenir cette dynamique. La centrale du Bugey est candidate pour accueillir deux EPR supplémentaires au côté des quatre réacteurs déjà implantés.

    Le nucléaire représente un enjeu de souveraineté industrielle, de transition écologique et de développement économique non seulement pour la région ARA mais aussi pour toute la France et une partie de l’Europe.

    Le gouvernement doit se mobiliser pour sa filière nucléaire, aujourd’hui la plus sûre, la plus compétitive sur le long terme, et la plus écologique, afin de produire l’électricité nécessaire à un pays moderne, d’attirer les compétences, et de participer à la résolution des grands défis énergétiques et industriels de notre temps.

    https://www.contrepoints.org/2021/07/04/400893-auvergne-rhone-alpes-le-poumon-vert-de-leurope

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