- ENTREE de SECOURS -



lundi 26 juillet 2021

La vérité qui sort !

  lundi 26 juillet 2021

Auteur(s) : François Roby


Je le faisais remarquer très récemment, ce n’est pas parce qu’on vous ment en permanence qu’il faut croire systématiquement le contraire de tout ce qu’on vous dit. C’est bien sûr humain et compréhensible ; il y a même un proverbe pour cela : « chat échaudé craint l’eau froide ». Mais même les menteurs les plus compulsifs arrivent à dire des vérités… et surtout, les plus malins arrivent à tromper sans mentir au sens strict, généralement par omission, car ils sont suffisamment intelligents pour se préserver par tous les moyens des poursuites pénales que certains pourraient leur intenter s’ils mentaient de façon trop directe (il existe quand même des lois pour cela).

Le cas de l’efficacité des « vaccins » anti-covid – dont je rappelais la définition dans cet article – est assez instructif sur cette façon de mentir tout en disant la vérité. Certains contestent en bloc qu’ils aient une quelconque efficacité, ou prétendent que les chiffres avancés par leurs fabricants sont grossièrement enjolivés ; certes, il est naïf de croire sur parole un dépliant publicitaire quel qu’il soit, et il est parfaitement légitime de se méfier de publications scientifiques sur un produit pharmaceutique qui sont financées par le fabricant même de ce produit.

Mais il faut aussi garder à l’esprit que ces grandes entreprises pharmaceutiques, si elles ont les moyens de corruption gigantesques qu’on leur connaît, ont aussi les moyens d’avoir des services juridiques de haut niveau capables d’orienter finement la communication de l’entreprise afin que les inévitables pertes pour l’entreprise que représentent les procès perdus restent à un niveau minimum – même si ce niveau paraît astronomique pour le commun des mortels, alors qu’il est juste à la mesure des profits bien plus astronomiques encaissés.

Il est donc assez vain de contester toute valeur aux chiffres d’efficacité annoncés, comme s’il s’agissait d’une simple et brutale fraude scientifique intéressée (ça existe, mais ce n’est pas systématique) ; il est plus intelligent, soit de privilégier les chiffres « de la vraie vie » par rapport à ceux des études (on l’a fait, et on le refera, à partir des données anglaises), soit de se poser la question de la signification réelle de chiffres qui, en eux-mêmes, peuvent être justes, tout en induisant totalement en erreur le public visé.

Tout d’abord, il y a une manipulation qui consiste à parler d’efficacité en « oubliant » que tout le monde n’est pas exposé à l’agent pathogène contre lequel le vaccin doit apporter une protection. Ainsi, lorsqu’on entend une « efficacité de 90 % », on pense qu’il y aurait 90 % en moins de malades pour cette maladie dans une population entièrement vaccinée (à supposer, bien sûr, que le chiffre d’efficacité annoncé soit juste)… mais on oublie que les risques vaccinaux s’appliquent à 100 % de la population (si elle est entièrement vaccinée) alors que les risques de la maladie ne s’appliquent, par définition, qu’aux personnes infectées. Or, si l’on en croit le dernier bulletin du Réseau Sentinelles, le taux d’incidence des cas d’infection respiratoire aiguë vus en consultation de médecine générale et dus au SARS-CoV-2 était estimé, pour la semaine 28 de 2021 (12 au 18 juillet) à 4 pour 100 000 habitants (oui, 0,00004 !). Du coup imposer un vaccin (et tout ce qui va avec…) à l’ensemble d’une population quand 0,004 % en tirera un réel bénéfice (si tout va bien) semble nettement plus ressemblant à la volonté d’écraser une paramécie avec le marteau-pilon du Creusot qu’à celle de protéger une population dans une démarche rationnelle et médicale, surtout quand des traitements curatifs efficaces et peu chers existent, qui par définition ne sont administrés qu’aux malades donc à beaucoup moins de monde !

Et même au plus fort de la vague épidémique au printemps 2020 (semaine 13), le taux d’incidence hebdomadaire pour la Covid-19 n’était « que » aux alentours de 140 pour 100 000, certes 35 fois supérieur, mais tout de même égal à 0,14 % en langage courant ! On remarquera au passage que ce taux d’incidence ne se confond pas avec celui des infections respiratoires aiguës (IRA) (ce qui devrait être évident pour tous, mais finit par ne plus l’être dans une psychose collective covidienne de niveau 10 sur l’échelle de Richter) : ainsi, dans le dernier bulletin du Réseau Sentinelles le taux d’incidence des IRA est de 42 pour 100 000, soit dix fois celui de la Covid-19. En d’autres termes, et en dépit d’une activité qualifiée de « faible » en médecine générale pour les IRA toutes causes confondues, 9 sur 10 des patients consultant pour des infections respiratoires aiguës n’étaient pas, du 12 au 18 juillet, porteurs de cette nouvelle peste noire devant laquelle le monde entier – et surtout la France – semble se mettre à genoux.

Mais l’essentiel n’est pas là. La tromperie la plus profonde réside, avant tout, dans la définition d’une efficacité des vaccins qui compare des sujets vaccinés à d’autres ne recevant aucun traitement. Comme si la médecine pouvait se résumer à la vaccination, comme si aucune autre voie de sortie n’existait, ce qui n’a bien entendu aucun sens même si les menteurs compulsifs qui nous gouvernent le répètent en boucle. La maladie est certes nouvelle, mais de nombreux médicaments anciens (« repositionnés », comme on dit dans un français approximatif), souvent associés entre eux, et avec des compléments alimentaires n’étant même pas des médicaments au sens strict, ont montré sur elle une efficacité certaine : ivermectine, hydroxychloroquine, azithromycine, vitamine C, zinc… La liste est longue et ceux qui veulent avoir un aperçu général de leur efficacité (pris isolément, mais les associations n’y figurent pas) pourront se reporter au site cearly.com ; quant à ceux qui souhaitent avoir des protocoles tout prêts – à discuter évidemment avec un médecin – ils pourront les trouver sur le site de la Front Line Critical Care COVID-19 Alliance, pour certains traduits en plusieurs langues dont le français.

On comprend donc pourquoi il était nécessaire de tuer d’abord le soldat hydroxychloroquine, et de mentir ensuite sur les effets secondaires désastreux des « vaccins » expérimentaux à ARN ou ADN, pour imposer de façon « rationnelle » l’idée d’une vaccination universelle comme seule porte de sortie. Mais les géniaux concepteurs de ce plan « sanitaire » ont juste oublié une chose : même en bombardant 24h/24 les citoyens d’une propagande digne des zeurslesplussombresdelhistoire, à l’heure d’internet, une vérité même ténue finit toujours par se frayer un chemin, et par s’auto-alimenter de façon exponentielle, là où le mensonge nécessite toujours des moyens de plus en plus importants et de plus en plus visibles pour subsister… ce qui in fine renforce l’éclat de la vérité.

C’est pourquoi, une vidéo d’à peine plus de deux minutes peut aujourd’hui réduire à néant tous les arguments justifiant un « passe sanitaire » dont la véritable nature éclate maintenant aux yeux de tous.

Les plus patients pourront écouter l’interview complète (2h 27, sous-titrée en français) du Dr Pierre Kory par Brett Weinstein (professeur de biologie “en exil”) à cette adresse.

COVID, ivermectine, et le scandale du siècle! Le Dr Pierre Kory et Brett Weinstein parlent ensemble de l'incroyable histoire de l'ivermectine durant la pandémie


1 - Les anciens bulletins peuvent être retrouvés à partir de cette page.
2 - Voir ici pour un tableau récapitulatif de leurs efficacités, et voir là pour des protocoles précis pour différents stades de la maladie COVID-19… avec des traductions en plusieurs langues dont le français !
3 - On peut aussi envisager d’en prendre certains en prévention, où ils concurrencent donc frontalement les vaccins.
4 - IRA, en abrégé
5 - On pourra y constater que la France est un des rares pays à n’avoir adopté aucun traitement, alors qu’une nette tendance mondiale se distingue en faveur de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine : sans doute le corps des Français et des Françaises est à ce point différent des autres que les lois de la médecine ne s’y appliquent pas comme ailleurs.

10 commentaires:

  1. Même s'il n'y a que 0,00001 % des français qui veulent être vaccinés et que le nombre de piqués (condamnés à mort) ne dépasse pas les 300 dans tout le pays, il y aura toujours des personnes pour mentir et dire que le nombre d'inoculés-de-la-dernière-heure dépasse maintenant les 65 millions* !

    * Si c'était vrai on circulerait mieux sur les routes !

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  2. Les risques de l’avènement de nouvelles formes numériques de surveillance sanitaire

    Si la période exceptionnelle peut justifier certaines atteintes aux libertés et des outils inédits, il faut rappeler les risques de l’effet « cliquet », bien connu en matière sécuritaire, qui interdit tout retour en arrière.


    Par Yoann Nabat.
    Un article de The Conversation
    26 JUILLET 2021


    Les conséquences directes de la crise sanitaire sur nos sociétés et nos modes de vie ont été particulièrement visibles lorsqu’il s’est agi de restreindre nos déplacements, de substituer à la présence physique le désormais reconnu « distanciel » ou encore de renoncer aux traditionnelles embrassades.

    Pourtant, une autre transformation s’est jouée ces derniers mois, moins évidente, mais tout aussi importante : l’avènement de nouvelles formes numériques de contrôle et de surveillance, et leur extension au biologique.

    Parmi les outils utilisés par le gouvernement français (et bien d’autres) pour tenter de lutter contre la propagation de l’épidémie, les mesures reposant sur ces techniques ont effectivement été nombreuses.

    DE NOUVEAUX FICHIERS DE TRAÇAGE

    Dès le début de la crise sanitaire, ce sont ainsi plusieurs fichiers qui ont été créés pour permettre, de façon inédite, la gestion à grande échelle du contact tracing. En complément, est ensuite apparue une application aux finalités identiques, d’abord appelée StopCovid puis TousAntiCovid.

    Ce sont également les nombreuses expérimentations de vidéosurveillance tentant là de détecter les malades par leur chaleur corporelle, ou ici de vérifier le bon port du masque. Enfin, et plus récemment, la création du passe sanitaire puis sa généralisation ont achevé ce continuum en s’intégrant dans la « vie d’après ».

    Partant de ce constat, plusieurs observations peuvent être faites sur notre rapport à la technologie, mais aussi sur l’acceptabilité sociale de ces mesures de surveillance.

    UNE NOUVELLE APPPLICATION DU SOLUTIONNISME TECHNOLOGIQUE

    Tout d’abord, le recours à des dispositifs numériques était-il absolument nécessaire ? Si la question a été soulevée pour l’application de traçage, bien que les débats se soient rapidement concentrés sur des enjeux techniques, elle a été quasiment absente ensuite.

    Le « solutionnisme » technologique a ici trouvé une application nouvelle : face à une difficulté majeure, biologique donc difficilement contrôlable, et inédite, le recours au numérique apparaît comme évident.

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  3. Pourtant, aucune des technologies utilisées par ces dispositifs n’est neutre. Lorsque des caméras de surveillance sont mises en place dans le métro parisien pour vérifier le bon port du masque par les usagers, tout doit être pris en compte : quelles caméras sont utilisées, et fabriquées par quel opérateur ? Où sont envoyées les données et par qui sont-elles traitées ? Que deviennent les images filmées et les résultats ? La CNIL est d’ailleurs très vigilante sur ces questions.

    Ces questions, relatives notamment au respect de la vie privée et au traitement des données personnelles, mais aussi aux risques du conflit entre intérêts privés et publics, sont intrinsèques au recours à ces technologies, mais pourtant peu soulevées dans le débat public. Si des dispositifs de suivi des cas positifs existaient ainsi déjà pour certaines maladies, le création inédite pour le coronavirus de fichiers nationaux et centralisés n’est pas anodine.

    DES OUTILS DE CONTRÔLE INÉDITS

    Plus fondamentalement, ces systèmes apparaissent avant tout comme des outils de contrôle et de surveillance des individus, à un niveau sans doute rarement égalé dans nos sociétés modernes, au moins à une aussi large échelle. La très récente généralisation du passe sanitaire à de nombreux lieux culturels ou de vie sociale systématise ainsi l’idée d’un contrôle inédit, car mise en œuvre essentiellement par ceux qui ne disposent habituellement pas de ce pouvoir (gérants ou directeurs d’établissements par exemple) et donc par les citoyens eux-mêmes. La « société de vigilance » trouve ici peut-être une nouvelle traduction. L’espace public perd encore un peu plus de son anonymat.

    L’idée d’un contrôle par la technologie n’est pourtant pas nouvelle. Elle s’incarne depuis plusieurs années en matière sécuritaire par le développement des fichiers de police, mais aussi des outils de surveillance à la disposition des forces de police judiciaire voire administrative. Elle est également appuyée par les grandes entreprises du numérique (qui en font la source de leur rentabilité, grâce au développement du « capitalisme de surveillance » dénoncé par Shoshana Zuboff).

    LE TRIOMPHE DU BIOPOLITIQUE

    La perspective originale des processus actuels se trouve alors peut-être dans leur lien étroit et nouveau avec la dimension biologique. Par ces outils, le politique se saisit encore un peu plus des enjeux de santé, non pas à la manière des siècles passés en exerçant une emprise directe sur le corps, mais par une forme plus insidieuse de contrôle, de « biosurveillance ».

    Ces dispositifs deviennent ainsi ceux de la « biopolitique » telle qu’exposée par Michel Foucault à la fin du siècle passé. Celle-ci ne s’adresse plus au corps individuel, mais « à la multiplicité des hommes comme masse globale affectée de processus d’ensemble qui sont propres à la vie », c’est-à-dire à la population conçue comme un tout.

    Or, la technologie permet précisément de répondre à ces impératifs, puisqu’elle assure une prise en compte globale de la population, chaque individu se trouvant réduit à un ensemble de données, dont la gestion peut être opérée quasi-automatiquement.

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  4. - voir clip sur site -

    Conférence à l’ENS Ulm sur l’application du concept de biopolitique au monde numérique.

    UNE COOPÉRATION PLEINE ET CONSCIENTE DE L’INDIVIDU

    Dans cet équilibre, le rôle des nudges ne doit pas être écarté. Ils participent pleinement à la surveillance en s’assurant de la complète coopération de l’individu, et en évitant le plus possible le recours à la contrainte.

    Si la vaccination n’est pas obligatoire, la présentation du passe sanitaire l’est devenue. Plus subtilement, si le recours à l’application TousAntiCovid n’est pas strictement nécessaire, tout est rendu plus facile pour son utilisateur. D’ailleurs, la communication des chiffres de téléchargement est en elle-même aussi un nudge, car elle incite par le nombre.

    L’ensemble de ces outils apparaît comme particulièrement intrusif. Rarement autant de dispositifs de contrôle et de surveillance auront concerné une part aussi importante de la population. Pourtant, leur acceptabilité sociale a progressé très rapidement.

    Sur ce point, l’exemple du passe sanitaire est particulièrement révélateur : d’une mesure inenvisageable à l’été 2020, il est devenu quasi obligatoire un an plus tard.

    LE PHÉNOMÈNE D’ACCOUTUMANCE

    Les nudges ne sont pas seuls responsables de cette apparente absence de contestation. C’est ici le phénomène d’accoutumance (le terme est notamment employé par le sociologue Armand Mattelart) qui doit être observé, facilité par l’impatience de sortir enfin un jour de la crise sanitaire et celle du tant promis retour à la vie antérieure. La technologie est partout dans notre quotidien, et les mesures de surveillance tendent également, qu’elles soient sanitaires ou sécuritaires, à se banaliser. Le fichier sanitaire devient un parmi d’autres, le passe sanitaire un contrôle de plus lors de déjà fastidieux passages aux frontières, tandis que l’application trouve sa place au milieu de toutes celles installées chaque jour sur nos téléphones.

    Face à ce développement, les remparts juridiques sont souvent bien impuissants : états d’urgence à répétition, absence de tout pouvoir de véto de la Commission nationale informatique et libertés (CNIL, chargée du contrôle des outils numériques et de la protection des données personnelles), modifications législatives régulières et action timide du Conseil constitutionnel.

    LA TECHNIQUE DU « PIED DANS LA PORTE »

    Ce constat est d’autant plus vrai qu’on assiste au recours fréquent à un simulacre de la technique marketing du « pied dans la porte ». Si le passe sanitaire a pu être validé par la CNIL et le Conseil d’État, c’est avant tout grâce à son champ d’application limité. Pourtant, quelques mois plus tard, il est très largement étendu. Trop tard : l’outil est déjà en place.

    La même technique avait déjà été à l’œuvre pour l’application TousAntiCovid, dont les fonctionnalités n’ont fait que croître, et est très largement mise en application pour certains fichiers sécuritaires.

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  5. Cette habitude peut être dangereuse. Elle conduit en effet à progressivement déplacer la barrière de l’intolérable, et à accepter toujours plus de dispositifs de surveillance dans nos vies.

    Si la période exceptionnelle peut bien sûr justifier certaines atteintes aux libertés et des outils inédits, il faut sans doute ici plus que jamais rappeler les risques de l’effet « cliquet », bien connu en matière sécuritaire, qui interdit tout retour en arrière.

    Prenons garde à ce que l’ensemble de ces dispositifs, entre technologies et biopouvoirs, ne créent pas un périlleux précédent en constituant un pas de plus vers la société de contrôle, dans laquelle le risque, pour inhérent à tout système libéral, semble de moins en moins bien toléré.

    Yoann Nabat, Doctorant en droit privé et sciences criminelles, Université de Bordeaux

    Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.

    https://www.contrepoints.org/2021/07/26/402246-les-risques-de-lavenement-de-nouvelles-formes-numeriques-de-surveillance-sanitaire

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    Réponses
    1. Quand la politique ordurière de la mafia parle d''État d'urgence' c'est pour elle qu'elle parle en demandant à ce qu'il soit appliqué aux 70 millions d'inconvenants (voire des gueux), mais, cet 'État d'urgence' ne s'applique pas au mode de vie du Peuple ! Il s'applique au virus (nommé Ben Laden ?) qui entre jusqu'en infraction chez quelqu'un et squatte sa piaule !

      Mais là pas de chance ! L'individu n'a pas été isolé, il ne serait même pas fiché et de plus il porte un masque ! (lui aussi !). Oui mais çà c'est pas nouveau ! Cela fait plus de 10 000 ans qu'il y a des 'réfugiés climatiques' et n'ont pas changé leurs lances-pierres pour des Kalachnikov ! Il n'y a donc pas lieu de créer un 'État d'urgence' établi il y a 10 000 ans et relancé par tacite reconduction pour les prochains 10 000 ans ! Car, même dans 10 000 ans avec des serpentins de glu anti-mouches et des bombes Splacht ou des laser détecteurs d'immigrés il y en aura toujours ! Pas plus nombreux ni moins !

      La politique de merde mise en place par les trisomiques de la-mer-qui-va-monter n'est là que pour terroriser ce monde de cloches qui ne sonnent plus l’hallali depuis belle lurette !

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  6. LE PARE-FEU RENDU OBSOLÈTE PAR L'ÉVOLUTION DES MODÈLES D'UTILISATION D'INTERNET ?


    par MARC LUECK
    27/07/2021


    Les demandes d'assistance ont augmenté de 25% sur cybermalveillance.gouv.fr en 2020

    Technologie de cybersécurité historique, le pare-feu est également l’une des technologies les plus largement connues au monde. Depuis « War Games » en 1983, il est même régulièrement mis en lumière au cinéma, contribuant ainsi à sa notoriété. En effet, au cinéma, lorsqu’un pirate informatique doit infiltrer un ordinateur central, il est souvent confronté à un pare-feu, qu’il contourne généralement rapidement en tapant frénétiquement sur son clavier. Évidemment la fiction est souvent loin de la réalité, surtout sur des sujets aussi techniques.

    Après « War Games » Il aura toutefois fallu attendre près d’une décennie pour que le terme pare-feu entre dans le lexique courant des professionnels de la cybersécurité. Des années 80 aux années 90, des experts tels que Jeff Mogul, Steve Bellovin et Bill Cheswick, Marcus Ranum et Nir Zuk ont fait progresser la technologie. Au milieu des années 90, il était normal pour les entreprises de se connecter à Internet, et le paysage des menaces s’est étendu. Le pare-feu est alors devenu une technologie extrêmement populaire et indispensable aux entreprises.

    À l’époque, l’utilisation d’un pare-feu était tout à fait légitime, car l’Internet des années 90, avec ses centaines de serveurs (contre des dizaines de millions aujourd’hui), était plus simple et les menaces moins sophistiquées. Il y avait bien des pirates, mais il s’agissait en majorité de criminels solitaires, contrairement aux groupes, souvent soutenus par des États, que nous connaissons aujourd’hui. Le pare-feu était donc la solution idéale pour séparer le mauvais trafic du bon : le réseau était sûr, Internet ne l’était pas, et le pare-feu protégeait les entreprises contre les dangers extérieurs.

    L’évolution de l’utilisation d’Internet

    Le mode d’utilisation d’Internet a radicalement changé depuis les années 90. Il ne s’agit plus uniquement d’un outil qui nous aide à accomplir notre travail au bureau, et de surfer à tire personnel lors de nos temps libres. Internet occupe aujourd’hui une part essentielle de nos existences. La menace ne vient plus des pirates, elle est intégrée dans les applications et les services que nous utilisons tous au quotidien, que ce soient les médias sociaux, les services de streaming ou toute autre application. Même les entreprises de confiance qui forment notre écosystème de fournisseurs sont désormais sources de menaces.

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  7. L’industrie du pare-feu n’est pas restée les bras croisés et a étendu les fonctionnalités de ses produits pour faire face à ces nouvelles menaces. Au-delà du filtrage des paquets, les pare-feux se sont dotés d’antivirus, de fonctions de prévention des attaques par déni de service (DoS/DDoS) et de détection des botnets, de VPN, etc. Le phénomène s’est transformé en véritable course aux armements. Mais plus les fonctionnalités se sont accumulées, plus la complexité, la latence et les coûts ont augmenté. Tous les contrôles étant regroupés au même endroit, le pare-feu est devenu le seul moyen de défense des entreprises, mais aussi le seul obstacle à contourner pour les pirates.

    Même les défenseurs de la première heure du pare-feu ont commencé à remettre en question sa pertinence. En 2008, Cheswick et Bellovin ont qualifié le pare-feu de « solution économique à la faiblesse de la sécurité des hôtes » et de « contrôle d’accès bas de gamme pour des ressources de faible valeur ».

    Le développement du Cloud

    S’il est une évolution qui a sonné le glas du pare-feu, c’est bien le Cloud (et la mobilité à laquelle il donne accès). La pandémie de Covid a bien entendu accéléré la transition vers le Cloud et contribué à accélérer un peu plus le déclin du pare-feu. Aujourd’hui, les activités professionnelles ont lieu directement sur Internet, en dehors du réseau.

    Bien que le pare-feu ait rendu de grands services à la cybersécurité, il s’agit d’une technologie dépassée, qui représente une architecture obsolète. Non seulement il date et multiplie les fonctionnalités, mais il repose en outre sur des notions de confiance archaïques. La mise en place d’un pare-feu suggère qu’un côté de la connexion est plus sûr que l’autre. Or, rien n’est moins vrai avec le trafic Internet qui circule des deux côtés. Cette confiance implicite peut même présenter plus de risques qu’elle n’en réduit.

    Le pare-feu voulait que les entreprises fassent confiance au réseau et aux adresses IP alors que, dans le monde actuel, nous devons adopter une approche Zero Trust. Un accès Zero Trust associe la validation de l’identité de l’utilisateur à l’application d’une politique d’entreprise fondée sur les données contextuelles de l’utilisateur, de l’appareil, de l’application et du contenu pour autoriser un accès direct aux applications et aux ressources. Il s’agit d’amener le trafic vers le contrôle, et non d’engorger le trafic en amenant le contrôle vers lui.

    D’après une récente étude d’ESG, plus de 3/4 des équipes de sécurité informatique (77%) prévoient d’adopter un modèle de travail hybride qui nécessitera des exigences plus élevées en matière de sécurité. Un récent rapport que nous avons publié sur les risques liés aux VPN indique que 72 % des entreprises privilégient l’adoption d’un modèle Zero Trust, tandis que 59 % accélèrent leurs efforts en raison de la montée en puissance du télétravail.

    Dans un monde où l’on travaille en tout lieu, les contrôles basés sur le périmètre, comme le pare-feu, deviennent rapidement obsolètes. L’approche Zero Trust utilise une architecture Cloud native pour disperser les contrôles de sécurité à des fins de performances et d’évolutivité. Elle constitue un moyen bien plus attractif et efficace pour protéger les entreprises. Avec le pare-feu, l’erreur a été de penser que nous avions besoin d’un meilleur outil, alors que nous avons en réalité besoin d’une meilleure architecture.

    https://www.objectifeco.com/expatriation/mode-demploi/pour-expatries-confirmes/dominer-le-chaos-du-monde-et-se-developper-depuis-panama.html

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  8. Tout est perdu à Hong Kong…


    lundi, 26 juillet 2021 07:40


    Quelques news de ce pays où j’ai immigré il y a presque trois ans déjà. La plupart des Hongkongais que je rencontre sont assez calmes face à la situation politique du pays. Ils ont bien compris que c’était plié, que la Chine avait avancé son calendrier, et que ce soit juste ou pas, Hong Kong s’aligna dorénavant sur la Chine en termes de lois de sécurité intérieure et de cohésion sociale.

    La Chine attends des Hongkongais qu’ils fassent block avec elle contre le reste du monde et que ces enfants kidnappés par les méchants Anglais lors de la guerre de l’Opium rentrent au bercail faire des bisous à leur maman chérie. Les Hongkongais sont conscients que toute résistance publique se finira irrémédiablement au mieux en prison. Il y a bien, ici et là quelques opposants qui s’expriment au grand jour mais ils ne vont pas tarder à disparaitre ou à être contraint de la fermer.

    Force est de constater que le gouvernement Chinois est égal à lui-même et totalement prévisible : La Chine n’attendrait pas 50 ans, et qu’une fois les nouvelles lois sur la sécurité interne votées il ne pourrait plus y avoir d’opposition. Au vu et au su de tous, la Chine a pris Hong Kong en regardant le monde droit dans les yeux, sachant que rien ni personne ne pourrait l’en empêcher. Et maintenant, tout pays qui voudrait venir en aide à Hong Kong, soit officiellement soit en finançant des groupes de résistance en sous-marin déclencherait un véritable et totalement inutile bain de sang. Hong Kong est une petite ile coincé entre deux grosses plaques tectoniques, le moindre dérapage de la Chine ou de l’Ouest pourrait causer des centaines de milliers de morts.

    Maintenant que faire ? Faut-il s’unir et se battre pour aider les Hongkongais à récupérer leur liberté ? Liberté qu’ils auraient perdu dans quelques années de toutes manière. Sérieusement, on n’arrive déjà pas à s’unir pour nos propres libertés dans nos propres pays, on n’arrive pas non plus à s’unir pour sortir de la misère des pays où des enfants meurent de faim par milliers sous nos yeux tous les jours, alors qui va s’unir pour aider un pays riche comme Hong Kong où il n’y a presque pas de misère. Si on dressait la liste des pays à qui il fallait absolument venir en aide, Hong Kong serait certainement dernier de la liste. C’est un peu comme si la France annexait Monaco. Qui viendrait en Aide à cette pauvre principauté opprimée ?

    La nouvelle réalité c’est que Hong Kong est dorénavant une ville Chinoise comme toutes les autres et elle suivra le plan de développement Chinois qui transformera le delta de la rivière des perles en une immense et vaste région économique. D’ici une trentaine d’années les villes de Shenzhen, Canton, Hong Kong ainsi que les grandes villes alentours formeront la région la plus dynamique du monde. Pour infos, c’est près de 65 millions de personnes sur 43 000Km² soit le même nombre d’habitant que la France mais sur un territoire 15 fois plus petit.

    Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit, que c’est certainement mieux ainsi pour Hong Kong. Je pense que ce sont aux peuples de déterminer eux même ce dont ils ont envie, et qu’on ne peu forcer personne à faire quoi que ce soit, même si c’est "apparemment" pour son bien. Mais soyons clairs cinq minutes : Hong Kong n’est qu’un un pion sur un échiquier mondial, le cul entre deux chaises servant les intérêts des uns à l’Est ou des autres à l’Ouest tout en récoltant une grosse manne financière au passage. Et il n’y en a pas forcément un meilleur que l’autre, parce que vous croyez qu’à l’Ouest ils en ont quelque chose à foutre des Hongkongais ? Qui a dit que la vie était juste ? Si j’étais Hongkongais je serais très probablement révolté et en train d’entrer en clandestinité. En tant qu’immigré ici, je n’ai qu’une seule chose à faire, attendre que tout ça se tasse et ne pas trop la ramener…

    https://www.objectifeco.com/dans-la-vie-des-auteurs/tout-est-perdu-a-hong-kong.html

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  9. Les services secrets français ont mis en garde le département d'État d'Obama contre le laboratoire de Wuhan en 2015 : un ancien responsable américain


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 26 JUIL 2021 - 18:15


    En 2015, des responsables du renseignement français ont averti le département d'État d'Obama que la Chine "réduisait la collaboration convenue au laboratoire" - que la France a aidé à construire, étant entendu que les deux nations travailleraient ensemble.

    En 2017, la France avait été « rejetée » du laboratoire et la coopération avait cessé, ce qui a amené les responsables français à avertir une fois de plus le département d'État américain de « graves préoccupations » quant aux motivations chinoises, a déclaré l'ancien responsable de l'État David Asher au Daily Caller.

    Le département d'État a allégué en janvier 2021, à la fin de l'administration Trump, que le laboratoire de Wuhan s'était engagé dans des recherches classifiées pour le compte de l'armée chinoise depuis au moins 2017.

    Le département d'État n'a pas répondu à la demande de commentaires de la Daily Caller News Foundation.

    Jeudi, la Chine a déclaré qu'elle ne permettrait pas à l'Organisation mondiale de la santé d'inspecter davantage le laboratoire. La Chine a empêché l'OMS d'accéder aux documents importants du laboratoire. -DCNF

    "Les Chinois ont essentiellement aspiré l'État dans son opération de pot de miel pour avoir accès à la technologie, aux connaissances et au soutien matériel des États-Unis. Classique. Comme ils l'ont fait dans tous les secteurs", a déclaré Asher.

    Selon l'USAID, l'Agence américaine pour le développement international a fourni 1,1 million de dollars à l'ONG américaine EcoHealth Alliance pour un sous-accord avec le Wuhan Institute of Virology - en plus des millions reçus de la Defense Threat Reduction Agency du ministère de la Défense, et 600 000 $ par an subvention des National Institutes of Health du Dr Anthony Fauci.

    En bref, après que l'administration Obama a suspendu la recherche sur le gain de fonction, des entités américaines ont acheminé de l'argent via EcoHealth pour la poursuivre, malgré l'avertissement de la France.

    Selon Asher, le NIH, le DoD et l'USAID auraient dû cesser le financement fédéral en 2015.

    Plus de l'appelant quotidien :

    La France a fourni la conception du laboratoire, la formation en biosécurité et une grande partie de sa technologie.

    Les Français ont envisagé l'institut de Wuhan comme un laboratoire ouvert et transparent qui servirait à la communauté scientifique mondiale dans l'étude des pandémies potentielles, selon un câble du département d'État en avril 2018, citant un responsable du consulat français basé à Wuhan qui a travaillé sur la coopération scientifique et technologique avec Chine.

    Alors que de hauts responsables politiques français ont soutenu la collaboration, les experts français de la sécurité et de la défense ne l'ont pas fait, a rapporté le journal français Le Figaro.

    Les responsables de la sécurité nationale ne voulaient pas partager de technologie sensible avec un pays oppresseur qui n'était pas un allié et ils craignaient que le laboratoire ne se transforme un jour en « arsenal biologique », selon Le Figaro.

    Pendant ce temps, le département d'État d'Hillary Clinton a exprimé ses inquiétudes au sujet du laboratoire de Wuhan – et avait demandé à la France s'ils savaient comment la Chine prévoyait de garantir aux chercheurs étrangers entrants d'éviter le vol de technologie dans des pays ayant des problèmes de prolifération d'armes, selon WikiLeaks.

    Lisez le reste du rapport ici.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/french-intelligence-warned-obama-state-department-about-wuhan-lab-2015-former-official

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