- ENTREE de SECOURS -



mardi 27 juillet 2021

Des jeunes enfermés : images du premier camp Covid en France. Glaçant.

 Le média en 442

lun., 26 juil. 2021 19:48 UTC 

Voici un court documentaire venant du site La Minute de Ricardo, de l'ancien présentateur sur France Tv et TV5 Monde, Richard Boutry. Accrochez-vous, car ce que vous allez découvrir est effrayant

Des parents ont fait part de leur inquiétude à Richard Boutry. Il est allé à proximité du premier camp covid où sont enfermés leurs enfants de 20 à 25 ans : le lycée agricole Hector Serres, 2915 Route Des Barthes, 40180 Oeyreluy. Un établissement présenté par Sud-Ouest comme offrant de « multiples possibilités »... Hector Serres, issu d'une famille dacquoise de pharmaciens, pharmacien lui-même, aurait-il été surpris d'être le prête-nom d'une prison ? C'était un pharmacien, certes, mais cet amoureux de la forêt landaise et des eaux thermales était fort loin de l'univers carcéral de Big Pharma.

Ces jeunes sont des travailleurs saisonniers dans les campings — nous n'en savons pas plus. Peut-être venaient-ils d'un camping des Landes comme celui des Prés Verts. A partir du 20 juillet, voilà la réception des vacanciers non munis de passe sanitaire :
« Vous avez le droit de séjourner sur notre terrain en emplacement traditionnel ou en location. Cependant, les personnes majeures n'auront pas le droit d'accéder à l'espace aquatique, à l'aire de jeux, aux activités collectives, au restaurant. Ainsi, nous proposons le port d'un bracelet pour identifier les clients à jour de leur pass sanitaire (majeur et mineurs pour identifier les clients ayant validé leur séjour). »

Les jeunes du camp d'isolement ont interdiction de sortir, une zone de délimitation est visible aux abords de la structure réquisitionnée par la préfecture. Cette dernière décide de la marche à suivre. La Croix-Rouge gère la structure où sont détenus les jeunes mis en quarantaine pour cas contacts ou covid. Interdiction formelle de voir leurs familles ou amis. Richard Boutry questionne une personne de la Croix-Rouge afin de connaître la durée d'enfermement :
« Est-ce qu'il y a des jeunes qui sont là depuis longtemps ? »

La réponse fait froid dans le dos : « Tout dépend. Si la personne arrive comme "cas contact" et qu'au bout d'une semaine, elle est positive au covid, elle en prend pour dix jours de plus. »

Les termes employés — « Elle en prend pour dix jours de plus » — font évidemment référence à des détenus dans une prison et sont prononcés le plus naturellement du monde.
La Croix-Rouge est chargée d'écouler le stock de lots de thérapies génétiques ARNm. On vous en parle là. Il est logique qu'elle essaie de convaincre les jeunes, car ils rechignent à se faire vacciner contre une maladie qu'ils n'auront pas. Argument massue : les clusters ! C'est la préfète des Landes qui nous annonce « Une vingtaine de clusters en cours ». Elle oublie d'ajouter d'autres chiffres (officiels) :
- décès en 24 heures : 0
- réanimations en 24 heures : 0
- nouvelles hospitalisations : 0
- taux d'occupation des lits de réanimation : 11,2 %
Ce documentaire fait froid dans le dos... et l'on comprend la révolte des familles qui ont contacté Richard Boutry pour avoir plus d'explications.

- Qu'est-ce que le covid + ?

- Pourquoi la Croix-Rouge est-elle mêlée à ce genre de choses ?

- Pourquoi les parents ont-ils interdiction de voir leurs enfants ?

- Pourquoi la préfecture organise-t-elle tout ceci ?

Des questions qui ne manqueront pas de trouver des réponses.

Jacqueline et Marcel pour Le Média en 4-4-2.

10 commentaires:

  1. 🔴 Notez bien ce que je vous annonce en ce jour du 26/07/2021. Une source proche du cabinet ministériel du premier ministre @JeanCASTEX affirme que la vaccination deviendra officiellement obligatoire, pour tous, courant du mois de septembre 2021.

    Donc: PERSONNE pour vous porter des fleurs le 1er Novembre !

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  2. Havoc by Ping : La folie insupportable du cirque COVID


    Par Vasko Kohlmayer
    27 juillet 2021


    Alors que le 21 juillet – surnommé « Freedom Day » – approchait en Angleterre, le vaste lobby britannique de Covid était en pleine panique.

    Pendant des semaines, ils faisaient de leur mieux pour saboter l'assouplissement des restrictions de Covid. Leur tactique principale consistait à rendre compte fébrilement du nombre croissant de cas causés par la variante dite Delta. Ce qu'ils n'ont pas dit, c'est que cette variante semble être en grande partie inoffensive à l'heure actuelle dans cette partie du monde, car les décès de Covid en Angleterre ont chuté de plus de 95 % par rapport à leurs pics de janvier.

    La BBC et d'autres médias institutionnels n'ont jamais montré le graphique ci-dessous qui documente la baisse spectaculaire des décès de Covid au cours des cinq derniers mois :

    - voir graphique sur site -

    Soit dit en passant, les informations présentées ci-dessus sont tirées de données gouvernementales et la plupart de ces quelques « décès de Covid » ne sont pas vraiment des décès de Covid mais des décès dus à d'autres comorbidités graves.

    Notez que la courbe suit la trajectoire de l'année dernière. Cette trajectoire est similaire à celles des États-Unis et d'autres pays de l'hémisphère Nord qui ont un climat modéré. Avec l'arrivée de plus de soleil et d'un temps plus chaud de mars à octobre, le SRAS-CoV-2, comme les autres virus de sa famille, perd apparemment son aiguillon mortel.

    De plus, si vous croyez ce que le gouvernement britannique a dit au début de sa campagne de vaccination, le pays devrait être définitivement sorti du bois de Covid, compte tenu de ses taux de vaccination élevés. La plupart des personnes vulnérables et des plus de 50 ans ont déjà reçu leurs deux injections. Et beaucoup de ceux qui n'ont pas été piqués ont vaincu Covid et ont donc des anticorps naturels.

    Mais ces faits importent peu aux forces du chaos. N'étant pas en mesure d'annuler la Journée de la liberté qui approchait, ils ont tout de même trouvé un moyen de lancer une clé à molette dans les travaux. Cette clé à molette est une application de recherche de contacts. Au cours du dernier mois, l'application a envoyé activement des ordres de quarantaine à des millions de Britanniques qui se sont rapprochés de ceux qui ont été testés positifs pour la version actuellement largement inoffensive de la variante britannique Delta.

    Si vous ne le saviez pas, toute personne qui reçoit le ping redouté est invitée à s'auto-isoler immédiatement pendant dix jours avec le reste de sa famille. Il n'est pas possible de briser la quarantaine en faisant un test et en produisant un résultat négatif. Tout le monde doit faire dix jours de dure Covid, aucune exception n'est autorisée. Il est bien sûr facile de voir comment cette application malveillante pourrait fermer la Grande-Bretagne en quelques semaines. Selon les rapports, "au cours de la seule semaine du 7 au 15 juillet, plus d'un demi-million de personnes ont été mises en quarantaine forcée de 10 jours sur les recommandations de l'application". Et cela en plein été ! On ne peut qu'admirer le complexe industriel Covid pour son ingéniosité à subvertir la volonté d'un gouvernement démocratiquement élu avec un petit bout de code.

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  3. Malheureusement, le gouvernement britannique actuel ne fait pas le poids ni contre l'application ni contre les pirates de Covid. La folie de tout cela est devenue évidente plus tôt ce mois-ci lorsque Boris Johnson lui-même a été cinglé par le logiciel espiègle qui lui a ordonné de s'isoler pendant 10 jours. La première réaction de Johnson a été «non», mais il a rapidement changé d'avis lorsque la foule de Covid a déclenché sa fureur. Big Boris a réussi à résister à la folie de la gauche pendant environ trois heures.

    Le renversement de Johnson vous dit tout ce que vous devez savoir sur un pays plongé dans un chaos irrationnel. Pour voir à quel point la Grande-Bretagne a sombré dans la folie, considérez certains des faits entourant la décision du Premier ministre de s'auto-mettre en quarantaine.

    Boris Johnson a vaincu Covid-19 l'année dernière dans un combat très médiatisé contre la maladie, et il devrait donc posséder des anticorps naturels contre celui-ci. En tant que tel, sa probabilité de contracter Covid ou de devenir infectieux est très faible. De plus, Johnson est entièrement vacciné, ayant reçu ses injections plus tôt cette année.

    Peut-être vous souvenez-vous quand on nous a dit que les vaccins seraient notre ticket pour la normalité car ils confèreraient une protection contre la maladie. Apparemment, les pouvoirs en place n'y croient plus. Il est en fait fort probable qu'ils n'y ont jamais cru, car tout indique qu'il n'est pas possible de proposer un vaccin efficace contre ce type de virus, en raison de sa nature intrinsèquement mutant. Nous l'avons souligné dès février lorsque nous avons écrit :

    « Voici la vérité : il n'est pas possible de concevoir un vaccin efficace contre le type de virus qui cause le COVID-19. Pourquoi ? Pour la raison même que le vaccin d'AstraZeneca a échoué en Afrique du Sud et échouera également ailleurs. Le coronavirus est un type de virus qui mute largement et à cause de cela, il est impossible de proposer un protocole de vaccination qui arrêterait sa propagation. Tout virologue de bonne foi le sait. Et pourtant, le public n'en a pas été informé. Bien au contraire, cette information cruciale a été activement supprimée.

    Malheureusement, le scénario contre lequel nous avons mis en garde s'est maintenant réalisé. Selon les dernières données d'Israël, le vaccin Pfizer n'est efficace qu'à 39 % contre les variantes les plus récentes. Et même cette annonce est probablement basée sur des données qui ont été massées afin de protéger les responsables de tout le fiasco.

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  4. Une chose, cependant, devrait être assez claire : l'administration de produits pharmaceutiques expérimentaux, non testés et inefficaces à des populations en général constitue probablement une violation des protocoles criminels, ce qui devrait faire l'objet d'une enquête afin que les auteurs de cette parodie puissent être tenus responsables.

    C’est une grande ironie que l’alerte ping de Johnson ait été déclenchée par son contact avec son secrétaire à la Santé Sajid Javid, qui avait précédemment été testé positif pour Covid. Comme Johnson, Javid a été entièrement piqué avec les produits pharmaceutiques dont on nous avait promis qu'ils mettraient fin à la pandémie. Maintenant, lui et tous ceux qu'il a rencontrés doivent se mettre en quarantaine pendant dix jours. Néanmoins, Javid continue d'exhorter ses concitoyens à se soumettre aux mêmes injections inefficaces et dangereuses que lui-même a subies si imprudemment : selon les dernières données de la base de données de l'Union européenne sur les effets indésirables des médicaments, il y a eu 18 928 décès et 1,8 million de blessés Coups de covid.

    Voyez-vous la folie de tout cela ?

    https://www.lewrockwell.com/2021/07/vasko-kohlmayer/havoc-by-ping-the-unbearable-madness-of-the-covid-circus/

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  5. Le New York Times fait pression pour que George W. Bush soit l'envoyé américain pour les vaccins… le monde n'a-t-il pas assez souffert ?


    Hélène Buyniski
    Actualités RT
    27 juillet 2021


    Les fans du premier président néoconservateur, connu pour avoir déclenché des guerres impossibles à gagner et retourné le monde contre les États-Unis, ont longtemps essayé de lui assurer une place plus favorable dans l'histoire. Maintenant, ils pensent en avoir un : l'envoyé du vaccin Covid-19.

    Bush, admet le chroniqueur James Harding, est dans les mémoires du « monde » pour l'Irak – la guerre promise aux Américains serait une « promenade du gâteau », dans laquelle les enfants se précipiteraient pour accueillir les troupes américaines avec des fleurs – qui se sont avérées être des engins piégés, plantés moins par les enfants que par les Irakiens qui voulaient que nous arrêtions de voler le pétrole et les artefacts inestimables de leur pays. Mais c'est assez d'une promenade dans le passé pour Harding - il veut que nous nous souvenions que Bush était "également le premier président mondial de la santé".

    Qu'est-ce que cela signifie exactement? Il fait référence au PEPFAR (Plan présidentiel d'urgence pour la lutte contre le sida), un programme de lutte contre le sida tape-à-l'œil et difficile à évaluer mais extrêmement coûteux, crédité par certains d'avoir aidé à faire baisser les cas de la maladie en Afrique. Cependant, il est impossible de créditer un seul programme de l'absence d'une maladie - le PEPFAR n'a pas proposé de remède ou de vaccin contre le VIH ou le SIDA, des critères qui pourraient être prouvés et mesurés. Cela en fait un succès mondial en matière de santé, d'autant plus que le prix de 87 milliards de dollars de l'argent d'autres personnes que Bush lui a consacré, est au mieux discutable. Les grandes campagnes de lutte contre les maladies tape-à-l'œil aspirent également de l'argent qui aurait autrement pu être utilisé pour améliorer les conditions de vie afin d'aider à éradiquer cette maladie - quelque chose que de nombreux pays appauvris connaissent déjà via d'autres formes de fraude à l'aide qui deviennent leurs propres systèmes de grift auto-entretenus pour les riches. Ouest.

    Les fans du premier président néoconservateur, connu pour avoir déclenché des guerres impossibles à gagner et retourné le monde contre les États-Unis, ont longtemps essayé de lui assurer une place plus favorable dans l'histoire. Maintenant, ils pensent en avoir un : l'envoyé du vaccin Covid-19.

    Bush, admet le chroniqueur James Harding, est dans les mémoires du « monde » pour l'Irak – la guerre promise aux Américains serait une « promenade du gâteau », dans laquelle les enfants se précipiteraient pour accueillir les troupes américaines avec des fleurs – qui se sont avérées être des engins piégés, plantés moins par les enfants que par les Irakiens qui voulaient que nous arrêtions de voler le pétrole et les artefacts inestimables de leur pays. Mais c'est assez d'une promenade dans le passé pour Harding - il veut que nous nous souvenions que Bush était "également le premier président mondial de la santé".

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  6. Qu'est-ce que cela signifie exactement ? Il fait référence au PEPFAR (Plan présidentiel d'urgence pour la lutte contre le sida), un programme de lutte contre le sida tape-à-l'œil et difficile à évaluer mais extrêmement coûteux, crédité par certains d'avoir aidé à faire baisser les cas de la maladie en Afrique. Cependant, il est impossible de créditer un seul programme de l'absence d'une maladie - le PEPFAR n'a pas proposé de remède ou de vaccin contre le VIH ou le SIDA, des critères qui pourraient être prouvés et mesurés. Cela en fait un succès mondial en matière de santé, d'autant plus que le prix de 87 milliards de dollars de l'argent d'autres personnes que Bush lui a consacré, est au mieux discutable. Les grandes campagnes de lutte contre les maladies tape-à-l'œil aspirent également de l'argent qui aurait autrement pu être utilisé pour améliorer les conditions de vie afin d'aider à éradiquer cette maladie - quelque chose que de nombreux pays appauvris connaissent déjà via d'autres formes de fraude à l'aide qui deviennent leurs propres systèmes de grift auto-entretenus pour les riches. Ouest.

    L'important, c'est que Bush n'a jamais eu à payer pour aucune de ses « erreurs ». Il s'est échappé du bureau avec sa queue entre les jambes, bien sûr, mais assez vite, il a peint une tempête avec des interprétations bâclées de chats, de dirigeants mondiaux, de lui-même sous la douche, etc. Les Américains étaient trop occupés à se battre pour rester chez eux et s'aligner sur lui avec des fourches. Obama s'est avéré être l'énorme déception qu'un petit groupe de gauchers perspicaces regardant son cabinet se gonfler d'anciens élèves de Citi avait toujours dit qu'il le serait, et la guerre contre le terrorisme s'est prolongée sous le couvert de « bombardements humanitaires » et de « sauver » les femmes et les enfants de Syrie.

    Bush a transformé le dernier excédent budgétaire des États-Unis en un gros trou d'aspiration dont la nation pourrait ne jamais sortir – non sans quelques deus ex machina comme, disons, une pandémie mondiale qui oblige toutes les nations du monde à interdire la crypto-monnaie et à passer à la place aux monnaies numériques émis par leurs banques centrales (CBDC) « en raison de la cybersécurité ». Cette dernière partie est la thèse proprement dite d'un éditorial écrit par Robert Manning, chercheur principal du Brent Scowcroft Center for Strategy and Security au Conseil atlantique fiablement pro-guerre. Vous vous souvenez peut-être de Brent Scowcroft en tant que conseiller de l'ancien Bush et de Manning en tant que fonctionnaire de l'administration Bush de 2001 à 2008. C'est sûrement juste une coïncidence qu'il ait été publié le même jour que l'article "Bush as Vaccine Superman", mais quoi une coïncidence.

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  7. Maintenant que Biden lui-même a dépensé plus que Bush (et même plus que n'importe quel président de l'histoire des États-Unis, poussant le pays toujours plus profondément dans ce trou d'aspiration), son administration a vraiment besoin de ce miracle si le pays veut survivre dans sa situation actuelle. forme – qui est insoutenable par à peu près toutes les mesures connues de la science, mais trop délicieuse pour que la classe dirigeante puisse la réprimer. Donc: il est temps d'envoyer Bush et Blair bavarder et d'intimider chaque centime disponible de chaque poche, et d'utiliser cette aide comme garantie pour verrouiller tous les gisements de minéraux de terres rares sur lesquels ils peuvent mettre la main pendant qu'ils livrent des jabs dans les séances de photos - l'Occident va avoir besoin d'eux quand ils marchent inévitablement sur les pieds de la Chine.

    Ajoutant l'insulte à l'injure, cet éditorial nous parvient dans le New York Times – le même journal dont la journaliste vedette Judith Miller a blanchi les faux renseignements qui ont amené les États-Unis en Irak en premier lieu. Comme Bush lui-même pourrait le dire, "trompez-moi une fois, honte à vous… trompez-moi deux fois… ne sera plus dupe."

    https://www.lewrockwell.com/2021/07/no_author/the-new-york-times-is-pushing-for-george-w-bush-to-be-the-us-vaccine-envoy-has-the-world-not-suffered-enough/

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  8. La Californie et New York exigent que tous les travailleurs publics se fassent vacciner ou se soumettent à des tests hebdomadaires


    Par Tyler Durden
    Zéro Hedge
    27 juillet 2021



    Le maire de New York, Bill de Blasio, a annoncé lundi matin que tous les employés de la ville devront soit fournir la preuve qu'ils sont complètement vaccinés au moment de la réouverture des écoles publiques, soit consentir à des tests hebdomadaires, élargissant un mandat adopté la semaine dernière qui exigeait que tous les agents de santé soient vaccinés . Il s'agit de la dernière tentative du maire de renforcer les taux de vaccination alors que la ville est confrontée à une troisième vague d'infections à coronavirus largement provoquée par la variante Delta.

    L'édit s'appliquera à environ 340 000 travailleurs de la ville, y compris les enseignants et les officiers du NYPD. La date limite de conformité est le 13 septembre, date à laquelle environ 1 million d'élèves devraient retourner en classe à temps plein avec la nouvelle année scolaire. Le maire de Blasio considère clairement une reprise réussie de l'éducation en personne comme essentielle à son héritage (son deuxième et dernier mandat se terminera plus tard cette année).

    S'exprimant lors d'une conférence de presse lundi matin, le maire de Blasio a réitéré son appel aux employeurs privés pour qu'ils définissent des mandats de vaccins similaires, voire plus complets, pour leurs travailleurs, conformément aux directives de la politique fédérale accordant aux employeurs le «feu vert» pour faire pression sur les travailleurs afin qu'ils obtiennent vacciné.

    "Septembre est le point pivot de la reprise", a déclaré de Blasio, "et donc le 13 septembre, le premier jour d'école, chaque employé de la ville devra être soit vacciné, soit testé chaque semaine."

    Le Dr Dave Chokshi, commissaire à la santé de la ville, a appelé tous les employés de la ville à se faire vacciner plus tôt que la date limite de septembre : « N'attendez pas... Nous avons besoin de médicaments plus puissants pour lutter contre Delta, et c'est pourquoi nous prenons ces mesures aujourd'hui. . "

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  9. Près de 5 millions de New-Yorkais ont reçu au moins une dose du vaccin, mais le rythme des nouvelles vaccinations a considérablement ralenti depuis la fin de l'année dernière. Pendant ce temps, 2MM de New-Yorkais adultes ne sont toujours pas vaccinés. Le nombre de cas de virus est passé à plus de 800 en moyenne par jour, soit plus de 3 fois la moyenne quotidienne fin juin.

    NYC n'est pas la seule grande ville à espérer endiguer une nouvelle résurgence de cas avec de nouvelles restrictions. Le comté de LA a récemment rétabli une commande de masque d'intérieur obligatoire, y compris pour ceux qui ont été vaccinés.

    - voir graphique sur site -

    Source : données de New York

    Le taux de vaccination de la ville dans son ensemble est de 65% pour les adultes, mieux que la moyenne nationale, mais il y a certains quartiers où le taux est inférieur à 40%. Voici le calendrier tel qu'il se présente pour les différents types de travailleurs : à partir du 2 août, les travailleurs des hôpitaux et de la santé de la ville devront être vaccinés ou subir un test de dépistage. Le 16 août, 45 000 employés de la ville qui travaillent dans des établissements collectifs ou résidentiels, comme des refuges pour sans-abri et des centres pour personnes âgées, devront faire de même. Puis, le 13 septembre, la mesure entrera en vigueur pour le reste de la main-d'œuvre de la ville.

    Pour ne pas être en reste, la Californie a annoncé quelques heures plus tard que le Golden State exigerait bientôt des employés de l'État et de certains travailleurs de la santé qu'ils présentent des preuves ou soient soumis à des tests hebdomadaires obligatoires, ont déclaré lundi de hauts responsables de l'État. La nouvelle règle entrera en vigueur le 2 août.

    « Les bureaux de l'État et les employés de l'État fournissent des services essentiels dans tout l'État et nous pensons que c'est un moyen de garantir que la continuité du gouvernement est protégée et que les employés de l'État travailleront dans un environnement sûr pour continuer à fournir des services à la Californie », des ressources humaines de la Californie. a dit le ministère.

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  10. Dans les établissements de santé de l'État, les employés qui travaillent en milieu hospitalier devront présenter une preuve d'un vaccin COVID ou produire des tests COVID négatifs 2 fois par semaine. Ceux qui ne sont pas vaccinés seront également invités à porter des masques N-95 encombrants au travail.

    Et les points de discussion semblent avoir été remis du mont White House comme s'ils étaient gravés dans la pierre…

    Bientôt dans tous les États et villes libéraux près de chez vous…

    Reprinted with permission from Zero Hedge.

    https://www.lewrockwell.com/2021/07/tyler-durden/california-nyc-require-all-public-workers-to-get-vaccinated-or-submit-to-weekly-tests/

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