- ENTREE de SECOURS -



jeudi 8 juillet 2021

Robert Kennedy dévoile le contrôle de l'industrie pharmaceutique

https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/ChildrenHealthDefenseFauciKennedy:a 

30 commentaires:

  1. « Vaccins » anti-Covid — Les décès et dommages liés à la vaccination sont discrètement dissimulés


    Dr Mercola — Mercola.com
    Sott.net
    mer., 07 juil. 2021 15:57 UTC


    Les rapports de décès et de dommages graves dus aux « vaccins » anti-Covid-19 s'accumulent à une vitesse vertigineuse. Ceux qui regardent les chiffres et ont une certaine connaissance des taux historiques des dommages dues aux vaccins s'accordent à dire que nous n'avons jamais rien vu de tel, où que ce soit dans le monde. Bien que les données soient difficiles à obtenir pour certains pays, celles que nous pouvons vérifier révèlent des tendances profondément troublantes.

    — États-Unis — En date du 11 juin 2021, le Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) des États-Unis avait enregistré 358 379 événements indésirables[1], dont 5 993 décès et 29 871 dommages graves. Dans le groupe d'âge des 12 à 17 ans, on a enregistré 271 dommages graves[2,7] décès. Chez les femmes enceintes, on a enregistré 2 136 événements indésirables, dont 707 fausses couches ou naissances prématurées[3].

    Tous ces chiffres sont forcément inférieurs à la réalité car, historiquement, moins de 10 % des effets secondaires des vaccins sont signalés au VAERS[4]. Une enquête du Département américain de la Santé et des Services sociaux a estimé ce chiffre à 1 % [5,6]

    Quoi qu'il en soit, le taux de décès rapporté pour les injections de « vaccins » anti-Covid-19 dépasse maintenant le taux de décès rapporté pour plus de 70 vaccins combinés au cours des 30 dernières années, et il est environ 500 fois plus mortel que le vaccin contre la grippe saisonnière[7], qui a toujours été le plus dangereux.

    Les injections de « vaccins » anti-Covid sont également cinq fois plus dangereuses que le vaccin H1N1, dont le taux d'effets secondaires graves était de 25 pour un million[8,9]. En supposant que les injections de « vaccins » anti-Covid aient le même taux d'effets secondaires et que quelque 200 millions de personnes l'aient reçu, le nombre estimé de personnes souffrant d'un effet secondaire grave serait d'environ 5 000. Nous avons déjà largement dépassé ce chiffre, puisque 35 864[10] personnes ont subi de graves dommages ou sont mortes.

    Même si près de 6 000 décès ont été signalés dans le VAERS, ce chiffre est probablement sérieusement compromis. J'ai récemment interviewé le Dr Vladimir Zelenko, qui a traité avec succès des patients Covid, et nous avons discuté de la possibilité très nette que toutes les personnes ayant reçu le « vaccin » anti-Covid meurent de complications dans les deux ou trois prochaines années.

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  2. Il a personnellement connaissance de 28 décès liés au « vaccin » qui n'ont pas été acceptés par le VAERS. Zelenko pense que le nombre de décès pourrait déjà dépasser 100 000.

    Le fait de recevoir le « vaccin » anti-Covid place immédiatement la personne injectée dans une situation de risque très élevé de mourir du Covid. La plupart d'entre elles ont la fausse assurance d'être protégées, mais en réalité, elles sont beaucoup plus vulnérables et, par conséquent, elles ne prendront pas de mesures proactives très agressives pour éviter de mourir de l'amorçage pathogène ou du renforcement immunitaire paradoxal avant qu'il ne soit trop tard.

    N'oubliez pas de noter dans votre agenda de revoir mon interview révolutionnaire avec Zelenko ce dimanche 4 juillet 2021. Nous passons en revue les protocoles que vous pouvez utiliser pour vous protéger, vous et votre famille ou ceux que vous aimez, qui regrettent maintenant d'avoir reçu le « vaccin » anti-Covid.

    — Union européenne — Dans la base de données de l'Union européenne sur les effets indésirables des « vaccins » anti-Covid, appelée EudraVigilance, 1 509 266 blessures ont été signalées, dont 15 472 décès, au 19 juin 2021[11]. EudraVigilance n'accepte que les rapports des membres de l'UE, et ne couvre donc que 27 des 50 pays européens.

    Il est remarquable de constater qu'environ la MOITIÉ de tous les dommages signalés — 753 657 — sont classés comme « graves », ce qui signifie que la blessure met la vie en danger, nécessite une hospitalisation, entraîne une condition médicalement importante, un handicap significatif ou une incapacité persistante.

    — Royaume-Uni — Le système britannique Yellow Card avait reçu, au 9 juin 2021, 276 867 rapports d'événements indésirables suite à la « vaccination » anti-Covid, dont 1 332 décès[12].

    — Israël — Selon un rapport du Comité du Peuple israélien, un organisme civil composé d'experts de la santé, « jamais aucun vaccin n'a nui à autant de personnes »[13]. Par exemple, les données israéliennes montrent que les garçons et les hommes âgés de 16 à 24 ans qui ont été vaccinés ont un taux de myocardite (inflammation du cœur) 25 fois supérieur à la normale[14].

    (La myocardite touche également les adolescents et les jeunes adultes aux États-Unis. Bien que les responsables du CDC affirment qu'aucun décès confirmé n'a été signalé, au moins deux décès ont été liés temporellement au « vaccin »[15,16,17,18,19].)

    — Australie — En Australie, deux personnes sont mortes de caillots sanguins après avoir reçu le « vaccin » anti-Covid d'AstraZeneca. En revanche, une seule personne — une femme âgée — y est décédée du Covid-19 cette année[20,21].

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  3. Si quelque chose ne va pas, vous êtes tout seul

    La douleur et la souffrance que ces « vaccins » ont déjà engendrées sont difficiles à imaginer. Il est clair que des millions de personnes dans le monde ont vu leur vie bouleversée par ces injections. Beaucoup ne s'en remettront peut-être pas, ni physiquement ni financièrement. Il est vraiment important de réaliser que si quelque chose tourne mal, vous vous retrouvez en grande partie tout seul.

    Avant de prendre la décision de participer à cette expérience sanitaire sans précédent, il peut être judicieux d'évaluer votre assurance personnelle et votre capacité financière à faire face à un ou des dommages graves, car les fabricants de vaccins sont protégés contre les poursuites judiciaires. Vous ne pouvez pas les poursuivre en justice pour obtenir des dommages et intérêts. Vous ne pouvez pas non plus poursuivre le gouvernement ou toute autre personne.

    Si une injection du « vaccin » anti-Covid engendre chez vous un ou des dommages et que vous vivez aux États-Unis, votre seul recours est de demander une indemnisation au titre du « Countermeasures Injury Compensation Act » (CICP), en vertu duquel les « vaccins » anti-Covid-19 sont une contre-mesure couverte[22]. La CICP est gérée par une agence au personnel clairsemé relevant du Département américain de la Santé et des Services sociaux.

    Vous trouverez des détails et des hyperliens vers les formulaires de demande d'indemnisation dans l'encadré juridique du Congressional Research Service, « Compensation Programs for Potential Covid-19 Vaccine Injuries »[23]. Vous ne pouvez pas demander et ne recevrez pas d'indemnisation du National Vaccine Injury Compensation Program (VICP), qui couvre d'autres vaccins, notamment le vaccin contre la grippe.

    L'indemnisation par le VICP est très limitée et difficile à obtenir. Au cours de ses 15 années d'existence, il n'a versé que 29 indemnités, soit moins d'une sur 10[24,25,26]. Vous n'êtes admissible que si le dommage nécessite une hospitalisation et entraîne une invalidité importante et/ou un décès, et même si vous répondez aux critères d'admissibilité, vous devez épuiser votre assurance maladie privée avant que celle-ci ne prenne en charge la différence.

    L'indemnité moyenne du CICP est de 200 000 $, et les cas de décès sont plafonnés à environ 370 000 $. En attendant, vous pouvez facilement accumuler une facture d'hôpital d'un million de dollars si vous souffrez d'un grave accident thrombotique.

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  4. Il n'y a pas de remboursement pour la douleur et la souffrance, seulement pour les salaires perdus et les factures médicales impayées. Cela signifie qu'une personne retraitée ne peut pas y prétendre même si elle meurt ou se retrouve en fauteuil roulant. L'indemnisation salariale est d'une durée limitée et plafonnée à 50 000 dollars par an. Pour couronner le tout, vous ne pouvez pas faire appel de la décision du CICP. Les appels sont simplement examinés par un autre membre du personnel du même bureau.

    Pouvez-vous vous permettre de subir les dommages d'une injection vaccinale anti-Covid ?

    Même s'ils peuvent les obtenir, les indemnités accordées par le CICP risquent d'être une goutte d'eau dans l'océan pour la plupart des gens. L'indemnité moyenne est de 200 000 $, et les cas de décès sont plafonnés à 370 376 $[27]. Par ailleurs, vous pouvez facilement accumuler une facture d'hôpital d'un million de dollars si vous souffrez d'un grave accident thrombotique[28]. Vous devez également payer votre propre aide juridique et tout témoin professionnel dont vous pouvez avoir besoin pour soutenir votre demande.

    Au début du mois de juin 2021, KRDO News a rapporté[29] le cas de Kendra Lippy, une femme de 38 ans qui n'avait aucun problème de santé avant de se faire « vacciner » avec Johnson & Johnson. Dans la semaine qui a suivi, elle a souffert de maux de tête, de douleurs abdominales et de nausées. Son diagnostic : De graves caillots sanguins qui ont évolué vers une défaillance de plusieurs organes et un coma.

    Elle a dû subir l'ablation de la plus grande partie de son intestin grêle et aura besoin d'une nutrition parentérale totale pour le reste de sa vie — une méthode d'alimentation qui contourne son système gastro-intestinal. Elle a été hospitalisée pendant 33 jours, dont 22 jours dans l'unité de soins intensifs. Elle a maintenant besoin d'une ergothérapie et d'une physiothérapie pour retrouver des fonctions de base comme marcher, écrire et tenir une fourchette.

    La facture d'hospitalisation de Lippy dépasse déjà le million de dollars, une somme qu'elle ne pourra probablement jamais rembourser, et on ne sait pas de quel type de traitement médical elle aura besoin dans les années à venir. Il est clair que Lippy se dirige vers la faillite, et les factures médicales en sont la cause la plus courante aux États-Unis.

    Des stipulations supplémentaires qui rendent les paiements rares

    Il existe également des conditions de temps. Pour être admissible, vous devez déposer une demande d'indemnisation dans l'année qui suit la date d'administration du vaccin. Il s'agit d'un obstacle important, car les effets secondaires graves peuvent mettre du temps à se développer. Par exemple, après la pandémie de grippe porcine de 2009, des personnes ont commencé à déclarer un syndrome de Guillain-Barré des années après avoir reçu le vaccin H1N1. À ce moment-là, ils n'étaient plus admissibles[30].

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  5. Mais le pire, c'est qu'il vous incombe désormais de prouver que votre blessure est le « résultat direct de l'administration de la contre-mesure [à savoir le « vaccin » - NdE], sur la base de preuves médicales et scientifiques convaincantes, fiables et valides, allant au-delà de la simple association temporelle ».

    En d'autres termes, vous devez prouver ce que le développeur du « vaccin » lui-même doit encore vérifier, puisque vous faites partie de leur étude toujours en cours ! Le CICP est aussi notoirement secret sur les raisons de l'approbation ou du rejet des demandes. Comme le rapporte l'Insurance Journal,
    « il ne divulgue même pas les détails les plus élémentaires, comme les types de maladies que les gens prétendent avoir contractées à cause des vaccins »[31].
    Au 1er juin 2021, 1 360 Américains avaient demandé à être indemnisés par le CICP pour des dommages et des décès résultant de contre-mesures pandémiques, mais seuls 869 ont été jugés éligibles pour déposer une demande[32]. Aucune n'a été jugée. Le professeur Peter Meyers, ancien directeur de la Vaccine Injury Litigation Clinic, qui a qualifié le CICP de « processus de trou noir »[33], prévient qu'il s'agit d'un « programme minable ». Il a déclaré à Life Site News[34] :
    « Il s'agit d'un programme secret et opaque dans le cadre duquel des fonctionnaires inconnus du Département de la Santé et des Services sociaux prendront des décisions ; nous ne savons pas combien de personnes prennent des décisions, qui elles sont, ni quel est le processus. »
    Ce secret signifie qu'il n'existe pas de statistiques officielles sur les types de blessures pour lesquelles les personnes déposent une demande, ni sur la contre-mesure [vaccin - NdE] qui aurait causé leur blessure. À propos, les vaccins ne sont pas les seules contre-mesures à être protégées de la responsabilité. Les erreurs de traitement hospitalier sont également protégées, et nous savons que certains hôpitaux tuaient régulièrement des patients, qu'ils aient ou non une infection confirmée par le Covid-19, en les plaçant sous respirateur même lorsqu'ils n'en avaient pas besoin[35].

    Pouvez-vous faire confiance à ces criminels en col blanc ?

    Comme nous l'avons mentionné, les fabricants de vaccins sont protégés de toute responsabilité financière. Vous ne pouvez les poursuivre que si vous pouvez prouver une « faute intentionnelle », telle qu'une tromperie délibérée, un comportement frauduleux ou la dissimulation d'informations pertinentes. Pour contourner ce problème, les fabricants de vaccins peuvent simplement ne pas rechercher certaines complications.

    Le potentiel d'infertilité en est un parfait exemple. La protéine spike est soupçonnée d'être toxique pour la reproduction, et les données de biodistribution de Pfizer montrent qu'elle s'accumule dans les ovaires des femmes[36]. Malgré cela, Pfizer n'a effectué aucun test de toxicologie de la reproduction. Comme ils n'ont pas cherché, ils peuvent dire sans sourciller qu'ils « ne savaient pas » que la piqûre pouvait provoquer des problèmes de reproduction. Le fait est qu'ils auraient dû s'en douter, et faire les tests pour s'en assurer.

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  6. Nous voyons déjà des signes de toxicité reproductive. Les données suggèrent que le taux de fausses couches chez les femmes qui reçoivent le « vaccin » anti-Covid au cours des 20 premières semaines de grossesse est de 82 %. Le taux normal est de 10 %, il ne s'agit donc pas une augmentation mineure. L'infertilité sera beaucoup plus difficile à établir, et cela pourrait prendre des décennies[37].

    Dans une lettre adressée le 28 mai 2021 à la rédaction du New England Journal of Medicine, les docteurs Ira Bernstein, Sanja Jovanovic et Deann McLeod, HBSc, de Toronto, ont attiré l'attention sur ce point en soulignant que les études préliminaires sur la sécurité [des « vaccins » - NdE] publiées dans le NEJM en avril 2021 étaient erronées car elles incluaient des « grossesses cliniquement non reconnues »[38].

    Ils ont inclus des graphiques ajustés reflétant cette erreur et ont demandé aux auteurs de l'étude de retirer les données erronées mais, fait intéressant, leur lettre a disparu d'Internet la dernière semaine de juin, bien qu'elle soit toujours dans les archives de Wayback au 27 juin 2021. Par coïncidence, le 17 juin 2021, le NEJM a republié l'étude d'avril sans expliquer pourquoi elle était republiée et sans corriger les données.

    Compte tenu des antécédents criminels de Pfizer, Johnson & Johnson et AstraZeneca, il est difficile de comprendre comment des millions de personnes font confiance à ces entreprises et pensent qu'elles ne peuvent pas mentir juste pour gagner de l'argent. Comme le rapporte Life Site News[39] :
    « Les trois principaux fabricants de vaccins, Pfizer, Johnson & Johnson et AstraZeneca, ont été condamnés par des tribunaux d'État et fédéraux à payer un total de plus de 8,6 milliards de dollars d'amendes pour répondre à des dizaines d'allégations de mauvaise conduite au pénal et au civil.

    À elle seule, la société Pfizer a été condamnée à une amende de 2,3 milliards de dollars — le règlement le plus important de l'histoire, selon le Département de la Justice — pour avoir délibérément fraudé et dénaturé ses médicaments qui avaient déjà été retirés des rayons en raison de leurs dangers avérés.

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  7. Mais pour six dénonciateurs qui ont présenté des preuves contre l'entreprise pharmaceutique, celle-ci aurait pu aussi bien continué à vendre de manière frauduleuse ses produits dangereux.
    « Nous avons fait un compromis en Amérique », a déclaré Meyers, « en accordant aux fabricants de vaccins une protection en matière de responsabilité pour s'assurer qu'ils continueront à fabriquer des vaccins qui, avant l'immunité juridique, étaient enlisés dans des procès pour effets secondaires. »
    Les fabricants de voitures, d'échelles ou d'autres produits peuvent être poursuivis si leurs produits sont défectueux. Les fabricants de vaccins bénéficient d'une responsabilité générale pour garantir la production de leurs produits, d'un financement public pour les produire, de commandes gouvernementales garanties pour les produits, d'une commercialisation de masse payée par le gouvernement et de mandats [...]

    « Le compromis semble injuste aujourd'hui parce que le programme CICP est tellement défectueux », a déclaré Meyers, en particulier lorsque les fabricants de vaccins engrangent des bénéfices colossaux (Pfizer est prêt à récolter 26 milliards de dollars avec ses « vaccins » anti-Covid cette année et la fabrication des « vaccins anti-Covid » produit des milliardaires dont les salaires annuels sont des multiples d'une décennie de paiements CICP à des dizaines de personnes).

    Les prestations du CICP sont des « compensations avares », a-t-il ajouté, pour des personnes qui souffrent et attendent face à la cupidité des entreprises et à l'opacité des gouvernements. En dépit du casier judiciaire des entreprises pharmaceutiques, Meyers pense qu'elles seraient « folles de prendre le risque de commettre une faute ». S'il s'avérait que les fabricants de vaccins cachent en fait des informations sur les risques des vaccins anti-Covid, dit-il, "ce serait une catastrophe" ».
    Le gouvernement et les grandes entreprises pharmaceutiques sont-ils coupables de mauvaise conduite délibérée ?

    Je ne sais pas pour vous, mais le sentiment que j'ai lorsque je regarde la cascade de dommages et de décès survenant dans les jours ou, dans de nombreux cas, dans les heures qui suivent l'injection, c'est que quelque chose ne tourne pas rond, et que les fabricants de vaccins balaient tout sous le tapis. N'est-ce pas une faute intentionnelle ? Ne pas effectuer de tests de toxicologie reproductive après avoir découvert que la protéine spike s'accumule dans les ovaires — n'est-ce pas une faute intentionnelle répréhensible ?

    Continuer à prétendre que l'ARNm reste dans le muscle de l'épaule alors qu'ils ont des données montrant qu'il est distribué dans pratiquement tous les organes du corps humain — n'est-ce pas cacher des informations importantes ? n'est-ce pas une faute intentionnelle répréhensible ?

    Je soutiens que les responsables gouvernementaux sont également coupables de malfaisance médicale. Comme l'a fait remarquer le Dr Robert Malone, l'inventeur de la plateforme technologique de base des vaccins à ARNm et à ADN[40], la version la plus récente de l'autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) qui régit ces injections de « vaccins » anti-Covid révèle que la FDA a choisi de ne pas exiger une collecte et une évaluation rigoureuses des données post-vaccinales, alors qu'elle avait le pouvoir de le faire.

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  8. Encore une fois, si vous ne cherchez pas les dommages, vous avez peu de chances de les trouver. En l'absence d'un processus solide de collecte et d'évaluation des données, ils peuvent dire que les « vaccins » sont sûrs et peuvent les faire passer dans le processus d'autorisation beaucoup plus facilement. Le problème auquel ils sont maintenant confrontés est que le VAERS reçoit un nombre tellement élevé de rapports que même s'ils ne représentent que 10 % des dommages réels, ou moins, il est absolument indubitable qu'il existe de sérieux problèmes.

    Le fait de ne pas exiger des fabricants de vaccins qu'ils mettent en place un système complet de collecte des données sur les événements indésirables est, au mieux, un signe d'incompétence. Mais ce n'est pas tout. La FDA commence vraiment à se montrer fourbe lorsqu'elle refuse de reconnaître que les rapports du VAERS indiquent l'existence de problèmes.

    Qualifier de « coïncidence » plus de 35 000 fois n'est tout simplement pas crédible, et rejeter les risques d'invalidité permanente et de décès en disant qu'ils « en valent la peine » est plus qu'insensible, étant donné que nous disposons de traitements sûrs et efficaces et que personne n'a besoin de jouer sa santé sur une thérapie génique expérimentale.

    Les injections « vaccinales » anti-Covid sont clairement plus risquées que ce qui est annoncé

    Comme l'indiquait un article du Wall Street Journal du 22 juin 2021[41], bien que le VAERS ne puisse pas nous dire si les injections ont été la cause d'un effet secondaire donné, lorsque des groupes de rapports forment une tendance, il est temps d'enquêter.

    Les quatre effets indésirables graves qui forment actuellement une tendance sont la thrombocytopénie (faible nombre de plaquettes), la myocardite non infectieuse (inflammation cardiaque), surtout chez les moins de 30 ans, la thrombose veineuse profonde et le décès[42].

    Pour que de tels effets soient tolérables, même s'ils sont rares, il faudrait que le « vaccin » (ou le médicament) soit absolument crucial pour la survie. Pensez à une pandémie hautement infectieuse d'Ebola, par exemple — quelque chose où la mort est rapide et pratiquement assurée, et où le traitement est inefficace une fois infecté.

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  9. Aucun de ces critères ne s'applique au Covid-19, dont le taux de létalité est équivalent à celui de la grippe saisonnière, sauf pour les personnes âgées et les plus fragiles. Il faudrait également que le « vaccin » soit un véritable vaccin, c'est-à-dire qu'il confère une immunité. Les injections de thérapie génique anti-Covid-19 ne le font pas non plus.

    Dans l'ensemble, il est clair que les décès et les dommages causés par ces injections sont passés sous silence, et nous ne pouvons pas permettre que cela continue. Nous devons continuer à faire pression pour la transparence, l'honnêteté et la responsabilité.

    N'oubliez pas de visionner mon interview révolutionnaire avec le Dr Vladimir Zelenko. Nous passons en revue les protocoles que vous pouvez utiliser pour vous protéger, vous et votre famille ou ceux que vous aimez, ceux qui regrettent maintenant d'avoir reçu le « vaccin » anti-Covid.


    Commentaire : Voici le lien vers les différentes conférences, celle du Dr Mercola en question se trouve dans la Session 3 : https://www.protectinghealthandautonomyinthe21stcentury.com/conference-live

    Et pour le protocole que vous pouvez utiliser pour vous protéger, vous et votre famille ou ceux que vous aimez, voir Covid-19 et vaccination expérimentale massive — Protégez-vous du pire grâce à ce protocole sanitaire

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  10. Notes :
    MedAlerts/VAERS, June 11, 2021
    MedAlerts/VAERS, June 11, 2021, « Cases where Vaccine is COVID19 and Serious »
    The Defender, June 18, 2021
    BMJ, 2005;330:433
    AHRQ, December 7, 2007
    The Vaccine Reaction, January 9, 2020
    Trial Site News, May 25, 2021
    Insurance Journal, December 29, 2020
    CNBC, March 25, 2021
    MedAlerts/VAERS, June 11, 2021
    Based Underground, June 22, 2021
    « Gov.UK Yellow Card Reporting Summary », June 17, 2021 (Covers 12/9/2020 - 6/9/2021)
    Aletho News, April 21, 2021
    Ottawa Citizen, June 4, 2021
    STAT News, June 10, 2021
    NBC News, June 23, 2021
    The Defender, June 24, 2021
    The Defender, June 15, 2021
    WLWT, June 14, 2021
    USA Today, June 22, 2021
    The Defender, June 21, 2021
    « Congressional Research Service Legal Sidebar CICP », March 22, 2021
    « Congressional Research Service Legal Sidebar CICP », March 22, 2021
    Life Site News, June 15, 2021
    Insurance Journal, August 14, 2020
    Insurance Journal, December 29, 2020
    Insurance Journal, December 29, 2020
    The Defender, June 2, 2021
    KRDO, June 2, 2021
    Insurance Journal, December 29, 2020
    Insurance Journal, December 29, 2020
    HRSA, June 1, 2021
    Yahoo News, August 21, 2020
    Life Site News, June 15, 2021
    11alive.com, June 4, 2021
    Trial Site News, June 6, 2021
    Trial Site News, May 25, 2021
    Wayback, June 27, 2021
    Life Site News, June 15, 2021
    Trial Site News, May 30, 2021
    WSJ Opinion, June 22, 2021 (Archived)
    WSJ Opinion, June 22, 2021 (Archived)

    Source de l'article publié initialement en anglais le 1er juillet 2021 : Dr Mercola
    Source en français : Réseau international — Corrections : Sott.net

    https://fr.sott.net/article/37475-Vaccins-anti-Covid-Les-deces-et-dommages-lies-a-la-vaccination-sont-discretement-dissimules

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  11. Dr Walach : ses explications après la rétraction de son étude par l'éditeur



    le 08/07/2021 à 10:28


    - voir clip sur site -

    Dr Walach sur son étude rétractée sans motif légitime

    Un article faisant état de deux décès dus à la vaccination contre le COVID-19 pour trois cas évités a été retracté. Debriefing avec son auteur, le Pr Walach.

    L’étude publiée la semaine dernière a rapidement reçu le soutien de ceux qui soutiennent que les vaccins COVID-19 sont dangereux avant de faire l’objet de pression de membres du comité éditorial de la revue Vaccines. Cet artice a été rétracté d’office par le directeur de publication, sans que les auteurs n’aient eu le temps de réagir.

    L'article original, publié dans le titre MDPI Vaccines, affirmait que :

    Le nombre de cas ayant subi des effets indésirables s’élève à 700 pour 100 000 vaccinations. Actuellement, nous constatons 16 effets secondaires graves pour 100 000 vaccinations, et le nombre d'effets secondaires mortels est de 4,11/100 000 vaccinations. Pour trois décès évités par la vaccination, nous devons en accepter deux infligés par la vaccination.

    Cependant, certains aspects de l'étude ont rapidement attiré l'attention et au moins deux membres du comité de rédaction de Vaccines , le virologue de l’institut Mont Sinaï Florian Krammer et l'immunologiste d'Oxford Katie Ewer, ont déclaré avoir démissionné pour protester contre la publication de l'article.

    La revue a même publié une lettre de préoccupation pour alerter les lecteurs au sujet de l'article cité ci-dessus. Voici l'expression de préoccupation , publiée par l’éditeur :

    « De sérieuses inquiétudes ont été soulevées au sujet d'une mauvaise interprétation des données et des conclusions. La principale préoccupation est la fausse représentation des efforts de vaccination contre le COVID-19 et la fausse représentation des données, par exemple, Résumé : « Pour trois décès évités par la vaccination, nous devons en accepter deux infligés par la vaccination ». Affirmer que ces décès liés aux efforts de vaccination est incorrect et déformé.

    Nous fournirons une mise à jour après la conclusion de notre enquête. Les auteurs ont été informés de cette expression de préoccupation. »

    L'auteur principal Harald Walach a déclaré qu'il n'était pas d'accord avec cette lettre et que lui et ses co-auteurs se réunissaient pour formuler une réponse détaillée :

    « nous avons utilisé et analysé les données correctement et non de manière incorrecte. Mais que les données soient moins qu'optimales est clair pour tout le monde et nous l'avons dit dans notre article. Le but est de générer suffisamment d'élan pour que les gouvernements et les chercheurs créent enfin les bonnes données attendues depuis longtemps. La réponse complète des auteurs se trouve ci-après.

    Le Pr Walach nous explique la rétraction et ses prochaines actions - un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org.

    Une analyse de l'étude Walach et al. a été faite de manière indépendante sans conflit d'intérêts par Décoder l'Eco, ingénieur statisticien et conclut que l'étude avait un grand intérêt et surtout amène des précisions non négligeable sur la méthodologie et les données disponibles.

    https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/dr-walach-de-retour

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  12. Les gladiateurs sont de retour - La volonté tyrannique de vacciner plus de 7 milliards de personnes sur la Terre


    Peter Koenig
    Global Research
    ven., 02 juil. 2021 16:16 UTC


    (...) Aujourd'hui, les Colisée d'aujourd'hui sont des stades de football et de soccer. Ainsi, les combats de gladiateurs modernes sont de retour. Ils ne sont pas aussi violents et mortels que ceux qui se déroulaient dans l'ancien Colisée romain, mais les événements sportifs d'aujourd'hui, chargés d'émotion, sont également destinés à détourner l'attention des gens des « jeux mortels », des jeux joués par une minuscule élite mondiale, bien cachés des masses amusées. Si bien cachés et préparés pendant des décennies qu'ils frappent les gens comme une tonne de briques, lorsqu'ils sont enfin lâchés sur les masses innocentes - des masses trompées pendant des années par la machine de propagande de leurs gouvernements.

    En ce moment, la pandémie, appelée COVID-19, a déjà dévasté en 18 mois la vie de plusieurs milliards de personnes dans les 193 pays membres de l'ONU - non pas par la maladie (SRAS-CoV-2), mais plutôt par une économie dévastée, la pauvreté, la famine, le désespoir et finalement la mort par la désolation, la famine et la misère.

    En l'espace d'un an et demi, les droits humains fondamentaux ont été violés, restreints, supprimés, à la vitesse de la lumière. Ce que l'on croyait être des vestiges de la démocratie, en particulier dans le Nord global, sont devenus des tyrannies, presque du jour au lendemain ; des tyrannies légitimées -légales,. Beaucoup de pays ont été soumis à des lois martiales adoptées rapidement et semi-clandestinement.

    Sous l'impulsion de fausses nouvelles et d'une propagande mensongère grassement payée, les gens ont été aveuglés par la peur - la peur constante de mourir à cause d'un ennemi invisible, le « V » de virus. Les populations ont fait face à une monstrueuse machine de peur - des chiffres faux et fabriqués sur les maladies. La société entière (ou ce qu'il en reste) se désagrège, incapable de vivre une vie normale. En effet, la vie normale a été éteinte par la pandémie planifiée à l'avance, c'est-à-dire la plandémie.

    Une obscure élite mondiale ultra-riche, qui prétend tout contrôler, a ordonné aux gouvernements de se plier aux directives pour combattre un Virus, un coronavirus, le SARS-Cov-2, la version deux du virus du SRAS qui a frappé principalement la Chine en 2002 / 2003. L' »ordre » a été donné le 11 mars 2020 par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), manipulée par les géants pharmaceutiques déclarant le SRAS-Cov-2, alias Covid-19, une pandémie mondiale. C'est la virologie 101, aucun virus ne frappe naturellement simultanément les 193 pays membres de l'ONU. C'est le début de l'Agenda 2030 de l'ONU, aussi appelé Agenda 21.

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  13. C'est aussi le début des jeux de gladiateurs des temps modernes.

    Dans ce programme décennal, l'Agenda 2030 de l'ONU, il est prévu de mettre en œuvre un changement structurel complet de la société, voire de notre civilisation, laissant derrière lui ce que le Forum économique mondial (WEF) appelle « The Great Reset », un monde qui appartient à quelques êtres diaboliques, obscures et riches, servis par une population mondiale drastiquement réduite.

    Le glas de la réduction de la population est une gigantesque campagne de « vaccination » avec précisément ce que le CDC appelle une « thérapie génique expérimentale », des vaccins à ARNm. Les gouvernements du monde entier mentent en appelant cela un vaccin. Ils dépensent les milliards, voire les trillions, d'argent des contribuables pour récompenser somptueusement les sociétés pharmaceutiques - en échange de « vaccins ».

    Déjà, la réponse immédiate aux injections imposées se traduit par un lourd bilan de décès, atteignant dans les six premiers mois de la « course à la vaccination » des séquelles (blessures) graves et des décès qui sont bien plus élevés que ceux des vaccinations habituelles faites au cours des 50 dernières années.

    L'Union européenne fait état de 1,5 million de blessures graves et de 15 500 décès dus aux vaccins à ARNm, en date du 25 juin 2021. Voir ceci. Et déroute évidence, toutes les blessures [séquelles] suivant la vaccination ne sont pas rapportées.

    Cela indique déjà que cette volonté tyrannique de vacciner plus de 7 milliards de personnes sur la Terre, contre un virus dont le taux de mortalité avéré ne dépasse pas 0,3 % à 0,8 %, soit à peu près l'équivalent de la grippe ordinaire, n'a rien à voir avec la santé, absolument rien. Au contraire. C'est une atteinte grave à la santé et qui peut entraîner la mort. Et 193 gouvernements membres de l'ONU sont cooptés, soit par des menaces (de mort), soit par des récompenses généreuses, soit simplement en recevant un placebo au lieu d'une toxine expérimentale à ARNm mortelle.

    Alors que tout est fait pour convertir le mensonge - un crime universel aux proportions divines - en vérité, grâce à des milliards de dollars ou d'euros dépensés en propagande mensongère. La vraie vérité se dévoile peu à peu. La vraie science sort de la matrice de la science achetée et corrompue - et révèle, contre toute attente et toute menace, la vérité. Elle est encore largement étouffée, mais elle se manifeste de plus en plus. Des populations endormies, et ce de plus en plus, se réveillent face aux mensonges et aux crimes commis par leurs gouvernements qui mettent leur vie en danger.

    « Il est temps de faire une pause » - ainsi parle l'élite, ceux qui ne doivent pas être nommés, mais qui commandent invisiblement l'élite visible de nos gouvernements. Et attention, ceux qui résistent peuvent disparaître.

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  14. C'est l'heure des jeux de gladiateurs modernes, des événements sportifs comme les championnats de football, la Coupe d'Europe, la Coupe des États-Unis, divers championnats de tennis, Wimbledon (Royaume-Uni), Roland-Garros, US Open, Australian Open, les Jeux olympiques d'été qui commencent ces jours-ci au Japon...

    Les combats entre les gladiateurs d'aujourd'hui ne sont normalement pas une question de vie ou de mort, mais ils laissent néanmoins exploser des émotions refoulées, comme si l'on ne pensait pas que les humains étaient capables de se défouler autant. Il suffit de regarder les ralentis d'un but dans l'un de ces matchs de championnat de football. C'est presque incroyable l'énergie libérée, par les joueurs, mais aussi par le public. La réalité est oubliée. C'est le but recherché.

    Imaginez les milliardaires, dont le nom restera inconnu, et d'autres appartenant aux obscures et méchants cerveaux qui se trouvent dans les coulisses et au-dessus des gouvernements, assis dans leurs fauteuils, regardant un match de football, exaltés de joie, souriants - nous les avons amenés là où nous le voulons - donnons-leur encore un mois ou deux de diversion, puis nous les enfermerons à nouveau. Cette fois-ci, encore plus durement, pour qu'ils s'y habituent - se familiarisent avec la méthode - avec la fameuse approche de la carotte et du bâton.

    Et le bâton devient de plus en plus gros et la carotte proportionnellement plus petite - juste un petit morceau de sucre, d'espoir pour vous faire accepter le sceptre du maître qui s'abat sur vous, toujours plus fort, apportant toujours plus de difficultés, de misère, de maladie et de mort. Vous apprendrez à être obéissants.

    Les tyrans ne créent pas la tyrannie. Notre obéissance le fait. Voir aussi ceci.

    Cela pourrait bien être le plan. Les covidés-tyrans vont le dire aux médias : Après tout, c'est de leur faute. Nous leur avons dit d'être prudents, de porter des masques, de garder une distance sociale ; de se faire vacciner.....

    Et les médias se déchaînent: Les nouveaux variants plus transmissibles, comme le variant Delta toujours plus contagieux, se répandent rapidement. Elle touche aussi bien les sportifs que les spectateurs. Les médias avertissent déjà que les « cas d'infection » augmentent en relation avec les événements sportifs, que les gens ont été négligents dans leur comportement et qu'ils pourraient avoir à en supporter les conséquences à la fin de l'été, ou avant, lorsque le virus - ou de nouveaux « variants » du virus - frappera et submergera les hôpitaux.

    La quatrième vague est à venir - elle est déjà annoncée ouvertement par les médias. Ils ne manquent jamais d'annoncer leur plan à l'avance - cela fait partie du « rituel diabolique » ?

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  15. En Australie, le « Variant Delta » a déjà eu pour conséquence le nouveau verrouillage de Sydney, Brisbane, Perth et peut-être d'autres villes. C'est effrayant. Les autres variants se préparent, vous pourriez être les prochains.

    En attendant, pour maintenir les esprits éveillés, pour inciter à encore plus de « transgressions » contre l'obéissance, les agences de marketing (à qui l'on vend) disent que les vols dans le Nord global pourraient revenir à la « normale » d'ici 2022. Donner de l'espoir à la normalité. Rien n'est plus trompeur que de voir ses espoirs s'écraser - et cela pour un « mea-culpa » parce que nous, le peuple, avons désobéi en ne prenant pas toutes les précautions nécessaires, contre les risques d'exposition au virus [ou variant].

    L'hiver risque de nous frapper durement. Abaisser notre moral. Nous rendre plus obéissants. Nous faire voir le bâton, le bâton toujours présent.

    Ils disent que le « D » du variant Delta est tellement plus fort qu'ils sont déjà en train de développer un nouveau vaccin pour lui. Donc, ceux qui ont déjà reçu leurs deux vaccins et qui sont encore en vie, devront peut-être en recevoir un troisième, pour se protéger du variant Delta. C'est absurde. Les variantes sont généralement plus faibles que le virus original et, dans le cas des coronavirus, elles ne diffèrent généralement pas de plus de 5 % de l'original.

    Mais en attendant, et pendant que nous vivons l'été nordique, profitons du football, du soccer, du tennis, des Jeux olympiques - et ainsi de suite - toutes sortes de sports qui font ressortir l'animal en nous, en termes d'émotions, de cris et de hurlements, d'acclamations en masse pour une équipe, un joueur, de célébrations en masse - pouces en l'air et pouces en bas - soyons des gladiateurs et profitons de leur jeu.

    Ce n'est rien d'autre qu'une préparation pour le vrai jeu de massacre, où nous, le peuple, sommes dans l'arène, exposés aux « épéistes » - et ceux qui sont au-dessus de nous, les géants des médias sociaux, les magnats de l'informatique, les eugénistes, les banquiers des « élus » - encore une fois, ils ne seront pas identifiés - ceux qui sont au-dessus de l'ONU et de tous les gouvernements membres, ceux qui nous observent, nous observent depuis au moins le siècle dernier - ces « non-humains » [inconnus], finiront par lever ou baisser leur pouce, quand ils nous verront nous effondrer, déjà effrayés par la propagande de peur.
    Allons-nous vivre ou mourir ?

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  16. Cela dépend vraiment de nous.

    Voulons-nous nous réveiller, sortir de la matrice et prendre la pilule rouge, en prenant la responsabilité d'un nouveau monde que NOUS, le peuple, devons créer en solidarité ? - Ou devons-nous - en tant que majorité - nous soumettre au bien-être et à l'agenda des « Global Resetters » [Réinitialisateurs| du FEM, et de ceux qui commandent les « Global Resetters » ? (en espérant et en faisant confiance à ces derniers pour être finalement heureux quand nous ne posséderons rien.)

    Remarquez, ce jeu de gladiateurs - appelez-le aussi « le processus », est actuellement prévu pour se terminer en 2030 - ou avant, si nous continuons comme avant. À l'heure actuelle, du point de vue des gladiateurs mondiaux, nous continuerons à nous soumettre à une vaccination massive, suivie d'horribles « effets secondaires » et de la mort, en espérant survivre, en étant heureux en tant qu'humanoïdes numérisés, ne possédant rien et gérés par des robots IA, ce qui deviendra la nouvelle norme.

    Traduit par Maya pour Mondialisation.ca

    https://fr.sott.net/article/37471-Les-gladiateurs-sont-de-retour-La-volonte-tyrannique-de-vacciner-plus-de-7-milliards-de-personnes-sur-la-Terre

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    1. A l'inverse des microbes (bactéries) qui sont des vivants, les virus ne sont que des nano-poussières (émises par le magma depuis 10 000 ans qui remontent à la surface des eaux où ils sont emportés par les vents lors de tempêtes) chargées qui se déchargent en 3 semaines.
      Donc: il ne peut y avoir de 'petits' de progénitures engendrées par des poussières mâles ou femelles ! Hahhaha !
      S'il y a de nouveaux virus (non naturels) ils sont forcément chargés et sortis de laboratoires qui les répandent par drones ou chemtrails (et surtout par les merdias !!).
      Donc: oubliez la grippette commune (issue comme les rhumes du corona) et regardez plutôt là où la dictature veut en venir !
      - Paupérisation de 7 milliards d'habitants.
      - Élimination de 7 milliards d'habitants.

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  17. Quelques éléments sur les condos de grande hauteur en béton armé


    6 juillet 2021
    Charles Hugh Smith


    Il y a un inconvénient aux barres d'armature en acier : elles rouillent.

    La deuxième chose la plus remarquable à propos de l'effondrement soudain de l'immeuble en copropriété en Floride était la précipitation à assurer à tout le monde qu'il s'agissait d'une catastrophe ponctuelle : tous les facteurs identifiés comme causes étaient uniques à cet immeuble, l'implication étant que tous les autres immeubles de grande hauteur ont été renforcés. les condos en béton sans exactement le même mélange de facteurs causaux n'étaient pas en danger.

    Avant d'accepter cette conclusion confortable, il y a quelques choses que nous devrions considérer au sujet des condos de grande hauteur en béton armé.

    1. Cela peut sembler trop évident pour être important, mais le béton est un matériau lourd. Remplissez un seau de 5 gallons de béton humide, laissez-le durcir (durcir), puis ramassez le seau - si vous le pouvez.

    2. Le béton conventionnel n'est pas étanche; il absorbe l'humidité. Construisez un mur de béton contre une falaise creusée de terre humide saturée d'humidité souterraine et le mur de béton sera humide à moins qu'il ne soit parfaitement scellé - ce qui n'est pas une tâche facile.

    3. Les barres d'armature en acier ajoutent des types spécifiques de résistance au béton, qui est plutôt fragile dans son état conventionnel non armé : inclinez une dalle de béton non armé sur un gros rocher pointu et frappez la moitié surélevée de la dalle avec un marteau, et le la dalle se fissurera sur la roche (point d'appui).

    4. Les aqueducs romains, les ponts et les bâtiments sont encore debout 2 000 après leur achèvement car ils ne contiennent pas de barres d'armature en acier, alias barres d'armature. Le béton romain a développé sa durabilité et sa résistance remarquables à partir de son mélange unique d'agrégats - les roches et les matériaux ressemblant au sable qui sont mélangés avec du ciment pour former du béton.

    Pourquoi ces structures vieilles de 2 000 ans sont-elles toujours debout malgré l'absence de barres d'acier d'armature ?

    5. Il y a un inconvénient aux barres d'armature en acier : elles rouillent. La porosité du béton conventionnel et la propension de l'acier à rouiller en présence d'humidité deviennent un problème structurel en cours de fabrication, car la rouille se développe. Comme indiqué précédemment, le béton est plutôt cassant, et donc une barre d'armature rouillée fissurera le béton de l'intérieur. Lorsque le morceau de béton cassé tombe, cela s'appelle l'effritement.

    Lorsque le béton s'écaille, exposant les barres d'armature rouillées, cela accélère la rouille en l'exposant à l'humidité et à l'oxygène de l'air supplémentaires. L'eau de mer et l'air chargé de sel accélèrent la rouille. Il existe des moyens de rendre les barres d'armature résistantes à la rouille et le béton résistant à l'eau, mais ceux-ci coûtent plus cher et ne sont donc pas conventionnels.

    Avec suffisamment de temps, les barres d'armature rouillent, affaiblissant le béton dans cette partie de la structure. Cette partie de la structure devient un point faible et un point de rupture potentiel, car comme indiqué précédemment, le béton est très lourd. (Ajoutez une piscine sur le toit remplie d'eau, et cela ajoute encore plus de poids. Remplissez un seau de 5 gallons d'eau et transportez-le, si vous le pouvez.)

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  18. 6. Étant donné que ce type de dommage peut être caché à l'intérieur de la structure, il n'est pas anodin de l'identifier via des inspections visuelles. Si l'effritement du béton et la rouille des barres d'armature sont visibles, il n'est pas trivial d'évaluer la faiblesse que cela crée.

    7. Les poutres en béton armé précontraint sont fabriquées en usine, mais le reste du béton est coulé sur place et fait l'objet de travaux bâclés ou précipités. Par exemple, si la barre d'armature est trop près de la surface (c'est-à-dire qu'elle n'est pas enfoncée assez profondément), elle est alors plus facilement atteinte par l'humidité et rouille/écaille plus rapidement. Les vides dans le béton sont également courants et les correctifs post-achèvement peuvent ne pas offrir beaucoup de résistance à l'eau.

    8. La réparation de dommages structurels graves dans un gratte-ciel en béton armé est une compétence particulière, et peu d'entrepreneurs ont l'expérience (et l'assurance responsabilité civile) requises pour effectuer ce travail. En tant qu'assureur, comment couvrez-vous la possibilité, même improbable, que la réparation découvre d'autres dommages ou ne renforce pas suffisamment la structure ?

    9. Les immeubles de grande hauteur en béton armé construits il y a des décennies selon les codes du bâtiment de l'époque peuvent ne pas être à la hauteur si le tassement du sol dépasse des limites modestes ou si des faiblesses structurelles se développent. L'âge et l'eau sont les ennemis de toutes les structures, mais les bâtiments à plusieurs étages sont particulièrement menacés.

    10. La valeur des unités à l'intérieur des condos de grande hauteur en béton armé s'ajustera aux résultats des inspections qui révèlent des faiblesses structurelles, car le coût des réparations doit être pris en compte. Des faiblesses structurelles non réparées peuvent nuire à la solvabilité des unités, limitant la capacité des propriétaires d'emprunter l'argent nécessaire pour payer des réparations potentiellement lourdes.

    11. Le coût de réparation des dommages graves pourrait facilement dépasser le coût initial de l'ensemble du bâtiment, en raison des risques et des inconnues concernant la gravité des dommages et les responsabilités de chaque entité impliquée dans l'évaluation, les plans, l'assurance et l'exécution des réparations .

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  19. 12. Les propriétaires qui ne peuvent pas se permettre les réparations ou dont le coût d'achat initial était modeste peuvent choisir (ou être contraints) d'abandonner leur unité, cédant ainsi leurs capitaux propres (qui peuvent être gravement compromis par les incertitudes générées par la connaissance des faiblesses structurelles). Ces unités abandonnées pourraient bien être difficiles à vendre, étant donné le coût total inconnu des réparations, et elles reviendraient donc sous le contrôle de l'association de copropriété, qui serait alors chargée de financer la part de l'unité de la facture des réparations.

    Si suffisamment de propriétaires abandonnent leurs unités, les propriétaires restants peuvent constater que le seuil des coûts de réparation par unité dépasse de loin la valeur marchande des unités une fois que le bâtiment est réparé. Dans ce scénario, la seule option qui reste est de livrer le bâtiment à la démolition pour éliminer la responsabilité de l'effondrement et d'endommager d'autres structures ou de blesser d'autres.

    Si ce scénario semble tiré par les cheveux, considérez la facilité de sous-estimer les coûts de réparation des dommages structurels dans les immeubles de grande hauteur, l'exposition à la responsabilité de toutes les parties et les risques et inconnues intrinsèques au processus de réparation en plusieurs étapes.

    https://www.oftwominds.com/blogjuly21/concrete7-21.html

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    1. Il y a bétonnage et bétonnage. Le béton est poreux, c'est pourquoi les murs des maisons sont depuis un siècle construits en parpaings alvéolés. Ces creux dans les parpaings permettent une bonne isolation et sont plus rigides que les murs en briques creuses en terre cuite.
      Les murs en pierre ont été abandonnés car ils n'isolaient pas du tout du froid. L'hiver froid dehors = froid dedans. L'été chaud dehors = froid dedans.

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  20. UNE ÉCONOMIE EXTÉNUÉE


    par PETER DE COENSEL
    08/07/2021


    La BCE vise toujours une inflation de 2% en zone euro.

    La stagnation séculaire est une notion qui s'inscrit dans la durée. Elle désigne un état de croissance économique faible voire nulle, induite par une augmentation de l'épargne et un manque chronique d'investissements. La stagnation séculaire s'installe dès que les politiques fiscales du gouvernement (dépenses et investissements) manquent d’agressivité.

    Dans le cas présent, il ne faut pas regarder les programmes fiscaux agressifs en place ni les estimations de croissance pour 2021, 2022 voire 2023. C'est le résultat de la prochaine décennie qui est en jeu. Il est clair que des politiques budgétaires et monétaires non conventionnelles sont nécessaires pour combattre les effets d'une crise sanitaire mondiale. Une politique monétaire accommodante est nécessaire pour combler les écarts de production et empêcher les forces désinflationnistes à l’œuvre au cours des deux dernières décennies de reprendre racine. Mais la thèse de la stagnation séculaire se mesure sur des décennies, et non sur des années. Elle restreint toutefois l'ampleur des scénarios possibles et empêche un retour aux niveaux de taux à long terme observés avant la grande crise financière de 2008-2009.

    L’exception du Japon

    Le principal indicateur de la stagnation séculaire est la présence et la persistance de taux réels négatifs à long terme. Les taux des obligations d’État des marchés développés indiquent une stagnation séculaire avec des taux réels à 10 ans d'environ -1,60% en Allemagne, -0,90% aux États-Unis, -1,50% en Suède et -2,66% au Royaume-Uni. Les taux réels à long terme de ces marchés sont un facteur important dans les modèles de valorisation des différentes classes d'actifs. Les anticipations d'inflation peuvent être considérées comme résiduelles. Dès que l'assouplissement quantitatif a été largement appliqué comme principal instrument de politique monétaire (vers 2015), l'évolution vers des taux réels à long terme fortement négatifs s'est accélérée et est devenue persistante. Seule exception jusqu'à présent: le Japon. L'accumulation de programmes budgétaires agressifs a grandement amélioré les infrastructures et le bien-être général des Japonais, mais elle a finalement conduit à la disparition des anticipations d'inflation et les empreintes d'inflation faible sont restées proches de la ligne zéro. L'endettement du Japon (dette/PIB excédant 225%) n'était pas et n'est pas une préoccupation majeure, car la plus grande partie de la dette japonaise est détenue sur le marché intérieur. L'introduction d'un contrôle explicite de la courbe des taux en septembre 2016 a fait chuter les prévisions d'inflation à 10 ans d'un niveau déjà faible de 50 points de base jusqu'à zéro, pour atteindre un plancher de -0,35% en mars 2020. Aujourd'hui, à l'instar de la plupart des marchés développés, les prévisions d'inflation à 10 ans au Japon se sont redressées d'environ 65 points de base, mais restent à un niveau décevant de 30 points de base. Dans un scénario où la Banque du Japon réussirait à faire progresser l'inflation vers 2,00%, nous pourrions observer une convergence des taux réels japonais à 10 ans vers les niveaux actuellement atteints en Allemagne (c'est-à-dire -1,60%). Le fait est que le Japon a certes amélioré ses infrastructures en investissant massivement, mais cela n'a pas débouché sur une amélioration des données relatives à l'inflation. Il convient de se demander comment les effets de base se manifesteront au cours des deuxième et troisième trimestres 2022... Espérons que l'impression sera toujours de l'ordre de 2% aux États-Unis. La surprise serait un résultat plus proche de 0%.

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  21. À ce stade de la reprise économique, la demande de valeurs sûres reste intacte. L'épargne trouve toujours son chemin vers les obligations d'État sans risque et le crédit de haute qualité, qu'il s'agisse d'obligations de qualité "investment grade" ou à haut rendement. La part allouée à la dette privée et à la dette d'infrastructure est en constante augmentation. La réglementation a un impact et oriente les carnets de placement des banques vers les obligations d'État à zéro risque. La réglementation a cimenté les allocations à revenu fixe des (ré)assureurs bien au-delà de 90 %. Les fonds souverains se couvrent mutuellement en allouant des actifs importants aux émissions de dette souveraine et supranationale en monnaie locale et en devises fortes.

    La combinaison actuelle de menaces géopolitiques, climatiques et sociétales renforce l'aversion au risque. Le passage d'un stade de stagnation séculaire à un cycle économique à long terme plus favorable aux investisseurs et plus orienté vers la croissance nécessitera de gros efforts. Les détracteurs ou les sceptiques de la stagnation séculaire contestent l'argument de l'épargne démesurée et désignent la réglementation gouvernementale et l'intervention fiscale comme principales causes de la stagnation séculaire. Apparemment, toutes les routes mènent à Rome.

    http://www.economiematin.fr/news-ecnomie-risque-stagnation-taux-emprunt-coensel

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    1. L'épargne n'est pas une sûreté mais un catastrophisme reporté. L'absence (voire l'interdiction) de l'investissement prépare le monde a ne plus avoir rien du tout.
      Les programmes fiscaux sont de l'ordre d'absorber l'épargne à plus rien.
      Les gens de la ville sont incapables de réfléchir à ce qu'ils mangent et pourront peut-être manger demain.
      Certains s'en éloignent et gagnent les campagnes. Or, un paysan ne se forme pas en qq heures comme une caissière de supermarchés ! 3 générations sont nécessaires pour s'acclimater et découvrir ce que fait le voisin !

      Donc: 3 cas de figures se présentent:
      Un terrain (superficie, exposition arrosage).

      - Soit: planter des arbres (pruniers, figuiers, oliviers, noyers, noisetiers, cerisiers, etc) qui ne demandent qu'un peu d'arrosage les premières années, pas d'engrais (sauf au début) et 'pas' de traitement. Et pas de taillages.
      Le rapport ? Compter 5 ou 8 ans, 10 ou 15 ans pour les premières récoltes (!).
      Les arbres fruitiers (pommiers, poiriers, pêchers sont plus onéreux). Taillages, arrosages, traitements et fumures en plus des tuteurs, fil de fer et appareils coûteux pour le traitement: atomiseurs et tracteur.

      - Soit: le maraîchage. Mais là, compter sur l'investissement (tracteur ou motobineuse indispensable. Labours, griffonnages, fumures et arrosages. Travail constant. Traitements contre les maladies et insectes ravageurs.

      - Soit: la serre. La serre permet sur peu de terrain d'avoir un rapport immédiat qu'importe les saisons.
      http://forum.latelierpaysan.org
      Peu d'arrosage (arrosages intérieurs) et choix de structures (verres, polycarbonate ou plastiques). Le verre demande une ossature supportant le poids. Le polycarbonate est à éviter (abris de pluies, vents mais pas des températures !). Le plastique (200µ) permet de traduire la lumière froide de l'hiver en chaleurs intérieures. Permet d'atteindre une 'autonomie' immédiate. Pas de traitements en serres hermétiques.

      Pour chaque plante existe un apport indispensable de nourriture (NPK) approprié ainsi que l'arrosage.
      Les fumiers sont à éviter. Ils n'apportent pas forcément ce que demande la plante ! (voir siècles précédents où c'était la disette. Famine par manque de production.

      Les animaux ou volailles forment des appoints nécessaires. (traitements, nourritures et soins particuliers).

      Enfin, le PIB d'un pays mesure la croissance ou la décroissance d'un rapport. Il est assujetti aux facteurs monétaires. Il permet donc ou pas d'exporter ou d'importer.

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  22. L’élection présidentielle risque d’accélérer le désastre énergétique en cours

    Les prises de positions extrêmes liées à la campagne électorale de 2022 pourraient contribuer à accélérer les colossales dépenses contre-productives conduisant ainsi à un désastre humain.


    Par Michel Gay et Christian Bailleux.
    8 JUILLET 2021


    L’incohérence de la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) du gouvernement suite à la Loi de transition énergétique pour la croissance verte votée en 2015 et les inévitables prises de positions extrêmes liées à la campagne électorale de 2022 pourraient contribuer à accélérer les colossales dépenses contre-productives conduisant ainsi à un désastre humain.

    ARRÊT PROGRAMMÉ DE LA PRODUCTION DE VÉHICULES THERMIQUES

    Les principaux constructeurs automobiles ont annoncé l’arrêt de la construction de véhicules à moteurs thermiques en 2035 sous la pression des gouvernements allemands et français, ne gardant comme voie de développement que les seuls véhicules électriques.

    Or, les constructeurs français possèdent une partie de leurs usines à l’étranger.

    Dacia appartient au groupe Renault et fabrique en Roumanie ainsi qu’au Maroc (Tanger et Casablanca) les voitures à faible coût.

    L’importante usine Renault de Bursa, en Turquie, créée en 1969 en association avec le fonds de pension de l’armée turque, est le deuxième centre de production automobile turc.

    Renault contrôle Jeep aux États-Unis et a aussi un pied en Chine.

    Et que deviendra l’association Renault-Nissan ? Les usines Nissan en France pourront-elles poursuivre leur production de voitures thermiques ?

    Est-il possible qu’une décision gouvernementale française aboutisse à la fermeture (et à la ruine) des usines françaises à l’étranger ?

    Les voitures produites en Afrique, en Turquie et en Russie (Lada) continueront-elles à être vendues en France au-delà de 2035 ? Et quid des voitures d’occasion ?

    Maintenir cette décision d’arrêt de production de voitures thermiques à compter de 2035 contribuerait à désindustrialiser la France, et il serait utile d’évaluer la quantité d’emplois en jeu qui disparaîtra au profit de l’étranger (Asie, Afrique, Turquie…).

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  23. DÉSASTRES ANNONCÉS

    Le gouvernement a-t-il des solutions pour éviter ces désastres annoncés ?

    Les divers ministères concernés (Écologie, Transport, Industrie) n’ont même pas pris la peine de chiffrer leur délirant programme d’arrêt des véhicules thermiques pour 2035 et de neutralité carbone pour 2050.

    Et l’opprobre de cette mascarade désastreuse ne retombera ni sur les ministres, ni sur les députés ayant voté ces lois et décrets car aucun d’eux ne sera plus en poste en 2050…

    En 1992, il y a presque 30 ans, le Premier ministre était Pierre Bérégovoy : qui se souvient de ses promesses (les plus jeunes ne connaissent même pas son nom), et qui s’en soucie ?

    De plus, la production d’électricité nécessaire pour remplacer la consommation française actuelle de carburant pétrolier (environ 50 milliards de litres) équivaudrait à plus de 300 térawattheures (TWH), soit la production de 30 réacteurs nucléaires EPR dédiés à la mobilité automobile uniquement.

    Si seulement un tiers des véhicules électriques recharge en même temps, la puissance appelée sera d’environ 60 gigawatts (GW), soit autant que toute la puissance installée du parc nucléaire actuel…

    Pour ceux qui penseraient à une hypothétique solution hybride avec l’hydrogène, la consommation d’électricité atteindrait des niveaux encore supérieurs.

    Alors que fin 2020, circulaient en France environ 110 000 véhicules électriques, l’objectif visé pour 2028 est que 10 % du parc automobile soit électrique, soit trois millions de véhicules nécessitant donc trois EPR qui ne seront pas encore construits.

    Par ailleurs, à compter de 2022, l’interdiction des chauffages dégageant du gaz carbonique dans les constructions particulières neuves augmentera la consommation d’électricité (chauffage électrique et pompe à chaleur).

    Le projet d’arrêt de la production de voitures à moteurs thermiques en France pour 2035, et de neutralité carbone pour 2050 en diminuant le nucléaire, n’est pas crédible ! Les ministres concernés ne sont-ils pas capables de faire des additions ?

    Concernant les véhicules électriques, le PDG de Peugeot (Carlos Tavares) avait déclaré 12 septembre 2017 à l’occasion du Mondial de l’Automobile :

    Toute cette agitation, tout ce chaos vont se retourner contre nous parce que nous aurons pris de mauvaises décisions dans des contextes émotionnels, pas suffisamment réfléchies et pas avec suffisamment de recul.

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  24. LES CARBURANTS SYNTHÉTIQUES « CARBO-NEUTRES »

    Les compagnies pétrolières mettent en avant les carburants synthétiques carbo-neutres comme solution alternative (Plan B ?…), soit en utilisant du gaz naturel (méthane), soit du bio-méthane.

    Cette voie apparue aux États-Unis en 2019 se concrétise en Europe par la construction de la première usine de fabrication à grande échelle de bio-kérosène à Delfzijl, dans le nord des Pays-Bas.

    BP (British Petroleum) vient de mettre au point un carburant diesel de synthèse dit BtL (Biomass to Liquid), et le 23 février 2021, Porsche a annoncé avoir testé un carburant de synthèse qu’il assure « aussi vertueux que l’électrique ».

    Cette solution aurait l’énorme avantage de pouvoir utiliser les véhicules classiques et hybrides actuels.

    L’objectif des groupes pétroliers vise donc à faire abandonner cette décision irréaliste d’arrêt de fabrication des voitures à moteurs thermiques, ce qui pourrait intervenir après les prochaines élections allemandes à l’automne 2021 et françaises au printemps 2022.

    GAZ EN AUGMENTATION

    La construction du nouveau gazoduc russe sous la mer Baltique, pour approvisionner l’Allemagne en gaz, et de là toute l’Europe occidentale ne préfigure pas une diminution de sa consommation.

    L’énergie distribuée en France par le réseau national gaz naturel est actuellement d’environ 430 TWh.

    Selon le gouvernement, en 2050 le réseau national ne distribuerait que du bio-méthane.

    Mais qui croit vraiment à cette annonce loufoque du remplacement total du gaz naturel d’origine fossile, par le bio-méthane à l’horizon 2050 ? Personne (« les promesses n’engagent que… »)

    Alors que le gaz naturel vaut actuellement autour de 8 euros par mégawattheure (MWh) sur le marché de gros, les discussions en cours sur le prix d’achat du bio-méthane prévoit 75 euros/MWh en 2023 et 60 euros/MWh en 2028.

    Les particuliers alimentés par le réseau national du biogaz seraient donc prêts à accepter une multiplication des prix par huit ?

    Les esprits vont s’échauffer dans les chaumières devant une telle ineptie et les Gilets jaunes vont refleurir aux carrefours…

    https://www.contrepoints.org/2021/07/08/401190-lelection-presidentielle-risque-daccelerer-le-desastre-energetique-en-cours

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    1. (...) Par ailleurs, à compter de 2022, l’interdiction des chauffages dégageant du gaz carbonique dans les constructions particulières neuves augmentera la consommation d’électricité (chauffage électrique et pompe à chaleur). (...)

      En plein hiver sans vent, une coupure d'électricité et... VOUS CREVEZ !

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  25. Obligation vaccinale envisagée au Québec


    mercredi 7 juillet 2021


    *Voici exactement ce que moi et Stéphane avons expliqué hier dans notre vidéo en direct: sonder la réactivité de la population et préparer l'opinion publique quelques semaines avant la mise en place de la stratégie programmée et annoncée!

    "François Legault a sondé les Québécois sur la possibilité de rendre la vaccination obligatoire, une option pourtant rejetée publiquement par la Santé publique jusqu’ici.

    C’est ce qu’on apprend à la lecture d’une longue série de questions posées lors de sondages sur l’adhésion aux mesures sanitaires commandées par son ministère, le Conseil exécutif, et obtenue par la Loi d’accès à l’information.

    «Dans quelle mesure seriez-vous d’accord que la vaccination contre la COVID-19 soit obligatoire pour l’ensemble de la population ?», peut-on lire dans le document.

    Les dates auxquelles ces questions ont été posées et leurs résultats ne font pas partie des informations rendues publiques par le gouvernement, pour l’instant.

    Si Québec peut techniquement rendre la vaccination obligatoire, alors que bien des jeunes adultes de 18 à 29 ans tardent à se procurer leur première dose, la Santé publique a toujours écarté cette voie.

    «On a une loi, au Québec, qui permet une obligation de vacciner dans des circonstances exceptionnelles de crise sanitaire. Je tiens à vous dire qu’on ne l’a jamais utilisée et que ce n’est pas du tout dans nos cartons», a déclaré le directeur national de la santé publique, le Dr Horacio Arruda, en novembre dernier.

    Lire la suite tout aussi... hallucinante!

    https://www.journaldequebec.com/2021/07/07/vaccination-obligatoire-legault-a-tate-le-pouls-des-quebecois

    http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/07/obligation-vaccinale-envisagee-au-quebec.html

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    1. Je ne comprends pas qu'à la question posée je n'ai eu de réponse(s).
      Q: "Les nano-poussières métalliques chargées (appelées 'virus') sont éjectées par le magma et remontées à la surface des eaux par les émissions de gaz de la masse ferrique incandescente. Ces dernières sont alors emportées lors de tempêtes par les alizés vers les terres et font le tour du monde. Elles tombent au sol lors de pluies, brouillards et neige qui les lestent.

      Mais la question première est: Les poissons (coquillages & crustacés) sont les PREMIERS consommateurs de ces nano-particules (chargées pour '3 semaines'), pourquoi n'en sont-ils pas morts ?
      Nous-mêmes consommons ces poissons et nous n'en mourons pas ! Sommes-nous donc immunisés grâce à eux ?
      Pourquoi n'y aurait-il pas été faites d'études sur ces consommateurs 'immunisés' ?

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