- ENTREE de SECOURS -



dimanche 11 juillet 2021

Pourquoi l’énergie nucléaire s’impose-t-elle ?

 

 le 11 juillet 2021


En dehors de quelques pays européens qui font de la politique énergétique démagogique et électoraliste, le reste du monde s’engage résolument dans la voie nucléaire. Les projets de développement y sont de plus en plus nombreux, mais aussi de plus en plus variés, notamment avec l’émergence des SMR (Small Modular Reactors).

Par Roger Stump, analyste financier, 8 juillet 2021 sur le site investir.ch

Voici tous les avantages comparatifs de l’industrie nucléaire

1 - L’énergie nucléaire est pilotable* (voir notes en fin de billet), donc produite à la demande. C’est indispensable à la stabilité du réseau électrique où offre et demande doivent toujours correspondre.

2 - L’énergie nucléaire produit 2 fois moins de gaz carbonique que l’éolien et 7 fois moins que le photovoltaïque.

3 - La quantité de matériaux nécessaires à la construction d’une centrale nucléaire est respectivement 9 et 14 fois inférieure à celle nécessaire pour l’éolien et le photovoltaïque pour produire le même térawatt/heure.

4 - Le nucléaire nécessite 1000 fois moins de surface au sol que l‘éolien et le solaire pour produire le même TWh.

5 - L’énergie dégagée par la fission de l’uranium génère plusieurs centaines de milliers de fois plus d’énergie que la combustion d’une quantité équivalente de charbon, de pétrole ou de gaz, d’où une quantité très faible de déchets en proportion de la quantité d’énergie produite.

6 - Pour pourvoir un être humain occidental en énergie pour toute sa vie, il suffit de 6 kilos d’uranium, soit le volume d’une cannette de coca (l’uranium étant 19 fois plus lourd que l’eau). Pensez ne serait-ce qu’à la quantité d’essence que chacun de nous a déjà consommé dans sa vie !

7 - En moyenne, le facteur de charge d’un réacteur nucléaire est de 92 %, ce qui fait de l’énergie nucléaire la plus fiable de toutes, bien loin devant le gaz (55 %) et le charbon (54 %), et évidemment l’éolien et le solaire.

8 - De toutes les industries énergétiques, le nucléaire est la plus sûre et son bilan humain (90 décès par 1000 TWh) est même inférieur à celui de l’éolien (150), du solaire (440) et de l’hydroélectrique (1400).

9 - Les déchets totaux de l’industrie nucléaire depuis sa naissance représentent le volume d’un stade de foot de 10 mètres d’épaisseur, soit 100 000 m3 ou 2 millions de tonnes. Aucune industrie au monde ne s’astreint à une gestion aussi précise de ses déchets et, à ce jour, aucune irradiation, aucun accident n’a jamais été à déplorer avec des déchets nucléaires. Notez aussi qu’une grande partie des déchets sont susceptibles d’être encore réutilisés dans le futur avec l’émergence d’autres technologies de fission nucléaires ou de production de batteries utilisant la radioactivité !

Le marché de l’uranium en deux graphiques

Le premier illustre les ratios de couverture en uranium des opérateurs de centrales nucléaires européens et américains (environ 50 % du total des réacteurs). Cette situation est inédite.

Les besoins non-couverts par des contrats à terme devront être comblés dans un marché souffrant déjà d’un déficit de production.

Rappelons au passage que les stocks des producteurs sont également au plancher !

Le deuxième illustre le déficit de l’offre d’uranium dans le contexte d’une demande en croissance selon deux scénarios établis l’année dernière par le World Nuclear Association. L’évolution actuelle de la demande penche désormais clairement vers le scénario le plus élevé.

Des exemples récents illustrent le propos. Parmi ceux-ci citons Shikoku Electric (Japon) qui se prépare à redémarrer son réacteur Ikata N°3 le 12 octobre prochain. Il avait été stoppé en décembre 2019 sur décision d’une cour de justice. Aux Etats-Unis Duke Energy vient de faire les démarches en vue d’une demande de renouvellement/prolongation de licence d’exploitation jusqu’à 80 ans de ses trois réacteurs de la centrale d’Oconee en Caroline du Sud, jusqu’en 2053 et 2054 et l’administration Biden prend des mesures pour constituer une réserve d’uranium, une proposition faite sous l’ère Trump. La Société CEZ Group qui exploite la centrale nucléaire de Dukovany II en République Tchèque a sollicité une offre de trois constructeurs pour un nouveau réacteur. En Inde, la construction de deux nouveaux réacteurs russes de plus de 1000 MW chacun a démarré, les unités 5 & 6 de la centrale de Kudankulam. Plus globalement, selon la World Nuclear Association, on compte actuellement 445 réacteurs en fonction, représentant une puissance 24/7 installée de 396 GW. 60 réacteurs sont en construction (66 GW), 99 sont en planification avancée ou commandés et 325 sont proposés. La Chine qui veut augmenter de 40 % sa puissance nucléaire d’ici à 2025 et l’Inde qui planifie de tripler son parc nucléaire pour 2030 sont deux acteurs majeurs de ce secteur.

Quid du prix de l’uranium ?

Le sommet historique du prix de l’uranium de 140$/lb atteint en mai 2007, ajusté de l’inflation, serait aujourd’hui de 177 $/lb. Le prix actuel de la livre d’uranium navigue aux environs des 32 dollars. Un minimum de 45-50 dollars (niveau du coût moyen d’extraction) est requis pour redémarrer les mines en maintenance et un prix de 65-70 dollars pour développer les nouvelles mines nécessaires à rétablir l’équilibre. Or, il faut 8 à 10 ans pour qu’une mine atteigne le stade de la production, et la production requise de ces mines doit représenter celle de deux fois le Kazakhstan, le plus gros producteur du monde (35 %)…

Mais encore

De part et d’autre de l’Atlantique, le bon sens semble vouloir définitivement l’emporter. Les États-Unis affichent désormais leur intention d’inclure le nucléaire dans les énergies propres, alors que de l’autre côté, le rapport du groupe d’experts mis en place par la Commission européenne est favorable à l’inclusion du nucléaire dans la taxonomie des investissements durables, ce qui devrait ainsi faire intégrer le nucléaire à l’acte délégué sur la finance verte. Cette perspective n’est pas sans conséquence sur le secteur uranifère, car si un seul petit pourcent des fonds de placement ESG devait lui être alloué, ce pourcent aurait la capacité d’acheter 100% de toutes les sociétés uranifères listées à trois fois le prix actuel …

Notes explicatives. La puissance d’un réacteur est modulable (pilotable) entre 95 et 100 % de sa puissance nominale. Pour un réacteur d’une puissance de 1000 MWe il s’agit donc de 50 MWe soit 1/6e de la puissance d’une centrale thermique de taille moyenne. En dessous de 95 % la qualité de la vapeur se dégrade et l’exploitant évite de dépasser ce seuil. À propos du gaz carbonique ces chiffres sont pessimistes car un réacteur nucléaire peut fonctionner jusqu’à 80 ans alors que la durée de vie d’une éolienne est au mieux de 25 ans. Il s’agit ici des émissions de gaz carbonique pour la construction de ces installations. Autre précision le facteur de charge de 92 % comprend les opérations de changement du combustible hors arrêts de maintenance de plus longue durée planifiés à l’avance.

En ce qui concerne les déchets générés par les réacteurs à neutrons lents dits thermiques type PWR les données figurant dans l’énumération ci-dessus ne font pas état du retraitement. Ce retraitement consiste à éliminer les produits de fission et certains transuraniens. Le plutonium, transuranien le plus léger, peut-être réutilisé comme combustible en remplaçant l’uranium-235. Quelques pays seulement utilisent le MOX, combustible contenant du plutonium, il s’agit en premier lieu de la France puis de la Russie, du Japon et enfin de l’Inde. Partant du fait que lors d’un cycle du combustible une infime fraction de ce dernier est effectivement consommée, le retraitement réduit notoirement les volumes de déchets dits radioactifs. L’uranium « appauvri » n’est pas pris en compte dans les déchets. En attendant des jours meilleurs, comprenez le développement inévitable des surrégénérateurs, cet uranium appauvri non fissile, essentiellement de l’uranium-238, est stocké sous formes d’oxydes.

https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/07/11/pourquoi-lenergie-nucleaire-simpose-t-elle/

30 commentaires:

  1. Pourquoi le nucléaire français inquiète l’Académie des sciences


    08:01 11.07.2021


    Alors que la France vise à diminuer sa production d’énergie nucléaire, dont le poids dans le mix hexagonal reste lourd, l’Académie des sciences estime que la politique en ce domaine est mal conçue, alors même que les enjeux en sont essentiels. Ils craignent notamment une future pénurie en électricité.

    Dans un avis, publié le 8 juillet, l’Académie des sciences alerte quant à d’éventuels problèmes liés à l’approvisionnement électrique auxquels la France risque de faire face si elle n’adapte pas sa stratégie en matière de politique énergétique. Alors qu’aujourd’hui le pays reste à plus de 70 % dépendant du nucléaire pour sa consommation d’électricité, l’ambition de baisser cette part à 50 % vers 2035 ainsi que le flou quant au développement des alternatives énergétiques inquiètent les scientifiques.

    Rappelant l’objectif de 50 %, Marc Fontecave, professeur au Collège de France et l’un des auteurs du rapport, interrogé par Le Point, s’indigne: «Mais personne n’explique comment faire, quelle production nous visons, ni ce qu’on fait après! La France n’a tout simplement pas de politique énergétique».

    Croissance de la demande en électricité

    Selon le document de l’Académie des sciences, plusieurs options de la transition énergétique sous-estiment un facteur non-négligeable pour l’avenir: «une augmentation importante» de la part de l’électricité dans la consommation énergétique.

    «Cette croissance prévisible de la demande en électricité est le plus souvent sous-estimée et minimisée dans les divers scénarios proposés pour la transition énergétique», est-il indiqué.
    Ainsi, la question se pose de savoir si la France sera capable de répondre à cette demande croissante, vu qu’elle envisage de baisser significativement sa première source de production d’électricité.

    Marc Fontecave fait comprendre que dans un tel contexte, cela sera particulièrement difficile, vu que les énergies solaire et éolienne dont la France ne maîtrise «ni les technologies ni les infrastructures de stockage» sont intermittentes.

    Une position ambiguë ?

    L’énergie nucléaire occupe la première place dans la consommation d’énergie primaire en France. Un facteur qu’Emmanuel Macron n’a pas manqué de rappeler s’exprimant en décembre 2020 sur le site industriel de Framatome. Selon lui, l’atome doit donc «continuer à être un pilier du mix énergétique français pour les décennies à venir».

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  2. Dans le même temps, le chef de l’État a promis en 2018 de fermer d'ici 2035 14 réacteurs nucléaires. En 2020, c’est la mise à l’arrêt de la centrale de Fessenheim, qui s’est notamment attiré les foudres de la part du voisin outre-Rhin, qui a eu lieu. À l’époque la plus vieille centrale française, c’est pourtant l’un des trois sites nucléaires les plus sûrs du pays, selon le rapport de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) portant sur l’année 2019.

    L’enjeu de la production nucléaire en France

    Le nucléaire reste par ailleurs de loin la première source énergétique en France. Selon le bilan énergétique national pour 2019, la part de l’énergie nucléaire dans la production d’énergie primaire en France a été de 78 %.

    Cette large part du nucléaire joue d’ailleurs son rôle dans la certaine indépendance énergétique dont jouit la France et qu’elle doit conserver afin de garantir sa sécurité d’approvisionnement électrique, fait savoir l’Académie des sciences.

    Sauf que, d’après les calculs provisoires du bilan énergétique de la France, en 2020, la France a enregistré une baisse significative de la production d’énergie primaire (8,7 % par rapport à 2019) qui s’explique justement par le recul de la production nucléaire (-11,3 % par rapport à 2019).

    Celle-ci a été «affectée par de nombreuses indisponibilités au sein du parc durant les trois premiers trimestres de l’année, le premier confinement ayant entraîné des retards dans les maintenances programmées, et également, dans une moindre mesure, par la fermeture de la centrale de Fessenheim».
    Il s’agit d’un niveau qui n’avait pas été observé depuis la fin des années 1990. Il est à préciser que les chiffres de l’année 2019, donc avant l’épidémie, confirment également cette tendance à la baisse.

    Une panacée dans la lutte contre le réchauffement climatique ?

    Tandis que l’un des arguments des soutiens du nucléaire est le caractère «décarboné» de ce type d’énergie, les défenseurs de la cause climatique affirment que le nucléaire est tout sauf un remède miracle.

    D’après Green Peace, le nucléaire est, certes, une énergie qui n’émet que très peu de gaz carbonique, «mais ce n’est pas pour autant une énergie propre». Risques d’accident nucléaire mis à part, les écologistes mettent en avant surtout le fait que la production d’électricité d’origine nucléaire est à l’origine de «quantités démesurées de déchets»: 23.000 m3 (un cube d'un peu plus de 28 m de côté) de déchets nucléaires par an.

    «Proposer l’énergie nucléaire plutôt que les énergies fossiles, c’est remplacer un problème par un autre», conclut l’ONG.

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  3. L'État le moins préféré de chaque État


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 10 JUIL 2021 - 17:00


    C'est beaucoup de "haine" pour la Californie...

    - voir carte USA sur site -

    Source: @Mattsurelee

    https://www.zerohedge.com/political/every-states-least-favorite-state

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  4. Cher président Biden, vous avez besoin d'une éducation, commençant par le sens de "gratuit"


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 11 JUIL 2021 - 11:30
    Rédigé par Mike Shedlock via MishTalk.com,


    Discutons de la signification de "libre" à travers les yeux du président Biden.

    Libérer ? Ah bon ?
    Cher Monsieur le Président, qui paie pour "Free College" et "Free Preschool" ?

    Si quelqu'un paie par la force des impôts, ce n'est pas gratuit. Ce n'est que si « l'école maternelle gratuite » provient de bénévoles et de dons de bienfaisance sans frais externes qu'elle est vraiment gratuite.

    Loi sur les accédants à la propriété
    Discutons également des « premiers acomptes » proposés par Biden pour l'achat d'une maison.

    « Le Downpayment Toward Equity Act of 2021 » créerait un programme de subventions permettant aux États de fournir aux débutants de l’argent pour les acomptes, les frais de clôture ou les frais qui entraînent une baisse des taux hypothécaires.

    Le deuxième projet de loi, présenté fin avril et surnommé la «Loi sur les premiers acheteurs de maison», offrirait un crédit d'impôt pouvant aller jusqu'à 10 % du prix d'achat d'une maison - ou jusqu'à 15 000 $ - aux nouveaux arrivants.

    Pour accéder au crédit d'impôt, vous n'aurez pas forcément besoin d'être un « primo-accédant ». Vous serez admissible si vous n'avez pas possédé ou acheté une maison au cours des trois dernières années.

    Il semble que Biden et les démocrates aient une définition particulière de « première fois ».

    Pourquoi les choses sont inabordables
    Une des principales raisons pour lesquelles beaucoup de choses ne sont pas abordables dans les actions gouvernementales. Les acomptes « gratuits » stimulent artificiellement la demande.

    Nous avons eu d'innombrables programmes de « maison abordable » qui ont tous échoué pour la même raison, les programmes gouvernementaux gratuits ont inévitablement un coût énorme.

    En plus des programmes de logements abordables, les tarifs augmentent les coûts de l'acier, du bois et du béton. Les tarifs douaniers sur le bois d'œuvre canadien que Biden vient d'augmenter sont plus que fous.

    Le coût de l'assurance médicale privée est incroyablement élevé, tout comme les coûts partout où le gouvernement interfère.

    George W. Bush a signé le « Bankruptcy Reform Act of 2005 » rendant la dette étudiante non annulable en cas de faillite. Devinez ce qui s'est passé ?

    La solution de Biden est bien sûr un programme d'annulation de la dette étudiante en argent « gratuit ».

    Stimulation gratuite
    Nous avons eu trois séries de mesures de relance "gratuites" à un point tel qu'il "paye" plus pour des millions de personnes de percevoir le chômage plutôt que de travailler.

    Cela fait augmenter les prix dans les restaurants et autres endroits qui ont du mal à rivaliser avec le "gratuit".

    Fatigué de payer pour des trucs gratuits
    Est-ce un aveu que tout le monde n'est pas du matériel universitaire https://t.co/mnijiCsTCi

    – Andy Swan (@AndySwan) 9 juillet 2021
    Cher Monsieur le Président, beaucoup d'entre nous sont fatigués de payer la facture des trucs "gratuits" parrainés par le gouvernement.

    À cette fin, je donne gracieusement mon temps gratuitement (sans frais pour quelqu'un d'autre) pour vous enseigner également le vrai sens de « gratuit » et de « première fois ».

    https://www.zerohedge.com/political/dear-president-biden-you-need-education-starting-meaning-free

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    1. C'est vrai que l'école-à-la-maison-çà-c'est-pas-con !
      Parce que de se déranger pour amener ses pétiots à l'école çà coûte et qu'ils n'apprennent que des conneries !
      Alors qu'a la maison y a Internet ! Whôaw !
      Sans devoir être masqué !!

      On se croirait au 'Festival de Cannes 2021 ! Pas un chat ! HAHAHAHAHA !

      Faut dire que pour ce 'festival', il faut (accrochez-vous !):

      Porter un masque !
      Être vacciné
      Pass-sanitaire

      Hahahaha !

      Désolé pour Abigail Breslin, Catherine Deneuve ou Sean Penn mais vous seriez restés chez vous que çà n'aurait rien changé !

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  5. Encore plus d'hypocrisie verte dans l'UE, cette fois l'hydrogène


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 11 JUIL 2021 - 08:10
    Rédigé par Mike Shedlock via MishTalk.com,


    Discutons de la signification du style "vert" de l'UE.

    Hourra plus d'énergie verte !
    L'UE encourage un nouveau projet d'hydrogène dans une raffinerie en Allemagne.

    L'usine sera construite par Shell et ITM power et sera capable de produire environ 1 300 tonnes d'hydrogène par an, qui pourra être pleinement intégrée dans les procédés de raffinerie, comme pour la désulfuration des carburants conventionnels. Ce sera le plus grand électrolyseur d'hydrogène au monde.

    Tudor Constantinescu, conseiller principal, DG ENER à la Commission européenne a souligné la contribution de l'hydrogène vert aux objectifs de l'Union de l'énergie, déclarant : « L'électricité renouvelable peut soutenir la décarbonisation non seulement du secteur électrique, mais, grâce à l'intégration sectorielle également d'autres industries, telles que le raffinage. L'hydrogène vert est un catalyseur clé dans ce processus, contribuant aux objectifs de l'Union de l'énergie à la fois en termes de réduction des émissions et d'augmentation de la part des énergies renouvelables.

    Dix fois plus d'hydrogène, dix fois plus cher ?
    Euractive a quelques détails intéressants sur l'entreprise, qui serait censée multiplier par dix la capacité d'ici 2024.

    L'électrolyseur de 10 MW, bien que déjà le plus grand d'Europe du genre, est un projet pilote pour de plus grandes ambitions.

    Si le pilote fonctionne bien, le partenariat autour de Shell souhaite ajouter 100 MW supplémentaires de capacité d'électrolyse, ce qui achèverait la construction en 2024. Ce serait alors le plus grand électrolyseur au monde.

    Pourtant, le projet pilote dépendait d'un financement par l'entreprise commune FCH à un taux de 50 %, ce qui signifie que l'analyse de rentabilisation d'un projet dix fois plus important sans financement public serait au mieux discutable.

    La concrétisation de ces ambitions dépendra donc du prix du carbone et du montant des financements supplémentaires disponibles, qui pourraient provenir de l'UE ou de l'Allemagne.

    Il est actuellement difficile de savoir si la FCH JU interviendra à nouveau et fournira un financement comme elle l'a fait pour le projet pilote, car l'examen de la demande est en cours, a déclaré une source à EURACTIV.

    Greenwashing européen à l'hydrogène
    Eurointelligence a examiné les détails et a trouvé des détails encore plus amusants.

    Nous avons noté une étrange description de la façon dont cela fonctionnera dans un article d'Euractiv sponsorisé par la Fuel Cells and Hydrogen Joint Undertaking, un partenariat public-privé entre l'UE et le lobby européen de l'hydrogène. Selon l'article, la nouvelle usine produira environ 1 300 tonnes d'hydrogène vert par an, à condition que des quantités suffisantes d'énergie renouvelable soient disponibles.

    S'ils ne le sont pas, l'alternative sera d'utiliser du gaz naturel pour produire de l'hydrogène. Et curieusement, l'hydrogène produit par le nouvel électrolyseur sera utilisé pour raffiner le pétrole au Chemicals Park Rheinland, la plus grande raffinerie d'Allemagne.

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  6. Nous avons pensé qu'il était étrange que Laschet vante un projet d'énergie renouvelable étant donné son soutien aux centrales électriques au charbon et son aversion générale pour tout ce qui est vert. Mais on se demande maintenant si Refhyne sera finalement verte.

    Nous pensons qu'il est plausible que le développement de l'hydrogène de l'UE finisse par dépendre du gaz russe.

    L'incroyable hypocrisie verte de l'UE
    Cela étant révélé, récapitulons mon rapport précédent, L'incroyable hypocrisie verte de l'UE, au moins Trump était honnête à propos des cibles

    Si vous preniez les objectifs verts au sérieux, vous devriez réformer la politique agricole commune. Mais l'UE n'a pas réussi à le faire précisément lorsqu'elle en a eu l'occasion l'année dernière. Au lieu de cela, l'UE recourt à la tricherie.

    La Commission européenne classe les investissements en termes de contenu vert de 0 %, 40 % et 100 %, et arrondit les chiffres à l'objectif immédiatement supérieur. Donc 1% devient 40%. 41 % devient 100 %.

    Lorsque le mensonge de la politique climatique de l'UE deviendra apparent, le centre aura non seulement perdu les victimes de la crise économique, mais toute une génération de jeunes électeurs.

    C'est le cas avec la fumée et les miroirs : lorsque la fumée s'élève, vous voyez clairement.

    Trop strict ?!
    Les coupures ci-dessus étaient également une gracieuseté d'Eurointelligence.

    Voici un autre élément amusant : il a également noté que « l'ensemble le plus récent de directives [arrondir], publié en 2019, a été jugé trop strict par certains États membres et lobbyistes de l'industrie ».

    Oui en effet. De toute évidence, il faut arrondir de 1 % à 49 % et de 50 % à 120 % ou autre.

    L'UE tente de convaincre ses partenaires commerciaux que sa taxe carbone n'est pas une taxe


    Enfin, veuillez considérer que l'UE essaie de convaincre ses partenaires commerciaux que sa taxe sur le carbone n'est pas une taxe.

    résumer
    Ce nouveau projet d'hydrogène "vert" a besoin d'une subvention de 50 %, dépend probablement du gaz naturel russe, et sera utilisé pour raffiner le pétrole.

    C'est ce que nous appelons "Vert".

    L'hypocrisie de l'UE sur l'énergie verte est sans fin.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/still-more-green-hypocrisy-eu-time-hydrogen

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    1. Revenons aux bombes à roulettes qui circulaient en ville pendant la guerre ! BOOOOM !

      Primo çà peut tuer 1 million de personnes et, secundo çà fait travailler les vitriers, les maçons, les ambulances et les croque-morts !

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  7. Assange va être "déplacé" sine die


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 11 JUIL 2021 - 07:00
    Rédigé par Ray McGovern via AntiWar.com,


    Très mauvaise nouvelle pour ceux qui se soucient encore de la liberté de la presse et de ce que le sort de Julian Assange signifie pour l'artefact-Premier amendement ajouté à la Constitution américaine il y a 240 ans. La Haute Cour du Royaume-Uni vient d'annoncer qu'elle entendra l'appel américain d'une décision d'un tribunal inférieur contre l'extradition de Julian Assange. Godot est susceptible d'arriver avant que les États-Unis et le Royaume-Uni ne terminent la pantomime légale niant à Assange sa liberté.

    La décision de la Haute Cour renforce le statut de la Grande-Bretagne en tant qu'État vassal des États-Unis - l'héritage de 800 ans de la Magna Carta soit damné. Donnant mauvaise réputation à l'hypocrisie obséquieuse, l'annonce de la Haute Cour intervient une semaine et demie après que le principal témoin du dernier acte d'accusation d'Assange se soit rétracté.

    Il n'est pas surprenant que les responsables britanniques de la « Justice » suivent l'approche détaillée du « Washington Playbook » qui a été exposée par WikiLeaks lui-même en février 2012.

    Certains lecteurs se souviendront peut-être que des courriels confidentiels révélés par WikiLeaks de la société de renseignement privée américaine Stratfor mentionnaient que les États-Unis avaient déjà un acte d'accusation secret contre le fondateur de WikiLeaks. Assez mauvais.

    Inspecteur Javert

    Ce qui est également apparu dans les e-mails de Stratfor, c'est l'approche incessante de type Inspecteur-Javert adoptée par un certain Fred Burton, vice-président de Stratfor pour la lutte contre le terrorisme et la sécurité d'entreprise. (Burton avait été chef adjoint de la division antiterroriste du Département d'État pour le Service de sécurité diplomatique.)

    Voici Javert – je veux dire Burton :

    "Déplacez-le [Assange] d'un pays à l'autre pour faire face à des accusations pendant les 25 prochaines années. Mais saisissez tout ce que lui et sa famille possèdent, pour inclure chaque personne liée à Wiki." [mon commentaire : « de pays à pays », ou – tout aussi efficace – de tribunal à tribunal]

    "Poursuivre les accusations de complot et de terrorisme politique et déclassifier la mort d'une source, quelqu'un qui pourrait être lié à Wiki."

    "Assange est un pacifiste. Il a besoin de se tremper la tête dans une cuvette de toilettes pleine à Gitmo."

    « Enlevez l'argent. Allez après son infrastructure. Les outils que nous utilisons pour clouer et déconstruire Wiki sont les mêmes outils que ceux utilisés pour démanteler et traquer al-Qaïda. »

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  8. "Faites d'abord faillite le trou du cul; ruinez sa vie. Donnez-lui 7 à 12 ans pour complot."

    "Assange va se faire une belle mariée en prison. Putain le terroriste. Il mangera de la nourriture pour chats pour toujours... l'extradition vers les États-Unis est de plus en plus probable."

    Gens gentils – une fois juré sous serment « de soutenir et de défendre la Constitution des États-Unis contre tous les ennemis étrangers et nationaux ». Les comparaisons étant odieuses, toutes mes excuses à "Javert" et Victor Hugo.

    Pendant ce temps de retour à Belmarsh

    Il n'est pas clair si Fred Burton a pu dicter le menu à Julian Assange (mais qui serait surpris ?). Ce qui est clair, c'est qu'à moins qu'une grande campagne populaire ne puisse prendre plus de vitesse, et bientôt, Julian sera probablement déplacé de tribunal en tribunal, de prison en prison – le tout sous couvert de la loi – jusqu'à ce qu'ils détruisent ce qu'il reste de lui. C'est une triste pantomime, une parodie de justice. Parlez des Misérables !

    Comme l'a souligné le rapporteur des Nations Unies pour la torture, Nils Melzer, Julian Assange est soumis à une torture psychologique – à la vue du reste du monde. Et, aussi répréhensible que soit ce crime, l'enjeu est encore plus grand pour les démocraties, qui ne peuvent exister sans médias libres.

    Samedi dernier, Julian Assange a "fêté" son 50e anniversaire dans la prison de haute sécurité de Belmarsh à Londres. On m'a demandé d'enregistrer un message à diffuser lors de la manifestation de soutien à Julian devant la prison ce jour-là. Voici l'enregistrement. Pour ceux qui n'apprécient pas mon chant, la conférence de 8 minutes est transcrite ici.

    https://www.zerohedge.com/political/assange-be-moved-around-sine-die

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  9. Visualiser les utilisations de l'argent à travers les âges


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 10 JUIL 2021 - 23:00


    L'argent est l'un des métaux les plus polyvalents sur Terre, avec une combinaison unique d'utilisations à la fois comme métal précieux et industriel.

    Aujourd'hui, les utilisations de l'argent couvrent de nombreuses technologies modernes, notamment les panneaux solaires, les véhicules électriques et les appareils 5G. Cependant, comme le note Visual Capitalist, les utilisations de l'argent dans la monnaie, la médecine, l'art et les bijoux ont contribué à faire progresser la civilisation, le commerce et la technologie pendant des milliers d'années.

    Les utilisations de l'argent au fil du temps

    L'infographie ci-dessous de Blackrock Silver nous emmène dans un voyage des utilisations de l'argent à travers le temps, du passé au futur.

    - voir tableau sur site -

    3000 avant JC – Le Moyen Âge

    Les premiers comptes d'argent remontent à 3 000 ans avant JC dans la Turquie d'aujourd'hui, où son exploitation minière a stimulé le commerce dans les anciennes mers Égée et Méditerranée. Les commerçants et les marchands utilisaient le hacksilver – des pièces d'argent brutes – comme moyen d'échange pour des biens et des services.

    Vers 1200 avant JC, les Grecs de l'Antiquité ont commencé à raffiner et à frapper des pièces d'argent à partir des riches gisements trouvés dans les mines de Laurion juste à l'extérieur d'Athènes. En 100 avant JC, l'Espagne d'aujourd'hui est devenue le centre de l'extraction d'argent pour l'Empire romain, tandis que les lingots d'argent voyageaient le long des routes commerciales des épices asiatiques. À la fin des années 1400, l'Espagne a apporté son affinité pour l'argent au Nouveau Monde où elle a découvert les plus grands gisements d'argent de l'histoire dans les collines poussiéreuses de la Bolivie.

    Outre les utilisations de l'argent dans le commerce, les gens ont également reconnu la capacité de l'argent à combattre les bactéries. Par exemple, les contenants de vin et de nourriture étaient souvent en argent pour éviter la détérioration. De plus, lors des épidémies de peste bubonique dans l'Europe médiévale et de la Renaissance, les gens mangeaient et buvaient avec des ustensiles en argent pour se protéger des maladies.

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  10. Les années 1800 – 2000

    De nouvelles utilisations médicinales de l'argent ont vu le jour aux XIXe et XXe siècles. Les chirurgiens ont cousu les plaies postopératoires avec des sutures en argent pour réduire l'inflammation. Au début des années 1900, les médecins prescrivaient des collyres au nitrate d'argent pour prévenir la conjonctivite chez les nouveau-nés. De plus, dans les années 1960, la NASA a développé un purificateur d'eau qui distribuait des ions d'argent pour tuer les bactéries et purifier l'eau de son vaisseau spatial.

    La révolution industrielle a conduit au début des applications industrielles de l'argent. Grâce à sa sensibilité élevée à la lumière et à sa réflectivité, il est devenu un ingrédient clé des films photographiques, des fenêtres et des miroirs. Même aujourd'hui, les fenêtres des gratte-ciel sont souvent recouvertes d'argent pour refléter la lumière du soleil et garder les espaces intérieurs au frais.

    Les années 2000 à aujourd'hui

    Les utilisations de l'argent ont parcouru un long chemin depuis le hacksilver et les ustensiles, évoluant avec le temps et la technologie.

    L'argent est le métal le plus conducteur d'électricité, ce qui en fait un choix naturel pour les appareils électroniques. Presque tous les appareils électroniques dotés d'un interrupteur ou d'un bouton contiennent de l'argent, des smartphones aux véhicules électriques. Les panneaux solaires utilisent également l'argent comme couche conductrice dans les cellules photovoltaïques pour transporter et stocker efficacement l'électricité.

    De plus, il a plusieurs applications médicinales qui vont du traitement des brûlures et des ulcères à l'élimination des bactéries dans les systèmes de climatisation et les vêtements.

    L'argent pour l'avenir

    L'argent a toujours été utile aux industries et aux technologies en raison de ses propriétés uniques, de sa nature antibactérienne à sa conductivité électrique élevée. Aujourd'hui, l'argent est essentiel pour la prochaine génération de technologies d'énergie renouvelable.

    Pour chaque âge, l'argent prouve sa valeur.

    https://www.zerohedge.com/commodities/visualizing-silvers-uses-through-ages

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  11. Ce que vous devez savoir sur le traitement COVID précoce à domicile


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    12 juillet 2021


    Dans cette interview, le Dr Peter McCullough discute de l'importance d'un traitement précoce pour COVID-19 et des motivations potentielles derrière la suppression de traitements sûrs et efficaces.

    McCullough a des références académiques impeccables. Il est interniste, cardiologue, épidémiologiste, professeur titulaire de médecine au Texas A&M College of Medicine à Dallas. Il détient également une maîtrise en santé publique et est connu pour être l'un des cinq chercheurs en médecine les plus publiés aux États-Unis et est l'éditeur de deux revues médicales.

    Un traitement ambulatoire précoce est essentiel pour des résultats positifs

    McCullough a été un ardent défenseur du traitement précoce du COVID. En août 2020, l'article phare de McCullough « Bases pathophysiologiques et justification du traitement ambulatoire précoce de l'infection par le SRAS-CoV-2 »1 a été publié en ligne dans l'American Journal of Medicine.

    L'article de suivi est intitulé « Traitement multidrogue séquentiel hautement ciblé à multiples facettes de l'infection ambulatoire précoce à haut risque par le SRAS-CoV-2 (COVID-19) »2 et a été publié dans Reviews in Cardiovascular Medicine en décembre 2020.

    L'un des plus grands crimes de toute cette pandémie est peut-être le refus des autorités sanitaires en place de publier des conseils de traitement précoce. Au lieu de cela, ils ont fait tout leur possible pour supprimer les remèdes qui fonctionnent, qu'il s'agisse de corticostéroïdes, d'hydroxychloroquine (HCQ) avec du zinc, de l'ivermectine, de la vitamine D ou de la NAC.

    On a simplement dit aux patients de rester à la maison et de ne rien faire. Une fois que l'infection s'était aggravée au point de mourir, les patients ont été invités à se rendre à l'hôpital où la plupart étaient régulièrement placés sous ventilation mécanique – une pratique qui s'est rapidement révélée mortelle. De nombreux médecins ont également apparemment paniqué et ont refusé de voir des patients présentant des symptômes de COVID.

    « Je suis heureux d’avoir personnellement toujours traité tous mes patients », dit-il. « Je n’allais pas voir le virus massacrer l’un de mes seniors. Et c'est, je pense, terrible qu'aucune de nos grandes institutions académiques n'ait innové avec un seul protocole. À ma connaissance, pas un seul grand centre médical universitaire, en tant qu'institution, n'a même tenté de traiter des patients atteints de COVID-19.

    Mais j'ai utilisé mon pouvoir de publication, mon autorité éditoriale et ma position en médecine interne et en médecine spécialisée pour publier l'article révolutionnaire intitulé « The Pathophysiological Basis and Rationale for Early Ambulatory Treatment of COVID-19 » dans l'American Journal of Medicine. .

    Il s'agissait d'un effort international, à la fois des médecins communautaires et des médecins universitaires. Et à ce jour, c'est l'article le plus fréquemment téléchargé dans l'American Journal of Medicine.

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  12. Les directives de traitement précoce ont sauvé des millions de vies

    En décembre 2020, McCullough a publié un protocole mis à jour, co-écrit avec 56 autres auteurs qui avaient également une vaste expérience dans le traitement des patients ambulatoires COVID-19. L'article, « Traitement multidrogue séquentiel hautement ciblé à multiples facettes de l'infection ambulatoire précoce à haut risque par le SRAS-CoV-2 »,3 a été publié dans la revue Reviews in Cardiovascular Medicine, dont McCullough est le rédacteur en chef.

    "Cet article, aujourd'hui… est l'article le plus fréquemment téléchargé du BET Journal", déclare McCullough. «C’est également la base du guide de traitement précoce COVID de l’American Association of Physician and Surgeons.4

    Nous avons la preuve que le guide de traitement a été téléchargé et utilisé des millions de fois. Et cela faisait partie du début énorme que nous avons eu dans le traitement ambulatoire à la maison vers la fin décembre en janvier, qui a essentiellement écrasé la courbe américaine.

    Nous étions dans les temps pour avoir de 1,7 à 2,1 millions de morts aux États-Unis, selon les estimations du CDC et d'autres. Nous l'avons coupé à environ 600 000. C'est encore une tragédie. J'ai témoigné que 85 % de ces 600 000 auraient pu être sauvés si nous avions eu… les protocoles en place dès le départ.

    Mais il suffit de dire que les héros du traitement précoce, et vous faites partie de cette équipe, le Dr Mercola, ont vraiment eu le plus grand impact. Nous avons sauvé des millions de vies, épargné des millions et des millions d'hospitalisations et, dans un sens, avons mis un terme à la pandémie. »

    Alors que l'Organisation mondiale de la santé et les agences nationales de santé ont tous rejeté les traitements suggérés par les médecins faute d'études contrôlées randomisées à grande échelle, McCullough et d'autres médecins travaillant en première ligne ont adopté une approche empirique. Ils ont recherché des signaux d'avantages dans la littérature.

    "Nous n'avons pas exigé de grands essais randomisés parce que nous savions qu'ils n'allaient pas être disponibles avant des années à l'avenir", a déclaré McCullough. «Nous n'avons pas attendu qu'un organisme de directives nous dise quoi faire ou qu'une société médicale, car nous savons qu'ils fonctionnent au ralenti. Nous savions que nous devions nous occuper des patients maintenant.

    Une collusion mondiale pour nuire aux patients

    Lorsque vous regardez à quel point la censure et la suppression des premiers traitements étaient complètes et intenses, il est difficile de tirer une autre conclusion qu'il s'agissait d'une stratégie visant à obtenir une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) pour les thérapies géniques COVID.

    Pour obtenir un EUA, il ne peut pas y avoir d'alternatives sûres et efficaces, et comme les injections COVID utilisent une toute nouvelle technologie jamais utilisée auparavant, s'assurer qu'il n'y avait pas de traitements efficaces disponibles était crucial pour le succès du déploiement de ces clichés. Des revues médicales prestigieuses comme The Lancet ont même été prises en collusion avec l'industrie pharmaceutique, publiant une étude complètement fabriquée sur HCQ, montrant que c'était dangereux. Comme l'a noté McCullough :

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  13. «Ce qui est si intéressant, c'est à quel point la collusion était étanche. C'était extraordinaire. Regardez l'article du Lancet [sur HCQ]. Vous aviez un médecin de Harvard, une société appelée Surgisphere qui disposait de données, vous aviez les critiques du Lancet, le rédacteur en chef adjoint et le rédacteur en chef du Lancet. Comment pourraient-ils tous s'entendre pour publier un article falsifié ?

    Lorsque ce document est sorti, nous l'avons examiné. Je vérifiais très attentivement la littérature. [En tant que rédacteur en chef de deux revues médicales] J'ai examiné plus d'articles et analysé plus de données, je pense, que quiconque dans le jeu. Et je peux vous dire, j'ai regardé ce papier et en deux secondes, j'ai su que c'était un faux. Je veux dire, je fais ça tous les jours.

    Je suis également rédacteur en chef adjoint pour l'American Journal of Cardiology. C'est la revue la plus vénérée de tout notre domaine. Et je peux vous dire qu'un journal comme celui-là ne passerait jamais devant mon bureau de rédaction parce qu'il était si manifestement faux. C'était une taille d'échantillon énorme que nous savions n'était pas possible à ce moment-là. Et ce sont des personnes dans la quarantaine hospitalisées avec des taux de mortalité astronomiques.

    Ce n'était tout simplement pas un moyen légitime. Et The Lancet a laissé cela raccrocher pendant deux semaines, effrayant le monde entier contre l'hydroxychloroquine – qui s'avère être l'un des plus sûrs et des plus efficaces largement utilisés chez les personnes atteintes de COVID-19. Et quand ils l'ont retiré, ce n'était pas une excuse.

    Mon interprétation de ceci est que c'était très intentionnel. Ce qui s'est passé avec l'utilisation de l'ivermectine dans les soins intensifs était également très intentionnel et une collusion… Le Dr J.J Rashtak l'avait utilisé chez des centaines et des centaines de patients en Floride et avait publié dans CHEST, l'une des meilleures revues pulmonaires, que l'ivermectine réduisait la mortalité.

    Pourtant, à ce jour, les hôpitaux des États-Unis refusent catégoriquement d'utiliser l'ivermectine. Les patients et les familles désespérés doivent obtenir des ordonnances du tribunal pour ordonner à ces médecins d'utiliser l'ivermectine. Donc, il y a une mentalité de masse de nuire presque intentionnellement aux patients.

    Les médecins et les administrateurs n'ont absolument aucune raison de refuser l'ivermectine aux patients. Il existe une collusion mondiale, en particulier dans les hôpitaux américains, pour causer autant de dommages et de morts que possible. C'est incroyable… Ces cas où les familles ont dû obtenir des ordonnances du tribunal pour forcer les médecins et les administrateurs à administrer un simple médicament générique, ce seront des études de cas en éthique médicale pour les décennies à venir.

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  14. L'objectif = vaccination de masse

    Quant à savoir pourquoi le mal aux patients était une chose souhaitable, McCullough pense que l'objectif final était de sécuriser le déploiement d'une campagne de vaccination de masse. Toute la propagande dont nous avons été nourris au cours de la dernière année et demie va dans ce sens.

    « La propagande est la diffusion d'informations fausses ou trompeuses par des personnes d'autorité de manière collusion. Et c'est exactement ce qui se passe. Nous avons une campagne de propagande pour la vaccination de masse. Il n'y a aucun doute là-dessus. C’est en fait très manifeste… Et croyez-moi, il y a des centaines de millions de personnes sous le charme propagé que le vaccin COVID-19 va nous délivrer de cette crise. »

    Ce que nous ne savons pas avec certitude, c'est pourquoi l'Organisation mondiale de la santé et les gouvernements du monde entier veulent une aiguille dans chaque bras. Pourquoi sont-ils si impatients, si implacables dans leurs efforts pour injecter à tout le monde cette nouvelle thérapie génique qui transforme votre corps en une usine de protéines de pointe toxique ?

    L'intention de vacciner tout le monde est telle que les autorités sanitaires ne reconnaissent même pas le fait qu'un nombre impressionnant de blessures et de décès se produisent peu de temps après ces injections. Ils laissent même les enfants mourir de ces injections sans aucun signe de ralentissement du rythme des injections. Pourquoi?

    Notre prochaine tâche : dissiper la propagande vaccinale

    Bien que nous ayons fait de grands progrès pour contourner la censure et diffuser les informations sur le traitement précoce, nous sommes toujours confrontés à un énorme défi, à savoir dissiper la désinformation et la confusion qui entourent les tirs COVID.

    Très clairement, il existe également une collusion massive pour supprimer la vérité sur ces thérapies géniques. Le Dr Robert Malone, l'inventeur des vaccins à ARNm, a récemment fait part de ses inquiétudes, et non seulement YouTube a interdit l'interview, mais Wikipedia a également effacé son nom de la section historique du vaccin à ARNm.

    Ils veulent clairement que tout le monde croie que ces vaccins sont similaires, voire supérieurs, aux vaccins conventionnels. Ils ne veulent absolument pas que vous les considériez comme une thérapie génique, ce qu'ils sont. Même Malone lui-même a fait cette distinction.

    Malone est plus qu'un peu préoccupé par la coercition exercée pour amener les gens à prendre ces injections. Il a également souligné qu'il n'y avait pas de système complet en place pour capturer de manière prospective les effets secondaires, malgré le fait que les fabricants aient contourné au moins 10 à 15 ans d'études de sécurité, y compris des études toxicologiques. Cela aussi semble tout à fait intentionnel. Encore une fois, la question est pourquoi ?

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  15. « Ils n'avaient aucun système pour détecter les complications, mais pire encore, ils n'avaient aucun plan pour la sécurité. Ils ne disposaient d'aucun des mécanismes traditionnels d'atténuation des risques… [tels que] les comités d'événements critiques, les comités de surveillance des données et de la sécurité, les IRB ou les comités d'éthique humaine.

    Le public doit savoir que ce sont les structures que nous avons en place dans la recherche biomédicale. J'ai dirigé deux douzaines de comités de surveillance de la sécurité des données. Les co-sponsors du programme de vaccination américain sont la FDA et le CDC.

    C'est leur obligation d'avoir en place, dès le début, un comité des événements cliniques, un comité de surveillance de la sécurité des données et un comité d'éthique humaine [et de fournir] des mises à jour régulières, car ces comités sont censés identifier les signaux de préjudice, puis faire recommandations aux sponsors sur la façon de rendre le programme plus sûr.

    C'était la responsabilité fiduciaire de la FDA et du NIH. Encore une fois, cela restera dans l'histoire de la réglementation comme l'une des bévues les plus colossales de tous les temps. Comment pouvez-vous faire la plus grande enquête clinique de l'histoire de la médecine et n'avoir aucune garantie ? Vous n'avez aucun mécanisme pour protéger les Américains de ce qui pourrait arriver avec le programme de vaccination ?

    Pourquoi les protocoles de sécurité normalisés ont-ils été omis ?

    Quant à la motivation ou la raison d'ignorer pratiquement toutes les mesures de sécurité standardisées, McCullough dit :

    «Il y a eu une telle suppression du traitement précoce … et une campagne de propagande complète pour la distanciation sociale, le port de masques, la promotion de la peur, de la souffrance, de l'hospitalisation et de la mort. Et pour préparer la population à la vaccination de masse, la dernière chose qu'ils voulaient faire était d'avoir quelque chose qui pourrait potentiellement restreindre la population qui prendrait le vaccin.

    Et donc, je ne pense pas qu'ils voulaient réellement des garanties de sécurité. Je pensais que leur objectif, dès le début, était d'essayer d'amener chaque individu à deux jambes [à obtenir le tir]. Le surnom le plus important était une aiguille dans chaque bras.

    Lorsque ces panneaux d'affichage ont été installés dans toutes les villes des États-Unis, les parties prenantes - qui sont le CDC, le NIH, la FDA, puis Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson en dehors des États-Unis et AstraZeneca - étaient sérieuses.

    Quand ils disent aiguille dans chaque bras, ce n'est pas une blague. Ce n'est pas une aiguille dans chaque bras pour qui c'est approprié, ou une aiguille dans chaque bras pour les indications médicales. Non, c'est une aiguille dans chaque bras de chaque être humain. Ils le pensent et je pense que les Américains devraient avoir peur. »

    Un crime contre l'humanité

    Ce que nous vivons est vraiment un crime contre l'humanité, et j'espère que les individus responsables seront finalement tenus responsables et reconnus coupables d'une telle accusation. Comme l'a noté McCullough :

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  16. « Comment pourrait-on avoir une grande enquête clinique, demander aux individus de signer un consentement, puis ne fournir aucun mécanisme de sécurité, vraiment ne rien fournir en ce qui concerne la sécurité des individus ? Tout dans le vaccin est une question de sécurité. Les rapports accumulés sont si volumineux que si les parties prenantes voulaient faire valoir que les vaccins sont sûrs, elles devraient le faire avec des données.

    Ils ne le font pas, ils disent simplement que les vaccins sont sûrs. Et les sociétés médicales sont tout aussi complices. Si vous allez à l'American Medical Association, à l'American College of Physicians, à l'American College of Obstetricians and Gynecologists, ils disent la même chose : « Le vaccin est sûr. Au sein de ces organisations également, il y a un grand nombre d'individus qui vont devoir répondre [de leurs actions]. »

    La protéine de pointe n'est pas un remède ; C'est un agent de la maladie

    Au 18 juin 2021, nous avions 387 087 rapports d'événements indésirables déposés auprès du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), dont 6 113 décès, dont une grande partie se sont produits dans les jours suivant l'injection, et 6 435 réactions mettant la vie en danger.5

    Nous avons également de très bonnes preuves suggérant qu'il s'agit d'un sous-dénombrement flagrant, en partie en raison de la sous-déclaration générale et en partie du refus du VAERS d'accepter les rapports – en particulier ceux impliquant des décès – et du nettoyage des rapports qui ont déjà été déposés. Ainsi, ces chiffres déjà alarmants ne représentent probablement que la pointe de l'iceberg.

    «Nous avons des problèmes brûlants, comme les enfants et les jeunes adultes qui développent une myocardite, une inflammation du cœur. Je viens de voir un tel patient hier », dit McCullough. «Ce sont des cas avérés. Ce n'est pas faire semblant. C'est pour de vrai.

    Alors, vous pouvez vous poser la question, comment diable cela pourrait-il se produire? Eh bien, le premier élément de ce qui se passe est les vaccins tels qu'ils existent aujourd'hui, que ce soit l'ARN messager, ou l'ADN adénoviral, le mécanisme d'action n'est pas sûr. Le mécanisme d'action présente un danger biologique.

    Ces vaccins incitent tous le corps à fabriquer la protéine de pointe du virus. La protéine de pointe elle-même est pathogène. C'est en fait ce qui rend le virus dangereux. Il a fait l'objet de recherches de gain de fonction. Donc, il a un mécanisme d'action dangereux. Pourquoi? Parce que la protéine de pointe est produite de manière incontrôlée. Ce n'est pas comme un vaccin contre le tétanos où il n'y a qu'une certaine quantité de protéines qui est injectée.

    Il s'agit d'une quantité incontrôlée de protéine de pointe. Probablement que chaque personne est différente, donc peut en avoir une production [inférieure]. Ils ont très peu de symptômes après le vaccin, ils vont bien.

    Espérons que c'est la majorité des individus, mais il y a des individus malheureux qui doivent avoir une quantité massive de protéine de pointe, et cette protéine de pointe ravage le corps partout où la protéine de pointe est fabriquée localement, et nous savons que l'ARN messager et l'ADN adénoviral sont distribués dans tous les organes.

    Donc, si l'ARN messager est présent dans le cerveau et que nous commençons à produire des protéines de pointe dans le cerveau, nous provoquons une lésion cérébrale locale. Il y a maintenant des cas de lésions neurologiques bien décrits avec le vaccin. Beaucoup d'entre eux. Au cœur, il provoque une myocardite et des lésions cardiaques. Dans le foie, il provoque des lésions hépatiques, dans les poumons, des lésions pulmonaires, dans les reins, des lésions rénales.

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  17. Et très important, la protéine de pointe endommage les cellules endothéliales et provoque la coagulation du sang. Ainsi, la coagulation du sang, la complication redoutée de l'infection elle-même, est maintenant causée par le vaccin. Tout ce que nous avons découvert sur le vaccin depuis sa sortie est mauvais. »

    À quoi pouvons-nous nous attendre à l'avenir ?

    Au-delà de la phase de blessure aiguë, il existe une possibilité très réelle de risques pour la santé à long terme. Si vous passez les deux premiers mois sans problèmes importants, vous n'êtes toujours pas sorti du bois. Ma principale préoccupation est la possibilité d'une amélioration immunitaire paradoxale (PIE), également connue sous le nom d'amorçage pathogène, ou d'amélioration dépendante des anticorps (ADE), qui entraîne essentiellement une cascade de réactions immunologiques excessives qui finissent par vous tuer.

    [La campagne de vaccination COVID] restera dans l'histoire comme la plus grande catastrophe de sécurité des produits biologiques médicaux de l'histoire de l'humanité, de loin. Il n'y a rien de proche… Vous pouvez imaginer combien de têtes vont tomber lorsque cette chose arrivera finalement à sa finalité. ~ Dr Peter McCullough
    L'automne et l'hiver 2021 seront notre premier « essai par le feu ». Nous devrons simplement attendre et voir combien de personnes entièrement «vaccinées» finiront par succomber à la grippe saisonnière et à d'autres infections. Cela nous donnera une référence pour la prévalence de la PIE. Lorsqu'on lui demande ce qu'il prédit pour l'avenir, McCullough répond :

    « Nous sommes tellement occupés par la toxicité aiguë du vaccin. Nous sommes juste absolument dépassés, donc, il est difficile d'imaginer dans trois à six mois où nous serons… Il y a des indices en ce moment que l'ARN messager ne se décompose pas en quelques jours, que les systèmes d'élimination naturels que nous avons car l'ARN messager ne fonctionne pas [pour l'ARNm synthétique].

    Maintenant, nous ne savons pas pour l'ADN adénoviral. J'ai une opinion plus favorable des produits d'ADN adénoviraux dans le sens où peut-être le corps… peut lutter contre cela et s'en débarrasser. Le Johnson & Johnson, par nombre d'injections, a le moins de complications. Et la plupart des Américains pensent exactement le contraire à cause de cette activité de mauvaise direction.

    Je pense que les parties prenantes du vaccin ont intentionnellement choisi Johnson & Johnson afin de détourner l'attention des terribles événements de sécurité que nous avons vus avec Pfizer et Moderna. La grande majorité de toute la dévastation que nous avons vue est avec Pfizer et Moderna…

    Lorsque vous générez une réponse anticorps très forte, elle est en fait plus pathogène. La croyance est qu'elle est plus pathogène que l'infection naturelle, car nous voyons des syndromes chez les victimes du vaccin qui sont bien pires que le COVID-19 lui-même. Je veux dire, les syndromes sont en fait horribles.

    J'ai vu la cécité neurologique, la myélite cervicale, le syndrome cérébelleux. C'est absolument horrible. Cela dépend où va l'ARN messager… et tout ce que je peux assembler biologiquement, et ce que je vois cliniquement, c'est que les vaccins ne vont pas fonctionner mais pendant quelques mois…

    Après le premier coup d'ARNm, on est en fait plus sensible au COVID-19. Cela a été montré maintes et maintes fois. Ma première éruption cutanée de patients atteints de COVID-19 post-vaccination dans ma pratique était toujours après la première injection. La théorie ici est que le corps a été touché par l'ARN messager, que la protéine de pointe est générée, qu'elle endommage certaines cellules endothéliales et qu'une bibliothèque immature d'anticorps se forme.

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  18. Et ces anticorps, au lieu de protéger contre la prochaine exposition au COVID-19, facilitent en fait l'entrée. C'est ce qu'on appelle l'amélioration dépendante des anticorps, et je pense qu'il y a des preuves pour cela… Quant à ce à quoi nous pouvons nous attendre à long terme, c'est à deviner.

    Les risques à long terme sont inconnus

    Avant l’arrivée de COVID, la FDA exigeait des fabricants de vaccins qu’ils fournissent 24 mois de données avant de l’autoriser. Cela a été tronqué à deux mois pour les tirs COVID. Ainsi, quiconque dit que les tirs sont sûrs à long terme ment parce qu'aucune donnée de ce type n'existe pour le prouver.

    « Le formulaire de consentement dit : ‘Nous ne savons pas si cela va fonctionner, nous ne savons pas si cela va durer et nous ne savons pas si ce sera sûr.’ Ils disent cela. Donc, toute personne qui prend le vaccin va devoir y réfléchir et comprendre que nous ne savons rien au-delà de deux mois.

    Compte tenu de tous les risques à court terme, s'il y a des risques à long terme, cela aggrave absolument cette inconnue. Ce que je sais d'après la littérature actuelle, c'est qu'il pourrait y avoir un risque étant donné le spectre étroit de la couverture immunologique… Il pourrait y avoir une immunité si étroite qu'une souche plus virulente pourrait la submerger…

    La variante la plus récente est la variante Delta. C'est la plus faible de toutes les variantes et la plus facile à traiter. Mais si quelqu'un, disons une entité néfaste, créait un virus plus virulent, il pourrait facilement être conçu pour dépasser une immunité très étroite à laquelle des centaines de millions, voire des milliards de personnes, seront liés avec une immunité étroite. »

    Les modifications de l'ADN, le cancer et les maladies chroniques sont des effets possibles

    McCullough discute également du risque que ces injections d'ARNm soient incorporées de manière permanente dans votre ADN par le biais de la transcriptase inverse.

    "Il y a maintenant eu suffisamment d'études pour suggérer qu'il existe une transcription inverse - qu'en fait, l'ARN crée de l'ADN, puis l'ADN est définitivement inséré dans le génome humain", explique-t-il.

    « Nous le savons grâce à l'infection naturelle. Le test T-Detect vérifie en fait les cellules T lorsqu'il suit l'ADN. Il s'agit d'un test commercial que vous pouvez obtenir si vous aviez COVID-19, et il recherche des réarrangements chromosomiques mineurs qui codent pour les récepteurs de la surface cellulaire sur les lymphocytes T. »

    La question est, si l'ARNm synthétique ou les ADN adénoviraux créent en fait des modifications permanentes du génome, quels effets cela aura-t-il ? Pourrait-il favoriser le cancer, par exemple ? McCullough cite un article récent indiquant que la protéine de pointe pourrait en fait affecter deux gènes suppresseurs de cancer importants.

    "C'est inquiétant parce que nous utilisons du nouveau matériel génétique et il est possible qu'il soit oncogène. Nous savons que d'autres virus sont oncogènes, notamment le virus d'Epstein-Barr. Ainsi, lorsque cet article a été publié, nous avons dit : « Oh non, est-ce que nous mettons en place des personnes pour le risque de cancer des organes solides, comme le cancer du sein, le cancer du côlon, le cancer du poumon, et cetera ».

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  19. C'est un sentiment malade ce que nous avons appris là-bas. Nous comprenons maintenant qu'il doit y avoir des dommages cellulaires qui se produisent avec cette protéine de pointe à l'intérieur des cellules. Et que s'il n'est pas désactivé, cette génération de protéines de pointe pourrait aboutir à un type de maladie chronique.

    Certains éléments de la protéine de pointe sont similaires aux prions présents dans les maladies neurologiques, par exemple. Il peut y avoir des changements intracellulaires car le corps continue de lancer la protéine de pointe que vous n'êtes pas censé lancer, ce qui provoque d'autres problèmes dans les cellules…

    On pense à l'évolution future de l'insuffisance cardiaque, des maladies gastro-intestinales, de la fibrose pulmonaire, des maladies neurodégénératives. Nous pourrions être au début d'un tout nouveau genre de maladie chronique en Amérique en raison de cette expérimentation de masse de produits génétiques dans le corps humain.

    Impossible pour le programme de vaccination d'améliorer la courbe de la maladie

    Dans un monde sain d'esprit et rationnel ne travaillant pas sous un programme caché pour tuer une partie de la population, ces tirs n'auraient été déployés qu'aux individus les plus à risque. Le reste de la population aurait été exclu de l'expérience.

    Rappelez-vous que les essais d'injection de COVID ont amalgamé le risque absolu et relatif. Pfizer a affirmé que son injection d'ARNm était efficace à 95 %, mais c'était la réduction du risque relatif - la réduction du risque absolu était en fait inférieure à 1 %.6 Comme l'a noté McCullough, les adultes en bonne santé de moins de 50 ans, les adolescents et les enfants ont moins de 1% d'hospitalisation et de décès dus au COVID-19, de sorte qu'ils n'en ont pas besoin d'un point de vue médical.

    « Vous ne pouvez pas réduire de moins de 1 % la taille et faire en sorte que cela soit cliniquement significatif. C'est la raison pour laquelle le programme de vaccination n'aura jamais d'impact sur les courbes épidémiologiques. Le Dr [Ronald] Brown du Canada a fait l'analyse. C'est impossible.

    Quelqu'un m'a envoyé un e-mail l'autre jour [en disant] : "Dr. McCullough, ne pensez-vous pas que la pandémie est favorablement impactée par le programme de vaccination ? » La réponse est non. Nous regardons les essais cliniques. Il y a moins de 1% de réduction du risque absolu. Cela signifie que, mathématiquement, il est impossible que la vaccination de masse ait un impact favorable sur la population. »

    COVID Shot peut augmenter votre risque de décès par COVID

    Pire encore, McCullough cite des données montrant que ceux qui se sont fait vacciner et se retrouvent de toute façon avec COVID-19 ont des taux d'hospitalisation et de décès beaucoup plus élevés.

    « Le CDC était tellement submergé [de rapports défavorables] qu'ils ont abandonné. Dieu sait combien de dizaines ou de centaines de milliers d'Américains ont été vaccinés et ont quand même reçu le COVID-19. Cela ressemble à un COVID ordinaire. Dans les données dont ils disposaient, il s'agissait d'un risque d'hospitalisation de 9 %, puis d'un risque de décès de 3 %.

    Cela signifie qu'en prenant l'injection, vous échangez un risque de décès de 0,26 %7, si vous contractez COVID-19, contre un risque de décès de 3 % si vous êtes infecté. Si vous avez moins de 40 ans, vous échangez un risque de décès de 0,01 %8 contre un risque de 3 %.

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  20. La voie à suivre exige que nous disions simplement non

    Si vous voulez en savoir plus sur ce que McCullough a à dire, vous pouvez trouver son podcast, The McCullough Report, sur America Out Loud. Chaque semaine, il s'entretient avec des experts médicaux de différents pays pour obtenir un éventail de perspectives et d'approches innovantes. En terminant, il note :

    « Mon point de vue personnel est que je pense que le programme de vaccination a été un désastre. Nous aurions dû simplement traiter le COVID-19 comme une maladie. Nous n'aurions jamais dû fermer les écoles ou quoi que ce soit d'autre. Rien de tout cela ne porte de masques. Nous aurions dû simplement traiter le problème aigu et nous nous serions sortis de la pandémie. »

    Quant à la façon dont nous avançons, tout d'abord, nous devons arrêter la blessure aiguë, et cela signifie que nous devons arrêter de prendre ces injections COVID. Au-delà de cela, nous devrons expérimenter pour déterminer les meilleurs moyens de bloquer les dommages causés par la protéine de pointe, aussi longtemps qu'elle est produite et reste en circulation.

    "S'il y a une mère qui craint que son enfant ne développe une myocardite, le moyen de l'éviter est tout simplement de ne pas amener votre enfant dans un centre de vaccination", explique McCullough.

    « Tout le monde va devoir apprendre à dire non. Nous ne pouvons pas être blessés par le vaccin si nous le refusons simplement. Et le vaccin est complètement électif. Le CDC, le NIH, la FDA, ils ont tous dit que c'était facultatif. Vous n'êtes pas obligé de le prendre. Ces agences, en passant, ne le prennent pas.

    Donc, personne n'a à le prendre. Et tous ceux qui sont dans une école ou une université, ou un lieu de travail où ils disent que vous devez le prendre, ou disent que vous devez le prendre pour voyager, la réponse est non, vous ne le faites pas. Vous n'êtes pas obligé de l'emporter pour voyager. Et oui, vous pouvez vous présenter au travail sans vaccin. Et oui, vous pouvez vous présenter à l'école sans vaccin.

    Ce sont des formes d'intimidation et presque chacune de ces institutions n'a en fait pas rédigé de politique. Et s'ils n'ont pas de politique approuvée avec des exemptions justes, ce n'est que de l'intimidation. C'est comme dire que vous ne pouvez pas vous présenter au travail avec une cravate bleue. Si je veux porter une cravate bleue, je vais me présenter au travail avec une cravate bleue.

    Je pense que les Américains vont devoir avoir ce type de colonne vertébrale pour briser cette vague de propagande, [cette] mauvaise intention qui est exercée sur le peuple américain. Je connais tellement de gens qui se recroquevillent… La peur est extraordinaire…

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  21. Si nous avions mis en place un rapport de surveillance de la sécurité des données, ils auraient organisé des réunions d'urgence à la fin du mois de janvier 2021 et auraient dit : « Vous savez quoi ? Ce que nous voyons n'est pas bon. » Nous pouvons en fait calculer ce qu'on appelle l'intervalle de compétence.

    Lorsque nous dépassons un intervalle de compétence pour des risques supérieurs à une certaine limite de risque, nous l'appelons, et cela [intervalle de compétence a été dépassé] le 22 janvier 2021. Pourtant, nous voici, cinq mois plus tard. Cela restera dans l'histoire comme la plus grande catastrophe de sécurité des produits biologiques médicaux de l'histoire de l'humanité, de loin. Il n'y a rien de proche… Vous pouvez imaginer combien de têtes vont tomber lorsque cette chose arrivera finalement à sa finalité.

    Sources and References

    1 American Journal of Medicine January 2021; 134(1): 16-22
    2, 3 Reviews in Cardiovascular Medicine 2020; 21(4): 517-530
    4 A Guide to Home-Based COVID Treatment (PDF)
    5 MedAlerts VAERS data as of 6/18/21
    6 The BMJ Opinion November 26, 2020
    7, 8 Annals of Internal Medicine September 2, 2020 DOI: 10.7326/M20-5352

    https://www.lewrockwell.com/2021/07/joseph-mercola/what-you-need-to-know-about-early-at-home-covid-treatment/

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    1. Vaccination de masse
      Exécution de masse

      Cela représente pour 7 milliards d'habitants une pyramide (triangle équilatéral) aux côtés de 45 km.

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  22. Les décès post-vaccins post-COVID ne sont pas autopsiés – pourquoi ?


    Vendredi 09 juillet 2021
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Le Dr Jane Orient, MD, directrice exécutive de l'Association of American Physicians and Surgeons (AAPS), veut savoir pourquoi le système médical refuse d'effectuer des autopsies sur les corps des personnes décédées peu de temps après avoir « » vacciné » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).

    Toute l'année dernière, le gouvernement et les médias nous ont dit que chaque décès, quelle qu'en soit la cause, était le résultat d'un « covide ». C'était avant que les « vaccins » ne fassent leur apparition, bien sûr.

    Maintenant, malgré des preuves prolifiques que les injections provoquent des maladies et des décès de masse, le système médical refuse de reconnaître ce fait et attribue toujours tous les décès au « covid ».

    Il y a un refus systématique parmi ceux qui appellent les coups de feu de considérer même que les vaccins contre la grippe Fauci pourraient propager les «variantes» et faire mourir certaines personnes de divers effets secondaires connus. Et le Dr Orient veut des réponses.

    "Des milliers de personnes en bonne santé meurent de manière inattendue, mais nos agences de santé publique nous assurent que leur décès n'a pas été causé par le jab COVID", a écrit le Dr Orient dans un commentaire pour WND.

    « Le bilan des décès post-vaccination a atteint près de 7 000, selon le Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS). C'est le meilleur système que nous ayons, même s'il rate 90 % ou plus des événements réels. »

    Le Dr Orient n'a vu qu'une seule autopsie post-injection réalisée jusqu'à présent
    Sur les dizaines de milliers de décès qui ont été signalés en conjonction avec les vaccins Trump, un seul que le Dr Orient connaît impliquait une véritable autopsie, par opposition à un « certificat de décès » discutable et facilement manipulable.

    Ce patient en particulier n'avait reçu qu'une seule dose de l'injection d'ARNm de Pfizer et de BioNTech et est décédé avant de recevoir la seconde. Malgré un test « positif » sur un faux test PCR pour le SRAS-Cov-2, cette personne n'a montré aucun signe réel d'infection.

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  23. D'un autre côté, le corps d'une mère de 45 ans décédée de problèmes cardiaques et d'un gonflement du cerveau à la suite de son jab, qui l'obligeait à commencer un nouvel emploi à l'Université Johns Hopkins, ne subira probablement pas d'autopsie. , même s'il est évident qu'elle est morte de l'injection.

    « Il y aura des larmes et des fleurs, mais probablement pas d'autopsie – et aucune pause dans les prises de vue demandées aux mères et aux mères potentielles si elles veulent travailler à JHU », a déclaré le Dr Orient.

    Même si le Dr Orient a reçu sa formation médicale bien avant que les tomodensitogrammes et les IRM n'existent, elle dit qu'elle et ses collègues devaient toujours essayer de poser un diagnostic précis avec chaque patient. Ce n'est plus le cas à l'ère du virus chinois.

    «Nous avons dû appeler le médecin légiste, qui déciderait si une autopsie était indiquée», dit-elle. « Tout ce qui était potentiellement lié au décès, comme des flacons de pilules, était une preuve. »

    « Si une injection avait été faite, le flacon serait récupéré si possible. Avec les vaccins, on est censé enregistrer le numéro de lot, il serait donc possible de vérifier un échantillon pour les contaminants. »

    Comparez cela à maintenant, lorsque les personnes décédées dans des accidents de voiture ou des blessures par balle sont répertoriées dans les registres officiels comme des « décès de covid ». Nous sommes entrés dans l'ère de l'enfer de la pseudoscience, où rien n'est réel, tout est faux, et la plupart des gens l'acceptent comme si tout allait bien.

    "Malheureusement, les taux d'autopsie sont passés de 25% à moins de 5% au cours des quatre dernières décennies", déplore le Dr Orient, notant qu'une fois de plus l'argent joue un rôle énorme dans le processus de prise de décision. "Ce n'a jamais été un générateur de revenus pour personne, sauf les avocats pour faute professionnelle."

    Des informations supplémentaires sur la tromperie entourant les injections de coronavirus de Wuhan (Covid-19) peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.

    Les sources de cet article incluent :

    WND.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-07-09-post-covid-vaccine-deaths-not-being-autopsied.html

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    1. Pareillement que le bruit court d'imposer le vote obligatoire et de le faire... sur machines !!! chaque électeur n'aura droit qu'à 2 boutons: Le bouton MERDE ou le bouton MERDE. Lequel choisir ?

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  24. Une vue à contre-courant


    Par Paul Hein
    12 juillet 2021


    La naissance de l'insecte

    Certains commentateurs de l'actualité semblent déterminés à nous faire croire que le virus Covid (s'il existe !) est d'origine chinoise. Ils semblent obsédés par cette idée, faisant même référence au virus comme au « virus chinois » ou au « virus de Wuhan ». Peut-être qu'ils protestent trop ! Peut-être que le virus est d'origine américaine !

    Je n'ai aucune base scientifique pour cette croyance, ni aucune autre base. Elle est plutôt fondée sur la présomption courante que si A accuse constamment B d'être un voleur, peut-être A lui-même est-il l'auteur du délit. Curieusement, les plus véhéments pour affirmer l'origine chinoise du virus aiment à nous dire que les démocrates accusent les républicains de ce dont ils – les démocrates – sont coupables. Peut-être que les États-Unis utilisent la même tactique.

    Pourquoi les chinois inventeraient-ils ce virus ? S'il a été créé comme une arme, c'est une arme pathétique, avec un taux de mortalité de moins d'un pour cent parmi ses "victimes". Il existe déjà de nombreux organismes beaucoup plus dangereux avec lesquels mener une guerre des germes que Covid-19. Et pour autant que je sache, il est impossible de former un germe pour infecter uniquement vos ennemis, et non vos amis. Attaquer vos ennemis avec des germes est une entreprise dangereuse et risquée.

    Cui bono ?

    Alors pensons à l'impensable : peut-être que les États-Unis sont le créateur du virus (s'il existe !) Utilisant le virus comme excuse, nos dirigeants nous ont fait porter des masques, (augmentant considérablement notre consommation de gaz carbonique, tout en réduisant la consommation d'oxygène) garder six pieds les uns des autres (pas 5,7 pieds ou 6,8 pieds) et nous mettre en quarantaine (bien que dans l'histoire ce soient les malades qui ont été mis en quarantaine, pas les sains). Les dirigeants savaient-ils que ces mesures étaient peu ou pas bénéfiques ? Bien sûr qu'ils l'ont fait, étant malveillants, pas stupides. Il n'y avait pas de telles restrictions pendant la grippe porcine ou la grippe aviaire. Alors pourquoi maintenant ?

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  25. Le temps est venu pour le Repos, l'arrivée de l'Amérique soviétique. Les dirigeants se sont assurés que le peuple obéira aux ordres, même s'ils sont donnés par ceux qui n'en ont pas l'autorité. Ils accepteront même avec enthousiasme un « vaccin » d'ARNm – un modificateur génétique – qui fera beaucoup plus de mal que de bien. Les allocations du gouvernement empêchent des milliers de personnes de travailler, car il est idiot de travailler quand vous gagneriez moins que ce que vous gagnez au chômage. Créer une dépendance vis-à-vis du gouvernement est un programme cher au cœur des dirigeants. Le but ultime est grandiose : l'éradication de la civilisation occidentale, en particulier du christianisme. Une révolution profonde est en cours sous nos yeux, et beaucoup ne la voient pas. Malheureusement, de nombreux chefs religieux sont complaisants à ce sujet. Seraient-ils bénéficiaires de prestations gouvernementales ? Certes, les évêques catholiques ferment des églises sur ordre d'un bureaucrate, sans hésiter tout en acceptant des millions des dirigeants pour les programmes sociaux de l'Église.

    On ne peut pas servir Dieu et Mammon. Dans la lutte actuelle pour les âmes des hommes, Mammon est clairement en train de gagner, et Covid lui a donné l'arme avec laquelle décrocher sa victoire. Il est aidé dans son travail par ceux que Lénine qualifie d'« idiots utiles ».

    Qu'en est-il de ce reste qui résiste aux ordres du maire ou du gouverneur et remet en question la véracité des dirigeants ? Ah, pour ça il y a la guerre. En temps de guerre, nous devons tous travailler ensemble, au coude à coude, unis pour une cause commune : la défaite d'un ennemi mortel. Nous sommes endoctrinés à considérer la Chine comme cet ennemi, et comme le montrent les restrictions de Covid, nous croirons ce qu'on nous dit. Et la guerre met beaucoup de monde au travail. La guerre ne manque jamais de satisfaire les besoins des dirigeants. Il attend dans les coulisses maintenant, pour être amené sur scène quand et si nos dirigeants le jugent nécessaire.

    https://www.lewrockwell.com/2021/07/paul-hein/a-contrarian-view/

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    1. Remarquons que les 'virus' ne circulent et n'attaquent qu'après 18 h jusqu'à 6 h du matin. Qu'ils ont maintenant des uniformes différents pour les distinguer d'autres Collèges et qu'ils portent des armes différentes (règle, équerre, compas, crayon, canif, Glock, etc) et se battent chacun à leur tour. Tirage au sort du qui commence ?

      Les profs sont là pour débusquer les petits malins qui vont se planquer dans les chiottes !

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