Les mondialistes auront besoin d'une autre crise en Amérique car leur programme de réinitialisation échoue
Par Brandon Smith Alt-Markert.us 19 avril 2021
Cela peut ressembler à de «l'exceptionnalisme américain» de le souligner (… et à quel point j'ose oser), mais même si la réinitialisation mondialiste réussit dans tous les autres pays de la Terre, les mondialistes sont toujours des échecs s'ils ne peuvent pas sécuriser et subjuguer les Américains. Comme je l'ai noté à plusieurs reprises dans le passé, la majeure partie du monde a été suffisamment désarmée, et même si nous constatons une résistance dans plusieurs pays européens contre la législation sur la vaccination forcée et la tyrannie médicale, il est peu probable qu'ils aient la capacité de le faire, repousser un plein en marche vers le totalitarisme. La plupart de l'Asie, de l'Inde et de l'Australie sont déjà bien sous contrôle. L'Afrique est presque une réflexion après coup, étant donné que l'Afrique est le pays où de nombreux vaccins suspects sont testés.
L'Amérique représente le seul obstacle important à l'ordre du jour.
Les Américains conservateurs en particulier ont été une épine dans le flanc des mondialistes pendant des générations, et cela revient vraiment à une simple question d'exclusion mutuelle: vous ne pouvez pas avoir une société ouvertement mondialiste et des idéaux conservateurs en même temps au même endroit. C'est impossible.
Les conservateurs croient en un gouvernement limité, de véritables marchés libres, la liberté individuelle, la valeur de la vie, la liberté d'expression, les droits de propriété privée, le droit à la légitime défense, le droit à l'autodétermination, la liberté de religion et le principe de non-agression (nous ne vous fera pas de mal à moins que vous n'essayiez de nous nuire). Aucun de ces idéaux ne peut exister dans un monde mondialiste parce que le mondialisme est au cœur de la poursuite d'une tyrannie entièrement centralisée.
Il y a des gens sur cette planète qui ne se contentent pas de vivre leur vie, de prendre soin de leur famille et de faire leur marque pacifiquement. Ils ont soif de pouvoir sur tout le reste. Ils veulent désespérément avoir un contrôle sur vous, sur moi, sur tout, et ils utiliseront tous les moyens à leur disposition pour l'obtenir. Je comparerais cela à une sorte de toxicomanie; Les globalistes sont comme des accros au crack, ils ne peuvent jamais avoir assez de pouvoir, il y a toujours quelque chose de plus à prendre.
Ils se disent et disent aux autres qu'ils sont des «philanthropes», qu'ils «savent ce qui est le mieux» pour le reste d'entre nous. Ils se croient supérieurs et c'est donc leur «destin» de dicter et de micro-gérer la société pour le «plus grand bien» de nous tous. Mais vraiment, lorsque nous sommes témoins de leurs méthodes, il devient clair qu’ils n’ont pas de nobles aspirations. Ils n'ont ni empathie ni honneur. Ils ne se soucient pas de l’être humain moyen, ni de l’environnement, ni de l’économie ou de la société en général. Ils ne se soucient que d'eux-mêmes et de leurs illusions de grandeur. Ces personnes sont un cancer sur le reste de la civilisation.
Ils semblent être particulièrement obsédés par la déconstruction et le sabotage de l'Amérique dans la poursuite de leur réinitialisation mondiale. Les vrais philanthropes n'auraient pas de problème si quelqu'un ne voulait pas accepter leur «charité», mais les psychopathes ne peuvent pas accepter qu'un groupe de personnes les rejette ainsi que leur idéologie. Vous n'êtes pas autorisé à vous en éloigner. Vous n'êtes pas autorisé à faire les choses à votre façon. Vous devez être obligé de vous conformer. L'ordre du jour ne fonctionne que si TOUT LE MONDE se soumet.
Malheureusement pour les globalistes, la réinitialisation ne fonctionne pas pour eux partout. Aux États-Unis, l'agenda échoue lamentablement par rapport à l'Asie et à certaines parties de l'Europe.
Comme le chef du Forum économique mondial, Klaus Schwab, aime tellement nous le rappeler, la pandémie de Covid est «l'occasion parfaite» pour faire avancer les plans mondialistes pour une réinitialisation totale de l'économie humaine et de la société. Pour les mondialistes, la crise est une panacée, une porte vers leur version d'un monde meilleur. Ils aiment la pandémie, ils n'en sont pas affligés.
Le problème est que cela ne fait pas assez de dégâts ou ne terrifie pas assez de gens.
Considérez la simulation de la pandémie de coronavirus Event 201 - Elle a été organisée par le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates seulement deux mois avant que la vraie chose ne se produise «par hasard» au début de 2020. comment les élites prévoyaient de garder le public sous contrôle. La suppression des médias alternatifs et la censure dans les médias sociaux a été longuement discutée. Les voix dissidentes doivent être réduites au silence si la réinitialisation doit prévaloir.
Un facteur dans la simulation de l'événement 201 qui ne s'est jamais joué, cependant, était les projections du WEF sur les décès. Le jeu de guerre a suggéré au moins 65 millions de décès initiaux dus à la pandémie. Les premières projections sur le taux de mortalité suggéraient 2 % à 3 % de la population ou plus. Les mêmes projections ont été répétées par l’Organisation mondiale de la santé de l’ONU lorsque la véritable pandémie a été révélée pour la première fois au public.
Au lieu de cela, Covid-19 a été une déception pour les mondialistes, avec un taux de mortalité minime d'environ 0,26 % en dehors des maisons de retraite. Cela signifie que 99,7 % de la population n'a pas à s'inquiéter de la part de covid. Des millions d'Américains deviennent avertis de la situation et refusent de se conformer aux mandats sur un virus qui n'est pas une menace.
Au lieu de reculer sur le schéma de réinitialisation, les globalistes continuent de doubler. Pourquoi ? Parce qu'ils n'ont pas d'autre choix. Ils ont laissé le chat sortir du sac et des grosses gueules flamboyantes comme Klaus Schwab ont dit au monde exactement quel était le plan. S'ils se retirent maintenant, ils n'auront JAMAIS une autre chance de mettre en œuvre un plan de centralisation mondiale; une prise massive qui nécessite une tyrannie médicale pour empêcher la rébellion.
Vous voyez, si le taux de mortalité avait été considérablement plus élevé que 0,26 % et que le covid représentait une menace légitime, alors peut-être qu'une plus grande partie de la population américaine aurait été à bord avec des restrictions à plus long terme et des passeports médicaux. Peut être pas. Il n'en demeure pas moins que 40 % des décès ont eu lieu dans des maisons de retraite chez des patients atteints de maladies préexistantes, le taux de mortalité en dehors de ces établissements est minime, les mandats de masque se sont avérés totalement inefficaces et les États restés ouverts et supprimés les mandats de masque ont CHUTE les taux de mortalité et d'infection par rapport aux États qui appliquent des verrouillages.
Le récit de la peur s'effondre. Les États à travers les États-Unis s'ouvrent et refusent de mettre en œuvre des mandats inutiles. Dans mon état d'origine, le Montana, les législateurs et le gouverneur adoptent des lois qui interdisent l'application des passeports médicaux. Même les grandes entreprises ne sont pas autorisées à exiger des passeports vaccinaux des clients ou des employés.
En plus de cela, 40 % à 50 % de la population américaine dans les sondages refusent de se conformer au déploiement des vaccins ou aux passeports médicaux. Pourquoi se faire vacciner contre un virus dont 99,7 % de la population n'est de toute façon pas affecté ?
Le gabarit est en place. Les mondialistes vont avoir besoin d'une autre crise s'ils espèrent imposer de nouveaux verrouillages aux États-Unis, ainsi que des passeports médicaux et le désarmement. Ne soyez pas surpris s'il y a plus de chaos d'ingénierie dans les mois d'été. Mais à quoi ressemblera la prochaine crise ? Je pense que nous voyons déjà les signes…
Mutations Covid
Les médias grand public poussent un récit non-stop sur le battage médiatique de la mutation covid. Nous entendons parler des variantes britanniques et brésiliennes sur une base hebdomadaire, et l'affirmation a été que ces variantes seront sûrement plus infectieuses et plus mortelles que le virus d'origine. Il n’y a toujours aucune preuve pour le confirmer, mais les mondialistes se soucient seulement de planter l’idée dans la tête des gens. Ils ne se soucient que de raviver la peur.
Mon sentiment est que cette stratégie va échouer, du moins aux États-Unis. Trop d'Américains sont conscients du jeu de l'escroc, et une nouvelle menace virale n'aura pas le même effet que Covid-19 dans les premiers mois de la pandémie. Aucun de nous ne savait vraiment à quoi nous étions confrontés à l'époque, et la prudence était une réponse pratique. Aujourd'hui, nous savons pertinemment que le covid ne préoccupe pas la grande majorité du public. Les tentatives des médias pour amplifier la menace seront inefficaces, mais ils essaieront bien sûr toujours.
Émeutes BLM
C'est la prochaine tactique évidente de la part de l'establishment. De nombreux responsables de l'État soutiennent ouvertement de nouvelles émeutes à travers le pays en raison d'une récente fusillade de la police dans le Minnesota. La fusillade elle-même était accidentelle, le suspect ayant violemment résisté à son arrestation et sautant dans sa voiture. Une femme officier a saisi son pistolet dans un état de panique au lieu de son taser et a tiré.
Cet événement n'avait rien à voir avec le racisme, ni avec la brutalité policière. Mais cela n’empêche pas des groupes marxistes comme BLM d’en profiter et d’en faire une question de «suprématie blanche». Le vrai danger d'agitation arrivera cependant à la clôture du procès Derek Chauvin.
À la fin du procès, des preuves ont été révélées que George Floyd était impliqué dans une forte consommation de drogues et le médecin légiste a indiqué que cela, ainsi que les maladies cardiaques, contribuaient à la mort de Floyd. Une «boule de vitesse» contenant du fentanyl a également été découverte à l'arrière de la voiture de police dans laquelle Floyd était à l'origine immobilisé. Ainsi, même si la tactique du genou au cou de Derek Chauvin a aidé à tuer Floyd, il est peu probable qu’un jury le condamne pour meurtre au premier ou au deuxième degré sur la base des preuves. Des accusations moindres déclencheront sans aucun doute davantage d'émeutes BLM.
Idéalement, ces événements de poudrière se déroulent au début des mois chauds du printemps et de l'été, moment privilégié pour les émeutes.
Je crains que les troubles civils ne puissent se propager et se propager aux États-Unis jusqu'à ce que les citoyens ordinaires commencent à prendre les choses en main. Et, bien sûr, toute communauté qui tente de se défendre contre le pillage et la destruction sera accusée d '«agression raciste» - À ce moment-là, l'administration Biden tentera alors d'affirmer l'autorité d'instituer des mesures de loi martiale dans diverses régions. Ceci, combiné avec de nouvelles tentatives de verrouillage de covid, est un scénario très probable.
Tout comme la simulation de l'événement 201 d'une pandémie de coronavirus a précédé la réalité de seulement deux mois, on craint que le prochain événement de simulation du Forum économique mondial ne soit également un précurseur d'une autre crise.
Cyber Polygon est un jeu de guerre organisé par le WEF en juillet dernier et destiné à simuler une cyberattaque majeure sur la chaîne d'approvisionnement mondiale et le système économique. Il y a eu des discussions interminables dans les médias au cours de l'année écoulée, suscitant des craintes de cyberattaques de la part de la Russie, de la Chine, de l'Iran et même de la Corée du Nord.
En ce qui concerne les menaces de la chaîne d'approvisionnement, je ne sais pas exactement comment une cyberattaque pourrait faire beaucoup pour perturber le transport maritime mondial, à moins que nous ne parlions d'un autre blocage sur une route maritime majeure comme le canal de Suez. Mais une attaque réussie contre les bourses dans des endroits comme Wall Street pourrait être dévastatrice. Je suggère de surveiller attentivement cet événement car il peut être conçu pour précéder une véritable cyberattaque cette année.
Tensions de la guerre mondiale
Les médias et l'administration Biden sont très occupés à essayer de créer des tensions avec la Russie au sujet de l'Ukraine. Il y a de nouvelles tensions entre l'Iran et Israël et une déstabilisation continue par l'Occident en Syrie. Et, un danger croissant de confrontation avec la Chine au sujet de Taiwan.
La guerre pourrait être le but, ou le but pourrait simplement être un conflit économique. Après tout, la Chine a déjà déversé des dollars et des bons du Trésor américain l’année dernière, et il ne faudrait pas grand-chose pour nuire au statut de réserve mondiale du dollar si la Chine et la Russie se diversifiaient toutes deux dans un panier de devises pour le commerce mondial.
Au-delà de cela, il y a de nombreux avantages pour les mondialistes à créer des guerres régionales et à entraîner les Américains dans des conflits inutiles. Par exemple, la menace de guerre pourrait être utilisée pour instituer un nouveau projet. Quelle meilleure façon de garder les Américains en particulier occupés et de les empêcher de se rebeller contre la réinitialisation que de les recruter afin qu'ils puissent mourir dans une guerre sans signification à l'étranger ?
Il y a aussi un avantage narratif aux tensions mondiales; lorsqu'ils sont confrontés à une menace étrangère, les Américains sont-ils plus susceptibles de rejeter les notions de rébellion contre les intrusions du gouvernement ? Je ne doute pas que l'establishment tentera de prétendre que le mouvement pour la liberté n'est pas un mouvement pour la liberté, mais un mouvement «astro-turf» créé par les Russes pour déstabiliser l'Amérique. Telle est la stratégie de propagande médiatique de gauche depuis des années maintenant; alors pourquoi s'arrêteraient-ils ?
L'essentiel est le suivant: l'Amérique est la cible principale des mondialistes parce que nous sommes l'un des seuls pays avec les moyens et les chiffres pour les arrêter et la réinitialisation. Tant qu'ils ne seront pas retirés de l'équation, ils continueront à nous lancer crise après crise pour nous épuiser et nous forcer à accepter le totalitarisme. Ne vous sentez pas trop à l'aise avec le fait que le programme de lutte contre la pandémie échoue ici; restez vigilant et continuez à organiser vos communautés.
Le mot 'socialisme' (comme le mot 'communisme') inclut, laisse à penser, qu'il s'agit là de société, de groupement d'intelligences, de discussions, de développement d'idées mises en commun, mais là où ces mots sont trompeurs c'est qu'ils n'incluent que le mot valeur, richesse et mises en groupe d'argents dont n'auront accès que des dirigeants (non élus démocratiquement).
Ainsi, pareillement, le mot 'capitaliste' qui laisse à penser que la richesse accumulée par tout le monde sera à disposition du dit riche. Or, là encore il s'agit d'un mot trompeur qui est détourné de son emphase grandiloquente de ses effets de gestes, pour ne laisser qu'aux propriétaires qu'une sombre espérance que ces évaluations lui rapporteront la totalité de ses capitaux. Ainsi, confondues, ces deux politiques du bien et du bien sont elles apostrophées par la dictature qui se dit de 'gérer le monde' ! Cherchez l'erreur.
Notez qu'en aucun cas la Démocratie (Par le Peuple, Pour le Peuple) n'y serait présente malgré que tous les pays du monde (à l'exception de la Suisse où elle est déjà) se disent d'être en Démocratie !! C'est là un savantissime débordement de locutions vides et sans intérêts qui s'attache à dévoyer les populations qui ne comprennent que les merdias observatoires. Suffit de voir les mesures prises extraordinairement contre un virus qui existe depuis des millions d'années et qui sera encore là dans des millions d'années. Ce dit virus (poussière expulsée éternellement par le magma qui la fait remonter en surface des eaux par ses propres gaz produits et qui, au gré des alizés, fera le tour du monde. Cette nano-particule métallique chargée d'énergie (dérivée d'Uranium ? Plutonium ?) n'en supportera ses effets que durant 3 semaines. Son rôle naturel d'émettrice sera de faire en premiers lieux parties de la vie sous-marine et sous-océanique sans que les poissons, coquillages & crustacés n'en soient atteint ni n'en meurent ! Çà alors ! - Phénomènes non-étudiés en laboratoires ! - Puis, se dispersant à la faveur des vents se répandra sur terre pour y être consommée. Nous respirons toutes & tous avec ou sans masque, 200 000 virus ou microbes par minute et 2 millions en activité physique.
Il ne peut donc être produit de vaccins contre elle en moins de 3 semaines. D'où l'inutilité de séances d'inoculation. Mais là où ce problème se différencie des autres millénaires est que ces dites nano-particules ont été ré-examinées (en laboratoires) et rechargées différemment afin qu'aucun remède ne puissent en empêcher leur pouvoir mortel, voire d'en saisir les objectifs réels qui est de transformer les êtres vivants en des laboratoires sur pattes et dirigés comme la dictature l'entend !)
Il y a là de par ce monde que des hégémonistes tendant à en réduire la population (maintenant remplacés par des machines) afin d'appliquer leur programmes néo-existentiels de cet 'autre monde' appelé 'Reset' ou 'Nouvel Ordre Mondial'.
Ainsi, après la catastrophique bévue du '11 Septembre 2001' où la totalité des projecteurs cinématographiques d'hologrammes d''avions' mis en place n'ont pas répondu au spectacle de la traversée de tours bardées de poutrelles verticales d'acier par des 'avions' dont la structure est composée d'aluminium ! (la tour n°7 s'est effondrée sans être touchée par un 'avion' prévu suite à une obstruction de la technique des dits projecteurs), ainsi que celle destinée à pénétrer le Pentagone ou à l'écrasement d'un 'avion' en forêt où aucun débris n'a pu être relevé !! voici qu'arrive la mise-en-place extraterrestre d'un virus qui serait plus virulent que les autres mais qui aurait la particularité de retenir en haleine toute la population mondiale durant plus de une année !! Whôaw ! Çà faut le faire !!
Alerte majeure / Toutes les entreprises américaines menacées
Par Bill Sardi 19 avril 2021
Le Forum économique mondial, qui a coparrainé EVENT 201 au Johns Hopkins Center For Health Security avec Bill Gates en octobre 2019, juste avant le début du COVID-19 en janvier 2020 et l'annonce d'une pandémie de coronavirus muté en mars 2020, annonce maintenant CYBER POLYGON, un jeu de guerre cybernétique qui sera imputé aux «ennemis» d'outre-mer. CYBER POLYGON est un exercice prévu pour juillet 2021.
Si un tel événement se produisait, il paralyserait toutes les entreprises, toutes les églises, tous les hôpitaux, même les forces de sécurité et de police. Il semble prudent de planifier une perturbation majeure de la cyberactivité en ligne étant donné que les autorités publiques semblent ignorantes ou même complices de cet événement, comme elles l'ont été dans COVID-19. Les entreprises liées à la consommation seraient avisées de conseiller à leurs clients de s'approvisionner en produits de première nécessité, en particulier de la nourriture, des articles de toilette, des vitamines, des médicaments et d'autres sources d'énergie si possible. Les médecins doivent planifier les patients en conséquence.
Veuillez noter que le taux de mortalité par COVID-19 n'est que de 0,26% (quart de un pour cent - Annals Internal Medicine janvier 2021), ce qui est inférieur à la grippe saisonnière lorsque les décès dans les maisons de soins infirmiers sont supprimés des données sur la mortalité. Cela signifie que 99,7% des vies ne sont pas menacées par cette maladie infectieuse et que les verrouillages, la distanciation sociale et le port d'un masque facial sont des tentatives sans fondement pour freiner la propagation ou retarder l'infection et donc empêcher les gens de développer une immunité naturelle et les rendre totalement dépendants de l'utilisation d'urgence. vaccins expérimentaux.
L'anxiété induite par le COVID-19 (CNN admet qu'elle a incité la population à avoir peur de maintenir des cotes de télévision élevées) a entraîné une augmentation de 500% de la consommation d'alcool et une augmentation de l'insomnie qui a entraîné une augmentation de la consommation de café et de thé, avec ces trois facteurs bloquent un nutriment clé (vitamine B1 thiamine) qui contrôle le système nerveux autonome qui contrôle la respiration, le rythme cardiaque et la digestion. La perte d'odeur et de goût est également une conséquence de cette pénurie de vitamines. Cela explique les symptômes du COVID à long terme. Il s'agit de la deuxième pandémie sous-jacente qui se poursuit alors que les mesures contre la pandémie se poursuivent.
Cliquez sur les liens ci-dessous pour valider cet avertissement. Ce n'est pas un rapport sensationnaliste.
Cyber Polygon est un jeu de guerre organisé par le Forum économique mondial (WEF) en juillet / 2021, destiné à simuler une cyberattaque majeure sur la chaîne d'approvisionnement mondiale et le système économique. Il y a eu des discussions interminables dans les médias au cours de l'année écoulée, suscitant des craintes de cyberattaques de la part de la Russie, de la Chine, de l'Iran et même de la Corée du Nord.
Il y a une fissure dans l'armure de l'État: profitez-en maintenant !
Par Gary D. Barnett 19 avril 2021
«Tous les hommes reconnaissent le droit de révolution; c'est-à-dire le droit de refuser l'allégeance et de résister au gouvernement, lorsque sa tyrannie ou son inefficacité sont grandes et insupportables. ~ Henry David Thoreau (1942). «Désobéissance civile», p.5, Hayes Barton Press
Même au milieu de conflits extrêmes, il y a des moments d'eaux plus calmes, et il y a des moments de faiblesse par ce que l'on devrait appeler «notre ennemi l'État». Ne vous y trompez pas, l'État au pouvoir est toujours un ennemi, mais lorsqu'il se brise ou se plie, il appartient aux gouvernés de profiter de la situation en écrasant le corps politique et en détruisant son pouvoir. Cela doit être fait avec vigueur, mais pacifiquement, car ce n’est qu’à une époque de véritable légitime défense que la force meurtrière doit être utilisée, et seulement pour étouffer la menace directe. Dans cet esprit, il y a une opportunité de retrouver la liberté perdue en évitant l'État et tous ses mandats néfastes. Cette opportunité est maintenant.
Les habitants de ce pays sont maintenant bien entrés dans le quatorzième mois de tyrannie absolue, mais la classe politique et ses complices ont été trop agressifs dans leurs tentatives de prendre le contrôle total de la société. Les mensonges sont devenus évidents et le tort causé par les décisions politiques dictées par l'agenda a atteint presque tout le monde. La maladie et la mort aux mains des mandats «d’urgence» de l’État et de ses injections horriblement dangereuses et inutiles font des ravages pour une grande partie de la population. De plus, avec les fermetures forcées, les fermetures d'entreprises, le port de masques, la distanciation et d'autres restrictions, la dévastation économique de ce pays a été désastreuse. La contradiction, l'hypocrisie et les mensonges sont exposés, mais la tendance à plus de contrôle se poursuit, alors même que plus de lumière brille sur la vérité.
Même si une grande partie de la population accepte toute cette oppression, beaucoup se lassent de toute la folie, et les tentatives de l’État pour revendiquer la domination complète de toutes les décisions de la vie commencent à se retourner contre eux. Beaucoup sont sans travail et ont été contraints à la pauvreté. Beaucoup d'autres ont été relégués dans des prisons à domicile, ou pire. Les quarantaines et le verrouillage sont monnaie courante et existent toujours dans de nombreux endroits du pays. Les injections toxiques faussement appelées «vaccins» Covid-19 tuent des gens à gauche et à droite, et les effets indésirables très indésirables sont alarmants. Comme indiqué hier, l'Oregon envisage d'étendre indéfiniment l'obligation de porter des masques et de prendre une distance «sociale» pour toutes les entreprises de l'État. Vendredi, en Ontario, de nouvelles mesures d'urgence avec des pouvoirs extraordinaires ont été prises, et ont même inclus l'arrêt de tout véhicule pour savoir pourquoi ils ne sont pas enfermés chez eux. La pression est bonne, mais finalement, il y a un peu plus de résistance.
Un plus grand nombre de personnes prennent les armes et des dizaines de milliers de personnes repoussent en Oregon, et même en Ontario, de nombreux services de police refusent d'arrêter qui que ce soit. Bien que le comportement tyrannique soit encore évident, il y a eu récemment plus de refus de prendre des commandes et plus d'expressions d'opinions sur toute nouvelle oppression due à ce faux virus. Le gouvernement, comme je l’ai prédit il y a quelque temps, fait ressortir l’argument de la «variante» afin de faire revenir le public à une totale conformité, mais cela devient de plus en plus difficile à accomplir car les gens se lassent de cette folie. Dans l'ensemble, il y a une fissure dans l'armure de ce gouvernement odieux, mais ne vous attendez pas à ce que cela dure à moins que les gens ne se lèvent en force.
À l'heure actuelle, il y a encore peu de résistance compte tenu du fait que 330 millions de citoyens peuplent ce pays, mais il semble qu'une opportunité de gagner du terrain se soit légèrement ouverte. Plusieurs États ont éliminé les commandes de masques, et le gouvernement fédéral et les bureaucraties de la «santé» pourraient cibler des États comme le Texas et la Floride afin de provoquer une nouvelle panique, des États qui contrarient le système depuis un certain temps. Plus il y a d’États qui évitent les «directives» fédérales, mieux c'est, et si suffisamment de répulsion continue, il y aura une chance d’arrêter certaines des commandes draconiennes au niveau national. La plupart des États sont toujours divisés, même avec une diminution des règles, car les responsables locaux, municipaux et de comté continuent de maintenir les mandats en place. C'est là que les résidents locaux pourraient exercer une forte pression sur ces petits dictateurs qui ont goûté au pouvoir, et menacer de les retirer de leurs positions d'une manière ou d'une autre.
Je dois dire clairement que je ne suis pas optimiste quant à un éventuel réveil du peuple américain dans son ensemble. L'absence totale de dissidence de masse face à un tel règne de terreur tyrannique poursuivi par le système gouvernemental américain, qui a été volontairement autorisé à se produire depuis le premier de l'année dernière, est sans aucun doute pathétique au-delà de toute imagination. De plus, beaucoup sont complètement perdus dans un coma postmoderne. Toute continuation de ce niveau d'indifférence par le peuple ne fera que sonner le glas et mettra fin à toute chance de retrouver la liberté.
Il semble cependant qu'il existe une fenêtre d'opportunité en ce moment. Une majorité d'Américains n'ont toujours pas pris cette concoction mortelle appelée «vaccin», ce qui expose un signe de doute dans l'esprit de millions de personnes. Cette injection est à mon avis le programme le plus important de la minorité autoritaire, et la campagne pour «vacciner» tous se poursuivra de manière agressive. L'État ne lâchera pas; la peur ne cessera pas, et si l'élément au pouvoir de ce pays se sent menacé en raison de plus de dissidence et de désobéissance du troupeau, leurs efforts seront intensifiés et deviendront plus perfides. La prochaine phase consistera à délivrer l'immunité / les passeports médicaux et les «papiers».
Le combat doit être porté devant l'État, et il semble que l'occasion se présente maintenant! Le gouvernement a entamé sa dernière poussée vers un régime autoritaire; il est temps pour nous en masse d'entamer notre ultime poussée vers la libération de l'oppression.
Source links:
Permanent mask mandates in Oregon
Ontario police balk at new ‘Covid’ orders
The truth about ‘Covid’ and the ‘vaccine’ is coming out
There is some failure in the reset agenda: Another crisis is necessary
Le CDC a violé la loi pour gonfler les cas de COVID et les décès
Par Joseph Mercola Mercola.com 19 avril 2021
Dans cette interview, le Dr Henry Ealy, ND, BCHN, mieux connu sous le nom de Dr Henele, nutritionniste holistique certifiée et fondateur / directeur de la communauté exécutive de l'Energetic Health Institute, 1 examine comment les agences de réglementation fédérales américaines ont manipulé les statistiques du COVID-19 pour contrôler le récit de la pandémie.
Il a obtenu son doctorat en médecine naturopathique du SCNM. Après avoir obtenu un baccalauréat ès sciences en génie mécanique de l'UCLA, il a travaillé pour une grande entreprise aérospatiale en tant que développeur principal de bases de données pour le programme de la Station spatiale internationale. Il détient plus de 20 ans d'enseignement et d'expérience clinique et a été le premier docteur en naturopathie à enseigner régulièrement dans une grande université des États-Unis, lorsqu'il a dirigé un programme à l'Arizona State University sur la gestion de la bioanxiété.
Comme il le souligne, il est un passionné de collecte de données. En octobre 2020, Henele et une équipe d'autres chercheurs ont publié un article2 dans Science, Public Health Policy and the Law, intitulé «COVID-19 Data Collection, Comorbidity & Federal Law: A Historical Retrospective», qui détaille comment les centres américains pour Le contrôle et la prévention des maladies a permis la corruption des données de notification des cas et des décès en violation de la loi fédérale.
L'exactitude des données est primordiale pour les politiques de santé publique
L'équipe a commencé à examiner les données des CDC sur les cas et les décès de COVID-19 à la mi-mars 2020. Il explique:
«Ce que j'ai commencé à faire le 12 mars, c'était de parcourir toutes les données que nous pouvions trouver du ministère italien de la Santé et de la Corée du Sud. Nous n'avons pu valider aucune des données provenant de Chine. Il n'y avait tout simplement aucun moyen indépendant de le faire. Ce que nous voyions en Italie et en Corée du Sud, c'est que nous allions être préoccupés par les personnes de plus de 60 ans, de plus de 70 ans souffrant de maladies préexistantes.
C'était l'essentiel de ces données. Donc, nous nous attendions au même genre de tendances ici ... J'ai commencé à suivre les données quotidiennement de chaque département de la santé de l'État, puis à m'assurer que ce que le CDC rapportait correspondait.
Ce que nous avons commencé à voir très tôt, ce sont des anomalies significatives entre ce que les États rapportaient et ce que le CDC disait. C'était inquiétant, car la variance augmentait chaque jour. Nous avons un vieil adage: «Les ordures dans les ordures égales à la poubelle». Et c’était la préoccupation, car nous savions que les politiques de santé publique allaient être fondées sur les données, la précision est donc d’une importance capitale.
Ensuite, nous avons commencé à approfondir un peu plus la façon dont le CDC était censé collecter leurs données. C’est là que nous avons vu les directives du National Vital Statistics Systems (NVSS) du 24 mars, qui étaient très préoccupantes, et nous avons vu le CDC adopter le document du Conseil des épidémiologistes des États et des territoires le 14 avril.
Ce qui était incroyablement inquiétant à ce sujet, c'est que tout s'est déroulé sans aucune surveillance fédérale et que tout s'est fait sans aucun commentaire public, en particulier scientifique. Cela est devenu de plus en plus problématique. Nous avons commencé à voir des écarts dans le seul État de New York, dans les milliers de morts. »
Des règles spéciales pour les décès dus au COVID-19 ont été mises en œuvre
Surtout, en mars 2020, un changement important a été apporté à la définition de ce qu'était un décès par COVID-19. Comme l'explique Henele, il existe un manuel sur la déclaration des décès, qui est utilisé depuis 2003. Il y a deux sections clés sur un certificat de décès. Dans la première partie, la cause du décès est détaillée. Dans la deuxième partie, les facteurs contributifs sont énumérés.
Les facteurs contributifs ne sont pas nécessairement enregistrés statistiquement. C’est la première partie, la cause réelle du décès, qui est la plus importante pour la comptabilité statistique. Le 24 mars 2020, le NVSS a mis à jour ses directives sur la façon de signaler et de suivre les décès liés au COVID-19.
«Ils disaient que le COVID-19 devrait être répertorié dans la partie 1 pour un suivi statistique, mais [seulement] dans les cas où il est prouvé qu'il a causé la mort ou qu'il est supposé avoir causé la mort», explique Henele.
«Ce qui était vraiment préoccupant à propos de ce document, c'est qu'il stipulait spécifiquement que toutes les conditions préexistantes devraient être déplacées de la partie 1, où elle a été placée pendant 17 ans, vers la partie 2.
Donc, il s'agissait essentiellement de prendre ceci et de dire: `` Nous allons créer des règles exclusives pour COVID-19 et nous allons faire un 180 pour cette seule maladie ... '' Le gros problème avec cela est que maintenant vous supprimez la capacité pour un médecin légiste, un coroner, un médecin, d'interpréter [la cause du décès] en fonction des antécédents médicaux collectifs de ce patient…
Vous supprimez leur expertise et vous dites: «Vous devez compter cela comme COVID-19.» Cela prend une mesure supplémentaire lorsque vous l'incitez financièrement, et c'est ce que nous avons vu avec certains des paiements de Medicare et Medicaid… »
Qui a le pouvoir de faire cela ? La réponse est «personne». Une agence fédérale a la capacité de proposer une modification des données, moment auquel elle serait inscrite au Federal Register. À ce stade, la surveillance fédérale par le Bureau de la gestion et du budget entre en jeu et le changement proposé est ouvert aux commentaires du public.
Puisqu'ils n'ont pas enregistré le changement proposé, il n'y a eu aucune surveillance et aucune possibilité pour le public de commenter le changement. Fondamentalement, ce qui s'est passé, c'est que ces changements ont simplement été mis en œuvre sans suivre aucune des règles prescrites. «Ils ont agi unilatéralement, et ce n’est pas ainsi que [cela] est censé fonctionner», dit Henele.
Quant à savoir qui a décidé de modifier les règles de déclaration, nous ne savons pas. Pour identifier les coupables, Henele et son équipe ont envoyé des pétitions d'enquête formelles du grand jury à tous les avocats américains et au département américain de la Justice (DOJ), demandant une enquête approfondie, indépendante et transparente.
«Nous l'avons fait au niveau des États et au niveau fédéral. Nous avons envoyé des copies physiques à tous les avocats américains et à leurs collaborateurs. Nous avons envoyé plus de 247 mailings en octobre [2020] », explique Henele. «Nous en avons envoyé 20 à 30 supplémentaires à diverses personnes du ministère de la Justice…
Ils auraient la capacité de convoquer un grand jury, et ce grand jury aurait la capacité d'assigner tous ces dossiers pour déterminer qui était en faute… Tout ce dont nous avons besoin, c'est d'un avocat américain. Tout ce dont nous avons besoin, c'est d'une personne au ministère de la Justice pour défendre la cause.
Implications dramatiques
Les conséquences de ce changement dans la définition de la cause du décès où le COVID-19 est impliqué ont été dramatiques. Pour connaître toutes les implications, je recommande de lire le document évalué par les pairs de Henele, «COVID-19: le CDC viole la loi fédérale pour permettre la corruption des données de signalement des décès.» 3
«Nous avons accumulé environ 10 000 heures de recherche collective en équipe sur cet [article]. Il a été examiné par neuf avocats et un juge pour en vérifier l'exactitude. Il a été soumis au processus d’évaluation par les pairs avant d’être publié. Nous pensons que c’est serré.
À la page 20 de l'article, nous avons un grand graphique montrant ce que le nombre réel estimé de décès aurait dû être au 23 août 2020. Ce qui a été rapporté le 23 août était de 161 392 décès causés par COVID-19…
Si nous avions utilisé les lignes directrices de 2003, nos estimations sont que nous aurions environ 9 684 décès au total dus au COVID-19. C’est une différence significative. C’est une différence de l’ordre de 96%. La fourchette que nous avons calculée était de 88,9% à 96% d’inflation. »
En effet, cela correspond à une admission du CDC fin août 2020, date à laquelle ils ont admis que seulement 6% du nombre total de décès avaient le COVID-19 comme seule cause de décès. Les 94% restants avaient en moyenne 2,6 comorbidités ou problèmes de santé préexistants qui ont contribué à leur décès.4
«Pour une précision absolue à 100 %, nous devrons faire quelque chose comme ce à quoi nous venons d'être alertés par un dénonciateur en Floride, où ils sont en fait intervenus et ont réexaminé chaque certificat de décès et les dossiers médicaux avec eux. Ce qu'ils ont découvert, c'est qu'environ 80% des décès ont été classés à tort comme des décès dus au COVID-19 », explique Henele.
Les fondements scientifiques ont été violés
Les médias traditionnels ont justifié les mesures de pandémie «sur la base de la science», mais le fondement même de la science a été violé. Les ramifications sont énormes, de la destruction des économies locales et de la flambée des taux de suicide aux personnes forcées de mourir seules, les membres de leur famille étant empêchés d'être à leur chevet pendant leurs derniers moments.
«J'ai perdu ma mère en 2002», raconte Henele. «La grâce de tout cela a été que nous avons pu la faire sortir de l'hôpital et répondre à sa dernière demande, qui était de décéder dans son lit avec sa famille autour d'elle. Je pleure chaque personne qui a perdu quelqu'un [pendant cette pandémie] qui n’a pas pu être là.
Les Américains ne devraient pas avoir à mourir seuls parce que nous sommes inquiets au sujet d'un virus dont ils nous disent que c'est un problème, quand les données, même les données que nous savons être gonflées et frauduleuses, ne suggèrent toujours pas la virilité qu'ils veulent nous faire croire.
Chronologie du COVID-19
Dans leur article, Henele et son équipe détaillent une chronologie de la pandémie COVID-19 et des lois fédérales qui ont un impact sur le traitement des données. Voici un résumé:
En 1946, certaines procédures administratives ont été mises en œuvre. La Loi sur les procédures administratives oblige les agents et organismes fédéraux à suivre certaines règles pour faire avancer les choses. Ces règles visent à garantir la transparence du gouvernement.
«Si vous êtes une agence fédérale, vous avez l’obligation envers la population de ce pays de vous assurer que les données que vous publiez sont non seulement exactes, mais aussi transparentes», explique Henele.
En 1980, la Paperwork Reduction Act a été inscrite dans la loi. En 1995, la loi a été modifiée, désignant le Bureau de la gestion et du budget (OMB) comme organe de contrôle des données de toutes les agences fédérales.
En octobre 2002, la loi sur la qualité de l'information a été mise en œuvre, ce qui double encore davantage l'exactitude et l'intégrité et la collecte des données. Cette loi oblige les agences fédérales à répondre à des critères explicites pour que leurs données soient publiées et analysées.
En 2005, le Virology Journal a publié des recherches démontrant que l'hydroxychloroquine a de puissants effets antiviraux contre les cellules de primates du SRAS-CoV (le virus responsable du SRAS). Cette découverte a été saluée par le Dr Anthony Fauci, note Henele. En d'autres termes, il y a 15 ans, Fauci a admis que l'hydroxychloroquine agit contre les coronavirus. C'est un dossier public.
Comme indiqué dans «The Lancet Gets Lanced With Hydroxychloroquine Fraud» et «How a False Hydroxychloroquine Narrative was Created», le mythe selon lequel ce médicament était au mieux inutile et au pire dangereux a été délibérément créé à l'aide de recherches et d'essais falsifiés dans lesquels le médicament a été administré. à des doses toxiques.
Cette recherche frauduleuse a ensuite été utilisée pour décourager et dans certains cas bloquer l'utilisation de l'hydroxychloroquine dans le monde. Comme le note Henele, «Ce n’est pas de la science. Nous sommes dans ce modèle de science confessionnel très étrange, qui n’est pas une science à ce stade. "
En 2014, Fauci a autorisé 3,7 millions de dollars à l'Institut de virologie de Wuhan (WIV). En 2019, WIV a reçu 3,7 millions de dollars supplémentaires. Dans les deux cas, ce financement était destiné à la recherche sur le gain de fonction sur les coronavirus de chauve-souris.
Le 18 octobre 2019, le Johns Hopkins Center for Health Security a accueilli l'événement 201, en collaboration avec la Fondation Bill & Melinda Gates, le Forum économique mondial et quelques autres partenaires financiers. Le 17 novembre 2019, la Chine a enregistré le premier cas connu de COVID-19.
«Maintenant, ils pourraient être complètement indépendants», dit Henele, «mais pour nous, c'est une coïncidence très incroyable que vous exécutiez une simulation un mois avant qu'une pandémie n'éclate. C'est un peu difficile pour moi de digérer comme une simple coïncidence. "
Le 29 janvier 2020, la Maison Blanche a installé un groupe de travail sur les coronavirus, qui comprenait Fauci et le directeur du CDC de l'époque, le Dr Robert Redfield, ainsi que Derek Kan, alors directeur adjoint de l'OMB.
«J'ai trouvé cela un peu intéressant», dit Henele. «Pourquoi auriez-vous besoin d'une personne de l'OMB dans un groupe de travail sur les coronavirus ?»
Le 9 mars 2020, le CDC a alerté les Américains de plus de 60 ans avec des conditions préexistantes selon lesquelles ils pourraient se trouver dans un long lock-out pour des raisons de sécurité.
Le 24 mars, le CDC a changé la façon dont le COVID-19 est enregistré sur les certificats de décès, en désaccentuant les conditions préexistantes et les comorbidités, et en qualifiant fondamentalement tous les décès dans lesquels le patient avait un test SRAS-CoV-2 positif de décès COVID-19.
«Nous avons, légitimement enregistré, des personnes décédées dans un accident de moto répertoriées comme un décès par COVID-19. Ce ne sont pas des choses fictives que nous avons inventées. Rhode Island a eu plus de 80 % de leurs décès à un moment donné dans des centres de vie assistée ou des soins palliatifs. Pourquoi testons-nous des personnes en soins palliatifs et en soins de vie ? C’est une autre question intéressante », dit Henele.
Le 14 avril 2020, le CDC a adopté un document de position d'une organisation à but non lucratif, le Conseil des épidémiologistes d'État et territoriaux, qui identifie chaque méthodologie pour signaler un cas probable de COVID-19, un cas confirmé de COVID-19, un ou cas COVID suivi par contact.
«Ce qui est si incroyable à ce sujet, c'est que la norme de preuve pour un cas probable est littéralement une toux. C'est tout ce dont un médecin a besoin, [selon] ce document, pour valider que cette personne est un cas probable de COVID », dit Henele.
«Et ça empire. À la page 6 de ce document, section 7B, il est explicitement indiqué qu'ils ne définiront pas de méthodologie pour garantir que la même personne ne peut pas être comptée plusieurs fois. Donc, nous nous retrouvons avec une porte tournante.
Désormais, en termes de nouveaux cas, la même personne peut être comptée encore et encore, sans être testée, sans présenter de symptômes. Tout ce qu’ils ont à faire est de se trouver à moins de 6 pieds de quelqu'un [qui a été jugé positif pour le SRAS-CoV-2], puis un traceur de contact peut dire: «OK, eh bien, cette personne est [aussi] positive».
Lorsque nous avons examiné les données de la semaine dernière, environ 27 % des personnes déclarées positives ont en fait eu un test positif. Cela signifie que 73 % se sont juste vu dire "Ouais, nous pensons que vous l'avez compris.'' Et c'est assez bien, parce que nous sommes dans ce modèle de science basé sur la foi, au lieu d'un cadre vérifiable pour la science, ce que nous sommes censés être basé sur.
Cette personne ne peut alors pas retourner au travail tant qu'elle n'a pas présenté un test négatif. Eh bien, disons qu’ils sont testés 13 fois. Devinez ce qui se passe? Il s’agit de 13 nouveaux cas, alors qu’il ne devrait en être qu’un seul.
Donc, il y a des défauts majeurs, et le problème que je pense que beaucoup de scientifiques comme moi… ont avec ce document et son adoption est qu'il n'y a pas eu de surveillance, et il n'y a pas eu de période de commentaires publics pour remettre en question certaines des lacunes évidentes dans ce qui ils définissaient comme une collecte de données - sans parler de poser une question très simple: «Vous êtes le CDC, vous êtes censé être le summum de cela.
Pourquoi avez-vous besoin d'externaliser les règles et les critères de collecte de données à une entité à but non lucratif ? »Cela n'a pas beaucoup de sens pour moi."
Les règles de transparence ont été gravement violées
Alors, quel est exactement le lien entre la loi sur la réduction de la paperasse et les données sur les décès COVID-19? Pourquoi est-ce si important ?
«Eh bien, la loi sur la réduction de la paperasserie vise vraiment à établir une surveillance», explique Henele. «Il a créé le Bureau de la gestion et du budget, l'OMB, qui relève du pouvoir exécutif. Il les a établis comme l'agence clé pour la surveillance de toutes les données dans l'ensemble du gouvernement fédéral.
Ainsi, lorsque vous commencez à voir l'IHME [Institute for Health Metrics and Evaluation] de l'Université de Washington - qui est fortement financée par la Fondation Bill & Melinda Gates, à hauteur de 384 millions de dollars en deux versements - lorsque vous voyez leurs données utilisé au niveau fédéral, vous allez regarder le Federal Register et vous dites: «OK, où sont les 30 à 60 jours que nous étions censés avoir pour commenter l'utilisation de ces données ?
Les commentaires du public font partie de la Loi sur la réduction de la paperasserie. Voilà toute l'histoire. Ce que nous avons vu à la place était simplement: «Hé, c'est ce que l'IHME propose. Nous allons y aller. »Eh bien, vous ne pouvez pas faire cela si vous êtes une agence fédérale… IHME est… techniquement une organisation indépendante, mais ils n'ont aucune désignation gouvernementale.
Ce n’est pas un 501 (c) (3), ce n’est pas un 501 (c) (4), ce n’est pas un 501 (c) (6). C’est simplement cette organisation non gouvernementale amorphe dans notre pays, et c’est plutôt inquiétant. Ont été faire plus de recherches à ce sujet, mais c'est très, très préoccupant car ils n'ont personne à qui rendre compte. "
La stratégie basée sur les tests est une fraude flagrante
Outre la manipulation des statistiques sur les décès, les statistiques des «cas» ont également été manipulées. Traditionnellement, un «cas» est un patient symptomatique; quelqu'un qui est réellement malade. En ce qui concerne le COVID-19, cependant, un «cas» est soudainement devenu toute personne testée positive pour le SRAS-CoV-2 à l'aide d'un test PCR, ou pire, supposée positive en raison de la proximité avec une personne testée positive.
Le CDC a spécifiquement adopté ce que l’on appelle une stratégie basée sur des tests, ce que nous n’avons jamais fait auparavant en médecine pour quoi que ce soit. Ce que signifie cette stratégie basée sur les tests, c'est que si vous testez positif, vous avez [COVID-19]. ~ Dr Henele J'ai détaillé cette fraude dans de nombreux articles précédents au cours de l'année écoulée, notamment "Coronavirus Fraud Scandal - The Biggest Fight Has Just Begun" et "The Insanity of the PCR Testing Saga". Les «cas» ont également été comptés plusieurs fois, comme expliqué ci-dessus. Henele explique ce problème en notant:
«Le CDC a spécifiquement adopté ce que l’on appelle une stratégie basée sur des tests, ce que nous n’avons jamais fait auparavant en médecine pour quoi que ce soit. Ce que signifie cette stratégie basée sur les tests, c'est que si vous testez positif, vous avez [COVID-19]. Mais ce qu’ils n’ont pas fait pour les tests PCR, c’est qu’ils n’ont pas identifié le nombre convenu de cycles dans tous les états de tous les laboratoires qui effectuent des tests.
Ce que la plupart des gens ne savent pas, c'est que plus vous vous rapprochez de zéro en termes de temps de cycle, plus le résultat sera négatif. Plus vous vous rapprochez de 60, plus il y a de chances que ce soit positif.
Eh bien, nous n’avons jamais vu un document émanant de la FDA, du CDC, provenant de l’un des services de santé de l’État, qui dit: «Nous avons besoin que tous les laboratoires soient à ce cycle spécifique [seuil]. Et si une personne n’est pas considérée comme positive avec ce nombre de cycles, alors elle n’est pas positive. »Donc, il y a juste défaut après défaut après défaut."
La manipulation des données a créé une pandémie de COVID-19
La plupart des laboratoires ont utilisé des seuils de cycle supérieurs à 40 - comme recommandé par le CDC et l'Organisation mondiale de la santé - ce qui a augmenté de façon exponentielle la probabilité d'un test positif, même chez les individus en parfaite santé et non infectieux. La seule justification de tout cela est que cela a été fait pour perpétuer le récit selon lequel nous étions dans une pandémie déchaînée, qui a ensuite été utilisée pour justifier la destruction sans précédent de la liberté personnelle et de l'économie.
«Ce que je dois donner aux gens qui ont participé à ce crédit, c'est le nombre incroyable de tours de mains», dit Henele. «C’est un peu ici, un peu ici, un peu ici, un peu ici.
Et quand cela se produit, cela conduit à quelque chose de très dangereux scientifiquement, et très dangereux pour la politique de santé publique, qui est le contrôle des données - la capacité de manipuler les données ... et si vous pouvez contrôler les données, vous pouvez contrôler le récit ...
Si nous n’avons pas un processus de collecte de données absolu, transparent et vérifiable basé sur l’exactitude et l’intégrité de ces données, vous pouvez activer ou désactiver cette [urgence pandémique] à votre guise. J'espère que le scientifique objectif en chacun de nous comprend que c'est plus grand que la politique. C'est au-delà. C'est un système gravement défectueux que nous devons réparer, et nous ferions mieux de le faire. »
Comme discuté dans de nombreux autres articles, il semble que la pandémie COVID-19 ait en fait été une justification pré-planifiée pour la mise en œuvre d'un système de contrôle mondial dirigé par des technocrates, qui comprend un tout nouveau système financier pour remplacer l'économie fiduciaire fabriquée par la banque centrale. c'est maintenant à la fin de sa vie fonctionnelle. La monnaie fiduciaire est fabriquée par la création de dettes assorties d'intérêts, et le monde entier est maintenant tellement chargé de dettes qu'il ne pourra jamais être remboursé.
Si les gens comprenaient comment les banques centrales du monde nous ont arraché les yeux, nous exigerions simplement la fin des banques centrales. La monnaie doit être créée et gérée au niveau national.
Les banques centrales, bien sûr, ne veulent pas que cette réalité devienne une notoriété commune, car elles ne pourront plus manipuler tous les pays du monde, elles ont donc besoin que la rupture économique paraisse naturelle. Pour cela, ils ont besoin d'une catastrophe mondiale, telle qu'une guerre majeure, ou une redoutable pandémie nécessitant la fermeture des économies.
Grâce à cette manipulation délibérée des statistiques de cas et de décès, le CDC a été complice d'une faute intentionnelle en générant une peur inutile qui a ensuite été utilisée contre vous pour vous voler vos libertés et libertés personnelles et aider à inaugurer ce transfert massif de richesses et tyrannie. Comme l'a noté Henele, «les gens vont être complices de leur propre esclavage. Les gens sont complices de mettre des chaînes numériques autour d'eux et de vraiment restreindre leurs libertés civiles. »
Espérons que les gens commenceront à comprendre comment les statistiques de la pandémie ont été et sont toujours manipulées pour contrôler le récit et générer une peur injustifiée pour aucune autre raison que de vous amener à vous conformer à des mesures tyranniques conçues pour vous asservir, non seulement temporairement mais définitivement.
Plus d'information
Pour comprendre comment nous en sommes arrivés à ce point, veuillez lire l'article de Henele, "COVID-19: le CDC viole la loi fédérale pour permettre la corruption des données de signalement des décès." Comme l'a noté Henele:
«J’attends avec impatience le jour où nous repenserons à cela et nous dirons:‘ Oh, nous avons failli craquer pour un, mais nous nous sommes réveillés à temps et nous avons compris. Et maintenant, nous avons un bon équilibre entre la technologie, mais la technologie qui n’a pas le droit de nous censurer, la technologie qui n’a pas le droit de nous contrôler; nous avons compris qu’avoir trop de contrôle entre les mains de trop peu d’entre eux n’était pas une bonne recette pour nous en tant qu’espèce sur cette planète. »
Nous savons qu’il ne passe pas le test de l’odorat, il est donc important de se renseigner et de s’informer et ce sont des papiers comme celui-ci - et ce n’est pas le seul - qui ont fait leurs devoirs. Si nous voulons faire confiance à quelqu'un, il est important pour moi de faire confiance aux personnes qui ont fait les devoirs et qui n’ont aucun intérêt direct dans le résultat.
Mon équipe est une équipe de bénévoles. Nous faisons tous cela pendant notre temps libre. Nous ne gagnons pas d’argent. Nous n'allons pas chercher à gagner de l'argent avec cela. Nous faisons cela parce que nous croyons en ce pays. Nous aimons ce pays et nous aimons les gens de ce pays. Quand je vois des gens souffrir, je dois aider. Je dois entrer et aider.
Donc, si vous êtes un Américain qui veut aider, nous mettons en place des ressources pour que vous puissiez vous engager et nous aider à faire avancer les choses, peut-être graisser certaines de ces roues de la justice, afin que nous puissions obtenir une enquête indépendante du grand jury. . »
Pour plus d'informations, ou si vous souhaitez aider, vous pouvez envoyer un e-mail à Henele et à son équipe à COVIDResearchTeam@protonmail.com. Vous pouvez également utiliser votre voix et vos actions pour soutenir une enquête sur les actions du CDC.
Deux façons simples d'agir
Ajoutez votre signature à cette pétition pour aider le public à faire pression pour convoquer un grand jury officiel pour enquêter sur les allégations de faute intentionnelle d'agences fédérales pendant le COVID-19 via Stand For Health Freedom, une organisation de défense à but non lucratif avec laquelle Henele et son équipe ont collaboré Envoyez une lettre pré-rédigée et personnalisable via Stand For Health Freedom, exhortant les principaux membres du Congrès à enquêter de manière approfondie sur les violations présumées de la loi fédérale par le CDC qui ont compromis les données COVID-19
Sources and References
1 Energetic Health Institute Dr. Henele 2 Science, Public Health Policy and the Law October 12, 2020; 2: 4-22 3 Metabolic Healing October 12, 2020 4 CDC.gov August 26, 2020, Comorbidities Table 3, updated October 14, 2020
Version Global News concernant la possibilité de déclaration de l'État d'urgence au Canada
dimanche 18 avril 2021
"La ministre de l'Approvisionnement, Anita Anand, n'exclut aucune option qui pourrait aider le Canada à freiner sa troisième vague de COVID-19, y compris l'invocation de la Loi canadienne sur les urgences."
Lorsqu'on lui a demandé si le Canada envisagerait la Loi d'urgence ce dimanche, 👉elle a dit que le cabinet fédéral se réunirait de nouveau au cours du week-end et au début de la semaine prochaine 👉 pour «envisager toutes les options».
La Loi canadienne sur les urgences donnerait au gouvernement fédéral le pouvoir d'émettre des décrets et de réaffecter rapidement les fonds publics à la suite d'un examen parlementaire.
Le Canada s'est abstenu de déclarer une urgence fédérale lors de la première vague de l'année dernière, mais de nombreuses provinces ont déjà déclaré des urgences de santé publique et invoqué des mesures d'urgence.
La loi elle-même n'a jamais été utilisée au Canada.
La Loi sur les mesures de guerre, maintenant abrogée, qui permettait au gouvernement fédéral de prendre des mesures pour assurer la sûreté et la sécurité lors d'urgences nationales, a été invoquée à trois reprises au Canada: pendant la Première et la Seconde Guerres mondiales et pendant la crise d'octobre 1970, lorsque des membres du Front de Libération du Québec ont enlevé le vice-premier ministre provincial de l'époque Pierre Laporte et le diplomate britannique James Cross.
Les commentaires d’Anand font suite à un moment sombre dans la riposte du Canada à la pandémie."
*Hum... ça pourrait sérieusement se corser avec cette loi fédérale qui équivaut à la "loi martiale".
"Plusieurs provinces ont déjà déclaré l’état d’urgence sur leur territoire respectif depuis le début de la pandémie de COVID-19. Le gouvernement fédéral, lui, n’a pas encore exclu cette possibilité afin d’agir avec force contre la troisième vague de contamination.
C’est ce qu’a déclaré dimanche la ministre des Services publics et de l’Approvisionnement, Anita Anand, en entrevue à Global News.
La loi d’urgence, qui permet au gouvernement d’y aller d’ordres exécutifs et de réallouer des fonds publics, n’a été invoquée qu’à trois reprises dans l’histoire du Canada : lors des deux Guerres mondiales et en 1970 pour la Crise d’octobre."
C’est un truc de la classe supérieure: les travaillistes sont devenus le Australian Wokers Party et les travailleurs en ont assez
April 19th, 2021
C’est la culture réveillée par rapport aux travailleurs
Le parti travailliste australien a été formé par les syndicats ouvriers en 1890. Mais maintenant, selon les sondages, plus de la moitié des membres d'un syndicat disent qu'ils perdent leur soutien au parti travailliste parce qu'il est trop axé sur le centre-ville. changement et questions de genre. Pour un quart des membres, la trahison était si grave qu’ils ne voteront même pas les travaillistes.
Les Australiens de la classe ouvrière abandonnent l’ALP en masse en raison de l’obsession du parti pour les questions «réveillées» comme le sexe, la race et le changement climatique. Joe Hildebrand, News.com
Les Australiens de la classe ouvrière - la fondation même du Parti travailliste - abandonnent en masse l'ALP parce qu'ils pensent que le parti a été envahi par des «idéaux éveillés» et des «yuppies universitaires en col blanc».
Une étude privée commandée par le NSW Electrical Trades Union - qui vient d'être repris par la gauche cette semaine - a révélé qu'un quart des membres du syndicat interrogés ne votaient plus pour le parti travailliste et 35% supplémentaires ont signalé une diminution du soutien au parti.
Incroyablement, près d'un sur cinq a déclaré que le Parti libéral représentait mieux les travailleurs.
Ils ont interrogé 1500 personnes de l'Union des métiers de l'électricité dans les zones autour de Sydney
«… La perception du Parti travailliste comme captif des problèmes à la mode des quartiers défavorisés tue le parti.»
«Le soutien au Parti travailliste parmi les membres de l'ETU NSW a nettement diminué ces dernières années - environ 60 % des répondants à l'enquête signalent une diminution de leur soutien, 25 pour cent indiquant qu'ils ne votent plus pour les travaillistes», indique le rapport.
«Près d'un cinquième des répondants considèrent maintenant le Parti libéral comme le principal parti qui représente le mieux les travailleurs comme eux.
L'enquête a révélé que 42 % des membres du syndicat considéraient les «questions de genre» comme la plus grande distraction sur ce sur quoi le gouvernement devrait vraiment se concentrer, suivi par le changement climatique à 34 %.
Un participant a déclaré: «Je me sens trahi ou trompé par le Parti travailliste. Ils ont fait un grand effort pour la neutralité carbone, s'adressant aux gauchistes du centre-ville de Melbourne ou de Sydney. F ** k you, nous voterons Pauline Hanson ou Clive Palmer. "
… Un autre a dit: «Les libéraux viennent peut-être pour nos droits, mais les travaillistes viennent pour nos emplois.»
Un parent brillant et courageux s'oppose à la culture Woke, au racisme doux et à la culture de la peur dans les écoles
April 19th, 2021
Qui pense que les bonnes civilisations sont poussées par la peur, la censure et la division de leurs citoyens par la couleur de leur peau ?
Voici quelqu'un d'assez courageux pour dire ce qui est évident et dénoncer l'intolérance bolchevique, la haine tribale et une peur qui se répand maintenant qui saisit maintenant une grande partie de la «classe supérieure» intellectuelle de l'Occident. Bravo à Andrew Gutmann.
Le contexte est que Bari Weiss, anciennement du New York Times, a écrit le mois dernier sur la peur paralysante des parents de l'école Brearly où les enfants apprennent à avoir honte de leur race et ont peur de parler en classe. Bien qu'ils paient 54 000 $ par an en frais, les parents se sentent tellement impuissants et craignent la nouvelle orthodoxie qu'ils doivent se rencontrer en secret pour élaborer une stratégie. Ils ne peuvent pas zoomer ou envoyer des e-mails de peur de perdre leur emploi et leurs cercles sociaux. Et comme l'école est une école préparatoire pour Harvard et ainsi de suite, même s'ils sont prêts à prendre la parole, ils ont peur de ce qui arriverait à leurs enfants s'ils le faisaient. En effet, parfois leurs enfants les supplient de ne rien dire, même si la situation est intolérable.
«Si vous publiez mon nom, cela ruinerait ma vie»
«L'école peut vous demander de partir pour n'importe quelle raison», a déclaré une mère de Brentwood, une autre école préparatoire de Los Angeles. «Ensuite, vous serez inscrit sur la liste noire de toutes les écoles privées et vous serez connu comme un raciste, ce qui est pire que d’être traité de meurtrier.»
Un parent d'une école privée, né dans une nation communiste, me dit: «Je suis venu dans ce pays échappant à la même peur des représailles que ressent maintenant mon propre enfant.» - Bari Weiss, The Miseducation of America’s Elites
Enfin, un parent a rompu le charme, retiré ses enfants et a été suffisamment courageux et éloquent pour inscrire son nom sur sa réponse et l'envoyer aux quelque 600 familles de l'école.
13 avril 2021
Chers parents Brearley,
Notre famille a récemment pris la décision de ne pas réinscrire notre fille à Brearley…
On ne saurait dire assez clairement que l’obsession de Brearley pour la race doit cesser. Il devrait être parfaitement clair pour tout parent pensant que Brearley a complètement perdu son chemin. L'administration et le conseil d'administration ont fait preuve d'un manque de leadership lâche et effroyable en apaisant une foule anti-intellectuelle et illibérale, puis en permettant à l'école d'être capturée par cette même foule. Ce qui suit sont mes propres opinions personnelles sur les initiatives antiracistes de Brearley, mais ce ne sont là que quelques-unes des critiques que je sais que d’autres parents ont exprimées.
Je m'oppose à l'idée que je devrais être jugé par la couleur de ma peau. Je ne peux pas tolérer une école qui non seulement juge ma fille par la couleur de sa peau, mais l'encourage et lui demande de préjuger les autres par la leur. En examinant chaque élément de l'éducation, chaque aspect de l'histoire et chaque facette de la société à travers le prisme de la couleur de la peau et de la race, nous profanons l'héritage du Dr Martin Luther King Jr.et violons totalement le mouvement pour lequel ces droits civils les dirigeants ont cru, combattu et sont morts.
Je m'oppose à l'accusation de racisme systémique dans ce pays et dans notre école. Le racisme systémique, bien compris, consiste en des écoles séparées et des comptoirs à lunch séparés. C'est l'internement des japonais et l'extermination des juifs. Le racisme systémique n'est sans aucun doute pas un petit nombre d'incidences isolées sur une période de plusieurs décennies. Demandez à n'importe quelle fille, de n'importe quelle race, si elle a déjà subi des insultes de la part d'amis, si elle s'est déjà sentie méprisée par des enseignants ou si elle a déjà souffert de l'injustice occasionnelle de la part d'une école où elle a passé jusqu'à 13 ans de sa vie, et vous êtes lié d'entendre des griefs, certains mesquins, d'autres non. Nous n'avons pas connu de racisme systémique contre les Noirs dans ce pays depuis les réformes des droits civiques des années 60, une période de plus de 50 ans. Dire le contraire est une fausse représentation flagrante de l’histoire de notre pays et n’ajoute aucune compréhension à aucun des problèmes de société d’aujourd’hui. Si quoi que ce soit, des politiques de longue date et répandues telles que l'action positive, pointent précisément dans la direction opposée.
Je m'oppose à une définition du racisme systémique, apparemment soutenue par Brearley, selon laquelle tout résultat éducatif, professionnel ou sociétal où les Noirs sont sous-représentés est une preuve prima facie du racisme systémique susmentionné, ou de la suprématie et de l'oppression des Blancs. Des croyances faciles et non étayées comme celles-ci sont à l'opposé de la vérité intellectuelle et scientifique que Brearley prétend défendre. En outre, j’appelle des conneries sur l’affirmation souvent déclarée de Brearley selon laquelle l’école accueille et encourage les conversations vraiment difficiles et inconfortables concernant la race et les racines des divergences raciales.
Le racisme doux des attentes systématiquement basses:
Je m'oppose à l'idée que les Noirs sont incapables de réussir dans ce pays sans l'aide du gouvernement ou des Blancs. Brearley, en adoptant la théorie critique de la race, préconise le point de vue odieux selon lequel les Noirs devraient à jamais être considérés comme des victimes impuissantes et sont incapables de réussir quels que soient leurs compétences, leurs talents ou leur travail acharné. Ce que Brearley enseigne à nos enfants est précisément la définition vraie et correcte du racisme.
Je m'oppose à l'utilisation vide, inappropriée et fanatique de Brearley de mots tels que «équité», «diversité» et «inclusivité». Si l’administration de Brearley était vraiment préoccupée par la soi-disant «équité», elle discuterait de la cessation des préférences d’admission pour les héritages, les frères et sœurs et les familles aux poches particulièrement profondes. Si l'administration était vraiment sérieuse au sujet de la «diversité», elle n'insisterait pas sur l'endoctrinement de ses étudiants, et de leurs familles, dans un même état d'esprit, rappelant le plus la Révolution culturelle chinoise. Au lieu de cela, l'école favoriserait un environnement d'ouverture intellectuelle et de liberté de pensée. Et si Brearley se souciait vraiment de «l'inclusion», l'école reviendrait aux concepts résumés dans la devise «One Brearley», au lieu d'enseigner l'idée extraordinairement conflictuelle qu'il n'y a que, et toujours, deux groupes dans ce pays: les victimes et les oppresseurs. .
Et si la vérité (que tout le monde connait) était de dire que les bronzés d'Afrique sont d'anciens blancs mis au soleil qui, bronzés toute l'année, on inclue cette couleur à leurs gènes ? Après tout, pourquoi l'intérieur des mains des africains serait-elle restée blanche ?
Le recours à l’énergie éolienne est présenté comme l’une des solutions miracle pour décarboner le mix énergétique français mais cela est faux économiquement et intellectuellement.
Par Florent Ly-Machabert, pour Action Écologie1. 19 AVRIL 2021
Avec près de 30 milliards d’euros dédiés à la transition écologique, l’actuel plan de relance gouvernemental fait l’objet d’un puissant mais pas irrésistible matraquage politique et médiatique en faveur des énergies dites vertes puissant.
De très nombreux faits, presque totalement privés de couverture médiatique, invalident le dogme de la nouvelle religion de l’écologie politique, qui n’est ni authentique, c’est-à-dire enracinée dans nos territoires, nos traditions et nos paysages, ni respectueuse du principe de subsidiarité, le seul à avoir fait la preuve de son efficacité en matière environnementale.
En démontrant rigoureusement combien le recours à l’énergie éolienne, présenté comme l’une des solutions miracle pour décarboner le mix énergétique français, relève purement et simplement de l’escroquerie, tant intellectuelle qu’économique, nous souhaitons éviter à la France, qui a prévu de doubler le nombre d’éoliennes d’ici 2028, et à l’Union européenne, dont le Green New Deal prévoit de multiplier l’éolien en mer par 25, de s’engouffrer dans une voie sans issue, dont l’inefficacité énergétique, qui rivalise avec l’opacité de son financement, fonde un véritable procès en illégitimité.
ÉOLIENNES : UN DÉSASTRE EN PUISSANCE
D’une part, bien que toujours présentée comme propre, l’énergie éolienne a tout d’un désastre écologique en puissance.
En effet, cette énergie a d’abord un mauvais bilan carbone dès que l’on considère l’intégralité de son cycle de vie :
la construction des éoliennes – surtout offshores – requiert des terres rares, dont la Chine détient plus du tiers des réserves, ce qui confère à Pékin un quasi monopole de la production mondiale d’éoliennes, soit 80 %, et un indéniable avantage géopolitique ; l’intermittence de leur fonctionnement (20 à 35 % de sa capacité totale pour un taux d’émission de gaz à effet de serre de l’éolien en mer inférieur de seulement 8 % à celui du nucléaire) doit être compensée par le recours à des énergies fossiles polluantes, comme les centrales thermiques à charbon ou au gaz naturel, comme en Allemagne où l’éolien représente un cinquième de la production ; leur démantèlement, la plupart du temps à la charge des propriétaires du foncier sur lequel elles ont été installées, au terme de 22 ans d’exploitation en moyenne, se heurte à la difficulté du recyclage des pales qu’on finit par couper, empiler et enfouir, comme au Wyoming, sans compter les 600 à 800 tonnes de béton qui artificialisent définitivement environ 100 m² de sol par éolienne ! Par ailleurs, au sens de l’écologie intégrale chère au pape François, les éoliennes ont d’importantes externalités négatives, tant sur la faune que sur la population :
l’énergie éolienne génère ainsi une pollution sonore néfaste pour la faune océanique lors des phases de construction des parcs en mer et la qualité de vie des riverains. Elle cause annuellement en France la mort d’environ 250 000 chauve-souris et 56 000 oiseaux ; les champs électromagnétiques causeraient également des dégâts sur le bétail, sans compter la pollution visuelle du fait de structures toujours plus hautes (jusqu’à 155 mètres en bout de pale sur terre et 260 mètres en mer) pour capter des vents plus faibles, contribuant à un double mitage aérien et terrestre, trois régions françaises concentrant à elles seules les deux tiers des mâts du pays.
L’ÉOLIEN EST UN GOUFFRE FINANCIER
D’autre part, au-delà de sa contreproductivité qui fait de lui une énergie inefficace, l’éolien est un gouffre financier, non seulement pour le contribuable mais également pour des pans entiers de l’économie nationale dont il menace la pérennité.
En effet, au pays de la dépense et de la dette publiques, ne soyons pas surpris de découvrir que l’énergie éolienne est dépendante des subventions publiques, ce qui est l’indice, dans une économie de marché, d’une allocation du capital totalement inefficace.
Le prix d’achat de l’électricité éolienne est régulé, c’est-à-dire garanti par l’État, lequel s’engage à compenser les pertes d’EDF (5 milliards d’euros en 2013) que le paiement par le consommateur final de la Contribution au service public de l’électricité (CSPE) ne suffit pas à combler, dans un contexte où la fiscalité verte, pourtant source d’instabilité sociale comme l’a illustré la crise des Gilets jaunes, s’alourdit fortement depuis 2012.
Il est à noter qu’il faut en moyenne 6000 contribuables pour subventionner l’installation d’un seul mât ; à raison de 125 000 mâts pour remplacer l’ensemble de notre parc nucléaire (sans résoudre au passage le problème de l’intermittence), la France doit donc trouver… 750 millions de contribuables !
Cerise sur le gâteau : la Cour des comptes souligne dans un rapport publié en 2018 que les appels d’offre ayant conduit à l’implantation des parcs éoliens en France n’ont pas été assez concurrentiels, ce qui – doux euphémisme – laisse planer le doute quant aux conditions de leur attribution. Mais n’accablons pas trop l’énergie d’avenir de notre pays…
MENACE SUR TERRE ET SUR MER
Enfin, l’éolien menace des secteurs d’activité entiers, à l’instar de la pêche et du tourisme : l’installation d’éoliennes en mer est ainsi réputée restreindre les zones de pêche et faire fuir les bancs de poisson, tandis que l’éolien terrestre amoindrit l’attractivité touristique dans un rayon de 10 à 20 km autour des territoires d’implantation, avec un effet répulsif sensible sur les réservations d’hébergements touristiques de l’ordre de 95 à 97 % dans un rayon de moins de 10 km autour des parcs d’éoliennes.
Pire encore : malgré un taux de recours administratifs de 70 %, certains grands sites naturels ou paysages traditionnels, comme ceux de La Sainte-Beaume près de Marseille, se trouvent à jamais défigurés par les mâts, sans compter que selon une étude de la LSE, les éoliennes entraînent une réduction de la valeur des biens immobiliers de 5 à 6 % dans un rayon de 2 km. Encore un coût caché pour le contribuable !
Le bilan de l’énergie éolienne ne résiste donc pas à une analyse factuelle et se révèle très largement négatif : au cœur d’une incontestable crise d’efficacité énergétique qu’aucune caractéristique de son cycle de vie, saturé d’externalités négatives, ne vient compenser, l’éolien, pourtant symbole médiatique et politique du durable, du vert et du renouvelable, n’est pas non plus rentable économiquement.
Il dépend en effet intégralement des transferts du régulateur et des taxes croissantes payées par le contribuable, tout à la fois vache-à-lait et victime de la pollution sonore et visuelle des mâts, qui ne contribuent, pour leur part, qu’à miter les territoires et désagréger des pans économiques entiers.
Chère et inefficace, l’énergie éolienne est dont parfaitement illégitime. En bon Français, on appelle cela une escroquerie, dans tous les sens du terme.
1 - Lancée fin 2020, l’association Action Écologie rassemble plus de 10 000 sympathisants. Elle a pour ambition « de défendre une écologie respectueuse des nos libertés, nos traditions et nos paysages » ↩
L'éolien est à la fois l'escroquerie programmée, la prostitution des élus locaux et, comme pour les autres essais expérimentaux sur cobayes et appelés criminellement 'vaccins', il tue lui aussi des millions de personnes et d'animaux
Voir votre propre visage, même inconsciemment, est gratifiant
19 AVRIL 2021 par l'Université d'Osaka
En tant qu'humains, nous avons chacun une puissante capacité à reconnaître facilement notre propre visage. Mais maintenant, des chercheurs japonais ont découvert de nouvelles informations sur la façon dont nos systèmes cognitifs nous permettent de distinguer notre propre visage de celui des autres, même lorsque l'information est présentée de manière subliminale.
Dans une étude publiée ce mois-ci dans Cerebral Cortex, des chercheurs de l'Université d'Osaka ont révélé qu'un élément central de la voie de récompense de la dopamine dans le cerveau était activé lorsque les participants recevaient des images de leur visage de manière subliminale. Cela fournit de nouveaux indices concernant les processus sous-jacents du cerveau impliqués dans la reconnaissance faciale.
Lorsque nous sommes exposés à une image subliminale de notre visage - ce qui signifie que nous n'en sommes pas pleinement conscients - de nombreuses régions du cerveau sont activées en plus de celles qui traitent les informations du visage. De plus, notre cerveau réagit différemment aux images supraliminales (conscientes) et subliminales (subconscientes) de notre visage par rapport aux visages des autres. Cependant, la question de savoir si nous utilisons des réseaux de neurones identiques ou différents pour traiter les visages subliminaux ou supraliminaux n'a pas été établie, ce que les chercheurs de l'Université d'Osaka ont tenté de résoudre avec cette recherche.
«Nous reconnaissons mieux notre propre visage par rapport aux visages des autres, même lorsque l'information est transmise de manière subliminale», déclare l'auteur principal de l'étude Chisa Ota. "Cependant, on sait peu de choses sur la question de savoir si cet avantage implique le même cerveau ou différentes zones qui sont activées par la présentation supraliminaire de notre visage."
Pour résoudre ce problème, les chercheurs ont utilisé l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) pour examiner les différences entre l'activité cérébrale provoquée par des images présentées de manière subliminale des visages des participants et des visages des autres. Ils ont également examiné l'activation cérébrale produite par des images présentées de manière subliminale de visages avec des caractéristiques modifiées.
«Les résultats nous ont fourni de nouvelles perspectives concernant les mécanismes neuronaux de l'avantage de la face-à-soi», explique Tamami Nakano, auteur principal. "Nous avons constaté que l'activation dans la zone tegmentale ventrale, qui est un élément central de la voie de récompense de la dopamine, était plus forte pour les présentations subliminales du visage du participant par rapport aux visages des autres."
Au lieu de cela, la présentation subliminale des visages des autres a induit une activation dans l'amygdale du cerveau, qui est connue pour répondre à des informations inconnues. Cette différence dans les réponses cérébrales au visage du participant ou à celles des autres était constante même lorsque les visages étaient modifiés, tant que les formes des traits du visage étaient conservées.
«Nos résultats indiquent que la voie de récompense de la dopamine est impliquée dans le traitement amélioré de son propre visage, même lorsque l'information est subliminale», explique Tamami Nakano. "De plus, la discrimination de son propre visage par rapport à celui des autres semble reposer sur les informations des parties du visage."
Ces découvertes font progresser la compréhension des mécanismes neuronaux du traitement subliminal de l'auto-facial. Étant donné que la voie de la récompense de la dopamine est automatiquement impliquée dans le traitement auto-facial inconscient, cette recherche peut avoir des applications dans les efforts visant à manipuler inconsciemment la motivation.
Un outil pour naviguer dans des instructions informatiques complexes
19 AVRIL 2021 par Rachel Gordon, Massachusetts Institute of Technology
Nous avons parcouru un long chemin depuis qu'Intel a lancé le premier microprocesseur en 1971. Leurs 4004 contenaient 2 300 transistors, les meilleures puces d'aujourd'hui dépassant les milliards, exploitant de plus en plus de puissance depuis leur naissance.
Mais chaque fois qu'Intel lance une nouvelle puce informatique, c'est un investissement coûteux, car ils doivent ajouter de nouvelles instructions de programmes informatiques qui lui indiquent quelles données traiter et comment les traiter. Ce sont des choses qu'un utilisateur ne voit pas, mais qui alimentent des tâches telles que le traitement d'image, l'apprentissage automatique et le codage vidéo.
Cependant, les programmes qui traitent ces nouvelles informations, appelés compilateurs, ne peuvent pas toujours utiliser ces instructions plus complexes. Le fardeau incombe alors souvent aux développeurs experts de faire plus de travail à la main et d'exécuter des tâches lourdes et sujettes à des erreurs telles que l'écriture de code d'assemblage.
Les scientifiques du Laboratoire d'informatique et d'intelligence artificielle du MIT (CSAIL) ont trouvé un moyen de mieux naviguer dans la complexité de la prise en charge de ces instructions. Leur outil "VeGen" (prononcé "vegan") génère automatiquement des plugins de compilation pour utiliser efficacement des instructions plus compliquées.
CSAIL Ph.D. l'étudiant Yishen Chen dit que VeGen reprend la même documentation qu'Intel donne aux développeurs de logiciels et génère automatiquement un plugin de compilateur qui permet au compilateur d'exploiter quelque chose appelé non-Single Instruction Multiple Data (SIMD), qui sont des instructions plus compliquées à accélérer un programme donné par l'utilisateur.
«Sans VeGen, les ingénieurs du compilateur doivent lire la documentation et modifier manuellement le compilateur pour utiliser ces instructions», explique Chen, auteur d'un nouvel article sur VeGen. "Le problème ici est que c'est toujours manuel et que les algorithmes actuels du compilateur ne sont pas efficaces pour utiliser ces instructions."
Méthodes d'instruction
La plupart des processeurs utilisent des instructions basées sur les mathématiques qui vous permettent de faire quelque chose comme «A = B + C».
Les processeurs prennent également en charge ce que l'on appelle les instructions vectorielles, qui sont des instructions qui effectuent des opérations multiples mais identiques à la fois, telles que «A1 = B1 + C1 et A2 = B2 + C2». Ces deux instructions sont considérées comme des instructions "SIMD" plus traditionnelles.
Les instructions «non SIMD» sont plus compliquées, mais encore plus puissantes et efficaces, telles que les instructions qui effectuent simultanément des additions et des soustractions. Chen dit que VeGen est principalement motivé par des instructions qui ne correspondent pas au modèle SIMD, d'une manière ou d'une autre.
Pensez à l'ensemble du processus comme un restaurant:
Le programmeur est le chef célèbre qui pense à un programme (un plat) Le compilateur est le sous-chef qui prend le programme (le plat) et crée les instructions à exécuter (recette) en connaissant les ressources disponibles dans la cuisine Le processeur est la cuisine Les instructions (la recette) sont exécutées (préparées) par les cuisiniers à la chaîne en profitant de différents équipements dans la cuisine Une nouvelle conception de processeur qui ajoute de nouvelles capacités au processeur est le remodelage de la cuisine ou l'ajout de nouveaux équipements de cuisine. Si le sous-chef et son équipe ne savent pas comment utiliser le nouvel équipement, les restaurateurs qui dépensent tout leur argent pour rénover la cuisine ne seront pas contents.
«Avec l'avènement des instructions complexes, il est devenu difficile pour les développeurs de compilateurs de maintenir à jour les stratégies de génération de code afin d'exploiter tout le potentiel supporté par le matériel sous-jacent», déclare Charith Mendis, professeur à l'Université de l'Illinois à Urbana -Champaign, auteur d'un article sur l'outil. «L'approche de VeGen en matière de création de générateurs de code permet d'alléger ce fardeau en générant automatiquement des parties du compilateur chargées d'identifier les séquences de code qui peuvent exploiter les nouvelles fonctionnalités matérielles. futur."
Les premiers résultats ont montré que, par exemple, sur certains noyaux de codage vidéo, VeGen pouvait automatiquement utiliser des instructions vectorielles non SIMD et obtenir une accélération de 27 % à 300 %
«Le fait de rassembler tous les manuels d'instructions d'Intel fait plus d'un pied de large et se divise en milliers de pages», explique Saman Amarasinghe, professeur au MIT, auteur de l'article sur VeGen. "Normalement, le rédacteur du compilateur doit se pencher sur les petits détails des changements d'instructions, répartis sur des centaines de pages, mais VeGen contourne totalement le travail fastidieux."
«Alors que le matériel devient de plus en plus compliqué pour accélérer les domaines à forte intensité de calcul, nous pensons que VenGen est une contribution précieuse», déclare Chen. "L'objectif à long terme est que, chaque fois que vous ajoutez de nouvelles fonctionnalités à votre matériel, nous pouvons automatiquement trouver un moyen - sans avoir à réécrire votre code - d'utiliser ces accélérateurs matériels."
Chen a écrit l'article aux côtés de Mendis et des professeurs du MIT Michael Carbin et Saman Amarasinghe. Ils présenteront le document virtuellement lors de la conférence ASPLOS (Architectural Support for Programming Languages and Operating Systems) en avril.
Jusqu'à présent, l'Allemagne connaît le mois d'avril le plus froid en 104 ans, le deuxième plus froid depuis 1881, le plus enneigé depuis 1986
Republié depuis The NoTricksZone Par P Gosselin le 18. avril 2021
Le mois d’avril de cette année a été vraiment glacial dans toute l’Europe centrale. L’Allemagne a connu jusqu’à présent le deuxième mois d’avril le plus froid depuis le début des records en 1881.
- voir carte sur site -
Pointe du chapeau: Snowfan Le plus froid depuis 1917
Dans une grande partie de l'Europe, le mois d'avril a été inhabituellement froid, glacial et même enneigé, et les médias ont été extrêmement silencieux à ce sujet. Le graphique suivant montre les anomalies de température moyenne par rapport à la période de référence 1991-2020 jusqu'à présent (jusqu'au 17 avril):
- voir graphiques sur site -
Avec une température moyenne de 4,5 ° C pour l'Allemagne, le mois d'avril reste jusqu'à présent le deuxième plus froid depuis 1881, selon les registres du service météorologique national allemand DWD. Seulement 1917 était plus froid à une moyenne de 4,3 ° C.
Une autre prévision de souffle froid pour le week-end prochain
Et cela ne changera probablement pas trop, car le modèle ECMWF prévoit une autre vague de froid inhabituelle d'avril avec de la neige et du gel pour la semaine prochaine. Un échauffement est prévu vers la fin du mois, mais il reste encore une dizaine de jours.
Avril le plus enneigé depuis 35 ans
Une chose est déjà certaine: pour les Allemands, ce sera le mois d'avril le plus enneigé depuis 1986 - vidéo.
- voir graphiques sur site -
Les prévisions WO / GFS (gauche et droite) prévoient une poursuite de l'hiver d'avril avec un gel au sol généralisé à partir du 23 avril. Un air extrêmement froid avec des écarts allant jusqu'à -12 ° C par rapport à l'ancienne moyenne climatique de l'OMM 1981-2010 au-dessus de l'Allemagne est projeté sur 26 avril à 850 hPa. Sources: prévisions WO / GFS Tmin sol Allemagne et prévisions WZ / GEM TA850 Europe.
Le refroidissement de l'hémisphère nord se poursuit
Les médias allemands ont récemment affirmé que «le réchauffement climatique se poursuit», mais la série NCEP GFS du 18 avril montre une anomalie de température proche de zéro.
- voir carte sur site -
Source du graphique: Tendance mondiale sur 7 jours de températures de 2 m
L'aube du désastre environnemental de la batterie du véhicule électrique… mis au rebut encore plus tôt que prévu
Depuis The NoTricksZone Par P Gosselin le 17. avril 2021
Tout commence à poindre sur les verts: la catastrophe écologique imminente des batteries de véhicules électriques.
En ce qui concerne les véhicules électriques au lithium-ion et les écologistes et les profiteurs:
Ils savent que c’est un désastre. Nous savons que c’est un désastre. Ils savent que nous savons qu’ils savent que c’est un désastre. Mais ils prétendent toujours que ce n'est pas le cas. * Les énormes problèmes environnementaux des voitures électriques émergent
Maintenant, cela commence à poindre sur les verts: ils ont un problème environnemental colossal en préparation - un problème dont ils ont été avertis il y a longtemps et dont ils ont refusé de croire qu'il était réel parce qu'il allait à l'encontre de leur vision d'une utopie verte.
Les Verts les minimisent, espèrent des solutions
Au moment où ils le minimisent, des solutions insistantes pour éviter le problème environnemental de la batterie au lithium-ion seront trouvées à temps. Mais ils s'inquiètent clairement à ce sujet car les dimensions astronomiques du problème de la production de 200 millions de batteries de voiture au lithium-ion - et de leur élimination ultérieure - deviennent indéniables.
Expert: «Problème environnemental urgent»
Il n'y a pas si longtemps, le chimiste japonais et chercheur sur les batteries au lithium, lauréat du prix Nobel, Akira Yoshino a averti que des solutions pour recycler ces batteries étaient cruellement nécessaires et que cela devenait «un problème environnemental urgent».
Énorme gâchis pour les prochaines générations
Les batteries de véhicules électriques, une fois qu'elles ont été utilisées dans les véhicules électriques, après environ 8 ans, peuvent être réutilisées à d'autres fins à faible demande - une soi-disant seconde vie - comme une batterie domestique. Mais leur recyclage est inévitable - et c’est compliqué, énergivore et coûteux. Personne ne sait combien sont actuellement recyclés ou simplement jetés à la décharge.
Nous créons un désordre énorme et coûteux pour les générations futures.
Se retrouver à la poubelle «prématurément»
Pire encore, Claudia Scholz du Handelsblatt rapporte ici que les batteries des véhicules électriques finissent déjà de plus en plus à la poubelle - et le font «prématurément». «Le problème des voitures électriques: des milliers de tonnes de batteries finissent prématurément à la poubelle.»
Déjà des milliers de tonnes de batteries
Le Handelsblatt rapporte comment Matthias Schmidt, directeur général de l'entreprise de recyclage Erlos, «est étonné».
«En fait, son industrie ne s'attendait à être inondée de batteries de voitures électriques récemment produites que dans huit ou dix ans», écrit le Handelsblatt. «En fait, cependant, des milliers de tonnes de batteries se retrouvent déjà dans les entreprises d'élimination des déchets.»
«Nous n'aurions jamais imaginé les quantités qui s'accumuleraient après si peu de temps», déclare Schmidt. Sa seule entreprise et son concurrent Duesenfeld, tous deux spécialisés dans le recyclage des batteries de voitures, recyclent cette année plus de 4 000 tonnes de batteries de presque tous les modèles électriques, y compris ceux qui ne sont arrivés que récemment sur le marché.
La dangereuse demi-connaissance des planificateurs centraux verts
Mais c’est ainsi avec ces cerveaux autoproclamés qui, dans leurs universités, étaient immunisés contre la compréhension des dangers de leur demi-connaissance. Voici comment les idées de gauche désastreuses suivent leur cours:
Ils sont convaincus que c'est une idée géniale Ignorez les signes et les avertissements en cas de catastrophe Minimisez le désastre au fur et à mesure qu'il émerge Reconnaissez le désastre, mais insistez pour que des solutions arrivent Déplacez les poteaux de but lorsque la solution n'arrive pas Niez le désastre quoi qu'il arrive. Mais si vous ne pouvez pas: Alors admettez qu'il y a un désastre Et puis insiste sur le fait que ce n'était jamais ton idée au départ J'espère que ça sera oublié Blâmez tout sur les autres si ce n'est pas le cas
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* Une variante de la citation originale d'Aleksandr Soljenitsyne: «Nous savons qu'ils mentent, ils savent qu'ils mentent, ils savent même que nous savons qu'ils mentent, nous savons aussi qu'ils savent que nous savons qu'ils mentent aussi, bien sûr sachez que nous savons certainement qu'ils savent que nous savons qu'ils mentent aussi, mais ils mentent toujours.
MAGIE: La grippe saisonnière n’existe plus, seulement Covid-19, selon CDC et MSM
Lundi 19 avril 2021 par: S.D. puits
(Natural News) La meilleure partie de Covid est qu'il n'y a plus d'autres maladies. Ils sont tous partis comme par magie. Vous avez mal à la tête ? Covid. Vous avez mal à la gorge ? Covid. Vous toussez fréquemment ? Vous avez Covid. Fièvre ? Certainement Covid. Même tous les décès sont maintenant étiquetés comme étant causés par Covid. Quelqu'un a-t-il sauté d'un immeuble de 10 étages ? Covid. Est-ce que quelqu'un s'est étouffé avec un gros morceau de steak ? Covid.
Oui, le CDC a suspendu TOUTES la collecte de données sur la grippe saisonnière depuis que la plandémie de Covid a été déclenchée, et quiconque meurt de la grippe, à partir de maintenant, sera qualifié de mort causée par Covid. Les hôpitaux à travers l'Amérique sont payés en grandes quantités d'argent pour chaque décès enregistré sous le nom de Covid.
À l'heure actuelle, presque tous les Américains ont été exposés à Covid et ont probablement déjà accumulé des anticorps, c'est pourquoi les tests sont invalides, faux négatifs, faux positifs - ce n'est qu'un gros gâchis pour garder le mouton confus, mais obéir aux ordres.
Remarquez le passage des nombres massifs de grippe et des vaccins antigrippaux recommandés aux seuls vaccins Covid-19 et à ARNm mortel Oui, les chiffres de la grippe ont disparu comme par magie à partir de mars 2020. Fini les inquiétudes à propos de la grippe. Aucun masque n'a jamais été recommandé pour cela, ni la distanciation sociale, juste des injections annuelles de mercure multidoses pour garder la population stupide et souffrant lentement du «syndrome du chapelier fou». Grande question: lorsque les masques Covid provoquent des infections bactériennes de la bouche, conduisant à une pneumonie, est-ce que les hôpitaux appellent cela aussi Covid?
Les stations de télévision et les journaux à travers le pays ont littéralement vérifié que les hôpitaux sont remboursés pour tout ce qui est lié au coronavirus, donc peu importe la maladie, le trouble, le dysfonctionnement, l'empoisonnement, le suicide - tout le monde est testé pour les anticorps Covid, et si vous en avez (ou vous obtenez un faux -positif) alors bam! Vous êtes traité pour Covid et mourrez probablement de Covid. Cela n’a de sens qu’avec le jeu de l’argent dans lequel se livrent tous les hôpitaux américains. C’est contraire à l’éthique. C’est immoral. C'est illégal, mais personne ne porte plainte.
Cela est rapporté dans tout le pays, sans parler des médecins qui dénoncent et qui n’approuvent pas la falsification et la falsification des dossiers médicaux au nom des remboursements de la plandémie marxiste.
«ABC10 peut vérifier que les hôpitaux sont remboursés pour les soins liés au coronavirus, qui incluent malheureusement les décès», admet la chaîne de télévision ABC10 de Sacramento lors d'un segment d'information sur la santé. Par exemple, si vous mourez d'un cancer du pancréas depuis 5 ans et que les médecins vous disent que vous avez deux semaines à vivre, si vous testez positif pendant ces 2 semaines pour Covid, alors quand vous mourez, vous êtes mort de Covid, sur papier . Trouver? Même si la chimiothérapie vous a tué. C'est ainsi que le nombre est devenu si médiatisé et que les morts sont devenues si effrayantes.
Tout cela a été planifié depuis le début, et c’est ce qui sépare les informations de vérité des médias de masse et des médias sociaux. Tout tourne autour du cheval de Troie mortel de l'ARNm, et plus de 100 millions d'Américains font la queue pour le coup «Kill Switch» qui vient ensuite.
La plandémie marxiste EFFACE la grippe saisonnière comme par magie
Les données quotidiennes sur les décès de Covid-19 sont si loin que personne n'a même de jauge. Le gouvernement américain n'est pas transparent sur ce qui est compté comme un décès de Covid-19. Il n’y a plus de données sur la grippe, et pourquoi ? Qu'est-il arrivé à «FluView», ce «rapport de surveillance» hebdomadaire sur la grippe qui a provoqué tant de choc et de crainte lors des campagnes de vaccination contre la grippe à travers l'Amérique ? Bien sûr, la grippe est toujours bien vivante aux États-Unis, elle n’est tout simplement pas signalée ou même prêtée une once d’attention par la presse ou le complexe médico-industriel.
Plus de rapports sur les comorbidités non plus. Tu te souviens de ça? C'étaient des gens avec des problèmes de santé préexistants qui ont été testés positifs pour Covid-19, mais sont décédés PLUS TARD SUR, qui étaient toujours officiellement comptés comme des décès de Covid-19. À quel point il est commode de sélectionner tous les décès maintenant, le tout pour plus de propagande statistique qui effraie si bien les gens qu'ils sont prêts à étouffer, à faire faillite, à isoler, à détruire leurs entreprises, à prendre les vaccins sales et à voter bientôt pour plus de punitions . Préparez-vous à faire modifier vos gènes afin que votre système immunitaire s'arrête et ne puisse pas combattre Covid-22.
Réglez votre fréquence Internet sur Vaccines.news pour obtenir des mises à jour sur les vaccins à ARNm mortels et comment filtrer au mieux les fausses nouvelles de votre répertoire.
Les «vaccins» expérimentaux contre Covid-19 pourraient provoquer la maladie de la vache folle, préviennent les experts
Lundi 19 avril 2021 par: Ethan Huff
(Natural News) Le physicien et cardiologue nucléaire, le Dr Richard Fleming, a émis un terrible avertissement sur les dangers des vaccins contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), qui, selon lui, peuvent provoquer la maladie de la vache folle.
Fleming a déclaré à Steve Bannon de War Room qu'il avait personnellement découvert dans les années 1990 que les protéines de pointe artificielles utilisées dans les injections actuelles du virus de la Chine provoquaient une inflammation grave. C'est pourquoi certains d'entre eux provoquent des caillots sanguins mortels.
Le vaccin Johnson & Johnson (J&J) ici aux États-Unis a récemment été mis en attente après que de nombreux receveurs ont développé des caillots sanguins. Le jab AstraZeneca utilisé en Europe a également été suspendu pour la même raison.
Selon Fleming, les risques associés à la prise d'un vaccin contre la grippe Kung sont élevés. Chez les modèles animaux, certains des sujets testés ont développé la maladie spongiforme et la maladie de la vache folle, dit-il.
«Nous savons aussi que deux semaines après, ils développent… ce qui cause la maladie d'Alzheimer et les maladies neurologiques», a expliqué Fleming à Bannon.
En plus de provoquer une inflammation majeure, la coagulation du sang, la maladie de la vache folle, des problèmes neurologiques et la maladie d'Alzheimer, les injections pour la grippe de Wuhan n'offrent aucun avantage, soutient Fleming.
La documentation d’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) fournie par les fabricants de vaccins à la Food and Drug Administration (FDA) montre qu ’« il n’y a pas de différence »dans les résultats de l’infection entre les personnes injectées et non injectées.
«Je ne suis pas anti-vax», s’est assuré de noter Fleming. "Je ne suis qu'un médicament anti-mauvais."
Fleming dit que le régime Biden doit appeler à une réévaluation immédiate des injections de virus chinois Selon Fleming, il n'y a aucun avantage à se faire vacciner contre la grippe de Wuhan. Les données le montrent, mais le gouvernement fédéral ignore la vérité.
Fleming dit que le régime Biden doit immédiatement réévaluer les avantages allégués de ces tirs pour voir si «il y a une efficacité démontrée» parce que Fleming dit «il n'y en a pas».
«Deuxièmement, quelles sont les conséquences potentielles d'avoir déjà vacciné un nombre important de personnes dans ce pays?» Demanda encore Fleming.
Toute personne impliquée dans le processus d'examen de ces injections doit faire l'objet d'une enquête. Cela inclut Anthony Fauci, qui a maintenant été exposé pour avoir externalisé la recherche sur le gain de fonction des National Institutes of Health (NIH) à l'Institut de virologie de Wuhan (WIV) - en utilisant rien de moins que les impôts américains.
Le virus chinois est devenu une plandémie à cause de Fauci, qui a payé des chercheurs de la Chine communiste pour manipuler les coronavirus des chauves-souris - une opération qui n'aurait pas pu être effectuée ici aux États-Unis en raison de son illégalité.
Il n'y aurait jamais eu de verrouillages, de masques faciaux, d'entreprises en faillite, de suicides ou d'autres destructions sociales sans les crimes du Fauci contre l'humanité, dont de plus en plus de gens prennent conscience à mesure que la plandémie se déroule.
«Les preuves montrent que ce virus est conçu avec un gain de fonction, y compris des mécanismes créant une réponse inflammo-thrombotique (ITR) avec transcription inverse de l'ARNm (RT) en ADN cellulaire avec des structures de type Prion présentes dans la protéine de pointe du virus», explique Fleming sur son site Web.
Soit dit en passant, le site Web de Fleming est une mine d'informations précieuses sur la grippe de Wuhan que vous pouvez utiliser pour en savoir plus sur l'origine du nouveau virus, comment il a été fabriqué et comment les «vaccins» ne le sont pas. fonction telle que revendiquée.
Selon Fleming, il existe une trace écrite du coronavirus de Wuhan (Covid-19) qui suit «des grottes de chauves-souris chinoises à la Caroline du Nord», avec des travaux en cours sur le virus pour «augmenter l'infectivité et la virulence».
Il dit également que des documents retracent le virus à Wuhan, 3,5 millions de dollars ayant été donnés au WIV par Fauci.
Vous pouvez en savoir plus sur FlemingMethod.com.
Vous trouverez plus d'informations sur le coronavirus de Wuhan (Covid-19) sur Pandemic.news.
Les communautés californiennes apprennent à devenir autonomes avec des mini jardins
Dimanche 18 avril 2021 par: Virgilio Marin
(Natural News) Coopération Humboldt, une initiative de transition dans le comté de Humboldt en Californie, fournit gratuitement des mini-jardins pour aider les communautés de la côte nord de l'État à devenir autonomes et à atteindre leur indépendance alimentaire.
L'organisation a initialement fourni des conversions gratuites de pelouse, mais a décidé de se concentrer plus tard. Tamara McFarland, un chef de file au sein de la coopération, craignait que le projet de conversion de la pelouse n'atteigne les personnes qui profiteraient le plus de la culture de leur propre nourriture. La plupart des personnes demandant la conversion de pelouse étaient des locataires à long terme et des propriétaires avec un revenu stable et le privilège de démarrer un jardin.
Lorsque la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) a frappé, l'organisation est devenue encore plus motivée pour s'éloigner de son modèle de conversion de pelouse, qui nécessitait un certain nombre de bénévoles travaillant côte à côte pendant de longues périodes. À cette fin, la coopération a pensé à démarrer un projet de mini-jardin gratuit pour répondre à ceux qui ont un espace limité sur la pelouse et réduire les contacts en personne.
Démarrage d'un programme de mini-jardins communautaires
L'organisation a créé des plates-bandes de trois à quatre pieds (90 à 120 cm de long et non 'de large' !) de long qui sont faites de sacs de culture en tissu remplis de terre de haute qualité. Ces petits lits de jardin ont été livrés entièrement plantés avec une variété de semis de plantes et d'accessoires de jardinage de base. Parce que les mini-jardins sont «prêts à grandir», l'organisation a pu réduire les contacts face à face au milieu de la pandémie.
Le groupe a également fourni des ressources pédagogiques pour enseigner aux bénéficiaires comment prendre soin de leurs jardins. De plus, les bénéficiaires ont été encouragés à demander de l'aide pour toute question de jardinage qu'ils pourraient avoir.
Le projet a été un énorme succès. La coopération a réussi à toucher une large communauté de personnes et à installer environ 260 mini-jardins tout au long de la saison de croissance de l’année dernière. Pendant ce temps, les personnes dont la source de revenus avait été entravée par la pandémie ont trouvé un moyen de nourrir leur famille. (En relation: Formation sur l'autosuffisance: Comment pratiquer la propriété familiale dans un appartement ou une petite maison.)
Le groupe a également pu embaucher deux personnes cette année après s'être associé au Smart Business Resource Center, une organisation à but non lucratif basée en Californie qui aide les demandeurs d'emploi à trouver un emploi. Grâce à ce partenariat, la coopération a pu obtenir un financement fédéral pour le projet et payer un salaire équitable aux deux employés pour la construction et la livraison de mini-jardins.
Mais le projet n'a pas été facile à exécuter. McFarland a révélé que le projet nécessitait un financement décent car les matériaux pour chaque mini-jardin coûtaient environ 100 dollars. Pendant ce temps, la publicité, la construction et la livraison des jardins exigeaient une équipe dévouée de bénévoles ayant une formation en jardinage. Mais tous les bénévoles n'auraient pas nécessairement les compétences appropriées pour le poste.
Le conseil de McFarland à quiconque cherche à démarrer un programme communautaire similaire est d’obtenir un financement suffisant et de former des bénévoles avant de les mettre sur le terrain.
Coopération Humboldt plante des arbres fruitiers publics
Le mois dernier, Cooperation Humboldt a planté 130 arbres fruitiers dans tout le comté de Humboldt dans le cadre de son programme de plantation d'arbres. Tout comme le projet de mini-jardin, la mission du programme est d’accroître l’autosuffisance de la communauté et de rendre la nourriture accessible à tous.
«Nous croyons que les aliments nutritifs sont un droit humain fondamental, et nos projets visent à mettre cette croyance en pratique de manière très tangible», a déclaré McFarland dans un communiqué de presse. «Faire pousser des aliments publics dans des espaces communs est une étape importante vers notre objectif de ramener le comté de Humboldt à la forêt vivrière régénératrice et vitale et au havre écologique qu'il était autrefois.»
L'organisation plantait depuis trois ans maintenant. Il a planté 23 arbres en 2019 et 56 l’année dernière, ce qui porte le nombre total d’arbres à 209 avec le lot de cette année. Tous les arbres ont été plantés dans des endroits accessibles au public pour rendre la nourriture accessible à tous. Une fois que les arbres ont porté leurs fruits, les habitants pouvaient venir récolter les fruits et légumes.
Visitez HomeGardeningNews.com pour plus d'histoires sur le jardinage et des conseils pour devenir autonome.
HAHAHAHA ! 90 à 120 cm de long et non 'de large' ! C-à-d qu'au plus ils ont un rectangle de 89 ou de 119 cm de large... pour faire vivre toute une famille !! HAHAHAHA !
Bêh le balcon est plus grand que çà ! HAHAHAHA !
(...) L'organisation plantait depuis trois ans maintenant. Il a planté 23 arbres en 2019 et 56 l’année dernière, ce qui porte le nombre total d’arbres à 209 avec le lot de cette année. (...)
Des arbres de 30 m de haut ou 3 cm de haut ? HAHAHAHA !
(...) la forêt vivrière (...)
Bouffez des arbres ! Transformez vous en castor, pic vert, voire asticot !
Le pire est que: (...) McFarland a révélé que le projet nécessitait un financement décent car les matériaux pour chaque mini-jardin coûtaient environ 100 dollars. (...)
HAHAHAHA ! Ils ont planché des rectangles de terres avec des planches de coffrage et piquets (pour empêcher les jardiniers amateurs de passer la motobineuse) pour un coût de 15 dollars et demandent 100 ! HAHAHAHA ! Bêêêh dis donc ! Va falloir rentabiliser l'espace 'pot-de-fleurs' ! HAHAHAHA !
Mourir dans des États verrouillés que ceux qui ne l'ont pas fait
PAR TYLER DURDEN LUNDI 19 AVR 2021-10: 50 Rédigé par Will Jones,
L'une des grandes choses à propos de l'Amérique est qu'elle compte 50 États qui peuvent définir leur propre politique dans un large éventail de domaines, y compris la santé publique et les verrouillages. Cela a permis à certains de résister à la bousculade pour imposer des restrictions énormes à la vie normale dans l'espoir de limiter la transmission du SRAS-CoV-2, et cela nous fournit un groupe de contrôle précieux dans la grande expérience de verrouillage qui peut nous donner une idée de ce qui pourrait se sont produits si nous n'avions pas fait une intervention ou une autre.
Au cours de l'automne et de l'hiver, une nouvelle flambée des infections à Covid a incité la plupart des États américains, comme la plupart des pays occidentaux, à réimposer les restrictions. Mais quelques-uns ont résisté. Onze États n'ont pas imposé d'ordonnance de maintien à la maison et ont laissé les gens libres de quitter leur domicile quand ils le souhaitaient. Parmi ceux-ci, quatre - la Floride, la Géorgie, la Caroline du Sud et le Dakota du Sud - n'ont imposé aucune restriction et l'ont traité à peu près comme n'importe quel autre hiver.
Bien qu'il existe diverses différences entre les États qui pourraient avoir affecté les résultats de Covid, étant donné qu'ils font tous partie d'un même pays, il existe suffisamment de similitudes pour rendre les comparaisons utiles. En particulier, si les verrouillages sont efficaces et nécessaires pour éviter des centaines de milliers de décès supplémentaires (ou l'équivalent pour la taille de la population), alors les États qui ne l'ont pas verrouillé devraient avoir un bilan bien pire. Si le nombre de morts n'est pas bien pire, mais à peu près le même (ou meilleur), alors les verrouillages ne peuvent pas avoir un impact important sur la prévention des décès de Covid.
- voir graphique sur site -
Dans le graphique ci-dessus, j'ai utilisé les données de Worldometer pour tracer le total actuel des décès de Covid par million pour chaque état. J'ai colorié les 11 états qui ne se sont pas verrouillés (c'est-à-dire imposer un ordre de séjour à la maison) cet hiver en rouge. J'ai également calculé la moyenne des deux groupes d'États, ceux qui ne se sont pas verrouillés pendant l'hiver et ceux qui l'ont fait, et je les ai colorés en jaune.
Comme vous pouvez le voir, les États qui ne se sont pas verrouillés pendant l'hiver, loin d'avoir plusieurs fois plus de décès de Covid, en ont en fait eu moins - 1671 contre 1736 décès par million. Il peut y avoir des raisons démographiques ou autres pour lesquelles certains États ont un nombre de décès plus élevé ou plus faible que d’autres, nous ne devons donc pas trop lire dans les différences précises. Mais même ainsi, si les verrouillages sont censés supprimer le virus à de faibles niveaux et ainsi éviter des «centaines de milliers» de décès (ou l'équivalent dans la population), alors comment est-ce possible ? La seule conclusion est que les verrouillages ne fonctionnent pas comme prévu et ne suppriment pas le virus.
Cette conclusion est renforcée par l'examen du nombre de morts dans les quatre États qui n'ont imposé aucune restriction pendant l'hiver, dont la moyenne est de 1 716 décès par million, ce qui est toujours inférieur à celui de ceux qui ont imposé des verrouillages (1 736). La Floride a rouvert ses portes à l'automne, la Géorgie et la Caroline du Sud au printemps 2020 et le Dakota du Sud n'a jamais fermé. Pourtant, dans l'ensemble, ils ont subi moins de décès de Covid par million que les États qui ont imposé des verrouillages au domicile cet hiver.
Les équipes académiques qui produisent des modèles prédisant la ruine des lieux qui n’imposent pas les mesures qu’elles recommandent devraient être mises au défi d’appliquer leurs modèles à ces États et de faire une analyse rétrospective de l’hiver dernier. Tout modèle qui ne peut pas reproduire avec précision les résultats connus pour ces états doit être calibré jusqu'à ce qu'il le puisse. Sinon, s'il ne peut pas trouver la bonne réponse pour le passé, pourquoi devrions-nous lui faire confiance pour l'avenir ?
Les équipes de modélisation de Warwick, Imperial et LSHTM peuvent être trouvées sur Twitter (tout comme Adam Kucharski de LSHTM) si quelqu'un a envie de leur poser ces questions.
Rappelons qu'il n'y a PAS PLUS de virus à l'extérieur qu'il y en a à l'intérieur ! Et que, si une famille est enfermée, s'il y a une personne malade, toute la famille sera malade !
«Pas de science médicale» derrière le mandat du Michigan de masquer les enfants de 2 ans, prévient un médecin
PAR TYLER DURDEN LUNDI 19 AVR 2021 - 09:45
Mich.Gov Gretchen Wilmer est clairement très mal à l'aise avec le nouveau statut du Michigan en tant que l'un des épicentres de l'épidémie de COVID aux États-Unis, et tandis que des collègues comme le gouverneur Andrew Cuomo insistent pour aller de l'avant avec les plans de réouverture, l'État de Wolverine dirige maintenant des résidents aussi jeunes que deux ans pour se masquer.
Le ministère de la Santé et des Services sociaux du Michigan a déclaré vendredi dans un communiqué de presse que l'État prévoyait d'étendre ses restrictions sur le COVID-19 - ce que le DHHS du Michigan appelle "l'ordre de santé publique le plus fort du Midwest" - et d'exiger que des masques soient portés par "les enfants. âgés de 2 à 4 ans "afin de" mieux protéger les résidents de l'Etat ".
Dans le communiqué de presse, l'État a déclaré que "l'extension de la règle du masque aux enfants âgés de 2 à 4 ans nécessite un effort de bonne foi pour s'assurer que ces enfants portent des masques lors des rassemblements dans les garderies ou les camps", indique l'annonce, ajoutant que l'ordre "suit les recommandations de l'Académie américaine de pédiatrie et des centres de contrôle et de prévention des maladies."
Les responsables de la santé publique de l'État ont également souligné que, bien que plusieurs paramètres clés du COVID aient ralenti - la part de patients COVID sans lit d'hôpital, les taux de cas de COVID et le pourcentage de tests positifs revenant positifs (bien que la vitesse des déclins ait quelque peu ralenti) - le chef de l'une des plus grandes organisations de soins infirmiers de l'État a averti que «les infirmières sont épuisées. De nombreux hôpitaux ont une capacité proche de 100 %. Les infirmières de tout l'État sont confrontées à la situation impossible d'avoir à décider du patient à soigner. Les infirmières sont travaillant jusqu'à 18 heures à la fois, souvent sans interruption », a déclaré Jamie Brown, président de la Michigan Nurses Association.
«Nous implorons que tous les membres de la communauté fassent leur part. Restez à la maison. Portez un masque. Faites-vous vacciner quand vous le pouvez. Nous sommes à peine capables de garder la tête hors de l'eau. Nous sommes en crise. Nous avons besoin de nos communautés. aider."
Alors que les cas ont remonté au Michigan (en partie - selon le communiqué de presse - par des variantes comme B.1.1.7), les décès ont augmenté, mais seulement légèrement.
La commande dans sa forme actuelle devrait durer jusqu'au 24 mai. Alors que les parents de Michigander s'efforcent de masquer leurs bambins turbulents, le Dr Marc Siegel s'est rendu à Fox News ce week-end pour rappeler au monde qu'il n'y a "pas de science médicale" derrière l'ordre de masque les enfants de deux ans.
"Il n'y a aucun avantage, aucune science médicale derrière cela ... il est très peu probable que des enfants aussi jeunes que deux propagent le virus", a déclaré le Dr Siegel.
Après avoir passé des doses de vaccin de 200 mm administrées la semaine dernière, plus de la moitié des adultes américains ont maintenant reçu au moins une dose du vaccin. Alors que le pourcentage de personnes entièrement vaccinées se situe juste en dessous de 35 %.
L’OMS désapprouve le passeport vaccinal obligatoire
19 avril 2021, 18:57
La septième réunion du comité d’urgence de l’Organisation mondiale de la santé concernant le Covid-19 s’est tenue le 15 avril, mais ses conclusions n’ont été publiées que lundi. Dans un communiqué, les experts, chargés de guider le chef de l’OMS, recommandent de «ne pas exiger de preuve de vaccination comme condition d’entrée» pour les voyageurs internationaux «étant donné les preuves limitées (bien que croissantes) concernant la performance des vaccins sur la réduction de la transmission et étant donné l’inégalité persistante en matière de distribution mondiale des vaccins».
«Les Etats parties sont vivement encouragés à reconnaître que l’exigence d’une preuve de vaccination peut aggraver les inégalités et favoriser une liberté de circulation différenciée», écrivent-ils.
Réflexions menées dans de nombreux pays
Cet appel intervient alors que de nombreux pays sont en train de réfléchir à la mise en place d’un passeport sanitaire pour les voyages, mais aussi pour d’autres activités, notamment sportives, même si cette idée suscite de vives critiques et des inquiétudes concernant de possibles discriminations et la protection des données privées.
L’Union européenne notamment a présenté son projet à ce sujet, la Chine a déjà lancé sa version, tandis que les compagnies aériennes y travaillent également. Aux Etats-Unis, la Maison-Blanche a affirmé début avril qu’elle n’imposerait pas de passeport sanitaire, tout en soulignant que le secteur privé était libre d’avancer vers cette idée.
«Accélérer l'évaluation des candidats-vaccins»
Lors de leur réunion, les experts du comité d’urgence de l’OMS se sont penchés sur d’autres sujets, et demandent notamment à l’OMS d’«accélérer l'évaluation des candidats-vaccins contre le Covid-19». L’OMS a pour l’heure seulement homologué le vaccin de Pfizer-BioNTech, celui d’AstraZeneca-Oxford fabriqué en Inde et en Corée du Sud et celui de Johnson & Johnson.
La pandémie a fait plus de 3 millions de morts dans le monde, et son origine reste inconnue, même si une transmission du virus à l’homme par l’intermédiaire d’un animal infecté par une chauve-souris est l’hypothèse privilégiée par les experts internationaux mandatés par l’OMS.
Le comité d’urgence de l’OMS appelle l’organisation à poursuivre rapidement les recherches sur l’origine du virus, et demande que la règlementation des marchés vendant des animaux soit renforcée. Ils demandent aussi que la vente et l’importation d’animaux sauvages qui présentent un risque élevé de transmission – à l’homme – de nouveaux agents pathogènes soient découragées.
L’application mobile TousAntiCovid, déjà téléchargée par près de 15 millions de personnes en France, sera mise à jour à partir de lundi soir pour intégrer un «carnet» permettant de stocker la preuve d’un résultat de test valide (et négatif), qu’il soit antigénique ou PCR.
L’application permettra également de stocker «un certificat de rétablissement de la Covid-19» et, à partir du 19 avril, l’attestation de vaccination. La France testera d’abord son dispositif sur certains vols reliant la métropole à la Corse puis, dans les semaines à venir, vers l’outre-mer. Il faudra ensuite un feu vert de la Commission européenne, attendu en juin, pour le généraliser aux voyageurs transfrontaliers.
Le fonctionnement est similaire sur la vaccination, pour laquelle un certificat sera émis à chaque injection et rendu disponible sur le site de l’Assurance maladie Ameli.fr, avec un système de rattrapage pour les injections déjà réalisées. Le gouvernement continue parallèlement ses travaux pour intégrer dans l’application TousAntiCovid un système de carnet de rappel permettant l’accès à des lieux clos.
Pass sanitaire, QR codes, TousAntiCovid : nos données de santé en danger
Le rapprochement des données de santé collectées par les applications de type TousAntiCovid, avec celles fournies par l’utilisation de codes QR constituera une mine d’or pour les agrégateurs de données.
Par Bernard Perbal. 19 AVRIL 2021
La protection des données de santé constitue depuis plusieurs années le terrain d’enjeux dont les tenants et aboutissants sont loin d’être connus du grand public. Certains nous diront que la masse qui n’est pas assez intelligente pour comprendre les décisions prises au sommet n’a pas à réfléchir.
Les politiques et hauts fonctionnaires qui grouillent à tous les niveaux du millefeuilles de la pyramide du pouvoir sont là pour imposer subrepticement les fruits irréfragables de leur savoir et de leur capacité à gouverner en dépit de l’immense incompétence de ceux qui, dans les domaines les plus variés de notre société, sont arrivés à des postes clefs par le jeu de chaises musicales attribuant aux ratés en tout genre une promotion dorée vers les cieux des irresponsables intouchables et immuables.
On notera au passage que selon le Wall Street Journal, la commission de l’OMS chargée d’enquêter sur les sources possibles du Covid-19, ne publiera pas ses conclusions provisoires.
INCOHÉRENCE DU DISCOURS POLITIQUE
Depuis que nos dirigeants ont été contraints de reconnaître les risques sanitaires graves associés à la propagation galopante de la pandémie de Corona Virus Disease 19 (Covid-19) induite par le virus éponyme, force est de constater que l’incohérence des discours politiques et scientifiques restera un marqueur indélébile du quinquennat en cours.
En janvier 2020, la négation du risque d’importation du virus de Chine par Agnès Buzyn :
Les risques de cas secondaires autour d’un cas importé sont très faibles, et les risques de propagation du coronavirus sont très faibles.
Suivie par ses regrets qui, en quittant le ministère de la Santé, savait « que la vague du tsunami était devant nous. »
Les atermoiements du gouvernement sur le port du masque faisant dire en mars 2020 au ministre de la Santé Olivier Véran :
J’insiste, l’usage du masque en population générale n’est pas recommandé et n’est pas utile.
Le Premier ministre Édouard Philippe se retranchant derrière les multiples revirements de certains scientifiques, les mensonges concernant la disponibilité des masques dont le port deviendra finalement obligatoire à Paris à la fin de l’été et trois mois après le premier déconfinement, dans les entreprises, les lycées et les collèges.
Autant d’exemples qui ont altéré la confiance des citoyens envers leur gouvernement.
La série des affirmations dénuées de fondement scientifique prendra un nouveau visage avec, entre autres, les promesses irréalistes de l’application StopCovid et d’une vaccination de masse qui devait être menée rondement, pour finalement nous hisser, avec 2,8 vaccinations pour 100 personnes, à la vingt-et-unième place des 27 pays de l’Union européenne ayant procédé à une vaccination en date du 5 février 2021 !
Le 29 janvier 2021, la déclaration par le Président devant la presse étrangère, de la quasi inefficacité du vaccin Oxford AstraZeneca, pour les personnes âgées de plus de 65 ans n’a pas été un facteur positif.
Les premiers résultats que l’on a en ce qui concerne le vaccin Astra-Zeneca ne sont pas encourageants pour la tranche des personnes agées de 60 à 65 ans.
Plusieurs autres pays européens adoptaient à sa suite une position similaire, alors que l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé du Royaume-Uni (MHRA) maintenait :
Les données dont nous disposons montrent que le vaccin produit une forte réponse immunitaire chez les plus de 65 ans et qu’il est sans danger.
La décision de la haute autorité de Santé (HAS) du 2 février déconseillant son utilisation au-delà de 65 ans mais invitant les soignants de moins de 65 ans à se faire vacciner a généré une réticence supplémentaire des personnels visés.
Le 25 février Alain Fisher déclarait :
Pour des raisons que je trouve profondément injustes, ce vaccin a une relativement mauvaise presse en France. Il est considéré comme moins efficace que les vaccins ARN messager et moins bien toléré. Ce n’est pas exact
Cette mise au point et le fait que le vaccin AstraZeneca soit très efficace pour lutter contre le variant anglais du virus, auraient semble-t-il remis les vaccinations en route malgré le mal qui avait été fait par des assertions dénuées de fondement.
Ce bref rappel illustre la place centrale des péripéties vaccinales dans un univers soumis à de hautes pressions d’engagements et d’intérêts financiers ne représentant que la pointe de l’iceberg des négociations qui président aux efforts d’éradication du Covid-19 menés par les différentes parties prenantes.
Conjointement à ces considérations, sont apparues des initiatives visant à convaincre de l’intérêt considérable, vanté par des discours politiques plus ou moins cohérents, des outils numériques de traçage du virus et de gestion des données médicales dans le contexte de la pandémie.
DONNÉES DE SANTÉ : IDENTIFICATION ET TRAÇAGE DES PERSONNES ATTEINTES PAR LE COVID-19
La vitesse à laquelle s’est propagé le virus a vite dépassé la capacité des agences de santé publique historiquement dédiées au suivi manuel des contacts, tel qu’il avait été mené pour réduire la propagation d’épidémies comme celles qui furent causées par le virus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) ou par le virus Ebola.
Outre les ressources humaines et le temps qu’elle requiert, cette approche est pénalisée par l’imprécision des souvenirs, qui plus est lorsque les individus concernés se retrouvant dans les lieux publics très fréquentés où la brièveté des contacts affecte la mémoire et l’identification des individus rencontrés.
La recherche numérique des contacts peut reposer sur différentes technologies de l’information, plus ou moins intrusives vis-à-vis des différents aspects de la vie privée.
Par exemple, la Chine et la Corée du Sud ont imposé à leurs populations des collectes de données reposant sur des techniques de reconnaissance faciale et de transmission de données relatives à la géolocalisation des téléphones cellulaires, telles que les signaux GPS ou les caméras de reconnaissance situées dans les lieux publics.
L’utilisation de telles techniques sans que les participants aient donné leur consentement à l’utilisation et à la conservation de leurs données ne serait pas conforme avec les exigences fixées par le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) qui impose que :
les données personnelles soient anonymisées ; les explications relatives à la collecte et à l’exploitation de ces données soient fournies dans un langage simple ; la collecte des données personnelles doit être strictement restreinte au traitement dont la finalité doit être clairement respectueuse des restrictions relatives à l’utilisation des données de santé telles que définies dans le règlement ; la durée de conservation des données est limitée, elles doivent être supprimées régulièrement afin d’assurer leur protection et lutter contre toute utilisation visant au profilage des utilisateurs. Les systèmes d’identification numérique reposant sur une base de volontariat en Europe et aux USA, ils font appel à des applications que l’utilisateur télécharge lui-même.
Il a été fait le choix de ne pas utiliser de technologies intrusives pour la vie privée reposant sur la géolocalisation de type GPS ou WIFI.
Dans le cadre des protocoles numériques utilisés en France la distance séparant deux smartphones portés par des personnes qui se côtoient est estimée sur la base de l’intensité de signaux Bluetooth émis et reçus par les téléphones paramétrés de manière à pouvoir communiquer. En termes simples, plus la force du signal reçu est grande, plus les appareils sont proches l’un de l’autre.
Les choix technologiques de la France pour développer les applications StopCovid et TousAntiCovid en font un cavalier isolé en Europe, les autres pays ayant fait le choix des applications développées par Google et Apple.
Google et Apple ont retenu une solution reposant sur le stockage des données uniquement dans les smartphones des utilisateurs, permettant de les identifier tout en garantissant leur anonymat, afin d’éviter le stockage centralisé des données et en assurer une sécurité plus grande.
Les applications françaises StopCovid et TousAntiCovid utilisent un modèle centralisé qui stocke les données non nominatives, anonymisées, sur des serveurs centraux contrôlés par les autorités sanitaires.
Ce choix ne permet pas l’inter-opérabilité européenne sur laquelle la Commission a travaillé. L’Europe, par la voix de Margrethe Vestager, Commissaire en charge du Numérique et de la Concurrence, regrette la position prise par la France, qui malgré ses nombreuses déclarations, a opté paradoxalement pour une solution moins protectrice des données allant à contrecourant de la position adoptée par les autres pays de l’Union européenne.
Si certains ne trouvent pas l’inter-opérabilité souhaitable, ses défenseurs plaident pour la compatibilité des applications de traçage de tous les autres pays européens pour des questions de sécurité, en dépit du fait que d’un pays à l’autre ces applications ont rencontré un succès très différent.
Indépendamment du fait qu’elle ait pu souffrir d’un manque de compatibilité avec ses homologues européens, l’application StopCovid n’a pas rencontré le succès escompté, malgré un coût d’hébergement et de maintenance facturé jusqu’à 300 000 euros par mois.
Avec 2,3 millions de téléchargements et 72 notifications envoyées en trois mois, StopCovid, lancée le juin 2020, a été un cuisant échec selon le Premier ministre Jean Castex et le projet d’adjonction d’objets connectés à ce type d’application a été suspendu pour l’instant.
L’application TousAntiCovid a donc pris la suite de la précédente.
Son principe est inchangé. Le but étant d’avertir l’utilisateur s’il a été en contact avec un individu testé positif au Covid-19.
L’application prend en compte les contacts situés à moins d’un mètre pendant au moins 15 minutes à condition que les smartphones comportant TousAntiCovid aient été en fonctionnement au moment de leur rencontre.
Ce système nécessite qu’une personne testée positive se déclare comme telle via l’application qui préviendra alors les individus-contacts pendant la période qualifiée de contagieuse.
Pour les personnes positives symptomatiques, cette période débute 48 heures avant l’apparition des premiers symptômes. Si la personne testée positive est asymptomatique, la période de contagiosité débute sept jours avant son test positif.
Pour que ce système soit efficace, il requiert une forte adoption de l’application TousAntiCovid, estimée à 20 millions d’utilisateurs.
Selon Cédric O, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, le nombre de téléchargement de TousAntiCovid à la mi-janvier serait de 12,3 millions avec un total de 50 000 personnes notifiées.
Cependant, selon une mise à jour du 9 février relevée le 9 mars :
En France, 132 261 personnes se sont déclarées positives dans l’app mais seulement 74 234 notifications ont été envoyées. Alors même que les règles de fonctionnement de TousAntiCovid ont été changées à la fin novembre pour détecter plus de cas et envoyer plus de notifications.
Le manque d’enthousiasme de la population à l’égard des applications StopCovid et TousAnticovid résulte très certainement d’une perte de confiance instillée par les discours contradictoires de nos gouvernants.
N’aurait-il pas été plus simple de veiller à l’application stricte des gestes barrière ?
L’espoir du secrétaire d’État est de voir le nombre d’utilisateurs croître avec l’ajout de fonctionnalités pratiques et l’entrée en vigueur des QR codes dont la mise en fonction est prévue prochainement.
Cédric O rappelle à ce sujet que l’obligation d’utiliser un QR code pour accéder aux pubs en Grande Bretagne a fait monter à 20 millions le nombre d’utilisateurs de l’application de traçage.
Que penser de ce cette évolution souhaitée ?
En premier lieu, on peut regretter que la solution retenue par le gouvernement fasse appel à un stockage externe centralisé, qui représentera une proie tentante et bien plus fournie en données qu’un smartphone pour les hackers avides de grosses opérations.
Le domaine de la santé publique a subi des violations de données très conséquentes au cours des dernières années avec des dommages financiers estimés à des millions de dollars. Les cyberattaques dirigées vers les centres hébergeant des données médicales sont en très nette augmentation.
À titre d’exemple, l’intrusion dans la base de données médicales d’un centre régional de santé en Norvège en 2018 s’était soldée par la corruption de plus de trois millions de données médicales sensibles.
De même LifeLabs, l’un des plus grands groupes de laboratoires d’analyses médicales du Canada, a été victime au début de novembre 2019, d’une cyber-attaque avec demande de rançon, concernant les données de 15 millions de patients.
On retiendra enfin le pillage récent des données de santé concernant 500 000 patients ayant fréquenté plusieurs laboratoires d’analyses utilisant le même logiciel de traitement.
La centralisation des données est immanquablement plus risquée que leur fragmentation sur des supports indépendants.
Quelle qu’en soit la technologie de base, l’utilisation de ces applications nécessite d’une part que le smartphone concerné soit constamment allumé pour permettre sa détection par Bluetooth, et d’autre part que son utilisateur contact soit assez isolé dans une foule potentiellement fournie en contacts, pour être détecté de manière fiable. Ce dernier point ne devrait pas constituer un obstacle insurmontable.
Il est regrettable que le système français rigoureusement incompatible avec celui de la majorité des autres pays ne puisse bénéficier des expériences et améliorations qui pourront émerger d’une approche de groupe.
Le cas des personnes contagieuses, asymptomatiques non identifiées comme vecteurs pose un problème insoluble par l’emploi de ces techniques d’identification de contacts.
Le rapprochement des données de santé collectées par les applications de type TousAntiCovid, avec celles fournies par l’utilisation de codes QR constituera une mine d’or pour les agrégateurs de données.
LE QR CODE, DANGER POTENTIEL POUR LA PROTECTION DES DONNÉES DE SANTÉ ET PERSONNELLES
Selon le professeur Graham Greenleaf, la situation peut être schématisée comme suit.
Deux entités génératrices de données de santé vont coexister :
D’un côté une application d’identification des cas contacts, que l’on peut espérer être respectueuse des principes de respect et protection qui leur sont généralement attachées par les règlementations en vigueur (RGPD en Europe par exemple).
L’utilisation pendant une durée de six mois d’une application anti Covid pour combattre la propagation du virus en Australie a permis d’identifier 17 cas qui auraient échappé à la surveillance humaine telle que celle qui est évoquée plus haut.
De l’autre côté des QR codes devenus quasi-obligatoires, qui ne sont soumis à aucune réglementation efficace de respect de la vie privée et qui vont prendre de plus en plus d’importance avec le temps.
Les règles strictes d’encadrement de la collecte des données médicales au travers des applications de suivi actuellement en cours, contrastent très fortement avec la négligence de type laissez-faire dont bénéficie l’industrie des QR codes.
Par exemple, les QR codes sont de plus en plus largement utilisés au Royaume-Uni dans les secteurs bancaires mais aussi pour aider au suivi des personnes infectées et de leurs contacts.
Alors que la technologie des QR codes existait déjà dans les années 1990 elle n’avait pas trouvé l’infrastructure nécessaire à son adoption.
Aujourd’hui, le manque d’encadrement juridique relatif au développement fulgurant de ce type d’identification par QR code sous l’influence de la pandémie, pose des sérieux problèmes concernant la collecte et l’utilisation des données sous-traitées par un vaste panel de fournisseurs de codes. Il n’existe aucune régulation de contrôle de qualité et de protection de la vie privée applicable aux fournisseurs de QR codes.
Il est essentiel que les gouvernements encadrent très strictement le devenir des données personnelles collectées par les organisateurs de réunions festives, les restaurateurs, les bars et autres enseignes commerciales qui ne demandent qu’à reprendre leur activité pour compenser les pertes considérables subies.
Les données personnelles identifiantes, telles que les nom, e-mail, numéro de téléphone et autres données sensibles, récoltées par ces fournisseurs de QR codes ont une grande valeur marchande de nos jours.
Enfin, il ne faut pas négliger les risques informatiques qui viennent avec l’utilisation grandissante des QR codes, tant prisés par les cybercriminels pour pénétrer les données les plus intimes auxquelles ces codes finissent par donner accès.
L’objectif avoué du gouvernement français aujourd’hui est de pouvoir enregistrer en temps réel les faits et gestes des consommateurs afin de pouvoir alerter les individus ayant été en contact avec des malades.
Si l’objectif peut paraître louable à première vue, il met en jeu une utilisation des données personnelles qui s’apparente à une violation de la vie privée telle qu’elle est définie et protégée par le RGPD.
La limitation d’accès à certaines activités sportives, culturelles, culinaires, ou de loisir, fondée sur la lecture de QR codes constitue une discrimination incompatible avec les libertés fondamentales qui nous ont été octroyées par les droits de l’homme et du citoyen.
LE PASS SANITAIRE ET LE FICHAGE DE LA POPULATION
La collecte des données de santé au travers de plateformes ou de pass sanitaires rappelant les moments les plus horribles d’un passé encore présent dans tous les esprits, a constitué une marotte récurrente des gouvernements avides de fichages en tout genre.
Le fichage numérique des individus : quelques rappels
En avril 1946, le Service national des Statistiques devient l’INSEE à qui est confiée la gestion du NIR, utilisé pour la vérification des listes électorales. Le NIR est notifié à la Sécurité sociale par l’INSEE et son utilisation a été étendue aux ministères de l’Intérieur, du Travail, de l’Agriculture et de l’Éducation nationale.
Dans le tourbillon du développement de l’informatique, l’INSEE a décidé d’une part de centraliser en 1971 les répertoires d’identification à Nantes dans le cadre de la mise en place d’un Système Automatisé pour les Fichiers Administratifs et le Répertoire des Individus (projet SAFARI) et d’autre part de fusionner ces données en février 1972, avec le fichier national des assurés de la Caisse nationale d’assurance vieillesse qui comprenait les adresses de toutes les personnes répertoriées.
C’était la porte ouverte à l’interconnexion des bases de données contenues dans les fichiers électroniques des services publics et associés. La manipulation centralisée des données personnelles collectées devait aboutir au fichage des Français !
Ce projet a été révélé dans un article du journal Le Monde en 1974 et a suscité dans la population un sentiment d’inacceptable surveillance étatique.
Ces vives réactions ont conduit à la promulgation en 1978 de la loi relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, qui est restée un modèle législatif garantissant la protection des données personnelles individuelles.
Depuis SAFARI, plusieurs autres fichiers mettant en œuvre des traitements automatisés de données à caractère personnel de la population française ont vu le jour, avec plus ou moins de difficultés et de remarques de la CNIL.
le Système de traitement des infractions constatées (STIC) de 2001 le système Judiciaire de Documentation et d´Exploitation (JUDEX) de la Gendarmerie Nationale le Système d’Information Schengen (SIS) le fichier de Centralisation du renseignement intérieur pour la sécurité du territoire et les intérêts nationaux (CRISTINA) le fichier d’Exploitation Documentaire et Valorisation de l’Information Générale (EDVIGE) créé en juin 2008 et retiré la même année, avant qu’il renaisse sous le nom d’Exploitation Documentaire et Valorisation de l’Information Relative à la Sécurité Publique (EDVIRSP) le 19 novembre 2008. L’article 2 du décret créant ce fichier autorise le fichage racial, politique, religieux et syndical. Par contre, les données relatives à la vie sexuelle et la santé ne sont pas susceptibles d’être collectées. Avec trois nouveaux décrets publiés le 4 décembre 2020 et créant les fichiers PASP, GIPASP et EASP, les possibilités de fichage politique sont renforcées. Un décret publié en 2021 parachève pour une durée de trois ans les modalités de surveillance par le fisc du contenu des réseaux sociaux afin de traquer d’éventuelles fraudes fiscales.
Les données de santé
Avant d’aborder brièvement les atteintes au respect des libertés individuelles et de la vie privée des personnes que constituent les fichages fondés sur les données de santé, il est utile de définir brièvement ce qu’elles sont et quels sont les moyens mis en œuvre pour leur collecte et leur exploitation.
Les données de santé sont définies de manière très large au paragraphe 15 de l’article 4 du RGPD :
Données à caractère personnel relatives à la santé physique ou mentale d’une personne physique, y compris la prestation de services de soins de santé, qui révèlent des informations sur l’état de santé de cette personne.
Ces informations peuvent concerner l’état de santé présent ou futur de la personne concernée.
Les données de santé peuvent prendre la forme de documents écrits (ordonnances, certificats médicaux…), oraux (enregistrements de compte rendus opératoires, de visites médicales, …), ou informatisés à la suite de la dématérialisation grandissante des informations manipulées par les praticiens et les services et de santé.
La définition des données de santé, qui n’apparaît pas assez rigoureuse, constitue un frein au développement des innovations faisant appel à l’exploitation de caractéristiques phénotypiques résultant de l’expression du génome.
Le regroupement de toutes ces caractéristiques sous une même qualification juridique contraignant leurs utilisateurs à une analyse de risques concernant la protection de la vie privée, semble totalement inapproprié.
Le principe de précaution excessif ayant guidé les législateurs n’est pas raisonnable et trouve ses racines en France dans l’absence de responsabilité individuelle d’une population à qui l’on pourrait expliquer les risques, mais qui se réfugie à tout moment derrière la responsabilisation gouvernementale.
Selon un tel principe, la mise au point des automobiles ou de tout autre moyen de transport moderne aurait été interdite au motif qu’ils auraient été potentiellement mortels…
Le Système National des Données de Santé (SNDS) créé par la loi du 26 janvier 2016, fut remplacé par le Health Data Hub (HDH), officialisé par arrêté du 30 novembre 2019, en dépit des inquiétudes qu’a déclenché le choix du Cloud Microsoft pour son hébergement.
La CNIL a d’ailleurs rendu un avis très sévère sur le HDH en s’inquiétant des modalités de recours offertes aux citoyens dont les données de santé seront incluses dans le HDH, et des conditions de mise en œuvre de l’information du public.
Le HDH contiendra les données de l’assurance maladie, des facturations hospitalières, des causes médicales de décès, des données médico-sociales des personnes handicapées potentiellement intéressantes pour des acteurs privés qui y auraient accès.
Toutes les données de santé, collectées dans le cadre d’un acte remboursé par l’assurance maladie, seront centralisées dans le Health Data Hub et constitueront des sources de développement d’algorithmes d’apprentissage automatique à usage médical.
Le fichage des données médicales restructuré par la création du HDH est sur la voie d’être renforcé par la mise en place d’un pass sanitaire.
Bien que l’invalidation du Privacy Shield par la Cour de Justice de l’Union européenne n’autorise pas les échanges de données personnelles du HDH stockées par Microsoft, dans certains cas, le Cloud Act pourrait cependant permettre de contourner cette interdiction de transfert.
Plus récemment, une critique du même type a été soulevée à l’encontre de la plateforme de prise de rendez-vous médicaux Doctolib, par un collectif de médecins et de patients ayant déposé un référé auprès du Conseil d’État sollicitant « l’annulation du contrat liant Doctolib et l’État dans le cadre des prises de rendez-vous pour la vaccination contre le COVID-19 ».
En effet, ce partenariat loué par ailleurs par Cédric O, brasse une quantité importante d’informations de santé dans des conditions qui ne seraient pas conformes au RGPD. Effectivement, l’hébergement des données de santé collectées par Doctolib, victime d’un récent piratage de données ayant révélé les informations de santé relatives à 6128 rendez-vous, reposerait sur le choix de Amazon Web Services (AWS).
Le pass sanitaire
Compte tenu de l’ignorance relative du monde de la recherche médicale à propos des subtilités de la biologie du Covid-19, il est légitime de se poser quelques questions pertinentes relatives à la nature des critères qui permettront aux « heureux élus » de bénéficier d’un pass sanitaire leur ouvrant les portes à des activités quasi-normales dans une société amputée de plusieurs libertés fondamentales.
Lors d’une visioconférence avec les chefs d’État de l’Union européenne, le président Macron aurait dessiné les contours de ce pass qui « ne sera pas un passeport vaccinal », mais qui permettra d’envisager la réouverture des lieux culturels et des restaurants fermés à cause de la pandémie. Quid des autres commerces ?
Monsieur Macron a déclaré :
La mise en œuvre d’un tel instrument va poser beaucoup de questions techniques, de respect des données individuelles, d’organisation de nos libertés […] je sens qu’il y a beaucoup de confusion parfois sur ce sujet.
Insistant sur le fait que ce pass ne serait pas un passeport lié uniquement à la vaccination, le Président aurait précisé que « nous ne saurions conditionner l’accès » des lieux qui pourraient être rouverts « à une vaccination, alors même que nous n’aurions pas ouvert la vaccination aux plus jeunes. »
Le faible pourcentage des personnes vaccinées à ce jour donnerait sans aucun doute un arrière-goût de discrimination sanitaire à une distribution sélective des permissions de profiter pleinement des plaisirs de la vie…
Sur quelle base serait donc attribué ce pass sanitaire ?
Existerait-il des indices de prédisposition médicale d’une susceptibilité au Covid sur laquelle s’appuierait une sélection ?
Cette parodie ne serait-elle qu’un discours incohérent mêlant l’illusion politicienne à la dure réalité de la vie pour les personnes touchées ?
Quoiqu’il en soit, la terrible réalité est aussi celle que tendent à imposer les pays ne voyant dans la création d’un passeport sanitaire qu’un outil économique dont la mise en place balaierait d’un revers de main tous les efforts déployés depuis des décennies pour maintenir et protéger le respect de la personne humaine.
Serait-ce un nouveau symptôme attribuable au neurotropisme avéré des coronavirus ?
Cet article a été publié le 10/03/21 et mis à jour le 10/03/21 à 11h47
Même si ce n'est pas vraiment 'madame code' avec ses 'cul-air' à ne pas y toucher, çà sent pas la rose ! Bêh ouais, tous les véhicules inoculés doivent être immatriculés et, le robot (transhumanisme) 328.202RY588D doit se conformer aux nouvelles directives ou être éliminés (presse hydraulique pour la compression des voitures mises en décharges). Vous aurez l'air-cube ! Hahahaha ! Respirez vos masques contenant des milliers de poussières métalliques destinées à partir à l'assaut de votre cerveau, vous vous laissez déjà faire ! Çà maaaaarche ! Çà maaaaaarche !
D'ailleurs, on ne dit plus mort mais 'covide' ! Il s'est covidé dans un accident de la route ! Il s'est pendu, il est covide ! Et vous madame vous en êtes à combien ? 3 mois ? 4 ! Whôaw ! 4 ème mois de grossesse covide !!
Directement de la bouche du cheval: les vaccins sont inefficaces
Par Vasko Kohlmayer 20 avril 2021
«Le PDG de Pfizer dit que la troisième dose de vaccin Covid est probablement nécessaire dans les 12 mois», lit-on dans un récent titre de CNBC. "Le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a déclaré que les gens auraient" probablement "besoin d'une troisième dose d'un vaccin Covid-19 dans les 12 mois suivant la vaccination complète", nous dit-on.
«Moderna espère avoir un rappel de Covid pour son vaccin prêt d'ici l'automne, déclare le PDG», annonce un autre rapport de CNBC. "Moderna espère avoir un rappel de Covid disponible pour les Américains d'ici l'automne, selon le PDG Stéphane Bancel", rassure l'article des lecteurs inquiets.
Le fil conducteur caché de ces rapports est que l’une des plus grandes fraudes de l’histoire est perpétrée sous nos yeux. Cela devrait être évident pour quiconque est capable de faire une déduction logique.
L'implication inévitable de ces rapports est que les vaccins actuellement administrés ne vous donneront pas une protection suffisante contre Covid-19 à l'avenir. En d'autres termes, ces injections sont inefficaces.
Si ces vaccins étaient efficaces, les PDG de ces sociétés ne parleraient pas de la nécessité de recevoir un autre vaccin dans quelques mois.
Répétons-le: cet automne, le vaccin que vous avez pris ou que vous êtes sur le point de prendre ne vous protégera pas de Covid.
Pourquoi, alors, les gouvernements poursuivent-ils ces programmes de vaccination massifs qui injectent chaque jour des produits pharmaceutiques inefficaces dans les bras de millions de personnes ?
Car non seulement ces concoctions préparées à la hâte sont inefficaces, mais elles sont carrément dangereuses. Des milliers de personnes ont été tuées inutilement par eux et des centaines de milliers ont été gravement blessées.
«Plus de 10 000 décès après les coups de feu COVID rapportés par les agences américaines et européennes», avons-nous lu dans un rapport compilant des données collectées par divers organismes gouvernementaux. «Plus de 7 000 décès sont survenus en Europe et plus de 200 000 blessés dans le monde ont été signalés», apprend-on.
La question est la suivante: pourquoi ces programmes de vaccination - qui causent des décès et des blessures à grande échelle - et qui sont inefficaces par rapport à leur objectif déclaré, à savoir la protection contre Covid, sont autorisés à se poursuivre ?
Ce n’est rien de moins qu’un crime contre l’humanité, qui est perpétré par les sociétés pharmaceutiques et leurs facilitateurs au sein du gouvernement et de la communauté scientifique avec l’aide des médias.
Les vrais scientifiques ont toujours su qu'en raison de la nature mutante du virus, il ne sera pas possible de proposer un vaccin efficace contre Covid-19. Cependant, cela n'a pas empêché les dirigeants de l'industrie pharmaceutique et leurs acolytes scientifiques de préparer des concoctions inefficaces et dangereuses, puis de les injecter dans le corps de centaines de millions d'êtres humains.
Pourquoi feraient-ils cela ? À cause de l'argent, bien sûr. La valeur des actions du PDG de Moderna, par exemple, a maintenant grimpé à environ cinq milliards de dollars. Pas une mauvaise récompense pour la douleur des autres.
Fait révélateur, le PDG, Stéphane Bancel, a refusé de révéler son propre statut vaccinal.
Mais la fraude est encore plus profonde. Non seulement les vaccins actuellement proposés seront inefficaces contre les variantes qui émergeront à l'automne, mais ils sont déjà inefficaces contre certaines des variantes actuellement en circulation.
Considérez simplement ce titre de CNBC: «Une variante de Covid d’Afrique du Sud a pu« percer »le vaccin Pfizer dans une étude israélienne.» La phrase d'ouverture de l'article nous informe que «[l] a variante de coronavirus découverte pour la première fois en Afrique du Sud est capable d'échapper à une partie de la protection du vaccin Pfizer-BioNTech.» Cela devrait faire réfléchir tout le monde, car la variante sud-africaine est une mutation répandue qui a été détectée dans des dizaines de pays à travers le monde et est déjà devenue la souche dominante dans certains d'entre eux.
En fait, il semble maintenant que les vaccins mêmes qui étaient censés vous protéger de Covid peuvent vous rendre plus vulnérable. Ceci est tiré d’une autre étude menée en Israël, l’un des pays les plus vaccinés au monde: «Les chercheurs israéliens ont découvert que les personnes qui avaient reçu deux doses du vaccin Pfizer étaient huit fois plus susceptibles d’être infectées par la variante sud-africaine, et que les personnes qui avaient reçu une dose du vaccin étaient plus susceptibles d’obtenir la variante britannique.»
Il est temps de se soulever contre cette fraude gargantuesque dans le domaine des soins de santé et de tenir les auteurs et leurs complices pour responsables.
Violence raciale et santé mentale des Noirs américains
19 AVRIL 2021 par University of Utah
La violence policière contre les Noirs américains est honteusement courante aux États-Unis et dévaste les communautés. Pour les incidents largement médiatisés, un traumatisme collectif est ressenti dans tout le pays, en particulier pour les Noirs. La recherche soutient que le racisme, même par procuration, peut nuire à la santé mentale et physique des autres membres du même groupe racial, mais son effet sur une population n'est pas clair.
Une nouvelle étude a analysé l'impact d'actes de violence raciale très médiatisés sur la santé mentale des Noirs américains aux États-Unis.Les auteurs ont identifié 49 incidents survenus entre 2013 et 2017, y compris des meurtres par la police d'individus noirs, des meurtres de crimes haineux et des décisions de ne pas inculper ou condamner les agents impliqués. Les chercheurs ont mesuré l'intérêt national en fonction du volume de recherches Google associées et calculé la détresse mentale moyenne par semaine à l'aide de deux sources, couvrant la période 2012-2017: le système de surveillance des facteurs de risque comportemental (BRFSS) et les recherches Google liées à l'actualité avec des termes de détresse psychologique.
Le BRFSS réalise plus de 400 000 entretiens téléphoniques avec des résidents adultes par an, ce qui en fait le plus grand système d'enquêtes sanitaires continues au monde. Les répondants noirs du BRFSS ont signalé plus de jours de mauvaise santé mentale pendant les semaines où deux incidents ou plus de violence contre les Noirs se sont produits et lorsque l'intérêt national entourant les événements était plus grand. La santé mentale des répondants blancs n'était pas significativement corrélée avec le moment de la violence raciale. De plus, les décisions judiciaires où des agents impliqués dans des violences raciales n'étaient pas inculpés étaient le plus fortement associées aux jours de mauvaise santé mentale pour les Noirs. Les auteurs concluent que la réduction de la violence contre les Noirs bénéficierait à la santé mentale des Noirs à travers le pays.
L'article publié le 19 avril 2021 dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.
«Il existe des preuves solides qu'en plus d'être une crise sociale et morale, le racisme est un problème de santé publique important qui augmente le risque de développer une gamme de maladies et de problèmes de santé mentale», a déclaré le co-auteur David Chae, professeur agrégé et directeur de la Société. , Health and Racial Equity (SHARE) Lab, et doyen associé pour la recherche à l'École de santé publique et de médecine tropicale de l'Université de Tulane. "Les expériences des autres membres d'un groupe racial sont partagées et peuvent également être des sources personnelles de stress."
La recherche est cohérente avec une étude précédente détaillant un nombre plus élevé de jours de mauvaise santé mentale pour les Noirs américains exposés à des meurtres par la police d'individus noirs non armés dans leur propre État. Cette étude est la première à examiner comment les meurtres par la police et d'autres incidents raciaux violents avec une large couverture médiatique ont un impact sur la santé mentale des Noirs américains à l'échelle nationale.
"Comme nous l'avons vu lors des manifestations qui ont suivi le meurtre de George Floyd, le chagrin, l'indignation et l'injustice que subissent les gens ne sont pas seulement liés à votre communauté immédiate", a déclaré l'auteur principal David Curtis, professeur adjoint d'études sur la famille et la consommation à la Université de l'Utah. «Si nous réfléchissons à l'impact sur la santé de la population, nos résultats montrent que le bilan mental ne se limite pas uniquement à la communauté où l'incident a eu lieu.
Avec le soutien du National Institute on Minority Health and Health Disparities of the National Institutes of Health, les chercheurs ont identifié une violence anti-noire très médiatisée entre 2013 et 2017 en utilisant la couverture médiatique des 60 premiers jours après l'incident. Ils ont établi le nombre d'incidents survenant par semaine et quantifié l'intérêt national hebdomadaire à l'aide de Google Trends. Pour évaluer si la détresse psychologique a été influencée par le moment de ces incidents, les auteurs ont utilisé deux sources: les termes de recherche Google liés au suicide, l'anxiété et la dépression, ainsi que le nombre moyen de jours de mauvaise santé mentale parmi les répondants noirs de l'enquête BRFSS 2012-2017. L'étude comprenait des données de 217171 Noirs et 2092683 Américains blancs et leurs réponses à la question: Maintenant, en pensant à votre santé mentale, qui comprend le stress, la dépression et les problèmes émotionnels, pendant combien de jours au cours des 30 derniers jours votre santé mentale n'a-t-elle pas été bien ?
L'étude a révélé que la violence raciale n'était pas systématiquement associée à la détresse nationale mesurée à l'aide de termes de recherche Google. Cependant, les données probantes utilisant les réponses à l'enquête BRFSS étaient claires: les Noirs américains, mais pas les Américains blancs, ont signalé un nombre plus élevé de jours de mauvaise santé mentale au cours des semaines où deux incidents de violence raciale ou plus se sont produits et lorsque l'intérêt national était plus élevé. Lorsque les types de violence raciale étaient considérés séparément, l'intérêt national à l'égard des décisions juridiques de ne pas inculper l'officier utilisant la force létale était le seul indicateur statistiquement significatif de jours de mauvaise santé mentale pour les répondants noirs du BRFSS, bien que les associations pour tous les types de violence allaient dans la même direction. Les auteurs de l'étude ont émis l'hypothèse que l'importance unique des procédures judiciaires pour influencer la santé mentale des Noirs américains pourrait être due au rôle de l'injustice perçue, en particulier compte tenu de la longue histoire de violence anti-noire sanctionnée par l'État aux États-Unis. l'attention du public s'est tournée vers le procès pour meurtre de Derek Chauvin et suggère que le verdict dans cette affaire est susceptible de se répercuter bien au-delà de Minneapolis.
"Cette étude fournit des preuves supplémentaires de la nature toxique du racisme systémique et du rôle que joue le racisme dans la production, le maintien et l'amplification des disparités en matière de santé. Si nous voulons améliorer la santé de notre population, nous devons démanteler le racisme", a déclaré le co-auteur Hedwig Lee, professeur de sociologie et codirecteur du Center for the Study of Race, Ethnicity, & Equity, Université de Washington à St. Louis.
Les mondialistes auront besoin d'une autre crise en Amérique car leur programme de réinitialisation échoue
RépondreSupprimerPar Brandon Smith
Alt-Markert.us
19 avril 2021
Cela peut ressembler à de «l'exceptionnalisme américain» de le souligner (… et à quel point j'ose oser), mais même si la réinitialisation mondialiste réussit dans tous les autres pays de la Terre, les mondialistes sont toujours des échecs s'ils ne peuvent pas sécuriser et subjuguer les Américains. Comme je l'ai noté à plusieurs reprises dans le passé, la majeure partie du monde a été suffisamment désarmée, et même si nous constatons une résistance dans plusieurs pays européens contre la législation sur la vaccination forcée et la tyrannie médicale, il est peu probable qu'ils aient la capacité de le faire, repousser un plein en marche vers le totalitarisme. La plupart de l'Asie, de l'Inde et de l'Australie sont déjà bien sous contrôle. L'Afrique est presque une réflexion après coup, étant donné que l'Afrique est le pays où de nombreux vaccins suspects sont testés.
L'Amérique représente le seul obstacle important à l'ordre du jour.
Les Américains conservateurs en particulier ont été une épine dans le flanc des mondialistes pendant des générations, et cela revient vraiment à une simple question d'exclusion mutuelle: vous ne pouvez pas avoir une société ouvertement mondialiste et des idéaux conservateurs en même temps au même endroit. C'est impossible.
Les conservateurs croient en un gouvernement limité, de véritables marchés libres, la liberté individuelle, la valeur de la vie, la liberté d'expression, les droits de propriété privée, le droit à la légitime défense, le droit à l'autodétermination, la liberté de religion et le principe de non-agression (nous ne vous fera pas de mal à moins que vous n'essayiez de nous nuire). Aucun de ces idéaux ne peut exister dans un monde mondialiste parce que le mondialisme est au cœur de la poursuite d'une tyrannie entièrement centralisée.
Il y a des gens sur cette planète qui ne se contentent pas de vivre leur vie, de prendre soin de leur famille et de faire leur marque pacifiquement. Ils ont soif de pouvoir sur tout le reste. Ils veulent désespérément avoir un contrôle sur vous, sur moi, sur tout, et ils utiliseront tous les moyens à leur disposition pour l'obtenir. Je comparerais cela à une sorte de toxicomanie; Les globalistes sont comme des accros au crack, ils ne peuvent jamais avoir assez de pouvoir, il y a toujours quelque chose de plus à prendre.
Ils se disent et disent aux autres qu'ils sont des «philanthropes», qu'ils «savent ce qui est le mieux» pour le reste d'entre nous. Ils se croient supérieurs et c'est donc leur «destin» de dicter et de micro-gérer la société pour le «plus grand bien» de nous tous. Mais vraiment, lorsque nous sommes témoins de leurs méthodes, il devient clair qu’ils n’ont pas de nobles aspirations. Ils n'ont ni empathie ni honneur. Ils ne se soucient pas de l’être humain moyen, ni de l’environnement, ni de l’économie ou de la société en général. Ils ne se soucient que d'eux-mêmes et de leurs illusions de grandeur. Ces personnes sont un cancer sur le reste de la civilisation.
RépondreSupprimerIls semblent être particulièrement obsédés par la déconstruction et le sabotage de l'Amérique dans la poursuite de leur réinitialisation mondiale. Les vrais philanthropes n'auraient pas de problème si quelqu'un ne voulait pas accepter leur «charité», mais les psychopathes ne peuvent pas accepter qu'un groupe de personnes les rejette ainsi que leur idéologie. Vous n'êtes pas autorisé à vous en éloigner. Vous n'êtes pas autorisé à faire les choses à votre façon. Vous devez être obligé de vous conformer. L'ordre du jour ne fonctionne que si TOUT LE MONDE se soumet.
Malheureusement pour les globalistes, la réinitialisation ne fonctionne pas pour eux partout. Aux États-Unis, l'agenda échoue lamentablement par rapport à l'Asie et à certaines parties de l'Europe.
Comme le chef du Forum économique mondial, Klaus Schwab, aime tellement nous le rappeler, la pandémie de Covid est «l'occasion parfaite» pour faire avancer les plans mondialistes pour une réinitialisation totale de l'économie humaine et de la société. Pour les mondialistes, la crise est une panacée, une porte vers leur version d'un monde meilleur. Ils aiment la pandémie, ils n'en sont pas affligés.
Le problème est que cela ne fait pas assez de dégâts ou ne terrifie pas assez de gens.
Considérez la simulation de la pandémie de coronavirus Event 201 - Elle a été organisée par le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates seulement deux mois avant que la vraie chose ne se produise «par hasard» au début de 2020. comment les élites prévoyaient de garder le public sous contrôle. La suppression des médias alternatifs et la censure dans les médias sociaux a été longuement discutée. Les voix dissidentes doivent être réduites au silence si la réinitialisation doit prévaloir.
Un facteur dans la simulation de l'événement 201 qui ne s'est jamais joué, cependant, était les projections du WEF sur les décès. Le jeu de guerre a suggéré au moins 65 millions de décès initiaux dus à la pandémie. Les premières projections sur le taux de mortalité suggéraient 2 % à 3 % de la population ou plus. Les mêmes projections ont été répétées par l’Organisation mondiale de la santé de l’ONU lorsque la véritable pandémie a été révélée pour la première fois au public.
Au lieu de cela, Covid-19 a été une déception pour les mondialistes, avec un taux de mortalité minime d'environ 0,26 % en dehors des maisons de retraite. Cela signifie que 99,7 % de la population n'a pas à s'inquiéter de la part de covid. Des millions d'Américains deviennent avertis de la situation et refusent de se conformer aux mandats sur un virus qui n'est pas une menace.
Au lieu de reculer sur le schéma de réinitialisation, les globalistes continuent de doubler. Pourquoi ? Parce qu'ils n'ont pas d'autre choix. Ils ont laissé le chat sortir du sac et des grosses gueules flamboyantes comme Klaus Schwab ont dit au monde exactement quel était le plan. S'ils se retirent maintenant, ils n'auront JAMAIS une autre chance de mettre en œuvre un plan de centralisation mondiale; une prise massive qui nécessite une tyrannie médicale pour empêcher la rébellion.
RépondreSupprimerVous voyez, si le taux de mortalité avait été considérablement plus élevé que 0,26 % et que le covid représentait une menace légitime, alors peut-être qu'une plus grande partie de la population américaine aurait été à bord avec des restrictions à plus long terme et des passeports médicaux. Peut être pas. Il n'en demeure pas moins que 40 % des décès ont eu lieu dans des maisons de retraite chez des patients atteints de maladies préexistantes, le taux de mortalité en dehors de ces établissements est minime, les mandats de masque se sont avérés totalement inefficaces et les États restés ouverts et supprimés les mandats de masque ont CHUTE les taux de mortalité et d'infection par rapport aux États qui appliquent des verrouillages.
Le récit de la peur s'effondre. Les États à travers les États-Unis s'ouvrent et refusent de mettre en œuvre des mandats inutiles. Dans mon état d'origine, le Montana, les législateurs et le gouverneur adoptent des lois qui interdisent l'application des passeports médicaux. Même les grandes entreprises ne sont pas autorisées à exiger des passeports vaccinaux des clients ou des employés.
En plus de cela, 40 % à 50 % de la population américaine dans les sondages refusent de se conformer au déploiement des vaccins ou aux passeports médicaux. Pourquoi se faire vacciner contre un virus dont 99,7 % de la population n'est de toute façon pas affecté ?
Le gabarit est en place. Les mondialistes vont avoir besoin d'une autre crise s'ils espèrent imposer de nouveaux verrouillages aux États-Unis, ainsi que des passeports médicaux et le désarmement. Ne soyez pas surpris s'il y a plus de chaos d'ingénierie dans les mois d'été. Mais à quoi ressemblera la prochaine crise ? Je pense que nous voyons déjà les signes…
Mutations Covid
Les médias grand public poussent un récit non-stop sur le battage médiatique de la mutation covid. Nous entendons parler des variantes britanniques et brésiliennes sur une base hebdomadaire, et l'affirmation a été que ces variantes seront sûrement plus infectieuses et plus mortelles que le virus d'origine. Il n’y a toujours aucune preuve pour le confirmer, mais les mondialistes se soucient seulement de planter l’idée dans la tête des gens. Ils ne se soucient que de raviver la peur.
Mon sentiment est que cette stratégie va échouer, du moins aux États-Unis. Trop d'Américains sont conscients du jeu de l'escroc, et une nouvelle menace virale n'aura pas le même effet que Covid-19 dans les premiers mois de la pandémie. Aucun de nous ne savait vraiment à quoi nous étions confrontés à l'époque, et la prudence était une réponse pratique. Aujourd'hui, nous savons pertinemment que le covid ne préoccupe pas la grande majorité du public. Les tentatives des médias pour amplifier la menace seront inefficaces, mais ils essaieront bien sûr toujours.
RépondreSupprimerÉmeutes BLM
C'est la prochaine tactique évidente de la part de l'establishment. De nombreux responsables de l'État soutiennent ouvertement de nouvelles émeutes à travers le pays en raison d'une récente fusillade de la police dans le Minnesota. La fusillade elle-même était accidentelle, le suspect ayant violemment résisté à son arrestation et sautant dans sa voiture. Une femme officier a saisi son pistolet dans un état de panique au lieu de son taser et a tiré.
Cet événement n'avait rien à voir avec le racisme, ni avec la brutalité policière. Mais cela n’empêche pas des groupes marxistes comme BLM d’en profiter et d’en faire une question de «suprématie blanche». Le vrai danger d'agitation arrivera cependant à la clôture du procès Derek Chauvin.
À la fin du procès, des preuves ont été révélées que George Floyd était impliqué dans une forte consommation de drogues et le médecin légiste a indiqué que cela, ainsi que les maladies cardiaques, contribuaient à la mort de Floyd. Une «boule de vitesse» contenant du fentanyl a également été découverte à l'arrière de la voiture de police dans laquelle Floyd était à l'origine immobilisé. Ainsi, même si la tactique du genou au cou de Derek Chauvin a aidé à tuer Floyd, il est peu probable qu’un jury le condamne pour meurtre au premier ou au deuxième degré sur la base des preuves. Des accusations moindres déclencheront sans aucun doute davantage d'émeutes BLM.
Idéalement, ces événements de poudrière se déroulent au début des mois chauds du printemps et de l'été, moment privilégié pour les émeutes.
Je crains que les troubles civils ne puissent se propager et se propager aux États-Unis jusqu'à ce que les citoyens ordinaires commencent à prendre les choses en main. Et, bien sûr, toute communauté qui tente de se défendre contre le pillage et la destruction sera accusée d '«agression raciste» - À ce moment-là, l'administration Biden tentera alors d'affirmer l'autorité d'instituer des mesures de loi martiale dans diverses régions. Ceci, combiné avec de nouvelles tentatives de verrouillage de covid, est un scénario très probable.
Cyber polygone
RépondreSupprimerTout comme la simulation de l'événement 201 d'une pandémie de coronavirus a précédé la réalité de seulement deux mois, on craint que le prochain événement de simulation du Forum économique mondial ne soit également un précurseur d'une autre crise.
Cyber Polygon est un jeu de guerre organisé par le WEF en juillet dernier et destiné à simuler une cyberattaque majeure sur la chaîne d'approvisionnement mondiale et le système économique. Il y a eu des discussions interminables dans les médias au cours de l'année écoulée, suscitant des craintes de cyberattaques de la part de la Russie, de la Chine, de l'Iran et même de la Corée du Nord.
En ce qui concerne les menaces de la chaîne d'approvisionnement, je ne sais pas exactement comment une cyberattaque pourrait faire beaucoup pour perturber le transport maritime mondial, à moins que nous ne parlions d'un autre blocage sur une route maritime majeure comme le canal de Suez. Mais une attaque réussie contre les bourses dans des endroits comme Wall Street pourrait être dévastatrice. Je suggère de surveiller attentivement cet événement car il peut être conçu pour précéder une véritable cyberattaque cette année.
Tensions de la guerre mondiale
Les médias et l'administration Biden sont très occupés à essayer de créer des tensions avec la Russie au sujet de l'Ukraine. Il y a de nouvelles tensions entre l'Iran et Israël et une déstabilisation continue par l'Occident en Syrie. Et, un danger croissant de confrontation avec la Chine au sujet de Taiwan.
La guerre pourrait être le but, ou le but pourrait simplement être un conflit économique. Après tout, la Chine a déjà déversé des dollars et des bons du Trésor américain l’année dernière, et il ne faudrait pas grand-chose pour nuire au statut de réserve mondiale du dollar si la Chine et la Russie se diversifiaient toutes deux dans un panier de devises pour le commerce mondial.
Au-delà de cela, il y a de nombreux avantages pour les mondialistes à créer des guerres régionales et à entraîner les Américains dans des conflits inutiles. Par exemple, la menace de guerre pourrait être utilisée pour instituer un nouveau projet. Quelle meilleure façon de garder les Américains en particulier occupés et de les empêcher de se rebeller contre la réinitialisation que de les recruter afin qu'ils puissent mourir dans une guerre sans signification à l'étranger ?
Il y a aussi un avantage narratif aux tensions mondiales; lorsqu'ils sont confrontés à une menace étrangère, les Américains sont-ils plus susceptibles de rejeter les notions de rébellion contre les intrusions du gouvernement ? Je ne doute pas que l'establishment tentera de prétendre que le mouvement pour la liberté n'est pas un mouvement pour la liberté, mais un mouvement «astro-turf» créé par les Russes pour déstabiliser l'Amérique. Telle est la stratégie de propagande médiatique de gauche depuis des années maintenant; alors pourquoi s'arrêteraient-ils ?
L'essentiel est le suivant: l'Amérique est la cible principale des mondialistes parce que nous sommes l'un des seuls pays avec les moyens et les chiffres pour les arrêter et la réinitialisation. Tant qu'ils ne seront pas retirés de l'équation, ils continueront à nous lancer crise après crise pour nous épuiser et nous forcer à accepter le totalitarisme. Ne vous sentez pas trop à l'aise avec le fait que le programme de lutte contre la pandémie échoue ici; restez vigilant et continuez à organiser vos communautés.
RépondreSupprimerReprinted with permission from Alt-Markert.us.
https://www.lewrockwell.com/2021/04/brandon-smith/globalists-will-need-another-crisis-in-america-as-their-reset-agenda-fails/
Le mot 'socialisme' (comme le mot 'communisme') inclut, laisse à penser, qu'il s'agit là de société, de groupement d'intelligences, de discussions, de développement d'idées mises en commun, mais là où ces mots sont trompeurs c'est qu'ils n'incluent que le mot valeur, richesse et mises en groupe d'argents dont n'auront accès que des dirigeants (non élus démocratiquement).
SupprimerAinsi, pareillement, le mot 'capitaliste' qui laisse à penser que la richesse accumulée par tout le monde sera à disposition du dit riche. Or, là encore il s'agit d'un mot trompeur qui est détourné de son emphase grandiloquente de ses effets de gestes, pour ne laisser qu'aux propriétaires qu'une sombre espérance que ces évaluations lui rapporteront la totalité de ses capitaux.
Ainsi, confondues, ces deux politiques du bien et du bien sont elles apostrophées par la dictature qui se dit de 'gérer le monde' !
Cherchez l'erreur.
Notez qu'en aucun cas la Démocratie (Par le Peuple, Pour le Peuple) n'y serait présente malgré que tous les pays du monde (à l'exception de la Suisse où elle est déjà) se disent d'être en Démocratie !!
C'est là un savantissime débordement de locutions vides et sans intérêts qui s'attache à dévoyer les populations qui ne comprennent que les merdias observatoires. Suffit de voir les mesures prises extraordinairement contre un virus qui existe depuis des millions d'années et qui sera encore là dans des millions d'années. Ce dit virus (poussière expulsée éternellement par le magma qui la fait remonter en surface des eaux par ses propres gaz produits et qui, au gré des alizés, fera le tour du monde. Cette nano-particule métallique chargée d'énergie (dérivée d'Uranium ? Plutonium ?) n'en supportera ses effets que durant 3 semaines. Son rôle naturel d'émettrice sera de faire en premiers lieux parties de la vie sous-marine et sous-océanique sans que les poissons, coquillages & crustacés n'en soient atteint ni n'en meurent ! Çà alors ! - Phénomènes non-étudiés en laboratoires ! - Puis, se dispersant à la faveur des vents se répandra sur terre pour y être consommée. Nous respirons toutes & tous avec ou sans masque, 200 000 virus ou microbes par minute et 2 millions en activité physique.
Il ne peut donc être produit de vaccins contre elle en moins de 3 semaines. D'où l'inutilité de séances d'inoculation. Mais là où ce problème se différencie des autres millénaires est que ces dites nano-particules ont été ré-examinées (en laboratoires) et rechargées différemment afin qu'aucun remède ne puissent en empêcher leur pouvoir mortel, voire d'en saisir les objectifs réels qui est de transformer les êtres vivants en des laboratoires sur pattes et dirigés comme la dictature l'entend !)
Il y a là de par ce monde que des hégémonistes tendant à en réduire la population (maintenant remplacés par des machines) afin d'appliquer leur programmes néo-existentiels de cet 'autre monde' appelé 'Reset' ou 'Nouvel Ordre Mondial'.
Ainsi, après la catastrophique bévue du '11 Septembre 2001' où la totalité des projecteurs cinématographiques d'hologrammes d''avions' mis en place n'ont pas répondu au spectacle de la traversée de tours bardées de poutrelles verticales d'acier par des 'avions' dont la structure est composée d'aluminium ! (la tour n°7 s'est effondrée sans être touchée par un 'avion' prévu suite à une obstruction de la technique des dits projecteurs), ainsi que celle destinée à pénétrer le Pentagone ou à l'écrasement d'un 'avion' en forêt où aucun débris n'a pu être relevé !! voici qu'arrive la mise-en-place extraterrestre d'un virus qui serait plus virulent que les autres mais qui aurait la particularité de retenir en haleine toute la population mondiale durant plus de une année !! Whôaw ! Çà faut le faire !!
Alerte majeure / Toutes les entreprises américaines menacées
RépondreSupprimerPar Bill Sardi
19 avril 2021
Le Forum économique mondial, qui a coparrainé EVENT 201 au Johns Hopkins Center For Health Security avec Bill Gates en octobre 2019, juste avant le début du COVID-19 en janvier 2020 et l'annonce d'une pandémie de coronavirus muté en mars 2020, annonce maintenant CYBER POLYGON, un jeu de guerre cybernétique qui sera imputé aux «ennemis» d'outre-mer. CYBER POLYGON est un exercice prévu pour juillet 2021.
Si un tel événement se produisait, il paralyserait toutes les entreprises, toutes les églises, tous les hôpitaux, même les forces de sécurité et de police. Il semble prudent de planifier une perturbation majeure de la cyberactivité en ligne étant donné que les autorités publiques semblent ignorantes ou même complices de cet événement, comme elles l'ont été dans COVID-19. Les entreprises liées à la consommation seraient avisées de conseiller à leurs clients de s'approvisionner en produits de première nécessité, en particulier de la nourriture, des articles de toilette, des vitamines, des médicaments et d'autres sources d'énergie si possible. Les médecins doivent planifier les patients en conséquence.
Veuillez noter que le taux de mortalité par COVID-19 n'est que de 0,26% (quart de un pour cent - Annals Internal Medicine janvier 2021), ce qui est inférieur à la grippe saisonnière lorsque les décès dans les maisons de soins infirmiers sont supprimés des données sur la mortalité. Cela signifie que 99,7% des vies ne sont pas menacées par cette maladie infectieuse et que les verrouillages, la distanciation sociale et le port d'un masque facial sont des tentatives sans fondement pour freiner la propagation ou retarder l'infection et donc empêcher les gens de développer une immunité naturelle et les rendre totalement dépendants de l'utilisation d'urgence. vaccins expérimentaux.
L'anxiété induite par le COVID-19 (CNN admet qu'elle a incité la population à avoir peur de maintenir des cotes de télévision élevées) a entraîné une augmentation de 500% de la consommation d'alcool et une augmentation de l'insomnie qui a entraîné une augmentation de la consommation de café et de thé, avec ces trois facteurs bloquent un nutriment clé (vitamine B1 thiamine) qui contrôle le système nerveux autonome qui contrôle la respiration, le rythme cardiaque et la digestion. La perte d'odeur et de goût est également une conséquence de cette pénurie de vitamines. Cela explique les symptômes du COVID à long terme. Il s'agit de la deuxième pandémie sous-jacente qui se poursuit alors que les mesures contre la pandémie se poursuivent.
Cliquez sur les liens ci-dessous pour valider cet avertissement. Ce n'est pas un rapport sensationnaliste.
Cyber Polygon est un jeu de guerre organisé par le Forum économique mondial (WEF) en juillet / 2021, destiné à simuler une cyberattaque majeure sur la chaîne d'approvisionnement mondiale et le système économique. Il y a eu des discussions interminables dans les médias au cours de l'année écoulée, suscitant des craintes de cyberattaques de la part de la Russie, de la Chine, de l'Iran et même de la Corée du Nord.
Regarde ça:
https://www.lewrockwell.com/2021/04/no_author/major-alert-all-us-businesses-threatened/#google_vignette
https://www.lewrockwell.com/2021/04/no_author/major-alert-all-us-businesses-threatened/
Il y a une fissure dans l'armure de l'État: profitez-en maintenant !
RépondreSupprimerPar Gary D. Barnett
19 avril 2021
«Tous les hommes reconnaissent le droit de révolution; c'est-à-dire le droit de refuser l'allégeance et de résister au gouvernement, lorsque sa tyrannie ou son inefficacité sont grandes et insupportables.
~ Henry David Thoreau (1942). «Désobéissance civile», p.5, Hayes Barton Press
Même au milieu de conflits extrêmes, il y a des moments d'eaux plus calmes, et il y a des moments de faiblesse par ce que l'on devrait appeler «notre ennemi l'État». Ne vous y trompez pas, l'État au pouvoir est toujours un ennemi, mais lorsqu'il se brise ou se plie, il appartient aux gouvernés de profiter de la situation en écrasant le corps politique et en détruisant son pouvoir. Cela doit être fait avec vigueur, mais pacifiquement, car ce n’est qu’à une époque de véritable légitime défense que la force meurtrière doit être utilisée, et seulement pour étouffer la menace directe. Dans cet esprit, il y a une opportunité de retrouver la liberté perdue en évitant l'État et tous ses mandats néfastes. Cette opportunité est maintenant.
Les habitants de ce pays sont maintenant bien entrés dans le quatorzième mois de tyrannie absolue, mais la classe politique et ses complices ont été trop agressifs dans leurs tentatives de prendre le contrôle total de la société. Les mensonges sont devenus évidents et le tort causé par les décisions politiques dictées par l'agenda a atteint presque tout le monde. La maladie et la mort aux mains des mandats «d’urgence» de l’État et de ses injections horriblement dangereuses et inutiles font des ravages pour une grande partie de la population. De plus, avec les fermetures forcées, les fermetures d'entreprises, le port de masques, la distanciation et d'autres restrictions, la dévastation économique de ce pays a été désastreuse. La contradiction, l'hypocrisie et les mensonges sont exposés, mais la tendance à plus de contrôle se poursuit, alors même que plus de lumière brille sur la vérité.
Même si une grande partie de la population accepte toute cette oppression, beaucoup se lassent de toute la folie, et les tentatives de l’État pour revendiquer la domination complète de toutes les décisions de la vie commencent à se retourner contre eux. Beaucoup sont sans travail et ont été contraints à la pauvreté. Beaucoup d'autres ont été relégués dans des prisons à domicile, ou pire. Les quarantaines et le verrouillage sont monnaie courante et existent toujours dans de nombreux endroits du pays. Les injections toxiques faussement appelées «vaccins» Covid-19 tuent des gens à gauche et à droite, et les effets indésirables très indésirables sont alarmants. Comme indiqué hier, l'Oregon envisage d'étendre indéfiniment l'obligation de porter des masques et de prendre une distance «sociale» pour toutes les entreprises de l'État. Vendredi, en Ontario, de nouvelles mesures d'urgence avec des pouvoirs extraordinaires ont été prises, et ont même inclus l'arrêt de tout véhicule pour savoir pourquoi ils ne sont pas enfermés chez eux. La pression est bonne, mais finalement, il y a un peu plus de résistance.
Un plus grand nombre de personnes prennent les armes et des dizaines de milliers de personnes repoussent en Oregon, et même en Ontario, de nombreux services de police refusent d'arrêter qui que ce soit. Bien que le comportement tyrannique soit encore évident, il y a eu récemment plus de refus de prendre des commandes et plus d'expressions d'opinions sur toute nouvelle oppression due à ce faux virus. Le gouvernement, comme je l’ai prédit il y a quelque temps, fait ressortir l’argument de la «variante» afin de faire revenir le public à une totale conformité, mais cela devient de plus en plus difficile à accomplir car les gens se lassent de cette folie. Dans l'ensemble, il y a une fissure dans l'armure de ce gouvernement odieux, mais ne vous attendez pas à ce que cela dure à moins que les gens ne se lèvent en force.
RépondreSupprimerÀ l'heure actuelle, il y a encore peu de résistance compte tenu du fait que 330 millions de citoyens peuplent ce pays, mais il semble qu'une opportunité de gagner du terrain se soit légèrement ouverte. Plusieurs États ont éliminé les commandes de masques, et le gouvernement fédéral et les bureaucraties de la «santé» pourraient cibler des États comme le Texas et la Floride afin de provoquer une nouvelle panique, des États qui contrarient le système depuis un certain temps. Plus il y a d’États qui évitent les «directives» fédérales, mieux c'est, et si suffisamment de répulsion continue, il y aura une chance d’arrêter certaines des commandes draconiennes au niveau national. La plupart des États sont toujours divisés, même avec une diminution des règles, car les responsables locaux, municipaux et de comté continuent de maintenir les mandats en place. C'est là que les résidents locaux pourraient exercer une forte pression sur ces petits dictateurs qui ont goûté au pouvoir, et menacer de les retirer de leurs positions d'une manière ou d'une autre.
Je dois dire clairement que je ne suis pas optimiste quant à un éventuel réveil du peuple américain dans son ensemble. L'absence totale de dissidence de masse face à un tel règne de terreur tyrannique poursuivi par le système gouvernemental américain, qui a été volontairement autorisé à se produire depuis le premier de l'année dernière, est sans aucun doute pathétique au-delà de toute imagination. De plus, beaucoup sont complètement perdus dans un coma postmoderne. Toute continuation de ce niveau d'indifférence par le peuple ne fera que sonner le glas et mettra fin à toute chance de retrouver la liberté.
Il semble cependant qu'il existe une fenêtre d'opportunité en ce moment. Une majorité d'Américains n'ont toujours pas pris cette concoction mortelle appelée «vaccin», ce qui expose un signe de doute dans l'esprit de millions de personnes. Cette injection est à mon avis le programme le plus important de la minorité autoritaire, et la campagne pour «vacciner» tous se poursuivra de manière agressive. L'État ne lâchera pas; la peur ne cessera pas, et si l'élément au pouvoir de ce pays se sent menacé en raison de plus de dissidence et de désobéissance du troupeau, leurs efforts seront intensifiés et deviendront plus perfides. La prochaine phase consistera à délivrer l'immunité / les passeports médicaux et les «papiers».
Le combat doit être porté devant l'État, et il semble que l'occasion se présente maintenant! Le gouvernement a entamé sa dernière poussée vers un régime autoritaire; il est temps pour nous en masse d'entamer notre ultime poussée vers la libération de l'oppression.
Source links:
Permanent mask mandates in Oregon
Ontario police balk at new ‘Covid’ orders
The truth about ‘Covid’ and the ‘vaccine’ is coming out
There is some failure in the reset agenda: Another crisis is necessary
https://www.lewrockwell.com/2021/04/gary-d-barnett/there-is-a-crack-in-the-states-armor-take-advantage-now/
Le CDC a violé la loi pour gonfler les cas de COVID et les décès
RépondreSupprimerPar Joseph Mercola
Mercola.com
19 avril 2021
Dans cette interview, le Dr Henry Ealy, ND, BCHN, mieux connu sous le nom de Dr Henele, nutritionniste holistique certifiée et fondateur / directeur de la communauté exécutive de l'Energetic Health Institute, 1 examine comment les agences de réglementation fédérales américaines ont manipulé les statistiques du COVID-19 pour contrôler le récit de la pandémie.
Il a obtenu son doctorat en médecine naturopathique du SCNM. Après avoir obtenu un baccalauréat ès sciences en génie mécanique de l'UCLA, il a travaillé pour une grande entreprise aérospatiale en tant que développeur principal de bases de données pour le programme de la Station spatiale internationale. Il détient plus de 20 ans d'enseignement et d'expérience clinique et a été le premier docteur en naturopathie à enseigner régulièrement dans une grande université des États-Unis, lorsqu'il a dirigé un programme à l'Arizona State University sur la gestion de la bioanxiété.
Comme il le souligne, il est un passionné de collecte de données. En octobre 2020, Henele et une équipe d'autres chercheurs ont publié un article2 dans Science, Public Health Policy and the Law, intitulé «COVID-19 Data Collection, Comorbidity & Federal Law: A Historical Retrospective», qui détaille comment les centres américains pour Le contrôle et la prévention des maladies a permis la corruption des données de notification des cas et des décès en violation de la loi fédérale.
L'exactitude des données est primordiale pour les politiques de santé publique
L'équipe a commencé à examiner les données des CDC sur les cas et les décès de COVID-19 à la mi-mars 2020. Il explique:
«Ce que j'ai commencé à faire le 12 mars, c'était de parcourir toutes les données que nous pouvions trouver du ministère italien de la Santé et de la Corée du Sud. Nous n'avons pu valider aucune des données provenant de Chine. Il n'y avait tout simplement aucun moyen indépendant de le faire. Ce que nous voyions en Italie et en Corée du Sud, c'est que nous allions être préoccupés par les personnes de plus de 60 ans, de plus de 70 ans souffrant de maladies préexistantes.
C'était l'essentiel de ces données. Donc, nous nous attendions au même genre de tendances ici ... J'ai commencé à suivre les données quotidiennement de chaque département de la santé de l'État, puis à m'assurer que ce que le CDC rapportait correspondait.
Ce que nous avons commencé à voir très tôt, ce sont des anomalies significatives entre ce que les États rapportaient et ce que le CDC disait. C'était inquiétant, car la variance augmentait chaque jour. Nous avons un vieil adage: «Les ordures dans les ordures égales à la poubelle». Et c’était la préoccupation, car nous savions que les politiques de santé publique allaient être fondées sur les données, la précision est donc d’une importance capitale.
Ensuite, nous avons commencé à approfondir un peu plus la façon dont le CDC était censé collecter leurs données. C’est là que nous avons vu les directives du National Vital Statistics Systems (NVSS) du 24 mars, qui étaient très préoccupantes, et nous avons vu le CDC adopter le document du Conseil des épidémiologistes des États et des territoires le 14 avril.
RépondreSupprimerCe qui était incroyablement inquiétant à ce sujet, c'est que tout s'est déroulé sans aucune surveillance fédérale et que tout s'est fait sans aucun commentaire public, en particulier scientifique. Cela est devenu de plus en plus problématique. Nous avons commencé à voir des écarts dans le seul État de New York, dans les milliers de morts. »
Des règles spéciales pour les décès dus au COVID-19 ont été mises en œuvre
Surtout, en mars 2020, un changement important a été apporté à la définition de ce qu'était un décès par COVID-19. Comme l'explique Henele, il existe un manuel sur la déclaration des décès, qui est utilisé depuis 2003. Il y a deux sections clés sur un certificat de décès. Dans la première partie, la cause du décès est détaillée. Dans la deuxième partie, les facteurs contributifs sont énumérés.
Les facteurs contributifs ne sont pas nécessairement enregistrés statistiquement. C’est la première partie, la cause réelle du décès, qui est la plus importante pour la comptabilité statistique. Le 24 mars 2020, le NVSS a mis à jour ses directives sur la façon de signaler et de suivre les décès liés au COVID-19.
«Ils disaient que le COVID-19 devrait être répertorié dans la partie 1 pour un suivi statistique, mais [seulement] dans les cas où il est prouvé qu'il a causé la mort ou qu'il est supposé avoir causé la mort», explique Henele.
«Ce qui était vraiment préoccupant à propos de ce document, c'est qu'il stipulait spécifiquement que toutes les conditions préexistantes devraient être déplacées de la partie 1, où elle a été placée pendant 17 ans, vers la partie 2.
Donc, il s'agissait essentiellement de prendre ceci et de dire: `` Nous allons créer des règles exclusives pour COVID-19 et nous allons faire un 180 pour cette seule maladie ... '' Le gros problème avec cela est que maintenant vous supprimez la capacité pour un médecin légiste, un coroner, un médecin, d'interpréter [la cause du décès] en fonction des antécédents médicaux collectifs de ce patient…
Vous supprimez leur expertise et vous dites: «Vous devez compter cela comme COVID-19.» Cela prend une mesure supplémentaire lorsque vous l'incitez financièrement, et c'est ce que nous avons vu avec certains des paiements de Medicare et Medicaid… »
Qui est responsable ?
RépondreSupprimerQui a le pouvoir de faire cela ? La réponse est «personne». Une agence fédérale a la capacité de proposer une modification des données, moment auquel elle serait inscrite au Federal Register. À ce stade, la surveillance fédérale par le Bureau de la gestion et du budget entre en jeu et le changement proposé est ouvert aux commentaires du public.
Puisqu'ils n'ont pas enregistré le changement proposé, il n'y a eu aucune surveillance et aucune possibilité pour le public de commenter le changement. Fondamentalement, ce qui s'est passé, c'est que ces changements ont simplement été mis en œuvre sans suivre aucune des règles prescrites. «Ils ont agi unilatéralement, et ce n’est pas ainsi que [cela] est censé fonctionner», dit Henele.
Quant à savoir qui a décidé de modifier les règles de déclaration, nous ne savons pas. Pour identifier les coupables, Henele et son équipe ont envoyé des pétitions d'enquête formelles du grand jury à tous les avocats américains et au département américain de la Justice (DOJ), demandant une enquête approfondie, indépendante et transparente.
«Nous l'avons fait au niveau des États et au niveau fédéral. Nous avons envoyé des copies physiques à tous les avocats américains et à leurs collaborateurs. Nous avons envoyé plus de 247 mailings en octobre [2020] », explique Henele. «Nous en avons envoyé 20 à 30 supplémentaires à diverses personnes du ministère de la Justice…
Ils auraient la capacité de convoquer un grand jury, et ce grand jury aurait la capacité d'assigner tous ces dossiers pour déterminer qui était en faute… Tout ce dont nous avons besoin, c'est d'un avocat américain. Tout ce dont nous avons besoin, c'est d'une personne au ministère de la Justice pour défendre la cause.
Implications dramatiques
Les conséquences de ce changement dans la définition de la cause du décès où le COVID-19 est impliqué ont été dramatiques. Pour connaître toutes les implications, je recommande de lire le document évalué par les pairs de Henele, «COVID-19: le CDC viole la loi fédérale pour permettre la corruption des données de signalement des décès.» 3
«Nous avons accumulé environ 10 000 heures de recherche collective en équipe sur cet [article]. Il a été examiné par neuf avocats et un juge pour en vérifier l'exactitude. Il a été soumis au processus d’évaluation par les pairs avant d’être publié. Nous pensons que c’est serré.
À la page 20 de l'article, nous avons un grand graphique montrant ce que le nombre réel estimé de décès aurait dû être au 23 août 2020. Ce qui a été rapporté le 23 août était de 161 392 décès causés par COVID-19…
Si nous avions utilisé les lignes directrices de 2003, nos estimations sont que nous aurions environ 9 684 décès au total dus au COVID-19. C’est une différence significative. C’est une différence de l’ordre de 96%. La fourchette que nous avons calculée était de 88,9% à 96% d’inflation. »
En effet, cela correspond à une admission du CDC fin août 2020, date à laquelle ils ont admis que seulement 6% du nombre total de décès avaient le COVID-19 comme seule cause de décès. Les 94% restants avaient en moyenne 2,6 comorbidités ou problèmes de santé préexistants qui ont contribué à leur décès.4
«Pour une précision absolue à 100 %, nous devrons faire quelque chose comme ce à quoi nous venons d'être alertés par un dénonciateur en Floride, où ils sont en fait intervenus et ont réexaminé chaque certificat de décès et les dossiers médicaux avec eux. Ce qu'ils ont découvert, c'est qu'environ 80% des décès ont été classés à tort comme des décès dus au COVID-19 », explique Henele.
RépondreSupprimerLes fondements scientifiques ont été violés
Les médias traditionnels ont justifié les mesures de pandémie «sur la base de la science», mais le fondement même de la science a été violé. Les ramifications sont énormes, de la destruction des économies locales et de la flambée des taux de suicide aux personnes forcées de mourir seules, les membres de leur famille étant empêchés d'être à leur chevet pendant leurs derniers moments.
«J'ai perdu ma mère en 2002», raconte Henele. «La grâce de tout cela a été que nous avons pu la faire sortir de l'hôpital et répondre à sa dernière demande, qui était de décéder dans son lit avec sa famille autour d'elle. Je pleure chaque personne qui a perdu quelqu'un [pendant cette pandémie] qui n’a pas pu être là.
Les Américains ne devraient pas avoir à mourir seuls parce que nous sommes inquiets au sujet d'un virus dont ils nous disent que c'est un problème, quand les données, même les données que nous savons être gonflées et frauduleuses, ne suggèrent toujours pas la virilité qu'ils veulent nous faire croire.
Chronologie du COVID-19
Dans leur article, Henele et son équipe détaillent une chronologie de la pandémie COVID-19 et des lois fédérales qui ont un impact sur le traitement des données. Voici un résumé:
En 1946, certaines procédures administratives ont été mises en œuvre. La Loi sur les procédures administratives oblige les agents et organismes fédéraux à suivre certaines règles pour faire avancer les choses. Ces règles visent à garantir la transparence du gouvernement.
«Si vous êtes une agence fédérale, vous avez l’obligation envers la population de ce pays de vous assurer que les données que vous publiez sont non seulement exactes, mais aussi transparentes», explique Henele.
En 1980, la Paperwork Reduction Act a été inscrite dans la loi. En 1995, la loi a été modifiée, désignant le Bureau de la gestion et du budget (OMB) comme organe de contrôle des données de toutes les agences fédérales.
En octobre 2002, la loi sur la qualité de l'information a été mise en œuvre, ce qui double encore davantage l'exactitude et l'intégrité et la collecte des données. Cette loi oblige les agences fédérales à répondre à des critères explicites pour que leurs données soient publiées et analysées.
En 2005, le Virology Journal a publié des recherches démontrant que l'hydroxychloroquine a de puissants effets antiviraux contre les cellules de primates du SRAS-CoV (le virus responsable du SRAS). Cette découverte a été saluée par le Dr Anthony Fauci, note Henele. En d'autres termes, il y a 15 ans, Fauci a admis que l'hydroxychloroquine agit contre les coronavirus. C'est un dossier public.
Comme indiqué dans «The Lancet Gets Lanced With Hydroxychloroquine Fraud» et «How a False Hydroxychloroquine Narrative was Created», le mythe selon lequel ce médicament était au mieux inutile et au pire dangereux a été délibérément créé à l'aide de recherches et d'essais falsifiés dans lesquels le médicament a été administré. à des doses toxiques.
Cette recherche frauduleuse a ensuite été utilisée pour décourager et dans certains cas bloquer l'utilisation de l'hydroxychloroquine dans le monde. Comme le note Henele, «Ce n’est pas de la science. Nous sommes dans ce modèle de science confessionnel très étrange, qui n’est pas une science à ce stade. "
En 2014, Fauci a autorisé 3,7 millions de dollars à l'Institut de virologie de Wuhan (WIV). En 2019, WIV a reçu 3,7 millions de dollars supplémentaires. Dans les deux cas, ce financement était destiné à la recherche sur le gain de fonction sur les coronavirus de chauve-souris.
RépondreSupprimerLe 18 octobre 2019, le Johns Hopkins Center for Health Security a accueilli l'événement 201, en collaboration avec la Fondation Bill & Melinda Gates, le Forum économique mondial et quelques autres partenaires financiers. Le 17 novembre 2019, la Chine a enregistré le premier cas connu de COVID-19.
«Maintenant, ils pourraient être complètement indépendants», dit Henele, «mais pour nous, c'est une coïncidence très incroyable que vous exécutiez une simulation un mois avant qu'une pandémie n'éclate. C'est un peu difficile pour moi de digérer comme une simple coïncidence. "
Le 29 janvier 2020, la Maison Blanche a installé un groupe de travail sur les coronavirus, qui comprenait Fauci et le directeur du CDC de l'époque, le Dr Robert Redfield, ainsi que Derek Kan, alors directeur adjoint de l'OMB.
«J'ai trouvé cela un peu intéressant», dit Henele. «Pourquoi auriez-vous besoin d'une personne de l'OMB dans un groupe de travail sur les coronavirus ?»
Le 9 mars 2020, le CDC a alerté les Américains de plus de 60 ans avec des conditions préexistantes selon lesquelles ils pourraient se trouver dans un long lock-out pour des raisons de sécurité.
Le 24 mars, le CDC a changé la façon dont le COVID-19 est enregistré sur les certificats de décès, en désaccentuant les conditions préexistantes et les comorbidités, et en qualifiant fondamentalement tous les décès dans lesquels le patient avait un test SRAS-CoV-2 positif de décès COVID-19.
«Nous avons, légitimement enregistré, des personnes décédées dans un accident de moto répertoriées comme un décès par COVID-19. Ce ne sont pas des choses fictives que nous avons inventées. Rhode Island a eu plus de 80 % de leurs décès à un moment donné dans des centres de vie assistée ou des soins palliatifs. Pourquoi testons-nous des personnes en soins palliatifs et en soins de vie ? C’est une autre question intéressante », dit Henele.
Le 14 avril 2020, le CDC a adopté un document de position d'une organisation à but non lucratif, le Conseil des épidémiologistes d'État et territoriaux, qui identifie chaque méthodologie pour signaler un cas probable de COVID-19, un cas confirmé de COVID-19, un ou cas COVID suivi par contact.
«Ce qui est si incroyable à ce sujet, c'est que la norme de preuve pour un cas probable est littéralement une toux. C'est tout ce dont un médecin a besoin, [selon] ce document, pour valider que cette personne est un cas probable de COVID », dit Henele.
«Et ça empire. À la page 6 de ce document, section 7B, il est explicitement indiqué qu'ils ne définiront pas de méthodologie pour garantir que la même personne ne peut pas être comptée plusieurs fois. Donc, nous nous retrouvons avec une porte tournante.
Désormais, en termes de nouveaux cas, la même personne peut être comptée encore et encore, sans être testée, sans présenter de symptômes. Tout ce qu’ils ont à faire est de se trouver à moins de 6 pieds de quelqu'un [qui a été jugé positif pour le SRAS-CoV-2], puis un traceur de contact peut dire: «OK, eh bien, cette personne est [aussi] positive».
Lorsque nous avons examiné les données de la semaine dernière, environ 27 % des personnes déclarées positives ont en fait eu un test positif. Cela signifie que 73 % se sont juste vu dire "Ouais, nous pensons que vous l'avez compris.'' Et c'est assez bien, parce que nous sommes dans ce modèle de science basé sur la foi, au lieu d'un cadre vérifiable pour la science, ce que nous sommes censés être basé sur.
Cette personne ne peut alors pas retourner au travail tant qu'elle n'a pas présenté un test négatif. Eh bien, disons qu’ils sont testés 13 fois. Devinez ce qui se passe? Il s’agit de 13 nouveaux cas, alors qu’il ne devrait en être qu’un seul.
RépondreSupprimerDonc, il y a des défauts majeurs, et le problème que je pense que beaucoup de scientifiques comme moi… ont avec ce document et son adoption est qu'il n'y a pas eu de surveillance, et il n'y a pas eu de période de commentaires publics pour remettre en question certaines des lacunes évidentes dans ce qui ils définissaient comme une collecte de données - sans parler de poser une question très simple: «Vous êtes le CDC, vous êtes censé être le summum de cela.
Pourquoi avez-vous besoin d'externaliser les règles et les critères de collecte de données à une entité à but non lucratif ? »Cela n'a pas beaucoup de sens pour moi."
Les règles de transparence ont été gravement violées
Alors, quel est exactement le lien entre la loi sur la réduction de la paperasse et les données sur les décès COVID-19? Pourquoi est-ce si important ?
«Eh bien, la loi sur la réduction de la paperasserie vise vraiment à établir une surveillance», explique Henele. «Il a créé le Bureau de la gestion et du budget, l'OMB, qui relève du pouvoir exécutif. Il les a établis comme l'agence clé pour la surveillance de toutes les données dans l'ensemble du gouvernement fédéral.
Ainsi, lorsque vous commencez à voir l'IHME [Institute for Health Metrics and Evaluation] de l'Université de Washington - qui est fortement financée par la Fondation Bill & Melinda Gates, à hauteur de 384 millions de dollars en deux versements - lorsque vous voyez leurs données utilisé au niveau fédéral, vous allez regarder le Federal Register et vous dites: «OK, où sont les 30 à 60 jours que nous étions censés avoir pour commenter l'utilisation de ces données ?
Les commentaires du public font partie de la Loi sur la réduction de la paperasserie. Voilà toute l'histoire. Ce que nous avons vu à la place était simplement: «Hé, c'est ce que l'IHME propose. Nous allons y aller. »Eh bien, vous ne pouvez pas faire cela si vous êtes une agence fédérale… IHME est… techniquement une organisation indépendante, mais ils n'ont aucune désignation gouvernementale.
Ce n’est pas un 501 (c) (3), ce n’est pas un 501 (c) (4), ce n’est pas un 501 (c) (6). C’est simplement cette organisation non gouvernementale amorphe dans notre pays, et c’est plutôt inquiétant. Ont été faire plus de recherches à ce sujet, mais c'est très, très préoccupant car ils n'ont personne à qui rendre compte. "
La stratégie basée sur les tests est une fraude flagrante
Outre la manipulation des statistiques sur les décès, les statistiques des «cas» ont également été manipulées. Traditionnellement, un «cas» est un patient symptomatique; quelqu'un qui est réellement malade. En ce qui concerne le COVID-19, cependant, un «cas» est soudainement devenu toute personne testée positive pour le SRAS-CoV-2 à l'aide d'un test PCR, ou pire, supposée positive en raison de la proximité avec une personne testée positive.
Le CDC a spécifiquement adopté ce que l’on appelle une stratégie basée sur des tests, ce que nous n’avons jamais fait auparavant en médecine pour quoi que ce soit. Ce que signifie cette stratégie basée sur les tests, c'est que si vous testez positif, vous avez [COVID-19]. ~ Dr Henele
J'ai détaillé cette fraude dans de nombreux articles précédents au cours de l'année écoulée, notamment "Coronavirus Fraud Scandal - The Biggest Fight Has Just Begun" et "The Insanity of the PCR Testing Saga". Les «cas» ont également été comptés plusieurs fois, comme expliqué ci-dessus. Henele explique ce problème en notant:
«Le CDC a spécifiquement adopté ce que l’on appelle une stratégie basée sur des tests, ce que nous n’avons jamais fait auparavant en médecine pour quoi que ce soit. Ce que signifie cette stratégie basée sur les tests, c'est que si vous testez positif, vous avez [COVID-19]. Mais ce qu’ils n’ont pas fait pour les tests PCR, c’est qu’ils n’ont pas identifié le nombre convenu de cycles dans tous les états de tous les laboratoires qui effectuent des tests.
RépondreSupprimerCe que la plupart des gens ne savent pas, c'est que plus vous vous rapprochez de zéro en termes de temps de cycle, plus le résultat sera négatif. Plus vous vous rapprochez de 60, plus il y a de chances que ce soit positif.
Eh bien, nous n’avons jamais vu un document émanant de la FDA, du CDC, provenant de l’un des services de santé de l’État, qui dit: «Nous avons besoin que tous les laboratoires soient à ce cycle spécifique [seuil]. Et si une personne n’est pas considérée comme positive avec ce nombre de cycles, alors elle n’est pas positive. »Donc, il y a juste défaut après défaut après défaut."
La manipulation des données a créé une pandémie de COVID-19
La plupart des laboratoires ont utilisé des seuils de cycle supérieurs à 40 - comme recommandé par le CDC et l'Organisation mondiale de la santé - ce qui a augmenté de façon exponentielle la probabilité d'un test positif, même chez les individus en parfaite santé et non infectieux. La seule justification de tout cela est que cela a été fait pour perpétuer le récit selon lequel nous étions dans une pandémie déchaînée, qui a ensuite été utilisée pour justifier la destruction sans précédent de la liberté personnelle et de l'économie.
«Ce que je dois donner aux gens qui ont participé à ce crédit, c'est le nombre incroyable de tours de mains», dit Henele. «C’est un peu ici, un peu ici, un peu ici, un peu ici.
Et quand cela se produit, cela conduit à quelque chose de très dangereux scientifiquement, et très dangereux pour la politique de santé publique, qui est le contrôle des données - la capacité de manipuler les données ... et si vous pouvez contrôler les données, vous pouvez contrôler le récit ...
Si nous n’avons pas un processus de collecte de données absolu, transparent et vérifiable basé sur l’exactitude et l’intégrité de ces données, vous pouvez activer ou désactiver cette [urgence pandémique] à votre guise. J'espère que le scientifique objectif en chacun de nous comprend que c'est plus grand que la politique. C'est au-delà. C'est un système gravement défectueux que nous devons réparer, et nous ferions mieux de le faire. »
Comme discuté dans de nombreux autres articles, il semble que la pandémie COVID-19 ait en fait été une justification pré-planifiée pour la mise en œuvre d'un système de contrôle mondial dirigé par des technocrates, qui comprend un tout nouveau système financier pour remplacer l'économie fiduciaire fabriquée par la banque centrale. c'est maintenant à la fin de sa vie fonctionnelle. La monnaie fiduciaire est fabriquée par la création de dettes assorties d'intérêts, et le monde entier est maintenant tellement chargé de dettes qu'il ne pourra jamais être remboursé.
RépondreSupprimerSi les gens comprenaient comment les banques centrales du monde nous ont arraché les yeux, nous exigerions simplement la fin des banques centrales. La monnaie doit être créée et gérée au niveau national.
Les banques centrales, bien sûr, ne veulent pas que cette réalité devienne une notoriété commune, car elles ne pourront plus manipuler tous les pays du monde, elles ont donc besoin que la rupture économique paraisse naturelle. Pour cela, ils ont besoin d'une catastrophe mondiale, telle qu'une guerre majeure, ou une redoutable pandémie nécessitant la fermeture des économies.
Grâce à cette manipulation délibérée des statistiques de cas et de décès, le CDC a été complice d'une faute intentionnelle en générant une peur inutile qui a ensuite été utilisée contre vous pour vous voler vos libertés et libertés personnelles et aider à inaugurer ce transfert massif de richesses et tyrannie. Comme l'a noté Henele, «les gens vont être complices de leur propre esclavage. Les gens sont complices de mettre des chaînes numériques autour d'eux et de vraiment restreindre leurs libertés civiles. »
Espérons que les gens commenceront à comprendre comment les statistiques de la pandémie ont été et sont toujours manipulées pour contrôler le récit et générer une peur injustifiée pour aucune autre raison que de vous amener à vous conformer à des mesures tyranniques conçues pour vous asservir, non seulement temporairement mais définitivement.
Plus d'information
Pour comprendre comment nous en sommes arrivés à ce point, veuillez lire l'article de Henele, "COVID-19: le CDC viole la loi fédérale pour permettre la corruption des données de signalement des décès." Comme l'a noté Henele:
«J’attends avec impatience le jour où nous repenserons à cela et nous dirons:‘ Oh, nous avons failli craquer pour un, mais nous nous sommes réveillés à temps et nous avons compris. Et maintenant, nous avons un bon équilibre entre la technologie, mais la technologie qui n’a pas le droit de nous censurer, la technologie qui n’a pas le droit de nous contrôler; nous avons compris qu’avoir trop de contrôle entre les mains de trop peu d’entre eux n’était pas une bonne recette pour nous en tant qu’espèce sur cette planète. »
Nous savons qu’il ne passe pas le test de l’odorat, il est donc important de se renseigner et de s’informer et ce sont des papiers comme celui-ci - et ce n’est pas le seul - qui ont fait leurs devoirs. Si nous voulons faire confiance à quelqu'un, il est important pour moi de faire confiance aux personnes qui ont fait les devoirs et qui n’ont aucun intérêt direct dans le résultat.
Mon équipe est une équipe de bénévoles. Nous faisons tous cela pendant notre temps libre. Nous ne gagnons pas d’argent. Nous n'allons pas chercher à gagner de l'argent avec cela. Nous faisons cela parce que nous croyons en ce pays. Nous aimons ce pays et nous aimons les gens de ce pays. Quand je vois des gens souffrir, je dois aider. Je dois entrer et aider.
RépondreSupprimerDonc, si vous êtes un Américain qui veut aider, nous mettons en place des ressources pour que vous puissiez vous engager et nous aider à faire avancer les choses, peut-être graisser certaines de ces roues de la justice, afin que nous puissions obtenir une enquête indépendante du grand jury. . »
Pour plus d'informations, ou si vous souhaitez aider, vous pouvez envoyer un e-mail à Henele et à son équipe à COVIDResearchTeam@protonmail.com. Vous pouvez également utiliser votre voix et vos actions pour soutenir une enquête sur les actions du CDC.
Deux façons simples d'agir
Ajoutez votre signature à cette pétition pour aider le public à faire pression pour convoquer un grand jury officiel pour enquêter sur les allégations de faute intentionnelle d'agences fédérales pendant le COVID-19 via Stand For Health Freedom, une organisation de défense à but non lucratif avec laquelle Henele et son équipe ont collaboré
Envoyez une lettre pré-rédigée et personnalisable via Stand For Health Freedom, exhortant les principaux membres du Congrès à enquêter de manière approfondie sur les violations présumées de la loi fédérale par le CDC qui ont compromis les données COVID-19
Sources and References
1 Energetic Health Institute Dr. Henele
2 Science, Public Health Policy and the Law October 12, 2020; 2: 4-22
3 Metabolic Healing October 12, 2020
4 CDC.gov August 26, 2020, Comorbidities Table 3, updated October 14, 2020
https://www.lewrockwell.com/2021/04/joseph-mercola/cdc-violated-law-to-inflate-covid-cases-and-fatalities/
Version Global News concernant la possibilité de déclaration de l'État d'urgence au Canada
RépondreSupprimerdimanche 18 avril 2021
"La ministre de l'Approvisionnement, Anita Anand, n'exclut aucune option qui pourrait aider le Canada à freiner sa troisième vague de COVID-19, y compris l'invocation de la Loi canadienne sur les urgences."
Lorsqu'on lui a demandé si le Canada envisagerait la Loi d'urgence ce dimanche, 👉elle a dit que le cabinet fédéral se réunirait de nouveau au cours du week-end et au début de la semaine prochaine 👉 pour «envisager toutes les options».
La Loi canadienne sur les urgences donnerait au gouvernement fédéral le pouvoir d'émettre des décrets et de réaffecter rapidement les fonds publics à la suite d'un examen parlementaire.
Le Canada s'est abstenu de déclarer une urgence fédérale lors de la première vague de l'année dernière, mais de nombreuses provinces ont déjà déclaré des urgences de santé publique et invoqué des mesures d'urgence.
La loi elle-même n'a jamais été utilisée au Canada.
La Loi sur les mesures de guerre, maintenant abrogée, qui permettait au gouvernement fédéral de prendre des mesures pour assurer la sûreté et la sécurité lors d'urgences nationales, a été invoquée à trois reprises au Canada: pendant la Première et la Seconde Guerres mondiales et pendant la crise d'octobre 1970, lorsque des membres du Front de Libération du Québec ont enlevé le vice-premier ministre provincial de l'époque Pierre Laporte et le diplomate britannique James Cross.
Les commentaires d’Anand font suite à un moment sombre dans la riposte du Canada à la pandémie."
https://www.google.ca/amp/s/globalnews.ca/news/7765882/canada-emergencies-act-the-west-block/amp/
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/04/version-global-news-concernant-la.html
Loi d'Etat d'urgence au Canada envisagée
RépondreSupprimerdimanche 18 avril 2021
*Hum... ça pourrait sérieusement se corser avec cette loi fédérale qui équivaut à la "loi martiale".
"Plusieurs provinces ont déjà déclaré l’état d’urgence sur leur territoire respectif depuis le début de la pandémie de COVID-19. Le gouvernement fédéral, lui, n’a pas encore exclu cette possibilité afin d’agir avec force contre la troisième vague de contamination.
C’est ce qu’a déclaré dimanche la ministre des Services publics et de l’Approvisionnement, Anita Anand, en entrevue à Global News.
La loi d’urgence, qui permet au gouvernement d’y aller d’ordres exécutifs et de réallouer des fonds publics, n’a été invoquée qu’à trois reprises dans l’histoire du Canada : lors des deux Guerres mondiales et en 1970 pour la Crise d’octobre."
Loi sur les mesures d'urgence:
https://laws-lois.justice.gc.ca/fra/lois/e-4.5/TexteComplet.html
https://www.tvanouvelles.ca/2021/04/18/ottawa-ne-ferme-pas-la-porte-a-letat-durgence-1
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/04/loi-detat-durgence-au-canada-envisagee.html
C’est un truc de la classe supérieure: les travaillistes sont devenus le Australian Wokers Party et les travailleurs en ont assez
RépondreSupprimerApril 19th, 2021
C’est la culture réveillée par rapport aux travailleurs
Le parti travailliste australien a été formé par les syndicats ouvriers en 1890. Mais maintenant, selon les sondages, plus de la moitié des membres d'un syndicat disent qu'ils perdent leur soutien au parti travailliste parce qu'il est trop axé sur le centre-ville. changement et questions de genre. Pour un quart des membres, la trahison était si grave qu’ils ne voteront même pas les travaillistes.
Les Australiens de la classe ouvrière abandonnent l’ALP en masse en raison de l’obsession du parti pour les questions «réveillées» comme le sexe, la race et le changement climatique.
Joe Hildebrand, News.com
Les Australiens de la classe ouvrière - la fondation même du Parti travailliste - abandonnent en masse l'ALP parce qu'ils pensent que le parti a été envahi par des «idéaux éveillés» et des «yuppies universitaires en col blanc».
Une étude privée commandée par le NSW Electrical Trades Union - qui vient d'être repris par la gauche cette semaine - a révélé qu'un quart des membres du syndicat interrogés ne votaient plus pour le parti travailliste et 35% supplémentaires ont signalé une diminution du soutien au parti.
Incroyablement, près d'un sur cinq a déclaré que le Parti libéral représentait mieux les travailleurs.
Ils ont interrogé 1500 personnes de l'Union des métiers de l'électricité dans les zones autour de Sydney
«… La perception du Parti travailliste comme captif des problèmes à la mode des quartiers défavorisés tue le parti.»
«Le soutien au Parti travailliste parmi les membres de l'ETU NSW a nettement diminué ces dernières années - environ 60 % des répondants à l'enquête signalent une diminution de leur soutien, 25 pour cent indiquant qu'ils ne votent plus pour les travaillistes», indique le rapport.
«Près d'un cinquième des répondants considèrent maintenant le Parti libéral comme le principal parti qui représente le mieux les travailleurs comme eux.
L'enquête a révélé que 42 % des membres du syndicat considéraient les «questions de genre» comme la plus grande distraction sur ce sur quoi le gouvernement devrait vraiment se concentrer, suivi par le changement climatique à 34 %.
Un participant a déclaré: «Je me sens trahi ou trompé par le Parti travailliste. Ils ont fait un grand effort pour la neutralité carbone, s'adressant aux gauchistes du centre-ville de Melbourne ou de Sydney. F ** k you, nous voterons Pauline Hanson ou Clive Palmer. "
… Un autre a dit: «Les libéraux viennent peut-être pour nos droits, mais les travaillistes viennent pour nos emplois.»
h / t Analytique
https://joannenova.com.au/2021/04/its-an-upperclass-thing-labor-have-become-the-australian-wokers-party-and-the-workers-are-fed-up/
Un parent brillant et courageux s'oppose à la culture Woke, au racisme doux et à la culture de la peur dans les écoles
RépondreSupprimerApril 19th, 2021
Qui pense que les bonnes civilisations sont poussées par la peur, la censure et la division de leurs citoyens par la couleur de leur peau ?
Voici quelqu'un d'assez courageux pour dire ce qui est évident et dénoncer l'intolérance bolchevique, la haine tribale et une peur qui se répand maintenant qui saisit maintenant une grande partie de la «classe supérieure» intellectuelle de l'Occident. Bravo à Andrew Gutmann.
Le contexte est que Bari Weiss, anciennement du New York Times, a écrit le mois dernier sur la peur paralysante des parents de l'école Brearly où les enfants apprennent à avoir honte de leur race et ont peur de parler en classe. Bien qu'ils paient 54 000 $ par an en frais, les parents se sentent tellement impuissants et craignent la nouvelle orthodoxie qu'ils doivent se rencontrer en secret pour élaborer une stratégie. Ils ne peuvent pas zoomer ou envoyer des e-mails de peur de perdre leur emploi et leurs cercles sociaux. Et comme l'école est une école préparatoire pour Harvard et ainsi de suite, même s'ils sont prêts à prendre la parole, ils ont peur de ce qui arriverait à leurs enfants s'ils le faisaient. En effet, parfois leurs enfants les supplient de ne rien dire, même si la situation est intolérable.
«Si vous publiez mon nom, cela ruinerait ma vie»
«L'école peut vous demander de partir pour n'importe quelle raison», a déclaré une mère de Brentwood, une autre école préparatoire de Los Angeles. «Ensuite, vous serez inscrit sur la liste noire de toutes les écoles privées et vous serez connu comme un raciste, ce qui est pire que d’être traité de meurtrier.»
Un parent d'une école privée, né dans une nation communiste, me dit: «Je suis venu dans ce pays échappant à la même peur des représailles que ressent maintenant mon propre enfant.»
- Bari Weiss, The Miseducation of America’s Elites
Enfin, un parent a rompu le charme, retiré ses enfants et a été suffisamment courageux et éloquent pour inscrire son nom sur sa réponse et l'envoyer aux quelque 600 familles de l'école.
13 avril 2021
Chers parents Brearley,
Notre famille a récemment pris la décision de ne pas réinscrire notre fille à Brearley…
On ne saurait dire assez clairement que l’obsession de Brearley pour la race doit cesser. Il devrait être parfaitement clair pour tout parent pensant que Brearley a complètement perdu son chemin. L'administration et le conseil d'administration ont fait preuve d'un manque de leadership lâche et effroyable en apaisant une foule anti-intellectuelle et illibérale, puis en permettant à l'école d'être capturée par cette même foule. Ce qui suit sont mes propres opinions personnelles sur les initiatives antiracistes de Brearley, mais ce ne sont là que quelques-unes des critiques que je sais que d’autres parents ont exprimées.
Je m'oppose à l'idée que je devrais être jugé par la couleur de ma peau. Je ne peux pas tolérer une école qui non seulement juge ma fille par la couleur de sa peau, mais l'encourage et lui demande de préjuger les autres par la leur. En examinant chaque élément de l'éducation, chaque aspect de l'histoire et chaque facette de la société à travers le prisme de la couleur de la peau et de la race, nous profanons l'héritage du Dr Martin Luther King Jr.et violons totalement le mouvement pour lequel ces droits civils les dirigeants ont cru, combattu et sont morts.
RépondreSupprimerJe m'oppose à l'accusation de racisme systémique dans ce pays et dans notre école. Le racisme systémique, bien compris, consiste en des écoles séparées et des comptoirs à lunch séparés. C'est l'internement des japonais et l'extermination des juifs. Le racisme systémique n'est sans aucun doute pas un petit nombre d'incidences isolées sur une période de plusieurs décennies. Demandez à n'importe quelle fille, de n'importe quelle race, si elle a déjà subi des insultes de la part d'amis, si elle s'est déjà sentie méprisée par des enseignants ou si elle a déjà souffert de l'injustice occasionnelle de la part d'une école où elle a passé jusqu'à 13 ans de sa vie, et vous êtes lié d'entendre des griefs, certains mesquins, d'autres non. Nous n'avons pas connu de racisme systémique contre les Noirs dans ce pays depuis les réformes des droits civiques des années 60, une période de plus de 50 ans. Dire le contraire est une fausse représentation flagrante de l’histoire de notre pays et n’ajoute aucune compréhension à aucun des problèmes de société d’aujourd’hui. Si quoi que ce soit, des politiques de longue date et répandues telles que l'action positive, pointent précisément dans la direction opposée.
Je m'oppose à une définition du racisme systémique, apparemment soutenue par Brearley, selon laquelle tout résultat éducatif, professionnel ou sociétal où les Noirs sont sous-représentés est une preuve prima facie du racisme systémique susmentionné, ou de la suprématie et de l'oppression des Blancs. Des croyances faciles et non étayées comme celles-ci sont à l'opposé de la vérité intellectuelle et scientifique que Brearley prétend défendre. En outre, j’appelle des conneries sur l’affirmation souvent déclarée de Brearley selon laquelle l’école accueille et encourage les conversations vraiment difficiles et inconfortables concernant la race et les racines des divergences raciales.
Le racisme doux des attentes systématiquement basses:
Je m'oppose à l'idée que les Noirs sont incapables de réussir dans ce pays sans l'aide du gouvernement ou des Blancs. Brearley, en adoptant la théorie critique de la race, préconise le point de vue odieux selon lequel les Noirs devraient à jamais être considérés comme des victimes impuissantes et sont incapables de réussir quels que soient leurs compétences, leurs talents ou leur travail acharné. Ce que Brearley enseigne à nos enfants est précisément la définition vraie et correcte du racisme.
Tournez leurs propres mots contre le culte:
RépondreSupprimerJe m'oppose à l'utilisation vide, inappropriée et fanatique de Brearley de mots tels que «équité», «diversité» et «inclusivité». Si l’administration de Brearley était vraiment préoccupée par la soi-disant «équité», elle discuterait de la cessation des préférences d’admission pour les héritages, les frères et sœurs et les familles aux poches particulièrement profondes. Si l'administration était vraiment sérieuse au sujet de la «diversité», elle n'insisterait pas sur l'endoctrinement de ses étudiants, et de leurs familles, dans un même état d'esprit, rappelant le plus la Révolution culturelle chinoise. Au lieu de cela, l'école favoriserait un environnement d'ouverture intellectuelle et de liberté de pensée. Et si Brearley se souciait vraiment de «l'inclusion», l'école reviendrait aux concepts résumés dans la devise «One Brearley», au lieu d'enseigner l'idée extraordinairement conflictuelle qu'il n'y a que, et toujours, deux groupes dans ce pays: les victimes et les oppresseurs. .
Read it all, pass it around, share.
h/t Charles
https://joannenova.com.au/2021/04/brilliant-and-brave-parent-objects-to-woke-culture-soft-racism-and-the-culture-of-fear-at-schools/
Et si la vérité (que tout le monde connait) était de dire que les bronzés d'Afrique sont d'anciens blancs mis au soleil qui, bronzés toute l'année, on inclue cette couleur à leurs gènes ?
SupprimerAprès tout, pourquoi l'intérieur des mains des africains serait-elle restée blanche ?
Éoliennes : une énergie illégitime
RépondreSupprimerLe recours à l’énergie éolienne est présenté comme l’une des solutions miracle pour décarboner le mix énergétique français mais cela est faux économiquement et intellectuellement.
Par Florent Ly-Machabert, pour Action Écologie1.
19 AVRIL 2021
Avec près de 30 milliards d’euros dédiés à la transition écologique, l’actuel plan de relance gouvernemental fait l’objet d’un puissant mais pas irrésistible matraquage politique et médiatique en faveur des énergies dites vertes puissant.
De très nombreux faits, presque totalement privés de couverture médiatique, invalident le dogme de la nouvelle religion de l’écologie politique, qui n’est ni authentique, c’est-à-dire enracinée dans nos territoires, nos traditions et nos paysages, ni respectueuse du principe de subsidiarité, le seul à avoir fait la preuve de son efficacité en matière environnementale.
En démontrant rigoureusement combien le recours à l’énergie éolienne, présenté comme l’une des solutions miracle pour décarboner le mix énergétique français, relève purement et simplement de l’escroquerie, tant intellectuelle qu’économique, nous souhaitons éviter à la France, qui a prévu de doubler le nombre d’éoliennes d’ici 2028, et à l’Union européenne, dont le Green New Deal prévoit de multiplier l’éolien en mer par 25, de s’engouffrer dans une voie sans issue, dont l’inefficacité énergétique, qui rivalise avec l’opacité de son financement, fonde un véritable procès en illégitimité.
ÉOLIENNES : UN DÉSASTRE EN PUISSANCE
D’une part, bien que toujours présentée comme propre, l’énergie éolienne a tout d’un désastre écologique en puissance.
En effet, cette énergie a d’abord un mauvais bilan carbone dès que l’on considère l’intégralité de son cycle de vie :
la construction des éoliennes – surtout offshores – requiert des terres rares, dont la Chine détient plus du tiers des réserves, ce qui confère à Pékin un quasi monopole de la production mondiale d’éoliennes, soit 80 %, et un indéniable avantage géopolitique ;
l’intermittence de leur fonctionnement (20 à 35 % de sa capacité totale pour un taux d’émission de gaz à effet de serre de l’éolien en mer inférieur de seulement 8 % à celui du nucléaire) doit être compensée par le recours à des énergies fossiles polluantes, comme les centrales thermiques à charbon ou au gaz naturel, comme en Allemagne où l’éolien représente un cinquième de la production ;
leur démantèlement, la plupart du temps à la charge des propriétaires du foncier sur lequel elles ont été installées, au terme de 22 ans d’exploitation en moyenne, se heurte à la difficulté du recyclage des pales qu’on finit par couper, empiler et enfouir, comme au Wyoming, sans compter les 600 à 800 tonnes de béton qui artificialisent définitivement environ 100 m² de sol par éolienne !
Par ailleurs, au sens de l’écologie intégrale chère au pape François, les éoliennes ont d’importantes externalités négatives, tant sur la faune que sur la population :
l’énergie éolienne génère ainsi une pollution sonore néfaste pour la faune océanique lors des phases de construction des parcs en mer et la qualité de vie des riverains. Elle cause annuellement en France la mort d’environ 250 000 chauve-souris et 56 000 oiseaux ;
RépondreSupprimerles champs électromagnétiques causeraient également des dégâts sur le bétail, sans compter la pollution visuelle du fait de structures toujours plus hautes (jusqu’à 155 mètres en bout de pale sur terre et 260 mètres en mer) pour capter des vents plus faibles, contribuant à un double mitage aérien et terrestre, trois régions françaises concentrant à elles seules les deux tiers des mâts du pays.
L’ÉOLIEN EST UN GOUFFRE FINANCIER
D’autre part, au-delà de sa contreproductivité qui fait de lui une énergie inefficace, l’éolien est un gouffre financier, non seulement pour le contribuable mais également pour des pans entiers de l’économie nationale dont il menace la pérennité.
En effet, au pays de la dépense et de la dette publiques, ne soyons pas surpris de découvrir que l’énergie éolienne est dépendante des subventions publiques, ce qui est l’indice, dans une économie de marché, d’une allocation du capital totalement inefficace.
Le prix d’achat de l’électricité éolienne est régulé, c’est-à-dire garanti par l’État, lequel s’engage à compenser les pertes d’EDF (5 milliards d’euros en 2013) que le paiement par le consommateur final de la Contribution au service public de l’électricité (CSPE) ne suffit pas à combler, dans un contexte où la fiscalité verte, pourtant source d’instabilité sociale comme l’a illustré la crise des Gilets jaunes, s’alourdit fortement depuis 2012.
Il est à noter qu’il faut en moyenne 6000 contribuables pour subventionner l’installation d’un seul mât ; à raison de 125 000 mâts pour remplacer l’ensemble de notre parc nucléaire (sans résoudre au passage le problème de l’intermittence), la France doit donc trouver… 750 millions de contribuables !
Cerise sur le gâteau : la Cour des comptes souligne dans un rapport publié en 2018 que les appels d’offre ayant conduit à l’implantation des parcs éoliens en France n’ont pas été assez concurrentiels, ce qui – doux euphémisme – laisse planer le doute quant aux conditions de leur attribution. Mais n’accablons pas trop l’énergie d’avenir de notre pays…
MENACE SUR TERRE ET SUR MER
Enfin, l’éolien menace des secteurs d’activité entiers, à l’instar de la pêche et du tourisme : l’installation d’éoliennes en mer est ainsi réputée restreindre les zones de pêche et faire fuir les bancs de poisson, tandis que l’éolien terrestre amoindrit l’attractivité touristique dans un rayon de 10 à 20 km autour des territoires d’implantation, avec un effet répulsif sensible sur les réservations d’hébergements touristiques de l’ordre de 95 à 97 % dans un rayon de moins de 10 km autour des parcs d’éoliennes.
Pire encore : malgré un taux de recours administratifs de 70 %, certains grands sites naturels ou paysages traditionnels, comme ceux de La Sainte-Beaume près de Marseille, se trouvent à jamais défigurés par les mâts, sans compter que selon une étude de la LSE, les éoliennes entraînent une réduction de la valeur des biens immobiliers de 5 à 6 % dans un rayon de 2 km. Encore un coût caché pour le contribuable !
RépondreSupprimerLe bilan de l’énergie éolienne ne résiste donc pas à une analyse factuelle et se révèle très largement négatif : au cœur d’une incontestable crise d’efficacité énergétique qu’aucune caractéristique de son cycle de vie, saturé d’externalités négatives, ne vient compenser, l’éolien, pourtant symbole médiatique et politique du durable, du vert et du renouvelable, n’est pas non plus rentable économiquement.
Il dépend en effet intégralement des transferts du régulateur et des taxes croissantes payées par le contribuable, tout à la fois vache-à-lait et victime de la pollution sonore et visuelle des mâts, qui ne contribuent, pour leur part, qu’à miter les territoires et désagréger des pans économiques entiers.
Chère et inefficace, l’énergie éolienne est dont parfaitement illégitime. En bon Français, on appelle cela une escroquerie, dans tous les sens du terme.
1 - Lancée fin 2020, l’association Action Écologie rassemble plus de 10 000 sympathisants. Elle a pour ambition « de défendre une écologie respectueuse des nos libertés, nos traditions et nos paysages » ↩
https://www.contrepoints.org/2021/04/19/395614-eoliennes-une-energie-illegitime
L'éolien est à la fois l'escroquerie programmée, la prostitution des élus locaux et, comme pour les autres essais expérimentaux sur cobayes et appelés criminellement 'vaccins', il tue lui aussi des millions de personnes et d'animaux
SupprimerVoir votre propre visage, même inconsciemment, est gratifiant
RépondreSupprimer19 AVRIL 2021
par l'Université d'Osaka
En tant qu'humains, nous avons chacun une puissante capacité à reconnaître facilement notre propre visage. Mais maintenant, des chercheurs japonais ont découvert de nouvelles informations sur la façon dont nos systèmes cognitifs nous permettent de distinguer notre propre visage de celui des autres, même lorsque l'information est présentée de manière subliminale.
Dans une étude publiée ce mois-ci dans Cerebral Cortex, des chercheurs de l'Université d'Osaka ont révélé qu'un élément central de la voie de récompense de la dopamine dans le cerveau était activé lorsque les participants recevaient des images de leur visage de manière subliminale. Cela fournit de nouveaux indices concernant les processus sous-jacents du cerveau impliqués dans la reconnaissance faciale.
Lorsque nous sommes exposés à une image subliminale de notre visage - ce qui signifie que nous n'en sommes pas pleinement conscients - de nombreuses régions du cerveau sont activées en plus de celles qui traitent les informations du visage. De plus, notre cerveau réagit différemment aux images supraliminales (conscientes) et subliminales (subconscientes) de notre visage par rapport aux visages des autres. Cependant, la question de savoir si nous utilisons des réseaux de neurones identiques ou différents pour traiter les visages subliminaux ou supraliminaux n'a pas été établie, ce que les chercheurs de l'Université d'Osaka ont tenté de résoudre avec cette recherche.
«Nous reconnaissons mieux notre propre visage par rapport aux visages des autres, même lorsque l'information est transmise de manière subliminale», déclare l'auteur principal de l'étude Chisa Ota. "Cependant, on sait peu de choses sur la question de savoir si cet avantage implique le même cerveau ou différentes zones qui sont activées par la présentation supraliminaire de notre visage."
Pour résoudre ce problème, les chercheurs ont utilisé l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) pour examiner les différences entre l'activité cérébrale provoquée par des images présentées de manière subliminale des visages des participants et des visages des autres. Ils ont également examiné l'activation cérébrale produite par des images présentées de manière subliminale de visages avec des caractéristiques modifiées.
«Les résultats nous ont fourni de nouvelles perspectives concernant les mécanismes neuronaux de l'avantage de la face-à-soi», explique Tamami Nakano, auteur principal. "Nous avons constaté que l'activation dans la zone tegmentale ventrale, qui est un élément central de la voie de récompense de la dopamine, était plus forte pour les présentations subliminales du visage du participant par rapport aux visages des autres."
RépondreSupprimerAu lieu de cela, la présentation subliminale des visages des autres a induit une activation dans l'amygdale du cerveau, qui est connue pour répondre à des informations inconnues. Cette différence dans les réponses cérébrales au visage du participant ou à celles des autres était constante même lorsque les visages étaient modifiés, tant que les formes des traits du visage étaient conservées.
«Nos résultats indiquent que la voie de récompense de la dopamine est impliquée dans le traitement amélioré de son propre visage, même lorsque l'information est subliminale», explique Tamami Nakano. "De plus, la discrimination de son propre visage par rapport à celui des autres semble reposer sur les informations des parties du visage."
Ces découvertes font progresser la compréhension des mécanismes neuronaux du traitement subliminal de l'auto-facial. Étant donné que la voie de la récompense de la dopamine est automatiquement impliquée dans le traitement auto-facial inconscient, cette recherche peut avoir des applications dans les efforts visant à manipuler inconsciemment la motivation.
https://medicalxpress.com/news/2021-04-viewing-subconsciously-rewarding.html
Un outil pour naviguer dans des instructions informatiques complexes
RépondreSupprimer19 AVRIL 2021
par Rachel Gordon, Massachusetts Institute of Technology
Nous avons parcouru un long chemin depuis qu'Intel a lancé le premier microprocesseur en 1971. Leurs 4004 contenaient 2 300 transistors, les meilleures puces d'aujourd'hui dépassant les milliards, exploitant de plus en plus de puissance depuis leur naissance.
Mais chaque fois qu'Intel lance une nouvelle puce informatique, c'est un investissement coûteux, car ils doivent ajouter de nouvelles instructions de programmes informatiques qui lui indiquent quelles données traiter et comment les traiter. Ce sont des choses qu'un utilisateur ne voit pas, mais qui alimentent des tâches telles que le traitement d'image, l'apprentissage automatique et le codage vidéo.
Cependant, les programmes qui traitent ces nouvelles informations, appelés compilateurs, ne peuvent pas toujours utiliser ces instructions plus complexes. Le fardeau incombe alors souvent aux développeurs experts de faire plus de travail à la main et d'exécuter des tâches lourdes et sujettes à des erreurs telles que l'écriture de code d'assemblage.
Les scientifiques du Laboratoire d'informatique et d'intelligence artificielle du MIT (CSAIL) ont trouvé un moyen de mieux naviguer dans la complexité de la prise en charge de ces instructions. Leur outil "VeGen" (prononcé "vegan") génère automatiquement des plugins de compilation pour utiliser efficacement des instructions plus compliquées.
CSAIL Ph.D. l'étudiant Yishen Chen dit que VeGen reprend la même documentation qu'Intel donne aux développeurs de logiciels et génère automatiquement un plugin de compilateur qui permet au compilateur d'exploiter quelque chose appelé non-Single Instruction Multiple Data (SIMD), qui sont des instructions plus compliquées à accélérer un programme donné par l'utilisateur.
«Sans VeGen, les ingénieurs du compilateur doivent lire la documentation et modifier manuellement le compilateur pour utiliser ces instructions», explique Chen, auteur d'un nouvel article sur VeGen. "Le problème ici est que c'est toujours manuel et que les algorithmes actuels du compilateur ne sont pas efficaces pour utiliser ces instructions."
Méthodes d'instruction
La plupart des processeurs utilisent des instructions basées sur les mathématiques qui vous permettent de faire quelque chose comme «A = B + C».
Les processeurs prennent également en charge ce que l'on appelle les instructions vectorielles, qui sont des instructions qui effectuent des opérations multiples mais identiques à la fois, telles que «A1 = B1 + C1 et A2 = B2 + C2». Ces deux instructions sont considérées comme des instructions "SIMD" plus traditionnelles.
RépondreSupprimerLes instructions «non SIMD» sont plus compliquées, mais encore plus puissantes et efficaces, telles que les instructions qui effectuent simultanément des additions et des soustractions. Chen dit que VeGen est principalement motivé par des instructions qui ne correspondent pas au modèle SIMD, d'une manière ou d'une autre.
Pensez à l'ensemble du processus comme un restaurant:
Le programmeur est le chef célèbre qui pense à un programme (un plat)
Le compilateur est le sous-chef qui prend le programme (le plat) et crée les instructions à exécuter (recette) en connaissant les ressources disponibles dans la cuisine
Le processeur est la cuisine
Les instructions (la recette) sont exécutées (préparées) par les cuisiniers à la chaîne en profitant de différents équipements dans la cuisine
Une nouvelle conception de processeur qui ajoute de nouvelles capacités au processeur est le remodelage de la cuisine ou l'ajout de nouveaux équipements de cuisine.
Si le sous-chef et son équipe ne savent pas comment utiliser le nouvel équipement, les restaurateurs qui dépensent tout leur argent pour rénover la cuisine ne seront pas contents.
«Avec l'avènement des instructions complexes, il est devenu difficile pour les développeurs de compilateurs de maintenir à jour les stratégies de génération de code afin d'exploiter tout le potentiel supporté par le matériel sous-jacent», déclare Charith Mendis, professeur à l'Université de l'Illinois à Urbana -Champaign, auteur d'un article sur l'outil. «L'approche de VeGen en matière de création de générateurs de code permet d'alléger ce fardeau en générant automatiquement des parties du compilateur chargées d'identifier les séquences de code qui peuvent exploiter les nouvelles fonctionnalités matérielles. futur."
Les premiers résultats ont montré que, par exemple, sur certains noyaux de codage vidéo, VeGen pouvait automatiquement utiliser des instructions vectorielles non SIMD et obtenir une accélération de 27 % à 300 %
«Le fait de rassembler tous les manuels d'instructions d'Intel fait plus d'un pied de large et se divise en milliers de pages», explique Saman Amarasinghe, professeur au MIT, auteur de l'article sur VeGen. "Normalement, le rédacteur du compilateur doit se pencher sur les petits détails des changements d'instructions, répartis sur des centaines de pages, mais VeGen contourne totalement le travail fastidieux."
RépondreSupprimer«Alors que le matériel devient de plus en plus compliqué pour accélérer les domaines à forte intensité de calcul, nous pensons que VenGen est une contribution précieuse», déclare Chen. "L'objectif à long terme est que, chaque fois que vous ajoutez de nouvelles fonctionnalités à votre matériel, nous pouvons automatiquement trouver un moyen - sans avoir à réécrire votre code - d'utiliser ces accélérateurs matériels."
Chen a écrit l'article aux côtés de Mendis et des professeurs du MIT Michael Carbin et Saman Amarasinghe. Ils présenteront le document virtuellement lors de la conférence ASPLOS (Architectural Support for Programming Languages and Operating Systems) en avril.
https://techxplore.com/news/2021-04-tool-complex.html
Jusqu'à présent, l'Allemagne connaît le mois d'avril le plus froid en 104 ans, le deuxième plus froid depuis 1881, le plus enneigé depuis 1986
RépondreSupprimerRepublié depuis The NoTricksZone
Par P Gosselin le 18. avril 2021
Le mois d’avril de cette année a été vraiment glacial dans toute l’Europe centrale. L’Allemagne a connu jusqu’à présent le deuxième mois d’avril le plus froid depuis le début des records en 1881.
- voir carte sur site -
Pointe du chapeau: Snowfan
Le plus froid depuis 1917
Dans une grande partie de l'Europe, le mois d'avril a été inhabituellement froid, glacial et même enneigé, et les médias ont été extrêmement silencieux à ce sujet. Le graphique suivant montre les anomalies de température moyenne par rapport à la période de référence 1991-2020 jusqu'à présent (jusqu'au 17 avril):
- voir graphiques sur site -
Avec une température moyenne de 4,5 ° C pour l'Allemagne, le mois d'avril reste jusqu'à présent le deuxième plus froid depuis 1881, selon les registres du service météorologique national allemand DWD. Seulement 1917 était plus froid à une moyenne de 4,3 ° C.
Une autre prévision de souffle froid pour le week-end prochain
Et cela ne changera probablement pas trop, car le modèle ECMWF prévoit une autre vague de froid inhabituelle d'avril avec de la neige et du gel pour la semaine prochaine. Un échauffement est prévu vers la fin du mois, mais il reste encore une dizaine de jours.
Avril le plus enneigé depuis 35 ans
Une chose est déjà certaine: pour les Allemands, ce sera le mois d'avril le plus enneigé depuis 1986 - vidéo.
- voir graphiques sur site -
Les prévisions WO / GFS (gauche et droite) prévoient une poursuite de l'hiver d'avril avec un gel au sol généralisé à partir du 23 avril. Un air extrêmement froid avec des écarts allant jusqu'à -12 ° C par rapport à l'ancienne moyenne climatique de l'OMM 1981-2010 au-dessus de l'Allemagne est projeté sur 26 avril à 850 hPa. Sources: prévisions WO / GFS Tmin sol Allemagne et prévisions WZ / GEM TA850 Europe.
Le refroidissement de l'hémisphère nord se poursuit
Les médias allemands ont récemment affirmé que «le réchauffement climatique se poursuit», mais la série NCEP GFS du 18 avril montre une anomalie de température proche de zéro.
- voir carte sur site -
Source du graphique: Tendance mondiale sur 7 jours de températures de 2 m
https://wattsupwiththat.com/2021/04/19/so-far-germany-seeing-coldest-april-in-104-years-second-coldest-since-1881-snowiest-since-1986/
L'aube du désastre environnemental de la batterie du véhicule électrique… mis au rebut encore plus tôt que prévu
RépondreSupprimerDepuis The NoTricksZone
Par P Gosselin le 17. avril 2021
Tout commence à poindre sur les verts: la catastrophe écologique imminente des batteries de véhicules électriques.
En ce qui concerne les véhicules électriques au lithium-ion et les écologistes et les profiteurs:
Ils savent que c’est un désastre.
Nous savons que c’est un désastre.
Ils savent que nous savons qu’ils savent que c’est un désastre.
Mais ils prétendent toujours que ce n'est pas le cas. *
Les énormes problèmes environnementaux des voitures électriques émergent
Maintenant, cela commence à poindre sur les verts: ils ont un problème environnemental colossal en préparation - un problème dont ils ont été avertis il y a longtemps et dont ils ont refusé de croire qu'il était réel parce qu'il allait à l'encontre de leur vision d'une utopie verte.
Les Verts les minimisent, espèrent des solutions
Au moment où ils le minimisent, des solutions insistantes pour éviter le problème environnemental de la batterie au lithium-ion seront trouvées à temps. Mais ils s'inquiètent clairement à ce sujet car les dimensions astronomiques du problème de la production de 200 millions de batteries de voiture au lithium-ion - et de leur élimination ultérieure - deviennent indéniables.
Expert: «Problème environnemental urgent»
Il n'y a pas si longtemps, le chimiste japonais et chercheur sur les batteries au lithium, lauréat du prix Nobel, Akira Yoshino a averti que des solutions pour recycler ces batteries étaient cruellement nécessaires et que cela devenait «un problème environnemental urgent».
Énorme gâchis pour les prochaines générations
Les batteries de véhicules électriques, une fois qu'elles ont été utilisées dans les véhicules électriques, après environ 8 ans, peuvent être réutilisées à d'autres fins à faible demande - une soi-disant seconde vie - comme une batterie domestique. Mais leur recyclage est inévitable - et c’est compliqué, énergivore et coûteux. Personne ne sait combien sont actuellement recyclés ou simplement jetés à la décharge.
Nous créons un désordre énorme et coûteux pour les générations futures.
Se retrouver à la poubelle «prématurément»
Pire encore, Claudia Scholz du Handelsblatt rapporte ici que les batteries des véhicules électriques finissent déjà de plus en plus à la poubelle - et le font «prématurément». «Le problème des voitures électriques: des milliers de tonnes de batteries finissent prématurément à la poubelle.»
Déjà des milliers de tonnes de batteries
Le Handelsblatt rapporte comment Matthias Schmidt, directeur général de l'entreprise de recyclage Erlos, «est étonné».
«En fait, son industrie ne s'attendait à être inondée de batteries de voitures électriques récemment produites que dans huit ou dix ans», écrit le Handelsblatt. «En fait, cependant, des milliers de tonnes de batteries se retrouvent déjà dans les entreprises d'élimination des déchets.»
«Nous n'aurions jamais imaginé les quantités qui s'accumuleraient après si peu de temps», déclare Schmidt. Sa seule entreprise et son concurrent Duesenfeld, tous deux spécialisés dans le recyclage des batteries de voitures, recyclent cette année plus de 4 000 tonnes de batteries de presque tous les modèles électriques, y compris ceux qui ne sont arrivés que récemment sur le marché.
RépondreSupprimerLa dangereuse demi-connaissance des planificateurs centraux verts
Mais c’est ainsi avec ces cerveaux autoproclamés qui, dans leurs universités, étaient immunisés contre la compréhension des dangers de leur demi-connaissance. Voici comment les idées de gauche désastreuses suivent leur cours:
Ils sont convaincus que c'est une idée géniale
Ignorez les signes et les avertissements en cas de catastrophe
Minimisez le désastre au fur et à mesure qu'il émerge
Reconnaissez le désastre, mais insistez pour que des solutions arrivent
Déplacez les poteaux de but lorsque la solution n'arrive pas
Niez le désastre quoi qu'il arrive. Mais si vous ne pouvez pas:
Alors admettez qu'il y a un désastre
Et puis insiste sur le fait que ce n'était jamais ton idée au départ
J'espère que ça sera oublié
Blâmez tout sur les autres si ce n'est pas le cas
============
* Une variante de la citation originale d'Aleksandr Soljenitsyne: «Nous savons qu'ils mentent, ils savent qu'ils mentent, ils savent même que nous savons qu'ils mentent, nous savons aussi qu'ils savent que nous savons qu'ils mentent aussi, bien sûr sachez que nous savons certainement qu'ils savent que nous savons qu'ils mentent aussi, mais ils mentent toujours.
https://wattsupwiththat.com/2021/04/17/the-dawn-of-the-e-vehicle-battery-environmental-disaster-discarded-even-sooner-than-expected/
MAGIE: La grippe saisonnière n’existe plus, seulement Covid-19, selon CDC et MSM
RépondreSupprimerLundi 19 avril 2021
par: S.D. puits
(Natural News) La meilleure partie de Covid est qu'il n'y a plus d'autres maladies. Ils sont tous partis comme par magie. Vous avez mal à la tête ? Covid. Vous avez mal à la gorge ? Covid. Vous toussez fréquemment ? Vous avez Covid. Fièvre ? Certainement Covid. Même tous les décès sont maintenant étiquetés comme étant causés par Covid. Quelqu'un a-t-il sauté d'un immeuble de 10 étages ? Covid. Est-ce que quelqu'un s'est étouffé avec un gros morceau de steak ? Covid.
Oui, le CDC a suspendu TOUTES la collecte de données sur la grippe saisonnière depuis que la plandémie de Covid a été déclenchée, et quiconque meurt de la grippe, à partir de maintenant, sera qualifié de mort causée par Covid. Les hôpitaux à travers l'Amérique sont payés en grandes quantités d'argent pour chaque décès enregistré sous le nom de Covid.
À l'heure actuelle, presque tous les Américains ont été exposés à Covid et ont probablement déjà accumulé des anticorps, c'est pourquoi les tests sont invalides, faux négatifs, faux positifs - ce n'est qu'un gros gâchis pour garder le mouton confus, mais obéir aux ordres.
Remarquez le passage des nombres massifs de grippe et des vaccins antigrippaux recommandés aux seuls vaccins Covid-19 et à ARNm mortel
Oui, les chiffres de la grippe ont disparu comme par magie à partir de mars 2020. Fini les inquiétudes à propos de la grippe. Aucun masque n'a jamais été recommandé pour cela, ni la distanciation sociale, juste des injections annuelles de mercure multidoses pour garder la population stupide et souffrant lentement du «syndrome du chapelier fou». Grande question: lorsque les masques Covid provoquent des infections bactériennes de la bouche, conduisant à une pneumonie, est-ce que les hôpitaux appellent cela aussi Covid?
Les stations de télévision et les journaux à travers le pays ont littéralement vérifié que les hôpitaux sont remboursés pour tout ce qui est lié au coronavirus, donc peu importe la maladie, le trouble, le dysfonctionnement, l'empoisonnement, le suicide - tout le monde est testé pour les anticorps Covid, et si vous en avez (ou vous obtenez un faux -positif) alors bam! Vous êtes traité pour Covid et mourrez probablement de Covid. Cela n’a de sens qu’avec le jeu de l’argent dans lequel se livrent tous les hôpitaux américains. C’est contraire à l’éthique. C’est immoral. C'est illégal, mais personne ne porte plainte.
Cela est rapporté dans tout le pays, sans parler des médecins qui dénoncent et qui n’approuvent pas la falsification et la falsification des dossiers médicaux au nom des remboursements de la plandémie marxiste.
«ABC10 peut vérifier que les hôpitaux sont remboursés pour les soins liés au coronavirus, qui incluent malheureusement les décès», admet la chaîne de télévision ABC10 de Sacramento lors d'un segment d'information sur la santé. Par exemple, si vous mourez d'un cancer du pancréas depuis 5 ans et que les médecins vous disent que vous avez deux semaines à vivre, si vous testez positif pendant ces 2 semaines pour Covid, alors quand vous mourez, vous êtes mort de Covid, sur papier . Trouver? Même si la chimiothérapie vous a tué. C'est ainsi que le nombre est devenu si médiatisé et que les morts sont devenues si effrayantes.
Tout cela a été planifié depuis le début, et c’est ce qui sépare les informations de vérité des médias de masse et des médias sociaux. Tout tourne autour du cheval de Troie mortel de l'ARNm, et plus de 100 millions d'Américains font la queue pour le coup «Kill Switch» qui vient ensuite.
RépondreSupprimerLa plandémie marxiste EFFACE la grippe saisonnière comme par magie
Les données quotidiennes sur les décès de Covid-19 sont si loin que personne n'a même de jauge. Le gouvernement américain n'est pas transparent sur ce qui est compté comme un décès de Covid-19. Il n’y a plus de données sur la grippe, et pourquoi ? Qu'est-il arrivé à «FluView», ce «rapport de surveillance» hebdomadaire sur la grippe qui a provoqué tant de choc et de crainte lors des campagnes de vaccination contre la grippe à travers l'Amérique ? Bien sûr, la grippe est toujours bien vivante aux États-Unis, elle n’est tout simplement pas signalée ou même prêtée une once d’attention par la presse ou le complexe médico-industriel.
Plus de rapports sur les comorbidités non plus. Tu te souviens de ça? C'étaient des gens avec des problèmes de santé préexistants qui ont été testés positifs pour Covid-19, mais sont décédés PLUS TARD SUR, qui étaient toujours officiellement comptés comme des décès de Covid-19. À quel point il est commode de sélectionner tous les décès maintenant, le tout pour plus de propagande statistique qui effraie si bien les gens qu'ils sont prêts à étouffer, à faire faillite, à isoler, à détruire leurs entreprises, à prendre les vaccins sales et à voter bientôt pour plus de punitions . Préparez-vous à faire modifier vos gènes afin que votre système immunitaire s'arrête et ne puisse pas combattre Covid-22.
Réglez votre fréquence Internet sur Vaccines.news pour obtenir des mises à jour sur les vaccins à ARNm mortels et comment filtrer au mieux les fausses nouvelles de votre répertoire.
Les sources de cet article incluent:
WakingTimes.com
NaturalNews.com
TruthWiki.org
https://www.naturalnews.com/2021-04-19-seasonal-flu-doesnt-exist-anymore-only-covid-19.html
😎 La grande loi saisonnière sur la disparition de la grippe / grippe saisonnière 2020
Supprimerjeudi 31 décembre 2020
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/12/la-grande-loi-saisonniere-sur-la.html
Les «vaccins» expérimentaux contre Covid-19 pourraient provoquer la maladie de la vache folle, préviennent les experts
RépondreSupprimerLundi 19 avril 2021
par: Ethan Huff
(Natural News) Le physicien et cardiologue nucléaire, le Dr Richard Fleming, a émis un terrible avertissement sur les dangers des vaccins contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), qui, selon lui, peuvent provoquer la maladie de la vache folle.
Fleming a déclaré à Steve Bannon de War Room qu'il avait personnellement découvert dans les années 1990 que les protéines de pointe artificielles utilisées dans les injections actuelles du virus de la Chine provoquaient une inflammation grave. C'est pourquoi certains d'entre eux provoquent des caillots sanguins mortels.
Le vaccin Johnson & Johnson (J&J) ici aux États-Unis a récemment été mis en attente après que de nombreux receveurs ont développé des caillots sanguins. Le jab AstraZeneca utilisé en Europe a également été suspendu pour la même raison.
Selon Fleming, les risques associés à la prise d'un vaccin contre la grippe Kung sont élevés. Chez les modèles animaux, certains des sujets testés ont développé la maladie spongiforme et la maladie de la vache folle, dit-il.
«Nous savons aussi que deux semaines après, ils développent… ce qui cause la maladie d'Alzheimer et les maladies neurologiques», a expliqué Fleming à Bannon.
En plus de provoquer une inflammation majeure, la coagulation du sang, la maladie de la vache folle, des problèmes neurologiques et la maladie d'Alzheimer, les injections pour la grippe de Wuhan n'offrent aucun avantage, soutient Fleming.
La documentation d’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) fournie par les fabricants de vaccins à la Food and Drug Administration (FDA) montre qu ’« il n’y a pas de différence »dans les résultats de l’infection entre les personnes injectées et non injectées.
«Je ne suis pas anti-vax», s’est assuré de noter Fleming. "Je ne suis qu'un médicament anti-mauvais."
Fleming dit que le régime Biden doit appeler à une réévaluation immédiate des injections de virus chinois
Selon Fleming, il n'y a aucun avantage à se faire vacciner contre la grippe de Wuhan. Les données le montrent, mais le gouvernement fédéral ignore la vérité.
Fleming dit que le régime Biden doit immédiatement réévaluer les avantages allégués de ces tirs pour voir si «il y a une efficacité démontrée» parce que Fleming dit «il n'y en a pas».
«Deuxièmement, quelles sont les conséquences potentielles d'avoir déjà vacciné un nombre important de personnes dans ce pays?» Demanda encore Fleming.
Toute personne impliquée dans le processus d'examen de ces injections doit faire l'objet d'une enquête. Cela inclut Anthony Fauci, qui a maintenant été exposé pour avoir externalisé la recherche sur le gain de fonction des National Institutes of Health (NIH) à l'Institut de virologie de Wuhan (WIV) - en utilisant rien de moins que les impôts américains.
Le virus chinois est devenu une plandémie à cause de Fauci, qui a payé des chercheurs de la Chine communiste pour manipuler les coronavirus des chauves-souris - une opération qui n'aurait pas pu être effectuée ici aux États-Unis en raison de son illégalité.
RépondreSupprimerIl n'y aurait jamais eu de verrouillages, de masques faciaux, d'entreprises en faillite, de suicides ou d'autres destructions sociales sans les crimes du Fauci contre l'humanité, dont de plus en plus de gens prennent conscience à mesure que la plandémie se déroule.
«Les preuves montrent que ce virus est conçu avec un gain de fonction, y compris des mécanismes créant une réponse inflammo-thrombotique (ITR) avec transcription inverse de l'ARNm (RT) en ADN cellulaire avec des structures de type Prion présentes dans la protéine de pointe du virus», explique Fleming sur son site Web.
Soit dit en passant, le site Web de Fleming est une mine d'informations précieuses sur la grippe de Wuhan que vous pouvez utiliser pour en savoir plus sur l'origine du nouveau virus, comment il a été fabriqué et comment les «vaccins» ne le sont pas. fonction telle que revendiquée.
Selon Fleming, il existe une trace écrite du coronavirus de Wuhan (Covid-19) qui suit «des grottes de chauves-souris chinoises à la Caroline du Nord», avec des travaux en cours sur le virus pour «augmenter l'infectivité et la virulence».
Il dit également que des documents retracent le virus à Wuhan, 3,5 millions de dollars ayant été donnés au WIV par Fauci.
Vous pouvez en savoir plus sur FlemingMethod.com.
Vous trouverez plus d'informations sur le coronavirus de Wuhan (Covid-19) sur Pandemic.news.
Les sources de cet article incluent:
Pandemic.WarRoom.org
NaturalNews.com
FlemingMethod.com
https://www.naturalnews.com/2021-04-19-experimental-covid19-vaccines-cause-mad-cow-disease.html
Les communautés californiennes apprennent à devenir autonomes avec des mini jardins
RépondreSupprimerDimanche 18 avril 2021
par: Virgilio Marin
(Natural News) Coopération Humboldt, une initiative de transition dans le comté de Humboldt en Californie, fournit gratuitement des mini-jardins pour aider les communautés de la côte nord de l'État à devenir autonomes et à atteindre leur indépendance alimentaire.
L'organisation a initialement fourni des conversions gratuites de pelouse, mais a décidé de se concentrer plus tard. Tamara McFarland, un chef de file au sein de la coopération, craignait que le projet de conversion de la pelouse n'atteigne les personnes qui profiteraient le plus de la culture de leur propre nourriture. La plupart des personnes demandant la conversion de pelouse étaient des locataires à long terme et des propriétaires avec un revenu stable et le privilège de démarrer un jardin.
Lorsque la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) a frappé, l'organisation est devenue encore plus motivée pour s'éloigner de son modèle de conversion de pelouse, qui nécessitait un certain nombre de bénévoles travaillant côte à côte pendant de longues périodes. À cette fin, la coopération a pensé à démarrer un projet de mini-jardin gratuit pour répondre à ceux qui ont un espace limité sur la pelouse et réduire les contacts en personne.
Démarrage d'un programme de mini-jardins communautaires
L'organisation a créé des plates-bandes de trois à quatre pieds (90 à 120 cm de long et non 'de large' !) de long qui sont faites de sacs de culture en tissu remplis de terre de haute qualité. Ces petits lits de jardin ont été livrés entièrement plantés avec une variété de semis de plantes et d'accessoires de jardinage de base. Parce que les mini-jardins sont «prêts à grandir», l'organisation a pu réduire les contacts face à face au milieu de la pandémie.
Le groupe a également fourni des ressources pédagogiques pour enseigner aux bénéficiaires comment prendre soin de leurs jardins. De plus, les bénéficiaires ont été encouragés à demander de l'aide pour toute question de jardinage qu'ils pourraient avoir.
Le projet a été un énorme succès. La coopération a réussi à toucher une large communauté de personnes et à installer environ 260 mini-jardins tout au long de la saison de croissance de l’année dernière. Pendant ce temps, les personnes dont la source de revenus avait été entravée par la pandémie ont trouvé un moyen de nourrir leur famille. (En relation: Formation sur l'autosuffisance: Comment pratiquer la propriété familiale dans un appartement ou une petite maison.)
Le groupe a également pu embaucher deux personnes cette année après s'être associé au Smart Business Resource Center, une organisation à but non lucratif basée en Californie qui aide les demandeurs d'emploi à trouver un emploi. Grâce à ce partenariat, la coopération a pu obtenir un financement fédéral pour le projet et payer un salaire équitable aux deux employés pour la construction et la livraison de mini-jardins.
Mais le projet n'a pas été facile à exécuter. McFarland a révélé que le projet nécessitait un financement décent car les matériaux pour chaque mini-jardin coûtaient environ 100 dollars. Pendant ce temps, la publicité, la construction et la livraison des jardins exigeaient une équipe dévouée de bénévoles ayant une formation en jardinage. Mais tous les bénévoles n'auraient pas nécessairement les compétences appropriées pour le poste.
RépondreSupprimerLe conseil de McFarland à quiconque cherche à démarrer un programme communautaire similaire est d’obtenir un financement suffisant et de former des bénévoles avant de les mettre sur le terrain.
Coopération Humboldt plante des arbres fruitiers publics
Le mois dernier, Cooperation Humboldt a planté 130 arbres fruitiers dans tout le comté de Humboldt dans le cadre de son programme de plantation d'arbres. Tout comme le projet de mini-jardin, la mission du programme est d’accroître l’autosuffisance de la communauté et de rendre la nourriture accessible à tous.
«Nous croyons que les aliments nutritifs sont un droit humain fondamental, et nos projets visent à mettre cette croyance en pratique de manière très tangible», a déclaré McFarland dans un communiqué de presse. «Faire pousser des aliments publics dans des espaces communs est une étape importante vers notre objectif de ramener le comté de Humboldt à la forêt vivrière régénératrice et vitale et au havre écologique qu'il était autrefois.»
L'organisation plantait depuis trois ans maintenant. Il a planté 23 arbres en 2019 et 56 l’année dernière, ce qui porte le nombre total d’arbres à 209 avec le lot de cette année. Tous les arbres ont été plantés dans des endroits accessibles au public pour rendre la nourriture accessible à tous. Une fois que les arbres ont porté leurs fruits, les habitants pouvaient venir récolter les fruits et légumes.
Visitez HomeGardeningNews.com pour plus d'histoires sur le jardinage et des conseils pour devenir autonome.
Les sources comprennent:
Resilience.org
NorthCoastJournal.com
https://www.naturalnews.com/2021-04-18-california-communities-self-sufficient-with-mini-gardens.html
HAHAHAHA ! 90 à 120 cm de long et non 'de large' ! C-à-d qu'au plus ils ont un rectangle de 89 ou de 119 cm de large... pour faire vivre toute une famille !! HAHAHAHA !
SupprimerBêh le balcon est plus grand que çà ! HAHAHAHA !
(...) L'organisation plantait depuis trois ans maintenant. Il a planté 23 arbres en 2019 et 56 l’année dernière, ce qui porte le nombre total d’arbres à 209 avec le lot de cette année. (...)
Des arbres de 30 m de haut ou 3 cm de haut ? HAHAHAHA !
(...) la forêt vivrière (...)
Bouffez des arbres ! Transformez vous en castor, pic vert, voire asticot !
Le pire est que:
(...) McFarland a révélé que le projet nécessitait un financement décent car les matériaux pour chaque mini-jardin coûtaient environ 100 dollars. (...)
HAHAHAHA ! Ils ont planché des rectangles de terres avec des planches de coffrage et piquets (pour empêcher les jardiniers amateurs de passer la motobineuse) pour un coût de 15 dollars et demandent 100 ! HAHAHAHA !
Bêêêh dis donc ! Va falloir rentabiliser l'espace 'pot-de-fleurs' ! HAHAHAHA !
Mourir dans des États verrouillés que ceux qui ne l'ont pas fait
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 19 AVR 2021-10: 50
Rédigé par Will Jones,
L'une des grandes choses à propos de l'Amérique est qu'elle compte 50 États qui peuvent définir leur propre politique dans un large éventail de domaines, y compris la santé publique et les verrouillages. Cela a permis à certains de résister à la bousculade pour imposer des restrictions énormes à la vie normale dans l'espoir de limiter la transmission du SRAS-CoV-2, et cela nous fournit un groupe de contrôle précieux dans la grande expérience de verrouillage qui peut nous donner une idée de ce qui pourrait se sont produits si nous n'avions pas fait une intervention ou une autre.
Au cours de l'automne et de l'hiver, une nouvelle flambée des infections à Covid a incité la plupart des États américains, comme la plupart des pays occidentaux, à réimposer les restrictions. Mais quelques-uns ont résisté. Onze États n'ont pas imposé d'ordonnance de maintien à la maison et ont laissé les gens libres de quitter leur domicile quand ils le souhaitaient. Parmi ceux-ci, quatre - la Floride, la Géorgie, la Caroline du Sud et le Dakota du Sud - n'ont imposé aucune restriction et l'ont traité à peu près comme n'importe quel autre hiver.
Bien qu'il existe diverses différences entre les États qui pourraient avoir affecté les résultats de Covid, étant donné qu'ils font tous partie d'un même pays, il existe suffisamment de similitudes pour rendre les comparaisons utiles. En particulier, si les verrouillages sont efficaces et nécessaires pour éviter des centaines de milliers de décès supplémentaires (ou l'équivalent pour la taille de la population), alors les États qui ne l'ont pas verrouillé devraient avoir un bilan bien pire. Si le nombre de morts n'est pas bien pire, mais à peu près le même (ou meilleur), alors les verrouillages ne peuvent pas avoir un impact important sur la prévention des décès de Covid.
- voir graphique sur site -
Dans le graphique ci-dessus, j'ai utilisé les données de Worldometer pour tracer le total actuel des décès de Covid par million pour chaque état. J'ai colorié les 11 états qui ne se sont pas verrouillés (c'est-à-dire imposer un ordre de séjour à la maison) cet hiver en rouge. J'ai également calculé la moyenne des deux groupes d'États, ceux qui ne se sont pas verrouillés pendant l'hiver et ceux qui l'ont fait, et je les ai colorés en jaune.
Comme vous pouvez le voir, les États qui ne se sont pas verrouillés pendant l'hiver, loin d'avoir plusieurs fois plus de décès de Covid, en ont en fait eu moins - 1671 contre 1736 décès par million. Il peut y avoir des raisons démographiques ou autres pour lesquelles certains États ont un nombre de décès plus élevé ou plus faible que d’autres, nous ne devons donc pas trop lire dans les différences précises. Mais même ainsi, si les verrouillages sont censés supprimer le virus à de faibles niveaux et ainsi éviter des «centaines de milliers» de décès (ou l'équivalent dans la population), alors comment est-ce possible ? La seule conclusion est que les verrouillages ne fonctionnent pas comme prévu et ne suppriment pas le virus.
Cette conclusion est renforcée par l'examen du nombre de morts dans les quatre États qui n'ont imposé aucune restriction pendant l'hiver, dont la moyenne est de 1 716 décès par million, ce qui est toujours inférieur à celui de ceux qui ont imposé des verrouillages (1 736). La Floride a rouvert ses portes à l'automne, la Géorgie et la Caroline du Sud au printemps 2020 et le Dakota du Sud n'a jamais fermé. Pourtant, dans l'ensemble, ils ont subi moins de décès de Covid par million que les États qui ont imposé des verrouillages au domicile cet hiver.
RépondreSupprimerLes équipes académiques qui produisent des modèles prédisant la ruine des lieux qui n’imposent pas les mesures qu’elles recommandent devraient être mises au défi d’appliquer leurs modèles à ces États et de faire une analyse rétrospective de l’hiver dernier. Tout modèle qui ne peut pas reproduire avec précision les résultats connus pour ces états doit être calibré jusqu'à ce qu'il le puisse. Sinon, s'il ne peut pas trouver la bonne réponse pour le passé, pourquoi devrions-nous lui faire confiance pour l'avenir ?
Les équipes de modélisation de Warwick, Imperial et LSHTM peuvent être trouvées sur Twitter (tout comme Adam Kucharski de LSHTM) si quelqu'un a envie de leur poser ces questions.
https://www.zerohedge.com/covid-19/if-lockdowns-are-needed-why-did-more-people-die-states-locked-down-those-didnt
Rappelons qu'il n'y a PAS PLUS de virus à l'extérieur qu'il y en a à l'intérieur !
SupprimerEt que, si une famille est enfermée, s'il y a une personne malade, toute la famille sera malade !
«Pas de science médicale» derrière le mandat du Michigan de masquer les enfants de 2 ans, prévient un médecin
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 19 AVR 2021 - 09:45
Mich.Gov Gretchen Wilmer est clairement très mal à l'aise avec le nouveau statut du Michigan en tant que l'un des épicentres de l'épidémie de COVID aux États-Unis, et tandis que des collègues comme le gouverneur Andrew Cuomo insistent pour aller de l'avant avec les plans de réouverture, l'État de Wolverine dirige maintenant des résidents aussi jeunes que deux ans pour se masquer.
Le ministère de la Santé et des Services sociaux du Michigan a déclaré vendredi dans un communiqué de presse que l'État prévoyait d'étendre ses restrictions sur le COVID-19 - ce que le DHHS du Michigan appelle "l'ordre de santé publique le plus fort du Midwest" - et d'exiger que des masques soient portés par "les enfants. âgés de 2 à 4 ans "afin de" mieux protéger les résidents de l'Etat ".
Dans le communiqué de presse, l'État a déclaré que "l'extension de la règle du masque aux enfants âgés de 2 à 4 ans nécessite un effort de bonne foi pour s'assurer que ces enfants portent des masques lors des rassemblements dans les garderies ou les camps", indique l'annonce, ajoutant que l'ordre "suit les recommandations de l'Académie américaine de pédiatrie et des centres de contrôle et de prévention des maladies."
Les responsables de la santé publique de l'État ont également souligné que, bien que plusieurs paramètres clés du COVID aient ralenti - la part de patients COVID sans lit d'hôpital, les taux de cas de COVID et le pourcentage de tests positifs revenant positifs (bien que la vitesse des déclins ait quelque peu ralenti) - le chef de l'une des plus grandes organisations de soins infirmiers de l'État a averti que «les infirmières sont épuisées. De nombreux hôpitaux ont une capacité proche de 100 %. Les infirmières de tout l'État sont confrontées à la situation impossible d'avoir à décider du patient à soigner. Les infirmières sont travaillant jusqu'à 18 heures à la fois, souvent sans interruption », a déclaré Jamie Brown, président de la Michigan Nurses Association.
«Nous implorons que tous les membres de la communauté fassent leur part. Restez à la maison. Portez un masque. Faites-vous vacciner quand vous le pouvez. Nous sommes à peine capables de garder la tête hors de l'eau. Nous sommes en crise. Nous avons besoin de nos communautés. aider."
Alors que les cas ont remonté au Michigan (en partie - selon le communiqué de presse - par des variantes comme B.1.1.7), les décès ont augmenté, mais seulement légèrement.
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerSource: mSightly
La commande dans sa forme actuelle devrait durer jusqu'au 24 mai. Alors que les parents de Michigander s'efforcent de masquer leurs bambins turbulents, le Dr Marc Siegel s'est rendu à Fox News ce week-end pour rappeler au monde qu'il n'y a "pas de science médicale" derrière l'ordre de masque les enfants de deux ans.
"Il n'y a aucun avantage, aucune science médicale derrière cela ... il est très peu probable que des enfants aussi jeunes que deux propagent le virus", a déclaré le Dr Siegel.
Après avoir passé des doses de vaccin de 200 mm administrées la semaine dernière, plus de la moitié des adultes américains ont maintenant reçu au moins une dose du vaccin. Alors que le pourcentage de personnes entièrement vaccinées se situe juste en dessous de 35 %.
https://www.zerohedge.com/covid-19/no-medical-science-behind-michigan-mandate-mask-2-year-olds-doctor-warns
L’OMS désapprouve le passeport vaccinal obligatoire
RépondreSupprimer19 avril 2021, 18:57
La septième réunion du comité d’urgence de l’Organisation mondiale de la santé concernant le Covid-19 s’est tenue le 15 avril, mais ses conclusions n’ont été publiées que lundi. Dans un communiqué, les experts, chargés de guider le chef de l’OMS, recommandent de «ne pas exiger de preuve de vaccination comme condition d’entrée» pour les voyageurs internationaux «étant donné les preuves limitées (bien que croissantes) concernant la performance des vaccins sur la réduction de la transmission et étant donné l’inégalité persistante en matière de distribution mondiale des vaccins».
«Les Etats parties sont vivement encouragés à reconnaître que l’exigence d’une preuve de vaccination peut aggraver les inégalités et favoriser une liberté de circulation différenciée», écrivent-ils.
Réflexions menées dans de nombreux pays
Cet appel intervient alors que de nombreux pays sont en train de réfléchir à la mise en place d’un passeport sanitaire pour les voyages, mais aussi pour d’autres activités, notamment sportives, même si cette idée suscite de vives critiques et des inquiétudes concernant de possibles discriminations et la protection des données privées.
L’Union européenne notamment a présenté son projet à ce sujet, la Chine a déjà lancé sa version, tandis que les compagnies aériennes y travaillent également. Aux Etats-Unis, la Maison-Blanche a affirmé début avril qu’elle n’imposerait pas de passeport sanitaire, tout en soulignant que le secteur privé était libre d’avancer vers cette idée.
«Accélérer l'évaluation des candidats-vaccins»
Lors de leur réunion, les experts du comité d’urgence de l’OMS se sont penchés sur d’autres sujets, et demandent notamment à l’OMS d’«accélérer l'évaluation des candidats-vaccins contre le Covid-19». L’OMS a pour l’heure seulement homologué le vaccin de Pfizer-BioNTech, celui d’AstraZeneca-Oxford fabriqué en Inde et en Corée du Sud et celui de Johnson & Johnson.
La pandémie a fait plus de 3 millions de morts dans le monde, et son origine reste inconnue, même si une transmission du virus à l’homme par l’intermédiaire d’un animal infecté par une chauve-souris est l’hypothèse privilégiée par les experts internationaux mandatés par l’OMS.
Le comité d’urgence de l’OMS appelle l’organisation à poursuivre rapidement les recherches sur l’origine du virus, et demande que la règlementation des marchés vendant des animaux soit renforcée. Ils demandent aussi que la vente et l’importation d’animaux sauvages qui présentent un risque élevé de transmission – à l’homme – de nouveaux agents pathogènes soient découragées.
La France expérimente son futur «pass sanitaire»
RépondreSupprimerL’application mobile TousAntiCovid, déjà téléchargée par près de 15 millions de personnes en France, sera mise à jour à partir de lundi soir pour intégrer un «carnet» permettant de stocker la preuve d’un résultat de test valide (et négatif), qu’il soit antigénique ou PCR.
L’application permettra également de stocker «un certificat de rétablissement de la Covid-19» et, à partir du 19 avril, l’attestation de vaccination. La France testera d’abord son dispositif sur certains vols reliant la métropole à la Corse puis, dans les semaines à venir, vers l’outre-mer. Il faudra ensuite un feu vert de la Commission européenne, attendu en juin, pour le généraliser aux voyageurs transfrontaliers.
Le fonctionnement est similaire sur la vaccination, pour laquelle un certificat sera émis à chaque injection et rendu disponible sur le site de l’Assurance maladie Ameli.fr, avec un système de rattrapage pour les injections déjà réalisées. Le gouvernement continue parallèlement ses travaux pour intégrer dans l’application TousAntiCovid un système de carnet de rappel permettant l’accès à des lieux clos.
https://www.lematin.ch/story/loms-desapprouve-le-passeport-vaccinal-obligatoire-256036956805
Pass sanitaire, QR codes, TousAntiCovid : nos données de santé en danger
RépondreSupprimerLe rapprochement des données de santé collectées par les applications de type TousAntiCovid, avec celles fournies par l’utilisation de codes QR constituera une mine d’or pour les agrégateurs de données.
Par Bernard Perbal.
19 AVRIL 2021
La protection des données de santé constitue depuis plusieurs années le terrain d’enjeux dont les tenants et aboutissants sont loin d’être connus du grand public. Certains nous diront que la masse qui n’est pas assez intelligente pour comprendre les décisions prises au sommet n’a pas à réfléchir.
Les politiques et hauts fonctionnaires qui grouillent à tous les niveaux du millefeuilles de la pyramide du pouvoir sont là pour imposer subrepticement les fruits irréfragables de leur savoir et de leur capacité à gouverner en dépit de l’immense incompétence de ceux qui, dans les domaines les plus variés de notre société, sont arrivés à des postes clefs par le jeu de chaises musicales attribuant aux ratés en tout genre une promotion dorée vers les cieux des irresponsables intouchables et immuables.
On notera au passage que selon le Wall Street Journal, la commission de l’OMS chargée d’enquêter sur les sources possibles du Covid-19, ne publiera pas ses conclusions provisoires.
INCOHÉRENCE DU DISCOURS POLITIQUE
Depuis que nos dirigeants ont été contraints de reconnaître les risques sanitaires graves associés à la propagation galopante de la pandémie de Corona Virus Disease 19 (Covid-19) induite par le virus éponyme, force est de constater que l’incohérence des discours politiques et scientifiques restera un marqueur indélébile du quinquennat en cours.
En janvier 2020, la négation du risque d’importation du virus de Chine par Agnès Buzyn :
Les risques de cas secondaires autour d’un cas importé sont très faibles, et les risques de propagation du coronavirus sont très faibles.
Suivie par ses regrets qui, en quittant le ministère de la Santé, savait « que la vague du tsunami était devant nous. »
Les atermoiements du gouvernement sur le port du masque faisant dire en mars 2020 au ministre de la Santé Olivier Véran :
J’insiste, l’usage du masque en population générale n’est pas recommandé et n’est pas utile.
Le Premier ministre Édouard Philippe se retranchant derrière les multiples revirements de certains scientifiques, les mensonges concernant la disponibilité des masques dont le port deviendra finalement obligatoire à Paris à la fin de l’été et trois mois après le premier déconfinement, dans les entreprises, les lycées et les collèges.
RépondreSupprimerAutant d’exemples qui ont altéré la confiance des citoyens envers leur gouvernement.
La série des affirmations dénuées de fondement scientifique prendra un nouveau visage avec, entre autres, les promesses irréalistes de l’application StopCovid et d’une vaccination de masse qui devait être menée rondement, pour finalement nous hisser, avec 2,8 vaccinations pour 100 personnes, à la vingt-et-unième place des 27 pays de l’Union européenne ayant procédé à une vaccination en date du 5 février 2021 !
Le 29 janvier 2021, la déclaration par le Président devant la presse étrangère, de la quasi inefficacité du vaccin Oxford AstraZeneca, pour les personnes âgées de plus de 65 ans n’a pas été un facteur positif.
Les premiers résultats que l’on a en ce qui concerne le vaccin Astra-Zeneca ne sont pas encourageants pour la tranche des personnes agées de 60 à 65 ans.
Plusieurs autres pays européens adoptaient à sa suite une position similaire, alors que l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé du Royaume-Uni (MHRA) maintenait :
Les données dont nous disposons montrent que le vaccin produit une forte réponse immunitaire chez les plus de 65 ans et qu’il est sans danger.
La décision de la haute autorité de Santé (HAS) du 2 février déconseillant son utilisation au-delà de 65 ans mais invitant les soignants de moins de 65 ans à se faire vacciner a généré une réticence supplémentaire des personnels visés.
Le 25 février Alain Fisher déclarait :
Pour des raisons que je trouve profondément injustes, ce vaccin a une relativement mauvaise presse en France. Il est considéré comme moins efficace que les vaccins ARN messager et moins bien toléré. Ce n’est pas exact
Cette mise au point et le fait que le vaccin AstraZeneca soit très efficace pour lutter contre le variant anglais du virus, auraient semble-t-il remis les vaccinations en route malgré le mal qui avait été fait par des assertions dénuées de fondement.
Ce bref rappel illustre la place centrale des péripéties vaccinales dans un univers soumis à de hautes pressions d’engagements et d’intérêts financiers ne représentant que la pointe de l’iceberg des négociations qui président aux efforts d’éradication du Covid-19 menés par les différentes parties prenantes.
Conjointement à ces considérations, sont apparues des initiatives visant à convaincre de l’intérêt considérable, vanté par des discours politiques plus ou moins cohérents, des outils numériques de traçage du virus et de gestion des données médicales dans le contexte de la pandémie.
RépondreSupprimerDONNÉES DE SANTÉ : IDENTIFICATION ET TRAÇAGE DES PERSONNES ATTEINTES PAR LE COVID-19
La vitesse à laquelle s’est propagé le virus a vite dépassé la capacité des agences de santé publique historiquement dédiées au suivi manuel des contacts, tel qu’il avait été mené pour réduire la propagation d’épidémies comme celles qui furent causées par le virus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) ou par le virus Ebola.
Outre les ressources humaines et le temps qu’elle requiert, cette approche est pénalisée par l’imprécision des souvenirs, qui plus est lorsque les individus concernés se retrouvant dans les lieux publics très fréquentés où la brièveté des contacts affecte la mémoire et l’identification des individus rencontrés.
La recherche numérique des contacts peut reposer sur différentes technologies de l’information, plus ou moins intrusives vis-à-vis des différents aspects de la vie privée.
Par exemple, la Chine et la Corée du Sud ont imposé à leurs populations des collectes de données reposant sur des techniques de reconnaissance faciale et de transmission de données relatives à la géolocalisation des téléphones cellulaires, telles que les signaux GPS ou les caméras de reconnaissance situées dans les lieux publics.
L’utilisation de telles techniques sans que les participants aient donné leur consentement à l’utilisation et à la conservation de leurs données ne serait pas conforme avec les exigences fixées par le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) qui impose que :
les données personnelles soient anonymisées ;
les explications relatives à la collecte et à l’exploitation de ces données soient fournies dans un langage simple ;
la collecte des données personnelles doit être strictement restreinte au traitement dont la finalité doit être clairement respectueuse des restrictions relatives à l’utilisation des données de santé telles que définies dans le règlement ;
la durée de conservation des données est limitée, elles doivent être supprimées régulièrement afin d’assurer leur protection et lutter contre toute utilisation visant au profilage des utilisateurs.
Les systèmes d’identification numérique reposant sur une base de volontariat en Europe et aux USA, ils font appel à des applications que l’utilisateur télécharge lui-même.
Il a été fait le choix de ne pas utiliser de technologies intrusives pour la vie privée reposant sur la géolocalisation de type GPS ou WIFI.
Dans le cadre des protocoles numériques utilisés en France la distance séparant deux smartphones portés par des personnes qui se côtoient est estimée sur la base de l’intensité de signaux Bluetooth émis et reçus par les téléphones paramétrés de manière à pouvoir communiquer. En termes simples, plus la force du signal reçu est grande, plus les appareils sont proches l’un de l’autre.
Les choix technologiques de la France pour développer les applications StopCovid et TousAntiCovid en font un cavalier isolé en Europe, les autres pays ayant fait le choix des applications développées par Google et Apple.
RépondreSupprimerGoogle et Apple ont retenu une solution reposant sur le stockage des données uniquement dans les smartphones des utilisateurs, permettant de les identifier tout en garantissant leur anonymat, afin d’éviter le stockage centralisé des données et en assurer une sécurité plus grande.
Les applications françaises StopCovid et TousAntiCovid utilisent un modèle centralisé qui stocke les données non nominatives, anonymisées, sur des serveurs centraux contrôlés par les autorités sanitaires.
Ce choix ne permet pas l’inter-opérabilité européenne sur laquelle la Commission a travaillé. L’Europe, par la voix de Margrethe Vestager, Commissaire en charge du Numérique et de la Concurrence, regrette la position prise par la France, qui malgré ses nombreuses déclarations, a opté paradoxalement pour une solution moins protectrice des données allant à contrecourant de la position adoptée par les autres pays de l’Union européenne.
Si certains ne trouvent pas l’inter-opérabilité souhaitable, ses défenseurs plaident pour la compatibilité des applications de traçage de tous les autres pays européens pour des questions de sécurité, en dépit du fait que d’un pays à l’autre ces applications ont rencontré un succès très différent.
Indépendamment du fait qu’elle ait pu souffrir d’un manque de compatibilité avec ses homologues européens, l’application StopCovid n’a pas rencontré le succès escompté, malgré un coût d’hébergement et de maintenance facturé jusqu’à 300 000 euros par mois.
Avec 2,3 millions de téléchargements et 72 notifications envoyées en trois mois, StopCovid, lancée le juin 2020, a été un cuisant échec selon le Premier ministre Jean Castex et le projet d’adjonction d’objets connectés à ce type d’application a été suspendu pour l’instant.
L’application TousAntiCovid a donc pris la suite de la précédente.
Son principe est inchangé. Le but étant d’avertir l’utilisateur s’il a été en contact avec un individu testé positif au Covid-19.
L’application prend en compte les contacts situés à moins d’un mètre pendant au moins 15 minutes à condition que les smartphones comportant TousAntiCovid aient été en fonctionnement au moment de leur rencontre.
Ce système nécessite qu’une personne testée positive se déclare comme telle via l’application qui préviendra alors les individus-contacts pendant la période qualifiée de contagieuse.
Pour les personnes positives symptomatiques, cette période débute 48 heures avant l’apparition des premiers symptômes. Si la personne testée positive est asymptomatique, la période de contagiosité débute sept jours avant son test positif.
Pour que ce système soit efficace, il requiert une forte adoption de l’application TousAntiCovid, estimée à 20 millions d’utilisateurs.
Selon Cédric O, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique, le nombre de téléchargement de TousAntiCovid à la mi-janvier serait de 12,3 millions avec un total de 50 000 personnes notifiées.
RépondreSupprimerCependant, selon une mise à jour du 9 février relevée le 9 mars :
En France, 132 261 personnes se sont déclarées positives dans l’app mais seulement 74 234 notifications ont été envoyées. Alors même que les règles de fonctionnement de TousAntiCovid ont été changées à la fin novembre pour détecter plus de cas et envoyer plus de notifications.
Le manque d’enthousiasme de la population à l’égard des applications StopCovid et TousAnticovid résulte très certainement d’une perte de confiance instillée par les discours contradictoires de nos gouvernants.
N’aurait-il pas été plus simple de veiller à l’application stricte des gestes barrière ?
L’espoir du secrétaire d’État est de voir le nombre d’utilisateurs croître avec l’ajout de fonctionnalités pratiques et l’entrée en vigueur des QR codes dont la mise en fonction est prévue prochainement.
Cédric O rappelle à ce sujet que l’obligation d’utiliser un QR code pour accéder aux pubs en Grande Bretagne a fait monter à 20 millions le nombre d’utilisateurs de l’application de traçage.
Que penser de ce cette évolution souhaitée ?
En premier lieu, on peut regretter que la solution retenue par le gouvernement fasse appel à un stockage externe centralisé, qui représentera une proie tentante et bien plus fournie en données qu’un smartphone pour les hackers avides de grosses opérations.
Le domaine de la santé publique a subi des violations de données très conséquentes au cours des dernières années avec des dommages financiers estimés à des millions de dollars. Les cyberattaques dirigées vers les centres hébergeant des données médicales sont en très nette augmentation.
À titre d’exemple, l’intrusion dans la base de données médicales d’un centre régional de santé en Norvège en 2018 s’était soldée par la corruption de plus de trois millions de données médicales sensibles.
De même LifeLabs, l’un des plus grands groupes de laboratoires d’analyses médicales du Canada, a été victime au début de novembre 2019, d’une cyber-attaque avec demande de rançon, concernant les données de 15 millions de patients.
On retiendra enfin le pillage récent des données de santé concernant 500 000 patients ayant fréquenté plusieurs laboratoires d’analyses utilisant le même logiciel de traitement.
La centralisation des données est immanquablement plus risquée que leur fragmentation sur des supports indépendants.
Quelle qu’en soit la technologie de base, l’utilisation de ces applications nécessite d’une part que le smartphone concerné soit constamment allumé pour permettre sa détection par Bluetooth, et d’autre part que son utilisateur contact soit assez isolé dans une foule potentiellement fournie en contacts, pour être détecté de manière fiable. Ce dernier point ne devrait pas constituer un obstacle insurmontable.
Il est regrettable que le système français rigoureusement incompatible avec celui de la majorité des autres pays ne puisse bénéficier des expériences et améliorations qui pourront émerger d’une approche de groupe.
Le cas des personnes contagieuses, asymptomatiques non identifiées comme vecteurs pose un problème insoluble par l’emploi de ces techniques d’identification de contacts.
Le rapprochement des données de santé collectées par les applications de type TousAntiCovid, avec celles fournies par l’utilisation de codes QR constituera une mine d’or pour les agrégateurs de données.
RépondreSupprimerLE QR CODE, DANGER POTENTIEL POUR LA PROTECTION DES DONNÉES DE SANTÉ ET PERSONNELLES
Selon le professeur Graham Greenleaf, la situation peut être schématisée comme suit.
Deux entités génératrices de données de santé vont coexister :
D’un côté une application d’identification des cas contacts, que l’on peut espérer être respectueuse des principes de respect et protection qui leur sont généralement attachées par les règlementations en vigueur (RGPD en Europe par exemple).
L’utilisation pendant une durée de six mois d’une application anti Covid pour combattre la propagation du virus en Australie a permis d’identifier 17 cas qui auraient échappé à la surveillance humaine telle que celle qui est évoquée plus haut.
De l’autre côté des QR codes devenus quasi-obligatoires, qui ne sont soumis à aucune réglementation efficace de respect de la vie privée et qui vont prendre de plus en plus d’importance avec le temps.
Les règles strictes d’encadrement de la collecte des données médicales au travers des applications de suivi actuellement en cours, contrastent très fortement avec la négligence de type laissez-faire dont bénéficie l’industrie des QR codes.
Par exemple, les QR codes sont de plus en plus largement utilisés au Royaume-Uni dans les secteurs bancaires mais aussi pour aider au suivi des personnes infectées et de leurs contacts.
Alors que la technologie des QR codes existait déjà dans les années 1990 elle n’avait pas trouvé l’infrastructure nécessaire à son adoption.
Aujourd’hui, le manque d’encadrement juridique relatif au développement fulgurant de ce type d’identification par QR code sous l’influence de la pandémie, pose des sérieux problèmes concernant la collecte et l’utilisation des données sous-traitées par un vaste panel de fournisseurs de codes. Il n’existe aucune régulation de contrôle de qualité et de protection de la vie privée applicable aux fournisseurs de QR codes.
Il est essentiel que les gouvernements encadrent très strictement le devenir des données personnelles collectées par les organisateurs de réunions festives, les restaurateurs, les bars et autres enseignes commerciales qui ne demandent qu’à reprendre leur activité pour compenser les pertes considérables subies.
Les données personnelles identifiantes, telles que les nom, e-mail, numéro de téléphone et autres données sensibles, récoltées par ces fournisseurs de QR codes ont une grande valeur marchande de nos jours.
Enfin, il ne faut pas négliger les risques informatiques qui viennent avec l’utilisation grandissante des QR codes, tant prisés par les cybercriminels pour pénétrer les données les plus intimes auxquelles ces codes finissent par donner accès.
L’objectif avoué du gouvernement français aujourd’hui est de pouvoir enregistrer en temps réel les faits et gestes des consommateurs afin de pouvoir alerter les individus ayant été en contact avec des malades.
Si l’objectif peut paraître louable à première vue, il met en jeu une utilisation des données personnelles qui s’apparente à une violation de la vie privée telle qu’elle est définie et protégée par le RGPD.
RépondreSupprimerLa limitation d’accès à certaines activités sportives, culturelles, culinaires, ou de loisir, fondée sur la lecture de QR codes constitue une discrimination incompatible avec les libertés fondamentales qui nous ont été octroyées par les droits de l’homme et du citoyen.
LE PASS SANITAIRE ET LE FICHAGE DE LA POPULATION
La collecte des données de santé au travers de plateformes ou de pass sanitaires rappelant les moments les plus horribles d’un passé encore présent dans tous les esprits, a constitué une marotte récurrente des gouvernements avides de fichages en tout genre.
Le fichage numérique des individus : quelques rappels
En avril 1946, le Service national des Statistiques devient l’INSEE à qui est confiée la gestion du NIR, utilisé pour la vérification des listes électorales. Le NIR est notifié à la Sécurité sociale par l’INSEE et son utilisation a été étendue aux ministères de l’Intérieur, du Travail, de l’Agriculture et de l’Éducation nationale.
Dans le tourbillon du développement de l’informatique, l’INSEE a décidé d’une part de centraliser en 1971 les répertoires d’identification à Nantes dans le cadre de la mise en place d’un Système Automatisé pour les Fichiers Administratifs et le Répertoire des Individus (projet SAFARI) et d’autre part de fusionner ces données en février 1972, avec le fichier national des assurés de la Caisse nationale d’assurance vieillesse qui comprenait les adresses de toutes les personnes répertoriées.
C’était la porte ouverte à l’interconnexion des bases de données contenues dans les fichiers électroniques des services publics et associés. La manipulation centralisée des données personnelles collectées devait aboutir au fichage des Français !
Ce projet a été révélé dans un article du journal Le Monde en 1974 et a suscité dans la population un sentiment d’inacceptable surveillance étatique.
Ces vives réactions ont conduit à la promulgation en 1978 de la loi relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, qui est restée un modèle législatif garantissant la protection des données personnelles individuelles.
Depuis SAFARI, plusieurs autres fichiers mettant en œuvre des traitements automatisés de données à caractère personnel de la population française ont vu le jour, avec plus ou moins de difficultés et de remarques de la CNIL.
On retiendra par exemple :
RépondreSupprimerle Système de traitement des infractions constatées (STIC) de 2001
le système Judiciaire de Documentation et d´Exploitation (JUDEX) de la Gendarmerie Nationale
le Système d’Information Schengen (SIS)
le fichier de Centralisation du renseignement intérieur pour la sécurité du territoire et les intérêts nationaux (CRISTINA)
le fichier d’Exploitation Documentaire et Valorisation de l’Information Générale (EDVIGE) créé en juin 2008 et retiré la même année, avant qu’il renaisse sous le nom d’Exploitation Documentaire et Valorisation de l’Information Relative à la Sécurité Publique (EDVIRSP) le 19 novembre 2008. L’article 2 du décret créant ce fichier autorise le fichage racial, politique, religieux et syndical. Par contre, les données relatives à la vie sexuelle et la santé ne sont pas susceptibles d’être collectées.
Avec trois nouveaux décrets publiés le 4 décembre 2020 et créant les fichiers PASP, GIPASP et EASP, les possibilités de fichage politique sont renforcées. Un décret publié en 2021 parachève pour une durée de trois ans les modalités de surveillance par le fisc du contenu des réseaux sociaux afin de traquer d’éventuelles fraudes fiscales.
Les données de santé
Avant d’aborder brièvement les atteintes au respect des libertés individuelles et de la vie privée des personnes que constituent les fichages fondés sur les données de santé, il est utile de définir brièvement ce qu’elles sont et quels sont les moyens mis en œuvre pour leur collecte et leur exploitation.
Les données de santé sont définies de manière très large au paragraphe 15 de l’article 4 du RGPD :
Données à caractère personnel relatives à la santé physique ou mentale d’une personne physique, y compris la prestation de services de soins de santé, qui révèlent des informations sur l’état de santé de cette personne.
Ces informations peuvent concerner l’état de santé présent ou futur de la personne concernée.
Les données de santé peuvent prendre la forme de documents écrits (ordonnances, certificats médicaux…), oraux (enregistrements de compte rendus opératoires, de visites médicales, …), ou informatisés à la suite de la dématérialisation grandissante des informations manipulées par les praticiens et les services et de santé.
La définition des données de santé, qui n’apparaît pas assez rigoureuse, constitue un frein au développement des innovations faisant appel à l’exploitation de caractéristiques phénotypiques résultant de l’expression du génome.
Le regroupement de toutes ces caractéristiques sous une même qualification juridique contraignant leurs utilisateurs à une analyse de risques concernant la protection de la vie privée, semble totalement inapproprié.
Le principe de précaution excessif ayant guidé les législateurs n’est pas raisonnable et trouve ses racines en France dans l’absence de responsabilité individuelle d’une population à qui l’on pourrait expliquer les risques, mais qui se réfugie à tout moment derrière la responsabilisation gouvernementale.
Selon un tel principe, la mise au point des automobiles ou de tout autre moyen de transport moderne aurait été interdite au motif qu’ils auraient été potentiellement mortels…
Le Système National des Données de Santé (SNDS) créé par la loi du 26 janvier 2016, fut remplacé par le Health Data Hub (HDH), officialisé par arrêté du 30 novembre 2019, en dépit des inquiétudes qu’a déclenché le choix du Cloud Microsoft pour son hébergement.
La CNIL a d’ailleurs rendu un avis très sévère sur le HDH en s’inquiétant des modalités de recours offertes aux citoyens dont les données de santé seront incluses dans le HDH, et des conditions de mise en œuvre de l’information du public.
RépondreSupprimerLe HDH contiendra les données de l’assurance maladie, des facturations hospitalières, des causes médicales de décès, des données médico-sociales des personnes handicapées potentiellement intéressantes pour des acteurs privés qui y auraient accès.
Toutes les données de santé, collectées dans le cadre d’un acte remboursé par l’assurance maladie, seront centralisées dans le Health Data Hub et constitueront des sources de développement d’algorithmes d’apprentissage automatique à usage médical.
Le fichage des données médicales restructuré par la création du HDH est sur la voie d’être renforcé par la mise en place d’un pass sanitaire.
Bien que l’invalidation du Privacy Shield par la Cour de Justice de l’Union européenne n’autorise pas les échanges de données personnelles du HDH stockées par Microsoft, dans certains cas, le Cloud Act pourrait cependant permettre de contourner cette interdiction de transfert.
Plus récemment, une critique du même type a été soulevée à l’encontre de la plateforme de prise de rendez-vous médicaux Doctolib, par un collectif de médecins et de patients ayant déposé un référé auprès du Conseil d’État sollicitant « l’annulation du contrat liant Doctolib et l’État dans le cadre des prises de rendez-vous pour la vaccination contre le COVID-19 ».
En effet, ce partenariat loué par ailleurs par Cédric O, brasse une quantité importante d’informations de santé dans des conditions qui ne seraient pas conformes au RGPD. Effectivement, l’hébergement des données de santé collectées par Doctolib, victime d’un récent piratage de données ayant révélé les informations de santé relatives à 6128 rendez-vous, reposerait sur le choix de Amazon Web Services (AWS).
Le pass sanitaire
Compte tenu de l’ignorance relative du monde de la recherche médicale à propos des subtilités de la biologie du Covid-19, il est légitime de se poser quelques questions pertinentes relatives à la nature des critères qui permettront aux « heureux élus » de bénéficier d’un pass sanitaire leur ouvrant les portes à des activités quasi-normales dans une société amputée de plusieurs libertés fondamentales.
Lors d’une visioconférence avec les chefs d’État de l’Union européenne, le président Macron aurait dessiné les contours de ce pass qui « ne sera pas un passeport vaccinal », mais qui permettra d’envisager la réouverture des lieux culturels et des restaurants fermés à cause de la pandémie. Quid des autres commerces ?
Monsieur Macron a déclaré :
La mise en œuvre d’un tel instrument va poser beaucoup de questions techniques, de respect des données individuelles, d’organisation de nos libertés […] je sens qu’il y a beaucoup de confusion parfois sur ce sujet.
Insistant sur le fait que ce pass ne serait pas un passeport lié uniquement à la vaccination, le Président aurait précisé que « nous ne saurions conditionner l’accès » des lieux qui pourraient être rouverts « à une vaccination, alors même que nous n’aurions pas ouvert la vaccination aux plus jeunes. »
Le faible pourcentage des personnes vaccinées à ce jour donnerait sans aucun doute un arrière-goût de discrimination sanitaire à une distribution sélective des permissions de profiter pleinement des plaisirs de la vie…
RépondreSupprimerSur quelle base serait donc attribué ce pass sanitaire ?
Existerait-il des indices de prédisposition médicale d’une susceptibilité au Covid sur laquelle s’appuierait une sélection ?
Cette parodie ne serait-elle qu’un discours incohérent mêlant l’illusion politicienne à la dure réalité de la vie pour les personnes touchées ?
Quoiqu’il en soit, la terrible réalité est aussi celle que tendent à imposer les pays ne voyant dans la création d’un passeport sanitaire qu’un outil économique dont la mise en place balaierait d’un revers de main tous les efforts déployés depuis des décennies pour maintenir et protéger le respect de la personne humaine.
Serait-ce un nouveau symptôme attribuable au neurotropisme avéré des coronavirus ?
Cet article a été publié le 10/03/21 et mis à jour le 10/03/21 à 11h47
https://www.contrepoints.org/2021/04/19/392795-pass-sanitaire-qr-codes-nos-donnees-de-sante-en-danger
Même si ce n'est pas vraiment 'madame code' avec ses 'cul-air' à ne pas y toucher, çà sent pas la rose !
SupprimerBêh ouais, tous les véhicules inoculés doivent être immatriculés et, le robot (transhumanisme) 328.202RY588D doit se conformer aux nouvelles directives ou être éliminés (presse hydraulique pour la compression des voitures mises en décharges). Vous aurez l'air-cube ! Hahahaha !
Respirez vos masques contenant des milliers de poussières métalliques destinées à partir à l'assaut de votre cerveau, vous vous laissez déjà faire ! Çà maaaaarche ! Çà maaaaaarche !
D'ailleurs, on ne dit plus mort mais 'covide' ! Il s'est covidé dans un accident de la route ! Il s'est pendu, il est covide ! Et vous madame vous en êtes à combien ? 3 mois ? 4 ! Whôaw ! 4 ème mois de grossesse covide !!
Des infirmières britanniques dénoncent les crimes commis au nom de COVID
RépondreSupprimer20 avril 2021
- voir clip sur site :
https://www.lewrockwell.com/2021/04/no_author/k-nurses-blow-whistle-on-crimes-committed-in-the-name-of-covid/
Directement de la bouche du cheval: les vaccins sont inefficaces
RépondreSupprimerPar Vasko Kohlmayer
20 avril 2021
«Le PDG de Pfizer dit que la troisième dose de vaccin Covid est probablement nécessaire dans les 12 mois», lit-on dans un récent titre de CNBC. "Le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a déclaré que les gens auraient" probablement "besoin d'une troisième dose d'un vaccin Covid-19 dans les 12 mois suivant la vaccination complète", nous dit-on.
«Moderna espère avoir un rappel de Covid pour son vaccin prêt d'ici l'automne, déclare le PDG», annonce un autre rapport de CNBC. "Moderna espère avoir un rappel de Covid disponible pour les Américains d'ici l'automne, selon le PDG Stéphane Bancel", rassure l'article des lecteurs inquiets.
Le fil conducteur caché de ces rapports est que l’une des plus grandes fraudes de l’histoire est perpétrée sous nos yeux. Cela devrait être évident pour quiconque est capable de faire une déduction logique.
L'implication inévitable de ces rapports est que les vaccins actuellement administrés ne vous donneront pas une protection suffisante contre Covid-19 à l'avenir. En d'autres termes, ces injections sont inefficaces.
Si ces vaccins étaient efficaces, les PDG de ces sociétés ne parleraient pas de la nécessité de recevoir un autre vaccin dans quelques mois.
Répétons-le: cet automne, le vaccin que vous avez pris ou que vous êtes sur le point de prendre ne vous protégera pas de Covid.
Pourquoi, alors, les gouvernements poursuivent-ils ces programmes de vaccination massifs qui injectent chaque jour des produits pharmaceutiques inefficaces dans les bras de millions de personnes ?
Car non seulement ces concoctions préparées à la hâte sont inefficaces, mais elles sont carrément dangereuses. Des milliers de personnes ont été tuées inutilement par eux et des centaines de milliers ont été gravement blessées.
«Plus de 10 000 décès après les coups de feu COVID rapportés par les agences américaines et européennes», avons-nous lu dans un rapport compilant des données collectées par divers organismes gouvernementaux. «Plus de 7 000 décès sont survenus en Europe et plus de 200 000 blessés dans le monde ont été signalés», apprend-on.
La question est la suivante: pourquoi ces programmes de vaccination - qui causent des décès et des blessures à grande échelle - et qui sont inefficaces par rapport à leur objectif déclaré, à savoir la protection contre Covid, sont autorisés à se poursuivre ?
Ce n’est rien de moins qu’un crime contre l’humanité, qui est perpétré par les sociétés pharmaceutiques et leurs facilitateurs au sein du gouvernement et de la communauté scientifique avec l’aide des médias.
Les vrais scientifiques ont toujours su qu'en raison de la nature mutante du virus, il ne sera pas possible de proposer un vaccin efficace contre Covid-19. Cependant, cela n'a pas empêché les dirigeants de l'industrie pharmaceutique et leurs acolytes scientifiques de préparer des concoctions inefficaces et dangereuses, puis de les injecter dans le corps de centaines de millions d'êtres humains.
Pourquoi feraient-ils cela ? À cause de l'argent, bien sûr. La valeur des actions du PDG de Moderna, par exemple, a maintenant grimpé à environ cinq milliards de dollars. Pas une mauvaise récompense pour la douleur des autres.
RépondreSupprimerFait révélateur, le PDG, Stéphane Bancel, a refusé de révéler son propre statut vaccinal.
Mais la fraude est encore plus profonde. Non seulement les vaccins actuellement proposés seront inefficaces contre les variantes qui émergeront à l'automne, mais ils sont déjà inefficaces contre certaines des variantes actuellement en circulation.
Considérez simplement ce titre de CNBC: «Une variante de Covid d’Afrique du Sud a pu« percer »le vaccin Pfizer dans une étude israélienne.» La phrase d'ouverture de l'article nous informe que «[l] a variante de coronavirus découverte pour la première fois en Afrique du Sud est capable d'échapper à une partie de la protection du vaccin Pfizer-BioNTech.» Cela devrait faire réfléchir tout le monde, car la variante sud-africaine est une mutation répandue qui a été détectée dans des dizaines de pays à travers le monde et est déjà devenue la souche dominante dans certains d'entre eux.
En fait, il semble maintenant que les vaccins mêmes qui étaient censés vous protéger de Covid peuvent vous rendre plus vulnérable. Ceci est tiré d’une autre étude menée en Israël, l’un des pays les plus vaccinés au monde:
«Les chercheurs israéliens ont découvert que les personnes qui avaient reçu deux doses du vaccin Pfizer étaient huit fois plus susceptibles d’être infectées par la variante sud-africaine, et que les personnes qui avaient reçu une dose du vaccin étaient plus susceptibles d’obtenir la variante britannique.»
Il est temps de se soulever contre cette fraude gargantuesque dans le domaine des soins de santé et de tenir les auteurs et leurs complices pour responsables.
https://www.lewrockwell.com/2021/04/vasko-kohlmayer/straight-from-the-horses-mouth-the-vaccines-are-ineffective/
Le gommé dégommé ? Vous n'y pensez pas tout de même ? Il en faut ! Il en faut ! Il ne doit en rester que 500 000 !
SupprimerViolence raciale et santé mentale des Noirs américains
RépondreSupprimer19 AVRIL 2021
par University of Utah
La violence policière contre les Noirs américains est honteusement courante aux États-Unis et dévaste les communautés. Pour les incidents largement médiatisés, un traumatisme collectif est ressenti dans tout le pays, en particulier pour les Noirs. La recherche soutient que le racisme, même par procuration, peut nuire à la santé mentale et physique des autres membres du même groupe racial, mais son effet sur une population n'est pas clair.
Une nouvelle étude a analysé l'impact d'actes de violence raciale très médiatisés sur la santé mentale des Noirs américains aux États-Unis.Les auteurs ont identifié 49 incidents survenus entre 2013 et 2017, y compris des meurtres par la police d'individus noirs, des meurtres de crimes haineux et des décisions de ne pas inculper ou condamner les agents impliqués. Les chercheurs ont mesuré l'intérêt national en fonction du volume de recherches Google associées et calculé la détresse mentale moyenne par semaine à l'aide de deux sources, couvrant la période 2012-2017: le système de surveillance des facteurs de risque comportemental (BRFSS) et les recherches Google liées à l'actualité avec des termes de détresse psychologique.
Le BRFSS réalise plus de 400 000 entretiens téléphoniques avec des résidents adultes par an, ce qui en fait le plus grand système d'enquêtes sanitaires continues au monde. Les répondants noirs du BRFSS ont signalé plus de jours de mauvaise santé mentale pendant les semaines où deux incidents ou plus de violence contre les Noirs se sont produits et lorsque l'intérêt national entourant les événements était plus grand. La santé mentale des répondants blancs n'était pas significativement corrélée avec le moment de la violence raciale. De plus, les décisions judiciaires où des agents impliqués dans des violences raciales n'étaient pas inculpés étaient le plus fortement associées aux jours de mauvaise santé mentale pour les Noirs. Les auteurs concluent que la réduction de la violence contre les Noirs bénéficierait à la santé mentale des Noirs à travers le pays.
L'article publié le 19 avril 2021 dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.
«Il existe des preuves solides qu'en plus d'être une crise sociale et morale, le racisme est un problème de santé publique important qui augmente le risque de développer une gamme de maladies et de problèmes de santé mentale», a déclaré le co-auteur David Chae, professeur agrégé et directeur de la Société. , Health and Racial Equity (SHARE) Lab, et doyen associé pour la recherche à l'École de santé publique et de médecine tropicale de l'Université de Tulane. "Les expériences des autres membres d'un groupe racial sont partagées et peuvent également être des sources personnelles de stress."
La recherche est cohérente avec une étude précédente détaillant un nombre plus élevé de jours de mauvaise santé mentale pour les Noirs américains exposés à des meurtres par la police d'individus noirs non armés dans leur propre État. Cette étude est la première à examiner comment les meurtres par la police et d'autres incidents raciaux violents avec une large couverture médiatique ont un impact sur la santé mentale des Noirs américains à l'échelle nationale.
"Comme nous l'avons vu lors des manifestations qui ont suivi le meurtre de George Floyd, le chagrin, l'indignation et l'injustice que subissent les gens ne sont pas seulement liés à votre communauté immédiate", a déclaré l'auteur principal David Curtis, professeur adjoint d'études sur la famille et la consommation à la Université de l'Utah. «Si nous réfléchissons à l'impact sur la santé de la population, nos résultats montrent que le bilan mental ne se limite pas uniquement à la communauté où l'incident a eu lieu.
RépondreSupprimerAvec le soutien du National Institute on Minority Health and Health Disparities of the National Institutes of Health, les chercheurs ont identifié une violence anti-noire très médiatisée entre 2013 et 2017 en utilisant la couverture médiatique des 60 premiers jours après l'incident. Ils ont établi le nombre d'incidents survenant par semaine et quantifié l'intérêt national hebdomadaire à l'aide de Google Trends. Pour évaluer si la détresse psychologique a été influencée par le moment de ces incidents, les auteurs ont utilisé deux sources: les termes de recherche Google liés au suicide, l'anxiété et la dépression, ainsi que le nombre moyen de jours de mauvaise santé mentale parmi les répondants noirs de l'enquête BRFSS 2012-2017. L'étude comprenait des données de 217171 Noirs et 2092683 Américains blancs et leurs réponses à la question: Maintenant, en pensant à votre santé mentale, qui comprend le stress, la dépression et les problèmes émotionnels, pendant combien de jours au cours des 30 derniers jours votre santé mentale n'a-t-elle pas été bien ?
L'étude a révélé que la violence raciale n'était pas systématiquement associée à la détresse nationale mesurée à l'aide de termes de recherche Google. Cependant, les données probantes utilisant les réponses à l'enquête BRFSS étaient claires: les Noirs américains, mais pas les Américains blancs, ont signalé un nombre plus élevé de jours de mauvaise santé mentale au cours des semaines où deux incidents de violence raciale ou plus se sont produits et lorsque l'intérêt national était plus élevé. Lorsque les types de violence raciale étaient considérés séparément, l'intérêt national à l'égard des décisions juridiques de ne pas inculper l'officier utilisant la force létale était le seul indicateur statistiquement significatif de jours de mauvaise santé mentale pour les répondants noirs du BRFSS, bien que les associations pour tous les types de violence allaient dans la même direction. Les auteurs de l'étude ont émis l'hypothèse que l'importance unique des procédures judiciaires pour influencer la santé mentale des Noirs américains pourrait être due au rôle de l'injustice perçue, en particulier compte tenu de la longue histoire de violence anti-noire sanctionnée par l'État aux États-Unis. l'attention du public s'est tournée vers le procès pour meurtre de Derek Chauvin et suggère que le verdict dans cette affaire est susceptible de se répercuter bien au-delà de Minneapolis.
"Cette étude fournit des preuves supplémentaires de la nature toxique du racisme systémique et du rôle que joue le racisme dans la production, le maintien et l'amplification des disparités en matière de santé. Si nous voulons améliorer la santé de notre population, nous devons démanteler le racisme", a déclaré le co-auteur Hedwig Lee, professeur de sociologie et codirecteur du Center for the Study of Race, Ethnicity, & Equity, Université de Washington à St. Louis.
https://medicalxpress.com/news/2021-04-racial-violence-mental-health-black.html