Les métaux rares sont d’une étonnante complexité dans notre société. Pourquoi en avons-nous besoin ?
Par François Jolain.
15 AVRIL 2021
La réalité des métaux rares est loin des idées reçues ! Aborder ce sujet est d’une étonnante complexité. Or, nous assistons à une simplification voire une confusion dans la presse.
Nous allons donc tenter d’y remettre de l’ordre avec ce dossier en trois parties :
Pourquoi avons-nous besoin des métaux rares ? Quand sont-ils apparus dans nos vies ?
La géopolitique des métaux rares. Études de cas sur les moteurs, les batteries et l’électronique.
Le futur des métaux rares. À la conquête des métaux sur Terre, mer et ciel. En avons-nous réellemet besoin ?
POURQUOI AVONS-NOUS BESOIN DE MÉTAUX RARES ?
Les métaux et les hommes ont une histoire vieille de plusieurs millénaires.
Il y a eu l’Âge du cuivre en 4000 av. J.-C. Puis, l’Homme a découvert l’étain durant l’Âge du bronze, lequel est un mélange de cuivre et d’étain, en 3000 av. J.-C. S’ensuivit l’Âge du fer en 1000 av. J.-C.
La présence des métaux dans les sociétés humaines ne date donc pas d’hier, mais jusqu’à l’époque moderne, l’humain se contentait de sept métaux (l’or, l’argent, le cuivre, l’étain, le plomb et le fer) sur les 86 métaux que possède la nature.
Le décollage de la science et de l’industrie a révélé le potentiel métallurgique de notre planète. L’industrie s’est par exemple intéressée aux caractéristiques mécaniques des métaux, à commencer par un alliage très résistant : l’acier, qui est un mélange de fer et de carbone.
De nouvelles méthodes de fabrication sont apparues au XIXe siècle. Elles ont fait drastiquement baisser son coût de production et sont devenues le moteur de la révolution industrielle.
Puis d’autres métaux peu connus ont été utilisés : le tungstène, découvert en 1781, plus solide que l’acier et par conséquent utilisé dans les machines-outils pour usiner l’acier ; ou encore l’aluminium découvert en 1807, dont la légèreté lui a permis de trouver sa place dans l’aviation.
L’ÉLECTRONIQUE ET LES TERRES RARES
Mais c’est surtout l’électronique qui a entraîné la course aux métaux rares. D’abord pour leur qualité de conduction électrique, comme le cuivre, l’or ou l’étain. Puis pour leur qualité de semi-conducteur dont le plus célèbre : le silicium découvert en 1823 qui est à la base de toute l’informatique. D’autres sont utilisés par l’industrie pour leurs propriétés chimiques.
Le Français Gaston Planté a inventé la première batterie rechargeable au plomb en 1859. Cette technologie a été supplantée par le nickel en 1967. Aujourd’hui, le lithium, découvert en 1817, s’est imposé comme le meilleur métal pour les batteries.
Ici, nous devons faire un point sémantique : il existe les métaux, dont ceux abondant comme le fer ou le cuivre, puis les métaux rares moins abondants comme le lithium ou le cobalt et enfin les fameuses terres rares qui sont une sous-catégorie des métaux rares.
Tous possèdent des caractéristiques similaires entre eux, l’industrie les utilise pour leur propriété magnétique. Pour une même taille, les aimants en terre rare sont 100 fois plus puissants que les aimants à base de fer.
L’yttrium découvert en 1787 a été le premier à arriver dans nos foyers, il était utilisé dans les écrans à tube cathodique.
Autre exemple, la néodyme découverte en 1885 est massivement utilisée dans nos moteurs électriques depuis 1982.
Des millénaires pour trouver et utiliser sept métaux, et seulement trois siècles pour trouver les 79 autres restants. Toute notre avancée technologique repose sur l’existence de ces métaux rares aux noms imprononçables : europium, terbium, cobalt, holmium, thulium, lithium, etc.
Chaque métal dispose de propriétés mécaniques, électriques, magnétiques ou chimiques exceptionnelles, devenues indispensables à notre société. Ainsi, avec votre iPhone vous tenez 36 métaux dans le creux de votre main.
Maintenant que la Terre entière tourne aux métaux rares, la production se transforme en conflit géopolitique aux multiples facettes. Dans le prochain article, nous remonterons la filière de trois composants : les moteurs électriques, les batteries et les microprocesseurs pour comprendre les stratégies autour des métaux rares.
https://www.contrepoints.org/2021/04/15/395349-tout-comprendre-des-metaux-rares-1-3
Comme je l'avais expliqué ici il y a quelques années dans le ''Comment voir l'invisible à l’œil nu" (Si vous posez un grain de sable à 1 m vous le verrez, mais si vous le posez à 10 m vous ne le verrez plus, pareil à 100 m, pareil à 1 km. Et pourtant, du haut d'une montagne ou à bord d'un avion survolant un bord de mer vous apercevez une plage ! Une plage constituée de milliards de milliards de milliards de grains de sable qui, rassemblés deviennent visibles !). C'est ce qui se passe avec les poussières nanométriques expulsées du magma et remontées à la surface des eaux par l'air produit par cette masse ferrique incandescente.
RépondreSupprimerJ'avais expliqué qu'il existe trois sortes de poussières. Les poussières de sable, de terre, (minérales) c-à-d des poussières neutres (inoffensives), les poussières aimantées et les poussières radiantes (métalliques). Or, ces deux dernières peuvent bien sûr être les mêmes, à la fois attirantes et rayonnantes.
Pourquoi aimantées parce qu'elles sortent du centre de la Terre qui constitue la gravité d'une planète et, pourquoi irradiantes parce qu'elles voisinent et font partie de la masse énergétique appelée Uranium, Plutonium, etc.
Compte tenu de leur dimension infinitésimale, ces nano batteries ne retiendront la charge que peu de temps. C'est ce qui fait que la radioactivité d'un virus ne dépasse pas les 3 semaines. Mais, mais par contre, le côté aimanté va demeurer. S'il demeure il va s'assembler avec d'autres poussières aimantées et, comme pour la plage et ses grains de sable, vont donc constituer un amas de poussières invisibles qui va apparaître à l’œil nu sous forme de gros grains (caillots) ou sous forme de fils (morgellons). C'est ce qui explique qu'en laboratoires des scientifiques n'aient pu brûler à la flamme ni dissoudre à l'acide ces morgellons !
Comment Bill Gates a aidé les entreprises pharmaceutiques à maintenir leur monopole sur les vaccins pendant le COVID
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 14 AVR 2021 - 23:20
Il y a quelques semaines, lorsque le président Biden a tenu sa première conférence de presse depuis son entrée en fonction, il a promis que 200 millions d'adultes auraient reçu au moins un vaccin vaccinal avant la fin de ses 100 premiers jours - un doublement de son objectif initial de 100 millions. Pourtant, dans près de 130 pays, représentant une population de 2,5 milliards de personnes, pas un seul adulte n'a reçu de dose.
Les raisons peuvent être attribuées à un homme: Bill Gates. Gates met en garde contre les dangers d'une pandémie depuis des années - bien avant l'apparition du COVID à Wuhan. Et lorsque la pandémie a frappé et que les discussions se sont tournées pour la première fois vers le vaccin, une question qui a été notamment laissée de côté était de savoir qui méritait le crédit approprié et le paiement approprié. Comme le rapporte la Nouvelle République dans son dernier article d'une série attaquant le mythe de Bill Gates selon lequel lui et la Fondation Gates sont les sauveurs capitalistes du monde - prêts et désireux de sauver les pays les plus pauvres de la menace pandémique avec des milliards de vaccins gratuits.
Les partisans du mouvement des vaccins ouverts, qui espéraient un "vaccin populaire" open source qui pourrait être produit à bas prix et facilement par divers gouvernements, se sont rapidement heurtés à un mur, entravés par un système pharmaceutique mondial fondé sur une science exclusive et un marché étroitement surveillé monopoles.
Fin mai, l'OMS a lancé le pool d'accès à la technologie Covid-19, ou C-TAP, avec l'intention de mettre en commun toutes les connaissances sur les vaccins accessibles au public dans un centre d'échange central. Les acteurs publics et privés collecteraient la recherche et la propriété intellectuelle associée dans un fonds mondial de connaissances pendant toute la durée de la pandémie. Cela semblait assez simple. Mais les graines de la destruction de cette approche avaient été semées un mois plus tôt, lorsque Bill Gates a lancé son propre accélérateur technologique.
En avril, Bill Gates a lancé une offre audacieuse pour gérer la réponse scientifique mondiale à la pandémie. Covid-19 ACT-Accelerator de Gates a exprimé une vision de statu quo pour l’organisation de la recherche, du développement, de la fabrication et de la distribution de traitements et de vaccins. À l'instar d'autres institutions financées par Gates dans le domaine de la santé publique, l'Accelerator était un partenariat public-privé basé sur des incitations caritatives et industrielles.
RépondreSupprimerDe manière cruciale, et contrairement au C-TAP, l’accélérateur a consacré l’engagement de longue date de Gates à respecter les revendications de propriété intellectuelle exclusives. Ses arguments implicites - que les droits de propriété intellectuelle ne poseront pas de problèmes pour répondre à la demande mondiale ou assurer un accès équitable, et qu'ils doivent être protégés, même pendant une pandémie - ont porté le poids énorme de la réputation de Gates en tant que leader sage, bienfaisant et prophétique.
Gates a appliqué son modèle de philanthropie d'entreprise, qu'il a utilisé pour lutter contre le paludisme en Afrique, pour vaincre COVID. Mais contrairement au paludisme, le COVID est une pandémie mondiale urgente. Pourtant, les découvertes de Gates ont dominé la réponse mondiale, car une poignée de fabricants de médicaments exercent une énorme influence sur le sort du monde.
Gates a non seulement rejeté ces avertissements, mais a activement cherché à saper toutes les contestations de son autorité et du programme caritatif de l’accélérateur basé sur la propriété intellectuelle.
«Au début, il y avait un espace pour que Gates ait un impact majeur en faveur des modèles ouverts», déclare Manuel Martin, conseiller politique de la campagne d'accès de Médecins Sans Frontières. «Mais les hauts responsables de l'organisation Gates ont très clairement envoyé le message : La mise en commun était inutile et contre-productive. Ils ont atténué l'enthousiasme au début en disant que la propriété intellectuelle n'est pas un obstacle à l'accès aux vaccins. C'est simplement manifestement faux. "
L'une des principales sources citées par la Nouvelle République était James Love, fondateur et directeur de Knowledge Ecology International, un groupe basé à Washington, DC qui est devenu un critique majeur de Bill Gates, de la Fondation Gates et - en particulier - du COVID mondial. déploiement du vaccin. Au début, dit James, les choses auraient pu se passer dans les deux sens. Mais "Gates voulait que les droits exclusifs soient maintenus" - et ils l'étaient donc.
Et maintenant, grâce à Gates, les États-Unis devraient atteindre l'immunité collective cette année, tandis que les estimations les plus optimistes pour savoir quand les pays plus pauvres pourraient atteindre ce même point de repère sont 2024.
Rares sont ceux qui ont observé le dévouement de Bill Gates à la médecine monopolistique de plus près que James Love, fondateur et directeur de Knowledge Ecology International, un groupe basé à Washington, D.C. qui étudie le large lien entre la politique fédérale, l’industrie pharmaceutique et la propriété intellectuelle. Love est entré dans le monde de la politique mondiale de santé publique à peu près au même moment que Gates l'a fait, et pendant deux décennies, il l'a vu escalader ses hauteurs tout en renforçant le système responsable des problèmes mêmes qu'il prétend essayer de résoudre. Le fil conducteur de Gates a été son engagement indéfectible envers le droit des sociétés pharmaceutiques au contrôle exclusif de la science médicale et des marchés de ses produits.
RépondreSupprimer"Les choses auraient pu se passer dans les deux sens", dit Love, "mais Gates voulait que les droits exclusifs soient maintenus. Il a agi rapidement pour arrêter le partage des connaissances nécessaires à la fabrication des produits - le savoir-faire, les données, les lignées cellulaires, les transfert de technologie, la transparence qui revêt une importance cruciale à bien des égards. L'approche de mise en commun représentée par C-TAP incluait tout cela. annonçant ACT-Accelerator en mars. "
Alors que la dizaine de grandes économies développées ont enregistré un succès marqué avec leurs programmes de déploiement de vaccins - y compris les États-Unis, le Royaume-Uni, Israël et l'UE - le reste du monde a connu des difficultés. Un an plus tard, Gates & Company n'ont pas réussi à atteindre leur objectif de fournir des vaccins à prix réduit à la «cinquième priorité» des populations à faible revenu. Les compagnies pharmaceutiques et les pays riches qui ont loué l'initiative il y a un an ont plutôt choisi de conclure des accords bilatéraux qui ont suscité une mentalité de chaque nation pour elle-même.
«Les pays à revenu faible et intermédiaire sont à peu près seuls, et il n’y en a tout simplement pas beaucoup», a déclaré Peter Hotez, doyen de la National School of Tropical Medicine de Houston. "Malgré tous leurs efforts, le modèle Gates et ses institutions dépendent toujours de l'industrie"
En conséquence, les pays en développement ripostent dans le seul lieu dont ils disposent: l'OMC, où se prépare une bataille pour ouvrir la technologie des vaccins aux pays en développement - avec Gates du côté des entreprises.
Cette défaillance du marché facilement anticipée, ainsi que l’échec du lancement du C-TAP, ont conduit les pays en développement à ouvrir un nouveau front contre les obstacles à la propriété intellectuelle au sein de l’Organisation mondiale du commerce. Depuis octobre, le Conseil des aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce de l’OMC est au centre d’une impasse nord-sud dramatique sur les droits de contrôler les connaissances, la technologie et les marchés des vaccins. Plus de 100 pays à revenu faible ou intermédiaire appuient l’appel lancé par l’Inde et l’Afrique du Sud pour qu’ils renoncent à certaines dispositions relatives à la propriété intellectuelle de Covid-19 pendant la durée de la pandémie. Bien que Gates et son organisation n'aient pas de position officielle sur le débat qui secoue l'OMC, Gates et ses adjoints ont laissé peu de doutes sur leur opposition à la proposition de dérogation. Tout comme il l’a fait après le déploiement du C-TAP de l’OMS, Gates a choisi de se tenir aux côtés des sociétés pharmaceutiques et de leurs mécènes gouvernementaux.
L'histoire de la domination de Gates sur le déploiement mondial des vaccins nous ramène à une histoire que nous avons partagée l'été dernier, après que la Columbia Journalism Review ait mis en lumière l'influence que Gates et la Fondation Gates exercent sur la presse occidentale.
RépondreSupprimerPeu de milliardaires sont plus habiles à gérer leur réputation et la réputation de leurs organisations que Bill Gates. Il a réussi à convaincre le monde qu'il s'associait à l'OMS pour étendre l'accès aux vaccins aux pays en développement. Au lieu de cela, il fait littéralement obstacle au partage d'une technologie qui pourrait sauver des centaines de milliers de vies.
https://www.zerohedge.com/covid-19/how-bill-gates-helped-drug-companies-maintain-their-monopoly-vaccines-during-covid
Près de 25 % des 'décès par COVID' au Royaume-Uni n'étaient pas directement causés par un virus
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 15 AVR 2021-02: 45
Alors que les habitants d'Angleterre et du Pays de Galles célèbrent la fin - ou du moins le début de la fin - des restrictions COVID qui ont étouffé l'économie pendant plus d'un an, de nouvelles données de l'Office of National Statistics ont illustré une conclusion surprenante: presque 25 % des décès COVID-19 enregistrés ne sont en fait pas tués par le virus, ce dont nous discutons ici à Zero Hedge depuis que nous avons signalé pour la première fois que les décès par accident de moto étaient étiquetés «décès COVID» en Floride.
Cette fois, ce ne sont pas seulement les décès par accident, mais les décès de toutes sortes qui ont été indûment comptés dans le nombre de décès COVID en Grande-Bretagne. Comme l'a dit le Daily Mail, bon nombre des décès de coronavirus enregistrés sont désormais des personnes décédées «avec» la maladie plutôt que «d'une» infection. Mourir «avec» COVID peut entraîner la mort de quelqu'un comptée dans les données officielles même si COVID n'est pas répertorié comme la principale cause de décès sur son certificat de décès.
Selon les chiffres, 23 % des Britanniques décédés dans l'épidémie sont morts "avec COVID" plutôt que de COVID, comme le montre le Daily Mail dans le graphique ci-dessous. Pour mémoire, 23% du nombre actuel de décès de 127 123 correspondrait à environ 30 000 décès étiquetés de manière trompeuse.
(Source: Daily Mail)
À la suite de la publication des données, le Premier ministre Boris Johnson a refusé d'accélérer la réouverture de l'Angleterre et a averti que les cas augmenteraient dans les semaines à venir alors que des milliers de Britanniques se précipiteraient pour dépenser leur argent maintenant que les pubs et les restaurants en salle ont rouvert (ce qui s'est produit lundi, comme nous l'avons signalé).
L'ONS a également partagé des données mettant les décès COVID dans le contexte de tous les décès enregistrés au Royaume-Uni.
Alors que les décès et les cas de COVID ont rebondi dans toute l'Europe, le Royaume-Uni a été une exception notable, avec seulement 23 décès signalés hier, selon les données du tableau de bord COVID du Royaume-Uni. Au total, les décès dus aux coronavirus ne représentent plus que 4,9% des décès enregistrés en Angleterre et au Pays de Galles contre 45 % à la mi-janvier.
RépondreSupprimerEn réalité, le Royaume-Uni a connu moins de 30 décès par jour dus au COVID depuis le début du mois d'avril, malgré les affirmations du gouvernement selon lesquelles les décès quotidiens atteignent jusqu'à 60. Cela est dû en partie à la précipitation à divulguer des données au public, car les chiffres de la mise à jour quotidienne sont souvent morts des jours ou des semaines plus tôt, et ce retard n'est pas expliqué au public.
https://www.zerohedge.com/covid-19/nearly-25-uk-covid-deaths-arent-directly-caused-virus
Rappelons que toutes les personnes décédées et étiquetées 'corona' sont immolées, grillées, passées au four crématoire afin d'éviter toutes analyses post-mortem !
SupprimerMurray: Les documents d'identité nationaux COVID-19 doivent être résistés
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 15 AVR 2021 - 03:30
Rédigé par Craig Murray,
La discrimination contre les personnes en raison de leur état de santé n'est pas acceptable, alors que la portée toujours croissante de l'état de surveillance est pernicieuse. L'idée que des personnes sans anticorps Covid-19 soient traitées comme des citoyens de seconde zone devrait être un anathème pour quiconque se soucie de la liberté humaine.
Il est peu probable que Covid-19 soit éliminé du monde dans un avenir prévisible. Comme la grippe espagnole ou la grippe de Hong Kong, elle restera cachée dans le mélange d'infections saisonnières pendant de nombreuses années, espérons-le, mais pas nécessairement, comme elles deviendront moins sévères à cause de mutations en série. Il semble probable que, comme pour la grippe, il puisse y avoir un cycle de vaccination régulier.
En ce moment, l'Angleterre et le Pays de Galles sont en surmortalité négative. Moins de personnes meurent que d'habitude à cette période de l'année, sur une moyenne mobile des cinq dernières années. Je suppose que l'Écosse sera similaire, même si je ne trouve pas immédiatement les chiffres actuels.
Le nombre de personnes décédant dans les 28 jours suivant un diagnostic de covid est tombé à environ 300 par semaine dans tout le Royaume-Uni et est en baisse constante. Quelle part de cette baisse est due à la vaccination et quelle part due au verrouillage est une question ouverte. Mais cela reste un fait tenace et indéniable, bien que certaines personnes n'aiment pas que ce soit dit, que Covid-19 n'a jamais été une menace majeure pour les jeunes et les personnes en bonne santé. Les personnes âgées et les personnes appartenant à des groupes vulnérables ont été en très grande majorité maintenant vaccinées au moins partiellement. Les chances que les membres des groupes non vaccinés meurent du covid sont vraiment très faibles.
Un membre médical du Comité mixte sur la vaccination et l'innoculation du gouvernement britannique a déclaré vendredi sur BBC News que le risque de mortalité pour une personne en bonne santé de moins de 30 ans qui avait attrapé un coronavirus était de 1 sur 117000. Il expliquait qu'il s'agissait d'un risque si faible, qu'il était presque aussi faible que les chances d'un effet secondaire grave du vaccin Astra Zeneca, et c'est pourquoi l'utilisation de ce vaccin dans ce groupe d'âge a été suspendue; non pas que le vaccin était dangereux pour ce groupe d’âge, mais qu’ils n’en avaient pas suffisamment besoin pour justifier un risque même minime.
Le but de la vaccination des personnes d'âge moyen et de moins en bonne santé n'est pas que Covid-19 représente un risque sérieux de mort pour eux; ce n'est pas. Il s'agit simplement de rompre la transmission. Maintenant, j'ai moi-même reçu ma première injection de vaccin et j'exhorte tout le monde à prendre son vaccin. J'ai exprimé devant moi que je crois que refuser de se faire vacciner est une position immorale; c'est bénéficier de l'immunité collective tout en refusant d'accepter le très faible risque personnel du vaccin lui-même. Mais je rejette totalement la notion de vaccination obligatoire ou de pénalisation de ceux qui ne souhaitent pas se faire vacciner en limitant leur vie. La santé est une affaire personnelle et la discrimination fondée sur l'état de santé ne peut être correcte, ni la révélation des détails de l'état de santé à des personnes autres que des professionnels de la santé employés dans les soins.
RépondreSupprimerJe n'ai aucun problème avec les certificats de vaccination pour les voyages internationaux, les ayant transportés toute ma vie d'adulte. Mais l'idée de devoir montrer des documents d'identité personnelle et d'état de santé intrusifs pour prouver qui vous êtes et prouver vos niveaux d'anticorps, avant d'entrer dans un pub ou un théâtre, devrait être un anathème pour toute personne bien pensante. C'est comme une science-fiction dystopique très pauvre.
- voir sur site -
Si trouver les graphiques quotidiens des chiffres britanniques entiers du Guardian est très utile (le chiffre des décès quotidiens est encore plus bas que la moyenne d'environ 40 cette semaine en raison de l'enregistrement du week-end).
Dans l'ensemble, cela ne ment pas, bien que le graphique de gauche soit massivement déformé dans ses premiers mois par le manque de disponibilité des tests. Pendant la majeure partie de la période, la relation entre les trois graphiques reste globalement constante. L'anomalie flagrante des cas quotidiens au cours des premiers mois (le graphique de gauche) est entièrement liée au fait que les tests n'étaient pas disponibles. Cela explique également en très grande partie l'énorme hystérie publique autour de Covid-19. Lorsqu'il n'était possible de passer un test que si vous approchaient de la mort, un pourcentage très élevé de ceux dont les tests étaient positifs sont décédés. Le fait que cela ait conduit un grand nombre de personnes par ailleurs intelligentes à accepter des taux de mortalité par infection ridiculement exagérés pour la maladie, est une chose avec laquelle j'ai beaucoup lutté.
Nous sommes probablement dans de nombreuses années avant qu'il y ait un consensus scientifique sur le taux de mortalité par infection de Covid-19, et en fait, un consensus pourrait ne jamais émerger - il y a encore beaucoup de débats sur les taux de mortalité par infection de divers types de grippe. Cette lettre publiée dans le BMJ cite l'étude Pastor-Barriuso trouvant une médiane de 0,8% et Ioannidis en trouvant 0,27%. Ce qui semble vrai, c'est que Covid-19 est particulièrement transmissible, donc bien qu'il n'ait pas un taux de mortalité par infection beaucoup plus élevé que la grippe, il a la capacité de tuer beaucoup de personnes en peu de temps et de submerger les services de santé. . Il y a aussi les effets du long covid, qui semblent encore peu compris.
RépondreSupprimerJe ne sais vraiment pas pourquoi cela provoque tant de colère d'affirmer que les personnes non gériatriques et en bonne santé ne courent qu'un très faible risque de décès par covid-19, alors que c'est un fait indéniable. Je suis convaincu que nous avons vu la fin des décès massifs au Royaume-Uni, car les secteurs à risque de la population ont été vaccinés, ce qui réduit de 80% leurs chances de tomber gravement malades. Il peut donc y avoir une augmentation des cas à la suite des verrouillages, mais cela ne se traduira pas par une augmentation correspondante des hospitalisations ou des décès.
Covid-19 a été une véritable crise qui a tué un grand nombre de personnes et fait des ravages dans la vie de beaucoup d'autres. Mais cela aussi passera et le pire est passé. Elle ne doit pas être autorisée à devenir une excuse pour des niveaux permanents d’intrusion et de contrôle gouvernementaux encore plus élevés. Nous approchons de nouveau de la normalité. Les politiciens ivres de pouvoir et les populations du syndrome de Stockholm doivent embrasser l'idée de la normale. C'est beaucoup plus agréable.
https://www.zerohedge.com/political/murray-domestic-covid-19-identity-documents-must-be-resisted
La police de Los Angeles fait vacciner de force les enfants ayant des besoins spéciaux dans le cadre du programme odieux «Operation Homebound» qui ressemble à l'euthanasie nazie des retardataires
RépondreSupprimerMercredi 14 avril 2021
par: Ethan Huff
(Natural News) La Californie a lancé un nouveau programme de vaccination contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) appelé «Operation Homebound», qui consiste à envoyer des policiers chez les gens pour faire vacciner de force leurs enfants ayant des besoins spéciaux.
Des séquences vidéo choquantes - voir ci-dessous - montrent des agents masqués du département de police de Los Angeles (LAPD) en train de piquer des aiguilles dans les bras d'enfants handicapés effrayés qui ne consentent manifestement pas à être violés médicalement par l'État policier au nom de la «santé publique».
Alors ils s'en prennent aux personnes handicapées mentales / confinées à la maison qui NE PEUVENT PAS riposter / ne sont pas autorisées à dire non ?
Gee, ça me rappelle… 🤔
La façon dont les nazis ont commencé avec les handicapés mentaux.
Combien de temps avant que nous entendions parler de la mort de ces personnes ?
C'est faux à tant de niveaux! #BidensAmerica pic.twitter.com/71bxP4wRWu
- TheJokerMouce (@TheJokerMouce) 11 avril 2021
- voir sur site -
Dans l'un des clips, une femme terrifiée ayant des besoins spéciaux est vue en train de lutter pour échapper à ses ravisseurs alors qu'ils sortent une seringue et poursuivent son bras pour l'injection. On voit alors deux policiers en train de retenir la femme tandis qu'un troisième la poignarde dans son corps sans sa permission.
«Je serai gentil, d'accord ? Je serai gentil », dit l’officier qui tient le vaccin.
«Noooooo !» hurle la pauvre femme en essayant de résister à la violence chimique qui lui est infligée.
Après avoir fini de modifier définitivement l’ADN de la femme avec la seringue expérimentale d’ARN messager (ARNm), les agents commencent à applaudir pendant que la femme se lamente d’horreur de ce qui lui est arrivé.
Dans un autre clip, une fille ayant des besoins spéciaux est vue dans son allée en train d'essayer d'échapper aux agents qui lui injectent de la même manière contre son gré un cocktail modifiant le gène, le tout pendant que sa famille regarde.
Un patient d'Alzheimer dans un autre clip est vu en train de recevoir une injection sans même savoir ce qui se passait.
RépondreSupprimer"Voilà; un morceau de gâteau », dit la policière qui a administré le vaccin au patient atteint de démence. "C'est bon, chérie, nous venons de vous faire vacciner, c'est tout."
Selon le bureau du shérif du comté de Los Angeles, Operation Homebound est un «programme conçu pour vacciner les résidents handicapés les plus sous-représentés, confinés chez eux et mal desservis dans nos communautés, y compris ceux qui sont sans abri».
Pourquoi les Américains supportent-ils ces crimes contre l'humanité ?
Vacciner de force les malades et les vulnérables sans leur consentement n'est pas différent de ce que les dictateurs violents du passé ont fait aux prisonniers qui étaient détenus dans des camps de concentration.
Alors que les prisonniers d’antan étaient détenus derrière des barbelés, les prisonniers d’aujourd’hui sont gardés à l’intérieur de leurs maisons, éloignés des autres et masqués pour leur propre «protection». Et tandis que les anciens prisonniers étaient expérimentés dans des sanatoriums confinés, les prisonniers d’aujourd’hui sont visités en personne par une gestapo masquée des forces de l’ordre.
La seule chose qui a changé toutes ces années, c'est que le génocide en cours est un peu plus voilé que celui du début du XXe siècle. Au lieu d’être rassemblées dans des «douches» de chambre à gaz, les victimes d’aujourd’hui sont parquées dans des cliniques de dépistage et de vaccination pour leur «guérison».
Et aujourd'hui, la Chine communiste tire beaucoup de ficelles en ce qui concerne l'anéantissement total de l'Occident, par opposition à Benito Mussolini ou Joseph Staline.
«Et les flics se demandent pourquoi ils sont ciblés», a écrit un commentateur de Newswars sur le fait que les vaccinations forcées à domicile sont un très mauvais regard pour les forces de l'ordre. «Quand ces salauds malades de la Gestapo viennent à votre porte, n'y répondez pas.
«La guerre est sur mes amis et si nous ne commençons pas à riposter, cela deviendra bientôt une autre expérience socialiste mourante menée par des politiciens stupides qui sont au-delà d'être touchés par l'éducation», a ajouté cette même personne, notant que c'est pourquoi nos fondateurs ont mis la deuxième Amendement en place.
«Ce n'est que lorsque suffisamment de ces bâtards [paieront un prix] que les politiciens comprendront le message qu'ils ne peuvent pas tirer cette merde sur les Américains patriotiques.»
Vous trouverez plus d'informations sur la manière dont l'État policier américain viole de manière flagrante le Code de Nuremberg avec la vaccination forcée des personnes handicapées contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent:
Newswars.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2021-04-14-los-angeles-police-force-vaccinating-special-needs.html
Les démocrates du Congrès présentent un projet de loi visant à ajouter 4 juges à la Cour suprême
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 15 AVR 2021 - 07:30
Au cours de la campagne, le président Joe Biden a souvent éludé les questions sur les «emballages judiciaires», la pratique consistant à utiliser un Congrès contrôlé démocratiquement pour essayer d'augmenter le nombre de juges à la Cour suprême. Ces "détournements" ont attiré beaucoup de regards dans la presse, pas que nous ayons jamais cru une seconde qu'une fois au pouvoir (et avec une majorité démocrate au Congrès) Biden ne ferait pas de mouvement pour déchirer la partie la plus importante de l'héritage du président Trump. .
Eh bien, il semble que ce jour soit enfin arrivé. Parce que la nuit dernière, les premiers rapports divulgués ont averti que les démocrates du Congrès allaient introduire une nouvelle législation jeudi pour étendre SCOTUS de 9 à 13 juges, selon NBC News.
Le projet de loi a recueilli un large soutien parmi les progressistes, qui ont fait de l'emballage du terrain un objectif politique clé dans la région de Biden.
Cette décision n'est pas vraiment une surprise: la semaine dernière, Biden a annoncé la formation d'une commission de libéraux et de conservateurs pour étudier la structure de la Cour suprême, y compris le nombre de juges et la durée de leur service.
Les démocrates du Congrès présenteront un projet de loi jeudi pour étendre la Cour suprême de neuf à 13 juges, rejoignant les militants progressistes qui poussent à transformer la cour.
Cette décision intensifie un combat idéologique à enjeux élevés sur l'avenir de la Cour après que le président Donald Trump et les républicains ont nommé trois juges conservateurs en quatre ans, dont un qui a été confirmé quelques jours avant les élections de 2020.
Le projet de loi démocrate est dirigé par le sénateur Ed Markey du Massachusetts et le représentant Jerry Nadler de New York, président du comité judiciaire de la Chambre. Il est coparrainé par les représentants Hank Johnson de Géorgie et Mondaire Jones de New York.
La Cour suprême peut être élargie par une loi du Congrès, mais il est très peu probable que la législation devienne loi dans un proche avenir compte tenu de la faible majorité des démocrates, qui comprend des dizaines de législateurs qui ne sont pas d'accord avec l'idée. Le président Joe Biden a déclaré qu'il n'était "pas fan" de la cour.
RépondreSupprimerPour être sûr, comme le souligne NBC News, la législation a peu d'espoir d'être adoptée - du moins pas dans sa forme actuelle. Les Démocrates doivent encore lutter contre Joe Manchin de Virginie-Occidentale, dont les tendances «modérées» compliquent la majorité à peine là des Démocrates. Pourtant, la législation représente "un courant sous-jacent de fureur progressiste" qui persiste depuis que le GOP a refusé au candidat d'Obama, Merrick Garland, une audience en 2016.
Et les progressistes étaient certainement désireux de saluer l'initiative dans leurs commentaires à la presse.
"Ce projet de loi marque une nouvelle ère où les démocrates cessent enfin de céder la Cour suprême aux républicains", a déclaré Brian Fallon, ancien assistant de direction démocrate du Sénat et cofondateur de Demand Justice, qui a qualifié la cour de "brisée et nécessitant une réforme. . "
"Notre tâche est maintenant de construire un mouvement de base qui fasse pression sur chaque démocrate du Congrès pour qu'il soutienne cette législation parce que c'est le seul moyen de rétablir l'équilibre de la Cour et de protéger notre démocratie", a-t-il déclaré.
La taille de la Cour suprême, qui a fluctué depuis sa création en 1789, est restée à neuf depuis 1869. Les auteurs du projet de loi, qui ont l'intention d'annoncer l'introduction du projet de loi devant le bâtiment de la Cour suprême jeudi, seront rejoints par des progressistes les militants Aaron Belkin (qui dirige Take Back the Court; Chris Kang, cofondateur et avocat en chef de Demand Justice) et Meagan Hatcher-Mays (du groupe Indivisible).
Passons maintenant à la grande question: pourquoi les démocrates se préoccupent-ils de ce projet de loi s'il ne sera probablement pas adopté? Pour cela, la Colline se remémore l'époque de FDR, qui a vu une poussée similaire sur les tribunaux bloquée au Congrès - mais pas avant qu'elle ne l'ait aidé à aligner ces juges conservateurs embêtants. "Il a réussi à intimider la Cour suprême pour qu'elle se retire de sa protection de la liberté économique contre les aspirations progressistes à réglementer l'industrie américaine. Alors que le débat faisait rage sur l'échec de la proposition de classement judiciaire, le tribunal a exécuté son" changement dans le temps qui en a sauvé neuf ". Volte-face notoire dans laquelle des régimes de réglementation auparavant intenables ont soudainement reçu le feu vert sous le couvert de promouvoir «la santé, la sécurité, la moralité et le bien-être de la population» ... »
https://www.zerohedge.com/political/congressional-dems-introduce-court-packing-bill-add-4-justices-supreme-court
Si le justice était indépendante il n'y aurait pas de 'ministère de la justice' !
SupprimerExplosion des liquidations d’entreprises en France selon un cabinet d’études
RépondreSupprimer14 avr. 2021, 14:58
Les défaillances d'entreprises maintenues à un niveau bas en France au premier trimestre ont explosé fin mars, selon une analyse publiée ce 15 avril par le cabinet d'études Altares. Au cours des trois premiers mois de l'année, 7 406 défaillances d'entreprise ont été enregistrées, un nombre en recul de 32,1 % par rapport au premier trimestre 2020.
C’est un nombre exceptionnellement bas par rapport aux 20 dernières années où la seule moyenne mensuelle fluctuait autour de 4 000 liquidations. «Le mois de mars pourrait cependant constituer un point de bascule», assure Thierry Millon, directeur des études Altares, cité par l’agence Reuters. Les quinze derniers jours de mars ont été marqués par une importante augmentation (+155%) des défaillances par rapport à la même période de 2020.
Lire aussi La crise du Covid coûtera 424 milliards d'euros à la France sur trois ans
«C'est aussi en mars qu'émergent des chiffres concrets sur la détresse de centaines d'entreprises qui se trouvent en cessation de paiement, en dépit des dispositifs de soutien publics», ajoute Thierry Million. En mars, 79 % des jugements ont débouché sur une liquidation directe de l’entreprise concernée, «un niveau jamais atteint depuis 20 ans», souligne-t-il.
Malgré tout, le directeur des études juge efficace, «la stratégie de soutien à l'économie réelle déployée par l'Etat», qui a selon lui permis à environ 20 000 entreprises mises sous perfusion d'échapper à la défaillance en 2020. Cependant, de nombreuses entreprises risquent d’avoir les pires difficultés à surmonter l’allègement puis de la fin des aides à venir.
En début d’année, la Banque de France a estimé que 4,5 % à 6 % des prêts garantis par l’Etat (PGE) auraient du mal à être remboursés. De plus, Altares précise que les quelque 63 000 entreprises françaises dites «zombies» auraient sans doute du mal à survivre sans le soutien de l’Etat.
https://francais.rt.com/economie/85643-explosion-liquidations-entreprises-france-selon-cabinet-etudes
«Nous ne laissons que les gens en ondes… qui prennent l'appât» - Le directeur de CNN dit davantage des choses tranquilles OUT LOUD à Project Veritas
RépondreSupprimerMercredi 14 avril 2021
par: Rédacteurs en chef
(Natural News) James O'Keefe a sorti aujourd'hui une nouvelle vidéo du directeur technique de CNN Charlie Chester, où il parle généralement de la façon dont les choses fonctionnent sur le réseau, de la façon dont ils manipulent les gens et de la façon dont ils laissent principalement les gens sur qui dira quoi ils veulent qu'ils disent:
(Article republié de TheRightScoop.com)
En savoir plus sur Project Veritas:
Project Veritas a publié aujourd'hui le deuxième volet d'une nouvelle série #ExposeCNN, mettant en vedette le directeur technique Charlie Chester - qui a décrit comment le réseau utilise la «manipulation» pour façonner l'opinion publique et obtenir des notes plus élevées.
"N'importe quel journaliste sur CNN - ce qu'ils font en fait, c'est dire à la personne quoi dire ... C'est toujours comme le conduire dans une direction avant même d'ouvrir la bouche. Les seules personnes que nous [CNN] laisserons en ondes, pour la plupart, sont des personnes qui ont fait leurs preuves dans la prise de l'appât », a expliqué Chester.
"Je pense qu'il y a un art dans la manipulation… L'inflexion, dire les choses deux fois - il y a de petites subtilités dans la façon de manipuler les gens… Je veux dire, c'est suffisant pour changer le monde, tu sais?"
«Par exemple, pourquoi n’est-il pas assez élevé, vous savez, aujourd’hui? Comme si cela améliorerait notre point de vue s'il était plus élevé. Et je me dis, pourquoi suis-je en train de foutre le rallye? C'est un problème que nous faisons cela. "
Chester a également décrit comment CNN a utilisé la pandémie de COVID-19 pour garder les téléspectateurs accrochés à l'écran.
«C’est la peur. La peur conduit vraiment les chiffres - [cotes de télévision] », a déclaré Chester. "La peur est ce qui vous tient à l'écoute."
Il a ajouté: «COVID? Gangbusters avec notes, non? C'est pourquoi nous [CNN] avons constamment le nombre de morts [COVID] sur le côté. "
Chester a déclaré que Jeff Zucker - le président du réseau - appellerait la salle de rédaction de CNN pendant les segments télévisés en direct et ordonnerait au personnel de garder le nombre de morts COVID à l'écran pour capter l'attention des téléspectateurs.
Chester a admis: «Le téléphone rouge spécial sonne et ce producteur le décroche. Vous entendez [murmures] et de temps en temps, ils le mettent sur haut-parleur et c'est le chef du réseau qui se dit: `` Il n'y a rien de ce que vous faites en ce moment qui me donne envie de rester, de remettre les chiffres [COVID death toll] car c'est la chose la plus séduisante que nous ayons eue. Alors, remettez-le en place.
Chester a poursuivi en expliquant comment son réseau manipule le public et tente de cacher ses tactiques, afin de réussir à réaliser des programmes politiques personnels.
«Personne ne dit jamais ces choses à voix haute, mais c'est évident compte tenu du nombre d'histoires que nous [CNN] faisons. Le fait que nous ayons un segment appelé "The Good Stuff", qui est une bonne chose, mais c'est un moment dédié à la fin pour être presque la crème glacée pour alléger tout ce que vous avez vécu. Quelque chose de doux pour y mettre fin, car tout le reste est sombre et sombre », a-t-il déclaré.
Non inclus dans la rédaction du PV, c'est celui de Chester auquel j'ai fait allusion ci-dessus, où il explique comment CNN amène ses invités à dire ce qu'ils veulent qu'ils disent:
«Nous les avons amenés à parler de la manière dont nous voulons qu’ils en parlent. C’est toujours comme les conduire dans une direction avant même d’ouvrir la bouche. Et les seules personnes que nous laissons passer en ondes, pour la plupart, sont des personnes qui ont fait leurs preuves en matière de pêche à l'appât.
RépondreSupprimerEn résumé, Chester confirme que tout tourne autour des notations et de leur agenda de gauche. Ce que nous savions tous, bien sûr, mais c’est tellement mieux de le faire enregistrer comme ça. Project Veritas fait le meilleur travail là-bas et Andrew Breitbart en serait très fier.
Regardez la vidéo pour en savoir plus…
Pour en savoir plus: TheRightScoop.com et CNNSoFake.news.
https://www.naturalnews.com/2021-04-14-project-veritas-exposed-cnn-director.html
Dieux glorieux ! Les écrivains de The Guardian pensent qu'ils gouvernent le monde
RépondreSupprimerApril 14th, 2021
The Guardian est une étude sur l'arrogance délirante. Considérez la déclaration de cette semaine de la part du "Guardian Staff" anonyme:
«L'urgence climatique est là. Les médias doivent agir comme ça »
Les dieux des médias
..
Emballé dans si peu de mots - méditez sur la vanité vaniteuse incarnée dans un tel titre. Premièrement, le «personnel» de Guardian est le juge et le jury d'une science complexe, qu'ils peuvent prophétiser le climat futur, choisir les experts qui ont raison et estimer qu'ils en savent plus que les physiciens, chimistes atmosphériques et professeurs de climat lauréats du prix Nobel qui ne sont pas d'accord. Deuxièmement, les «médias» sont censés sauver le monde de leur propre urgence décrétée en faisant des déclarations politiques, en faisant taire les opposants et en écrasant les élus. Troisièmement, qu’ils savent toujours ce qu’il y a de mieux pour les stupides masses votantes.
Ce dont les médias ont besoin, c'est de manger une tarte humble et de commencer à faire leur travail.
S'ils étaient seulement assez intelligents pour reconnaître leurs propres défauts, ils pourraient commencer à enquêter sur les problèmes du jour avec un esprit ouvert, des questions sérieuses et rapporter les arguments les plus intelligents avancés par les commentateurs les plus informés de tous les côtés des problèmes qui comptent.
Ce sont nos dirigeants en herbe de la classe supérieure
Quelle stupidité doivent-ils penser le reste de l'humanité. Oh, si seulement les non lavés avaient la vision des dirigeants autoproclamés Genius Guardian. L'un de ces écrivains a-t-il même réussi des doubles mathématiques au lycée ?
Pas pour les écrivains du Guardian la difficile route de faire appel aux électeurs, d'écouter d'autres points de vue, d'étudier les chiffres, les coûts ou la physique. Au lieu de cela, ils veulent la voie facile et séduisante pour devenir des dirigeants. C’est le cri des 120-IQ, plus intelligents que la moyenne, mais trop stupides pour savoir à quel point ils en savent peu. Trop arrogant pour écouter les maths ou les ingénieurs. Et trop fanatiques et intolérants pour écouter les travailleurs et considérer leur point de vue.
Les rédacteurs en chef du Guardian sont les créateurs de mots médiocres qui ont été trompés par une tendance de la mode. Maintenant, ceux qui ont oublié ce que «les médias» sont même censés faire, pensent pouvoir dire au reste de leur profession comment faire leur travail.
Gloire! Lordy - The Guardian parle pour la planète Terre elle-même:
Avant le Jour de la Terre, le Guardian s'associe à des rédactions du monde entier dans le cadre d'une initiative conjointe appelant les journalistes à traiter la crise climatique comme l'urgence [nous pensons les diplômés en arts] qu'elle est.
Lorsque le monde s'est fermé l'année dernière, il y avait un grand bénéficiaire: la planète.
RépondreSupprimerSi seulement les écrivains de The Guardian connaissaient la science du lycée - ils sauraient que les mégafires ne peuvent se produire que là où il y a trop de carburant, pas là où il y a trop de désert.
Nous sommes dans une situation d'urgence. La Californie est au bord de la sécheresse, ce qui fait craindre une nouvelle vague de mégafires dévastateurs plus tard cette année. La hausse des températures pourrait bientôt rendre les régions tropicales de la planète invivables pour les humains.
Et ils pourraient comprendre que les températures sous les tropiques sont limitées par le climatiseur à évaporation géant qui maintient les océans tropicaux entre 30 et 32 ° C. Les tropiques ne deviendront pas plus chauds dans un monde qui se réchauffe, les conditions chaudes et humides se propageront simplement plus loin dans les zones tempérées. Plus de récifs coralliens, plus de forêt tropicale ! La tragédie…
La seule chose qu'ils «enquêtent» est de savoir si d'autres personnes suivent leurs propres décrets sur la gestion de la planète:
Pourtant, une enquête du Guardian a récemment révélé que seul un petit nombre de grands pays ont injecté des fonds de sauvetage dans un avenir sobre en carbone.
Peut-être que les gens n'achètent pas les dictats du Guardian parce que l'avenir «à faible émission de carbone» imaginé par The Guardian est un désert stérile et appauvri d'un hospice futile qui ne profite à personne d'autre qu'aux entreprises égoïstes qui offrent ces solutions coûteuses à des problèmes qui n'existent pas. ? Pourrait être…
Pourtant, ils s'imaginent qu'ils «créent des tendances linguistiques». Les médecins de spin s'unissent:
Il y a deux ans, le Guardian a annoncé qu'il changeait le langage qu'il utilise pour parler de l'environnement, évitant des termes tels que «changement climatique» pour désigner «l'urgence climatique», plus urgente. Aujourd'hui, nous sommes rejoints par d'autres acteurs de l'industrie de l'information, des organisations qui reconnaissent qu'une catastrophe mondiale est déjà là et que sans action immédiate, elle s'aggravera de manière inimaginable.
Ainsi en vérité et Lo! Le Gardien a prédit la catastrophe et le temps le plus riche et le plus généreux de l'histoire humaine «est une catastrophe». Une situation d'urgence !
Avec plus de nourriture disponible pour l'espèce humaine que jamais et moins de personnes par habitant meurent de catastrophes naturelles qu'à tout autre moment au cours des cent mille dernières années, la seule «urgence» est la destruction de l'anglais et de l'histoire.
RépondreSupprimerLa vraie question ici est de savoir pourquoi même une tranche de la population paie pour lire ce vaudou arrogant. Et il se peut que cela comble un vide spirituel, donnant aux riches et apathiques «un but» et un moyen bon marché de se débarrasser de leur culpabilité. Ou il se peut simplement que The Guardian vend une boisson sociale à la mode que les gens utilisent pour se gonfler dans l'ordre hiérarchique.
Image: The Northern Gods Descending 1890.
https://joannenova.com.au/2021/04/glorious-gods-writers-at-the-guardian-think-they-rule-the-world/
Détresse climatique ? ABC offre une thérapie et un pardon aux écowarriors ratés qui utilisent encore des couches en plastique et des gobelets en polystyrène
RépondreSupprimerApril 14th, 2021
C’est un peu trop pour les flocons de neige
L'ABC n'est qu'un magazine de style de vie pour la classe supérieure, payé par tout le monde.
Pendant vingt ans, les médias EcoRulers ont dit aux gens qu'ils détruiraient la Terre s'ils utilisaient des tasses à café et des couches jetables. Toute leur identité en tant que bonne personne dépendait de faire la bonne chose. Et «chaque petit détail compte» - etc., et ad nauseum.
Qui aurait deviné que demander aux gens de sauver la planète à chaque achat causerait de l'anxiété, un sentiment perpétuel d'échec et un stress à long terme ?
Et cela n'a jamais eu d'importance de toute façon - le point n'était pas l'environnement, mais le pouvoir politique. Alors maintenant que les fans malheureux sont frappés par "Climate Distress" - il est temps de leur pardonner.
Voici la colonne ABC Agony Aunt qui les laisse tous décrocher:
La détresse climatique est réelle et rationnelle. Voici comment le gérer
Edwina Seselja
Alors qu'elle cherchait à réduire son empreinte carbone il y a quelques années, la femme de Brisbane, Zara Monteith, est rapidement tombée dans un terrier de lapin anxiogène, chaque recherche ouvrant les yeux sur un problème environnemental différent à essayer de résoudre.
«Cela me semble accablant - comme si vous étiez impuissant d’une certaine manière, parce que c’est un si gros problème», dit Zara.
Malgré tout ce qu'elle pouvait, Zara avait l'impression que rien de ce qu'elle faisait pour réduire sa consommation ou son impact environnemental ne faisait une différence.
Elle a vu un psychologue et a dit: «Je ne peux rien faire». Et les psychologues ont dit: "Je ressens la même chose." "
Ce n’est pas le moment de mentionner que «chaque petit geste est utile». La nouvelle approche est «Nevermind».
Personne n'est parfait
Tout d'abord, reconnaissez que vous ne serez pas toujours en mesure de faire le choix environnemental et d'être le parfait éco-guerrier Instagrammable.
Pour certaines familles, des couches jetables sont nécessaires, pour certains produits, les conteneurs en polystyrène sont inévitables et certains jours, le climatiseur fonctionnera beaucoup plus longtemps que le climat (ou votre portefeuille) ne le souhaiterait.
Le plan B est «pleurer»:
Le Dr Burke dit que faire face aux émotions signifie s'attaquer aux sentiments inconfortables tels que la culpabilité ou le désespoir.
Elle dit que cela peut être fait en «déplaçant» les hormones du stress hors de votre corps par des actions.
«Cela pourrait être des choses comme pleurer -
Donc, si vous devez utiliser des couches jetables, vous le pouvez. Des générations entières ont été élevées sur des couches en tissu, mais nous ne pouvons pas nous attendre à ce qu’EcoWorriers fasse cela. Tout comme utiliser votre propre tasse plutôt qu'une tasse en polystyrène pour tuer les dauphins. C’est trop dur.
RépondreSupprimerCe qui compte, c'est simplement que les Ecoworriers disent la bonne chose, ils font partie de la bonne équipe, même s'ils ne peuvent pas adopter tous les jetons symboliques. Personne ne se souciait vraiment des plantes, des pauvres ou des dauphins, ils voulaient juste avoir l'air de s'en soucier.
https://joannenova.com.au/2021/04/climate-distress-abc-offers-therapy-and-forgiveness-to-failed-ecowarriors-who-still-need-plastic-nappies-and-styrofoam/
Les Français ne se battent plus pour leur autonomie industrielle ? C’est de l’humour noir …
RépondreSupprimerle 15 avril 2021
On a ressassé les fiascos à répétition qu’a rencontré le gouvernement français au début de l’épidémie de coronavirus. On continue dans les médias à dénoncer le peu de confiance réservée aux négociateurs gouvernementaux français lorsqu’il s’agit de marchés avec des partenaires hors de France voire hors de l’Union européenne, etc …
Je pourrais écrire des pages d’exemples illustrant la plongée économique irréversible de la France. Mais quelle est la vraie raison de cette faillite ? C’est très simple et il existe au moins trois raisons expliquant cette faillite, selon mon analyse un peu rapide. Lorsqu’il s’agit d’un marché national avec un pays extérieur le gouvernement français a pour tradition de payer ses fournisseurs avec un délai dit de « 60 jours fin de mois », comprenez à 90 jours, naturellement sans intérêts. C’est ainsi que la France n’a pu s’approvisionner en masques considérés comme volés sur le tarmak d’un aéroport chinois par un autre pays : tout simplement parce que le fournisseur préférait être payé tout de suite en cash, c’est facile à comprendre. Et si la France éprouve des difficultés à s’approvisionner en vaccins la raison est identique. Maintenant en ce qui concerne les marchés intérieurs, c’est pire ! Une entreprise moyenne ayant été sélectionnée pour un contrat avec une municipalité ou un département verra ses travaux rémunérés parfois 6 mois plus tard, si tout se passe bien. En ce qui concerne les « vacations », c’est-à-dire des missions ponctuelles rémunérées par l’Etat la situation est tout simplement surréaliste. Je prends un exemple vécu personnellement. Lorsque je préparais ma thèse de doctorat on m’a proposé de donner des cours – 8 heures de cours dans l’année – à des étudiants en dernière année de maîtrise. Je n’ai assuré cette vacation qu’une seule année parce que j’ai reçu une maigre rémunération 18 mois plus tard !
La France est gouvernée par des technocrates et des affairistes qui n’ont jamais dirigé une entreprise, vivent des largesses que l’administration leur octroie avec l’argent des contribuables et sont incapables de prendre une décision raisonnée, ceci à tous les niveaux. J’entend dire que la France dispose encore d’un bon crédit auprès des marchés financiers internationaux, mais jusqu’à quand ? Si on prend en considération le fait que la France a accumulé entre mars 2020 et aujourd’hui à la mi-avril 2021 un déficit de 425 milliards d’euros avec un déficit du commerce extérieur qui explose je n’arrive pas à comprendre par quel artifice mon pays natal peut encore espérer emprunter sur les marchés pour simplement financer son fonctionnement au jour le jour. Ça semble relever du mystère. Le taux d’intérêt des titres de dette française à 10 ans a amorcé une spectaculaire remontée puisque entre le 11 décembre 2020 et le 15 avril 2021 ce taux est passé de moins 0,381 à moins 0,023 % ce 15 avril 2021, soit une augmentation d’un facteur 16, ce qui ne signifie rien mais ne présage rien de bon non plus ! Il est donc impossible de faire une quelconque prévision sur l’avenir de la maison France.
Si on ajoute à ce tableau désastreux le fait que 450000 petites entreprises se sont déclarées en faillite, dossiers accumulés auprès des tribunaux de commerce et non encore traités, on ne peut qu’en conclure que la France est en état de mort économique. Il n’est donc pas surprenant que l’industrie française soit également moribonde. Les dirigeants politiques se pavanent en clamant que l’industrie française du luxe est « luxuriante », donc que tout va bien Madame la Marquise, mais c’est de la poudre aux yeux pour aveugler des Français qui ne peuvent plus se nourrir à leur faim. Il suffit de constater que dans la seule ville de Paris les principaux bailleurs de logements à loyer réglementé ont constaté en un an un retard de paiement de 54 milliards d’euros de loyers. Et pendant ce temps les affairistes au pouvoir concoctent un démantèlement d’EDF … À pleurer
RépondreSupprimerhttps://jacqueshenry.wordpress.com/2021/04/15/les-francais-ne-se-battent-plus-pour-leur-autonomie-industrielle-cest-de-lhumour-noir/
Ces énarques et ces fonctionnaires qui gèrent la crise sanitaire
RépondreSupprimerL’ENA étant surreprésentée dans notre gouvernement, elle se trouve logiquement surreprésentée aussi dans la gestion de la pandémie.
16 AVRIL 2021
Par Adélaïde Motte.
Un article de l’Iref-Europe
Depuis plus d’un an, le gouvernement se caractérise par ses difficultés à maîtriser chaque aspect de la crise, qu’il s’agisse des masques, des tests, des vaccins, et bientôt des autotests. Pareil constat semble moins surprenant lorsqu’on connait le nombre d’organismes qui prétendent à régler les problèmes. Et ceux qui les dirigent.
Centre opérationnel de réception et de régulation des urgences sanitaires et sociales (ou CORRUSS), conseil restreint de défense, réunion interministérielle sur la recherche et la coordination sanitaire, réunion interministérielle pour la mobilisation économique, cellule interministérielle de crise… Non seulement ces cellules sont trop nombreuses pour être efficaces, mais en plus on y retrouve toujours les mêmes personnes, qui n’ont pourtant pas toujours brillé par leur compétence.
L’ENA SUR-REPRÉSENTÉE DANS LA GESTION DE LA CRISE
L’ENA étant surreprésentée dans notre gouvernement, elle se trouve logiquement surreprésentée aussi dans la gestion de la pandémie. Ainsi, la direction politique et stratégique de la crise est assurée par le Premier ministre, c’est-à-dire Jean Castex, qui a succédé à Édouard Philippe. Après une maîtrise de droit et le duo classique Sciences Po-ENA, Jean Castex est passé par la Cour des comptes, le ministère de la Santé et, pour finir, Bercy.
Sciences Po et ENA également pour Édouard Philippe, qui a ensuite exercé, un temps assez court, le métier d’avocat, est passé chez Areva, avant de se consacrer entièrement à la politique en tant que maire, député, et enfin Premier ministre. Le pilotage de la crise est donc sous la coupe de l’ENA, temple avant tout de la fonction publique mais pas de l’efficacité.
La conduite opérationnelle est du ressort du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin. S’il n’a pas fait l’ENA, mais seulement Sciences Po Lille, il n’en est pas pour autant un homme de terrain, au fait des préoccupations et de la vie des Français. Entre les secrétariats d’État, les ministères, les conseils régionaux, les mandats de députés, les mairies, il s’est forgé un réseau de personnalités reconnues, mais peut-être pas une connaissance très approfondie des entreprises, des indépendants, des artisans, des cadres, des familles, des étudiants, et de toutes ces classes socio-professionnelles qui font la France.
LES ÉNARQUES NE SONT PAS LES SEULS INCOMPÉTENTS AU POUVOIR
RépondreSupprimerOn pourrait espérer que ceux de nos gouvernants qui n’ont pas fait l’ENA soient un peu plus au fait des secteurs dont ils s’occupent. Malheureusement, leurs études terminées, ils ont souvent enchaîné des postes dans la fonction publique, ce qui revient presque inévitablement à s’enfermer dans une tour de verre aux vitres opaques.
Il en est ainsi d’Olivier Véran, ministre de la Santé dont on argue qu’il est également neurologue. Effectivement, il a fait des études de médecine jusqu’en 2005. Mais elles ont été complétées par une étape à Sciences Po (où il a suivi un executive master en gestion et politique de santé), à l’issue de laquelle il a choisi d’être député et conseiller régional. Arrivé au ministère de la Santé, que lui restait-il de son expérience en hôpital ? Manifestement, pas de quoi répondre correctement à la crise sanitaire, comme le montre le fiasco des lits de réanimation.
Dans la même veine, on peut citer Jérôme Salomon, directeur de la cellule de crise du ministère de la Santé. Après des études portant sur les maladies infectieuses, la biologie des populations, l’épidémiologie, et enfin le management des hôpitaux, il tombe lui aussi dans le giron du secteur public, avec des passages au ministère de Bernard Kouchner, au ministère des Affaires sociales, à l’université et chez Santé publique France. On peut malgré tout espérer que certaines de ses décisions aient été prises à la lumière de son expérience à l’institut Pasteur ou à la présidence des hôpitaux universitaires.
La crise sanitaire met une nouvelle fois sous les projecteurs le mal que la fonction publique fait au pays. L’interdiction de licenciement conduit à déplacer les fonctionnaires comme des pions sur un jeu d’échecs, sans pouvoir les remplacer par des personnes plus compétentes issues du privé.
Un exemple, celui de Nicolas Castoldi, chargé de la mobilisation sur les tests, qui s’est retrouvé administrateur au Sénat dès la fin de ses études à l’ENS philosophie. Il est ensuite passé par des secteurs divers, de l’enseignement supérieur au budget, en passant par France innovation scientifique. En quoi un diplômé de philosophie était-il qualifié pour coiffer ces multiples casquettes ?
Dans la crise sanitaire que nous traversons, les problèmes sont multiples et les solutions aussi. Et ça n’est pas si simple. Il n’y a donc pas de solution miracle. Mais plutôt que de vouloir faciliter l’accès à l’ENA, en limitant les épreuves sélectives, ne vaudrait-il pas mieux supprimer l’ENA et favoriser la naissance d’écoles diverses et variées et privées quand c’est possible ? La possibilité d’ouvrir des universités privées, en leur permettant de délivre leurs diplômes, permettrait de diversifier les filières d’accès aux hautes fonctions de l’État.
Parallèlement, la suppression du statut de la fonction publique permettrait de faire évoluer le personnel de cette haute fonction publique, de se séparer de ceux qui ne sont pas performants et d’y embaucher des personnes ayant l’expérience de la gestion d’entreprise quand ce serait utile.
Il serait profitable aux milieux économiques comme à la fonction publique que leurs personnels puissent aisément s’interpénétrer, poursuivre leurs carrières de l’un à l’autre et vice-versa.
Comment espérer que nos ministres et autres conseillers puissent apporter des solutions adaptées à la société civile quand ils vivent dans des vases clos et protégés ? Il faudrait peut-être qu’ils aillent se frotter à la réalité du terrain autrement qu’en sélectionnant des comités citoyens pour leur faire dire ce qu’ils en attendent.
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Sur le web
https://www.contrepoints.org/2021/04/16/395044-ena-enarques-et-ces-fonctionnaires-qui-gerent-la-crise-sanitaire
Il fut un temps où les jeunes avides d'apprendre un métier entraient dans la confrérie du compagnonnage. Ils faisaient donc le tour de la France afin d'aiguiser leur savoir à l'écoute de ceux qui savent !
SupprimerMais, comme il faut faire un trait sur le passé, les jeunes idiots sont fourrés dans des 'écoles' où ils n'apprennent rien de la pratique et tout de l'éventuelle probabilité de la perspective des graphiques subjectionnels de théories ! Bref, une école de cons faite par des cons pour les cons qui ont tous prouvé qu'ils en sortent par leur passage administratif !
PHISHING : LES PIRATES SE FONT DE PLUS EN PLUS MALINS (ET DANGEREUX)
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
16/04/2021
Les demandes d'assistance ont augmenté de 25% sur cybermalveillance.gouv.fr en 2020
Le phishing, ou hameçonnage en français, continue de sévir sur Internet et de faire des victimes. Dans le meilleur des cas, seules quelques données personnelles sont volées, dans le pire ce sont des données fiscales ou bancaires. La situation devient de plus en plus dangereuse, prévient la plateforme gouvernementale de lutte contre la cybermalveillance : les pirates sont de plus en plus malins.
Des attaques de plus en plus difficiles à identifier pour les internautes
Lors de la présentation de son bilan annuel à la presse, le 15 avril 2021, Jean-Jacques Latour, un des responsables de la plateforme Cybermalveillance.gouv.fr qui lutte conter la cybercriminalité et aide les victimes, prévient : « il y a des cas de figure où les hameçonnages sont très difficiles à repérer pour les victimes ».
Si les mails louches et remplis de fautes d’orthographe sont toujours d’actualité, un des premiers indices pour identifier une tentative d’hameçonnage, il y a de plus en plus d’attaques qui sont très bien conçues. Pas de fautes d’orthographe, utilisation des bons logos au bon endroit pour faire croire à l’identité de l’envoyeur… « On a vu aussi le développement des attaques par SMS », précise-t-il. Le SMS, mode de communication connu et éprouvé, inspirerait en effet plus de confiance… et représente donc un moyen d’attaque efficace.
Près d’une attaque sur cinq est du phishing
S’il est difficile d’avoir des chiffre exacts sur le phishing, la plateforme Cybermalveillance souligne que dans près d’une demande d’assistance faite sur sa plateforme sur cinq (17%), c’est bien le phishing qui est le problème. En mars 2020, lors du premier confinement, les attaques se sont multipliées et les demandes d’assistance ont grimpé de 400 %. Ce qui est cohérent avec les rapports internationaux de cybersécurité qui soulignent une hausse similaire des attaques par phishing dans le monde entier.
Les autres demandes d’assistance de particuliers portent, selon le rapport présenté à la presse, sur le piratage de comptes (12 %), les arnaques au faux support technique (11 %) ou encore le « chantage à la webcam » qui reprend de l’ampleur depuis quelques années (8 %).
http://www.economiematin.fr/news-phishing-danger-hausse-attaque-risque
C'est bien pour çà qu'ils veulent remplacer l'argent-papier par l'argent-électrique ! Comptes vidés ! Pchitt ! Plus de courant ou surprise de hackers ?
SupprimerNous sommes en cyberguerre !
RépondreSupprimerRémy Mahoudeaux
Boulevard Voltaire
jeu., 15 avr. 2021 15:58 UTC
Certaines guerres se déroulent aujourd'hui dont les effets ne sont pas ou peu perçus. La cyberguerre en est une. Elle n'est pas déclarée, comme celles que se livrent les services de renseignement, et ses formes sont multiples. Des agresseurs régaliens ou crapuleux peuvent choisir des cibles régaliennes, économiques ou sociales sans distinction. L'ANSSI (Agence nationale de la sécurité des systèmes informatiques) a recensé les attaques majeures, en France, qui progressent fortement et sont passées de 54 à 192 en 2020.
Exiger une rançon pour restituer vos données, saturer de requêtes inopportunes les serveurs de la cible pour l'empêcher d'opérer, obliger la victime à dégrader son mode opératoire en débranchant certains outils : la panoplie est large et les victimes bien diverses. Entreprises, hôpitaux, médias : tout le monde est touché. Même l'État, quand le CNED se voit dans l'incapacité de remplir sa mission entre Éducation nationale et élèves confinés... Et il y a les attaques que l'on n'identifie pas, comme installer une porte dérobée sans s'en servir immédiatement, ou les rançons payées en secret pour ne pas ébruiter la honte d'avoir été trop poreux, ou encore un virus à effet différé...
Les vulnérabilités de notre société trop mondialisée et trop numérisée sont légion. Il est logique qu'un adversaire, dans le cadre d'un conflit larvé ou déclaré, tente par divers types d'intrusions de prendre le contrôle ou de détruire des rouages essentiels des opérations militaires et de la vie civile.
Après les sabotages massifs des systèmes de contrôle de la distribution d'eau et d'énergie, de ses transports, de ses télécommunications, de ses médias et de ses paiements, quelle serait la résilience d'un pays ? De notre pays ? Les scénaristes d'Hollywood nous inventent un lieutenant John McLane façon héros de cavalerie US, mais si le spectacle est plaisant, il n'est pas très crédible. Par contre, l'existence de failles qui permettent des catastrophes en chaîne est une hypothèse plausible. Rappelons que des images de drones Reaper et Predator de l'armée américaine ont été récupérées sur des ordinateurs de prisonniers irakiens en 2009.
La frontière peut être extrêmement ténue entre la cible régalienne et la cible privée comme entre l'acte de guerre national et le crime crapuleux. Ceux qui prennent en otages les données de certaines firmes et se font payer pour les restituer font une bonne affaire et s'entraînent pour la prise de contrôle d'autres systèmes et données plus sensibles.
Le modèle de couverture des risques habituels repose sur deux actions : la prévention de ce que l'on peut empêcher ou dont on peut diminuer l'impact et l'externalisation du reste. Dans la prévention, il n'y a pas que l'analyse des vulnérabilités et la tentative d'y remédier. Il convient aussi d'organiser a priori la redondance quand c'est possible et d'imaginer des modes de fonctionnement dégradés et autonomes, si c'est possible, des réseaux les plus vulnérables. L'externalisation, le recours à l'assurance, est plus problématique, il ne pourrait satisfaire que des intérêts privés, moduler la solvabilité des assureurs. Mais il n'est pas d'indemnisation financière satisfaisante pour la perte de souveraineté d'un pays qui perdrait une cyberguerre.
La France dit qu'elle travaille à cette guerre, qu'elle s'y prépare. Elle admet que sa doctrine est maintenant offensive autant que défensive, tant mieux : des boucliers seuls n'ont jamais fait gagner de guerre, il faut aussi des épées ! La discrétion qui règne sur ces sujets au sein de la grande muette est normal. Mais si Sun Tzu fut un temps occulté par Clausewitz et Liddell Hart, la Chine a peut-être repris un leadership conceptuel avec Qiao Liang et Wang Xiangsui et leur « guerre hors limites ».
RépondreSupprimerhttps://fr.sott.net/article/36989-Nous-sommes-en-cyberguerre
QUI EST RESPONSABLE SI UNE VOITURE AUTONOME RENVERSE UN PASSANT ?
RépondreSupprimerpar LUC LEGARDEUR
19/04/2021
En France, 58 % de la population déclare se sentir en sécurité à l'intérieur d'un véhicule autonome.
La voiture autonome est un sujet qui occupe le devant de la scène depuis plusieurs années déjà. Pilotage automatique, détection des obstacles, programmation des parcours… Autant d'innovations qui reposent pour beaucoup sur la collecte, l'analyse, et le stockage de milliers de données. Technologiquement, les industries sont prêtes. Mais concrètement, les freins sont encore nombreux avant une mise sur le marché. Les principaux défis du secteur de l'automobile sont ceux de la qualité et de la sécurité des données. Par extension, se pose la question de la responsabilité en cas d'incident.
Les données peuvent-elles se positionner en tiers de confiance ?
En cas d'accident causé par une voiture autonome, qui est responsable ? Est-ce le constructeur automobile, le fabricant du logiciel de détection, l'expert en métadonnées ou encore un phénomène extérieur ? La réponse est loin d'être évidente. C'est la raison pour laquelle les compagnies d'assurance restent très frileuses, ce qui freine le déploiement des voitures autonomes. Les véhicules d'aujourd'hui s'appuient en effet de plus en plus sur les données pour fonctionner : cela est vrai non seulement dans le cadre de leur utilisation, mais aussi tout au long de leur production. Les données collectées au cours de la vie d'une voiture nous renseignent sur son comportement, et elles vont donc servir de tiers de confiance, car les contrats d'assurance et d'analyse de risque reposent sur cette lecture des données. Des standards de collecte et d'analyse de data sont donc nécessaires pour réglementer l'industrie automobile. Quels sont les critères qui entrent en jeu dans cette normalisation data-driven du secteur ? Nous en distinguerons deux principaux : qualité et sécurité !
Chaque microseconde, depuis le début de la fabrication d'une voiture jusqu'à sa fin de vie, des données volumétriques sont collectées via divers capteurs et objets connectés. Toutes les étapes du processus de production sont surveillées pour un pilotage qualité extrêmement fin, ce principalement afin d'éviter les rappels et d'obtenir les certifications pour les véhicules. Ces données en très grande quantité sont stockées dans des lacs (data lakes), le plus souvent sur le Cloud. Dans l'industrie automobile, le paysage de la data est hétéroclite, volumétrique et technologique. Or, pour pouvoir analyser les données, il faut les uniformiser et les rendre intelligibles. C'est ce qui leur donne une valeur qualitative, et leur permet d'être comprises et utilisées par les experts et analystes des données.
Aujourd'hui, les entreprises de l'industrie automobile disposent d'un double patrimoine de données : celles issues des outils de Product Life Management stockées dans les ERP, et celles issues des capteurs et objets connectés stockées dans le Cloud. Pour ces dernières, les catalogues de données viennent apporter une aide précieuse pour trier, comprendre, corréler, qualifier et enrichir les données de l'entreprise. Cela permet aux équipes de les utiliser dans une démarche d'optimisation et de performance.
Sécurité des données : peut-on faire confiance aux hébergeurs ?
RépondreSupprimerAvoir des données qualitatives est une étape clef, qui ne peut cependant s'affranchir de l'aspect sécurité. Car si les données et leur qualité sont désormais les principaux avantages concurrentiels des entreprises, les protéger devient d'autant plus primordial. Or peu d'entreprises disposent d'infrastructures suffisantes pour les stocker en interne. Dans les ERP, elles sont ultra sécurisées. Mais dans les lacs de données hébergés sur le Cloud, comment être sûr que la sécurité est 100% fiable ? C'est une des problématiques majeures aujourd'hui, et elle n'est pas spécifique au secteur automobile. Tout l'enjeu repose sur l'infalsifiabilité des données. Les entreprises doivent pouvoir s'appuyer sur un partenaire qui ne peut les altérer, car si les données appartiennent au constructeur automobile, elles sont souvent hébergées sur des plateformes dont il n'a pas la maitrise. Se posent donc de nombreuses questions autour de la sécurité, de la propriété, de la localisation et de la certification des données. Autant de défis pour structurer l'industrie de demain !
L'industrie automobile connaît actuellement des bouleversements profonds, tant sur le plan technologique que sur celui de son modèle d'affaires qui bascule progressivement de l'achat à la location de services. La capacité des constructeurs automobiles à utiliser des données matures, qualitatives et sécurisées, est une des clefs de leur compétitivité. Les catalogues de data jouent ici un rôle important : celui de donner aux équipes stratégiques l'accès à un patrimoine grandissant de données, pour optimiser leur utilisation. La data se positionne alors comme un acteur à part entière et un tiers de confiance. Ne reste qu'à garantir sa sécurité et sa conformité. Va-t-on dès lors voir apparaître prochainement des organismes de certification de la véracité de ces données ? On ne peut que l'espérer, pour bientôt croiser sur nos routes des voitures autonomes !
http://www.economiematin.fr/news-voiture-autonome-responsable-accident
Avec le millier d'accidents dépassés de voitures (électriques) en 'pilotage automatique' où les passagers ne pouvaient quitter leurs ceinture de sécurité à l'enrouleur électrique et étaient brûlés vifs dans la voiture en flammes et tant d'autres accidents de 'la chaise électrique' (bientôt on repassera à l'hydrogène !! la 'bombe à roulettes' !)
SupprimerPar exemple dans (une twingo ?) "Donne à ton corps la forme que tu veux" (voir entrer dans le métro aux heures de pointes) bêh, quand tu ressorts, effectivement t'as été pointé(e) ! en cas d'accident t'es même pas décoffré et enterré avec ta carte grise ! Alors avec une électrique...
La Suède, Gates, le "réchauffement climatique" et l'art de la tromperie
RépondreSupprimerF. William Engdahl
Mondialisation.ca
jeu., 15 avr. 2021 20:39 UTC
Depuis plus d'une décennie, Bill Gates a versé des millions de dollars dans un projet scientifiquement fou, censé étudier la possibilité d'un « refroidissement planétaire d'origine humaine ». Le projet, dirigé par un physicien de Harvard, propose d'envoyer des satellites dans l'atmosphère afin de larguer des tonnes de produits chimiques pour tenter de bloquer le soleil. Aujourd'hui, une forte résistance en Suède a contraint Gates & co. à renoncer au lancement du satellite suédois prévu.
Cette dernière aventure de Gates en matière de géo-ingénierie montre à quel point la mascarade du réchauffement climatique est une entreprise non scientifique. Comme Gates le sait sans doute, la Terre s'est en fait lentement refroidie alors que nous entrons dans ce que certains astrophysiciens estiment être plusieurs décennies de refroidissement global causé par un cycle de grand minimum solaire que nous avons entamé en 2020.
Le 2 avril, l'Agence spatiale suédoise a annoncé que le programme SCoPEx (Stratospheric Controlled Perturbation Experiment), financé par Bill Gates, avait « divisé la communauté scientifique » et ne serait donc pas réalisé. SCoPEx était un projet financé pendant plusieurs années par des fonds personnels de Bill Gates pour tester la faisabilité de l'atténuation du soleil par le biais de la géo-ingénierie humaine.
Commentaire : Quelle idée saugrenue que de vouloir enlever la lumière du soleil, sa chaleur, son énergie. C'est à dire que celui qui veut réaliser ce projet est soit un fou, soit quelqu'un qui veut tuer la vie sur la planète terre a conscience.
Le plan consiste à larguer des aérosols de sulfate ou de poussière de carbonate de calcium dans l'atmosphère à partir de ballons à haute altitude, dans le cadre d'un projet fou visant à bloquer le soleil et à « empêcher » ainsi le réchauffement de la planète. L'agence suédoise a décidé d'annuler l'expérience en raison d'une opposition majeure de la part non seulement de la communauté scientifique et écologiste, mais aussi du peuple suédois indigène same ou laplander qui est éleveur de rennes et craint que les particules ne provoquent une pollution environnementale grave ou inconnue pour leurs troupeaux. Le Conseil same a notamment prévenu que l'expérience de Gates « tente essentiellement d'imiter des éruptions volcaniques en crachant continuellement dans le ciel des particules qui atténuent le soleil ».
Depuis au moins 2010, Gates a appelé à une atténuation du soleil par l'homme. Il a donné 4,6 millions de dollars au physicien de Harvard David Keith pour faire avancer ce projet. Keith est conseiller de Gates depuis 2005. Avec Chevron, Gates est également un investisseur important dans la société de Keith, Carbon Engineering, une entreprise de capture directe de l'air basée au Canada. La capture directe de l'air est un autre projet fou, un processus qui consiste à capturer le gaz carbonique directement dans l'air ambiant, en utilisant de grands ventilateurs pour pousser l'air ambiant à travers un filtre où il est traité avec un solvant caustique pour en extraire le gaz carbonique. Ce procédé nécessite des quantités astronomiques d'eau et d'énergie, ainsi qu'une superficie équivalente à celle de l'Inde selon certaines estimations. Selon des estimations prudentes, le piégeage du carbone pour parvenir à un taux de gaz carbonique nul à partir de combustibles fossiles coûterait plus de 5 000 milliards de dollars par an, même s'il était possible à grande échelle. Keith semble heureux de s'amuser avec des projets aussi bizarres pour le compte du pseudo-scientifique milliardaire Gates.
Dans une conférence TED de 2010, Gates a répondu à une question sur le blocage solaire pour tenter de compenser le réchauffement climatique. Il a alors déclaré : « Devons-nous commencer à prendre des mesures d'urgence pour maintenir la température de la terre stable ? ... Il y a une ligne de recherche sur ce qu'on appelle la géo-ingénierie, qui sont diverses techniques qui retarderaient le chauffage pour nous acheter 20 ou 30 ans pour se ressaisir ».
RépondreSupprimerKeith a déclaré que, malgré le revers suédois, le groupe cherchera à obtenir le soutien de l'administration Biden pour effectuer les tests aux États-Unis. Les Académies nationales des Sciences, de l'Ingénierie et de la Médecine des États-Unis ont récemment publié un rapport demandant que 100 à 200 millions de dollars soient injectés dans la « géo-ingénierie solaire » au cours des cinq prochaines années.
La géo-ingénierie bien réelle
Jusqu'à récemment, le gouvernement américain niait avoir recours à la géo-ingénierie et qualifiait de « théorie du complot » toute discussion sur des projets tels que la pulvérisation de « chemtrails » dans le ciel. Maintenant, ils semblent être plus ouverts sur ce qui a été des projets de géo-ingénierie hautement classifiés. En novembre 2017, la Chambre des Représentants des États-Unis, dominée par les républicains, a tenu les premières audiences sur la « géo-ingénierie : Innovation, recherche et technologie ». Le panel a discuté de la nécessité de poursuivre les recherches sur la géo-ingénierie par réflexion solaire, connue sous le nom d'injection d'aérosols stratosphériques.
L'une des substances envisagées pour le projet Gates et d'autres projets de blocage du soleil est ce que l'on appelle les cendres volantes de charbon, c'est-à-dire le résidu laissé dans une centrale électrique après la combustion du charbon. Cependant, les cendres volantes de charbon, qui sont capturées et éliminées en toute sécurité dans les centrales au charbon modernes, pourraient, si elles étaient introduites dans les nuages pour obscurcir le soleil, provoquer des pluies acides toxiques sur la Terre.
Selon l'association Physicians for Social Responsibility, « selon l'endroit où le charbon a été extrait, les cendres de charbon contiennent généralement des métaux lourds, notamment de l'arsenic, du plomb, du mercure, du cadmium, du chrome et du sélénium, ainsi que de l'aluminium, de l'antimoine, du baryum, du béryllium, du bore, du chlore, du cobalt, du manganèse, du molybdène, du nickel, du thallium, du vanadium et du zinc ». Le groupe note que l'Agence de Protection de l'Environnement (EPA) a constaté que « s'ils sont mangés, bus ou inhalés, ces produits toxiques peuvent provoquer des cancers et des effets sur le système nerveux, tels que des déficits cognitifs, des retards de développement et des problèmes de comportement. Ils peuvent également provoquer des lésions cardiaques, des maladies pulmonaires, une détresse respiratoire, des maladies rénales, des problèmes de reproduction, des maladies gastro-intestinales, des malformations congénitales et des troubles de la croissance osseuse chez les enfants ». Ce n'est pas rien.
Grand minimum solaire
Il y a beaucoup à dire contre le projet Gates-Harvard. La déclaration du Conseil same selon laquelle l'entreprise de blocage du soleil de Gates-Keith est une tentative « d'imiter les éruptions volcaniques en crachant continuellement dans le ciel des particules qui atténuent le soleil » est la plus pertinente, et pour des raisons qui ne sont pas discutées aussi largement qu'elles le devraient.
Ce que l'IPCC des Nations unies refuse de discuter, c'est la relation entre le soleil et les changements climatiques sur Terre. Le facteur de loin le plus important dans le changement climatique et la météo sur Terre est le soleil et ses cycles d'éruptions solaires et, cycliquement, son manque.
RépondreSupprimerLe point fondamental concernant les changements climatiques actuels est que la Terre est au début non pas d'un réchauffement global, mais d'une période de refroidissement global, appelée par les astrophysiciens un Grand Minimum Solaire. Si cela est exact, cela laisse présager le changement climatique le plus spectaculaire et de loin le plus dangereux que l'on puisse imaginer. Selon la NASA, notre planète est entrée dans ce qu'elle estime être le cycle de minimum solaire le plus fort depuis environ 200 ans.
Ce qu'Al Gore et d'autres tentent de cacher, c'est que la Terre ne se réchauffe plus depuis l'an 2000 environ et que, depuis l'été 2020, elle est entrée dans ce qui sera une phase de refroidissement qui durera, selon certains, jusqu'en 2055 environ. Historiquement, les périodes de grand minimum solaire, qui ont lieu tous les 200 ans environ, créent des régimes météorologiques très instables, des inondations majeures et prolongées, des pertes massives de récoltes et des variations sauvages de température (à la hausse comme à la baisse), ainsi que des perturbations du courant-jet, qui créent des vagues de chaleur singulières et des incendies sauvages, entre autres événements extrêmes. Tous ces effets ont également été enregistrés au cours de périodes précédant d'au moins un siècle l'invention du moteur à combustion interne.
Ce qu'aucun modèle informatique du réchauffement climatique n'est capable de faire, c'est d'intégrer les effets de notre soleil sur le climat de la Terre, et ce malgré les preuves scientifiques bien documentées que les cycles solaires sont le principal facteur de changement du climat au fil des ans. En fait, ils n'essaient même pas de le faire.
Les éruptions solaires, connues sous le nom de taches solaires, augmentent et diminuent selon des cycles de 11 et 22 ans environ. À ces cycles s'ajoutent des grands cycles de 100 et 200 ans. Depuis juin 2020, nous avons entamé un grand minimum solaire, au cours duquel l'activité des taches solaires pourrait vraisemblablement tomber à zéro pendant plusieurs décennies.
Les volcans et le soleil
De plus en plus de recherches scientifiques révèlent que, même si le mécanisme moteur n'est pas entièrement clair, les périodes de minimum solaire et, surtout, de grand minimum solaire, sont également associées à une augmentation spectaculaire des tremblements de terre et de l'activité volcanique.
Un groupe de scientifiques japonais dirigé par Toshikazu Ebisuzaki a examiné le calendrier de 11 événements volcaniques éruptifs qui ont produit du magma riche en silice dans quatre volcans du Japon. Ils ont constaté que « 9 des 11 événements se sont produits pendant les phases inactives de l'activité magnétique solaire (minimum solaire), qui est bien indexée par le nombre de taches solaires. Cette forte association entre le moment de l'éruption et le minimum solaire est statistiquement significative à un niveau de confiance de 96,7 ». C'est une corrélation très élevée.
Il y a environ 200 ans, nous avons connu la dernière période de grand minimum solaire, connue des scientifiques sous le nom de Minimum de Dalton, au début du XIXe siècle. En 1816, la couverture nuageuse sur la planète était si importante qu'on l'a appelée l'année sans été. Le Minimum de Dalton a duré de 1790 à 1820 environ. En 1815, une énorme éruption volcanique au mont Tambora en Indonésie, la plus puissante de l'histoire de l'humanité, a craché tant de cendres volcaniques dans l'atmosphère qu'en 1816, Thomas Jefferson a noté dans son journal météorologique en Virginie l'absence de soleil d'été. Elle a déclenché des conditions météorologiques extrêmes et des mauvaises récoltes dans de nombreuses régions du monde. En juin 1816, le gel et la neige en Amérique du Nord ont détruit la plupart des récoltes agricoles. Au niveau mondial, ce fut la pire famine du XIXe siècle. Les énormes volumes de cendres volcaniques dans l'atmosphère pendant plus d'un an en provenance de Tambora ont réfléchi d'importantes quantités de rayonnement solaire, provoquant des étés anormalement frais pour la saison qui ont contribué aux pénuries alimentaires.
RépondreSupprimerLes preuves que nous sommes dans les premiers stades d'un grand minimum solaire similaire à celui du XIXe siècle ou pire sont convaincantes. Le volcan Sinabung de Sumatra, incroyablement actif, a explosé de façon spectaculaire le 2 mars, envoyant des cendres volcaniques à 40 000 pieds d'altitude dans l'atmosphère. Les particules éjectées à des altitudes supérieures à 32 800 pieds (10 km) - et dans la stratosphère - ont un effet de refroidissement direct sur la planète. L'Islande, l'île de Saint-Vincent dans les Caraïbes et d'autres éruptions survenues ces dernières semaines laissent penser que nous pourrions être confrontés à des chocs climatiques bien plus dramatiques que ne l'admet le tsar autoproclamé du climat mondial Bill Gates. Gates, le Forum économique mondial de Davos et d'innombrables « scientifiques » du climat avides de subventions refusent de prendre en compte la réalité solaire, préférant poursuivre des projets fous tels que l'atténuation chimique du soleil. Les milliers de milliards de dollars qui devraient être dépensés pour des énergies solaire et éolienne inefficaces montrent que leur programme n'a rien à voir avec la santé de la planète, ni avec la nôtre. Nous pouvons être sûrs que les scientifiques qui conseillent Gates sont parfaitement conscients des cycles solaires. Accordez-leur un crédit sur un point, ils sont passés maîtres dans l'art de la tromperie.
Commentaire : Lire aussi :
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https://fr.sott.net/article/36996-La-Suede-Gates-le-rechauffement-climatique-et-l-art-de-la-tromperie
Masques faciaux et courage: la famille est-elle votre excuse pour la lâcheté ou la famille est-elle votre motivation pour vous tenir debout ?
RépondreSupprimerPar Allan Stevo
16 avril 2021
Les parents avaient l'habitude de se lever dans la vie pour le bien de leurs enfants. Ils ont réalisé que peu importe combien d'argent ils laissaient à leurs enfants, l'héritage de la liberté valait bien plus pour un enfant que les dollars et les cents qu'un parent pouvait laisser derrière lui.
Aujourd'hui, tant de parents font de leur enfant une excuse pour expliquer pourquoi ils refusent de se lever dans la vie, et ils disent qu'ils gardent leurs lèvres fermées PARCE à leur enfant. Ils le font à cause de leur enfant, disent-ils.
Ça ne va pas.
Un entraîneur de football du Kentucky qui a refusé de se faire masquer et a refusé d'appliquer le masque n'a pas gardé le silence à cause de sa fille. Il s'est levé à cause de sa fille. En conséquence, il a perdu sa position convoitée.
Mais à cause de son courage, il est aussi le père du seul footballeur du comté à jouer sans masque.
Le père qui m'a écrit de l'Arizona n'a pas renoncé à ses valeurs à cause de ses enfants. Non, il a doublé. Enseignant décoré, lorsque les verrouillages ont commencé, il n’a pas mis son masque ni masqué ses deux fils. Non, il a quitté son emploi, a retiré ses deux fils de l'école et les a maintenant scolarisés à la maison, un environnement beaucoup plus stimulant pour eux trois.
Ce sont des héros de 2020, pas le garçon de 16 ans de Trader Joe qui criait à ses aînés de 60 ans de se masquer, enhardi par les diktats malsains de santé publique et la machine médiatique d'un billion de dollars qui veut nous vendre de toutes les manières. de mauvaises idées.
Ces parents sont les leaders de 2020, pas les classes de bavardage qui se livrent à des tirades pleines de culpabilité dans les médias, essayant d'amener les gens ordinaires à faire les choses les plus irrégulières et non naturelles: comme placer un masque en polypropylène de dix cents de la province de Wuhan sur leurs enfants font face et qualifient cela de normal, ou de laisser un enfant être assigné à résidence et de qualifier ce «verrouillage» de normal, ou de faire savoir aux bureaucrates de la santé publique que chaque expérience étrange sur leur enfant qu'un bureaucrate pourrait éventuellement proposer est une expérience que votre famille sacrifiera volontiers les plus jeunes et les plus précieux à qui.
Nous expérimentons sur nos enfants, les gens ! Nous soumettons nos membres les plus précieux de la société à une expérimentation qui n'est manifestement ni sûre ni efficace.
Vous dites à votre enfant tout ce qu'il doit savoir sur vous dans un moment comme celui-ci. Vos mots signifient si peu. Vos actions disent tout.
Si vous ne pouvez pas être courageux dans les moments qui comptent vraiment, alors vous n’avez aucune vertu.
Toutes les autres vertus dépendent de votre capacité à traverser la vie avec courage. C'est à de tels moments que votre valeur aux yeux de votre entourage est montrée. Tous vos discours sur la vertu ne signifient rien si votre propre sens du devoir et de votre courage ne sous-tend pas cette vertu et ne vous pousse pas à l'action.
RépondreSupprimerPour cette raison, le courage a été appelé la plus grande des vertus, car sur le courage reposent toutes les autres vertus.
Je vous invite, cher lecteur, à être aussi courageux que possible dans un moment comme celui-ci, à pécher du côté du courage, à pécher du côté de la bravoure, à pécher du côté de la bravoure.
Ce moment a besoin de vous. Les gens autour de vous ont besoin de cela de vous.
Si vous ne pouvez pas donner cela, et donner ces 110 %, alors vous devez à votre entourage l'honnêteté de le leur faire savoir, afin qu'ils puissent au moins se rendre compte que vous n'êtes pas le protecteur de leur vie sur lequel ils peuvent compter. un moment comme celui-ci, pour être là quand tout le reste va mal, parce qu'au moins alors ils ont la clarté de se rendre compte qu'ils doivent se mobiliser et se protéger. Au moins, ils ne marcheront pas à vos côtés en pensant que vous maîtrisez cela. Au moins, ils ne seront pas laissés penser de manière illusoire que vous faites attention à eux quoi qu'il arrive.
Vous pouvez au moins leur faire cette faveur en leur donnant de la clarté.
Tout le monde de 8 mois à 108 ans dans votre vie mérite de savoir cela de votre part si vous choisissez de traverser ce moment important dans le temps comme un lâche.
Le masque facial le signale exactement au monde, mais vos proches peuvent ne pas voir votre lâcheté aussi clairement, car ils sont enclins à avoir plus confiance en vous et peuvent vous donner le bénéfice du doute. Aussi vite que possible, vous leur devez cette dure dose de réalité qui dit: «Je ne serai pas votre protecteur. Vous êtes seul dans ce combat. Mes actions peuvent même me prouver que je suis l'ami de votre ennemi. Je suis peut-être quelqu'un dont la lâcheté déteint sur vous, mine votre sens de la décence et corrompt vos valeurs.
La réalité est dure, et la réalité est ce dont ils ont plus que jamais besoin de vous.
L'histoire présente des moments décisifs. Ces moments décisifs sont considérés comme un moment où tout a pu aller si bien ou où tout pouvait aller si mal. Nous vivons un moment comme celui-là. Le prochain siècle de l’histoire de l’humanité pourrait très bien être construit sur les mesures prises par les individus dans les mois à venir.
Agissez maintenant, car bientôt l'opportunité sera passée.
Si vous choisissez de traverser un moment aussi décisif en tant que lâche, ceux qui sont placés sous votre direction méritent au moins l'honnêteté de se faire dire que vous ne serez pas là pour eux.
Ils méritent cela.
J'espère que vous pourrez leur donner beaucoup plus, mais peut-être que tout le monde n'a pas cette capacité à sa disposition pour regarder un tel moment en face et se tenir debout.
Je ne saurais pas.
J'ai de nombreux défauts, mais la lâcheté n'en fait pas partie.
Je refuse de laisser des lâches autour de moi.
RépondreSupprimerJe préfère m'entourer de ceux qui ne sont pas d'accord avec moi sur 75 % des sujets, mais dont je sais qu'ils ont du courage, que de m'entourer de ceux qui sont d'accord avec moi à 95 % et qui sont remplis de lâcheté.
Un lâche sur lequel vous ne pouvez jamais compter.
Leur accord à 95 % est dans leurs paroles, mais lorsqu'ils sont mis sous pression, vous pouvez être certain qu'ils ne seront plus d'accord avec vous à 95 %. Leurs actions communiqueront tout ce que vous devez savoir à leur sujet.
Les jours qui ont suivi depuis les ides de mars 2020 nous ont dit qui sont les lâches et qui sont les hommes droits. A peine aurais-je pu demander un meilleur cadeau que la sagesse que ces jours-là ont apportée dans ma vie, alors que les plus bruyants et les plus francs sur le sujet de la vertu se recroquevillaient.
Il est rapidement devenu évident qui ils étaient. Aussi douloureux que cette réalisation ait pu être, cette clarté sur qui était un lâche et qui était courageux a vraiment été une bénédiction dans ma vie.
«Ce n’est qu’un masque facial», c’est quelque chose que seul un lâche ou une fouine vous dirait. «C'est juste un masque facial», est quelque chose qui ne sera dit que par quelqu'un qui cherche à minimiser le rôle du courage, le rôle de la bravoure, le rôle de la bravoure, le rôle de la sagesse dans le monde, quelqu'un qui cherche à vous convaincre d'un agenda qui ne vous offre aucun avantage.
Un masque facial en dit long. Il dit presque tout ce que vous devez savoir sur une personne. Parce que s'ils se recroquevillent, leurs paroles valent si peu. Si tout ce dont ils ont besoin est la bonne raison pour accepter les imprudents, alors leur sagesse signifie si peu.
Je me fiche de savoir si un homme est d'accord avec moi, mais je me soucie de savoir s'il est suffisamment épineux pour que ses actions correspondent à ses paroles.
Donnez-moi une table pleine d'hommes rassemblés autour qui sont d'accord avec moi sur un peu, mais dont les actions correspondent à leurs paroles, et je les échangerai contre une armée entière des plus doctrinaires qui manquent de courage. Je les échangerai contre tout un État libre plein des plus doctrinaires qui manquent de courage. Je les échangerai contre tout un pays plein des plus doctrinaires qui manquent de courage.
Que veux-tu être ?
Serez-vous une personne de foi ? Une personne de valeurs ? Une personne de frontières ? Une personne de courage ?
Ou serez-vous une personne de peur ? Une personne de préférence ? Une personne obéissante et flexible face au monde ? Une personne de lâcheté ?
Vous dites au monde tout ce qu'il doit savoir sur vous lorsque vous mettez ce masque facial.
Ne remettez jamais ce masque facial. Pas une fois de plus. Pas pour aucune raison. Laissons le passé derrière nous, mais à partir d'aujourd'hui, le masque doit faire partie de votre histoire. Lisez "" si vous ne savez pas comment procéder. Lisez mes écrits sur LewRockwell.com sur le sujet. Inscrivez-vous gratuitement aux pointeurs et vidéos de courrier électronique sur RealStevo.com. Plus important encore, tout ce dont vous avez vraiment besoin est de vous résoudre à ne plus jamais porter ce masque facial.
https://www.lewrockwell.com/2021/04/allan-stevo/face-masks-courage-is-family-your-excuse-for-cowardice-or-is-family-your-motivation-for-standing-upright/
Quand on explique à un enfant que le masque ne sert à rien et qu'il est hyper dangereux de le porter car il contient de la nano-technologie et prive les poumons de 30 % d'oxygène, il comprend. Quand on dit la même chose à un adulte il devient hystérique ! Né con il est resté con grâce aux merdias ! "Tuez-vous pour échapper à la mort" !!
SupprimerÉtude des décès dus au COVID-19
RépondreSupprimerPar Kieran Morrissey
16 avril 2021
Objectifs
Le but de cette étude n'est pas d'impressionner les universitaires avec des statistiques complexes ou de rechercher des évaluations favorables par les pairs, mais de démontrer au citoyen irlandais ordinaire et décent, dans les termes les plus simples possibles, comment les décès de 2020 COVID-19 revendiqués par NPHET chaque nuit sur RTE1 et publié sur le site data.gov.ie ne peut pas être vrai. À cette fin, je présenterai l'arithmétique et les graphiques de base, car je suis convaincu que chaque citoyen irlandais doit être pleinement informé de la fraude qui a été commise par le gouvernement irlandais, ses agents et les médias au profit d'intérêts particuliers pour terroriser le pays. population à se soumettre à ses mesures draconiennes de COVID en surestimant grossièrement les décès dus au COVID-19 en 2020.
Cette étude conclura que l'Irlande avait le taux de mortalité le plus bas en 2020 depuis 2012
introduction
C'est une obligation légale en Irlande que tout décès survenu dans l'État doit être enregistré et enregistré. Les registres des décès en Irlande sont conservés au General Register Office (GRO), qui est le dépôt civil central des registres relatifs aux naissances, mariages et décès en Irlande. Les décès doivent être enregistrés le plus tôt possible après le décès et au plus tard 3 mois. Le GRO estime qu'environ 80% des décès sont enregistrés dans cette période, mais de nombreux décès prennent plus de 3 mois, surtout si un décès est renvoyé au service du coroner, ces décès incluent les suicides, les morts violentes et plus récemment tous les décès COVID-19, ces décès peuvent ne pas être enregistrés pendant des mois ou des années après l'événement. Le GRO fournit des mises à jour régulières sur le nombre total de décès enregistrés le mois où ils sont survenus, mais en raison du retard dans les enregistrements, ils ne sont près d'être précis que six mois environ après le mois de survenance. En règle générale, ce décalage ne poserait pas de problème majeur car les données sur les décès sont principalement utilisées pour la recherche médicale, mais dans les catastrophes naturelles et les situations d'urgence sanitaire telles que la pandémie présumée de COVID-19, des données précises et à jour sur les décès sont essentielles. pour la planification et la mise en œuvre de réponses mesurées aux situations émergentes. Sans ces données actuelles sur les décès, les intérêts particuliers peuvent utiliser la désinformation pour sous-estimer ou exagérer les décès pour pacifier ou terroriser la population en général dans certaines actions ou inactions, c'est-à-dire la manipulation de masse ou l'hystérie.
Méthodologie
RépondreSupprimerAu cours des premiers stades de la prétendue pandémie de COVID-19 en 2020, un certain nombre d'universitaires irlandais financés par des fonds publics ont commencé à semer la peur dans les médias, y compris les médias parrainés par l'État, selon lesquels ils estimaient que des milliers de décès supplémentaires se produiraient en raison du COVID-19. Ces décès sont appelés «excédentaires» car ils sont supérieurs aux décès normalement attendus sur la base de la moyenne quinquennale précédente. Ces universitaires estimaient les décès par rapport aux avis de décès publiés sur le site Web RIP.ie. Antidotalement, les preuves que je recevais de la famille, des amis, des collègues de travail et mes propres observations dans le principal hôpital de Dublin où je travaille m'ont rendu sceptique quant au fait que le grand nombre de décès par COVID-19 signalés n'étaient pas en fait des décès excessifs et n'étaient pas au-dessus de la normale pour saisons grippales précédentes. En fait, janvier 2020 a eu une fréquence très faible de cas de grippe. J'ai commencé à regarder les avis de décès de RIP.ie et je ne pouvais pas voir comment les universitaires pouvaient prédire un nombre aussi élevé de décès. J'ai contacté les universitaires et discuté avec eux par e-mail, mais ils ont affirmé que la base de données RIP.ie qu'ils utilisaient était privilégiée et ne la partagerait pas avec moi, j'ai été amené à croire qu'ils avaient obtenu une base de données propriétaire des avis de décès de RIP. c'est à dire.
Plus tard en novembre 2020, j'ai pris connaissance d'une expérience menée par John Flanagan du Bureau central des statistiques (CSO) utilisant également les avis de décès de RIP.ie pour estimer le nombre total de décès survenus au cours des derniers mois. Le dernier communiqué de presse des OSC le 2 novembre 2020 concernant l'expérience de John qui s'est terminée en septembre m'a encouragé à examiner de plus près la possibilité d'obtenir des chiffres plus à jour sur les décès en utilisant les avis de décès de RIP.ie. J'ai développé un système automatisé pour obtenir les données requises à partir des avis de décès publiés sur le site Web RIP.ie, ainsi qu'une méthode pour supprimer ou «nettoyer» les avis de décès survenus en dehors de l'Irlande et dupliquer les avis. J'ai comparé mes estimations aux données mensuelles précédentes sur les décès de GRO / OSC remontant à 2014 et j'ai constaté qu'elles étaient aussi précises que John Flanagan l'avait trouvé au cours de son expérience.
Résultats
La comparaison sous forme de tableau entre les notes de décès que j'ai obtenues sur le site Web RIP.ie et nettoyées pour supprimer les décès survenus en dehors de l'Irlande et les notifications en double, et les données GRO / CSO publiées de 2014 à 2021 est présentée dans les tableaux 1 et 2. au dessous de.
Tableau 1
- voir graphique sur site -
Tableau 2
- voir graphique sur site -
Bien que l'on puisse constater qu'il existe des variations entre les données mensuelles et annuelles, les totaux pour les années 2014 à 2019 sont de 185741 pour RIP.ie et
Si l'on constate des variations entre les données mensuelles et annuelles, les totaux pour les années 2014 à 2019 sont de 185 741 pour RIP.ie et de 185 500 pour GRO / CSO, soit une différence de seulement 0,13%.
J'ai ensuite calculé la moyenne quinquennale précédente pour chaque mois 2018-2012 à partir des données du tableau 1 et du tableau 2, les décès excédentaires ont été calculés comme la différence entre la moyenne quinquennale précédente pour chaque mois et le total pour ce mois comme indiqué dans le tableau 3 ci-dessous. Les décès COVID-19 déclarés par NPHET et provenant de data.gove.ie sont également inclus dans le tableau 2 pour chaque mois de mars 2020 à mars 2020, il n'y a pas de décès COVID-19 fournis pour janvier et février 2020 et sont supposés être zéro.
RépondreSupprimerTableau 3
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Discussion
Comme le montre le tableau 3, les décès supplémentaires basés sur les données RIP.ie pour une année complète de janvier à décembre 2020 (en rouge) totalisent jusqu'à -103 alors que le total des décès déclarés par NPHET / data.gov.ie de Mar à décembre 2020 (en bleu) totalise jusqu'à 2167, une différence alarmante de 2270 décès. Il convient de noter que NPHET / data.gov.ie ne fournit pas de données sur les décès dus au COVID-19 en janvier et février 2020 et est donc supposé être nul. Si les décès COVID-19 déclarés par NPHET / data.gov.ie étaient causés par un nouveau virus, et qu'il n'y avait pas d'autres facteurs causant un excès de décès (comme une autre nouvelle maladie, la guerre, la famine, une catastrophe naturelle, etc.), alors le NPHET / data.gov.ie a déclaré que les décès dus au COVID-19 (ligne rouge continue) devraient correspondre étroitement à l'excédent de décès RIP.ie (ligne verte en pointillés) dans le graphique 1.
Afin d'analyser davantage les résultats, j'ai préparé le graphique 1 à partir de la moyenne sur 5 ans et de l'excès de décès calculés dans le tableau 3.
La saison grippale prévue peut être facilement identifiée à partir de la moyenne quinquennale indiquée dans les données du tableau 3 et du pic du graphique 1 en janvier 2020 -
3223 décès GRO / CSO (ligne bleue continue)
3224 décès RIP.ie (ligne violette pointillée)
La baisse de la mortalité excédentaire en janvier 2020 dans les données du tableau 3 et la baisse du graphique 1 -
- 266 décès GRO / CSO (ligne noire continue) et
- 339 décès RIP.ie (ligne verte pointillée)
indiquent que les décès qui se produiraient historiquement en janvier, souvent appelés «saison de la grippe», se produiront plus tard au cours de la même année, car ils se sont produits occasionnellement les années précédentes. Ces décès qui surviennent toujours à un moment de l'année sont retardés en raison de certains facteurs indéterminés en 2020.
Comme le montrent le nombre total de décès dans les données du tableau 3 et le pic du graphique 1 -
3216 décès GRO / CSO (ligne orange continue)
3235 décès RIP.ie (ligne jaune pointillée)
La «saison de la grippe» est passée de janvier à avril en 2020.
Le nombre de décès excessifs en avril 2020 est surligné en jaune dans les données du tableau 3 et comme indiqué par la pointe du graphique 3 indique où la saison de la grippe ou du COVID-19 s'est déplacée -
RépondreSupprimer992 décès GRO / CSO (ligne noire continue)
923 décès RIP.ie (ligne verte pointillée)
981 décès NPHET / data.gov.ie ont déclaré des décès COVID-19 (ligne rouge continue).
Curieusement, c'est le seul moment où les décès déclarés par COVID-19 correspondent aux décès excessifs GRO / CSO et RIP.ie.
Graphique 1
- voir graphique sur site -
La prochaine saison grippale prévue est à nouveau indiquée dans les données moyennes sur 5 ans du tableau 3 et le pic du graphique 1 janvier 2021 -
3216 décès GRO / CSO (ligne bleue continue)
3224 décès RIP.ie (ligne violette pointillée)
Cependant, le nombre total de décès dans les données du tableau 3 et le pic du graphique 1 en janvier 2021 est de -
3722 décès RIP.ie (ligne jaune pointillée), également plus élevé que le pic d'avril 2020 indiquant qu'un événement grave inexpliqué s'est produit et a augmenté le nombre de décès supplémentaires de -
487 décès RIP.ie (ligne verte pointillée) en janvier 2021, soit le même mois que la vaccination COVID-19 a été déployée dans les maisons de retraite irlandaises. Les données sur les décès de RIP.ie indiquent également que les décès survenus dans les maisons de retraite directement après le déploiement des vaccinations sont environ 500 plus élevés que la normale pour cette période.
Le nombre de décès déclarés par COVID-19 indiqué dans les données du tableau 3 et comme les deux points forts du graphique 3 en janvier et février 2021 indique une très grande exagération des décès par COVID -
1, 082 et 1045 décès NPHET / data.gov.ie (ligne rouge continue)
Par rapport au to -
487 et 301 décès excessifs RIP.ie (ligne verte pointillée) en janvier et février 2021
J'ai obtenu 50 enregistrements de décès survenus dans les maisons de soins infirmiers après la date prévue des vaccinations contre le COVID-19 et lorsque je les ai examinés, j'ai constaté que la majorité des décès avaient été enregistrés comme COVID-19 même s'ils se produisaient très peu de temps après la date prévue. dates de vaccination. Si les patients décédés étaient malades du COVID-19, ils n'auraient pas dû être vaccinés, sinon s'ils n'avaient pas de test PCR COVID-19 positif, il est très probable qu'ils soient décédés d'une réaction indésirable au COVID-19 expérimental. la vaccination et non la maladie COVID-19.
RépondreSupprimerLes décès totaux de GRO / OSC (ligne orange continue) et de décès supplémentaires (ligne noire continue) sont ignorés d'octobre à mars car ils diminuent, ce qui indique que le retard / retard dans l'enregistrement des décès est le plus grand plus près de l'heure actuelle causant un déficit dans les données de décès du GRO / CSO.
Si l'on constate des variations entre les données mensuelles et annuelles, les totaux pour les années 2014 à 2019 sont de 185 741 pour RIP.ie et de 185 500 pour GRO / CSO, soit une différence de seulement 0,13%.
J'ai ensuite calculé la moyenne quinquennale précédente pour chaque mois 2018-2012 à partir des données du tableau 1 et du tableau 2, les décès excédentaires ont été calculés comme la différence entre la moyenne quinquennale précédente pour chaque mois et le total pour ce mois comme indiqué dans le tableau 3 ci-dessous. Les décès COVID-19 déclarés par NPHET et provenant de data.gove.ie sont également inclus dans le tableau 2 pour chaque mois de mars 2020 à mars 2020, il n'y a pas de décès COVID-19 fournis pour janvier et février 2020 et sont supposés être zéro.
Tableau 3
- voir graphique sur site -
Discussion
Comme le montre le tableau 3, les décès supplémentaires basés sur les données RIP.ie pour une année complète de janvier à décembre 2020 (en rouge) totalisent jusqu'à -103 alors que le total des décès déclarés par NPHET / data.gov.ie de Mar à décembre 2020 (en bleu) totalise jusqu'à 2167, une différence alarmante de 2270 décès. Il convient de noter que NPHET / data.gov.ie ne fournit pas de données sur les décès dus au COVID-19 en janvier et février 2020 et est donc supposé être nul. Si les décès COVID-19 déclarés par NPHET / data.gov.ie étaient causés par un nouveau virus, et qu'il n'y avait pas d'autres facteurs causant un excès de décès (comme une autre nouvelle maladie, la guerre, la famine, une catastrophe naturelle, etc.), alors le NPHET / data.gov.ie a déclaré que les décès dus au COVID-19 (ligne rouge continue) devraient correspondre étroitement à l'excédent de décès RIP.ie (ligne verte en pointillés) dans le graphique 1.
Afin d'analyser davantage les résultats, j'ai préparé le graphique 1 à partir de la moyenne sur 5 ans et de l'excès de décès calculés dans le tableau 3.
La saison grippale prévue peut être facilement identifiée à partir de la moyenne quinquennale indiquée dans les données du tableau 3 et du pic du graphique 1 en janvier 2020 -
3223 décès GRO / CSO (ligne bleue continue)
RépondreSupprimer3224 décès RIP.ie (ligne violette pointillée)
La baisse de la mortalité excédentaire en janvier 2020 dans les données du tableau 3 et la baisse du graphique 1 -
- 266 décès GRO / CSO (ligne noire continue) et
- 339 décès RIP.ie (ligne verte pointillée)
indiquent que les décès qui se produiraient historiquement en janvier, souvent appelés «saison de la grippe», se produiront plus tard au cours de la même année, car ils se sont produits occasionnellement les années précédentes. Ces décès qui surviennent toujours à un moment de l'année sont retardés en raison de certains facteurs indéterminés en 2020.
Comme le montrent le nombre total de décès dans les données du tableau 3 et le pic du graphique 1 -
3216 décès GRO / CSO (ligne orange continue)
3235 décès RIP.ie (ligne jaune pointillée)
La «saison de la grippe» est passée de janvier à avril en 2020.
Le nombre de décès excessifs en avril 2020 est surligné en jaune dans les données du tableau 3 et comme indiqué par la pointe du graphique 3 indique où la saison de la grippe ou du COVID-19 s'est déplacée -
992 décès GRO / CSO (ligne noire continue)
923 décès RIP.ie (ligne verte pointillée)
981 décès NPHET / data.gov.ie ont déclaré des décès COVID-19 (ligne rouge continue).
Curieusement, c'est le seul moment où les décès déclarés par COVID-19 correspondent aux décès excessifs GRO / CSO et RIP.ie.
Graphique 1
- voir graphique sur site -
La prochaine saison grippale prévue est à nouveau indiquée dans les données moyennes sur 5 ans du tableau 3 et le pic du graphique 1 janvier 2021 -
3216 décès GRO / CSO (ligne bleue continue)
3224 décès RIP.ie (ligne violette pointillée)
Cependant, le nombre total de décès dans les données du tableau 3 et le pic du graphique 1 en janvier 2021 est de -
3722 décès RIP.ie (ligne jaune pointillée), également plus élevé que le pic d'avril 2020 indiquant qu'un événement grave inexpliqué s'est produit et a augmenté le nombre de décès supplémentaires de -
487 décès RIP.ie (ligne verte pointillée) en janvier 2021, soit le même mois que la vaccination COVID-19 a été déployée dans les maisons de retraite irlandaises. Les données sur les décès de RIP.ie indiquent également que les décès survenus dans les maisons de retraite directement après le déploiement des vaccinations sont environ 500 plus élevés que la normale pour cette période.
Le nombre de décès déclarés par COVID-19 indiqué dans les données du tableau 3 et comme les deux points forts du graphique 3 en janvier et février 2021 indique une très grande exagération des décès par COVID -
1, 082 et 1045 décès NPHET / data.gov.ie (ligne rouge continue)
Par rapport au to -
487 et 301 décès excessifs RIP.ie (ligne verte pointillée) en janvier et février 2021
J'ai obtenu 50 enregistrements de décès survenus dans les maisons de soins infirmiers après la date prévue des vaccinations contre le COVID-19 et lorsque je les ai examinés, j'ai constaté que la majorité des décès avaient été enregistrés comme COVID-19 même s'ils se produisaient très peu de temps après la date prévue. dates de vaccination. Si les patients décédés étaient malades du COVID-19, ils n'auraient pas dû être vaccinés, sinon s'ils n'avaient pas de test PCR COVID-19 positif, il est très probable qu'ils soient décédés d'une réaction indésirable au COVID-19 expérimental. la vaccination et non la maladie COVID-19.
Les décès totaux de GRO / OSC (ligne orange continue) et de décès supplémentaires (ligne noire continue) sont ignorés d'octobre à mars car ils diminuent, ce qui indique que le retard / retard dans l'enregistrement des décès est le plus grand plus près de l'heure actuelle causant un déficit dans les données de décès du GRO / CSO.
RépondreSupprimerLes décès déclarés par COVID-19 NPHET / data.gov.ie (ligne rouge continue) semblent également étrangement plus élevés que les décès en excès indiqués dans le graphique 1 par RIP.ie (ligne verte pointillée) et GRO / CSO (ligne noire continue) entre Juin et décembre 2020. Pour cette raison, j'ai produit un graphique 2 plus détaillé pour décembre 2020 à mars 2021 en utilisant les mêmes données RIP.ie, mais j'ai tracé les chiffres chaque semaine pour analyser cela de plus près.
Si le grand nombre de décès par COVID-19 déclarés par NPHET / data.gov.ie était causé par un nouveau virus, et qu'il n'y avait pas d'autres facteurs causant un excès de décès (comme une autre nouvelle maladie, la guerre, la famine, une catastrophe naturelle, etc. ), alors les décès COVID-19 déclarés par les décès NPHET / data.gov.ie (ligne rouge continue) devraient correspondre étroitement à l'excès de décès RIP.ie (ligne verte continue) dans le graphique 2, mais comme on peut le voir le COVID-19 les décès sont systématiquement plus élevés que les décès excédentaires du RIP.ie. On peut également voir à ce niveau de détail que le pic des décès déclarés par COVID-19 à la mi-avril 2020 était d'environ 200 décès plus élevé et 2 semaines plus tard que le pic réel de décès en excès indiqué par les avis de décès de RIP.ie.
Le NPHET / data.gov.ie a déclaré que les décès dus au COVID-19 (ligne rouge continue) dans le graphique 2 sont également une ligne très lisse comparée aux décès excédentaires fluctuants de RIP.ie (ligne verte en pointillés) qui seraient attendus pour les données hebdomadaires, ce donne l'impression que la ligne rouge n'est pas naturelle et fausse ou fabriquée.
Graphique 2
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Un argument qui a été soulevé par divers intérêts acquis est la possibilité que la privation de soins de santé pendant la prétendue pandémie ait augmenté d'autres causes de décès en 2020. Bien qu'il soit possible que cela se produise plus tard en 2020, je pense que ce serait très douteux que cela ait eu un effet au début de 2020, et si tel était le cas, cela prouverait en outre que les chiffres de décès COVID-19 étaient exagérés car ils auraient dissimulé des décès par privation de soins de santé afin que les décès excédentaires atteignent restent faibles.
D'autres intérêts particuliers affirment que les verrouillages ont réduit les décès dus à la grippe et les décès accidentels qui compensent les décès supplémentaires liés au COVID-19 et que cela explique pourquoi le nombre total ou excédent de décès n'est pas plus élevé en 2020. Je trouve que c'est une proposition difficile à accepter en tant qu'OSC Le résumé annuel des statistiques de l'état civil 2019 indique que les accidents n'ont représenté que 909 décès et même s'il n'y avait pas de décès accidentel en 2020, cela ne compenserait pas la différence de 2270 entre les décès déclarés par COVID-19 et les décès supplémentaires. Les décès dus à la grippe n'ont pas été identifiés dans les rapports précédents des OSC, car des tests tels que la PCR, n'ont pas été utilisés pour confirmer le diagnostic de grippe et ces décès ont été enregistrés comme des décès respiratoires. Les suicides ont été à l'origine de 421 décès en 2019 et on s'attend à ce qu'il y ait une augmentation substantielle de ces décès en raison de l'impact socio-économique des verrouillages et la privation de soins de santé augmentera également très probablement les décès pour des causes connexes. Pour donner un aperçu des nombres relatifs de décès dans les principales causes de l'IDC-10, et pour montrer à quel point ils varient d'une année à l'autre, ayant ainsi peu d'effet sur la moyenne quinquennale et sur les décès en excès, j'ai respecté le graphique 3 ci-dessous à partir des rapports annuels 2014-2019 des statistiques de l'état civil de l'OSC.
RépondreSupprimerGraph 3
- voir graphique sur site -
Conclusion
À présent, le décalage que j'ai décrit entre le NEPHET / data.gov.ie a déclaré les décès de COVID-19 et les décès officiels enregistrés par le GRO jusqu'en juin 2020 avec le RIP.ie a nettoyé les avis de décès d'ici à mars 2021. ne peut que vous amener à la même conclusion à laquelle je suis arrivé. C'est-à-dire que le NEPHET / data.gov.ie a affirmé que les décès dus au COVID-19 sont des décès de personnes âgées et de personnes atteintes de maladies sous-jacentes qui sont décédées normalement mais qui ont été frauduleusement classées comme COVID-19 par des intérêts particuliers à l'aide de tests PCR qui ont révélé que produisent un pourcentage élevé de faux positifs.
En outre, je conclus que les quelque 500 décès supplémentaires en janvier-février 2021 doivent être liés au déploiement des vaccinations dans ces maisons de soins infirmiers pendant cette période, et que les décès excessivement élevés au COVID-19 déclarés par NPHET / data.gov.ie en janvier-février 2021 sont conçus dans le seul but de permettre à ces décès d'être expliqués comme COVID-19 selon les registres de décès plutôt que comme des réactions indésirables aux vaccins.
Enfin, la santé d'une nation peut être rapidement évaluée en examinant ses taux de mortalité tendanciels exprimés en décès pour 1 000 habitants. J'ai préparé le tableau 4 ci-dessous à partir des rapports annuels des OSC, des données récentes mises à jour du GRO et des avis de décès de RIP.ie pour 2020.Le tableau montre que le taux de mortalité 2020 sera le plus bas depuis 2012, une indication claire qu'il n'y avait pas besoin de la masse l'hystérie créée par des intérêts particuliers qui ne pouvait pas être contestée en raison du manque de données actualisées et transparentes sur les décès de la part du Bureau central des statistiques.
Table 4
- voir graphique sur site -
References
All references are hyperlinked in blue in the report.
https://www.lewrockwell.com/2021/04/no_author/study-of-covid-19-deaths/
Des professeurs renommés expliquent les méfaits des verrouillages et les dangers de la censure
RépondreSupprimerPar Arjun Walia
Évolution collective
16 avril 2021
Ce qui s'est passé: président et cofondateur de Your Ontario Doctors et médecin de première ligne, le Dr Kulvinder Kaur, s'est récemment entretenu avec le Dr Richard Schabas, MD, ancien médecin-hygiéniste en chef de l'Ontario, Canada, le Dr Jay Bhattacharya, MD, PhD Professeur of Medicine à l'Université de Stanford, épidémiologiste, Dr Sunetra Gupta, PhD Professeur d'épidémiologie théorique à l'Université d'Oxford et Dr Martin Kulldorff, PhD, professeur de médecine à Harvard, épidémiologiste des maladies infectieuses. Bhattacharya, Gupta et Kulldorff ont été les initiateurs de la déclaration de Great Barrington.
Dans la vidéo ci-dessous, ils discutent des méfaits du verrouillage et du danger de la censure, ainsi que d'une voie à suivre. Tout au long de cette pandémie, de nombreuses études ont montré que les verrouillages ont été assez inefficaces pour arrêter la propagation du covid. Vous pouvez accéder à certaines de ces études et en savoir plus ici pour plus d'exemples et une discussion approfondie. J'ai également récemment publié un article sur deux scientifiques / épidémiologistes suédois de renom qui ont parcouru les données de l'UNICEF et de l'ONUSIDA, et sont parvenus à la conclusion que moins de personnes sont mortes en raison des restrictions à la lutte contre le covid que de la covid . Vous pouvez en savoir plus ici.
De toute évidence, comme vous le savez probablement déjà, il y a des informations des deux côtés de la médaille en ce qui concerne tout ce qui concerne les covid. Ce qui n’est pas de bon augure, cependant, c’est le fait qu’un côté n’est absolument pas reconnu, ignoré et censuré au sein du courant dominant. Certains experts ne se sont pas fait entendre et la discussion a été complètement fermée. Lorsque certaines informations, données / preuves ou opinions vont «à contre-courant» et acquièrent une sorte de «viralité», elles semblent alors fortement ridiculisées au sein du courant dominant et qualifiées de «théorie du complot». Il semble que les médias grand public ainsi que les autorités sanitaires gouvernementales ne souhaitent même pas avoir une discussion avec des experts qui s'opposent à leur récit. Ils continuent simplement à faire valoir leurs points de vue et leur perspective comme la vérité ultime.
Ce type de censure et toute la pandémie ont vraiment servi de catalyseur pour que les citoyens, médecins et scientifiques 'ordinaires' s'interrogent vraiment sur le type de monde dans lequel nous vivons actuellement, ainsi que sur les intentions du gouvernement et de la 'grande santé'. C'est une chose très encourageante à voir, mais ce qui est plus important, c'est que les gens ordinaires qui ne sont pas d'accord les uns avec les autres doivent vraiment commencer à faire preuve d'empathie les uns avec les autres.
RépondreSupprimerJ'ai décidé de partager la vidéo ci-dessous car, que vous soyez d'accord ou non, ce n'est pas important. Ce qui est important, c’est que tout le monde sur le terrain puisse partager son point de vue, ouvertement et librement, sans être soumis à la censure. Ce qui se passe pendant cette pandémie est tout à fait injuste, immoral, contraire à l’éthique et nuisible, c’est pourquoi il est si important de partager des discussions comme celle-ci.
À retenir: la société doit avoir des conversations controversées de manière significative. Nous n'allons nulle part en prenant des mesures autoritaires qui nuisent au bien-être de la société en général et à notre capacité à rester connectés en tant que communautés. La culture dominante s’attend à ce que tout le monde se rallie à l’idée que les «théories du complot» marginales sapent la vérité dans la société, mais la culture dominante ne veut pas assumer la responsabilité de son rôle dans ce phénomène via la censure et le favoritisme des entreprises.
En fin de compte, il est tout à fait clair que les choses concernant la pandémie ne sont pas aussi claires que les médias traditionnels le prétendent. Les verrouillages et autres mesures «autoritaires» prises par les gouvernements, bien que soutenus par de nombreuses personnes, sont également fortement opposés par de nombreuses personnes. Lorsque tel est le cas et que les choses ne sont pas aussi noires et blanches que ce qu’on prétend être, le gouvernement ne devrait-il tout simplement pas faire de recommandations et laisser les gens décider par eux-mêmes ? Devrions-nous vraiment leur donner l’autorité de mettre en place les mandats qu’ils ont quand il en résulte des conséquences aussi énormes et quand on ne sait même pas s’ils (les mandats) sont efficaces ?
Les gens veulent s'épanouir, ils sont fatigués de se voir constamment remettre le petit bout du bâton alors que les riches s'enrichissent. Il ne faut pas longtemps pour regarder avec les yeux ouverts et voir que le gouvernement ne travaille pas pour servir les gens autant que nous aimerions le penser.
RépondreSupprimerReprinted with permission from Collective Evolution.
https://www.lewrockwell.com/2021/04/no_author/renowned-professors-explain-the-harms-of-lockdowns-the-dangers-of-censorship/
La Chine prépare-t-elle un yuan adossé à l'or: Pékin autorise l'achat de milliards de dollars en lingots
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 16 AVR 2021 - 09:31
En 2018, les Chinois ont lancé un contrat à terme sur le pétrole, adossé à l'or et libellé en yuan. Ces contrats étaient évalués en yuans, mais convertibles en or, laissant espérer que «la hausse du petroyuan pourrait être un coup fatal pour le dollar».
Il y a deux semaines, le FMI a annoncé que la part mondiale des réserves de change libellées en dollars américains était tombée à 59,0% au quatrième trimestre, selon les données COFER du FMI publiées aujourd'hui. Cela correspondait au creux de 25 ans de 1995.
Et la semaine dernière, la Chine est devenue la première grande économie à libérer une monnaie numérique de la banque centrale, "consolidant son statut de pionnier dans les monnaies virtuelles bien avant les autres pays, après avoir déjà récemment expérimenté des essais à grande échelle de paiements réels par les consommateurs, ce qui était rencontré des résultats mitigés. "
La semaine dernière également, Peter Thiel a averti que "le Bitcoin devrait également être considéré en partie comme une arme financière chinoise contre les États-Unis ... Il menace la monnaie fiduciaire, mais il menace surtout le dollar américain."
- voir graphique sur site -
Tout cela prépare le terrain pour les gros titres qui ont frappé ce matin, alors que Reuters rapporte que la Chine a autorisé les banques nationales et internationales à importer de grandes quantités d'or dans le pays,
La Banque populaire de Chine (PBOC), la banque centrale du pays, contrôle la quantité d'or qui entre en Chine grâce à un système de quotas accordés aux banques commerciales. Il laisse généralement entrer suffisamment de métal pour satisfaire la demande locale, mais restreint parfois le débit.
Ces dernières semaines, il a autorisé l'entrée de grandes quantités de lingots, selon les sources.
"Nous n'avions pas de quotas depuis un certain temps. Maintenant, nous les obtenons ... le plus depuis 2019", a déclaré une source de l'une des banques qui acheminent de l'or en Chine.
Environ 150 tonnes d'or d'une valeur de 8,5 milliards de dollars aux prix actuels devraient être expédiées, selon quatre sources. Deux des sources ont déclaré que les lingots seraient expédiés en avril. Deux autres ont déclaré qu'il atteindrait la Chine en avril et mai.
La nouvelle a fait monter les prix de l'or (en USDollars) ...
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
La taille des expéditions marque le retour spectaculaire de la Chine sur le marché mondial des lingots. Depuis février 2020, le pays a en moyenne importé de l'or d'une valeur d'environ 600 millions de dollars par mois, soit environ 10 tonnes, selon les données des douanes chinoises.
En 2019, ses importations s'élevaient à environ 3,5 milliards de dollars par mois, soit environ 75 tonnes.
Est-ce juste la prochaine étape en Chine en voyant l'écriture sur le mur du dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale ...
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... et ouvrir la voie à un yuan adossé à l'or ?
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Comme l'écrivait Alasdair Macleod l'année dernière, la Chine peut échapper au sort d'un effondrement du dollar en liant le yuan à l'or. De toutes les grandes économies, la Chine est la mieux placée pour mettre en œuvre une solution monétaire solide.
Avec tout son or, en le monétisant, la Chine pourrait tuer le dollar demain. Sans aucun doute, cette option financièrement nucléaire est devenue la toile de fond de sa stratégie dans la guerre commerciale et financière en cours contre l'Amérique. Mais l'idée qu'en utilisant ce pouvoir incontestable sur le dollar, la Chine remporte une victoire simple si par ses actions le dollar est détruit sous-estime une situation plus complexe. Ce n’est pas dans l’intérêt de la Chine à bien des égards, notamment parce qu’elle détient environ 3,4 billions de dollars, dont seulement 1,5 billion de dollars sont investis dans les bons du Trésor, les agences, les entreprises et la dette à court terme aux États-Unis. Le solde est activement utilisé pour financer des prêts aux fournisseurs de produits de base de la Chine, à ceux qui participent aux initiatives de la ceinture et de la route et à d’autres États avec lesquels la Chine souhaite exercer une influence.
Détruisez le dollar et le poids de la Chine dans le monde est également détruit, car seule une petite proportion de l’influence de la Chine sur les prêts est en renminbi. En ce sens, si le dollar s'effondre, l'Amérique gagne un avantage géopolitique sur la Chine, ses moyens d'influence internationale sont paralysés. Les dirigeants chinois seront parfaitement conscients des conséquences de la chute du dollar et ne feront donc rien pour l’encourager. En effet, si le dollar entame son effondrement sur les changes, on pourrait voir la Chine interpeller de plus en plus la Fed sur ses politiques inflationnistes. Mais alors, le problème de la Fed est et continuera d’être une incapacité à mettre fin à sa dépendance à l’inflationnisme illimité.
Malheureusement, une crise bancaire est intégrée dans le scénario, ce qui aura des effets fondamentaux sur toutes les monnaies fiduciaires, certaines plus que d'autres. Et comme les opérations bancaires internationales sont essentiellement une affaire de dollar, après une courte pause, les conséquences ne manqueront pas de peser lourdement sur elle en tant que monnaie de réserve. Ce déroulement du cycle de crédit est une catégorie 5 par rapport à la catégorie 2 ou 3 de 2008-2009. Ce n’est qu’après un tel cataclysme que la Chine n’aura pas d’autre choix que d’abandonner toute tentative de soutien du dollar et de ses moyens d’acquérir une influence à l’étranger. La Chine devra alors sécuriser sa propre monnaie.
RépondreSupprimerCela nécessitera un retour au soutien en or - l'option nucléaire évitée jusqu'à présent. Bien que le coût annule des milliards de dollars et ses moyens de garantir une influence à l'étranger, il y aura un vide monétaire à combler. Et la compensation se trouvera dans une augmentation de la valeur des stocks de lingots déclarés et non déclarés de la Chine, ainsi que dans l’enrichissement de ses détenteurs d’or.
Il n’est manifestement pas dans l’intérêt géopolitique actuel de la Chine d’introduire un étalon-or qui sape ou détruit le dollar. Pour cette raison, la Chine ne le fera qu'une fois qu'il sera clair que le dollar est aux premiers stades d'un effondrement inflationniste inévitable et que le risque de voir le yuan baisser avec lui doit être évité de toute urgence. Peut-être, à mesure que le programme Biden / MMT devient plus clair, une réévaluation des perspectives du dollar et du piège de la dette de la hausse des taux d’intérêt qui se profile sur les gouvernements occidentaux est susceptible de déterminer le moment.
Peut-être que la numérisation du yuan est le «contrôle» dont la Chine a besoin pour permettre cette transition ?
Il ne fait aucun doute que le passage à un yuan-or aura un effet profond sur les monnaies fiduciaires restantes. Un court laps de temps entre l'annonce de ces plans et leur mise en œuvre sera nécessaire pour que les marchés s'adaptent. Il est probable que les monnaies fiduciaires subissent une pression à la baisse sur leur pouvoir d'achat, et la Chine doit être considérée comme protégeant ses propres intérêts en retournant à une monnaie saine et en ne sapant pas délibérément le dollar.
D'autres nations, en particulier celles d'Asie, suivront probablement la Chine dans la mise en œuvre de leurs propres normes d'échange d'or, et toutes les nations seront alors confrontées à un choix difficile: s'accrochent-elles à leurs États-providence et à leurs difficultés croissantes à les financer, ou stabilisent-ils leurs devises ? Si la Chine adopte un standard d'échange de l'or approprié, elle neutraliserait toute la puissance géopolitique de l'Amérique, que l'Amérique lui emboîte le pas ou non.
Peut-être que Peter Thiel a raison ... et le bitcoin est le cheval de Troie pour attaquer le dollar et faire place à un yuan adossé à l'or ?
https://www.zerohedge.com/markets/china-readying-gold-backed-yuan
Le directeur de CNN se vante: «Nous avons sorti Trump»… la prochaine chose est le changement climatique
RépondreSupprimerProject Veritas fait un excellent travail, attrapant des admissions sincères en privé des vrais jeux de pouvoir et de la corruption en cours.
April 16th, 2021
«Regardez ce que nous avons fait. Nous [CNN] avons fait sortir Trump »
Le directeur technique de CNN, Charlie Chester, admet sur bande, lors d'une discussion privée, que ce qu'ils font est de la propagande, et il pense à 100 % que si ce n'était pas pour CNN, «je ne sais pas que Trump aurait été rejeté». «Je ne pense vraiment pas».
Il était concentré sur la démission de Trump, ce n'était pas seulement une tendance politique, c'était sa raison d'être: «Je suis venu à CNN parce que je voulais en faire partie. "
CNN est donc l'endroit où les lobbyistes politiques se font payer pour pousser les résultats des élections vers le président qu'ils veulent personnellement.
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Le changement climatique vient ensuite. «Ce sera le prochain Covid. Ils pourront traire cela pendant un bon moment. "
h / t ClimateDepot
MISE À JOUR: Twitter voit sa concurrence exposée, et un moyen pour Twitter de se mettre au centre du débat mondial sur l'actualité,… et ..O… annule et interdit immédiatement le projet Veritas. Protéger CNN et / ou Biden est plus important que d'élargir son propre public ?
Il est clair que Twitter est une machine politique avec des objectifs similaires à CNN. Ils bénéficient tous du Big-Government. Aucun d’entre eux ne sert leur public, et ils ne veulent pas que le public le sache. Evidemment, ils ont d'autres maîtres…
James O’Keefe, le fondateur de l’organisation de journalisme d’investigation Project Veritas, a été définitivement mis sur liste noire par Twitter, au moment même où son organisation publie des images infiltrées montrant des employés supérieurs de CNN admettant avoir utilisé de la «propagande». @Project_Veritas, le compte officiel de l'organisation, a également été suspendu.
Dans un commentaire à Breitbart News, une porte-parole de Twitter a déclaré que la suspension était permanente. Cela vient directement après qu'O’Keefe et Project Veritas ont publiquement embarrassé le réseau d'information d'extrême gauche CNN.
Dans une déclaration, O’Keefe a promis de poursuivre Twitter: «Je poursuis Twitter pour diffamation parce qu’ils ont dit que moi, James O’Keefe,« exploitais de faux comptes. C'est faux, c'est diffamatoire et ils paieront. L'article 230 les a peut-être protégés auparavant, mais il ne les protégera pas de moi. La plainte sera déposée lundi. »
RépondreSupprimerLe pouvoir, le profit et l'idéologie vont tous dans la même direction. Pratique, hein ?
h / t Murray Shaw et RicDre
https://joannenova.com.au/2021/04/cnn-director-brags-we-got-trump-out-the-next-thing-is-climate-change/