- ENTREE de SECOURS -



jeudi 29 avril 2021

CAMOUFLAGE NÉCESSAIRE FACE AUX MILLIONS DE CAMERAS ESPIONNES

 

40 commentaires:

  1. Après cette vidéo choc vous ne pourrez plus jamais faire confiance aux femmes

    19:58 08.07.2018

    Pensez-y à deux fois avant de dire qu’une femme est belle: cette vidéo révélatrice montre les astuces des femmes pour être belles… au point que l’on ne les reconnaît plus sans maquillage. Âmes sensibles s'abstenir.
    Cette vidéo largement relatée sur plusieurs réseaux sociaux montrant les «métamorphoses» des femmes asiatiques a fait le tour du monde en devenant virale.

    Vous saurez désormais comment font ces créatures malines pour être belles et recueillir les compliments d'hommes béats d'admiration.

    5 conseils scientifiques pour produire une première impression idéale

    Le clip en question montre plusieurs adolescentes chinoises en train de se démaquiller… et il est quasiment impossible de les reconnaître avant et après cette opération. Le nez idéal, le visage mince, les sourcils parfaits, les cils ultra-longs: rien n'est impossible pour celle qui sait se servir des produits cosmétiques.

    Le changement radical de ces jeunes Asiatiques peut impressionner n'importe qui et surtout dérouter, sans penser au nombre d'heures que nécessitent quotidiennement ces transformations.

    Alors, est-ce que vous pourrez encore faire confiance aux femmes après avoir constaté une telle tricherie ?

    https://www.youtube.com/watch?time_continue=71&v=WDqBZuC4-W4

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  2. Big Brother et le principe de précaution


    Rémy Mahoudeaux
    Boulevard Voltaire
    jeu., 29 avr. 2021 16:59 UTC


    Il est normal de présenter un passeport valide pour franchir une frontière. Certains pays exigent même un visa qui indique que vous avez entamé une démarche préalable pour obtenir l'autorisation d'entrer sur leur sol. Parfois, il faut, de plus, produire un carnet de vaccination qui attestera d'une supposée immunité face à des maladies présentes et craintes dans le pays de destination.

    La fièvre jaune en Afrique subsaharienne ou équatoriale est un exemple. C'est la liberté d'un État souverain de conditionner à une démarche prophylactique l'accès à son territoire. Ce principe de précaution est vertueux : il permet d'éviter la dissémination géographique de la maladie lors du séjour et du retour du voyageur.

    Il y a aussi des principes de précautions qui seraient nauséabonds. Pensez aux questionnaires relatifs à votre sexualité quand vous donnez votre sang : l'homosexuel devrait s'astreindre à 4 mois d'abstinence avant la date du don quand les hétérosexuels ne doivent se limiter qu'à 4 mois avec un seul partenaire. « Discriminations ! » hurlent des associations LGBT (pas toutes) qui portent le combat à la CEDH.

    Le Covid-19 a haussé le principe de précaution à un niveau fondamental, absolu. Lui ont été sacrifiées nos libertés de circuler, de travailler, de commercer, de se réunir et même de penser et de s'exprimer si vos idées et propos sont dissidents. Certes, un égalitarisme forcené (confiner tout le pays quand seulement quelques régions sont dans le rouge) a été promu, mais pas au point d'éradiquer, parfois, les sauteries dans les ministères et les mairies. Quant à la fraternité, peut-elle encore se manifester derrière un masque ?

    Le monde d'après se prépare. L'application TousAntiCovid a beau être un flop, elle devrait servir pour héberger le passeport sanitaire qui contiendra le certificat de vaccination et les résultats des récents tests de dépistage. La CNIL a édicté ses recommandations : contrôle par l'utilisateur, existence d'une alternative papier, exactitude et limitation stricte aux seules données nécessaires, interdiction de stockage par le destinataire, sécurité. Le secret médical est transformé en variable d'ajustement. Bien sûr, un système infalsifiable nous est promis et les opérateurs étatiques respecteront les règles et la sécurité des données sera garantie... toutes les précautions seront prises. En principe.

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  3. Le gouvernement va user, jusqu'au 31 octobre au moins, de ses pouvoirs exceptionnels. Il pourra imposer les occurrences où le contrôle des statuts sérologiques ou immunitaires des personnes par un agent privé ou public sera possible, via cette application ou non. Big Brother is watching you !

    Se posent alors deux questions qui dérangent et auxquelles chacun apportera sa réponse.

    Subordonner l'accès à des lieux ou des services à un statut vaccinal ou à un état sérologique est-il compatible avec une démocratie où la liberté de circuler serait effective ? Malgré les Dr Philippulus qui se succèdent depuis plus d'un an sur les écrans pour nous promettre une apocalypse sanitaire si nous ne nous soumettons pas à leurs diktats, le Covid-19 est-il une maladie assez grave pour justifier un tel renoncement ?

    Quelle confiance est-il encore possible d'accorder à un gouvernement qui a tant menti et tant failli dans tous les domaines de cette crise sanitaire ?

    En d'autres termes, faut-il mettre en berne le principe de précaution ?

    Je laisse André Comte-Sponville conclure : « Ne sacrifiez pas l'amour de la vie à la peur de la mort. »

    https://fr.sott.net/article/37115-Big-Brother-et-le-principe-de-precaution

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    1. L'interdiction de se déplacer ne touche pas les virus sans frontières qui font le tour de la Terre au gré des vents mais est uniquement réservée à l'information. L'information par téléphone est filtrée, brouillée, censurée comme les posts sur Internet, tandis que la mémoire d'une personne passe frontière ! C'est donc elle qu'il faut empêcher de se répandre et d'informer en d'autres pays

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  4. L'Union européenne s'adapte à l'ère du numérique


    Alexandre Lemoine
    mondialisation.ca
    jeu., 29 avr. 2021 15:03 UTC


    Un projet de loi de l'Union européenne vise à réguler strictement l'utilisation de l'IA à identification biométrique à distance.

    Mercredi 21 avril, la Commission européenne a présenté le premier projet de loi mondial complexe consacré au durcissement et à la régulation détaillée des systèmes d'intelligence artificielle (IA), notamment à reconnaissance faciale. L'UE répartira les technologies d'IA en fonction du niveau de risque pour la sécurité, pour la vie et les droits des citoyens, et limitera significativement ou interdira l'usage des technologies si celles-ci représentaient un risque élevé. Ces initiatives de l'UE sont avancées sur fond de leur application massive par les autorités des pays comme la Chine et d'autres, et de vif débat public sur le politiquement correct et la légalité de leur utilisation dans les pays tels que les États-Unis.

    Ces initiatives de l'Union européenne sont soumises au public, au Parlement européen et aux pays membres de l'Union européenne. En cas de leur approbation, elles seront directement applicables sur tout le territoire de l'Union européenne. L'élément clé du projet de loi est la répartition des systèmes d'IA en fonction du niveau de risque pour la sécurité, pour la vie et les droits des citoyens.

    L'utilisation de systèmes d'IA à risque trop élevé sera interdite en UE. Il s'agit notamment des systèmes ou applications d'IA qui manipulent le comportement humain pour priver les utilisateurs de leur libre arbitre (par exemple, des jouets utilisant une assistance vocale incitant des mineurs à avoir un comportement dangereux) et des systèmes qui permettent la notation sociale par les États : la modélisation du comportement humain ou sa classification à l'aide d'une analyse par l'IA du comportement sur les réseaux sociaux en utilisant les informations telles que le poids, l'âge, le sexe, le poids, l'apparence, le lieu de naissance ou de résidence, le lieu de travail, la fonction, etc.

    Il est proposé d'appliquer des restrictions sévères et un contrôle rigoureux aux systèmes d'IA à haut risque avant que de tels systèmes n'arrivent sur le marché. L'Union européenne propose d'y attribuer tous les systèmes à identification biométrique à distance; l'évaluation automatique de la solvabilité d'un citoyen susceptible d'influencer la décision de lui refuser un prêt; les technologies d'IA utilisées dans le domaine du maintien de l'ordre, qui sont susceptibles d'interférer avec les droits fondamentaux des personnes, par exemple, la vérification de la fiabilité des éléments de preuve.

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  5. En parlant de systèmes à identification biométrique à distance, le projet de loi précise que l'application de tels systèmes doit être soumise à des exigences strictes. Par exemple, lorsque cela est strictement nécessaire pour rechercher un enfant disparu, prévenir une menace terroriste spécifique et imminente ou détecter, localiser, identifier ou poursuivre l'auteur ou le suspect d'une infraction pénale grave. Sachant que l'utilisation de ces systèmes doit alors être autorisée par une instance judiciaire ou un autre organe indépendant et est soumise à des limitations appropriées concernant la durée et le lieu.

    L'Union européenne suggère de considérer des systèmes d'IA auxquels s'appliquent des obligations spécifiques en matière de transparence, lorsqu'ils utilisent des systèmes d'IA tels que des chatbots, comme des systèmes à risque limité. De tels systèmes doivent être régulés de sorte que les utilisateurs reçoivent des informations suffisantes et sachent qu'ils communiquent avec une machine afin de pouvoir décider en connaissance de cause de poursuivre ou non cette communication.

    Il est proposé d'attribuer aux systèmes à risque minime les jeux vidéo ou les filtres anti-spam reposant sur l'IA. Le projet de règlement ne prévoit pas d'intervention dans ce domaine.

    Ce projet de loi de l'UE pour l'évaluation complexe des risques et le règlement strict des systèmes d'IA, notamment en ce qui concerne l'identification biométrique à distance, est présenté sur fond de débats enflammés concernant la légalité de l'utilisation de telles technologies dans différents pays et d'inquiétude grandissante des militants des droits de l'homme à cet égard. Les systèmes de reconnaissance faciale sont notamment répandus en Chine, qui est dans l'ensemble connue pour une utilisation active des technologies pour surveiller et observer les citoyens.

    D'après IHS Markit, 176 millions de caméras sont déjà installées en Chine, et d'ici 2022 leur nombre augmentera jusqu'à 2,76 milliards. En 2018, la Chine représentait pratiquement la moitié de l'ensemble du commerce pour la reconnaissance faciale. Les compagnies chinoises vendent activement de tels systèmes à l'étranger, notamment au Zimbabwe, à l'Ouganda, au Kazakhstan, à l'Australie, à la Birmanie, ce qui a été qualifié par certains militants des droits de l'homme d'« exportation de l'autoritarisme ». Les habitants de la Chine sont préoccupés par cette situation.

    Silkie Carlo, directrice de l'organisation britannique des droits de l'homme Big Brother Watch, a qualifié les systèmes de reconnaissance faciale, indépendamment de leur sophistication, d'« instrument parfait d'oppression », et d'ajouter qu'au pire des cas « vous pourriez vous retrouver dans une société où vous n'avez aucune chance à l'anonymat. »

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  6. Les autorités de certains pays et régions sont également devenues méfiantes de telles technologies ces derniers temps. Plusieurs Etats américains ont déjà interdit leur utilisation avec la Californie en tête, qui a instauré en septembre 2020 un moratoire de trois ans sur l'usage de tels systèmes par la police et par d'autres services publics.

    L'un des auteurs du projet de loi, la vice-présidente exécutive pour une Europe adaptée à l'ère du numérique Margrethe Vestager a noté que
    « en établissant les normes, nous pouvons ouvrir la voie à une technologie éthique dans le monde entier [...] Nos règles s'appliqueront lorsque c'est strictement nécessaire: quand la sécurité et les droits fondamentaux des citoyens de l'Union sont en jeu ».
    Plus tôt, elle avait déjà souligné que « l'IA doit être au service des gens, c'est pourquoi son application doit toujours correspondre aux droits de l'homme ».

    Commentaire : L'expérience du Covid-19 nous démontre clairement que les Droits de l'Homme ne sont pas toujours respectés.

    https://fr.sott.net/article/37112-L-Union-europeennes-adapte-a-l-ere-du-numerique

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  7. SIGNATURE ÉLECTRONIQUE : LA SOLUTION FIABLE ET SÉCURISÉE INCONTOURNABLE AU SERVICE DES PARCOURS DIGITALISÉS


    par WILLIAM BALDARI
    01/05/2021


    66 % des Français apprécient particulièrement les gains de temps opéré par la signature électronique.

    Grâce à sa capacité à garantir l'intégrité des documents signés et l'authentification des signataires, la signature électronique est un véritable gage de sécurité pour les entreprises, notamment pour leurs services juridiques. Elle est aujourd'hui très largement répandue dans tous les secteurs d'activités et le contexte lié à la crise sanitaire, avec la nécessité de travailler à distance, renforce cette tendance de fond. Intégrité d'un document, authentification du signataire, conservation dans le temps… le point sur les éléments clés que doivent garantir une solution efficace de signature électronique au sens juridique.
    La signature électronique est un procédé fiable d'identification permettant de lier un acte dont l'intégrité est garantie à une personne dûment identifiée : le signataire 1.

    Signature électronique et intégrité : dans le détail du procédé
    Avant toute chose, rappelons que l'intégrité est définie comme l'État de quelque chose qui a conservé son état originel sans avoir été modifié.

    Dans tous les procédés de signature électronique, l'intégrité est techniquement assurée au moment de sa réalisation, par un procédé cryptographique d'horodatage qui permet de garantir l'intégrité et l'authenticité du document à une date et heure précises et que celui-ci n'a pas été modifié depuis cette date. Lorsque l'horodatage est qualifié au sens du règlement européen eIDAS2, la date, l'heure et la survenue du traitement ainsi que l'intégrité du document ne sont plus contestables.

    Une fois le document signé, il doit être conservé dans des conditions de nature à en garantir son intégrité dans le temps. Il s'agit là d'une condition essentielle. Un problème peut néanmoins parfois apparaître lorsqu'un document signé doit être conservé pour des durées très longues. En effet, il est possible que les technologies et les algorithmes permettant de garantir la sécurité technique d'un horodatage électronique ne soient plus en mesure d'assurer ces mêmes garanties en raison de progrès technologiques.

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  8. Il convient alors de se prémunir sur le très long terme des évolutions technologiques qui sont susceptibles de compromettre la démonstration de fiabilité d'une preuve électronique.

    Cette garantie peut être apportée de plusieurs façons :

    Le document signé est stocké dans un Coffre-fort Électronique (répondant par exemple aux exigences de la Norme AFNOR NF Z42-020 en France) permettant l'archivage à valeur légale. Il permet notamment d'assurer que le document déposé est bien celui d'origine lorsqu'il en est extrait. Le document signé est conservé dans des conditions lui permettant de recevoir à date régulière un horodatage complémentaire permettant d'étendre dans le temps la fiabilité de l'intégrité constatée à la date de signature initiale (conservation à valeur probatoire se référant aux normes ETSI EN 319 142-1).
    Vérification de l'identité du signataire : différents niveaux de signatures adaptés selon les besoins
    Le règlement eIDAS est à l'origine de trois niveaux de signature : simple, avancée et qualifiée. Par ailleurs, la pratique commerciale a vu naître un quatrième niveau, avancé avec certificat qualifié.

    En fonction du niveau de signature la garantie de l'identité du signataire est plus ou moins forte.

    La signature électronique simple est émise sans qu'il n'existe de contrôle sur l'identité du signataire. L'identité du signataire et les informations relatives (numéro de téléphone, adresse email) sont renseignées par la personne souhaitant lui faire signer le document. Elles sont souvent communiquées en amont par le futur signataire sur une base déclarative.

    Ce niveau de signature est recommandé pour les actes dont la probabilité de répudiation est faible. Il peut également être utilisé dans les parcours clients intégrant, indépendamment des opérations de signature, des mécanismes de contrôle de vérification d'identité renforcés des futurs signataires (processus de KYC).

    La signature avancée repose quant à elle sur des moyens d'identifications renforcés. En effet, celle-ci nécessite la création d'un certificat personnel (une carte d'identité électronique permettant d'identifier le signataire et de lier cette identité à une paire de clés cryptographiques). Les informations présentes dans ce certificat sont renseignées par la personne demandant la création du certificat et leur exactitude est vérifiée par l'autorité de certification sur la base de la pièce d'identité envoyée par le signataire. Le niveau d'identification est dans ce cas plus fiable.

    Lors d'une signature avancée avec certificat qualifié, le certificat émis nécessite l'envoi d'un document d'identité et un face-à-face entre le futur titulaire du certificat et l'opérateur d'enregistrement. Ce dernier pourra ainsi vérifier que la personne en face d'elle est bien la même que sur le document d'identité et que les informations s'y trouvant sont exactes. Le certificat émis est alors dit « qualifié ».

    Enfin, la signature qualifiée, qui est le niveau le plus élevé au sens du règlement eIDAS, est établie au moyen d'un certificat qualifié et d'un dispositif qualifié de création de signatures. Elle bénéficie d'une présomption de fiabilité3 en droit français en application du décret du 28 septembre 20174, ce qui entraîne un renversement de la charge de la preuve : la personne remettant en cause l'identité d'un signataire devra alors prouver qu'elle n'est pas la vraie.

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  9. Les effets juridiques de la signature électronique
    Lorsque la signature électronique est finalisée, elle manifeste alors le consentement de l'auteur identifié aux obligations de l'acte dont le contenu a été accepté et ne peut être contesté dans son intégrité.

    L'article 25 du règlement eIDAS prévoit que tous les autres niveaux de signatures restent recevables en justice, à la charge pour la personne produisant ce document signé d'en démontrer la fiabilité du procédé notamment en matière d'identification de l'auteur ou d'intégrité du document signé.

    Cela est beaucoup plus simple lorsque le document a été signé via la plateforme d'un Prestataire de Services de Confiance qualifié (PSCO) qui présente des garanties renforcées en permettant notamment :

    de vérifier l'identité du signataire lorsqu'un certificat est délivré dans le cadre des opérations de signature ; de produire toute information concernant les documents signées pour alimenter le faisceau de preuves en cas de litige ou de contentieux ; d'assurer la fiabilité du procédé technique de signature qui doit se conformer à des normes techniques, organisationnelles et de sécurité strictes imposées par le Règlement eIDAS.
    Notons que la signature électronique qualifiée est la seule équivalente à une signature manuscrite d'un point de vue légal (article 25 du Règlement eIDAS)5. Elle reste paradoxalement celle qui est la moins utilisée dans le monde des affaires en raison de son coût et de la complexité qu'elle induit dans le cadre de son intégration dans un parcours client.

    Simple, avancée ou qualifiée… tout le monde reconnaît aujourd'hui les vertus de la signature électronique. Ainsi, pourquoi s'en priver ? La signature électronique, l'essayer c'est l'adopter !

    ……………………

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  10. 1 Les fondements légaux : L'article 1366 du Code civil dispose que « l'écrit électronique a la même force probante que l'écrit sur support papier, sous réserve que puisse être dûment identifiée la personne dont il émane et qu'il soit établi et conservé dans des conditions de nature à en garantir l'intégrité ». L'article 1367 du Code civil dispose quant à lui que « la signature nécessaire à la perfection d'un acte juridique identifie son auteur. Elle manifeste son consentement aux obligations qui découlent de cet acte. Lorsqu'elle est électronique, elle consiste en l'usage d'un procédé fiable d'identification garantissant son lien avec l'acte auquel elle s'attache. La fiabilité de ce procédé est présumée, jusqu'à preuve contraire, lorsque la signature électronique est créée, l'identité du signataire assurée et l'intégrité de l'acte garantie, dans des conditions fixées par décret en Conseil d'État. » 2 Règlement (UE) n ° 910/2014 du Parlement européen et du Conseil du 23 juillet 2014 sur l'identification électronique et les services de confiance pour les transactions électroniques au sein du marché intérieur et abrogeant la directive 1999/93/CE. 3 Article 288-1 du code de procédure civile : « Lorsque la signature électronique bénéficie d'une présomption de fiabilité, il appartient au juge de dire si les éléments dont il dispose justifient le renversement de cette présomption ». 4 Le décret n°2017-1416 du 28 septembre 2017 relatif à la signature électronique précise les caractéristiques techniques du procédé permettant de présumer la fiabilité de la signature électronique créée. La fiabilité d'un procédé de signature électronique est ainsi présumée lorsque ce procédé met en œuvre une signature électronique qualifiée. Cette dernière est définie par renvoi au Règlement européen n°910/2014 du 23 juillet 2014 dit « eIDAS ». 5 eIDAS Article 25 : 1.L'effet juridique et la recevabilité d'une signature électronique comme preuve en justice ne peuvent être refusés au seul motif que cette signature se présente sous une forme électronique ou qu'elle ne satisfait pas aux exigences de la signature électronique qualifiée. 2.L'effet juridique d'une signature électronique qualifiée est équivalent à celui d'une signature manuscrite. 3.Une signature électronique qualifiée qui repose sur un certificat qualifié délivré dans un État membre est reconnue en tant que signature électronique qualifiée dans tous les autres États membres.

    http://www.economiematin.fr/news-signature-electronique-securite-digital

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    1. Comme pour la reconnaissance par l'iris des yeux, votre identité (empreinte) est liée à votre portable lié lui-même aux nano-particules arrivées dans votre organisme (par chemtrails, injection d'expérimentation létale appelée faussement 'vaccin', contenues en masques et respirées) qui se regroupent en morgellons (antenne relais). L'autre jour un docteur disait que toutes les personnes vaccinée aujourd'hui seraient mortes à l'automne.

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  11. JUS DE FRUITS, SMOOTHIES, INFUSIONS... : 56% DES BOISSONS ONT UN NUTRI-SCORE D


    par ANTON KUNIN
    28/04/2021


    La « Mini fruity boisson saveur exotique » 20cl de marque Carrefour a une teneur en fruits et légumes de seulement 12%.

    La majorité des boissons industrielles (jus de fruits, smoothies, infusions glacées, eaux aromatisées…) sont très mauvaises sur le plan nutritionnel. 56 % d’entre elles affichent un Nutri-Score D, nous apprend l’association Consommation, Logement, Cadre de Vie (CLCV).

    Aucune boisson industrielle n’a un Nutri-Score A

    On le sait : les boissons vendues en bouteilles ne sont pas bonnes pour la santé. Mais pourquoi exactement, et à quel point ? Selon l’association Consommation, Logement, Cadre de Vie (CLCV), qui s’est penchée sur la question, la majorité des boissons qu’elle a étudiées ont un Nutri-Score D (56%). 24 % des boissons sont notées C, 14% sont notées B et 6 % sont notés E. Aucune boisson ne se trouve dans la première classe du Nutri-Score (A). La seule boisson notée A est... l’eau !

    Pourquoi ces mauvaises notes ? Il y a deux raisons à cela. Les jus de fruits et smoothies sont très sucrés. Ils contiennent en moyenne 10g de sucre pour 100ml, et seulement 83g de fruits. Les boissons ayant une faible teneur en sucre contiennent en revanche beaucoup d’additifs. Il s’agit d’édulcorants et d’arômes.

    Un jus industriel ne remplace pas un fruit

    Alors, fini, le jus qui remplacerait la consommation d’un fruit ? Hélas, oui. « Les jus de fruits, quels qu’ils soient, sont très sucrés et pauvres en fibres et ne sont pas considérés comme une des 5 portions de fruits et légumes recommandées par jour. Si vous en buvez, il est recommandé de ne pas en consommer plus d’un verre par jour et de prendre alors plutôt un fruit pressé », met en garde l’association CLCV.

    Les boissons pour enfants, habituellement présentées dans de petits formats de 20 ou 25cl, sont elles aussi à bannir. Elles sont majoritairement classées D ou E sur l’échelle du Nutri-Score, soit les plus mauvaises notes. Elles contiennent beaucoup de sucre, parfois jusqu’à l’équivalent de 3 morceaux de sucre pour une brique de 20cl. Par ailleurs, elles contiennent souvent peu de fruits (en moyenne 30%), et de nombreux additifs (en moyenne 3), nous apprend CLCV.

    http://www.economiematin.fr/news-jus-smoothies-infusions-glacees-eaux-aromatisees-nutriscore-qualite-nutritionnelle

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    1. Comme tout ce qui est vert est de la merde, l'étiquette verte est posée sur la merde (c'est plein de vitamines !).

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  12. TROTTINETTES ET AUTRES ENGINS ÉLECTRIQUES : ALERTE AU RISQUE D'INCENDIE


    par PAOLO GAROSCIO
    30/04/2021


    Débrider un EDPM entraîne une amende de 135 euros.

    La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a publié, le 29 avril 2021, un communiqué pour donner une nouvelle fois l’alerte concernant la sécurité des engins motorisés électriques qui se multiplient sur les routes de France, particulièrement en ville : ils risquent de prendre feu ou d’électrocuter l’utilisateur !

    16 engins analysés… 16 engins jugés non-conformes (8 dangereux)

    Dans le cadre de ses enquêtes réalisées en 2019, la DGCCRF s’est une nouvelle fois intéressée aux EDPM, les engins de déplacement personnel motorisés électriques. Trottinettes, hoverboards ou encore monoroues en font partie, et déjà en 2018 des contrôles avaient pointé du doigt de nombreuses irrégularités. Pas étonnant que les agents de la direction des fraudes s’y soient à nouveau intéressés. À juste titre…

    Car si, comme l’explique la DGCCRF dans son communiqué, elle a ciblé « les produits potentiellement les moins sûrs (à savoir notamment des produits d’entrée de gamme et/ou ayant pu être signalés comme potentiellement dangereux à l’occasion d’une plainte) », elle n’a pas été déçue : tous ont été jugés non conformes.

    Sur les 16 engins analysés, 8 ont même été qualifiés de « dangereux », soit un sur deux. Et de ces 8 EDPM dangereux, 4 ont été soit rappelés et retirés du marché.

    Les EDPM présentent un risque d‘incendie ou de choc électrique

    Les principaux risques qui menacent les utilisateurs de ces engins, selon la DGCCRF, sont le risque de choc électrique « liés à une tension de décharge trop élevée » mais également un risque d’incendie du fait d’une mauvaise résistance à l’humidité : l’eau s’infiltre alors dans le système électrique produisant un court-circuit qui peut déboucher sur l’incendie de l’engin. Mais ce n’est pas tout : sur certains EDPM, un dysfonctionnement du système de commandes a également été identifié.

    Pour les futurs acheteurs, la répression des fraudes prodigue quelques conseils, dont le premier est celui de vérifier que le produit a bien reçu la certification « CE » qui garantit le respect des normes de qualité et sécurité en vigueur dans l’Union européenne.

    La DGCCRF rappelle également à tous les utilisateurs que pour utiliser ces EDPM ils « doivent disposer d’une assurance responsabilité civile ». Cette dernière st généralement incluse dans l’assurance habitation ou d’autres assurances du ménage, mais il convient de s’informer auprès de son assureur de l’étendue des garanties concernant les EDPM.

    http://www.economiematin.fr/news-trottinette-epdm-danger-incendie-dgccrf

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    1. Comme pour les voitures électrique Tesla, la batterie trop sollicitée (moteur !) prend feu. C'est normal. Il y a déjà eu des téléphones portables qui prenaient feu.

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  13. Fin des cookies tiers dans Chrome : Google veut-il vraiment votre bien ?

    La fin des cookies tiers dans Google Chrome est vendue comme une protection de votre vie privée. La réalité est bien plus machiavélique.


    Par Alexis Vintray.
    30 AVRIL 2021


    Google et Apple ont fait récemment parler d’eux avec des promesses de protection de la vie privée (ou plutôt de la privacy) des internautes. Le premier avec l’annonce de la fin des cookies tiers dans le navigateur Chrome en 2022, le second avec l’App Tracking Transparency qui donne davantage de contrôle aux internautes sur le tracking de leurs activités sur internet.

    Des objectifs apparemment louables, mais qui sont loin de l’être quand on creuse un peu. Explications dans une série de deux articles, en commençant par Google.

    LA FIN DES COOKIES TIERS DANS GOOGLE CHROME

    Les cookies tiers n’ont pas la cote sur Internet. Ces petits fichiers déposés par les sites Internet lors de votre navigation permettent à des sociétés indépendantes du site concerné de récupérer quelques informations sur votre historique de navigation. Entre autres pour personnaliser votre publicité. C’est ce qui permet au Monde, par exemple, de vous afficher de la publicité pour la paire de chaussures sur laquelle vous avez tant salivé sur le site de Sarenza plus tôt ce matin.

    Ces cookies tiers sont ce qui depuis les débuts d’Internet permet l’existence d’un écosystème gratuit, fondé sur la publicité. Mais ils sont aussi critiqués à juste titre pour le temps de chargement qu’ils peuvent prolonger, ou pour des sujets de protection de la vie privée ; même si la donnée est agrégée et non nominative.

    L’annonce de Google en 2020 de mettre fin au support des cookies tiers dans son navigateur Chrome pourrait donc être perçue comme éminemment louable et bien intentionnée. Clairement, la réalité n’est pas si rose…

    GOOGLE, FACE TU PERDS, PILE JE GAGNE

    Il est pourtant plus que permis de douter de l’aspect bien intentionné de la démarche. Google entend à la place pousser sa solution « FLoC », du ciblage par cohortes d’internautes aux mêmes intérêts, solution gérée au niveau du navigateur au lieu des cookies tiers. Et qui contrôle voire domine le marché des navigateurs ? Google…

    Dit autrement, à la place d’une solution de cookies tiers, imparfaite mais non contrôlable par Google, la société pousse une solution dont le navigateur a le contrôle, navigateur dont le marché est contrôlé par… Google à 70 % 1.

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  14. Vous avez dit hasard ?

    Semblant donner raison aux craintes d’abus de cette mainmise sur le marché, le géant américain s’est fait prendre la main dans le sac en avril 2021 selon les accusations de l’antitrust américain. Grâce à un projet secret, le Project Bernanke, Google aurait utilisé la donnée des sites Internet utilisant ses solutions « pour récolter des centaines de millions de dollars chaque année en privilégiant ses propres annonces publicitaires à l’insu des éditeurs et des annonceurs qui n’avaient aucune connaissance de ce projet » (résumé de nos confrères de Frandroid). Face aux annonces, le porte-parole de Google a déclaré : « nous sommes impatients de faire valoir notre cause devant les tribunaux. »

    Les autorités de la concurrence ne s’y sont pas trompées en tout cas, annonçant que la décision de Google sur les cookies tiers était dans le périmètre de l’enquête pour pratiques anticoncurrentielles sur le marché des technologies publicitaires (adtech) :


    LA DONNÉE PROPRIÉTAIRE, ARME SECRÈTE DE GOOGLE

    En alternative aux cookies tiers, Google réaffirme dans le même post de blog cité précédemment l’importance de la donnée propriétaire (1st Party Data vs 3rd Party Data) pour faire du ciblage publicitaire. Donc de la donnée collectée directement par l’éditeur du site internet, sur son propre site.

    Du bon sens, non ? Mais là encore, qui mieux que Google peut collecter de l’information, par sa présence dans trois téléphones sur quatre dans le monde via Android, ou par la myriade de ses services officiellement gratuits mais pour lesquels l’accès est payant ? Malgré les annonces, ne vous attendez donc pas à ce que Google cesse de vous pister, comme le note fort justement le Platform Law Blog.

    À l’inverse, la multitude de petits2 sites qui constituent l’internet ouvert (Open Internet) et où le contenu est produit n’ont que peu de chances de pouvoir tirer profit de cette data propriétaire, par manque d’échelle suffisante.

    Un constat qui n’a rien de neuf comme le note Bloomberg, mais qui ne devrait pas s’améliorer dans ce contexte, et renforcer la progression du payant et des paywalls sur les sites produisant du contenu. Ou de manière plus pessimiste faire continuer la chute de la production de contenus de qualité sur Internet.

    UNE RÉGLEMENTATION INADAPTÉE VOIRE NUISIBLE

    Face à ces enjeux majeurs qui dépassent le simple cadre économique les autorités de réglementation semblent dépassées voire contre-productives.

    On pourrait bien sur parler du RGPD, qui vous oblige à accepter quelques dizaines de bandeaux insupportables chaque jour. Une réglementation qui en outre fait le jeu de Google ou de Facebook, qui ont accès à de la donnée propriétaire sans besoin de cookies, via vos comptes nominatifs.

    Pire, la CNIL en France se montre extrêmement dure dans son interprétation du RGPD. Elle impose par exemple la possibilité de refuser d’un clic tout cookie. Mais cette interprétation ne s’impose qu’aux acteurs français, et pas aux grandes plateformes américaines ; celles-ci sont supervisées par l’équivalent irlandais de la CNIL, la DPC, accusée depuis toujours d’être très laxiste envers Google et alii.

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  15. Résultat : une nouvelle fois, la réglementation aboutit à favoriser les quasi-monopoles (Google, Facebook, Twitter, etc.) et fragiliser les petits acteurs en difficultés financières tels que la presse française ou tout acteur de l’internet libre.

    Plus inquiétant d’un point de vue libéral, la CNIL s’est positionnée clairement contre les cookie walls, c’est-à-dire la possibilité pour le propriétaire d’un site d’interdire l’accès à son site à quelqu’un qui refuserait tout cookie. Sachant qu’un trafic sans cookie génère des revenus publicitaires 10 fois moindre, c’est une décision qui vient mettre sérieusement en péril les finances des médias indépendants. Et là encore, c’est une décision qui ne s’applique… qu’aux acteurs français. Alfred Jary serait heureux au royaume d’Ubu !

    Le Conseil d’État a modéré les ardeurs réglementaires de la CNIL sur le sujet, mais celle-ci continue d’afficher aujourd’hui encore sa détermination à réglementer sur le sujet sur son site…

    ALORS COMMENT NE PAS DONNER TOUT À GOOGLE ?

    Si la protection de votre vie privée vous importe, vous aurez compris que le salut viendra de vous et non du législateur. La première des choses à faire est de nettoyer les informations que Google a sur vous. Et il en a beaucoup. Vraiment beaucoup. Voir un mode d’emploi (en anglais) ici.

    Surtout, vous pouvez passer à un navigateur non contrôlé par le géant de Mountain View. Par exemple Firefox. Et dans Firefox, vous pouvez installer la très pratique extension Google container, qui limite Google aux onglets dans lesquels vous êtes sur des sites de Google, mais l’empêche de vous suivre sur n’importe quel autre site. L’extension existe aussi avec le même fonctionnement pour Facebook.

    Et bien sur, ne pas hésiter à soutenir la presse de qualité que vous souhaitez voir perdurer, comme Contrepoints, qui a cruellement besoin de votre soutien…

    À lire aussi :

    Unpacking Google’s latest blog post on web tracking, revue détaillée des annonces de Google sur les cookies tiers sur le Platform Law Blog
    A suivre : Apple protège-t-il vraiment votre vie privée comme il le dit ?

    dont Chromium qui est derrière Microsoft Edge) ↩
    Même des sites comme Le Figaro ou Le Monde en France n’ont pas l’échelle suffisante, et ne peuvent exister qu’à travers l’alliances d’éditeurs, comme Gravity ↩

    https://www.contrepoints.org/2021/04/30/396343-fin-des-cookies-tiers-dans-chrome-google-veut-il-vraiment-votre-bien

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  16. PÉNURIES ? ET SI C'ÉTAIT VOULU ? ET SI CE N'ÉTAIT QUE LE DÉBUT ?


    par CHARLES SANNAT
    26/04/2021


    Certaines pièces électroniques ont vu leur prix grimper de 700%.

    Pénuries de ceci ou de cela, c’est un mot que vous entendez de plus en plus, c’est également un sujet fondamental que je chronique régulièrement pour la simple et bonne raison que cela va jouer significativement sur le plan économique, sur nos perspectives de « reprise », et, bien évidemment sur notre quotidien.
    Mais d’où viennent ces pénuries ? Comment se forment-elles ? Quelles en sont les causes, seront-elles durables ?

    Je souhaite soumettre ici l’hypothèse que ces pénuries s’inscrivent également dans le cadre d’une grande guerre commerciale et pour le leadership mondial qui oppose la Chine, les Etats-Unis et l’Europe.

    Il y a plusieurs types de pénuries.
    Toutes les pénuries ne se valent pas et il y a différentes typologies.

    Pénuries de demande, pénuries pandémiques, pénuries logistiques, pénuries normatives, et pénuries géopolitiques.

    La plus grave me semble la pénurie géopolitique où les matières premières, les terres rares et les ressources servent de moyens de pression.

    Il est fort probable que nous assistions au premier round d’une bataille pour le leadership mondial avec la Chine qui joue ses cartes pour conserver sa position d’exportatrice, qui monétise ses ressources qu’elle ne souhaite plus brader à vil prix, un vil prix aussi bien économique (avec un nouveau partage de la valeur ajoutée) qu’un vil prix environnemental, puisque l’occident au sens large a aussi délocalisé en Chine et en Asie sa pollution pour se parer dans un habit écolo/bobo vertueux mais totalement faux-cul.

    Les bicyclettes comme les trottinettes polluent là-bas, pour être propres ici.

    http://www.economiematin.fr/news-penuries-produits-guerre-commerciale-chine-occident-sannat

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  17. Pass sanitaire : « On crée une sorte de nouvel ordre moral sanitaire au détriment de toutes nos valeurs »


    Victor Lefebvre
    jeu., 29 avr. 2021 14:45 UTC


    Emmanuel Macron et Jean Castex ont tous deux reconnu l'arrivée imminente d'un «pass sanitaire». Si ce document serait dans un premier temps dévolu aux voyages, certains craignent qu'il soit ensuite étendu à la vie de tous les jours. Au micro, l'avocat Thibault Mercier fustige la stratégie «non démocratique» empruntée par le gouvernement.

    La perspective d'un sésame vaccinal se rapproche à grands pas. À l'occasion d'un échange en visioconférence avec des maires, ce mardi 27 avril, Emmanuel Macron a reconnu que le gouvernement planchait sur la création d'un « pass sanitaire », lequel serait utilisé non pas «pour la vie quotidienne, mais pour les grands événements». Si le chef de l'État indique qu'un « test de contrôle négatif » est une option possible en plus de la vaccination, l'avocat Thibault Mercier ne se fait guère d'illusion sur la démarche envisagée par l'exécutif. Le cofondateur du Cercle droit et liberté, un réseau de juristes, tacle au micro :
    « Le gouvernement a choisi de manière non démocratique que la seule voie vers une sortie de crise serait le vaccin. »
    En théorie, l'État pourrait imposer la vaccination à tous les citoyens si le motif de «santé publique» était retenu. Thibault Mercier rappelle :
    « Les libertés sont publiques et pas seulement individuelles: elles doivent être prises dans leur dimension collective. »
    Or, pour notre interlocuteur, le fait que « le consensus scientifique » ne soit « pas atteint sur la vaccination obligatoire pour tout le monde » devrait inviter les gouvernants à la plus grande prudence. Le juriste précise :
    « Le Conseil d'État a décidé en mai 2019 qu'on pouvait rendre la vaccination obligatoire si cela permettait d'atteindre l'immunité collective. Pourtant, au vu des débats scientifiques actuels, on ne sait pas si ces vaccins contre la Covid-19 permettront d'atteindre cette immunité collective. Juridiquement, l'obligation vaccinale paraît donc assez limite et pourrait manquer de proportionnalité. »
    Un passeport vert en attendant le pass sanitaire ?

    Prolongation de l’état d’urgence, pass sanitaire: la folie liberticide du gouvernement toujours en marche ?

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  18. Quoi qu'il en soit, l'exécutif a franchi une nouvelle étape en vue de l'élaboration d'un passeport sanitaire en se dotant des outils juridiques indispensables à sa mise en œuvre. Ce mercredi 28 avril, le gouvernement a ainsi présenté un projet de loi « relatif à la gestion de la sortie de crise sanitaire ». Au cœur du texte se trouve l'instauration d'un passeport vert. Certes, le terme n'est pas employé explicitement dans le projet de loi. Mais celui-ci permet au Premier ministre d'imposer à toute personne souhaitant voyager « à destination ou en provenance » de la France la présentation d'un certificat de vaccination, d'un test négatif ou d'un document attestant une contamination antérieure au Covid-19. À l'issue du Conseil des ministres, Jean Castex a présenté ce document comme
    « un nouvel outil auquel nous allons donner un fondement législatif et qui s'inscrit dans une initiative européenne. Il vise les déplacements pour rentrer ou pour sortir du territoire national : son contenu peut être les tests, la vaccination ou toute preuve que l'on n'est pas porteur du virus. »
    Bien sûr, il n'est pas encore formellement question d'un pass sanitaire. Lequel s'appliquerait à l'intérieur du territoire afin de permettre l'accès à certains commerces, aux bars ou aux restaurants par exemple. Toutefois, une telle perspective semble loin d'être écartée. Le Premier ministre l'a d'ailleurs reconnu à demi-mots lors de sa conférence de presse. Il a aussi précisé :
    « Y aura-t-il d'autres usages ? Nous devons en débattre dans le cadre de la stratégie de réouverture que le Président de la République va présenter, pour l'accès à de grands événements sportifs ou culturels par exemple. C'est le Parlement qui aura le dernier mot s'agissant de ces sujets. C'est un élément de sécurité qui touche à nos libertés fondamentales, il est donc normal que le législateur s'en saisisse. »

    « Il faudrait surtout qu'il y ait un débat démocratique »

    De là à imaginer qu'il faudra se faire tester avant de prendre un café en terrasse ? Thibault Mercier prévient :
    « Vu l'année qui vient de s'écouler, j'ai peu d'espoir dans un futur respect des droits des Français par le gouvernement. Étant donné la culpabilisation et la peur qui ont été utilisées dans cette crise, il est possible que cette nouvelle restriction de nos libertés soit mise en place sans que les citoyens ne se révoltent. »

    Et l'avocat de fustiger :
    «Toute mesure est forcément attentatoire à nos libertés à partir du moment où elles sont restreintes. L'important est de comprendre pourquoi celles-ci sont restreintes: depuis un an, on crée une sorte de nouvel ordre moral sanitaire qui fait que la santé des plus vieux est devenue l'objectif à atteindre, quoi qu'il en coûte, au détriment de toutes les valeurs qui font notre société. »
    Au niveau européen, le passeport vaccinal n'a en tout cas plus rien de chimérique depuis que la Commission européenne a officialisé la création d'un « certificat vert numérique » destiné à conditionner les déplacements au sein de l'UE. Le document devrait être opérationnel dès juin prochain. Reste à savoir si chaque État membre pourra également décider de son usage à l'intérieur de ses frontières, pour l'accès à certains lieux par exemple. Thibault Mercier répond :
    « La France a encore la souveraineté de décider elle-même ce qu'il se passe sur son territoire en ce qui concerne ce pass sanitaire. Il faudrait une loi. Mais, surtout, il faudrait qu'il y ait un débat démocratique ! C'est ce qui est demandé par les Français, d'ailleurs. »

    https://fr.sott.net/article/37110-Pass-sanitaire-On-cree-une-sorte-de-nouvel-ordre-moral-sanitaire-au-detriment-de-toutes-nos-valeurs

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    1. (...) il faudrait qu'il y ait un débat démocratique ! C'est ce qui est demandé par les Français, d'ailleurs. » (...)

      HAHAHAHA ! Un 'débat démocratique'... en dictature !!! HAHAHAHA !

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  19. Le maire de Paris soutient les chefs militaires qui ont menacé de prendre le contrôle de Macron pour inaction face à l'islam radical


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 29 AVR 2021 - 21h30


    Un maire de Paris qui a été élevé dans un foyer musulman pieux par des parents immigrés algériens a jeté son soutien derrière une lettre controversée des chefs militaires actuels et anciens qui ont déclaré que si rien n'est fait contre les politiques «laxistes» sur l'islam radical, il faudrait intervention de nos camarades en service actif dans une périlleuse mission de protection de nos valeurs civilisationnelles. "

    Rachida Dati, maire du 7e arrondissement de Paris, a déclaré que les préoccupations exprimées dans la lettre à Emmanuel Macron étaient valables.
    "Ce qui est écrit dans cette lettre est une réalité", a déclaré la maire Rachida Dati du 7ème arrondissement de Paris à la radio France Info. "Quand vous avez un pays en proie à la guérilla urbaine, quand vous avez une menace terroriste constante et élevée, quand vous avez des inégalités de plus en plus flagrantes et flagrantes ... nous ne pouvons pas dire que le pays se porte bien."

    "L'heure est grave, la France est en péril", lit-on dans la lettre, ajoutant que ne pas agir contre les "hordes de banlieue" entraînerait une "guerre civile" et des morts "par milliers".

    La lettre a été signée par des centaines de soldats à la retraite, dont 20 généraux à la retraite, ainsi que par plusieurs membres actifs de l'armée - dont 18 doivent être licenciés, a confirmé jeudi le chef des forces armées du pays, selon le Daily Mail.

    Le général de corps d'armée Christian Piquemal, 80 ans, était le principal signataire des 20 généraux à la retraite qui ont soutenu la lettre. Il est photographié lors d'un rassemblement anti-islam à Calais en 2016.

    "La police est devenue une cible pour les terroristes", a déclaré Dati, 55 ans, qui a été ministre de la Justice sous Nicolas Sarkozy de 2007 à 2009. Ses propos font suite au coup de couteau mortel la semaine dernière d'une policière dans le quartier sud-ouest parisien de Rambouillet. Le suspect, un ressortissant tunisien, avait regardé des vidéos de propagande djihadiste avant l'attaque.

    "J'ai peur que la police s'effondre un jour", a poursuivi Dati, ajoutant "Et si elles craquent, nous allons bien au-delà de la désintégration de la société."

    Les commentaires de Dati interviennent alors que le chef de la défense français, François Lecointre, a qualifié la lettre de «absolument révoltante», ajoutant des signataires en service actif: «J'espère que leur retraite automatique sera décidée».

    "Il s'agit d'une procédure exceptionnelle, que nous lançons immédiatement à la demande du ministre des Armées", a-t-il ajouté. "Ces officiers généraux passeront chacun devant un conseil militaire supérieur. A l'issue de cette procédure, c'est le président de la République qui signe un décret les expulsant."

    Le gouvernement du président Macron a fermement condamné la lettre, qui a été publiée à l'occasion du 60e anniversaire d'un coup d'État manqué par des généraux opposés à l'octroi par la France de l'indépendance à l'Algérie, son ancienne colonie nord-africaine.

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  20. Le Premier ministre Jean Castex a déclaré que la lettre de personnalités militaires était «contre tous nos principes républicains, d'honneur et du devoir de l'armée».

    Et Florence Parly, la ministre de la Défense, a déclaré: «C'est inacceptable. Il y aura des conséquences, naturellement.

    Les soldats à l'origine de la lettre seraient tous des militants anti-immigration ayant des opinions racistes et des liens étroits avec le Rassemblement national (Rassemblement national) d'extrême droite.

    Le signataire principal était Christian Piquemal, 80 ans, qui commandait la Légion étrangère française avant de perdre ses privilèges d'officier à la retraite après avoir été arrêté alors qu'il participait à une manifestation anti-islam en 2016. -Daily Mail

    Soutenant les signataires, Marine Le Pen, la dirigeante du Rassemblement National, a écrit en réponse à la lettre: "Je vous invite à vous joindre à nous pour prendre part à la bataille à venir, qui est la bataille de France."

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/paris-mayor-backs-military-chiefs-who-threatened-seize-control-macron-over-inaction

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  21. La nécessité de réglementer les grandes technologies - Partie 1: Protéger les gens contre les manipulations pernicieuses


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 29 AVR 2021 - 19:50
    Rédigé par Bill Blain via MorningPorridge.com,


    «Le ciel est un but et un principe. Le purgatoire est papier et procédure. L'enfer, ce sont les règles et la réglementation. »

    Nous avons eu une flopée de résultats Big Tech spectaculaires cette semaine, mais le moment est-il venu de les réguler plus étroitement pour éviter un comportement de plus en plus monopolistique, et pour protéger la population de l'effet pernicieux de la manipulation du big data? C’est autant un argument sur le rôle de l’État que sur le succès des entreprises. Il y aura des gagnants et des perdants.

    Comme toujours, il se passe beaucoup de choses sur les marchés, mais la série de superbes résultats technologiques a été vraiment spectaculaire. De nombreuses entreprises de technologie ont réussi à naviguer dans la pandémie, à vendre des travailleurs ennuyés de la FMH et à obtenir un succès fulgurant. Profitons de ce moment pour réfléchir à la question difficile de savoir comment devrions-nous valoriser la technologie et devrait-elle être réglementée de manière plus approfondie?

    À la hausse, une nouvelle valeur et une croissance économique sont créées à partir de nouvelles idées créant une nouvelle demande et de nouveaux marchés. L'invention mène à l'innovation - c'est pourquoi tout le monde est tellement excité par le potentiel d'adoption rapide de l'IA, de la réalité virtuelle, de l'impression 3D, de la viande sans viande, de la robotique, des systèmes autonomes des drones aux voitures et de toutes les autres choses merveilleuses que nous lisons. dans le nouvel espace technologique. Les entreprises se négocient sur des multiples extraordinaires en fonction de leur potentiel perçu - et sont souvent exagérées.

    Dans la réalité réelle (par opposition au virtuel), ces idées sont souvent des solutions brillantes à la recherche de problèmes; ils prennent du temps, des efforts et empruntent de nombreux chemins erronés sur la voie de la monétisation. Nous le voyons à plusieurs reprises dans les misérables profits négatifs générés par tant de licornes technologiques qui ont tant promis. Certaines choses fonctionnent. Beaucoup non.

    Il n'y a rien de mal avec le processus d'adoption de Tech. Les énormes récompenses personnelles que les entrepreneurs technologiques peuvent se faire sont l'une des principales raisons pour lesquelles l'Occident est si innovant. Qu'elle soit encouragée longtemps.

    En revanche, certaines Big Tech - la plupart de celles qui prospèrent le plus grâce à la monétisation des données - ont été extrêmement rentables. Leur succès crée une série complètement différente de dilemmes de sentiments moraux, comme Adam Smith l'a peut-être dit.

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  22. D'où doivent venir les limites de la Big Tech ?
    On a dit que l’objectif de chaque entrepreneur était de devenir un monopole et de récolter des bénéfices semblables à ceux d’un monopole. Le but des législateurs est d'éviter que cela se produise. La surveillance réglementaire des bénéfices n’est pas une option intéressante pour les investisseurs qui ont financé l’entrepreneur sur la base qu’il obtiendrait des rendements de type monopolistique.

    Les résultats de Google en début de semaine ont été spectaculaires. Si spectaculaires qu'ils ont fait craindre la perspective de nouveaux gouvernements / interventions pour freiner les machines à gagner de l'argent Big Tech. Le succès de Google (personne ne l'appelle Alphabet) est venu du fait de la pandémie qui a stimulé le nombre d'utilisateurs, la publicité sur le Web, YouTube et l'action a atteint un nouveau record avec un plan de rachat d'actions de 50 milliards de dollars - que trouverait-il d'autre avec un géant de la technologie? son argent, en plus d'acheter la technologie de voiture sans conducteur de Waymo et de construire plus de centres de données?

    Facebook a affiché un battement sur les revenus et 26 milliards de dollars de revenus grâce à une augmentation de 30 % des revenus publicitaires et à une augmentation du volume des publicités. Mes pages Facebook sont maintenant à 80 % des publicités pour des tapis de bureau en cuir, des cuisines extérieures, des luminaires, des meubles scandinaves, des rangements de vin et tout le reste. Elle-qui-est-Mme-Blain et moi avons cherché sur Google pendant que nous rénovons la maison. J'utilise à peine la chose. Mes enfants n'y touchent pas. Facebook gagne près de 10 $ pour chaque utilisateur grâce aux revenus publicitaires.

    Amazon rapporte plus tard dans la journée, et cela ressemble à un autre grand gagnant en raison de l'augmentation des ventes pandémiques, du manque de concurrence dans les rues principales en raison des verrouillages, de sa domination croissante et de la flotte de destroyers impériaux qu'il prévoit d'utiliser pour héberger les livraisons de drones ... . (Ok .. mais bientôt ..)

    Apple est différent. Il vend de vraies choses, et les lecteurs réguliers sauront que je suis accro à ses produits et services. Ses résultats ont été remarquables - une croissance à deux chiffres sur l'ensemble de la gamme de produits, un chiffre d'affaires de 90 milliards de dollars - dont la moitié était des ventes d'iPhone, des marges de 42,5% et l'autorisation d'un programme de rachat d'actions de 90 milliards de dollars.

    Cependant, Apple est sous le coup de la réglementation pour la manière dont il utilise sa passerelle App Store massivement puissante pour gruger les bénéfices des développeurs d'applications - le fabricant de Fortnite Epic Games poursuit Apple la semaine prochaine. Apple peut le faire parce qu'iOS et Mac sont son propre écosystème / habitat technologique, et si vous voulez accéder à ses Bright-Shiny-Things, vous jouez selon leurs règles.

    Le problème du succès de Big Tech est son ampleur, et de nombreuses entreprises ont passé le stade de l'innovation / inventivité à la phase de monétisation. C'est à ce moment-là que certains d'entre eux passeront de l'avancement de la société à un pur jeu de profit alors qu'ils recherchent le statut de monopole. Ils arrêtent d'inventer des choses et cherchent à faire payer leurs affaires, devenant de plus en plus bureaucratiques.

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  23. J'ai lu récemment Matt Stoller de l'American Liberties Project soulignant:

    «Ce que ces entreprises font pour obtenir un rendement de 20 à 30%, c'est capturer un pouvoir de marché, elles ne créent pas de richesse.»

    De nombreux politiciens sont désormais d'accord. Ils considèrent Facebook, Amazon, Google et autres comme des monopoles de facto qui récoltent des bénéfices exceptionnels injustifiés tout en créant un préjudice incalculable pour les consommateurs et d'autres entreprises en raison de politiques commerciales anticoncurrentielles. C'est un facteur que les législateurs du monde entier sont déterminés à aborder. (Surtout si cela les rend forts aux yeux des électeurs.)

    La question est: dans quelle mesure le gouvernement devrait-il intervenir pour réglementer et autoriser les grandes technologies? La droite libertaire dirait pas du tout. Mais Adam Smith aurait reconnu les dangers inhérents au contrôle et à l’utilisation des mégadonnées par Big Tech. L’information est un bien public. Plutôt que de permettre à Big Tech de le posséder et de le contrôler, devrait-il appartenir au peuple et être autorisé par l'État en tant que bien public? C’est une question, d’ailleurs, pas une déclaration

    Les investisseurs diront non - ils veulent les rendements. Mais ces entreprises dominent désormais totalement leur espace. Ce ne sont plus des entreprises technologiques inventives qui élargissent les limites de l'innovation - ce sont maintenant des monopoles qui traitent leurs flux de données.

    C’est pourquoi les nouveaux contrôles de confidentialité d’Apple sont si intéressants. Cette semaine, ils ont mis à niveau le système d'exploitation pour empêcher les applications de suivre les données des utilisateurs Apple. Google est également à bord pour supprimer les cookies de suivi de l'application. C'est une nouvelle terrifiante pour Facebook qui monétise ces données pour vendre des publicités. Le site de médias sociaux est sur les fils, faisant valoir que c'est mauvais pour les petits annonceurs de niche, et que c'est juste Apple et Google qui cherchent à concentrer les données entre leurs propres mains.

    Il existe toute une littérature économique pour expliquer pourquoi les monopoles sont une si mauvaise idée. Les monopoles qui exploitent les informations révélées par les internautes sur eux-mêmes sont peut-être encore pires - s'insérant comme des virus dans leurs victimes et motivant leurs décisions de dépenses. C'est plus large que de simplement essayer de nous vendre des choses que notre historique de navigation a suggéré que nous aimerions peut-être acheter.

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  24. Comme l'a montré le degré de polarisation des récentes élections, le problème croissant de cette ère moderne est que des milliards d'électeurs pensent qu'ils ont le libre arbitre, mais leurs actions et leurs croyances sont désormais de plus en plus définies selon les algorithmes dictant ce qu'ils lisent, voient et acheter. Aux États-Unis, il a fait l'objet d'audiences judiciaires: Algorithmes et amplification: comment les plateformes de médias sociaux façonnent notre discours et nos esprits.

    La réglementation n'est jamais une excellente solution, mais il est peut-être temps pour le gouvernement d'agir davantage sur les bénéfices exceptionnels réalisés par les mastodontes de la Big Tech? Si Amazon envahit la rue principale parce qu'il est moins cher - égalisez-le en les taxant plus haut! La logique est simple: le succès d’Amazon met les grandes rues à la faillite et entraîne des coûts supplémentaires de protection sociale, de soins médicaux et autres pour les travailleurs et les entreprises qu’elle déplace. Vous pouvez faire valoir des arguments similaires pour tout monopole de la Big Tech…

    Sauf, peut-être Facebook. Si je peux penser à une raison de ne pas abandonner Facebook, je ne manquerai pas de vous le faire savoir. Fondamentalement, il ne s'agit que d'une plate-forme publicitaire, et son principal avantage de la publicité ciblée pour les acheteurs susceptibles d'être intéressés et de motiver est sur le point de s'affaiblir. Vendre. Il existe de nombreuses autres façons de faire de la publicité.

    J'ai quelques points supplémentaires à faire sur la nécessité de réglementer la technologie, en la regardant d'un point de vue légèrement différent du moment où la technologie est bonne ou mauvaise pour l'environnement et l'écosystème (pas seulement du point de vue du changement climatique), mais je sauverai cela pour la partie 2… Il portera sur les avantages, les inconvénients et les coûts potentiels du lancement de satellites en orbite terrestre basse, et posera des questions sur le besoin public perçu par rapport au bien public !

    https://www.zerohedge.com/technology/need-regulate-big-tech-part-1-protecting-people-pernicious-manipulation

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  25. Les médias de masse ne regagneront jamais la confiance du public


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 29 AVR 2021 - 19:10
    Écrit par Caitlyn Johnstone,


    Cette année a été la première fois que la confiance dans les médias d’information a chuté en dessous de 50 % aux États-Unis, poursuivant une tendance au déclin qui se poursuit depuis des années.

    Les experts des médias de masse sont divisés sur la question de savoir où attribuer le blâme pour la chute de l'opinion publique de leur travail, certains le blâmant sur la Russie et d'autres le blâmant sur Donald Trump. D'autres, comme un récent article de Forbes intitulé «Restaurer la confiance du public dans la technologie et les médias est un investissement dans l'infrastructure», le blâment sur Internet. D'autres encore, comme un article du Washington Post plus tôt ce mois-ci intitulé «Mauvaise nouvelle pour les journalistes: le public ne partage pas nos valeurs», la blâment sur les gens eux-mêmes.

    La seule chose sur laquelle ils semblent tous d'accord, c'est que ce n'est certainement pas parce que les médias contrôlés par des milliardaires sont des organes de propagande qui nous manipulent constamment en conjonction avec des agences gouvernementales sociopathes pour protéger le statu quo oligarchique et impérialiste sur lequel les membres de la classe milliardaire ont construit leurs royaumes respectifs. Cela ne peut pas être dû au fait que les gens sentent qu’on leur ment et qu’ils en ont assez.

    Et en fait, peu importe ce que les experts et les journalistes traditionnels croient être la cause du dégoût croissant du public à leur égard, car ils ne peuvent rien faire pour y remédier de toute façon. Les médias de masse ne regagneront jamais la confiance du public.

    Ils ne regagneront jamais la confiance du public pour plusieurs raisons, dont la première est qu’ils ne pourront jamais devenir dignes de confiance. À aucun moment, les médias de masse ne commenceront jamais à impressionner le public par leur intégrité journalistique et à amener les gens à réévaluer leur opinion sur les reporters traditionnels. À aucun moment, le mépris des gens pour ces points de vente ne cessera d’être renforcé et confirmé par les comportements manipulateurs et trompeurs qui ont provoqué ce mépris en premier lieu.

    Un média de propagande ne sera jamais autre chose qu’un média de propagande. Beaucoup de gens à moitié éveillés avec un œil ouvert et un œil fermé remarqueront que les médias d'information ne pratiquent pas le journalisme et ne rapportent pas les faits, et ils supposeront que quelque chose s'est mal passé à un moment donné. «Faites simplement votre travail et rapportez les nouvelles!» ils crieront de frustration.

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  26. Mais rien n'a mal tourné et ils font leur travail. Ils font extrêmement bien leur travail.

    Dire aux médias de «faire juste leur travail» et rapporter la nouvelle, c'est comme faire irruption dans une usine de chaussures en criant «Faites simplement votre travail et commencez à fabriquer des prothèses dentaires!» Leur travail n'est pas de rapporter les nouvelles, leur travail consiste à manipuler la perception du public au profit de la classe propriétaire des médias. Et à cette fin, ils ont remporté un immense succès.

    Il ne sert à rien de réprimander la presse grand public pour la chute de confiance du public en elle, car une chose qui n’a jamais existé que pour administrer la propagande ne peut pas devenir soudainement du journalisme. C’est comme crier après un rocher pour ne pas être un arbre.

    Les médias de masse sont totalement et totalement irrémédiables, et l'ont toujours été. C’est un gaspillage d’énergie d’essayer de faire en sorte que les institutions de propagande ploutocratique se mettent soudainement à faire du journalisme; ce n’est pas à cela qu’ils sont destinés. Au lieu de cela, notre énergie est mieux dépensée pour apprendre aux gens à cesser de les considérer comme des médias journalistiques.

    L’autre raison pour laquelle les médias de masse ne regagneront jamais la confiance du public est que la relation de l’humanité avec le récit évolue trop bien au-delà du niveau auquel les Américains se sont rassemblés autour de la télévision et écoutent avec une foi aux yeux de Bambi les paroles de Walter Cronkite. Ce niveau de crédulité aveugle répandue dans les histoires officielles du jour n'existera plus jamais.

    Notre ancienne relation avec le récit s'effondre, et les anciennes façons de comprendre ce qui se passe dans le monde ne tiennent plus ensemble.

    Alors que les tensions de la guerre froide avec la Russie et la Chine continuent de s'intensifier tandis que l'empire centralisé américain se bat avec un désespoir croissant pour conserver sa domination, nous voyons la propagande atteindre les niveaux de saturation du bruit blanc à un point tel que nous découvrirons probablement bientôt avec quelle agressivité la conscience collective peut être frappée par des psyops à grande échelle avant qu'elle ne se brise.

    L'Amérique vient de passer quatre ans avec un président dont les paroles n'avaient aucun rapport avec les faits ou la réalité, et qui n'a fait aucune tentative pour prétendre le contraire.

    Le grand public est de plus en plus conscient de la nature généralisée de la désinformation et de la propagande.

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  27. La technologie Deepfake signifie que nous ne pourrons bientôt plus faire confiance à la vidéo.

    Les gens ordinaires souffrent financièrement pendant que Wall Street est en plein essor, une intrigue flagrante dans l'histoire de l'économie qui ne fait que s'aggraver.

    Il existe de nombreux récits différents sur Covid-19 et les réponses du gouvernement à lui parallèlement les uns aux autres, tout le monde étant encore à ce jour absolument certain que sa position est la seule correcte.

    L'ensemble de la classe médiatique agit de manière étrangère et étrangère, rapportant désormais régulièrement de fausses histoires en masse comme le récit de collusion russe ou le récit de «Bountygate», puis agissant simplement comme si ce n'était pas grave quand ces histoires qu'ils nous avaient nourris avec une telle urgence sont complètement discrédité.

    Maintenant, nous voyons même des gros titres sur les ovnis dans des publications grand public estimées, pas seulement une fois mais régulièrement, ce qui aurait été impensable il y a quelques années.

    Vous ne pouvez pas tordre et pousser la conscience collective comme ça sans que quelque chose claque. Sans que les gens commencent à regarder les pensées dans leur tête avec méfiance et à remettre en question leur sens de la réalité. Sans que les gens se demandent si tout ce qu'ils croient est un mensonge.

    Nous voyons des signes que l'humanité entre dans une nouvelle relation avec le récit depuis un certain temps maintenant, alors que les gens apprennent dans tous les secteurs de la société que tant de règles apparemment solides que nous prenions autrefois si au sérieux ne sont que des pensées vides que nous sommes libres. à réécrire à tout moment.

    L'athéisme et la laïcité, autrefois des positions marginales, sont désormais courants, car les gens ont découvert qu'ils n'ont pas besoin de laisser leur vie être contrôlée par des mots écrits par des hommes morts depuis longtemps dans des pays éloignés de contextes culturels et historiques qui n'ont aucune pertinence pour notre propre situation.

    Les gens commencent à reconnaître que l'argent est fait et que nous pouvons collectivement changer les règles de son fonctionnement quand nous le voulons, la popularité croissante du socialisme et des crypto-monnaies capturant l'imagination publique de ce qui est possible.

    Les gens commencent à comprendre que ce que nous appelons le genre est un vaste réseau de constructions conceptuelles que nous avons superposées à l'anatomie humaine, et que nous sommes libres de ne pas tenir compte de ces constructions conceptuelles et de les réécrire si cela nous semble juste.

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  28. Les gens commencent à comprendre que les relations amoureuses n'ont pas besoin de ressembler à ce qu'elles ont été modelées pour nous à travers les siècles, les modèles de relations non mariées, homosexuelles, polyamoureuses ou autres étant également des options parfaitement acceptables.

    Les gens commencent à comprendre que le terme «famille» n’a pas besoin de se référer aux personnes avec lesquelles nous sommes liés par le sang, le concept de la famille choisie gagnant en popularité.

    Les gens commencent à comprendre que l'échec de la guerre contre la drogue est un abus immoral et que nous devrions être autorisés à expérimenter avec notre propre conscience en utilisant toutes les substances que nous jugeons appropriées.

    Ce sont tous des signes d’une prise de conscience croissante du fait que les récits du «comment ça se passe» que nous avons nourris par la culture n’ont pas la réalité concrète que nous pensions autrefois avoir. Nous commençons à les voir comme ce qu’ils sont: des histoires. Des histoires que nous sommes libres d'ignorer ou de réécrire dans la mesure où nous les trouvons utiles.

    Pour les propagandistes dont les manipulations dépendent de leurs cibles qui imprègnent leurs récits d'une grande importance, ce développement récent est très problématique. Si un récit «Comment c'est» n'est pas pris au sérieux, il ne peut pas être utilisé pour manipuler la façon dont les gens pensent, se comportent et votent. Et ce sérieux est exactement ce que nous voyons se détériorer dans la relation de l’humanité avec le récit.

    Cela pourrait finir par être une très, très bonne chose. Toute destructivité humaine est en fin de compte causée par le fait que nous prenons la pensée au sérieux au lieu de simplement l’utiliser comme l’outil qu’elle est censée être et de la poser lorsque nous en avons terminé. regardez n'importe quelle manifestation de l'autodestruction humaine, quelle que soit sa taille ou sa taille, et vous découvrirez qu'une croyance est prise trop au sérieux sous-jacente. Ce changement dans notre relation avec le récit pourrait finir par être ce qui nous sauve de nos schémas autodestructeurs en tant qu'espèce.

    Mais cela ne se prêtera pas à la confiance dans les médias grand public. Ce serait également une très bonne chose.

    https://www.zerohedge.com/political/mass-media-will-never-regain-publics-trust

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  29. Bientôt 10 000 morts et 2 millions d'effets secondaires susceptibles d'être liés aux « vaccins » contre la Covid-19


    Frederic Gobert
    agoravox.fr
    mar., 27 avr. 2021 16:24 UTC


    Le premier tableau ci-dessous recense le nombre « d'effets indésirables susceptibles d'être liés à l'utilisation » des « vaccins » Moderna, Pfizer et Astra Zeneca dans l'Union européenne, mis à jour le 24 avril 2021 (www.adrreports.eu/fr/search_subst.html#).

    Les critères de classement sont ceux du site officiel européen European Medicines Agency / EudraVigilance. Tout ce qui suit peut être vérifié en suivant les indications détaillées données dans mon précédent article : https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/les-vaccins-contre-la-covid-19-232177.

    effets indésirables vaccination

    Le total des « effets indésirables susceptibles d'être liés à l'utilisation de médicaments » mis à jour le 24 avril 2021 se monte à UN MILLION SEPT CENT CINQUANTE ET UN MILLE CENT SOIXANTE-DIX-HUIT, dont 1 335 168 effets secondaires non résolus ou « en cours de résolution », soit une augmentation de 170 % d'effets secondaires non résolus en trois semaines seulement par rapport au 3 avril (voir les chiffres du 3 avril dans mon précédent article).

    Au 3 avril 2021, 5 966 décès étaient officiellement susceptibles d'être liés aux quatre « vaccins » utilisés dans l'Union européenne.

    Trois semaines plus tard, au 24 avril, pour les seuls « vaccins » Moderna, Pfizer et Astra Zeneca (sans même comptabiliser le « vaccin » Janssen, peu inoculé à ce jour dans l'UE), on atteint 8 686 décès susceptibles d'être liés à ces trois « vaccins », c'est-à-dire une augmentation de près de 50%.

    Ci-dessous, vous trouverez le détail des effets secondaires susceptibles d'être liés aux « vaccins » officiellement recensés au 24 avril 2021.

    MODERNA

    24 avril 2021 Fatal Not Recovered/ not resolved Not specified Recoverd

    /resolved Recoverd

    /resolved with sequelae Recovering

    /resolving unknown
    Blood and lymphatic system disorders 16 251 0 266 2 167 140
    Cardiac disorders 231 226 0 397 7 67 368
    Congenital, familial and genetic disorders 2 0 0 3 0 0 2
    Ear and labyrinth disorders 0 141 0 93 3 45 106
    Endocrine disorders 1 7 0 6 0 4 5
    Eye disorders 3 179 0 172 4 49 181
    Gastrointestinal disorders 80 597 0 1977 12 521 752
    Genereal disorders and administration site conditions 1012 2577 0 6128 29 2578 2084
    Hepatobiliary disorders 3 21 0 17 0 9 27
    Immune system disorders 3 71 0 184 0 42
    Infections and infestations 118 350 0 298 5 123 570
    Injury, poisoning and procedural complications 44 128 0 325 2 19 311
    Investigations 60 201 0 411 1 91 341
    Metabolism and nutrition disorders 47 118 0 136 1 44 171
    Musculoskeletal and connective tissue disorders 47 1113 0 2840 14 1130 750
    Neoplasm benign, malignant and unspecified (incl cysts and polyps) 8 14 0 4 0 0 22
    Nervous system disorders 244 1407 0 3450 29 1029 1592
    Pregnancy, puerperium and perinatal conditions 0 7 0 32 0 0 11
    Product issues 0 0 0 5 0 0 3
    Psychiatric disorders 31 205 0 279 5 59 297
    Renal and urinary disorders 23 67 0 86 1 12 112
    Reproductive system and breast disorders 1 24 0 41 1 14 26
    Respiratory, thoracic ans mediastinal disorders 197 472 0 693 5 171 713
    Skin and subcutaneous tissue disorders 19 503 0 806 3 337 549
    Social circumstances 6 68 0 30 0 7 51
    Surgical and medical procedures 13 20 0 30 0 1 45
    Vascular disorders 74 229 0 386 3 108 372
    TOTAL 2283 8996 0 19095 127 6627 5936
    MODERNA

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  30. 24 avril 2021 Fatal Not Recovered/ not resolved Not specified Recoverd

    /resolved Recoverd

    /resolved with sequelae Recovering

    /resolving unknown
    TOZINAMERAN (PFIZER) 24/04/2021 Fatal Not Recovered/ not resolved Not specified Recoverd

    /resolved Recoverd

    /resolved with sequelae Recovering

    /resolving unknown
    Blood and lymphatic system disorders 40 3052 0 3842 101 3082 1200
    Cardiac disorders 522 1067 0 3297 122 1242 1314
    Congenital, familial and genetic disorders 3 12 0 11 1 6 17
    Ear and labyrinth disorders 3 1152 0 1641 79 861 577
    Endocrine disorders 0 36 0 17 4 21 34
    Eye disorders 6 1086 0 1792 71 955 907
    Gastrointestinal disorders 227 5150 0 17617 363 7308 4137
    Genereal disorders and administration site conditions 1459 17263 0 57141 749 24116 15359
    Hepatobiliary disorders 16 56 0 31 7 54 55
    Immune system disorders 20 290 0 1629 50 651 726
    Infections and infestations 527 2167 0 2258 97 1876 3449
    Injury, poisoning and procedural complications 89 482 0 825 34 454 2113
    Investigations 168 1317 0 2838 80 1315 2032
    Metabolism and nutrition disorders 91 524 0 861 29 445 642
    Musculoskeletal and connective tissue disorders 47 9875 0 27648 423 12300 5876
    Neoplasm benign, malignant and unspecified (incl cysts and polyps) 7 44 0 10 5 9 76
    Nervous system disorders 425 11896 0 33692 783 13925 8655
    Pregnancy, puerperium and perinatal conditions 7 20 0 47 19 34 68
    Product issues 0 6 0 9 0 5 60
    Psychiatric disorders 63 1048 0 2627 65 974 1417
    Renal and urinary disorders 66 186 0 260 17 156 278
    Reproductive system and breast disorders 1 320 0 307 13 171 237
    Respiratory, thoracic ans mediastinal disorders 523 2709 0 5422 222 2881 2898
    Skin and subcutaneous tissue disorders 335 2209 0 7127 146 3471 2842
    Social circumstances 6 112 0 122 4 38 157
    Surgical and medical procedures 8 19 0 52 5 23 17
    Vascular disorders 165 1349 0 3692 112 1555 1470
    TOTAL 4824 63447 0 174815 3601 77928 56613
    TOZINAMERAN (PFIZER) 24/04/2021 Fatal Not Recovered/ not resolved Not specified Recoverd

    /resolved Recoverd

    /resolved with sequelae Recovering

    /resolving unknown
    ASTRA ZENECA

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  31. 24 avril 2021 Fatal Not Recovered/ not resolved Not specified Recoverd

    /resolved Recoverd

    /resolved with sequelae Recovering

    /resolving unknown
    Blood and lymphatic system disorders 64 2269 0 1121 53 1315 585
    Cardiac disorders 199 1422 0 3238 174 1571 994
    Congenital, familial and genetic disorders 2 15 0 11 2 17 29
    Ear and labyrinth disorders 0 1880 0 1417 97 1136 651
    Endocrine disorders 2 44 0 32 2 35 41
    Eye disorders 5 2752 0 2626 112 1761 1037
    Gastrointestinal disorders 62 12243 0 26783 769 14140 7484
    Genereal disorders and administration site conditions 495 38406 0 73206 2054 46568 24390
    Hepatobiliary disorders 13 74 0 41 3 65 62
    Immune system disorders 7 309 0 558 42 508 434
    Infections and infestations 99 2804 0 3354 248 3051 1342
    Injury, poisoning and procedural complications 18 1006 0 1139 47 835 1344
    Investigations 21 1994 0 4674 120 2196 992
    Metabolism and nutrition disorders 18 2039 0 2445 93 1888 573
    Musculoskeletal and connective tissue disorders 16 24974 0 33007 1084 23142 7455
    Neoplasm benign, malignant and unspecified (incl cysts and polyps) 4 37 0 17 2 40 46
    Nervous system disorders 244 29933 0 48274 1949 29153 16923
    Pregnancy, puerperium and perinatal conditions 0 15 0 36 6 23 31
    Product issues 0 22 0 15 3 7 5
    Psychiatric disorders 12 2367 0 3604 147 2080 1902
    Renal and urinary disorders 11 489 0 620 32 388 256
    Reproductive system and breast disorders 0 811 0 584 28 450 327
    Respiratory, thoracic ans mediastinal disorders 171 4845 0 4662 309 4036 2980
    Skin and subcutaneous tissue disorders 10 6738 0 7599 259 5702 4817
    Social circumstances 3 81 0 153 6 55 69
    Surgical and medical procedures 12 120 0 102 10 106 33
    Vascular disorders 91 2254 0 2782 139 2166 1519
    TOTAL 1579 139943 0 222100 7790 142434 76321
    ASTRA ZENECA

    24 avril 2021 Fatal Not Recovered/ not resolved Not specified Recoverd

    /resolved Recoverd

    /resolved with sequelae Recovering

    /resolving unknown

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  32. Sur la page d'accueil de la « base de données européenne des rapports sur les effets indésirables suspectés des médicaments », où sont recensés ces effets secondaires (www.adrreports.eu/fr/index.html), on trouve cette mise en garde :

    « Les informations publiées sur le présent site internet concernent des effets indésirables suspectés, par exemple des événements médicaux ayant été observés après l'utilisation d'un médicament, mais qui ne sont pas obligatoirement liés ou dus au médicament. Les informations sur les effets indésirables déclarés ne doivent pas être interprétées comme signifiant que le médicament ou la substance active provoque l'effet observé ou que son utilisation présente un risque. Seules une analyse détaillée et une évaluation scientifique de toutes les données disponibles permettent de tirer des conclusions robustes sur les bénéfices et les risques d'un médicament. »

    Cette mise en garde est surprenante. En effet, un lien concernant spécifiquement les « vaccins » contre la Covid-19 est présent sur cette page d'accueil vers le rapport analysant les chiffres ci-dessus. Ayant cliqué sur ce lien le 25 avril, je n'ai pas été orienté vers ledit rapport, de sorte que je n'ai pas été en mesure de le retrouver en suivant les indications fournies par le site (cela ne préjuge pas de ce que d'autres internautes trouveront si des modifications sont ultérieurement apportées sur ce site). On pourra aussi se reporter à mon précédent article sur ce point.

    Pourquoi cette mise en garde et ce lien qui concerne spécifiquement la Covid-19 sur la page d'accueil du site adrreports.eu ? Peut-être parce que des « experts » interrogés dans les « grands médias » expliquent depuis le mois de février 2021 que ces effets secondaires, quelle que soit leur quantité, ne doivent en aucun cas être interprétés comme pouvant être attribués aux « vaccins » contre la Covid-19, et ce alors même que pas loin de deux millions d'effets secondaires sont officiellement « susceptibles » d'être liés aux « vaccins » sur ce site. (Au rythme de la vaccination dans l'UE et de l'accroissement exponentiel des effets secondaires, on atteindra ces deux millions d'effets secondaires d'ici quelques jours.) On constate enfin que cette mise en garde reprend presque à l'identique les propos des « experts », quel que soit le caractère invraisemblable de l'affirmation.

    Quand on compare le nombre d'effets secondaires recensés officiellement sur le site d'EudraVigilance à ceux qui sont régulièrement cités dans les « grands médias », infiniment inférieurs (quelques dizaines de décès, etc.), on ne peut que se demander quelles sont les sources des journalistes et quelles procédures ils mettent en œuvre pour vérifier ces chiffres avec rigueur.

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  33. J'ajouterai un témoignage personnel. Je connais des personnes dont des proches, juste après avoir été vaccinés, ont été hospitalisés, gravement malades, sans la Covid-19, ou ont attrapé la Covid-19 et ont été hospitalisés, dans un état grave ou non, ou encore sont décédés. À ma connaissance, aucun de ces cas n'a été déclaré et répertorié sur le site d'EudraVigilance, ce qui m'amène à poser une question à tous les lecteurs et à toutes les lectrices de cet article : Connaissez-vous quelqu'un ayant subi des effets secondaires graves après avoir été vacciné ? Écrivez-le dans les commentaires et précisez si oui ou non cet effet secondaire a été répertorié au niveau européen sur le site d'EudraVigilance. Si vous ne savez pas si l'effet secondaire a été recensé officiellement par le personnel médical, vous pouvez le lui demander.

    Pourquoi ai-je précisé « des effets secondaires graves » ? Parce que l'un des arguments préférés de ceux qui affirment que les effets secondaires dus aux « vaccins » sont sans importance est le fait que ces effets secondaires seraient toujours mineurs : une fièvre légère presque toujours, et toujours passagère... C'est un mensonge, les chiffres d'EudraVigilance permettent de l'affirmer. Car même si « scientifiquement », comme l'affirment les « experts », rien n'est prouvé, comment affirmer que près de deux millions d'effets secondaires dont près de dix mille morts sont légers et passagers ?...

    https://fr.sott.net/article/37096-Bientot-10-000-morts-et-2-millions-d-effets-secondaires-susceptibles-d-etre-lies-aux-vaccins-contre-la-Covid-19

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  34. Professeur Didier Raoult : « Il y a 70% d'effets secondaires avec le vaccin Pfizer. On avait jamais vu ça avec un vaccin »


    Angelina Hubner
    Entreprendre
    lun., 26 avr. 2021 19:14 UTC


    Le Professeur Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infection, analyse les dernières études portant sur la vaccination contre le Covid. Selon lui, le vaccin est loin d'avoir fait ses preuves pour empêcher la circulation du virus.

    Quelles sont les dernières données que l'on peut observer concernant la vaccination ?

    Nous commençons à avoir des données. Il y a un travail très intéressant qui est paru et qui analyse d'une manière très honnête, en Angleterre, l'efficacité du vaccin AstraZeneca contre le mutant anglais, qui est celui qui circule le plus et qui représente chez nous 85 à 90 % des cas. Cette étude montre que le vaccin AstraZeneca fonctionne moins bien que ce que l'on pouvait imaginer.

    Ce n'est pas étonnant : en prenant juste une protéine qui est celle du virus qui était là en mars/avril 2020 pour créer un vaccin avec cette protéine plutôt qu'avec tout le virus, la chance que vous ayez mutation dans cette protéine qui résiste au vaccin est assez élevée.

    Si vous prenez tout le virus, peut-être que c'est moins directif, peut-être que la concentration est moindre, mais il y a une chance qu'il reste une certaine immunité. Or, avec le choix qui a été fait l'immunité est très fragile puisque basée sur très peu d'acides aminés.

    Il semble que pour les formes symptomatiques et documentées, le degré de protection soit de l'ordre de 70% dans le meilleur des cas et lorsqu'on parle de gens qui sont porteurs ou qui n'ont pas de symptômes déclarés alors le taux de protection est extrêmement bas.

    Sur les variants Sud-Africain et Brésilien, ça marche extrêmement mal. Maintenant, nous nous posons la question : qu'est-ce qu'on fait de ça en pratique pour donner des conseils aux gens ? Donc, je le répète : pour l'instant, le vaccin n'est pas obligatoire, ce sont les médecins praticiens qui doivent discuter avec leurs malades pour leur dire : je vous conseille où je ne vous conseille pas de vous vacciner pour l'instant.

    Le point le plus important c'est bien entendu de faire comme d'habitude, c'est-à-dire quelle est la balance entre le risque et le bénéfice ?

    Quand les gens vous disent il y a aucun risque, ce n'est pas vrai. Les risques de ce vaccin on commence à les connaître, il y a des risques vraiment dangereux d'allergie dus au composé qu'on utilise, le polyéthylène glycol, avec des gens qui font des chocs anaphylactiques éventuellement mortels et des gens qui font des thromboses. Donc les chiffres que nous avons nécessitent d'être solidifiés pour savoir combien de gens font des accidents potentiellement mortels. Est-ce c'est 1 pour 100 000 ou 1 pour 10 000 ? Ce sont des choses que nous devons savoir pour dire : voilà le risque que vous prenez avec le vaccin.

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  35. Maintenant, quel est le risque que vous prenez quand vous n'êtes pas vacciné ? Et bien c'est un mélange entre la proportion de gens qui sont infectés et puis la proportion de gens qui étant infectés ont une forme grave. Donc, pour éviter les formes graves, ce vaccin a probablement un intérêt. Il faut donner le choix aux gens de réfléchir. Après quand vous dépassez 75 ans ou 80 ans, là, bien entendu le nombre de gens malades qui risquent de mourir est important. La mortalité chez les plus de 85 ans est de plus de 20% donc le bénéfice à espérer dans une période où le virus circule pour des gens qui ont plus de 80 ans est très bon.

    Et si, dans la grande époque de terreur dans laquelle nous vivons, ça rassure les gens d'être vaccinés, il faut qu'ils se vaccinent. Mais il y a plus d'inconvénients que ce que l'on dit. Il y a un travail qui vient de sortir dans Nature qui montre qu'il existe 70% d'effets secondaires avec le vaccin Pfizer. On n'avait jamais vu ça avec un vaccin : c'est deux à trois fois plus que le vaccin contre la grippe. Il y a également quelques effets mortels. Est-ce que le risque vaut le coup de d'être pris ? Certainement quand on fait partie d'une population à risque, mais, quand on fait partie de la population sans risque, on peut se poser la question, c'est le choix de chacun.

    Vous parlez ici d'un bénéfice risque pris au niveau individuel. Au niveau de la collectivité, est-il intéressant de se vacciner pour éviter de contaminer les autres ?

    Pour l'instant, un seul travail a été fait sur AstraZeneca. Ces données ne permettent pas de dire que nous allons contrôler la circulation du virus en Angleterre avec le vaccin. Il y aurait une diminution de la gravité des infections quand on est vacciné. Quant à une diminution de la circulation du virus, ce que montre ce travail ne me convainc pas. La cible de ce vaccin est tellement étroite que ce sera très facile de voir apparaître de nouveaux variants qui résisteront aux anticorps générés par ce vaccin. Donc encore une fois, le vaccin n'est pas la baguette magique que l'on espérait pour empêcher ce virus et ses variants de circuler.

    Il faut, je pense, revenir à la conception de ce qu'est une maladie. Il faut certainement développer les lits d'hôpitaux dans ce pays de manière à faire face au fait que nous avons besoin de faire de l'hyper oxygénation et d'avoir du monitoring pour surveiller les gens et d'autre part il faut concentrer effectivement les efforts vaccinaux sur les gens qui ont un risque majeur de mourir ou de passer en réanimation. Il faut avoir une politique ciblée très active et très efficace parce qu'il faut faire attention de ne pas promettre la lune tous les 6 mois parce que la crédibilité des uns et des autres au fur à mesure s'effrite. Nous avons besoin de garder une crédibilité auprès de la population si nous voulons pouvoir avoir des actions de santé publique efficace.

    https://fr.sott.net/article/37116-Professeur-Didier-Raoult-Il-y-a-70-d-effets-secondaires-avec-le-vaccin-Pfizer-On-avait-jamais-vu-ca-avec-un-vaccin

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