- ENTREE de SECOURS -



mardi 20 avril 2021

Raoult affirme avoir des preuves que le remdesivir favorise l’apparition de variants

Bulletin d'information scientifique de l'IHU - Nous avons le droit d'être intelligents !

Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infection


Le professeur Didier Raoult, soulignant l’importance de détecter les variants pour lutter contre l’épidémie, a pointé le rôle du remdesivir dans leur apparition. Il affirme disposer de preuves que cette molécule «entraîne des mutations extrêmement facilement».

Didier Raoult poursuit sa défense de l’hydroxychloroquine et son combat contre le remdesivir. Dans une vidéo publiée le 13 avril sur le site et la chaîne YouTube de l’IHU Méditerranée-Infection, il détaille les résultats d’une étude de son institut sur les soins pour les patients Covid et critique l’antiviral de Gilead.

Il revendique avoir traité 17.000 personnes dans son IHU depuis le début de l’épidémie. Les résultats portant sur 10.429 d’entre eux ont récemment été publiés, avec un total de 16 décès. Parmi les 8.315 patients qui ont reçu une combinaison d’hydroxychloroquine et d’azithromycine, il ne dénombre que cinq décès.

«Quoi que vous fassiez, vous n’arriverez jamais à trouver quelque chose de plus efficace que l’hydroxychloroquine», résume-t-il.

Il déplore que l’Europe occidentale et les États-Unis aient arrêté d’utiliser ces deux molécules, mais continue à analyser les publications dans d’autres parties du monde. Une autre étude de son institut sur l’hydroxychloroquine est en préparation.

La mortalité

D’après les données récoltées dans la région PACA, le microbiologiste marseillais affirme également qu’«il n’y a pas eu d’années de vie perdues en 2020» au total, par rapport à l’année précédente. Si la mortalité a augmenté chez les plus de 65 ans, plus touchés par le coronavirus, elle a diminué chez les autres, ce qui justifierait cette balance.

Selon lui, la mortalité est en train de baisser, le niveau de protection de la population est en train d’augmenter en partie grâce au vaccin «même s’il n’est pas parfait», et le traitement des malades lui permettent d’affirmer qu’«on devrait tendre vers une situation normalisée».

Les variants

Il rappelle ensuite l’importance de détecter les nouveaux variants, en particulier dans les élevages de visons. Il explique que le virus d’origine animale qui s’est transmis à l’Homme revient à nouveau vers certaines espèces d’animaux, et est susceptible de muter en cas d’élevages intensifs, provoquant l’apparition de variants.

12:35

En fin de vidéo, Didier Raoult revient sur le remdesivir, dont il assure avoir «des évidences, aussi bien cliniques, médicales, qu’en laboratoire», qu’il entraîne «des mutations extrêmement facilement» sur le coronavirus. Pointant son inefficacité, il suggère d’«interdire son usage pour ne pas avoir de nouveaux variants».

Le remdesivir

Interrogé le 16 avril sur BFM TV, il a défendu que toutes les études démontrant l’inefficacité de l’hydroxychloroquine étaient «liées à des gens qui ont des conflits d’intérêt avec Gilead», le laboratoire qui a développé le remdesivir, dont les ventes se sont élevées à 2,8 milliards de dollars en 2020. Les deux molécules sont déconseillées par l’OMS dans le traitement contre le Covid-19.

En octobre dernier, la Commission européenne avait fait polémique en signant un contrat avec la société pharmaceutique, permettant aux États membres de commander jusqu’à 500.000 traitements de Veklury, le nom commercial du remdesivir. La France est l’un des trois pays de l’UE à n’en avoir passé aucune commande.

https://www.youtube.com/watch?v=QcwoYiWyXRY&t=8s

50 commentaires:

  1. Il n'y a PAS plus de virus (en %) dehors que dedans ! Et, ce virus à l'intérieur sera FORCEMENT respiré à un moment ou à un autre par un membre de la famille. Le contaminé contaminera FORCEMENT sa famille et/ou son voisinage.

    Qu'ont à voir les visons avec les poissons qui (ces derniers) respirent plus que toutes autres espèces les virus fraîchement émis par le magma dans l'environnement aquatique des mers & océans ?
    Pourquoi les poissons ne sont-ils pas étudiés en laboratoires quant à leurs performances d'immunisation ?

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  2. Un nouvel outil d'IA suit l'évolution des théories du complot COVID-19 sur les réseaux sociaux


    19 AVRIL 2021
    par Los Alamos National Laboratory



    Un nouveau programme d'apprentissage automatique identifie avec précision les théories du complot liées au COVID-19 sur les médias sociaux et modélise leur évolution au fil du temps - un outil qui pourrait un jour aider les responsables de la santé publique à lutter contre la désinformation en ligne.

    «De nombreuses études d'apprentissage automatique liées à la désinformation sur les médias sociaux se concentrent sur l'identification de différents types de théories du complot», a déclaré Courtney Shelley, chercheuse postdoctorale au Groupe des systèmes d'information et de modélisation du Laboratoire national de Los Alamos et co-auteur de l'étude. qui a été publié la semaine dernière dans le Journal of Medical Internet Research. «Au lieu de cela, nous voulions créer une compréhension plus cohérente de la façon dont la désinformation change au fur et à mesure qu'elle se propage. Parce que les gens ont tendance à croire au premier message qu'ils rencontrent, les responsables de la santé publique pourraient un jour surveiller les théories du complot qui gagnent du terrain sur les médias sociaux et élaborer des informations publiques factuelles. campagnes pour empêcher l’acceptation généralisée des mensonges. "

    L'étude, intitulée «Je pensais que je partagerais d'abord», a utilisé des données Twitter rendues publiques et rendues anonymes pour caractériser quatre thèmes de la théorie du complot COVID-19 et fournir un contexte pour chacun au cours des cinq premiers mois de la pandémie. Les quatre thèmes examinés par l'étude étaient que les tours de cellules 5G propagent le virus; que la Fondation Bill et Melinda Gates a conçu ou a une intention malveillante liée au COVID-19; que le virus a été bio-conçu ou développé en laboratoire; et que les vaccins COVID-19, qui étaient alors tous encore en développement, seraient dangereux.

    «Nous avons commencé avec un ensemble de données d'environ 1,8 million de tweets contenant des mots-clés COVID-19 ou provenant de comptes Twitter liés à la santé», a déclaré Dax Gerts, informaticien également au sein du groupe des systèmes d'information et de modélisation de Los Alamos et co-auteur de l'étude. . «À partir de ce corpus de données, nous avons identifié des sous-ensembles qui correspondaient aux quatre théories du complot en utilisant le filtrage par motifs, et étiqueté à la main plusieurs centaines de tweets dans chaque catégorie de théorie du complot pour construire des ensembles de formation.

    En utilisant les données collectées pour chacune des quatre théories, l'équipe a construit des modèles d'apprentissage automatique des forêts aléatoires, ou d'intelligence artificielle (IA), qui classaient les tweets comme de la désinformation COVID-19 ou non.

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  3. - voir clip sur site -

    Entretien avec Ashlynn Daughton, informaticienne au sein du Groupe des systèmes d'information et de modélisation du Laboratoire national de Los Alamos, et co-auteur de l'étude.

    "Cela nous a permis d'observer la façon dont les individus parlent de ces théories du complot sur les réseaux sociaux et d'observer les changements au fil du temps", a déclaré Gerts.

    L'étude a montré que les tweets de désinformation contiennent plus de sentiments négatifs que les tweets factuels et que les théories du complot évoluent au fil du temps, incorporant des détails provenant de théories du complot non liées ainsi que d'événements du monde réel.

    Par exemple, Bill Gates a participé à un Reddit «Ask Me Anything» en mars 2020, qui mettait en évidence la recherche financée par Gates pour développer de l'encre invisible injectable qui pourrait être utilisée pour enregistrer les vaccinations. Immédiatement après, il y a eu une augmentation de l'importance des mots associés aux théories du complot anti-vaccins suggérant que le vaccin COVID-19 micropuce secrètement des individus pour le contrôle de la population.

    En outre, l'étude a révélé qu'une technique d'apprentissage supervisé pouvait être utilisée pour identifier automatiquement les théories du complot, et qu'une approche d'apprentissage non supervisé (modélisation dynamique de sujets) pourrait être utilisée pour explorer les changements d'importance des mots parmi les sujets de chaque théorie.

    «Il est important que les responsables de la santé publique sachent comment les théories du complot évoluent et gagnent du terrain au fil du temps», a déclaré Shelley. «Sinon, ils courent le risque de publier par inadvertance des théories du complot qui pourraient autrement« mourir sur la vigne ». Il est donc important de savoir comment les théories du complot évoluent et d’incorporer peut-être d’autres théories ou des événements du monde réel lorsque l’on élabore des stratégies pour les contrer avec des campagnes d’information publique factuelles.

    https://techxplore.com/news/2021-04-ai-tool-tracks-evolution-covid-.html

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    1. Par exemple quand les merdias titrent que la merde est bonne et pleine de vitamines, si un chef cuisinier ou simple gourmet parle qu'au contraire c'est mauvais, ces intervenants doivent être localisés, arrêtés et fusillés.
      La dictature en place ne tolérera pas que des personnes intelligentes mettent en doutes les fans-clubs de Gretamoilescouilles et les essais d'expérimentations tentées sur des cobayes sous l’appellation 'Teminator Le vaccin de la délivrance' !

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  4. Nous vivons une époque de jobastres


    Jean-Pierre Pélaez — Boulevard Voltaire
    Sott.net
    lun., 19 avr. 2021 14:06 UTC


    Jobastre, jobard, fada, bobé, tarabé, bredin, pilon, abruti, dingo, siphonné, tracassé, traluqué : les termes désignant, dans toutes nos régions de France, les malades du ciboulot ne manquent pas, mais aujourd'hui, les anciens idiots du village semblent devenus la norme dans une vie publique qui ressemble plus aux jardins d'un asile d'aliénés qu'à l'ancienne agora des Athéniens.

    Une folie douce s'est emparée de notre pays, que nos médias avides de nouveauté se plaisent à répercuter avec ce sérieux pour relater les pires inepties qui les caractérisent.

    Et dans cette nef des fous où ils semblent s'être embarqués, il n'est pas injuste de dire que les écologistes, et leur électeur ou élu de base, à savoir l'écolobiobobo des grandes métropoles, espèce nouvelle qui croit que les poules ont des dents et que les ânes volent, font figure de proue et montre la voie d'un progressisme sans fin ni frontières. On les a vus s'en prendre au sapin de Noël, au Tour de France, plus récemment aux rêves d'avion ou aux bateaux à voile, polluants et sans doute fascistes ; et proposer le remplacement des centrales nucléaires par des centrales à charbon qui polluent cent fois plus, par des éoliennes qui marchent quand il fait du vent ou par des panneaux solaires qui produisent de l'énergie pour se chauffer quand il fait soleil. Avec, pour résultat, de devoir acheter l'électricité à d'autres qui polluent à notre place. Pris d'un féminisme paranoïaque, ils ont adopté l'écriture inclusive, laquelle, sous prétexte d'instaurer l'égalité hommes-femmes, devient parfaitement illisible à tous.

    Les nouvelles féministes ne sont pas en reste. Ainsi, des clitoris géants sont arborés à la moindre occasion, comme récemment sur la place du Trocadéro. Manque plus qu'on installe un pénis transcendantal en haut de la tour Eiffel. Cependant, on voit ces mêmes féministes enragées qui traitent les hommes d'oppresseurs et de patriarches défendre voiles et tchadors, et militer pour que les piscines accueillent paritairement femmes en bikinis ou burkinis. Et d'anciens trotskistes pourfendeurs de la religion opium du peuple prôner la construction de mosquées et soutenir l'obscurantisme islamique.

    Le sociétal est partout, devenu le lieu du progrès : mariage pour tous, PMA, GPA, trouples divers [ménage à trois - Note de Sott], les militants d'une égalité devenue névrotique veulent la séparation du genre et du sexe, l'homme qui se déclare femme, la femme qui s'affirme homme, et la mère devenue personne en état de grossesse. Le droit à la différence s'est noyé dans le culte de la diversité et des minorités, jusque dans les films où des quotas de Noirs colorient les anciens personnages blancs.

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  5. Pour expier les prétendus crimes de leurs ancêtres, nos compatriotes doivent vivre dans le repentir et demander pardon à genoux pour tous les épisodes honteux de notre Histoire, réécrite par l'idéologie et dont on se demande ce qu'il en reste, au vu des programmes scolaires.

    Et par-dessus tout, l'obsession culminante, l'idée fixe : le racisme, que l'on voit partout. Le moindre mot vaut d'en être taxé. Les romans sont débaptisés. L'adjectif « noir » est tabou. Toute expression le contenant est raciste. On compte le nombre de Noirs et de Blancs dans les salles de spectacle. Et face à tant de stupidité, on ne peut même plus broyer du noir.

    Ainsi se développe un nouveau totalitarisme, encore pire que les précédents, avec son homme nouveau, unique, sociétal, un homme/femme uniforme, unisexe, monochrome, paritaire. Bientôt, la science produira un humanoïdo-termite dans lequel toute différence sera abolie.

    Pour résister à tant de folie, il ne nous reste que le rire. Mais la tâche est rude. Car l'ancien tarabé, l'idiot du village, s'est transformé et multiplié en bobos progressistes des villes !

    Source de l'article publié le 18 avril 2021 : Boulevard Voltaire

    https://fr.sott.net/article/37017-Nous-vivons-une-epoque-de-jobastres

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  6. De la discipline, que diable


    C'est Nabum
    Agoravox
    lun., 19 avr. 2021 18:24 UTC


    Si équivoque en somme...

    Nous devrions faire preuve de discipline et suivre aveuglement notre grand chef et son aréopage médical qui fond sur nous en piqué, une aiguille à la main. Il est amusant de constater que cette attente s'accompagne de tout le cortège de ce qui fait passer la chose dans le rang des obligations, des contraintes et même des injonctions comminatoires. C'est donc à n'y rien comprendre.

    Mais quelle discipline au juste est ainsi convoquée au sein de la population tout entière ? J'ai tout d'abord pensé qu'il s'agissait de la bonne vieille matière, celle que nous enseignaient jadis, nos vieux maîtres, en suivant les programmes à la lettre. Nous avions eu droit à tant de cours d'hygiène, de leçons sur la santé, de travaux pratiques sur la prophylaxie et de conférences des experts des plateaux télévisuels, que je m'attendais à une prochaine interrogation écrite sur le sujet. Mais non, le grand Méprisant de la République s'étant auto-proclamé Premier épistémologiste de France, les indécrottables cancres que nous sommes n'avions plus rien à retenir, il nous suffisait de le suivre aveuglement, tenus à la bride par son sous-fifre de pacotille.

    Je n'ai pas quitté l'univers de l'école pour penser alors qu'il était question de la bonne conduite, celle qu'on s'impose à soi-même pour le bien de tous, dans la plus parfaite acceptation de la chose. Une adhésion absolue à une ligne comportementale suivie dans notre propre intérêt et que nul coup de trique n'a besoin d'imposer. Je faisais grave erreur quand je découvris la fameuse obsession des 135 euros qui sort du chapeau à toutes nouvelles contraintes. Nous n'avions pas à agir pour notre bien mais pour le profit de lointains groupes financiers.

    J'en ai conclu que cette discipline imposée devait être notre plus totale soumission sous la menace, la sanction, la réprimande ou la prison. La mort apparut alors comme une éventualité pour celui qui allait déroger la main de fer armée d'une aiguille. Un grand frisson parcourut mon échine, c'est donc la fin de cette lointaine République de citoyens consentant à une règle commune dans l'harmonie et l'adhésion générale ? Nous sombrions dans la tyrannie d'une caste et le plus souvent dans les lubies d'un seul.

    C'est alors l'enseignant et l'entraîneur qui se réveillèrent en moi. Jamais la discipline imposée, l'ordre sous la menace et par la peur n'ont donné le plus petit effet parmi les élèves ou les joueurs. Le besoin de convaincre, l'adhésion aux principes et aux codes de vie ou de jeu étaient un préalable absolu avant que d'entrer dans les apprentissages pour les uns, le plan de jeu pour les autres. N'y aurait-il pas grande confusion au sommet de l'État quand faire appel à la raison suppose les obligations, les menaces, l'usage de la force et l'abolition des libertés ?

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  7. Tous ces gens importants sortis de la même Grande École dont on va se contenter de modifier l'appellation pour le plaisir de tromper une fois encore le pauvre peuple, ont surtout retenu les grands principes qui prévalent à l'instauration d'un pouvoir autoritaire et répressif. Leur discipline passe par la plus absolue soumission et pire encore, par la négation de notre faculté de penser et d'agir par nous-mêmes.

    Nous venons de vivre une véritable révolution. La représentation nationale dissoute de fait par l'état d'urgence, la population réduite au servage, la presse placée sous le boisseau, les souffleurs de vent réduits au silence, la vie même mise sous séquestre sont au programme de ce qui ne relève plus de la discipline mais du joug dictatorial.

    Il nous appartient de toute urgence d'entrer en indiscipline, d'user de notre libre arbitre et de penser par nous-même, loin de ce rouleau compresseur médiatique du discours de la terreur. La vie ne vaut d'être vécue que dans une liberté conciliée avec les impératifs totalement acceptés du vivre ensemble. Nous n'acceptons plus rien, nous ne sommes plus que des objets dans les mains de tyrans pitoyables.

    Tyranniquement leur.

    https://fr.sott.net/article/37022-De-la-discipline-que-diable

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  8. Pas une «attaque d'extincteur»: un policier décédé après que Capitol Riot ait eu un accident vasculaire cérébral, déclare le médecin légiste


    April 20th, 2021


    Choses à savoir: toutes les affirmations selon lesquelles de violents insurgés fans de Trump ont tué un policier sont et ont toujours été fausses.

    Un médecin légiste a finalement publié un rapport sur le triste sort de l'agent Brian Sicknick qui travaillait à Capitol Hill le 6 janvier.

    par Jack Phillips, Epoch Times.

    L'officier de police du Capitole américain Brian Sicknick a subi deux accidents vasculaires cérébraux et est décédé de causes naturelles un jour après la violation du Capitole le 6 janvier, a confirmé le bureau du médecin légiste de D.C. le 19 avril, mettant fin aux rumeurs selon lesquelles il avait été battu à mort par des partisans de Trump.

    Francisco J.Diaz, médecin légiste en chef de Washington, a déclaré au Washington Post que Sicknick était décédé le 7 janvier après avoir subi deux accidents vasculaires cérébraux et n'avait pas souffert de réaction allergique après avoir été aspergé d'irritants chimiques alors qu'il s'engageait avec la foule, a déclaré Diaz. .

    L'examinateur a déclaré qu'il n'avait trouvé aucune preuve de blessures internes ou externes, mais il a ajouté que "tout ce qui s'est passé a joué un rôle dans son état." Diaz n’a pas élaboré, citant les lois sur la protection de la vie privée.

    Pourquoi a-t-il fallu si longtemps pour que cela soit signalé ?

    L'ABC-CNN-MSNBC, etc. le dira-t-il à son public ? Admettront-ils qu'ils avaient tort ? Vont-ils répéter cette nouvelle autant de fois qu'ils ont répété qu'il a été tué par des partisans de Trump ? Vont-ils mentionner qu'il était un partisan de Trump ? Dira-t-on aussi que sa famille immédiate a demandé dès le début que sa mort ne soit pas utilisée comme un football politique, et que sa famille a toujours soupçonné que sa mort était naturelle ?

    https://joannenova.com.au/2021/04/not-a-fire-extingisher-attackpoliceman-who-died-after-capitol-riot-had-a-stroke-says-medical-examiner-finally/

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  9. Verdict sensationnel de Weimar: pas de masques, pas de distance, plus de tests pour les élèves


    14 avril 2021


    En référé (Réf.: 9 F 148/21), le tribunal de la famille de Weimar a statué le 8 avril 2021 interdisant à deux écoles de Weimar avec effet immédiat de demander aux élèves de porter des couvre-nez de toute sorte (notamment des masques «qualifiés» tels que Masques FFP2); il a en outre interdit aux écoles d'exiger le respect de la distance minimale AHA; et leur a également interdit d'exiger que les élèves subissent des tests rapides SARS-CoV-2. Dans le même temps, la Cour a statué que l'enseignement en classe devait se faire en face à face [c.-à-d. pas à distance]. Voici le jugement en texte intégral (comprenant trois avis d'experts).

    C'est la première fois que des preuves sont présentées à un tribunal allemand sur le caractère raisonnable et la nécessité scientifique des mesures anti-Corona qui ont été imposées. Les personnes entendues comme témoins experts étaient le docteur en santé publique Prof. Dr. med Ines Kappstein, le psychologue Prof. Dr. Christof Kuhbandner et le biologiste Prof. Dr. rer. biol. Hum. Ulrike Kämmerer.

    La procédure judiciaire est une affaire de protection de l'enfance conformément au § 1666 alinéas 1 et 4 du Code civil allemand (BGB). Elle a été initiée par une mère pour ses deux fils, âgés de 14 et 8 ans, à la Cour municipale - Division de la famille. Elle a fait valoir que ses enfants subissaient des préjudices physiques, psychologiques et éducatifs sans aucun avantage pour les enfants ou les tiers. Dans le même temps, il y a eu violation de nombreux droits des enfants et de leurs parents en vertu de la loi, de la constitution et des conventions internationales.

    Une procédure en vertu de l'article 1666 du Code civil peut être engagée d'office, soit sur proposition de toute personne, soit si, dans l'intérêt supérieur de l'enfant, la Cour estime qu'une intervention est nécessaire conformément au §1697a du Code civil, en l’absence d’une telle proposition.

    Après avoir examiné la situation factuelle et juridique et évalué les avis des experts, le tribunal de la famille de Weimar est parvenu à la conclusion que les mesures - désormais interdites - constituaient un danger actuel pour le bien-être mental, physique et psychologique des enfants à tel point que, s'ils continuaient sans intervention, il y avait un degré élevé de certitude que des préjudices considérables étaient infligés.

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  10. Le juge a précisé: «Un tel danger est présent ici. Car les enfants ne sont pas seulement mis en danger dans leur bien-être mental, physique et psychologique par l’obligation de porter des masques pendant les heures d’école et de se tenir à distance les uns des autres et des autres, mais ils ont déjà été lésés. Dans le même temps, il y a violation de nombreux droits des enfants et de leurs parents en vertu de la loi, de la constitution et des conventions internationales. Cela s'applique, en particulier, au droit au libre développement de la personnalité et à l'intégrité physique en vertu de l'article 2 de la Loi fondamentale, ainsi qu'au droit, conformément à l'article 6 de la Loi fondamentale, à l'éducation et aux soins parentaux (également en ce qui concerne les mesures de santé et les «objets» à porter par les enfants)…. »

    Par son jugement, le juge a confirmé l’évaluation de la mère: «Les enfants subissent un préjudice physique, psychologique et éducatif alors que leurs droits sont violés sans aucun bénéfice pour les enfants eux-mêmes ou pour des tiers.»

    Selon la Cour, les administrateurs scolaires, les enseignants et autres ne pouvaient pas invoquer l'État régional [c.-à-d. Réglementations «foncières»], sur lesquelles les mesures sont fondées, car elles sont inconstitutionnelles et donc nulles et non avenues. Raison: ils violent le principe de proportionnalité, ancré dans l'État de droit constitutionnel (articles 20, 28 de la Loi fondamentale).

    «Selon ce principe, également appelé interdiction des excès, les mesures destinées à atteindre un but légitime doivent être appropriées, nécessaires et proportionnées au sens strict, c'est-à-dire lors de la mise en balance de leurs avantages et inconvénients. Les mesures en cause ne sont pas fondées sur des preuves, contrairement à l'article 1 (2) IfSG, et sont déjà inadaptées à la réalisation de l'objectif fondamentalement légitime qu'elles poursuivent, à savoir éviter de surcharger le système de santé ou réduire l'incidence de l'infection par le SRAS- Virus CoV-2. Dans tous les cas, cependant, ils sont, à proprement parler, disproportionnés car les désavantages / dommages collatéraux considérables qu'ils causent ne sont compensés par aucun avantage reconnaissable pour les enfants eux-mêmes ou pour des tiers », a déclaré le juge.

    Il a précisé: «Néanmoins, il faut souligner que ce ne sont pas les parties impliquées qui auraient à justifier l'inconstitutionnalité des empiétements sur leurs droits, mais plutôt l'Etat libre de Thuringe, qui, avec ses dispositions de droit étatique, a empiétant sur les droits des parties concernées, devrait prouver, avec les preuves scientifiques nécessaires, que les mesures qu'il prescrit sont aptes à atteindre les objectifs visés et, dans l'affirmative, qu'elles sont proportionnées. Jusqu'à présent, cela n'a pas été fait dans les plus reculés. »

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  11. 1. LE MANQUE D'AVANTAGE DE PORTER DES MASQUES ET DE RESPECTER LES RÈGLES DE DISTANCE POUR LES ENFANTS ELLES ET LES TIERS

    Avec son évaluation des données internationales complètes sur les masques, l'expert professeur Kappstein a convaincu la Cour que les preuves scientifiques ne soutiennent pas l'idée de l'efficacité des masques pour les personnes en bonne santé en public.

    La décision déclare: «De même, la« protection par des tiers »et la« transmission inaperçue », que le RKI [Institut Robert-Koch] a utilisées pour justifier sa« réévaluation », ne sont pas étayées par des faits scientifiques. La plausibilité, les estimations mathématiques et les évaluations subjectives dans les articles d'opinion ne peuvent remplacer les études épidémiologiques cliniques basées sur la population. Les études expérimentales sur les performances de filtrage des masques et les estimations mathématiques ne sont pas adaptées pour prouver l'efficacité dans la vie réelle. Alors que les autorités sanitaires internationales préconisent le port de masques dans les espaces publics, elles affirment également qu'il n'y a aucune preuve d'études scientifiques à l'appui. En effet, toutes les preuves scientifiques actuellement disponibles suggèrent que les masques n'ont aucun effet sur l'incidence de l'infection. Aucune des publications citées comme preuve de l'efficacité des masques dans les espaces publics ne permet cette conclusion. Il en va de même pour la soi-disant étude Jena, comme l'expert l'explique en détail dans son rapport. En effet, l'étude Jena - comme la grande majorité des autres études, une étude d'estimation ou de modélisation purement mathématique, basée sur des hypothèses théoriques sans véritable traçage des contacts, et avec des auteurs du domaine de la macroéconomie sans connaissances épidémiologiques - ne prend pas en compte les circonstance épidémiologique décisive, comme expliqué en détail par l'expert, que les niveaux d'infection avaient déjà considérablement baissé avant l'introduction des masques obligatoires à Jena le 6 avril 2020 (environ trois semaines plus tard dans toute l'Allemagne), et qu'il n'y avait plus toute incidence pertinente d'infection à Jena dès la fin mars 2020. »

    Les masques ne sont pas seulement inutiles, ils sont aussi dangereux, juge la Cour: «Tout masque, comme l'explique l'expert, doit, pour être en principe efficace, être porté correctement. Les masques peuvent devenir un risque de contamination s'ils sont touchés. Cependant, en premier lieu, les gens ne les portent pas correctement; deuxièmement, les gens touchent souvent les masques avec leurs mains. Cela peut également être observé avec les politiciens qui sont vus à la télévision. La population n'a pas été informée sur la manière d'utiliser correctement les masques, on n'a pas expliqué comment se laver les mains en déplacement ou comment procéder à une désinfection efficace des mains. De plus, il n’a pas été expliqué pourquoi l’hygiène des mains est importante et qu’il faut veiller à ne pas toucher les yeux, le nez et la bouche avec les mains. La population est restée pratiquement seule avec les masques. Le risque d'infection n'est pas seulement réduit par le port des masques, mais augmenté par une mauvaise manipulation du masque. Dans son opinion d'expert, le témoin expert expose cela avec autant de détails que le fait que, et pour quelles raisons, il est «irréaliste» de parvenir à un traitement approprié des masques par la population. »

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  12. Le jugement poursuit en disant: «La transmission du SRAS-CoV-2 par les« aérosols », c'est-à-dire par l'air, est médicalement invraisemblable et scientifiquement non prouvée. C'est une hypothèse qui est venue principalement des physiciens des aérosols dont la spécialisation, affirme l'expert, ne leur permet naturellement pas d'apprécier les contextes médicaux. La théorie des «aérosols» est extrêmement nocive pour les interactions humaines et fait que les gens ne se sentent plus en sécurité dans aucun espace intérieur, certains craignant même une infection par des «aérosols» à l'extérieur des bâtiments. Avec l’idée de transmission «inaperçue», la théorie des «aérosols» conduit les gens à voir un risque d’infection chez chaque être humain.

    Les changements de politique sur les masques, d'abord les masques en tissu en 2020, puis depuis le début de 2021 soit les masques OP, soit les masques FFP2, manquent de justification claire. Même si les masques OP et les masques FFP sont tous deux des masques médicaux, ils ont des fonctions différentes et ne sont donc pas interchangeables. Soit les politiciens qui ont pris ces décisions eux-mêmes ne comprenaient pas à quel type de masque convenait fondamentalement, soit ils ne se souciaient pas de cela, mais seulement de la valeur symbolique du masque. Du point de vue de l'expert, les décisions masquées des décideurs politiques ne sont pas compréhensibles et, pour le moins dire, peuvent être décrites comme peu plausibles.

    L'expert souligne en outre qu'en dehors de la prise en charge médicale des patients, il n'y a pas d'études scientifiques sur l'espacement social. En résumé, à son avis et à la condamnation du tribunal, seules les règles suivantes peuvent être établies:

    1. Garder une distance d'environ 1,5 m (1 à 2 m) lors de rencontres en personne lorsque l'une des deux personnes présente des symptômes d'un rhume peut être décrit comme une précaution raisonnable. Cependant, cela n'est pas prouvé scientifiquement; il n'y a que des preuves - ou on peut dire plausible - qu'il s'agit d'une mesure efficace de protection contre le contact avec des agents pathogènes par le biais de gouttelettes de sécrétion respiratoire si la personne en contact présente des signes de rhume. Cependant, rester à distance avec tout le monde n'est pas un moyen efficace de se protéger si l'autre personne a un rhume.

    2. Le maintien d'une distance totale ou même juste d'une distance face à face d'environ 1,5 m (1 - 2 m), si aucune des personnes présentes ne présente des signes de rhume, n'est pas étayé par des données scientifiques. Cependant, cela nuit grandement aux personnes vivant ensemble et surtout au contact insouciant entre les enfants, sans aucun avantage reconnaissable en termes de protection contre les infections.

    3. Les contacts étroits, c'est-à-dire inférieurs à 1,5 m (1 - 2 m), entre élèves ou entre enseignants et élèves, ou entre collègues de travail, etc., ne présentent pas de risque même si l'une des deux personnes de contact présente des signes froid, car la durée de ces contacts à l'école ou même chez les adultes, quelque part en public, est bien trop courte pour que la transmission par gouttelettes se produise. Ceci est également démontré par des études menées auprès de ménages où, bien que vivant à proximité avec de nombreux contacts cutanés et muqueux, peu de membres du ménage tombent malades lorsque l'un d'eux a une infection respiratoire.

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  13. La Cour suit également l’évaluation du professeur Kappstein concernant les taux de transmission des personnes symptomatiques, pré-symptomatiques et asymptomatiques. Il écrit:

    «Elle déclare que la transmission pré-symptomatique est possible, mais pas inévitable. Dans tous les cas, selon le professeur, ils sont significativement plus faibles lorsque des scénarios de contact réels sont évalués que lorsque la modélisation mathématique est utilisée.

    À partir d'une revue systématique avec méta-analyse sur la transmission Corona dans les ménages publiée en décembre 2020, le professeur a comparé un taux de transmission plus élevé, mais toujours pas excessif, de 18% pour les cas d'indice symptomatique avec une transmission extrêmement faible de seulement 0,7% pour les cas asymptomatiques. . La possibilité que des personnes asymptomatiques, auparavant appelées personnes en bonne santé, transmettent le virus n'a donc pas de sens.

    En résumé, la Cour déclare: «Il n'y a aucune preuve que des masques faciaux de différents types peuvent réduire le risque d'infection par le SRAS-CoV-2 du tout, ou même de manière appréciable. Cette déclaration s'applique aux personnes de tous âges, y compris les enfants et les adolescents, ainsi qu'aux personnes asymptomatiques, pré-symptomatiques et symptomatiques.

    Au contraire, il est possible que le contact au corps à corps, qui devient plus fréquent lors du port d'un masque, augmente le risque d'entrer en contact avec l'agent pathogène lui-même ou de mettre en contact d'autres humains avec lui. Pour la population normale, il n'y a pas de risque d'infection dans la sphère publique ou privée qui pourrait être réduit par le port de masques faciaux (ou d'autres mesures). Il n'y a aucune preuve que le respect des règles de distanciation sociale puisse réduire le risque d'infection. Cela s'applique aux personnes de tous âges, y compris les enfants et les adolescents. »

    Même après les nombreuses découvertes de l'expert Prof. Dr. Kuhbandner, selon les motifs du jugement, «il n'y a aucune preuve scientifique de haute qualité à ce jour que le risque d'infection peut être considérablement réduit en portant des masques. Selon les conclusions de l'expert, les recommandations du RKI et de la directive S3 des sociétés professionnelles sont basées sur des études d'observation, des études en laboratoire sur l'effet de filtre et des études de modélisation, qui ne fournissent que des preuves faibles ou très faibles, car la méthodologie sous-jacente de ces les études ne permettent pas de tirer des conclusions réellement valables sur l’effet des masques dans la vie de tous les jours ou à l’école. De plus, les résultats des études individuelles sont hétérogènes et certaines études observationnelles plus récentes fournissent des résultats contradictoires. »

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  14. Le juge déclare: «En outre, l'ampleur réalisable de la réduction du risque d'infection par le port de masques dans les écoles est très faible, car les infections se produisent très rarement dans les écoles, même sans masque. Par conséquent, la réduction du risque absolu est si faible qu'une pandémie ne peut être combattue de manière pertinente… Selon les explications de l'expert, les chiffres d'infection actuellement en hausse chez les enfants sont très probablement dus au fait que le nombre de tests chez les enfants a augmenté de manière significative au cours des semaines précédentes. Étant donné que le risque d'infection dans les écoles est très faible, même une augmentation possible du taux d'infection du nouveau variant du virus B.1.1.7, dans l'ordre de grandeur supposé dans les études, ne devrait pas augmenter de manière significative la propagation du virus. dans les écoles. Ce petit bénéfice est contrecarré par de nombreux effets secondaires possibles en ce qui concerne le bien-être physique, psychologique et social des enfants, dont de nombreux enfants devraient souffrir pour éviter une seule infection. L'expert les présente en détail, entre autres, sur la base du registre des effets secondaires publié dans la revue scientifique Monatsschrift Kinderheilkunde.

    2 INADÉQUATION DES TESTS PCR ET DES TESTS RAPIDES POUR LA MESURE DE L'INCIDENCE DE L'INFECTION

    Au sujet du test PCR, la Cour écrit: «Le témoin expert Prof. Dr. med. Kappstein a déjà souligné dans son témoignage que le test PCR ne peut détecter que du matériel génétique, mais pas si l'ARN provient de virus capables d'infection et donc capables de réplication (c'est-à-dire capables de reproduction).

    Le témoin expert Prof. Dr. rer. biol. Hum. Kämmerer a confirmé, dans son témoignage sur la biologie moléculaire, qu'un test PCR - même s'il est effectué correctement - ne peut fournir aucune information sur le fait qu'une personne est infectée par un agent pathogène actif ou non.

    En effet, le test ne peut pas faire la distinction entre la matière «morte», par ex. un fragment de génome totalement inoffensif comme vestige de la lutte du système immunitaire contre un rhume ou une grippe (de tels fragments de génome peuvent encore être trouvés plusieurs mois après que le système immunitaire a «traité» le problème) et de la matière «vivante», c'est-à-dire un Virus «frais» capable de se reproduire.

    Par exemple, la PCR est également utilisée en médecine légale pour amplifier l'ADN résiduel des restes de cheveux ou d'autres traces au moyen de la PCR de manière à pouvoir identifier l'origine génétique d'un ou plusieurs auteurs [putatifs] («empreinte génétique») .

    Même si tout est fait «correctement» lors de la réalisation de la PCR, y compris toutes les étapes préparatoires (conception et établissement de la PCR, prélèvement d'échantillons, préparation et performances de la PCR), et que le test est positif, c'est-à-dire détecte une séquence génomique qui peut également exister dans un ou même la séquence spécifique du virus «corona» (SARS-CoV-2), cela ne signifie en aucun cas que la personne qui a été testée positive est infectée par un SRAS-CoV-2 répliquant et est donc infectieuse = dangereuse pour d'autres personnes.

    Au contraire, afin de déterminer une infection active par le SRAS-CoV-2, d'autres méthodes de diagnostic - en fait spécifiques -, telles que l'isolement de virus réplicables, doivent être utilisées.

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  15. Indépendamment du fait qu'en principe, il est impossible de détecter une infection par le virus SARS-CoV-2 à l'aide du test PCR, les résultats d'un test PCR, selon le témoin expert Prof.Dr Kämmerer, dépendent d'un nombre de paramètres qui, d'une part, entraînent des incertitudes considérables et, d'autre part, peuvent être manipulés de telle manière que l'on obtient beaucoup ou peu de résultats (apparemment) positifs.

    Parmi ces sources d’erreur, on peut en retenir deux qui sont frappantes.

    L'un de ceux-ci est le nombre de gènes cibles à tester. Les directives de l'OMS ont réduit ces derniers d'une séquence initiale de trois à une seule. Le témoin expert a calculé que l'utilisation d'un seul gène cible à tester dans une population mixte de 100 000 tests, sans une seule personne réellement infectée, aboutirait à un décompte de 2 690 faux positifs; celle-ci est basée sur un taux d'erreur moyen déterminé lors d'une comparaison interlaboratoires. L'utilisation de trois gènes cibles n'entraînerait que dix faux positifs.

    Si les 100000 tests réalisés étaient représentatifs de 100000 citoyens d'une ville ou d'un quartier sur une période de sept jours, cette réduction du nombre de gènes cibles utilisés se traduirait à elle seule par une différence de 10 faux positifs par rapport à 2690 faux positifs en termes de «l'incidence quotidienne» et, en fonction de celle-ci, la sévérité des restrictions à la liberté des citoyens.

    Si le «nombre cible» correct de trois ou même mieux (comme par exemple en Thaïlande) jusqu'à six gènes avait été systématiquement utilisé pour l'analyse PCR, le taux de tests positifs et donc l '«incidence sur 7 jours» aurait été réduit de presque complètement à zéro.

    En outre, la valeur dite Ct, c'est-à-dire le nombre d'étapes d'amplification / doublement jusqu'à laquelle le test est toujours considéré comme «positif», est une source supplémentaire d'erreur.

    Le témoin expert fait remarquer que, selon l'opinion scientifique unanime, tous les résultats «positifs» qui ne sont détectés qu'à partir d'une valeur Ct de 35 et plus n'ont aucun fondement scientifique (c'est-à-dire non fondé sur des preuves). Dans la gamme Ct 26-35, le test ne peut être considéré comme positif que s'il est associé à la culture du virus. Pourtant, le test RT-qPCR pour la détection du SRAS-CoV-2, qui a été propagé dans le monde entier avec l'aide de l'OMS, a été (et après, tous les autres tests basés sur lui comme plan directeur) fixé à 45 cycles sans définir un Valeur Ct pour «positif».

    En outre, lors de l’utilisation du test RT-q-PCR, la notice d’information de l’OMS à l’intention des utilisateurs de DIV 2020/05 doit être observée (n ° 12 des notes juridiques de la Cour). En conséquence, si le résultat du test ne correspond pas aux constatations cliniques concernant une personne examinée, un nouvel échantillon doit être prélevé et un examen supplémentaire effectué, ainsi qu'un diagnostic différentiel; ce n'est qu'alors, selon ces directives, qu'un test peut être considéré comme positif. Selon le rapport d'expert, les tests antigéniques rapides utilisés pour les tests de masse ne peuvent fournir aucune information sur l'infectivité, car ils ne peuvent détecter que des composants protéiques sans aucun lien avec un virus intact et reproductible.

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  16. Afin de permettre une estimation de l'infectivité des personnes testées, le test positif réalisé dans chaque cas (similaire à la RT-qPCR) devrait être individuellement comparé à la cultivabilité des virus de l'échantillon de test, ce qui est impossible sous les conditions d'essai extrêmement variables et invérifiables.

    Enfin, le témoin expert souligne que la faible spécificité des tests entraîne un taux élevé de faux positifs, qui entraînent des conséquences inutiles sur le plan personnel (mise en quarantaine) et sociales (ex: écoles fermées, «rapports d'épidémie») jusqu'à ce qu'elles se révèlent être fausses alarmes. L'erreur, c'est-à-dire un nombre élevé de faux positifs, est particulièrement élevée dans les tests sur des personnes qui ne présentent aucun symptôme.

    Il reste à noter que, en principe, ni le test PCR ni le test rapide d'antigène ne peuvent détecter une infection par le virus SARS-CoV-2, comme l'a démontré le témoin expert. En outre, outre celles décrites ci-dessus, il existe d’autres sources d’erreurs, qui sont énumérées dans l’avis d’expert comme ayant des effets graves, de sorte qu’une détection adéquate de l’infection par le SRAS-CoV-2 dans [l’État fédéral constitutif, ou le Land, of] Thuringe (et dans tout le pays) n'est pas possible à distance.

    Dans tous les cas, le terme «incidence» est mal utilisé par l'exécutif du Land. «Incidence» signifie en fait l'apparition de nouveaux cas dans un groupe défini de personnes (testés à plusieurs reprises et, si nécessaire, examinés médicalement) dans une période de temps définie, cf. No 11 des Notes juridiques de la Cour. En fait, cependant, des groupes indéfinis de personnes sont testés dans des périodes de temps indéfinies, de sorte que ce qui est présenté comme une «incidence» ne fait que rapporter des données, pures et simples.

    Dans tous les cas, selon une méta-analyse du scientifique médical et statisticien John Ioannidis, l'un des scientifiques les plus cités au monde, qui a été publiée dans un bulletin de l'OMS en octobre 2020, le taux de mortalité par infection est de 0,23%, ce qui n'est pas plus élevé. que celle des épidémies de grippe modérément sévères.

    Ioannidis a également conclu, dans une étude publiée en janvier 2021, que les verrouillages n'avaient aucun avantage significatif.

    3. LA VIOLATION PAR LES TESTS RAPIDES DANS LES ÉCOLES DU DROIT À L'AUTO-DÉTERMINATION INFORMATIONNELLE

    Le droit à l'autodétermination informationnelle dans le cadre du droit général à la vie privée conformément à l'article 2 (1) de la Loi fondamentale est le droit de l'individu de déterminer, en principe, pour lui-même, la divulgation et l'utilisation des informations. à propos de leur personne. Ces informations personnelles incluent également le résultat d'un test. En outre, un tel résultat est une «donnée» de santé personnelle au sens du règlement sur la protection des données (DSGVO) et ne concerne en principe pas les autres.

    Cet empiètement sur les droits fondamentaux est également inconstitutionnel. En effet, étant donné les modalités pratiques des tests dans les écoles, il semble inévitable que de nombreuses autres personnes (camarades, enseignants, autres parents) prennent, par exemple, connaissance de tout résultat de test «positif».

    Cela s'applique en conséquence si des barrières de test similaires sont érigées pour l'accès aux achats ou aux événements culturels.

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  17. En outre, le test obligatoire des écoliers sous régional [c.-à-d. Le droit foncier n'est pas garanti par l'Infection Protection Act (IfSG) - indépendamment du fait que cette loi elle-même est sujette à des objections constitutionnelles considérables.

    Selon le § 28 IfSG, les autorités compétentes peuvent prendre les mesures de protection nécessaires de la manière qui y est spécifiée si «des personnes malades, des personnes soupçonnées d'être malades, des personnes soupçonnées d'être infectées ou d'être porteuses de germes» sont identifiées. Conformément au § 29 IfSG, ces personnes peuvent être soumises à l'observation et doivent alors également tolérer les examens nécessaires.

    Dans sa décision du 2 mars 2021, réf.: 20 NE 21.353, la cour administrative d'appel de Bavière a refusé d'emblée de considérer les employés des maisons de retraite médicalisés comme malades, soupçonnés d'être malades ou porteurs. Cela doit également s'appliquer aux élèves. Même une classification comme «soupçonné d'être infecté» est hors de question.

    Selon les jugements du Tribunal administratif fédéral, toute personne qui, avec une certitude suffisante, a eu des contacts avec une personne infectée, est considérée comme suspectée d'être infectée au sens du § 2 n ° 7 IfSG; une probabilité éloignée n'est pas suffisante. Il est nécessaire que l'hypothèse selon laquelle la personne concernée a ingéré des agents pathogènes soit plus probable que l'inverse. Le critère de suspicion d'infection est, exclusivement, la probabilité d'un processus d'infection passé, cf. arrêt du 22.03.2012 - 3 C 16/11 - juris marginal no. 31 et suiv. Le BayVGH, loc. cit., l'a rejeté pour les employés des professions infirmières. Rien d’autre ne s’applique aux écoliers. »

    4 LE DROIT DES ENFANTS À L'ÉDUCATION ET À LA SCOLARITÉ

    Sur le droit des enfants à l’éducation, le juge déclare: «Under Land [i.e. État fédéral], les enfants d'âge scolaire ne sont pas seulement soumis à la loi sur la scolarité obligatoire, mais ont également un droit légal à l'éducation et à la scolarité. Cela découle également des articles 28 et 29 de la Convention des Nations Unies relative aux droits de l'enfant, qui est la loi applicable en Allemagne.

    Selon cela, toutes les nations parties au traité doivent non seulement rendre la fréquentation de l'école primaire obligatoire et gratuite pour tous, mais doivent également promouvoir le développement de diverses formes d'enseignement secondaire à caractère général et professionnel, rendre cette éducation disponible et accessible à tous les enfants et doit prendre des mesures appropriées telles que l'introduction de la gratuité de l'éducation et la fourniture d'un soutien financier en cas de besoin. À cet égard, les objectifs éducatifs énoncés à l’article 29 de la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant doivent être respectés. »

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  18. 5. CONCLUSIONS

    Le juge a résumé sa décision comme suit:

    «L'obligation imposée aux écoliers de porter des masques et de se tenir à distance les uns des autres et des tiers nuit aux enfants physiquement, psychologiquement, pédagogiquement et dans leur développement psychosocial, sans être contrebalancée par plus que, au mieux, un bénéfice marginal pour les enfants. les enfants eux-mêmes ou à des tiers. Les écoles ne jouent pas un rôle significatif dans la «pandémie».

    Les tests PCR et tests rapides utilisés ne sont en principe pas adaptés à eux seuls pour détecter une «infection» par le virus SARS-CoV-2. Cela ressort déjà clairement des propres calculs de l’Institut Robert Koch, comme expliqué dans les rapports d’experts. Selon les calculs du RKI, comme l'explique l'expert Dr.Kuhbandner, la probabilité d'être réellement infecté en recevant un résultat positif lors d'un test de masse avec des tests rapides, quels que soient les symptômes, n'est que de 2 % à une incidence de 50 (spécificité du test 80 %, sensibilité de test 98 %). Cela signifierait que, pour deux résultats de tests rapides vrais positifs, il y aurait 98 résultats de tests rapides faux positifs, qui devraient tous être ensuite testés à nouveau avec un test PCR.

    Une obligation (régulière) de tester en masse des personnes asymptomatiques, c'est-à-dire des personnes en bonne santé, pour lesquelles il n'y a pas d'indication médicale, ne peut pas être imposée car elle est disproportionnée par rapport à l'effet qui peut être obtenu. Dans le même temps, l'obligation régulière de passer le test met les enfants sous pression psychologique, car de cette manière leur capacité à aller à l'école est constamment mise à l'épreuve.

    Enfin, le juge note:

    «Sur la base d'enquêtes menées en Autriche, où aucun masque n'est porté dans les écoles primaires, mais des tests rapides sont effectués trois fois par semaine dans tout le pays, le témoin expert, le professeur Kuhbandner, conclut:« 100 000 élèves du primaire devraient avec tous les effets secondaires du port de masques pendant une semaine afin de ne prévenir qu'une seule infection par semaine. »»

    Appeler ce résultat simplement disproportionné serait une description complètement inadéquate. Il montre plutôt que le Land [c.-à-d. La législature de l’État fédéral qui réglemente ce domaine a perdu le contact avec la réalité à un degré sans précédent.

    English translation of the following article: https://2020news.de/sensationsurteil-aus-weimar-keine-masken-kein-abstand-keine-tests-mehr-fuer-schueler/

    This translation is a reworking by a professional translator (Paul Charles Gregory, BDÜ) of a machine translation using DeepL. For the German language sources referred to, see the original German.

    https://2020news.de/en/sensational-verdict-from-weimar-no-masks-no-distance-no-more-tests-for-pupils/

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    1. (...) Avec son évaluation des données internationales complètes sur les masques, l'expert professeur Kappstein a convaincu la Cour que les preuves scientifiques ne soutiennent pas l'idée de l'efficacité des masques pour les personnes en bonne santé en public.

      La décision déclare: «De même, la« protection par des tiers »et la« transmission inaperçue », que le RKI [Institut Robert-Koch] a utilisées pour justifier sa« réévaluation », ne sont pas étayées par des faits scientifiques. (...)

      Effectivement, compte tenu de la dimension du virus (de 0,1 à 0,5µ) et du maillage du masque 'le plus fin' (FFP2 ou N95) de 3 microns !!! AUCUN MASQUE ANTI VIRUS NE PEUT EXISTER !


      (...) Au sujet du test PCR, la Cour écrit: «Le témoin expert Prof. Dr. med. Kappstein a déjà souligné dans son témoignage que le test PCR ne peut détecter que du matériel génétique, mais pas si l'ARN provient de virus capables d'infection et donc capables de réplication (c'est-à-dire capables de reproduction).

      Le témoin expert Prof. Dr. rer. biol. Hum. Kämmerer a confirmé, dans son témoignage sur la biologie moléculaire, qu'un test PCR - même s'il est effectué correctement - ne peut fournir aucune information sur le fait qu'une personne est infectée par un agent pathogène actif ou non. (...)

      L'escroquerie des tests RT-PCR repose sur le nombre de virus respirés (Nous respirons toutes & tous 200 000 virus ou microbes par minute et 2 millions en activité physique) qui n'évalue en rien le nombre de virus morts (depuis 1 an, 100 ans ou 1000 ans) qui flottent dans l'espace et le nombre d'attaquants inactivés par notre organisme depuis toujours (nous en avons respiré DES milliards de milliards depuis ce matin et... nous ne sommes pas morts !! Çà alors !!).

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  19. Les médias ont menti à plusieurs reprises sur la mort de l'agent Brian Sicknick. Et ils viennent de se faire prendre


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 20 AVR 2021 - 03:55
    Par Gleen Greenwald, d'abord publié sur Substack


    Tout comme avec la débâcle du Russia Bounty, ils ne reconnaîtront jamais ce qu'ils ont fait. Leur public veut qu'on leur mente pour un gain partisan et un plaisir émotionnel.

    Il était crucial pour les secteurs libéraux des médias d'inventer et de diffuser un mensonge déchirant sur la mort de l'agent Brian Sicknick. C'est parce qu'il est le seul qu'ils pourraient prétendre avoir été tué par des manifestants pro-Trump lors de l'émeute du 6 janvier au Capitole.

    Le New York Times a donc publié le 8 janvier une fiction émotionnellement déchirante mais complète qui n'a jamais eu aucune preuve - que le crâne de l'officier Sicknick a été sauvagement cogné avec un extincteur par une foule pro-Trump jusqu'à sa mort - et, tout comme le L'histoire de la prime russe désormais discréditée a également été dévoilée par ce même journal, les câblodistributeurs et autres plateformes médiatiques ont répété ce mensonge encore et encore de la manière la plus émotionnellement manipulatrice possible. Regardez une partie de ce qu'ils ont fait et comment:

    - voir clip sur site -

    Comme je l'ai détaillé à maintes reprises en examinant cette histoire, il y avait tellement de raisons de douter de cette histoire dès le début. Personne dans le dossier n'a prétendu que cela s'était produit. L'autopsie n'a révélé aucun traumatisme contondant à la tête. La propre famille de Sicknick a continué à exhorter la presse à cesser de diffuser cette histoire parce qu'il les a appelés dans la nuit du 6 janvier et leur a dit qu'il allait bien - manifestement incompatible avec l'affirmation des médias selon laquelle il était mort en se faisant cogner le crâne - et sa propre mère n'arrêtait pas de le dire. qu'elle croyait qu'il était mort d'un accident vasculaire cérébral.

    Mais l'histoire horrible du «meurtre» de Sicknick était trop précieuse pour permettre un interrogatoire. Il a été utilisé à maintes reprises pour dépeindre la foule pro-Trump non seulement comme violente mais barbare et meurtrière, car si Sicknick n'était pas assassiné par eux, alors personne ne l'était (sans Sicknick, les seuls tués étaient quatre partisans pro-Trump: deux qui sont morts d'une crise cardiaque, l'un d'une surdose d'amphétamines, et l'autre, Ashli ​​Babbitt, qui a été abattu à bout portant dans le cou par la police du Capitole alors qu'il n'était pas armé). Ce conte de fées sur Sicknick était si crucial qu'il a fait son chemin dans le compte rendu officiel du procès de destitution du président Trump au Sénat, et ils ont fait réciter Joe Biden lui-même à partir du scénario, alors même que des faits clairs montaient prouvant que c'était faux.

    - voir doc sur site -

    Articles sur cette sous-pile, 16 février 2021 et 5 mars 2021
    En raison de sa centralité dans le récit et l'agenda des médias, quiconque tentait de souligner les graves lacunes factuelles de cette histoire - en d'autres termes, les gens essayant d'être journalistes - a été sali par les loyalistes du Parti démocrate qui se font passer pour des journalistes comme "Sicknick Truthers », Sympathisants nationalistes blancs et partisans de l'insurrection.

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  20. Pour le crime d'essayer de déterminer la vérité factuelle de ce qui s'est passé, mon personnage a été constamment mis en cause par ces vers propagandistes, tout comme n'importe qui d'autre qui a essayé de dire la vérité sur la mort tragique de Sicknick. Parce que l'une des premières personnes à mettre en évidence la vérité journalistique ici était l'ancien officiel de Trump Darren Beattie de Revolver News et l'une des rares personnes à la télévision disposées à présenter des doutes sur l'histoire officielle était Tucker Carlson, tous les doutes sur la fausse histoire de Sicknick - non quelle que soit la pertinence de la vérité, des faits, de la raison et des preuves - ont été présentés comme le fascisme et la suprématie blanche, et ceux qui soulèvent des questions salués comme des «véridiques»: les insultes libérales mornes habituelles pour essayer de contraindre les gens à se soumettre à leurs mensonges:

    - voir doc sur site -

    Parce que la vérité prévaut généralement, du moins en fin de compte, leurs mensonges, encore une fois, tous se sont écrasés sur leurs têtes lundi. Le médecin légiste en chef du district de Columbia a rendu plus tôt ce matin sa décision officielle dans l'affaire Sicknick, et c'était si définitif que le Washington Post - l'un des médias qui avait poussé les multiples mensonges - n'a même pas pris la peine d'essayer de masquer ou atténuer la dure conclusion qu'il a révélée:

    - voir doc sur site -

    La première ligne raconte une grande partie de l’histoire: «Le policier du Capitole, Brian D. Sicknick, a subi deux accidents vasculaires cérébraux et est décédé de causes naturelles un jour après avoir affronté des émeutiers lors de l’insurrection du 6 janvier, a statué le médecin légiste en chef du district.» Par euphémisme, le journal a ajouté: "La décision, rendue publique lundi, rendra probablement difficile pour les procureurs de poursuivre des accusations d'homicide dans la mort de l'officier."

    Cette conclusion définitive du médecin légiste nous débarrasse non seulement du mensonge de l'extincteur, mais aussi de la deuxième théorie à laquelle ces médias ont eu recours une fois qu'ils ont dû faire face à la réalité qu'ils ont passé des semaines à répandre un mensonge pur et simple (il va sans dire qu'ils ont fourni non responsabilité réelle ou même reconnaissance du fait qu'ils ont diffusé ce conte d'extincteur, passant simplement de manière transparente à leur prochaine revendication sans preuves). Ils ont changé leur histoire pour affirmer que des manifestants pro-Trump ont toujours assassiné Sicknick, non pas avec un extincteur mais avec un spray anti-ours, vidéo montrant au moins un manifestant en train d'utiliser dans son voisinage.

    - voir doc sur site -

    Le problème avec cette théorie est que le spray anti-ours n'est généralement pas mortel, et les conclusions du médecin légiste ont exclu la possibilité que ce soit ce qui ait causé sa mort:

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  21. Dans une interview avec le Washington Post, Francisco J.Diaz, le médecin légiste, a déclaré que l'autopsie n'avait trouvé aucune preuve que l'officier de 42 ans avait souffert d'une réaction allergique à des irritants chimiques, ce qui, selon Diaz, aurait provoqué une prise rapide de la gorge de Sicknick. Diaz a également déclaré qu'il n'y avait aucune preuve de blessures internes ou externes….

    Diaz a déclaré que Sicknick avait subi deux accidents vasculaires cérébraux à la base du tronc cérébral causés par un caillot dans une artère qui alimente en sang cette zone du corps. Diaz a déclaré qu'il ne pouvait pas dire si Sicknick avait un problème de santé préexistant, citant les lois sur la protection de la vie privée.

    Voilà donc ce deuxième conte de fées. Le Post a noté l'observation du médecin légiste concernant la participation de Sicknick à la défense du Capitole ce jour-là selon laquelle «tout ce qui s'est passé a joué un rôle dans son état». Cela est bien sûr vrai: tout comme cela est vrai pour les deux partisans pro-Trump qui ont eu une crise cardiaque ce jour-là et l'autre partisan pro-Trump qui est mort à cause d'une trop grande quantité d'amphétamines dans son système, ayant probablement une rencontre stressante en tant que policier. a joué un rôle dans la raison pour laquelle quelqu'un aurait deux coups le jour suivant. Mais les policiers sont formés pour des rencontres stressantes, et c'est évidemment loin de pouvoir prétendre qu'un partisan pro-Trump a assassiné Sicknick.

    J'aurai beaucoup plus sur cette histoire au fur et à mesure qu'elle se déroule. Une part importante de la responsabilité des médias est justifiée. Mais vous voyez pourquoi il y a tant de ressentiment et tant d'attaques contre des plateformes comme celle-ci qui permettent aux journalistes de rapporter et d'analyser des faits et de disséquer les récits médiatiques sans être contraints par les orthodoxies et les pietements libéraux et tout en restant à l'abri des tactiques de pression libérales: c'est l'un des rares moyens de diffuser une véritable dissidence face à leurs mensonges et à leur propagande.

    - voir doc sur site -

    The New York Times, dans un article désormais «mis à jour», 8 janvier 2021
    La vérité compte. Les mensonges nobles ne sont jamais justifiés quelle qu'en soit la cause, en particulier dans le journalisme. Mais ces employés des médias d'entreprise ont appris le modèle exactement opposé: que leur obligation première est de plaire et de flatter l'agenda partisan et les sensibilités politiques de leur public, même si cela signifie mentir ou répandre imprudemment des théories non prouvées pour le faire. C'est leur modèle de profit. Et ils ont formé leur public à vouloir et à attendre cela et c'est pourquoi ils ne se sentent jamais obligés de s'engager dans une autocritique ou une responsabilité lorsqu'ils se font prendre à faire cela: leur public veut qu'on leur mente - ils en sont reconnaissants - et préféreraient qu'ils n'admettent pas qu'ils l'ont fait pour que leurs intérêts partisans ne soient pas compromis.

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  22. Ce qui est le plus déprimant dans tout ce spectacle, c'est que, cette fois, ils ont exploité la mort tragique d'un jeune homme pour atteindre leurs objectifs farfelus. Ils ne se souciaient pas du tout de l'agent Brian Sicknick. Ils venaient de passer des mois à glorifier un mouvement de protestation dont le point de vue fondamental est que les policiers sont intrinsèquement racistes et abusifs. Il venait de devenir leur jouet, pour être joué avec et exploité afin de dépeindre la manifestation du 6 janvier comme une orgie meurtrière menée par des sauvages si primitifs et inhumains qu'ils étaient prêts à se cogner mortellement dans le crâne d'une personne impuissante ou à les pulvériser. avec des gaz mortels jusqu'à ce qu'ils s'étouffent à mort avec leurs propres liquides pulmonaires. Aucun si c'était vrai, mais cela n'avait pas d'importance - et cela n'a toujours pas d'importance pour eux - parce que la vérité, comme toujours, n'a rien à voir avec leur fonction réelle. Si quoi que ce soit, la vérité y est un obstacle.

    https://www.zerohedge.com/markets/media-lied-repeatedly-about-officer-brian-sicknicks-death-and-they-just-got-caught

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    1. Est-ce que çà a commencé le 11 Septembre ? (et continué avec 'Sandy Hook, Marathon de Boston, Global Warming, Corona, etc, etc) ? Non ! Cà a toujours été comme çà !
      Les merdias sont les merdias.

      Sur internet on appelle çà des 'trolls'. Dans les merdias ils appellent çà 'l'officiel' !!

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  23. La croissance chinoise a-t-elle vraiment explosé ?

    La publication, le 16 avril 2021, d’une croissance chinoise de 18,3 % au premier trimestre de 2021 a fait son petit effet. Qu’en est-il réellement ?


    Par Yves Montenay.
    LE 21 AVRIL 2021


    La publication par la Chine, le 16 avril 2021, d’une croissance de 18,3 % au premier trimestre de 2021 a fait son petit effet… et les admirateurs de ce pays s’en sont félicités.

    Au-delà de ce coup de pub très réussi, il faut bien situer ce chiffre dans son contexte, ce qui relativise beaucoup son importance, et plus fondamentalement voir si le PIB chinois reflète bien la situation du pays et si cette dernière est durable.

    CROISSANCE CHINOISE : UN CHIFFRE À RELATIVISER

    Au premier trimestre 2020, le PIB avait baissé de 6,8 % par rapport à 2019. Par rapport à cette année-là la hausse est donc en gros de 11,5 %, soit 6,75 % par an. C’est un chiffre très honorable, mais qui reste dans l’ordre de grandeur de la croissance chinoise habituelle, soit 6 à 7 %.

    Autre point de repère : la croissance est de 0,6 % par rapport au dernier trimestre de 2020. Si ce dernier est considéré comme normal, ça nous donne donc une croissance annuelle de 2,4 % par rapport à ce niveau « normal » si elle continue à ce rythme.

    Mais il est extrêmement difficile de trouver quel est le niveau « normal » pouvant servir de point de repère.

    Tout au plus peut-on dire que la Chine a bénéficié, depuis maintenant environ neuf mois, d’une demande accrue du reste du monde qui était partiellement paralysé. Ainsi les exportations ont progressé de 30 % en mars, tandis que d’autres secteurs comme le transport aérien et ferroviaire sont à 60 % de leur niveau normal.

    Bien sûr, il faudra voir quelle sera la croissance des trimestres futurs. Ils bénéficieront des plans de relance européens et surtout américains qui mèneront les habitants de ces pays à importer ce qui ne pourra pas être produit sur place. Cela peut donner de beaux chiffres en 2021, mais ne sera pas forcément durable.

    Enfin il faudra être attentif aux quantités, et non pas seulement aux évaluations monétaires. J’ai le souvenir d’une série de statistiques glorieuses alors que la consommation d’électricité stagnait.

    Bref nous aurons en 2021 des chiffres à regarder avec précaution. Mais plus fondamentalement je pense que le chiffre du PIB n’est pas une bonne façon d’analyser la situation chinoise.

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  24. LE PIB REFLÈTE-T-IL LA SITUATION DES CHINOIS ?

    Les économistes savent que tout PIB est largement arbitraire.

    Par exemple, en France, où la fonction publique rassemble environ un actif sur quatre, on admet par convention que la valeur du travail de l’administration est égale à son prix de revient.

    Or cela fausse considérablement le résultat, car certains services sont peu utiles, par exemple s’ils se doublonnent dans deux niveaux de notre millefeuilles territorial, tandis que d’autres sont extrêmement précieux : un bon professeur apporte à la nation un service très supérieur à son modeste salaire. Si l’éducation était privée, on se l’arracherait, et il aurait un salaire qui aurait plus de sens sur le plan économique.

    De même, si en France les particuliers dépensent environ 85 % du PIB après en avoir épargné 15 %, cette proportion n’était que de moins de 50 % en Chine. Ce qui veut dire que le PIB chinois est construit de telle façon que les particuliers ne peuvent pas en profiter…

    Par exemple les Chinois sont obligés d’épargner une forte proportion de leurs revenus pour payer leurs frais de santé lorsqu’ils seront âgés, et compléter leurs retraites qui sont faibles, voire inexistantes dans beaucoup de métiers : souvent une centaine d’euros mensuel pour les paysans, à condition qu’ils puissent acheter des points, ce à quoi les aident les administrations locales. On monte à 270 euros dans les villes de plus de 10 millions d’habitants et 470 euros à Pékin et Shanghai.

    C’est l’occasion de préciser que si beaucoup de récits décrivent la vie relativement confortable des citadins chinois des grandes villes (transports en commun, espaces verts, écoles…) cela laisse de côté 3 à 400 millions de migrants de l’intérieur, obligés de laisser leurs enfants aux grands-parents au village, où le niveau de vie est beaucoup plus faible.

    Les prestations n’y sont pas du tout les mêmes que dans les grandes villes. Les migrants eux-mêmes restent rattachés administrativement à leur village et n’ont pas droit aux prestations dont bénéficient les natifs de la ville pour lesquels ils travaillent à partir de leurs baraques de chantier.

    Enfants, grands-parents retraités ou paysans, totalisent également quelques centaines de millions de personnes, soit probablement une grande partie des six cents millions de pauvres cités par le Premier ministre en juin 2020. Ce chiffre ne comprend apparemment pas les migrants dont le salaire, sinon le statut, est a priori normal. Le niveau de vie d’une grande partie des Chinois reste donc faible.

    Par ailleurs, cette mise en avant du PIB escamote d’autres problèmes.

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  25. CROISSANCE CHINOISE : LA DETTE ET L’INFLATION

    Prenons un exemple concret, fréquent en Chine. Vous construisez un immeuble financé par une dette contractée auprès d’une banque amie (vous êtes tous les deux membres bien placés du PCC, le parti communiste chinois, réseau économique indispensable).

    Le PIB chinois augmente du prix de revient de l’immeuble. L’immeuble reste vide, vous ne pourrez pas rembourser et votre ami banquier classe sa créance sur vous dans un dossier discret. L’augmentation du PIB ne correspond pas à la réalité !

    Le PIB pourrait être également gonflé par une inflation supérieur à l’inflation mondiale, toujours très faible actuellement. Début mars, Guo Shuqing (郭树清), directeur de la commission chinoise de réglementation des banques et des assurances, s’inquiétait de la création monétaire occidentale : « comme l’économie est devenue très mondialisée, les capitaux étrangers vont arriver en Chine et gonfleront le prix des actifs. »

    Comme beaucoup d’autres observateurs, il craint une accentuation de la bulle sur le marché immobilier chinois, puis son explosion : « il y aura de lourdes pertes et un chaos économique ».

    Il n’y a pas que l’argent étranger qui pourrait générer des bulles : Pékin demande aux gouvernements locaux, jusqu’au niveau des villages, de s’endetter pour financer les infrastructures et la construction. D’une part, c’est plus discret qu’un endettement au niveau national et d’autre part Pékin pourra se dire non responsable et disposera d’un commode bouc émissaire.

    Le copinage de la base au sommet risque de financer des entreprises non performantes ou des organisations frauduleuses qui gonfleront ainsi le PIB.

    LE DANGER DE LA FERMETURE ÉCONOMIQUE

    De représailles en contre-représailles, de boycott d’entreprises occidentales en dénonciations d’ingérence dans ses affaires intérieures, on se dirige vers une certaine fermeture économique entre la Chine et le reste du monde.

    Une partie des Chinois pense que leur 1,4 milliard d’habitants qui ont maintenant un niveau de vie correct, constitue un marché leur permettant de se déconnecter du reste du monde.

    Ce n’est pas mon avis, ni celui des Chinois pragmatiques.

    Non seulement ces 1,4 milliard d’habitants cachent une diminution de la population active, un fort vieillissement de la population et donc une augmentation du nombre des retraités à faibles revenus, mais cela sous-estime l’utilité des échanges intellectuels et techniques permanents avec le reste du monde, qui ont justement permis à la Chine de décoller.

    On voit même se développer une tendance néo maoïste qui veut ajouter à cet isolement l’abandon du dollar. Si rien n’est théoriquement impossible, les exemples de la période maoïste, de l’URSS et des pays à monnaie non convertible devraient les faire réfléchir.

    « Mais pourquoi notre monnaie serait-elle inconvertible ? » disent les maoïstes. À mon avis parce que la convertibilité implique une transparence et un libre jeu du marché que Pékin n’a aucune envie d’essayer. On retrouve le dilemme chinois.

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  26. EN CONCLUSION

    Il faut donc relativiser les chiffres flamboyants du PIB chinois. Attendons la suite et analysons la réalité qui est derrière, notamment physique : production d’électricité, population active, immeubles vides, créances douteuses…

    On retrouve à l’arrière-plan le dilemme chinois : s’ouvrir au monde, c’est la prospérité, mais c’est aussi laisser circuler des idées subversives.

    Depuis plus de 30 ans Pékin répète qu’il faut « ouvrir les fenêtres sans faire entrer les mouches ».

    Plus profondément encore, une société peut-elle progresser sans un minimum d’idées paraissant subversives aux gouvernants ? En l’absence de liberté de discussion économique, politique, et même religieuse ou philosophique, toute société voit son élite se cantonner dans un entre-soi, à la défense de ses positions qui deviennent des privilèges.

    Il y a alors deux possibilités : soit cette élite garde le contrôle de la population, comme ce fut le cas en URSS et comme c’est le cas actuellement en Chine, en Corée du Nord ou encore à Cuba, soit tout craque.

    Cela peut être à l’arrivée d’une nouvelle génération (Gorbatchev en URSS), ou d’un soulèvement populaire. Ce dernier cas est le moins probable : que l’on pense aux printemps arabes, à la Biélorussie, au Venezuela, à certains pays africains… : « on ne fait pas de révolution contre l’armée »

    Tant que dure le pouvoir de l’élite actuelle, je parie pour un ralentissement graduel de l’économie réelle de la Chine.



    Sur le web

    https://www.contrepoints.org/2021/04/21/395745-la-croissance-chinoise-a-t-elle-vraiment-explose

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    1. Même si les USA (320 millions d'hab.) et l'UE (300 millions d'hab.) sont de 'bons acheteurs', ils ne représentent qu'une fraction du monde de 7 milliards d'habitants ! Et, quand il y a sur place 1,4 milliard d'habitants y a de quoi faire ! C'est pour çà que les pays asiatiques (qui ne portent pas ou presque pas le masque et sont sans incarcération à domicile, et n'ont aucun petit commerce fermé) se développent aujourd'hui à la vitesse grand V en rigolant des dictatures extérieures où les virus ne seraient QUE dans les petits magasins !! HAHAHAHAHA ! Un virus FAIT PARTIE de l'air, il y en a moins en magasins de 50 m3 qu'en grandes surfaces de 15 000 m3. Mais là où ce 'corona' (vieux de 10 000 ans) a du bon est qu'il nécessiterait... de porter un masque contre lui !! HAHAHAHA ! sachant qu'un virus a 0,1 à 0,5 micron alors que les masques les plus fermés (FFP2-N95) ont un maillage de 3 microns !!! ce qui les laisse forcément passer par millions !!! HAHAHAHA ! Mais c'est le marché ! Le marché des cons, mais çà marche !
      Bien sûr le PIB de la Chine n'attend pas sa valeur sur les milliards de masques fabriqués mais sur presque 5 milliards de consommateurs extérieurs qui n'achètent QUE chinois because qu'ailleurs tout est fermé !! HAHAHAHA !

      De plus, comme les petits magasins ne tiennent pas de 'grandes marques', leurs fermetures augurent la disparition point final de ces mini-concurrents. Ne resteront en place QUE les 'grandes marques' proposées en supermarchés.

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  27. Covid-19, la lumière au bout du tunnel ?


    Dr. Nicole Delépine
    mondialisation.ca
    mar., 20 avr. 2021 19:29 UTC


    Selon R. Fuellmich, la lumière est au bout du tunnel.

    Acceptons-en l'augure !

    https://2020news.de/rede-dr-fuellmich-auf-der-kassler-demo/

    Le 20 mars 2021, une grande manifestation contre les mesures anticorona du gouvernement a eu lieu à Kassel. Selon les rapports de presse, 20 000 personnes étaient présentes, plutôt 100 000 d'après les participants

    Avocat et fondateur membre du comité Corona créé à berlin en juillet 2020, Reiner Füllmich a pris la parole lors de la manifestation.

    2020News publie le texte de son discours ici.

    EXTRAITS LIBRES

    « Comment auriez-vous réagi début 2020 si on vous avait dit que de la mi-mars à aujourd'hui
    non seulement les gens partout en Allemagne mais dans de grandes parties du monde porteraient des masques, y compris les enfants ?
    En raison de soi-disant confinement, la classe moyenne allemande, ainsi que la classe moyenne de tout le monde occidental, est menacée de faillite ?
    Des millions d'opérations, d'examens de dépistage du cancer, de mesures de rééducation et d'autres mesures médicales ont été reportés, avec des conséquences sanitaires imprévisibles pour les personnes touchées ?
    Des milliers de personnes en phase terminale en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont obligées de mourir isolées et toutes seules sans le soutien de leurs proches ?
    Des gens partout en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont privés de leur liberté pendant des jours et des semaines sans ordonnance du tribunal en raison de soi-disant ordonnances de quarantaine ?
    Des gens en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont poursuivis pour avoir fêté leur anniversaire, assis sur un banc de parc, faire du jogging, chanter ?
    Les parlements occupés par des représentants du peuple que nous élisons sont de facto impuissants et les gouvernements fédéral et des États ont adopté une série ingérable de règlements arbitraires sans aucune légitimation du peuple, dont personne ne comprend le contenu et les limites ?
    Tous les droits démocratiques fondamentaux ont en fait été suspendus, y compris le droit démocratique fondamental le plus important, la liberté d'expression ? »
    Et oui c'est ce qui est arrivé dans de nombreux pays occidentaux dont l'Allemagne et la France et de trop nombreux pays à quelques exceptions comme la Suède ou la Biélorussie en Europe qui ont résisté aux pressions du FMI (sonnantes et trébuchantes d'après le président biélorusse).

    Au nom de quoi avons-nous perdu nos droits fondamentaux dans un silence sidérant ou une sidération conduisant à la soumission devant l'énormité des mensonges ne pouvant pas en être selon le citoyen de base ? Une décision commune de nombreux pays obéissants à l'OMS et au conseil sanitaire international de l'OMS [1]signé par 194 pays conduit au désastre mondial comparé par certains à une troisième guerre mondiale

    Les pays signataires s'étaient mis d'accord pour appliquer les mesures décidées par l'OMS en cas de pandémie mondiale. Restait à décider qu'il y avait pandémie, ce qu'a fait l'OMS sans vergogne en changeant les critères 12 ans plutôt. Le tour était joué et les partisans d'un gouvernement mondial influencés par Bill Gates via l'OMS qu'il finance en grande partie et les puissants de ce monde occidental comme Mme Merkel que les autres pays de l'UE dont la France suivent, ont pu imposer un temps leur scénario tragique.

    Combien de temps, ce sera aux peuples d'en décider.

    A ce jour, il n'y a pas de réponse à cette question de la part des gouvernements, fédéral et des États, sauf l'injonction : « il y a une pandémie corona, alors faites ce que nous vous disons de faire sans poser de questions ».

    Aucune question ne peut être posée, a expressément déclaré le chef du RKI, un vétérinaire nommé Wieler, RKI soi-disant autorité fédérale supérieure qui doit suivre les instructions des gouvernements ou du ministère fédéral de la Santé.

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  28. Qu'en pense donc Maitre Reiner Fuellmich ?

    La démocratie vit de manière cruciale sur la compétence morale, et la compétence morale nécessite deux choses : la capacité de poser des questions au lieu d'obéir aveuglément aux ordres, et la capacité de discuter d'autres opinions au lieu de les diffamer à tous les niveaux.

    La capacité de poser des questions et la capacité de discuter sont au cœur de la liberté d'expression et donc au cœur de la démocratie.

    Dans l'intérêt de qui cette attaque de notre propre gouvernement contre la démocratie, c'est-à-dire le gouvernement du peuple a -t-elle eu lieu ? « Qui a intérêt à détruire le pouvoir du peuple, la démocratie, et à le remplacer par quelque chose qui, comme les développements de l'année dernière l'ont montré, est un régime fasciste-totalitaire ? »

    Commençons par la question centrale : sur quelles conclusions reposent ces ordres destructeurs de démocratie et extrêmement préjudiciables ?

    Ces trois questions spécifiques auraient dû être posées devant les parlements !
    À quel point le prétendu nouveau virus est-il vraiment dangereux ?
    Conformément à l'OMS (quoique controversée) et au respecté Prof. Dr. John Ioannidis de l'Université de Stanford : pas plus dangereux que la grippe saisonnière avec un taux de mortalité par infection de 0,14-0,26%)
    Quels sont les effets sanitaires et économiques des mesures anti-coronavirus ?
    La réponse très détaillée et précise à cette question est à la disposition du ministère fédéral allemand de l'Intérieur depuis mai 2020, sous la forme de ce que l'on appelle désormais le «papier de fausse alerte», document rédigé par un spécialiste du ministère de l'Intérieur bien formé à l'évaluation des risques pour la protection de la population.

    Et tout le monde connaît maintenant la réponse, comme décrit ci-dessus :

    les effets des mesures anti-corona sont comme une troisième guerre mondiale, mais sans guerre ouverte.
    Quelle est la fiabilité du test PCR
    pour la détection des infections que C. Drosten conseiller de A.Merkel pour la santé, a développé début janvier 2020 (à un moment où lui, Wieler et les autres déclaraient encore publiquement qu'il n'y avait rien à craindre du virus corona) et l'a fait recommandé par l'OMS dans le monde entier. Fabuleuse efficacité dramatique pour trop de peuples du monde entier !

    Or « un test PCR ne peut donner aucune information sur une infection, il n'est même pas approuvé à cet effet. C'est pourquoi ce test ne dispose que d'une soi-disant autorisation d'utilisation d'urgence aux États-Unis et non d'une véritable autorisation complète. »

    Réponses à ces trois questions selon R. Fuellmich

    « Issu des travaux du Comité Corona, que ma collègue Viviane Fischer et moi avons fondé avec deux autres avocats le 10 juillet 2020 et qui a été constamment dirigé par le pneumologue et ancien chef d'un service de santé de longue date, le Dr. Wolfgang Wodarg, le biologiste Prof. Dr. Ulrike Kämmerer de l'Université de Würzburg et le professeur de droit Dr. Martin Schwab de l'Université de Bielefeld. » Ce comité a depuis interrogé une centaine de scientifiques, médecins, avocats, économistes, psychologues, psychiatres et autres respectés et de renommée mondiale.

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  29. Les dégâts sont monstrueux dignes d'une guerre mondiale

    Même l'OMS a admis que le danger réel du virus ne va pas au-delà de celui de la grippe saisonnière, qui a un taux de mortalité par infection de 0,14%, et s'épuise.

    Et l'écrasante majorité de ceux qui meurent ont plus de 80 ans et souffrent de maladies préexistantes graves et multiples.

    Des dizaines de scientifiques ont aujourd'hui confirmé que le test de Drosten, ne permet pas de tirer des conclusions sur les infections.

    Même l'OMS et l'homologue américain du RKI[2] allemand, le CDC[3], l'ont admis et ont souligné qu'un test positif ne dit rien sur le caractère infectieux de la personne testée.[4]

    C'est parce que le test ne peut pas faire la distinction entre le matériel vivant et mort

    Il ne peut pas non plus dire si les symptômes d'une personne ne sont pas causés par un autre agent pathogène, comme un virus du rhume ou de la grippe. Plus précisément, le CDC dit :

    « La détection de l'ARN viral n'indique pas la présence d'un virus infectieux ou que Covid 19 est l'agent causal des symptômes cliniques ». Ce test ne peut pas exclure les maladies causées par d'autres agents pathogènes bactériens ou viraux.

    Habituellement, au moins jusqu'à l'apparition de Coronavirus sras cov 2, les personnes sans symptômes étaient considérées comme en bonne santé et se sentaient également en bonne santé.

    Soulignons que l'affirmation mensongère selon laquelle il existe des infections asymptomatiques vient également de M. Drosten. En fait, il n'y a pas du tout d'infections asymptomatiques, comme ce fut récemment une nouvelle fois démontré avec une étude de 10 millions de participants à Wuhan, provenant de partout.. La Chine l'a montré à la fin de l'année dernière[5].

    Les deux affirmations (validité des tests PCR et infections asymptomatiques) sont contraires aux faits établis :
    a) l'affirmation selon laquelle il y a des infections asymptomatiques
    b) l'affirmation selon laquelle le test Drosten PCR peut détecter des infections
    viennent de Drosten le conseiller d'A. Merkel et de l'OMS. Au début de 2020, il les a publiés dans deux articles qui ne répondent même pas aux normes scientifiques.

    Il a publié ces fausses déclarations : or, ​​au moment de la publication sur les infections asymptomatiques, il savait que le cas cité comme exemple d'une femme chinoise visitant l'Allemagne n'était pas du tout asymptomatique. Elle avait antérieurement traité ses symptômes avec un médicament commun contre la grippe.

    Et selon une interview qu'il a donnée en 2014 à Wirtschaftswoche, C. Drosten savait également qu'un test PCR positif n'a aucune valeur informative sur les infections. [6]

    Reiner Fuellmich signale de surcroit en plus de graves conflits d'intérêts financiers, Drosten a un autre problème avec sa crédibilité (doutes massifs s'il est autorisé à utiliser son doctorat et poursuites judiciaires en cours). Drosten a d'autres problèmes de crédibilité car pendant la grippe porcine de 2009, comme le prophète anglais Neil Ferguson, il a averti des conséquences désastreuses et des millions de décès si une vaccination de masse n'avait pas lieu.

    Ces prédictions se sont révélées complètement fausses et la grippe porcine s'est avérée être une grippe bénigne. Cependant, des vaccins avaient déjà été achetés dans de nombreux pays du monde dans des conditions qui étaient gardées secrètes jusqu'à aujourd'hui, et ils ont ensuite été utilisés (avant que tout ne soit détruit) avec pour résultat que 1300 enfants, en particulier en Scandinavie, sont gravement handicapés à vie. et souffrez de narcolepsie.

    Ajoutons qu'il est remarquable que ces fausses prophéties sont identiques en Grande-Bretagne et en Allemagne et formulés par les plus hauts conseillers des états et de l'OMS. Difficile de croire à de l'incompétence.

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  30. L'avocat se demande pourquoi le gouvernement fédéral a suivi les conseils et les demandes de confinements massifs de Drosten et de son institut, qui « sans même un soupçon d'empathie ou de pitié a ordonné ces mesures dévastatrices qui, entre autres, ont forcé les personnes en phase terminale à être isolées et seules sans soutien de leurs proches à mourir ? »

    « Et pourquoi le gouvernement n'a-t-il pas seulement pris note des autres opinions, mais les a-t-il rejetées comme des théories d'extrême droite, antisémites et du complot sans même les examiner, encore moins en discuter ».

    Comment le gouvernement fédéral (et les gouvernements des États qui le suivent aveuglément) ont-ils sciemment et volontairement ordonné des ordonnances mortelles et dévastatrices, exigé que personne ne pose de questions, et au-delà, toutes les autres opinions scientifiques et médicales (y compris l'un des scientifiques les plus cités) dans le monde, le professeur John Ioannidis de l'Université de Stanford) a ignoré et délibérément dénigré ».

    Ce dernier a déclaré « - que le soi-disant nouveau virus ne représente pas une menace plus grande que le virus de la grippe,

    - qu'il existe des traitements efficaces qui ne coûtent pratiquement rien,

    - et que les mesures dans leur ensemble causeraient les dommages les plus dévastateurs pour la santé et l'économie ? »

    En résumé: quels intérêts le gouvernement fédéral représente-t-il lorsqu'il ordonne de telles mesures destructrices ? Au nom de qui le gouvernement fédéral agit ainsi, et pour quelle raison ?

    Reiner Fuellmich

    « Si vous considérez que les conseillers les plus importants du gouvernement fédéral - en plus de Drosten - le Wellcome Trust et la Fondation Bill et Melinda Gates, des représentants de haut rang de l'industrie pharmaceutique de production de vaccins et de l'industrie technologique appellent tous à l'introduction d'un carte de vaccination numérique, on soupçonne qu'ici et de manière totalement irrespectueuse et empathique leurs intérêts sont représentés et non ceux du peuple allemand ».

    « Un groupe d'avocats en réseau international en constante augmentation - en particulier avec le droit anglo-américain - travaille en étroite coordination pour faire la lumière et trouver des réponses aux questions de savoir qui est derrière tout cela et qui est tenu responsable.

    Parce que, comme mon héros juridique Louis D. Brandeis l'a dit, la lumière du soleil est le meilleur de tous les désinfectants. Et cette lumière du soleil est la lumière au bout du tunnel que nous pouvons tous voir, et elle devient de plus en plus brillante ».

    Selon une autre interview [7] :

    Il y a quelques jours, Fuellmich s'est entretenu à nouveau avec Jerm Warfare : « Il y a de la lumière au bout du tunnel », a-t-il déclaré. « Nous avons gagné des procès et nous allons en gagner beaucoup d'autres ».
    Au cours de l'interview, il a déclaré à propos de l'approche Corona : « Ce sont les pires crimes contre l'humanité jamais commis. » Les quelques personnes qui peuvent encore penser de manière indépendante, soit environ 10 à 20 % de la population, savent qu'il n'a jamais été question d'un virus ou de la santé, mais bien de la réduction de la population mondiale et de son contrôle, a-t-il déclaré.
    Nuremberg 2

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  31. Les vaccins corona n'ont donc rien à voir avec la vaccination, mais font partie d'expériences génétiques, a-t-il déclaré. Fuellmich a ajouté que les joueurs en coulisses commettent de nombreuses erreurs. Par exemple, il pense que les fabricants de vaccins ne s'attendaient pas à ce que tant d'effets secondaires se produisent à ce jour.

    Il a parlé à un dénonciateur qui a déclaré qu'ils avaient initialement prévu de déployer tout ce scénario seulement en 2050. Puis les personnes qui tiraient les ficelles sont devenues avides et ont décidé de mettre en œuvre les plans beaucoup plus tôt, a déclaré le dénonciateur. « Je pense que c'est la raison pour laquelle ils font tant d'erreurs », a déclaré M. Fuellmich, qui a recueilli les déclarations de plus de 100 scientifiques et experts.

    L'avocat a poursuivi en disant qu'un tribunal spécial, Nuremberg 2, pourrait être nécessaire parce que l'affaire est désormais si importante qu'elle pourrait être hors de portée des tribunaux nationaux. « Nous avons les preuves. »

    L'Europe : principal champ de bataille

    Qui sont ces gens qui tirent les ficelles ? Selon Fuellmich, il s'agit d'un groupe de quelque 3 000 super-riches. La clique de Davos de Klaus Schwab, entre autres, appartient à ce groupe.

    Que veulent-ils ? Un contrôle total sur le peuple. « Ils corrompent les médecins, les travailleurs hospitaliers et les politiciens. Les personnes qui ne coopèrent pas sont menacées. Ils utilisent toutes sortes de techniques psychologiques pour manipuler les gens. »


    Fuellmich s'est également entretenu avec un autre lanceur d'alerte, qui a expliqué pourquoi l'Europe est le principal champ de bataille de cette guerre. « L'Europe est complètement en faillite. Les fonds de pension ont été complètement pillés. C'est pourquoi ils veulent contrôler l'Europe avant que les gens ne découvrent ce qui se passe. »

    Les médias grand public prétendent qu'une majorité de personnes sont en faveur de ces mesures. Selon l'avocat, ce n'est certainement pas le cas. Presque tous ses interlocuteurs en Allemagne savent que les masques, par exemple, ne sont d'aucune utilité et sont informés par les médias alternatifs. « Les vieux médias sont en train de mourir. »

    Son conseil ? Diffusez la vérité et les faits autant que possible et ne gaspillez pas votre énergie avec des personnes qui tiennent absolument à être vaccinées. « Nous ne pouvons pas sauver tout le monde. Beaucoup de gens vont mourir. »

    CRIME CONTRE L'HUMANITÉ Covid Dr Reiner Fuellmich Action collective Poursuite - Bing video

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  32. Notes :

    [1] www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la- conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

    [2] Robert Koch Institute

    [3] Centers for Disease Control and Prevention - CDC américain

    [4] L'OMS confirme que le test Covid-19 PCR est invalide, les estimations des « cas positifs » sont sans fondement. Le confinement n'a aucune base scientifique. | Mondialisation - Centre de Recherche sur la Mondialisation

    Sur la validité des tests PCR et

    [5] Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! (francesoir.fr)

    [6] C. Drosten l'heure des comptes France soir N Delépine

    [7] Advocaat Reiner Fuellmich geeft update over 'Neurenberg 2': Er is licht aan het einde van de tunnel (ninefornews.nl) Homepagina » Mens en Dier » Advocaat Reiner Fuellmich geeft update over 'Neurenberg 2': Er is licht aan het einde van de tunnel in Mens en Dier 12 april 2021

    https://fr.sott.net/article/37030-Covid-19-la-lumiere-au-bout-du-tunnel

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    1. Le masque n'empêche pas le virus de circuler et d'être respiré tous les jours par 7 milliards de personnes. Le masque ne sert qu'à empêcher les gens de se reconnaître et de converser. Cet emprisonnement portatif détruit l'individu qui fait peur aux autres, tout en l'obligeant à respirer les 'poussières intelligentes' (nano-particules actionnées par des longueurs d'ondes) qui forment des caillots ou des fils (morgellons) à destination de contrôler la TOTALITÉ de la population masquée destructible à distance.

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  33. Les fabricants de vaccins détruisent les études de sécurité des vaccins COVID


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    21 avril 2021


    Alors que les rapports sur les effets secondaires des thérapies géniques COVID-19, y compris les effets potentiellement mortels et les décès, continuent de grimper à une vitesse vertigineuse1, un récit unilatéral de la sécurité et de l'efficacité imprègne les médias grand public et les nouvelles médicales.

    Ces «vaccins» sont si sûrs et si efficaces, selon ce récit, que garder les groupes témoins intacts pour une étude à long terme et une comparaison des résultats est maintenant considéré comme «contraire à l'éthique», malgré le fait qu'il n'y a absolument aucun non-frauduleux données pour étayer leurs affirmations perverses. En vérité, ce que nous observons, c’est la destruction active de la science médicale fondamentale dans un cauchemar dystopique surréaliste.

    Les fabricants de vaccins aux groupes de contrôle des fossés

    Considérez ce rapport dans JAMA par Rita Rubin, rédactrice principale pour JAMA Medical News and Perspectives, par exemple.2 Selon Rubin, le lancement de «deux vaccins COVID-19 hautement efficaces» a «suscité un débat sur l'éthique, sans parler de la faisabilité, de la poursuite ou du lancement d’essais contrôlés par placebo en aveugle… »

    Rubin raconte comment des représentants de Moderna ont déclaré à un comité consultatif de la Food and Drug Administration que plutôt que de laisser des milliers de doses de vaccins se perdre, ils prévoyaient de les offrir aux participants à l'essai qui avaient reçu un placebo.

    Les représentants de Pfizer ont fait une annonce similaire au comité consultatif. Selon une analyse de l'actualité publiée dans le BMJ3, la FDA et les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis sont tous deux associés à ce plan, tout comme l'Organisation mondiale de la santé.4

    Dans le rapport JAMA de Rubin, Moncref Slaoui, Ph.D., conseiller scientifique en chef pour l'opération Warp Speed, est cité en disant qu'il pense «qu'il est très important que nous annulions immédiatement l'essai et que nous offrions les vaccins du groupe placebo» parce que les participants à l'essai « devraient être récompensés »pour leur participation.

    Toutes ces déclarations enfreignent les bases mêmes de ce dont un essai d'innocuité a besoin, à savoir un groupe témoin avec lequel vous pouvez comparer les effets du médicament ou du vaccin en question sur le long terme. Je trouve inconcevable que la levée de l'insu soit même une considération à ce stade, vu que les études de base ne se sont même pas encore terminées. Le seul but de cette levée de l'aveugle est de dissimuler la fraude selon laquelle ces vaccins sont sûrs.

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  34. Aucun des vaccins COVID-19 actuellement sur le marché n'est en fait homologué. Ils n'ont qu'une autorisation d'utilisation d'urgence - qui, d'ailleurs, leur interdit également d'être mandatés, bien que cela soit largement et commodément ignoré - car les essais sont toujours en cours.

    Au plus tôt, ils peuvent obtenir un permis dans deux ans, à la fin des études de suivi5. C'est pourquoi les militaires sont autorisés à le refuser et à refuser. Chez les Marines, le taux de refus est de près de 40% .6

    Ainsi, avant même que les études initiales ne soient terminées, les fabricants de vaccins et les agences de réglementation décident maintenant de renoncer complètement aux évaluations de sécurité à long terme en donnant aux bénéficiaires du placebo le véritable McCoy, et les soi-disant bioéthiciens soutiennent en fait cette folie. Tel que rapporté dans The BMJ: 7

    «Bien que la FDA ait accordé l'autorisation d'utilisation d'urgence des vaccins, pour obtenir l'approbation complète de la licence, deux ans de données de suivi sont nécessaires. Les données sont désormais probablement rares et moins fiables étant donné que les essais ne sont effectivement pas mis en aveugle. »

    L'hypocrisie abonde

    C’est ironique à l’extrême, car les mandats de vaccination sont justifiés par la prémisse que le bénéfice pour la communauté remplace le risque de préjudice individuel. En d’autres termes, ce n’est pas grave si certaines personnes sont lésées par le vaccin, car le bénéfice global pour la société est plus important.

    Pourtant, ici, ils disent que les participants des groupes témoins sont lésés en ne recevant pas le vaccin, donc les fabricants de vaccins ont l'obligation de le leur donner avant que les études à long terme ne soient terminées. C'est l'argument complètement opposé utilisé pour la vaccination obligatoire.

    Si nous voulons accepter la justification du «plus grand bien» pour la vaccination, alors les personnes qui acceptent de participer à une étude et finissent par recevoir un placebo, doivent lancer les dés et potentiellement sacrifier leur santé «pour le plus grand bien». Ici, le plus grand bien est l'étude elle-même, dont les résultats sont d'une importance cruciale pour les décisions de santé publique.

    Sans ces données, nous ne saurons jamais si les vaccins agissent sur le long terme et / ou quels sont leurs effets secondaires. Si un individu du groupe témoin reçoit le COVID-19, c'est le prix de la participation scientifique pour le plus grand bien de la société, tout comme lorsqu'une personne vaccinée est blessée, cela est considéré comme un prix acceptable pour créer une immunité collective induite par le vaccin.

    En d'autres termes, lorsqu'il s'agit de rendre obligatoire des vaccins, le préjudice causé à l'individu est acceptable, mais lorsqu'il s'agit de réaliser des études d'innocuité appropriées, tout à coup, le préjudice causé à l'individu n'est pas acceptable, et la protection des contrôles est plus importante que la protection. l'intégrité de la recherche. Le fait qu’ils soient aussi incohérents dans leur «éthique» pourrait être considéré comme une preuve positive que la santé publique n’est même pas une préoccupation lointaine.

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  35. L'éthique scientifique s'érode

    Apparemment, le souci du risque pour l'individu n'a d'importance que lorsque les fabricants de vaccins ont tout à gagner. En éliminant les groupes témoins, nous n’aurons aucun moyen de prouver réellement le mal que ces «vaccins» pourraient causer au fil du temps, car tous les participants seront dans le même bateau proverbial.

    Je reste convaincu que nous continuerons de voir de nombreux autres problèmes de santé et de décès se développer avec le temps, mais sans groupes témoins, ces tendances peuvent plus facilement être qualifiées de «normales» et / ou imputées à autre chose. Comme l’a noté le Dr Steven Goodman, doyen associé de la recherche clinique et translationnelle à l’Université de Stanford, cité dans l’article JAMA de Rubin: 8

    «En annulant l’aveu des participants à l’essai, vous perdez un groupe de comparaison valide», a déclaré Goodman. 'Il y aura ce sentiment, et ce sera en quelque sorte vrai, que l'étude est terminée'. Contrairement, disons, à un médicament anticancéreux hautement efficace, 'le vaccin n'est pas littéralement un problème de vie ou de mort aujourd'hui et demain' pour la plupart des participants aux essais, a déclaré Goodman.

    Ainsi, a-t-il noté, ceux qui mènent des essais de vaccin COVID-19 ne devraient pas se sentir obligés d'annuler l'aveugle des participants et de vacciner immédiatement les receveurs du placebo. Cela implique que "vous pouvez simplement faire sauter le procès" sur la base de résultats préliminaires prometteurs, en établissant "un modèle éthique pour les futurs essais que nous ne voulons peut-être pas établir", a déclaré Goodman. "

    En effet, cette stratégie créera un dangereux précédent qui conduira probablement à la réalisation d'études de vaccins et de médicaments sans groupes témoins à l'avenir, ce qui pourrait sonner le glas de la science médicale telle que nous la connaissons. Au strict minimum, les futures variations des essais actuels du vaccin COVID-19 seront probablement menées sans groupes témoins.

    Les participants à l'essai ont dit de ne pas se défaire de l'aveugle

    Goodman est également cité dans un autre article, 9 celui-ci dans MedPage Today, discutant des problèmes avec les participants à l'essai se levant en aveugle en passant un test d'anticorps:

    «Il n’y a aucune bonne raison scientifique pour que quelqu'un fasse cela», a-t-il déclaré à MedPage Today. «Je peux comprendre pourquoi ils veulent ces informations, mais cela ne peut que diminuer la valeur du procès. Se faire dépister n'est pas correct à moins qu'il y ait un besoin urgent de lever l'aveugle pour des raisons de santé. ''

    Ici, une autre ironie hypocrite survient, car la raison pour laquelle ils ne veulent pas que les participants à l'essai se défont de l'aveugle est que s'ils savent qu'ils ont reçu le vaccin, ils sont statistiquement plus susceptibles de prendre plus de risques qui pourraient les exposer au virus.

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  36. Cela faussera les résultats et «pourrait rendre le vaccin moins efficace qu'il ne l'est», a expliqué le Dr Elizabeth McNally de l'Université Northwestern à MedPage Today.10 Ainsi, que les scientifiques du vaccin soient d'accord ou non avec la levée de l'insu, la levée de l'insu n'a vraiment à voir si cela faussera les résultats en leur faveur.

    La levée de l'aveugle des participants à l'essai pourrait rendre le vaccin moins efficace si elles modifient leur comportement en conséquence, tandis que les fabricants de vaccins levant l'aveu de l'ensemble du groupe témoin leur permettront de masquer les effets secondaires, même si les participants modifient leur comportement.

    La justification de l'élimination des contrôles est au mieux fragile

    Alors que les défenseurs des vaccins insistent sur le fait que l’élimination des groupes témoins est justifiée par le «motif moral» qu’il est contraire à l’éthique de ne pas fournir aux volontaires quelque chose de valeur, cet argument ignore complètement le fait indéniable qu’aucun vaccin n’est sûr à 100 %.

    Au 1er avril 2021, le VAERS avait reçu 56 869 événements indésirables à la suite de la vaccination contre le COVID-19, dont 7 971 blessures graves et 2 342 décès. Parmi ces décès, 28 % sont survenus dans les 48 heures suivant la vaccination.
    Obtenir le vaccin actif comporte des risques, pas seulement des avantages. Cela est particulièrement vrai pour la nouvelle technologie d'ARNm utilisée dans les vaccins COVID-19. Les données historiques sont pour le moins troublantes, et le système américain de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) se remplit rapidement de rapports de blessures et de décès liés au vaccin COVID-19.

    Les rapports d'effets secondaires et de décès s'accumulent

    Tel que rapporté par The Defender11 au 1er avril 2021, le VAERS avait reçu 56 869 événements indésirables suite à la vaccination contre le COVID-19, dont 7971 blessures graves et 2342 décès. Parmi ces décès, 28 % sont survenus dans les 48 heures suivant la vaccination! La plus jeune personne décédée avait 18 ans. Il y a également eu 110 rapports de fausse couche ou d'accouchement prématuré chez des femmes enceintes.

    Comme indiqué dans «Vaccin COVID-19 à tester sur des enfants de 6 ans», entre janvier 2020 et janvier 2021, les vaccins COVID-19 représentaient 70% des décès annuels dus aux vaccins, même si ces vaccins n'étaient disponibles que pour moins plus de deux mois!

    À mon avis, il est inacceptable et moralement répréhensible de ne pas tenir compte de ces données. De toute évidence, ces «vaccins» comportent des risques. Prétendre comme ils ne l’ont pas fait et que tous les receveurs de placebo dans les essais de vaccins sont nettement désavantagés n’est tout simplement pas vrai.

    Gardez à l'esprit que nous ne connaissons toujours pas le pourcentage d'effets indésirables signalés. Se situe-t-il entre 1 % 12 et 10 % 13 comme l'ont montré les enquêtes antérieures sur les rapports VAERS, ou est-il plus élevé ?

    Si seulement 10 % sont signalés, nous envisageons peut-être 23 420 décès, mais s'il est aussi bas que 1 %, il grimpe à plus de 230 000 décès. Nous ne le saurons jamais car il y a des tentatives majeures pour supprimer ces informations, comme nous l'avons déjà vu avec la mort des célébrités du sport Hank Aaron et Marvin Hagler, tous deux décédés peu de temps après les vaccinations COVID.

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  37. Quoi qu'il en soit, il est difficile de justifier ne serait-ce qu'un seul décès d'un individu par ailleurs en bonne santé, vu que le taux de survie au COVID-19 dans tous les groupes d'âge est de 99,74 %. Si vous avez moins de 40 ans, votre taux de survie est de 99,99 % .14

    Il y a toutes les raisons de penser que ces rapports ne représentent qu’un petit pourcentage des effets secondaires réels. Pensez simplement à tous ceux qui se font vacciner dans les épiceries ou sur les sites de vaccination temporaires, par exemple. Tout d'abord, tous les Américains savent-ils même que VAERS existe et qu'ils doivent déposer un rapport s'ils souffrent d'une réaction indésirable après la vaccination COVID ?

    Qui déposera le rapport indésirable si vous vous faites vacciner dans une épicerie ou un dépanneur ? Vont-ils retourner chez le pharmacien et signaler leurs effets secondaires ? Le pharmacien déposera-t-il le rapport ? Qui est responsable du dépôt du rapport si vous vous rendez dans un site de vaccination temporaire ?

    CDC reste silencieux sur la façon dont il assure la conformité des rapports

    Selon le CDC, les décès dus aux vaccins COVID-19 doivent être signalés au VAERS.15 Ce n’est pas censé être volontaire, comme avec d’autres vaccins. Cependant, il n’est pas transparent quant à la manière dont il s’assure que cette «exigence» est respectée, il est donc impossible de confirmer que tous les décès liés sont effectivement signalés. Tel que rapporté par The Defender: 16

    «Nous ... avons demandé si les prestataires de soins de santé signalent toutes les blessures et tous les décès qui pourraient être liés au vaccin COVID, et quelles initiatives d'éducation sont en place pour encourager et faciliter des rapports appropriés et précis.

    Vingt-deux jours plus tard, un représentant du groupe de travail sur les vaccins des CDC a répondu en disant que l’agence n’avait jamais reçu nos questions - même si les employés à qui nous avons parlé à plusieurs reprises ont déclaré que leurs attachés de presse travaillaient sur les questions que nous avons envoyées. Nous avons de nouveau fourni les questions et demandé une réponse d'ici le 7 avril. À ce jour, le CDC n'a pas répondu malgré nos tentatives répétées de suivi. »

    Réduction du risque absolu ou relatif

    Les fabricants de vaccins font également très attention à ne mentionner que le risque relatif et non le risque absolu. Ce faisant, les vaccins semblent beaucoup plus protecteurs qu'ils ne le sont en réalité. C'est une astuce statistique couramment utilisée avec laquelle je vous encourage à vous familiariser.

    Par exemple, dans son article du 26 novembre 2020 du BMJ17, Peter Doshi, rédacteur en chef adjoint du BMJ, a souligné que si Pfizer affirme que son vaccin est efficace à 95%, il s'agit de la réduction du risque relatif. La réduction du risque absolu - qui est bien plus pertinente pour les mesures de santé publique - est en réalité inférieure à 1 % !

    Je recommande d'écouter l'interview du Dr Ron Brown ci-dessus, dans laquelle il explique les tenants et les aboutissants des risques relatifs et absolus, et les différences entre eux. Il a également rédigé deux articles détaillant les problèmes liés à ce type de biais de déclaration: «Outcome Reporting Bias in COVID-19 mRNA Vaccine Clinical Trials» 18 et «Public Health Lessons Learned from Biases in Coronavirus Mortality Overestimation.» 19

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  38. Vous n’avez probablement pas besoin d’un vaccin

    Si vous êtes préoccupé par les effets secondaires des vaccins, sachez qu'il existe plusieurs stratégies de prévention et traitements facilement disponibles qui se sont révélés très efficaces, ce qui signifie que le besoin d'un vaccin en premier lieu est presque inutile.

    Par exemple, le peroxyde d'hydrogène nébulisé avec de l'iode, dont j'ai parlé dans des articles précédents, fonctionne très bien. Pour un rappel, voir «Comment le peroxyde nébulisé aide-t-il à lutter contre les infections respiratoires». D'autres traitements incluent l'hydroxychloroquine avec du zinc, l'ivermectine et les protocoles iMASK et MATH +, sur lesquels vous pouvez en savoir plus dans les articles liés.

    Que faire si vous avez reçu le vaccin et rencontrez des problèmes

    En conclusion, si vous avez reçu le vaccin et que vous le regrettez maintenant, vous pourrez peut-être traiter vos symptômes en utilisant les mêmes stratégies que vous utiliseriez pour traiter une infection réelle par le SRAS-CoV-2.

    J'ai écrit de nombreux articles au cours de la dernière année détaillant des stratégies simples pour améliorer votre système immunitaire, et avec un système immunitaire sain, vous traverserez le COVID-19 sans incident. Ci-dessous, je vais résumer certaines des stratégies que vous pouvez utiliser à la fois pour prévenir le COVID-19 et pour traiter les effets secondaires que vous pourriez rencontrer avec le vaccin.

    • Ayez une alimentation «propre», idéalement biologique. Évitez les aliments transformés de toutes sortes, en particulier les huiles végétales, car ils sont chargés d'acide linoléique oméga-6 nocif qui détruit votre fonction mitochondriale. Il a été démontré que l'acide linoléique augmente la mortalité due au COVID-19.

    • Pensez à la cétose nutritionnelle et à une fenêtre d'alimentation limitée dans le temps de six à huit heures sans nourriture au moins trois heures avant le coucher. Ces stratégies vous aideront à optimiser votre machinerie métabolique et votre fonction mitochondriale.

    • Mettre en place un programme de désintoxication pour se débarrasser des métaux lourds et du glyphosate. Ceci est important car ces toxines contribuent à l'inflammation. Pour améliorer la désintoxication, je recommande d'activer votre production naturelle de glutathion avec des comprimés d'hydrogène moléculaire.

    Un moyen simple de bloquer l'absorption du glyphosate est de prendre de la glycine. Environ 3 grammes, environ une demi-cuillère à café, quelques fois par jour devraient être suffisants, avec un régime biologique, pour ne pas ajouter plus de glyphosate à chaque repas.

    • Maintenez un pH neutre pour améliorer la résilience de votre système immunitaire. Vous voulez que votre pH soit juste autour de 7, que vous pouvez mesurer avec une bandelette d'urine bon marché. Plus votre pH est bas, plus vous êtes acide. Un moyen simple d'augmenter votre pH s'il est trop acide (et la plupart des gens le sont) consiste à prendre un quart de cuillère à café de bicarbonate de sodium (bicarbonate de soude) ou de bicarbonate de potassium dans l'eau quelques fois par jour.

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  39. Une supplémentation nutritionnelle peut également être utile. Parmi les plus importants, on trouve:

    Vitamine D - Les suppléments de vitamine D sont facilement disponibles et l'un des suppléments les moins chers du marché. Tout bien considéré, l'optimisation de la vitamine D est probablement la stratégie la plus simple et la plus bénéfique que n'importe qui puisse faire pour minimiser son risque de COVID-19 et d'autres infections, et peut renforcer votre système immunitaire en quelques semaines.

    N-acétylcystéine (NAC) - La NAC est un précurseur du glutathion réduit, qui semble jouer un rôle crucial dans COVID-19. Selon une analyse de la littérature, une carence en glutathion 20 pourrait en fait être associée à la gravité du COVID-19, ce qui amène l'auteur à conclure que la NAC peut être utile à la fois pour sa prévention et son traitement.

    Zinc - Le zinc joue un rôle très important dans la capacité de votre système immunitaire à prévenir les infections virales. Comme la vitamine D, le zinc aide à réguler votre fonction immunitaire21 - et une combinaison de zinc avec un ionophore de zinc, comme l'hydroxychloroquine ou la quercétine, a montré en 2010 qu'elle inhibait le coronavirus du SRAS in vitro. En culture cellulaire, il a également bloqué la réplication virale en quelques minutes.22 Fait important, il a été démontré qu'une carence en zinc altère la fonction immunitaire.23

    Mélatonine - Cela stimule la fonction immunitaire de diverses manières et aide à calmer l'inflammation. La mélatonine peut également prévenir l'infection par le SRAS-CoV-2 en rechargeant le glutathion24 et en améliorant la synthèse de la vitamine D, entre autres.

    Vitamine C - Un certain nombre d'études ont montré que la vitamine C peut être très utile dans le traitement des maladies virales, de la septicémie et du SDRA, 25 qui sont toutes applicables au COVID-19. Ses propriétés de base comprennent des activités anti-inflammatoires, immunomodulatrices, antioxydantes, antithrombotiques et antivirales. À des doses élevées, il agit en fait comme un médicament antiviral, inactivant activement les virus. La vitamine C agit également en synergie avec la quercétine.26

    Quercétine - Un puissant stimulant immunitaire et un antiviral à large spectre, la quercétine s'est initialement avérée fournir une protection à large spectre contre le coronavirus du SRAS au lendemain de l'épidémie de SRAS de 2003, 27,28,29 et les preuves suggèrent qu'elle pourrait être utile pour la prévention et traitement du SRAS-CoV-2 également.

    Vitamines B - Les vitamines B peuvent également influencer plusieurs processus pathologiques spécifiques au COVID-19, notamment30 la réplication et l'invasion virales, l'induction d'une tempête de cytokines, l'immunité adaptative et l'hypercoagulabilité.

    Interféron de type 1 - L'interféron de type 1 empêche la réplication virale et aide à dégrader l'ARN. Il est disponible sous forme de spray que vous pouvez vaporiser directement dans votre gorge ou votre nez. Vous pouvez essayer de prendre quelques pulvérisations par jour à titre prophylactique, et plus encore si vous avez une toux, de la fièvre ou des maux de tête.

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  40. Sources and References

    1, 11, 16 The Defender April 9, 2021
    2, 8 JAMA 2021;325(10):918-921
    3, 5, 7 The BMJ 2020;371:m495
    4 Nature Medicine March 16, 2021
    6 MSN April 11, 2021
    9, 10 MedPage Today March 11, 2021 (Archived)
    12 The Vaccine Reaction January 9, 2020
    13 BMJ 2005;330:433
    14 Annals of Internal Medicine September 2, 2020 DOI: 10.7326/M20-5352
    15 The Vaccine Reaction March 13, 2021
    17 The BMJ Opinion November 26, 2020
    18 Medicina 2021; 57(3): 199
    19 Concepts in Disaster Medicine, Public Health Lessons Learned From Biases in Coronavirus Mortality Overestimation (PDF)
    20 Endogenous Deficiency of Glutathione as the Most Likely Cause of Serious Manifestations and Death in Patients with the Novel Coronavirus Infection
    21 “COVID-19: Poor Outcomes in Patients with Zinc Deficiency,” International Journal of Infectious Disease 100 (November 2020): 343-49
    22 te Velthuis AJ, van den Worm SH, Sims AC, et. al . PLoS Pathog. 2010 Nov 4;6(11):e1001176. doi: 10.1371/journal.ppat.1001176
    23 “Zinc Fact Sheet for Health Professionals,” U.S. Department of Health & Human Services, National Institutes of Health, updated July 15, 2020
    24 Grazyna Swiderska-Kołacz, Jolanta Klusek, and Adam Kołataj, Neuro Endocrinology Letters 27, no. 3 (June 2006): 365-8
    25 JAMA 2019 Oct 1; 322(13): 1261–1270
    26 Frontiers in Immunology June 19, 2020 DOI: 10.3389/fimmu.2020.01451
    27 Journal of Virology Sep 2004, 78 (20) 11334-11339, Antiviral activity of an analog of luteolin
    28 Bioorg Med Chem. 2006 Dec 15;14(24):8295-306
    29 Maclean’s February 24, 2020
    30 Maturitas August 15, 2020 DOI: 10.1016/j.maturitas.2020.08.007 [Epub ahead of print]
    31 The Defender January 25, 2021

    https://www.lewrockwell.com/2021/04/joseph-mercola/vaccine-makers-destroy-covid-vaccine-safety-studies/

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  41. Croyez-vous toujours que les passeports numériques pour vaccins sont des théoriciens du complot ?


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 21 AVR 2021 - 02:00
    Rédigé par Robert Wheeler via le blog The Organic Prepper,


    Dans mes articles précédents, j'ai écrit sur les programmes pilotes de Digital Vaccine Passport à New York, les annonces mondiales et dans le même esprit, les passeports de santé et les applications de passeport vaccinal dans lesquelles un voyageur (ou un événement, un employé ou un acheteur) télécharge son test COVID-19 résultats ou statut vaccinal.

    À moins que le Parlement européen ne se passionne soudainement pour les théoriciens du complot, c'est exactement ce qui va se passer.

    L'UE annonce la proposition de passeport numérique pour les vaccins
    En mars, la Commission européenne a lancé une proposition visant à créer un «certificat vert numérique» pour permettre les déplacements à l'intérieur de l'UE pendant la «pandémie».

    Ce certificat vert numérique servirait de documentation indiquant qu'une personne a été vaccinée contre le COVID, a reçu un test négatif pour le COVID ou s'en est remise. Il comprendra un QR Code pour garantir l'authenticité et la sécurité du certificat et sera réalisé gratuitement sous forme papier ou numérique.

    Le certificat vert numérique comprendra trois certificats, notamment:

    Certificats de vaccination, indiquant la marque du vaccin utilisé, les données et le lieu d'inoculation et le nombre de doses administrées.

    Certificats de test négatifs (soit un test NAAT / RT-PCR ou un test rapide d'antigène). Les auto-tests seront exclus pour le moment.

    Certificats médicaux pour les personnes qui se sont rétablies du COVID-19 au cours des 180 derniers jours.

    Selon Euro News,

    «Lorsque les États membres acceptent une preuve de vaccination pour déroger à certaines restrictions de santé publique telles que les tests ou la quarantaine, ils seraient tenus d'accepter, dans les mêmes conditions, les certificats de vaccination délivrés dans le cadre du système de certificat vert numérique», a déclaré la Commission dans un communiqué.

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  42. ...

    L'instrument sera valable dans tous les pays de l'UE et sera ouvert à l'Islande, au Liechtenstein, à la Norvège ainsi qu'à la Suisse. Il sera délivré aux citoyens de l'UE et aux membres de leur famille, quelle que soit leur nationalité.

    D'autres pays emboîtent le pas dans le programme de passeport numérique pour les vaccins
    Mais alors que l'UE débat du type de technologie à utiliser et des paramètres qui seront inclus, divers pays européens prennent les choses en main, choisissant plutôt de créer leurs propres versions d'un passeport vaccinal, tous variant d'un pays à l'autre. Par exemple, l'Estonie prévoit de lancer son propre programme pilote à la fin du mois d'avril. La France fait de même.

    En outre, l’Organisation mondiale de la santé, qui s’est récemment opposée à la création d’un passeport pour les vaccins, s’efforce maintenant de le faire. Et ils travaillent tous avec les suspects habituels - Google, Apple, Microsoft, IBM et une foule d'autres entreprises. Ce qui est plus probable, c'est que les pays européens mettront tous en œuvre différentes versions du passeport et, au milieu du chaos, l'UE devra accélérer et normaliser le processus. L'OMS dirigera probablement la charge de la mise en œuvre du processus dans le monde entier.

    Que signifie un passeport vaccinal pour vous en tant qu'Américain ? Beaucoup, en fait
    Premièrement, si vous prévoyez de voyager vers ou à travers l'Europe prochainement (et peut-être pour toujours), vous devrez peut-être vous procurer l'un de ces passeports. Bien entendu, la Commission européenne a déclaré que cette décision était temporaire. Une fois que l'Organisation mondiale de la santé (maintenant détenue par Bill Gates) aura déclaré la fin de l'urgence sanitaire mondiale, les passeports numériques seront suspendus. Donc ils disent.

    «Le certificat vert numérique ne sera pas une condition préalable à la libre circulation et ne fera aucune discrimination. Une approche commune de l'UE ne nous aidera pas seulement à rétablir progressivement la libre circulation au sein de l'UE et à éviter la fragmentation », a expliqué le commissaire Reynders. Sauf qu'une «condition préalable à la libre circulation» est le point essentiel et que la «discrimination» est au cœur du passeport.

    Mais revenons en Amérique. Il est déjà prévu d'introduire un système similaire aux États-Unis. En fait, «par coïncidence», les États-Unis discutent maintenant d'un passeport vaccinal similaire. Alors que des dizaines de millions d'Amérique, après avoir été terrorisés pendant un an, s'alignent comme du bétail pour leurs «vaccins», les États-Unis prévoient de développer un «passeport vaccinal» qui permettra aux vaccinés de voyager et de «profiter d'autres aspects de la pré -vie pandémique. En d'autres termes, geler complètement les personnes non vaccinées hors de leur vie normale.

    Les passeports numériques pour vaccins aux États-Unis font débat

    Un conseiller principal de la Maison Blanche a signalé que le gouvernement adopterait une approche non participative face à toute cette épreuve en disant: «Ce n’est pas le rôle du gouvernement de conserver ces données et de le faire».

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  43. Donc, dans cet esprit, il est probable que des sociétés privées seront enrôlées pour agir en tant que nouveaux seigneurs féodaux que Carroll Quigley avait prédit il y a des années. Plus que probablement, ce seront des entreprises comme RAND qui seront impliquées dans le développement et la mise en œuvre du programme de passeport vaccinal. En fait, les analystes de RAND font déjà des commentaires publics sur le type de système qui sera mis en œuvre.

    «Inévitablement, je pense qu'il y aura ces passeports parce que les gens sont impatients de revenir à un sentiment de normalité», a déclaré le Dr Mahshid Abir, chercheur principal en politiques médicales pour RAND Corp. «Du côté de l'offre et de la demande, il y a une impulsion pour remettre le tourisme et les voyages sur la bonne voie, et revenir à un semblant de normalité. »

    US News and World Report cite Abir plus loin lorsqu'il écrit: «Un autre avantage potentiel d'exiger un passeport vaccinal pour voyager, manger au restaurant ou assister à un concert de rock pourrait être que cela ferait pression sur certaines personnes hésitantes à se faire vacciner, a déclaré Abir. "

    Certains Etats, cependant, ont refusé de participer à cette grave violation des libertés civiles. La Floride et la Caroline du Sud ont clairement indiqué qu'elles se retiraient. Mais certains États contrôlés par les communistes comme New York mettent déjà en œuvre le programme de passeport. Comme l'a écrit USA Today,

    À partir de vendredi, les New-Yorkais pourront afficher un code sur leur téléphone portable ou une impression pour prouver qu'ils ont été vaccinés contre le COVID-19 ou ont récemment été testés négatifs pour le virus qui le provoque.

    La première certification du pays, appelée Excelsior Pass, sera d'abord utile sur des sites à grande échelle comme le Madison Square Garden. Mais la semaine prochaine, le laissez-passer sera accepté dans des dizaines de lieux d'événements, d'arts et de divertissements dans tout l'État. Cela permet déjà aux gens d'augmenter la taille d'une fête de mariage ou d'un autre événement organisé.

    Vous ne croyez toujours pas que les passeports numériques pour les vaccins arrivent ?
    Alors là vous l'avez. Un passeport vaccinal en cours de déploiement dans l'UE («temporairement» bien sûr) et simultanément aux États-Unis. Pensez-vous toujours que ce n'est pas un effort coordonné pour restreindre les voyages et les libertés civiles ? Si vous le faites, alors j'ai une propriété en bord de mer en Arizona à vous vendre. Mais, sauf si vous avez été vacciné, vous ne pourrez pas voyager pour le voir.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/still-believe-digital-vaccine-passports-are-something-made-conspiracy-theorists

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  44. Une société vend des "clones" de robots sexuels de partenaires morts à l'aide de la technologie de modélisation 3D


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 20 AVR 2021 - 23:25
    Rédigé par Elias Marat via TheMindUnleashed.com,


    Pour de nombreuses personnes qui ont perdu leurs proches, les poupées sexuelles ont fourni un moyen d'atténuer la douleur du chagrin et de la solitude.

    Cependant, la société de robots sexuels Lux Botics va encore plus loin en proposant un clone de partenaires morts à l'aide de la modélisation tridimensionnelle de pointe.

    Avec la demande de poupées sexuelles en plein essor au milieu de la pandémie en cours et des verrouillages à travers le monde, Lux Botics propose des «humanoïdes ultra-réalistes» pour satisfaire les besoins charnels des célibataires sans aucun autre recours.

    Le modèle phare de la société «Adult Companion», Stephanie, coûte 6 000 USD sur le site Web de Lux Botics.

    Le modèle comprend le contrôle de la parole, la reconnaissance faciale, une option «yeux hyper réalistes» et même l'option de vrais cheveux implantés, ainsi que des capacités d'IA limitées.

    Cependant, l'entreprise offre également la possibilité de créer un fac-similé d'un être cher perdu.

    L'entreprise peut soit créer un modèle 3D grâce à une modélisation détaillée avant son impression en résolution ultra-fine, soit s'appuyer sur des photos de l'individu.

    Un moule serait ensuite construit sur la base du modèle 3D, avec un squelette de robot. Le robot est ensuite peint et équipé des lèvres, des ongles, des sourcils et d'autres caractéristiques choisies par le client.

    «Nous pouvons faire des robots qui parlent, mais nous n'avons pas fait de robots qui marchent vraiment seuls», a déclaré le co-fondateur de Lux Botics Bjorn au Daily Star UK.

    «Nous espérons développer cela dans un proche avenir. Nous pouvons fabriquer un grand nombre de parties du corps qui peuvent bouger de manière réaliste. »

    Alors que la société n’a pas encore créé de doubles de corps, Lux Botics offre le choix aux clients.

    Depuis le début de la pandémie, les gens ont désespérément besoin de faire face à la solitude de l'auto-isolement et des mesures de verrouillage. Alors que beaucoup ont eu recours à des mesures traditionnelles comme l'achat d'un animal de compagnie ou l'utilisation d'applications de rencontres, les ventes de poupées sexuelles ont également explosé alors que les gens recherchent une béquille émotionnelle.

    https://www.zerohedge.com/technology/company-sells-sex-robot-clones-dead-partners-using-3d-modeling-technology

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