- ENTREE de SECOURS -



samedi 3 avril 2021

La Suisse, modèle libéral et efficace aux portes de la France

La réussite économique de la Suisse tient en quelques éléments, une forte attractivité pour les entreprises, une population éduquée et une industrie de pointe.


Par Gabriel Collardey.

Un article de l’Iref-Europe

 4 AVRIL 2021

 

La confédération helvétique, petit pays de 8,45 millions d’habitants, est éminemment riche. Sa réussite économique tient en quelques éléments, une forte attractivité pour les entreprises, une population éduquée et une industrie de pointe. L’industrie représente à elle seule 20,3% du PIB.

Malgré un coût salarial élevé la Suisse reste un pays exportateur de produits manufacturés à forte valeur ajoutée (produits pharmaceutiques et horlogerie de précision). En 2018, elle a exporté pour 452 milliards de biens et de services1, soit un tiers de sa production totale.

Le gouvernement fédéral et les gouvernements cantonaux assurent une gestion rationalisée de leurs budgets. Avant Covid, la dette fédérale s’élevait en 2019 à 25,8% du PIB. Les Suisses ont une phobie de la dette : sur les dix dernières années, le gouvernement fédéral a mené une politique de réduction des dépenses afin de dégager des excédents, 70 % dont une partie a permis de la rembourser.

Le pays a abordé la crise avec des finances saines et a donc pu soutenir son économie sans faire exploser le plafond de la dette. Le budget public, excédentaire de 1,4 % avant crise, va néanmoins être fortement impacté par les mesures de chômage partiel.

LA FAIBLESSE DES CHARGES SOCIALES EST UN ATTRAIT POUR LES ENTREPRENEURS

La France est en tête des classements concernant les charges sociales que doivent payer les employeurs et les employés sur le salaire brut (voir classement IREF). La Suisse, quant à elle, a fait le choix de faibles charges sociales, entre 8 et 14 % (part variable sur la cotisation à la caisse de pension)2, pour les salariés et les employeurs sur le salaire brut. Une des explications tient au statut privé de l’assurance maladie. Les différentes assurances sont toutes privées et la loi LaMal oblige les assureurs à accepter toute personne pour les soins de base.

Concrètement, les caisses privées jouent le rôle de la Sécurité sociale, mais grâce à la concurrence et aux obligations légales, les tarifs sont raisonnables. Les Suisses bénéficient d’un système de santé performant et bien financé, reposant sur la notion de responsabilité : les assurés doivent régler une quote-part de 10 % sur le total des frais remboursés par l’assurance dans l’année.

Les citoyens ont toute liberté de choix pour leur contrat et, de facto, sur les tarifs. Ensuite, il existe des caisses privées complémentaires moins régulées.

LA SUISSE ET SON IMPÔT SUR LES SOCIÉTÉS, UN ATTRAIT SUPPLÉMENTAIRE

En France le taux de l’impôt sur les sociétés, en baisse depuis quelques années, devrait diminuer et atteindre un taux de 25 % pour les bénéfices supérieurs à 38 120 euros. En dessous de ce seuil, il s’établit à 15 %. Le système suisse est plus complexe. L’IS se décompose en deux parties : un impôt fédéral à 8,5 %3 du bénéfice et un autre impôt fixé au niveau des cantons et des communes. Le taux varie de 6 à 21 %4, il tourne en moyenne autour de 15 %.

Par exemple, dans le canton de Genève, le taux d’imposition fédéral et cantonal s’établit à 16,3 %. Un double avantage pour les entreprises car le taux fédéral reste faible, tout comme dans la plupart des cantons. La palme revient à celui de Zoug, avec un IS de 6 %, le plus bas du pays !

LA SUISSE A UN ENVIRONNEMENT LÉGAL SIMPLIFIÉ ET LIBÉRAL


La Suisse se distingue par la flexibilité de son marché du travail. Le Code du travail fédéral compte une trentaine de pages, à comparer avec le Code français de… 3300 pages ! Le Freedom Economic index lui attribue d’ailleurs un score de 72,5 dans la catégorie Labor Freedom alors que la France est à 44,8. Une différence très importante et très en faveur du modèle libéral suisse en la matière.

Le principe de liberté contractuelle est central en Suisse, l’employeur comme l’employé pouvant rompre leur collaboration plus aisément. Le marché de l’emploi étant très dynamique, les salariés licenciés retrouvent en général rapidement du travail. Surtout, la négociation prévaut puisque l’accord du salarié est nécessaire pour finaliser la rupture du contrat. Cette flexibilité réduit le nombre et l’importance des contentieux.

UNE DÉMOCRATIE TRÈS AFFIRMÉE

L’indice Freedom House octroie à la Suisse un score de 96/100, signe d’une démocratie fonctionnelle et efficace. La France, quant à elle, n’obtient que 90. En cause, notamment, l’efficacité de sa justice : le Freedom Economic index ne la note qu’à 69,2 contre 82,2 pour celle de la Suisse.

Celle-ci illustre à merveille le rôle d’un gouvernement dont la vocation est d’assurer ses fonctions régaliennes et de permettre l’expression des libertés économiques et politiques. Les citoyens suisses n’ont aucune obligation de cotiser et sont libres de souscrire à des assurances privées de leur choix.

À ceux qui rétorquent que la dépense publique est gage de bien-être, nous répondons ceci : en France, la dépense publique atteint 55,6 % du PIB, en Suisse : 32 % (chiffres OCDE 2019). Pourtant, la Suisse est dans le top 5 des pays où les citoyens sont les plus heureux de vivre, alors que la France est… vingt-et-unième !

Sources :

Heritage Foundation, freedom economic index Switzerland, 2020

Heritage Foundation, freedom economic index France, 2020

Freedom House, indice pour la France et la Suisse, 2019

Ronald Indergand & Vincent Pochon, L’économie d’exportation suisse brave tous les vents contraires, Swissinfo, avril 2019

David Talerman, Assurance maladie pour les résidents en Suisse, Travailler en Suisse.ch, 23 mars 2021

Cleiss, le système de santé Suisse, 2020

Sur le web

1 - Swiss info : l’économie d’exportation suisse brave tous les vents contraires (2019) ↩

2 - Cleiss : Les cotisations en Suisse. ↩

3 - Switzerland Global Enterprise : Fiche d’information, imposition des entreprises. ↩

4 - Gérer son entreprise : Fiscalité des entreprises France vs Suisse. 

https://www.contrepoints.org/2021/04/04/394563-la-suisse-modele-liberal-et-efficace-aux-portes-de-la-france

70 commentaires:

  1. Mais pourquoi cette gabegie de dilapider l'argent volé aux victimes ? C'est déshabiller Pierre pour habiller Pierre ! Enfin, disons lui enlever juste son cache-nez ou sa cravate, quoi !
    C'est vrai que la Démocratie apparaît comme une tâche au milieu de toutes ces dictatures qui l'entourent.
    L'explication est que... C'est le Peuple qui gouverne !! Rendez-vous compte !! Chaque budget est débattu Par le Peuple ! et voté Par le Peuple !

    C'est vrai aussi qu'en France on ne veut pas en entendre parler ! Même les partis politique dits 'd'opposition' (voyez qui je veux dire ?) ne veulent pas de la Démocratie ! La Démocratie les dégoûtent ! La Démocratie supprime la dictature et supprime aussi les virus ! (voyez de quoi je parle ?).

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  2. Me Brusa publie les preuves de la mafia covidiste


    Jacques Chassaing
    Riposte Laïque
    mer., 31 mar. 2021 19:37 UTC


    Incroyable, mais vrai, le ministère de la Santé avoue que le vaccin ne sert à rien. Un retraité de 83 ans, vacciné contre le Covid, a saisi le Conseil d'Etat au motif de vouloir désormais aller partout librement, puisque vacciné. Sa requête a déclenché le mémoire ad hoc en défense du ministère de la Santé. Et là, surprise, Olivier Véran avoue l'inefficacité de la vaccination. Du lourd et même du très lourd qui a déclenché la colère du fondateur de Réaction 19 : « mais alors, pauvre ministre, tu es en train de faire la danse des sept voiles pour que les gens s'empoisonnent, alors que toi même tu expliques que tout ceci ne sert à rien! »

    L'avocat Carlo Alberto Brusa était hier au bord de l'apoplexie lors de son direct sur YouTube qui restera dans les annales de la mortelle dictature politico sanitaire.

    (à partir de 50') de la vidéo infra (re postée sur Odysée) :
    « le ministère de la Santé a répondu que pour le moment il est prématuré de différencier les règles entre les personnes vaccinées et les personnes non vaccinées.

    Le ministre de la Santé énonce ses arguments sur les règles relatives aux limitations de circulation selon que les personnes ont reçu ou non des doses de vaccin: « L'efficacité partielle des vaccins est devenue particulièrement contingente du fait de l'apparition de nouveaux variants ».

    Autrement dit, souligne Me Brusa : « vous avez non seulement un problème avec l'efficacité, mais en plus en ajoutant les variants, c'est encore plus compliqué. De fait, ce qui est normalement une des qualités du vaccin, disparaît totalement.

    Autre affirmation du ministre de la Santé : « Les personnes vaccinées sont celles qui sont les plus exposées aux formes graves et au décès, en cas d'inefficacité initiale du vaccin ou de la réinfection post vaccinale, ou de la virulence d'un variant. »
    Le sang de Me Brusa n'a fait qu'un tour :
    « si tu dis que les personnes vaccinées sont celles qui sont les plus exposées...quelle est la garantie...»
    Très énervé, l'avocat poursuit :
    « de surcroît, le vaccin n'empêche pas de transmettre le virus aux tiers »
    On se rappellera utilement que les propos du Dr Vincent Reliquet allaient dans ce sens dans l'article publié ici, le 10 mars 2021 : La vaccination Covid est inefficace et dangereuse pour les non vaccinés

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  3. Me Brusa répète les écrits du ministre Véran : « le vaccin n'empêche pas de transmettre le virus aux tiers ».

    il constate :
    « mais donc, ce n'est pas un vaccin. Un vaccin c'est ce qui permet d'être immunisé et de ne pas transmettre le virus aux tiers. Et là, ils nous disent exactement le contraire, donc ce n'est pas un vaccin »
    L'avocat s'indigne :
    « c'est le ministre qui le dit, c'est gravissime » Puis, citant encore le mémoire : « l'impact de la vaccination sur la population n'est pas encore connu ».
    Brusa est alors dans tous ses états :
    « mais alors, pauvre ministre, tu es en train de faire la danse des sept voiles pour que les gens s'empoisonnent, alors que toi même tu expliques que tout ceci ne sert à rien! »
    La mafia du vaccin est en lien avec l'Etat-prison-Macron

    C'est un sacré coup de pied qu'a mis Me Brusa dans la mafia internationale qui grenouille autour de l'affaire Covid, avec pour son objectif d' inoculer n'importe quel produit dit « vaccin » pour asservir les peuples à un nouvel ordre mondial.

    « Vous allez voir où le fric tourne ». Au premier tableau de chasse, sont épinglés :

    Georges Soros, Bill Gates, Thierry Breton, Olivier Véran, Emmanuel Macron, François Bayrou (appelé à s'expliquer sur étrange agenda des prochains confinements prévus et programmés), Atos, BlackRock, Vanguard Group, BioNtech, ARNMessager, Pfizer, Microsoft, Winterthur, AXA...
    « Monsieur Thierry Breton, le monsieur nettoyeur d'ATOS qui a détruit Bull, société française d'informatique, qui a été PDG de la société ATOS, est le commissaire européen qui a lancé le passeport vert, passeport vaccinal. Or il y a conflit d'intérêts. ATOS, spécialisée dans le contrôle aux frontières par le numérique, gère le K1 code pour le voyage... » (44'13).

    « Edouard Philippe a été nommé administrateur de ATOS, son grand ami Thierry Breton nommé commissaire européen, et monsieur vaccin... la toile d'araignée se complique quand vous allez voir qui est chez ATOS : le Vanguard Group des connexions Pfizer, Glaxo... »
    Me Brusa se livre alors à la démonstration de toutes les implications, actionnariats et capitaux de ces sociétés et remonte jusqu'à la Fondation Georges Soros qui détient plusieurs portefeuilles.
    « aujourd'hui plusieurs fortunes mondiales sont gérées par BlackRock, par Vanguard Group et la Fondation Bill et Mélinda Gates, qui sont également actionnaires de Pfizer... qui sont aussi les actionnaires d'ATOS lesquels veulent nous imposer les fameux codes de reconnaissance.

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  4. On continue : Glaxo n'est pas actionnaire de Pfizer, mais il y a des liens. On continue... et on va remonter jusqu'au laboratoire Wuhan. Vous en saurez plus lors du prochain numéro » (48'18).

    Ne donnez pas votre accord pour que vos enfants soient testés

    « et vous, directrices et directeurs d'école, vous n'avez pas à faire les larbins de la santé, ça ne rentre pas dans vos fonctions. Vous n'avez pas le droit de communiquer les informations personnelles de vos élèves. Il n'existe aucune disposition légale ... » (41')
    « Macron et sa gueule enfarinée »

    Il a sang chaud cet Italien d'avocat lorsqu'il s'adresse au président Macron :
    « il aime tellement être le Jupiter de la situation... mais avec sa gueule enfarinée, on est dans les menaces constantes... ils prennent les gens pour des cons avec les lits de réanimation. Vous avez plusieurs catégories de ces lits... mais quand on vous parle de taux d'occupation, on ne prend que les lits qui existaient à la base... Me Di Vizio l'a developpé.

    Il faut réagir parce que le but est de nous garder dans une position d'esclavage pour que la piquouze puisse être administrée. Aujourd'hui, il suffit que vous disiez non au poison ! C'est à vous de dire non !» (à 56').
    Il a aussi le tutoiement facile :
    « et toi préfet, tu n'as pas besoin de faire un caca nerveux, et toi en tant que maire tu n'as pas besoin d'interdire de mesurer l'oxymétrie... » (à 16,59').
    Quand un maire de plus participe activement à la répression Macron

    On sait que l'association Réaction19 a lancé l'opération Oxymètre, qui consiste depuis plusieurs semaines à collecter les données respiratoires modifiées par le port obligatoire du masque des enfants. Les adultes sont également concernés.

    Grande est la collusion avec le pouvoir de ces nombreux maires qui soutiennent la dictature sanitaire, y compris les pions de mairies fleuries des zones rurales.

    Rappelons au passage qu'aucun des candidats et leurs listes soi-disant apolitiques aux dernières municipales, ne se sont levés pour dénoncer la manipulation du premier et du second tour. Il faut dire que ces maires se sont empressés de voter le mix de leur impunité avec l'impunité des criminels de l'Etat-Macron : https://ripostelaique.com/candidats-du-criminel-macron-le-28-juin-restez-chez-vous.html et https://ripostelaique.com/le-conseil-constitutionnel-confirme-limpunite-des-criminels-detat.html

    Réaction19 révèle qu'un maire vient de prendre un arrêté interdisant aux parents d'élèves le recueil des données oxymétriques devant l'école. Ce fait s'ajoute à l'action des préfets, des policiers et de l'Education nationale mobilisés pour que les taux d'oxygénation du sang des enfants masqués obligatoirement ne soient pas mesurés.

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  5. Me Brusa va mettre en ligne la mise en demeure globale adressée au ministre de l'Education nationale et l'arrêté municipal de ce maire sera attaqué (à 16').

    Ce qu'il a dit, il va l'écrire

    Tous les contenus des documents allégués par Me Brusa seront bientôt disponibles sur le site de Réaction 19 (infos réservées aux 70 000 adhérents à l'association).

    De plus, l'avocat va notifier le mémoire en défense précité :
    « à tous les parlementaires, à tous les médecins et Conseils de l'ordre pour qu'ils comprennent qu'ils sont en train de jouer avec la vie des gens avec un produit dangereux qui porte le nom de vaccin. Nous ne devons pas être des cobayes ! Le ministre de la Santé est passé aux aveux judiciaires et juridiques de l'inefficacité de ce qui est vendu comme l'espoir de sortie, et ils le savent très bien ... » ( 54').
    La vidéo publique du live censurée quelques heures après, devient subitement privée : 19 h 10 le Direct : la covid 19 une maladie mentale ! des infos des infos !

    https://youtu.be/inc3NsYpla0

    La même vidéo sauvegardée sur Odysée

    https://reaction19.fr/videos/videos-de-maitre-brusa-2021-mars/

    Me Brusa part en province pour la cause

    A partir d'aujourd'hui, Me Brusa entame des déplacement en régions pour amplifier le combat anti totalitarisme covidiste.

    Outre Toulon, La Seyne-sur-Mer, Six-Fours-les-Plages, Rennes, Quimperlé (avec la députée Martine Wonner), Aurillac, Nancy, la Saône & Loire (vraisemblablement à Mâcon), Bordeaux, Toulouse, Biarritz, le Nord (Dunkerque ou Lille ou Roubaix), Montpellier, Grenoble, Marseille, Avignon, l'avocat ira en Belgique, à la Guadeloupe, et peut-être en Martinique.

    L'association Réaction19 met en œuvre tous les moyens juridiques et judiciaires dans toutes les actions individuelles et collectives, ayant un lien avec les mesures législatives, décrétales et réglementaires, prises par les autorités françaises, de l'Union Européenne et du monde, pour lutter contre la pandémie de la COVID19 : https://reaction19.fr

    Rien ne va plus pour Francis Lalanne

    Petit entrefilet pour signaler que le poète militant, encerclé par les CRS dans un théâtre d'Avignon, a reçu l'assurance d'un prompt et prochain soutien de Me Brusa.

    Décidément Francis Lalanne s'est lourdement trompé en imaginant l'imminence du ralliement de la police à la cause du peuple opprimé. Sans compter que le docteur Jean-Paul Hamon réclame son incarcération pour délit de bisous pour tous. Cf
    https://ripostelaique.com/alexandra-henrion-caude-et-lalanne-chantent-le-temps-de-cerises.html
    et
    https://putsch.media/20210330/actualites/societe/video-le-dr-jean-paul-hamon-sur-francis-lalanne-pourquoi-on-le-colle-pas-au-trou-ce-mec-alors-que-des-mecs-sont-en-train-de-claquer-en-rea/

    Jacques CHASSAING

    https://fr.sott.net/article/36873-Me-Brusa-publie-les-preuves-de-la-mafia-covidiste

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  6. La prochaine étape ?


    samedi 3 avril 2021


    La lucidité qui semble gagner de plus en plus de personnes tend vers l'expression d'une saine colère et elle nous fait sentir vivants et solidaires. L'espoir d'un réveil massif de la population commence à naître, mais en même temps on vit une attente angoissante et enrageante de "qu'est-ce qu'ils nous préparent pour la suite ces fous furieux" !

    D'un côté on a les dents serrées et la boule au ventre parce qu'on ne sait pas ce qui va nous tomber dessus, et de l'autre, on carbure à l'idée que nos semblables vont enfin sortir de leur état d'hypnose et de sidération.

    Ce "rêve gaulois" réanime ce que l'on croyait mort, soit la conscience du peuple (😉).

    Comme toujours, je tente de prendre un pas de recul, de sortir de toutes réactivités émotionnelles pour observer. Observer quelle est la suite logique à ce qui se passe en ce moment, soit à un reconfinement généralisé, imminent et beaucoup plus strict.

    Les citoyens sont déjà chargés de colère et de rage, de peur et d'angoisse, d'un sentiment d'emprisonnement et d'impuissance.

    Précisément les ingrédients pour faire lever la révolte !

    Je nous questionne... et si la révolte était la suite logique permettant de clore le chapitre sur la dissidence ?

    "Vous pensez être dans une dictature, maintenant vous allez le savoir" !

    Les "nouveaux variants", qualifiés de "nouvelle infection", une "épidémie dans une épidémie", pourraient-ils être l'ultime catalyseur qui va nous propulser dans un déchaînement de désastres sociaux et économiques programmés à agir tels des chocs post-traumatiques ?

    Je ne sais pas trop comment conclure cet écrit, mais soyons prudents et vigilant

    http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/04/la-prochaine-etape.html

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    Réponses
    1. Les cercueils sont en promo ! Commandez vite sur Amazon ! 3 pour le prix de 2 !!

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      Il ne s'agit nullement d'une 'crise sanitaire' mais d'une épidémie de mini-grippette redénommée 'pandémie' pour les besoins du marché !

      Des virus, il y en a depuis 10 000 ans et y en aura encore dans 10 000 ans.
      Ce qui change c'est que, pour la première fois, l'on distingue (grâce à la virologue chinoise Li Meng Yan) les virus naturels émis continuellement 7/7 j et 365 j/an par le magma et, les virus trafiqués, saisis, et rechargés pour 3 semaines d'un poison spécial trié sur le volet à côté de plus de 3300 autres possibles à balancer par hélicoptères ou drones ici ou là afin d'entretenir la peur, l'angoisse, la trouille, la mort à 7 milliards de personnes (appelées 'les cons' par la dictature) qui iraient jusqu'à dire (en de FAUX sondages je vous rassure:) "63 % des français sont pour le confinement" !! HAHAHAHA ! alors qu'il n'y a pas une personne sur 10 000 qui soutient cette proposition !!

      Le principal c'est qu'ils claquent des dents ! Qu'ils aient du mal à dormir, à sortir et surtout à réfléchir !
      Et donc, tous les jours, sont additionnés et publiés la listes des morts de vieillesse, cancer, diabète, suicide, accident de la route etc, tous étiquetés 'Morts du corona' !!!

      Bien sûr des virus il y en a tous les jours, nous en respirons toutes et tous (avec ou sans masque) 200 000 microbes ou virus par minute et 2 millions en activité physique. Et donc quelques milliards depuis ce matin. Et donc quelques milliards de milliards de trains de milliards depuis notre naissance et... NOUS NE SOMMES PAS MORTS !! Çà alors !!

      Au fait...? Avec tout çà on est combien aujourd'hui ?... '7 milliards' ? non-non, je parle d'AUJOURD'HUI ! 6 ?... 5 milliards ? Ah vous savez avec cette 'immigration de réfugiés climatiques'... HAHAHAHA ! Oui mais en tout, çà fait combien ?... 4 ?! non !... 'Près de 3' !!! Houlala !
      Bêh oui, c'était prévu, c'était programmé depuis x années alors... des doses de poisons y en a 'à revendre' ! Hahaha ! Mais faut leur dire qu'il en manque et qu'ils en veulent, en réclament !! Hahahaha !

      Et puis le truc du masque et de l'écouvillon, çà c'est top ! Du morgellon de chez morgellon ! L'assemblage de milliards de nano-poussières intelligentes qui forment un fil suivant la longueur d'onde reçue. Des milliards de poussières intelligentes chemtraillées (par avions ou par drones) qui sont respirées, consommées et qui dans le corps peuvent former une antenne pour prendre les commandes ! Pas beau çà ?!
      Allez hop ! Faut qu'en Juin il y en ait plus que 500 000 !

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  7. Entrevue avec Joël Monzée


    samedi 3 avril 2021


    *L'entrevue sera diffusée par la suite sur nos chaînes, les liens vous seront donnés prochainement.

    Demain soir, à 21h, nous diffuserons en direct sur facebook mon entrevue avec Joël Monzée, docteur en neurosciences. Nous allons tester le mode EN DIRECT sur Facebook puisque nous sommes en "punition Youtube" pour quelques jours encore.

    Ce sera une vaste entrevue au cours de laquelle nous aborderons:

    - les enjeux non éthiques du "passeport vaccinal": inacceptable dans une société de droits;

    - l'emprise de l'industrie pharmaceutique sur nos institutions;

    - le mépris médiatique et institutionnel envers les citoyens qui se questionnent;

    - quels-sont les phénomènes sociologiques et psychologiques induits par la crise sanitaire;

    - pourquoi les jeunes (et les adultes) sont aussi dépendants des jeux vidéo, et du web, et quels-sont les effets sur le cerveau et sur la psyché;

    - est-ce qu'il est juste de penser que les jeunes s'adaptent bien à la situation actuelle? Absolument pas!

    - quels seront les possibles impacts de la présente crise chez plusieurs enfants et adultes;

    - pourquoi et comment se déclenchent les crises d'angoisse, comment les désamorcer, comment s'apaiser.

    Une entrevue qui a pour objectif d'offrir une meilleure compréhension de ce qui se passe et qui vise à faire du bien.

    À dimanche 21h.

    Si vous ne pouvez être présents, vous pourrez l'écouter en différé.

    http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/04/entrevue-avec-joel-monzee.html

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  8. Voici la réponse du Dr. Joël Monzée à l'article du journal de Montréal qui nous apprend que le "passeport vaccinal" ne transgresse pas les règles éthiques


    samedi 3 avril 2021


    *"L’idée d’un passeport vaccinal pour accéder à certaines activités, proposée récemment par le ministre de la Santé, a reçu un avis favorable de la part d’un comité de l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ)."

    Joël est l'une de nos rares "perles précieuses" qui prend une position nuancée, mature, mais sans compromis pour l'intégrité et la dignité humaine.

    J'ai le plaisir de recevoir Joël demain en entrevue, laquelle sera diffusée dans les prochains jours. Nous parlerons d'anxiété, de détresse psychologique, des enjeux émotionnels pour nos jeunes et de solutions pour mieux traverser la crise.

    Voici la réponse de Joël Monzée via sa page Facebook:

    Tout en réaffirmant mon soutien aux mesures sanitaires pour protéger les personnes vulnérables, j'explique mes inquiétudes d'ordre éthique par rapport à l'avis remis par l'INSPQ...

    Je ne suis pas fan à l'idée d'exposer mon background, mais cela a tout son sens aujourd'hui pour comprendre ma prise de position, car jamais je n'ai vu à ce point l'éthique de la recherche bafouée!

    J'ai fait un post-doctorat en éthique appliquée à la santé (2003-07) et reçu la bourse postdoctorale la plus prestigieuse au Canada (1er/401 candidats en 2005), publié des notes de recherche et articles scientifiques (2003-2012), ainsi que rédigé un avis au ministre de la Sciences, de la technologie et de la recherche (2001) et un livre synthèse de mes recherches et de la littérature scientifique pour exposer les dangers pour la société d'une recherche pharmacologique débridée et de la grande fragilité des universités pour s'assurer que les conflits d'intérêts ne nuisent pas à l'intérêt général (2010)...

    Si l'information diffusée n'est pas un mauvais (très mauvais) poisson d'avril (et je serais tombé dedans à pieds joints), je n'ai jamais vu l'éthique de recherche à ce point méprisée par des personnes sensées prévenir une mauvaise utilisation de la recherche en santé. Et Dieu sait que j'ai découvert des choses inquiétantes pour le bien commun entre 1998 et 2012.

    En fait, plusieurs principes doivent guider les réflexions des experts en santé dont, notamment, que (1) il ne faut pas nuire et (2) un sujet humain participant à une recherche doit pouvoir donner son consentement libre et éclairé.

    Or, les personnes qui se font vacciner en ce moment, souvent mues par la peur des conséquences éventuelles dues à une contamination attribuée aux virus qui bousculent le monde depuis 15 mois, sont-elles informées qu'elles participent à une recherche visant la mise au point d'un tout nouveau moyen bio-technologique pour "éviter les cas graves" engendrés majoritairement chez des personnes obèses (80% des hospitalisations selon de CDC et 88% des décès selon l'OMS - mars 2021)?

    Sont-elles clairement informées qu'elles peuvent être quand-même malades (tout en évitant les formes graves) et contaminer les personnes de leur entourage, y compris les personnes vaccinées ?

    Sont-elles clairement informées qu'il y a 4 stades dans une recherche pharmacologique et que, selon des experts, nous sommes seulement en phase 3 ou, au mieux, en phase 4?

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  9. Sont-elles clairement informées que le produit qu'elles reçoivent est "accepté pour faire la recherche" et non pas encore comme un traitement préventif ?

    Est-ce qu'elles signent un formulaire de consentement tels que tous les chercheurs (et leurs assistants) doivent faire signer pour respecter les consignes des comités universitaires pour s'assurer du consentement libre et éclairé quant à leur décision de participer en pleine connaissance de cause à cette recherche ?

    Comme, dans la pratique, c'est systématiquement "non", on peut s'inquiéter de deux choses: (1) comme se fait-il que le protecteur du public qu'est le Collège des médecins n'intervient pas pour rappeler à l'ordre les responsables de cette recherche à grande échelle et (2) comment avoir un minimum de consentement libre et éclairé si un passeport vaccinal est imposé pour accéder à certains loisirs ou, pire, dans l'éventualité - tel que déduit en lisant la version de l'article tel que publiée au moment d'écrire ce commentaire - où la CNESST imposerait aux employeurs que tous leurs travailleurs soient vaccinés pour avoir droit au travail ?

    Qu'il faille respecter les mesures sanitaires pour protéger les personnes vulnérables est un principe auquel j'adhère, et ce, que j'aime ou que je n'aime pas les mesures. Toutefois, un avis comme celui du comité d'éthique de l'INSPQ est dommageable à court, à moyen et à long termes pour la société au sens large.

    Et il y a pire quand on apprend la décision du NB de forcer la vaccination des adolescents d'origine amérindienne pour les accepter dans leurs écoles. Cette décision est inquiétante et largement questionnable sur le plan éthique et sur le plan démocratique, mais aussi certainement juridique, puisqu'on est encore libre de choisir si on accepte ou on accepte pas un traitement médical.

    Les personnes qui souhaitent recevoir le vaccin sont en droit de le recevoir et nos taxes paieront autant le produit que les éventuelles complications sur leur santé. Toutefois, il semble immoral d'imposer indirectement une vaccination en usant de procédures discriminatoires, et ce, d'autant plus que des personnes ont contracté la maladie et qu'elles disposent désormais d'anticorps sans avoir besoin du produit expérimental.

    Imposer un choix directement (en faisant peur) ou indirectement (en excluant de la société) aux citoyens devrait être questionné sérieusement par un panel multidisciplinaire n'ayant aucun conflit ou apparence de conflit d'intérêts. On ne peut pas laisser de tels avis circuler et influencer les décisions politiques sans réfléchir et tenir compte des risques potentiels pour le devenir de notre société civile.

    D'une part, on connaît peu les effets à court terme, alors qu'on ne connaît pas les effets à moyen et long termes de ce projet de traitement préventif du virus, alors que celui-ci n'empêche que les formes graves. On peut donc se demander si c'est encore de l'ordre de l'éthique que de mettre en place une mesure forçant les honnêtes gens à accepter quelque chose qu'ils n'auraient pas accepté sans passeport vaccinal à la clé.

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  10. D'autre part, on risque de créer encore plus de divisions dans la société. Il y a les propos considérés comme conspirationistes qui verront dans ce type de décisions des arguments pour dire qu'ils avaient raison et qu'ils n'avaient donc pas de troubles psychiatriques comme certains experts l'ont affirmé avec tellement de complaisance. Il y a les familles déjà déchirées qui le seront peut-être encore plus, car les avis divergent et c'est normal que chaque individu prenne sa décision en son âme et conscience. Pire, il y a ces jeunes qui risquent de se voir forcés d'accepter tôt ou tard un traitement expérimental, alors qu'ils subissent déjà lourdement les mesures pour "sauver des vies" depuis plus d'un an, et qu'ils devraient forcément se faire vacciner pour participer à une fête publique ou, comme au NB, participer à leurs cours...

    Ces derniers jours, on a accusé de 1000 maux le ministre de l'Éducation d'avoir organisé à huis-clos deux journées de réflexion sur les moyens à mettre en oeuvre pour réduire les effets collatéraux des mesures sanitaires. Combien de personnes déchireront leur chemise pour réclamer l'accès public à de tels débats éthiques ayant des conséquences aussi importantes pour la société?

    Je reste convaincu que le Premier ministre Legault vise à faire le bien, mais je suis inquiet qu'il soit conseillé par des personnes ne voyant que de petits fragments de la réalité imposée par les virus émergeants. Il est temps qu'on élargisse le débat scientifique et que les ordres professionnels, ainsi que les comités d'éthique universitaires, rappellent les règles de base en matière d'éthique de la recherche et de diffusion des informations scientifiques.

    Sources:

    1) https://www.inspq.qc.ca/en/node/27082

    2) https://www.journaldemontreal.com/2021/04/01/comite-ethique-de-linspq-le-passeport-vaccinal-recoit-un-avis-favorable

    3) https://www.lapresse.ca/covid-19/2021-04-01/le-passeport-vaccinal-est-justifiable-tranche-l-inspq.php

    4) https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1781780/passeport-immunite-vaccin-voyages-travail-quebec

    5) https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1777781/eleves-listuguj-campbellton-vaccin-communaute-autochtone

    6) O’Hearn M et coll. Coronavirus disease 2019 hospitalizations attributable to cardiometabolic conditions in the United States: a comparative risk assessment analysis. J. Am. Heart Assoc., publié le 25 février 2021.

    7) Stokes EK et coll. Coronavirus Disease 2019 case surveillance— United States, January 22-May 30, 2020. MMWR Morb. Mortal. Wkly Report. 2020 ; 69:759–765.

    8) https://www.journaldemontreal.com/2021/03/14/le-facteur-majeur-de-la-pandemie-a-lechelle-mondiale

    9) J. Monzée et C. Bélanger, Recherche en santé: enjeux et perspectives. Montréal (Québec) Canada : Éds AEGSFM, 2001.

    10) J. Monzée, Médicaments et performance humaine: thérapie ou dopage? Montréal, Éditions Liber, 2010

    11) https://www.lapresse.ca/international/etats-unis/2021-04-02/la-floride-interdit-le-passeport-vaccinal-au-nom-des-libertes-individuelles.php

    12) https://joelmonzee.com/lethique-bafouee/

    http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/04/voici-la-reponse-du-dr-joel-monzee.html

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  11. Philippe de Beauregard : « La préfecture nous interdit de fêter notre saint patron mais les festivités du ramadan sont autorisées »


    Philippe de Beauregard
    Boulevard Voltaire
    sam., 03 avr. 2021 18:48 UTC


    Philippe de Beauregard, maire de Camaret-sur-Aygues (Vaucluse), s'est vu interdire par la préfecture l'organisation de la procession de la traditionnelle fête patronale du village, alors que les rassemblements après le jeûne du ramadan seront autorisés, comme l'indique un courrier de la préfecture adressé aux maires de Vaucluse le 25 mars.

    Le 25 mars, la préfecture de Vaucluse a adressé aux maires du département un courrier au sujet des fêtes religieuses des mois d'avril et mai. Cette décision est assez curieuse puisque à Camaret, on vous interdit une procession en l'honneur de saint Andéol. On apprend, par la même occasion, que toutes les festivités autour du ramadan pour les musulmans sont maintenues. On imagine que la population de Camaret est déçue.

    "Oui, la population est déçue puisque nous avions organisé, en partenariat avec la paroisse de Camaret, la fête de notre saint patron, saint Andéol, qui devait avoir lieu le 2 mai. Nous avons eu une réponse ferme, définitive et négative de la préfecture. Nous n'avons pas le droit d'organiser de procession, quelle qu'elle soit. Par ailleurs, nous apprenons que la fête musulmane du ramadan et les festivités qui ont lieu après le jeûne sont « open bar ». Il me semble qu'il y a deux poids deux mesures et qu'une fois de plus, on préfère s'attaquer aux catholiques plutôt qu'à d'autres communautés qui sont réputées moins malléables et politiquement plus sensibles."

    La ville de Camaret est-elle la seule à être pénalisée ?

    Je ne pense pas que cela soit propre à Camaret. Nous avons un partenariat très fort avec la paroisse de Camaret depuis des années, notamment autour de notre saint patron. Par conséquent, nous sommes directement visés.

    Sa réaction au micro

    https://fr.sott.net/article/36875-Philippe-de-Beauregard-La-prefecture-nous-interdit-de-feter-notre-saint-patron-mais-les-festivites-du-ramadan-sont-autorisees

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  12. Ivermectine : une image vaut mille maux


    le 02/04/2021 à 14:58 - Mise à jour à 15:15


    EDITO - Le Dr Shouman en Egypte nous disait «vos pays n’acceptent pas nos études, mais qu’ils fassent les leurs, mais qu’ils les fassent !». De son coté, le Dr Babalola du Nigéria, expert de l’Ivermectine avec plus de 60000 patients qui l’ont utilisée sans problème expliquait que « Merck avait fait des pressions sur son gouvernement pour que les médecins n’utilisent pas l’ivermectine ». Le Pr Carvallo en Argentine commentait sur la performance de ce traitement dans les Etats qui avaient décidés de l’utiliser – « pour les autres Etats, il n’y avait pas assez à y gagner ». Puis ce fut au tour du Pr Omura, prix Nobel de médecine, de déclarer « ne pas accepter l’ivermectine ce serait comme rejeter la pénicilline en son temps .»

    Après les médecins et chercheurs comme Peter McCullough, Pierre Kory, Paul Marik, Didier Raoult, Tess Lawrie, qui se sont illustrés pour faire accepter les traitements précoces et les artistes pour rouvrir les lieux de culture, les citoyens se sont illustrés sur les réseaux sociaux ou dans des regroupements associatifs afin de s’informer, de comprendre la situation.

    Cette semaine l’OMS (l’Organisation mondiale de la santé) puis l’ANSM (Agence nationale de la sécurité du médicament) ont suivi les traces de l’Agence européenne des médicaments en décidant de ne pas recommander l’ivermectine comme traitement précoce contre la Covid-19. Ce n’était plus une surprise pour personne...

    - voir 'lettre au président' sur site -

    Hier c'était le Dr Gérard Maudrux qui enflammait la toile avec sa lettre au président, en lui suggérant une petite modification sur la recommandation de traitement

    Aujourd’hui c’est un groupe de Sud-Africains, THJ-Africa.org.za qui a fait une animation musicale pour informer sur l’ivermectine avec le soutien du Dr Tess Lawrie.

    https://www.francesoir.fr/opinions-editos/ivermectine-une-image-mille-maux

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  13. L'absurdité de cette semaine: masques nuisibles, mamans 'blessantes' et médias hérétiques


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 03 AVR 2021 - 16h30
    Rédigé par Simon Black via SovereignMan.com,


    Êtes-vous prêt pour l’absurdité de cette semaine ?

    Voici notre résumé du week-end des histoires les plus ridicules du monde entier qui sont des menaces pour votre liberté, des risques pour votre prospérité… et, à l'occasion, inspirent une justice poétique.

    Les parents contre la théorie raciale critique placés sur la liste des ennemis
    Un groupe Facebook appelé «Parents antiracistes du comté de Loudoun», une banlieue venteuse de Washington DC, comprend des enseignants, des membres du conseil scolaire et même le procureur du comté.

    Ce groupe a jugé bon de créer une liste d'ennemis pour nommer et cibler les parents qui ont critiqué la théorie critique des races.

    Nous avons déjà parlé de la théorie critique des races dans les écoles. Il apprend aux enfants à se considérer comme des victimes ou des oppresseurs, sur la base de caractéristiques superficielles comme la couleur de la peau.

    Un membre de ce groupe de parents «antiracistes» a décidé que quiconque ne veut pas que son enfant soit endoctriné dans des politiques identitaires qui divisent racialement est un «raciste».

    Elle a demandé des volontaires qui pourraient aider à répertorier les personnes qui s'opposaient à la théorie critique de la race dans les écoles, et «exposer ces personnes publiquement».

    Elle voulait également trouver des personnes qui pourraient «créer de faux profils en ligne et rejoindre ces groupes pour collecter et communiquer des informations, des pirates qui peuvent soit fermer leurs sites Web, soit les rediriger vers des pages d'information pro-CRT / antiracistes…»

    Malheureusement, d’autres membres du groupe ont fourni avec empressement les noms, les lieux et d’autres informations sur les personnes qui ne croient pas en la sainte foi de la théorie critique de la race.

    Un parent a atterri sur la liste des ennemis parce qu'elle a critiqué l'interdiction du Dr Suess et parce qu'elle était «très soigneusement neutre» sur la théorie critique de la race.

    Un enseignant du district a accusé le mari d’un autre enseignant de blasphème contre la théorie raciale critique.

    Une mère a commenté: «Ian Prior a parlé des préoccupations du premier amendement… Austin Levine a critiqué le conseil scolaire.»

    Il s'agit d'une inquisition religieuse pour exiler les non-croyants de la société.

    Parce que le groupe a encouragé la commission de crimes réels contre ces personnes, les forces de l'ordre enquêtent actuellement.

    Cliquez ici pour lire l'histoire complète.

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    Masques contenant des produits chimiques nocifs distribués aux écoliers
    Les masques distribués aux écoliers du Québec contenaient des produits chimiques nocifs.

    Santé Canada avertit maintenant les écoles de ne pas distribuer les masques car il existe un risque de «lésions pulmonaires précoces associées à l'inhalation de particules microscopiques de graphène».

    Gardez à l'esprit que les enfants sont le groupe démographique le moins susceptible de souffrir de complications graves du Covid-19 - ou même de le remarquer.

    Mais maintenant, au nom du ralentissement de la propagation, ils ont été exposés à un risque beaucoup plus important pour la santé, avec le potentiel de provoquer des effets sur la santé à long terme.

    Une fois de plus, le remède peut être bien pire que la maladie.

    Cliquez ici pour lire l'histoire complète.

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  14. Un expert en maladies infectieuses de renommée mondiale censuré par Twitter pour l'hérésie de Covid
    Le professeur Martin Kulldorff de Harvard, l'un des épidémiologistes et experts en maladies infectieuses les plus cités au monde, a été censuré par Twitter pour avoir déclaré que tout le monde n'avait pas besoin d'un vaccin.

    HÉRÉSIE ! SE REPENTIR !

    Lorsqu'on lui a demandé s'il pensait que tout le monde avait besoin d'un vaccin, il a répondu:

    "Non. Penser que tout le monde doit être vacciné est aussi faux sur le plan scientifique que penser que personne ne le devrait. Les vaccins COVID sont importants pour les personnes âgées à haut risque et leurs soignants. Ceux qui ont une infection naturelle antérieure n'en ont pas besoin. Ni les enfants. »

    Twitter a giflé le Tweet avec un avertissement de désinformation Covid et l'a empêché d'être aimé ou retweeté.

    Seul Twitter peut décider quelle science est vraie.

    Cliquez ici pour lire le Tweet.

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    Pourtant, CNN dit que vous ne pouvez pas dire le sexe d’un bébé à la naissance; NON censuré par Twitter
    Le gouverneur du Dakota du Sud a récemment interdit aux hommes biologiques de participer à des sports féminins.

    En réponse, CNN a rapidement signalé que "Il n’est pas possible de connaître l’identité de genre d’une personne à la naissance et il n’existe aucun critère consensuel pour attribuer le sexe à la naissance."

    N'aimez-vous pas la formulation de «attribuer» le sexe à la naissance, comme si le médecin décidait arbitrairement, ou lançait une pièce avant d'annoncer: «C'est une fille !»

    Le «consensus» pour toute l'histoire humaine a été que, si un bébé a un pénis, il est «attribué» au sexe biologique masculin, et que s'il a un vagin, c'est une femme.

    Mais les négationnistes de la science à CNN ont décidé que le journalisme éveillé approprié nécessitait d'éditer cette histoire hors de l'existence.

    Honnêtement, je n'aime pas couvrir des histoires comme celle-ci, car je suis très favorable à ce que chacun ait la liberté d'être qui il veut être. Si quelqu'un veut s'identifier comme une pastèque sans pépins, qu'il en soit ainsi.

    Mais lorsqu'ils commencent à réinventer la biologie, leur propagande pour la justice sociale va bien trop loin.

    Ironiquement, cependant, Twitter n'a eu aucun problème à permettre à l'histoire de CNN (qui est résolument anti-scientifique) d'être partagée… tandis que l'expert en maladies infectieuses très respecté dont j'ai parlé dans l'histoire précédente était censuré.

    Cliquez ici pour lire l'histoire originale en utilisant l'archive Web.

    Elizabeth Warren dit que les sénateurs devraient être trop puissants pour chahuter
    La sénatrice Elizabeth Warren et Amazon ont eu une dispute sur Twitter sur la fiscalité. Amazon a déclaré que Warren était l'une des personnes qui rédigeait le code des impôts et qu'Amazon suivait les règles pour minimiser parfaitement légalement sa facture fiscale.

    Elizabeth Warren a répondu:

    «Je n’ai pas écrit les failles que vous exploitez, @amazon - vos armées d’avocats et de lobbyistes l’ont fait. Mais vous pariez que je me battrai pour vous faire payer votre juste part. Et combattez votre antisyndicalisme. Et battez-vous pour briser Big Tech afin que vous ne soyez pas assez puissant pour chahuter les sénateurs avec des tweets arrogants. "

    C'est hilarant étant donné que Warren a commencé la dispute. Amazon n'a répondu, respectueusement, qu'avec des faits et du bon sens. Mais pour Warren, cela est chahutant, morveux et ne devrait pas être autorisé.

    La vraie ironie est que tout l’échange s’est déroulé sur une plate-forme construite par… une grande entreprise de technologie… Lizzie veut donc les casser, mais elle ne peut pas se résoudre à arrêter d’utiliser leurs services. Je parie qu’elle est également membre d’Amazon Prime…

    Cliquez ici pour lire le Tweet.

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  15. Le Royaume-Uni veut plus de pouvoirs pour inculper les manifestants

    Le Royaume-Uni veut mettre à jour les lois sur l'ordre public pour créer un nouveau crime de «causer intentionnellement ou imprudemment des nuisances publiques».

    Selon la partie 3, article 59, quiconque «fait obstacle au public ou à une partie du public dans l'exercice ou la jouissance d'un droit» peut être inculpé si une personne à proximité «subit une détresse grave, une gêne grave, un inconvénient grave ou une perte grave. d'agrément.

    Et quelle est la punition pour avoir causé un «désagrément grave» ou un «inconvénient»?

    Dix ans de prison

    La règle s'applique également si un agresseur expose une personne à un risque de contrariété, de désagrément ou de «maladie».

    Ignorer une règle de verrouillage Covid, exposant potentiellement d'autres personnes à la maladie ? Dix ans de prison.

    Ce projet de loi est si vaste que vous pourriez faire face à dix ans de prison pour avoir marché trop lentement sur le trottoir.

    Cette proposition insensée permettrait au gouvernement d'arrêter et d'emprisonner à peu près tous ceux qu'il veut.

    Cliquez ici pour lire la facture de 307 pages par vous-même.

    https://www.zerohedge.com/political/weeks-absurdity-harmful-masks-hurtful-mums-heretical-media

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    1. Les 'masques' 'N95' seraient susceptibles d'arrêter jusqu'à '95 %' des virus. Oui mais... quels sont les virus arrêtés ? Ce sont des virus parfaitement inoffensifs comme mes grains de sable ou poussières de terre qui mesurent PLUS de 3 microns !! (norme N95 d'IBM) alors que le virus 'corona' ne mesure que 0,1 à 0,5 micron !!!! donc: PASSE PAR MILLIONS/MILLIARDS !!!

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  16. Les Pays-Bas sont les derniers à arrêter AstraZeneca Jab alors que l'Australie admet un lien "probable" avec un caillot sanguin


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 03 AVR 2021 - 13:00


    Hier, les régulateurs britanniques ont reconnu à contrecœur - du moins du moins le semblait-il - 25 nouveaux cas de rares caillots sanguins liés au vaccin AstraZeneca. Plusieurs des personnes étaient décédées des suites des complications. 5 cas antérieurs avaient été jugés non graves, mais il semble maintenant que des gens meurent dans le pays qui a probablement le plus à perdre si le jab AstraZeneca était jugé défectueux.

    Après tout, une part massive des Britanniques qui ont été inoculés jusqu'à présent ont été inoculés avec le vaccin AstraZeneca, qui a été approuvé pour une utilisation d'urgence au Royaume-Uni à la fin de l'année dernière, bien que les régulateurs américains commencent tout juste à évaluer son efficacité. selon les données de l'essai, et ses risques.

    Bien qu'il ait finalement révélé que 7 Britanniques étaient décédés en raison des effets secondaires provoqués par le vaccin, le régulateur britannique des médicaments a annoncé samedi que le vaccin était "sûr" et qu'il n'était pas clair si les injections provoquaient des caillots (bien que des chercheurs allemands et ailleurs semblent avoir trouvé des preuves d'un lien). Voici plus de l'AP:

    Au total, MHRA a déclaré avoir identifié 30 cas d'événements de caillots sanguins rares sur 18,1 millions de doses d'AstraZeneca administrées jusqu'au 24 mars inclus. Le risque associé à ce type de caillot sanguin est "très faible", a-t-il ajouté.

    «Les avantages du vaccin COVID-19 AstraZeneca dans la prévention de l’infection au COVID-19 et de ses complications continuent de dépasser tous les risques et le public devrait continuer à se faire vacciner lorsqu'il est invité à le faire», a déclaré le Dr June Raine, directeur général de l’agence.

    Pendant ce temps, les Pays-Bas sont devenus hier le dernier pays développé à interrompre l'administration du vaccin. Au départ, le gouvernement néerlandais (où le Premier ministre Mark Rutte fait face à une crise politique qui s'aggrave) prévoyait de restreindre la vaccination aux personnes de moins de 60 ans, comme l'Allemagne a choisi de le faire. Mais ils ont décidé d'arrêter simplement les vaccinations pour éviter le gaspillage potentiel de vaccins précieux. Selon Reuters, le ministre néerlandais de la Santé, Hugo de Jonge, a déclaré que l'arrêt temporaire était "une mesure de précaution", faisant écho au langage utilisé par pratiquement tous les dirigeants européens qui ont restreint l'accès au jab AstraZeneca, qui a longtemps fait l'objet de soupçons à la suite de complications inhabituelles qui ont émergé pendant les essais et ont conduit à de brèves interruptions au Royaume-Uni, aux États-Unis et ailleurs.

    On s'attend à ce que davantage de pays européens suspendent le vaccin AstraZeneca, beaucoup pour la deuxième fois, à la suite des dernières révélations en provenance du Royaume-Uni, ce qui n'a fait qu'éroder davantage la confiance dans l'EMA / OMS et leur insistance sur le fait que les risques du vaccin sont minuscules par rapport avec le vaste avantage sociétal. Mais heureusement pour le Royaume-Uni et AstraZeneca - une société dont le siège est double se trouve au Royaume-Uni et en Suède depuis sa création par la fusion du suédois Astra AB et du groupe britannique Zeneca en 1999 - l'Australie a déclaré samedi qu'elle continuerait son inoculation. programme avec le jab AZ.

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  17. La décision fait suite à un cas très médiatisé où un homme de 44 ans a été admis dans un hôpital de Melbourne avec une coagulation suspecte comme celle vue ailleurs, souffrant de thrombose grave, une condition qui empêche la circulation sanguine normale dans le système circulatoire, le cas de l'homme ne pouvait tout simplement pas ne soyez pas ignoré. Après s'être réunie à la hâte vendredi et samedi, la Therapeutic Goods Administration (le principal organisme de réglementation des médicaments en Australie) a décidé que le programme se poursuivrait sans changement, selon Reuters. Autrement dit, du moins pour le moment.

    Alors que le médecin-chef adjoint de l'Australie, Michael Kidd, a déclaré lors d'un briefing télévisé samedi après-midi que "nous n'avons pas été informés pour le moment par ATAGI ou la TGA de suspendre le déploiement du vaccin AstraZeneva en Australie", il a simultanément reconnu que l'incident de coagulation était "probablement" lié au coup d'AstraZeneca, "même si les responsables britanniques continuent d'insister sur le fait qu'il n'y a aucune preuve d'un lien. Cependant, il a insisté, comme d'autres responsables de la santé publique l'ont fait, sur le fait que les risques d'effets secondaires graves demeurent" très faible."

    https://www.zerohedge.com/covid-19/netherlands-latest-halt-astrazeneca-jab-australia-admits-likely-blood-clot-link

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  18. Des élèves du lycée de Floride ont averti qu'ils seraient «rééduqués» s'ils ne portaient pas de masque


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 03 AVR 2021 - 14:30
    Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Les élèves de Clearwater High School en Floride ont été avertis qu'ils seraient «rééduqués» sur l'importance de porter un masque s'ils sont vus dans les locaux de l'école sans se couvrir le visage.

    Un avis publié sur le site Web de l’école concernant la politique relative aux masques faciaux indique aux élèves, aux enseignants, au personnel et à tout visiteur que les masques sont obligatoires sur tous les terrains de l’école ainsi que dans les bus scolaires.

    La section sur le «non-respect» énonce ensuite la punition pour quiconque est surpris en train de bafouer les règles.

    «Le port d'un masque facial est un problème de santé publique. Les élèves qui ne portent pas de masque lorsque cela est nécessaire (ou qui refusent de le faire) devraient d'abord être rééduqués sur l'importance de porter un masque », indique la mise en garde.

    «Si, après la rééducation, ils ne se conforment toujours pas, l'administrateur de l'élève doit être contacté», ajoute-t-il, soulignant que les parents seront également contactés et que l'élève sera obligé de passer à l'apprentissage en ligne si la non-conformité persiste.

    - voir doc sur site -

    La règle du masque reste en place bien que le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, n'émette jamais de mandat de masque à l'échelle de l'État et que la Floride soit l'un des États qui a essayé de réduire au minimum les restrictions de verrouillage du COVID-19.

    Le terme «rééducation» est normalement utilisé dans le contexte de l'endoctrinement politique involontaire et était un concept adopté par les dictatures communistes historiques.

    Dans son langage moderne, le terme est appliqué aux dissidents dans les États autoritaires tels que la Corée du Nord et la Chine, où les prisonniers politiques et les groupes minoritaires sont «rééduqués» de leurs croyances anti-étatiques par le travail forcé et l'endoctrinement alors qu'ils sont emprisonnés en -camps d'éducation.

    Les gauchistes et les autoritaires ont suggéré à plusieurs reprises que les soi-disant «anti-vaxxers» et les personnes qui refusent de porter des masques devraient être arrêtés et «rééduqués» dans les locaux du gouvernement.

    En décembre 2019, nous avons également souligné à quel point le fondateur disgracié du Lincoln Project, Rick Wilson, a appelé à ce que les anti-vaxxeurs soient traités de la même manière et que leurs enfants soient emmenés.

    «Les anti-vaxxers sont un fléau et un argument de poids pour les camps de rééducation, la saisie immédiate de leurs biens et la mise en détention préventive de leurs enfants», a tweeté Wilson.

    https://www.zerohedge.com/political/students-florida-high-school-warned-they-will-be-re-educated-if-caught-not-wearing-mask

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    1. Pour la plupart des gens, la mort vient de vieillesse, de maladies voire - comme dans les films - une balle qui 'sifflerait dans l'air' et que la cible n'aurait même pas le temps de l'éviter car le son... arrive après la balle ! Çà alors !

      Mais, personne n'aurait imaginé d'être conformé à la quadrature de la mort, du bâti d'un programme visant à transformer son corps, son organisme en 'robocop', et ne plus jamais s'émotionner lui-même, réfléchir de lui-même et d'apporter lui-même sa propre solution !

      Cette perte de contact passe par le stratège de l'obligation de porter un masque inutile et infesté par les morgellons ! L'impossibilité de reconnaître qui que ce soit et de devoir vivre soi-même en 'société' !! à l'écart d'elle.

      Identifier les causes profondes c'est VOIR LES ARMES face à vous et non des 'lois' que le nano-groupuscule de dictateurs à pondu et publié demandant à quelques plus de 7 milliards de personnes de s'y conformer !!
      Ce ne sont que DES ARMES et non un raisonnement intelligent/discuté comme en Démocratie !

      Si vous baissez les bras, tournez le dos ou hausser les épaules c'est que vous perdez et serait le prochain conduit au cimetière. C'est VOUS qui vous suicidez, qui acceptez la mort sans vous défendre parce que vous n'avez les facultés pour en comprendre le trajet et l'aboutissement.
      Ne comptez JAMAIS SUR LES AUTRES pour faire 'quelque chose pour vous' ! Hahaha !

      Point limite zéro.

      La valeur des billets de banques n'est pas au-dessus ou au-dessous des fantômes d'or ou d'argent, de cuivre, de fer, d'eau ou d'air ! mais, il a 'un prix marqué dessus' ! (c'est peut-être 'parfait' pour le troc).

      Les idiots, les dictateurs, pensent qu'aujourd'hui tout peut-être fait soi-même avec des machines-robots, etc et que les 'sujets' ne servent à rien, sont trop intelligents et de plus sont beaucoup plus nombreux qu'eux !

      Un jour, un con, a créé la 'religion' ou la 'présence de dieux dans l'espace' ! Whôaw ! "T'as sa photo ? Une interview ? Une adresse internet où on peut..." NON ! NON et NON ! "Mais t'énerve pas ! on veut juste..." TA GUEEEEEEULE ! FER-ME-LA ! T'as pas à poser la question du qui est le père de dieu ou la mère, la grand-mère et qu'est-ce qu'ils ou elles branlent quand les autres souffrent ! crèvent ?!

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  19. L'Espagne adopte une loi imposant les masques faciaux même en nageant dans la mer


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 04 AVR 2021 - 07:00
    Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,


    L'Espagne a adopté une nouvelle loi obligeant les gens à porter des masques partout à l'extérieur et même en nageant dans la mer.

    Oui vraiment.

    La législation, qui est entrée en vigueur mercredi, impose des couvertures pour les enfants dès l'âge de six ans, les refusniks encourant des amendes de 100 euros.

    La seule exemption à la règle concerne les adultes pratiquant des sports à l'extérieur, mais les personnes qui bronzent à l'extérieur ou nagent dans une piscine ou dans l'océan sont toujours tenues de se couvrir.

    «Cela s'appliquera aux personnes qui prennent un bain de soleil ou même nagent dans la mer», confirme le London Evening Standard.

    La stupidité absolue et le danger réel de devoir porter un masque facial en nageant dans la mer vont sans dire.

    Il est totalement insensé de devoir porter un couvre-visage tout en se plaçant dans une situation où vous avez un risque accru de difficultés respiratoires.

    Heureusement, il y a eu un énorme contrecoup de la loi, qui a «semé la consternation dans l’industrie touristique espagnole», selon le London Times.

    «Nous traversons le genre d'enfer qui menace de détruire des milliers et des milliers d'emplois et d'entreprises», a déclaré José Luis Zoreda, vice-président d'Exceltur, le principal lobby du tourisme espagnol.

    «Et maintenant, ils veulent transformer les plages en hôpitaux de campagne en plein air», a-t-il ajouté.

    Un répondant sur Twitter a illustré le sentiment de nombreux vacanciers potentiels - qu'ils éviteraient tout simplement l'Espagne.

    «Si l’Espagne a besoin de masques sur la plage après le 17 mai, j’annulerai mes vacances à Marbella et je me rendrai à Chypre ou en Floride où l’argent des touristes est le bienvenu», a-t-il déclaré.

    Les responsables de certaines régions ont juré de ne pas appliquer la loi sur les masques autour des piscines et sur la plage et elle est de toute façon ignorée par la grande majorité des amateurs de plage si des photographies récentes sont quelque chose à faire.

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  20. En réponse à l'histoire, l'épidémiologiste, le professeur Mark Woolhouse, a déclaré qu'il n'y avait aucun exemple de plages bondées provoquant des épidémies de COVID car il y avait «très peu de preuves de transmission extérieure» du virus.

    «À ma connaissance, il n'y a jamais eu d'épidémie de Covid-19 liée à une plage dans le monde», a déclaré Woolhouse, qui a déclaré à un comité de députés que visiter la plage serait l'une des choses les plus sûres à faire.

    Jetez maintenant un œil à ce graphique montrant ce qui est arrivé aux cas de COVID en Espagne, et dans tous les autres grands pays européens d'ailleurs, après l'introduction des masques faciaux obligatoires.

    - voir graphisue sur site montrant l'élévation exponentielle de cas (dans chaque pays) lors de l'obligation du port du masque -

    https://www.zerohedge.com/covid-19/spain-passes-law-mandating-face-masks-even-while-swimming-sea

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  21. Covid-19 : en Espagne, le port du masque imposé jusque sur la plage... et dans l'eau


    4 avr. 2021, 15:58


    Un nouveau décret du gouvernement espagnol oblige à porter le masque dès six ans sur tout le territoire. Mais la levée de boucliers des gouvernements locaux, notamment dans les zones balnéaires, pourrait forcer les autorités à revoir la législation. Un décret du gouvernement espagnol publié le 30 mars a officialisé le port du masque obligatoire sur tout le territoire, même lorsqu'une distance de sécurité de 1,5 mètre peut être respectée sur la voie publique, jusque sur les plages... et dans l'eau.

    La mesure a été accueillie avec une grande réserve par les professionnels du tourisme. Jusqu'à présent, les gouvernements régionaux étaient libres d'adapter les restrictions, avec quelques exceptions pour des situations particulières, comme la plage. La législation, entrée en vigueur le 31 mars, rend le port du masque obligatoire dès l'âge de six ans. Seuls les adultes pratiquant un sport sont exemptés. Quiconque ne s'y conforme pas s'expose à une amende de 100 euros.

    En Espagne, depuis mai 2020, le masque était obligatoire dans les transports, les espaces fermés et, jusqu'ici, sur la voie publique lorsqu'il n'était pas possible de maintenir la distance de sécurité de deux mètres. Mais cette dernière précision a été retirée dans la dernière mouture du texte de la «nouvelle normalité», comme l'appelle l'Espagne depuis le printemps 2020. «Il est important que les citoyens le sachent, nous ne sommes pas arrivés à une phase de relâchement, et nous ne pouvons en aucune manière nous permettre d'être imprudents», avait expliqué la porte-parole du gouvernement Maria Jesus Montero lors d'une conférence de presse.

    La ministre de la Santé envisage de modifier la loi Les réactions dans les stations balnéaires espagnoles face aux nouvelles restrictions pourraient néanmoins pousser les autorités à revoir certaines règles. Les gouvernements locaux des îles Baléares et des îles Canaries ont déclaré que la loi ne serait pas appliquée dans les piscines et sur les plages, rapporte le quotidien britannique The Times, au motif que ce décret national ne prévalait pas sur la législation régionale. Auprès d'El Pais, l'association des hôtels de Benidorm, dans la province d'Alicante, a jugé l'initiative du gouvernement central «excessive».

    Selon Nuria Montes, la secrétaire générale de l'association, «les mesures de sécurité qui ont été prises l'an dernier pour créer des zones particulières sur les plages, y surveiller les distances et le respect de la réglementation, se sont avérées efficaces». «Si vous êtes avec des personnes du même ménage dans des zones de quatre mètres sur quatre en maintenant une distance sociale, nous ne comprenons pas pourquoi il serait nécessaire de porter un masque pour prendre un bain de soleil», a-t-elle expliqué au quotidien espagnol. La commission nationale de la santé a donc annoncé qu'elle allait réviser les restrictions. Quelques heures après l'entrée en vigueur du nouveau décret, la ministre de la Santé Carolina Darias a déclaré souhaiter voir «si la loi nous permet un certain degré de manœuvre».

    https://francais.rt.com/international/85372-covid-19-espagne-port-masque-impose-jusque-plage-et-dans-leau

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  22. Le Royaume-Uni déploie des "passeports Covid '' pour les événements sportifs et musicaux


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 04 AVR 2021 - 07:35


    Comme nous l'avons signalé à de nombreuses reprises, la réalité des passeports COVID-19 deviendra le 'passeport à la vie' d'un individu semble être une fatalité. Le Royaume-Uni a l'intention de déployer des «passeports Covid» d'ici quelques semaines pour des événements sportifs et musicaux de haut niveau.

    Ceux qui sont assez riches et / ou chanceux pour mettre la main sur le vaccin pourront peut-être assister aux demi-finales et à la finale de la FA Cup ainsi qu'à la finale de la Coupe de la Ligue de football et au Championnat du monde de snooker, ainsi qu'à de nombreux événements musicaux, selon à FT.

    Les tests pilotes pour les événements de masse «sans coronavirus» exigeront que toute personne entrant dans l'événement fournisse des certificats numériques Covid, y compris l'historique de vaccination ou un test récent. Le premier essai du passeport numérique Covid pour le rassemblement de masse débutera cet été.

    L '«application de certification numérique» se trouve dans l'application existante du National Health Service, utilisée par les patients pour prendre des rendez-vous chez le médecin et commander des ordonnances. Les passeports COVID pour les rassemblements de masse peuvent être annoncés dès cette semaine ou au début de la semaine prochaine.

    Le Premier ministre Boris Johnson a déjà suggéré que des passeports sanitaires pourraient être nécessaires pour entrer dans les pubs et les restaurants. Cela signifie que les citoyens devront produire des "papiers pour le pub" - qui pourraient être inclus dans le cadre de recommandations dans un rapport pour lutter contre la propagation de Covid, qui doit sortir en mai.

    Le ministre du Cabinet, Michael Gove, a examiné les problèmes juridiques et éthiques liés aux passeports COVID pour les pubs, les restaurants et autres lieux de rassemblement de masse.

    Les plans de passeport COVID ont déjà rencontré une opposition farouche de la part de plus de 70 députés de divers partis politiques. Les députés d'arrière-ban conservateurs ont averti que de telles exigences porteraient atteinte aux libertés civiles.

    Un député conservateur a déclaré que les exigences possibles pour les passeports de santé sont «dégoûtantes».

    Rien de tout cela ne devrait surprendre les lecteurs qui ont compris de nos écrits que les passeports de vaccination seront le nouveau «ticket d'or» pour les voyages mondiaux, avec les industries du voyage et du tourisme et maintenant d'autres formes de rassemblements de masse tels que les événements sportifs et musicaux.

    Ce ne sont pas seulement les pays européens qui déploient des passeports COVID. Les États-Unis sont déjà en train de tirer parti des applications et des smartphones pour permettre aux voyageurs d'offrir la preuve qu'ils ont été vaccinés ou récemment testés négatifs pour le COVID-19.

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  23. Joe Scarborough de MSNBC, un critique fréquent et précoce de l'ancien président Trump par le GOP, a qualifié tout Américain qui ne soutenait pas les passeports vaccinaux d '«idiot».

    L'idée est que les passeports de santé pourraient stimuler une reprise économique alors que les pays se préparent à assouplir les mesures de santé publique. Pourtant, le compromis est que les gens doivent remettre de plus en plus de leurs titres de compétences en santé aux gouvernements et aux entreprises.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/uk-roll-out-covid-passports-sporting-and-music-events

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  24. Abus de pouvoir "brutal": regardez la police britannique rompre le service de Pâques "Rassemblement illégal" à Londres


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 04 AVR 2021 - 08:45


    Des images choquantes ont émergé montrant les longueurs absurdes que les autorités sont prêtes à faire pour appliquer les 'règles Covid' même après que les vaccins ont été rendus plus largement disponibles, des dizaines de millions de personnes ayant reçu le vaccin.

    La police britannique a envahi une église dans le sud-ouest de Londres lors d'un service du Vendredi saint et l'a fermée parce que "trop ​​de gens" étaient présents. Des rapports locaux ont identifié que le clergé et les fidèles de l'Église catholique romaine Christ the King à Balham, dans ce qui est une église de quartier à prédominance polonaise, ont été menacés d'une amende équivalente à plusieurs centaines de dollars, ou d'une arrestation possible s'ils ne partaient pas.

    La police a semblé littéralement éclater au milieu du service et a reconnu que c'était l'un des jours saints chrétiens les plus importants de l'année avant d'ordonner aux gens de se disperser.

    «J’apprécie que c’est le Vendredi saint, et vous aimeriez adorer, mais ce rassemblement est illégal», a annoncé un officier.

    L'église accuse la police métropolitaine de «dépasser brutalement ses pouvoirs»:

    Un message publié samedi sur le site Web de l'église dit: «Le vendredi saint, 2 avril 2021, pendant la liturgie de la passion du Seigneur, au moment de l'adoration de la croix, la police est arrivée à la porte de notre église vers 18 heures. .

    Nous n'avons pas été autorisés à terminer la célébration. Les policiers ont jugé notre assemblée liturgique illégale, ordonnant à tout le monde de quitter notre temple immédiatement ou de faire face à une amende de 200 £ pour chaque paroissien présent, voire à une arrestation.

    Les fidèles ont obéi à cet ordre sans objection.

    Nous pensons, cependant, que la police a brutalement outrepassé ses pouvoirs en émettant son mandat sans raison valable, car toutes les exigences du gouvernement ont été satisfaites. "

    Voici une vidéo complète montrant plusieurs officiers grognant de manière irrespectueuse autour de l'autel et du sanctuaire tout en menaçant les fidèles d'arrestation:

    - voir sur site -

    L'année dernière a été témoin de scènes similaires dans d'autres églises et communautés religieuses. De plus, cela a sans aucun doute mis les églises et les communautés chrétiennes du Royaume-Uni à bout du risque de "violation des règles de Covid" alors que les gens exercent la liberté de culte.

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  25. La police métropolitaine, en parlant de l'incident du Vendredi saint à Balham, a semblé suggérer qu'il y aurait d'autres répressions de ce type à venir:

    "C'était l'un des nombreux événements qui se déroulaient à l'église pendant la période de Pâques. Nous nous engageons aujourd'hui avec les autorités ecclésiastiques et continuerons de le faire dans les prochains jours", a indiqué un communiqué de la police.

    Décrivant l'incident, la police métropolitaine a déclaré: "Vers 17 heures le vendredi 2 avril, des policiers ont été appelés à un rapport faisant état de foules de gens faisant la queue devant une église de Balham High Road."

    "Les officiers sont venus et ont trouvé un grand nombre de personnes à l'intérieur de l'église. Certaines personnes ne portaient pas de masques et les personnes présentes n'étaient manifestement pas socialement distancées." Ils ont exprimé leur "inquiétude" pour la transmission du virus, bien que le Royaume-Uni ait fait la une des journaux la semaine dernière pour le développement positif dont il a récemment assisté à son deuxième jour en 2021 de zéro décès signalé par COVID-19.

    << Nous sommes particulièrement préoccupés par le risque de transmission du virus Covid-19 à la suite de grands rassemblements en salle au cours desquels les gens ne sont pas socialement distancés et certains ne portent pas de masques. En tant que tel, les agents ont décidé que ce n'était pas sûr pour ce service particulier pour continuer », a expliqué la police.

    Pendant ce temps...


    L'incident a déclenché une tempête de colère en ligne; cependant, se dirige vers le premier week-end de Pâques chargé où dans de nombreux endroits à travers l'Europe et les États-Unis les verrouillages ont été assouplis, et les gens sont impatients de revenir à la «normale» - ce qui comprend la possibilité de pratiquer leur foi en la paix - il est probable que être plus de confrontations avec la police et les «exécuteurs de Covid» à venir.

    * * *

    Et ailleurs, dans certaines parties de l'Occident, toujours soumises à un «verrouillage» et à des restrictions de mouvement et de capacité de rassemblement ...

    https://www.zerohedge.com/political/brutal-abuse-power-watch-uk-police-break-easter-service-london

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    1. Même les bordels sont restreints à une personne à la fois !

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  26. Et si on parlait à nouveau de gaz carbonique pour innover


    le 4 avril 2021


    Depuis quelques semaines je constate que les nouvelles scientifiques, à nouveau, se concentrent toutes vers le réchauffement du climat dont le moteur exclusif est le gaz carbonique selon les experts onusiens de l’IPCC. Le SARS-CoV-2 est presque passé au second plan et cette recrudescence de propagande climatique n’est là que pour maintenir l’angoisse dans ce qui reste de cerveau des Européens, car la plus grande majorité des pays autres que les pays occidentaux se moquent complètement de cette histoire de climat. Ce dogme qui comme tous les dogmes religieux n’a encore jamais été vérifié ni expérimentalement ni par l’observatio est devenu en une trentaine d’années la base d’une nouvelle religion : le réchauffement du climat, que l’on appelle pudiquement aujourd’hui le dérèglement climatique. Ces experts de l’IPCC ont utilisé tous les moyens à leur disposition pour construire cette croyance et en particulier l’usage abusif de modèles quitte à déformer les données provenant d’observations minutieusement consignées depuis le XIe siècle par les moines comme par exemple l’évolution du prix du pain et jusqu’à ce jour avec les observations satellitaires ou au sol. L’IPCC, pour faire passer auprès des décideurs politiques son dogme, a sciemment ignoré des dizaines de milliers d’archives qui existent pourtant et sont disponibles pour n’importe quel scientifique honnête, non inféodé aux positions onusiennes dominantes relatives au climat. Comme le socle du dogme de l’IPCC est l’évolution de la teneur atmosphérique en gaz carbonique exprimée en ppmv (parties par million par unité de volume) il était fondamental pour ces fonctionnaires de trier soigneusement toutes les données relatives à ce gaz.

    - voir graphique sur site -

    La teneur en ce gaz a toujours varié dans des proportions inattendues, et au cours des 200 dernières années de 300 à 450 ppmv. Entre les années 1800 et 1960 la spectrométrie infra-rouge n’existait pas ou était trop peu sensible pour déterminer correctement cette teneur en gaz carbonique . La seule technique disponible était le dosage chimique ou volumétrique en piégeant le gaz carbonique avec de la soude, de la potasse ou de la baryte et un dosage en retour du carbonate formé. Cette technique était fiable à 0,0006 % dans le cas des dosages volumétriques et de +/- 0,0003 % dans le cas du dosage en retour du carbonate formé. Pourtant l’IPCC a ignoré la totalité des mesures de gaz carbonique atmosphérique effectuées entre 1800 et 1960, c’est-à-dire plus de 100000 mesures effectuées avec le plus grand soin dans de nombreux pays occidentaux (cf. le lien en fin de billet).

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  27. Pourquoi l’IPCC, comme d’ailleurs de nombreux acteurs de la protection du climat et de l’environnement, ont-ils ignoré ces précieuses données ? Tout simplement parce qu’elles remettent en question la théorie de l’effet de serre du gaz carbonique qui est devenue un dogme auquel tout le monde doit croire. Il est intéressant de faire ici quelques rappels historiques. Au début du XVIe siècle des ecclésiastiques comme Martin Luther puis Jean Calvin contestent le système des indulgences mis en place par l’Eglise de Rome. L’avènement de l’imprimerie va grandement favoriser les idées de la Réforme dont le principe fondateur est la seule Bible et rien d’autre. Le document accompagnant la Bible de Luther traduite en allemand ne fait pas mention des saints de l’Eglise de Rome ni du culte de la Vierge, ni du purgatoire, trois dogmes démolis par ces réformateurs de langue allemande et pour Calvin de langue française. La Réforme conduira à des conflits sanglants, guerres civiles et guerres entre Etats, qui perdureront pendant 5 siècles jusqu’à la véritable guerre civile de l’Ulster. C’est dire à quel point ces histoires de dogmes rendent les êtres humains complètement fous, je veux dire incapables de raisonner.

    On en est exactement au même point aujourd’hui avec le dogme de l’effet de serre du gaz carbonique. Tout opposant au dogme de l’IPCC n’est plus brûlé sur la place publique mais malicieusement ostracisé par la vindicte populaire et médiatique. Finalement la nature humaine n’a pas changé, son fond de violence est toujours présent mais durant les quelques années qui me restent à vivre je continuerai à combattre cette imposture climatique. Toutes les mesures économiques et sociétales décidées aujourd’hui par les dirigeants politiques occidentaux pour combattre ce soit-disant réchauffement du climat d’origine humaine ne conduiront pas à des guerres civiles et des massacres mais le résultat sera le même. Nous assisterons progressivement à une paupérisation des populations et une destruction généralisée des économies.

    En conclusion il est encore temps de supprimer l’IPCC, organisme soumis aux plans fascistes et totalitaires du World Economic Forum et de laisser s’exprimer les vrais scientifiques non politisés. Mais je dois rêver …

    Source de l’illustration : Ernst-Georg Beck, Energy & Environment, Vol. 18, n°2, 2007, pp.259-282 que je tiens à la disposition de mes lecteurs.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/04/04/et-si-on-parlait-a-nouveau-de-co2-pour-innover/

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  28. Développer un million de petits militants politiques



    April 4th, 2021


    L'endoctrinement commence dès l'école
    Un Damon Gameau a créé une sorte de film féerique et fantastique d’un monde renouvelable et ringard appelé 2040 et il est joué dans nos écoles.

    Il puise dans le désir primitif d'un monde de pure fantaisie simple où tout le recyclage est bon, il n'y a jamais de déchets, rien n'est gaspillé et tout le monde veut aider. Chantez Ye O Lordy pour un monde binaire du bien et du mal (et des maths qui n'utilisent jamais de plus grands nombres que 0 et 1). Une terre d'abondance, où les enfants connaissent toutes les réponses et où personne n'a jamais à faire une analyse coûts-avantages car il n'y a pas de compromis.

    Si vous pouvez dire séquestration du carbone, cela peut arriver. Agitez votre glorieuse baguette!

    Nos enfants apprennent à «sauver le monde» en écrivant des lettres aux politiciens et en créant leurs propres campagnes publicitaires pour convertir des enfants encore plus jeunes à devenir de petits militants. Pas pour eux la corvée de gagner sa vie, d'équilibrer ses livres ou d'estimer les risques. Comme le dit Tony Thomas, «les modèles de cours feraient honneur à l'endoctrinement de l'ère soviétique.»

    Tony Thomas a regardé les 90 minutes du lavage de cerveau, donc vous n’avez pas trop. Cela fait deux ans que cela se déroule tranquillement dans les écoles australiennes. Il est livré avec des plans de cours pré-emballés adaptés à un programme conçu par Mme Julia Gillard (ancienne PM). Parfait pour les enseignants inquiets qui ne peuvent pas penser à des moyens d'intégrer la durabilité dans chaque deuxième leçon.

    Je savais que les choses allaient mal dans les écoles, mais pas si mal…

    - voir clip sur site -

    Cela semble aussi fonctionner sur un certain type d'adulte. Les commentaires sous la bande-annonce sont adorables. Les gens veulent ce que cela vend.

    Austin Rood

    J'avais les larmes aux yeux. En tant que personne qui a grandi dans un monde où le changement climatique est un fait et il semble que peu de processus ait été fait, il est parfois très difficile de voir un avenir plein d’espoir
    Je suppose que les esprits suggestibles entraînés à voir le désastre arriver enfin obtiennent un certain soulagement de l'angoisse.

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  29. Je vois des enfants utiliser les déchets d'enfouissement pour générer plus de déchets d'enfouissement. Tout ce dont il a besoin, c'est du ruban adhésif, du carton et du styrène…!

    Obtenez tous les détails sur Quadrant:

    Rendre les enfants stridents, effrayés et stupides
    Tony Thomas, Quadrant

    La prémisse de son fantasme cinématographique est qu'il voyage dans le temps jusqu'en 2040 et découvre que toutes ses solutions vertes ont été un brillant succès. Il aide sa vraie fille de quatre ans, Velvet, à traverser les dangers climatiques jusqu'au nirvana de 2040. Le film se termine par une musique enthousiaste et une vision de jeunes de toutes les couleurs et de toutes les croyances dansant à travers une forêt pour célébrer les faibles niveaux de gaz carbonique. Une fille de 20 ans dans une robe blanche pousse à partir de ses ailes de papillon géantes qui battent réellement. Ce doit être le clip le plus ringard jamais réalisé ou même imaginable. [6] Il ne dit pas vraiment aux enfants «Votez vert», mais appelle à un nouveau leadership politique fort. «Ne serait-il pas formidable si de nouveaux dirigeants émergent qui pourraient nous guider vers une meilleure 2040», dit-il. Indice, indice, coup de coude, coup de coude.

    En voyageant dans le futur, le film peut prétendre que chaque politique verte fonctionne. Place aux arcs-en-ciel et aux bousculades de licorne ! Ses solutions climatiques comprennent l'échange de steaks contre des algues et la réduction des niveaux de mauvais gaz carbonique pour ramener l'atmosphère à 350 ppm de gaz carbonique (maintenant 412 ppm). C’est un exploit.

    Grandis pour devenir un sauveur de planète!

    Les enfants comprendront évidemment que «l'environnement» est leur préoccupation future (même si notre air n'a jamais été aussi pur et que nous mettons jusqu'à cinq bacs colorés par semaine). Les enfants doivent ensuite griffonner sur leurs blocs de travail les réponses aux questions «Quelle est une solution possible» et «Qui est responsable de cette solution et pourquoi?» Ainsi, les enfants qui ont du mal à résoudre 9 × 13 = ?, sont entraînés pour guider nos destinées planétaires. La «fiche d'information» 2040, en passant, se termine en demandant aux enfants d'envoyer des lettres aux politiciens et de rejoindre la Coalition jeunesse pour le climat, manipulateurs de grève scolaire. Ils doivent également courir pour ordonner aux adultes de réduire leurs émissions. C’est la plus étrange «fiche d’information» jamais compilée par l’homo sapiens.

    Apprenez aux enfants à détester le gros pétrole, le gros charbon et les grands banquiers
    La lectrice de nouvelles Angela Pippos est sur la roue pour lire ce faux script: «Les grandes banques continuent de prendre un coup alors que le public transfère son argent aux organisations qui soutiennent les combustibles fossiles.»

    Pourquoi les banques ne protestent-elles pas qu’elles sont souillées à l’école? Probablement parce qu'ils sont si puissants, et c'est si ignorant, qu'ils s'en moquent. En fait, cela ne fait probablement partie que du plan de profit. Ils peuvent «arbitrer» plus de pouvoir lorsque les futurs manifestants inutiles de Baby-Occupy exercent plus de pression sur les gouvernements pour qu'ils défundent le charbon et imposent plus d'énergies renouvelables dans le système. Un système énergétique mature avec des acteurs indépendants efficaces est plus difficile à contourner et à «acheter les creux» pour ainsi dire.

    Le nouveau livre de Tony Thomas, Come To Think Of It - essais pour chatouiller le cerveau, est disponible ici sous forme de livre (34,95 $) ou de livre électronique (14,95 $)

    https://joannenova.com.au/2021/04/churning-out-a-million-little-political-activists/#more-76836

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  30. L'Afrique va doubler sa puissance au charbon d'ici 2030

    Au cours des dix prochaines années, l'Australie fermera quelques centrales au charbon, tandis que l'Afrique en construira 1250.


    April 4th, 2021


    L'Afrique va doubler son énergie et la quasi-totalité de l'augmentation provient des combustibles fossiles. C'est difficile à expliquer, étant donné que les énergies renouvelables sont «gratuites» et que l'Afrique est pauvre. Mais à la fin de la décennie, les énergies renouvelables peu fiables représenteront toujours moins de 10 % de l'énergie en Afrique.

    Merci au GWPF:

    Les combustibles fossiles vont dominer le mix énergétique de l'Afrique cette décennie - rapport
    Power Engineering International

    Une nouvelle étude sur le paysage de la production d’énergie en Afrique utilise une technique d’apprentissage automatique de pointe pour analyser le pipeline de plus de 2 500 centrales électriques prévues et leurs chances de réussite.

    - voir sur site -

    Production d'électricité en Afrique, 2030, graphique.

    L'étude prévoit qu'en 2030, les combustibles fossiles représenteront les deux tiers de toute l'électricité produite en Afrique. Alors que 18 % supplémentaires de la production devraient provenir de projets hydro-énergétiques. Celles-ci ont leurs propres défis, comme la vulnérabilité à un nombre croissant de sécheresses causées par le changement climatique.

    Ce n'est que le début. La plupart des pays d'Afrique ne sont même pas encore dans la course:

    L’Afrique du Sud à elle seule devrait ajouter près de 40 % de la nouvelle capacité solaire totale prévue de l’Afrique d’ici à 2030.

    Il y a cinq ans, TonyfromOz s'est penché sur le Niger - une nation de 17 millions d'habitants et a estimé que tout le pays consommait à peu près autant d'électricité que Dubbo, en Australie, une ville d'environ 40 000 habitants.

    Comme le dit Matt Ridley: l'Afrique a besoin d'être riche - plutôt que verte

    RÉFÉRENCE
    Alova et al (2021) Une approche d'apprentissage automatique pour prédire le mix électrique de l'Afrique basé sur les centrales électriques planifiées et leurs chances de succès, Nature Energy volume 6, pages 158–166 (2021)

    NASA - Afrique: https://eoimages.gsfc.nasa.gov/images/imagerecords/79000/79793/city_lights_africa_8k.jpg

    https://joannenova.com.au/2021/04/africa-to-double-coal-fired-power-by-2030/#more-76849

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  31. Lettre ouverte au Premier Ministre du Québec M. François Legault


    Prof Michel Chossudovsky
    mondialisation.ca
    dim., 04 avr. 2021 15:13 UTC
    M. François Legault,


    Premier Ministre du Québec

    le 3 avril, 2021

    Cher M. Legault,

    Je vous écris concernant la décision de votre gouvernement d'envisager un reconfinement afin de protéger les Québécois contre la pandémie.

    Cette lettre aborde la question d'estimation des décès attribués au Covid-19.

    En date du 16 avril 2020: une directive du Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec relative à l'identification de la cause du décès, fut émise :
    « si la cause présumée du décès est la Covid-19 (avec ou sans test positif) une autopsie doit être évitée [emphase dans le document du Ministère ] et le décès doit être attribué à la Covid-19 comme cause probable de mortalité. De plus les décès dont la cause probable est la Covid-19, sont considérés comme naturels, et ne font pas l'objet d'un avis au coroner. »
    Voici ci-dessous le texte de la directive envoyée aux responsables des Grappes OPTILAB (les codirecteurs clinico-administratifs et médicaux). (Les Grappes - OPTILAB, laboratoires de biologie médicale) :

    - voir doc sur site -

    La directive fut émise le 16 avril 2020. Et cinq jours plus tard, lundi le 21 avril 2020, le ministère de la Santé rapporte que le Covid-19 est dors et déjà (pour le mois d'avril): « ... la principale cause de décès au Québec [44,9 %] devançant la moyenne quotidienne de morts attribuables aux cancers et aux maladies cardiaques. »

    En date du 21 avril, 2020, à votre conférence de presse vous avez fait état d'une montée en flèche des décès attribués au Covid-19, et que cette mortalité était essentiellement concentrée dans les résidences pour les aînés.

    Et voici ci-dessous le relevé de la mortalité (quotidienne) au Québec correspondant à la semaine du 12 au 18 avril, 2020 mesurée selon les critères émis par le Ministère de la santé et des services sociaux.

    moyenne décès québec
    Est-ce que cette montée subite des décès attribuée au Covid est le résultat de la dite pandémie meurtrière? Ou était-ce le résultat des directives du Ministère de la Santé et des Services sociaux basées sur des critères contradictoires ? Voir ci-dessous :

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  32. cas « présumé » du Covid,
    « avec ou sans test positif »,
    cause « probable » de mortalité,
    « autopsie doit être évitée » dans un cas de Covid-19,
    « décès dont la cause probable est le Covid-19, sont considérés comme naturels, et ne font pas l'objet d'un avis au coroner ».
    Il n'est même pas nécessaire d'exiger la « cause confirmée positive » (test RT-PCR) pour établir si le décès est causé par le virus. Le Covid-19 « cause présumée » (qui ne prouve absolument rien) suffit.

    Je devrais également mentionner que cette directive ne permet pas de comptabiliser les comorbidités. Et si la famille de la personne décédée n'accepte pas la catégorisation Covid-19 (qui n'exige pas le test PCR), les procédures de demande d'autopsie sont complexes (quasiment impossibles, deux hôpitaux pour l'ensemble du Québec).

    Il n y avait aucun cas de décès (attribuable au Covid) au Québec avant la mi-mars 2020. Et tout d'un coup en avril les chiffres de décès associés au Covid-19 prennent l'envol pour devenir en avril 2020 la principale cause de mortalité au Québec.

    Aujourd'hui, le Covid-19 est catégorisée comme étant la troisième cause de mortalité. Cette catégorisation a également servi à fausser les causes des décès dans les CHSLD. Ce n'est pas le virus qui a provoqué « une véritable hécatombe dans les CHSLD ». Bien au contraire.

    À ce que je sache, les directives erronées du ministère de la Santé émises en avril 2020 sont encore en vigueur.

    Début avril 2021 : plus de 10 600 cas de mortalité au Québec sont assignés de manière erronée au Covid-19.

    Inévitablement, les statistiques de la mortalité associée au Covid ainsi que les nombreux reportages par les médias contribuent à alimenter la campagne de la peur.

    Le Confinement

    Ces chiffres sur les décès relatifs au Covid, sont utilisés par le ministère de la Santé et le gouvernement afin de justifier les mesures draconiennes imposées aux Québécois incluant le confinement, le couvre feu, le port du masque, la distance sociale, la fermeture des écoles, collèges et universités ainsi que la fermeture partielle de l'économie nationale, ce qui inévitablement mène à précipiter la banqueroute de la petite et moyenne entreprise dans toutes les régions du Québec.

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  33. Le reconfinement n'est pas une solution, bien au contraire. On ne résout pas une crise de santé publique en fermant des pans entiers de l'économie nationale. La solution préconisée par le gouvernement mène non seulement au chômage et à l'appauvrissement des Québécois, mais également à une crise fiscale et un processus d'endettement sans précédent de l'État québécois.

    Par ailleurs, il s'agirait pour le gouvernement de rassurer le peuple Québécois. La campagne de peur n'a pas lieu d'être. Rarement mentionné par les médias, le Sras-CoV-2 n'est pas un « virus meurtrier ». Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS):
    « La plupart des personnes infectées par le virus responsable du Covid-19 présenteront une maladie respiratoire d'intensité légère à modérée et se rétabliront sans avoir besoin d'un traitement particulier. Les personnes âgées et celles qui ont d'autres problèmes de santé, tels qu'une maladie cardiovasculaire, un diabète, une maladie respiratoire chronique ou un cancer, ont plus de risques de présenter une forme grave. »
    Le vaccin ne constitut pas une solution afin de rétablir la dite « normalité ». Il n'est pas requis pour les personnes souffrant d'une « maladie respiratoire d'intensité légère ».

    Par ailleurs, les vaccins à ARN [mRNA] sont encore au stade « expérimental ». Dans l'Union européenne (EU), on a enregistré sur une période de moins de trois mois (du 27 décembre 2020 - 13 mars 2021) 3 964 décès et 162 610 blessures. (Voir les rapports d'Eudra Vigilance)

    Est ce qu'il s'agit véritablement d'une troisième vague ?

    Les estimations sont trompeuses. A ce titre, il s'agirait pour le gouvernement du Québec de faire une analyse sur la méthodologie du test RT-PCR (appliqué à Sras-CoV-2) afin d'évaluer la fiabilité des estimations des cas de covid-19 positifs. Voir le rectificatif de l'OMS (ci-dessous)

    Mea culpa de l'OMS

    L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a remis en cause (en date du 20 janvier, 2021) sa propre directive relative au test RT-PCR qui fut proposée (par l'OMS) en janvier 2020, approuvé et appliqué par les gouvernements des États membres de l'OMS.

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  34. La question litigieuse concerne le nombre de cycles du seuil d'amplification (Ct).

    L'OMS en date de janvier 2021 se rétracte et demande maintenant aux gouvernements de répéter le test si les normes (seuil) d'amplification (Ct) ont été appliqués à 35 cycles ou au dessus : > 35 cycles:
    « Le document d'orientation de l'OMS sur les Tests diagnostiques pour le dépistage du Sras-CoV-2 souligne que les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence (1). La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d'amplification des acides nucléiques identique ou différente. » (OMS, 20 janvier 2021)
    L'OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence d'une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente(2). Cela signifie que la probabilité qu'une personne ayant obtenu un résultat positif (Sras-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le Sras-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test. (emphase ajoutée par l'auteur). »

    Estimations erronées

    Ce n'est pas une question de « faibles positifs » ou de « risque de faux positifs ». L'enjeu relève au point de départ en janvier 2020 de la mise en application par l'OMS d'une méthodologie trompeuse et erronée qui conduit à des estimations qui n'ont aucune base scientifique.

    Répéter le test ?

    Alors que la mise en œuvre de cette recommandation de l'OMS de « Retester » est (dans la pratique) une impossibilité, il n'en reste pas moins que les résultats du test PCR établis (depuis février 2020) selon les critères erronés recommandés par l'OMS (en date de janvier 2020) ne sont tout simplement pas valides.

    Selon l'avis scientifique de Pieter Borger et al. :
    « Si quelqu'un est testé par PCR positif lorsqu'un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme cela est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne est infectée est inférieure à 3 % , la probabilité que ledit résultat est un faux positif est de 97 % (Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, Clare Craig, Kevin McKernan, et al, Critique of Drosten Study )
    Je suis à votre disposition pour des clarifications éventuelles,

    Veuillez agréer, Monsieur le Premier Ministre, l'expression de mes meilleurs sentiments,

    Michel Chossudovsky

    Directeur,
    Centre de recherche sur la mondialisation (CRM),
    Montréal

    crgeditor@yahoo.com

    Professeur titulaire de science économique (émérite),
    Université d'Ottawa, Ottawa

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  35. Notes :

    Texte de l'OMS

    - AVIS DE L'OMS À L'ATTENTION DES UTILISATEURS DE TESTS DE DIAGNOSTIC IN VITRO 2020/05

    - Tests d'amplification des acides nucléiques basés sur la méthode PCR (amplification en chaîne par polymérase) pour la détection du SARS-CoV-2

    Mon article à ce sujet intitulé :

    - L'OMS confirme que le test Covid-19 PCR est invalide, les estimations des « cas positifs » sont sans fondement. Le confinement n'a aucune base scientifique. Michel Chossudovsky

    L'analyse de la mortalité liée au Covid :

    - Québec: La falsification des données sur la mortalité attribuable à la Covid-19, Michel Chossudovsky

    Le texte de mon E-Livre (10 chapitres)

    - The 2020 Worldwide Corona Crisis: Destroying Civil Society, Engineered Economic Depression, Global Coup d'État and the « Great Reset », Michel Chossudovsky

    https://fr.sott.net/article/36879-Lettre-ouverte-au-Premier-Ministre-du-Quebec-M-Francois-Legault

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  36. L'absurdité des « vaccins » anti-Covid


    P. Jerome — OffGuardian
    Sott.net
    jeu., 01 avr. 2021 18:25 UTC


    Note du traducteur : Comme très souvent dans ce monde globalisé, cet article concerne globalement les États-Unis, mais il s'applique tout aussi bien aux pays occidentaux dans leur ensemble, et à l'Union européenne en particulier. Les emphases (gras et italique) sont de notre fait.


    Les efforts visant à exiger que chaque Étasunien reçoive une injection d'un « vaccin » expérimental contre le Covid-19 reposent sur l'idée fausse que la vaccination protégera les bénéficiaires de l'infection par le Sras-Cov-2, le virus responsable du Covid-19, ou les empêchera de transmettre l'infection à d'autres personnes.

    La FDA, le CDC, le NIH et les sociétés pharmaceutiques concernées ont tous très clairement déclaré qu'aucune preuve n'existe pour appuyer cette idée.

    Aucun des trois « vaccins » expérimentaux contre le Covid-19 actuellement distribués aux États-Unis n'a démontré qu'il protégeait contre l'infection ou la transmission du virus supposé être à l'origine du Covid-19 (Sras-CoV-2), ni même qu'il empêchait l'apparition des symptômes du Covid-19.

    Ce fait est indiscutable, mais les médias, les prestataires de soins médicaux et les politiciens continuent de ressasser le mensonge selon lequel la vaccination confère une « immunité contre le Covid ». Même des sources comme la Mayo Clinic affirment de manière irresponsable et sans fondement que la vaccination « pourrait vous empêcher de contracter » ou de « propager » le Covid-19. Ces mêmes mensonges sont à la base de la forte pression exercée par le président Biden en faveur d'une vaccination de masse pour « rendre ce jour de l'Indépendance vraiment spécial ».


    Note du traducteur : L'auteur se réfère au discours de Joe Biden prononcée le 11 mars dernier, dans lequel il évoque la lumière au bout du tunnel (il existe aussi une contagion chez les dirigeants occidentaux, c'est celle d'une propagande mensongère) en mettant en lumière les récents progrès accomplis dans la vaccination contre le Covid-19, avec l'espoir qu'ils permettront un début de retour à la normale aux États-Unis cet été, avec pour objectif de faire du 4 Juillet, jour de la fête nationale :
    « Le 4 juillet, il y a de fortes chances que vous, votre famille et vos amis puissiez vous réunir dans votre jardin pour faire un barbecue et célébrer la fête de l'indépendance [...] Après cette longue et dure année, cela fera de cette fête de l'indépendance quelque chose de vraiment spécial, où nous ne soulignerons pas seulement notre indépendance comme nation, mais où nous commencerons à marquer notre indépendance vis-à-vis de ce virus. »
    L'avenir nous le dira.


    Le 27 février 2021, la Food and Drug Administration (FDA) a annoncé qu'elle avait « délivré une autorisation d'utilisation d'urgence pour un troisième « vaccin » destiné à prévenir le Covid-19, celui de Janssen (Johnson&Johnson).

    Cette annonce est pratiquement identique à celles précédemment présentées pour les « vaccins » Covid-19 produits par Pfizer-BioNTech et Moderna.

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  37. Dans chacune de ces autorisations d'utilisation d'urgence, la FDA a pris soin d'éviter toute affirmation selon laquelle les « vaccins » offrent une protection contre l'infection ou la transmission du virus. De même, les Centers for Disease Control (CDC), l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et les National Institutes of Health (NIH) ont tous déclaré publiquement qu'il n'a PAS été démontré que les « vaccins » empêchent l'infection ou la transmission.

    Tous leurs documents et commentaires réglementaires sur la question indiquent clairement que rien ne prouve que les « vaccins » ont une incidence sur l'infection ou la transmission du virus, ni qu'ils empêchent l'apparition des symptômes du Covid-19.

    La position du gouvernement étasunien

    Le document d'information de la FDA analysant les données des essais cliniques pour le « vaccin » Pfizer, publié la veille de la délivrance par la FDA d'une autorisation d'utilisation d'urgence pour ce « vaccin », indique (à la page 47) :
    Les données pour évaluer l'effet du « vaccin » contre les infections asymptomatiques sont limitées.
    Et :
    Les données pour évaluer l'effet du vaccin contre la transmission du [virus] Sras-CoV-2 chez les personnes infectées malgré la vaccination sont limitées.
    Le document d'information de la FDA sur le vaccin Moderna énonce le même fait, tout en décrivant les plans d'un futur essai clinique visant à mesurer la prévention de l'infection, mais qui ne sera pas achevé avant le 31 décembre 2023 (p.47). L'examen par la FDA du « vaccin » Janssen a noté les mêmes données « limitées »...
    pour évaluer l'effet du vaccin dans la prévention de l'infection asymptomatique... et des conclusions définitives ne peuvent être tirées pour le moment.
    « Données limitées » signifie qu'il n'y a en fait aucune preuve pour soutenir ces conclusions.

    Le comité consultatif des CDC qui a recommandé l'utilisation d'urgence du « vaccin » Moderna a noté :
    le niveau de certitude des bénéfices du vaccin anti-Covid-19 Moderna était... de type 4 (très faible certitude) pour les estimations de la prévention de l'infection asymptomatique par le Sras-CoV-2 et de décès toutes causes confondues.
    Le guide des CDC à l'intention des administrateurs du « vaccin » anti-Covid (2 janvier 2021) pose la question suivante :
    Une personne qui a reçu un vaccin contre le Covid-19 peut-elle quand même transmettre le Covid-19 ? Pour l'instant, nous ne savons pas si la vaccination contre le Covid-19 a un effet quelconque sur la prévention de la transmission.
    L'Organisation mondiale de la santé, le 26 janvier 2021, a admis la même chose :
    Nous ne savons pas si les vaccins préviendront l'infection et protégeront contre une transmission ultérieure.
    Tout ceci est très confus en raison du langage utilisé par la FDA, le NIH et autres agences de santé pour décrire l'efficacité potentielle des « vaccins ». Par exemple, dans l'analyse des données du « vaccin » Janssen par le NIH, les auteurs notent qu'il serait efficace pour « prévenir les cas modérés et graves du Covid-19 chez les adultes ».

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  38. Ce faisant, la distinction entre l'infection par un virus (Sras-Cov-2) et la maladie appelée Covid-19 est délibérément brouillée.

    Le NIH affirme que le « vaccin » de Janssen prévient ou atténue les symptômes du Covid-19, mais ne dit pas s'il prévient l'infection ou la transmission du virus qui serait à l'origine du Covid-19 (Sras-CoV-2). L'analyse similaire pour le « vaccin » Moderna note, cependant :
    Les données disponibles ne sont pas encore suffisantes pour tirer des conclusions quant à l'impact sur la transmission du Sras-CoV-2 du vaccin [Moderna].
    Malheureusement, nous avons ces derniers mois vu de nombreux rapports de décès attribués au Covid-19 des jours et des semaines après la vaccination (voir ici et ici - vidéo), confirmant que les personnes vaccinées peuvent être et sont infectées par le virus.

    Les autorités sanitaires ont évité d'attribuer ces décès aux effets secondaires des « vaccins » eux-mêmes. Ils affirment plutôt que ces décès sont le résultat d'infections par le virus (Sras-Cov-2) contractées après avoir reçu les « vaccins ».

    Des rapports particulièrement dévastateurs provenant d'un monastère isolé du Kentucky décrivent comment deux nonnes sont mortes du Covid-19 après avoir reçu des « vaccins » anti-Covid, en dépit de l'absence totale de tout cas d'infection dans le monastère pendant les dix mois qui ont précédé la vaccination.

    Le directeur scientifique de Moderna a été cité dans le British Medical Journal à propos des essais cliniques menés en 2020, qui ont abouti à la décision de la FDA d'accorder une autorisation d'utilisation d'urgence du « vaccin » Moderna. M. Zacks a déclaré :
    Notre essai ne démontrera pas la prévention de la transmission, car pour ce faire, il faut effectuer des prélèvements sur les personnes deux fois par semaine pendant de très longues périodes, ce qui devient intenable sur le plan opérationnel.
    Les questions les plus importantes concernant les « vaccins » expérimentaux contre le Covid-19 n'ont même pas été posées lors des essais cliniques : Ces vaccins expérimentaux empêchent-ils l'infection par le virus et empêchent-ils la transmission de ce virus ? La réponse courte est non.

    La FDA a clairement indiqué dans chacun des documents d'information sur les « vaccins » anti-Covid (voir le document Moderna ici, Pfizer ici, Janssen ici) que les essais n'ont même pas été conçus pour prouver ou réfuter l'hypothèse selon laquelle ils préviennent l'infection ou la transmission du virus, ou même empêchent l'apparition des symptômes du Covid-19.

    La FDA a délivré des autorisations d'utilisation d'urgence pour les vaccins de Pfizer, Moderna et Janssen les 11 décembre 2020, 18 décembre 2020, et le 27 février 2021, respectivement.

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  39. Les autorisations d'utilisation d'urgence indiquent que les « vaccins » « préviennent les formes sévères du Covid-19 », c'est-à-dire qu'ils n'empêchent pas l'infection ou le développement des symptômes après l'infection, mais qu'ils peuvent rendre la maladie moins grave.

    Les autorisations d'utilisation d'urgence nient explicitement toute preuve que les « vaccins » Pfizer, Moderna ou Janssen préviennent l'infection, ou empêchent l'hospitalisation ou même le décès dû au Covid-19 après la vaccination. Les « taux de réussite » très médiatisés des « vaccins » ne font référence qu'à leur capacité potentielle à atténuer la gravité de ces symptômes, mais il n'existe « aucune donnée » indiquant qu'ils préviennent l'infection susceptible de provoquer ces symptômes.

    Rendre obligatoire la vaccination en vertu d'une autorisation d'utilisation d'urgence est inadmissible

    Un autorisation d'utilisation d'urgence ne constitue pas une « approbation de la FDA ».

    Une autorisation d'utilisation d'urgence indique qu'un produit n'a pas été entièrement testé mais que, malgré les risques évidents, sa distribution est autorisée, parce que le gouvernement a, en l'occurrence, déclaré une « urgence de santé publique » en janvier 2020.

    Comme le note la FDA dans sa fiche d'information sur le « vaccin » Moderna :
    Le « vaccin » anti Covid-19 de Moderna n'a pas subi le même type d'examen qu'un produit approuvé ou homologué par la FDA.
    La FDA a accordé des autorisations d'utilisation d'urgence pour les trois « vaccins » expérimentaux après moins de cinq mois d'essais cliniques, la plupart des données des essais devant encore être recueillies. Ils feront l'objetd'essais cliniques jusqu'au 31 janvier 2023.

    En septembre 2020, avant que l'autorisation d'utilisation d'urgence des « vaccins » anti-Covid-19 ne soit délivrée, les scientifiques spécialistes des vaccins ont déclaré qu'aucun vaccin n'avait encore jamais été distribué sur la base d'une autorisation d'utilisation d'urgence. Le Dr Peter Hotez a donné les précisions suivantes :
    Nous n'établissons pas d'autorisation d'utilisation d'urgence pour les vaccins. Le contrôle est moins exigeant et sa qualité plus faible, et lorsqu'il s'agit de vacciner une grosse partie de la population étasunienne, ce n'est pas acceptable.
    Trois mois plus tard, la FDA a délivré des autorisations d'utilisation d'urgence pour les « vaccins » Pfizer et Moderna, mais en indiquant explicitement qu'ils « n'ont pas fait l'objet du même type d'examen qu'un produit approuvé ou homologué par la FDA ».

    En effet, la nature hautement expérimentale du « vaccin » anti-Covid-19 de Moderna, en particulier, est extraordinaire car il est le premier et le seul produit que la société ait jamais été autorisée à distribuer, et il aurait été développé en deux jours seulement.

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  40. Toute utilisation d'un vaccin expérimental dans le cadre d'une autorisation d'utilisation d'urgence doit être volontaire et les receveurs doivent être informés
    de la possibilité d'accepter ou de refuser l'administration du produit, ainsi que des conséquences, le cas échéant, du refus de se faire administrer le produit, et des alternatives au produit qui sont disponibles et de leurs avantages et risques.
    Cette information est répétée en petits caractères sur chacune des fiches d'information de la FDA concernant le « vaccin » anti-Covid-19 de Moderna, mais elle est largement ignorée.

    Le 22 octobre 2020, on a demandé au Dr Amanda Cohn, secrétaire exécutive du Comité consultatif sur les pratiques de vaccination du CDC, si les nouveaux « vaccins » anti-Covid-19 pouvaient être légalement imposés. Elle a répondu que dans le cadre d'une autorisation d'utilisation d'urgence :
    Les vaccins ne sont pas soumis à une obligation. Ainsi, au début de cette phase de vaccination, chaque personne devra être consentante et les vaccins ne pourront pas être imposés.
    Dans le cadre du statut d'autorisation d'utilisation d'urgence, et puisque les « vaccins » ne sont pas approuvés par la FDA et que les bénéficiaires sont des participants à des essais cliniques, le gouvernement n'est pas autorisé à exiger les vaccinations anti-Covid-19. C'est pourquoi, malgré les suggestions de certains législateurs en ce sens, les États ne peuvent légalement contraindre la population à se faire vacciner.

    D'ailleurs, l'armée étasunienne n'a pas le droit d'imposer ces « vaccins ». Le fait que le gouvernement ne puisse imposer la vaccination explique pourquoi certaines entreprises privées tentent d'exiger la vaccination de leurs employés, ce qui, sur cette question, rend potentiellement pertinentes les recommandations de l'Equal Employment Opportunity Commission (EEOC) [Commission étasunienne de l'égalité des chances en matière d'emploi - NdT].

    Le guide de l'EEOC sur la vaccination contre le virus Covid-19 n'autorise pas à imposer des vaccins

    Le 16 décembre 2020, l'EEOC a mis à jour ses recommandations sur la question de la vaccination anti-Covid-19.

    Cette mise à jour a été publiée cinq jours après que la FDA ait délivré une autorisation d'utilisation d'urgence pour le « vaccin » Pfizer et deux jours avant d'en délivrer une autre pour celui de Moderna. Sur la base de ce timing, nous pouvons supposer que l'EEOC était bien au courant du contenu des documents et des rapports d'information de la FDA, en particulier ceux portant sur les déclarations de la même FDA quant à l'absence de preuve de la capacité de ces « vaccins » à prévenir l'infection ou la transmission du virus (Sras-CoV-2).

    Le guide de l'EEOC évalue l'idée que l'employeur puisse rendre obligatoire la vaccination anti-Covid-19 dans le cadre du critère de « menace directe » issu de l'Americans with Disabilities Act (ADA) [Loi de 1990 sur les étasuniens handicapés - NdT] :
    L'ADA permet à un employeur de disposer d'une clause de conformité qui inclut « l'exigence qu'un individu ne constitue pas une menace directe pour la santé ou la sécurité des individus sur le lieu de travail ».
    Mais l'analyse de l'EEOC présuppose que ces « vaccins » protègent contre les infections, ce qui n'est pas le cas.

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  41. Le principe de la « menace directe » constitue pour l'employeur une défense potentielle contre une plainte pour discrimination fondée sur le handicap au titre de l'ADA. Selon l'EEOC,
    Conclure qu'il existe une menace directe impliquerait de déterminer qu'une personne non vaccinée exposera d'autres personnes sur le lieu de travail.
    La « menace directe » — spécifique mais théorique — décrite ici fait référence à une prétendue menace posée par une personne non vaccinée susceptible d'être infectée par le virus (Sras-CoV-2) et de propager ensuite l'infection sur le lieu de travail.

    Mais il est impossible de « déterminer » une telle menace. L'EEOC a pris soin de préciser qu'une défense fondée sur la menace directe « inclurait » d'avoir pu « déterminer » cette menace. L'EEOC n'a pas sur cette question pris position parce que les responsables étaient probablement conscients du fait que rien n'a permis de déterminer si la vaccination prévient l'infection ou la transmission, et que les données actuelles ne permettent pas de le faire.

    Les affirmations ambitieuses selon lesquelles la vaccination « pourrait » [finalement s'avérer efficace pour] prévenir l'infection ou que « certaines données tendent à montrer » un tel effet ne constituent pas une base suffisante pour une défense fondée sur la menace directe.

    En 1988, la Cour suprême des États-Unis a statué dans l'affaire Bragdon vs Abbott que l'affirmation d'une défense fondée sur la menace directe doit être évaluée « à la lumière des preuves médicales disponibles », notant que
    les opinions des autorités de santé publique, telles que le Service de santé publique des États-Unis, le CDC et les Instituts nationaux de la santé, ont un poids et une autorité particuliers.


    Note du traducteur : Après avoir déclaré sur un formulaire qu'elle était séropositive « asymptomatique », Sidney Abbott s'est vu refuser par son dentiste, Randon Bragdon, le traitement d'une carie. Bragdon a déclaré qu'il accepterait de la soigner s'il pouvait effectuer le travail dans un hôpital, mais Abbott devrait payer les frais d'admission et d'utilisation de l'établissement. En invoquant la Loi de 1990 sur les étasuniens handicapés, Abbott a poursuivi Bragdon pour discrimination, et les tribunaux fédéraux de première instance, ainsi que les cours d'appel, ont statué en sa faveur. Source


    Passer outre les protections légales établies de longue date que constituent le droit à l'intégrité corporelle et le consentement éclairé et volontaire à un traitement médical, nécessite d'énoncer la menace réelle et imminente, et non théorique, que représente une personne non vaccinée sur le lieu de travail.

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  42. Le CDC, les National Institutes of Health et de nombreuses autres « autorités de santé publique » ont tous déclaré qu'il n'existe aucune preuve démontrant que la vaccination prévient l'infection ou la transmission virale, un fait que l'EEOC aurait dû mentionner, ce qu'elle n'a pas fait.

    Aucune couverture juridique qui permettraient aux employeurs d'exiger la vaccination n'est offerte par les recommandations de l'EEOC. Selon ces dernières, les employeurs pourraient réussir à prouver l'existence d'une menace directe s'ils étaient en mesure de prouver des faits qui, en fait, ne peuvent être prouvés.

    Plus important encore, selon le CDC, plus de 29 millions d'Étasuniens (et probablement beaucoup, beaucoup plus) ont déjà contracté le virus (Sras-CoV-2) et s'en sont remis.

    Une étude récente du NIH démontre que ces millions de personnes « rétablies » bénéficient contre la réinfection d'une protection durable, et probablement permanente. Elles ne présentent aucune menace d'infection ou de transmission du virus. Cependant, sous couvert que les employeurs pourraient exiger la vaccination de leurs employés, ces personnes qui sont déjà immunisées devraient quand même se faire vacciner. D'un point de vue logique ou juridique, il est insensé d'exiger la vaccination pour des personnes qui possèdent déjà une plus grande protection contre le virus que les personnes qui se font vacciner [et n'ont pas au préalable contracté le virus - NdT].

    Quelle est la menace contre laquelle la vaccination obligatoire permet de lutter ?

    En dehors du contexte de l'emploi, les entreprises exigent des preuves de vaccination des voyageurs et même des spectateurs de cinéma et de concert, en se fondant sur la même idée démystifiée selon laquelle la vaccination avec l'un des « vaccins » anti-Covid-19 empêchera la propagation théorique du virus dans les trains, les avions, les cinémas et les salles de concert parmi les populations à faible risque. Or, les agences gouvernementales compétentes ont toutes déclaré clairement que ces « vaccins » n'empêchent pas l'infection ou la propagation de l'infection.

    Le bénéfice de toute vaccination repose sur la personne qui reçoit le vaccin. Dans le cas des « vaccins » anti-Covid-19, les personnes vaccinées peuvent après avoir été infectées présenter moins de symptômes. Bien qu'il s'agisse d'une considération importante pour de nombreuses personnes, ce bénéfice n'a rien à voir avec la prévention de la propagation du virus Sras-Cov-2.

    Une personne vaccinée présente au moins le même « risque » d'infection et de transmission du virus (si ce n'est plus) qu'une personne non vaccinée. Au mieux, la vaccination peut empêcher l'apparition d'un cas plus grave de Covid-19. Les « vaccins » n'empêchent pas l'infection ou la propagation du virus responsable du Covid-19. Ils n'ont que peu ou pas d'impact pour en arrêter la transmission.

    Étant donné que personne n'a démontré que la vaccination empêche l'infection ou la transmission du virus Sras-CoV-2 — un fait incontesté par toutes les sources officielles — cela signifie également que la vaccination ne saurait contribuer à atteindre l'objectif de l'immunité de groupe.

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  43. « L'immunité de groupe » signifie qu'une population peut être protégée d'un virus après qu'un nombre suffisant de personnes se soit immunisé contre l'infection, soit par l'exposition au virus et la guérison ultérieure, soit par la vaccination.

    Mais dans le cas du Covid-19, il n'existe aucune preuve que la vaccination immunise quiconque contre le virus Sras-CoV-2. La vaccination Covid-19 ne peut jouer aucun rôle significatif dans la recherche de l'immunité collective, parce que les « vaccins » anti- Covid-19 ne confèrent aucune immunité contre l'infection.

    Curieusement, l'OMS se contredit en affirmant que la vaccination contre le Covid-19 favorise l'immunité collective contre le virus qui en est à l'origine :
    Pour obtenir en toute sécurité une immunité collective contre le Covid-19, il faudrait qu'une proportion importante de la population soit vaccinée, ce qui réduirait la capacité globale du virus à se propager dans l'ensemble de la population.
    Cette déclaration est tout simplement fausse. Elle contredit également l'aveu préalable de l'OMS selon lequel « Nous ne savons pas si les vaccins préviendront l'infection et protégeront contre la transmission ultérieure ».

    Si l'OMS a déjà reconnu qu'elle « ne sait pas si » les « vaccins » anti-Covid-19 protègent les personnes contre l'infection ou la transmission du virus, prétendre que d'une manière ou d'une autre ces « vaccins » pourraient conduire à une immunité de groupe, constitue un mensonge délibéré.

    Une stratégie bien plus utile que de forcer les gens à accepter un vaccin expérimental qui ne les protège même pas de l'infection serait de plutôt protéger les personnes les plus vulnérables qui pourraient contracter une maladie grave ou même mourir des suites d'une infection. Des dizaines de milliers de médecins et de scientifiques de renom aux États-Unis et dans le monde entier ont en octobre 2020 proposé une telle stratégie.

    Malheureusement, les médias et les Big-Tech de la Silicon Valley ont attaqué et censuré de manière efficace toute discussion de cette approche thérapeutique rationnelle en la qualifiant d'« anti-science » et de « droite » et en supprimant sur la quasi-totalité des plateformes médiatiques toutes les informations relatives à cette stratégie [la « Droite » constitue pour les Démocrates zombifieurs de la Silicon Valley une chose inqualifiable qui ne devrait même pas exister - NdT].

    Pourtant, la fausse approche « scientifique » de l'immunité de groupe vantée par l'OMS, les agences gouvernementales et les politiciens étasuniens, ainsi que les monopoles médiatiques, est d'une malhonnêteté flagrante et n'a rien à voir avec la « science ». La pression exercée par les entreprises privées pour imposer la vaccination et les « passeports d'immunité » est également fondée sur des intérêts financiers privés, et non sur la recherche scientifique.

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  44. Les scientifiques du gouvernement admettent que les « vaccins » anti-Covid-19 n'empêchent pas l'infection ou la transmission du virus qui, selon eux, en est à l'origine, mais nombre de ces mêmes scientifiques affirment de manière fort malhonnête que ces mêmes « vaccins » empêcheront d'une manière ou d'une autre la propagation du virus, et conduiront à une immunité collective.

    Une telle approche n'est pas seulement non scientifique et malhonnête. C'est une ineptie.
    À propos de l'auteur :

    P. Jerome est un avocat spécialisé dans les droits civils basé à Washington, D.C. Il peut être joint à l'adresse suivante : jeromeinpassing@protonmail.com.


    Note du traducteur : Voir aussi les articles suivants :
    L'ineptie des « vaccins » à ARN pour « traiter » le Covid-19
    Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
    Le dispositif à ARNm anti-Covid n'est PAS un « vaccin », ni même un médicament, un traitement ou une thérapie — Alors, c'est quoi ?
    CRIIGEN — Note d'expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies de modifications génétiques des organismes
    « Vaccin » anti-Covid — Que disent les résultats publiés par Pfizer et quelles conclusions pouvons-nous en tirer ?
    Si le vaccin anti-Covid n'empêche pas l'infection, l'hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
    Les critères de référence des tests des vaccins anti-Covid sont truqués et les effets secondaires sont désastreux


    Source de l'article initialement publié en anglais le 30 mars 2021 : OffGuardian
    Traduction : Sott.net

    https://fr.sott.net/article/36876-L-absurdite-des-vaccins-anti-Covid

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  45. Anti-Véran, anti-Lacombe : Martin Blachier serait-il devenu « rassuriste », voire complotiste, ou « agent » calmant ?


    Les Éditeurs
    Sott.net
    dim., 04 avr. 2021 14:46 UTC


    Tout le monde connaît Martin Blachier, l'homme invité partout pour cracher sur les professeurs Raoult, Toussaint, Toubiana, bref, toute la planète des soignants rationnels qui se sont opposés, dès le départ, aux décisions désastreuses des responsables de la santé publique. Blachier représentait pour beaucoup l'envoyé en plateau des grands labos, on l'a vu lâcher ses chiens contre les grands soignants sur LCI, CNews, BFM TV, en un mot sur toute la propagandosphère.

    Étrangement, depuis début février 2021, le propagandiste semble avoir changé son fusil d'épaule, suffisamment pour que L'Express, propriété du Franco-Israélien Patrick Drahi [qui possède aussi BFM], un hebdomadaire 100 % dans la ligne oligarchique, c'est-à-dire bigpharmaciste, le taxe de rassuriste, un qualificatif dégradant selon la presse mainstream soumise à la fois à l'État par les subventions, et au grand capital par les dix entreprises qui possèdent la presse française.

    - voir clip sur site -

    L'introduction de l'article de L'Express classe Blachier dans l'axe du Mal :
    À chaque vague ses vedettes rassuristes. Pour la première, c'est Didier Raoult qui a monopolisé toute l'attention médiatique, assénant en février 2020 que le Covid est « probablement l'infection respiratoire la plus facile à traiter de toutes », avant de déclarer un mois plus tard être très étonné si le nombre de morts dépassait en France les 10 000 (on en est à plus de 90 000), puis d'annoncer en mai que l'épidémie est « en train de se terminer ». Au début de la deuxième vague, le chercheur Laurent Toubiana, le sociologue Laurent Mucchielli et le physiologiste Jean-François Toussaint ont repris le flambeau médiatique et se sont démultipliés devant les micros, de Sud-Radio à Cnews. Assurant que le virus ne circulait plus, le trio a contesté l'efficacité du confinement, les politiques « anxiogènes » du gouvernement ou les chiffres « exagérées » de l'épidémie. Depuis, ces trois-là se sont faits très discrets.

    Pour la troisième vague, c'est l'épidémiologiste Martin Blachier, l'urgentiste Gérald Kierzek et l'urologue Michaël Peyromaure qui ont martelé dans les médias leur opposition à des mesures restrictives et minimisé la remontée épidémique. « Je ne pense pas qu'on reconfinera », déclare le premier début février sur Cnews. Selon Martin Blachier, on pourra même bientôt rouvrir des lieux grâce aux autotests antigéniques. « On entre vraiment dans les derniers mètres les plus compliqués de l'épidémie. On sait qu'il n'y aura pas un nombre de morts beaucoup plus important qu'aujourd'hui », prédit-il encore le 23 février dans Ouest France. Un discours optimiste qui a fait mouche sur les plateaux de télévision.
    Soudain, alors qu'il était la risée et le repoussoir des réseaux sociaux (acquis globalement à la cause raoultienne), Blachier devient relativement populaire. Il change de camp, ou en donne l'impression. Toujours est-il qu'il critique les choix du trio Macron-Castex-Véran en charge de la répression économico-sanitaire depuis un an.

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  46. Après sa sortie étonnante de février, le 1er mars, Blachier surprend tout le monde, au moment où le gouvernement menace de reconfiner tout le monde :
    Il faut pousser tout le monde dehors !

    - voir clip sur site -

    Le 16 mars, chez Laurence Ferrari, il se déclare perplexe sur les effets du confinement :
    Je voudrais juste insister sur le mal que fera ce confinement. Il se fait sur une population qui est, déjà, pas bien du tout et donc il sera moins respecté.
    Soudain, le 23 mars, et certains n'y verront qu'une coïncidence, il est rattrapé par une petite affaire de délit d'initié, ou plutôt d'une collusion possible, le tout relevé par Gala :
    C'est sans doute la première fois qu'il se confie sur sa vie privée. Invité sur le plateau de « Touche pas à mon poste » ce mardi 23 mars, le Dr Martin Blachier a été contraint de s'expliquer au sujet d'une rumeur qui circulerait depuis peu et qui le concernerait lui ainsi que son ex-femme. Dans un premier temps, le sujet a été abordé par Gérard Delépine, médecin à la retraite, qui se trouvait face à lui dans le talk-show animé par Cyril Hanouna.

    « M. Blachier, vous êtes trop proche, enfin, votre épouse est trop proche du LEEM ! », a-t-il lâché, l'air de rien, avant de se faire interrompre par l'animateur de C8 : « C'est quoi ça ? », a demandé Cyril Hanouna. « C'est le syndicat des entreprises du médicament, donc leur but, c'est de vendre de nouveaux médicaments chers », a précisé l'ancien médecin. Agacé par ces propos, le Dr Martin Blachier n'a pas tardé à faire une mise au point au sujet de cette rumeur.
    Le 29 mars, alors qu'ils étaient en 2020 sur la même longueur d'onde répressive, Blachier se met à attaquer l'immense Karine Lacombe, dont la direction de TF1 a voulu faire une star mais qui s'est ravisée depuis :
    Karine Lacombe, quand les mesures ont été annoncées, elle a dit ce sont d'excellentes mesures. Elle a dit « si jamais le président avait confiné en janvier, aujourd'hui tous les restaurants seraient ouverts en France »... Je suis désolé, mais Karine Lacombe, elle a le don de sortir des espèces de choses comme ça, et elle surfe en permanence sur les tendances. Et maintenant elle signe une tribune pour dire qu'elle va trier les malades, alors qu'elle est même pas réanimateur.
    La suite de la diatribe est encore plus dure pour Karine, mais l'honnêteté journalistique nous oblige à diffuser intégralement les mots de Blachier :
    Je trouve que au bout d'un moment il y a un peu d'opportuniste. J'ai pas l'impression qu'elle a eu particulièrement de pertinence dans ses prises de parole, donc je trouve que ça suffit, quoi ! C'est suffisamment grave pour que on ne joue pas comme ça en permanence avec les peurs, en essayant de faire un bras de fer, avec des intentions qui sont pas toujours franchement... À quoi ça sert ? Au bout d'un moment quand vous avez une prise de parole, il faut savoir est-ce qu'elle va être utile ou est-ce quelle va pas être utile. Et parfois, il y a des prises de paroles qui sont toxiques, et qui ne doivent pas être prises... C'est une forte responsabilité quand même !

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  47. Enfin, le 1er avril, Blachier reprend la parole et s'en prend à Olivier Véran, l'intouchable Véran (un peu moins que Jérôme Salomon, quand même) ! Ce coup-ci, il accuse le ministre de la Santé (des labos) de faire barrage aux « autotests » sans lesquels, pense-t-il, la réouverture des écoles, des commerces et des lieux de culture ne sera pas possible. Il s'en explique sur Europe 1 :
    Martin Blachier voit deux raisons pour lesquelles Olivier Véran fait blocage, alors que ces tests sont déjà disponibles dans les entrepôts :
    Soit il ne comprend pas, et dans ce cas-là, moi je suis disponible pour aller lui expliquer dans son bureau au ministère de la Santé [...] ou alors il veut faire plaisir à d'autres personnes en pensant qu'il a des comptes à rendre aux pharmaciens et aux laboratoires d'analyse qui ont peut être beaucoup investi. Dans ce cas-là, qu'il leur fasse un chèque, mais qu'il ne nous bloque pas le pays uniquement parce qu'il leur doit quelque chose [...] C'est le prochain scandale de cette crise, ils misent trop sur le vaccin.

    - voir clip sur site -

    Véran lui a répondu illico sur France Inter :

    Et après Lacombe et Véran, Blachier vise le président de la République en personne. Est-il devenu fou, ou juste lucide (avec un an de retard) ? selon lui, la promesse de Macron de tout rouvrir par paliers à la mi-mai est un leurre. Cependant, les raisons avancées par Blachier ne sont pas forcément rassuristes, et encore moins complotistes, ce qui constituerait un compliment :
    Sonia Mabrouk, soulignant que l'horizon de mi-mai était devenu un espoir pour les Français suite à l'annonce de ce mercredi soir, lui a demandé de préciser :
    « Avec 20 millions de personnes vaccinées en France, vous ne pouvez pas rouvrir le pays à la dimension de ce que pensent les gens [...]. Il a dit le 15 mai, les gens ils se sont dit « le 15 mai, on va revivre ». C'est possible. C'est possible de faire revivre les Français le 15 mai mais pas uniquement avec 20 millions de vaccinés. C'est possible si jamais on a un pass sanitaire, si jamais les gens savent utiliser les autotests. On a un mois et demi pour le faire. Ça devrait déjà être en route et pour l'instant on nous parle d'une expérimentation qui débuterait le 15 avril où les gens iraient se tester eux-mêmes, mais dans les pharmacies sous l'œil des pharmaciens »
    a terminé le médecin, a priori sceptique sur les semaines à venir. (Télé-Loisirs)
    Que retenir de ce changement de cap à la fois graduel et inattendu ? Que Blachier rejoint les forces du Mal (c'est-à-dire du Bien, n'oubliez pas que nous sommes dans un monde orwellien), ou qu'il récupère, sur ordre ou proposition, une partie de la colère des Français pour mieux la neutraliser (n'oublions pas que les grands médias donnent moins la parole à Raoult et ses disciples, et depuis cet ordre non écrit, Blachier a resurgi de partout) ?

    Pour le pouvoir, il importe de contrôler les réactions de la population avant tout. Et les Français, supportant de moins en moins bien les erreurs, errances et autres stratégies foireuses ou au contraire cyniques de la gouvernance, seront bientôt rétifs à toute parole oligarchique.

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  48. Il s'agit donc d'envoyer sur le terrain des « agents » calmants pour remotiver les troupes dans le sens voulu. Cela nous rappelle la guerre de 14-18 avec le ras-le-bol des soldats qui ne supportaient plus les sacrifices imposés par leur état-major (l'ordure abrutie Nivelle) qui les envoyait au casse-pipe, le cul bien au chaud. Il a fallu, pour enrayer les mutineries, la tournée de Pétain sur le front. Ce général, qui avait le souci de la vie de ses soldats (alors à la tête de la IIe armée), réussira à faire baisser la tension, récupérer le respect des soldats, remonter le moral des troupes, et finir la guerre. Après, c'est une autre Histoire...

    Source de l'article publié le 2 avril 2021 : E&R

    https://fr.sott.net/article/36877-Anti-Veran-anti-Lacombe-Martin-Blachier-serait-il-devenu-rassuriste-voire-complotiste-ou-agent-calmant

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  49. Se soigner au quotidien avec les huiles essentielles


    egaliteetreconciliation.fr
    dim., 04 avr. 2021 15:51 UTC


    dominique baudoux« Se soigner au quotidien avec les huiles essentielles » : une conférence du docteur

    Le docteur Dominique Baudoux est un pharmacien-aromatologue et un enseignant belge, auteur de plusieurs livres sur l'aromathérapie et l'utilisation des huiles essentielles.

    Au début des années 90, à la suite de sa rencontre avec l'aromatologue Pierre Franchomme et de ses recherches en aromathérapie scientifique, il prend la direction du laboratoire Pranarôm et propose des formations en aromathérapie à ses pairs pharmaciens.

    En 2010, il fonde le Collège International d'Aromathérapie Dominique Baudoux, qui enseigne l'aromathérapie scientifique aux professionnels de la santé et au grand public en Belgique, en France, en Espagne et au Japon.

    - voir clip sur site :

    https://fr.sott.net/article/36882-Se-soigner-au-quotidien-avec-les-huiles-essentielles

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  50. Nouveau paradigme — Liquidation des banques, de l'épargne et des monnaies nationales... Vive l'asservissement !


    Liliane Held-Khawam — Wordpress
    Sott.net
    dim., 04 avr. 2021 15:08 UTC


    Il y a quelques mois nous relevions que l'argent coulait à flots mais pas dans la direction de l'économie réelle, et encore moins envers les agents économiques locaux frappés d'interdiction de travailler à cause de statistiques fausses. En pleine pandémie, 25 entités ont récupéré 800 milliards de dollars ! [800 milliards de levées de fonds pour 25 entités — L'argent coule à flots, mais pas dans votre direction - Note de Sott]

    Et cela ne devrait pas s'arrêter. Entre le 11 et le 17 mars, l'institut a racheté pour 21,1 milliards d'euros d'obligations publiques et privées sur le marché, soit une accélération de 50 % par rapport à la semaine précédente. Et Mme Lagarde de garantir qu'il se passera « un certain temps » avant que l'institution resserre sa politique monétaire. Toutefois, si un jour la source d'approvisionnement en liquidités devait se tarir, la cheffe de la BCE a promis de donner « un préavis suffisant », histoire d'éviter au « marché » tout impondérable qui gênerait les gros clients, comme cela a pu être le cas en 2007. [allnews.ch/content/news/la-bce-scelle-sa-politique-mon%C3%A9taire-pour-ABun-certain-temps]

    Tout va bien alors ? Pas vraiment. Nous continuerons de répéter que ces liquidités sont les bas de laine que les petites gens ont déposé — librement ou par obligation légale (cotisation retraites) — auprès de la galaxie banco-financière, et que la probabilité de les récupérer à terme est proche de zéro. D'ailleurs, regardez comment l'argent circule :

    - voir graphique sur site -

    Velocity of M1 Money Stock

    Ce graphique montre comment la vitesse de la circulation de l'argent entre agents économiques locaux a augmenté avec la mondialisation. Puis 2 pics illustrent la globalisation. À partir de la crise des subprimes, on passe en mode de décélération, pour finir avec une chute libre avec la crise du Covid.

    À partir de 2020, nous entrons dans le nouveau paradigme monétaire et l'avènement des cryptomonnaies. Les populations se voient confisquer la chose monétaire. L'homme économique est sommé de quitter le marché et de devenir un homme socialement adaptable, disponible, obéissant, voire soumis. Une ère d'asservissement commence.

    - voir clip sur site -

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  51. Résumons

    Les masses monétaires atteignent des sommets jamais égalés. Mais elles ne sont pas disponibles dans le circuit de l'économie réelle et locale. Elles sont bloquées dans un 2e circuit dédié à la haute finance et où l'argent qui circule est celui des banques centrales (monnaie centrale. Voilà pourquoi une micro-élite dispose de sommes humainement inimaginables, alors que l'économie locale ne s'effondre que par la volonté de ceux qui ont tout capté. La chose est résumé par cette phrase du banquier central belge. Pierre Wunsch affirmait en pleine pandémie :
    « On ne va pas pousser les banques à octroyer des crédits où elles sont presque sûres d'encaisser des pertes. »
    Le tri des activités qui méritent des crédits (et non des dons) se fera dans les bureaux feutrés des banquiers centraux pour savoir qui a le droit de survivre économiquement et qui sera sacrifié. [lalibre.be/economie/conjoncture/pierre-wunsch-bnb ---- La réorganisation du monde : un double-circuit financier au service de la spéculation (2015)]

    Le Nasdaq, sous-ensemble du circuit planétaire de la haute finance, a quasi doublé au moment où l'humanité fait faillite

    - voir graphique sur site -

    NASDAQ Composite Index (COMP)

    Un creux a eu lieu le 17 mars 2020 à 7334,78. Actuellement le 8 mars 2021 : 12 667,03, soit quasi le double.

    On voit que la crise des uns ne signifie au mieux rien pour le marché financier et au pire lui rend service grâce à l'accroissement des mesures de soutien des gouvernements qui boostent par son endettement la création monétaire privée.

    Votre consommation n'a plus aucun lien avec leur enrichissement. Leurs gains sont liés à la bourse et non au bénéfice etc.

    Deux planètes cohabitent et les uns écrasent totalement les autres. Et le mot écrase est probablement faible. [nasdaq.com/market-activity]

    Les crises, autant de raisons d'injecter des liquidités phénoménales dans le circuit de Planète finance. Une manne extraordinaire

    Injecter des liquidités sur le dos du public (États/PME/ménages) est l'activité favorite des banquiers centraux du moment. Cela fait des décennies que les différents jalons qu'ils ont posés autorisent ce transfert de richesses du local vers le global. Grâce au virus du jour, un programme d'achat d'urgence face à la pandémie (PEPP) a été lancé en mars 2020.

    Le programme d'achat d'urgence face à la pandémie (PEPP) est une mesure de politique monétaire non conventionnelle mise en place par la BCE en mars 2020, afin de contrer les risques graves que la pandémie de Covid-19 fait peser sur le mécanisme de transmission de la politique monétaire et sur les perspectives pour la zone euro. Il s'agit d'un programme temporaire d'achat d'actifs du secteur privé et public, disposant d'une enveloppe globale de 750 milliards d'euros. [data.europa.eu/euodp/fr/data/dataset/pandemic-emergency-purchase-programme-pepp]

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  52. Mais voilà que l'on célébra le 1er anniversaire dudit programme avec non plus les 750 milliards prévus, mais 1 850 milliards d'euros. Et le 22 mars Mme Lagarde s'est engagée à ce que la banque centrale européenne augmente « considérablement » des achats d'obligations pour arrêter le resserrement injustifié des conditions financières. Toujours selon Christine Lagarde, il y aurait un consensus total sur la chose au niveau du conseil des gouverneurs. [bloomberg.com/2021-03-31/the-ecb-s-claims-of-unity-on-bond-buying-are-woefully-misleading]

    La dépense illimitée de Mme Lagarde se justifie par ses craintes de voir le « marché » réclamer une hausse du coût de la dette. Cette peur est largement justifiée par des financiers voraces et flambeurs. Souvenons-nous qu'en 2011, les lobbyistes de Citigroup avaient menacé les États-Unis de Shutdown si le Congrès n'expurgeait pas les swaps push out de la fameuse loi Dodd-Frank. Ils eurent évidemment gain de cause en 2014, et on continue de voir les produits dérivés et autre finance spéculative, cohabiter avec les dépôts bancaires.

    La Dodd-Frank Wall Street Reform and Consumer Protection Act. fut adoptée en 2010 suite au cataclysme financier, économique et psychologique provoqué par les subprimes, elle vise à « promouvoir la stabilité financière des États-Unis en améliorant l'accountability (la responsabilisation) et la transparence dans le système financier, pour mettre fin au too big to fail, pour protéger le contribuable américain en mettant fin aux sauvetages financiers, et pour protéger le consommateur, entre autres, des pratiques des services financiers abusifs (rapport de l'ONG américaine Better Market) ». [Dépossession, chapitre : « L'endettement public est une prise d'otages », LHK, 2018]
    Transfert de richesses entre pays de la zone euro. Important à lire

    Richard Cookson de Bloomberg décrypte ce 31 mars 2021 les communiqués de Christine Lagarde, et ose parler d'un sujet tabou: le transfert de richesses au sein de la zone euro. Cookson va s'intéresser particulièrement au trafic de paiement européen et les transferts FORCES de liquidités depuis les pays à balance de paiement excédentaire vers les déficitaires, le tout compensé par des obligations à faibles, voire à taux d'intérêt négatifs.

    L'Allemagne est l'enfant d'affiche des dommages causés par les taux négatifs. Sa population vieillit rapidement qui, pour être franc, n'a pas les moyens de prendre sa retraite. C'est pourquoi, comme le souligne Andrew Hunt, un économiste indépendant, la baisse des taux d'intérêt conduit à une épargne plus élevée. Toutes choses égales par ailleurs, plus d'épargne signifie moins de dépenses et d'investissements et une croissance plus faible. En l'absence d'une reprise de la croissance tirée par la demande extérieure, il existe donc une corrélation positive entre la croissance du pays et le niveau des taux réels: à mesure que les taux baissent, il en va de même pour la croissance et vice versa.

    Les dommages infligés à l'épargne de l'Allemagne ont été sauvages. La part des actifs à rendement négatif dans les bilans des banques allemandes a augmenté sans relâche. Hunt estime qu'au pire, plus d'un tiers de leurs actifs rapportent moins que rien. Les ménages ont été contraints de prendre plus de risques pour générer des rendements. Hélas, leurs efforts n'ont pas été couronnés de succès. Hunt calcule que depuis 2005, les investissements à l'étranger ont fait perdre aux investisseurs du pays plus de 1 000 milliards d'euros.

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  53. Bien que les épargnants et les institutions financières allemands recherchent désespérément des rendements plus élevés, la BCE s'est davantage souciée de consolider la zone euro, en maintenant les coûts d'emprunt des pays débiteurs aussi bas que possible. C'est là qu'intervient Target2, qui est utilisé par les banques centrales et les banques commerciales de l'UE pour traiter les paiements transfrontaliers en euros.

    Target2 est décrit par la BCE comme un simple système de règlement. Ce n'est pas vrai. En règlement normal, les deux positions sont compensées; il n'y a pas d'exposition résiduelle de chaque côté. Ce n'est pas le cas pour Target2, c'est pourquoi les expositions à cette cible ne cessent d'augmenter, contrairement à Fedwire, le système de règlement interbancaire américain, qui est quotidien.

    En fait, Target2 est en effet un moyen de contraindre les pays créanciers de la zone euro à prêter à des taux non économiques aux pays débiteurs via leurs banques centrales. C'est un transfert de richesse. Une certaine idée de l'ampleur de ce transfert peut être tirée des soldes nets déclarés dans Target2. Au dernier décompte, les pays débiteurs doivent à leurs créanciers quelque 1 300 milliards d'euros, une somme qui a augmenté rapidement pendant la pandémie, la BCE ayant acheté davantage d'obligations. En fait, les expositions sont probablement beaucoup plus élevées parce que ces chiffres ne vous disent pas, par exemple, qui doit quoi à qui et la BCE ne divulguera pas ces chiffres. Fait révélateur, les expositions brutes de Target2 ont augmenté d'un demi-trillion (américain) d'euros au cours des 12 derniers mois. Il existe également des exemples plus explicites de transfert de richesse des créanciers aux débiteurs.

    La BCE est censée acheter des obligations proportionnellement au capital versé par les pays à la BCE, ce qui réduirait les transferts budgétaires: en effet, les obligations ne sont achetées qu'en proportion du PIB d'un pays. [bloomberg.com/2021-03-31/the-ecb-s-claims-of-unity-on-bond-buying-are-woefully-misleading]

    - voir clip sur site -

    Nous retiendrons 2 choses du texte de Cookson.

    1 - Les Investissements directs à l'étranger sont un gouffre financier colossal. Il est bon de savoir que ceux-ci servent à tricoter les diverses infrastructures des pays pauvres qui doivent s'intégrer au monde globalisé.
    « Les pays en développement (font) face à un déficit d'investissement annuel estimé à 2 500 milliards de dollars dans les secteurs clefs du développement durable » (World Investment Report 2014). [...] les infrastructures de base (routes, rail et ports; centrales électriques; eau et assainissement), la sécurité alimentaire (agriculture et développement rural), l'atténuation des changements climatiques et l'adaptation à ces changements, la santé et l'éducation », dixit la CNUCED (juin 2014), gestionnaire des statistiques des Investissements Directs à l'Étranger. [Dépossession, chapitre : « Les banquiers centraux mettent l'épargne à disposition des investisseurs », 2018]

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  54. 2 - 1 300 milliards manqueront aux épargnants de la zone euro. Souvenons-nous de ce triangle présenté en son temps par le banquier central français à son gouvernement. Son projet était simplement une espèce de confiscation de l'épargne pour mieux servir les investissements innovants (des vaccins par exemple ? La nanomédecine ? Le télétravail pour tous ? Etc.). Il faisait référence à une mutualisation de l'épargne en zone euro, et en rendre l'accès difficile. L'absence de soins prodigués aux personnes âgées dans les maisons de retraite est très troublante quand nous relisons certains passages. Car leur décès règle pas mal de soucis aux investisseurs qui se sont servis des capitaux des retraites... [lilianeheldkhawam.com/2020/03/30/quelle-correlation-entre-le-taux-de-mortalite-par-pays-et-le-niveau-de-lepargne]

    - voir graphique sur site -

    Le triangle de financement

    La conviction est qu’une Union de financement et d’investissement4efficace en Europe est porteuse de solutions, si nous lui donnons bien trois ambitions : diversifier les possibilités de financement des entreprises ; mieux mutualiser l’épargne en zone euro ; orienter davantage les épargnants européens vers le long terme”. https://lilianeheldkhawam.com/2019/12/10/epargne-retraite-un-acces-toujours-plus-complique-lhk/
    (Cela fait bientôt 10 ans que je présente les arguments qui tendent à prouver que les liquidités mises à disposition proviennent du trafic des paiements européen pour la BCE et suisse pour la BNS. Ce site regorge de ces articles qui sont toujours valables. Servez-vous : lilianeheldkhawam.com/target-dossier

    La BCE ne crée pas la monnaie, mais injecte l'argent des dépôts bancaires dans le marché de la haute finance. Exemples.

    Pour tordre le cou aux fausses affirmations qui voudraient que les banques centrales créent, par la planche à billets et pour pas cher, les liquidités de leur interventionnisme, nous allons illustrer nos propos par deux programmes présentés sur le site du gouvernement français. Extraits :
    1. Le programme SMP

    Le programme « Securities Markets Programme » (SMP) a été lancé en mai 2010. Il consistait à racheter sur le marché secondaire les obligations souveraines des États de la zone euro faisant face à la défiance des investisseurs, qui exigeaient des primes de risques élevés pour acquérir ces titres. La Banque centrale européenne (BCE) a ainsi procédé au rachat d'obligations du Portugal, de l'Irlande, de l'Italie, de la Grèce et de l'Espagne pour un montant total d'environ 220 milliards d'euros. [...]

    Ces rachats effectués dans le cadre du programme SMP n'ont pas donné lieu à de la création monétaire. En effet, si la BCE procédait bien à des injections de liquidités lors de ses rachats, elle procédait à la « stérilisation » de ses interventions. Cela signifie qu'elle intervenait auprès des banques pour retirer le même montant de liquidités que celui qu'elle leur avait apporté en rachetant les titres de la dette publique. Par exemple, si la BCE rachetait sur le marché secondaire de la dette publique des titres d'une contrevaleur de 5 milliards d'euros, elle allait dans le même temps procéder à une reprise de liquidités pour un montant global de 5 milliards d'euros également.

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  55. La reprise de liquidité de la BCE dans le cadre d'opérations de stérilisation correspond à un emprunt auprès des banques. Cet emprunt (désigné sous le terme de « reprise de liquidité en blanc ») prend la forme d'une facilité de dépôts rémunérés. Les banques ont la possibilité de placer leurs excédents de liquidité, à concurrence du montant fixé par la BCE et selon une procédure d'appel d'offre, dans un compte ouvert auprès de la BCE. Ces montants sont rémunérés, contrairement à ceux qui sont placés en excès du montant des réserves obligatoires. Mais le taux de rémunération de ces dépôts est inférieur au taux de refinancement principal de la BCE. [economie.gouv.fr/bce-creation-monetaire-dette-publique]

    La reprise de liquidité de la BCE dans le cadre d'opérations de stérilisation correspond à un emprunt auprès des banques.

    Le rachat de titres de la dette publique par la Banque centrale européenne peut-il être assimilé à de la création monétaire ? [economie.gouv.fr/facileco/bce-creation-monetaire-dette-publique]

    2. L'assouplissement quantitatif (À bien lire svp)

    La BCE a annoncé le 22 janvier 2015 le lancement d'un programme d'assouplissement quantitatif (« quantitative easing » en anglais), portant sur le rachat sur le marché secondaire de titres obligataires souverains et privés d'un montant de plus de 1100 milliards d'euros échelonnés entre mars 2015 et septembre 2016.

    Comme pour les rachats opérés dans le cadre du SMP, ceux-ci seront financés par la BCE par des injections de liquidités dans le système financier. Toutefois, ils s'en distingueront par le fait que cette injection de monnaie ne sera pas stérilisée, ce qui implique que le montant de la masse monétaire de la zone euro est susceptible de s'accroître pour autant que les euros nouvellement émis viendront se déverser dans l'économie réelle par le biais de la distribution de crédit par les banques ou par l'achat des nouvelles émissions obligataires des États de la zone euro. Or, cela n'est pas garanti.

    En effet, les investisseurs qui recevront les liquidités de la BCE en échange de leurs titres obligataires peuvent décider de les réinvestir dans d'autres actifs financiers, comme les actions, y compris hors zone euro (obligations américaines par exemple). Les investisseurs pourraient aussi décider de conserver les liquidités. C'est le cas, en particulier, des banques de la zone euro qui détiennent un stock important de titres de la dette obligataire des États membres de la zone euro. Les banques pourraient apporter une partie des titres qu'elles détiennent à la BCE mais utiliser les liquidités obtenues pour se désendetter ou les placer dans leurs comptes de réserves à la banque centrale plutôt que de les utiliser pour octroyer davantage de crédits aux entreprises ou aux ménages.

    Au final, il n'est donc absolument pas assuré que les euros qui seront injectés dans le système financier par la BCE lors de ses rachats d'obligations souveraines ou privées se traduiront par une augmentation de la masse monétaire de la zone euro.

    Ceci revient à dire que la création monétaire opérée par la BCE dans le cadre de son programme d'assouplissement quantitatif sera :

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  56. indirecte, dans le sens où elle ne peut transiter que par le canal de la distribution de crédit par les banques commerciales de la zone euro ou via le réinvestissement des liquidités dans les nouvelles émissions obligataires des États de la zone euro ; [...] [economie.gouv.fr/bce-creation-monetaire-dette-publique]
    Le suivisme de la BNS/ Suisse

    La Suisse a particulièrement bien joué le jeu de la BCE et de la BRI. Sous une propagande appelée Stratégie du franc fort, les communicants et autres experts ont défendu à ce jour becs et ongles la théorie de la planche à billets qui serait la source de la création des liquidités. Ce site est truffé de textes sur la privatisation de la création monétaire. Pourtant, à ce stade, nous ferons plus simple avec cette question triviale :
    « Si la BNS a le droit de créer de la monnaie par la planche à billets, pourquoi les autres banques centrales ne créeraient pas de l'argent magique pour boucher les déséquilibres de leur balance Target ? Ce qui vaut pour la BNS, vaut pour toutes les autres banques centrales affiliées à la BRI. »
    Evelyne Widmer Schlumpf fait édicter en 2012 une ordonnance qui permet à la BNS de récupérer les dépôts bancaires

    Le principe de l'assouplissement quantitatif est un phénomène mondial. Aucune banque n'y échappe. Récemment le banquier central libanais était sommé de reconnaître que son ingénierie financière avait occasionné une perte de 43,7 milliards pour son seul établissement, auxquels il conviendrait d'ajouter une centaine de milliards pour le secteur privé. On ne parlera ni de l'hyperinflation qui frappe le pays, ni de la chute brutale du PIB, etc. [libnanews.com/pertes-de-la-bdl-le-gouvernement-et-riad-salame-obliges-daccorder-leurs-violons-face-au-fmi --- lorientlejour.com/le-pib-libanais-a-fondu-de-259-selon-un-panel-deconomistes]

    La Suisse ne fait pas exception, sauf que le système se méfie de ce peuple prompt à dégainer les initiatives populaires. Alors on le prend dans le sens du poil, on le flatte et on lui explique que son franc est trop fort, etc. etc. La réalité est que la BNS soutenue par le Conseil fédéral applique rigoureusement les directives qui font chavirer les économies locales de l'intérieur. C'est ainsi que fut édictée l'Ordonnance sur les liquidités des banques et des maisons de titres. Celle-ci a mis au pas l'ensemble des acteurs bancaires de la place financière suisse. Elle a du même coup ouvert une voie royale pour imposer au système bancaire locale le fait de se détourner de sa clientèle habituelle et aller déposer ses liquidités et ses plus beaux titres auprès de la BNS, la place naturelle où les banques déposent leurs liquidités. Au nom de la sécurité qui porte le nom de HQLA.

    Voici son Art. 12 Ratio de liquidités à court terme
    1 - Le ratio de liquidités à court terme (Liquidity Coverage Ratio, LCR) a pour but de garantir que les banques détiennent suffisamment d'actifs liquides de haute qualité (High Quality Liquid Assets, HQLA) pour pouvoir couvrir en tout temps la sortie nette de trésorerie attendue dans un scénario de crise reposant sur des hypothèses de sortie et d'entrée de trésorerie à 30 jours. Les hypothèses concernant les sorties de trésorerie et les taux de sortie sont fixées dans l'annexe 2, celles qui concernent les entrées de trésorerie et les taux d'entrée le sont dans l'annexe 3.

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  57. 2 - Le respect du LCR ne dispense pas les banques de l'obligation de détenir des réserves suffisantes de liquidités au sens de l'Art. 2, al. 2, et de prendre ainsi en compte les résultats des tests de résistance au sens de l'Art. 9, al. 1.
    Ordonnance sur les liquidités des banques et des maisons de titres https://www.fedlex.admin.ch/eli/cc/2012/883/fr [https://lilianeheldkhawam.com/2017/11/09/la-politique-monetaire-de-la-bns-rejaillit-sur-le-systeme-bancaire-suisse-le-cas-de-la-bcv-vincent-held/]

    Traduction concrète au niveau d'une banque cantonale (BCV)
    « Les créances sur les banques et les titres de dette sont en grande partie (83 %) en Suisse mais en dehors du canton de Vaud. Il s'agit essentiellement des liquidités auprès de la BNS, des placements auprès de la Centrale des lettres de gage et de la Banque des lettres de gage ainsi que des positions interbancaires auprès de banques suisses. » Bâle III - Pilier 3, Rapport au 31 décembre 2020 page 22
    Valeurs apurées

    - voir graphique sur site -

    Ça donne ceci en pratique pour la BCV à fin 2018 :

    - voir graphique sur site -

    Valeurs apurées

    La même BCV présente un bond de près de 3 milliards des HQLA entre fin 2018 et fin 2020. On lit dans son rapport :
    « Le niveau du LCR en CHF est structurellement plus élevé que celui du LCR toutes devises, car l'essentiel des HQLA sont libellés en CHF (cash déposé à la BNS). Symétriquement le niveau du LCR en EUR et en USD est inférieur à celui du LCR toutes devises ». [https://lilianeheldkhawam.com/2018/03/20/bns-les-liquidites-des-banques-suisses-au-service-du-qe-de-la-communaute-monetaire-internationale-lhk/]
    Situation aberrante de l'état monétaire de la Suisse

    La politique monétaire des banques centrales passent par les liquidités et les titres des banques commerciales. Les banques centrales en les aspirant vers le marché de la haute finance internationale transforment la monnaie bancaire en monnaie centrale. Pour comprendre l'aberration qui frappe le système bancaire et qui est peut-être en train de le vampiriser, voire de le mener à la mort définitive nous allons présenter deux agrégats monétaires M0 et M1.
    M0, ou Monnaie centrale est constituée de billets en circulation et avoirs en comptes de virement détenus à la BNS par les banques commerciales résidentes. La monnaie centrale est également appelée agrégat monétaire M0 ou base monétaire.

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  58. M1 est un agrégat monétaire défini par la BNS comme la somme du numéraire détenu par le public, des dépôts à vue auprès des banques et des avoirs en comptes de transactions auprès des banques (comptes destinés avant tout à des fins de paiements). Seules les positions en francs détenues par des résidents sont prises en considération.

    Glossaire BNS
    Nous comprenons que M0 est l'essentiel de ce qui est dans la poche de la BNS qui lui sert de financer d'une part Target 2 via l'Allemagne, et d'autre part son immense portefeuille d'actions américaines. 730 des 1 012 milliards d'actifs de la BNS représentent le niveau actuel de M0. Enorme ! [https://lilianeheldkhawam.com/2015/03/02/la-politique-monetaire-suisse-serait-elle-vassalisee-par-lallemagne-liliane-held-khawam --- https://lilianeheldkhawam.com/2021/01/15/et-si-la-bns-faisait-faillite/]

    - voir graphique sur site -

    Monnaie centrale

    Or, 80 % du bilan de la BNS financent des dettes de pays et organismes en devises étrangères ! Le jour où ces pays sont en défaut de paiement, la Suisse sera en faillite. [https://lilianeheldkhawam.com/2020/04/24/lonu-promeut-un-jubile-dune-valeur-de-un-trillion-de-dollars/]

    - voir graphique sur site -

    Banque nationale Suisse
    Pour les notations aller vers https://fr.countryeconomy.com/gouvernement/ratings

    Et voici l'aberration. Un fait historique ! À force de politique monétaire non conventionnelle, la masse monétaire M0 rejoint M1 ! Si M0 est à 730 milliards, M1 atteint les 743. 13 petits milliards séparent les deux agrégats. Et si nous ôtions les différences en matière de numéraires (piécettes très probablement), la différence entre les deux agrégats tombe à moins de 7 milliards. Une différence qui peut être incluse dans la marge d'erreur.

    - voir graphique sur site -

    Banques

    Comptes bancaires
    Monnaie pleine mise en place par la coalition des gouverneurs de banque centrale

    Exceptionnel, donc ! Cela pourrait signifier que les banques locales ne gèrent plus grand chose, et ont déjà transféré leur métier à la BNS. Nous pourrions supposer que la politique du franc fort a servi à liquider le système bancaire traditionnel et que la BNS centralise les dépôts bancaires des agents locaux.

    En clair, la BNS avec ses partenaires privés ont piqué le projet de Monnaie pleine et l'ont privatisé. L'élite se sert d'une certaine gauche idéaliste pour observer les débats tout en familiarisant les gens avec les nouveaux concepts. Sauf que ceux-ci sont toujours récupérés par les dieux milliardaires. [https://lilianeheldkhawam.com/monnaie-pleine/]

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  59. Passage aux monnaies numériques

    La destruction du système bancaire, des dépôts (transformés en obligations qui feront défaut), et des monnaies nationales a été une étape incontournable pour passer aux monnaies numériques et à la robotisation de l'humanité. [https://lilianeheldkhawam.com/2020/10/15/cryptomonnaie-ou-monnaie-digitale-la-marque-de-la-bete-est-deja-brevetee-nicoletta-forcheri/comment-page-1/]

    Or, la monnaie « nationale » numérique se passe des banques en tant qu'intermédiaires. Voici un très bon papier qui traite du sujet. On nous dit que :
    « Avec la mise en place d'une MNBC (Monnaie numérique banque centrale), les particuliers pourraient en effet disposer directement d'un compte à la banque centrale (c'est l'une des options discutées), qui récupérerait largement le rôle de création monétaire, rôle qui fut délégué aux banques commerciales au cours du 20e siècle. »
    Ceci est vrai, mais le texte omet de nous préciser que les banques centrales n'appartiennent pas aux États, mais à un club de privés, le même qui contrôle les primary dealers, créateurs de monnaie contre dettes publiques. D'ailleurs, en Suisse, les banques cantonales sont en train de vendre leurs actions BNS. [https://siecledigital.fr/2020/11/02/mnbc-tout-savoir-monnaie-numerique/ --- https://www.letemps.ch/economie/bns-teste-une-monnaie-numerique --- https://www.ecb.europa.eu/paym/digital_euro/html/index.fr.html]

    Conclusion

    Les conséquences économiques, financières, et monétaires de la gestion de la crise du coronavirus sont là et se révèleront toujours plus impitoyables. Spécialement envers la chose publique, les petites gens, petites entreprises. On soutiendra les ultra-riches (les dieux milliardaires). Le tri des activités économiques et la mise à mort de l'économie réelle locale se traduiront en ardoises publiques (et privées) qui ne manqueront pas de faire gonfler les dettes publiques. La spirale destructrice réclamera confiscation de propriétés privées et levées d'impôts. Le tout fera bien plus mal que la « pandémie » elle-même.


    Commentaire : L'État pourrait-il devenir copropriétaire de tous les biens immobiliers français ?


    Le Covid permettra à la fois de liquider ce qui avait encore échapper aux futurs gouvernants, les dieux-milliardaires du 21e siècle, et d'annoncer la faillite du système monétaire mondial. Une sorte de fatalité qui dédouanerait les coupables de la Dépossession de l'humanité. À l'heure actuelle, le système monétaire de l'Ancien Monde est en phase terminale. Il ne survit que par la grâce de respirateurs artificiels que la haute finance internationale veut bien laisser en place. Elle les retirera quand elle le jugera utile.

    Si les gens savaient qui finance l'ingénierie financière, il y aurait une révolution... Enfin peut-être pas, au vu de la léthargie collective... Mais rassurez-vous, ils ne le sauront jamais car ils ont retenu massivement ce qui leur est conté par les propagandistes financiarisés ET des experts incompétents et/ou corrompus. Pour les autres, la peur de perdre leur emploi fera l'affaire. Et que disent ces gens ? Ils racontent depuis des paquets d'années que la FED ou la BCE font fonctionner gratuitement la planche à billets. Pareil pour la BNS qui le ferait à cause d'un franc suisse trop fort.

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  60. Les divers « programmes » monétaires non conventionnels sont autant de mesures qui forcent les liquidités à quitter les pays laissant derrière elles d'une part un vide sidéral responsable de récession, et d'autre part des monticules de dettes aussi bien publiques que privées. Les différentes pièces du puzzle mises bout-à-bout donnent une image finale d'une espèce de liquidation de ce qui alimente une économie locale. L'effondrement est une suite logique d'une politique de destruction des bases de ce que l'on a appelé autrefois un marché.

    - voir graphique sur site -

    Annexes
    G10 Central Bank
    Traduction de l'expansion dans les bilans des banques centrales qui échappent totalement aux Etats et aux citoyens

    - voir graphique sur site -

    Evolution M0 contre M1 depuis 1984
    Niveau des agrégats monétaires
    Dernière année où le rapport présente les quatre agrégats sur le même graphique.

    - voir graphiques sur site -

    Monnaie centrale et composantes
    Masse monétaire 1
    Masse monétaire 2
    Masse monétaire 3
    Source de l'article publié le 3 avril 2021 : Liliane Held-Khawam

    https://fr.sott.net/article/36881-Nouveau-paradigme-Liquidation-des-banques-de-l-epargne-et-des-monnaies-nationales-Vive-l-asservissement

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  61. La liberté n’est plus la norme depuis un an

    Depuis un an maintenant, le pays est devenu un immense camp d’internement. Depuis un an, les Français ont été condamnés au confinement, sans savoir quand ils seront libérés, ni même d’ailleurs s’ils le seront un jour.


    Par Olivier Maurice.
    5 AVRIL 2021


    Même les coupables des pires crimes ont le droit de savoir pour combien de temps ils sont condamnés à être privés de liberté.

    Les Français n’ont même plus ce droit élémentaire. Depuis un an maintenant, le pays est devenu un immense camp d’internement. Depuis un an, les Français ont été condamnés au confinement, sans savoir quand ils seront libérés, ni même d’ailleurs s’ils le seront un jour.

    Dans les prisons, l’isolement, le confinement, le mitard, c’est la peine réservée aux coupables plus que coupables. C’est la peine supplémentaire pour punir les punis.

    En France, depuis un an, sont punis les innocents, les bien-portants, ceux dont le seul crime est de faire attention à eux et aux autres. Ils sont privés de leur liberté, peine qui depuis que la peine de mort a été abolie, est la pire sanction réservée aux pires délinquants et aux plus horribles des malfaiteurs.

    UNE MACHINE DEVENUE FOLLE

    On punit les innocents, par peur qu’ils ne soient coupables sans le savoir, et sans que personne ne le sache. On punit par précaution, au cas où. Les innocents sont non seulement punis mais aussi accusés publiquement d’être coupables ; tout cela sans preuve, sans possibilité de se défendre, sans enquête, sans argumentation contradictoire, sans avocat. Tout innocent est juste un coupable qui s’ignore.

    On punit collectivement. Combien de fois avons-nous entendu cet argument ignoble qu’il fallait bien réduire les libertés de tous parce que certains se comporteraient mal. Il faut priver toute la classe de récréation car un petit malin a fait un bruit bizarre quand la maîtresse avait le dos tourné. Nous en sommes là : à la crise d’autorité d’une institutrice stagiaire chahutée par une classe de maternelle.

    On punit aussi ceux dont on a la certitude qu’ils ne sont pas coupables et même ceux dont on est sûr et certain qu’ils ne le seront jamais : les premières victimes, les quelques dizaines de millions de Français qui ont déjà été malades, certains d’ailleurs gravement. Pour eux, c’est la même peine et la même condamnation que pour tout le monde. Les victimes sont aussi punies.

    On punit tout le monde et on encense la punition, on en a fait une religion absolue et obligatoire avec même des spots publicitaires culpabilisants et moralisateurs à souhait. Les récalcitrants, les rebelles, les contestataires sont frappés d’anathème. On conspue vigoureusement tout réfractaire qui oserait s’élever contre les rites sacrificiels, qui oserait blasphémer la sainte parole hygiéniste.

    On punit les gens selon la météo. Il y a quelques dizaines de milliers d’années, quand il pleuvait, on se protégeait pour ne pas attraper un rhume, une pneumonie ou quelque chose d’aussi grave. Aujourd’hui, quand le changement de saison fait grossir les courants d’air et les différentiels de température, on fait des sacrifices et des danses sacrées. On sacrifie la liberté des innocents et on se couvre le visage pour que le beau temps revienne.

    On punit les innocents et en premier lieu les plus faibles : les enfants, les personnes âgées, les travailleurs précaires. On sacrifie, comme les Carthaginois ou les Aztèques sacrifiaient : pour que la pluie revienne ou pour que les Romains cessent de se comporter en Romains. On fait ce que moultes civilisations ont fait avant nous les dernières années qui précédaient leur chute.

    Comment avons-nous pu en arriver là ?

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  62. LA CHUTE DANS L’OBSCURANTISME

    Comment avons-nous pu en une année détruire plusieurs siècles de progrès ? Tourner le dos en aussi peu de temps à l’esprit des Lumières ? Oublier si vite ces principes du droit naturel qui ont mené notre société depuis les premières Tables de la loi et lui ont progressivement permis de devenir ce qu’elle est ?

    Comment avons-nous pu laisser tomber aussi vite les principes de liberté et de différence, la présomption d’innocence, l’habeas corpus, l’égalité en droit, la primauté du droit pour retomber aussi bas ?

    Dans son Traité du gouvernement civil, John Locke décrivait la vie en société comme pouvant prendre deux visages : l’État de nature, où l’Homme suit sa capacité naturelle d’échange et de confiance, et l’État de guerre, où la force et la violence gouvernent le monde.

    John Locke en était arrivé à cette conclusion : la violence n’est nullement nécessaire pour que les êtres humains vivent ensemble. Elle n’a de sens que pour s’opposer à ceux qui l’utilisent. Elle ne doit l’être que pour combattre la violence et son usage doit alors être strictement réglementé et ne venir qu’en réponse à une agression avérée.

    C’est cet héritage de l’État de droit qui a transformé la face de l’Occident que nos autorités ont balayé d’un revers de manche en quelques discours, en accusant et en criminalisant la liberté.

    C’est cet héritage qui a été balayé d’un revers de manche en déclarant utiliser la guerre à la place de la science et de la compassion, en prétendant soigner en administrant la médecine et en supprimant la liberté.

    LA GUERRE IMAGINAIRE

    Pourtant, nos pays ont traversé des épreuves. Maintes fois la liberté a été menacée. Il y a encore 30 ans, nous vivions avec la menace de missiles nucléaires prêts à réduire en cendres cette liberté honnie de l’autre côté du mur. Il y a 80 ans, des milliers de jeunes gens se sont engagés et sont morts pour défendre cette liberté.

    Pourquoi aujourd’hui n’avons-nous plus le droit de nous déplacer, de travailler, de voir nos proches, droit d’enterrer nos morts, de suivre des cours, plus le droit de vivre ?

    On ne mène pas une guerre contre un virus, et encore moins contre la liberté.

    La guerre, ce sont des êtres humains qui utilisent la violence contre d’autres êtres humains. C’est la destruction d’une société par une autre société ; la continuation de la politique par d’autres moyens, ou l’inverse, cela n’a pas d’importance. On ne fait pas la guerre contre la pluie, contre le froid, contre les lapins qui viennent manger nos carottes dans le jardin.

    Les virus ne font pas de politique.

    On ne fait pas la guerre contre la nature : il faut l’observer, essayer de la comprendre et composer avec elle, avec ses lois que nous ne pouvons changer mais juste utiliser à bon escient.

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  63. LE RETOUR VERS LA BARBARIE

    Mais l’État s’est imaginé la mission de protéger les gens contre le vent qui fait tourner les moulins.

    Alors l’État fait la guerre parce que c’est la seule chose qu’il sache faire, la raison de son existence : faire respecter son monopole de la violence.

    Il combat la nature avec des amendes et des formulaires.

    Au placard Esculape, Hippocrate, Avicenne, Ambroise Paré, Edward Jenner, Xavier Bichat, René Laennec, Claude Bernard, Louis Pasteur, Jean-Martin Charcot, Robert Koch, Albert Schweitzer, Alexander Fleming, Henri Mondor, Christiaan Barnard…

    La santé des Français sera maintenant décidée chaque semaine lors d’un Conseil de défense à huis-clos composé de hauts fonctionnaires et de politiciens professionnels.

    Les choix seront pris en haut lieu sous l’éclairage des sondages d’opinions. Les traitements seront décidés par décrets et respectés par les forces de l’ordre.

    Qu’importe si cette politique va à l’encontre des droits de l’Homme, la mise au mitard de la population n’est pas encore finie que les autorités préparent l’étape suivante : le statut de pestiféré officiel, dument certifié par passeport vaccinal.

    INCOMPÉTENCE OU ARROGANCE ?

    Quelles sont les causes de cet effondrement si rapide et si inquiétant ?

    Il y sans aucun doute une bonne dose d’amateurisme et d’improvisation. Le brouillard de guerre est indissociable de chaque conflit et peut-être était-ce ce que le président de la République voulait signifer lorsqu’il a déclaré la mobilisation générale face au virus.

    Mais Carl von Clausewitz a été clair sur ce sujet : le brouillard de guerre s’impose comme une part d’ombre indissociable au plus élaboré des plans de bataille. Or, dans le cas présent, il est de plus en plus évident que la guerre a été déclarée sans plan ni stratégie, sans préparation, sans armée, sans objectif, ni même aucun budget.

    Non seulement l’État a décidé d’innover en utilisant la guerre à la place de la médecine, mais il est incapable de gagner celle-ci. Une guerre n’est pas qu’un défilé militaire, elle ne se gagne pas avec des mots et encore moins avec des interdictions.

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  64. CACHER L’ÉCHEC PAR LA MENACE

    Voilà maintenant un an que l’on nous chante la même chanson : si les choses tournent mal, ce n’est pas la faute de l’État, de ses services et leurs responsables mais systématiquement celle des citoyens et de la liberté qui leur est accordée.

    Chaque défaite est aussitôt suivie d’une contre-attaque, pas contre le virus invisible qui n’en fait qu’à sa tête, mais contre la liberté des citoyens, une punition sanctionnant les coupables qui ont fait échouer le plan si parfait.

    L’État foire totalement sa communication et sa gestion des masques. Boum ! Le masque est rendu obligatoire.

    L’État rapatrie des malades de Chine sans aucune protection ni aucun suivi des cas contacts. Paf ! Les voyages à l’étranger sont interdits et le pays est confiné.

    L’État ne parvient pas à tester la population ? Zoom ! Le passeport vaccinal rendra les tests et les vaccins obligatoires de fait.

    L’État organise des élections brassant des millions de personnes. Ding ! Les barbecues et apéros entre amis sont interdits.

    L’État est incapable d’augmenter la capacité d’accueil des hôpitaux. Tada ! Les déplacements de plus 10 km sont interdits.

    Et ainsi de suite. À chaque échec patent, chaque ratage, chaque déconfiture, la liberté est pointée du doigt et la machine réglementaire et répressive est mise en marche, étouffant dans l’œuf toute discussion sur le niveau de compétence et de responsabilité des pouvoirs publics.

    UN PAYS SANS RÉACTION FACE À LA DISPARITION DE LA LIBERTÉ

    Pourquoi le pays ne réagit-il pas davantage devant un tel enchaînement de cafouillages, de faux-semblants et de restrictions ? Il est pourtant plus qu’évident que les décisions prises depuis le début de l’épidémie ont eu au mieux de très maigres et très contestables résultats, surtout si on cherche à les évaluer au regard du coût humain, psychologique, économique.

    La question à se poser est peut-être de chercher à savoir qui se soucie vraiment de la liberté en France en 2021 ?

    La liberté n’est donc plus un droit, mais un privilège accordé par la seule bienveillance des pouvoirs publics.

    Comme il est facile d’associer privilèges et pouvoir, il est tout aussi facile de considérer la liberté comme l’apanage des riches et des puissants. Pour tout un pan de la population, élevée aux refrains marxistes et rousseauistes, liberté et argent sont synonymes ; la liberté est avant tout l’étendard de l’ennemi à abattre, le drapeau du capitalisme et du libéralisme.

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  65. UN PAYS USÉ PAR DES ANNÉES DE SOCIALISME

    Il y a également ceux qui considèrent que la perte de certaines libertés est une libération parce qu’en contrepartie, ils sont délivrés d’une certaine forme de servitude.

    Ceux pour qui fermeture des classes signifie fin du supplice. Ceux pour qui télétravail signifie 3,5 heures payés 39. Ceux pour qui fermeture des crèches signifie possibilité de voir leurs petits-enfants. Ceux pour qui cours en distanciel signifie possibilité d’extraire leur progéniture des méthodes de lecture abracadabrantesques et les protéger du lavage de cerveau idéologique. Ceux pour qui chômage signifie fin de la taille et de la gabelle. Ceux qui ne vont jamais voir les spectacles subventionnés dont l’originalité est de la même banalité depuis des lustres.

    Avec la crise, c’est surtout l’État socialiste et jacobin qui s’effondre. Incapable de prendre la réelle mesure de la crise, de gérer son administration obèse et sa boulimie monopolistique, de comprendre à quel point il étouffe le pays, il est devenu un véritable virus dans la vie d’énormément de gens.

    Cette crise a surtout révélé que la mainmise de l’État sur la santé, l’éducation, la culture et sur une bonne partie de l’économie a eu pour résultat une destruction massive de ces secteurs maintenus à grand renfort d’argent public.

    PHASE TERMINALE

    Il suffit d’observer l’état lamentable des secteurs que l’État a gangréné de ses monopoles pour en constater les ravages et comprendre pourquoi le virus est aussi effrayant.

    Le recours à la violence est un symptôme patent d’impuissance. La violence est autant destructrice qu’autodestructrice. Le pays se trouve actuellement dans l’impasse où l’a mené ce socialisme qui a transformé la vie d’énormément d’individus en routine déprimante et épuisante.

    Le totalitarisme révélé cette dernière année n’est que la suite logique de plusieurs décennies de politique socialiste et jacobine.

    Rien d’étonnant, rien de nouveau, tout se passe comme prévu. Le pays aborde simplement la phase ultime de tout régime qui a détruit systématiquement les libertés et la propriété : il se retourne contre sa population qu’il accuse de ses propres échecs.

    https://www.contrepoints.org/2021/04/05/394521-la-liberte-nest-plus-la-norme-depuis-un-an

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    1. 'Le plus grand zoo du monde' ! Né(e) en cage ou 'rapporté(e) d'Afrique et appelé(e) Réfugié(e) climatique (!!) plutôt que Tarzan, Chita ou Dutrou, ils auront leur gamelle apportée chaque jour ou prise en descendant les escaliers, puis leur identification "Je marque quelle espèce ? 'Pigeot' ? C'est français çà ? 'Cellule 403', c'est pas un peu Colombo çà ? T'étais pas blanc hier ? 'réaction au vaccin'... ah ouais, ouais-ouais-ouais."

      Par contre, les animaux de compagnie (qui passent quatre par quatre dans la rue avec le gyrophare) eux ont la permission de sortir ! N'est-ce pas là une proposition déguisée du 'Engagez-vous dans la...' !?
      Imaginez la France avec 67 millions de poulets dans les rues !

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