- ENTREE de SECOURS -



vendredi 30 avril 2021

Alerte ! Les vaccins à adénovirus vivants autres que l'AstraZeneca sont également dangereux !

mondialisation.ca

jeu., 29 avr. 2021 15:14 UTC


Les jours passent et nos doutes et soupçons concernant les vaccins contenant les adénovirus vivants bricolés (humains ou de singe) se confirment : ils sont dangereux.

Nos soupçons ont été confirmés à propos du vaccin AstraZeneca bien que tout soit fait pour dissimuler la réalité des choses.

Nous ne voyons [on nous laisse voir] que le sommet de l'iceberg, c'est-à-dire les complications thrombotiques les plus tragiques (cérébrales et/ou mortelles).

En fait, c'est classique en médecine, il y a sans doute d'autres complications thrombotiques (infarctus, AVC, phlébite, et embolie pulmonaire) moins sévères qui sont attribuées à d'autres causes ou enregistrées comme des coïncidences par rapport à la vaccination anti-COVID.

Car s'il y a un mécanisme thrombotique en jeu, il y a obligatoirement une gradation avec des formes très sévères (celles qui ont donné l'alerte) mais aussi des formes moins sévères ou plus banales et enfin celles qui seront visibles cliniquement avec un certain retard.

En effet, un thrombus peut obstruer brutalement et totalement une artère ; mais il peut aussi s'incruster dans la paroi de l'artère et donner naissance à une plaque d'athérosclérose qui ensuite vivra sa vie de façon autonome.

Pas besoin de cholestérol pour ce mécanisme !

Dit autrement, nous risquons de payer plus tard les complications thrombotiques de ces vaccins avec ces adénovirus vivants bricolés.

On commence à comprendre (peut-être) cette thrombogénèse postvaccinale inattendue. C'est une réaction immunitaire inappropriée [j'y reviendrai si on me le demande] et elle peut être commune à plusieurs types de vaccins contenant des adénovirus.

Les autorités sanitaires américaines s'inquiètent en effet de la survenue inattendue de complications thrombotiques (comparables à celles observées avec le vaccin AstraZeneca) après vaccination avec la merveille de vaccin Janssen (ou Johnson & Johnson) qui est injectée aux USA depuis quelques semaines.

Communiqué de Presse : joint-cdc-and-fda-statement-johnson-johnson-covid-19-vaccine

Tout est fait bien sûr pour ne pas affoler la population...

Le vaccin russe Spoutnik V est aussi à base d'adénovirus vivants. Mais nous ne savons pratiquement rien sur lui.

Dans mon prochain opus [chez l'éditeur Kiwi : « Les vaccins à l'ère de la COVID-19 »] qui sera publié fin Avril ou début Mai, j'explique quels vaccins nous sont proposés pour lutter (peut-être) contre la COVID-19.

Ce sera le seul livre à ma connaissance qui donne des informations crédibles sur ces nouveaux vaccins expérimentaux.

J'encourage chacun à bien se renseigner avant de se laisser vacciner !

Conclusion : ne pas se laisser injecter ce type de vaccins OGM à base d'adénovirus vivants bricolés par des apprenti-sorciers !

Dr Michel de Lorgeril

Docteur en médecine et chercheur au CNRS

https://fr.sott.net/article/37113-Alerte-Les-vaccins-a-adenovirus-vivants-autres-que-l-AstraZeneca-sont-egalement-dangereux 

50 commentaires:

  1. 18 raisons pour lesquelles je ne me ferai pas vacciner contre le Covid


    Christian Elliot — Deconstructing Conventional
    Sott.net
    ven., 30 avr. 2021 15:11 UTC


    Quelques amis m'ont demandé mon avis sur le(s) « vaccin(s) » anti-Covid, alors j'ai pensé qu'il était temps d'écrire un article sur le sujet. Ils n'avaient pas tous pris connaissance de la plupart des détails que j'ai déjà partagés, j'ai donc pensé que vous pourriez apprécier de lire une partie de ce que je leur ai dit. Sachant à quel point ce sujet est controversé, une partie de moi préférerait écrire sur autre chose, mais j'ai l'impression que la discussion/les nouvelles sont tellement unilatérales que je dois m'exprimer. Comme je m'efforce toujours de le faire, je promets de faire de mon mieux pour être raisonnable et en aucun cas hystérique.

    Je ne suis pas ici pour me battre avec qui que ce soit, mais simplement pour vous faire part de ce que j'ai lu, de mes questions persistantes et vous expliquer pourquoi je n'arrive pas à donner un sens à ces « vaccins » anti-Covid.

    Trois règles de base pour la discussion

    Si vous souhaitez vous engager sur ce sujet avec moi, excellent. Voici les règles...

    Je suis plus qu'heureux de correspondre avec vous si...
    vous êtes respectueux et me traitez de la manière dont vous souhaiteriez être traité ;
    vous posez des questions sincères et réfléchies sur ce qui a du sens pour vous ;
    vous faites valoir vos arguments en utilisant une logique solide et ne vous cachez pas derrière des liens ou le mot « science ».
    Si vous répondez et que vous enfreignez l'une de ces règles, vos commentaires seront ignorés/supprimés.

    Ceci étant dit, laissez-moi vous dire une chose... Je ne sais pas tout, mais jusqu'à présent, personne n'a été en mesure de répondre aux objections ci-dessous.

    Voici donc les raisons pour lesquelles je choisis de ne pas recevoir un de ces « vaccins » anti-Covid.

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  2. #N°1 — Les fabricants de ces « vaccins » sont à l'abri de toute responsabilité

    Les fabricants de vaccins sont la seule industrie au monde qui n'assume aucune responsabilité pour les préjudices ou les décès résultant de leurs produits.

    Établis en 1986 par la loi nationale sur les préjudices aux enfants causés par les vaccins, et renforcés par la loi PREP, les fabricants de vaccins ne peuvent être poursuivis, même s'il est démontré qu'ils ont été négligents.

    Les fabricants de « vaccins » anti-Covid sont autorisés à créer un produit unique, sans aucun test sur des sous-populations — c'est-à-dire des personnes présentant des problèmes de santé spécifiques — et pourtant ils ne sont pas disposés à accepter la moindre responsabilité pour les effets indésirables ou les décès causés par leurs produits.

    Si une entreprise n'est pas disposée à garantir l'innocuité de son produit, surtout s'il s'agit d'un produit qu'elle a mis sur le marché à la hâte et sur lequel elle n'a pas effectué d'essais sur les animaux, je ne suis pas prêt à prendre le risque de recourir à son produit.

    Pas de responsabilité. Pas de confiance.

    Voici pourquoi...

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  3. #N°2 — Le passé mouvementé des fabricants de ces « vaccins »

    Soit les quatre grandes entreprises qui fabriquent ces vaccins anti-Covid,
    n'ont jamais mis de vaccin sur le marché avant le Covid (Moderna et Johnson & Johnson) ;
    sont des criminels en série (Pfizer/BioNTech et AstraZeneca) ;
    cochent les deux points précédents (Johnson & Johnson).
    Moderna a essayé pendant des années de « Moderniser notre ARN » — d'où le nom de la société — mais n'a jamais réussi à mettre AUCUN produit sur le marché — ce qui ne les empêche pas d'être ravis d'avoir obtenu du gouvernement une importante injection de fonds pour continuer à essayer.

    En fait, tous les grands fabricants de vaccins (à l'exception de Moderna) ont versé des dizaines de milliards de dollars en dommages et intérêts pour d'autres produits qu'ils ont mis sur le marché tout en sachant qu'ils pouvaient causer des préjudices et des décès — voir Vioxx, Bextra, Celebrex, Thalidomide et Opioïdes, pour ne citer que quelques exemples.
    Si les entreprises pharmaceutiques choisissent délibérément de mettre sur le marché des produits nocifs, alors qu'elles peuvent être poursuivies, pourquoi ferions-nous confiance à un produit pour lequel elles n'ont AUCUNE responsabilité ?
    Au cas où cela n'aurait pas été compris, laissez-moi répéter... Trois des quatre fabricants de vaccins contre la coqueluche ont été poursuivis pour des produits qu'ils ont mis sur le marché alors qu'ils savaient qu'il en résulterait des préjudices et des décès.
    Johnson & Johnson a perdu des procès importants en 1995, 1996, 2001, 2010, 2011, 2016, 2019 — et pour ce que cela vaut, le « vaccin » de Johnson & Johnson contient également des tissus provenant de cellules de fœtus avortés, peut-être un sujet pour une autre discussion.
    Pfizer a l'honneur d'avoir payé le plus gros montant de l'histoire en matière de criminalité. Ils ont perdu tellement de procès que les compter s'avère difficile. Vous pouvez consulter leur casier judiciaire ici. C'est peut-être la raison pour laquelle ils exigent que des garanties soient mis en place pour couvrir les poursuites judiciaires liées aux vaccins dans les pays au sein desquels ils ne bénéficient pas d'une protection en matière de responsabilité vaccinale.
    AstraZeneca a également perdu tellement de procès que les compter s'avère là aussi difficile. En voici un... En voici un autre... vous voyez le topo. Et au cas où vous l'auriez manqué, la société a vu son « vaccin » anti-Covid suspendu dans au moins 18 pays en raison de problèmes de thromboses, et elle a complètement bâclé sa réunion avec la FDA en présentant des chiffres de son étude qui ne correspondaient pas.
    Oh, et apparemment Johnson & Johnson — dont le « vaccin » est approuvé pour une « utilisation d'urgence » aux États-Unis — et AstraZeneca — dont le vaccin n'est pas approuvé pour une « utilisation d'urgence » aux États-Unis — ont fait une petite confusion dans leurs ingrédients... dans 15 millions de doses. Oups.
    Permettez-moi de réitérer ce point :
    Compte tenu de l'exonération de responsabilité et du passé douteux de ces entreprises, pourquoi devrions-nous supposer que tous leurs « vaccins » sont sûrs et fabriqués de manière complètement irréprochable ?
    Dans quel autre domaine ferions-nous confiance à quelqu'un possédant ce genre de réputation ?

    Pour moi, cela a autant de sens que d'attendre d'un amant sans remords, abusif et infidèle qu'il devienne une personne différente parce qu'un juge a dit qu'au fond, c'est une bonne personne.

    Non. Je ne leur fais pas confiance.

    Pas de responsabilité. Pas de confiance.

    Voici une autre raison pour laquelle je ne leur fais pas confiance.

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  4. #N°3 — L'histoire peu glorieuse des tentatives de fabrication de vaccins contre les coronavirus

    Dans le passé, de nombreuses tentatives de fabrication de vaccins viraux se sont soldées par un échec total, ce qui explique pourquoi nous n'avons pas eu de vaccin contre le coronavirus en 2020.

    Dans les années 1960, des scientifiques ont tenté de fabriquer un vaccin contre le VRS — virus respiratoire syncytial — destiné aux nourrissons.

    Dans cette étude, ils ont évité les essais sur les animaux car ils n'étaient à l'époque pas nécessaires.

    En fin de compte, lorsqu'ils ont été exposés au virus en milieu naturel, les nourrissons vaccinés ont été bien plus malades que les nourrissons qui ne l'avaient pas été, et 80 pour cent des nourrissons vaccinés ont dû être hospitalisés et deux d'entre eux sont morts.

    Après 2000, les scientifiques ont fait de nombreuses tentatives pour créer des vaccins contre les coronavirus.

    Au cours des vingt dernières années, toutes se sont soldées par un échec car, tout comme les enfants des années 1960, les animaux participant aux essais cliniques sont tombés très malades et beaucoup sont morts.

    Vous pouvez lire un résumé de cette histoire/science ici.

    Ou si vous voulez lire les études individuelles, vous pouvez consulter ces liens :
    En 2004, une tentative de vaccin a provoqué une hépatite chez les furets ;
    En 2005, des souris et des civettes sont devenues malades et plus sensibles aux coronavirus après avoir été vaccinées ;
    En 2012, les furets sont tombés malades et sont morts. Et dans cette étude, les souris et les furets ont développé une maladie pulmonaire ;
    En 2016, cette étude montre également que les souris ont développé une maladie pulmonaire.
    Le schéma typique des études mentionnées ci-dessus est que les enfants et les animaux ont produit de belles réponses en anticorps après avoir été vaccinés.

    Les fabricants pensaient avoir touché le jackpot.

    Le problème est survenu lorsque les enfants et les animaux ont été exposés au virus en milieu naturel.

    Lorsque cela s'est produit, il s'est produit un phénomène inexpliqué appelé « facilitation de l'infection par des anticorps » [acronyme ADE en anglais - NdT], également connu sous le nom de « maladie facilitée par le vaccin » [acronyme VED en anglais - NdT] : le système immunitaire a produit une « tempête de cytokines » — ce qui veut dire que le système immunitaire a attaqué l'organisme de façon massive — et les enfants/animaux sont morts.

    Le problème persistant est le suivant...
    Les fabricants de vaccins n'ont aucune donnée suggérant que leurs « vaccins » faits à la va-vite ont surmonté ce problème.
    En d'autres termes, aucune tentative de fabrication d'un vaccin contre les coronavirus n'a jamais été couronnée de succès, et la technologie de thérapie génique que sont les « vaccins » à ARNm n'a jamais été mise sur le marché en toute sécurité, mais comme ils ont reçu des milliards de dollars de financement public, je suis sûr qu'ils ont trouvé une solution.

    Sauf qu'ils ne savent pas s'ils ont trouvé une solution...

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  5. #N°4 — Les « données manquantes » soumises à la FDA par les fabricants de ces « vaccins »

    Lorsque les fabricants de ces « vaccins » ont soumis leurs documents à la FDA en vue d'obtenir une autorisation d'utilisation d'urgence — une autorisation d'utilisation d'urgence n'est pas la même chose qu'une approbation complète de la FDA — ils ont signalé, parmi les nombreuses « lacunes dans les données », que rien dans leurs essais ne permettait de penser qu'ils avaient surmonté le problème épineux de la maladie facilitée par le vaccin.

    Ils ne savent tout simplement pas — c'est-à-dire qu'ils n'ont aucune idée si les « vaccins » qu'ils ont fabriqués produiront également la même tempête de cytokines — et les mêmes décès — que les tentatives précédentes de l'usage de tels produits.

    Comme le souligne le Dr Joseph Mercola...
    « Les précédentes tentatives de développement d'un médicament à base d'ARNm utilisant des nanoparticules lipidiques ont échoué et ont dû être abandonnées parce que lorsque la dose était trop faible, le médicament n'avait aucun effet, et lorsque la dose était trop élevée, le médicament devenait trop toxique. Une question évidente se pose : qu'est-ce qui a changé pour que cette technologie soit désormais suffisamment sans danger pour une utilisation à grande échelle ? »
    Si cela n'est pas assez alarmant, voici d'autres lacunes dans les données — c'est-à-dire qu'il n'existe aucune donnée suggérant l'innocuité ou l'efficacité en ce qui concerne :
    les personnes âgées de moins de 18 ans ou de plus de 55 ans ;
    les femmes enceintes ou allaitantes ;
    les maladies auto-immunes ;
    les personnes immunodéprimées ;
    la transmission du Covid ;
    la prévention de la mortalité due au Covid ;
    la durée de la protection contre le Covid.
    Difficile à croire, n'est-ce pas ?

    Si vous pensez que j'invente tout cela, ou si vous voulez voir les documents réels envoyés à la FDA par Pfizer et Moderna pour leur autorisation d'utilisation d'urgence, vous pouvez consulter respectivement ceci et ceci. Les lacunes dans les données se trouvent à partir de la page 46 et 48, respectivement.

    Pour l'instant, tournons nos regards vers les données brutes que les fabricants de ces « vaccins » ont utilisées pour soumettre leur demande d'autorisation d'utilisation d'urgence.

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  6. #N°5 — Aucun accès aux données brutes des essais

    Vous aimeriez voir les données brutes à l'origine des affirmations tant vantées dans les journaux selon lesquelles il y aurait « 90 pour cent et 95 pour cent d'efficacité » ?

    Moi aussi...

    Mais ils ne nous laisseront pas voir ces données.

    Comme le souligne le British Medical Journal, quelque chose dans les allégations d'efficacité des « vaccins » de Pfizer et Moderna laisse franchement à désirer. Il y a eu
    « 3 410 cas totaux de Covid-19 suspectés mais non confirmés dans la population globale de l'étude, 1 594 sont survenus dans le groupe vacciné contre 1 816 dans le groupe placebo. »
    Attendez... quoi ?

    Ont-ils échoué dans leur étude scientifique en ne vérifiant pas une variable majeure ?

    Ne pouvaient-ils pas tester ces cas « suspects mais non confirmés » pour savoir s'ils étaient atteints du Covid ?

    Apparemment pas.

    Pourquoi ne pas tester les 3 410 participants par souci d'exactitude ?

    Pouvons-nous seulement supposer qu'ils n'ont pas fait de tests parce que cela aurait faussé leurs affirmations quant à leur « efficacité à 90-95 pour cent » ?

    Que fait la FDA ?

    Ne serait-il pas prudent que la FDA attende, voire exige, des fabricants de vaccins qu'ils testent les personnes présentant des « symptômes de type Covid » et qu'ils publient leurs données brutes afin que des tiers puissent examiner comment les fabricants ont justifié ces chiffres ?

    Après tout, on essaye quand même de convaincre chaque citoyen du monde de prendre ces produits expérimentaux...

    Pourquoi la FDA ne l'a pas exigé ? N'est-ce quand même pas son objectif principal ?

    Bonne question.

    Serait-ce les renards qui gardent le poulailler ?

    On dirait bien.

    Pas de responsabilité. Pas de confiance.

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  7. #N°6 — Aucun test d'innocuité sur le long terme

    Il est évident qu'avec les produits qui ne sont sur le marché que depuis quelques mois, nous ne disposons d'aucune donnée quant aux effets — innocuité & nocivité — sur le long terme.

    En d'autres termes, nous n'avons aucune idée des conséquences de ce produit sur l'organisme dans quelques mois ou années — et ce, quel que soit le type de population [vaccinée ou pas vaccinée, jeune ou vieux, sain ou malade - NdT].

    Compte tenu de tous les risques susmentionnés — risques que présentent TOUS les produits pharmaceutiques — ne serait-il pas prudent d'attendre de voir si les pires scénarios ont effectivement été évités ?

    Ne serait-il pas logique de vouloir combler ces « lacunes » avant d'essayer d'injecter ce produit à chaque femme, homme et enfant de la planète ?

    Eh bien... ce serait logique, mais pour obtenir ces données, ils doivent procéder à des tests sur des personnes, ce qui m'amène au point suivant...

    #N°7 — Pas de consentement éclairé

    Ce que la plupart des personnes qui se font vacciner ne savent pas, c'est que, comme ces produits sont encore en phase d'essai clinique, toute personne qui se fait vacciner fait désormais partie de l'essai clinique.

    Ils font partie intégrante de l'expérience.

    Ceux — comme moi — qui ne se font pas vacciner font partie du groupe témoin.

    Le temps nous dira ce qui ressortira de cette expérience.

    Mais, me direz-vous, si ces « vaccins » sont nocifs, ne devrait-on pas en entendre parler partout dans les médias ?

    La FDA n'interviendrait-elle pas pour interrompre la distribution ?

    Eh bien, si le système de signalement des effets indésirables fonctionnait, les choses seraient peut-être différentes.

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  8. #N°8 — Les effets indésirables et les décès sont sous-déclarés

    Selon une étude réalisée par Harvard — à la demande de notre propre gouvernement — moins de 1 pour cent de tous les effets indésirables de ces « vaccins » sont effectivement soumis au National Vaccine Adverse Events Reports System (VAERS) [qui ne vaut que pour les États-Unis - NdT] — lire la page 6 du lien ci-dessus.

    Bien que les problèmes du VAERS n'aient pas été résolus — comme vous pouvez le lire dans cette lettre au CDC — au moment où nous écrivons ces lignes [le 8 avril 2021 - NdT], le VAERS fait état de plus de 2 200 décès dus aux actuels « vaccins » anti-Covid, et de près de 60 000 réactions indésirables.
    Note du traducteur : En date du 27 avril 2021, selon le site officiel européen European Medicines Agency / EudraVigilance, on atteint déjà presque 10 000 morts et 2 millions d'effets secondaires, tous susceptibles d'être liés aux « vaccins » anti-Covid-19, et pour la seule Union européenne ! Ces chiffres commencent à donner le tournis...
    « Les données VAERS publiées aujourd'hui ont montré 50 861 signalements d'effets indésirables après les injections des « vaccins » anti-Covid, dont 2 249 décès et 7 726 préjudices graves entre le 14 décembre 2020 et le 26 mars 2021. »
    Et ces chiffres n'incluent pas les actuels 578 cas de paralysie de Bell.

    Si ces chiffres ne représentent encore que 1 pour cent du total des effets indésirables — ou 0,8 à 2 pour cent de ce que cette étude récemment publiée dans le JAMA a trouvé — vous pouvez faire le calcul, mais cela équivaut à ce jour à environ 110 000 à 220 000 décès dus aux « vaccins », et à un nombre ridicule d'effets indésirables.

    Je parie que vous n'avez pas vu ça aux infos.

    Ce nombre de décès serait actuellement encore inférieur aux 424 000 décès [aux seuls États-Unis - NdT] dus aux erreurs médicales qui se produisent chaque année — dont vous n'entendez probablement pas parler non plus — mais le déploiement de ces « vaccins » a débuté il y a moins de six mois.

    Si vous souhaitez approfondir les problèmes liés au système de signalement VAERS, vous pouvez consulter ce document ou celui-ci.

    Mais il y a aussi mon prochain point, qui pourrait laisser à penser que ces « vaccins » anti-Covid sont inutiles...

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  9. #N°9 — Les vaccins ne préviennent ni l'infection ni la transmission

    Attendez, quoi ?

    Ces vaccins ne sont-ils pas censés constituer la solution tant attendue pour « revenir à la normale » ?

    Non.

    Pourquoi pensez-vous que nous recevons tous ces messages contradictoires sur la nécessité de pratiquer la distanciation sociale et de porter des masques même APRÈS avoir reçu un « vaccin » ?
    La raison en est que ces « vaccins » n'ont jamais été conçus pour arrêter la transmission OU l'infection.
    Si vous ne me croyez pas, je vous renvoie aux documents soumis à la FDA dont j'ai donné le lien ci-dessus.

    L'objectif principal — ce que ces « vaccins » sont censés accomplir — est de réduire vos symptômes.

    Ça ressemble à tous les autres médicaments sur le marché, non ?

    C'est ça... la réduction des symptômes est le grand bénéfice que nous attendions.

    Est-ce que ça semble complètement inutile à quelqu'un d'autre que moi ?
    Il ne peut pas nous empêcher de propager le virus.
    Il ne peut pas empêcher le virus de nous infecter une fois injecté.
    Se faire vacciner, c'est accepter tous les risques de ces produits expérimentaux et le mieux qu'il puisse faire, c'est de réduire les symptômes ?
    Quoiqu'il en soit, il existe bien des moyens à ma portée pour réduire mes symptômes sans prendre ce qui semble être un produit très risqué.

    Maintenant, en ce qui concerne la prochaine question logique :
    Si nous sommes préoccupés par les disséminateurs asymptomatiques, le « vaccin » ne rendrait-il pas plus probable la création d'une dissémination asymptomatique ?
    S'il réduit effectivement les symptômes, les personnes qui le reçoivent peuvent ne pas savoir qu'elles sont malades et sont donc plus susceptibles de propager le virus, non ?

    Pour ce que ça vaut, j'ai entendu beaucoup de gens dire que les effets secondaires du « vaccin » — surtout la deuxième dose — sont pires que d'attraper le Covid.

    Je n'arrive pas non plus à comprendre ce que cela signifie.

    Prendre le risque.

    Ne pas être protégé.

    Subir les effets secondaires du « vaccin ».

    Continuer à porter son masque et à se distancier socialement...

    Et continuer à être à même de propager le virus.

    Quoi ?

    Et ça devient de pire en pire.

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  10. #N°10 — Certaines personnes sont infectées par le Covid après avoir été complètement vaccinées

    Tu parles d'une poisse.

    Tu es vacciné et tu es quand même infecté par le Covid.
    Ça arrive dans l'État de Washington.
    C'est arrivé à New York.
    Ça arrive dans le Michigan.
    C'est arrivé à Hawaï.
    C'est aussi le cas dans plusieurs autres États.
    C'est arrivé à 80 pour cent des 35 nonnes qui ont été vaccinées dans le Kentucky. Deux d'entre elles sont d'ailleurs mortes.
    En réalité, ce phénomène se produit probablement partout, mais ce sont ces cas qui font l'actualité actuellement.

    Compte tenu des raisons énumérées ci-dessus — et de celles qui suivent — cela ne vous surprend peut-être pas, mais si vous pensiez que le « vaccin » était un bouclier pour vous protéger, vous allez être déçu.

    Ce n'est pas le cas.

    Cela n'a jamais été le but.

    Si 66 pour cent des professionnels de santé de Los Angeles vont retarder ou ignorer le « vaccin »... c'est qu'ils ne sont peut-être pas non plus emballés par une science bâclée.

    Peut-être qu'ils observent la manière louche dont les décès et les cas sont communiqués...

    #N°11 — Le taux de mortalité globale dû au Covid

    Selon les propres chiffres du CDC, le Covid a un taux de survie de 99,74 pour cent.

    Pourquoi prendrais-je le risque de me faire injecter un produit qui n'empêche pas l'infection ou la transmission, tout ça pour m'aider à vaincre un rhume qui a 0,26 pour cent de chances de me tuer — en fait, dans ma tranche d'âge, c'est environ 0,1 pour cent, et 0,01 pour cent pour mes enfants — mais ne coupons pas les cheveux en quatre.

    Avec une probabilité — taux de mortalité — aussi faible, nous serons enfermés chaque année... c'est-à-dire pour toujours.

    Mais attendez, qu'en est-il des 500 000 morts et plus, c'est alarmant non ?

    Je suis content que vous posiez la question.

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  11. #N°12 — Les chiffres des morts dus au Covid sont surgonflés

    Dans cette affaire, il y a vraiment quelque chose de bizarre.

    Dans l'histoire des certificats de décès, c'est la première fois que notre propre gouvernement a changé la façon dont ces derniers sont déclarés.

    Pourquoi déclarons-nous désormais que toutes les personnes qui meurent avec le Covid sont mortes du Covid, plutôt que des comorbidités qui sont réellement responsables de leurs trépas ?

    Jusqu'à l'apparition du Covid, tous les coronavirus — rhumes courants — n'étaient jamais répertoriés comme la principale cause de décès lorsqu'une personne mourait d'une maladie cardiaque, d'un cancer, d'un diabète, d'une maladie auto-immune ou de toute autre comorbidité majeure.

    La maladie était indiquée comme la cause du décès, et un facteur de confusion comme la grippe ou la pneumonie était indiqué sur une ligne distincte.

    Pour gonfler encore plus le nombre des décès, l'OMS et le CDC ont modifié leurs directives de sorte que, et sans que cela ne nous soit jamais confirmé, les personnes probablement mortes ou suspectées de l'être à cause du Covid sont également incluses dans le nombre des décès.

    Sérieusement ?

    Si nous devons procéder ainsi, ne devrions-nous pas revenir en arrière et modifier les chiffres de toutes les saisons de rhume et de grippe passées afin de pouvoir comparer des pommes avec des pommes en ce qui concerne les taux de mortalité ?

    Selon les chiffres mêmes des CDC — voir la section « Comorbidités et autres conditions » — seuls 6 pour cent des décès attribués au Covid sont des cas où ce dernier semble avoir été le seul problème en cause.

    En d'autres termes, réduisez de 94 pour cent le nombre de décès annoncés aux informations et vous obtenez ce qui est probablement le nombre réel de décès dus au seul Covid.

    Même si l'ancien directeur du CDC a raison et que le Covid-19 est un virus amélioré en laboratoire — voir la raison n° 14 ci-dessous — un taux de mortalité de 0,26 pour cent reste conforme au taux de mortalité virale qui fait le tour de la planète chaque année.

    Ensuite, il y a ce type, Fauci.

    J'aimerais vraiment lui faire confiance, mais outre le fait qu'il n'a pas traité un seul patient atteint du Covid... vous devriez probablement savoir ce qui suit...

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  12. #N°13 — Fauci et six autres personnes du Niaid possèdent des brevets du « vaccin » Moderna

    Grâce à la loi Bayh-Dole, les fonctionnaires sont autorisés à déposer des brevets sur toute recherche qu'ils effectuent avec l'argent des contribuables.

    Tony Fauci possède plus de 1 000 brevets — voir cette vidéo pour plus de détails — y compris des brevets utilisés pour le « vaccin » Moderna... dont il a approuvé le financement gouvernemental.

    En fait, le NIH — dont le NIAID fait partie — revendique la propriété conjointe du « vaccin » Moderna.

    Suis-je le seul à considérer cela comme un conflit d'intérêt MAJEUR, voire criminel ?

    Je dis criminel parce qu'il y a aussi ce problème pesant qui me rend encore plus méfiant à l'égard de Fauci, du NIAID et des NIH en général.

    #N°14 — Fauci est sur la sellette pour des recherches illégales sur les gains de fonction

    Qu'est-ce que la recherche sur les « gains de fonction » ?

    Les scientifiques tentent de faire en sorte que les virus acquièrent des fonctions — en gros, ils deviennent plus transmissibles et plus mortels.

    Ça semble pour le moins un peu contraire à l'éthique, non ?

    Quelle pourrait bien en être l'utilité ?

    Notre gouvernement était d'accord et en a interdit la pratique.

    Alors qu'a fait le NIAID dirigé par Fauci ?

    Ils ont changé d'orientation et ont externalisé en Chine la recherche sur les gains de fonction — dans les coronavirus, rien de moins — pour un montant de 600 000 dollars.

    Vous trouverez plus de détails, y compris l'importante chronologie de ces événements, dans ce film documentaire qui s'appuie sur une recherche extrêmement approfondie.

    M. Fauci, vous avez des explications à fournir... et j'espère que les caméras enregistreront le moment où vous devrez défendre vos actions.

    Pour l'instant, tournons notre attention vers le virus...

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  13. #N°15 — Le virus continue à muter

    Non seulement le virus — comme tous les virus — continue de muter, mais selon Geert Vanden Bossche, concepteur de vaccins de renommée mondiale — que vous rencontrerez ci-dessous si vous ne le connaissez pas — il mute environ toutes les 10 heures.

    Comment diable allons-nous continuer à créer des « vaccins » pour suivre ce niveau de mutation ?

    C'est impossible.

    Cela pourrait-il également expliquer pourquoi des personnes entièrement vaccinées sont malgré tout infectées par le Covid ?

    Pourquoi, alors que l'immunité naturelle n'a jamais failli à l'humanité, ne lui faisons-nous soudainement plus confiance ?

    Pourquoi, si je pose des questions comme celles qui précèdent, ou si je publie des liens comme ceux que vous trouvez ci-dessus, mes réflexions seront supprimées de toutes les grandes plateformes de médias sociaux ?

    Cela m'amène au prochain problème troublant que je rencontre avec ces « vaccins ».

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  14. #N°16 — La censure... et l'absence totale de débat scientifique

    Arrivé là, je ne peux m'empêcher d'être sarcastique, alors d'avance, pardonnez-moi.

    Avez-vous apprécié tous ces débats animés, retransmis à l'échelle nationale et mondiale, organisés par des responsables de la santé publique et diffusés en simultané sur toutes les grandes chaînes d'information ?

    N'était-ce pas formidable d'entendre les meilleurs esprits en médecine, virologie, épidémiologie, économie et les spécialistes des vaccins du monde entier débattre vigoureusement et respectueusement de sujets comme :
    les confinements ;
    le port du masque obligatoire ;
    la distanciation sociale ;
    les essais d'efficacité et d'innocuité des « vaccins » ;
    comment dépister la sensibilité aux préjudices causés par les « vaccins » ?
    les thérapies — à savoir les options non vaccinales.
    N'était-ce pas formidable de voir la « science » des responsables de la santé publique — qui n'ont jamais traité personne atteint du Covid — remise en question ?

    N'était-ce pas formidable de voir le comité de la FDA interroger publiquement les fabricants de vaccins à une heure de grande écoute, alors qu'ils étaient sous le feu de questions difficiles quant à leurs produits pour lesquels leur responsabilité ne peut pas être engagée ?

    Oh, attendez... vous n'avez pas vu ces débats ?

    Non, vous ne les avez jamais vus... parce qu'ils n'ont jamais eu lieu.

    En revanche, ce qui a bien eu lieu, c'est une censure autoritaire de toute information hormis celles concordant à l'unique narration officielle.

    Ironiquement, Mark Zuckerberg peut remettre en question l'innocuité des « vaccins », mais pas moi ?

    Hypocrite ?

    À quel moment le premier amendement est-il devenu une suggestion ?

    Il s'agit du PREMIER amendement Mark — celui que nos fondateurs pensaient être le plus important.

    Avec autant d'enjeux, pourquoi ne nous donne-t-on à entendre qu'une seule narration... ne devrait-on pas y avoir plusieurs points de vue qui seraient débattus de manière professionnelle ?

    QU'EST-IL ARRIVÉ À LA SCIENCE ?

    Qu'est-il arrivé à la méthode scientifique consistant à toujours remettre en question les hypothèses formulées ?

    Qu'est-il arrivé au débat animé dans ce pays, ou du moins dans la société occidentale ?

    Pourquoi quiconque est en désaccord avec l'OMS ou le CDC est-il si lourdement censuré ?

    La science de la santé publique est-elle devenue une religion, ou la science ne devrait-elle pas reposer sur le débat ?

    Si quelqu'un dit « la science est établie », je sais que j'ai affaire à une personne qui a l'esprit fermé.

    Par définition, la science — en particulier la science biologique — n'est jamais établie.

    Si c'était le cas, ce serait un dogme, pas une science.

    OK, avant de trop m'énerver, laissez-moi vous dire ceci...

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  15. JE VEUX ÊTRE UN BON CITOYEN.

    Je le pense vraiment.

    Si le confinement fonctionne, je veux faire ma part et rester chez moi.

    Si les masques fonctionnent, je veux les porter.

    Si la distanciation sociale est efficace, je veux m'y conformer.

    Mais s'il est prouvé que ce n'est pas le cas — comme pour les masques par exemple — je veux aussi entendre cette preuve.

    Si des scientifiques de renom ont des opinions différentes, je veux savoir ce qu'ils pensent.

    Je veux avoir la possibilité d'entendre leurs arguments et me faire ma propre opinion.

    Je ne pense pas être la personne la plus intelligente du monde, mais je pense pouvoir réfléchir.

    Je suis peut-être bizarre, mais si quelqu'un est censuré, alors je veux VRAIMENT entendre ce qu'il pense.

    Pas vous ?

    À tous mes amis qui n'ont pas de problème avec la censure, aurez-vous la même opinion lorsque ce que vous pensez sera censuré ?

    La censure n'est-elle pas la technique des dictateurs, des tyrans et des personnes avides de pouvoir ?

    N'est-elle pas le signe que ceux qui censurent savent que c'est le seul moyen de gagner ?
    Et si un homme qui a passé toute sa vie à développer des vaccins était prêt à mettre toute sa réputation en jeu et à demander à tous les dirigeants mondiaux d'arrêter immédiatement les « vaccins » anti-Covid en raison de problèmes scientifiques ?
    Et s'il plaidait pour un débat scientifique ouvert sur une scène mondiale ?

    Voudriez-vous entendre ce qu'il a à dire ?

    Voudriez-vous voir le débat qu'il demande ?

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  16. #N°17 — Le plus grand spécialiste des vaccins au monde tire la sonnette d'alarme...

    Voici ce qui pourrait être la plus grande raison pour laquelle ce « vaccin » anti-Covid n'a pas de sens pour moi.

    Lorsqu'une personne très pro-vaccins, qui a passé toute sa carrière professionnelle à superviser le développement de vaccins, crie sur tous les toits que nous faisons face à un problème majeur, je pense que cet personne doit être entendu.

    Au cas où vous l'auriez manqué, et au cas où vous auriez envie de savoir ce qu'il dit, voici les explications de Geert Vanden Bossche :
    Pourquoi le « vaccin » anti-Covid pourrait exercer une telle pression sur le virus que sa capacité à muter et à devenir plus mortel s'en trouverait accélérée.
    Pourquoi les « vaccins » anti-Covid pourraient créer des virus résistants aux vaccins — comme les bactéries résistantes aux antibiotiques.
    Pourquoi, en raison de problèmes antérieurs liés à la facilitation de l'infection par des anticorps, nous pourrions être confrontés à une explosion de victimes dans les prochains mois ou années.
    Si vous voulez voir/lire un deuxième entretien, plus long, avec Vanden Bossche, dans lequel des questions difficiles lui ont été posées, vous pouvez consulter ceci.

    Si la moitié de ce qu'il dit se réalise, ces « vaccins » pourraient être la pire invention de tous les temps.

    Si vous n'aimez pas sa science, discutez-en avec lui.

    Je ne suis que le messager.

    Mais je peux aussi parler du Covid d'un point de vue personnel.

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  17. #N°18 — J'ai déjà eu le Covid

    Je n'ai pas apprécié.

    J'ai eu un méchant rhume pendant deux jours :
    des douleurs incessantes aux fesses et au bas du dos ;
    une très faible énergie ;
    une faible fièvre.
    C'était bizarre de ne pas pouvoir sentir quoi que ce soit pendant deux jours.

    Une semaine plus tard, le café avait toujours un goût « mauvais ».

    Mais j'ai survécu.

    Maintenant, il semble — comme cela a toujours été le cas — que j'ai une belle immunité naturelle, à vie...
    ... et non pas quelque chose qui risque de s'estomper en quelques mois si je me fais vacciner.

    Pour mon organisme, comme pour ma famille, le Covid c'est du passé.

    En fait, maintenant que je l'ai eu, il existe des preuves que le « vaccin » anti-Covid pourrait être plus dangereux pour moi.

    Ce n'est pas un risque que je suis prêt à prendre.

    En résumé

    Ce qui précède ne sont que mes raisons de ne pas vouloir le « vaccin ».

    Peut-être que mes raisons ont du sens pour vous, peut-être pas.

    Quelles que soient celles qui ont un sens pour vous, j'espère que nous pourrons rester amis.

    Pour ma part, je pense que nous avons beaucoup plus en commun que ce qui nous sépare.
    Nous voulons tous vivre dans un monde de liberté.
    Nous voulons tous faire notre part pour aider les autres et vivre bien.
    Nous voulons tous avoir le droit d'exprimer nos opinions sans craindre d'être censurés ou vicieusement attaqués.
    Nous méritons tous d'avoir accès aux faits afin de pouvoir prendre des décisions éclairées.
    Que vous soyez d'accord ou pas avec moi, je ne vous traiterai pas différemment.

    Vous êtes un être humain tout aussi digne d'amour et de respect que n'importe qui d'autre.

    Pour cela, je vous salue et je vous souhaite vraiment le meilleur.

    J'espère que vous aurez trouvé cet article utile.

    Si oui, n'hésitez pas à le partager.

    Si ce n'est pas le cas, n'hésitez pas à me faire part — gentiment — de ce qui n'a pas eu de sens pour vous et je serais heureux d'entendre également vos réflexions.

    Restez curieux et restez humble.

    Jusqu'à la prochaine fois,

    Christian

    P.S. : Si vous pensez que j'ai bien étudié ce sujet, imaginez toutes les idées que je pourrais mettre en œuvre pour vous aider à préserver votre santé. Aider les gens à être en bonne santé, c'est ce que je fais toute la journée, tous les jours.

    P.P.S. : La santé ne peut pas être injectée, mais elle peut être acquise.

    Source de l'article initialement publié en anglais le 8 avril 2021 : Deconstructing Conventional
    Traduction : Sott.net

    https://fr.sott.net/article/37120-18-raisons-pour-lesquelles-je-ne-me-ferai-pas-vacciner-contre-le-Covid

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  18. Les décès après avoir reçu le vaccin Pfizer sont-ils plus nombreux que ceux après avoir reçu le vaccin AstraZeneca ?

    SLT
    dim., 25 avr. 2021 19:57 UTC


    Une étude de l'Institut Tony Blair, évoque un taux de mortalité plus élevé au Royaume-Uni après l'injection du produit de Pfizer que celui d'AstraZeneca selon les concepteurs du vaccin russe Spoutnik V contre la Covid. Dans cette étude du Tony Blair Institute for Global Challenge, il est constaté : "qu'au Royaume-Uni, Pfizer a plus que doublé le nombre de décès et d'infections par la COVID-19 signalés pour 100 000 doses de vaccin par rapport à AstraZeneca. 0,26 contre 0,1 pour les décès, 4,07 contre 1,49 pour les infections à la COVID-19".

    Si on en croit les dernières données de l'ANSM en date du 16 avril (celles du 23 avril concernant le vaccin AstraZeneca n'ont pas encore été mises en ligne contrairement aux rapports pour les 2 autres vaccins: Pfizer et Moderna), il y a eu au total depuis le début de la vaccination en France depuis le 27.12.20 (données de l'ANSM du 16.04.21) :

    9 889 000 injections Pfizer avec 408 décès ;
    994 000 injections Moderna avec 7 décès ;
    2 725 089 injections AstraZeneca avec 65 décès.

    Soit un total de 480 décès rapportés en post-vaccination (respectivement 408 décès "toutes causes" après vaccin Pfizer ; 7 "morts subites" après vaccin Moderna et 65 "décès" après vaccin AstraZeneca) selon le rapport de synthèse du 16.04.21 de l'ANSM portant sur la semaine du 2.04 au 8.04.21.

    Si l'on observe le ratio décès / nombre d'injections : il est de 0.0041 % pour Pfizer, de 0.0007 % pour Moderna et 0.0023% pour AstraZeneca soit effectivement un taux presque deux fois plus élevé pour le vaccin Pfizer comparativement à AstraZeneca avec les données de l'ANSM. Toutefois, il faut modérer cette appréciation car les personnes ayant reçu le vaccin Pfizer ont souvent reçu deux doses, ce qui n'est pas encore le cas pour le vaccin AstraZeneca en France. D'autres part ces taux sont très faibles mais il faut quand même les prendre en compte étant donné le nombre de personnes vaccinées. Des études plus sérieuses nécessiteraient d'être effectuées. L'ANSM considérant après revue de dossier, sans qu'il n'y ait dans la majorité des cas d'autopsie, que les décès observés sont liés à des comorbidités associées ou bien à d'autres causes. Pourtant le principe de précaution nécessiterait de demander des autopsies après chaque décès post-vaccinal pour tirer cela au clair et même de considérer ces décès comme liés au vaccin avant d'apporter la preuve du contraire. L'ANSM a choisi la démarche inverse. Il a fallu que des alertes soient lancées par des autorités sanitaires de pays étrangers pour que ces effets secondaires commencent à être repérés en France. Espérons qu'il n'en sera pas de même pour les potentiels décès par "thrombose" ou d'autres causes avec les autres vaccins.

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  19. Lire aussi :
    En date du 23.04.21, le nombre global de décès post-vaccinaux n'est plus fourni par l'ANSM aussi bien dans son point de situation que dans son rapport de synthèse, le rapport sur le vaccin AstraZeneca est manquant

    Rappelons également que dès la mi-février, le le Dr Wodarg avait fait le lien entre les vaccins à ARN et de potentiels cas de "thromboses" en mettant en cause le rôle de la protéine S produite par les séquences génétiques introduites dans le corps (dans les cellules de l'organisme) par ces vaccins. Il s'appuyait sur une étude de l'Institut allemand Paul Ehrlich. Articles que nous avons repris sur SLT début mars :

    -SLT 1.03,21 Les dommages tissulaires par fusion cellulaire dans la COVID-19 et le rôle de la protéine de pointe (IPE)

    Le Dr Wodarg déclarait que les thromboses, crises cardiaques et hémorragies cérébrales sont possibles après tous les vaccins.

    On est en droit de se demander, comme nous le faisions précédemment, pourquoi Astra Zenenca récolte les lauriers alors que les données ne semblent pas forcément en faveur de ses concurrents immédiats.

    - Le sort s'acharne-t-il sur AstraZeneca ?

    Voici ce que nous écrivions le 5.04.21 :
    « Il se trouve que selon les données actuelles c'est le vaccin AstraZeneca qui semblerait entraîner le plus de cas, bien que très rares, de thromboses létales parmi les 3 vaccins actuellement en vigueur en Occident (Pfizer, Moderna, AstraZeneca). Pourtant à en croire les données françaises de l'ANSM, le vaccin Pfizer est aussi responsable de nombreux effets secondaires mais cela n'est que très peu rapporté dans les médias. »
    Suivant en cela les interrogations du Dr Wodarg (lanceur d'alerte sur la fausse pandémie de grippe H1N1 ou grippe A) suite aux observations rapportées par l'agence européenne du médicament début avril 2021 (cf. graphique plus bas), on est en droit de se poser la question du rapport bénéfice/risque au regard de la vaccination chez les personnes n'ayant pas de risques comorbides (la grande majorité de la population) :

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  20. -SLT 3.04.21 Vaccin contre la Covid-19. Risque plus grand que le bénéfice - pourquoi vaccinent-ils ? (Wodarg.com)
    « Au cours de la période d'avril 2020 à décembre 2020, les effets indésirables enregistrés ont fluctué dans un couloir allant de 9 418 à 12 567 déclarations, en moyenne 10 847 effets indésirables ont été enregistrés au cours de chacun de ces mois. En janvier 2021, ce nombre est passé à 27 242. En février 2021 et mars 2021, le nombre d'événements indésirables signalés était de 52 183 et 52 165, respectivement, soit une multiplication par cinq des événements indésirables au cours des deux derniers mois par rapport à la moyenne de l'année 2020 de Corona. Tout le monde parle d'AstraZeneca, mais les autres ne sont-ils pas pires ?... »

    En février 2021, le professeur Sucharit Bhakdi, M.D., et un certain nombre de ses collègues ont mis en garde l'Agence européenne des médicaments contre les dangers potentiels des caillots sanguins avec tous les vaccins.

    Lire aussi :

    - SPR 17.04.21 Une nouvelle étude de l'Université d'Oxford rapporte que le risque de thrombose veineuse cérébrale avec AstraZeneca est le même qu'avec les autres vaccins et reste très faible

    https://fr.sott.net/article/37097-Les-deces-apres-avoir-recu-le-vaccin-Pfizer-sont-ils-plus-nombreux-que-ceux-apres-avoir-recu-le-vaccin-AstraZeneca

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  21. Une question simple restée sans réponse sur les vaccins COVID


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 29 AVR 2021-15: 50
    Rédigé par Mark Glennon via Wirepoints.org,


    "Les données émergentes confirment ce que beaucoup d'entre nous pensaient être le cas - que non seulement les vaccins arrêtent le COVID symptomatique, mais ils rendent également hautement improbable que quelqu'un puisse même être infecté. Je pense que la prépondérance des preuves soutient le fait que les individus vaccinés ne sont pas capables de propager le virus. "
    - Amesh Adalja, MD, est chercheur principal au Center for Health Security

    Pensez à cette citation ci-dessus. Il est publié sur le site Web de la Johns Hopkins School of Public Health. Pourtant, des limitations importantes ou des restrictions recommandées demeurent pour les personnes vaccinées, du Center for Disease Control et de nombreuses autorités sanitaires nationales ou locales.

    Pourquoi ? Pourquoi y a-t-il des restrictions restantes sur les personnes vaccinées si elles ne peuvent pas être infectées ou propager le virus ?

    Cherchez une réponse et à peu près tout ce que vous trouverez, ce sont les autorités sanitaires qui disent que les personnes vaccinées pourraient encore être infectées et ainsi se mettre en danger, ainsi que les autres. Le CDC élabore un peu, disant qu'ils ne savent pas combien de temps dure l'immunité vaccinale ou dans quelle mesure les vaccins agissent contre les nouvelles variantes du virus.

    Assez juste, sauf que nous savons également cela du CDC à propos de ces «cas révolutionnaires» - lorsqu'une personne vaccinée est infectée: sur 84 millions d'Américains complètement vaccinés, seulement 6 000 ont été infectés par la suite, dont 74 sont morts.

    Cela signifie que les chances d'être infecté une fois vacciné ont été d'environ sept millièmes de un pour cent et les chances de mourir sont d'un dix-millionième d'un pour cent.

    En d’autres termes, le risque est si incompréhensible que vous auriez besoin d’un microscope électronique pour le voir.

    Le plus grand obstacle à l'assouplissement des restrictions, comme le voient les autorités sanitaires, est «l'hésitation à la vaccination» - faire vacciner ceux qui ne le veulent pas. Pourtant, les politiciens du président Biden font tout leur possible pour porter des masques et maintenir des mesures de distanciation même s'ils sont vaccinés. Biden a livré son discours à un Congrès à moitié vide hier soir comme s'il s'agissait d'un groupe de lépreux présumés - ils étaient tous masqués et distants. C’est insensé étant donné leurs propres affirmations et données sur le vaccin.

    C’est comme s’ils essayaient de confondre les lumières du jour hors d’Amérique. Il n'est pas étonnant qu'une grande partie du pays pense que ses dirigeants ont une arrière-pensée pour prolonger les restrictions. Il n’est pas étonnant qu’une grande partie de l’Amérique se méfie tellement de l’établissement médical qu’elle préfère se fier à son propre système immunitaire plutôt qu’au vaccin.

    Ici, dans l'Illinois, le gouverneur JB Pritzker a annoncé cette semaine une dépense de 60 millions de dollars pour lutter contre l'hésitation à la vaccination en sensibilisant le public à ce sujet.

    Il en faudra plus que cela à moins que les supposés experts et politiciens ne mettent leur histoire et leur conduite au clair. Ils doivent cesser de traiter les risques sans conséquence comme des risques matériels. Ils doivent indiquer les fondements dont ils disposent pour les politiques qu’ils imposent de manière cohérente, cohérente et réaliste.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/simple-question-going-unanswered-about-covid-vaccines

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  22. Au moins 9710 morts suite à la vaccination Covid-19 (maj)

    https://cv19.fr/2021/04/11/au-moins-9710-morts-suite-a-la-vaccination-covid-19/

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  23. Comment vont-ils jamais vivre celui-ci ?
    Le dioxyde de chlore est un remède sans équivoque pour l'infection à Covid-19 symptomatique et confirmée en laboratoire


    Par Bill Sardi
    30 avril 2021


    Rappelez-vous quand le président a fait des déclarations spontanées sur l'utilisation de désinfectants pour potentiellement traiter le coronavirus et que les médias l'ont ridiculisé, affirmant qu'il appartenait à "la compagnie de pseudoscientifiques et de fournisseurs d'élixirs factices qui promeuvent et vendent de l'eau de javel industrielle comme un` `miracle ''. guérir «l'autisme, le paludisme et une longue liste de problèmes de santé». (27 avril 2020 NY Times).

    UnivisionNews a appelé le président un «adepte de l'église de l'eau de Javel».

    Quelques jours avant l'annonce du président lors d'une conférence de presse du 23 avril sur le COVID-19, le président avait été contacté par le fondateur d'une société, Genesis II, qui vend de l'eau de Javel au dioxyde de chlore comme «solution miracle» (Miracle Mineral Solution). Le président a déclaré: «Je vois le désinfectant qui l'assomme en une minute. Une minute !"

    Le magazine Forbes a publié un article disant que l'eau de Javel (dioxyde de chlore) avait été présentée comme un faux remède contre le COVID-19. La plupart des autres agences de presse ont repris ce rapport.

    Pour ne pas laisser mourir ce problème, un an après cet événement, un rapport publié dans Frontiers In Political Science dit:

    «… Le monde a été horrifié par la suggestion du président de boire des désinfectants ménagers pour prévenir le COVID-19.»

    «… Le dioxyde de chlore n'est pas sans danger pour la consommation humaine.»

    L'adoption du dioxyde de chlore comme «remède» contre le COVID-19 était liée à l'analphabétisme. Une telle idée était qualifiée de pure «pseudoscience» et témoignait de la «politisation de la désinformation scientifique». Les vaccins permettraient de remédier au problème, une fois qu'ils seraient disponibles, ont déclaré les chercheurs.

    La preuve

    Avance rapide jusqu'en avril 2021. Le Journal of Molecular and Genetic Medicine publie des données qui n'ont jamais été rendues publiques.

    Les statistiques de la Bolivie, où l'utilisation de dioxyde de chlore solubilisé dans l'eau (ClO2) pour la prévention et le traitement du COVID-19 a été approuvée par la loi au début d'août 2020, démontrent une réduction marquée des cas et des décès dans ce pays. Le pic le plus élevé enregistré en Bolivie a été la semaine épidémiologique 29 (10 939 cas), les cas tombant à 670 à la semaine épidémiologique 45 (soit une diminution de 93%). Le taux de létalité est passé de 8% à 4,5% à la semaine épidémiologique 36, coïncidant avec l'utilisation massive de dioxyde dans la population sans qu'il soit possible d'affirmer avec certitude que le dioxyde est responsable de cette diminution. D'un sommet de 2031 cas quotidiens le 20 août 2020, les cas sont tombés à 147 cas quotidiens le 21 octobre 2020, soit une diminution de 93%. Les décès quotidiens sont passés d'un sommet de 132 le 3 septembre 2020 à 24 décès le 21 octobre 2020, avec une diminution de 82% de la mortalité.

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  24. Le public bolivien, apprenant la condamnation du CIO2, a réduit sa consommation de dioxyde de chlore, ce qui était lié à un rebond des affaires.

    Une étude contrôlée

    Ces chercheurs ont décidé de lancer une étude contrôlée. La dose de dioxyde de chlore utilisée était de 30 milligrammes par jour pendant 21 jours, ce qui est bien en deçà du niveau sans effet indésirable observé. Seul un petit groupe de 20 patients a été comparé à 20 dans un groupe témoin ayant reçu des anti-inflammatoires, des antibiotiques, des stéroïdes et des antihistaminiques.

    Dix millilitres de dioxyde de chlore à une concentration de 3000 parties par million ont été ajoutés à 1 litre d'eau pour que les sujets de test boivent, toutes les deux heures.

    Alors que le groupe d'étude était petit, l'effet était massivement en faveur du dioxyde de chlore comme «remède» pour COVID-19.

    La détermination du soulagement des symptômes 7 et 14 jours après l'apparition des symptômes a révélé que le dioxyde de chlore supprimait rapidement les symptômes de toux, d'essoufflement, de fièvre, de maux de tête, de gorge, de douleur thoracique - réduction de 70% au 7ème jour de traitement. Plus important encore, les plaquettes sanguines se sont normalisées (ce qui est à l'origine des horribles problèmes de coagulation sanguine associés à la vaccination). La saturation en oxygène du sang mesurée par oxymétrie a montré une nette amélioration. À titre de comparaison, le groupe témoin a eu des difficultés avec des symptômes persistants.

    Cent pour cent (100%) des patients avec un test PCR positif (réaction en chaîne par polymérase, le test actuellement utilisé dans le monde entier pour tester le COVID-19) étaient négatifs pour le COVID-19 au septième jour du traitement CIO2.

    Les chercheurs ont écrit: «Nous pouvons affirmer sans aucun doute ... que le dioxyde de chlore est efficace dans le traitement du COVID19, rendant la PCR négative dans cent pour cent des cas à 7 jours, modifiant de manière significative et rapide les symptômes de la maladie, réduisant considérablement les paramètres de laboratoire à normalité dans les 14 à 21 jours. »

    Voici les preuves visibles:

    Cette nouvelle positive fait suite au rapport publié par le ministère de la Justice des États-Unis, selon lequel un acte d'accusation pour «vente d'eau de Javel toxique comme un faux« remède miracle »pour COVID-19.» L'acte d'accusation a été émis contre les spécialistes du marketing de «Miracle Mineral Solution».

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  25. Ne jamais permettre à un remède de devancer la science, ni à un remède naturel peu coûteux pour remplacer les nostrums pharmaceutiques brevetables, à savoir les vaccins expérimentaux, qui sont également non prouvés et il n'y a pas de données quant à leur innocuité. Les innocents qui ont osé offrir un véritable remède sont sur le billot.

    Rappelez-vous simplement le 8 mars 2021 comme date de publication de l'étude susmentionnée, lorsque les charlatans de la santé et les pseudoscientifiques ont été confirmés. Mais seront-ils pardonnés ?

    https://www.lewrockwell.com/2021/04/no_author/how-are-they-ever-going-to-live-this-one-down/

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  26. Pourquoi je suis heureux, je suis triste


    l28 avril 2021
    Par Jeff Minick


    «Tristesse, désespoir et agonie sur moi,
    Dépression profonde et sombre, misère excessive….

    Ce sont les premières lignes d'un sketch basé sur une chanson de l'émission de musique country et de comédie «Hee Haw» dans les années 1970. D'une manière ou d'une autre, les mots et la mélodie sont restés dans mon esprit pendant toutes ces années.

    Ces lignes résument mes sentiments concernant les masques COVID-19, la distance et les verrouillages. Mais ce n'est que récemment que j'ai réalisé qu'il pouvait y avoir une lueur d'espoir dans de tels sentiments.

    Depuis plus d’un an maintenant, je ressens de la tristesse et du désespoir en allant à mon épicerie locale. Certains lecteurs peuvent trouver cela étrange, mais j'aimais bien faire les courses avant la pandémie. Je vis seule et faire du shopping signifiait voir d'autres personnes. J'aimais me promener dans les allées du magasin, saluer les autres acheteurs, rayer des articles de ma liste et chercher ici et là des bonnes affaires.

    Puis vinrent les masques, les panneaux de distanciation sociale et les marqueurs de sol, la «Grande pénurie de papier toilette», et les étagères ravagées ou à moitié vidées, et mon plaisir descendit dans les tubes. Depuis, quand je mets un masque en entrant dans le magasin, un nuage noir de malheur m'enveloppe.

    La bibliothèque où j'avais l'habitude de lire et d'écrire apporte la même réaction. Après des mois de service en bordure de rue seulement, la bibliothèque a finalement ouvert ses portes au public, mais des masques étaient nécessaires. Je porte des lunettes et je ne pouvais donc pas voir l’impression à travers le brouillard. Les livres retournés ont été placés sous quarantaine de cinq jours, et les tables et les chaises du vestibule qui me plaisaient tant ont été enlevées. Au moins, la bibliothèque laisse toujours les clients s'asseoir. Lorsque j'ai récemment visité Asheville, en Caroline du Nord, les bibliothèques avaient enlevé toutes les tables et chaises sauf celles des postes de travail informatiques.

    J'ai été ravi lorsque les clients ont finalement été autorisés à entrer dans le coin salon du café, mais à ce jour, les clients doivent toujours remonter leurs masques en entrant, et les baristas désinfectent les tables entre les clients.

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  27. Quand je regarde ces mesures, certaines d'entre elles semblent désormais folles, comme la ruée vers le papier toilette au printemps dernier, ou la «mise en quarantaine» des livres de la bibliothèque, processus désormais réduit à trois jours. En ce qui concerne les masques, je ne peux m'empêcher de me demander pourquoi je vois encore des gens les porter en conduisant seuls dans des voitures, ou pourquoi des jeunes dans la vingtaine ou moins se promènent dans le centre-ville de Front Royal avec des masques à des températures de 50 degrés et un Vent de 10 milles à l'heure. Pourquoi au café devons-nous porter des masques lors de la commande, mais nous pouvons ensuite nous asseoir à une table à seulement 15 pieds de distance et parler, taper ou lire pendant deux heures sans se couvrir le visage ?

    Essentiellement, la dernière année de pandémie a eu des conséquences néfastes sur moi, et même maintenant, chaque fois que je mets un masque, lis les panneaux de distanciation sociale dans ces établissements ou écoute des rappels à la radio pour être en sécurité, je deviens déprimé ou en colère. .

    Mais voici la chose étrange. La semaine dernière, j'ai finalement décidé que cette réaction était saine et bonne, une prise de conscience qui à son tour m'a aidé à me sentir mieux et plus positive.

    Laisse-moi expliquer.

    Si au cours de l'année écoulée j'avais simplement réveillé un matin, haussé les épaules et accepté toutes ces restrictions comme normales, voire justifiées, alors mon acceptation aurait signifié ma reddition. J'aurais abandonné. Le masque serait devenu ma nouvelle norme, et éloigner, mettre en quarantaine les livres et assainir les tables ne m'irrite plus, ce serait plutôt des actes banals de la vie quotidienne.

    J'ai donc enfin réalisé que ma rage et mon irritation face à ces mesures signifient que je n’ai pas encore renoncé au bon sens ou à mes principes. Je pense toujours, et je soupçonne que je penserai toujours, que ce que nous avons laissé faire cette pandémie sur notre économie, sur l'éducation et la santé de nos jeunes, sur notre système politique et sur notre humanité même dépasse de loin le nombre de vies sauvées grâce à nos précautions uniques. Les lecteurs peuvent ne pas être d'accord, mais c'est ainsi que je vois les choses.

    Quant à ceux que je vois qui conduisent seuls masqués dans leur voiture, qui marchent le long d'un trottoir avec leur enfant de six ans coiffé d'un masque facial, ou qui se félicitent sur Facebook d'avoir reçu le vaccin - tant mieux pour vous. Je suis sérieux.

    Mais sachez que, dans mon esprit, bon nombre des règles adoptées au cours de l’année dernière me semblent déséquilibrées, mal dirigées et plus qu’un peu folles. J’ai généralement obéi à ces mesures parce que dans mon état, ce sont des mandats et parce que je ne veux pas angoisser mes connaissances au café ou à la bibliothèque.

    Le désordre de l’année écoulée - les émeutes, l’élection présidentielle, la tempête de décrets exécutifs de Joe Biden et tout le reste - n’a fait qu’ajouter à mon humeur noire. Encore une fois, cependant, je me rends compte que cela indique que je n’ai pas encore succombé à la folie.

    Marc Aurèle a écrit un jour: «L'objet de la vie n'est pas d'être du côté de la majorité, mais d'éviter de se retrouver dans les rangs des fous.»

    C’est l’objectif.

    https://www.chroniclesmagazine.org/blog/why-i-m-happy-i-m-sad/

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  28. La vilaine vérité sur l'énergie renouvelable


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 30 AVR 2021 - 05:00
    Rédigé par Irina Slav via OilPrice.com,


    Lorsque le Texas a littéralement gelé en février, certains ont blâmé les pannes de courant qui ont laissé des millions de Texans dans le noir sur les éoliennes. D'autres les ont imputés aux centrales électriques au gaz.

    La vérité n'est pas si simple politiquement. En vérité, les éoliennes et les usines à gaz ont gelé à cause du temps anormal.

    Et lorsque Berkshire Hathaway de Warren Buffet a déclaré qu'il avait des plans pour une capacité de production supplémentaire au Texas, il ne parlait pas d'éoliennes. Il parlait de plus de centrales électriques au gaz - dix gigawatts de plus.

    Alors que le Texas Freeze a fait la une des journaux aux États-Unis, outre-Atlantique, le seul pays européen produisant de l'électricité à partir de fermes solaires était la minuscule Slovénie. Et ce n'est pas parce que l'Europe n'a pas de capacité solaire - au contraire, elle en a une quantité substantielle. Mais l'Europe a connu un hiver brutal avec beaucoup de neige et de nuages. Malgré le fait souvent mentionné que les panneaux solaires fonctionnent mieux par temps plus frais, les températures inférieures à zéro sont bien plus drastiques que fraîches. Il ne s'agit même pas de mentionner la couverture nuageuse qui, sur la base des données de la carte électrique ci-dessus, n'a pas aidé.

    Si nous remontons quelques mois en arrière, il y a eu les pannes de courant en Californie du mois d'août sur lesquelles les responsables de l'État et d'autres ont insisté sur le fait que l'État dépendait fortement de l'énergie solaire et éolienne. La propre commission des services publics de l'État n'est pas d'accord.

    C'est ce que la California Public Utilities Commission et l'opérateur de réseau de l'État, CAISO, ont déclaré dans une lettre conjointe adressée au gouverneur Newsom à la suite des coupures de courant:

    «Le 15 août, le CAISO a connu des conditions d'approvisionnement similaires [au 14 août], ainsi que des fluctuations importantes de la production des ressources éoliennes lorsque la demande du soir augmentait. Les ressources éoliennes ont d'abord augmenté rapidement la production pendant 16 h (environ 1 000 MW), puis a diminué rapidement l’heure suivante. Ces facteurs, combinés à une autre perte inattendue de ressources de production, ont conduit à un besoin soudain de délestage pour maintenir la fiabilité du système. "

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  29. Plus loin dans la lettre, le CPUC et le CAISO avaient également ceci à dire:

    << Un autre facteur qui semble avoir contribué à la pénurie de ressources est la forte dépendance de la Californie à l'égard des ressources d'importation pour répondre aux besoins énergétiques croissants en fin d'après-midi et en soirée pendant l'été. Certaines de ces ressources importées soumissionnent sur les marchés énergétiques du CAISO mais ne sont pas garanties longtemps. contrats à terme. Cela pose un risque si les ressources d'importation deviennent indisponibles lorsqu'il y a des pénuries à l'échelle de l'Ouest en raison d'un événement de chaleur extrême, comme celui que nous connaissons actuellement. "

    Ces longues citations disent essentiellement une chose - et c'est une chose bien connue: la production d'énergie éolienne et solaire est intermittente, et cette intermittence est un problème. Ce problème continue d'être négligé dans le discours général sur les énergies renouvelables avec seulement quelques discussions occasionnelles sur la capacité de stockage. La raison ? Le stockage des batteries est assez coûteux et augmentera le coût de la production solaire et éolienne. D'où le risque de panne alors que la capacité d'énergie renouvelable continue d'augmenter.

    «Les gens se demandent comment nous avons survécu à la vague de chaleur de 2006», a déclaré le directeur général du CAISO, Stephen Berberich, en août dernier. "La réponse est qu'il y avait beaucoup plus de capacité de production en 2006 qu'en 2020 ... Nous avions San Onofre [centrale nucléaire] de 2 200 MW, et un certain nombre d'autres centrales, totalisant des milliers de MW pas là aujourd'hui."

    Dans un article récent pour Forbes, l'écologiste Michael Shellenberger a cité à la fois les pannes de Texas Freeze et de Californie d'août 2020 comme exemples de la raison pour laquelle il devrait y avoir moins de capacité solaire et éolienne ajoutée au réseau, pas plus: parce que plus il y a de capacité renouvelable, le plus le risque de pannes d'électricité.

    Le solaire et le vent sont des sources d'électricité dépendantes des conditions météorologiques et, comme le montrent les événements au Texas et en Californie, ils ne sont pas fiables, a écrit Shellenberger, fondateur et président de Environmental Progress, une organisation de recherche à but non lucratif. Il a également évoqué l'Allemagne, où un audit des plans de transition énergétique du pays a montré que certaines des projections étaient trop optimistes, tandis que d'autres étaient carrément invraisemblables.

    Les Allemands, comme ceux de Californie et de New York, en passant, paient plus pour l'électricité que les habitants des régions moins dépendantes des énergies renouvelables. Alors que certains peuvent parfaitement accepter de payer plus pour une électricité plus propre, tout le monde ne peut pas se le permettre à long terme. Et une énergie abordable est cruciale pour la civilisation, note Shellenberger.

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  30. L'abordabilité est une condition essentielle de l'énergie si elle veut contribuer à l'amélioration du niveau de vie, même si nous retirons la croissance économique de l'équation car elle semble être très dépassée ces jours-ci dans la lutte contre le changement climatique. Pourtant, une énergie abordable est l'une des forces motrices de l'égalité entre les différentes communautés à travers le monde. Et il en va de même pour une énergie fiable.

    L'abordabilité et la fiabilité sont donc les deux choses que les bonnes sources d'énergie doivent être. Le solaire et l'éolien, contrairement à l'hydroélectricité, qui est également une source renouvelable, ne peuvent être que l'une de ces deux choses, et ce, s'il n'y a pas de stockage inclus. Ils peuvent être abordables, comme on nous le rappelle souvent. Pourtant, malheureusement, ils ne peuvent pas être fiables.

    Cela signifie que plus les milliards sont investis dans l'augmentation de la capacité renouvelable, plus le risque de nouvelles pannes est grand. Peut-être qu'à un moment donné, si le vent et le solaire deviennent les principales sources d'électricité, les autorités devront instituer des pannes planifiées.

    L'auteur de cet article a grandi dans les années 1980 en Bulgarie - une époque où le gouvernement socialiste du pays exportait tellement d'électricité pour des paiements en devises fortes que les pannes de courant faisaient partie de la vie. Ce n'était pas une vie particulièrement pratique, mais des millions de personnes vivaient ainsi en Bulgarie et en Roumanie. Il convient de mentionner, cependant, que dans les années 80, les gens n'étaient pas constamment en ligne. Depuis, notre consommation d'énergie a grimpé en flèche.

    Pour être juste, la disponibilité limitée de l'électricité aurait un effet incroyablement positif sur les émissions de gaz à effet de serre. Autrement dit, si la limitation provient de la quantité limitée d'énergie produite plutôt que d'exportations excessives. En fin de compte, d'un point de vue environnemental, une dépendance écrasante à l'énergie éolienne et solaire, et les pannes de courant planifiées qui sont très susceptibles de résulter de cette dépendance, iraient dans une large mesure vers les objectifs de l'Accord de Paris. Bien entendu, cela coûterait aux gens certains inconvénients et la perte d'activité économique, scientifique et médicale. Mais si la priorité numéro un est la lutte contre le changement climatique, alors la fin doit sûrement justifier les moyens.

    https://www.zerohedge.com/energy/ugly-truth-about-renewable-power

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  31. Suivant sur la liste des catastrophes américaines ? Une mégadrought occidentale


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 29 AVR 2021 - 17h10
    Rédigé par Robert Wheeler via le blog The Organic Prepper,


    J'ai écrit de nombreux articles pour The Organic Prepper sur les pénuries alimentaires à venir. Pas seulement aux États-Unis, mais partout dans le monde. La nourriture n'est pas la seule chose qui va bientôt manquer.

    L'eau douce et propre semble être l'une des principales pénuries auxquelles l'humanité est confrontée aujourd'hui. Et ce problème ne fera qu'empirer à l'avenir. L'Occident américain est confronté à une crise de l'eau inédite depuis la Grande Dépression et le Dust Bowl. Ironique, car nous constatons également de nombreuses similitudes avec la Grande Dépression.

    Cette dernière année, la sécheresse dans l'Ouest américain s'est aggravée
    Selon une étude publiée dans le Journal Science, certaines parties des États-Unis sont entrées dans les premiers stades de la méga-sécheresse.

    - voir graphiques sur site -

    Depuis le site de l'Université Columbia:

    Au total, les chercheurs affirment que la hausse des températures est responsable d'environ la moitié du rythme et de la gravité de la sécheresse actuelle. Si ce réchauffement global était soustrait de l'équation, la sécheresse actuelle se classerait au 11e rang des pires découvertes - mauvaise, mais loin de ce qu'elle est devenue.

    «Peu importe que ce soit exactement la pire sécheresse de tous les temps», a déclaré le co-auteur Benjamin Cook, affilié à Lamont et au Goddard Institute for Space Studies. «Ce qui compte, c'est que la situation a été bien pire qu'elle ne l'aurait été à cause du changement climatique.» Étant donné que les températures devraient continuer d'augmenter, il est probable que la sécheresse se poursuivra dans un avenir prévisible; ou se fanent brièvement seulement pour revenir, disent les chercheurs.

    «Parce que le fond se réchauffe, les dés sont de plus en plus chargés de sécheresses plus longues et plus graves», a déclaré Williams. «Nous aurons peut-être de la chance et la variabilité naturelle entraînera plus de précipitations pendant un certain temps. Mais à l'avenir, nous aurons besoin de plus en plus de chance pour sortir de la sécheresse, et de moins en moins de malchance pour retourner dans la sécheresse. » Williams a déclaré qu'il était concevable que la région puisse rester aride pendant des siècles. «Ce n’est pas ma prédiction pour le moment, mais c’est possible», a-t-il déclaré.

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  32. Si ce n'est le changement climatique, qu'est-ce qui a causé la sécheresse dans l'Ouest américain?
    Les HSH, la gauche anti-humaine et anti-progrès hurlent que le changement climatique a causé la sécheresse. Là encore, quand hurlent-ils un autre coupable en dehors du changement climatique, du racisme ou du COVID?

    Il existe de nombreuses causes de la sécheresse dans l'Ouest américain, certaines d'origine humaine et d'autres naturelles. La sécheresse peut être due uniquement ou associée aux conditions météorologiques; actions économiques ou politiques; ou population et agriculture.

    Le fait est que cela se produit. La sécheresse est là. Ceux d'entre nous qui sont au courant doivent être prêts à y faire face.

    Le fleuve Colorado connaît une sécheresse comme jamais auparavant
    Le fleuve Colorado lui-même connaît une sécheresse qui affectera plusieurs États et le Mexique. Cela affectera également l'approvisionnement alimentaire, la production économique et la topographie des terres dans tout l'Ouest américain.

    Le plus grand réservoir de la rivière, le lac Mead, a considérablement diminué au cours des vingt dernières années. Il ne représente plus que 40% de sa pleine capacité. Cet été, le lac Mead devrait tomber à son niveau le plus bas depuis le remplissage dans les années 1930, après la construction du barrage Hoover.

    - voir graphiques sur site -

    Le réservoir près de Las Vegas approche rapidement d'un point qui entraînera la toute première déclaration de pénurie par le gouvernement fédéral. Cette déclaration entraînera des coupes dramatiques dans les livraisons d'eau à l'Arizona, au Nevada et au Mexique.

    L'Arizona est en ligne pour les réductions les plus importantes dans le cadre d'un accord de 2019 visant à empêcher le lac Mead de tomber à des niveaux critiques.

    Les cours d'eau du Colorado diminuent en raison de la sécheresse

    Les cours d'eau qui alimentent la rivière dans son cours supérieur dans les montagnes Rocheuses se sont considérablement rétrécis au cours de la dernière année. Le sol aride de son bassin versant absorbe la neige fondante. La quantité d'eau projetée tomber dans le lac Powell à la limite de l'état de l'Arizona et de l'Utah au cours des quatre prochains mois est parmi les totaux les plus bas depuis des années. (Environ 45 % de la moyenne à long terme.)

    Cette sécheresse s'est dramatiquement aggravée au cours de la dernière année, non seulement pour le fleuve Colorado, mais à travers l'Ouest. Il y a un an, environ 4 % de l'Ouest était en période de grave sécheresse. Maintenant, ce nombre est d'environ 58 %. C’est 58 % qui sont en période de sécheresse sévère, extrême ou exceptionnelle.

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  33. Les incendies de forêt, les récoltes mourantes, la diminution de l'eau alimentent tous les résultats potentiels de la sécheresse
    Cela signifie que les pâturages sont desséchés, ce qui conduit certains éleveurs à vendre leur bétail et à réduire leurs troupeaux. Certains agriculteurs indigènes qui dépendent des pluies ont vu leurs récoltes se faner.

    En Arizona, les responsables mettent en garde contre le risque d'incendies de forêt particulièrement graves en conséquence. Dans les rivières Salt et Verde, qui approvisionnent Phoenix en eau, le manteau neigeux était bien inférieur à la moyenne, ce qui réduisait le ruissellement et réduisait la quantité d'eau s'écoulant dans les réservoirs.

    Certains disent que nous ne pouvons rien faire contre la sécheresse
    Mais les Malthusiens travaillent dur, suggérant que le changement climatique nous tue tous et qu'il n'y a rien d'autre à faire que de vivre avec moins.

    Tom Buschatzke, directeur du département des ressources en eau de l'Arizona, a déclaré:

    Nous devrons peut-être apprendre à vivre en permanence avec moins de 2,8 millions d'acre-pieds d'eau du fleuve Colorado. «Le défi sera de trouver une voie à suivre dans laquelle nous continuerons de protéger le lac Mead, de continuer à chercher à faire ce que nous pouvons faire pour rendre le fleuve Colorado plus durable à de nombreuses fins différentes, et de trouver un plan qui soit aussi simple que possible.

    «Il est important que les gens comprennent que nous avons affaire non seulement à un système limité, mais aussi à un système en diminution et que cela a de réelles implications pour l'utilisation de l'eau dans tout le bassin du Colorado», a déclaré Anne Castle, Senior Fellow à l'Université du Colorado Law. Centre des ressources naturelles Getches-Wilkinson des écoles.

    Il y a quelques années, la Californie restreignait intensément l'utilisation de l'eau. Bien que Politifact et Snopes aient tenté de qualifier l’article de Daisy de fiction, il s’est avéré que son article était en effet vrai. Cela a attiré l’attention d’un lecteur sud-africain qui partageait les restrictions de l’utilisation de l’eau pour les citoyens ordinaires, ce qui donnait à la Californie une apparence tout à fait généreuse.

    La sécheresse et d'autres facteurs susceptibles de conduire les citoyens à mendier de l'eau
    Quelle que soit la cause ou la solution proposée, le fait est que les États-Unis seront bientôt confrontés à une crise de l'eau. Les pénuries de cultures et les migrations qui découleront de cette pénurie sont susceptibles d'éclipser tout ce qui a été vu dans l'histoire américaine.

    De plus, la privatisation des ressources en eau et la lutte pour le contrôle de l'indépendance de l'eau pourraient amener les Américains à se retrouver comme de véritables paysans. Allons-nous mendier pour avoir accès à de l'eau propre et potable auprès d'entreprises privées et du gouvernement?

    En 2021, l'eau n'est qu'une autre victime de la grande réinitialisation.

    https://www.zerohedge.com/weather/next-list-american-catastrophes-western-megadrought

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    1. Quand il y a des millions de tonnes d'eau du Colorado qui se déversent tous les jours en Californie dans le Pacifique et que l'on dit qu'on 'manque d'eau'.... Hahahaha !

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  34. Pouvons-nous exploiter l'énorme puissance des volcans des grands fonds ?


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 29 AVR 2021 - 18h30
    Rédigé par Tsvetana Paraskova via OilPrice.com,


    Les scientifiques ont découvert que les volcans au plus profond de l'océan déchargent tellement de potentiel énergétique lorsqu'ils éclatent qu'ils pourraient théoriquement alimenter l'ensemble des États-Unis. Des scientifiques de l'Université de Leeds au Royaume-Uni ont recueilli des données via des véhicules télécommandés sur l'activité volcanique des eaux profondes dans le nord-est du Pacifique. Ils ont constaté que les volcans océaniques étaient aussi intrigants à étudier que les volcans terrestres, bien que l'observateur n'obtienne pas des vues aussi spectaculaires sur les volcans en éruption océanique que sur ceux sur terre.

    Les scientifiques de l'Université de Leeds suggèrent dans leurs recherches, publiées cette semaine dans la revue Nature Communications, que les volcans sous-marins créent les soi-disant mégaplumes hydrothermaux lorsqu'ils éclatent. Les chercheurs estiment que des taux d'énergie extrêmement élevés sont déchargés pendant ces éruptions.

    "Le taux d'énergie libérée et nécessaire pour transporter les cendres aux distances observées est extrêmement élevé - équivalent à la puissance utilisée par l'ensemble des États-Unis", a déclaré l'Université de Leeds à propos des recherches menées par le Dr Sam Pegler, de l'école. de mathématiques, et le Dr David Ferguson, de la School of Earth and Environment.

    La libération rapide de l’immense énergie des éruptions sous-marines signifie que les éruptions volcaniques sous-marines conduisent à la vidange rapide des réservoirs de fluides chauds dans la croûte terrestre. Alors que le magma se fraye un chemin vers le fond marin, il entraîne ce fluide chaud avec lui, disent les scientifiques.

    «Nos résultats démontrent que les intervalles de décharge hydrothermale rapide sont probablement monnaie courante pendant le volcanisme des grands fonds marins», ont déclaré les chercheurs dans leur article.

    «L'observation d'une éruption sous-marine en personne reste extrêmement difficile, mais le développement d'instruments basés sur le fond marin signifie que les données peuvent être diffusées en direct au fur et à mesure que l'activité se produit», a déclaré le Dr Ferguson dans un communiqué.

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  35. Bien que les scientifiques aient maintenant commencé à comprendre le fonctionnement des volcans océaniques, l'exploitation de l'immense énergie pourrait être impossible.

    L'énergie géothermique terrestre est une chose, mais capter l'énorme énergie des profondeurs de l'océan Pacifique pourrait être une toute autre histoire.

    Les grandes sociétés pétrolières ont décidé d'investir dans l'énergie géothermique terrestre. L'une des dernières a été une annonce de la supermajeure américaine Chevron le mois dernier, selon laquelle elle a investi dans une société d'investissement privée axée sur le développement et l'exploitation d'actifs géothermiques et d'énergie thermique à basse température aux États-Unis et dans le monde.

    Le département américain de l'Énergie déclare que «la géothermie est le géant américain inexploité de l'énergie», soulignant dans son analyse que ce type de ressource d'énergie renouvelable flexible «toujours active» pourrait être multipliée par 26 pour produire 8,5 % de l'électricité américaine d'ici 2050.

    Les ressources géothermiques aux États-Unis sont énormes, mais l'énergie géothermique ne représentait que 0,4 % de la production totale d'électricité à l'échelle des services publics aux États-Unis en 2020, selon les données de l'EIA. À l'échelle mondiale, l'Amérique est en tête de la production d'électricité géothermique, mais à l'échelle américaine, la géothermie représente une part négligeable de la production totale d'électricité.

    Cependant, la production d'énergie géothermique à proximité d'une activité volcanique est plus risquée à exploiter, comme l'a montré un incident récent.

    À Hawaï, les coulées de lave du volcan Kilauea ont conduit à l'arrêt de la centrale électrique de Puna Geothermal Venture en 2018, qui a volontairement cessé ses opérations avant l'approche de la coulée de lave. La centrale de 38 mégawatts (MW) est la seule centrale géothermique de l’île, et elle a produit environ 29 % de la production d’électricité de l’île en 2017, selon les données de l’EIE.

    En 2018, lors de l'éruption du volcan Kilauea, les puits de production d'une centrale géothermique ont été bouchés pour empêcher le rejet de gaz toxiques.

    La centrale électrique est revenue en ligne en novembre 2020, envoyant de l'électricité au réseau de l'île d'Hawaï deux ans et demi après l'éruption du volcan Kilauea l'a mise hors service.

    Le développement de l'énergie géothermique à proximité de volcans actifs sur terre n'est pas sans risques. Dans l'océan, l'énergie des volcans sous-marins pourrait être énorme, mais elle ne sera probablement jamais exploitée. Pourtant, la compréhension de l'activité des volcans océaniques profonds pourrait donner aux scientifiques un meilleur aperçu du fonctionnement de la Terre et de ses effets sur la vie marine.

    https://www.zerohedge.com/energy/could-we-harness-tremendous-power-deep-ocean-volcanoes

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    1. Depuis très longtemps les mineurs au fond des puits s'étaient aperçu qu'il faisait plus chaud en profondeur qu'au niveau su sol et, des scientifiques de l'Université de Leeds au Royaume-Uni de penser aussi qu'il n'y aurait pas de vie sous-marines sans apport d'oxygène et que les gaz remontent dans les eaux (bulles) et ne peuvent descendre en elles depuis la surface (!).
      Çà alors !!

      D'où à la lecture (peut-être) du VERT BAVOIR qu'ils s'instruisirent de la découverte qu'en profondeurs maritimes & océaniques il pourrait y avoir des volcans ! Âh bêh merde alors !
      Oui mais ces cons (de l'Université de Leeds au Royaume-Uni) prétendirent derechef que l'on pouvait capeter de la truc en chaleur en y mettant un tuyau. (HAHAHAHA !)

      Pas de bol, les sources chaudes magmatiques se déplacent tous le temps ! (partent en vacances !) et, tandis que certaines se bouchent aux planchers maritimes & océaniques, d'autres s'ouvrent un peu plus loin. C'est comme cela que les températures évoluent en surface. Les 'lames de fonds' (courants marins) remontent les chaleurs en surface aux arrivées des côtes mais, si certaines ouvertures sont bouchées... elles ne peuvent donc remonter de la chaleur ! Çà alors !

      Il n'y en a pas pour très longtemps pour que ces cons obtiennent des crédits pour construire la première centrale électrique mobile au fond des eaux afin que tournent les rotors producteurs d'électricité ! Whôaw !

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  36. Inversion du champ magnétique terrestre : une menace pour l’humanité


    le 30 avril 2021


    Les écologistes ont clamé que l’homme était un destructeur impitoyable de la nature en utilisant des arguments non prouvés. Ça s’appelle de l’anti-science car affirmer que la cause de la disparition de la mégafaune d’Europe est le résultat de l’instinct de prédation de l’homme est faux. Les mammouths laineux ou encore les tigres à dents de sabre n’ont pas été exterminés par les hommes modernes du continent eurasiatique venus d’Afrique il y a environ 100 000 ans, de même que l’homme de Neandertal n’a pas non plus été exterminé par ces hommes modernes dont nous descendons. Bien au contraire ils ont sympathisé à tel point que nous avons hérité de ces néandertaliens de quelques caractéristiques génétiques. D’autre part alors que le champ magnétique terrestre diminue ( moins 9 % durant les 170 dernières années) et que le pôle magnétique se dirige vers la Sibérie de plus en plus rapidement les spéculation au sujet d’une inversion du champ magnétique terrestre prennent de l’ampleur. Les impacts économiques que pourrait entrainer un tel événement sont difficiles à estimer. Il faut retourner dans le passé pour se faire une idée précise de ce qui pourrait arriver dans un futur pas très lointain. L’objet de ce billet est de présenter ce qui arriva sur la Terre lors de la dernière inversion du champ magnétique terrestre.

    - voir carte sur site -

    Tout est arrivé il y a 42 000 ans et l’homme moderne a survécu parce qu’il avait un cerveau plus développé et a appris à s’adapter à ce que les géologues appellent la « Laschamps Excursion ». Ne vous méprenez pas il n’y avait pas de dénommé Laschamps il y a 42 000 ans et le mot excursion doit être pris au sens scientifique qui signifie perturbation ou sortie d’un état normal. Et en effet la Terre vécut un perturbation considérable provoquée par une brutale inversion du champ magnétique terrestre qui a duré un peu plus de 1000 ans. Cette inversion du champ magnétique a été découverte pour la première fois en étudiant les coulées de lave issues du volcan de Laschamps sur la commune de Saint-Genès-Champanelle, Puy-de-Dôme. Les études réalisées en 1969 sur ce site ont montré une inversion du champ magnétique terrestre mais les techniques analytiques de l’époque paraissent aujourd’hui préhistoriques et les travaux publiés à l’époque restent très spéculatifs. Des études très récentes dirigées par l’Australian Research Council ont utilisé pour étudier l’évènement de Laschamps des restes de troncs d’anciens arbres Kauri, une espèce d’araucaria (Agathis australis) parfaitement conservés dans des tourbières de la péninsule nord de l’île nord de la Nouvelle-Zélande.

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  37. - voir carte sur site -

    L’inversion du champ magnétique terrestre comprend trois phases. La première est caractérisée par une diminution progressive de l’intensité du champ magnétique terrestre. Ce processus a pour conséquence d’exposer la Terre au vent solaire et aux rayons cosmiques qui ne sont plus déviés par ce champ magnétique. Ils heurtent alors frontalement les hautes couches de l’atmosphère provoquant une profonde perturbation de la couche d’ozone. Le rayonnement cosmique induit une abondance inhabituelle des isotopes 10 du béryllium et 14 du carbone, phénomène appelé spallation cosmique. Connaissant les demi-vies de ces deux isotopes, respectivement 1,4 million d’années et 5730 ans, la chute de l’intensité du champ magnétique terrestre au cours l’évènement Laschamps a pu être datée avec une grande précision, autour de 42000 ans avant l’ère commune. Outre l’appauvrissement de la haute atmosphère en ozone, le climat a été brutalement perturbé mettant fin à une période relativement clémente par une tout aussi brutale glaciation qui a affecté l’ensemble de l’hémisphère boréal, d’où la disparition de la mégafaune et la mise en grave danger des Néandertaliens qui n’ont pas su s’adapter. L’article cité en référence en fin de billet ne mentionne pas la formation de nuages de haute altitude en raison du rayonnement cosmique intense comme l’a suggéré Svensmark mais les études ont mis en évidence une forte augmentation en altitude des oxydes d’azote et des radicaux libres HO, CO, et NO non pas provenant d’une activité volcanique mais probablement en raison de l’action conjuguée du rayonnement cosmique et du vent solaire non dévié par le champ magnétique terrestre fortement amoindri au cours de cette transition. Le changement du climat a été global puisque la zone de convergence intertropicale s’est déplacée vers le sud entrainant un changement profond du climat de l’hémisphère nord avec une intense glaciation du continent nord-américain, une perturbation du régime des moussons en Asie, bref il fallut que l’homme anatomiquement moderne invente des moyens de survie inédits ce que n’a pas su imaginer l’homme de Neandertal.

    Il est intéressant de rapprocher cette « excursion » de l’essor de l’art pariétal dans le sud de la France et le nord de l’Espagne à la même époque comme par exemple dans la grotte d’El Castillo, où l’usage presque exclusif de l’ocre comme pigment a fait émerger l’hypothèse que nos ancêtres se recouvraient peut-être le corps de cette terre fine pour se protéger du rayonnement ultra-violet intense puisque les peintures et empreintes en négatif des mains a été précisément daté de 41 400 ans avant l’ère commune. À n’en pas douter cette catastrophe géophysique, son peut parler de cet événement ainsi, constitue un goulot d’étranglement dans l’évolution de l’espèce humaine, un terme signifiant aussi sélection naturelle. Nos ancêtres directs ont survécu et nous survivront à d’autres changements du climat …

    Source et illustration : 10.1126/science.abb8677

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/04/30/inversion-du-champ-magnetique-terrestre-une-menace-pour-lhumanite/

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  38. Échec massif de mercredi de 20 milliards de dollars d'énergie éolienne en Australie


    Qu'est-ce qui pousse sur une «ferme» éolienne ? Vaches endettées


    April 30th, 2021


    Mercredi, presque tous les éoliennes du pays sont tombées en panne. Environ 4 000 turbines réparties dans cinq États d'Australie ont été touchées par une sorte de crise du carburant simultanée. À un moment donné, toute l’énergie éolienne de notre réseau national ne produisait que 3 % de l’électricité australienne, et c’était la meilleure partie de la journée. Au pire, toutes ces turbines produisaient environ 1,2 % de la puissance dont nous avions besoin. C'était si mauvais.

    Partout au pays, quelque 15 à 20 milliards de dollars d'infrastructures sont paralysés.

    Bienvenue dans l'avenir de l'énergie verte propre:

    - voir graphique sur site -

    Production totale du parc éolien 28 avril Australie.
    La ligne noire sur cette image représente la production totale d'électricité au cours de la journée, ce qui équivaut également à la consommation d'énergie au cours de la journée. La couleur verte qui roule le long du fond est la génération du vent, tout au long de la journée. Qui paie la batterie de secours pour ces non-fermes dysfonctionnelles ?

    Comme dirait Rafe Champion - c'était un «point d'étranglement» toute la journée.

    Ce serait bien de croire que cet incident était dû à toutes les anciennes tours à vent défaillantes qui étaient autrefois des bêtes de somme fiables. Si seulement. Ensuite, il y aurait espoir que nous pourrions arranger les choses. Mais il s'agissait pour la plupart de nouvelles tours, et c'est aussi bien que possible.

    Nous pourrions doubler l'argent et construire un stockage d'énergie Snowy 2.0, des interconnexions d'État et des batteries. Sinon, nous devons simplement payer le soleil, la lune et l'oscillation australe.

    Ou, bien sûr, nous pourrions sauvegarder 99 % de l'ensemble du réseau avec des combustibles fossiles (et un peu d'hydro), ce que nous faisons. Mais alors, les parcs éoliens sont complètement superflus, sauf pour que les Verts se sentent bien et que l'industrie des énergies renouvelables soit riche.

    Les combustibles fossiles sauvent la situation. Graphique.

    - voir graphique sur site -

    TonyfromOz estime que nous obtenons une journée comme celle-ci une fois par an, mais il y a beaucoup de compressions de 6 heures lorsque les 4000 turbines et plus font encore moins. Une batterie ne couvrira tout simplement pas cela…

    Qui paie la sauvegarde ? Nous le peuple.

    Comme le dit TonyfromOz: comparez la productivité d'une centrale à charbon vieille de 50 ans

    Regardons l’ancien vieux clunker Liddell, qui tousse maintenant son dernier, après 50 ans d’exploitation. Seules deux de ses quatre unités sont en service, et les deux fonctionnent à une capacité très réduite. Liddell a fourni plus d'électricité tout au long de la journée que TOUTES les éoliennes du pays, en fait neuf pour cent de puissance en plus sur toute la période d'enregistrement de 24 heures.

    Ainsi, ce jour-là, chaque centrale éolienne en Australie ne peut pas égaler la livraison de la moitié de la plus ancienne centrale au charbon du pays.

    Nous avons dépensé quelque 20 milliards de dollars pour obtenir un générateur de 8 GW qui ne fonctionne pas la plupart du temps. Liddell, s'ils le réparaient, et qu'il pourrait fonctionner dans un marché libre et équitable, serait toujours rentable.

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  39. BTW - Les graphiques proviennent d'Anero.id, un site mis en place par un seul homme - Andrew Miskelly - qui fournit un service essentiel que notre AEMO bien financé et l'ensemble du ministère de l'Énergie et de l'Infrastructure ne parviennent pas à fournir. C'est incroyable ce qu'un gars brillant et déterminé peut faire.

    Pour plus d'informations, voir TonyfromOz: Puissance journalière pour le mardi 28 avril: L'énergie éolienne toute la journée produisait entre 1 et 3% des besoins totaux du réseau.

    Références et estimations ci-dessous

    Le coût approximatif et la taille de la flotte éolienne australienne

    Sur le papier, il y a 8 100 MW d'énergie éolienne théorique sur le marché national de l'énergie en Australie.

    (Une fois, pendant cinq minutes, toutes les turbines ont produit 5 310 MW).

    La plus grande installation de Victoria - le «parc» éolien de MacArthur - a coûté plus de 1 milliard de dollars pour une soi-disant centrale de 420 MW qui fonctionne comme un générateur de 100 MW, sauf toutes les fois où ce n’est pas le cas. À ce rythme, le coût de construction de toutes les centrales éoliennes en Australie s'élève à environ 19 milliards de dollars.

    La plus grande usine d'Australie est la centrale éolienne de Coopers Gap, et son coût était de 850 millions de dollars pour une centrale de 452 MW. Avec ces nouvelles économies en vrac, la construction totale en Australie pour 8 GW d'énergie éolienne serait d'environ 16 milliards de dollars. Mais nous avons probablement dépensé beaucoup plus.

    La tour éolienne moyenne est de 1,95 MW, il doit donc y avoir environ 4200 tours éoliennes en Australie pour ajouter jusqu'à 8,1 GW à la capacité totale de la plaque signalétique.

    Le facteur de capacité actuel de l'énergie éolienne en Australie est d'environ 29,5% selon Tony. C’est comme s’il s’agissait d’un générateur de 2400 MW vraiment peu fiable.

    https://joannenova.com.au/2021/04/wednesdays-mass-failure-of-20-billion-worth-of-wind-power-in-australia/#more-77211

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  40. Qui sème le vent récolte la tempête ? Le gouvernement veut des éoliennes, mais pourrait les payer aux élections


    19:17 30.04.2021


    Le gouvernement tente de relancer l’éolienne en mer. Des centaines d’entre elles doivent voir le jour sur le littoral. Un second souffle auquel ne croit pas Fabien Bouglé, qui dépeint une fronde qui monte dans les provinces contre l’installation d’éoliennes que leur impose Paris. Pour l’essayiste, la question éolienne s’invitera aux élections.

    «Vu la colère que j’observe dans le monde rural, je ne vois pas comment cela peut continuer. C’est impossible.»
    Réagissant Fabien Bouglé n’y va pas par quatre chemins. En début de semaine, le gouvernement annonçait les candidatures retenues pour développer et opérer la huitième centrale d’éoliennes au large des côtes françaises.

    Le signe d’un «nouveau départ» de l’éolien maritime, saluait une partie de la presse nationale. Un «chant du cygne», ironise pour sa part l’auteur du livre Éoliennes: la face noire de la transition écologique (Éd. du Rocher, 2019). «Dix ans après le bouclage de ces premiers appels d’offres, il n’y a toujours pas d’éolienne en mer en France», exception faite d’un démonstrateur qui a vu le jour au Croisic, raille l’essayiste.

    «Ils essaient à tout prix d’imposer leurs éoliennes marines, contre vents et marées, en détruisant l’activité maritime», enfonce-t-il le clou. «Parce que madame Pompili, qui est l’allié objectif des industriels de l’éolien, continue de diffuser de fausses informations sur l’acceptabilité des éoliennes en mer», accuse Fabien Bouglé.
    Celui-ci rappelle la mobilisation contre l’installation des précédentes centrales d’éoliennes le long des côtes françaises. En juin 2017, un groupe d’associations de pêcheurs des côtes de la Manche et de l’Atlantique avait déposé plainte contre l’État français auprès de la Commission européenne. Leur angle d’attaque: les «dizaines de milliers d’emplois» menacés, tant dans la pêche que dans l’activité touristique. Ils refusaient l’émergence sur les côtes des centaines d’éoliennes «de 185 à 216 mètres de haut». Des projets en «contradiction avec les politiques de protection de l’environnement marin», «hautement subventionné» et «qui priment les activités économiques existantes», accusaient ces pécheurs qui fustigeaient alors la «parodie de concertation démocratique» menée par le ministère de l’Écologie.

    Les pêcheurs refusent de se voir «imposer les éoliennes marines contre vents et marées»

    Si aujourd’hui, la ministre de la Transition écologique a fait savoir qu’elle voulait que ce huitième contrat éolien maritime soit acté «avant l’élection présidentielle de 2022», cette échéance figure également à l’agenda de Fabien Bouglé. Selon lui, il ne fait aucun doute que «l’éolien va être l’un des sujets clivants de la campagne présidentielle» sur les thématiques de l’écologie et de la souveraineté énergétique. «Il y aura un vrai vote anti-éolien» en 2022, prédit-il, en évoquant de surcroît le positionnement anti-éolien de plusieurs candidats pour les Régionales du mois de juin.

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  41. Parmi les principaux prétendants à l’investiture suprême, Marine Le Pen et Xavier Bertrand ont fait connaître leur intention de rompre avec la politique énergétique actuelle. «Il y en a marre […] il faut aussi dire les choses très clairement, c’est devenu un scandale !», s’emportait ce dernier, mi-avril, au micro de Jean-Jacques Bourdin. Le président de la région Hauts-de-France ne s’est toutefois pas déclaré contre l’implantation d’éoliennes en haute mer.

    «La multiplication des éoliennes en France, la suppression des voies de recours et l’allègement des procédures pour faciliter leur installation par les promoteurs, crée une colère populaire profonde, un rejet, qui aura des conséquences dans le cadre des élections présidentielles», affirme Fabien Bouglé.

    Un rejet qui se ressent à la lecture de la presse régionale, où l’unanimité en faveur des éoliennes prônée par le gouvernement disparaît soudain.

    Échéances électorales: vers un vote anti-éolien ?

    Plaintes de riverains pour nuisances sonores ou exaspérés à cause de leurs logements devenus invendables, mobilisation contre des projets de construction, voire des attaques au cocktail Molotov contre les chantiers, sans parler de cas de surmortalité dans des élevages bovins… Pas une semaine ne passe sans son lot d’actualités témoignant des crispations engendrées par l’implantation tous azimuts des aérogénérateurs sur le territoire français.

    Face aux inquiétudes que des parlementaires remontent, du côté du boulevard Saint-Germain, on met en avant la «visibilité» offerte aux élus locaux sur les implantations d’éoliennes et le fait que «leur avis est systématiquement demandé lors de l’enquête publique», à défaut de leur octroyer un droit de veto. En témoigne la réponse adressée mi-mars à Hervé Maur, sénateur de l’Eure, par Bérangère Abba, secrétaire d’État chargée de la Biodiversité. Cette ex-conseillère municipale de Chaumont lui a expliqué que régions et collectivités n’avaient qu’à s’entendre sur la manière de remplir les «objectifs de développement de chaque énergie renouvelable» fixés par Paris.

    «Invasion éolienne»: la colère monte en France

    Des objectifs régulièrement décuplés. Au printemps 2016, Ségolène Royale signait un arrêté pour doubler le parc éolien terrestre d’ici 2023. La Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) impulsée par Barbara Pompili prévoit l’installation de 15.000 nouvelles éoliennes en France à l’horizon 2035. «Quand on est dans une forme d’excès, la situation se retourne forcément contre vous», tranche Fabien Bouglé.

    «C’est une autre rupture sociologique entre le milieu parisien, qui peut se déplacer en métro et en vélo, et la campagne qui subit la délocalisation de la pollution avec les éoliennes. Il ne faut pas se leurrer, les éoliennes dans les campagnes ne sont qu’une délocalisation de la pollution des centres urbains», assène l’essayiste.
    «Je ne vois pas comment le prochain Président ou Présidente de la République ne sera pas contraint d’arrêter les éoliennes», continue-t-il. En juillet dernier, ce sont pas moins de 165 associations environnementales qui, en Nouvelle-Aquitaine, ont déposé un recours devant le tribunal administratif contre un document de la région qui selon eux validerait «l’invasion éolienne».

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  42. Rien que ce mois-ci, 22.000 signataires d’une pétition appellent Emmanuel Macron «à sauver» la montagne Sainte-Victoire. Ce massif du Haut-Var, labélisée «Grand site de France», qui doit sa renommée mondiale au peintre Paul Cézanne, fait l’objet d’un projet de construction de 22 éoliennes de 125 mètres (l’équivalent d’une tour de 46 étages).

    Une partie a déjà été installée dans une zone Natura 2000. Cette zone protégée a été partiellement déboisée afin de permettre aux semi-remorques, transportant les palles et les 1.500 tonnes de béton nécessaires aux fondations de chacune des éoliennes, de passer. Une situation qui écœure tant les associations de défense de l’environnement qu’une partie des riverains. Autre information en apparence plus anecdotique, mais qui interpelle, le cas d’Ambernac, une commune charentaise de 400 âmes, qui sera bientôt cernée par un septième champ d’éoliennes, au grand dam de ses habitants.

    Au bouleversement du quotidien des Français résidant en province s’ajoute une autre question d’ordre national: celle de la souveraineté énergétique du pays, qui pour l’heure dépend encore d’EDF, son énergéticien historique national. Actuellement cible de la Commission européenne, qui pousse depuis des années la France sur la voix d’une coûteuse politique visant à encourager une concurrence, dont les éoliennes ne sont finalement que la part émergée de l’iceberg.

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  43. Le livre que vous voudrez lire avant qu'il ne disparaisse


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    1er mai 2021


    Dans cette vidéo, Ronnie Cummins, fondateur et directeur de l'Organic Consumers Association, et moi discutons de «La vérité sur le COVID-19 - Exposer la grande réinitialisation, les verrouillages, les passeports de vaccins et la nouvelle normalité», que nous avons co-écrit.

    - voir clip sur site -

    Le livre est sorti hier. Si vous avez précommandé, merci ! Si vous ne l’avez pas fait, vous pouvez maintenant le récupérer sans délai.

    Merci pour tout votre soutien avec le livre. Ce sera un best-seller écrasant, et probablement le n ° 1 aux États-Unis. Nous avons précommandé 50 000 exemplaires, mais Amazon nous a dit il y a quelques semaines qu'il avait besoin de 100 000 exemplaires, ce qui ne se produit que quelques fois par an pour tout nouveau livre. Les commandes ont été passées il y a des semaines, mais cette pandémie a considérablement perturbé l'industrie de l'imprimerie, de sorte que l'impression des livres prend beaucoup plus de temps qu'auparavant.

    Pour cette raison, vos livres seront livrés un peu plus tard que prévu. Cependant, si vous êtes comme moi et que vous ne lisez que des livres Kindle, vous pouvez l'obtenir maintenant ! La bonne nouvelle est qu'au moins 50 000 d'entre vous recevront le livre la semaine prochaine et commenceront à comprendre le réseau profond de tromperie dans lequel vous avez été conduit. J'apprécie profondément tout votre soutien sur ce livre et le projet d'éduquer les masses sur la vérité sur le COVID-19.

    Comme mentionné par Cummins, la pandémie de COVID-19 a surpris beaucoup de gens, mais en recherchant ce livre, nous avons appris que les sociétés de vaccins et leurs investisseurs anticipaient un scénario comme celui-ci depuis très longtemps.

    Événement 201 - Une préfiguration prémonitoire

    Fait intéressant, en octobre 2019, quelques mois à peine avant l'annonce de la pandémie, la Fondation Bill & Melinda Gates a co-organisé l'événement 201, en collaboration avec le Forum économique mondial et la Johns Hopkins School of Public Health, financée par le technocrate milliardaire Michael Bloomberg. Cet exercice sur table a simulé la réponse mondiale à une pandémie fictive de coronavirus.

    Au milieu des prévisions selon lesquelles 65 millions de personnes étaient en train de mourir, des verrouillages de masse et des quarantaines ont été mis en œuvre dans le monde entier, et des points de vue alternatifs ont été supprimés par la censure sous prétexte de combattre la «désinformation». Ils ont même discuté de la possibilité d'incarcérer des personnes qui remettent en question le récit de la pandémie.

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  44. La nécessité d'une censure radicale était peut-être l'une des présages les plus frappants de cet exercice. À mon avis, l’événement 201, dans son ensemble, confirme que même si le virus lui-même n’était pas planifié à l’avance, la réponse sans précédent et draconienne à ce problème l’était certainement, et Gates est une figure clé de ce programme.

    Il n'est peut-être pas le cerveau, et il n'est certainement pas la seule personne impliquée, mais il semble être l'un des chefs de file de l'élite technocratique qui utilise cette pandémie pour promouvoir son propre programme, qui n'est rien de moins qu'une domination mondiale par l'assujettissement. des gens.

    Science et faits au bord du chemin

    Bon nombre des mesures de confinement employées pendant cette pandémie n'ont jamais été utilisées auparavant, jamais. Parmi eux, la fermeture d'entreprises et le fait de forcer les gens à s'auto-isoler chez eux pendant des semaines et des mois - dans le monde entier ! C’est assez incroyable, et peu l’auraient cru possible.

    De toute évidence, cela n'aurait pas été possible sans avoir passé de longues périodes à former les bonnes personnes, à infiltrer les bonnes organisations et agences gouvernementales, à influencer les politiciens et à accorder une influence mondiale aux organismes non gouvernementaux.

    Le but de cette pandémie est d'inaugurer la grande réinitialisation, une stratégie élaborée et promue par le Forum économique mondial. Auparavant appelé le Nouvel Ordre Mondial, cette «réinitialisation» de l'économie mondiale et de la société dans son ensemble a été soigneusement planifiée pendant des décennies.
    Nous n’avons jamais mis en quarantaine des personnes en bonne santé auparavant. Habituellement, vous isolez les malades et les contagieux. C'est une pratique courante. Mais vous n’isolez pas les personnes non malades. C'est une toute nouvelle idée qui n'a jamais été essayée auparavant et qui n'a aucune base scientifique.

    Ils ont pu faire tout cela parce que l’Organisation mondiale de la santé est le chef de file de facto en ce qui concerne les pandémies mondiales. Ce qu'ils disent, c'est ce que les pays membres suivront. Et qui est le principal bailleur de fonds de l’OMS ? Pas n'importe quelle nation, mais Gates. En passant, il est impliqué avec l'OMS depuis plus d'une décennie, donc ce n'est pas quelque chose que lui ou quelqu'un d'autre a imaginé lors d'un événement de week-end.

    L'objectif final est d'inaugurer la grande réinitialisation

    Comme nous le décrivons dans le livre, le but de cette pandémie est d'inaugurer la grande réinitialisation, une stratégie développée et promue par le Forum économique mondial. Auparavant appelé le Nouvel Ordre Mondial, cette «réinitialisation» de l'économie mondiale et de la société dans son ensemble a été soigneusement planifiée pendant des décennies.

    Un élément clé de ce programme est le transfert de la richesse et des actifs mondiaux entre les mains des riches. Selon un rapport d'impact économique de septembre 20201 de Yelp, 163735 entreprises américaines avaient fermé leurs portes au 31 août 2020, et parmi celles-ci, 60% - un total de 97966 entreprises - étaient des fermetures permanentes.2

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  45. Pendant ce temps, entre le 18 mars 2020 et le 12 avril 2021, la richesse collective des milliardaires américains a augmenté de 1,62 billion de dollars - 55% - de 2,95 billions de dollars à 4,56 billions de dollars. Un tiers des gains de richesse totaux des milliardaires depuis 1990 ont eu lieu au cours des 13 derniers mois! 3

    Comme l'a noté Frank Clemente, directeur exécutif d'Américains pour l'équité fiscale, "Jamais auparavant l'Amérique n'avait vu une telle accumulation de richesses entre si peu de mains." -secteurs du renseignement.5

    Le passeport des vaccins est votre billet pour la tyrannie

    Comme vous vous en doutez, les fabricants de vaccins ont pu exploiter cette pandémie, en grande partie grâce à la forte censure de tous les traitements préventifs et précoces. Sans cette censure, je ne crois pas que beaucoup de gens feraient la queue pour recevoir ces vaccins, car ils sont des thérapies géniques expérimentales mal catégorisées comme des vaccins.

    Aucun des vaccins COVID-19 actuellement sur le marché n'a été homologué. Ils sont tous utilisés sous autorisation d'utilisation d'urgence, et une condition pour une EUA est qu'il n'y a pas d'autres traitements efficaces disponibles. C'est, je crois, la vraie raison pour laquelle la prévention efficace et les traitements alternatifs ont été si fortement supprimés. Ils auraient tout simplement rendu le vaccin sans objet.

    Dans le livre, nous détaillons également comment des tests inexacts, utilisés de manière inappropriée, ont créé l'illusion d'une pandémie hautement contagieuse et ont servi de base aux propos alarmistes crachés par les médias. En réalité, la grande majorité des «cas» ne l’ont pas été. C'étaient de faux positifs et / ou des personnes comptées plusieurs fois parce qu'elles continuaient à être retestées, et au lieu de compter les personnes, elles comptaient les tests.

    Les statistiques de décès ont également été considérablement gonflées en changeant soudainement la façon dont les certificats de décès sont remplis et en marquant toute personne décédée après avoir eu un test PCR positif au cours du mois dernier, ou qui était simplement soupçonnée d'être positive, comme un décès COVID-19. Même les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ont admis que 94 % des décès dus au COVID-19 étaient des personnes décédées avec le virus, pas à cause de celui-ci. La vraie cause de décès était une autre maladie chronique sous-jacente, souvent de longue durée.

    Toutes ces statistiques ont été artificiellement manipulées pour donner l’impression que nous sommes dans une situation suffisamment meurtrière et horrible pour justifier des passeports vaccinaux, sans lesquels vous ne serez pas autorisé à participer à certaines activités sociales ou à voyager.

    L'ironie est que les vaccins COVID-19 ne sont pas conçus pour prévenir l'infection ou la propagation du virus, donc être vacciné ne fera rien pour la santé publique. Au mieux, cela peut empêcher la personne vaccinée d'avoir un cas plus grave de COVID-19 si ou quand elle est infectée. Ils encouragent tout le monde à se faire vacciner afin de garantir l’immunité collective, mais ces «vaccins» ne sont pas conçus pour assurer l’immunité !

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  46. Étant donné que la vaccination n’empêchera pas la propagation du virus, le passeport vaccinal ne remplira qu’un seul objectif, à savoir inaugurer un mécanisme de surveillance numérique qui pourra ensuite être étendu à de nombreux autres domaines de la vie, y compris les données financières. Ainsi, le certificat de vaccination n'est pas un passeport pour la liberté. C’est votre ticket pour la tyrannie.

    Comment prendre votre santé en main

    Je crois que votre meilleur pari, pour aller de l'avant, est d'aborder votre santé fondamentale, en commençant par votre flexibilité métabolique. Vous voulez être métaboliquement flexible. Qu'est-ce que ça veut dire ? Cela signifie que votre corps peut faire la transition en toute transparence entre la combustion des graisses et la combustion des glucides comme carburant principal. Ceci est important, car lorsque votre corps peut le faire, cela signifie que vous n'êtes pas résistant à l'insuline.

    Lorsque vous êtes résistant à l’insuline, vous êtes plus susceptible d’avoir des complications telles que l’insensibilité immunitaire, l’obésité, l’hypertension artérielle et des troubles du taux de cholestérol. Votre risque de COVID-19 sévère sera également considérablement augmenté. Heureusement, bon nombre de ces problèmes peuvent être simplement résolus sans frais avec une alimentation limitée dans le temps.

    Deuxièmement, vous devez avoir suffisamment de vitamine D. Pour une santé optimale, vous voudrez que votre taux de vitamine D, que vous devez mesurer à l'aide d'un simple test sanguin, soit compris entre 60 ng / ml et 80 ng / ml (100 nmol / L et 150 nmol / L).

    Mon étude publiée révisée par des pairs6 sur les «preuves concernant la vitamine D et le risque de COVID-19 et sa gravité» est disponible gratuitement sur le site Web de la revue. Dans le livre, nous entrons dans des détails plus spécifiques sur ces stratégies, et bien d'autres.

    La liberté d'expression est officiellement morte

    «La vérité sur le COVID-19» deviendra d'autant plus important de posséder et de partager dans les jours à venir, car j'ai récemment été obligé de supprimer définitivement tous les articles sur les vitamines D, C et le zinc, ainsi que la plupart des articles sur le COVID-19 , de mon site Web. Ce livre sera désormais la principale source de ces informations.

    Au cours de l'année écoulée, j'ai fait des recherches et écrit autant que possible pour vous aider à prendre le contrôle de votre santé, car les médias alarmistes et les politiciens corrompus ont détruit des vies et des moyens de subsistance pour établir un contrôle mondial de la population mondiale, en utilisant le COVID- 19 pandémie comme justification.

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  47. Par ces mesures de plus en plus strictes, j'ai refusé de succomber à ces attaques incessantes. J’ai été prêt à me défendre devant les tribunaux, car j’ai tout examiné par certains des meilleurs avocats du pays.

    Malheureusement, les menaces sont récemment devenues très personnelles et se sont intensifiées au point que je ne pouvais plus conserver une grande partie des informations et des recherches que je vous ai fournies jusqu'à présent. Ces menaces ne sont pas de nature légale et j'ai une capacité limitée de me défendre contre elles.

    En janvier 2021, les politiciens ont réussi à faire adopter la COVID-19 Consumer Protection Act de la Consolidated Appropriations Act de 2021.7 Cette loi était cachée dans un projet de loi de 2100 pages8 qui confère désormais au gouvernement une énorme autorité légale pour poursuivre quiconque pour «crime». d'être en désaccord avec le discours officiel selon lequel le vaccin est la SEULE approche approuvée pour traiter ou prévenir le COVID-19. Voici la partie pertinente de cette loi:

    Cette loi rend illégal en vertu de l'article 5 de la Federal Trade Commission Act pour toute personne, société de personnes ou société de se livrer à un acte ou à une pratique trompeuse dans ou affectant le commerce associé au traitement, à la guérison, à la prévention, à l'atténuation ou au diagnostic du COVID. 19 ou un avantage gouvernemental lié au COVID-19.

    Rappelez-vous, Hitler et Mussolini sont arrivés au pouvoir LÉGALEMENT, parce qu'ils ont subverti les structures juridiques de leur pays. Les gens, vous voyez maintenant le même genre de subversion se produire en temps réel aux États-Unis. Il est évident qu'il s'agit du premier assaut, conçu pour enlever votre liberté et votre liberté personnelles. Cette loi abolit essentiellement le premier amendement de la Constitution américaine en ce qui concerne TOUT dialogue sur le COVID-19.

    Sources and References

    1, 2 CNBC September 16, 2020
    3 Nation of Change April 20, 2021
    4 Children’s Health Defense December 14, 2020
    5 The Defender December 14, 2020
    6 Nutrients October 31, 2020;12, 3361; doi:10.3390/nu12113361
    7 COVID-19 Consumer Protection Act of the 2021 Consolidated Appropriations Act
    8 HR133

    https://www.lewrockwell.com/2021/05/joseph-mercola/the-book-youll-want-to-read-before-it-disappears/

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    1. Dans la merde ! Pour les politiques là c'est par dessus la tête ! Mais çà diffère en milieu médical car, il y a ceux qui étiquettent de mini-grippette 'corona' tous les chats écrasés sur la route et le personnel hospitalier qui se rend compte d'autre chose. Pendant un mois çà 'peut passer' mais là... çà fait plus de un (1) an que l'escroquerie s'enracine et l'odeur gagne même le personnel ! Houlala.
      Bon, d'accord, un riche qui ouvre sa gueule n'est pas un riche, il est là pour encaisser et ne pas faire de déclaration. Les petits magasins ferment le conso va vers les riches grandes surfaces qui peuvent même profiter pour justifier la hausse des prix par la rareté des produits (usines fermées). Après, après, ils se tirent avec les autres en avion perso vers une 'île' quelque part pendant que des balayeurs (lâché de fauves ?) nettoient la scène du crime. 7 milliards çà crève dans la semaine.

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