- ENTREE de SECOURS -



vendredi 23 avril 2021

Un membre du parlement européen dénonce les politiques liées à la crise Covid

Ivan Vilibor Sinčić

Mondialisation.ca

mer., 21 avr. 2021 19:52 UTC


Ivan Vilibor Sinčić, membre croate du Parlement européen dénonce la corruption, la manipulation par les test PCR, le lobbying pharmaceutique, le passeport sanitaire, la mafia des états.

https://fr.sott.net/article/37052-Un-membre-du-parlement-europeen-denonce-les-politiques-liees-a-la-crise-Covid 

50 commentaires:

  1. Crise Covid-19 - Ressentez-vous du désarroi ?


    Marie-France de Meuron
    mondialisation.ca
    jeu., 22 avr. 2021 19:35 UTC


    Il s'agit d'un trouble moral profond, comme une angoisse, accompagnant un sentiment de détresse, de déroute ou d'égarement. Le vivons-nous consciemment ou l'escamotons-nous sous différentes attitudes réactives pour garder un apparent sang-froid et lui trouver des explications plausibles qui ne nous permettent toutefois pas de transmuter cet état intérieur ?

    L'étymologie du mot « desarroyer = mettre en désordre » révèle bien le genre de perturbation dans lequel nous nous sentons plongés lorsque notre corps affectif éprouve un tel sentiment. La situation coronavirale qui peut même virer à la coronafolie suscite bien des situations où notre affect peut vibrer sur cette « longueur d'onde ».

    Le reconnaître, c'est déjà percevoir la différence entre son moi conscient et cet état affectif. Cette acceptation de la réalité sensible permet de reprendre possession de nos potentiels pour traverser l'épreuve à laquelle nous répondons par du désarroi. Notre attitude intérieure peut alors nous rendre confiance qu'il y a une voie possible pour passer à une autre étape existentielle et nous connecter à des intuitions profondes que notre brouillard d'angoisse ne nous permet pas de capter.

    Les enfants vivent leurs désarrois dans leur entièreté. Au lieu de développer la confiance en eux vers laquelle toute bonne éducation devrait tendre, les mesures dites « sanitaires » les déstabilisent profondément. Ainsi, elles en deviennent à être « contro-sanitaires » voire anti-sanitaires. Ils découvrent un monde à l'envers.

    Comme questionne très clairement un médecin : Qui met nos enfants en danger, le SRAS-CoV-2 ou les mesures de nos gouvernements ?

    Ce qui se révèle de plus en plus et touche aussi leur développement personnel, c'est l'atteinte à leurs développements scolaires : 463 millions d'enfants privés de tout enseignement. « Le grand nombre d'enfants dont l'éducation a été complètement interrompue pendant des mois est une urgence éducative mondiale », alerte l'ONU.

    Selon l'âge, le tempérament ou son environnement, un enfant peut être incité à manger davantage pour étouffer son désarroi, à en devenir obèse.

    Ou encore mettre fin à sa vie : « Le nombre d'enfants admis pour avoir tenté de mettre fin à leurs jours a presque doublé l'année dernière à l'Hôpital pédiatrique universitaire zurichois. »

    Alors que la transmission du savoir par des aînés est essentielle, des étudiants sont sommés de rester enfermés et de travailler par ordinateur, ce qui les prive de beaucoup d'interactions de toutes sortes. Certains se suicident mais d'autres trouvent des forces en eux pour manifester en rue ou réclamer leurs droits plus politiquement : «Les jeunes sont laissés pour compte»

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  2. L'élan vital peut être terriblement brimé et le désarroi se perçoit dans la vie de couple qui part en éclats dans des violences et des divorces.

    Une autre source de détresse découle de Maintenir la distance : tristesse à venir d'une socialité sans contacts ? « Ce virus annonce-t-il l'avènement d'une culture de la socialité sans corps, à distance, cachée derrière des écrans ? Au prix d'une souffrance silencieuse de la disparition de la tendresse ?........ Sans contact physique, pas de sécurité affective.. »

    Comment se traduit le désarroi chez les hommes politiques ? Cet état d'âme semble être abondamment camouflé derrière des discours affirmés, des positions d'apparence très limpides et des décisions très tranchées. Mais au fond, que vivent ses décideurs, du reste à grande majorité masculine? Que ressentent-ils face aux bilans qui leur reviennent sans cesse, prouvant à quel point la population n'en peut plus de ces désastres familiaux, sociaux et économiques ? Prennent-ils le temps de reconnaître leurs désarrois ? Ils se cachent derrière une générosité financière (sommes dont ils ne sont nullement les propriétaires) qui distrait des impuissances patentes. Ils prétendent gérer la santé publique alors que l'épidémie relève d'une problème médical avant tout. Ils s'appuient sur la science des laboratoires qui créent les vaccins et, dernière nouvelle, un médicament « prometteur », à base d'anticorps monoclonaux, avec l'illusion que la grandeur et la générosité du geste (dont le montant n'est pas dévoilé mais relève de millions de francs) apportent une solution importante, alors que les causes des états pathologiques et des vulnérabilités des patients sont multiples et mériteraient des traitements appropriés - qui existent depuis des décennies mais sont refoulés vigoureusement pas le système politico-scientifico-économico-assécurologique.

    Il est intéressant que le Global Times ait publié dans son éditorial du 17 avril une analyse très pertinente, traduite en français, sur : Média chinois - Les « sept péchés » des systèmes politiques occidentaux défectueux. Les caractéristiques mises en évidence permettent de détecter comment les systèmes politiques occidentaux ont manifesté autant de maladresses déroutantes qui les ont amenés en 2020 -2021 à une apothéose illustrée par une gestion de crise aussi déplorable, coûteuse et douloureuse.

    Petit rappel de taille : le péché signifie « mauvaise visée ». En voici donc sept :

    - La dynamique de développement interne en Occident se trouve en déclin. L'aveuglement est aussi une marque d'égarement et le fait de confiner en intensifiant le déclin de maintes entreprises est vraiment « une mauvaise visée ».

    - Les systèmes politiques occidentaux deviennent de plus en plus rigides, inefficaces et en déclin. Cette rigidité a éclaté avec toutes les mesures liberticides pour le peuple et toutes les obligations imposées aux médecins praticiens ainsi que les suspensions de pratique pour les thérapeutes complémentaires.

    - La confrontation entre diverses forces continue de provoquer un grave clivage social, ce qui à son tour entrave le fonctionnement normal de la société. Ce clivage crève les yeux quand on voit ceux qui s'enrichissent démesurément et ceux qui font faillite.

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  3. - l'extrémisme et l'absolutisme - notamment dans la recherche de boucs émissaires de leurs propres échecs. Effectivement, s'il y a une nouvelle vague, il nous est dit que c'est parce que la population n'a pas été sage alors que les virologistes de terrain expliquent très bien la fluctuation des virus.

    - Un sentiment de peur et d'impuissance à l'égard de toute idée de réforme s'est ainsi formé. On le voit bien quand on persiste dans la croyance monodirectionnelle que les vaccins sont le seul espoir alors que nous avions déjà l'expérience de la grippe H1N1 qui s'est achevée par peu de morts sauf celui du nombre des vaccins inutilisés !

    - Hésitation à rechercher la vérité dans les faits......l'esprit d'apprentissage des élites occidentales s'est asséché et leur affirmation de soi s'est transformée en un narcissisme extrême. Alors que le coronavirus était nouveau et que le système conventionnel ne proposait que de rester chez soi, c'eût été une excellente occasion pour les « élites » médicales et scientifiques de s'intéresser humblement à d'autres pratiques. Actuellement, la vérité des faits est que les vaccins sont loin d'être une solution parfaite comme le démontre : LE MYSTERE DES NONNES DU KENTUCKY.

    - En ignorant les lois et les règles internationales, se détournant de convaincre les gens par la vertu et adorant uniquement la force dure.

    La suggestion à apporter à notre système occidental : faire évoluer leurs systèmes centrés sur le capital (le fameux libéralisme occidental) à des systèmes centrés sur les personnes. Effectivement, la mise en place des « mesures sanitaires » s'est adressée à l'ensemble de la population, sans du tout tenir compte de l'individualité de chaque habitant avec ses besoins complexes d'être humain.

    La conclusion : Et le refus de l'establishment occidental de s'adapter à la réalité contemporaine ne rendra la chute que plus douloureuse. Autrement dit, quand on s'accroche aux chiffres du jour pour prendre des décisions, ce qui contourne les avertissements du cerveau du coeur, on évite de considérer l'essentiel de notre société en voie d'évolution et l'infarctus surgira sous une forme ou une autre...

    Il est souvent plus facile de détecter le désarroi chez autrui que chez soi. Nous pouvons le fuir ou au contraire aider avec compassion, sympathie ou empathie. Quelles différences entre ces trois sentiments dont les définitions se basent sur mon vécu ?

    La compassion est une élan d'affection du coeur qui offre du courage pour trouver les forces et les moyens de traverser son état de désarroi. La sympathie dont l'étymologie signifie éprouver, souffrir avec, nous incite à pleurer avec; ainsi, la personne se sent moins seule et, à deux une dynamique d'avancée est possible. L'empathie permet de ressentir en soi ce qu'éprouve autrui, sans en être ébranlé soi-même, ce qui incite à percevoir ce qui retient la personne dans son désarroi et, par là, l'accompagner pour le dissiper. De la sorte, après avoir oeuvré dans sa chrysalide, l'être libéré peut s'envoler tel un papillon !

    Copyright © Marie-France de Meuron, Le blog de Bien-être-soi, 2021

    https://fr.sott.net/article/37051-Crise-Covid-19-Ressentez-vous-du-desarroi

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  4. Qui me soigne ?


    Béa Bach
    E&R
    mer., 21 avr. 2021 20:09 UTC


    « La France consacre au total 11,3 % de sa richesse nationale à la santé » [1]. Une question s'impose : comment expliquer qu'avec un tel investissement, la population soit globalement en si mauvaise santé ? Les exploits de la chirurgie de pointe ou des techniques palliatives techniciennes cachent de moins en moins le délabrement de l'état de santé de nos contemporains. Le système de soin gère des maladies chroniques incurables - pudiquement renommées « affections de longue durée » - dont la seule option est la prise de molécules de plus en plus dosées et de plus en plus nombreuses. Mais de guérison, ou de « bonne santé », il n'est pas question.
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    Le panorama s'aggrave d'ailleurs, puisque on a pu déplorer des retards de prise en charge en tout genre. Mais l'irruption de la pandémie ne change rien aux données du problème : notre médecine ne sait pas guérir l'écrasante majorité des motifs de consultation. Nos malades se contentent d'être « accompagnés » dans leur maladie.

    Est-ce une fatalité ? Pour répondre, il est à la fois indispensable et instructif de connaître le contexte de la mise en place de cette médecine moderne, scientifique, progressiste, irréprochable en apparence, basée sur la molécule chimique brevetable pour se faire une opinion. Et pour cela, faire un saut dans le temps et dans l'espace, pour se rendre aux États-Unis du XIXe siècle. On y trouve une clé de compréhension importante, tant sur le plan théorique que pratique. Clé éclairante pour comprendre la genèse du système de soin moderne, qui nous a mené jusqu'à aujourd'hui, mais peut-être aussi pour retrouver le chemin de la santé.

    L'école orthodoxe du XIXe siècle

    La médecine moderne de l'époque - sous-entendu celle des gens des villes et des gens bien éduqués - veut entrer dans le champ scientifique. Elle isole les principes actifs des plantes, comme la morphine ou la strychnine, dont elle recherche les effets rapides et puissants. Ce n'est pas pour rien qu'on la baptise « médecine héroïque ». La dose, souvent proportionnelle à la rapidité d'action recherchée a un effet immédiat et brutal. Mais le risque peut être fatal, et les malades succombent souvent au traitement lui-même plus qu'à la maladie. L'utilisation de métaux lourds toxiques, comme le mercure, l'arsenic ou l'antimoine sont à l'origine de nombreuses aggravations ou empoisonnements. Le chlorure mercureux est le médicament le plus prescrit au cours du XIXe siècle, malgré les dégâts causés par sa toxicité. Il s'agit d'un fait avéré que dénoncent d'ailleurs les médecins de l'époque eux-mêmes.

    C'est donc une médecine très agressive qui puise son modèle théorique sur un modèle militaire. La maladie est l'ennemi à abattre - une entité étrangère au corps qu'il faut éliminer - et le corps des malades, son champ de bataille. Dans cette guerre, les armes utilisées sont sanguinaires et binaires : on vous saigne (1/2 litre renouvelable au besoin) ou on vous purge violemment. Et si cela ne suffit pas, on recommence avec la même recette !

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  5. De sorte que la médecine orthodoxe - « allopathique », dirait-on aujourd'hui - est extrêmement critiquée au cours de la seconde moitié du XIXe siècle. Notamment sur le plan des résultats thérapeutiques. Cette approche médicale ayant peu à offrir, de nombreux médecins cherchent une autre voie, capable de guérir leurs malades. En réalité, il existe déjà d'autres façons de se soigner. Les premiers colons n'ont pas attendu qu'on leur promette une approche labellisée scientifique pour se préoccuper de leur santé. Il existe des pratiques médicales traditionnelles, parfois ramenée d'Europe, parfois apprises au contact des Amérindiens, mais toujours assises par l'expérience et le bon sens, et qui contentent la population. Les regards vont alors se porter dans cette direction, puisque la science orthodoxe a montré ses limites. Mais c'est avant tout le constat d'inefficacité et les critiques des méthodes orthodoxes, en particulier lors des épidémies, qui va favoriser cette contestation doctrinale. L'impasse de la médecine héroïque nourrira de ce fait un retour en force vers le principe hippocratique Vis medicatrix naturae, le « pouvoir guérisseur de la nature », certes moins moderne mais plus fonctionnel pour les malades. Ainsi vont prospérer l'éclectisme et le thomsonisme, dont on peut faire remarquer que la trace sur Wikipédia est inversement proportionnelle à l'énorme succès de ces approches dans la réalité [2]. Elles s'appuient sur la phytothérapie et sur des pratiques d'hygiène vitale comme l'hydrothérapie, la diète ou le jeûne thérapeutique.

    Révolution de l'homéopathie

    C'est dans ce contexte que l'homéopathie va s'implanter avec force au milieu du XIXe siècle. Bien que dans le ton de l'ambiance générale du retour aux principes hippocratiques, le cas de l'homéopathie, toutefois, est différent. Elle est une révolution médicale révélant des lois et des principes inédits, plutôt qu'un retour en arrière. Il est important de rappeler que le succès de l'homéopathie est fondé sur ses résultats cliniques uniquement. Contrairement à ce que son dénigrement permanent laisse supposer, l'homéopathie s'est construite au chevet du malade et non sur une quelconque approche théorique novatrice. Fait peu connu, c'est Samuel Hahnemann, le découvreur de l'homéopathie, qui a introduit l'expérimentation dans le champ médical. Son approche strictement rigoureuse part de l'observation des faits pour remonter aux lois qui les gouvernent, sans autre but que celui de guérir.

    La meilleure preuve est historique : c'est lors des grandes vagues épidémiques mortifères que l'efficacité de l'homéopathie est apparue avec tout son éclat. Il n'est pas une ville de taille raisonnable aux États-Unis où l'on ne puisse trouver dans les archives des journaux locaux, les chiffres obtenus par les homéopathes.

    L'homéopathie, qu'on appelle alors « la nouvelle école » obtient des rémissions et des guérisons spectaculaires. En 1900, les homéopathes représenteront 10 % des médecins en exercices, ils sont mieux formés et gagnent mieux leur vie. Les orthodoxes, désavoués par la population, se mettent à « copier » l'esprit de cette nouvelle médecine en réduisant par exemple les doses de métaux lourds, en ajoutant quelques granules ou en s'intéressant en surface à la phytothérapie.

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  6. D'autres vont jusqu'au bout : on assiste à des conversions d'allopathes séduits par cette médecine plus efficace. Plusieurs hôpitaux basculent également pour de bien meilleurs résultats : au Mississippi State Hospital à Natchez, la mortalité passe de 55 % en 1853 à 7,6 % en 1854 après le passage à l'homéopathie [3]. On fait les mêmes constats en Europe. En France, un article du Figaro du 13 juillet 1884 (« Le choléra vaincu par l'homéopathie ») témoigne de la même proportion en faisant l'addition des guérisons et celles des décès. Il révèle 50 % de décès sur la totalité des malades traités allopathiquement, contre moins de 10 % chez ceux qui ont eu le traitement homéopathique [4]. Partout l'homéopathie obtient estime et popularité auprès du grand public, comme des élites. Alors comment expliquer sa marginalisation, son déclin et son dévoiement ? Car en effet, en dépit du satisfecit des principaux intéressés, en dépit des expériences positives toujours plus nombreuses et des preuves publiées sur les taux de mortalité comparés, la victoire sera de courte durée.

    La contre-offensive des « orthodoxes »

    Ce que beaucoup de praticiens et de malades n'ont pas compris à l'époque, c'est que la logique orthodoxe servait à merveille la logique marchande. Et si la plupart des médecins en première ligne avaient comme préoccupation première de soulager la souffrance, d'autres avec plus de recul y avaient flairé les perspectives florissantes de l'industrie chimique appliquée à la santé. D'ailleurs les laboratoires foisonnent, créant leur propre revue ; revues qui publient leur propres articles scientifiques sur leur propres remèdes. La quasi-totalité des revues médicales sont aux mains de l'industrie. L'enjeu est à la taille des promesses de profits : il s'agissait donc d'organiser la supériorité de l'orthodoxie, puis d'en prendre le pouvoir. Fidèle à sa philosophie guerrière, la tête pensante du courant orthodoxe prépare méticuleusement la contre-attaque. Elle en sortira grand vainqueur après un demi-siècle de lutte.

    Le premier élément de cette ligne de défense sera la création en 1847 de l'American Medical Association (AMA). Le but déclaré l'AMA est d'améliorer la formation des médecins. En réalité, les orthodoxes vont défendre leurs intérêts plutôt que celui de la médecine ou des patients. Jugeons plutôt des premières décisions prise par l'AMA :

    « Elle commence par l'exclusion de toute publication produite par des homéopathes dans les revues médicales, par l'interdiction pour tout « orthodoxe » de conduire une consultation avec un homéopathe, par la condamnation et l'exclusion des homéopathes des sociétés médicales, accusant tous ceux qui n'avaient pas de « démarche scientifique » d'être des charlatans [...] C'est ainsi que l'AMA veut garantir à ses membres le monopole de la profession et les garanties économiques qui lui sont rattachées » [5]
    Cette fin de siècle est un moment critique pour tous les médecins qui sont en fin de compte sommés de choisir leur camp. Cette manœuvre met bien des bâtons dans les roues de l'homéopathie et des autres approches hygiénistes, mais ne réussit pas pour autant à détourner les principaux intéressés. Les malades sont de plus en plus nombreux à adhérer ou à renouveler leur confiance, malgré l'étiquette de charlatanisme qu'on leur colle systématiquement. Mais pour l'AMA, c'est un échec : la médecine scientifique n'a pas tenu ses promesses, et il faut trouver un moyen de museler les « charlatans ». L'AMA y parviendra définitivement un demi-siècle après sa création, grâce à la stratégie d'un faussaire patenté qui va faire définitivement basculer les choses.

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  7. En 1899, le docteur George H. Simmons est nommé nouveau directeur de The Journal of the American Medical Association (JAMA) et met les bouchées doubles. Pour commencer, il centralise le pouvoir au sein d'un petit bureau, dont il devient le patron. Puis il crée un annuaire, qui tient en réalité le rôle de catalogue des praticiens autorisés. Il faut savoir qu'il y a beaucoup d'écoles de médecine, beaucoup de médecins, et que la majorité a du mal à joindre les deux bouts. Cette perspective de promotion était LA bonne recette pour faire exploser le nombre d'adhésion. Et avec lui, le nerf de la guerre : les rentrées d'argent de l'AMA. Les adhésions passent alors de 6 000 en 1899 à 50 000 en 1906, et les revenus sont multipliés par cinq en seulement dix ans. C'est la manne qui permet à Simmons de créer un « département de propagande », dont le JAMA sera le bras armé. Jugez plutôt des méthodes utilisées :

    d'abord l'invention du « brevet de validité » que Simmons réussit à imposer à tout nouveau médicament avant sa mise sur le marché. Ce brevet n'a pas le pouvoir d'interdire un médicament, mais il deviendra pourtant incontournable du seul fait de la renommée et de la puissance de l'AMA. Que valide-t-il en réalité ? Là est l'arnaque : l'obtention du brevet se fait sur dossier simplement, mais elle est conditionné par l'achat d'un espace publicitaire dans la revue ! Pas de pub, pas de brevet. Le seul critère de validité est donc la dîme versée au Conseil de pharmacie de l'AMA. C'est d'ailleurs cette pratique qui a valu à Simmons l'imposteur d'être démasqué par l'agence de détective dépêchée par Wallace Abbott, bien décidé à résister à cette extorsion [6]. Il en ressort que « Doc Simmons » n'est pas médecin. Qu'il a pourtant dirigé une petite clinique spécialisée dans les maladies féminines à Lincoln, où se pratiquaient des avortements alors illégaux, et qu'il a également été accusé d'abus sexuels !

    ensuite, le reniement des « mauvaises pratiques ». Les homéopathes, et autres praticiens empiriques se voient obliger de renier leurs appartenances aux « sectes médicales » s'ils souhaitent intégrer l'AMA. Aucune liberté thérapeutique permise en dehors de la doxa !

    poursuivons par la réforme de l'enseignement. Le rapport Flexner sur la formation des médecins, prétendument indépendant, est en réalité biaisé et soumis à des conflits d'intérêt avec l'AMA. La création d'un classement entre les écoles permet de favoriser les critères propices aux écoles allopathiques. Certaines écoles sont financées, d'autres éliminées. Avec comme conséquence directe, l'exclusion des écoles pour étudiants noirs (« La pratique du médecin noir devrait être limitée à sa race »), la raréfaction des écoles pour femmes (« Le tempérament féminin n'est pas adapté aux exigences du métier »), et le rallongement de la durée de la formation qui exclura les pauvres (« Ni garçon mal dégrossi ni clerc fatigué »). En quatre ans, le nombre d'école chute d'un tiers. Toutes les écoles non orthodoxes sont balayées. Le profil type du futur médecin est un homme, blanc, issu des classes supérieures, bon technicien, et adepte de la médecine scientifique [7].

    Naissance et prospérité du secteur pharmaceutique

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  8. L'industrie pharmaceutique avait besoin du relais des médecins pour atteindre les consommateurs. C'est donc une association d'intérêts communs - pas très philanthropique - qui a rendu possible la révolution de la médecine moderne dite scientifique, sur la base de méthodes malhonnêtes, peu éthiques et liberticides. L'entrée en jeu de grands groupes capitalistes intéressés par l'émergence d'un secteur pharmaceutique tout neuf et plein de promesses va lui donner une dimension mondiale.

    Il faut ajouter au tableau le levier idéologique de transformation des mentalités par la survalorisation de la science, qui, à travers des théories explicatives de physiopathologie, permet un débouché d'applications thérapeutiques exploitables. Pour le bien de l'humanité souffrante, bien sûr. À ce sujet, les œuvres caritatives sont un secteur d'investissement pour les nombreux millionnaires de l'époque. Les fondations « philanthropiques » nourrissent la recherche scientifique, qui ne peut se faire que sous leur houlette. C'est également le cas en Chine où, quatre ans après la révolution de 1911 et la fin de la dynastie Qing, la fondation Rockefeller finance dès 1915 l'université de Pékin. Elle exige aux chercheurs l'oubli de leurs savoirs ancestraux pour se plier à la médecine scientifique et son arsenal de médicaments modernes. Rappelons que c'est à la faveur d'un très grand rassemblement populaire pour le maintien de la médecine traditionnelle chinoise en 1929 que son interdiction fut évitée... de peu [8].

    Ce qu'il faut retenir, c'est qu'en un laps de temps très court - vingt ans à peine - on verra se marginaliser puis disparaître l'homéopathie, l'ostéopathie, la chiropraxie, ou le jeûne thérapeutique. De monopole, il est bien question. Martin Tétréault en dresse le portrait :

    « Le trait dominant de l'histoire de la profession médicale américaine de cette époque est certainement l'émergence de nouvelles allégeances médicales, puis leur quasi-disparition au profit de la médecine allopathique ou orthodoxe. En effet, tous les nouveaux secteurs du monde médical pendant le dernier tiers du XIXe siècle (hôpitaux, dispensaires, bureaux de santé, ainsi que de nombreuses institutions politiques comme les commissions scolaires et les conseils municipaux, et les nouveaux champs d'exercice de la médecine comme la médecine légale et l'examen médical dans les compagnies d'assurances) seront investis par les allopathes pour devenir au siècle suivant un quasi-monopole ». [9]
    Qui me soigne ?

    Voilà comment s'est faite l'éradication d'une médecine à la fois humaine, populaire, et efficiente. Voilà comment est rentré dans l'esprit des gens ce credo en forme d'équation : chimie = science = efficacité = sécurité du patient. En réalité, la disparition et la mauvaise réputation à la fois des méthodes traditionnelles et de l'homéopathie n'a rien à voir avec un critère d'efficacité thérapeutique. C'est simplement la conséquence d'une guerre totale et déséquilibrée de l'establishment médical, instrumentalisé par une industrie pharmaceutique à la recherche permanente de nouveaux profits. Notre système de soin est dans une impasse - impasse inscrite génétiquement dès sa conception - et il faudra plus qu'une réforme pour nous sortir de l'ornière. Car sans rentabilité à la clé, pas d'argent pour la recherche, et pas de label scientifique. Sans label scientifique, pas de crédibilité, même avec des guérisons. Et malheureusement, d'un point de vue strictement comptable, si ce système rapporte aux uns, c'est qu'il coûte cher à d'autres, au sens propre comme au sens figuré.

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  9. En attendant, il existe d'autres voies possibles. D'autres voies que cette surenchère de médicaments ou de vaccins, qui ne semble pas avoir de limite. La bonne nouvelle, c'est qu'il existe des lois et des principes capables de nous maintenir en bonne santé, ou de la rétablir lorsqu'elle est défaillante. La rencontre entre ceux qui cherchent à se soigner et ceux qui y parviennent se fait de toute manière, aujourd'hui comme il y a 150 ans. Il reste à ouvrir ses yeux et ses oreilles, sans avoir peur de sortir des sentier balisés à coup de propagande.

    Notes

    [1] (1) Les dépenses de santé en 2019 Résultats des comptes de la santé | Vie publique.fr (vie-publique.fr)

    [2] (1) Martin Tétreault , « La santé publique dans une ville industrielle de la Nouvelle-Angleterre : Lowell, Massachusetts, 1865-1900 » (Thèse de doctorat , Université de Montréal, 1985)

    [3] De Lestrade Thierry, « Le jeûne, une nouvelle thérapie », Arte Édition, 2013

    [4] Docteur H. Gras, « Le choléra vaincu par l'homéopathie » Le Figaro du 13 juillet 1884 - Archives Planète Homéopathie.

    [5] De Lestrade Thierry, « Le jeûne, une nouvelle thérapie », Arte Édition, 2013

    [6] Mullins Eustace, « Meurtre par injection » Kontre Kulture, 2020

    [7] De Lestrade Thierry, « Le jeûne, une nouvelle thérapie », Arte Édition, 2013

    [8] Mullins Eustace, « Meurtre par injection » Kontre Kulture, 2020

    [9] Martin Tétreault , La santé publique dans une ville industrielle de la Nouvelle-Angleterre : Lowell, Massachusetts, 1865-1900. (Thèse de doctorat , Université de Montréal, 1985)

    https://fr.sott.net/article/37055-Qui-me-soigne

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  10. Le Tribunal de la jeunesse a statué qu’une enfant pourra se faire tester et vacciner contre la COVID-19, malgré l’opposition de sa mère tenant un discours complotiste


    jeudi 22 avril 2021


    Disant comprendre « certaines inquiétudes de la mère », la juge Nancy Moreau a basé sa décision sur « l’intérêt de l’enfant ».

    « Les impacts reliés à un refus de procéder à un test de dépistage lorsque suggéré par la Santé publique ou encore au refus d’administrer un vaccin le cas échéant (l’enfant n’a que dix ans) s’avèrent considérables et contraires à son intérêt », a écrit la magistrate.

    L’enfant avait été confiée en bas âge à sa tante et son conjoint. Or, la mère pouvait toujours avoir certains contacts.

    Complotiste

    Cette dernière, qui a participé à plusieurs manifestations, a adopté un « discours “complotiste” à l’égard des instances gouvernementales et médias de masse », peut-on lire dans la récente décision.

    La mère affirme notamment que le test de dépistage « peut entraîner des séquelles neurologiques », tandis que le port du masque en causerait aux poumons.

    La juge a toutefois tranché en faveur des demandes de la Directrice de la protection de la jeunesse lui permettant de « signer les autorisations de santé requises entourant la COVID-19, incluant le vaccin, si nécessaire ».

    https://www.journaldemontreal.com/2021/04/22/la-dpj-pourra-forcer-le-depistage

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  11. Un conglomérat pharmaceutique au casier judiciaire chargé: Pfizer «s'empare» du marché européen des vaccins, soit 1,8 milliard de doses.


    Prof Michel Chossudovsky
    mondialisation.ca
    jeu., 22 avr. 2021 19:54 UTC


    « Des centaines de millions de personnes ont accepté de recevoir une injection qui introduit une molécule bio-réactive de « thérapie génique » dans leur corps, et ce, simplement à cause de la peur, de l'ignorance et du refus de considérer que les personnes qui font cette promotion ... ont des arrière-pensées » Edward Curtin, avril 2021

    Le 14 avril 2021, le président de la Commission européenne a confirmé que Bruxelles négocie un contrat avec Pfizer pour la production de 1,8 milliard de doses de vaccin à ARNm.

    Ce chiffre astronomique représente 23% de la population mondiale. C'est exactement quatre fois la population des 27 États membres de l'Union européenne (448 millions, données 2020).

    Il s'agit du plus grand projet de vaccination de l'histoire mondiale, qui s'accompagne de l'imposition d'un « calendrier » diabolique aux citoyens de l'Union européenne, consistant en des inoculations récurrentes d'ARNm au cours des « deux prochaines années et au-delà ».

    L'ensemble du processus sera associé à une campagne de peur incessante et au passeport vaccinal numérique intégré, approuvé par le Parlement européen quelques semaines à peine avant l'annonce de l'UE.

    Le passeport vaccinal numérique de l'UE qui sera mis en œuvre par Pfizer BioNTech fait partie du tristement célèbre projet ID2020 parrainé par l'Alliance mondiale pour les Vaccins et la Vaccination (GAVI) de Bill Gates « qui utilise la vaccination généralisée comme plateforme pour l'identité numérique ».

    Si ce contrat européen avec Pfizer, qui s'étend jusqu'en 2023, devait être exécuté comme prévu, chaque personne de l'Union européenne serait vaccinée quatre fois sur une période de deux ans (2021-2023).

    Et n'oubliez pas qu'à l'heure où nous écrivons ces lignes, l'ARNm de Pfizer (ainsi que ceux de ses concurrents, dont AstraZeneca, Moderna et J & J) sont légalement classés (aux États-Unis) comme « non approuvés » et « produits expérimentaux ». Ce sont des médicaments illégaux.

    Aux États-Unis, la FDA, dans une déclaration ambiguë, a accordé une autorisation dite d'utilisation d'urgence (EUA) au vaccin Pfizer-BioNTech, à savoir « permettant l'utilisation d'urgence du produit non approuvé, ... pour l'immunisation active... » (voir ci-dessous)

    J'ai vérifié cette déclaration auprès d'un éminent avocat. Il est manifestement illégal de commercialiser un « produit non approuvé » (indépendamment des autorisations gouvernementales y afférentes).

    Une aubaine de plusieurs milliards de dollars pour Pfizer BioNTech

    Le même jour que la décision historique de l'UE du 14 avril 2021, Pfizer a annoncé que le prix de son vaccin a été porté à 23 dollars la dose.

    Beaucoup d'argent pour Big Pharma. Le projet de vaccin de 1,8 milliard de doses coûtera 41 milliards de dollars, qui seront en grande partie financés par des emprunts. Le projet de vaccin contribuera ainsi à la spirale de la crise de la dette publique qui touche la plupart des pays européens et qui résulte des blocages survenus au cours des 14 derniers mois.

    Entre-temps, Pfizer a étendu son marché mondial en grande partie au détriment de ses concurrents.
    Un contrat pour fournir aux États-Unis jusqu'à 600 millions de doses,
    au Brésil, environ 100 millions,
    à l'Afrique du Sud, 20 millions de doses,
    aux Philippines, 40 millions, etc.

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  12. Le moyen terme : 2021-2023 et « au-delà ». Pas de retour à la « nouvelle normalité » une fois vacciné

    Ce qui est envisagé dans l'UE est un plan dit « à moyen terme » qui s'étend jusqu'en 2022/23. Ce calendrier « à moyen terme » implique-t-il une quatrième et une cinquième vague ?

    Le projet « à moyen terme » sera réalisé en liaison avec le « Great Reset » proposé par le Forum économique mondial. Il sera très probablement accompagné de mesures de confinement et autres mesures restrictives. Aucun retour prévisible à la « nouvelle normalité » n'est envisagé :
    « Mais laissez-moi [la présidente de la Commission européenne Ursula von der LeyenUrsula von der Leyen] me concentrer également sur le moyen terme. ... Il est clair que pour vaincre le virus de manière décisive, nous devrons nous préparer à ce qui suit : ... nous pourrions avoir besoin de rappels pour renforcer et prolonger l'immunité ; ... nous devrons développer des vaccins adaptés aux nouveaux variants ; et nous en aurons besoin rapidement et en quantité suffisante. Dans cette optique, nous devons nous concentrer sur les technologies qui ont fait leurs preuves. Les vaccins à ARNm en sont un bon exemple ...

    Sur la base de tout cela, nous entamons maintenant une négociation avec BioNTech-Pfizer pour un troisième contrat. Ce contrat prévoit la livraison de 1,8 milliard de doses de vaccin sur la période 2021-2023. Et il impliquera que non seulement la production des vaccins, mais aussi tous les composants essentiels, qui seront basés dans l'UE ...

    Les négociations que nous lançons aujourd'hui [14 avril 2021] - et que nous espérons conclure très rapidement - constituent une nouvelle étape importante dans la réponse de l'Europe à la « pandémie » ...

    Je tiens à remercier BioNTech-Pfizer. Cette société a prouvé qu'elle était un partenaire fiable. Pfizer a tenu ses engagements et il est à l'écoute de nos besoins. Les citoyens de l'UE en tirent un bénéfice immédiat » Président de la Commission européenne
    Un partenaire fiable ? Le casier judiciaire de Pfizer

    Il existe une autre dimension, une « boîte de Pandore » que l'UE ne veut pas ouvrir. Le plus grand projet de vaccin d'un « médicament non approuvé » doit être mis en œuvre par une grande entreprise pharmaceutique qui a un long passé de corruption de médecins et de responsables de la santé publique.
    Pfizer a été un « contrevenant habituel », s'engageant de manière persistante dans des pratiques commerciales illégales et corrompues, soudoyant des médecins et supprimant des résultats d'essais défavorables. Depuis 2002, l'entreprise et ses filiales se sont vu imposer 3 milliards de dollars de condamnations pénales, de sanctions civiles et de récompenses par un jury. (Dr Robert G. Evans, National Institutes of Medicine)

    De plus, Pfizer a un casier judiciaire aux États-Unis, car inculpé par le ministère américain de la justice en 2009 pour « marketing frauduleux ».
    « Pfizer, la plus grande entreprise pharmaceutique du monde, a été frappée de la plus grosse amende pénale de l'histoire des États-Unis dans le cadre d'un accord de 2,3 milliards de dollars avec les procureurs fédéraux pour avoir fait la promotion abusive de médicaments et versé des pots-de-vin à des médecins complaisants » ~ Guardian

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  13. Dans une décision historique du Département américain de la justice en septembre 2009, Pfizer Inc. a plaidé coupable face à des accusations criminelles. Il s'agissait du « plus important règlement pour fraude dans le domaine de la santé » de l'histoire du Département américain de la Justice.

    poursuite pfizer
    Comment pouvez-vous faire confiance à un conglomérat de vaccins Big Pharma qui a plaidé coupable face à des accusations criminelles portées par le Département américain de la Justice (DoJ), notamment en matière de « marketing frauduleux » et de « violation criminelle de la loi sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques » ?

    Dans le jugement rendu par le DOJ en 2009, Pfizer a été pour ainsi dire « mis en probation » pour une période de quatre ans. Il a été ordonné à Pfizer de conclure « un accord d'intégrité de l'entreprise » avec l'inspecteur général du Department of Health and Human Services (DHHS), agissant de facto comme un « agent de libération conditionnelle ». « Cet accord prévoyait « des procédures et des examens visant à ... éviter et à détecter rapidement » les (futurs) écarts de conduite de la part de Pfizer, Inc.

    Le « vaccin » tueur

    L'intégrité de l'entreprise ? Le comportement de Pfizer BioNTech en matière de « commercialisation frauduleuse » prévaut en ce qui concerne les 1,8 milliard de doses prévues de son « vaccin » à ARNm COVID 19 Tozinameran, « non approuvé » et « expérimental », vendu sous la marque Comirnaty.

    Nous avons affaire à la « commercialisation frauduleuse » de ce qui est décrit comme un « vaccin » mortel.

    Mais en fait, le « vaccin » à ARNm qui modifie le génome humain « n'est PAS » un vaccin. Il est basé sur la thérapie génique combinée à un passeport vaccinal intégré.

    Décès et effets secondaires graves résultant du « vaccin expérimental » à l'ARNm

    La Commission européenne a-t-elle l'intention d'écarter AstraZeneca et J & J (au nom de Pfizer ??). Des déclarations officielles laissent entendre que Pfizer BioNTech finira par s'emparer de l'ensemble du marché européen des vaccins.

    Début mars 2021, 18 pays européens dont la France, l'Italie, l'Allemagne et l'Espagne ont décidé de suspendre le vaccin à ARNm d'AstraZeneca. AstraZeneca était la cible des gouvernements nationaux de l'UE, de l'Agence européenne des Médicaments (EMA) ainsi que de la Commission européenne.

    L'UE a maintenant confirmé qu'elle ne renouvellerait pas ses contrats avec J et J et AstraZeneca malgré le fait (selon les données de l'UE et du Royaume-Uni) que les décès et les effets secondaires graves résultant du « vaccin » Pfizer BioNTech sont beaucoup plus élevés que ceux de l'AstraZeneca.

    Les données officielles de l'UE relatives aux décès et effets secondaires graves liés aux vaccins de Pfizer, Moderna et AstraZeneca font état de : 3 964 décès et 162 610 effets secondaires graves (27 décembre 2020 - 13 mars 2021).

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  14. - voir graphique sur site -

    nombre de morts covid vaccins
    La répartition (AstraZeneca, Pfizer, Moderna)

    Total des réactions pour le vaccin expérimental AZD1222 (CHADOX1 NCOV-19) d'Oxford/AstraZeneca : 451 décès et 54 571 effets secondaires graves au 13/03/2021.

    Nombre total de réactions pour le vaccin expérimental à ARNm Tozinameran (code BNT162b2, Comirnaty) de BioNTech/Pfizer : 2 540 décès et 102 100 effets secondaires graves au 13/03/2021.

    Total des réactions au vaccin expérimental à ARNm mRNA-1273 (CX-024414) de Moderna : 973 décès et 5 939 effets secondaires graves au 13/03/2021.

    - voir graphique sur site -
    ceretificats décès covid

    Les données britanniques confirment également que les soi-disant effets secondaires du mRNA sont nettement plus élevés pour le « vaccin » Pfizer BioNTech (par rapport à AstraZeneca).

    Voir le rapport choquant du gouvernement britannique sur les effets secondaires des vaccins Corona : Accidents vasculaires cérébraux, cécité, fausses couches.

    Alors pourquoi les concurrents de Pfizer, à savoir Astrazeneka et J & J, sont-ils évincés du marché européen ?

    Il y a une guerre au sein de Big Pharma.

    Remarques finales

    Comme c'est amplement documenté, le vaccin n'est pas nécessaire. Il n'y a pas de pandémie.

    Et pourquoi la Commission européenne, qui représente 450 millions de personnes dans 27 pays, s'engagerait-elle à acheter 1,8 milliard de doses du « vaccin » à ARNm de Pfizer, dont on sait dès le départ qu'il a entraîné des décès et des effets secondaires graves, notamment des réactions auto-immunes, des anomalies de la coagulation sanguine, des accidents vasculaires cérébraux et des hémorragies internes.

    Voir la réfutation de Doctors for Covid Ethics adressée à l'Agence européenne des Médicaments (EMA).

    Dites NON au virus tueur. Le « vaccin » Pfizer parrainé par l'UE doit faire l'objet d'un mouvement populaire coordonné dans les 27 États membres de l'Union européenne, ainsi que dans le monde entier.

    Les preuves scientifiques confirment amplement qu'un vaccin Covid-19 n'est PAS nécessaire. C'est plutôt le contraire.

    Les estimations des soi-disant cas positifs au Covid-19 sont basées sur le test RT-PCR qui, selon la dernière déclaration de l'OMS (20 janvier 2021), n'est absolument pas fiable et qui a servi à gonfler les chiffres, tout en justifiant la nécessité d'un vaccin à ARNm, qui en fait n'est pas un vaccin.

    Voir : L'OMS confirme que le test PCR Covid-19 est défectueux : Les estimations de « cas positifs » n'ont aucun sens. Le confinement n'a pas de base scientifique.

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  15. Alors que les médias mettent en avant le « virus tueur », avec des « preuves » maigres et contradictoires, ce qui est en jeu est mieux décrit comme « un vaccin tueur ».

    Estimations trompeuses des décès dus au Covid

    En outre, les estimations des décès dus au Covid utilisées pour justifier la nécessité d'un vaccin sont fausses. Aux États-Unis, les certificateurs ont reçu l'ordre d'indiquer que la « cause sous-jacente du décès » était le Covid-19 « le plus souvent possible ».

    Voir Covid-19 et la falsification des certificats de décès : La clause « More Often Than Not » du CDC.

    Pour une étude plus large, voir le livre électronique en dix chapitres de Michel Chossudovsky intitulé :

    The 2020-21 Worldwide Corona Crisis: Destroying Civil Society, Engineered Economic Depression, Global Coup d'État and the "Great Reset" (« La crise mondiale de Corona 2020-21 : Destruction de la société civile, dépression économique artificielle, coup d'État mondial et "Great Reset" »).

    https://fr.sott.net/article/37054-Un-conglomerat-pharmaceutique-au-casier-judiciaire-charge-Pfizers-empare-du-marche-europeen-des-vaccins-soit-1-8-milliard-de-doses

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  16. Ils osent tout : l'exécutif envisage de faire vacciner des célébrités pour redorer l'image du vaccin AstraZeneca


    RT France
    jeu., 22 avr. 2021 19:56 UTC


    Le Service d'information du gouvernement aurait prévu une opération de communication dans laquelle la vaccination de célébrités de plus de 55 ans serait diffusée à la télévision. Jean Castex aurait personnellement évoqué la chanteuse Sheila.


    Commentaire : Petite question en passant : qu'y aura-t-il dans la seringue ? Du sérum phy ? On l'espère pour la pauvre Sheila.


    Selon le Canard Enchaîné relayé par Le Figaro le 21 avril, l'équipe du Premier ministre aurait chargé le Service d'information du gouvernement (SIG) de proposer un plan de communication pour inciter les plus de 55 ans à recevoir leur première dose du vaccin contre le Covid-19 d'AstraZeneca, dont l'image a pâti de risques de thromboses ayant mené à son interdiction dans certains pays.

    «Nous avons des difficultés pour convaincre sur l'AstraZeneca, il faut réfléchir en termes de communication et de capacité à convaincre», aurait déclaré Emmanuel Marcon le 20 avril lors d'une réunion à l'Elysée.

    «Un outil parmi tant d'autres», selon Gabriel Attal

    Une information confirmée par le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal le 21 avril à la sortie du Conseil des ministres : interrogé sur le sujet, ce dernier a expliqué que la volonté de vacciner des «stars» était bien à l'ordre du jour. Rappelant la mise en scène de la vaccination de Jean Castex avec le vaccin AstraZeneca, il a expliqué :

    «Le président de la République et le Premier ministre souhaitent que ces exemples puissent se multiplier, que ce soit des personnalités populaires bien connues des Français, ou des responsables publics dans la cible d'âge qui pourraient médiatiser leur vaccination. Cela fait partie des idées sur lesquelles on travaille.»
    Cela constituerait selon lui «un outil parmi d'autres». «A côté de la transparence et de l'information scientifique claire, il y a aussi la question de l'exemple», a-t-il ajouté, précisant : «[Il] y a évidemment une confiance à renforcer s'agissant du vaccin AstraZeneca. Il y a des doutes, des inquiétudes chez beaucoup de Français. Mais beaucoup d'autres Français se font vacciner avec AstraZeneca, et nous encourageons évidemment cela.»

    Le SIG aurait de ce fait obtenu un accord avec TF1 visant à diffuser les vaccinations filmées de plusieurs célébrités de la chanson et du petit écran se situant dans la tranche d'âge visée. Les chaînes du groupe France Télévisions et M6 devraient également participer à cette opération de communication. Concernant ces célébrités, le Premier ministre Jean Castex aurait suggéré auprès de ses communicants le nom de Sheila, une chanteuse icône des années 1960 aujourd'hui âgée de 75 ans.

    Toujours selon le Canard Enchaîné, seulement 10 000 des 60 000 doses du vaccin AstraZeneca disponibles pour les personnes prioritaires de plus de 55 ans ont été injectées lors du weekend du 28 avril, et des centres de vaccination ont dû fermer prématurément leurs portes faute d'inscriptions.

    Le 14 avril, le Danemark a été le premier pays européen à renoncer définitivement au vaccin AstraZeneca. L'Afrique du Sud y avait déjà renoncé en février car son efficacité est mise en doute face au variant qui fait rage dans le pays. Les Etats-Unis, tout comme la Suisse, ne l'ont toujours pas homologué, et le Venezuela a refusé de l'autoriser en invoquant ses effets secondaires.

    https://fr.sott.net/article/37053-Ils-osent-tout-l-executif-envisage-de-faire-vacciner-des-celebrites-pour-redorer-l-image-du-vaccin-AstraZeneca

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  17. Le culte de Covidian (partie II)


    22 avr.2021
    CJ Hopkins


    En octobre 2020, j'ai écrit un essai intitulé The Covidian Cult, dans lequel je décrivais la soi-disant «nouvelle normalité» comme un mouvement idéologique totalitaire mondial. Les développements au cours des six derniers mois ont confirmé l'exactitude de cette analogie.

    Un an après le déploiement initial des photos absolument horribles et complètement fictives de personnes tombant mortes dans les rues, le taux de mortalité prévu de 3,4% et tout le reste de la propagande officielle, malgré l'absence de toute preuve scientifique réelle de un fléau apocalyptique (et l'abondance de preuves du contraire), des millions de personnes continuent à se comporter comme des membres d'un énorme culte de la mort, se promenant en public avec des masques d'aspect médical, répétant robotiquement des platitudes vides, torturant des enfants, des personnes âgées, le handicapé, exigeant que tout le monde se soumette à des injections de dangereux «vaccins» expérimentaux, et agissant simplement de manière délirante et psychotique.

    Comment en sommes-nous arrivés à ce point… au point où, comme je l'ai dit dans The Covidian Cult, «au lieu du culte existant en tant qu'île au sein de la culture dominante, le culte est devenu la culture dominante, et ceux d'entre nous qui n'ont pas rejoint le culte sont devenus les îles isolées en son sein?

    Pour comprendre cela, il faut comprendre comment les sectes contrôlent l'esprit de leurs membres, car les mouvements idéologiques totalitaires opèrent plus ou moins de la même manière, juste à une échelle sociale beaucoup plus large. Il y a une mine de recherches et de connaissances sur ce sujet (j'ai mentionné Robert J. Lifton dans mon essai précédent), mais, pour garder les choses simples, je vais simplement utiliser «Six Conditions of Mind Control» de Margaret Singer de son livre de 1995, Cults in Our Midst, comme une lentille pour voir le culte Covidian à travers.

    Six conditions du contrôle mental

    1. Gardez la personne inconsciente de ce qui se passe et de la façon dont elle est changée étape par étape. Les nouveaux membres potentiels sont guidés, étape par étape, à travers un programme de changement de comportement sans être au courant de l'ordre du jour final ou du contenu complet du groupe.

    Avec le recul, il est facile de voir comment les gens ont été conditionnés, étape par étape, à accepter l'idéologie de la «nouvelle normalité». Ils ont été bombardés d'une propagande terrifiante, enfermés, dépouillés de leurs droits civils, forcés de porter des masques d'aspect médical en public, de réaliser des rituels absurdes de «distanciation sociale», de se soumettre à des «tests» constants, et tout le reste.

    Quiconque ne respectait pas ce programme de changement de comportement ou contestait la véracité et la rationalité de la nouvelle idéologie était diabolisé comme un «théoricien du complot», un «négationniste de Covid», un «anti-vaxxer», par essence, un ennemi de la secte, comme une «personne suppressive» dans l'Église de Scientologie.

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  18. 2. Contrôler l’environnement social et / ou physique de la personne; contrôler surtout le temps de la personne.

    Depuis plus d'un an maintenant, les autorités de la «Nouvelle Normale» contrôlent l'environnement social / physique et la façon dont les New Normals passent leur temps, avec des verrouillages, des rituels de distanciation sociale, la fermeture d'entreprises «non essentielles», une propagande omniprésente, l'isolement des les personnes âgées, les restrictions de voyage, les règles obligatoires pour les masques, les interdictions de protestation et maintenant la ségrégation des «non vaccinés».

    Fondamentalement, la société s'est transformée en quelque chose qui ressemble à un service de maladies infectieuses ou à un énorme hôpital d'où il n'y a pas d'échappatoire. Vous avez vu les photos des joyeux New Normals qui mangent au restaurant, se détendent à la plage, font du jogging, vont à l’école, etc., mènent leur vie «normale» avec leurs masques d’apparence médicale et leurs écrans faciaux prophylactiques.

    Ce que vous regardez, c’est la pathologisation de la société, la pathologisation de la vie quotidienne, la manifestation physique (sociale) d’une obsession morbide de la maladie et de la mort.

    3. Créer systématiquement un sentiment d'impuissance chez la personne.

    Quel genre de personne pourrait se sentir plus impuissant qu'un New Normal obéissant assis à la maison, enregistrant de manière obsessionnelle le décompte des «morts de Covid», partageant des photos de son masque médical et du bandage post-«vaccination» sur Facebook, alors qu'il attend l'autorisation de les autorités pour sortir, rendre visite à sa famille, embrasser son amant ou serrer la main d'un collègue ?

    Le fait que dans le culte Covidian le chef de culte charismatique traditionnel ait été remplacé par une ménagerie d'experts médicaux et de fonctionnaires du gouvernement ne change pas la dépendance totale et l'impuissance abjecte de ses membres, qui ont été réduits à un État proche de l'enfance. Cette impuissance abjecte n'est pas vécue comme un négatif; au contraire, il est fièrement célébré.

    Ainsi, la répétition semblable à un mantra de la platitude «Nouvelle Normale» «Faites confiance à la science!» par des gens qui, si vous essayez de leur montrer la science, s'effondrent complètement et commencent à vous faire des bêtises agressives pour vous faire taire.

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  19. 4. Manipuler un système de récompenses, de punitions et d’expériences de manière à empêcher un comportement qui reflète l’ancienne identité sociale de la personne.

    Le point ici est la transformation de la personne autrefois fondamentalement rationnelle en une personne entièrement différente approuvée par la secte, dans notre cas, une personne obéissante «Nouvelle Normale». Singer aborde cela plus en détail, mais sa discussion s'applique principalement aux cultes sous-culturels, et non aux mouvements totalitaires à grande échelle. Pour nos besoins, nous pouvons intégrer cela à la condition 5.

    5. Manipuler un système de récompenses, de punitions et d’expériences afin de promouvoir l’apprentissage de l’idéologie ou du système de croyances du groupe et des comportements approuvés par le groupe. Un bon comportement, démontrant une compréhension et une acceptation des croyances du groupe, et la conformité sont récompensés, tandis que le questionnement, l’expression de doutes ou la critique se heurtent à la désapprobation, à la réparation et au rejet éventuel. Si quelqu'un exprime une question, on lui fait sentir qu'il y a quelque chose qui ne va pas chez lui à remettre en question.

    OK, je vais vous raconter une petite histoire. C’est l’histoire d’une expérience personnelle, que vous avez également vécue, j’en suis sûr. C’est l’histoire d’un certain New Normal qui me harcèle depuis plusieurs mois. Je l’appellerai Brian Parks, parce que, eh bien, c’est son nom, et je n’ai plus aucun scrupule à le partager.

    Brian est un ancien ami / collègue du monde du théâtre qui est devenu complètement «New Normal» et est absolument furieux que je ne l'ai pas fait. Brian est tellement indigné que je n'ai pas rejoint la secte qu'il circule sur Internet en me qualifiant de «théoricien du complot» et en suggérant que j'ai eu une sorte de dépression nerveuse et que j'ai besoin d'un traitement psychiatrique immédiat parce que je ne le fais pas. croient le récit officiel de «New Normal».

    Maintenant, ce ne serait pas très grave, sauf que Brian attaque mon personnage et tente de nuire à ma réputation sur les pages Facebook d'autres collègues de théâtre, ce que Brian se sent en droit de faire, étant donné que je suis un «négationniste de Covid», un «théoricien du complot», et un «anti-vaxxer», ou quoi que ce soit, et étant donné qu'il a le pouvoir de l'État, des médias, etc., de son côté.

    C'est ainsi que cela fonctionne dans les cultes et dans les grandes sociétés totalitaires. Ce n’est généralement pas la Gestapo qui vient pour vous. Ce sont généralement vos amis et collègues. Ce que Brian fait, c'est travailler ce système de récompenses et de punitions pour appliquer son idéologie, car il sait que la plupart de mes autres collègues du monde du théâtre sont également passés à la «nouvelle normalité», ou du moins regardent de l'autre côté et restent silencieux pendant sa mise en œuvre.

    Cette tactique, évidemment, s'est retournée contre Brian, principalement parce que je m'en fous de ce que les New Normals pensent de moi, qu'ils travaillent dans le monde du théâtre ou ailleurs, mais je suis dans une position plutôt privilégiée, car j'ai accompli ce que je voulais accomplir au théâtre, et préférerais mettre la main dans un mixeur plutôt que de soumettre mes romans à des éditeurs d'entreprise pour examen par des «lecteurs sensibles», il n'y a donc pas grand-chose à me menacer.

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  20. Cela, et je n'ai pas d'enfants à soutenir, ni d'administrations à qui répondre (contrairement, par exemple, à Mark Crispin Miller, qui est actuellement persécuté par l'administration «New Normal» à NYU).

    Le fait est que ce genre de conditionnement idéologique se produit partout, tous les jours, au travail, entre amis, même parmi les familles. La pression pour se conformer est intense, car rien n'est plus menaçant pour les sectateurs dévoués, ou les membres de mouvements idéologiques totalitaires, que ceux qui remettent en question leurs croyances fondamentales, les confrontent à des faits ou démontrent autrement que leur «réalité» n'est pas du tout la réalité , mais plutôt une fiction délirante et paranoïaque.

    La principale différence entre la façon dont cela fonctionne dans les sectes et les mouvements idéologiques totalitaires est que, généralement, une secte est un groupe sous-culturel, et donc les non-membres de la secte ont le pouvoir de l'idéologie de la société dominante sur laquelle s'appuyer lorsqu'ils résistent à l'esprit. contrôler les tactiques de la secte, et tenter de déprogrammer ses membres… alors que, dans notre cas, ce rapport de force est inversé.

    Les mouvements idéologiques totalitaires ont le pouvoir des gouvernements, des médias, de la police, de l'industrie culturelle, des universités et des masses dociles de leur côté. Et, par conséquent, ils n'ont pas besoin de persuader qui que ce soit. Ils ont le pouvoir de dicter la «réalité». Seuls les cultes opérant dans l’isolement total, comme le Temple du Peuple de Jim Jones en Guyane, jouissent de ce niveau de contrôle sur leurs membres.

    Cette pression pour se conformer, ce conditionnement idéologique, doit être farouchement résisté, quelles qu'en soient les conséquences, tant publiquement que dans notre vie privée, sinon la «nouvelle normalité» deviendra certainement notre «réalité».

    Malgré le fait que nous, les «négationnistes de Covid», sommes actuellement surpassés en nombre par les sectateurs de Covid, nous devons nous comporter comme si nous ne l’étions pas, et nous en tenir à la réalité, aux faits et à la vraie science, et traiter les Nouvelles Normales comme exactement ce qu’elles sont, membres d'un nouveau mouvement totalitaire, les sectateurs délirants se déchaînent. Si nous ne le faisons pas, nous arriverons à la condition 6 de Singer…

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  21. 6. Mettre en avant un système fermé de logique et une structure autoritaire qui ne permet aucun retour et refuse d'être modifié sauf par l'approbation de la direction ou par décret. Le groupe a une structure pyramidale descendante. Les dirigeants doivent avoir des moyens verbaux de ne jamais perdre.

    Nous n’en sommes pas encore là, mais c’est là que nous nous dirigeons… un totalitarisme global pathologisé. Alors, s'il vous plaît, parlez. Appelez les choses ce qu'elles sont. Affrontez les Brians dans votre vie. Bien qu’ils se disent qu’ils essaient de vous aider à «retrouver vos esprits», à «voir la vérité» ou à «faire confiance à la science», ils ne le sont pas.

    Ce sont des sectateurs qui essaient désespérément de vous amener à vous conformer à leurs croyances paranoïdes, vous faisant pression, vous manipulant, vous intimidant, vous menaçant. Ne les engagez pas selon leurs conditions et ne les laissez pas vous inciter à accepter leurs locaux. (Une fois qu'ils vous ont aspiré dans leur récit, ils ont gagné.) Exposez-les, confrontez-les à leurs tactiques et à leurs motivations.

    Vous ne changerez probablement pas d'avis du tout, mais votre exemple pourrait aider d'autres New Normals dont la foi glisse à commencer à reconnaître ce qui a été fait à leur esprit et à rompre avec le culte.

    https://off-guardian.org/2021/04/22/the-covidian-cult-part-ii/

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  22. 15 ans qu’il ne vient plus travailler mais toujours payé

    Cet employé d’un hôpital avait notamment menacé le directeur pour ne pas être inquiété puis a bénéficié de complicités. Il a ainsi touché près de 600 000 francs (suisses) de salaire.


    23 avril 2021, 06:40
    par Michel Pralong


    En 2005, un employé de l’hôpital Pugliese de Catanzaro, en Calabre, est affecté au centre des opérations d’urgence incendie de ce même établissement. Mais depuis cette date, personne ne l’a vu venir travailler. Et il a pourtant continué à toucher son salaire, soit plus de 538 000 euros au total (près de 600 000 francs), écrit «La Stampa».

    C’est la brigade financière de la ville qui a découvert cela. Pour parvenir à ses fins, ce roi de l’absentéisme a d’abord menacé le directeur de l’hôpital et sa famille, afin de l’empêcher de faire des rapports disciplinaires. Quand le directeur a pris sa retraite, ni son successeur ni les ressources humaines ne semblent avoir vérifié la présence de cet employé.

    Pas matière à plainte, selon une commission

    En 2020, alors que la brigade financière avait commencé à enquêter sur l’hôpital, une commission disciplinaire a statué sur le cas de l’employé en question, pour décider, malgré l’évidence qu’il n’était jamais là, qu’il n’y avait pas matière à porter plainte! Les trois membres de cette commission sont désormais suspectés de faux et abus de pouvoir. En tout, avec d’autres membres de l’hôpital dont des directeurs, ce sont sept personnes qui se retrouvent parmi les accusés pour avoir rendu possible cette escroquerie.

    Une deuxième procédure disciplinaire avait toutefois été engagée conte l’absentéiste en octobre 2020 et cette fois, il avait été licencié sans préavis. Mais aujourd’hui, à 67 ans, il risque bien plus que cela.

    https://www.lematin.ch/story/15-ans-quil-ne-vient-plus-travailler-mais-toujours-paye-408536193736

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    Réponses
    1. C'est exactement ce qui arrive en France à tous les ex chefs d'Etat et ministres ! Mais c'est quand même un peu plus que 538 000 euros !

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  23. Monopoly: un aperçu de la grande réinitialisation - Suivez l'argent


    Par Alexandra Bruce
    Télévision de la connaissance interdite
    23 avril 2021


    Si vous vous demandez comment l'économie mondiale a été détournée et comment l'humanité a été kidnappée par un récit complètement faux, ne cherchez pas plus loin que cette vidéo du créateur néerlandais Covid Lie.

    Ce qu’elle découvre, c’est que les actions des plus grandes sociétés du monde appartiennent aux mêmes investisseurs institutionnels. Ils se possèdent tous. Cela signifie que les marques «concurrentes», comme Coke et Pepsi, ne sont pas du tout des concurrentes, puisque leurs actions appartiennent exactement aux mêmes sociétés d’investissement, fonds d’investissement, compagnies d’assurance, banques et, dans certains cas, gouvernements. C'est le cas, dans toutes les industries. Comme elle le dit:

    «Les petits investisseurs appartiennent à de plus gros investisseurs. Ceux-ci appartiennent à des investisseurs encore plus importants. Le sommet visible de cette pyramide ne montre que deux entreprises dont nous avons souvent vu les noms… Ce sont Vanguard et BlackRock. La puissance de ces deux entreprises dépasse votre imagination. Non seulement ils possèdent une grande partie des actions de presque toutes les grandes entreprises, mais également les actions des investisseurs de ces entreprises. Cela leur donne un monopole complet.

    Un rapport Bloomberg indique que ces deux sociétés en 2028, auront ensemble des investissements d'un montant de 20 billions de dollars. Cela signifie qu'ils posséderont presque tout.

    Bloomberg appelle BlackRock «La quatrième branche du gouvernement», car c'est la seule agence privée qui travaille en étroite collaboration avec les banques centrales. BlackRock prête de l’argent à la banque centrale, mais c’est aussi le conseiller. Il développe également les logiciels utilisés par la banque centrale. De nombreux employés de BlackRock étaient à la Maison Blanche avec Bush et Obama. Son PDG. Larry Fink peut compter sur un accueil chaleureux de la part des dirigeants et des politiciens. Pas si étrange, si vous savez qu'il est le leader de la société au pouvoir, mais Larry Fink ne tire pas les ficelles lui-même.

    BlackRock, elle-même, est également détenue par des actionnaires. Qui sont ces actionnaires ? Nous arrivons à une étrange conclusion. Le plus gros actionnaire est Vanguard. Mais maintenant, il devient trouble. Vanguard est une société privée et nous ne pouvons pas voir qui sont les actionnaires. L'élite qui possède Vanguard n'aime apparemment pas être sous les projecteurs, mais bien sûr, elle ne peut pas se cacher de qui est prêt à creuser.

    Les rapports d'Oxfam et de Bloomberg indiquent que 1 % du monde, ensemble, possède plus d'argent que les 99 % restants. Pire encore, Oxfam affirme que 82 % de tout l'argent gagné en 2017 est allé à ce 1 %.

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  24. En d'autres termes, ces deux sociétés d'investissement, Vanguard et BlackRock détiennent un monopole dans toutes les industries du monde et elles sont à leur tour détenues par les familles les plus riches du monde, dont certaines sont des redevances et qui ont été très riches depuis avant le Révolution industrielle. Pourquoi tout le monde ne le sait-il pas ? Pourquoi n'y a-t-il pas de films et de documentaires à ce sujet ? Pourquoi n’est-ce pas dans les nouvelles ? Parce que 90 % des médias internationaux appartiennent à neuf conglomérats médiatiques.

    Covid Lie demande: «Qui parraine l'organisation et les agences de presse qui produisent nos informations ? Avec Project Syndicate, nous voyons la Fondation Bill et Melinda Gates, la Fondation Open Society et le Centre Européen de Journalisme. Les organisations qui diffusent les informations sont payées par des organisations à but non lucratif, de la même élite qui possède également l'ensemble des médias, mais aussi une partie de l'argent des contribuables est utilisée pour les payer.

    Ou, comme l'a dit George Carlin, "C'est un petit club et vous n'y êtes pas."

    Ainsi, lorsque Lynn Forester de Rothschild veut que les États-Unis soient un pays à parti unique (comme la Chine) et ne veut pas que des lois d'identification des électeurs soient adoptées aux États-Unis, afin que davantage de fraudes électorales puissent être perpétrées pour atteindre cet objectif, que fait-elle ? fais ?

    Elle tient une conférence téléphonique avec les 100 plus grands PDG du monde et leur dit de dénoncer publiquement l'adoption par la Géorgie de «Jim Crow» d'une loi anti-corruption et elle ordonne à ses dévoués PDG de boycotter l'État de Géorgie, comme nous l'avons vu avec Coca-Cola et la Major League Baseball et même la star d'Hollywood, Will Smith. Dans cette conférence téléphonique, nous voyons les nuances de la Grande Réinitialisation, de l'Agenda 2030, du Nouvel Ordre Mondial.

    L'ONU veut s'assurer, tout comme Schwab, qu'en 2030, la pauvreté, la faim, la pollution et la maladie ne ravagent plus la Terre. Pour y parvenir, l'ONU veut que les impôts des pays occidentaux soient divisés par les méga-corporations de l'élite pour créer une toute nouvelle société. Pour ce projet, l'ONU dit que nous avons besoin d'un gouvernement mondial - à savoir l'ONU, elle-même.

    Et il est clair que la «pandémie» a été orchestrée pour y parvenir. Cette vidéo fait un travail incroyable pour expliquer comment tout cela est fait.

    TRANSCRIPTION

    Alors que vous regardez des millions de personnes tomber dans la pauvreté à cause des mesures corona de l'année dernière, même si la plus grande crise économique de l'histoire ne vous a pas encore touché, ce ne sera qu'une question de temps jusqu'à ce que les effets d'entraînement vous frappent également.

    Ce n’est pas de la peur, mais c’est une dure réalité. Je pense également que nous pourrions atténuer les dégâts et même faire mieux, à condition que nous soyons correctement informés de notre situation. C'est pourquoi je voudrais vous montrer quelques faits que vous pouvez facilement vérifier des faits qui sont d'une importance cruciale.

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  25. Moins d'une poignée de grandes entreprises dominent tous les aspects de nos vies. Cela peut sembler exagéré, mais du petit-déjeuner que nous mangeons au matelas sur lequel nous dormons et tout ce que nous portons et consommons entre les deux dépend en grande partie de ces entreprises.

    Ce sont d'énormes sociétés d'investissement qui déterminent le cours des flux d'argent. Ce sont les personnages principaux de la pièce dont nous assistons. Je sais que votre temps est précieux, je résume donc les données les plus importantes.

    Comment ça marche ?

    L'INDUSTRIE ALIMENTAIRE

    Prenons Pepsico comme exemple. C'est la société mère de nombreuses sociétés de soda et de snacks. Les marques dites compétitives proviennent d'usines de quelques entreprises qui monopolisent l'ensemble de l'industrie. Dans l'industrie des aliments emballés, il existe quelques grandes entreprises, comme Unilever, la société Coca-Cola, Mondelez et Nestlé.

    Sur la photo, vous voyez que la plupart des marques de l'industrie alimentaire appartiennent à l'une de ces sociétés. Les grandes entreprises sont en bourse et ont les gros actionnaires au conseil d'administration.

    Sur des sources telles que Yahoo Finance, nous pouvons voir des informations détaillées sur la société, telles que les principaux actionnaires. Prenons à nouveau Pepsico, comme exemple. Nous voyons qu'environ 72 % des actions sont détenues par pas moins de 3 155 investisseurs institutionnels. Ce sont des sociétés d'investissement, des fonds d'investissement, des compagnies d'assurance, des banques et, dans certains cas, des gouvernements.

    Qui sont les plus gros investisseurs institutionnels de Pepsico ? Comme vous pouvez le voir, seuls 10 des investisseurs détiennent ensemble près d'un tiers des actions. Les 10 principaux investisseurs représentent ensemble une valeur de 59 milliards de dollars, mais sur ces dix, seuls trois possèdent plus d'actions que les sept autres. Souvenons-nous d’eux et cherchons à qui détient le plus d’actions de la société Coca-Cola, le plus gros concurrent de Pepsi.

    La plus grosse masse d'actions est à nouveau détenue par des investisseurs institutionnels. Examinons les 10 premiers et commençons par les six derniers. Nous avons également vu quatre de ces investisseurs institutionnels parmi les six derniers de Pepsico. Il s'agit de Northern Trust, JPMorgan-Chase, Geode Capital Management et Wellington Management. Voyons maintenant les quatre plus grands actionnaires. Ce sont BlackRock, Vanguard et State Street. Ce sont les plus grandes sociétés d’investissement au monde, donc Pepsico et Coca-Cola ne sont pas du tout des concurrents.

    Les autres grandes entreprises qui possèdent une myriade de marques, comme Unilever, Mondelez et Nestlé, appartiennent au même petit groupe d'investisseurs. Mais ce n’est pas seulement dans l’industrie alimentaire que leur nom revient. Découvrons sur Wikipedia, quelles sont les plus grandes entreprises technologiques.

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  26. GRANDE TECHNOLOGIE

    Facebook est le propriétaire de Whatsapp et Instagram. Avec Twitter, ils forment les plateformes de médias sociaux les plus populaires. Alphabet est le parent de toutes les sociétés Google, comme YouTube et Gmail, mais ils sont également le plus gros investisseur dans Android, l'un des deux systèmes d'exploitation pour presque tous les smartphones et tablettes. L’autre système d’exploitation est l’IOS d’Apple. Si nous ajoutons Microsoft, nous voyons quatre entreprises fabriquer le logiciel pour presque tous les ordinateurs, tablettes et smartphones dans le monde.

    Voyons quels sont les principaux actionnaires de ces entreprises. Prenons Facebook: on voit que 80% du stock est détenu par des investisseurs institutionnels. Ce sont les mêmes noms qui sont apparus dans l'industrie alimentaire; les mêmes investisseurs font partie des trois premiers. Ensuite, c'est Twitter. Il forme avec Facebook et Instagram les trois premiers. Étonnamment, cette société est également aux mains des mêmes investisseurs. On les revoit, avec Apple et même avec leur plus gros concurrent, Microsoft.

    De plus, si nous regardons d'autres grandes entreprises du secteur de la technologie qui développent et fabriquent nos ordinateurs, téléviseurs, téléphones et appareils électroménagers, nous voyons les mêmes grands investisseurs, qui détiennent ensemble la majorité des actions. C’est vrai pour toutes les industries. Je n’exagère pas.

    L'INDUSTRIE DU VOYAGE (ET L'ÉNERGIE ET ​​LES MINES)

    Un dernier exemple, réservons des vacances sur un ordinateur ou un smartphone. Nous recherchons un vol vers un pays ensoleillé sur Skyscanner ou Expedia. Les deux appartiennent au même petit groupe d'investisseurs. Nous volons avec l'une des nombreuses compagnies aériennes. Beaucoup d'entre eux sont entre les mains des mêmes investisseurs et des gouvernements, comme c'est le cas avec Air France, KLM. L'avion dans lequel nous montons est, dans la plupart des cas, un Boeing ou un Airbus, également détenu par les mêmes noms. Nous réservons via Booking.com ou AirBnB et quand nous arrivons, nous sortons pour dîner et faisons un commentaire sur Tripadvisor.

    Les mêmes gros investisseurs apparaissent dans tous les aspects de notre voyage et leur puissance est encore plus grande, car le kérosène provient de leurs compagnies pétrolières ou de leurs raffineries. L'acier à partir duquel l'avion est fabriqué provient de leurs sociétés minières. Ce petit groupe d'entreprises d'investissement, de fonds et de banques sont également les plus gros investisseurs de l'industrie qui recherchent des matières premières.

    Wikipédia montre que les plus grandes sociétés minières ont les mêmes gros investisseurs que nous voyons partout. Aussi, les grandes entreprises agricoles, dont dépend l'ensemble de l'industrie alimentaire; ils possèdent Bayer, la société mère de Monsanto, le plus grand producteur de semences au monde, mais ils sont également les actionnaires de la grande industrie textile. Et même de nombreuses marques de mode populaires qui fabriquent les vêtements en coton appartiennent aux mêmes investisseurs.

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  27. Qu'il s'agisse des plus grandes sociétés de panneaux solaires au monde ou des raffineries de pétrole, les stocks sont entre les mains des mêmes entreprises. Ils sont propriétaires des sociétés de tabac qui produisent toutes les marques de tabac populaires, mais ils possèdent également toutes les grandes sociétés pharmaceutiques et les institutions scientifiques qui produisent des médicaments. Ils sont propriétaires des entreprises qui produisent nos métaux et également de l'ensemble de l'industrie automobile, aéronautique et militaire, où une grande partie des métaux et des matières premières est utilisée. Ils possèdent les entreprises qui fabriquent nos produits électroniques, ils possèdent les grands entrepôts et les marchés en ligne et même les moyens de paiement que nous utilisons pour acheter leurs produits.

    Pour rendre cette vidéo la plus courte possible, je ne vous ai montré que la pointe de l'iceberg. Si vous décidez de rechercher cela avec les sources que je viens de vous montrer, vous verrez que les compagnies d'assurance, les banques, les entreprises de construction, les compagnies de téléphone, les chaînes de restaurants et les cosmétiques les plus populaires appartiennent aux mêmes investisseurs institutionnels que nous venons de voir.

    BLACKROCK & VANGUARD

    Ces investisseurs institutionnels sont principalement des entreprises d'investissement, des banques et des compagnies d'assurance. À leur tour, ils appartiennent eux-mêmes à des actionnaires et le plus surprenant est qu'ils possèdent les actions les uns des autres.

    Ensemble, ils forment un immense réseau comparable à une pyramide. Les petits investisseurs appartiennent à de plus gros investisseurs. Ceux-ci appartiennent à des investisseurs encore plus importants. Le sommet visible de cette pyramide ne montre que deux entreprises dont nous avons souvent vu les noms maintenant. Ce sont Vanguard et BlackRock. La puissance de ces deux entreprises dépasse votre imagination. Non seulement ils possèdent une grande partie des actions de presque toutes les grandes entreprises, mais également les actions des investisseurs de ces entreprises. Cela leur donne un monopole complet.

    Un rapport Bloomberg indique que ces deux sociétés en 2028, auront ensemble des investissements d'un montant de 20 billions de dollars. Cela signifie qu'ils posséderont presque tout

    Bloomberg appelle BlackRock «La quatrième branche du gouvernement», car c'est la seule agence privée qui travaille en étroite collaboration avec les banques centrales. BlackRock prête de l’argent à la banque centrale, mais c’est aussi le conseiller. Il développe également les logiciels utilisés par la banque centrale. De nombreux employés de BlackRock étaient à la Maison Blanche avec Bush et Obama. Son PDG, Larry Fink, peut compter sur un accueil chaleureux de la part des dirigeants et des politiciens. Pas si étrange, si vous savez qu'il est le leader de la société au pouvoir. Mais Larry Fink ne tire pas les ficelles lui-même.

    BlackRock, elle-même, est également détenue par des actionnaires. Qui sont ces actionnaires? Nous arrivons à une étrange conclusion. Le plus gros actionnaire est Vanguard. Mais maintenant, il devient trouble. Vanguard est une société privée et nous ne pouvons pas voir qui sont les actionnaires. L'élite qui possède Vanguard n'aime apparemment pas être sous les projecteurs, mais bien sûr, elle ne peut pas se cacher de qui est prêt à creuser.

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  28. Les rapports d'Oxfam et de Bloomberg indiquent que 1 % du monde, ensemble, possède plus d'argent que les 99 % restants. Pire encore, Oxfam affirme que 82 % de tout l'argent gagné en 2017 est allé à ce 1 %.

    Forbes, le magazine économique le plus célèbre, affirme qu'en mars 2020, il y avait 2095 milliardaires dans le monde. Cela signifie que Vanguard appartient aux familles les plus riches du monde. Si nous recherchons leur histoire, nous voyons qu'ils ont toujours été les plus riches. Certains d'entre eux, avant même le début de la révolution industrielle, parce que leur histoire est tellement intéressante et étendue, je vais en faire une suite.

    Pour l'instant, je veux juste dire que ces familles dont beaucoup sont royales sont les fondateurs de notre système bancaire et de toutes les industries du monde, ces familles n'ont jamais perdu le pouvoir mais en raison d'une population croissante, elles ont dû se cacher derrière entreprises, comme Vanguard, dont les actionnaires sont les fonds privés et à but non lucratif de ces familles.

    ONG ET FONDATIONS ET LEUR PROPRIÉTÉ DE BIG PHARMA

    Pour clarifier l'image, je dois expliquer brièvement ce que sont réellement les organismes sans but lucratif. Ceux-ci semblent être le lien entre les entreprises, la politique et les médias. Cela cache un peu les conflits d'intérêts. Les organisations à but non lucratif, également appelées «fondations», dépendent des dons, elles n'ont pas à révéler qui sont leurs donateurs, elles peuvent investir l'argent comme elles l'entendent et ne paient pas d'impôts tant que les bénéfices sont réinvestis dans de nouveaux projets . De cette manière, les organisations à but non lucratif gardent entre elles des centaines de milliards de dollars selon le gouvernement australien, les organisations à but non lucratif sont un moyen idéal de financer les terroristes et de blanchir massivement de l'argent.

    Les fondations et les fonds des familles les plus riches restent autant que possible à l'arrière-plan. Pour les questions qui retiennent beaucoup l'attention, on utilise les fondations de philanthropes qui sont de rang inférieur mais très riches.

    Je veux être bref, je vais donc vous montrer les trois plus importants qui relient toutes les industries du monde. Il s'agit de la Fondation Bill et Melinda Gates, de la Fondation Open Society du controversé multimilliardaire Soros et de la Fondation Clinton. Je vais vous donner une très courte introduction pour vous montrer leur puissance.

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  29. Selon le site Web du Forum économique mondial, la Fondation Gates est le plus grand sponsor de l'OMS. C'était après que Donald Trump ait quitté le soutien financier des États-Unis à l'OMS en 2020. La Fondation Gates est donc l'une des entités les plus influentes dans tout ce qui concerne notre santé. La Fondation Gates travaille en étroite collaboration avec les plus grandes sociétés pharmaceutiques, parmi lesquelles Pfizer, AstraZeneca, Johnson & Johnson, Biontech et Bayer.

    Et nous venons de voir qui sont leurs plus gros actionnaires. Bill Gates n'était pas un pauvre nerd de l'informatique qui devenait miraculeusement très riche. Il est issu d’une famille philanthrope qui travaille pour l’élite absolue. Son Microsoft appartient à Vanguard, BlackRock et Berkshire Hathaway. Mais la Fondation Gates, après BlackRock et Vanguard, est le plus gros actionnaire de Berkshire Hathaway. Il était même membre du conseil d'administration là-bas.

    Nous aurions besoin d'heures si nous voulions découvrir tout ce qui concerne Gates, l'Open Society Foundation de Soros et la Clinton Foundation. Ils forment un pont vers la situation actuelle, j'ai donc dû les présenter.

    LES MÉDIAS PRINCIPAUX

    Nous devons commencer le sujet suivant par une question. Quelqu'un comme moi, qui ne fait jamais de vidéos, peut, avec un vieil ordinateur portable, montrer objectivement que seules deux entreprises détiennent le monopole dans toutes les industries du monde. Ma question est la suivante: pourquoi n’en parle-t-on jamais dans les médias?

    Nous pouvons choisir quotidiennement entre toutes sortes de documentaires et de programmes télévisés mais aucun d'entre eux ne couvre ce sujet. N'est-ce pas assez intéressant ou y a-t-il d'autres intérêts en jeu? Wikipedia, nous donne à nouveau la réponse. Ils disent qu'environ 90% des médias internationaux appartiennent à neuf conglomérats de médias. Que l'on prenne le monopole Netflix et Amazon Prime ou d'énormes préoccupations qui possèdent de nombreuses sociétés filles, comme Time-Warner, la Walt Disney Company, Comcast, Fox Corporation, Bertelsmann et Viacom, CBS, on voit que les mêmes noms possèdent des actions.

    Ces sociétés ne réalisent pas seulement tous les programmes, films et documentaires, mais possèdent également les chaînes sur lesquelles ils sont diffusés. Ainsi, non seulement les industries mais aussi les informations appartiennent à l'élite.

    Je vais vous montrer brièvement comment cela fonctionne aux Pays-Bas. Pour commencer, tous les médias grand public néerlandais appartiennent à trois sociétés. Le premier est De PersGroep [DPG Media], la société mère des marques suivantes (. Outre les nombreux journaux et magazines, ils possèdent également Sanoma, la société mère de certaines des grandes chaînes commerciales néerlandaises. De nombreux médias étrangers , comme VTM, appartiennent également au De PersGroep.

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  30. Le second est Mediahuis, l’une des plus grandes préoccupations des médias européens. Aux Pays-Bas, Mediahuis possède les marques suivantes. Jusqu'en 2017, Sky Radio et Radio Veronica appartenaient également à Mediahuis, tout comme Radio 538 et radio 10.

    Et puis il y a Bertelsmann, qui est l'une des 9 plus grandes firmes de médias. Cette société possède RTL, qui possède 45 chaînes de télévision et 32 ​​stations de radio dans 11 pays. Mais Bertelsmann est également copropriétaire du plus grand éditeur de livres au monde, Penguin Random House.

    Les actions de ces sociétés appartiennent à des fonds privés de trois familles. Il s'agit de la famille belge Van Thillo, de la famille belge Leysen et de la famille allemande Bertelsmann-Mohn. Les trois familles se sont rangées du côté des nazis pendant la guerre.

    Selon Wikipedia, pour cette raison, le Telegraaf, le journal Leysen a été temporairement interdit aux Pays-Bas après la guerre.

    LES FAUSSES NOUVELLES

    Pour compléter cet aperçu, regardez d'où viennent les nouvelles. L'actualité quotidienne de tous ces médias, les divers médias d'information ne produisent pas d'informations. Ils utilisent des informations et des images des agences de presse, .ANP et Reuters. Ces agences ne sont pas indépendantes. .ANP appartient à Talpa, John de Mol. Thomson-Reuters appartient à la puissante famille canadienne Thomson.

    Les journalistes et rédacteurs en chef les plus importants travaillant pour ces agences sont membres d'une agence de journalisme, comme le Centre européen de journalisme. Il s'agit de l'un des plus grands sponsors européens de projets liés aux médias. Ils éduquent les journalistes, publient des livres d'étude, fournissent des espaces de formation et des agences de presse et travaillent en étroite collaboration avec les grandes entreprises, Google et Facebook.

    Pour l'analyse et les points de vue journalistiques, les grands médias utilisent Project Syndicate. C'est l'organisation la plus puissante du domaine. Project Syndicate et les organisations comme je l'ai mentionné sont avec les agences de presse. Le lien entre tous les médias du monde entier lorsque les présentateurs de nouvelles récoltent de leurs autocues [téléprompteurs], il est probable que le texte provienne de l'une de ces organisations. C'est la raison pour laquelle les médias du monde entier montrent une synchronicité dans leurs reportages.

    Et regardez le centre journalistique européen lui-même. Encore une fois, la Fondation Gates et la Fondation Open Society. Ils sont également fortement sponsorisés par Facebook, Google, le ministère de l'Éducation et des Sciences et le ministère des Affaires étrangères.

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  31. Qui sponsorise l'organisation et les agences de presse qui produisent nos actualités? Avec Project Syndicate, nous voyons la Fondation Bill et Melinda Gates, la Fondation Open Society et le Centre Européen de Journalisme. Les organisations qui apportent les nouvelles sont payées par des organisations à but non lucratif, de la même élite qui possède également l'ensemble des médias mais aussi une partie de l'argent des contribuables est utilisée pour les payer.

    En Belgique, il y a régulièrement des manifestations, puisque Mediahuis et De Persgroep reçoivent des millions d'euros du gouvernement, alors que beaucoup sont à l'étranger…

    LE DANGER DANS lequel NOUS SOMMES MAINTENANT

    Eh bien, c'était beaucoup à mâcher et j'ai essayé de le rendre aussi court que possible. Je n'ai utilisé que des exemples que j'estimais nécessaires pour créer une vue d'ensemble claire. Cela permet de mieux comprendre notre situation actuelle, ce qui peut apporter un nouvel éclairage sur les événements passés

    Il y aura suffisamment de temps pour plonger dans le passé, mais parlons maintenant d’aujourd’hui, mais mon objectif est de vous informer du danger dans lequel nous nous trouvons actuellement. L'élite gouverne tous les aspects de nos vies, aussi, les informations que nous obtenons et elles dépendent d'une coordination, d'une coopération pour connecter toutes les industries dans le monde pour servir leurs intérêts. Cela se fait par le biais du Forum économique mondial, entre autres, une organisation très importante.

    Chaque année à Davos, les PDG de grandes entreprises rencontrent des dirigeants nationaux, des politiciens et d'autres partis influents, comme l'UNICEF et Greenpeace. Au conseil de surveillance du WEF, l'ancien vice-président, Al Gore, notre propre ministre, Sigrid Kaag, Feike Sijbesma, président de Royal Dutch State Mines et la commissaire de la banque néerlandaise, Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne . Aussi, homme politique, le fils de Ferdinand Grapperhaus travaille pour le WEF.

    Wikipédia dit que la cotisation annuelle pour les membres est de 35 000 euros «mais plus de la moitié de notre budget provient de partenaires qui paient le coût pour les politiciens qui autrement ne pourraient pas se permettre l'adhésion.

    Selon les critiques, le WEF permet aux entreprises riches de faire des affaires avec d'autres entreprises ou avec des politiciens. Pour la plupart des membres, le WEF soutiendrait le gain personnel au lieu d’être un moyen de résoudre les problèmes du monde. Pourquoi y aurait-il de nombreux problèmes mondiaux si les chefs de file de l’industrie, les banquiers et les politiciens à partir de 1971 se réunissaient chaque année pour résoudre les problèmes du monde?

    N’est-il pas illogique qu’après 50 ans de rencontres entre les écologistes et les PDG des entreprises les plus polluantes, la nature se dégrade progressivement, pas mieux; que ces critiques ont raison, c’est clair, quand on regarde les principaux partenaires qui, ensemble, représentent plus de la moitié du budget du WEF. Parce que ce sont BlackRock, la fondation Open Society, la Fondation Bill et Melinda Gates et de nombreuses grandes entreprises, dont Vanguard et BlackRock détiennent les actions.

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  32. Le président et fondateur du WEF est Klaus Schwab, professeur et homme d'affaires suisse. Dans son livre, The Great Reset, il écrit sur les plans de son organisation. Le coronavirus est, selon lui, une grande «opportunité» de réinitialiser nos sociétés. Il l'appelle «Reconstruire mieux». Le slogan est maintenant sur les lèvres de tous les politiciens mondialistes dans le monde.

    Notre ancienne société doit passer à une nouvelle, dit Schwab. Le peuple ne possède rien d'autre que du travail pour l'État afin que ses principaux besoins soient satisfaits. Le WEF dit qu'il est nécessaire que la société de consommation que l'élite nous impose ne soit plus durable. Schwab dit dans son livre que nous ne reviendrons jamais à l'ancienne norme et le WEF a récemment publié une vidéo pour indiquer clairement que d'ici 2030, nous ne posséderons rien mais nous serons heureux.

    LA GRANDE RÉINITIALISATION = LE NOUVEL ORDRE MONDIAL

    Vous avez probablement entendu parler du Nouvel Ordre Mondial. Les médias veulent nous faire croire qu'il s'agit d'une théorie du complot, pourtant les dirigeants en parlent depuis des décennies. Pas seulement George Bush Senior, Bill Clinton et Nelson Mandela, mais aussi des philanthropes de renommée mondiale, comme Cecil Rhodes, David Rockefeller, Henry Kissinger et même George Soros.

    L'ONU a présenté en 2015 leur controversé Agenda 2030. Il est presque identique à la grande réinitialisation de Klaus Schwab. L'ONU veut s'assurer, tout comme Schwab, qu'en 2030, la pauvreté, la faim, la pollution et la maladie ne ravagent plus la Terre.

    Cela semble bien mais attendez de lire les petits caractères. Le plan est que l'Agenda 2030 sera payé par nous, les citoyens. Tout comme ils nous demandent maintenant de céder nos droits à la santé publique, ils nous demanderont de céder nos richesses pour lutter contre la pauvreté. Ce ne sont pas des théories du complot. C'est sur leur site officiel. Cela se résume à ceci: l'ONU veut que les impôts des pays occidentaux soient divisés par les méga entreprises de l'élite pour créer une toute nouvelle société. La nouvelle infrastructure, car les combustibles fossiles ont disparu en 2030.

    Pour ce projet, l'ONU dit que nous avons besoin d'un gouvernement mondial, à savoir l'ONU, elle-même.

    L'ONU convient avec Schwab qu'une pandémie est une chance en or d'accélérer la mise en œuvre de l'Agenda 2030.

    Il est inquiétant que le WEF et l'ONU admettent ouvertement que les pandémies et autres catastrophes peuvent être utilisées pour remodeler la société. Nous ne devons pas y penser à la légère et faire des recherches approfondies.

    Reprinted with permission from Forbidden Knowledge TV.

    https://www.lewrockwell.com/2021/04/no_author/monopoly-an-overview-of-the-great-reset-follow-the-money/

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    1. Mais si le Peuple se révolte contre ces dictateurs de l'ombre qui donnent le prix qu'ils veulent aux Matières Premières, c'est l'armée qui devra nous apporter le pétrole et saisir les usines où les 'patrons' sont un peu trop aux ordres du dessus.

      (...) Parce que 90 % des médias internationaux appartiennent à neuf conglomérats médiatiques. (...)

      Rappelez-vous, c'est ce qui s'est passé le 11 Septembre 2001 avec un accident d''avions' à N-Y ! TOUTES les télés du monde et TOUTES les radios du monde ont interrompu leurs programmes pour diffuser l'accident d'un avion percutant une tour. Cà alors !! Mais, antennes prises, ils l'ont conservé plus de 20 minutes !! (Çà alors) afin d'attendre le second 'avion' qui devait s'écraser sur la 2è tour du WTC ! Et, côté marrant, des avions en aluminium NE PEUVENT PAS traverser une cloison bétonnée et de plus fortifiée par des UPN verticaux en acier de 80 cm ! Bêh ils l'ont fait !! Cà alors !! HAHAHAHA !

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  33. La convergence État-entreprise dans notre état d'urgence


    Par Michael Rectenwald
    Mises.org
    23 avril 2021


    La question la plus urgente aujourd'hui pour les partisans de la liberté est peut-être la perspective que la gauche achève l'institution d'un État totalitaire. Il n'y a pas d'autre moyen de lire l'approche à plusieurs volets et les manœuvres politiques que les agents politiques prennent pour régner sous «Biden». Je mets «Biden» entre guillemets ici parce que l'actuel président des États-Unis n'est pas une personne singulière du nom de Joe Biden. Il s’agit d’un comité exécutif central composé de dirigeants et de conseillers du parti, ainsi que d’appareils d’État. Ne vous y trompez pas, la prise de pouvoir que la gauche entreprend constitue la menace la plus grave pour la liberté de l'histoire récente, quels que soient ses effets sur le Parti républicain.

    Les signaux ne pourraient pas être plus clairs. En plus de la panoplie de décrets exécutifs, clairement composés par des membres du comité exécutif et visant à encourager et à élargir la base du Parti démocrate ou à étendre le pouvoir fédéral, les démocrates ont lancé un corpus croissant de lois qui, si elles étaient adoptées, assureraient la règle unipartite pour l’avenir prévisible.

    Celles-ci incluent en particulier H.R.1, ou la loi pour le peuple, adoptée par la Chambre. S'il était adopté au Sénat (avec l'éradication de l'obstruction systématique), H.R.-1 favoriserait largement les candidats démocrates aux élections fédérales. Nonobstant l'expansion de la base démocrate par divers moyens, y compris la dérogation aux lois existantes sur l'identification des électeurs dans de nombreux États et l'obligation pour tous les États d'autoriser les bulletins de vote par correspondance sans carte d'identité, cela centraliserait davantage la surveillance des élections fédérales et, selon l'Institut pour la liberté d'expression, «[E] xpand l'univers du discours politique réglementé en ligne (par les Américains) au-delà de la publicité payante pour inclure, apparemment, les communications sur les sites Web et les messages électroniques de groupes ou d'individus.»

    Les manœuvres législatives incluent la «loi sur la justice de 2021», qui élargirait simplement la Cour suprême à douze membres plus le juge en chef. Cette décision, qui reviendrait à ajouter quatre juges approuvés par les démocrates, aurait essentiellement pour effet une prise de contrôle législative de la Cour suprême, car la Cour suprême contrôlée par les démocrates «légiférerait de plus en plus à partir du banc» et élargirait également le pouvoir de la Cour suprême contrôlée par les démocrates. pouvoirs législatif et exécutif au-delà des périmètres officiels. Les chances de son passage, en l'état, sont minces, mais l'ouverture est le signe d'une tentative de prise de pouvoir inédite depuis FDR.

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  34. Mais le signe le plus visible de la consolidation imminente du gouvernement totalitaire est la fusion effective des fonctionnaires des entreprises et de l'État, les entreprises et autres organisations agissant en tant qu'appendices du gouvernement et appliquant les desiderata entreprise-État. Les indications de cette fusion sont si nombreuses et si diverses que tout récit exhaustif de celles-ci entraînerait un traitement de la longueur d'un livre.

    Mais prenez, par exemple, les appels du membre du Congrès Maxine Watters (D-CA) selon lequel les «manifestants» «deviennent plus conflictuels» si le verdict de Derrick Chauvin est inacceptable. Compte tenu des émeutes généralisées depuis la mort de George Floyd, le langage de Watters est un appel à l’insurrection nationale. Pourtant, ce langage rencontre l’approbation du complexe entreprise-gouvernement-médias, malgré l’insistance de la gauche sur le fait que Trump avait fait exactement cela avant la rupture du Capitole. Les libertariens devraient prendre note du double standard non pas comme un signe de la diminution continue du Parti républicain, mais comme d'un double langage caractéristique des régimes totalitaires.

    L'exemple le plus frappant de fusion entreprise-État est l'extension du pouvoir gouvernemental aux entreprises et autres organisations avec les mesures de réponse à la crise covid, qui ont maintenant dépassé les verrouillages et le masquage pour inclure la délivrance de passeports vaccinaux que les entreprises et autres organisations peuvent appliquer ou sont déjà en vigueur. Le meilleur espoir de résister à ces mesures totalitaires est un refus de la part des gouvernements étatiques et locaux d'autoriser de telles mises en œuvre par les entreprises de dicta gouvernemental.

    Le vieux pensait que «ce sont des entreprises privées» ne tient pas la route, car il est clair que ces personnes morales ont été enrôlées en tant qu’appareils d’État. L'Opération Warp Speed ​​a été lancée par le gouvernement fédéral et a fait appel à des organisations privées - d'abord et avant tout Big Pharma - pour l'exécuter. L'État a permis à Big Pharma de profiter énormément en instituant un régime d'état d'urgence qui, aux États-Unis, rend les vaccins non approuvés par la FDA légaux. D'autre part, Big Pharma - avec l'Organisation mondiale de la santé, les Centers for Disease Control and Prevention et l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses - légitime le régime de l'état d'urgence, qui à son tour augmente le pouvoir de l'État.

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  35. L'inscription d'entreprises dans le programme de vaccination de la population et d'exiger de telles vaccinations pour la participation sociale ne doit pas être considérée comme une prérogative des organisations privées mais comme une partie des incursions de l'Etat dans l'industrie privée. Ce à quoi nous assistons, et que nous devrions résister, est une fusion dans un complexe entreprise-gouvernement, dans lequel le gouvernement peut contourner le pouvoir législatif et appliquer des mandats impopulaires en collabore avec des entreprises et d'autres organisations pour élaborer une «politique».

    L'élément peut-être le plus flagrant de cette mainmise entre les entreprises et l'État sur la population est la participation du Big Digital et des médias grand public. Les grands conglomérats numériques éliminent les médias et les voix qui remettent en question le récit officiel de Covid, y compris les informations sur les verrouillages, le masquage et les vaccinations, bien que le récit officiel ait non seulement changé bon gré mal gré, mais se soit également avéré factuellement faux, ainsi que socialement dévastateur. Big Digital et les médias servent à la fois l'État et la Big Pharma en éliminant les opinions opposées concernant les verrouillages, les masques et les vaccins, et en poussant une propagande effrayante sur le virus et ses variantes toujours plus nombreuses.

    Comme je l'ai écrit dans Google Archipelago, Big Digital doit être considéré comme un agent d'un État autoritaire de gauche - comme une «gouvernementalité» ou un appareil d'État fonctionnant au nom et en tant que partie de l'État lui-même. La «gouvernementalité» est un terme qui devrait devenir bien connu dans les jours et semaines à venir. J'ai adopté le terme de Michel Foucault et je l'ai modifié pour désigner les entreprises et autres acteurs non étatiques qui assument activement des fonctions étatiques. Ces acteurs le feront en masse avec des passeports vaccinaux, ce qui augmentera considérablement le pouvoir de l'État dans le cadre d'une alliance entre l'État et les entreprises.

    De même, d'autres grandes entreprises remplissent des rôles sanctionnés par l'État en faisant écho et en appliquant des idéologies, des politiques et des politiques approuvées par l'État: endoctriner les employés, publier des publicités réveillées, contrôler les opinions des travailleurs, licencier les dissidents et exiger bientôt des passeports vaccinaux des employés et des clients.

    La tendance générale est donc à la monopolisation des entreprises et de l'État sur tous les aspects de la vie, avec un contrôle croissant par des dirigeants approuvés sur l'information et l'opinion, la production économique et la sphère politique. Au fur et à mesure que la consolidation s'accélère, le vaste État mondial exigera l'élimination des acteurs économiques et politiques non conformes, mécontents et «indignes de confiance». Aux États-Unis, avec l'élimination de l'opposition politique, la tendance est au régime unipartite, et avec lui, à la fusion du parti et de l'État en un organe unique.

    Note: The views expressed on Mises.org are not necessarily those of the Mises Institute.

    https://www.lewrockwell.com/2021/04/no_author/the-state-corporate-convergence-in-our-state-of-emergency/

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  36. La FTC élève la censure à un tout autre niveau, inculpe et amende un homme de Saint-Louis pour avoir remis en question les vaccins et fait la promotion du zinc et de la vitamine D


    Jeudi 22 avril 2021
    par: Lance D Johnson


    (Natural News) Alors que le scandale du covid-19 se poursuit, les autorités utilisent de plus en plus des tactiques de censure et d'intimidation pour contrôler le récit et fermer la vérité. La Federal Trade Commission (FTC) porte la censure à un tout autre niveau et cible toute personne qui promeut un système immunitaire sain pour lutter contre le SRAS-CoV-2.

    La FTC a récemment accusé un homme de Saint-Louis d'avoir fait des déclarations frauduleuses au sujet du covid-19. La FTC inculpe Eric Nepute et Quickwork LLC devant un tribunal fédéral pour le crime odieux de faire de la publicité pour le zinc et la vitamine D pour lutter contre la covid-19. Nepute est accusé de dix chefs d'accusation de violation du Covid-19 Consumer Protection Act et de la Federal Trade Commission Act. La FTC allègue que Nepute a faussement annoncé ses produits, qui contiennent de la vitamine D et du zinc - deux suppléments importants dont il est scientifiquement prouvé qu'ils bloquent la réplication virale et empêchent l'hospitalisation.

    C'est désormais un crime d'aider les gens à traiter et à vaincre les infections

    En 2020, le Congrès américain a discrètement installé une nouvelle clause de censure dans une réponse d'urgence et un programme de secours contre les coronavirus. Dans HR 133, le Congrès a donné à la FTC l’autorité suprême pour cibler, arrêter et infliger une amende à toute personne qui ne suit pas le discours du gouvernement sur les verrouillages, les masques, les quarantaines et les vaccins. Quiconque promeut un système immunitaire sain peut désormais être inculpé et condamné à une amende pour l'acte «criminel» consistant à aider les gens à traiter et à surmonter les infections respiratoires.

    Il est maintenant évident qu’il existe une conspiration mondiale visant à priver les gens de leurs droits et à rendre la population si ignorante et effrayée qu’elle tombe malade et dépendante d’un système qui finira par les tuer. Cette conspiration vise à retenir et à éradiquer les personnes en bonne santé et à opprimer tout le monde jusqu'à ce qu'ils soient soumis à une propagande forcée, à une formation à l'obéissance, à des contrôles comportementaux et à des niveaux infâmes d'expérimentation médicale.

    Eric Nepute est la première personne aux États-Unis à être inculpée en vertu de ce nouveau statut. Selon la plainte de la commission, le Nepute Wellness Center pourrait être condamné à une amende de 43 792 $ pour chaque infraction. Cette attaque pourrait voler près d'un demi-million de dollars à Nepute, non seulement en lui imposant un bâillon, mais en fermant également toute sa pratique.

    «Je sens que je n'ai rien fait de mal», a déclaré Nepute. «J'encourage tout le monde à mener une vie saine pendant cette période sans précédent. Mes avocats examinent la plainte et je n'ai pas d'autres commentaires pour le moment. "

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  37. La présidente par intérim, Rebecca Kelly Slaughter, a déclaré que la FTC «avait rapidement mis à profit sa nouvelle autorité pour mettre fin aux fausses allégations marketing liées à la pandémie».

    FTC et Big Tech travaillent ensemble pour supprimer les informations utiles qui interfèrent avec la conformité des vaccins
    Nepute a posté une vidéo en avril dernier encourageant les téléspectateurs à boire de l'eau tonique contenant de la quinine. La quinine est l'ingrédient original présent dans l'hydroxychloroquine, un prophylactique efficace qui aide les cellules à absorber le zinc et donc à bloquer la réplication du virus. «Consommez environ 3 à 4 onces par jour de cette eau tonique Schweppes et prenez au moins 50 à 100 milligrammes de zinc. Je le répète, 50 à 100 milligrammes de zinc. Faites-le tous les jours à titre préventif », a déclaré Nepute dans la vidéo. Nepute a inclus un "avertissement" - dire aux téléspectateurs qu'il ne s'agissait pas d'un avis médical professionnel. La vidéo a reçu des millions de vues sur Facebook mais a été rapidement jugée «désinformation» par les censeurs de Big Tech. La FTC, qui travaillait apparemment avec Big Tech, a commencé à cibler Nepute. Ils se sont rapidement attaqués à son produit «Wellness Warrior» - qui contient à la fois de la vitamine D et du zinc.

    Les affirmations de Nepute, «les patients COVID-19 qui consomment suffisamment de vitamine D sont 52% moins susceptibles de mourir» et «ceux qui en consomment suffisamment sont 77% moins susceptibles de contracter la maladie» ont été ciblées par la FTC malgré des études à l'appui. ces revendications. La commission veut empêcher Nepute et Quickwork de faire des allégations de santé concernant la vitamine D ou le zinc à l'avenir.

    La présidente de la FTC, Rebecca Slaughter, était très intéressée à punir Nepute pour avoir interrogé, comparé et critiqué les vaccinations contre le covid-19. «Les affirmations des défendeurs selon lesquelles leurs produits peuvent remplacer les vaccins COVID-19 approuvés sont particulièrement troublantes: nous devons faire tout ce que nous pouvons pour arrêter les fausses allégations de santé qui mettent en danger les consommateurs», a déclaré Slaughter.

    En vertu de ces nouveaux pouvoirs de la FTC, les individus ciblés (qui promeuvent des solutions saines au covid-19) sont automatiquement réputés coupables. Ils ne sont innocents qu'après avoir été reconnus coupables. La présomption d'innocence est un principe fondamental des droits à une procédure régulière, inscrit dans la Constitution américaine. Lorsque la science des vaccins (et toutes ses fraudes associées) est acceptée comme la vérité ultime, alors quiconque est ciblé par la FTC pour avoir fait de «fausses allégations» ne bénéficie pas du tout d'une procédure régulière. Ces personnes ciblées sont forcées de soumettre leur discours, leurs croyances et leur allégeance à l'orthodoxie vaccinale, qui continue de renverser l'état de droit.

    Sources include:

    KSDK.com
    NaturalNews.com
    Congress.gov [PDF]
    NaturalNews.com
    NaturalNews.com
    FTC.gov

    https://www.naturalnews.com/2021-04-22-ftc-censorship-fines-man-for-questioning-vaccines-promoting-zinc-vitamin-d.html

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  38. Des juges américains retirent des enfants de la garde parentale pour ne pas porter de masque


    Jeudi 22 avril 2021
    par: Ethan Huff


    (Natural News) L'activisme du pouvoir judiciaire est en hausse aux États-Unis alors que des gauchistes dérangés exigent que quiconque refuse de rester masqué et de se faire vacciner soit puni et empêché de voir ses propres enfants.

    Au moins deux parents ont encouru la colère de juges militants comme Dale Cohen du comté de Broward, en Floride, qui a pris sur lui de refuser à Melanie Joseph l'accès à son fils à moins qu'elle n'accepte de porter un masque à tout moment et de se faire piquer pour le Wuhan. coronavirus (Covid-19) quand c'est son «tour».

    L'ex-mari de Joseph, Michael Manley, a présenté des photos de Joseph démasqué comme «preuve» pour suggérer au tribunal qu'on lui refuse l'accès à son fils, et Cohen a souscrit à «l'argument» de Manley.

    «Elle est l'une de ces personnes anti-masque et elle a l'audace de mettre cela sur les réseaux sociaux, qu'elle est une personne anti-masque, et d'exposer l'enfant à un vol vers la Caroline du Nord et de risquer sa santé. acceptable pour moi », a déclaré Cohen.

    Au lieu de défendre la Constitution comme il l’a juré de le faire, Cohen a rendu une décision fondée sur sa propre opinion ignorante selon laquelle le fils de Joseph est en danger s’il n’est pas entouré de personnes portant du plastique chinois sur le visage.

    Vous pouvez écouter la décision non professionnelle de Cohen ci-dessous:

    - voir clip sur site -

    Il s'avère que Cohen a rendu plusieurs décisions similaires contre d'autres parents qui, selon lui, ne respectent pas les restrictions de «sécurité» imposées par l'État policier américain pour arrêter la propagation de la grippe de Wuhan. Cohen a également la réputation de maltraiter les victimes de violence domestique, ce qui suggère qu'il a peut-être quelques squelettes dans son propre placard.

    Cohen a une longue réputation d’inconduite, ce qui rend sa mauvaise gestion du cas de Joseph sans surprise.

    Les pères fondateurs avaient un remède à toute cette tyrannie
    Une chose similaire est arrivée au Dr Micheline Epstein, un médecin de famille de New York qui a perdu la garde de sa fille après qu'Epstein ait été vu sans masque debout sur le trottoir devant l'école de sa fille.

    Les employés ont eu une crise et l'ex-mari d'Epstein a également vu une opportunité de voler la garde de l'enfant de l'ancien couple en accusant à tort Epstein de négligence pour ne pas avoir porté du plastique chinois à l'extérieur.

    Le juge Matthew Cooper de la Cour suprême de l'État de New York s'est bien entendu du côté de l'ex-mari et a emmené l'enfant d'Epstein, tout en la forçant à porter un masque à l'intérieur de sa propre maison afin de rétablir quelques visites supervisées occasionnelles.

    Dans les deux cas, le refus de se couvrir la bouche avec des masques fabriqués en Chine a conduit Joseph et Epstein à perdre la garde de leurs propres enfants aux mains de juges voyous qui méritent plus qu'une simple récusation.

    Le réalisateur de documentaires et directeur exécutif de l'Union des libertés civiles de la famille, Sebastian Doggart, travaille déjà sur un documentaire sur Cooper, qui a provisoirement été intitulé Unfit to Sit.

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  39. Doggart dit que Cooper est «une menace pour la société» et «est vraiment une menace publique» pour sa mauvaise gestion flagrante de l'affaire Epstein. Et tout comme Cohen, Cooper a une longue histoire de plaintes concernant un comportement inapproprié sur le banc.

    «On savait bien avant le masquage de l'Amérique que le port d'un masque est préjudiciable à votre système respiratoire et neurologique», a écrit un commentateur de The American Conservative.

    «Les masques ne font rien, absolument rien», a écrit un autre. «À part couper votre oxygène et causer des problèmes dentaires et une pneumonie bactérienne.»

    «Il a été récemment découvert, scientifiquement et médicalement, que la plandémie de covid-19 était un faux et que tous les cas étaient de la grippe.»

    Vous trouverez plus d'informations sur la tyrannie du coronavirus de Wuhan (Covid-19) sur Pandemic.news.

    Les sources de cet article incluent:

    TheAmericanConservative.com
    NaturalNews.com
    Adrenogate.net
    NaturalNews.com
    NYCourts.gov

    https://www.naturalnews.com/2021-04-22-american-judges-removing-children-parental-custody-mask.html

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  40. Faux AVERTISSEMENT sur le changement climatique publié par l'AIE, accusant la réouverture post-Covid des petites et moyennes entreprises pour un pic de 5 % des émissions de gaz carbonique


    Jeudi 22 avril 2021
    par: S.D. puits


    (Natural News) Considérez-vous averti, monde. Restez enfermé, portez ce masque suffocant toute la journée, faites faillite et mourez de faim, ou affrontez la colère d'une Terre en ébullition. Comme l’a rapporté l’AIE, l’Agence internationale de l’énergie, nous sommes sous le coup d’un «grave avertissement», car depuis que nous avons rouvert des entreprises après Covid, les citoyens sont à l’origine d’une hausse de 5% des émissions de gaz carbonique. Fini les rebonds économiques ou nous allons tous s’enflammer et mourir très bientôt. L'AIE a lancé un avertissement sévère, disant à tout le monde que l'ouverture des petites et moyennes entreprises est «tout sauf durable» pour le contrôle du climat et le mythe du réchauffement climatique.

    Selon le Global Energy Review publié par l'hystérique AIE, les niveaux de gaz carbonique vont anéantir ce que nous avons vécu sous la nouvelle norme des verrouillages plandémiques. Les émissions de gaz carbonique liées à l'énergie du cratère plandémique ont augmenté de 2 milliards de tonnes. Alors maintenant, nous sommes tous censés retourner à l'âge de pierre, pour de bon, sans électricité, ni gaz, ni pétrole, pour ne pas mourir de chaleur, de famine, d'inondations ou de millions de tornades à la fois, ou ouragans de la taille de l'Afrique, ou quelque chose de grand comme ça.

    Il s'agit de la «plus grande augmentation unique en plus d'une décennie», hurle l'AIE. Eh bien, pas de surprise. Le monde a été pratiquement fermé, sans les énormes entreprises qui ont tout planifié. Amazon a doublé ses bénéfices au cours des premiers mois de la plandémie, sans conteste. Imaginez les revenus dont Walmart et les autres grandes surfaces ont profité et profitent toujours, au détriment de tout le monde. Considérez-vous avertis, vous tous, que cette absurdité de «reprise économique» est «… tout sauf durable pour notre climat». Ce discours sombre et funeste vient directement du directeur exécutif de l'AIE. Bien sûr mon pote.

    Attendez, il y en a plus. Tout cela doit être attribué à la résurgence de l’énergie au charbon. Cela signifie que le régime Biden prévoit de faire fortune grâce aux accords pétroliers étrangers. Les Américains sentiront celui-là à la pompe à essence plus tard, c'est sûr. Pendant ce temps, tous ces combustibles fossiles, le charbon et le gaz doivent être arrêtés immédiatement pour sauver la Terre, même si la Chine ne fait même pas partie de ces pourparlers, ou de certaines fausses missions pour ralentir leur pollution, et la leur est dix fois pire. que le nôtre.

    C’est un énorme stratagème de Ponzi pour inciter tout le monde à croire que le régime Biden (qui a fait équipe avec le Parti communiste chinois) se soucie de tout sauf du contrôle et de l’argent.

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  41. Vient ensuite les fausses sociétés d'énergie verte qui escroquent des milliards de dollars et ne se lancent même jamais dans les affaires, comme sous Obama
    L'équipe Biden Regime / PCC imprime actuellement des milliards de dollars et en alloue des milliards à de fausses sociétés d'énergie verte qui ne sont que des gâchis où les têtes empochent toute la pâte. Il s’appelle le Greedy New Deal. N'oubliez pas que 50 des entreprises «d'énergie verte» sous le régime d'Obama, qui ont obtenu un financement massif, y compris des subventions du niveau fédéral et des États, sont toutes en faillite ou l'ont déjà fait.

    Nous avons vu Obama attribuer 80 milliards de dollars en 2009, dont une grande partie a financé la société de panneaux solaires Solyndra, un front majeur pour le projet de Ponzi. Aujourd'hui, plus de 30 de ces entreprises font l'objet d'enquêtes pour fraude, gaspillage et abus. C’est ce que fait à nouveau le régime Biden en ce moment.

    Ces entreprises d'énergie verte ne pourront même jamais démarrer. Ils ouvrent simplement un entrepôt quelque part et garent des tracteurs devant, commandent quelques panneaux solaires et détournent ensuite des milliards. Ils ne produisent même jamais rien. Tout cela est une imposture. Une escroquerie. Un front. Illégal. On l’appelait American Recovery and Reinvestment Act de 2009. Oui, l’argent a été réinvesti dans les poches des cohortes d’Obama.

    Toutes les entreprises d'énergie verte financées par Obama ont fait faillite, y compris Evergreen Solar, Beacon Power, Solyndra, Spectra Watt et Eastern Energy.

    Ainsi, l'AIE dit que l'ouverture d'entreprises après Covid est très mauvaise pour la Terre, mais chaque entreprise d'énergie verte que le gouvernement américain soutient avec des milliards de dollars dépose son bilan, sans aucun actif à montrer. Où est cette responsabilité? Les masses oublient toujours parce que les médias comptent sur les Américains qui consomment de l'eau du robinet, de la margarine et de l'huile de canola, qui causent une démence de bas grade tout au long de la vie. C’est l’argent des contribuables qui finit par se retrouver dans les poches des politiciens. C'est une fausse guerre contre le changement climatique, tout comme la fausse guerre contre le terrorisme, tout comme la fausse guerre contre le cancer, tout comme la fausse guerre contre la drogue, tout comme la fausse guerre raciale en Amérique, et oui, tout comme le Covid PLANDEMIC- 19.

    Réglez votre fréquence Internet sur Climate.news pour obtenir des mises à jour sur les marxistes et les mondialistes qui tentent de voler tout votre argent durement gagné (et votre santé) sur la base de fausses informations et de propagande sur le changement climatique. Il s’appelle le Greedy New Deal.

    Sources for this article include:

    ZeroHedge.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-04-22-fake-climate-change-warning-post-covid-reopening-spike-co2-emissions.html

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  42. « Loi climat et résilience » : bourrons le mou de nos enfants !

    C’est une priorité des régimes totalitaires que d’« éduquer » les enfants. Où en est-on en France avec l’article 2 de la loi climat et résilience, chapitre « Informer, former et sensibiliser » ?


    Par André Heitz.
    24 AVRIL 2021


    On peut cauchemarder quand on entend une Léonore Moncond’huy, maire de Poitiers, déclarer que « l’aérien ne doit plus faire partie des rêves d’enfants » et, implicitement, préconiser un formatage, voire une police des rêves.

    On cauchemarde également quand le responsable éditorial de Regards.fr tweete que « les rêves sont aussi les fruits de constructions sociales et il est tout à fait légitime que le politique s’attache à construire et déconstruire les imaginaires. C’est même le cœur de nombreuses batailles culturelles ».

    UNE INQUIÉTANTE DÉRIVE

    On peut s’inquiéter pour sa République – « indivisible, laïque, démocratique et sociale » selon l’article premier de la Constitution du 4 octobre 1958 – lorsqu’une Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, déclare à l’Assemblée nationale : « Le texte que je vous présente aujourd’hui est une nouvelle pierre importante à l’édifice de la République écologique que nous voulons construire. »

    On peut avoir mal à sa France quand la même pérore – peut-être inspirée par les techniques d’endoctrinement des États totalitaires, et certainement ignorante des ravages qu’elles ont provoqué et qu’elles provoquent encore : « Le présent texte est un projet de loi de bon sens, tout simplement. Parce que tout commence par l’école, il fera entrer l’écologie dans ce pilier de la République, pour former et sensibiliser les futurs citoyens aux enjeux de la planète. »

    On peut encore être atterré quand on entend cette déclaration, disons, passionnée :

    QUE DIT LE PROJET DE LOI CLIMAT ET RÉSILIENCE ?

    Un « changement de dimension », avec des enseignements renforcés à l’école ?

    Voici le texte des nouvelles dispositions du code de l’éducation tel qu’il résulte de l’article 2 du projet de loi portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets dans la version issue de son examen par l’Assemblée nationale en séance publique :

    « Art. L. 121-8. – L’éducation à l’environnement et au développement durable, à laquelle concourent l’ensemble des disciplines, permet aux élèves de comprendre les enjeux environnementaux, sanitaires, sociaux et économiques du développement durable. Elle est dispensée tout au long de la formation scolaire, d’une façon adaptée à chaque niveau et à chaque spécialisation, afin de développer les connaissances scientifiques et les compétences des élèves en vue de leur permettre de maîtriser ces enjeux et ces savoir-faire, notamment ceux portant sur le changement climatique, le respect du vivant et la préservation de la biodiversité terrestre et marine, y compris dans les territoires d’outre-mer, et de(…) de maîtriser des savoir-faire et de préparer les élèves à l’exercice de leurs responsabilités de citoyen. Le ministère chargé de l’éducation nationale garantit les contenus, les modalités de mise en pratique de ces contenus et la cohérence du déploiement de l’éducation à l’environnement et au développement durable dans le cadre scolaire. »

    […]

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  43. « [Art. L. 312-9, nouvel alinéa] Cette formation comporte également une sensibilisation à l’impact environnemental du numérique des outils numériques ainsi qu’un volet relatif à la sobriété numérique. »

    NON, LA MAJORITÉ NE SUPPRIMERA PAS L’ARTICLE 2

    La majorité a rejeté 51 propositions d’amendement, dont quatre tendant à supprimer cet article et émanant, sans surprise, des bancs des Républicains.

    Voici un extrait d’exposé des motifs :

    « Si le principe est louable, il n’en demeure pas moins que l’Éducation nationale n’a pas vocation à dispenser des enseignements pour répondre à des problématiques qui dépassent largement celles de l’acquisition des compétences fondamentales que sont le français, les mathématiques, les langues étrangères, les sciences humaines et celles économiques et sociales, l’histoire et la géographie notamment.

    Il convient d’ailleurs de souligner que cette éducation à l’environnement et au développement durable est déjà réalisée via les enseignements des sciences et vie de la terre. »

    Un autre a ajouté :

    « Aussi et surtout, le respect de l’environnement, le développement durable et l’écologie sont avant tout des devoirs de citoyens qui doivent être appris tout au long de la vie et notamment en famille. »

    LOI CLIMAT ET RÉSILIENCE : CE À QUOI NOUS AVONS ÉCHAPPÉ

    Selon l’article 34 de la Constitution, « La loi détermine les principes fondamentaux » dans divers domaines, dont l’enseignement et la préservation de l’environnement.

    À l’évidence, l’article 2 du projet de loi dépasse très largement le cadre des « principes fondamentaux ». Mais pour certains députés et certaines formations, le micro-management n’était pas encore suffisant.

    Voici donc ce à quoi nous avons échappé.

    La consommation, l’alimentation

    Selon une proposition issue curieusement des rangs des Républicains (y compris de députés qui préconisaient la suppression de l’article), mais aussi socialistes, l’éducation à l’environnement et au développement durable devait aussi s’étendre à « la consommation responsable et équitable ».

    Ou seulement « durable » pour des membres du groupe Agir ensemble, lié à la majorité.

    Ou encore à « l’alimentation » (les Républicains), avec notamment ce motif :

    « La gestion du gaspillage et des pertes alimentaires, la sécurité alimentaire à toutes les échelles, les modes de production agricoles et leurs effets sur l’environnement constituent également des enjeux d’avenir dans le cadre d’une responsabilité collective impliquant la formation et la sensibilisation de citoyens responsables.

    Cet amendement vise à affirmer le rôle fondamental et continu de l’éducation à l’alimentation du primaire jusqu’au lycée. »

    Les socialistes étaient sur une ligne similaire avec une phrase entière :

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  44. « Cette éducation à l’environnement, en complément avec l’éducation prévue à l’article L. 312-17-3 du présent code, comporte notamment un parcours de sensibilisation à l’alimentation durable, au bien-manger et à la lutte contre le gaspillage alimentaire. »

    L’article cité prévoit un enseignement, « une information et une éducation à l’alimentation et à la lutte contre le gaspillage alimentaire, cohérentes avec les orientations du programme national relatif à la nutrition et à la santé […] et du programme national pour l’alimentation »

    Les enjeux planétaires et la « bifurcation écologique »

    Du côté de Mme Delphine Batho et de ses collègues (a priori tous non-inscrits), la notion de « développement durable » est dépassée et il faut lui substituer : « [les] enjeux liés à la diversité biologique et [le] changement climatique dans le cadre des limites planétaires ». Dans une autre proposition, c’est une référence à « la sobriété dans l’usage des ressources dans le cadre des limites planétaires » qu’il fallait introduire.

    La France insoumise – dont on ne se privera pas de faire remarquer une fois de plus que cette désignation est une insulte à la République – est partisane d’un autre vocabulaire : « la bifurcation écologique ». Selon un exposé des motifs :

    « Le terme bifurcation suppose une restructuration de fond en comble de nos économies, un changement de direction. Elle exige la planification d’une nouvelle organisation du territoire et de nouveaux schémas de consommation et de production. La bifurcation écologique doit également être synonyme de conquêtes sociales.

    L’enjeu du dérèglement climatique et de la préservation de l’environnement doit être enseigné dans son entièreté. »

    Là, on est en plein dans l’endoctrinement ! Mais on peut aussi penser à la collectivisation et la dékoulakisation…

    Les socialistes ont proposé une référence à « la protection de l’environnement et des limites planétaires ».

    Pour Mme Florence Provendier (LaREM) et collègues, il faut être encore plus précis :

    « À cet égard, les élèves sont sensibilisés à la réalisation des dix-sept objectifs de développement durable du programme de développement durable à l’horizon 2030. »

    Que signifie « la réalisation » ? Serait-ce une sorte de catalogue des bienfaits dispensés par le gouvernement et plus généralement les pouvoirs publics ?

    L’économie sociale et solidaire

    L’éducation à l’environnement et au développement durable doit permettre de maîtriser une série d’enjeux précisés par une liste non limitative. Les socialistes et les Républicains ont proposé d’ajouter « ceux relevant des principes de l’économie sociale et solidaire tels que définis par la loi du 31 juillet 2014 ». C’est dans les deux cas le fruit du lobbying d’ESS France.

    N’oublions pas la santé

    Pour M. Éric Alauzet et des collègues LaREM, la santé devait aussi être au programme. Ce qui est intéressant ici est la motivation :

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  45. « Initier et former dès le plus jeune âge les enfants aux questions relatives à l’environnement et au développement durable c’est l’assurance non seulement de créer des générations de citoyens respectueux et impliqués par ces questions, mais c’est également permettre d’apporter ces enjeux au sein des foyers. […] »

    C’est un peu le principe des Gardes rouges et du Komsomol, non ?

    L’appel à l’émotion

    L’éducation a pour objectif de préparer les élèves à l’exercice de leurs responsabilités de citoyen. Pour le groupe Agir ensemble, il y avait lieu de préciser : « et de développer leur lien physique et émotionnel à la nature ».

    Instruire les gens du ministère de l’Éducation et leur tenir la main

    L’éducation à l’environnement et au développement durable doit donc être dispensée « d’une façon adaptée à chaque niveau et à chaque spécialisation ». C’est si peu évident que cela doit figurer dans la loi…

    Mais ce n’est pas assez pour Mme Delphine Batho et ses amis. Il aurait fallu ajouter : « de façon pratique et théorique » !

    Le ministère chargé de l’Éducation est bien évidemment chargé de la bonne mise en application du dispositif. Notons que le texte adopté emploie le mot « garantit », ce qui « imposerait aux pouvoirs publics une quasi-obligation de résultat » selon l’avis rendu par le Conseil d’État sur un projet de loi constitutionnelle complétant l’article 1er de la Constitution et relatif à la préservation de l’environnement !

    Et le rédacteur du projet de loi n’a pas été avare de microgestion et a énuméré quelques points auxquels le ministère devait veiller (des fois qu’il oublie…).

    Jean-Noël Barrot (Mouvement démocrate) a voulu compléter la liste avec « ainsi que l’information, la formation et la sensibilisation du corps enseignant à ces enjeux ».
    Pour d’autres, toujours pour le cas où ces gens du ministère seraient distraits, il fallait leur intimer l’ordre de prévoir « précisément le temps qui doit être imparti à cet enseignement ».

    Relevons aussi qu’une série de députés a voulu inclure le ministère chargé de l’Enseignement supérieur, etc. et ainsi, implicitement, par une sorte de stratagème, étendre aux étudiants l’éducation à l’environnement et au développement durable.

    Végétalisons !

    Voici une autre proposition issue sans doute d’un lobbying multidirectionnel : pour des Républicains, ainsi que pour un groupe de proposants qui semble divers, il aurait fallu ajouter : « Elle [l’éducation] s’appuie, notamment, sur des projets concrets tels que la végétalisation du bâti scolaire, composante essentielle de l’éducation au développement durable. »

    Une végétalisation dont on s’est plu à décrire les bienfaits indirects sur le microclimat et le bien-être des gens du quartier.

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  46. Installons des bacs de compostage !

    Mme Perrine Goulet (LaRem) a eu une autre idée inspirée par une rencontre avec des élèves de CM2. Elle a été traduite comme suit (l’exposé des motifs est plus explicite) :

    « Les collectivités territoriales peuvent concourir à l’accomplissement du présent article par le développement de projets spécifiques initiés par l’équipe pédagogique et visant à l’appréhension des enjeux environnementaux, du développement durable et de la valorisation des déchets. »

    Faisons des classes en plein air

    Mme Delphine Batho et ses amis ont aussi été imaginatifs sur cet ensemble de sujets :

    « Les enseignements en plein air et sous forme de classe dehors font partie intégrante de la formation scolaire primaire et secondaire dans le cadre de l’éducation à l’environnement mentionnée au premier alinéa. »

    Sensibilisons à l’éco-conduite et à ses bénéfices

    C’est une proposition de Mme Fiona Lazaar (non inscrit).

    Et encore…

    D’autres propositions tendaient à introduire des références aux « projets éducatifs territoriaux », au « changement climatique », à la « transition écologique », aux « spécificités naturelles et géographiques de chaque territoire » (la France n’est-elle pas une et indivisible, et les Français ne sont-ils pas amenés à voyager et, le cas échéant, déménager ?), à « la sobriété numérique ».

    « Par cet amendement nous [la France insoumise] intégrons à la formation…

    C’est une rafale d’alinéas que la France insoumise a proposé d’ajouter au Code de l’éducation :

    « Cette formation comporte un volet sur les biens communs (eau, air, alimentation, vivant, etc.), leur gestion ainsi que leur importance dans la lutte contre le dérèglement climatique et la perte de biodiversité. »

    « Cette formation comporte un volet sur les liens entre climat et biodiversité, entre changement climatique et érosion de la biodiversité. »

    « Cette formation comporte un volet sur les objectifs que se sont fixé la France, l’Union européenne et les États membres des Nations unies, en termes de réduction des émissions de baisse à effet de serre et de préservation de la biodiversité. »

    « Cette formation comporte un volet sur les éco-gestes individuels et leurs limites pour lutter contre le réchauffement climatique et la perte de biodiversité. »

    « Cette formation comporte un volet sur l’impact environnemental de la publicité ainsi qu’un volet sur le rôle de la publicité dans les pratiques de surconsommation. »

    « Cette formation comporte une sensibilisation à l’impact environnemental et social des modes alimentaires ainsi qu’à l’impact de l’agriculture, et notamment de l’élevage. »

    « Cette formation comporte une sensibilisation à l’impact environnemental des choix technologiques, notamment sur la 5G. »

    « Cette formation comporte un volet sur l’impact des différentes mobilités en termes d’émissions de gaz à effet de serre. Elle comprend également un volet sur les investissements qu’il est nécessaire de faire pour effectuer la bifurcation écologique. »

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  47. CE N’EST PAS SÉRIEUX !

    Ainsi se conclut pour nous ce voyage en Absurdistan. Le constat est implacable : notre système démocratique est vraiment malade.

    « La loi détermine les principes fondamentaux… » selon l’article 34 de la Constitution et « Les matières autres que celles qui sont du domaine de la loi ont un caractère réglementaire » selon l’article 37 ? L’article et les propositions d’amendement que nous venons d’examiner démontrent que ce principe fondamental est devenu une coquille vide et que le gouvernement et les députés ont perdu la raison.

    Cela contribue au rejet de la classe politique par une part de plus en plus importante de la population. Et quand le législateur n’est plus respecté, sa production ne l’est plus aussi.

    S’agissant du système éducatif, la charge mise sur lui ne pourra que réduire encore davantage sa capacité à prodiguer les compétences fondamentales et former des citoyens capables de penser par eux-mêmes.

    Quand on sait qu’il y a des politiciens en vue incapables de calculer la surface d’un cercle ou de convertir un hectare en mètres carrés…

    https://www.contrepoints.org/2021/04/24/395917-loi-climat-et-resilience-bourrons-le-mou-de-nos-enfants

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    1. Les malheureux dictateurs sortis de 'grandes écoles' de la trisomie n'ont de choix pour se distraire de parler de gens dont ils n'en connaissent le métier. Ainsi, chaque ministre ne rencontrera JAMAIS celui qui dans la vie devrait être son binôme, un ministre de l'Agriculture ne rencontrera JAMAIS un paysan et ignorera donc tout de la profession la plus complexe qui demanderait même d'avoir deux ministères !
      Pareil pour son homologue au ministère de la santé qui se refusera de rencontrer des scientifiques même de très loin par webcam interposées !

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