le 12 avril 2021
Un match de football met en scène 11 joueurs par équipe. Lors d’un match il y a, disons, 5 remplaçants par équipe. Ajoutons les arbitres, disons 8, et des soigneurs qui ne sont pas visibles pour le public. Il y a donc approximativement 30 personnes qui se démènent sur la pelouse et 10 remplaçants qui font quelques exercices physiques pour se maintenir en forme. Autour de la pelouse il y a 100 000 personnes assises qui profitent du spectacle. Ce sont tous des fanatiques de ce sport, ils sont complètement subjugués par le spectacle, ils crient, font du bruit avec des petites trompettes, c’est le délire à chaque action spectaculaire : 40 personnes sont capables de tenir en haleine, de surchauffer cent mille spectateurs. Changez la donne : les 22 joueurs, leurs remplaçants et les arbitres quittent la pelouse, se rhabillent et vont se disperser dans l’anonymat des 100000 spectateurs. Ils deviennent non reconnaissables dans cette foule. Que se passe-t-il alors ? La foule devient muette et elle se désintéresse du spectacle puisqu’il n’y a plus de spectacle.
Mes lecteurs doivent être circonspects surtout en ayant lu le titre de ce billet. Aurais-je perdu la tête ? J’avoue que je ne suis pas du tout un amateur de football et que je préfère de loin le rugby. Je m’explique donc maintenant. Les joueurs, les arbitres et les remplaçants, soit 40 personnes, représentent la teneur en gaz carbonique de l’atmosphère : 40/100000 = 400 ppm. Les 22 joueurs et les arbitres sont capables d’exciter une foule de 100000 personnes d’une manière démesurée. C’est exactement ce qui se passe pour le gaz carbonique : tout le monde en parle en continu, les uns alarmistes, les autres fatalistes et ceux qui veulent réaliser des fortunes avec les énergies nouvelles, de même que les chaines de télévision réalisent des fortunes avec la retransmission des matchs de football.
Quand tous ces acteurs ont disparu, 40 au total, dispersés parmi les 100000 spectateurs, l’hystérie collective retombe instantanément. C’est exactement comme si on dispersait 40 molécules de gaz carbonique dans un mélange de 100000 molécules d’oxygène, d’azote et de vapeur d’eau : il ne se passe plus rien ou si peu. Mais quand ces 40 molécules sont rassemblées elles font la une de toutes les télévisions. Voilà dans une version footballistique ce qui se passe pour le climat : l’opinion se focalise sur les 400 parties par million de ce gaz carbonique présent dans l’atmosphère. Cette opinion a tellement été forgée en répétant sans cesse le même discours que tout le monde a fini par acquiescer sans prendre la peine de réfléchir un instant. La science a toujours progressé avec le doute et la remise en cause des théories et des résultats expérimentaux. Dans le cas du climat, la « science climatique » est restée figée au stade du dogme de l’effet de serre du gaz carbonique d’origine humaine décrété une fois pour toutes. Par conséquent ce n’est plus une science mais une relique du passé.
La propagande climatique a fait de véritables ravages dans les esprits et dans les pays aveuglés par cette propagande qui vont détruire leurs économies dans la poursuite d’une chimère. Par exemple, j’écoutais il y a peu une émissions rassemblant 4 protagonistes autour de Frédéric Taddeï, un des très rares journalistes laissant parler ses interlocuteurs sans les interrompre sans arrêt, au sujet des enjeux économiques de l’eau. L’un des intervenants a sorti son couplet sur les sécheresses qui menaceraient de nombreux pays en raison du réchauffement climatique. Ineptie totale ! Si les températures moyennes augmentaient de 2,5 degrés, ce qui fut le cas lors de l’optimum climatique médiéval, les océans s’évaporeraient plus intensément, il se formerait plus de nuages et il y aurait plus de précipitations donc une végétation plus abondante et même des pâturages verdoyants dans des régions où il n’y a aujourd’hui que des steppes arides à la suite de 6 siècles de climat plutôt froid. C’est précisément ce qui permit à Gengis Khan d’atteindre l’Europe occidentale au XIIe siècle. La propagande climatique est tellement intense que des spécialistes, droits dans leurs bottes, affirment des idioties tout en croyant à ce qu’ils disent. Je déteste le football mais je déteste aussi la fausse science …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/04/12/la-parabole-du-football/
J'ajouterai que le gaz carbonique ne représente même pas une des 40 personnes en effet de serre puisque c'est le magma qui est producteur de gaz des millions de fois plus que l'être humain. Si la masse ferrique incandescente ne produisait pas d'oxygène (entr'autres) il n'y aurait pas de vie sous-marine ou sous-océanique !
RépondreSupprimerCONFINEMENT OU PAS : LES NON-ESSENTIELS SONT FERMÉS !
RépondreSupprimerpar JACQUES MARTINEAU
13/04/2021
En France, 45% du commerce de détail sont actuellement fermés.
Il est difficile pour une majorité de Français et en premier lieu pour les commerçants concernés d'ignorer le sens du « non-essentiel ». Pourquoi les boutiques et petits magasins sont fermés à nouveau partout dans le pays ? L'exécutif, loin de favoriser le commerce de proximité. Imaginons un petit bourg en province, autour de 5000 habitants, une douzaine de commerces dont 4 essentiels, pour le reste « prenez votre voiture…, mais pour aller où ? »
Encore une fois, l'égalitarisme conduit à aligner les contraintes sur l'ile de France et Paris de préférence. Là aussi, dans les grandes agglomérations, les fermetures de commerces, jugés non-essentiels amputent l'activité et les services sans pour autant freiner la propagation du virus. Rien n'est prouvé mais inutile d'insister, même si la décision n'est pas facile à prendre, on peut comprendre que la coupe soit pleine. On a du mal à apprécier. Où commence le non-essentiel ? Qui propose ? Qui arbitre ? Qui décide ?
Le mot « confinement » est prohibé. Demandez à ces centaines de milliers de « petits » commerçants ce qu'ils en pensent. La pandémie Covid-19 est toujours là. Et pourtant, c'est dehors qu'il faut se protéger. Incontrôlables, non maîtrisables, les regroupements, clandestins ou pas, se multiplient partout. Le mécontentement s'étend. Ce confinement sélectif est lourd de conséquences, surtout quand la vaccination, considérée comme la seule issue, ne suit pas.
Le président du Medef a dénoncé, samedi 20 mars, un « acharnement contre les commerces » après la décision du gouvernement d'un reconfinement de 16 départements. Il s'inquiète du retour à la « folie bureaucratique ». L'extension décidée début avril à toute la France n'est pas faite pour le rassurer. II reproche notamment au gouvernement d'incriminer les commerces comme étant des lieux de contamination : « Ça vient loin derrière les familles, les entreprises, les proches », a-t-il dit, tout en concédant qu'il y avait des « progrès à faire au profit de la restauration ».
Geoffroy Roux de Bézieux est sceptique face aux prévisions du gouvernement quant à la baisse du PIB et à l'optimisme de la reprise. L'espoir de réouverture en mai est loin d'être garanti. Le petit commerce est en danger, incluant les restaurateurs et l'évènementiel pour ne citer qu'eux. Toutes les aides gouvernementales, non contestables ne remplacent pas la volonté de reprise de l'activité. Les dégâts seront considérables et les fermetures se multiplieront. Les promesses et allégations de Bruno Le Maire qui tente de rassurer ne changeront rien aux yeux des « laissés pour compte », qui se considèrent comme une variable d'ajustement. Il affirme que « la stratégie de reconfinement du gouvernement et le sur-mesure » sont les seuls moyens destinés à « préserver au maximum l'activité économique et les commerces de proximité. »
Plusieurs millions de salariés souffrent de cette situation. Il leur faudra encore beaucoup de patience et d'énergie pour supporter ce confinement non reconnu et qu'ils jugent injuste. La priorité vaccinale ne les concerne pas pour l'instant.
http://www.economiematin.fr/news-confinement-non-essentiels-ferme
Les criminels qui dirigent ne reculeront pas ! Ils n'avoueront JAMAIS leur mensonge et l'escroquerie de l'épidémie de fantômes continuera ! Les masques chargés de nano-technologie seront toujours exigés afin que la population mondiale puisse être dirigée contre son gré.
SupprimerKlaus Schwab forme l'élite mondiale...
RépondreSupprimerLiliane Held-Khawam — WordPress
Sott.net
lun., 12 avr. 2021 15:11 UTC
Voici l'histoire d'un forum peu connu du grand public : le Forum des Young Leaders du Forum économique mondial. Dans ce lieu le professeur Klaus Schwab va veiller à former des personnes de moins de 40 ans, venues du monde entier (120 par an) pour éventuellement mettre en pratique la stratégie dessinée au niveau du FEM.
Klaus Schwab, fondateur et président du Forum économique mondial
Le site des Young Leaders ne se cache pas de la convergence parfaite — pour ne pas dire prolongement parfait — avec la mission du WEF. Il est dit :
« Conformément à la mission du Forum économique mondial, le Forum des Young Leaders vise à stimuler la coopération public-privé dans l'intérêt public mondial. »
Les problèmes urgents d'aujourd'hui offrent selon le site une opportunité de construire un avenir meilleur à travers les secteurs et les frontières.
Le rôle historique revient donc à Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, qui a créé le Forum des jeunes leaders mondiaux en 2004 afin d'aider le monde à résoudre des problèmes de plus en plus complexes et interdépendants. Sa vision était de créer une communauté multipartite proactive de dirigeants de la prochaine génération dans le monde pour informer et influencer la prise de décision et mobiliser la transformation.
Par le biais du Forum of Young Global Leaders, Klaus Schwab envisageait de faciliter un dialogue sincère et des amitiés entre les cultures pour combler les fossés, en favorisant une réflexion nouvelle et de nouvelles méthodes de collaboration dynamiques pour façonner une société plus positive, pacifique et prospère.
Vous pouvez regarder les positions qu'occupent ses « alumni » (les diplômés de l'Institut). L'élite de l'élite issue de 120 pays y est présente. Tous les secteurs d'activités y sont représentés, y compris ceux de la culture ou du journalisme... Leur dénominateur commun est d'être innovateurs, façon Développement durable et Agenda 2030...
- voir graphique sur site -
Il est intéressant de constater sous la rubrique Transformer, l'engagement d'identifier et de défendre les moyens d'augmenter, d'amplifier et d'accélérer leur impact. Que faut-il comprendre quand on accueille un nombre certain de haut fonctionnaires du secteur public ?
Et dans l'annuaire des membres se trouve M. Emmanuel Macron, président de la République française, qui était alors ministre.
On fait aussi référence à lui dans le rapport de la classe 2015-2016 — weforum.org/WEF_YGL16_Annual_Report_2016
Et voici les partenaires de la mission philanthropique de M Klaus Schwab, extrait du rapport 2015-2016 — WEF SCHWAB Macron 2015 2016 young leaders - Télécharger
RépondreSupprimerLes partenaires de la mission philanthropique de M Klaus Schwab
- voir graphique sur site -
Un pouvoir planétaire public-privé explosif
L'organisation s'engage par ailleurs à accélérer l'impact d'une communauté diversifiée de leaders responsables à travers les frontières et les secteurs pour façonner un avenir plus inclusif et durable. Un vocabulaire typiquement onusien et supranational. D'ailleurs, voici une photo d'une partie de la famille de la classe de 2016. Tee-shirt au logo des 17 objectifs de l'Agenda 2030 pour tous.
Du coup, la télérencontre de janvier prend subitement une nouvelle allure :
Répartition mondiale FEM
- voir graphique sur site -
Source de l'article publié le 10 avril 2021 : Le blog de Liliane Held-Khawam
https://fr.sott.net/article/36957-Klaus-Schwab-forme-l-elite-mondiale
Covid et mensonges — La létalité réelle du Covid-19 est équivalente à celle de la grippe annuelle, et la vaccination semble augmenter le nombre des infections et des décès
RépondreSupprimerJ.D. Michel — Anthropo-logiques
Sott.net
lun., 12 avr. 2021 14:06 UTC
Voilà l'affirmation que je m'étais empressée de communiquer il y a une année dès que les premières évaluations du Pr John Ioannidis avaient été connues, dans une vidéo rapidement devenue virale et qui avait fait en quelques jours plus de 4 millions de vues sur le site Athle.ch
Menteur masqué
Un menteur patenté masqué (nom connu du rédacteur).
Ce qui m'avait valu des haines féroces et une campagne de dénigrement sans précédent de la miséreuse presse suisse, s'empressant de me décrire comme « peu crédible » ou de trouver mon expérience et mon CV « douteux » alors que jusque-là ils ne m'avaient guère valu que des éloges et d'être invité avec insistance tant par les universités que les médias, en Suisse comme dans d'autres pays...
Manifestement, cette révélation dérangeait et une année après, on ne peut que réaffirmer cet intéressant constat.
Avec une pointe : l'OMS avait évidemment validé en cours de route les estimations de Ioannidis. Puis, il y a quelques mois, celui-ci avait récidivé avec son équipe en montrant dans une étude comparative (jamais démentie) que les mesures de contrainte (confinements, fermetures, port du masque) ne produisaient aucun effet probant ni de ralentissement de l'épidémie ni de « tassage de la courbe » des hospitalisations comme on nous l'avait vendu au mois de mars 2020. Et comme les « experts » continuent de l'affirmer en dépit de toute évidence une année plus tard !
Nada. Que pouic. Des gesticulations, injustes, inutiles et lourdement destructrices dans leurs effets, mais sans aucune efficacité observable.
Et voici que le 26 mars dernier, le Pr Ioannidis a publié ses estimations révisées de la létalité réelle du Covid-19 (infection fatality rate). Résultat des courses ? 0,15 pour cent, soit exactement l'ordre de grandeur habituel de la grippe saisonnière.
Ces conclusions étant basées sur des études de sérologie (soit la détection d'anticorps spécifiques) et non pas les tests PCR qui déforment complètement les résultats du fait des innombrables faux positifs qu'ils signalent à tort. Si on devait établir le taux de létalité en fonction des tests PCR+, nous serions de fait très largement en-dessous de 0,15 pour cent !
Cette estimation mondiale (soit 3 millions de décès attribuées pour 2 milliards d'individus porteurs d'anticorps) se nuance selon les continents et les écosystèmes. En Europe, on est plutôt à 0,3-0,4 pour cent soit exactement les chiffres que j'avais mentionné en avril 2020. Cette différence tenant à trois grands facteurs :
RépondreSupprimerLa pyramide des âges : nos sociétés sont vieillissantes et donc le réservoir de victimes potentielles est proportionnellement plus fourni.
Le défaut de soins et de traitement précoce, qui aura prélevé un lourd tribut de mortalité. J'entends ici non seulement les médicaments qu'il aurait été utile bien sûr d'utiliser, mais aussi un simple monitoring de la saturation en oxygène sanguin permettant de prescrire au besoin une oxygénothérapie avant qu'il soit trop tard !
Le Covid-19 est fortement syndémique : l'infection est bénigne pour l'immense majorité de la population mais peut devenir sévère chez des personnes ayant des facteurs de risque spécifiques. Lesquels facteurs de risque (syndrome métabolique, état inflammatoire chronique de bas-grade, destructuration du microbiote) dépendent essentiellement du mode de vie. Or nos autorités sanitaires ont complètement négligé voire nié ce composant essentiel des formes graves, qui est réversible rapidement avec des interventions appropriées comme l'a rappelé fort opportunément le Dr Philippe de Toledo, auteur d'une pétition en ce sens.
On saisit dès lors l'étendue du problème : voici une année que les autorités sanitaires et politiques nous mentent, encore et encore, en dépeignant avec un acharnement pervers une situation qui ne correspond simplement pas à la réalité telle que la meilleure science peut l'établir.
Et pourtant, les « experts » de la Task Force, des hôpitaux, de l'OFSP et du Conseil fédéral n'ont cessé au long de cette année de venir nous tenir des propos mensongers, décrivant des situations apocalyptiques là où il y avait une simple épidémie (bien sûr avec des malades et des décès chez les personnes très âgées), mais d'un ordre de grandeur parfaitement habituel.
Pendant que cette propagande à grande échelle était entretenue à hautes doses par un cortège d'experts (incompétents ou corrompus) et avec la complicité d'une presse unanime à ne rien répercuter d'autre que ce flot de mensonges, les mesures inutiles imposées produisaient un cortège de dévastation dans la société : cancers, infarctus, AVC et autres maladies graves non soignées (avec une forte surmortalité due à ces dénis de soins), faillites, dépressions et suicides, répression et abus d'autorité, censure, dogmatisme, stigmatisation des opposants (qui en l'occurrence disaient juste) et in fine la génération d'une véritable hystérie collective.
Je l'ai dit et le redis : tout, absolument tout dans la Covidinfo aura été faux. Du nombre de « cas » au nombre d'hospitalisés ou de personnes décédées, les statistiques sont bidouillées et déformées d'une manière qui viole les chartes régissant l'établissement des données.
Avec la complicité active des cercles politiques et pseudo-scientifiques établis.
La suroccupation des hôpitaux ? Bien sûr qu'elle s'est produite de manière très brève et comme cela se produit chaque année !
Avec la différence que le Covid non-traité provoquant des complications chez certaines personnes à risque, l'interdiction de soigner et monitorer les patients avant une éventuelle hospitalisation aura créé cette abondance de cas graves dans une extraordinaire dérive iatrogène par défaut de soins ! Venir nous expliquer ensuite qu'on n'avait « jamais vu ça » alors qu'on a tout interdit ou empêché qui aurait pu « empêcher ça » n'est jamais qu'une forfaiture de plus.
RépondreSupprimerComme un avion sans ailes
Bref, il est grand temps d'atterrir : nous avons été manipulés et désinformés systématiquement depuis une année par des autorités en qui nous avons eu la faiblesse d'avoir confiance.
Toutes ces informations et données que je partage ici ne peuvent pas être inconnues des concernés : elles sont produites par les meilleurs scientifiques au monde. Ce n'est donc pas qu'ils les ignoraient mais qu'ils ont choisi de les occulter.
Je le redis avec la plus grande sincérité : je n'ai rien à titre personnel contre celles et ceux que je dénonce sur ma page depuis une année, les Martin Ackerman, Samia Hurst, Laurent Kaiser, Didier Pittet, Anne-Claire Siegrist, Alessandro Diana, Bertrand Kiefer ou Caroline Samer. Je n'ai rien à titre personnel contre Alain Berset, Mauro Poggia, Rebecca Ruiz ou les médecins cantonaux.
Mais voilà tout de même des gens qui mentent à la population et la manipulent depuis une année avec des paquets de bêtises et d'idées fausses, comme par exemple celle que l'épidémie d'octobre-novembre dernier était due au manque de discipline de la population. C'est à nouveau faux et archi-faux, mais nous avons vu ces cohortes de petits ayatollahs venir faire la morale sur les plateaux télé, accueillis sans contradiction par une RTS digne des médias soviétiques pour débiter leurs âneries sans la moindre contestation.
Maintenant que ces choses se savent et sont sues, va-t-on continuer longtemps avec la même mascarade putride ou bien va-t-on commencer (enfin !) à se ressaisir et demander des comptes à ces bataillons de privilégiés dangereux ?!
Les journalistes vont-ils enfin se souvenir qu'investiguer fait partie de leur mission ?
Pour ma part, il est bien sûr satisfaisant de constater a posteriori que mes analyses se sont avérées justes. Mais avec le pincement au cœur suivant : l'épidémiologie infectieuse n'étant pas mon domaine d'expertise, je me suis simplement tourné vers les meilleurs scientifiques et les meilleures études.
RépondreSupprimerCe qui veut dire que TOUS les « experts scientifique » « gouvernants » et « journalistes » auraient dû faire de même s'ils avaient eu une once de probité.
Et c'est là où le fait d'avoir entendu juste ne me console en rien : leur défaillance et leur trahison de l'intérêt collectif (par bêtise, par paresse ou par corruption) aura maltraité lourdement la population et saccagé notre société en pure perte.
Il est évident que nombreux parmi ces gens sont ceux qui sont simplement inféodés à des intérêts autres que l'intérêt collectif. Le Conseil fédéral a servi les intérêts de Klaus Schwab et de son Great Reset comme ceux de Bill Gates sans que l'on sache qu'ils aient reçu de mandat du peuple en ce sens. Les « scientifiques » sont redevables aux pharmas autant qu'au même Bill Gates qui les nourrissent d'une manière qui manifestement fait purement et simplement voler en éclats leur probité et leur éthique.
La population en fait les frais, mais voilà : de la population, ces gens-là se fichent apparemment comme d'une guigne.
Comment sortirons-nous de cette hallucination collective et de cette dérive littéralement criminelle ?
À l'heure où les nuages s'amoncellent sur la sécurité des « vaccins » (qui n'en sont pas) imposés à la hâte sans égards pour la santé de la population, les réponses ne devraient plus tellement tarder...
Communiqué du site Corona-transition (en allemand) :
John P.A. Ioannidis, professeur à Stanford, a publié une nouvelle étude le 26 mars 2021. Il y corrige à la baisse le taux de létalité de l'infection (IFR) pour Covid-19 trouvé dans sa propre étude antérieure. Ioannidis est l'un des scientifiques les plus cités dans le monde.
Six évaluations systématiques, comportant chacune 10 à 338 études de séroprévalence (détermination des anticorps) dans un maximum de 50 pays du monde, ont été évaluées. Le taux de létalité des infections dans le monde est d'environ 0,15 % — avec 1,5 à 2,0 milliards d'infections d'ici février 2021. « Le taux mondial de létalité des infections est d'environ 0,15 pour cent avec 1,5 à 2,0 milliards d'infections en février 2021 ».
Cela signifie que, sur l'ensemble des personnes infectées dans le monde — tous âges et conditions préexistantes confondus — 99,85 % survivent en moyenne. Dans une étude antérieure, Ioannidis est encore arrivé à une valeur de 0,23 % corrigée, soit une survie de 99,77 %.
Ici, les infections ont été réellement déterminées, car des anticorps spécifiques ont été détectés dans le sang, que le corps ne produit qu'en cas d'infection.
RépondreSupprimerLes tests PCR permettent également de détecter des quantités infimes de certains fragments du virus sur la muqueuse. Cependant, on ne parle d'infection que lorsque des virus intacts pénètrent dans le corps et s'y multiplient. Seule une fraction des personnes dont le test est positif forme réellement des anticorps. Si l'on prenait comme base toutes les personnes ayant un test PCR positif, on obtiendrait un taux de survie encore meilleur que 99,85 %.
Lien vers l'étude de Ioannidis : cliquer ici.
Lien vers mon précédent article « Covid : stop mensonges » : cliquer ici.
Et c'est avec gratitude que je partage en guise de cerise sur le gâteau le nouveau texte, fort et courageux, que la Dre Giacomoni nous a fait l'amitié de nous adresser sur ce thème du mensonge sanitaire qui nous est infligé.
* * * * *
Covid et mensonges
Le « petit virus Covid » est très intelligent car :
Il sait compter puisqu'il n'attaque qu'à partir d'un certain nombre de personnes en famille.
Il sait faire la différence entre les réunions en famille, durant lesquelles il est particulièrement agressif et les réunions entre inconnus serrés dans les transports en commun pour aller travailler, durant lesquelles il reste sage. Il respecte le travail, lui !
Il sait lire l'heure et respecte les horaires de couvre-feu décrétés par Jupiter et son armée d'experts-en-tout. Il a accepté de se calmer et de ne devenir dangereux qu'après 19h. Il est passé à l'heure d'été lui aussi.
Il sait si vous êtes fortuné et si vous séjournez dans un hôtel. Dans ce cas, il vous laisse vivre, manger et vous détendre avec d'autres fortunés dans les restaurants ou terrasses de l'hôtel sans masque. Alors que si vous êtes juste à côté de la terrasse, donc pas assez fortuné, vous devez vivre seul, distancé et masqué car le virus risque fort de vous attaquer.
Il sait si vous êtes dans un parc en plein air avec des amis, là il vous fait courir un immense risque.
Il sait si vous êtes en train de faire du sport en plein air et il risque alors d'attaquer durement.
Il sait si vous mangez dans un restaurant d'hôtel de luxe ou si vous prenez un plat à emporter dans un restaurant familial de quartier où il se révèle particulièrement agressif. Le petit covid n'aime pas les pauvres.
Il sait si vous entrez dans une grande surface sans limite de distance ni de nombre ou si vous entrez chez un petit commerçant qui limite l'accès de sa boutique.
Avez-vous le sentiment qu'on se moque de vous ?
Avez-vous encore le sentiment d'être informés lorsque vous regardez vos médias préférés ?
Je vous propose une petite suite logique :
pomme/poire - pomme/poire - pomme/poire - pomme/poire - pomme/poire - ?
RépondreSupprimeret donc la suite sera ...pomme/poire
Facile n'est-ce pas ?!
Alors continuons :
Mensonge - mensonge - mensonge - mensonge - mensonge - ?
Et donc la suite sera .. mensonge
Encore plus simple, n'est-ce pas ?!
Je détaille maintenant si vous me suivez toujours :
Mensonges sur le virus et sa dangerosité puisque la mortalité n'excède pas 0,05 pour cent voire 0,03 pour cent selon le Prof Ioannidis, le meilleur épidémiologiste au monde.
Mensonges sur les tests PCR dont les cycles d'amplification sont tellement élevés qu'on est certain de détecter tout et n'importe quoi...et surtout des morceaux de virus dont rien ne prouve qu'il soit encore actif.
Mensonges sur les traitements dont il est strictement interdit de dire qu'ils existent à tous les stades de la maladie sous peine d'excommunication...
Mensonges sur le confinement dont on a montré non seulement son inutilité sur l'épidémie mais ses nuisances sur tous les aspects de nos vies, de nos économies, de notre psychologie et de notre santé en général... Les dégâts psychologiques sont d'ores et déjà innombrables pour toutes les générations. Nos enfants grandissent dans une société malade de la peur qui la ravage et qui devient ainsi très maltraitante.
Alors comment peut-on imaginer autre chose à cette suite logique que : mensonges sur les vaccins ?
Avec une telle avalanche de mensonges, comment peut-on encore faire confiance à ceux qui répètent comme un mantra : le vaccin est sûr et efficace ? C'est ceux-là même qui ont menti sur tous les sujets depuis le début affirmant qu'aucun traitement n'existait et qu'aucun traitement ne serait efficace alors même que les preuves du contraire se sont rapidement accumulées.
Faites-vous confiance à ceux qui vous ont menti à plusieurs reprises ?
Cela fait des mois qu'on nous fait porter des masques, qu'on nous éloigne les uns des autres, qu'on se désinfecte les mains à tout bout de champ et pourtant y a-t-il un changement ? Alors pourquoi continuer ces mesures inutiles puisque « la 3e vague arrive » malgré tous les efforts consentis librement ou sous la contrainte ?
Si l'épidémie continue à cause des réfractaires qui ne sont pas assez vigilants, alors pourquoi les pays qui ont le moins confiné et qui laissent leur population libre s'en sortent mieux en termes de mortalité ? Les chiffres sont disponibles sur euromomo.eu
Vous pensez que vous vacciner vous rendra votre liberté ?
Alors pourquoi conseille-t-on aux vaccinés de continuer à porter des masques, à continuer à se distancer et à continuer à respecter les « mesures » ? Regardez cette vidéo qui vous explique les dernières nouvelles données par le ministre de la santé français :
Commentaire : Voir notre article Le dîner de cons des vaccinés — L'aveu choquant du Conseil d'État
RépondreSupprimerVous pensez retrouver votre vie d'avant en vous vaccinant ? Ainsi vous retrouverez votre liberté de mouvement, de sorties, de voyages... alors pourquoi le ministre de la Santé français a-t-il récemment déclaré :
« Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d'inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale... »
Commentaire : Voir notre article L'incroyable étude de l'Institut Pasteur ! Confinés à vie ?
Vous pensez que seul le vaccin nous sortira de cette « crise ». Alors pourquoi Israël, le Royaume-Uni, les Émirats Arabes Unis et le Portugal qui ont largement vacciné leur population voient leur courbe de mortalité monter en flèche ? (annexe).
Vous pensez que les vaccins sont sûrs et efficaces ? Alors pourquoi ne nous fait-on aucun décompte quotidien du nombre d'effets secondaires ni de décès liés aux vaccins ?
- voir graphique sur site -
Graphique vaccinations Covid Suisse
Finalement il reste deux questions essentielles à ce stade :
Vous sentez-vous réellement informés ? et
Faites-vous confiance à ceux qui vous mentent de manière itérative ?
Dre Frédérique Giacomoni
Annexes
- voir graphique sur site -
Vaccinations Covid et infections/décès en Israël - Portugal - Royaume-Uni - Émirats arabes unis
Source de l'article publié le 10 avril 2021 : Anthropo-logiques
https://fr.sott.net/article/36955-Covid-et-mensonges-La-letalite-reelle-du-Covid-19-est-equivalente-a-celle-de-la-grippe-annuelle-et-la-vaccination-semble-augmenter-le-nombre-des-infections-et-des-deces
Depuis Mars 2020 tous les scientifiques et directeurs d'hôpitaux-cliniques le disent et le publient: Il ne s'agit que d'une mini grippette de corona, point barre !
SupprimerIl y a même moins de morts de la grippe cette année que les autres années ! Mais, 'épicerie sur le gâteau' vous toucherez 5000 euros par mort déclaré 'claqué du corona' !
Ainsi, facile de s'enrichir et, pourquoi pas de fermer sa gueule, avec les morts du cancer, avc, diabète, suicide, accident de la route, etc, etc, étiquetés 'corona' ! HAHAHAHA !
Des épidémies sont mises en scène à la télévision
RépondreSupprimerNetwork: le dernier grand film sur The News
Par Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
13 avril 2021
Lorsqu'une nouvelle épidémie est lancée et promue, malgré le manque de bonnes données scientifiques et de bonnes preuves, elle est diffusée sur les écrans de télévision. Les images commencent à couler:
Un véhicule médical d'urgence dans une rue. Le personnel EMT, en combinaison de protection contre les matières dangereuses, charge un homme attaché à une civière, dans la camionnette. Dans une autre rue, un homme s'effondre sur le trottoir. Nous voyons un homme mis en quarantaine assis à l'intérieur d'une énorme bulle en plastique dans une troisième rue. Coupure dans le hall d'un aéroport. Des soldats patrouillent dans l'espace parmi les foules. Plan d'un laboratoire. Gros plan de flacons de liquide. La caméra recule. Les techniciens en gommage vert clair placent les flacons dans les fentes d'une machine de table. Auditorium - un homme sur une plate-forme, vêtu d'une blouse blanche de médecin, pointe une baguette vers un grand écran, sur lequel un graphique est affiché, pour le public. De retour dans la rue. Les gens portent des masques faciaux.
Ces images envahissent le téléspectateur. Pendant ce temps, l'ancre donne sa signification préparée: «Le gouvernement a interdit aujourd'hui tous les voyages à destination et en provenance de la ville… des centaines de vols d'avion ont été annulés. Les scientifiques se précipitent pour développer un vaccin… »
Le public de la télévision a une IMPRESSION de savoir quelque chose. Ils sont dans le flux, le flux de l’actualité… ils sont dans les images…
—Network, le film de 1976 écrit par Paddy Chayefsky, révèle ce que les rois des médias feraient s'ils déchaînaient leurs instincts de base et galopaient jusqu'à la folie du cirque romain sur brûlis.
Le public est blasé au-delà de tout souvenir. Il a besoin de nouveaux chocs pour le système chaque jour. L'adrénaline doit couler. La frontière entre rapporter l'actualité et l'inventer? Efface le. Célébrez l'effacement. Regardez les notes monter en flèche.
Pourquoi faire semblant plus ? Pourquoi passer d'innombrables heures à préparer et à diffuser des informations artificielles synthétiques, comme si elles étaient réelles ? Le public se soucie-t-il de ces subtilités ? Le public veut juste de l'action.
Le film procède de ces lieux.
Arthur Jensen, chef de la société propriétaire du réseau, s’adresse à Howard Beale, journaliste dérangé du réseau, qui a révélé, en ondes, un morceau de la véritable structure du pouvoir planétaire en quelques instants de raison: «Vous vous êtes mêlé du forces primitives de la nature, M. Beale, et je ne l’aurai pas !! Est-ce clair ?!… Vous êtes un vieil homme qui pense en termes de nations et de peuples. Il n'y a pas de nations. Il n'y a pas de peuples. Il n'y a pas de Russes. Il n'y a pas d'Arabes. Il n'y a pas de tiers-mondes. Il n'y a pas d'Occident. Il n'y a qu'un seul système holistique de systèmes, une domination multinationale de dollars, vaste et immane, imbriquée, interagissante, multivariée. Pétro-dollars, électro-dollars, multi-dollars, reichmarks, rinçages, roubles, livres et shekels. C'est le système international de monnaie qui détermine la totalité de la vie sur cette planète. Tel est l'ordre naturel des choses aujourd'hui. Telle est la structure atomique, subatomique et galactique des choses aujourd'hui! Et VOUS vous êtes mêlé des forces primitives de la nature, et VOUS EXPÉDIREZ !
La responsable de la programmation pour le réseau, Diana Christensen, transfère l'ensemble du département des informations vers la division divertissement.
RépondreSupprimerAinsi émergent de nouveaux spectacles avec des cotes d'écoute en flèche: Howard Beale, [religieux] prophète des ondes aériennes; L'heure Mao Tse-Tung, dans laquelle un groupe de guérilleros se filme en train de commettre des vols de banque à main armée; et Sybil la devin, une lectrice de tarot.
Diana devient la nouvelle star exécutive du réseau.
Il n'y a même plus de prétention à la nécessité pour les présentateurs de nouvelles de paraître faisant autorité, objectifs ou rationnels.
Diana Christensen est imparable. Elle voit, avec une clarté brûlante, que le public s'ennuie au point de s'épuiser; ils exigent désormais, comme à la fin de l'Empire romain, des divertissements extrêmes. Ils veulent plus de violence, plus de folie, au grand jour. À la télévision.
En faisant la promotion de son genre de division de nouvelles, elle dit aux dirigeants du réseau:
«Écoutez, nous avons un tas de
radicaux hobgoblin appelés les
Armée œcuménique de libération qui
aller chercher des films à la maison
d'eux-mêmes en train de voler des banques.
Peut-être qu'ils prendront des films de
kidnappant eux-mêmes des héritières,
détournement de 747, bombardement de ponts,
assassiner des ambassadeurs.
Nous ouvririons le segment de chaque semaine
avec ces images authentiques,
embaucher quelques écrivains pour
écris une histoire derrière ça
images, et nous avons
nous-mêmes une série…
«Avez-vous vu les nuitées sur le
Nouvelles du réseau? Il a un 8 en nouveau
York et un 9 à L.A. et un 27 part
dans les deux villes. Hier soir, Howard
Beale est passé à l'antenne [en tant que présentateur de nouvelles] et a crié
«BULLSHIT» pendant deux minutes, et je
peut vous dire maintenant que ce soir
show obtiendra au moins 30 parts.
Je pense que nous avons eu de la chance dans quelque chose…
«Je vois Howard Beale comme un
prophète, un magnifique messianique
figure, invoquant contre le
hypocrisies de notre temps, une bande
Savonarola, du lundi au vendredi.
Je te le dis, Frank, ça pourrait juste
traverser le toit… Voulez-vous comprendre
les revenus d'un strip-tease montrent que
se vend cent mille dollars
une minute ? Un spectacle comme ça pourrait
sortez tout ce réseau
du trou! Maintenant, Frank, c'est
remis à nous sur une assiette; il ne faut pas
souffle le !"
La télévision dans le «monde réel» n’est pas encore tout à fait là, mais c’est proche.
RépondreSupprimerDans Network, Diana Christensen personnifie l'actualité. Elle est la force électrique, en quête de sensations fortes, non-stop, terrifiée par le silence.
Elle vit et se nourrit d'adrénaline. Il en va de même pour le public. Rien d'autre ne compte en fin de compte. Les notes sont la ligne du haut et la ligne du bas. L'individu et ses pensées sont totalement hors de propos.
Howard Beale, au-dessus de la falaise, un journaliste criant à l'antenne à propos de la folie de la nouvelle, est parfaitement acceptable, car le public répond simplement à l'indignation insensée de Beale et à la leur. Rien de plus profond n'est exploré. Ce qui aurait pu aboutir à une véritable rébellion populaire est court-circuité. Beale devient un huard fou, une nouveauté. Encore une distraction.
Quand, dans un bref intermède de clarté, il commence à parler à son public de la prise de contrôle de la société par des méga-corporations et des méga-argent, son émission tombe. Les notes s'effondrent. Diana ne s'intéresse plus à lui; elle veut le limoger.
Cependant, Arthur Jensen, le chef de la société propriétaire du réseau de télévision, veut garder Beale à l'antenne, en tant que messager de la «vérité galactique» sur l'intégration bénéfique de toute activité humaine sous la rubrique de l'argent mondial et du pouvoir mondial. . Il convertit Beale à sa cause.
Diana ne voit qu'un seul moyen de sortir de ce désastre des notations: tuer Beale; à l'antenne; pendant son spectacle. Et c'est ainsi fait.
Network nous montre également le public qui devient acteur, joueur, participant. Le public saute hors de sa peau pour être reconnu, courtisé et adoré comme une puissante force de roulement sans signification particulière.
Le public veut être une star. Le public veut être des nouvelles; le public souhaite que ses actions soient diffusées à la télévision. Cela établit sa légitimité. Rien d'autre n'est nécessaire.
Diana le sait, et elle est plus que disposée à accueillir ce désir frénétique, si seulement ses patrons la laissaient aller jusqu'au bout.
Meilleur film jamais réalisé sur la guerre de la télévision contre la population, Network ne met en scène que quelques minutes de télévision en ondes.
Le reste du film est un dialogue et un monologue sur la télévision. Ainsi, vous pourriez dire que, dans ce cas, le mot bat l'image. C'était l'intention du scénariste Paddy Chayefsky.
Même en montrant ce qui se passe sur l'écran de télévision, Network éclate avec des lignes comme celles-ci, du journaliste Howard Beale, au bout de sa corde, devant la caméra, s'adressant à son public en studio et à des millions de personnes chez eux:
«Alors, écoutez-moi. Écoutez-moi ! La télévision n'est pas la vérité. La télévision est un sacré parc d’attractions. La télévision est un cirque, un carnaval, une troupe itinérante d'acrobates, de conteurs, de danseurs, de chanteurs, de jongleurs, de fous de spectacle, de dompteurs de lions et de footballeurs. Nous sommes dans l’affaire qui tue l’ennui… Nous avons affaire à des illusions, mec. Rien de tout cela n'est vrai! Mais vous êtes assis là jour après jour, nuit après nuit, de tous âges, couleurs, croyances. Nous sommes tout ce que vous savez. Vous commencez à croire aux illusions que nous tournons ici. Vous commencez à penser que le tube est la réalité et que vos propres vies sont irréelles. Vous faites tout ce que le tube vous dit. Vous vous habillez comme le tube, vous mangez comme le tube, vous élevez vos enfants comme le tube. Vous pensez même comme le tube. C'est de la folie de masse. Vous les maniaques. Au nom de Dieu, vous êtes la vraie chose. Nous sommes l'illusion.
RépondreSupprimerC’est la langue de Beale et la passion avec laquelle il la livre qui constituent son arme dangereuse. Par conséquent, le Réseau le transforme en une figure religieuse bon marché, dont le public le couvre d'une adoration absurde.
L’ennemi de la télévision est le mot. Sa devise est l'image.
Beale perce parfois l'image et la souille. Il fait craquer l'œuf. Il arrête le flux d'images. Il ramène le son et le rythme de la poésie parlée. C'est sa vraie transgression contre le médium qui l'emploie.
La matrice moderne a tout à voir avec la façon dont les connaissances sont acquises.
La télévision, dans l'ensemble, n'essaie pas de transmettre des connaissances. Il s'efforce de donner au spectateur l'impression qu'il sait quelque chose. Il existe une différence.
L'impression de savoir est un sentiment, une conviction, une croyance que le spectateur détient, après avoir regardé des images en mouvement sur un écran et écouté un narrateur. C'est ce que le spectateur préfère. Il ne veut aucune partie de la connaissance.
Une prémisse de base de l'ère moderne est: «tout est (lié à) tout». Cela correspond assez bien à l'expérience de regarder un flux vidéo.
Exemple: nous voyons des foules en colère dans la rue d'une ville étrangère. Puis des jeunes sur leur téléphone portable assis dans un café en plein air. Puis le hall en marbre d'un bâtiment gouvernemental où marchent des hommes en costume, debout en groupes et se parlant. Puis la nuit, des fusées explosent dans le ciel. Puis des véhicules blindés franchissent une porte dans la ville. Puis des nuages de fumée sur une autre rue et des gens qui courent, pourchassés par la police.
Un flux d'images consécutives. La séquence, de toute évidence, a été assemblée par un rédacteur en chef, mais la plupart des téléspectateurs n’en sont pas conscients. Ils regardent les images «interconnectées» et écoutent un présentateur de nouvelles raconter une histoire qui colore (infecte) chaque image: «C'est une révolution pour la démocratie, créée par la technologie des téléphones portables…»
Les téléspectateurs croient donc quelque chose. La télévision leur a fait sensation.
Par conséquent: un court-circuit se produit dans l'esprit.
Lorsque vous exportez ce modèle vers toute une société, vous parlez d'une méthode dominante par laquelle le «savoir» est tâtonné et maintenu de près.
«Avez-vous vu cette vidéo fantastique sur la guerre en Irak? Cela montrait que Saddam avait en fait des armes biologiques.
"Vraiment ? Comment ont-ils montré cela ?
«Eh bien, je ne me souviens pas. Mais surveillez-le. Tu verras."
Et c’est une autre caractéristique de l’acquisition moderne du «savoir»: l’amnésie des détails.
RépondreSupprimerLe spectateur ne se souvient pas des principales caractéristiques de ce qu’il a vu. Ou s'il le peut, il ne peut pas les décrire, car il était à l'intérieur d'eux, occupé à construire son impression de savoir quelque chose.
L'histoire narrative-visuelle-télévisée supprime et rejette l'analyse conceptuelle. Dans la mesure où il existe, il est enveloppé autour et à l’intérieur de l’image et de la narration.
Paddy Chayefsky a fait de sa plume une épée, parce qu'il écrivait un film sur la télévision, contre la télévision. Il opposait Word contre Image.
Lorsqu'une technologie (télévision) se transforme en méthode de perception, la réalité est retournée à l'envers. Les gens regardent la télévision à travers les yeux de la télévision.
Le contrôle mental n'est plus quelque chose simplement imposé de l'extérieur. C'est une matrice d'une boucle auto-alimentée et auto-exigeante.
Les fidèles volontaires de l'image VEULENT des images, des bons alimentaires de la société programmée.
Le triomphe de Network est qu'il fait gagner ses mots sur les images, DANS une image, DANS un film.
Une pandémie, la fausse pandémie que j'ai rejetée dans de nombreux articles, est diffusée par flux vidéo et narration. Images empilées et coupées.
Il n'y a aucun défi au flux de quelque manière que ce soit, par l'intrusion de connaissances réelles, car cela arrêterait le défilé d'images et annulerait les raisons de les diffuser en premier lieu.
Le vieil adage du théâtre, «le spectacle doit continuer», une fois adapté pour la télévision, devient «le flux doit continuer». Une fois son cap fixé, il ne peut y avoir de retour en arrière.
Le public de la télévision, emprisonné dans les maisons, chevauche la rivière…
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
https://www.lewrockwell.com/2021/04/jon-rappoport/epidemics-are-staged-on-television/
Un livre choc en Allemagne fait revivre le 11 septembre comme modèle économique
RépondreSupprimerPepe Escobar
Mondialisation.ca
lun., 12 avr. 2021 19:35 UTC
Une étude révolutionnaire réalisée par le talentueux journaliste financier indépendant Lars Schall, « Denken wie der Feind - 20 Jahre Ausnahmezustand 9/11 und die Geopolitik des Terrors » (« Penser comme l'ennemi - 20 ans d'état d'urgence, le 11 septembre et la géopolitique de la terreur ») est publié en Allemagne en deux
Le premier - « Das Erdöl, der Dollar und die Drogen » (« Le pétrole, le dollar et la drogue ») - est sorti cette semaine. Le deuxième volume sortira la semaine prochaine.
Nomi Prins, anciennement de Goldman Sachs, a qualifié de « stupéfiante » « l'enquête de Schall sur les délits d'initiés du 11 septembre ». Marshall Auerback, chercheur à l'Institut Levy aux États-Unis, a noté comment « la plupart des grands médias refusent toujours d'aborder les aspects plus larges et plus controversés de la tragédie du 11 septembre ». Schall, ajoute-t-il, « apporte un correctif salutaire ».
Un échantillon du travail de Schall, déjà publié par le blog The Saker, est cette interview sur le commerce du terrorisme du 11 septembre.
J'ai eu le plaisir d'écrire l'introduction pour le une-deux allemand. La voici - en espérant qu'un ouvrage aussi extraordinaire puisse trouver sa place dans de nombreuses autres langues, notamment dans les pays du Sud global.
11 septembre, ou « Les hiboux ne sont pas ce qu'ils semblent être »
Jusqu'à ce que le COVID-19 apparaisse sur la scène au printemps 2020, près de deux décennies après les faits, le monde est resté otage du 11 septembre. Ce fut l'ultime changement de jeu géopolitique qui donna le ton au jeune XXIe siècle. Le livre que vous avez entre les mains pose la question ultime : pourquoi le 11 septembre est important.
Suivez l'argent. Il est tout à fait approprié que cette enquête méticuleuse soit menée par un journaliste financier doué et extrêmement sérieux - et qu'elle présente, de manière inédite, une masse d'informations jusqu'alors indisponibles en allemand.
Je connais Lars Schall, virtuellement ,depuis des années - échangeant des correspondances sur la politique et l'économie. Lorsque nous nous sommes rencontrés en personne à Berlin en 2015, nous avons enfin eu le temps, en direct, de nous adonner également à notre passion commune numéro un pour la culture pop : « Twin Peaks » de David Lynch. Lars est peut-être une incarnation allemande de l'agent spécial du FBI Dale Cooper. Ou, mieux encore, la version compatissante d'Albert Rosenfield, le pathologiste sarcastique de « Twin Peaks ».
Prenez par exemple ce dialogue de « Twin Peaks » :
RépondreSupprimer« Albert Rosenfield : Nous avons envoyé un portrait de votre homme aux cheveux longs à toutes les agences, de la NASA à la DEA, et nous sommes revenus bredouilles. Ce chat n'est dans la base de données de personne.
Agent spécial Dale Cooper : Un homme que quatre d'entre nous ont vu ici à Twin Peaks.
Albert Rosenfield : Bien sûr. Oh, au fait, on vous a tiré dessus avec un Walther PPK. C'est l'arme de James Bond, vous le saviez ? »
Donc, ce que vous avez entre les mains, c'est le 11 septembre disséqué par un pathologiste qui a travaillé d'arrache-pied et qui a eu « beaucoup de découpage et de collage à faire ». Il était conscient d'une myriade de lignes rouges dès le début, ainsi que d'une myriade d'actes de disparition et de faux non sequiturs. Le 11 septembre est peut-être l'illustration ultime d'une des légendaires répliques de « Twin Peaks » : « Les hiboux ne sont pas ce qu'ils semblent être ».
Notre pathologiste a en effet dû démonter une énorme matriochka pour la décomposer en poupées plus petites. Ce processus a réservé quelques surprises : en suivant l'approche de l'argent concernant le 11 septembre, par exemple, notre pathologiste a finalement été confronté au cas d'un prolapsus rectal à Guantanamo Bay. Vous ne le croyez pas ? Attendez simplement de lire ses recherches.
Ce voyage vous mènera à travers des centaines de pages de texte et des myriades de notes en fin de texte, plus de 2 400, dont un grand nombre traite de nombreuses sources différentes, ainsi que de documents sensibles sélectionnés traités par des traducteurs professionnels.
Le double volume détaille les implications interconnectées de dossiers extrêmement complexes : le groupe de politique énergétique nationale des États-Unis présidé par l'ancien vice-président Dick Cheney, dans le plus grand secret, quatre jours seulement après le début de l'administration Bush ; les ramifications du pic pétrolier ; l'intérêt du Council on Foreign Relations (CFR) pour le pétrole du Moyen-Orient, en particulier l'Irak ; le rôle majeur de la CIA dans le commerce de la drogue ; l'alliance entre l'Arabie Saoudite et les États-Unis concernant la protection de l'environnement et de la sécurité. L'alliance entre l'Arabie Saoudite et les États-Unis pour la protection d'Al-Qaïda, ce qui s'est passé avec la défense aérienne des États-Unis le 11 septembre et, enfin et surtout, les délits d'initiés du 11 septembre, notamment les anomalies sur les marchés des options et des obligations.
Le programme informatique quasi mythique PROMIS, créé dans les années 1970 par Bill Hamilton, ancien analyste de la NSA, joue un rôle dans ce récit - avec une série de décès inexpliqués et de disparitions de fichiers qui rendent certains de ses avatars, en particulier ceux qui contiennent des capacités d'écoute clandestine améliorées par l'intelligence artificielle (IA), presque imperméables aux investigations.
RépondreSupprimerEn fait, Lars avait été contacté par Bill Hamilton, qui lui avait demandé s'il pouvait apporter son aide dans le cadre de l'affaire PROMIS. C'est cette demande - qui a eu lieu au printemps 2012 alors que Lars venait de publier un article « 11 septembre - Délit d'initiés » sur Asia Times - qui a été l'étincelle qui a déclenché l'enquête que vous allez lire.
Pour le lecteur allemand, l'une des premières de cette analyse tentaculaire est de prendre ce qui est considéré aux États-Unis comme une « théorie du complot » - le livre séminal de Mike Ruppert de 2004 « Traverser le Rubicon » - et, selon les mots de Lars, « de déterminer dans quelle mesure il peut être prouvé qu'il est correct, plus de 15 ans après sa publication ».
Lars montre en détail comment le 11 septembre a permis l'instauration d'un état d'urgence, d'une continuité permanente du gouvernement (COG) aux États-Unis et d'une surveillance massive des citoyens américains - en reliant les points depuis la disparition de milliers de milliards de dollars au Pentagone jusqu'à l'exploration des données par la NSA et les principaux néoconservateurs américains. Ces derniers priaient pour un « Pearl Harbor » afin de réorienter la politique étrangère américaine depuis 1997. Leurs prières ont été exaucées au-delà de leurs rêves les plus fous.
L'enquête finit par montrer une feuille de route étonnante : la guerre contre le terrorisme en tant que modèle économique. Toutefois, comme le montre également Lars, en fin de compte, au grand désespoir des néoconservateurs américains, tout le bruit et la fureur combinés du 11 septembre et de la guerre mondiale contre le terrorisme, en près de deux décennies, ont fini par déboucher sur un partenariat stratégique Russie-Chine en Eurasie.
Il est juste de demander à l'auteur ce qu'il a appris en jonglant pendant des années avec cette immense masse d'informations. Lars souligne la familiarité qu'il a acquise avec le travail de Peter Dale Scott - auteur, entre autres, de « La route vers le nouveau désordre mondial », et spécialiste des origines de l'État profond américain - qui est diamétralement opposé au récit aseptisé privilégié par le Beltway et les médias corporatistes américains. Lars présente des informations de Peter Dale Scott qui n'avaient jamais été traduites en allemand auparavant.
L'agent spécial Lars Cooper/Lars Rosenfield a dû dire adieu à une carrière de journaliste, car « je serai à jamais considéré comme un "théoricien du complot" », comme il me l'a dit. Un choix difficile s'offrait donc à lui : être intrépide ou mener une carrière confortable en tant qu'employé d'entreprise. Au final, Lars a choisi l'intrépidité.
RépondreSupprimerDans « Twin Peaks », l'agent spécial Dale Cooper doit finalement se confronter à lui-même. Il sait qu'il est perdu s'il essaie de fuir son moi sombre, qui est « l'habitant du seuil ». Cette fois-ci, notre agent spécial Lars Cooper n'a certainement pas fui l'habitant du seuil. Il a osé passer de l'autre côté pour regarder l'abîme. Et maintenant, il est de retour pour nous dire dans un livre à quoi cela ressemble.
« Denken wie der Feind - 20 Jahre Ausnahmezustand 9/11 und die Geopolitik des Terrors » (« Penser comme l'ennemi - 20 ans d'état d'urgence, le 11 septembre et la géopolitique de la terreur »), par Lars Schall
Livre 1 : « Das Erdöl, der Dollar und die Drogen » (« Le pétrole, le dollar et la drogue »), via Books on Demand (BOD) : ISBN pour le livre : 9783753442938. Pour le livre électronique : 9783753414737.
Livre 2 : « Das « Pearl Harbor » des 21. Jahrhunderts » (« Le « Pearl Harbor » du XXIe siècle »), via Books on Demand (BOD) : ISBN pour le livre : 9783753460796. Pour le livre électronique : 9783753433882
kiol
https://sott.net/fr36964
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https://fr.sott.net/article/36964-Un-livre-choc-en-Allemagne-fait-revivre-le-11-septembre-comme-modele-economique
NON ! Il n'y a pas d''initiés' dans cette affaire d'escroquerie mondiale (puisqu'elle a fait le tour du monde), car un enfant de 5 ans pourrait comprendre qu'un avion est en aluminium et il se froisse, se disloque, s'écrase contre un mur SANS LE TRAVERSER quelle que soit sa vitesse !
SupprimerTOUS les avionneurs le savent ! TOUS les pilotes le savent ! et TOUT le personnel aéroportuaire le sait ! en plus des étudiants du monde entier.
OUI MAIS ! Les merdias nous ont montré autre chose !
L'Arrivée de Lolo Gramme ! (déjà connue avec ses 'soucoupes volantes !)
Et de une ! et de deux ! et de... âh bêh merde alors !!? Où qu'il est l'avion qui devait tomber sur la tour n°7 ??! Bêh, la 'Tour n°7', bêh... elle est tombée toute seule !! Âh les cons !! Âh les cons !! HAHAHAHAHAHAHA !
2020: On remet çà ! Avec pour la première fois les avions de Ben Laden seront invisibles ! OUI-OUI ! On les appellera des 'corona' ! Whâoooow ! Et... y a 7 milliards de tours à tomber !
Les phénomènes électromagnétiques ont-ils déclenché le fléau qui a tué jusqu'à 80% des habitants de la Terre ? »
RépondreSupprimer11 avril 2021
par Robert
Dans cette vidéo, l'archéologue Peter Mungo Jupp présente l'idée radicale que la civilisation détruisant les fléaux peut être régie par l'électromagnétisme comme les rayons cosmiques.
La vidéo s'intitule «Le climat [petit âge glaciaire] et la peste noire et l'activité et les mutations volcaniques».
«Le fléau de 1348 après J.-C. était le plus grand, le plus universel et le plus mortellement dévastateur qui ait jamais ravagé ce globe! Il n’a jamais eu de parallèle ni avant ni depuis », écrivait Thomas Short, spécialiste de Rhodes, en 1749.« Sa propagation était implacable, implacable et dévastatrice.
Les taux de mortalité cataclysmiques ont suivi d'une nation à l'autre et d'une ville à l'autre, a poursuivi Rhodes. Peut-être pas moins de 80 pour cent de la population mondiale ont péri. Dans certains endroits, il a fallu 15 habitants sur 16.
Comparez cela à la grippe espagnole de 1918, lorsque «seulement» 2% de la population mondiale ont péri.
L'archéologue et collègue des Thunderbolts, Peter Mungo Jupp, discute des inondations, des éruptions volcaniques et des tremblements de terre qui les accompagnent, suivis de sécheresses et de famine et lie toute la dévastation aux phénomènes électromagnétiques.
Les cieux étaient en feu, dit Jupp. Les observations historiques des événements à cette époque, même les représentations des artistes - indiquent fortement une telle conclusion
Dans cette vidéo, Jupp présente l'idée radicale que la civilisation détruisant les fléaux peut être régie par l'électromagnétisme comme les rayons cosmiques.
Il est prouvé, poursuit Jupp, que l'activité solaire joue un rôle dans l'activité volcanique sur notre planète. En fait, pendant les périodes de faible activité solaire - comme le minimum solaire actuel - l'activité volcanique a tendance à augmenter.
L'éruption de Tambora en Indonésie en 1815 est liée à la période inhabituellement longue de faible activité solaire connue sous le nom de Dalton Minimum. L'année suivante de 1816 fut exceptionnellement froide dans le monde. En fait, 1816 est maintenant appelée «l'année sans été».
- voir graphique sur site -
Une augmentation des rayons cosmiques peut même affecter la rotation de la Terre, poursuit Jupp. Cela pourrait éventuellement affecter les courants téluriques circulant à travers la terre (ce que j'ai proposé dans Pas par le feu mais par la glace.) Les minimums de taches solaires pourraient même affecter la croissance bactérienne et les virus, suggère Jupp. Cela pourrait même affecter la croissance biologique de tous les organismes au niveau moléculaire.
Merci à Jimmy Walter pour cette vidéo
https://www.iceagenow.info/did-electromagnetic-phenomena-trigger-the-plague-that-killed-up-to-80-percent-of-the-earths-inhabitants/
Non. Seul le soleil assèche l'atmosphère. L'hiver il y a des pluies, des brouillards et de la neige. Tout çà çà alourdit les nano-particules présente dans l'air par milliards. Ces 'virus' comme on les appelle sont des poussières métalliques chargées par le magma. Leur pouvoir d'émission est donc très limité et là, pour ces virus, il est de 3 semaines.
SupprimerDonc, comme le magma expulse des nano-particules toute l'année et 24/24 h, elles demeurent en l'air en été (sauf s'il pleut).
Les ventes de smartphones en Chine augmentent de 67,7% malgré la pénurie de semi-puces
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 12 AVR 2021 - 20H00
Il y a à peine un jour, nous écrivions comment l'industrie automobile en Chine était revenue à ses niveaux d'avant la pandémie. Maintenant, il semble que, malgré une semi-pénurie de puces, l'industrie des smartphones soit également en train de revenir.
Selon l'Académie chinoise des technologies de l'information et des communications, les expéditions de smartphones ont augmenté de 67,7 % d'une année sur l'autre en mars. L'énorme comp a été aidé par les verrouillages de mars dernier dans la majeure partie de l'Asie en raison de la pandémie.
Pour mars 2021, les expéditions de téléphones mobiles 5G se sont chiffrées à 27,5 millions d'unités, selon Bloomberg. Ils représentaient 76,2 % de toutes les expéditions intérieures totales pour le mois.
Les ventes ont augmenté malgré une pénurie continue de semi-puces qui a provoqué le chaos non seulement dans le secteur de l'électronique, mais également dans le monde de l'automobile, où elle a contraint de nombreux constructeurs automobiles à retarder la production.
Rappelons que l'Association chinoise des voitures de tourisme a publié vendredi dernier les chiffres des ventes d'automobiles, indiquant que les ventes sont revenues aux niveaux qu'elles étaient il y a deux ans, bien qu'elles soient toujours bien inférieures au record du pays établi en mars 2018.
La demande de véhicules électriques était "brûlante", selon le Wall Street Journal. Le pays a vendu 437 000 unités de véhicules électriques au cours du trimestre, représentant environ 8% de la part de marché du pays. Les véhicules électriques restent très demandés dans les grandes villes comme Pékin et Shanghai.
SAIC-GM-Wuling Automobile Co., l’une des coentreprises locales de GM; Tesla; et BYD Co. combiné à 55% du marché des véhicules électriques en mars. Les startups chinoises de véhicules électriques Li Auto Inc., Nio Inc. et XPeng Inc., cotées aux États-Unis, se sont associées pour des ventes de seulement 46000 voitures.
La Chine devrait retrouver son record de ventes d'ici 2024, notent les analystes, alors que la récente faible performance du marché boursier du pays a zappé le pouvoir d'achat des citoyens.
https://www.zerohedge.com/markets/china-smartphone-sales-rise-677-despite-semi-chip-shortage
Aucune loi sur l'identification des électeurs parce que des millions de personnes n'ont pas de pièce d'identité ? Achetons-en un !
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 12 AVR 2021 - 17:40
Rédigé par Adrian Norman via Epoch Times,
Le récit dominant sur les raisons pour lesquelles l'Amérique ne devrait pas instituer d'exigences d'identification des électeurs dans les 50 États est l'idée que cela priverait indûment des millions d'électeurs qui, soi-disant, n'ont pas et ne sont pas en mesure d'obtenir une pièce d'identité valide.
L'Union américaine des libertés civiles (ACLU) a publié un rapport alléguant que 21 millions d'Américains n'ont pas de pièce d'identité. Le rapport cite également le Brennan Center for Justice, de gauche, qui prétend que jusqu'à 25 % des Noirs n'ont pas de pièce d'identité émise par le gouvernement, contre seulement 8 % des Blancs.
Cette disparité a été utilisée pour définir une question de sécurité électorale comme une question de droits civils. Mais l’Amérique doit être tranquille en sachant que - comme de nombreux autres défis auxquels nous avons été confrontés - cela peut également être surmonté. Car s'il y a une chose que cette ère d'hystérie pandémique nous a apprise, c'est qu'il n'y a pas de problème auquel le gouvernement américain n'est pas disposé à investir de l'argent.
Une conséquence apparente de la pandémie est que l'argent pousse désormais sur les arbres. Grâce à de multiples programmes de secours, les États-Unis ont maintenant dépensé 6 billions de dollars pour les secours en cas de pandémie. Pourtant, la grande majorité de cet argent a été dépensée pour le porc et la greffe (seulement 9 % des 1,9 billion de dollars américains de sauvetage Act sont allés à la lutte directe contre le COVID-19). De toute évidence, notre nation a accès à de l'argent pour accroître la sécurité électorale.
L’ACLU affirme que 21 millions d’américains n’ont pas d’identité. Alors allons-y en avoir un!
Dans les 50 États, le coût moyen d'une pièce d'identité émise par le gouvernement est de 6,33 $. Ainsi, obtenir une pièce d'identité pour les personnes qui en ont besoin ne coûterait que 132,9 millions de dollars. Mais, comme le note l'ACLU, il y a d'autres coûts pour des choses comme les frais de document et les frais de voyage, qui sont en moyenne estimés à 125 $. En supposant que les 21 millions de personnes ont également besoin de cette couverture, le bon vieux Oncle Sam peut également couvrir ce coût en secouant l’arbre géant de la Réserve fédérale et en nous rapportant 2,6 milliards de dollars.
Et avant de dire "c'est trop cher", voyons où est passée une partie de l'argent des monstrueuses factures "stimmy" que vos seigneurs corrompus du Congrès ont votés.
Selon Forbes: 852 millions de dollars ont été envoyés à des organismes bénévoles civiques. 270 millions de dollars sont allés au National Endowment of the Arts and the Humanities. 200 millions de dollars à l'Institut des musées et des bibliothèques. 350 milliards de dollars de renflouements d'État. 86 milliards de dollars pour couvrir le passif de près de 200 caisses de retraite «mal gérées». 128,5 milliards de dollars pour l'éducation de la maternelle à la 12e année (dont la plupart seront versés à partir de 2022, une fois la pandémie terminée). 39,6 milliards de dollars pour l'enseignement supérieur.
Rien de tout cela n'avait rien à voir avec le «secours en cas de pandémie». C'était un braquage, au sens large.
RépondreSupprimerEt tout ce chapardage insensé s'ajoute au gaspillage annuel de fin d'exercice «à utiliser ou à perdre» que notre gouvernement accumule dans des choses comme les jeux gonflables, l'alcool et les clubs de strip-tease.
Nos politiciens n'hésitent pas à dépenser des milliards de dollars de l'argent des contribuables américains pour toutes sortes de frivolité. Le moins qu’ils puissent faire est de demander à la Fed de nous envoyer des pièces de rechange pour garantir que seuls les électeurs légaux et éligibles votent à nos élections.
Bien sûr, cela suppose qu'ils veulent réellement que nos élections soient sécurisées.
https://www.zerohedge.com/political/no-voter-id-laws-because-millions-dont-have-id-lets-buy-them-one
Brève. L’incroyable « saloperie » de la psychose « covidienne »
RépondreSupprimerle 13 avril 2021
Cette fois-ci cette sombre histoire de coronavirus et de vaccins a dépassé les limites du supportable. Ça se passe sur l’île de Saint-Vincent au sud de la Martinique. Le volcan de la Soufrière, homonyme de celui de la Guadeloupe qui fit couler en son temps beaucoup d’encre pour savoir si oui ou non il fallait évacuer les habitants de Basse-Terre sur les flancs du volcan, est entré dans une phase active éruptive ce vendredi dernier 9 avril. Parmi les 16000 personnes qui ont évacué les zones à risque certaines ont trouvé un refuge sur des bateaux de croisière de la Royal Caribbean ou de Carnival Cruise. Mais ce havre de paix et de sécurité temporaire a un prix : toute personne montant à bord de ces navires doit impérativement être vaccinée. Sur une population totale de 106000 personnes, 1792 ont été victimes du SARS-CoV-2, parmi lesquelles 1777 se sont rétablies et le nombre de morts officiels depuis le début de l’épidémie est de 10. Malgré ces statistiques encourageantes les personnels des bateaux susceptibles d’héberger des réfugiés exigent un certificat de vaccination en bonne et due forme quitte à interdire l’accès à bord de ces personnes qui ont tout laissé derrière elles en raison de l’éruption de la Soufrière qui pourrait exploser à tout moment.
L’humanitarisme n’a même plus cours, les îlots des Grenadines ont une capacité d’accueil limité et le seul secours est d’être en sécurité sur un de ces bateaux de croisière délaissés par leur clientèle habituelle, il y en a une douzaine au mouillage au nord de Santa-Cruz de Tenerife depuis plusieurs mois … Encore un de ces sordides scandales que les pays occidentaux auront sur la conscience : la vaccination n’est pas la panacée unique, il suffirait de traiter tous ces réfugiés avec par exemple de l’Ivermectine à titre prophylactique et éventuellement curatif et l’affaire serait pliée. Non ! Les autorités ont choisi le mercantilisme et pour eux une vie humaine de nègre qui trimait dans ses champs de bananes ou de patate douce sur les flanc de la Soufrière n’a aucune valeur. C’est tout simplement écoeurant.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/04/13/breve-lincroyable-saloperie-de-la-psychose-covidienne/
L'inflation de la zone euro est élevée lorsqu'elle atteint les prix des achats quotidiens
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 13 AVR 2021 - 06:30
Rédigé par Daniel Lacalle,
Depuis plus de dix ans, la politique monétaire de la BCE a été ultra-expansionniste, qu'il y ait eu crise, reprise, croissance économique ou stabilisation. La pire excuse de tout ce qui a été utilisé pour justifier un assouplissement quantitatif sans fin a été le mantra souvent répété selon lequel «il n'y a pas d'inflation».
Les défenseurs d'une politique monétaire agressive ont toujours utilisé les mêmes arguments.
Premièrement, ils disent qu'il n'y a pas d'inflation - comme si une augmentation moyenne de 2% des prix pendant une crise où de nombreux salaires ont chuté jusqu'à 20% ne constituait pas une «inflation».
Après, ils disent que c'est temporaire, donc pour justifier le maintien de politiques d'assouplissement agressives.
Ensuite, les «inflationnistes» cherchent à blâmer les entreprises ou une sorte d'ennemi extérieur pour la hausse des prix, en demandant aux gouvernements d'imposer un contrôle des prix.
Il est important de comprendre ici que la création monétaire n'est jamais neutre. Il profite de manière disproportionnée aux premiers bénéficiaires de l'argent nouvellement créé - les gouvernements - et affecte négativement les salaires réels et l'épargne de ceux qui ne sont pas en mesure d'acheter des actifs financiers: les plus pauvres.
Il y a clairement une inflation massive en ce qui concerne les prix des actifs financiers. Les obligations souveraines à rendement négatif de pays à faible ratio de solvabilité se traduisent par une inflation massive. Les augmentations continues des prix des actifs cotés et privés se traduisent par une forte inflation, et tout cela est dû à la politique monétaire.
De plus, tout le monde peut comprendre que l'indice officiel des prix à la consommation (IPC) masque la hausse du prix des biens et services que nous achetons réellement au quotidien, par rapport à ceux que nous n'achetons qu'occasionnellement, ou pour les loisirs. Tout citoyen européen comprend que le tourisme et la technologie peuvent devenir moins chers, du fait de la concurrence et de l’innovation, mais que les prix que nous achetons chaque jour ont augmenté davantage que ne le reflète l’IPC global.
Il y a aussi une forte inflation en ce qui concerne le logement et les biens et services non reproductibles. Selon Eurostat, l'indice moyen des prix des logements et des loyers a augmenté considérablement au-dessus de l'IPC global, des salaires réels et du revenu disponible réel. Cela équivaut à une inflation massive, sous-estimée par les statistiques officielles de l'IPC. Ceux-ci sous-estiment l'inflation des loyers et du logement en raison de l'utilisation de moyennes nationales, ce qui entraîne une réduction artificielle des augmentations de prix dans les villes et les zones très peuplées.
Une inflation élevée peut en outre être observée en ce qui concerne le coût de l'éducation et des soins de santé., Les prix de ces derniers ont tous augmenté plus que l'IPC officiel. La même chose est vraie pour les aliments frais.
RépondreSupprimerDe plus, le fait que la fiscalité et les surtaxes ne soient pas pleinement intégrées dans des éléments vitaux tels que l’énergie est pour le moins trompeur.
En somme, le calcul officiel de l'IPC et le panier utilisé ne reflètent pas correctement l'augmentation réelle du coût de la vie.
La réalité montre que les prix n'augmentent pas en raison d'un facteur externe, mais en raison de la dégradation de la monnaie qui érode le pouvoir d'achat. Le fait que l'inflation en Europe soit inférieure à ce qu'elle était lorsque les États membres de la zone euro avaient encore leur propre monnaie nationale montre seulement que l'euro est toujours une monnaie plus dure que les monnaies extrêmement faibles que certains États membres de la zone euro avaient autrefois. Il est important de noter que cela est dû à l’énorme excédent commercial de la zone euro, et non à l’absence de politiques de la BCE visant à éroder le pouvoir d’achat. L'euro est tout simplement moins dommageable pour les salaires réels et les épargnants que certains de ses prédécesseurs destructeurs de pouvoir d'achat.
Ce n'est pas par hasard qu'il y a eu des manifestations dans la zone euro contre l'augmentation du coût de la vie - pensez aux «gilets jaunes» - alors qu'on nous disait en même temps qu '«il n'y a pas d'inflation». Il est cependant assez imprudent de dire qu'il n'y a pas d'inflation sans tenir compte de l'augmentation des prix des biens et services non reproductibles - loyer, aliments frais, soins de santé, éducation, etc. - et des actifs financiers, qui ont explosé en raison de la Politiques de la BCE.
Aux États-Unis, qui ont connu des politiques monétaires expansives similaires, la hausse des prix des biens et services non reproductibles représente dans de nombreux cas trois fois le taux d'inflation officiel, selon une étude récente de Bloomberg Economics. Il note qu'il est particulièrement préoccupant lorsque la politique monétaire encourage les dépenses improductives et qu'elle perpétue la surcapacité. Cela entraîne une baisse des salaires réels à l'avenir, en raison d'une croissance plus faible de la productivité. Bjorn van Roye et Tom Orlik de Bloomberg Economics concluent par la présente que l'inflation réelle n'est pas seulement plus élevée que ce que les statistiques officielles de l'IPC indiquent, mais qu'elle est également beaucoup plus élevée pour les citoyens les plus pauvres.
Une étude récente d'Alberto Cavallo de la Harvard Business School et de Bloomberg Economics met également en garde contre ce différentiel entre l'inflation réelle subie par les consommateurs, en particulier les plus pauvres, et les statistiques officielles de l'IPC.
Il ne s’agit plus maintenant d’études détaillées et de pondérations du panier. Les anticipations d'inflation ont atteint un sommet depuis cinq ans et les données d'inflation en Allemagne et aux États-Unis pour janvier sont particulièrement préoccupantes pour deux raisons: l'inflation augmente plus rapidement que les banques centrales et les gouvernements ne l'avaient estimé, et elle n'est maintenue qu'à un niveau bas. par une composante énergétique qui va probablement monter en flèche dans les mois suivants, après que le pétrole ait récupéré 22% au cours des deux premiers mois de 2021 et que la plupart des matières premières aient augmenté de 6 à 15% au cours de la même période.
En fait, si nous analysons le coût de la vie avec les biens et services que nous utilisons vraiment fréquemment, nous nous rendons compte que lors de la crise sans précédent de 2020, les prix pour les couches les plus pauvres ont augmenté de près de trois fois le niveau indiqué par l'IPC. Combiné au facteur de distorsion de l'énorme inflation des prix des actifs financiers, cela génère de graves fractures sociales. Cette destruction de richesse a été encore plus évidente au cours du premier mois de 2021.
RépondreSupprimerL'indice allemand des prix de gros a augmenté de + 0,7% en février contre + 1,4% auparavant. C'est la plus forte augmentation en 10 ans.
Les détails sont encore plus préoccupants: les prix des biens intermédiaires ont augmenté de 3,8% par rapport à février 2020. Il s'agit de la plus forte hausse des prix d'une année sur l'autre depuis novembre 2017. Les prix des matières premières secondaires ont bondi de 46,6% d'une année sur l'autre en février, avec des prix des métaux non ferreux en hausse de 11%. Les prix de l'énergie ont augmenté de 3,7% d'une année sur l'autre et de 1,3% d'un mois sur l'autre. La hausse des prix de l'énergie résulte d'une hausse de 6,8% des prix de l'électricité et de l'introduction de la tarification du gaz carbonique en janvier 2021. Les prix des biens de consommation durables ont augmenté de 1,4% en glissement annuel, les prix des biens d'équipement progressant de 0,8%.
Aux États-Unis, la situation est similaire. Les anticipations d'inflation sont à un plus haut depuis sept ans. La Deutsche Bank a souligné qu'il y a moins à s'inquiéter des prix de l'éducation, de la santé et du logement, mais depuis 2000, ces prix ont déjà beaucoup augmenté, entre 2 et 2,5 fois plus vite que l'IPC officiel. Shadowstats a souligné que «d'une manière générale, les changements méthodologiques dans les rapports gouvernementaux ont déprimé l'inflation déclarée, éloignant le concept de l'IPC d'une mesure du coût de la vie nécessaire pour maintenir un niveau de vie constant».
De nombreux analystes pensent que cette augmentation de l'inflation sera temporaire et est due à la réouverture de la plupart des économies développées et à la reprise rapide des prix des matières premières. C'est exact, et nous assisterons probablement à un ralentissement de l'inflation officielle au cours du second semestre 2021. Cependant, ce ne sera probablement pas le cas avec les biens et services que nous achetons réellement, et l'augmentation des prix des produits non réplicables et les biens et services essentiels resteront nettement supérieurs à la fois aux salaires réels et à l'indice officiel des prix à la consommation.
Cette pression sur les prix crée encore plus d'inégalités, car elle affecte principalement les pauvres, car elle se transforme également en un véritable fardeau pour la plupart des familles de la classe moyenne, qui ont vu les salaires réels stagner dans un contexte d'augmentation des prix des biens et services qu'ils ne peuvent pas remplacer. De plus, les pauvres et les classes moyennes inférieures ne bénéficient pas de l'inflation des prix des actifs provoquée par la politique monétaire.
L'ancien chef de la Fed, Ben Bernanke, avait l'habitude de dire que les banques centrales ne sont pas en charge de la politique budgétaire et que c'est une question de politique budgétaire. C'est faux. La croissance massive de la masse monétaire et ses conséquences négatives ne sont pas résolues en augmentant les impôts et les subventions. Cela ne fait que perpétuer le problème et crée une sous-classe de zombies, qui n'est pas en mesure de se rétablir quand il y a ces périodes d'expansion et de récession constantes.
Quel est le plus gros risque? C'est pour que l'inflation dépasse, tandis que les banques centrales ne sont pas en mesure d'arrêter la machine d'assouplissement, car seulement une augmentation de rendement de quelques points de pourcentage provoquerait une crise de la dette massive pour les gouvernements insolvables. Face au choix d'aider les consommateurs ou les gouvernements, la plupart des banques centrales choisiront ce dernier.
RépondreSupprimerPour conclure: la BCE et les banques centrales devraient cesser d'ignorer l'effet de la dépréciation de la monnaie fiduciaire sur le coût de la vie, car si les politiques actuelles se poursuivent, les choses ne feront qu'empirer, ce qui peut conduire à des troubles sociaux importants et au mécontentement.
Tout pourrait être atténué si la BCE et les banques centrales respectaient simplement la soi-disant «règle de Taylor», qui est un guide technique que les banquiers centraux peuvent utiliser pour déterminer le niveau de création de monnaie, évitant ainsi le besoin de choix politiques discrétionnaires et aléatoires. .
https://www.zerohedge.com/economics/eurozone-inflation-high-when-it-comes-prices-daily-purchases
Quand les usines sont fermées, que les stocks sont VIDES, qu'il n'y a plus d'embouteillages ni de conserveries, il n'y a plus rien à manger ! Et, ce qui est rare est cher. Très cher ! Et... de plus en plus cher !
SupprimerCensure de la culture ? A Paris interdiction du marché aux livres, l'incompréhension des exposants
RépondreSupprimerMarie-Anne Gairaud
Le Parisien
mar., 13 avr. 2021 12:35 UTC
Alors que les livres sont désormais considérés comme des biens essentiels et que les librairies peuvent rester ouvertes, les libraires qui travaillent sur le marché aux livres anciens du XVe, eux, n'ont pas pu déballer leur marchandise ce week-end suite aux nouvelles règles appliquées sur les marchés à l'occasion du troisième confinement.
Avec le nouvel arrêté pris pour les marchés lors du troisième confinement, le marché du livre ancien et d'occasion qui se tient chaque week-end dans le XVe est fermé au grand dam de ses exposants qui rappellent que les librairies, elles, restent ouvertes.
C'est le coup de massue de trop pour ces vendeurs. Dans la foulée du troisième confinement national, le marché aux livres anciens et d'occasion doit rester fermé. Normalement, il prend ses quartiers chaque week-end sous les halles qui longent le parc Georges-Brassens (XVe), au 104, rue Brancion. Mais ce week-end, la quarantaine de vendeurs habitués à venir déballer leurs trouvailles a dû rester chez eux. En cause : l'article 38 du dernier décret paru le 2 avril dans le cadre du reconfinement.
Cet article stipule que seuls les commerces alimentaires ou proposant la vente de plantes, fleurs, graines, engrais, semences et plants d'espèces fruitières ou légumières sont autorisés dans les marchés ouverts ou couverts. Et même si les librairies sont désormais considérées comme des commerces essentiels et peuvent ainsi rester ouvertes, les libraires qui travaillent à ciel ouvert, eux, sont priés... de rester chez eux.
Un lieu de culture depuis 34 ans
Une catastrophe pour nombre de vendeurs qui fréquentent ce marché parisien qui existe depuis 1987. « Cela devient de plus en plus difficile pour nous de tenir le coup, d'autant que nous ne sommes même pas sûrs de toucher les aides puisque les librairies sont censées être ouvertes. Nous demandons juste de l'équité et qu'on nous autorise à exercer notre métier », souligne Arnaud Bréger qui travaille sur ce marché depuis 2003. « En dehors de quelques sites sur Internet, l'essentiel de mon activité et donc de mon chiffre d'affaires provient de ce marché », insiste le libraire.
« Certains n'ont que ce lieu pour leur assurer leur activité », souligne Delphine Shrotter, dont l'association gère le marché du livre. La quarantaine d'exposants est d'autant plus atterrée par cette nouvelle règle que, depuis le premier confinement, ils s'appliquent tous à respecter strictement les règles sanitaires.
Une procédure sanitaire stricte
RépondreSupprimer« Après plus de 12 semaines de fermeture en 2020, cette annonce est incompréhensible, puisque nous avons adopté et effectuons tous les protocoles sanitaires approuvés par l'administration dans le cadre des halles du marché », insiste Frédéric Legris, qui travaille sur le marché du XVe depuis 1992.
Sens de circulation imposé aux acheteurs, port du masque, gel hydroalcoolique à disposition sur tous les stands... « Nous sommes très vigilants. Et alors que le site fait 2 700 m2, le nombre de personnes présentes en même temps est en moyenne de 150 », énumère Delphine Shrotter dont l'association gère le marché du livre. « Il y a moins de risque d'attraper le Covid sur notre marché que dans une échoppe fermée où six clients s'entassent ! » renchérit Bruno Bossard dont l'association « Les pages parisiennes » doit reprendre la gestion du site au début du mois prochain.
Ouvrir le plus vite possible
Delphine Shrotter aimerait que le préfet de police de Paris accorde une dérogation au marché du livre ancien. D'autant que la réglementation est diversement appliquée d'un marché à l'autre en Ile-de-France. « Le préfet du Calvados, lui, a autorisé la vente de livres sur les marchés. Les bouquinistes de Toulouse (Haute-Garonne) sont aussi autorisés à travailler tout comme ceux de Paris d'ailleurs alors pourquoi pas nous? » s'étonne Delphine Shrotter. « Si nous devons attendre le mois de mai pour rouvrir, certains ne pourront pas boucler leur fin de mois », insiste Bruno Bossard. « Il y a un tel sentiment d'injustice dans cette situation! On ne va rien lâcher » prévient le futur responsable du site.
Une pétition sur change.org lancée en fin de semaine dernière avait recueilli 396 signatures en ce dimanche après-midi.
Commentaire : Dans la "nouvelle" réalité, n'y aurait-il qu'Amazon pour acheter des livres ?
https://fr.sott.net/article/36966-Censure-de-la-culture-A-Paris-interdiction-du-marche-aux-livres-l-incomprehension-des-exposants
Woke-a-Cola: comment détruire une marque leader mondial en 60 secondes
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 13 AVR 2021 - 05:00
Rédigé par Tom Luongo via Gold, Goats, blog 'n Guns,
Je suis sûr que vous avez entendu la phrase «Get Woke, Go Broke».(Se réveiller, faire faillite)
Dans le cas curieux de Coca-Cola, se réveiller peut être la plus grande erreur de marque de l'histoire du marketing.
Fin février, un dénonciateur a présenté des captures d'écran, publiées sur YouTube, de diapositives du cours interne de «formation à la diversité» de Coke, exhortant ses employés à citer: «Soyez moins blanc».
Et par «moins blanc», ils signifient asservi. Cela ne veut pas dire être plus sensible.
Lorsque cela s'est produit, je me suis immédiatement dit: «Scratch a déjà acheté un autre produit Coke de ma liste.» Pas un instant d'angoisse ou d'énergie n'y est entré.
«Être moins blanc ?»
"Ne bois pas de Coca."
Pourquoi ? Parce que choisir de ne pas acheter de Coca aux rares occasions où j'achète un soda est une tâche facile. Le sucre (ou l’aspartame) et l’eau en soi n’ont pas de quoi s’exciter, c’est l’association de Coca-Cola avec une expérience positive passée.
Et ils m'ont juste dit que j'étais une mauvaise personne à cause de l'héritage de ma naissance.
Pas une expérience positive de création de relations.
Maintenant, je sais que les arnaqueurs de la théorie critique des races pensent qu'ils peuvent se immuniser eux-mêmes et leur véritable agenda avec de la rhétorique, justifiant leur racisme et espérant qu'ils ont suffisamment conditionné d'entre nous à se sentir coupables pour permettre l'inversion de la société où les noirs sont au pouvoir et les blancs ne le sont pas.
Alors que les mots ont certainement du pouvoir, rien n'a plus de pouvoir que l'action. Cet incident a déclenché une énorme controverse qui n'a pas encore disparu.
Mais ce n’est pas celui qui a fait la une des journaux pendant plus d’un cycle d’actualité. Et pourtant, des millions de personnes ont pris la même décision sans effort que moi.
Immédiatement, Coke est entré dans le contrôle des dommages et a interrompu le cours de formation, a émis des déclarations selon lesquelles ce n'était pas vrai et tous les rétorsions typiques d'une équipe de direction lâche lorsqu'elle est surprise en train d'insulter une clientèle de base.
On pourrait penser qu'ils auraient appris de la NFL. Mais, non, malheureusement. Dans leur quête d'être tout pour tout le monde, si je suis généreux, Coke se retrouvera rapidement détesté par tout le monde.
Détesté par les Blancs pour leur dire qu'ils sont de mauvaises personnes. Détesté par les amorces de race pour avoir sucé leurs fragiles seigneurs blancs.
J'ai parlé à des dizaines de personnes qui travaillent dans les entreprises américaines modernes et Coca-Cola n'est pas la valeur aberrante, mais plutôt la norme. Et la réaction contre cette course houleuse ne vient pas seulement, elle est là.
Pour certaines entreprises, elles peuvent survivre à une erreur comme celle-ci, car leur activité ne dépend pas de la fidélité à la marque.
Prenons l'exemple des compagnies aériennes. Lors de la planification d'un voyage, le choix de la compagnie aérienne fait-il partie de vos priorités ? Ou est-ce que la disponibilité des vols, les horaires, la proximité de la maison et une centaine d'autres choses sont bien plus importantes que la compagnie qui exploite l'avion ?
RépondreSupprimerBien sûr que non. Le transport aérien est l'une des industries les plus réglementées et, par extension, homogénéisées auxquelles on puisse penser. Choisir une compagnie aérienne, c'est comme choisir une marque d'essence. Le transport aérien est une marchandise et le plus pratique déterminera probablement votre préférence d'achat.
Mais sur quoi repose l’activité de Coca-Cola, sinon sa marque ?
C’est l’alchimie de la formule secrète de Coke et de son marketing qui imprègne Coke de son moteur de profit.
Célèbre, Warren Buffett détient une grande position dans Coke précisément parce qu'il avait une marque à toute épreuve, ce qu'il appelle, en termes d'investissement, un fossé autour de son entreprise.
Et avec trois petits mots, ils ont juste mis le feu à plus d'un siècle de développement de la marque qui a été la norme par laquelle de telles choses sont mesurées. Les écoles de commerce utilisent la gestion de la marque de Coke comme une étude de cas principale pour savoir comment bien faire les choses.
Bientôt, ce sera la principale étude de cas sur la façon de faire exactement le contraire. Autrement dit, lorsque nous sommes autorisés à enseigner à nouveau de telles choses.
Alors, qu'est-ce qui les a poussés à penser qu'ils pouvaient exciter 70 % des Américains déjà malades des branchies de la rhétorique anti-blanche qui leur venait sous tous les angles et ne pas drainer ce fossé?
Arrogance ? Peut-être. L'incompétence mélangée à la signalisation obligatoire de la vertu est un meilleur pari.
Comme je l’ai dit au début, je n’ai pas beaucoup réfléchi lorsque cela s’est produit il y a plus d’un mois. Mais quelque chose s'est passé l'autre jour qui a attiré mon attention.
Mon boycott privé du Coca n'était pas quelque chose auquel je pensais beaucoup jusqu'à ce que je me rende à mon CVS local pour acheter un Pepsi diététique ...
… Et j'ai trouvé que je ne pouvais pas parce qu'il n'y en avait pas dans la glacière.
Juste à côté se trouvait la glacière à coke… stockée jusqu'aux branchies.
Je vis dans le nord de la Floride, pratiquement en Géorgie, qui est littéralement le pays du coca. N'oubliez pas qu'Atlanta est le siège de Coke. Et dans ma petite ville, il n’y avait pas de Pepsi à acheter ?
Inutile de dire que j'ai ri en sachant que Donald Trump - la version 2021 de Lord Voldemort - n'est peut-être pas autorisé dans l'espace de communication public, mais ses paroles ont toujours un pouvoir énorme.
Il a dit boycotter Coke et ma ville conservatrice du nord de la Floride a dit: «Oui, monsieur.
Des entreprises comme Coke ne comprennent pas. Leur direction, tout comme nos politiciens, vivent dans des bulles trop éloignées de leurs clients pour avoir une idée de ce qu’ils ressentent. Et les électeurs de Trump se sentent marginalisés.
Le marché libre est une chose brutale. C’est impitoyable et sans compromis. Chaque vendeur sur Ebay vit dans la peur des commentaires négatifs redoutés. Il en va de même pour tous les pilotes Uber. Les spécialistes du marketing savent que pour cent commentaires positifs, un négatif réduira les ventes.
C’est pourquoi un restaurant qui vous offre un excellent service une douzaine de fois de suite est toujours sur votre «liste à éviter» après un mauvais repas. Ne parlez pas de ma guerre personnelle avec Subaru, Netflix et General Motors.
RépondreSupprimerLorsque l’obstacle à votre choix d’un produit par rapport à un autre est faible, il n’ya aucune raison d’avoir une fidélité à la marque si cette marque ne 1) répond pas à vos besoins ou 2) ne traite pas votre argent avec respect. L'image de marque consiste à s'identifier à votre client, en lui disant que l'achat de ce produit améliorera non seulement votre vie, mais fera de vous le genre de personne que vous voulez que les autres vous voient.
Et Coke vient de dire à sept Américains sur dix qu'ils sont de la racaille.
La création de marque prend toute une vie à créer et une minute à détruire.
La destruction de marques de ce type se produit actuellement dans toute l'Amérique. J'ai récemment écrit sur la volonté de Patreon de rejoindre la brigade de censure Big Tech, mais elle est partout.
Des films de Disney à la Major League Baseball, toutes les choses uniquement américaines sur lesquelles nous pourrions trouver un terrain d'entente malgré nos différences politiques sont directement attaquées.
Les arnaqueurs de Critical Race sont des guerriers de la culture obsédés par la destruction de tout ce qui est beau. Ce sont des léninistes qui ne sont jamais satisfaits de ce qu’ils ont accompli et ils ne s’arrêteront pas tant qu’ils n’auront pas empoisonné tout ce qui nous a toujours été cher.
Amplifier une guerre raciale entre les Blancs et les Noirs en transformant chaque institution culturelle en un foyer de conflit fabriqué construit sur de fausses dichotomies est leur modus operandi depuis des générations.
Des entreprises comme Coke pensent qu'elles peuvent négocier avec ces gens, qu'il y a une limite à leur comportement.
Mais il n’y en a pas. Coke a commis le péché critique. Les arnaqueurs de course ont remporté cette manche.
Si Pepsi est intelligent, il licenciera demain toute sa division Diversité et effectuera un troisième quart de production au rythme du marché pour la main-d’œuvre.
S'ils ne le font pas, ils veulent tout simplement faire faillite.
https://www.zerohedge.com/political/woke-cola-how-destroy-world-leading-brand-60-seconds
Bombe en Grande-Bretagne : 60 à 70 % des victimes de la troisième vague seraient des patients... vaccinés
RépondreSupprimerRodolphe Bacquet
reseauinternational.net
lun., 12 avr. 2021 15:21 UTC
La Grande-Bretagne, qui est le pays européen à avoir la plus grande proportion de sa population ayant reçu un vaccin anti-Covid, se prépare malgré tout comme ses voisins à prolonger les restrictions pour faire face à une « troisième vague ».
L'annonce a été faite cette semaine par le premier ministre Boris Johnson.
Doit-on y voir un échec de la politique de vaccination tous azimuts qui occupe actuellement l'ensemble de l'Europe ?
Eh bien, je vais vous surprendre, mais... ce débat est dépassé.
Une enquête parue dans le Telegraph - l'équivalent outre-Manche de notre Figaro, où il est le quotidien le plus lu - fait une révélation fracassante sur les effets réels de cette vaccination.
Dénonciation de projections pessimistes
L'article est en langue anglaise évidemment, et il faut être abonné au Telegraph pour pouvoir le lire.
Si c'est votre cas, vous pouvez le consulter en suivant le lien indiqué en source.
« Why the models warning of a third UK Covid wave are flawed », Telegraph, Sarah Kanapton, 6 avril 2021
Il est intitulé « Pourquoi les modèles avertissant d'une troisième vague Covid au Royaume-Uni sont défectueux » et affirme que « la plupart des données suggérant une augmentation des admissions et des décès à l'hôpital cet été sont inutilement négatives et souvent dépassées ».
Le journaliste scientifique qui a signé cet article dénonce le recours à des données obsolètes, ignorant le nombre réel de citoyens britanniques étant désormais dotés d'anticorps au coronavirus - à savoir, à la date du 14 mars, près de 55 % des Anglais.
Cette immunité, précise-t-il, n'est pas seulement due au « succès » de la campagne vaccinale outre-Manche : elle est également due à l'immunité acquise par l'exposition au virus d'une grande part de la population.
Or, les projections - qui prévoient près de 60 000 morts - ont été faites avec un taux d'immunité de la population bien plus bas, autour de 34%.
Mais il y a plus inquiétant.
La majeure partie des victimes de la troisième vague seraient... des patients vaccinés !
Le Telegraph alerte sur un risque bien plus important de victimes de cette troisième vague parmi la population... vaccinée.
telegraph vaccins
Dans le rapport établissant la modélisation, un paragraphe « enfoui » - dixit l'auteur - annonce en effet que « La recrudescence des hospitalisations et des décès est dominée par ceux qui ont reçu deux doses du vaccin, représentant respectivement environ 60% et 70% de la vague ». (c'est le passage surligné dans la capture d'écran).
Autrement dit : la majeure partie des décès Covid de la troisième vague concernent des patients ayant reçu leurs deux doses de vaccin.
Je ne sais pas si l'on doit se réjouir ou s'inquiéter du fait que cette information figure en toute lettre dans un rapport officiel, mais elle doit être diffusée.
RépondreSupprimerFaites suivre ce message !!
Si cette information est confirmée dans les semaines qui viennent - et si elle n'est pas étouffée - elle constituera sans nul doute un gigantesque scandale sanitaire.
Je ne manquerai pas de vous tenir informé des suites de cette affaire.
Portez-vous bien,
Rodolphe
P.S. : il y a d'autres informations « officielles » dérangeantes relayées par cet article. La London School of Hygiene and Tropical Medicine estime ainsi que les deux doses administrées de vaccin AstraZeneca ne réduiront que de 31% la diffusion du virus. C'est une projection pessimiste (d'autres organismes l'estiment à 64% en moyenne)... mais dans tous les cas, c'est bien en-dessous de ce que l'on est en droit d'attendre d'un vaccin.
https://fr.sott.net/article/36956-Bombe-en-Grande-Bretagne-60-a-70-des-victimes-de-la-troisieme-vague-seraient-des-patients-vaccines
Les États-Unis demandent une pause sur le vaccin J&J COVID en raison de caillots sanguins mortels
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 13 AVR 2021 - 09:59
Mise à jour (1010ET): Les responsables de la santé qui ont pris la parole lors de l'appel d'aujourd'hui ont commencé par réitérer les détails sur la décision d'arrêter le J&J partagée avec la presse plus tôt. Les responsables ont déclaré qu'ils mettraient à jour les médecins avec de nouvelles «fiches d'information» sur les vaccins désignant certains médicaments qui pourraient être associés à des risques plus élevés de caillots sanguins.
Après avoir dit qu'ils ne voyaient des symptômes que chez les patients ayant reçu le vaccin JNJ, la première question de la presse (posée par un journaliste du FT) était: qu'en est-il d'AstraZeneca ? En Europe, les gouvernements ont imposé des limites d'âge à qui peut recevoir le vaccin AstraZeneca pour des raisons similaires.
Les responsables ont répondu en écartant la question AZ, avant de dire qu'ils espéraient que l'arrêt ne durerait que quelques jours. Pressés sur la cause des caillots, les médecins ont déclaré qu'une réponse immunitaire extrêmement rare déclenche les caillots sanguins en envoyant des signaux dans le sang des patients pour coaguler. Alors qu'ils ont déclaré qu'ils n'avaient pas vu de complications avec d'autres vaccins, le Dr Marks a déclaré que les États-Unis pensaient que le problème des vaccins JNJ et AZ était "lié" à la plate-forme adénovirus, bien qu'il n'ait pas fourni beaucoup de détails.
À un moment donné, le Dr Marks a déclaré que «la vraie chose qui est si remarquable ici, ce ne sont pas seulement les mottes de sang cérébral ... c'est leur apparition ensemble qui crée un modèle, et ce modèle est très similaire à ce qui a été observé avec un autre vaccin. . "
Un journaliste de CNN a mentionné qu'on leur avait dit que c'était quelque chose qui était «examiné» plus tôt, et Schuchat a expliqué que le CDC avait d'abord cherché la meilleure façon de conseiller la communauté des soins de santé à traiter et à réagir.
La FDA a laissé ouverte la possibilité que de nouveaux cas de caillots sanguins puissent être portés à son attention. La FDA recherchera activement des vaccins. De nouvelles directives à publier aideront à éduquer les médecins et autres professionnels de la santé sur les facteurs de risque qui pourraient exposer les patients à un risque de réaction auto-immune.
Après avoir offert des exemples de symptômes qui figureraient sur la liste des signes avant-coureurs potentiels, le Dr Marks a été pressé de s'ouvrir un peu plus sur les symptômes après qu'un médecin de garde l'ait interrogé sur les symptômes spécifiques observés par ces patients. Le médecin a noté que l'inscription de «maux de tête» sur une liste de symptômes suspects ou de «douleurs abdominales» pourrait conduire à beaucoup plus de tests et de visites chez le médecin. À cela, Marks semblait avoir du mal à établir un chiffre sur le taux de fond de caillots sanguins et d'autres questions sur la prévalence des symptômes qui pouvaient être vus sur la liste de la FDA.
"Cela va se traduire par beaucoup plus de visites chez le médecin pour des gens comme moi", a déclaré le médecin.
RépondreSupprimerLe point de presse a pris fin peu après. Bien sûr, il n'est pas difficile de comprendre pourquoi la FDA commençait à se sentir mal à l'aise. Une vague de patients à qui l'on dit de demander des soins d'urgence par mesure de précaution pourrait faire grimper à nouveau les taux d'occupation des urgences. Soudainement, les chiffres nous diront que nous sommes de retour dans le pire de la pandémie COVID.
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Mise à jour (0955ET): La FDA tient son appel médiatique conjoint dirigé par le directeur Peter Marks du Centre d'évaluation et de recherche sur les produits biologiques de la FDA, la commissaire intérimaire de la FDA Janet Woodcock et la directrice adjointe principale Anne Schuchat.
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Mise à jour (0945ET): La Maison Blanche minimise les nouvelles du JNJ, réitérant les affirmations antérieures du gouvernement selon lesquelles le calendrier global du déploiement ne sera pas affecté.
"Cette annonce n'aura pas d'impact significatif sur notre plan de vaccination: le vaccin Johnson & Johnson représente moins de 5% des tirs d'armes enregistrés aux États-Unis à ce jour", a déclaré Zients.
Les États-Unis ont suffisamment de vaccins Pfizer, Moderna pour poursuivre le rythme actuel des vaccinations et atteindre l'objectif du président Biden de 200 millions de vaccins d'ici son 100e jour au pouvoir.
La Maison Blanche travaille avec des partenaires étatiques et fédéraux pour obtenir le report des patients qui avaient été programmés pour le vaccin J&J pour Pfizer ou Moderna.
Pendant ce temps, une conférence de presse avec la FDA pour discuter des résultats devrait commencer dans 8 minutes.
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Mise à jour (0935ET): Dans un signe que les fabricants de vaccins publient maintenant des déclarations simplement pour rassurer le public sur le fait qu'il n'y a rien de mal avec leur produit, Moderna a publié une déclaration rappelant au monde qu'une "évaluation complète des données de sécurité" n'a trouvé aucun lien trouvé non inconvénients négatifs pour la santé.
Les actions, du moins jusqu'à présent, ont pour la plupart ignoré les nouvelles, trouvant peut-être un réconfort dans les garanties du CDC et de la FDA que cela n'aura pas d'impact sur le calendrier de vaccination aux États-Unis, avec "la grande majorité" des adultes américains qui devraient être vaccinés d'ici l'été. .
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Mise à jour (0920ET): Alors que nous attendons d'en savoir plus sur les caillots sanguins, JNJ vient de publier une déclaration disant qu'après avoir examiné les résultats avec les régulateurs européens, la société "retarderait de manière proactive le déploiement de notre vaccin en Europe".
La sécurité et le bien-être des personnes qui utilisent nos produits est notre priorité absolue. Nous sommes conscients d'un trouble extrêmement rare impliquant des personnes présentant des caillots sanguins en association avec une faible densité plaquettaire chez un petit nombre de personnes ayant reçu notre vaccin COVID-19. Les Centers for Disease Control (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis examinent les données concernant six cas américains signalés sur plus de 6,8 millions de doses administrées. Par prudence, le CDC et la FDA ont recommandé une pause dans l'utilisation de notre vaccin.
RépondreSupprimerDe plus, nous avons examiné ces cas avec les autorités sanitaires européennes. Nous avons pris la décision de retarder de manière proactive le déploiement de notre vaccin en Europe.
Nous travaillons en étroite collaboration avec des experts médicaux et des autorités sanitaires, et nous soutenons fermement la communication ouverte de ces informations aux professionnels de la santé et au public.
Le CDC et la FDA ont rendu disponibles des informations sur la reconnaissance et la gestion appropriées en raison du traitement unique requis avec ce type de caillot sanguin. Les autorités sanitaires conseillent aux personnes qui ont reçu notre vaccin COVID-19 et qui développent de graves maux de tête, des douleurs abdominales, des douleurs aux jambes ou un essoufflement dans les trois semaines suivant la vaccination, de contacter leur fournisseur de soins de santé.
Pendant ce temps, tous les patients qui devaient être vaccinés sur les sites de vaccination de masse de l'État de New York recevront des injections de Pfizer au lieu des injections de J&J, a déclaré le commissaire à la santé Howard Zucker, le gouverneur Andrew Cuomo ayant promis d'honorer tous les rendez-vous de vaccination.
Alors que les villes seront probablement en mesure de faire fonctionner les choses en reprogrammant certains rendez-vous de deuxième dose, les zones rurales, où le jab JNJ était censé être un facteur de différence majeur en raison de l'exigence d'un seul coup.
Alors que nous attendons d'en savoir plus des autres régulateurs nationaux, un régulateur des médicaments aux Pays-Bas, qui a arrêté l'utilisation du jab AstraZeneca plus tôt ce mois-ci, a déclaré mardi que les avantages du jab JNJ l'emportaient sur les risques.
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Mise à jour (0740ET): Un point de presse aura lieu à 10h00 HE pour partager plus de détails sur la situation JNJ. Une déclaration conjointe a été publiée par le CDC et la FDA.
La déclaration suivante est attribuée au Dr Peter Marks, directeur du Center for Biologics Evaluation and Research de la FDA et au Dr Anne Schuchat, directrice adjointe principale du CDC.
Une réunion du Comité consultatif sur les pratiques de vaccination sera également convoquée mercredi pour approfondir la situation.
Au 12 avril, plus de 6,8 millions de doses du vaccin Johnson & Johnson (Janssen) ont été administrées aux États-Unis.Le CDC et la FDA examinent les données concernant six cas américains signalés d'un type rare et grave de caillot sanguin chez des individus après avoir reçu le Vaccin J&J. Dans ces cas, un type de caillot sanguin appelé thrombose du sinus veineux cérébral (CVST) a été observé en association avec de faibles taux de plaquettes sanguines (thrombocytopénie). Les six cas sont survenus chez des femmes âgées de 18 à 48 ans et les symptômes sont survenus 6 à 13 jours après la vaccination. Le traitement de ce type spécifique de caillot sanguin est différent du traitement qui pourrait généralement être administré. Habituellement, un anticoagulant appelé héparine est utilisé pour traiter les caillots sanguins. Dans ce contexte, l'administration d'héparine peut être dangereuse et des traitements alternatifs doivent être donnés.
RépondreSupprimerLe CDC convoquera mercredi une réunion du Comité consultatif sur les pratiques d'immunisation (ACIP) pour examiner plus en détail ces cas et évaluer leur importance potentielle. La FDA examinera cette analyse car elle enquête également sur ces cas. Jusqu'à ce que ce processus soit terminé, nous recommandons une pause dans l'utilisation de ce vaccin par prudence. Ceci est important, en partie, pour s'assurer que la communauté des fournisseurs de soins de santé est consciente du potentiel de ces événements indésirables et peut planifier une reconnaissance et une gestion appropriées en raison du traitement unique requis avec ce type de caillot sanguin.
À l'heure actuelle, ces événements indésirables semblent extrêmement rares. La sécurité du vaccin COVID-19 est une priorité absolue pour le gouvernement fédéral, et nous prenons très au sérieux tous les rapports de problèmes de santé suite à la vaccination contre le COVID-19. Les personnes qui ont reçu le vaccin J&J et qui développent de graves maux de tête, des douleurs abdominales, des douleurs aux jambes ou un essoufflement dans les trois semaines suivant la vaccination doivent contacter leur fournisseur de soins de santé. Les prestataires de soins de santé sont invités à signaler les événements indésirables au système de notification des événements indésirables liés aux vaccins.
Le CDC et la FDA fourniront des informations supplémentaires et répondront aux questions plus tard dans la journée lors d'une conférence de presse. Un enregistrement de cet appel médiatique sera disponible sur la chaîne YouTube de la FDA.
Pendant ce temps, à Wall Street, tout le monde essaie de comprendre exactement ce que cela signifie pour les marchés et la Fed. Comme toutes les autres informations sur les vaccins à ce jour, nous soupçonnons que la réponse est "sans ambiguïté haussière".
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Dans un rapport choquant qui pourrait avoir des implications dramatiques pour le déploiement des vaccins aux États-Unis, les autorités fédérales de la santé publique aux États-Unis ont décidé de cesser d'administrer des injections COVID développées par Johnson & Johnson et demandent aux États de faire de même. La raison? Les autorités ont identifié six cas de caillots sanguins rares et potentiellement mortels, dont au moins un a entraîné la mort.
Selon le NYT, qui a annoncé la nouvelle, les six récipiendaires étaient des femmes âgées de 18 à 48 ans. Une femme est décédée et une deuxième femme dans le Nebraska a été hospitalisée dans un état critique, ont indiqué les responsables.
RépondreSupprimerLa FDA a publié son propre avis peu de temps après que le NYT a annoncé la nouvelle.
- voir sur site -
Toutes les installations fédérales cesseront immédiatement d'utiliser le vaccin, et les États devraient emboîter le pas en ordonnant la suspension des coups sur leur site de vaccination. Quoi qu'il en soit, nous imaginons que la plupart des Américains refuseraient un jab JNJ maintenant que des rapports font état de caillots sanguins, qui ont également été trouvés associés aux vaccins AstraZeneca par les autorités européennes.
Les agences fédérales de la santé appelleront mardi à une pause immédiate dans l'utilisation du vaccin à dose unique contre le coronavirus de Johnson & Johnson après que six receveurs aux États-Unis aient développé une maladie rare impliquant des caillots sanguins environ deux semaines après la vaccination, ont déclaré des responsables informés de la décision.
Les six récipiendaires étaient des femmes âgées de 18 à 48 ans. Une femme est décédée et une deuxième femme dans le Nebraska a été hospitalisée dans un état critique, ont indiqué les responsables.
Près de sept millions de personnes aux États-Unis ont reçu des injections de Johnson & Johnson jusqu'à présent, et environ neuf millions de doses supplémentaires ont été expédiées aux États-Unis, selon les données des Centers for Disease Control and Prevention.
Bien que cette décision soit présentée comme une recommandation aux praticiens de la santé dans les États, le gouvernement fédéral devrait suspendre l'administration du vaccin dans tous les sites de vaccination gérés par le gouvernement fédéral. Les responsables fédéraux s'attendent à ce que les responsables de la santé des États prennent cela comme un signal fort pour faire de même.
La FDA et le CDC examineront conjointement tout lien potentiel entre les vaccins et les caillots sanguins. La décision d'arrêter le déploiement pourrait "" compliquer considérablement "la trajectoire de vaccination du pays, et déjà, les marchés semblent fragiles.
Des scientifiques de la Food and Drug Administration et du C.D.C. examinera conjointement les liens possibles entre le vaccin et la maladie et déterminera si le F.D.A. devrait continuer à autoriser l'utilisation du vaccin pour tous les adultes ou limiter l'autorisation. Une réunion d'urgence du comité consultatif externe du C.D.C. est prévue mercredi, ont indiqué des responsables.
Un F.D.A. la porte-parole a refusé de commenter.
RépondreSupprimerCette décision pourrait considérablement compliquer les efforts de vaccination du pays à un moment où de nombreux États sont confrontés à une flambée de nouveaux cas et cherchent à remédier à l'hésitation à la vaccination. Les régulateurs en Europe et ailleurs sont préoccupés par un problème similaire avec un autre vaccin contre le coronavirus, développé par des chercheurs d'AstraZeneca et de l'Université d'Oxford. Cette préoccupation a entraîné une certaine résistance à tous les vaccins, même si la version AstraZeneca n'a pas été approuvée pour une utilisation aux États-Unis.
Les perturbations d'approvisionnement dans une usine américaine de Baltimore ont par coïncidence conduit à une réduction spectaculaire de l'offre de vaccins Johnson & Johnson sur le marché, entraînant des pénuries qui ont provoqué un bref ralentissement du déploiement des vaccins aux États-Unis. Jusqu'à présent, près de 7 millions de personnes ont reçu le vaccin JNJ aux États-Unis, et environ 9 millions de doses supplémentaires ont été expédiées. Heureusement, la plupart des vaccins distribués jusqu'à présent aux États-Unis ont été fabriqués par Moderna et Pfizer-BioNTech. Pourtant, l'administration Biden comptait utiliser des centaines de milliers de doses de JNJ par semaine. De plus, le jab - qui avait l'avantage d'être distribué en une seule dose, par opposition à des doses multiples pour Pfizer et Moderna - était censé jouer un rôle important pour aider l'Europe à rattraper les États-Unis et le Royaume-Uni.
Quant à savoir comment cela pourrait retarder les efforts de l'administration Biden pour vacciner les États-Unis, "ce n'est pas clair". Aux États-Unis seulement, 300 000 à 600 000 personnes par an développent des caillots sanguins, selon les données du CDC. Mais le trouble particulier de la coagulation sanguine que les vaccinés ont développé, connu sous le nom de thrombose veineuse cérébrale, est extrêmement rare. De plus, c'est le même trouble lié aux jabs produits par AstraZeneca en Europe.
Sur 34 millions de personnes qui ont reçu le vaccin en Grande-Bretagne, dans l'Union européenne et dans trois autres pays, seulement 222 ont présenté des caillots sanguins et, dans ces cas, la coagulation était liée à de faibles taux de plaquettes. La majorité de ces cas sont survenus dans les 14 premiers jours suivant la vaccination, principalement chez des femmes de moins de 60 ans.
Comme AstraZeneca, JNJ utilise la plate-forme adénovirus pour ses jabs, ce qui, en l'occurrence, était la raison pour laquelle l'Australie a cité lorsqu'elle a annoncé mardi dans la nuit qu'elle n'achèterait pas les jabs JNJ pour un usage domestique.
https://www.zerohedge.com/covid-19/fda-halts-use-jnj-covid-jab-after-6-cases-deadly-rare-blood-clots-identified
« Covidpnose » par induction séquence rapide avec rupture de pattern
RépondreSupprimerI. A.
agoravox.fr
lun., 12 avr. 2021 18:48 UTC
L'hypnose n'a rien de magique. Le Petit Robert la définit comme un « état voisin du sommeil, provoqué par des manœuvres de suggestion, des actions physiques ou mécaniques, ou par des médicaments hypnotiques (catalepsie, magnétisme, narcose, somnambulisme, transe). Agir sous hypnose. Par analogie : état d'engourdissement ou d'abolition de la volonté, rappelant l'hypnose (envoûtement). Un auditoire en état d'hypnose (cf. sous le charme) ».
Il convient de bien retenir cette notion d'auditoire. Parce que nous devenons le public de quelque chose ou de quelqu'un à travers notre vue, au moyen de notre ouïe, et le plus souvent par le biais des deux à la fois. Étant ceux qui regardent, qui écoutent, nous validons inconsciemment notre rôle passif au sein de la narration, de l'événement, du spectacle ou du drame - quels qu'ils soient. Valider inconsciemment son rôle passif, revient à se synchroniser à son insu sur la narration. Un aparté ici pour préciser que la synchronisation, contrairement à ce qui est « vendu » par les spécialistes, ne peut en aucun cas être exclusivement le fait de celui qui parle, agit ou montre. Elle est aussi et irrésistiblement le processus inconscient de l'auditeur, puisque dès l'instant qu'il s'attache à écouter et à regarder, il s'appaire inconsciemment à la narration, au point parfois de fusionner avec elle...
C'est exactement ce qui fait dire à Pascal Brouard que « l'hypnose, c'est de la focalisation et la première chose sur laquelle se focalise le sujet, c'est la voix de l'hypnotiseur. Ainsi, par des modifications dans le timbre et le ton de sa voix, l'hypnotiseur parvient à provoquer des modifications dans l'état de conscience de celui qui l'écoute. Le choix des mots est important, le rythme également. [...]
Le meilleur hypnothérapeute du XXe siècle, Milton Erickson (psychiatre américain ayant inventé l'auto hypnose pour lutter contre les conséquences de sa poliomyélite), commençait toutes ses séances d'hypnose en disant "Ma voix vous accompagnera". Loin d'être une anecdote, cette phrase était tout à fait stratégique : cela lui permettait de dissocier sa voix de lui-même. La voix du thérapeute ne lui appartenant plus, d'une certaine manière cela lui permet de se rendre totalement invisible. »
Ici, c'est bien entendu cette notion d'invisibilité qu'il s'agit de noter. En devenant transparent, ce n'est plus l'hypnotiseur qui parle, mais l'auditeur qui entend une voix dans sa tête, une voix qui lui parle, qui l'entraîne, et qui pour finir lui donne des directives auxquelles il lui est d'autant plus facile de se soumettre, qu'il a préalablement validé son rôle passif : le "tour" est joué ! C'est en emmenant légitimement et naturellement le patient ou le public par la voix, que le patient ou le public se synchronise à l'orateur. Et c'est en suggérant, en organisant la suite de l'action, que l'orateur prend réellement le contrôle (leading).
Il se trouve que l'orateur, hors spectacle ou soins, c'est la voix qui sort du poste radio que l'on allume souvent sans y penser, histoire de rester informé, voire de « meubler ». Cette notion est importante, parce que s'agissant d'une télévision, elle aussi allumée par habitude, certains disent même que, bien qu'ils ne la regardent pas systématiquement, « ça fait une présence ». La télé, c'est ce rectangle si lumineux qu'il éclaire la pièce dans laquelle il trône et qui, à la manière d'une fenêtre, vous procure des décors aux couleurs éclatantes et toujours squattés par des êtres physiquement et intellectuellement parfaits (vos congénères les plus fameux), dont vous vous sentez proches tant ils vous sont familiers. En gros, la téloche, c'est ce truc électronique plat de quelques centimètres à plus d'un mètre carré de superficie - appelé smartphone, tablette, portable ou... télé. Pâle description d'une machine pourtant susceptible de conduire « à des phénomènes d'assujettissement comparables à ceux liés aux drogues dures » (infokiosques.net).
RépondreSupprimerEn 2017, comme en 2018 et 2019, le CSA observe que le « nombre moyen d'écrans par foyer permettant de regarder des vidéos se stabilise autour de 5,5 écrans. Les foyers ne consomment plus seulement les contenus audiovisuels depuis leur téléviseur, mais aussi sur leur téléphone, tablette ou ordinateur ». Bien que « le téléviseur reste la star des foyers métropolitains avec un taux de pénétration stable et voisin de 94 %. Ceux-ci sont de plus en plus connectables et connectés. Mi-2017, près des deux tiers des foyers disposaient d'un ou plusieurs téléviseurs connectables à internet ». Même s'il est « de bon goût dans les milieux éduqués de ne pas en avoir ou de la cacher, notamment de peur de ses conséquences pour le cerveau des jeunes enfants, selon l'Insee, 98 % des ouvriers sont équipés d'au moins un poste, contre 93 % des cadres supérieurs (Centre d'observation de la société) ». Quoique, comme nous venons de le voir, nul besoin d'un téléviseur pour regarder la télévision.
Par ailleurs il ne s'agit plus exclusivement du cerveau des jeunes : il devient difficile de ne pas discerner, à l'heure qu'il est, l'emprise des médias sur la population générale. Les journalistes savent finement moduler le ton de leur voix, l'accorder aux reportages qu'ils ont décidés de produire, et suggérer le pire - puisque le pire, malheureusement, c'est ce qui émeut le plus...
L'induction
De telles manœuvres de suggestions sont essentielles en hypnothérapie conversationnelle, laquelle se définit comme un « dialogue entre un hypnopraticien et son patient, en vue d'atteindre un objectif fixé. En hypnose conversationnelle, l'induction de l'état de conscience modifiée est "filée" c'est-à-dire peu manifeste, progressive et d'apparence non cadrée. Néanmoins, puisqu'il s'agit bien d'hypnose, cet état est nécessaire pour ensuite structurer une approche thérapeutique vers l'objectif thérapeutique fixé » (AntoineBioy). Cet objectif, c'est par exemple arrêter de fumer, juguler les insomnies chroniques, ou bien devenir insensible pour un instant à la douleur. L'induction, c'est alors cet « ensemble d'actions intentionnelles (suggestions et autres) dont l'objectif est de susciter ou de faciliter la survenue d'un état hypnotique ». Mais « si on la considère comme le processus par lequel on entre en état d'hypnose, alors force est d'admettre que l'induction se situe rarement où on la place » (Pascal Brouard). C'est une mise en confiance sur le ton de la conversation, mise en confiance devenant mise en condition à la faveur d'une relation orale tissée à la volée, grâce à un lien auditif de nature positive autant que spontanée. Cela revient à prendre calmement, doucement mais sûrement, le leadership.
S'agissant des soins, la star actuelle de l'hypnose de spectacle, Messmer (pseudonyme choisi en hommage à Franz-Anton Messmer, 1734-1815, médecin allemand fondateur du mesmérisme à l'origine de l'hypnose et des sciences psychosomatiques, héritier de Paracelse, précurseur de Charcot) précise : « l'hypnose était déjà dans les hôpitaux avant. J'ai déjà regardé des reportages qui datent des années soixante au Canada. J'y ai vu un dentiste calmer un patient et lui arracher une dent sous hypnose. L'hypnose a été oubliée avec le temps. »
RépondreSupprimerCôté Covid, l'induction se réalisera donc après la journée de travail, sujets relâchés et bien au chaud dans un environnement familier, à savoir leur cuisine, leur canapé, leur lit - poste de télévision allumé dès la porte d'entrée franchie, et/ou plus tard au moment de préparer le dîner, et/ou de prendre l'apéritif, et/ou de manger, et/ou d'aller se coucher...
Car c'est forcément là, dans le confort douillet de nos logements suréquipés, que nous pouvons enfin nous permettre de détester notre vie civile, insensée « à force d'être morne et raisonnable et de brider les instincts » (Emmanuel Carrère, Limonov), pour enfin libérer notre addiction émotionnelle. Parfois, et à vrai dire de plus en plus souvent, il s'avère inutile de rechercher des séries mélodramatiques, des films d'horreur, d'action ou d'amour, puisque les JT nous offrent le tout sur un plateau.
L'induction Covid, commencée à bas bruit plusieurs semaines auparavant, s'accélérera alors progressivement, avec des images inouïes illustrant des expressions rocambolesques : « des milliers de morts » ; « une course contre la montre » ; « la situation devient critique »... Notre fascination pour les catastrophes, les guerres, les violences purificatrices et les fins du monde trouvera dès lors sa justification, attendu qu'elle a enfin été rattrapée par la réalité (même s'il est rationnel de se demander de quelles guerres peut-on bien vouloir parler, dans les pays les plus riches, les plus vieux et les plus obèses de la planète... ?).
De surcroît, chaque catégorie de personnels impliqués dans le nouveau mélodrame mondial jouera sa partition avec un enthousiasme à faire pâlir des comédiens de métier : journalistes, soignants, caissières, politiques... Sous les feux des projecteurs, ils vont tous s'en donner à cœur joie.
La séquence rapide, ou hypnose flash
Il est possible d'accélérer et/ou de renforcer une séquence d'induction hypnotique de plusieurs manières. Soit par un ancrage VAKOG, soit par l'engouement public (hypnose de spectacle), soit par les 2 à la fois (Messmer).
« L'ancrage est un déclencheur qui suscite une réaction automatique. On peut déclencher un réflexe conditionnel après un processus d'apprentissage. Pavlov démontra en 1902 le réflexe conditionnel en étudiant les fonctions gastriques du chien. Il a ainsi conditionné un chien à saliver à l'écoute d'une sonnette. Dans cette approche, la sonnette joue le rôle d'ancrage.
VAKOG est l'acronyme correspondant à nos cinq sens : Visuel - Auditif - Kinesthésique - Olfactif - Gustatif. Dans la plupart des situations, au moins ces trois sens sont mobilisés : visuel, auditif, kinesthésique (VAK). Dans les inductions, le principe de base de l'ancrage est qu'à un stimulus extérieur visuel, auditif ou kinesthésique, est associé un état intérieur (sensation, pensée, comportement). Exemple : Une mélodie particulière peut déclencher une émotion précise. Associé à la respiration, l'ancrage peut alors devenir un tremplin vers l'état modifié de la conscience.
RépondreSupprimerLes différents ancrages sont :
L'ancrage visuel est l'ancrage de celui qui conceptualise en image. On peut par exemple, faire imaginer dans un souvenir, l'image d'un lieu qui dynamise ou apaise (lieu sécure).
L'ancrage auditif est un sentiment de confiance qui peut être amplifié par une mélodie ou un son particulier.
L'ancrage kinesthésique est celui du toucher, du mouvement et de l'émotion. On peut y associer un geste : main sur l'épaule, index et pouce, point fermé, respiration... » (Philippe LHUILLIER).
Ce qu'il faut d'ores et déjà savoir, c'est que les techniques de l'hypnose ne servent pas exclusivement la thérapie ou le spectacle. Par exemple le « VAKOG est utilisé dans plusieurs domaines : la PNL (Programmation Neuro-Linguistique), l'hypnose (classique et Ericksonienne), les techniques de manipulation, la vente, le marketing... ».
L'ancrage VAK est quasi systématiquement mis en œuvre dans le but de précipiter l'hypnose, de l'affermir, et de la faciliter en prévision de futures séances. Dans ce dernier cas, il est bien question d'une habituation affermie par passage du conscient à l'inconscient, c'est-à-dire d'un conditionnement.
Un geste parfois d'apparence bizarre provoquera alors une hypnose rapide, par exemple un simple claquement de doigt, car « il est des phénomènes hypnotiques que l'on ne peut produire qu'en hypnose de spectacle, grâce à l'envoûtement généré par la foule. Le sujet est "emporté" dans un rôle - qu'il a accepté implicitement en venant au spectacle, puis en se portant volontaire pour monter sur scène. Tous ses amis le regardent ; il a le trac ; il a chaud ; les lumières l'éblouissent... Désorienté, l'hypnotiseur le surprend en claquant des doigts ; il se sent tomber, comme évanoui, sans même avoir entendu le retentissant "Dormez !"
C'est la célèbre « interruption de pattern » de Dave Elman (souvent attribuée, à tort, à Milton Erickson). L'ordre vient saisir le cerveau reptilien, qui fait basculer la personne en transe bien avant qu'elle ne soit même consciente de la phrase prononcée par l'hypnotiseur... Facile à réaliser sur scène, où la personne est impressionnée ; très difficile en thérapie, où le thérapeute a, au contraire, établi un climat de confiance ». (Olivier Lockert / IFHE).
Cette séquence d'induction rapide est en effet plus simple à réaliser en public, mais c'est surtout qu'elle apparaît d'autant plus magique, plus spectaculaire, qu'elle se déroule sur scène. Selon Erich Lancaster, « la sensibilité à l'hypnose, contrairement aux idées reçues et d'après des études statistiques, est plus facile à obtenir en groupe qu'individuellement, par exemple en cabinet. La vision d'une autre personne sous hypnose, notamment si c'est un proche, produit un effet dit « suggestif », au même titre que le bâillement communicatif. Une personne « non réceptive » individuellement peut le devenir sous l'influence du groupe. Selon l'hypnothérapeute, il est dommage que la télévision soit plus attachée à l'audimat qu'à une véritable information sur ces questions ».
RépondreSupprimerCela ne signifie pourtant pas qu'elle est impossible dans les soins, bien que moins théâtrale - ce qui n'est d'ailleurs pas le but recherché. L'hypnothérapeute maîtrisant parfaitement son art saura, lui aussi, pratiquer une hypnose flash si nécessaire (HAL - Laura Schmidt-Dornedden, « Utilisation d'hypnose rapide lors de la chirurgie implantaire », pages 31-32).
L'ancrage VAKOG est flagrant dans l'hypnose télévisée, avec les sens Visuels et Auditifs tout particulièrement, lesquels sont immédiatement agrémentés par des sensations Kinesthésiques agréables (détente après la journée de travail), ainsi qu'à des stimulations Olfactives et Gustatives engageantes (apéritif, dîner, alcool, dessert...). Ce conditionnement se voit renforcé chez les personnes vivant avec un ou plusieurs animaux de compagnie, ainsi que chez les couples, en particulier s'ils ont des enfants. Il sera alors question d'attachement émotionnel, au sens noble du terme.
Autant dire que nous venons de dessiner l'archétype des victimes de l'ancrage, de la manipulation neuro-linguistique (PNL), et pour tout dire, de l'hypnose - c'est-à-dire la très grande majorité des Français. Ainsi que nous l'avons expliqué précédemment, les séquences induites par les écrans de télévision sont d'autant plus rapides que les familles sont émues, et d'autant plus irrésistibles qu'elles sont vécues à l'unisson par les membres du groupe. Parce qu'alors les suggestions télévisuelles ne peuvent que faire l'unanimité.
Nous additionnons là les deux phénomènes utilisées dans les numéros d'hypnose collective de Messmer, capable quant à lui d'envoûter 422 personnes en moins de cinq minutes. Ce qui amènera la Belgique à l'interdirede spectacle. L'ancrage et le spectaculaire, deux mécanismes ayant le pouvoir d'enjoindre n'importe qui à l'obéissance et au mimétisme... Car dans ce domaine, il n'y a pas d'immunité collective, tant s'en faut : « les études en laboratoire montrent que près de 80% des gens sont hypnotisables » (L'Aide-mémoire d'Hypnose, A. Bioy, C. Wood et I. Célestin-Lhopiteau), or le propos, ici, n'est certainement pas de persiffler « une certaine virginité mentale », pas plus qu'un excédent de « capacité à l'émerveillement » (Axel Karol et Nathalie Roudil).
« Pour comprendre l'importance de l'autorité journalistique, il faut se rappeler de l'expérience de Milgram. Cette expérience sociale, menée dans les années soixante aux États-Unis, portait sur la soumission à l'autorité : il a été montré qu'environ 60% des gens, lorsqu'ils étaient déchargés de leur autorité au profit d'un médecin ou d'un chercheur, pouvaient se transformer en véritables tortionnaires pour peu qu'on leur en donne la consigne. Cette expérience a été reproduite en 2009 par la chaîne France Télévision, qui a choisi de remplacer l'autorité du médecin par celle du journaliste, avec cette fois environ 90% des gens qui acceptaient d'obéir aveuglément à toutes les injonctions qui leur étaient données » (Pascal Brouard).
Le Pattern
RépondreSupprimerLe pattern est un « modèle simplifié d'une structure de comportement individuel ou collectif (d'ordre psychologique, sociologique, linguistique), établi à partir des réponses à une série homogène d'épreuves et se présentant sous forme schématique. »
« Nous agissons inconsciemment, selon des patterns que nous construisons au fil de nos expériences ». En PNL, c'est « un terme qui définit les stratégies mentales que nous mettons en place. Ce mot fait référence au patron que le tailleur utilise afin de concevoir un vêtement : ce n'est pas tant la matière utilisée ou les couleurs qui vont généralement en esquisser sa valeur dans les yeux de celui qui va se le procurer, mais sa forme » (Guillermo Di Bisotto). « Issu de l'anglais, le mot "Pattern" désigne un modèle, une structure, un motif, un type, etc. En Hypnose de rue, un pattern est donc une structure répétitive qui se conclue généralement par une "Rupture de pattern" visant à surprendre le volontaire afin de renforcer une suggestion, ou de réaliser une induction. Généralement, il suffit de répéter trois fois le même modèle pour que celui ci soit considéré comme un pattern par l'esprit humain » (IFTB - Institut de Formation des Thérapies Brèves).
« Ces patterns remontent rarement à notre conscience et permettent à notre cerveau d'économiser ses forces. Ainsi, vous pourrez toujours demander à une personne d'éteindre les lumières des pièces dans lesquelles il passe, s'il a associé « ne pas éteindre la lumière » à la mort, parce qu'une personne dans sa famille est décédée en tombant dans les escaliers PARCE QU'ELLE n'a pas allumé la lumière (par soucis d'économie par exemple), il vous sera très difficile voire impossible de lui faire entendre raison. Les biais cognitifs interviennent alors pour être certain de rester dans le déni : « de toutes façons, les ampoules sont des LED », ou encore « rhôô ça va, je ne suis pas non plus en train de couper un arbre ». Bref, appelez cela de la mauvaise foi ou une stratégie d'évitement, c'est la même chose. Parfois ces équivalences sont aussi simples que cela, parfois un peu plus douloureuse (type terminer un projet / réussir = mort) » (Guillermo Di Bisotto).
Dès lors, on se doute qu'un adulte socio-professionnellement construit, ayant travail, logement, famille et amis cumule nécessairement les rôles, donc les schémas psychiques afférents - à bon ou à mauvais escient, puisqu'avec les patterns, nous introduisons « non seulement l'historicité, mais la critique qui va avec l'historicité » (CNRTL). Il n'est certes pas besoin de rappeler combien notre vie de tous les jours est tributaire d'une kyrielle d'automatismes, mentaux comme physiques, pour ne pas dire de conditionnements purs et simples. Parce qu'évidemment, si manger, boire et dormir sont indissociables de la vie, si se doucher, s'habiller, travailler et faire ses courses sont le commun des mortels, alors assurément, une part non négligeable de chacun d'entre nous se résume à une somme d'habitudes inconscientes. Et observer la conduite automobile de monsieur Tout-le-monde, c'est constater à quel point ces séquences, ou routines sérielles, sont souvent vitales...
Inutile de s'attarder sur cette notion de pattern concernant la « Covidpnose », puisqu'il est désormais acquis que toute personne met en place des stratégies mentales, au minimum lorsqu'elle dispose d'une vie sociale. Qu'il s'agisse de routines psychiques lui permettant d'être professionnellement plus efficace, d'automatismes facilitant sa socialisation (modes vestimentaires, verbales, alimentaires, récréatives...), ou de séquences conditionnées par le plaisir immédiat ou la récompense après la journée, la semaine, le mois ou l'année de travail.
RépondreSupprimerAu quotidien, la télévision sera au minimum présente pour lui montrer ce qui se passe dans le monde, pour la divertir, pour lui enseigner ce qu'il est mieux de faire, pour lui dire ce qu'elle est, voire ce qu'elle est sensée être. C'est une fidèle machine suscitant le même attachement qu'une automobile, et capable de déclencher des émotions fortes non moins que partagées, des routines addictives de type match-bières-copains, infos-repas-détente, suspense-émoi-dessert, et plus encore. À tel point que certains n'hésitent pas à dépenser des sommes considérables pour « vivre des expériences XXL » dans leur salon, dans leur cuisine ou dans leur lit...
La rupture de pattern
La rupture de pattern, c'est une interruption de ces routines-là. On empêche l'automatisme d'aller jusqu'à son terme, on rompt le mécanisme inconscient, on annihile la séquence psychique : en face, l'individu (qui plus est dans son rôle passif assumé) n'est plus « protégé ». En interrompant ses processus de pensée, nous contournons ses stratégies mentales, c'est-à-dire ses défenses. Si auparavant vous avez pris soin de le mettre en confiance, et si en plus vous lui « donnez la fin qu'il attend (du moment qu'elle entre dans le prolongement de ce que vous faisiez avant. Si vous lui hurlez "saute par la fenêtre", alors qu'avant vous parliez normalement, ça ne va pas marcher ». Transe-hypnose.com / Gaulgaut), alors oui, vous obtenez l'effet poisson rouge.
En d'autres termes, « il faut accompagner la personne de la manière la plus naturelle qui soit. Très peu de technique. Beaucoup de savoir vivre et de savoir être. Il n'y a pas de temps idéal pour dire "dors !", tout ne se joue pas à la demi seconde près contrairement à ce que beaucoup veulent vous laisser croire. Ce dont il faut se souvenir en revanche, c'est qu'il faut prononcer ce mot clé avec toute la confiance et la conviction dont vous pouvez faire preuve, pour que l'inconscient de la personne perçoive vraiment vos intentions et réponde favorablement à vos suggestions » (Jean-Emmanuel / street-hypnose.fr)
Voilà que le mot est lâché : « dors », ou « dormez », mais en vérité qu'importe le mot utilisé pour provoquer l'interruption de pattern : l'essentiel est qu'il soit l'aboutissement des suggestions précédentes (lâcher prise et se détendre par exemple). Bien sûr, cela demande de l'entraînement, « un fort pouvoir de conviction, et surtout une "fluidité" parfaite car l'alternative proposée dans la courte période de confusion entre un "mais qu'est ce que tu me fais ?" et une acceptation passive réside dans une forme de communication rassurante et plus satisfaisante pour l'hypnotisé » (Patrick Kelly / Hypnose et physionutrition). Ce bug qu'est la rupture de pattern peut être renforcé par surcharge ou confusion sensorielle - visuelle, auditive ou kinesthésique (VAK). Ce que l'on observe avec le toucher du front ou de la poitrine avec le plat de la main, le fameux claquement de doigt à l'oreille, le lever ou tourner de tête par pression sur le menton. Immédiatement après la rupture de pattern, viendra l'approfondissement hypnotique, ou « guidage » du sujet.
RépondreSupprimerIl est bon de rappeler que l'interruption du processus de pensée est aussi « l'outil préféré des plus grands manipulateurs, voleurs, escrocs en tout genre ». Car la confusion provoquée permettra à un professionnel d'insérer une suggestion, voire une injonction telle que « signez-là s'il vous plaît ! » ou « vous pouvez me donner l'adresse mail, je vous avouerai que je suis un peu débordée... » : vous êtes alors dans un tel état de flottement, que vous vous exécutez sans broncher (Guillermo Di Bisotto).
Pourquoi obéissons-nous aussi facilement ? Parce qu'il est plus facile d'obéir que de rester confus, il est plus rassurant de se conformer que de se questionner et s'avérer finalement indécis ou en état de flottement. Il semblerait qu'obéir soit également un mécanisme de défense, voire de survie. Puisque « l'obéissance à une autorité et l'intégration de l'individu au sein d'une hiérarchie est l'un des fondements de toute société. Une société a des règles, et par voie de conséquence il existe une autorité, qui permet aux individus de vivre ensemble et empêche que leurs besoins et désirs entrent en conflit et mettent à mal la structure de la société » (Simon Brunfaut, Une philosophe au procès Eichmann).
Le 16 mars 2020 à 20 heures, en France, une interruption brutale de pattern est réalisée à travers le discours télévisé d'Emmanuel Macron, qui par six fois tance que « nous sommes en guerre », et qui, pour mieux nous défendre contre un virus respiratoire, ordonne toute une série de mesures physiquement patentes et attentatoires, dont l'enfermement à domicile de toute la population... exceptés les « utiles ».
C'est ainsi que le très médiatisé confinement communiste d'une ville de 8 494 km², se transforme en emprisonnement d'un pays démocratique de 672 051 km². Dès le lendemain, 17 mars, les téléspectateurs n'ont plus le droit de se rendre à leur travail ni de se déplacer, sauf pour faire leur courses ou sortir leur chien. Quels que soient leurs métiers ou leurs études « d'inutiles ». La population est littéralement sidérée. L'effet poisson rouge.
RépondreSupprimerLa rupture des stratégies mentales est alors complète : les mécanismes sociaux-professionnels et culturels des Français sont proprement brisés, toutes les séquences psychiques rassurantes et protectrices sont annihilées d'un coup. En prononçant sa guerre, Macron prend le contrôle des téléspectateurs, et en les enfermant chez eux, il provoque une confusion sensorielle VAKOG sans précédent, qui aura pour effet d'approfondir l'hypnose en renforçant le « bug » national. À partir de là, le guidage des victimes est facile : la population obéira le petit doigt sur la couture du pantalon, parvenant à ne pas prêter attention aux contradictions les plus criantes... Il leur sera dicté d'applaudir les soignants tous les soirs depuis leurs fenêtres, ils s'exécuteront séance tenante, dans la joie et la bonne humeur. À cette époque, les plus irresponsables de nos responsables avaient du mal à ne pas en rire ouvertement. Pathétique.
Dans cette séquence hypnotique, depuis Wuhan jusqu'aux grandes villes occidentales, tout l'arsenal de la PNL et de l'hypnose a été mobilisé : émois vécus à l'unisson, par ancrages et théâtralité. Nous sommes en train de parler de manipulations scénographiques provoquant des surcharges émotionnelles responsables de « situations amenant une saturation de notre capacité à réfléchir (traitement cognitif impossible d'un trop grand nombre d'informations complexes). Sous l'influence de ces évènements, notre conscience a basculé vers un mode de fonctionnement, dit « non critique » ou « hypnotique » dans lequel il existe une certaine indifférence à l'extérieur, des perceptions modifiées, une hyper suggestibilité renforcée par la perte de nos facultés d'analyse et de jugement et d'une partie de nos fonctions cognitives, enfin un certain lâcher-prise » (adapté de H. Musellec et F. Bernard, Bases neurophysiologiques de l'hypnose, pages 2-3).
La majorité des Français ne connaissant la Covid qu'à travers la télévision, la « Covidpnose » ne peut être qu'une télé-virose tout à fait comparable au phénomène des vidéos virales, des séries addictives ou des buzz. Ce texte a pour objet d'esquisser l'étiologie de cette maladie mentale, qui va doucettement conduire à l'effondrement d'une partie significative de la civilisation occidentale. Certains spécialistes parleront même de bouffée délirante collective. À juste titre, car comment reconnaître le peuple français aujourd'hui ? Comment ne pas voir que les Mengele, qu'ils soient hospitaliers, consultants pour la télévision, députés, chefs de conseils scientifiques, ou ministres - tous atteints du syndrome du sauveur ou chevalier blanc, appelé aussi complexe du Messie, au choix - nous font mal pour mieux nous soigner (ne parvenant ni à s'en cacher, ni à analyser ce qu'ils font), allant jusqu'à nous tuer pour pouvoir nous réanimer ? Comment ne pas se rendre compte qu'en interdisant aux médecins de ville de prescrire dès les premiers symptômes et en refusant de recommander des traitements préventifs aux plus fragiles, on les assassine ? Comment ne pas observer que notre jeune « héraut », devenu Gérant d'une Maison de Retraite bananière, dans laquelle n'importe quel chefaillon régional peut édicter ses propres délires - comme enfermer sa population le week-end ou imposer le port du masque sur les plages - s'est progressivement transformé en MaskVador, abusant de la 5ème Constitution comme d'une domestique ? Et comment ignorer que les chiffres de l'Insee contredisant les prévisions hystériques de nos « experts », ces derniers changèrent vite leur fusil d'épaule, exhumant des variants et des séquelles, des co-variants, des recombinants et des formes longues ? Comment ne pas comprendre, enfin, qu'imposer un hygiénisme-barrière, des confinements, des paniques et des stress répétés aux personnes les plus fragiles et les plus malades, cela relève du meurtre ? Comment ne pas CHERCHER, ne pas TROUVER ?
RépondreSupprimer... Le temps venu, pour sa part la police « demeurera formelle, noyant ses actions dans des explications administratives, s'attachant aux seules dimensions techniques et logistiques, et réduisant la réalité à des quotas. En développant une rhétorique de l'obéissance, elle effacera toute notion de responsabilité. Le système totalitaire aura alors perverti entièrement les consciences, créant des hommes qui, dans le fond, ne prendront plus la mesure de leurs actions » (adapté de La banalité du mal, de Simon Brunfaut, Une philosophe au procès Eichmann).
Ce triangle de Karpman dans lequel nous sommes désormais engagés ne fait qu'exacerber la mécommunication entre les différents protagonistes - les plus puissants d'entre eux craignant d'être publiquement humiliés et/ou de perdre leurs prérogatives. Ce qu'il faut savoir, c'est qu'« à terme, si le sauveur estime qu'il n'a pas reçu la reconnaissance qu'il mérite [...], un sentiment de déception, de rancœur, d'animosité et de haine envers l'autre apparaît » (Mathieu Vénisse). Nous y sommes. Et quelle que soit l'intelligence que l'on prête aux principaux acteurs de cette tragédie, qu'ils soient journalistes, médecins ou politiques, jusqu'à la toute fin leur orgueil étouffera fatalement leurs qualités... tant pis pour les morts.
https://fr.sott.net/article/36962-Covidpnose-par-induction-sequence-rapide-avec-rupture-de-pattern
7 milliards de personnes enfermées dans le couloir de la mort !
SupprimerRED BY SFR : LA 5G COMME PRÉTEXTE POUR AUGMENTER L'ABONNEMENT
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
14/04/2021
Les enchères pour les fréquences 5G ont rapporté 2,8 milliards d'euros à l'Etat.
Les investissements pour déployer la 5G en France coûtent cher aux opérateurs, et ces derniers veulent très rapidement les rentabiliser. Une technique simple, et utilisée par à peu près tous les opérateurs en France, c’est l’augmentation de l’abonnement de manière discrète, par un simple mail qui peut passer inaperçu. RED by SFR retente son coup, cette fois en proposant la 5G… mais avec la possibilité de refuser, ce qui n’est pas toujours le cas.
3 euros de plus… pour la 5G qui n’est que très peu disponible
Selon le site UniversFreeBox, qui a repéré l’information sur Twitter, RED by SFR aurait commencé à envoyer à certains abonnés un mail leur proposant d’augmenter la data du forait 100 Go, facturé 13 euros par mois, de 30 Go par mois contre 3 euros par mois de plus, soit un nouveau prix de 16 euros par mois (ou une augmentation de 36 euros par an).
Certes, l’argument de la data est intéressant, mais RED by SFR avance également la possibilité de bénéficier de la 5G (et donc de ses débits), pour justifier l’augmentation de prix. Sauf que la 5G est loin d’être disponible partout en France : le déploiement n’en est qu’à ses débuts, et la majorité des Français ne peuvent y accéder.
La 5G ? encore faut-il y avoir accès
RED by SFR est transparent, dans son mail : seulement 300 communes, sur les près de 35.000 que compte la France, soit 0,8%, sont éligibles à la 5G. L’augmentation de forfait ne va donc intéresser, en réalité, que les personnes résidant dans cette poignée de municipalités.
Et ce n’est pas terminé : la 5G n’est accessible que sous réserve d’avoir un smartphone compatible, ce qui est loin d’être le cas de tous les abonnés qui sont couverts par ce nouveau réseau. Avant d’accepter l’augmentation de prix, donc, il faudra bien s’informer (ou changer de smartphone).
Heureusement, alors qu’à plusieurs reprises SFR et d’autres opérateurs ont imposé une augmentation de forfait impossible à refuser, ce n’est pas le cas cette fois : il est possible de la refuser en se connectant sur son espace client.
http://www.economiematin.fr/news-sfr-red-augmentation-forfait-5G-telephonie-argent
Faut dire que la singée est un milliardième de fois plus rapide que la 4L d'avant ! (qui l'était déjà plus que la 2cv !)
SupprimerMais, grââââce à la singée même si vous ne portez plus de masque ou que vounette pas vacciné, vous avez déjà suffisamment respiré de saloperies dans les masques pour que votre cerveau ne vous appartiennent plus ! Bêh voilà ! Si on te dit de montrer ton cul tu montres ton cul ! Compris ?