La loi gaz carbonique va permettre aux Suisses de se prononcer plus rapidement sur le sujet.
Par Jean-Baptiste Vigouroux.
27 FÉVRIER 2021
Remercions le système suisse de démocratie directe : c’est peut-être une première mondiale, les citoyens d’un pays libre vont se prononcer sur le changement climatique !
EN SUISSE, LE PEUPLE TOUT ENTIER PARTICIPE À L’ÉLABORATION DES LOIS
Car ne nous y trompons pas, en France, la Convention citoyenne pour le climat, promue comme un exercice de démocratie participative, n’en avait que l’apparence. Ce n’est pas en prenant 150 citoyens au sort, et en leur demandant de dresser une liste de mesures contraignantes que l’on règle la question de la participation des citoyens à l’élaboration des lois.
En Suisse, la consultation du peuple sur un tel sujet – de même que sur tant d’autres – est inscrite dans le fonctionnement même des institutions. C’est tout simple : le parlement a voté une loi, puis un groupe de citoyens a contesté cette loi en réunissant un minimum de 50 000 signatures.
En fait, dans le cas qui nous occupe aujourd’hui, ce sont deux comités référendaires qui se sont organisés.
Le premier, issu du mouvement de la grève pour le climat, n’a réuni que 7000 signatures et a donc échoué.
L’autre, regroupant divers représentants des milieux économiques suisses, a déposé le 15 janvier 110 000 signatures, bien au-delà des 50 000 requises.
Dans la pratique, bien que les comités référendaires aient des objectifs contraires – le premier pense que la loi ne va pas assez loin, le deuxième qu’elle va trop loin – les signatures s’additionnent. Ce sont donc au total 117 000 signatures qui ont été déposées contre cette loi.
QUE DIT CETTE LOI ?
Un petit historique va nous aider à comprendre. En 1999, le Parlement a promulgué une loi dite Loi gaz carbonique. Elle a été révisée une première fois en 2011, puis une deuxième fois en 2020.
Cette deuxième révision fixe un objectif de zéro émission nette de gaz à effet de serre en 2050.
La loi initiale d’octobre 1999 a été votée après un long débat de deux ans. L’objectif était de mettre en œuvre les engagements que la Suisse avait pris en signant le protocole de Kyoto en 1998.
La promulgation de cette loi d’octobre 1999 a permis au Conseil des États (l’équivalent du Sénat en France) de ratifier officiellement le protocole de Kyoto en 2002, et au Conseil national (l’équivalent de l’Assemblée nationale en France) de faire de même en 2003.
Ni la loi d’octobre 1999, ni sa révision de 2011, n’ont été contestées par référendum. Dans ce pays à la gâchette facile, où les comités référendaires se créent pour un oui ou pour un non, c’est révélateur : qui ne dit mot consent !
Par défaut, les Suisses sont donc d’accord avec l’objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Si quelque groupe que ce soit, suffisamment influent pour recueillir 50 000 signatures, avait souhaité contester cette loi ou sa révision de 2011, les Suisses auraient été appelés à se prononcer.
Le fait que pas un parti ou une association n’ait levé le doigt montre l’étendue du consensus en Suisse, en tout cas à l’époque, sur la question. Non pas qu’il n’y ait eu aucun opposant, mais aucun d’entre eux ne s’est senti capable de contrer le consensus ambiant.
LA POLÉMIQUE ACTUELLE NE PORTE DONC PAS SUR L’OBJECTIF MAIS SUR LA MANIÈRE D’Y ARRIVER
D’un côté le Parlement estime qu’il faut des incitations fortes si l’on veut atteindre l’objectif des accords de Paris de 2017 de zéro émission nette :
taxe sur les billets d’avion (entre 30 et 120 francs par billet),
augmentation du prix de l’essence de dix centimes par litre,
normes d’émission plus contraignantes pour les nouveaux chauffages,
augmentation de la taxe sur les combustibles fossiles (de 120 francs à 210 francs par tonne de gaz carbonique),
obligation pour les importateurs de carburant de compenser leurs émissions,
etc.
De l’autre côté, les milieux économiques suisses font valoir que les mesures actuelles sont suffisantes, dans la mesure où la Suisse est déjà parmi les meilleurs élèves du monde. La Suisse fait montre d’une réduction des émissions de gaz carbonique de 24 % par habitant depuis 1990.
Grâce notamment à l’énergie hydro-électrique, avec 4,3 tonnes de gaz carbonique par habitant en 2017 (derniers chiffres disponibles), la Suisse se situe en bien meilleure position que la plupart des pays industrialisés : Allemagne 8,7 tonnes ; États-Unis et Canada 15 tonnes. Même la Norvège avec ses barrages (6,6 tonnes) et la France avec ses centrales nucléaires (4,6 tonnes) produisent davantage de gaz carbonique par habitant.
PLUSIEURS OCCASIONS DE VOTER SUR UN MÊME SUJET
Contrairement aux deux premières versions de la loi, il y a cette fois-ci une opposition qui en appelle au jugement du peuple. Nous voilà donc face à un choix que le peuple suisse devra faire, probablement en juin prochain : davantage de contraintes afin d’atteindre l’objectif, ou aucune contrainte supplémentaire si l’on estime que les mesures actuelles suffisent.
Mais ce n’est pas tout. En Suisse, on ne vote pas une fois de temps en temps, mais en continu !
Peu de temps avant la révision de 2020 de la Loi gaz carbonique, une initiative citoyenne a été déposée. Une initiative nécessite de réunir 100 000 signatures et non 50 000, car il ne s’agit pas simplement de contrer une loi, mais de proposer une modification de la Constitution. Les initiants ont recueilli 113 000 signatures.
Intitulée « Pour un climat sain (initiative pour les glaciers) », elle a été déposée le 27 novembre 2019, après la collecte de signatures commencée en avril 2019 – en pleine crise du Covid-19 – et a été officiellement enregistrée à la chancellerie fédérale le 17 décembre 2019 (on notera au passage que le virus du Covid 19 n’a pas réussi à perturber le fonctionnement des institutions suisses !)
L’initiative vise notamment à interdire toute énergie fossile en 2050 au plus tard, et à atteindre zéro émission nette en 2050.
Extrait de l’initiative :
« Pour autant que des gaz à effet de serre d’origine humaine soient encore émis en Suisse, leurs effets sur le climat doivent être durablement neutralisés au plus tard dès 2050 par des puits de gaz à effet de serre sûrs.
Plus aucun carburant ni combustible fossiles ne sera mis en circulation en Suisse à partir de 2050. Des exceptions sont admissibles pour des applications pour lesquelles il n’existe pas de substitution technique et pour autant que des puits de gaz à effet de serre sûrs situés en Suisse en neutralisent durablement les effets sur le climat. »
Chronologiquement, la récolte des signatures a commencé en avril 2019. La révision de la Loi gaz carbonique était alors enterrée après son rejet par le conseil national en décembre 2018. Le succès populaire de l’initiative sur les glaciers, ainsi que le succès des grèves du climat, ont permis au projet de revenir sur la table et d’être finalement adopté en septembre 2020. Rappelons que l’objectif de la loi est zéro émission nette en 2050, tout comme l’objectif de l’initiative.
C’est donc un seul et même sujet, et c’est donc deux fois que les Suisses pourront se prononcer ! Il faudra patienter un peu cependant pour le second référendum… Le conseil fédéral a 18 mois pour se prononcer (jusqu’au 7 août 2021), et le Parlement un an supplémentaire (jusqu’au 7 août 2022). C’est que la révision de la Constitution n’est pas une mince affaire, on prend le temps d’y réfléchir !
Finalement, la loi gaz carbonique va permettre aux Suisses de se prononcer plus rapidement sur le sujet.
D’ici là, gageons que de nouveaux rebondissements seront survenus, pour la plus grande édification du reste de la planète.
https://www.vigouroux.guru/post/suisse-et-climat-une-première-mondiale
(...) la France avec ses centrales nucléaires (4,6 tonnes) produisent davantage de gaz carbonique par habitant. (...)
RépondreSupprimerCe ne sont pas les centrales nucléaires qui émettent du gaz carbonique mais les 4 centrales à charbon (+ 1 à Trinité en Martinique)
La Suisse (2018) produit de l'électricité nucléaire 36,1 TWh, barrages 55,4 TWh, éolien 0,2 TWh, PV 2,9 TWh
Peu importe puisque le gaz car bonnique pour tous se recycle depuis toujours (sans quoi il n'y aurait pas de vie sur Terre.
Il n'y a pas d'habitant sur Terre qui respire plus qu'un autre et, l'ensemble complet des 7 milliards d'habitants ne représente même pas 1 milliardième de ce qu'émet le magma sous les mers & océans ! D'où la méfiance que doivent avoir tous les suisses envers les partis nazies qui ont créé de 'Traité de Kyoto' (d'Al Gore) où l'ensemble des scientifiques invités + les non-invités extérieurs ont signé la pétition de rejet de cette escroquerie nommée 'Global Warming' !
Réchauffement climatique ? Vous devriez peut-être emporter un pull
RépondreSupprimerPar L. Reichard White
27 février 2021
Nous avons donc maintenant les deux principaux récits de peur de la manipulation de la population qui commencent à se défaire. L'histoire la plus manifestement effilochée est l'hypothèse générée par ordinateur appelée Global Warming «réchauffement climatique». C’est l’une des deux possibilités d’un changement climatique indéniable. L'autre possibilité est, bien sûr, le refroidissement global.
Et puis il y a la pandémie narrative concoctée et longue dans la dent COVID-19, provoquant des soulèvements - parfois au bord de véritables insurrections - partout en Europe et en Amérique du Sud.
Donc, comme on pouvait s'y attendre, l'establishment tente d'étayer ses fictions défaillantes. Ils sortent de Biden pour faire écho à la propagande officielle des 500 000 «décès liés au COVID-19» alors que le nombre réellement CAUSÉ par COVID-19 n'est qu'environ un dixième de ce nombre.
L’establishment essaie aussi de lutter contre le gel des records du Texas - en fait, dans le monde entier. Les porte-parole-menteurs sont en force, nous distrayant en accusant les services publics du Texas de ne pas se préparer à un froid record. Peut-être croyaient-ils le récit du réchauffement climatique ?
Et puis, lorsqu'ils sont poussés vers le mur, ils continuent en expliquant pourquoi le gel profond ne menace pas l'hypothèse du réchauffement généré par ordinateur, affirmant même que le gel profond est causé par le réchauffement climatique.
Avant de sortir votre bermuda et vos sandales, vous trouverez peut-être ce qui suit utile. Et vous voudrez peut-être emporter un pull - - -
À la fin du mois d'octobre 2018, les Nations Unies - et plus tard en novembre, le gouvernement américain - ont publié des rapports étayant les avertissements antérieurs sur le changement climatique au cours des 100 prochaines années, supposant un réchauffement plutôt qu'un refroidissement, le rejetant principalement sur les émissions de gaz carbonique, et notamment Prévisions économiques sur 100 ans des dommages anticipés.
Les économistes autrichiens - et même les non-Autrichiens honnêtes - savent mieux. Comme l'a dit John Kenneth Galbraith non autrichien - et les marchés et les budgets gouvernementaux le réaffirment constamment - «La seule fonction des prévisions économiques est de rendre l'astrologie respectable.
Ont-ils fait mieux avec ces prévisions climatiques sur 100 ans ?
Si vous acceptez les hypothèses climatiques préférées actuelles générées par un modèle informatique, Al Gore nous a préparé le terrain dans son discours d'acceptation du prix Nobel il y a douze ans - - -
«La limite extérieure de ce que nous croyons actuellement faisable est encore loin de ce que nous devons réellement faire.
Traduction: "Nous ne pensons pas pouvoir faire quelque part ce que nos simulations informatiques disent que nous devons faire."
Pendant ce temps, lors de la conférence sur le climat de décembre à Katowice en Pologne, nous avons appris que, selon l'orthodoxie climatique actuelle, la situation s'est bien aggravée depuis que M. Gore a expliqué les choses dans son discours d'acceptation du prix Nobel.
Malgré onze ans d'efforts pour réduire radicalement les émissions de carbone annuelles - y compris tous les accords climatiques précédents - Kyoto, Rio, Paris - - -
RépondreSupprimer«… Trois ans après Paris, les pays ne semblent pas plus près de réduire les émissions mondiales et d'arrêter le changement climatique catastrophique. De nouvelles études montrent que les émissions mondiales de carbone pourraient avoir augmenté de 3,7 % en 2018, marquant ainsi la deuxième augmentation annuelle consécutive. » –Via Democracy Now
Même si les émissions de gaz carbonique n'augmentaient pas et étaient stables, selon l'orthodoxie climatique actuelle, elles sont toujours incroyablement énormes - et s'accumulent d'année en année même si les dernières simulations (2018) disent qu'elles doivent être réduites à zéro.
Il semble que M. Gore s'est avéré tout à fait correct et, malgré les meilleurs efforts des aficionados du réchauffement climatique - par exemple, les manifestants britanniques se superposent aux bâtiments pour lutter contre la crise climatique - ce que nous pouvons faire reste «bien en deçà de ce que nous doit faire." Et ça empire pas mieux.
Ce qui est compréhensible puisque, quel que soit le coût, comme le prévoit le Green New Deal, «ce que nous devons réellement faire» comprend, mais sans s'y limiter, l'élimination de tous les voyages aériens, de tous les véhicules à combustibles fossiles, de toute l'électricité produite à partir de combustibles fossiles et presque bovins de boucherie. On ne sait pas si les vaches laitières - et donc le lait - seront épargnées.
Même si les changements moins draconiens suggérés dans les accords de Paris pouvaient être accomplis, ils ne commenceraient même pas à régler les choses.
Il est donc clair que ces changements nécessaires affirmés ne se produiront tout simplement pas, certainement pas à la suite d'une tentative de contrôle descendant d'environ sept milliards d'habitants de la Terre par les gouvernements et les gens qui ne font pas de bien qui sont attirés par ceux qui sont dangereux et moins organisations souhaitables. Surtout pas dans les 10 années restantes.
Comme l'a dit un jeune militant pour le climat: «Nos dirigeants se comportent comme des enfants». Alors, quoi d'autre de neuf ?
De plus, selon M. Gore en 2017, «Certains niveaux de la Terre ont franchi un point de non-retour». Et c'était il y a quatre ans.
Même la sénatrice américaine Dianne Feinstein pour cinq mandats le sait. Comme elle l'a dit à une jeune militante du climat paniquée, le 1er mars 2019: «Eh bien, cela ne changera pas dans 10 ans.»
C'est donc assez clair:
C’est donc assez clair: si les prévisions informatiques des partisans du réchauffement climatique sont correctes, les choses évoluent inexorablement dans la mauvaise direction et l’augmentation des émissions de gaz carbonique ne sera tout simplement pas inversée - et encore moins éliminée - à temps, voire pas du tout.
Alors "Mange, bois et sois joyeux car demain nous mourrons."
RépondreSupprimerD'un autre côté, il est fort probable que les choses ne soient pas aussi désastreuses que le suggère l'orthodoxie climatique simulée par ordinateur.
Voyez, il y a la science du climat et puis il y a la spéculation climatique.
La partie scientifique consiste en des ensembles de données méticuleusement assemblés qui tentent de reconstruire les conditions climatiques passées de la Terre aussi précisément que possible en utilisant des cernes, des carottes de glace, des fossiles et le reste des archives géologiques.
Bien que les intervalles d’échantillonnage ne soient pas toujours cohérents et souvent assez longs en temps et en distance, laissant la place à toutes sortes de fluctuations et d’occurrences non documentées, il s’agit d’un travail excellent et crédible.
D'autre part, la partie spéculation est les projections simulées par ordinateur du climat futur à l'aide de ces ensembles de données, mais en ajoutant de nombreuses suppositions, hypothèses, ajustements et kludges.
Les modèles de simulation climatique sont conçus pour être flexibles car ils doivent être constamment modifiés lorsqu'ils se trompent. Même dans des travaux plus établis, comme dans la modélisation des dommages causés à des choses physiques comme des bâtiments, l'un de mes compadres l'a dit comme suit: «Même avec 'AutoCAD', 'SOLIDWORKS', etc., vous pouvez modéliser un bâtiment pour qu'il se décompose à plat dans un Vent de 30 mi / h. »
C'est pourquoi certains nerds appellent les simulations informatiques de «fiction technique».
Il va sans dire que si vous pouvez jigger des modèles de choses solides comme des bâtiments, vous pouvez facilement modifier les modèles climatiques en fonction de vos préjugés.
Ainsi, même si elle n'est pas aussi précise, la science du climat revient à examiner les performances passées méticuleusement enregistrées des actions. La spéculation climatique, par contre, revient à choisir un titre, plutôt improbable, et à insister pour miser la ferme dessus.
Au moins dans le cas de la spéculation boursière, les colporteurs sont tenus d'avertir leurs marques que «les performances passées ne garantissent pas les résultats futurs». Le fait est que dans le cas de la spéculation climatique, il y a peu de «performances passées» et le peu qu'il y a est beaucoup moins qu'impressionnant.
Quelques exemples - - -
Malgré les prévisions de l'équipage de spéculation du contraire, il y a eu une accalmie d'ouragan entre la fin de 2005 et 2017 - environ 12 ans - sans ouragan majeur sur la catégorie 3 qui a frappé la zone continentale des États-Unis.
Ensuite, il y a eu la fameuse si embarrassante «pause du réchauffement climatique» ou «hiatus» de 1998 à 2013, lorsque toutes les prévisions de réchauffement sont restées fausses pendant 15 ans. C'est à ce moment-là que les gens du réchauffement causé par l'homme (AGW) ont finalement été forcés, à coups de pied et de cris, à renoncer au «réchauffement climatique» spéculatif et à adopter un «changement climatique» scientifiquement valable pour décrire les choses à la place.
RépondreSupprimerPour un exemple de la précision des simulations, en 2013,
«Par rapport à l'augmentation réelle de la température depuis 1980, la moyenne des 32 meilleurs modèles climatiques (appelés CMIP5) la surestime de 71 à 159%. Une nouvelle étude de Nature Climate Change montre que les modèles climatiques dominants ont produit des estimations qui ont dépassé de plus de 300% l'augmentation de la température au cours des 15 dernières années. –Global Warming Without Fear par Bjørn Lomborg - Project Syndicate
Êtes-vous prêt à parier la ferme?
En fin de compte, comme l'économiste fondateur Ludwig von Mises, le physicien quantique novateur Niels Bohr et le receveur de baseball Yogi Berra sont tous d'accord, «la prédiction est très difficile, en particulier pour l'avenir. Surtout 100 ans dans le futur.
L'une des raisons probables pour lesquelles les spéculations informatiques échouent est, comme le souligne le gourou de la science Freeman Dyson, si les modèles climatiques prennent en compte de nombreux facteurs physiques, ils accordent peu ou pas d'attention à la biologie et à la chimie du ciel, du sol et des plantes. «Les biologistes ont été essentiellement écartés.»
En grande partie, c'est parce que, comme beaucoup d'autres facteurs, modéliser de manière réaliste la chimie du ciel, du sol et en particulier des plantes - c'est-à-dire la biosphère - est quasiment impossible.
OK, ajoutez juste quelques suppositions, hypothèses, ajustements et kludges supplémentaires.
En fait, plus de gaz carbonique plus le réchauffement - qu'il provienne ou non de gaz à effet de serre d'origine humaine - stimule la croissance des plantes qui retire le gaz carbonique de la circulation et le transforme en matière végétale comme le bois, ce qui conduirait à l'équilibre.
Cependant, la panique de ceux qui ont créé ces simulations climatiques centenaires et plus - et en particulier de ceux qui y ont aveuglément adhéré - est compréhensible. C’est particulièrement vrai dans le cas d’extrémistes tels que Michael «hockey-stick» Mann, etc., qui prétendent que la terre va en quelque sorte fondre.
Avec cette image, ils ont créé une version modernisée de Pascal’s Wager. Soit nous abandonnons la civilisation moderne, soit nous irons certainement directement en enfer. Presque littéralement.
Mais dans cette version moderne de The Wager, nous savons déjà que nous n’allons tout simplement pas abandonner la civilisation moderne. Et même si nous le pouvions, cela blesserait, voire tuerait, pour la plupart les plus pauvres.
Ceux qui ne sont pas accros à la modélisation informatique voient les choses différemment. Comme le dit le physicien gonzo Freeman Dyson,
RépondreSupprimer«Les gens qui étudient le climat qui travaillent avec des modèles ont toujours tendance à surestimer leurs modèles, ils en viennent à croire que les modèles sont réels et oublient qu'ils ne sont que des modèles.» –Www.nytimes.com
Le niveau de certitude requis pour croire ce pari de Pascal moderne n’existe tout simplement pas dans la science de toute façon. Le physicien quantique séminal Richard Feynman l'explique comme ceci: «J'ai des réponses approximatives, des croyances possibles et différents degrés de certitude sur différentes choses, mais je ne suis absolument sûr de rien.»
Voici comment cela s'applique aux modèles de réchauffement climatique - - -
«Les modèles deviennent plus précis dans le sens où ils simulent de nombreux processus de manière plus réaliste», explique Reto Knutti, professeur à l'Institut des sciences atmosphériques et climatiques de Zurich et l'un des principaux contributeurs au cinquième rapport d'évaluation. «Mais cela dit, tout cela n’a pas vraiment contribué à réduire l’incertitude des projections futures.»… Pourquoi les modèles climatiques ne sont pas meilleurs - MIT Technology Review
Il s'ensuit également que la soi-disant «science établie», souvent utilisée pour décrire la spéculation climatique, est un mythe non scientifique. C’est particulièrement non scientifique dans le cas des prévisions climatiques à long terme modélisées par ordinateur, poussées par la réflexion de Pascal sur Wager.
Ainsi, les gens qui comprennent la vraie nature de la science - et ne sont pas dupes du pari de Pascal - sont sérieusement moins effrayés
OK, si vous êtes toujours avec moi, nous devons définir et / ou séparer certaines choses que nous avons déjà abordées.
Changement climatique (abrégé CC): Il a changé depuis au moins le début de la vie sur terre. Quiconque prétend que le climat N'EST PAS en train de changer peut être ignoré en toute sécurité.
Réchauffement climatique (GW): L'une des deux tendances possibles du changement climatique: l'autre est le refroidissement. Les deux arrivent. En conséquence, le climat de la Terre ne reste jamais le même.
Réchauffement climatique anthropique (causé par l'homme) (AGW): Une hypothèse (supposition) que l'activité humaine, en particulier notre rejet de gaz carbonique, est à l'origine de la petite tendance actuelle au réchauffement géologique à court terme. Le méthane est également mentionné mais contrairement au gaz carbonique, il et ses effets se dissipent relativement rapidement.
Interroger AGW ne remet pas en cause le changement climatique. Il remet en question l’hypothèse selon laquelle la faible quantité de gaz carbonique total dans l’atmosphère due à l’activité humaine a un effet notable.
RépondreSupprimerGardez à l'esprit que la seule source de chaleur pour la Terre qui compte est le Soleil variable, avec au plus 10% provenant de l'intérieur de la Terre. Il n'y a rien d'autre à mentionner.
Le gaz carbonique et le méthane ne produisent PAS de chaleur. On prétend seulement qu’ils sont des «gaz à effet de serre» et qu’ils ne captent que la chaleur provenant d’autres sources.
Hormis le Soleil - et l’orbite précédente de la Terre -, la principale chose qui perturbe la température ambiante de la Terre est de loin l’eau sous diverses formes. La vapeur d'eau - en particulier les nuages - est de loin le «gaz à effet de serre» le plus actif et le plus influent mais, comme la biosphère et de nombreux autres facteurs, il est extrêmement difficile, voire impossible, de quantifier de manière réaliste dans les modèles climatiques.
De plus, comme ce n’est qu’une hypothèse, AGW n’est pas une preuve, elle nécessite une preuve. Même les théories - définies comme des hypothèses étayées par d'abondantes données - sont toujours sujettes à caution. Il existe plusieurs théories tentant d'expliquer la gravité, par exemple.
Alors, comment savez-vous que la faible augmentation de température que vous mesurez provient du gaz carbonique et non d'une autre source entièrement - le Soleil Variable par exemple. Ou peut-être même un intervalle d'échantillonnage ou un autre problème dans vos données ? Ou une fluctuation géologique à court terme?
Bien sûr, il y a toujours des scientifiques et d'autres personnes crédibles qui ne sont pas d'accord avec vous. C’est la science à l’œuvre. Si vous commettez l’erreur d’appeler ces gens des «négateurs», vous démontrez que vous ne comprenez pas le fonctionnement de la science - et probablement que votre position ne tiendra pas la route et / ou que vous l’avez acceptée par la foi.
Et, peut-être, vous êtes paniqué parce que vous l’avez accepté de manière subliminale comme une certitude de Pascal’s Wager?
Il s'ensuit que dans la vraie science, plutôt que d'appeler ceux qui ne sont pas d'accord avec vous par des noms, vous devriez peut-être faire attention - - -
Le co-fondateur de l'organisation environnementale Greenpeace, Patrick Moore, a déclaré mardi que la crise du changement climatique… »n'est pas seulement une fake news. C'est une fausse science. " Moore se demandait aussi… pourquoi les gens s'inquiéteraient du réchauffement climatique: «Un peu de réchauffement ne serait pas une mauvaise chose»… Moore, qui siège maintenant en tant que directeur de la CO2 Coalition, un groupe de scientifiques américains et canadiens qui réfutent l'homme - le changement climatique, dit que le dioxyde de carbone est «le principal élément constitutif de toute vie» et qu'il est bon pour l'environnement. … "Bien sûr, le changement climatique est réel: il se produit depuis la nuit des temps, mais ce n’est pas dangereux et il n’est pas créé par les gens [c’est] un phénomène tout à fait naturel." Moore s'est demandé pourquoi tant de scientifiques qui promeuvent une crise du changement climatique reçoivent des «subventions gouvernementales perpétuelles…» - The Daily Caller
et - - -
RépondreSupprimer«L'impact humain sur l'atmosphère est tout simplement trop faible pour avoir un effet majeur sur les températures mondiales», a déclaré le Dr Gray [spécialiste des ouragans très respecté]. … «Cela me dérange que mes collègues scientifiques ne se prononcent pas contre quelque chose qu'ils savent être faux», a-t-il déclaré. «Mais ils savent aussi qu’ils n’obtiendront jamais de subventions s’ils s’exprimaient. Je me fiche des subventions. » - Le Sydney Morning Herald
Et - - -
Les scientifiques de la NASA contestent le changement climatique [gaz carbonique]
Il s'avère que le consensus scientifique actuel, très médiatisé et très controversé, selon lequel le comportement humain est à l'origine - ou peut causer - un réchauffement climatique important, lorsqu'il est honnêtement retracé, provient de 53 écrivains du GIEC - pas nécessairement des scientifiques BTW, dont 40 spéculateurs climatiques , ah, modélisateurs du climat - plus cinq critiques.
En revanche, il y a au moins 31 000 scientifiques américains - plus de 9000 titulaires d'un doctorat - qui sont chacun parvenus à une opinion éclairée et très définitivement, en signant cette pétition, rejettent l'hypothèse d'un réchauffement climatique important d'origine humaine.
Nous avons donc 58 personnes de l'IPCC qui, nous pouvons être sûrs, épousent officiellement le changement climatique AGW, plus de 31000 scientifiques américains informés qui sont très spécifiquement en désaccord, et puis, surtout compte tenu de ces chiffres sérieusement contradictoires, nous avons l'affirmation étonnante que 96 % des scientifiques sont d'accord avec AGW du GIEC.
Donc, les gens d'AGW, pour obtenir votre chiffre d'accord de 96% - juste pour équilibrer ces 31000 scientifiques qui dissolvent AGW - le calcul dit que vous avez besoin d'au moins 744 000 (96 % / 4 % x 31 000) scientifiques qui sont spécifiquement d'accord avec votre version d'AGW, de préférence ceux qui ont signé une pétition équivalente ou une autre preuve d'accord.
Où sont-ils ?
Ou avez-vous seulement demandé à un petit groupe de copasétiques d'obtenir ce chiffre de 96%? Ou avez-vous juste inventé ?
Dans tous les cas, le consensus scientifique - s’il y en a un et même s’il est obtenu honnêtement - est le niveau de confiance scientifique le moins utile. Cela semble étrange pour le non-scientifique - et probablement l'hérésie pour ceux qui sont imprégnés des «règles de la majorité» - mais ici, c'est sous une forme concentrée:
Soyons clairs: le travail de la science n’a absolument rien à voir avec le consensus. Le consensus est l'affaire de la politique. La science, au contraire, n'a besoin que d'un seul chercheur qui se trouve avoir raison, ce qui signifie qu'il ou elle a des résultats vérifiables par référence au monde réel. En science, le consensus n'est pas pertinent. Ce qui est pertinent, ce sont des résultats reproductibles. » –Michael Crichton
Si vous respectez indûment le consensus scientifique, cet exemple de la manière dont on en est arrivé à un devrait vous aider à clarifier cela - - -
RépondreSupprimerIl y a une autre idée souvent mal utilisée qui doit être replacée dans le bon contexte: "histoire enregistrée".
Des relevés météorologiques quantitatifs organisés et cohérents ne sont largement disponibles que depuis, au mieux, la fin des années 1800.
De manière plus réaliste, le Met Office britannique dit que c'était en 1914 - lorsque les stations d'observation sont devenues plus uniformes dans les méthodes de collecte et d'enregistrement et qu'il y en avait suffisamment pour montrer la vue d'ensemble. Et c'était pour le Royaume-Uni et surtout pour les températures et les précipitations.
Et puis le reste du monde a dû comprendre et commencer à tenir des registres précis. Et le monde est un très grand endroit. Ainsi, même pendant une grande partie de l'histoire enregistrée, les intervalles d'échantillonnage étaient assez grands en temps et en distance, laissant place à toutes sortes de fluctuations et d'événements non documentés.
La précision des méthodes et des instruments plus anciens est naturellement incertaine, et lorsque nous sommes paniqués par une augmentation de température de trois degrés, même un degré de décalage est une erreur de 33 %.
Et bien sûr, «l’histoire enregistrée» est moins qu’un clin d’œil dans l’histoire géologique de la Terre.
Ainsi, si «l’histoire enregistrée» semble impressionnante, statistiquement et dans le contexte du temps géologique, il y a beaucoup de bruit pour très peu. Néanmoins, comme vous le remarquerez probablement, «l'histoire enregistrée» est impitoyablement fouettée et abusée par les gens de Pascal’s Wager.
Pour en revenir à une science plus fiable, ce à quoi le Dr Crichton faisait référence par «résultats reproductibles» est la réplication. En un mot, la méthode scientifique n'est qu'une manière organisée de poser des questions et de vérifier et revérifier les réponses.
La réplication est le processus de vérification et de revérification des réponses par d'autres personnes répétant l'expérience et c'est le fondement absolument essentiel de la science.
Nous pourrions appeler le processus de vérification et de revérification - et de laisser suffisamment de temps pour découvrir les erreurs, les fautes d’impression, les préjugés involontaires, les fudges, les mensonges, les fausses déclarations, la fraude, etc. - «Due Process of Science». Sans procédure régulière, vous ne pouvez pas prétendre que c'est de la science.
Et vous devez faire attention aux préjugés, aux fudges, aux mensonges, aux fausses déclarations et malheureusement aussi à la fraude.
Le grand parti pris est venu du grand-père des bastions AGW, l'IPCC - censé être scientifiquement neutre. Il est né du scandale connu sous le nom de «Climategate». En substance, une division clé du GIEC a admis que son objectif n’était pas de savoir si l’AGW était réel, mais de convaincre tout le monde que c’était le cas.
Dans cet esprit, de nombreux fudges, mensonges, fausses déclarations - et même erreurs et fautes d'impression - qui viennent du camp AGW prennent une teinte un peu différente. Ceux-ci par exemple - - -
RépondreSupprimerLes chercheurs ont découvert que dans les ensembles de données de température de surface mondiaux gérés par la NASA, la NOAA et le Met Office du Royaume-Uni, les premiers points de données australiens à partir des années 1940 étaient ajustés plus froids et les points de données froids plus récents étaient ajustés plus chauds. Les ajustements sont normaux mais pas lorsque la plupart d'entre eux améliorent l'apparence du réchauffement. Vous vous attendez à environ 50/50. «Presque tout le réchauffement qu’ils montrent maintenant est dans les ajustements», a déclaré le météorologue Joe D’Aleo au Daily Caller.
Et puis il y a les augmentations du niveau de la mer tant vantées que l'on prétend être le résultat du réchauffement. Parce que les changements tectoniques - les changements causés par les tremblements de terre et les affaissements continentaux, etc. - se masquent à mesure que le niveau de la mer augmente, mesurer les effets GW, qu'ils soient ou non causés par nous, les humains, n'est pas un slam-dunk.
Ce qui ouvre la porte à des interprétations malhonnêtes des données et à d'autres histoires effrayantes de Pascal's Wager. Le shakey prétend que le niveau de la mer monte plus vite qu'à tout moment au cours des 2700 dernières années par exemple.
Heureusement, nous avons des gens comme le paléo-géophysicien suédois Dr Nils-Axel Morner pour aider à garder les choses en place. Comme ça - - - Un scientifique suédois du GIEC de l'ONU démystifie la montée rapide du niveau de la mer et beaucoup d'autres mensonges, fausses déclarations et mensonges de l'AGW.
Plus troublant encore, les gens d'AGW attaquent et essaient de chasser les scientifiques qui signalent leurs erreurs, mensonges et / ou fraudes plutôt que de déterminer quelle interprétation correspond aux données - ou intimident ou pire ceux qui changent d'avis et ne sont pas d'accord avec eux.
Et maintenant, avec Climategate et Due Process of Science à l'esprit, nous nous dirigerons vers des eaux encore plus profondes et plus troublantes.
Il y a deux indices ci-dessus - un du Dr Gray, un de Moore de Greenpeace - qui révèlent la pointe d'un iceberg inattendu qui menace de couler la science moderne en général ou du moins de remplir quelques-uns de ses compartiments étanches avec de l'eau de mer. . Voici les indices:
Moore s'est demandé pourquoi tant de scientifiques qui promeuvent une crise du changement climatique reçoivent des «subventions gouvernementales perpétuelles»
«Mais ils [mes collègues scientifiques] savent aussi qu’ils n’obtiendront jamais de subventions s’ils s’exprimaient. Je me fiche des subventions »–Dr. grise
L'iceberg est qu'en raison de la dépendance salariale et financière associée au financement perpétuel du gouvernement - et d'autres intérêts particuliers - la science moderne en général a été victime de biais de confirmation chroniques, énormes et axés sur l'argent.
Il existe également d'autres problèmes liés à l'argent, mais le biais de confirmation financé par le gouvernement et les erreurs d'orientation sont l'éléphant dans le placard.
Biais de confirmation ? C'est la tendance entièrement humaine à rechercher et à remarquer des choses qui confirment ce que vous croyez et à ignorer les choses qui contredisent cela.
RépondreSupprimerLe biais de financement est encore plus insidieux. Comme Sir Karl Popper aimait à le faire remarquer à ses étudiants, la première décision scientifique est ce qu'il faut observer. Le financement décide que pour vous, généralement en dehors de la science, et donc la science elle-même est souvent mal orientée.
Je ne peux pas rendre ce sujet pleinement justice ici, mais je vais essayer dans un autre article, en particulier, "Et Tu Mr. Science?" et si vous lisez ceci après 2019, vous pouvez probablement le trouver lié ici.
Mais voici la version down-and-dirty - - -
… Il y a moins de 50% de chances que les résultats d'un article scientifique choisi au hasard soient vrais…. «Nous devons accepter que la plupart des résultats de la recherche soient réfutés. Certains seront répliqués et validés. Le processus de réplication est plus important que la première découverte », déclare [John] Ioannidis. - La plupart des articles scientifiques sont probablement faux, New Scientist, Kurt Kleiner
Notez la référence de M. Ioannidis à l’importance de la réplication. Vous pouvez trouver son article ici.
Mais là encore, un taux d'échec supérieur à 50% n'est peut-être pas si surprenant compte tenu de cette observation surprenante du rédacteur en chef vétéran de la revue scientifique J. Scott Armstrong - - -
Moins de 1 % des articles dans les revues scientifiques suivent la méthode scientifique
Dans cet article en particulier, M. Armstrong se concentre sur la science du climat.
En gardant à l’esprit ce non-respect de la méthode scientifique - et un taux de précision inférieur à 50% comme l’a souligné M. Ioannidis - il est clair pourquoi «le processus de réplication est plus important que la première découverte».
Mais malheureusement et difficile à croire, il y a une crise de réplication dans la science, c'est-à-dire que, malgré le fait que la réplication est le fondement absolument essentiel de la science, la réplication est régulièrement M.I.A. - Porté disparu.
L'establishment a donc essayé de le remplacer par ce qui est essentiellement un processus consensuel appelé «examen par les pairs». Rappelons le point de vue du Dr Crichton sur le consensus en science.
Encore plus décourageant, alors que vous vous attendez au moins à ce que plusieurs pairs participent à un examen par les pairs, il s’agit généralement d’un seul et souvent pas d’un pair ou même d’un scientifique. Qui génère cette évaluation d'un autre éditeur scientifique chevronné - - -
L'évaluation par les pairs passe de simplement inutile à activement nuisible. Il peut être inefficace pour empêcher la publication d'articles présentant des défauts analytiques ou méthodologiques, mais il peut être extrêmement efficace pour supprimer la critique d'un paradigme de recherche dominant. -William A. Wilson
Et si cela ne suffit pas, il y a des choses comme ça - - -
Un grand éditeur retire 43 articles scientifiques au milieu d'un scandale plus large de faux examens par les pairs - The Washington Post
RépondreSupprimerD'après son expérience personnelle, un écrivain scientifique chevronné décrit les résultats globaux de cette façon - - -
«Eh bien, il y a ce que j’appelle un processus de filtration des connaissances qui opère dans le monde de la science. … Je pense que c'est à cause de ce processus de filtration des connaissances que nous ne disposons pas d'un ensemble complet de faits sur lesquels fonder nos décisions et nos jugements sur des questions importantes… Les preuves qui vont de pair avec les théories actuelles sont traitées selon un ensemble de règles tandis que les preuves qui contredisent radicalement les théories actuelles sont jugées selon une norme beaucoup plus stricte. … «Je veux dire que c'est vraiment incroyable parce que normalement on nous dit que ce n’est pas ainsi que le monde de la science fonctionne. … »- Michael A. Cremo
L’observation de M. Cremo fait clairement sortir l’éléphant de confirmation motivé par l’argent et la mauvaise direction hors du placard.
Et, comme cela s’applique à l’hypothèse du réchauffement climatique AGW du GIEC, le membre de 57 ans de l’American Physical Society et ancien fonctionnaire de l’APS, le professeur Hal Lewis, s’allume comme ceci - - -
«Je suis obligé, sans aucun plaisir, de vous offrir ma démission de la [American Physical] Society. C'est bien sûr l'escroquerie du réchauffement climatique, avec les (littéralement) billions de dollars qui la conduisent, qui a corrompu tant de scientifiques et a porté l'APS devant elle comme une vague voyous. C'est la fraude pseudoscientifique la plus grande et la plus réussie que j'ai vue dans ma longue vie de physicien. … Je pense que c'est l'argent, exactement ce qu'Eisenhower a mis en garde contre [le complexe militaro-industriel] il y a un demi-siècle. –Le professeur Emiritus Hal Lewis démissionne de l'American Physical Society
Donc, avant que le «scientifique» ne devienne une profession définie avec des postes salariés et un financement public, la science fonctionnait différemment. Et à bien des égards mieux.
Normalement, les gens ass-u-me le biais de financement du réchauffement climatique vient du Big Oil, et certains le font. Mais Patrick Moore de Greenpeace, le prévisionniste des ouragans Dr. Gray, le physicien Hal Lewis, etc. remettent les choses au clair: le financement de l'industrie est pâle, presque insignifiant, par rapport aux «subventions gouvernementales perpétuelles», qui, dans le cas du climat, soutient presque toujours les pro -Recherche AGW.
Il est clair que les gens de Pascal’s Wager ont sauté sur le train de la sauce de confirmation AGW et puisque leur financement et leur salaire en dépendent, ils vendent aussi vite qu'ils le peuvent.
Mais pourquoi les gouvernements soutiendraient-ils AGW ?
Le Green New Deal a déjà admis vouloir éliminer les voyages aériens. La possibilité d'éteindre votre voiture du satellite si vous manquez un paiement, etc., pourrait facilement être adaptée pour rationner ou empêcher les déplacements en voiture. Et ces nouveaux compteurs utilitaires pourraient facilement être adaptés pour rationner votre consommation d'électricité, etc.
Pouvez-vous imaginer un moyen plus efficace pour le gouvernement et les wiindigos hiérarchiques et le contrôle des toxicomanes qui y sont attirés de vous mettre en face et de contrôler presque tous les aspects de votre vie que de contrôler votre consommation d'énergie? Laissez courir votre imagination.
RépondreSupprimerComme je l'ai mentionné plus tôt, gaz carbonique est un méchant improbable. Actuellement, il ne représente qu'environ 400 parties par million ou 0,04 % de notre atmosphère. C'est bas par rapport aux normes historiques, et seule la plus petite partie serait de nous, humains. Il y a plus d’argon dans l’atmosphère que de gaz carbonique.
Et il n'est même pas nécessaire d'invoquer le truisme statistique selon lequel "la corrélation n'implique pas de causalité" car, comme vous pouvez le voir dans le graphique ci-dessous, il n'y a de toute façon pas de corrélation fiable entre la concentration de gaz carbonique et la température de la Terre. À moins que vous ne choisissiez sans vergogne quelques périodes rares et courtes.
- voir graphique sur site -
SOURCE:web.archive.org
Notez que parfois le gaz carbonique augmente et qu'il n'y a pas de réchauffement ou même de refroidissement à la place. De plus, le réchauffement se produit parfois en premier et les augmentations de CO² viennent plus tard. Ce n’est pas souvent que les causes viennent après les effets. Etc.
Et puis il y a le maximum thermique du paléocène-éocène (PETM) - la température la plus élevée dans le graphique ci-dessus - qui est cité comme le Saint Graal du modeleur AGW par excellence. Mais comme une enquête de l'Université Rice l'a découvert à la suite d'un examen attentif du PETM, «Il semble y avoir quelque chose de fondamentalement faux dans la façon dont la température et le carbone sont liés dans les modèles climatiques.
Et même la sommation favorable à l'AGW dans l'article de Wikipédia doit admettre: «Bien qu'il soit maintenant largement admis que le PETM représente une 'étude de cas' pour le réchauffement climatique et l'apport massif de carbone à la surface de la Terre, [1] [10] la cause , les détails et la signification générale de l'événement restent déroutants. … –Maximum thermique du Paléocène-Éocène - Wikipédia
Mais ils ne sont déroutants que si vous insistez sur le fait que le gaz carbonique de toute source provoque de manière prévisible un réchauffement climatique important.
Il y a toutes sortes d'autres échecs et problèmes liés aux modèles, mais pour raccourcir les choses, vous pouvez trouver 25 points simples d'un géologue - qui a une vision à long terme des choses, garde l'histoire enregistrée en perspective et absout pratiquement le gaz carbonique d'être la cause d'un réchauffement climatique important ici.
Ainsi, en plus de l'accalmie des ouragans de 12 ans et de la pause de réchauffement de 15 ans lorsque toutes les prévisions étaient fausses, nous ne pouvons ajouter aucune corrélation à long terme entre le gaz carbonique et la température de la Terre, le gaz carbonique augmente ce retard de réchauffement, le PETM déroutant, et les 25 points ci-dessus.
RépondreSupprimerEt n'oubliez pas ces scientifiques comme Freeman Dyson, Hal Lewis, Patrick Moore, le Dr Gray, qui sont tous en désaccord avec AGW, y compris ces 31 000 scientifiques et plus - plus de 9 000 titulaires d'un doctorat - qui ont signé cette pétition. Etc.
Êtes-vous prêt à parier la ferme ?
Il y a, bien sûr, une chance que les simulations approuvées par le GIEC - en particulier sans les gens de Pascal’s Wager - aient au moins en partie raison. Alors, peut-être que vous n’êtes pas prêt à parier sur la ferme, mais peut-être que vous risquez le sud des quarante.
La question que vous voudrez peut-être poser aux modélisateurs du climat du GIEC avant même de le faire est: «Quelle est la précision de vos prédictions antérieures spécifiques? Tous, pas seulement une poignée de cerises.
Si vous pensez toujours que les émissions de gaz carbonique, etc. devraient être réduites, il y a certaines choses que «nous» pouvons faire, peut-être simplement pour couvrir nos paris.
Premièrement, gardez les gouvernements à l'écart. Ils vous induiront en erreur et vous feront perdre votre temps. Les «démocraties» évoluent invariablement pour servir des personnes bien connectées qui peuvent se permettre de les acheter avec des pots-de-vin de campagne et de les contrôler avec des lobbyistes. En général, ces gens ne sont pas écologiques. J'appelle le résultat une démocratie bidon.
Et dans les meilleures conditions, comme l'a découvert le «gouverneur» californien Arnold Schwarzenegger, «les choses ne vont pas aussi vite au gouvernement que dans le secteur privé.»
S'il y a vraiment une «crise climatique», nous ne pouvons tout simplement pas attendre une fausse démocratie.
Si vous pensez que vous devez simplement jouer avec le gouvernement, la chose sur laquelle il faut se concentrer est de l'empêcher de continuer à subventionner les combustibles fossiles et de bricoler les marchés de l'énergie solaire et d'autres énergies renouvelables. Forcer l'utilisation de l'éthanol dans l'essence a été une catastrophe écologique mineure par exemple.
C'est là que les protestations et les manifestations peuvent être quelque peu utiles, mais les boycotts sont de loin les outils les plus efficaces. Renseignez-vous sur eux. Utilise les !
Et, malgré le battage médiatique et la propagande, "nous le peuple" ne sommes pas tous d'accord de toute façon - - -
Les électeurs australiens choisissent le Premier ministre conservateur Morrison plutôt qu'un adversaire qui s'est engagé à lutter contre le changement climatique
Heureusement, une fois que vous vous êtes libéré de la démocratie bidon, vous n’avez pas besoin d’une majorité, il vous suffit de trouver ceux qui sont d’accord avec vous. Au lieu de perdre du temps à essayer de contraindre les gens qui ne sont pas d'accord, consacrez le même temps, l'énergie et l'argent à la poursuite de votre objectif écologique.
RépondreSupprimerPlantez des choses par exemple. Les plantes convertissent le gaz carbonique atmosphérique en choses comme le bois, les arbres sont donc un très bon choix. Les éthopiens en plantent littéralement des millions.
S'ils le peuvent, nous le pouvons. Souvenez-vous de Johnny Appleseed. Emulez les Ethiopiens et créez un club.
Changez votre propre comportement en vert. Si même un tiers des gens sur Terre sont d'accord avec AGW et agissent en conséquence, cela réduirait les émissions d'un groupe.
Et sans les extrémistes de Pascal’s Wager, les simulations prévoient un réchauffement d’au plus 3,7 ° C (1,0 ° à 3,7 °) et une élévation maximale du niveau de la mer d’environ 40 cm à 62 cm. Au cours des 100 prochaines années. Même les escargots ont suffisamment de temps pour se déplacer vers des terrains plus élevés. Et peut-être que certaines personnes déplacées pourraient cultiver, etc. au Groenland, bien nommé pendant la période chaude médiévale il y a environ 1200 ans.
En outre, le taux de natalité tombe sous le taux «stable» de 2,1 dans la plupart des pays «développés» et diminue dans la plupart des autres. En d'autres termes, avec toutes ses ramifications, le mouvement de croissance zéro a déjà gagné là où il compte. Le baby-boom est terminé. Au Japon, en Russie, en Allemagne, en Pologne, au Portugal, en Italie et moins ces immigrants «illégaux», même aux États-Unis, etc.
De plus, à moins d’interférence bidon avec la démocratie, les forces du libre marché nous poussent rapidement vers l’énergie solaire et d’autres énergies renouvelables, car elles sont plus rentables et plus efficaces.
Donc, en ce qui concerne le réchauffement climatique causé par le gaz carbonique, soit vous n’avez rien de sérieux à craindre ou, si les alarmistes ont raison, vous ne pouvez rien y faire.
Alors, le changement climatique ? Mange bois et sois heureux !
Cependant, il y a deux autres menaces climatiques mondiales vraiment effrayantes causées par l'homme sur lesquelles nous devrions essayer de faire quelque chose:
La soi-disant géo-ingénierie où nos «experts» bricolent les systèmes complexes et mal compris de la Terre Mère - initialement proposés sous Obama. Et bien sûr, il ne pourrait pas y avoir de conséquences involontaires. Pourrait-il ?
Avec l'horloge apocalyptique du Bulletin of the Atomic Scientist à environ une demi-minute de minuit, l'autre menace climatique est le changement climatique complètement «anthropique» appelé «hiver nucléaire».
Si nous ne faisons rien à ce sujet, une étude de Princeton U. montre comment cela pourrait arriver.
Ici pour les mises à jour, les ajouts, les commentaires et les corrections.
ET, «J'aime», «Tweet», et sinon, transmettez-le !
https://www.lewrockwell.com/2021/02/l-reichard-white/global-warming-maybe-you-should-pack-a-sweater/
La Chine émet plus de carbone en 2 semaines que l'Australie en un an: Think Tank
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 26 FEV 2021 - 23:00
Rédigé par Henry Jom via The Epoch Times,
La Chine émet plus de gaz carbonique en 16 jours que l'Australie en un an, selon une nouvelle étude publiée par un groupe de réflexion sur le marché libre.
L’objectif de zéro émission nette de l’Australie serait donc annulé par la Chine en seulement deux semaines, a déclaré mercredi l’Institut des affaires publiques (IPA) dans un communiqué de presse.
Selon le rapport, la Chine exploite 57 fois plus de centrales au charbon que l'Australie. Ce chiffre devrait augmenter, la Chine construisant actuellement 92 centrales au charbon.
Le rapport ajoute également que si les émissions de carbone par habitant de l’Australie ont diminué de 15,4 % depuis 2004, les émissions de la Chine par habitant au cours de la même période ont augmenté de 83,5 %.
À l'échelle mondiale, le rapport a identifié que la part de l'Australie dans les émissions mondiales de carbone est passée de 1,3 % en 2009 à 1,1 % en 2019.
«Malgré la part négligeable de l’Australie dans les émissions mondiales, selon l’Accord de Paris, les Australiens sont soumis aux réductions d’émissions par habitant les plus importantes du monde développé», ajoute le rapport.
Pendant ce temps, le Premier ministre Scott Morrison poursuit des «technologies à faibles émissions» au lieu d'engager l'Australie à des émissions nettes nulles, la Nouvelle-Galles du Sud et l'Australie-Occidentale se référant à zéro émission nette comme un objectif «ambitieux», a rapporté Herald Sun.
Cependant, le chef de l'opposition travailliste fédérale Anthony Albanese semble prêt à engager son parti à atteindre le zéro net d'ici 2050, tandis que le député indépendant de Warringah Zali Steggall envisage de présenter un projet de loi sur le changement climatique au parlement en mars.
Cian Hussey, chercheur à l'IPA, a déclaré que les appels lancés à l'Australie pour adopter un objectif d'émissions nettes nulles «ignoreraient les coûts économiques, sociaux et humanitaires importants qui seraient inévitablement le résultat d'un tel objectif».
«Il est imprudent et futile pour la classe politique d’imposer aux Australiens de nouvelles réductions sévères des émissions, ce qui coûte des emplois et des moyens de subsistance, tandis que la Chine - le plus grand émetteur du monde - continue d’augmenter rapidement ses émissions sans conséquence», a déclaré Hussey.
Des recherches antérieures de l'IPA ont révélé que jusqu'à 653 600 emplois seraient à «risque direct» si un objectif d'émissions de carbone nettes nulles était mis en place, en particulier dans les secteurs de l'agriculture, de la fabrication lourde et des mines de charbon.
Alors que certains ressortissants ont appelé à des exemptions pour le secteur agricole, l'indépendant Zail Steggall a déclaré que le fait de maintenir le secteur hors de l'objectif de zéro émission signifierait que le secteur risquerait de se voir facturer des tarifs sur le carbone d'autres pays.
Le député d'arrière-ban national Matt Canavan a averti que l'objectif de zéro émission nette de 2050 était la «mauvaise priorité» du gouvernement fédéral, a rapporté Sky News.
«On se concentre beaucoup trop sur ce qui pourrait ou non se produire dans 30 ans plutôt que sur les défis auxquels nous sommes confrontés en ce moment», a déclaré Canavan.
«Quand je pense à quel sera le plus grand défi pour mes enfants dans leur génération, je pense que c’est l’agression croissante du Parti communiste chinois dans notre région. Pas de neutralité carbone d'ici 2050. »
https://www.zerohedge.com/political/china-emits-more-carbon-2-weeks-australia-does-one-year-think-tank
La Chine 1 milliard 400 millions d'habitants
SupprimerL'Australie 25 millions, soit 56 fois moins d'habitants.
365:16=22,81
S’estimant trop riche, cette ville décide de baisser ses impôts locaux
RépondreSupprimer17:34 26.02.2021
Après l’arrivée inattendue de recettes fiscales dans ses caisses, la ville suisse de Cologny, environ 5.000 habitants, a décidé de réduire le fardeau des impôts locaux en 2021.
Alors que certaines villes et localités font face à de sérieux problèmes économiques, exacerbés par la crise sanitaire, d’autres semblent bien moins impactées. La commune suisse de Cologny, dans le canton de Genève, a engrangé ces deux dernières années des recettes fiscales inattendues, relate la Tribune de Genève dans un article repris par 20min.
Ainsi, après l’arrivée en 2019 d’un riche contribuable dans la localité, celle-ci a perçu 39 millions de francs suisses (environ 35 millions d’euros) de revenus au lieu des 26,5 millions espérés. En 2020, les rentrées budgétaires ont constitué 60 millions de francs, soit un peu plus de 54 millions d’euros, le double de ce qui avait été prévu (27 millions, soit 24 millions d’euros).
Baisse des impôts
Face à ces rentrées, la ville a décidé de baisser ses impôts locaux.
En novembre, Cologny dénonçait son potentiel appauvrissement si le Conseil d’État lançait son projet de faire financer par les communes une part des prestations sociales aux personnes âgées, ajoute le média. En effet, cette réforme coûterait 20 millions de francs suisses supplémentaires par an à la municipalité.
C'est unique PARCE QUE C'EST EN SUISSE !
SupprimerEn Suisse les finances sont aux regards du Peuple qui décide (par référendums).
"Toutes les sources d'information télévisée ne sont pas les mêmes": le Congrès et la pente glissante de la censure
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 26 FÉV 2021 - 15:16
Rédigé par Jonathan Turley,
Vous trouverez ci-dessous ma chronique sur la Colline sur l'audition d'hier sur les éventuelles limitations privées et publiques de la liberté d'expression et de la liberté de la presse, y compris une lettre de membres démocrates demandant aux entreprises pourquoi elles ne suppriment pas Fox News et les réseaux du câble. J'ai récemment répondu aux commentaires de la représentante Anna Eshoo lors de l'audience. Cependant, la lettre a souligné la pression continue exercée par les membres sur les Big Tech et les fournisseurs de câbles pour faire taire les points de vue opposés. Ce qui était le plus décevant, c'est qu'aucun membre démocrate n'a utilisé l'audience pour offrir une déclaration simple et unificatrice: nous nous opposons aux efforts visant à supprimer Fox News et ces autres réseaux de la programmation par câble. Aucun député démocrate n'a fait cette déclaration, qui (à mon avis) devrait être facile pour quiconque croit en la liberté d'expression et à la liberté de la presse. Même si tous les témoins (y compris celui qui a perdu son père à Covid-19) ont fait cette déclaration, aucun membre démocrate n'était disposé à déclarer publiquement qu'il s'opposerait aux efforts visant à retirer Fox News de l'accès au câble.
Ce silence était aussi glaçant au point d'être glacial.
Voici la colonne:
L'essayiste anglais Samuel Johnson a écrit que «lorsqu'un homme sait qu'il doit être pendu dans quinze jours, cela concentre son esprit à merveille». J'ai pensé aux paroles de Johnson en me préparant à comparaître devant un comité de la Chambre explorant les limites de la liberté d'expression, y compris une campagne menée par certains députés et activistes démocrates pour supprimer des réseaux comme Fox News des câblodistributeurs. En tant que personne qui vient de rejoindre Fox News en tant qu'analyste juridique de CBS et de la BBC, l'audition a concentré mon esprit «merveilleusement» sur l'avenir de la liberté d'expression et de la presse libre.
De plus en plus, la liberté d'expression aux États-Unis est décrite comme un danger qui doit être maîtrisé, par opposition à la valeur même qui nous définit en tant que peuple. Bien que je sois considéré par beaucoup comme un «puriste de la liberté d'expression», je maintiens ce qui était autrefois une vision dominante de la liberté d'expression. Je pense que la liberté d'expression est la meilleure protection contre les mauvais discours. Cette opinion est certes critiquée et peut même être une opinion minoritaire aujourd'hui. Mais l'histoire a montré que la censure publique ou privée ne produit pas un meilleur discours. Cela ne produit que plus de censure et un discours plus contrôlé.
Il ne fait aucun doute que nous sommes confrontés à un torrent de discours faux, haineux et extrémistes sur les réseaux sociaux et dans d'autres forums publics. Ce discours n'est pas sans coût: il alimente ceux qui sont pleins de rage, victimise les crédules et aliène les marginaux de notre société. C'est un fléau, mais pas nouveau.
La Constitution a été écrite non seulement pour des moments comme ceux-ci - elle a été écrite pendant des périodes comme celles-ci. La politique a toujours été un sport de sang, littéralement. Au début de notre République, républicains et fédéralistes n'essayaient pas de «s'annuler» au sens contemporain; ils essayaient de s'entre-tuer dans le vrai sens du terme, par des mesures comme les Alien et Sedition Acts. Il y avait aussi de fausses théories du complot sur les alliances avec la Grande-Bretagne, la France, l'Espagne et d'autres puissances étrangères. Les journaux et les pamphlétaires étaient très biaisés et partisans.
RépondreSupprimerLes membres du Congrès font maintenant pression pour la censure publique et privée sur Internet et dans d'autres forums. Ils sont rejoints par une alliance sans précédent d'universitaires, d'écrivains et de militants appelant à tout, de la censure à l'incarcération en passant par les listes noires. Par exemple, un article publié dans The Atlantic par le professeur de droit de Harvard Jack Goldsmith et le professeur de droit de l'Université de l'Arizona Andrew Keane Woods a appelé à une censure à la chinoise de l'Internet, déclarant que «dans le grand débat des deux dernières décennies sur la liberté contre le contrôle du réseau, la Chine avait largement raison et les États-Unis avaient largement tort.
Une grande partie des efforts des politiciens et des militants a été dirigée vers l'utilisation de la Big Tech pour censurer ou interdire les points de vue opposés, cherchant à réaliser indirectement ce qui ne peut pas être réalisé directement en restreignant la liberté d'expression. Le Congrès ne pourrait jamais s'engager dans ce type de discrimination de contenu brut entre les agences de presse en vertu du premier amendement.
Cependant, il peut user de son influence sur les entreprises privées pour limiter la liberté d'expression. Le mouvement a un sens évident si le désir est de façonner et de contrôler l'opinion - l'essence des médias contrôlés par l'État. Contrôler la parole sur certaines plates-formes n'a pas de sens si les citoyens peuvent encore entendre des points de vue opposés provenant d'autres sources. Vous devez non seulement contrôler le récit, mais également éliminer les alternatives.
L'effort le plus extrême a été rendu clair cette semaine alors que certains membres du Congrès cherchaient à faire pression sur des sociétés comme AT&T pour qu'elles reconsidèrent si les téléspectateurs devraient être autorisés à regarder Fox News et d'autres réseaux. Dans une lettre récente adressée à des câblodistributeurs comme AT&T, les démocrates de la Chambre Anna Eshoo et Jerry McNerney de Californie semblaient refléter les appels des militants à supprimer ces réseaux de leurs files d'attente. Les membres ont souligné que «toutes les sources d'information télévisée ne sont pas les mêmes» et ont appelé ces entreprises à rendre compte de leur rôle en permettant une telle «diffusion».
La lettre ciblait uniquement les réseaux que les députés et leurs électeurs n'aiment pas ou ne regardent probablement pas, une liste de toutes les grandes chaînes de télévision considérées comme conservatrices. Si les câblodistributeurs cédaient à une telle pression, il n'y aurait pas de grande chaîne de télévision offrant une alternative substantielle à la couverture de réseaux comme CNN et MSNBC. Des dizaines de millions de téléspectateurs seraient obligés de regarder ces chaînes ou de ne rien regarder du tout. La limitation ou l'élimination des réseaux conservateurs fonctionnerait clairement à l'avantage des démocrates - un conflit d'intérêts évident mis à nu non seulement par la demande, mais par l'inclusion uniquement de réseaux avec un large public conservateur.
RépondreSupprimerLes démocrates poussent les câblodistributeurs à expliquer leurs critères «moraux» pour permettre à des dizaines de millions de téléspectateurs d'accéder à Fox News et à d'autres réseaux ciblés. La réponse devrait commencer par les principes évidents de la liberté d'expression et d'une presse libre, qui ne sont même pas mentionnés dans la lettre d'Eshoo-McNerney. Au lieu de cela, on demande aux entreprises si elles vont imposer un jugement moral sur la couverture de l'actualité et, finalement, sur l'accès public.
Ce pays a traversé une longue et troublante période de codes moraux utilisés pour interdire les orateurs ou censurer le matériel qui empêchait les athées, les féministes et d'autres d'épouser leurs points de vue dans les journaux, les livres et les films. En effet, il fut un temps où le Parti démocrate combattait de telles règles de moralité, pour défendre la liberté d'expression.
Ceux qui recherchent les limites de la liberté d'expression parlent souvent de la parole comme s'il s'agissait d'une piscine qui doit être surveillée et soigneusement contrôlée pour la pureté et la sécurité. Je considère la parole plus comme un océan vallonné, dangereux mais aussi majestueux et inspirant, sa taille immense permettant un équilibre naturel. La liberté d'expression permet de contester de fausses idées au grand jour, plutôt que de forcer des points de vue dissidents sous la surface.
Je ne pense pas que les militants d’aujourd’hui réussiront à retirer la chaîne d’information par câble la plus regardée en 2020 des voies aériennes. Mais, encore une fois, je ne pensais pas que les sites de médias sociaux - bénéficiant d'une immunité légale en échange de la neutralité du contenu - censureraient un jour les points de vue.
Il y a environ 70 ans, le juge William O. Douglas a accepté un prix prestigieux avec un discours intitulé «The One Un-American Act», sur la plus grande menace pour une nation libre. Il a averti que la restriction de la liberté d'expression «est la plus dangereuse de toutes les subversions. C'est le seul acte non américain qui pourrait le plus facilement nous vaincre. Les mesures discutées au Congrès ont le potentiel de nous vaincre tous. Il est étonnamment facile de convaincre un peuple libre de renoncer à ses libertés, et extrêmement difficile de retrouver ces libertés une fois qu’elles sont perdues.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/political/not-all-tv-news-sources-are-same-congress-and-slippery-slope-censorship
Reculer pour mieux sauter ?
RépondreSupprimerLes plus vieux réacteurs nucléaires français rempilent pour dix ans
25 févr. 2021, 21:57
L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a autorisé sous conditions l’allongement de 40 à 50 ans l'activité des plus vieux réacteurs en France. Mais dix ans c’est vite passé, et la question de leur remplacement n’est pas tranchée. L’autorité administrative indépendante, chargée au nom de l’Etat de contribuer à la réglementation du nucléaire, d’en contrôler les installations et de «participer à l'information du public, y compris en cas de situation d'urgence», vient de rendre sa décision sur la prolongation de la durée d'activité des plus anciens réacteurs du parc nucléaire français.
Lire aussi Elisabeth Borne s'en prend au PDG d'EDF, accusé de vouloir fixer la politique énergétique du pays
Elle concerne 32 réacteurs d’une puissance installée de 900 MWe chacun, mis en service pour l'essentiel dans les années 1980 et dont la durée d'activité initialement prévue était de 40 ans. Ils devraient atteindre
progressivement cette échéance, que l’ANS appelle leur «quatrième réexamen périodique», au plus tard d’ici 2031.
Les centrales concernées sont les plus anciennes : Bugey (Ain), Blayais (Gironde), Chinon (Indre-et-Loire), Cruas (Ardèche), Dampierre (Loiret), Gravelines (Nord), Saint-Laurent (Loir-et-Cher) et Tricastin (Drôme). Selon la note d’information publiée sur son site : «L'ASN considère que l'ensemble des dispositions prévues par EDF et celles qu'elle prescrit ouvrent la perspective d'une poursuite de fonctionnement de ces réacteurs pour les dix ans qui suivent leur quatrième réexamen périodique.»
Elle prescrit la réalisation des améliorations de la sûreté prévue par EDF, et ajoute ses propres recommandations. EDF devra ainsi réaliser une série de tests et de travaux pour améliorer la sûreté de ses réacteurs. Un premier objectif est de réduire les conséquences des accidents et notamment des accidents graves, avec une fusion du cœur du réacteur «Un premier objectif est de réduire les conséquences des accidents et notamment des accidents graves, avec une fusion du cœur du réacteur», a expliqué à l'AFP Julien Collet, directeur général adjoint de l'ASN.
Les opposants au nucléaire réclament pour leur part une fermeture des centrales anciennes. «Les réacteurs nucléaires entrent dans une phase de vieillissement inconnue», estime ainsi Greenpeace. Il y a plusieurs questions cruciales, comme le coût de cette prolongation, le choix de remplacer ou non par une nouvelle technologie nucléaire ces équipements vieillissants, ainsi que le coût final de ces décisions, auxquelles ne répond pas l’ANS dont ce n’est au demeurant pas le rôle.
Renouvellement du parc à une date inconnue Mais une chose est sûre : sans cette prolongation de la durée de vie des centrales, la France aurait fait face à un déficit d’énergie dès l’hiver 2021/2022. En outre, cette décision a pour contexte une préoccupante indécision de la part de l’Etat. Ainsi, celle de renouveler le parc a officiellement été repoussée en novembre 2019 par l’ex-ministre de la Transition écologique, Elisabeth Borne, à une date inconnue, c’est-à-dire après l’ouverture de la centrale de nouvelle génération de Flamanville dans la Manche.
RépondreSupprimerA l’époque ce devait être fin 2021, soit avec déjà plus de dix ans de retard, et un budget ayant échappé à tout contrôle (3,3 milliards d’euros prévus pour un coût de 12,4 milliards aux dernières nouvelles). Mais le gouvernement a depuis gagné au moins un an de sursis. En effet, lors de son audition au Sénat le 17 février, le président d’EDF a révélé à propos de la centrale de Flamanville que le chargement du combustible était prévu pour la fin 2022, ajoutant que le risque relatif au calendrier et au coût final de l'EPR était «très élevé».
En 2020, le groupe détenu à 83,7% par l’Etat a réalisé 650 millions d'euros de bénéfice net, pour 69 milliards d'euros de chiffre d'affaires (-3,2%), selon un communiqué publié le 25 février. Le cash flow (trésorerie) d'EDF s'est établi à -2,7 milliards d'euros en 2020 et son endettement financier net atteignait 42,4 milliards à fin décembre.
https://francais.rt.com/economie/84210-reculer-pour-mieux-sauter-vieux-reacteurs-nucleraires-rempilent-dix-ans
Faut dire que depuis quelques décennies ce sont des records de froids qui s’abattent sur les Etats-Unis (jusqu'à 50 degrés sous la moyenne hivernale !) et la Russie (cause à la migration du pôle Nord vers la Sibérie ?). D'où la sûreté d'assurer l'avenir de l'électricité pour tous sans intermittence.
SupprimerCes millions de nouveaux emplois «verts» vont en Chine et en Inde
RépondreSupprimerPar Ronald Stein
24 février 2021
Lorsque «l'envoyé spécial» américain pour le climat, John Kerry, a récemment exhorté les travailleurs contrariés par la décision de l'administration Biden de saborder le pipeline Keystone XL pour «apprendre à fabriquer des panneaux solaires», il ignorait le fait que la Chine et l'Inde dominaient le marché de la fabrication de panneaux solaires.
Le plan Build Back Better Recovery du président Joe Biden vise à construire une infrastructure climatique moderne et résiliente qui créera des millions d'emplois syndicaux bien rémunérés, mais Biden, comme Kerry, n'est peut-être pas au courant du fait que l'Amérique est incapable de rivaliser financièrement avec le panneau solaire mondial. marchés manufacturiers sans subventions gouvernementales énormes.
La Chine et l'Inde contrôlent non seulement la chaîne d'approvisionnement des matériaux pour les panneaux solaires, les éoliennes et les batteries EV, mais ont également les contrôles environnementaux les moins stricts pour l'extraction des matériaux renouvelables comme le lithium, le cobalt, le nickel, le graphite, le cuivre, etc. d'autres, et des lois du travail minimales pour leur offre de main-d'œuvre à faible coût.
Pour répondre à leurs secteurs manufacturiers en croissance, la Chine et l'Inde sont extrêmement sérieuses quant à leur développement économique, ce qui signifie qu'il n'y a pas de place du tout pour l'électricité qui ne peut pas être livrée en volume, à la demande, 24 × 365, quelle que soit la météo. Par conséquent, la Chine a construit plus de capacité d’énergie au charbon au cours de la dernière décennie que tout autre pays du monde, car il semble qu’il n’y ait pas de fin en vue à la gigantesque ruée vers l’énergie au charbon de la Chine.
Le travail sous-traité dans des pays étrangers entraîne également une empreinte carbone plus élevée en plus de faire ce travail dans un endroit plus strictement contrôlé sur le plan environnemental comme l'Amérique.
Kerry a très peu appris des deux premiers pays à passer au vert - l'Allemagne et l'Australie. Le secteur manufacturier des deux pays ne peut concurrencer la Chine et l’Inde. Avec l'administration Biden cherchant à augmenter le salaire minimum à 15 dollars de l'heure, l'Amérique ne sera sûrement pas compétitive avec la Chine ou l'Inde pour fabriquer des panneaux solaires en Amérique.
À moins que les salaires et les conditions ne se détériorent de manière significative dans les pays avancés, la demande induite subventionnée pourrait augmenter pour les énergies renouvelables en Amérique, mais ces millions de nouveaux emplois «verts» pour les Américains ne se produiront pas comme Kerry l’espère. Ces emplois manufacturiers iront en Chine et en Inde, et les Américains auront les miettes pour simplement installer ces produits fabriqués à l'étranger, puis chercheront du travail ailleurs.
La mort et les impôts sont des certitudes, mais la relation entre les subventions gouvernementales aux emplois éoliens et solaires et les emplois «verts» devient évidente, dès que ces subventions sont réduites.
RépondreSupprimerComme cela a été le cas en Allemagne, en Australie et au Danemark, les investissements éoliens et solaires disparaissent dès que les subventions gouvernementales sont réduites. L'effondrement européen des fabricants d'éoliennes et de panneaux solaires a été soudain et stupéfiant, mais pas surprenant. L’économie «verte» de ces pays est devenue gangrenée:
80 000 ouvriers solaires allemands ont été licenciés à la suite d’une réduction des subventions et des emplois «verts» ont instantanément disparu.
L’Allemagne a mené la charge sur l’électricité intermittente éolienne et solaire si sérieusement qu’elle a un mot pour elle, Energiewende, mais comme les subventions ont été réduites, son industrie éolienne a dû faire face à Armageddon, ce qui a stoppé la construction d’éoliennes en Allemagne.
Le rapport du Global Warming Policy Forum a révélé que le nombre d'emplois dans le secteur allemand des énergies renouvelables - production et installation - avait presque diminué de moitié, passant de 300 000 en 2011 à environ 150 000 en 2018.
Douze pays de l'Union européenne (UE) n'ont pas réussi à installer «une seule éolienne» en 2018. Et, par conséquent, les fabricants de turbines et de panneaux solaires chutent comme des mouches, alors que les subventions sont réduites à travers l'Europe.
Dans le mirage des emplois verts au Danemark, le plus grand fabricant d’éoliennes a licencié des centaines de travailleurs en raison de la réduction des subventions.
Les emplois éoliens et solaires sont des travaux intermittents financés par des subventions du gouvernement pour produire de l'électricité intermittente. Comme nous l’avons appris des défaillances intermittentes de l’électricité, les Nor’easters sont désastreux pour une Amérique verte.
L'électricité intermittente provenant de l'énergie éolienne et solaire est fondamentalement moins intensive en emplois que la fourniture d'énergie à partir de sources d'énergie traditionnelles. Pour une électricité continue, ininterrompue et fiable, il faut des centaines, parfois des milliers de travailleurs qualifiés pour exploiter les centrales au charbon, au gaz et aux centrales nucléaires qui en fournissent. En revanche, les panneaux solaires et les éoliennes sont en grande partie réglés et oubliés une fois qu'ils sont opérationnels.
Le plan de relance est une excellente solution temporaire pour les entreprises et l'emploi en ces temps de pandémie, mais les économies ne peuvent pas survivre avec des fonds gouvernementaux continus. Les subventions constantes des contribuables à perpétuité qui soutiennent la production d'électricité intermittente à partir d'énergies renouvelables éoliennes et solaires, ne produisent pas d'emplois significatifs; c'est le bien-être sous un autre nom.
Avec la récente réduction ou l'élimination des subventions gouvernementales en Allemagne, en Australie et au Danemark à l'esprit, il faudrait une âme courageuse ou une personne inconsciente des faits pour vanter une aubaine d'emplois "verts '' en Amérique pour des emplois subventionnés, intermittents et totalement une électricité peu fiable provenant d'éoliennes et de panneaux solaires qui est devenue une catastrophe sociale et économique avérée dans d'autres pays.
https://www.cfact.org/2021/02/24/those-millions-of-new-green-jobs-are-going-to-china-and-india/
Facebook, Tweeter et autres Youtube : cherchez l’erreur !
RépondreSupprimerle 27 février 2021
Je ne disserterai pas dans ce billet des évènements de censure sur les réseaux dits sociaux dont je refuse catégoriquement de faire partie qui ont eu lieu dans divers pays. Je voudrais seulement donner mon impression sur ce qui s’est passé en France ces derniers mois, des censures qui ont toutes été liées à l’épidémie de coronavirus. Il y a d’abord eu la censure du documentaire « Hold-Up » qui très rapidement est devenu inaccessible sur Youtube puis sur le site de France-Soir la censure de l’exposé du Docteur en génétique Alexandra Henrion-Caude et enfin les misères auxquelles est confronté le Docteur Martine Wonner, par ailleurs députée de la République. Certes, il existe bien d’autres cas de censure sur les réseaux sociaux mais si on rapproche ces trois « cas » (dont on n’a pas besoin de test RT-PCR pour les identifier) et les difficultés rencontrées pour avoir accès aux exposés de la « Coordination Santé Libre » dont je suis tant bien que mal les apparitions sur Youtube, il y a comme une impression de censure commandée par les dirigeants politiques auprès de ces réseaux.
Les algorithmes ont bon dos ! Quand ces réseaux sociaux sont contactés par une « victime » la réponse est invariablement la même : c’était une erreur de filtrage par les algorithmes. Il ne faut pas prendre les gens pour des idiots. Ces censures sont exigées par le pouvoir politique et c’est bien compréhensible : depuis le Président de la République jusqu’aux obscurs conseillers scientifiques dont on ignore les qualifications l’angoisse commence à s’amplifier car de toutes parts les évidences s’accumulent quant à la gestion erratique de l’épidémie coronavirale et au psychodrame relatif à l’hydroxychloroquine. En dehors, naturellement, du gouvernement et de ses affidés et de l’apparition d’une autre bête noire qu’est l’ivermectine, tout l’échafaudage de mensonges du pouvoir politique français est sur le point de s’écrouler. Avoir laissé délibérément des braves citoyens mourir car depuis le début de l’épidémie le gouvernement attendait le fameux vaccin miracle après la tentative avortée mais coûteuse de promotion du remdesivir, les autorités politiques se sont rendues coupable d’homicide et de mise en danger des citoyens. Il était donc hors de question d’autoriser les médecins généralistes de ville de prescrire l’hydroxychloroquine associée ou non à de la vitamine D, du zinc et éventuellement de l’azithromycine pour laisser la voie libre aux vaccins.
Madame Henrion-Caude a osé alerter sur la dangerosité de ce vaccin d’un type nouveau jamais utilisé auparavant chez l’homme et commercialisé à la va-vite sans la moindre étude d’effets indésirables à moyen ou long terme. Elle a été immédiatement censurée. Et ni Facebook, ni Youtube n’en tiraient un quelconque bénéfice sinon de voir leur image se dégrader. Je ne voudrais pas paraître comme un complotiste mais je trouve tout ça troublant. Que les laboratoires pharmaceutiques donnent des ordres à ces outils d’information mondiaux est une autre possibilité car s’ils ont déjà empoché des centaines de milliards de dollars et tout le monde sait qu’ils en veulent toujours plus. Je n’y crois pas trop mais par contre je suis convaincu que le gouvernement français, sentant venir l’heure du verdict populaire, s’affole et a décidé d’attaquer pour tenter de se défendre. Il suffit de constater l’attitude systématiquement vindicative du ministre de la santé lorsqu’il intervient à l’Assemblée nationale, c’est tout à fait révélateur d’un individu dont la compromission rend nerveux. Le vieux Delfressy doit porter des couches-culottes car on le sent terrorisé, et pour cause c’est lui qui va sauter quand le scandale gouvernemental pour homicide volontaire sera mis devant la place publique. Souvenez vous du scandale du sang contaminé, la ministre de la santé de l’époque est restée droite dans ses bottes et c’est un inconnu subalterne qui a été mis à l’ombre. Ce sera peut-être aussi Salomon dont la faculté de raisonner est descendue dans son porte-monnaie comme d’ailleurs pour Delfressy. Le Professeur Christian Perronne a été « puni » mais personne n’a encore osé « toucher » au Professeur Raoult en dehors de quelques journalistes délégués par le pouvoir central à Marseille pour essayer de pousser à la faute cet illustrissime infectiologue. Il ne s’est pas laissé impressionner, c’est le moins qu’on puisse dire.
RépondreSupprimerToutes les attaques systématiques contre le traitement précoce des malades symptomatiques avec de l’hydroxychloroquine, un traitement devant être prescrit par les médecins de ville, interdits de prescription, ont été dirigées non pas contre le Professeur Raoult mais parce que cette molécule qui ne coûte rien aurait coupé l’herbe sous le pied des laboratoires pharmaceutiques. Donc le gouvernement français dans son ensemble et le Président de la République sont complices de cette machination odieuse et criminelle, ces attaques permanentes contre le Professeur Raoult et quelques-uns de ses courageux collègues en sont la preuve évidente.
J’ai écrit il y a quelques semaines un billet un peu ésotérique sur la « surmortalité » induite par le SARS-CoV-2 compte tenu du vieillissement de la population française. Les exactions (il faut appeler un chat un chat) du pouvoir politique ont provoqué la mort prématuré de 7000 à 10000 personnes en France, et je suis optimiste. Il faudra que ce pouvoir politique rende des comptes et comme cette éventualité approche alors les dernières parades grossières trouvées sont de censurer les empêcheurs de tourner en rond, CQFD. Il ressort donc de ce bref récit que le gouvernement français a été manipulé (avec l’approbation de l’Elysée) et que par conséquent l’ensemble de la population a été également manipulé : 10000 morts de trop (peut-être beaucoup plus) c’est énorme.
- voir clip (les guignols de l'info 11/10/2005) sur site :
https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/02/27/facebook-tweeter-et-autres-youtube-cherchez-lerreur/
Un iceberg plus grand que la Martinique s’est détaché de l'Antarctique
RépondreSupprimer18:54 27.02.2021
Un iceberg de 1.270 km², superficie comparable à celle de la Martinique ou du Val-d’Oise, s'est détaché de la plateforme de glace de Brunt dont l’épaisseur atteint 150 mètres, indique le British Antarctic Survey (BAS).
Observée par des scientifiques depuis 2012, une fissure dans la plateforme de glace de Brunt, en Antarctique, a finalement conduit au détachement d’un iceberg de 1.270 km², fait savoir le British Antarctic Survey (BAS) dans un communiqué.
Le BAS a filmé depuis un avion l’énorme morceau de glace épais de près de 150 mètres et dont la superficie est supérieure à celle de la Martinique (1.128 km²) ou encore du Val-d’Oise (1.246 km²).
Une station britannique évacuée
Constatant en novembre dernier l’imminence du vêlage, le BAS a évacué mi-février 12 personnes qui travaillaient à la station Halley VI située à moins de 20 kilomètres de la zone de rupture.
Depuis 2017, le personnel n'était déployé que pendant l'été antarctique, car pendant les mois sombres de l'hiver une évacuation serait compliquée.
«Nos équipes au BAS se préparaient au vêlage d'un iceberg de la plateforme de glace de Brunt depuis des années. Nous la surveillons quotidiennement à l'aide d'un réseau automatisé d'instruments GPS de haute précision qui entourent la station. Ceux-ci mesurent comment la plateforme de glace se déforme et se déplace», indique Dame Jane Francis, directrice du BAS.
D’après elle, au cours des semaines ou des mois à venir, l'iceberg pourrait s'éloigner ou, au contraire, rester près de la plateforme de glace de Brunt.
Un monstre de glace
Ce n’est pas la première fois qu’un iceberg géant se détache de l’Antarctique. Le 12 juillet 2017, suite à une fissure, l’iceberg A68a s’est détaché de la banquise Larsen C et dérive depuis vers la Géorgie du Sud. Initialement, il avait une superficie de près de 6.000 km² et était considéré comme le plus gros iceberg du monde. En avril, il a perdu un morceau d’environ 175 km². À titre de comparaison, Paris s’étend sur une superficie de 105,4 km².
Le 'vêlage' effectué par les glaciers n'est pas de mettre bas un bout de glace mais de se séparer d'un de ses congénères. Cette action résulte de l'érosion de sa base collée sur l'endroit où apparaît une source chaude magmatique. Ces éruptions de la masse ferrique incandescente sont tout-à-fait soudaines comme aléatoires
Supprimeret peuvent avoir lieu en pleine mer ou océan comme sous terre désignées comme volcans.
Il n'y a donc pas lieu à s'inquiéter des émotions journalistiques de la presse people.
"Au début du printemps, l'hiver est terminé ?" - De nouveaux modèles météorologiques suggèrent des températures plus chaudes proches
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 27 FÉVRIER 2021-13: 05
Après qu'un février brutal a plongé une grande partie des États-Unis dans un gel profond avec de multiples tempêtes hivernales en raison de la scission dans le vortex polaire (quelque chose dont nous avions mis en garde début janvier), un groupe de météorologues suggère que l'hiver pourrait être terminé dans certaines régions. le printemps est en avance.
"Si tôt le printemps, l'hiver est terminé ? Il n'y a littéralement pas d'hiver sur ces cartes - nous pensons que le froid hivernal est globalement enveloppé", a déclaré Kirk Heinz de BAMWX.
- voir carte sur site -
Heinz, le météorologue en chef de la société de services météorologiques, a déclaré: "avec les restes du vortex polaire qui devraient se déplacer au nord de l'Alaska, le MJO s'est concentré sur le continent maritime à venir et l'état atmosphérique assez La Niña à venir ... la chaleur est attendue. étendre largement à travers le centre et l'est des États-Unis dans les zones exactes qui ont fonctionné à plus de 10 degrés sous la normale en moyenne la majeure partie de février à ce jour.
Le modèle météorologique de BAMWX intitulé "Départs de température à la semaine 2 et à la semaine 2% de précipitations normales" montre entre le 5 mars et le 11 mars que les températures dans le centre-ouest, le sud-ouest, le centre-est, le sud-est, le centre de l'Atlantique et le nord-est seront bien supérieures à la moyenne - des conditions plus sèches sont attendues pour une grande partie du pays tout au long de la période.
- voir carte sur site -
Le prochain modèle météorologique intitulé "Perspectives de température de la semaine 3/4 et perspectives des précipitations de la semaine 3/4" montre entre le 12 mars et 25 mars des températures supérieures à la moyenne dans tout le pays - conditions plus sèches dans les Rocheuses mais plus humides dans le sud-ouest .
- voir carte sur site -
BAMWX suggère qu'un "démarrage précoce de l'année de plantation" est possible.
Nous avons dit aux lecteurs lundi dernier de s'attendre à un temps plus chaud entre le 23 février et le 10 mars, bien qu'avec l'ajout des données de BAMWX, peut-être que le temps plus chaud pour le pays pourrait persister pendant tout le mois de mars. Comme nous le savons tous, la modélisation météorologique est difficile et sujette à changement.
https://www.zerohedge.com/weather/early-spring-winter-over-new-weather-model-suggest-warmer-weather-trends
"Après la pluie vient le beau temps" Çà alors !!
Supprimer"Pas de solution sans Pékin": la Chine représente 30 % des émissions mondiales de gaz carbonique
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 27 FÉV 2021-11: 25
Pour tous les nouveaux «guerriers du changement climatique» qui signalent la vertu, à commencer par Greta Thunberg bien sûr, nous n'avons qu'un seul message: veuillez porter vos plaintes à Pékin (si vous osez).
Comme l'écrivent les économistes chinois de Goldman, à ce jour, plus de 120 pays ont annoncé des objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) et l'engagement récent de la Chine «peut être l'un des plus ambitieux», voire des plus ridicules. Lors de l'Assemblée générale des Nations Unies en septembre dernier, le président Xi Jingping a promis que la Chine visait un pic d'émissions de gaz carbonique d'ici 2030 et la neutralité carbone d'ici 2060. Lors de la cinquième séance plénière du 19e Congrès du parti en octobre dernier, discussions autour du 14e plan quinquennal et les objectifs à long terme décrivaient la stabilisation et la baisse des émissions de carbone d'ici 2035. En décembre dernier, le gouvernement a publié un livre blanc intitulé «Le développement énergétique de la Chine dans la nouvelle ère» et, en février 2021, le Conseil d'État a publié les directives pour la construction d'un bas vert système économique du carbone.
S'il est clair que la Chine a - du moins en théorie - commencé à jeter les bases de la réalisation de zéro émission nette au cours des quatre prochaines décennies, la question est de savoir dans quelle mesure ce n'est qu'un écran de fumée vertueux pour taire les critiques. En réponse, les analystes de Goldman ont effectué un travail approfondi sur ce sujet, modélisant les chemins technologiques vers le net zéro secteur par secteur, de l'énergie renouvelable à la mobilité électrique, et de l'hydrogène à la capture du carbone, afin de fournir une perspective macroéconomique et de regarder l'économie de La décarbonisation de la Chine compte tenu des défis uniques auxquels elle est confrontée et des avantages dont elle dispose.
Comme le résume Goldman, "il ne fait aucun doute que" Carbon Neutral 2060 "sera une entreprise énorme étant donné la dotation naturelle de la Chine en charbon, la structure économique de la Chine en tant que puissance industrielle et son stade actuel de développement économique." Cela dit, les caractéristiques de son système politique et économique suggèrent également que la Chine est peut-être mieux placée pour relever le défi que d'autres pays. Dans le cas de la Chine, Goldman s'attend à une approche à plusieurs vitesses en deux étapes où la plupart des réductions d'émissions ont lieu après 2035 et différents secteurs et régions se déroulent à des rythmes différents.
Si personne ne peut prédire ce qui se passera dans 40 ans, une chose est claire: il ne peut y avoir «de solution globale sans la Chine».
Goldman écrit que la résolution du problème du «changement climatique» nécessite des réductions drastiques des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Mais réduire les émissions mondiales est également extrêmement difficile en raison de diverses externalités (par exemple, le coût des émissions d'un pays peut être supporté par des personnes dans un autre pays) et des échecs de l'action collective (par exemple, une activité polluante peut passer de juridictions à forte taxe carbone à une taxe faible en carbone. juridictions). Dans ce contexte, la Chine devra faire partie intégrante de toute solution au problème du changement climatique.
RépondreSupprimerPourquoi ? Parce que la Chine représentant 30 % des émissions totales de gaz carbonique du monde, Goldman écrit qu '"aucune solution mondiale n'est viable sans la Chine".
- voir graphique sur site -
Quelques détails supplémentaires de Goldman:
Par rapport à sa part mondiale de la population et du PIB, la Chine émet beaucoup plus de gaz carbonique (figure 2). Il y a deux raisons à cela.
Premièrement, la Chine est riche en charbon et le charbon génère beaucoup plus de gaz carbonique que le gaz naturel pour chaque unité d'électricité produite. Par exemple, le charbon représente 68 % de l’approvisionnement en électricité de la Chine contre 29 % aux États-Unis et 21 % dans l’Union européenne.
Deuxièmement, la structure économique de la Chine est plus énergivore que celle de nombreux autres pays. Par exemple, pour chaque yuan de PIB produit, l'industrie secondaire (les industriels) consomme trois fois plus d'électricité que l'industrie tertiaire (services) en Chine. Malgré les progrès en cours dans l'expansion du secteur des services, l'industrie secondaire représente toujours 39 % du PIB chinois, contre seulement 18 % aux États-Unis.
- voir graphique sur site -
Outre les difficultés liées à sa structure économique, le stade de développement de la Chine impose des défis supplémentaires à ses efforts de décarbonisation. Le graphique suivant montre la relation entre le PIB par habitant et les émissions par habitant sur les données 1990-2019 pour 20 grandes économies. Au départ, à mesure que le PIB augmente à partir d'un niveau bas, les émissions augmentent en conséquence, et ce n'est qu'après que le PIB par habitant atteint environ 40 000 dollars en PPA - qui était le niveau des États-Unis en 1990 et du Japon en 2015 - que les émissions par habitant commencent à se stabiliser. et déclin. Ce tournant représente environ 2,5 fois le PIB par habitant actuel de la Chine. Cela signifie que de manière réaliste, les émissions de gaz carbonique chinoises devraient doubler dans les années à venir !
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerCompte tenu des différences importantes entre les économies, Goldman compare également la Chine continentale à Taiwan et à la Corée du Sud, deux économies qui partagent une culture et une structure économique similaires à celles de la Chine. Il a aligné l’économie de la Chine continentale en 2010 sur celle de Taïwan en 1987 et celle de la Corée du Sud en 1991, ces années ayant marqué les moments respectifs où la croissance du PIB a commencé à ralentir notablement. La figure 4 montre que la croissance du PIB de la Chine continentale suit de près l’expérience de Taiwan et de la Corée du Sud et pourrait se situer en moyenne autour de 5 % au cours des 10 prochaines années. La pièce 5 montre que, si les émissions de carbone de la Chine continentale suivaient également l’expérience de Taiwan et de la Corée du Sud, elles augmenteraient considérablement au cours de la prochaine décennie en l’absence de changements politiques drastiques et / ou de percées technologiques.
- voir graphique sur site -
La Chine se heurte à de nombreux autres obstacles, notamment le stock de capital relativement jeune et des retombées financières potentiellement plus importantes. Concernant le stock de capital, l'Agence internationale de l'énergie (AIE) estime que l'âge moyen des actifs dans les industries chinoises de la chimie, de l'acier et du ciment n'est que d'environ 10 ans, alors que la durée de vie typique de ces actifs est de 30 à 40 ans (Figure 6 ). Le remplacement d'un stock de capital relativement jeune est plus susceptible de créer des actifs bloqués et de générer des effets de richesse négatifs.
En ce qui concerne les retombées financières, en raison de la forte dépendance de la Chine au charbon pour l'énergie, l'extraction du charbon et les services d'électricité au charbon représentent également une part importante du total des prêts bancaires en Chine - environ 5 % - par rapport à d'autres pays (par exemple, 1% au Japon et Corée du Sud). Si la demande de charbon devait se contracter rapidement, de nombreuses mines de charbon et centrales électriques au charbon pourraient devenir insolvables, augmentant le risque de défaut de paiement de leurs prêts et obligations. Certains chercheurs ont suggéré que les taux de défaut des mineurs de charbon pourraient dépasser 20 % d'ici 2030. Dans ce scénario, le secteur subirait autant de stress que lorsque les prix de l'énergie s'effondreraient en 2014 (Figure 7) .4 Les pertes sur les prêts bancaires pourraient à terme réduire PIB réel de 1 pp sur la base des estimations de Goldman des liens entre les prêts improductifs, les prêts bancaires et la croissance économique.
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerBien qu'il y ait diverses autres observations dans le rapport Goldman complet (disponible à l'endroit habituel), la conclusion de la banque est que dans sa poursuite d'une "approche à plusieurs vitesses", Pékin doit trouver un équilibre en atteignant zéro émission nette: aussi Un changement rapide peut faire dérailler d'autres objectifs politiques tels que le doublement des revenus d'ici 2035, mais agir trop lentement pourrait conduire les émissions à un pic à un niveau trop élevé. La première des deux étapes comprend des mesures de réduction à faible coût telles que l'énergie renouvelable et les déchets / recyclage, ainsi que des investissements en R&D pour améliorer les technologies de réduction. Les régions chinoises à revenu élevé et à faible intensité énergétique de la production peuvent se permettre de déménager en premier et se concentreront probablement sur le secteur des transports.
En fin de compte, comme pour tout le reste, quoi que la Chine déclare en public, ce qui se passe en réalité est généralement le contraire. C'est pourquoi tous ceux qui espèrent que Pékin tiendra fidèle à sa promesse de neutralité carbone d'ici 2060 ... seront déçus. C'est aussi pourquoi les vrais écologistes - et non ces poseurs espérant une popularité rapide ou un coup de pouce SnapChat - sont encouragés à porter leurs plaintes et leurs plaintes en Chine et à cesser de se concentrer autant sur les États-Unis ...
- voir graphique sur site -
... dont les émissions sont maintenant à un niveau bas de trois décennies et en baisse rapide.
https://www.zerohedge.com/technology/no-solution-without-beijing-china-accounts-30-global-co2-emmission
(...) la Chine représente 30 % des émissions mondiales de gaz carbonique (...)
SupprimerHAHAHAHA !
Sachant que le magma (Premier Producteur de Gaz Mondial) évacue des millions (milliards ?) de fois plus que 7 milliards d'habitants...
... et que tous les gaz se recyclent...
Pollution et pollution
Supprimerjeudi 13 novembre 2014
http://globaleconomicanalysis.blogspot.fr/2014/11/historic-hype-over-global-warming.html
Pareillement qu'il est facile d'accuser une famille nombreuse de plus consommer qu'un célibataire et donc de taxer le grand nombre de tous les maux de la Terre, dernièrement un économiste a publié un graphique sur les pays les plus gros consommateurs de pétrole (donc: pollueurs). Graphique qui montrait la Chine, les USA, l'Inde et la Russie les quatre premiers d'une liste de 19 pays sélectionnés comme étant les plus pollueurs.
Oui mais, de la même façon que l'on peut citer Monaco et Macao comme étant les pays les plus peuplés de la Terre (au km²), je répondrais pour les pollueurs que c'est en fait le contraire !
Compte tenu du nombre d'habitants et de la quantité de pétrole consommée, l'Arabie Saoudite arrive largement en tête des pays les plus pollueurs de la Terre ! Cela vous étonne ? C'est bien d'ailleurs la première fois que vous lisez un tel article face au bassinnage médiatique quotidien que c'est La Chine qui est le plus gros pollueur monstrueux de la Terre !
1 - Arabie Saoudite
2 - Australie
3 - Canada
4 - USA
5 - Corée du Sud
6 - Russie
7 - Allemagne
8 - Afrique du Sud
9 - Japon
10 - Italie
11 - Royaume-Uni
12 - Chine
13 - Turquie
14 - Argentine
15 - Mexique
16 - Inde
17 - Indonésie
18 - France
19 - Brésil
C'est bien en divisant la quantité de pollution émise par le nombre d'habitants que l'on peut mieux se rendre compte de la vérité cachée !
Car, c'est bien au nombre d'habitants qu'il faut regarder (et non à la superficie d'un pays). L'Alaska avec ses 731.000 hab. et 1.717.854 km² consomme plus d'énergie par le fait qu'il y fait froid et que la lumière est manquante dans l'hiver long. Pareillement que le sont d'autres en Europe du Nord (Norvège, Suède, Danemark, Finlande, Islande, etc) mais qui ne sont listés dans les 19 choisis, la consommation de pétrole par habitant doit être plus élevée qu'en Afrique, car je ne pense pas qu'ils aient choisi de brûler du bois des forêts où les arbres poussent lentement, ni qu'ils se contentent de se chauffer avec des arètes de poissons !
Et c'est bien pourquoi la Chine et le Brésil (entr'autres) ont toujours refusé de s'acquitter de la taxe aéroportuaire pour les avions en ce qui concerne le gazcarbonique décrit comme étant La pollution !!
Ce qui est malheureusement désigné comme pollution est le gazcarbonique que nous rejetons continuellement en respirant, d'où chaque habitant de la Terre (animaux y compris) montré comme pollueur !! Pareillement que le fumier est une pollution, c'est bien cette pollution qui fait pousser les plantes !! et NOUS NOURRIT TOUS LES JOURS !
D'où le merci à la pollution d'être là sans quoi nous n'y serions pas !
https://huemaurice5.blogspot.com/2014/11/pollution-et-pollution.html