Si la réduction des activités humaines a fait baisser les émissions de gaz carbonique, elle a également fait diminuer les aérosols qui bloquent une partie de la chaleur du soleil.
par Michel Pralong
5 février 2021, 10:13
Les aérosols ont un effet sur la densité des nuages et contribuent à renvoyer dans l’espace les rayonnements solaires.
Difficile de trouver du positif à la pandémie qui ravage notre planète. Parmi les rares bonnes nouvelles, il y a le fait que le confinement et le ralentissement des activités humaines ont provoqué en 2020 une baisse record de 7 % des émissions de gaz carbonique. Au moins, pouvait-on alors penser, le coronavirus est bon pour le climat. Mais une étude vient tempérer quelque peu ce rare élan d’enthousiasme.
Un air moins pollué
Selon le National Center for Atmospheric Research (NCAR), institut américain de recherche sur l’atmosphère, les mesures de confinement ont entraîné un air plus pur sur la planète. Ce qui est plutôt réjouissant. Sauf que la pollution a comme rare mérite de bloquer une partie du rayonnement solaire et donc de refroidir un peu la planète.
«Il y a eu une forte baisse des émissions des industries les plus polluantes – essentiellement la suie et le sulfate (SO4) – et cela a eu des effets immédiats et à court terme sur les températures», a déclaré Andrew Gettelman, scientifique du NCAR, cité par le site SciTechDaily. Ce phénomène de brutale chute d’émissions d’aérosols dès le printemps dernier a logiquement été plus marqué dans les pays fortement industrialisés comme les États-Unis et la Russie.
Ces écarts de température ne sont pas énormes, mais pas négligeables non plus. Ainsi, alors que les températures sur certaines parties de la planète étaient au printemps dernier entre 0,1 et 0,3 °C plus élevées qu’attendu vu les conditions météo, cet écart était encore plus grand dans les pays à fortes émissions d’aérosols: + 0,37 °C sur une grande partie de la Russie et des États-Unis.
Ne pas augmenter les aérosols
Du coup, les effets du confinement sur le réchauffement climatique relèvent d’une mécanique complexe. D’un côté, nous avons les aérosols qui ont un impact sur les propriétés optiques des nuages et contribuent ainsi à renvoyer la chaleur solaire dans l’espace, donc à refroidir la planète. De l’autre, le gaz carbonique et les gaz à effet de serre qui font l’inverse, emprisonnant la chaleur près de la surface terrestre, donc faisant augmenter les températures.
Le groupe de scientifiques qui a publié cette étude dans AGU reconnaît certaines limites aux modèles qu’il a employés pour ses calculs, faisant que ses résultats pourraient se situer dans la fourchette haute des écarts de température. Reste que, selon lui, la diminution des aérosols due à la crise du coronavirus a eu un impact plus important sur les variations de température que la diminution des émissions de gaz carbonique et de gaz à effet de serre. La solution n’est évidemment pas d’augmenter les émissions d’aérosols puisque cela provoquerait davantage de pollution avec des effets négatifs sur la santé et l’environnement. Il s’agit plutôt maintenant d’essayer de mieux comprendre l’influence des divers types aérosols sur les conditions atmosphériques afin d’établir la meilleure stratégie pour qu’ils ne contribuent pas, ou moins, au réchauffement.
https://www.lematin.ch/story/le-confinement-contribue-au-rechauffement-climatique-628123185699
(...) 2020 une baisse record de 7 % des émissions de gaz carbonique (...)
RépondreSupprimer500 000 000 de personnes qui se seraient empêcher de respirer pendant tous l'emprisonnement à domicile !
ou...
500 millions de personnes décédées ?
Notez qu'il y a 57 millions de morts par an dans le monde, pour 147 millions (2017) de naissances.
« Chaque jour, dans le monde, on compte plus de 380 000 naissances et 160 000 décès.
Notez aussi qu'il y a eu 80 milliards de personnes nées depuis les débuts de l'humanité... sans élévation du gaz carbonique !! Çà alors !
En 2020, la Chine a construit trois fois plus d'électricité au charbon que le reste du monde
RépondreSupprimerLa puissance du charbon augmente dans la deuxième plus grande économie alors même que la Chine dit au reste du monde de «réduire le carbone»
February 5th, 2021
Si, hypothétiquement, la Chine devait financer des groupes anti-charbon dans les pays avec lesquels elle est en concurrence - ce serait une stratégie efficace de leur faire du mal et de profiter à la Chine. Quels journalistes nous diraient si cela se produisait ?
La capacité de la nouvelle centrale électrique au charbon de la Chine en 2020 est plus de trois fois supérieure à celle du reste du monde: étude
SHANGHAI (Reuters) - La Chine a mis en service 38,4 gigawatts (GW) de nouvelle capacité électrique au charbon en 2020, selon une nouvelle étude internationale, soit plus de trois fois la quantité construite ailleurs dans le monde et compromettant potentiellement ses objectifs climatiques à court terme .
Le pays a été salué l'année dernière après que le président Xi Jinping se soit engagé à rendre le pays «neutre en carbone» d'ici 2060. Mais les régulateurs ont depuis été critiqués pour ne pas avoir correctement contrôlé le secteur de l'énergie au charbon, une source majeure de gaz à effet de serre qui réchauffent le climat.
En incluant les déclassements, la capacité de la flotte au charbon de la Chine a augmenté de 29,8 GW nets en 2020, alors même que le reste du monde a réduit de 17,2 GW, selon une étude publiée mercredi par Global Energy Monitor (GEM), un groupe de réflexion américain, et le Centre de recherche sur l'énergie et l'air pur basé à Helsinki (CREA).
Les Verts se soucient-ils plus d'arrêter la hausse du gaz carbonique ou d'aider les partenaires de l'industrie co-dépendants non compétitifs dans leur propre pays ? Jugez-les par leurs choix: protestent-ils davantage contre le nouveau charbon chinois ou contre les subventions aux partenaires ?
L'ampleur de la disparité est stupéfiante:
Comment la surabondance d'énergie au charbon de la Chine obscurcit ses ambitions zéro carbone
Echo Xie, SCMP
Même pour Christine Shearer, chercheuse chevronnée sur le développement énergétique de la Chine, les données étaient surprenantes.
L'année dernière, lorsque la Chine s'est engagée à être neutre en carbone d'ici 2060, le pays a construit l'équivalent d'une grande centrale électrique au charbon par semaine, ajoutant plus de trois fois plus de nouvelles capacités d'électricité au charbon que tous les autres pays du monde réunis. En outre, plus de 73 gigawatts de nouveaux projets de production d'électricité au charbon ont été proposés en 2020, cinq fois plus que le reste du monde combiné.
«[La Chine] abritait 85 % des nouvelles propositions de centrales à charbon et plus de 75 % de l'énergie au charbon mise en service en 2020», a-t-elle déclaré. «Les provinces chinoises ont également permis une plus grande capacité de construction alimentée au charbon en 2020 que les trois dernières années combinées.»
Si les Verts se préoccupaient du gaz carbonique, ils se soucieraient de la plus grande source de gaz carbonique d''origine humaine' de la planète. Au lieu de cela, leurs racines socialistes prédisent bien mieux leurs actions que les fausses préoccupations environnementales. Les entreprises qui n’ont pas besoin des gouvernements pour faire des profits sont une menace pour les collectivistes. Les entreprises qui ont besoin de Big Gov feront toujours pression pour Big Gov, et feront un don à Big Gov, et rejoindront la culture d'annulation et les messages toxiques.
En fin de compte, les sociétés d'énergie indépendantes sont au service des citoyens. Les entreprises énergétiques dépendantes servent le grand gouvernement.
h / t Matt Canavan.
PS: Quelqu'un peut-il trouver un lien vers le rapport original ?
https://joannenova.com.au/2021/02/in-2020-china-built-three-times-more-coal-power-than-the-rest-of-the-world/
Mais, comme la Chine contient le plus grand nombre de surdoués dans le monde, ils savent que TOUS les gaz se recyclent depuis toujours.
SupprimerPréparez-vous aux pénuries d'énergie, à la hausse des coûts et au rationnement
RépondreSupprimerPar Larry Bell
3 février 2021
Attendez-vous à ce que vos futures empreintes carbone soient reliées à une scène de crime sujette à des violations de la «justice climatique et énergétique» devant le tribunal supérieur de la durabilité.
Les frais potentiels ?
Ces péchés comprendront la propriété et le fonctionnement d'un véhicule à combustion interne, la falsification des limites de réglage du thermostat supérieur ou inférieur réglementé et / ou une consommation d'électricité excessive basée sur votre superficie maximale de pieds carrés par habitation.
Pourquoi me croire ?
Tout simplement, parce que le parti politique américain qui contrôle récemment a déjà lancé un programme accéléré de destruction de train pour arrêter et remplacer 80% de l'énergie d'hydrocarbures abondante et fiable en augmentant les 5% actuellement fournis par l'électricité éolienne et solaire anémique et intermittente.
En plus de cela, le plan augmentera considérablement la demande et les coûts d'électricité en supprimant progressivement la plupart des véhicules fonctionnant au pétrole au profit de modèles rechargeables fortement subventionnés par les contribuables et les consommateurs.
Lorsque des pénuries d'électricité inévitables surviennent, le rationnement suivra certainement.
Et vous pouvez parier que votre dernière ampoule à incandescence est très sérieuse.
Lors de sa première journée dans le bureau ovale, le président Biden a plafonné le pipeline Keystone XL à la frontière canadienne avec environ 11 000 emplois et 830 000 barils de pétrole par jour qu'il aurait livrés, qui doivent maintenant être transportés par des trains et des camions plus chers.
Dans le cadre de son programme «Equitable Clean Energy Future» de 2000 milliards de dollars, le président Biden s'est engagé à réengager l'Amérique à l'Accord de Paris sur le climat de 2015: éliminer les émissions de carbone de l'électricité d'ici 2035 et passer du pétrole, du gaz naturel et du charbon pour zéro émission de carbone »d’ici 2050.
En bref, l'agenda Biden mettra fin à une ressource énergétique qui a stimulé plus de 200 milliards de dollars d'investissements dans de nouvelles usines, généré des millions d'emplois, produit des revenus fédéraux et étatiques vitaux, réduit le déficit commercial de plusieurs centaines de milliards de dollars et élargi la flexibilité politique de l'Amérique. et l'influence sur les adversaires étrangers et les alliés.
Cela se produira alors que la Chine et l'Inde, qui ont représenté 80 % des augmentations d'émissions et ne sont pas liées au pacte, accélèrent considérablement le développement du charbon et du pétrole.
Pendant ce temps, d'autres actions de la direction réduiront la production de pétrole et de gaz aux États-Unis, qui ont récemment rendu notre pays indépendant en énergie en annulant de nouveaux baux pétroliers et gaziers sur les terres et les eaux publiques.
Joe Biden dirigera ses nominations au Cabinet avec des militants climatiques radicaux habilités à exercer une vaste influence réglementaire sur tous les grands secteurs de la vie économique et sociale américaine.
L'ancien secrétaire d'État John Kerry, qui a coprésidé le «Groupe de travail de l'unité sur la lutte contre la crise climatique et la poursuite de la justice environnementale» de Biden- [Bernie] Sanders, sera nommé à un poste nouvellement créé au Cabinet en tant qu '«envoyé pour le climat» de la diplomatie internationale.
L'ancien maire de South Bend, Indiana et candidat démocrate à la présidentielle Pete Buttigieg a été nommé secrétaire aux transports de Biden. Le principal site de campagne de Buttigieg a déclaré que d'ici 2035, il «exigerait zéro émission pour tous les nouveaux véhicules».
Il n'est pas expliqué comment recharger tous ces plug-ins ajoutés la nuit lorsque le soleil est caché et que le vent ne souffle pas.
RépondreSupprimerL'ancienne gouverneure du Michigan Jennifer Granholm, la sélection de Joe Biden au poste de secrétaire à l'énergie, sera chargée de tenir sa promesse électorale d'aider à construire 550 000 bornes de recharge pour véhicules électriques dans le cadre de son plan de «lutte contre le changement climatique» qui se produit depuis le temps où notre planète a eu pour la première fois une atmosphère.
Un décret du 27 janvier crée officiellement un Bureau de la politique intérieure du climat à la Maison Blanche qui sera dirigé par la «tsar du climat» Gina McCarthy, qui dirigeait autrefois l'EPA de l'administration Obama-Biden. L'ordonnance crée également un Conseil interinstitutions de justice environnementale de la Maison Blanche et un Conseil consultatif de justice environnementale de la Maison Blanche.
Alors, que comprend exactement la «justice environnementale» ?
Une directive présidentielle radicale appelle à une action plus forte pour protéger la santé publique et l'environnement et tenir les pollueurs responsables, y compris ceux qui «nuisent de manière disproportionnée aux communautés de couleur et aux communautés à faible revenu».
Et qui peut vraiment discuter avec ça ? Personne ne veut de «pollution» de l'air, de la terre ou de l'eau, ce qui n'a en fait rien à voir avec une utilisation propre et responsable des hydrocarbures ou la production de gaz carbonique atmosphérique (nourriture végétale naturelle).
Moins de 24 heures après son investiture, Biden a également accueilli Shalanda Baker, professeur de droit du Nord-Est et de justice raciale, dans son administration en tant que directeur adjoint de la «justice énergétique» au sein du ministère de l'Énergie.
Selon l'Initiative à but non lucratif pour la justice énergétique, la justice énergétique, tout comme la justice environnementale, se réfère à «l'objectif de parvenir à l'équité dans la participation sociale et économique au système énergétique, tout en remédiant aux charges sociales, économiques et sanitaires de manière disproportionnée. endommagé par le système énergétique. »
Encore une fois, qui voudrait peut-être refuser la justice énergétique à quiconque, en particulier aux populations à faible revenu disproportionnellement défavorisées de toutes les races? Il me semble que la plus grande justice sera servie en réduisant les coûts de l'énergie et en augmentant l'abondance pour tout le monde… le contraire direct de ce que le programme Biden laisse présager.
Un signe avant-coureur d'événements à venir s'est produit lorsque des pannes d'électricité se sont produites dans les villes de Californie lors d'une vague de chaleur en 2020 en raison du retrait des centrales nucléaires et à combustibles fossiles du réseau.
La Californie est déjà en tête du pays avec le système électrique le moins fiable et le plus grand nombre de pannes annuelles… 4 297 ont été enregistrées entre 2008 et 2017. Et les conditions ne feront que s'aggraver car l'État exige désormais que toutes les nouvelles maisons soient presque entièrement électriques. Plus de 30 villes, dont San Francisco, ont déjà interdit les nouveaux branchements d'appareils à gaz. La Californie prévoit d'interdire à terme les voitures à essence et diesel.
RépondreSupprimerIl n'y a aucune raison pour que quiconque en Amérique riche en énergie soit privé d'énergie abordable afin de «sauver la planète» d'une augmentation imperceptible de 0,06 ° Celsius du réchauffement sur la base des modèles informatiques hypothétiques de l'IPCC (GIEC) des Nations Unies qui sont directement observés comme fonctionnant deux à trois fois trop chaud.
Les énergies solaire ou éolienne ne sont pas non plus «plus propres» sur le plan environnemental que les hydrocarbures si l'on tient compte des matières minières et des terres rares toxiques qui les composent.
Les pénuries d'énergie artificielle fondées sur la justice environnementale et énergétique ne conduiront qu'à des justifications de rationnement pour redistribuer plus équitablement la pauvreté énergétique.
https://www.cfact.org/2021/02/03/prepare-for-energy-shortages-cost-hikes-and-rationing/
Forte hausse des prix des produits alimentaires en janvier (FAO)
RépondreSupprimer4 février 2021
Développement économique
Alors qu’une forte baisse des stocks mondiaux de céréales est attendue cette année, les prix des produits alimentaires ont atteint leur « plus haut niveau depuis juillet 2014 », a annoncé jeudi l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).
Selon cette agence onusienne basée à Rome (Italie), il s’agit du huitième mois consécutif de hausse des cours mondiaux des produits alimentaires. Et cette augmentation est emmenée par les céréales, les huiles végétales et le sucre.
L’indice FAO des prix des produits alimentaires s’est ainsi établi en moyenne à 113,3 points en janvier, marquant une hausse de 4,3% par rapport à décembre 2020 et atteignant son plus haut niveau depuis juillet 2014.
La forte hausse mensuelle a été observée avec le prix des céréales, qui a été de 7,1 %. Les cours internationaux du maïs, qui ont bondi de 11,2 % et sont désormais 42,3 % plus élevés qu’en janvier 2020.
Des prix élevés du riz à cause d’une forte demande en Asie et en Afrique
La FAO l’explique par « le resserrement de l’offre mondiale, des achats importants par la Chine et des estimations de production et de stocks plus faibles que prévu aux États-Unis ». Il y a aussi « la suspension temporaire des enregistrements des exportations de maïs en Argentine ».
De leur côté, les cours du blé ont connu une hausse de 6,8 %, en raison de la forte demande mondiale et des prévisions de diminution des ventes par la Russie lorsque sa taxe à l’exportation de blé doublera en mars 2021. La forte demande des acheteurs asiatiques et africains a également soutenu les prix élevés du riz.
L’indice FAO des prix des huiles végétales a gagné 5,8 % et a atteint son plus haut niveau depuis mai 2012. Cette hausse s’explique entre autres par la production d’huile de palme plus faible que prévu en Indonésie et en Malaisie, en raison de pluies excessives et d’une pénurie persistante de travailleurs migrants.
Le prix du sucre en hausse de 8,1 % par rapport à décembre
La FAO note aussi que « des grèves prolongées en Argentine ont réduit les disponibilités exportables » d’huile de soja.
Le prix du sucre était en hausse de 8,1 % par rapport à décembre, la forte demande mondiale d’importation ayant suscité des inquiétudes quant à la baisse des disponibilités due à la détérioration des perspectives de récolte dans l’Union européenne, en Russie et en Thaïlande.
Il y a aussi des préoccupations liées aux conditions météorologiques plus sèches que la normale en Amérique du Sud. La hausse des cours du pétrole brut et le raffermissement du réal brésilien ont également soutenu les cours internationaux du sucre.
Les produits laitiers ont augmenté de 1,6 %, une hausse provoquée par les achats importants de la Chine à l’approche des festivités du Nouvel An. Le prix de la viande était en hausse de 1 % par rapport à décembre, du fait de fortes importations mondiales de viande de volaille, notamment en provenance du Brésil, alors que des épidémies de grippe aviaire ont limité la production et les exportations de plusieurs pays européens.
Utilisation massive de céréales pour l’alimentation animale en Chine
En ce qui concerne la production, les nouvelles estimations de la FAO pour 2020 font état d’une production record de blé et de riz. Pour 2021, les premières prévisions indiquent une hausse probablement modeste des cultures de blé d’hiver dans l’hémisphère nord, soutenue par l’augmentation des superficies en France, en Inde, en Russie et aux États-Unis d’Amérique.
Dans le temps, la production de maïs devrait diminuer quelque peu en Argentine et au Brésil par rapport aux niveaux records, tout en restant supérieure à la moyenne. « Les perspectives de production en Afrique du Sud et dans les pays voisins sont favorables ».
RépondreSupprimerL’utilisation mondiale de céréales en 2020-2021 est désormais estimée à 2,761 milliards de tonnes, soit 52 millions de tonnes de plus que lors de la campagne précédente. Cette augmentation s’explique par l’utilisation massive de céréales secondaires pour l’alimentation animale en Chine.
Prévision d’une forte baisse des stocks mondiaux de céréales
A ce sujet, les nouvelles prévisions de la FAO intègrent aussi la forte demande de maïs en Chine. Les achats de maïs d’une ampleur inattendue effectués par ce pays ces dernières semaines traduisent une demande d’aliments pour animaux beaucoup plus élevée. Ce qui est peut-être lié à la reprise rapide de la production porcine après l’épidémie de peste porcine africaine.
Plus globalement, les stocks mondiaux de céréales devraient diminuer de 2,2 % et atteindre 801 millions de tonnes, leur niveau le plus bas depuis cinq ans. Cela ramènerait le rapport stocks/utilisation de céréales au niveau mondial à 28,3 %. Selon la FAO, il s’agit du niveau le plus bas depuis sept ans. Ces nouveaux chiffres traduisent un fort ajustement à la baisse des stocks de maïs en Chine.
Dans cette période d’incertitudes, la FAO estime désormais à 465,2 millions de tonnes la quantité de céréales qui seront échangées dans le monde en 2020-2021. Il s’agit-là d’une forte hausse, de 5,7 %, par rapport à la campagne précédente, qui constituait déjà un record.
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/02/forte-hausse-des-prix-des-produits.html
https://news.un.org/fr/story/2021/02/1088592
Le tour de passe-passe du CDC révélé dans les taux de mortalité COVID-19
RépondreSupprimerPar Bill Sardi
5 février 2021
Le 24 mars 2020, les Centers for Disease Control ont trompé tous les Américains, il y avait plus de décès dus à une infection à coronavirus COVID-19 en modifiant les directives pour la détermination des conditions comorbides qui ont contribué au décès.
Selon un rapport de rupture de GreenMedInfo, cela a entraîné une multiplication par 16,7 des décès attribués au COVID-19, soit environ 425 000 décès liés au COVID-19 le 29 janvier 2021 ou 13 décès sur 10 000 Américains.
En utilisant des directives établies de longue date, le nombre de décès cumulés du COVID-19 n'aurait été que de 25 429 décès à la même date, soit moins de 1 décès pour 10 000 Américains (voir le graphique ci-dessous). Toute la fraude, qui enfreint la loi américaine, est décrite en détail dans le numéro du 12 octobre 2020 de Science, Public Health Policy & The Law, et n'a pas été signalée par les médias d'information du pays.
Des extraits du rapport sont fournis ci-dessous:
- voir tableau sur site -
«Pourquoi le CDC déciderait-il de ne pas utiliser un système de collecte de données et de rapports qu'ils ont créé et qui est utilisé à l'échelle nationale depuis 17 ans sans incident, en faveur d'un système non testé et non éprouvé exclusivement pour COVID-19 sans discussion et examen par les pairs ? La décision de la CDC d'abandonner un système efficace connu et éprouvé enfreint-elle également plusieurs lois fédérales qui garantissent l'exactitude et l'intégrité des données? Le CDC a-t-il sciemment modifié les règles de déclaration de la cause de décès en présence d'une comorbidité exclusivement pour le COVID-19? Si oui, pourquoi?
«Le CDC a publié des lignes directrices le 24 mars 2020 qui ont considérablement modifié la façon dont la cause du décès est enregistrée exclusivement pour COVID-19. Ce changement a apparemment été promulgué sans possibilité publique de commentaires ou d'examen par les pairs. En conséquence, une modification capricieuse de la collecte de données a compromis la précision, la qualité, l'objectivité, l'utilité et l'intégrité de leurs données publiées, entraînant une augmentation significative des décès dus au COVID-19. Cette décision du CDC a peut-être renversé le contrôle juridique du Bureau de la gestion et du budget, tel que autorisé par le Congrès.
«Les règles du CDC pour la collecte de données, les données publiées et les analyses statistiques sont légalement tenues de se conformer aux lois établies par la loi sur la qualité de l'information (IQA), promulguée par le Congrès en décembre 2000 en tant que section 515 de la loi publique 106-554, qui exigeait le Bureau de la gestion et du budget (OMB) à «fournir des orientations politiques et procédurales aux agences fédérales pour assurer et maximiser la qualité, l'objectivité, l'utilité et l'intégrité des informations (y compris les informations statistiques) diffusées par les agences fédérales.»
RépondreSupprimer«Nous alléguons que l'absence totale des dossiers appropriés du Federal Register est la preuve que le CDC a sciemment et volontairement violé l'IQA & PRA. En conséquence directe de la mise en œuvre des deux documents ci-dessous sans l'approbation de l'OMB, il y a eu une inflation importante des données sur les cas et les décès de COVID-19.
«Le COVID-19 a été déclaré pandémie le 11 mars 2020 par l'Organisation mondiale de la santé. En tant que tel, toute collecte de données liées à cette maladie doit être effectuée avec la plus grande transparence afin de garantir que le public et les agents publics disposent de données fiables sur lesquelles prendre des décisions d'une importance vitale.
«Pourtant, le CDC n'a pas suivi les directives de l'OMB comme l'exige le Congrès et, ce faisant, a violé la loi et a également violé la confiance du public.
«Le document de position du Conseil d'État et d'épidémiologistes territoriaux (CSTE) a ouvert la voie à des traceurs de contact sans licence et sans formation médicale pour diagnostiquer illégalement des patients sans examen médical ni test de confirmation en laboratoire. En fait, ils pouvaient le faire sans même voir ou parler au patient en question.
«En adoptant à la fois l'alerte n ° 2 NVSS COVID-19 du 24 mars 2020 et le document de position CSTE du 14 avril 2020, le CDC a sciemment et volontairement compromis l'intégrité des données qu'ils ont collectées, publiées et analysées. Nous alléguons que le CDC a intentionnellement violé la loi fédérale en matière d'intégrité des informations.
«Des dizaines de milliers d'Américains sont morts sans accès à des médicaments potentiellement vitaux comme l'hydroxychloroquine ou à des thérapies nutritionnelles comme la vitamine C par voie intraveineuse. Ajoutez à cela la réalité tragique que tant d'Américains.
https://www.lewrockwell.com/2021/02/no_author/cdc-sleight-of-hand-revealed-in-covid-19-death-rates/
S'il n'y a pas de virus, à quoi sert le test ?
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
5 février 2021
Comme mes lecteurs le savent, j’ai démontré que personne n’a prouvé l’existence du SRAS-CoV-2.
Par conséquent, à quoi sert le test PCR ?
Il y a deux piles d'informations ici. En supposant que le SARS-CoV-2 existe, vous découvrez plusieurs défauts internes dans la PCR. Je les ai tous explorés en détail. Si vous vous retirez de cette exploration et que vous réalisez que l’existence d’un virus n’est pas prouvée au départ, vous êtes conduit à la conclusion que les résultats du test - positifs ou négatifs - sont totalement dénués de sens.
Effectuer le test serait de l'ordre de construire un avant-poste au pôle Nord pour compter la population des tribus nomades du désert de passage.
Ou créer une bureaucratie de la sécurité automobile qui examinera les réservoirs d’oxygène des plongeurs en haute mer.
Le test PCR recherche un morceau d'ARN dans l'échantillon sur écouvillon prélevé sur une personne. Ce morceau d'ARN est présumé faire partie du virus. Mais comme vous ne disposez pas d'un spécimen isolé purifié du virus lui-même, toutes les hypothèses concernant ce fragment d'ARN sont nulles et non avenues.
Par conséquent, les numéros de cas COVID, qui sont basés sur les résultats des tests, n'ont aucun sens. Il en va de même pour les nombres de décès.
Les masques, les distanciations, les verrouillages - qui sont basés sur des numéros de cas - sont absurdes et destructeurs.
(Pour les lecteurs qui découvrent mon travail pour la première fois dans cet article, je vous suggère de lire mon article récent, «S'il n'y a pas de virus, pourquoi les gens meurent-ils ?» À partir de là, lisez mes articles démontrant que l'existence du SRAS- CoV-2 n'a pas été prouvé.)
Ce n'est certainement pas la première fois qu'un test de diagnostic médical se révèle dénué de sens. Comme je l’ai détaillé, l’existence du VIH n’est pas non plus prouvée. Les différents tests d'anticorps destinés à enregistrer la présence du VIH sont absurdes.
Voici comment fonctionne le tour de magie médicale. Prendre arbitrairement un groupe de symptômes, les regrouper, prétendre qu'ils s'additionnent à une maladie spécifique avec une étiquette; affirmer, sans preuve, que la cause est un germe; concevoir un test pour le germe qui enregistrera positif et négatif; prétendent que le test détecte le germe dont l'existence même n'est pas prouvée.
Analogie: vous prétendez que vous êtes le PDG et le principal actionnaire de X254, une société qui n’existe pas. Vous dites que vous valez quelques milliards de dollars. Tous les principaux médias et gouvernements nationaux soutiennent votre affirmation. Vous êtes dedans. De nulle part, vous êtes devenu «officiel».
Prenons l'exemple de la pellagre, une horrible maladie de la peau qui sévissait dans le sud des États-Unis il y a cent ans. Cela a touché plusieurs millions de personnes.
Les autorités médicales ont insisté sur le fait qu'un germe en était la cause. Efforts après efforts ont été déployés pour trouver le germe. Aucun résultat. Enfin, après des décennies, un petit groupe de chercheurs indépendants a remporté la victoire. Leur affirmation selon laquelle la pellagre était en fait une carence en niacine s'est avérée correcte. Il n'y avait pas de germe.
Parfois, le test même conçu par les autorités médicales pour détecter «le germe causant une maladie» se retourne contre eux. C'était le cas de la grippe porcine.
RépondreSupprimerÀ l'été 2009, alors que le CDC affirmait qu'il y avait des milliers de cas de grippe porcine en Amérique, le pourcentage écrasant d'échantillons de test prélevés sur des patients revenait, des laboratoires, sans aucun signe de grippe porcine ou de tout autre type de grippe. .
Les tests de laboratoire contredisaient l’affirmation du CDC selon laquelle il y avait une pandémie. Sharyl Attkisson (CBS News) a cassé cette histoire. Puis CBS l'a arrêté.
Les tests sont de formidables outils de propagande. C’est tout ce que certains d’entre eux sont. «Eh bien, le médecin a fait mes tests et il m'a donné un diagnostic de X. Le traitement consiste à prendre trois médicaments [toxiques]. J'ai donc commencé le régime. »
«Êtes-vous sûr de vouloir prendre ces médicaments ?»
"Bien sûr. Les tests ont montré que j'en avais besoin.
«L'un de ces médicaments empêche toutes les cellules du corps de se répliquer.»
«Peu importe. Les tests indiquent que j'ai besoin du médicament.
Parfois, il n'y a pas de test, mais les médecins utilisent un blizzard d'étiquettes obscures pour prétendre que leurs diagnostics sont réels.
Tel est le cas de la psychiatrie, l'un des grands inconvénients de la population. La bible officielle de la profession, le DSM, répertorie quelque 300 «troubles mentaux» distincts et séparés et nommés.
IL N'Y A AUCUN TEST DE LABORATOIRE DÉFINITIF POUR L'UN DE CES «TROUBLES».
Il appartient au psychiatre de faire en sorte que son diagnostic paraisse légitime au patient.
Si l'histoire cachée de la médecine était enseignée dans les écoles et les collèges, il ne serait pas surprenant que le test COVID soit une véritable bousculade.
Mais les écoles ne toucheraient pas à cette histoire avec un poteau de cent pieds.
En 2009, j'ai interviewé le Dr Barbara Starfield, une experte en santé publique vénérée à la Johns Hopkins School of Public Health. Le sujet était sa critique du 26 juillet 2000, «La santé aux États-Unis est-elle vraiment la meilleure au monde ?» publié dans le Journal of the American Medical Association. »
Starfield a conclu que, chaque année aux États-Unis, le système médical tue 225 000 personnes. 106 000 des effets des médicaments approuvés par la FDA et 119 000 des mauvais traitements et des erreurs dans les hôpitaux.
En lisant un extrait de cet entretien par e-mail, gardez à l'esprit que la plupart de ces décès ont été précédés d'un test de diagnostic quelconque - ce qui en dit long sur la manière dont les tests sont interprétés et utilisés.
Rappoport: Quel a été le niveau et la teneur de la réponse à vos découvertes, depuis 2000 ?
RépondreSupprimerStarfield: Le public américain semble avoir été trompé en pensant que davantage d’interventions mènent à une meilleure santé, et la plupart des gens que je rencontre ne savent absolument pas que les États-Unis n’ont pas la «meilleure santé au monde».
Q: Dans la communauté de la recherche médicale, vos statistiques de mortalité d'origine médicale ont-elles été débattues ou ces chiffres ont-ils été acceptés, quoique avec une certaine honte ?
R: Les résultats ont été acceptés par ceux qui les étudient. Il n'y a eu qu'un seul détracteur, un ancien doyen de la faculté de médecine, qui a reçu beaucoup d'attention pour avoir affirmé que le système de santé américain est le meilleur qui soit et que nous en avons besoin de plus. Il a un intérêt direct dans les écoles de médecine et les hôpitaux d'enseignement (ils sont sa circonscription).
Q: Les agences de santé du gouvernement fédéral vous ont-elles consulté sur les moyens d'atténuer les effets [dévastateurs] du système médical américain ?
R: NON.
Q: Puisque la FDA approuve chaque médicament médical administré au peuple américain et le certifie comme sûr et efficace, comment cette agence peut-elle rester calme sur le fait que ces médicaments causent 106 000 décès par an ?
R: Même s'il y aura toujours des événements indésirables qui ne peuvent pas être anticipés, le fait est que de plus en plus de médicaments dangereux sont approuvés pour utilisation. Beaucoup de gens attribuent cela au fait que l'industrie pharmaceutique est (depuis une dizaine d'années) obligée de payer la FDA pour des examens [de ses nouveaux médicaments] - ce qui place la FDA dans une position intenable de travailler pour l'industrie qu'elle est régulateur. Il existe une littérature abondante à ce sujet.
Q: Vos conclusions de 2000 ne constituent-elles pas une mise en accusation sévère de la FDA et de ses pratiques standard ?
R: Ils sont une mise en accusation contre l'industrie américaine des soins de santé: les compagnies d'assurance, les universités médicales spécialisées et axées sur la maladie, les industries pharmaceutiques et de fabrication de dispositifs, qui contribuent toutes fortement aux campagnes de réélection des membres du Congrès. Le problème est que nous n'avons pas de gouvernement libre de l'influence des intérêts particuliers. Hélas, [c'est] un problème général de notre société - qui déséquilibre clairement la démocratie.
Q: Pouvez-vous donner une opinion sur la façon dont la FDA peut se tromper si mortellement à propos de tant de médicaments ?
R: Oui, il ne peut pas se désengager des intérêts acquis. (Encore une fois, [il y a] une abondante littérature à ce sujet, la plupart du temps méconnue des gens parce que les médias soutenus par l'industrie n'y prêtent aucune attention.)
Q: Serait-il exact de dire que, lorsque votre étude JAMA a été publiée en 2000, elle a provoqué une agitation momentanée et a ensuite été ignorée par la communauté médicale et par les sociétés pharmaceutiques ?
R: Êtes-vous sûr que ce fut un émoi momentané ? Je reçois toujours au moins un e-mail par jour pour demander une réimpression - dix ans plus tard ! Le problème est que son message est obscurci par ceux qui ne veulent aucun changement dans le système de santé américain.
RépondreSupprimerQ: Connaissez-vous des efforts systématiques, depuis la publication de votre étude JAMA de 2000, pour remédier aux principales catégories de décès d'origine médicale aux États-Unis ?
R: Aucun effort systématique; cependant, il y a eu beaucoup d'études. La plupart d'entre eux indiquent des taux [de décès] plus élevés que ce que j'ai calculé.
Q: Quelle a été votre réaction personnelle lorsque vous êtes parvenu à la conclusion que le système médical américain était la troisième cause de décès aux États-Unis ?
R: J'avais déjà fait des études sur des comparaisons internationales et je savais qu'il y avait de graves déficits dans le système de santé américain, notamment en raison du manque de couverture universelle et d'une infrastructure de soins primaires très médiocre. Je n’ai donc pas été surpris.
Q: Votre étude JAMA de 2000 a-t-elle fait l'objet d'un examen par les pairs ou y a-t-il eu une certaine opposition à sa publication ?
R: Il a été rejeté par le premier journal auquel je l’ai envoyé, au motif que «cela ne serait pas intéressant pour les lecteurs» !
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
https://www.lewrockwell.com/2021/02/jon-rappoport/if-there-is-no-virus-what-is-the-test-testing-for/
CDC et TSA Formulaire FEDERAL MASK POLICE… et l'application de la loi est à la discrétion de l'agent
RépondreSupprimerPar Daisy Luther
Le préparateur biologique
5 février 2021
Les Centers for Disease Control (CDC) et la Transportation Security Administration (TSA) se sont associés dans un effort pour imposer le port de masque dans les transports publics et les centres de transport pour la «préservation de la vie humaine».
Ce n’est pas un article de masque pour ou contre car cela pourrait être considéré comme de la désinformation. Les émotions accrues autour du débat sur le masque sont devenues de nature tribale, et rien d'écrit par moi ou par quelqu'un d'autre n'est susceptible de changer les opinions qui ont déjà été faites.
Cet article décrit simplement les nouvelles règles à appliquer par la nouvelle police des masques. Certains lecteurs peuvent s'inquiéter du risque d'exécution arbitraire et de sanctions potentielles excessives auxquelles seront soumis les utilisateurs des transports publics.
Elizabeth Nolan Brown écrit pour Reason.com:
L'ordonnance sera exécutée par les agents de la Transportation Security Administration (TSA) et «d'autres autorités fédérales», ainsi que par les autorités nationales et locales. «Dans la mesure permise par la loi… les agences fédérales sont tenues de mettre en œuvre des mesures supplémentaires pour faire appliquer les dispositions de cette ordonnance», déclare la CDC.
«Le CDC se réserve le droit d'appliquer des sanctions pénales», ajoute l'agence, bien qu'elle prétende ne pas avoir l'intention «de s'appuyer principalement sur ces sanctions pénales». Le gouvernement fédéral peut également mettre en œuvre «des mesures civiles supplémentaires mettant en œuvre les dispositions» de l'ordonnance (ce qui «n'est pas une règle au sens de la loi sur la procédure administrative», note le CDC, «mais plutôt une action d'urgence»). (la source)
Donc, fondamentalement, nous n’apprendrons pas à connaître à l’avance la sanction pénale, car elle n’est décrite ni dans le décret du CDC ni dans le décret. (Plus d'informations sur l'OE ci-dessous.)
Au début de 2020, auriez-vous jamais imaginé que votre décision de porter un masque facial ou non pourrait un jour être un crime fédéral ?
Voici ce que le CDC a à dire sur la commande.
Le CDC a publié une longue commande PDF le 29 janvier.
Le 29 janvier 2021, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont publié une icône pdf de commande [PDF - 11 pages] exigeant le port de masques par les voyageurs pour empêcher la propagation du virus responsable du COVID-19. Les opérateurs de moyens de transport doivent également exiger que toutes les personnes à bord portent des masques lors de l'embarquement, du débarquement et pendant la durée du voyage. Les exploitants de plaques tournantes de transport doivent exiger que toutes les personnes portent un masque à l'entrée ou dans les locaux d'une plaque tournante de transport.
Cette ordonnance doit être suivie par tous les passagers des moyens de transport publics (par exemple, les avions, les navires, les ferries, les trains, les métros, les bus, les taxis, les covoiturage) voyageant vers, à l'intérieur ou à l'extérieur des États-Unis ainsi que les opérateurs de transport (par exemple , équipage, chauffeurs, chefs de train et autres travailleurs impliqués dans l'exploitation des moyens de transport) et les exploitants de carrefours de transport (p. aux Etats-Unis. (la source)
RépondreSupprimerGardez à l'esprit que c'est le même CDC qui nous a dit en mars dernier qu'il ne fallait définitivement pas porter de masque.
Le CDC a déclaré le mois dernier qu'il ne recommandait pas aux gens d'utiliser des masques, faisant l'annonce le même jour que le premier cas de transmission de personne à personne de coronavirus a été signalé aux États-Unis.La recommandation du CDC sur les supports de masques, a déclaré un porte-parole à MarketWatch Mercredi, même avec le premier cas signalé d'infection au COVID-19 chez un individu en Californie qui n'était pas allé en Chine ou qui n'avait pas été exposé à une personne diagnostiquée avec le virus.
«Le virus ne se propage pas dans la communauté en général», a déclaré le Dr Nancy Messonnier, directrice du Centre national de l'immunisation et des maladies respiratoires, dans un briefing du 30 janvier. «Nous ne recommandons pas systématiquement l’utilisation de masques faciaux par le public pour prévenir les maladies respiratoires. Et nous ne le recommandons certainement pas pour le moment pour ce nouveau virus. " (la source)
Ce serait une chose que des agents fédéraux errent dans les transports en commun et ciblent ceux qui ne portent pas du tout de masque. Mais cet ordre est beaucoup plus détaillé, laissant un nombre troublant de détails à la discrétion de l'agent.
Quel type de masque est requis ?
Le masque lui-même doit être conforme.
Voici les attributs des masques nécessaires pour répondre aux exigences de la Commande. Le CDC mettra à jour ces directives au besoin.
Un masque correctement porté recouvre complètement le nez et la bouche.
Les masques en tissu doivent être fabriqués avec au moins deux couches d'un tissu respirant tissé serré (c'est-à-dire des tissus qui ne laissent pas passer la lumière lorsqu'ils sont tenus à une source de lumière).
Le masque doit être fixé à la tête avec des attaches, des boucles d'oreille ou des bandes élastiques placées derrière la tête. Si des guêtres sont portées, elles doivent avoir deux couches de tissu ou être pliées pour faire deux couches.
Le masque doit être bien ajusté mais confortablement contre le côté du visage.
Le masque doit être un morceau de matériau solide sans fentes, valves d'expiration ou perforations.
Les attributs suivants sont également acceptables tant que les masques satisfont aux exigences ci-dessus.
Les masques peuvent être fabriqués ou faits maison.
RépondreSupprimerLes masques peuvent être réutilisables ou jetables.
Les masques peuvent avoir des poches de filtre internes.
Des masques clairs ou des masques en tissu avec un panneau en plastique transparent peuvent être utilisés pour faciliter la communication avec des personnes malentendantes ou d'autres qui ont besoin de voir la bouche d'un locuteur pour comprendre la parole.
Les masques médicaux et les respirateurs N-95 satisfont aux exigences de l'Ordre.
Les nouvelles règles ne s'arrêtent pas là.
Quels types de masques ne sont pas considérés comme des masques ?
Selon le CDC, les éléments suivants ne sont pas suffisamment conformes.
Les éléments suivants ne satisfont pas aux exigences de la commande.
Masques portés de manière à ne pas couvrir à la fois la bouche et le nez
Écrans faciaux ou lunettes de protection (des écrans faciaux ou des lunettes peuvent être portés pour compléter un masque qui répond aux attributs requis ci-dessus)
Foulards, masques de ski, cagoules ou bandanas
Les cols de chemise ou de chandail (par exemple, les cols roulés) remontés sur la bouche et le nez.
Masques fabriqués à partir de tissu faiblement tissé ou tricotés, c'est-à-dire des tissus laissant passer la lumière
Masques fabriqués à partir de matériaux difficiles à respirer (comme le vinyle, le plastique ou le cuir)
Masques contenant des fentes, des valves d'expiration ou des perforations
Masques qui ne s'ajustent pas correctement (grands espaces, trop lâches ou trop serrés)
Quand un masque peut-il être retiré ?
Bonnes nouvelles. Vous n’avez pas à porter de masque tout le temps dans les transports en commun. Voici les exceptions de la page 4 de la commande.
Mauvaises nouvelles. Le délai jugé raisonnable pour les exceptions ci-dessus est entièrement à la discrétion de l'agent. L'imprécision n'est jamais une bonne chose dans les mandats parce que tant de choses sont ouvertes à l'interprétation - et cela dépend vraiment des préjugés personnels de la personne qui interprète.
Qui est exempté ?
Il y a quelques personnes qui ne sont pas visées par la police des masques.
Il semble que les personnes qui ont rédigé ces règles n'aient jamais rencontré d'enfants de deux ans. Je pouvais à peine garder des chaussettes et des chapeaux d'hiver sur mes enfants, encore moins un masque sur leurs visages.
RépondreSupprimerVous n’avez pas non plus à porter de masque dans les transports suivants.
Cela suit les nouvelles politiques de masque de Biden.
L'administration Biden n'a pas perdu de temps à imposer des masques. Lors de son premier jour en fonction, le président Biden a signé un décret exigeant des masques sur toutes les propriétés fédérales (y compris les parcs nationaux) et à l'intérieur des bâtiments fédéraux. Il a également lancé un «défi» de masque de 100 jours pour tous les Américains.
Reprinted with permission from The Organic Prepper.
https://www.lewrockwell.com/2021/02/daisy-luther/cdc-and-tsa-form-federal-mask-policeand-enforcement-is-up-to-officer-discretion/
Ministre britannique des vaccins: tous les plus de 50 ans doivent être vaccinés avant le début de la levée de l'isolement
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 05 FÉVRIER 2021 - 14h00
Soumis par PFW News,
Le ministre britannique des Vaccins, Nadhim Zahawi, a déclaré que les restrictions de verrouillage ne seront pas levées tant que tous les plus de 50 ans n'auront pas reçu le vaccin COVID-19, une décision qui, selon lui, pourrait pousser le retour à la normale en été.
Zahawi, le plus haut fonctionnaire responsable du déploiement des vaccins dans le pays, a précisé en s'adressant à The Sun mardi que le gouvernement souhaitait idéalement voir les 9 principales catégories d'âge vaccinées lors de la première phase de l'administration de la dose, qui comprend toutes les personnes de plus de 50 ans.
«Votre message est-il adressé au pays et à vos propres bancs arrière, oubliez la mi-février, oubliez le 8 mars… ce n’est pas avant que nous ayons fait tout le monde de plus de 50 ans que nous pourrons vraiment parler de revenir à la vie, quoi que ce soit comme normal? un animateur de radio avec The Sun a demandé à Zahawi, ce à quoi le ministre a répondu ...
«Nous le ferons aussi vite que possible… le Premier ministre a clairement indiqué que le 22 février, il y aura une feuille de route sur la façon dont nous avons l'intention de rouvrir l'économie, en commençant par les écoles le 8 mars, puis progressivement le reste de l’économie. »
Zahawi insisterait sur le fait que le Royaume-Uni est sur le point d'avoir piqué presque tout le monde dans le groupe le plus vulnérable de Covid - les plus de 70 ans - dans les 11 prochains jours.
Bien que ce groupe soit responsable de la grande majorité des décès de Covid, le ministre affirme que cela n'est toujours pas suffisant pour lever les restrictions écrasant la liberté.
«Nous voulons rouvrir les écoles, rouvrir notre économie, retrouver nos vies, mais ne jamais avoir à retourner dans un autre verrouillage sévère comme celui que nous vivons et souffrons tous en ce moment», a-t-il déclaré.
Le ministre des Vaccins adopterait une méthode lente pour lever les mesures de verrouillage qui repose fortement sur les données.
«Vous devez vous assurer que votre programme de vaccination a protégé les neuf principales catégories de la première phase, soit 99 % de la mortalité.»
Le Premier ministre Boris Johnson a annoncé lors d'une conférence de presse mardi à Downing Street qu'il y aurait effectivement une feuille de route pour la sortie du verrouillage présentée le 22 février.
Le peuple anglais est actuellement assujetti à des règles de verrouillage strictes qui les empêchent d'être social avec qui que ce soit en dehors de chez lui ou de «bulle de soutien» sans une «excuse raisonnable» approuvée par le gouvernement.
Les personnes qui enfreignent ces règles peuvent faire face à des amendes, y compris une amende de 800 £ pour ceux qui assistent à des fêtes à domicile de plus de 15 personnes et une amende de 10 000 £ pour les organisateurs, rapporte BBC News.
https://www.zerohedge.com/markets/uk-vaccine-minister-all-over-age-50-must-be-vaccinated-lockdown-lift-begins
Injections chargées de micro-puces de type RFID (fil long dans l'aiguille).
SupprimerLa Suède se joint au Danemark et aux États-Unis pour délivrer des "passeports d'immunité"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 05 FÉVRIER 2021 - 6:45
Dans une approbation critique pour les soi-disant «passeports d'immunité», la Suède prévoit de rejoindre le Danemark et les États-Unis d'ici cet été en exigeant que les voyageurs, en particulier les voyageurs internationaux, portent des passeports dits d'immunité prouvant qu'ils ont été vaccinés ou récemment testé ou les deux, selon Bloomberg. La décision suggère que très bientôt, toute la Scandinavie utilisera cette nouvelle méthode gouvernementale pour suivre les dossiers médicaux des gens et les séparer sur des «listes».
Pour autant que nous le sachions, ils pourraient bientôt devenir si omniprésents que l'industrie oubliera de renoncer à la pratique une fois que le nombre de COVID aura diminué.
Jeudi, nous avons noté qu'American Airlines étend son utilisation d'une application qui stocke la preuve de votre test négatif dans les jours suivant le vol - une décision qui aura un impact sur les voyageurs se déplaçant vers et depuis une poignée de pays d'Amérique du Sud, ainsi qu'un quelques autres. De plus, la compagnie aérienne acceptera désormais le portefeuille mobile de santé Verifly dans tous ses aéroports aux États-Unis. Les voyageurs devront prouver leur «immunité» pour les vols directs et de correspondance depuis les aéroports américains du transporteur vers le Royaume-Uni, le Canada, le Chili, la Colombie, le Salvador, le Guatemala, le Honduras et la Jamaïque.
Voici quelques informations supplémentaires sur le "portefeuille mobile de santé", qui permet aux clients de télécharger leurs résultats de test COVID et / ou de vaccination sur l'application pour une utilisation gratuite sur leur téléphone.
Il y a quelques semaines, le Danemark a introduit des "passeports d'immunité" après que le gouvernement aurait créé une application interne. Une preuve d'immunité sera délivrée via le portail danois de la santé en ligne, avec un identifiant émis par le gouvernement, et sera un document «auto-imprimé».
Pendant ce temps, la Suède suivra le Danemark en proposant un passeport numérique contre les coronavirus d'ici l'été pour montrer si les gens ont été vaccinés, ce qui soulève la question de savoir si le reste de l'Europe suivra.
"Cela devrait être facile pour celui qui émet le certificat, celui qui l'utilise et celui qui le contrôle", a déclaré Anders Ygeman, ministre suédois du développement numérique, après que le pays a annoncé jeudi qu'il commencerait à préparer l'infrastructure numérique à gérer. le processus de vérification pour savoir qui a reçu ou non des vaccins.À l'échelle mondiale, la Suède déclare vouloir jouer un rôle plus important dans l'élaboration de ces normes.
La Suède ne sera probablement pas le dernier pays à adopter la méthodologie du "passeport vaccinal": des responsables britanniques auraient commencé à travailler sur un "passeport vaccinal" alors que la Grèce se prépare à déroger aux règles de quarantaine pour les touristes qui peuvent prouver qu'ils ont été vaccinés contre le coronavirus. Le ministère des Affaires étrangères, le ministère des Transports et le ministère de la Santé et des Affaires sociales travaillent sur des plans, selon un rapport du Times.
https://www.zerohedge.com/covid-19/sweden-joins-denmark-us-issuing-immunity-passports
Imaginez si le virus n'avait jamais été détecté
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 4 FÉV 2021 - 18:40
Rédigé par John Tamny via RealClearMarkets.com,
Parmi ceux qui ont regardé les verrouillages tragiques et inutiles se dérouler au cours des 11 derniers mois, une question fréquente s'est posée: et si le coronavirus s'était propagé, mais n'avait jamais été diagnostiqué ou détecté ? La vie aurait-elle été différente sans la découverte de ce qui a provoqué une panique mondiale massive parmi les politiciens ?
Ce n’est pas une question déraisonnable. Vraiment, demandez-vous ce que les politiciens et les médias acharnés auraient fait il y a 100 ans si le virus s'était révélé. Étant donné que le travail était une destination réaliste pour tout le monde, il n’y avait aucun moyen qu’il y ait eu des verrouillages. Les gens se seraient révoltés.
Quant aux décès, l'espérance de vie était déjà relativement faible dans les années 1920. Cela est pertinent quand on se souvient que le coronavirus au sens de la mort a été largement associé aux maisons de retraite. Ces maisons n’étaient pas très courantes il y a cent ans, et elles ne l’étaient pas principalement parce que la pneumonie, la tuberculose et d’autres grands meurtriers avaient tendance à nous atteindre bien avant notre vieillesse. Traduit, il n'y avait probablement pas assez de personnes âgées dans les années 1920 pour que le virus ait eu un quelconque impact mortel. En raison d'un manque de personnes âgées, le virus n'aurait peut-être pas été découvert en premier lieu. Pensez-y.
Comme cette chronique l’indique depuis longtemps, le coronavirus est le virus d’un homme riche. Ce n'est pas seulement que les riches et généralement aisés avaient des emplois portables qui ont pour la plupart survécu aux verrouillages insensés., Ce n'est pas seulement que la rupture avec la réalité que nous avons été forcés de supporter n'aurait pu se produire que dans un pays riche, c'est aussi le cas. que ce n'est que dans un pays et un monde où les personnes âgées sont vraiment âgées que le virus aurait une association notable avec la mort. Les gens vivent plus longtemps aujourd'hui, et ils le font parce que les progrès majeurs de la santé nés de la création de richesse ont rendu la vie plus longue possible. Nous n’aurions pas remarqué ce virus il y a 100 ans. Nous n’étions pas assez riches.
Ce qui nous amène à un article récent de Leah Rosenbaum à Forbes. Elle a écrit à propos d'un article du NIH indiquant que près de 17 millions de cas de coronavirus n'ont pas été dénombrés l'été dernier. Selon Rosenbaum, cette découverte «suggère que la pandémie était beaucoup plus répandue aux États-Unis qu'on ne le pensait auparavant». Oui bien sur.
De peur que les lecteurs n'oublient, le virus a commencé à se propager à l'automne 2019, sinon plus tôt. On pense généralement que l'épicentre était la Chine, et les vols entre les États-Unis et la Chine, ainsi que les vols de la Chine vers le reste du monde, étaient plutôt nombreux jusqu'en 2020.
RépondreSupprimerCompte tenu de la connexion entre la Chine et le reste du monde, la logique veut que le virus infecte les gens dans le monde bien avant que les politiciens ne paniquent. Dans ce cas, il n’est pas surprenant que les estimations faites sur le nombre d’Américains infectés aient toujours été bien trop faibles. Le virus se propagerait facilement, encore plus facilement que la grippe, et il a recommencé à se frayer un chemin dans le monde en 2019.
Sa propagation rapide est remarquable, car la vie continuait à travers le monde. Comme les derniers mois de 2019 le montrent clairement, les gens vivaient avec le virus.
Ce qui est le plus mortel pour les personnes âgées n'est pas très remarqué par ceux qui ne sont pas vieux.
Un virus à propagation rapide n'était apparemment pas un facteur important jusqu'à ce que les politiciens en fassent inutilement un.
En effet, un virus le plus mortel pour les très vieux a des qualités douces lorsqu'il est rencontré par des personnes plus jeunes. S'ils en sont infectés, trop nombreux sont ceux qui ne trouvent pas les symptômes suffisamment inquiétants pour qu’ils soient réellement testés.
C’est ce que semble indiquer le rapport de Rosenbaum. L’étude des NIH a couvert les tests sanguins de 11 000 Américains qui n’avaient pas été diagnostiqués auparavant avec Covid-19. 4,6 % des participants avaient des anticorps Covid-19, mais leur phase d'infection réelle ne leur était jamais apparente. C'est ce que Holman Jenkins a toujours souligné. Le nombre de personnes infectées a toujours largement dépassé les estimations, précisément parce que les symptômes de l’infection n’ont pas valu la peine d’aller chez le médecin pour la grande majorité des personnes infectées.
En regardant à nouveau 100 ans en arrière, demandez-vous combien auraient alors consulté un médecin si quelque chose ressemblant au coronavirus s'était propagé. Ou mieux encore, demandez-vous combien auraient été testés aux États-Unis qui étaient un peu plus pauvres qu'aujourd'hui. Les questions se répondent. Le virus se serait propagé rapidement au sein d'une population plus jeune dans les années 1920, et les personnes infectées auraient développé une immunité.
D'après le rapport de Rosenbaum, il n'est pas déraisonnable de supposer que bien plus d'Américains sont immunisés contre le virus qu'on ne le sait, et que la meilleure approche depuis toujours aurait été la liberté. Laissez les gens vivre leur vie. Plus important encore, laissez-les être infectés. Pendant des siècles, ils ont recherché l'immunité en - halètement - s'infectant les uns les autres.
Alors, que se serait-il passé si le coronavirus n'était pas détecté ? Nous ne le saurons jamais, mais il n’est pas irréaliste de conclure que nous avons une idée. Le virus n'a pas soudainement commencé à se propager en mars 2020 simplement parce que les politiciens l'ont décidé. 2019 est le début le plus probable. Début 2020 aussi. La vie était plutôt normale, car un virus faisait alors le tour du monde.
RépondreSupprimerLes politiciens l'ont rendu anormal. N'oublions jamais le carnage écœurant qu'ils peuvent créer lorsqu'ils trouvent des raisons de «faire quelque chose».
https://www.zerohedge.com/political/imagine-if-virus-had-never-been-detected
Comment une directive secrète d'Obama a apporté le chaos dans notre monde: PSD11
RépondreSupprimerPar F. William Engdahl
WilliamEngdahl.com
5 février 2021
Le PSD-11 d'Obama et les Frères musulmans
En 2010, l'administration américaine sous le président Barack Obama avait élaboré un plan top secret pour la série la plus ambitieuse et la plus vaste de changement de régime soutenu par les États-Unis dans tout le Moyen-Orient islamique depuis la Première Guerre mondiale et l'accord anglo-français Sykes-Picot. Il s'agissait de déclencher une vague de guerres et de chaos, d'États en faillite et d'inondations de réfugiés de guerre inimaginables pour le diplomate chevronné le plus cynique, et au-delà de la croyance de la plupart des laïcs du monde.
En août 2010, six mois avant le lancement de la révolution de jasmin en Tunisie par les ONG de Washington, y compris le NED, les fondations Soros, Freedom House et d'autres, le président Obama a signé la directive d'étude présidentielle-11 (PDS-11), ordonnant aux agences gouvernementales de Washington de se préparer pour changer." Le changement devait être une politique radicale appelant au soutien de Washington à la secte fondamentaliste secrète des Frères musulmans islamiques à travers le monde musulman du Moyen-Orient, et avec elle, le déclenchement d'un règne de terreur qui changerait le monde entier.
Selon le témoignage du Congrès américain de Peter Hoekstra, ancien président du Comité permanent de sélection permanent de la Chambre des représentants des États-Unis sur le renseignement, la directive PSD-11 de l'administration Obama - en mars 2017 toujours classée Top Secret - «a ordonné une réévaluation à l'échelle du gouvernement des perspectives de réforme politique au Moyen-Orient et du rôle des Frères musulmans dans le processus. " [1]
Un groupe de travail grandiose
Pour rédiger le contenu du PSD-11, un groupe de travail top secret a été créé au sein du Conseil de sécurité nationale d'Obama (NSC), dirigé par Dennis Ross, Samantha Power, Gayle Smith, Ben Rhodes et Michael McFaul. [2]
Les membres du groupe de travail PSD-11 ont été remarquables à bien des égards. Samantha Power, qui allait devenir l'ambassadrice d'Obama aux Nations Unies et diriger la diabolisation de la Russie après le coup d'État de la CIA sur la Révolution de couleur en Ukraine en 2014, devait jouer un rôle déterminant pour convaincre le président Obama que Mohammar Kadhafi de Libye doit être démis militairement pour ce qu'elle a appelé «Raisons humanitaires». [3] Dennis Ross, accusé par les opposants palestiniens d'être «plus pro-israélien que les Israéliens», a cofondé le Washington Institute for Near East Policy (WINEP) parrainé par l'American Israel Public Affairs Committee (AIPAC). Il était assistant spécial du président Obama et directeur principal du NSC pour le Moyen-Orient, le golfe Persique, l'Afghanistan, le Pakistan et l'Asie du Sud lorsqu'il faisait partie du groupe de travail PSD-11. [4]
RépondreSupprimerGayle Smith allait plus tard en 2015 à la tête de l'USAID, l'agence du Département d'État liée à la CIA qui a canalisé des millions de contribuables américains pour financer les ONG du Printemps arabe et d'autres changements de régime de la Révolution des couleurs. [5] Michael McFaul, qui se décrivait autrefois comme un «spécialiste de la démocratie, des mouvements anti-dictateurs, des révolutions», a ensuite été nommé ambassadeur d’Obama à Moscou où il a coordonné les manifestations de l’opposition contre Poutine. [6]
Peut-être le plus influent des membres du groupe de travail PSD-11 qui a formulé le changement de politique radical top secret de l'administration Obama pour soutenir les transitions du régime des Frères musulmans pendant le printemps arabe, était le moins qualifié pour définir la politique du gouvernement américain sur le Moyen-Orient en termes de formation professionnelle. Son nom était Ben Rhodes.
Le titre officiel de Rhodes a été inventé par la Maison Blanche d’Obama juste pour lui - Conseiller adjoint à la sécurité nationale pour les communications stratégiques et la rédaction de discours. Il écrira tous les principaux discours de politique étrangère d'Obama pendant sept ans, jusqu'en janvier 2017, date à laquelle Obama a quitté ses fonctions. Il n'avait que 32 ans lorsqu'il a rejoint le fatidique groupe de travail PSD-11 NSC, avec des études universitaires qui comprenaient une majeure en littérature anglaise et une maîtrise en «écriture créative». Rhodes n'avait aucune expérience diplomatique ou académique préalable avec le Moyen-Orient. Rhodes, qui, en tant que rédacteur de discours, rencontrait parfois le président Obama jusqu'à trois heures par jour, a notamment contribué à convaincre Obama de retirer son soutien au dirigeant égyptien Hosni Moubarak, de devenir un conseiller clé pendant le printemps arabe de 2011, puis de rejoindre Samantha Power, La secrétaire d'État Hillary Clinton et d'autres ont convaincu le président d'utiliser la force militaire pour renverser Kadhafi libyen. [7]
Le rapport Top Secret PSD-11 que le groupe de travail a rédigé a été partiellement révélé dans une série de demandes légales en vertu de la loi sur la liberté de l'information adressées au département d'État. Les documents officiels publiés ont révélé que le groupe de travail du NSC avait conclu que les Frères musulmans étaient un «mouvement viable» que le gouvernement américain devait soutenir dans toute l'Afrique du Nord et au Moyen-Orient. Une directive présidentielle qui en a résulté a ordonné aux diplomates américains de nouer des contacts avec les principaux dirigeants des Frères musulmans et a apporté un soutien actif à la campagne de pouvoir de l'organisation dans des pays clés comme l'Égypte, la Libye, la Tunisie et la Syrie, au début du «printemps arabe» en 2011. Le document secret du PDS-11 est arrivé à la conclusion étrange que la marque d'islam politique des Frères musulmans, combinée à son nationalisme fervent, pouvait conduire à «la réforme et la stabilité». C'était un mensonge, un mensonge bien connu des membres du groupe de travail Obama PSD-11. [8]
RépondreSupprimerLes vrais Frères musulmans
Les Frères musulmans ou Ikhwan - en arabe pour la Fraternité - est une organisation secrète de type maçonnique avec une branche terroriste secrète ou clandestine et une façade publique de «faire pacifique de la charité». Il a été fondé en Égypte en 1928 par Hassan al-Banna qui a développé la devise de la secte. Le credo de sa Société des Frères musulmans a été incorporé dans un chant de six phrases courtes:
Allah est notre objectif; Le prophète est notre chef; Le Coran est notre Constitution; Le Jihad est notre chemin; La mort au service d'Allah est le plus élevé de nos souhaits; Allah est Grand, Allah est Grand. [9]
Al-Banna a créé un bras secret ou caché de l'Ikhwan en Egypte et plus tard dans le monde, connu sous le nom de Section spéciale (al-nizam al-khass), ou, comme il a été appelé par les Britanniques en Egypte, l'appareil secret (al -jihaz al-sirri). C'était l'aile militaire de la Fraternité, en fait, le «bureau des assassinats». Al-Banna a enseigné à ses recrues, exclusivement masculines, que «le Jihad est une obligation de chaque musulman». Il a prêché la noblesse de «la mort au service d'Allah» et a écrit: «Allah accorde une vie noble à cette nation qui sait mourir d'une mort noble». Il a prêché un culte de la mort dans lequel «la victoire ne peut venir qu'avec la maîtrise de« l'art de la mort ».» Pour la confrérie, cette «maîtrise» s'est perfectionnée dans le meurtre des «infidèles» dans le Jihad ou la guerre sainte au nom d'Allah . Les infidèles peuvent être d’autres musulmans tels que les chiites ou les soufis qui ne suivent pas la stricte pratique sunnite d’Al-Banna, ou des chrétiens. [dix]
Hasan Al-Banna a appelé à l'adoption de la loi islamique très stricte de la charia, à la ségrégation complète des étudiants masculins et féminins, avec un programme séparé pour les filles, une interdiction de danser et un appel aux États islamiques pour finalement s'unifier dans un califat . [11]
Pendant la Seconde Guerre mondiale, des personnalités importantes des Frères musulmans ont passé l'exil d'Égypte sous contrôle britannique en fuyant vers Berlin où, entre autres, le proche allié de la fraternité musulmane d'Al Banna, Amin al-Husseini, le Grand Mufti de Jérusalem, a travaillé en étroite collaboration avec les SS et Heinrich. Himmler pour créer des unités spéciales de terreur des Frères musulmans des SS, appelées Handschar SS, pour tuer les soldats soviétiques et les juifs. Dans les années 1950, la CIA a découvert les recrues nazies des Frères musulmans en exil dans Munich d'après-guerre et a décidé qu'elles pouvaient être «utiles». [12]
RépondreSupprimerPratiquement toutes les principales organisations et chefs terroristes djihadistes sont issus des Frères musulmans. Oussama ben Laden, qui travaillait pour la CIA au Pakistan recrutant des moudjahidines djihadistes pour combattre les Soviétiques en Afghanistan, était un membre des Frères musulmans qui a été recruté par la CIA et le chef du renseignement saoudien, le prince Turki al-Faisal, pour créer ce qui est venu à être appelé Al Qaïda. D'autres terroristes connus de l'Ikhwan étaient Ayman Al-Zawahiri d'Al-Qaïda et l'aveugle Cheikh Omar Abdul-Rahman, décédé récemment dans une prison américaine pour son rôle dans l'attentat du World Trade Center en 1993. Le cheikh Omar a été accusé d’avoir conspiré en vue d’assassiner le Moubarak égyptien et d’avoir organisé l’assassinat par les Frères musulmans d’Anwar Sadat en plus du bombardement du World Trade Center. [13]
Les membres du groupe de travail PSD-11 du Conseil de sécurité nationale de l'administration Obama, qui a recommandé au gouvernement américain d'adopter les Frères musulmans terroristes dans les pays islamiques du Moyen-Orient arabe, savaient très bien à qui ils avaient affaire. Depuis les années 50, la CIA travaillait avec les Ikhwan dans le monde entier. Al-Qaïda en Afghanistan, Al-Qaïda en Irak et en Syrie, le Front al Nosra en Syrie, ainsi que le soi-disant État islamique ou ISIS ont tous été créés à partir de réseaux des Frères musulmans, changeant de nom alors qu'un lézard caméléon change de couleur pour convenir à son alentours.
Les germes d'Al-Qaïda en Irak et en Syrie et plus tard de Daech ou Daech, les guerres meurtrières et le chaos qui balaient le Moyen-Orient arabe et l'Europe occidentale depuis 2010, pourraient tous être directement attribués à ces politiques de Washington, leur soi-disant arabe. Printemps, issu de la directive du groupe de travail présidentiel PSD-11 d'août 2010. Maintenant, l’administration Obama devait appliquer son projet des Frères musulmans en Tunisie dans une révolution de couleur menée par ses fausses ONG pour la démocratie.
[1] Peter Hoekstra, The Investigative Project on Terrorism, HOUSE COMMITTEE ON HOMELAND SECURITY, September 22, 2016, http://docs.house.gov/meetings/HM/HM09/20160922/105384/HHRG-114-HM09-Wstate-HoekstraP-20160922.pdf.
RépondreSupprimer[2] MEB, The Case of Egypt (2): Six Months of Insider Emails from Obama Administration Show Groundwork for Muslim Brotherhood Power Grabs, Middle East Briefing, June 30, 2014, http://mebriefing.com/?p=84
[3] Wikipedia, Samantha Power, https://en.wikipedia.org/wiki/Samantha_Power
[4] Wikipedia, Dennis Ross, https://en.wikipedia.org/wiki/Dennis_Ross
[5] Wikipedia, Gayle Smith, https://en.wikipedia.org/wiki/Gayle_Smith
[6] Wikipedia, Michael McFaul, https://en.wikipedia.org/wiki/Michael_McFaul
[7] Wikipedia, Ben Rhodes,https://en.wikipedia.org/wiki/Ben_Rhodes_(White_House_staffer); Mark Landler,Worldly at 35, and Shaping Obama’s Voice, The New York Times, March 15, 2013, http://www.nytimes.com/2013/03/16/world/middleeast/benjamin-rhodes-obamas-voice-helps-shape-policy.html.
[8] MEB, The Case of Egypt (2)…, op. cit.
[9] F. William Engdahl, The Lost Hegemon, mineBooks, Wiesbaden, 2016, pp. 67-71.
[10] Richard P. Miller, The Society of the Muslim Brothers, Oxford University Press, New York, 1969, p. 206-207.
[11] Wikipedia, Muslim Brotherhood, https://en.wikipedia.org/wiki/Muslim_Brotherhood#cite_note-Women-38
[12] F. William Engdahl, The Lost Hegemon…, op. cit., pp. 75-85.
[13] Leo Hohmann, Georgetown prof.: ‘Muslim Brotherhood does not exist in US,’ March 5, 2017, http://www.wnd.com/2017/03/georgetown-prof-muslim-brotherhood-does-not-exist-in-u-s/
This originally appeared on F. William Engdahl Newsletter.
https://www.lewrockwell.com/2021/02/no_author/how-a-secret-obama-directive-brought-chaos-to-our-world-psd11/
(...) en plus du bombardement du World Trade Center. [13] (...)
SupprimerIl n'y a JAMAIS eu de 'bombardement' au WTC mais un dynamitage au termite (meilleur que le 'C4') qui permet de découper net des poutres (UPN) de 80 cm en biseau. Le reste sont des hologrammes made in Bush et consorts.
Notez bien qu'AUCUN leader d'opposition qui ont suivi n'ont dénoncé l'escroquerie !!
D'où la justification du non-emploi de la loi martiale par Trump pour sauver l'Amérique.
La liberté mise en pièces par la peur
RépondreSupprimerHASHTABLE
jeu., 04 fév. 2021 23:03 UTC
S'il y a bien une émotion particulièrement commode pour diriger la foule, c'est bien la peur. Cela fait passer presque instantanément la grande majorité des individus en mode « réflexes ».
Or, un réflexe simple lorsqu'on a peur est de simplement suivre le groupe parce qu'en moyenne, le groupe se trompe peu. Et si l'on a correctement orienté le groupe en lui faisant peur et en lui fournissant en même temps des solutions (de groupe, évidemment) qui répondent (fortuitement) à un agenda pratique pour celui qui manipule, le groupe fonce alors tête baissée vers la solution présentée, bonne ou mauvaise.
Bien utilisée, la peur fait en effet complètement oublier la liberté aux individus : la liberté, en laissant les possibilités ouvertes, n'apporte jamais de réponse immédiate, émotionnelle, instinctive et définitive aux dangers qu'on croit percevoir. Elle est toujours une réponse argumentée, raisonnée, pondérée et ne fait pas le poids devant les réponses instantanées, toutes faites et rassurantes par leur immédiateté.
Les adversaires de la liberté utilisent donc habilement la peur en multipliant les messages anxiogènes et les solutions toutes faites qui vont dans leur sens à eux : « La planète se réchauffe, vite, réduisons nos besoins en énergie, réduisons la population ! » ou encore « Vous allez mourir et atrocement en plus, vite barricadez-vous, ne bougez plus, taisez-vous, laissez l'État tout prendre en charge ! »...
Le besoin (pas nécessaire en réalité) de répondre vite, le caractère d'urgence (créé artificiellement) finissent par désarmer ceux qui ont l'habitude de la liberté lorsque le cadre se prête à la réflexion et à la pondération. Rapidement, les objections réfléchies sont complètement écrasées par les émotions et à la fin il ne reste plus qu'un groupe à peu près homogène d'individus qui se ruent vers les solutions proposées. Peu importe qu'elles n'ont de solution que le nom : ça marche pour diriger la foule et ça accroît sans cesse le pouvoir de ceux qui les proposent.
Le résultat très concret peut s'observer actuellement et il n'est pas beau à voir.
Assez rapidement, toujours en utilisant le prétexte de l'urgence et du caractère soi-disant exceptionnel, et grâce à l'intervention des médias qui, eux aussi, utilisent la peur d'autant mieux qu'elle fait vendre, on a mis en place une succession de confinements et de couvre-feux. Si leurs bénéfices sont parfaitement hypothétiques (« sans, il y aurait eu plus de morts patati patata »), les effets économiques, sociaux, politiques et même médicaux sont maintenant visibles (pas du tout hypothétiques) et catastrophiques.
Cependant, chaque nouveau confinement accepté par la foule apeurée brise un peu plus la résistance de ceux qui étaient auparavant indépendants, et qui deviennent de plus en plus soumis aux bons soins des dirigeants et de l'État à leur botte.
De façon habile, la réduction drastique, catastrophique même, de l'activité économique sera présentée comme bénéfique pour le climat. C'est faux, mais peu importe puisqu'il s'agit, là encore, de manipuler les foules, pas de les aider.
RépondreSupprimerLa suite logique a déjà été évoquée, sortie des cartons et la mise en musique ne tardera pas : la peur a fait des miracles et l'introduction d'un traçage permanent passe comme une lettre à la poste. Bien sûr, au début, on l'appellera « passeport médical » (pour ne pas effrayer le troupeau), puis « passeport vert » (qui permettra de vérifier l'adéquation comportementale avec l'agenda écologiste) puis enfin, ce sera le contrôle permanent des faits et gestes pour vérifier qu'ils sont en ligne avec la doxa officielle. Le procédé est transparent, simple, souple et cette doxa peut évoluer sans souci : le cheptel s'adaptera.
Bien évidemment, pour éviter la dissension, on laissera se développer la censure, le déplateformage et plus efficace encore, l'auto-censure (par pression sociale, depuis les groupes de Social Justice Warrior jusqu'aux fachos antifa pour taper du récalcitrant). Est-il vraiment besoin de revenir sur les derniers mouvements au sein de Facebook, Twitler et autres pour préciser ce point ?
L'accroissement de la pauvreté et la mise sous tutelle étatique d'un nombre croissant d'individus permet l'introduction d'un Revenu universel, magnifique étape dans l'asservissement le plus abject puisque ce principe est exactement équivalent à la distribution de nourriture « gratuite » aux animaux du zoo. On peut d'ores et déjà parier que la mise en place de ce système sera applaudi des deux mains par une proportion stupéfiante de Français.
Parallèlement, on continuera le grignotage de la propriété privée (en France, ça va à un rythme galopant ; il en ira de même partout ailleurs).
Notez qu'on favorise déjà la location de tout et la possession de rien, la propriété privée étant maintenant de plus en plus ouvertement honnie, dans les médias, les discours politiques et les pensées jalouses de toujours plus d'individus.
Dans ce cadre, l'humain et ses services deviennent atomiques, parfaitement remplaçables. Les communistes, qui nient la notion même d'individu, se réjouiront - et se feront broyer à leur tour en devenant eux-mêmes des petits rouages anonymes d'une immense machine devenue folle.
Cette disparition de la propriété ne peut se faire sans une disparition complète de l'argent liquide anonyme. Cette disparition de toute transaction privée entraînera la disparition de toute possibilité de faire des affaires sans être fiscalisé, et surtout sans échapper au jugement permanent, à la scrutation de tous par tous : chaque transaction devenant publique, cela veut dire que tout le monde est jugé en permanence par tout le monde. La transparence totale que certains abrutis applaudissent des deux mains est évidemment un cauchemar abominable mais il faudra que ces abrutis la subissent pour comprendre pourquoi.
Ça tombe bien, on y va droit.
RépondreSupprimerL'année passée nous a fourni une bien sévère leçon, celle que tous les efforts des libéraux sont vains s'ils ne parviennent pas à communiquer et amoindrir les sentiments de peur qui s'emparent de ceux qui connaissent mal la liberté.
Pire encore : on se rend compte qu'à mesure des progrès qui nous garantissent une diminution constante des dangers réels (guerres, catastrophes naturelles et même épidémies), les individus ont de plus en plus peur, de leur ombre, du changement, des autres, des frémissements de l'actualité ou de la liberté elle-même.
https://fr.sott.net/article/36536-La-liberte-mise-en-pieces-par-la-peur
La température des océans comme celle de l'atmosphère vient DU MAGMA. La boule ferrique incandescente érupte par des millions (milliards ?) de sources chaudes aux planchers maritimes & océaniques et réchauffe donc les lames de fond. Ces courants marin ressortent aux côtes d'azur et côtes bretonnes (pour ne citer que celles-là). C'est aussi notre magma qui crée les gaz (qui forment notre atmosphère) et fourni les eaux en oxygène sans quoi il n'y aurait pas de vie maritimes. Ce volume de gaz représente des milliards de fois plus que ceux émis par les humains+animaux+industries. Tous les gaz se recyclent immédiatement sans quoi il n'y aurait pas de vie sur terre.
SupprimerPopulisme européen à nouveau en hausse ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 05 FÉVRIER 2021 - 17H00
Rédigé par Andrew Moran via LibertyNation.com,
À la suite de la défaite électorale de l'ancien président Donald Trump, les médias traditionnels et les créatures des marais ont déclaré avec enthousiasme que le populisme est mort et enterré, qu'il ne sera plus jamais ressuscité à grande échelle. Mais les victoires des matchs Trump et Brexit ont-elles enflammé les flammes des mouvements populistes ? Bien que le reste de l'Europe rejette essentiellement les personnalités et les partis qui ont défendu des politiques anti-établissement et anti-immigrés comparables en 2017, les électeurs pourraient jeter un second regard à ces mêmes forces maintenant que les «experts» ont échoué à des dizaines de millions de personnes à l'époque. de la pandémie. De la France au Portugal en passant par les Pays-Bas, la vague populiste pourrait remonter.
Le Pen est plus puissant que l'épée
Le président Emmanuel Macron n'est pas l'homme le plus populaire de France à l'heure actuelle. Selon des dizaines de sondages d’opinion depuis juillet 2020, le taux de désapprobation du dirigeant français a régulièrement dépassé les 50 %, le dernier lot d’enquêtes dépassant 60 %. Cela pourrait-il signaler sa disparition à l’élection présidentielle de l’année prochaine? Il pourrait s'agir d'un cas de Le Pen est plus puissant que l'épée.
Marine Le Pen, chef du parti Rassemblement national, se rapproche ostensiblement de Macron dans les sondages. Selon la dernière étude en ligne de Harris Interactive, si un dernier tour de scrutin présidentiel avait lieu aujourd'hui, Le Pen obtiendrait 48 % des voix, contre 52 % pour Macron. Bien que cela donne à Macron une légère victoire à la réélection, c'est la marge la plus étroite enregistrée.
Le Pen semble lancer sa candidature électorale en proposant de nouvelles mesures, dont l'interdiction du foulard musulman dans tous les lieux publics. S'adressant à des journalistes lors d'une conférence de presse, Le Pen a suggéré d'interdire les «idéologies islamistes» qu'elle qualifiait de «totalitaires et meurtrières».
Mais si ce genre de position n’a pas réussi à propulser Le Pen à l’Élysée en 2017, les frustrations du public face à la gestion par Macron de la pandémie de coronavirus et à la reprise économique catastrophique pourraient inciter davantage d'électeurs à voter pour elle dans 15 mois. Cela dit, beaucoup de choses peuvent changer au cours de la prochaine année. Mais si d'autres tendances suggèrent quelque chose, c'est que le populisme fait son retour en France. Prochain arrêt, l'Italie ?
Ciao Bello
RépondreSupprimerLe Premier ministre italien Giuseppe Conte a récemment démissionné après plus de deux ans de chaos politique au sein d'un gouvernement de coalition au pouvoir fragile. Conte a démissionné après que Matteo Renzi a retiré son petit parti Italia Viva de l'alliance fragile, bien que le mouvement populiste Five Star Movement (M5S) et le Parti démocrate (PD) de centre-gauche restent derrière le Premier ministre sortant. Cela dit, la sortie de Salvini a conduit Conte à diriger le gouvernement avec une faible majorité, et dans la politique italienne, ce n’est pas une garantie d’adopter des politiques.
Est-ce une victoire du populisme et un signe de l’avenir de la nation? Pas assez. Selon une nouvelle enquête IXE, 45 % des électeurs italiens souhaitent que Conte reste au pouvoir, et seulement 26 % sont favorables à de nouvelles élections. Salvini fait actuellement l'objet d'un procès pour des allégations selon lesquelles il aurait abusé de son pouvoir en empêchant un navire de réfugiés de mouiller en 2019 alors qu'il était ministre de l'Intérieur. Mais Salvini est sans excuse, acceptant les accusations comme un insigne d'honneur. Il a déclaré à la presse à l'issue d'une audience à huis clos:
«Je suis totalement à l'aise et fier de ce que j'ai fait. Je ne regrette que le coût de la procédure qui est supporté par les contribuables italiens et le temps du magistrat que j'ai perdu. "
Le juge a reporté la procédure judiciaire au 20 mars.
La montée du populisme portugais
Le mois dernier, le président portugais Marcelo Rebelo de Sousa a été réélu dans un glissement de terrain, recueillant 61 % des voix. Malgré sa victoire, de nombreux analystes politiques surveillent Andre Ventura, un politicien populiste de droite qui a obtenu 12 % des voix. Bien que Lisbonne ait été dirigée par une coalition de centre-droit avec un parti socialiste au siège de l’opposition, les experts estiment que cet équilibre pourrait changer avant les prochaines élections législatives dans deux ans au milieu de la montée de Ventura.
Ventura est une voix grandissante en politique depuis 2017, prônant moins d'immigration et plus de loi et d'ordre. Après avoir abandonné le Parti social-démocrate de centre droit, il a formé son propre parti populiste appelé Chega (Assez).
Foreign Policy note que «les Portugais ont un niveau de méfiance plus élevé envers leur démocratie que la plupart des populations», ajoutant: «ce mécontentement pourrait alimenter une marque unique de populisme d'extrême droite au Portugal qui ne repose pas principalement sur un sentiment anti-immigré. " Dans un pays où le gouvernement a prolongé et resserré les verrouillages et où l'économie devrait encore s'effondrer, un candidat anti-établissement pourrait faire appel au public.
RépondreSupprimerLes Hollandais se déchaînent ?
Geert Wilders, le chef du Parti pour la liberté, n'est pas devenu un général politique comme certains l'avaient prévu lors des élections de 2017, bien qu'il détienne le deuxième plus grand nombre de sièges parlementaires. Cependant, à la suite d'un scandale de protection de l'enfance sous le Premier ministre Mark Ruttle et d'une nation de plus en plus amère face aux verrouillages de COVID-19, Wilders pourrait-il réussir au printemps lorsque des millions de citoyens se sont aventurés aux urnes? Les dernières données d'enquête suggèrent que la composition du gouvernement serait relativement la même qu'aujourd'hui. En fait, le Parti populaire pour la liberté et la démocratie (VVD) pourrait s'appuyer sur son nombre de sièges, malgré le désastre politique qui pèse sur la tête du parti.
MAGA, MEGA et patriotes
Aux États-Unis, la perte du président Trump n’était peut-être que le début. Si les rumeurs sont vraies, Trumplicans peut être une force avec laquelle il faut compter pour les années à venir sous la forme du Patriot Party. Alors que les conservateurs ont mis en garde contre les conséquences politiques à long terme d’un Parti républicain fracturé qui donnerait le contrôle aux démocrates pendant de nombreuses années, cela montre que la population de MAGA Country n’est pas en train de disparaître. Le même esprit a traversé l'étang, s'infiltrant dans un certain segment du public électoral qui s'est senti laissé pour compte et insulté par les internationalistes apaisant leurs maîtres mondialistes à Bruxelles. Cette colère sera-t-elle enfin canalisée vers la conquête électorale ?
https://www.zerohedge.com/geopolitical/european-populism-rise-again
Qui a besoin d'un ministère de la vérité - seules les personnes qui protègent un gros mensonge
RépondreSupprimerLes pauvres démocrates ont remporté le scrutin juste et carré et n’ont organisé que des rassemblements pacifiques toute l’année - mais la moitié du pays ne les croit pas. Même lorsque la cabale amicale des médias géants d'un billion de dollars interdit ses opposants politiques, détruit Parler et filtre les mentions d'irrégularités de vote - cela ne suffit pas.
February 5th, 2021
Si seulement ils pouvaient participer à une émission télévisée d'affaires publiques et expliquer poliment pourquoi ils ont raison ?
Voici une idée radicale - que diriez-vous de tenir une conférence de presse pour répondre à toutes les allégations, remettre les machines à voter, les bulletins de vote et vérifier les signatures? Tout serait si simple. Puisqu'ils ne peuvent pas faire cela, et qu'ils ne peuvent penser à aucune bonne raison pour laquelle ils ne peuvent pas faire cela, il est temps pour A Reality Czar! Que la bonne main du gouvernement vous dise ce qu'est la vérité.
Et qui le suggère ? La presse libre….
Le NY Times veut que Biden crée un «tsar de la réalité»
Benjamin Gill et Steve Warren, CBN News
Kevin Roose, chroniqueur technologique pour The [New York] Times, écrit: «Plusieurs experts avec lesquels j'ai parlé ont recommandé que l'administration Biden mette sur pied un groupe de travail interinstitutions pour lutter contre la désinformation et l'extrémisme domestique, qui serait dirigé par quelque chose comme un ' tsar de la réalité ».
Le fait que le New York Times ne considère pas cela comme une concurrence en dit long sur le New York Times. Si une commission gouvernementale fait des recherches et dit au monde toute la vérité, que fait exactement le New York Times ? Couper et coller les communiqués de presse ?
Un professeur de l'Université Harvard sur la politique des médias appelle à une «commission vérité»:
L'un de ces experts, Joan Donovan, directeur de recherche du Shorenstein Center on Media, Politics and Public Policy de l'Université Harvard, a même laissé entendre que la nouvelle administration pourrait mettre en place une «commission vérité», similaire à la Commission du 11 septembre, pour enquêter sur la planification et exécution du siège du Capitole le 6 janvier.
Qui a besoin d'un média ? Qui a besoin d'un professeur, ou d'ailleurs, d'une recherche médiatique ? Demandez simplement au gouvernement. Qu'est ce qui pourrait aller mal ?
Les gens normaux combattent la désinformation avec des information
AOC a si peu de bonnes réponses qu'elle a besoin d'un ministère du gouvernement entier à la place:
RépondreSupprimerLa représentante Alexandria Ocasio-Cortez (D-N.Y.)… A déclaré mercredi dans une vidéo Instagram. «Nous allons devoir comprendre comment nous maîtrisons notre environnement médiatique afin que vous ne puissiez pas simplement cracher de la désinformation et de la misinformation»…
Parce que lorsque les médias réduisent au silence et licencient les gens, annulent les opposants politiques et n'imprimeront pas les deux plus grands scandales politiques en cinquante ans, cela ne suffit pas pour maintenir le grand mensonge ?
Par Joe Concha, The Hill
Pour revoir ce que nous avons vu depuis le siège horrible, répugnant et meurtrier du Capitole la semaine dernière:
(A) - L'interdiction du président Trump sur Twitter à perpétuité pour le crime d'annoncer qu'il n'assisterait pas à l'inauguration de Biden. Raison: Grâce à un codebreaking jamais vu depuis les Britanniques pendant la Seconde Guerre mondiale, Twitter a conclu que le président envoyait en fait un signal de chauve-souris aux partisans pour qu'ils attaquent l'événement car il ne sera pas là, ce qui est exagéré.
(B) - Google, Apple et Amazon se sont entendus - indirectement ou non - pour écraser le concurrent de Twitter Parler après qu'il soit devenu l'application la plus téléchargée de l'Apple Store le 7 janvier. Et ce faisant, envoyer un message sans ambiguïté à tous ceux qui envisagent de combler le vide de Parler: si vous essayez de créer une plateforme de médias sociaux attrayante pour les conservateurs, nous avons le pouvoir de vous éliminer grâce à un processus en trois étapes. Premièrement, Amazon supprime les services d'hébergement cloud de la même manière qu'un moteur est dépouillé d'une voiture. Puis Apple, via son App Store, et Google, via son app store, retiennent les clés d'accès à la plateforme.
Les démocrates ont déjà un ministère de la vérité: Big Tech
Le Daily Caller a récemment rapporté qu'au moins 14 des choix de Biden pour rejoindre l'administration ou conseiller sur la transition «ont travaillé pour Apple, Facebook, Twitter, Google ou Amazon», tout en ajoutant que «son principal porte-parole du Conseil de sécurité nationale sera un ancien Exécutif Twitter. »
Ou peut-être que les Big Tech ont leur propre gouvernement ?
https://joannenova.com.au/2021/02/who-needs-a-ministry-of-truth-only-people-protecting-a-big-lie/
L'État policier numérique est en cours d'institutionnalisation dans tout le monde occidental
RépondreSupprimerPar Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
5 février 2021
Ce rapport ressemble à de la science-fiction, mais il provient d'une source accréditée et est publié sur un site Web respecté. Si cela est exact, la seule conclusion possible est qu'un État policier est en train d'être institutionnalisé dans tout le monde occidental et peut-être dans le monde entier. S'il est exact, le rapport valide certainement ma conclusion selon laquelle la révolution numérique est la pire catastrophe qui ait jamais frappé l'humanité, et il valide ma conclusion qu'aucun gouvernement occidental ne représente le peuple. PCR
Identifiant implanté du «paquet de vaccins»: le Parlement allemand a ratifié le «programme numérique ID2020» de GAVI
Par Peter Koenig, Recherche mondiale
Introduction et contexte par Global Research:
Nouvelles alarmantes. En Allemagne, le Parlement (Bundestag) a ratifié le 29 janvier 2021, la mise en œuvre de l'Agenda ID2020.
Il s'agit d'une collecte de données électronique générale et centralisée de chaque citoyen à laquelle tous les organismes gouvernementaux, la police et peut-être aussi le secteur privé auraient accès.
Il couvre tout ce que l'on sait d'un citoyen individuel, maintenant jusqu'à 200 points d'information et peut-être plus au fil du temps, de votre compte bancaire à vos habitudes d'achat, vos dossiers de santé (carnets de vaccination bien sûr), vos penchants politiques, et probablement même vos habitudes de rencontres et autres entrées dans votre sphère privée.
L'agenda ID2020 a été conçu par Bill Gates dans le cadre du «paquet de vaccination». Il est soutenu par la Fondation Rockefeller, Accenture, le WEF et GAVI (Global Alliance for Vaccines and Immunization, maintenant simplement appelé Vaccine Alliance), également une création de Gates (2001), avec siège à Genève, Suisse.
GAVI est situé à côté de l'OMS. GAVI s'appelle un partenariat public-privé.
La partie publique étant l'OMS, plus un certain nombre de pays en développement.
Les partenaires privés sont, bien entendu, une série de sociétés pharmaceutiques, i. e. Johnson & Johnson, GlaxoSmithKline, Merck & Co.… et la Fondation Bill et Melinda Gates.
La Commission Corona extra-gouvernementale allemande, composée de centaines de médecins, virologues, immunologistes, professeurs d'université - et avocats, dont le Dr Reiner Füllmich, co-fondateur de la Commission, craint tout particulièrement que les vaccins Corona actuels (Pfizer, Moderna), peut inclure des nanoparticules qui pourraient être accessibles au rayonnement électromagnétique, i. e. 5G et la 6G suivante.
RépondreSupprimerC'est précisément ce qui était prévu dans la conception de l'Agenda ID2020, dans lequel Bill Gates et GAVI avaient un rôle majeur, et dans ce cas, l'ID2020 pourrait être implanté par un vaccin et être accessible à distance par des ordinateurs, des robots ou des algorithmes EM-équipés ( voir en allemand «Wirkungsweise und Gefahren der aktuellen Corona-Impfungen in Deutschland mittels mit Nanopartikeln umhüllter mRNA-Impfstoffe - Corona Ausschuss Germany 37th Conference» (31 janvier 2021).
L'adoption de l'Agenda ID2020 doit encore être approuvée par le Conseil fédéral allemand, mais il y a peu de chances que le Conseil le rejette.
Agenda 2020 en Suisse
De même, en Suisse, l'Agenda ID2020 - une carte d'identité entièrement électronique - reliant tout à tout ce qui concerne chaque citoyen individuel sera voté le 7 mars 2021.
Et ce n’est pas tout, le gouvernement suisse souhaite externaliser la gestion de l’Agenda ID 2020 au secteur privé - incroyable !!! - Vous imaginez une banque ou une compagnie d'assurance traitant (et vendant) vos données !!!! - Imaginez simplement ce qui va se passer avec vos informations personnelles - impensable.
À plus long terme - qui sait combien de temps - comme le prévoit Bill Gates, les propriétés d'une pièce d'identité électronique - i. e. un champ électromagnétique (CEM) - sera implanté dans votre corps, soit avec un vaccin - peut-être que cela se produit déjà avec les jabs covid, ou séparément sous la forme de nanopuces injectables.
Les premiers essais ont été menés au milieu de l’année dernière dans des classes d’écoles de villages isolés du Bangladesh.
Les Suisses complaisants étant ce qu’ils sont, il est très possible, sinon probable, que la proposition du gouvernement soit acceptée le 7 mars. Alors quoi?
Est-ce le début de l'adoption de l'Agenda ID2020 entièrement numérisé dans toute l'Europe, dans le monde?
Ou - peut-être que d'autres pays de l'UE ont déjà discrètement et secrètement - sans poser de questions - envisagé d'insérer l'Agenda ID2020 dans leur Constitution.
Pour plus de détails sur l'Agenda ID 2020 - voir ci-dessous.
La pandémie de coronavirus COVID-19: le vrai danger est «Agenda ID2020» Par Peter Koenig, 26 avril 2020
https://www.lewrockwell.com/2021/02/paul-craig-roberts/the-digital-police-state-is-being-institutionalized-throughout-the-western-world/
Leçons historiques sur la prospérité et la pauvreté
RépondreSupprimerPar Simon Black
Homme souverain
5 février 2021
En tant que petit-fils de Genghis Khan, Kublai Khan avait beaucoup à prouver.
Il a donc jeté les yeux sur le plus grand prix du monde connu à l'époque: le sud de la Chine.
Kublai Khan a achevé sa conquête de la Chine en 1279, forgeant un nouvel empire et créant la dynastie Yuan.
Les Mongols étaient connus pour leurs habitudes coûteuses - ils aimaient particulièrement la guerre et les femmes. Ainsi, lorsque l'argent a commencé à s'épuiser, les administrateurs de la dynastie Yuan ont commencé à imprimer du papier-monnaie.
Les responsables de Yuan n’ont pas été les premiers à proposer cette idée; le gouvernement de la dynastie Song précédente avait également imprimé du papier-monnaie. Mais il y avait une énorme différence -
Le papier-monnaie de la dynastie Song, connu sous le nom de guanzi, était soutenu par des pièces de cuivre, d'argent et d'or.
La monnaie yuan, cependant, n'était soutenue par rien. Ainsi, chaque fois que le gouvernement commençait à manquer d'argent, il imprimait simplement davantage.
En 1350, Kublai Khan était mort depuis des décennies. Mais les surveillants économiques de la dynastie Yuan imprimaient toujours du papier-monnaie comme un fou. Et cela provoquait une grave hyperinflation à travers la Chine.
La vie des gens a été bouleversée par l’irresponsabilité fiscale du gouvernement, et des rébellions ont éclaté dans tout le pays.
En 1368, la dynastie Yuan s'était complètement effondrée, et un paysan sans ressources devenu moine nommé Zhu Yuanzhang se leva pour devenir empereur et fonda la nouvelle dynastie Ming.
Pour stimuler l'économie ravagée par l'inflation, la dynastie Ming a créé un niveau de liberté économique sans précédent.
Les marchés et les industries ont été déréglementés; le gouvernement a abandonné son monopole sur la production de sel, par exemple, et les commerçants ont été encouragés à permettre à la concurrence du marché de fixer les prix.
Avec le temps, le gouvernement a stabilisé la monnaie et réintroduit des pièces métalliques. Et vers les années 1500, les responsables Ming ont même permis à des devises étrangères comme le dollar en argent espagnol de circuler en Chine.
Cela s'est avéré un moyen d'échange beaucoup plus stable que la monnaie fiduciaire, et l'économie chinoise s'est épanouie en conséquence.
La richesse a augmenté de façon spectaculaire. La Chine a pu construire des canaux, des ponts, agrandir et fortifier la Grande Muraille dans le mammouth de brique et de pierre que nous connaissons aujourd'hui, et achever de nombreux autres projets de travaux publics.
(Soit dit en passant, comme nous en avons discuté récemment, taxer les riches n'était pas la principale méthode de financement de cette infrastructure. Au lieu de cela, les commerçants ont été félicités et tenus en haute estime pour leurs contributions volontaires au bien public.)
Et dans l'ensemble, la Chine est devenue l'un des pays les plus riches et les plus puissants du monde.
Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi. Liberté économique. Déréglementation. Monnaie stable. Dépenses responsables.
Nous avons vu ces éléments maintes et maintes fois au cours de l’histoire.
Au 10ème siècle, la cité-état de Venise a suivi un modèle similaire de liberté économique.
À une époque où l'Europe médiévale s'étouffait avec le système féodal, Venise était l'un des rares endroits où même les paysans pouvaient s'enrichir.
Le gouvernement vénitien a établi des sociétés en commandite, a consacré l'état de droit et a finalement établi le ducat d'or vénitien - une pièce d'or qui est rapidement devenue largement acceptée dans le monde entier pour le commerce international en raison de sa pureté et de sa stabilité.
À la suite de telles politiques, la petite Venise est devenue l'une des économies les plus riches et les plus puissantes d'Europe.
RépondreSupprimerDes siècles plus tard, les Pays-Bas ont encore avancé ce modèle, devenant le pays le plus capitaliste que le monde ait jamais vu jusqu'à ce point.
Les Néerlandais ont créé la première bourse, les premières sociétés cotées en bourse (comme la Dutch East India Company) et d'innombrables autres innovations financières allant des fonds communs de placement aux stock-options.
Le gouvernement s'est écarté et a permis au secteur privé de prospérer. Ils ont maintenu les impôts raisonnables et la monnaie stable; en fait, le florin néerlandais - une pièce d'argent - est devenu la monnaie de réserve de l'Europe au cours des années 1700.
L'histoire regorge d'autres exemples qui montrent à quel point la prospérité économique est en fait une formule assez simple.
Tout ce qu'il faut, c'est la liberté économique, la responsabilité fiscale et une monnaie stable. C'est aussi ainsi que les États-Unis sont devenus le pays le plus riche du monde.
Mais la direction que prennent actuellement les États-Unis et la plupart des Occidentaux est le contraire.
Ils démontrent une absence totale de responsabilité fiscale. Ils dépensent des milliards de dollars maintenant comme si ce n’était pas grave. 30 billions de dollars de dette - 50 % plus grande que la taille de l'ensemble de l'économie - ne sont rien pour eux.
Les banques centrales continuent également à avilir la monnaie; ils ont «imprimé» tellement d’argent l’année dernière que le bilan de la Réserve fédérale a presque doublé en quelques mois.
Et il y a aussi de nombreux exemples de cela à travers l'histoire.
L'Empire romain d'Occident s'est effondré en raison de sa corruption sans fin, de son irresponsabilité fiscale et de l'avilissement de sa monnaie.
La monarchie française des Bourbons, l'Empire austro-hongrois, l'Empire ottoman - ils ont tous fini comme des bureaucraties corrompues, gonflées, hautement réglementées, avec d'énormes dettes.
Parfois, il est utile de simplement prendre du recul et de regarder la situation dans son ensemble - 5 000 ans d'histoire humaine montrent clairement quels éléments créent la prospérité par rapport à la pauvreté.
Ainsi, lorsque vous voyez votre gouvernement adopter activement des déficits extrêmes, l'impression de monnaie, la nationalisation des industries, des impôts débilitants et d'autres principes marxistes, demandez-vous: s'agit-il des principes de prospérité ou de pauvreté?
Encore une fois, l'histoire est assez instructive.
N'oubliez pas, cependant, que nous parlons de tendances ici - le fond ne tombera pas demain matin.
Mais cela rend encore plus important de penser à l’avenir (et à l’avenir de votre famille). Parce que votre gouvernement n'y pense certainement pas.
Vous ne pouvez pas contrôler ce que les politiciens et les banquiers centraux vont faire. Vous ne pouvez pas contrôler le résultat national. Mais vous pouvez contrôler votre propre résultat… et votre propre prospérité future.
RépondreSupprimerS'ils augmentent les impôts, par exemple, vous pouvez être prêt à prendre des mesures juridiques pour réduire ce que vous devez.
En cas de dévaluation de la devise, vous pouvez conserver votre épargne dans des actifs alternatifs.
S'ils réglementent excessivement les affaires, vous pouvez envisager une restructuration dans une juridiction plus avantageuse.
C’est ce qu’est un plan B: faire en sorte que quoi qu’il arrive ou ne se produise pas ensuite, vous serez toujours en position de force.
Sur une autre note… Nous pensons que l'or pourrait DOUBLER et que l'argent pourrait augmenter jusqu'à 5 FOIS au cours des prochaines années.
Reprinted with permission from Sovereign Man.
https://www.lewrockwell.com/2021/02/simon-black/historical-lessons-in-prosperity-vs-poverty/
France : Macron, le virus et les enseignants de l’éducation
RépondreSupprimerle 5 février 2021
Je voudrais relater dans ce billet ce qu’ont vécu les enseignants français du secondaire, non pas tous les enseignants mais une certaine élite dispensant des cours dans les classes préparatoires aux grandes écoles scientifiques. Il s’agit d’une particularité française au niveau « bac+2 » non pas à l’université mais dans un lycée, qu’il soit privé ou public. Dans les lycées publics ces enseignants de haut niveau ont des salaires de misère (par rapport à l’ensemble des pays de l’OCDE) calculés sur le nombre d’heures statutairement définies par l’administration tentaculaire de l’éducation nationale, c’est-à-dire les heures effectives de présence sur leur lieu d’enseignement. Ces enseignants de lycées très particuliers préparent leurs élèves aux concours d’admission aux grandes écoles d’ingénieur, une autre particularité française. Je formulerai un parallèle en fin de billet entre le système éducatif français et le système japonais. Bref, la mission de ces enseignants très particuliers est de soumettre périodiquement leurs élèves à des interrogations orales devant un tableau noir et une craie dans la main, en quelque sorte les conditions in vivo du concours. Statutairement et selon les règles absconses de l’éducation nationale française ces heures d’interrogation orale ne sont pas comptabilisées dans le cadre statutaire de leur service et sont rémunérées comme des heures supplémentaires.
Compte tenu de la médiocrité de leur salaire, bien que la plupart de ces enseignants soient naturellement agrégés et souvent docteurs dans leur spécialité, il est de leur devoir de maintenir une sorte de pression sur leurs élèves dont ils ont pour mission de les mener vers la réussite de leurs concours en les soumettant non seulement à ces tests oraux mais également à des devoirs surveillés in situ et des devoirs « à la maison » quoiqu’en pense le ministre actuel de l’éducation nationale français qui considère que les devoirs à la maison sont un facteur amplificateur des inégalités sociales. Non, dans le cas des classes « prépa scientifiques » c’est une nécessité absolue pour en quelque sorte former les élèves. Il se trouve que le coronavirus a contraint les enseignants à assurer leur enseignement via des moyens électroniques, merci internet, car leur objectif est d’enseigner le programme dans les temps et également en quelque sorte de former leurs élèves pour assumer l’épreuve des concours d’admission. C’était leur mission et ils devaient gérer les circonstances. Fort heureusement la majorité des élèves ( en particulier en deuxième année de classe préparatoire aux grandes écoles d’ingénieur) disposent d’un ordinateur et d’une connexion internet. Les enseignants, incapables en raison des circonstances sanitaires d’assurer leur enseignement in situ, ont donc été contraints de remplir leur mission depuis leur domicile en gérant leur classe d’une quarantaine d’élèves avec les moyens du bord, à domicile, et de contrôler l’avancement des connaissances de leurs élèves à l’aide d’interrogations orales à distance par vidéo, toute une organisation complexe que tous ces enseignants ont mis en place sans aucune espèce d’aide du ministère.
Au final les succès aux admissions aux grandes écoles ont été remarquablement satisfaisants en juin et juillet 2020. Malgré les efforts constants de ces enseignants travaillant comme des malades à domicile pour assurer le programme imposé par le ministère et mettre en place à leurs frais totalement ignorés par le Ministère leurs heures d’interrogation orale assurées « électroniquemen »t sous surveillance visuelle de la part des enseignants eux-mêmes à la maison, normalement assurées in situ, c’est-à-dire au lycée, n’ont pas été rétribuées par le Ministère puisque justement, selon le Ministre lui-même probablement, ces heures supplémentaires pourtant assurées par les enseignants n’avaient pas lieu d’être rétribuées comme c’était le cas durant toutes les années précédentes quand il n’existait aucune restriction de quelque motivation que ce soit, du genre urgence sanitaire. Résultat intéressant, tous ces enseignants agrégés et/ou docteurs d’université dans leur matière d’enseignement qui ont massivement voté pour le Président Macron et dont le salaire est considéré comme médiocre selon les statistiques de l’OCDE ont vu leur opiniâtreté à assurer leur enseignement y compris les fameuses « colles », c’est-à-dire ces interrogations orales pourtant assurées minutieusement par télé-enseignement tout simplement pas rétribuées à leur juste valeur par le Ministère tout simplement parce qu’elles n’avaient pas été assurées au lycée.
RépondreSupprimerJe rappelle que sans ces heures supplémentaires indispensables pour la préparation des élèves à leurs concours et faisant partie intégrante de cet enseignement très particulier qui n’existe qu’en France et qu’il faut absolument préserver les enseignants auraient des salaires de misère. Toutes ces lignes ont été inspirées par ma fille et mon gendre, tous deux enseignants en mathématiques spéciales (MP*) dans des lycées parisiens, c’est-à-dire dans les meilleures classes préparatoires à ces grandes écoles d’ingénieurs françaises, Polytechnique, Normale Sup, Centrale, Supélec, etc… la seule pépinière encore en vie en France pour former des élites scientifiques capables d’égaler les autres élites anglaises, américaines, japonaises, coréennes ou encore chinoises, le seul lieu encore existant en France en regard du naufrage total de l’université à de très rares exceptions près. Bref, malgré un travail leur demandant d’harassantes heures de travail « à la maison » incommensurables, ont vu leurs supplémentaires tout simplement supprimées malgré le fait qu’ils avaient assuré « leur service » indispensable pour la qualité de leur enseignement. Leur service n’avait pas été assuré au lycée ! Résultat, leur conscience professionnelle irréprochable a été pénalisée de 3500 euros pour chacun d’entre eux, une somme leur permettant d’améliorer chaque année leur salaire statutaire de misère. Et pourtant ils ont voté pour Macron. Je peux assurer mes lecteurs que lors des prochaines élections présidentielles ou législatives ils ne voteront pour n’importe qui d’autre. Ils ont fait leur devoir d’enseignants de haut niveau indispensable pour maintenir un certain niveau intellectuel pour la France et ils ont tout simplement été récompensés par le mépris.
Au Japon les enfants sont soumis dès l’âge de 13 ans à des concours très sélectifs pour intégrer un lycée public ou privé. Si l’élève échoue à ces concours il lui est vivement recommandé d’envisager un métier manuel alors que dans de nombreux pays d’Europe occidentale il existe une sorte de tronc commun d’études générales imposé à des élèves qui seraient beaucoup plus heureux et accomplis s’ils étaient orientés vers l’apprentissage de métiers manuels. Il y a au Japon à peu près 30 % des élèves qui sont orientés vers des écoles professionnelles les formant à des métiers manuels. Le diplôme de fin d’études secondaires, équivalent du baccalauréat, n’a pas été dévalorisé comme en France ou en Espagne. Il existe au Japon un deuxième goulet d’étranglement pour entrer dans une université ayant une bonne réputation. Il y a donc une deuxième sélection et un autre tiers des élèves est orienté vers des emplois dans le secteur des services au sens large, depuis les employés du secteur commercial jusqu’aux infirmières en passant par les employés de banque ou de certaines administrations, bref tous les métiers ne requérant pas d’études universitaires longues et souvent coûteuses puisque un grand nombre d’université sont privées. La majorité de ces étudiants trouvent un emploi après deux ou trois années d’études et de stages en entreprise. Au dernier tiers restant, ces évaluations sont très approximatives, les étudiants acquièrent des diplômes en cycle court, attachés commerciaux, de cabinets d’avocats, etc. et l’autre partie s’oriente vers des études universitaires longues destinées à acquérir un diplôme d’ingénieur ou de se consacrer à la recherche dans le secteur universitaire ou le secteur industriel. Ce système éducatif dont la base est une sélection sévère a fait ses preuves puisque le chômage est inférieur à 3 %. Il faudra toujours des artisans, il faudra toujours des responsables de rayons dans les magasins, il faudra des pâtissiers, des boulangers, des fabricants de denrées alimentaires, des assistantes à la personne à domicile ou en centre médicalisé, des ouvriers qui pourront acquérir une formation en entreprise. En France en particulier, l’université est devenue une véritable poubelle, les élèves poursuivent année après année une éducation (on devrait dire un enseignement) de qualité médiocre qui ne leur donne plus aucune chance de s’intégrer à la vie professionnelle. Que deviennent-ils ? Ils alimentent le chômage structurel de 10 % de la population active …
RépondreSupprimerhttps://jacqueshenry.wordpress.com/2021/02/05/france-macron-le-virus-et-les-enseignants-de-leducation/
Découvrez le robot conçu pour remplacer les chariots élévateurs
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 4 FÉV 2021-23: 40
La société de robotique Fetch, basée à San Jose, a dévoilé le dernier robot destiné à remplacer les conducteurs de chariots élévateurs humains dans les entrepôts, appelé PalletTransport1500, selon un communiqué de presse de la société.
Le PalletTransport1500 est un robot carré capable de soulever des palettes pesant jusqu'à 2500 livres. Le robot est alimenté par la suite logicielle Momentum d'Honeywell Intelligrated conçue pour automatiser les entrepôts.
Fetch affirme que les chariots élévateurs représentent les risques de sécurité les plus importants dans les entrepôts, entraînant 100 000 blessures chaque année. Voici un tweet de la société montrant le fonctionnement du robot.
Notre nouveau robot d'entrepôt autonome est conçu pour remplacer les chariots élévateurs, qui sont impliqués dans environ 100 000 accidents chaque année.
Découvrez PalletTransport1500, conçu pour supporter des charges utiles allant jusqu'à 2504 livres 🦾🤖
Voyez-le en action: https://t.co/kjyTKR4Yuy pic.twitter.com/pmow5B00zG
- Fetch Robotics (@FetchRobotics) 29 janvier 2021
Stefan Nusser, directeur des produits de Fetch, a déclaré: "même les centres de distribution les mieux gérés ont du mal à suivre la croissance continue du commerce électronique, ce qui met énormément de pression sur les installations et les associés d'entrepôt pour faire entrer et sortir les marchandises des installations de vitesse record. "
«En combinant le nouveau PalletTransport1500 de Fetch avec le Momentum d'Honeywell Intelligrated, les centres de distribution et d'exécution seront désormais en mesure d'orchestrer tous les aspects de l'exécution automatisée des entrepôts pour une efficacité et une sécurité maximales des installations», a déclaré Nusser.
Alors qu'Amazon a embauché des centaines de milliers d'employés d'entrepôt, nous avons documenté la prolifération des robots d'entrepôt, qui devraient prendre des emplois humains dans les années à venir (voir: ici et ici).
Pour résumer, le robot est conçu pour retirer les humains des entrepôts. Nous avons averti les lecteurs au fil des ans qu'une vague d'automatisation et d'intelligence artificielle déplacerait des millions d'emplois.
https://www.zerohedge.com/technology/meet-robot-designed-replace-forklifts
Ne craignez rien, l'EMP arrive !
SupprimerLes propriétaires étouffés par les réglementations
RépondreSupprimerNormes, réglementations, absurdités administratives : tout est conçu pour décourager le propriétaire.
5 FÉVRIER 2021
Par Adrien Boros.
Un article de l’Iref-Europe
Une histoire banale. Elle se situe dans un immeuble modeste d’une ville moyenne. Il s’agit d’un petit logement avec un petit loyer. Ayant été occupé pendant des années, il est aujourd’hui en mauvais état. Au départ du dernier locataire, le propriétaire décide d’entreprendre des travaux lourds de rénovation, dont notamment le remplacement de tous les châssis vitrés par des doubles vitrages, l’isolation des murs, la mise aux normes de l’électricité, etc.
Cette démarche était contraire à l’avis des agents immobiliers ayant visité l’appartement, ils ont souligné que cet investissement ne pourrait être amorti avant 20 ou 30 ans. Peu importe. Notre propriétaire n’est pas un professionnel de l’immobilier, il est peu argenté mais scrupuleux, et tenait à remettre sur le marché un logement mieux que simplement « digne » comme on dit actuellement. Il le souhaitait vraiment agréable à vivre pour ses futurs locataires.
MÊME APRÈS DES TRAVAUX, ON NE DÉCIDE PAS D’UNE AUGMENTATION DE LOYER !
À la fin des travaux, dont le coût s’éleva finalement à environ 15 % de la valeur du logement (!), le propriétaire passe en revue les diagnostics obligatoires (65 pages d’informations), choisit un des nombreux modèles de « bail de location » existants (22 pages), annexe à celui-ci un extrait du règlement de la copropriété (15 pages), prépare le formulaire d’état des lieux et, enfin, publie une annonce pour la location.
Cependant, vu l’investissement réalisé, il augmente le loyer de ce qu’il considérait comme raisonnable : 5 %.
À ce moment, des amis bien informés attirent l’attention de notre propriétaire un peu aventureux sur le fait qu’on ne décide pas ainsi, comme on veut, d’une augmentation de loyer.
A-t-il vérifié par exemple, les loyers pratiqués dans les environs pour des biens équivalents ? Et le rapport entre le montant des travaux et le montant annuel des loyers, est-il d’au moins 15 % ? Et puis il y a les zones où les loyers sont plafonnés ou bien encadrés…
Enfin, manque de chance, notre propriétaire découvre angoissé que son logement se trouve en « zone tendue », zones dans lesquelles aucune augmentation de loyer n’est autorisée (sont concernées actuellement 1149 communes dans 28 agglomérations).
Il se dit qu’il aurait mieux fait de s’abstenir de vouloir trop bien faire… Mais il découvre aussi qu’il existe de nombreuses clauses permettant de déroger à cette interdiction absolue, et l’une d’elles justement lui convient parfaitement : « Si le montant des travaux réalisés est au moins égal à la dernière année de loyer, celui-ci pourra être fixé librement ».
Ouf ! Ses travaux représentent près de trois années de loyer !… Hélas, soulagement de courte durée. Cette règle était applicable jusqu’au 1er janvier 2021.
RépondreSupprimerDepuis, aux règles précédentes s’en ajoute une autre : les travaux réalisés doivent aussi permettre un abaissement de la consommation d’énergie en dessous de 331 kwh/m2/an. Nouvel ouf victorieux : les travaux d’isolation entrepris et la mise en place de doubles vitrages permettront de prouver la baisse de consommation et donc justifier l’augmentation du loyer… J’espère que vous suivez…
NORMES, RÉGLEMENTATIONS, ABSURDITÉS ADMINISTRATIVES : TOUT EST CONÇU POUR DÉCOURAGER LE PROPRIÉTAIRE
Juste un petit problème… sans clause dérogatoire cette fois ! Le calcul ci-dessus doit être réalisé par une personne agréée, disons un diagnostiqueur. Notre propriétaire confiant, croyant que cette ultime démarche lui permettra enfin de boucler son dossier, s’adresse à celui qui était intervenu dans ce logement et avait indiqué sur son document « DPE vierge ». Pourquoi vierge ?
Il explique donc au technicien en question qu’il a besoin d’un certificat indiquant la classe D ou E (correspondant à une consommation inférieure à 331 kwh/m2/an) et s’entend dire que dans les immeubles d’avant 1949 on ne calcule pas les consommations et les déperditions thermiques en fonction des isolations réalisées et des matériaux utilisés, mais… des consommations effectives des années précédentes ! Et c’est pour cela d’ailleurs que le diagnostic est « vierge » car le diagnostiqueur n’avait pas accès aux factures du dernier locataire.
« Mais justement, je ne veux pas constater le passé (qui forcément est mauvais, et qui a conduit à la réalisation des travaux !), je veux prouver que les travaux réalisés remplissent les conditions requises pour atteindre la consommation demandée réglementairement ! » s’énerve notre bailleur. Comment faire alors pour apporter le justificatif du respect du nouveau plafond de consommation ? « Attendez un an » fut la réponse…
Donc, vous faites effectuer des travaux pour économiser l’énergie, vous louez pendant un an avec l’ancien loyer, vous faites faire un nouveau diagnostic (entre 200 et 250 euros et en espérant que le locataire n’a pas volontairement ou frileusement augmenté le chauffage au maximum pour ainsi fausser l’analyse) et, fort du bon constat cette fois, vous proposez au locataire déjà en place de bien vouloir accepter une augmentation de loyer… qu’il pourra contester avec beaucoup d’arguments !
À l’heure qu’il est, plutôt que de louer dans ces conditions, notre propriétaire désespéré a préféré mettre son logement en vente. La morale de l’histoire est que, si on veut décourager les propriétaires bailleurs de faire des travaux d’isolation, il existe maintes possibilités pratiques (pour pouvoir bénéficier du crédit d’impôt, voir par exemple la complexité du calcul en fonction des matériaux isolants thermiques utilisés, leur épaisseur et leur mise en œuvre). Pour les encourager, il n’existe que beaucoup de beaux discours…
https://www.contrepoints.org/2021/02/05/390348-les-proprietaires-etouffes-par-les-reglementations
Le Professeur Didier Raoult attaque les lobbys pharmaceutiques et dénonce le rôle des médias dans la crise
RépondreSupprimer14:39 05.02.2021
Dans un entretien au Figaro, Didier Raoult dresse le bilan de son action contre le Covid-19, affirmant ne pas regretter ses propos sur l’évolution de l’épidémie ou sur l’efficacité de la chloroquine. Il dénonce le rôle des médias et des lobbys pharmaceutiques dans la confusion qui règne autour du virus.
Interrogé par Le Figaro, Didier Raoult a réaffirmé ses positions médicales sur le Covid-19. L’infectiologue a déclaré n’avoir aucun regret concernant ses propos passés, notamment ceux tenus en mai et juin, qui prédisaient la fin prochaine de l’épidémie. Le spécialiste fait la distinction entre deux phases de la pandémie, précisant que «le virus d’août n’est pas celui du printemps».
À propos de la chloroquine, le professeur se veut également ferme, alors qu’une récente lettre publiée par l’IHU de Marseille pouvait fait croire à un mea culpa de ses équipes sur le sujet. Il rejette en bloc les soupçons de toxicité du remède, fustigeant des «études bidonnées» et des attaques «délirantes». Il soutient toujours que l’hydroxychloroquine peut être efficace pour les patients qui ne sont pas en phase finale.
«En ce qui concerne l’hydroxychloroquine, je n’ai jamais dit qu’elle allait guérir 100% des patients. En revanche, je maintiens que cette molécule améliore l’état des malades précoces ou avancés, mais pas en phase finale», explique-t-il ainsi au Figaro.
Charge contre l’industrie pharmaceutique
Didier Raoult dénonce encore le rôle des grandes entreprises pharmaceutiques durant la crise sanitaire, dont certaines ont jeté le discrédit sur l’hydroxychloroquine, selon lui. Il fustige notamment «les médecins liés à Gilead», la firme américaine ayant développé le remdesivir.
Plus généralement, l’infectiologue s’inquiète des conflits d’intérêts qui agitent l’industrie du médicament. Pointant du doigt la «financiarisation du monde pharmaceutique», il décrit un secteur en manque de créativité, n’ayant «plus grand-chose à offrir» et obligé de survivre en vendant «des produits qui ont peu d’intérêts». Il met en garde contre l’ampleur prise par «la corruption et le lobbying» dans cette sphère.
«Ça fait 20 ans que je refuse de travailler avec l’industrie pharmaceutique. […] Il n’est pas normal que des médecins se prononcent sur des médicaments au sujet desquels ils se trouvent en conflit d’intérêts. C’est étonnant, parce que dans les autres secteurs de la société, ce genre d’attitude n’est plus tolérée. On a eu droit à un débat national pour interdire aux députés d’employer leurs conjoints!», déclare Didier Raoult au Figaro.
Responsabilités des médias
Le praticien de l’IHU Méditerranée critique également un emballement médiatique autour de l’épidémie, rappelant que «80% des gens qui meurent ont plus de 75 ans ou sont obèses». Il affirme voir un décalage entre «la médiatisation de certaines informations et la réalité du risque». Des «alertes disproportionnées» qui durent, selon lui, depuis plusieurs années, l’infectiologue citant l’exemple du chikungunya et du H1N1.
Didier Raoult estime lui-même faire l’objet d’un traitement média biaisé et accuse les médias de tronquer ses propos.
«Certains médias ou réseaux sociaux coupent des bouts de phrases, enlèvent les précautions de langage et la démonstration d’ensemble. Ils ne font pas d’information, ils font du spectacle», explique l’infectiologue au Figaro.
Les météorologues avertissent que le ''gel profond '' pour les États-Unis commence la semaine prochaine
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 05 FÉVRIER 2021-13: 38
Les lecteurs se souviendront peut-être que les prix du gaz naturel ont explosé plus tôt dans la semaine alors que les modèles météorologiques sont passés à une configuration beaucoup plus froide pour les deux prochaines semaines.
Le météorologue de BAMWX, Kirk Hinz, qui a publié jeudi une mise à jour approfondie décrivant comment les températures au cours des deux prochaines semaines seront bien inférieures à la moyenne, augmentant ainsi les degrés-jours de chauffage, signe que la demande de natgas augmentera à mesure que les gens montez leurs thermostats pour rester au chaud.
- voir carte sur site -
Pour la première semaine, Hinz décrit:
Aucun changement dans nos prévisions de la semaine 1 par rapport à ce matin.
Au cours de la semaine prochaine, nous nous attendons à des températures par rapport à la normale en moyenne de 15 à 20 degrés inférieurs à la normale sur une échelle étendue du Montana à Kansas City, Chicago, près d'Indianapolis et toutes les régions intermédiaires.
Le froid par rapport à la normale devrait également chuter jusqu'à près de Dallas et Houston, et s'étendre aussi loin à l'est que New York.
L'étendue de l'emplacement du froid par rapport à la normale continuera de permettre à la demande nationale de chauffage pondérée au gaz de dépasser de beaucoup la normale et de continuer à augmenter pendant la semaine 1 dans les prochains jours.
Semaine deux, il a dit:
Changement de prévision BAM: Nous avons encore plus froid dans nos prévisions cet après-midi, de 255 à 265.
Les données ont tendance à se répandre à nouveau plus froides sur 12z aujourd'hui, en particulier l'ensemble Euro qui a tendance à plus de 25 GWHDD plus froids que Oz.
Nous n'avons pas orienté nos prévisions à un niveau aussi élevé que l'ensemble euro, ce qui les rapproche de la solution d'ensemble américaine plus cohérente.
Le vortex polaire cherchant à rester dans une position très favorable pour les explosions arctiques, attendez-vous à un froid notable supplémentaire derrière les systèmes de tempête dans la période de la semaine 2. Nous pensons que cela continue tout au long de la semaine 2, d'autant plus que l'air plus froid descend plus au sud lié à la phase 8 du MJO.
Un risque que nous devrons surveiller est ce que fait le MJO après la phase 8. S'il persiste dans la phase 8, ce modèle de froid plus généralisé pour le centre et l'est des États-Unis perdurera. Si nous passons à la phase 1 du MJO, la crête sud-est des États-Unis pourrait essayer de revenir en fin de semaine 2. Quoi qu'il en soit, l'air plus froid au nord devrait persister, mais cela pourrait permettre aux disques durs de ralentir un peu en fin de semaine 2.
Le rapport PM Energy Check-Up de BAMWX daté du 4 février montre que les prévisions de température de la semaine 2 (entre le 11 et le 17 février) pourraient être bien inférieures à la normale pour une grande partie des États-Unis.
- voir carte sur site -
Une grande partie de l'air plus froid de la semaine 2 pourrait être positionnée dans les parties centrale et orientale des États-Unis.
- voir carte sur site -
Les degrés-jours de chauffage des semaines 1 et 2 montrent une forte surtension à partir du début de la semaine prochaine, ce qui signifie qu'il faudra plus d'énergie pour chauffer une structure résidentielle ou commerciale à mesure que les températures plongent.
- voir carte sur site -
Les contrats à terme sur gaz naturel se maintiennent chaque semaine au-dessus de la moyenne mobile exponentielle de 200 et ont récupéré la poignée de 3 $ vendredi matin.
- voir carte sur site -
Voici les perspectives complètes:
- voir carte sur site -
https://www.zerohedge.com/commodities/meteorologists-warn-deep-freeze-us-begins-next-week
(...) 15 à 20 degrés inférieurs à la normale sur une échelle étendue du Montana à Kansas City, Chicago, près d'Indianapolis et toutes les régions intermédiaires. (...)
SupprimerOubliez vite les escroqueries quotidiennes du 'Global Warming' où une augmentation historique de 0,5°C aurait vu le jour quelque part !
voir sur ventusky.com Samedi 13 avec -19°C à Nashville !
7 milliards $ : les procès en diffamation les plus chers de l’histoire
RépondreSupprimerLa justice américaine a déjà tranché à plus de 60 reprises : il n’y a eu aucune fraude significative dans le cadre de la présidentielle 2020. Mais face aux accusations du camp Trump, la phase judiciaire prend un nouveau tournant avec les procès en diffamation les plus chers de l’histoire mondiale.
Par Alexis Vintray.
5 FÉVRIER 2021
UNE POST-PRÉSIDENTIELLE TUMULTUEUSE
L’élection présidentielle américaine a vu la victoire relativement large de Joe Biden, avec 306 grands électeurs contre 232 pour Donald Trump. Joe Biden a eu 7 millions de voix d’avance sur le président sortant. Ces résultats sont clairs, homologués par les autorités au niveau des états et au niveau fédéral. Mais ils n’ont pas empêché une partie du camp Républicain de crier à la fraude électorale massive pour expliquer sa défaite.
Comme nous l’avions analysé dans différents articles sur Contrepoints, sous la plume de Philippe Lacoude ou la mienne, aucune fraude significative n’a pu être prouvée, même un tant soit peu. La justice américaine a donné tort plus d’une soixantaine de fois aux avocats de la campagne Trump et à ses partisans, confirmant l’intégrité du processus électoral.
Mais face aux accusations sans fondement du camp Trump, la phase judiciaire prend un nouveau tournant avec les procès en diffamation les plus chers de l’histoire mondiale, intentés par deux fabricants de machines de vote, Dominion et Smartmatic. Pour un total fou de 6.7 milliards de dollars à ce stade. Explications.
LES PROCÈS EN DIFFAMATION LES PLUS CHERS DE L’HISTOIRE
Dominion et Smartmatic ont lancé des démarches en justice pour, demander, respectivement, des compensations de 1,3 milliards de dollars (fois 3 procès) et 2,7 milliards de dollars (un procès). Dans les deux cas, les personnalités visées pour diffamation sont quasiment les mêmes : pour Dominion, Sidney Powell dans un premier procès, et Rudy Giuliani dans un second procès. Powell a été une avocate de la campagne Trump avant d’en être expulsée tardivement, tandis que Giuliani est l’avocat personnel de Donald Trump. Smartmatic poursuit les mêmes et y ajoute Fox News et trois de ses présentateurs vedettes (Jeanine Pirro de Fox News, Maria Bartiromo et Lou Dobbs de Fox Business). Ces derniers ont été les plus virulents dans les accusations de fraude sur ces deux chaînes.
Les personnalités visées avaient été jusqu’à arguer que les sociétés de machines de vote avaient truqué l’élection présidentielle américaine, en collaboration avec l’Iran, la Chine, le Venezuela ou encore George Soros et les Antifas.
Beaucoup d’accusations farfelues mais qui ont en commun deux aspects : n’avoir aucune preuve d’une part, avoir détruit les entreprises en question d’autre part. Ce dernier point est au moins la justification avancée par les avocats (distincts) de Dominion et Smartmatic pour justifier du montant massif des dommages et intérêts réclamés.
Pour chaque procès, les sociétés arrivent à ces montants astronomiques en additionnant les revenus qu’elles estiment avoir perdus à cause des dommages causés à leur réputation par cette diffamation, cumulés avec une demande de dommages et intérêts. Des montants extraordinairement élevés, à la hauteur selon elles de la désinformation qui a entouré les lendemains de la campagne présidentielle.
DES SOCIÉTÉS QUI SEMBLENT TRÈS SURES DE LEURS CHANCES
RépondreSupprimerDominion comme Smartmatic ont recruté des ténors du barreau pour les défendre dans ces procès qui pourraient durer de 2 à 5 ans. Mais qui dit ténors ne dit pas absence d’ironie : la plainte de Smartmatic débute ainsi par les mots suivants :
La Terre est ronde. 2 et 2 font 4. Joe Biden & Kamala Harriss ont remporté la présidentielle américaine de 2020. L’élection n’a pas été volée, trafiquée ou manipulée. Ce sont des faits. Ils sont démontrables et irréfutables.
Le lecteur curieux pourra parcourir la plainte de Smartmatic (ci-dessous), ou celles de Dominion (disponibles publiquement en ligne).
Here is the 285-page, $2.7 billion defamation lawsuit that election tech company Smartmatic filed today in state court in Manhattan against Fox, Lou Dobbs, Maria Bartiromo, Jeanine Pirro, Rudy Giuliani and Sidney Powell: https://t.co/VYwrKETtyS
Intro: "The Earth is round." pic.twitter.com/dZzyPBuIvd
— Zoe Tillman (@ZoeTillman) February 4, 2021
Face aux accusations de Smartmatic et de Dominion, Fox News a réagi en déclarant « Nous sommes fiers de notre couverture de l’élection 2020 et nous allons nous défendre avec force au tribunal face à cette action sans fondement ». D’autres accusés se sont « réjoui » des procès, qui leur donnent selon eux l’opportunité de prouver leurs accusations.
A QUI A PROFITÉ LE CRIME ?
Les fausses accusations de fraude électorale ont profité largement à Donald Trump, qui en a profité pour lever plusieurs centaines de millions de dollars, prétextant qu’il en avait besoin pour se défendre face à ces fraudes. De même Sidney Powell ne s’est pas privée pour collecter des dons, cherchant à lever « des millions ». Rudy Giuliani quant à lui aurait facturé 20 000$ par jour ses services à la campagne Trump. Ce tarif horaire est 10 fois le tarif normal de Rudy Giuliani. Un différentiel tellement énorme qu’il laisse planer le doute sur ce que tarif exorbitant venait rémunérer (le risque de procès pour diffamation ?).
Quant aux médias, ils ont bénéficié d’audience record, comme sur le podcast de Rudy Giuliani.
Le cas de Fox News est plus compliqué. Fox News, aux abois face à d’autres chaines plus radicales comme OAN ou Newsmax, aurait selon Smartmatic, utilisé ces accusations infondées de fraude pour défendre son audience face à ses rivaux (malgré une audience qui s’est quand même effrité). Selon la plainte de Smartmatic, « leur histoire était un mensonge. Toute l’histoire. Et ils le savaient. Mais elle faisait vendre. »
QUELLES SUITES ?
RépondreSupprimerUn nom manque singulièrement à l’appel dans les personnalités visées, Donald Trump. En particulier via son compte Twitter, l’ancien président américain aux 88 millions de followers a diffusé et offert une caisse résonance massive à ces accusations fausses. Il n’est pourtant à ce stade poursuivi par aucune des deux sociétés visées par ces accusations soupçonnées d’être diffamatoires. Pourquoi ?
Aucune des sociétés n’a écarté l’hypothèse de poursuivre l’ancien président pour diffamation, c’est donc une possibilité. La question reste ouverte, en épée de Damoclès au-dessus de la tête de l’ancien président.
Ne sont aussi pas listés à ce stade d’autres médias bien plus conservateurs que Fox News : OAN et Newsmax. Ces deux médias ont été bien plus virulents que Fox mais ne sont pas encore visés par un procès. La probabilité qu’un procès soit à leur porte est néanmoins élevée, au point de nourrir une certaine panique, chez Newsmax en particulier.
Dans une interview de Mike Lindell, une des figures de proue des conspirationnistes de la fraude électorale, Newsmax a ainsi commencé à le couper brutalement quand ce dernier est parti dans des accusations infondées de fraude. Avant que le journaliste lise un brief préparé d’avance pour réaffirmer que la chaîne n’avait aucune preuve de fraude, et d’abandonner le plateau dans un moment surréaliste :
Newsmax invites Mike Lindell, who advocated for a coup and spews dangerous conspiracy theories, on air. It didn't go well. pic.twitter.com/6xzSgXlHua
— Jason Campbell (@JasonSCampbell) February 2, 2021
UN PAYSAGE MÉDIATIQUE ET POLITIQUE REMANIÉ ?
Ces procès, si la justice donne raison aux fabricants de machines de vote (probable) et leur accorde leurs demandes massives (moins probable), sont de nature à reconfigurer significativement le paysage médiatique conservateur américain, en faisant faire faillite aux plus petits acteurs. Il est trop tôt pour voir les premiers effets bien sur, mais entre une désaffection certaine pour Fox News, et des chaînes radicales rattrapées par les conséquences de leurs excès, il ne sera pas aisé de deviner qui va sortir gagnant parmi les médias conservateurs.
Sur l’échiquier politique, cela pourrait aussi avoir des impacts. L’insistance de Donald Trump à prétendre de manière mensongère que de la fraude lui a coûté la victoire a déjà fait perdre la majorité au Sénat aux Républicains, et à l’ancien président son équipe d’avocats dans le cadre de l’impeachment actuellement en cours. Les procès en cours seront peut-être aussi l’occasion pour le Parti Républicain de renoncer à ses outrances actuelles sous la pression judiciaire et de revenir à ses racines de parti de la modération, bien plus proche des idées libérales qu’aujourd’hui…
https://www.contrepoints.org/2021/02/05/390409-7-milliards-les-proces-en-diffamation-les-plus-chers-de-lhistoire
Quel est le prix de quelque chose quand on imprime soi-même l'argent ?
SupprimerHAHAHAHAHA !
Dette Covid et solutions magiques
RépondreSupprimerPeut-on ne pas rembourser une dette et, pour le dire de manière moins pudique, l’annuler ?
6 FÉVRIER 2021
Par Victor Fouquet.
Un article de l’Iref-Europe
L’indigence de la culture économique en France résumée en un sondage : d’après l’enquête Odoxa-Aviva pour Challenges et BFM Business, 34 % des personnes interrogées estiment qu’il ne faudrait pas rembourser la dette contractée par l’État pendant la pandémie de Covid-19 ; 39 % des Français estiment qu’il faudrait la rembourser pour « une bonne partie avec une contribution exceptionnelle des grandes fortunes » ; 73 % suggérant de faire et l’un et l’autre…
PEUT-ON NE PAS REMBOURSER UNE DETTE ET, POUR LE DIRE DE MANIÈRE MOINS PUDIQUE, L’ANNULER ?
L’annulation des dettes est une idée qui revient régulièrement dans le débat agitant experts, économistes et politiques. L’accroissement vertigineux de la dette contractée par l’État pour contrer la propagation de la pandémie et les conséquences des mesures de confinement n’y est pas étranger.
L’encours de la dette négociable, qui atteignait un niveau de 1823 milliards d’euros à la fin de 2019, était, du fait de la crise sanitaire, mais aussi du plan de relance, attendu fin 2020 à 2030 milliards d’euros, puis à 2126 milliards d’euros fin 2021, selon les documents budgétaires du projet de loi de finances pour 2021, soit une augmentation supérieure à 300 milliards d’euros en deux ans.
Certes, la situation dégradée d’un débiteur peut conduire ponctuellement à une annulation de sa dette. Mais elle gruge le créancier, alors privé de son capital et ses intérêts.
Le manquement à l’engagement qui le lie à ses créanciers affaiblit également la capacité future du débiteur à emprunter ou, s’il y parvient, l’expose à une remontée des taux d’intérêts.
Enfin, le non-remboursement de la dette crée un « aléa moral » toujours périlleux, en favorisant les agents peu rigoureux aux dépens de ceux qui, bons gestionnaires, ont anticipé la matérialisation des risques.
Si elle ne remboursait pas sa dette, à cause par exemple d’une économie atone ou de l’absence de toute réforme structurelle (telle celle des retraites, maintes fois différée, et qui s’apprête à l’être encore), la France serait rapidement sanctionnée par les marchés financiers. Sa prime de crédit et sa charge de la dette s’envoleraient.
AUTRE VIEILLE LUNE À AVOIR REFAIT SURFACE : L’INSTAURATION D’UNE CONTRIBUTION EXCEPTIONNELLE DES GRANDES FORTUNES
En l’espèce, il faudrait aller très au-delà d’un simple rétablissement de l’ISF (lequel rapportait « seulement » 2,1 milliards d’euros de plus que l’actuel IFI, bien loin des 300 milliards d’endettement supplémentaire évoqués ci-avant), et manifestement dépasser le niveau d’imposition optimal au-delà duquel le rendement de l’impôt diminuerait.
Cela est tout particulièrement vrai pour la France qui, avec un ratio de recettes fiscales de 4,0 % du PIB (chiffres OCDE, 2019) s’agissant des prélèvements sur le patrimoine, se classe au deuxième rang mondial. Creuser encore davantage l’écart avec les grands pays industrialisés concurrents ne pourrait que porter préjudice à notre pays, à ses investissements, à l’emploi et, au bout du compte, à ses finances publiques.
Plus fondamentalement, postuler qu’il suffit d’augmenter les impôts pour assainir durablement les comptes publics revient à ignorer d’une part la complexité des liens qui unissent fiscalité et dépenses publiques et d’autre part le risque des effets négatifs sur la croissance d’une hausse excessive des prélèvements obligatoires.
Dès lors qu’elles créent un sentiment de facilité financière, les hausses d’impôts poussent plus facilement, ensuite, les décideurs à engager des hausses de dépenses publiques. Après la crise de 2008-2009, l’OCDE notait ainsi :
RépondreSupprimer« Les efforts d’assainissement menés avec succès dans le passé ont généralement fait une large place aux réductions de dépenses pour des raisons d’économie politique, mais aussi du fait de leurs effets positifs en termes d’efficience et, lorsqu’elles étaient concentrées sur les transferts et d’autres dépenses courantes, de leur durabilité apparente.
Avec un niveau de prélèvements qui atteint déjà environ 35 % du PIB en moyenne dans la zone OCDE (et jusqu’à 50 % environ dans certains pays), de nombreux régimes fiscaux réduisent le PIB en émoussant les incitations au travail, à l’épargne et à l’investissement. Les dépenses publiques sont élevées dans la plupart des pays de l’OCDE fortement endettés. Devant la hausse imminente des coûts liés au vieillissement, la voie la plus prometteuse de la viabilité budgétaire passe par des réductions de dépenses qui améliorent l’efficience allocative (meilleure utilisation générale des ressources) ou productive (moindre coût des ressources par unité de service produit) . »
Ces lignes s’appliquent plus que jamais à la France de 2021.
https://www.contrepoints.org/2021/02/06/390411-dette-covid-et-solutions-magiques
Bon, imaginons que je m'appelle le Marron de Crotchild et que j'ai un clavier d'ordi devant môa, j'écris 1 puis je laisse la doigt sur la touche zéro: 000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000
Supprimeret me voilà riiiiiche de quelques millions de charrettes de milliards ! Whôah !
Et, pareillement, je peux effacer toute une page de compte ! Ouais ! Cà t'en bouche un coin, non ?
HAHAHAHA !
Un penchant pour contrôler les autres
RépondreSupprimerPar Llewellyn H. Rockwell, Jr.
Mises.org
6 février 2021
[Note de l'éditeur: Dans cet article de 2009, Lew Rockwell énumère les problèmes liés aux mandats gouvernementaux sur l'utilisation privée des téléphones mobiles. Les lecteurs attentifs noteront que les arguments de «sécurité publique» contre la liberté d'utiliser le téléphone comme nous le choisissons sont essentiellement les mêmes que les affirmations actuelles selon lesquelles la «santé publique» est une justification pour dicter les habitudes et les comportements quotidiens. ]
Nous voulons tous la liberté pour nous-mêmes, mais de nombreuses personnes ont des doutes sur la manière dont les autres pourraient utiliser leur propre liberté. Dans ces conditions, l'Etat est là pour aider. Obtenez suffisamment de personnes pour favoriser suffisamment de restrictions, et l'État est prêt à partir, administrant tous les aspects de la vie, du plus petit au plus grand détail.
Chaque jour présente plus de cas, mais le cas le plus récent est stupéfiant. Il s'avère que 97 % des personnes interrogées soutiennent une interdiction universelle des textos au volant. La moitié des personnes interrogées disent que la sanction devrait être aussi sévère que celle pour conduite en état d'ébriété. Parmi ceux-ci, combien pensez-vous envoyer des messages texte et conduire mais ne veulent pas les admettre au sondeur? Probablement beaucoup. Et pourtant, je n'ai trouvé aucune défense en ligne de la pratique nulle part sur le Web.
La vérité est qu'il n'est pas nécessairement dangereux d'envoyer des SMS au volant. Cela dépend complètement de la situation. Si vous êtes dans un embouteillage et que vous êtes en retard à un rendez-vous, la possibilité d'envoyer des SMS peut vous sauver la vie. Ou s'il n'y a pas de voitures dans les parages, vous pourrez peut-être le risquer. D'un autre côté, ce serait probablement une erreur d'essayer de faire 80 mph autour d'un trafic plus lent sur une autoroute.
Comment pouvons-nous connaître la différence entre le moment où il est sécuritaire et celui où il ne l'est pas? Le principe appliqué sur les routes américaines est que le conducteur prend lui-même cette décision. Si ce principe n'avait pas de sens, il n'y aurait aucun moyen que les routes elles-mêmes puissent fonctionner du tout.
Pensez-y la prochaine fois que vous serez dans une grande ville en train de zoomer autour des courbes et entre les voies avec des milliers d'autres, à des vitesses maximales. Ici, nous avons des morceaux d'acier de 4 000 livres qui roulent sur la route sans aide autre qu'une ligne jaune en pointillé sur la route. Ce sont des machines à mort réelles dans lesquelles un faux mouvement pourrait provoquer un entassement de 100 voitures et une mort massive. Nous le faisons de toute façon.
Ce qui est remarquable, ce n’est pas qu’il y ait autant d’épaves. Le miracle est que cela fonctionne du tout et que, pour la plupart, les gens arrivent là où ils vont. Et considérez aussi la démographie derrière la voiture: vieux, jeune, handicapé, expérimenté, inexpérimenté. Certaines personnes ont la possibilité de conduire et d'autres non. Certaines personnes ont une agilité spatiale et d'autres non.
Comment ça fonctionne ? Ne me dites pas que cela est dû à la planification centrale et à la police. La police ne conduit pas toutes les voitures et ne contrôle pas chaque roue. Notre volonté humaine sur la route et les décisions que nous prenons qui affectent les autres conducteurs nous appartiennent à presque 100 %.
Et pourtant ça marche. Pourquoi ? La raison en est qu’il n’est dans l’intérêt de personne d’être victime d’un accident. Il est dans l’intérêt de tous d’en arriver là où on va en un seul morceau et de le faire efficacement. Rassemblez des dizaines de milliers de personnes avec le même objectif général et vous obtenez une coopération spontanée. Quelque chose que les gens pensent normalement ne pas fonctionner fonctionne en fait. Vu sous cet angle, l'ordre que nous voyons sur les routes est une expression générale de la capacité de la société humaine à travailler dans le contexte de l'individualisme intéressé.
RépondreSupprimerPensez maintenant à ce sondage montrant une opposition généralisée aux textos au volant. Je soutiens que vous obtiendriez des résultats similaires à partir d'un sondage qui a interrogé les gens sur le droit de conduire:
Soutenez-vous ou vous opposez-vous au droit de chacun de posséder des tas d'acier de 4000 livres et de les contrôler complètement et de manière autonome à des vitesses maximales au milieu de milliers d'autres citoyens dont la vie pourrait être en danger avec un léger mouvement du poignet ? à droite ou à gauche ?
Cette question pourrait susciter près de 100 % de résultats négatifs. Nous avons généralement confiance en notre capacité à nous gérer nous-mêmes, mais nous ne faisons pas confiance à la capacité des autres à se gérer eux-mêmes. Et nous ne pensons certainement pas que la société puisse généralement bien fonctionner dans des conditions de liberté. Même si nous vivons au milieu d’un ordre spontané et que nous utilisons son éclat au quotidien (épicerie, Internet, restaurants, lotissements), nous ne le comprenons pas vraiment.
Ou que diriez-vous de celui-ci:
Soutenez-vous le droit de quiconque de plus d'un certain âge d'acheter et de consommer autant d'alcool fort qu'il le souhaite, au point même de se boire dans une stupeur mortelle, de négliger les enfants, de détruire la vie de famille et de tuer des cellules cérébrales qui ne peut pas être remplacé ?
La plupart des gens diraient probablement non. Et pourtant, c'est précisément le raisonnement derrière la prohibition, que la plupart des gens considèrent aujourd'hui comme une terrible erreur. Aujourd'hui, nous sommes censés réaliser que le coût social du droit de boire de l'alcool fort était plus élevé que l'avantage supposé que nous tirons de l'application de l'interdiction.
Il en va de même pour les textos et la conduite. Il y a des moments où c'est sûr. Il y a des moments où ce n'est pas sûr. Les seuls qui peuvent vraiment connaître la différence sont les personnes au volant. Ces personnes jouissent déjà de la liberté de parler aux passagers, de jouer avec leur chaîne stéréo, de conduire après un jogging épuisant, de conduire distraits par les angoisses du travail et du mariage, de prier ou de chanter dans la voiture, et de faire beaucoup d'autres choses qui semblent comme une distraction du but à portée de main. D'une manière ou d'une autre, tout fonctionne, et il y a une leçon ici. Vous pouvez compter sur plus d’ordre pour émerger de la confiance en la liberté que pour tenter de microgérer la vie des gens.
Maintenant, les libertariens parmi nous pourraient faire remarquer que ces routes sont publiques et que c'est la source principale du problème. Dans le cas des routes privées, il peut y avoir des restrictions intenses sur ce que vous pouvez et ne pouvez pas faire et cela peut faire partie du contrat que vous passez avec le propriétaire de la route.
RépondreSupprimerLe marché s'occuperait du reste. Si un propriétaire était trop restrictif, les conducteurs emprunteraient d'autres itinéraires. S'ils sont trop indulgents, leurs primes d'assurance augmenteraient et ils paieraient un prix trop élevé. Les règles de la route qui en résulteraient seraient le résultat de cet étalonnage minutieux, constamment testé par les forces de l'offre et de la demande.
Selon les règles existantes des routes privées, nous ne voyons aucune preuve d'une répression des textos. Cela viendrait peut-être dans le futur, mais au moins il y aurait un test de marché. Lorsqu'une règle échoue sur les marchés privés, la règle est modifiée.
Mais c'est différent avec le gouvernement. Peu importe à quel point la règle est absurde, elle reste et reste, qu'elle travaille ou non pour accomplir sa fin. Et il ne fait aucun doute qu'une répression des textos est à venir. Obama a déjà interdit les textos en conduisant pour les travailleurs fédéraux. Un projet de loi qui refuserait des fonds fédéraux aux États traverse le Sénat. Recherchez une interdiction nationale dans les mois à venir.
L’interdiction dit: Vous ne savez pas ce qui est bon pour vous, vous devez donc être obligé de faire ce que le gouvernement pense être bon pour vous. L'interdiction est soutenue parce que les gens pensent généralement que s'ils sont responsables et capables de calibrer ce qui est sûr et dangereux, d'autres ne le sont pas. Grâce à cette méthode, toutes les libertés pourraient être abolies.
C’est une mauvaise façon de former les règles d’une société.
Publié à l'origine en novembre 2009.
https://www.lewrockwell.com/2021/02/lew-rockwell/a-penchant-for-controlling-others/
L'État détruit la liberté, la vie et l'histoire en censurant et en éliminant l'information et la parole
RépondreSupprimerPar Gary D. Barnett
6 février 2021
«L'État, je l'appelle, où tous sont des buveurs de poison, les bons et les mauvais: l'État, où tous se perdent, les bons et les mauvais: l'État, où le lent suicide de tous - s'appelle« la vie. " Il suffit de voir ces superflus ! Ils volent les œuvres des inventeurs et les trésors des sages. Culture, ils appellent leur vol - et tout leur devient maladie et trouble ! Il suffit de voir ces superflus ! Ils sont toujours malades; ils vomissent leur bile et l'appellent un journal. Ils se dévorent et ne peuvent même pas se digérer.
Friedrich Nietzsche, «Ainsi parlait Zarathoustra»
La censure de l'État a toujours été évidente, mais ce qui se passe aujourd'hui, en particulier compte tenu de la facilité d'accès et de la quantité volumineuse d'informations disponibles, dépasse largement la portée de la compréhension de la plupart des habitants de ce pays. Internet est une merveille, mais c'est une arme à double tranchant très tranchante. Le vrai pouvoir parmi nous comprend intimement ce concept, tandis que le «public» est peu conscient du potentiel des contrôleurs d’éliminer l’histoire et la parole en utilisant l’outil même qui devrait permettre une expansion de l’apprentissage et de l’intellect. Internet peut stocker et rendre disponible toutes les œuvres de l'homme, passées et présentes, et toutes ces informations sont apparemment accessibles à quiconque avec peu d'efforts, mais est-ce vraiment le cas ?
Le risque qui échappe à la plupart est que, aussi facile soit-il d'accéder aux informations aujourd'hui, ces informations peuvent être manipulées, cachées ou éliminées tout aussi facilement, et ce processus pourrait être contrôlé par une "autorité '' centrale à travers l'un de ses partenariats fascistes. Si une grande partie des informations sous-jacentes de l'histoire enregistrée; les livres, les journaux, les lettres et tous les documents et écrits historiques et politiques peuvent être capturés, contrôlés ou même détruits par des efforts néfastes, ce qui ne laisserait disponible que ce qui est stocké numériquement. Ce serait une abomination, car cela permettrait également la perte de connaissances approfondies du passé et du présent par ceux qui contrôlent Internet et les systèmes de communication. Pour que cette horreur se produise, tous les livres n'auraient pas à être détruits, mais si une grande partie des informations importantes étaient interdites de vue par quelque moyen que ce soit, ou rendues très difficiles d'accès, alors les gens ne sauraient que ce que l'État veut qu'ils sachent.
Nous vivons à une époque numérisée où les œuvres, documents, livres et papiers classiques et modernes sont très rarement recherchés. Je trouve cela très troublant, car la population en général, en particulier les jeunes, a été élevée et formée à l'ère de la télévision, des téléphones portables et des ordinateurs, et beaucoup n'ont jamais lu de matériel physique sur l'histoire, la culture, la nature, la science, l'art, ou tout autre d'une multitude de sujets. En d'autres termes, ils dépendent entièrement des médias grand public, de la technologie et d'Internet pour toutes les informations qu'ils obtiennent, bonnes ou mauvaises. Il faut peu d'imagination pour se rendre compte que cela pourrait conduire à une censure planifiée sur des générations afin de modeler les esprits d'une manière adaptée à l'État. Si l'on pense que toutes les informations sont disponibles à partir de sources limitées qui peuvent être manipulées, censurées ou entièrement contrôlées, ce qui sera disponible à l'avenir est ce que ceux qui gagnent ou détiennent le pouvoir veulent être disponibles. En réalité, le futur est déjà là.
La censure aujourd'hui est partout et affecte de nombreux domaines de pensée. Pour paraphraser Ray Bradbury, il y a tellement de façons de brûler des livres sans jamais allumer un feu. Au sens figuré, tous les livres n'ont pas été brûlés à ce jour, mais beaucoup sont de plus en plus difficiles à trouver ou à accéder, que ce soit sur papier ou en ligne. Mais comme la plupart des habitants de ce pays n'utilisent désormais qu'Internet pour tant de choses, cela passe presque inaperçu. Nous vivons dans une période de tyrannie extrême, mais c'est plus que cela. Il s'agit d'une prise de contrôle planifiée de l'humanité dans son ensemble, avec l'objectif déclaré de créer une «grande réinitialisation» basée sur un système de gouvernance du monde technocratique contrôlé par des oligarques grâce à la technologie des réseaux intelligents.
RépondreSupprimerÉvidemment, Internet sera avec nous, et cela peut être une bonne chose, mais nous ne pouvons jamais permettre à quelques-uns de créer et de contrôler l’ensemble des systèmes technologiques. En d'autres termes, il doit y avoir plusieurs systèmes opposés privés pour qu'un seul «Internet des objets» ne puisse être soumis à aucun contrôle oligarchique. Si la classe dirigeante et l'appareil d'État prennent le contrôle de l'information, il n'y aura pas d'information, seulement de la propagande.
Compte tenu de la situation actuelle, la censure est bien pire que ce que j'ai connu de mon vivant et s'aggrave chaque jour. Il devient presque impossible de trouver d’autres documents ou informations qui soient soit contraires au discours de l’État, soit de quelque manière que ce soit en dehors du système de contrôle de la police de la pensée. Tout site Web ou contenu qui traite de vrais problèmes et de la vérité concernant le gouvernement, cette fausse pandémie de virus, la technologie 5G, les vaccins, la fraude électorale, les émeutes et tout autre problème parmi mille non approuvés par l'État, sont disparus ou supprimés. C'est un événement quotidien, et la recherche de ce contenu devient impossible en raison de la manipulation algorithmique des grands géants de la technologie. Ce ne sont pas des entreprises privées légitimes, car la plupart ont été financées par le gouvernement et sont associées (au lit avec) le gouvernement, la CIA, des sociétés et fondations corrompues, l'industrie pharmaceutique et les médias traditionnels, parmi de nombreuses autres entités corrompues et criminelles.
La censure est absolument endémique aujourd'hui. Des sites Web et des plateformes de nouvelles alternatives sont en cours de fermeture. YouTube et la plupart des sites sociaux, à quelques exceptions près, censurent tout ce qui est possible, les moteurs de recherche rendent presque toutes les recherches légitimes impossibles en cachant du contenu véridique ou critique, le journalisme alternatif est attaqué et supprimé, et beaucoup ont été démonétisés. Les médias dominants contrôlés par la CIA jouent le quart-arrière de l’État, des «élites» mondiales, des organisations de «santé» corrompues, de l’administration fasciste Biden, et poussent de manière agressive tous les programmes mondialistes dans la gorge des Américains crédules.
RépondreSupprimerNous vivons une époque où l'information devrait être la plus abondante de l'histoire de l'humanité, mais elle est censurée et éliminée au point de fermer la porte à toute information qui n'est pas approuvée par la classe dominante et ses complices politiques. C'est incroyablement dangereux, car lorsque les gens permettent à la parole d'être manipulée ou restreinte de quelque manière que ce soit, la vérité est effectivement effacée et tout ce qui reste est de la propagande d'État. Avec le discours censuré et effectivement disparu, seul le récit de l'État sera rapporté. Dans cet environnement, les masses accepteront normalement les mensonges comme vérité et la vérité comme mensonge. Cela ne peut conduire qu'à une société esclavagiste.
Un pays privé d'informations et de parole cessera d'être libre. Un pays sans connaissance de son histoire cessera d'être un pays.
«Lorsque vous arrachez la langue d’un homme, vous ne le prouvez pas comme un menteur, vous dites simplement au monde que vous craignez ce qu’il pourrait dire.»
~ George R.R. Martin, Un choc des rois
Source Links: Here, here, here, here, here, and here.
https://www.lewrockwell.com/2021/02/gary-d-barnett/the-state-is-destroying-freedom-life-and-history-by-censoring-and-eliminating-information-and-speech/
Le bilan mortel du COVID sur les jeunes: une forte augmentation des suicides
RépondreSupprimerLes jeunes sont peut-être les moins susceptibles de tomber malades du COVID, mais l'impact des verrouillages et des fermetures d'écoles a créé un pic alarmant de suicides chez les enfants et les adolescents.
Par Megan Redshaw, J.D. et Beth Giuffre
Défense de la santé des enfants
6 février 2021
Près d'un an après le début de la pandémie de COVID-19, l'une des pires conséquences n'est peut-être pas directement causée par le virus, mais plutôt par les fermetures d'écoles, l'isolement et les mesures de verrouillage qui ont entraîné le taux de suicide chez les enfants aux États-Unis et ailleurs. pays en plein essor.
Depuis que la pandémie a commencé en mars 2020 et que les écoles ont fermé leurs portes, les rapports faisant état de pensées suicidaires, de tentatives et d'appels à l'aide d'enfants ont considérablement augmenté à travers le pays, selon de nombreuses études et rapports des médias.
Comme le New York Times l'a rapporté plus tôt ce mois-ci, entre le 16 mars et le 31 décembre 2020, 18 suicides ont été signalés dans le comté de Clark, dans le Nevada - plus du double de ce que le district a connu l'année précédente. Le district scolaire du comté de Clark a également reçu plus de 3 100 alertes via un système d'alerte précoce mis en place par le district en juillet pour surveiller les épisodes de santé mentale de ses élèves.
«Lorsque nous avons commencé à voir la hausse du nombre d'enfants se suicider, nous savions que nous ne devions plus regarder que les chiffres COVID», a déclaré le surintendant du district de Clark County, Jesus Jara, au Times.
Dans la région métropolitaine du Texas, les chercheurs ont analysé les résultats de 12 827 adolescents qui ont effectué un dépistage du risque de suicide et ont constaté que 3,5% des personnes dépistées avaient déclaré des pensées ou des comportements suicidaires.
Une enquête nationale auprès de 1000 lycéens et étudiants actuellement inscrits, menée conjointement par deux organisations - Chegg.org, un groupe national de défense des droits, de collecte de fonds et de recherche étudiante, et la Born This Way Foundation, qui se concentre sur le soutien de la santé émotionnelle et mentale des adolescents - a constaté que 5% des étudiants ont déclaré avoir fait une tentative de suicide pendant la pandémie.
Un article récent du Washington Post a souligné l'effet de la pandémie sur la tendance déjà alarmante du suicide chez les adolescents et les jeunes adultes, qui a augmenté de 56% entre 2007 et 2018.
Selon une enquête des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) d'août 2020 sur l'impact de la pandémie sur la santé mentale et émotionnelle, les plus jeunes personnes interrogées ont déclaré connaître les taux les plus élevés d'anxiété, de dépression et d'autres problèmes de santé mentale. Trois sur quatre ont déclaré souffrir d'au moins un problème de santé mentale, selon le CDC.
Cela coïncide avec un rapport de novembre du CDC qui analysait les visites aux urgences chez les enfants de moins de 18 ans pendant la pandémie. Les résultats ont montré que bien que le nombre global de visites aux urgences ait diminué en 2020, le nombre de visites liées à la santé mentale a augmenté. Les données analysées du programme national de surveillance syndromique du CDC du 1er janvier au 17 octobre 2020 et comparées à la même période en 2019 ont montré une augmentation de 31% des problèmes de santé mentale chez les adolescents de 12 à 17 ans.
RépondreSupprimerUn article de NPR met en lumière les conclusions du CDC. Non seulement les médecins voient-ils plus de visites aux urgences pour des problèmes de santé mentale, mais plus d'enfants attendent dans les services d'urgence pour des soins hospitaliers. Cela est dû au manque de services ambulatoires pendant la pandémie, à une pénurie de psychiatres et de thérapeutes formés pour travailler avec les enfants et à la fermeture d'écoles. Même si un enfant peut obtenir des soins, il peut ne pas être en mesure d’obtenir des soins de suivi près de chez lui, a déclaré à NPR le Dr C.J. Glawe, qui dirige le département de crise psychiatrique du Nationwide Children’s Hospital de Columbus, Ohio.
Les auteurs d'une lettre à l'Elsevier Public Health Emergency Coalition résumant certaines des dernières recherches sur l'impact de la pandémie sur la santé mentale soulignent que la pandémie a contraint les élèves de l'intérieur de la classe et de l'extérieur avec leurs amis, à l'apprentissage à distance et à l'isolement au sein de leur maisons. Les enfants suivent désormais des cours en ligne et passent le reste de leur temps à regarder la télévision ou sur Internet. Beaucoup ont été confrontés à l'annulation du sport, du bal et de l'obtention du diplôme, ont perdu des êtres chers à cause de la maladie et sont confrontés à un stress et à une incertitude excessifs quant à leur avenir.
L'effet cumulatif de toutes ces pertes peut entraîner des problèmes psychosociaux, tels que «la dépendance à Internet, une baisse de l'estime de soi et un faible intérêt pour les activités physiques», ont déclaré les auteurs, ajoutant que «la cyberintimidation et l'anxiété sur les plateformes de réseaux sociaux, ont également nui à leur santé mentale.
Les médias en prennent note. Comme l'a rapporté le New York Times, un garçon de 14 ans s'est suicidé dans le Maryland parce qu'il avait «abandonné» lorsque son district scolaire n'a pas ouvert ses portes à l'automne. Un garçon de 11 ans s'est suicidé pendant un cours de zoom, et un adolescent du Maine a succombé à l'isolement de la pandémie. Anthony Orr, 18 ans, a conduit sa voiture dans un parking et a mis fin à ses jours en août après avoir vécu une année senior perturbée.
Jara a déclaré au Times que la plus jeune victime du comté de Clark n’avait que 9 ans. Un étudiant a laissé une note disant qu’il n’avait rien à espérer.
RépondreSupprimerLorsque les écoles n’ont pas ouvert leurs portes à l’automne, les parents ont commencé à s’exprimer. Brad Hunstable a déclaré au Washington Post qu'il pensait que COVID avait tué son fils en le conduisant au point où il avait commis un «acte impulsif qu'il ne pouvait pas reprendre». Son école avait fermé, il ne pouvait pas faire de sport et son seul lien avec ses amis passait par un jeu appelé Fortnite. Hunstable a exhorté les autres parents à parler ouvertement avec leurs enfants de la santé mentale et a fondé une organisation à but non lucratif encourageant les écoles à faire de même.
Selon le Post, certains parents et experts craignent que les districts scolaires ne fassent pas assez pour atteindre les élèves, qu'il n'y ait pas suffisamment de fonds destinés à la santé mentale et que le gouvernement ne prend pas cet «effet secondaire» de la pandémie au sérieux. .
Bien que les statistiques pour l'année 2020 n'aient pas encore été compilées, les professionnels supposent que la hausse du taux de suicide chez les enfants est due à l'absence d'accès aux services de santé mentale dans les écoles, aux fermetures d'écoles, au désespoir, à l'anxiété et au stress accrus, et aux élèves se sentant déconnectés de leurs pairs. .
D'autres pays avec des verrouillages stricts et des fermetures d'écoles connaissent une augmentation similaire des suicides. LaCorte News a rapporté que Ian Hickie, ancien commissaire à la santé australien et chef du Brain and Mind Center, prévoyait que le nombre de décès annuels par suicide en Australie passera de 3000 à 4500, les jeunes représentant près de la moitié de ce nombre.
Au Royaume-Uni, le suicide et les blessures ou l'empoisonnement d'intention indéterminée étaient la principale cause de décès chez les hommes et les femmes âgés de 20 à 34 ans avant la pandémie, selon un rapport de l'Office for National Statistics couvrant les années 2001 à 2018.
«Le suicide est déjà la principale cause de décès chez les jeunes en Angleterre», a déclaré Ellen Townsend, professeur de psychologie à l'Université de Nottingham à Express, «et nous devons leur donner la priorité maintenant pour éviter de nouvelles tragédies. Les décideurs doivent faire ce qui est juste pour les enfants et les ramener à la normale dès que possible… »
Townsend a ajouté que la solitude causée par les confinements anglais est aussi dommageable pour la santé que le tabagisme et l'obésité et est directement associée à la pensée suicidaire.
Elle a déclaré que «Generation Lockdown» souffrirait inutilement pendant des années. «Il est incontestable que les jeunes souffrent de manière écrasante de leur santé mentale dans cette crise.»
Les vues et opinions exprimées dans cet article sont celles des auteurs et ne reflètent pas nécessairement les vues de Children’s Health Defence.
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RépondreSupprimerhttps://www.lewrockwell.com/2021/02/no_author/covids-deadly-toll-on-youth-a-sharp-rise-in-suicides/
Journal of Medicine dit que HCQ + Zinc réduit les décès dus au COVID
RépondreSupprimerPar Joseph Mercola
Mercola.com
6 février 2021
Au début de la pandémie COVID-19, les médecins du monde entier ont signalé des taux de réussite élevés en utilisant un protocole de traitement peu coûteux à base d'hydroxychloroquine (HCQ) et de zinc, généralement en association avec un antibiotique pour traiter les infections bactériennes secondaires.
Presque immédiatement, les agences gouvernementales de santé et les médias grand public ont commencé à attaquer le traitement, allant jusqu'à interdire la prescription et l'utilisation du HCQ pour COVID-19 dans certaines régions. Au fil du temps, il est devenu douloureusement clair qu'un effort concerté et coordonné pour empêcher son utilisation était en cours.
L'une des raisons les plus évidentes pour lesquelles certaines personnes et entreprises pourraient vouloir empêcher l'utilisation d'un médicament générique bon marché est que cela pourrait éliminer le besoin d'un vaccin ou d'un autre médicament antiviral en cours de développement.1 Des centaines de millions de dollars ont été investis, et les compagnies pharmaceutiques comptaient et comptent toujours sur un énorme salaire. Comme l'a noté le Dr Meryl Nass dans un article de blog du 27 juin 2020: 2
«L'hydroxychloroquine est utilisée en toute sécurité depuis 65 ans chez plusieurs millions de patients. Et ainsi, le message a été élaboré que le médicament est sans danger pour ses autres utilisations, mais dangereux lorsqu'il est utilisé pour COVID-19. Cela n’a pas de sens, mais cela semble avoir fonctionné. Ces actes ont-ils été soigneusement orchestrés? …
Ces événements auraient-ils pu être planifiés pour maintenir la pandémie? Vendre des médicaments et des vaccins coûteux à une population captive? Ces actes pourraient-ils entraîner des difficultés économiques et sociales prolongées, transférant éventuellement la richesse de la classe moyenne aux très riches?
Politiser la médecine a de graves conséquences
La lutte pour HCQ semble également avoir eu des fondements politiques, et en politisant la médecine, les médias ont joué un rôle qui peut facilement être assimilé à des agents de génocide. Il est impossible de dire combien de vies auraient pu être sauvées s’ils avaient fait preuve de diligence raisonnable et avaient rapporté la science avec sincérité.
La plupart d'entre nous, dans le domaine holistique, savons que l'intention de la censure est d'induire les gens en erreur. Après tout, la majorité des médias dépendent des revenus des annonceurs, et les sociétés pharmaceutiques ont tendance à dépenser le plus. En conséquence, ce que veut l'industrie pharmaceutique, c'est ce que les médias offrent.
RépondreSupprimerAu cours de cette pandémie, les médecins conventionnels ont également eu un avant-goût de ce à quoi cela ressemble et, de toute évidence, beaucoup en ont été absolument bouleversés. C’est certainement compréhensible, car censurer les traitements médicaux potentiellement vitaux pendant une pandémie mondiale l’amène à un tout autre niveau de mal.
À titre d'exemple parmi tant d'autres, le 23 juillet 2020, le Dr Harvey A. Risch, professeur d'épidémiologie à la Yale School of Public Health, a publié un éditorial dans Newsweek dans lequel il a exprimé sa consternation et sa frustration: 3
«J'ai rédigé plus de 300 publications évaluées par des pairs et j'occupe actuellement des postes de direction au sein des comités de rédaction de plusieurs revues de premier plan.
J'ai l'habitude de défendre des positions dans le courant dominant de la médecine, j'ai donc été déconcerté de constater que, au milieu d'une crise, je me bats pour un traitement que les données soutiennent pleinement mais qui, pour des raisons n'ayant rien à voir avec une compréhension correcte de la science, a été mis à l'écart.
En conséquence, des dizaines de milliers de patients atteints de COVID-19 meurent inutilement… Je fais référence, bien entendu, au médicament hydroxychloroquine.
Lorsque ce médicament oral peu coûteux est administré très tôt dans l'évolution de la maladie, avant que le virus n'ait eu le temps de se multiplier de manière incontrôlable, il s'est révélé très efficace, surtout lorsqu'il est administré en association avec les antibiotiques azithromycine ou doxycycline et le supplément nutritionnel zinc . »
Dans ce qui semble être un effort pour changer la donne, une revue médicale4 dans le numéro de janvier 2021 de l'American Journal of Medicine recommande désormais une utilisation précoce du HCQ et du zinc. Les auteurs incluent Risch, ainsi qu'une longue liste de médecins d'hôpitaux du monde entier.
L'importance du traitement ambulatoire précoce
RépondreSupprimerL'article de Risch, «Base physiopathologique et justification du traitement ambulatoire précoce de l'infection par le SRAS-CoV-2 (COVID-19)», souligne que: 5
«En l'absence de résultats d'essais cliniques, les médecins doivent utiliser ce qui a été appris sur la physiopathologie de l'infection par le SRAS-CoV-2 pour déterminer le traitement ambulatoire précoce de la maladie dans le but de prévenir l'hospitalisation ou le décès ...
Les approches thérapeutiques basées sur ces principes comprennent 1) la réduction de la réinoculation, 2) la thérapie antivirale combinée, 3) l'immunomodulation, 4) la thérapie antiplaquettaire / antithrombotique et 5) l'administration d'oxygène, la surveillance et la télémédecine. »
Les auteurs soulignent que «la plupart des patients qui arrivent à l'hôpital… avec le COVID-19 ne nécessitent pas initialement des formes de soins médicaux avancés», et que, par conséquent, «il est concevable que certaines, sinon la majorité, des hospitalisations puissent être évitées avec une approche de traitement à domicile. »
Ils soulignent également qu'étant donné que la récupération des résultats des tests PCR peut prendre jusqu'à une semaine, il est important de commencer le traitement avant que les résultats ne soient connus. «Pour les patients présentant des caractéristiques cardinales du syndrome (c'est-à-dire fièvre, courbatures, congestion nasale, perte de goût et d'odorat, etc.)… le traitement peut être le même que ceux avec COVID-19 confirmé», disent-ils.
Les arguments en faveur du HCQ et du zinc
En termes de traitement médicamenteux précoce pour les patients en quarantaine à domicile, les auteurs recommandent d'utiliser une combinaison de HCQ et de pastilles de zinc, ainsi que plusieurs autres médicaments (en fonction de vos symptômes).
HCQ est un ionophore de zinc, ce qui signifie qu'il transporte le zinc dans la cellule, et il existe des preuves convaincantes suggérant que le principal avantage du protocole HCQ provient en fait du zinc, qui inhibe efficacement la réplication virale.
Bien que je les passe en revue ici, gardez à l'esprit que je ne recommande pas nécessairement de les utiliser tous, car dans certains cas, il existe des alternatives plus sûres. À la fin de cet article, je résumerai ma recommandation personnelle de traitement à domicile, qui, à mon avis, est parmi les plus sûres et les plus efficaces.
Cela dit, dans son article, Risch et ses co-auteurs expliquent la justification de l'utilisation du HCQ et du zinc comme suit: 6
«L'hydroxychloroquine (HCQ) est un médicament antipaludique / anti-inflammatoire qui altère le transfert endosomal des virions dans les cellules humaines. HCQ est également un ionophore de zinc qui transporte le zinc de manière intracellulaire pour bloquer l'ARN polymérase ARN-dépendante du SARS-CoV-2, qui est l'enzyme de base de la réplication du virus.
RépondreSupprimerLes études rétrospectives et les essais randomisés actuellement achevés ont généralement montré ces résultats:
1.lorsqu'ils ont commencé tard dans le cours de l'hôpital et pour de courtes durées, les antipaludiques semblent inefficaces
2. lorsqu'ils sont commencés plus tôt dans le cours hospitalier, pour des durées progressivement plus longues et en ambulatoire, les antipaludiques peuvent réduire la progression de la maladie, prévenir l'hospitalisation et sont associés à une mortalité réduite ...
Un régime HCQ typique est de 200 mg bid pendant 5 jours et prolongé à 30 jours pour les symptômes persistants. Une dose minimale suffisante de HCQ doit être utilisée, car à des doses excessives, le médicament peut interférer avec la réponse immunitaire précoce au virus ...
Le zinc est un inhibiteur connu de la réplication du coronavirus… Cette thérapie non toxique facilement disponible pourrait être déployée dès les premiers signes de COVID-19. Les pastilles de zinc peuvent être administrées 5 fois par jour pendant jusqu'à 5 jours et prolongées si nécessaire si les symptômes persistent.
La quantité de pastilles de zinc élémentaire est <25% de celle d'un seul comprimé quotidien de sulfate de zinc de 220 mg. Cette dose de sulfate de zinc a été utilisée efficacement en association avec des antipaludiques dans le traitement précoce des patients ambulatoires à haut risque avec COVID-19. »
Il convient de noter que dans les régions où l’hydroxychloroquine est difficile à maîtriser, le complément nutritionnel quercétine peut être un substitut utile (et peut-être même meilleur), car son mécanisme d’action principal est identique à celui du médicament. Il a également sa propre activité antivirale.
Pour en savoir plus, consultez la section «La quercétine est-elle une alternative plus sûre à l'hydroxychloroquine?» «La quercétine stimule la réponse de l’interféron aux virus et au COVID-19» et «Comment améliorer l’absorption de zinc avec la quercétine pour stimuler la santé immunitaire».
Le zinc est une clé cruciale
RépondreSupprimerBien qu'une grande attention soit accordée à HCQ, ce n'est pas en soi la réponse. Le zinc est. Le HCQ et la quercétine sont tous deux des ionophores de zinc, ce qui signifie qu'ils transportent le zinc dans la cellule, 7,8 et des preuves convaincantes suggèrent que le principal avantage du protocole HCQ provient en fait du zinc, qui inhibe efficacement la réplication virale.9
S'il est administré tôt, le zinc associé à un ionophore de zinc devrait, du moins en théorie, aider à réduire la charge virale et à empêcher le système immunitaire de devenir surchargé. Le problème est que le zinc n'entre pas facilement dans les cellules, c'est pourquoi un ionophore de zinc est nécessaire.
La preuve en a été présentée dans une étude de septembre 202010 dans le Journal of Medical Microbiology. Dans ce document, ils ont comparé les résultats chez les patients hospitalisés COVID-19 traités avec l'un des trois schémas suivants: HCQ seul, azithromycine seule ou un schéma triplet d'hydroxychloroquine, d'azithromycine et de zinc.
Bien que l'ajout de zinc n'ait eu aucun impact sur la durée d'hospitalisation, la durée des soins intensifs ou la durée de la ventilation, des analyses univariées ont montré que c'était le cas:
Augmenter la fréquence de sortie de l'hôpital
Diminuer le besoin de ventilation
Diminuer les taux d'admission aux soins intensifs
Diminuer le taux de transfert aux soins palliatifs pour les patients qui n'ont jamais été admis à l'USI
Diminuer la mortalité
Comme noté par les auteurs: 11
«Après ajustement pour le moment auquel le sulfate de zinc a été ajouté à notre protocole, une fréquence accrue de retour à domicile (OR 1,53…), la réduction de la mortalité ou du transfert en hospice est restée significative (OR 0,449…). Cette étude fournit la première preuve in vivo que le sulfate de zinc en association avec l'hydroxychloroquine peut jouer un rôle dans la gestion thérapeutique du COVID-19. »
Un autre article traitant du rôle crucial du zinc a été publié dans le numéro de septembre 2020 de Medical Hypotheses: 12
RépondreSupprimer«Outre les effets antiviraux directs, la CQ / HCQ [chloroquine et / ou hydroxychloroquine] cible spécifiquement le zinc extracellulaire vers les lysosomes intracellulaires où il interfère avec l'activité ARN polymérase ARN-dépendante et la réplication des coronavirus.
Comme une carence en zinc survient fréquemment chez les patients âgés et chez ceux souffrant de maladie cardiovasculaire, de maladie pulmonaire chronique ou de diabète, nous émettons l'hypothèse que la CQ / HCQ plus une supplémentation en zinc pourrait être plus efficace pour réduire la morbidité et la mortalité du COVID-19 que la CQ ou la HCQ en monothérapie. Par conséquent, la CQ / HCQ en association avec le zinc doit être considérée comme un bras d'étude supplémentaire pour les essais cliniques sur le COVID-19. »
Antibiotiques, stéroïdes et autres traitements complémentaires
En plus du HCQ et du zinc, Risch13 et.al recommandent également d'utiliser l'un des deux antibiotiques - l'azithromycine ou la doxycycline - principalement pour traiter les infections bactériennes secondaires. L'azithromycine a également des propriétés antivirales et des effets anti-inflammatoires, tandis que la doxycycline a «de multiples effets intracellulaires qui peuvent réduire la réplication virale, les dommages cellulaires et l'expression de facteurs inflammatoires».
Selon les auteurs, les études sur le COVID-19 utilisant de l'azithromycine ont révélé «des durées nettement réduites d'excrétion virale, moins d'hospitalisations et une réduction de la mortalité en association avec le HCQ».
Les personnes souffrant d'arythmies connues ou soupçonnées, et toute personne prenant un médicament contre-indiqué, devraient faire un bilan approfondi et un examen de l'électrocardiogramme de base avant de recevoir HCQ et / ou azithromycine. Pour ceux qui s'inquiètent des effets de l'azithromycine sur le cœur, la doxycycline est une meilleure alternative car elle n'a aucun effet néfaste sur votre cœur. En revanche, cela peut provoquer des troubles gastro-intestinaux et une œsophagite.
Une note secondaire importante ici est que, bien qu'ils ne soient pas abordés dans cet article, tous les antibiotiques ont l'inconvénient de perturber votre microbiome intestinal et ne doivent donc être utilisés qu'en cas de nécessité absolue.
RépondreSupprimerRisch14 et.al recommandent également l'utilisation de corticostéroïdes, qui ont des effets immunomodulateurs et aident à réduire les effets des tempêtes de cytokines. Comme expliqué dans leur article:
«Dans le COVID-19, certaines des premières découvertes respiratoires sont la congestion nasale, la toux et la respiration sifflante. Ces caractéristiques sont dues à une inflammation excessive et à l'activation des cytokines.
L'utilisation précoce de corticostéroïdes est une intervention rationnelle pour les patients atteints de COVID-19 présentant ces caractéristiques, car ils seraient dans l'asthme aigu ou une maladie des voies respiratoires réactives… Un schéma posologique potentiel pour les patients ambulatoires à partir du jour 5 ou l'apparition de symptômes respiratoires est la prednisone 1 mg / kg administrés quotidiennement pendant 5 jours avec ou sans réduction ultérieure. »
Les autres ajouts au traitement comprennent:
Colchicine, un antimitotique non stéroïdien dont il a été démontré qu'il réduit les niveaux de D-dimères et améliore les résultats chez les patients hospitalisés atteints de COVID-19
Agents antiplaquettaires tels que l'aspirine (81 mg par jour) ou l'héparine pour traiter la coagulation sanguine anormale parfois observée dans COVID-19
Supplément d'oxygène si nécessaire
Pour réduire le risque d'auto-réinoculation (puisque le virus est en suspension dans l'air), ils recommandent également d'ouvrir les fenêtres et / ou de passer de longues périodes à l'extérieur (loin des autres) sans se couvrir le visage.
La figure ci-dessous, tirée de l'American Journal of Medicine et republiée dans Science Direct 15, illustre les différentes approches des soins à domicile suggérées selon que vous êtes en bonne santé, que vous avez une ou plusieurs comorbidités et à quel stade de la maladie traitent les différents médicaments. doit être administré.
L'hydroxychloroquine a un profil d'innocuité éprouvé
RépondreSupprimer- voir croquis sur site -
Alors que les manchettes des médias ont décrit le HCQ comme un médicament potentiellement mortel, il a en fait un profil d'innocuité très robuste qui remonte à des décennies. Dans un article publié dans l'American Journal of Epidemiology16, Risch a passé en revue plusieurs études à grande échelle démontrant l'innocuité du médicament.
Dans son article de Newsweek17, il a également souligné que les rapports d'événements indésirables cités par la Food and Drug Administration des États-Unis lorsqu'elle a averti que HCQ pourrait provoquer une arythmie cardiaque, en particulier lorsqu'il était administré avec de l'azithromycine, provenaient de patients qui avaient utilisé HCQ pendant de très longues périodes de temps pour le traitement des maladies chroniques telles que le lupus ou la polyarthrite rhumatoïde. Les mêmes risques ne s'appliquent tout simplement pas lorsque vous prenez HCQ pendant quelques jours ou quelques semaines.
«Même si les taux réels d'arythmie sont dix fois plus élevés que ceux rapportés, les dommages seraient minuscules par rapport à la mortalité survenant actuellement chez les patients à haut risque COVID-19 mal traités», a écrit Risch.18
«Ce fait est prouvé par une étude de l'Université d'Oxford portant sur plus de 320000 patients âgés prenant à la fois de l'hydroxychloroquine et de l'azithromycine, qui présentaient des taux de mortalité excessifs d'arythmie inférieurs à 9/100 000 utilisateurs ... Un nouvel article dans l'American Journal of Medicine par des cardiologues établis du le monde est entièrement d'accord avec cela.
En effet, la soi-disant preuve que l'HCQ cause des problèmes cardiaques mortels s'est avérée frauduleuse. Une étude a été rétractée après avoir découvert que les données avaient été fabriquées, et d'autres essais à grande échelle utilisaient tous des doses toxiques.
Alors que les médecins rapportant un succès avec le médicament utilisaient des doses standard d'environ 200 mg par jour pendant quelques jours ou peut-être quelques semaines, des études telles que l'essai de récupération financé par Bill & Melinda Gates19 ont utilisé 2400 mg d'hydroxychloroquine pendant les 24 premières heures. - trois à six fois plus élevée que la dose journalière recommandée20 - suivi de 400 mg toutes les 12 heures pendant neuf jours supplémentaires pour une dose cumulée de 9 200 mg sur 10 jours.
De même, l'essai de solidarité, 21 dirigé par l'Organisation mondiale de la santé, a utilisé 2 000 mg le premier jour et une dose cumulée de 8 800 mg sur 10 jours. Ces doses sont tout simplement trop élevées.
Pendant ce temps, une analyse rétrospective du 1er juillet 202022,23,24 sur 2541 patients dans le Michigan a révélé que l'utilisation d'hydroxychloroquine seule réduisait la mortalité de plus de moitié, de 26,4% à 13,5%. Les patients ont reçu 400 mg d'hydroxychloroquine deux fois le jour 1, suivis de 200 mg deux fois par jour pendant les quatre jours suivants.
Aucun événement indésirable lié au cœur n'a été observé. L'hydroxychloroquine en association avec l'azithromycine avait un taux de mortalité de 20,1% et l'azithromycine seule avait un taux de mortalité de 22,4%. L'azithromycine a été dosée à 500 mg le jour 1, suivi de 250 mg une fois par jour pendant les quatre jours suivants.
RépondreSupprimerSelon les auteurs, 25 «L'association hydroxychloroquine + azithromycine était réservée à certains patients atteints de COVID-19 sévère et présentant des facteurs de risque cardiaques minimes.» Malheureusement, le zinc n'a pas été inclus dans cet essai.
«Les médecins qui ont utilisé ces médicaments face à un scepticisme généralisé ont été vraiment héroïques», a écrit Risch dans Newsweek.26 «Ils ont fait ce que la science montre le mieux pour leurs patients, souvent à de grands risques personnels.
Je connais moi-même deux médecins qui ont sauvé la vie de centaines de patients avec ces médicaments, mais qui se battent maintenant contre les commissions médicales d'État pour sauver leurs licences et leur réputation. Les poursuites contre eux sont totalement dépourvues de mérite scientifique…
Comme tous le savent, le médicament est devenu très politisé. Pour beaucoup, il est considéré comme un marqueur de l'identité politique, des deux côtés du spectre politique. Personne n’a besoin de moi pour leur rappeler que ce n’est pas ainsi que la médecine doit procéder… La réalité exige un œil clair et scientifique sur les preuves et sur les points qu’elles indiquent »
Dans cet esprit, la preuve que le HCQ pourrait être utile contre le SRAS-CoV-2 remonte à 2005, lorsque l'article «La chloroquine est un inhibiteur puissant de l'infection et de la propagation du coronavirus du SRAS» a été publié dans le Virology Journal.27
Le Dr Anthony Fauci, nommé à la tête de l'équipe d'intervention en cas de pandémie de la Maison Blanche, était-il au courant de cela? On pourrait dire qu'il aurait dû. Et, s’il l’a fait, pourquoi n’a-t-il pas dit quelque chose? Selon cette étude: 28
«… La chloroquine a de puissants effets antiviraux sur l'infection par le SRAS-CoV des cellules de primates. Ces effets inhibiteurs sont observés lorsque les cellules sont traitées avec le médicament avant ou après l'exposition au virus, suggérant à la fois un avantage prophylactique et thérapeutique.
En d'autres termes, la chloroquine fonctionnait à la fois comme prophylactique (prévention) et comme traitement contre le coronavirus du SRAS. C'est précisément ce que de nombreux médecins ont également trouvé avec le HCQ - un médicament très similaire à la chloroquine mais qui a un profil plus sûr - lorsqu'il est utilisé contre le SRAS-CoV-2.
Peroxyde nébulisé - Mon choix de traitement préféré
RépondreSupprimer- voir cadre sur site -
Bien que l'HCQ avec du zinc semble être un choix de traitement précoce très utile, mon choix personnel pour le traitement des symptômes du COVID-19 est le peroxyde nébulisé. C'est un remède maison avec lequel je recommande à tout le monde de se familiariser, car dans de nombreux cas, il peut améliorer les symptômes en quelques heures. Vous pouvez également l’utiliser comme stratégie préventive si vous savez que vous avez été exposé à une personne malade.
La nébulisation de peroxyde d'hydrogène dans vos sinus, votre gorge et vos poumons est un moyen simple et direct d'augmenter l'expression naturelle du peroxyde d'hydrogène de votre corps pour lutter contre les infections et peut être utilisée à la fois à titre prophylactique après une exposition connue au COVID-19 et comme traitement pour les cas légers, modérés et même maladie grave.
Le Dr David Brownstein, qui a traité avec succès plus de 100 patients atteints de COVID-19 avec du peroxyde nébulisé, a publié un exposé de cas29 sur ce traitement dans le numéro de juillet 2020 de Science, Public Health Policy and The Law. Il passe également en revue ses avantages dans «Comment le peroxyde nébulisé aide-t-il à lutter contre les infections respiratoires».
Le peroxyde d'hydrogène nébulisé est extrêmement sûr et tout ce dont vous avez besoin est un nébuliseur de bureau et du peroxyde d'hydrogène de qualité alimentaire, que vous devrez diluer avec une solution saline à 0,1%. Je vous recommande d'acheter ces articles au préalable afin d'avoir tout ce dont vous avez besoin et de pouvoir commencer le traitement à domicile dès les premiers signes d'une infection respiratoire.
- voir clip sur site -
Dans la vidéo ci-dessus, je passe en revue les bases de ce traitement. Assurez-vous d'acheter un nébuliseur qui se branche sur une prise électrique, car les nébuliseurs à piles sont trop faibles pour être vraiment efficaces. Assurez-vous également que votre nébuliseur est livré avec un masque facial, pas seulement un embout buccal. S'il n'est pas fourni avec un masque facial, vous pouvez en choisir un séparément. Recherchez simplement sur Amazon «masque facial nébuliseur pour adultes».
Sources and References
RépondreSupprimer1 Gates Notes April 30, 2020
2 Anthraxvaccine.blogspot.com June 27, 2020
3, 17, 18, 26 Newsweek July 23, 2020
4, 5, 6, 13, 14 The American Journal of Medicine January 2021; 134(1): 16-22
7 PLOS ONE 2014; 9(10): e109180
8, 9 Preprints April 6, 2020 DOI: 10.20944/preprints202004.0124.v1
10 Journal of Medical Microbiology September 15, 2020; 69(10)
11 medRxiv May 8, 2020 DOI: 10.1101/2020.05.02.20080036 (PDF)
12 Medical Hypotheses September 2020; 142: 109815
15 Science Direct January 2021
16 American Journal of Epidemiology May 27, 2020, kwaa093
19 Age of Autism June 16, 2020
20 Uptodate.com Hydroxychloroquine
21 The Solidarity Trial
22 International Journal of Infectious Diseases July 1, 2020 DOI: 10.1016/j.ijid.2020.06.099
23 Epoch Times July 2, 2020
24 Just the News July 3, 2020
25 International Journal of Infectious Diseases July 1, 2020 DOI: 10.1016/j.ijid.2020.06.099, Patients
27, 28 Virology Journal 2005; 2: 69
29 Science, Public Health Policy and The Law July 2020; 1: 4-22 (PDF)
https://www.lewrockwell.com/2021/02/joseph-mercola/journal-of-medicine-says-hcq-zinc-reduces-covid-deaths/
Criquets; ou Une histoire de folie monstrueuse
RépondreSupprimerPar Catte Black
OffGuardian
6 février 2021
Un jour, dans un pays lointain et il y a longtemps, un prêtre est venu là où les Nombreux s'occupaient de leurs récoltes et de leur bétail et a dit ...
«Il y a des criquets qui arrivent et nous devons nous préparer !»
"Mais les sauterelles viennent chaque année et toutes les années passées", ont répondu le Nombreux, "Il en est toujours ainsi, pourquoi devons-nous nous préparer ?"
«Ce ne sont pas les sauterelles de toutes les années passées», dit le prêtre, «ce sont de nouvelles et terribles sauterelles que j'appelle par un nouveau nom. Nous devons nous préparer. »
"Que font ces nouvelles et terribles sauterelles avec le nouveau nom ?" demanda le Nombreux avec une grande peur.
«Eh bien,» dit le prêtre, «Elles consomment une partie de nos récoltes et ensuite passent à autre chose.»
Le Nombreux tremblait d'effroi.
"Mais c'est ce que font toujours les sauterelles", a déclaré un homme parmi les nombreux, "pourquoi devons-nous nous préparer cette année alors que nous ne l'avons jamais fait auparavant ?"
Le prêtre considérait le seul homme parmi les nombreux.
«Vous ne m'avez pas entendu ? il a dit. «Ce ne sont pas les vieilles sauterelles des années passées, ce sont de nouvelles et terribles sauterelles et ils ont un nouveau nom. Nous devons nous préparer. »
«Mais que font les nouveaux et terribles sauterelles avec le nouveau nom qui sont pires que les vieilles sauterelles des années passées ?» dit le seul homme.
«Pourquoi, êtes-vous un imbécile ?» cria le prêtre. «Est-ce que je ne vous ai pas dit qu'ils consommaient nos récoltes pour ensuite passer à autre chose. Nous devons nous préparer ! »
«Oui, il faut se préparer !» s'écrièrent les nombreux à l'unisson, sans savoir ce que cela exigeait.
«Je ne comprends pas», a insisté l'unique homme du Nombreux, «ces nouveaux et terribles sauterelles sont-elles différentes des vieilles sauterelles des années passées ?»
«Je n'ai pas dit cela», répondit le prêtre.
«Est-ce qu'ils consomment plus de nos récoltes que les vieux sauterelles des années passées ?»
«Je n'ai pas fait une telle réclamation», répondit le prêtre.
«Alors si les nouveaux et terribles criquets ne sont pas différents des vieux criquets des années passées et ne consomment pas plus de nos récoltes que les vieux criquets des années passées, comment sont-ils nouveaux et terribles ?»
A cela, le prêtre devint courroucé par une colère sacerdotale.
https://www.lewrockwell.com/2021/02/no_author/locusts-or-a-tale-of-monstrous-foolishness/
Comme quoi qui écoute les pédés devient pédé lui-même !
Supprimer« Pandémie » mondiale et opération « Dark Winter » — Un scénario écrit de longue date ?
RépondreSupprimerM.K. Scarlett
Sott.net
ven., 05 fév. 2021 09:28 UTC
Dans une interview menée par Oracle Films le 31 décembre 2020, qui incluait celle de Dolores Cahill que nous avons publié dans l'article Dolores Cahill — Les dangers mortels de la technologie à ARNm utilisée dans les concoctions dites « vaccinales », c'est au tour du Docteur Heiko Schöning de nous parler de ce qui est connu sous le nom de « Dark Winter ».
Peu après les attentats du 11-Septembre 2001, les États-Unis étaient sous la « menace d'une attaque à l'anthrax ». Quelques semaines avant cette propagande de « peur » où le terme « anthrax » était asséné comme l'est aujourd'hui celui de « coronavirus/Covid-19 », l'exercice militaire, au nom de code « Opération Dark Winter », était organisé les 22 et 23 juin 2001 par le Johns Hopkins Center pour les Stratégies de biodéfense civile (le même qui organisait en octobre 2019 à New York l'Event 201), en collaboration avec le Centre d'études stratégiques et internationales, l'Institut des services analytiques pour la sécurité intérieure, et l'Institut national commémoratif de l'Oklahoma pour la prévention du terrorisme — ce dernier étant une organisation à but non lucratif fondée après l'attentat à la bombe d'Oklahoma City en 1995.
L'exercice simulait l'existence d'une épidémie de variole déclenchée par une arme biologique, et examinait des scénarios de réaction (vaccination, distribution de masques, confinement) mais aussi de gestion d'information, de lutte contre les fake news sur Internet, et autres mesures liberticides et attentatoires « grâce » auxquelles nos vies sont aujourd'hui et depuis plusieurs presque un an prises en otage.
Nous avons publié en mai 2020 un article qui entre plus dans les détails de cet « Hiver sombre » : Covid-19 et l'opération psychologique « Dark Winter » - Doutez de tout.
Le Dr Heiko Schöning est un médecin allemand qui, entre autres, est à l'origine de la fondation Acu 2020 (disponible ICI dans sa version française) et de la Comité d'enquête extraparlementaire (allemande) sur le coronavirus qui lui est inhérente. Il est vice-président de la World Freedom Alliance, qui réunit des experts et des activistes issus de divers pays pour défendre les libertés menacées, notamment dans les pays occidentaux, par les mesures prises en réponse à la « pandémie » créée de toutes pièces par les figures visibles du consortium de psychopathes au pouvoir.
Voici l'interview du Dr Heiko Schöning, doublée en français :
- voir sur site -
Source de la vidéo : World Freedom Alliance YouTube
Transcription partagée sur Sendeyo
Doublage en français par Jeanne Traduction pour Odysee publié le 4 janvier 2021
https://fr.sott.net/article/36537-Pandemie-mondiale-et-operation-Dark-Winter-Un-scenario-ecrit-de-longue-date
M.K. Scarlett (Profil)
SupprimerAutodidacte, M.K. Scarlett réside en France et a rejoint l'équipe des éditeurs et traducteurs de SOTT en 2012. Ses rubriques favorites « Feu dans le Ciel », « Les Maîtres du Monde » et « Histoire Secrète » n'enlèvent en rien l'intérêt qu'elle porte aux autres. Quand elle n'a pas le nez dans un livre, M.K. Scarlett pratique aussi la photographie et le graphisme.
Des milliers de Chinois rendent hommage au médecin lanceur d’alerte Li Wenliang
RépondreSupprimerDécédé des suites du Covid-19 il y a tout juste un an, il avait partagé ses inquiétudes sur la propagation d’un nouveau coronavirus similaire au SRAS en décembre 2019.
6 février 2021, 14:34
Médecin ophtalmologue à l’hôpital central de Wuhan, Li Wenliang avait contracté le Covid-19. Il en est mort l’an dernier.
Des milliers de Chinois ont rendu hommage samedi sur les réseaux sociaux au médecin Li Wenliang, l’un des premiers à avoir alerté sur la dangerosité du nouveau coronavirus apparu à Wuhan, à l’occasion du premier anniversaire de son décès dû au Covid-19 en février 2020.
Li Wenliang, médecin ophtalmologue à l’hôpital central de Wuhan, avait partagé avec des confrères, sur les réseaux sociaux, ses inquiétudes sur la propagation d’un nouveau coronavirus similaire au SRAS en décembre 2019. Il avait ensuite été convoqué par la police, qui l’avait accusé de répandre «des rumeurs».
Entre tristesse et colère
Son décès des suites du Covid-19, qu’il avait contracté après avoir été contaminé par un patient, avait suscité une vague de tristesse et de colère dans le pays. Les internautes chinois avaient critiqué à cette occasion la gestion de la crise par les autorités, accusées d’avoir manqué de transparence.
La page personnelle de Li Wenliang sur Weibo, l’équivalent chinois de Twitter, reste l’un des rares espaces où les internautes évoquent le traumatisme des débuts de l’épidémie, lorsque des millions d’habitants de Wuhan et de la province de Hubei avaient été soumis à un confinement draconien.
«Dans le cœur des Chinois»
Des milliers de messages ont afflué samedi à l’occasion du premier anniversaire de la mort du jeune médecin, de nombreux internautes racontant ce qu’était devenue leur propre existence. «Dr Li, il fait grand beau aujourd’hui là où je vis… Chacun dans mon entourage fait de son mieux dans la vie, tout va bien, bon nouvel an lunaire», a écrit un internaute sur Weibo, dans un commentaire au-dessous du dernier post de Li Wenliang, qui avait suscité plus d’un million de réactions, principalement après son décès.
«Je pensais que tout le monde allait vous oublier un an plus tard, a ajouté un autre internaute. J’avais tort, vous vivrez à jamais dans le cœur des Chinois». En revanche, aucun signe de commémoration n’était visible devant l’hôpital central de Wuhan, où des fleurs et des photos avaient été déposées il y a un an par des habitants rendant hommage à Li.
La ville a accueilli une délégation d’experts de l’Organisation mondiale de la Santé venus enquêter sur l’origine de la pandémie. La délégation a visité le marché des produits de la mer de Huanan où travaillaient des malades parmi les premiers à avoir été identifiés comme atteints du Covid-19. Les experts ont également visité le très controversé Institut de virologie de Wuhan, au cœur de théories complotistes sur l’origine de l’épidémie.
https://www.lematin.ch/story/des-milliers-de-chinois-rendent-hommage-au-medecin-lanceur-dalerte-li-wenliang-902545444844
A revoir aussi:
Supprimer🚨 Le COVID-19 est une 'arme biologique sans restriction': un lanceur d'alerte publie un deuxième article alléguant 'une fraude scientifique organisée à grande échelle'
Li-Meng Yan, virologue chinoise (MD, PhD)
jeudi 8 octobre 2020
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/le-covid-19-est-une-arme-biologique.html
Netflix augmente les prix de 13 % au Japon
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 06 FÉVRIER 2021 - 0:00
Alors que de nouveaux concurrents de streaming à faible coût émergent à gauche et à droite, Netflix semble prêt à se lancer dans la tuerie.
En effet, après avoir étendu sa plate-forme à l'échelle mondiale, tout ce que Netflix a à faire est de basculer "le changement de prix" afin d'avoir un impact positif sur les liquidités disponibles de l'entreprise. Et au Japon, cela semble être exactement ce que fait la plateforme.
À partir d'aujourd'hui, les prix de base et standard de Netflix augmenteront d'environ 13 % au Japon, tandis que les prix des services premium restent inchangés, selon Bloomberg. Le plan de base de la société passera de 880 yens à 990 yens (9,39 $) / (7,80 €). Son niveau standard passe de 1 320 yens à 1 490 yens (10,40 à 11,74 €).
L'Asie est la deuxième région à la croissance la plus rapide de l'entreprise, note le rapport. Netflix a beaucoup investi dans l'anime pour le marché, qui est populaire au Japon.
La société a déclaré dans un communiqué: «Nous mettons à jour nos prix afin de pouvoir continuer à offrir une plus grande variété d'émissions de télévision et de films - en plus des émissions locales telles que 'Alice in Borderland', et notre gamme d'anime en constante augmentation. . Comme toujours, nous proposons une gamme de forfaits afin que les utilisateurs puissent choisir le prix qui correspond le mieux à leur budget. »
Le marché a aimé le mouvement, l'action de Netflix terminant la session de jeudi en hausse de 2,3 %. Les actions avaient peu changé depuis janvier.
Rappelons que Netflix vient de publier un rapport sur les résultats en janvier qui a vu son action s'envoler. La société a affiché un grand battement d'abonnés et a noté que le flux de trésorerie disponible serait positif à tous les trimestres.
- voir graphique sur site -
Dans le même temps, comme nous l'avons noté, le plus grand service de streaming payant au monde est également confronté à une concurrence plus intense et féroce (ou plutôt à prix réduit) que jamais. La plate-forme Peacock de Comcast est en cours de déploiement depuis quelques mois, avec le service vidéo court Quibi. Et le gros pari d'AT & T sur le streaming, HBO Max est également opérationnel maintenant alors que Disney + a été un énorme succès.
Bloomberg note que dans le très important jeu de devinettes des abonnés Netflix, le site de recherche sur le trafic Web SimilarWeb suggère que le service comptait en moyenne environ 1,5 million de nouveaux abonnés dans le monde par mois au quatrième trimestre. C'est en dessous de l'objectif de 6 millions que la société a donné et en baisse par rapport au quatrième trimestre 2019. Du côté positif, note SimilarWeb, les abonnés ont augmenté chaque mois au cours du trimestre et sont en forte hausse par rapport au troisième trimestre décevant.
https://www.zerohedge.com/markets/netflix-hiking-prices-13-japan
SupprimerFaut dire et reconnaître qu'aujourd'hui... le cinéma va très mal !
Producteurs, metteurs-en-scène et comédiens son en attente ! Idem pour les scénaristes (sans lesquels AUCUN film ne serait) qui, 'à moindre mal' peuvent se tourner vers la publication papier et faire ainsi rêver chaque lectrice ou lecteur à sa façon.