- ENTREE de SECOURS -



mardi 9 février 2021

Alexandra Henrion Caude, Post Covid-19. Sommet pour la Paix de Stockholm, 19 décembre 2020

 https://www.youtube.com/watch?v=_xH616CUvrQ

et

Docteur Alexandra Henrion-Caude: PMA et épigénétique


Dr Alexandra Henrion-Caude : directrice de recherche à l’INSERM à l’hôpital Necker. Docteur en

génétique. Auteur de 50 articles scientifiques. Créatrice du site internet «science en conscience»

20 sept. 2018

(rétroprojecteur non filmé !)

https://www.youtube.com/watch?v=qAbdhGpUyo8

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Des Histoire à Raconter - Dr Alexandra Henrion Caude

https://www.youtube.com/watch?v=bgCKdOTSzaI

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https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps/

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La Tribune REINFO #1, 12/11/ 2020, L. Fouché, A. Henrion Caude, L. Mucchielli, P. Sacré, H. Banoun

12 nov. 2020

8:40 A. Henrion Caude

10:34 L. Mucchielli

https://www.youtube.com/watch?v=-1YVIYXXmew

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Alexandra Henrion Caude : Des outils pour analyser vous-même la situation (La Tribune REINFO #2)

23 nov. 2020

https://www.youtube.com/watch?v=JsZwssUOGlw

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https://www.youtube.com/watch?v=lvO5L...​

https://www.youtube.com/watch?v=3jhLN...

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Alexandra Henrion Caude, généticienne

18 janv. 2021

https://www.youtube.com/watch?v=jILVyoImjm4

20 commentaires:

  1. Pas plus de morts qu'une grippe saisonnière !
    Alors, Épidémie ou Pandémie ?
    Masques et distance ? (cela veut bien dire que les masques NE SERVENT A RIEN).
    Vaccins
    17:00 Abeilles (reine, ouvrière)
    26:17 Vaccins non testés sur humains et animaux !!! (donc: vaccins actuels à VOS risques et péril !)
    AUCUN vaccin approuvé Sras ou Corona ! Vaccins qui modifient votre ADN est transposables aux générations suivantes !!
    D'où la dangerosité dans... les banques du sperme !
    Cette dangerosité [transhumanisme] peut être aérosolisée

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  2. Vague de froid polaire: la carte des températures (glaciales) ressenties attendues en France

    9 févr. 2021
    L'escroquerie du 'réchauffement climatique'

    https://www.youtube.com/watch?v=uhEgG2dj6cg

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  3. Préparez-vous à "Onslaught of Winter Storms" dans les prochains jours


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 09 FÉVRIER 2021-15: 55


    The Weather Channel rapporte qu'une "semaine active" est prévue avec "plusieurs rondes de neige et de glace dans le Midwest et l'Est alors que des températures extrêmement froides saisissent certaines parties de la nation".

    - voir carte sur site -

    Parallèlement aux multiples tempêtes prévues d'un océan à l'autre, il y aura également une «épidémie prolongée dans l'Arctique qui saisira des parties des plaines, du Midwest et se propagera dans certaines parties du nord-est, du nord-ouest et du sud plus tard cette semaine.

    - voir carte sur site -

    D'ici la fin de la semaine, The Weather Channel prévoit que «110 millions d'entre vous auront des dépressions inférieures à 20 ° d'ici vendredi».

    - voir carte sur site -

    Pour une grande partie du pays, à l'exception du sud de la Floride et du sud de la Californie, les températures seront bien inférieures à la moyenne la semaine prochaine.

    - voir carte sur site -

    Au cours des sept prochains jours, The Weather Channel met en garde contre un «assaut de tempêtes hivernales» à travers le pays.

    - voir carte sur site -

    Voici les estimations actuelles des chutes de neige dans le Midwest et la vallée de l'Ohio entre mercredi et vendredi.

    - voir carte sur site -

    Voici les estimations actuelles des chutes de neige pour les États du centre de l'Atlantique et du nord-est entre mercredi et samedi.

    - voir carte sur site -

    The Weather Channel s'attend à ce que la période la plus froide de l'année soit le «week-end de la Saint-Valentin».

    - voir carte sur site -

    Il y a quelques jours, les lecteurs se rappelleront peut-être que nous avions averti dans une note intitulée «Les météorologues avertissent que le« gel profond »pour les États-Unis commence la semaine prochaine», qu'un temps froid extrêmement dangereux nous attend.

    https://www.zerohedge.com/commodities/prepare-onslaught-winter-storms-coming-days

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  4. L’OMS en rupture avec le tout répressif sanitaire

    L’OMS a effectué un virage à 180 degrés pour désavouer fermement la politique du tout répressif sanitaire, devenue la règle dans de nombreux pays. Il en résulte une rupture avec les recommandations de plus en plus critiquées du conseil scientifique.


    Par Olivier Maurice.
    10 FÉVRIER 2021


    Depuis le début de l’apparition du SARS-COV2, une multitude d’études ont été menées à travers la planète pour essayer de comprendre le mécanisme de transmission du virus et pouvoir en déduire des stratégies sanitaires les plus à même pour ralentir, stopper ou gérer au mieux la propagation de la maladie.

    Les résultats de ces études arrivent peu à peu, ce qui a amené l’OMS à infléchir ses recommandations pour tenir compte de ces informations. À l’entrée de l’hiver, l’organisme sanitaire international a en effet clairement effectué un virage à 180 degrés pour désavouer fermement la politique du tout répressif sanitaire qui est devenue la règle dans de nombreux pays.

    Le présent article fait suite à un précédent billet publié dans ces colonnes le 28 octobre et qui en faisait état, à l’heure où la politique suivie en France semble elle aussi subir un infléchissement : l’inattendu statu quo dans les mesures sanitaires qui est survenu la fin de le semaine dernière et qui coïncide bizarrement avec la publication de recommandations de l’OMS bien plus précises et concrètes de la nouvelle politique sanitaire préconisée par l’organisme international.

    Il semblerait bien que le changement de conduite décidé par Emmanuel Macron soit en effet, et entre autres choses (les critères économiques et d’acceptation sociale y ayant sans aucun doute été pour beaucoup) dans la ligne de celle de l’OMS et donc dans celle d’une rupture avec les recommandations de plus en plus critiquées du conseil scientifique.

    SITUATION ACTUELLE : ENTRE L’OMS ET LE CONSEIL SCIENTIFIQUE

    Depuis le début de la crise sanitaire, c’est le conseil scientifique instauré par le ministère de la Santé qui trace la ligne de conduite, pour les citoyens, les responsables d’établissements publics et le gouvernement.

    Cette stratégie, nous la connaissons maintenant tous, tant elle a été martelée un peu partout, elle est basée sur quatre axes :

    Le comportement individuel : gestes barrières, port du masque etc.
    Les limitations de regroupement collectifs : fermetures des bars, restaurants, salles de sport et salles de spectacles et annulations des rassemblements.
    Les mesures de restriction des déplacements et des activités : confinement et couvre-feu.
    La prise en charge hospitalière des cas graves.
    À l’analyse des dernières informations diffusées par l’OMS et par les diverses équipes de recherches à travers le monde, il apparait de plus en plus clairement que cette orientation fortement héritée du principe de précaution et de la peur qui a traversé le pays, est très éloignée, pour ne pas dire diamétralement opposée à celle préconisée par l’organisme de santé mondial.

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  5. Malheureusement en France, comme d’ailleurs dans de nombreux pays occidentaux, le sujet a depuis longtemps largement débordé le débat scientifique pour se rapprocher de plus en plus d’un affrontement politique, à la limite du débat philosophique ou même de la controverse religieuse.

    Ce chahut qui règne depuis les premiers jours ne laisse rien prédire de bon quand l’évidence des faits révélera l’inutilité, voire la lourde nuisance de la stratégie décidée et que ce constat s’ajoutera aux conséquences sociales, économiques et même sanitaires de cette stratégie politique bien plus que sanitaire ou scientifique.

    MODÈLE DOUBLE DE CONTAMINATION

    On en sait donc dorénavant beaucoup plus à la fois sur les modalités de transmission de la maladie.

    Ce que montrent les études, et qui semblerait être une spécificité du SARS-COV2, est que la contagiosité de la maladie varie énormément d’un cas à l’autre. Cependant, vu le nombre maintenant très important d’études, on peut clairement identifier deux modes distincts.

    Le premier mode, que l’on pourrait qualifier de domestique est de loin le plus présent dans les études. Il se produit principalement dans deux environnements : le milieu familial et les établissements de santé.

    Dans ce cas-là, il semble clairement établi que le virus n’est pas très contagieux, mais que ce soient le confinement et la promiscuité qui sont les raisons principales de la diffusion de la maladie.

    Une personne infectée au sein d’une famille va « en moyenne » contaminer 20 % du foyer, ce qui est très peu, et signifie souvent une seule autre personne, le conjoint de préférence. Au sein des établissements de santé, la propagation semble identique : le « cas zéro » allant lui aussi contaminer une ou deux personnes et ainsi de suite.

    C’est principalement à cause du confinement dans ces espaces clos où le contact avec les personnes infectées est régulier, proche et continu, que la maladie se répand alors de proche en proche, touchant ainsi la population la plus susceptible de se voir contaminer : personnes âgées, faibles, malades etc.

    LES EXCEPTIONS À LA RÈGLE

    Les études montrent également qu’en dehors de ce mode principal de propagation (faible contamination, majoritairement personnes proches et en contact prolongé), on a pu constater cependant un certain nombre de phénomènes très rares de soudaine et très forte contamination.

    Dans ces cas, les transmissions sont très rapides et simultanées et ne proviennent pas d’un phénomène de chaîne, mais d’une contamination à partir d’une source unique, ce que des études ADN ont permis de confirmer.

    De plus, ces contaminations très larges, que l’on a pu appeler des phénomènes de super-contamination (super spreading event ou SSE) se produisent sur des espaces très importants en termes de superficie et sans contact proche et continu avec la source d’infection, ce qui est totalement opposé au scénario domestique.

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  6. L’explication serait que ces contaminations seraient dues à la vaporisation d’aérosol se développant dans les poumons de certains individus. Ces microparticules très fines et légères se déplaceraient très loin (plusieurs centaines de mètres) et passeraient à travers les protections habituelles (isolement dans des pièces séparées, masques, hygiène…)

    Bien évidemment, quand cette contamination se produit dans une réunion, un rassemblement religieux ou une fête de village, elle donne souvent lieu à une réaction médiatique importante et on a vite fait d’incriminer les organisateurs plutôt que se retourner contre la nature même du virus.

    Or les observations de SSE dans des milieux cloisonnés (prisons, trains, hôtels, paquebot, restaurants…) démentent complétement cette causalité du rassemblement : des distanciations physiques de plusieurs dizaines, voire centaines de mètres n’ayant pas empêché ces contaminations de se produire.

    Il semblerait bien qu’il soit quasiment impossible de contrer une diffusion d’aérosol à l’origine de ces dispersions, de plus celle-ci devient rapidement diffuse au fur et à mesure que ceux-ci se dispersent dans l’environnement.

    EXPLICATION DE LA DYNAMIQUE OBSERVÉE

    Pour résumer ces deux modes :

    Dans la grande majorité des cas, la maladie est peu contagieuse et la contamination se produit en grande majorité dans le milieu familial, surtout lorsqu’il y a confinement.
    Il peut cependant arriver que des contaminations larges se produisent (SSE) sur de grandes superficies.
    Ce double modèle explique enfin les diverses dynamiques que l’on peut observer et qui rendent à premier lieu le comportement du virus assez incompréhensible.

    On a ainsi très clairement observé une pic de contamination des 20-30 ans avant la vague de l’automne qui a elle ensuite touché majoritairement les personnes plus âgées.

    Cela serait expliqué par le fait que les 20-30 ans seraient par leur mode de vie davantage exposés aux contaminations fortuites. Les contaminations domestiques auraient ensuite pris le dessus : la fin des vacances, puis les mesures de restrictions des libertés successives ont resserré la promiscuité et ce seraient ces contacts prolongés intra-familiaux et dans les établissement de santé qui expliqueraient la flambée des cas observée en octobre.

    Ce serait donc le confinement, tant d’ailleurs celui imposé par la politique sanitaire que celui qui survient plus naturellement avec les mauvaises conditions météo et la reprise des activités routinières qui seraient responsables de la vague de l’automne.

    L’explication étant que lors des beaux jours, les personnes contaminées fortuitement ne sont pas suffisamment en contact avec leurs proches pour que la propagation domestique se développe et s’emballe.

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  7. IMPLICATIONS

    Le premier constat qui s’impose devant cette meilleure compréhension de la dynamique épidémique est qu’il est totalement inutile de culpabiliser les gens comme le font depuis maintenant un an les autorités, les médias et malheureusement aussi une bonne partie de la population :

    Soit vous êtes contaminé ou contaminateur fortuit et vous allez contaminer un nombre énorme de personnes à votre insu ou vous serez juste au mauvais endroit au mauvais moment, et ce malgré toutes les précautions que vous et les autres pourrez prendre.
    Soit, vous êtes comme plus de 95 % des personnes infectées et infectieuses : vous êtes peu contagieux et des mesures prophylactiques simples seront suffisantes.
    Le second constat est plus lourd de conséquences. Il signifie que le prix du confinement n’est pas seulement social et économique, il est également très lourd d’un point de vue sanitaire et social.

    En effet, il est totalement incertain que les mesures de réduction de liberté auraient un quelconque effet sur la diffusion de l’épidémie en réduisant le nombre de personnes exposées aux virus ambiants, les études décrivant clairement des cas de diffusion massive non pas par chaîne de contamination, mais par simple diffusion dans l’environnement.

    Par contre, il semble clair que les mesures de confinement augmentent considérablement les risques de contaminations intra-familiales et celles survenant parmi des personnes vivant en communauté. Or ce sont précisément elles, les personnes les plus exposées aux conséquences de la maladie, et c’est précisément ce mode de transmission le plus observé.

    LES RECOMMANDATIONS DE L’OMS

    C’est pourquoi l’OMS a émis plusieurs recommandations répétées afin en premier lieu d’exhorter les autorités à obtenir le consentement des populations et de se détourner des mesures autoritaires qui sont au mieux inutiles, au pire fortement contre-productives.

    La stratégie recommandée par l’OMS est d’ailleurs très proche de celle suivie par les pays orientaux ayant eu l’expérience de l’épidémie de SARS de 2003. Elle consiste en résumé dans la mise en place des actions suivantes :

    Dépistage et identification des proches par contact tracing afin de rompre les chaines de contamination.
    Mise en quarantaine (et non en confinement) de toutes les personnes infectées, afin de les soigner et d’éviter l’aggravation de la maladie, tout en diminuant le risque de diffusion ambiante.
    L’objectif est très simple et semble bien plus réaliste que l’espoir d’un endiguement qu’aucun pays n’a réussi à obtenir : rompre au plus vite les chaînes de contamination, non pas pour empêcher les flambées épisodiques, mais pour éviter que la primo-infection ne se propage, certes avec un R0 bien plus faible, mais dans la plupart des cas, avec des conséquences bien plus graves.

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  8. UN CHANGEMENT DE CAP INDISPENSABLE SELON L’OMS

    Cette stratégie est bien plus pragmatique que l’espèce de fortification sanitaire que l’on a voulu instaurer. Les contaminations ambiantes semblent en effet quasiment impossibles à identifier ou à éviter, les mesures de distanciation sociale ne protégeant pas suffisamment du virus alors présent un peu partout dans l’environnement.

    Surtout, elle se focalise sur la réalité de la maladie, et non sur les événements exceptionnels et médiatiques où coïncident diffusion large et rassemblement de personnes.

    Les seules solutions concrètes consistent à identifier les foyers domestiques pour briser au plus vite les chaînes de transmission.

    Pour ce faire, diverses solutions techniques peuvent être mises en œuvre : outils informatiques bien sûr, mais l’OMS recommande bien plus la prise en charge par les acteurs locaux comme les médecins traitants et la mise en place d’outils d’alerte, permettant de localiser les flambées infectieuses, insistant bien sur le fait que la proximité, la durée et la nature du lieu de contamination déterminent le risque d’infection, en premier lieu duquel se situe le milieu familial.

    C’est cette stratégie (très décriée en France et dans les pays où les structures médicales centralisées sont très puissantes politiquement) qui a été par exemple mise en place dans la région de Madrid, avec pour conséquence une seconde vague bien moindre.

    https://www.contrepoints.org/2021/02/10/390689-loms-en-rupture-avec-le-tout-repressif-sanitaire

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    1. (...) Le comportement individuel : gestes barrières, port du masque etc. (...)

      Comme le disait (voir clip ci-dessus) la docteur Alexandra Henrion-Caude, le port du masque et la distanciation ne vont pas ensemble ! Pourquoi faudrait-il observer une distance alors que l'on porte un masque ? Tout simplement parce que IL N'EXISTE PAS DE MASQUE ANTIVIRUS fabricable dans le monde car, il devrait être si fin que l'air ne passerait même plus !
      Faut rappeler que le virus corona ne mesure que 0,1 à 0,5 micron alors que les masques proposés (N95 ou FFP2) ont un maillage de TROIS MICRONS !! HAHAHAHA !

      Par contre, pour en revenir sur le complexe mystère de la passation de gêne d'une personne à une autre (voir clip d'Alexandra Henrion-Caude) et dont ses (petits !) enfants seront touchés, petite explikation:

      Histoire extraordinaire au jardin ! Une personne achetait des oranges 'Maltaises de Tunisie' pour en garder et semer les pépins. Les pépins germaient et des orangers grandissaient. Or, voila que dernièrement, les pépins d'oranges maltaises de Tunisie germèrent et donnèrent des arbres tout autres ! Çà alors ! Mais qu'est-ce ?!
      C'était des grenadiers qui poussaient !
      Explikation: Les orangers de variété 'Maltaises de Tunisie' sont parfois greffés sur des grenadiers. Les orangers donnent des oranges mais... leurs pépins semés donnent... des grenadiers !!

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  9. Deux pays membres de l'Union européenne ont adopté le principe de passeport vaccinal. La mesure sera effective dans plusieurs mois


    mardi 9 février 2021

    La Suède va développer un certificat électronique de vaccination contre le Covid-19 - destiné à voyager mais aussi pour d'autres usages - a annoncé le gouvernement jeudi. La veille, c'était le Danemark qui prenait une décision similaire.

    https://www.bfmtv.com/international/feu-vert-pour-les-passeports-vaccinaux-en-suede-et-au-danemark_AD-202102050163.html

    https://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/02/deux-pays-membres-de-lunion-europeenne.html

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  10. Covid-19 et décroissance : un plaidoyer pour le « monde d’avant »

    La pandémie est un test en grandeur nature de la société de décroissance. Le citoyen serait-il prêt dans l’avenir à se confiner de nouveau mais pour raisons climatiques ?


    10 FÉVRIER 2021
    Par Philippe Charlez.


    Depuis la fin du second conflit mondial, les périodes de récession économique ont été rares et relativement limitées dans le temps. En 1975 le premier choc pétrolier contracta le PIB français de seulement 0,6 % tandis qu’en 2009 suite à la crise des subprimes il se réduisit de 2,9 %.

    En termes de gaz à effet de serre, la réduction de 1975 fut infime (-0,5 %) tandis qu’en 2009 la baisse n’atteignit que 2 %. En revanche, il faut remonter à la grande crise de 1929 pour trouver une récession structurelle de grande ampleur, les PIB français et américain ne retrouvant leur valeur de 1929 que dix ans plus tard.

    LA COVID-19 : TEST DE LA SOCIÉTÉ DE DÉCROISSANCE

    Évènement mondial le plus marquant depuis le dernier conflit mondial, la pandémie de la Covid-19 représente un test en grandeur nature de la société de décroissance. En 2020, la récession mondiale a été de l’ordre de 5 % : -9 % en France, -7,2 % en Europe, -3,4 % aux États-Unis. Ironie du sort, la Chine a maintenu une croissance positive à 2,3 %.

    Cumulant récession et emprunt pour financer la « non-activité économique », la dette de la France a quant à elle explosé à 120 % du PIB. Les conséquences en termes de faillites d’entreprises et de chômage sont terrifiantes. Le spleen généralisé a progressivement gagné l’ensemble des couches populaires incluant les jeunes générations. Cela ne laisse rien augurer de très positif dans les années à venir.

    Cette pandémie a aussi eu des externalités positives. Industries fonctionnant au ralenti, transports aériens quasi à l’arrêt et télétravail généralisé ont réduit de façon spectaculaire la consommation d’énergie (-5 %) et les émissions de GES (-7 %). Ces 7 % de réduction de GES ne représente pourtant que…0,2 ppm de gaz carbonique en moins rejeté dans l’atmosphère.

    UN CONFINEMENT POUR LE CLIMAT ?

    Parallèlement à un effort démesuré en termes économiques et sociaux, les confinements successifs n’ont finalement joué qu’un rôle marginal sur le climat.

    Le citoyen serait-il prêt dans l’avenir à se confiner de nouveau non plus pour raisons pandémiques mais pour raisons… climatiques ? Si l’on souhaitait atteindre les Accords de Paris via la seule décroissance économique (c’est-à-dire maintenir la teneur en gaz carbonique dans l’atmosphère en dessous de 450 ppm à l’horizon 2050) il faudrait reproduire systématiquement jusqu’à cet horizon « l’année horribilis 2020 ».

    Compte tenu de la croissance démographique attendue, le PIB moyen par habitant s’effondrerait alors de 11 300 dollars par habitant en 2019 à 1820 dollars.

    Prenant en compte la relation entre l’espérance de vie et le PIB/hab, la tentation décroissantiste réduirait mécaniquement l’espérance de vie moyenne du terrien de 75 ans à 66 ans soit un recul de près de 40 ans en termes de développement.

    Réduction des GES via la décroissance économique
    Gauche – Effet sur le PIB/hab
    Droite – Effet sur l’espérance de vie

    Ce « monde d’après » bien peu réjouissant fût pourtant prôné par un certain nombre de prédicateurs vedettes durant les premières semaines de la pandémie.

    Ainsi le prophète Hulot interprétait la COVID-19 comme un « ultimatum de la nature ». Bravant le confinement et habillé en Moïse des temps modernes, il avait reçu du Dieu Écologie les nouvelles tables de la loi : « marcher vers un nouveau monde sans mensonge, opérer la mue d’un système périmé, laisser de l’espace au monde sauvage et écouter les peuples premiers, exhorter une mondialisation qui partage, une économie qui préserve et redistribue ».

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  11. D’autres, comme le député de la Somme François Ruffin « appelaient la gauche et les écologistes à fermer la parenthèse libérale, le triptyque croissance-concurrence-mondialisation rendant l’air irrespirable, l’eau imbuvable et la planète invivable ».

    Quant à l’économiste atterré Thomas Porcher considérant que « la crise du Covid-19 avait révélé au grand jour les dysfonctionnements du triptyque mondialisation-finance-austérité », il appelait « à se débarrasser des politiques libérales et de la croissance comme horizon et invitait les délaissés à se fédérer en vue de reprendre le pouvoir ».

    On retrouve dans leurs exhortations toutes les filiations intellectuelles du décroissantisme avec le triptyque écologisme/marxisme/anarchisme.

    PANDÉMIE ET SOCIÉTÉ DE CROISSANCE

    Pourtant, la pandémie aura été en tous points un révélateur quasi parfait du fonctionnement de la société de croissance.

    Le débat entre commerces essentiels et non-essentiels nous renvoie à la nature même du PIB et de la croissance économique : c’est le non-essentiel qui entretient l’essentiel. Sans les revenus du tourisme, du luxe, des restaurants, du cinéma et du football on ne peut financer ni l’alimentation, ni le logement, ni la santé, ni l’éducation, ni même la préservation de l’environnement.

    Au nom de la justice de l’équité et de la solidarité, les nombreux élans d’égalitarisme ont tous contribué à appauvrir le pays : refus de confiner les personnes à risque, refus de confinements régionaux, fermeture des rayons non-essentiels des grandes surfaces restées ouvertes par mesure d’équité par rapport aux petits commerces.

    La thématique de la vaccination a aussi mis en lumière l’extraordinaire capacité de notre société de croissance à lutter contre une force extérieure qui la met en péril. Sa source d’information illimitée lui a permis de trouver la parade en moins d’un an. Du jamais vu dans l’Histoire.

    Et, comme toute espèce en difficulté, elle a oublié pour un temps son égoïsme constructif et activé le « bouton coopération ». Coopération internationale pour mettre au point le vaccin en moins d’un an, coopération européenne pour l’acheter et le distribuer.

    Considérée comme la potentielle « sauveuse du monde », Katalin Kariko est aussi un remarquable résultat de la société de croissance. Née dans la Hongrie communiste un an avant la révolution avortée de 1956, c’est en émigrant clandestinement aux États-Unis en 1987 que la biochimiste put faire aboutir ses recherches sur l’ARN messager. Elle y rencontra un écosystème capable de financer le « risque scientifique ».

    Ce risque inhérent à la démocratie libérale, Jacques Chirac avait décidé de le remplacer dans la Constitution par un… principe de précaution décourageant nos chercheurs à explorer des pistes incertaines. Comme Katalin Kariko nombre d’entre eux ont émigré outre-Atlantique.

    Ce n’est pas non plus par hasard qu’Israël, a ridiculisé tous ses voisins en vaccinant la quasi-totalité de sa population en quelques mois alors que les Syriens, les Jordaniens et les Irakiens ne seront probablement jamais vaccinés.

    Il en est de même pour les décroissantistes qui, au mépris de la société de croissance, auraient logiquement choisi l’immunité collective. Comme dans les sociétés vernaculaires du Moyen-Âge qu’ils vénèrent, elle aurait fort probablement décimé un tiers de la population mondiale.

    https://www.contrepoints.org/2021/02/10/390602-covid-19-et-decroissance-un-plaidoyer-pour-le-monde-davant

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    1. (...) Événement mondial le plus marquant depuis le dernier conflit mondial, la pandémie de la Covid-19 représente un test en grandeur nature de la société de décroissance. En 2020, la récession mondiale a été de l’ordre de 5 % : -9 % en France, -7,2 % en Europe, -3,4 % aux États-Unis. Ironie du sort, la Chine a maintenu une croissance positive à 2,3 %. (...)

      Faut dire qu'en Chine (1 milliard 500 millions d'hab.) il y a le nombre de surdoués qui dépassent tous les pays. Ainsi donc, ils fabriquent des éoliennes pour les cons qui en achètent et eux, construisent des centrales nucléaires et à charbon ! Hahaha !
      Pour ce qui est de l'épidémie de la mini-grippette 'corona', en Chine elle n'est pas appelée 'pandémie' car au monde il y a moins de morts que par grippe saisonnière. Donc: les activités continuent comme avant ! Hahaha !

      Rappelons aussi que la Chine (comme le Brésil entr'autres) n'a JAMAIS payé de taxe d'aéroport pour les émissions de gaz carbonique ! Hahahaha !

      Rappelons aussi que la poussière nanoscopique 'corona' pèse moins d'un millionième de gramme et n'est pas considérable comme des feuilles mortes emportées par le vent qui tourbillonne et les amasse çà et là !
      Seule l'humidité, l'hygrométrie d'un pays change la donne. Le brouillard et la pluie sont des facteurs intervenant dans la descente accompagnée des milliards de virus qui èrent dans l'atmosphère en altitudes.

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  12. Une remontée de roches chaudes sous l'Atlantique réchauffe les océans du monde


    Robert W. Felix
    February 8, 2021


    «Une recrudescence de roches chaudes provenant des profondeurs de l'océan Atlantique peut séparer les continents de chaque côté», écrit Maria Temming dans Science News.

    Sans surprise, dans le monde politiquement correct d’aujourd’hui, l’article de Temming ne mentionne pas le réchauffement des océans. Au lieu de cela, le titre de la pièce s'enthousiasme: «Une remontée de roches sous l'Atlantique peut séparer les continents.» Notez que le titre ne mentionne pas le hot rock.

    Idem pour le sous-titre: «La dorsale médio-atlantique peut jouer un rôle plus actif dans la tectonique des plaques qu'on ne le pense.» Aucune mention de roches chaudes là-bas non plus.

    Mais je pense que les roches chaudes sont les points à retenir le plus important de son article.

    Les scientifiques conviennent qu'il y en a plus de trois millions - oui, plus de trois millions ! - des volcans sous-marins… et nous essayons de blâmer les humains pour avoir chauffé nos mers ?

    - voir carte sur site -
    Dorsale médio-atlantique - NOAA

    L’image de la dorsale médio-atlantique incluse dans l’article de Temming (ci-dessus) pourrait vous empêcher de délimiter exactement où se trouve la dorsale médio-atlantique. Mais par chance, j'ai trouvé une image différente (ci-dessous) montrant la dorsale médio-atlantique, la montée médio-pacifique et d'autres dorsales océaniques. Je pense que la grande quantité de rouge émanant de ces crêtes montre parfaitement d'où vient la chaleur.

    Les scientifiques conviennent qu'il y en a plus de trois millions - oui, plus de trois millions ! - des volcans sous-marins… et nous essayons de blâmer les humains pour avoir chauffé nos mers ?

    - voir carte sur site -
    NCEI / NOAA; R.D. Müller et al / Geochem. Geophys. Geosyst. 2008

    Quoi qu'il en soit, revenons à l'article de Temming.

    De nouvelles données sismiques du fond de l'océan Atlantique montrent que des roches chaudes jaillissent sous la dorsale médio-atlantique à plus de 600 kilomètres de profondeur dans le manteau terrestre, dit Temming. (Elle adore l'appeler «rock chaud», mais en réalité c'est du basalte ardent brûlant, la version océanique de la lave rouge.)

    Matthew Agius, sismologue à l'Université Roma Tre de Rome, et ses collègues ont utilisé 39 sismomètres sur le fond marin le long de la crête entre l'Amérique du Sud et l'Afrique pour surveiller les tremblements de terre dans le monde pendant environ un an. Les tremblements contenaient des indices sur l'emplacement et le mouvement des matériaux loin sous le fond marin.

    Dans ces signaux, l’équipe d’Agius a vu des indices de matière provenant du manteau inférieur de la Terre jaillissant vers la dorsale médio-atlantique. «C'était complètement inattendu», dit Agius, et cela pourrait être une force puissante pour écarter les plaques tectoniques de chaque côté de la faille. (Je ne comprends pas pourquoi ce serait "inattendu".)

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  13. Alors que faire de ça ?

    Je suis tout à fait d'accord pour dire que les matériaux du manteau profond qui surgissent au centre de ces fissures doivent jouer un rôle majeur dans la propagation des fonds marins.

    Mais j’affirme aussi, comme je le dis depuis des années, que ces roches chaudes réchauffent les océans du monde. Et pas seulement un peu de chaleur, remarquez, mais bien plus que vous ne le pensez. Si ces «roches chaudes» sont comme d’autres basaltes enflammés, leurs températures pourraient facilement atteindre 1 177 ° C (2150 ° F).

    Plus de dix fois le point d'ébullition !

    Les scientifiques conviennent qu'il y en a plus de trois millions - oui, plus de trois millions ! - des volcans sous-marins… et nous essayons de blâmer les humains pour avoir chauffé nos mers ?

    https://www.sciencenews.org/article/upwelling-rock-beneath-atlantic-ocean-may-drive-continents-apart

    Merci à Viv Forbes pour ce lien

    «Quelle nouvelle incroyable», dit Viv. "Qui aurait pensé ?"

    Pour en savoir plus sur les volcans sous-marins qui chauffent les océans du monde, voir Pas par le feu mais par la glace, chapitre 10, «Ragoût de poisson».

    https://www.iceagenow.info/an-upwelling-of-hot-rock-beneath-the-atlantic-is-heating-the-worlds-oceans/

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    1. (...) Les scientifiques conviennent qu'il y en a plus de trois millions - oui, plus de trois millions ! - des volcans sous-marins… et nous essayons de blâmer les humains pour avoir chauffé nos mers ? (...)

      Des millions ? Des milliards ? Personne n'en sait rien car, c'est tous les jours qu'il y a des tremblement de terre sous marines et sous océaniques. Ces mouvements de plaques ferment des millions de sources chaudes et ouvrent ailleurs des millions de sources chaudes. C'est ainsi que s'expliquent la non continuité des courants marins chauds et naissance de nouveaux ailleurs.
      Explication convenable car, les côtes d'azur et bretonnes ne reçoivent pas tous les jours ces lames de fonds promises apportant la douceur climatique.

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  14. La nouvelle taxe sur l'essence sous un autre nom


    Par Eric
    -9 février 2021


    L'une des façons d'augmenter les taxes sur l'essence est de ne pas les appeler ainsi. C'est plus facile - comme le «paiement de responsabilité partagée» que vous êtes obligé de payer pour ne pas payer la mafia de l'assurance maladie pour une police Obamacare que vous ne voulez pas acheter.

    Au lieu de cela, les nouvelles taxes sur l'essence seront appelées taxes sur le carbone - ce qui rend plus facile de faire taire les objections à leur encontre. C'est une considération tactique importante pour la gauche, d'autant plus que les taxes sur l'essence sont déjà les taxes les plus régressives sur une nécessité existante. Seule une poignée de choses - comme les cigarettes - sont taxées de manière plus punitive et disproportionnée.

    Mais la plupart des gens ne fument pas - et personne n’est obligé de le faire.

    La conduite est différente, même si ce n’est pas le cas. Parce que quelqu'un d'autre doit le faire. Comme le gars qui conduit le camion qui apporte votre nourriture au magasin et pratiquement tout ce dont vous avez besoin pour vivre.

    Le coût de livraison est reflété dans le coût pour vous.

    En plus du coût de fabrication de ce qui est livré, presque tout implique de l'énergie et presque tout de l'essence.

    Une augmentation des taxes sur l’essence - techniquement, les taxes sur les carburants, qui englobent le carburant diesel ainsi que l’essence - est donc une vente difficile, politiquement, lorsque vous êtes un politicien se présentant comme un «progressiste». Comme le maire Pete Buttigieg, par exemple - qui est maintenant le fief du président choisi par la gauche pour le diriger sur tout le pays.

    Il veut une taxe sur l'essence - mais il a récemment fait arracher sa chaîne pour l'avoir dit. Il faut donc dire autre chose.

    Les deux hommes veulent rendre la conduite plus chère; en particulier, conduire quoi que ce soit avec un moteur à essence ou diesel - afin de rendre la conduite de quelque chose avec un moteur (par exemple, une voiture électrique) semble plus «abordable» et aussi de punir simplement ceux qui «s'accrochent» à leurs voitures non électriques , qui sont «mauvais pour le climat» mais en fait mauvais pour eux dans la mesure où ils sont plus difficiles à contrôler.

    Mais en ajoutant 50 cents au coût d'un gallon d'essence qui a déjà environ 50 cents de taxes fédérales / étatiques / locales incorporées à son coût par gallon d'environ 2,20 $ - ce qui équivaut à une taxe d'environ 25%, un taux comparable à l'usure certaines sociétés de cartes de crédit s'adressent aux personnes les moins en mesure de se payer un crédit - crée de mauvais visuels pour la fête qui aime faire semblant d'être la fête du type moyen.

    Ce qui, bien sûr, ne l’est pas - et ne l’a pas été depuis au moins 20 ans. C'est maintenant le parti des Urban Hip and Woke, dont la plupart vivent dans des appartements et ne se soucient pas du coût du carburant parce que leurs emplois gouvernementaux ou - les chèques du gouvernement - leur permettent de ne pas avoir à s'en soucier.

    C'est pourquoi la prochaine taxe sur l'essence sera probablement commercialisée comme une taxe sur le carbone. Il sera plus facile de le vendre de cette façon car il sera plus difficile pour les éclaireurs de gaz, les signaleurs de vertu à gauche et à droite de s'opposer à leur propre appauvrissement.

    Après tout, la crise climatique l'exige.

    Les gens qui ont fermé les portes de leurs propres entreprises ne l'auraient jamais fait au nom de donner leur entreprise à Wal-Mart et Amazon. Mais ils l'ont fait - volontiers, beaucoup d'entre eux - lorsque leur selbstmorde économique a été vendu comme vertueux. Beaucoup sont encore en train de pousser le katana dans leurs propres tripes pour montrer à quel point ils se soucient.

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  15. Et bien sûr, ce sera dur pour le Parti Poltroon - c'est-à-dire le Parti républicain, qui n'a pas de principes qu'il est prêt à défendre ou qui a trop peur de les défendre si la défense aboutit à des récriminations sur le manque de vertu des gauchistes - de soulever une objection, car il est d'accord avec la théologie du changement climatique comme il est d'accord avec le Culte du Saint Codpiece facial.

    Attendez-vous à aucun retour du GOP.

    Alors, à quoi s'attendre ?

    Il existe déjà une taxe sur le carbone sur les carburants automobiles au Canada, mise en œuvre en vertu de la Loi sur la tarification de la pollution par les gaz à effet de serre - à laquelle il sera aussi difficile de s'opposer que le Patriot Act, pour les républicains en particulier.

    Quoi qu'il en soit, la taxe appliquée initialement 20 $ la tonne métrique et atteindra 50 $ la tonne métrique d'ici l'année prochaine (2022), ce qui équivaudra à une taxe de 42 cents par gallon sur les carburants - sans pour autant appeler cela une augmentation de la taxe sur les carburants.

    Et c'est juste pour les ouvreurs. Pour atteindre les «objectifs ambitieux», le président choisi a déjà décidé que nous paierons selon les termes des accords de Paris sur le climat dont il vient de nous faire tous à nouveau partie (le Orange Fail avait sorti les États-Unis de ces accords - mais son le fait de ne rien faire pour empêcher la militarisation de l'hypocondrie a détruit tout cela et tout ce qu'il a fait aussi).

    On estime que cela nous coûtera au moins deux fois ce que coûte 50 $ par tonne métrique au Canada pour atteindre les «objectifs ambitieux» de l’Accord. Probablement plus - pour la même raison qu'il faut toujours plus de verrouillages, de «masquage» et d'aiguilletage pour «arrêter la propagation» du virus, dont la courbe ne s'aplatit jamais.

    À 100 $ la tonne métrique, nous paierions au moins 3,20 $ pour un gallon d'essence - dont la plupart seraient des taxes. Mais ce sera probablement plus que cela étant donné l’intention du président choisi de réduire également l’offre de gaz (via l’approvisionnement en pétrole) et d’augmenter ainsi son coût via une raréfaction artificielle.

    Qui sera commercialisé comme «nécessaire» pour atteindre ces «objectifs ambitieux» fixés par des gens comme Buttigieg et Biden, qui ne s'inquiètent pas du coût du gaz ou de quoi que ce soit d'autre en raison de leur capacité infinie à nous forcer à les payer pour nous voler .

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  16. . . . .

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    1. Rendre les transports plus chers compromet le commerce ainsi que le tourisme. Cela entame encore une fois le pouvoir d'achat car si le gas est plus cher le produit transporté sera plus cher .

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