Charles Rotter
Republié depuis NoTricksZone
Par P Gosselin le 6. février 2021
L'énergie verte et les verrouillages COVID-19 jouent à la roulette énergétique russe avec la vie des gens. Brassage parfait de la tempête hivernale.
Un blizzard hivernal est sur le point de frapper l'Europe centrale, ce qui risque de provoquer des ravages en cas de panne de courant. Les températures chuteront jusqu'à -15 ° C accompagnées de vents violents effrayants. Les magasins fermés en raison du COVID-19 laissent les citoyens au dépourvu. Une panne de courant prolongée serait dévastatrice.
Dans les heures à venir, un système à haute pression situé au-dessus de la Scandinavie et la tempête Tristan au sud se heurtera au-dessus de l’Europe centrale et se développera en conditions météorologiques dangereuses dans l’une des régions les plus peuplées d’Europe, la Rhénanie du Nord-Westphalie.
Cette tempête pose des problèmes majeurs qui mettront à l'épreuve la stabilité du réseau électrique allemand et même peut-être la capacité des citoyens à se débrouiller seuls.
Réseau électrique à risque: heures de pluie verglaçante
Le premier sera la bande de pluie verglaçante qui est prévue dans la région de la Ruhr en Rhénanie du Nord-Westphalie. Selon Kachelmannwetter.de, la période de pluie verglaçante pourrait durer des heures et donc entraîner de lourdes charges sur les structures de transmission d'énergie lorsque la glace s'accumule. Les lignes pourraient s'effondrer.
Vents forts - charges encore plus lourdes
Pour aggraver les choses, des vents violents aggraveront encore les charges sur l'infrastructure de transport d'électricité déjà recouverte de glace - augmentant ainsi la probabilité d'une défaillance structurelle de la ligne électrique et d'une panne d'électricité qui s'ensuivra, qui à leur tour pourraient en cascade et menacer le réseau électrique européen.
Panne hivernale pas sans précédent
Une telle panne ne serait pas sans précédent. En 2006, une panne d'électricité majeure en Europe a été causée par la déconnexion d'un passage à niveau dans le nord-ouest de l'Allemagne. La panne de courant s'est rapidement propagée à travers l'Europe, s'étendant de la Pologne dans le nord-est, aux pays du Benelux et à la France à l'ouest, en passant par le Portugal, l'Espagne et le Maroc dans le sud-ouest, et à travers la Grèce et les Balkans dans le sud-est.
Le mois dernier également, une panne d'électricité majeure en Europe a été évitée de justesse. La cause: le temps hivernal, qui était doux par rapport à ce qui devrait frapper bientôt.
Tempête de neige de novembre 2005
Un temps hivernal provoquant une panne d'électricité s'est également produit le 25 novembre 2005 dans le nord-ouest de l'Allemagne lorsque la région a été frappée par une tempête de neige. Les lignes de transport d'électricité, qui avaient été mal entretenues au cours des années précédentes, se sont effondrées sous le poids de la glace et ont provoqué une importante panne d'électricité. Selon la compagnie d'électricité RWE, environ 250 000 personnes dans 25 municipalités ont perdu l'électricité.
Réseau plus déstabilisé que jamais - énergies vertes instables
Un autre problème avec la tempête à venir de ce week-end - en plus des vents violents et de la glace - est le fait que le réseau électrique allemand est plus instable que jamais - grâce à l'approvisionnement extrêmement fluctuant de l'énergie éolienne et solaire. De plus, un certain nombre de centrales nucléaires et au charbon fournissant une charge de base ont été mises hors service, déstabilisant ainsi davantage le réseau électrique du pays et du continent.
Grille électrique hiver roulette russe avec la vie des gens
Les conditions météorologiques prévues signifient une énergie solaire presque nulle, et les vents forts attendus peuvent nécessiter l'arrêt des éoliennes ou provoquer des fluctuations d'injection sauvages. Une chose est sûre, le réseau sera remis en cause dans les heures et les jours à venir.
Très probablement, la grille tiendra le coup et gardera tout le monde hors du froid et de l'obscurité. Mais la mauvaise nouvelle, c'est qu'en hiver, le réseau électrique du pays est devenu un jeu de roulette énergétique et les citoyens doivent compter sur «un peu de chance» chaque fois que le temps devient orageux et glacial - en grande partie grâce à des politiques énergétiques désastreuses. par le gouvernement allemand.
Le pire moment pour une panne d'électricité est pendant une période de blizzard et de froid glacial. Les gens peuvent mourir de froid rapidement. Dans ces moments-là, ils comptent plus que jamais sur une alimentation électrique stable.
Et s'il y a une panne de courant à plus long terme ?
Pour ma femme et moi ici dans le nord-ouest de l'Allemagne, nous porterions un toast.
Avec les vents violents prévus ce week-end et les températures chutant à près de -15 ° C, nous perdrions non seulement de l’énergie, mais aussi de la chaleur. Notre fournaise au gaz naturel est contrôlée électriquement, elle cesserait donc également de fonctionner. En quelques heures, la maison deviendrait très froide et inhabitable. Nous n’avons pas de poêle à bois ni de cheminée. Nous devrons emménager avec des amis ou des parents qui ont du chauffage au bois.
Il ne serait pas possible de sortir et d'acheter un générateur pour alimenter la fournaise parce que les magasins sont fermés - à cause de Corona ! J'ai une bouteille de gaz pour le barbecue, mais elle est presque vide. Et je ne peux pas le remplir car les magasins sont fermés - à cause de Corona. Quel moment pour un verrouillage - juste au moment où les gens ont le plus besoin de se préparer.
Sans chauffage à la maison, nous pourrions simplement rester dans un hôtel, non ? Faux. Ils sont également fermés - à cause du COVID. Il en va de même pour les bars et les restaurants.
Tous les ingrédients pour une catastrophe parfaite
Partout au pays, de nombreuses personnes font face au même scénario. La plupart s'en sortiraient d'une manière ou d'une autre, je suis sûr. Mais si une panne de courant se produit, beaucoup risquent de mourir de froid en grande partie à cause de l'instabilité auto-infligée du réseau d'énergies vertes et des verrouillages Corona qui les empêchent de se préparer correctement.
On peut presque voir le parfait désastre se préparer.
Malheureusement, c'est ce que le gouvernement a laissé à ses citoyens: espérer le meilleur ! Un jeu de roulette russe énergétique. La balle d'hiver est dans la chambre. Nous ne pouvons qu'espérer le manquer.
Vendredi 12 Fèvrier
RépondreSupprimer-17°C Allemagne,
-22°C en Suisse
Dimanche 14 Fèvrier
-17°C frontière France/Italie
ventusky.com
Même les modèles "scientifiques '' prévoient maintenant la fin du fléau COVID d'ici l'été
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 08 FÉVRIER 2021 - 4:15
La pandémie de covid était au centre des actualités économiques aujourd'hui, lorsque son impact s'est fait sentir tout au long du rapport sur la masse salariale de janvier (si ce n'est dans la même mesure que la masse salariale de décembre), dont la lecture décevante de + 49k pourrait facilement s'expliquer par des pertes d'emplois continues dans les loisirs. & Secteur de l'hôtellerie en raison des épidémies de COVID-19 et des mesures de verrouillage et restrictions associées.
- voir graphique sur site -
Cependant, comme l'écrit Hans Mikkelsen de BofA, «étant donné que la situation du COVID-19 aux États-Unis s'améliore rapidement - par exemple, le nombre de personnes hospitalisées a diminué d'un tiers au cours du mois dernier - et les restrictions sont levées dans de nombreux grands États comme la Californie. Il est facile de s'attendre à une masse salariale beaucoup plus forte à l'avenir. "
En effet, les dernières données Covid montrent qu'en l'absence de chocs majeurs - comme une souche mutante totalement immunisée contre les vaccins existants - la pandémie devrait appartenir au passé relativement bientôt.
Voici les derniers faits: le nombre de personnes hospitalisées avec le COVID-19 aux États-Unis a considérablement diminué à 88668, soit 43806 - un tiers - hors du pic qui s'est produit le 5 janvier (Figure 4) - un tournant rapide dans la crise (Figure 5). La diminution est généralisée (48 États + DC, sauf pour AK, MT et VT qui ont connu des augmentations minimales de 1, 1 et 7 personnes au cours de la semaine dernière, respectivement).
- voir graphique sur site -
La variation hebdomadaire en pourcentage du COVID-19 aux États-Unis hospitalisé est cohérente avec les baisses les plus importantes observées pendant la crise du coronavirus (figure 6). De plus, le taux de positivité du test de 7 jours est tombé à 7,6 % par rapport au pic de 13,6 % du 8 janvier (figure 7).
- voir graphique sur site -
Étant donné que les hospitalisations sont décalées par rapport au moment de l'infection, les épidémies de Corona aux États-Unis ont atteint un sommet dans la seconde moitié de décembre. Enfin, le déploiement du vaccin se poursuit aux États-Unis à un rythme rapide d'environ 1 million de doses par jour et des doses cumulées de 35,2 millions administrées jusqu'au 2 février (Figure 8, Figure 9).
- voir graphique sur site -
Enfin, et dans l'indication la plus claire que nous sommes presque sortis du bois, même les «modèles scientifiques» s'attendent à ce que Covid soit un non-événement d'ici juin. BofA note que "une nouvelle mise à jour du modèle COVID-19 de l'Université de Washington IHME montre qu'ils avaient sous-estimé le rythme rapide actuel de l'amélioration de la situation des coronavirus aux États-Unis", mais prévoient maintenant une autre vague d'augmentation quotidienne de nouvelles infections à partir du second semestre. de ce mois (Figure 2) - probablement en raison des nouvelles souches plus infectieuses du virus. Cependant, et comme nous l'avions prévu pour la première fois en décembre, "en raison des vaccinations en cours des plus vulnérables, les conséquences négatives sous forme d'hospitalisations cette fois-ci devraient être considérablement diminuées".
En fait, l'IHME s'attend à ce que le nombre de personnes hospitalisées aux États-Unis avec COVID-19 continue de baisser chaque jour jusqu'au 1er juin, qui est la fin de leur horizon de prévision (Figure 3).
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
Cette amélioration continue - et l'accélération de la croissance économique en raison du peu de nécessité de verrouillages et de restrictions - suggèrent que l'économie américaine - et la société en général également - devrait être en mesure de dépasser les limites de la durée de vie au début de l'été.
https://www.zerohedge.com/markets/even-scientist-models-now-forecast-covid-scourge-ending-summer
Etant donné que les nano-poussières (appelées corona) ne tombent sur terre que lestées (brouillards, pluies, etc) il serait tout-à-fait normal qu'elles demeurent en l'air par temps ensoleillés. Mais, comme en été 2020 il y en a eu (larguées par drones ?), rien ne dit que le plan 'Dépopulation' soit arrêté.
SupprimerCes terrasses italiennes qui nous font envie
RépondreSupprimerLes restaurants et terrasses sont à nouveau ouverts chez nos voisins italiens, alors que leurs chiffres sont moins bons que les nôtres.
par Eric Felley
8 février 2021, 10:40
L’Italie, des gens aux terrasses, un air de printemps, les musées ouverts, un semblant de vie normale reprend chez nos voisins du sud… On se met à rêver: seraient-ils déjà en train de sonner la fin de la pandémie, tandis que nous nageons en plein marasme ? La semaine dernière, les autorités italiennes ont décidé de rouvrir restaurants et terrasses en fonction d’une situation qui s’améliore dans le pays. Alors qu’en Suisse: aucune ouverture n’est prévue avant la fin du mois, guère de promesses pour mars, voire avril, mai, juin ou juillet, selon les indiscrétions qui circulent à Berne. Quel contraste !
Certes en Italie, il s’agit encore d’une ouverture timide jusqu’à 18 heures avec les distanciations qui s’imposent. Les musées peuvent rouvrir, mais seulement en semaine. Cette amorce de déconfinement a aussi été qualifiée de prématurée par l’OMS. Vu de Suisse, on pourrait le penser aussi. Vendredi dernier le taux d’incidence dans notre pays était de 252 cas pour 100 000 habitants, alors qu’en Italie il était de 281… Leurs chiffres sont moins bons et ils rouvrent quand même.
Mais qui a raison ? Les Italiens sont-ils en train de s’offrir une respiration entre deux vagues ? Font-ils le pari du déclin définitif de la pandémie ? Premiers et durement touchés en Europe, ils en ont sans doute marre de rester à la maison. Le printemps les pousse dehors sur leurs places ensoleillées pour retrouver un peu de convivialité. En Suisse aussi, le soleil va bientôt réveiller les places, les terrasses et les gens… Ce ne sera pas possible alors de continuer dans cette ambiance de confinement avec des groupuscules de cinq personnes.
https://www.lematin.ch/story/ces-terrasses-italiennes-qui-nous-font-envie-330325206859
Bientôt 100’000 signatures contre les mesures anti-Covid
RépondreSupprimerLa plateforme «Schwiiz Brandaktuell» a lancé le 16 janvier une pétition en ligne pour demander la levée des mesures de confinement. Elle exige du Conseil fédéral la réouverture des magasins et des restaurants.
par Comm/JBA
8 février 2021, 10:12
«Les gens se sentent de plus en plus isolés et enfermés», s’inquiètent les auteurs de la pétition «Stop the lockdown» lancée le 16 janvier dernier par la plateforme «Schwiiz Brandaktuell» qui réunit des jeunes de divers partis bourgeois en Suisse. L’objectif est de passer la barre symbolique des 100’000 signatures, équivalent des paraphes nécessaires à une initiative populaire, pour demander au Conseil fédéral la levée des mesures anti-Covid en Suisse. Ce lundi, la pétition en ligne a dépassé les 90’000 soutiens.
Le texte demande principalement la réouverture des restaurants, de tous les commerces et la possibilité pour les entreprises actives dans l’événementiel et les loisirs de pouvoir reprendre leurs activités. Les auteurs de la pétition sont convaincus qu’un renforcement des mesures de protection des personnes à risque, une augmentation du nombre de tests et la vaccination peuvent permettre un assouplissement rapide des mesures.
Restrictions peu efficaces ?
«Schwiiz Brandaktuell» estime que les mesures de confinement n’ont pas prouvé leur efficacité, citant une étude récente réalisée dans plusieurs pays européens. La plateforme affirme également que le prolongement des restrictions cause un «préjudice économique colossal» et que «la situation ne semble pas aussi dramatique que le Conseil fédéral le prétend».
Figure de proue de ce mouvement, le jeune libéral-radical de la ville de Zurich, Leroy Bächtold, est conscient que la démarche n’est pas contraignante pour le Conseil fédéral, mais avertit dans une vidéo postée sur la page de la pétition: «Si rien ne se passe, nous nous tournerons vers le parlement.»
Mercredi dernier, le conseiller fédéral Alain Berset a indiqué lors d’une conférence de presse qu’il n’était «pas réaliste d’envisager un assouplissement majeur» à la fin du mois de février.
https://www.lematin.ch/story/bientot-100000-signatures-contre-les-mesures-anti-covid-728930545159
Pourquoi depuis 10 000 ans (à un jour près) les virus (poussières nanométriques chargées d'irradiations et émises par le magma) sont-elles sans frontières ? Parce qu'il y a du vent qui fait le tour de la Terre ! Çà alors !)
SupprimerVivre hors réseau à l'approche de l'effondrement de la société: "Pourquoi n'y a-t-il pas plus de gens qui font cela ?"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 07 FÉV 2021 - 23:30
Rédigé par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,
Vous n’avez pas besoin d’être un rouage du système. Pour la plupart d'entre nous, la seule option qui a été présentée pendant que nous grandissions était de monter sur la roue de hamster et de courir aussi vite que possible. Vous savez ce que je veux dire - aller à l’école, trouver un emploi, payer une hypothèque, préparer sa retraite, etc. Mais il n’en est pas nécessairement ainsi. Si vous voulez vraiment vous déconnecter du système et vivre votre vie hors du réseau, vous le pouvez. Bien sûr, ce n’est pas facile, mais rien dans la vie ne vaut vraiment la peine d’être fait.
Malheureusement, la vie de la plupart des gens est définie par la matrice à laquelle la grande majorité d'entre nous sommes connectés au quotidien. Dans la plupart des cas, votre revenu et votre statut dans la société sont définis par le «travail» qui vous a été confié par la société pour laquelle vous travaillez actuellement. Nous aimons nous appeler «employés», mais nous sommes essentiellement des employés d’entreprise.
Bien sûr, la plupart des gens ont l’impression de ne pas pouvoir quitter leur emploi en entreprise car ils doivent chaque mois effectuer des paiements sur des hypothèques, des prêts automobiles et des dettes de cartes de crédit qu’ils doivent à des institutions financières d’entreprise géantes.
Et la plupart des gens ressentent également le besoin de constamment «se préparer à la retraite» en versant de l'argent dans des titres d'entreprise dans le jeu truqué que nous appelons «le marché boursier».
Mais qu'arrivera-t-il à tous lorsque nos systèmes économiques et financiers imploseront complètement ?
Au cours de ce ralentissement économique actuel, des millions et des millions d'Américains ont déjà perdu leur emploi, et il est rapporté que des millions d'Américains pourraient potentiellement être expulsés de leurs maisons en 2021.
Quand les choses tournent mal, c'est le petit gars qui se fait écraser en premier.
Mais vous n’avez pas à attendre que cela se produise.
Un nombre croissant d'Américains ont décidé que vivre hors du réseau était la voie à suivre. Par exemple, Bob Wells, 65 ans, n'aura plus jamais à effectuer de paiement hypothécaire ni à payer de loyer. Il vit sur des terres publiques dans son GMC Savana et utilise l'énergie solaire pour faire fonctionner son réfrigérateur 12 volts. Ces dernières années, il est devenu internationalement connu pour sa chaîne YouTube intitulée «Cheap RV Living», mais ce n’était pas toujours le cas.
En fait, sa décision d'adopter un mode de vie nomade a été à l'origine motivée par un profond mécontentement à l'égard du travail en entreprise qu'il occupait ...
Avant de devenir nomade en 1995, Bob a vécu à Anchorage, en Alaska, avec sa femme et ses deux garçons. Il a travaillé comme commis syndical au même Safeway où son père avait travaillé jusqu'à la retraite, pour mourir deux ans plus tard.
Bob ne voulait pas du sort de son père, mais il était là. Au fur et à mesure que les jours devenaient des décennies, il est allé à un travail qu'il détestait, a travaillé avec des gens qu'il n'aimait pas, pour acheter des choses dont il ne voulait pas. De son propre aveu, il était l’incarnation vivante du «désespoir tranquille» de Thoreau. Il savait qu’il n’était pas heureux, mais il ne lui est jamais venu à l’esprit de vivre différemment.
Quand il s'est soudainement retrouvé divorcé, Bob a fait un choix dramatique qui a changé sa vie pour toujours ...
RépondreSupprimerPuis, à l'âge de 40 ans, le divorce a eu lieu. Après avoir payé une pension alimentaire et une pension alimentaire pour enfants, il rapportait à la maison 1 200 $ par mois, dont 800 $ servaient au loyer.
Un jour, inquiet pour des finances impossibles, il a vu une fourgonnette verte à vendre et s'est dit: «Pourquoi est-ce que je n'achète pas cette fourgonnette pour y emménager ? L'idée lui a semblé folle, mais avec la perspective de l'itinérance qui se rapprochait, il a vidé les derniers 1 500 $ de son compte d'épargne et a acheté la camionnette qui était tout simplement «trop miteuse» pour son ancien propriétaire. Il a avisé son propriétaire cette nuit-là, a jeté un matelas à l'arrière de sa nouvelle maison et s'est endormi en pleurant.
Aujourd'hui, il compte des centaines de milliers de followers en ligne, et il est même présenté dans un nouveau film intitulé «Nomadland».
Mais malgré tout ce succès, il continuera à vivre dans son GMC Savana.
Pour d'autres, vivre dans une camionnette n'est pas une option acceptable, mais ils ont quand même choisi de vivre hors du réseau.
Au Royaume-Uni, un couple britannique nommé Matthew et Charis Watkinson a pleinement adopté une philosophie connue sous le nom de «collapsologie»…
PAS de factures, pas d'hypothèque, un approvisionnement sans fin de nourriture locale et même un bain à remous pour se détendre - bienvenue dans le monde des deux Britanniques préparés pour la fin.
Les vétérans d’Essex Matthew et Charis Watkinson ont abandonné la course effrénée pour la bonne vie dans la campagne galloise après avoir lu sur la «collapsologie», un mouvement basé sur la théorie selon laquelle la société telle que nous la connaissons pourrait s'effondrer.
Ne serait-il pas formidable de ne pas avoir de factures tous les mois ?
Matthew et Charis ont abandonné leurs emplois de 30 000 £ par an, et maintenant ils produisent leur propre nourriture sur trois acres de terre dans le Pembrokeshire ...
Matthew et Charis, 35 ans, ont acheté trois acres de terrain dans le Pembrokeshire pour 35000 £ et ont dépensé 25000 £ supplémentaires pour construire une maison, des poulaillers, des serres, une cuisinière à gaz alimentée par des crottes de cheval et même un bain à remous.
Ils sont entièrement autonomes, installent des panneaux solaires, cultivent leurs propres fruits et légumes, construisent des ruches, élèvent jusqu'à 140 poulets et convertissent des camions et des remorques à foin à plat en quartiers d'habitation zéro carbone.
Si l'effondrement de notre société s'accélère considérablement, ils sont prêts.
Pendant ce temps, ils n’ont pas à se lever à l’aube tous les matins et à se traîner vers des emplois d’entreprise qu’ils détestent absolument.
Alors que je préparais cet article, je me suis souvenu d'un article sur Reddit que j'avais vu plus tôt dans la journée…
Je ne comprends pas comment les gens préfèrent avoir un emploi plutôt que d'être morts. Je ne comprends vraiment pas le motif. J'ai choisi un domaine que j'aime, je me suis instruit, j'ai eu plusieurs emplois qui sont très différents les uns des autres et chacun me donne le même sentiment écrasant de «je préférerais littéralement mourir plutôt que de faire ça». C’est tous les emplois que j’ai jamais eu, même avant d’obtenir mon diplôme universitaire. Je ne me sens tout simplement pas récompensé lorsque je fais des efforts pour accomplir une tâche, je ne suis jamais satisfait d’un travail bien fait. Je ne comprends pas comment les gens font ça toute leur vie
Avez-vous déjà ressenti cela ?
RépondreSupprimerJe pense que la plupart d'entre nous l'ont fait.
Matthew et Charis ont peut-être des vies simples, mais ils sont absolument ravis d'être libérés du système ...
«Nous avons construit une ferme pour beaucoup moins de 100 000 £ (114 095 €) et c’est la nôtre.
«Nous ne devons d’argent à personne et nous n’avons aucune facture. Pourquoi n’y a-t-il pas plus de gens qui font ça ?»
Je pense que c'est une question parfaite.
Pourquoi n'y a-t-il pas plus de gens qui font cela ?
Si vous détestez ce que votre vie est devenue, il est peut-être temps pour un grand changement.
D'innombrables autres personnes se sont libérées du système et vous pouvez le faire aussi.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/living-grid-collapse-society-approaches-why-arent-more-people-doing
Les masques artisanaux désormais interdits à l'école, ceux de catégorie 1 deviennent obligatoires
RépondreSupprimer8 févr. 2021, 10:44
REUTERS/Eric Gaillard
Les élèves, dès l'âge de 6 ans, devront porter un masque de catégorie 1 en classe dès ce 8 février. Les masques faits maison en tissu, considérés comme moins filtrants, deviennent interdits.
A compter de ce 8 février, les élèves à partir de 6 ans devront porter à l'école des masques dits de «catégorie 1» en classe. Les masques en tissu et faits maison (de catégorie 2) ne sont donc plus autorisés. L'annonce avait été faite il y a plusieurs jours par le ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer, qui avait affiché sa volonté de maintenir les écoles ouvertes tout en y limitant la circulation du Covid.
Les masques de catégorie 1 filtrant davantage de particules que les masques artisanaux, le Haut conseil de la santé publique avait recommandé mi-janvier d'éviter d'utiliser ces derniers. Des sanctions restant à définir Le Parisien rapporte qu'aucune consigne officielle n'a été donnée aux établissements en cas de non respect de la mesure et que ceux-ci devront donc «définir leur propre ligne de conduite».
Cité par le quotidien de la capitale, le SNPDEN-UNSA (Syndicat national des personnels de direction de l'Education nationale) explique pour sa part qu'une certaine tolérance sera de mise lors des premiers jours.
https://francais.rt.com/france/83626-masques-artisanaux-interdits-ecole-ceux-categorie-1-obligatoires
A rappeler qu'AUCUN masque n'est 'antivirus' !
SupprimerBecause que 'les plus fins' (FFP2 bec de canard ou N95) ont un maillage de 3 µ alors que les virus (corona) ne mesurent que 0,1 à 0,5 µ !!
Cuba s’ouvre au privé pour relancer son économie
RépondreSupprimerDepuis la révolution socialiste menée par Fidel Castro en 1959, l’État avait la mainmise sur l’ensemble de l’économie cubaine.
6 février 2021, 23:20
L’économie cubaine a chuté de 11 % en 2020 sous l’effet de la pandémie de coronavirus, qui a privé Cuba des précieuses devises des touristes.
Cuba a annoncé samedi que l’activité privée serait désormais autorisée dans la plupart des secteurs, une réforme majeure dans ce pays où l’État et ses entreprises dominent l’économie, durement touchée par la pandémie. La mesure, dévoilée en août dernier par la ministre du Travail, Marta Elena Feito, a été approuvée vendredi en Conseil des ministres, selon le quotidien officiel «Granma», du Parti communiste au pouvoir.
«C’est un pas énorme et historique», a commenté sur Facebook Oniel Diaz, entrepreneur et patron du cabinet de consultants Auge, qui conseille une cinquantaine d’entrepreneurs privés cubains. La révolution socialiste menée par Fidel Castro en 1959 avait entraîné une vague de nationalisations et la mainmise de l’État sur l’ensemble de l’économie cubaine.
L’ouverture au secteur privé a commencé timidement dans les années 1990 avant d’être pleinement autorisée en 2010, même si son véritable essor date du réchauffement historique entre Cuba et les États-Unis initié fin 2014 sous Barack Obama. Mais il restait cantonné à une liste d’activités fixée par l’État. «La liste antérieure des 127 activités (autorisées) est éliminée», a indiqué la ministre du Travail. À l’inverse, désormais une liste fixera les secteurs réservés à l’État, qui ne seront qu’une minorité: «Sur les plus de 2’000 activités dans lesquelles est permis l’exercice de travail privé (…), ne seront limitées, de façon partielle ou totale, que 124», a-t-elle expliqué, sans plus de détails.
«Augmenter l’emploi»
Des secteurs stratégiques comme la presse, la santé et la défense devraient rester interdits à l’activité privée. «Que le travail privé continue à se développer, c’est l’objectif de cette réforme de perfectionnement» du secteur, a assuré la ministre.
La réforme est «une étape importante pour augmenter l’emploi», a souligné sur Twitter le ministre de l’Économie Alejandro Gil. Elle va «dans le même sens que l’unification monétaire» entrée en vigueur début janvier. Ces deux réformes visent à relancer l’économie: elle a chuté de 11 % en 2020 sous l’effet de la pandémie de coronavirus, qui a privé Cuba des précieuses devises des touristes.
La libéralisation du secteur privé est «une étape très positive, même si elle arrive tard», car «jusqu’à présent le travail privé fonctionnait de manière très limitée» sur l’île, commente à l’AFP l’économiste Ricardo Torres, de l’université de La Havane. «Il était nécessaire d’accompagner l’unification monétaire avec des mesures pour flexibiliser la création d’emplois» et c’est justement dans le secteur privé qu’«il peut y avoir une source importante d’emplois», ajoute-t-il.
Plus de 600’000 Cubains travaillent dans le privé, soit 14,5 % de la population active, dans cette île de 11,2 millions d’habitants. Ils sont employés essentiellement dans la gastronomie, les transports (taxis) et la location de chambres aux touristes.
Et les PME ?
RépondreSupprimerSelon la ministre du Travail, le secteur privé «a été durement touché par le renforcement de l’embargo» américain sous l’administration de Donald Trump et «aussi par les effets de la pandémie», qui a poussé nombre d’entre eux à suspendre leur licence (jusqu’à 40% du total selon les chiffres officiels). Oniel Diaz salue justement la ténacité des entrepreneurs privés qui, depuis des années, «ont été capables de monter des activités contre vents et marées» et malgré «la pénurie de matières premières, les régulations déficientes et les sanctions économiques».
Le «nouveau scénario avec une multiplication exponentielle des possibilités ouvre un chemin sur lequel il n’y aura pas de retour en arrière possible, afin que nous jouions un rôle de plus en plus important dans l’économie nationale». Pour faciliter les choses, le gouvernement a également annoncé la création d’un guichet unique pour solliciter sa licence dans le privé. «Il est important que cela se passe bien», a souligné le Premier ministre Manuel Marrero.
Mais il reste une revendication en suspens: la possibilité de créer des petites et moyennes entreprises. Sur Twitter, l’économiste Pedro Monreal se demande si cette réforme «sera le premier» pas avant l’approbation des PME, que le gouvernement étudie depuis 2016. «La réforme doit donner la priorité aux PME privées car celles-ci offrent un meilleur potentiel de productivité pour les travailleurs», estime-t-il.
https://www.lematin.ch/story/cuba-souvre-au-prive-pour-relancer-son-economie-281788133414
S'ouvrir au secteur privé n'augure en rien d'une ébauche de Démocratie (où comme en Suisse c'est le Peuple suisse qui dirige et non le ou la chef(fe) d'Etat.
SupprimerCUBA: Superficie totale: 110 860 km² (11,2 millions d’habitants)
SUISSE: Superficie totale: 41 285 km² (8 603 9003 hab.)
Delingpole: Une étude conteste que la Terre est en «urgence climatique»
RépondreSupprimerJAMES DELINGPOLE
7 févr.2021
Il n'y a pas d '«urgence climatique», selon une étude de la Global Warming Policy Foundation réalisée par le scientifique indépendant Dr Indur Goklany.
Goklany conclut:
Alors que le climat peut avoir changé pour le plus chaud:
• La plupart des phénomènes météorologiques extrêmes ne sont pas devenus plus extrêmes, plus meurtriers ou plus destructeurs
• Les preuves empiriques contredisent directement les affirmations selon lesquelles l'augmentation du gaz carbonique a réduit le bien-être humain. En fait, le bien-être humain n'a jamais été aussi élevé
• Quels que soient les effets néfastes du réchauffement et de l'augmentation du gaz carbonique sur les espèces et les écosystèmes terrestres, ils ont été submergés par la contribution des combustibles fossiles à l'augmentation de la productivité biologique. Cela a stoppé et inversé les réductions de la perte d'habitat
Le rapport sera une lecture extrêmement déprimante pour tous les militants écologistes de premier plan - du pape et du gobelin funeste Greta Thunberg à Klaus Schwab du Great Reset - qui ont poussé le récit de «l'urgence climatique». C'est un article de foi pour l'élite mondialiste et ses idiots utiles dans les médias, en politique, dans les affaires et le divertissement que le monde est sur la bonne voie pour une catastrophe climatique que seule une action internationale radicale et coûteuse peut empêcher.
Mais le rapport de Goklany - Impacts of Climate Change: Perception & Reality - affirme qu'il y a peu ou pas de preuves pour soutenir le récit de la peur.
À la fin, Goklany fournit un tableau, présentant toutes les affirmations alarmistes faites par les groupes environnementaux - puis les comparant à la réalité observée. Une seule des affirmations tient, selon l'étude - le temps se réchauffe légèrement:
Plus de jours chauds et moins de jours froids - Oui
Cyclones / ouragans plus intenses ou fréquents - Non
Les tornades augmentent et deviennent plus intenses - Non
Inondations plus fréquentes et plus intenses - Non
Sécheresses plus fréquentes et plus intenses - Non
Augmentation de la superficie brûlée par les incendies de forêt - Non (la superficie a culminé au milieu du XIXe siècle)
Baisse des rendements céréaliers - Non (ils ont triplé depuis 1961)
Baisse des disponibilités alimentaires par habitant - Non (augmentation de 31 % depuis 1961)
La superficie terrestre et les plages diminuent, les îles coralliennes submergées - Non (expansion marginale)
Selon l'étude, aucune des allégations de désastre concernant un déclin du bien-être humain ne tient non plus.
RépondreSupprimerL'accès à une eau plus propre a augmenté; la mortalité due aux «événements météorologiques extrêmes» a diminué de 99% depuis les années 1920; moins de gens meurent de chaleur; les taux de mortalité dus à des maladies sensibles au climat comme le paludisme et la diarrhée ont diminué (depuis 1900, les taux de mortalité dus au paludisme ont diminué de 96 %); les taux de faim ont diminué; la pauvreté a diminué (le PIB par habitant a quadruplé depuis 1950 alors même que les niveaux de gaz carbonique sextuplaient); l'espérance de vie a plus que doublé depuis le début de l'industrialisation; l'espérance de vie ajustée en fonction de la santé a augmenté; les inégalités mondiales ont diminué en termes de revenus, d'espérance de vie et d'accès aux équipements modernes; la terre est verte et plus productive; l'habitat perdu par l'agriculture a atteint un sommet en raison des technologies dépendant des combustibles fossiles.
Il sera difficile pour les militants verts de rejeter Goklany comme un «déni». Ses références en tant qu'expert climatique sont impeccables. Il était membre de la délégation américaine qui a créé le GIEC et a contribué à l'élaboration de son premier rapport d'évaluation. Il a ensuite été délégué américain auprès du GIEC et examinateur du GIEC.
Goklany dit:
Presque partout où vous regardez, le changement climatique n'a que des impacts mineurs et souvent bénins. L'impact des événements météorologiques extrêmes - ouragans, tornades, inondations et sécheresses - est en train de diminuer. Les dommages économiques ont diminué en tant que fraction du PIB mondial. Les taux de mortalité dus à de tels événements ont diminué de 99 % depuis les années 1920. Les maladies liées au climat se sont effondrées. Et plus de gens meurent de températures froides que chaudes.
Même l'élévation du niveau de la mer - qui devrait être l'impact le plus dommageable du réchauffement climatique - semble être beaucoup moins problématique qu'on ne le pense, selon les résultats de l'étude.
Goklany dit:
Une étude récente a montré que la Terre a en fait gagné plus de terres dans les zones côtières au cours des 30 dernières années qu'elle n'en a perdue en raison de l'élévation du niveau de la mer. Nous savons maintenant avec certitude que les atolls coralliens ne disparaissent pas et même le Bangladesh gagne plus de terres par envasement qu’il n’en perd par la montée des mers.
Dans son rapport, Goklany détruit de nombreux shibboleths du mouvement vert, y compris l’idée que les combustibles fossiles sont mauvais pour la planète. Non seulement, suggère-t-il, leur gaz carbonique a contribué au «verdissement mondial» - «contrairement à la sagesse dominante, le couvert arboré dans le monde a augmenté de plus de 2 millions de km² entre 1982 et 2016, soit une augmentation de 7%» - mais ils fournissent les engrais et les pesticides qui à la fois nourrissent la planète et réduisent la superficie des terres nécessaires à l'agriculture:
RépondreSupprimerAinsi, les engrais azotés et la fertilisation au gaz carbonique ont, ensemble, augmenté la production alimentaire mondiale de 111 %. En d'autres termes, les combustibles fossiles sont responsables de plus de la moitié de la production alimentaire mondiale. Sans eux, la nourriture serait plus rare et les prix plus élevés (en supposant que tout le reste, y compris la demande alimentaire, reste constant). Pour maintenir l’approvisionnement alimentaire, les terres cultivées devraient plus que doubler, pour atteindre au moins 26 % de la superficie terrestre mondiale (ex-Antarctique). En ajoutant les pâturages, l'empreinte humaine sur la planète augmenterait à 51,2 % de la planète. En d'autres termes, les combustibles fossiles ont empêché 13,8 % des régions non gelées du monde d'être converties à l'agriculture.
Au début, il cite un certain nombre de destructeurs du climat, dont le Pape. Selon le Pape:
Les effets de l'inaction mondiale sont saisissants… Partout dans le monde, nous assistons à des vagues de chaleur, des sécheresses, des incendies de forêt, des inondations et d'autres événements météorologiques extrêmes, une élévation du niveau de la mer, des urgences de maladies et d'autres problèmes qui ne sont que des prémonitions de choses bien pires, à moins que nous agissons et agissons de toute urgence.
Il est peut-être temps que le Pape examine des preuves concrètes…
https://www.breitbart.com/europe/2021/02/07/delingpole-study-disputes-earth-climate-emergency/
Les combustibles fossiles ne vont nulle part
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 07 FÉV 2021 - 19:30
Rédigé par Irina Slav via OilPrice.com,
«Il n’y a pas de scénario où les hydrocarbures disparaissent», a déclaré le directeur général de Baker Hughes, Lorenzo Simonelli, lors de son discours liminaire lors de la réunion annuelle de la société cette année. Comme d'autres dirigeants de l'industrie, Simonelli a reconnu et salué la transition énergétique, mais il a noté qu'un scénario d'énergie 100 % renouvelable n'était tout simplement pas possible.
Il existe de nombreuses preuves que c'est effectivement le cas, malgré les espoirs et les ambitions de nombreux défenseurs de l'environnement.
Ces espoirs et ambitions imaginent un monde où l'activité humaine est alimentée uniquement par l'électricité, et cette électricité à son tour est produite uniquement à l'aide de sources d'énergie renouvelables telles que le solaire, le vent et l'hydroélectricité.
Un tel monde, cependant, est irréaliste.
Prenons par exemple l'Allemagne. Le pays, qui fait partie des membres de l'UE ayant la plus grande capacité d'énergie renouvelable, n'a pas produit un seul watt d'énergie solaire depuis le début de cette année. La raison: c'est l'hiver. Il produit de solides quantités d’énergie éolienne, c’est sûr, mais il produit également de l’énergie à partir du combustible fossile le plus méprisé de tous: le charbon.
Au moment de la rédaction de cet article, son intensité en carbone était de 264 grammes d'équivalent gaz carbonique par kWh. C'était comparable à l'intensité en carbone d'une autre fille d'affiche des énergies renouvelables en Europe, le Danemark, qui tire actuellement l'essentiel de son énergie de l'énergie éolienne.
Il semble donc que le renforcement de la capacité renouvelable ne soit pas en soi une solution miracle au problème des émissions. En fait, si vous le construisez trop rapidement sans ajouter de capacité de stockage substantielle, il pourrait se retourner contre vous. Cela a été récemment mis en évidence par un échec limité d'une panne de courant majeure en Europe provoquée par un problème mineur dans une sous-station croate qui a traversé le continent, soulignant l'importance de maintenir le réseau à une fréquence constante - ce que les énergies renouvelables ne peuvent pas faire en raison de leur intermittence. génération.
Même le Danemark dispose de centrales thermiques pour sécuriser la charge de base dont le réseau a besoin pour fonctionner correctement et éliminer ou au moins réduire le risque de pannes.
RépondreSupprimerMais revenons à la prédiction de Simonelli sur l’avenir garanti du pétrole et du gaz. Cet avenir ne ressemblera pas au passé. Le monde est fermement sur la bonne voie pour changer la façon dont il génère et utilise l'énergie. Simonelli et l’autre conférencier principal à l’AM2021 de Baker Hughes, Daniel Yergin d’IHS Markit, l’ont reconnu. C'est simplement que ce changement ne se limitera pas à une augmentation de la capacité de production solaire et éolienne.
L’efficacité énergétique, pour sa part, constituera un élément important de la transition.
L'efficacité a été récemment écartée des projecteurs, remplacée par des éléments comme l'hydrogène vert et le récit de réduction constante des émissions, mais elle n'a pas disparu. Selon Simonelli de Baker Huges, l’efficacité à elle seule pourrait contribuer à atteindre jusqu'à 27 % des objectifs de l’Accord de Paris en matière de changement climatique. À l'échelle mondiale, il s'agit d'une réduction massive des émissions, à raison d'un demi-gigatonne par an.
En plus de l'efficacité, il y a tous les engagements pris par Big Oil sous la pression des investisseurs, des régulateurs et des militants. Chaque supermajor dispose désormais d'un plan de transition vers les énergies renouvelables, certains plus ambitieux que d'autres. Tous les plans, cependant, impliquent de verser des milliards de dollars dans ce qui est essentiellement un éloignement de l’activité principale de ces entreprises, qui consiste à extraire du pétrole et du gaz du sol, à un coût d’émission de carbone et de méthane, bien sûr.
Cette transition vers les énergies renouvelables pourrait soulever des doutes quant à savoir si le pétrole et le gaz resteront vraiment indispensables. Cependant, les faits suggèrent qu'ils le feront probablement. Il y a encore des millions de personnes dans le monde sans accès à l'électricité, et le recours aux énergies renouvelables directement à la sortie de la porte pour beaucoup de ces personnes n'est tout simplement pas une option, pour un certain nombre de raisons, y compris le coût - oui, même si en baisse comme le WTI en avril 2020 - et des problèmes logistiques. Passer au vert semble moins cher que s'en tenir aux combustibles fossiles. Mais ce n’est pas le cas.
Comme l’a souligné Yergin d’IHS Markit dans son discours, les économies émergentes continueront de dépendre fortement des combustibles fossiles, malgré les efforts d’autres régions pour réduire leur propre dépendance à leur égard. Même si les panneaux solaires deviennent libres à un moment donné, ce ne sont pas seulement les panneaux qui entrent dans la fabrication d'une ferme solaire: il faut également des composants tels que des onduleurs et une liaison au réseau, ainsi que du stockage, pour de meilleurs résultats. Cela seul suffit à garantir l’avenir à long terme du pétrole et en particulier du gaz en tant qu’élément indispensable du bouquet énergétique mondial.
RépondreSupprimerDonc, si le pétrole et le gaz ne vont nulle part, pouvons-nous au moins les rendre un peu plus propres ? Nous pouvons certainement, selon Simonelli et Yergin, ainsi que de nombreux autres experts de l'industrie. Le captage du carbone est le deuxième élément du long jeu du pétrole et du gaz, outre l’efficacité. Certes, la technologie de capture du carbone est encore assez coûteuse mais, comme dans le cas de l'énergie solaire et éolienne, les coûts sont en voie de baisse. Après beaucoup de discussions et peu d'actions, la capture du carbone est en passe de devenir une caractéristique de la transition énergétique. Pourquoi? Parce que «les chiffres ne fonctionnent pas sans cela», comme le disait Daniel Yergen.
https://www.zerohedge.com/energy/fossil-fuels-arent-going-anywhere
Électricité : des travaux d’Hercule surréalistes
RépondreSupprimerOù est donc le « marché libre » censé faire baisser le prix de l’électricité au consommateur ?
Par Michel Negynas.
8 FÉVRIER 2021
L’électricité n’est pas un produit comme les autres : il se gère en temps réel, ne se stocke pas, comporte des aspects de souveraineté régionale et de sécurité. Compte tenu des niveaux financiers requis, il doit se planifier à long terme pour éviter soit un surinvestissement, soit des ruptures d’approvisionnement.
LE CONTEXTE INITIAL
On peut distinguer trois activités dans le secteur électrique : elles ont chacune des caractéristiques qui leur sont propres :
La production peut être sans problèmes majeurs libéralisée et soumise à la concurrence… à condition quelle le soit vraiment. On verra qu’il n’en est rien.
Le transport et la distribution, ainsi que la gestion et la conduite des réseaux, pour des raisons évidentes d’optimisation, gagnen à être centralisées. Les myriades de câbles dans les rues arrière des blocs d’immeubles aux USA et au Japon en sont l’illustration. Toutefois, cela ne veut pas dire que l’opérateur soit obligatoirement public .
La commercialisation peut parfaitement être un terrain de saine concurrence sans conditions particulières autres qu’une règle anti trust. Mais cela ne représente que quelques pour cent des coûts.
En outre, qu’on le veuille ou non, l’importance de la sécurité d’approvisionnement fait intervenir des notions d’indépendance vis-à-vis d’entités qui pourraient tirer profit, sur un plan géopolitique, de leurs fournitures énergétiques. C’est le cas pour la France, et pour une partie de l’Europe, de l’approvisionnement en gaz et en pétrole.
Rappelons aussi que la continuité du service exige des moyens pilotables à hauteur des besoins à la pointe de consommation.
Mise à part cette contrainte, où la politique intervient, une libéralisation doit tirer les prix au consommateur à la baisse, et favoriser l’investissement et l’innovation. C’est pourquoi l’Union européenne, avec l’approbation des États, a lancé en 1996 une série de règles visant à libéraliser le marché de l’électricité.
LA SITUATION RÉELLE DU MARCHÉ DE L’ÉLECTRICITÉ
RépondreSupprimerEn fait, pour des raisons à la fois inhérentes à la nature de l’électricité et à l’histoire des équipements en place, il y a des problèmes dans l’application, et même de gros problèmes.
On l’a vu, le transport et la gestion du réseau est un monopole « naturel », le saucissonner ne conduit pas à l’optimum.
La commercialisation ne peut jouer que très faiblement sur les prix.
La production pilotable (qui est absolument indispensable) et à des coûts optimisés nécessite des investissements lourds, que seuls de très gros investisseurs peuvent engager (centrales thermiques de grande puissance, barrages). Les vrais acteurs en Europe ne sont pas très nombreux : EDF, ENGIE, E. On, Wattenfal, RWE… La concurrence sur les coûts bruts (pas ceux qui sont artificiellement modifiés par les lois) se fait plus entre filières qu’entre producteurs.
Enfin, la notion de « terrain de jeux » n’est pas simple à définir, car il y a une limite physique aux territoires historiques : les interconnexions. Et l’on a institué des règles concurrentielles abstraites avant de penser aux détails du monde réel, comme souvent.
OÙ CELA DEVIENT SCHIZOPHRÉNIQUE
Au moment même où l’Europe mettait en place cette libéralisation, deux contraintes supplémentaires montaient en puissance :
La lutte pour « sauver le climat », qui nécessitait de pénaliser réglementairement les émissions de gaz carbonique et de favoriser des énergies dites renouvelables.
Le nuke bashing rendant très difficile l’investissement en équipements et en recherche pour la production nucléaire.
Cette prétendue libéralisation s’est donc accompagnée d’une foule de règlements anti concurrentiels :
Marché de quotas de gaz carbonique pour pénaliser la production fossile.
Avantages incompréhensibles pour les énergies intermittentes, pourtant incapables d’assurer un vrai service : obligation d’achat pour les réseaux, prix de vente au réseau imposé ou subventionné, coûts induits pris en compte par la collectivité.
Arrêt prévu du charbon et du nucléaire en Allemagne sans considération des coûts
Programme étatique de passer de 75 % à 50 % de nucléaire en France, sans justification réelle autre qu’électorale.
Le résultat ne s’est pas fait attendre : plus personne n’investit dans des équipements de production pilotables. Les grands producteurs privés allemands ont tous scindé leurs sociétés en deux parties : une pour les renouvelables, afin de récolter les subsides, et une pour les pilotables, en perte et promises au fiasco, anticipant peut-être des filiales de défaisance, afin de se retourner un jour vers les États.
Même les pétroliers se mettent aux renouvelables : car il ne fait aucun doute que tout ça augmentera la part du gaz, et parce qu’ils ne voient pas pourquoi ils ne profiteraient pas eux aussi du fromage.
Les États ont quand même pris peur en voyant cela… en créant un troisième marché réglementé, un marché de capacités ; les propriétaires de pilotables peuvent ainsi vendre des « capacités » aux renouvelables intermittentes, sommées réglementairement d’en acheter.
Ou est donc le « marché libre » censé faire baisser le prix de l’électricité au consommateur ? Il a doublé en Allemagne, il doublera en France pour les mêmes raisons. La structure des vrais opérateurs de production n’a guère changé, elle a juste fait apparaître une myriade de producteurs opportunistes d’ENR guère en mesure d’orienter le marché, sauf à y semer le chaos : voir la volatilité des prix de gros…
RépondreSupprimerCoté commercialisation, c’est la même chose : on a vu apparaître des vendeurs aux méthodes douteuses, guère capables d’offrir de vraies alternatives, puisqu’ils n’investissent pas et préfèrent acheter aux historiques.
ÉLECTRICITÉ : LE CAS D’EDF
EDF a deux problèmes : c’est un monopole historique, et il a des coûts « trop bas ».
La vraie libéralisation aurait été de privatiser EDF et de le vendre par appartements. Pour de nombreuses raisons faciles à comprendre (souveraineté, technologies duales, contrôle de la sécurité) l’État français n’a évidemment pas souhaité le faire.
Et qui aurait donc acheté des centrales nucléaires à EDF, dans le climat anti-nuke ? Peut-être des investisseurs chinois, ils n’attendent que ça, mais pas pour faire vraiment du business.
D’ailleurs, le seul autre opérateur nucléaire français, ENGIE, essaye sans succès depuis plusieurs années de se débarrasser de ses centrales belges.
Et c’est là que la schizophrénie des règles est à son comble : pour qualifier EDF de monopole à démanteler, la Commission européenne choisit le territoire français ; mais pour toute autre considération (conditions de marché, prix…) c’est l’ensemble France plus Allemagne plus Benelux qui est considéré. Or sur ce périmètre, EDF a 30 % du marché, alors que la définition d’un monopole est de 40 %.
La France a protesté. Un compromis qui devait être temporaire a été trouvé : on définirait un prix coûtant d’EDF, qui devra vendre à ce prix le quart de sa production nucléaire à ses concurrents. Cela devait permettre de construire un réseau de concurrents qui investiraient grâce à leur marge, artificiellement créée, dans de nouvelles unités de production. Le tarif en question s’appelle ARENH (Accès régulé à l’énergie nucléaire historique.)
On peut déjà noter que compte tenu des remarques ci-dessus, la concurrence des vendeurs aurait du être illusoire, car elle ne joue en théorie que sur les coûts de commercialisation, négligeables devant le reste.
Mais les « concurrents » n’ont pas joué le jeu, comme on pouvait s’y attendre. Pourquoi prendraient-ils des risques en investissant, alors qu’ils se faisaient des marges assurées avec EDF ? Pire, selon les conditions des marchés spot, volatils à cause des fluctuations du gaz et des ENR, ils pouvaient jongler entre achats spots et le quota d’ARENH qu’ils avaient réservé annuellement.
Le comble est né de la crise du Covid : avec la baisse de la demande, ils avaient trop d’ARENH, à des prix supérieurs aux prix spots. Ils ont demandé l’annulation de leurs contrats annuels, pour « cas de force majeure »… C’est encore en jugement. S’ils gagnent, ils auront inventé le commerce qui gagne à tous les coups !
Et leur seule innovation, c’est « l’électricité verte », alors que 80 % de leur fourniture vient d’EDF.
RépondreSupprimerÉvidemment, le développement artificiel des ENR n’arrange rien puisqu’il dirige les capitaux vers un secteur grassement rémunéré aux frais des consommateurs et des contribuables, avec des rentabilités à court terme, des engagements sur seulement 20 ans, et des coûts unitaires d’investissement faibles.
Tout est donc réuni pour faire mourir EDF, sans qu’on sache comment le remplacer. Il est vrai qu’EDF y a mis aussi du sien : frais internes exorbitants, investissements repris d’AREVA avec des ardoises énormes…
Mais sur un marché vraiment libéralisé, EDF pourrait profiter du fait que son programme nucléaire est amorti. (il a été financé uniquement sur emprunt, sans aide de l’État, contrairement à un mythe assez répandu). Il pourrait alors assainir son bilan pour réinvestir dans le Grand Carénage et le prolongement des installations à 60 ans, voire à un nouveau programme.
LA SUITE, HERCULE ARRIVE
Le temporaire de l’ARENH prend fin en 2025. La Commission européenne revient donc à la charge : il faut briser le monopole d’EDF. Plus vraiment pour établir une concurrence qui baisserait le prix au consommateur : cet argument serait risible, vu les résultats de la précédente « libéralisation » !
Il s’agit juste maintenant d’obéir à un dogme dépouillé de toute rationalité. Certes EDF a encore un « monopole » en France, mais dans un marché européen tellement éloigné des règles libérales que c’est juste une situation surréaliste parmi tant d’autres.
La solution qui est sur la table, le projet Hercule, fait l’objet d’intenses discussions. La Commission veut scinder EDF en deux parties, le nucléaire et le transport haute tension d’une part (la part qui sera en perte et en besoin d’intenses financements) et la distribution et les ENR d’autre part, (c’est-à-dire ce qui gagne de l’argent aux frais du contribuable et du consommateur). Elle souhaiterait évidemment une privatisation importante et la rupture des liens entre les deux sociétés.
La question des barrages hydrauliques fait aussi débat : ce n’est pas un détail, cela représente 25 GW en France, et c’est indispensable pour assurer la continuité de service, surtout avec des ENR. Ce qui limite le degré de liberté d’opérateurs indépendants, ou, à tout le moins, nécessite des règles de servitude. Et l’eau a des usages multiples, pour le bien commun, autres que l’électricité, qu’il faut assurer eux aussi.
Le gouvernement met sur la table une organisation scindée en trois entités : EDF bleu (le nucléaire et RTE, le réseau haute tension), EDF vert (les ENR et Enedis, le réseau de distribution, et le commerce), EDF Azur (les barrages hydrauliques) avec des liaisons qui resteraient fortes entre les entités.
Mais la question du nucléaire reste entière. Une proposition pourrait être que l’entité dédiée vende son GWh nucléaire à prix plus ou moins réglementés (en rapport avec les coûts) en totalité sur le marché, son entité commerciale étant un acheteur comme un autre.
Le vrai enjeu c’est le financement du renouvellement du parc du nucléaire. Les conditions ne permettent plus, comme dans les années 1980, à EDF d’emprunter seul à des taux avantageux. Or, vu la longueur des emprunts les taux sont un élément capital dans les coûts du GWh.
De plus, la rentabilité du parc nucléaire ne peut que baisser, avec le développement frénétique des ENR, si l’obligation d’achat perdure : les autres producteurs, les pilotables, ne peuvent que moins produire. Tout ceci amène à conclure que si la France veut poursuivre dans le nucléaire, cela ne pourra se faire sans l’État : horreur pour la Commission européenne !
RépondreSupprimerAu gouvernement, personne ne croit que l’on puisse se passer du nucléaire (sauf peut être l’ADEME et Mme Pompili, et encore.) Il faut donc trouver une solution pour sauver la face. Une option vraiment privée serait sans doute chinoise. Mais l’heure est à la souveraineté nationale.
La décision du renouvellement du parc sera prise en 2023… si Hercule convainc la Commission. Le premier nouvel EPR sera couplé en 2030, au mieux. D’ici là, la France, et l’Allemagne (qui aura arrêté nucléaire et charbon) auront sans doute acheté en catastrophe des centrales au gaz pour éviter la pénurie.
ÉPILOGUE
Ceci n’est pas une fiction inspirée d’Alice au pays des merveilles. C’est notre monde, c’est notre avenir. On peut en rire, tellement c’est surréaliste, on peut aussi en pleurer.
Tant que les conditions faites aux ENR perdureront, le « prix de marché » reflétera davantage la météo que les performances des acteurs. On ne peut baser un marché libre là-dessus.
On échafaudera des « Hercule » de plus en plus compliqués, de plus en plus shadockiens, pour corriger sans fin les corrections des corrections des dysfonctionnements créés de toute pièce par un système que plus personne ne contrôle.
Pendant ce temps là, la Russie pousse son gazoduc et la Chine vend ses centrales nucléaires.
https://www.contrepoints.org/2021/02/08/390488-electricite-des-travaux-dhercule-surrealistes
Il faut bien se dire que ce sont les pays émergents qui feront la loi demain a cause de l'intelligence énergétique. Ce choix d'opter pour le confort de toute une population en apportant de l'électricité et chauffage dans tous les foyers ne peut que surpasser les pays dits 'développés' qui sont contraint sous dictature de refuser ce minimum de bien-être vital !
SupprimerAdmission extraordinaire de Time Magazine, l’élection n’a pas été un accident, elle a été «fortifiée» par une cabale secrète
RépondreSupprimerFebruary 8th, 2021
Que la vantardise commence - Qui a manipulé l'élection pour «Sauver la démocratie»? Une cabale d'entreprise!
Maintenant que la gauche a les principaux leviers de pouvoir, il est sûr pour elle de sortir et de dire au monde à quel point elle est importante. En effet, la course vers le haut de la vanité est lancée. Ce n'est pas une admission accidentelle. Quand le vrai jeu est d'arriver au sommet de l'ordre hiérarchique, se vanter fait partie du plan.
Et ils se vantent. Le temps a en fait publié ceci:
L'histoire secrète de la campagne fantôme qui a sauvé les élections de 2020
par Molly Ball, Time Magazine
La Cabale a décidé du «résultat approprié» de l'élection.
«Toute tentative d'interférer avec le bon résultat des élections a été vaincue», déclare Ian Bassin, co-fondateur de Protect Democracy, un groupe de défense non partisan de l'état de droit. «Mais il est extrêmement important pour le pays de comprendre que cela n’est pas arrivé par accident. Le système n’a pas fonctionné comme par magie. La démocratie ne s’exécute pas automatiquement. »
Congrès américain de nuit: photo de Darren Halstead sur Unsplash
Photo de Darren Halstead, Unsplash
Ce qui va plutôt à l'encontre de cette vieille idée étrange que le gouvernement est censé être par le peuple et pour le peuple ? S'il ne s'exécute pas automatiquement, il est réalisé par une conception externe. Faut-il dire qu’il est profondément non démocratique de choisir des dirigeants par des cabales secrètes?
Mais les participants veulent que cette histoire soit racontée, principalement pour leur propre agrandissement personnel. Vous voyez à quel point je dois être important en tirant les leviers du pouvoir?
C'est pourquoi les participants [de la cabale] veulent que l'histoire secrète de l'élection de 2020 soit racontée, même si cela ressemble à un rêve de fièvre paranoïaque - une cabale bien financée de personnes puissantes, allant de différents secteurs et idéologies, travaillant ensemble dans les coulisses pour influencer les perceptions, modifier les règles et les lois, orienter la couverture médiatique et contrôler le flux d'informations. Ils ne truquaient pas les élections; ils la fortifiaient. Et ils croient que le public doit comprendre la fragilité du système afin de garantir que la démocratie en Amérique perdure.
Cela ressemble à un rêve de fièvre paranoïaque, car il en est un - une cabale de personnes puissantes et obscures manipule ce que les gens pensent en «contrôlant le flux d'informations». Ce n’est pas ce qu’un bon collègue de travail fait, c’est ce qu’un narcissique de bureau prédateur utilise comme principal outil d’oppression. C’est l’idée que la rétention d’informations est meilleure pour les parieurs.
Qui te gouverne ? La personne qui décide des informations que vous êtes autorisé à entendre. Le mensonge par omission est toujours un mensonge. Ce n’est pas toute la vérité et rien d’autre - c’est le dictocrate autoritaire qui domine sur vous.
RépondreSupprimerDites ceci avec un visage impassible:
«Ils ne truquaient pas les élections; ils la fortifiaient.
Essentiellement, la démocratie est fragile parce que les parieurs stupides auraient peut-être voté pour quelqu'un dont la CabaleTM ne voulait pas. Fortifier nos résultats signifie les empêcher de choisir les leurs. Les autocrates conscients se disent qu'ils fortifiaient les choses pour qu'ils se sentent mieux. Les autocrates sans conscience le disent au monde comme un message de relations publiques.
Time Magazine admet qu'il s'agissait d'un complot entre Big Gov et Corporate Giants pour remporter les élections
Vous vous souvenez de l'époque où les élections consistaient à persuader le plus grand nombre d'électeurs que vous aviez les meilleures politiques? Maintenant, il s'agit de savoir avec qui est au lit avec les plus grandes entreprises.
Vous vous souvenez de l'époque où les élections consistaient à persuader le plus grand nombre d'électeurs que vous aviez les meilleures politiques? Maintenant, il s'agit de savoir avec qui est au lit avec les plus grandes entreprises.
Il était une fois, les entreprises étaient des bâtards capitalistes maléfiques, puis ils ont commencé à s'entendre avec les syndicats et les Verts pour arracher plus de pouvoir et de profit au peuple, et cela les rend «bons».
Ils admettent qu’ils s’attendaient à des violences après les élections (c’est ainsi qu’ils réagissent eux-mêmes, hein ?) Ils admettent qu’il y a une cabale.
Ils admettent que Trump avait raison à propos du complot entre les grandes entreprises et le gouvernement qui travaillait contre lui:
Trump a déclaré le 2 décembre. «Quelques jours après les élections, nous avons assisté à un effort orchestré pour oindre le vainqueur, même si de nombreux États clés étaient toujours comptés.
D'une certaine manière, Trump avait raison.
Une conspiration se déroulait dans les coulisses, une conspiration qui a à la fois réduit les manifestations et coordonné la résistance des PDG. Les deux surprises étaient le résultat d'une alliance informelle entre des militants de gauche et des titans du monde des affaires. Le pacte a été officialisé dans une déclaration conjointe laconique et peu remarquée de la Chambre de commerce américaine et de l'AFL-CIO publiée le jour du scrutin. Les deux parties en viendraient à y voir une sorte de marché implicite - inspiré par les manifestations massives et parfois destructrices de la justice raciale de l'été - dans lequel les forces du travail se sont unies aux forces du capital pour maintenir la paix et s'opposer à l'assaut de Trump contre la démocratie.
Lorsque les travailleurs votent pour empêcher la cabale des entreprises, c’est un «assaut contre la démocratie».
RépondreSupprimerN'est-ce pas une cabale entre les entreprises, les syndicats et un côté de la politique exactement ce que «les médias» sont censés exposer à un examen minutieux avant les élections, et non pour aider à «garder le secret» ?
La poignée de main entre les entreprises et les travailleurs n’était qu’une des composantes d’une vaste campagne interdisciplinaire visant à protéger les élections - un effort extraordinaire de l’ombre consacré non pas à gagner le vote mais à s’assurer qu’il serait libre et juste, crédible et non corrompu.
Pendant plus d’un an, une coalition peu organisée d’actifs s’est efforcée de consolider les institutions américaines alors qu’elles subissaient les attaques simultanées d’une pandémie impitoyable et d’un président à tendance autocratique.
Leur travail a touché tous les aspects de l'élection. Ils ont amené les États à changer les systèmes de vote et les lois et ont aidé à obtenir des centaines de millions de dollars en financement public et privé. Ils ont repoussé les poursuites pour suppression des électeurs, recruté des armées d'agents électoraux et amené des millions de personnes à voter par correspondance pour la première fois. Ils ont réussi à faire pression sur les entreprises de médias sociaux pour qu'elles adoptent une ligne plus dure contre la désinformation et ont utilisé des stratégies basées sur les données pour lutter contre les frottis viraux.
Traduit, protéger la démocratie signifie obtenir plus d’argent, adopter des lois qui conviennent à leur cabale, pas aux électeurs, et censurer les informations qu’ils n’ont pas aimées. À aucun moment, Molly Ball ne se vante d'atteindre les gens avec des politiques qui comptent pour eux, avec des idées pour les sortir de la pauvreté, les aider à trouver un emploi, arrêter le crime ou même faire un sondage auprès des électeurs pour savoir ce que les gens voulaient.
Le vif du sujet des Psy-Ops intenses pour «sauver la démocratie»
Le héros est apparemment un type appelé Mike Podhorzer, qui craignait que Trump ne «gagne en corrompant le processus de vote». D'une manière ou d'une autre, la gauche projette toujours sur ses adversaires exactement ce qu'elle fait elle-même.
Les outils habituels de données, d'analyse et de sondage ne seraient pas suffisants dans une situation où le président lui-même essayait de perturber l'élection, a-t-il écrit. «La plupart de notre planification nous mène tout au long du jour du scrutin», a-t-il noté. «Mais nous ne sommes pas préparés pour les deux résultats les plus probables» - Trump perd et refuse de concéder, et Trump remporte le Collège électoral (malgré la perte du vote populaire) en corrompant le processus de vote dans les États clés. «Nous avons désespérément besoin de mettre systématiquement en« équipe rouge »cette élection afin de pouvoir anticiper et planifier le pire que nous savons qui se produira.»
Podhorzer était à la tête de l'AFL-CIO - (Fédération américaine du travail et Congrès des organisations industrielles). D'autres l'ont approché pour unir leurs forces, y compris un groupe d'anciens élus recherchant des pouvoirs d'urgence qu'ils craignaient que Trump puisse exploiter. Ce sont probablement les démocrates qui ont lu le décret 13848 - et qui savaient que s'il y avait une ingérence étrangère dans les élections, Trump pourrait répondre. Vraisemblablement, cette EO ne concernerait qu'un groupe qui pensait qu'il pourrait y avoir une ingérence étrangère destinée à les aider à gagner.
RépondreSupprimerLes démocrates ont donc joué sur ces scénarios et ont proposé un plan qui équivalait à des psy-ops non-stop à un niveau de détail et à une échelle jamais vus. Plutôt que d'essayer de faire appel à des millions d'électeurs, le jeu principal était de faire appel aux quelques gardiens qui pourraient décertifier des résultats qui semblaient… douteux.
Les commissions électorales étaient un point de pression; un autre était les assemblées législatives contrôlées par le GOP, qui, selon Trump, pourraient déclarer l'élection nulle et nommer leurs propres électeurs. Le président a donc invité les dirigeants du GOP de la législature du Michigan, le président de la Chambre Lee Chatfield et le chef de la majorité au Sénat, Mike Shirkey, à Washington le 20 novembre.
C'était un moment périlleux. Si Chatfield et Shirkey acceptaient de faire l’enchère de Trump, les républicains d’autres États pourraient être victimes d’intimidation. «J'étais inquiet que les choses allaient devenir bizarres», dit Jeff Timmer, un ancien directeur exécutif du Michigan GOP devenu activiste anti-Trump. Norm Eisen le décrit comme «le moment le plus effrayant» de toute l'élection.
Ils avaient des militants à l'écoute pour encercler des personnes clés dans les aéroports aux deux extrémités de la trajectoire de vol. Ils connaissaient leurs horaires. Ils avaient des avocats prêts à tout encadrer pour intimider les deux personnes qui étaient critiques pour les avertir qu’elles feraient l’objet d’une enquête «pour corruption» s’ils votaient pour Trump. Ils avaient des liaisons médiatiques pour rapporter et amplifier ces histoires. Ils ont même fait en sorte que des artistes de rue projettent leurs images sur des bâtiments à l'extérieur où ils buvaient, avec les mots «Le monde regarde». Lorsque les conseils d'administration se réunissaient normalement, Twitter était là avec un hashtag spécial pour inciter des milliers de spectateurs à ajouter à la pression. Ils ont constamment allumé tout le monde, certifiant que les résultats indésirables étaient vraiment «affirmer la démocratie», «respecter les souhaits des électeurs».
Les intimidateurs qui ont doxxé les gens et menacé leurs enfants ont appelé Trump l'intimidateur, encore et encore, et les Américains normaux sans défense ont cédé sous le poids d'une pression incessante. Les humains sont grégaires, après tout, et rares sont ceux qui ont évolué pour résister à ce genre d'attention sectaire de groupe.
RépondreSupprimerAprès cela, les dominos sont tombés. La Pennsylvanie, le Wisconsin et le reste des États ont certifié leurs électeurs. Les responsables républicains d'Arizona et de Géorgie ont résisté aux brimades de Trump. Et le collège électoral a voté dans les délais prévus le 14 décembre.
Time Magazine n'a pas mentionné l'intimidation faite par la Cabale. Ils n’ont pas mentionné qu’au Michigan, deux solliciteurs républicains n’ont certifié que sous la contrainte, et seulement avec l’accord qu’il y aurait une vérification complète des bulletins de vote, ce qui n’a jamais eu lieu. Les auteurs de Time ne mentionnent pas que les deux solliciteurs ont décidé d’annuler leurs votes et ont signé des affadavits à cet effet.
Il s’agit de contrôler votre flux d’informations, n’est-ce pas ?
Une autre situation difficile a été le vote de Capitol Hill, et le héros Podhorzer admet même qu'ils se sont arrangés et organisés de manière à ce qu'il n'y ait pas de contre-démostrateurs le jour même, de peur qu'ils ne soient blâmés pour le chaos. Étant donné que les partisans d’Atouts n’ont presque jamais causé de chaos, ni déchiré des statues ou incendié Wendy’s - ils ont à peine laissé des déchets derrière eux, cela en dit plutôt long sur le fait que la Cabale savait qu’il y aurait du chaos ce jour-là. Molly Ball oublie de dire aux lecteurs qu'il y avait des gars de BLM et d'Antifa là-bas, mais ils étaient déguisés en partisans de Trump alors qu'ils cassaient des fenêtres et incitaient la foule à «brûler».
Si, par hypothèse, quelqu'un avait organisé un événement sous faux drapeau, il aurait vraiment peur que sa propre foule folle se présente et vole la vedette:
COMMENT NOUS SOMMES PROCHES
Il y avait une dernière étape dans l’esprit de Podhorzer: le 6 janvier. Le jour où le Congrès se réunirait pour compter le décompte électoral, Trump a convoqué ses partisans à Washington pour un rassemblement.
À leur grande surprise, les milliers de personnes qui ont répondu à son appel n'ont été accueillies par pratiquement aucun contre-manifestant. Pour préserver la sécurité et s'assurer qu'ils ne pourraient être blâmés pour aucun chaos, la gauche militante a «fortement découragé les contre-activités», m'a envoyé Podhorzer le matin du 6 janvier, avec un emoji croisé les doigts.
L'article du Time Magazine est un reportage (involontairement) sur la façon dont la démocratie a été détruite. Même si nous ignorons les preuves de corruption, de tricherie et de retournement de voix, l'article entier est un article de propagande en arrière-plan démontrant que gagner des élections n'a rien à voir avec la politique ou ce que veulent les électeurs. Il s'agit de manipulation, de jeux, de guerre psychologique et de tromperie.
RépondreSupprimerRien de tout cela, rien du tout, ne concernait le respect des souhaits des électeurs.
Bonchie, RedState
Et même si je suis sûr que certains vérificateurs de faits auront des scrupules à ce que je décrive ce que ce groupe a fait comme une manipulation, je crois que la définition objective de ce mot s’applique plus qu’ici. Lorsque vous cherchez à empêcher les gens d’avoir des informations qui pourraient affecter leur vote, c’est de la manipulation. Lorsque vous faites du lobbying pour que certaines lois soient modifiées spécifiquement pour vous aider, c'est de la manipulation. C'est ce que c'est.
Pendant ce temps, les républicains peuvent entrer dans le jeu ou se remettre à perdre.
https://joannenova.com.au/2021/02/time-magazines-extraordinary-admission-the-election-was-no-accident-it-was-fortified-by-a-secret-cabal/
Google cherche à remplacer les cookies des utilisateurs
RépondreSupprimerLe géant américain de l’internet tente de trouver comment se passer des fameux traceurs des internautes qui fâchent les défenseurs de la confidentialité des données.
7 février 2021, 07:17
La nouvelle approche dissimule les individus +dans la foule+ et utilise l’informatique de l’appareil pour que l’historique d’une personne reste confidentiel dans le navigateur, selon Google.
Google a entrepris de trouver des remplaçants aux «cookies», ces traceurs qui permettent au géant de la recherche en ligne de vendre des espaces publicitaires ultra personnalisés, mais qui hérissent les défenseurs de la confidentialité des données. Le groupe californien travaille sur un système alternatif, censé améliorer le respect de la vie privée tout en permettant aux marques de continuer à cibler le public qu’elles désirent.
«Cette approche dissimule les individus +dans la foule+ et utilise l’informatique de l’appareil pour que l’historique d’une personne reste confidentiel dans le navigateur», a expliqué Chetna Bindra, directrice produit, lors de la présentation le mois dernier de ce système baptisé Federated Learning of Cohorts (FLoC).
Segments d’audience
Au lieu de cibler les internautes individuellement, les annonceurs viseront des segments d’audience – les «FLoC» – comprenant des centaines ou milliers de personnes. Google définira ces segments en fonction de la navigation des utilisateurs. Google a prévu de commencer à tester les FLoC avec des marques sur son navigateur Chrome dans l’année.
«Les résultats (de nos études) montrent que les FLoC sont efficaces pour générer des audiences basées sur les intérêts des usagers, et donc remplacer les cookies», a continué Chetna Bindra. «La publicité est essentielle pour que le web reste ouvert à tous, mais l’écosystème du web est en danger si les pratiques en termes de confidentialité des données ne sont plus alignées avec les attentes».
La société de Mountain View, dans la Silicon Valley, est largement critiquée par les autorités occidentales et les ONG de défense des droits numériques sur la question de la vie privée des utilisateurs.
Les cookies des autres
Le dégoût croissant qu’inspirent les cookies, synonymes de pistage en continu, a fait partie des motivations de Bruxelles quand les députés ont voté pour le règlement européen sur la protection des données (RGPD), qui garantit aux usagers certains droits sur leurs données (comment elles sont collectées et utilisées, à des fins commerciales ou non). La Californie a emboîté le pas au vieux continent avec le «California Consumer Privacy Act» (CCPA), un texte similaire en vigueur depuis plus d’un an.
Google, qui domine le marché mondial de la publicité numérique, a donc tout intérêt à trouver un moyen de rassurer l’opinion publique tout en satisfaisant les annonceurs soucieux de ne pas envoyer leurs messages dans le vide.
RépondreSupprimerCertains cookies remplissent un rôle purement utilitaire. Chaque fois qu’un utilisateur arrive sur une page qui lui demande ses coordonnées, si elles s’affichent directement dans les fenêtres, c’est grâce à ces petits fichiers texte qui collectent des données au gré de la navigation.
Un cauchemar pour la confidentialité
D’autres sont moins innocents. «Les cookies tiers sont un cauchemar en termes de confidentialité», remarque Bennet Cyphers, chercheur de l’ONG Electronic Frontier Foundation. «Vous n’avez pas besoin de tout savoir sur tout le monde juste pour leur diffuser une pub». Il prône l’utilisation du contexte, comme les publicités pour des ingrédients à côté des recettes de cuisine.
Les navigateurs Safari (Apple) et Firefox bloquent par défaut les cookies tiers mais ils sont encore utilisés par Chrome, qui représentait 63% du marché en 2020, d’après StatCounter. Les cookies tiers «pèsent sur Google, aussi bien en temps de compétition que d’enjeux légaux, mais ils veulent être sûrs que leur modèle économique publicitaire tourne à plein régime», commente Bennet Cyphers.
Les FloC risquent le flop
Comme d’autres experts, il craint que Google n’ait inventé un nouveau système opaque qui classe les internautes dans des boîtes et leur attribue des étiquettes pour orienter les messages publicitaires sans aucune transparence. «Il y a un risque que ce soit encore pire en termes de respect de la confidentialité», constate-t-il. «C’est une boîte noire de machine learning (apprentissage automatisé de la machine, ndlr) qui va agréger tous les détails de ce que vous faites en ligne et recracher un badge indiquant que vous êtes tel type de personne».
Il estime que les annonceurs seront capables, à partir des étiquettes, de déduire les âges, le genre ou la couleur de peau, quelles personnes ont des opinions politiques extrêmes, etc.
Les FLoC ne font pas nécessairement saliver les annonceurs non plus. Une coalition baptisée «Marketers for an Open Web» ("Les professionnels du marketing pour un web ouvert") fait campagne contre le nouveau système, dont elle questionne l’efficacité. Elle craint aussi qu’il ne piège encore plus les entreprises dans l’écosystème fermé de Google, qui vend des espaces publicitaires mais aussi des services en tant qu’intermédiaire entre les sites et les annonceurs.
«Les propositions de Google sont mauvaises pour les médias indépendants, pour les technologies publicitaires indépendantes et pour les professionnels», a déclaré dans un communiqué James Rosewell, le directeur de la coalition.
https://www.lematin.ch/story/google-cherche-a-remplacer-les-cookies-des-utilisateurs-587820805479
Chaque internaute est libre d'afficher, de commenter la publicité qu'il veut et d'accepter ou pas les publicités qui ne relèvent pas de son autorité.
SupprimerInstallation d’un nouveau câble sous-marin transatlantique
RépondreSupprimerUn réseau de câbles de fibres optiques de 6’800 km de long devrait être mis en service début 2022.
8 février 2021, 13:10
Un nouveau câble sous-marin transatlantique reliant la France aux Etats-Unis et à la Grande-Bretagne, en partenariat avec les groupes américain Facebook et britannique Vodafone, arrivera prochainement sur une plage près de Bordeaux (Sud-Ouest de la France), a annoncé ce lundi l’opérateur français de télécommunications Orange.
Baptisé «AMITIE», ce réseau de câbles de fibres optiques mesure au total 6’800 km de long et sa mise en service est prévue début 2022. La construction de ce gigantesque projet, estimé à 250 millions d’euros, a été confiée au spécialiste français Alcatel Submarine Networks, filiale du Finlandais Nokia.
L’arrivée sur les côtes françaises, reportée en raison de mauvaises conditions climatiques, sera effective dans les «prochains jours», précise Orange.
Il assurera une connexion entre l’Etat du Massachusetts (Etats-Unis), Le Porge (France, près de Bordeaux) et Bude (Angleterre).
«Dans le contexte de l’explosion du trafic international, de l’arrivée de ces nouvelles générations de câbles sous-marins plus efficaces, et compte tenu des enjeux stratégiques et de la souveraineté nationale liée aux câbles sous-marins, Orange doit continuer (...) de développer ses infrastructures pour connecter la France à d’autres continents», estime Jean-Luc Vuillemin, directeur des réseaux internationaux d’Orange.
Orange sera propriétaire du câble présent dans les eaux territoriales françaises. Idem pour Vodafone sur la partie anglaise.
Ce projet initié par Facebook ressemble à celui réalisé avec le géant américain Google, avec la co-réalisation du câble sous-marin transatlantique baptisé «Dunant», dont le tronçon d’arrivée s’est installé en Vendée (Ouest) en mars 2020.
La pose et l’exploitation des câbles sous-marins, par lesquels passe la quasi-totalité du trafic internet mondial, a longtemps été l’apanage de grands opérateurs télécoms réunis en consortiums.
Mais les géants d’internet - Google, Facebook, Microsoft - en deviennent les nouveaux bâtisseurs en raison notamment de l’explosion des flux de données transitant entre l’Europe et les Etats-Unis.
Facebook va également co-construire, avec un consortium d’entreprises télécoms, un câble sous-marin de 37’000 km, baptisé «2Africa», tout autour de l’Afrique afin d’améliorer l’accès à internet de ce continent et du Moyen-Orient.
Ce câble, l’un des plus longs au monde, reliera l’Europe de l’ouest au Moyen-Orient et à 16 pays d’Afrique, parcourant la Méditerranée, la mer Rouge, le golfe d’Aden, la côte africaine de l’océan Indien jusqu’au cap de Bonne-Espérance, pour remonter l’océan Atlantique jusqu’en Grande-Bretagne. La mise en service est prévue en 2023 ou 2024.
https://www.lematin.ch/story/installation-dun-nouveau-cable-sous-marin-transatlantique-270827011142
Des chercheurs créent un film plastique qui supprime le coronavirus
RépondreSupprimer8 FÉVRIER 2021
par Asociacion RUVID
Un consortium composé des sociétés Braskem, AplFilm et Nanox et les universités UFSCar (Brésil) et Jaume I de Castellón (Espagne) ont sorti un film plastique capable de désactiver 99,99% du nouveau coronavirus en 15 minutes. Le nouveau produit appelé AlpFilm Protect PVC est déjà disponible sur le marché.
La collaboration scientifique initiée il y a 15 ans entre l'UFSCar et l'UJI avec la société Nanox avait déjà développé en 2014 un produit aux propriétés antifongiques et bactéricides: un film PVC transparent aux microparticules d'argent qui a maintenant cédé la place à la technologie brevetée par Nanox avec le support de l'équipe d'Ingénierie des Applications Vinyles de Braskem et AlpFilm.
La silice est un semi-conducteur qui devient actif avec l'argent métallique pour générer des molécules hautement oxydantes capables de désactiver 79,9 % du nouveau coronavirus en trois minutes et 99,99 % en seulement 15 minutes. Le produit est déjà disponible sur le marché et est couramment utilisé pour emballer des produits alimentaires tels que la viande, les fruits, les légumes et la charcuterie, et pourrait maintenant également être utilisé pour protéger les surfaces.
Les tests pour vérifier la puissance des nouveaux emballages en plastique pour supprimer le SRAS-CoV-2, le virus responsable du COVID-19, ont été menés au laboratoire de biosécurité de niveau 3 de l'Institut des sciences biomédicales de l'Université de São Paulo (ICB- USP) conformément à la norme ISO 21702: 2019, la norme technique pour mesurer l'activité antivirale dans les plastiques et autres surfaces non poreuses. Les sociétés Braskem et AlpFilm ont amélioré la formule du film, maximisant le potentiel de protection contre les champignons et les bactéries, obtenant ainsi un effet virucide.
La technologie développée par Nanox, dirigée par le docteur Gustavo Simões, a bénéficié du soutien du Programme de recherche innovante pour les petites entreprises (PIPE) de la FAPESP, et des conseils scientifiques du professeur Elson Longo du Centre pour le développement des matériaux fonctionnels (CDMF) , l'Université fédérale de São Carlos et le professeur Juan Andrés Bort, chef du laboratoire de chimie théorique et computationnelle de l'Université Jaume I de Castellón.
Pour Braskem, l'efficacité du matériau renforce la pertinence du plastique dans les initiatives visant la santé et la sécurité de la société. «Le plastique a été un grand allié contre la pandémie de coronavirus. Les solutions PVC permettent la production d'une série de produits essentiels allant des produits médicaux et hospitaliers aux emballages, qui garantissent la sécurité alimentaire, l'hygiène et la propreté, entre autres facteurs, renforçant la lutte contre le COVID -19 », explique Almir Cotias, directeur Vinyls chez Braskem Business, département responsable de la production de la matière première pour le film PVC AlpFilm Protecto.
«Le produit existe depuis 2014 avec des propriétés antifongiques et bactéricides grâce à la présence de microparticules d'argent», explique Alessandra Zambaldi, directrice du commerce extérieur et du marketing d'AlpFilm, «mais avec la pandémie, nous l'avons soumis à une série d'études pour adapter son composition afin d'assurer son efficacité antivirale. Face aux défis imposés par COVID-19, nous avons décidé de concentrer notre attention sur la recherche et le développement de cette évolution de produit pour désactiver le nouveau coronavirus par contact. "
RépondreSupprimerAlpFilm est l'un des principaux fabricants de films plastiques PVC au Brésil, avec une production mensuelle de 450 tonnes de matière. Depuis 2014, l'entreprise commercialise des films plastiques avec des microparticules d'argent pour le conditionnement des aliments dans les supermarchés et à usage domestique, afin d'assurer une protection contre les champignons et les bactéries. C'est une entreprise familiale brésilienne, créée en 1998 sous le nom d'Alpes Indústria e Comércio de Plásticos Ltds, qui prend en 2002 le nom qu'elle donne à ses produits: AlpFilm.
https://phys.org/news/2021-02-plastic-suppresses-coronavirus.html
(...) «Le produit existe depuis 2014 avec des propriétés antifongiques et bactéricides grâce à la présence de microparticules d'argent» (...)
SupprimerIl détruit les vivants: microbes (bactéries) mais ne désactive pas la radioactivité de la nano-particule appelée 'virus'.
En gros, il ne sert à rien contre le 'corona' !