Allons-nous vers une crise climatique de grande ampleur ?
le 21 février 2021
Mes fidèles lecteurs ont bien compris que je ne crois pas un mot de la théorie de l’effet de serre du gaz carbonique inspirée par des travaux d’Arrhenius largement contestés par la communauté scientifique. Diverses modélisations de l’évolution du climat ont conduit à des prédictions apocalyptiques qui trainent dans les médias du monde entier, prévisions agrémentées d’évidentes malhonnêtetés scientifiques comme la fameuse courbe en crosse de hockey, un subterfuge dont s’inspirèrent les décideurs politiques lors de la mise en place de l’accord international (non contraignant) conclu à Paris en 2015. Ces prédictions, ces modélisations et toutes sortes d’autres publicités mensongères comme la disparition des ours polaires ou des coraux ou encore de 60 % de la faune terrestre ont contribué à transformer cette fraude initiale de l’effet de serre du gaz carbonique s’auto-alimentant comme par magie en un dogme, une croyance irrationnelle en laquelle la majorité de l’humanité croit. Et si par hasard quelqu’un exprimait quelque doute il est vite rappelé à l’ordre. Par exemple la vague de blizzard qui a mis à genoux l’un des Etats américains les plus riches a été expliquée par ces faiseurs de contes comme étant une directe conséquence du réchauffement du climat qui perturbe l’équilibre entre les masses d’air polaire et celles de la zone intertropicale. J’ai tenté sans succès de trouver une explication, scientifique, à cette nouvelle affirmation non pas sortie de la tête d’une climatologue confirmé mais du chapeau d’un prestidigitateur de cirque.
Le Texas compte parmi les leaders mondiaux de la fameuse « transition énergétique » bien que cette région nord-américaine regorge d’hydrocarbures. Entre les panneaux solaires et les moulins à vent il paraissait improbable sur le papier qu’un événement tel que la vague de blizzard de ces dix derniers jours puisse remettre en question cette décision des autorités politiques d’un abaissement drastique des émissions de carbone en développant massivement ces énergies dites vertes. Pas de chance ! La nature a montré qu’elle restait maître de la météorologie et par voie de conséquence du climat. Toutes les décisions irrationnelles que pourront adopter les pauvres bipèdes négligeables que nous sommes n’y feront rien : LE moteur des variations du climat est le seul Soleil avec ses propres variations d’activité dont les effets échappent à tout contrôle de la part de l’humanité.
Le climat terrestre est entré dans une phase d’instabilité identique à celle que connut l’humanité au sortir de l’optimum climatique médiéval (950-1200), une période d’une prospérité jamais atteinte auparavant. Les températures moyennes étaient de 2 à 2,5 degrés plus élevées qu’aujourd’hui et l’abondance des récoltes favorisa un accroissement exponentiel des populations. Ce fut en Europe l’époque des cathédrales. Dès le début du XIIIe siècle ce climat entra dans une longue période d’instabilité avec des alternances de sécheresses aux conséquences dévastatrices et d’hivers rigoureux, période instable ponctuée néanmoins de petits épisodes de calme relatif durant 20 à 30 ans. Toute cette période a été savamment occultée par les fonctionnaires de l’IPCC car cette variation climatique, un réchauffement si l’on considère les siècles qui l’ont précédé, n’avait rien à voir avec les émissions de gaz carbonique provoquées par l’activité humaine. Cette longue période d’instabilité climatique qui suivit était le signe avant-coureur du « petit âge glaciaire » qui s’étendit de la fin du XVIe siècle jusqu’à la fin du XIXe siècle. Il s’ensuivit l’optimum climatique moderne d’environ 40 ans qui est centré sur les années 1920. Malgré un autre sursaut des températures globales moyennes durant une trentaine d’années (1970-2000) cette évolution s’est figée depuis plus de 20 ans, le fameux « hiatus » inexplicable pour les experts de l’IPCC puisque les fameuses émissions de gaz carbonique ont continué de plus belle.
Les instabilités météorologiques que l’on connait depuis maintenant près de 20 ans peuvent être le signe d’un changement radical de la nature du climat. Ce changement, compte tenu des observations du passé, pourrait conduire à un nouvel épisode de réchauffement. Malheureusement pour nous, petits homoncules négligeables, il s’agira d’un refroidissement progressif auquel nous ne sommes pas préparés, il n’y a qu’à constater la catastrophe texane. Et qui dit refroidissement dit aussi consommation accrue d’énergie tout simplement pour se chauffer dans les régions dites tempérées. Refroidir son logement l’été répond à une sorte de confort mais n’est pas vital. Chauffer son logement durant l’hiver est beaucoup plus critique. Ce sont des situations qui au fil des années à venir vont devenir de plus en plus fréquentes avec, en miroir, des étés plus chauds et plus secs. Il y a pire encore si on examine les compilations faites par Leroy Ladurie relatives aux chroniques de la période qui suivit l’optimum climatique médiéval, les hivers furent, certes plus rigoureux, mais les printemps et les automnes furent pluvieux et dévastèrent les récoltes. C’est ce à quoi on assiste aujourd’hui en Amérique du Nord et la prochaine victime de cette instabilité du climat sera l’Europe si ce n’est déjà le cas.
Il apparaît urgent que les décideurs politiques changent leur fusil d’épaule et songent à équiper leur pays de sources d’énergie fiables car des récoltes incapables en volume de satisfaire la faim des peuples risqueraient d’accélérer un chaos social : quand le peuple a faim il devient incontrôlable et tout simplement dangereux. Nous sommes à la vielle d’un changement du climat et la transition énergétique si chère à nos politiciens devrait plutôt s’orienter vers la mise en place d’infrastructures fiables pour faire face à ce changement. Ce que n’a pas fait le Texas …
Je rappelle que SEULS les volcans terrestres peuvent envoyer si haut (stratosphère) le gaz carbonique (le plus lourd de tous les gaz). Les gaz carbonique présent là où nous vivons viennent des animaux, des humains et des combustions mais demeurent au sol et ne peuvent donc constituer des gaz 'à effet de serre' ! Hahaha ! Quant aux inaccessibles gaz qui circulent en stratosphère, ils ne constituent bien évidement aucun 'effet de serre' de par leur éparpillement et leur recyclage permanent comme sur terre.
Facture salée pour un Américain ayant laissé la lumière allumée durant une tempête
18:02 21.02.2021
Un vétéran américain a dû sacrifier ses économies pour payer sa facture d’électricité, après la tempête hivernale au Texas qui a fait flamber les prix du courant.
Les prix de l’électricité ont explosé au Texas, suite à la tempête hivernale qui a frappé la région, rapporte le New York Times.
Scott Willoughby, un Américain de 63 ans, a ainsi reçu une facture de 16.752 dollars (13.800 euros), soit 70 fois plus que ses dépenses habituelles, après les intempéries à Dallas. Un gouffre financier pour ce vétéran qui vit essentiellement des aides sociales, et qui a dû vider son compte épargne pour régler la note.
En effet, la tempête qui s’est abattue sur le Texas et la vague de froid qui a suivi ont fait au moins 58 morts, mais ont également dévasté le réseau électrique et gelé la production de gaz naturel. Entre pannes du réseau et demande croissante, plusieurs Américains se sont retrouvés sans électricité, alors que d’autres ont été forcés de payer le kilowattheure au prix fort.
DeAndré Upshaw, un autre habitant de Dallas, s’est vu facturé 6.700 dollars, alors qu’il paie généralement 80 dollars par mois à cette période de l'année. Il fustige cette hausse soudaine des prix.
«C'est un service public, c'est quelque chose dont vous avez besoin pour vivre. Je n'ai pas l'impression d'avoir utilisé 6.700 dollars d'électricité au cours de la dernière décennie. Ce n’est pas un coût que toute personne censée devrait payer pour cinq jours de service électrique intermittent, utilisé au strict minimum», déclare-t-il au New York Times.
Marché non réglementé
Cette flambée des tarifs de l’électricité est due aux intempéries mais également au marché de l’énergie texan, non réglementé, qui permet à chaque consommateur de choisir son fournisseur, parmi près de 220 détaillants, explique le média.
Les principaux foyers touchés étaient d’ailleurs des clients de la compagnie Griddy, qui fournit de l'électricité à des prix de gros, ceux-ci pouvant varier rapidement en fonction de l'offre et de la demande.
Prévoyant une hausse de ces prix de gros, la compagnie avait même encouragé ses clients à changer de fournisseur avec l’arrivée des intempéries, mais tous ne s’y sont pas résolus, poursuit le NYT.
Responsabilité des autorités?
Certains s’interrogent également sur le rôle joué par la Commission des services publics du Texas, qui a relevé le plafond des prix jusqu’à la limite maximale de neuf dollars par kilowattheure.
Selon le quotidien, la manœuvre visait à rétablir l’équilibre du marché, en encourageant les utilisateurs à réduire leur consommation d’électricité et les fournisseurs à en distribuer plus.
Mais la situation s’est éternisée. Dans un communiqué, Griddy accuse ainsi la Commission d’avoir continué à forcer sur les prix, alors que 99% des foyers avaient retrouvé l’électricité, et que la production dépassait les standards minimaux.
Face au tollé provoqué par cette hausse des prix, le gouverneur Greg Abbott a finalement tenu une réunion d’urgence avec les législateur samedi 20 février. Une intervention de l’État pour «réduire le fardeau» de ces factures d’énergie a été discutée, rapporte un communiqué.
C'est exactement ce qui va se passer en Europe avec l'abandon du nucléaire propre et bon marché pour les énergies intermittentes et très insuffisantes pour tous. Faute de Démocratie c'est la dictature qui est subie.
Peroxyde nébulisé - Un remède simple pour COVID-19
Par Joseph Mercola Mercola.com 22 février 2021
Le Dr David Brownstein, qui possède une clinique juste à l'extérieur de Detroit, au Michigan, a traité avec succès plus de 200 patients avec ce qui est devenu mon intervention préférée pour le COVID-19 et d'autres infections des voies respiratoires supérieures, à savoir le peroxyde d'hydrogène nébulisé.
Une série de cas consécutifs examinés par des pairs de 107 patients COVID-19 traités avec du peroxyde nébulisé et d'autres remèdes, y compris les vitamines orales A, C et D, l'iode, le peroxyde d'hydrogène et l'iode intraveineux ainsi que la vitamine C intraveineuse (IV), ainsi que par voie intramusculaire ozone, a été publié dans le numéro de juillet 2020 de Science, Public Health Policy, and the Law.1 Tous les patients ont survécu.
Peroxyde et iode nébulisés
Au moment de cet entretien, le nombre de patients traités avec succès avec ces stratégies entièrement naturelles dépasse 230, et il a maintenant publié un livre décrivant son approche, intitulé «Une approche holistique des virus».
«[Parmi] nos [COVID-19] patients, nous n'avons eu aucun décès», dit-il. «Nous avons eu quelques hospitalisations, mais beaucoup moins importantes que ce que devraient être les statistiques rapportées. Et nous utilisons toujours le même protocole que nous utilisons depuis plus de 25 ans pour la grippe et les maladies pseudo-grippales.
Un patient que j'ai appelé au cours du week-end m'a dit: `` Il y a deux choses dans ce que vous m'avez donné qui m'ont vraiment fait me sentir mieux. '' Je lui ai donné tout le protocole de vitamine A, C, D par voie orale et d'iode et de peroxyde nébulisé. et l'iode.
Il a dit: «J’ai oublié d’utiliser l’iode le premier ou les deux premiers jours. Quand vous m'avez posé des questions à ce sujet, je l'ai rajouté oralement. Cela a fait la différence. Mon mucus s'est éclairci, ma respiration était meilleure. J'ai oublié de mettre l'iode dans le nébuliseur [aussi], et [quand] j'ai fait les deux en même temps - l'iode oral et le peroxyde d'hydrogène nébulisé avec de l'iode - tout s'est éclairci… »
Sa respiration était à 80%, 90% meilleure peu de temps après la première ou la deuxième dose d'iode. C'est une autre réussite que nous avons eue, qui soutient le système immunitaire des gens pendant ces périodes de maladie virale ... J'implorerais mes collègues d'ajouter de l'iode dans le régime que vous utilisez pour traiter les patients atteints de maladies pseudo-grippales telles que COVID-19 [FEMININE."
Un traitement précoce élimine pratiquement le syndrome des longs trajets
Dans mon récent entretien avec le Dr Vladimir Zelenko, dans lequel nous discutons du traitement à l'hydroxychloroquine, il a souligné qu'aucun des patients traités dans les cinq premiers jours suivant l'apparition des symptômes n'a développé un syndrome de longue distance.
Cela a également été l'expérience de Brownstein. Sur les 107 premiers patients inclus dans son rapport de cas, 2 % ont développé un syndrome long-courrier. Cela contraste fortement avec les 20% à 40% rapportés ailleurs, note-t-il.
«L’énorme désastre du COVID-19 que l’histoire nous dira un jour, ce sont les pouvoirs qui nous disent que nous ne pouvons rien faire. Restez à la maison, enfermez-vous dans votre sous-sol, mettez-vous en quarantaine de votre famille, portez votre masque, distance sociale - c'est tout. Pas de thérapies, rien, attendez que le vaccin sorte.
Cela a entraîné plus de 400 000 décès. Peut-être que le nombre de morts est exagéré, mais beaucoup de gens sont morts parce que les gouvernements et les pouvoirs en place, l'AMA et tout le monde là-bas, ont dit: "Vous ne pouvez rien offrir '' et "N'offrez rien parce que cela n'a pas «Je n'ai pas été soumis à des études randomisées, en double aveugle, contrôlées par placebo… et si les médecins le font, nous allons les censurer et les tenir responsables.« Cela a été le plus grand désastre de tout cela », dit Brownstein.
La plupart sont déficients en stimulateurs immunitaires de base
Il est important de reconnaître que tant que votre système immunitaire est à la hauteur, votre corps peut vaincre la plupart sinon tous les envahisseurs viraux. Et le fonctionnement de votre système immunitaire dépend d'une bonne nutrition, et non de médicaments ou de vaccins. L’utilisation par Brownstein de suppléments nutritionnels et d’autres stratégies de renforcement immunitaire remonte à des décennies, bien avant que les antiviraux ne soient disponibles.
Il souligne qu'une grande majorité des gens ont de faibles niveaux de vitamine C, par exemple, ce qui aide à la fois votre système immunitaire inné et adaptatif. Environ 90% de ses patients sont également déficients en vitamine D, qui est un autre régulateur immunitaire crucial. Vous avez des récepteurs de vitamine D dans votre système immunitaire inné et adaptatif. Une carence en vitamine D est également associée à une septicémie.
Beaucoup sont également carencés en vitamine A. Ici, le diable est dans les détails. Le bêta-carotène est une forme hydrosoluble de vitamine A qui ne fournit pas les avantages immunitaires de la vitamine A. Pour cela, vous avez besoin de la forme liposoluble. Alors, assurez-vous de prendre de la vitamine A émulsionnée.
«Le bêta-carotène ne fournit pas le système immunitaire affecte la vitamine A», dit Brownstein. «La vitamine A aide à minimiser la tempête de cytokines. Il aide à minimiser les facteurs inflammatoires… Il aide à réduire le TNF alpha. Et les globules blancs ont besoin de vitamine A comme partie intégrante de leur fonctionnement. Ainsi, cela aide les systèmes immunitaires innés et adaptatifs à se défendre. »
Vitamines A, C, D et iode
Depuis des décennies, Brownstein a prescrit des vitamines A, C et D à ses patients, et dès les premiers signes de maladie, il leur demande d'augmenter les doses à 100000 unités de vitamine A et 50000 unités de vitamine D3 par jour pendant quatre jours. , avec 1 000 milligrammes de vitamine C par heure pendant les heures de veille jusqu'à ce que les symptômes disparaissent.
«Ce sont les trois premières choses que j'ai faites», dit-il. «Ce que j'ai découvert, c'est que lorsque les gens ont la grippe ou une maladie pseudo-grippale, et qu'ils commencent à prendre ces trois choses immédiatement, ils guérissent en 24 heures. C'était incroyable.
Quelques années plus tard, j'ai découvert l'iode et j'ai commencé les tests, et j'ai découvert que 97% des gens avaient une carence en iode. La grande majorité est nettement déficiente, répondant aux normes de l'OMS de carence sévère en iode. Donc, j'ai ajouté de l'iode dans ce protocole.
Ma dose moyenne d'iode pour la plupart des gens est - s'ils n'ont pas de problèmes glandulaires tels que des problèmes de seins, de prostate, de thyroïde, de pancréas, d'ovaires, d'utérus - d'environ 12,5 milligrammes par jour. S'ils ont des problèmes avec ces glandes, ce serait plus.
La dose moyenne d’iode au cours des années que j’ai eu avec mes patients est de 25 milligrammes par jour. Et c’est une combinaison d’iode et d’iodure, qui se trouve dans la solution de Lugol. Cela a été rapidement ajouté à ce régime en quatre parties, et cela a fait une énorme différence. Les gens ont aimé ça. Ils se sentaient mieux avec ça.
Au fil du temps, il a découvert des histoires de cas décrivant le traitement de la pneumonie, de la bronchite et d'autres problèmes pulmonaires avec de l'iode nébulisé. En conséquence, il a ajouté cela à son régime antiviral également.
Si vous utilisez la solution de Lugol à 5%, ajoutez simplement une goutte dans votre nébuliseur après l'avoir rempli avec la solution de peroxyde diluée. Si vous utilisez la solution à 2% de Lugol, disponible en vente libre, ajoutez deux gouttes. Bien sûr, cela devrait être fait avec une consultation médicale.
Peroxyde IV, vitamine C et ozone
Quelques années plus tard, il est tombé sur le peroxyde d'hydrogène, qui peut être utilisé à la fois par voie intraveineuse et dans un nébuliseur. Le fait que votre corps produit naturellement d'énormes quantités de peroxyde d'hydrogène dans toutes les cellules peut vous indiquer son importance.
«J'ai commencé à utiliser du peroxyde par voie intraveineuse et nébulisé, et j'ai mélangé le peroxyde nébulisé avec un iode nébulisé dans une solution. Pour les personnes développant des problèmes pulmonaires, une pneumonie, un cancer du poumon ou une BPCO, si elles toussaient, ne pouvaient pas respirer, si elles avaient une respiration sifflante et des choses comme ça, ajouter du peroxyde d'hydrogène nébulisé à 0,04% de dilution et une goutte de solution de Lugol à 5%, qui fournit 6,25 milligrammes d'iode, a vraiment aidé beaucoup de gens.
Finalement, il a commencé à ajouter de la vitamine C IV, du peroxyde d'hydrogène et de la thérapie à l'ozone. Lorsque le COVID-19 a éclaté l'hiver 2020, Brownstein a décidé d'essayer ce protocole antiviral de base, constatant qu'il fonctionnait aussi bien contre l'infection par le SRAS-CoV-2 que toute autre infection virale.
Lors de la première vague de mars et avril 2020, aucun des membres du personnel qui ont continué à travailler n'est tombé malade. Finalement, un membre du personnel est tombé malade, déclenchant une cascade d'infections parmi le personnel. Tous ont été traités et tous récupérés avec succès. «Nous avons maintenant un bureau d'immunité des troupeaux», dit Brownstein. «Quatre-vingt-sept pour cent d'entre nous ont des anticorps contre le COVID-19.»
Principes de base du peroxyde nébulisé
J'ai adopté le peroxyde nébulisé depuis que la pandémie de COVID-19 a éclaté et j'ai reçu de nombreux rapports anecdotiques de personnes qui l'ont utilisé avec succès, même à des stades plus avancés. Sur la base de l’expérience de Brownstein, je recommande désormais d’ajouter de l’iode lors de la nébulisation, car cela semble le rendre encore plus efficace.
Gardez à l'esprit que le peroxyde doit être dilué avec une solution saline. Je recommande de le diluer à 0,1%. Brownstein recommande de le diluer à 0,04%. Tom Levy recommande 3% et plus. Idéalement, utilisez du peroxyde d'hydrogène de qualité alimentaire, car il ne contient aucun stabilisant nocif. Si vous pré-diluez à 0,04%, il restera puissant pendant environ trois mois lorsqu'il est conservé au réfrigérateur. Si vous faites une dilution à 0,1%, il peut rester puissant un peu plus longtemps.
Si vous n’avez pas accès à une solution saline, vous pouvez préparer le vôtre en mélangeant une cuillère à café de sel non transformé (comme le sel de l’Himalaya, le sel celtique ou le vrai sel de Redmond) dans une pinte d’eau. Cela vous donnera une solution saline à 0,9%, ce qui correspond à peu près à la concentration trouvée dans les fluides corporels. En utilisant cette solution saline, vous diluerez ensuite le peroxyde d'hydrogène comme décrit dans ce tableau.
Ne mélangez pas le peroxyde avec de l'eau distillée pure, car cela pourrait potentiellement causer des dommages physiologiques. Vous avez besoin de sel là-dedans. Vous pouvez cependant préparer votre solution saline avec de l'eau distillée.
L'utilisation de petites quantités de peroxyde, que ce soit par voie intraveineuse ou par nébuliseur, n'a qu'un bon effet clinique. Je ne vois pas d'effets négatifs avec cela. ~ Dr David Brownstein Aussi, pour optimiser vos avantages, assurez-vous d'acheter un nébuliseur à jet électrique de table. Les versions portables à piles ne sont tout simplement pas aussi efficaces. Comme le souligne Brownstein, dans presque tous les cas où les patients ne s'amélioraient pas, ils utilisaient un nébuliseur portable. Une fois qu'ils ont obtenu une version plus puissante capable de pousser le peroxyde profondément dans les poumons, le traitement a commencé à fonctionner comme il se doit.
Je vous recommande fortement d’acheter tout ce dont vous avez besoin à l’avance, afin que vous puissiez vous faire plaisir ou faire plaisir à votre famille à tout moment. Vous ne voulez pas attendre des jours que votre commande arrive avant de commencer le traitement.
Mécanismes d'action
Qu'est-ce qui fait que ce traitement par nébulisation fonctionne si bien avec le peroxyde d'hydrogène? De toute évidence, le peroxyde ordinaire est un désinfectant topique qui tue les virus au contact. Mais il semble également avoir un effet de messager secondaire. Brownstein explique:
«C’est une thérapie oxydative. Nous sommes en quelque sorte tous conditionnés à ce que les antioxydants soient bons et les oxydants mauvais, mais en réalité, vous avez besoin d'un équilibre entre eux. C'est ce qu'on appelle un redox. C’est comme une balançoire. Vous avez besoin d'oxydants pour stimuler la dégradation des vieilles cellules, des tissus anciens et endommagés, et vous avez besoin d'antioxydants pour stimuler la réparation de ces vieilles cellules et de ces vieux tissus.
Ainsi, les oxydants ont un avantage. Ils stimulent la voie redox, et ce que je pense que nous obtenons avec le peroxyde d’hydrogène, l’ozone et la vitamine C à haute dose, c’est que vous stimulez cette voie redox pour déplacer les électrons.
Lorsque vous déplacez des électrons, vous pouvez fabriquer des molécules d'énergie, l'ATP, vous pouvez stimuler les cellules de réparation et les cellules STEM et faire bouger les choses à nouveau. Le corps humain produit une énorme quantité de peroxyde. Il est produit dans tout le corps dans chaque cellule. S'il s'agissait d'une thérapie oxydante dangereuse, pourquoi en produirions-nous autant?
L'utilisation de petites quantités de peroxyde, que ce soit par voie intraveineuse ou par nébuliseur, n'a qu'un bon effet clinique. Je ne vois pas d'effets négatifs avec cela. [La vitamine C également] stimule la production de peroxyde lorsque vous utilisez des doses élevées. »
En plus d'avoir des effets antiviraux, le peroxyde de nébulisation améliorera également l'oxygénation et la respiration en général, et peut être très utile pour les fumeurs. Cela a du sens car le peroxyde se décompose dans votre corps en eau et en oxygène. Brownstein pense qu'il a également un effet détoxifiant sur les poumons.
Il est intéressant de noter que Brownstein et ses collègues n’ont jamais utilisé aucun des régimes médicamenteux que de nombreux médecins ne jurent que par l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine.
Bien qu'il ait examiné la littérature scientifique, notant qu'il existe de nombreuses preuves pour étayer leur utilisation et leur sécurité, tous ses patients se sont rétablis sans eux, il n'a donc jamais eu recours à la prescription de l'un ou l'autre. Brownstein n'a même pas utilisé de zinc, qui est une intervention nutritionnelle de base pour les infections virales.
Pour les patients qui voyagent et s'inquiètent de contracter le COVID-19, il leur rappelle simplement d'apporter leur nébuliseur, du peroxyde d'hydrogène correctement dilué et de l'iode. De cette façon, ils peuvent nébuliser lorsqu'ils arrivent à destination, ce qui devrait éliminer efficacement tous les agents pathogènes auxquels ils auraient pu être exposés au cours de leurs voyages.
Remèdes à éviter
En plus de savoir quoi prendre et quoi faire, il est également important de savoir ce qu'il faut éviter. Les exemples incluent Tamiflu qui, lorsqu'il fonctionne, peut réduire la maladie symptomatique pendant seulement quelques heures au mieux, tout en présentant des risques d'effets secondaires importants. Brownstein déconseille également le Tylenol et d'autres antipyrétiques tels que l'aspirine et l'ibuprofène. La raison en est que vous ne voulez pas supprimer la capacité de votre corps à faire de la fièvre. Brownstein explique:
«La fièvre est là pour un but. Nous avons été parfaitement conçus pour survivre aux maladies virales, pour vivre jusqu'à la vieillesse et pour avoir une bonne fonction cérébrale jusqu'à la vieillesse. Si nous soutenons le corps, si nous lui donnons les nutriments de base dont il a besoin et les matières premières de base et le soutien dont il a besoin, il peut faire des choses vraiment cool.
Le problème est que dans le monde toxique dans lequel nous vivons, les enzymes sont empoisonnées et les récepteurs sont bloqués. Nous prenons tous ces médicaments qui empoisonnent les enzymes et bloquent les récepteurs. La fièvre est votre amie et la fièvre est là pour une raison. Les bactéries et les virus n'aiment pas une température corporelle élevée. C’est pourquoi le corps augmente la température lors d’une infection.
Il essaie de rendre l'environnement inhospitalier pour un agent pathogène. Donc, la pire chose que vous puissiez faire dans cette situation, à moins que la fièvre ne soit trop élevée - une fièvre supérieure à 103 degrés Fahrenheit, peut-être 103,5 104 F., peut causer des problèmes cérébraux et des convulsions et vous pouvez mourir d'une fièvre.
Mais la plupart des gens n’ont pas de fièvre aussi élevée quand ils sont malades. Ils ont des fièvres de bas grade, 99,5 à peut-être 101, 102 F. Je dis aux patients, ne prenez rien pour ça. Soutenez simplement le corps et laissez-le faire son travail.
Vous pouvez contrôler votre température beaucoup mieux que d'utiliser des antipyrétiques comme le Tylenol ou l'ibuprofène en prenant un bain tiède ou une éponge avec de l'eau tiède. Un bain aux sels d'Epsom a été très utile pour mes patients COVID, et cela a été utile pour d'autres maladies virales au fil des ans. "
Le problème avec Tylenol
Le Tylenol en particulier est également problématique pour d'autres raisons. Surtout, il empoisonne l'enzyme qui fabrique le glutathion, un antioxydant très puissant que votre corps produit par voie intracellulaire. Lorsque vous faites face à une infection bactérienne ou virale, vous voulez que votre corps produise plus de glutathion pour soutenir les cellules affectées. Si vous prenez Tylenol, vous bloquez ce processus.
L'utilisation de petites quantités de peroxyde, que ce soit par voie intraveineuse ou par nébuliseur, n'a qu'un bon effet clinique. Je ne vois pas d'effets négatifs avec cela. [La vitamine C également] stimule la production de peroxyde lorsque vous utilisez des doses élevées. »
En plus d'avoir des effets antiviraux, le peroxyde de nébulisation améliorera également l'oxygénation et la respiration en général, et peut être très utile pour les fumeurs. Cela a du sens car le peroxyde se décompose dans votre corps en eau et en oxygène. Brownstein pense qu'il a également un effet détoxifiant sur les poumons.
Il est intéressant de noter que Brownstein et ses collègues n’ont jamais utilisé aucun des régimes médicamenteux que de nombreux médecins ne jurent que par l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine.
Bien qu'il ait examiné la littérature scientifique, notant qu'il existe de nombreuses preuves pour étayer leur utilisation et leur sécurité, tous ses patients se sont rétablis sans eux, il n'a donc jamais eu recours à la prescription de l'un ou l'autre. Brownstein n'a même pas utilisé de zinc, qui est une intervention nutritionnelle de base pour les infections virales.
Pour les patients qui voyagent et s'inquiètent de contracter le COVID-19, il leur rappelle simplement d'apporter leur nébuliseur, du peroxyde d'hydrogène correctement dilué et de l'iode. De cette façon, ils peuvent nébuliser lorsqu'ils arrivent à destination, ce qui devrait éliminer efficacement tous les agents pathogènes auxquels ils auraient pu être exposés au cours de leurs voyages.
Remèdes à éviter
En plus de savoir quoi prendre et quoi faire, il est également important de savoir ce qu'il faut éviter. Les exemples incluent Tamiflu qui, lorsqu'il fonctionne, peut réduire la maladie symptomatique pendant seulement quelques heures au mieux, tout en présentant des risques d'effets secondaires importants. Brownstein déconseille également le Tylenol et d'autres antipyrétiques tels que l'aspirine et l'ibuprofène. La raison en est que vous ne voulez pas supprimer la capacité de votre corps à faire de la fièvre. Brownstein explique:
«La fièvre est là pour un but. Nous avons été parfaitement conçus pour survivre aux maladies virales, pour vivre jusqu'à la vieillesse et pour avoir une bonne fonction cérébrale jusqu'à la vieillesse. Si nous soutenons le corps, si nous lui donnons les nutriments de base dont il a besoin et les matières premières de base et le soutien dont il a besoin, il peut faire des choses vraiment cool.
Le problème est que dans le monde toxique dans lequel nous vivons, les enzymes sont empoisonnées et les récepteurs sont bloqués. Nous prenons tous ces médicaments qui empoisonnent les enzymes et bloquent les récepteurs. La fièvre est votre amie et la fièvre est là pour une raison. Les bactéries et les virus n'aiment pas une température corporelle élevée. C’est pourquoi le corps augmente la température lors d’une infection.
Il essaie de rendre l'environnement inhospitalier pour un agent pathogène. Donc, la pire chose que vous puissiez faire dans cette situation, à moins que la fièvre ne soit trop élevée - une fièvre supérieure à 103 degrés Fahrenheit, peut-être 103,5 104 F., peut causer des problèmes cérébraux et des convulsions et vous pouvez mourir d'une fièvre.
Mais la plupart des gens n’ont pas de fièvre aussi élevée quand ils sont malades. Ils ont des fièvres de bas grade, 99,5 à peut-être 101, 102 F. Je dis aux patients, ne prenez rien pour ça. Soutenez simplement le corps et laissez-le faire son travail.
Vous pouvez contrôler votre température beaucoup mieux que d'utiliser des antipyrétiques comme le Tylenol ou l'ibuprofène en prenant un bain tiède ou une éponge avec de l'eau tiède. Un bain aux sels d'Epsom a été très utile pour mes patients COVID, et cela a été utile pour d'autres maladies virales au fil des ans. "
Le problème avec Tylenol
Le Tylenol en particulier est également problématique pour d'autres raisons. Surtout, il empoisonne l'enzyme qui fabrique le glutathion, un antioxydant très puissant que votre corps produit par voie intracellulaire. Lorsque vous faites face à une infection bactérienne ou virale, vous voulez que votre corps produise plus de glutathion pour soutenir les cellules affectées. Si vous prenez Tylenol, vous bloquez ce processus.
«Tylenol a également une fenêtre de toxicité très étroite, ce qui signifie que si vous dépassez la dose recommandée sur l'étiquette, mais pas de beaucoup, vous pouvez obtenir la toxicité du Tylenol. Le foie commence à se décomposer et les gens en meurent », prévient Brownstein.
«Le traitement de la toxicité du Tylenol est la N-acétylcystéine intraveineuse (NAC), qui est le précurseur de la fabrication du glutathion. Alors, je dis à mes patients d'éviter de prendre Tylenol. J'en ai vraiment fait un point avec COVID-19, car ils avaient besoin de production de glutathion.
Et pour ce qui est du Motrin, de l'ibuprofène et de l'aspirine, au début de la crise, j'ai vu trois patients qui m'ont dit qu'ils prenaient la première dose de Motrin pour une fièvre, ils se sont effondrés, leur système est allé en enfer, ils avaient du mal à respirer . Tout s'est aggravé une heure ou deux après cette première dose d'ibuprofène.
Un premier article a émis l'hypothèse que la prise d'ibuprofène et d'AINS pourrait aggraver le COVID-19 car il peut affecter le récepteur ACE2 et rendre le virus plus susceptible de s'y accrocher. Cela n’a pas vraiment été prouvé. Je pense que c’est davantage [parce que] vous bloquez la réaction naturelle du corps à la fièvre et ce n’est tout simplement pas une bonne chose à faire. »
Retour aux sources
Brownstein souligne qu’il ne s’agit pas seulement de prendre certains suppléments ou de nébuliser lorsque vous êtes malade. Vous devez également nettoyer votre alimentation. Le meilleur traitement est la prévention, que vous obtiendrez grâce à une alimentation appropriée et un mode de vie sain au quotidien.
Cela dit, lorsque vous tombez gravement malade, si vous n’avez pas déjà éliminé les aliments transformés, qui sont chargés de sucre et de graisses nocives, en particulier l’acide linoléique oméga-6 (LA), c’est le moment de le faire.
La recherche suggère en fait que la LA hydrogénée peut considérablement augmenter votre risque de COVID-19 parce que la LA fait partie de la stratégie utilisée par le virus SARS COV-2 pour infecter vos cellules. Je décris cela dans "Le type de graisse que vous mangez affecte votre risque de COVID." Ainsi, vous voudrez limiter considérablement les huiles végétales et autres sources de LA et vous concentrer sur les aliments entiers biologiques.
Ensemble, manger «propre» et remédier à toute carence nutritionnelle que vous pourriez avoir (et le dépistage est la meilleure façon de le déterminer) peut contribuer grandement à prévenir les infections graves. Comme l'a noté Brownstein:
«Vous devez avoir un système immunitaire fort. Un meilleur système immunitaire combattra tout ce à quoi vous êtes confronté. Et regardez, SARS COVID-2 est là maintenant. Il va y avoir le SRAS-CoV-3, le CoV-4 ou le CoV-5 ou une autre maladie qui existe, alors nous devons avoir un système immunitaire fort. "
Pour en savoir plus, assurez-vous de vous procurer un exemplaire de «Une approche holistique des virus». Vous pouvez également trouver plus d'informations sur l'iode, la thérapie à l'ozone et bien plus sur son site Web, www.DrBrownstein.com.
Sources and References
1 Science, Public Health Policy, and the Law July 2020; 2: 4-22 (PDF)
Par Paul Craig Roberts PaulCraigRoberts.org 22 février 2021
Il n'y a aucune base scientifique pour les mesures en place pour faire face à la prétendue pandémie de Covid. Parmi les experts, le soutien à ces mesures est largement limité à ceux qui ont des liens financiers avec les sociétés pharmaceutiques. Les bureaucrates de la santé publique, tels que Fauci au NIH, sont également liés aux sociétés pharmaceutiques. Les praticiens médicaux prennent leurs conseils d'une autorité approuvée, ce qui signifie NIH, CDC, OMS, tous compromis avec des conflits d'intérêts. Se conformer à ces institutions compromises offre une protection en matière de responsabilité que ne s'appuie pas sur des conseils d'experts indépendants.
Mille cinq cents experts du monde entier se sont réunis pour contester les mesures de Covid comme «une fraude scientifique mondiale aux proportions sans précédent». Voici leur déclaration.
Est-il prudent de supposer que les bureaucrates de santé publique compromis ayant des liens avec des sociétés pharmaceutiques en savent plus et sont plus dignes de confiance que les experts indépendants?
Quel est le véritable programme derrière la tromperie Covid ? Il ne s’agit manifestement pas de santé publique.
Comment les médias ont-ils été orchestrés pour déplaquer et censurer les experts qui contestent les mesures de Covid manifestement infructueuses ? Cela devrait vous rendre instantanément méfiant lorsque des presstituts scientifiquement ignorants et totalement compromis rejettent les experts indépendants dissidents comme des «théoriciens du complot».
Pourquoi aucune discussion publique de la situation n'est-elle possible? Si les mesures Covid pouvaient être examinées, il n'y aurait pas de censure.
De toute évidence, un ordre du jour non déclaré nous est bousculé.
Dans cet article, le Dr Pascal Sacre explique pourquoi le test PCR entraîne une énorme exagération du nombre d'infections Covid et sert ainsi à l'affirmation d'une pandémie et à la création d'une peur qui pousse les gens à accepter des mesures tyranniques.
Le fait que des experts scientifiques indépendants aient été exclus du débat public devrait vous dire à quel point les gouvernements du monde sont complètement corrompus.
Le NY Times rappelle une épidémie de mensonges PCR
Par Jon Rappoport Le blog de Jon Rappoport 22 février 2021
Cet article fait partie d'une série d'articles [1] que je publie - dans le but de dénoncer la fraude par PCR.
La guerre contre l'humanité repose sur ce test. Si le test échoue, tout le récit officiel du COVID se dissout sous nos yeux.
Vous pouvez effectuer un service précieux en diffusant ces informations dans le monde entier.
NY Times, 22 janvier 2007, «Faith in Quick [PCR] Tests mène à une épidémie qui ne l’était pas». [2] [3]
«Dr. Brooke Herndon, interniste au Dartmouth-Hitchcock Medical Center, ne pouvait pas arrêter de tousser… Fin avril, d'autres agents de santé de l'hôpital toussaient… »
«Pendant des mois, presque toutes les personnes impliquées pensaient que le centre médical avait eu une énorme poussée de coqueluche, avec des ramifications importantes. Près de 1 000 agents de santé de l'hôpital du Liban, dans le New Hampshire, ont subi un test préliminaire et ont été absents du travail jusqu'à ce que leurs résultats soient connus; 142 personnes, dont le Dr Herndon, ont été informées qu'elles semblaient avoir la maladie; et des milliers ont reçu des antibiotiques et un vaccin pour se protéger. Des lits d'hôpitaux ont été mis hors service, dont certains en soins intensifs.
«Puis, environ huit mois plus tard, les agents de santé ont été stupéfaits de recevoir un message électronique de l'administration de l'hôpital les informant que tout cela était une fausse alerte.
«Maintenant, en regardant en arrière sur l'épisode, les épidémiologistes et les spécialistes des maladies infectieuses disent que le problème était qu'ils avaient trop confiance dans un test moléculaire rapide et très sensible [PCR] qui les a induits en erreur.
«Il n'y a pas de données nationales sur les pseudo-épidémies causées par une dépendance excessive sur ces tests moléculaires, a déclaré le Dr Trish M. Perl, épidémiologiste chez Johns Hopkins et ancien président de la Society of Health Care Epidemiologists of America. Mais, dit-elle, des pseudo-épidémies se produisent tout le temps. L'affaire Dartmouth a peut-être été l'une des plus importantes, mais ce n'était en aucun cas une exception, a-t-elle déclaré.
«Bon nombre des nouveaux tests moléculaires [PCR] sont rapides mais techniquement exigeants, et chaque laboratoire peut les faire à sa manière. Ces tests, appelés «bières maison», ne sont pas disponibles dans le commerce et il n’existe pas de bonnes estimations de leurs taux d’erreur. Mais leur sensibilité même rend les faux positifs probables, et lorsque des centaines ou des milliers de personnes sont testées, comme cela s'est produit à Dartmouth, les faux positifs peuvent donner l'impression qu'il y a une épidémie.
«Vous êtes dans un petit coin de no man's land», avec les nouveaux tests moléculaires [PCR], a déclaré le Dr Mark Perkins, spécialiste des maladies infectieuses et directeur scientifique de la Foundation for Innovative New Diagnostics, une fondation à but non lucratif soutenue par la Fondation Bill et Melinda Gates. "Tous les paris sont ouverts sur les performances exactes". "
«Avec la coqueluche, elle [Dr. Kretsinger, CDC] a déclaré: «Il y a probablement 100 P.C.R. protocoles et méthodes utilisés dans tout le pays », et on ne sait pas à quelle fréquence l’un d’entre eux est exact. «Nous avons eu un certain nombre d’épidémies où nous pensons que malgré la présence de résultats positifs à la RCP, la maladie n’était pas la coqueluche», a ajouté le Dr Kretsinger.
«Dr. Cathy A. Petti, spécialiste des maladies infectieuses à l'Université de l'Utah, a déclaré que l'histoire avait une leçon claire.
«Le grand message est que chaque laboratoire est vulnérable aux faux positifs», a déclaré le Dr Petti. «Aucun résultat de test n’est absolu et c’est encore plus important avec un résultat de test basé sur P.C.R». »
À PRENDRE À PARTIR DU TEMPS: Aucune étude d'envergure validant l'uniformité des résultats de la PCR, d'un laboratoire à l'autre, n'a jamais été réalisée. Au moins une douzaine d'études de très grande envergure auraient dû vérifier l'uniformité des résultats avant de diffuser le RAP auprès du public; mais non, ce n'était pas le cas. Ce n'est toujours pas le cas. En outre, l'extrême sensibilité du test provoque BEAUCOUP de faux positifs.
Imaginez maintenant que les informations scandaleuses de cet article du NY Times apparaissent partout - sur les réseaux sociaux, les blogs, les sites Web, etc. Ce serait terrible pour Bill Gates, Fauci et d'autres grands dirigeants de la Holy Church of Biological Mysticism.
Les dirigeants politiques et les experts en santé publique auraient entre leurs mains une réfutation majeure de tout leur discours sur la «pandémie mortelle».
California Nurses sponsorise le projet de loi imposant des soins de santé gratuits pour tous
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 21 FÉV 2021 - 16:55 Rédigé par Mike Shedlock via MishTalk,
Les législateurs présentent un projet de loi qui rend obligatoire la gratuité des soins médicaux pour tous tout en élargissant la liste des éléments couverts.
Renouvelant son engagement dans la lutte plus large pour la justice des soins de santé, la California Nurses Association (CNA) a le plaisir de parrainer le projet de loi 1400 de l'Assemblée (Kalra), la loi californienne sur les soins de santé garantis pour tous (CalCare), qui garantirait des soins complets et de haute qualité. soins de santé à tous les résidents de Californie en tant que droit de l'homme. La mise en place du programme CalCare est un système de soins de santé amélioré de type Medicare for All.
Parrainé par l'AIIC et rédigé par l'assemblé Ash Kalra, AB 1400 veillera à ce que tous les Californiens, quels que soient leur emploi, leur revenu, leur statut d'immigration, leur race, leur sexe ou toute autre considération, puissent obtenir les soins de santé dont ils ont besoin, gratuitement au point de service. .
Les Californiens soutiennent massivement la transition vers un système de santé à payeur unique: 57% de tous les Californiens soutiennent le remplacement de l'assurance privée par une couverture garantie fournie par le gouvernement
Questions et réponses sur la couverture Q: Qu'est-ce qui est couvert ?
R: Services médicaux traditionnels, soins dentaires, couverture des médicaments sur ordonnance, soins de longue durée et traitement de la santé mentale et de la toxicomanie pour tous au point de service.
Il n'y aura pas de copay ou de franchise. Tout est totalement «gratuit».
Pression sur le gouverneur Gavin Newsom Le nouveau projet de loi à un seul payeur intensifie le péril politique de Newsom.
Vendredi, un groupe de législateurs démocrates a présenté une législation pour créer un système de soins de santé à payeur unique pour couvrir tous les Californiens, définissant immédiatement le plus grand débat sur la politique de santé de l'année et exerçant une énorme pression politique sur le gouverneur Gavin Newsom.
Le gouverneur démocrate fait face à la perspective de plus en plus probable d'une élection de rappel impulsée par les républicains plus tard cette année. La facture à payeur unique ajoute à son péril politique de la gauche s’il n’exprime pas son soutien, et de la droite s’il le fait.
Bien que la mesure n'attribue pas de prix à la refonte, une facture distincte à payeur unique qui a échoué en 2017 aurait coûté environ 400 milliards de dollars par an.
L'introduction d'une proposition à payeur unique cette année force Newsom dans une position délicate. Le gouverneur de premier mandat, qui a déclaré qu'il soutenait la création d'un système de soins de santé à payeur unique basé sur l'État lorsqu'il s'est présenté aux élections de gouverneur en 2018, s'est depuis éloigné, exprimant le doute que la Californie puisse se lancer seule dans une transformation aussi massive. .
Comment payons-nous ces trucs gratuits ? Personne ne semble avoir de réponse à l'exception d'Ash Kalra qui prétend que le système sera rentabilisé après avoir réacheminé les dollars fédéraux pour Medicare, Medicaid et d'autres programmes vers CalCare.
Le système coûterait finalement moins cher, a-t-il dit, car il simplifierait le financement des soins de santé, mettrait fin aux soins à but lucratif et éliminerait les intermédiaires privés.
Le gouvernement (les contribuables) payant chaque facture, quelles forces réduisent les coûts (infirmières, lits, médecins, médicaments, opérations, etc.) ?
Quelles forces empêchent les procédures inutiles ?
Ce projet de loi est une folie fiscale.
Où est dirigé ce projet de loi ? Probablement nulle part, mais nous parlons de la Californie, il est donc impossible d'exclure cela.
Allons-nous vers une crise climatique de grande ampleur ?
RépondreSupprimerle 21 février 2021
Mes fidèles lecteurs ont bien compris que je ne crois pas un mot de la théorie de l’effet de serre du gaz carbonique inspirée par des travaux d’Arrhenius largement contestés par la communauté scientifique. Diverses modélisations de l’évolution du climat ont conduit à des prédictions apocalyptiques qui trainent dans les médias du monde entier, prévisions agrémentées d’évidentes malhonnêtetés scientifiques comme la fameuse courbe en crosse de hockey, un subterfuge dont s’inspirèrent les décideurs politiques lors de la mise en place de l’accord international (non contraignant) conclu à Paris en 2015. Ces prédictions, ces modélisations et toutes sortes d’autres publicités mensongères comme la disparition des ours polaires ou des coraux ou encore de 60 % de la faune terrestre ont contribué à transformer cette fraude initiale de l’effet de serre du gaz carbonique s’auto-alimentant comme par magie en un dogme, une croyance irrationnelle en laquelle la majorité de l’humanité croit. Et si par hasard quelqu’un exprimait quelque doute il est vite rappelé à l’ordre. Par exemple la vague de blizzard qui a mis à genoux l’un des Etats américains les plus riches a été expliquée par ces faiseurs de contes comme étant une directe conséquence du réchauffement du climat qui perturbe l’équilibre entre les masses d’air polaire et celles de la zone intertropicale. J’ai tenté sans succès de trouver une explication, scientifique, à cette nouvelle affirmation non pas sortie de la tête d’une climatologue confirmé mais du chapeau d’un prestidigitateur de cirque.
Le Texas compte parmi les leaders mondiaux de la fameuse « transition énergétique » bien que cette région nord-américaine regorge d’hydrocarbures. Entre les panneaux solaires et les moulins à vent il paraissait improbable sur le papier qu’un événement tel que la vague de blizzard de ces dix derniers jours puisse remettre en question cette décision des autorités politiques d’un abaissement drastique des émissions de carbone en développant massivement ces énergies dites vertes. Pas de chance ! La nature a montré qu’elle restait maître de la météorologie et par voie de conséquence du climat. Toutes les décisions irrationnelles que pourront adopter les pauvres bipèdes négligeables que nous sommes n’y feront rien : LE moteur des variations du climat est le seul Soleil avec ses propres variations d’activité dont les effets échappent à tout contrôle de la part de l’humanité.
Le climat terrestre est entré dans une phase d’instabilité identique à celle que connut l’humanité au sortir de l’optimum climatique médiéval (950-1200), une période d’une prospérité jamais atteinte auparavant. Les températures moyennes étaient de 2 à 2,5 degrés plus élevées qu’aujourd’hui et l’abondance des récoltes favorisa un accroissement exponentiel des populations. Ce fut en Europe l’époque des cathédrales. Dès le début du XIIIe siècle ce climat entra dans une longue période d’instabilité avec des alternances de sécheresses aux conséquences dévastatrices et d’hivers rigoureux, période instable ponctuée néanmoins de petits épisodes de calme relatif durant 20 à 30 ans. Toute cette période a été savamment occultée par les fonctionnaires de l’IPCC car cette variation climatique, un réchauffement si l’on considère les siècles qui l’ont précédé, n’avait rien à voir avec les émissions de gaz carbonique provoquées par l’activité humaine. Cette longue période d’instabilité climatique qui suivit était le signe avant-coureur du « petit âge glaciaire » qui s’étendit de la fin du XVIe siècle jusqu’à la fin du XIXe siècle. Il s’ensuivit l’optimum climatique moderne d’environ 40 ans qui est centré sur les années 1920. Malgré un autre sursaut des températures globales moyennes durant une trentaine d’années (1970-2000) cette évolution s’est figée depuis plus de 20 ans, le fameux « hiatus » inexplicable pour les experts de l’IPCC puisque les fameuses émissions de gaz carbonique ont continué de plus belle.
Les instabilités météorologiques que l’on connait depuis maintenant près de 20 ans peuvent être le signe d’un changement radical de la nature du climat. Ce changement, compte tenu des observations du passé, pourrait conduire à un nouvel épisode de réchauffement. Malheureusement pour nous, petits homoncules négligeables, il s’agira d’un refroidissement progressif auquel nous ne sommes pas préparés, il n’y a qu’à constater la catastrophe texane. Et qui dit refroidissement dit aussi consommation accrue d’énergie tout simplement pour se chauffer dans les régions dites tempérées. Refroidir son logement l’été répond à une sorte de confort mais n’est pas vital. Chauffer son logement durant l’hiver est beaucoup plus critique. Ce sont des situations qui au fil des années à venir vont devenir de plus en plus fréquentes avec, en miroir, des étés plus chauds et plus secs. Il y a pire encore si on examine les compilations faites par Leroy Ladurie relatives aux chroniques de la période qui suivit l’optimum climatique médiéval, les hivers furent, certes plus rigoureux, mais les printemps et les automnes furent pluvieux et dévastèrent les récoltes. C’est ce à quoi on assiste aujourd’hui en Amérique du Nord et la prochaine victime de cette instabilité du climat sera l’Europe si ce n’est déjà le cas.
RépondreSupprimerIl apparaît urgent que les décideurs politiques changent leur fusil d’épaule et songent à équiper leur pays de sources d’énergie fiables car des récoltes incapables en volume de satisfaire la faim des peuples risqueraient d’accélérer un chaos social : quand le peuple a faim il devient incontrôlable et tout simplement dangereux. Nous sommes à la vielle d’un changement du climat et la transition énergétique si chère à nos politiciens devrait plutôt s’orienter vers la mise en place d’infrastructures fiables pour faire face à ce changement. Ce que n’a pas fait le Texas …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/02/21/allons-nous-vers-une-crise-climatique-de-grande-ampleur/
Je rappelle que SEULS les volcans terrestres peuvent envoyer si haut (stratosphère) le gaz carbonique (le plus lourd de tous les gaz). Les gaz carbonique présent là où nous vivons viennent des animaux, des humains et des combustions mais demeurent au sol et ne peuvent donc constituer des gaz 'à effet de serre' ! Hahaha !
SupprimerQuant aux inaccessibles gaz qui circulent en stratosphère, ils ne constituent bien évidement aucun 'effet de serre' de par leur éparpillement et leur recyclage permanent comme sur terre.
Facture salée pour un Américain ayant laissé la lumière allumée durant une tempête
RépondreSupprimer18:02 21.02.2021
Un vétéran américain a dû sacrifier ses économies pour payer sa facture d’électricité, après la tempête hivernale au Texas qui a fait flamber les prix du courant.
Les prix de l’électricité ont explosé au Texas, suite à la tempête hivernale qui a frappé la région, rapporte le New York Times.
Scott Willoughby, un Américain de 63 ans, a ainsi reçu une facture de 16.752 dollars (13.800 euros), soit 70 fois plus que ses dépenses habituelles, après les intempéries à Dallas. Un gouffre financier pour ce vétéran qui vit essentiellement des aides sociales, et qui a dû vider son compte épargne pour régler la note.
En effet, la tempête qui s’est abattue sur le Texas et la vague de froid qui a suivi ont fait au moins 58 morts, mais ont également dévasté le réseau électrique et gelé la production de gaz naturel. Entre pannes du réseau et demande croissante, plusieurs Américains se sont retrouvés sans électricité, alors que d’autres ont été forcés de payer le kilowattheure au prix fort.
DeAndré Upshaw, un autre habitant de Dallas, s’est vu facturé 6.700 dollars, alors qu’il paie généralement 80 dollars par mois à cette période de l'année. Il fustige cette hausse soudaine des prix.
«C'est un service public, c'est quelque chose dont vous avez besoin pour vivre. Je n'ai pas l'impression d'avoir utilisé 6.700 dollars d'électricité au cours de la dernière décennie. Ce n’est pas un coût que toute personne censée devrait payer pour cinq jours de service électrique intermittent, utilisé au strict minimum», déclare-t-il au New York Times.
Marché non réglementé
Cette flambée des tarifs de l’électricité est due aux intempéries mais également au marché de l’énergie texan, non réglementé, qui permet à chaque consommateur de choisir son fournisseur, parmi près de 220 détaillants, explique le média.
Les principaux foyers touchés étaient d’ailleurs des clients de la compagnie Griddy, qui fournit de l'électricité à des prix de gros, ceux-ci pouvant varier rapidement en fonction de l'offre et de la demande.
Prévoyant une hausse de ces prix de gros, la compagnie avait même encouragé ses clients à changer de fournisseur avec l’arrivée des intempéries, mais tous ne s’y sont pas résolus, poursuit le NYT.
Responsabilité des autorités?
Certains s’interrogent également sur le rôle joué par la Commission des services publics du Texas, qui a relevé le plafond des prix jusqu’à la limite maximale de neuf dollars par kilowattheure.
Selon le quotidien, la manœuvre visait à rétablir l’équilibre du marché, en encourageant les utilisateurs à réduire leur consommation d’électricité et les fournisseurs à en distribuer plus.
Mais la situation s’est éternisée. Dans un communiqué, Griddy accuse ainsi la Commission d’avoir continué à forcer sur les prix, alors que 99% des foyers avaient retrouvé l’électricité, et que la production dépassait les standards minimaux.
Face au tollé provoqué par cette hausse des prix, le gouverneur Greg Abbott a finalement tenu une réunion d’urgence avec les législateur samedi 20 février. Une intervention de l’État pour «réduire le fardeau» de ces factures d’énergie a été discutée, rapporte un communiqué.
C'est exactement ce qui va se passer en Europe avec l'abandon du nucléaire propre et bon marché pour les énergies intermittentes et très insuffisantes pour tous. Faute de Démocratie c'est la dictature qui est subie.
SupprimerPeroxyde nébulisé - Un remède simple pour COVID-19
RépondreSupprimerPar Joseph Mercola
Mercola.com
22 février 2021
Le Dr David Brownstein, qui possède une clinique juste à l'extérieur de Detroit, au Michigan, a traité avec succès plus de 200 patients avec ce qui est devenu mon intervention préférée pour le COVID-19 et d'autres infections des voies respiratoires supérieures, à savoir le peroxyde d'hydrogène nébulisé.
Une série de cas consécutifs examinés par des pairs de 107 patients COVID-19 traités avec du peroxyde nébulisé et d'autres remèdes, y compris les vitamines orales A, C et D, l'iode, le peroxyde d'hydrogène et l'iode intraveineux ainsi que la vitamine C intraveineuse (IV), ainsi que par voie intramusculaire ozone, a été publié dans le numéro de juillet 2020 de Science, Public Health Policy, and the Law.1 Tous les patients ont survécu.
Peroxyde et iode nébulisés
Au moment de cet entretien, le nombre de patients traités avec succès avec ces stratégies entièrement naturelles dépasse 230, et il a maintenant publié un livre décrivant son approche, intitulé «Une approche holistique des virus».
«[Parmi] nos [COVID-19] patients, nous n'avons eu aucun décès», dit-il. «Nous avons eu quelques hospitalisations, mais beaucoup moins importantes que ce que devraient être les statistiques rapportées. Et nous utilisons toujours le même protocole que nous utilisons depuis plus de 25 ans pour la grippe et les maladies pseudo-grippales.
Un patient que j'ai appelé au cours du week-end m'a dit: `` Il y a deux choses dans ce que vous m'avez donné qui m'ont vraiment fait me sentir mieux. '' Je lui ai donné tout le protocole de vitamine A, C, D par voie orale et d'iode et de peroxyde nébulisé. et l'iode.
Il a dit: «J’ai oublié d’utiliser l’iode le premier ou les deux premiers jours. Quand vous m'avez posé des questions à ce sujet, je l'ai rajouté oralement. Cela a fait la différence. Mon mucus s'est éclairci, ma respiration était meilleure. J'ai oublié de mettre l'iode dans le nébuliseur [aussi], et [quand] j'ai fait les deux en même temps - l'iode oral et le peroxyde d'hydrogène nébulisé avec de l'iode - tout s'est éclairci… »
Sa respiration était à 80%, 90% meilleure peu de temps après la première ou la deuxième dose d'iode. C'est une autre réussite que nous avons eue, qui soutient le système immunitaire des gens pendant ces périodes de maladie virale ... J'implorerais mes collègues d'ajouter de l'iode dans le régime que vous utilisez pour traiter les patients atteints de maladies pseudo-grippales telles que COVID-19 [FEMININE."
Un traitement précoce élimine pratiquement le syndrome des longs trajets
Dans mon récent entretien avec le Dr Vladimir Zelenko, dans lequel nous discutons du traitement à l'hydroxychloroquine, il a souligné qu'aucun des patients traités dans les cinq premiers jours suivant l'apparition des symptômes n'a développé un syndrome de longue distance.
Cela a également été l'expérience de Brownstein. Sur les 107 premiers patients inclus dans son rapport de cas, 2 % ont développé un syndrome long-courrier. Cela contraste fortement avec les 20% à 40% rapportés ailleurs, note-t-il.
«L’énorme désastre du COVID-19 que l’histoire nous dira un jour, ce sont les pouvoirs qui nous disent que nous ne pouvons rien faire. Restez à la maison, enfermez-vous dans votre sous-sol, mettez-vous en quarantaine de votre famille, portez votre masque, distance sociale - c'est tout. Pas de thérapies, rien, attendez que le vaccin sorte.
Cela a entraîné plus de 400 000 décès. Peut-être que le nombre de morts est exagéré, mais beaucoup de gens sont morts parce que les gouvernements et les pouvoirs en place, l'AMA et tout le monde là-bas, ont dit: "Vous ne pouvez rien offrir '' et "N'offrez rien parce que cela n'a pas «Je n'ai pas été soumis à des études randomisées, en double aveugle, contrôlées par placebo… et si les médecins le font, nous allons les censurer et les tenir responsables.« Cela a été le plus grand désastre de tout cela », dit Brownstein.
RépondreSupprimerLa plupart sont déficients en stimulateurs immunitaires de base
Il est important de reconnaître que tant que votre système immunitaire est à la hauteur, votre corps peut vaincre la plupart sinon tous les envahisseurs viraux. Et le fonctionnement de votre système immunitaire dépend d'une bonne nutrition, et non de médicaments ou de vaccins. L’utilisation par Brownstein de suppléments nutritionnels et d’autres stratégies de renforcement immunitaire remonte à des décennies, bien avant que les antiviraux ne soient disponibles.
Il souligne qu'une grande majorité des gens ont de faibles niveaux de vitamine C, par exemple, ce qui aide à la fois votre système immunitaire inné et adaptatif. Environ 90% de ses patients sont également déficients en vitamine D, qui est un autre régulateur immunitaire crucial. Vous avez des récepteurs de vitamine D dans votre système immunitaire inné et adaptatif. Une carence en vitamine D est également associée à une septicémie.
Beaucoup sont également carencés en vitamine A. Ici, le diable est dans les détails. Le bêta-carotène est une forme hydrosoluble de vitamine A qui ne fournit pas les avantages immunitaires de la vitamine A. Pour cela, vous avez besoin de la forme liposoluble. Alors, assurez-vous de prendre de la vitamine A émulsionnée.
«Le bêta-carotène ne fournit pas le système immunitaire affecte la vitamine A», dit Brownstein. «La vitamine A aide à minimiser la tempête de cytokines. Il aide à minimiser les facteurs inflammatoires… Il aide à réduire le TNF alpha. Et les globules blancs ont besoin de vitamine A comme partie intégrante de leur fonctionnement. Ainsi, cela aide les systèmes immunitaires innés et adaptatifs à se défendre. »
Vitamines A, C, D et iode
Depuis des décennies, Brownstein a prescrit des vitamines A, C et D à ses patients, et dès les premiers signes de maladie, il leur demande d'augmenter les doses à 100000 unités de vitamine A et 50000 unités de vitamine D3 par jour pendant quatre jours. , avec 1 000 milligrammes de vitamine C par heure pendant les heures de veille jusqu'à ce que les symptômes disparaissent.
«Ce sont les trois premières choses que j'ai faites», dit-il. «Ce que j'ai découvert, c'est que lorsque les gens ont la grippe ou une maladie pseudo-grippale, et qu'ils commencent à prendre ces trois choses immédiatement, ils guérissent en 24 heures. C'était incroyable.
Quelques années plus tard, j'ai découvert l'iode et j'ai commencé les tests, et j'ai découvert que 97% des gens avaient une carence en iode. La grande majorité est nettement déficiente, répondant aux normes de l'OMS de carence sévère en iode. Donc, j'ai ajouté de l'iode dans ce protocole.
RépondreSupprimerMa dose moyenne d'iode pour la plupart des gens est - s'ils n'ont pas de problèmes glandulaires tels que des problèmes de seins, de prostate, de thyroïde, de pancréas, d'ovaires, d'utérus - d'environ 12,5 milligrammes par jour. S'ils ont des problèmes avec ces glandes, ce serait plus.
La dose moyenne d’iode au cours des années que j’ai eu avec mes patients est de 25 milligrammes par jour. Et c’est une combinaison d’iode et d’iodure, qui se trouve dans la solution de Lugol. Cela a été rapidement ajouté à ce régime en quatre parties, et cela a fait une énorme différence. Les gens ont aimé ça. Ils se sentaient mieux avec ça.
Au fil du temps, il a découvert des histoires de cas décrivant le traitement de la pneumonie, de la bronchite et d'autres problèmes pulmonaires avec de l'iode nébulisé. En conséquence, il a ajouté cela à son régime antiviral également.
Si vous utilisez la solution de Lugol à 5%, ajoutez simplement une goutte dans votre nébuliseur après l'avoir rempli avec la solution de peroxyde diluée. Si vous utilisez la solution à 2% de Lugol, disponible en vente libre, ajoutez deux gouttes. Bien sûr, cela devrait être fait avec une consultation médicale.
Peroxyde IV, vitamine C et ozone
Quelques années plus tard, il est tombé sur le peroxyde d'hydrogène, qui peut être utilisé à la fois par voie intraveineuse et dans un nébuliseur. Le fait que votre corps produit naturellement d'énormes quantités de peroxyde d'hydrogène dans toutes les cellules peut vous indiquer son importance.
«J'ai commencé à utiliser du peroxyde par voie intraveineuse et nébulisé, et j'ai mélangé le peroxyde nébulisé avec un iode nébulisé dans une solution. Pour les personnes développant des problèmes pulmonaires, une pneumonie, un cancer du poumon ou une BPCO, si elles toussaient, ne pouvaient pas respirer, si elles avaient une respiration sifflante et des choses comme ça, ajouter du peroxyde d'hydrogène nébulisé à 0,04% de dilution et une goutte de solution de Lugol à 5%, qui fournit 6,25 milligrammes d'iode, a vraiment aidé beaucoup de gens.
Finalement, il a commencé à ajouter de la vitamine C IV, du peroxyde d'hydrogène et de la thérapie à l'ozone. Lorsque le COVID-19 a éclaté l'hiver 2020, Brownstein a décidé d'essayer ce protocole antiviral de base, constatant qu'il fonctionnait aussi bien contre l'infection par le SRAS-CoV-2 que toute autre infection virale.
RépondreSupprimerLors de la première vague de mars et avril 2020, aucun des membres du personnel qui ont continué à travailler n'est tombé malade. Finalement, un membre du personnel est tombé malade, déclenchant une cascade d'infections parmi le personnel. Tous ont été traités et tous récupérés avec succès. «Nous avons maintenant un bureau d'immunité des troupeaux», dit Brownstein. «Quatre-vingt-sept pour cent d'entre nous ont des anticorps contre le COVID-19.»
Principes de base du peroxyde nébulisé
J'ai adopté le peroxyde nébulisé depuis que la pandémie de COVID-19 a éclaté et j'ai reçu de nombreux rapports anecdotiques de personnes qui l'ont utilisé avec succès, même à des stades plus avancés. Sur la base de l’expérience de Brownstein, je recommande désormais d’ajouter de l’iode lors de la nébulisation, car cela semble le rendre encore plus efficace.
Gardez à l'esprit que le peroxyde doit être dilué avec une solution saline. Je recommande de le diluer à 0,1%. Brownstein recommande de le diluer à 0,04%. Tom Levy recommande 3% et plus. Idéalement, utilisez du peroxyde d'hydrogène de qualité alimentaire, car il ne contient aucun stabilisant nocif. Si vous pré-diluez à 0,04%, il restera puissant pendant environ trois mois lorsqu'il est conservé au réfrigérateur. Si vous faites une dilution à 0,1%, il peut rester puissant un peu plus longtemps.
Si vous n’avez pas accès à une solution saline, vous pouvez préparer le vôtre en mélangeant une cuillère à café de sel non transformé (comme le sel de l’Himalaya, le sel celtique ou le vrai sel de Redmond) dans une pinte d’eau. Cela vous donnera une solution saline à 0,9%, ce qui correspond à peu près à la concentration trouvée dans les fluides corporels. En utilisant cette solution saline, vous diluerez ensuite le peroxyde d'hydrogène comme décrit dans ce tableau.
Ne mélangez pas le peroxyde avec de l'eau distillée pure, car cela pourrait potentiellement causer des dommages physiologiques. Vous avez besoin de sel là-dedans. Vous pouvez cependant préparer votre solution saline avec de l'eau distillée.
L'utilisation de petites quantités de peroxyde, que ce soit par voie intraveineuse ou par nébuliseur, n'a qu'un bon effet clinique. Je ne vois pas d'effets négatifs avec cela. ~ Dr David Brownstein
Aussi, pour optimiser vos avantages, assurez-vous d'acheter un nébuliseur à jet électrique de table. Les versions portables à piles ne sont tout simplement pas aussi efficaces. Comme le souligne Brownstein, dans presque tous les cas où les patients ne s'amélioraient pas, ils utilisaient un nébuliseur portable. Une fois qu'ils ont obtenu une version plus puissante capable de pousser le peroxyde profondément dans les poumons, le traitement a commencé à fonctionner comme il se doit.
Je vous recommande fortement d’acheter tout ce dont vous avez besoin à l’avance, afin que vous puissiez vous faire plaisir ou faire plaisir à votre famille à tout moment. Vous ne voulez pas attendre des jours que votre commande arrive avant de commencer le traitement.
RépondreSupprimerMécanismes d'action
Qu'est-ce qui fait que ce traitement par nébulisation fonctionne si bien avec le peroxyde d'hydrogène? De toute évidence, le peroxyde ordinaire est un désinfectant topique qui tue les virus au contact. Mais il semble également avoir un effet de messager secondaire. Brownstein explique:
«C’est une thérapie oxydative. Nous sommes en quelque sorte tous conditionnés à ce que les antioxydants soient bons et les oxydants mauvais, mais en réalité, vous avez besoin d'un équilibre entre eux. C'est ce qu'on appelle un redox. C’est comme une balançoire. Vous avez besoin d'oxydants pour stimuler la dégradation des vieilles cellules, des tissus anciens et endommagés, et vous avez besoin d'antioxydants pour stimuler la réparation de ces vieilles cellules et de ces vieux tissus.
Ainsi, les oxydants ont un avantage. Ils stimulent la voie redox, et ce que je pense que nous obtenons avec le peroxyde d’hydrogène, l’ozone et la vitamine C à haute dose, c’est que vous stimulez cette voie redox pour déplacer les électrons.
Lorsque vous déplacez des électrons, vous pouvez fabriquer des molécules d'énergie, l'ATP, vous pouvez stimuler les cellules de réparation et les cellules STEM et faire bouger les choses à nouveau. Le corps humain produit une énorme quantité de peroxyde. Il est produit dans tout le corps dans chaque cellule. S'il s'agissait d'une thérapie oxydante dangereuse, pourquoi en produirions-nous autant?
L'utilisation de petites quantités de peroxyde, que ce soit par voie intraveineuse ou par nébuliseur, n'a qu'un bon effet clinique. Je ne vois pas d'effets négatifs avec cela. [La vitamine C également] stimule la production de peroxyde lorsque vous utilisez des doses élevées. »
En plus d'avoir des effets antiviraux, le peroxyde de nébulisation améliorera également l'oxygénation et la respiration en général, et peut être très utile pour les fumeurs. Cela a du sens car le peroxyde se décompose dans votre corps en eau et en oxygène. Brownstein pense qu'il a également un effet détoxifiant sur les poumons.
Il est intéressant de noter que Brownstein et ses collègues n’ont jamais utilisé aucun des régimes médicamenteux que de nombreux médecins ne jurent que par l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine.
Bien qu'il ait examiné la littérature scientifique, notant qu'il existe de nombreuses preuves pour étayer leur utilisation et leur sécurité, tous ses patients se sont rétablis sans eux, il n'a donc jamais eu recours à la prescription de l'un ou l'autre. Brownstein n'a même pas utilisé de zinc, qui est une intervention nutritionnelle de base pour les infections virales.
Pour les patients qui voyagent et s'inquiètent de contracter le COVID-19, il leur rappelle simplement d'apporter leur nébuliseur, du peroxyde d'hydrogène correctement dilué et de l'iode. De cette façon, ils peuvent nébuliser lorsqu'ils arrivent à destination, ce qui devrait éliminer efficacement tous les agents pathogènes auxquels ils auraient pu être exposés au cours de leurs voyages.
Remèdes à éviter
En plus de savoir quoi prendre et quoi faire, il est également important de savoir ce qu'il faut éviter. Les exemples incluent Tamiflu qui, lorsqu'il fonctionne, peut réduire la maladie symptomatique pendant seulement quelques heures au mieux, tout en présentant des risques d'effets secondaires importants. Brownstein déconseille également le Tylenol et d'autres antipyrétiques tels que l'aspirine et l'ibuprofène. La raison en est que vous ne voulez pas supprimer la capacité de votre corps à faire de la fièvre. Brownstein explique:
«La fièvre est là pour un but. Nous avons été parfaitement conçus pour survivre aux maladies virales, pour vivre jusqu'à la vieillesse et pour avoir une bonne fonction cérébrale jusqu'à la vieillesse. Si nous soutenons le corps, si nous lui donnons les nutriments de base dont il a besoin et les matières premières de base et le soutien dont il a besoin, il peut faire des choses vraiment cool.
RépondreSupprimerLe problème est que dans le monde toxique dans lequel nous vivons, les enzymes sont empoisonnées et les récepteurs sont bloqués. Nous prenons tous ces médicaments qui empoisonnent les enzymes et bloquent les récepteurs. La fièvre est votre amie et la fièvre est là pour une raison. Les bactéries et les virus n'aiment pas une température corporelle élevée. C’est pourquoi le corps augmente la température lors d’une infection.
Il essaie de rendre l'environnement inhospitalier pour un agent pathogène. Donc, la pire chose que vous puissiez faire dans cette situation, à moins que la fièvre ne soit trop élevée - une fièvre supérieure à 103 degrés Fahrenheit, peut-être 103,5 104 F., peut causer des problèmes cérébraux et des convulsions et vous pouvez mourir d'une fièvre.
Mais la plupart des gens n’ont pas de fièvre aussi élevée quand ils sont malades. Ils ont des fièvres de bas grade, 99,5 à peut-être 101, 102 F. Je dis aux patients, ne prenez rien pour ça. Soutenez simplement le corps et laissez-le faire son travail.
Vous pouvez contrôler votre température beaucoup mieux que d'utiliser des antipyrétiques comme le Tylenol ou l'ibuprofène en prenant un bain tiède ou une éponge avec de l'eau tiède. Un bain aux sels d'Epsom a été très utile pour mes patients COVID, et cela a été utile pour d'autres maladies virales au fil des ans. "
Le problème avec Tylenol
Le Tylenol en particulier est également problématique pour d'autres raisons. Surtout, il empoisonne l'enzyme qui fabrique le glutathion, un antioxydant très puissant que votre corps produit par voie intracellulaire. Lorsque vous faites face à une infection bactérienne ou virale, vous voulez que votre corps produise plus de glutathion pour soutenir les cellules affectées. Si vous prenez Tylenol, vous bloquez ce processus.
L'utilisation de petites quantités de peroxyde, que ce soit par voie intraveineuse ou par nébuliseur, n'a qu'un bon effet clinique. Je ne vois pas d'effets négatifs avec cela. [La vitamine C également] stimule la production de peroxyde lorsque vous utilisez des doses élevées. »
En plus d'avoir des effets antiviraux, le peroxyde de nébulisation améliorera également l'oxygénation et la respiration en général, et peut être très utile pour les fumeurs. Cela a du sens car le peroxyde se décompose dans votre corps en eau et en oxygène. Brownstein pense qu'il a également un effet détoxifiant sur les poumons.
RépondreSupprimerIl est intéressant de noter que Brownstein et ses collègues n’ont jamais utilisé aucun des régimes médicamenteux que de nombreux médecins ne jurent que par l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine.
Bien qu'il ait examiné la littérature scientifique, notant qu'il existe de nombreuses preuves pour étayer leur utilisation et leur sécurité, tous ses patients se sont rétablis sans eux, il n'a donc jamais eu recours à la prescription de l'un ou l'autre. Brownstein n'a même pas utilisé de zinc, qui est une intervention nutritionnelle de base pour les infections virales.
Pour les patients qui voyagent et s'inquiètent de contracter le COVID-19, il leur rappelle simplement d'apporter leur nébuliseur, du peroxyde d'hydrogène correctement dilué et de l'iode. De cette façon, ils peuvent nébuliser lorsqu'ils arrivent à destination, ce qui devrait éliminer efficacement tous les agents pathogènes auxquels ils auraient pu être exposés au cours de leurs voyages.
Remèdes à éviter
En plus de savoir quoi prendre et quoi faire, il est également important de savoir ce qu'il faut éviter. Les exemples incluent Tamiflu qui, lorsqu'il fonctionne, peut réduire la maladie symptomatique pendant seulement quelques heures au mieux, tout en présentant des risques d'effets secondaires importants. Brownstein déconseille également le Tylenol et d'autres antipyrétiques tels que l'aspirine et l'ibuprofène. La raison en est que vous ne voulez pas supprimer la capacité de votre corps à faire de la fièvre. Brownstein explique:
«La fièvre est là pour un but. Nous avons été parfaitement conçus pour survivre aux maladies virales, pour vivre jusqu'à la vieillesse et pour avoir une bonne fonction cérébrale jusqu'à la vieillesse. Si nous soutenons le corps, si nous lui donnons les nutriments de base dont il a besoin et les matières premières de base et le soutien dont il a besoin, il peut faire des choses vraiment cool.
Le problème est que dans le monde toxique dans lequel nous vivons, les enzymes sont empoisonnées et les récepteurs sont bloqués. Nous prenons tous ces médicaments qui empoisonnent les enzymes et bloquent les récepteurs. La fièvre est votre amie et la fièvre est là pour une raison. Les bactéries et les virus n'aiment pas une température corporelle élevée. C’est pourquoi le corps augmente la température lors d’une infection.
RépondreSupprimerIl essaie de rendre l'environnement inhospitalier pour un agent pathogène. Donc, la pire chose que vous puissiez faire dans cette situation, à moins que la fièvre ne soit trop élevée - une fièvre supérieure à 103 degrés Fahrenheit, peut-être 103,5 104 F., peut causer des problèmes cérébraux et des convulsions et vous pouvez mourir d'une fièvre.
Mais la plupart des gens n’ont pas de fièvre aussi élevée quand ils sont malades. Ils ont des fièvres de bas grade, 99,5 à peut-être 101, 102 F. Je dis aux patients, ne prenez rien pour ça. Soutenez simplement le corps et laissez-le faire son travail.
Vous pouvez contrôler votre température beaucoup mieux que d'utiliser des antipyrétiques comme le Tylenol ou l'ibuprofène en prenant un bain tiède ou une éponge avec de l'eau tiède. Un bain aux sels d'Epsom a été très utile pour mes patients COVID, et cela a été utile pour d'autres maladies virales au fil des ans. "
Le problème avec Tylenol
Le Tylenol en particulier est également problématique pour d'autres raisons. Surtout, il empoisonne l'enzyme qui fabrique le glutathion, un antioxydant très puissant que votre corps produit par voie intracellulaire. Lorsque vous faites face à une infection bactérienne ou virale, vous voulez que votre corps produise plus de glutathion pour soutenir les cellules affectées. Si vous prenez Tylenol, vous bloquez ce processus.
«Tylenol a également une fenêtre de toxicité très étroite, ce qui signifie que si vous dépassez la dose recommandée sur l'étiquette, mais pas de beaucoup, vous pouvez obtenir la toxicité du Tylenol. Le foie commence à se décomposer et les gens en meurent », prévient Brownstein.
«Le traitement de la toxicité du Tylenol est la N-acétylcystéine intraveineuse (NAC), qui est le précurseur de la fabrication du glutathion. Alors, je dis à mes patients d'éviter de prendre Tylenol. J'en ai vraiment fait un point avec COVID-19, car ils avaient besoin de production de glutathion.
Et pour ce qui est du Motrin, de l'ibuprofène et de l'aspirine, au début de la crise, j'ai vu trois patients qui m'ont dit qu'ils prenaient la première dose de Motrin pour une fièvre, ils se sont effondrés, leur système est allé en enfer, ils avaient du mal à respirer . Tout s'est aggravé une heure ou deux après cette première dose d'ibuprofène.
Un premier article a émis l'hypothèse que la prise d'ibuprofène et d'AINS pourrait aggraver le COVID-19 car il peut affecter le récepteur ACE2 et rendre le virus plus susceptible de s'y accrocher. Cela n’a pas vraiment été prouvé. Je pense que c’est davantage [parce que] vous bloquez la réaction naturelle du corps à la fièvre et ce n’est tout simplement pas une bonne chose à faire. »
RépondreSupprimerRetour aux sources
Brownstein souligne qu’il ne s’agit pas seulement de prendre certains suppléments ou de nébuliser lorsque vous êtes malade. Vous devez également nettoyer votre alimentation. Le meilleur traitement est la prévention, que vous obtiendrez grâce à une alimentation appropriée et un mode de vie sain au quotidien.
Cela dit, lorsque vous tombez gravement malade, si vous n’avez pas déjà éliminé les aliments transformés, qui sont chargés de sucre et de graisses nocives, en particulier l’acide linoléique oméga-6 (LA), c’est le moment de le faire.
La recherche suggère en fait que la LA hydrogénée peut considérablement augmenter votre risque de COVID-19 parce que la LA fait partie de la stratégie utilisée par le virus SARS COV-2 pour infecter vos cellules. Je décris cela dans "Le type de graisse que vous mangez affecte votre risque de COVID." Ainsi, vous voudrez limiter considérablement les huiles végétales et autres sources de LA et vous concentrer sur les aliments entiers biologiques.
Ensemble, manger «propre» et remédier à toute carence nutritionnelle que vous pourriez avoir (et le dépistage est la meilleure façon de le déterminer) peut contribuer grandement à prévenir les infections graves. Comme l'a noté Brownstein:
«Vous devez avoir un système immunitaire fort. Un meilleur système immunitaire combattra tout ce à quoi vous êtes confronté. Et regardez, SARS COVID-2 est là maintenant. Il va y avoir le SRAS-CoV-3, le CoV-4 ou le CoV-5 ou une autre maladie qui existe, alors nous devons avoir un système immunitaire fort. "
Pour en savoir plus, assurez-vous de vous procurer un exemplaire de «Une approche holistique des virus». Vous pouvez également trouver plus d'informations sur l'iode, la thérapie à l'ozone et bien plus sur son site Web, www.DrBrownstein.com.
Sources and References
1 Science, Public Health Policy, and the Law July 2020; 2: 4-22 (PDF)
https://www.lewrockwell.com/2021/02/joseph-mercola/nebulized-peroxide-a-simple-remedy-for-covid-19/
La tromperie Covid sert un programme non déclaré
RépondreSupprimerPar Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
22 février 2021
Il n'y a aucune base scientifique pour les mesures en place pour faire face à la prétendue pandémie de Covid. Parmi les experts, le soutien à ces mesures est largement limité à ceux qui ont des liens financiers avec les sociétés pharmaceutiques. Les bureaucrates de la santé publique, tels que Fauci au NIH, sont également liés aux sociétés pharmaceutiques. Les praticiens médicaux prennent leurs conseils d'une autorité approuvée, ce qui signifie NIH, CDC, OMS, tous compromis avec des conflits d'intérêts. Se conformer à ces institutions compromises offre une protection en matière de responsabilité que ne s'appuie pas sur des conseils d'experts indépendants.
Mille cinq cents experts du monde entier se sont réunis pour contester les mesures de Covid comme «une fraude scientifique mondiale aux proportions sans précédent». Voici leur déclaration.
Est-il prudent de supposer que les bureaucrates de santé publique compromis ayant des liens avec des sociétés pharmaceutiques en savent plus et sont plus dignes de confiance que les experts indépendants?
Quel est le véritable programme derrière la tromperie Covid ? Il ne s’agit manifestement pas de santé publique.
Comment les médias ont-ils été orchestrés pour déplaquer et censurer les experts qui contestent les mesures de Covid manifestement infructueuses ? Cela devrait vous rendre instantanément méfiant lorsque des presstituts scientifiquement ignorants et totalement compromis rejettent les experts indépendants dissidents comme des «théoriciens du complot».
Pourquoi aucune discussion publique de la situation n'est-elle possible? Si les mesures Covid pouvaient être examinées, il n'y aurait pas de censure.
De toute évidence, un ordre du jour non déclaré nous est bousculé.
Dans cet article, le Dr Pascal Sacre explique pourquoi le test PCR entraîne une énorme exagération du nombre d'infections Covid et sert ainsi à l'affirmation d'une pandémie et à la création d'une peur qui pousse les gens à accepter des mesures tyranniques.
Le fait que des experts scientifiques indépendants aient été exclus du débat public devrait vous dire à quel point les gouvernements du monde sont complètement corrompus.
Voir aussi ceci.
https://www.lewrockwell.com/2021/02/paul-craig-roberts/the-covid-deception-serves-an-undeclared-agenda/
Le NY Times rappelle une épidémie de mensonges PCR
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
22 février 2021
Cet article fait partie d'une série d'articles [1] que je publie - dans le but de dénoncer la fraude par PCR.
La guerre contre l'humanité repose sur ce test. Si le test échoue, tout le récit officiel du COVID se dissout sous nos yeux.
Vous pouvez effectuer un service précieux en diffusant ces informations dans le monde entier.
NY Times, 22 janvier 2007, «Faith in Quick [PCR] Tests mène à une épidémie qui ne l’était pas». [2] [3]
«Dr. Brooke Herndon, interniste au Dartmouth-Hitchcock Medical Center, ne pouvait pas arrêter de tousser… Fin avril, d'autres agents de santé de l'hôpital toussaient… »
«Pendant des mois, presque toutes les personnes impliquées pensaient que le centre médical avait eu une énorme poussée de coqueluche, avec des ramifications importantes. Près de 1 000 agents de santé de l'hôpital du Liban, dans le New Hampshire, ont subi un test préliminaire et ont été absents du travail jusqu'à ce que leurs résultats soient connus; 142 personnes, dont le Dr Herndon, ont été informées qu'elles semblaient avoir la maladie; et des milliers ont reçu des antibiotiques et un vaccin pour se protéger. Des lits d'hôpitaux ont été mis hors service, dont certains en soins intensifs.
«Puis, environ huit mois plus tard, les agents de santé ont été stupéfaits de recevoir un message électronique de l'administration de l'hôpital les informant que tout cela était une fausse alerte.
«Maintenant, en regardant en arrière sur l'épisode, les épidémiologistes et les spécialistes des maladies infectieuses disent que le problème était qu'ils avaient trop confiance dans un test moléculaire rapide et très sensible [PCR] qui les a induits en erreur.
«Il n'y a pas de données nationales sur les pseudo-épidémies causées par une dépendance excessive sur ces tests moléculaires, a déclaré le Dr Trish M. Perl, épidémiologiste chez Johns Hopkins et ancien président de la Society of Health Care Epidemiologists of America. Mais, dit-elle, des pseudo-épidémies se produisent tout le temps. L'affaire Dartmouth a peut-être été l'une des plus importantes, mais ce n'était en aucun cas une exception, a-t-elle déclaré.
«Bon nombre des nouveaux tests moléculaires [PCR] sont rapides mais techniquement exigeants, et chaque laboratoire peut les faire à sa manière. Ces tests, appelés «bières maison», ne sont pas disponibles dans le commerce et il n’existe pas de bonnes estimations de leurs taux d’erreur. Mais leur sensibilité même rend les faux positifs probables, et lorsque des centaines ou des milliers de personnes sont testées, comme cela s'est produit à Dartmouth, les faux positifs peuvent donner l'impression qu'il y a une épidémie.
RépondreSupprimer«Vous êtes dans un petit coin de no man's land», avec les nouveaux tests moléculaires [PCR], a déclaré le Dr Mark Perkins, spécialiste des maladies infectieuses et directeur scientifique de la Foundation for Innovative New Diagnostics, une fondation à but non lucratif soutenue par la Fondation Bill et Melinda Gates. "Tous les paris sont ouverts sur les performances exactes". "
«Avec la coqueluche, elle [Dr. Kretsinger, CDC] a déclaré: «Il y a probablement 100 P.C.R. protocoles et méthodes utilisés dans tout le pays », et on ne sait pas à quelle fréquence l’un d’entre eux est exact. «Nous avons eu un certain nombre d’épidémies où nous pensons que malgré la présence de résultats positifs à la RCP, la maladie n’était pas la coqueluche», a ajouté le Dr Kretsinger.
«Dr. Cathy A. Petti, spécialiste des maladies infectieuses à l'Université de l'Utah, a déclaré que l'histoire avait une leçon claire.
«Le grand message est que chaque laboratoire est vulnérable aux faux positifs», a déclaré le Dr Petti. «Aucun résultat de test n’est absolu et c’est encore plus important avec un résultat de test basé sur P.C.R». »
À PRENDRE À PARTIR DU TEMPS: Aucune étude d'envergure validant l'uniformité des résultats de la PCR, d'un laboratoire à l'autre, n'a jamais été réalisée. Au moins une douzaine d'études de très grande envergure auraient dû vérifier l'uniformité des résultats avant de diffuser le RAP auprès du public; mais non, ce n'était pas le cas. Ce n'est toujours pas le cas. En outre, l'extrême sensibilité du test provoque BEAUCOUP de faux positifs.
Imaginez maintenant que les informations scandaleuses de cet article du NY Times apparaissent partout - sur les réseaux sociaux, les blogs, les sites Web, etc. Ce serait terrible pour Bill Gates, Fauci et d'autres grands dirigeants de la Holy Church of Biological Mysticism.
RépondreSupprimerLes dirigeants politiques et les experts en santé publique auraient entre leurs mains une réfutation majeure de tout leur discours sur la «pandémie mortelle».
Faire quelque chose. Diffusez cette information.
SOURCES:
[1] https://blog.nomorefakenews.com/tag/pcr/
[2] nytimes.com/2007/01/22/health/22whoop.html
[3] https://web.archive.org/web/20210130121951/https://www.nytimes.com/2007/01/22/health/22whoop.html
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
https://www.lewrockwell.com/2021/02/jon-rappoport/the-ny-times-recalls-an-outbreak-of-pcr-lies/
California Nurses sponsorise le projet de loi imposant des soins de santé gratuits pour tous
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 21 FÉV 2021 - 16:55
Rédigé par Mike Shedlock via MishTalk,
Les législateurs présentent un projet de loi qui rend obligatoire la gratuité des soins médicaux pour tous tout en élargissant la liste des éléments couverts.
Renouvelant son engagement dans la lutte plus large pour la justice des soins de santé, la California Nurses Association (CNA) a le plaisir de parrainer le projet de loi 1400 de l'Assemblée (Kalra), la loi californienne sur les soins de santé garantis pour tous (CalCare), qui garantirait des soins complets et de haute qualité. soins de santé à tous les résidents de Californie en tant que droit de l'homme. La mise en place du programme CalCare est un système de soins de santé amélioré de type Medicare for All.
Parrainé par l'AIIC et rédigé par l'assemblé Ash Kalra, AB 1400 veillera à ce que tous les Californiens, quels que soient leur emploi, leur revenu, leur statut d'immigration, leur race, leur sexe ou toute autre considération, puissent obtenir les soins de santé dont ils ont besoin, gratuitement au point de service. .
Les Californiens soutiennent massivement la transition vers un système de santé à payeur unique: 57% de tous les Californiens soutiennent le remplacement de l'assurance privée par une couverture garantie fournie par le gouvernement
Questions et réponses sur la couverture
Q: Qu'est-ce qui est couvert ?
R: Services médicaux traditionnels, soins dentaires, couverture des médicaments sur ordonnance, soins de longue durée et traitement de la santé mentale et de la toxicomanie pour tous au point de service.
Il n'y aura pas de copay ou de franchise. Tout est totalement «gratuit».
Pression sur le gouverneur Gavin Newsom
Le nouveau projet de loi à un seul payeur intensifie le péril politique de Newsom.
Vendredi, un groupe de législateurs démocrates a présenté une législation pour créer un système de soins de santé à payeur unique pour couvrir tous les Californiens, définissant immédiatement le plus grand débat sur la politique de santé de l'année et exerçant une énorme pression politique sur le gouverneur Gavin Newsom.
Le gouverneur démocrate fait face à la perspective de plus en plus probable d'une élection de rappel impulsée par les républicains plus tard cette année. La facture à payeur unique ajoute à son péril politique de la gauche s’il n’exprime pas son soutien, et de la droite s’il le fait.
Bien que la mesure n'attribue pas de prix à la refonte, une facture distincte à payeur unique qui a échoué en 2017 aurait coûté environ 400 milliards de dollars par an.
RépondreSupprimerL'introduction d'une proposition à payeur unique cette année force Newsom dans une position délicate. Le gouverneur de premier mandat, qui a déclaré qu'il soutenait la création d'un système de soins de santé à payeur unique basé sur l'État lorsqu'il s'est présenté aux élections de gouverneur en 2018, s'est depuis éloigné, exprimant le doute que la Californie puisse se lancer seule dans une transformation aussi massive. .
Comment payons-nous ces trucs gratuits ?
Personne ne semble avoir de réponse à l'exception d'Ash Kalra qui prétend que le système sera rentabilisé après avoir réacheminé les dollars fédéraux pour Medicare, Medicaid et d'autres programmes vers CalCare.
Le système coûterait finalement moins cher, a-t-il dit, car il simplifierait le financement des soins de santé, mettrait fin aux soins à but lucratif et éliminerait les intermédiaires privés.
Le gouvernement (les contribuables) payant chaque facture, quelles forces réduisent les coûts (infirmières, lits, médecins, médicaments, opérations, etc.) ?
Quelles forces empêchent les procédures inutiles ?
Ce projet de loi est une folie fiscale.
Où est dirigé ce projet de loi ?
Probablement nulle part, mais nous parlons de la Californie, il est donc impossible d'exclure cela.
https://www.zerohedge.com/political/california-nurses-sponsor-bill-mandating-free-healthcare-everyone