- ENTREE de SECOURS -



vendredi 24 juillet 2020

Un scientifique canadien brise le silence sur l'esbroufe du covid-19


Robert Bibeau
Les 7 du Québec
mer., 15 juil. 2020 23:34 UTC


Les gouvernements des riches s'emmêlent et s'entremêlent dans la toile de mensonges qu'ils ont tissés à partir des supputations de l'OMS, d'entreprises pharmaceutiques milliardaires et d'universitaires stipendiés... non sans l'appui de la petite bourgeoisie - chien de garde du système déclinant. 

Heureusement, l'imposition du confinement policier meurtrier a motivé certains scientifiques à briser le silence de connivence et à prendre la parole pour démasquer cette frauduleuse pandémie et les ridicules simagrées de distanciation sociale (sic). 

Comme ce chercheur canadien l'affirme, nous pensons que c'est dans l'adversité qu'il faut se regrouper et resserrer nos liens sociaux solidaires. Merci à Denis Rancourt pour son courage.

-- Commentaire : Voir aussi de Denis Rancourt :
La science est concluante : les masques n'empêchent PAS la transmission des virus
Covid-19 — Les masques et les « gestes barrières » sont inutiles selon le Prof. Denis Rancourt --


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à 18:00
Son jugement sur la nocivité du glyphosate n'est pas scientifique.

33 commentaires:

  1. Le jeu des tests : une brique de plus dans la désinformation COVID-19


    Dr Pascal Sacré
    Mondialisation.ca
    dim., 28 juin 2020 08:14 UTC


    Dans la maladie COVID-19, les tests tentent de répondre aux questions fondamentales suivantes : Êtes-vous infecté ? Êtes-vous contagieux ? Avez-vous été infecté ? Êtes-vous immunisé (protégé) contre le coronavirus SRAS-CoV-2, et pendant combien de temps ?

    Vous voulez la réponse vraie, ou bien la réponse donnée par la propagande, les versions officielles gouvernementales et les médias dominants ?

    Je vais vous donner la réponse vraie, médicale : les tests ne répondent à aucune de ces questions, ils ne sont pas fiables, donnent des réponses exagérément simplistes qui pourront être utilisées par les gouvernements pour faire croire aux gens ce qu'ils veulent qu'ils croient.

    Il y a deux grands types de tests :
    Les tests moléculaires : RT-PCR ;
    Les tests sérologiques : recherche d'anticorps dans le sang.

    RT-PCR [1]

    Dans des cellules prélevées au fond du nez, le RT-PCR recherche des fragments d'ARN viral du SRAS-CoV-2, forme de l'ADN correspondant grâce à l'enzyme Reverse Transcriptase (RT) et amplifie (multiplie) les fragments ARN-ADN trouvés grâce à la technique de polymerase chain reaction (PCR). Par une technique compliquée, donc sujette à de nombreux faux pas, on nous dit que ce test pourrait quantifier la charge virale.

    Ce test dont le résultat peut prendre 2 à 7 jours est censé prouver que vous êtes infecté (RT-PCR +) ou non (RT-PCR -) par le coronavirus SRAS-CoV-2 et que vous êtes contagieux ou non.
    Ce n'est pas la vérité.

    Pourtant, c'est ce qui a guidé toutes les décisions médicales de par le monde pour catégoriser les patients en COVID et NON-COVID, pour isoler les premiers et les confirmer comme COVID-19.

    La présence d'un tableau clinique composé de signes majeurs (dont la toux, la fièvre) et de signes mineurs, avec dans certains cas un scanner thoracique, a fait classer les malades symptomatiques en cas suspects (en attente du résultat RT-PCR) ou confirmés (RT-PCR positif et/ou scanner thoracique évocateur), avec des formes mineures, modérées et sévères.

    Cette théorie basée sur des sables mouvants prouve que l'être humain préfère toujours un mensonge logique et rassurant, simpliste, à la vérité plus complexe et plus effrayante.

    Beaucoup d'études et d'articles d'experts reconnus dans leur domaine, dont certains issus d'universités prestigieuses, ont montré le manque de fiabilité de la RT-PCR qui peut donner des résultats faussement positifs, faussement négatifs ou être perturbée pas un tas d'éléments à toutes les étapes de sa technique [2].

    Quant aux tableaux cliniques et aux images des scanners thoraciques, ils n'ont rien de spécifique et peuvent se rencontrer dans n'importe quelle affection virale ou infectieuse large [3].

    Le SRAS-CoV-2 fait partie d'une famille de nombreux virus similaires dont la plupart sont bénins : virus des rhumes.

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  2. Il est plus que probable que ce virus spécifique a eu le temps de circuler au sein d'une grande partie de la population avant la fin du mois de mars et les mesures de confinement.

    Ces mesures d'isolement strict n'ont pas détruit le virus ou éteint la pandémie. Par contre, elles ont détruit l'économie de nombreux pays ainsi que de nombreuses vies (chômage, solitude, pauvreté, dépression, maladies non prises en charge, anxiété, famine).

    Les tests sérologiques au secours de la propagande COVID-19 ? [4]

    Les tests sérologiques sont faits à partir du sang, 8 ml prélevés dans un tube sec ou bien une simple goutte dans le cas des tests rapides.

    Le biologiste y cherche la présence d'anticorps (Ac) ou immunoglobulines (Ig) spécifiques du coronavirus SRAS-CoV-2.

    On distingue deux grands types d'anticorps :
    IgM : infection récente ou en cours, phase de contagion ;
    IgG : infection plus ancienne, guérison, plus de contagion.
    Certains tests sérologiques dépistent uniquement les IgG. Des études ont montré que pratiquement tous les sujets qui ont présenté un COVID-19 symptomatique ont produit des anticorps IgG détectables pour autant que le prélèvement sanguin ait été réalisé au minimum 3 semaines après les premiers symptômes [5].

    Il existe plusieurs types d'IgG.

    Les IgG S1/S2 sont des anticorps neutralisants, protégeant contre le virus.

    Attention, tous les anticorps IgG identifiés ne sont pas protecteurs ou neutralisants, c'est même l'inverse avec le phénomène de facilitation de l'infection via les anticorps (ADE Antibody Dependent Enhancement, comme dans la dengue). Dans ce cas, plutôt que de bloquer la clé (protéine Spike de l'enveloppe virale) qui permet au virus d'entrer dans les cellules cibles (anticorps neutralisants), ces anticorps facilitateurs favorisent la pénétration du virus dans les cellules cibles ! [6-7]

    Des tests rapides, comme celui du laboratoire BioLab Sciences [8] basé à Scottsdale en Arizona (USA), permettent une détection d'anticorps rapide, en 10 minutes, avec une spécificité de 98 %. Ce sont les dires du laboratoire. Une goutte de sang suffit, comme dans les tests de glucose sanguin avec piqûre au bout du doigt.

    Il existe plusieurs types de tests rapides, 12 tests autorisés par la FDA rien qu'aux USA (au 1er juin), mais aussi d'autres en Malaisie, en Chine ou en Europe.

    Un laboratoire comme celui de Scottsdale en Arizona prétend pouvoir fournir jusqu'à 9 millions de tests par semaine.

    Interprétation des résultats du quick-test :
    IgM positifs seuls : infection/contact récent (jours), au maximum dans les 4 semaines précédentes ;
    IgM et IgG positifs : infection/contact ayant eu lieu entre 4 et 8 semaines avant ;
    IgG positifs seuls : infection/contact ayant eu lieu il y a plus de 8 semaines.
    Oui, et alors ?

    Que pouvons-nous vraiment conclure à partir de cela ?

    Petit retour théorique sur l'immunité humaine pour mieux comprendre [9] :

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  3. La défense immunitaire humaine est composée de deux grandes lignes.
    Immunité innée ou naturelle ;
    Immunité acquise ou adaptative.
    A. L'immunité innée n'est pas spécifique, elle est très rapide, intervient en premier en cas d'agression et elle est souvent suffisante. Elle ne repose pas sur la production d'anticorps. Cela veut dire que les anticorps ne sont absolument pas indispensables pour éliminer une infection. Cela veut également dire que l'absence d'anticorps ou qu'un taux faible d'anticorps dans le sang n'exclut pas une infection virale qui aura été prise en charge par l'immunité innée exclusive. Cela est même un signe de bonne santé immunitaire !

    B. L'immunité adaptative est spécifique, elle est plus lente, seulement activée dans le cas où l'immunité innée est débordée ou insuffisante et elle est basée, mais pas seulement, sur la production d'anticorps.

    Donc, résumer la défense immunitaire d'un individu à sa production d'anticorps est aussi faux et simpliste que de résumer la défense d'un pays à ses forces spéciales. Pourtant, cette pirouette est le dogme principal de l'immunologie, la base sacrée de la vaccinologie.
    Que dit la théorie immunitaire orthodoxe ?

    Test positif

    Elle dit qu'un test sérologique positif (présence d'un taux suffisant d'anticorps spécifiques du coronavirus SRAS-CoV-2 dans le sang) traduit l'existence d'une infection, récente (IgM-jours/semaines) ou ancienne (IgG-semaines/mois).

    Elle dit aussi qu'un test positif à IgG (taux suffisant dans le sang) veut dire que la personne est protégée contre une nouvelle infection.

    Ce n'est pourtant pas aussi simple.

    Souvenez-vous du SIDA (infection par le VIH ou HIV). Avant le SIDA, toute séroconversion était considérée comme un bon signe, traduisant la réaction adaptée du système immunitaire adaptatif à une infection.

    Après le SIDA, la séroconversion (présence d'anticorps anti-HIV) est devenue mauvais signe, posant le diagnostic d'une maladie active : malade séropositif [10].

    Test négatif

    La théorie orthodoxe dit qu'un test négatif ( peu ou pas d'IgG dans le sang ) veut dire que la personne n'a pas fait d'infection et n'est pas protégée.

    Pourtant, ce n'est pas tout à fait vrai.

    L'absence d'anticorps IgG (ou un taux sérique faible) ne veut pas dire qu'une personne n'a pas été infectée car elle a pu recourir uniquement à son immunité innée (immunité sans anticorps) ou elle a pu recourir à d'autres types d'anticorps comme les Immunoglobulines A (IgA) sécrétées localement dans les muqueuses infectées (muqueuse nasopharyngée).

    Les anticorps sont sécrétés par des lymphocytes B activés lors de la réaction immunitaire tardive, adaptative et spécifique. Mais cette immunité adaptative repose également sur d'autres cellules qui ne produisent pas d'anticorps, telles que les lymphocytes T qui constituent également une ligne de défense antivirale et antimicrobienne très importante, non prise en compte par les sérologies sanguines qui ne dosent que les anticorps sériques.

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  4. De plus, il y a un concept immunologique important, celui d'immunité croisée [11]. Oui les médecins devraient relire leurs cours d'immunologie !

    La famille des coronavirus est une famille nombreuse !

    Pour la plupart, ces virus sont bénins et engendrent des rhumes chaque année. À force, depuis la petite enfance, une véritable immunité anti-coronavirus s'est développée, facilitant la réaction immunitaire innée contre le SRAS-CoV-2 de sorte que celle-ci, chez un grand nombre de personnes, a pu suffire pour raccourcir la multiplication virale.

    La réaction immunitaire adaptative (médiée par anticorps) n'a donc pas eu le temps, chez toutes ces personnes, d'entrer en jeu, donc pas d'anticorps.

    Ce n'est pas mauvais du tout et veut dire, au contraire, que les rhumes précédents ont préparé la personne à bien réagir au SRAS-CoV-2 (immunité croisée efficace).

    En résumé, une sérologie négative (taux insuffisant d'anticorps anti-SRAS-CoV-2) N'EXCLUT PAS d'avoir été infecté et N'EXCLUT PAS l'existence d'une immunité protectrice contre une forme grave de COVID-19.

    Les seules sérologies à IgG sous-estimeront le véritable taux d'infections guéries et la véritable immunité de la population contre le SRAS-CoV-2 !

    Il serait plus intéressant de doser l'ensemble des anticorps anti-coronavirus, et non seulement ceux spécifiques du SRAS-CoV-2.

    Hypothèse immunologique pour expliquer des formes graves de COVID-19 :

    Des formes sévères (soins intensifs, décès) ont surtout été observées chez les patients âgés (voire très âgés, >/= 80 ans) et/ou avec une maladie chronique ou plus (obésité, diabète, HTA, maladie cardio-vasculaire...).

    Ces pathologies chroniques occidentales (de plus en plus mondiales et liées principalement aux régimes alimentaires sucrés associés à une sédentarité excessive) sont devenues tellement habituelles qu'aujourd'hui, dans les hôpitaux, on les banalise à outrance. C'est presque devenu « normal » d'être gros, hypertendu, vite essoufflé, diabétique ou inactif.

    Pourtant, il s'agit DU fléau des temps modernes, beaucoup plus que le manque de vaccination !

    Toutes ces maladies et habitudes de vie dépriment fortement le système immunitaire [12].

    a) l'immunité innée, naturelle, a été incapable chez ces personnes d'éliminer le virus ou de ralentir sa multiplication.

    b) l'immunité adaptative, spécifique, productrice entre autres d'anticorps de plusieurs types, a pu entraîner la sécrétion d'anticorps ADE, facilitant l'invasion virale au niveau de tissus présentant des récepteurs spécifiques à ces anticorps, engendrant une réaction inflammatoire excessive, exagérée (réponse immunologique Th2) et plus de destruction que de guérison [13] notamment dans les poumons.

    Dans ce cas de figure, les taux très élevés d'anticorps contre le SRAS-CoV-2 ont plutôt traduit une situation mauvaise, synonyme d'infection sévère et de réactions immunitaires délétères !

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  5. CONCLUSIONS

    Les tests, aussi bien moléculaires de type RT-PCR (diagnostic, contagiosité), que sérologiques avec anticorps IgM-IgG (diagnostic, immunité) sont peu fiables.

    Ils ne tiennent pas compte de l'immunité croisée aux autres coronavirus (très similaires au SRAS-CoV-2 mais plus nombreux et bénins) qui a pu, certainement, jouer un grand rôle dans la protection de tout un pan de la population, surtout les jeunes et les individus en relative bonne santé (60 à 85 % des gens sont capables d'éliminer les coronavirus en n'utilisant que leur système immunitaire inné, sans développer d'anticorps pour cela).

    Beaucoup de gens sont et seront protégés par cette immunité croisée, assurée par tous les coronavirus ambiants que nous respirons sans aucun souci ou à peine (rhume banal) depuis des décennies et sans passer par la case anticorps spécifiques.

    De plus, ce n'est pas parce que les anticorps en question disparaissent rapidement [14] ou diminuent très fort dans le sang que l'individu n'a plus de protection immunitaire.

    Il existe un grand nombre de lignes de protection ( cellules T auxiliaires, cytotoxiques, régulatrices, autres molécules fabriquées par les cellules B, immunité innée... ) et tout réduire aux seuls anticorps pour dire que vous êtes protégés ou non est profondément malhonnête, ou stupide.

    L'immunité ne repose pas que sur les anticorps, loin de là [15] !

    Des patients avec un COVID-19 modéré ont montré des taux faibles d'IgA et d'IgG sériques spécifiques de la protéine Spike du SRAS-CoV-2.

    Des patients avec un COVID sévères ont montré des taux élevés d'IgA et d'IgG sériques spécifiques, d'autant plus élevés que la maladie a été sévère [16].

    Alors que la théorie immunologique orthodoxe dirait que plus on est malade, plus on fabrique d'Ac pour se protéger, en réalité, le taux élevé d'Ac est en partie responsable de la gravité de la maladie (phénomène ADE).

    Le taux élevé d'anticorps, bien loin de traduire une protection, traduit une réaction immunitaire inadéquate (déréglée) conduisant à une réponse immunitaire Th2 (humorale et inflammatoire) plutôt que Th1 (cellulaire). Et ce n'est pas bon.

    Pourquoi ?

    En raison du mauvais état de santé global des patients atteints de COVID sévère (une ou plusieurs comorbidités sévères, âge élevé) !

    Le plus important est une bonne coordination entre les systèmes immunitaires inné et adaptatif et cela repose sur une bonne santé (alimentaire, physique, mentale).

    Un taux bas d'anticorps peut simplement signifier que votre système immunitaire inné a été efficace, et a suffi à vous protéger. C'est bien !

    On peut faire dire n'importe quoi aux tests, y compris les tests sérologiques ( anticorps ) et tout dépendra de l'intention, bienveillante et honnête OU malveillante et malhonnête, de ceux qui vous diront ce qu'ils veulent que vous croyez.

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  6. P.S. mes conseils de médecin :

    Renforcez votre immunité par une alimentation saine (équilibrée), une activité physique modérée, variée et régulière et une hygiène mentale quotidienne (méditation, autohypnose, sophrologie, respiration, promenade dans la nature sans masques).

    Et si vous et vos enfants ont des rhumes, c'est très bien.
    Notes :

    [1] Tutoriel prélèvement nasopharyngé : Un geste technique, essentiel à la fiabilité du test COVID-19

    [2] Les tests: talon d'Achille du château de cartes COVID-19, Mondialisation.ca, 28 mai 2020

    [3] Utilité du CT-scan thoracique pour le diagnostic et le triage des patients suspects de COVID-19, revue Médicale Suisse RMS 2020, Vol. 16, 955-957. Le rôle du CT dans la prise en charge des malades COVID-19 suspects ou confirmés reste incertain.

    [4] Place des tests sérologiques dans la stratégie de prise en charge de la maladie COVID-19

    [5] Le Journal du Médecin, 4 juin 2020, n° 2632

    Commentaire : Lire aussi :
    Fraude et imposture — Les tests Covid ou l'outil de contrôle indispensable « pour sauver le monde » transformé en Virusocratie

    https://fr.sott.net/article/35850-Le-jeu-des-tests-une-brique-de-plus-dans-la-desinformation-COVID-19

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  7. Le moratoire sur l'expulsion expire aujourd'hui, mettant en danger des millions de locataires


    par Tyler Durden
    Ven, 24/07/2020 - 10:35


    L'administration fédérale du logement (FHA) a pu arrêter les expulsions de locataires pendant la pandémie de coronavirus. La Loi sur l'aide, le soulagement et la sécurité économique du coronavirus (CARES) a également rendu illégal pour les propriétaires d'expulser des locataires dans des logements subventionnés par le gouvernement fédéral ou soutenus par le gouvernement fédéral. Cependant, ces protections devraient expirer aujourd'hui (vendredi 24 juillet).

    Urban Institute, un groupe de réflexion basé à Washington D.C., estime que le moratoire sur les expulsions, qui expire aujourd'hui, pourrait exposer plus de 12,3 millions de locataires au risque de perdre leur logement.

    Cette protection peut aider à stabiliser les locataires pendant une période de précarité économique, mais elle ne couvre pas tout le monde. Nous estimons que les moratoires sur l'expulsion couvrant les propriétés financées par le gouvernement fédéral s'appliqueront à environ 12,3 millions (28 %) des 43,8 millions d'unités locatives aux États-Unis. - Urban Institute a écrit

    Cela signifie que les propriétaires commenceront à déposer des documents d'expulsion pour les locataires qui n'ont pas payé le loyer depuis 30 jours, et ou, comme nous l'avons noté, certaines personnes n'ont pas payé le loyer depuis des mois. Bien que les locataires habituels reçoivent un préavis de 30 jours, une vague d'expulsions est à venir.

    La fin de la protection contre les expulsions intervient alors que les ménages sont frappés par une falaise fiscale. L'aide fédérale au chômage de 600 $ par semaine pour des dizaines de millions de personnes expirera la semaine prochaine. Nous l'avons appelé «falaise des revenus», car cela signifierait que la consommation ferait cratère et que la reprise s'inverserait rapidement.

    L'administration Trump tente de passer un autre cycle de relance. Jusqu'à présent, aucune proposition n'a été faite pour prolonger le moratoire.

    Sharon Parrott, vice-présidente principale de l'élaboration des politiques et des programmes fédéraux au Centre sur le budget et les priorités politiques, a déclaré plus tôt cette semaine qu'au moins 20 % des locataires étaient en retard dans les paiements.

    Le groupe de défense COVID-19 Expulsion avertit que le nombre réel pourrait être compris entre 19 millions et 23 millions de familles face à des expulsions cet automne.

    Le Washington Post a noté que la Chambre avait adopté une loi pour créer un fonds d'aide au loyer, qui soutiendrait les locataires à faible revenu pendant deux ans. Le Sénat n'a pas encore examiné le projet de loi.

    Alors que tout le monde se concentre sur l'érosion des relations américano-chinoises, le début du baseball et les manigances fiscales à Washington, une crise commence aujourd'hui. C'est ce qu'on appelle la crise des expulsions alors que le moratoire des 4 mois se termine et que les propriétaires fonciers du pays s'unissent! Plus de 12 millions de locataires / emprunteurs hypothécaires à risque.

    - David Rosenberg (@EconguyRosie) 24 juillet 2020

    Avec des millions de personnes incapables de payer leur loyer, comment diable peut-il y avoir une reprise en forme de V ?

    https://www.zerohedge.com/markets/eviction-moratorium-expires-today-putting-millions-renters-risk

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  8. Le mécanisme de la pénétration clandestine du coronavirus dans un organisme expliqué


    23:06 24.07.2020
    Par Julia Belyakova


    Grâce à un mécanisme qui permet au nouveau coronavirus de masquer ses cellules sous une forme de composés cellulaires, celui-ci arrive de pénétrer un organisme sans alerter les systèmes de protection du corps, révèlent des scientifiques américains à la revue scientifique Nature Communications.

    Des scientifiques de l'université du Texas à San Antonio ont dévoilé le moyen à l'aide duquel le nouveau coronavirus parvient sans difficulté à pénétrer dans les cellules, sans provoquer l'activation du système immunitaire, relate un article publié dans Nature Communications. Pour cela, il travestit ses propres molécules en composés cellulaires.

    Il s'avère que l'enzyme nsp16 joue un rôle clé dans la contamination d’une cellule. Il modifie la coiffe à l'extrémité des ARN messagers, qui sont utilisés comme intermédiaires par les cellules pour la synthèse des protéines.

    Mécanisme de pénétration

    Pour sa part, la coiffe a de nombreuses fonctions, notamment celle de protéger l’ARN contre la dégradation et celle de réguler le transport de l’ARN entre le noyau et les ribosomes. En raison de la modification de la coiffe de l'ARN messager, la cellule ne peut pas reconnaître une molécule étrangère et la considère comme un de ses propres composants, estiment les chercheurs.

    Le décryptage de la structure 3D de l’enzyme nsp16 permettra de mettre au point des antiviraux efficaces pour le traitement du Covid-19 qui empêcheront la modification des coiffes, concluent les auteurs de l'étude.

    https://fr.sputniknews.com/sante/202007241044159284-le-mecanisme-de-la-penetration-clandestine-du-coronavirus-dans-un-organisme-explique/

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    Réponses
    1. (...) Des scientifiques .... un article publié dans Nature Communications. (...)

      Non examinée par des pairs.

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  9. Des élites riches achètent des îles privées pour les isoler de la «tempête de coronavirus»


    par Tyler Durden
    Ven, 24/07/2020 - 22:25


    Alors que la pandémie de virus continue de se propager dans le monde, la demande augmente pour les îles privées alors que les élites riches échappent aux métros infectés par le virus.

    L'évolution des élites abandonnant les villes a commencé lors des verrouillages. Les personnes à mobilité économique ont fait leurs valises et se sont dirigées vers les communautés rurales et les villes alors que les grandes villes étaient englouties par le virus et les verrouillages qui en résultaient. Peu de temps après le relâchement des verrouillages, les troubles sociaux ont explosé dans tout le pays, ce qui a été un autre facteur majeur de l'exode. N'oublions pas que les progrès rapides de la technologie ont permis aux cols blancs de travailler à distance.

    Bien que fuir vers les banlieues ne soit pas suffisant pour certaines personnes, il semble y avoir une demande croissante d'îles privées ces derniers mois.

    Le Financial Times s'est entretenu avec des agents immobiliers qui affirment que la demande de "refuges privés" dans le Pacifique Sud, les Caraïbes et les régions reculées des États-Unis et de l'Europe devient de plus en plus demandée à l'ère de la pandémie virale.

    Trayor Lesnock, fondateur de Platinum Luxury Auctions, et l'agent qui vend une petite île aux Fidji, appelée Mai Island, a déclaré que la pandémie avait permis aux gens de «réévaluer leur vie» et de rechercher de nouveaux milieux de vie pour s'isoler.

    "Posséder une île a longtemps été considéré comme cool et souhaitable, mais c'est souvent un rêve fantaisiste", a déclaré Lesnock. "Mais avec Covid-19, cela commence à paraître beaucoup plus pratique, car les gens se précipitent pour trouver des espaces privés pour eux-mêmes et se tenir à distance des autres."

    Voici l'île de 32 acres qu'il vend aux Fidji:

    - voir photos sur site -

    Le Financial Times souligne que les acheteurs fortunés ne se contentent pas d'acheter des îles tropicales, une île de 157 acres, appelée Horse Island, au large de la côte sud-ouest de l'Irlande, récemment vendue pour 5,5 millions d'euros (6,6 millions de dollars).

    «Il y a évidemment un processus de réflexion dans l'esprit des gens - en particulier ceux qui peuvent se permettre ces propriétés de plusieurs millions d'euros - qu'ils peuvent simplement s'échapper et s'isoler», a déclaré Callum Bain, un géomètre chez Colliers International, l'agent immobilier qui a aidé à vendre l'Ile.

    Farhad Vladi, un homme d'affaires allemand qui a vendu 3 000 îles en cinq décennies, a déclaré que la pandémie avait provoqué un «pic» chez les riches achetant des îles. Il a dit que "des îles moins chères en Scandinavie et au Canada" sont achetées en ce moment, les acheteurs ne visitant même pas les propriétés.

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  10. Les agents ont déclaré que les îles privées au large des côtes de pays ayant une distanciation sociale stricte, et de faibles cas et décès sont en forte demande. Beaucoup de ces îles sont basées autour de l'Australie, de la Nouvelle-Zélande et des îles du Pacifique Sud.

    Pumpkin Island, une île privée au large du parc marin de la Grande Barrière de Corail en Australie, a récemment été inscrite à la liste pour 25 millions de dollars, est décrite par les propriétaires comme un "refuge sûr" de la pandémie.

    «Nous avons bien résisté à la tempête [du coronavirus] et les gens recherchent des endroits où ils auront de l'espace et où ils ne se sentent pas au dessus de quelqu'un d'autre... Je pense vraiment que c'est une attraction», a déclaré Laureth Rumble, dont la famille possède Pumpkin Island.

    La tendance est claire: les élites riches fuient les villes pour les communautés rurales, ont maintenant décidé d'acheter des îles privées car la pandémie de virus ne montre aucun signe de ralentissement.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/wealthy-elites-buy-private-islands-isolate-coronavirus-storm

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    Réponses

    1. Il ne suffit pas d'acheter une île ! 'Généralement' l'hygrométrie est supérieure aux grandes surfaces continentales et, comme c'est l'humidité (hiver brouillard, été pluies) qui fait qu'un virus se déplace, le soleil n'y suffit pas !

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  11. Le Pentagone a trouvé "des véhicules non fabriqués sur cette terre"; Rubio espère que c'est étranger, pas chinois


    par Tyler Durden
    Ven, 24/07/2020 - 21:25
    Rédigé par Elias Marat via TheMindUnleashed.com,


    En tant qu'unité secrète opérant au sein du département américain de la Défense, chargée d'enquêter sur les objets volants non identifiés (OVNI) rendra certaines de ses découvertes publiques après qu'il ait été révélé que le Pentagone a été récemment informé des «véhicules hors du monde qui ne sont pas fabriqués sur cette terre. . »

    L'unité OVNI autrefois secrète, qui opère au sein du Bureau du renseignement naval de la marine américaine, commencera bientôt à donner des mises à jour semestrielles régulières sur ses recherches au Comité du renseignement du Sénat américain, rapporte le New York Times.

    Le groupe de travail sur les phénomènes aériens non identifiés a été formé en 2019 dans le but d'étudier les rencontres étranges et inexplicables entre des pilotes militaires américains et des véhicules aériens non identifiés ou des OVNIS dans le but de «normaliser la collecte et le rapport» des diverses observations.

    Le programme est le successeur du programme avancé d'identification des menaces aérospatiales, qui a également enquêté sur les ovnis mais a été dissous en 2017 en raison d'un manque de financement. Cependant, l'équipe travaillant sur ce programme a poursuivi son travail aux côtés de la communauté du renseignement même après sa dissolution officielle.

    Luis Elizondo, un ancien responsable du renseignement militaire qui dirigeait le programme du Pentagone, a démissionné en octobre 2017 après une décennie avec le programme. Elizondo, ainsi qu'un groupe d'anciens scientifiques et fonctionnaires du gouvernement, restent convaincus que des objets d'origine inconnue se sont écrasés sur Terre et que ces matériaux apparemment extraterrestres ont fait l'objet de recherches.

    «Il n'a plus à se cacher dans l'ombre», a déclaré Elizondo au Times. «Il aura une nouvelle transparence.»

    L'ancien leader de la majorité au Sénat et sénateur à la retraite Harry Reid (D-NV), qui a dirigé la campagne pour financer le programme OVNI antérieur, estime également que les études devraient voir le jour.

    «Après avoir examiné cela, je suis arrivé à la conclusion qu'il y avait des rapports - certains étaient substantiels, d'autres pas si substantiels - qu'il y avait des documents réels que le gouvernement et le secteur privé avaient en leur possession», a déclaré Reid.

    Jusqu'à présent, aucun des artefacts de crash présumés n'a fait l'objet d'un examen public ou d'une vérification par des chercheurs indépendants. Cependant, certains des objets récupérés, tels que d'étranges débris métalliques, ont été identifiés comme étant d'origine humaine - ce qui soulève la possibilité qu'ils puissent être liés à l'armée de rivaux américains tels que la Chine ou la Russie.

    Cependant, l'astrophysicien Eric Davis - qui a servi de conseiller pour le programme du Pentagone depuis 2007 - a déclaré qu'il avait informé le Pentagone en mars du matériel récupéré de «véhicules hors du monde qui ne sont pas fabriqués sur cette terre».

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  12. Le sous-traitant du ministère de la Défense a également déclaré qu'il avait conclu que les objets trouvés étaient du type «nous ne pouvions pas fabriquer nous-mêmes».

    Dans une interview le mois dernier, le président Donald Trump a dit à son fils Donald Trump Jr. qu'il avait entendu des choses «intéressantes» sur des extraterrestres supposés ainsi que sur la base secrète Area 51 près de Roswell, au Nouveau-Mexique, que certains théoriciens prétendent être un crash d'OVNI site.

    Le gouvernement américain a été de plus en plus ouvert dans ses discussions sur les OVNIS depuis septembre dernier, lorsque la marine américaine a admis que des séquences vidéo largement diffusées capturées par des pilotes de la marine qui auraient montré des OVNIS volant dans le ciel représentaient de véritables objets «inconnus» qui ont volé dans l'espace aérien américain. .

    Bien que les responsables aient admis avoir été déconcertés par les objets volants inconnus, ils admettent également que les rencontres passées avec eux ont été fréquentes. Ils ont également dit que plutôt que de les appeler «OVNIS», ils préfèrent le terme de phénomènes aériens non identifiés ou PAN.

    Bien qu'il reste encore à voir quelles informations l'unité OVNI autrefois secrète prévoit de fournir aux législateurs, le président du comité du renseignement par intérim, le sénateur Marco Rubio (R-FL), a l'intention de découvrir qui ou quoi est précisément derrière l'activité apparente des OVNIS. sur les bases militaires américaines.

    "Nous avons des objets qui survolent nos bases militaires et les endroits où nous menons des exercices militaires et nous ne savons pas ce que c'est - et ce n'est pas le nôtre", a déclaré Rubio à CBS Miami dans une interview vendredi dernier.

    «Franchement, que si c'est quelque chose d'extérieur à cette planète - cela pourrait en fait être mieux que le fait que nous ayons vu un saut technologique de la part des Chinois ou des Russes ou d'un autre adversaire qui leur permet de mener ce genre d'activité, »A ajouté le sénateur belliciste.

    Pour Reid, une plus grande transparence est nécessaire.

    «Il est extrêmement important que des informations sur la découverte de matériaux physiques ou d'objets récupérés soient diffusées», a-t-il déclaré.

    Enfin, toute cette bizarrerie a suscité une question intéressante de Mike Krieger

    Ils semblent préparer le public à quelque chose avec ce déploiement extraterrestre et ovni. Pourquoi maintenant ?

    Tout ça pue. pic.twitter.com/Ms6oxSoyl0

    — Michael Krieger (@LibertyBlitz) July 24, 2020

    https://www.zerohedge.com/technology/pentagon-found-vehicles-not-made-earth-rubio-hopes-its-alien-not-chinese

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    1. Pourquoi n'a t-on pu les voir avant ? Parce qu'ils sont nanoscopiques ! Et oui ! Ce sont des virus (extraterrestres) déguisés en 'soucoupes volantes' !

      HAHAHAHA !

      Ils peuvent même construire des bases martiennes à l'intérieur de votre corps !! (sous formes de 'puces RFID') !!

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  13. Les Américains achètent des armes à feu en nombre record et le Washington Post n'est pas satisfait


    par Tyler Durden
    Ven, 24/07/2020 - 21:25
    Rédigé par Ryan McMaken via The Mises Institute,


    Les chercheurs en sciences sociales tentent depuis de nombreuses années de blâmer les homicides sur la présence d'armes à feu. Un des outils favoris de cette quête est l'utilisation d'études qui montrent une corrélation entre la possession d'armes à feu et la criminalité. Ces études sont ensuite rapportées comme des «preuves» que la présence d'armes à feu est une cause de criminalité.

    Mais il y a toujours eu un problème avec cette tentative de montrer la causalité entre les armes à feu et les homicides: la causalité peut tout aussi plausiblement aller dans l'autre sens. Autrement dit, dans les moments et les lieux où la population locale se sent en danger d'être victime de crimes, les gens sont plus susceptibles d'acheter des armes à feu pour se protéger. Ainsi, plutôt que de dire «les armes causent le crime», nous devrions dire «le crime cause les armes».

    Les achats d'armes à feu montent en flèche alors que l'incertitude et la violence augmentent
    Nous voyons probablement ce phénomène à l'œuvre maintenant.

    Au cours des derniers mois, selon le groupe commercial National Shooting Sports Foundation (NSSF) de l'industrie des armes à feu, les Américains ont acheté des millions d'armes:

    Le début de 2020 n'a été comme aucune autre année pour les achats d'armes à feu - en particulier par les acheteurs pour la première fois - car une nouvelle recherche NSSF® révèle que des millions de personnes ont choisi d'acheter leur première arme pendant la pandémie COVID-19.

    Rapports de Fox News:

    Les ventes d'armes à feu ont explosé au cours des trois derniers mois, et une augmentation record de 80,2% des ventes a été signalée en mai par rapport à l'année dernière, selon la fondation de tir. Les données d'avril ont montré une augmentation de 71,3% par rapport à 2019, et une augmentation de 85,3% en mars, selon des informations précédemment publiées par Small Arms Analytics and Forecasting.

    De nombreux nouveaux propriétaires d'armes à feu au cours de cette période craignaient des troubles généraux à la suite des verrouillages imposés par le gouvernement. Les nouveaux acheteurs potentiels encore hésitants à acheter une arme à feu en mai ont peut-être été confirmés dans leurs craintes par les émeutes qui ont éclaté après le meurtre de George Floyd par des policiers de Minneapolis. Puis, à la suite des émeutes, de graves crimes violents ont semblé augmenter. Il a été largement rapporté, par exemple, que les homicides à New York ont ??augmenté de «21% au cours des six premiers mois de 2020». La criminalité dans d'autres villes a également augmenté, allant d'un bond de plus de 200% à Nashville à 23% à Kansas City, Missouri.

    Naturellement, en voyant ces reportages, de nombreux propriétaires potentiels d'armes à feu sont plus susceptibles de conclure qu'ils ont besoin d'une arme pour leur protection personnelle. Cela est particulièrement vrai lorsqu'il est associé à la perception selon laquelle les organisations policières ne peuvent être invoquées pour participer à la prévention du crime et à l'application de la loi. Et cela a effectivement été la perception dans de nombreux endroits où la police a semblé peu disposée à intervenir dans les émeutes de juin.

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  14. Beaucoup de gens normaux verraient ces événements comme une illustration de la façon dont les achats d'armes à feu résultent de la peur du crime et de l'incertitude.

    Mais maintenant, peut-être de manière prévisible, des organisations médiatiques de gauche comme le Washington Post tentent de renverser ce discours: les gens n'achètent pas d'armes en réaction à la violence et au désarroi social, insiste le Post. Tous ces nouveaux achats d'armes sont à l'origine de la violence.

    Dit le message:

    Les Américains ont acheté des millions d'armes de plus que d'habitude ce printemps, stimulés en grande partie par l'animosité raciale alimentée par des manifestations généralisées contre le meurtre de George Floyd à Minneapolis, ainsi que par l'inquiétude suscitée par les effets de la pandémie de covid-19.

    Cette frénésie d'achat d'armes à feu est associée à une augmentation significative de la violence armée aux États-Unis.

    Le Post cite deux nouveaux rapports, l'un de la Brookings Institution et l'autre de l'Université de Californie, qui concluent tous deux que l'augmentation des achats d'armes à feu a probablement causé plus de «violence armée».

    Notez cependant l'utilisation prudente du langage ici: les achats d'armes à feu sont «associés» à une augmentation de la violence armée, car la causalité ne peut être établie. En effet, vers le bas de l'article du Post, l'auteur admet:

    Les auteurs [des rapports Brookings et UC] préviennent qu'une étude de cette nature ne peut pas prouver la causalité, en particulier à une époque de bouleversements sociaux massifs dans un pays confronté à une crise de santé publique sans précédent ainsi qu'à un mouvement de protestation à l'échelle nationale.

    Bien sûr, si l'on est déjà convaincu que les armes à feu causent des crimes, il est parfaitement logique que des millions d'Américains au début de 2020 - après avoir passé une vérification des antécédents criminels - achètent des armes à feu, puis les utilisent presque immédiatement pour commettre des crimes.

    De plus, il n'est pas clair que les deux études référencées par l'article du Post impliquent même que les homicides résultent de plus d'achats d'armes à feu.

    L'étude Brookings, par exemple, est plus un éditorial qu'une étude. Il s'agit simplement d'un examen de certains événements passés qui ont été suivis d'une augmentation des achats d'armes à feu, y compris les fusillades de Sandy Hook et de Parkland. Cela semble être vrai, et c'est un rappel utile que les gens achètent souvent des armes à feu en raison de préoccupations concernant la sécurité personnelle, ou du moins à la lumière des préoccupations concernant l'accès futur aux armes à feu.

    L'étude UC est un peu plus spécifique, mais même cela est beaucoup trop général pour être utile pour conclure que les achats d'armes à feu mènent à la violence. En raison des limites des données, le rapport UC, bien sûr, n'établit pas que les personnes qui ont acheté des armes à feu cette année sont responsables de toute augmentation de la criminalité qui pourrait se produire. Mais il n'est même pas établi que les flambées des achats d'armes à feu soient corrélées aux flambées de la criminalité au niveau des villes ou des quartiers. Ceci est essentiel, car les tendances des homicides ne sont pas vraiment à l'échelle de l'État ou même à l'échelle métropolitaine. Les tendances en matière d'homicides aux États-Unis ont tendance à être dominées par les homicides dans un nombre relativement restreint de villes et de quartiers. Par exemple, le taux d'homicides à Baltimore est dix fois supérieur à celui de l'ensemble des États-Unis. Mais cela ne signifie pas que les homicides dans le Maryland sont remarquablement élevés.

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  15. Alors, les achats d'armes à feu ont-ils augmenté près des quartiers de Chicago, New York et Kansas City où des flambées de criminalité se sont également produites? C'est possible, car les personnes qui bordent les quartiers les plus violents peuvent se sentir les plus à risque. D'un autre côté, il est également tout à fait possible que les ventes d'armes à feu aient lieu dans des endroits relativement éloignés des endroits où les homicides sont en hausse. L'étude UC ne semble donner qu'une lecture au niveau de l'État à ce sujet. En d'autres termes, l'étude nous en dit vraiment très peu.

    https://www.zerohedge.com/political/americans-are-buying-guns-record-numbers-washington-post-isnt-pleased

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    1. Il ne faut pas confondre 'Invasion d'étrangers' et 'invasion d'intelligence' !! Donc, pour bouffer, ils n'ont d'autres solutions que de voler ou de tuer pour avoir ce qu'ils veulent !
      C'est donc au citoyen de se défendre. Un rôdeur, voleur ou autre abattu est un malfaiteur qui ne recommencera plus jamais !

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  16. Vérité, complot ou SNAFU - VOUS décidez


    Par L. Reichard White
    25 juillet 2020


    Nous n'échapperons pas à cette misère tant que le gouvernement n'aura pas été forcé d'admettre qu'il a commis une erreur insensée et a réagi de manière excessive au Covid-19. - Peter Hitchens de la BBC

    Une chance de boule de neige dans l’endroit chaud me vient à l’esprit. Plutôt que d’attendre cette eau glacée, comme d’habitude, nous devrons régler cela nous-mêmes.

    Alors, croyez-vous que COVID-19 vous tuera ? Et l'économie va-t-elle rouvrir ? Les deux réponses sont jointes à la hanche.

    Parce que ce n’est pas tant le virus qui doit être maîtrisé, c’est le récit de l’établissement, les fausses nouvelles et le mythe urbain sur le virus.

    Mettons cette vérité au clair dès maintenant.

    D'abord le contexte que nous en tirons: «C.D.C. estime que 24 000 à 62 000 décès dus à la grippe aux États-Unis sont survenus [au cours des ~ six mois] du 1er octobre 2019 au 21 mars 2020. »

    Une estimation lorsque les données réelles existent ? Que serait-ce pour une année complète ? Et avec une fourchette de 38 000, il est clair qu’ils n’ont pas pris la peine de faire un décompte. Pourquoi ne tiennent-ils pas leurs numéros à jour ? Alors, d'où viennent leurs chiffres ?

    Ils utilisent des simulations informatiques - mais pourquoi utiliser des simulations au lieu de compter des données qui existent déjà ? Qu'en est-il des numéros COVID-19 qu'ils nous fournissent ?

    En effet, toutes les projections de peur en constante évolution sont faites avec des simulations informatiques appelées à juste titre «modèles» qui doivent toujours être basées sur des hypothèses de programmation. C’est pourquoi certains nerds les appellent «fiction technique».

    «… Les gens qui travaillent avec des modèles ont toujours tendance à surestimer leurs modèles, ils en viennent à croire que les modèles sont réels et oublient qu'ils ne sont que des modèles.» –Polymath Freeman Dyson www.nytimes.com

    Malheureusement, il y a beaucoup plus à cela qu'une simple confiance excessive dans les modèles informatiques.

    Le premier et peut-être le plus flagrant - - - il y a tellement de «flagrants» qu'il est difficile de les classer - - est la façon dont le blob politique / bureaucratique / pseudo-scientifique / newsie confond fermement «infections» avec «cas». Comme ça par exemple - - -

    Les États-Unis ont marqué vendredi un nombre record de cas de coronavirus pour la troisième journée consécutive, enregistrant 77638 nouvelles infections en 24 heures, selon un décompte de l'Université Johns Hopkins. –US établit un autre record de virus avec 77 638 nouveaux cas: Johns Hopkins |

    Alors, s'agit-il de cas ou d'infections? Dans le monde scientifique réel, les choses ne se font tout simplement pas de cette façon. Dans sa lettre à la chancelière allemande Angela Merkel, le Dr Sucharit Bhakdi, un virologue bien reconnu, l'a exprimé ainsi - - -

    «En infectiologie - fondée par Robert Koch lui-même - une distinction traditionnelle est faite entre infection et maladie. Une maladie nécessite une manifestation clinique. [1] Par conséquent, seuls les patients présentant des symptômes tels que fièvre ou toux doivent être inclus dans les statistiques en tant que nouveaux cas. En d'autres termes, une nouvelle infection - telle que mesurée par le test COVID-19 - ne signifie pas nécessairement que nous avons affaire à un patient nouvellement malade qui a besoin d'un lit d'hôpital.

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  17. Bottom Line: Un cas nécessite une infection mais une infection n'est pas un cas.

    Quelle que soit la maladie - la grippe saisonnière par exemple - il y a toujours des personnes infectées avec des symptômes bénins ou non reconnus qui n'entrent pas dans le système médical. On les appelle «asymptomatiques» mais les news, etc. prétendent que c'est nouveau avec COVID-19 et effrayant.

    Mais au diable les journalistes, en gardant à l’esprit que les infections ne sont pas des cas, voyons si les politiciens et les bureaucrates de la santé s’en tiennent à la science fondamentale de Koch - - -

    Lors d'une audience de la Commissioners Court pour le comté de Collin [Texas] le 18 mai, il a été révélé que si auparavant la détermination d'un «cas» Covid était un résultat de test confirmé, la définition a été soudainement changée pour compter les cas «probables» comme «cas». " … Pire encore, une fois qu'un cas «probable» a été déterminé sur la base de critères subjectifs possiblement sans rapport, jusqu'à 15 personnes en contact possible avec ce cas «probable» ont également été répertoriées comme «cas probables». Et les «cas probables» étaient considérés comme des cas. … Est-ce que le Texas Covid «Spike» Fake News ?, Par Ron Paul

    Ainsi, en appelant «résultats de test confirmés» - qui n'indiquent qu'une infection - «cas», même avant que The Blob ne franchisse la porte, il est déjà complètement hors de la réservation d'infectiologie. Pire selon The Blob - et qui va maintenant à l'encontre de la base scientifique de Koch à MACH 2 - apparemment, si vous dites bonjour en personne à quelqu'un qui a probablement été infecté, vous êtes automatiquement redirigé vers "infecté" et directement vers un " cas »vous-même comme le sont jusqu'à 14 autres amis.

    Ainsi, même les infections POSSIBLES se sont transformées en «cas» à part entière. Plus il y a de tests, plus vous trouverez d'infections, mais vous les appelez aussi des «cas». Donc, si vous vous demandez d’où viennent tous ces «pics», vous le savez maintenant. Ils sont pour la plupart définis et imaginés dans l'existence.

    Pour paraphraser Staline, «ce ne sont pas les infections, les cas et les décès qui définissent la« pandémie », ce sont ceux qui signalent les infections, les cas et les décès.»

    Nous savons maintenant que les statistiques officielles des «cas», qu'elles soient générées par décompte ou par ordinateur, sont de la fiction technique et / ou à peu près des déchets.

    Donc, à moins que vous ne souhaitiez être complètement mal informé, vous pouvez à peu près ignorer complètement les chiffres et les statistiques officiels jusqu'à présent - et ceux qui les fournissent.

    Malheureusement, la source de ces rapports non scientifiques et fondamentalement malhonnêtes va bien au-delà des «cas probables» dans le comté de Collin, au Texas. Il comprend également les décès signalés.

    Par exemple - - -

    La ville [New York] a ajouté plus de 3700 personnes supplémentaires qui étaient présumées décédées du coronavirus mais qui n'avaient jamais été testées positives. –N.Y.C. Le nombre de morts dépasse les 10 000 en nombre de virus révisé - The New York Times [italiques ajoutés]

    Notez le mot «présumé» - et «jamais testé positif» dans ce qui précède. Ainsi, les statistiques officielles incluent certes les décès présumés de coronavirus ainsi que les «cas probables» de Collin Co. Ces «3 700 personnes supplémentaires» représentaient une augmentation de plus de 50% du nombre de décès signalés au NYC COVID-19 à l'époque - tous «confirmés» et / ou «vérifiés» par présomption.

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  18. Et, si cela peut être fait par présomption, que signifie exactement «confirmé» et / ou «vérifié» ?

    De plus, en gardant à l'esprit que parmi de nombreuses autres causes de décès mal étiquetées comme vous le verrez, jusqu'au 26 mai 2020, la liste des symptômes du C.D.C. pour reconnaître le COVID-19 - et ceux pour la reconnaissance de la grippe saisonnière - est presque identique. Comment pourraient-ils faire la différence ? Alors, quelle était la validité de ces présomptions de toute façon ?

    Ainsi, non seulement les statistiques officielles de «cas» sont à peu près nulles, mais aussi les statistiques de décès officielles. Combien vaut "à peu près ?" Restez à l'écoute.

    Bien que cela rende le reportage passionnant et la politique qui attire l’attention, ce n’est manifestement pas de la science et ce n’est pas correct.

    Alors, "Pourquoi Collin Co. Texas, New York, etc. ferait-il cela ?" tu demandes ?

    De ce même article du Times - - -

    Le C.D.C., dans ses directives aux gouvernements locaux, a recommandé que les cas d'infection à coronavirus «présumée» soient notés sur les certificats de décès avant que la ville de New York n'enregistre son premier décès le 14 mars [italiques gras ajoutés]

    Donc, ils le feraient parce que le C.D.C. recommandé qu'ils le fassent. Pourquoi le C.D.C. recommander quelque chose de vraiment non scientifique et trompeur - et le faire avant même la mort ?

    C'est une question très intéressante que vous voudrez peut-être garder à l'esprit lorsque vous décidez, "Vérité, Conspiration ou SNAFU".

    Et, en cas de doute, les institutions de santé du gouvernement américain - suivant les directives des CDC - ont en effet recommandé de compléter les chiffres avec des «infections probables» et des «infections supposées» répertoriées comme «cas» - et des décès présumés COVID-19 sans preuve - - -

    Le Dr Scott Jensen, médecin du Minnesota et sénateur de l'État républicain, a déclaré qu'il avait reçu un document de 7 pages l'encourageant à remplir des certificats de décès avec un diagnostic de COVID-19 sans test de laboratoire pour confirmer que le patient était réellement porteur du virus. - Le sénateur du MN et le Dr révèlent un document du HHS lui expliquant comment surcompter les cas de COVID-19

    … Et ceci de la part de la star de l'équipe Trump, Dr Deborah Birx - - -

    «Nous avons adopté une approche très libérale de la mortalité.»… «Si quelqu'un meurt avec le COVID-19, nous comptons cela comme un décès par COVID-19», a déclaré Birx. –Dr. Birx confirme que quiconque meurt avec un coronavirus, quel que soit son état de santé sous-jacent, est compté comme un décès par COVID-19

    Notez également (directement ci-dessous) comment le système de santé italien - où le taux de mortalité et le nombre de morts rapportés ont été utilisés pour avertir - OK, effrayez-vous - tout le monde a de la même manière truqué les numéros italiens COVID-19 - - -

    «La façon dont nous codons les décès dans notre pays est très généreuse en ce sens que toutes les personnes qui meurent dans les hôpitaux avec le coronavirus sont considérées comme mourant du coronavirus.» - Professeur Walter Ricciardi, conseiller scientifique du ministre italien de la Santé, telegraph.co.uk

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  19. Notons en particulier le langage similaire utilisé par le Dr Birx et le Pr Ricciardi - «approche très libérale de la mortalité» (Dr Birx) et «très généreux» (Prof. Ricciardi). Un tel langage très similaire implique une source commune. Est-ce qu'il y a un ?

    Et à quel point ces chiffres de mortalité sont-ils «très libéraux» et «très généreux» ? Et comment scientifique?

    Avant de répondre à ces questions, découvrons la source commune d’origine de cette pratique de signalement trompeuse et non scientifique. Je suis tombé sur le dernier clou troublant enfoui dans cet article de Bloomberg - - -

    Alors que la flambée des infections à coronavirus en Russie en a fait un point chaud épidémique mondial juste derrière les États-Unis, une chose intrigue les experts de la santé: pourquoi signale-t-elle si peu de décès? - Des experts remettent en question les données russes sur le nombre de morts de Covid-19 - Bloomberg

    Notez l'inclinaison anti-russie typique. Mais c’est ce qui vient ensuite qui découvre la source commune que nous recherchons - - -

    L'agence des Nations Unies basée à Genève (W.H.O.) a publié des directives à la mi-avril demandant aux pays d'enregistrer les décès liés au Covid-19 «là où la maladie a causé, ou est supposée avoir causé ou contribué à la mort». …. Le taux de mortalité est faible en Russie car les statistiques n'incluent que les décès de personnes directement attribués au Covid-19, a déclaré un responsable connaissant les calculs de mortalité par coronavirus. D'autres pays avec des totaux plus élevés ont des critères plus larges pour attribuer les décès au virus. Plus de 60% des décès de personnes soupçonnées d'avoir contracté Covid-19 [en Russie] ne sont pas classés comme des décès dus aux coronavirus car ils sont survenus «de toute évidence d'autres causes», a déclaré le département de la santé de Moscou dans un communiqué sur son site Web, notant que les autopsies sont effectuées dans tous les cas suspects. … Des experts remettent en question les données russes sur le nombre de morts de Covid-19 - Bloomberg [en gras ajouté]

    Il semble donc que C.D.C. et / ou W.H.O. sont la source commune de rapports trompeurs et anti-scientifiques. Et notre première estimation du degré de «très libéral» et de «très généreux» est que «plus de 60%» des Russes soupçonnés de mourir du COVID-19 ne l’ont pas fait.

    Et qui. et l'establishment mondial de la santé rejoignent le C.D.C. en violant la science de l'infectiologie de base - et ensuite ils dissipent tous la Russie pour avoir dit la vérité.

    Ainsi, au lieu de remettre en question le bilan scientifique solide de la Russie, pourquoi les experts n’ont-ils pas remis en question le bilan grotesquement gonflé à plus de 60% et scientifiquement indéfendable créé en suivant les instructions de C.D.C. et qui.? Qu'est-ce qui se passe ici?

    Pourquoi W.H.O., C.D.C., etc. feraient-ils cela ? Difficile à dire avec certitude, mais c'est intéressant - - -

    «La FDA reçoit 45% de son budget annuel de l'industrie pharmaceutique. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) reçoit environ la moitié de son budget de sources privées, y compris Pharma et ses fondations alliées. Et le CDC, franchement, est une société de vaccins; il détient 56 brevets de vaccins et achète et distribue annuellement 4,6 milliards de dollars de vaccins dans le cadre du programme Vaccins for Children, ce qui représente plus de 40% de son budget total. » - Robert F. Kennedy, Jr… [source]

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  20. et ça - - -

    Le rachat d'entreprise de W.H.O. Youtube

    Et, comme l'establishment n'a pas été honnête, il existe bien sûr des théories du complot - - -

    La farce et l'agenda diabolique d'un «verrouillage universel», par Peter Koenig, Global Research

    La configuration de Covid est maintenant pleinement en jeu alors que le CDC décrit son plan de décès

    Quelle que soit la raison pour laquelle ils le font, je pense que nous pouvons affirmer avec certitude que ce qui passe pour l'établissement de santé mondial est clairement un rembourrage complet et déforme les statistiques et les chiffres officiels du COVID-19 en quelque chose qui embarrasserait même les «fausses nouvelles».

    Alors aidez-moi ici. Que pensez-vous à ce stade? Le récit officiel du COVID-19 est-il vrai, un complot ou juste un autre SNAFU?

    Mais maintenant, en gardant à l'esprit le rembourrage et la distorsion - et en sachant d'où cela vient - nous sommes prêts à répondre: «À quel point 'très libéral' (Dr Birx) et 'très généreux' (Prof. Ricciardi) pour ne pas mentionner ' À quel point ces nombres de décès par COVID-19 sont-ils rembourrés et déformés ?

    Nous savons déjà qu'ils incluaient environ un tiers des décès précoces signalés à l'origine à New York - présumés non scientifiquement être causés par le COVID-19 sans tests.

    Mais OK, en ignorant certains des problèmes avec les tests pour le moment, qu'est-ce qui pourrait ne pas aller avec les chiffres lorsque les tests ont été utilisés ?

    Bien que ce ne soit pas immédiatement évident, nous le savons déjà. Comme le CDC l'a demandé - et le Dr Birx et le professeur Ricciardi l'ont vérifié - «Si quelqu'un meurt avec le COVID-19, nous comptons cela comme un décès par COVID-19…»

    Alors, quel est le problème avec ça ?

    «… L'erreur est commise dans le monde entier de signaler les décès liés au virus dès qu'il est établi que le virus était présent au moment du décès - quels que soient les autres facteurs. Cela viole un principe de base de l'infectiologie: ce n'est que lorsqu'il est certain qu'un agent a joué un rôle significatif dans la maladie ou la mort peut [ce] diagnostic être posé. »–Ibid, infectiologue Dr Sucharit Bhakdi

    La différence entre mourir de COVID-19 et mourir AVEC COVID-19 peut sembler triviale mais, en pratique et par la science - établie à l'origine par l'infectologue fondateur Koch lui-même se souvient - elle est extrêmement importante.

    Supposons, par exemple, que l'oncle Joe se soit présenté à l'hôpital avec une légère commotion cérébrale suite à une crise cardiaque. Traiteraient-ils la commotion cérébrale ou la crise cardiaque ? Si l'oncle Joe meurt, est-ce la légère commotion cérébrale qui l'a tué ou la crise cardiaque ?

    Il en va de même si vous vous présentez dans un hôpital avec une infection au COVID-19 et une pneumonie. Autrement dit, si vous avez vraiment eu une infection au COVID-19.

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  21. La commotion cérébrale et le COVID-19 sont appelés comorbidités - et / ou pré-morbidités - et celui qui a causé la mort est évidemment une détermination critique, non seulement pour le traitement, mais aussi pour une analyse précise.

    Voici un exemple concret - - -

    J'ai un ami dont la mère de 95 ans a été hospitalisée pour COVID. Le deuxième jour de l'hospitalisation, le patient est décédé d'une grave crise cardiaque. Devinez quelle est la principale cause de décès inscrite sur le certificat de décès? Si vous avez deviné COVID-19, vous gagnez le prix…. Pour cette raison, le COVID sera diagnostiqué comme la cause du décès bien plus qu'il ne le devrait. –Dr Brownstein | Faux numéros de décès COVID-19 [Comme vous pouvez le voir, la Federal Trade Commission a contraint le Dr Brownstein à retirer cette page.]

    Nous avons donc des «infections» appelées illégitimement «cas» - et maintenant, les décès attribués au virus simplement parce qu'il était peut-être présent.

    Mais vous voulez des chiffres, non ?

    Nous savons déjà que «plus de 60 %» des décès présumés de COVID-19 russes n'étaient pas dus au COVID-19, mais nous pouvons faire mieux.

    Comme indiqué par Bloomberg, sur la base d'une étude de l'Istituto Superiore Di Santita officiel italien, lorsque l'Italie a commencé à réévaluer et à rendre compte de leurs résultats sans tromper les décès supposés causés par le COVID-19 qu'ils ont trouvé - - - - - -

    … Seulement trois victimes, soit 0,8% du total, n'avaient aucune pathologie antérieure. Près de la moitié des victimes souffraient d'au moins trois maladies antérieures et environ un quart avaient une ou deux maladies antérieures. Plus de 75 % souffraient d'hypertension artérielle, environ 35 % de diabète et un tiers de maladie cardiaque. [c'est-à-dire que 99,2 % ont souffert d'au moins une pré-morbidité] - 99 % des personnes décédées du virus avaient une autre maladie, selon l'Italie - Bloomberg

    Le professeur Ricciardi le résume ainsi - - -

    «Lors de la réévaluation par l'Institut national de la santé [italien], seuls 12% des certificats de décès ont montré une causalité directe du coronavirus, tandis que 88% des patients décédés ont au moins une pré-morbidité - beaucoup en avaient deux ou trois », dit [le professeur Ricciardi]. telegraph.co.uk

    Ainsi, seulement 12% des décès italiens peuvent être directement attribués au COVID-19. Les comorbidités ont tué les 88% restants.

    Que pensez-vous qu'ils trouveraient s'ils réexaminaient honnêtement les certificats de décès américains ?

    Il est raisonnable de suggérer que dans le pays qui a suivi les directives du CDC qui "recommandaient que les cas d'infection à coronavirus "présumée'' soient notés sur les certificats de décès avant que la ville de New York n'enregistre son premier décès le 14 mars," qu'ils trouveraient un taux similaire de 12%. Ratio de comorbidités COVID-19 à 88%. Allons-y.

    Ainsi, en intégrant furtivement les décès causés par les comorbidités dans leurs directives, l'établissement de santé mondial a réussi à multiplier par plus de sept les décès dus au COVID-19 !

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  22. En conséquence, vous obtenez le prochain "flagrant" - - - vous obtenez les "statistiques officielles" pour le taux de létalité, comme élégamment affichées par l'application gonzo Johns-Hopkins / arcgis.com COVID-19 affichant "Cas confirmés" et "Global Décès."

    Certainement une application élégante, mais nous savons que les chiffres ne sont même pas proches car ils incluent les infections comme cas confirmés et environ 88% des décès ne peuvent être légitimement attribués au COVID-19. Poubelle, poubelle.

    Pire encore, les chiffres impliquent un taux de mortalité excessivement gonflé - appelé «taux de létalité» - qui mesure le nombre de personnes parmi les plus malades qui meurent, la plupart dans les maisons de soins et les hôpitaux.

    Souvenez-vous que «la plupart meurent dans des maisons de soins et des hôpitaux» pour plus tard.

    Par exemple, le 3 juin 2020, 10:03:14, les chiffres de Johns-Hopkins ont montré que pour 17 personnes portées à l'attention de l'établissement médical, l'une d'entre elles est décédée pour un taux de létalité d'environ six pour cent ( 6%). Nous savons maintenant que c’est des déchets pour commencer, car environ 88% d’entre eux sont morts de comorbidités et non de COVID-19.

    Plutôt que le nombre effrayant de combien de personnes souffrant de symptômes graves et de pré-morbidités meurent, nous voulons savoir "Combien de personnes infectées par COVID-19 meurent de COVID-19?" Autrement dit, nous voulons connaître le véritable «taux de mortalité par infection».

    Pour comprendre cela, nous devons savoir combien de personnes dans une population entière sont infectées, pas seulement les personnes malades qui entrent dans le système médical. C’est un nombre beaucoup plus important de personnes - dont beaucoup sont «asymptomatiques» se souviennent - et nous ne savons pas qui elles se trouvent ni où elles se trouvent, ce qui rend cette question beaucoup plus difficile à répondre. Cela nécessite des statistiques et un échantillonnage minutieux - - -

    L'une des premières études - Santa Clara Co. California - menée par 17 chercheurs, dont le professeur John P.A. Ioannidis, qui, commentant le manque de preuves de l'étendue des infections, a fait remarquer début mars que - - -

    Ce fiasco de preuves crée une énorme incertitude sur le risque de mourir de Covid-19. Les taux de mortalité signalés, comme le taux officiel de 3,4% de l'Organisation mondiale de la santé [OMS], provoquent l'horreur - et n'ont aucun sens.

    Notez que les chiffres imparfaits de Johns-Hopkins auxquels il fait référence impliquaient déjà un taux de mortalité beaucoup plus élevé de 6% le 3 juin.

    Avec l'humilité scientifique, souvent absente de nos jours, le professeur Ioannidis décrit les résultats de cette étude de Santa Clara comme ceci - - -

    «… Le nombre de personnes infectées est entre 50 et 85 fois plus… par rapport à ce qui avait été documenté [comme des cas]. Immédiatement, cela signifie que le taux de mortalité par infection, le risque de mourir, la probabilité de mourir si vous êtes infecté diminue de 50 à 85 fois…. Nos données suggèrent que le COVID-19 a un taux de mortalité par infection qui se situe dans le même terrain que la grippe saisonnière. »

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  23. Vous pouvez trouver des résultats détaillés d'autres études similaires ultérieures - vérifiant que le taux de mortalité par infection du COVID-19 est à peu près le même que celui de la grippe saisonnière - collectés ici.

    Alors pourquoi «nous» n'imposons pas les masques, la distanciation sociale et autres mesures symboliques cérémonielles - et le verrouillage de l'économie mondiale - pour essayer d'arrêter la grippe saisonnière chaque année?

    Et gardez à l'esprit que si ces études utilisent le C.D.C.-W.H.O. gonflé à ~ 88%. nombre de décès, cela signifie que le véritable taux de mortalité par infection pour le COVID-19 est probablement nettement inférieur à celui de la grippe saisonnière. En fait, comme le suppose John Rappoport, il existe une possibilité extérieure que les dangers du COVID-19 soient principalement un artefact statistique produit par les fausses statistiques le reliant aux vrais tueurs, les comorbidités.

    Nous savons que le nombre de décès et de cas officiellement signalés - et soi-disant vérifiés et / ou confirmés - attribués au COVID-19 est une fiction complète qui pourrait même faire cligner de l'œil Staline. Et le truisme statistique selon lequel «la corrélation n'implique pas de causalité» s'applique évidemment. Pourtant, pourquoi le COVID-19 continue-t-il à apparaître mystérieusement en corrélation avec tous ces décès et cas ?

    La partie la plus importante et la plus évidente de la réponse est que le C.D.C.-W.H.O. les directives ont spécifiquement ordonné à l'établissement médical mondial de créer illégalement cette corrélation avec une tenue et des rapports incorrects et trompeurs.

    Pourquoi feraient ils cela? Eh bien, pour leur donner au moins une excuse limitée pour sortir, ils pourraient prétendre qu'ils avaient peur que «nous» ne prenions pas leurs avertissements au sérieux s'ils n'exagéraient pas les choses de manière extravagante.

    Et maintenant, leur problème est qu'une fois qu'il devient évident que COVID-19 était extrêmement exagéré, les têtes vont rouler, de sorte que la plupart de l'establishment mondial est désespéré pour plus de COVID et plus d'histoires d'horreur. Avec environ 7 milliards d'humains sur Terre, c'est garanti qu'ils les trouveront. Et, tout comme le nombre de cas et de décès COVID-19, vous pouvez toujours les rattraper.

    Voici l'une des astuces, grâce à une astuce d'une source crédible: enregistrez chaque test positif comme une infection. Cela signifie que lorsqu'un deuxième ou troisième test, etc. est administré à un patient pour vérifier ou suivre un test positif, chaque test positif apparaît dans les registres comme une infection distincte. Ainsi, si un patient reçoit, disons, 14 tests sur une période de deux semaines - ce qui est une pratique courante pour suivre une infection - et qu'ils sont tous positifs, ce patient apparaît dans les dossiers comme 14 infections distinctes. Et bien sûr, ils sont tous signalés comme des «cas» à part entière. .

    Alors, COVID-19 vous tuera-t-il ? L'économie va-t-elle rouvrir ?

    Même si vous en croyez les chiffres officiels, à moins d’avoir plus de 60 ans et / ou d’avoir des comorbidités, cela ne vous tuera presque certainement pas.

    Même si les statistiques n'étaient pas de fausses nouvelles, fermer l'économie pour sauver grand-père, c'est comme essayer de tirer sur un moucheron avec un fusil à éléphant - sauf que vous et votre grand-père êtes dans une pièce aux parois métalliques et que les balles ricochent.

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  24. Et bien sûr, le gouvernement n’admettra pas qu’il s’est complètement foutu. Même si c'était le cas, la plupart des gens ne font pas confiance à «nos» psychopathes et menteurs élus de toute façon, donc plutôt qu'une «réouverture», le mieux que nous puissions espérer est une réévolution. Si nous pouvons éliminer cette chose qui vit à Washington D.C.

    Et, BTW, qu'en pensez-vous ?

    COVID-19: Vérité, conspiration ou SNAFU ?

    Ici pour les mises à jour, les ajouts, les commentaires et les corrections.

    ET, «J'aime», «Tweet», et sinon, transmettez-le!

    https://www.lewrockwell.com/2020/07/l-reichard-white/truth-conspiracy-or-snafu-you-decide/

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  25. Le maître de la propagande arrive en ville


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    25 juillet 2020


    Note: c'est un morceau de fiction que j'ai écrit il y a des mois, quand il y avait une question sur ce que Trump allait faire ... dans quelle direction il allait sauter ...

    Que disent la plupart des gens, si vous soulevez des questions sur la réalité de «l'épidémie», ou même si vous laissez entendre que les faits pourraient être mis en doute?

    Ils disent: "Mais les gens meurent." Et c’est la fin de la conversation.

    Alors, dans cet épisode de falsification de virus et d'apocalypse sur le seigle à la moutarde, je présente une histoire que j'aime appeler: LE MAÎTRE DE LA PROPAGANDE VIENT EN VILLE.

    Ce personnage est une figure de sagesse et un enseignant. C'est un vieux pro. Il s'assure que les mensonges sont bien et souvent racontés. Il rappelle à ses troupes leur mission. Pardonnez sa langue, mais il a une très faible opinion de l'humanité.

    Le voici maintenant, sortant de sa limousine et entrant dans un hôtel cinq étoiles.

    Salle de conférence. Une équipe de sécurité a vérifié l'espace pour les bogues et autres espionnages électroniques. Les nuances sont dessinées. Une douzaine de spécialistes des opérations de propagande sont assis à la longue table.

    Le maestro entre dans la pièce, se tient à un bout de la table et sans formalités, commence à parler:

    - Je n'ai que quelques minutes. Je suis en route pour Rome pour informer le Pape. Alors voilà. Nous mettons des messages dans la tête des grandes masses non lavées, afin qu’elles les transmettent aux autres. Tu piges ? C’est le vrai facteur de contagion. Ne l'oublie jamais. Nous sommes Info Central pour les rubes, les yokels et les idiots, y compris les idiots à QI élevé qui pensent que leur diplôme universitaire signifie qu'ils ont une formation scientifique.

    - Nous travaillons avec la mort. Des gens du monde entier meurent tout le temps, chaque jour. Le public ne veut pas y penser. Bien. C’est bon pour nous. Notre travail est de convaincre les yokels que le «nouveau» mourant qui se produit maintenant vient d'un virus spécial. Nous faisons cela en assimilant la MORT et le CORONAVIRUS. Tu piges ? Ne l'oublie jamais. «Les gens meurent, ce doit être le virus.» C’est notre ticket.

    - Nos frères en médecine dans cette grande escroquerie ont déjà fait un travail formidable en répartissant la mort en différentes catégories. Mais maintenant, ils peuvent aussi transformer une pneumonie ordinaire en pneumonie à coronavirus en un clin d'œil. Ils peuvent transformer la grippe en corona. Ils peuvent faire d'un homme tombant dans les escaliers une victime du virus. Une soucoupe volante s'écrase dans un champ ? Si cela se produisait, un responsable du CDC avec un visage impassible pourrait dire aux yokels et aux idiots que le pilote extraterrestre de l'engin a été frappé par le virus et c'est pourquoi il a perdu le contrôle de la soucoupe.

    - Nous ne pouvons donc pas laisser tomber nos amis médecins. Nous devons augmenter l'intensité du message. Je veux plus de prédictions sur les gros plans de Harvard et Yale. Vous savez, des millions vont mourir. La moitié de la population mondiale sera infectée.

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  26. - Certains des idiots et des huards que nous ciblons sont des politiciens. Ils «croient en la science». Nous voulons que ces pôles verrouillent PLUS de villes. Faites ressentir la piqûre aux gens. La piqûre et la crise et la quarantaine doivent égaler LE VIRUS. Nous possédons le virus. C’est notre arme psychologique. C’est une idée, une notion, un fantôme, et les experts médicaux peuvent la contenir, si les gens suivent tous leurs ordres. Continuez à battre ce message.

    - Maintenant, juste entre nous, ont-ils déjà trouvé un tout nouveau virus en Chine pour commencer ? Je ne vois aucune preuve convaincante qu'ils l'ont fait. Mais qui s'en soucie? Les tests de diagnostic du virus sont-ils inadéquats et inutiles, sans valeur et trompeurs ? Bien sûr. Est-ce que «l'épidémie de virus» est un faux plaqué or ? Sûr. Est-ce que toutes sortes de personnes reçoivent un diagnostic de corona qui n'ont aucune maladie du tout ? Tu paries. Les gens qui sont malades pour toutes sortes de raisons se font-ils dire qu'ils sont des cas corona ? Ouais. C’est notre pain et notre beurre. Un pauvre bâtard descend d'un avion et il a une légère fièvre due au mauvais air dans la cabine et il est emmené à une base militaire pour la quarantaine. Jouez. «Le virus peut vous attraper n'importe quand, n'importe où.» Dans une ville, un service de soins intensifs d'un hôpital regorge de malades. Bien sûr que ça l'est. Les gens sont malades tout le temps. Mais maintenant, ils ont tous peur, et ils arrivent à pied, en voiture, en fauteuil roulant, avec des béquilles et avec la vague d’une baguette magique, ils sont mis aux soins intensifs parce qu’ils doivent être corona. Bien. Je veux plus de photos de cette unité de soins intensifs chaotique. Je veux une vidéo sur l'actualité. Encore plus. Être occupé. Ne vous relâchez pas. Ceci est un cirque. Il y a des règles pour un cirque. La règle principale est que les gens s'ennuient rapidement, vous avez donc besoin de beaucoup d'actes et de trucs, d'animaux, de spectacles parallèles et de bonbons pour garder le public occupé. Un ICU ici, un ICU là. Une mère qui pleure. Qui se soucie pourquoi ? Ce doit être le virus. Je ne veux pas entendre parler de toutes les autres raisons pour lesquelles les gens sont malades. Je veux juste entendre VIRUS.

    - N'oubliez jamais avec quelle facilité vous pouvez tromper les yokels. Hier, un type vivant dans un immeuble a eu la grippe. Pas grand-chose. Mais aujourd'hui, même gars? Couronne. Rien n'a changé sauf les nouvelles. Tous ses voisins dans l'immeuble oublient qu'hier ce type avait une grippe ordinaire. C’est une belle chose. Utilise le. Je veux voir plus de funérailles aux nouvelles.

    - Notre Saint Graal, notre idéal parfait, qui est inatteignable, serait: chaque mort dans le monde pendant les six mois ou un an à venir est appelée coronavirus. Mais nous pouvons tendre vers cet idéal. Nous devons.

    - Il y a deux échelons. Il y a NOUS. Et il y a Eux-Eux. NOUS LES gardons dans leur esprit limité. Nous renforçons ces esprits limités avec nos messages. Faites-les hurler: "Les gens meurent, ça doit être le virus !" C'est de l'or pur. Mine cet or.

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  27. De retour dans sa limousine, le maestro passe un coup de fil à son contact au CDC. «Écoutez», dit-il, «vous les gens là-bas vacillez. Je parle du test de diagnostic du virus. Premièrement, vos kits de test étaient mauvais, ils n’ont pas fonctionné. Ensuite, vous n’en aviez pas assez pour satisfaire les besoins. Maintenant, le mot commence à se répandre que les tests sont intrinsèquement peu fiables et que personne ne devrait les croire. Cette merde doit cesser. Rassemblez vos troupes. Mettez-les en ligne. Je veux que les personnes en bonne santé et les personnes malades, les personnes âgées et les jeunes et toutes les personnes reçoivent un diagnostic de corona, et je ne veux aucune incertitude. Vous et moi savons que le test est une blague, il ne fonctionne pas, mais personne d’autre ne peut le découvrir. Je l'ai ? Les gens là-bas au CDC peuvent être remplacés. Ils peuvent se retrouver dans la rue. Ce qui est responsable de cette opération, c’est la propagande, pas la science. VOUS nous soutenez. C’est la hiérarchie. Je veux que la peur fasse rage dans la population. Si vous ne pouvez pas tenir votre fin, vous allez découvrir que toutes les citations sur l’épidémie dans la presse viennent soudainement de l’Organisation mondiale de la santé ou de Johns Hopkins, et non du CDC. Je vais m'assurer que vous êtes poussé en arrière-plan. Les gens de la Santé mondiale sont des professionnels. Ils savent comment livrer une escroquerie unifiée. Ces deux idiots, le gouverneur de New York et le maire de New York, font plus pour médiatiser cette fausse épidémie que tous les employés du CDC réunis. Mettez votre maison en ordre. Vite."

    Il ferme son téléphone et le met dans sa poche. Sur le chemin de l'aéroport, il fredonne un petit air. Il regarde par la fenêtre. Il se dit que si nous pouvons étendre cela assez loin, nous pouvons même organiser une élection présidentielle en Amérique sur Internet. Personne ne vote dans une cabine. Ne peut pas risquer la transmission du virus. Il rit. Son téléphone vibre. Il le retire.

    "Oui monsieur ?" il dit. Il écoute. Hoche la tête. «Oui, monsieur, je sais que vous allez vous adresser à la nation dans quelques minutes. Eh bien, monsieur, c'est une pièce de théâtre. Vous êtes au milieu. Je sais que tu comprends ça. Si vous allez trop loin pour minimiser le risque d’épidémie, vous allez être durement touché de toutes parts. Les maires, les gouverneurs, les scientifiques, les médecins, les responsables de la santé publique, les membres du Congrès, les grandes technologies, les médias - ils vont tous vous sculpter en une citrouille souriante. Pour ne rien dire de ce qui est arrivé à la bourse. Si vous essayez de minimiser la corona, la situation économique dans son ensemble va basculer. Même Goldman Sachs ne pourra pas vous protéger. Regarde autour de toi. Ce maire schmuck de New York fait des bruits sur la fermeture de tout le système de métro. Mon conseil est de laisser cette opération suivre son cours. Lisez les feuilles de thé de l'histoire. De nombreux présidents ont des problèmes à la fin d'un mandat. La falsification du coronavirus est votre problème. Montez-le. Si vous ne pouvez pas battre Joe Biden en novembre, vous devriez recommencer à construire des terrains de golf. Il s’accroche à un fil. Je ne pense pas que les médecins puissent le gonfler avec suffisamment de médicaments pour que son cerveau fonctionne pendant un débat. Vous pourriez entrer en fonction sur un bas pour votre deuxième mandat, mais - ne vous fâchez pas, monsieur, vos ennemis recherchent un talon d'Achille depuis que vous avez commencé à faire campagne en 2015. Ils ont essayé ceci, ils ont essayé cela, cela n'a pas été le cas. ça marche vraiment. Mais cette opération médicale fonctionne. Allez-vous vraiment dire que les experts médicaux sont tous des menteurs et de fausses nouvelles ? Envisagez-vous cela ?

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  28. Croyez-moi, il ne volera pas. Tu sais que j'ai raison. La propagande médicale des cent dernières années est gagnante. Comment pouvez-vous résister, surtout au milieu de cette tempête de merde actuelle? Si je tenais à la vérité, je serais dans un tergiverse. Heureusement, je suis au-dessus de la mêlée. Écoutez votre sage vieux oncle. Prenez l'amer avec le sucré. Vous êtes un pro dans votre domaine. L'art de la transaction. Dans ce cas, l'accord est en direct pour se battre un autre jour. Vous avez brossé votre tableau de «la grande reprise économique», et maintenant ils pulvérisent partout avec des graffitis. C’est ce que font les ennemis. J'ai du matériel intéressant sur Biden et Bernie, si vous voulez que je… "

    Le maestro regarde son téléphone. «Il a raccroché», dit-il à son chauffeur.

    «C'est une étude rapide», dit le conducteur.

    Ils rient.

    «Qu'allez-vous dire au pape ?» demande le chauffeur.

    «Je vais lui dire de garder sa grande bouche fermée. Et s'il ne peut pas faire cela, et qu'il veut y amener Dieu, nous travaillerons sur la déclaration. Changez-le en Nature. C’est plus doux. La nature a ses voies et ses virus. Il doit être respecté. Dieu nous a donné l'intelligence de travailler avec la nature et les moyens de développer la science médicale. Les médecins sont des guérisseurs. Suivez leurs recommandations. Quelque chose comme ca. Sur le chemin de l'avion, je vais vous proposer des citations. Rester à mes côtés. Vous emballez de la chaleur. Ils vous demanderont votre arme avant de nous laisser entrer au Vatican. Donne le leur. Gardez vos yeux droit devant vous. Ne regardez pas au-delà des portes ouvertes. Qui sait ce que vous verriez? Je ne veux pas que quiconque nous convoque comme témoins dans une future affaire judiciaire… »

    «Vous êtes prudent, comme toujours», dit le chauffeur.

    «Attention aux détails, absolument imprudente en ce qui concerne le plan global. Dites un mensonge si scandaleux que personne ne peut croire que c'est un mensonge. "

    À la Maison Blanche, le président monte sur le podium et regarde la caméra. Il pense: je me demande ce qui se passerait si je sortais du scénario et disais, vous savez, il doit y avoir dix mille personnes à Washington qui sont conscientes qu'il y a quelque chose de bizarre dans cette situation de coronavirus. Il y a toute la grippe. Le CDC dit que trente mille personnes aux États-Unis meurent de la grippe ordinaire chaque année, comme sur des roulettes, et qu'il y a des millions de cas de grippe chaque année - mais personne n'appelle CELA une épidémie. Le marché boursier ne s'effondre pas à cause de CELA. Personne n'est mis en quarantaine à cause de CELA. Ils n’annulent pas le basketball à cause de CELA. Que diable se passe-t-il ?

    Le président commence à parler à la nation.

    «Écoutez, l'essentiel est que je dois protéger des millions de vies. Je dois signer des factures autorisant deux trillions de dollars d'aide à nos entreprises et à nos travailleurs. Je dois écouter les experts. Les gens meurent, ce doit être le virus. Quoi d'autre cela pourrait-il être ?"

    Un inconnu au fond de la pièce dit, d'une voix très claire et très forte: BIEN, CELA POURRAIT ÊTRE UN CHEVAL COMPLET - "

    Un membre de l'équipe des opérations spéciales d'alerte se présente devant l'homme et le vaporise rapidement au visage avec un produit chimique. L'inconnu est paralysé et, comme une bûche, il s'avance et rebondit sur le sol.

    L’homme des opérations spéciales crie: C’EST LE VIRUS. IL EST MORT.

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  29. Les gens crient. Les portes de la pièce sont soudainement verrouillées. Des médecins en blouse blanche apparaissent.

    Quelqu'un crie, LA MAISON BLANCHE EST INFECTÉE. WASHINGTON DC EST INFECTÉ.

    Le président hausse les épaules, regarde la caméra et dit: «Je suppose que je vous parlerai ensuite depuis un endroit non divulgué. Nous allons passer à travers ça, l'Amérique— "

    COUPURE ÉLECTRIQUE.

    Les gens meurent, ce doit être le virus.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2020/07/jon-rappoport/the-propaganda-master-comes-to-town/

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