le 7 juillet 2020
La dendrologie est une science à part entière consistant à étudier les cernes de croissance des arbres. Le tissu architectural du bois est constitué de polyphénols complexes et dans les régions du globe terrestre où il existe une alternance des saisons il est possible de calculer l’âge d’un arbre en comptant les cernes de croissance. Ce qui est plus riche en renseignements est la structure fine de ces cernes et leur épaisseur. Une telle étude permet d’obtenir des renseignements sur la température au cours de la période de croissance s’étalant sur une partie du printemps, l’été et une partie de l’automne dans les régions dites tempérées. Les feuilles, ou les épines pour les conifères, sont les moteurs du mouvement de la sève dans la partie la plus externe du tronc de l’arbre. Il est donc facile de comprendre que l’arbre ne croit que s’il y a des feuilles. La partie plus interne du tronc de l’arbre est en réalité une architecture ligneuse inerte qui gagne en épaisseur et en solidité avec la croissance de l’arbre.
La structure de chaque cerne indique que les cellules sont plus grandes au début de la saison de croissance avec des parois ligneuses fines qui s’épaississent au fur et à mesure que la saison avance devant également plus petites en délimitant ainsi un cerne. Le tissu ligneux présente la particularité d’émettre une lumière bleue sous un éclairage ultra-violet, lumière mesurable et permettant d’approfondir le processus de croissance de l’arbre au cours de la saison, en particulier la vitesse de cette croissance qui dépend essentiellement de la température. En effet le mouvement ascendant de la sève dépend de la température à laquelle sont soumises les feuilles ou les aiguilles dans le cas des conifères. L’étude microscopique de ces cernes de croissance a été mise en œuvre avec des pins sylvestres se trouvant à la limite nord de la forêt boréale au nord-est de la Finlande. Les travaux ont été partagés entre l’Institut fédéral suisse de la forêt, l’Université de Gothenburg et l’Université catholique de Louvain et les résultats obtenus sont surprenants.
Pourquoi avoir choisi de tels arbres ? La réponse est simple. La pluviométrie et l’hygrométrie dans cette région est pratiquement constante au cours de la saison de croissance des arbres et seule la température module cette croissance. Appliquée dans ce cas particulier, au delà de 65 degrés nord, la dendrologie permet d’obtenir un profil très précis de l’évolution de la température estivale loin des perturbations de l’Atlantique nord, le pourtour de l’Océan arctique étant relativement stable au cours de l’été. La température optimale pour la croissance des arbres dans cette région ne s’étale que sur une durée très courte ne dépassant pas deux mois par an. L’illustration ci-dessus détaille la technique d’analyse de chaque cerne de croissance. Celui-ci est divisé en 10 parties d’une épaisseur d’environ 10 microns chacune et un logiciel d’analyse permet de quantifier l’épaisseur des parois cellulaires et leur croissance radiale (rCWT, radial cell wall thickness) ou tangentielle (tCWT, tangential cell wall thickness). L’analyse permet d’en déduire le volume de lignine de chaque cellule par rapport au volume total de la cellule ainsi que la densité anatomique (aD) et par analyse de la fluorescence dans le bleu sous éclairage UV l’épaisseur radiale des parois cellulaires. Cette épaisseur décroit au fur et à mesure que l’arbre grandit par ajout d’un cerne supplémentaire chaque année comme l’indique le profil en bleu dans la partie d) de l’illustration, EW étant le bois précoce, au début de la saison de croissance et LW le bois tardif en fin de saison de croissance.
Les résultats globaux obtenus par cette analyse très fine et novatrice ont été rassemblés dans une figure (ci-dessous) exprimés en Zscore ou déviation par rapport à la moyenne de tous les points expérimentaux pour chaque paramètre : largeur des cernes (rig width), MXBI ou intensité maximale de la fluorescence bleue sous UV, MXD ou densité maximale du bois tardif au cours de la saison de croissance, aLWD ou densité moyenne du bois tardif, Max.rCWT ou épaisseur radiale de la paroi cellulaire et enfin CRUTEMA4 ou données des températures relevées sur la cellule 65-70°N-25-30°E « moyennées » d’avril à septembre, de juin à août et seulement de juillet depuis 1875.
Quel enseignement en tirer ? Les 5 paramètres dendrologiques rassemblés dans cette figure sont concordants. À l’issue du petit âge glaciaire, au début du vingtième siècle, il y eut pendant une quarantaine d’années (1910-1950-60) une période climatique « chaude » culminant vers la fin des années 1930. Ceci a été confirmé par l’abondance des taches solaires en particulier. À partir de 1960 l’effet de la température sur les cernes de croissance se stabilise avec d’autant plus de clarté que la période propice à la croissance des arbres dépasse rarement 2 mois entre le 15 juin et le 15 août. Si les relevés de température CRUTEMA sont d’une remarquable stabilité en réalité il faut considérer avec une extrême précaution ces données de températures.
En effet les relevés de températures présentés dans cette illustration sont contestables dans la mesure où la rareté des stations météo est un facteur limitant et chaque « carré » de la surface terrestre ne peut en aucun cas rendre compte de la réalité. J’admire au passage l’honnêteté des auteurs de l’étude qui ont osé insérer ces relevés de température qui n’ont d’autre qualité que de montrer cette stabilité inattendue au cours des années passées. Il s’agit de données brutes lissées et représentées et exprimées également en Zscores. Ce seul fait est contestable puisque les températures, aux extrêmes considérées, avril et septembre, peuvent déjà varier de moins 10°C le matin à plus 15°C l’après-midi du même jour. Que signifie alors le Zscore ? On est en droit de se poser la question. Enfin, la croissance des pins dans cette région boréale à l’extrême limite de la forêt est très sensible aux températures qui sont largement dépendantes de l’ensoleillement de 24 heures autour du solstice. Il n’est pas permis non plus d’oublier l’effet des transferts de chaleur entre les zones tropicales et les pôles comme l’a bien documenté le Professeur Lindzen dans son article traduit par mes soins sur ce blog. Il reste donc qu’entre 1915 et 1950 un réchauffement du climat a bien été montré par les résultats de cette étude et seule la température a influencé la croissance de ces pins sylvestres. Des travaux complémentaires utilisant cette même technique superbement détaillée et dans d’autres régions arctiques ou sub-arctiques permettront un jour d’en savoir plus.
Source et illustrations : https://doi.org/10.1016/j.dendro.2020.125673
Pour les curieux désirant avoir plus d’informations sur les relevés de températures CRUTEMA voici un lien indiquant clairement le peu de fiabilité de ces évaluations : doi:10.5194/essd-6-61-2014 en accès libre. Il suffit de considérer qu’en France, avec ce système d’évaluation, les températures moyennes sont les mêmes du Havre à Montélimar et de Bordeaux à Charleville-Mézières !
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/07/07/la-dendrologie-revisitee-resultats-spectaculaires/
La fille de fermier : ce que cela signifie que Bayer débourse plus de 10 milliards de dollars pour régler les litiges sur le glyphosate
RépondreSupprimer7 Juillet 2020
par Seppi
Amanda Zaluckyj, AGDAILY*
C'est enfin arrivé. Bayer est en train d'ouvrir un compte en banque et de payer. Le géant de la technologie, qui a acquis Monsanto, est en train de régler la majorité des plaintes en cours et futures contre lui concernant le glyphosate. Le montant du règlement devrait se situer entre 10 et 11 milliards de dollars.
Les allégations – environ 125.000 d'entre elles – sont essentiellement les mêmes. Les plaignants affirment avoir utilisé du Roundup, dont le glyphosate est la matière active. Les plaignants affirment que l'exposition au glyphosate leur a fait développer un cancer, plus précisément un lymphome non hodgkinien. Les plaignants affirment également que Monsanto savait que le glyphosate causait le cancer et l'a délibérément caché aux organismes de réglementation.
Il n'est pas surprenant que Bayer ait décidé de régler à l'amiable ; il a perdu au tribunal. Terriblement. De multiples jurys ont écouté les preuves, délibéré et rendu des verdicts à plusieurs millions de dollars en faveur des plaignants. J'ai cru comprendre que les avocats des plaignants avaient reçu un courriel d'employés de Monsanto qui donnait l'impression que les arguments des plaignants étaient plausibles. Bayer a donc perdu à plusieurs reprises.
Donc, non, un accord n'est pas surprenant d'un point de vue juridique. Les grands cabinets d'avocats ont vu un punching-ball rempli de billets et ont fait couler beaucoup d'argent pour attirer de nouveaux clients. Et Bayer a vu ce qui était écrit sur le mur : des milliers de procès de plusieurs millions de dollars ne seraient pas bons pour les résultats. La solution logique a été le règlement à l'amiable.
Mais je sais que beaucoup d'entre nous auront le sentiment qu'il s'agit d'une erreur judiciaire. C'est probablement le cas. Les activistes ont bien réussi à convaincre le public que le Roundup était capable de causer le cancer. (Pour information, aucune recherche scientifique ne vient étayer cette conclusion.) Ils s'en prenaient aux plantes génétiquement modifiées. Le Roundup n'était qu'une cible facile en raison de son étroite association avec les OGM. Ils ont donc transformé un herbicide inoffensif, bien qu'efficace, en croque-mitaine.
La décision de Bayer me rappelle les conseils que je donne généralement à mes clients. Les procès civils ne sont pas une question de justice. On n'intente pas de procès et on ne se défend pas parce que c'est la bonne chose à faire. On ne plaide pas pour prouver qu'on a raison. Et on ne plaide pas pour prouver que la partie adverse a tort. Le procès est plutôt un jeu, où les deux parties essaient de faire valoir leur version des faits et de vendre une histoire au jury.
RépondreSupprimerC'est exactement ce qu'étaient les premières affaires du Roundup : des procès de mise en route. Les plaignants réussiraient-ils à impressionner le jury avec leurs tristes histoires ? Bayer trouverait-il un moyen d'excuser les courriels imprudents des employés ? L'expert de quelle partie serait le plus convaincant ? Bayer a découvert que sa stratégie ne fonctionnerait pas.
Il y a aussi un côté pratique à tout cela, qui est également lié aux conseils que je donne aux clients. On ne dépense pas 1.000 dollars pour gagner une affaire dont l'enjeu est un dollar. En d'autres termes, il est parfois plus rentable de jeter de l'argent à votre adversaire et d'en finir avec lui. Bayer a investi des milliers (voire des centaines de milliers) de dollars dans chacun de ces procès, uniquement pour les frais d'avocat. Il est tout aussi probable que ce règlement leur permette d'économiser de l'argent à long terme, sans parler de la satisfaction de leurs investisseurs.
Mais il vaut peut-être mieux terminer sur une note positive, alors je vais essayer. Ce règlement devrait être le début de la fin. Il n'y aura plus, dit-on, de procès devant un jury qui fera les gros titres. La publicité odieuse faite par les avocats à la recherche de nouveaux clients devrait cesser. Bayer a déclaré qu'il continuera à vendre du Roundup. Et un juge fédéral a décidé que le produit n'a pas besoin d'inclure l'étiquette de mise en garde contre le cancer que l'État de Californie voulait imposer.
Et surtout, la fin de ces absurdités est proche. J'ai hâte de voir où les militants vont tracer la prochaine ligne dans le sable. J'espère que cette fois-ci, nous aurons plus de succès.
____________
* Amanda Zaluckyj blogue sous le nom The Farmer's Daughter USA. Son objectif est de promouvoir les agriculteurs et de lutter contre la désinformation qui tourbillonne autour de l'industrie agroalimentaire américaine.
Source : https://www.agdaily.com/insights/what-it-means-bayer-paying-10-billion-settle-glyphosate-suits/
http://seppi.over-blog.com/2020/07/la-fille-de-fermier-ce-que-cela-signifie-que-bayer-debourse-plus-de-10-milliards-de-dollars-pour-regler-les-litiges-sur-le-glyphosat
Supprimer(...) La solution logique a été le règlement à l'amiable. (...)
HAHAHAHA ! a été le règlement à l'ennemiable ! Ouais !
CRISE SANITAIRE : LE POINT SUR LE COÛT DES TRANSPORTS
RépondreSupprimerpar JEAN-BAPTISTE GIRAUD
06/07/2020
Les billets d'avion à 10 euros ne sont plus envisageables dans le monde d'après.
On le sait, le coût du transport est une vraie préoccupation pour beaucoup d’entre nous. Voici, à date, ce que l’on peut dire sur le sujet.
Le prix du carburant remonte
La voiture d’abord : après une chute vertigineuse des prix du baril de pétrole brut, le prix du carburant à la pompe s’est approché du seuil des 1 euro le litre pour le diesel tout au moins, puis, est remonté ces dernières semaines. Pour l’instant, rien ne dit que le prix du carburant pour automobiles risque de connaître une nouvelle flambée. Croisons les doigts.
Côté train, la SNCF vient de le promettre : aucune augmentation de prix, que ce soit pour les trains régionaux, les abonnements, que les TGV et Intercités, n’est prévue pour cette année. Malgré les énormes pertes de la compagnie à cause des grèves, puis du confinement, ce n’est pas cette année que les passagers en payeront la facture.
Un tournant pour l'aérien
L’avion, enfin : le secrétaire d’État aux Transports a dit la semaine dernière, avant la démission du gouvernement, que « les billets d’avion à 10 euros, ce n’était plus possible ». Le problème c’est que pour le transport aérien, nous sommes encore dans un marché concurrentiel, très concurrentiel même, où le pouvoir de l’État français est limité. Bien au contraire, il semble clair que les compagnies low-cost vont continuer à proposer des billets d’avion à 10, 20 ou 30 euros, pour des déplacements en Europe. Parce qu’elles le peuvent. Parce que les pays qui ont besoin du tourisme vont le favoriser. Parce que les règles européennes le permettent.
Et pour aller plus loin, et bien là encore, des compagnies, comme celles du Golfe, cassent les prix, et vont continuer à casser les prix. Aller à Bali aller-retour pour 400 euros, ou à New-York pour 300, cela devrait être encore possible pendant quelques années. En revanche, il y aura moins de vols, c’est une certitude, et aussi, moins de compagnies aériennes, certaines vont disparaître.
http://www.economiematin.fr/news-crise-sanitaire-le-point-sur-le-cout-des-transports
(...) Le prix du carburant remonte (...)
Supprimerd'après les bureaux (qui ne tiennent pas comptes du nombre de transactions) !
CARBURANTS : LES PRIX À LA POMPE SONT EN BAISSE
RépondreSupprimerpar LUDIVINE CANARD
07/07/2020
Le gazole a baissé de 0,25 centime au début du mois de juillet.
Bonne nouvelle pour les automobilistes, après deux mois d’augmentation, les prix des carburants diminuent légèrement.
Une baisse de 12 euros en moyenne par plein
Ils avaient diminué avec la baisse de la consommation liée au confinement, mais étaient repartis à la hausse au cours des mois de mai et juin, finalement, les prix à la pompe ont à nouveau baissé dernièrement entre 20 centimes et presque 1 euro le litre, selon les chiffres officiels communiqués lundi 6 juillet 2020 par la Direction générale de l'énergie et du climat (DGEC) du ministère de la Transition écologique et solidaire.
C’est le super sans plomb 95 qui connaît la baisse la plus importante. Il s'est pour sa part vendu à 1,33 euro le litre, soit une baisse 0,91 centime par rapport au relevé du vendredi 26 juin 2020. Le SP95-E10, lui ne baisse que 0,38 centime le litre et s'établit à 1,32 euro. Quant au super sans plomb 98, il coûte désormais en moyenne 1,40 euro le litre, soit 0,47 centime de moins. Enfin, le gazole, carburant le plus vendu, a baissé de 0,25 centime, à 1,23 euro.
Mais celle-ci ne devrait cependant pas durer. « Dans la mesure où ce mouvement correspond au recul des cours de l'or noir constaté à la mi-juin : le baril de Brent était redescendu à 33 €, soit 5 € de moins en moyenne qu'au début du mois. Or, depuis, ces mêmes cours sont à nouveau remontés à 38 €. Ce qui signifie que les prix à la pompe devraient suivre avant la fin juillet. Pour la suite, en revanche, une nouvelle baisse n'est pas exclue, vu le risque de re-confinements ponctuels qui planent en l'Europe », analyse le magazine Auto-plus.
Les prix en baisse par rapport à juin
Depuis la fin du confinement, les prix des carburants avaient augmenté avec la reprise du trafic. Après une baisse de 14 centimes sur l’ensemble du mois de mars, le gazole était affiché au prix de 1,44 euro par litre au début du mois de juin 2020 soit une valeur équivalente à celle du mois de février 2020.
Comme le rappelle le ministère, plusieurs variables sont comprises dans la fixation des prix du carburant comme le cours du pétrole brut, la marge de raffinage, la marge de transport-distribution, la fiscalité (taxes) mais aussi le taux de change euros-dollars. En cette période de départs en vacances, il est possible de consulter les prix du carburant en temps réels partout en France.
http://www.economiematin.fr/news-carburants-essence-gazol-prix
ACCALMIE ?
RépondreSupprimerpar STÉPHANE DÉO
07/07/2020
Le FMI s'attend désormais à une baisse du PIB mondial de 4,9%.
Les données du QE de la BCE semblent montrer une accalmie avec des interventions qui se font moins lourdes. Il faut lire ces évolutions comme un signe que le marché a besoin de moins de support, une normalisation donc, même si elle est encore incomplète. La résurgence du nombre de cas de Covid aux Etats-Unis ne s'est pas accompagnée du même impact négatif sur l'économie que la première vague. Très intéressant article de la BdF qui montre que le réchauffement climatique constitue aussi un risque financier que tout investisseur devrait analyser et prendre en compte.
Point de marché : la BCE ralenti son QE et c'est une trés bonne nouvelle
La BCE a publié hier les détails de ses achats hebdomadaires de la semaine dernière mais aussi des informations sur son programme sur le mois de juin. Il y a plusieurs détails à retenir.
Sur la semaine passée, le volume des achats est le plus bas depuis l'introduction du PEPP, 25,3 milliards d'achats (dont 20,2 milliards pour le PEPP et 4,4 pour le PSPP). Il faut le lire ce chiffre comme une bonne nouvelle. La BCE a porté le marché à bout de bras, elle a moins besoin de le faire. C'est un signe de normalisation, certes incomplète.
- voir graphique sur site -
Sur les achats mensuels de juin, le programme est en ligne avec les mois précédents, avec 38,8 milliards d'achats. Mais il y a deux points qui méritent d'être soulignés.
Premièrement, la part du PSPP (le QE souverain) reste importante et a même un peu augmenté. Il existe des spéculations dans le marché que la BCE pourrait revenir à une proportion plus importante de CSPP (le QE sur le crédit), c'est effectivement plausible dans un environnement où la partie souveraine est stabilisée.
- voir graphique sur site -
Deuxièmement, la divergence par rapport aux clefs de répartition est mineure. Certes la BCE semble avoir pris des libertés cette année, comme elle l'avait fait assez souvent par le passé. Les achats de papier Français dépassent l'objectif, même chose dans une moindre mesure pour l'Italie, les achats de Bund sont en deçà des clefs de répartition. Toutefois, les achats totaux sur l'ensemble du programme de la BCE, qui a débuté en mars 2015, restent très proches des clefs de répartition. Il n'y a donc pas de nécessité forte à ajuster le portefeuille.
- voir graphique sur site -
Une autre vue sur la pandémie aux Etats-Unis
On connait la divergence très forte aux Etats-Unis entre le nombre de cas de coronavirus, qui ne cesse de progresser, et le nombre de décès, qui reste très modéré voire en baisse lente. On peut bien entendu invoquer un retard entre les deux séries, mais on arrive là à un décalage qu'il est difficile de justifier et il est beaucoup plus raisonnable de faire l'hypothèse que les cas sont plus bénins et donc la pandémie moins grave.
- voir graphique sur site -
Autre façon de voir les données, l'augmentation du nombre de cas a été beaucoup moins destructive pour l'économie que la première vague. C'est évidemment lié au fait que les cas sont plus bénins et donc qu'il y a moins de confinement. Pour exemple nous utilisons le Google mobility index qui fournit l'évolution journalière de l'activité. Alors que sur la première vague l'indication de ralentissement de l'activité était sans ambiguïté, la seconde vague s'accompagne d'une amélioration de l'indice qui est revenu très proche de la normale. Même si l'indicateur n'est pas d'une fiabilité absolue, une telle différence ne peut pas être seulement lié à du bruit statistique.
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
Conclusion : cette seconde vague de cas est non seulement beaucoup moins mortifère, mais elle est aussi beaucoup moins négative pour l'économie.
A noter, l'indice ISM non-manufacturier qui a rebondi hier aux Etats-Unis, passant à 57,1. A noter aussi l'indice de surprises économiques qui a battu un record de plus à 213,6, un niveau inimaginable il y a encore quelques semaines !
Article de la BdF, le risque climatique est aussi un risque financier
Intéressant article de la Banque de France sur le climat. Il montre que le niveau de carbone émis par un pays constitue un risque car en cas de transition énergétique les pays les plus « carbonés » sont ceux qui seront le plus pénalisés. Ce risque peut se matérialiser de plusieurs manières « sur un renchérissement du prix des énergies émettrices de GES, soit par le biais d'une taxe carbone ou de droits à émettre, soit par le biais de réglementations augmentant le coût de leur usage. »
Le graphique ci-dessous résume l'impact :
- voir graphique sur site -
Nous avions écrit une opinion « l'ISR rend intelligent » pour expliquer que l'analyse extra-financière permettait de mieux comprendre le monde actuel et de mieux analyser les risques financiers. Cet article abonde dans le même sens : il y a bien sûr un impératif moral indiscutable à lutter contre le réchauffement climatique, mais il existe aussi un risque financier mesurable associé que tout investisseur devrait analyser et prendre en compte.
Détails disponibles sur :
https://blocnotesdeleco.banque-france.fr/billet-de-blog/politique-climatique-le-defi-du-temps-long-et-des-interets-nationaux
http://www.economiematin.fr/news-coronavirus-risque-economie-climat-futur-deo
(...) Intéressant article de la Banque de France sur le climat. Il montre que le niveau de carbone émis par un pays constitue un risque car en cas de transition énergétique les pays les plus « carbonés » sont ceux qui seront le plus pénalisés. Ce risque peut se matérialiser de plusieurs manières « sur un renchérissement du prix des énergies émettrices de GES, soit par le biais d'une taxe carbone ou de droits à émettre, soit par le biais de réglementations augmentant le coût de leur usage. »(...)
SupprimerDES CONNERIES ! Avec le pognon fabriqué 'à la main' ! (sur clavier) l'on peut acheter TOUT !
TOUT & TOUT ! (même les personnes qui se disent 'scientifiques' !)
- "Si je vous donne 100 millions sur votre compte, accepteriez-vous de vous faire enc... ? "
POUR LE MONDE NOUS SOMMES ENTRÉS DANS L'ÈRE DE L'ARGENT GRATUIT !
RépondreSupprimerpar CHARLES SANNAT
07/07/2020
La dette de la France fin 2020 pourrait atteindre 120% du PIB.
Vous le saviez déjà et cette information ne va pas changer votre vie… au premier abord. Au second, c’est un véritable signal faible bruyant !
En effet si vous êtes un lecteur régulier de ces chroniques quotidiennes que je partage avec vous, vous savez à quel point nous sommes dans un monde d’argent gratuit, vous savez que cet argent gratuit inonde toute l’économie.
Vous savez que l’immobilier monte parce que l’argent coule à flots.
Vous savez que le prix des actions ne veut, le plus souvent, plus dire grand-chose, car dans un monde de taux zéro ou négatifs, une action qui verse des dividendes supérieurs à zéro (ce qui est la définition des dividendes) sera toujours plus rentable même si son cours est multiplié par 10 qu’une obligation à taux négatifs !
Vous savez tout cela.
Là, ce qui doit nous interpeller c’est que le grand quotidien, Le Monde en personne vient de se rendre compte de la situation et titre :
« Avec la crise sanitaire, le monde est entré dans l’ère de l’argent gratuit »
« Face à l’explosion des dettes, les banques centrales ont baissé leur taux à des niveaux historiquement bas et ne pourront pas les remonter avant très longtemps. Les conséquences seront très profondes.
Gouvernements, entreprises, ménages : endettez-vous, c’est le moment ! Les taux d’intérêt n’ont jamais été aussi bas et ils ne sont pas prêts de remonter. Le monde est entré dans la pandémie alors que les taux étaient historiquement bas depuis la crise de 2008. Pour permettre aux États de se financer pendant cette crise, les banques centrales sont allées encore plus loin, s’enfonçant un peu plus dans cette nouvelle ère monétaire où l’argent est quasi gratuit. « Les taux vont rester très bas très longtemps, on est tous d’accord », explique Mikaël Pacot, d’Axa Investment Managers. « On ne va pas sortir de la politique monétaire expansionniste de sitôt », confirme Christopher Dembik, de Saxo Bank.
Pour l’économie mondiale, les conséquences sont majeures. L’action des banques centrales, qui permet de garder les taux à zéro, est le principal phénomène qui va influencer tous les autres. C’est vrai pour les ménages qui achètent un logement et qui vont pouvoir emprunter toujours moins cher. C’est vrai aussi pour les ménages les plus riches, détenteurs d’actifs, qui vont s’enrichir, accentuant les inégalités entre les classes sociales mais aussi entre les générations. Inversement, l’épargne bancaire ne rapporte plus rien et le Livret A est, aujourd’hui, presque sans intérêt. Mais c’est surtout vrai pour les Etats, qui vont pouvoir emprunter comme jamais.
Avec la pandémie, toutes les grandes banques centrales sont venues au secours de l’économie, en lançant des plans d’achat de dette d’une ampleur inédite. L’enveloppe dépasse, par exemple, 1 500 milliards d’euros pour la Banque centrale européenne (BCE), ce qui permet aux Etats de la zone euro de se financer facilement ».
RépondreSupprimerJ’ai toujours dit, même lorsque la FED annonçait triomphalement qu’elle allait normaliser sa politique monétaire car la croissance était de retour qu’elle ne pourrait jamais dépasser les 3 % et que ce mouvement de hausse de taux tenait plus de l’opération de communication du genre « nous avons toujours le contrôle de la valeur de la monnaie » que d’une véritable politique monétaire et d’un vrai cycle de resserrement des taux.
Et évidemment les taux de la FED n’ont jamais dépassé les 3 % seuil, de douleur pour les marchés drogués à l’injection d’argent frais.
Avec la pandémie (qui n’est pas finie, même si cela va faire hurler ceux qui croient que le déconfinement c’est la fin des problèmes sanitaires), les taux ne sont pas près de remonter, pour longtemps, très longtemps.
Avec 120 % de dettes sur PIB, il faut 3 % de croissance de nos 100 % de PIB pour payer une dette à 2 % sur 120 % de dettes sur notre même PIB… Alors oui, cela va devenir compliqué.
Très compliqué.
La dette ne sert qu’à réduire les populations en esclavage…
Vous savez que je ne suis pas un démagogue. Oui la dette des uns est souvent l’épargne des autres. Annuler les dettes c’est annuler l’épargne. Ce n’est pas si simple.
Pourtant, on le voit bien, depuis 2008 et la dernière crise, ce ne sont plus les marchés qui financent les dettes, mais bien les banques centrales qui impriment de la monnaie pour boucler les fins de mois difficiles.
Cela implique que nous ne payons plus la dette, que la dette des uns, n’est plus l’épargne des autres, mais bien une création monétaire des banques centrales.
Une fois que l’on a mis le doigt dans un tel cycle, alors, plus rien n’empêche de racheter progressivement les dettes qui arrivent à échéance et de faire un refinancement progressif via les banques centrales, et petit à petit on stérilise cet endettement que l’on ne remboursera jamais, parce que c’est devenu impossible.
Ceux qui vous expliquent que les dettes doivent être remboursées dans la situation économique actuelle vous mentent.
Ils mentent pour deux raisons simples.
La première, personne ne veut être le premier à déclarer que les dettes ne seront jamais remboursées et que c’est la faillite généralisée.
La seconde, c’est que s’il n’y a plus de dettes à rembourser, il n’y a plus de justification à la levée des impôts et des taxes sur tout et n’importe quoi. Maintenir la croyance dans le fait que nous devons payer les dettes, c’est maintenir le couteau sous la gorge de chaque peuple, de chaque contribuable. Payer la dette c’est poursuivre l’asservissement des citoyens.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
http://www.economiematin.fr/news-argent-gratuit-ere-changement-covid-aides-etats-sannat
Dès lors que l''argent' gratuit circule (aux claviers d'ordinateurs/"Vous voulez combien ? 1 milliard ? 100 milliards ? OK ! Intérêt ZÉRO ! (+ prime 10 % pour que vous fermiez les yeux sur la provenance !)"
SupprimerHAHAHAHA !
Un monde dit 'nouveau' (qui existe depuis TOUJOURS !) s'ouvre devant vous ! Du pognon à la pelle !
La 'dette' n'a JAMAIS EXISTÉ !
Juste que dans un faux-semblant vous devriez en faire plus que les machines qui vont 100 fois plus vite ! HAHAHAHA !
BRI Innovation Hub: la marche progressive vers la monnaie numérique de la banque centrale continue de progresser
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 07/07/2020 - 05:00
Écrit par Steven Guinness,
À la même époque l’année dernière, lorsque la Banque des règlements internationaux a publié son rapport économique annuel, il s’est associé à l’annonce d’une nouvelle initiative appelée «BIS Innovation Hub» (également appelée «Innovation BIS 2025»). Le BIS fait référence à l'Innovation Hub comme un projet à moyen terme qui comprend trois éléments principaux:
Identifier et développer des informations approfondies sur les tendances critiques de la technologie affectant la banque centrale.
Développer des biens publics dans l'espace technologique pour améliorer le fonctionnement du système financier mondial.
Servir de point focal pour un réseau d'experts des banques centrales sur l'innovation.
Comme vous pouvez le voir, l'innovation technologique est au cœur de la mission du Hub.
La phase initiale du projet a vu l'ouverture de Hub's en Suisse, à Hong Kong et à Singapour. Un accord opérationnel a été signé avec l'Autorité monétaire de Hong Kong en septembre 2019, suivi d'un accord avec la Banque nationale suisse en octobre. Le Hub de Singapour a commencé ses opérations en novembre.
La première phase étant terminée, le BIS est désormais passé à la deuxième phase qui, selon eux, allait se produire lors du premier lancement du Hub. Parallèlement à la publication du rapport économique annuel de cette année, l'institution a annoncé que le Hub s'étend à de nouveaux emplacements en Europe et en Amérique du Nord.
Au cours des deux prochaines années, la Banque d'Angleterre ouvrira un centre, avec la Banque du Canada, la Banque centrale européenne et quatre banques centrales nordiques (Suède, Danemark, Norvège et Islande). Un «partenariat stratégique» sera également formé avec le système de la Réserve fédérale.
L'Orient et l'Occident peuvent apparaître divisés dans la sphère géopolitique, mais dans le monde de la banque centrale, ils sont très unis derrière l'objectif commun du Hub.
Comme l'a souligné la BRI dans un communiqué de presse, l'expansion «permettra à l'Innovation Hub de stimuler le travail de la banque centrale sur plusieurs piliers des technologies financières». Le directeur général Agustin Carstens a confirmé que «les nouveaux centres élargiront considérablement notre portée et contribueront à créer une force mondiale pour l'innovation dans les technologies financières».
Mais surtout, l'expansion, selon le chef du centre d'innovation Benoit Coeure, signifiera qu'il est bien placé pour faire avancer les travaux sur un large éventail de questions importantes pour la communauté des banques centrales, y compris la monnaie numérique et les paiements numériques. Coeure a également cité la technologie des registres distribués comme un aspect clé du travail du Hub.
RépondreSupprimerEn octobre 2019, j'ai publié un article sur le Hub (Innovation BIS 2025: un tremplin vers un "nouvel ordre mondial") économique et expliqué comment son introduction était directement liée à l'agenda de mise en œuvre d'un réseau de monnaies numériques de banque centrale sur le prochaines années. J'ai suivi cet article avec un autre qui offrait plus de détails sur l'Innovation Hub (BIS Annoncer de nouvelles nominations et Launch Singapore Hub Center).
Pour ajouter plus de poids à l'idée que le Hub existe pour aider à faciliter l'avenir des CBDC, Agustin Carstens a mentionné lors de la présentation du rapport économique annuel de la BRI que `` si les CBDC doivent réaliser leur potentiel et promettre en tant que nouveau moyen de paiement, leur conception et leurs implications méritent une étude et un examen approfondis. Le BRI continuera de soutenir les banques centrales dans leurs efforts de recherche et de conception de CBDC, par le biais du nouveau pôle d'innovation du BIS, de ses comités et de travaux analytiques plus larges. »
Ce commentaire fait suite à ce que Carstens a déclaré dans la revue trimestrielle de la BRI:
Au fur et à mesure que le Hub acquiert de l'expérience, un programme local sera rapidement développé. Une question clé informant le travail du BIS Innovation Hub est de savoir si l'argent lui-même doit être réinventé pour un environnement en mutation, ou si l'accent doit être mis sur l'amélioration de la manière dont il est fourni et utilisé.
Comme je l'ai écrit précédemment, les banques centrales ont maintenant commencé à définir des détails techniques spécifiques sur la façon dont une CBDC pourrait être construite (A Look at CBDC Developments at the Bank of England - Part One). Cela survient alors que les systèmes de paiement mondiaux sont en cours de réforme afin d'être compatibles avec la blockchain et la technologie des registres distribués - un processus qui devrait être achevé vers 2024.
Avec les événements des derniers mois, il est impossible de discuter des CBDC sans prendre en compte l'impact de Covid-19. Il semble que ce soit de plus en plus la crise internationale majeure que les planificateurs mondiaux espèrent catalyser la transition vers un système économique entièrement numérique. Et le BIS Innovation Hub est idéalement placé pour répondre.
Dans des remarques faites en avril, Benoit Coeure a demandé si la pandémie "accélérerait le passage à la banque virtuelle". Réfléchissant à sa propre question, Coeure a déclaré que «dans les mois et les années à venir, le BIS Innovation Hub restera occupé à analyser les tendances technologiques de la finance et leurs conséquences pour les banques centrales et les régulateurs financiers».
L'importance du Hub pour l'agenda des CBDC est là pour voir, en particulier avec le début de Covid-19. Une ligne du rapport économique annuel de la BRI soutient ce que Coeure avait à dire:
RépondreSupprimerLa crise de Covid-19 et l'augmentation des paiements électroniques qui en découle devraient stimuler le développement des CBDC à travers le monde.
La directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva, a récemment déclaré à la consultation nationale italienne que "le numérique est un grand gagnant dans cette crise" et que la pandémie a peut-être "accéléré la transformation numérique de deux ou trois ans".
La BRI insiste cependant sur le fait que la recherche sur les CBDC est «encore à ses débuts et que les efforts de développement prendront du temps».
De mon point de vue, d’ici 2025, les CBDC commenceront à être introduites, initialement en même temps que les espèces. Mais l'objectif à long terme est que l'abolition de tous les actifs financiers corporels soit remplacée par la richesse intangible. La BRI a tenté de faire comprendre dans son rapport annuel qu’une CBDC se révélerait être un «complément numérique à l’argent physique». Peut-être pour commencer, mais personne ne devrait se tromper en croyant que l'argent liquide a un avenir durable si et quand les CBDC sont offertes au grand public.
Pour renforcer cette notion, voici ce qu'Agustin Carstens a déclaré lors d'un discours à la Banque centrale d'Irlande en mars 2019:
Tout comme l'argent comptant, une CBDC pourrait et serait disponible 24/7, 365 jours par an. À première vue, peu de changements pour quelqu'un, par exemple, s'arrêtant au supermarché sur le chemin du retour du travail. Il ou elle n'aurait plus la possibilité de payer en espèces. Tous les achats seraient électroniques.
Ce que les banques centrales (conformément aux législatures des États) ne vont pas faire, c'est simplement interdire la trésorerie lorsque les CBDC seront disponibles. Je crois que ce qu'ils veulent, c'est que les billets de banque diminuent à un niveau où ils peuvent faire valoir que les coûts de maintenance de l'infrastructure de trésorerie dépassent le montant en espèces encore en circulation et utilisé pour le paiement.
Un rapport sur l'accès à la trésorerie publié au Royaume-Uni l'année dernière a averti qu'en raison des fermetures de succursales bancaires et du déclin des distributeurs automatiques de billets, le réseau de trésorerie britannique était en danger réel de s'effondrer. Introduisez un CBDC dans l'équation et vous pouvez voir comment l'argent sera bientôt considéré comme non viable. Ceux qui pourraient choisir d'utiliser de l'argent sur une monnaie numérique n'auraient finalement pas d'autre option que de transférer leur argent dans une CBDC.
L’un des principaux objectifs des planificateurs mondiaux est de cibler ce qu’ils appellent les «non bancarisés» ou les «sous-bancarisés». En d'autres termes, ceux qui existent en grande partie en dehors du système financier et font du commerce de manière anonyme. Le rapport annuel de la BRI a déclaré que 1,7 milliard d’adultes et des centaines de millions d’entreprises «sont liés à l’argent liquide comme seul moyen de paiement». C’est un cinquième de la population mondiale que les banques centrales cherchent à introduire dans leur monde - une construction uniquement numérique dans laquelle la seule alternative est une vie de dénuement.
Essentiellement, la fraternité de la banque centrale voudra être en mesure d'identifier la suppression de l'argent liquide sur le progrès de la technologie et les habitudes de paiement changeantes du consommateur, prenant ainsi l'accent sur eux-mêmes.
RépondreSupprimerEn ce qui concerne le changement de comportement des consommateurs, la peur non prouvée qui se perpétue dans les médias que l'argent pourrait transmettre Covid-19 a réussi à saper l'argent au point où une grande partie de la population a cessé de l'utiliser. Les dernières statistiques de Link montrent qu'au Royaume-Uni, le volume de transactions a baissé de 47% par rapport à la même période l'an dernier.
Au fil du temps, les banques centrales pourront profiter d'une réduction soutenue de la demande de liquidités à leur avantage. Comme Yves Mersch de la Banque centrale européenne l'a mentionné en mai, "si nos clients, les Européens signalaient un changement de comportement de paiement, nous voudrions préserver leur lien direct avec le propriétaire final de notre monnaie en maintenant leur accès à la banque centrale. Passifs'.
Le propriétaire étant la banque centrale, le passif étant une CBDC.
L’agenda idéologique des banques centrales visant à numériser l’ensemble du système financier mondial et à maintenir leur base de pouvoir est dirigé par la Banque des règlements internationaux par le biais de son centre d’innovation. À moins que les gens commencent à reconnaître d'où viennent la manipulation et la croissance du récit des CBDC, et comment il existe un programme ciblé pour guider le monde dans une société sans argent liquide, les planificateurs mondiaux vont dans les années à venir faire leur chemin.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/bis-innovation-hub-gradual-march-central-bank-digital-currency-continues-advance
(...) Au fur et à mesure que le Hub acquiert de l'expérience, un programme local sera rapidement développé. Une question clé informant le travail du BIS Innovation Hub est de savoir si l'argent lui-même doit être réinventé pour un environnement en mutation, ou si l'accent doit être mis sur l'amélioration de la manière dont il est fourni et utilisé.(...)
SupprimerC'est là la question ! Que vont-ils faire de tout ce pognon qu'on leur 'donne' ? Acheter une armée ? Former des légionnaires ? Où s'acheter un yacht comme les autres ?
Intelligence artificielle: un système de navigation autonome 100% algérien
RépondreSupprimer13:03 07.07.2020
Un jeune ingénieur algérien a développé un système de navigation qui permet au véhicule d’être totalement autonome. Diplômé de l’université de Batna, Ramzi Mosbah a utilisé des moyens basiques pour mettre en œuvre son projet. Il a reçu des propositions de firmes étrangères, mais affirme vouloir rester en Algérie afin de poursuivre ses recherches.
Des dizaines de constructeurs automobiles et de centres de recherche à travers le monde travaillent depuis des années sur le projet de voiture intelligente totalement autonome (sans intervention humaine).
Ils ne sont pas les seuls, puisqu’à l’université Mustapha Ben Boulaïd de Batna (430 km au sud d’Alger), un jeune ingénieur et ses professeurs s’intéressent à aussi cette problématique. Ramzi Mosbah, un étudiant des Aurès, semble avoir fait de grandes avancées sur le sujet, comme le montre cette vidéo postée récemment sur YouTube.
Interrogé par Sputnik, Ramzi Mosbah affirme que son système assure une autonomie totale au véhicule. Ses premiers travaux consistaient à développer un logiciel qui permette à une automobile de suivre les lignes tracées sur les voies ainsi que les autres voitures.
Les moyens du bord
Dans une seconde phase, l’ingénieur a introduit un module de sécurité qui vérifie la concentration du conducteur.
En cas de fatigue ou de manque d’attention de l’automobiliste, le système prend le contrôle du véhicule, ralentit et le gare automatiquement sur le bas-côté.
«Ce système de navigation autonome détecte tous les mouvements ainsi que les conditions de circulation grâce à des caméras embarquées. Le logiciel traite ensuite les données et transfère les informations à un boîtier électronique qui commande à son tour le véhicule avec des leviers mécaniques. Une autre webcam transmet au programme l’état du conducteur», explique Ramzi Mosbah.
N’ayant pas de budget pour acheter des caméras et du matériel sophistiqué, l’ingénieur a dû travailler avec des moyens très limités.
Success story
Le parcours de Ramzi Mosbah est aussi intéressant que son projet de recherche. Après avoir décroché son baccalauréat, il s’inscrit au département d’informatique de l’université de Batna. «En réalité, je n’étais pas très attiré par les cours. J’étais chauffeur de camion et je préférais consacrer l’essentiel de mon temps au travail», dit-il.
Après avoir raté deux années scolaires, il réussit à décrocher une licence. Pour son master, il choisit de s’orienter vers la filière «intelligence artificielle et multimédia». Sa vision des études change alors, au contact de ses professeurs.
RépondreSupprimer«J’ai découvert la qualité du corps professoral et leur attention envers les étudiants. Ils me motivaient pour travailler et redoubler d’efforts. En deuxième année, j’ai eu la chance d’avoir pour tuteur le docteur Larbi Guezouli, qui est une référence internationale. Il m’a beaucoup aidé pour mon mémoire de master consacré aux systèmes de navigation assistée», note-t-il.
Le professeur Guezouli encourage son étudiant à écrire un livre, Driving assistance system. Ils collaborent également à la rédaction d’un article, Road obstacle detection, qui a été publié par Association for computing machinery (ACM), une organisation internationale qui soutient depuis 1947 la recherche scientifique et l'innovation informatique.
En juillet 2019, le jeune ingénieur participe à La Conférence internationale sur les réseaux futurs et les systèmes distribués (ICFNDS), qui s’est tenue à Paris. Mais Ramzi Mosbah regrette le manque d’intérêt des entreprises algériennes pour ses travaux de recherche.
«J’ai proposé mes services aux constructeurs automobiles qui sont en activité en Algérie. Certains se sont moqués de moi et d’autres m’ont jeté mon CV à la figure. C’est une situation très triste car j’ai reçu plusieurs offres pour travailler à l’étranger. Le patron d’une société allemande qui développe des logiciels pour un groupe international a lu mon livre et m’a récemment demandé de rejoindre son équipe. J’ai également été contacté par une entreprise japonaise spécialisée dans la conception de cuisines intelligentes.»
Mais l’ingénieur refuse de quitter son pays. «Je veux rester à Batna auprès de ma famille. J’ai la chance d’être entouré de professeurs qui sont reconnus à un niveau international et qui ont eux aussi fait le choix de demeurer en Algérie.» Il préfère se concentrer sur la nouvelle phase de ses travaux qui consiste à permettre au véhicule d’aller d’un point A vers un point B en introduisant simplement les coordonnées GPS.
Ramzi Mosbah assure que ce n’est là que le début car ses recherches peuvent être utilisées dans de nombreux domaines d’activité.
https://fr.sputniknews.com/maghreb/202007071044068039-intelligence-artificielle-un-systeme-de-navigation-autonome-100-algerien/
L'Intelligence dite 'Artificelle' N'EXISTE PAS !
SupprimerIl s'agit rien de moins que de cellules ouvre-portes à l'entrée de magasins.
Càd un MÉCANISME !
L'Afrique lance son premier essai sur l'homme d'un vaccin contre le Covid-19
RépondreSupprimer7 Juillet 2020
par Seppi
Joseph Opoku Gakpo*
L'Afrique a commencé son premier essai sur l'homme d'un éventuel vaccin contre le Covid-19 afin de mieux positionner le continent pour accéder à des médicaments pouvant contenir la pandémie.
Les scientifiques de l'Université de Witwatersrand à Johannesburg affirment que le vaccin est administré à environ 2.000 volontaires en Afrique du Sud afin de suivre leur réaction au cours des 12 prochains mois.
« La raison pour laquelle nous faisons cela est que nous voulons que les populations africaines aient accès à ce médicament tout comme les populations de l'hémisphère nord », a déclaré le professeur Johnny Mahlangu, l'un des scientifiques qui dirigent l'essai, lors d'une interview accordée à Joy FM, basée au Ghana. « Nous ne voulons pas seulement que l'hémisphère nord ait accès à ce médicament, qu'il soit mis à la disposition de sa population, et que nous soyons ensuite livrés à nous-mêmes. Si nous participons au développement de ce vaccin, nous serons considérés comme des partenaires. Lorsqu'il sera disponible, les partenaires en profiteront également, y compris les participants à l'étude. Les avantages sont donc énormes. »
Mahlungu, hématologue clinicien et directeur de l'École de Pathologie de l'Université de Witwatersrand, a déclaré que l'Afrique devrait également bénéficier de la recherche associée à l'essai.
« Il y aura beaucoup, beaucoup de connaissances générées à la suite de cette étude. Et nous voulons pouvoir dire que ces connaissances viennent d'Afrique, d'Afrique du Sud, de l'Université de Wits », a-t-il fièrement déclaré lors d'un entretien téléphonique avec Joy FM.
Le vaccin, qui porte le nom technique de ChAdOx1 nCoV-19, a été développé par des chercheurs de l'université d'Oxford au Royaume-Uni. Les chercheurs espèrent qu'il protégera les gens contre le nouveau coronavirus qui cause le Covid-19. Le vaccin a déjà été testé sur environ 4.000 personnes au Royaume-Uni dans le cadre de l'essai en cours, qui se déroule simultanément au Brésil et commencera bientôt aux États-Unis.
Les Sud-Africains sont enthousiastes à l'idée de cet essai, a déclaré M. Mahlangu.
« Je pense que cet essai a été très bien accueilli en Afrique du Sud », a-t-il observé. « Au cours des 20 dernières années, j'ai mené plus de 80 essais cliniques. J'ai été particulièrement surpris par le niveau auquel les gens veulent parvenir et le fait qu'ils veulent faire partie de la solution, au lieu de faire partie du problème. »
Junior Mhlongo, l'un des 15 premiers participants à l'essai du vaccin, a déclaré à DW-TV dans une interview qu'il s'est senti « un peu effrayé » après avoir reçu le vaccin. « Mais je veux savoir ce qui se passe avec ce vaccin afin de pouvoir dire à mes amis et aux autres ce qui se passe en ce moment. »
L'Autorité Sud-africaine de Réglementation des Produits de Santé et le Comité d'Éthique de la Recherche sur l'Homme de l'Université du Witwatersrand ont entrepris un vigoureux exercice de vérification pour s'assurer que le processus prévu était sûr avant que le feu vert ne fût donné. Mahlangu a donné l'assurance que le vaccin testé est sûr.
« Le niveau de risque a déjà été évalué chez plus de 4.000 personnes au Royaume-Uni », a-t-il expliqué. « Le risque est très, très minime. Il s'agit d'un virus de la grippe qui a été inactivé et dont on sait qu'il ne provoque aucune infection. Nous savons maintenant, grâce aux essais réalisés au Royaume-Uni, qu'il est sans danger. L'autre composant [du vaccin] est le matériel génétique qui a été dérivé du Covid-19. Il a également été inactivé. Il est donc incapable de provoquer le Covid-19. Nous avons donc affaire à un vaccin relativement sûr sur la base des données disponibles à l'heure actuelle. »
RépondreSupprimerLa mesure « audacieuse » de l'Afrique du Sud
Le Covid-19 n'a actuellement aucun remède ou vaccin approuvé. Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, environ 149 vaccins sont actuellement en cours de développement dans le monde entier par des instituts de recherche, des universités, des agences gouvernementales et des sociétés pharmaceutiques, et 17 ont atteint le stade des essais sur l'homme. Aucun de ces vaccins n'est développé en Afrique, une situation attribuée principalement au manque d'investissement dans les infrastructures de santé et la recherche en général au fil des ans.
Le Dr Michael Owusu, microbiologiste clinique et maître de conférences au Département de Diagnostic Médical de l'Université des Sciences et Technologies Kwame Nkrumah au Ghana, a déclaré que la seule façon d'être sûr que les vaccins contre le Covid-19 fonctionneront en Afrique est de faire participer les Africains aux essais de vaccins sur l'homme.
« Beaucoup de vaccins contre le Covid-19 sont actuellement testés en Asie, en Amérique du Nord et en Europe. Si nous attendons qu'ils terminent leurs essais et que nous les amenons ici, il est possible que cela ne fonctionne pas pour nous. Parce que ce que nous appelons la "composition génomique de l'hôte" des Africains est différente de celle des Européens et des Asiatiques », a-t-il expliqué à l'Alliance pour la Science lors d'une interview.
« Et donc, quand vous essayez un médicament comme un vaccin, il est bon d'utiliser différentes populations pour comprendre comment différents groupes vont réagir au vaccin. Ainsi, si le vaccin fonctionne bien, nous savons qu'il sera efficace pour le continent et nous pourrons l'utiliser pour protéger les gens. Si vous excluez l'Afrique des essais et que le vaccin fonctionne, à quel point êtes-vous sûr que s'il vient en Afrique, il va fonctionner ». a demandé M. Owusu.
Il a félicité l'Afrique du Sud d'avoir fait le pas de géant de participer. « C'est la voie à suivre. Et je pense que l'Afrique du Sud a eu l'audace de s'engager dans cette voie. »
Un vaccin aidera-t-il l'Afrique à contenir la pandémie ?
À la fin du mois de juin, environ 10 millions de cas confirmés de Covid-19 ont été enregistrés dans le monde, avec plus de 500.000 décès, selon les données de l'OMS. Le continent compte plus de 383.000 cas confirmés et plus de 9.600 décès, selon les données des Centres Africains de Contrôle et de Prévention des Maladies. Le virus a d'abord été découvert en Asie, puis l'épicentre de l'infection s'est déplacé vers l'Europe, l'Amérique du Sud et l'Amérique du Nord, ce qui a suscité des avertissements selon lesquels le nombre de cas en Afrique pourrait augmenter à mesure que la pandémie continue de se propager.
Owusu estime que les vaccins restent le moyen le plus sûr de protéger efficacement la population africaine contre la pandémie.
« La seule façon pour nous de prévenir l'infection et les décès éventuels est maintenant de nous procurer le vaccin. Il s'agit d'un nouveau virus. Personne n'est immunisé contre le virus. Tout le monde y est sensible. Donc, s'il entre dans un pays, il va traverser le pays jusqu'à ce que la majorité des gens soient infectés. Si vous ne faites pas attention, de nombreuses personnes mourront », a averti M. Owusu.
RépondreSupprimer« Donc, pour moi, je pense que le vaccin est la voie sûre à suivre... Les vaccins sont bons. Comme nous devrons vivre avec le Covid-19 pendant longtemps, la seule chose qui nous aidera à revenir à la normale est de nous faire vacciner. Une fois que nous aurons reçu un vaccin, de nombreuses personnes pourront être immunisées et ne seront peut-être pas infectées et même si elles sont infectées, elles auront un niveau d'immunité qui leur permettra d'éviter une infection ultérieure », a-t-il ajouté.
Les ministres de la santé et les chefs de délégation de l'Union Africaine ont apporté leur soutien aux essais cliniques sur le Covid-19 en cours sur le continent après une réunion virtuelle de deux jours, la semaine dernière. Après des jours de délibérations, ils ont publié une déclaration appelant au développement d'un « réseau d'essais cliniques à l'échelle du continent pour mieux relier les organisations qui soutiennent les efforts visant à tester les candidats vaccins potentiels ».
La réunion a annoncé une stratégie de vaccination contre la maladie causée par le coronavirus en Afrique qui comprend la garantie d'un approvisionnement suffisant en vaccins, la suppression des obstacles au déploiement des vaccins et le renforcement de la capacité à adopter et à étendre la distribution du vaccin contre le Covid-19 une fois que l'approbation clinique d'un candidat vaccin viable aura été obtenue.
L'Union Africaine a également appelé à une répartition et une distribution équitables et rapides de l'approvisionnement en vaccins sur le continent africain, à la fois entre les pays et au sein de ceux-ci, en tenant compte de l'équité entre les sexes et du statut socio-économique. L'Union a en outre fait observer que l'identification et la mise à l'échelle d'un vaccin contre le Covid-19 efficace sont essentielles pour ralentir la propagation de la maladie.
L'Union Africaine a également appelé à la mise en place d'une structure de contrôle réglementaire efficace pour les vaccins contre le Covid-19, notamment en prévoyant une indemnisation des fabricants de vaccins, en accélérant les approbations réglementaires au niveau national et en maintenant une infrastructure solide pour le suivi de l'efficacité et de la sécurité des vaccins.
_____________
* Source : https://allianceforscience.cornell.edu/blog/2020/07/africa-launches-its-first-Covid-19-vaccine-human-trial/
http://seppi.over-blog.com/2020/07/l-afrique-lance-son-premier-essai-sur-l-homme-d-un-vaccin-contre-le-covid-19.html
Des infirmiers licenciés en pleine épidémie après avoir demandé des masques à leur direction à Toulouse
RépondreSupprimer17:01 07.07.2020
Deux infirmiers d’un Ehpad toulousain ont été licenciés pour une raison indéterminée suite à leurs demandes récurrentes d’accéder au stock de masques, en pleine pandémie. Ils réclamaient des moyens de protection auprès de leur direction, alors que cinq personnes présentaient un symptôme du coronavirus. L’étude de leur dossier est en cours.
Contraints de s’occuper sans masques de personnes soupçonnées d’être malades du coronavirus, deux infirmiers d’un Ehpad à Toulouse ont été licenciés pour une raison non établie. Leurs avocats affirment que les employés avaient demandé à plusieurs reprises à leur hiérarchie de leur fournir des moyens de protection, indique La Dépêche du Midi.
Les faits remontent à fin mars, au plus fort de la crise sanitaire. Après que cinq cas de diarrhée, l’un des symptômes du Covid-19, avaient été recensés au sein de l’établissement de La Cépière, les deux infirmiers avaient réclamé un accès au stock intérieur de masques qui comptait 600 unités, précisent-ils.
La femme de 53 ans et l’homme de 34 ans se sont vus refuser leur demande par la directrice de l’Ehpad. Une semaine après l’incident, ils ont été priés de quitter leur poste. En mai, ils ont été officiellement licenciés par écrit.
Plusieurs chefs d’accusation
Expliquant sa décision, la direction de l’Ehpad évoque des faits graves et un comportement agressif de ces effectifs. Ceux-ci sont également accusés d’avoir colporté des ragots ayant suscité des peurs parmi l’équipe de l’établissement, indique le quotidien.
L’étude de la cause du licenciement est en cours. Les avocats des intéressés travaillent sur d’éventuelles démarches visant à démontrer «la nullité du licenciement». Si celle-ci est prouvée, il sera possible de recourir aux Prud’hommes et de réclamer des dommages et intérêts.
https://fr.sputniknews.com/france/202007071044070154-des-infirmiers-licencies-en-pleine-epidemie-apres-avoir-demande-des-masques-a-leur-direction-a/
Remarquez bien qu'AUCUN programme de fabrication de masques FFP2 (SEULS masques antivirus) n'a été mis en place en France !! Et que le MONDE ENTIER dépend de la Chine (qui est passé maître dans cette fabrication très sophistiquée) a des machine ultra-perfectionnées capables de tisser des masques au-dessous du micron ! (1 milliardième de mètre, 1 millionième de centimètre et 1 millième de millimètre).
Supprimer«Un pays infantilisé»: Roselyne Bachelot tacle les soignants sur la pénurie de masques – vidéo
RépondreSupprimer14:11 02.07.2020
Auditionnée à l’Assemblée nationale à propos de la crise sanitaire, l’ex-ministre de la Santé Roselyne Bachelot a dénoncé «un pays infantilisé» où les soignants se plaignent d’une pénurie de masques et de blouses leur conseillant de «se prendre en main».
L’ancienne ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, a commenté, sur un ton moqueur, les plaintes de certains soignants sur l’absence de masques et de blouses pendant l’épidémie tout en dénonçant «un pays infantilisé». Elle a tenu ce discours devant la commission d’enquête parlementaire sur la gestion de la crise sanitaire.
Citant un représentant d’un syndicat de médecins qui avait constaté la pénurie de masques et de blouses, elle s’est demandée:
«Pourquoi le médecin ne porte plus de blouse? Qu’est-ce que c’est dans le pays de Pasteur, qu’est-ce que c’est que cette médecine ?».
Elle a poursuivi: «Pourquoi est-ce qu’on a pas de blouses ? Ça n’existe plus ? Avec une machine à laver à l’intérieur du cabinet médical ?» avant de s’interroger s’il fallait s’attendre à ce «que le préfet ou que le directeur de l'ARS viennent avec une petite charrette pour nous apporter des masques».
«Mais qu'est-ce que c'est que ce pays infantilisé ?», a lancé Mme Bachelot. D’après elle, la leçon qu’il faut tirer de cette épidémie est qu’«il faut se prendre en mains» et que «tant qu’on attendra tout du seigneur du château, on est mal».
Évaluer la gestion de la crise
L’audition des deux ex-ministres de la Santé Marisol Touraine (de 2012 à 2017) et Roselyne Bachelot (de 2007 à 2010) s’est déroulée le 1er juillet devant l’Assemblée nationale au sujet de la gestion des stocks de masques en France pendant la crise du nouveau coronavirus. Quant à Agnès Buzyn, elle avait été auditionnée la veille.
https://fr.sputniknews.com/france/202007021044043160-un-pays-infantilise-roselyne-bachelot-tacle-les-soignants-sur-la-penurie-de-masques--video/
La débilité affligeante de certains fonctionnaires montre à quel point le retard de culture envahit la 'classe dirigeante' ! Pénurie de masques ! A quoi servent les ministères s'ils ne s'occupent pas de la gestion ?!
SupprimerQUELS SONT LES BIENFAITS DU CBD ?
RépondreSupprimerpar PARTENAIRE
07/07/2020
Le CBD est un produit issu du cannabis qui fait beaucoup parler de lui. Contrairement à l’effet enivrant du THC, le cannabidiol (CBD) procure uniquement un profond sentiment de calme. Alors que certaines douleurs chroniques restent sans traitement, il permettrait de soulager les personnes de leurs maux mais aussi de les libérer de leur anxiété.
L'huile de cannabidiol (CBD) est un produit dérivé du cannabis, une plante millénaire. Alors que le THC est principalement utilisé pour ses effets planants et récréatifs, le CBD, un autre cannabinoïde présent dans le cannabis, n’a pas d’effet psychoactif. Il existe encore une méfiance face aux autres produits issus du cannabis comme les fleurs de CBD et l'huile de CBD en raison de la consommation récréative de marijuana. Cependant, ces dernières années, les études publiées à ce sujet offrent un nouvel élan aux avantages potentiels de l'huile de CBD pour la santé.
Un soulagement des douleurs et de l’anxiété
Le CBD influe sur les récepteurs de notre cerveau et peut aider les personnes souffrantes à gérer la douleur. Il augmente les niveaux de cytokines anti-inflammatoires et diminue dans le même temps les niveaux de cytokines pro-inflammatoires afin de réduire l’inflammation. Le CBD permettrait ainsi de soulager certaines douleurs causées par l’arthrite, la fibromyalgie ou encore les blessures à la moelle épinière. Le CBD pourrait également aider à mieux gérer l'anxiété et à lutter contre la dépression. Les chercheurs pensent que cette molécule active du cannabis peut changer la façon dont les récepteurs de votre cerveau répondent à la sérotonine, l’hormone du bonheur. Un traitement à court terme permettrait de soulager la sensation de peur, de stress et d’anxiété.
D’autres chercheurs étudient les possibilités du CBD pour traiter la sclérose en plaques, la maladie d’Alzheimer, l’accident vasculaire cérébral mais aussi la maladie de Parkinson. L’huile de CBD permettrait aussi de réduire l’inflammation qui aggrave les symptômes neuro-dégénératifs. Concernant les symptômes de la sclérose en plaque (SEP), le CBD agirait de par son action anti-inflammatoire mais aussi sur la prévention de la destruction de la myéline permettant ainsi de ralentir la progression de la maladie. Toutefois, d’autres études sont nécessaires pour comprendre plus précisément les effets de cette molécule.
Comment utiliser l’huile de CBD ?
Le CBD peut être utilisé de différentes façons que ce soit sous forme d'huile ou de poudre. Il peut également être inhalé, mélangé dans des crèmes ou des gels ou encore consommé en gélules. La manière dont le CBD doit être utilisé dépend en grande partie de son utilisation. Ainsi les e-liquides CBD sont utilisées en cas de douleurs chroniques ou soudaines. L’effet du CBD est ainsi rapidement déployé. Toutefois, il peut irriter les poumons et augmenter l’inflammation dans certains cas. Ingéré sous forme de capsules ou d’huiles, le CBD est incorporé plus lentement dans l’organisme mais peut être dosé avec une meilleure précision. Le CBD peut aussi être appliqué sur la peau sous forme de crèmes. Son effet anti-inflammatoire est alors bien assimilé par l’organisme. Cette forme est généralement utilisée contre l’acné, les morsures, les piqûres d’insectes ou la gingivite.
Il est possible de retrouver les infusions, les huiles, les crèmes mais aussi les e-liquides dans la boutique Mybud Shop, basée à Nancy, spécialisée dans la vente de produits aux CBD. Ces fleurs de CBD sont cultivées en Europe. Mybud Shop dispose également d’une boutique en ligne mybudshop.fr et bientôt d’une nouvelle boutique à Metz. Les consommateurs pourront y retrouver des e-liquides avec divers arômes (classique, fruitées ou acidulées) et différents taux de concentrations.
RépondreSupprimerNous rappelons à nos lecteurs qu’ils se doivent de respecter les lois en vigueur, tant pour l’acquisition que pour l’utilisation d’huiles à base de CBD. En France, seules les huiles CBD dont le taux de THC est strictement inférieur à 0,2% sont autorisées à la vente, l'achat et la consommation.
http://www.economiematin.fr/news-quels-sont-bienfaits-cbd
L'INDONÉSIE IMPOSE UNE TAXE DE 10% AUX ENTREPRISES DU DIGITAL
RépondreSupprimerpar QUITTERIE DESJOBERT
07/07/2020
D'ici 2025, le secteur du digital pèsera 130 milliards de dollars en Indonésie.
L’Indonésie a annoncé mardi 7 juillet la mise en place d’une taxe de 10% sur les entreprises du digital, telles qu’Amazon, Google, Netlfix ou encore Spotify.
Une économie durement touchée par le virus
C’est dans un communiqué que le bureau des impôts indonésien a déclaré vouloir mettre en place une taxe sur le digital mais également avoir d’ores et déjà attribué des numéros d’identification fiscale à certaines grandes entreprises, comme Amazon, Google ou encore Netflix.
Une étude réalisée par Google, Temasek Holdings et Bain & Company, met en avant la croissance rapide du secteur digital en Indonésie. Ainsi, elle prévoit que d’ici 2025 le secteur pèsera 130 milliards de dollars. Cependant, cette même étude rapporte que la crise sanitaire va faire tripler le déficit budgétaire du pays en 2020. En cause, une baisse annuelle des recettes de l’État de 13%. Un déficit qui explique la mise en place de cette nouvelle taxe.
Une nouvelle taxe pour réduire le déficit de l'État indonésien
Pour tenter de réduire ce déficit, l’État du sud-est de l’Asie a décidé de mettre en place une taxe visant les entreprises étrangères non résidentes, spécialisées dans la vente de produits et de services numériques générant des revenus d’une valeur d’au moins 41.667 dollars soit 600 millions de roupies. Ces entreprises seront alors tenues de payer une TVA de 10%.
La plateforme Netflix concernée par cette nouvelle taxe a déclaré auprès de Reuters : « C'est aux gouvernements de décider des règles sur la TVA et dans chaque pays où nous opérons, Netflix respecte ces règles ». Les entreprises Google, Amazon et Spotify sont elles aussi concernées par cette nouvelle TVA mais non pour le moment pas réagi à cette annonce.
http://www.economiematin.fr/news-indonesie-taxe-tva-entreprise-digital-amazon-netflix-google
Dès lors que des entreprises du digital acceptent de banquer dans un pays... d'autres pays pourraient être tentés de faire pareil !
SupprimerLES SMARTPHONES PERDENT 3/4 DE LEUR VALEUR EN DEUX ANS
RépondreSupprimerpar QUITTERIE DESJOBERT
07/07/2020
Le LG G7 ThinQ perd près de 90% de sa valeur en deux ans.
Une étude américaine met en avant le fait que les smartphones perdent rapidement de leur valeur. En moyenne, c’est une perte de 75% qui est enregistrée en deux ans.
La revente au coeur de l’achat
Le smartphone est un objet incontournable de notre époque. Ainsi, en 2018, 75% des Français possèderaient un smartphone, toutes marques confondues. Cette rapide décote du précieux sésame s’explique par l’utilisation très courte qu’en fait son propriétaire. Un smartphone n’est gardé par son propriétaire que pendant une durée de deux ans en moyenne, ce qui explique pourquoi c’est sur cette période que la décote est la plus forte.
L’acquéreur de ce type de téléphone pense rapidement, si ce n’est dès l’achat, à sa revente. L’étude menée par l’entreprise américaine SellCell spécialisée dans les smartphones d’occasion, décrit la décote effectuée par plusieurs modèles de smartphones haute gamme, comme l’iPhone, le Samsung Galaxy ou encore LG.
Une disparité dans la décote
L’étude de SellCell démontre qu’il existe une très grande disparité dans la décote des smartphones entre les marques étudiées. C’est l’iPhone d’Apple, qui connaît la moins lourde perte de valeur. Pour le modèle iPhone XR, la baisse est de 53,9% sur une période de deux ans. Une dépréciation qui peut déjà paraître forte mais qui, comparée à d’autres, ne l’est pas tant que cela.
Pour Samsung, la décote est plus forte et son modèle Galaxy Note 9 perd sur une période de deux années 72,4%, la perte est plus forte pour le Galaxy S9 qui enregistre une dépréciation de 77%. Là encore, la chute est moins vertigineuse que pour d’autres. Le Pixel 3 de Google fait une dégringolade de 80% en deux ans, soit près de 30% de plus que pour un iPhone. Le LG G7 ThinQ pour sa part ne vaut presque plus rien, arrivé à l’anniversaire fatidique des deux ans, puisqu’il perd près de 90% de sa valeur.
http://www.economiematin.fr/news-smartphones-perte-valeur-deux-ans-iphone-samsung-google
Californie, dysfonctionnement énergétique du gouverneur Newsom
RépondreSupprimerPar Ronald Stein
7 juillet 2020
La Californie prétend être le leader de tout et jette une fierté vorace d'être l'État qui importe plus d'électricité que tout autre État. Leurs politiques énergétiques dysfonctionnelles ont forcé la Californie à être le seul État de l'Amérique contiguë à importer la plupart de son énergie de pétrole brut de fournisseurs de pays étrangers pour répondre aux besoins énergétiques de l'État.
Cette dépendance à l'égard d'autres fournisseurs a fait passer le pétrole brut importé de pays étrangers de 5% en 1992 à 58% aujourd'hui de la consommation totale. Le pétrole brut importé coûte à la Californie plus de 60 millions de dollars par jour, oui, chaque jour, étant payé aux pays étrangers riches en pétrole, privant les Californiens d'emplois, de carrières et d'opportunités commerciales. Nous n'avons pas encore reçu de cartes de remerciements de fournisseurs étrangers pour les politiques des États qui rendent les pays étrangers riches, plus riches !
Au détriment des Californiens, les coûts de l’électricité importée coûteuse sont supportés par les résidents et les entreprises, et précisément pour les résidents défavorisés, en particulier les Latinos et les Afro-Américains. Les ménages californiens paient déjà 50% de plus et les utilisateurs industriels paient le double de la moyenne nationale pour l'électricité.
Alors que la Californie prévoit de fermer trois centrales électriques au gaz naturel et sa dernière centrale nucléaire, l'impact des fermetures de centrales électriques en Californie est assuré d'augmenter encore le coût de l'électricité pour les Californiens. Ces quatre centrales électriques ont fourni de l'électricité sans interruption aux Californiens. Étant donné que l'État n'a pas l'intention de remplacer la capacité de ces fermetures par de l'électricité intermittente en provenance du vent et du solaire, l'État devra importer plus d'électricité à prix élevé pour combler le vide, si d'autres États ont même cette capacité supplémentaire, et laisser les résidents et les entreprises payer la prime.
Les politiques climatiques des États ont fait grimper le coût de l'électricité et des carburants pour être parmi les plus élevés du pays, ce qui a fait grimper les prix de pratiquement tout ce qui est utilisé dans notre vie quotidienne. Les politiques climatiques de la Californie nuisent de manière disproportionnée à ses habitants les plus pauvres et défavorisés.
L'énergie est au premier plan de tout ce qui touche nos vies et le gouverneur de Californie Newsom fait tout son possible pour AUGMENTER continuellement le coût de l'électricité et des carburants pour ses résidents.
Passer à une société «100% électrique» et éliminer les combustibles fossiles signifierait que nous devions remplacer tous les véhicules et machines à essence, et tous les stocks d'alimentation en pétrole et en gaz naturel pour les produits pharmaceutiques, cosmétiques, peintures, fibres synthétiques, engrais et plastiques pour téléphones portables, ordinateurs, carrosseries automobiles, emballages, pales d'éoliennes, films de panneaux solaires et des milliers d'autres produits fabriqués à partir de dérivés du pétrole que le vent et le soalr sont incapables de fabriquer.
RépondreSupprimerUn des principaux objectifs des politiques climatiques des États a été ciblé sur l'industrie du pétrole et du gaz naturel qui était pratiquement inexistante avant 1900. Aujourd'hui, la Californie compte moins de 0,5% de la population mondiale (40 millions contre 8 milliards). Cependant, le pétrole et le gaz ne sont pas seulement une entreprise d'État avec quelques raffineries en Californie, mais une industrie internationale avec plus de 700 raffineries dans le monde de fournisseurs qui répondent à la demande mondiale.
La Californie est une «île énergétique» située entre l'océan Pacifique et l'Arizona / Nevada Stateline, sans pipelines existants sur les montagnes de la Sierra Nevada. L'État est habité par environ 40 millions de citoyens et est un porc énergétique exigeant quotidiennement plus de soixante millions de gallons de divers carburants de transport auprès des fournisseurs pour conduire (sans jeu de mots) la 5e plus grande économie du monde.
La consommation d'énergie quotidienne des 145 aéroports californiens (dont 33 militaires, 10 majors et plus de 100 de l'aviation générale) représente 13 millions de gallons de carburants d'aviation, soit un cinquième de la consommation nationale de carburéacteur. Les 31 millions de véhicules immatriculés en Californie consomment 10 millions de gallons par jour de diesel et 42 millions de gallons par jour d'essence.
Le gouverneur perpétue des augmentations de coûts continues avec sa mission de réduire considérablement la production de pétrole dans l'État. Il cherche à interdire définitivement l'utilisation de la technologie de fracturation des schistes bitumineux, ce qui augmenterait les coûts et les émissions des importations étrangères de pétrole brut en Californie. Ceci pour combler le vide de la production de Californie et d'Alaska en déclin constant, paralysant davantage l'État, forçant la poursuite de la Californie comme un risque de sécurité nationale remarquable pour les États-Unis.
L'État dépense déjà 60 millions de dollars par jour pour importer 58% des besoins en pétrole brut des États de pays étrangers, et le gouverneur veut augmenter ces dépenses pour l'État, là encore, les coûts étant à la charge de ceux qui peuvent le moins se le permettre.
L’État possède déjà environ la moitié de tous les véhicules électriques du pays. Les 650 000 véhicules électriques représentent 2 pour cent des 31 millions de véhicules immatriculés dans l’État. Ils veulent plus de voitures et de camions électriques qui ne paieront aucune taxe sur le carburant pour soutenir les fonds nécessaires à l'infrastructure de transport, ce qui entraînera une augmentation des taxes routières sur les 98% restants.
Les batteries EV pour ces voitures et camions ne sont certainement pas propres et pas vertes. Le culte du climat a peur de partager que tous les produits minéraux et métaux nécessaires à la fabrication d'éoliennes, de panneaux solaires et de batteries EV sont extraits et traités dans des endroits comme Baotou, la Mongolie intérieure, la Bolivie et la République démocratique du Congo, principalement sous Chinois. contrôle, en vertu de réglementations minimales ou inexistantes en matière de travail, de salaire, d'environnement, de remise en état et de santé et sécurité des travailleurs. Amnesty International a recensé des enfants et des adultes exploitant du cobalt dans d'étroits tunnels artificiels ainsi que l'exposition aux gaz dangereux émis lors de l'achat de ces minéraux rares.
RépondreSupprimerL'accès à une énergie sûre, fiable et abordable est essentiel pour aider à protéger la capacité des familles de travailleurs californiens à subvenir aux besoins de base tels que la nourriture, l'éducation, l'électronique, les soins médicaux et le logement. L'État a besoin d'une approche énergétique globale - un mélange diversifié de sources d'énergie dans l'État, y compris l'électricité intermittente éolienne et solaire, et des sources traditionnelles telles que le pétrole et le gaz naturel - pour répondre à nos besoins énergétiques de la manière la plus durable. manière possible.
Espérons que le gouverneur et les législateurs de la Californie tiendront compte de l'impact des politiques énergétiques dysfonctionnelles et coûteuses de l'État sur les 40 millions d'habitants de la 5e plus grande économie du monde, et que la Californie n'augmente pas sa dépendance à l'égard des pays étrangers pour notre existence.
This article originally appeared at California Political Review
https://www.cfact.org/2020/07/07/governor-newsoms-energy-dysfunctional-california/
Il est temps de mettre fin aux subventions aux énergies «renouvelables»
RépondreSupprimerPar CFACT
6 juillet 2020
Afin de favoriser la croissance des sources d’électricité renouvelables, telles que l’énergie éolienne et solaire, le gouvernement fédéral leur a accordé des incitations fiscales spéciales. Le principal d'entre eux est le crédit d'impôt à la production (PTC), qui a été utilisé principalement par la production éolienne et accorde un crédit d'impôt substantiel pour chaque mégawatt-heure (MWh) produit; et le crédit d'impôt à l'investissement (CII), qui est principalement utilisé par les producteurs d'électricité solaire comme crédit sur les coûts de construction. Les CTP et les CTI peuvent représenter plus du tiers du coût de construction et d'exploitation des installations éoliennes et solaires. [I]
Ces incitations fiscales étaient destinées par le Congrès à soutenir une technologie qui était trop chère à ses débuts. Au fil du temps, ces crédits d'impôt ont atteint leurs objectifs, l'énergie éolienne et solaire étant passée d'un peu plus de 4% de la capacité de production électrique du pays en 2010 à près de 13% aujourd'hui (9,5% pour l'éolien et 3,5% pour l'énergie solaire). Bien qu'initialement un programme temporaire, le Congrès a prolongé ces subventions à plusieurs reprises ces dernières années car elles étaient sur le point d'expirer. Le PTC pour l'éolien devrait maintenant expirer fin 2020, mais les défenseurs des énergies renouvelables font pression pour les prolonger à nouveau. Les raisons suivantes ne justifient pas l'extension des subventions renouvelables.
Plus de 100 milliards de dollars ont déjà été dépensés en subventions aux énergies renouvelables.
Les ressources en énergies renouvelables - principalement éoliennes et solaires - ont reçu des subventions par le biais du code des impôts depuis 1979, dont la plupart se sont produites au cours de la dernière décennie. En 2018, ces subventions s'élevaient à plus de 100 milliards de dollars. Ce montant dépasse de loin l'aide fédérale reçue par d'autres sources d'électricité. Et pour la perspective, cela dépasse les budgets combinés de 2020 pour le Department of Homeland Security, le Department of Energy, le Department of the Interior et l'Environmental Protection Agency. [Ii]
Subventions fiscales pour les énergies renouvelables (en milliards de dollars 2019) [iii]
- voir graphique sur site -
L'éolien et le solaire ne sont plus désavantagés en termes de coûts.
L'un des objectifs déclarés des subventions et des mandats pour les énergies renouvelables a été de stimuler la demande de technologies éoliennes et solaires dans l'espoir que leurs coûts élevés diminueraient. [Iv] Cet objectif a été atteint. En 2020, la U.S.Energy Information Administration (EIA) a estimé le coût total au jour le jour de la nouvelle capacité éolienne terrestre à 1319 $ le kilowatt (kW), soit une baisse de 43% par rapport à son estimation en 2010 de 2325 $ par kW. Pour la capacité solaire photovoltaïque, l'estimation de l'EIA pour 2020 est de 82% inférieure à ce qu'elle était dix ans plus tôt (1 331 $ contre 7 297 $ par kW). Pour les nouvelles sources d'électricité, il coûte désormais moins cher de construire et de produire de l'électricité à partir de nouvelles installations éoliennes et solaires qu'à partir d'une nouvelle installation de gaz naturel, sa principale concurrence dans la fourniture de nouvelles sources d'énergie. [V] (Cependant, il peut être moins coûteux de continuer à exploiter les centrales électriques existantes, plutôt que de les remplacer par de nouvelles sources d’électricité comme l’énergie éolienne et solaire. [vi])
Coût de l'EIE des nouveaux renouvelables (2010 = 100%) [vii]
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
Même l'industrie des énergies renouvelables affirme que les subventions ne sont plus nécessaires.
De nombreuses études largement diffusées par des défenseurs de l'énergie renouvelable ont documenté la baisse du coût de la production d'énergie éolienne et solaire et ont conclu que ces ressources sont désormais compétitives par rapport aux sources d'électricité conventionnelles. Un exemple vient de l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA), une organisation intergouvernementale qui effectue des recherches et des analyses pour promouvoir la croissance des énergies renouvelables: «Dans la plupart des régions du monde aujourd'hui, les énergies renouvelables sont la source la moins chère de nouvelle production d'électricité. Alors que les coûts des technologies solaires et éoliennes continuent de baisser, cela deviendra le cas dans encore plus de pays… »[viii] L'American Wind Energy Association (AWEA) estime également que l'éolien est désormais compétitif sans subventions fédérales:« La croissance de l'industrie éolienne est attendue pour rester solide lorsque le PTC sera complètement éliminé. Parce que le PTC a réussi à aider à établir une industrie éolienne domestique fiable et compétitive, l'éolien continuera d'augmenter sa capacité… »[ix]
Les énergies renouvelables subventionnées ont faussé le réseau électrique.
L'énergie éolienne et solaire n'apportent pas la même valeur au réseau que les sources d'électricité conventionnelles. En plus de ne pas fonctionner à la demande, ils fournissent peu de la valeur de capacité nécessaire pour maintenir la fiabilité à long terme et ne peuvent pas être utilisés pour fournir les services de fiabilité essentiels dont le réseau a besoin pour maintenir la fiabilité. Au lieu de cela, ils comptent sur d'autres producteurs d'électricité pour fournir les services qu'ils ne peuvent pas, «imposant» ainsi ces coûts aux autres producteurs et au réseau. Bien que les installations éoliennes et solaires ne paient pas ces coûts, les contribuables le font.
Une vague de chaleur au Texas en août 2019 fournit un bon exemple de la façon dont les énergies renouvelables peuvent fausser les opérations du réseau électrique. Au cours des dix dernières années, la capacité éolienne était passée de 10% à 26% de la capacité du marché de l'énergie au Texas (ERCOT). [X] Le faible coût marginal de l'énergie éolienne subventionnée a fait baisser les prix du marché de l'électricité au point où plus de 5 000 MW de la génération conventionnelle a choisi de prendre sa retraite en 2018 plutôt que de continuer à perdre de l'argent. La demande d'électricité atteignant des niveaux record, ces départs à la retraite combinés à une baisse imprévue de la production éolienne ont contraint ERCOT à adopter des procédures d'urgence pour éviter les pannes d'électricité. Bien que les pannes d'électricité aient été évitées, les prix de l'électricité qui étaient inférieurs à 20 $ par MWh le matin du 13 août 2019 sont montés à 9 000 $ par MWh l'après-midi. [Xi]
Les subventions fédérales pour les énergies renouvelables n'ont pas abaissé les coûts d'électricité des consommateurs.
Les subventions de l'ITC et du PTC ont réduit les coûts directs pour les développeurs de projets renouvelables, mais n'ont pas conduit à des économies similaires pour les contribuables. Cela est évident lors de l'examen des États qui ont adopté des normes de portefeuille renouvelable (RPS) qui obligent les services publics à se procurer de l'énergie renouvelable. Une étude de l'Energy Policy Institute de l'Université de Chicago a examiné l'impact des programmes RPS sur les tarifs d'électricité à travers le pays et a conclu qu'ils conduisaient à des tarifs d'électricité plus élevés. Les taux ont augmenté de 11% lorsque la part de la production renouvelable a augmenté de 1,8% et de 17% lorsque la part de l'énergie renouvelable a augmenté de 4,2%. [Xii] Selon l'étude, «Ces estimations de coûts… reflètent probablement les coûts que les énergies renouvelables imposent aux système de production d'électricité, y compris ceux associés à leur intermittence, à des coûts de transport plus élevés et à tout coût d'actif échoué attribué aux contribuables. »
RépondreSupprimerUne grande partie des subventions est envoyée à l'étranger.
Une grande partie de l'énergie éolienne et solaire déployée aux États-Unis appartient à des entreprises étrangères, et les crédits d'impôt générés par ces projets énergétiques sont collectés par des sociétés internationales. Une étude a révélé que sur les 24,5 milliards de dollars de crédits PTC accordés entre 2007 et 2016, seulement 15 entreprises ont reçu les trois quarts de ces crédits, et 42% de ce total (8,2 milliards de dollars) sont allés à sept entreprises étrangères. [Xiii]
Il n'y a plus de raison impérieuse d'étendre les subventions fédérales aux énergies renouvelables.
Des subventions continues ne sont plus nécessaires pour soutenir une industrie des énergies renouvelables pleinement développée. Après quatre décennies de subventions fédérales et de mandats d'État, les industries éolienne et solaire sont matures et capables de rivaliser sur un pied d'égalité avec les sources conventionnelles d'électricité. Comme l'a dit l'AWEA, «le PTC a réussi…» Ou, comme nous le disons, c'est assez.
[i] The PTC for wind farms that begin construction in 2020 is $15 per MWh, which is 44% of the $34.10 per MWh levelized cost of building and operating a new on-shore wind facility in 2020 (EIA, Levelized Cost and Levelized Avoided Cost of New Generation Resources in the Annual Energy Outlook 2020, February 2020). In 2016, new wind was eligible for a $23 per MWh PTC, 39% of that year’s EIA levelized cost estimate of $58.5 per MWh (EIA, Levelized Cost and Levelized Avoided Cost of New Generation Resources in the Annual Energy Outlook 2016, August 2016).
[ii] The 2020 budgets for the four agencies are as follows: DHS – $51.7 billion, DOE – $31.7 billion, DOI – $12.6 billion and EPA – $6.07 billion.
[iii] Congressional Research Service, Energy Tax Policy: Historical Perspectives on and Current Status of Energy Tax Expenditures, Report for Congress R41227, May 2, 2011. Congressional Research Service, Energy Tax Incentives: Measuring Value Across Different Types of Energy Resources, Report for Congress R41953, March 19, 2015. Congressional Research Service, Energy Tax Policy: Issues in the 114th Congress, Report for Congress R43206, June 15, 2016. Congressional Research Service, The Value of Energy Tax Incentives for Different Types of Energy Resources: In Brief, Report for Congress R44852, May 18, 2017. Congressional Research Service, The Value of Energy Tax Incentives for Different Types of Energy Resources, Report for Congress R44852, Updated March 19, 2019.
[iv] Congressional Research Service, The Renewable Electricity Production Tax Credit: In Brief, CRS Report R43453, November 27, 2018.
RépondreSupprimer[v] U.S. Energy Information Administration, Levelized Cost and Levelized Avoided Cost of New Generation Resources in the Annual Energy Outlook 2020, February 2020.
[vi] “The Levelized Cost of Electricity from Existing Generation Resources,” Tom Stacy and George Taylor, June 2019. www.americaspower.org
[vii] Total overnight capital costs, converted to real 2019 dollars, from U.S. Energy Information Agency’s Annual Energy Outlook 2010 through 2020, https://www.eia.gov/outlooks/aeo/.
[viii] IRENA, Renewable Power Generation Costs in 2018, International Renewable Energy Agency, 2019. Quotations are from “Key Findings” on p.9.
[ix] https://www.awea.org/policy-and-issues/tax-policy, queried April 15, 2020.
[x] S&P Global Market Intelligence data.
[xi] http://www.ercot.com/mktinfo/prices/
[xii] Greenstone, M., and I. Nath. “Do Renewable Portfolio Standards Deliver?” Energy Policy Institute at the University of Chicago Working Paper 2019-62, April 2019.
[xiii] Erickson, Angela C., The Production Tax Credit: Corporate Subsidies and Renewable Energy, Texas Public Policy Foundation, October 2018.
This article originally appeared at America’s Power
https://www.cfact.org/2020/07/06/time-to-end-subsidies-for-renewable-energy/
S'il n'existait pas des subventions pour ces escroqueries d''énergie gratuite' le monde ne serait pas défiguré par ses éoliennes monstrueuses qui massacrent tous les jours des milliards d'oiseaux et d'abeilles
SupprimerTragic Energy Triple Whammy
RépondreSupprimerPar Craig Rucker
7 juillet 2020
L'approvisionnement énergétique de l'Amérique vient de recevoir trois coups dévastateurs.
Un tribunal de district fédéral a fermé le pipeline d'accès Dakota et l'a ordonné vidangé.
La Cour suprême a exclu le pipeline Keystone XL d'une décision par ailleurs positive selon laquelle un certain nombre de projets de pipelines devraient être «accélérés».
Dominion Energy a remporté une grande victoire en justice pour son pipeline de l'Atlantique, puis a décidé de l'abandonner de toute façon, décidant que les retards et les coûts imposés par l'obstruction de gauche étaient tout simplement trop. Les actions de Dominion ont rapidement chuté de 11,3%.
Ces dernières années, nous avons été favorisés par une renaissance énergétique tant attendue, l'indépendance et la sécurité énergétiques américaines étant enfin atteintes. C’est une tragédie aux proportions stupéfiantes que des efforts extrêmement bien financés sont continuellement en cours à l’échelle nationale pour obstruer, retarder et, en fait, ruiner les infrastructures énergétiques américaines.
Le secrétaire à l'Énergie, Dan Brouillette, a publié une déclaration percutante sur la décision Dakota Access qui pourrait s'appliquer aux trois: «Il est décevant qu'une fois de plus, un projet d'infrastructure énergétique qui fournit des milliers d'emplois et des millions de dollars de revenus économiques ait été fermé par le lobby environnemental bien financé, en utilisant le système judiciaire de notre nation pour faire avancer leur programme. Le pipeline Dakota Access fournit en toute sécurité du pétrole brut de production américaine abordable et fiable dans le Midwest et a créé environ 10 000 emplois. En outre, la fermeture éliminera chaque année des millions de dollars d’impôts payés par le gazoduc qui iront aux écoles, aux hôpitaux et à d’autres services communautaires dans le Dakota du Nord, le Dakota du Sud, l’Iowa et l’Illinois. »
L'extrême gauche, bien sûr, jubile. La directrice du climat de Greenpeace, Janet Redmans, a déclaré: «Trois pipelines dangereux retardés dans les 24 heures devraient servir d'avertissement clair à toutes les entreprises qui espèrent doubler leurs projets de combustibles fossiles sales. Depuis plus d'une décennie maintenant, un mouvement puissant s'attaque aux oléoducs et aux gazoducs téméraires et lutte pour faire passer les droits des peuples autochtones, une économie juste et notre environnement avant les bénéfices des compagnies pétrolières… Il est temps de laisser les combustibles fossiles dans le sol et commencer une transition juste vers un Green New Deal et 100% d'énergie renouvelable. "
Charmant.
RépondreSupprimerIl y a un nouveau nihilisme qui traque notre terre. Des statues de responsables des droits civils sont en train d'être démolies, soi-disant au nom des droits civils. Des cris retentissent pour financer la police dans les communautés qui recherchent désespérément la loi et l'ordre. Une énergie propre, sûre et efficace est bloquée sans tenir compte du fait qu'il n'y a rien de disponible pour la remplacer. Des militants trompent l'énergie éolienne et solaire inefficace et intermittente, ignorant qu'ils sont incapables de répondre à nos besoins énergétiques.
L'éolien et le solaire ne remplacent pas les pipelines. Les camions, les trains et les camions-citernes font - quoique mal.
Les Américains doivent creuser profondément, riposter et vaincre les Verts - avant qu'ils ne nous laissent tous geler dans le noir.
https://www.cfact.org/2020/07/07/tragic-triple-energy-whammy/
Enquête judiciaire contre Philippe, Buzyn et Véran: «on est parti pour le procès du système!»
RépondreSupprimer19:00 07.07.2020
Par Maxime Perrotin
L’enquête judiciaire à l’encontre d’Édouard Philippe, d’Agnès Buzyn et d’Olivier Véran est finalement ouverte. Neuf plaintes à l’encontre du gouvernement, sur 90 déposées, ont été transmises au Parquet. Mais au-delà de ces têtes ministérielles, l’avocat Fabrice Di Vizio entend bien pousser l’administration à rendre des comptes. Entretien-choc.
Philippe, Buzyn et Véran visés par une information judiciaire ouverte par la Cour de Justice de la République
Buzyn, Philippe et Véran, une brochette ministérielle sur le grill de la Justice?
Mardi 7 juillet, François Molins, procureur général près la Cour de cassation, a annoncé dans un communiqué l’ouverture par la Cour de justice de la République (CJR) d’une enquête judiciaire pour «abstention de combattre un sinistre» –dans le cadre de la gestion du Covid-19– à l’encontre de l’ex-Premier ministre, de l’actuel ministre de la Santé, ainsi que de son prédécesseur. Si cette annonce n’est guère surprenante, puisque le magistrat avait annoncé le 3 juillet dernier la transmission au Parquet de neuf plaintes, le fait qu’un ministre en fonctions soit trainé devant les tribunaux l’est beaucoup plus.
«Pour la première fois de l’Histoire, on ouvre une instruction judiciaire pendant et pas après la crise!» se félicite au micro de Sputnik France Me Fabrice Di Vizio, l’avocat à l’origine de plusieurs des plaintes retenues.
S’étant lui-même constitué partie civile, cet avocat, spécialiste de la défense des professionnels de santé, nous confie espérer que de telles démarches judiciaires permettront de provoquer un «électrochoc» au sein d’une administration publique française qui est à ses yeux «totalement déconnectée du réel» et donc «irresponsable».
«Si c’est bien la responsabilité d’un système, alors il faut faire le procès de ceux qui le composent et que 30.000 morts plus tard, on ait des condamnations exemplaires! Il faut qu’il y ait des sueurs froides de la part des dirigeants administratifs pour qu’enfin ils se comportent en responsables!», assène l’avocat plaignant.
Celui-ci n’exclut pas d’ailleurs d’élargir ses démarches au Parlement. Me Di Vizio souligne en effet que les politiques de «casse de l’hôpital» ont, avant d’être mises en œuvre par de hauts fonctionnaires, été approuvées par la représentation nationale, tant sous l’égide de la droite que de la gauche.
Notre interlocuteur ne mâche pas non plus ses mots face à la reconduite d’Olivier Véran dans ses fonctions de ministre des Solidarités et de la Santé, «celui qui est à l’origine immédiate de 30.000 morts», ne craint-il pas d’affirmer.
RépondreSupprimer«Toute notion de responsabilité a été complètement effacée dans l’administration.»
Un maintien qui, à ses yeux, constitue un «affront terrible pour les familles des victimes.»
«Sur le plan de la morale publique, on est face à un énorme problème. Un ministre mis en cause devant la Commission des instructions…»
Fabrice Di Vizio espère toutefois que le choix de Jean Castex comme Premier ministre reflète une réelle volonté d’Emmanuel Macron de mettre au pas une administration en roue libre. En somme, qu’enfin le politique reprenne l’ascendant sur une administration trop rebelle à son goût.
«On est condamné, inévitablement, à avoir encore 40, 50, 100.000 morts. Cette épidémie n’aura été qu’un avertissement, on en aura d’autres, bien plus graves, bien plus mortelles et on ne saura pas y faire face parce que structurellement, on en est incapables et parce que toute notion de responsabilité a été complètement effacée.»
Covid-19: «Administration sclérosée», décrets «imprécis», «crise du pouvoir», le réquisitoire d’un avocat de médecins
En guise d’illustration de cette administration bien décidée à ne rendre de comptes à personne, l’avocat avance le cas d’Agnès Buzyn, contre laquelle il avait porté plainte dans le cadre de la pénurie et des commandes de masques de protection respiratoire.
«Ces choses-là ne remontent pas au ministre» finissait par lâcher Buzyn, lors de son audition fin juin devant la commission d’enquête parlementaire, à propos des informations relatives au stock de masques ou de la dépendance chinoise de la France en la matière. Le gouvernement a-t-il «capitulé devant son administration?» s’interrogeait notamment le Figaro dans la foulée d’une telle déclaration. Durant l’audition, aucun député n’avait pris la peine de rappeler à la principale intéressée que son statut l’empêchait de plaider l’irresponsabilité…
Face à cette asphyxie administrative, l’ex-ministre avancera qu’«il faut une agence dédiée aux crises en général». Un dégagement en touche qui n’étonne en rien Fabrice Di Vizio:
«Quand on a un problème en France, on crée une autorité administrative. Parce que viscéralement, c’est inscrit dans les gènes institutionnels français. On ne peut pas, on ne sait pas faire autrement.»
Pour l’avocat, durant la crise sanitaire, l’administration ne fut pas la solution, mais le problème. «Nous avons perdu la notion de l’efficience», regrette-t-il. Et d’accuser Agnès Buzyn de n’avoir que multiplié des réunions face à la menace pandémique. Une réaction parfaitement inenvisageable dans un secteur privé, pourtant tenu à l’écart de la gestion de la crise: «LVMH a réussi en un week-end là où l’administration a failli en quatre mois», rappelle pourtant Me Di Vizio.
«Nous avons perdu la notion de l’efficience»
RépondreSupprimerLe célèbre groupe de luxe avait en effet réorganisé une partie de son outil industriel afin de produire massivement et gratuitement du gel hydroalcoolique pour les hôpitaux, alors que la filière de production était déstabilisée par l’explosion de la demande et… un certain manque d’anticipation.
Cas de Covid-19 importés d’Algérie: «on donne le bâton pour se faire battre»
à l’heure où le nombre de cas explose dans le monde (plus de 200.000 nouvelles contaminations constatées ces dernières 24h), la fête pourrait être gâchée avant l’automne. Plusieurs dizaines de cas graves importés d’Algérie ont été recensés ces dernières semaines dans les hôpitaux de métropole, faisant planer le spectre d’une résurgence de la pandémie dans l’Hexagone. Des patients qui, vu leur état de santé, étaient –selon les infectiologues– forcément déjà malades lors de leur retour en France, où ils n’ont rencontré aucun contrôle.
«Vous pouvez être sûrs que si le problème n’est pas réglé dans les quinze jours, je vais m’y intéresser de près. […] ce sera l’objet d’une autre plainte!» nous assure l’avocat, qui visiblement ne veut rien lâcher, rappelant que c’est exactement grâce à cette absence de volonté de mettre en place des contrôles aux frontières que le virus s’était invité en Europe.
https://fr.sputniknews.com/france/202007071044070870-enquete-judiciaire-philippe-buzyn-veran-proces-systeme/
Sacha Distel - L'incendie à Rio
Supprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=EGdukWPpO5g
L'incendie à Rio
En pleine nuit une sirène
Appelle au feu tous les pompiers
Et tout Rio qui se réveille
Voit brûler l'usin' de café
Il n'y a pas de temps à perdre,
Sinon tout l'quartier va brûler
Oui mais voilà
Pendant c'temps là à la caserne
On entends les pompiers crier :
Qu'est-c'qu'on a fait des tuyaux ?
Des lances et d'la grande échelle
Qu'est-c'qu'on a fait des tuyaux?
Pas d'panique il nous les faut
Mais l'incendie là-bas fait rage
Et le ciel est noir de fumée
Et tous les gens dans les étages
Se dis'nt : "Mais que font les pompiers ?"
Il n'y a plus de temps à perdre
Sinon tout l'quartier va brûler
Oui mais voilà
Pendant c'temps là à la caserne
On entends les pompiers crier :
Qu'est-c'qu'on a fait des tuyaux ?
Des lances et d'la grande échelle ?
Qu'est-c'qu'on a fait des tuyaux?
Pas d'panique il nous les faut !
Au p'tit matin on le devine
Tout le quartier avait brûlé
Il ne restait plus que des ruines
Sur des centain's de mètr's carrés !
Quand tout à coup dans le jour blême
On vit accourir un pompier
Qui s'écria : "Je viens d'la part du capitaine
Vous dir' de n'pas vous énerver"
On a r'trouvé les tuyaux
Les lances et la grande échelle
Mais on est en panne d'auto
Et on cherch' la manivelle
La la la la la la la
La la la la la la la la
la la la la la la la
La la la la la la la
AUSSI:
Marie-Josée Neuville - Par derrière ou par devant
https://www.youtube.com/watch?v=UzfAyHV9QJ8
Anne Léonard - Mon P'tit cul
https://www.youtube.com/watch?v=tWEa1Gz6-hw
"Crunch Time" arrive et ... tout le monde se trompait sur le coronavirus?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 07/07/2020 - 12:35
Il y a une semaine, lorsque nous avons examiné la divergence croissante entre le nombre de nouveaux cas de coronavirus aux États-Unis et le nombre décroissant de décès, nous nous sommes référés au stratège de Nordea Andreas Steno Larsen, qui a observé que «nous entrons dans le« temps critique »des décès depuis qu'ils devrait commencer à augmenter début juillet étant donné la structure avance / retard par rapport aux nouveaux cas. "
Comme Larsen l'a également prédit, "si les décès n'augmentent pas au début de juillet, alors les gens concluront qu'il se propage probablement parmi une partie de la population qui n'est pas aussi sensible, ou que c'est le résultat d'une augmentation des tests ou que le virus a deviennent moins meurtriers alors que nous entrons dans les mois d'été. Les gouverneurs du Texas, de la Californie et de la Floride semblent avoir conclu que la corrélation ci-dessous tient, mais le jury est toujours absent. "
Sa conclusion était que "les 6 à 10 prochains jours seront cruciaux".
Eh bien, une semaine plus tard, nous avons décidé de suivre la situation actuelle et ... il n'y a toujours pas de pointe de décès au niveau fédéral ...
- voir graphique sur site -
... ou même au niveau de l'État comme on peut le voir dans le tableau des cas en Floride vs décès ci-dessous:
- voir graphique sur site -
Pendant ce temps, comme les cas semblent stagner dans plusieurs États, non seulement les décès n'infléchissent pas plus, mais ils sont au plus bas depuis mars.
La plupart des experts se sont-ils donc trompés sur le fait que la flambée des cas entraînerait également un pic de décès?
Alors que nous débattons de cette question, en voici une autre: à la fin de mars et au début d'avril, un consensus s'est dégagé sur le fait que si la première vague de coronavirus n'était pas contenue, elle entraînerait une deuxième vague encore plus aiguë et mortelle. Pourquoi? Parce que les épidémiologistes professionnels et en fauteuil utilisaient la grippe espagnole comme étude de cas comme le montre le tableau suivant de JPMorgan.
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerMaintenant, selon la Deutsche Bank, il semble que cette comparaison avec la grippe espagnole de 1918 ait également été terriblement erronée.
Comme l'écrit Jim Reid de DB, un article qui a influencé la pensée du marché au début de la pandémie de Covid-19 a examiné l'effet d'interventions non pharmaceutiques comme la distanciation sociale et les fermetures d'écoles pendant la grippe espagnole (lien ici). Le document a révélé que les villes américaines qui ont mis en œuvre ces mesures avaient tendance à avoir de meilleurs résultats économiques à moyen terme. Cela a apporté un soutien historique à l'argument selon lequel il n'y avait pas un tel compromis entre l'activité économique et la santé publique, car il fallait supprimer le virus pour permettre aux consommateurs d'être plus confiants et pour que les entreprises fonctionnent normalement.
Cependant, une différence majeure entre la grippe espagnole et Covid-19 est la répartition par âge des décès, comme le montre le graphique ci-dessous.
- voir graphique sur site -
Pour Covid-19, les personnes âgées ont été massivement les plus touchées. Pour la grippe espagnole de 1918, la population jeune en âge de travailler a également été gravement touchée. En fait, le taux de mortalité par pneumonie et grippe cette année-là chez les 25-34 ans aux États-Unis était de plus de 50% supérieur à celui des 65-74 ans, "une différence remarquable par rapport à Covid-19".
Cela, comme le note ensuite le stratège, pose donc la question de savoir comment l'histoire jugera la réponse au verrouillage de Covid-19, étant donné son impact beaucoup plus limité sur les travailleurs de l'économie. En bref, nous avons une situation intéressante en ce moment, où la hausse rapide des cas aux États-Unis ralentit les réouvertures (négatives) mais le taux de mortalité diminue (positif).
Voici quelques observations supplémentaires menées par un autre stratège de la DB, Francis Yared, qui suggèrent que la deuxième vague est beaucoup moins grave que les médias ne le prétendent.
Conclusion: Le taux de mortalité global, mesuré par les décès hebdomadaires / nouveaux cas hebdomadaires (2 semaines d'avance), représente environ 1/3 du niveau observé dans la seconde moitié d'avril
Analyse: Nous calculons (1) le taux d'hospitalisation comme actuellement hospitalisé (moyenne hebdomadaire) / nouveaux cas (somme hebdomadaire, 1 semaine d'avance) et (2) le taux de mortalité par hospitalisation comme Décès (somme hebdomadaire) / actuellement hospitalisé (moyenne hebdomadaire, 1 avance d'une semaine). Ce dernier est une normalisation du calcul de la semaine dernière des décès quotidiens aux décès hebdomadaires. Nous nous concentrons sur les moyennes hebdomadaires et les décalages hebdomadaires car le temps passé à l'hôpital est d'environ 1 semaine et pour atténuer la volatilité due aux effets de week-end.
RépondreSupprimerRésultats:
Le taux d'hospitalisation est tombé à environ 20% de 10 à 15 pp depuis la seconde moitié d'avril. Cela peut être dû à (a) une augmentation des tests et une meilleure qualité des tests capturant les cas moins graves et (b) l'autosélection de la population prenant des risques (par exemple, l'âge moyen des nouveaux cas diminue)
Le taux de mortalité par hospitalisation a diminué de moitié pour atteindre environ 10% (les résultats de la semaine dernière sont passés de décès quotidiens à hebdomadaires) depuis la seconde moitié d'avril.
Le taux de mortalité global (décès sur nouveaux cas retardés) est le produit des deux calculs précédents. Depuis la seconde quinzaine d'avril, il a baissé d'environ 2/3 de 6,5% à 2%.
Pour les trois plus grands États avec des données d'hospitalisation CA / NY / TX, les niveaux actuels respectifs sont les suivants. Taux d'hospitalisation: 18,1%, 18,7%, 19,4%. Taux de mortalité par hospitalisation: 7,8%, 6,9%, 5,2%. Taux de mortalité global: 1,7%, 1,5%, 1,0%.
- voir graphique sur site -
Pendant ce temps, les tests quotidiens aux États-Unis ont atteint un nouveau record de tous les jours.
- voir graphique sur site -
Comme le conclut DB, «cela pourrait éventuellement nous donner plus de confiance que nous sommes désormais mieux à même de vivre avec le virus».
https://www.zerohedge.com/markets/crunch-time-arrives-and-was-everyone-wrong-about-coronavirus
CORONAVIRUS : EN PLEINE PANDÉMIE, LES ÉTATS-UNIS QUITTENT L'OMS
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
08/07/2020
Le budget de l'OMS pour 2018-2019 était de 5,6 milliards de dollars.
Donald Trump avait durement critiqué l’Organisation mondiale de la Santé lors de la crise du Covid-19… et avait annoncé suspendre le financement américain à cette branche de l’ONU. Désormais, c’est vers une sortie pure et simple de l’OMS que se dirigent les États-Unis… alors qu’ils sont le pays le plus touché par la pandémie.
Donald Trump vs OMS : clap de fin ?
L’OMS s’était attirée à plusieurs reprises les foudres du président américain Donald Trump : ce dernier l’accusait d’avoir été trop laxiste contre la Chine, qu’il estime toujours être à l’origine de la pandémie mondiale. En avril 2020, il annonçait de fait suspendre le financement de l’OMS de la part de son administration. Un coup dur pour l’Organisation mondiale de la Santé : les États-Unis étaient son premier contributeur qui lui versait près de 500 millions de dollars par an.
Après cette décision de couper les vivres de la branche santé de l’ONU, Donald Trump avait, en mai 2020, annoncé son intention de couper les ponts définitivement. C’est chose faite, annonce le sénateur Bob Mendez le 7 juillet 2020 sur Twitter : « le Congrès a reçu la notification que le Président a officiellement retiré les États-Unis de l’OMS en plein milieu d’une pandémie »http://www.economiematin.fr/news-usa-oms-abandon-pandemie-covid-annonce-trump
Les États-Unis : le pays le plus touché par le Covid-19
La décision tombe au plus mal pour le pays outre-Atlantique : il est depuis des semaines le plus touché par la pandémie de Covid-19. Et même si le pays est fortement peuplé, plus de 300 millions d’habitants, le ratio nombre de cas / population est le plus élevé des pays industrialisés.
Au 8 juillet 2020, selon l’Université John Hopkins, les États-Unis comptent 2,99 millions de cas confirmés, loin devant le Brésil et ses 1,6 million de cas, avec plus de 40.000 nouveaux cas par jour. Plus de 131.000 Américains sont décédés des suites du Covid-19.
http://www.economiematin.fr/news-usa-oms-abandon-pandemie-covid-annonce-trump
L'Amérique a parfaitement raison de se retirer de ce parti de salauds, d'escrocs et d'incapables qui ne vivent que de corruption.
SupprimerLégalisation des armes à feu : le débat interdit
RépondreSupprimerOn peut ouvrir le débat sur l’utilité et surtout la légitimité fondamentale des citoyens ordinaires à posséder des armes, pas seulement des forces de l’ordre.
8 JUILLET 2020
Par Pierre Rokfussano.
Qu’est-ce qui définit un droit ? Dans le débat public, comment déterminer dans quels cas l’État peut ou ne peut pas circonscrire la liberté des personnes au nom d’un danger perçu ou d’un avantage potentiel ?
Trop souvent, les critères utilisés sont incohérents d’un domaine à l’autre ; leur définition ne fait que refléter les préjugés de la classe dirigeante du moment, au lieu de procéder d’une réflexion plus fondamentale sur la nature des droits.
LE DROIT DE PORTER DES ARMES À FEU
Ce problème est criant sur le sujet des armes à feu. Sans conteste, l’argument le plus répandu des opposants au droit de détenir des armes se rapporte à la létalité d’un tel droit, souvent présenté comme un poids démesuré dans la balance de l’analyse coût-bénéfice. À tort ou à raison, ils affirment que légaliser la détention d’arme mènerait à davantage de morts chaque année. Est-ce vrai ?
La réponse dépend certainement de la société en question et des ses caractéristiques, des individus qui la composent, et ainsi de suite… Quoi qu’il en soit, l’essentiel du débat semble se focaliser sur cet argument, que ce soit aux États-Unis où ce droit est consacré, ou en Europe où il n’est que peu reconnu, comme si la question de la létalité résumait à elle seule la question de ce droit.
Le plus souvent, les partisans du droit de s’armer, Américains ou Européens, tentent de défendre leur position sur le même terrain. Tentative qui est rhétoriquement vaine, car il est dangereux de s’enfermer dans un débat de chiffres avec un adversaire dont c’est l’unique pilier argumentaire, et qui a donc souvent une connaissance plus exhaustive sur ce sujet.
C’est également une erreur de théorie politique. En effet, il convient d’insister sur le fait que la dimension de la létalité n’en est qu’une parmi d’autres, dont certaines sont bien plus importantes.
Il faut ainsi commencer par remarquer que la question de la possession d’arme est une question de définition d’un droit ; il s’agit de donc de savoir si l’individu peut être légitimement contraint. Cela la différencie radicalement d’une question ordinaire de politique publique : par exemple, s’il faudrait plutôt investir un million d’euros d’impôts dans de l’équipement militaire ou l’Education nationale. Et à partir du moment où il s’agit de discuter d’un droit fondamental, les critères macro-sociaux tels que le nombre de morts par an sont de second ordre.
En effet, pense-t-on souvent à lancer un grand débat national sur la liberté d’expression ou de religion ? Après tout, il se pourrait pourtant que le citoyen moyen se trouve plus heureux s’il était libéré par la force publique des restrictions religieuses ou du droit de jaser.
Pourtant, ce mode de raisonnement paternaliste ne nous vient même pas à l’esprit. On sent bien que là n’est pas la question, tant ces activités sont des droits inhérents à chaque individu. Utiliser une analyse coûts-bénéfices n’est ici pas pertinent. Il en est de même des potentielles conséquences sociales de la légalité de la détention d’armes à feu.
DU BON USAGE DE SON PROPRE DROIT
Ainsi, il convient de distinguer un droit bien exercé de ses abus. Violer le droit d’autrui en se servant d’un droit dont on dispose soi-même n’implique jamais que ce dernier soit mal acquis.
Une grande partie des morts sur la route est le fait de personnes ayant passé leur permis comme tout un chacun et conduisaient légalement, mais ont été négligentes. De même, que pour fuir la justice les fugitifs n’ayant pas été préventivement incarcérés usent de leur liberté légitime de se déplacer.
RépondreSupprimerCes abus, tout comme ceux que peuvent commettre les possesseurs d’armes, n’ont aucune pertinence lorsqu’il s’agit de déterminer l’étendue et la nature des libertés individuelles.
A-t-on déjà pensé à ne délivrer des permis de conduire qu’aux membres d’un club de course automobile ? C’est pourtant le critère utilisé pour les armes à feu. Lorsqu’on sait que les automobiles sont bien plus létales que les armes (il y a un mort pour 7400 voitures aux États-Unis chaque année, contre un mort pour 9800 armes détenues par des particuliers), on voit qu’un tel état des droits reflète nos habitudes sociales, plutôt qu’un réel système de protection de la vie humaine.
ARMES À FEU : LA RESPONSABILITÉ PERSONNELLE EN QUESTION
Les libéraux qui défendent le droit de détenir une arme soulignent souvent qu’aux États-Unis 60 % des morts en question sont des suicides, gonflant ainsi les chiffres. Ce à quoi leurs adversaires rétorqueront que faciliter le suicide est un argument de plus pour interdire les armes à feu.
Ce type de réponse s’entend aussi souvent au sujet de la légalisation des drogues. Pourtant, voilà un raisonnement qui démontre peu d’estime pour la valeur de la responsabilité personnelle.
En effet, bien qu’on puisse instinctivement réprouver voire abhorrer l’acte du suicide, une éthique libérale rigoureuse doit réprouver toute restriction de la liberté d’autrui à des fins paternalistes, autrement dit pour son propre bien. Nul ne doit davantage être maître de ma propre vie que moi-même. Dans ce cas, pourquoi autrui pourrait-il décider à ma place de ma vie ou de ma mort ?
Rares seraient ceux qui soutiendraient une interdiction du suicide, et pourtant il est bien plus grave de retirer le droit de s’armer à tout un peuple, que de retirer le droit de mettre fin à ses jours aux seules personnes concernées.
ET LE DROIT INDIVIDUEL
Ainsi, c’est la quête pour déterminer quels sont les droits légitimes qui doit revenir au centre de la réflexion. Mais alors, quelles meilleures questions se poser que celle de la létalité ? Deux peuvent nous aiguiller.
La première est de savoir si la liberté de commettre un acte viole en lui-même le droit légitime d’un autre. Or, ce n’est ici clairement pas le cas – à moins que se sentir mal à l’aise à la vue d’une arme puisse être considéré comme la violation d’une quelconque droit.
La deuxième est de savoir si ce droit participe à la défense de la liberté et de nos institutions démocratiques ? Je soutiendrai que la réponse est également oui, à l’instar de la liberté d’association, d’expression ou de déplacement notamment .
On peut alors ouvrir le réel débat sur l’utilité et surtout la légitimité fondamentale des citoyens ordinaires à posséder des armes, et non seulement des forces de l’ordre.
En philosophie politique, il convient d’éviter toute approche conséquentialiste au risque de s’engager sur la voie du paternalisme et des utopies : « on ne fait pas d’omelettes sans casser des œufs » ou encore que « la fin justifie les moyens ».
Il convient au contraire d’entreprendre une réflexion solide sur la nature des droits individuels. Toutefois, c’est là que peuvent intervenir la science économique et politique, dont l’importance est de nous guider pour concevoir structures supra-individuelles de nature coercitive telles que l’État de manière à renforcer les droits individuels plutôt que de les étouffer.
RépondreSupprimerCe qui, comme le soulignait Robert Nozick, nécessite impérativement de respecter un principe restrictif important. La barre qui limite ce qui peut être fait doit être placée plus haut pour l’État que pour l’individu.
https://www.contrepoints.org/2020/07/08/375133-legalisation-des-armes-a-feu-le-debat-interdit
En France comme aux States ce sont les immigrés qui arrivent en tête des assassins et des voleurs. D'où la défense de la personne attaquée qui fait justice elle-même. Çà, ça s'appelle la liberté et, le criminel ou voleur abattu de recommencera jamais !
SupprimerEffectivement, quand on voit DES milliers d'assassins remis en liberté pour... excuse de grippe ! HAHAHAHA !... y a de quoi avoir peur et vouloir se défendre !
La fin de la modernité
RépondreSupprimerPar Ira Katz
8 juillet 2020
L'autre jour, j'étais en ligne (distanciation sociale) pour recevoir la communion. Il y avait un bébé dans une voiture qui me regardait mais sans aucune émotion. Alors que je souris, il n'y eut aucune réaction, seulement un regard vide. Je portais un masque. Je me suis alors retourné pour voir que sa mère portait également un masque. Quel genre d'enfants seront élevés dans une société masquée ?
Beaucoup de gens dans mon monde Internet voient maintenant avec inquiétude un nouveau niveau de contrôle de la population. Peter Hitchens, C.J. Hopkins, le moustique bionique, mérite d'être lu; et celui de Gareth Roberts comparant notre nouvel ordre mondial au Village de la série Patrick McGoohan, le prisonnier est, je pense, particulièrement précis dans le type d'horreur (avec le sourire) que la société devient.
J'ai l'impression de participer à une sorte d'expérience géante de Milgram où la population du monde (du moins le monde développé) est socialisée en une obéissance irréfléchie et inspirée par la peur. Le terrorisme, l'effondrement financier, les épidémies et la biosécurité et la révolution culturelle sont tous des événements descendants visant à créer une population docile et obéissante. Il est clair que pour les pouvoirs en place, toutes les relations humaines, les plaisirs simples, les besoins sociaux et psychologiques sont sacrifiables. Tous les humains individuels sont consommables. Il est révélateur que l'élite ait politiquement abandonné la classe ouvrière au profit d'un environnementalisme et d'une immigration extrêmes. Le travail humain (du moins dans le monde développé) n'est plus considéré comme essentiel. Comme James Corbett l'a documenté, l'objectif atteint est le contrôle de la population.
La Renaissance a été le passage d’une culture centrée sur le christianisme (l’âge de la foi illustré par la cathédrale de Chartres) à une culture moderne centrée sur l’homme (l’âge de l’individualité humaine illustrée par l’homme de Vitruve de Da Vinci). C'était l'âge de la modernité, mais la modernité est maintenant terminée; le présent dystopique est un monde postmoderne et post-humain comme en témoigne le robot Sophia. Comme notre individualité humaine sera recouverte d'un masque, chacun de nos mouvements et achats sera noté et approuvé par un système de contrôle électronique, notre ADN même sera à la merci des vaccins obligatoires.
En ces temps troublants, je crains pour ma famille. Je trouve qu'il est très difficile de discuter de ces craintes avec ma femme qui est française et un journaliste voit donc le monde à travers des lentilles très différentes de moi. J'ai récemment rencontré un groupe d'amis, tous diplômés de l'élite université française Science Po, lors d'une belle soirée dans un bar en plein air le long de la Seine. Un homme très gentil et intelligent avec qui je parlais ne portait pas de masque, mais croyait totalement au virus et au gouvernement. J'ai essayé de présenter un point de vue différent bien que je doute d'être convaincant.
En ces temps désespérés, je sens que les deux actions essentielles sont de prendre courage et de prier.
https://www.lewrockwell.com/2020/07/ira-katz/the-end-of-modernity/
Mon enquête sur COVID-19
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
8 juillet 2020
C'est l'une de ces enquêtes dans lesquelles vous vous demandez: LE PHÉNOMÈNE, TEL QUE DÉCRIT, EST-IL RÉEL ? C’est là que j’ai commencé. À ce stade, j'ai écrit plus de 150 articles sur COVID-19.
Et bien sûr, le phénomène n'est pas réel.
La plupart des gens ne pourraient pas comprendre cela. Ils sont coincés à la porte, disant: LES GENS MEURENT, CE DOIT ÊTRE LE VIRUS.
Eh bien, les gens meurent toujours. Il est très facile de reconditionner leurs décès sous un nouveau label. Et ceux qui meurent pour de nouvelles raisons… vous pouvez également retrouver ces raisons. À certains endroits, c'est de la pollution, à un autre endroit, il pourrait bien s'agir d'une campagne de vaccination antérieure, etc. À New York, beaucoup de gens meurent de décès prématurés parce qu’ils portent des respirateurs respiratoires et sont fortement sous sédation.
Comme je l'ai exposé dans plusieurs articles clés, les procédures appropriées de découverte virale n'ont jamais été effectuées en Chine ou ailleurs. Il n'y a aucune preuve convaincante que les chercheurs aient jamais trouvé un nouveau virus.
Par conséquent, chaque soi-disant information provenant du «nouveau virus» n'a aucun fondement. Par exemple, les tests de diagnostic. Des tests pour quoi ? Et puis, les numéros de cas n'auraient également aucun sens.
Mais encore une fois, ces faits sont difficiles à avaler pour les gens. Ils veulent croire. Ils croient qu'ils doivent croire. C’est une théocratie.
Dans la configuration, vous pouvez prendre deux positions. Vous pouvez vous tenir en dehors de toute illusion et l'exposer; ou vous pouvez entrer dans l'illusion puis montrer les contradictions internes et les mensonges et les fausses images, dans le cadre de la fraude.
Par exemple, les numéros de cas. J'ai expliqué comment le CDC et d'autres agences les manipulent, les gonflant. Je me suis également tenu à l'écart de tout le jeu des chiffres et j'ai souligné que cela n'avait pas de sens, car, encore une fois, l'existence d'un nouveau virus n'a pas été prouvée. Les tests, tous, sont censés être la preuve de la présence du virus.
Vous pouvez être EXTÉRIEUR ou INTÉRIEUR. Ou les deux.
Imaginons que quelqu'un publie une photo de la 510th Street à New York aux heures de pointe. Vous pouvez simplement dire qu'il n'y a pas de 510th Street à New York. Ou vous pouvez regarder les détails de la photo. Vous pouvez dire: «Vous voyez cet homme portant un manteau d'hiver laineux et une longue écharpe ? Regardez maintenant derrière lui. Trois filles portant des bikinis attendent un bus. Cela ne vous semble-t-il pas étrange ? "
Vous pouvez également présenter un cas circonstanciel. C’est un troisième aspect d’une enquête. «Écoutez, cet homme accusé de faux chèque a été condamné à trois reprises dans d'autres États pour le même crime. Il travaillait pour son oncle, incarcéré pour faux en France. En ce moment, il vit au-dessus d'un magasin où un faussaire vérifie des faux chèques. »
C'est ce que j'ai fait avec le virus - montrant que, à travers l'histoire, la soi-disant découverte d'un nouveau virus et sa promotion ont été utilisées pour masquer et remplacer d'autres formes de meurtre. Pollution industrielle, famine forcée, contamination délibérée de l'approvisionnement en eau, traitement avec des médicaments et des vaccins médicaux hautement toxiques. L'histoire d'un virus protège les tueurs.
Comme vous pouvez le voir, j'explique tout cela de manière très simple. Maintenant. Mais en 1987, lorsque le problème était le SIDA et le VIH, et que j'écrivais un livre sur le sujet, j'ai traversé une masse de confusion pendant des mois. La confusion a été causée par le fait que j'étais à l'intérieur de l'image et ne sachant pas qu'il y avait un extérieur. Quand j'ai finalement réalisé ce qui se passait, un grand nombre d'informations apparemment disparates se sont mises en place. J'ai vu le paysage. J'ai vu ce qu'il y avait dedans et je pouvais m'en éloigner et le regarder dans son ensemble.
RépondreSupprimerComme quatrième considération, vous pourriez examiner l'histoire des enseignements qui forment et prédisposent les gens à croire en un phénomène qui n'est pas réel. Dans ce cas, des enseignements sur les germes. Les enseignements qui indiquent que les germes sont aussi dangereux que la nitroglycérine. Les enseignements qui prétendent que la maladie vient directement des germes - ignorant, par exemple, le fait que les gens ont des défenses immunitaires intrinsèques. Le contrôle mental par la théorie des germes est une longue histoire que je mentionne brièvement. Mais il est très utile de voir comment l'endoctrinement fonctionne en arrière-plan; lorsque la prochaine grande épidémie est annoncée, la plupart des gens font immédiatement la queue. Ils confirment ce qu'on leur a appris à croire. C’est une autre église.
Il y avait l'église du VIH, l'église du Nil occidental, l'église du SRAS, la grippe porcine, Zika, la grippe aviaire, etc.
En parlant d'enseignements - l'une des prédispositions les plus importantes auxquelles les gens s'accrochent comme les radeaux de sauvetage est: un effet, une cause. L'effet serait COVID-19, et la cause serait le coronavirus. Mais l'effet n'est pas une chose. Comme je l'ai dit ci-dessus, les gens meurent en raison de différentes conditions… qui ont des causes différentes. Le saisir produit une explosion très bénéfique qui disperse beaucoup de contrôle mental.
Une autre prédisposition est la notion illogique que l'effet prouve la cause. «Eh bien, regardez tous les verrouillages (effet); par conséquent, la cause, la justification doit être le virus dangereux. » Absurdité. Aristote a exposé cette erreur il y a longtemps.
"Mais ... mais je m'en fiche. Les gens meurent, ce doit être le virus. Je crois."
Oui, les gens croient. Quand n'est-ce pas le cas ?
Et quand ils croient, ils posent quelques questions typiques. "Mais qu'en est-il des gens qui meurent en Italie ?" Ce sont les MAIS QUOI DES PERSONNES. Ils ont toujours un autre. Ou ils diront: "Il y a un garçon qui est mort subitement au Montana, comment expliquez-vous cela ?" Le COMMENT EXPLIQUER les gens.
J'explique ce que je peux, sur la base des preuves que j'ai rassemblées. Je ne sais pas ce qui est arrivé au garçon au Montana, à la fille en Inde ou à la mère en Mongolie. Mais je sais qu'il n'y a aucune raison particulière de supposer que le virus est la cause du décès.
Les vrais croyants ont tendance à rassembler les choses de cette façon: les informations rapportent une mort inhabituelle; il est impossible de comprendre ce qui s'est passé à partir du compte; un effet inhabituel doit être égal à une cause inhabituelle; le virus COVID serait inhabituel; par conséquent, le virus a causé la mort inhabituelle. Préposterous, mais ça y est. Vous pouvez prendre un marteau sur ce pilier de la pensée terne, et vous ne le renverserez pas dans cent ans.
RépondreSupprimerNous arrivons ensuite à la question du complot. Cela peut aussi être appelé: qui en profite? Les gens supposent à tort qu'un complot est comme un vol de banque. Un petit nombre de personnes entrent dans une banque et prennent l'argent. Ils en bénéficient. Mais dans un complot, il y a des bénéficiaires cloisonnés, et ils ne complotent pas tous ensemble. La plupart des bénéficiaires voient une opportunité et la saisissent.
Les compagnies pharmaceutiques font de l'argent sur le vaccin et les médicaments utilisés pour traiter les patients atteints de COVID-19. Les gouvernements des États reçoivent de l'argent fédéral pour «lutter contre le virus». Les chercheurs gagnent des promotions. Les agences de santé publique obtiennent plus de financement et plus de pouvoir. Les financiers achètent des propriétés dévaluées à des prix défiant toute concurrence. Au sommet de l'échelle, des comploteurs clés inventent la vente de l'histoire d'un nouveau virus tueur, car ils ont l'intention de l'utiliser pour verrouiller la planète. Pourquoi? Parce qu'ils veulent torpiller les économies et emménager dans les décombres et construire un nouvel ordre mondial économique, social et politique. Il ne faut pas des milliers ou des millions de personnes - tous au courant - pour imposer une conspiration. Loin de là.
Une enquête sur une histoire fait s'écrouler l'histoire. Vous le voyez sous un jour différent. Vous ne croyez plus le récit central. Vous continuez à poser des questions plus profondes sur les assertions de base contenues dans l'histoire, et vos réponses produisent plus d'effondrements du ciment qui maintient l'histoire.
Enfin, pour l'instant, il y a la question du choix individuel et de la responsabilité. Les individus peuvent croire ou ne pas croire. Il y a toujours cette option. Les gens ne sont pas condamnés à accepter un récit oppressant qui leur est imposé. Si tel était le cas, il ne servirait à rien la pensée ou l'action humaine. Nous serions pour toujours des victimes. Ce n'est pas le cas. Ça ne l'a jamais été. Certaines personnes sont dédiées à l'idée qu'il n'y a aucun moyen de sortir du donjon du contrôle externe. Leur dévouement à cette proposition a un grand tonnage. Pour eux. Ils ignorent délibérément le fait qu'à travers l'histoire, il y a eu une énorme lutte pour établir la liberté individuelle, et cette guerre a connu un succès étonnant - par rapport aux despotismes et aux tyrannies plus anciens. En fait, leur choix, maintenant, de se promener en pulvérisant le sort de la marque qu'ils veulent vendre est une preuve de cette liberté. Je ne suis pas impressionné par le destin. Je suis impressionné par la liberté. Nous sommes encore dans un autre combat pour cela. Je suis impressionné par les individus qui utilisent leur liberté pour concrétiser leur meilleure vision du monde. Mes enquêtes visent à révéler les acteurs du pouvoir qui complotent et luttent contre la liberté.
https://www.lewrockwell.com/2020/07/jon-rappoport/my-investigation-of-covid-19/
C'est surtout les merdias qui en sont la cause de ces mensonges, scandales et appels au meurtres en soutenant les criminels ! Ceux qui ne consultent que l'Internet, voient, lisent, écoutent des professeurs, des scientifiques et des analystes financiers expliquer leur avis et converser avec les intervenants (chose interdite dans les merdias).
SupprimerPETER HITCHENS: Nous sommes tous passés des humains normaux aux masochistes muselés !
RépondreSupprimerPar Peter Hitchens
Courrier quotidien
8 juillet 2020
Lorsque cette folie a commencé, je me suis comporté comme si une religion nouvelle et fanatique se répandait parmi nous. Soyez poli et tolérant, pensai-je. Cela peut être fou et dommageable, mais avec le temps, cela disparaîtra.
Il est maintenant clair qu'une nouvelle foi, basée sur la peur de l'invisible et tout à fait à l'abri de la raison, a pratiquement envahi le pays. Et il s'avère que c'est une de ces confessions qui n'a pas beaucoup de tolérance pour ceux qui ne la partagent pas.
Je suppose qu'environ 85% de la population l'adore maintenant et continuera de le faire. Le reste d'entre nous est, au fil des jours, une minorité persécutée, forcée d'accepter des croyances que nous n'avons pas.
Ses évangélistes ne vous laisseront pas seuls, mais chercheront constamment à nous forcer à nous rejoindre. C'est pourquoi je fais tant d'histoires sur la demande de nous faire tous porter des muselières. Ce n'est pas une question de santé.
Il n'y a tout simplement pas suffisamment de preuves pour nous obliger à le faire. C'est une tentative de forcer la soumission aux incroyants de Covid.
C'est pourquoi il se propage, malgré l'absence de bons arguments pour cela. Dans un développement effrayant, l'un des articles scientifiques les plus puissants qui s'y opposent, Pourquoi les masques faciaux ne fonctionnent pas: une revue révélatrice, la semaine dernière a soudainement disparu de sa place habituelle sur Internet (j'en ai toujours une copie).
Le despote en fer blanc écossais, Nicola Sturgeon, exige désormais que les muselières soient portées dans les magasins, ainsi que dans les transports publics, au nord de la frontière.
Au Texas, de tous les États, le gouverneur cherche à rendre les muselières obligatoires dans tous les lieux publics. Le journal Guardian à tirage limité, qui se trouve être le journal de la BBC, compare de manière absurde les muselières aux ceintures de sécurité (prouvées un million de fois pour sauver des vies, sans aucun doute) et demande dans son éditorial principal `` Cover your face '' .
La BBC prend alors soin de le signaler de manière bien visible. Ne soyez pas surpris si le gouvernement suit bientôt. Pourtant, comme l’ont dit à maintes reprises les documents et les experts du Gouvernement, les preuves de l’utilité de ces muselières sont faibles. Le Département des affaires et des entreprises dit clairement: "Les preuves de l’avantage d’utiliser un couvre-visage pour protéger les autres sont faibles et l’effet est probablement faible."
Cette obsession de nous dire comment regarder et de nous transformer d'humains normaux en animaux de troupeau soumis et sans bouche, tous vêtus d'un uniforme obligatoire, fait, à mon avis, partie d'une attaque sans précédent contre notre liberté personnelle en général. Reste à la maison. Arrête de travailler. Ne voyez pas vos amis ou vos proches. Soumettez, soumettez, soumettez. Habituez-vous à savoir quoi faire.
RépondreSupprimerEt nous le faisons. J'ai commencé à comprendre pourquoi l'atroce radotage de Fifty Shades Of Grey était si populaire. Il semble que nous soyons vraiment devenus une nation de masochistes abandonnés.
La décision de forcer le pauvre Leicester à retourner dans la misère de l'arrêt total en est un exemple. Le plus fou de tous est la fermeture des écoles de cette ville, lorsque les enfants d'âge scolaire sont à peine touchés par Covid.
Cela doit rendre les plans de réouverture des écoles en septembre encore moins susceptibles de se réaliser. Le gouvernement pense-t-il que les syndicats de l'éducation ne remarqueront pas cet acte de panique et s'en serviront pour fermer les écoles? Bien sûr qu'ils le feront.
Je suis presque sûr que cela a été fait non pas parce que c'est nécessaire mais parce que le directeur hystérique potentiel Matt Hancock veut nous garder sous sa coupe.
Comportez-vous, il hurle, ou le magasin de repli reste fermé. Leicester est comme les pauvres garçons qui ont été bastonnés par de tels directeurs d'école pour donner l'exemple au reste.
https://www.lewrockwell.com/2020/07/no_author/peter-hitchens-weve-all-turned-from-normal-humans-into-muzzled-masochists/
Le mot juste est 'masochisme', ils et elles sont masochistes, retard de culture, bref, du bé-tail ! Des idiots qui portent des masques INUTILES parce qu'ils et elles ont vu un con de chef d'Etat en porter un fait d'une toile de jeans !! HAHAHAHAHAHA ! Qu'est-ce qu'il était con ! Et a fait des émules ! HAHAHAHA !
SupprimerPayer pour votre nouveau véhicule électrique. . . Même si vous n'en possédez pas
RépondreSupprimerPar eric -
7 juillet 2020
Pour l'instant, ils ne demandent que la fabrication de voitures électriques. Combien de temps faudra-t-il avant de demander aux gens de les acheter ?
En fait, vous les payez déjà.
Plusieurs façons.
De nouvelles façons.
La manière évidente est sous la forme des taxes que vous payez qui subventionnent leur fabrication. Mais c'est le vieux chapeau, vieil homme. Et c'était juste pour les ouvreurs.
La semaine dernière, le Nevada a «adopté» (dans le langage politique euphémiste du gouvernement, qui aime utiliser le verbiage du volontariat kumbaya pour cacher la contrainte collectiviste qu'il impose) des quotas de véhicules électriques similaires à ceux déjà en place en Californie. Cela oblige un constructeur automobile qui souhaite vendre des voitures dans l'État à vendre également un certain nombre de voitures électriques.
Même s'ils doivent être donnés à perte.
Les coûts de cela sont transférés aux voitures non électriques, ce qui masque les coûts du mandat EV de la même manière que les taxes sur l'essence odieusement élevées sont cachées en les repliant dans le coût par gallon plutôt que ajoutés comme une taxe de vente. Si les gens devaient réellement poney jusqu'à 50 cents (une moyenne) supplémentaire par gallon - au registre - ils s'opposeraient probablement. Mais lorsque le gaz et les taxes coûtent le même prix, ils ne remarquent pas la partie taxes.
C’est ainsi que vous payez déjà pour l’EV que vous ne conduisez pas.
Vous payez également pour les véhicules électriques d'une autre manière.
John Bozzella, homme de tête pour quelque chose qui a surnommé le Center for Automotive Research - en fait une nouvelle organisation faîtière pour plusieurs grandes entreprises automobiles désireuses de montrer à quel point elles peuvent être très proactives quand il s'agit de tailler dans toutes les orthodoxies élégantes - dit qu'elles «sont s'est engagé à travailler avec le gouverneur (Nevada) Sisolak et les régulateurs de l'État vers une transition plus fluide (italiques ajoutés) à l'adoption de ZEV qui comprend une sensibilisation accrue des consommateurs, des infrastructures, des incitations, des exigences de la flotte, des codes du bâtiment. . . et plus."
Pariez votre bippie, ce sera plus.
Bozzella dit que "l'investissement" de l'industrie atteindra 200 milliards de dollars d'ici 2025.
Mais commençons par votre «investissement».
Et les «infrastructures»?
C'est un euphémisme pour les stations de recharge de voitures électriques financées par les contribuables - mais c'est aussi bien plus que cela. Les concentrateurs de charge sont inutiles sans alimentation et les VE en consomment beaucoup. Un bloc-batterie de 1000 livres 400 volts (typique; certains des nouveaux ont 800 volts) a besoin de plus qu'un chargeur de maintien. Et pour une charge «rapide», il faut encore plus d'énergie - ainsi que des appareils de câblage et de transmission très lourds, plus bien sûr la puissance réelle elle-même - qui doit être générée. . . quelque part en quelque sorte.
Ainsi que payé.
RépondreSupprimerPar deviner qui ?
Vous paierez pour cela - sous la forme de taxes sur les services publics plus élevées et peut-être aussi de baisses de tension / rationnement de l'énergie - au moins jusqu'à ce que le pays puisse être abondamment planté de parcs éoliens et de panneaux solaires, l'énergie nucléaire étant la seule chose qui "proactive" EV " adoptants »n'adopteront pas.
La prochaine façon que vous paierez sera pour votre prochaine maison neuve - ou celles construites autour de la vôtre, que vous aiderez également à payer via une augmentation des taxes foncières due à l'augmentation du coût - et donc de la valeur imposable - de ces maisons, qui seront rendues plus chères grâce aux codes du bâtiment qui exigent qu’elles soient prêtes pour les véhicules électriques.
À l'heure actuelle, dans la plupart des endroits, ceux qui achètent des véhicules électriques doivent payer un supplément - à la carte - pour pouvoir recharger «rapidement» leur véhicule électrique à la maison, car la plupart des maisons existantes ne sont pas câblées pour cela. L'ajout du câblage (et le reste) ajoute environ 1 000 $ au coût de possession d'un véhicule électrique, mais comme ce coût est directement appliqué au propriétaire du véhicule électrique, il ne peut pas acheter un véhicule électrique. Ergo, chaque maison doit être câblée pour un véhicule électrique - selon les codes du bâtiment - pour cacher les coûts du câblage - et pour vous faire payer même si vous ne possédez pas de véhicule électrique.
Ces codes du bâtiment se traduiront également probablement par des zones sans voiture, si votre voiture n'est pas une voiture électrique. L'idée étant de vous faire «en adopter» un. Comme une couche pour le visage.
Notez également les exigences de la flotte déformées par Bozzella. Déconstruit, cet euphémisme signifie que les flottes gouvernementales - celles payées par vous, via les taxes que vous êtes obligé de payer - seront des flottes électriques. Véhicules de ville / comté, bus de ville aussi.
Tous payés par. . tu !
Bien sûr, vous payez déjà pour ces choses, mais comme les versions électriques de ces choses coûtent deux fois plus cher, vous en paierez plus.
Ce ne sera pas seulement les flottes non plus. Gardez à l'esprit l'infrastructure nécessaire pour soutenir ces flottes. De plus, le roulement plus fréquent car les véhicules électriques ne durent pas aussi longtemps que les non-véhicules électriques, car ce sont des véhicules électriques. La demi-histoire que vous entendez à propos de l'EV ayant moins de pièces (vrai) et ne nécessitant pas de changements d'huile et de réglages (vrai) est d'un morceau avec la demi-histoire sur les «cas» WuFlu augmentant en nombre. . . ce qui est vrai. La partie sur le taux de mortalité décroissant (également vrai) n'est pas mentionnée.
De même, la batterie de l'EV n'est pas mentionnée.
Plus précisément, la partie sur le coût de son remplacement lorsqu'il ne peut plus retenir une charge.
Un autre article pour lequel vous obtiendrez la facture.
Aussi, pour augmenter votre «conscience» des vertus des VE. Ou plutôt, pour vous forcer à financer des campagnes de honte destinées à signaler la vertu des VE contre le non. Comme le spot télévisé hideux sur les cheveux, VW a été obligé de payer - ce qui signifie que vous l'avez payé - dans lequel la société s'est flagellée (et vous) pour ne pas avoir apprécié le meeerakuhl qui est le véhicule électrique suffisamment.
RépondreSupprimerC'est ce que signifie «adoption». Et maintenant, vous avez un pic de ce que cela va vous coûter.
Il y a quelques bonnes nouvelles. Le gouverneur Sisolak a déclaré que «la nouvelle réglementation n'obligera personne à abandonner son véhicule actuel ou à en choisir un qui ne convient pas à son style de vie ou à ses besoins commerciaux.»
Pour l'instant.
. . .
Vous avez une question sur les voitures, la politique libertaire - ou autre chose? Cliquez sur le lien «demandez à Eric» et envoyez-les !
EPautos
721 Hummingbird Lane SE
Copper Hill, VA 24079
https://www.ericpetersautos.com/2020/07/07/paying-for-your-new-ev-even-if-you-dont-own-one/
Avec l'argent électrique et en sommes infinies, ils peuvent demander de fabriquer une grande échelle pour aller sur la lune ou raconter que tout le monde veut des voitures électriques ! (au frais des contribuables !!).
SupprimerIl leur suffit de fabriquer, d'acheter, et de les retourner à l'usine pour les ressortir et les recompter !
LancetGate: «Scientific Corona Lies» et Big Pharma Corruption. Hydroxychloroquine par rapport au remdesivir de Gilead
RépondreSupprimerPar le professeur Michel Chossudovsky
Recherche mondiale
8 juillet 2020
introduction
Il y a une bataille en cours pour supprimer l'hydroxychloroquine (HCQ), un médicament bon marché et efficace pour le traitement de Covid-19. La campagne contre HCQ se déroule à travers des déclarations politiques calomnieuses, des calomnies médiatiques, sans parler d'une «évaluation» faisant autorité et revue par des pairs publiée le 22 mai par The Lancet, qui était basée sur de faux chiffres et des essais.
L'étude serait basée sur l'analyse des données de 96 032 patients hospitalisés avec COVID-19 entre le 20 décembre 2019 et le 14 avril 2020 dans 671 hôpitaux du monde entier. La base de données avait été fabriquée. L'objectif était de tuer la cure d'hydroxychloroquine (HCQ) au nom de Big Pharma.
Alors que l'article du Lancet était rétracté, les médias accusaient nonchalamment «une petite entreprise américaine» nommée Surgisphere dont les employés comprenaient «un écrivain de science-fiction et un modèle de contenu pour adultes» pour avoir diffusé des «données erronées» (Guardian). Cette tenue basée à Chicago a été accusée d'avoir induit en erreur l'OMS et les gouvernements nationaux, les incitant à interdire HCQ. Aucun de ces essais n'a eu lieu.
Bien que le blâme ait été attribué à Surgisphere, la vérité tacite (que ni la communauté scientifique ni les médias n'ont reconnu) est que l'étude a été coordonnée par le professeur Mandeep Mehra de Harvard sous les auspices du Brigham and Women's Hospital (BWH), partenaire de l'école de médecine de Harvard.
Lorsque l'arnaque a été révélée, le Dr Mandeep Mehra, titulaire de la chaire de médecine distinguée Harvey au Brigham and Women’s Hospital, s’est excusé:
J'ai toujours effectué mes recherches conformément aux plus hautes directives éthiques et professionnelles. Cependant, nous ne pouvons jamais oublier la responsabilité que nous avons en tant que chercheurs de veiller scrupuleusement à nous fier à des sources de données qui respectent nos normes élevées.
Il est maintenant clair pour moi que dans l'espoir de contribuer à cette recherche pendant une période de grand besoin, je n'ai pas fait assez pour m'assurer que la source de données était appropriée pour cette utilisation. Pour cela, et pour toutes les perturbations - directes et indirectes - je suis vraiment désolé. (pas d'italique dans l'original)
Mandeep R. Mehra, MD, MSC (déclaration officielle sur le site Web de BWH)
Mais cette note «vraiment désolée» n'était que la pointe de l'iceberg. Pourquoi?
Des études sur le remdesivir et l'hydroxychloroquine (HCQ) de Gilead Science ont été menées simultanément par le Brigham and Women’s Hospital (BWH)
RépondreSupprimerAlors que le rapport The Lancet (22 mai 2020) coordonné par le Dr Mandeep Mehra visait à «tuer» la légitimité de HCQ en tant que remède de Covid-19, une autre étude importante (connexe) était en cours (simultanément) à l'HBW concernant à Remdesivir au nom de Gilead Sciences Inc. Le Dr Francisco Marty, spécialiste des maladies infectieuses et professeur agrégé à la Harvard Medical School, a été chargé de coordonner les tests d'essais cliniques du médicament antiviral Remdesivir dans le cadre du contrat de Brigham avec Gilead Sciences Inc:
Le Brigham and Women’s Hospital a commencé à inscrire des patients dans deux essais cliniques pour le remdesivir, un médicament antiviral de Gilead. Le Brigham est l'un des multiples sites d'essais cliniques pour une étude initiée par Gilead du médicament chez 600 participants atteints de coronavirus modéré (COVID-19) et une étude initiée par Gilead de 400 participants atteints de COVID-19 sévère.
… Si les résultats sont prometteurs, cela pourrait conduire à l'approbation de la FDA, et s'ils ne le sont pas, cela nous donne des informations essentielles dans la lutte contre le COVID-19 et nous permet de passer à d'autres thérapies. »
Bien que le Dr Mandeep Mehra n'ait pas été directement impliqué dans l'étude Gilead Remdesevir BWH sous la supervision de son collègue le Dr Francisco Marty, il a néanmoins eu des contacts avec Gilead Sciences Inc: «Il a participé à une conférence parrainée par Gilead début avril 2020 dans le cadre du débat Covid-19 »(France Soir, 23 mai 2020)
Quelle était l'intention de son étude (ratée)? Pour miner la légitimité de l'hydroxychloroquine?
Selon France Soir, dans un rapport publié après The Lancet Retraction:
Les réponses souvent évasives produites par le Dr Mandeep R. Mehra,… professeur à la Harvard Medical School, n'ont pas produit de confiance, alimentant plutôt le doute sur l'intégrité de cette étude rétrospective et ses résultats. (France Soir, 5 juin 2020)
Le Dr Mandeep Mehra était-il en conflit d'intérêts? (Il appartient à BWH et à la Harvard Medical School de décider).
Qui sont les principaux acteurs?
Le Dr Anthony Fauci, conseiller de Donald Trump, décrit comme le «meilleur expert américain en matière de maladies infectieuses» a joué un rôle clé dans l'étalement du remède HCQ qui avait été approuvé des années plus tôt par le CDC ainsi que dans la légitimité du Remdesivir de Gilead.
Le Dr Fauci est à la tête de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) depuis l'administration Reagan. Il est connu pour agir comme porte-parole de Big Pharma.
Le Dr Fauci a lancé Remdesivir fin juin (voir les détails ci-dessous). Selon Fauci, Remdesevir est le «médicament miracle corona» développé par Gilead Science Inc. C'est une aubaine de 1,6 milliard de dollars.
Gilead Sciences Inc: Histoire
RépondreSupprimerGilead Sciences Inc est une société biopharmaceutique de plusieurs milliards de dollars qui est désormais impliquée dans le développement et la commercialisation de Remdesivir. Gilead a une longue histoire. Il bénéficie du soutien de grands conglomérats d'investissement, notamment le groupe Vanguard et Capital Research & Management Co. Il a développé des liens avec le gouvernement américain.
En 1999, Gilead Sciences Inc a développé Tamiflu (utilisé comme traitement de la grippe saisonnière et de la grippe aviaire). À l'époque, Gilead Sciences Inc était dirigée par Donald Rumsfeld (1997-2001), qui a ensuite rejoint l'administration George W. Bush en tant que secrétaire à la Défense (2001-2006). Rumsfeld était responsable de la coordination des guerres illégales et criminelles contre l'Afghanistan (2001) et l'Irak (2003).
Rumsfeld a maintenu ses liens avec Gilead Sciences Inc tout au long de son mandat de secrétaire à la Défense (2001-2006). Selon CNN Money (2005): «La perspective d'une épidémie de grippe aviaire… était une très bonne nouvelle pour le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld [qui détenait toujours des actions de Gilead] et d'autres investisseurs politiquement liés dans Gilead Sciences».
Anthony Fauci est à la tête du NIAID depuis 1984, utilisant sa position comme un «intermédiaire» entre le gouvernement américain et Big Pharma. Pendant le mandat de Rumsfeld en tant que secrétaire à la Défense, le budget alloué au bioterrorisme a considérablement augmenté, impliquant des contrats avec Big Pharma, y compris Gilead Sciences Inc. Anthony Fauci a estimé que l'argent alloué au bioterrorisme au début de 2002:
"Accélérer notre compréhension de la biologie et de la pathogenèse des microbes qui peuvent être utilisés dans les attaques, et de la biologie des hôtes des microbes - les êtres humains et leurs systèmes immunitaires. Un résultat devrait être des vaccins plus efficaces avec moins de toxicité. » (Rapport WPo)
En 2008, le Dr Anthony Fauci a reçu la Médaille présidentielle de la liberté du président George W. Bush «pour ses efforts déterminés et agressifs pour aider les autres à vivre plus longtemps et en meilleure santé».
Le projet Remdesivir 2020 de Gilead Sciences Inc
Nous nous concentrerons sur les documents clés (et événements)
Chronologie
10 avril: L'étude de Gilead Sciences Inc publiée dans le NEJM sur Remdesivir
29 avril: Publication de l'étude du gouvernement des NIH sur le remdesivir
22 mai, The BWH-Harvard Study on Hydroxychloroquine coordination by Dr.Mandeep Mehra publié dans The Lancet
5 juin: Le (faux) rapport du Lancet (22 mai) sur HCQ est retiré.
29 juillet, annonce de Fauci. L'accord HHS Remdevisir de 1,6 milliard de dollars avec Gilead Sciences Inc
10 avril: L'étude de Gilead Sciences Inc publiée dans le NEJM sur «l'utilisation compatissante du remdesivir»
Un rapport parrainé par Gilead a été publié dans le New England Journal of Medicine dans un article intitulé «Utilisation compatissante du remdesivir pour les patients atteints de Covid-19 sévère». Il a été co-rédigé par une liste impressionnante de 56 médecins et scientifiques éminents, dont beaucoup ont reçu des honoraires de consultation de Gilead Sciences Inc.
RépondreSupprimerGilead Sciences Inc. a financé l'étude qui comprenait plusieurs membres du personnel en tant que co-auteurs.
Les tests ont inclus un total de 61 patients [qui] ont reçu au moins une dose de remdesivir au plus tard le 7 mars 2020; 8 de ces patients ont été exclus en raison d'informations manquantes après la ligne de base (7 patients) et d'une date de début de remdesivir erronée (1 patient)… Sur les 53 patients restants inclus dans cette analyse, 40 (75%) ont reçu la cure complète de 10 jours de remdesivir 10 (19%) ont reçu de 5 à 9 jours de traitement et 3 (6%) moins de 5 jours de traitement.
L'article du NEJM déclare que «Gilead Sciences Inc a commencé à accepter les demandes des cliniciens pour une utilisation compassionnelle du remdesivir le 25 janvier 2020». De qui? Selon l'OMS (30 janvier 2020), il y a eu 82 cas dans 18 pays hors Chine dont 5 aux États-Unis, 5 en France et 3 au Canada.
Plusieurs médecins et scientifiques éminents ont mis en doute l'étude Remdesivir menée par Gilead, en se concentrant sur la petite taille de l'essai. Ironiquement, le nombre de patients dans le test est inférieur au nombre de co-auteurs: "53 patients" contre "56 co-auteurs"
Ci-dessous, nous fournissons des extraits de déclarations scientifiques sur le projet Gilead NEJM (souligné par le Science Media Center) publiés immédiatement après la publication de l'article du NEJM:
«L’utilisation compassionnelle est mieux décrite comme l’utilisation d’une thérapie non autorisée pour traiter un patient car il n’existe pas d’autres traitements. La recherche basée sur ce type d'utilisation doit être traitée avec une extrême prudence car il n'y a pas de groupe témoin ou de randomisation, qui sont quelques-unes des caractéristiques des bonnes pratiques dans les essais cliniques. Prof Duncan Richard, Clinical Therapeutics, Université d'Oxford.
«Il est essentiel de ne pas surinterpréter cette étude. Plus important encore, il est impossible de connaître les résultats pour ce groupe relativement restreint de patients s'ils n'avaient pas reçu de remdesivir. Dr Stephen Griffin, professeur agrégé, École de médecine, Université de Leeds.
"La recherche est intéressante mais ne prouve rien à ce stade: les données proviennent d'une petite étude non contrôlée. Simon Maxwell, professeur de pharmacologie clinique et de prescription, Université d'Edimbourg.
«Les données de ce document sont presque ininterprétables. Il est très surprenant, peut-être même contraire à l'éthique, que le New England Journal of Medicine l'ait publié. Il serait plus approprié de publier les données sur le site Web de la société pharmaceutique qui a parrainé et rédigé l'étude. Au moins, Gilead a été clair que cela n'a pas été fait de la manière dont un article scientifique de haute qualité serait rédigé. Prof Stephen Evans, professeur de pharmacoépidémiologie, London School of Hygiene & Tropical Medicine.
«Il est très difficile de tirer des conclusions utiles d'études non contrôlées comme celle-ci, en particulier avec une nouvelle maladie où nous ne savons vraiment pas à quoi nous attendre et avec de grandes variations dans les résultats entre les lieux et dans le temps. Il faut vraiment remettre en question l'éthique de l'échec de la randomisation - cette étude représente vraiment plus que toute autre chose, une opportunité manquée. » Prof Adam Finn, professeur de pédiatrie, Université de Bristol.
RépondreSupprimerPour consulter le document complet de Science Media Center concernant les évaluations d'experts, cliquez ici
29 avril: étude du gouvernement américain. Étude du National Institutes of Health (NIH) sur Remdevisir
Le 29 avril suivant la publication de l'étude de Gilead Sciences Inc au NEJM le 10 avril, un rapport des National Institutes of Health (NIH) sur Remdevisir a été publié. L'étude avait été lancée le 21 février 2020. Elle comprenait une analyse préliminaire des données d'un essai randomisé impliquant 1063 patients hospitalisés. Les résultats de l'essai intitulé Essai de traitement adaptatif COVID-19 (ACTT) sont rares et préliminaires. menée sous la direction de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses du Dr Fauci (NIAID).
Un comité indépendant de surveillance des données et de la sécurité (DSMB) supervisant l'essai s'est réuni le 27 avril pour examiner les données et a partagé son analyse intermédiaire avec l'équipe d'étude. Sur la base de leur examen des données, ils ont noté que le remdesivir était meilleur que le placebo du point de vue du critère d'évaluation principal, le délai de récupération, une métrique souvent utilisée dans les essais sur la grippe. Le rétablissement dans cette étude a été défini comme étant suffisamment bien pour la sortie de l'hôpital ou le retour à un niveau d'activité normal.
Les résultats préliminaires indiquent que les patients qui ont reçu du remdesivir ont eu un temps de récupération 31% plus rapide que ceux qui ont reçu le placebo (p <0,001). Plus précisément, le délai médian de récupération était de 11 jours pour les patients traités par remdesivir, contre 15 jours pour ceux qui ont reçu un placebo. Les résultats ont également suggéré un bénéfice de survie, avec un taux de mortalité de 8,0% pour le groupe recevant du remdesivir contre 11,6% pour le groupe placebo (p = 0,059).
Le Washington Post a applaudi l’initiative d’Anthony Fauci:
«Les résultats préliminaires, divulgués à la Maison Blanche par Anthony S. Fauci,… sont loin de la solution miracle ou du remède… Mais sans aucun traitement approuvé pour Covid-19, [Lie] Fauci a déclaré que cela deviendra la norme de soins pour patients hospitalisés… Les données montrent que le remdisivir a un effet clair, significatif et positif en réduisant le temps de récupération », a déclaré Fauci.
Le premier essai clinique rigoureux mené par le gouvernement sur le remdesivir, un médicament expérimental en tant que traitement contre les coronavirus, a donné des résultats mitigés à la communauté médicale mercredi - mais a ravivé les marchés boursiers et suscité l'espoir qu'une arme précoce pour aider certains patients était à portée de main.
RépondreSupprimerLes résultats préliminaires, divulgués à la Maison Blanche par Anthony Fauci, chef de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, qui a dirigé l'essai contrôlé par placebo, ont révélé que le médicament accélérait la guérison des patients hospitalisés mais n'avait qu'un avantage marginal dans le taux. de la mort.
… Les remarques de Fauci ont stimulé la spéculation selon laquelle la Food and Drug Administration demanderait une autorisation d’utilisation d’urgence qui permettrait aux médecins de prescrire le médicament.
En plus des essais cliniques, le remdesivir a été administré à plus de 1 000 patients sous compassion. [fait référence à l'étude Gilead publiée le 10 avril dans le NEJM]
L'étude, impliquant 1000 patients sur 68 sites aux États-Unis et dans le monde (??), offre les premières preuves (??) d'une grande étude clinique (??) randomisée (??) de l'efficacité du remdesivir contre le COVID -19.
Grand, randomisé ?? Autour du monde (??)
Dans l'ensemble, la réponse scientifique initiale du Science Media Center à l'étude du NIH a été positive par rapport à celles relatives à l'étude Gilead publiée dans le NEJM (voir ci-dessus). Concerne les «résultats préliminaires».
22 mai: The Fake Lancet Report on HCQ
Le Fake Lancet Report on HCQ a été publié le 22 mai 2020. Immédiatement, les médias sont passés à la vitesse supérieure, salissant le remède HCQ, tout en applaudissant le remdesivir de Gilead (10 avril dans le NEJM) et le 29 avril du HIH Report:
Le remdesivir, le seul médicament autorisé à traiter Covid-19, a accéléré le temps de récupération des patients atteints de la maladie,… «C'est un médicament très sûr et efficace», a déclaré Eric Topol, fondateur et directeur du Scripps Research Translational Institute. "Nous avons maintenant un premier médicament efficace pour Covid-19, qui est un grand pas en avant et sera construit avec d'autres médicaments [et médicaments]."
Lorsque l'article du Lancet HCQ de Bingham-Harvard a été retiré le 5 juin, il était trop tard, il a reçu une couverture médiatique minimale. Malgré la rétraction, la cure HCQ «avait été tuée».
RépondreSupprimer29 juin: Fauci Greenlight. Le contrat Remdesivir de 1,6 milliard de dollars avec Gilead Sciences Inc
Le Dr Anthony Fauci a accordé le «feu vert» à Gilead Sciences Inc. le 29 juin 2020, largement justifié dans le rapport HIH.
L'étude de Gilead basée sur des résultats de test rares dans l'étude de Gilead publiée dans le NEJM, le 10 avril, sur 53 cas (et 56 auteurs) n'a pas été mise en évidence. Les résultats de cette étude ont été remis en question par plusieurs médecins et scientifiques éminents.
Le rapport officiel HIH du gouvernement américain (29 avril) considéré comme «préliminaire» a néanmoins été utilisé pour justifier un accord majeur entre le HHS et Gilead Sciences Inc.
Le 29 juin 2020, le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) a annoncé, au nom de l'administration Trump, un accord visant à garantir de grandes quantités de remdesivir auprès de Gilead Sciences Inc. pour le traitement de Covid-19 dans les hôpitaux privés américains et cliniques.
Qui pourra se permettre le remdisivir? 500 000 doses de Remdesivir sont envisagées à 3 120 $ par patient, soit 1,6 milliard de dollars (voir l'étude d'Elizabeth Woodworth)
Le médicament a également été approuvé pour la commercialisation dans l'Union européenne. sous la marque Veklury.
Si ce contrat est mis en œuvre comme prévu, il représente pour Gilead Science Inc. et les hôpitaux et cliniques privés américains bénéficiaires une somme colossale.
Selon le secrétaire HHS de l'administration Trump, Alex Azar (29 juin 2020):
«Dans la mesure du possible, nous voulons nous assurer que tout patient américain qui a besoin de remdesivir puisse l'obtenir. [à 3120 $] L'administration Trump fait tout ce qui est en son pouvoir pour en savoir plus sur les thérapies vitales pour COVID-19 et sécuriser l'accès à ces options pour le peuple américain. »
Remdesivir versus Hydroxychloroquine (HCQ)
Calendrier minutieux: l'étude Remdesivir (50+ auteurs) dans le New England Journal of Medicine (10 avril 2020) a été suivie du faux rapport du Lancet HCQ dirigé par BWH-Harvard Dr Mehra (22 mai 2020).
La vérité tacite était que l'étude Lancet (publiée le 22 mai) visait à saper la légitimité de l'hydroxychloroquine comme remède efficace à Covid-19, en vue de soutenir le lancement par le Dr Fauci du médicament Remdesivir de 1,6 milliard de dollars par Gilead Sciences Inc le 29 juin.
Ce que Fauci n'a pas reconnu, c'est que la chloroquine avait été «étudiée» et testée il y a quinze ans par le CDC comme médicament à utiliser contre les infections à coronavirus. Et que l'hydroxychloroquine a été utilisée récemment dans le traitement de Covid-19 dans plusieurs pays.
RépondreSupprimerSelon le Virology Journal (2005), «la chloroquine est un puissant inhibiteur de l'infection et de la propagation du coronavirus du SRAS». Il a été utilisé lors de l'épidémie de SRAS-1 en 2002. Il avait l'approbation du CDC.
Le HCQ n'est pas seulement efficace, il est «peu coûteux» par rapport au Remdesivir, estimé à «3120 $ pour un patient américain avec une assurance privée».
Vous trouverez ci-dessous des extraits d’une interview du professeur Mehra de Harvard (qui a entrepris l’étude Lancet du 22 mai) avec France Soir publiée immédiatement après la publication du rapport Lancet (avant sa rétractation).
Dr Mandeep Mehra: Dans notre étude, il est assez évident que le manque de bénéfice et le risque de toxicité observés pour l'hydroxychloroquine sont assez fiables. [se référant à l'étude du 22 mai Lancet]
France Soir: Avez-vous les données pour Remdesivir?
MM: Oui, nous avons les données, mais le nombre de patients est trop petit pour que nous puissions conclure d'une manière ou d'une autre.
FS: Comme vous le savez, en France, il y a une bataille pour et contre l'hydroxychloroquine qui est devenue un problème de santé publique impliquant même le lobbying financier des laboratoires pharmaceutiques. Pourquoi ne pas mesurer l'effet de l'un contre l'autre pour mettre fin à toute spéculation ? …
MM: En fait, il n'y a aucune base rationnelle pour tester Remdesivir contre l'hydroxychloroquine. D'une part, Remdesivir a montré qu'il n'y a pas de risque de mortalité et qu'il y a une réduction du temps de récupération. En revanche, pour l'hydroxychloroquine c'est le contraire: il n'a jamais été démontré aucun avantage et la plupart des études sont petites ou peu concluantes. De plus, notre étude montre qu'il y a des effets néfastes.
Il serait donc difficile et probablement contraire à l'éthique de comparer un médicament dont la nocivité est démontrée à un médicament avec au moins une lueur d'espoir.
FS: Vous avez dit qu'il n'y a aucune base pour tester ou comparer le remdesivir avec l'hydroxychloroquine, pensez-vous que vous avez tout fait pour conclure que l'hydroxychloroquine est dangereuse?
MM: Exactement. …
Tout ce que nous disons, c'est qu'une fois que vous avez été infecté (5 à 7 jours après) au point de devoir être hospitalisé avec une charge virale sévère, l'utilisation de l'hydroxychloroquine et de son dérivé n'est pas efficace.
Les dommages causés par le virus sont déjà là et la situation est irréparable. Avec ce traitement [HCQ] il peut générer plus de complications
FS Mandeep Mehra a déclaré qu’il n’avait aucun conflit d’intérêts avec les laboratoires et que cette étude était financée par les fonds de dotation de la chaire du professeur.
RépondreSupprimerIl a participé à une conférence parrainée par Gilead début avril 2020 dans le cadre du débat Covid-19.
France Soir, traduit par l'auteur, italiques ajoutés, 23 mai 2020)
En annexe, voir l'article de suivi de France Soir publié après que l'arnaque entourant la base de données du rapport Lancet du Dr Mehra a été révélée.
Remarques finales
Mensonges et corruption au nième degré impliquant le Dr Anthony Fauci, «The Boston Connection» et Gilead Sciences Inc.
La Harvard Medical School et la BWH sont responsables d'avoir hébergé et financé le faux rapport du Lancet sur HCQ coordonné par le Dr Mandeep Mehra.
Y a-t-il un conflit d'intérêts? BWH a participé simultanément à une étude sur Remdesivir en contrat avec Gilead Sciences, Inc.
Bien que le rapport Lancet coordonné par le Dr Mehra de Harvard ait été retiré, il a néanmoins servi les intérêts de Gilead Sciences Inc.
Deux études ont été utilisées pour justifier la distribution et la commercialisation du médicament Remdesivir produit par Gilead Sciences Inc. (29 juin 2020): Un projet de 1,6 milliard de dollars:
L'étude Gilead publiée dans le NEJM impliquant un «petit» essai test de 53 patients, qui ne peut pas être pris au sérieux par la communauté scientifique (et qui a fait l'objet de plusieurs critiques d'éminents médecins).
La deuxième étude est celle du NIH (gouvernement) américain (coordonné par le Dr Fauci) qui semble avoir le soutien de la communauté scientifique, mais qui est néanmoins qualifiée de «préliminaire».
Il est important qu'une évaluation scientifique et médicale indépendante soit entreprise, respectivement de l'étude évaluée par les pairs du Gilead Sciences Inc New England Journal of Medicine (NEMJ) (10 avril 2020) et de l'étude gouvernementale NIH (29 avril 2020).
Nous appelons les médecins et la communauté scientifique à adopter une position ferme.
ANNEXE
RépondreSupprimerRétraction de France Soir
La fraude concernant le rapport Lancet a été révélée début juin. France Soir dans un article ultérieur (5 juin 2020) souligne la connexion de Boston: La connexion de Boston, à savoir la relation insidieuse entre Gilead Sciences Inc et le professeur Mehra, Harvard Medical School ainsi que les deux hôpitaux liés à Boston impliqués.
(extraits ici, pour accéder au texte complet cliquez ici traduction du français par France Soir, souligné dans l'article original)
Les réponses souvent évasives produites par le Dr Mandeep R. Mehra, médecin spécialisé en chirurgie cardiovasculaire et professeur à la Harvard Medical School, n'ont pas produit de confiance, alimentant plutôt le doute sur l'intégrité de cette étude rétrospective et ses résultats.
… Cependant, les informations selon lesquelles le Dr Mehra avait assisté à une conférence parrainée par Gilead - producteur de remdesivir, un médicament en concurrence directe avec l'hydroxychloroquine (HCQ) - au début d'avril, appelaient à une enquête plus approfondie
Il est important de garder à l’esprit que le Dr Mandeep Mehra a une pratique au Brigham and Women’s Hospital (BWH) à Boston.
Cette étude s'est appuyée sur les dossiers médicaux partagés de 8 910 patients dans 169 hôpitaux à travers le monde, également par Surgisphere.
Le financement de l’étude a été «financé par la Chaire William Harvey en médecine cardiovasculaire du Brigham and Women’s Hospital. Le développement et la maintenance de la base de données collaborative sur les résultats chirurgicaux ont été financés par Surgisphere. »
L'étude publiée le 22 mai visait à évaluer l'efficacité ou non de la chloroquine et de l'hydroxychloroquine, seules ou en association avec un antibiotique macrolide. …
Il est donc à noter que dans les 3 semaines, 2 grandes études rétrospectives observationnelles sur de grandes populations - 96 032 et 8 910 patients - répartis dans le monde ont été publiées dans deux revues différentes par le Dr Mehra, le Dr Desai et d'autres co-auteurs utilisant la base de données de Surgisphere, la société du Dr Desai.
Ces deux médecins et chirurgiens praticiens semblent avoir une capacité de travail exceptionnelle associée au don de l'ubiquité.
La date du 22 mai est également à noter car le même jour, date de la publication dans The Lancet de l'étude très accusatrice contre HCQ, une autre étude a été publiée dans le New England Journal of Medicine concernant les résultats d'un essai clinique de … Remdesivir.
Dans la conclusion de cet essai randomisé, en double aveugle, contrôlé par placebo, «le remdesivir a été supérieur au placebo en raccourcissant le délai de récupération chez les adultes hospitalisés avec Covid-19 et en preuve d'une infection des voies respiratoires inférieures».
RépondreSupprimerConcrètement: le même jour, le 22 mai, une étude a dégradé le HCQ dans un journal tandis qu'une autre a réclamé des preuves d'atténuation sur certains patients grâce au remdesivir dans un autre journal.
Il convient de noter que l'un des principaux co-auteurs, Elizabeth «Libby» * Hohmann, représente l'un des hôpitaux participants, le Massachusetts General Hospital de Boston, également affilié à la Harvard Medical School, tout comme le Brigham and Women's Hospital de Boston. , où le Dr Mandeep Mehra exerce.
Coïncidence, probablement.
Après une enquête plus approfondie, nous avons découvert que les 3 premiers essais cliniques majeurs sur le remdesivir de Gilead ont été menés par ces deux hôpitaux:
"Alors que COVID-19 continue de parcourir le monde avec des scientifiques sur ses traces, le Massachusetts General Hospital (MGH) et le Brigham and Women’s Hospital (BWH) mènent la recherche d'un traitement efficace.
«Les deux hôpitaux mènent des essais cliniques sur le remdesivir.»
Le MGH a rejoint ce que le National Institute of Health (NIH) décrit comme le premier essai clinique aux États-Unis d'un traitement expérimental pour le COVID-19, parrainé par le National Institute of Allergy and Infectious Diseases, qui fait partie du NIH. MGH est actuellement le seul hôpital de la Nouvelle-Angleterre à participer à cet essai, selon une liste de sites partagés par l'hôpital.
"C'est une entreprise gigantesque, avec des patients enregistrés dans une cinquantaine de sites à travers le pays, qui s'améliorent.
«L'essai NIH, qui peut être adapté pour évaluer d'autres traitements, vise à déterminer si le médicament soulage les problèmes respiratoires et d'autres symptômes de COVID-19, en aidant les patients à quitter l'hôpital plus tôt. **
Pour rappel, le NIAID / NIH est dirigé par Antony Fauci, un farouche opposant au HCQ.
Coïncidence, probablement.
«Au Brigham, deux essais supplémentaires initiés par Gilead, le développeur de médicaments, détermineront si cela atténue les symptômes chez les patients atteints d'une maladie modérée à sévère sur une période de cinq et dix jours. Ces essais seront également randomisés, mais non contrôlés par placebo, et comprendront 1 000 patients dans des sites à travers le monde. Ces patients, a noté Francisco Marty, MD, médecin de Brigham et co-investigateur de l'étude, seront probablement recrutés dans un clip extrêmement troublant. »
En conséquence, les premiers grands essais cliniques sur le remdesivir lancés le 20 mars, dont les résultats sont très importants pour Gilead, sont dirigés par le MGH et le BWH à Boston, précisément là où le Dr Mehra, le principal auteur de l'essai HCQ du 22 mai, pratique.
RépondreSupprimerPetit monde ! Coïncidence, encore une fois, probablement.
Le Dr Marty de BWH devrait avoir des résultats deux mois plus tard. En effet, ces derniers jours, plusieurs médias américains ont rapporté les annonces positives de Gilead concernant les résultats des essais cliniques sur le remdesivir à Boston .:
«Résultats encourageants d'une nouvelle étude publiée mercredi sur le remdesivir pour le traitement des patients atteints de COVID-19. **
Brigham et le Dr Francisco Marty ont travaillé sur cette étude, et il dit que les résultats montrent qu'il n'y a pas de différence majeure entre le traitement d'un patient avec un régime de cinq jours par rapport à un régime de 10 jours.
… »Gilead annonce les résultats de l'essai de phase 3 sur le remdesivir chez des patients atteints de COVID-19 modéré
- Une étude montre que le traitement de 5 jours du remdesivir a entraîné une amélioration clinique significativement plus importante par rapport au traitement avec la seule norme de soins
- Les données viennent s'ajouter à l'ensemble des preuves d'études antérieures démontrant les avantages du remdesivir chez les patients hospitalisés avec IDVOC-19
"Nous avons maintenant trois essais contrôlés randomisés démontrant que le remdesivir a amélioré les résultats cliniques par plusieurs mesures différentes", Gilead prévoit de soumettre les données complètes pour publication dans une revue à comité de lecture dans les prochaines semaines.
Ces résultats annoncés par Gilead quelques jours après la publication le 22 mai de l'étude dans le Lancet démolissant HCQ, une étude dont l'auteur principal est le Dr Mehra, sont probablement encore une coïncidence.
Tant de coïncidences s'ajoutent aux coïncidences? Vraiment ?
La source originale de cet article est Global Research.
https://www.lewrockwell.com/2020/07/no_author/lancetgate-scientific-corona-lies-and-big-pharma-corruption-hydroxychloroquine-versus-gileads-remdesivir/
La fin de la fluoration est en vue
RépondreSupprimerPar Joseph Mercola
Mercola.com
8 juillet 2020
La fluoration de l'eau est l'un des plus grands échecs de santé publique du 20e siècle. Malgré de solides preuves scientifiques de préjudice, la politique et les relations publiques ont maintenu la pratique.
Les partisans, y compris l'American Dental Association (ADA) et la Division de la santé bucco-dentaire des Centers for Disease Control (CDC), ont dépensé des millions de dollars en promotion et relations publiques pour vendre la fluoration en utilisant des demi-vérités, des arguments convaincants et des détournements.
Mais la fluoration est également l’une des interventions sanitaires les plus rejetées sur Terre, 95% de la population mondiale consommant de l’eau de systèmes non fluorés.
Au cours de la dernière décennie, la tendance a évolué dans le sens où les communautés mettent fin à la pratique, et non la commencent. Et maintenant, en raison d'une abondance de nouvelles recherches, d'un procès historique et des efforts soutenus de sensibilisation et d'éducation du Fluoride Action Network et de ses partisans comme vous, la pratique pourrait être sur le point de disparaître.
Les preuves de préjudice sont trop importantes pour être ignorées
Tous les tissus sont importants, mais le plus important organe à protéger pendant le développement fœtal et infantile est le cerveau. Les dommages subis par cet organe au cours de ces premiers stades de la vie sont permanents et ne peuvent être réparés plus tard dans la vie.
Les preuves des effets neurotoxiques de la fluoration de l'eau se multiplient à un rythme sans précédent ces dernières années et sont rapidement devenues la raison la plus urgente pour mettre fin à cette pratique dès que possible. Une cavité peut facilement être remplie, mais les dommages au cerveau d'un enfant sont permanents.
Un grand nombre de recherches financées par le gouvernement indiquent maintenant que le fluorure est neurotoxique et est associé à un QI réduit chez les enfants et à une augmentation significative du diagnostic du TDAH et des comportements associés chez les enfants aux doses expérimentées dans les communautés fluorées. Les experts dans le domaine ont comparé la taille de l'effet à celle du plomb.
Cela comprend plus de 200 études animales montrant qu'une exposition prolongée à différents niveaux de fluorure peut endommager le cerveau, 65 études humaines associant des expositions au fluorure modérément élevées à une intelligence réduite, trois études humaines liant l'exposition au fluorure à un développement cérébral fœtal altéré, et sept études mère-progéniture reliant l'exposition au fluorure pendant la grossesse à un QI réduit chez la progéniture.
Au cours de la dernière année, nous avons également vu une nouvelle science sans précédent au Canada et aux États-Unis montrant que le fluorure nuit au cerveau en développement à cause des expositions dues principalement à la fluoration artificielle de l'eau au «niveau optimal». Plusieurs de ces études de haute qualité ont été financées par le National Institute of Environmental Health Sciences des États-Unis (anciennement les National Institutes of Health).
RépondreSupprimerÉtudes les plus solides publiées au cours de la dernière année
Sept études publiées en 2019 et 2020 sont parmi les plus solides à ce jour et sont évidemment pertinentes pour la fluoration de l'eau car elles ont été menées dans des communautés avec ce que l'ADA considère comme le «niveau optimal» de fluorure dans l'eau potable. Ceux-ci inclus:
Green 2019 - publié dans le Journal of the American Medical Association's journal on Pediatrics. Il a rapporté une perte substantielle de QI chez les enfants canadiens suite à une exposition prénatale au fluorure provenant de la fluoration de l'eau.
Riddell 2019 - publié dans Environment International. Il a révélé une augmentation choquante de 284% de la prévalence du TDAH chez les enfants des communautés fluorées au Canada par rapport aux communautés non fluorées.
Jusqu'à 2020 - publié dans Environment International. Il a indiqué que les enfants nourris au biberon dans les communautés canadiennes fluorées ont perdu jusqu'à 9 points de QI par rapport à ceux des communautés non fluorées.
Uyghurturk 2020 - publié dans Environmental Health. Il a révélé que les femmes enceintes des communautés fluorées de Californie avaient des niveaux de fluorure significativement plus élevés dans leur urine que celles des communautés non fluorées. Les niveaux trouvés dans leur urine étaient les mêmes que ceux trouvés pour abaisser le QI du fœtus dans Green et al, 2019 et Bashash et al, 2017.
Malin 2019 - publié dans Environmental Health. Il a lié un doublement des symptômes indicatifs de l'apnée du sommeil chez les adolescents aux États-Unis aux niveaux de fluorure dans l'eau potable. Le lien entre le fluorure et les troubles du sommeil peut être dû à l’effet du fluorure sur la glande pinéale.
Malin 2019 - publié dans Environment International. Il a rapporté que l'exposition à l'eau fluorée a entraîné une réduction de la fonction rénale et hépatique chez les adolescents aux États-Unis, et a suggéré que ceux dont la fonction rénale ou hépatique était plus faible pourraient absorber plus de corps fluorés. Le CDC a financé cette étude.
Les affirmations des partisans de la fluoration selon lesquelles il n'y a que «une ou deux études» constatant des dommages, ou qu'elles proviennent uniquement de zones où les niveaux de fluorure sont naturellement élevés, ne sont plus pertinentes. Les preuves scientifiques peuvent désormais être considérées comme écrasantes et indéniables. En fait, le niveau de preuve que le fluorure est neurotoxique dépasse maintenant de loin les preuves qui étaient en place lorsque le plomb a été banni de l'essence.
Un examen récent par le scientifique danois, professeur à Harvard et expert en neurotoxicité Philippe Grandjean, MD, DMSc, a également conclu que:
RépondreSupprimer«… Il ne fait aucun doute que la neurotoxicité pour le développement est un risque sérieux associé à une exposition élevée au fluorure, que ce soit en raison de la fluoration de l'eau par la communauté, de la libération naturelle de fluorure par les minéraux du sol ou de la consommation de thé, en particulier lorsque l'exposition survient au début du développement.»
Il n'est donc pas surprenant qu'un projet de revue systématique publié en 2020 par le National Toxicology Program des études humaines sur la neurotoxicité du fluorure ait conclu que le fluorure était une neurotoxine "présumée" basée sur le grand nombre, la qualité et la cohérence des études sur le cerveau.
La revue a identifié 149 études humaines et 339 études animales, mais n'a pas inclus les trois études liées à la neurotoxicité les plus récentes du groupe de l'Université York (jusqu'à 2019; Riddell 2019), ou l'étude montrant que les femmes aux États-Unis avaient des niveaux de fluorure dans urine suffisamment élevée pour endommager le cerveau du fœtus (Uyghurturk 2020).
Bien que le projet d'examen du PNT soit équivoque sur les effets à de faibles expositions, ces dernières études mère-enfant de haute qualité corroborent une conclusion selon laquelle l'eau fluorée artificiellement entraîne des réductions substantielles du QI. Ce fait a récemment été repris dans une lettre publiée dans Pediatric Research par les co-auteurs de l'étude JAMA Pediatrics fluorure / IQ, qui disait:
«Au cours des 75 dernières années, les autorités sanitaires ont déclaré que la fluoration communautaire de l'eau - une pratique qui atteint plus de 400 millions de personnes dans le monde - est sûre. Pourtant, les études menées en Amérique du Nord sur l'innocuité de l'exposition au fluorure pendant la grossesse étaient inexistantes.
Lorsqu'une étude canadienne a rapporté qu'une exposition plus élevée au fluorure chez les femmes enceintes était associée à des scores de QI plus bas chez les jeunes enfants, les critiques ont attaqué la méthodologie de l'étude et minimisé l'importance des résultats.
Les autorités sanitaires ont continué de conclure que le fluorure est sans équivoque, malgré quatre études bien menées au cours des 3 dernières années, reliant systématiquement l'exposition au fluorure pendant la grossesse aux effets neurodéveloppementaux indésirables chez la progéniture…
La tendance à ignorer de nouvelles preuves qui ne sont pas conformes aux croyances répandues entrave la réponse aux premiers avertissements concernant le fluorure en tant que neurotoxine développementale potentielle. L'évolution des preuves devrait inciter les scientifiques et les autorités sanitaires à réévaluer les allégations concernant la sécurité du fluorure, en particulier pour le fœtus et le nourrisson pour lesquels il n'y a aucun avantage. »
RépondreSupprimerAdvertisemenFAN mène la lutte contre les neurotoxines
Depuis 2000, le Fluoride Action Network (FAN) s'est engagé à réduire l'exposition au fluorure, et même avec toute la science fermement de notre côté, nous ne pouvions pas attendre que les législateurs et les responsables de la santé publique abandonnent leur dogme en faveur de fluoration et de rattraper son retard sur la science. Au lieu de cela, nous avons lancé le processus juridique pour mettre fin à la pratique qui affecte aujourd'hui plus de 200 millions d'Américains.
Une disposition peu connue de la Loi sur le contrôle des substances toxiques (TSCA) nous a donné l'occasion. Il offre aux citoyens un moyen de contourner la corruption et d'obliger l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) à interdire ou à limiter l'utilisation de substances toxiques.
Les groupes de surveillance n'ont plus à convaincre l'EPA d'un risque déraisonnable; ils peuvent désormais faire décider un juge objectif sur la base d'un examen indépendant des preuves.
Nous jetons également les bases des futurs défis TSCA des citoyens et des groupes environnementaux. Par exemple, en raison de la décision du juge Edward Chen de rejeter la requête de l’EPA pour rejeter notre cas, la loi TSCA sera désormais interprétée comme autorisant l’EPA à réglementer les utilisations uniques de substances, plutôt toutes les utilisations, ce qui était la position de l’EPA. Ce changement permettra aux militants de forcer plus facilement l'EPA à revoir les risques de produits chimiques spécifiques utilisés commercialement.
Alors que cela fait quatre ans que cet effort a commencé en novembre 2016 - lorsque le Fluoride Action Network, en collaboration avec une coalition d'organisations à but non lucratif et de particuliers, a présenté une pétition à l'EPA pour mettre fin à l'ajout délibéré de produits chimiques de fluoration à l'eau potable du public. - il a fallu 20 ans d'efforts au FAN pour nous amener à ce point.
Il a fallu le développement de notre vaste site Web au début. Il a fallu la création de notre base de données complète sur la santé (plus grande que tout gouvernement n’avait établie sur la toxicité du fluor).
Il a fallu d'innombrables soumissions aux agences gouvernementales et la traduction de nombreuses études chinoises sur la neurotoxicité et bien plus encore. Et, après beaucoup de retard dû aux fermetures du gouvernement et à Covid-19, notre journée devant les tribunaux est enfin arrivée.
L'épreuve du siècle
RépondreSupprimerLe procès a commencé par une déclaration liminaire de l'avocat des plaignants, Michael Connett. Il a fait le cas succinct mais puissant que le fluorure présente un danger (menace pour le cerveau); que ce danger est un risque aux doses subies dans les communautés fluorées; et qu'il s'agit d'un risque déraisonnable.
L'EPA, représentée par des avocats du ministère de la Défense, a fait valoir que l'établissement du fluorure comme danger neurotoxique nécessitait un examen systématique, ce qu'ils ont affirmé que les experts du FAN n'avaient pas effectué.
Ils ont également fait valoir que les preuves démontrant les dommages causés par le fluorure aux niveaux trouvés dans les communautés qui pratiquent la fluoration n'étaient pas suffisamment solides pour donner lieu à une action de l'EPA. Ces deux affirmations seraient réfutées par les experts et l'avocat du FAN pendant le procès.
Cela a été suivi de trois jours de témoignages de témoins experts du FAN, tous des scientifiques indépendants et éminents dont l'expertise de classe mondiale comprend le fluorure, la neurotoxicité et les évaluations des risques, et dont l'expertise sur laquelle l'EPA s'est appuyée dans le passé sur d'autres toxiques comme le plomb et le mercure. Les témoins inclus (cliquez sur les liens pour voir leurs déclarations et CV):
Philippe Grandjean, MD, Ph.D.
Howard Hu, MD, MPH, ScD
Bruce Lanphear, M.D., MPH
Kathleen Thiessen, Ph.D.
Leur témoignage a été suivi par les témoins de l’EPA, dont deux étaient des experts pour le compte du cabinet de conseil en entreprise Exponent, et l’un était un expert en évaluation des risques de l’EPA.
Il a été révélé que l'EPA a versé à l'exposant environ 350 000 $ pour son témoignage, qui visait principalement à affirmer qu'il n'y avait pas suffisamment de preuves de préjudice - quelque chose qu'ils sont connus pour faire dans chaque procès, peu importe qui ils représentent ou la force du la science est.
L'un de leurs témoins, le Dr Ellen Chang, a une longue histoire de défense et de production de revues systématiques pour les pollueurs d'entreprises, y compris pour l'agent orange de DOW Chemical, le glyphosate de Monsanto, les APFO de 3M et les pesticides de Syngenta et Croplife. Elle a également travaillé pour l'American Chemistry Council, l'American Petroleum Institute et le Manganese Interest Group.
Plusieurs paragraphes ici ne pourraient pas faire la procédure approfondie de la justice de première instance, ou mettre en évidence toutes les déclarations choquantes et incroyables qui ont été faites. Je vous prie instamment de lire nos résumés détaillés pour chacune des journées d'essai.
Je vous invite également à visiter notre page d'aperçu du procès TSCA, où vous pouvez trouver les faits de base, un calendrier de toutes les actions et décisions, des liens vers toutes les soumissions faites par le FAN, des liens vers toute la couverture médiatique et des liens vers les études sur lesquelles nous nous sommes appuyés pour plaider notre cause. Vous pouvez également visiter notre page Twitter, où nous avons fourni une couverture de tweets en direct des jours 3 à 7.
La réaction du juge
RépondreSupprimerAprès sept jours de procès et de déclarations finales des deux parties, le juge a suspendu sa décision finale, mais il a clairement montré qu'il était convaincu que le fluorure de FAN était une neurotoxine et posait probablement un risque déraisonnable. Il a déclaré que l'EPA n'avait pas correctement évalué ce risque et a refusé illégalement la pétition de 2016 du FAN pour une action du TSCA.
Le juge a exhorté les parties à passer les prochaines semaines à discuter de la possibilité d'une pétition modifiée du TSCA et d'une évaluation par l'EPA, ou à lancer une nouvelle pétition et à demander à l'EPA de procéder à un examen approprié, et de laisser sa décision finale jusqu'à ce qu'elle soit terminée. Les deux parties ont exprimé des doutes sur le fait qu'un tel arrangement serait fructueux, mais ont finalement accepté d'avancer avec lui et d'informer la Cour de leurs progrès début août.
Nous nous attendons à ce que l'EPA continue de retarder
Nous ne nous attendons pas à ce que les partisans trop zélés de la fluoration, y compris l'EPA, le CDC et l'ADA, se retournent sans utiliser toutes les voies possibles pour sauver leur crédibilité en protégeant la fluoration. Ils ont déjà fait leurs preuves maintes et maintes fois, ils ont des poches profondes et pas de honte.
Les promoteurs ne semblent pas se rendre compte que la promotion continue entraînera une perte croissante de la confiance du public dans les agences qui sont censées les protéger. La poursuite de cette pratique en l’absence de données scientifiques solides - et l’investissement de millions de dollars dans les relations publiques pour masquer ce fait - érodera davantage la confiance du public dans les programmes de santé publique.
Alors que le FAN prend les devants devant les tribunaux, au niveau fédéral et au niveau des États, et aide les militants au niveau local à éduquer les décideurs et les responsables de la santé publique, nous avons besoin de votre aide pour diffuser cette campagne éducative dans chaque communauté, y compris la vôtre.
À l'heure actuelle, la seule chose protégée est une politique qui a échoué et la réputation de ceux qui refusent d'accepter que ce programme a été un échec massif à la fois éthiquement et scientifiquement.
Avant le procès, l'EPA avait déjà laissé entendre qu'elle pouvait faire appel d'une décision en notre faveur et que même si nous gagnions l'appel, le processus d'élaboration des règles visant à mettre fin aux dommages neurotoxiques de la fluoration pourrait prendre jusqu'à trois ans. Cela signifierait que des dizaines de milliers d'autres enfants souffriraient de façon permanente de la fluoration.
C'est pourquoi, quel que soit le verdict final, le FAN continuera d'avoir besoin de votre soutien. Nous avons forgé ensemble cette voie de création de précédents. Votre soutien, vos contributions et le partage de notre cause et de notre action en justice ont joué un rôle essentiel pour y parvenir, et nous vous en remercions. Que nous gagnions ou perdions cette épreuve, nos importants efforts d'éducation devront se poursuivre.
Veuillez envisager d'investir pour mettre fin à la fluoration en faisant un don fiscalement déductible à notre travail.
RépondreSupprimerPensez également à vous inscrire pour recevoir les bulletins électroniques du FAN et à nous suivre sur Facebook, Twitter, YouTube et Instagram. Nous vous tiendrons informés des dernières recherches et actualités sur le fluor, et vous donnerons des opportunités pour influencer la politique sur le fluor dans votre région et dans le monde.
De nouveaux outils et ressources pour éduquer les leaders sur la neurotoxicité
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Tout d'abord, notre document sur la neurotoxicité. Nous avons à la fois une version couleur et une version noir et blanc pour une impression en vrac moins chère, ainsi qu'une liste des références pour ce document que vous pouvez combiner pour faire un joli document recto verso si vous le souhaitez. Vous pouvez également consulter nos autres documents ici.
Deuxièmement, le directeur de recherche du FAN, Chris Neurath, a filmé un webinaire Zoom dans lequel il a présenté des preuves détaillées que le fluorure est une neurotoxine développementale.
Il a décrit la science évaluée par les pairs qui s'accumule rapidement et qui montre que le fluorure abaisse le QI des enfants et augmente leur risque de problèmes neurocomportementaux comme le TDAH. Il a mis ces études en perspective d'une manière que nous pouvons tous comprendre.
Cette vidéo est un outil puissant pour les militants et les parents qui souhaitent apprendre la science et la partager avec les décideurs. La présentation de Neurath dure environ 50 minutes et comprend une session de questions et réponses de 30 minutes qui a eu lieu à la fin. Cliquez ici pour accéder aux diapositives PowerPoint utilisées dans cette présentation.
Aidez à éduquer vos décideurs au niveau de l'État sur les dommages neurotoxiques causés par la fluoration de l'eau. Utilisez notre système de courrier électronique automatisé simple pour envoyer la présentation de Neurath à vos législateurs d'État et demandez-leur de présenter un projet de loi à la prochaine session pour mettre fin à la pratique dans votre État: éduquez vos législateurs MAINTENANT.
Le FAN a également produit une nouvelle série de vidéos intitulée «Four Game-Changing Studies», expliquant la science derrière la neurotoxicité de la fluoration dans quatre courtes vidéos mettant en vedette Paul Connett, Ph.D. Le format plus court rend le contenu plus facile à partager sur les réseaux sociaux et plus facile à digérer progressivement par les autorités locales.
Étude révolutionnaire # 1 - Bashash 2017
Étude révolutionnaire # 2 - Vert 2019
Étude révolutionnaire # 3 - Riddell 2019
Étude révolutionnaire n ° 4 - jusqu'en 2020
https://www.lewrockwell.com/2020/07/joseph-mercola/the-end-of-fluoridation-is-in-sight/