- ENTREE de SECOURS -



lundi 6 juillet 2020

Science et politique ne pourront jamais faire « bon ménage ». 1. Science et mensonge.

le 6 juillet 2020


À la suite du commentaire d’un honorable lecteur de mon blog je voudrais coucher sur le papier virtuel quelques commentaires relatifs aux dérives de la science en général et de la biologie en particulier en prenant quelques exemples vécus au cours de ma carrière passée de chercheur en sciences biologiques ou que je peux comprendre grâce à mon bagage universitaire passé. Ces dérives sont toujours catalysées par la main-mise du monde politique et des organisations non gouvernementales ultra-politisées sur la science. Cet état de fait conduit à une négation des principes fondamentaux de la déontologie scientifique et conduit le scientifique à se renier, subissant la pression économique lui permettant de poursuivre ses travaux. Ce dernier point sera examiné dans une ou plusieurs autres parties de mon analyse.

Le premier exemple qu’il me paraît important de citer est le cas du glyphosate plus connu sous le nom de Round-up. Cet herbicide a une structure chimique incroyablement simple puisqu’il s’agit d’un dérivé phosphonylé de l’acide aminé le plus simple de la nature vivante, la glycine. Ce produit est un puissant inhibiteur d’une activité enzymatique qui n’existe que chez les végétaux, l’EPSP synthase. La molécule est chargée négativement et elle n’a aucune chance d’interagir avec l’ADN qui est une macro-molécule elle-même chargée négativement. Prétendre que le glyphosate est toxique pour les animaux relève de la fausse science comme de prétendre que ce produit puisse être cancérigène. Il s’agit de fausse science également, donc de mensonges délibérés, quand on a prétendu que les plantes génétiquement modifiées pour résister au glyphosate étaient également dangereuses. Ces plantes ont été modifiées pour sur-exprimer la cible primaire de ce glyphosate, un point c’est tout. La cible primaire en question est une protéine banale au même titre que par exemple l’albumine du blanc d’oeuf. La campagne mondiale de dénigrement du glyphosate est entièrement basée sur de la fausse science. Les conséquences d’une interdiction du glyphosate n’ont pas effleuré les cerveaux déliquescents de ces politiciens et de ces activistes qui sont des menteurs compulsifs. Il est vrai qu’ils ont coutume de ne jamais évaluer les conséquences économiques de leurs décisions.

Venons-en au climat. Je ne suis pas climatologue mais j’ai suivi lors de mes études universitaires des cours de thermodynamique et quand je me suis rendu compte que le forcing radiatif dont l’existence était trouvée dans la théorie de l’effet de serre se trouvait être en directe contradiction avec le deuxième principe de la thermodynamique j’ai tout de suite creusé le problème en lisant des centaines d’articles scientifiques de qualité et non pas des coupures de presse à sensation. Pour faire simple la théorie de l’effet de serre stipule que les couches élevées de l’atmosphère nécessairement plus froides que celles se trouvant par exemple au niveau de la mer étaient capables par rayonnement infra-rouge de réchauffer ces basses couches de l’atmosphère. Cette affirmation m’a paru étrange pour un ancien étudiant en thermodynamique qui cirait les bancs des amphis de la fac il y a plus de 50 ans. Les lois de la thermodynamique n’ont pas changé depuis cette époque, ça se saurait. Pourquoi cette science a-t-elle été mensongèrement modifiée ? Simplement à des fins politiques. Quand des organismes politiques se mêlent de science il faut se méfier mais seuls des scientifiques ou d’anciens scientifiques peuvent s’en rendre compte, certainement pas les journalistes et encore moins les organisations non gouvernementales, aveuglées par leurs idéologies.

Venons-en maintenant à un sujet de fraîche actualité le SARS-Covid-19. Il s’agit d’un nouveau virus de type corona apparu lors de mutations très probablement spontanées comme c’est le cas pour la plupart des rétrovirus à ARN à simple brin comme matériel génétique. Tous les virologistes et tous les infectiologues le savent. En connaissance de cause ces spécialistes n’excluent pas une installation saisonnière de ce virus avec des mutations de son matériel génétique au cours du temps qui peuvent conduire à une plus grande virulence ou au contraire à une atténuation progressive de celle-ci. Il en est de même pour les virus de type Influenza qui chaque décennie environ sont légèrement différents et provoquent alors de sérieux problèmes tant sur le plan sanitaire que pour la mise au point de vaccins. Tout le corps médical le sait et l’industrie pharmaceutique ne l’ignore pas non plus. La grippe coronavirale qui sévit toujours sur le continent américain pourra donc réapparaître l’hiver prochain en Europe sous une forme encore plus virulente ou au contraire ne provoquer que des petits rhumes comme la plupart des coronavirus. Et alors ? La grippe asiatique de la fin des années 1950 reste l’épisode le plus meurtrier après la grippe dite espagnole depuis que l’humanité a redécouvert les pandémies : deux millions et demi de morts dans le monde dont 200000 aux Etats-Unis. Si la médecine ne se considère pas comme une science exacte puisque son matériel d’étude est l’homme avec toute sa variabilité, cette discipline fait cependant appel aux disciplines scientifiques et techniques comptant parmi les plus sophistiquées et c’est précisément cet aspect de la médecine qui a favorisé son développement et la précision des diagnostics. Je cite un exemple qui est personnel. Il y a 3 jours le médecin a fait un prélèvement sur une infection que je traine depuis plusieurs semaines. En 48 heures le laboratoire d’analyses médicales a rendu son verdict de résistance ou de susceptibilité à 18 antibiotiques différents. Il y a seulement 20 ans cela aurait relevé de la science-fiction. Et si je veux enfoncer le clou en écrivant que la médecine n’est pas encore une science exacte, le germe dont je souffre des effets sur ma santé est résistant à 2 des 3 antibiotiques qui m’avaient été prescrits ces dernières semaines, j’ai développé une allergie au troisième ! Ce sont des faits et non pas des mensonges ou des fantasmes.

Pour le coronavirus le monde politique s’est emparé de l’affaire et alors ce fut un festival de fausses nouvelles, de mesures et de contre-mesures de protection, de décisions ridicules comme le confinement généralisé, de débats sans fin relatifs à l’origine du virus. Il y a aussi, faut-il le rappeler puisque les êtres humains ont la mémoire courte, l’énorme mensonge de la dangerosité de ce virus qui au final n’aura pas fait plus de victimes que la grippe asiatique qui provoqua la mort de 2,5 millions de personnes dans le monde. Quand les politiciens vont-ils organiser des processions religieuses pour conjurer le mal ? Encore une fois quand la politique se mêle de science cela conduit à un désastre. Dans un prochain billet je ferai part de mes impressions contrariennes sur d’autres sujets relatifs à la science et de ses interférences avec le monde politique au fil de mon inspiration du moment.

https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/07/06/science-et-politique-ne-pourront-jamais-faire-bon-menage-1-science-et-mensonge/

14 commentaires:

  1. «PERSONNE N'EST MORT DU CORONAVIRUS»

    29 fois plus de personnes mourront des mesures de verrouillage que du coronavirus Covid-19 lui-même


    Par Bill Sardi
    7 juillet 2020


    Un virus qui ne pourrait être fabriqué qu'en laboratoire, la fausse promesse d'un vaccin, l'incapacité à reconnaître la combinaison d'une infection virale et bactérienne explique mieux les décès liés au COVID-19, et les mesures de verrouillage de la réalisation tueront beaucoup plus de personnes que Le coronavirus lui-même.

    Version courte (synopsis)

    La suspicion que le coronavirus COVID-19 est d'origine humaine, qui est en circulation depuis un certain temps sur Internet, est passée de l'étape de la «théorie du complot» à un argument scientifique authentique émanant de virologues norvégiens qui revendiquent ce roman. le virus muté ne pouvait provenir que d'un laboratoire plutôt que d'une nature mutée.

    De plus, un pathologiste réputé d'Europe de l'Est, sur la base des autopsies qu'il a réalisées, fait la déclaration audacieuse que «personne n'est mort du coronavirus» et qu '«il est impossible de créer un vaccin contre le virus» car les anticorps spécifiques du COVID 19 n'ont pas encore été identifiés. Plus de 18 ans ont été consacrés à des tentatives infructueuses de production d'un vaccin contre le coronavirus.

    De plus, des chercheurs en Roumanie affirment que les données montrent que très peu de patients meurent uniquement du seul coronavirus COVID-19 muté et théoriser que la combinaison synergique d'un virus + une bactérie de la tuberculose est la raison probable pour laquelle certaines personnes meurent d'une mort horrible à cause du COVID-19.

    Enfin, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et les Centers for Disease Control (CDC) ont procédé à des mesures de verrouillage et de quarantaine sans égard aux dommages collatéraux qui dévastent les pays du monde entier, ne laissant aucun avenir économique prévisible et la possibilité de famine pour beaucoup. des millions de personnes dans le monde.

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  2. Histoire n ° 1: le virologue norvégien Birger Sørensen, dans le but de développer un vaccin, a décomposé des éléments du coronavirus COVID-19 et a déterminé que les six mutations identifiées «ne pouvaient pas évoluer naturellement».

    Le groupe de Sørenson s'est concentré sur les parties du virus qui changent. Certains composants du virus sont très bien adaptés pour infecter l'homme. Cette découverte a soulevé des soupçons sur les origines artificielles du virus. Ce coronavirus COVID-19 présente deux façons de se fixer dans les voies respiratoires de l'homme. Un, l'entrée bien connue des voies respiratoires inférieures via les récepteurs ACE-2 sur les cellules vivantes (les virus ne sont pas vivants et doivent infecter une cellule vivante et reprendre son mécanisme génétique pour se répliquer), et deux, un récepteur supplémentaire qui provoque une pneumonie . Dit Sørenson:

    «La structure du virus n'a pas pu évoluer naturellement. Lorsque nous comparons le nouveau coronavirus (COVID-19) à celui qui a causé (le précédent) le SRAS, nous constatons qu'il y a au total six insertions dans ce virus qui se distinguent des autres virus connus du SRAS. » Quatre de ces encarts augmentent la vulnérabilité humaine à l'infection par COVID-19.

    Ces changements n'existent pas dans d'autres coronavirus et ne peuvent être produits qu'en laboratoire, dit-il.

    Sørensen: «Nous savons que ces propriétés rendent le virus très contagieux, donc s'il provient de la nature, il devrait y avoir également de nombreux animaux infectés par ce virus, mais nous n'avons toujours pas pu retracer le virus dans la nature. … Le seul endroit où nous savons où existe un virus équivalent à celui qui cause Covid-19, c'est dans un laboratoire. » Il a appelé cela une «vérité gênante».

    Histoire n ° 2: «Personne n'est mort du coronavirus»

    Appelant l'Organisation mondiale de la santé une «organisation médicale criminelle» pour avoir créé la peur et le chaos sans preuve objective et vérifiable d'une pandémie, le Dr Stoian Alexov de l'Association bulgare de pathologie a déclaré: «Personne n'est mort du coronavirus. Je le répète: personne n'est mort du coronavirus. »

    Cette déclaration haussant les sourcils a été suivie d'une affirmation selon laquelle les pathologistes n'ont pas pu identifier d'anticorps spécifiques au COVID-19, une exigence pour la production de vaccins. Le Dr Alexov doute de la véracité des rapports selon lesquels des anticorps peuvent être utilisés pour traiter les patients. Les commentaires du Dr Alexov ont été faits lors du webinaire de la Société européenne de pathologie le 18 mai.

    Le Dr Alexov dit que les décès liés à COVID-19 en Italie ont été précédés d'une immunisation avec le vaccin contre la grippe H1N1 qui supprime le système immunitaire, ce qui aurait pu augmenter la létalité.

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  3. Dr Alexov: «Par conséquent, en l'absence d'anticorps monoclonaux dirigés contre le nouveau coronavirus, les pathologistes ne peuvent pas vérifier si le coronavirus COVID-19 est présent dans l'organisme, ou si les maladies et les décès qui lui sont attribués ont bien été causés par le virus plutôt que par autre chose."

    Selon le Dr Alexov, «COVID-19 n'est une maladie mortelle que dans des cas exceptionnels, mais dans la plupart des cas, il s'agit d'une infection virale principalement inoffensive.»

    Les déclarations du Dr Alexov ont été publiées dans le journal en ligne OFF-GUARDIAN et comprenaient le soutien des autres autorités sanitaires. Le directeur de l'Institut de médecine légale du Centre médical universitaire

    Les déclarations du Dr Alexov ont été publiées dans le journal en ligne OFF-GUARDIAN et comprenaient le soutien des autres autorités sanitaires. Le directeur de l’Institut de médecine légale du Centre médical universitaire de Hambourg-Eppendorf, en Allemagne, a également déclaré qu’il existait un manque de preuves solides de la létalité du COVID-19.

    Histoire n ° 3: UNE CO-INFECTION EXPLIQUE MIEUX LES DÉCÈS DE COVID-19

    Les comptes rendus de COVID-19 seul ayant une très faible létalité peuvent être expliqués par les études impliquant des co-infections avec COVID-19 et d'autres virus ou bactéries (Mycoacteria tuberculosis). Il est de plus en plus évident que la co-infection avec le coronavirus COVID-19 et la tuberculose (bactérienne) est un problème pour ceux qui sont co-infectés. Une forme plus grave de tuberculose est postulée lorsque des infections virales et bactériennes comme celles-ci coïncident. Le système immunitaire est gravement entravé lorsque les individus sont infectés par ces deux agents pathogènes, selon des chercheurs en Roumanie où la tuberculose est à des niveaux épidémiques. Cependant, les données précises nécessaires pour prédire l'impact de cette co-infection sont encore en cours de collecte pour confirmer cette association.

    On sait que l’infection grippale peut favoriser la progression de la tuberculose dormante (latente) vers une infection active en entravant la réponse immunitaire du patient. Le nombre de lymphocytes T (CD4 et CD8) peut chuter à des niveaux indétectables lorsque la tuberculose et les infections à coronavirus coexistent. Des taux de mortalité par tuberculose plus élevés sont signalés en hiver lorsque les flambées de grippe sont courantes.

    L'association des infections à coronavirus COVID-19 avec la tuberculose gagne du terrain scientifique. L'utilisation du vaccin antituberculeux réduit la létalité des infections à coronavirus COVID-19. Les médicaments utilisés pour traiter COVID-19 sont les mêmes que ceux utilisés pour traiter la tuberculose. Les épidémies mortelles de coronavirus COVID-19 étaient géographiquement centrées dans les zones qui avaient combattu les épidémies de tuberculose: Wuhan, Chine; Modène, Italie; New York City, en grande partie à cause des populations immigrées ou de la contamination par les aérosols par les tempêtes de vent ou par la tuberculose des élevages porcins.

    De plus, la co-infection par le VIH augmente le risque de mourir du coronavirus COVID-19. On estime à 13 millions le nombre d'Américains atteints de tuberculose dormante; 2 milliards dans le monde. Il semble que la crainte d'une infection par le coronavirus COVID-19 soit fortement exagérée, sauf pour ceux qui sont co-infectés.

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  4. Histoire n ° 4: LE BLOCAGE TUERA PLUS QUE LE VIRUS

    Les dommages collatéraux causés par des mesures draconiennes pour contrôler la propagation du coronavirus COVID-19 écrasent les économies et poussent des nations entières dans la menace d'extinction en raison de pénuries alimentaires potentielles, de pénuries de devises et de pièces de monnaie, du refus commercial d'utiliser la monnaie légale sur les cartes de crédit et du refus au travail par peur de l'infection.

    Un analyste des données en Afrique du Sud affirme que les conséquences du verrouillage du pays entraîneront 29 fois plus de décès que par le coronavirus lui-même. Le rapport indique que les tentatives de sauver des vies du coronavirus COVID-19 par rapport à d'autres causes de décès «sont une fausse dichotomie». Pendant que le virus tue, l'économie se maintient. Les tentatives d'aplanissement de la courbe ne font qu'empêcher les hôpitaux d'être submergés, cela ne réduit pas le nombre de corps. Le verrouillage restreint en fait l'accessibilité aux soins médicaux, entraînant de nouveaux décès inutiles. Les pauvres subiront de graves conséquences avant le reste de la population en Afrique du Sud. Se concentrer sur la sauvegarde de la vie des personnes à risque serait plus efficace, indique le rapport.

    À New York et en Italie, plus de 95% des décès sont survenus chez des personnes souffrant de comorbidités (obésité, diabète, hypertension et auto-immunité). Selon l'emplacement et la couleur de la peau, les patients infirmes âgés dans les maisons de soins infirmiers et les personnes à la peau foncée, qui ont tous deux de faibles niveaux de vitamine D, sont plus à risque de mort. L'isolement aveugle de populations entières entraîne une paralysie sociétale. L'Afrique du Sud commercialise une maladie qui infecte largement mais tue de peu. La catastrophe du verrouillage éclipse le nombre de décès dus à COVID-19. Le verrouillage des personnes en bonne santé afin de sauver ceux qui sont malades pourrait potentiellement entraîner la mort de tous.

    https://www.lewrockwell.com/2020/07/no_author/29-times-more-people-will-die-of-lockdown-measures-than-from-the-covid-19-coronavirus-itself/

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  5. Un épidémiologiste de l’Institut Pasteur met en garde la France


    17:39 06.07.2020



    Alors que l’épidémie du Covid-19 se poursuit dans le monde, un épidémiologiste de l’Institut Pasteur a indiqué à France Inter qu’il était temps de se ressaisir et que le virus pourrait revenir «quand il recommencera à faire froid dans l'hémisphère nord».

    La situation en Espagne, obligée de reconfiner une partie de sa population à la suite de la multiplication de cas de Covid-19 dans le pays, a attiré l’attention des experts.

    «C'est vraiment un signal d'alerte pour nous», a déclaré à France Inter Arnaud Fontanet, épidémiologiste à l'Institut Pasteur et membre du Conseil scientifique sur le Covid-19.
    Il a rappelé que l'Espagne avait vécu une propagation de l’épidémie similaire à celle qui a eu lieu en France, d'une violence extrême début mars, avec un confinement très strict.

    En France et en Espagne

    Ces mesures ont permis aux deux pays de reprendre le contrôle de la situation. Toutefois, d’importants nouveaux foyers recensés actuellement en Espagne font revenir les autorités à des confinements localisés, a constaté Arnaud Fontanet.

    «On s'est rendu compte depuis quelques semaines qu'on avait besoin de recommencer à vivre, on a eu des évènements, y compris festifs, qui traduisent ce besoin. Je le comprends parfaitement, mais j'ai envie de dire: maintenant, il faut peut-être qu'on se ressaisisse un peu parce que l'on se rend compte que le virus est toujours présent», a-t-il fait remarquer.

    Arnaud Fontanet a indiqué que de 500 à 1.000 cas par jour étaient répertoriés en France et a appelé à «bien garder en tête ce qu'on a appris dans les trois derniers mois sur la façon de se protéger».

    «C’est toujours les mêmes messages: la distance physique, qui est très importante, l’hygiène des mains, très importante, le nettoyage des surfaces. Et quand vous ne pouvez pas maintenir votre distance physique, le port du masque. Je pense que tous ces messages-là restent tout à fait d’actualité», a-t-il souligné.

    Il a mis en relief également le risque de grands rassemblements avec «un ou plusieurs supercontaminateurs».

    «Quand on n'applique pas des mesures fortes très tôt, on se retrouve dans une situation qu'on n'arrive pas à contrôler», a-t-il constaté.

    Comparant la situation dans plusieurs autres pays, il a alerté sur un éventuel retour du coronavirus l’hiver prochain.
    «On voit que ce virus est en train de s'installer dans les pays où c'est habituellement la saison grippale, où il fait froid. Cela nous dit qu'à moyen terme, quand il recommencera à faire froid dans l'hémisphère nord, le virus reviendra», a affirmé Arnaud Fontanet.

    Il a pris en exemple la situation dans les pays de l'hémisphère sud où il a constaté «une montée de l'épidémie très forte dans les pays qui sont aujourd'hui en période hivernale: l'Australie, Madagascar, l'Afrique du Sud».

    https://fr.sputniknews.com/france/202007061044064353-un-epidemiologiste-de-linstitut-pasteur-met-en-garde-la-france

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    Réponses
    1. 1°) Il y a des millions de CONS qui portent des masques INUTILES ! (masques 'fait-maison' ou masques chirurgicaux bleus QUI NE SONT PAS DES MASQUES ANTIVIRUS !/Renseignez vous auprès d'un docteur, pharmacien, infirmière, etc.

      2°) SEULS les masques FFP2 ('bec de canard') sont antivirus.

      3°)Le fait-même de porter un masque FFP2 n'abrite nullement contre un virus qui rentre par les yeux (dépourvus de globules blancs).

      Donc,l' épidémiologiste de l’Institut Pasteur (invité à une radio ! HAHAHA !) est malhonnête d''omettre' les lignes ci-dessus

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  6. Robert Kennedy Jr.: "Les médicaments pharmaceutiques sont désormais la troisième cause de décès" aux États-Unis


    Par Mac Slavo
    SHTFplan.com
    7 juillet 2020


    Dans une interview avec Lior Gantz du Wealth Research Group, Robert F. Kennedy Jr. a discuté des principaux problèmes auxquels sont confrontés les États-Unis aujourd'hui en matière de santé. Il s'agit d'une entrevue incontournable avant de vous aligner pour le vaccin COVID-19 ou tout autre vaccin d'ailleurs!

    C'est une interview que vous voudrez regarder, alors que Kennedy parle de l'innocuité et de l'efficacité des vaccins, ainsi que de la façon dont Big Pharma a pris le contrôle du gouvernement pour dicter la politique de santé. Leur seule préoccupation était que YouTube le censure ou les interdise complètement, donc une partie exclusive, jugée trop controversée pour YouTube, car elle implique la cabale d'élite, ne peut être consultée qu'ICI!

    Maintenant que Big Pharma est sous contrôle, «les médicaments sont désormais la troisième cause de décès aux États-Unis après les maladies cardiaques et le cancer», explique Kennedy. C'est énorme, mais tout est de conception. Ceux qui sont au pouvoir ne se soucient tout simplement pas de nous, et rien ne concerne la santé, c'est le profit.

    «Anderson Cooper est parrainé par Pfizer», explique Kennedy. «Et Merck parraine Lester Holt.» Certains des plus grands propagandistes ont tout intérêt à faire vacciner le public, que ce soit sûr et efficace ou non. Ils sont également payés pour diffuser des médicaments sur la population par la propagande.

    En raison de la poussée effrénée de ces médicaments, «les médicaments sont désormais la troisième cause de décès dans notre pays après le cancer et les maladies cardiaques», dit Kennedy. Ces chiffres éclipsent les décès de coronavirus (qui sont fortement manipulés.) Les revues médicales sont devenues de la propagande pour les grandes sociétés pharmaceutiques.

    Tout cela a coûté très cher aux Américains. Nous payons la propagande avec notre santé. Les parents subissent des pressions pour vacciner leurs enfants, même s'il est de notoriété publique que ces vaccins ne sont pas sûrs et ne sont pas suffisamment efficaces pour garantir les résultats potentiels. Une fois qu'un enfant tombe malade d'un vaccin, le big pharma a un client à vie. C’est un cycle vraiment inquiétant.

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  7. Pour un exemple de l'hypocrisie, Kennedy dit avoir demandé à certains responsables de la santé «comment pouvez-vous recommander aux femmes de ne pas manger de poisson pendant la grossesse, et pourtant vous leur donnez des vaccins pendant la grossesse qui contiennent des centaines de fois l'aluminium que contient le poisson. "

    Kennedy parle également de la façon dont le Dr Anthony Fauci a obtenu tant de pouvoir et a écrasé la recherche scientifique tout en poussant d'autres études afin de faire avancer son programme. Fauci dispose de milliards de dollars de financement et peut forcer les scientifiques à se conformer à ses ordres et même à manipuler les résultats des études.

    WealthResearchGroup.com a une longue histoire d'affronter de front des sujets cruciaux, dont le plus récent est leur appel à l'or de 2184 $ / once, en réponse à l'impression d'argent irresponsable (opération de contrefaçon), dirigée par le Federal Reserve System.

    Plus tard dans l'interview, Kennedy explique comment les vaccins sont créés avec des détails détaillés sur les raisons pour lesquelles ils ne peuvent pas être rendus sûrs pour tout le monde et l'efficacité est toujours faible. Il détaille également la façon dont le CDC sait que les vaccins ont provoqué l'épidémie d'autisme, mais on nous a menti pour soutenir les grandes sociétés pharmaceutiques.

    Si vous avez le temps, cette interview vous ouvre les yeux et pourrait vous donner des informations dont vous n'aviez peut-être pas eu connaissance auparavant. Pensez à regarder le tout. C'est vraiment hallucinant de voir à quel point certaines personnes vont descendre pour s'assurer que nous sacrifions notre santé et la payons avec notre argent qu'elles ont déjà imposé.

    Reprinted with permission from SHTFplan.com.

    https://www.lewrockwell.com/2020/07/mac-slavo/robert-kennedy-jr-pharmaceutical-drugs-are-now-the-3rd-leading-cause-of-death-in-us/

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  8. TRAVAIL DE MERDE !

    30% DES FRANÇAIS ONT LE SENTIMENT D'OCCUPER UN « BULLSHIT JOB »


    par ANTON KUNIN
    07/07/2020


    11,5% des salariés déçus considèrent que la meilleure voie pour eux est de lancer leur propre activité.

    Avec la crise sanitaire, les Français ont été amenés à repenser leur rapport au travail, avec parfois des conclusions inattendues. Un sondage réalisé par Randstad nous apprend ainsi que 29% des salariés ne perçoivent pas le sens et l’utilité de leur emploi.

    Les jeunes sont particulièrement nombreux à souhaiter faire un travail porteur de sens

    Se rendre compte qu’on fait un travail inutile, c’est déjà arrivé à certains. L’épidémie de Covid-19 a manifestement accentué cette perception, au point que 29% des Français estiment aujourd’hui faire un « bullshit job », nous apprend un sondage réalisé par Randstad. Pour 16% d’entre eux, la réalisation de faire un « bullshit job » est venue avec l’épidémie.

    Ces salariés malheureux envisagent donc rechercher un emploi plus porteur de sens. Ce souhait concerne davantage les hommes (36%) que les femmes (23%). Les jeunes générations y sont également plus sensibles. Plus mobiles, et visiblement plus confiants en l’avenir, les 18-24 ans sont une majorité (57%) à l’envisager. Plus attachés à la sécurité de l’emploi, les seniors (55-67 ans) ne sont que 17% à le souhaiter.

    Les salariés déçus n’envisagent pas forcément de quitter leur entreprise ou le secteur

    Ce changement ne sera pas forcément radical. 17% de ces « salariés malheureux » pensent redonner du sens à leur travail en conservant leur poste mais dans un secteur différent, tandis que 12,5% estiment qu’il suffit de changer de poste dans leur entreprise. 11,5% considèrent que la meilleure voie pour eux est de lancer leur propre activité, tandis que 10% se penchent vers le secteur associatif, le secteur public ou les ONG.

    Il paraît que cette remise en question des pratiques existantes est également partagée par les dirigeants eux-mêmes, du moins dans les PME. Selon un sondage BVA pour l’Observatoire Réseau Entreprendre rendu public début juillet 2020, 87% d’entre eux déclarent qu’il n’est plus possible de continuer comme avant, et 55% considèrent que la mise en place de modèles vertueux prenant en compte les enjeux sociaux et environnementaux est nécessaire.

    http://www.economiematin.fr/news-bullshit-job-deception-travail-emploi-sondage

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  9. Ce que nous enseigne la vente à prix d’or des produits Lidl

    Le récent emballement autour des vêtements Streetwear de Lidl, se revendant pour cent fois leur prix originel sur Internet, pose la question de la considération des signes extérieurs de richesses par la population.


    7 JUILLET 2020
    Par Sabine Lula.


    La chaîne des magasins Lidl fait souvent parler d’elle en proposant des marchandises de qualité à des prix cassés : crème solaire, robot de cuisine, ou plus récemment une PS4 à seulement 95 euros.

    Cette formule attire de plus en plus les Français, qui voient chaque année leur pouvoir d’achat baisser, à cause de l’inflation, de la montée des prix, et surtout des taxes. D’autant plus que les magasins Lidl se diversifient, au point de devenir également producteurs de certaines de leurs marchandises.

    Le dernier projet de Lidl est de lancer une collection de prêt-à-porter Streetwear aux couleurs de l’enseigne. Lidl propose des claquettes, des chaussettes, des T-Shirts et des baskets, dont le prix varie entre 99 centimes et 12,99 euros.

    Jusque-là, on ne s’éloigne pas trop de la ligne habituelle de Lidl qui est de proposer des produits abordables à ses clients. Ce qui est étonnant cependant, c’est de voir à quel point la demande pour ces marchandises a explosé. Tellement que, lancées sur le site Belge de Lidl le 1er juillet 2020, elles se sont retrouvées en rupture de stock à peine quelques heures plus tard.

    On peut donc naturellement en conclure que Lidl a réussi son lancement de produit, bien que celui-ci soit bon marché. Mais ce n’est pas pour cela que la marque fait parler d’elle aujourd’hui.

    On constate en effet sur les sites comme LeBonCoin, ou EBay, que ces articles s’arrachent pour des sommes dépassant parfois cent fois leur prix d’origine. Mais comment expliquer cet engouement pour de tels articles ?

    QUAND « AVOIR L’AIR PAUVRE » EST À LA MODE

    Ce n’est pas la première fois que l’on est témoin d’une ruée vers les derniers articles à la mode : il suffit d’aller faire les soldes, ou d’aller au magasin le jour du Black Friday, pour se rendre compte que les clients peuvent être prêts à tout pour obtenir l’objet de leurs convoitises. On ne s’étonne donc plus de les voir camper devant l’Apple Store pour acheter le dernier iPhone, ni se battre pour des pots de Nutella.

    Cette logique se place dans la recherche de signes extérieurs de valeurs : on veut être mémorable d’un seul regard. On cherche à faire en sorte de dénoter, afin de se trouver une place dans le groupe, de ne pas y passer inaperçu.

    Cela passe généralement par les signes extérieurs de richesse : costumes, souliers de cuir, bijoux, vêtements de marque, sacs à main hors de prix… Tout est bon – même la contrefaçon – pour s’afficher comme étant une personne de valeur.

    Quelle est donc la raison de cette soudaine ruée vers les vêtements Lidl ? La question se pose d’autant plus que les produits proposés par la chaîne de distribution ne correspondent pas vraiment à la mode actuelle, ni même à ce que l’on pourrait considérer comme un vêtement exceptionnel, ou avec du style.

    Si on ne peut pas dire des vêtements Lidl qu’ils remplissent une fonction particulièrement esthétique, c’est qu’ils doivent être attrayants par leur aspect bon marché, et leur rareté pousse les consommateurs à y mettre le prix.

    Être prêt à payer cinquante, voire cent fois la valeur originelle d’un article bon marché signifie que l’on cherche à tout prix à avoir l’air bon marché. Avoir l’air pauvre, et ne pas avoir les moyens d’investir dans des vêtements plus jolis semble la dernière mode en date.

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  10. LA MODE DU DÉPOUILLEMENT, UN NIVELLEMENT PAR LE BAS ?

    Pour certaines personnes vivant uniquement à travers le regard des autres, il convient d’afficher sa vertu par l’apparence, d’associer une valeur morale à l’habillement. Or, en France, la richesse et ses signes extérieurs semblent aujourd’hui rejetés, au profit d’un dépouillement et d’un retour à une certaine simplicité, voire une éthique.

    En effet, ces derniers temps la richesse semble associée à quelque chose d’éminemment politique. Au point qu’on peut décrédibiliser quelqu’un d’habillé « trop classe », ou « trop cher », si cela va à l’encontre de ses idéaux. Comme en témoigne la polémique au sujet de Raphaël Glucksmann qui, alors qu’il était à la tête de la première manifestation de son parti Place Publique, arborait une parka Canada Goose à 900 euros.

    Voilà pourquoi certains individus, au nom d’une simplicité allant de pair avec une vertu morale de sobriété et de « pureté », décident d’investir dans des signes extérieurs de pauvreté : ne pas avoir l’air trop riche, et donc ne pas faire partie du camp des « méchantes élites de bourgeois-catho de Neuilly ».

    Bien que les modes n’aient jamais été d’une grande logique, elles peuvent en dire long sur la mentalité du groupe qui les suit aveuglément. On préfère s’afficher comme faussement pauvre, car celui qui réussit financièrement n’est plus digne d’admiration.

    La fausse vertu de dénuement montre comme on est « supérieur », car insensible aux biens matériels. Alors que, paradoxalement, on court après des biens matériels pour crier à la face du monde à quel point on est « meilleur » que les autres.

    Mais outre le paradoxe que cela implique, il convient de souligner en particulier ceci : la réussite n’intéresse plus. Voilà sans doute une bonne illustration du nivellement par le bas de la société française.

    https://www.contrepoints.org/2020/07/07/375486-ce-que-nous-enseigne-la-vente-a-prix-dor-des-produits-lidl

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  11. TOUT LE MONDE S'APPAUVRIT


    par BILL BONNER
    07/07/2020


    La Banque de France prévoit un chômage à 11,8% en 2021.

    Les autorités politiques et financières sont occupées à arroser l’économie de liquidités – mais tout ce qui sort de terre, ce sont des zombies…

    Il y a un an, on estimait qu’environ 10% des entreprises planétaires étaient déjà des zombies, incapables de gagner assez d’argent pour rembourser les intérêts sur leur dette (mais restaient, grâce à la Réserve fédérale et autres banques centrales mondiales, capables de racheter leurs propres actions et de verser de généreuses primes à leurs dirigeants…).

    Alors… que faire quand ces entreprises risquent la faillite suite à la crise du Covid-19 ? Leur prêter plus d’argent, bien sûr ! Les sociétés empruntent plus rapidement que jamais. De Bloomberg :

    « Les entreprises se précipitent pour étayer leurs liquidités durant la pandémie de Covid-19, ce qui [a alimenté] le mois de juin le plus dense jamais enregistré ou presque sur le marché des junk bonds US. Au vendredi 26 juin, les entreprises avaient levé environ 45,5 Mds$ sur le mois. Cela le met en bonne voie pour devenir le meilleur mois depuis les 46,4 Mds$ vendus en septembre 2013, le précédent record depuis 2006, selon des données compilées par Bloomberg. »

    Plan zombie

    En plus de la fausse monnaie prêtée par la Fed, il y a aussi la fausse monnaie prêtée par les banques sous l’égide du PPP, le programme de protection des salaires. De l’argent que peu d’entreprises devront rembourser… ce qui est probablement une bonne chose, dans la mesure où bien peu seraient capables de le faire si elles y étaient forcées.

    Le plan devait distribuer 349 Mds$. Mais à qui ? Le secrétaire au Trésor US Steve Mnuchin affirme que le public n’a pas le droit de savoir où va l’argent. Il ne le dira donc pas. Mais les équipes du site WallStreetonParade.com ont un peu creusé :

    « … Nos recherches dans les dossiers de la Securities & Exchange Commission (SEC) révèlent que des dizaines d’entreprises zombies cotant sur le Nasdaq ont bénéficié de ces prêts. Des dizaines d’entreprises cotées ayant des grandes lignes de crédit auprès des banques ont bénéficié de ces prêts. Des dizaines d’entreprises comptant bien plus de 500 employés ont bénéficié de ces prêts.

    On dirait de plus en plus que des dizaines de milliards de dollars de prêts PPP ont tout simplement été décaissés le plus vite possible sans vraiment surveiller à qui ils allaient. »

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  12. Par exemple…

    « … [La] Christopher & Banks Corporation, cotée au Nasdaq sous le code CBKC, un détaillant en vêtements pour femmes. Selon ses déclarations à la SEC, début juin, la société a demandé et obtenu un prêt PPP de 10 millions de dollars. Mais cette même déclaration révèle qu’elle a des facilités de crédit revolving de 50 millions de dollars auprès de Wells Fargo, ainsi qu’une facilité de prêt de long terme de 10 millions de dollars auprès d’ALCC.

    Parmi les entreprises cotées n’ayant pas rendu leur prêt PPP, on trouve Senseonics Holdings Inc., fabricant d’un capteur sous-cutané destiné à surveiller les niveaux de glucose chez les personnes diabétiques. Elle indique dans sa déclaration SEC qu’elle a souscrit à deux facilités de prêt fournissant des sommes brutes immédiates de 15 millions de dollars, et l’accès à cinq millions supplémentaires. Elle a pourtant accepté 5,8 millions de dollars en prêts PPP. »

    En d’autres termes, les entreprises zombies utilisent la fausse monnaie pour payer leurs créditeurs zombies. Nous rappelons aux lecteurs qu’une entreprise « zombie » – ou toute entreprise n’enregistrant que des pertes – détruit de la richesse ; elle n’en crée pas.

    Economie zombie

    Alors bienvenue dans l’économie zombie. On vous donne des chèques Covid-19 – que vous soyez mort ou vif… on prête de l’argent PPP aux entreprise zombies…

    On ne fait aucune distinction entre les vivants et les morts… entre le vrai argent et la fausse monnaie… entre le juste et l’injuste… entre le Paradis et l’Enfer… entre s’enrichir grâce aux arnaques ou gagner sa vie honnêtement…

    Les gens reçoivent de la fausse monnaie en ne travaillant pas. Les entreprises touchent de la fausse monnaie en n’engrangeant pas de profits. Les autorités deviennent plus puissantes en aggravant les problèmes.

    Et pendant ce temps, nous nous appauvrissons tous.

    Pour plus d'informations et de conseils de ce genre, c'est ici et c'est gratuit

    http://www.economiematin.fr/news-appauvrissement-monde-entreprises-personnes-crise-bonner

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    1. Il y a 380 000 naissances chaque jour dans le monde et 160 000 décès, soit 380 000 personnes qui vont consommer dès le départ, puis produire de la valeur. Donc, le monde a de plus en plus de valeurs (différentiel de seulement 220 000). Donc, comme les êtres humains sont de plus en plus intelligents (grâce à l'Internet) ils sont de plus en plus riches, d'où l'apparition tous les jours de nouvelles nouvelles taxes sur tout et n'importe quoi pour vider les comptes bancaires en marge d'une fausse dette imaginée par les plancheàbilletistes (aujourd'hui remplacés par l'argent électrique).

      Mais, comme les Hommes de l'ombre qui gèrent le monde ne sont pas nombreux et moins intelligents que 7 milliards d'habitants (internet est un cerveau de 7 milliards d'habitants), ils éprouvent des difficultés sur le décisionnel valable qui est tous les jours contré par la population ! L'exemple humiliant des éoliennes, panneaux solaires, voitures électrique, ogm, bio, glyphosate, etc ne sont qu'une toute petite partie de la longue liste de merdes pondues par eux !

      Et, comme ce qui compte est le pouvoir d'achat (interdit d'en parler dans les merdias) et la santé, tout est mis dorénavant pour faire croire à n'importe qui qu'il y a eu 1 milliard de morts du coronavirus et que les fours ne s'arrêtent pas (parce que de les enterrer serait susceptible d'être comptabilisé !) !

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