- ENTREE de SECOURS -



dimanche 19 juillet 2020

BOULEVARD DE LA MORT - Kurt Russell, Zoë Bell, Rosario Dawson, Vanessa Ferlito, Sydney Tamiia Poitier


  Çà c'est du Quentin Tarantino !

36 commentaires:

  1. Le ralenti d’un mélange d'aluminium et de fer chauffé à blanc plongé dans un réservoir d'eau laisse sans voix - vidéo


    17:11 19.07.2020


    Slow Mo Guys, qui se présente comme la plus grande chaîne au monde de ralentis sur YouTube, a publié une vidéo d'un mélange d'aluminium et d'oxyde de fer chauffé à blanc puis immergé dans de l'eau froide. Un spectacle rappelant à la fois l'éruption d'un geyser et des coulées de lave.

    Que se passerait-il en plongeant de la thermite, un mélange d'aluminium métallique et d'oxyde de fer, chauffé à 2.000°C dans un réservoir d'eau froide ? La chaîne Slow Mo Guys a réalisé cette expérience et l'a filmée en vidéo.

    https://www.youtube.com/watch?time_continue=155&v=CO5OKAo8aIw&feature=emb_logo

    Les auteurs filment ces processus en ultra haute définition 4K et les montrent au ralenti.

    Le blogueur Gavin Fri a mis le feu au mélange et a d'abord montré comment il brûlait en plein air avant de le plonger dans l'eau froide où le spectacle a commencé.

    https://fr.sputniknews.com/insolite/202007191044126679-le-ralenti-dun-melange-daluminium-et-de-fer-chauffe-a-blanc-plonge-dans-un-reservoir-deau-laisse/

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    1. Clip extraordinaire sur l'action de la thermite (employée pour la destruction de bâtiments/WTC 1, 2 & 7 à N-Y le 11/9/01).

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  2. Combien d’or la Banque de France stocke-t-elle ?


    15:43 19.07.2020


    Le métal jaune est considéré comme un investissement sûr, qui traverse les époques, et même les périodes les plus agitées, son pouvoir d’achat ne fléchissant pas. BFM TV a fait le point sur sa valeur et les stocks de différents pays, notamment la France.

    Même si l’or ne tient plus le rôle qu’il jouait jadis dans le système monétaire international, il garde toujours son importance et continue de rester une valeur refuge.

    La cote du métal jaune est en hausse depuis 2018 et poursuit son ascension depuis le début de la crise. Le 16 juillet, une once d'or valait 1.583,72 euros, selon la Banque de France. BFM TV souligne ainsi une hausse de 27% sur un an et de 18% depuis le 1er janvier dernier.
    Les États-Unis en tête

    Les pays qui possèdent les plus grosses réserves d’or pour leur banque centrale au premier trimestre 2020 sont les États-Unis (8.133 tonnes), l'Allemagne (3.364 tonnes) et l'Italie (2.451 tonnes).

    Vient ensuite la France, dont les réserves d’or ont atteint 123,67 milliards d'euros le 7 juillet, soit une augmentation de 2,16 milliards d'euros, a fait savoir le ministère de l'Économie et des Finances. D’ailleurs, ce chiffre n’a pas varié depuis 2009, date des dernières ventes d’or, avait indiqué la Banque de France dès 2019.

    https://fr.sputniknews.com/economie/202007191044126039-combien-dor-la-banque-de-france-stocke-t-elle/

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    1. Mais comme DEPUIS TOUJOURS l'or ne représente RIEN (en comparaison du nombre de billets et pièces en circulation/Faut dire que si tout l'or du monde - depuis la première découverte - représente aujourd'hui un cube de 21 m d'arêtes), le nombre de kilos déposé en soute est NON-VÉRIFIABLE !!! HAHAHAHA !

      Et, comme son prix ne dépend pas du volume des transactions...(Il est fixé tous les jours par un 'bureau' qui l'évalue à la tête du client !!), sa valeur ne représente ni un investissement ni une sûreté quelconque !

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  3. La population mondiale atteindra son pic en 2064, puis déclinera, selon le Lancet


    17:02 19.07.2020


    Une récente étude parue dans le Lancet a fait état d’une tendance peu évoquée jusqu’ici: la fin de la croissance de la population mondiale. D’après les estimations des chercheurs, celle-ci devrait atteindre son pic en 2064, avec 9,7 milliards de personnes, avant de redescendre à 8,8 milliards d’ici 2100.

    La population mondiale continuera à croître jusqu’en 2064, après quoi elle commencera à diminuer. C’est la conclusion tirée par des chercheurs de l’Université de Washington qui ont analysé la fécondité féminine dans 195 pays. Leur étude, publiée le 14 juillet, estime qu’il y aura environ 8,8 milliards de personnes sur notre planète en 2100, avec un pic à 9,7 milliards.

    Ils ont employé de nouvelles méthodes de prévision de la mortalité, de la fécondité et des migrations pour obtenir leur propre modélisation. Les chercheurs estiment ainsi que d’ici la fin du siècle, 183 des 195 pays étudiés auront un taux de fécondité inférieur à 2,1 naissances par femme, soit un nombre insuffisant pour qu’une population augmente si celle-ci n’est pas compensée par l’immigration.

    D’après l’étude, les causes principales de ce déclin sont l’arrivée de moyens de contraceptions modernes et l’éducation des filles et des femmes. Certains pays observent déjà cette tendance, et une vingtaine d’entre eux auront dans 80 ans moitié moins d’habitants qu’ils n’en ont aujourd’hui, notamment le Japon, l’Italie, l’Espagne, la Thaïlande et la Corée du Sud.

    La plus grande baisse de la fécondité sera observée en Afrique subsaharienne, où elle est l’une des plus importantes au monde de nos jours. Le Niger, par exemple, où une femme donne naissance à sept enfants en moyenne, connaîtra un taux de fécondité de seulement 1,7 en 2100. La population dans cette région du monde aura toutefois triplé par rapport à aujourd’hui, passant de un à trois milliards.

    La France devrait quant à elle déjà atteindre son pic de population en 2046 avec 70 millions d’habitants, contre près de 67 actuellement. Elle n’aurait plus que 60 millions d’habitants en 2100. Il ne devrait y avoir que 106 millions d’habitants en Russie à la fin du siècle, soit près de 40 millions de moins qu’aujourd’hui.

    Des résultats qui contredisent les études précédentes

    Comme l’a souligné Science Daily, cette étude contraste avec les précédentes projections de la «croissance mondiale continue» émises notamment par la division des Nations unies chargée de la population. Celles-ci prévoient au moins deux milliards de personnes en plus en 2100 par rapport aux estimations du Lancet.

    Ces nouveaux résultats impliquent l’arrivée de défis majeurs qui pèseront sur la croissance économique, à savoir la diminution de la main-d’œuvre, l’impact du vieillissement de la population sur les systèmes de santé et d’aide social et des changements de proportions dans les structures d’âge, nécessitant des politiques d’immigration libérales dans les pays dont la population en âge de travailler diminue considérablement.

    Selon le Dr Christopher Murray, qui a dirigé les recherches, «cette étude offre aux gouvernements de tous les pays l'occasion de commencer à repenser leurs politiques en matière de migration, de main-d'œuvre et de développement économique afin de relever les défis posés par l'évolution démographique».

    https://fr.sputniknews.com/societe/202007191044126569-la-population-mondiale-atteindra-son-pic-en-2064-puis-declinera-selon-le-lancet/

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    1. (...) soit un nombre insuffisant pour qu’une population augmente si celle-ci n’est pas compensée par l’immigration. (...)

      HAHAHAHA ! L'immigration ne résout rien ! Si une personne se déplace elle est en plus ici et... en moins là-bas !

      La volume des mers & océans est de 1,37 milliard de KM3 et, ne CHANGERA JAMAIS ! Les nappes phréatiques sont uniquement remplie par les infiltrations maritimes & océaniques, d'où le non-changement volumétrique.

      https://huemaurice5.blogspot.com/2012/07/7-hectares-8476-mhab.html

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    2. La population mondiale pourrait atteindre 150 milliards d'être humains qu'il n'y aurait AUCUN PROBLÈME de nourriture.

      Actuellement, la population mondiale rassemblée côte-à-côte aurait la superficie de Manhattan à N-Y.

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  4. Six formes de Covid-19 identifiées par un groupe de chercheurs


    18:54 19.07.2020


    Un groupe de chercheurs a identifié six formes principales du Covid-19, ce qui pourrait faciliter la lutte contre la pandémie, selon une étude internationale publiée par le King's College de Londres.

    La maladie Covid-19 causée par le coronavirus SARS-CoV2 présenterait six formes différentes et les médecins auront plus de chances de sauver les personnes les plus fragiles en identifiant à temps à quel groupe appartient chaque patient, a annoncé le King’s College de Londres qui se réfère aux résultats d’une étude.

    Ses auteurs, des chercheurs de l’établissement d’enseignement supérieur britannique, de l’université de Massachussetts (États-Unis) et de l’université de Lund (Suède), ont analysé les symptômes observés chez 1.600 patients aux États-Unis et au Royaume-Uni. Selon eux, la présence de certaines manifestations cliniques du Covid-19 pourrait indiquer si le patient risque de développer une forme grave de la maladie et ainsi avoir besoin d’un respirateur.

    Trois des six formes du Covid-19 identifiées par les scientifiques sont considérées comme plutôt bénignes, car dans de tels cas, seuls 1,5 à 4,4% des patients ont ensuite eu besoin d'une assistance respiratoire.

    Les deux premières formes, «pseudo-grippales», se caractérisent par des maux de tête, la toux, des maux de gorge et la perte d'odorat, auxquels s’ajoutent d’autres symptômes spécifiques pour chaque type.

    Pour la première forme, ce sont des douleurs musculaires et des douleurs thoraciques. Pour la deuxième, la fièvre, un enrouement et une perte d'appétit s’ajoutent à la liste. Pour la troisième forme, «gastro-intestinale», des diarrhées et une perte d'appétit sont observées.

    Trois types graves de Covid-19

    Les trois autres formes de Covid-19 sont graves et peuvent conduire à l’hospitalisation, disent les chercheurs.

    La quatrième provoque un malaise constant, de la fatigue, de la fièvre, des maux de tête, des douleurs thoraciques, la perte d'odorat, de la toux et un enrouement.

    La cinquième comprend les symptômes précédents, ainsi qu’une confusion, une perte d'appétit, des maux de gorge et des douleurs musculaires.

    Les patients qui développent la sixième et dernière forme, la plus grave, présentent de nombreux symptômes, notamment maux de tête, perte d'odorat et d'appétit, toux, fièvre, enrouement, maux de gorge et de poitrine, fatigue, confusion, douleurs musculaires, essoufflement, diarrhée et douleurs abdominales. L’étude avance que plus de la moitié des patients atteints du sixième type de la maladie nécessitent une hospitalisation, quand 16% de ceux de la première forme se rendent à l'hôpital.
    Identifier à temps pour sauver des vies

    Les six groupes de symptômes sont apparus à des moments similaires dans l’évolution du Covid-19. Si les médecins parviennent à distinguer les différences entre ces types de nouveau coronavirus, ils pourront identifier en amont les patients les plus à risque, affirment les scientifiques.

    «Si vous pouvez prédire qui sont les personnes à risque au cinquième jour [de la maladie, ndlr], vous avez le temps de leur apporter votre soutien et de procéder à des interventions précoces telles que le contrôle d’oxygénation et de sucre dans le sang, ainsi que de vous assurer qu'ils sont bien hydratés», explique un membre de l’équipe, Claire Steves, citée par Reuters.

    https://fr.sputniknews.com/sante/202007191044126861-six-formes-de-covid-19-identifiees-par-un-groupe-de-chercheurs/

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  5. Un astéroïde plus grand que le London Eye va frôler la Terre, alerte la NASA


    19:14 19.07.2020



    L’agence spatiale américaine a informé de l’approche d’un astéroïde potentiellement dangereux qui devrait passer près de notre planète, à environ cinq millions de kilomètres.

    Un astéroïde mesurant près de 170 mètres passera près de la Terre le 24 juillet, avertit la NASA dans un communiqué. À titre de comparaison, le London Eye en mesure 130.

    Baptisé 2020ND et considéré comme «potentiellement dangereux», il s’approchera de la planète Terre à une distance de 0,034 unité astronomique, soit environ cinq millions de kilomètres, détaille l’agence spatiale américaine.
    Selon ses évaluations, le corps céleste se déplace à la vitesse de 48.000 kilomètres par heure.

    Un autre astéroïde en approche

    Précédemment, la NASA avait fait savoir que l’astéroïde 2011 ES4 devrait s’approcher de la Terre à l’automne prochain. Dans le courant du mois de septembre, cet objet passera près de notre planète, à environ 72.000 kilomètres.
    Pourtant, en dépit de la faible distance qui séparera l’astéroïde de la planète bleue, le risque de le voir rentrer dans l'atmosphère terrestre est actuellement faible, précisent les chercheurs.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202007191044126842-un-asteroide-plus-grand-que-le-london-eye-va-froler-la-terre-alerte-la-nasa/

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    1. Les phénomènes spatiaux du passage d'astéroïdes provoquent toujours des changements climatiques orientés au froid.

      http://hisz.rsoe.hu/alertmap/index2.php

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  6. La dépendance des chiens envers les Hommes pour régler les problèmes une nouvelle fois prouvée - vidéo


    18:55 19.07.2020


    Des chercheurs de l’université de Budapest ont comparé les comportements orientés vers l'Homme chez les chiens et les cochons nains. Il s’est avéré qu’en cas d’insolubilité, le chien est plus dépendant que le cochon.

    Face à un problème insoluble, les chiens présentent souvent des comportements orientés vers l'Homme, comme le fixer ou le regarder lui et la cible par alternance. Mais il n’est toujours pas compréhensible à quel point cette capacité est unique. En effet, un autre animal de compagnie, le chat, ne s’adresse pratiquement jamais à l’Homme. Dans ce contexte, des chercheurs de l’université de Budapest ont décidé de comparer le comportement du chien avec celui du cochon, animal de compagnie populaire et tout aussi sociable.

    - voir clip sur site -

    Dans le cadre de l’étude, un bol en plastique transparent a été retourné au-dessus de quelques morceaux de nourriture. Le récipient, percé à plusieurs endroits, pouvait être facilement déplacé par manipulation. Les premiers essais ayant été couronnés de succès, le bol a été solidement fixé afin que la nourriture reste visible mais inaccessible. Tout au long de l’expérience, des humains se trouvaient à côté.

    Tant que le récipient était vide, chiens et cochons manifestaient un comportement semblable. Néanmoins, dès qu’il leur était difficile d’accéder à la nourriture, les seconds venaient plus vite à bout de leur tâche, éventuellement parce qu’ils sont capables de mieux manipuler les objets.

    Le chien plus dépendant ?

    Lorsque le bol était solidement fixé, les chiens essayaient de trouver de l’aide auprès de l’Homme, alors que les cochons persistaient à tenter de déplacer le bol.

    «Les chiens ont manifesté plus de comportements orientés vers l'Homme que les cochons. Ils se sont tournés plus longtemps et plus tôt vers les humains», notent les scientifiques.

    Sur cette base, les chercheurs estiment que les cochons nains sont apparemment plus enclins à régler leurs problèmes seuls. Selon eux, les chiens seraient plus dépendants de l’Homme et de leur coopération, mais dans le même temps, ce trait de caractère explique en grande partie la capacité du chien à interagir avec l’Homme.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202007191044126829-la-dependance-des-chiens-envers-les-hommes-pour-regler-les-problemes-une-nouvelle-fois-prouvee--/

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    1. Un chien est le seul animal domestique qui regarde l'humain dans ses yeux. Le chat est indifférent.

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  7. "La Catalogne a appelé vendredi quelque quatre millions de personnes, y compris des habitants de Barcelone, à rester chez eux, dans un durcissement majeur de sa réponse à l'augmentation des cas de coronavirus


    vendredi 17 juillet 2020


    L'appel à rester à domicile est une mesure avant la détention obligatoire, mais c'était la mesure la plus forte prise pour lutter contre de nouveaux foyers depuis que l'Espagne est sortie d'un état d'urgence national il y a un mois.

    Les résidents de Barcelone, de sa banlieue et des régions de Ségria et Noguera, plus éloignés de la ville, ont été invités à faire leurs achats en ligne et à ne quitter leur domicile que pour aller travailler, consulter un médecin ou effectuer d'autres activités essentielles. Les personnes touchées représentaient plus de la moitié de la population de la région nord-est.

    "Nous recommandons aux gens de ne pas se déplacer si ce n'est pas absolument nécessaire", a déclaré le chef de la santé de la Catalogne, Alba Verges, lors d'une conférence de presse. Les rassemblements de plus de 10 personnes ont été interdits car la plupart des infections provenaient de rassemblements sociaux, a-t-elle déclaré.

    «Il est très important de respecter ces mesures maintenant, c'est le meilleur moyen d'éviter un confinement», a déclaré Verges, appelant les gens à agir de manière responsable. "Personne ne veut un confinement complet à domicile."

    https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-spain-catalonia-

    https://conscience-du-peuple.blogspot.com/2020/07/la-catalogne-appele-vendredi-quelque.html

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    1. Comme en Catalogne, en Espagne ou ailleurs (sauf en Chine) IL N'Y A PAS DE N95 ou FFP2 ! et donc, il y a autant d'air à l'intérieur qu'à l'extérieur (fenêtres et portes ouvertes en étés).

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  8. Les prix du cacao atteignent leur plus bas niveau depuis deux ans alors que la consommation de chocolat faiblit


    par Tyler Durden
    Dim, 19/07/2020 - 08:45


    Les contrats à terme sur le cacao ICE Europe ont plongé jeudi à un plus bas depuis près de deux ans, les données montrant une «forte baisse» de la demande européenne pour le 2T20 au milieu des craintes d'offre excédentaire, a rapporté Reuters.

    La European Cocoa Association, basée à Bruxelles, a déclaré jeudi que la mouture de cacao 2Q en Europe avait plongé de 8,9% par rapport à l'année précédente à 314 108 tonnes, ce qui en fait la mouture trimestrielle la plus faible en cinq ans.

    La mouture de cacao est un indicateur indirect de la demande. Les verrouillages liés aux virus n'ont pas été doux pour les chocolatiers.


    Le chocolatier suisse Barry Callebaut a annoncé la semaine dernière une baisse de 14,3% de ses ventes au dernier trimestre, les volumes vendus aux particuliers ayant été divisés par deux.

    Les contrats à terme sur cacao ICE Europe ont plongé dans un marché baissier début juillet avec des prix en baisse de 24% en 22 semaines. La chute des prix a commencé à peu près au moment où la pandémie a commencé (fin janvier / début février).

    Nous avons remarqué le mois dernier que lorsque les prix du cacao avaient atteint leur plus bas niveau en un an, la récession mondiale provoquée par le virus avait sapé la consommation et l'amour du chocolat.

    Carlos Mera, analyste des matières premières chez Rabobank, a déclaré au Financial Times que la chute des prix reflétait la réduction des dépenses discrétionnaires par les consommateurs. "Le principal facteur est que les gens ne sont pas d'humeur festive", a-t-il dit, faisant référence au ralentissement de l'économie mondiale.

    Certains analystes des produits de base utilisent le haricot comme baromètre de l'économie, car les ventes de chocolat dépendent fortement des consommateurs. Ainsi, la baisse des prix du cacao pourrait suggérer que l'économie mondiale ne se rétablit pas en "V" mais plutôt en "L."

    https://www.zerohedge.com/commodities/cocoa-prices-hit-two-year-low-chocolate-consumption-falters

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  9. Les forces armées allemandes manquent des dizaines de milliers de cartouches de munitions


    par Tyler Durden
    Dim, 19/07/2020 - 07:35


    L'armée allemande a confirmé vendredi que 60 000 cartouches de munitions n'étaient pas recensées, ainsi que 48 000 autres balles d'une unité d'élite des forces spéciales ayant des liens avec l'extrémisme de droite, a rapporté DW News.

    Un porte-parole du ministère de la Défense a déclaré à Deutsche Presse-Agentur que la Bundeswehr (Forces fédérales de défense) enquêtait sur les munitions manquantes de son inventaire. Le porte-parole n'a pas donné de réponse claire sur les raisons de la disparition des munitions.

    Un rapport antérieur du journal Die Welt avait annoncé vendredi qu'au moins 60 000 cartouches de munitions de la Bundeswehr avaient disparu depuis 2010, selon une réponse confidentielle à une demande d'informations du gouvernement déposée par plusieurs partis au parlement allemand, le Bundestag.

    Selon les informations recueillies, seulement 36 000 des 96 000 cartouches de calibre variable manquantes ont été retrouvées. -DW.

    Les 48 000 rounds manquants au Commandement des Forces Spéciales (KSK) ont été minutieusement examinés après que les législateurs eurent constaté que l'extrémisme de droite était profondément ancré dans ses rangs.

    "Nous enquêtons maintenant de manière intensive et évaluons nos pratiques - pas seulement au KSK", a déclaré le porte-parole du ministère.

    L'enquête sur les munitions manquantes permettra de déterminer si une activité criminelle a été impliquée ou tout simplement un mauvais inventaire.

    "La négligence sera stoppée, chaque cas de détournement sera signalé et le parquet sera appelé", a ajouté le porte-parole.

    Début juillet, DW a averti que l'extrémisme de droite était en hausse en Allemagne, et l'agence de renseignement domestique du pays a déclaré que certaines de ces personnes étaient prêtes à utiliser la violence.

    Les questions que les Allemands doivent se poser - Où sont passées toutes les munitions ?

    https://www.zerohedge.com/political/germanys-armed-forces-missing-tens-thousands-ammunition

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    1. (...) Un rapport antérieur du journal Die Welt avait annoncé vendredi qu'au moins 60 000 cartouches de munitions de la Bundeswehr avaient disparu depuis 2010, (...)

      HAHAHAHA !

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  10. La liberté contre la sécurité sans frivolité


    Charles Dereeper
    lundi, 20 juillet 2020 01:54


    Hello, je réagis à ton dernier article pour te donner quelques détails et chiffres de ma dernière année en France. C'était il y a plus de 4 ans...

    J'étais salarié, ma femme avait un revenu non régulier (je n'en parlerais pas ici, mais il y a pas mal de matière aussi, notamment avec l'URSSAF et autres taxes tombées du ciel). J'assurais donc la vie du foyer

    Quelques chiffres de mémoire:

    Je gagnais ~3400€ brut, 2600€ net.

    Je louais une maison (individuelle, 175m2 à 20 kms de mon travail avec embouteillages): 1100€

    Garde pour mon enfant (à l'école le matin, puis chez une nourrice jusqu'à 18h30, je n'avais plus droit aux aides): 700€

    Impôts sur le revenu: 4800€ => 400€/mois

    Taxe d'habitation (en hausse de 5%/an): 1200€/an => 100€/mois

    Assurance voitures: 100€/mois

    Gaz: 100€/mois

    Tu ajoutes l'alimentaire, électricité, internet/téléphone, poubelles, etc. Et j'en oublie...

    Bref mon salaire ne suffisait pas, et nous étions épuisés de nos journées. Je ne parle pas non plus des problèmes administratifs.

    Alors oui, la France est un pays de rentiers. Je n'avais pas envie de devenir expert fiscaliste pour échapper à ce marasme, on est partis, et on est bien maintenant.

    @+

    -------------------

    Oui, la France offre de prendre soin de ses villageois, de sécuriser un semblant de retraites et de gérer la santé (mal) plus l'éducation (encore plus mal).

    Moyennant quoi, contre cette sécurité, il faut abandonner la liberté et la frivolité.

    Les régimes communistes n'ont jamais eu vocation dans l'histoire à assurer l'aisance matérielle. Les mecs du dessous se goinfrent tellement qu'il ne reste généralement que des miettes pour le peuple qui choisit cette sécurité.

    Je pense qu'il faut assumer ses choix.

    Là où généralement, je commence à être fortement dérangé, c'est quand les humains veulent la sécurité et se plaignent de ne pas avoir assez de frivolité.

    J'ai un copain dont la maman a envie de quitter son papa, mais voilà, elle a une retraite de 1200€ par mois et elle veut continuer à profiter de la ville. Donc cela coince. Elle ne veut pas partir à la campagne pour financer sa liberté vis à vis de son mari, seule option financière viable. Résultat, elle verrait bien la réquisition de l'appartement du fils.

    Non seulement, le père démissionne de ses responsabilités. Mais en plus ce couple prend en otage son enfant. Les joies de la famille.

    Savoir dire non n'est jamais facile. Mais est ce vraiment aider une personne que de lui permettre d'avoir la sécurité et la frivolité pendant que les autres en chient afin de payer leur liberté et leur insouciance ? Est ce juste ?

    Ce que j'ai remarqué, c'est que les irresponsables qui veulent la sécurité, la prennent TOUJOURS sur le dos des autres.

    Donc oui la France n'offre pas un super niveau de vie. Mais la France offre des compensations. Chacun fait son choix.

    Ce que j'apprécie dans le nouvel ordre mondial de 2020, avec FATCA et CRS, c'est que nous devons tous choisir notre crêmerie.

    Soit la socialie ne nous plaît pas et il faut désormais se casser (et bientôt rendre notre passeport). Soit on y reste et on la boit jusqu'à plus soif en raquant pour que des humains puissent ne rien branler et se sentir confortable, sans aucun état d'âme. Ce monde nouveau est plus juste qu'avant quand depuis la France, les français opéraient en off shore et ne payaient pas, laissant raquer juste ceux qui n'accèdaient pas au off shore. Là chacun fait son choix librement, sans obligation.

    Charles

    http://www.objectifeco.com/expatriation/mode-demploi/debuter-choisir-son-pays/la-liberte-contre-la-securite-sans-frivolite.html

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  11. L'histoire vraie de la pandémie de «soi-disant grippe virale» de 1918


    Par Gary G. Kohls, MD
    20 juillet 2020


    L'expérience du vaccin bactérien de 1918-19 peut avoir tué 50 à 100 millions de personnes

    Pendant plus d'un siècle, diverses entités impliquées dans le mécanisme de propagande chargé par les puissances en place de faire progresser le patriotisme américain et le profit des entreprises ont dissimulé la vérité sur ce qui a réellement déclenché l'épidémie de ce qui est devenu connu sous le nom de "Grippe espagnole", qui a réussi à masquer ce qui était en fait une expérience honteuse perpétrée par le Rockefeller Institute for Medical Research - l'entité ultra-riche qui a lancé l'American Medical Association et la School of Public Health de l'Université Johns Hopkins.

    Depuis plus d'un siècle, les Américains ont été amenés à croire que ce qui était le véritable épicentre de la pandémie - les bases militaires de l'armée américaine - était en fait le résultat d'une expérience de vaccin Rockefeller Instutute qui avait mal tourné. Le vaccin coupable, bien documenté par l'auteur Kevin Barry, a été perpétré sur de malheureuses recrues militaires dans diverses bases aux États-Unis. L'Espagne n'a rien à voir avec l'épidémie, si ce n'est d'avoir permis à ses journalistes d'écrire à son sujet.

    Le vaccin expérimental a été conçu lorsque le seul vaccin qui avait jamais montré une quelconque promesse dans la prévention de la maladie était le vaccin contre la variole (qui, évalué rétrospectivement, ne méritait pas de crédit pour la disparition de la variole, car seule une petite minorité de citoyens du monde chacun a effectivement reçu le vaccin.)

    Le vaccin expérimental brut était destiné à prévenir théoriquement la méningite bactérienne (et non virale) chez les soldats, qui avait été un problème dans les guerres passées. Barry documente joliment l'histoire qui a été laissée en dehors des livres d'histoire, ignorée par les médias grand public, supprimée des archives du Pentagone et déformée par les industries pharmaceutique et médicale, le NIH, le CDC, le NIAID et toutes les entreprises qui cherchent à profiter de la vaccination d'autant de nourrissons, d'enfants et d'adultes qu'ils le peuvent. Et cela inclut, bien sûr, la Fondation Bill et Melinda Gates, largement discréditée, qui a dépensé des centaines de milliards de dollars pour financer, fonder et subventionner des sociétés et d'autres entités qui promeuvent la vaccination universelle contre tout ce qui est proclamé Big Pharma «troubles évitables par la vaccination». )

    Une précédente colonne de 4261 mots sur l'obligation d'avertir peut être consultée sur divers sites Web, y compris ici.

    Vous trouverez ci-dessous des extraits de l'article rédigé par l'auteur Kevin Barry, dont le site Web s'appelle First Freedoms.

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    «Pendant les années de guerre 1918-1919, l'armée américaine est passée à 6 000 000 d'hommes, 2 000 000 d'hommes étant envoyés outre-mer. Le Rockefeller Institute for Medical Research a profité de ce nouveau pool de cobayes humains pour mener des expériences vaccinales. »

    «Pendant la Première Guerre mondiale, le Rockefeller Institute a également envoyé son sérum anti-méningococcique expérimental en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie et dans d'autres pays, contribuant ainsi à propager l'épidémie dans le monde.»

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  12. «Le Rockefeller Institute et son vaccin contre le méningocoque bactérien expérimental, contrairement à la mythologie admise, ont peut-être tué 50 à 100 millions de personnes en 1918-1919.»

    «Le vaccin antibactérien brut utilisé dans l'expérience de Fort Riley sur des soldats a été fabriqué sur des chevaux.»

    «Selon un article de l'Institut national de la santé de 2008, la pneumonie bactérienne a été le tueur dans au moins 92,7% des autopsies de la pandémie de 1918-1919 examinées.»

    «L'eau potable, l'assainissement, les toilettes à chasse d'eau, les aliments réfrigérés et une alimentation saine ont fait et font encore beaucoup plus pour protéger l'humanité contre les maladies infectieuses que n'importe quel programme de vaccination.

    «En 1918, l'industrie des vaccins a expérimenté sur des soldats… avec des résultats désastreux - mais en 2018, l'industrie des vaccins expérimente chaque jour des nourrissons. Le calendrier de vaccination n'a jamais été testé tel qu'il est administré. Les résultats de l’expérience sont les suivants: 1 enfant sur 7 entièrement vacciné aux États-Unis suit une forme d’éducation spéciale et plus de 50% souffrent d’une forme de maladie chronique. » La «grippe espagnole» a tué environ 50 à 100 millions de personnes lors d'une pandémie de 1918-1919. »

    Et si l’histoire qui nous a été racontée au sujet de cette pandémie n’était pas vraie? Et si, à la place, l'infection tueuse n'était ni d'origine grippale ni espagnole?

    Des documents récemment analysés révèlent que la «grippe espagnole» pourrait être une expérience de vaccination militaire qui a mal tourné.

    Résumé

    La raison pour laquelle la technologie moderne n'a pas été en mesure d'identifier la souche de grippe meurtrière de cette pandémie est que la grippe n'était pas le tueur.

    Plus de soldats sont morts pendant la Première Guerre mondiale de maladies que de balles.

    La pandémie n'était pas la grippe. On estime que 95% (ou plus) des décès ont été causés par une pneumonie bactérienne et non par un virus de la grippe.

    La pandémie n'était pas espagnole. Les premiers cas de pneumonie bactérienne en 1918 remontent aux bases militaires, le premier à Fort Riley, au Kansas.

    Du 21 janvier au 4 juin 1918, un vaccin expérimental contre la méningite bactérienne cultivé chez les chevaux par le Rockefeller Institute for Medical Research à New York a été injecté à des soldats à Fort Riley.

    Pendant le reste de 1918, alors que ces soldats - vivant et voyageant souvent dans de mauvaises conditions sanitaires - ont été envoyés en Europe pour se battre, ils ont propagé des bactéries à chaque arrêt entre le Kansas et les tranchées de première ligne en France.

    Une étude décrit des soldats «atteints d'infections actives (qui) pulvérisaient en aérosol les bactéries qui colonisaient leur nez et leur gorge, tandis que d'autres - souvent, dans les mêmes« espaces respiratoires »- étaient profondément susceptibles d'invasion et de propagation rapide par leurs poumons par leurs propres moyens. ou d'autres bactéries colonisatrices. " (1)

    La «grippe espagnole» a attaqué des personnes en bonne santé à leur apogée. La pneumonie bactérienne attaque les gens à leur apogée. La grippe attaque les jeunes, les vieux et les personnes immunodéprimées.

    À la fin de la Première Guerre mondiale, le 11 novembre 1918, les soldats sont retournés dans leur pays d'origine et leurs avant-postes coloniaux, propageant la pneumonie bactérienne meurtrière dans le monde entier.

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  13. Pendant la Première Guerre mondiale, le Rockefeller Institute a également envoyé son sérum anti-méningococcique expérimental en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie et dans d'autres pays, contribuant ainsi à propager l'épidémie dans le monde.

    Au cours de la pandémie de 1918-1919, la soi-disant «grippe espagnole» a tué entre 50 et 100 millions de personnes, dont de nombreux soldats.

    Beaucoup de gens ne réalisent pas que la maladie a tué beaucoup plus de soldats de tous côtés que les mitrailleuses ou le gaz moutarde ou tout autre élément typiquement associé à la Première Guerre mondiale.

    J'ai un lien personnel avec la grippe espagnole. Parmi les personnes tuées par la maladie en 1918-1919, il y a des membres de la famille de mes deux parents.

    Du côté de mon père, sa grand-mère Sadie Hoyt est décédée d’une pneumonie en 1918. Sadie était chef Yeoman dans la marine. Sa mort a laissé ma grand-mère Rosemary et sa sœur Anita être élevées par leur tante. La sœur de Sadie, Marian, a également rejoint la marine. Elle est décédée de «la grippe» en 1919.

    Du côté de ma mère, deux des sœurs de son père sont mortes dans l’enfance. Tous les membres de la famille décédés vivaient à New York.

    Je soupçonne que de nombreuses familles américaines et de nombreuses familles à travers le monde ont été touchées de manière similaire par la mystérieuse grippe espagnole.

    En 1918, «grippe» ou grippe était un terme fourre-tout pour une maladie d'origine inconnue. Il n’avait pas le sens précis qu’il a aujourd'hui.

    Cela signifiait une maladie mystérieuse qui est tombée du ciel. En fait, la grippe vient du latin médiéval «influent» au sens astrologique, c'est-à-dire une visite sous l'influence des étoiles.

    https://www.lewrockwell.com/2020/07/gary-g-kohls/the-true-story-of-the-1918-so-called-viral-influenza-pandemic/

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  14. Les masques faciaux nous transforment en soumis sans voix - et ce n'est pas la science qui nous oblige à les porter, c'est la politique


    Par Peter Hitchens
    Courrier quotidien
    20 juillet 2020


    Au nom de Covid, l’État s’est déjà plongé dans tous les recoins de notre existence.

    Cela s'est passé entre les maris et les femmes à la fin de leur vie. Il a interdit aux personnes âgées d'embrasser leurs petits-enfants.

    Il nous a refusé les funérailles et les mariages, verrouillé les églises, réduit au silence l'ancienne musique monastique des chœurs des cathédrales et empêché le libre culte de Dieu pour la première fois en 800 ans, et nous a interdit (à moins que nous ne soyons de gauche) de tenir ou d'assister réunions publiques.

    Il nous a ordonné de rester à la maison, réprimandé ou condamné à une amende pour avoir pris un bain de soleil, faire des randonnées à la campagne ou même pénétrer dans nos jardins avant.

    Il a forcé des millions d'entre nous à cesser de travailler, saboté les études - à l'école et à l'université - d'un nombre incalculable de jeunes et est devenu notre patron et notre payeur dans la plus grande prise de contrôle de la vie et du travail par l'État jamais tentée par les non-communistes.

    Bientôt, nous découvrirons qu'il a également détruit une économie déjà bancale et séparé un nombre incalculable d'entre nous des emplois et des entreprises que nous pensions sûrs. Bientôt aussi, elle nous séparera de nos économies, en punissant les impôts et l'inflation sauvage, pour payer le désastre qu'elle a causé.

    Maintenant, cela suppose de nous dire quoi porter. Et ce qu'il veut que nous portions, c'est un museau en tissu détrempé, une couche pour le visage qui transforme son porteur d'humain normal en un soumis marmonnant et sans bouche.

    Et cela, semble-t-il, est populaire. N'y a-t-il rien que les Britanniques modernes ne tolèrent pas ? La consommation de museau de la Grande-Bretagne est maintenant si élevée que dans six mois, il y aura des rapports de dauphins et de baleines pataugeant dans un océan rendu collant par des millions de gallons de désinfectant pour les mains, alors qu'ils s'étouffent sur des amas de muselières congelées. Ces articles devraient devenir les nouveaux sacs en plastique.

    Pourquoi cette frénésie a-t-elle lieu ?

    Voici un indice. Le 12 juillet, Deborah Cohen, la correspondante médicale du Newsnight de BBC2, a révélé une chose étonnante. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a inversé ses conseils sur les masques faciaux, de «ne pas les porter» à «ne pas les porter».

    Mais le fait essentiel était qu'il ne l'avait pas fait à cause d'informations scientifiques - les preuves n'avaient pas soutenu le port de couvre-visages - mais à cause du lobbying politique.

    Elle a révélé sur Twitter que: `` Diverses sources nous avaient dit [que] le comité de l'OMS qui examinait les preuves n'avait pas soutenu les masques, mais ils les avaient recommandés en raison du lobbying politique. '' Elle a déclaré que la BBC avait ensuite soumis cela à l'OMS, qui ne le nie pas.

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  15. En mars, l'OMS avait déclaré: `` Il n'y a actuellement aucune preuve que le port d'un masque (médical ou autre) par des personnes en bonne santé dans le cadre de la communauté au sens large, y compris le masquage universel de la communauté, peut les protéger contre l'infection par des virus respiratoires, y compris Covid -19. »

    La chaîne de télévision américaine CNN a rapporté le 31 mars que Mike Ryan, directeur exécutif du programme OMS sur les urgences sanitaires, avait déclaré lors d'un briefing à Genève: `` Il n'y a aucune preuve spécifique suggérant que le port de masques par la population de masse ait une quelconque avantage potentiel.

    «En fait, il existe des preuves qui suggèrent le contraire dans l’utilisation abusive du port du masque ou de son ajustement correct.»

    Il y a quelques semaines, l'OMS a changé d'avis pour dire qu'elle «conseille aux gouvernements d'encourager le grand public à porter des masques là où la transmission est répandue et où la distance physique est difficile, comme dans les transports publics, dans les magasins ou dans d'autres espaces confinés ou surpeuplés. environnements.'

    Plus tôt ce même mois, le médecin-chef de l’Angleterre, Chris Whitty, avait déclaré que le port de masques ne ferait pas grand-chose pour lutter contre l’épidémie.

    Tout en notant que si une personne était infectée, elle pourrait réduire le risque de propagation de la maladie en se couvrant le visage, le professeur Whitty a déclaré que le port d'un masque facial n'avait presque aucun effet sur la réduction du risque de contracter la maladie.

    Il a déclaré: «En ce qui concerne le port d'un masque, notre conseil est clair: que le port d'un masque si vous n'avez pas d'infection réduit le risque presque pas du tout. Nous ne le conseillons donc pas. »

    https://www.lewrockwell.com/2020/07/no_author/face-masks-turn-us-into-voiceless-submissives-and-its-not-science-forcing-us-to-wear-them-its-politics/

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  16. Preuve concluante - Les masques n'empêchent pas la propagation virale


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    20 juillet 2020


    Denis Rancourt, Ph.D., ancien professeur titulaire de physique, est chercheur à l'Association des libertés civiles de l'Ontario au Canada. Il occupe ce poste de bénévole depuis 2014, ce qui lui a permis de creuser des questions scientifiques qui ont un impact sur les droits civils. Il a également effectué un travail postdoctoral en chimie.

    Ici, nous discutons du sujet controversé des masques faciaux. Devriez-vous en porter un ? Quand et où ? Cela vous protège-t-il ou non ? Il existe un large éventail d'opinions à ce sujet, même au sein de la communauté de la santé naturelle.

    Au début de la pandémie COVID-19, j'ai approuvé l'utilisation de masques faciaux basés sur l'expérience de certains pays d'Europe de l'Est. La justification de cela semblait logique à l'époque. Depuis, cependant, j’ai commencé à remettre en question leur utilisation.

    Malheureusement, la propagande et les ordres gouvernementaux dominants dans de nombreux États ces dernières semaines sont revenus au port de masque à peu près partout. Vous n'êtes pas autorisé à entrer dans les magasins; vous ne pouvez pas voler ou prendre un taxi, Uber ou Lyft sans un; vous devez en porter un partout où vous allez, même à l’extérieur, et si vous n’êtes pas vilipendé, parfois agressivement attaqué.

    AUCUNE de ces études bien conçues qui visent à éliminer les biais d'observation n'a trouvé un avantage statistiquement significatif à porter un masque par rapport à ne pas porter de masque.
    Il n'y a pas de support scientifique pour le port de masque

    L’enquête de Rancourt sur le port du masque faisait partie de ses recherches pour l’Ontario Civil Liberties Association. Il a effectué une étude approfondie de la littérature scientifique sur les masques, en se concentrant sur les preuves montrant que les masques peuvent réduire le risque d'infection, en particulier les maladies respiratoires virales.

    «Ce que j'ai trouvé en examinant tous les essais contrôlés randomisés avec un résultat vérifié, ce qui signifie que vous mesurez réellement si la personne était infectée ou non… AUCUNE de ces études bien conçues qui visent à éliminer le biais d'observation… a trouvé qu'il y avait un avantage de porter un masque par rapport à ne pas porter de masque.

    De même, il n'y avait aucune différence détectable entre les respirateurs et les masques chirurgicaux. C'était pour moi un signe clair que la science nous disait qu'ils ne pouvaient pas détecter une utilité positive des masques dans cette application.

    Nous parlons de nombreux essais de très haute qualité. Cela signifie - et c'est très important - que s'il y avait un avantage significatif à porter un masque pour réduire ce risque [d'infection], alors vous auriez détecté que dans au moins un de ces essais, [pourtant] il n'y a aucun signe de celui-ci.

    C'est pour moi une conclusion scientifique ferme: il n'y a aucune preuve que les masques sont utiles pour empêcher les particules d'aérosol de sortir ou d'entrer. Vous n'aidez pas les gens autour de vous en portant un masque, et vous ne pas vous aider à prévenir la maladie en portant un masque.

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  17. Cette science est sans ambiguïté dans la mesure où un tel effet positif ne peut être détecté. Donc, c'est la première chose que j'ai rendue publique. J'ai écrit une grande revue1,2 de la littérature scientifique à ce sujet.

    Mais ensuite je me suis demandé, en tant que physicien et en tant que scientifique, pourquoi cela serait-il ? Pourquoi les masques ne fonctionneraient-ils pas du tout ? Et donc, j'ai examiné la biologie et la physique de la transmission de ces maladies.

    L'importance des statistiques de mortalité toutes causes

    Lorsque vous essayez de déterminer si une intervention fonctionne ou non contre le COVID-19, il est important de regarder les statistiques de décès. Le nombre de décès est vraiment ce qui est important, pas le nombre de personnes infectées, car beaucoup ne présentent même pas de symptômes.

    Le problème est que l'attribution de la cause du décès dans une situation où une infection virale accable le système immunitaire et est confondue par des comorbidités est une affaire délicate. Comme l'a noté Rancourt, les épidémiologistes savent depuis longtemps que vous ne pouvez pas attribuer de manière fiable la cause du décès lors d'une pandémie virale comme celle-ci. Il y a un biais énorme impliqué.

    Pour contourner ces problèmes, vous devez considérer la mortalité toutes causes confondues. La raison en est que les données de mortalité toutes causes ne sont pas affectées par le biais de déclaration.

    Ainsi, Rancourt a fait une étude détaillée des données actuelles de mortalité toutes causes, montrant que la mortalité toutes causes de l'hiver dernier n'était pas différente, statistiquement, des décennies précédentes. En d'autres termes, COVID-19 n'est pas une maladie mortelle, et cette pandémie n'a rien apporté d'extraordinaire en termes de nombre de morts.

    Les ordonnances de verrouillage du gouvernement ont alimenté le nombre de morts

    Il a publié ces données dans l'article 3 «Toutes causes de mortalité pendant le COVID-19: pas de peste et une signature probable d'homicide de masse par la réponse du gouvernement». Rancourt explique:

    «Il s'avère que ces courbes, qui montrent les décès dus au fardeau hivernal sous forme de bosses chaque hiver, certaines d'entre elles, dans certaines juridictions, ont un pic très net supplémentaire. Cela ne représente pas… un nombre énorme de décès par rapport au fardeau hivernal total parce que c'est un pic très fort, mais c'est un pic anormal. Ce n’est pas un pic naturel.

    Et c'est arrivé dans une coïncidence exacte et dans le temps partout. Dans toutes les juridictions qui voient ce pic anormal et artificiel… le pic a commencé exactement au moment où la pandémie a été déclarée par l'Organisation mondiale de la santé. Et l'Organisation mondiale de la santé à l'époque recommandait aux États de préparer leurs hôpitaux à un afflux massif de personnes souffrant de maladies graves.

    Ainsi, la réponse du gouvernement à cette recommandation de l'Organisation mondiale de la santé est ce qui a tué des gens, ce qui a accéléré les décès. Vous pouvez voir cela dans les données, et vous pouvez également le comprendre en termes de la façon dont les personnes immuno-vulnérables sont affectées par ce type de maladies.

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  18. Ce qu'ils ont fait, c'est qu'ils ont fermé les gens dans leurs lieux de résidence institutionnels, ils n'ont pas autorisé les visiteurs. Ainsi, ils ont isolé les parties les plus vulnérables de la société qui avaient déjà des conditions de comorbidité et qui étaient dans un état fragile.

    Ainsi, ils ont veillé à ce que de nombreuses personnes enfermées dans ces établissements mourraient de ce virus saisonnier particulier qui cause la maladie respiratoire.

    Mais le virus lui-même n'est pas plus virulent que les autres virus. Le nombre total de décès dus à la charge hivernale n'est pas plus élevé, mais il y a une signature d'une caractéristique nette qui dure toute la largeur à mi-hauteur. Cette fonctionnalité dure trois, quatre ou cinq semaines, ce qui est extraordinairement rapide, jamais vu auparavant. Et cela arrive très tard dans la saison des charges hivernales.

    Un pic comme celui-ci n’a jamais été vu aussi tard dans la saison auparavant, et il se produit [de manière synchronisée] partout, sur tous les continents, en même temps dans l’immédiateté directe après la déclaration de la pandémie. À mes yeux, il ne fait aucun doute qu'il y a eu une accélération des décès de personnes vulnérables en raison des réponses du gouvernement…

    Ce qui compte vraiment, ce sont les données concrètes, et les données concrètes sont la mortalité toutes causes dans toutes les juridictions que vous souhaitez examiner. Et cela n'a pas été anormal, statistiquement parlant, peu importe comment vous le découpez.

    Les deux graphiques ci-dessous montrent le nombre de décès toutes causes confondues de 1972 à 1993, et de 2014 jusqu'à aujourd'hui en 2020.

    - voir sur site -

    Pourquoi la réponse du gouvernement a été mal avisée

    Rancourt continue de qualifier certaines de ces données en fonction du mécanisme de transmission virale, ce qui permet également d'expliquer pourquoi les réponses du gouvernement ont été mal avisées, car elles aggravent la transmission plutôt que de l'inhiber. Les maladies respiratoires infectieuses se propagent principalement par de très fines particules d'aérosol qui sont en suspension dans l'air.

    «Nous parlons de la fraction de petite taille des aérosols, donc généralement inférieure à 2 micromètres», explique Rancourt. «Il y a des gouttelettes d'eau qui portent ces virions, les particules virales, et il peut y avoir des dizaines ou des centaines de ces virions par très petite gouttelette de cette taille.

    Ce sont les gouttelettes dont nous parlons. Lorsque vous arrivez à ces tailles, la sortie gravitationnelle est très inefficace et elles restent essentiellement en suspension. Et, dès que vous avez des courants ou un flux d'air, [les particules] sont transportées. "

    Les particules d'aérosol restent en suspension lorsque l'humidité absolue est faible. C'est pourquoi des épidémies de grippe surviennent pendant l'hiver. Une fois que l'humidité absolue augmente, les particules d'aérosol deviennent instables. Ils s'agglomèrent, tombent en suspension et cessent d'être transmissibles. «C'est bien connu», dit Rancourt. "Il est connu depuis une décennie. Cela a été extrêmement bien démontré par les meilleurs scientifiques. "

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  19. La bande de latitude moyenne est l'endroit où vous trouvez le temps sec et la température idéale pour transmettre les maladies respiratoires virales. Les infections virales se propagent généralement pendant l'hiver dans l'hémisphère nord et en été dans l'hémisphère sud.

    «Vous le voyez dans les deux hémisphères, mais inversé», dit Rancourt. «C'est pourquoi, lorsque vous descendez vers l'équateur, la transmission baisse. Vous n'obtenez pas de transmission.

    De même, si vous allez trop loin au nord, il ne transmet pas non plus, ce qui n'est pas bien compris. Je suis un expert des nanoparticules environnementales et de la façon dont elles se chargent et de ce qu'elles font. J'ai donc quelques idées sur la raison de cela, mais cela n'a pas été étudié en détail.

    Le fait est que la bande de transmission est très étroite. C’est à travers l’Europe et l’Amérique du Nord que les températures se situent entre 0 et 10 degrés Celsius environ et que l’humidité absolue est faible. C’est là que ces particules d’aérosol, vecteur de transmission, sont complètement suspendues dans le cadre de l’air fluide.

    Ils font vraiment partie de l'air fluide, donc tout air qui passe, [les particules virales vont aussi] passer. C’est pourquoi les masques ne fonctionnent pas. Et ces particules sont en suspension dans l'air et se retrouvent piégées à l'intérieur.

    C’est pourquoi les centres où vous avez des malades et où vous ne contrôlez pas l’air sont des centres de transmission. Nous parlons de maisons de personnes âgées, d’hôpitaux et même de maisons de personnes. Toute cette classe de maladies, c'est ainsi qu'elles se transmettent. "

    Pourquoi les masques sont utilisés pendant la chirurgie

    - voir clip sur site -

    Beaucoup croient fermement que le port d'un masque en public se protégera eux-mêmes et / ou les autres, et l'une des raisons en est qu'ils semblent fonctionner dans certaines circonstances, comme les salles d'opération. S'ils ne travaillent pas, pourquoi le personnel chirurgical et de nombreux agents de santé les utilisent-ils régulièrement ?

    Comme l'explique Rancourt, la raison pour laquelle les masques chirurgicaux sont portés dans la salle d'opération est d'empêcher les crachats de tomber accidentellement dans une plaie ouverte, ce qui pourrait entraîner une infection. Les masques chirurgicaux se sont révélés importants à cet égard.

    Cependant, empêcher les microbes et les bactéries de tomber dans une plaie ouverte est très différent de prévenir la propagation de particules virales. Non seulement les virus sont beaucoup plus petits que les bactéries et de nombreux autres microbes présents dans la salive, mais ils sont, encore une fois, en suspension dans l'air. Ils sont en aérosol et font partie de l’air fluide. Par conséquent, si l'air peut pénétrer dans le masque, ces particules d'aérosol peuvent également passer.

    «Les meilleurs essais contrôlés randomisés avec des résultats vérifiés - en d'autres termes, les seules études scientifiquement conçues qui éliminent les biais d'observation et qui sont valides et rigoureuses - sont [réalisées] dans des environnements cliniques.

    Ainsi, ils examinent les travailleurs de la santé qui traitent des personnes potentiellement atteintes d'une infection respiratoire virale, ou traitent des personnes dont ils savent qu'elles sont atteintes et ils font quelque chose qui générera potentiellement beaucoup de particules d'aérosol par le traitement. De très nombreux essais ont été réalisés dans cet environnement et aucun d'entre eux ne trouve d'avantage pour les agents de santé », dit Rancourt.

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  20. Le port du masque ne protège pas non plus les autres

    La vidéo ci-dessous est de Patrick Bet David, qui a une chaîne YouTube très populaire que j'aime regarder. Son message ci-dessous est décomposé en termes très simples et il présente des arguments valables et de bonnes questions. Je vous encourage à le visionner si vous croyez au port de masques.

    - voir clip sur site -

    Maintenant, une vue est que, même si un masque ne protège pas le porteur contre une infection, il protégera toujours les autres avec lesquels le porteur du masque entre en contact. Mais ce n’est pas ce que montre la science. Le résultat mesuré dans les études les plus rigoureuses à ce sujet est le taux d'infection. Quelqu'un a-t-il été infecté ?

    Des comparaisons sont faites entre les agents de santé portant des masques, des respirateurs ou rien du tout. Bien que cela ne vous permette pas de discerner qui est protégé - le porteur du masque ou d'autres personnes - les études montrent que le port du masque ne le fait pas non plus.

    Étant donné que tout le monde est à proximité les uns des autres et qu'aucune différence dans les taux d'infection n'est trouvée quel que soit le type de masque porté, ou pas du tout, cela nous dit que le port d'un masque ne protège personne des infections virales.

    «Cela ne fait aucune différence si tout le monde dans votre équipe porte un masque; cela ne fait aucune différence si l’un l’est et d’autres pas », dit Rancourt. «Porter un masque ou être dans un environnement où les masques sont portés ou non, il n'y a pas de différence en termes de risque d'être infecté par la maladie respiratoire virale.

    Il n'y a pas de réduction, point final. Il n'y a pas d'exceptions. Toutes les études qui ont été tabulées, examinées, publiées, je n'ai pas pu trouver d'exceptions, si vous vous limitez à des résultats vérifiés. "

    De plus, les résultats sont les mêmes pour les respirateurs N95 et les masques chirurgicaux. Les respirateurs n'offrent aucun avantage protecteur en ce qui concerne les infections virales.

    «Dans l'un des essais contrôlés randomisés, un grand qui a comparé les masques et les respirateurs N95 parmi les travailleurs de la santé, le seul résultat statistiquement significatif qu'ils ont découvert et rapporté est que les travailleurs de la santé qui portaient les respirateurs N95 étaient beaucoup plus susceptibles de souffrir des maux de tête », dit Rancourt.

    "Maintenant, si vous avez un tas de travailleurs de la santé que vous forcez à avoir des maux de tête, à quel point les soins de santé seront-ils bons ?"

    Pourquoi les masques ne préviennent pas les infections virales

    Comme l'a noté Rancourt, il est important de séparer les découvertes scientifiques des mécanismes possibles qui pourraient expliquer un certain résultat. Des études ont démontré que les masques n'empêchent pas les infections virales. Pourquoi, c'est une autre question.

    "Je pense qu'il est important de reconnaître que, quelle que soit l'intelligence de votre explication, elle n'est peut-être pas juste", dit-il. Cela dit, une explication de bon sens avancée par Rancourt est que les masques ne fonctionnent pas pour cette application pour le simple fait qu'ils permettent la circulation de l'air:

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  21. «Je suis arrivé à la conclusion que le vecteur de transmission le plus important est ces fines particules d’aérosol. Ces fines particules d'aérosol suivront l'air fluide. Dans un masque chirurgical, il n'y a aucun moyen de bloquer l'air fluide. Lorsque vous respirez en portant un masque chirurgical, l'impédance la plus basse du flux d'air passe par les côtés et le haut et le bas du masque.

    En d'autres termes, très peu de flux d'air passera à travers le masque réel. Le masque est uniquement conçu et destiné à empêcher vos spitballs de sortir et de frapper quelqu'un… Si le flux d'air passe par les côtés, quelles que soient les molécules ou petites particules transportées dans l'air, elles vont également s'écouler de cette façon, et c'est comment vous êtes infecté.

    Si vous n’empêchez pas [les particules virales] d’entrer, vous ne les empêchez pas non plus de sortir. Ils suivent le flux, point final. C'est comme ça. C’est pourquoi il existe une équivalence entre «Cela ne vous protège pas et cela ne protège personne d’autre non plus.» »

    Ironiquement, certains masques sont même conçus avec des évents, pour faciliter la respiration, ce qui annule complètement l'affirmation selon laquelle les porteurs de masques en protègent les autres.

    Pourquoi les masques n'ont aucun impact sur la charge virale

    Rancourt rejette également l'argument selon lequel les masques peuvent réduire la charge virale totale en attrapant votre salive. La théorie est qu'en minimisant la charge virale à laquelle une personne est exposée, ses chances de voir l'infection s'installer sont minimisées.

    «Les grosses gouttelettes tombent immédiatement sur le sol et ne sont pas inspirées. Elles ne font donc pas partie du mécanisme de transmission. Vous pouvez faire une étude scientifique qui démontre que les virus survivent assez longtemps sur une surface… On les appelle les fomites, ces surfaces où les virus peuvent vivre et rester actifs.

    Cela ne signifie pas que la transmission se produit à travers les surfaces. Cela signifie seulement qu'un scientifique a pu établir qu'un virus peut survivre longtemps sur une surface. Il ne vous dit rien sur le mécanisme de transmission probable de la maladie. Donc, il y a beaucoup d'études comme celle-ci qui ne sont fondamentalement pas pertinentes en termes de mécanisme de transmission.

    [Les maladies respiratoires infectieuses] sont transmises par ces fines particules d'aérosol qui sont en suspension dans l'air. Dans un cas comme celui-là, est-ce qu'un masque, est-ce que quelque chose qui empêche les spitballs de sortir, vous protégera ou protégera les autres? Et la réponse est non, cela ne fait aucune différence mesurable.

    Il existe de nombreuses études qui montrent à quel point il est difficile d’infecter une personne lorsque vous essayez simplement de mettre quelque chose comme un liquide ou quelque chose dont vous savez qu'il contient le virus dans son œil ou dans son nez. C’est difficile à faire. C’est ce que montrent les études.

    Mais si vous prenez un aérosol fin et que vous l'inspirez profondément, c'est là que l'infection commence et c'est là que le virus a évolué pour être le plus efficace. Ainsi, en respirant des aérosols chargés de ces virus, vous allez être infecté. Essayez de faire autre chose, et il sera difficile [de propager l’infection].

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  22. L'essai contrôlé randomisé le plus récent [publié] cette année a essentiellement conclu qu'ils ne pouvaient trouver aucune preuve que les masques, le lavage des mains et l'éloignement, en termes de réduction du risque de ces types de maladies, étaient utiles. [Ils] n'ont pas aidé.

    Il y a donc cette dissonance entre ce que la science vous dit réellement lorsque vous mesurez correctement et ce que les autorités sanitaires vous disent de faire. Ils veulent que vous soyez convaincu que vous êtes dans cet environnement dangereux et que si vous suivez leurs directives, vous serez en sécurité.

    Leur but est de contrôler votre vie et de vous donner des directives, et vous allez l’accepter. C’est une partie de leur façon de vous convaincre que vous avez absolument besoin de l’État pour vous sauver la vie. Je pense que c’est ce qui se passe. »

    Le port du masque n'est pas sans risques

    - voir clip sur site -

    Nous avons déjà mentionné que certains masques peuvent augmenter vos risques de maux de tête. D'autres pensent que les masques peuvent réduire la pression partielle d'oxygène, ce qui pourrait entraîner de graves problèmes de santé. Dans la vidéo ci-dessus, Peggy Hall avec TheHealthyAmerican.org affirme que certains masques peuvent entraîner de faibles niveaux d'oxygène, violant ainsi les règles de l'OSHA sur les besoins en oxygène.

    «Le port de masques comporte de nombreux dangers reconnus», dit Rancourt. «L'Organisation mondiale de la santé, dans sa note du 5 juin 4, où elle a inversé sa position et a décidé que c'était une bonne idée de recommander l'utilisation du masque à la population générale, dans ce document, elle dit en fait que vous devez tenir compte des dommages potentiels, et ils énumèrent ce qu'ils considèrent comme tous les dommages potentiels.

    Ils ont beaucoup manqué. Mais l'un des meilleurs est que vous concentrez le matériau chargé d'agents pathogènes sur ce matériau près de votre visage, de votre nez, de vos yeux, etc. Et vous touchez le masque tout le temps, vous vous touchez, vous touchez les autres.

    Ce n'est pas un environnement clinique contrôlé, il y a donc un potentiel de transmission de cette façon. Vous pouvez porter le masque plus d'une fois, vous pouvez le ranger à la maison, puis le porter à nouveau. Vous pourriez faire toutes sortes de choses ...

    Ce que je trouve extraordinaire, c'est qu'ils ont également une liste de ce qu'ils appellent des avantages potentiels. Et quand je compare les deux listes, les dangers potentiels l'emportent largement sur les avantages potentiels. Alors, vous devez vous demander, qu'est-ce que vous faites ?

    Comment pouvez-vous faire ces deux colonnes et comparer les avantages et les inconvénients et faire en sorte que l'un l'emporte clairement sur l'autre et ensuite conclure que nous recommandons donc les masques ? C'est juste un non-sens. C’est irrationnel. Donc, mon association a ajouté notre liste5 de choses qu’ils ne considéraient même pas.

    Nous avons également abordé l'aspect des libertés civiles, car je pense que c'est très important. L’un des aspects fondamentaux d’une société libre et démocratique est que l’individu a le droit d’évaluer le risque qu’il encourt lorsqu’il agit dans le monde. »

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  23. Comme l'a noté Rancourt, l'évaluation des risques est une chose très personnelle. Cela implique votre personnalité, votre jugement, vos connaissances, votre expérience et votre culture. C’est une chose très personnelle que vous avez le droit de faire vous-même. Si l'État vous oblige à accepter son évaluation du risque, alors ce précepte fondamental est violé. Pire encore, ils vous forcent actuellement à accepter une évaluation des risques qui ne peut être scientifiquement justifiée.

    Les mandats de masques indiquent une montée du totalitarisme

    Dans sa lettre6 à l'OMS, l'Association des libertés civiles de l'Ontario a également abordé la question des mandats de masque en tant qu'instrument du totalitarisme.

    «Dans notre lettre, nous l'exprimons ainsi. Il y a une étude scientifique récente7 qui a été publiée en 2019. Le premier auteur est le directeur exécutif de l'Association des libertés civiles de l'Ontario pour laquelle je fais des recherches, et il est également physicien. Il a écrit un article avec un autre physicien.

    Ils se sont penchés sur les conditions dans lesquelles une société se dégrade progressivement vers un État plus totalitaire. Ce qu'ils ont découvert, c'est qu'il y avait deux paramètres de contrôle majeurs qui caractérisent la société et qui vous diront si cela est susceptible de se produire ou non.

    L'un de ces paramètres de contrôle est l'autoritarisme dans la société. Ce qu'ils veulent dire par là, c'est dans quelle mesure un individu peut-il réussir à refuser quelque chose, comme refuser de porter un masque s'il protestait? Quelle est la chance qu'ils réussiront s'ils refusent? Cela serait lié au degré d'autoritarisme.

    L'autre paramètre important est le degré de violence dans la société. Quelle est la violence de la répression si vous désobéissez? Alors, quelle est la taille de l'amende? Pouvez-vous aller en prison? À quelle peine serez-vous soumis si vous désobéissez à une règle particulière, par exemple, le port d'un masque?

    Ces deux paramètres, ils ont pu établir ce que nous appelons un diagramme de phase des sociétés… Et ce qu'ils ont trouvé, c'est que dans la société actuelle, si vous estimez la valeur moyenne de ces deux paramètres pour les États-Unis ou le Canada, nous sommes dans un état actuel où la société évolue très progressivement vers le totalitarisme.

    La façon de ralentir cela et de l'empêcher est que les gens s'y opposent et les réduisent. Dès que vous êtes d'accord avec un ordre irrationnel, un commandement irrationnel qui n'est pas fondé sur la science, alors vous ne faites rien pour ramener la société vers la société libre et démocratique que nous devrions avoir. Vous autorisez cette lente marche vers le totalitarisme. C’est ainsi que j’expliquerais l’importance de s’opposer à cela. »

    Les mandats de masque permettent au gouvernement de se soustraire à sa responsabilité

    Rancourt souligne également que lorsque le gouvernement et les établissements de santé convainquent les gens que les masques sont la solution, ils suppriment efficacement leur devoir de diligence envers vous, car ils disent que tout ce que vous devez faire est de porter un masque. Cela leur permet d'éviter la responsabilité de prévenir réellement la transmission dans les principaux centres de transmission, tels que les hôpitaux, les maisons de soins infirmiers et ailleurs8.

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  24. «Nous n’avons pas à gérer l’air de manière à ce que les personnes immunodéprimées de cet établissement ne risquent pas de mourir, etc. Ils suppriment leurs obligations de diligence en disant: «Eh bien, nous n'allons tout simplement pas autoriser les visiteurs, et nous allons forcer tout le monde à porter des masques.»

    Vous devez regarder, scientifiquement, ce qui se passe ici. Pourquoi les gens sont-ils à risque ? À quoi est due la vulnérabilité immunitaire ? Que peux-tu y faire ? Et puis vous devez faire quelque chose à ce sujet si vous êtes sérieux au sujet de votre devoir de diligence envers ces personnes. Cela a donc pour effet secondaire de les laisser s'en tirer sans prendre soin des personnes dont ils sont responsables. »

    Les appels à la désobéissance civile pacifique se multiplient

    L'Ontario Civil Liberties Association a publié un communiqué de presse9 appelant à une désobéissance civile pacifique contre le masquage obligatoire. L'organisation à but non lucratif américaine Stand for Health Freedom appelle également à la désobéissance civile et dispose d'un widget que vous pouvez utiliser pour contacter les représentants de votre gouvernement afin de leur faire savoir que le port d'un masque doit être un choix personnel.

    «Dans la note qui a été publiée, nous expliquons comment réaliser au mieux cette désobéissance civile. Nous vous expliquons que vous devez être calme et confiant, ne pas vous disputer et ne pas essayer de convaincre les autorités.

    Exprimez simplement votre désobéissance à cette règle. Et puis nous expliquons qu'ils peuvent vouloir vous empiéter, ils peuvent vouloir vous donner une amende, que vous pouvez vous attendre à vous battre contre cette amende devant les tribunaux. Nous suivons les étapes pour que les gens puissent visualiser comment faire cela.

    Nous expliquons que certains de leurs acheteurs ou citoyens de base seront en colère et agressifs, et ne pas se battre et ne pas entrer dans une guerre des mots. N'essayez pas de les convaincre. Tenez-vous simplement au fait que vous n'allez pas vous y conformer. Soyez très calme. Ce genre de désobéissance civile a réussi à plusieurs reprises dans l'histoire de l'Amérique du Nord.

    Il y a des risques, mais cela vaut souvent la peine pour l'individu d'avoir cette désobéissance civile parce qu'il y a beaucoup d'individus qui ne savent pas quoi faire et qui sont très en colère parce qu'ils sont obligés de porter des masques et qu'ils considèrent cela comme absurde. et une contrainte. Donc, nous essayons de leur donner une vue d'un lieu sur la façon de résister à cela ...

    Nous recommandons également aux personnes qui pratiquent ce type de désobéissance civile de ne pas être isolées, d’essayer de former un groupe de soutien local et de ne pas le faire seules. Essayez d'amener au moins une personne, un partisan, avec eux. Enregistrez l'interaction avec les autorités et faites un rapport sur les réseaux sociaux et à leurs groupes avec des détails sur ce qui s'est passé, etc.

    Nous espérons créer une sorte de message plus fluide que beaucoup de gens, ou du moins certaines personnes, ne croient pas cette histoire de masque et ne croient pas qu'ils sont en danger et sont prêts à pratiquer la désobéissance civile pour faire valoir ce point. »

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  25. Sources and References

    1 Vixra.org June 5, 2020
    2 COVID Censorship at ResearchGate: Things Scientists Cannot Say
    3 Technical Report June 2020 DOI: 10.13140/RG.2.24350.77125
    4 WHO.int, Advice on the use of masks in the context of COVID-19 June 5, 2020 (PDF)
    5, 6 OCLA.ca June 21, 2020
    7 PLOS ONE January 29, 2019 DOI: 10.1371/journal.pone.0211403
    8 Clinical Infectious Diseases July 6, 2020; ciaa939
    9 Ontario Civil Liberties Association Press release: Civil disobedience against mandatory masking (PDF)

    https://www.lewrockwell.com/2020/07/joseph-mercola/conclusive-proof-masks-do-not-inhibit-viral-spread/

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    1. Il y a des centaines, des milliers de virus qui se promènent dans l'air tous les jours. Le corona en fait partie et, comme les autres suis les flux d'air. Une personne qui marche produit un déplacement d'air, comme les voitures ou les climatiseurs/ventilateurs. Ces virus s'accrochent dans les cheveux, aux vêtements et vont de l'extérieur à l'intérieur des maisons.

      Et, comme PERSONNE ne porte un masque N95 ou FFP2 24/24 h ainsi que des lunettes fermées...

      Ces virus sont généralement (à 99,99 %) combattus et éliminés par votre organisme sans créer de soucis, d'autres sont plus ou moins résistants et nécessitent l'apport de remèdes.

      Tout autres masques (FFP1, 'chirurgicaux' ou 'faits-maisons' sont des masques inutiles ou les virus entrent et sortent par milliers !

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  26. LA DEMANDE MONDIALE EXPLOSE, LES FABRICANTS DE GANTS SE FROTTENT LES MAINS


    par ANTON KUNIN
    20/07/2020


    Entre le 1er avril et le 20 juillet 2020, le titre du fabricant de
    gants Supermax s'est apprécié de 1142 %.

    Avec l’épidémie de Covid-19, la consommation de gants en caoutchouc a explosé. En Malaisie, où sont produits 65% des gants que l’on trouve sur le marché mondial, leurs fabricants ont vu leurs titres en Bourse s’envoler de plusieurs centaines de pourcents.

    En Malaisie, 1 euro sur 10 est désormais investi dans la fabrication de gants
    Lorsque l’ampleur de l’épidémie de Covid-19 est devenu claire, de nombreux secteurs ont chuté en Bourse (avant de se prendre quelque peu certes). Mais il y a un secteur qui n’a pas connu de chute du tout. Mieux encore, les cours de ses actions ont connu une envolée vertigineuse de plusieurs centaines de pourcents : on parle bien des fabricants de gants médicaux.

    En Malaisie, où sont produits 65 % des gants vendus dans le monde, les fabricants de gants cotés en Bourse sont nombreux, et ils ont tous vu les cours de leurs titres s’envoler. Entre le 1er avril (soit peu ou prou l’époque où les titres des fabricants de gants ont entamé leur ascension) et le 20 juillet 2020, les actions Hartalega se sont appréciées de 263 %, celles de Kossan de 280 %, celles de Top Glove de 360 %, celles de Comfort Gloves de 520, celles de Careplus Group de 714 et celles de Supermax de… 1142 % ! Ainsi, en Malaisie, la capitalisation du secteur atteint désormais l’équivalent de 33,6 millions d’euros. En d’autres mots, 1 euro sur 10 y est désormais investi dans les fabricants de gants.

    Le marché des gants en caoutchoc devraient croître encore

    Selon les chiffres de l’Association des fabricants de gants en caoutchouc de Malaisie, en 2019 ce pays a exporté 182 milliards de gants en caoutchouc, pour l’équivalent de 3,76 milliards d’euros. Et d’après les estimations de l’association, en 2020 les exportations devraient atteindre 240 milliards d’unités.

    Preuve de leur « poids » dans l’économie nationale, les fabricants de gants Top Glove et Hartalega font déjà partie de l’indice MSCI Malaysia (7,61% et 6,23% respectivement). Et Supermax et Kossan devraient les y rejoindre fin juillet 2020. Rappelons que la présence pour une société à l’indice MSCI de son pays démultiplie pour elle les chances d’engranger des capitaux étrangers. Cela, parce qu’au-delà de leur marché domestique, de l’Europe et des États-Unis, les plus grands investisseurs (que sont les fonds de pension et les banques d’investissement) investissent principalement via l’achat de fonds indiciels MSCI.

    http://www.economiematin.fr/news-fabricants-gants-malaisie-bourse-hausse

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