jeudi 16 juillet 2020
Suivez-moi bien puisqu'il y a un énonçé qui me paraît questionnable et très inquiétant dans le rapport que je vais vous introduire à l'instant. Cet énonçé, même dans son contexte le plus stricte, me renvoie à une récente et terrifiante affirmation de Bill Gates:
Le premier rapport du GPMB (Global Preparedness Monitoring Board) a été publié en septembre 2019, et il est intitulé "A World at risk: Annual report on global preparedness for health emergencies".
https://apps.who.int/gpmb/assets/annual_report/GPMB_annualreport_2019.pdf
Le Conseil mondial de surveillance de la préparation (GPMB), organisme de surveillance et de défense des droits, a été créé en mai 2018 par le Groupe de la Banque mondiale et l’Organisation mondiale de la santé. Dans son rapport "A World at risk", le comité de 15 experts, composé de dirigeants politiques, de chefs d’agences et d’experts, dont fait partie Anthony Fauci (responsable de la gestion du coronavirus aux Etats-Unis), avertit que le monde n'est pas préparé à une « pandémie aéroportée en évolution rapide qui pourrait tuer jusqu’à 80 millions de personnes, perturber les économies et créer le chaos social ». Leurs recommandations exhortent les dirigeants internationaux et nationaux à prendre « des mesures immédiates, énergiques et audacieuses pour se préparer à toutes les urgences sanitaires ».
Parmi les donateurs du CPMB se trouvent la Fondation Bill et Melinda Gates, le Wellcome Trust, le Resolve to Save Lives et le gouvernement d'Allemagne. L'Université John Hopkins, l'Université Oxford et la Croix-Rouge sont parmi les organisations qui ont contribué au comité et à la rédaction du rapport.
Les grandes orientations du Conseil mondial (GPMB) sont les suivantes :
voir clip sur site:
https://www.youtube.com/watch?time_continue=6&v=AKqk8HiPOPQ&feature=emb_logo
• évaluer la capacité du monde à se protéger contre les situations d’urgence sanitaire ;
• déterminer les lacunes critiques en matière de préparation, en se plaçant de plusieurs points de vue ;
• plaider en faveur des activités de préparation auprès des responsables et des décideurs nationaux et internationaux.
Les messages clés du rapport sont les suivants :
– Notre monde est à risque aigu d’épidémies ou de pandémies potentiellement dévastatrices qui non seulement causeraient d’énormes pertes en vies, mais perturberaient considérablement les économies et créeraient le chaos social.
– Les dirigeants sont responsables de la protection de la sécurité de leur peuple, y compris de la sécurité sanitaire, mais à maintes reprises, les dirigeants mondiaux n’ont pas respecté les engagements en matière de préparation.
– Le monde dispose de nombreux outils collectifs pour prévenir et se préparer à une épidémie, mais les efforts actuels sont nettement insuffisants et le besoin de nouveaux vaccins et médicaments est essentiel.
Tout au long du rapport, les experts identifient des objectifs à atteindre et des indicateurs de progrès qui ont été fixés à septembre 2020, échéancier pour mesurer l'évolution ou l'atteinte des cibles qui ont été fixées.
Maintenant, voici les indicateurs de progrès dont l'échéancier est fixé à SEPTEMBRE 2020, concernant l'objectif: "Les Nations Unies doivent renforcer les mécanismes de coordination" (page 10 et page 39).
C'est le deuxième "indicateur de progrès", en majuscules, qui me laisse perplexe, vraiment perplexe...
- Les Nations Unies et l'Orgainsation mondiale de la santé renforcent la coordination et identifient les rôles et les responsabilités de chacun et déclenchent en temps opportun un système global de coordination pour répondre aux urgences de santé dans différents pays et dans différents contextes d'urgence.
- LES NATIONS UNIES (INCLUANT L'OMS) CONDUISENT AU MOINS DEUX EXERCICES D'ENTRAÎNEMENT ET DE SIMULATION À L'ÉCHELLE MONDIALE, INCLUANT UN EXERCICE QUI COUVRE LA LIBÉRATION DÉLIBÉRÉE D'UN PATHOGÈNE RESPIRATOIRE MORTEL.
- Les Nations Unies développent des seuils de déclenchement intermédiaire pour mobiliser une action nationale, internationale et multilatérale au début de l'épidémie, pour compléter les mécanismes existants pour plus tard et dans des stages plus avancés de l'épidémie.
- Le Secrétaire Général des Nations Unies convient d'un haut niveau de dialogue avec les hauts dirigeants de la santé, de la sécuritté et des affaires étrangères pour déterminer comment le monde peut adresser la menace d'une pandémie d'un pathogène respiratoire mortel, ainsi que la gestion de la préparation aux épidémies dans des contextes complexes d'insécurité.
D'ICI SEPTEMBRE 2020:
LES NATIONS UNIES (INCLUANT L'OMS) CONDUISENT AU MOINS DEUX EXERCICES D'ENTRAÎNEMENT ET DE SIMULATION À L'ÉCHELLE MONDIALE, INCLUANT UN EXERCICE QUI COUVRE LA LIBÉRATION DÉLIBÉRÉE D'UN PATHOGÈNE RESPIRATOIRE MORTEL ???????????
Si je comprends bien, d'ici septembre 2020, deux simulations doivent avoir été menées dont l'une couvre ou cache la libération volontaire d'un virus respiratoire mortel. What ?
Est-ce que cette simulation se produit actuellement dans "le vrai monde" ? Le virus respiratoire mortel relâché volontairement est-il celui du coronavirus ou bien, un autre est sur le point d'être relâché ?
Les voyageurs paranoïaques achètent ces combinaisons Hazmat pour les avions
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven., 17/07/2020 - 04:15
Les masques faciaux étant désormais obligatoires sur de nombreux vols en Amérique du Nord, une startup technologique basée à Toronto a conçu une combinaison de matières dangereuses personnalisée à porter dans les avions et dans les lieux publics.
Les technologies VYZR se spécialisent dans le développement et la construction d'équipements de protection, y compris le nouveau BioVYZR, une combinaison biologique élégante équipée d'un respirateur N-95 à purification d'air et de fenêtres antibuée. Le costume ressemble à une bulle en plastique portée par Jake Gyllenhaal dans le film Bubble Boy de 2001.
La bulle futuriste de 250 $ est faite de néoprène, de vinyle marin et de ripstop, est étanche et la technologie du respirateur a une autonomie de 8 à 12 heures avec une seule charge.
Selon Bloomberg, la société a déjà eu 50 000 précommandes et collecté 400 000 $ auprès de flyers paranoïaques, le premier cycle de livraisons étant attendu fin juillet.
Yezin Al-Qaysi, le co-fondateur des technologies VYZR, a déclaré: "Lorsque l'épidémie [Covid-19] s'est produite, nous avons réalisé que dans un monde parfait, tout le monde aurait accès à un respirateur purificateur d'air motorisé." Il a dit que son BioVYZR est un appareil respiratoire abordable, similaire à ceux portés par les pompiers, les travailleurs médicaux et les personnes dans les laboratoires pharmaceutiques.
"Nous avons pris un produit généralement limité aux soins de santé et aux environnements industriels qui coûte généralement environ 1 800 $ et l'avons adapté pour être accessible au public", a déclaré Al-Qaysi.
#ThdayThoughts: Est-ce la solution parfaite pour battre COVID19 ? © bioVyzr # covid19 #socialdistancing #CoronavirusOutbreak #coronavirus #CoronavirusPandemic #technology pic.twitter.com/wPoZ0b2w71
- Larry Kim (@larrykim) 28 avril 2020
Il a déclaré que les médecins, les dentistes, les coiffeurs et les voyageurs long-courriers avaient commandé le nouveau respirateur - ajoutant que beaucoup d'intérêt était venu des établissements d'enseignement avant le semestre d'automne.
Dès la fin du mois de février, nous avions noté comment les entreprises se précipitaient pour construire la prochaine génération de purificateurs d'air portables pour le visage afin de bloquer les germes.
https://www.zerohedge.com/technology/paranoid-travelers-are-buying-these-hazmat-suits-planes
L'épidémie de folie s'empare des trisomiques !
SupprimerVoila une invention qu'elle est bonne !
Sauf que toute la 'protection' oublie un 'détail', celle de porter des lunettes fermées (de piscine) car les yeux n'ont pas de globules blancs !
(encore que le mot 'blanc' serait condamnable dans la mesure où il doit plus être employé !!!
Idem pour les chambres noires, les magies blanches, Blanche-neige et faire 'choux-blanc' ainsi que 'broyer du noir' !!
Reste que tous les humains sont gris ! Gris clairs ou gris foncés' ?! ) Hahahahaha !
Mensonges, mensonges damnés et statistiques, en particulier statistiques COVID
RépondreSupprimerRévéler des citations d'Anthony Fauci, Christian Drosten et F. William Engdahl qui expliquent pourquoi le verrouillage économique désastreux d'Anthony Fauci et de Bill Gates n'était ni justifié ni nécessaire
17 juillet 2020
Compilé par Gary G. Kohls, MD
«Il existe trois types de mensonges: mensonges, mensonges damnés et statistiques» - Mark Twain
On sait depuis longtemps que les espèces de coronavirus bénins sont capables de provoquer 15 à 30% des rhumes courants (symptômes habituels: nez qui coule, toux, mal de gorge). Cette réalité a été récemment mentionnée par un virologue de renommée internationale d'Allemagne, dans une interview où il a également admis que la confirmation en laboratoire de COVID-19 est presque impossible étant donné la forte incidence des tests de prélèvement PCR "COVID-19" faussement positifs et tests d'anticorps sériques «COVID-19» faussement positifs.
Apparemment, aucun des tests ne semble pouvoir distinguer les coronavirus bénins qui peuvent provoquer des rhumes communs et les coronavirus plus graves qui causent réellement COVID-19 !!
L'ignorance du Dr Fauci (ou son incapacité à «générer des conflits d'intérêts» à révéler) ce fait justifiait ses affirmations maintes fois répétées dans ses interminables rondes médiatiques et conférences de presse à la Maison Blanche avant la malheureuse fermeture économique:
«Je pense que nous devrions être trop agressifs (même si nous) sommes critiqués pour avoir trop réagi. Je pense que les Américains devraient être prêts… à se cacher. »
Anthony Fauci, comme tout le monde devrait le savoir, est le directeur de longue date du NIAID (Institut national des allergies et des maladies infectieuses du NIH. Il est, de manière significative, également titulaire de nombreux brevets sur le vaccin contre le VIH et titulaire du brevet pour le Sanofi- Vaccin contre le virus de la dengue de Pasteur Corporation qui a récemment tué 600 enfants philippins.)
Un autre expert, le Dr Christian Drosten, illustré ci-dessous, est le directeur de l'Institut de virologie de l'Université de Berlin. Il est connu comme «le vrai visage de l'Allemagne de la crise des coronavirus».
Les citations ci-dessous sont venues lors d'une interview que le Dr Drosten a faite le mois dernier, dans laquelle il a révélé que le coronavirus bénin qui cause le rhume ne peut pas être différencié par les kits de test COVID, dont plus de 200 sont actuellement en cours de développement par des sociétés de dispositifs médicaux rentables! !
L'interview peut être lue ici.
"Certains virologues supposent maintenant qu'il y a des gens qui sont devenus immunisés au COVID-19 inaperçus parce qu'ils ont eu un rhume corona relativement inoffensif dans le passé."
«Il est tout à fait vrai que nous nous attendons à ce qu'il puisse y avoir une immunité de fond inaperçue - due aux coronavirus froids, car ils sont liés au virus du SRAS CoV-2 d'une certaine manière.»
«15% des rhumes courants sont causés par des coronavirus bien connus. Ils sont tellement similaires au virus actuel (COVID-19) qu'ils peuvent même provoquer des tests d'anticorps faussement positifs. »
«Il se pourrait que certaines personnes qui avaient un virus du rhume il y a un an ou deux soient protégées d'une manière sans précédent.»
RépondreSupprimerNuméros de décès factices de COVID-19
Les numéros de décès factices de Covid-19 sont la justification de mesures de verrouillage sans précédent, l'euthanasie des personnes âgées, la distanciation sociale, le masquage préjudiciable, d'éventuels vaccins obligatoires à effet douteux, qui causent tous la destruction de la vie et des moyens de subsistance. Mais pourquoi faire ça? Et dont les intérêts sont servis?
Deuxième partie par F.William Engdahl - Global Research, 12 mai 2020 (1519 mots)
www.globalresearch.ca/coronavirus-death-numbers/5712605
Non seulement les modèles de coronavirus sont utilisés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et la plupart des agences de santé nationales sur la base de méthodologies très douteuses, et non seulement les tests sont utilisés de qualité très différente, confirmant directement les preuves d'une éventuelle infection au COVID-19 -mais maintenant, les désignations réelles des décès liés au COVID-19 se révèlent tout aussi problématiques pour diverses raisons. Il donne matière à réflexion alarmante quant à la sagesse de placer délibérément la plupart des gens dans le monde - et avec elle l'économie mondiale - dans une situation de blocage à la Goulag sur l'argument selon lequel il est nécessaire de contenir les décès et d'empêcher la surcharge des services d'urgence hospitaliers.
Lorsque nous examinons de plus près les définitions utilisées dans divers pays pour «mort liée au COVID-19», nous obtenons une image très différente de ce qui est prétendu être le fléau le plus meurtrier pour menacer l'humanité depuis la grippe «espagnole» de 1918.
Les définitions des États-Unis et du CDC
À l'heure actuelle, les États-Unis seraient le pays avec le plus grand nombre de décès dus au COVID-19, à ce jour, les médias faisant état de 68 000 décès. C'est là que ça devient très douteux.
L'agence du gouvernement américain responsable de faire le décompte des causes de décès pour le pays, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), apporte d'énormes changements dans la façon dont ils comptent les décès de coronavirus.
Au 5 mai, le National Center for Health Statistics (NCHS) du CDC d'Atlanta, l'agence centrale enregistrant les causes de décès dans le pays, avait signalé 39 910 décès dus à COVID-19. Une note de bas de page définit cela comme «Décès avec COVID-19 confirmé ou présumé».
La façon dont un médecin rend le jugement «présumé» laisse une grande latitude à l'hôpital et aux professionnels de la santé. Bien que les tests de coronavirus soient connus pour être soumis à de faux résultats, le CDC déclare que même si aucun test n'a été effectué, un médecin peut «présumer» COVID-19. Il est utile de noter que le nombre de décès aux États-Unis enregistrés pour toutes les causes au cours de la même période du 1er février au 2 mai, soit 751 953!
Maintenant, cela devient encore plus trouble. Le CDC a publié cet avis: «À compter du 14 avril 2020, le nombre de cas et de décès du CDC comprendra les cas confirmés et probables et les décès.» Depuis lors, le nombre de décès dits COVID-19 aux États-Unis a explosé de manière alarmante - ou du moins il semblerait. Ce jour-là, le 14 avril, le bilan des décès par coronavirus à New York a été révisé avec 3 700 décès ajoutés, avec la disposition selon laquelle le nombre comprend désormais «les personnes qui n’ont jamais été testées positives pour le virus mais qui étaient présumées l’avoir».
RépondreSupprimerLe CDC définit maintenant «confirmé» comme «preuve de laboratoire confirmative pour COVID-19», qui, comme nous l'avons noté ailleurs, comprenait des tests de précision douteuse. Ensuite, ils définissent «probable» comme «sans tests de laboratoire de confirmation effectués pour COVID-19». Juste une supposition du médecin responsable.
Maintenant, en laissant de côté l'écart majeur entre les décès COVID-19 du CDC au 5 mai sur 68 279 et leur total détaillé de 39 910 décès pour la même période, nous trouvons un autre problème. Les hôpitaux et les médecins doivent indiquer COVID-19 comme cause de décès même si, par exemple, un patient de 83 ans présentant un diabète ou des problèmes cardiaques préexistants ou une pneumonie décède avec ou sans tests COVID-19.
Le CDC conseille: «Dans les cas où un diagnostic définitif de COVID ne peut être posé mais est« suspecté »ou« probable »(par exemple, les circonstances sont convaincantes avec un degré de certitude raisonnable), il est acceptable de déclarer COVID-19 sur un certificat de décès. comme «probable» ou «présumé». »
Cela ouvre la porte ridiculement large pour l'abus du nombre de décès par coronavirus aux États-Unis.
Une grande incitation financière
Une disposition de la loi de mars 2020 sur l'aide, les secours et la sécurité économique contre les coronavirus, connue sous le nom de CARES Act, incite fortement les hôpitaux des États-Unis, pour la plupart tous des entreprises privées à but lucratif, à considérer les patients nouvellement admis comme "Présumé COVID-19." Par cette méthode simple, l'hôpital a alors droit à un paiement substantiellement plus important de l'assurance médicale du gouvernement, l'assurance nationale pour les plus de 65 ans. Le mot «présumé» n'est pas scientifique, pas du tout précis mais très tentant pour les hôpitaux soucieux de leurs revenus en cette crise.
Le Dr Summer McGhee, doyen de l'École des sciences de la santé de l'Université de New Haven, note que,
"La loi CARES a autorisé une augmentation temporaire de 20% des remboursements de Medicare pour les patients COVID-19 ..." Il a ajouté que, par conséquent, "les hôpitaux qui reçoivent beaucoup de patients COVID-19 reçoivent également de l'argent supplémentaire du gouvernement."
Ensuite, selon un médecin du Minnesota, Scott Jensen, également sénateur de l'État, si ce patient désigné COVID-19 est mis sous ventilateur, même s'il n'est présumé avoir COVID-19, l'hôpital peut être remboursé trois fois la somme de l'assurance-maladie.
Le Dr Jensen a déclaré à un intervieweur de la télévision nationale,
«À l'heure actuelle, Medicare détermine que si vous êtes admis à l'hôpital COVID-19, vous obtenez 13 000 $. Si ce patient COVID-19 utilise un ventilateur, vous obtenez 39 000 $, trois fois plus. »
Pas étonnant que les gouverneurs des États, comme le gouverneur du Massachusetts, Charlie Baker, aient soudainement commencé à dater les causes de décès (le total remonte au 30 mars, gonflant considérablement le nombre de décès COVID, ou que le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, ait commencé à exiger 30000 ventilateurs et équipements d'urgence autour au même moment début avril, un équipement qui n'était pas nécessaire.
RépondreSupprimerEn bref, les statistiques de décès du COVID-19 aux États-Unis sont très douteuses pour diverses raisons, notamment les énormes incitations financières accordées aux administrateurs d'hôpitaux qui avaient été invités à annuler toutes les autres opérations pour faire de la place supplémentaire pour une «prédiction». ”Flot de maladies à coronavirus. Ce bilan «croissant» de décès dit «COVID-19-ou présumé être-COVID-19» entraîne la décision de verrouiller l'économie et de créer une pandémie économique aux dimensions sans précédent.
L'absence de tests uniformisés et les inexactitudes de nombreux tests utilisés, ainsi que les critères extrêmement douteux pour déclarer une cause de décès comme étant «de» COVID-19 suggèrent qu'il est grand temps de réexaminer les mesures de verrouillage sans précédent, distanciation sociale, masquage, d'éventuels vaccins obligatoires à effet non prouvé, qui provoquent tous des ravages personnels, sociaux et économiques.
F. William Engdahl est un auteur à succès de «Oil and Geopolitic» s. Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.
Démystifier les statistiques COVID-19 trompeuses
Comprendre les statistiques: nombre de décès provisoires et COVID-19
«Il existe trois types de mensonges: mensonges, mensonges damnés et statistiques» - Mark Twain
Troisième partie: Le système national des statistiques de l'état civil du CDC est d'où proviennent les chiffres (423 mots)
Le décompte provisoire des décès fournit notre image la plus complète des vies perdues à cause de COVID-19.
Ces estimations sont basées sur les certificats de décès, qui sont la source de données la plus fiable et contiennent des informations qui ne sont disponibles nulle part ailleurs, y compris les conditions comorbides, la race et l'origine ethnique, et le lieu du décès.
Comment ça fonctionne
Le Centre national des statistiques sur la santé (NCHS) utilise les données reçues des certificats de décès pour produire des décomptes provisoires de COVID-19. Il s'agit notamment des décès survenus dans les 50 États et le district de Columbia.
Les décès dus à COVID-19 sont identifiés à l'aide d'un nouveau code CIM – 10
Lorsque COVID-19 est signalé comme cause de décès - ou lorsqu'il est répertorié comme cause «probable» ou «présumée» - le décès est codé U07.1. Cela peut inclure des cas avec ou sans confirmation de laboratoire.
Pourquoi ces chiffres sont différents
Les chiffres provisoires des décès peuvent ne pas correspondre aux chiffres d'autres sources, tels que les rapports des médias ou les chiffres des services de santé du comté. Nos dénombrements suivent souvent 1 à 2 semaines de retard par rapport aux autres données pour un certain nombre de raisons:
Les certificats de décès prennent du temps à être complétés. De nombreuses étapes sont nécessaires pour remplir et soumettre un certificat de décès. L'attente des résultats des tests peut créer des retards supplémentaires. Les États communiquent à des taux différents.
RépondreSupprimerActuellement, 63% de tous les décès aux États-Unis sont signalés dans les 10 jours suivant la date du décès, mais il existe des variations importantes entre les juridictions.
Il faut plus de temps pour coder les décès COVID-19. Alors que 80% des décès sont traités électroniquement et codés par le NCHS en quelques minutes, la plupart des décès dus à COVID-19 doivent être codés manuellement, ce qui prend en moyenne 7 jours. D'autres systèmes de notification utilisent différentes définitions ou méthodes pour compter les décès.
Choses à savoir sur les données
Les décomptes provisoires ne sont pas définitifs et sont susceptibles de changer. Les chiffres des semaines précédentes sont continuellement révisés à mesure que des enregistrements supplémentaires sont reçus et traités.
Les données provisoires ne sont pas encore complètes. Les chiffres n'incluront pas tous les décès survenus au cours d'une période donnée, en particulier pour les périodes plus récentes. Cependant, nous pouvons estimer à quel point nos chiffres sont complets en examinant le nombre moyen de décès signalés au cours des années précédentes.
Le nombre de décès ne doit pas être comparé entre les juridictions. Certaines juridictions signalent des décès quotidiennement, tandis que d'autres signalent des décès hebdomadaires ou mensuels. En outre, la notification des actes d'état civil peut également être affectée ou retardée par les activités d'intervention liées au COVID-19.
https://www.lewrockwell.com/2020/07/no_author/lies-damned-lies-and-statistics-especially-covid-statistics/
SupprimerLes serveurs de restaurants ne crient plus "Chaud devant !" pour passer entre les clients mais "CORONA !" et tout le monde quitte le restaurant à toute vitesse ! HAHAHAHA !
Trop de foi dans les modèles
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 16/07/2020 - 13:05
Écrit par John Stossel, édité via Townhall.com,
Entre 2 millions et 3 millions d'Américains vont mourir !
Telle était la prédiction des "experts" de l'Imperial College de Londres lorsque COVID-19 a commencé. Ils ont également dit que s'il y avait une "distanciation sociale de l'ensemble de la population", le nombre de morts pourrait être réduit de moitié, mais 1,1 million à 1,46 million d'Américains mourraient encore d'ici cet été.
Notre bilan réel est d'environ un dixième.
Néanmoins, le modèle de l'Imperial College était extrêmement influent.
Les politiciens ont émis des ordres de séjour à domicile. Ils ont dit que nous devons faire confiance aux "experts".
"Suivez la science. Écoutez les experts. Faites ce qu'ils vous disent", a déclaré Joe Biden, riant de ce qu'il considérait comme une vérité évidente.
Mais "il n'y a rien de tel que "la science !", Répond le journaliste scientifique Matt Ridley dans ma nouvelle vidéo sur les prédictions"d'experts". "La science consiste en des gens en désaccord les uns avec les autres! "
Les blocages, ajoute-t-il, étaient "dangereusement mauvais".
Comme le modèle de l'Impériale prédit que COVID-19 submergerait les hôpitaux, les patients ont été transférés dans des maisons de soins infirmiers. Le coronavirus s'est ensuite propagé dans les maisons de retraite.
Ordonner à presque tous les travailleurs de rester chez eux a entraîné un effondrement économique qui a peut-être également tué des gens.
"Les principales interventions qui ont aidé à empêcher les personnes de mourir ont été d'arrêter de grands rassemblements, de se laver les mains et de porter des masques faciaux, une distanciation sociale générale - sans forcer les gens à rester chez eux", explique Ridley.
Même le Gouverneur de New York Andrew Cuomo admet maintenant:
"Nous avons tous échoué dans ce domaine. Tous les premiers experts nationaux:" Voici mon modèle de projection. " Ils avaient tous tort. "
Si lui et d'autres politiciens venaient de faire juste un peu de recherche, alors ils auraient su que les chercheurs de l'Imperial College prédisaient à plusieurs reprises de grandes catastrophes qui ne se produiraient pas. Leur modèle prédit 65 000 décès par grippe porcine, 136 000 par maladie de la vache folle et 200 millions par grippe aviaire.
Les vrais chiffres étaient par centaines.
Après que de telles prédictions aient été fausses à plusieurs reprises, pourquoi les politiciens nous ont-ils dirigés sur la base de ces mêmes modèles "d'experts"?
"Si vous dites quelque chose de vraiment pessimiste sur le nombre de personnes qui vont mourir", explique Ridley, "les médias veulent vous croire. Les politiciens n'osent pas vous croire".
Ce parti pris pour le pessimisme s'applique également à la peur du changement climatique.
Il y a trente-deux ans, des "experts" du climat ont déclaré que la montée des mers "couvrirait complètement" les îles des Maldives "au cours des 30 prochaines années". Mais maintenant, 32 ans plus tard, les îles sont non seulement toujours là, mais elles font aussi mieux que jamais. Ils construisent même de nouveaux aéroports.
RépondreSupprimer"Le changement climatique est réel", explique Ridley, "mais il ne se produit pas aussi rapidement que prévu par les modèles."
Les modèles prédisent à plusieurs reprises la catastrophe car c'est "un très bon moyen d'attirer l'attention sur votre science et d'être récompensé pour cela", explique Ridley.
Un autre exemple: pendant des années, les "experts" ont prédit une pénurie de pétrole. Le président Jimmy Carter a averti: "Le pétrole et le gaz naturel dont nous dépendons pour 75% de notre énergie s'épuisent tout simplement." Tous les "experts" étaient d'accord.
Mais à mesure que la demande de pétrole augmentait, les prix du pétrole augmentaient. Cela a inspiré les entrepreneurs à inventer de nouvelles façons d'extraire plus de pétrole et de gaz des mêmes roches. Ils ont si bien réussi que l'Amérique a maintenant tellement de pétrole et de gaz que nous en vendons à d'autres pays.
Le nouveau livre de Ridley, «How Innovation Works», montre comment les innovateurs prouvent constamment que les «experts» se trompent.
Il souligne que le fondateur de Digital Equipment Corporation a dit un jour:
"Il n'y a aucune raison pour que quelqu'un veuille un ordinateur chez lui."
Le PDG de Microsoft a déclaré avec confiance:
"Il n'y a aucune chance que l'iPhone obtienne une part de marché significative."
Le chroniqueur du New York Times Paul Krugman a écrit cela parce que
"la plupart des gens n'ont rien à se dire ... l'impact d'Internet sur l'économie (ne sera) pas supérieur à celui du télécopieur."
Bien sûr, tous les experts ne se trompent pas. Des experts utiles existent. Je veux qu'un ingénieur civil qualifié conçoive n'importe quel pont que je traverse.
Mais Ridley souligne: "Il n'y a pas d'expertise sur l'avenir. Il est dangereux de trop s'appuyer sur des modèles (qui conduisent les politiciens à) verrouiller la société et détruire les moyens de subsistance des gens. Le danger est dans les deux sens".
https://www.zerohedge.com/political/too-much-faith-models
Le culte de la justice sociale déteste vraiment Parler - Voici pourquoi ...
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 16/07/2020 - 23:30
Créé par Brandon Smith via Alt-Market.com,
Je n'ai jamais été fan des plateformes de médias sociaux, principalement parce que je me rends compte que la plupart d'entre elles sont gérées par des gauchistes et des mondialistes avec un programme antagoniste. L'idée de dépenser tout le temps et les ressources nécessaires pour créer un public sur ces sites Web pour ensuite utiliser ce travail contre vous comme un levier pour faire taire vos points de vue n'est pas attrayante.
Plus vous investissez dans des sites comme Twitter, plus vous devenez dépendant de celui-ci pour diffuser votre message, et plus vous devenez dépendant, plus les employés de ces entreprises ont de pouvoir sur vous.
Il suffit de demander à l'une des nombreuses personnalités conservatrices qui ont été interdites de Twitter au cours des deux dernières années en raison de leurs positions politiques. Ou demandez aux gens qui ont été bannis de YouTube, Twitch, Facebook, etc. dans le cadre d'une purge massive de comptes le mois dernier, la grande majorité d'entre eux considérés comme conservateurs ou modérés. Bien sûr, ces entreprises n'admettent généralement pas d'emblée qu'elles sont biaisées contre des points de vue conservateurs et modérés; au lieu de cela, ils accusent les récits de répandre des «discours de haine», de violer les directives de la communauté ou de «règles du droit d'auteur».
L'affirmation de Twitter selon laquelle ils n'ont aucun parti pris politique est une mauvaise orientation typique de la gauche. Interdire aux gens le droit d'auteur ou le «discours de haine» n'est pas nécessairement motivé par des raisons politiques, n'est-ce pas ? Cependant, comme les analystes l'ont montré dans le passé, les conservateurs sont en quelque sorte QUATRE FOIS plus susceptibles d'être accusés de violations de politiques «neutres» que les gauchistes sur Twitter. Quant au discours de haine, tout ce qui est conservateur est désormais considéré comme une forme de discours de haine. Tout ce qui est modéré est considéré comme un discours de haine. Tout ce qui n'est pas conforme à la religion de justice sociale est considéré comme un discours de haine. Et si ce n'est pas considéré comme un discours de haine aujourd'hui, il sera considéré comme un discours de haine demain.
Il est intéressant de noter que les SSJ sur les réseaux sociaux peuvent faire mousser la rage anti-blanche chaque fois qu'ils le souhaitent et que les conséquences les frappent rarement, mais les conservateurs ne peuvent rien raconter de plus que des faits et des chiffres et sont sommairement victimes de "racisme".
Pas de parti pris ? Oui en effet...
YouTube a interdit des milliers de comptes au cours des deux dernières semaines en raison «d'idées suprémacistes et de théories du complot», appelant les personnes derrière eux «utilisateurs nuisibles».
Twitch a organisé un «Safety Advisory Council» composé principalement de gauchistes de la justice sociale (y compris un fou de pouvoir qui pense qu'il est une femelle cerf) pour «informer et guider les décisions» spécifiquement sur la protection de la sécurité des utilisateurs «marginalisés».
RépondreSupprimerÉcoutez, je comprends les concepts derrière Alinsky Tactics et la réalité que les gauchistes nient en règle générale tout ce qu'ils font, même si c'est évident. Ils prétendront même que leurs propres groupes (comme Antifa) n'existent pas chaque fois qu'ils se retrouvent dans une position compromettante. Mais il arrive un moment où l'éclairage au gaz ne fonctionne tout simplement plus. Nous savons tous que les plateformes de médias sociaux détestent quiconque s'oppose au discours sur la justice sociale; La seule raison pour laquelle ils n'ont pas encore expulsé tous les conservateurs de leurs plates-formes est parce qu'il y a autre chose qu'ils détestent encore plus - la perspective que les conservateurs et les modérés pourraient riposter en masse en s'organisant sur leurs propres plates-formes concurrentes.
Entrez Parler ...
Je soutiens depuis des années que les analystes alternatifs et quiconque ne faisant pas partie de la gauche politique devraient construire leurs propres médias sociaux. Si vous dépendez de systèmes contrôlés, vous pouvez être contrôlé. C'est vraiment aussi simple que cela. Chaque fois que quelqu'un se met au travail pour établir un système alternatif, il nous appartient de le soutenir et au moins de lui donner une chance.
Il y a eu quelques tentatives pour y arriver, mais dans tous les cas, les attaques des médias traditionnels et de gauche ont été implacables. Ce que je veux explorer ici, c'est pourquoi ? Pourquoi les gauchistes se soucient-ils tant de nous si nous les laissons à leur petit monde de bulles et commençons notre propre truc ?
Parler en particulier a été l'objet d'attaques sans fin au cours des dernières semaines de la part de SJW tentant de troller et de perturber le site, ainsi que des critiques décousues du MSM.
Peut-être une partie de la raison est que Parler a pris de l'ampleur; avec 500 000 nouvelles personnes rejoignant en quelques jours. Nous devons considérer la possibilité que si Parler n'était pas une menace pour le culte de la justice sociale, ils ne l'attaqueraient pas aussi régulièrement.
La principale critique de Parler par la gauche va un peu comme ceci:
"Parler prétend que c'est un site de liberté d'expression mais il censure les gens comme Twitter, alors pourquoi quitter Twitter ?"
J'adore cet argument parce qu'il met vraiment en valeur la sophistique malhonnête des gauchistes.
Premièrement, les gauchistes ne se soucient pas de la liberté d'expression et ne s'en soucient pas depuis au moins une décennie. Ils se soucient seulement de contrôler le récit. À quelle fréquence voyez-vous des gauchistes attaquer Twitter ou YouTube pour censurer les conservateurs? Ils ne le feront pas, car ils aiment ça et ils savent que les chances sont minces que ces plateformes viennent après eux.
Deuxièmement, lorsque Parler dit qu'il s'agit d'une «plateforme de liberté d'expression», je pense qu'il est évident qu'ils font spécifiquement référence au discours politique. Les gauchistes admettent ouvertement à la traîne de Parler afin de perturber et de saboter ses progrès, y compris en publiant de la pornographie et d'autres tactiques enfantines afin de forcer Parler à les interdire afin qu'ils puissent ensuite dire «Regardez ! Parler a menti sur la liberté d'expression ... »
La gauche défend la censure par des entreprises comme Twitter, Facebook et Google parce que ce sont des «sociétés privées» et les sites Web sont des propriétés privées (imaginez cela, s'engage à défendre les droits de propriété privée). Je suis en fait d'accord avec cette prémisse de base, mais il y a quelques problèmes avec leurs arguments. Parler est en effet une entreprise privée et a parfaitement le droit d'interdire les trolls qui tentent de perturber les discussions et de chasser les gens de la plate-forme. Mais, il existe une grande différence entre des sites comme Parler et les principales plateformes médiatiques.
RépondreSupprimerLa plupart des grands conglomérats technologiques, comme Google et Facebook, reçoivent des milliards de dollars en subventions des États et du gouvernement fédéral et en dollars des contribuables. Pour autant que je puisse en juger par mes recherches, Parler ne le fait pas. Twitter a même bénéficié d'un allégement fiscal étendu pendant huit ans d'une valeur de plus de 70 millions de dollars pour avoir été basé à San Francisco dans le cadre d'un programme appelé «l'allégement fiscal Twitter». En échange de l'aide sociale et du traitement spécial accordés à la silicone valley, les Californiens de SF bénéficient désormais d'une bulle historique dans les prix de l'immobilier et de la location, ainsi que d'une hausse de la pauvreté et du sans-abrisme ainsi que d'un trafic sans fin. Beaucoup de gens qui travaillent dans ces entreprises ne peuvent même pas se permettre de vivre dans la même ville qu'eux.
Les principales plates-formes de médias sociaux qui acceptent des fonds publics reçoivent un avantage indu par rapport à d'autres entreprises concurrentes et devraient donc être tenues pour responsables en tant que services publics, et non en tant qu'entreprises privées. Si une société comme Google veut renoncer à l'argent des contribuables et payer le prix fort pour toute la bande passante qu'elle utilise, alors bien sûr, elle devrait être autorisée à censurer qui elle veut. Mais jusque-là, ces sociétés sont soumises à une surveillance, tout comme le serait tout monopole d'entreprise.
Le fait que Parler encourage la liberté d'expression politique est ce qui compte ici. Et jusqu'à présent, les seuls gauchistes expulsés du site sont ceux qui s'y rendent délibérément pour essayer de l'incendier. C'est parfait ? Non, rien ne l'est. Mais Twitter et d'autres ont un préjugé avéré contre les voix conservatrices et même les voix libérales qui vont à l'encontre du script accepté. Pourquoi rester sur Twitter alors qu'il existe d'autres options plus gratuites ?
Je soupçonne que les SJW méprisent Parler parce qu'il représente un point focal pour une organisation conservatrice, et ils pensent qu'ils sont propriétaires de la timonerie organisationnelle.
Les gauchistes, étant de nature collectiviste, ne sont habiles qu'à une chose: mobiliser les corps par le mensonge et la manipulation. C'est là qu'ils ont un net avantage sur les conservateurs. Le problème est que les gauchistes sont faciles à mobiliser car ils ont une mentalité de drone. Ils ont tendance à suivre aveuglément leurs portiers. Les conservateurs ont tendance à être plus indépendants et remettent souvent en cause les motivations derrière un mouvement donné, ce qui provoque des désaccords internes sur la mobilisation. Notre liberté d'esprit est notre force autant que notre faiblesse, et la gauche politique le sait.
En nous rassemblant sur une plate-forme qui ne nous est pas implacablement hostile, nous avons la possibilité de discuter des options et de nous organiser sans être attaqués par une foule d'ingénieurs dans le processus.
Quand je vois le vitriol des gauchistes sur Parler, je me rappelle aussi une fois de plus que les communistes ne voient pas les gens comme des "alliés", ils voient les gens comme des biens. Ils veulent se débarrasser des conservateurs de leurs plateformes mais ne veulent pas non plus que les conservateurs partent et construisent leurs propres plateformes. Je pense souvent à l'invasion chinoise du Tibet en réfléchissant à cette mentalité. La stratégie du PCC était une de nettoyage ethnique; construire des chemins de fer vers le Tibet pour importer des Chinois et chasser les Tibétains indigènes. Mais, lorsque les Tibétains ont cherché à quitter le pays à pied pour se rendre au Népal, le gouvernement chinois a installé des tireurs d'élite dans les montagnes pour les tuer alors qu'ils tentaient de s'échapper.
RépondreSupprimerTelle est la philosophie communiste - Vous n'êtes pas autorisé à vous éloigner. Vous n'êtes pas autorisé à rester tel que vous êtes. Votre seul choix est d'être rééduqué. Votre seule option est de vous conformer.
Une critique que j'ai vue du côté conservateur est qu'en déménageant à Parler, nous nous «éloignons» du discours public et n'aurons aucune influence sur le temps des élections. C'est une notion idiote.
Il n'y a aucune règle qui dit que vous ne pouvez pas utiliser les deux Parler et Twitter pour diffuser votre message. Si vous pensez vraiment que les élections comptent toujours, alors n'hésitez pas à sauter sur autant de plateformes que possible. Comprenez simplement que la purge sur des sites comme Twitter et YouTube va empirer à l'approche de la fin de 2020. Compte là-dessus.
Au-delà de cela, si vous croyez que les lignes ne sont pas déjà profondément tracées sur la fracture politique aux États-Unis, alors vous plaisantez. La plupart des gens ont décidé de quel côté ils sont. La seule ambiguïté est peut-être que beaucoup de gens ne réalisent pas encore à quel point la situation pourrait empirer. Rester sur les plateformes de gauche pour «combattre le bon combat» est, à mon avis, une perte de temps. Il est maintenant temps de construire une communauté afin que nous soyons prêts pour la tempête politique et sociale qui est prête à toucher terre, je n'ai aucun intérêt à essayer de gagner des gauchistes délirants à mes côtés.
Je fais la promotion de Parler dans cet article, car c'est la première grande tentative que j'ai vue pour développer un média social conservateur et convivial. Ils ne me paient pas, je ne connais pas les gens qui dirigent l'entreprise, et je n'ai aucun intérêt dans le succès ou l'échec de Parler. J'ai rejoint le site, et toute personne qui souhaite me suivre peut le faire en cherchant brandon @ altmarket. J'espère que le site deviendra un havre de paix Internet pour les conservateurs en ces temps difficiles. Je pense qu'il peut être utilisé comme un outil pour nous unir nos forces et nous préparer. Les idéaux et principes conservateurs d'un gouvernement limité, des libertés civiles, des marchés libres et de l'individualisme doivent perdurer pour les générations futures. Nous devons commencer à construire nos citadelles, et Parler pourrait être un bon point de départ.
https://www.zerohedge.com/political/social-justice-cult-really-hates-parler-heres-why
SupprimerAprès la campagne des 'réfugiés climatiques' dont les immigrants se sont dirigés vers les États-Unis par dizaines de millions (Idem vers l'Europe où les dits 'réfugiés climatiques' étaient chassés de leur maison et de leur pays ! avec 3000 € par personne pour le passeur), d'où le bordel ambiant quant au recensement de la population ! en Afrique comme en Europe, voici qu'arrive The Corona avec toutes ses suppositions d'atteintes et de morts de (brûlés pour éviter plus tard des exhumations pour analyses !) et, et SA panique envahissante (d'après les merdias) où la population est obligée de porter des masques de carnaval non antivirus (faute d'avoir des N95 ou FPP2 pour l'Europe), et de traiter tous les scientifiques et médecins de négationnistes parce qu'ils osent dire la vérité sur la grippette qui se répandrait comme l'éclair vers les Illuminés des Grands Jours !
D'où les mesures prises envers les messages textes & vidéos sur Internet afin que la vérité ne soit dite !
Un pronostic sur la décennie 2020 / 2030 au niveau macro économie - le scénario le plus probable
RépondreSupprimerCharles Dereeper
vendredi, 17 juillet 2020 01:25
J'écris cet édito car certains pensent que je suis en désaccord avec Loic Abadie.
Tout d'abord, jamais la situation n'a été aussi illisible. Donc j'applique mon système de prise de risque avec des scénarios sans trop choisir le winner, en laissant la réalité m'indiquer celui qui va sortir du chapeau, comme je l'ai décrit dans cet édito http://www.charlesdereeper.com/blog/les-deux-consequences-tres-positives-de-la-contradiction-des-humains-et-comment-les-exploiter-pour-reussir.html
Ensuite
Quel est mon scénario le plus probable à horizon 10 ans ?
Oui je parle de carbone et Loic parle de l'échec de la décarbonisation. Mais qu'on se comprenne, cette histoire de carbone est pour les idiots qui ont envie de se faire faire le cul par les socialos et de regarder à la TV la petite Greta, sponsorisée par l'énergie noire. J'ai autre chose à foutre désolé.
Je suis méprisant car le carbone dans l'atmosphère représente entre quéquette et quéquette plus 1...
- voir graphiques sur site -
Lorsque je parle de carbone, je parle du pouvoir politique mondial qui fixe le prix de l'argent et les conditions politiques qu'on impose au parc humain. Comme toutes leurs mesures, ce n'est que mensonge et manipulation. Je ne sais pas s'ils vont réussir ou échouer avec le carbone. Je ne suis pas en désaccord avec Loic qui n'est pas dupe de toute cette folie actuelle et de ces réthoriques distrayantes qui occupent les esprits pour les détourner de l'essentiel.
Comme je l'ai exposé dans cet édito où je montre 3 modèles de prévisions long terme dont 1 financé par les banques anglaises coeur du pouvoir mondial, puis retiré du net, donc accessible juste dans les archive.org http://www.charlesdereeper.com/blog/choisir-un-pays-pour-survivre-a-un-effondrement-du-socialisme.html
Le souci est un souci de matières premières disponibles par rapport à 7 milliards d'humains et non de carbone. Et là on n'est plus du tout dans la blague de carbone ou de corona virus, mais du réel quantitatif mesurable. Si on veut offrir à 7 milliards d'humains le niveau de vie de l'Europe ou des USA, faut 2 ou 3 planètes... Une seule n'y suffira pas. La pensée magique de l'innovation qui compense le manque de ressources naturelles est superbe... mais jusqu'à présent... cela reste de la pensée magique...
Donc je pars du principe que le pouvoir mondial ne veut plus de croissance du PIB (et en ce sens je les rejoins... il est temps de repenser notre fonctionnement, et s'écarter de la tyrannie débile du PIB qui va finir par nous envoyer tous à la morgue).
Nous savons aussi que la dette est inoffensive jusqu'à environ 90% de dettes sur PIB, seuil à partir duquel, la croissance est stérélisée, comme je l'ai publié sur Objectif Eco à de nombreuses reprises, ces recherches sur l'histoire de nombreux pays avec une analyse long terme des datas ayant été publiées en 2011.
Enfin, nous maîtrisons la certitude que la croissance des pays est inversement proportionnelle à la quantité d'impôts prélevés sur l'économie privée. De nombreux documents quantitatifs ont établi le lien formel.
RépondreSupprimerPour finir, la démographie est le carburant numéro 1 de la croissance / décroissance économique. Nous sommes en situation de vieillissement de la population assez massif. Le Japon qui a un cycle de 30 ans d'avance sur l'Occident a démontré par A plus B que nous pouvons secouer le cocotier dans tous les sens. Si la population active se réduit, la croissance est écrasée car les gains de productivité ne suffisent pas à compenser.
Donc si on regarde notre situation actuelle, nous avons une question de survie, une question d'endettement, une question de vieillesse moyenne et une question de corruption (euh pardon de fiscalité) qui concordent toutes pour limiter la croissance.
Si je dois faire un prognostic à horizon 10 ans, c'est évidemment qu'il n'y aura pas de croissance, peut être entre 0 et 1.5% par an. Et si vous interrogez Loic, vous verrez qu'il n'est pas super super optimiste en matière de croissance économique...
http://www.objectifeco.com/economie/croissance-recession/croissance/un-pronostic-sur-la-decennie-2020-2030-au-niveau-macro-economie-le-scenario-le-plus-probable.html
SupprimerBien sur que le N.O.M. fait peur et crains qu'il ne s'établisse !
La question 'carbone' et 'décarbonation' (Hahaha ! Cà, c'est sans compter que 99,99 % du carbone et autres gaz viens du magma ! Notez aussi que TOUS les gaz se recyclent depuis toujours !) est une connerie comme celle du 'Global Warming', mais, mais avec la 'Planche-à-billets' (aujourd'hui remplacée par l'ordi) le pognon factice et infini peut acheter 10 millions d'éoliennes (versées à la 'dette' des contribuables !!) qui ne tourneront pas plus quand il n'y a pas de vent ou panneaux solaires de nuit ou ciel nuageux !
Donc, actuellement, les dictateurs se tournent vers le racisme ! Et condamnent toutes celles et tous ceux qui écrivent le mot noir ou blanc ! D'où la suppression de sites Twitter, Instagram etc pour éviter que la vérité soit dite et circule !
Puis, il y a cette affaire 'corona' ! Où TOUS les morts sont enregistrés 'corona' ! (Il y a chaque année env. 500 000 morts par an en France et TOUS seront enregistrés corona ! Zéro mort d'accident, cancer, diabète ou crime !).
Bref, on se dirige vers un État totalitaire !
Vérification des faits des vérificateurs des faits
RépondreSupprimerPar Craig Rucker
16 juillet 2020
Existe-t-il une menace plus insidieuse à la liberté d'expression en ligne que la vérification biaisée des faits?
Les groupes de pression sur le réchauffement climatique utilisent toutes les astuces de leur livre pour censurer et salir Michael Shellenberger après avoir publié un article s'excusant de la peur du climat au nom des écologistes.
Forbes a en fait succombé à la pression et a retiré son article.
D'autres plateformes en ligne ont qualifié l'article de «faux vérifié par les faits».
Le climatologue Roger Pielke, Jr. a vérifié les faits des vérificateurs de faits autoproclamés et a trouvé leurs attaques contre Shellenberger «incontestablement fausses». Il a particulièrement visé le professeur du MIT, Kerry Emanuel, qui a qualifié les affirmations de Shellenberger selon lesquelles le changement climatique n’aggrave pas les catastrophes naturelles ou les souffrances humaines d’être «non défendables». Les faits, comme le révèle Pielke, sont exactement opposés à ce que la soi-disant «vérification des faits» d'Emanuel tente de revendiquer. "Toutes les études qui ont examiné les pertes économiques mondiales après normalisation (pour le PIB ou d'autres facteurs) n'ont systématiquement identifié aucune augmentation des pertes", a révélé Pielke.
Vérification des faits des vérificateurs des faits
- voir graphique sur site -
Même le principal organisme des Nations Unies pour les sciences du climat, l'IPCC, soutient Shellenberger et Pielke et est en désaccord avec le vérificateur des faits Emanuel. «Le rapport spécial de l'IPCC sur les événements extrêmes a conclu (sur une base de preuves beaucoup plus mince) que« les tendances à long terme des pertes normalisées n’ont pas été attribuées au changement climatique naturel ou anthropique », a expliqué Pielke.
Les vérificateurs factuels biaisés sont une menace pour un dialogue ouvert, équitable et libre en ligne. Ils assument une autorité non acquise et l'utilisent pour fausser le débat. Facebook, Google, YouTube, Amazon et les autres ne devraient pas compter sur eux.
Jetez un œil au billet complet de Marc Morano sur Climate Depot avec tous les tableaux, graphiques et données à l'appui. Le Dr Pielke présente un cas dévastateur.
https://www.cfact.org/2020/07/16/fact-checking-the-fact-checkers/
Les lobbyistes anti-combustibles fossiles font pression sur Facebook pour interdire la science gênante
RépondreSupprimerPar Larry Bell
15 juillet 2020
L'organisation «Climate Power 2020» a publié le 1er juillet une lettre ouverte signée par l'ancien candidat au poste de gouverneur Stacey Abrams, l'ancien candidat à la présidence Tom Steyer, et 13 dirigeants de groupes travaillant pour interdire les combustibles fossiles exhortant Facebook à fermer la page de la Coalition gaz carbonique, un organisation professionnelle à but non lucratif d'éminents scientifiques du climat et d'économistes de l'énergie qui présentent des faits et des opinions opposés au «déni».
Adressée à la coprésidente de la surveillance de Facebook / ancienne Premier ministre danoise, Mme Helle Thorning-Schmidt, la lettre réprimande le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, pour avoir refusé de «reconnaître que le déni du climat sur sa plate-forme est une menace aussi dangereuse pour les générations futures que n'importe quelle autre.»
En tant que l'un des premiers membres de la Coalition sur le gaz carbonique, je peux offrir la ferme assurance qu'aucun membre de l'organisation n'a jamais nié la réalité du changement climatique, un phénomène naturel qui se produit pour des raisons complexes depuis plusieurs millions d'années.
Il n'est pas non plus contesté que le climat se réchauffe par à-coups depuis la dernière période glaciaire qui a fondu il y a environ 12 000 ans, et plus récemment depuis la fin de la petite période glaciaire au milieu des années 1800 (avant que la révolution industrielle n'introduise des cheminées et des cheminées). VUS).
Les membres de la Coalition gaz carbonique comprennent des physiciens de l'atmosphère, des climatologues et des statisticiens hautement distingués qui connaissent en effet beaucoup le fonctionnement des systèmes énergétiques et climatiques. Ils sont également très familiers avec les façons dont les modèles informatisés qui sont largement utilisés pour projeter les températures mondiales futures ne fonctionnent pas.
Créée en 2015 sous la forme 501 (c) (3), la Coalition gaz carbonique publie des études et des articles open source. Certaines de ces enquêtes ont démontré que lorsqu'elles sont testées après quelques années par rapport aux températures réelles, les projections de modèle utilisées par l'Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) des Nations Unies se sont avérées trois fois trop chaudes.
Le président de la Coalition gaz carbonique, Patrick Moore, et le directeur exécutif, Caleb Rossiter, ont également répondu aux accusations «négationnistes» par des faits de base indéniables.
Par exemple: «L'IPCC des Nations Unies et les agences scientifiques du gouvernement américain conviennent que leurs données ne montrent aucune augmentation statistiquement significative des taux d'élévation du niveau de la mer, des ouragans, des inondations, des incendies de forêt et d'autres conditions météorologiques dangereuses ou dommageables au cours des 70 années écoulées depuis que les émissions de gaz carbonique sont devenues un facteur dans la température mondiale. "
En réalité, les modèles sont basés sur des milliers de suppositions sur les valeurs mathématiques à mettre sur de nombreuses variables et interactions mal comprises au cours de cycles de plusieurs décennies. Ou, comme le dit le physicien d'Oxford Fred Taylor dans son manuel, «Elementary Climate Physics», les modèles sont «opaques» et «à leurs balbutiements».
RépondreSupprimerLa Coalition gaz carbonique soutient que les projections modélisées manifestement échouées sont par nature beaucoup trop improbables et incertaines pour être utilisées comme base de justifications alarmistes pour interdire la source de 80% de l'énergie américaine et mondiale en échange de l'énergie éolienne et solaire «renouvelable» peu fiable et coûteuse. énergie. Ils soulignent que l'exploitation minière, le transport maritime, le raffinage, la construction, la transmission et l'élimination de ces sources d'énergie intermittentes sont presque entièrement fossiles, donc difficilement renouvelables.
De plus, l'éolien et le solaire sont également quatre fois plus chers que le transport d'électricité et d'essence au gaz naturel.
La Coalition gaz carbonique a invité les signataires de la lettre de Climate Power 2020 ainsi que tous les autres à «identifier un seul déni d'un fait scientifique ou économique dans nos publications ou déclarations publiques». Ils ajoutent: «Certes, certaines des réponses impliqueront des modèles climatiques, et même si les projections de modèles sont plus d'opinion que de fait, plus d'art mathématique que de science, nous attendons avec impatience un tel débat.»
Pendant ce temps, le ministère de la Justice explore récemment une liste de lois de réforme visant à lutter contre la censure biaisée des informations par des géants des Big Tech tels que Facebook, Google, Twitter et YouTube.
Plus particulièrement, le MJ réexamine le tristement célèbre article 230 de la Communications Decency Act de 1996, qui accorde aux plates-formes en ligne une immunité contre la responsabilité civile fondée sur le contenu de tiers et pour la suppression de contenu dans certaines circonstances.
Le Congrès a initialement promulgué le statut pour nourrir une industrie naissante tout en encourageant les plateformes en ligne à supprimer le contenu préjudiciable aux enfants. L'interprétation extensive que les tribunaux ont donnée à l'article 230 a cependant laissé les plateformes en ligne à la fois à l'abri d'un large éventail d'activités illicites sur leurs services et d'un contenu libre à modéré avec peu de transparence ou de responsabilité.
Malheureusement, de telles réformes peuvent ne pas être suffisantes pour empêcher Big Tech de modérer le contenu politique pour des motifs dits de «désinformation» en utilisant une «vérification des faits» factice par des cohortes politiques copines.
Cette pratique est largement répandue dans l'attaque des sceptiques et des publications sur l'alarme climatique.
En juin, le président Trump a pesé sur ce problème en émettant un décret visant la discrimination par les points de vue des sociétés Big Tech, notamment Facebook, Twitter, Instagram, YouTube et Google.
Comme le président l'a expliqué lors d'une conférence de presse, «Un exemple flagrant est quand ils essaient de faire taire les opinions avec lesquelles ils ne sont pas d'accord en appliquant sélectivement une« vérification des faits ». Ce qu'ils choisissent de vérifier les faits et ce qu'ils choisissent d'ignorer ou même de promouvoir n'est rien de plus qu'un groupe d'activisme politique ou d'activisme politique. Et c'est inapproprié. Si vous regardez ce qui s'est passé, vous regardez où ils vont, d'où ils viennent, je pense que vous le voyez tous vous-même. "
RépondreSupprimerÉtiqueter des articles ou des vidéos qui expriment le scepticisme du «changement climatique» comme «fait vérifié faux» sont de parfaits exemples.
L'espérance jaillit éternellement.
https://www.cfact.org/2020/07/15/anti-fossil-fuel-lobbyists-pressure-facebook-to-ban-inconvenient-science/
Les chroniques Shellenberger première partie: un réveil brutal
RépondreSupprimerPar le Dr Jay Lehr
15 juillet 2020
En juin 2020, Michael Shellenberger a publié un livre très important intitulé APOCALYPSE NEVER: Why Environmental Alarmism Hurts Us All. Dans une interview avec le Heartland Institute, M. Shellenberger a indiqué qu'il pensait que c'était le livre le plus important à écrire sur l'illusion qui a englouti le monde entier pendant des décennies, l'homme a provoqué le réchauffement climatique. Il est confiant que le livre changera la donne en libérant finalement les gens du monde entier de la fausse peur qui les a plu. Bien qu'il n'y ait rien dans le livre qui n'ait été dit et imprimé souvent par des climatologues d'élite auparavant, je suis pour ma part enclin à être d'accord avec lui sur l'importance des livres. J'espère certainement qu'il a raison.Revue de livre: Apocalypse Never par Michael Shellenberger
Étant directement impliqué dans la publication de 31 livres scientifiques en tant qu'auteur, co-auteur ou éditeur, je suis intimidé d'avoir revu ses 1220 notes de fin, apparaissant sur 111 pages, soutenant tout ce qu'il a écrit. Je dois conclure qu'il est parmi les meilleurs chercheurs et écrivains que j'ai rencontrés, et clairement l'un des plus intelligents. Il faut donc se demander pourquoi il lui a fallu un quart de siècle pour apprendre et comprendre la vérité.
Ce premier des 3 articles sur M. Shellenberger et son livre ne se veut pas une critique de livre. Beaucoup ont déjà été écrits, tous positifs sauf pour certains gauchistes mécontents. Je vais vous le dire tout de suite, à moins que vous ne soyez sûr d'avoir tous les faits sur les fausses affirmations affirmant que l'homme joue un rôle important dans le contrôle du thermostat de la Terre, je vous recommande fortement d'acheter le livre sur Amazon maintenant.
Mon intention est d'interpréter le livre pour vous de la même manière facile dans laquelle il est écrit et de vous inciter à partager son contenu avec d'autres dans le but de faire confiance aux auteurs dans sa valeur, une réalité. Je commencerai par un souhait sincère que l'auteur n'ait pas été du mauvais côté de la science depuis si longtemps, cousant les graines mêmes qui pourraient encore nous détruire si des personnes mal dirigées s'emparaient de la direction des États-Unis le 3 novembre de cette année. .
M. Shellenberger a été un activiste politique et environnemental pendant la majeure partie de sa carrière de 30 ans, ne comprenant pas les dommages qu'il faisait. Il y a quelques années, il avait évidemment une révélation permettant à la vraie science de s'immiscer dans ses nombreuses idées erronées. Comme on le trouve avec de nombreux convertis religieux, ils deviennent les plus passionnés. L'auteur correspond à ce projet de loi et pourrait bien s'avérer être la meilleure arme que les vrais scientifiques aient pour mener la bataille que beaucoup d'entre nous ont menée pendant une grande partie de notre vie professionnelle.
Dans le premier tiers du livre, M. Shellenberger accumule les horribles alarmistes de ces dernières années, pratiqués par le New York Times, le Washington Post et the International Panel on Climate Change (IPCC), et même un scientifique de la NASA qui a prédit l'effondrement de systèmes alimentaires sur de nombreux continents. C'était au mépris total de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture, affirmant que l'augmentation du gaz carbonique entraînait une augmentation significative des rendements des cultures.
Il est probable que les femmes radicales du Congrès de New York qui ont présenté le Green New Deal ont joué un rôle majeur en ouvrant les yeux des auteurs, ou Britains Extinction Rebellion dont la vision dystopique de l'avenir était difficile à digérer.
RépondreSupprimerC'était en fait bien plus que cela, il avait parcouru le monde dès 2014 avec sa femme pour voir de première main ce qu'il pensait être les bonnes œuvres des organisations non gouvernementales (ONG). Bien que toutes les ONG n'aient certainement pas des objectifs politiques pour développer le gouvernement et le socialisme, un grand nombre le font.
Il dit que «quiconque souhaite voir la fin du monde de près et en personne ne pourrait pas faire pire que de visiter la République démocratique du Congo en Afrique centrale. Le Congo a un moyen de mettre en perspective les prophéties du premier monde sur l'apocalypse climatique. » Il y a appris que presque tout ce que les ONG faisaient pour sauver les gorilles et fournir du carburant en récoltant du charbon de bois était vraiment compliqué et complètement stupide.
Quand Shellenberger n'avait que 16 ans, il a collecté des fonds pour le Rainforest Action Network pour sauver l'Amazonie, mais ces dernières années, il a appris que presque tout ce qu'il pensait savoir de la forêt amazonienne était faux. Ce ne sont pas les poumons de la Terre. Leur contribution à l'apport d'oxygène des planètes est un zéro net. La déforestation réelle est minime et permettre aux habitants de transformer certaines terres forestières en fermes pour produire leur nourriture n'est pas une mauvaise idée.
Il a exposé le canular proche que le National Geographic a produit en survolant l'Amazonie avec l'épouse de Tom Brady, le mannequin brésilien Gisele Bundechen, avec le directeur de Greenpeace Brésil en 2016, ne l'exposant qu'aux sites qui donneraient une fausse image de dévastation. Les nouvelles connaissances des auteurs sur les problèmes réels et imaginés au Brésil valent franchement le prix du livre.
Shellenberger nous dit avec précision que la croissance de nouveaux arbres dépasse la perte d'arbres au cours des 35 dernières années par une superficie qui serait égale à celle du Texas et de l'Alaska combinés. Oui, vous avez bien lu.
Bien dans l'écriture de ce livre, l'auteur et sa femme ont passé des vacances en Nouvelle-Zélande où ils ont appris plus de désinformation sur les pingouins menacés par le changement climatique. Ils ont réalisé que les problèmes étaient orientés dans la mauvaise direction lorsque la surpêche était plus importante à comprendre. Cependant, il ne met jamais le changement climatique dû aux émissions de gaz carbonique complètement de côté, estimant qu'il existe toujours, mais sans conséquence.
Un de mes chapitres préférés est intitulé Assez avec les pailles en plastique. En 2016, une jeune biologiste marine Christine Figgener a filmé une collègue extrayant une paille en plastique du nez d'une tortue de mer. La vidéo a finalement eu 60 millions de vues et le reste appartient à l'histoire. Shellenberger a interviewé Mme Figgener en 2019 et a beaucoup appris sur les déchets plastiques qu'il a bien décrits dans son livre. Il s'avère que beaucoup de plastique se dégrade plus rapidement que la plupart des scientifiques ne le pensaient et que les pailles en plastique ne représentent que 0,03% des neuf millions de tonnes de plastique qui finissent dans les océans chaque année.
L'un des éléments les plus perspicaces du livre est une interview téléphonique que Shellenberger a faite avec Michael Oppenheimer de l'Université de Princeton et anciennement avec Environmental Defence. Oppenheimer se classe parmi les semeurs de peur les plus effrontés du pays et avec l'Université de Princeton derrière lui, il fait beaucoup de mal à la compréhension de la vraie science de nos nations.
RépondreSupprimerOppenheimer, qui est convaincu que le niveau de la mer augmente maintenant bien plus que les 7 pouces par siècle au cours du dernier millénaire, est ingérable. Lorsqu'on a demandé à Shellenberger pourquoi si les Pays-Bas réussissaient à résister à l'empiètement de la mer sur leurs terres, pourquoi le Bangladesh et d'autres pays de faible altitude ne pouvaient-ils pas gérer également. Ses faibles réponses non scientifiques lorsqu'il est acculé dit volumes sur les alarmistes que nous affrontons.
Je ne peux pas en dire assez sur la valeur de ce livre. Dans la deuxième partie des Chroniques de Shellenberger, je dévoilerai ce qu'il a appris sur la façon dont l'environnement de la planète peut être protégé intelligemment.
https://www.cfact.org/2020/07/15/the-shellenberger-chronicles-part-one-a-rude-awakening/
Regardez: Le pare-chocs s'envole de Tesla Model 3 en conduisant sous la pluie
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 16/07/2020 - 14:05
À peine signalons-nous que Tesla ferme Fremont pour construire une autre structure semblable à une tente, que la vidéo émerge parfaitement montrant exactement le type de qualité que l'on attendrait d'un véhicule fabriqué dans une tente extérieure.
Une vidéo du pare-chocs d'un modèle 3 volant au volant sous la pluie a commencé à devenir virale cette semaine. De manière hilarante, le blog pro-Tesla electrek décrit le pare-chocs qui s'envole comme un "problème connu", comme si, lorsqu'il pleut, les pare-chocs des Ford et des GM s'envolent au hasard en conduisant tout le temps.
La vidéo a recueilli plus d'un million de vues YouTube en quelques jours seulement.
- voir sur site -
"En 2018, alors que Tesla augmentait encore la production du modèle 3, nous avons signalé que plusieurs propriétaires avaient des problèmes avec la chute de leurs pare-chocs arrière après avoir traversé la pluie ou des flaques d'eau", a écrit le blog mercredi.
Bien que la société ait déclaré qu'elle enquêtait, nous sommes ici en 2020 et cela semble toujours être un problème majeur. La description de la vidéo dit:
Je conduisais mon Tesla Model 3 sous la pluie avec 2 autres personnes dans la voiture quand tout à coup nous avons entendu un gros BOOM! Je me suis garé dans le parking le plus proche, suis sorti de ma voiture pour vérifier ce qui s'est passé et j'étais en état de choc total.
Rappelons qu'en 2019, nous avons écrit sur une faille qui avait permis à 35 livres de saleté de se coincer sous un pare-chocs modèle 3 au Canada. Le modèle 3 s'est avéré avoir un défaut de conception dans son dessous de caisse qui provoque la voiture pour piéger et retenir la saleté, l'eau et le sable des routes.
En 2019, electrek faisait toujours des excuses à Tesla, affirmant que la société "était souvent accusée de concevoir des voitures pour le climat californien" et que l'eau, la saleté et le sable utilisés pour dégivrer les routes dans les climats froids sont susceptibles d'être piégés dans le soubassement des voitures Model 3.
"Je souhaite que Tesla aborde cette question, mais le constructeur automobile ne semble plus répondre aux demandes des médias", déplore le rédacteur en chef d'electrek Fred Lambert à la fin de son article sur le sujet.
Maintenant, tu sais ce que nous ressentons, Fred.
https://www.zerohedge.com/technology/watch-bumper-flies-tesla-model-3-while-driving-rain
COMBIEN ÇA COÛTE : LE PERMIS DE CONDUIRE
RépondreSupprimerpar QUITTERIE DESJOBERT
17/07/2020
40% des candidats échouent à leur première tentative d'examen du permis de conduire.
Avec 1,4 million de candidats chaque année et un taux de réussite de 60,2%, le permis de conduire reste un examen, qui engendre un investissement financier non négligeable. Obtenir le permis de conduire combien ça coûte ?
En France, il existe plusieurs possibilités pour passer son permis de conduire. Dès l’âge de 15 ans, un candidat peut s’inscrire en conduite accompagnée avant de passer son examen à 18 ans. Il existe le permis B classique pour voiture à boîte manuelle et le permis B pour boîte automatique. Bien entendu avant de pouvoir prétendre au permis de conduire, il faut avoir son Code de la route, un frais supplémentaire à ajouter à l’addition finale.
Ainsi l’examen du Code de la route est accessible dès l’âge de 15 ans, en moyenne, il coûte entre 300 et 500 euros. Cela inclut le livre de code, les séances d’entraînement, les frais d’examens et les frais annexes relatifs à l’auto-école. Les frais d’examens sont de 30 euros, ainsi si vous voulez réduire le budget et êtes aptes à travailler seul, il vous suffit d’acquérir le livre de code et de vous acquitter des frais d’examen. Le livre du Code de la route coûte entre 9 et 16 euros. Vous voilà en possession du précieux sésame, maintenant en route vers le permis de conduire. Cependant, il faut savoir que depuis quelques années, les auto-écoles mettent en place des forfaits Code et permis groupés.
Le permis avec conduite accompagnée
La conduite accompagnée ou apprentissage anticipé de la conduite (AAC), permet à un candidat de 15 ans en possession de son Code de conduire sous la supervision du titulaire d’un permis B. En moyenne, le coût de cette formation oscille entre 1.200 et 1.400 euros. Cependant, le prix peu fortement fluctuer en fonction des régions. Le prix de base est de 1.100 euros mais peut atteindre 2.000 euros en moyenne en Ile-de-France.
Cette formation contient les 20 heures de conduite obligatoire avec le moniteur, avant de pouvoir partir en conduite accompagnée, la formation et l’examen du Code de la route, les trois examens pédagogiques avec un moniteur et bien entendu l’examen du permis de conduire. C’est une solution plus économique que le permis normal et pratique pour les familles faisant beaucoup de route, puisqu’il faut que le candidat effectue 3000 kilomètres avant de se présenter à l’examen.
Le permis B pour voiture manuelle
Le coût d’un permis B classique, c’est-à-dire pour boîte manuelle, coûte en moyenne 1.800 euros pour le pack Code de la route et permis. Pour le permis seul, il faut prévoir un budget de 890 à 1.800 euros. Bien entendu il s’agit là du pack contenant les 20 heures de conduite obligatoire avec le moniteur, les frais d’examen et les frais annexes de l’auto-école.
Cependant, si le pack contient 20 heures de conduite, il faut en moyenne 25 à 30 heures de conduite au candidat pour leur permis. Optez donc pour un pack 30 heures. En effet, l’heure individuelle coûte en moyenne 36 euros. Là aussi les diversités financières sont liées à la géographie. En région parisienne, l’heure de conduite peut atteindre 50 euros et descendre jusqu’à 20 euros dans certaines régions. C'est pourquoi le pack de 30 heures est plus avantageux que de prendre les heures à l'unité.
RépondreSupprimerEn moyenne, 60% des candidats réussissent leur examen du permis de conduire du premier coup, pour les 40% restants l’addition risque de s’alourdir. En moyenne, il faut ajouter 250 euros au budget final : les frais d’examen de 75 euros et de nouvelles heures de conduite pour s’améliorer.
Le permis B pour boîte automatique
Même si les Français restent à 70% équipés de voitures à boîte manuelle, les boîtes automatiques mangent de plus en plus de terrain. Le permis automatique ne compte que 13 heures de formation obligatoire contre 20 heures pour le permis manuel, une différence qui influe sur le prix mais aussi la durée de la formation. Pour le permis, il faut compter entre 600 euros et 900 euros pour les régions les plus coûteuses, telles que l’Ile-de-France.
Après 6 mois de permis, il vous est possible de participer à une formation de 7 heures de conduite vous permettant de faire évoluer votre permis automatique en permis B classique. Cette formation fait grimper l’addition de 300 à 400 euros. Cependant, le coût reste toujours inférieur à celui du permis classique.
http://www.economiematin.fr/news-combien-coute-permis-conduire-voiture-examen
La Sibérie en feu ? Tous les étés !
RépondreSupprimerle 17 juillet 2020
L’été dans l’hémisphère nord c’est aussi la saison des incendies de forêt en Sibérie septentrionale. Et généralement, chaque nouvel article sur les incendies de forêt en Sibérie les relie en quelque sorte au changement climatique. Par conséquent, il est temps de voir comment les incendies de forêt ont changé au fil des années. Y a-t-il vraiment une tendance à la hausse des incendies de forêt en Sibérie comme le suggèrent les nouvelles et ce qui est continuellement prédit sur la base des modèles climatiques ? Les éléments de réponse sont présentés dans l’article de Pasi Autio paru sur le site d’Antony Watts le 14 juillet 2020. Il faut mentionner ici que les tribus nomades d’éleveurs de rennes participent à ce phénomène en brûlant à dessein les zones arctiques bordant la limite nord de la forêt boréale couvertes d’arbustes à feuilles caduques de faible taille afin de dégager des pâturages enrichis par les cendres pour l’année suivante. Il en est de même dans les zones d’hivernage plus méridionales des troupeaux de rennes où des feux de forêts sont volontaires, généralement bien maîtrisés, mais ne concernent pas les conifères.
Avec une superficie de 13,1 millions de kilomètres carrés, soit 14 fois la surface de la France, la Sibérie représente 77% de la superficie de la Russie. La majorité de la Sibérie est une région sauvage peu peuplée avec peu ou pas de routes. Par conséquent, le feu brûle généralement jusqu’à ce que la pluie ou un autre facteur naturel arrête le feu. La Sibérie méridionale est également le lieu d’une exploitation forestière extensive pour les résineux de haute tige.
Obtenir des données fiables sur les zones d’incendie sur la base de la littérature disponible semble être problématique. Selon la littérature (1), les données sur les zones d’incendie de la Russie ne sont pas fiables et ont systématiquement et gravement sous-estimé les incendies dans les zones à faible densité de population en raison de la structure du peuplement qui a laissé la plupart du pays sans surveillance (6). La situation ne s’est améliorée qu’après la mise en service des données satellitaires occidentales par la Russie de l’après-URSS. Mais compte tenu de la taille de la Sibérie et du fait qu’elle est très peu peuplée, il n’est pas étonnant qu’aucune donnée fiable ne puisse être générée sans l’aide de satellites. Mais même à l’ère des satellites, certains petits incendies ne sont pas détectés en raison de la couverture nuageuse ou des limites de détection des capteurs (6).
Après une étude approfondie de la littérature, on ne trouve aucune étude réelle fournissant un ensemble de données par satellite pour les incendies de forêt en Sibérie pour l’ère post-URSS non plus, ce qui est étrange compte tenu de la couverture médiatique occidentale des incendies de forêt en Sibérie ces derniers temps. Il semble qu’un effort soit en cours pour créer un tel ensemble de données pour les années de l’ère URSS en numérisant de vieilles images satellite prises depuis 1979.
Superficie brûlée annuellement en Sibérie sur la période 1997-2016
Un essai antérieurement publié (le sujet était les feux de brousse australiens) utilisait des données satellites basées sur les travaux de Giglio et coll. (1, 2). L’article de Giglio décrit une base de données de quatrième génération sur les émissions mondiales de feux (GFED4). Cet ensemble de données combine des enregistrements satellites tels que les cartes de la zone brûlée MODIS de 500×500 m avec des données d’incendie actives du scanner visible et infrarouge (VIRS) de la mission de mesure des précipitations tropicales (TRMM) et de la famille de capteurs du radiomètre à balayage (ATSR). C’est une excellente source pour créer un ensemble de données également pour les incendies de Sibérie.
Les données sont disponibles sur le site globalfiredata.org. Ce site fournit un excellent outil d’analyse et bien sûr les données elles-mêmes, si vous souhaitez les analyser davantage. Actuellement, l’ensemble des données fournit des données sur les zones brûlées pour les années 1997-2016. Il est possible de sélectionner une région ou un pays et de choisir plusieurs options concernant les données sources des émissions vers la zone brûlée (entre autres). La section Outils d’analyse permet également d’utiliser la définition de formes de zone personnalisée. Et c’est ce que j’utilise pour créer mon jeu de données sur la zone des incendies de forêt en Sibérie.
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
La figure fournit la superficie totale brûlée en Sibérie pour chaque année entre 1997 et 2016 en km2. Nous pouvons voir que depuis 20 ans, la tendance des zones brûlées en Sibérie est légèrement à la baisse. Aucun élément de preuve ne permet de penser que les incendies s’aggravent. La superficie moyenne brûlée annuellement au cours de cette période était d’environ 91181 km2, soit environ 10 fois la superficie de la Corse.
Les années 1998, 2003, 2008 et 2012 ont été les quatre saisons d’incendie les plus graves au cours de cette période. En général, la variabilité inter-annuelle est grande (3) avec jusqu’à des différences de parfois un facteur 4 entre les années. Les incendies de forêt en 2003 étaient d’environ 203288 km2.
Données sur les zones brûlées à l’époque de l’URSS
En étudiant la littérature disponible, on découvre que Stocks et Cahoon avaient lancé vers 2010 un projet (3) pour numériser les anciennes images satellite AVHRR de la période 1979-2000 afin de construire une base de données des zones d’incendie par satellite pour la Sibérie. Cela semble avoir pris un certain temps, car les résultats de ces travaux sont introuvables. L’ancien élève de Cahoon, Soja AJ, semble avoir poursuivi ce travail (4) avec Cahoon et Stocks et a présenté les résultats lors de plusieurs conférences en 2018 et 2019 mais les données sont toujours en cours de validation. Les données sont basées sur des instruments, algorithmes et méthodes différents (moins sophistiqués) que l’ensemble de données GFED4 présenté ci-dessus. Par conséquent, cela n’a aucun sens de comparer ces ensembles de données directement. Mais pour savoir si les incendies de forêt en Sibérie se sont aggravés, il est intéressant de comparer les tendances. De plus, les ensembles de données contiennent quatre années qui se chevauchent (1997-2000) et en les utilisant comme référence, nous pouvons conclure que la superficie brûlée des années 1985 et 1987 dépasse 1998 et fait partie des saisons les plus sévères de l’ère satellite.
Les données présentées lors de la conférence (4) ne montrent pas non plus de tendance à la hausse pour la zone brûlée en Sibérie.
En résumé, lorsque nous combinons les ensembles de données AVHRR et GFED4, nous disposons de 37 ans (1979-2016) de données sur les zones brûlées pour la Sibérie. Pendant cette période, aucune tendance à la hausse des incendies de forêt et aucun signal détectable de «changement climatique» ne peuvent être trouvés.
Incendies de la saison 2020
Comme d’habitude, les médias fournissent des histoires inquiétantes sur les incendies de forêt en Sibérie pour cette saison. Greenpeace Russie a fourni cette information (7):
« Le programme forestier de Greenpeace Russie, qui analyse les données satellitaires, a déclaré qu’un total de 9,26 millions d’hectares – plus grand que la taille du Portugal – ont été touchés par des incendies de forêt depuis le début de 2020 ».
Ça semble vraiment très mauvais. Mais comment ces 9,26 millions d’hectares (92600 km2) se comparent-ils aux années précédentes ? Encore une fois, l’outil d’analyse globalfiredata.org nous fournit ces informations. Superficie brûlée cumulée pour la Sibérie de janvier à fin juin pour certaines années du passé:
RépondreSupprimer2003: 15,4 Mha (154205 km2)
2008: 15,5 Mha (155114 km2)
Si les données fournies par Greenpeace sont correctes (aucune source pour le vérifier), le début de la saison des incendies de 2020 en Sibérie a été l’un des pires depuis 1997, mais en aucun cas un record.
Résumé
Les incendies de forêt en Sibérie sont importants chaque été avec d’amples variations entre les années. La superficie moyenne brûlée pour la Sibérie est d’environ 91000 km2 ou 9,1 Mha – environ la taille du Portugal. Contrairement aux prévisions du modèle climatique, aucune augmentation de la superficie brûlée ne peut être trouvée au cours de la période 1979-2016 pour la Sibérie.
Lecture complémentaires
Forêts de Russie dominant les types de forêts et leur densité de canopée:
https://www.researchgate.net/publication/272680068_Russia%27s_Forests_Dominating_Forest_Types_and_Their_Canopy_Density
REFERENCES
1. Giglio, L., J. T. Randerson, and G. R. van der Werf (2013), Analysis of daily, monthly, and annual burned area using the fourth-generation global fire emissions database (GFED4),J. Geophys. Res. Biogeosci.,118, 317–328, doi:10.1002/jgrg.20042.
2. Giglio, L., Boschetti, L., Roy, D.P., Humber, M.L., Justice, C.O., 2018. The collection 6 MODIS burned area mapping algorithm and product. Remote Sens. Environ. 217,72–85. https://doi.org/10.1016/j.rse.2018.08.005.
3. Stocks, Cahoon 2010; Reconstructing Post-1979 Forest Fire Activity and Area Burned in Russia: NOAA AVHRR Analysis https://www.researchgate.net/publication/253580597_Reconstructing_Post1979_Forest_Fire_Activity_and_Area_Burned_in_Russia_NOAA_AVHRR_Analysis_Invited
4. Historic AVHRR-derived Burned Area product and validation for Siberia (1979 – 2000) https://ui.adsabs.harvard.edu/abs/2019AGUFMGC24C..07S/abstract
5. Vegetation fires and global change; White paper directed to UN 6.https://eecentre.org/Modules/EECResources/UploadFile/Attachment/Vegetation-Fires-Global-Change-UN-White-Paper-GFMC-2013.pdf#page=52
7. Nearly 300 wildfires in Siberia amid record warm weather https://phys.org/news/2020-07-wildfires-siberia-weather.html
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/07/17/la-siberie-en-feu-tous-les-etes/
Les propriétaires de panneaux solaires ont demandé de payer «pour revendre au réseau»
RépondreSupprimerJuly 17th, 2020
Les propriétaires de panneaux solaires en Australie-Méridionale sont furieux de devoir payer pour revendre au réseau. Ils sont habitués à obtenir gratuitement toutes les lignes de transmission et les centrales électriques.
La terrible vérité:
M. Preus a déclaré qu'il avait installé son système solaire photovoltaïque domestique pour économiser de l'argent et aider l'environnement, mais qu'il remettait en cause son investissement.
"Nous ne récupérerons jamais, jamais de notre vivant, notre investissement, le retour n’est tout simplement pas là."
"Les gens vont simplement les déconnecter et leur dire de se bourrer, c'est ce que je ferais", a-t-il déclaré.
On leur a vendu un citron: induit en erreur en pensant que l'énergie produite par les panneaux était utile et économique. Au lieu de cela, les propriétaires solaires sans batteries ne peuvent fournir que l'énergie excédentaire dont personne n'a besoin à l'heure du déjeuner. Les tensions à l'heure du déjeuner augmentent et leurs onduleurs se déclenchent de toute façon. Et ils doivent eux-mêmes être connectés au réseau pour obtenir l'électro-jus qu'ils veulent, la plupart des heures de la journée.
Enfin, il y a une tentative de réparer la catastrophe de planification au niveau soviétique. Les gens commencent tout juste à remarquer que les pauvres paient les réseaux pour approvisionner les riches.
Mais l'appel à les inculper vient des groupes sociaux:
Les ménages avec des panneaux solaires sur le toit et des batteries ont réagi avec fureur aux propositions qui pourraient les voir facturés pour l'exportation d'électricité vers le réseau électrique.
Mais maintenant, les groupes de bien-être et la société de transport SA Power Networks ont demandé à la Commission australienne des marchés de l'énergie de modifier les règles du marché pour imposer une taxe aux exportateurs des ménages.
Ils font valoir que dans le système actuel, les ménages sans énergie solaire pourraient être injustement chargés du coût de l'augmentation des réseaux électriques pour faire face à l'augmentation de nouveaux panneaux,
Mais ceux qui veulent changer les règles doivent faire une très bonne affaire, sinon la colère et l'indignité juste arrêteront le changement de règle. À cette fin, l'expression «free ride» est un bon début.
Ces frais ajoutent soi-disant 20 à 30 dollars par an. Une bouchée de pain par rapport à la facture des dommages.
h / t Bill à Oz.
http://joannenova.com.au/2020/07/solar-panel-owners-asked-to-pay-to-sell-back-to-the-grid/#more-72119
Ces Français des villes contre ces Français des champs
RépondreSupprimerLa condescendance affichée de certains citadins envers « les territoires », qui représentent pourtant l’essentiel du pays, révèle un entre-soi insupportable.
Par Patrick Aulnas.
18 JUILLET 2020
S’agit-il d’une simple impression ? La presse mainstream, les chaînes d’information, les émissions dédiées à l’actualité (type C’est dans l’air sur la Cinq) semblent refléter de plus en plus la vision des citadins. Et même des seuls citadins des grandes villes.
Si vous résidez dans une petite commune de quelques milliers d’habitants, a fortiori en zone rurale, vous avez certainement le sentiment de faire partie des grands oubliés. Pire, vous ressentez sans doute une forme de mépris.
L’avenir appartiendrait aux grandes villes, au logement collectif, aux grandes tours végétalisées, aux transports en commun bondés. Voire.
CITADINS : COURAGE, FUYONS LA VILLE !
Pour accepter le mode de vie des très grandes villes, il faut y avoir été conditionné dès l’enfance ou être soumis aux dures lois de l’économie. Mais la vraie vie est ailleurs. L’espace d’une maison individuelle et d’un jardin vaut mieux que les petites cases privatives des immeubles en copropriété. Les champs, les forêts, les chemins herbeux, les rivages côtiers, bref la nature véritable n’ont strictement rien en commun avec les pitoyables créations architecturales couvertes de végétaux atrophiés.
Et malgré la propagande politique, qui pourrait prétendre que le métro ou le bus sont plus agréables que la voiture individuelle ? Vous avez vu beaucoup de politiciens ou de dirigeants de grandes entreprises emprunter les transports en commun ? Non, ils les préconisent pour le vulgum pecus mais utilisent leur voiture avec chauffeur et parfois leur jet privé. L’empreinte carbone réduite, c’est pour les autres.
Et ne venez surtout pas objecter qu’ils compensent en plantant des arbres ou en investissant dans les énergies renouvelables ! Ces mécanismes moralement odieux sont la transposition contemporaine du commerce des indulgences, qui permettait aux riches d’obtenir des prêtres catholiques la rémission de leurs péchés en versant des espèces sonnantes et trébuchantes. Honteux, inadmissible aujourd’hui !
Les cadres dirigeants et supérieurs possèdent d’ailleurs très fréquemment une résidence secondaire. Ils peuvent se permettre de ne pas mettre tous leurs œufs dans le même panier. L’exode d’un grand nombre de Parisiens pendant le confinement a montré la duplicité du discours encensant la ville et ses avantages.
Les malheureux qui y sont restés bloqués ont alors compris l’hypocrisie de ceux qui participent de près ou de loin à l’exercice du pouvoir politique ou économique. Par médias interposés, ils ont le monopole du verbe, mais sous la paille des mots, chacun a découvert le grain des choses : « Vous avez une chance inouïe de vivre dans une grande ville, mais moi j’ai le choix et à la première alerte, je décampe. » Morale de petite crapule opportuniste mettant son savoir au service des puissants, par intérêt, rarement par adhésion.
LA VAGUE VERTE, UNE PURE INVENTION DE CITADINS RICHES
RépondreSupprimerLa détestable arrogance des citadins aisés est apparue à nouveau de façon caricaturale à l’occasion du deuxième tour des élections municipales. À l’annonce des résultats, il n’était question que de vague verte. Les écologistes avaient, soi-disant, remporté une grande victoire. Politiciens, journalistes, intellectuels de service étaient unanimes : l’écologie avait le vent poupe et venait de réussir une percée historique.
Tous ces commentateurssont des citadins qui habitent en général la capitale. Ils ne voyaient rien d’autre que leur environnement quotidien et leurs petites marottes intellectuelles concernant la fin du monde annoncée par l’idéologie en vogue. Aussi étaient-ils incapables de regarder la réalité en face : il n’y a jamais eu de vague verte que dans leur esprit embué.
Les écologistes ont certes conquis sept des 42 villes françaises de plus de 100 000 habitants : Lyon, Strasbourg, Bordeaux, Tours, Annecy et Besançon et Grenoble. Mais sept sur 42, c’est une vaguelette. Et du fait de l’abstention massive, les résultats ne sont absolument pas significatifs politiquement.
Prenons l’exemple de Lyon pour le second tour, transposable aux autres villes :
62 % des électeurs inscrits s’étant abstenus, la liste gagnante n’a obtenu que 19 % des suffrages de ces inscrits. Or cette liste résultait de l’alliance de neuf partis politiques : Europe Écologie Les Verts, La France insoumise, Gauche républicaine et socialiste, Ensemble !, Mouvement républicain et citoyen, Parti socialiste, Parti communiste français, Génération·s, Place publique, Nouvelle Donne.
Il s’agit donc tout simplement d’une coalition des partis de gauche et d’extrême gauche bâtie sur l’impopularité d’Emmanuel Macron et le rejet de Gérard Collomb, ancien maire de Lyon et ministre de l’Intérieur de Macron.
Cette victoire à Lyon traduit surtout un opportunisme écologiste. EELV a fait feu de tout bois pour l’emporter dans des circonstances tout à fait exceptionnelles. Petite victoire mais grand tapage médiatique.
En élargissant la focale sur les 3168 villes qui comptent plus de 3500 habitants, EELV n’en a remporté qu’une trentaine, soit moins de 1 %. Et en considérant les presque 35 000 communes de France, le score écologiste devient vraiment pitoyable puisque l’élection n’est pas politisée dans les petites communes.
LA RUPTURE AVEC LE PEUPLE DE FRANCE
Selon l’INSEE, la population française se répartit comme suit en fonction de la densité de population :
781 communes denses représentant 37,7 % de la population totale ;
3407 communes de densité intermédiaire représentant 29,6 % de la population totale ;
30 782 communes peu denses ou très peu denses représentant 32,7 % de la population totale.
Les deux-tiers des Français résident donc dans des petites communes. Ils ont un mode de vie auquel ils tiennent et que les priorités écologistes ne peuvent que dégrader.
Mais les catégories socio-professionnelles supérieures vivant dans les grandes villes monopolisent la parole et déforment la réalité en choisissant les thèmes jugés par elles importants et correspondant à leur intérêt. La connivence entre politiciens, journalistes et cadres est de plus en plus apparente et de plus en plus mal supportée.
La condescendance affichée de ces catégories envers « les territoires », qui représentent pourtant l’essentiel du pays, révèle un entre-soi insupportable. Sous couvert d’objectivation, le vocabulaire de l’énarchie, repris sans aucun esprit critique par les médias, dénote un mépris qui conduit à une rupture profonde entre ceux qui décident ou commentent et l’écrasante majorité, qui subit leurs diktats sans y adhérer.
RépondreSupprimerLe risque politique ne cesse de croître. Alors, réveillez-vous, décideurs petits et grands ! Parlez des Français et de leurs préoccupations, pas de vos angoisses de fin du monde. Méprisez la créativité linguistique hasardeuse, souvent totalement ridicule, de l’énarchie. Ne vous comportez pas en donneurs de leçons dans un monde dont personne, et surtout pas vous, ne connaît l’avenir.
https://www.contrepoints.org/2020/07/18/376339-ces-francais-des-villes-contre-ces-francais-des-champs
Selon une étude, les narcissiques, les psychopathes et les manipulateurs sont plus susceptibles de s'engager dans la «signalisation vertueuse des victimes»
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 17/07/2020 - 23:25
Rédigé par Elizabeth Nolan Brown via Reason.com,
Une nouvelle étude relie la signalisation de la vertu aux traits de la «Triade noire». Être accusé de «signalement de la vertu» peut sembler gentil aux non-initiés, mais passez beaucoup de temps sur les réseaux sociaux et vous savez que c'est en fait une accusation de manque de sincérité. Les signaleurs de vertu sont, essentiellement, des impostures et des showoffs (frimeurs, crâneurs) - des gens qui adoptent des opinions et des postures uniquement pour recueillir des éloges et de la sympathie ou dont les bonnes actions sont entachées par le besoin que tout le monde voit à quel point elles sont bonnes. Combiné à une culture selon laquelle seule la victimisation confère le droit de commenter certaines questions, c'est un facteur important dans les empilements en ligne et qui contribue certainement à ce que les plateformes de médias sociaux soient parfois aussi décevantes.
Donc: Voici une nouvelle recherche amusante qui examine «les conséquences et les prédicteurs de l'émission de signaux de victimisation et de vertu», publiée dans le Journal of Personality and Social Psychology. L'article, rédigé par les chercheurs de l'Université de la Colombie-Britannique Ekin Ok, Yi Qian, Brendan Strejcek et Karl Aquino, détaille plusieurs études menées par les auteurs sur le sujet.
Leur conclusion ? Les personnes psychopathes, manipulatrices et narcissiques sont des signaleurs plus fréquents de «victimisation vertueuse».
Les traits de personnalité dits de la «triade noire» - machiavélisme, narcissisme et psychopathie - conduisent à des caractéristiques comme «l'autopromotion, l'insensibilité émotionnelle, la duplicité et la tendance à profiter des autres», explique le document.
Et "traités comme un composite, les traits de la Triade noire étaient des prédicteurs importants de la signalisation vertueuse de la victime".
Cela est vrai "même en contrôlant les facteurs qui peuvent rendre les gens vulnérables aux mauvais traitements ou aux désavantages dans la société (c'est-à-dire les caractéristiques démographiques et socio-économiques) ainsi que l'importance qu'ils accordent à être un individu vertueux dans le cadre de leur concept de soi". notent les chercheurs.
Ils soulignent que la signalisation de la vertu est définie comme «l'expression visible de valeurs morales, réalisée principalement dans le but d'améliorer sa position au sein d'un groupe social».
Pendant ce temps, la signalisation des victimes "peut être utilisée comme une tactique d'influence sociale qui peut motiver les destinataires du signal à transférer volontairement des ressources au signaleur", expliquent-ils. Plus de la section de fond théorique de l'article:
Une littérature émergente sur la victimisation compétitive documente la prévalence de la signalisation des victimes par divers groupes sociaux et fournit des preuves de sa fonctionnalité en tant que stratégie d'extraction des ressources. Par exemple, le signalement des victimes justifie les groupes de victimes qui cherchent à se venger des oppresseurs présumés. Les châtiments prennent souvent la forme d'une demande d'indemnisation par le biais d'une sorte de transfert de ressources des non-victimes à la victime présumée. La revendication du statut de victime peut également faciliter le transfert des ressources en conférant l'immunité morale au demandeur. L'immunité morale protège la victime présumée des critiques sur les moyens qu'elle pourrait utiliser pour satisfaire ses demandes. En d'autres termes, le statut de victime peut justifier moralement le recours à la tromperie, à l'intimidation ou même à la violence par les victimes présumées pour atteindre leurs objectifs. De même, revendiquer le statut de victime peut amener les observateurs à juger une personne moins blâmable, excusant les transgressions, telles que l'appropriation d'une propriété privée ou l'infliction de douleur à autrui, qui pourraient autrement entraîner une condamnation ou une réprimande. Enfin, le fait de revendiquer le statut de victime élève le statut psychologique du demandeur, défini comme un sentiment subjectif de légitimité ou le droit de s'exprimer. Une personne qui a une position psychologique peut rejeter ou ignorer toute objection des non-victimes au caractère déraisonnable de leurs demandes. Contrairement aux signaleurs de victimes, les personnes qui ne révèlent pas publiquement leur malheur ou leur désavantage sont moins susceptibles de profiter des avantages de l'indemnisation punitive, de l'immunité morale, de la déviation de culpabilité ou de la position psychologique et auraient donc du mal à initier des transferts de ressources.
RépondreSupprimerL'efficacité de la signalisation des victimes en tant que stratégie de transfert de ressources suit les principes de base de la théorie de la signalisation. La théorie de la signalisation postule que la transmission d'informations d'un individu (l'expéditeur) à un autre (le récepteur) peut influencer le comportement du récepteur. Les signaux peuvent se référer à n'importe quel trait physique ou comportemental de l'expéditeur et sont utilisés par les expéditeurs pour modifier les comportements des autres à leur propre avantage.
Leurs résultats suggèrent que:
"un signal de victime perçu peut amener les autres à transférer des ressources à une victime, mais que la motivation pour le faire est amplifiée lorsque le signal de la victime est associé à un signal de vertu" et "les personnes élevées dans les traits de la Triade noire émettent le signal double plus fréquemment . "
"une corrélation positive entre les scores de la Triade Noire et la fréquence d'émission du signal de victime vertueuse."
"preuve de la façon dont ces signaux ... peuvent prédire la volonté d'une personne d'adopter et d'approuver des comportements éthiquement discutables ... les signaleurs de victimes vertueuses fréquentes sont plus disposés à acheter des produits contrefaits et à juger les contrefacteurs comme moins immoraux que les signaleurs moins fréquents, un schéma qui était également observés lors de l'utilisation des scores de la Triade Noire des participants au lieu de leur score de signalisation, "et" les signaleurs de victimes vertueuses fréquentes étaient plus susceptibles de tricher et de mentir pour gagner une récompense monétaire supplémentaire dans [un] jeu de tirage au sort. "
"qu'une dimension appelée manipulation amorale était le prédicteur le plus fiable de la signalisation vertueuse de la victime."
«Les signaleurs fréquents de victimes vertueuses étaient plus susceptibles de faire des réclamations exagérées pour justifier une restitution pour une violation présumée et ambiguë des normes dans un contexte organisationnel».
RépondreSupprimerLes auteurs soulignent qu'ils "ne réfutent pas l'affirmation selon laquelle il y a des individus qui émettent le signal vertueux de la victime parce qu'ils subissent un préjudice légitime et se comportent également de manière décente et louable".
https://www.zerohedge.com/markets/narcissists-psychopaths-manipulators-are-more-likely-engage-virtuous-victim-signaling-study
Les garçons perdus ? La classe ouvrière blanche est laissée pour compte
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 17/07/2020 - 22:05
Rédigé par Christopher Snowdon via Spectator USA,
Vous pouvez discuter du bien-fondé de l'abaissement des statues, mais il est difficile de faire valoir que les manifestations de masse ne servent à rien. À tout le moins, ils provoquent des débats et attirent l'attention sur des sujets inconfortables qu'il serait autrement plus facile d'ignorer. Les récentes manifestations ont forcé tout le monde à avoir des discussions difficiles sur la race, la classe, la pauvreté et les acquis. Tout examen sérieux des statistiques montre que nous sommes assez loin d’être égaux, mais ce que les chiffres montrent également, c’est qu’il est mal avisé et dommageable de regrouper des groupes très différents.
Dans ces discussions, les politiciens supposent souvent paresseusement que tous les BAME (noirs, asiatiques et ethniques minoritaires) sont les mêmes et que tous les groupes blancs sont également privilégiés. Mais un examen attentif des données montre non seulement qu'il existe des différences frappantes au sein des groupes BAME, mais que le groupe le moins performant de tous est celui des garçons blancs de la classe ouvrière - le groupe démographique oublié.
Il peut sembler diviseur de comparer différents groupes, mais le niveau de scolarité et de vie est relatif et si nous voulons aider les plus démunis, nous devons savoir qui ils sont. Nous devons aider tous ceux qui en ont besoin, mais il est essentiel de pouvoir comparer les groupes pour savoir qui est en retard par rapport à leurs pairs. Au Royaume-Uni, les Bangladais-Britanniques gagnent 20% de moins que les Blancs en moyenne, par exemple, mais ceux d'origine indienne gagneront probablement 12% de plus. Les Britanniques noirs gagnent en moyenne 9% de moins, mais les Chinois gagnent 30% de plus. Ce que ces différences nous disent, c'est que les employeurs ne font pas systématiquement de discrimination entre les personnes en fonction de la couleur de leur peau, et que nous devons regarder ailleurs pour voir les racines des inégalités.
Ucas, le service britannique des admissions universitaires, peut fournir un aperçu unique de ces questions: c'est la seule équipe au monde à recueillir des informations détaillées sur tous les candidats à l'université, y compris leur âge, leur sexe, leur quartier et leur type d'école. Ces informations sont collectées avec des données sur les candidats à quels cours et qui ont été acceptés, et elles sont renouvelées en détail chaque année.
Une grande partie des données montre des résultats prévisibles: il y a un écart entre les riches et les pauvres, comme on peut s'y attendre dans un système d'État britannique où les meilleures écoles ont tendance à être situées dans les zones les plus chères. Mais il y a aussi des découvertes surprenantes: près de la moitié des enfants éligibles aux repas scolaires gratuits dans le centre de Londres poursuivent des études supérieures, mais dans le pays en dehors de Londres dans son ensemble, ce n'est que 26%.
Les enfants noirs africains britanniques surpassent les enfants blancs, tandis que les enfants noirs des Caraïbes ont tendance à faire pire. Les pauvres filles chinoises (c'est-à-dire celles qui ont droit à des repas scolaires gratuits) réussissent mieux que les riches enfants blancs. Mais, fait intéressant, le groupe ethnique le moins susceptible d'entrer à l'université est le blanc. À l'exception des Tsiganes / Roms, tous les groupes ethniques fréquentent l'université à un taux plus élevé que les Britanniques blancs et, parmi les Britanniques blancs qui y participent, la plupart appartiennent à la classe moyenne et 57% sont des femmes. Le groupe le moins susceptible de poursuivre des études supérieures est celui des garçons blancs pauvres. Seulement 13% d'entre eux poursuivent des études supérieures, moins que n'importe quel groupe noir ou asiatique.
RépondreSupprimerC'est une tendance qui peut également être observée dans les données GCSE; seuls 17 pour cent des élèves britanniques blancs éligibles aux repas scolaires gratuits obtiennent une bonne note en anglais et en mathématiques. Les étudiants classés comme bangladais, noirs africains et indiens sont plus de deux fois plus susceptibles de le faire. En 2007, le secteur public a vu 23 pour cent des étudiants noirs poursuivre des études supérieures; cela était vrai pour 22% des blancs. Donc à peu près la même chose. Mais lors du dernier décompte, en 2018, l'écart s'était élargi à 11 points (41% pour les étudiants noirs, 30% pour les blancs). Les enfants de la classe ouvrière blanche s'éloignent de leurs pairs, risquant de se perdre.
Aller à l'université n'est pas le billet d'or qu'elle était autrefois, mais cela nécessite une naïveté stupéfiante de croire que sept garçons blancs pauvres sur huit jettent un regard sobre sur l'économie de l'enseignement supérieur et choisissent plutôt de créer leur propre entreprise. La piste des preuves tangibles se refroidit une fois qu'ils quittent l'école, mais les perspectives pour ceux qui savent à peine lire et écrire sont terribles et nous pouvons avoir une idée des conséquences en examinant les zones `` laissées pour compte '' où le chômage, la criminalité et les `` décès '' du désespoir »sont nettement plus élevés que la moyenne nationale.
Angus Deaton, lauréat du prix Nobel basé à l’Université de Princeton, a proposé l’expression «morts du désespoir» en examinant les données démographiques des personnes souffrant d’alcoolisme, de dépression et de toxicomanie. Les suicides parmi les Blancs, selon lui, étaient en plein essor et ceux qui se suicidaient avaient tendance à être pauvres et peu instruits. Son livre récemment publié sur le sujet (Deaths of Despair and the Future of Capitalism, co-écrit avec Anne Case) raconte l'histoire dévastatrice de ce qu'il appelle «le déclin de la vie de la classe ouvrière blanche au cours du dernier demi-siècle».
Pourtant, alors que les hommes blancs de la classe ouvrière sont la plus grande minorité défavorisée, leur cause est la moins à la mode. Dans la pyramide intersectionnelle de la victimisation, les hommes blancs sont en bas, ternis par les idées de «masculinité toxique» et de «privilège blanc» malgré le fait qu’en Grande-Bretagne, la classe a toujours été l’indicateur le plus significatif du véritable privilège. Il est donc inquiétant que quiconque tente une «action positive» au nom de pauvres garçons blancs soit confronté à une réaction hostile. L'année dernière, les collèges Dulwich et Winchester ont refusé un legs de plus d'un million de livres sterling (1,25 million de dollars) parce que le donateur, Sir Bryan Thwaites, voulait que l'argent soit réservé pour les bourses d'études pour les garçons blancs de la classe ouvrière. Peter Lampl, fondateur du Sutton Trust, une organisation caritative dont la mission déclarée est d’améliorer la mobilité sociale, a qualifié l’offre de Thwaites de «désagréable».
Lorsque Ben Bradley, le député conservateur de Mansfield, a tenté de poser une question «d’égalité» sur les garçons blancs de la classe ouvrière au parlement plus tôt cette année, il a été refusé par le Bureau de la Table parce qu’ils n’ont pas de «caractéristiques protégées». Le concept de «caractéristiques protégées» a été transposé dans le droit britannique par la loi sur l’égalité de Harriet Harman, il y a 10 ans, et les conservateurs, alors dans l’opposition, ont pris la rare décision de voter en sa faveur. Les neuf caractéristiques protégées comprennent la «race», le «sexe» et «l’orientation sexuelle», mais le Bureau de la table n’est pas le seul à les interpréter comme «non-blanc», «féminin» et «gay».
RépondreSupprimerEn vertu de la loi sur l’égalité, la «discrimination positive» reste techniquement illégale, mais le concept à peine distinct d’action positive est explicitement légal. Les entreprises ne peuvent pas avoir de quotas, mais elles peuvent fixer des objectifs. Les employeurs ne peuvent pas refuser d’examiner les candidatures de personnes dépourvues de caractéristiques protégées, mais en déclarant que «les candidatures sont particulièrement bienvenues» des candidats BAME, femmes ou LBGTQ +, ils envoient un message selon lequel certains n’ont pas besoin de postuler.
En 2016, la BBC a promis que la moitié de sa main-d'œuvre et de ses dirigeants seraient des femmes d'ici 2020, bien que moins de 40% des travailleurs à plein temps britanniques soient des femmes. Il a également fixé un objectif de 8% pour les employés LGBT, même si seulement environ 2% de la population s'identifie comme LGBT. Cet objectif a été largement dépassé, tout comme l'objectif de 15% d'employés issus de BAME. À la suite des manifestations de Black Lives Matter le mois dernier, la société a porté cet objectif à 20%.
La BBC admet que les personnes issues de «ménages à revenu faible ou intermédiaire» sont largement sous-représentées dans sa main-d’œuvre. Mais que fait-il à ce sujet? Plus tôt ce mois-ci, l’Université d’Oxford a annoncé avec fierté qu’elle faisait des «progrès constants» dans ses efforts pour rendre ses campus «représentatifs de la société au sens large». De son plus récent effectif d'étudiants britanniques, seulement 14 pour cent provenaient des 40 pour cent des ménages les plus pauvres.
Cela correspond à un modèle: d'un seul coup, nous pouvons entendre la reconnaissance du problème du «pauvre homme blanc». Mais c'est aussi loin que ça aille. La sous-performance des garçons et des hommes blancs n'est pas considérée comme un problème à résoudre. Lorsque des chiffres montrent les écarts de réussite impressionnants entre les garçons et les filles, l'intérêt dure environ une journée. "Cela a toujours fait la une des journaux", déclare Mary Curnock Cook, ancienne directrice de l'Ucas. «Là où cela n’a jamais eu d’impact, c’est dans l’élaboration des politiques au gouvernement. J'ai commencé à penser que le sujet des garçons blancs était tout simplement trop difficile pour eux, étant donné la politisation du féminisme et l'égalité des femmes. »
Lorsque j'ai demandé à un enseignant pourquoi les garçons blancs de la classe ouvrière avaient pris autant de retard, il m'a répondu brièvement: les filles ont un meilleur comportement et les parents immigrés sont plus stricts. Il s’agit d’une généralisation mais néanmoins intéressante: si le rôle parental est le problème, on ne sait pas ce que le gouvernement britannique peut faire. Peut-être la réticence à discuter du sujet découle-t-elle de la crainte qu’une telle discussion conduise à un territoire difficile sur la structure familiale, la qualité de la parentalité et - en bref - la culture. Peut-être que les politiciens pensent qu'il vaut mieux laisser le problème s'aggraver, et les enfants souffrir, que de risquer d'en discuter.
Le mois dernier, le gouvernement britannique a annoncé que sa commission sur les inégalités raciales inclurait un examen de la sous-performance des garçons blancs de la classe ouvrière dans les écoles. Va-t-il examiner les causes en profondeur ? Il pourrait examiner des études récentes qui suggèrent que les faibles niveaux de lecture dans les écoles sont une énorme partie du problème. Et il pourrait se demander si «l'action positive» au nom de la diversité a laissé les garçons blancs de la classe ouvrière derrière.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/political/lost-boys-white-working-class-being-left-behind
(...) Les enfants noirs africains britanniques surpassent les enfants blancs, tandis que les enfants noirs des Caraïbes ont tendance à faire pire. Les pauvres filles chinoises (c'est-à-dire celles qui ont droit à des repas scolaires gratuits) réussissent mieux que les riches enfants blancs. Mais, fait intéressant, le groupe ethnique le moins susceptible d'entrer à l'université est le blanc. À l'exception des Tsiganes / Roms, tous les groupes ethniques fréquentent l'université à un taux plus élevé que les Britanniques blancs et, parmi les Britanniques blancs qui y participent, la plupart appartiennent à la classe moyenne et 57% sont des femmes. (...)
SupprimerCette tendance se définit plus tard par son contraire !!! Car les blancs sont des réussistes, des gagneurs qui peuvent partir de zéro. Attention depuis quelques années les 'diplômes' sont donnés à n'importe qui 'de façon à mettre tout le monde sur un pied d'égalité' ! HAHAHAHA !
Surtout certaines personnes affichent chez elles 'Maître couturier de l'École de Paris' ou d'autres conneries mais ne savent rien faire ni même... copier !! (découdre un pantalon pour en copier le gabarit).
Le dôme de chaleur rôtit les États-Unis avec des prévisions de temps pour approcher 100 ° F (38°C)
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 17/07/2020 - 19:05
Un énorme dôme de chaleur devrait s'intensifier ce week-end, devrait rôtir des centaines de millions d'Américains avec des températures dans certaines régions approchant 95-100 ° F.
Des températures supérieures à la normale seront trouvées dans le centre des États-Unis demain et se propageront au nord-est / au centre de l'Atlantique ce week-end. Les sommets du milieu à la fin des années 90 seront généralisés, avec des indices de chaleur supérieurs à 100 degrés. Assurez-vous de rester hydraté et de faire des pauses si vous travaillez à l'extérieur. pic.twitter.com/fOcHG9LlF4
- NWS WPC (@NWSWPC) 16 juillet 2020
Une partie du même système météorologique, une grande zone de haute pression, qui a construit et grillé le centre-sud des États-Unis une grande partie de cette semaine, se dirigera vers le nord-est dans les prochains jours.
Les températures réelles devraient augmenter jusque dans les années 90 à partir de certaines parties de l'Ohio, de la Pennsylvanie, de l'État de New York, du Vermont, du Connecticut, du Rhode Island, du New Hampshire, du Massachusetts, de la Virginie occidentale, du New Jersey, du Maryland, du Delaware et de la Virginie.
Quelques endroits au-dessus du centre de l'Atlantique et de la vallée de l'Ohio peuvent atteindre ou dépasser 100 degrés pendant quelques heures dans l'après-midi le dimanche et le lundi. - Accuweather
Le météorologue Ryan Maue a tweeté: "La température maximale moyenne inférieure à 48 sera supérieure à 90 ° F 265 millions d'habitants à 90 ° +" samedi.
-voir carte sur site -
h / t météorologue Ryan Maue
Le National Weather Service avertit que des indices de chaleur supérieurs à 100 ° F seront trouvés dans le Midwest tout au long du week-end.
Quelle sera la température ce week-end et le début de la semaine prochaine ? Des indices de chaleur supérieurs à 105 degrés seront trouvés dans le Midwest samedi et dimanche, avant qu'un front froid n'apporte un soulagement indispensable. Pendant ce temps, la chaleur devrait s'accumuler à travers le centre de l'Atlantique et le sud. pic.twitter.com/qENdYNE6ce
- NWS WPC (@NWSWPC) 15 juillet 2020
Ce sera un week-end chaud et humide sur une grande partie du pays. On prévoit qu'environ un tiers du CONUS par zone terrestre verra un indice de chaleur atteindre 100 ° F au cours des trois prochains jours. Et environ 53 millions de personnes sont actuellement soumises à une sorte d'avertissement, de surveillance ou d'avis de chaleur. pic.twitter.com/mtDW5g2Z3C
- NWS WPC (@NWSWPC) 17 juillet 2020
Le système national intégré d'information sur la sécheresse met en garde «en dehors du sud-est, chaque région des États-Unis connaît une certaine sécheresse».
Voici les prévisions météorologiques aux États-Unis de Refinitiv, Ed Whalen, pour les 1-5 prochains jours, 6-10 jours et 11-15 jours. Le rapport est spécialement conçu pour les commerçants de gaz naturel.
-voir carte sur site -
Alors qu'environ 90% des ménages disposent de la climatisation, cela ne signifie pas nécessairement qu'ils peuvent se le permettre cette année, car une récession provoquée par un virus, associée à une falaise budgétaire, fait fortement pression sur les finances des ménages. Certaines personnes devront peut-être attendre la deuxième série de contrôles Trump avant de baisser leurs thermostats en dessous de 68 ° F.
https://www.zerohedge.com/commodities/heat-dome-roasts-us-temps-forecast-approach-100f
SupprimerLes étés chauds (caniculaires) annoncent des hivers suivants froids à très froids !
Aux States les hivers froids sont devenus des habitudes où chaque année apporte ses records de baisse du thermomètre.
Colorado Town menace jusqu'à un an de prison pour ne pas avoir porté de masque
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 17/07/2020 - 17:25
Rédigé par Simon Black via SovereignMan.com,
Êtes-vous prêt pour l’absurdité de cette semaine ? Voici notre récapitulation du vendredi des histoires les plus ridicules du monde entier qui menacent votre liberté, menacent votre prospérité… et, à l'occasion, inspirent une justice poétique.
Emprisonnement dans une ville du Colorado pour ne pas avoir porté de masque
Englewood, Colorado, une banlieue importante de Denver, a fait un crime de quitter votre maison sans porter de masque.
Et «crime» signifie crime. Ils ne parlent pas d'une amende ou d'une gifle au poignet.
Toute personne de plus de six ans doit porter un masque en tout temps, n'importe où dans les entreprises publiques ou privées. Et la punition pour avoir enfreint la loi peut aller jusqu'à un an de prison.
En comparaison, les directives de détermination de la peine du Colorado prévoient des sanctions similaires pour les délits tels que la possession illégale d'armes, la falsification, le vol et le défaut de s'inscrire comme délinquant sexuel.
Pour les autoritaires, toute petite loi idiote à laquelle ils peuvent penser s'accompagne d'un an de prison.
C’est comme un tampon automatique, une nouvelle loi, BOOM - un an de prison.
Juste votre rappel hebdomadaire qu'il n'y a pas de crime si insignifiant que le gouvernement ne vous jettera pas dans une cage.
Cliquez ici pour lire l'histoire complète.
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Laisser des traces de pneus sur la route est désormais un crime de haine
La police canadienne recherche un suspect dans une Ford Mustang accusée de «geste de haine».
La voiture a décollé et laissé des traces de pneus sur un passage pour piétons.
Mais ce n'était pas n'importe quel passage pour piétons. C'était un passage pour piétons arc-en-ciel de la fierté gay.
Alors maintenant, la police demande des informations pour localiser l'auteur de ce crime odieux.
Était-ce réellement motivé par la haine ? Qui sait !?
Peut-être que le gars vient de décoller. Peut-être que c'était un adolescent qui a vu une cible fraîchement peinte dans la rue et a voulu la ternir.
Immature ? Sûr. Un geste de haine ? Nous ne savons pas.
Le fait est que les médias et le public ont maintenant cette réaction instinctive à tout ce qui implique un groupe de victimes spécial.
Il DOIT être motivé par la HAINE ! Il n'y a pas d'autre explication.
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Le Royaume-Uni infligera une amende aux parents pour les enfants qui manquent l'école le semestre prochain
RépondreSupprimerLe Royaume-Uni forcera les élèves à retourner à l'école à l'automne. Et si les parents sont mal à l'aise avec ça, tant pis.
Le secrétaire à l'Éducation a déclaré que les parents seront condamnés à une amende pour avoir éloigné leurs enfants de l'école.
Les parents ne seront pas autorisés à prendre en compte la santé et la sécurité de leur propre enfant et à prendre leur propre décision. L'Etat décidera.
Il est toutefois légal de scolariser entièrement votre enfant à la maison au Royaume-Uni, tout comme aux États-Unis.
Et c'est une liberté qui se sent plus importante chaque jour.
Cliquez ici pour lire l'histoire complète.
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Les flics suivent une commande de restauration rapide pour arrêter une fête violant le verrouillage
Les ambulanciers qui mangeaient dans un KFC en Australie ont en quelque sorte pris vent d'une grosse commande entrant dans l'établissement de restauration rapide.
Alors naturellement, au lieu de s'occuper de leurs propres affaires, ils ont appelé la police. C’est ce que vous faites à l’époque de Covid - mouchardez vos voisins.
La police a suivi le chauffeur-livreur au domicile qui a commandé la grande quantité de poulet frit. Et bien sûr, certains criminels horribles organisaient une fête d'anniversaire.
Mais ne vous inquiétez pas, la police australienne a infligé au total 26 000 $ A (plus de 18 000 $ US) d’amendes aux fêtards.
Cela leur apprendra à se recroqueviller de peur à la maison au lieu de vivre leur vie.
Covid-19 est toutes les excuses dont les autorités ont besoin pour passer à l'état policier à part entière.
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Écrivain annulé pour signature de lettre contre annuler culture
RépondreSupprimerHarper’s Weekly a publié une lettre ouverte mettant en garde contre «annuler la culture».
Il a souligné que la peur de dire la mauvaise chose au travail ou en ligne étouffe la liberté d'expression, tue les discussions ouvertes et refroidit l'échange d'idées.
Et ce n'était pas un groupe de droite. La lettre a été signée par des gens comme Noam Chomsky, Margaret Atwood et Gloria Steinem - tous des gauchistes célèbres.
Un écrivain libéral de Vox, Matt Yglasias, a supposé qu'il était en bonne compagnie lorsqu'il a également signé la lettre.
Mais la lettre a également été signée par des personnes «anti-trans» comme l'auteure féministe de Harry Potter, JK Rowling.
Ainsi, une personne trans, Emily VanDerWerff, qui travaille également pour Vox, a décidé de signaler à Matt la signature de la lettre. Emily a également posté la lettre à la police de Twitter, mais a dit à ses 70 000 abonnés qu'elle n'essayait absolument pas de causer des problèmes à Matt.
Naturellement, il n’a pas fallu longtemps à l’Inquisition Twitter pour persécuter Matt pour son «discours de haine». Il a signé une lettre qui était également signée par une personne anti-trans… ce qui rend Matt anti-trans par association.
Puisqu'il était maintenant victime de l'attaque de la foule à la culture d'annulation, Matt s'est excusé et a dénoncé sa signature sur la lettre.
Il a dit qu'il ne se rendait pas compte qu'il cosignait avec des personnes anti-trans.
En d'autres termes: je ne savais pas que je soutenais la liberté d'expression aux côtés de certaines personnes qui ne pensent pas exactement de la même manière que moi!
Cliquez ici pour lire l'histoire complète.
https://www.zerohedge.com/political/colorado-town-threatens-year-jail-not-wearing-mask
SupprimerAu Colorado il y a peu de masques N95 (FFP2) voire même pas du tout ! C'est-à-dire qu'ils se tournent vers la débilité trisomique d'un pays européen où SEULS les masques inutiles et mortels sont autorisés ! (faute d'avoir reçu de Chine des masques FFP2, des attardés mentaux portent des anti-poussières ! (pas de blagues ! vérifiez !!), masques faits de jeans, ou masques dits 'chirurgicaux' ou 'médicaux' !! (FFP1) qu'ils portent à longueur de journées !! HAHAHAHAHA !
Industrie de la robotique formée dans la zone de développement industriel de haute technologie de Tangshan, dans le nord de la Chine
RépondreSupprimerXinhua, 18 juillet 2020
- voir photos sur site :
http://www.china.org.cn/photos/2020-07/18/content_76285556.htm