Réseau International
mer., 29 juil. 2020 20:34 UTC
De nombreuses études scientifiques et médicales prouvent l'inefficacité des masques, voici une sélection de ressources à ce sujet.
Article du Dr Dennis Rancourt, PhD - ResearchGate, traduction Sott.net : La science est concluante : les masques n'empêchent PAS la transmission des virus
Article du Dr Russell Blaylock https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.... (Note de Sott.net : Voir aussi les articles suivants que nous avons traduits : Le danger mortel des masques - par le Dr Russell Blaylock ET Covid-19 — Porte un masque facial et savoure une partie du gaz carbonique que tu viens d'expirer)
Avis scientifique sur le port du masque : https://www.inspq.qc.ca/sites/default...
Les masques, même chirurgicaux, ne sont pas efficaces contre le coronavirus selon cette étude https://dailygeekshow.com/masques-eff...
Planétoscope : Combien de virus respirons-nous ? https://www.planetoscope.com/Le-corps...
Futura Santé : Comment le stress diminue notre immunité https://www.futura-sciences.com/sante... 7 Long-Term Side Effects of Wearing Face Masks https://www.eatthis.com/face-mask-lon...
Conférence de presse du Dr. Dan Erickson https://covidinfos.net/covid19/selon-...
Les masques, symbole de peur et de soumission https://translate.google.com/translat...
Des explications inédites concernant la respiration et le système immunitaire : La Forteresse de l'Harmonie de Pierre Lassalle https://www.editions-terre-de-lumiere...
Livre-MP3 méditation guidée sur la respiration https://www.editions-terre-de-lumiere...
Cette vidéo est une collaboration France - Québec, réalisée par André Fortier et Amélie Delalain, « quêteurs de vérité » membres du Kaya Team Universe. https://www.kaya-team-universe.org/
Les images, vidéos et musiques libres de droits utilisées à des fins éducatives.
Découvrir le site Lumière dans la matrice : http://www.lumiere-dans-la-matrice.org/
Extraits du clip ci-dessus:
RépondreSupprimer(...) Nous respirons environ 200 000 virus chaque minute et près de 2 millions lorsque nous faisons des activités physiques (...)
1 m³ d'air compte 1,7 million et 40 millions de virus.
Les masques ne suffisent pas: le Dr Fauci dit que les gens devraient "probablement utiliser des lunettes de protection" pour se protéger contre le COVID-19
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer 29/07/2020 - 16:45
Les Américains ne semblent pas pouvoir supporter de porter des masques pour arrêter le coronavirus. Maintenant, imaginez si le CDC a changé ses directives pour appeler également à une «protection oculaire» comme des lunettes médicales pour arrêter la propagation du virus (et protéger votre voisin, ainsi que vous-même).
Eh bien, le Dr Fauci se prépare apparemment à faire exactement cela.
Lors d'une interview avec ABC News, le Dr Fauci a déclaré mercredi qu'il pourrait bientôt conseiller aux Américains de porter une "protection oculaire'' pour éviter d'être infecté par le COVID-19 alors que les décès le long de la ceinture solaire atteignent des sommets records.
«Si vous avez des lunettes ou un masque oculaire, vous devriez l'utiliser», a déclaré le médecin, avant d'ajouter que ce n'est pas universellement recommandé, «mais si vous voulez vraiment être complet, vous devriez probablement l'utiliser si vous le pouvez», a-t-il déclaré.
Regardez un extrait de l'interview ci-dessous
Dr Anthony Fauci à @DrJAshton: "Si vous avez des lunettes ou une protection oculaire, vous devriez l'utiliser. Ce n'est pas universellement recommandé, mais si vous voulez vraiment être complet, vous devriez probablement l'utiliser si vous le pouvez." https://t.co/SJPZn8fN6F pic.twitter.com/Ml87aBuclI
- ABC News (@ABC) 29 juillet 2020
Quiconque écoutait cela aurait probablement une litanie de questions pour le médecin. Mais au lieu d'essayer de clarifier cela, il a juste dit que les Américains devraient viser à "protéger autant de surfaces muqueuses que possible". Très instructif, en effet.
Le Dr Fauci a déclaré que la pré-inscription pour l'essai clinique final de Moderna pour un éventuel vaccin COVID-19 comprend 19% de participants noirs et 19% hispaniques sur 89 sites à travers le pays.
«Maintenant, nous voulons obtenir cela et même plus» en raison de la façon dont le virus a affecté de manière disproportionnée les communautés minoritaires avec des résultats pires et des taux de mortalité plus élevés, a déclaré le Dr Fauci.
Alors maintenant, les essais cliniques sont potentiellement retardés afin que les scientifiques puissent se plier aux guerriers de l'égalité: parce que ces vaccins ne devraient-ils pas fonctionner de la même manière quelle que soit la race?
Mais pour revenir à la dernière recommandation de Fauci: quiconque a porté un masque avec des lunettes ou des lunettes de soleil a probablement fait l'expérience de la buée répétée à cause du souffle d'une personne dirigée vers le haut. Donc, quiconque suit ce conseil pourrait avoir du mal à voir en public. Et cela pourrait créer ses propres problèmes.
Et si nous essayons de couvrir autant de membranes muqueuses que possible, pourquoi ne pas simplement aller à tapis ?
Le couple brésilien Tercio Galdino et Alicia Lima a été vu enfiler une combinaison spatiale avec des casques sur mesure tout en se promenant sur une plage de Rio de Janeiro pic.twitter.com/ADMzv9g8s0
RépondreSupprimer- H24 (@ H24News_) 19 juillet 2020
Malgré un nombre croissant de recherches suggérant que les particules en aérosol peuvent persister dans l'air plus longtemps qu'on ne le croyait auparavant, l'OMS n'a pas fait grand-chose pour changer ses directives:
La transmission aérienne du SRAS-CoV-2 peut se produire lors d'interventions médicales générant des aérosols («procédures générant des aérosols»). (12) L'OMS, en collaboration avec la communauté scientifique, a activement débattu et évalué si le SRAS-CoV-2 peut également se propager par les aérosols en l'absence de procédures générant des aérosols, en particulier dans les environnements intérieurs avec une mauvaise ventilation.
https://www.zerohedge.com/economics/dr-fauci-says-people-should-probably-use-eye-shields-protect-against-covid-19
"protection oculaire'' (interdit au moins de 18 anx)
SupprimerMis à part que le blanc des yeux n'a pas de globule blanc et donc que tous les virus peuvent aussi entrer par les yeux et le devoir de porter des lunettes de piscines en plus du masque FFP2 (ou N95 USA), demain, vous sera demander de vous mettre un bouchon dans le trou de cul car... par là aussi çà rentre !! (attention aux contrôles fait dans la rue !).
Bon, assez rigolé, pourquoi le masque et, de plus, UN MASQUE QUI NE SERT A RIEN ! (hors N95 ou FFP2).
Le principe caché (masqué devrai-je dire) est de vous faire porter un masque quel qu'il soit ! Âh bon ? Pourquoi ? Parce que dans la rue PLUS PERSONNE NE VOUS RECONNAIT ! Donc: ON SE PARLE PLUS ! Parce que jusque là il y avait les téléphones qui étaient écoutés et enregistrés par la NSA mais, pour ce qui est de capter les dialogues dans la rue, c'est plutôt chiant ! Donc, un masque = silence !
Le chemin en sept étapes de la pandémie au totalitarisme
RépondreSupprimerIl n'y a que sept étapes entre la déclaration de pandémie et le totalitarisme permanent - et de nombreuses juridictions sont sur le point de commencer l'étape 5
Romarin Frei
23 avr.2020
Comme si cela avait été planifié à l'avance, des milliards de personnes dans le monde sont forcées, étape par étape, à adopter un mode de vie radicalement différent, qui implique beaucoup moins de liberté et d'action personnelles, physiques et financières.
Voici le modèle pour le déployer.
ÉTAPE 1
Un nouveau virus commence à se propager dans le monde. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) déclare une pandémie.
Les agences internationales, les responsables de la santé publique, les politiciens, les médias et d'autres voix influentes attisent la peur en se concentrant presque exclusivement sur la contagiosité du virus et le nombre croissant de cas, et en caractérisant le virus comme extrêmement dangereux.
En quelques jours, les gouvernements aux niveaux national et local déclarent également l'état d'urgence. À la vitesse de l'éclair, ils imposent des mesures de verrouillage qui confinent la plupart des gens chez eux - à commencer par la fermeture des écoles - et mettent fin à une grande partie de l'économie mondiale. Les marchés mondiaux implosent.
Le public abasourdi, craintif et crédule - convaincu ces dernières années que son corps n'a pas la capacité naturelle de réagir aux agents pathogènes en produisant des anticorps qui confèrent une immunité durable - s'y conforme largement.
Le premier cours virtuel hebdomadaire sur les interventions d'urgence et de crise locales au COVID19 est organisé pour les maires et autres responsables municipaux du monde entier. Coordonnés par une poignée d'organisations américaines dans les domaines académique, médical, financier, politique et des transports, les cours accueillent des invités allant de Barack Obama à Bill Gates.
ÉTAPE 2
Les dirigeants nationaux, étatiques / provinciaux et municipaux, ainsi que les responsables de la santé publique, commencent des points de presse quotidiens. Ils les utilisent pour diffuser des statistiques effrayantes et des modèles affirmant que le virus a le potentiel de tuer des millions de personnes.
La plupart de ces informations sont difficiles à déchiffrer et jettent peu de lumière réelle sur l’évolution naturelle de la propagation du virus dans chaque zone géographique.
Les responsables et les médias minimisent ou déforment les taux de mortalité dus au virus et se concentrent plutôt sur des statistiques alarmantes produites par des universitaires conformes, des influenceurs des médias sociaux et des organisations de haut niveau.
Le message principal est qu'il s'agit d'une guerre et que de nombreuses vies sont en jeu à moins que pratiquement tout le monde ne reste à la maison. Les médias grand public amplifient le trope que le monde est à la merci du virus.
Simultanément, les banques centrales et les gouvernements distribuent des sommes massives en espèces au profit des grandes banques. Et ils font appel à des sociétés financières géantes du secteur privé pour gérer le processus malgré les très mauvais résultats de ces entreprises mondiales lors du krach de 2008-2009. Les gouvernements commencent aussi rapidement à créer des milliers de milliards de livres de programmes qui incluent l'indemnisation des entreprises et des travailleurs pour leurs pertes liées à la fermeture.
ÉTAPE 3
RépondreSupprimerTous les niveaux de gouvernement et de santé publique déploient des efforts concertés pour intensifier très rapidement les tests d'ARN viral, ainsi que la production d'équipements de protection individuelle.
Ils écartent la nécessité d’une réglementation, y compris des normes de qualité et une vérification indépendante des taux de précision des tests, en insistant sur le fait qu’une approbation et un déploiement rapides sont indispensables pour sauver des vies.
Des modèles sont publiés qui prédisent une boule de neige du nombre de cas, d'hospitalisations et de décès, même dans les meilleurs scénarios.
À peu près au même moment, les responsables de la santé publique assouplissent considérablement les critères d'infections virales, d'épidémies et de décès, en particulier chez les membres les plus âgés de la société. Cela augmente le nombre de cas et de décès attribués au nouveau pathogène.
Les médias continuent de réclamer davantage de tests et de punir sévèrement les personnes qui ne respectent pas complètement les mesures de verrouillage.
En conséquence, il n’y a guère de réactions négatives, car la police et l’armée, dotées de nouveaux pouvoirs considérables, appliquent ces mesures et infligent des peines sévères, voire des peines d’emprisonnement, à ceux qui désobéissent aux ordres. Les États surveillent également en toute impunité un nombre massif de mouvements de personnes via leurs téléphones portables.
De vastes ressources humaines se concentrent sur la traque des personnes qui ont été en contact avec une personne séropositive et les confinent chez elles. Ainsi, la part du public exposée au virus reste relativement faible.
Cela contribue également à l'isolement social. Parmi de nombreux effets, cela permet à ceux qui ont le contrôle d'effacer encore plus les choix, les voix et le pouvoir individuels et collectifs.
ÉTAPE 4
Lorsque le nombre de cas et de décès commence à plafonner, les responsables locaux affirment qu’il est trop tôt pour dire si le virus a fini de traverser leur population et que, par conséquent, les mesures restrictives doivent continuer.
Un autre récit est que si de telles mesures ne sont pas maintenues, il y aura une recrudescence des cas et des décès. Un autre encore est que l’augmentation continue du nombre de décès de personnes âgées signifie que tous les paris sont ouverts pour le moment.
Ils admettent que les modèles initiaux prédisaient à tort qu'il y aurait un tsunami de cas, d'admissions aux soins intensifs et de décès. Cependant, ils affirment qu’il faut plus de temps avant de pouvoir déterminer s’il est sûr d’assouplir certaines des restrictions et de permettre aux enfants de retourner à l’école ou aux adultes de retourner au travail.
Les fonctionnaires n'essaient pas de calculer le coût global de la montée en flèche pour leurs populations et les économies des fermetures et autres mesures contre, ni ne discutent du niveau de coût qui pourrait être trop élevé.
Ils, et de puissantes organisations médiatiques, font également pression pour que la surcapacité massive de dépistage des virus soit utilisée pour surveiller la population générale pour l'ARN viral dans leur corps. Dans le même temps, commence le déploiement de tests sanguins généralisés pour les anticorps anti-virus.
Pendant ce temps, de nouvelles données sont publiées montrant que le virus a une grande capacité à muter. Les scientifiques et les responsables interprètent cela comme signifiant qu'un plus grand arsenal médical sera nécessaire pour le combattre.
ÉTAPE 5
RépondreSupprimerEnviron deux ou trois semaines plus tard, l'augmentation spectaculaire des tests d'ARN viral produit l'objectif souhaité d'une augmentation significative du nombre de personnes trouvées positives pour le virus.
Les responsables de la santé publique ajoutent du kérosène à la flambée en ajoutant à leur cas et le décès correspond au grand nombre de personnes qui sont seulement soupçonnées - et non confirmées par des tests de laboratoire - d'avoir eu une infection. Les politiciens et les responsables de la santé publique disent à la population que cela signifie qu'ils ne peuvent pas retourner à leur travail ou à d'autres activités en dehors de la maison pour le moment.
Les gouvernements travaillent avec les agences de santé publique, les universitaires, l'industrie, l'OMS et d'autres organisations pour commencer à concevoir et à mettre en œuvre des systèmes de passeport d'immunité pour utiliser les résultats des tests d'anticorps généralisés afin de déterminer qui peut être libéré des verrouillages. C'est l'un des nombreux objectifs des sept étapes.
Pendant ce temps, les dirigeants gouvernementaux continuent de souligner l'importance des vaccins pour vaincre le virus.
ÉTAPE 6
Les tests humains à grande échelle de nombreux types d'antiviraux et de vaccins commencent, grâce à une poussée concertée de l'OMS, de Bill Gates et de ses collaborateurs, des sociétés pharmaceutiques et biotechnologiques, des gouvernements et des universités.
De larges pans de la population n’ont pas les anticorps contre le virus parce qu’ils n’ont pas été exposés à ce virus; ils acceptent avec empressement ces médicaments même s'ils ont été précipités sur le marché avec des tests de sécurité inadéquats. Ils pensent que ces produits médicaux offrent le seul espoir d’échapper aux griffes du virus.
ÉTAPE 7
Bientôt, le nouveau virus entame un autre cycle dans le monde entier - tout comme la grippe et d'autres virus le font chaque année depuis des millénaires. Les responsables attisent à nouveau les flammes de la peur en postulant le potentiel de millions de morts parmi des personnes non encore protégées contre le virus.
Ils relancent rapidement les tests de virus et d'anticorps, tandis que les entreprises vendent des milliards de doses supplémentaires d'antiviraux et de vaccins de rappel.
Les gouvernements cèdent simultanément le contrôle de tous les actifs publics restants aux entreprises mondiales. En effet, les assiettes fiscales des gouvernements locaux et nationaux ont été décimés lors de l’étape 1 et qu’ils sont pratiquement en faillite à cause de leurs dépenses sans précédent dans la guerre contre le virus dans les autres étapes.
Le résultat global est une médicalisation complète de la réponse au virus, qui, au niveau de la population, n'est pas plus nocive que la grippe.
Cela s’ajoute à la création d’un totalitarisme permanent contrôlé par des entreprises mondiales et à un État policier de surveillance invasive 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, soutenu par une prolifération généralisée de technologies «intelligentes».
Les principaux acteurs répètent le cycle de l'hystérie et de l'administration massive d'antiviraux et de rappels tous les quelques mois.
Et ils mettent en œuvre une variante des étapes 1 à 7 lorsqu'un autre nouveau pathogène apparaît sur la planète.
Cela semble tiré par les cheveux? Malheureusement, ce n’est pas le cas.
Avec l'arrivée du COVID19, de nombreux pays ont rapidement franchi les étapes 1, 2 et 3.
L'étape 4 est bien engagée dans un grand nombre de juridictions.
L'étape 5 devrait commencer début mai.
https://off-guardian.org/2020/04/23/the-seven-step-path-from-pandemic-to-totalitarianism/
Attention à la mutation virale !! Le Corona deviendra Corps o a plus d'os !
SupprimerLe Coronapludos est un virus nazionalo-sossalo-marrono !
L'oméga de tous !
Un autre échec du test de diagnostic COVID
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
30 juillet 2020
Dans les articles précédents, j'ai détaillé plusieurs raisons clés pour lesquelles le test PCR est sans valeur et trompeur. (Archives d'articles PCR ici).
Ici, je discute encore une autre raison: l'uniformité du test n'a jamais été correctement validée. Différents laboratoires donnent des résultats différents.
Commençons ici - la référence est le NY Times du 22 janvier 2007, "La foi dans les tests rapides mène à une épidémie qui ne l'était pas."
«Dr. Brooke Herndon, interniste au centre médical de Dartmouth-Hitchcock, ne pouvait pas arrêter de tousser… À la fin du mois d'avril, d'autres agents de santé de l'hôpital toussaient… »
«Pendant des mois, presque toutes les personnes impliquées pensaient que le centre médical avait eu une énorme poussée de coqueluche, avec des ramifications importantes. Près de 1 000 agents de santé de l'hôpital du Liban, dans le New Hampshire, ont subi un test préliminaire et ont été absents du travail jusqu'à ce que leurs résultats soient connus; 142 personnes, dont le Dr Herndon, ont été informées qu'elles semblaient avoir la maladie; et des milliers ont reçu des antibiotiques et un vaccin pour se protéger. Des lits d'hôpitaux ont été mis hors service, dont certains en soins intensifs.
«Puis, environ huit mois plus tard, les travailleurs de la santé ont été stupéfaits de recevoir un message électronique de l'administration de l'hôpital les informant que tout cela était une fausse alerte.
«Maintenant, alors qu'ils regardent en arrière sur l'épisode, les épidémiologistes et les spécialistes des maladies infectieuses disent que le problème était qu'ils faisaient trop confiance à un test moléculaire rapide et très sensible [PCR] qui les a induits en erreur.»
«Il n'y a pas de données nationales sur les pseudo-épidémies causées par une dépendance excessive à ces tests moléculaires, a déclaré le Dr Trish M. Perl, épidémiologiste chez Johns Hopkins et ancien président de la Society of Health Care Epidemiologists of America. Mais, a-t-elle dit, des pseudo-épidémies se produisent tout le temps. L'affaire Dartmouth était peut-être l'une des plus importantes, mais ce n'était en aucun cas une exception, a-t-elle déclaré.
«La plupart des nouveaux tests moléculaires [PCR] sont rapides mais techniquement exigeants, et chaque laboratoire peut les faire à sa manière. Ces tests, appelés «bières maison», ne sont pas disponibles dans le commerce et il n’existe pas de bonnes estimations de leurs taux d’erreur. Mais leur sensibilité même rend les faux positifs probables, et lorsque des centaines ou des milliers de personnes sont testées, comme cela s'est produit à Dartmouth, les faux positifs peuvent donner l'impression qu'il y a une épidémie.
«Vous êtes dans un petit coin de no man's land», avec les nouveaux tests moléculaires [PCR], a déclaré le Dr Mark Perkins, spécialiste des maladies infectieuses et directeur scientifique de la Foundation for Innovative New Diagnostics, une fondation à but non lucratif soutenue par la Fondation Bill et Melinda Gates. "Tous les paris sont ouverts sur les performances exactes". "
«Avec la coqueluche, elle [Dr. Kretsinger, CDC] a déclaré: «Il y a probablement 100 P.C.R. protocoles et méthodes utilisés dans tout le pays », et on ne sait pas à quelle fréquence l’un d’entre eux est exact. «Nous avons eu un certain nombre d’épidémies où nous pensons que malgré la présence de résultats positifs à la RCP, la maladie n’était pas la coqueluche», a ajouté le Dr Kretsinger.
RépondreSupprimer«Dr. Cathy A. Petti, spécialiste des maladies infectieuses à l'Université de l'Utah, a déclaré que l'histoire avait une leçon claire.
«Le grand message est que chaque laboratoire est vulnérable aux faux positifs», a déclaré le Dr Petti. «Aucun résultat de test n’est absolu et c’est encore plus important avec un résultat de test basé sur P.C.R». »
—Sobre, c'est le moins qu'on puisse dire. Bien sûr, certains diront que depuis la date de l’article du Times (2007), de vastes améliorations ont été apportées au test PCR.
Vraiment ? La vérité est que quelque chose de bien pire se cache dans les mauvaises herbes. Il se cache depuis que la PCR a été approuvée pour une utilisation dans le diagnostic:
Aucune étude d'envergure validant l'uniformité des résultats de la PCR, d'un laboratoire à l'autre, n'a jamais été réalisée.
On pourrait penser qu'au moins une douzaine d'études très volumineuses avaient vérifié des résultats uniformes, avant de lancer le RAP sur le public; mais non, ce n'était pas le cas. Ce n'est toujours pas le cas.
Voici ce qui aurait dû être fait il y a des décennies:
Prenez mille volontaires. Retirez les échantillons de tissus de chaque personne. Envoyez ces échantillons à 30 laboratoires différents. Demandez aux laboratoires d'exécuter la PCR et d'annoncer leurs résultats pour chaque volontaire.
«Nous avons trouvé le virus suivant dans l'échantillon 1…» Quelque chose de simple comme ça.
Maintenant, comparez les résultats, dans chacun des 1000 cas, des 30 laboratoires. Les résultats sont-ils les mêmes? Les résultats sont-ils uniformes à tous les niveaux?
Mon argent serait contre. Vivement contre.
Mais ce n'est pas la fin du processus. PLUSIEURS de ces études à grande échelle devraient être menées. Dans CHAQUE étude, il y a 1000 volontaires et 30 laboratoires.
Pourquoi ? Parce que, comme vous pouvez le voir, toute l'histoire d'une pandémie actuelle repose sur ces tests. L’histoire, les mesures de confinement, les verrouillages, la dévastation économique, la destruction humaine - tout repose sur la présomption que le RAP est un test valide.
Il est impensable que ces études de validation de la PCR n’aient pas été effectuées il y a des décennies. Mais ce n’était pas le cas. Et il n'y a qu'une seule raison: éviter la vérité. Les résultats de la PCR ne sont pas uniformes. Ils varient d'un laboratoire à l'autre.
Un laboratoire dit positif pour le virus B. Un autre laboratoire dit négatif pour le virus B. Les deux laboratoires examinent le même échantillon.
Non ? Ça ne pourrait pas être? Ensuite, prouvez-le avec les nombreuses études à grande échelle que je propose.
Je vais vous donner une analogie fictive approximative pour la situation de test actuelle -
Dans une forêt ancienne d'immenses arbres, une agence gouvernementale teste des taches blanches trouvées sur certains troncs. Le verdict ? Un champignon très destructeur et nouveau, pour lequel il n'y a pas de remède. Sans action immédiate et drastique, le champignon se propagera à toute la forêt et détruira tous les arbres.
RépondreSupprimerUn contrat gouvernemental est donc signé avec une entreprise forestière, et les travailleurs emménagent et commencent à abattre de nombreux arbres.
Pendant ce temps, un autre laboratoire teste ces taches blanches et rapporte qu'il s'agit d'excréments d'oiseaux inoffensifs. Pourtant, un autre laboratoire prétend qu'il s'agit d'un champignon traditionnel doux sans grande préoccupation.
Les rapports de ces deux laboratoires sont supprimés et censurés. Les laboratoires sont mis sur une liste noire discrète et leurs affaires se tarissent.
La coupe d'arbres continue.
Un analyste du US Forestry Service envoie une note à son patron. Il détaille le fait que le test qui a trouvé un champignon mortel n'est pas fiable. Différents laboratoires effectuant le test aboutissent à des résultats différents et contradictoires.
Pire encore, ce test n'a jamais été correctement validé en tant que processus uniforme avant d'être approuvé pour utilisation. En d'autres termes, personne n'a fait une étude d'envergure dans laquelle plusieurs laboratoires ont utilisé le test pour déterminer la composition des taches trouvées sur les arbres. Personne ne s'est assuré que tous les laboratoires arrivaient aux mêmes conclusions en utilisant le test.
L'analyste forestier écrit: «Le test a des défauts inhérents. Différents laboratoires examinant le même échantillon obtiendront toujours des résultats différents. Cela a des conséquences désastreuses dans le monde réel. Vous pouvez le voir maintenant; nous coupons la moitié d'une forêt pour empêcher la propagation d'un champignon qui a été remarqué pendant des siècles et qui n'a jamais causé de dommages graves… »
L'analyste est licencié de son travail et on lui rappelle fermement qu'il a signé un accord de non-divulgation, et qu'il ferait mieux de garder la bouche fermée.
L'abattage des arbres continue. Un promoteur achète le terrain défriché à un prix très bas…
Essentiellement, le pipeline d'informations provenant de sources réellement fiables, vers le gouvernement, puis vers le public, est réduit et protégé contre les intrusions indésirables de la VÉRITÉ.
Dans le cas du test PCR, c’est ce qui se passe.
SOURCE:
nytimes.com/2007/01/22/health/22whoop.html
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
https://www.lewrockwell.com/2020/07/jon-rappoport/another-failure-of-the-covid-diagnostic-test/
Au tour de médecins de Madrid de dénoncer la gestion de crise de la COVID19
RépondreSupprimermercredi 29 juillet 2020
* Le "timing" avec lequel ces groupes de médecins (américains, espagnols et allemands) dénoncent les incohérences et la désinformation dans la gestion de crise m'interroge. Pourquoi maintenant et tous en même temps ? Des hypothèses ?
Le groupe de médecins d'Espagne:
https://m.youtube.com/watch?v=cfke3ip2h50&feature=youtu.be
Le groupe de médecins d'Allemagne:
https://m.youtube.com/watch?time_continue=8&v=vTlhSgU3ims&feature=emb_logo
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2020/07/au-tour-de-medecins-de-madrid-de.html
Une nation sous l'arrestation à domicile: comment les mandats COVID-19 impactent-ils nos libertés ?
RépondreSupprimerPar John W. Whitehead
L'Institut Rutherford
30 juillet 2020
«Il convient de s'alarmer lors de la première expérience sur nos libertés. Nous considérons cette prudente jalousie comme le premier devoir des citoyens et l'une des plus nobles caractéristiques de la dernière Révolution. L'homme libre de l'Amérique n'a pas attendu que le pouvoir usurpé se soit renforcé par l'exercice et enchevêtré la question dans les précédents. Ils ont vu toutes les conséquences dans le principe, et ils ont évité les conséquences en niant le principe. »- James Madison
Nous sommes devenus une nation assignée à résidence.
Vous pensez que nous sommes différents du couple du Kentucky équipé de bracelets de surveillance de la cheville et obligé de mettre en quarantaine à la maison ?
N'étaient pas
Considérez ce qui est arrivé à Elizabeth et Isaiah Linscott.
Elizabeth a passé un test de diagnostic COVID-19 de précaution avant de se rendre chez ses parents et grands-parents au Michigan. Il est revenu positif: Elizabeth était asymptomatique pour le nouveau coronavirus mais n'avait aucun symptôme. Son mari et sa petite fille ont été testés négatifs pour le virus.
Maintenant, dans un pays où la liberté signifie réellement quelque chose, les Linscotts auraient le droit de déterminer eux-mêmes comment procéder de manière responsable, mais dans l’État policier américain, nous n’avons que la liberté autorisée par le gouvernement.
Cela ne veut pas dire grand-chose.
En effet, c’est une période dangereuse pour quiconque s’accroche encore à l’idée que la liberté signifie le droit de penser par soi-même et d’agir de manière responsable selon son meilleur jugement.
À cet égard, les Linscotts sont un peu old-school dans leur pensée. Lorsqu'Elizabeth a été invitée à signer un ordre d'auto-quarantaine acceptant de s'enregistrer quotidiennement avec le département de la santé et de ne pas voyager n'importe où sans approbation préalable, elle a refusé.
«Je ne devrais pas avoir à demander le consentement parce que je suis un adulte qui peut prendre cette décision. Et en tant que citoyen des États-Unis d'Amérique, c'est mon droit de prendre cette décision sans avoir à le divulguer à quelqu'un d'autre », a déclaré Elizabeth. «Alors, non, je ne porterais pas de masque. Je ferais tout mon possible pour m'assurer que je n'entrerai pas en contact avec d'autres personnes à cause de la peur qui se propage avec cela. Mais non, je serais simplement restée à la maison, m'occuper de mon enfant.
Au lieu de signer la déclaration générale, Elizabeth a soumis sa propre déclaration écrite:
Je ferai de mon mieux pour rester à la maison, comme je le fais chaque fois que je tombe malade. Mais je ne peux pas accepter de devoir appeler le service de santé publique chaque fois que je dois sortir et faire quelque chose. C’est mon droit et mes libertés d’aller où je veux et de ne pas avoir à en répondre à qui que ce soit. Il n’ya pas de pandémie et avec un taux de survie de 99,9998%, je vais bien. Je continuerai à éviter les personnes âgées, tout comme les directives PRIOR l'indiquent, j'essaierai de rester à la maison, de me reposer, de prendre des médicaments et de guérir. Je refuse.
Quelques jours après avoir été informés que l’affaire d’Elizabeth était en cours d’escalade et renvoyée aux forces de l’ordre, les Linscotts auraient trouvé leur domicile entouré de plusieurs véhicules du gouvernement, du personnel du gouvernement et du shérif du comté armé d’une décision de justice et de moniteurs de cheville.
RépondreSupprimer«Nous n’avons pas cambriolé un magasin», a déclaré Linscott. «Nous n’avons rien volé. Nous n’avons pas fui. Nous n’avons rien fait de mal. »
C’est le but, bien sûr.
À l'ère de la surcriminalisation - lorsque la loi est utilisée comme un marteau pour forcer le respect des diktats du gouvernement quels qu'ils soient - vous n'avez rien à faire de mal pour être condamné à une amende, arrêté ou soumis à des raids, des saisies et une surveillance.
Regardez et voyez: tout comme elle l'a fait en Chine, cette pandémie est sur le point de fournir au gouvernement l'excuse parfaite pour étendre ses pouvoirs de surveillance et de collecte de données à nos dépens.
Au quotidien, les Américains renoncent déjà (dans de nombreux cas, volontairement) aux détails les plus intimes de qui nous sommes - leur constitution biologique, nos schémas génétiques et notre biométrie (caractéristiques et structure du visage, empreintes digitales, iris, etc.) —Pour naviguer dans un monde de plus en plus doté de la technologie.
Le COVID-19, cependant, fait passer l'état de surveillance au niveau suivant.
Il a déjà été question de tests de masse pour les anticorps COVID-19, de points de contrôle de dépistage, de recherche des contacts, de passeports d'immunité pour permettre à ceux qui se sont rétablis du virus de se déplacer plus librement et de lignes de conseils pour signaler les «briseurs de règles» aux autorités.
Comme le rapporte Reuters:
Alors que les États-Unis commencent à rouvrir leur économie, certains responsables de l'État se demandent si la technologie de surveillance des assignations à résidence - y compris les bracelets de cheville ou les applications de localisation - pourrait être utilisée pour contrôler les quarantaines imposées aux porteurs de coronavirus. Mais alors que la technologie a été utilisée sporadiquement pour l'application de la quarantaine aux États-Unis au cours des dernières semaines, les déploiements à grande échelle ont jusqu'à présent été freinés par une grande question juridique: les fonctionnaires peuvent-ils imposer une surveillance électronique sans infraction ni ordonnance du tribunal?
Plus précisément, comme l’a demandé le chef d’une entreprise de technologie: «Pouvez-vous réellement surveiller constitutionnellement une personne innocente? C'est un territoire inconnu. "
Sauf que ce n'est pas exactement un territoire inconnu, n'est-ce pas ?
Il suit à peu près le même schéma que tous les autres états d'urgence des dernières années - légitimes ou artificiels - qui ont permis au gouvernement d'ajouter à son arsenal de technologies et de pouvoirs.
La guerre contre le terrorisme, la guerre contre la drogue, la guerre contre l'immigration illégale, les programmes de confiscation des avoirs, les programmes de sécurité routière, les programmes de sécurité scolaire, domaine éminent: tous ces programmes ont commencé comme des réponses légitimes à des préoccupations pressantes et sont depuis devenus des armes de conformité. et le contrôle entre les mains de l'État policier.
Peu importe la nature de la crise - troubles civils, urgences nationales, «effondrement économique imprévu, perte de l'ordre politique et juridique opérationnel, résistance ou insurrection nationale délibérée, urgences de santé publique omniprésentes et catastrophes naturelles et naturelles). catastrophes humaines »- tant que cela permet au gouvernement de justifier toutes sortes de tyrannies gouvernementales au nom soi-disant de la sécurité nationale.
RépondreSupprimerIl est plus difficile de savoir à qui faire confiance.
Certes, en cette ère hautement partisane, où tout, de la pandémie COVID-19 à la brutalité policière en passant par le football, est en cours de refonte à la lumière de ses tendances politiques, il peut être incroyablement difficile de séparer ce qui constitue un véritable problème de sécurité de ce qui est hyper-politisé. la propagande.
Prenez les mandats de masque, par exemple.
Actuellement, 19 États n'ont pas émis de mandat de masque en réponse à l'augmentation du nombre d'infections au COVID-19. Plus de 30 États ont adopté une forme d'exigence de masque. Un nombre croissant de détaillants, dont Walmart, Target et CVS, rejoignent également le train en marche du mandat de masque. Le gouverneur de Géorgie, dans un défi de masquer les exigences des organes directeurs locaux, a intenté une action en justice pour contester le décret d'Atlanta selon lequel les masques doivent être portés dans les limites de la ville.
Dans certains États, comme l'Indiana, où les masques sont obligatoires mais il n'y a pas de sanctions en cas de non-conformité, les responsables gouvernementaux exhortent les gens à se protéger mais à ne pas se confronter à des masques ou se transformer en mouchards.
Dans d'autres États, tels que la Virginie, l'État Nanny utilise des tactiques plus fortes pour forcer le respect des mandats relatifs aux masques, y compris la menace d'amendes, de peines de prison, d'inspections surprises des entreprises et de lignes téléphoniques pour les plaintes qui encouragent les citoyens à se moquer les uns les autres. . Les responsables de Las Vegas ont déployé 100 «ambassadeurs de la conformité» pour aider à éduquer et à renforcer l’application du mandat du masque de l’État. Un couple de Knoxville, au Tennessee, a propulsé le masquage vers de nouveaux sommets en créant une page Facebook pour suivre la conformité des entreprises, des employés et des clients.
À Miami, «les résidents risquent désormais une sanction légale s'ils s'aventurent en public sans masque facial. La ville a affecté au moins 39 policiers pour s’assurer que les habitants respectent l’ordonnance sur les masques obligatoire de la ville. Les contrevenants seront avertis, mais s'ils refusent de se conformer, ils seront condamnés à une amende. La première infraction coûtera 100 $ et la seconde 100 $ supplémentaires. Avec un troisième - à Dieu ne plaise - le délinquant sera arrêté.
Ces approches contradictoires et, dans certains cas, sévères d'une pandémie qui a enfermé le pays pendant près de six mois transforment cette crise sanitaire en un bras de fer inutilement politisé et bureaucratique sans vainqueur clairement défini. a trouvé.
Ce n’est certainement pas la première crise à opposer les préoccupations de sécurité aux principes de liberté.
Dans ce monde d'après le 11 septembre, nous avons été endoctrinés à craindre et à nous méfier les uns les autres au lieu de craindre et de nous méfier du gouvernement. En conséquence, nous avons été obligés de parcourir cette route de nombreuses fois avec des résultats lamentablement prévisibles à chaque fois: sans faute, lorsqu'on leur demande de choisir entre la sécurité et la liberté, les Américains ont toujours tendance à choisir la sécurité.
RépondreSupprimerÀ défaut de lire les petits caractères sur de telles affaires du diable, «nous, le peuple», nous nous retrouvons à plusieurs reprises perdants alors que le gouvernement utilise chaque crise comme un moyen d’étendre ses pouvoirs aux frais des contribuables.
Quels que soient ces mandats masqués - tactiques autoritaires puissantes ou nécessités sanitaires pour empêcher la propagation du virus - ils se sont jusqu'à présent avérés être des batailles juridiques difficiles pour ceux qui espèrent les contester devant les tribunaux en tant que restrictions inconstitutionnelles à leur droit à la liberté. , autonomie corporelle, intimité et santé.
En fait, les tribunaux de Floride ont confirmé les ordonnances sur les masques, statuant qu'elles ne violaient pas les droits constitutionnels et qu '«il n'y a pas d'attente raisonnable en matière de vie privée quant à savoir si l'on se couvre le nez et la bouche dans les lieux publics, qui sont les seuls endroits où l'ordonnance sur les masques s'applique. »
Déclarant qu’il n’existe pas de droit constitutionnel d’infecter autrui, le juge de la Circuit Court John Kastrenakes a conclu que «le droit d’être« à l’abri de l’intrusion gouvernementale »ne protège pas automatiquement ou complètement la conduite d’un individu de la réglementation.» De plus, écrit Kastrenakes, les droits constitutionnels et les idéaux d'un gouvernement limité «ne dispensent pas un citoyen des conséquences réelles de ses choix individuels, ou ne lui permettent pas de contourner totalement son obligation sociale envers ses compatriotes américains ou envers la société dans son ensemble. . Cela est particulièrement vrai lorsque les choix individuels de chacun peuvent avoir des conséquences dramatiques, coûteuses et parfois mortelles pour les autres. "
Les tribunaux de Virginie ont également confirmé les mandats de masque.
Ces décisions de justice s'inspirent d'une décision de la Cour suprême des États-Unis en 1905 dans Jacobson c. Massachusetts dans laquelle la Cour a confirmé le pouvoir des États d'appliquer les lois sur la vaccination obligatoire.
En d'autres termes, les tribunaux ont conclu que le gouvernement a un intérêt impérieux à exiger des masques pour lutter contre les infections au COVID-19 qui l'emportent sur les libertés individuelles.
En règle générale, le gouvernement doit montrer un soi-disant intérêt impérieux de l'État avant de pouvoir outrepasser certains droits critiques tels que la liberté d'expression, de réunion, de presse, de confidentialité, de perquisition et de saisie, etc. La plupart du temps, le gouvernement n'a pas cet intérêt impérieux de l'État. , mais il parvient toujours à violer ces droits, se préparant à des batailles juridiques plus loin.
Nous pouvons passer du temps à débattre des mandats des masques. Cependant, critiquer ceux qui craignent à juste titre que ces restrictions ne constituent une pente glissante vers de nouvelles tactiques de l'État policier ne restaurera pas les libertés qui ont été volontairement sacrifiées sur l'autel de la sécurité nationale par des Américains de toutes allégeances politiques au fil des ans.
Comme je l’ai mis en garde, c’est un test pour voir comment la Constitution - et notre attachement aux principes inscrits dans la Déclaration des droits - peuvent survivre à une crise nationale et à un véritable état d’urgence.
Il faut se rappeler que James Madison, le «père» de la Constitution américaine et du Bill of Rights et le quatrième président des États-Unis, a conseillé de «s'alarmer à la première expérience sur nos libertés.
Que vous considériez ou non ces restrictions COVID-19 comme un motif d'alarme, elles sont loin d'être la première expérience sur nos libertés. En effet, que vous admettiez ou non que la pandémie elle-même est source d’alarme, nous devrions tous être alarmés par la réponse du gouvernement à cette pandémie.
RépondreSupprimerPar gouvernement, je ne parle pas d’un homme politique ou d’une administration en particulier, mais de l’ensemble de l’appareil à tous les niveaux qui conspire à maintenir «nous les gens »craignent les uns les autres et sont virtuellement assignés à résidence.
C’est ce à quoi nous sommes tous réduits: des prisonniers dans notre peau, des prisonniers dans nos maisons, des prisonniers dans nos communautés - obligés de se conformer aux mandats changeants du gouvernement sur la façon de gérer cette pandémie ou autre.
À l'heure actuelle, COVID-19 est l'excuse parfaite pour que le gouvernement fasse des ravages sur nos libertés au nom de la sûreté et de la sécurité, mais comme je le dis clairement dans mon livre Battlefield America: The War on the American People, ne croyez pas pour une minute que notre sécurité est la principale préoccupation de l'État policier.
https://www.lewrockwell.com/2020/07/john-w-whitehead/one-nation-under-house-arrest-how-do-covid-19-mandates-impact-our-freedoms/
Les gros mensonges: l'UE est fixe, le dollar est en train de mourir et le COVID vous tuera
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 30/07/2020 - 06:00
Rédigé par Tom Luongo via Gold, Goats, blog 'n Guns,
Dyin 'ain''t much of a living, boy
- Le hors-la-loi Josey Wales
La foule de Davos est désespérée.
Cela m’est clair depuis des mois.
Depuis le moment où ils ont lié le COVID-19 à la rupture des marchés pétroliers en mars, ils ont travaillé comme aucune autre fois dans l'histoire pour nous convaincre que le monde que nous savions était parti.
La dernière itération de ce gros mensonge est l'assaut total contre le dollar américain. Maintenant, depuis des mois, quelques analystes comme moi ont été déterminés à rappeler à tout le monde que peu importe la quantité d'argent que les États-Unis impriment à court terme, ils ne le font qu'en raison des niveaux extrêmes de demande de dollars latente et active dans le monde.
Donc, il y a un récit et il y a une réalité. Et la réalité est qu'aujourd'hui, il existe une demande énorme pour le dollar américain, peu importe ce que les gros titres vous disent.
Cela dit, cela ne signifie pas que la demande ne fluctue pas. Et maintenant que nous sommes de l’autre côté de la première vague de cette période de crise, la thésaurisation marginale du dollar s’est relâchée.
Cela est le plus évident dans la hausse spectaculaire de l'euro de retour au-dessus de 1,17 $ et la livre britannique qui revient pour défier 1,30 $. Mais dans le grand schéma des choses, ce ne sont que des rassemblements de secours sur les marchés baissiers primaires.
Mais au cours des deux dernières semaines, coïncidant bien avec un rallye massif des métaux précieux, il y a eu un déluge de discussions sur la fin du dollar.
Il est facile de rejeter les perma-ours comme Peter Schiff qui est devenu une parodie de lui-même à ce stade. Mais ce n’est pas facile de le rejeter quand tout à coup Schiff est partout, prenant l’appât pour être le type qui dira à tout le monde que le dollar va échouer parce que, vous savez, l’impression d’argent.
Et, en tant qu'économiste autrichien, je suis d'accord avec Peter, je ne suis tout simplement pas d'accord pour dire que le dollar va n'importe où de si tôt.
Cela peut le vexer, ainsi que d'autres Autrichiens, que le dollar puisse encore être si complètement dégradé et constituer encore 62% du total des réserves de change dans le monde ou encore dominer le commerce mondial (dernières données SWIFT).
Mais alors que la Chine maintient son compte de capital fermé et que la Banque centrale européenne maintient des taux inférieurs à zéro, détruisant toute possibilité que quiconque diversifie ses réserves de capital en euros, où peut aller le grand pool de capitaux à ce stade?
Et ne me dis pas l'or.
Parce que si j'aime l'or, je possède de l'or, je préconise l'or, l'or ne peut pas et ne reprendra pas une place centrale dans notre système monétaire jusqu'au jour où le dollar échouera.
Et personne qui compte en ce moment ne veut vraiment que le dollar échoue. Et cela inclut le méchant du jour, la Chine.
Mais ce ne sont pas seulement des gars comme Schiff ou Alistair McLeod qui appellent l’air en ce moment. Ils ont été rejoints cette semaine par nul autre que des membres du Fonds monétaire international, porte-parole du Council on Foreign Relations et Goldman Sachs…
RépondreSupprimer… Mais je me répète.
L'appel de Goldman est certainement raisonnable, basé sur l'idée que les taux d'intérêt réels ont chuté, envoyant l'or plus haut alors que l'argument contre sa détention échoue.
- voir graphique sur site -
Mais quand vous avez autant de grandes histoires plantées dans les médias en même temps juste avant une réunion du FOMC, quelque chose se passe.
Ils ont tous remis en question le rôle central des États-Unis dans l’économie mondiale. Il s'agit d'un effort concerté pour pousser ce discours pendant une période de faiblesse extrême du dollar. Ils l'ont lié aux mesures extraordinaires prises par la Fed et le département du Trésor américain. plus tôt cette année et la probabilité d'un autre projet de loi de relance massif et / ou plan de sauvetage d'ici les élections.
Et ce n’est même pas que je sois en désaccord avec eux, parce que je ne le suis pas. Je ne suis tout simplement pas d'accord pour dire que 2020 est l'année où le dollar a échoué, même si ce titre est tentant d'écrire.
Parce que, comme toujours, il faut se poser les questions: «Pourquoi cela? Pourquoi maintenant?"
La réponse à ces questions, à mon avis, est simple. Ils le chronométrent avec le changement fondamental de l’Union européenne via le nouveau budget brillant de l’UE et les plans de secours COVID-19 qui ont été approuvés par le Conseil de l’UE la semaine dernière.
C'est un récit assez simple qui coïncide également parfaitement avec tout ce qui nous bombarde quotidiennement. Et ça va quelque chose comme ça.
L'UE est fixe, les États-Unis sont baisés.
Donc, étant donné que l’or et l’argent sont les marchés les plus manipulés de la planète, personne ne trouve-t-il étrange que l’argent, de tous les actifs, explose plus de 8 dollars l’once sur une période de trois semaines? Vous arrivez à la fin d'un mois de livraison sur le COMEX?
Vraiment? Après presque vingt ans d’observation du marché de l’argent, je peux vous dire que lorsque nous voyons un comportement qui sort de l’ordinaire, c’est parce que les gens qui agitent la queue du chien du marché veulent que cela se produise et non parce qu’ils ont perdu le scénario.
Mais je m'éloigne du sujet.
Partout où nous regardons, il y a un autre exemple de législateurs américains qui se battent entre eux, comme l'audience fiasco avec le procureur général William Barr ou la tribulation pathétique sur la taille et la portée du prochain projet de loi de relance massif qui privera les épargnants et les générations futures d'encore plus de richesse.
C’est le maire Jenny Durkan de Seattle qui a jeté les troupes fédérales là-bas tout en ordonnant à son chef de police de ne pas aggraver la violence alors que la violence dans les rues s’intensifie.
C’est la propagande implacable qui tente de créer une «deuxième vague» de COVID-19 pour nous faire tous peur de rester à la maison, d’annuler les élections et de crier des obscénités à des personnes qui ne porteront pas de masque inutile.
Les Européens joueront au football mais les matchs de baseball sont annulés car quelques joueurs ont été testés positifs au COVID-19.
RépondreSupprimerPendant ce temps, en Europe, tout est réglé maintenant qu’ils ont donné à la Commission européenne des pouvoirs d’impôt et de dépense qu’ils n’ont pas légalement.
Mais Trump détruit la Constitution en envoyant des troupes fédérales défendre la propriété fédérale après plus de 50 jours d'émeutes, de pillages et de tentative d'incendier le palais de justice fédéral à Portland, dans l'Oregon.
Suis-je le seul à voir le jeu ici ?
Un euro en hausse, un dollar en baisse, de l'or touchant 2000 dollars, le moment «Alexander Hamilton» de Merkel, les villes américaines en feu et celles qui ne sont pas en feu sont assiégées par son incompétence à gérer le virus.
La dépression économique associée à un leadership incompétent est censée vous amener à perdre confiance dans la monnaie de ce gouvernement. C’est le gros mensonge.
C’est comme cette scène de Minority Report où ils trouvent le type qui aurait kidnappé le fils d’Anderton. Il y avait une citation, «orgie de preuves».
Son volume est censé vous faire croire à un mensonge, car comment pouvez-vous argumenter avec un si vaste éventail de preuves, n'est-ce pas ?
Et dans le cas curieux de l’effondrement du dollar, je suis Tom Cruise. Je ne jette pas le dollar par la fenêtre à sa mort. J'appelle des conneries et je dis: "Non, je n'achète pas ce qu'ils vendent."
J'achèterai cette histoire dans quelques années, mais je ne le ferai pas aujourd'hui.
Tout comme je n'achète pas que je mourrai du Corona-chan, que l'hydroxychloroquine et le zinc ne m'en protégeront pas ou que l'UE n'a pas beaucoup de vrai travail à faire avant que quoi que ce soit en Europe puisse être raisonnablement décrit comme «fixe».
Écoutez, pour ne pas être trop direct à ce sujet, mais les États-Unis approchent foutus à long terme. Et ce n’est rien d’autre que dommage, car lorsque je regarde le monde entier et que je ne vois pas beaucoup d’État de droit, ni même fait un signe de tête aux droits individuels protégés par la Constitution.
Lorsque je parle avec des lecteurs, ils pleurent uniformément sur ce qui se passe aux États-Unis.
Ainsi, bien que nous soyons peut-être à un point bas dans ce cycle, il y a encore un moyen de revenir en arrière qui n'implique pas un effondrement complet. Ce choix n'a pas encore été fait.
Mais des forces se sont déchaînées pour faire ce choix à notre place, détruire les États-Unis et leur peuple le plus productif, je n'en doute pas. Mais toutes les forces ne sont pas irrésistibles. Certains objets sont immobiles et lorsque votre monnaie domine 86% de tout le commerce mondial, ce n’est pas quelque chose qui bouge.
Alors, ignorez le gros mensonge de The Davos Crowd, car quand il y a autant de pression pour fabriquer une fausse réalité, cela indique plus le désespoir que l'omnipotence.
Et il y a beaucoup plus de distance à parcourir sur cette route.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/big-lies-eu-fixed-dollar-dying-covid-will-kill-you
Polémique sur la mortalité à Paris: le Pr Raoult porte plainte contre Martin Hirsch
RépondreSupprimer16:00 30.07.2020
«Là, c'est différent, mon client risque cinq ans d'emprisonnement et 75.000 euros d'amende». Didier Raoult a déposé plainte contre le directeur général de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) Martin Hirsch pour dénonciation calomnieuse, a annoncé La Provence se référant au parquet de Paris.
Le 29 juillet, une plainte pour dénonciation calomnieuse a été déposée devant le procureur de Paris à l'encontre de Martin Hirsch par Me Brice Grazzini, conseiller du professeur Raoult.
L’affaire remonte au 24 juin, lors d’une audition du Pr Raoult devant la commission d'enquête de l'Assemblée nationale. Le médecin, défenseur ardent de l'hydroxychloroquine dans le traitement contre le coronavirus, a indiqué que la mortalité dans les réanimations de l’AP-HP était «de 43 %», soulignant qu’à Marseille elle était de 16 %.
Dans un courrier adressé au président de l'Assemblée nationale peu après, le directeur de l'AP-HP, Martin Hirsch, avait protesté contre les déclarations du chercheur marseillais. Il avait estimé que les propos du Pr Raoult «semblent s'apparenter à un faux témoignage».
«Jusqu'ici, il s'agissait de controverses scientifiques qui existent depuis toujours, le Pr Raoult a toujours accepté les polémiques mais là cela dépasse la sphère scientifique», a déclaré à l'AFP Me Brice Grazzini. «Là, c'est différent, mon client risque cinq ans d'emprisonnement et 75.000 euros d'amende».
«Il n'y a pas de match entre l'AP-HP et l'AP-HM»
Selon lui, Martin Hirsch a «accusé le Pr Raoult de faux témoignage sous serment alors qu'il se basait sur des statistiques de l'AP-HP». Pendant son audition, le Pr Raoult s’appuyait en effet sur un rapport de la cellule de crise de l'AP-HP daté du 14 avril.
Il avait ajouté qu'à l'époque, selon ce même document, environ la moitié des patients hospitalisés en réanimation y étaient encore admis, et qu'on ne connaissait donc pas encore l'issue de leur maladie (décès ou guérison).
«Il n'y a pas de match entre l'AP-HP et l'AP-HM, le Pr Raoult parlait juste de manque de moyens, du fait qu'on avait anticipé les choses en testant plus à Marseille qu'ailleurs», a souligné Me Grazzini.
Début juillet, M.Hirsch a cependant assuré que la mortalité des patients atteints du Covid-19 dans les services de réanimations de l'AP-HP était estimée entre 25% et 35%, et non 43% comme l’avait affirmé le Pr Raoult.
«Mon rôle n'est pas de faire la police des pourcentages, mais si c'est pour (influencer) la commission d'enquête à partir de données biaisées et partielles, c'est mon rôle de réagir promptement», avait-t-il déclaré le 6 juillet devant les députés.
Le parquet de Paris précise que cette plainte est actuellement à l'étude.
https://fr.sputniknews.com/france/202007301044179152-polemique-sur-la-mortalite-a-paris-le-pr-raoult-porte-plainte-contre-martin-hirsch/
Tour de France des immobilités : découverte d’un écomusée
RépondreSupprimerRécit d’une traversée effarante qui livre un pays sombrant dans une politique d’enclavement des territoires, de naphtalinisation du patrimoine et de paupérisation des populations.
30 JUILLET 2020
Par Yannick Harrel.
Le présent texte raconte un périple de près de 2000 kilomètres parcourus en France. Une traversée effarante qui livre un pays sombrant inexorablement dans une politique d’enclavement des territoires, de naphtalinisation du patrimoine et de paupérisation des populations.
DE L’ALSACE À LA VENDÉE, UNE FRANCE QUI SE VIDE
Prenant pour point de départ l’Alsace et pour point d’arrivée la Vendée avec un crochet par l’Auvergne, ce périple en automobile (et rendu uniquement possible par ce moyen de transport) permet de prendre conscience d’un pays qui se meurt, qui se vend et qui se vide. Mais aussi des poches de résistance locales où le volontarisme politique et entrepreneurial sert à revigorer tout un tissu local de bonnes volontés.
En exergue, il est surprenant qu’en une période où l’on vante le décloisonnement des territoires on puisse se trouver embarqué dans des localités où les entraves artificielles les plus retorses vous font rapidement regretter de ne pas disposer d’un véhicule de rallye-raid.
L’inventaire à la Prévert donne le vertige quant à l’inventivité, hélas mal placée, de certains élus locaux et de leurs se(r)vices techniques.
Feux tricolores en enfilade sur des lignes droites où des cédez-le-passage voire des stops seraient autrement plus justifiés ; ronds-points de toutes les dimensions et de tous les styles (mention spéciale à ceux de Challans qui remportent la palme des plus originaux) ; travaux fantômes sur des distances dilatées où quelques cônes de chantier disposés demeurent la seule illusion d’activité néanmoins secondés par de vrais radars autonomes bien camouflés derrière les ponts afin de sanctionner le malheureux qui après 20 bornes de ce régime en viendrait à transgresser l’allure d’escargot imposée ; ralentisseurs en tous genres, aux formats généralement illégaux, afin de rapprocher les conducteurs et passagers actuels de la condition des usagers des diligences des XVIII et XIXe siècles (à se demander pourquoi avoir terrassé et asphalté toutes ces voies ?) ; multiplication effrénée des changements de limitation de vitesse sur des portions de route n’excédant pas quelques kilomètres où notre mémoire visuelle est mise au défi de retenir la dernière indication, le tout dans une chorégraphie des chiffres devenant chaotique dans la tête (bien évidemment au mépris de l’attention portée à l’environnement de conduite) ; aménagements de chicanes, de séparateurs de voie surélevés et de rétrécissements artificiels de chaussée rendant la traversée de nombreuses agglomérations non seulement pénible mais hautement dangereuse en cas d’éblouissement ou de précipitations de pluie/neige (ce qui incidemment autorise tout usager de la route victime de l’un de ces ouvrages à ester en justice contre la localité et son représentant 1) ; et pour couronner le tout, la torture de la limitation à 80 km/h sur de longs, très longs, horriblement longs axes bien rectilignes où la lutte contre l’ennui et la perte d’attention est permanente : cadeau empoisonné d’un ancien Premier ministre trouvant encore de solides relais au sein de l’administration 2).
Tous ces artifices ont pour effets collatéraux :
RépondreSupprimer— De renforcer les pollutions sonores et atmosphériques pour les riverains, car un véhicule thermique émet bien plus de particules fines s’il fonctionne de façon saccadée et à basse vitesse.
— D’user prématurément les mécaniques des véhicules, engendrant davantage d’insécurité pour le conducteur et les autres usagers de la route en plus de surcoûts financiers à longue échéance.
— De congestionner des axes routiers alors leur fluidification devrait être le principal objectif.
— D’obérer l’avenir financier de ces collectivités puisque ces ouvrages d’art dispendieux (la création d’un rond-point coûte 100 000 euros au minimum, et il s’agit bien pour ce prix d’une version de base et de dimension réduite) s’érodent et mobilisent des sommes conséquentes pour leur entretien voire leur réparation, soustrayant en toute logique des fonds pour l’investissement.
LIBÉRER LES TERRITOIRES DE FRANCE
Ce cheminement dans les territoires de France a aussi été l’opportunité de constater combien chaque petite curiosité naturelle ou issue de la main de l’Homme sait être mise en valeur par les associations et collectivités locales, au prix parfois d’une surenchère assez comique et touchante.
Cependant, ce même parcours m’a obligé à traverser des déserts industriels, des villages abandonnés à leur sort et des bourgs prêts à baisser le rideau (Saint-Maixent-L’école en est un parfait exemple).
Un panorama d’autant plus saisissant que l’ouvrage de Laurent Izard, La France vendue à la découpe, a été mon livre de chevet durant ce road-movie, ce qui mériterait une fiche de lecture.
Des lieux de désespoir sont éloignés des grandes métropoles toutes à leurs obsessions écolo-sociétales : façades décaties, fermeture d’une entreprise, vente d’une exploitation agricole ou arrêt d’un service public sont ressentis immédiatement. Et ce au grand dam d’élus locaux obligés de réclamer l’aumône aux plus riches communes limitrophes, voire à Paris : situation héritée d’un double assujettissement, l’un aux communautés de communes et l’autre à la centralisation parisienne.
Il m’est ainsi arrivé au fil de ma pérégrination d’avoir une bouffée nostalgique d’un temps où un homme comme Jean-Luc Lagardère pouvait incarner l’audace et l’innovation et, le plus important, la foi en l’avenir ; ou encore me remémorer le génie d’un Albert Caquot, considéré comme le plus grand ingénieur de son temps qui bâtissait pour l’avenir et non emmurait l’existant.
À défaut de grands hommes, nous héritons d’un pays se morfondant dans une culpabilité malvenue et intellectuellement injustifiée et célébrant un patrimoine qui lui appartient de moins en moins. Tant par sa vente en coupe réglée à des parvenus de l’étranger mais aussi par la falsification de son histoire par des groupes professionnels opérant un travail de sape continu et ciblé, avec en guise d’accélérateur des apôtres de la décroissance visant à imposer aux forceps un état de déclassement et de restrictions (ce que je nomme les forces idéologiques, opposées aux forces productives).
Et malgré tout, la volonté de changement et de libération est présente, elle se manifeste ici et là dans les territoires que l’on traverse : la Vendée, la Haute-Saône, le Puy-de-Dôme ou encore la Vienne donnent des signes de dynamisme économique qui ne doivent rien au hasard.
RépondreSupprimerC’est là que se trouve la solution : la décentralisation et l’autonomisation de jure ou de facto des territoires qui est seule garante pour l’heure d’une meilleure gestion des ressources et des mobilités. Il est temps que les territoires de France s’offrent les moyens de libérer ou d’attirer les éléments productifs en facilitant leurs envies de création, de production, d’exploitation et d’innovation.
Célébrer et monétiser le passé est louable mais le risque déjà bien avancé est de transformer tous ces territoires riches de promesses en écomusées à ciel ouvert.
LIBÉRALISATION DES AXES DE CIRCULATION ET RELANCE DE LA FILIÈRE EXTRACTIVE
Cela passe inéluctablement par une libéralisation des axes de circulation, afin de redonner à ceux-ci leur fonction première qui est de se mouvoir librement et à vitesse constante et lisible. Car les mobilités sont aussi la clef du dynamisme territorial.
Ce n’est pas du « yakafokon », c’est de la philosophie, un courant de pensée de libération qui doit irriguer nos actions. Qu’un maire souhaite préserver le bien-être de ses administrés en prônant une politique de restrictions est tout à fait louable mais il ne peut dans le même temps reprocher à des commerçants, des entrepreneurs ou des habitants industrieux de partir ou de refuser de s’installer en raison de cette philosophie.
Lorsqu’un élu local ou un président de conseil départemental se lamente sur l’état de sa collectivité, qu’il observe donc bien ce qu’il a pu faire dans le domaine des mobilités avant d’incriminer des facteurs extérieurs.
Et incidemment, perdre cette habitude de tout attendre de Paris en favorisant les synergies avec les collectivités voisines, y compris transfrontalières : penser écosystème nodal et non pyramidal. Fort heureusement, nombre d’élus locaux, départementaux et régionaux ont déjà compris que cette nouvelle donne est la solution, avec des résultats d’attractivité qui sont rapidement à la mesure de leur courage.
Pour en terminer, et alors que je me trouvais sur le plateau de Gergovie du fait de ma virée par le Massif Central, je me suis souvenu combien notre sous-sol était riche de ressources minérales, et qu’il suffirait de relancer la filière extractive pour alimenter de nouvelles industries compatibles avec le respect de l’environnement, bien plus que certains pays nous alimentant en métaux stratégiques, et la notion de souveraineté, qui passe en amont par la maîtrise d’un certain nombre d’approvisionnements notamment en matières premières.
Là encore, comme dans les mobilités qui seront nécessaires à ce développement en France, tout est question de philosophie comme route et de courage comme carburant.
En novembre 2017, un conducteur de Ferrari a obtenu réparation de son véhicule endommagé par le chevauchement d’un ralentisseur ainsi que la destruction de l’ouvrage d’art par la justice. D’autres actions sont en cours, notamment par l’association Pour une Mobilité Sereine et Durable, qui recense un nombre incalculable de dispositifs contraires à la loi. ?
Sur la récente étude du CEREMA attestant que la mesure du 80 km/h aurait permis de sauver 349 vies, permettons-nous de rappeler qu’officiellement le Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement est un établissement public placé sous la double tutelle du ministère de la Transition écologique et du ministère de la Cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales. En clair : il ne saurait être considéré comme un organisme indépendant, quelle que soit la qualité de ses experts. ?
RépondreSupprimerhttps://www.contrepoints.org/2020/07/30/377262-tour-de-france-des-immobilites-decouverte-dun-ecomusee
Dans un mouvement sans précédent, le Congrès propose un renflouement financé par les contribuables de 550 milliards de dollars de l'industrie du CMBS
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer 29/07/2020 - 22:05
Eh bien, avec tout le monde et tout le reste obtenant un renflouement, autant aller jusqu'au bout.
Deux mois après que nous ayons signalé que l'État de Californie essayait de renverser des siècles de financement en permettant aux entreprises de renoncer aux baux commerciaux - en d'autres termes de rendre la dette commerciale sans recours - une décision de la California Business Properties Association a déclaré "pourrait provoquer un effondrement financier", les tentatives de renflouer les prêteurs commerciaux ont atteint le niveau fédéral, le WSJ rapportant que les législateurs ont présenté un projet de loi pour fournir de l'argent aux hôtels et centres commerciaux en difficulté qui n'ont pas été en mesure de suspendre les paiements hypothécaires après le coronavirus fermer l’économie américaine.
Le projet de loi mettrait en place un véhicule de financement soutenu par le gouvernement que les entreprises pourraient exploiter pour se tenir au courant de leurs prêts hypothécaires. Il vise en particulier à aider ceux qui ont emprunté sur le marché CMBS de 550 milliards de dollars dans lequel les prêts hypothécaires sont reconditionnés en obligations et vendus à Wall Street. Ce qu'il représente vraiment, c'est un renflouement du seul groupe d'emprunteurs qui n'avait jusqu'à présent pas trouvé l'accès aux diverses installations de sauvetage généreuses de la Fed: et c'est là qu'intervient le Congrès.
Certes, le marché de l'immobilier commercial est en train d'imploser, et comme nous l'avons signalé au début du mois, environ 10% des prêts en titres adossés à des créances hypothécaires commerciales étaient en souffrance depuis 30 jours ou plus à la fin juin, dont près d'un quart. des prêts liés à l'industrie hôtelière durement touchée, selon Trepp LLC.
«Les chiffres sont de plus en plus désastreux et les projections de plus en plus sévères», a déclaré le représentant Van Taylor (R., Texas), qui sponsorise le projet de loi aux côtés du représentant Al Lawson (D., Floride).
- voir graphique sur site -
Van Taylor (R-Texas) parraine le projet de loi d'aide aux hôtels et aux centres commerciaux.
Selon la proposition, les banques alloueraient de l'argent pour aider ces emprunteurs et la facilité fournirait une garantie du département du Trésor que les banques sont remboursées. Le financement proviendrait d'un pot de 454 milliards de dollars réservé aux entreprises en difficulté dans le projet de loi de relance précédent.
Richard Pietrafesa possède trois hôtels sur la côte Est qui ont été financés par des prêts CMBS. Ils ont récemment eu une occupation d'environ 50% ou moins, ce qui ne génère pas suffisamment de revenus pour effectuer des paiements hypothécaires, a-t-il déclaré.
Il a dit qu'il avait maintenant deux mois de retard sur les paiements pour l'une de ses propriétés, un Fairfield Inn & Suites à Charleston, Caroline du Sud.Il a de l'argent mis de côté dans une réserve séparée, a-t-il déclaré, mais son agent spécial ne lui a pas permis d'y accéder. pour effectuer des paiements de dette.
«C’est comme une prison pour débiteurs», a déclaré M. Pietrafesa.
Ces mots magiques, semble-t-il, sont tout ce qu'il faut dire ces jours-ci pour obtenir un plan de sauvetage sanctionné par le gouvernement et / ou la Fed. Parce que dans un monde envahi par les zombies, l'échec n'est plus une option.
RépondreSupprimerAlors que tout emprunteur commercial en difficulté qui était auparavant en bonne situation financière serait éligible pour demander des fonds pour couvrir les paiements hypothécaires, la facilité est conçue spécifiquement pour les emprunteurs CMBS.
La situation s'améliore, car non seulement les contribuables sont en fin de compte sur le crochet via les diverses JV de la Fed et du Trésor qui financeront ces programmes, mais le nouvel argent sera par défaut inférieur à la dette insolvable existante. Comme l'explique le Journal, "bon nombre de ces emprunteurs ont des dispositions dans leurs documents de prêt initiaux qui leur interdisent de contracter davantage de dettes sans l'approbation supplémentaire de leurs gestionnaires. La facilité proposée permettrait plutôt de structurer les injections de liquidités en actions privilégiées, ce qui n'est pas soumis aux restrictions de la dette. "
Oui, cela signifie également que le nouveau capital est JUNIOR par rapport à la dette, ce qui signifie que s'il y a un autre ralentissement économique, les fonds des contribuables sont d'abord anéantis tandis que la dette préexistante - la dette qui n'était pas remboursable au départ - restera sur les livres!
Sentant peut-être la tempête que cette proposition créerait, le WSJ admet que «les fonds propres préférentiels seraient considérés comme inférieurs aux autres dettes mais doivent être remboursés avec intérêts avant que le propriétaire ne puisse retirer de l'argent de l'entreprise».
Ce qui n'a pas été dit, c'est que la dette existante de CMBS dépréciée deviendra instantanément une bonne fortune grâce à l'injection de capitaux juniors de contribuables idiots qui ne comprendront même pas ce qui se passe.
Comment cette proposition ridiculement audacieuse est-elle née? Eh bien, Taylor a dirigé un groupe bipartite de plus de 100 législateurs qui a signé le mois dernier une lettre demandant à la Réserve fédérale et au Trésor de trouver une solution aux problèmes de la CMBS. Le secrétaire au Trésor Steven Mnuchin et le président de la Fed, Jerome Powell, ont indiqué que ce problème pourrait être mieux traité par le Congrès.
En d'autres termes, alors que la Fed fournira le véhicule de sauvetage à usage spécial, c'est finalement une décision pour le Congrès de renflouer ou non des milliers d'hôtels et de centres commerciaux insolvables.
Et si certains acteurs du secteur ont averti qu'une tentative de sauvetage du marché CMBS profiterait de manière disproportionnée à une poignée de grands propriétaires immobiliers, plutôt qu'à des propriétaires de petites entreprises, c'est parce qu'ils ont précisément raison: environ 80% de la dette CMBS est détenu par une poignée de fonds qui seront les bénéficiaires ultimes de ce plan de sauvetage sans précédent; des fonds qui ont dépensé beaucoup d'argent pour faire pression sur MM. Taylor et Lawson.
Bien sûr, rien de tout cela ne sera révélé et à la place, les points de discussion se concentreront sur l'atteinte du dénominateur commun le plus stupide. Taylor a déclaré que la législation est axée sur - quoi d'autre - la sauvegarde des emplois. Ce qu'il n'a pas dit, c'est que chaque emploi sauvé finira par se perdre quelques mois plus tard, et entre-temps, cela coûtera des millions de dollars "par emploi" juste pour s'assurer que les milliardaires qui détiennent la dette CMBS - comme Tom Barrack qui a récemment demandé un moratoire sur les appels de marge sur le marché CMBS - sortez entier.
«Cela a commencé avec des employés de mon district qui ont appelé et ont dit:« J'ai perdu mon emploi »», a déclaré Taylor, espérant clairement qu'il a affaire à des idiots absolus.
RépondreSupprimerEt bien qu'il ne soit pas clair si ce projet de loi passera - à ce stade, il y a littéralement de l'argent qui sort des hélicoptères et le déficit américain explose de centaines de milliards chaque mois, alors qui s'en fout vraiment si quelques milliardaires de plus sont renfloués par les contribuables - si cela se produit, les lecteurs voudront peut-être clôturer le commerce que nous avons appelé le "The Next Big Short", à savoir CMBX 9, dont l'exposition aux hôtels aberrants est apparue comme le secteur le plus touché par la pandémie.
- voir graphique sur site -
Alternativement, ceux qui souhaitent profiter de ce dernier abus flagrant des fonds des contribuables, de cette crucifxion du capitalisme et de la dernière glorification de l'aléa moral, et gagner de l'argent dans le processus devraient faire le contraire du «Next Big Short» et acheter le BBB - (ou toute autre tranche profondément dépréciée) de la série CMBX 9, qui atteindra rapidement la parité si ce sauvetage est voté.
https://www.zerohedge.com/bailout/unprecedented-move-congress-proposes-taxpayer-funded-bailout-550-billion-cmbs-industry
Payer les gens pour qu'ils ne travaillent pas n'est pas un stimulant économique
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer 29/07/2020 - 21:45
Rédigé par Stephen Moore via RealClearPolitics.com,
En 2009, Nancy Pelosi a tristement déclaré que le meilleur moyen de relancer l'économie était de distribuer des coupons alimentaires et des allocations de chômage toujours plus généreux. Plus il y a de personnes qui perçoivent l'aide sociale, mieux c'est.
À l'époque, cette notion semblait risible. Or, cet analphabétisme économique semble être devenu une sagesse conventionnelle.
C'était un titre dans le New York Times récemment: "La fin de la prime de chômage de 600 $ pourrait pousser des millions au-delà du gouffre."
Voici le fil conducteur de l'article "news":
«Lorsque des millions d'Américains ont commencé à perdre leur emploi en mars, le gouvernement fédéral est intervenu avec une bouée de sauvetage: 600 $ par semaine en allocations de chômage supplémentaires pour permettre aux travailleurs de payer un loyer et de faire leurs courses, et pour amortir l'économie.
"Avec une nouvelle détérioration des conditions économiques, ce gilet de sauvetage disparaîtra en quelques jours si le Congrès n'agit pas pour le prolonger. Cela pourrait provoquer une vague d'expulsions et infliger davantage de dommages financiers à des millions d'Américains tout en endommageant davantage l'économie."
Ces avantages ne sont pas un «gilet de sauvetage», mais un tueur d’emplois. Une étude pour le Comité pour libérer la prospérité par l'économiste de l'Université de Chicago Casey Mulligan a estimé que 10 millions d'Américains de moins travailleraient d'ici la fin de l'année, tuant ainsi toute chance de «reprise en forme de V».
C'est peut-être pourquoi Pelosi est si catégorique sur le fait que la politique reste en place. Cela signifierait un taux de chômage élevé en novembre lorsque les électeurs se rendront aux urnes. Comme c'est pratique pour Pelosi et Joe Biden.
Soit dit en passant, il y a maintenant quelque 5 millions d'emplois non pourvus aux États-Unis aujourd'hui - près d'un niveau record. Nous sommes dans une situation étrange. Même avec quelque 25 millions d'Américains sans emploi, les employeurs accrochent des pancartes «Help Wanted» aux fenêtres.
Voici pourquoi.
Selon la politique de Pelosi, 5 chômeurs sur 6 sont mieux payés pour ne PAS travailler que pour retourner au travail, selon le Congressional Budget Office. Nous estimons que la plupart des travailleurs qui gagnent 30 $ ou moins ont une meilleure situation financière pour ne pas travailler, même si l'économie s'améliore. De nombreux travailleurs peuvent obtenir deux fois plus pour rester au chômage. Les travailleurs sont censés perdre leurs allocations de chômage s'ils se voient proposer un emploi et ne le prennent pas. Mais les travailleurs savent comment jouer avec le système. Ils peuvent prétendre être malades et les employeurs répugnent à ramener un travailleur contagieux au bureau ou à l'usine.
Les employeurs me disent maintenant que pour ramener les travailleurs dans une équipe de construction, sur une ligne d'usine ou dans un restaurant, ils ne travailleront pas à moins d'être payés en espèces, disons, 100 $ ou 200 $ par quart de travail afin qu'ils puissent toujours toucher le chômage. avantages. Le magazine The Economist a récemment écrit que les allocations de chômage supplémentaires font plus de mal que de bien. Les groupes libéraux défilent dans les rues pendant encore six mois de ces paiements.
RépondreSupprimerCette politique est ce que j'appelle depuis longtemps le bimboïsme économique. D'une manière ou d'une autre, par magie, si je paie mon enfant qui se lève, tond les pelouses et travaille dur 40 heures par semaine, et que je paie encore plus d'argent à mon autre fils pour rester à la maison et jouer à des jeux informatiques, cette stratégie va conduire à plus d'efforts de travail. dans la maison Moore. Je vous assure que non.
Payer les gens pour qu'ils ne travaillent pas n'est pas un moyen d'accroître la production économique, plus d'emplois et plus de prospérité. Selon cette logique déformée, nous devrions commencer à payer 5 000 $ par semaine aux chômeurs, et nous aurons vraiment une reprise fulgurante.
Ce n’est pas seulement une mauvaise économie; il viole également les principes fondamentaux d'équité. Pensez à une entreprise de construction avec 100 employés licenciés. On leur offre tous leur emploi un mois plus tard, mais 50 seulement reviennent au travail. Dans le cadre du programme Pelosi, les 50 qui travaillent dur reçoivent moins d'argent que ceux qui restent à la maison et regardent la télévision. Les ventouses ici sont celles qui retournent au travail.
La seule façon pour les politiciens de «stimuler» l'économie et de réduire le chômage est d'encourager une plus grande production économique. C'est pourquoi une réduction des charges sociales a beaucoup de sens, et espérons que le président Donald Trump, qui est favorable à l'idée, n'y renonce pas. Chaque travailleur - les héros de notre économie, y compris les infirmières, les techniciens, les travailleurs de l'assainissement, les camionneurs et les soignants en maison de retraite - recevrait une augmentation de salaire de 7,5% à compter du 1er août ou vers cette date. Chaque petite entreprise verrait ses coûts salariaux diminuer de 7,5%. Par une marge de 2 pour 1, les travailleurs adorent la réduction des charges sociales.
Les sceptiques se plaignent que la réduction des charges sociales n'aide que les personnes ayant un emploi, pas les chômeurs. Faux. La meilleure façon d'aider les chômeurs, Nancy Pelosi, n'est pas de distribuer des bons d'alimentation et des allocations de chômage. Il s'agit de donner aux gens un emploi, un chèque de paie et un pas sur l'échelle économique. Et il y a une autre chose que les libéraux semblent avoir oubliée: il y a de la dignité et une valeur éducative à travailler plutôt que d'obtenir un chèque d'aide sociale payé par quelqu'un d'autre.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/paying-people-not-work-not-economic-stimulus
(...) Payer les gens pour qu'ils ne travaillent pas n'est pas un stimulant économique (...)
SupprimerC'est là un non-sens puisque quelqu'un qui a peu d'argent dépense peu et fait donc peu travailler les entreprises.
(...) «Lorsque des millions d'Américains ont commencé à perdre leur emploi en mars, le gouvernement fédéral est intervenu avec une bouée de sauvetage: 600 $ par semaine en allocations de chômage supplémentaires pour permettre aux travailleurs de payer un loyer et de faire leurs courses, et pour amortir l'économie. (...)
Qui crée l''argent' ? LA PLANCHE HABILLÉE !
Car, la dette N'EXISTE PAS, la valeur de 'l'or en soute' N'EXISTE PAS ! (Car pour être honnête pour 7 milliards d'habitants faudrait trois cent fois le cube de 21 m d'arêtes d'aujourd'hui au prix qu'est l'or ).
Corollaire au billet précédent à propos de l’article du Professeur Thorsten Polleit : le cas de la Chine.
RépondreSupprimerle 29 juillet 2020
La grande majorité des structures familiales de la Chine telles qu’étudiées par Emmanuel Todd dans son sublime ouvrage « L’origine des systèmes familiaux » sont de type communautaire patrilocal (CP dans la terminaison de Todd), une grande communauté familiale réunissant le père et ses fils mariés (ou non), l’ensemble étant sous l’autorité du père. Ce type de structure familiale peut comprendre plusieurs générations sous le même toit. Elle a favorisé l’émergence de systèmes politiques autoritaires tels que le communisme, mais bien avant le communisme la Chine était dirigée par un empereur secondé par une administration tentaculaire contrôlant étroitement l’ensemble de la population. Pourquoi mentionner la Chine dans ce débat relatif à l’émergence d’un néo-marxisme dans les pays occidentaux, tout simplement parce que la Chine s’est orientée vers un système politique atypique réunissant un communisme autoritaire à l’image de la famille communautaire à la tête de laquelle se trouve le « patriarche » détenteur de l’autorité – pour la nation chinoise le parti communiste avec à sa tête son premier secrétaire – et un capitalisme autorisant paradoxalement l’apparition de grandes fortunes restant étroitement surveillées par l’appareil du parti. En 30 ans la Chine a réussi à sortir de la pauvreté plus de 300 millions de personnes, une prouesse inégalée dans le monde, et a promu l’apparition d’une classe moyenne aisée disposant d’un pouvoir d’achat presque équivalent à celui de la petite bourgeoisie des pays occidentaux avec cependant un immense réservoir de main d’oeuvre qualifiée très mal payée en regard des salaires moyens des ouvriers des pays de l’Europe occidentale. Il serait plus proche de la réalité de comparer les ouvriers chinois à ceux de pays comme la Bulgarie ou la Roumanie.
Ce système politique et économique est unique au monde et les résultats sont satisfaisants … sauf pour les pays occidentaux qui sont prisonniers de leurs contradictions idéologiques comme l’article de Polleit l’a clairement souligné. Si les Etats-Unis mais également un certain nombre de pays européens organisent un dénigrement systématique du système politique chinois c’est parce qu’ils en sont arrivé au constat que le système politique dirigiste des pays occidentaux ne peut pas fonctionner pour une simple raison : il faut être Chinois pour vivre harmonieusement dans un tel système, en d’autres termes il faut posséder cette mentalité ancestrale de l’acceptation d’une autorité. Comme Todd l’a souvent souligné dans ses ouvrages cette mentalité ne disparaît pas alors qu’aujourd’hui les structures familiales chinoises contemporaines ressemblent beaucoup plus à la famille nucléaire – le couple et les enfants (le plus souvent pas d’enfant du tout) – comme dans n’importe quel pays européen.
Il n’est donc pas surprenant compte tenu de ces observations que la Chine ait réussi cette alliance pouvant paraître contre nature d’un régime communiste autoritaire et d’un capitalisme presque débridé. Alain Peyrefitte l’avait bien compris dès 1971 alors que la Chine s’enfonçait dans sa révolution culturelle en écrivant dans un contexte pourtant différent dans son fameux essai « Quand la Chine s'éveillera … » que lorsque ce pays disposera des technologies modernes il finira par dominer le monde. C’est précisément ce qui se passe aujourd’hui et c’est la raison pour laquelle la Maison-blanche est si nerveuse. Les dirigeants américains comme européens devraient plutôt comprendre que leur système capitaliste néo-marxiste ne peut pas fonctionner. Et c’est déjà trop tard … Suite de cette réflexion dans un prochain billet.
RépondreSupprimerhttps://jacqueshenry.wordpress.com/2020/07/29/corollaire-au-billet-precedent-a-propos-de-larticle-du-professeur-thorsten-polleit-le-cas-de-la-chine/
Voici un extrait des 52 pages du Résumé exécutif, un rapport de l’US Air Force, Posséder le climat en 2025 : la météo, un multiplicateur de force :
RépondreSupprimerEn 2025, les forces aérospatiales américaines pourront posséder le temps en capitalisant sur les technologies émergentes et en se concentrant sur le développement de ces technologies pour les utiliser dans le combat ou la guerre. Cette possibilité offre des outils pour façonner l’espace de combat comme jamais auparavant. Il offre la possibilité d’avoir un impact sur les opérations concernant tout l’éventail de conflits et il est pertinent pour tous les futurs possibles. Le but de cet article est de définir une stratégie pour l’utilisation d’un futur système de modification du climat dans des objectifs militaires plutôt que de fournir une carte technique détaillée.
Effort à haut risque et à forte récompense, la modification du climat offre un dilemme similaire à celui de la fission de l’atome. Alors que certaines parties de la société seront toujours réticentes à examiner les questions controversées telles que la modification du climat, les capacités militaires énormes qui pourraient résulter de ce domaine sont ignorées pour notre propre péril. Du renforcement des opérations amicales à la perturbation de celles de l’ennemi par la modulation à petite échelle des modèles climatiques naturels pour compléter la domination des communications mondiales et le contrôle de l’espace, la modification du climat offre au combattant une large gamme d’options possibles pour vaincre ou contraindre un adversaire. Certaines des capacités potentielles qu’un système de modification du climat pourrait fournir à un commandant en chef de forces armées (CINC) sont énumérées dans le tableau 1.
Les progrès technologiques dans cinq grands domaines sont nécessaires pour une application de modification du climat intégrée: (1) des techniques de modélisation non-linéaire avancées, (2) la capacité de calcul, (3) la collecte et la transmission d’informations, (4) un réseau mondial de capteurs, et (5) des techniques d’intervention sur le climat. Certains outils d’intervention existent aujourd’hui et d’autres peuvent être développés et affinés à l’avenir.
Aux États-Unis, la modification du climat deviendra probablement une partie de la politique de sécurité nationale à deux niveaux : national et international. Notre gouvernement poursuivra une telle politique en fonction de ses intérêts, à différents niveaux. Ces niveaux pourraient inclure des actions unilatérales, la participation à un cadre de sécurité tel que l’OTAN, l’appartenance à une organisation internationale telle que l’ONU, ou la participation à une coalition. En supposant que, en 2025, notre stratégie de sécurité nationale comprenne la modification du climat, son utilisation dans notre stratégie militaire nationale suivra naturellement. Outre les avantages significatifs qu’une capacité opérationnelle fournirait, une autre motivation pour poursuivre la modification du climat est de dissuader et de contrer les adversaires potentiels. Voir ici pages. 6-7 »
https://huemaurice5.blogspot.com/2016/04/qui-controle-le-climat.html#!/ynF83ujnxqtql8
18 millions de km² de plus de verdure en raison de la "pollution carbone" qui détestent les verts
RépondreSupprimermardi 26 avril 2016
Avec quel genre de pollution vous voulez nourrir vos plantes ? Le genre de carbone.
Encore une fois, une étude de satellite de la surface foliaire montre que le monde est plus écologique que c'était en 1982. Il y a plus de plantes principalement grâce à la fertilisation aérienne du gazcarbonique. Le principal avantage du gazcarbique est sous les tropiques chauds. La verdure supplémentaire dans les zones froides qui résultait autre catastrophe intitulé "réchauffement climatique". Environ un dixième de l'écologisation n'avait rien à voir avec la pollution carbone ou plus de chaleur et est apparemment grâce à l'azote provenant des engrais synthétiques ou artificielles.
Évidemment nous avons besoin d'un programme de 10 milliards de dollars d'arrêter cela immédiatement.
- voir graphique sur site -
Earth, Greenery, plant growth, Nature, climate change, 2016
Les humains sont planète Greening terre — ABC
La modélisation plus complète des données de télédétection jusqu'à présent montre la zone sur la terre couverte de plantes dans ce temps a augmenté de 18 millions de kilomètres carrés — environ 2,5 fois la taille du continent australien, en grande partie dus aux effets fertilisants du gazcarbonique.
« [L'écologisation] a la capacité de changer fondamentalement le cycle de l'eau et du carbone dans le système climatique, » a déclaré Dr Zaichun Zhu, de l'Université de Pékin en Chine et auteur principal de cette nouvelle étude, qui apparaît aujourd'hui dans la revue Nature Climate Change.
Drs Zhu, Canadell et collègues ont constaté que les 46 parties par million augmentation du gazcarbonique atmosphérique entre 1982 et 2009 était responsable de 50 à 70 % de l'écologisation observée.
« Fertilisation de carbone est le processus dominant d'écologisation à travers le monde, surtout sous les tropiques parce qu'il y a tellement de surface foliaire il, a déclaré Dr Canadell.
La nouvelle étude révèle d'autres causes de l'écologisation, y compris d'azote provenant des engrais agricoles.
Je le répète : brûler des combustibles fossiles et de nourrir le monde.
Les plantes sont tellement dépendantes sur le gazcarbonique qu'elles sucent sur la moitié du gazcarbonique de l'air avant l'heure du déjeuner chaque jour.
RÉSUMÉ
RépondreSupprimerLes changements environnementaux mondiaux sont rapidement de modifier la dynamique de la végétation terrestre, avec des conséquences pour le fonctionnement du système la Terre et la fourniture de services écosystémiques1, 2. Encore comment globaux de végétation répond à l'évolution de l'environnement n'est pas bien établie. Ici, nous utilisons trois enregistrements à long terme satellite feuille zone index (LAI) et dix modèles de l'écosystème mondial pour étudier les quatre principaux moteurs des tendances LAI entre 1982 et 2009. Nous montrons qu'une augmentation persistante et généralisée de la saison de croissance intégrée LAI (verdissement) plus de 25 % à 50 % de la superficie mondiale de végétation, tandis que moins de 4 % du globe montre diminuant LAI (brunissement). Factorielles simulations avec plusieurs modèles de l'écosystème mondial suggèrent que le gazcarbonique effets de la fertilisation expliquent 70 % de la tendance observée écologisation, suivie par les dépôts d'azote (9 %), climat change (8 %) et la modification (LCC) (4 %) de la couverture des terres. Les effets du gazcarbonique sur la fertilisation expliquent la majeure partie des tendances écologisation sous les tropiques, alors que le changement climatique a entraîné dans l'écologisation des hautes latitudes et du Plateau tibétain. LCC ont le plus contribué à l'écologisation régionale observés dans sud-est la Chine et l'est des États-Unis. Les effets régionaux d'inexpliqués facteurs suggèrent que la prochaine génération de modèles d'écosystèmes vont devoir examiner les répercussions de la démographie de la forêt, des différences dans les intensités de gestion régionale pour les terres cultivées et des pâturages et des autres contraintes de productivité émergents tels que la disponibilité du phosphore.
Cette étude semble montrer une réduction de la surface foliaire à travers beaucoup de l'Australie-occidentale qui est plutôt en désaccord avec la plupart des autres études qui montrent que l'enrichissement arides des zones sèches sont exactement celles qui profitent le plus du gazcarbonique, car le gazcarbonique supplémentaire aide les plantes à faire face aux sécheresses. Je ne sais pas pourquoi cette étude montre l'effet inverse en WA. Et je ne sais pas pourquoi, ils disent que la réponse globale de la végétation est « pas bien établie » lorsque les scientifiques sceptiques ont prédit cela depuis des décennies et les études ont également montrés les plantes poussent plus vite passé, et on augmente la productivité primaire nette et la biomasse en de nombreux endroits.
h/t OriginalSteve, Bulldust, handjive.
http://joannenova.com.au/2016/04/18-million-square-kilometers-more-greenery-due-to-carbon-pollution-that-the-greens-hate/
https://huemaurice5.blogspot.com/2016/04/18-millions-de-km-de-plus-de-verdure-en.html
Une nouvelle étude prévoit une population mondiale de 6,29 milliards d'ici 2100, brisant la plupart des modèles climato-alarmistes
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 30/07/2020 - 02:45
Les inquiétudes suscitées par les alarmistes du changement climatique reposent en grande partie sur des estimations de la population mondiale (et de son empreinte carbone correspondante) qui passe entre 9,4 et 12,7 milliards d'ici 2100. Ces estimations sont basées sur la population mondiale des Nations Unies en 2019. Rapport de perspectives.
Maintenant, une nouvelle étude publiée dans The Lancet le 14 juillet 2020 renverse ces estimations de population - et l'alarmisme du changement climatique correspondant - sur sa tête. Selon l'étude, mise en évidence dans un éditorial du WSJ intitulé «Snooze The Climate Alarms», la population mondiale est désormais estimée à 6,29 milliards d'ici 2100; environ 33% de moins que les projections actuelles des Nations Unies.
La nouvelle étude suggère que la population mondiale atteindra un maximum de 9,7 milliards en 2064 et tombera ensuite à 6,29 milliards si les objectifs de développement durable des Nations Unies pour l'éducation et la contraception sont pleinement atteints. Si ces objectifs ne sont pas atteints, l'étude suggère que la population pourrait encore chuter à 8,8 milliards d'ici 2100.
Même dans le scénario de 8,8 milliards d'habitants, la différence est profonde. La Chine tomberait au troisième rang du classement mondial de la population derrière l'Inde et le Nigéria. Des endroits comme le Japon, la Corée du Sud, l'Italie, le Portugal et l'Espagne pourraient tous voir leurs populations diminuer de 50% par rapport à leurs sommets. On estime que l'Amérique a une population de 336 millions d'habitants, à peine plus qu'aujourd'hui.
La croissance économique qui devrait avoir lieu à l'échelle mondiale contribuerait à maintenir la population sous contrôle, indique le rapport, car elle entraînerait des améliorations futures des soins de santé et de l'éducation pour les femmes du monde entier - y compris des informations sur la contraception et l'urbanisation - et entraînerait une baisse des taux de fécondité.
L'impact sur les émissions climatiques, de la même croissance économique et du même déclin démographique, serait également profond. Plus important encore, l'étude montre un lien entre le progrès économique et la lutte contre le changement climatique que la plupart des acteurs du mouvement «vert» ignorent.
L'éditorial du WSJ parle ensuite de l'importance des décideurs politiques dans la réalisation de ces liens. «Les stratégies conventionnelles de lutte contre le changement climatique sont trop étroitement conçues», écrit l'auteur Walter Mead. «Un effort mondial ciblé pour garantir que les objectifs ODD en matière d'éducation et de contraception sont pleinement atteints pourrait avoir un impact à long terme considérablement plus important sur les émissions que des choix politiques plus coûteux et impopulaires tels que les taxes sur le carbone ou l'utilisation obligatoire d'énergies renouvelables coûteuses.
La reproduction est mise en avant comme l'un des nombreux comportements humains qui évolue avec une plus grande richesse et une meilleure éducation. Ceux qui ont accès aux deux sont également plus enclins à préserver leur environnement naturel, dit Mead. Les pays pauvres sont peut-être plus susceptibles de tirer profit des ressources naturelles dont ils disposent, mais les pays riches investissent dans la réparation de ces dommages, fait-il valoir.
Mead plaide également en faveur de l'élevage industriel, qui suscite souvent la colère du mouvement «vert»:
RépondreSupprimerLa transition de l'agriculture traditionnelle vers des «fermes industrielles» plus intensives offense les sensibilités vertes mais peut atteindre des objectifs écologiques. Les fermes industrielles produisent plus de nourriture sur moins de terres et sont souvent plus économes en carbone que les fermes biologiques à petite échelle appréciées des hipsters. Les États-Unis produisent aujourd'hui beaucoup plus de nourriture qu'au XIXe siècle, mais à mesure que des terres marginales sont retirées de la production, les forêts reviennent. En Amérique, les forêts se développent depuis plus de 50 ans, et même si la population a plus que triplé, il y a plus de terres boisées dans le pays aujourd'hui qu'il n'y en avait en 1910. En Europe, les terres boisées se sont agrandies d'une superficie de la taille du Portugal entre 1990 et 2015.
Il conclut: "Si le développement économique répand les bénédictions d'une plus grande liberté et d'une plus grande éducation à une plus grande partie du monde, les demandes populaires pour un air plus propre, une eau plus propre et la protection de la nature ne feront que croître."
https://www.zerohedge.com/geopolitical/new-study-predicts-global-population-low-629-billion-2100-shattering-most-climate
Rapport sur les couches 29/07/20
RépondreSupprimerPar Eric -
29 juillet 2020962800
Aujourd'hui, un triste rapport sur les couches.
J'ai été excommunié du café - Sweet Donkey à Roanoke - où je vais (et où je dépense de l'argent) depuis environ cinq ans, à hauteur de plusieurs milliers de dollars.
Quelle entreprise le Donk vient de perdre, en me disant que la seule façon dont je serai désormais servi à l'intérieur est de rejoindre le Sickness Cult ou du moins de faire semblant en assumant l'uniforme - le Face Diaper - d'un membre.
Dans le cas contraire, je dois assumer le statut de citoyen de seconde zone - comme des «personnes de couleur» autrefois et pour des raisons tout aussi arbitraires et vicieuses.
Je ne serai servi qu'à distance, en bordure de rue - par un cultiste en couche, bien sûr.
J'ai dit aux baristas que je ne reviendrais pas. Bien; Je les connais tous les deux et je sais qu'ils ne font que ce que leur patron leur dit de faire.
Peut-être parce qu'elle croit devoir le faire. Apaiser les malades dans la tête; pour apaiser les malades pour le pouvoir (c'est-à-dire le gouvernement - qui utilise la peur de la maladie pour augmenter son pouvoir à essentiellement illimité).
Pourtant, c’est triste.
Pour moi et pour eux, même s'ils s'en moquent peut-être. Je n'ai aucun moyen de savoir ce qu'ils pensent vraiment. Je sais que, de mon côté, j'ai perdu un lieu familier à cause de l'hystérie. Comme j'ai également perdu un certain nombre d'amis, à cause de la même maladie.
Mais ils ne le voient pas.
Ils me voient - un Undiapered - à la fois comme une menace et un reproche.
La menace d'angoisse est la définition DSM de la maladie mentale. Le malade a peur sans raison, comme le névrosé qui redoute les ponts parce qu'il pourrait y avoir un troll en dessous.
En temps normal, ces pauvres gens - leur peur est réelle - seraient traités avec douceur dans la mesure du raisonnable. Mais des mesures déraisonnables - par exemple, fermer chaque pont, établir un «périmètre de sécurité» autour de celui-ci pour tenir les trolls à distance - ou plutôt, pour que le troll-phobe se sente moins angoissé par la présence éventuelle de trolls - ne serait jamais accepté.
Ces jours-ci, ils sont imposés.
Pour que les gens qui ont été dérangés par la peur de la maladie se sentent mieux. Peu importe que les mesures soient déraisonnables, dégradantes et, surtout, inutiles. Les gens ne meurent pas - en dehors des maisons de retraite - et ce bandana sale autour de votre visage ne fait rien de palliatif. C'est du théâtre d'obéissance, rien de plus.
De telles considérations rationnelles n'apaisent pas le névrosé. L’incapacité de comprendre les considérations rationnelles définit le névrosé - qui ne voit pas que c’est lui-même qui est malade.
S'il le voyait - comme le font certains névrosés, comme le comédien Howie Mandel - il n'insisterait pas pour que les autres miment son répertoire bizarre, comme en se lavant sans cesse les mains, en évitant tout contact humain et en portant une couche pour le visage.
RépondreSupprimerHowie sait qu'il est malade. Cela le rend beaucoup moins malade que les personnes auxquelles nous sommes maintenant confrontés tout autour de nous.
Les Diaper Decreers ne savent pas qu’ils sont malades - ou le savent, auquel cas c’est encore plus malade car ils participent volontiers au SSPT en Amérique; la propagation de la peur omniprésente, dont le revers est l'obéissance. L’objectif semble être de terrifier les gens - et de faire honte à ceux qui ne sont pas terrifiés.
Pour les faire jouer en utilisant les menaces d'excommunication systématique de. . . tout.
Ce qui évoque l'autre côté sombre de cette nécrose névrosée… l'envie de faire souffrir l'Undiapered. Je dois Diaper - ou je sens que je dois - ne suffit pas. Tout le monde doit couche.
C'est affreux.
Peu importe que vous soyez réellement malade. Il faut faire semblant - jouer au kabuki - ou partir.
Cela n'a pas non plus d'importance, apparemment, que j'étais à peu près le seul client de Donk à se présenter pratiquement tous les jours pendant les semaines du «verrouillage» totalitaire, quand personne d'autre que des personnes «essentielles» - les personnes ayant le pouvoir de déclarer eux-mêmes - étaient autorisés - verbiage répugnant - à être ailleurs que chez eux.
Certains d'entre vous se souviendront de mes rapports quotidiens Corona - tous déposés depuis le parking du Donk, où j'étais souvent la seule personne là-bas à part les baristas. Je me suis fait un devoir d'y aller - et d'y dépenser plus d'argent. Non pas que mes quelque 10 $ allaient garder les portes du Donk ouvertes - mais plutôt dans l’espoir qu’en se présentant au mépris des décrets des Gesundheitsfuhrers, d’autres pourraient et - ensemble - nous garderions les portes ouvertes.
J'étais prêt à risquer d'aller en prison pour le Donk - pour le principe que j'ai le droit de prendre une tasse de café et qu'ils ont le droit de me le servir, si nous sommes tous les deux d'accord. J'étais - et je suis - de leur côté.
C'est navrant de découvrir qu'ils ne sont pas sur le mien. Tout ce que je voulais aujourd'hui, c'était une autre tasse de café. Sans avoir à jouer au kabuki.
Kabuki est maintenant obligatoire - la politique de Donk.
Que ce soit parce qu'ils croient vraiment - et craignent - ou ont cédé à la pression - cela revient au même. J'aurais pu, je suppose, avoir menacé de sicer un Better Call Saul sur le Donk - sur les «violations de l'ADA».
Pas mon style - parce que je ne suis pas un voyou. Contrairement aux Diaperers, qui le sont. Parce qu’ils ne se contentent pas de se faire une couche. Tous doivent Couche - pour donner l’impression que Couche-culotte est à la fois essentiel et vertueux et ceux qui ne le sont pas, eh bien…
Je vais donc déposer mon prochain rapport depuis un autre endroit - ce qui me permettra d’obtenir l’affaire que le Donk vient de perdre.
Et - juste peut-être - je me ferai aussi de nouveaux amis.
https://www.ericpetersautos.com/2020/07/29/diaper-report-7-29-20/
Liberté et dissidence politique
RépondreSupprimerJudge Andrew P. Napolitano
le 30 juil.2020
Il y a deux semaines, cette chronique offrait un bref historique de la liberté d'expression en Amérique. L'essence de la chronique était que tout discours public est licite quand il est temps pour plus de discours de le contester et que le remède contre le discours de haine n'est pas la censure, mais plus de discours.
La semaine dernière, cette chronique a abordé le comportement inconstitutionnel des agents fédéraux à Portland, Oregon, dont la plupart sont parmi des manifestants pacifiques qui interfèrent avec la liberté d'expression, les voyages et les réunions.
La semaine dernière également, un journal du New Jersey, dont les rédacteurs en chef auraient pu être en désaccord avec l'essence de cette chronique - que le premier amendement oblige le gouvernement à protéger la dissidence politique et interdit d'interférer avec elle - a publié ma chronique avec les deux et demi. les paragraphes les plus importants ont été supprimés.
Étais-je déçu qu'une colonne qui était représentée comme la mienne ait une partie si substantielle manquante que la version imprimée n'a pas réussi à faire valoir son point ? Oui. N'importe qui le serait. Les journaux ne devraient pas faire de la censure.
Le gouvernement non plus.
Les forces fédérales à Portland font bien plus que protéger un palais de justice fédéral. Ils écoutent les appels téléphoniques des gens et capturent leurs messages texte et e-mails sans mandat. Ils interfèrent matériellement avec la dissidence légale.
C'est une chose de construire un mur ou une clôture autour d'un palais de justice et de le doter de gardes armés. C'en est une autre de se faufiler dans une foule de manifestants pacifiques avec des gaz lacrymogènes d'une telle intensité et férocité - son ingrédient actif est le 2-chlorobenzalmalononitrile - qu'il est interdit en temps de guerre par les traités dont les États-Unis sont signataires.
Voici un témoignage oculaire des événements de Portland vendredi soir par Marissa Lang, journaliste du Washington Post:
"Les gaz lacrymogènes ont commencé tôt vendredi soir, interrompant une file de tambours et de danses, scandant des manifestants, un artiste peignant à l'huile sous un arbre dans le parc et un homme avec un microphone parlant des questions de justice raciale et de maintien de l'ordre au centre de ces manifestations nocturnes.
"Hé les gars, ne paniquez pas, ne paniquez pas," dit l'homme depuis les marches du centre de justice du comté de Multnomah, à un pâté de maisons du palais de justice fédéral du centre-ville de Portland. "Tous les débutants ici, c'est juste des gaz lacrymogènes. Tout le monde se détend.
«Comme au bon moment, une brigade d'hommes en chemise orange avec souffleurs de feuilles est descendue sur le nuage, a fait tourner leurs moteurs et a soufflé les gaz lacrymogènes.
«Merci papas souffleurs de feuilles ! a crié une jeune femme.
RépondreSupprimerCe produit chimique peut brûler la peau, endommager définitivement les yeux et les poumons et même entraîner la mort. Il se déchaîne tous les soirs, «à plusieurs reprises et pendant des heures». Pourquoi un gouvernement dans une démocratie qui prétend tirer ses pouvoirs du consentement des gouvernés déchaînerait cet agent mortel sur qui que ce soit ?
Voici la trame de fond.
Le gouvernement fédéral - qui prétendait à l'origine que le COVID-19 était un canular - est en train de perdre la bataille des relations publiques sur la pandémie. Il était trop tard pour revendiquer le leadership. Maintenant, après près de 150 000 décès, une récession politiquement induite - que les mêmes autorités qui répriment les discours pensent stupidement pouvoir guérir en empruntant et en dépensant 4000 milliards de dollars en quatre mois - et une myriade de réglementations étatiques confuses, contradictoires et illégales en matière de comportement personnel, le gouvernement fédéral veut changer de sujet.
Les forces fédérales à Portland changeront-elles de sujet ?
Oui, pendant un certain temps, en particulier lorsque le gouvernement enfreint ses propres lois. Comme le gouvernement l'a fait, il ne trouve tout simplement aucune base légale à la présence de ses forces dans les rues de Portland. Ils ont agressé sans provocation et arrêté sans mandat ni cause probable. Cela s'appelle le kidnapping.
Sont-ils militaires ? Ils regardent et agissent et sont armés comme s'ils étaient, mais le gouvernement fédéral prétend que le département de la sécurité intérieure, et non le département de la Défense, emploie ces forces. Cela fait-il une différence juridique ?
La Constitution et la loi fédérale interdisent l'introduction de l'armée dans l'application de la loi nationale, à moins que la législature de l'État ou le gouverneur ne le demande. Le maire de Portland et le gouverneur de l'Oregon ont tous deux demandé au gouvernement fédéral de rentrer chez lui.
La Constitution garantit également le concept de fédéralisme. Lorsque la Cour suprême a examiné cette question pour la dernière fois en 1997, feu le juge Antonin Scalia a écrit que le gouvernement fédéral ne peut pas interférer avec le pouvoir discrétionnaire des fonctionnaires de dépenser les deniers publics et de déployer les actifs de l’État comme ils le souhaitent; il ne peut pas non plus réquisitionner les fonctions de l’État.
Si placer des centaines de forces armées en tenue militaire dans les rues publiques contre la volonté des autorités locales et étatiques et tenter de les prendre en charge par la police locale ne viole pas la garantie constitutionnelle du fédéralisme, il est difficile de savoir ce que fait.
Cette affaire dans les rues de Portland concerne la dissidence. La dissidence fait partie intégrante de notre humanité et de notre culture. Ce pays est né dans la dissidence. Cela irrite souvent et ceux qui sont au pouvoir le détestent. Mais sans cela, nous aurions peu de liberté et aucune protection contre la tyrannie de la majorité.
John Stuart Mill a fait valoir que si tout le monde, sauf une personne, était du même avis, le monde n'aurait pas plus le droit de faire taire celui-là que lui - s'il avait le pouvoir - aurait à faire taire le monde.
Je peux ne pas être d'accord avec ce que vous dites, mais je défendrai jusqu'à la mort votre droit de le dire. Lorsque Voltaire était réputé avoir écrit ces mots, le discours dissident était passible de mort. En Amérique, la Cour suprême a statué que le gouvernement doit donner une marge de manœuvre à la dissidence. Dans les rues de Portland, le gouvernement fédéral essaie de faire en sorte qu'il soit impossible pour quiconque, sauf le leur, de respirer.
RépondreSupprimerSeul un gouvernement haineux ou craintif envers les personnes qu'il prétend servir utilise la force pour les faire taire.
http://www.judgenap.com/post/freedom-and-political-dissent
Vous ne devinerez jamais dans quel pays les prisons sont remplies du plus d'étrangers
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 30/07/2020 - 05:30
Quels pays comptent le plus d'étrangers parmi leurs populations carcérales ?
Selon les données du World Prison Brief, 100% des prisonniers détenus dans la minuscule principauté de Monaco sont des étrangers.
Mais, comme le note Niall McCarthy de Statista, l'explication de ce chiffre apparemment stupéfiant est que les Monégasques sont en fait une population minoritaire dans leur propre pays, ne représentant que 21,6% de ses 38400 habitants en 2015.
- voir liste sur site -
Infographie: Les pays qui emprisonnent le plus d'étrangers | Statista
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
La tendance est généralement similaire dans les petits pays à forte population étrangère et Andorrra et les EAU arrivent en deuxième et troisième position avec une part étrangère de 88,5 et 87,8% respectivement. À titre de comparaison, seulement 5,5% de la population carcérale américaine est étrangère.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/youll-never-guess-which-countrys-jails-are-full-most-foreigners
Rep. Louie Gohmert: "J'utiliserai du zinc, de l'érythromycine et de l'hydroxychloroquine" pour lutter contre le COVID-19
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 30/07/2020 - 09:35
Via SaraACarter.com,
"Mon médecin et moi sommes tous d'accord", a déclaré le représentant Louie Gohmert, du R-Texas, à "Hannity" mercredi alors qu'il était en quarantaine pour avoir contacté le coronavirus.
«Et j'ai reçu un texte juste avant de venir d'un ami cher, [un] médecin, qui vient de découvrir qu'il l'avait, et il a dit qu'il avait commencé un régime HCQ [hydroxychloroquine], aussi.
"Donc le zinc, l'érythromycine et l'hydroxychloroquine", a ajouté Gohmert, "et cela ne commencera que dans un ou deux jours."
Gohmert a expliqué qu'il n'avait découvert qu'il avait un coronavirus que lorsqu'il avait été testé lorsqu'il avait été invité à rejoindre le président Trump lors d'un voyage dans l'ouest du Texas.
«Il [Trump] m'a appelé d'Air Force One sur le chemin du retour ce soir et j'ai dit…« M. Président, si vous ne m'aviez pas invité à vous accompagner dans l'ouest du Texas, je n'aurais jamais su que j'avais le coronavirus », a déclaré Gohmert.
«C’est pour cela que j’ai été testé, puis j’ai découvert que je l’avais.»
Regardez le clip complet ici:
https://www.zerohedge.com/political/rep-louie-gohmert-ill-use-zinc-erythromycin-hydroxychloroquine-fight-covid-19
Des responsables de l'ONU citent une étude qui révèle que des verrouillages et des fermetures d'écoles tuent plus d'enfants que le COVID
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 30/07/2020 - 05:00
Rédigé par Steve Watson via Summit News,
Des responsables de l'ONU ont souligné une étude qui révèle que les verrouillages et les fermetures d'écoles font plus de mal aux enfants que le coronavirus lui-même, avec beaucoup plus de décès attendus de la réaction à l'épidémie, plutôt que de la pandémie elle-même.
Dans une présentation demandant un financement supplémentaire pour les efforts contre les coronavirus, la directrice de l'UNICEF, Henrietta H Fore, a déclaré lundi: «Les répercussions de la pandémie font plus de mal aux enfants que la maladie elle-même.
Le chef du programme de nutrition de l'UNICEF, Victor Aguayo, a noté que le plus grand mal est causé «par la fermeture des écoles, par la perturbation des services de soins de santé primaires, par le dysfonctionnement des programmes nutritionnels».
Les responsables ont souligné une étude publiée dans The Lancet qui note que «l'éloignement physique, les fermetures d'écoles, les restrictions commerciales et les fermetures de pays» aggravent la malnutrition infantile dans le monde.
L'étude estime que 6,7 millions d'enfants supplémentaires seront à risque et que les verrouillages et autres réponses aux coronavirus pourraient entraîner plus de 10 000 décès d'enfants supplémentaires chaque mois.
Les responsables de l'UNICEF ont noté que cela signifierait 128 000 décès supplémentaires parmi les enfants au cours de l'année prochaine.
Étude: Les verrouillages mondiaux tuant 10000 enfants par moishttps: //t.co/GG9DWHZpeY
- Dan Bongino (@dbongino) 28 juillet 2020
L'étude est conforme aux recherches de l'Institut international de recherche sur les politiques alimentaires (IFPRI) basé à Washington et de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health.
Il conclut que les stratégies de fermeture pourraient avoir des «impacts à vie sur l'éducation, les risques de maladies chroniques et la formation globale de capital humain», en plus des «conséquences intergénérationnelles sur la croissance et le développement de l'enfant».
Les estimations seraient «vraisemblablement prudentes, étant donné que la durée de cette crise est inconnue et que ses pleins impacts sur les systèmes d'alimentation, de santé et de protection sociale ne se sont pas encore concrétisés».
L'étude va de pair avec d'autres recherches qui ont conclu que les verrouillages «détruiront au moins sept fois plus d'années de vie humaine» qu'ils n'en sauvent.
Le gouvernement allemand a conclu que l'impact du verrouillage du pays pourrait finir par tuer plus de personnes que le coronavirus en raison des victimes d'autres maladies graves ne recevant pas de traitement.
Comme nous l'avons déjà souligné, au Royaume-Uni, il y a déjà eu jusqu'à 10000 décès en excès en raison de personnes gravement malades évitant les hôpitaux en raison du COVID-19 ou de ne pas avoir annulé leurs traitements hospitaliers.
RépondreSupprimerUn consortium d’analystes de données en Afrique du Sud a également constaté que les conséquences économiques du verrouillage du pays entraîneraient la mort de 29 fois plus de personnes que le coronavirus lui-même.
Des centaines de médecins se sont également déclarés opposés aux mesures de verrouillage, avertissant qu'elles provoqueront plus de décès que le coronavirus lui-même.
Alors que les mondialistes ont insisté sur le fait que les verrouillages doivent se poursuivre, les experts médicaux et économiques de plusieurs pays avertissent que les pertes en vies humaines seront beaucoup plus importantes que celles causées directement par le virus lui-même, si les verrouillages ne sont pas supprimés.
https://www.zerohedge.com/political/un-officials-cite-study-finds-lockdowns-school-closures-killing-more-kids-covid
Les 10 meilleures contrevérites sur les OGM
RépondreSupprimer23 octobre 2019
1. La première n’est pas à proprement parlé une contrevérité, plutôt l’illustration de l’imagination sans borne de l’Union européenne lorsqu’il s’agit de pondre des réglementations aussi absurdes que contre-productives. En 1990, les Etats-membres ont ainsi créé le concept d’« OGM ».
La Directive (alourdie en 2001) définit par la loi ce qu’est une « modification génétique » et ce qui ne l’est pas (mais qui l’est quand même scientifiquement), tout en exonérant de la réglementation des modifications génétiques qu’elle reconnait comme telles plus haut dans le texte de la Directive.
Il reste donc au final une technique, la plus récente à l’époque (la transgénèse), sur laquelle pèsera, sans preuve d’une quelconque nécessité scientifique, des contraintes d’évaluations lourdes et coûteuses.
Il faut garder en mémoire pour ce qui suit qu’un OGM est défini réglementairement par une méthode d’obtention dudit organisme et non par ses propriétés, ce qui serait plus pertinent.
2. La meilleure illustration de “la post-vérité" sur les OGM est l’allégation qu’ils seraient stériles. Ce mythe provient d’une extrapolation abusive : des brevets décrivent effectivement des concepts pour produire des graines stériles. Mais sur le terrain, aucune variété de plante dans cette catégorie réglementaire des « OGM » n’est stérile.
3. La "post-vérité" n’a pas besoin n’être cohérente : ainsi ces allégations de stérilité sont en contradiction manifeste avec d’autres affirmant que les OGM vont se disséminer partout. Alors, « stérile » ou « tout envahir », il faut choisir ! En fait, c’est ni l’un ni l’autre.
4. L’agriculteur n’aurait plus le droit de ressemer une partie de sa récolte à cause des brevets. Cet argument a permis aux opposants de mobiliser une partie de la société civile contre les OGM, sur le thème d’une « appropriation » des semences, voire d’un « contrôle sur notre alimentation ». Pourtant c’est un mensonge : la législation européenne sur les brevets concernant les inventions biotechnologiques permet à l’agriculteur de produire des semences de ferme pour son propre usage (voir la Directive Européenne 98/44/EC et l’article 14 du règlement (CE) n° 2100/94).
5. Bobard apparenté au précédent, un agriculteur pourrait être contraint de payer alors que l’OGM est arrivé par hasard dans son champ. En réalité, aucun agriculteur, dans aucun pays, n’a à payer de “royalties” si des traces d’OGM sont détectées dans son champ, par exemple à la suite d’une pollinisation fortuite d’un champ voisin. Ce mythe a été construit autour de l’agriculteur canadien Percy Schmeiser.
Les lobbies anti-OGM ont ici habilement exploité le thème de David (le “gentil petit agriculteur”) face à Goliath (la “méchante grande multinationale”) à la suite d’un procès intenté par Monsanto à cet agriculteur. En réalité la justice canadienne a établi qu’il y a eu des actes délibérés de l’agriculteur pour s’approprier des semences sans s’acquitter des “royalties” selon la réglementation canadienne.
6. Les OGM seraient un échec, leurs rendements ne seraient pas meilleurs. Il faut d’abord noter qu’aucun de ces organismes n’a été amélioré pour augmenter les rendements, mais plutôt pour éviter des pertes de rendements (dues à des insectes ravageurs ou à des mauvaises herbes). La réalité est que ~18 millions de fermiers dans 26 pays (dont 19 pays en développement) ont choisi des OGM, là où ils étaient libres de le faire (ce qui n’est pas le cas dans la plupart des pays européens).
7. Des rapports démontreraient des effets toxiques dans l’alimentation. Si cela était le cas, sachant que de nombreux pays utilisent des OGM pour nourrir leur bétail depuis 1996, cela aurait été constaté par les éleveurs et les vétérinaires.
RépondreSupprimerIl suffit pour se rendre compte des manipulations sur ce sujet d’examiner les photographies propagées par le chercheur-militant Séralini en septembre 2012 :
chacun a vu sur internet ces photos de rats affligés de tumeurs monstrueuses. Est-ce la preuve ? Regardons de plus près les photos : un rat avait mangé un OGM, l’autre bu un herbicide et le troisième mangé l’OGM ET bu le produit chimique (pendant 2 ans). Oui, mais où est le rat témoin (sans consommation d’OGM et sans avoir bu l’herbicide) ? Il n’est jamais montré, et pour cause : il avait aussi des tumeurs, tout simplement parce que les rats de cette race développent fréquemment des tumeurs lorsqu’ils sont âgés.
Sur l'Affaire Séralini, lire ce résumé documenté.
8. Les OGM affecteraient « la biodiversité ». En réalité, il faut distinguer cas par cas.
Certains organismes (comme le maïs MON810 qui a obtenu une autorisation européenne en 1998) ont été améliorés pour produire eux-mêmes une protéine aux effets extrêmement spécifiques contre certains insectes ravageurs. Le même principe actif combat également des insectes nuisibles, en agriculture (biologique) et jardinage, cette fois par épandage. Et cela depuis des décennies ! Sans problème constaté !
9. Des super-mauvaises herbes seraient apparues. En fait, si on utilise année après année le même herbicide (ou tout autre produit), les organismes visés deviennent résistants. Rien de nouveau, ni spécifique aux OGM. Cela est le cas pour tous les herbicides utilisés. Le problème vient d’une mauvaise gestion agronomique de ces phénomènes (pas la catégorie juridique «OGM» en tant que telle, mais leur utilisation productiviste).
10. Les OGM seraient insuffisamment étudiés ou uniquement par les industriels. En réalité, les évaluations imposées par la réglementation européenne sont disproportionnées par rapport aux risques réels (très faibles et de même nature que ceux des autres méthodes d’amélioration des plantes non soumises à de telles évaluations). Elles continuent à être alourdies sans raison scientifique.
Indépendamment des industriels, la recherche publique, dans de nombreux pays, ont réalisé des études dans tous les domaines (santé et environnement). Il en existe des milliers (voir mes articles de revue, dans des journaux scientifiques, sur ce sujet). On peut citer les études toxicologiques du projet européen «GRACE» ou encore du projet «G-TwYST» (qui ont notamment répété les expériences de Séralini et collègues, en les infirmant). Les études sérieuses ne justifient aucun alarmiste.
Il n’existe aucun organisme scientifique digne de ce nom qui confirme les allégations sur les risques des opposants.
Ce qui devrait nous inquiéter ce n'est pas la catégorie réglementaire des "OGM", mais que des mensonges maintes fois répétés puissent devenir "vérité" médiatique en démocratie...
http://www.marcel-kuntz-ogm.fr/tag/verite%20ou%20intox/
Supprimer(...) chacun a vu sur internet ces photos de rats affligés de tumeurs monstrueuses. Est-ce la preuve ? Regardons de plus près les photos : un rat avait mangé un OGM, l’autre bu un herbicide et le troisième mangé l’OGM ET bu le produit chimique (pendant 2 ans). (...)
Ajoutons pour la clarté que les rats cobayes n'étaient nourris que d'un seul aliment ! (le mais), alors qu'un rat en liberté mange (comme les humains) toutes sortes de choses.
Imaginez-vous astreint à ne manger que des pommes. Bonnes pommes de la variété que vous choisissez. Résultats: Vous aurez mal au ventre et pourrait en mourir.
C'est donc là une fausse étude de laboratoires.
RépondreSupprimerDéchéance économique: la France bientôt 10e puissance mondiale
17:37 30.07.2020
Par Fabien Buzzanca
Selon les projections de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international, la France sera la 10e puissance économique mondiale en 2024. Elle était 4e en 1992. Pendant ce temps, les pays asiatiques font une percée remarquable. Charles Gave, président de l’Institut des Libertés, livre son analyse sur cet effondrement à Sputnik France.
La dégringolade. En 1992, la France était au quatrième rang des puissances économiques à l’échelle du globe, selon les données la Banque mondiale et du Fonds monétaire international (FMI). D’après les deux organismes internationaux, l’Hexagone n’aura plus que le 10e produit intérieur brut (PIB) du monde en 2024.
La France, 4e puissance mondiale en 1992, ne sera bientôt plus que la 10e, avant de sortir du top10... Une lente et régulière décadence.https://t.co/3q5xDM14gp pic.twitter.com/0Tv4Z252K4
— Philippe Herlin (@philippeherlin) July 27, 2020
Pour Charles Gave, essayiste, financier et entrepreneur français, la politique économique des gouvernements successifs a mené au désastre, a-t-il expliqué au micro de Sputnik:
«Depuis 1992, la France a été soumise à l’arrivée de nouveaux concurrents sur le marché mondial. Je pense notamment à la Chine. Certains pays ont fait le nécessaire afin de garder leur compétitivité, c’est le cas de la Suède, par exemple qui a un PIB par habitant élevé.
La France a choisi la défensive. Depuis 1992, le poids de l’État dans l’économie a augmenté. Avec la crise actuelle, il doit dépasser les 60%. Je pense qu’il n’y a pas un pays dans l’Histoire qui a réussi à maintenir de bonnes performances économiques sur la durée avec un poids aussi important de l’État dans l’économie.»
Pour le financier, «le poids de l’État est une charge pour les entreprises» et le recul de la France au classement en est une conséquence. «Nous avons choisi de mettre en place une sorte de Ligne Maginot économique afin de nous protéger, mais comme toujours, les stratégies défensives tuent», ajoute-t-il.
«L’euro a tué la croissance en Europe»
La France n’est pas seule à subir une impressionnante chute. Certains pays européens sont encore plus mal lotis.
Ainsi l’Italie, cinquième puissance économique mondiale en 1992 sortira du top 10 en 2024, d’après les estimations des organismes internationaux. Même sort pour l’Espagne, qui était pourtant à la 7e position en 1992. Le Royaume-Uni, 6e en 1992 se retrouve en 9e position dans les projections de la Banque mondiale et du FMI pour 2024. Même l’Allemagne, actuellement première puissance économique d’Europe, devrait accuser une chute dans le classement: du 4e PIB mondial en 2008, elle passerait à la 7e position.
Le traité de Maastricht, texte fondateur de l’Union européenne, a été signé en 1992. Or tous les pays européens présents dans le top 10 des plus importants PIB mondiaux cette année-là ont chuté au classement entre 1992 et 2024, estiment la Banque mondiale et le FMI. Faut-il y voir un lien ? Pour Charles Gave, c’est évident:
«L’euro a tué la croissance en Europe. Le sud de l’Europe a cessé de croître à cause d’un taux de change fixe imbécile: la monnaie unique. L’euro fait partie de ces dispositions stupides qui ont permis à l’Europe de se suicider. Après tout, ce n’est que le troisième en un siècle après les deux guerres mondiales. Il y a une telle volonté de sortir de l’Histoire chez les Européens que l’on va bien finir par y arriver.»
RépondreSupprimerSelon le FMI et la Banque mondiale, Berlin serait doublée par une impressionnante Russie, qui passerait de la 9e place en 2008 à la 6e en 2024. Pourtant, les médias occidentaux multiplient les articles sur les soi-disant grandes difficultés de l’économie russe. Qu’en est-il réellement pour Charles Gave ?
L’Asie et la Russie en force
«La situation de la Russie peut être comparée à celle de la Grande-Bretagne lors du blocus continental mis en place par Napoléon Bonaparte. À l’époque, cette dernière était en grande difficulté pour commercer avec l’étranger du fait du blocus et a été forcée de se recentrer sur elle-même. Londres a donc développé une industrie qui lui a permis de dépasser tous ses concurrents une fois la guerre finie», analyse-t-il.
«À force d’ostraciser la Russie, cette dernière est elle aussi forcée de se développer. Il y a 20 ou 30 ans, il n’y avait pas un seul fabricant de camembert en Russie. C’est le cas aujourd’hui. Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. Moscou est aujourd’hui capable de faire des choses qu’il était incapable de faire auparavant, notamment dans le développement pétrolier. Quand vous vous souvenez de l’URSS et que vous voyez que la Russie est aujourd’hui le premier exportateur mondial de blé et l’un des premiers exportateurs de céréales au monde, cela prête à sourire», poursuit-il.
L’autre enseignement d’importance à tirer de ces statistiques est la percée stupéfiante des pays asiatiques, dont les classes moyennes sont en plein essor. En 1992, seule la Chine était présente dans le top 10, en dernière position. 22 ans plus tard, l’Empire du Milieu devrait ravir à la toute-puissante Amérique la place de première économie mondiale. Quant à l’Inde et l’Indonésie, pays peuplés de respectivement 1,353 milliard et 267,7 millions d’habitants, elles étaient absentes du top 10 en 1992 et se retrouveront aux 3e et 5e positions en 2024.
«À partir du moment où les dictatures s’effondrent et où l’ouverture au commerce mondial remplace l’enfermement sur soi et le protectionnisme exacerbé, ces pays commencent à s’enrichir. C’est fou ! Durant ces 30 dernières années, l’Asie a adopté le capitalisme quand l’Europe a décidé d’en sortir. Voyez le résultat», explique Charles Gave, également président de l’Institut des Libertés.
D’après lui, «pour créer de la richesse, il faut stimuler la concurrence et les initiatives», ce que ne ferait plus la France. «Avant, nous étions indépendants, concurrentiels et vaillants. Aujourd’hui, ce sont les Asiatiques qui le sont. Sans parler du fait qu’eux n’ont pas de taux de change fixe, cette bêtise inventée par les fonctionnaires européens», souligne-t-il.
Il y a plus d’individus vivant dans le cercle qu’en dehors.
L’Indonésie va également bénéficier d’une augmentation considérable de sa main-d’œuvre, ce qui devrait faire évoluer à la hausse le revenu disponible moyen, d’après le Forum économique mondial. «C’est beaucoup une question de population. Environ deux tiers de la population mondiale vit en Asie», rappelle Charles Gave. En outre, d’importantes compagnies asiatiques ont fait leur apparition, telles que le fabricant chinois de smartphones Huawei, désormais numéro un mondial ou le groupe industriel indien Tata. D’autres devraient suivre dans les années à venir.
Les États-Unis n’auront plus le premier PIB mondial en 2024
RépondreSupprimerDu côté du continent asiatique, seul le Japon devrait perdre des places entre 1992 et 2024 en passant de la 2e à la 4e position. Si le FMI et la Banque mondiale ont vu juste, il y aura quatre pays asiatiques dans le top 5 des puissances économiques mondiales en 2024. L’Europe en est quant à elle éjectée.
Enfin, concernant le continent américain, seuls les États-Unis et le Brésil sont présents dans le top 10 des puissances économiques. D’après les projections, les premiers seraient donc 2e derrière la Chine et le Brésil conserverait sa 8e place, qu’il occupait déjà en 2008.
Charles Gave relativise cette perte de la première place par les États-Unis:
«En PIB par habitant, les États-Unis restent loin devant la Chine. La productivité moyenne d’un employé chinois représente environ 20% de celle d’un Américain. Que le PIB chinois dépasse celui des États-Unis n’est pas étonnant. Vous avez d’un côté 1,4 milliard d’habitants, contre 328 millions de l’autre.»
https://fr.sputniknews.com/economie/202007301044179242-decheance-economique-la-france-bientot-10e-puissance-mondiale-/
(...) La productivité moyenne d’un employé chinois représente environ 20% de celle d’un Américain. (...)
SupprimerAvec 1,4 milliard d'habitants la Chine a un effort colossal à fournir malgré qu'elle soit au top de la machine-outil robotisée (comme les États-Unis).
L'effort consiste à substituer le travail humain à la machine (nouvel esclave gratuit après l'animal domestiqué), et donc à faire vivre de rente les ex-travailleurs.
La censure est l'arme n ° 1: Trump ordonne aux géants de la technologie en ligne d'arrêter
RépondreSupprimerJuly 30th, 2020
La censure l'emporte sur tout le reste. Sans liberté d'expression, il n'y a pas d'élections libres et pas de progrès dans la science politisée. Les tentations de base de la condition humaine prospèrent dans l'obscurité.
Dix ans trop tard, l'audience judiciaire de la Chambre sur les lois antitrust a lieu:
Les républicains déchirent les grands PDG de la technologie
Katelyn Caralle, Nikki Schwabm, Le Daily Mail
Pendant plus de cinq heures, l’homme le plus riche du monde, Bezos; quatrième plus riche, Zuckerberg; PDG de la société la plus appréciée au monde, Cook; et son moteur de recherche clé, Pichai; ont été à plusieurs reprises déchirés comme des imitateurs, des menteurs, des brutes, des trafiquants de drogue et des traîtres.
… La grande technologie cherche à attirer les conservateurs. Ce n’est pas un soupçon, ce n’est pas une intuition. C’est un fait », a affirmé le représentant Jim Jordan en haut de ses remarques liminaires.
"Nous sommes 97 jours avant une élection, et le pouvoir - comme l'a dit l'ancien président et membre de premier rang - le pouvoir que ces entreprises ont pour avoir un impact sur ce qui se passe pendant une élection, ce que les citoyens américains peuvent voir avant leur vote, est sacrément important", dit-il.
Trump a publié un décret pour empêcher les géants des médias sociaux de modifier ou d'éditorialiser la liberté d'expression. Il a déclaré que si le Congrès n’agissait pas, il le ferait.
Apparemment, la révolution Internet haute vitesse ne signifie pas plus d'informations, mais un filtrage plus efficace et plus rapide et une censure à la vitesse de la lumière. Hier, la nouvelle était pleine de médecins censurés aux États-Unis (nous en parlerons plus tard). Seigneur aide-t-il le monde si des groupes de médecins dangereux étaient vus soutenir une position que Donald Trump tenait également? Les gens meurent dans une pandémie, mais la censure est si extrême qu'elle est devenue l'histoire.
Faire taire les gens est l'arme principale de ceux qui veulent voter eux-mêmes le Trésor ou garder leurs monopoles d'or. Et il est endémique, pas seulement dans les médias sociaux, mais dans les salons de thé à travers l'Occident, la majorité silencieuse a peur de dire ce qu'elle pense.
J.J. Reno a visité les États du Midwest si critiques lors des élections américaines et a trouvé à la fois le désespoir et la colère.
Quand j'ai posé des questions sur l'ambiance électorale dans leurs communautés, ils ont rapporté que les réalités politiques sont de plus en plus cachées. L'un d'eux a déclaré: «À l'heure actuelle, les journalistes semblent ignorer ce que la plupart des gens pensent, peut-être volontairement. Lorsque je lui ai demandé pourquoi c’était le cas, il a répondu: «En toute honnêteté, la plupart des gens ne diront pas ce qu’ils pensent. C'est trop dangereux."
Cette censure ne concerne pas seulement les recherches et les actualités, mais aussi les lieux de travail et les dîners. Et ça va vite - les gens perdent des emplois pour avoir dit des vérités insensées qui étaient bien il y a 12 mois. «Toutes les vies comptent» met fin aux carrières, dans les médias et les universités. Il ne suffit pas non plus de dire calme, seule une approbation vocale fera l'affaire: «Le silence est la violence».
RépondreSupprimerTucker Carlson interviewe Donald J Trump Jnr à propos de son interdiction de Twitter
La censure ne fait jamais de mal qu'aux conservateurs.
- voir graphique sur site -
Google purge Breitbart et d'autres sites conservateurs à "Zéro"
Les dirigeants de Google nous ont dit qu'ils le feraient. Google est pratiquement une aile des démocrates. Après l'élection de Trump, le directeur général, le directeur financier, deux vice-présidents et les deux hommes qui ont fondé Google se sont réunis pour des groupes de câlins et de larmes, a déclaré que l'élection s'était mal passée. Le co-fondateur de Google, Sergey Brin, a été «profondément offensé» par l'élection de Trump et a demandé ce qu'ils pouvaient faire à ce sujet.
Ce qu'ils peuvent faire, c'est supprimer les articles critiquant les démocrates et écraser les résultats de recherche des sites conservateurs.
Allan Bokhari, Breitbart
"Le 4 avril 2016, Breitbart s'est classée dans les dix premières positions de recherche (c'est-à-dire sur la première page des résultats de recherche Google) pour 355 termes de recherche clés; mais maintenant, au 20 juillet 2020, Breitbart se classe parmi les dix premières positions de recherche pour un seul terme de recherche. Et, le 4 avril 2016, Breitbart s'est classé parmi les 100 premières positions de recherche pour 16 820 termes de recherche clés; mais maintenant, au 20 juillet 2020, Breitbart se classe parmi les 100 meilleures positions de recherche pour seulement 55 termes de recherche.
Google vient de tuer tout le trafic de recherche vers Breitbart pour Joe Biden et Joe Biden - Recherches associées
Après la mise à jour de la recherche principale de Google le 5 mai 2020 ou vers cette date, les impressions de recherche Google et le trafic de recherche vers Breitbart pour "Joe Biden" et d'autres termes de recherche liés à Biden sont tombés à zéro. Zéro. Le graphique suivant illustre clairement ce qui précède.
- voir graphique sur site -
Le 1er mai, Google recherche "Joe Biden" a généré environ 30 000 impressions (vues, utilisées comme mesure pour les annonceurs) pour les liens Breitbart. Après le 5 mai, les impressions et les clics sont tombés à zéro.
Breitbart News s'est entretenu avec un expert en SEO (Search Engine Optimization), un vétéran de l'industrie de 25 ans, dont le travail consiste à analyser les données de trafic à partir du propre portail de performance de site Web de Google, Google Search Console.
L'expert, qui a souhaité garder l'anonymat, a déclaré qu'il n'avait jamais rien vu de tel que ce graphique - et qu'il indique une manipulation hautement probable de la part de Google.
- voir liste sur site -
Carte Comment voter de Google
h / t David E.
Google Censure des sites d'actualités classés.
RépondreSupprimerLes monopoles prédateurs se vantent d'acheter des concurrents:
N'est-ce pas exactement ce que les règles anti-trust sont censées arrêter ?
Dans les moments les plus dommageables, les législateurs ont dévoilé les e-mails internes du fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, se vantant d'acheter des concurrents, affirmant qu'Instagram était une menace alors qu'il complotait pour l'acheter, et parlant d'une «saisie de terres» sur d'autres concurrents.
Le représentant démocrate Joe Neguse a déclaré sans ambages à Zuckerberg qu'il dirigeait un monopole sur le marché de la technologie en lisant les e-mails.
"Vous avez dit à l'un des ingénieurs principaux de Facebook en 2012 que vous pouviez, citant'' Il est probable que vous achetiez n'importe quelle start-up compétitive, mais il faudra un certain temps avant que nous puissions acheter Google. ''Vous rappelez-vous avoir écrit cela ? '', A demandé Neguse à Facebook co-fondateur.
La liberté d'expression est le seul moyen de résoudre les désaccords sans violence.
Nos enfants ne savent même pas ce qu'est la liberté d'expression.
http://joannenova.com.au/2020/07/censorship-is-weapon-1-trump-orders-online-tech-giants-to-stop/
SupprimerEffectivement lorsque l'on recherche quelque chose sur Google, les sites recherchés sont placés en 20 ème ou 30 ème place, mais il s'agit d'une entreprise libre qui fait ce qu'elle veut.
Depuis que j'ai ce blog (LE VERT BAVOIR) TOUS les commentaires envoyés par les lecteurs sont automatiquement détruits avant que j'en prennent connaissance, comme les amis qui voudraient être listés.
Des faux dieux pour des âmes perdues
RépondreSupprimerle 30 juillet 2020
L’environnementalisme, avec ses menaces de feu et de soufre, est la nouvelle religion. Mais où sont l’humilité, la compassion, la transcendance spirituelle ?
L’une des parties les plus intéressantes du nouveau livre de Michael Shellenberger, « Apocalypse Never : Why Environmental Alarmism Hurts Us All », est le dernier chapitre, intitulé « False Gods for Lost Souls ». Shellenberger observe que, selon la mère de Greta Thunberg, des pronostics climatiques effrayants étaient en partie responsables de la descente de sa fille dans une dépression durable à l’âge de 11 ans. Selon le père de Greta, l’activisme climatique l’a aidée à surmonter sa dépression. Cette histoire est poignante … On se demande combien de jeunes de sa génération ont connu des problèmes de santé mentale similaires. Il y a tellement de prédicateurs de rue sur notre place publique, promettant le feu et le soufre, incitant à la repentance …
La famille Thunberg aide à illustrer le point de vue de Shellenberger selon lequel :
Aujourd’hui, l’environnementalisme est la religion laïque dominante de l’élite éduquée de la classe moyenne supérieure dans la plupart des pays développés et dans de nombreux pays en développement. Il fournit une nouvelle histoire sur notre objectif collectif et individuel. Il désigne les bons et les méchants, les héros et les mauvais. Et il le fait dans le langage de la science, ce qui lui donne une légitimité.
Mais cette religion n’élève pas les esprits, ne nourrit pas les orphelins ou ne bénit pas les pauvres. Plutôt que de réconforter les personnes âgées, cela les condamne à la misère par temps froid. Vue dans son ensemble, cette religion nuit plutôt qu’elle ne guérit.
Voici quelques citations supplémentaires de ce chapitre:
… La négativité a triomphé de la positivité. Au lieu de l’amour, du pardon, de la gentillesse et du royaume des cieux, l’environnementalisme apocalyptique d’aujourd’hui offre la peur, la colère et des perspectives étroites d’éviter l’extinction.
… Les histoires qu’on nous raconte ne sont pas prises à la légère. L’image promue par les écologistes apocalyptiques est inexacte et déshumanisante. Les humains ne détruisent pas la nature sans réfléchir.
… Les émissions sont un sous-produit de la consommation d’énergie, qui a été nécessaire pour que les gens puissent sortir eux-mêmes, leurs familles et leurs sociétés de la pauvreté et atteindre la dignité humaine.
… La grande majorité des gens dans le monde veulent à la fois la prospérité et la nature, pas la nature sans prospérité.
Le livre dont il est question dans le billet de Donna Laframboise traduit ci-dessus est maintenant un best-seller aux USA ! Le changement climatique est réel mais ce n’est pas la fin du monde. Ce n’est même pas notre problème environnemental le plus grave. Michael Shellenberger se bat pour une planète plus verte depuis des décennies. Il a aidé à sauver les derniers séquoias non protégés du monde. Il a co-créé le prédécesseur du Green New Deal d’aujourd’hui. Et il a dirigé avec succès l’effort des climatologues et des militants pour maintenir les centrales nucléaires en fonctionnement, évitant ainsi un pic d’émissions. Mais en 2019, comme certains affirmaient que « des milliards de personnes allaient mourir », contribuant à une anxiété croissante, y compris chez les adolescents, Shellenberger a décidé qu’en tant qu’activiste environnemental de longue date, grand expert en énergie et père d’une fille adolescente, il devait parler pour séparer la science de la fiction. Malgré des décennies d’attention des médias, beaucoup restent ignorants des faits de base. Les émissions de carbone ont atteint un sommet et sont en baisse dans la plupart des pays développés depuis plus d’une décennie. Les décès dus à des conditions météorologiques extrêmes, même dans les pays pauvres, ont diminué de 80 % au cours des quatre dernières décennies. Et le risque de réchauffement de la Terre à des températures très élevées est de plus en plus improbable grâce au ralentissement de la croissance démographique et à l’abondance du gaz naturel. Curieusement, les personnes les plus alarmistes sur ces problèmes ont également tendance à s’opposer aux solutions évidentes. Qu’est-ce qui se cache vraiment derrière la montée de l’environnementalisme apocalyptique ? Il y a de puissants intérêts financiers. Il y a des désirs de statut et de pouvoir. Mais surtout, il existe un désir de transcendance chez les personnes supposées laïques. Cette impulsion spirituelle peut être naturelle et saine. Mais en prêchant la peur sans amour et la culpabilité sans rédemption, la nouvelle religion ne parvient pas à satisfaire nos besoins psychologiques et existentiels les plus profonds. (fiche explicative d’Amazon)
RépondreSupprimerEt pour les curieux : https://fr.wikipedia.org/wiki/Michael_Shellenberger
Un prochain billet de Michael Shellenberger lui-même traduit par mes soins.
Source : blog de Donna Laframboise, journaliste canadienne.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/07/30/des-faux-dieux-pour-des-ames-perdues/
Notons que les idiots parlent de 'changement climatique' au lieu de parler de saisons !
SupprimerL'été est plus chaud que l'hiver ! Çà alors !!
A midi il fait plus chaud qu'au petit matin ! Çà alors !!
Mais rassurez-vous ceux qui parlent du 'Global Warming' ne sont pas des scientifiques ! Ouf !
Notez que dès lors (il y a qq années) j'ai publié que la mer ne pouvait monter, les faux scientifiques se sont éclipsés des commentaires sur tout l'Internet où sont reproduits/republiés mes blogs !
Lorsque je parle que SEUL le magma apporte de la chaleur au monde 24/24 h et 365 j/an, personne ne peut le contester ! Çà alors ! (la présence du soleil n'est que momentanée et est responsable des saisons).
Lorsque je dis que TOUS les gaz se recyclent (depuis toujours) et que le magma émet des milliards de fois plus de gaz que l'ensemble des humains, animaux et industries réunis, personne ne peut contester ! Çà alors !