- ENTREE de SECOURS -



samedi 18 juillet 2020

Donald Trump ne recommande pas à ses concitoyens de porter des masques, voici pourquoi

11:51 18.07.2020


Le Président américain a déclaré à Fox News qu’il n’irait pas jusqu’à recommander à ses concitoyens de porter des masques à l’échelle nationale. Selon lui, cette mesure n’aiderait pas à combattre le virus.

Donald Trump a déclaré le 18 juillet dans une interview accordée à Fox News qu’il n’avait pas l’intention de recommander à tous les Américains de porter des masques.

NEW: "I want people to have a certain freedom." 
President Trump says he would not issue a national mandate requiring masks to be worn at all times. #FoxNewsSunday pic.twitter.com/kIvOCTUwyC

— FoxNewsSunday (@FoxNewsSunday) July 17, 2020
«Non, je veux que les gens aient une certaine liberté, a-t-il dit. Je n'y crois pas, non. Je ne suis pas d'accord avec la déclaration selon laquelle si tout le monde portait des masques, tout disparaîtrait».

«Comme vous le savez, les masques causent aussi des problèmes. Pourtant, je crois aux masques. Je pense que les masques sont une bonne chose», a ajouté le Président.

Auparavant, le chef de l’État américain était apparu le 11 juillet portant pour la première fois un masque de protection en public, lors d'une visite à l'hôpital militaire Walter Reed près de Washington. Selon le comptage effectué ce 18 juillet par l'université Johns Hopkins, les États-Unis sont de loin le pays le plus lourdement touché par la pandémie avec plus de 139.260 morts et plus de 3,6 millions de cas de contamination.

30 commentaires:

  1. (...) porter des masques à l’échelle nationale. Selon lui, cette mesure n’aiderait pas à combattre le virus. (...)

    Même s'il s'agit de masques N95 (Fournitures IMB 25 millions/an)- (équivalent des FFP2 fournis en Europe par la Chine), ces masques antivirus ne suffisent pas, ils doivent être complémentés par le port de lunettes fermées (piscines).

    Les autres masques (FFP1 bleus dits 'masques médicaux' ou masques 'faits-maison' !) NE SERVENT A RIEN car ce ne sont que des anti-poussières qui n'empêchent pas les virus inspirés (à 100 %) d'être expirés à 100 % ! Car, cette FAUSSE BARRIÈRE au maillage trop large ne stoppe ni les virus, ni les humidités invisibles (appelées 'postillons) expirées qui s'évaporent IMMÉDIATEMENT dans l'air.

    Un virus c'est 1 micron (µ) soit 1 millième de millimètre, 1 millionième de centimètre et 1 milliardième de mètre.

    Dimensions vues au microscope électronique:
    Poussière:
    [.................................................................]
    Maillage de FFP1:
    [........................................]
    Virus:
    [.] !

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  2. Cette catégorie de personnes ne peut être vaccinée contre le Covid-19


    14:04 18.07.2020


    Le directeur du centre de recherches épidémiologiques et microbiologiques Gamaleya a expliqué à Sputnik que la principale contre-indication lors de la vaccination était la présence de maladies chroniques graves du système immunitaire.

    Le futur vaccin contre le Covid-19 conviendra à tous, sauf aux personnes atteintes de maladies chroniques graves du système immunitaire, a déclaré à Sputnik Aleksandre Guinzbourg, directeur du centre de recherches épidémiologiques et microbiologiques Gamaleya.

    Le chercheur a précisé que tout vaccin peut provoquer des complications, et que par conséquent les personnes atteintes de maladies chroniques doivent consulter un immunologiste.

    En outre, M.Guinzbourg a exclu la concurrence entre les fabricants de vaccins de différents pays. Selon lui, il y en aura plusieurs à peu près du même degré d’efficacité sur le marché mondial car aucune entreprise ne sera en mesure de fournir le volume nécessaire.

    https://fr.sputniknews.com/sante/202007181044122966-cette-categorie-de-personnes-ne-peut-etre-vaccinee-contre-le-covid-19/

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  3. Des chercheurs espagnols dévoilent un symptôme précoce du Covid-19


    15:13 18.07.2020


    Face à la propagation de la pandémie de Covid-19, les scientifiques du monde entier ne cessent de se pencher sur les différents aspects du virus. Ainsi, des Espagnols ont trouvé un nouveau symptôme: l’énanthème qui se manifeste par des taches rouges sur les muqueuses dans la bouche environ deux jours avant l’apparition des autres signes.

    Des chercheurs de l'Hôpital Universitaire Ramón y Cajal de Madrid estiment que l’énanthème, soit des taches rouges sur les muqueuses, représente un nouveau symptôme du Covid-19. Leurs conclusions ont été publiées mercredi 15 juillet dans la revue JAMA Dermatology.

    Ils ont découvert ce symptôme chez six patients (29%) participant à une étude qui réunissait au total 21 personnes âgées de 40 à 69 ans. Les taches dans la bouche est apparue chez deux patients environ deux jours avant les autres symptômes du Covid-19.

    Les auteurs notent cependant que l’étude est limitée de par le petit nombre de cas et de participants.

    D’autres symptômes déjà détectés

    Des scientifiques de l’University College de Londres ont quant à eux publié le 8 juillet une nouvelle étude dans laquelle ils avertissent d’une vague potentielle de lésions cérébrales liées au coronavirus. Selon eux, des éléments montrent désormais que le virus peut entraîner de graves complications neurologiques, telles qu’une inflammation, une psychose ou un délire.

    Ces recherches décrivent 43 cas de patients atteints du coronavirus qui ont connu un dysfonctionnement cérébral temporaire, des accidents vasculaires cérébraux, des lésions nerveuses ou d'autres atteintes cérébrales graves.

    https://fr.sputniknews.com/sante/202007181044123509-des-chercheurs-espagnols-devoilent-un-symptome-precoce-du-covid-19/

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    1. (...) Ces recherches décrivent 43 cas de patients atteints du coronavirus qui ont connu un dysfonctionnement cérébral temporaire, des accidents vasculaires cérébraux, des lésions nerveuses ou d'autres atteintes cérébrales graves. (...)

      Les mêmes effets aux porteurs de masques !

      Un masque QUEL QU'IL SOIT ne doit PAS être porté plus de 20 minutes. Un masque c'est 30 % d'oxygène en moins et refoulement du gaz carbonique expiré à l'intérieur du masque.

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  4. Un test sanguin détecte un résultat COVID-19 positif en 20 minutes


    17 JUILLET 2020
    par Monash University


    Une recherche mondiale réalisée par l'Université Monash en Australie a permis de détecter des cas positifs de COVID-19 en utilisant des échantillons de sang en environ 20 minutes et d'identifier si quelqu'un a contracté le virus.

    Dans une découverte qui pourrait faire progresser l'effort mondial pour limiter la propagation communautaire de COVID-19 grâce à un traçage des contacts robuste, les chercheurs ont pu identifier des cas récents de COVID-19 en utilisant 25 microlitres de plasma à partir d'échantillons de sang.

    L'équipe de recherche, dirigée par BioPRIA et le département de génie chimique de l'Université Monash, comprenant des chercheurs du centre d'excellence de l'ARC en bioNano science et technologie convergentes (CBNS), a développé un simple test d'agglutination - une analyse pour déterminer la présence et la quantité d'une substance dans sang - pour détecter la présence d'anticorps soulevés en réponse à l'infection par le SRAS-CoV-2.

    Les cas positifs de COVID-19 ont provoqué une agglutination ou un regroupement de globules rouges, facilement identifiables à l'œil nu. Les chercheurs ont pu récupérer des lectures positives ou négatives en environ 20 minutes.

    Alors que les tests actuels sur écouvillon / PCR sont utilisés pour identifier les personnes actuellement positives au COVID-19, le test d'agglutination peut déterminer si une personne a été récemment infectée une fois l'infection résolue - et pourrait potentiellement être utilisé pour détecter les anticorps soulevés en réponse à vaccination pour faciliter les essais cliniques.

    En utilisant une configuration de laboratoire simple, cette découverte a pu voir des praticiens du monde entier tester jusqu'à 200 échantillons de sang par heure. Dans certains hôpitaux dotés d'appareils de diagnostic de haute qualité, plus de 700 échantillons de sang pourraient être analysés chaque heure, soit environ 16 800 par jour.

    Les résultats de l'étude pourraient aider les pays à haut risque avec le dépistage de la population, l'identification des cas, la recherche des contacts, la confirmation de l'efficacité du vaccin lors des essais cliniques et la distribution du vaccin.

    Cette recherche inédite a été publiée aujourd'hui (vendredi 17 juillet 2020) dans la prestigieuse revue ACS Sensors.

    Un brevet pour l'innovation a été déposé et les chercheurs recherchent un soutien commercial et gouvernemental pour augmenter la production.

    Le Dr Simon Corrie, le professeur Gil Garnier et le professeur Mark Banaszak Holl (BioPRIA et génie chimique, Université Monash) et le professeur associé Timothy Scott (BioPRIA, génie chimique et science et génie des matériaux, Université Monash) ont dirigé l'étude, avec un financement initial fourni par le Département de génie chimique et le Monash Center to Impact Anti-microbial Resistance.

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  5. Le Dr Corrie, maître de conférences en génie chimique à l'Université Monash et chercheur en chef au CBNS, a déclaré que les résultats étaient passionnants pour les gouvernements et les équipes de soins de santé du monde entier dans la course pour arrêter la propagation du COVID-19. Il a dit que cette pratique a le potentiel de devenir immédiatement plus élevée pour les tests sérologiques.

    "La détection des anticorps dans le plasma ou le sérum du patient consiste à pipeter un mélange de réactifs globules rouges (RRBC) et de sérum / plasma contenant des anticorps sur une carte gel contenant un milieu de séparation, à incuber la carte pendant 5 à 15 minutes et à utiliser une centrifugeuse pour séparer les cellules agglutinées des cellules libres », a déclaré le Dr Corrie.

    "Ce test simple, basé sur une infrastructure de typage sanguin couramment utilisée et déjà fabriqué à grande échelle, peut être déployé rapidement à travers l'Australie et au-delà. Ce test peut être utilisé dans tout laboratoire disposant d'une infrastructure de typage sanguin, ce qui est extrêmement courant dans le monde. "

    Les chercheurs ont collaboré avec des cliniciens de Monash Health pour collecter des échantillons de sang de personnes récemment infectées par COVID-19, ainsi que des échantillons d'individus en bonne santé provenant avant l'émergence de la pandémie.

    Des tests sur 10 échantillons de sang cliniques ont impliqué l'incubation de plasma ou de sérum de patients avec des globules rouges préalablement recouverts de courts peptides représentant des morceaux du virus du SRAS-CoV-2.

    Si l'échantillon de patient contenait des anticorps contre le SRAS-CoV-2, ces anticorps se lieraient aux peptides et entraîneraient l'agrégation des globules rouges. Les chercheurs ont ensuite utilisé des cartes de gel pour séparer les cellules agrégées des cellules libres, afin de voir une ligne de cellules agrégées indiquant une réponse positive. Dans les échantillons négatifs, aucun agrégat dans les cartes de gel n'a été observé.

    "Nous avons constaté qu'en produisant des bioconjugués d'anti-D-IgG et de peptides à partir de la protéine de pointe SARS-CoV-2 et en les immobilisant dans des RRBC, une agglutination sélective sur des cartes de gel a été observée dans le plasma prélevé sur des patients récemment infectés par le SRAS-CoV- 2 par rapport au plasma sain et aux contrôles négatifs », a déclaré le professeur Gil Garnier, directeur de BioPRIA.

    «Surtout, les réactions de contrôle négatif impliquant soit des échantillons SARS-CoV-2-négatifs, soit des échantillons RRBC et SARS-CoV-2-positifs sans bioconjugués, n'ont révélé aucun comportement d'agglutination.

    Le professeur Banaszak Holl, directeur du génie chimique à l'Université Monash, a salué le travail de talentueux doctorants. étudiants en BioPRIA et en génie chimique qui ont interrompu leurs projets pour aider à livrer ce test COVID-19 révolutionnaire.

    «Cette approche simple, rapide et facilement évolutive a une application immédiate dans les tests sérologiques du SRAS-CoV-2 et constitue une plate-forme utile pour le développement de tests au-delà de la pandémie de COVID-19. Nous sommes redevables du travail de nos doctorants. en donnant vie à cela ", a déclaré le professeur Banaszak Holl.

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  6. «Un financement est nécessaire pour effectuer une évaluation clinique complète sur de nombreux échantillons et sites. Avec un soutien commercial, nous pouvons commencer à fabriquer et à déployer ce test pour les communautés qui en ont besoin. Cela peut prendre aussi peu que six mois selon le support nous recevons."

    Le COVID-19 a provoqué une pandémie virale mondiale, contribuant à près de 600 000 décès et à plus de 13,8 millions de cas signalés au niveau international. L'Australie a signalé 10810 cas et 113 décès au 17 juillet 2020.

    https://medicalxpress.com/news/2020-07-blood-positive-covid-result-minutes.html

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    1. Il existe plus de 3000 'coronavirus' différents ! D'où la nécessité de 3000 vaccins par personne ?
      Or, pour rechercher pour chacun qui a lequel (et l'immuniser) multiplié par 7 milliards d'habitants...

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  7. Bill Gates et le programme de dépopulation. Robert F.Kennedy Junior demande une enquête


    Par Peter Koenig
    Recherche mondiale
    18 juillet 2020


    Depuis plus de vingt ans, Bill Gates et sa Fondation, la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF), vaccinent des millions d'enfants dans les zones reculées des pays pauvres, principalement l'Afrique et l'Asie. La plupart de leur programme de vaccination a eu des résultats désastreux, provoquant la maladie même (polio, par exemple en Inde) et stérilisant les jeunes femmes (Kenya, avec des vaccins antitétaniques modifiés). Beaucoup d'enfants sont morts. Beaucoup de programmes ont été exécutés avec le soutien de l'OMS et - oui - de l'Agence des Nations Unies chargée de la protection des enfants, l'UNICEF.

    La plupart de ces campagnes de vaccination ont été mises en œuvre sans le consentement éclairé des enfants, des parents, des tuteurs ou des enseignants, ni avec le consentement éclairé ou avec le faux consentement des autorités gouvernementales respectives. Au lendemain, la Fondation Gates a été poursuivie par des gouvernements du monde entier, du Kenya, de l'Inde, des Philippines - et plus encore.

    Bill Gates a une image étrange de lui-même. Il se considère comme le Messie qui sauve le monde grâce à la vaccination - et à la réduction de la population.

    À peu près au moment où le rapport Rockefeller 2010 a été publié, avec son scénario encore plus tristement célèbre «Lock Step», précisément le scénario dont nous vivons actuellement le début, Bill Gates a parlé lors d'une émission TED en Californie, «Innover to Zero »Sur l'utilisation de l'énergie.

    Il a utilisé cette présentation TED pour promouvoir ses programmes de vaccination, en disant littéralement: «Si nous faisons un très bon travail de vaccination des enfants, nous pouvons réduire la population mondiale de 10 à 15%».

    - voir clip sur site -

    Cela ressemble beaucoup à de l'eugénisme.

    La vidéo, les premiers 6’45 »,« La vérité sur Bill Gates et son programme de vaccination désastreux », vous en dira plus.

    Lire aussi Agenda mondial des vaccins de Gates: un gagnant-gagnant pour l'industrie pharmaceutique et la vaccination obligatoire par Robert F Kennedy Jr

    Robert F. Kennedy Jr, fervent défenseur des droits des enfants et militant anti-vaccination, a lancé une pétition envoyée à la Maison Blanche, appelant à des «enquêtes sur la« Fondation Bill et Melinda Gates »pour faute médicale et crimes contre l’humanité»

    Coronavirus - Aucun vaccin n'est nécessaire pour le guérir

    «Au premier plan, Bill Gates, qui a déclaré publiquement son intérêt à« réduire la croissance de la population »de 10 à 15% par la vaccination. Gates, l'UNICEF et l'OMS ont déjà été accusés de manière crédible d'avoir intentionnellement stérilisé des enfants kényans en utilisant un antigène HCG caché dans les vaccins contre le tétanos ». (Extrait du texte de la pétition)

    Lien vers la pétition.

    Si vous souhaitez signer la pétition, cliquez ici

    (Au moment de la rédaction de cet article, la pétition comptait plus de 265 000. Il en faut 100 000 pour une réponse de la Maison Blanche)

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  8. Vidéo: Robert F. Kennedy Junior

    - voir clip sur site -

    Voir aussi une brève vidéo mettant en vedette l'auteur Bill Still (6 min) intitulée La vérité sur Bill Gates et ses programmes de vaccination désastreux dans le monde

    Robert. F. Kennedy expose le programme de vaccination de Bill Gates

    Maintenant, M. Gates et ses alliés, dont Big-Pharma, l'OMS, l'UNICEF, le Dr Anthony Fauci, directeur du NIAID / NIH, un proche allié de M. Gates - et bien sûr, Agenda ID2020, proposent de (forcer) vacciner 7 milliards de personnes dans le monde, avec leur concoction d'un vaccin anti-coronavirus (jusqu'à présent) non testé. Il s'agit d'une aubaine de plusieurs milliards de dollars pour Big Pharma et pour tous ceux qui soutiennent le vaccin. Personne ne saura vraiment ce que contiendra le cocktail de vaccins. Ils ont l'intention de commencer par le Sud global (pays en développement) puis de se déplacer progressivement vers le nord (pays développés).

    Attention, il n'est pas nécessaire de recourir à un vaccin pour guérir le virus corona. Il existe de nombreux remèdes:

    Le professeur français Didier Raoult, qui est l'un des 5 premiers scientifiques mondiaux sur les maladies transmissibles, a suggéré l'utilisation de l'hydroxychloroquine (chloroquine ou plaquenil), un médicament bien connu, simple et peu coûteux, également utilisé pour lutter contre le paludisme, et cela a montré efficacité avec les coronavirus précédents tels que le SRAS. À la mi-février 2020, des essais cliniques dans son institut et en Chine ont déjà confirmé que le médicament pouvait réduire la charge virale et apporter une amélioration spectaculaire. Les scientifiques chinois ont publié leurs premiers essais sur plus de 100 patients et ont annoncé que la Commission nationale chinoise de la santé recommanderait la chloroquine dans ses nouvelles directives pour traiter Covid-19. (Peter Koenig, 1er avril 2020)

    Soyez conscient, éveillé, alerte et averti.

    Peter Koenig is an economist and geopolitical analyst. He is also a water resources and environmental specialist. He worked for over 30 years with the World Bank and the World Health Organization around the world in the fields of environment and water. He lectures at universities in the US, Europe and South America. He writes regularly for Global Research; ICH; RT; Sputnik; PressTV; The 21st Century; Greanville Post; Defend Democracy Press, TeleSUR; The Saker Blog, the New Eastern Outlook (NEO); and other internet sites. He is the author of Implosion – An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed – fiction based on facts and on 30 years of World Bank experience around the globe. He is also a co-author of The World Order and Revolution! – Essays from the Resistance. Peter Koenig is a Research Associate of the Centre for Research on Globalization.

    https://www.lewrockwell.com/2020/07/no_author/bill-gates-and-the-depopulation-agenda-robert-f-kennedy-junior-calls-for-an-investigation-2/

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  9. Une bactérie «mangeuse de métal» découverte accidentellement par des chercheurs américains


    13:06 18.07.2020


    Des chercheurs du California Institute of Technology ont découvert par accident, en réalisant une expérience, des bactéries capables de consommer le manganèse et de l’utiliser comme une source de nutrition.

    Des microbiologistes du California Institute of Technology ont trouvé des bactéries d’un genre nouveau qui sont capables de consommer du manganèse. Une étude publiée le 15 juillet dans la revue Nature en révèle plus.

    L’existence de ces bactéries était théorisée depuis plus d’un siècle.

    Comme le précise Science Daily, le principal auteur de l’étude, Jared Leadbetter, réalisait une expérience sur du manganèse, un élément chimique proche du fer. Il a expliqué avoir laissé un bocal couvert de cette matière tremper dans de l'eau sur son bureau pendant quelques mois, alors qu'il était parti travailler en dehors de son campus. À son retour, le bocal avait noirci.

    «J'ai commencé à me demander si des microbes longtemps recherchés pouvaient être responsables, donc nous avons réalisé des tests pour nous en assurer», a-t-il expliqué.

    Une découverte fortuite

    Après les analyses, il s’est avéré que la substance sombre était en réalité du manganèse oxydé généré par des bactéries qui provenaient de l’eau du robinet. Autrement dit, ces bactéries avaient consommé le manganèse, pour finalement en rejeter une forme oxydée.

    D’après Science Daily, les expériences ont montré qu'il s'agissait de la première bactérie à vivre directement de métal. Elle se trouverait dans les eaux souterraines.

    «Ce sont les premières bactéries trouvées à utiliser du manganèse comme source de carburant», indique M.Leadbetter.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202007181044122777-une-bacterie-mangeuse-de-metal-decouverte-par-accident-par-des-chercheurs-americains/

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    1. Le titre est un peu lourd !!

      (...) L’existence de ces bactéries était théorisée depuis plus d’un siècle. (...)

      TOUTES les bactéries absorbent des métaux comme le font les humains, les plantes ou les animaux.
      L'on absorbe tous du fer, du manganèse et des dizaines d'autres métaux (contenus dans les végétaux et la viande).
      Ils existe aussi des bactéries qui se nourrissent de plastiques, de pétrole, etc.

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  10. Un nouvel aperçu de l'origine de l'eau sur la terre


    17 JUILLET 2020
    par l'Université d'Hokkaido


    Les scientifiques ont découvert que la matière organique interstellaire pouvait produire une quantité abondante d'eau par chauffage, ce qui suggère que la matière organique pourrait être la source de l'eau terrestre.

    Il reste un certain nombre de mystères sur notre planète, y compris l'origine insaisissable de l'eau sur la terre. Des études actives ont suggéré que l'eau terrestre avait été fournie par des comètes glacées ou des météorites contenant des silicates hydratés provenant de l'extérieur de la «ligne de neige» - la limite au-delà de laquelle la glace peut se condenser en raison des basses températures. Des études plus récentes, cependant, ont fourni des observations opposées à la théorie de l'origine cométaire, mais ne parviennent toujours pas à suggérer des substitutions plausibles pour la source d'eau terrestre. «Jusqu'à présent, beaucoup moins d'attention a été accordée à la matière organique, par rapport aux glaces et aux silicates, même s'il y a une abondance à l'intérieur de la ligne de neige», explique le scientifique planétaire Akira Kouchi de l'Université d'Hokkaido.

    Dans la présente étude publiée dans Scientific Reports, un groupe de scientifiques dirigé par Akira Kouchi démontre que le chauffage de la matière organique interstellaire à haute température pourrait produire de l'eau et du pétrole en abondance. Cela suggère que de l'eau pourrait être produite à l'intérieur de la ligne de neige, sans aucun apport de comètes ou de météorites provenant de l'extérieur de la ligne de neige.

    Un nouvel aperçu de l'origine de l'eau sur la terre

    Dans un premier temps, les chercheurs ont fabriqué un analogue de la matière organique dans les nuages moléculaires interstellaires à l'aide de réactifs chimiques. Pour fabriquer l'analogue, ils se sont référés à des données analytiques de substances organiques interstellaires produites en irradiant des UV sur un mélange contenant H2O, CO et NH3, qui imitaient son processus de synthèse naturel. Ensuite, ils ont progressivement chauffé l'analogue de matière organique de 24 à 400 ° C sous une pression dans une cellule à enclume de diamant. L'échantillon était uniforme jusqu'à 100 , mais a été séparé en deux phases à 200 . À environ 350 , la formation de gouttelettes d'eau est devenue évidente et la taille des gouttelettes a augmenté à mesure que la température augmentait. À 400 ?, en plus des gouttelettes d'eau, de l'huile noire était produite.

    Le groupe a mené des expériences similaires avec de plus grandes quantités de matière organique, qui ont également produit de l'eau et de l'huile. Leur analyse des spectres d'absorption a révélé que le composant principal du produit aqueux était de l'eau pure. De plus, l'analyse chimique du pétrole produit a montré des caractéristiques similaires à celles du pétrole brut typique trouvé sous la terre.

    "Nos résultats montrent que la matière organique interstellaire à l'intérieur de la ligne de neige est une source potentielle d'eau sur la terre. De plus, la formation de pétrole abiotique que nous avons observée suggère des sources de pétrole plus étendues pour la Terre ancienne qu'on ne le pensait auparavant", explique Akira Kouchi. "Les analyses futures de la matière organique dans des échantillons de l'astéroïde Ryugu, que l'explorateur d'astéroïdes japonais Hayabusa2 rapportera plus tard cette année, devraient faire progresser notre compréhension de l'origine de l'eau terrestre."

    https://phys.org/news/2020-07-insight-earth.html

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    1. Le froid interstellaire transforme l'humidité en glace et, un jour, cette masse glacée (ni trop petite pour être absorbée ni trop grosse pour l'éteindre) a rencontré une boule ferrique incandescente. Leur rencontre s'appellera la Terre.

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  11. La découverte de spermatozoïdes révèle un indice de "l'immortalité'' génétique


    17 JUILLET 2020
    par l'Université d'Edimbourg


    De nouvelles connaissances sur un processus insaisissable qui protège les spermatozoïdes en développement contre les dommages causés par les embryons en croissance, jettent la lumière sur la manière dont l'information génétique se transmet, sans interruption, à travers les générations.

    L'étude a identifié une protéine, connue sous le nom de SPOCD1, qui joue un rôle clé dans la protection des précurseurs précoces du sperme, appelés cellules germinales, contre les dommages causés par un embryon en développement.

    Au cours de leur développement, les cellules germinales subissent un processus de reprogrammation qui les rend vulnérables aux gènes voyous, appelés gènes sauteurs, qui peuvent endommager leur ADN et conduire à l'infertilité.

    «La reprogrammation est essentielle pour le développement correct des cellules germinales dans les embryons, mais les laisse temporairement vulnérables à un sous-ensemble de leurs propres gènes, appelés gènes sauteurs, qui menacent le chaos génétique, explique l'auteur principal de l'étude, le professeur Dónal O'Carroll de l'Université d'Édimbourg.

    Éviter de tels dommages permet aux cellules germinales de devenir le pool de cellules auto-renouvelables qui produisent du sperme sain tout au long de la vie adulte.

    Les cellules germinales sont le lien vital entre les générations, mais elles ont besoin de stratégies uniques pour protéger les informations génétiques qu'elles portent, afin qu'elles puissent être transmises avec succès des parents à leur progéniture.

    L'équipe, dirigée par des chercheurs de l'Université d'Édimbourg, a étudié le développement de cellules germinales dans des embryons de souris pour comprendre la voie biologique qui les protège des gènes sautants.

    L'étude est la première à révéler le rôle de la protéine SPOCD1, qui aide à recruter des étiquettes chimiques protectrices, appelées méthylations d'ADN, pour désactiver les gènes sauteurs.

    Les scientifiques se demandent depuis longtemps comment les cellules germinales échappent aux dommages pendant le processus de reprogrammation, car il essuie temporairement leur ardoise génétique des étiquettes de protection existantes.

    "L'identification de SPOCD1 ouvre enfin les portes à une enquête plus approfondie qui donnera une compréhension plus élaborée de ce processus insaisissable et de la fertilité masculine." dit O'Carroll.

    Des tests chez des souris mâles ont révélé que la perte de cette protéine conduit à l'infertilité parce que le processus de méthylation de l'ADN ne se déroule pas correctement, ce qui permet aux gènes sautants d'endommager l'ADN des spermatozoïdes en développement.

    Les gènes sautants constituent plus de la moitié de notre ADN et se déplacent dans le génome en contrôlant la façon dont nos gènes sont utilisés. Mais leur activité doit être soigneusement réglementée pour éviter qu'ils ne causent des dommages.

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  12. L'équipe a découvert que la ligne de défense secrète des premiers spermatozoïdes est activée lorsque SPOCD1 se lie à une autre protéine, connue sous le nom de MIWI2, qui est déjà connue pour avoir un rôle dans la neutralisation des gènes sauteurs.

    Des études antérieures ont révélé que la protéine MIWI2 est liée à de petites molécules, appelées piRNA, qui jouent un rôle clé dans la désactivation des gènes sauteurs par méthylation de l'ADN.

    "Nos résultats donnent les premières informations mécanistes sur un processus fondamental pour le développement des spermatozoïdes et leur intégrité génétique." dit O'Carroll.

    Les résultats expliquent non seulement la partie manquante du puzzle qui permet au développement de spermatozoïdes d'échapper à une mort précoce, mais pourraient également donner un aperçu de certaines formes d'infertilité.

    L'étude, publiée dans Nature, a été financée par Wellcome et le programme Horizon 2020 de l'Union européenne. Il a également impliqué des chercheurs des universités de Cambridge, Paris et Berlin.

    https://phys.org/news/2020-07-sperm-discovery-reveals-clue-genetic.html

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    1. L'alimentation (végétale ou animale) contribue à faire partie et à développer les gênes humains.

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  13. Les hackers ont appris à mettre le feu aux smartphones à distance


    13:48 18.07.2020


    Des spécialistes chinois du laboratoire Tencent Security Xuanwu ont découvert une vulnérabilité permettant de mettre le feu à distance aux smartphones et ordinateurs portables via leur chargeur rapide. Selon leur rapport, plus de la moitié des appareils testés ont présenté cette faille nommée BadPower.

    Les hackers ont appris à mettre le feu à distance aux smartphones et aux ordinateurs portables à l’aide d’une faille dans les chargeurs rapides, indiquent les résultats de l’étude publiée le 16 juillet par le laboratoire Tencent Security Xuanwu.

    Cette conclusion a été tirée suite à une étude impliquant 35 chargeurs rapides sur les au moins 234 disponibles sur le marché. 18 d’entre eux présentaient cette faille nommée BadPower.

    Grâce à cette vulnérabilité, un hacker peut pirater le micrologiciel du chargeur rapide. En contrôlant la charge, il y envoie une puissance excessive, ce qui peut entraîner sa panne et l’inflammation de ses composants.

    Une proportion importante d’attaques à distance

    Les méthodes comprennent à la fois le contact physique et non physique, avec une proportion importante d'attaques pouvant être accomplies à distance (11 sur les 18 chargeurs défaillants).

    Contrairement aux problèmes de sécurité traditionnels, BadPower n'entraîne pas une violation de la confidentialité des données de l'utilisateur, mais cause des dommages matériels et même une menace pour la santé.

    Pour se protéger contre BadPower, les spécialistes du laboratoire recommandent de mettre régulièrement à jour les logiciels des appareils et, si possible, de ne pas utiliser les chargeurs d'autres personnes.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202007181044123213-les-hackers-ont-appris-a-mettre-le-feu-aux-smartphones-a-distance/

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  14. Port du masque : une hystérie collective ?

    Aujourd’hui, nous sommes face à une pression populaire extrêmement forte pour le port d’un masque, n’importe lequel. Et si on regardait la situation de façon rationnelle ?


    Par Christophe de Brouwer.
    11 JUILLET 2020


    Que l’on croie ou non dans les vertus d’un masque pour se protéger contre les virus et plus particulièrement le covid-19, n’empêche nullement d’avoir une réflexion sur son intérêt. Depuis le Lancet-gate, il devient difficile de faire confiance aux articles « scientifiques » de circonstance.

    Il y a cependant une littérature, peu nombreuse, portant sur l’efficacité du masque d’avant la crise du Lancet. Apparemment, dire que les masques aux normes (les autres ?) protègent peut-être ou peut-être pas, pose un évident problème d’acceptation.

    Pour nourrir cette réflexion, il suffit d’aller sur medline (la plus grande base de données scientifiques notamment pour le domaine de la santé) et de taper les mots clés suivant : mask/transmission/virus (ou influenza).

    Vous trouverez systématiquement à peu près ceci : « Il y a peu de données pour montrer que l’utilisation de masques simples ou de masques-respirateurs (en dur, avec éventuellement une cartouche type N95 ou FFP2) prévient l’infection à venir. De nouvelles études sur les infections naturelles en milieu contrôlé ou d’études dans des établissements de soins ou communautaires sont nécessaires pour mieux définir l’efficacité des masques faciaux et des masques-respirateurs dans la prévention de la transmission du virus influenza (grippe classique). »

    Par exemple cet article-ci, sous lequel on trouve d’autres articles de qualité disponibles d’avant la crise covid-19.

    L’OMS

    Jusque récemment, aucune étude réellement scientifique -il n’y en a pas beaucoup- n’a été concluante, dans un sens comme dans l’autre, quant au bénéfice du port d’un masque (de qualité, je ne parle pas des autres). Bref, on ne savait toujours pas. C’est pourquoi (et c’est vraiment pourquoi) l’OMS était très prudente dans ses conseils :

    « Quand utiliser un masque ? Si vous êtes en bonne santé, vous ne devez utiliser un masque que si vous vous occupez d’une personne présumée infectée par le 2019 nCoV. Portez un masque si vous toussez ou éternuez. Le masque n’est efficace que s’il est associé à un lavage des mains fréquent avec une solution hydroalcoolique ou à l’eau et au savon. Si vous portez un masque, il est important que vous sachiez l’utiliser et l’éliminer correctement. »

    Le 10 juin, l’OMS vient de changer ses recommandations. Elle se base sur un travail qu’elle a financé, paru dans le Lancet (!), le 1er juin, concernant les milieux de soins et communautaires (c’est-à-dire avec des masques ad-hoc agréés).

    On ne comprend pas bien la méthodologie, puisque pour cette revue et méta-analyse, sur 20 013 études étudiées (?!) réalisés sur 6 continents, 19 834 sont exclues pour en retenir 179 en revue systématique et parmi celles-ci, 44 pour la méta-analyse.

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  15. Bien entendu nous ne sommes pas dans des études randomisées avec groupes témoins. Toute cette énorme masse de données aurait été traitée par « intelligence artificielle » (comme l’étude du Lancet-gate). Où allons-nous ?

    Aujourd’hui, nous sommes face à une pression populaire extrêmement forte pour le port d’un masque, n’importe lequel. Serions-nous face à une « Mass Sociogenic Ilness » ou « Hystérie collective », ou par les temps qui courent « Hystérie épidémique » ?

    Je m’explique :

    1. L’épidémie de Covid-19 tire manifestement à sa fin. Le risque de contamination de personne à personne tend vers 0 (RO<1), tant le virus perd progressivement sa capacité à se transmettre.

    Ceci est typique des grippes (terme générique) saisonnières et ce covid-19 apparaît d’évidence une épidémie saisonnière, même si la queue de l’épidémie peut durer et qu’il y ait ici et là des clusters.

    Donc en soi, le port de masque perd de son utilité (un masque de qualité, bien porté aurait peut-être été utile durant la montée en puissance de l’épidémie, mais aujourd’hui ?)

    2. Le risque de rebond de l’épidémie ne peut être évoqué raisonnablement. Aucune donnée épidémiologique, d’aucun pays, ne permet de relever cela, au contraire, toutes les courbes de mortalité liée à l’épidémie, en pays tempérés de l’hémisphère nord, vont dans le même sens : l’extinction de l’épidémie, même si cela semble prendre du temps comme aux USA.

    Bien sûr, des journaux mainstream crient au risque majeur et tutti quanti, qu’on l’observe en Chine, aux USA ou ailleurs (sur base de cas dépistés qui sont d’abord liés à la politique suivie plutôt qu’à la réalité épidémique, et non sur base de la mortalité qui est une donnée plus neutre mais sensible à la qualité du traitement), dans le but -c’est mon interprétation-, de maintenir les populations sous pression.

    Bref, nous ne sommes pas sortis des discours pour faire peur qui sont une des bases de l’hystérie épidémique. Ceci, me semble-t-il, arrange d’ailleurs bien certains experts, politiques ou même ces journalistes-lobbyistes de l’apocalypse, qui masquent ainsi leur faillite.

    3. Les masques eux-mêmes sont souvent inadéquats et dangereux. Soit parce que le matériau utilisé pour les fabriquer n’est pas adapté (par exemple un masque en tissu de fabrication artisanale), soit parce qu’il est mal porté, ce qui est très courant.

    Rappelons que le coronavirus est une nanoparticule et qu’il n’est pas arrêté par le maillage du masque, ni par l’impact, mais par agrégation. La nanoparticule se diffuse en effet par mouvement brownien, elle accompagne le flux d’air dans tous ses méandres sans en dévier, sinon pour s’agréger.

    La toxicologie des nanoparticules fut initialement étudiée pour le virus de la poliomyélite qui est un virus d’assez petite taille (30-50 nanomètres). On voulait comprendre pourquoi ce virus atteignait si facilement le système nerveux central.

    Cette toxicologie particulière fut redécouverte au début des années 2000 à l’occasion d’une « épidémie » de maladie de type Parkinson dont de jeunes soudeurs étaient atteints aux USA, à l’occasion de ces procès collectifs que l’on connaît là-bas et pas chez nous. En d’autres mots, comment le manganèse contenu dans les soudures atteignait le système nerveux central. Ayant travaillé pour une mine de manganèse en Afrique, j’ai vu des jeunes de 25 ans atteints de Parkinson avancé, c’est très impressionnant et très triste.

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  16. Tiens, connaissez-vous les premiers signes de la maladie Covid-19 ? Perte de goût et d’odorat… Pourquoi ?

    Parce que, probablement, la voie de pénétration efficace du toxique (virus) n’est pas uniquement les poumons, mais le bulbe olfactif qui se trouve au plafond de la fosse nasale. Cette voie de pénétration mène directement et rapidement là où il ne faut pas.

    Le coronavirus est un peu plus grand que celui de la polio, plus petit que celui de la variole. Dans ce cas-ci, de 100 à 150 nanomètres. Pour la pénétration dans les tissus, il a un comportement de type nanoparticule.

    C’est pourquoi le problème du masque est tout à fait particulier.

    D’ailleurs, en milieu de travail, pour se prémunir des virus, des masques de type FFP3 sont impératifs ; et non des FFP2 (N95) dont on fait l’achat massif : mais, opportunément, les recommandations ont changé (CDC) durant cette épidémie pour en conseiller l’usage, et pourquoi pas.

    Il est possible que le port de masque de qualité, bien porté, puisse être utile. Cependant aucune étude scientifique (il n’y en a pas beaucoup) n’est concluante à ce sujet, sauf celle du Lancet du 1er juin dont je viens de faire l’« éloge » ci-dessus, dans un sens comme dans l’autre, lorsqu’il se montre capable d’arrêter les coronavirus qui sont des nanoparticules.

    Ceci n’est évidemment pas le cas des masques en tissu qui deviennent d’ailleurs dangereux s’ils ne sont pas nettoyés extrêmement fréquemment : ils deviennent des nids à nanoparticules. En effet, ces masques de tissu se chargent d’humidité avec la respiration et se réchauffent.

    Les postillons et autres gouttelettes se fondent dans l’humidité chaude, provoquant une tension de vapeur augmentée qui recueille forcément nombre de nanoparticules. Celles-ci suivront les mouvements d’inspiration et d’expiration, infectant le cas échéant le porteur du masque et son entourage.

    Bref ces masques peuvent devenir des nids à virus dangereux d’autant que celui-ci survit plusieurs jours sur ces masques humides.

    Quant aux masques chirurgicaux, ils sont capables de protéger partiellement, non pas celui qui le porte, mais le patient opéré. Ils arrêtent les nanoparticules à l’expiration dans une proportion d’environ 80 % et en laissent passer cependant environ 20 % : la première protection est la maîtrise des flux d’air dans une salle d’opération.

    Ils doivent être changés régulièrement, la norme serait que leur utilisation n’excède pas une heure ; bien sûr, des marges de sécurité sont appliquées à ces normes.

    Les masques en dur (masque-respirateur) avec capsule filtrante protègent l’individu qui le porte, surtout à l’inspiration. Cette protection n’est pas absolue. La capsule filtrante laisse passer entre 0,1 – 1 – 5 % des particules selon la qualité du masque : il existe une vraie différence entre un masque FFP2 et FFP3 : comme dit plus haut, c’est ce dernier qui est indiqué pour la protection professionnelle contre les virus ; soyons cependant de bon compte, le FFP2 (N95) arrête aussi des nanoparticules, mais un peu moins bien.

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  17. L’état de propreté est essentiel. Ici aussi, le portage ne devrait pas excéder une à deux heures, cependant, pour répondre à la crise, on accepte aujourd’hui des portages plus longs et leur réemploi après nettoyage (5 à 6 fois maximum). Donc, en tout état de cause, idéalement, cela ne se porte certainement pas en permanence, ni le même, jour après jour.

    Il faut comprendre que pour les nanoparticules, le pouvoir d’arrêt des masques n’est pas lié à la finesse du maillage mais à des phénomènes d’agrégation/agglutination de la nanoparticule sur le maillage, car si le maillage était trop serré, on ne pourrait plus respirer. Lorsqu’il y a saturation, les capacités de filtration sont compromises.

    Donc, résumons.

    Les capacités d’arrêt d’un masque demi-visage sont liées :

    1. À son ajustement sur le visage : les fuites diminuent fortement l’efficacité du masque et peuvent rendre inopérante la capacité d’arrêt de nanoparticules qui suivent « exactement » le flux de l’air. Il n’y a quasi pas d’inertie à la particule : trop petite et donc aucun effet d’impact comme on peut en trouver pour des micro-particules, les bactéries par exemple.

    2. À la quantité filtrée et donc à l’activité de la personne qui le porte, puisque le pouvoir d’arrêt n’est pas total : activité physique intense ou activité au repos ? Dans le premier cas, non seulement la saturation sera vite atteinte mais le nombre de nanoparticules ayant réussi à traverser sera important, dans l’autre cas c’est l’inverse.

    3. La taille de la nanoparticule et malheureusement, de ce point de vue, le range 100-200 nm est celui qui pénètre le mieux à travers les filtres. Pas de chance.

    4. La quantité des nanoparticules présentes. Comme un masque laisse passer une certaine quantité de nanoparticule (0,1 – 1 – 5 – 20 % ou plus, selon la qualité, l’état du masque, les fuites, etc.), cela implique d’avoir un environnement sain. L’hygiène des locaux est un élément majeur : le facteur de protection lié à la dilution des particules est essentiel ; par exemple, se trouver dans de grandes pièces à air recyclé peut être catastrophique.

    5. Le temps d’exposition aux particules infectieuses est, sur base des mêmes observations, également essentiel.

    6. Les capacités de défense de l’organisme jouent un rôle clé, que ce soit au niveau des défenses passives et actives de la paroi de l’appareil respiratoire, ou des défenses internes de l’organisme lorsqu’une particule infectante a réussi à passer notamment à travers le bulbe olfactif. Les fumeurs sont plus à risque de ce point de vue, et c’est un exemple.

    Bref, ne nous trompons pas : porter efficacement un masque n’est pas simple. De nombreux facteurs jouent un rôle dont la qualité intrinsèque du masque, la qualité du portage du masque, son renouvellement, etc.

    Il n’y a pas d’improvisation à ce sujet. La bonne volonté naïve et la non-professionnalisation peuvent être dangereuses. L’urgence de ce point de vue est au niveau du personnel soignant et communautaire.

    Au-delà de la polémique, je pense surtout qu’il est important que chacun se saisisse d’outils de réflexion et aille au-delà de la peur pour se forger sa propre opinion. Peu importe finalement qu’au sortir de cette réflexion, certains estiment bénéfique pour eux de porter un masque de tissu plus ou moins artisanal, d’autres non. Mais cela permettra au moins de se respecter les uns les autres.

    https://www.contrepoints.org/2020/07/11/375554-port-du-masque-une-hysterie-collective

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    1. (...) il existe une vraie différence entre un masque FFP2 et FFP3 : comme dit plus haut, c’est ce dernier qui est indiqué pour la protection professionnelle contre les virus ; soyons cependant de bon compte, le FFP2 (N95) arrête aussi des nanoparticules, mais un peu moins bien. (...)

      Pour sûr ! La FFP23 est un masque avec valve d'expiration et est réservé au cas d'émanation de gaz toxiques !

      Plus un masque est approprié à contrer les virus (µ), plus l'usager aura des peines à respirer. D'où le danger pour les personnes qui travaillent sans changer de masque... de la journée ou parfois x jours !!

      Si vous devez courir: ÔTEZ LE MASQUE ! Car vous risquer de mourir d'étouffement !

      De plus, un masque NE DOIT PAS ÊTRE JETÉ (en sac plastique fermé et ouvert aux déchetteries !) mais DOIT ÊTRE BRULÉ !

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  18. Réchauffement climatique : l’excuse ou le prétexte ?


    le 18 juillet 2020



    On trouve dans la presse « main-stream » toutes sortes d’affirmations mensongères imputées au réchauffement du climat qui n’est plus d’origine naturelle mais provoqué par l’activité humaine. Et cette affirmation mensongère donne lieu à toutes sortes d’interprétations excessives. Par exemple il semblerait que l’émergence du nouveau virus Sars-Cov-2 aussi appelé « la Covid » soit une directe conséquence du réchauffement du climat. On pouvait s’y attendre …

    Mais la confusion entre évènements météorologiques extrêmes et réchauffement du climat est également devenue un fait quotidien abondamment rapporté par cette presse friande de sensationnel et s’il s’agit du climat c’est le jackpot des « like » et du box-office. Plus il y a de « like » plus l’information est confirmée au niveau de l’impact et ainsi cette information devient une réalité en dépit du fait qu’elle peut originellement être totalement mensongère. Si on prolonge le raisonnement au sujet du coronavirus alors on a récolté ce que l’on avait semé : puisque l’activité humaine provoque un réchauffement du climat et si ce virus a émergé en raison de ce réchauffement l’homme est donc la cause primaire de cette épidémie. Des esprits mal tournés pourraient déclarer haut et fort que cette grippe est une punition des dieux bien méritée.

    Pour bien manipuler l’opinion il existe une officine non officielle spécialisée dans l’explication thématique de tout phénomène météorologique extrême. Il s’agit du World Weather Attribution (WWA). Comme son nom l’indique cet organisme a pour finalité d’attribuer à tout événement météorologique une cause liée au réchauffement du climat et la « canicule sibérienne » de cette année 2020 est du pain béni pour promouvoir l’idée que tout est de la faute de l’activité humaine. Dans un précédent billet je citais l’interprétation à l’aide des observations dont on dispose qui peut être objectivement faite de ce phénomène météorologique qui chaque année a lieu entre le premier juin et le 15 juillet en Sibérie mais également à l’extrême nord de la péninsule scandinave, en Islande et dans le grand nord canadien.

    Pour le WWA il n’en est pas ainsi ! La canicule sibérienne de cette année n’aurait tout simplement pas été possible sans réchauffement du climat d’origine humaine. Dans un habillage pseudo-scientifique le WWA montre qu’il en est ainsi et qu’il s’agit d’un fait incontestable. Cette publication ( https://www.worldweatherattribution.org/wp-content/uploads/WWA-Prolonged-heat-Siberia-2020.pdf ) n’a pas été soumise à une revue par des pairs. Il s’agit d’un document interne à l’usage des décideurs écologistes. Encore une chance que le Président Vladimir Poutine n’ait pas été accusé d’être le promoteur des feux qui ont embrasé une partie négligeable du nord de la Sibérie en regard de la taille de cette région.

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  19. Bref, le WWA établit des liens entre les épisodes de sécheresse, les orages et les tornades, les feux de brousse, les inondations, sans oublier les vagues de froid, avec le réchauffement du climat d’origine humaine. Un président de la République française a même déclaré que les tremblements de terre étaient provoqués par le réchauffement du climat. Il faisait allusion au grand tsunami du 11 mars 2011 qui dévasta le Japon. Ces liens de cause à effet ne sont que des mensonges le plus souvent dénoncés par les scientifiques sérieux qui osent effectuer des travaux contredisant ces affirmations au péril de leur carrière universitaire. En effet, si on déclare être en contradiction avec la doxa du réchauffement d’origine anthropique on peut à la limite recevoir des menaces de mort, être traité de fasciste ou d’exécrable réactionnaire. C’est dire l’enjeu financier qui se dissimule derrière cette mise en scène mondiale du réchauffement. De même que pour le coronavirus il faut entretenir encore et toujours la peur. L’échec de l’accord de Paris sur le climat a été masqué par la pandémie coronavirale et cette pandémie – attribuée par des esprits mal tournés au réchauffement du climat – a en définitive ravivé la lutte contre le changement du climat.

    Le réchauffement du climat (et la pandémie à coronavirus) est une excuse pour asservir les peuples et un prétexte pour mettre en place encore plus de taxes punitives, encore plus de restrictions des libertés, deux dispositions conduisant dans un proche avenir à une gouvernance mondiale …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/07/18/rechauffement-climatique-lexcuse-ou-le-pretexte/

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    1. Tous les gaz qui composent notre atmosphère proviennent continuellement du centre de la Terre là où siège le magma. Ils 's'évaporent' et se dispersent dans l'espace depuis toujours (faute de quoi notre atmosphère gazeux aurait 10 000 km d'épaisseur ! Hahahaha !) et, les plus lourds, se recyclent perpétuellement (faute de quoi la vie ne serait jamais apparue sur notre planète !).

      L'émission magmatique représente environ 99,99 % des gaz de notre atmosphère, et donc, même s'il n'y avait ni humain, ni animal, sur Terre et dans ses eaux, notre atmosphère serait EXACTEMENT le même qu'aujourd'hui !

      Le magma produit également la quasi-totalité de l'oxygène (sans quoi les mers & océans n'auraient pas de poissons ou de coquillages).

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  20. « Comprendre l’affaire Huawei, l’Internet des objets et… la souveraineté »


    Charles Sannat
    Insolentiae
    vendredi 17 juillet 2020


    Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,

    Je suis heureux de vous retrouver après cette interruption liée à un weekend prolongé chez des amis Bretons! La Bretagne est une région fort belle, me voici de retour. Ou en étions-nous de la crise et des ses multiples dimensions?

    Peu nombreux sont ceux dans le grand public qui comprennent ce que signifie l’affaire Huawei ou sa portée aussi bien économique que géopolitique !

    Il faut dire, que pour la grande majorité, les gens pensent que Huawei pourrait ne pas être gentil car ils (les Chinois) pourraient utiliser les téléphones Huawei pour écouter ceux qui les utilisent et faire de l’espionnage.

    Voilà une bonne excuse pour amuser la galerie, mais c’est de l’amusement.

    En ce bas monde, tout le monde écoute tout le monde, on se branche sur les câbles sous-marins pour attraper tout le flux de données, les Russes (et pas qu’eux) disposent de sous-marin à pinces à câbles, d’autres captent tout le trafic ou presque et les Américains sont les maîtres en la matière avec des grandes oreilles partout, quant aux Français n’imaginez pas que nous soyons tout blancs, nous avons quelques sous-marins, quelques avions ou encore quelques navires espions, et je vous passe les satellites. De vous à moi, tout le monde écoute tout le monde et l’on demande même aux services ennemis mais amis, d’écouter ceux que l’on ne peut pas légalement écouter chez nous. Vous noterez d’ailleurs que l’on peut faire la même chose avec la torture, heu, pardon, avec les interrogatoires. Par exemple en France, nos n’avons pas le droit de torturer un suspect (si, si, je vous assure), mais en Irak par exemple tout le monde s’en fiche, du coup, c’est plus facile de sous-traiter certaines tâches à d’autres, dans d’autres pays. Les Etats-Unis sont allés jusqu’à créer des prisons en dehors des juridictions fédérales… Bref, la mise sur écoute de quelques gus utilisant des téléphones Huawei, n’est pas de nature à déclencher une guerre commerciale.

    Vous me direz donc, d’accord Charles mais alors pourquoi tout ce barouf…

    Et là je vous dirais… IOT

    IOT = Internet Of Things ou IDO soit Internet des objets…

    Au cœur de l’internet des objets se trouve la capacité de l’objet à s’interconnecter et à interagir avec son environnement physique. Il regroupe donc :

    1/ Les objets connectés directement à internet
    2/ Le machine to machine -M2M- c’est-à-dire la communication entre machines et l’accès au système d’information sans intervention humaine que ce soit Bluetooth, RFID, Wifi, 4G et bientôt la 5G…
    3/ Les « smart connected devices » tels que les tablettes ou smartphones.
    En soit, ce sont l’ensemble des objets connectés, entre eux et au réseau qui captent, stockent et retransmettent de la donnée (ou data en jargon IoT).

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  21. Vous allez me dire et donc ?…

    Et je vous répondrais que par exemple, le chinois Huawei en fournissant l’infrastructure 5G à un pays va pouvoir par exemple, lorsque votre frigo est vide et n’a plus de blancs de poulets, non plus vous faire livrer vos blancs habituels automatiquement mais vous les remplacer par les nems de sont choix. Vous me direz bon, c’est pas bien mais ce n’est pas si grave…

    Oui et non, d’abord ce ne serait pas bon pour les producteurs de poulets locaux, mais imaginez plus grave…

    Au hasard, les voitures autonomes.

    L’internet des objets c’est aussi les voitures autonomes et autres camions sans chauffeur. Imaginez que Huawei qui vous a fourni toute votre belle infrastructure 5G décide de doubler les prix, de les multiplier par 10 même que faites-vous?

    Imaginez que la bureau politique à Pékin décide de couper le jus au même moment et éteigne le système à distance alors que vous avez rien qu’en France 6 millions de véhicules automatiques au même moment. Vous avez 6 millions de morts ou presque en une fraction de seconde. Un massacre nettement plus propre que ne serait celui lié à l’utilisation de bombe atomique…

    De la souveraineté !

    A qui donnerez-vous la clef de vos infrastructures ?

    Qui peut vous brancher ?

    Qui peut vous débrancher ?

    Et les infrastructures européennes seront-elles européennes ? Chinoises ? Américaines ?

    Il est impossible en termes de souveraineté de laisser les clefs de la maison à une autre nation.

    Les Américains ne laisseront donc pas Huawei déployer la 5G aux Etats-Unis.

    Les Anglais qui savent ce qu’est la souveraineté ont décidé de ne pas laisser les Chinois de chez Huawei déployer la 5G chez eux.

    Et les Européens… suivront sans doute ce mouvement.

    Les Chinois le prendront très mal.

    Le monde se divisera à nouveau en deux, Russie, Chine, Iran d’un côté, les autres de l’autre… et chacun chez soi.

    La mondialisation se termine.

    Doucement.

    Elle se meurt et ne peut pas survivre à la nécessité de la souveraineté 3.0 liée à l’Internet des Objets.

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

    Charles SANNAT

    https://insolentiae.com/comprendre-laffaire-huawei-linternet-des-objets-et-la-souverainete-ledito-de-charles-sannat/

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  22. Tesla en Suisse quitte la route, se coince sur les voies ferrées, avant de devoir être enlevé par une grue


    par Tyler Durden
    Sam, 18/07/2020 - 07:35


    On a l'impression que pas un jour ne peut se passer où une Tesla - ou son conducteur - ne finit pas par agir de manière erratique. Si une voiture ne s'écrase pas sur des objets inanimés ou ne se jette pas d'une falaise, on commence à avoir l'impression que la journée n'est plus vraiment terminée. C'est peut-être pourquoi, plus tôt cette semaine, nous avons signalé qu'un tribunal allemand avait décidé que l'utilisation par la société du terme «pilote automatique» était trompeuse.

    Quoi qu'il en soit, il y a eu un autre incident impliquant une Tesla à la fin de cette semaine, où l'on ne sait pas si le pilote automatique était impliqué ou non. Les voies ferrées entre Biberbrugg et Altmatt en Suisse ont été bloquées jeudi lorsqu'une "Tesla s'est perdue sur les voies", selon le média suisse-allemand Blick et l'organisation de presse suisse Bote.

    Le rapport indique que le véhicule «roulait sur la H8 en direction de Rothenthurm puis a tourné à gauche sur la voie opposée» avant de «rouler sur 130 mètres à travers une prairie» et de s'arrêter finalement sur la voie ferrée.

    Bote rapporte que la Tesla essayait de dépasser un autre véhicule qui accélérait à peu près au même moment:

    Un pilote Tesla voulait dépasser une autre voiture qui était également sur le point de dépasser exactement au même moment. La Tesla a esquivé l'herbe mouillée sur la gauche, est devenue incontrôlable, a parcouru environ 130 mètres à travers le pré, puis sur la voie ferrée et s'est immobilisée environ 40 mètres plus loin.

    La voiture s'est retrouvée coincée entre les rails des rails et a dû être soulevée à l'aide d'une grue. Il n'y a eu aucun rapport confirmé indiquant si la voiture était ou non en pilote automatique à ce moment-là.

    Nous continuerons à garder un œil sur cette histoire et la mettrons à jour avec les développements futurs ...

    Et bien que nous ne sachions pas encore si Autopilot a été impliqué dans cet accident, cela n'a pas empêché les régulateurs de sécurité routière américains d'autoriser un accident après l'autre impliquant le pilote automatique de Tesla sans prendre aucune mesure décisive pour corriger le record. et informez les consommateurs que la description de Tesla de ses fonctionnalités de conduite autonome peut différer considérablement de la réalité. Les exemples s'accumulent (littéralement) presque quotidiennement.

    Rappelez-vous, cette semaine, nous avons publié une histoire d'une Tesla sur le pilote automatique percutant un objet inanimé. Cette fois, c'était une Tesla sur une autoroute qui claquait à l'arrière d'une voiture de patrouille au milieu d'un arrêt de la circulation. Heureusement, l'agent n'était pas dans la voiture et n'a pas été blessé.

    "Nous pouvons confirmer que le conducteur a indiqué aux soldats que la Tesla était sur le pilote automatique au moment de la collision. De plus, le conducteur, un homme de 23 ans d'Irvine, en Californie, fait l'objet d'une enquête pour DUI. Il reste à l'hôpital avec des blessures graves mais ne mettant pas la vie en danger », a commenté le Département de la sécurité de l'Arizona sur Twitter.

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  23. De plus, il y a à peine un mois, nous avons signalé qu'une Tesla voyageait sur une autoroute à Taïwan, à ce qui semblait être à pleine vitesse, avant de s'écraser directement dans un camion renversé qui se trouvait sur l'autoroute. La Tesla semble avoir peu ou pas changé de direction avant de heurter le camion. À un moment donné, de la fumée peut être vue sortir des pneus arrière du véhicule, indiquant que la Tesla a peut-être essayé de freiner - mais en vain.

    Quelques jours avant cet incident, nous avons fait rapport sur une Tesla qui s'est avérée avoir chassé une falaise dans des circonstances "mystérieuses" dans le comté de Santa Clara, en Californie.

    Enfin, il y a deux semaines, nous avons signalé que le pilote automatique de Tesla était à blâmer pour un accident similaire presque mortel survenu en décembre dernier. Un soldat de la police de l'État du Massachusetts venait de s'arrêter sur un véhicule sur le côté de la route 24 à West Bridgewater lorsque le véhicule du soldat a été percuté par la Tesla.

    https://www.zerohedge.com/technology/tesla-veers-road-winds-stuck-swiss-train-tracks-needing-be-removed-crane

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