- ENTREE de SECOURS -



lundi 27 juillet 2020

LA FRANCE VUE DE LA SUISSE

 par DANIEL MOINIER
 28/07/2020


La dette de la France est estimée à 115 % du PIB.

Je me suis permis de reprendre un article, envoyé par un confrère qui est un sondage, analyse de ce que pensent nos amis suisses de la France. J’avais d’ailleurs écrit un autre article fin 2019 (Pourquoi la Suisse va si bien et la France si mal ? Comparatif).

Le regard de la presse Suisse sur le sujet est très sévère mais très intéressant. 

Toute vérité n’est pas bonne à dire, mais ce texte vaut une lecture attentive ! 

Attention, ça déménage ! 

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Il n’existe pas de société sereine sans discipline et respect. 

Le contrat social a volé en éclats avec les Gilets jaunes, mais la tradition de la casse n’est pas nouvelle en France ! 

Si l’insurrection populaire est une tradition française, le mouvement des Gilets jaunes est inquiétant. 

Les analyses des médias français passent malheureusement à côté de l’essentiel. 

La crise actuelle est avant tout celle d’un système et d’un mode de pensée périmés. C’est la raison pour laquelle elle risque de se prolonger. 

LA BAISSE DU POUVOIR D’ACHAT VIENT D’UN DÉFICIT DE TRAVAIL 
Quel politique aura le courage de le dire ? 

On ne crée pas de la richesse — et donc du pouvoir d’achat — en regardant le foot à la télé. 

La crise de la France est celle de la paresse.

64 % de la population âgée de 15 à 64 ans travaille dans votre pays, 

Contre 79 % en Suisse, 75 % au Royaume-Uni ou en Allemagne. 

Vous travaillez également 15 % d’heures en moins par an par rapport à la moyenne de l’OCDE. 

En contrepartie, vous achetez plus à l’étranger que vous ne lui vendez ! 

Résultat déficit énorme de la balance des paiements ! (66 milliards/an !) 

Un commerçant qui ferait de même serait en faillite ! 

Et votre fonction publique, largement sous productive, occupe près de 20 % de la population active. 

Soyons concrets :


L’essence et les produits alimentaires coûtent plus cher car vous vous disputez ces biens, avec des pays qui travaillent davantage que vous. 

Leur pouvoir d’achat s’accroît et le vôtre diminue. 

L’IGNORANCE DES RÉALITÉS ÉCONOMIQUES CRÉE DE LA VIOLENCE
Vous êtes le bonnet d’âne en matière de connaissance économique selon l’OCDE. 

Les Gilets jaunes reflètent cette inculture, leur programme étant une somme d’aberrations, un concours Lépine de l’ignorance. 

Les insurgés veulent tout et son contraire. 

- Moins de taxes et plus de dépenses publiques avec par exemple le maintien de lignes de chemin de fer non rentables. 

Plus d’écologie et du diesel moins cher. 

Davantage de jobs mais le droit de casser l’appareil productif. 

Une hausse du Smic de 150 euros net (sur la base de 35h soit un net à 1369 et brut à 1728 !) et des emplois pour tout le monde. 

L’équation économique de la France est malheureusement simple à comprendre : 

- Peu de gens travaillent car le travail est lourdement taxé. 

Les taxes sont lourdes. 

Le plus effarant est qu’une majorité de la population a soutenu les Gilets jaunes. 

Si l’école enferme les esprits dans l’ignorance, les médias ne jouent pas leur rôle d’information. 

À quelques rares exceptions, les chroniqueurs ne posent jamais les bonnes questions et ne fournissent aucune donnée de contexte. 

Personne ne recadre les inepties économiques d’un Mélenchon. 

Le peuple français s’est enterré dans l’ignorance. Son absence de perspective est avant tout intellectuelle. 

L’EFFICACITÉ DES SERVICES PUBLICS DÉCROÎT ET NE VA PAS S’AMÉLIORER
Une lettre met presque une semaine pour arriver d’un point à un autre en France, contre 2 jours dans les années 1980. 

Les performances de la SNCF sont en chute libre malgré des coûts exorbitants. 

Les causes de cet enlisement sont multiples. 

Les fonctionnaires ont vieilli. Les organisations se sont empâtées et elles sont centrées sur leur propre finalité plutôt que sur les clients-citoyens. 

Quelle entreprise survivrait sans se réformer ? 

Sans licencier des salariés sous- performants ?

Sans réallouer les effectifs d’un service à l’autre quand la technologie permet des gains de productivité ? Aucune ! 

- Mais c’est le chemin que l’administration française a choisi depuis 30 ans.

L’État français, contrairement à ses concurrents anglais ou allemands a raté la transformation digitale. 

Le service aux administrés a encore empiré avec les tentatives de digitalisation. 

De par son poids, l’administration entraîne l’économie française vers le bas, et avec elle le pouvoir d’achat. 

Les mêmes causes produisent les mêmes effets. 

Le jeune disciple fonctionne à l’instar de son maître, avec un système d’exploitation étatiste conçu au XXe siècle. Le service militaire nouvelle formule, la réforme des 80 km/h, le prélèvement à la source sont des exemples de réformes technocratiques, frustrantes et inutiles. 

On a laissé de côté la réforme de l’État et de l’assistanat, ces 2 points concentrant les blocages de la France. 

LES FRANÇAIS VIVENT DANS UN MONDE VIRTUEL

Le temps passé devant les écrans augmente en permanence. 

Les Français vivent dans un monde virtuel fait de rêves, d’argent facile, de jolies filles et de fake news. 

Le capitalisme n’est pas exempt de critiques dans ce divorce avec la réalité. 

La publicité traditionnelle et numérique est d’une efficacité redoutable pour créer des frustrations et susciter l’acte d’achat. 

Avec l’extinction des idéaux, qu’ils soient religieux ou politiques, le consumérisme n’a plus de contrepouvoir. 

Symptomatiquement, les casseurs ont pillé des boutiques de luxe. Même les casseurs d’extrême gauche rêvent de s’habiller en Chanel et en Vuitton. 

Une autre promesse mensongère existe, celle que l’État promeut depuis des années.

Avec plus de 50 chaînes de télévision, des millions investis dans les campagnes de publicités diverses et variées, des écoles républicaines fortement politisées, l’État est le premier émetteur d’idéologie dans ce pays.

Il faut ajouter à cela la presse écrite largement subventionnée et les artistes qui vivent payés par l’État grâce au régime des intermittents.

Ce fantastique dispositif de propagande nous décrit un État ultra protecteur, tout-puissant, garantissant la paix et le bonheur du citoyen, de la naissance à la mort. 

Une vision imaginaire qui ne peut que décevoir cruellement. 

L’ABSENCE DE SANCTION MÈNE À LA VIOLENCE
Depuis longtemps, on a supprimé les sanctions à l’école, on ne punit plus les délits mineurs. 

L’absence de discipline est la résultante directe de l’effondrement des services publics, que ce soit l’éducation et la justice. 

Il s’est développé une idéologie permissive, notamment vis-à-vis de l’extrême gauche. 

Les syndicats ont légitimé des pratiques ultra-violentes, en toute impunité et dans le silence médiatique. 

Les Gilets jaunes constituent une version low-cost et 3.0 du syndicalisme, ils ont été formés à leur école. En plus stupides et en plus violents. 

L’exacerbation des frustrations nourries dans la virtualité allume un incendie majeur mais les pompiers n’ont pas le droit d’agir, par crainte, par inefficacité et par choix politique. 

Un prince doit prendre les bonnes décisions, celles qui créent de la richesse en minimisant les mécontentements du peuple. 

Il doit aussi savoir imposer le respect grâce à la force. »

- Fin de citation

Et voilà non seulement ce que les Suisses pensent de nous, mais ils nous l’écrivent.

Alors ? Nos Sentiments, Nos Réflexions … Sommes-nous Tous Responsables ?

La ou Les réponses se cachent probablement au fond de « Notre Conscience » …

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Une grande réflexion s’impose, mais surtout un changement radical de politique et surtout d’informations « vraies » pour éduquer nos français à la réalité.

Avec une dette estimée à 2788 Milliard d’euros fin 2020, soit 115 % du PIB ? Un déficit constant depuis 1975, la France n’est plus riche depuis longtemps comme beaucoup de français l’annoncent couramment.

Si nous retirions les 760 milliards d’aides sociales, (soit plus de 400 sortes d’aides, voir mon 6ème livre) une grande partie des français se retrouveraient moins bien que beaucoup d’africains !!!! Le pourcentage de pauvres éclaterait littéralement pour se situer proche ou égal à celui de la Roumanie !!!

A réfléchir et agir.


64 commentaires:

  1. La France n'a plus d'agriculture ! (faute d'avoir des remèdes contre les maladies et insectes) et préfère importer la quasi totalité de ses fruits, légumes et viandes de pays libres d'employer des produits toxiques ! (car les maladies et insectes sont eux sans frontières).

    (...) LA BAISSE DU POUVOIR D’ACHAT VIENT D’UN DÉFICIT DE TRAVAIL
    Quel politique aura le courage de le dire ? (...)

    Il ne faut pas parler de 'salaires' ou d''impôts' mais de pouvoir d'achat ! Si les travailleurs paient pour aller travailler, paient pour stationner et paient pour les 'réfugiés climatiques', le travail ne sert à rien !

    Tant que la France demeurera une république (dictature comme les monarchies ou empires), il ne pourra y avoir de Démocratie !

    La Démocratie c'est Par le Peuple Pour le Peuple.
    En Suisse se sont les suisses qui proposent eux-mêmes LEURS lois et votent eux-mêmes LEURS lois !

    En France ce sont des tuteurs (Députés/Sénateurs qui n'ont pas fait 1 h de Droit !) qui proposent LEURS lois et votent LEURS lois !!

    (...) S'exprimant jeudi avec une poignée de journalistes, le président français écarte toute idée que la France s'inspire de la démocratie directe helvétique, «qui ne marche pas aussi bien qu'on le pense». (...)

    https://huemaurice5.blogspot.com/2019/02/coin-du-feu-pour-macron-la-suisse-nest.html

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  2. L'ANSES, le glyphosate et Libé : le nouveau Je suis Partout


    27 Juillet 2020
    par Seppi


    L'ANSES, le glyphosate et Libé : le nouveau Je suis Partout

    Il y a deux Stéphane au journal qui fut de référence qui sont des nuls de chez nuls. Rassurez-vous, c'est de l'ironie. Leur « Glyphosate : la déontologie de l’Anses mise en cause » se voulait sans doute d'information, avec tout de même ces arrière-pensées militantes qui font partie de la ligné éditoriale de la rubrique Monde Planète (voir, sur ce site, « L'ANSES, le glyphosate et le Monde »).

    Figurez-vous que ces infatigables chasseurs de conflits d'intérêts et lobbywatcher sont passés à côté de choses bien croustillantes ! Elles ont été « révélées » par le journal qui tache les doigts (dans sa version papier), Libération. C'est « Glyphosate : les liens coupables de l’Anses », de Mme Aude Massiot, un article réservé aux abonnés.

    On pourrait s'arrêter là : si le duo Foucart-Horel n'a pas relevé ce qu'a publié Mme Aude Massiot, c'est que ça relève du caniveau. Mais ce serait trop charitable.

    Pour rappel, citons Ouest France, « Glyphosate : l’étude des risques sanitaires bat de l’aile », un article de bonne facture de M. Nicolas Blandin :

    « Saisie en 2018 pour évaluer les données disponibles sur le glyphosate et sa toxicité, l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a lancé un appel d’offres pour une étude complémentaire. Problème : des associations, élus et chercheurs sous couvert d’anonymat évoquent un risque de collusion et de favoritisme après le choix d’un consortium chapeauté par l’Institut Pasteur de Lille. Face aux levées de boucliers, plusieurs laboratoires ont annoncé leur retrait jeudi.

    Il y en a un qui a (prétendument) fauté... toute l'institution est coupable

    Arrêt sur le titre : c'est l'Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail (ANSES) qui est mise en cause, alors que l'essentiel de l'article est de l'ad hominem à l'endroit de M. Fabrice Nesslany, chef du service de génotoxicologie à l'Institut Pasteur de Lille et contributeur régulier aux travaux de l'ANSES.

    Un seul a (prétendument) fauté... et toute l'institution – dont il n'est même pas membre – est mise au pilori. Honteux !

    Mais le scandale ne s'arrête pas là :

    « C’est l’histoire d’une agence publique qui semble avoir oublié son essence même : préserver la santé publique. »

    Il y a certes une précaution oratoire... il n'empêche que l'insinuation est gravissime, ignominieuse.

    Si cela peut consoler, M. Eugène Matadon a plus de retweets – avec en plus des commentaires positifs – et de likes que Libération (Source)

    Arrêt pédagogie : le désert aride de la recherche française en toxicologie

    Le monde de la recherche française en toxicologie n'est pas bien grand – le monde des experts en toxicologie diplômés Twitter est bien plus vaste. M. Roger Genet, directeur général de l'ANSES a bien expliqué la situation à Ouest France :

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  3. « Le vivier d’experts et de laboratoires en toxicologie est extrêmement réduit en France. Nous aurions pu choisir nous-même les laboratoires, comme nous le faisons parfois. Mais nous avons préféré lancer un appel d’offres au niveau international pour élargir ce vivier. »

    Et, au vu de la maigre récolte de soumissions à la suite de l'appel à projet, le monde de la toxicologie prêt à travailler sur le glyphosate est tout aussi réduit. Le glyphosate n'est quel'illustration d'un nouveau phénomène : la dictature de la manipulation des opinions empêchera l'évaluation rationnelle de toute substance prise pour cible, même la plus utile.

    Enfin, pour être expert, il faut bien entretenir des relations pour acquérir connaissances et expérience.

    Non, il ne « reçoit pas des fonds », formulation malhonnête. Il entreprend des travaux de recherche pour le compte de ces entreprises. C'est le cas d'un grand nombre de laboratoires qui, s'ils ne le faisaient pas, perdraient de leurs compétences et mettraient la clé sous la porte. (Source)

    Mais qu'a donc fait M. Fabrice Nesslany ?

    Mais qu'a donc fait M. Fabrice Nesslany, bombardé pour l'occasion président du consortium d'institutions de recherche... à tort car il n'est que l'un des deux coordinateurs scientifiques ?

    Grands dieux ! Outre les problèmes soulevés par les opérations de l'ANSES,

    « Libération révèle des faits plus inquiétants encore. Début juillet, un groupe de lanceurs d’alerte nous a contactés. A partir de leurs informations, nous pouvons mettre en lumière plusieurs conflits d’intérêts de Fabrice Nesslany avec des industriels des pesticides. »

    Arrêt explication : Libération se fait le porte-voix de délateurs et calomniateurs.

    Figurez-vous que M. Fabrice Nesslany est membre de la Société Française de Toxicologie (SFT) et qu'il en est même le président depuis novembre 2019, alors que Mme Cécile Michel, de l’ANSES, en est la secrétaire générale.

    On trouve évidemment dans cette SFT des employés des méchantes industries agrochimiques, lesquelles sponsorisent aussi les congrès de la société – pour l'énorme montant de 1.500 euros sur un budget total de quelque 50.000 euros.

    Mais Libération a trouvé un courageux anonyme :

    « C’est classique. En contrepartie, les boîtes demandent un droit de regard sur les invités, et imposent certains de leurs membres. Ils construisent le programme du congrès pour qu’on ne discute pas des sujets qui fâchent. »

    Finalement, les toxicologues, c'est comme les agriculteurs : tirés par le bout du nez par les méchants agrichimicapitalistes...

    Les sponsors du dernier congrès de la SFT. Pour le fun : la SFT a décerné un prix de 500 euros pour un posters à des employés de Boiron pour : « Évaluation du risque des médicaments homéopathiques unitaires à base de plantes ». (Source)

    M. Fabrice Nesslany a aussi réalisé une étude sur la dangerosité du glyphosate « pour Calliope (aujourd’hui Arysta), une entreprise qui commercialisait l’herbicide polémique ». Mais c'était en... 2002 !

    Son laboratoire a aussi conclu en 2014 et 2017 « des contrats à hauteur de 165.000 euros avec le géant de la chimie Arkema. Or cette entreprise française commercialise des adjuvants utilisés avec le glyphosate dans "des herbicides majeurs". » Pour nos Torquemada de la médiocre médiacratie, faire des recherches pour l'industrie ne peut que disqualifier un laboratoire pour une étude dans le cadre d'une évaluation réglementaire.

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  4. Il y en encore, du même tonneau.

    L'ANSES a évidemment examiné la situation de près et conclu dans le sens que l'on sait : nihil obstat. Mais notre journaliste militante – armée de ce qu'elle a trouvé dans la déclaration publique d'intérêts de M. Fabrice Nesslany et de quelques ragots anonymes ainsi que de son « expertise » en liens et conflits d'intérêts – opine péremptoirement :

    « Une situation qui aurait dû alerter la direction de l’Anses et exclure le chercheur des groupes d’experts du glyphosate. L’affaire démontre les manquements d’un système censé défendre l’intérêt public. »

    L'ANSES n'est pas en reste...

    Plusieurs agents de l’ANSES, pas seulement Mme Cécile Michel, sont membres de la SFT... et...

    « ...ainsi que des salariés d’Intertek. Cette entreprise est un cabinet de consultants dont le nom est apparu à plusieurs reprises dans les "Monsanto Papers". En 2016, la firme américaine a payé Intertek afin de réunir un panel de scientifiques pour écrire une étude qui a conclu à la non-dangerosité du glyphosate. »

    Le sophisme du déshonneur par association se porte haut à Libération.

    De l'anonyme « informateur » :

    « Même s’il n’y a pas de financement direct entre les industriels et les chercheurs dans ce type de société, ce sont les accointances, la proximité et parfois les amitiés durables qui font que les experts regardent les dossiers d’autorisation avec plus d’indulgence ».

    Même les visites à l'ANSES valent à celle-ci la damnation éternelle. Ce paragraphe est une perle :

    « La proximité de l’Anses avec les porteurs d’intérêts ou lobbys a déjà été épinglée par son propre comité de déontologie, en mai 2019. En analysant le registre des rendez-vous professionnels des membres de l’agence, le comité a calculé que "les firmes et les représentants du monde agricole représentent environ 80 % des visites. Le nombre de pétitionnaires reçus est à peu près stable sur les deux ans et demi de tenue du registre, de l’ordre d’une quinzaine par an, ce qui peut sembler peu au regard du nombre des dossiers traités par l’Anses sur cette période, et peut s’expliquer par le fait que la majorité des firmes reçues sont de grands groupes industriels qui peuvent porter plusieurs dossiers, ou des organisations qui peuvent représenter d’autres entreprises". Libération a demandé à avoir accès à ce registre public, sans succès pour l’instant. »

    Ce comité de déontologie... c'est celui dont des membres ne voyaient aucune objection à violer ses propres statuts pour accueillir la visite du porteur d'intérêts et lobbyistes Fabrice Nicolino... Leur littérature est aussi illustrative d'une tendance paranoïaque : quatre fois le verbe « pouvoir ».

    Auriez-vous compris à la lecture du paragraphe précité que le comité de déontologie réprouve les rencontres avec les porteurs d'intérêts ? Vous auriez faux ! Le comité a fait des recommandations pour rendre la situation plus transparente.

    ...et même un ministère de tutelle !

    Encore un paragraphe de choix :

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  5. « L’Anses est sous la tutelle des ministères de l’Agriculture, de la Santé et de la Transition écologique. Mais le premier, directement concerné par le glyphosate, participe à hauteur de 64,5 millions d’euros en 2020 au budget de l’agence, soit plus de 60 % du total. La proximité du ministère avec les syndicats agricoles majoritaires, que sont la FNSEA et les JA, est connue. Preuve en est, la création fin 2019 de la cellule Demeter anti-agribashing, demandée par ces syndicats et mise en place par les ministères de l’Agriculture et l’Intérieur. Or ces syndicats et leurs branches départementales se sont fortement mobilisés en faveur du glyphosate lors de sa réautorisation, comme le montre le registre de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). »

    Cela continue par une exploitation du registre de la HATVP s'agissant des activités de relations publiques de Bayer.

    En quoi cela-concerne-t-il l'ANSES. Mystère !

    En plus, c'est à notre connaissance faux : Déméter, c'est l'affaire du Ministère de l'Intérieur.

    En tout cas, cela reflète à merveille l'inquiétant aveuglement militant d'un journal que nous subventionnons en grande partie par nos impôts.

    Le constat amer de M. Roger Genet

    Laissons le mot de la (presque) fin à M. Roger Genet dans Ouest France. Il regrette:

    « ...les attaques ad hominem contre des experts, y compris sur leur intégrité et leur déontologie, et qui n’osent pas porter plainte pour diffamation.

    [...] Il y a souvent une confusion, plus ou moins sciemment entretenue, entre lien d’intérêt et conflits d’intérêts. Si on cherche un expert qui n’a jamais été en contact avec un industriel, qui n’a jamais participé à un congrès sponsorisé par un industriel, mais on n’aura plus aucun expert, aucun scientifique. On se tire une balle dans le pied [...] »

    Cet article de Libé, ce n'est plus de l'information. C'est Gringoire ou Je Suis Partout.

    http://seppi.over-blog.com/2020/07/l-anses-le-glyphosate-et-libe-le-nouveau-je-suis-partout.html

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    1. Il n'y a PAS d'agriculture sans Round'Up ! Quand il y a des centaines d'hectares de blés (amendés et irrigués) où... poussent de l'herbe (parfois toxique), il n'y a PAS de moissons ! Car, moissonner le blé et l'herbe se retrouvent en farines ! D'où l'impossibilité de vendre 1 kg de blé !

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  6. ANSES et étude du potentiel cancérogène du glyphosate : le consortium sélectionné renonce – le travail de sape continue


    26 Juillet 2020
    par Seppi


    Que la Force soit avec vous ! (Source)


    C'est la suite de l'histoire que nous vous avons relatée dans « L'ANSES, le glyphosate et le Monde ».

    En bref, le gouvernement avait demandé à l'Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail (ANSES) d'établir le cahier des charges d’une étude sur le potentiel cancérogène du glyphosate, ce en vue de la procédure de renouvellement (ou non-renouvellement) de la matière active glyphosate à l'échéance fin 2022.

    L'ANSES a établi ce cahier des charges, lancé un appel d'offres et retenu, d'une part, un consortium coordonné par l’Institut Pasteur de Lille (Institut Pasteur de Lille, CEA, Université de Lille, Inserm (Institut NuMeCan), Université de Toulouse, ARPAE (Agency for Prevention, Environment and Energy, Italie), LABERCA) pour l'étude principale et, d'autre part, le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) pour une étude complémentaire.

    Cette procédure a été entachée d'irrégularités (alléguées). Qu'il soit cependant précisé que le monde scientifique concerné est petit et que respecter les règles à la lettre tient de la gageure.

    La députée Delphine Batho a posé une question au Gouvernement sur la base d'informations très précises. Un « collectif de lanceurs d'alerte » anonymes a pour sa part instrumentalisé le Monde et ses chasseurs de conflit d'intérêt et « lobbywatcher ».

    On pensera ce qu'on voudra s'agissant de l'importance des irrégularités. Mais, sur le plan des principes et surtout dans le climat passionnel d'aujourd'hui, le dossier ne pouvait pas être simplement refermé, peut-être comme voulait le faire une ANSES à notre sens peu inspirée et qui avait défendu ses positions.

    La solution est venue d'ailleurs. Le 23 juillet 2020, l'ANSES a publié un communiqué, « Etude du potentiel cancérogène du glyphosate : l’Anses annonce le retrait du consortium sélectionné pour conduire les études toxicologiques complémentaires ».

    Cela a le mérite d'être clair :

    « Compte tenu de l’enjeu de disposer des études complémentaires pour le processus européen de réévaluation en cours, l’Anses avait décidé de donner suite à l’appel à candidatures. Toutefois, les questions soulevées risquant de créer un climat de suspicion sur le résultat des études peu propice à la sérénité des débats scientifiques, la coordination du consortium lauréat, suivie par plusieurs laboratoires impliqués, a fait part du retrait de sa participation. Cette situation conduit de facto au retrait du consortium, dont l’approche intégrée était un élément clef pour garantir la qualité du dispositif d’études. »

    Mais l'ANSES persiste pour le second volet :

    « Le projet mené par le CIRC sera en revanche maintenu et financé, et les résultats attendus pour le second semestre 2021. »

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  7. Nous nous étonnerons de cette obstination. S'il y a un organisme qui a un – énorme – conflit d'intérêts dans cette affaire, c'est bien le CIRC. Bien évidemment, il nintéresse pas nos Pravda nationales.

    M. Gil Rivière-Wekstein, rédacteur d'Agriculture et Environnement, avait vu juste le 15 juillet 2020 avec son : « Pesticides : L’étude mort-née de l’Anses ».

    Maintenant que la messe est dite, il reste à savoir quelle sera la suite.

    Sur le plan médiatique, c'est apparemment la torpeur estivale. À l'heure où nous écrivons, seul parmi les médias généraliste, Libération a produit un article de Mme Aude Massiot réservé aux abonnés, « Glyphosate : à l'Anses, une étude abandonnée pour conflits d'intérêts ».

    Un article outrageusement cocorico – « "Libération" révèle des conflits d'intérêts autour de la dernière étude sur le glyphosate... » – mais aussi outrageusement venimeux :

    « Ceci n’est pas le récit de personnes malveillantes, happées par leur avidité, ni d’erreurs humaines. C’est l’histoire d’une agence publique, coincée entre des impératifs contradictoires, au point d’oublier son essence même : préserver la santé publique. »

    Quel contraste avec ce gazouillis fort pondéré de Générations Futures...

    Le 23 juillet 2020, la Mission d’Information Commune sur le Suivi de la Stratégie de Sortie du Glyphosate a auditionné l'ANSES. Le député Jean-Baptiste Moreau y a fait une déclaration fort remarquée par les rationalistes.


    “On est sur la croyance on n’est plus sur la science. Politiques et scientifiques doivent se rebeller!”, très bon @moreaujb23 à propos du #Glyphosate et de @Anses_fr . Mais c’est vrai aussi pour le nucléaire, les OGM, la 5G, les vaccins, etc. pic.twitter.com/O7uxxSEP5k

    — François Momboisse (@fmomboisse) July 23, 2020

    Le gazouillis ci-dessous présente-t-il une déclaration lors de cette audition, ou d'une audition antérieure ? Qu'importe, ce qui compte, c'est le message :

    Le directeur de l'#ANSES révèlait qu'il y a de telles menaces qui s'exercent sur les agences sanitaires et les scientifiques dans le dossier du #glyphosate qu'elles sont obligées de mutualiser leur évaluation au niveau d'un consortium de quatre pays européens. pic.twitter.com/IXxUI8ixqp

    — Kâplan (@KaplanBen_Fr) July 23, 2020

    http://seppi.over-blog.com/2020/07/anses-et-etude-du-potentiel-cancerogene-du-glyphosate-le-consortium-selectionne-renonce-le-travail-de-sape-continue.html

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    1. Il a été PROUVÉ la non-cancerogénéité du glyphosate depuis le lancement du Round'Up. Il s'agit d'un parti-pris pour faire effondrer l'agriculture du monde entier et de semer la famine comme il en est de l'interdiction de traitement sur les maladies et insectes !

      Consommer une plante ou un fruit malade (non-traité) c'est comme de manger de la viande de vache folle !

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  8. Nouvelles du Japon : à propos de sushi et de sashimi


    le 27 juillet 2020


    Dans la ville de Chuo-ku à Tokyo qui englobe le fameux quartier de Ginza et la gare ferroviaire de Tokyo Central il y a une multitude de restaurants de sushi et de sashimi. Déguster ces délicatesses typiquement japonaises n’est pas sans risque et l’expérience d’une jeune Japonaise de 25 ans vient le prouver. Avoir dégusté divers poissons crus dans un des restaurants spécialisés du quartier Tsukiji où se trouvait le grand marché au poisson de Tokyo qui vient d’être relocalisé mais où il reste encore une multitude de restaurants fameux cette personne commença à souffrir de douleurs au niveau de la gorge dès le lendemain de son festin. Après 5 jours, constatant que son état empirait elle alla consulter à l’hôpital international Saint-Luke toujours dans le même quartier.

    - voir photo sur site -

    Un examen visuel diagnostiqua la présence d’un nématode noir de près de 4 centimètres de long qui avait élu domicile dans les replis de l’amygdale gauche de la souffrante. Le médecin put extraire sans difficulté le parasite et la jeune femme fut totalement guérie en quelques jours. Si ce ver Anisakis simplex de la famille des nématodes Pseudoterranova (ne pas confondre avec le think-tank écolo) avait atteint l’estomac il aurait été beaucoup plus difficile de traiter la patiente qui aurait alors été à la merci de toutes sortes de symptômes allergiques provoqués par la présence de ce parasite. Si le séjour de ce ver est rare au niveau du pharynx le nombre de cas ne cesse d’augmenter dans le monde ainsi que, naturellement, au Japon. Moralité de ce cours récit : dégustez des sushi et des sashimi avec précaution et à vos risques et périls car la larve du nématode est presque invisible.

    Source et illustration : 10.4269/ajtmh.20-0175

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/07/27/nouvelles-du-japon-a-propos-de-sushi-et-de-sashimi/

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  9. FINI LE DÉMARCHAGE TÉLÉPHONIQUE ABUSIF POUR LES TRAVAUX DE RÉNOVATION ÉNERGÉTIQUE


    par OLIVIER SANCERRE
    27/07/2020


    L'amende peut aller jusqu'à 375.000 euros pour les entreprises indélicates.

    Le démarchage téléphonique pour des travaux de rénovation énergétique sera bientôt du passé. Ces appels abusifs ont été interdits par une loi promulguée samedi dernier.

    Les consommateurs épuisés par les appels téléphoniques d'entreprises soi-disant spécialistes de la rénovation énergétique seront soulagés : la loi encadrant le démarchage par téléphone a été publiée dans le Journal officiel ce samedi. Le texte, discuté depuis deux ans par les députés et les sénateurs, prévoit la fin pure et simple du démarchage pour les travaux pour améliorer l'efficacité énergétique dans la maison. Les entreprises peu scrupuleuses faisaient miroiter des rénovations à très bon prix grâce à des subventions publiques. La loi stipule très clairement : « Toute prospection commerciale de consommateurs par des professionnels, par voie téléphonique, ayant pour objet la vente d'équipements ou la réalisation de travaux pour des logements en vue de la réalisation d'économies d'énergie ou de la production d'énergies renouvelables est interdite ».

    Encadrement du démarchage téléphonique

    Voilà qui devrait permettre aux ménages régulièrement dérangés par ces appels de souffler. Mais le texte ne signifie pas la fin du démarchage téléphonique, comme le souhaitaient plusieurs députés. Le gouvernement vante une loi d'équilibre : c'est pourquoi les entreprises pourront continuer à démarcher les clients potentiels par téléphone, mais ces appels seront encadrés. D'une part, les professionnels devront respecter des jours, des horaires et une fréquence (des modalités qui restent à déterminer par décret). D'autre part, il leur faudra aussi vérifier au préalable de la conformité de leur fichier de prospection avec la liste Bloctel.

    Amendes salées

    Les consommateurs peuvent s'inscrire gratuitement sur la liste Bloctel pour s'opposer à tout démarchage téléphonique. Les entreprises qui ne s'y plieraient pas encourent des amendes administratives de 75.000 euros pour une personne physique, et de 375.000 euros pour les entreprises. Des chiffres sensiblement plus importants que les 3.000 et 15.000 euros précédents. Par ailleurs, le professionnel devra aussi prévenir le client qu'il peut s'inscrire sur la liste Bloctel.

    http://www.economiematin.fr/news-fini--demarchage-telephonique-abusif--travaux--renovation-energetique

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    Réponses
    1. Il réagissent 20 après !!
      Attaqueront-ils les merdias (télés, radios, journaux) pour mensonges, escroqueries et appels au meurtre ?

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  10. Le plus gros mensonge de ce canular de coronavirus est que l'État se soucie de chacun de vous


    Par Gary D. Barnett
    27 juillet 2020


    «Choisir ses victimes, préparer minutieusement son plan, étouffer une vengeance implacable, puis se coucher… Il n’y a rien de plus doux au monde.»
    Joseph Staline (1940) «Le Kampf de Staline: le credo de Joseph Staline»

    L’« État »est et a toujours été un monstre pervers, sans cœur, cruel et manipulateur, uniquement tourné vers l’argent, le pouvoir et le contrôle. Une fois que cette vérité est apprise et acceptée, l'État est démasqué et l'affirmation selon laquelle il est le défenseur et le sauveur du peuple est dénoncée comme un mensonge. Sans la fausse couverture de la légitimité, tout gouvernement sera facilement reconnaissable comme rien de plus qu'un sinistre ennemi de tous ceux qui sont sous son autorité.

    Selon les recherches effectuées par feu le professeur R. J. Rummel, les gouvernements, rien qu'au XXe siècle, ont assassiné 262 millions d'innocents. Ce nombre n'inclut pas les décès dus à des guerres internes et étrangères. Il y a deux points majeurs qui doivent être remis en question ici. Le premier est pourquoi les guerres ont-elles été exclues de ce calcul puisque les gouvernements provoquent et poursuivent des guerres ? Deuxièmement, toutes les guerres d'agression sont de purs meurtres, non défensifs comme dans toute défense explicite d'un pays, de sorte que l'État lui-même est responsable de tous ceux qui meurent, y compris les volontaires ou les enrôlés et sous les ordres de l'État. Cela dit, le nombre réel de personnes tuées en raison de l'implication de l'État est évidemment beaucoup plus élevé que celui calculé par le professeur Rummel, à la fois pour le meurtre de citoyens par leur propre gouvernement et pour le meurtre par agression. Il est également important de reconnaître que puisque le gouvernement est désormais impliqué à presque tous les niveaux d'existence et qu'il est l'entité dirigeante, aucun décès dû à la guerre ou au conflit ne devrait être exclu de tout rapport concernant la mort du gouvernement. En outre, les recherches de Rummel n’ont été limitées qu’au XXe siècle et rien n’a été calculé avant ou après cette période. Les tueries se poursuivent sans relâche, mais une grande partie des meurtres aujourd'hui est faite furtivement. Le blâme pour ces atrocités, en particulier lorsqu'elles sont politiquement opportunes, est détourné de l'État agresseur. Tous ces décès doivent être considérés pour découvrir la vérité sur le carnage imposé par les gouvernements.

    En résumé, l’État est responsable de la plupart des décès autres que ceux d’origine naturelle. Alors pourquoi quelqu'un ne serait-il pas anti-étatique ? Pourquoi ne soutiendrait-il pas l'élimination de l'État, alors qu'il est responsable de tant de morts et de destructions ? La plupart des populations croient-elles réellement que leur pays et sa classe politique sont bons, mais que tous les autres sont mauvais ? La propagande a-t-elle été si efficace pour convaincre la plupart de l'humanité que l'État est non seulement nécessaire, mais un protecteur et un maître bienveillants ? La vérité n'est-elle jamais recherchée ou vue, ou même désirée par les masses exploitées ? Cela semble être le cas, et ce n'est ni accidentel ni fortuit, c'est un résultat planifié depuis longtemps, et volontairement accepté par les masses.

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  11. En raison de la manière dont ce rapport a été structuré, les États-Unis ont été à peu près exclus de cette conversation. J'ai trouvé cela troublant. Toute concentration était centrée sur des gouvernements ou des dictateurs particulièrement oppressifs principalement responsables de la mort de leurs propres citoyens, mais si l'on considère tous les décès causés par les gouvernements, la conversation ne devrait pas s'arrêter là.

    Le gouvernement des États-Unis n'est pas moins oppressif que beaucoup d'autres dont Rummel a parlé. Le gouvernement américain est aujourd'hui le plus agressif et le plus puissant du monde, bien plus meurtrier que la plupart des autres par le passé. Les guerres d'agression américaines, les politiques de changement de régime et les guerres par procuration ont été responsables de millions de morts d'innocents. La majorité des décès par le gouvernement au cours du XXe siècle ont été imputés à l'Union soviétique, à l'Allemagne nazie et à la Chine communiste, ainsi qu'à ce que l'on dit être des meurtriers moindres comme les Khmers rouges et l'État de guerre du Vietnam, entre autres. Les principaux coupables seraient Staline, Hitler, Mao et Pol Pot, mais les États-Unis avaient beaucoup à voir avec tous ces tyrans, beaucoup à voir avec la mort massive et beaucoup à voir avec le meurtre d'innocents.

    Le gouvernement américain était impliqué dans tous ceux que j'ai mentionnés ci-dessus, et était même complice d'une grande partie de ce qui se passait à l'époque où les massacres et le génocide étaient plus évidents. Les États-Unis ont été une nation agressive, une nation en guerre contre des innocents et un facilitateur dans la construction de régimes brutaux et le soutien de dictateurs brutaux, y compris Staline Mao, Hitler et bien d'autres. Ce n'est pas une nation innocente et cela ne l'a jamais été. En fait, les États-Unis ont été en guerre sous une forme ou une autre, tout au long de l'agression, pendant au moins 93 % de toute leur histoire. Le gouvernement américain revendiquera toujours le terrain élevé, mais ce terrain élevé est simplement dû au fait que les États-Unis sont au sommet de la pyramide meurtrière, regardant le reste du monde. Le dicton selon lequel le vainqueur écrit l'histoire sonne juste, et les États-Unis ont certainement pu cacher une grande partie de leurs atrocités grâce à cette stratégie.

    En d'autres termes, le gouvernement des États-Unis n'est pas meilleur que tout autre gouvernement; du moins, cela ne fait pas longtemps. Beaucoup blâmeront la mort de tant d'innocents principalement sur le communisme, et bien sûr l'idée du communisme est horrible, mais comme tout système gouvernemental, elle exige que le peuple l'accepte volontairement. Tout au long de l'histoire, presque tous les systèmes politiques ont été basés sur le maître et l'esclave, le roi et les sujets, la classe dirigeante et le prolétariat. Si les gens voulaient un système plus libre, ils pourraient l’avoir, mais l’homme ordinaire d’aujourd’hui est un peu différent du passé, car la plupart se tournent continuellement vers un «leader» au lieu de se tourner vers lui-même.

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  12. Mais avec cette «pandémie» de virus frauduleux, le vrai gouvernement américain est exposé pour ce qu'il est vraiment, et est maintenant déshabillé pour que tous puissent voir la vérité s'ils le souhaitent. L'Amérique s'est échappée du mensonge selon lequel elle est différente, qu'elle est meilleure et qu'elle est innocente dans les horreurs de l'homme, mais tout cela s'arrête brutalement, comme le sont les eugénistes de la classe dirigeante et les élites politiques au gouvernement. montrant leurs vraies couleurs, et recherchent agressivement le contrôle total sur toute l'humanité. S'ils réussissent dans cet effort, il y aura plus de morts dans ce pays et dans le monde que jamais auparavant, et un génocide, un démocide et un meurtre de masse par des moyens non évidents se produiront. En raison de la réponse du gouvernement à ce faux canular viral, il y aura ruine financière, maladie, famine, pauvreté, poison de vaccination et suicide; tous causés par l'État, mais l'État ne sera pas responsable de ce carnage. Non, cela sera imputé à un virus et à la société dans son ensemble pour ne pas se conformer à toutes les mesures draconiennes imposées par l'État ignoble. Depuis que cette épreuve a commencé plus tôt cette année, les personnes âgées ont été la cible de mort et, dans de nombreux cas, laissées volontairement mourir isolées. Cependant, alors que cette réinitialisation globale se poursuit, ce ne seront pas seulement les anciens qui mourront; la mort consommera tous les âges, car la vie sera reléguée à une survie plutôt qu'à une joie.

    L'État ne se soucie pas de vous, de votre famille, de vos enfants ou de vos voisins; il ne se soucie que de vous utiliser pour maintenir sa puissance et son contrôle. Une fois que le peuple permettra à la classe dirigeante d'exercer un contrôle total, il n'y aura guère besoin de l'homme ordinaire, sauf de servir son maître l'État. Un changement de cette ampleur laissera l'ensemble de la population mondiale sous la coupe de quelques-uns, et le communisme technocratique mondial sera établi. Est-ce notre destin ?

    «S'il y a un pays qui a commis des atrocités indicibles dans le monde, ce sont les États-Unis d'Amérique.»

    ~ Nelson Mandela (2012). “Notes to the Future: Words of Wisdom”, p.152, Simon and Schuster

    https://www.lewrockwell.com/2020/07/gary-d-barnett/the-biggest-lie-of-this-coronavirus-hoax-is-that-the-state-cares-about-any-of-you/

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  13. Pandémie fabriquée: tester les gens pour toute souche de coronavirus, pas spécifiquement pour COVID-19


    Par Julian Rose
    Recherche mondiale
    27 juillet 2020


    Ce qui suit provient d'un forum médical. L'écrivain, qui est un scientifique professionnel très respecté aux États-Unis, préfère rester anonyme, car présenter un récit différent de celui officiel peut vous causer beaucoup de stress dans l'environnement toxique causé par l'arnaque qui entoure COVID-19 ces jours-ci . - Julian Rose

    ***

    Je travaille dans le domaine de la santé. Voici le problème, nous testons les gens pour n'importe quelle souche de coronavirus. Pas spécifiquement pour COVID-19. Il n'y a pas de tests fiables pour un virus COVID-19 spécifique. Il n'y a pas d'agences ou de médias fiables pour rapporter le nombre de cas réels de virus COVID-19. Cela doit être abordé avant tout. Chaque action et réaction au COVID-19 est basée sur des données totalement erronées et nous ne pouvons tout simplement pas faire des évaluations précises.

    C'est pourquoi vous entendez dire que la plupart des personnes atteintes de COVID-19 ne présentent rien de plus que des symptômes semblables à ceux du rhume / grippe. C'est parce que la plupart des souches de coronavirus ne sont rien de plus que des symptômes semblables à ceux du rhume / grippe. Les quelques nouveaux cas réels de coronavirus ont des réponses respiratoires pires, mais ont toujours un taux de récupération très prometteur, en particulier pour ceux sans problèmes antérieurs.

    L'étalon-or dans les tests de COVID-19 est des particules de coronavirus isolées / purifiées en laboratoire exemptes de contaminants et de particules qui ressemblent à des virus mais qui ne le sont pas, qui se sont avérées être la cause du syndrome connu sous le nom de COVID-19 et obtenues en utilisant des méthodes et des contrôles d'isolement viral appropriés (pas la PCR actuellement utilisée ou les tests sérologiques / anticorps qui ne détectent pas le virus en tant que tel). La PCR prélève essentiellement un échantillon de vos cellules et amplifie tout ADN pour rechercher des «séquences virales», c'est-à-dire des morceaux d'ADN non humain qui semblent correspondre à des parties d'un génome viral connu.

    Le problème est que le test ne fonctionne pas.

    Il utilise «l’amplification», ce qui signifie prendre une très petite quantité d’ADN et la faire croître de manière exponentielle jusqu’à ce qu’elle puisse être analysée. De toute évidence, toutes les contaminations minuscules dans l'échantillon seront également amplifiées, conduisant à des erreurs de découverte potentiellement grossières.

    De plus, il ne recherche que des séquences virales partielles, pas des génomes entiers, il est donc pratiquement impossible d'identifier un seul pathogène, même si vous ignorez les autres problèmes.

    La nouvelle épidémie de coronavirus, COVID-19, semble menaçante et est

    Les kits de test Mickey Mouse envoyés dans les hôpitaux, au mieux, indiquent aux analystes que vous avez de l'ADN viral dans vos cellules. Ce que la plupart d'entre nous font, la plupart du temps. Cela peut vous dire que la séquence virale est liée à un type spécifique de virus - disons la grande famille des coronavirus. Mais c'est tout. L'idée que ces kits peuvent isoler un virus spécifique comme le COVID-19 est absurde.

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  14. Et cela n'entre même pas dans l'autre problème - la charge virale.

    Si vous vous souvenez, la PCR fonctionne en amplifiant des quantités infimes d'ADN. Il est donc inutile de vous dire combien de virus vous pourriez avoir. Et c’est la seule question qui compte vraiment pour le diagnostic d’une maladie. Tout le monde aura à tout moment quelques virus dans son système, et la plupart ne causeront pas de maladie parce que leurs quantités sont trop faibles. Pour qu'un virus vous rende malade, vous en avez besoin en grande quantité, en grande quantité. Mais la PCR ne teste pas la charge virale et ne peut donc pas déterminer si elle est présente en quantité suffisante pour vous rendre malade.

    Si vous vous sentez malade et que vous subissez un test PCR, tout ADN viral aléatoire peut être identifié même s’il n’est pas du tout impliqué dans votre maladie, ce qui conduit à un faux diagnostic.

    Et les coronavirus sont incroyablement courants. Un grand pourcentage de la population humaine mondiale aura de l'ADN de covi en petites quantités, même s'ils sont parfaitement bien ou malades avec un autre agent pathogène.

    Voyez-vous où cela va encore ? Si vous voulez créer une panique totalement fausse à propos d'une pandémie totalement fausse, choisissez un coronavirus.

    Ils sont incroyablement communs et il y en a des tonnes. Un pourcentage très élevé de personnes qui sont tombées malades par d'autres moyens (grippe, pneumonie bactérienne, n'importe quoi) auront un

    Test PCR pour covi même si vous les faites correctement et excluez la contamination, simplement parce que les covis sont si courants.

    Il y a des centaines de milliers de victimes de la grippe et de la pneumonie dans les hôpitaux du monde entier à tout moment.

    Tout ce que vous avez à faire est de sélectionner le plus malade de ceux-ci en un seul endroit - disons Wuhan - leur administrer des tests PCR et affirmer que toute personne présentant des séquences virales similaires à un coronavirus (qui sera inévitablement pas mal) souffre d'un "nouveau'' maladie.

    Puisque vous avez déjà sélectionné les cas de grippe les plus malades, une proportion assez élevée de votre échantillon mourra.

    Vous pouvez alors dire que ce "nouveau'' virus a un CFR plus élevé que la grippe et l'utiliser pour insuffler plus d'inquiétude et faire plus de tests qui produiront bien sûr plus de "cas", ce qui élargit les tests, ce qui produit encore plus de "cas'' et ainsi de suite et ainsi de suite.

    Avant longtemps, vous avez votre «pandémie», et tout ce que vous avez fait est d’utiliser un simple truc de kit de test pour convertir les pires cas de grippe et de pneumonie en quelque chose de nouveau qui n’existe pas.

    Maintenant, lancez simplement la même arnaque dans d'autres pays. Assurez-vous de maintenir le message de peur à un niveau élevé afin que les gens se sentent paniqués et moins capables de penser de manière critique.

    Votre seul problème sera que - en raison du fait qu'il n'y a pas de nouvel agent pathogène mortel, mais juste des personnes malades ordinaires, vous étiquetez mal le nombre de vos cas, et en particulier vos décès, vont être bien trop bas pour un vrai nouveau mortel. pandémie de virus.

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  15. Mais vous pouvez empêcher les gens de le signaler de plusieurs manières.

    1. Vous pouvez affirmer que ce n'est que le début et que d'autres décès sont imminents. Utilisez cela comme une excuse pour mettre tout le monde en quarantaine, puis prétendez que la quarantaine a empêché les millions de morts attendus.

    2. Vous pouvez dire aux gens que «minimiser» les dangers est irresponsable et les inciter à ne pas parler de chiffres.

    3. Vous pouvez parler de merde sur des nombres inventés en espérant aveugler les personnes atteintes de pseudoscience.

    4. Vous pouvez commencer à bien tester des personnes (qui, bien sûr, auront aussi probablement des lambeaux d'ADN de coronavirus en eux) et ainsi gonfler vos «cas» avec des «porteurs asymptomatiques» (vous devrez bien sûr faire tourner cela pour paraître mortel. même si tout virologue sait que plus vous avez de cas sans symptômes, moins votre pathogène est mortel.

    Suivez ces 4 étapes simples et vous pouvez avoir votre propre pandémie entièrement fabriquée et opérationnelle en quelques semaines.

    Ils ne peuvent pas «confirmer» quelque chose pour lequel il n'y a pas de test précis.

    La source originale de cet article est Global Research.

    https://www.lewrockwell.com/2020/07/no_author/manufactured-pandemic-testing-people-for-any-strain-of-a-coronavirus-not-specifically-for-covid-19/

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  16. La santé mentale et la pandémie: ce que les préparateurs doivent savoir


    Par Daisy Luther
    Le préparateur biologique
    27 juillet 2020


    L’un des effets secondaires de la pandémie et des restrictions qui en découlent n’est ni physique ni financier, mais mental.

    Le mois dernier, The Psychiatric Times a publié un article sur la «pandémie de santé mentale» associée au COVID-19.

    Les coûts sanitaires et financiers du COVID-19 ont entraîné un sentiment généralisé d'impuissance et une anxiété et un désespoir accablants en réponse à des circonstances sur lesquelles nous n'avons que peu ou pas de contrôle. L'exposition chronique à un stress sévère en l'absence de contrôle parmi d'innombrables millions de personnes constitue une tempête parfaite, avec de graves conséquences sur la santé mentale à l'échelle mondiale, y compris des taux accrus d'humeur dépressive, de suicide et de trouble de stress post-traumatique.

    Les personnes qui étaient déjà aux prises avec la maladie mentale avant le COVID-19 font maintenant face à des défis encore plus grands… Historiquement, des augmentations des taux de maladies mentales graves ont souvent suivi à la suite de crises nationales. Par exemple, durant la décennie de la Grande Dépression de 1929 à 1939, le taux de suicide est passé de 13,9 à 17,4 pour 100 000 habitants. Les souvenirs traumatisants des années de souffrance pendant la Grande Dépression ont entraîné des taux élevés d'anxiété et de dépression pendant des générations. Bien que les ralentissements économiques aient affecté de manière disproportionnée la santé et le bien-être du segment à faible revenu de la population, tous les groupes socio-économiques sont touchés négativement.

    Une deuxième vague de pandémie sera alimentée par des sentiments intenses d'anxiété et de désespoir dans un monde qui n'est plus prévisible et sûr en raison de taux élevés de chômage et d'itinérance associés à des souvenirs traumatisants de survivre à son propre contact avec le COVID-19 ou à la mort. d'un partenaire, d'un parent ou d'un être cher. (la source)

    Les problèmes de santé mentale ne sont pas bien traités dans le meilleur des cas aux États-Unis (voici une pilule pour cela), et ce n’est certainement pas le meilleur des cas. Les gens ont autodéclaré des augmentations significatives des sentiments de dépression, d'anxiété et de désespoir. Certains groupes traversent une période plus difficile que d'autres: les travailleurs de la santé, les mères, les étudiantes et les femmes enceintes ont du mal à faire face à l'incertitude, à la peur et à la perte. Les ventes d'alcool ont explosé et l'isolement social a été lié à une augmentation des comportements suicidaires.

    D'autres qui souffrent sont des personnes qui courent un risque plus élevé d'un mauvais résultat si elles contractent le COVID. Les personnes âgées et celles qui ont des problèmes de santé chroniques, en particulier, sont aux prises avec le stress et l'isolement. Leurs proches restent à l'écart pour assurer leur sécurité, mais peut-être que la solitude est tout aussi dangereuse d'une autre manière. J'ai des amis qui ont des parents dans des maisons de retraite qui n'ont pas pu voir les membres de leur famille depuis six mois, et ces patients déclinent rapidement sans l'amour et la présence des membres de leur famille.

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  17. Les préparateurs étaient-ils prêts pour cela?

    Même parmi ceux d’entre nous qui sont prêts à faire face à des interruptions de leur vie quotidienne, l’effet sur la santé mentale a été quelque chose auquel beaucoup ne s’attendaient pas.

    J’ai écrit un peu sur les aspects émotionnels de la pandémie. J'ai écrit un article sur la façon dont, même si j'avais prévu et préparé cela, cela me semblait encore un peu irréel. J'ai également écrit sur la façon dont l'incertitude de la situation faisait des ravages sur les membres de ma famille et mes amis. Les commentaires sur ces deux articles m'ont dit que je n'étais pas seul dans ce que je ressentais.

    La santé mentale, cependant, était le seul aspect pour lequel de nombreux préparateurs n'étaient pas tout à fait prêts: comment aider quelqu'un à accepter que la vie qu'il avait planifiée n'est plus une option, du moins pas maintenant ? Comment aidez-vous quelqu'un à accepter le fait que le monde ne «reviendra jamais à la normale» ?

    Dans le même temps, de nombreuses personnes dans le monde de la préparation et de la survie font face à la pandémie en la dénonçant comme une fraude ou un canular.

    Il se peut que la réponse du gouvernement ait été inappropriée, mais s’en vouloir ne la change pas. Ce n'est pas parce que les préparateurs n'ont pas eu l'apocalypse qu'ils avaient prévue que cette situation ne change pas la vie. Nous devons encore faire face à un tout nouvel ensemble de règles et de normes ou risquer des répercussions financières, voire pénales. Vous pouvez faire rage sur Internet tout ce que vous voulez, mais cela ne change pas ces faits:

    Les masques et que vous acceptiez ou non de les porter sont devenus un symbole de nature presque tribale.
    Il existe de nombreuses entreprises et bâtiments publics dans lesquels vous ne pouvez pas entrer sans masque. (Walmart et McDonalds ont récemment annoncé cette exigence)
    Les lieux de travail peuvent exiger des masques, des gants, des contrôles de température et d'autres mesures pour les employés.
    Les voyages en dehors des États-Unis sont très limités.
    Le transport aérien a radicalement changé.
    Des millions d'emplois ont été perdus et ne reviennent jamais.
    La chaîne d'approvisionnement est dévastée.
    Les écoles rouvrent de manière méconnaissable.

    Les maisons de soins infirmiers et les hôpitaux ne permettent pas aux visiteurs et les proches meurent seuls.
    Tous ces changements sont difficiles pour à peu près tout le monde, et en particulier pour ceux qui ne croient pas à la gravité du virus. J'ai récemment parlé à une personne dans les 80 ans qui a dit: «J'ai l'impression qu'ils m'enlèvent toute ma vie.»

    Comment pouvez-vous aider ceux qui sont aux prises avec des problèmes de santé mentale ?

    Que ce soit vous ou quelqu'un que vous aimez, il y a certaines choses que vous pouvez faire pour aider ceux qui ressentent actuellement les effets de la peur, de la dépression, de l'anxiété, de l'incertitude et de l'isolement. J'ai mentionné certaines de ces choses dans des articles précédents, mais il convient de les répéter.

    Assurez-vous que la personne sait qu'elle n'est pas seule. Il peut être utile de savoir que les autres ressentent les mêmes émotions et stress. De plus, les appels téléphoniques réguliers, les discussions sur des plates-formes VOIP comme Skype et les visites socialement distantes qui ont lieu à l'extérieur peuvent être un point positif pour quelqu'un qui se sent isolé.

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  18. Arrêtez de vous concentrer sur les choses «qui reviennent à la normale». Si vous continuez à souhaiter que les choses reviennent à ce qu’elles étaient avant, je crains que vous ne soyez constamment déçu. De nombreux aspects de nos vies ont changé de manière irrévocable. L'une des choses dont Selco parle maintes et maintes fois est l'importance de s'adapter aux nouvelles règles lorsque votre situation change, et celle-ci n'est pas différente.

    Faites des plans tous les jours. Si vous ne travaillez pas ou si vous travaillez à domicile, vous devez toujours faire des plans. Créez un programme pour vous-même. Ne restez pas simplement allongé sur le canapé à regarder Netflix et Amazon Prime toute la journée. Ce n'est pas bon pour toi. Levez-vous et habillez-vous (pas nécessairement habillé au bureau, mais ne portez pas la même chose pour vivre et dormir pendant trois jours de suite.) Déterminez quels repas riches en nutriments vous allez préparer ce jour-là. Pensez à la façon dont vous ferez de l’exercice - est-ce que ce sera une promenade avec les chiens dans le quartier ou irez-vous sur un sentier de randonnée à proximité ? De quel travail avez-vous besoin pour être accompli ? Quelle pièce allez-vous nettoyer en profondeur ? Notez tout cela sur un tableau blanc ou un morceau de papier sur le réfrigérateur pour que tout le monde sache ce qui est à l’ordre du jour de la journée.

    Ne restez pas à regarder la télévision toute la journée. Fixez-vous une heure à laquelle vous regarderez un film ou une émission en ligne. Je travaille de chez moi depuis des années, et une règle que je me suis maintenue tout au long de cette journée est que nous n’allumons pas Netflix avant qu’il ne fasse nuit. Cela signifie qu'en été, c'est plus tard, car nous pouvons passer du temps à faire des choses à l'extérieur par beau temps. Si vous commencez à regarder pendant que vous déjeunez, il est facile de se laisser entraîner dans une série et la prochaine chose que vous savez, c'est l'heure du coucher et vous n'avez jamais rien accompli. Ce n’est pas sain mentalement ou physiquement, donc je vous conseille vivement de limiter cette diffusion aux soirées si vous êtes un téléspectateur ou une personne qui aime diffuser des émissions.

    Préparez-vous à ce que vous pouvez. Nous savons tous que nous devons nous préparer avec les bases de la nourriture, de l'eau, des semences, des outils, etc. Cela ne change pas vraiment, quel que soit l’avenir. Alors continuez à faire ce que vous pouvez pour accumuler des fournitures et des compétences. Beaucoup de choses sont hors de notre contrôle, mais vous pouvez contrôler ce qui est en votre pouvoir. Nous savons que les choses continueront très probablement à se détériorer et que nous pourrions être dans une deuxième vague. Donc, continuer à vous approvisionner autant que vous le pouvez (même un petit peu à la fois) est tout aussi important que jamais.

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  19. Ne consommez pas un régime constant de mauvaises nouvelles. Je passe beaucoup de temps à étudier ce virus, ses effets sur notre économie, comment il a décimé d'autres parties du monde, à lire les histoires déchirantes de pertes. Je fais cela depuis le 20 janvier, quand cela est vraiment apparu sur mon radar. Je ne le conseille à personne. Il peut être difficile de voir la lumière lorsque vous passez votre temps à plonger dans l'obscurité. Je fais cela depuis des années et je peux compartimenter dans une certaine mesure, mais cela a été long. Limitez le temps que vous passez à lire sur cette épidémie et les difficultés qui l'entourent. À moins que votre travail ne dépende de votre connaissance de tous les détails du COVID-19 et de ses effets sur le monde, vous pouvez rester informé en lisant à ce sujet pendant 30 minutes par jour au lieu de 6 heures par jour. Croyez-moi quand je dis ceci: vos perspectives deviendront beaucoup plus claires lorsque votre journée ne sera pas remplie de conférences de presse, de folies de fonctionnaires incompétents et d'histoires de souffrance. Voici quelques conseils pour gérer un barrage d'événements terribles.

    Profitez de la préparation de repas sains et faits maison. Vous vous souvenez de toutes ces fois où vous avez dit que vous n’aviez pas le temps de cuisiner ? Maintenant, si vous êtes actuellement sans travail, vous avez enfin le temps de cuisiner. Ne faites pas simplement chauffer une pizza surgelée après une pizza surgelée ! Entrez dans cette cuisine et concoctez tous ces délices savoureux que vous avez voulu faire pendant des années. Apprenez à faire du pain si vous ne savez pas comment faire. Faites cuire des choses qui prennent une demi-journée à préparer. Créez chaque petit détail à partir de zéro. Mettez la table avec la belle porcelaine et donnez à votre nourriture la vitrine qu'elle mérite.

    Travaillez sur des projets que vous n'avez jamais eu le temps de faire auparavant. Quels projets avez-vous toujours remis à plus tard parce que vous n’aviez pas le temps? Nous convertissons actuellement une salle de stockage dans le petit appartement de ma fille en une deuxième chambre car il semble que je vais être ici pendant un certain temps. Nous avons parcouru les cartons de notre passé et apprécié la promenade dans le passé. Je mets enfin tout cela dans des albums. Nous concevons des méthodes de stockage intelligentes et purgons les éléments dont nous n'avons pas besoin. Bientôt, nous aurons une adorable petite pièce à côté de la buanderie pour un espace supplémentaire bien nécessaire. Après cela, nous construisons des étagères avec des rideaux devant eux pour la cuisine afin de ranger nos conserves et nos boîtes, à l'abri des regards indiscrets. Nous avons également chacun des projets d'artisanat en cours de divertissement, car les loisirs productifs sont toujours une excellente idée.

    Passez du temps à l'extérieur. Si votre municipalité le permet, passez du temps à l'extérieur. Vous pouvez toujours être socialement éloigné tout en prenant l'air. Évitez les groupes d'humains et parcourez les sentiers difficiles de votre lieu de randonnée local. Ou partez tôt dans la journée pendant que tout le monde dort encore. Prendre l'air frais, faire de l'exercice et profiter du soleil est sain pour votre corps et votre esprit. Si vous ne pouvez pas sortir vous promener, à tout le moins, asseyez-vous sur votre balcon ou votre terrasse et lisez pendant un moment.

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  20. Trouvez quelque chose pour lequel vous êtes reconnaissant aussi souvent que possible. Une attitude de gratitude rend les moments difficiles plus faciles à digérer. Même maintenant, il y a des choses pour lesquelles nous pouvons être reconnaissants. Je passe du temps avec ma fille et je parle régulièrement au téléphone avec mon autre fille. J'apprécie la floraison des fleurs printanières - toujours une période préférée de l'année pour moi. Je suis reconnaissant que pour l'instant, j'ai encore du travail en ligne. Je suis reconnaissant à ma fille de ne plus travailler dans le commerce de détail pendant cette épidémie et d’être chez elle en toute sécurité. Je suis reconnaissant d’avoir le temps de cuisiner de délicieux repas, d’expérimenter la cuisine de ma fille (elle est vraiment douée pour ça) et de passer du temps supplémentaire avec elle. Nous avons deux chiens à promener et deux chats à câliner. La vie pourrait être bien pire, alors prenez un moment pour apprécier ce que vous avez en ce moment.

    Concentrez-vous sur les choses pour lesquelles vous pouvez faire quelque chose. Nous ne pouvons pas changer la réponse du gouvernement au virus. Nous ne pouvons pas changer la chaîne d’approvisionnement, les pénuries ou le coût croissant de presque tout. Mais nous pouvons contrôler ce que nous plantons dans notre jardin, les livres que nous lisons et les compétences que nous apprenons. Voici quelques réflexions supplémentaires sur ce que vous pouvez changer et ce que vous ne pouvez pas.

    Assurez-vous que vos proches savent qu'ils sont aimés. Vérifiez-les, même si vous vous sentez bleu vous-même. Ne laissez pas passer trop de temps sans appel téléphonique ni e-mail. Tendre la main est tout aussi bon pour vous que pour eux.

    Obtenez de l'aide professionnelle. Si vous ou une personne que vous connaissez avez vraiment du mal et que cela dépasse l’aide de ces petites étapes, n’ayez pas peur de demander de l’aide professionnelle. Fait intéressant, les soins de santé mentale sont en fait un peu plus faciles d'accès maintenant avec l'avènement de la télésanté et du counseling en ligne. La dépression, l’anxiété et le TSPT ne sont pas des choses dont vous devriez avoir honte et vous n’avez pas à y faire face seul.

    Resources

    Vous trouverez ci-dessous quelques numéros et sites Web sur lesquels vous pourrez peut-être accéder à une assistance pour vous-même ou un être cher.

    National Helpline de SAMHSA - 1-800-662-HELP (4357) - ils peuvent vous aider à trouver des ressources pour les crises de santé mentale ou la toxicomanie à proximité ou en ligne
    Ligne de vie nationale pour la prévention du suicide
    Appelez le 1-800-273-TALK (8255); En Español 1-888-628-9454

    The Lifeline est une hotline gratuite et confidentielle en cas de crise, accessible à tous 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. The Lifeline connecte les appelants au centre de crise le plus proche du réseau national Lifeline. Ces centres fournissent des conseils en cas de crise et des références en santé mentale. Les personnes sourdes, malentendantes ou malentendantes peuvent contacter Lifeline via ATS au 1-800-799-4889.
    Ligne de texte de crise
    Envoyez "HELLO" au 741741

    La ligne d'assistance Crisis Text est disponible 24 heures sur 24, sept jours sur sept dans tout les États-Unis. La ligne Crisis Text Line sert n'importe qui, quel que soit le type de crise, en les mettant en relation avec un conseiller en crise qui peut fournir un soutien et des informations.
    Ligne de crise des anciens combattants
    Appelez le 1-800-273-TALK (8255) et appuyez sur 1 ou envoyez un SMS au 838255

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  21. La ligne de crise des anciens combattants est une ressource gratuite et confidentielle qui relie les anciens combattants 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 avec un intervenant qualifié. Le service est disponible pour tous les anciens combattants, même s'ils ne sont pas enregistrés auprès de la VA ou inscrits dans les soins de santé VA. Les personnes sourdes, malentendantes ou malentendantes peuvent appeler le 1-800-799-4889.
    Assistance téléphonique en cas de catastrophe
    Appelez le 1-800-985-5990 ou envoyez «TalkWithUs» au 66746

    La ligne d'assistance en cas de catastrophe fournit des conseils immédiats en cas de crise aux personnes qui vivent une détresse émotionnelle liée à une catastrophe naturelle ou d'origine humaine. La ligne d'assistance est gratuite, multilingue, confidentielle et disponible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

    Consultez l'infographie NIMH 5 étapes d'action pour aider une personne souffrant de douleur émotionnelle pour voir comment vous pouvez aider les personnes en détresse. (la source)

    Les plats à emporter de tout cela

    Sachez qu'il n'y a absolument aucune honte à lutter avec votre santé mentale. Il s’agit parfois d’un déséquilibre chimique, et c’est complètement hors de votre contrôle. D'autres fois, c'est situationnel - et dans notre scénario actuel, cela est également hors de votre contrôle. Contactez votre médecin ou l'une des ressources ci-dessus si cela est trop difficile à gérer par vous-même.

    De plus, nous devons comprendre que cet événement a été SHTF-lite. Alors que beaucoup de nos vies ne seront plus jamais les mêmes, en raison de la perte d'un être cher, de la perte de sécurité financière ou de la perte d'une entreprise, nous ne sommes pas confrontés à un scénario apocalyptique dans lequel les ressources sont si limitées que les gens êtes prêt à tuer pour obtenir la nourriture que vous aviez l'intention de donner à votre famille pour le dîner.

    Nous avons toujours accès à une abondance de ressources où nous pouvons obtenir de l'aide ou aider les personnes que nous aimons. Il est préférable de comprendre maintenant comment nous gérons les scénarios de crise et d’apprendre à nous y préparer. N'hésitez pas à obtenir l'aide dont vous avez besoin et n'hésitez pas à encourager ceux que vous aimez à demander de l'aide non plus. Cela peut nous aider à mieux prédire comment nous et ceux que nous aimons réagirons lors d'un scénario plus extrême et nous pouvons utiliser ce temps pour mieux nous préparer à la possibilité d'effets sur la santé mentale lors d'une crise future.

    Reprinted with permission from The Organic Prepper.

    https://www.lewrockwell.com/2020/07/daisy-luther/mental-health-and-the-pandemic-what-preppers-need-to-know/

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    1. MICROBIOLOGIE: Une très curieuse culture

      vendredi 24 juillet 2020

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/07/microbiologie-une-tres-curieuse-culture.html

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  22. Interdire la pub pour les énergies fossiles ?

    Faudra-t-il bientôt avoir honte d’aller en vacances dans une voiture confortable à l’autre bout de la France, ou en avion à l’autre bout du monde ?


    Par Michel Gay.
    27 JUILLET 2020


    Interdire la publicité pour les moyens de transport (voitures, bateaux, avions…) et les activités qui consomment des énergies fossiles est la nouvelle idée farfelue (une de plus) des activistes écologistes et de ceux qui ont encadré la fumeuse Convention citoyenne pour atteindre la décroissance dont ils rêvent.

    L’ÉNERGIE, C’EST LA VIE !

    Toutes les activités consomment de l’énergie directement pour produire, ou indirectement pour transporter, stocker, manipuler…

    Ostraciser les énergies fossiles qui représentent toujours 90 % de la consommation mondiale d’énergie, et quasiment 100 % des transports en France, c’est effectivement un bon moyen pour les décroissants d’effondrer l’économie.

    Que n’y ont-ils pas pensé plus tôt !

    L’électricité et l’hydrogène qu’il faut fabriquer massivement (avec du nucléaire ?) ne succéderont pas aux énergies fossiles, notamment dans les avions et les transports lourds. C’est un leurre savamment entretenu qui permet d’enrichir des affairistes et de subventionner en pure perte tout un pan industriel sans avenir.

    Il faudra donc fermer les agences de voyages dont le métier est d’organiser des voyages qui utilisent des moyens de transports. Il restera à promouvoir la marche et le vélo, mais sans respirer trop fort car l’Homme émet aussi du CO2 par kilomètre parcouru, et à se balader autour de chez soi car aller loin en voiture ou en avion sera un délit pour les réactionnaires verts.

    Les concerts des vedettes qui voyagent en avion et dont le barnum se déplace avec de nombreux immenses camions et bus devront aussi être bannis, ainsi que les dizaines de milliers de spectateurs qui viennent dans des véhicule à pétrole.

    Après avoir répandu l’idée fausse selon laquelle la meilleure énergie est celle qui n’est pas consommée (le meilleur livre sera bientôt celui qui n’a pas été écrit…), l’étape suivante est donc d’interdire l’énergie fossile et nucléaire.

    Il ne restera plus grand-chose à consommer s’il reste seulement les faiblardes énergies intermittentes du vent et du soleil ; en France, l’énergie hydraulique est déjà exploitée à son quasi-maximum.

    La vie commence, certes, par se nourrir et se protéger des intempéries (ce qui exige déjà de l’énergie), mais c’est aussi le mouvement, la découverte, la rencontre.

    L’énergie c’est la vie !

    UN SONDAGE FAVORABLE ?

    Les Français qui saturent du trop-plein de publicités dans les médias (TV, journaux, panneaux, radios, prospectus…) ont, semble-t-il, répondu spontanément favorablement (quelle était la question ?) à cette proposition dans un sondage.

    Ils n’ont probablement pas perçu les terribles conséquences et les graves inconvénients que cette insidieuse proposition de loi implique. Elle porte en elle le germe liberticide de la réclusion perpétuelle à domicile !

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  23. Des associations d’activistes écologistes réclament « l’interdiction de toute promotion ou publicité, directe ou indirecte en faveur des énergies fossiles ou des entreprises qui exploitent, produisent ou distribuent ces énergies fossiles ».

    Les Français n’ont pas encore découvert la folie qui se cache derrière cette proposition de loi qui veut bannir les énergies fossiles de nos vies en les rendant détestables au même titre que les cigarettes ou l’alcool avec la loi Evin qui eux sont directement nuisibles à la santé.

    Faudra-t-il bientôt avoir honte d’aller en vacances dans une voiture confortable à l’autre bout de la France, ou en avion à l’autre bout du monde, et montrer du doigt les croisiéristes sur les rivières ou en mer, et les promenades en bateau sur les lacs ?

    Faudra-t-il interdire les entreprises « contribuant au changement climatique » comme, par exemple, les marques de vêtements (importations d’Asie et d’Afrique), les importateurs d’ananas, et même bannir la publicité pour la France à destination des touristes étrangers, notamment américains et asiatiques qui se déplacent en avion ?

    UNE DICTATURE VERTE ?

    Certes, réduire les consommations d’énergies fossiles coûteuses à importer comme les panneaux photovoltaïques et les éoliennes, et qui vont se tarir un jour (la date fait débat mais probablement au-delà du siècle), est indispensable.

    Mais imposer aux entreprises par la loi des restrictions à la liberté, faire connaître leurs productions par la publicité et de circuler librement en rendant honteux les moyens de transports avant d’avoir des solutions de remplacement viables à grande échelle est une grossière erreur et un cruel manque de vision à long terme.

    Il y a parfois des lois d’apparences sympathiques mais liberticides et dignes d’une dictature qui se cachent sous les meilleures intentions bien habillées.

    Comme le chantait Jacques Dutronc en parlant du dragueur des supermarchés : « Il est sympa et attirant, mais… méfiez-vous : c’est un truand ! »

    https://www.contrepoints.org/2020/07/27/377080-interdire-la-pub-pour-les-energies-fossiles

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    1. La Vermarq a été construite pour tuez tous les humains afin de leur éviter la souffrance de vivre !

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  24. CONVENTION CLIMAT: 460 000 EMPLOIS DÉTRUITS SI LES DÉCISIONS SONT MISES EN OEUVRE


    par ANTON KUNIN
    27/07/2020


    Selon les estimations du cabinet Bien Commun Advisory, l'arrêt de l'aménagement de zones commerciales périurbaines entraînerait la suppression de 9.500 emplois.

    La mise en œuvre des décisions de la Convention Citoyenne pour le Climat entraînerait la destruction de 300.000 à 460.000 emplois, estime le cabinet Bien Commun Advisory.

    Le PIB français diminuerait de 1,1% minimum

    Alors qu’un Conseil de Défense Écologique se tiendra ce lundi 27 juillet 2020 et que des réunions décisives sont organisées par la Ministre de la Transition Écologique, le cabinet Bien Commun Advisory met en garde contre la mise en œuvre des décisions de la Convention Citoyenne pour le Climat. Selon ses économistes, cela aurait un effet négatif sur la croissance du PIB de -¬¬1,1 à -2,7% pendant au moins trois ans. En sachant que la croissance du PIB est déjà faible actuellement, la mise en œuvre de ces mesures déboucherait sur une croissance nulle. La mise en œuvre des décisions de la Convention entraînerait également la destruction de 300.000 à 460.000 emplois.

    Ces effets négatifs sur l’économie seraient provoqués par la hausse des tarifs de l’énergie de 14% recommandée par la Convention, par diverses mesures restrictives de l’activité via des moratoires, des interdictions ou une régulation plus stricte et par la fin des aides à l’innovation non orientées vers la transition écologique.

    Mauvaises nouvelles pour l’innovation française

    L’interdiction d’utilisation de pesticides aurait un impact économique certain. La balance commerciale agro-alimentaire de la France est excédentaire de 7 milliards d’euros en 2018 grâce notamment aux exportations de vins et de céréales. Selon les économistes de Bien Commun Advisory, l’interdiction des pesticides et des produits phytopharmaceutiques engendrerait une augmentation des prix et donc une perte de compétitivité et de parts de marché de l’agriculture française.

    Quant à l’exigence d’inscrire tout soutien à l’innovation dans une logique de sortie d’un modèle basé sur le carbone, elle ferait forcément sortir une partie considérable des projets de recherche et développement du champ du Crédit Impôt Recherche. (Pour rappel, celui-ci représente 6 milliards d’euros par an d’exonérations de charges sur les salaires des chercheurs en entreprise.) Une diminution des exonérations de charges entraînerait ainsi une diminution de la valeur ajoutée et donc une diminution du PIB.

    http://www.economiematin.fr/news-convention-climat-impact-pib-emplois-estimation

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  25. La mer Méditerranée était 2 degrés plus chaude pendant l'Empire romain


    23.07.2020 à 15:00:00


    La plus grande période de l'Empire romain a coïncidé avec la période la plus chaude des 2000 dernières années en Méditerranée, selon une étude publiée dans la revue Scientific Reports. Les conditions climatiques ont progressivement évolué vers des conditions arides et plus tardives plus froides coïncidant avec la chute historique de l'empire, comme indiqué dans la nouvelle étude, dont les chercheurs principaux sont Isabel Cacho, Giulia Margaritelli et Albert Català, de la Faculté des sciences de la Terre et du Consolidated Groupe de recherche sur les géosciences marines de l'Université de Barcelone. L'étude compte également sur la participation des experts de l'Institut de recherche pour la protection géo-hydrologique du Conseil national de la recherche (CNR-IRPI), de l'Institut national des sciences marines (CNR-ISMAR), de l'Université de Campanie Luigi Vanvitelli et du Université de Pérouse en Italie.

    - voir carte sur site -

    La mer Méditerranée était 2 degrés plus chaude pendant l'Empire romain
    (a) Carte bathymétrique du centre-ouest de la mer Méditerranée. Triangle rouge: emplacement du noyau SW104-ND11;
    cercles rouges: enregistrements marins utilisés pour la comparaison; (b) Carte bathymétrique du chenal de Sicile montrant
    circulation océanographique de surface et localisation du noyau. Les lignes noires suivent le chemin de la surface
    circulation d'eau. Les principaux courants sont illustrés [Crédit: Margaritelli et al. 2020]

    Des études antérieures avaient lié la chute de l'Empire romain à certains facteurs naturels (changement climatique, éruptions volcaniques, etc.). Avec une vision régionale à grande échelle, l'étude fournit des données de haute résolution et de précision sur l'évolution des températures au cours des 2000 dernières années dans la région méditerranéenne. «Pour la première fois, nous pouvons affirmer que la période romaine a été la période la plus chaude des 2 000 dernières années et que ces conditions ont duré 500 ans», note Isabel Cacho, professeur au Département de Dynamique de la Terre et des Océans de l'UB.

    La mer Méditerranée est une mer semi-fermée - extrêmement vulnérable aux changements climatiques modernes et passés - avec un emplacement stratégique. Abritant de nombreuses civilisations au fil des ans - avec une tradition d'études historiques et archéologiques - Mare Nostrum est un modèle pour étudier les périodes de variation climatique et l'influence potentielle du climat dans les civilisations.

    En particulier, la période de l'Empire romain est difficile à étudier, «car elle a coïncidé avec d'importants changements culturels qui ont eu lieu autour de la Méditerranée. L'étude du climat du passé est désormais le seul outil pour analyser la dynamique du système climatique de la Terre dans des conditions différentes de celles actuelles, et il est essentiel de tester la validité des modèles de prévision à moyen et long terme », notent les experts Giulia Margaritelli (également membre du CNR-IRPI) et Fabrizio Lirer (CNR-ISMAR).

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  26. L'étude identifie pour la première fois une phase de réchauffement différente pendant la période romaine dans la région méditerranéenne et se concentre sur la reconstruction de la température de surface de la mer (SST) au cours des 5 000 dernières années. Ces nouveaux enregistrements ont été corrélés aux données d'autres régions de la Méditerranée (mer d'Alboran, bassin de Minorque et mer Égée) pour montrer un signal régional du bassin pour identifier la période romaine (1-500 après JC) comme la période la plus chaude des 2000 derniers. ans, 2 ° C plus chaud que les valeurs moyennes à la fin du siècle. Les experts commentent également l'impact du régime pluviométrique au cours de cette période - marquée par une grande variation régionale des phases les plus humides et arides - dans l'évolution de l'Empire romain.

    - voir graphique sur site -

    Comparaison des relevés de température de surface de la mer (SST) du canal de Sicile (ligne épaisse bleu foncé), mer d'Alboran
    (ligne bleue claire épaisse), le bassin de Minorque (ligne rouge épaisse) et la mer Égée (lignes épaisses foncées et vert clair) exprimées comme anomalies SST par rapport à la période de référence de 750 BCE à 1250 CE (la seule période partagée par tous les enregistrements) afin de mieux comparer l'amplitude des changements à travers la Méditerranée
    Crédit: Margaritelli et al. 2020]

    Selon les auteurs, cette phase coïncide avec le développement de l'expansion de l'Empire romain, ce qui suggère une relation potentielle entre favoriser les conditions climatiques et le changement dans le grand empire fondé par Octavius Auguste en 27 av. Selon les hypothèses des auteurs, une transition climatique des conditions humides aux conditions arides pourrait avoir commercialisé son déclin suivant.

    Dans le cadre de l'étude, les experts ont analysé la relation Mg (Ca relation des échantillons de foraminifères Flobigerinoides ruber, présents dans les sédiments marins, un indicateur de la température de l'eau de mer. Ces organismes unicellulaires, faisant partie du zooplancton marin, ont un habitat spécifique limité aux couches de surface «L'analyse chimique de son squelette carbonaté permet donc de reconstituer l'évolution de la température de la masse d'eau de surface dans le temps», note Isabel Cacho.

    Avec les résultats publiés, l'étude fournit de nouvelles références pour de nouvelles études sur la résilience des populations romaines face aux variations climatiques en utilisant l'analyse des transformations sociales et culturelles qui ont eu lieu au cours des siècles.

    «Notre étude met en évidence la pertinence de l'Empire romain pour mieux comprendre le comportement du climat méditerranéen - en particulier le cycle hydrologique - dans des conditions chaudes par rapport à ceux de la scène actuelle du changement climatique. Cette partie de la recherche est essentielle pour améliorer notre capacité à nous adapter aux changements imminents », conclut le professeur Isabel Cacho.

    Source: University of Barcelona [July 23, 2020]

    https://archaeologynewsnetwork.blogspot.com/2020/07/mediterranean-sea-was-2-degrees-hotter.html

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    1. Que notre planète est été plus chaude ou plus froide ON S'EN FOUT !
      C'est le magma qui commande !
      S'il entre en éruptions en Méditerranée, l'eau et l'atmosphère monteront forcément en température !
      Si l'éruption sous-océanique est proche d'un pôle, la montée aérienne de chaleurs fera naître des vents venus du froid ! Çà alors !

      Il n'y a AUCUNE intervention et responsabilisation humaine, animale ou industrielle dans le climat !

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  27. Statues détruites en Martinique: «c’est du terrorisme, ce sont des extrémistes dangereux»


    16:07 27.07.2020
    Par Oxana Bobrovitch


    Les personnels municipaux et les forces de l’ordre ont assisté, impuissants, à la destruction de la statue de Joséphine de Beauharnais et de Pierre Belain d’Esnambuc par un groupe d’activistes, devant la mairie de Fort-de-France, en Martinique. Didier Rykner, historien de l’art, confie à Sputnik sa colère face à cette atteinte au patrimoine.

    Le 14 juillet, Emmanuel Macron a déclaré que la République «ne déboulonnera pas de statue». Deux semaines plus tard en Martinique, deux d’entre elles –celle de l’impératrice Joséphine de Beauharnais et celle du colon Pierre Belain d’Esnambuc– ont été mises à terre à Fort-de-France par des activistes, sous le regard impuissant des personnels de la mairie et des forces de l’ordre.

    La statue Joséphine de Beauharnais située sur la Savane de Fort-de-France a été deboulonnée, ce dimanche matin (26 juillet 2020).https://t.co/xSFBuwG2gq pic.twitter.com/puzfbaD8YY
    — ZayActu.org (@ZayActu) July 26, 2020

    «L’essentiel est qu’on était juste à côté de la préfecture et du commissariat. Ils n’ont rien fait. Rien du tout», dénonce Didier Rykner, directeur de la publication du média Internet La Tribune de l’Art.

    En première ligne de la protection du patrimoine français, l’historien «ne croit pas» qu’il y aura des actions en justice contre les activistes destructeurs.

    «Ça sera trop tard de toute façon, les sculptures sont démolies. Vu qu’il a eu déjà deux statues de Victor Schœlcher [situées à Fort-de-France et dans la commune de Schœlcher, ndlr] qui ont été démolies il y a deux mois, je n’ai pas entendu dire que quelqu’un ait été traduit en justice», précise Didier Rykner au micro de Sputnik.

    Le maire de Fort-de-France, dépassé par les actions de destruction de statues, a mis en place une commission Mémoire & Transmission et a signé le jeudi 23 juillet un communiqué appelant à l’apaisement… trop tard, visiblement. La machine de l’activisme destructeur s’était déjà mise en mouvement.

    «C’est d’un laxisme effrayant»

    Face à la mobilisation antiraciste mondiale après la mort de George Floyd qui a pris pour cible les statues de certaines figures controversées, l’État français tarde à réagir. Le 15 juillet dernier, Roselyne Bachelot, nouvelle ministre de la Culture, a annoncé la tenue d’États généraux de la culture en septembre, sur le même principe de la Convention citoyenne sur le climat. Le 18 juillet, elle s’est rendue à Nantes après l’incendie de la cathédrale, où elle a exprimé «un grand chagrin» en annonçant la disparition d’un tableau d’Hippolyte Flandrin, «perdu définitivement». Rien, pour l’instant sur la perte des statues foyalaises.

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  28. «Ce sont des œuvres protégés comme monuments historiques. Ce sont des œuvres d’art qui doivent être respectées et protégées […] Par qui, sinon par l’État, par les forces de l’ordre, par le préfet ? Et ça n’a pas été fait. Je ne connais pas leurs motivations pour ne pas le faire. On constate que c’est d’un laxisme effrayant», s’insurge Didier Rykner.

    Malgré l’allocution du Président de la République, qui a semblé affirmer fermement et définitivement que «la République n’effacera aucune trace ni aucun nom de son Histoire», la destruction des deux statues a bien eu lieu. «Il laisse faire, alors qu’il dit le contraire», regrette M. Rykner.

    Destruction de statues: comme Daech ?

    Les propos présidentiels ont également été commentés par des personnalités ultramarines, dont certains considèrent comme «symbolique» le déboulonnage des statues.

    «On peut faire un débat sur ce qu’on veut, c’est la démocratie. Détruire une sculpture, c’est du vandalisme, c’est du terrorisme. Ce sont des extrémistes dangereux», Didier Rykner est ferme.

    Et pour M. Rykner, le parallèle est évident: «Quand Daech* détruit des sculptures à Palmyre, c’est du vandalisme assimilé à du terrorisme. D’accord, ils ne tuent personne, ça reste une sculpture. Mais si un jour ils doivent tuer quelqu’un, je ne suis pas certain que ça les arrêtera beaucoup.»

    *Organisation terroriste interdite en Russie

    https://fr.sputniknews.com/international/202007271044166769-statues-detruites-en-martinique-cest-du-terrorisme-ce-sont-des-extremistes-dangereux/

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    1. Il y a aussi de nombreuses rues 'Schoelcher' en Martinique et une petite ville près de Fort-d'œuf qui porte son nom !

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  29. Abeilles atteintes d'Alzheimer ? » La pollution en aluminium liée à la démence chez les abeilles


    7 juin 2015 14:15


    Le déclin de la population d'abeilles pourrait être causé par la contamination élevée dans l'insecte par l'aluminium, un élément chimique impliqué comme facteur dans la maladie d'Alzheimer chez l'homme, une nouvelle étude a constaté.

    On croit qu'un certain nombre de facteurs est susceptible d'être impliqués dans le déclin des abeilles : d'un manque de fleurs aux attaques de parasites. Mais les biologistes à Keele University et l'Université de Sussex au Royaume-Uni ont décidé de savoir si en aluminium, le « contaminant de l'environnement plus important de ces derniers temps, » pourrait s'avérer le rôle clé dans le déclin de l'insecte.

    Des recherches antérieures avaient suggéré que lorsque les abeilles recherchent le nectar elles n'évitent pas le nectar contenant de l'aluminium. Ainsi, les chercheurs ont mesuré la teneur de l'aluminium dans les nymphes d'abeille prises de nourriture naturellement des colonies du Royaume-Uni.

    Ils ont trouvé des niveaux de la teneur en métal en abeille nymphes qui variaient de 13 à 193 ppm [parties par million.] Chez l'homme, la teneur en aluminium supérieure à 3 ppm de cerveau "pourrait être considéré comme pathologique avec des contributions possibles des maladies neurodégénératives comme la maladie d'Alzheimer," l'étude, publiée dans la revue PLOS One, dit.

    Les chercheurs disent qu'un certain nombre d'activités humaines comme la combustion de combustibles fossiles, aboutissant à des "pluies acides" et de l'extraction des Minerais alumineux pour rendre le métal d'aluminium et sels, ont contribué à la disponibilité biologique florissante de cette « non essentiels Metal. »

    En conséquence, poissons, des arbres, des cultures et des humains ont tous été touchés par l'aluminium. Porte à croire que les abeilles ne sont pas immunisés contre l'augmentation de la prévalence, avec analyse du Brésil ayant précédemment indiqué que « le pollen est fortement contaminée avec de l'aluminium. »

    L'aluminium est une neurotoxine connue qui affecte le comportement dans des modèles animaux d'intoxication à l'aluminium. Les abeilles, bien sûr, comptent beaucoup sur la fonction cognitive dans leur comportement quotidien et ces données soulèvent le spectre intrigant qui induit par l'aluminium dysfonctionnement cognitif peut jouer un rôle dans le déclin de leur population – nous examinons les abeilles avec la maladie d'Alzheimer" a dit Professeur Chris Exley, une sommité sur l'exposition humaine à l'aluminium, de l'Université de Keele.

    http://rt.com/news/265600-bees-alzheimer-aluminium-pollution/

    https://huemaurice5.blogspot.com/2015/06/abeilles-atteintes-dalzheimer-la.html

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  30. Petits secrets et grands privilèges de l’Assemblée nationale


    le 27/01/2013


    Élus de gauche ou de droite, ils veulent s’occuper de tout et passent leur temps à légiférer. Pourtant, ils devraient d’abord s’occuper de ce qui se passe à l’Assemblée car ce que nous révèle l’ouvrage de Bruno Botella dépasse toute imagination.

    Par Bogdan Calinescu.
    Un article de l'aleps.

    En 2008, la Cour des Comptes a osé regarder ce qui se passait à l’intérieur de l’Assemblée nationale. Elle découvre une administration hors contrôle qui fait ce qu’elle veut avec l’argent du contribuable. Le Rapport est enterré mais le journaliste Bruno Botella reprend l’enquête. Environ 1 250 statutaires travaillent à l’Assemblée. Ils bénéficient probablement du régime le plus privilégié qui puisse exister en France aujourd’hui. Questeurs, administrateurs, députés du bureau détiennent un pactole impressionnant – environ 518 millions d’euros de dotation annuelle – et en font profiter ceux qui se trouvent à l’intérieur du Palais Bourbon.

    Voyage au pays des merveilles. Les fonctionnaires de l’Assemblée sont payés au minimum 75% à 150% de plus que leurs homologues de la fonction publique. La moyenne des 24 rémunérations les plus élevées est de 213 000 euros annuels par personne ! Le taux des primes peut atteindre 120% contre 25,4% en moyenne pour les fonctionnaires d’État. En 2011, l’Assemblée a versé 53,36 millions d’euros de rémunération de base et 63,91 millions d’euros de primes. Au total, le salaire moyen d’un fonctionnaire de l’Assemblée est de 7 862 euros brut par mois ! Alors que celui d’un fonctionnaire d’État est de 2 830 euros par mois ! Les deux secrétaires généraux touchent plus de 20 000 euros par mois. En plus des salaires et des primes, les fonctionnaires de l’Assemblée bénéficient aussi des possibilités de prêts à des taux défiant toute concurrence. Le Palais Bourbon est une banque très compréhensive : en 2008, il y avait plus de 150 millions d’euros de prêts en cours. Les fonctionnaires et les députés peuvent obtenir jusqu’à 100 000 euros de prêts bonifiés, essentiellement pour des investissements immobiliers.

    Le régime de retraite est à la mesure des autres privilèges. En moyenne, 3180 euros de pension par mois, 50% de plus que les fonctionnaires d’État. C’est normal car le calcul de la pension se fait sur la base du salaire des 6 derniers mois d’activité. Mais les problèmes sont les mêmes que pour les retraites de la fonction publique en général. Elles ne sont pas provisionnées : pour 41 millions d’euros versés en 2011, les cotisations salariales atteignent seulement 5.2 millions d’euros. Le reste est complété par une subvention, c’est-à-dire par l’argent des contribuables…

    Tout ce monde fonctionne comme une caste. Ses membres se protègent de l’extérieur et ne laissent pas sortir les informations. C’est normal. Ils doivent défendre des privilèges incroyables au moment où les gens du privé vivent menacés par un chômage de masse et une fiscalité record. Alors que l’Assemblée – la Maison des élus du peuple – devrait donner l’exemple, elle est un repaire de gaspillages et de passe-droits.

    • Bruno Botella, Petits secrets et grands privilèges de l’Assemblée nationale, Éditions du moment, 2013, 210 pages.

    http://www.contrepoints.org/2013/01/27/112730-petits-secrets-et-grands-privileges-de-lassemblee-nationale

    https://huemaurice5.blogspot.com/2013/01/petits-secrets-et-grands-privileges-de.html

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  31. Pas plus loin que le bout de leur nez !


    mercredi 10 juin 2015


    Sans qu'aucune étude n'est été faite et diagnostic publié (par un médecin légiste ?), la mort de milliers (millions ?) d'abeilles a derechef été de désigner des pesticides et, de plus, d'en accuser la marque ainsi que la référence d'un des mille autre produits commercialisés ! Mais, même s'il est stipulé que les abeilles ne semblent voir aucune différence entre une fleur aluminisée et une autre qui ne l'est pas, les animaux herbivores font eux la différence entre une plante traitée et une plante qui ne l'est pas. C'est peut-être une question de goût qui entre en jeu.

    Personnellement, si je puis me permettre, j'accuserai moi-même dérechef les éoliennes tripales qui en tuent des millions (milliards ?) chaque année dans le monde, sans me tromper. Mais, l'actualité a - dernièrement - rebondi sur une découverte au Royaume-Uni de la forte teneur en aluminium constatée dans le miel. Donc, de là à remonter vers les fleurs/nectar/abeilles il n'y a qu'un pas.

    http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/abeilles-atteintes-dalzheimer-la.html

    L'aluminium étant a forte dose dégénératif voire mortel chez l'humain. Mais, l'enquête est loin de s'arrêter là ! Mais d'où vient cet aluminium découvert dans diverses régions ou pays sans mine d'extraction à proximité ?

    Disons que ce ne sont pas tous les laboratoires qui sont équipés de microscopes permettant d'en visionner le milliardième de mètre qu'est la nanotechnologie.

    - Microscope à effet tunnel
    Le développement des nanosciences et nanotechnologies s’appuie sur l’invention de deux instruments permettant d’observer et d’interagir avec la matière à une échelle atomique ou subatomique. Le premier est le microscope à effet tunnel qui a été inventé en 1981 par deux chercheurs d’IBM (Gerd Binnig et Heinrich Rohrer), et qui permet de parcourir des surfaces conductrices ou semi-conductrices en utilisant un phénomène quantique, l’effet tunnel, pour déterminer la morphologie et la densité d’états électroniques des surfaces qu’il explore. Le second est le microscope à force atomique qui est un dérivé du microscope à effet tunnel, et qui mesure les forces d’interactions entre la pointe du microscope et la surface explorée. Cet outil permet donc, contrairement au microscope à effet tunnel, de visualiser les matériaux non-conducteurs. Ces instruments combinés avec la photolithographie permettent d’observer, de manipuler et de créer des nanostructures.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Nanotechnologie -

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  32. Cette incidence est très particulière puisqu'elle relève de diffusions aériennes appelées couramment 'chemtrails' (traits chimiques). Mais, si les abeilles - visitant des fleurs pour en faire du miel - n'étaient que les seules victimes de la maladie mortelle d'Alzheimer, ont dirait 'ouf', mais, comme ces particules nanométrique d'aluminium ne sont pas arrivées là (et ailleurs !) par hasard, et, qu'elles ne peuvent provenir que des chemtrails qui s'éternisent et grossissent derrière le passage d'un avion... elles se sont donc diffusées partout !

    Partout, c'est-à-dire sur tous les sols, les toits, les arbres, les plantes, les cheveux, les vêtements, etc ! Donc, nous sommes tous touchés extérieurement et... intérieurement par la respiration et l'alimentation. Car, si les fruits & légumes contiennent des particules d'aluminium, les animaux et les humains qui en consomment - et consomment la viande d'animaux qui en ont consommé - nous sommes tous touchés - à plus ou moins brêve échéance - à mourir certainement de la maladie d'Alzheimer !

    Les moins touchés seraient les fruits & légumes sous serres, mais, rappelons que si le nectar des fleurs en contient c'est qu'il y est venu par la montée de sève. Montée de sève qui - après la fleur - alimente le fruit. Le fruit donc: les pépins, graines & noyaux, qui seront semés peut-être en des régions ou pays dépourvus de chemtrails !

    http://www.dailymotion.com/video/xi63hd_gene-monsanto-resistant-a-l-aluminium-chemtrails_people

    https://huemaurice5.blogspot.com/2015/06/pas-plus-loin-que-le-bout-de-leur-nez.html

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  33. Le masque en plein air est-il vraiment utile ?

    Alors que plusieurs villes françaises ont rendu obligatoires le port du masque pour éviter un retour à la crise sanitaire, la question est posée.


    Par Christophe de Brouwer.
    28 JUILLET 2020


    Il m’a été demandé d’aborder la problématique du port de masques dans des lieux non clos, dehors.

    Je ne traiterai pas ici des autres gestes barrières (lavage des mains, distanciation, confinement, etc.).

    Je voudrais aborder la question sous l’angle du risque.

    Le risque se définit, sur le plan international, comme la probabilité d’un effet. En effet, si le risque est la probabilité de faire un covid, et le masque est un facteur du risque qui modifie, en la diminuant, la relation Sars-covid-2 avec la maladie. Nous sommes dans une analyse du risque classique.

    RÈGLE THÉORIQUE EST SIMPLE : RISQUE ÉLEVÉ, MASQUE UTILE

    Je vais essayer de faire simple :

    Si le risque de contracter le virus est de 20 % et que grâce au masque chirurgical, ce risque chute de 80 %, le risque résiduel sera de 4 %. Par contre l’inconvénient lié au masque (j’y viendrai après) pourrait être, par exemple de 1 % (estimation probablement basse chez des personnes âgées), le risque total résiduel de la probabilité d’un effet sera de 5 %. Le gain de sécurité théorique lié au masque est donc +15 %.

    Si deux personnes en vis-à-vis portent un masque, le risque résiduel individuel pourrait être 0,8 %. Le risque résiduel total sera de 1,8 % et le gain de +18,2%.

    Si le risque de contagion est de 0,5 % et que grâce au masque, le risque résiduel devient 0,1 %, alors que le détriment reste à 1 %, le risque total résiduel sera de 1,1 %. La perte de sécurité ici se rapproche de la neutralité (-0,1 %).

    Actuellement, nous sommes à un étiage des cas infectés (~0,3 % de la population). Dès lors, le nombre de personnes capables d’infecter les autres dans notre environnement, (les super-propagateurs : environ 10 % des infectés selon la théorie de Lloyd-Smith), seraient de 0,03 %. Dans ce cas, le risque avec le masque diminuerait à 0,006 %, soit un gain infime de 0,024 %. Par contre, le détriment lié au masque, toujours identique, augmenterait en proportion, de sorte qu’il peut devenir principal.

    La règle théorique est assez simple : là où le risque est élevé, l’apport d’un masque peut être un gain utile. Mais là où le risque est faible, l’apport du masque peut être un détriment inutile ou pire.

    Il n’y a donc aucune contradiction entre affirmer la nécessité d’avoir des masques de protection en milieu hospitalier et en milieu communautaire, ou pour des personnes infectées, car le risque (une probabilité) de contamination pour soi ou les autres y est élevé, et de douter de cette utilité dans les autres situations.

    À cette première ébauche théorique, vient une seconde couche : de quel risque parlons-nous ? Que l’on soit jeune ou âgé, la gravité du risque est très différente. Dans le premier cas, sauf très rare exception, le risque de maladie grave est quasi nul, dans l’autre cas c’est l’inverse.

    Malheureusement, même logique, les inconvénients liés au port du masque augmentent avec l’âge. Je vais y venir maintenant.

    INCONVÉNIENTS LIÉS AUX MASQUES

    Il y a des études scientifiques qui investiguent cette dimension. Ici, ici, là et là…

    Oui, des inconvénients existent. Il est généralement faible par rapport aux bénéfices en milieu hospitalier. Qu’en est-il en dehors de ces milieux potentiellement très contaminés ?

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  34. C’est bien cette question-là qui est posée.

    Prenons l’étude récente, de juillet 2020, parue dans le Clinical Research in Cardiology, « Effets des masques chirurgicaux et FFP2/N95 sur la capacité fonctionnelle cardiopulmonaire » chez des adultes jeunes en bonne santé. Le désavantage est certain : on voit une diminution de 9 % et 14 % respectivement du volume expiratoire forcé, de 3 % et de 5 % sur la puissance maximale (watts), la capacité ventilatoire est également diminuée, par contre les données liées à la fonction cardiaque sont similaires.

    Chez les travailleurs, on a également montré un dépassement des limites des normes en oxygénation, sans pour autant définir un désavantage si l’exposition au masque FFP2/N95 ne dépasse pas une heure.

    Et qu’en est-il chez les personnes ayant une fonction pulmonaire moins efficace ?

    Les asthmatiques, ceux qui souffrent d’une bronchopneumopathie obstructive chronique, d’une fibrose pulmonaire, de l’emphysème, d’un cancer pulmonaire, d’une rigidité accrue du thorax acquise avec l’âge, d’une obésité ayant un impact sur la fonction respiratoire… bref beaucoup de personnes âgées, sinon la majorité avec l’âge avançant, ne devraient pas porter de masques où le désavantage apparaît effectivement supérieur au bénéfice dans les conditions actuelles.

    Et donc certains préconisent de les enfermer chez eux. C’est tellement plus simple. Nous avons vu le résultat de cette stratégie, nos vieux mourir, seuls, sans prise en charge, sans réel traitement, dans les établissements, notamment les ehpad, et parfois chez eux.

    Non, évidemment, nos anciens ont besoin de sortir, prendre l’air, bouger, avoir une vie sociale, voir leurs enfants et petits-enfants, etc. C’est cela qui les maintient en bonne condition, les fait vivre et leur permet de résister au virus. Nous avons fait le contraire, beaucoup sont morts.

    Enfin, porter un masque, de qualité, n’est pas si simple, nous l’avons vu. Il est encombrant, inconfortable, irrite la peau, on le touche tout le temps (regardez autour de vous), pour l’ajuster, prendre un peu d’air frais et non pas cet air humide, chaud et lourd propre à l’atmosphère confinée à l’intérieur du masque, pour manger et boire ; puis on le range dans sa poche, son sac, on le ressort, il tombe, on le dépose sur la banquette de la voiture ou ailleurs, on le réemploie, et encore et encore, car on en n’a pas de rechange à disposition, parce que cela coûte cher, qu’on n’y a pas pensé et que c’est obligatoire.

    Bref, en quelques jours, beaucoup portent des masques qui sont devenus dangereux pour eux et les autres, et qui peuvent transporter des toxiques, en ce compris viraux, sur de longue distance. La compliance face à l’obligation n’est pas simple.

    RÉSUMONS

    Nous sommes en situation post-épidémique, où les personnes infectées sont peu nombreuses et où la virulence est moindre. Donc le risque individuel de rencontrer un « super-contaminateur » est devenu vraiment très faible. C’est ce qu’on appelle le pré-test qui est ici la prévalence des infectés vrais et propagateurs dans une population.
    Dans ces conditions, le bénéfice attendu du port convenable d’un masque devient très petite (des fractions de pourcent). Et l’inconfort lié au masque peut, lui, devenir supérieur. Dès lors, porter un masque peut aggraver le risque résiduel total (bénéfice-avantage).
    Je ne suis pas convaincu du bénéfice, aujourd’hui, du port convenable d’un masque dans un espace fermé adéquatement ventilé.
    Encore moins en extérieur, où la dilution du toxique devient extrême. Là, me semble-t-il, le bénéfice tombe quasiment à rien et laisse le désavantage entier.
    Donc, un masque dans un milieu potentiellement contaminé (hôpital, communauté) peut être réellement bénéfique, de même pour la personne infectée.

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  35. Ce port devrait être réalisé par les organismes eux-mêmes (hôpitaux, etc.) de façon à ce que le masque ne quitte pas le milieu potentiellement contaminé. Il doit être jeté à la sortie afin que le risque ne soit pas transporté ailleurs et que l’on puisse contrôler la qualité du masque et la durée de son utilisation au sein de l’institution. On maximise ainsi le bénéfice.

    Et pour le reste, comme je viens de le développer, j’ai plein de doutes, tout en laissant de côté la question de la proportionnalité du risque par rapport à d’autres risques.

    Les personnes âgées, ainsi que celles dont les fonctions pulmonaires sont altérées, ne devraient pas porter de masques, certainement pas en extérieur et même en lieu couvert, si le temps de séjour, donc d’exposition, est raisonnable.

    Pour les autres, je pense que la liberté devrait être laissée à chacun, car les bénéfices attendus sont vraiment très faibles, lorsque ce n’est pas l’inverse parce que le port du masque est inadéquat, défaillant. Or, la compliance pour un bonne utilisation n’est pas simple à obtenir.

    L’éducation des personnes est certainement plus efficace dans ce cas que l’obligation avec menaces d’amendes et autres.

    https://www.contrepoints.org/2020/07/28/377137-le-masque-en-plein-air

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    Réponses
    1. Là où le Christophe de Brouwer-du-jour (qui n'est pas docteur) n'y va pas du dos de la cuillère est qu'il ne cite d'exemple que dans le cas où les français auraient des masques FFP2 ('bec de canard') ALORS QUE SEULS LES ANTI-POUSSIÈRES-A-LA-CON (masques bleus dits 'masques chirurgicaux' FFP1) SONT DISPONIBLES !

      (...) Le désavantage est certain : on voit une diminution de 9 % et 14 % respectivement du volume expiratoire forcé, (...)

      Effectivement, les masques limitent l'inspiration comme l'expiration et donc: le gaz carbonique refoulé dans le masque et re-inspiré ! Les porteurs de masques éprouvent TOUS du mal à respirer et cela peut créer de graves maux de têtes et lésions pulmonaires ! 30 % d'oxygène en moins !

      Les têtes de cons portent un masque et font... du jogging avec !! (Imaginez le 'tour de France' masqué ! HAHAHA ! Ils sont tous morts 2 km plus loin ! Idem pour les footballeurs ! Hahaha !).

      (...) Je ne suis pas convaincu du bénéfice, aujourd’hui, du port convenable d’un masque dans un espace fermé adéquatement ventilé.
      Encore moins en extérieur, où la dilution du toxique devient extrême. (...)

      Il y a AUTANT de virus intérieurs qu'extérieurs ! Because qu'il y a (hiver ou été) une ventilation !
      De plus, dès qu'un masque est humide (au bout d'une minute) il accroche mieux les virus et, sa surface extérieure passe rapidement de 10 à 1000 virus collés à l'extérieur ! Si vous toussez vous les expulsez ! 1000 sur la personne en face ! Là, le rôle de l'immunité perd son sens.

      (...) Il doit être jeté [le masque] à la sortie afin que le risque ne soit pas transporté ailleurs (...)

      Non môssieur ! Il ne doit pas être jeté (à la poubelle ?) mais BRULÉ immédiatement ! Car, s'il est placé en sac poubelle, ce dernier sera déchiré en décharges !

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  36. "It Reeks Of Orwell" - Le coup d'État COVID (et comment se déverrouiller)


    par Tyler Durden
    Mar, 28/07/2020 - 00:05
    Rédigé par Angelo Codevilla via AmericanMind.org,


    Paniqué par les craintes fabriquées par la classe dirigeante, le peuple américain a consenti à être essentiellement assigné à résidence jusqu'à nouvel ordre, suspendant effectivement les habitudes, les préférences et les libertés qui avaient défini notre mode de vie. La plupart des Américains ont subi des dommages économiques. Beaucoup de ceux qui ne bénéficient pas d'un statut protégé ont vu leur carrière terminée et ont été réduits à la misère. Les tensions sociales et les suicides se sont multipliés. Le report de force de toute forme de soins médicaux est sûr d’imposer des souffrances et la mort inutiles. En somme, les dysfonctionnements médicaux et économiques des verrouillages sont à l’origine de multiples des décès et des misères du virus COVID-19 lui-même.

    Les mauvais jugements et les usurpations - l’escroquerie, pas les germes - définissent les dimensions de cette catastrophe. L'effet dévastateur du COVID-19 sur le corps politique américain est analogue à ce que font les maladies aux personnes qui vieillissent (senectus ipsa est morbus) et que diverses débilités et corruptions avaient déjà placé sur la pente glissante de la mort.

    En dehors du petit nombre de ceux qui ont gagné (et gagnent toujours) le pouvoir et la richesse de la panique, les Américains se demandent ce qu'il faudra pour mettre fin à cet outrage - ne pas le modifier par une «nouvelle normalité» décidée par qui sait qui, sur qui sait quelle autorité. Puisque personne en autorité ne dirige ceux qui veulent y mettre fin, les Américains se demandent également qui pourrait mener cette cause. Ce qui suit suggère des réponses.

    Ce que l'histoire enregistrera comme la grande escroquerie COVID de 2020 est basé sur 1) un ensemble de contre-vérités et d'affirmations sans fondement - souvent des mensonges absolus - sur le nouveau coronavirus et ses effets; 2) la production et le maintien de la peur physique grâce à un quasi-monopole des communications pour prévenir les défis de la classe dirigeante américaine, dirigée par le Parti démocrate, 3) par défaut de l'opposition de la part de la plupart des républicains, confirmant ainsi leur statut de dirigeant partenaire junior de la classe. Aucun défaut n’a été plus grand que celui des églises chrétiennes américaines - censées être les gardiennes de la vérité de la société.

    Vérité

    Puisque l'obscurcissement, la feinte et les mensonges concernant le COVID-19 sont les agents efficaces de la panique et de la saisie du pouvoir arbitraire, la vérité et la clarté à son sujet sont les conditions fondamentales pour échapper à ses effets. Voici une dose.

    À partir de début mars 2020, les autorités les plus connues en matière d'épidémies - l'Organisation mondiale de la santé et les Centers for Disease Control des États-Unis - ont présenté la maladie respiratoire COVID-19 au monde occidental comme un danger équivalent à la peste. Mais l’expérience de la Chine, que son gouvernement a obscurcie, avait déjà montré que le virus COVID-19 ressemble beaucoup moins à la peste qu'à la grippe. Tout ce qui s'est passé depuis a résulté de la falsification de cette vérité fondamentale.

    Nos «meilleurs et plus brillants», ayant d'abord minimisé les craintes de contagion de personne à personne en janvier et février, au cours desquelles la maladie s'est propagée de la Chine à l'Occident, ont ensuite déclaré que le virus était inhabituellement contagieux et postulé - sur une base factuelle zéro - qu'il tuerait jusqu'à une personne sur vingt qu'il infectait - 5% de taux d'infection / mortalité (IFR). Sur la base de ce taux de mortalité imaginaire, ils ont adopté des modèles mathématiques de Grande-Bretagne et de l'Université de Washington qui prédisaient que jusqu'à deux millions d'Américains en mourraient.

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  37. L'Institut américain pour les mesures et l'évaluation de la santé (IHME) a ??modélisé les prédictions faisant autorité sur lesquelles reposaient les verrouillages américains. Son modèle prévoyait également des décès par COVID pour la Suède non verrouillée. Le 3 mai, il a écrit qu'à partir du 14 mai, la Suède subirait jusqu'à 2800 morts par jour. Le nombre réel était inférieur à 40. Que l'agrandissement de ce mensonge soit téméraire ou volontaire, cela revenait à crier «au feu!». dans un théâtre bondé. Qu'est-ce qui justifie d'écouter et de payer des gens qui font ce genre de science?

    La détermination de la véritable létalité d’une maladie infectieuse est généralement simple: tester un large échantillon de la population proportionnellement représentatif du lieu, de l’âge, du sexe, de la race et des catégories socioéconomiques. Faites un suivi avec les sujets un mois plus tard pour additionner le taux d'infections et en connaître les résultats. Période. Aujourd'hui, nous n'avons toujours pas cette connaissance directe et définitive de la véritable létalité du COVID parce que les bureaucrates ont empêché des tests généralisés dans le but d'établir fermement le chiffre qui compte le plus. C’est parce que l’absence de ce chiffre leur permet de continuer à semer la peur.

    En mai, les Centers for Disease Control, alors discrédités professionnellement (mais pas, hélas, dans les médias de masse), ont été contraints de conclure que le taux de létalité, loin d'être d'environ 5%, était de 0,26%. Doublez une grippe typique. Le CDC a été en mesure de maintenir l'estimation aussi élevée qu'en prenant en compte un chiffre irréaliste pour les infections asymptomatiques - sans parler des chiffres gonflés pour les décès. Mais le gouvernement américain, au lieu de modifier ses recommandations face à la réalité, a tenté de cacher la réalité en jouant à un jeu de coquille avec la définition et le nombre de «cas» COVID.

    En mars et avril, les autorités ont défini comme «cas» des personnes suffisamment malades pour être hospitalisées, qui ont également été testées positives. Quiconque divisait le nombre de décès signalés (un nombre gonflé par une directive du CDC pour compter les décès dus à d'autres causes comme étant dus au COVID) par le nombre de cas ainsi définis, avait peur de manière prévisible et était prêt à écouter «le meilleur conseil» - à savoir verrouillages sociétaux - sur la façon de rester en sécurité. Cela s'est avéré ruineux en soi. À l'époque, ils définissaient le nombre de ces «cas» comme la «courbe» que nous étions censés sacrifier tant pour «aplatir», de peur que la vague d'hospitalisations ne submerge notre système de santé. Parce que leurs prémisses étaient fausses, cette vague n'est jamais venue.

    Au lieu de cela, en mai, alors que diverses enquêtes non officielles ont été publiées montrant que la majorité de ceux qui ont été testés positifs au COVID savaient à peine qu'ils avaient été infectés ou ne savaient pas du tout, ces mêmes autorités ont doublé leur malhonnêteté. Ils ont commencé à qualifier de simples infections de «cas». Ils ont dissocié la notification de ces «cas» de la notification du nombre de décès, et ont mis en garde le public inattentif sur «l'augmentation des cas de COVID» comme si l'infection comportait un risque grave. Ils ont également encouragé le dépistage généralisé des personnes totalement asymptomatiques pour les infections actuelles et passées, dont les résultats étaient sûrs de produire un nombre croissant de nouveaux «cas» ainsi définis.

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  38. Et ils ont joué avec le fait de signaler les décès en attribuant au COVID tout ce qui «était impliqué» ou qui avait l'air de l'avoir impliqué. Ils ont ensuite inclus la pneumonie, la grippe et le COVID dans la catégorie PIC. C'est ainsi que le nombre de morts a dépassé 100 000. Mais si le CDC avait utilisé le même critère qu'il l'a fait avec le virus du SRAS, à savoir le «syndrome de détresse respiratoire aiguë sévère», le chiffre à la fin du mois de juin aurait été d'environ 16 000.

    De tels stratagèmes nus ne pouvaient réussir que parce que les médias y étaient complices. L'article principal du New York Times du 27 mai a sonné de façon inquiétante: «La Californie est le quatrième État avec plus de 100 000 cas connus.» Pendant ce temps, le nombre de décès attribués au COVID a continué de baisser depuis des bases de plus en plus basses. Au 1er juillet, même en utilisant les chiffres gonflés du CDC pour les décès responsables du COVID, le taux de mortalité par infection du COVID-19 pour les personnes de moins de 70 ans était de 0,04%. Mais plutôt que de demander comment les appels du clairon du danger se comportent avec les rapports décroissants de décès qui peuvent en quelque sorte y être associés, la classe dirigeante s'est agitée pour inverser le retour à la vie normale. Ayez peur, ayez très peur. Heads the House gagne, queues vous perdez.

    L'indication irréfutable, voire indirecte, que le COVID n'est pas un fléau provient également de la comparaison entre le nombre de décès attribués au COVID-19 au cours d'une période donnée et le nombre de décès dus à toutes les causes pour la même période - malgré l'inflation officielle du nombre de décès attribués au virus.

    L'Imperial College, le décompte de Londres pour la Grande-Bretagne, ventilé par âge de décès, montre que les chances de mourir d'une infection au COVID-19 suivent approximativement les chances de décès de toutes causes à un âge donné, à l'exception des très jeunes. Pour les hommes, les chances de décès coïncident avec le virus ne dépassent pas 1%, soit le taux de mortalité moyen, jusqu'à 70 ans. Pour les femmes, elles ne dépassent pas le taux de mortalité moyen jusqu'à près de 90 ans. En Espagne , le taux de mortalité des personnes infectées de plus de 90 ans était de 10%.

    La mesure des «décès excessifs» raconte une histoire similaire. Au cours du pic de six semaines de l'événement COVID en 2020, les décès aux États-Unis ont dépassé de 82000 les décès au cours de la même période de l'année précédente. Considérant que, simultanément, la saison de la grippe 2020 a été l'une des pires jamais enregistrées (généralement la grippe est responsable d'environ 50000 décès au cours de la saison) et compte tenu de la fusion des numéros COVID mandatée par les CDC avec d'autres, la pandémie COVID-19 en et en soi ne représentait pas grand-chose, sauf à New York, pour des raisons que partiellement connues. À la semaine du 20 juin 2020, le CDC signalait ZERO décès en excès, ce qui signifie que le chiffre des décès hebdomadaires se situait dans la courbe normale à long terme pour cette période de l'année.

    Pas par hasard, en 1957, quelque 116 000 Américains (sur une population des deux tiers de la taille actuelle) sont morts de la grippe. Dix ans plus tard, le bilan était de 100000 et en 2019 de 61000. En juin 2020, le péage (gonflé) du COVID-19 s'élevait à 100000.

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  39. En bref, le COVID-19 n’est pas le fléau de l’Amérique. Cela n'a pas secoué l'Amérique. La classe dirigeante l'a secoué. Ils ne l'ont pas fait par ignorance ou par erreur. Ils l’ont fait pour extorquer au grand public le respect de leurs ordres du jour. Leur prétention de parler au nom de la «science» est une tentative d’éviter d’être tenue responsable des énormes torts qu’ils font. Ils continuent de le faire parce qu'ils veulent s'accrocher au pouvoir que la panique leur a apporté.

    BTW: Chaque fois que vous entendez quelqu'un prétendre parler au nom de la science, se référant aux autorités plutôt qu'aux faits et à la logique, vous pouvez être sûr que cette personne est une fraude.

    Mensonge

    Le mensonge a extorqué des fermetures, qui ont causé des morts et des vies ruinées.

    Les «confinements» de la population générale devaient être fondés sur le principe que tout le monde est, sinon également vulnérable, alors également responsable, et donc que chacun doit rester enfermé pour contribuer à la sécurité de tous. Mais parce que chaque mot est contraire à la réalité, faux, un mensonge, appliquer la force des verrouillages à la société a causé des morts et des souffrances inutiles.

    Avant d’examiner les effets spécifiques des verrouillages, nous devons être clairs sur ce que la séparation des personnes infectées ou éventuellement infectées des personnes présumées non infectées peut et ne peut pas faire. Cela est connu de quiconque souhaitait le savoir depuis le Moyen Âge, et répété même dans l'humble guide d'étude de 1956 pour le badge de mérite Boy Scout Public Health: protéger les non-infectés de l'infection en limitant leurs contacts avec ceux qui peuvent être infectés. dépend du fait de savoir que les personnes à protéger ne sont vraiment pas infectées.

    Les Vénitiens médiévaux, pour s'assurer que personne venant d'endroits infectés par la peste ne l'apporterait dans la ville, ont empêché l'écorçage des navires en provenance de ces endroits pendant quarante jours (quarantaine). De la même manière, trouver rapidement les quelques personnes infectées parmi les nombreuses personnes non infectées et les éliminer encore plus rapidement avec ceux avec qui ils avaient été en contact (connu de nos jours sous le nom de recherche des contacts), n'est efficace que dans la mesure du plus grand nombre. de la quasi-virginité de la population.

    Mais, une fois qu'une maladie infectieuse s'est propagée au sein d'une population, les quarantaines et les mesures associées sont au mieux un gaspillage. L’hygiène personnelle et la minimisation des contacts (ce que nous appelons maintenant la distance sociale) conservent toute leur importance naturelle pour réduire dans une certaine mesure les risques d’infection d’un individu donné - peut-être même retarder les risques d’exposition jusqu’à ce que la maladie ait terminé son cours. Mais, une fois qu'une contagion est enracinée dans une population, ces mesures ne font aucune différence pour la santé publique en général. La maladie qui suit son cours signifie, en partie, que suffisamment de personnes ont été infectées et auront donc développé une immunité, qu'elles ne peuvent plus la transmettre à d'autres (immunité collective).

    C’est ainsi que les communautés humaines ont vécu avec et à travers les innombrables épidémies de l’histoire. Nous l'avons vu une fois de plus dans la façon dont le COVID-19 a affecté la Suède et les États américains (par exemple le Dakota du Sud et l'Arkansas) qui n'ont jamais fermé. Lorsque le COVID-19 a frappé l'Allemagne, la chancelière Angela Merkel a déclaré que, peu importe ce que quelqu'un faisait, environ 70% des Allemands finiraient par être infectés. Et ce serait ça.

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  40. L'isolement fait cependant la plus grande différence entre les sous-catégories de la population qui peuvent être particulièrement vulnérables à la maladie. La peste bubonique était un tueur d'égalité des chances, tout comme la variole. Le COVID-19, cependant, semble faire beaucoup de discrimination. Oui, toutes les maladies sont les plus nocives pour les personnes déjà les plus affaiblies. Mais celui-ci semble l'avoir fait plus que la plupart.

    En Italie, 99,1% des personnes décédées avec ou du COVID-19 souffraient également d'autres maladies. Mais ce virus a évidemment une prédilection particulière pour les personnes atteintes de diabète de type 2, d'hypertension artérielle, de poumons compromis, et surtout pour les très vieux - au point qu'une étude du ministère allemand de l'Intérieur a demandé s'il était logique de le faire. attribuer à toute cause la mort de personnes dont les corps étaient de toute façon en train de s'éteindre. En revanche, l’effet du COVID-19 sur les personnes en bonne santé ordinaires est considérablement plus léger que celui des maladies respiratoires ordinaires. Quel sens, alors, l'isolement général aurait-il pu avoir dans le contexte du COVID-19 ?

    Cela avait du sens dans le contexte des hypothèses / prétentions / condamnations (tragiquement fausses) de la classe dirigeante américaine (faites votre choix) que le COVID-19 soit si contagieux et semblable à une peste dans son danger mortel pour la population en général, que une vague de patients désespérément malades et mourants submergerait les hôpitaux américains à moins que son cours naturel ne soit ralenti. Par conséquent, tous les ponts médicaux devaient être dégagés de toutes les autres activités, des hôpitaux d’urgence devaient être construits dans les parcs et les navires-hôpitaux de la marine devaient être amenés.

    Comme nous l'avons vu, il n'y a jamais eu la moindre preuve que le virus COVID-19 pouvait faire des victimes massives. Dès le début, toutes les preuves pointaient dans la direction opposée. Même à New York, où le Gouverneur Cuomo a hyperventilé la panique, les hôpitaux du parc et le navire-hôpital de la Marine étaient pratiquement vides.

    Mais l'attachement de la classe dirigeante à ses hypothèses / prétentions / convictions a pris le pas sur la vérité évidente selon laquelle les personnes âgées et infirmes devraient être particulièrement isolées des contacts avec des personnes potentiellement infectées par le virus et que le reste de la population devrait vaquer à ses occupations.

    Les autorités américaines, les «experts», la classe dirigeante, ont choisi de faire exactement le contraire. Ils ont «enfermé» une population générale qui ne court pratiquement aucun risque, retardant ainsi la propagation du virus à des personnes auxquelles il ne pouvait pas nuire et dont l’infection renforcerait l’immunité collective. Garder des millions de personnes à l'intérieur a également détérioré leur santé. Empêcher les gens d'interagir et de travailler a normalement ruiné la vie économique et sociale.

    Pire encore, ces autorités, ces experts, ont transféré des personnes âgées connues pour être infectées par le virus dans des maisons de retraite. Au Michigan, les autorités ont même affecté dans une maison de retraite un assistant connu pour être infecté par le virus. En conséquence, les décès encore inexistants dans ces établissements, qui abritent environ 1,3 million de personnes (environ 0,39% de la population), représentent environ la moitié du nombre total de décès aux États-Unis. C'est ce qui s'est passé, et c'est pervers. Cela mérite une punition.

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  41. Doublement à cause de la cruauté avec laquelle cela a été fait. Au fur et à mesure que des porteurs de virus connus et des personnes non dépistées étaient déplacés, alors que la contagion faisait rage, les détenus affaiblis et impuissants se sont vu interdire les visites de leur famille. Ceux-ci, étant presque tous non infectés, n'auraient posé aucun danger. Si les familles avaient été autorisées à visiter, elles auraient peut-être pris conscience de ce qui se passait. En fait, ils étaient impuissants à sauver ces innocents qui, sans avocats, ont été effectivement condamnés. Une infirmière de New York a été licenciée pour s'être opposée. Triplement pervers, parce que certains des fonctionnaires responsables - par exemple. Le secrétaire à la santé de Pennsylvanie savait ce qu’ils faisaient assez pour mettre leurs proches hors de danger.

    D'autres, par exemple Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, qui a envoyé 4 500 patients infectés par le COVID des hôpitaux aux maisons de soins infirmiers et a annulé sa responsabilité pour plus de 5 000 décès avec les mots «des gens meurent», a ensuite dévié la responsabilité sur ce qui peut légitimement être considéré comme une politique nationale. Il a cité les conseils des Centers for Disease Control: «Les maisons de soins infirmiers devraient admettre toute personne provenant d’hôpitaux où le COVID est présent.» Le verrouillage des personnes ordinaires et le transfert des porteurs de COVID vers les maisons de retraite, a déclaré Cuomo, ont suivi les recommandations du CDC. Cuomo n'a pas résisté à la recommandation. Il était occupé à essayer de marquer des points politiques sur Donald Trump.

    En mai, le Dr Anthony Fauci, le médecin le plus influent de l’équipe fédérale COVID, a expliqué le verrouillage national contre-productif des personnes en bonne santé à la télévision nationale. Auparavant, il avait déclaré que des verrouillages étaient nécessaires pour éviter la surpopulation des hôpitaux. Cela s'étant avéré être sa grave erreur professionnelle en tant qu'épidémiologiste, il a maintenant déclaré qu'il était nécessaire de prolonger le confinement pour empêcher tant de jeunes apparemment en bonne santé d'infecter les personnes âgées et les infirmes.

    Mais il n'y a aucune preuve que des personnes apparemment en bonne santé (c'est-à-dire asymptomatiques bien qu'infectées) infectent d'autres personnes avec le COVID-19. La preuve est que seules les personnes symptomatiques (celles qui toussent et reniflent) le font, et cela non par contact occasionnel. De plus, si la séparation des épandeurs connus avait toujours été l’intention de Fauci, pourquoi le CDC avait-il ordonné que les porteurs de COVID connus soient transférés dans des maisons de retraite? À tout le moins, l'homme qui dirigeait l'équipe COVID l'a fait d'une manière imprudente qui a tué des gens. Lui aussi avait d'autres choses en tête - politiques.

    De même, les gouverneurs de New York au Michigan et de l'Illinois, à la Californie, à l'Oregon et à Washington ont ordonné aux citoyens de rester à l'intérieur - ce qui a toujours été et s'est encore une fois révélé être l'environnement idéal pour la transmission des virus respiratoires. Le gouverneur de l’Illinois a criminalisé plus de deux personnes dans n’importe quel bateau. Des Californiens ont été arrêtés pour avoir marché sur la plage et le maire de New York a menacé de retirer les nageurs de la mer. Tout cela au nom de la science. Les recherches en ligne ne trouvent aucune science qui montre que les virus prospèrent à l'air frais et au soleil, sans parler de l'eau salée. Le maire de Los Angeles a ordonné aux résidents de porter des masques à tout moment à l'extérieur, bien qu'il n'y ait aucune preuve que ce virus se transmette par une proximité occasionnelle n'importe où, mais surtout à l'extérieur.

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  42. En juillet, Anthony Fauci a déclaré que les masques étaient nécessaires. Mais en mars, le même Fauci avait dit qu'ils avaient fait plus de mal que de bien - également sans la moindre preuve scientifique. Surréaliste, le département de la santé de L.A. a précisé que les personnes devraient se laver les mains après avoir mis des couvre-chefs non lavés, et s'abstenir de toucher leurs visages - sauf pour mettre des couvre-chefs qui étaient censés salir leurs mains au départ! Science, n'importe qui? Fauci a également guidé les gouverneurs pour permettre aux gens de se rassembler par centaines chez Walmart et Costco, mais pour leur interdire de le faire dans les églises. Cette source de la science a également donné son imprimatur au sexe entre étrangers mais a conseillé aux chrétiens de s'abstenir de communion. Trop intime. Quel niveau de crédulité partisane faut-il pour croire tout cela?

    On peut également se demander quel niveau de crédulité partisane il faut pour prendre au sérieux des personnages tels que les gouverneurs de New York, du Michigan et de Californie et les maires de Chicago et de Los Angeles, qui bafouent personnellement les règlements qu'ils essaient d'imposer aux autres. Restrictions pour toi mais pas pour moi!

    La réponse réside vraiment dans la profondeur de la solidarité entre les partis politiques et les classes. Les gouverneurs et les fonctionnaires qui ont imposé, maintenu et rationalisé les verrouillages sont tous sauf un démocrate (de l’Ohio). Leurs hypothèses / prétentions / convictions contre-factuelles, leurs fausses déclarations, leurs mensonges et leurs mensonges absolus, concernent tous les efforts de leur classe sociale pour garantir leurs privilèges contre une population générale de plus en plus récalcitrante.

    Politique

    Nous commençons par nous concentrer sur la façon dont la classe dirigeante du monde occidental a parfaitement traduit l’événement COVID-19 en une autre de ses armes dans la lutte qu’elle mène ce siècle contre la désaffection croissante des électeurs. Le soutien aux fermetures est devenu aussi intégral à la gauche de l'establishment américain, c'est-à-dire au Parti démocrate, que la croyance en l'avortement, le réchauffement climatique, l'ouverture des frontières et la censure de tout ce qu'ils choisissent d'appeler le «discours de haine». Pour comprendre cela, il faut se rendre compte que la campagne de la classe dirigeante concernant la santé publique, le réchauffement climatique, la race, les droits des femmes, des homosexuels, des micro-agressions, des Palestiniens, etc. etc. a beaucoup moins à voir avec aucune de ces questions que avec toujours plus de pouvoir pour lui-même.

    Intersectionnalité

    Nous notons que le langage, les attitudes, par lesquels la classe dirigeante a lancé le défi de santé du COVID ont été intégrés dans les identités des multiples composants de sa circonscription afin d'ajouter de la force aux demandes de longue date de chacun. La facilité avec laquelle les activistes de Black Lives Matter, le féminisme, le réchauffement climatique, etc. ont facilement adopté le soutien de toutes sortes de restrictions socio-économiques sous prétexte de sauver des vies du COVID comme si c'était leur propre cause, en est une autre manifestation pratique de la théorie de «l'intersectionnalité» de la gauche des derniers jours. Alors que les militants de Black Lives Matter incendient des bâtiments, ils portent également des masques censés montrer leur engagement envers la responsabilité sociale de la santé publique. Ni accessoirement, ils vantent également leur engagement envers la sexualité LGBTQ, pour l'avortement et contre la famille nucléaire. La même chose peut être notée à propos de la prise en charge de chaque composant.

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  43. De même, chacune des circonscriptions de la classe dirigeante, malgré la disparité de leurs centres d'intérêt, a adopté comme sienne l'exigence selon laquelle le vote aux élections américaines doit désormais se faire «de chez lui», avec des bulletins recueillis ou «récoltés» par des tiers. . Cela ferait passer le pouvoir électoral de ceux qui votent à ceux qui traitent et comptent les votes - c'est-à-dire. à eux-mêmes. Par conséquent, cela libérerait toute la classe dirigeante des électeurs.

    Chaque sous-circonscription traduit l'accusation dans son propre langage. En Amérique, les accusations de racisme sont la forme la plus basse (hélas la plus courante) de proxénétisme politique et d’intimidation. Obtenir plus de 90% du vote noir étant la condition sine qua non des succès électoraux du Parti démocrate, personne n'a été surpris lorsque le New York Times, suivi par le reste des grands médias, a noté que, le COVID-19 ayant frappé les Afro-Américains proportionnellement plus dur que les autres races, prouve que la société américaine les traite méprisablement et doit se soumettre à la réforme.

    Pourtant, au Times, à CNN, etc., ils savent que c'est un mensonge et que, quelle que soit la race, les effets indésirables des infections au COVID-19 vont de pair avec l'obésité, le diabète de type 2, etc. Et ils savent aussi bien que quiconque dans quelle mesure les Afro-Américains présentent ces mêmes conditions proportionnellement plus que les autres races, et que ces conditions ont plus à voir avec les calories aujourd'hui qu'avec l'esclavage il y a deux siècles.

    L'événement COVID a également fait du masque facial un badge physique d'identité tribale, commun à toutes les sous-circonscriptions. Porter le masque, c'est désormais distinguer publiquement les vertueux et déplorer les déplorables. Le gouverneur démocrate de Caroline du Nord, Roy Cooper, a déclaré: "Un visage couvrant signifie force et compassion pour les autres" et "en porter un montre que vous vous souciez de la santé des autres." Le même jour, Andrew Cuomo, de New York, l’a dit: «Porter un masque, c’est cool maintenant, je crois que c’est cool…. Porter un masque est officiellement cool. "

    Anthony Fauci, qui en mars avait dit 60 minutes "il n'y a aucune raison de se promener avec un masque", a donné en mai son jugement scientifique selon lequel les masques sont "un symbole pour que les gens voient que c'est le genre de chose que vous devriez faire, »Tout en admettant qu'ils ne sont« pas efficaces à 100% ». Il n'aurait guère pu faire autrement puisque le New England Journal of Medicine avait déclaré: «le port d'un masque à l'extérieur des établissements de soins de santé offre [au porteur] peu, voire aucune, protection contre l'infection» et n'est pas pertinent pour les autres en contact occasionnel. Un tel symbole d'identité intersectionnelle est devenu que, alors que les émeutiers brûlaient Minneapolis, son maire démocrate a exhorté les émeutiers qu'il laissait brûler des parties de sa ville à s'assurer qu'ils portaient des masques.

    En somme, les verrouillages ont été perpétués et prolongés par des personnes qui se soucient plus de votre conformité que de votre santé.

    Régime de la peur

    Ils visent à augmenter les chances du Parti démocrate aux élections de 2020.

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  44. Les élections américaines de 2016 ont confronté la classe dirigeante américaine à la possibilité que les énormes pouvoirs de la présidence puissent être utilisés pour démanteler son réseau de prestige et de privilèges. Le public commence à peine à comprendre à quel point toutes sortes de bureaucrates et d'alliés ont utilisé leurs pouvoirs pour tenter de vaincre le défi de 2016, puis ont institué l'équivalent sociopolitique de la «presse complète» du basket-ball, traitant tout ce qui concerne le L'administration Trump est illégitime, menant des enquêtes officielles non pas pour recueillir des informations, mais comme prétextes pour calomnier leurs associés des médias. Ils ont essayé d'attraper Trump dans des pièges à parjure. Ils ont joué avec l'idée de le conduire à des déclarations qui pourraient être interprétées comme des motifs de démission. Mais l'économie américaine a explosé. Les notes de Trump ont augmenté. À l'aube de 2020 et que Trump semblait être un jeu d'enfant pour la réélection, le Parti démocrate et al. étaient à la recherche de moyens de l'atteindre.

    Au moment où COVID est venu à l'horizon, l'idée de l'utiliser avait déjà traversé l'esprit de la classe dirigeante. Aucun complot n'était nécessaire ni possible. Le sentiment du parti existant et la même opinion étaient suffisants pour produire l'unanimité et l'uniformité avec lesquelles la classe dirigeante a utilisé l'événement COVID-19 pour produire, attiser et entretenir la peur, pour dynamiser les programmes de ses électeurs à la poursuite de son pouvoir.

    En janvier 2017, le Dr Anthony Fauci, s'exprimant à l'Université de Georgetown, a déclaré qu'il ne doutait pas que l'administration Trump serait confrontée à une «épidémie surprise» de «maladies infectieuses». Quelques jours plus tôt, The Atlantic avait publié un article intitulé «Comment une pandémie pourrait se dérouler sous Trump», qui souhaitait à haute voix que la gestion par Trump d'un tel événement saperait sa présidence. Pourtant, plus tôt, le professeur Arthur Caplan de NYU avait publié un article dans le même sens: «La fin de la civilisation et le vrai Donald Trump». En bref, la militarisation d'un événement de santé publique avait traversé des esprits avides.

    La perspective de verrouiller le pays, apparemment pour le sauver du COVID-19, offrait un quasi-monopole des communications. Les rassemblements de Trump ont été fermés. Surtout, les églises ont été fermées, ainsi que les innombrables réunions de clubs, d'entreprises, d'amis, etc. qui sont la pierre angulaire de ce que l'on pourrait appeler la classe country. Les gens ne peuvent pas non plus se rassembler comme ils le souhaitent à des fins politiques: les restrictions imposées par le gouverneur démocrate de Caroline du Nord à la Convention nationale républicaine ont rendu impossible sa tenue dans cet État.

    Sans contact face-à-face, la télévision est devenue le principal moyen de communication - mais c'était une communication à sens unique, dont la programmation et la publicité d'entreprise - immédiatement - ont commencé à dire aux gens les joies de l'obéissance: «nous sommes tous dans ensemble, »« Seul, ensemble. »

    Ça pue Orwell. Les entreprises dont la publicité paie pour cela sont des noms connus: Adidas, Amazon, Airbnb, American Express, Bank of America, BMW, Burger King, Citigroup, Coca Cola, DHL, Disney, eBay, General Motors, Goldman Sachs, Google, IBM, Mastercard, McDonald's, Microsoft, Netflix, Nike, Pfizer, Procter & Gamble, Sony, Starbucks, Twitter, Verizon, Walmart, Warner Brothers et YouTube. La classe dirigeante.

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  45. Poussée par la politique de l'identité partisane, la classe dirigeante a utilisé l'événement COVID-19 pour effondrer la vie américaine.

    Un coup d'œil suffit pour révéler l'énormité perverse de ce qu'il a causé.

    Parce que les verrouillages ont fermé la plupart des restaurants et des hôtels, où environ la moitié des calories du pays étaient consommées, la demande de nourriture a changé de manière à empêcher les réseaux de distribution et les usines de transformation de s'adapter de manière transparente, d'autant plus que le gouvernement limitait leurs activités et payait les travailleurs à appel à des malades. Des millions de litres de lait ont été déversés dans les égouts, des millions de poulets, des milliards d'œufs et des dizaines de milliers de porcs et de bovins ont été détruits, des hectares de légumes et des tonnes de fruits ont été détruits. Les vignobles ont été arrachés. Cette allocation brouillée et le gaspillage de nourriture ont entraîné des pénuries. Les prix sur les marchés ont augmenté. Dans certains endroits, la viande et les œufs étaient rationnés. Les personnes privées de travail ont moins d'argent pour payer ces prix et ont du mal à nourrir leur famille. Cela a réduit d'innombrables citoyens autonomes à des suppliants dans les banques alimentaires.

    Qui pourrait produire simultanément le surplus et la rareté, sauf les apprentis sorciers exerçant le pouvoir gouvernemental ? C’est une expertise pour vous. En réduisant intentionnellement l’approvisionnement alimentaire disponible pour la population, le gouvernement américain a rejoint les rares rangs tels que l’Union soviétique de Staline et le Cuba de Castro.

    Mais aucune personne sensée n’avait jamais imaginé la quasi-interruption des soins médicaux de toute une nation, à l’exception d’une maladie. Le gouvernement américain a fait cela, sur les conseils de ses meilleurs experts. Entre la mi-mars et juillet, les hôpitaux étaient presque vides, après avoir nettoyé les ponts pour l'inondation COVID attendue (par ignorance). Les patients ayant été découragés ou interdits d'entrer pour d'autres raisons, les médecins et les infirmières ont été abandonnés. Pas quelques-uns étaient en congé. Les salles d'urgence étaient fermées à la plupart de leurs clients - les personnes les plus pauvres qui y reçoivent régulièrement des soins de routine. Les cliniques et les cabinets privés - où la plupart des Américains reçoivent le plus de soins médicaux - ont pratiquement fermé leurs portes. Beaucoup ne rouvriront jamais. Oubliez la dentisterie. Cela signifie que la plupart des Américains sont restés pratiquement sans soins médicaux pendant environ un tiers d'un an.

    Tests manqués, conditions non diagnostiquées, traitements abandonnés ou retardés. Les problèmes des corps humains n'ayant pas pris de vacances correspondantes, il est impossible d'estimer combien de souffrances et de morts ce manque de soins médicaux a causé et causera encore - pendant que le gouvernement américain le faisait. Des fonctionnaires qui prétendent être plus intelligents que ce que nous avons commandé - pour notre bien, disent-ils.

    Plus de quarante millions d'Américains ont déposé des demandes d'assistance-chômage depuis le début des fermetures. À ce chiffre, il faut ajouter les dizaines de millions de propriétaires de petites entreprises encore inconnus qui ont été contraints de fermer ou de réduire radicalement leur activité. Ajoutez à cela les millions innombrables non directement touchés - agriculteurs, professionnels - dont les produits et les activités ont dévalorisé les fermetures. Imaginez les millions de carrières détruites, l'éclatement des rêves réalisés par des vies de travail, et vous cherchez des mots pour le décrire: Catastrophe? La tragédie? Fabriqué par l'homme, bien sûr.

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  46. Les experts qui ont rendu cela possible ont stigmatisé, essayé de faire taire et effectivement criminalisé la dissidence comme dangereuse pour la santé et, bien sûr, comme raciste. Mais rien n’indique que toutes les mesures ci-dessus ou l’une quelconque de ces mesures aient augmenté l’espérance de vie de quiconque, et bien au contraire. Ils ont fait du tort à l'Amérique. Mais pourquoi? et cui bono?

    Puissance

    Tout ce qui précède a servi l’intérêt primordial de la classe dirigeante dans son propre pouvoir. Y a-t-il des catégories de personnes qui ont bénéficié des fermetures? Le gouvernement a gagné. Nous ne connaissons aucun employé du gouvernement fédéral, étatique ou local qui a été mis en congé ou a vu son salaire réduit. Au contraire, tous ont obtenu une puissance supplémentaire. Le gouvernement fédéral a créé des milliards de dollars, dont la distribution enrichit les suspects habituels impliqués dans l'administration. Les syndicats d'enseignants ont obtenu le pouvoir d'extorquer des concessions comme prix de la réouverture des écoles. Parmi eux, les restrictions ou l'élimination des écoles à charte.

    Et alors que les entreprises indépendantes étaient étranglées, les grandes se sont développées. Le plus grand, Amazon, a été le plus grand gagnant. Les médias d'information, sans restriction et au service des puissants, exercent eux-mêmes un pouvoir sans précédent. Les plateformes de médias sociaux ont appuyé le coup d'État en censurant la dissidence de la «ligne» de leurs propres bureaucrates et fonctionnaires les plus agressifs. Essayez d'obtenir des chiffres sur les décès COVID et la façon dont ils sont comptés sur Google. YouTube a supprimé une vidéo devenue virale de deux médecins qui ont souligné la vérité sur la véritable létalité du COVID-19 comme une désinformation dangereuse, et Twitter a ajouté une note à l'objection du président Trump au vote par courrier pour avoir facilité la fraude, l'accusant de mensonge.

    Les interdictions telles que de jouer dans le parc ou de nager dans la mer ne sont que de simples moyens pour former le public à accepter une discrétion bureaucratique illimitée. Vous pouvez vous rassembler à Costco, mais pas à l'église. Le non-respect des réglementations entraînera la mise en prison des citoyens ordinaires, tandis que les prisons libèrent les voleurs et les agresseurs d'enfants. Vous ne pouvez pas dépasser les limites d'occupation ou ne pas porter de masque. Vous ne pouvez même pas chanter à l'église. Mais si vous et vos amis pillez et incendiez le magasin du quartier, la police restera juste là. Pourtant, tous les gouverneurs démocrates ont célébré et certains se sont joints à des masses de «manifestations» - oubliez les masques et la distanciation sociale. Ils l’ont fait non pas pour la santé de qui que ce soit, mais pour obtenir quelques points de pourcentage supplémentaires du vote noir pour leur parti et pour tirer parti de leur prise de pouvoir sur les forces de police.

    Nous sommes censés croire que tout cela est dicté par la «science». En juin, 1 200 «experts de la santé» ont signé une lettre approuvant les manifestations du BLM parce que, selon lui, «la suprématie blanche est un problème de santé publique mortel». Mais il a averti que «cela ne devrait pas être confondu avec une position permissive sur… les manifestations contre les ordres de rester à la maison». En bref, les restrictions sur le coronavirus, comme le reste des commandements du politiquement correct, sont de l’armement politique pur - rien de moins qu’une inversion des priorités du peuple américain, accomplie par le vote de personne. Présomption de classe de décision. Bref, nous vivons un coup d’État.

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  47. Déclarer des urgences pour excuser la prise de «pleins pouvoirs» est le plus ancien des stratagèmes. Quelqu'un se souvient-il de l'incendie du Reichstag? La perspective de choses similaires se produisant en Amérique avait augmenté avec la classe dirigeante et l'État administratif. La saisie par les autorités du pouvoir arbitraire au nom de l'expertise est la frappe la plus meurtrière contre notre mode de vie. Suspendre la loi et les droits, édicter des règles de comportement arbitraires, a été principalement le fait de l'État et du gouvernement local contrôlés par les démocrates. Mais la direction est venue de la bureaucratie fédérale contrôlée par les démocrates, habilitée par un président élu républicain, et avec la complaisance silencieuse peut-être d'une majorité de politiciens républicains.

    Les gains de pouvoir et d’argent de la classe dirigeante ont été aux dépens de la classe paysanne et ont dépendu de la suppression de la vérité.

    Un exemple flagrant de mensonge officiel forcé est la campagne politique de la classe dirigeante contre le médicament Hydroxychloroquine. Le président Trump avait souligné le fait que ce traitement standard du paludisme depuis plus d'un demi-siècle est efficace contre les stades précoces et intermédiaires de la maladie COVID. Ce fait avait été découvert accidentellement et confirmé par des études et des pratiques en France, en Espagne, en Inde et en Corée du Sud. En avril, les médecins américains ont commencé à le prescrire largement, ont rapporté de bons résultats et l'ont pris eux-mêmes à titre prophylactique. La classe dirigeante a trouvé cela intolérable parce que cela contredisait son récit selon lequel rien ne pouvait empêcher le ciel de tomber, mais surtout parce que son succès pourrait jeter une lumière favorable sur Trump. Par conséquent, il a entrepris d'annuler la vérité sur les drogues de la conscience publique et de substituer son propre récit.

    La machine de la classe dirigeante a commencé par qualifier les rapports sur le succès de la drogue d '«anecdotiques». Ensuite, l'Administration des anciens combattants a administré le médicament en petites doses à quelque 380 patients âgés décédés avec / du COVID. Tous les grands médias ont vanté leur mort comme preuve de son inefficacité et de son danger. Le 22 mai, le Lancet, sans doute la revue médicale la plus réputée, a publié ce qu’il a appelé une analyse de la plus grande base de données médicales du monde montrant, affirmait-il définitivement, que l’hydroxychloroquine est inefficace, contre-productive et dangereuse. La Yale School of Medicine a officiellement conclu que le médicament était mauvais, malgré une étude contraire de son propre professeur d'épidémiologie, Harvey Risch. Le grand Anthony Fauci qui, lorsqu'il était pressé, avait dit qu'il prendrait le médicament s'il en avait marre du COVID, puis a soutenu le récit politique en plaisantant que, pour l'instant, il n'y a pas de traitement pour la maladie COVID. La Food and Drug Administration des États-Unis a arrêté les essais cliniques, les conseils d'administration des pharmacies ont refusé les commandes des médecins et des détaillants, et les hôpitaux du pays ont exigé de leurs médecins qu'ils arrêtent de traiter leurs patients avec.

    Il s'avère, cependant, que la base de données de l'étude du Lancet faisait partie d'une opération fly-by-night, strictement politique, et que ses détails sont littéralement incroyables - par exemple, le nombre de décès par Hydroxy signalés pour un hôpital australien dépassait le nombre total morts pour tout le pays. En bref, le rapport était un autre succès professionnel non viable. Le New York Times a rapporté que «plus de 100 scientifiques et cliniciens ont mis en doute l’authenticité» de la base de données ainsi que l’intégrité de l’étude. The Lancet l'a retiré de honte.

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  48. Mais c'était trop tard. Fauci et le corps médical ne se sont pas excusés. Pour les médias et pour les lecteurs de titres, l'affaire a été classée. Le mensonge était debout. Puis, le 1er juillet, le système de santé Henry Ford du Michigan a publié une étude évaluée par des pairs qui montre que l'hydroxychloroquine réduit considérablement les taux de mortalité, même dans les cas de COVID de milieu à tardif. Encore une fois, la machine de la classe dirigeante a ignoré la vérité. Encore une fois: toutes les nouvelles grand public sur l'affaire COVID ne sont liées à la santé qu'incidemment. Ayez très peur.

    L'affaire COVID n'a pas non plus à voir avec une urgence - sauf peut-être l'élection de 2020. Les politiciens démocrates et le flot de publicités télévisées de service public n’ont laissé aucun doute sur le fait que l’objectif de la classe dirigeante est d’établir «une nouvelle norme» en étendant dans un avenir indéfini les pouvoirs par lesquels les bureaucraties ont éclipsé les lois et le mode de vie américains.

    Mais, comme les autorités jouaient trop ouvertement avec la vérité, elles se sont mises en accusation et ont perdu leur autorité. De moins en moins croient ce qu'ils entendent d'en haut. Comme l'ont appris les Russes sous le communisme, la vérité est généralement le contraire. Chaque fois que le gouvernement a signalé des récoltes abondantes, il s'est approvisionné en pommes de terre.

    Défaut et conséquences

    L'équité exige de noter que, indépendamment de tout ce que la gauche au pouvoir a fait, quels que soient ses espoirs, ses plans ou sa coordination, ce qui est réellement arrivé aux États-Unis d'Amérique à la suite du COVID n'aurait pas pu se produire si le président Donald Trump, une grande partie du Parti républicain, et l'establishment religieux américain n'était pas d'accord avec sa réalisation.

    C'est une autre façon de dire que la classe dirigeante règne par taille et par séduction, ainsi que par intimidation. Il ne s'est pas précipité pour imposer les arrêts, ni même pour faire trop de COVID. Ses parties et ses personnages ne se sont pleinement engagés qu'après avoir convaincu le président Trump de leur donner l'interdiction de l'opposition sans laquelle infliger tant de douleur à tant de personnes les aurait exposés à des représailles officielles et populaires.

    Le président Donald Trump, ayant réduit les voyages depuis la Chine le 31 janvier et depuis l'Europe le 12 mars, avait maintenu son emprise sur l'opinion publique tout en soulignant les preuves que le COVID n'est pas catastrophique. Il a été accusé de xénophobie. Mais, alors que le virus a pris racine en Amérique, l'opposition a commencé à le blâmer de ne rien faire face à un fléau. Pour contrer cela, il aurait fallu se tenir debout sur la vérité, attaquer le mensonge central selon lequel le COVID est un fléau et ses fournisseurs comme des menteurs. Étant donné que les experts s'étaient toujours trompés, cela était faisable.

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  49. Mais le 15 mars, Trump a demandé au pays de fermer ses portes pendant quinze jours pour ralentir la propagation de la maladie - pour aplatir la courbe. Puis, le 31 mars, le New York Times a chanté victorieusement que la semaine précédente, le président Trump avait été condamné à abandonner son objectif de rétablir une vie normale à Pâques: «Les chiffres que les responsables de la santé ont montrés au président Trump étaient accablants. Alors que le pic de la pandémie de coronavirus est encore dans quelques semaines, a-t-il été dit, des centaines de milliers d'Américains pourraient faire face à la mort si le pays rouvrait trop tôt. En outre, les questions du sondage qui ont encadré le choix avaient contribué à produire un autre ensemble de chiffres. Selon le Times, on lui a dit que «les électeurs préféraient massivement maintenir des mesures de confinement plutôt que de renvoyer les gens au travail prématurément». Trump s'est laissé effrayer en s'abritant politiquement sous ce qu'il supposait être les ailes professionnelles protectrices du Dr Anthony Fauci et du CDC.

    Trump pensait que Fauci coopérerait à un plan de réouverture et comptait sur le partage du crédit du Parti démocrate pour avoir fourni près d'un billion de dollars de secours aux personnes que les verrouillages privaient de leurs moyens de subsistance.

    Mais, une fois que Trump a abandonné la vérité, il a cédé le contrôle et est entré dans une impasse politique. Trump accordait un crédit public à l'alliance de facto entre le Parti démocrate, Fauci et al., La presse et une foule de profiteurs, alors même qu'ils le discréditaient de toutes les manières possibles. Ils l'avaient là où ils le voulaient. Alors que les verrouillages étranglaient l'Amérique, ils ont utilisé l'influence politique pour soulever des revendications. Ils visaient sa disparition politique ainsi que sa transformation économique, sociale et politique.

    Les lignes directrices pour «Ouvrir à nouveau l'Amérique» que Trump a dévoilées le 17 avril résultaient de ce déséquilibre du crédit politique et de l'effet de levier. Loin de ramener le pays à ce qu'il était, le processus «axé sur les données» qu'ils ont décrit, écrit par le CDC du Fauci, garantirait que les fonctionnaires de l'État et locaux si enclins maintenant disposent d'une couverture pseudo-légale de haut niveau pour conserver ou réimposer quelles que soient les restrictions arbitraires imposées aux opposants avec lesquelles ils pensent pouvoir s'en tirer, avec toutes les données qu'ils peuvent manipuler à cette fin.

    Les Directives «conseillent» (c'est-à-dire «mandat» pour les fonctionnaires qui le souhaitent) ne s'ouvrant qu'à un pourcentage de la capacité, et avec des restrictions - par exemple. pas de chant à l'église, cela va à l'encontre de leur raison d'être. Mais les églises et les petites entreprises ne peuvent pas survivre à moins qu'à pleine capacité. Les écoles créées autrement que pour une concentration maximale sur les choses à apprendre sont contre-productives. En bref, les directives donnent une sanction fédérale à l’étouffement du secteur américain de la «rue principale».

    L’héritage sans doute le plus dangereux des directives est peut-être leur recommandation / exigence que les gouvernements certifient le statut de sécurité des personnes pour le travail et l’interaction avec le public en traquant et en isolant les personnes infectées par le virus - ou supposées l’être. Cela implique l'embauche de centaines de milliers de personnes pour faire respecter les règlements décrétés sur le comportement personnel - en fait une «police du mode de vie», habilitée à tout le moins à déclarer quiconque l'équivalent de «médicalement intouchable».

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  50. Les gouverneurs du Michigan et de Californie (il n'y a pas de dissidence parmi les responsables du Parti démocrate) ont déjà défini le «racisme» comme un risque majeur pour la santé. Y a-t-il un doute sur le fait que ces policiers seront moins préoccupés par la santé telle que les gens ordinaires le comprennent que par l’imposition de la volonté de leurs chefs aux opposants politiques? Ainsi, sans loi ni procès, n'importe qui pourrait être séparé de façon péremptoire de son travail, de son entreprise ou de sa famille, en attendant réparation devant les tribunaux - ce que la plupart des gens ne peuvent pas se permettre.

    Si cette pratique était adoptée à l'échelle nationale, ce serait vraiment la pièce maîtresse d'une «nouvelle normalité». En mai, le maire de New York avait déjà suppléé des centaines de (sans doute d'anciens) membres de gangs et criminels, les payant pour qu'ils circulent parmi la population en général pour «encourager» - osons-nous dire, intimider? - les citoyens à suivre les ordres du maire. Il a également offert des récompenses pour les rapports sur les violations par les voisins de ces ordres. C'est le début d'une police explicitement partisane, plus comme en Chine que dans l'Amérique où nous avons grandi. Ce n’est pas par hasard que l’Organisation mondiale de la santé - une extension du gouvernement chinois, a officiellement recommandé aux pays «d’observer une surveillance active et le traçage de leurs populations». Vraisemblablement, lorsque le prochain virus arrivera, les pouvoirs arbitraires de la classe dirigeante augmenteront encore d'un cran.

    Malheureusement, Anthony Fauci, dont la réputation n'a pu résister à aucune sorte d'examen, conserve la capacité d'induire en erreur parce que personne avec un public national important ne l'a publiquement examiné.

    Tout cela, il faut garder à l’esprit, est le cas parce que la complaisance du président Trump avec les mensonges de la classe dirigeante sur le virus a empêché une affirmation de haut niveau des vérités qui nient les mensonges et les prétentions du coup d'État COVID. Qu'il ait donné cette complaisance contre coeur est hors de propos. Lorsqu'il a été pressé, Trump est resté coincé par les mensonges, comme il l'a fait le 22 avril, après que le gouverneur républicain de Géorgie, Brian Kemp, qui s'était opposé aux verrouillages, a annoncé qu'il les levait dans son État. Trump l'a réprimandé publiquement dans les termes les plus forts, incitant les médias à une orgie d'accusations selon lesquelles Kemp transformait la Géorgie en camp de la mort. En fait, la Géorgie s'est remise en bonne santé. Mais cela n'avait pas d'importance.

    Cependant, le défaut le plus important et le plus significatif a été celui des églises chrétiennes américaines - toutes - de leurs hiérarchies à leurs prêtres, pasteurs et ministres. Leur complaisance avec les verrouillages a mis de côté une vérité bien plus importante pour la dignité humaine que tout ce qui a à voir avec une quelconque maladie physique - la seule vérité qui met tout le pouvoir humain dans une perspective appropriée, la vérité sur laquelle repose notre civilisation elle-même: qu'aucune puissance humaine peut fabriquer le vrai et le faux, le bien et le faux, pas plus que nous ne pouvons le faire nous-mêmes, et que, par conséquent, nous sommes obligés de «rendre à César les choses qui sont à César et à Dieu les choses qui sont à Dieu».

    Les congrégations juives ont également été lâches.

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  51. L’accord des Églises pour suspendre le culte public et la distribution des sacrements contredit également leur devoir. Jusqu'en 2020, le clergé chrétien se sentait obligé non seulement d'offrir un culte public à qui que ce soit, mais aussi de rechercher les malades, d'offrir des sacrements aux mourants, en particulier dans les lieux où les victimes de fléaux se situaient entre la vie et la mort, quelles qu'en soient les conséquences. Parce que s'abandonner aux diktats séculiers concernant la manière dont les fidèles devraient se comporter, même à l'église ne peut être justifié en termes chrétiens, cela n'aurait pas traversé l'esprit des générations précédentes d'hommes d'église.

    Si cette génération de dirigeants d'églises avait simplement pratiqué leur foi, même en gardant simplement le silence sur les affirmations de la classe dirigeante sur le COVID-19 plutôt que par ignorance, en les approuvant docilement, ils auraient préservé leur crédit intellectuel et moral pour aider la population en général à faire face. avec la prise de conscience croissante qu'ils avaient été dupés. Au lieu de cela, ils ont choisi d'être complices de Césars en fer-blanc. Par conséquent, alors que les Américains sont confrontés au fait amer que nous avons été blessés plus que pour rien, les églises se sont largement disqualifiées en tant qu'arbitres de la vérité.

    La vérité et la clarté sur ce que l'histoire enregistrera en tant que coup d'État COVID de 2020 sont la condition nécessaire pour que le peuple américain surmonte ses effets. Surmonter ces effets doit commencer par discréditer ces prétentions et la réputation de ceux qui les ont faites.

    Qui nous dirigera ?

    Un leadership sans compromis est rare car peu de personnalités ont résisté à la pression de la classe dirigeante pour rejoindre son récit COVID. Mais les Américains sont si inquiets de la vérité sur ce qui s'est passé, ce qui se passe; les mensonges sur lesquels l'escroquerie a été fondée sont tellement minces que les ressources pour établir la vérité sont si abondantes; Les Américains ont tellement faim d'exemples de succès dans la lutte contre l'escroquerie, que quelques dirigeants courageux dans des endroits clés peuvent suffire.

    Ce qui suit décrit comment le Sénat américain peut fonctionner comme une commission de vérité concernant plusieurs aspects du coup d'État COVID, et comment les gouverneurs d'État si enclins peuvent fournir un leadership pratique pour motiver, guider et légitimer la vie indépendamment de notre classe dirigeante dysfonctionnelle.

    En ce qui concerne ces derniers, nous notons que la manière dont les États et les localités dirigés par les démocrates ont géré l'événement COVID diffère de celle des lieux autrement gouvernés comme s'ils étaient issus de régimes, de pays, voire de civilisations, étrangers les uns aux autres. C'est encore une preuve supplémentaire que la société américaine s'est largement brisée en morceaux incompatibles et que l'évitement de la guerre civile peut dépendre de la tolérance mutuelle de la séparation. Plus d'informations ci-dessous.

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  52. Commission vérité

    Dans le passé, alors que la mauvaise conduite de personnes importantes confondait et divisait les Américains, de sages sénateurs ont convoqué à des audiences publiques les personnes impliquées dans les controverses, les ont fait prêter serment et, par conséquent, ont pu être sanctionnées pour parjure, et ont établi la vérité souvent inconfortable sur laquelle le pays est venu. ensemble. En 1948, les auditions du sénateur Richard Nixon (R-CA) ont montré hors de tout doute à quel point le renseignement soviétique avait pénétré notre gouvernement. Entre 1951 et 1957, la sénatrice Estes Kefauver (D-TN) a dénoncé et donc démantelé le contrôle mafieux du mouvement ouvrier américain. En 1974, les auditions du sénateur Sam Ervin (D-NC) n'ont laissé aucun doute sur le rôle du président Nixon dans la dissimulation du Watergate. Aujourd'hui, l'arnaque COVID étant basée sur des mensonges et des fausses déclarations d'innombrables personnes importantes, des témoignages publics rigoureux sous serment peuvent les exposer ainsi que ceux qui les propagent.

    En raison des juridictions et / ou des présidents particulièrement compétents, le Comité sénatorial sur la sécurité intérieure et le contrôle, sur la santé, l’éducation et le travail, sur les finances et sur le pouvoir judiciaire, chacun peut faire briller ses lumières sur des aspects spécifiques du problème.

    La commission des affaires gouvernementales du sénateur Ron Johnson (R-WI), qui supervise les Centers for Disease Control, peut remettre les pendules à l'heure sur la manière dont ses relations avec les laboratoires chinois, avec l'Organisation mondiale de la santé et avec le gouvernement chinois lui-même ont façonné la manière dont le Le gouvernement américain a traité COVID. Le CDC ayant acquis d'énormes pouvoirs sur la vie américaine, le Comité peut s'enquérir du niveau d'expertise qu'il a apporté à sa tâche. Qu'est-ce qui justifie, le cas échéant, sa prétention à une gestion scientifique? Le Comité peut également vérifier comment les dépenses de fonds et les efforts du CDC sur une variété de sujets politiques non liés à la santé ont affecté sa capacité à faire face à la récurrence de virus provenant de lieux exotiques.

    Son sous-comité sur la surveillance et la gestion des urgences, sous la direction du sénateur Rand Paul (R-KY), lui-même médecin, est bien placé pour révéler qui savait quoi sur le virus COVID-19, quand ils l'ont su, qui a dit au public quoi, et sur quelle base. Le public a noté avec consternation la divergence et les contradictions au sujet du COVID-19 par des experts supposés médicaux, principalement par le Dr Anthony Fauci.

    À différents moments, ces experts nous ont dit que le virus posait très peu de danger, et qu'il était une menace mortelle pour nous tous, que les masques étaient inutiles, puis indispensables. Sur la base de leurs nombreuses déclarations, des centaines de millions de vies américaines ont été détruites et des millions continuent de languir sous des «directives» qui n'ont aucun sens à première vue. Des experts interrogés sous serment devant les caméras peuvent permettre au peuple américain de juger par lui-même de son sens. Les experts devront révéler quelle expertise médicale aurait pu les amener à stigmatiser des jeunes relativement peu affectés par le COVID pour aller à la plage sans s'opposer au fait qu'un plus grand nombre de Noirs américains à haut risque se sont révoltés dans les rues.

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  53. La compétence du Comité des finances du sénateur Charles Grassley (R-IA) comprend l’indemnisation du chômage, les services sociaux et Medicare / Medicaid. L'événement COVID ayant amené quelque quarante millions de personnes à se déclarer au chômage, ayant imposé des charges inhabituelles à toutes sortes de services gouvernementaux et ayant perturbé les marchés alimentaires de manière préjudiciable à la santé et suggérant une éventuelle fixation des prix, ce Comité est bien placé pour démêler les fils causaux entre les restrictions que les gouvernements ont imposées à la population et les troubles qui en ont résulté. Grassley, l’un des meilleurs enquêteurs du Sénat, peut présenter les catégories et les personnes touchées par les verrouillages et appeler les gouverneurs à mettre en adéquation le préjudice qu’ils ont causé avec les avantages qu’ils prétendent avoir obtenus. Qui a perdu mon emploi? Qui a détruit mon entreprise? où puis-je reconstruire ce que j'ai perdu? Telles sont quelques-unes des questions que le comité peut poser aux fonctionnaires au nom du peuple américain. Grassley et le démocrate Ron Wyden (D-OR) peuvent également faire appel à l'expertise de leur personnel en matière de maisons de retraite pour sonder comment la politique gouvernementale a provoqué l'holocauste que le COVID-19 a provoqué en eux.

    Partout en Amérique, les parents s'interrogent sur la base sur laquelle l'année scolaire 2019-2020 a été réduite de moitié et sur les bases sur lesquelles l'année 20-21 a été compromise. Le sous-comité sur les enfants et les familles du sénateur Rand Paul peut poser de telles questions avec autorité aux fonctionnaires qui ont lancé cet appel, confronter les risques projetés à la réalité et les mettre en balance avec les résultats d’une éducation perdue et de la perturbation sociale.

    Les Américains demandent de quel droit les gouverneurs et les maires ont essentiellement placé des personnes en résidence surveillée sans procédure régulière et les ont fait arrêter pour des activités telles que jouer dans le parc ou pagayer dans la mer; de quel droit ils ont fermé les services religieux, etc. Que peut faire d'autre le gouvernement en violation de la Déclaration des droits? En vertu de la Constitution américaine, quelles limites y a-t-il aux obligations et droits des citoyens? Telles sont quelques-unes des questions auxquelles le sénateur Ted Cruz (R-TX) peut se confronter aux fonctionnaires fédéraux, étatiques et locaux convoqués devant le sous-comité de la magistrature du Sénat sur la Constitution. Cruz convoquerait également des responsables de la division des droits civils du département américain de la Justice et leur demanderait pourquoi ils n'ont pas traité le refus des autorités nationales et locales du libre exercice de la religion et de la liberté de réunion comme des violations du premier amendement. Quelle est leur compréhension des droits civils?

    Le peuple américain a intérêt à savoir comment la mentalité des fonctionnaires actuels change le sens pratique des mots de la Constitution. Cruz pourrait bien se demander, les fonctionnaires du gouvernement ayant changé le sens du marché de base entre le peuple et le gouvernement, que reste-t-il de l’obligation du peuple d’obéir au gouvernement?

    Leadership exemplaire

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  54. Mettre publiquement en contraste les pensées, les actes et les conséquences des fonctionnaires et des professionnels qui ont fait de l'événement COVID une telle tragédie avec ceux des fonctionnaires et des professionnels qui ont conduit dans des directions opposées ne serait pas le moindre des résultats bénéfiques des audiences sérieuses. La plupart des Américains ne savent pas, mais devraient, que plusieurs États américains n’ont jamais fermé leurs portes, tandis que d’autres ont beaucoup moins réduit leurs activités que la Californie et New York. À l’instar du gouvernement suédois, les responsables de ces États n’ont jamais vu de raisons de croire que le COVID était le fléau et pensaient que l’exercice de la responsabilité individuelle par eux-mêmes était la garantie la plus sûre de la sécurité pour tous.

    Mais les différences dans ce qui s'est passé en Californie et en Floride, dans le New Jersey et le Dakota du Sud ne parlent pas d'elles-mêmes. C’est pourquoi le public gagnerait à voir les gouverneurs de ces États défendre leurs perspectives très différentes sur le COVID et leurs résultats.

    La perspective

    Il devrait être clair que l'événement COVID en Amérique ne concerne que de manière tangentielle la santé. Il s'agit essentiellement d'une campagne politique basée sur le prétexte de la santé. La simple lecture des nouvelles de l'étranger suffit pour voir que cela est également vrai dans le monde occidental. Tout au long, la campagne des gouvernements et des élites associées a essentiellement étouffé l'activité sociale et économique. Et surtout - et en aucun cas par hasard - il a étouffé l'opposition politique ouverte qui avait de plus en plus assiégé lesdits gouvernements et élites à travers le monde occidental.

    Au cours de la décennie précédente, les divers échecs et insuffisances de ces gouvernements et élites, de «Davos Man», étaient devenus le principal sujet du discours public. À tout le moins, la campagne COVID a changé le sujet de la sécurité physique et de la survie économique. Davos Man a resserré le contrôle en utilisant le pouvoir coercitif de l’État avec plus de force qu’en temps de guerre, couvrant sa classe en prétendant parler au nom de la «science» d’une manière qui exclut tout contre-argument.

    En Amérique comme ailleurs, il n’y avait aucun doute sur les secteurs de la société qui étaient de quel côté, qui étaient les protagonistes, les gagnants et les perdants de la campagne. Les gouvernements, leurs bureaucraties, les principaux partis politiques héritiers, les célébrités et les médias, Davos Man, étaient d'un côté. De l'autre, les gens de la classe moyenne et leurs représentants «populistes». Alors que l'été de l'hémisphère nord bannissait le dernier virus respiratoire, Davos Man s'est efforcé d'introduire autant de restrictions que possible dans une «nouvelle normalité».

    En Europe comme en Amérique, l'affaire COVID n'était que le dernier round auquel les mêmes protagonistes s'étaient affrontés. Là comme ici, le langage et les attitudes avec lesquels Davos Man a dénigré ses supposés inférieurs dans l'affaire COVID s'intègrent parfaitement dans les schémas précédents de la lutte plus large et à long terme.

    S'il y avait eu le moindre doute que le virus COVID-19 était plus une occasion qu'une cause, il a disparu à la fin du mois de mai alors que, des deux côtés de l'Atlantique, Davos Man est passé à réprimander les gens ordinaires et leur civilisation et en a égrené encore une autre campagne pour repousser les défis de sa puissance.

    https://www.zerohedge.com/political/it-reeks-orwell-covid-coup-how-unlock-ourselves

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  55. Instagram aurait été surpris en train d'espionner des utilisateurs via une caméra


    23:43 27.07.2020


    Les utilisateurs d'Instagram ont découvert que l'application active «secrètement» la caméra frontale, Instagram promet de régler le problème, relate The Verge.

    L’application d’Instagram active la caméra frontale du smartphone même quand on ne prend pas de photo, a annoncé le magazine The Verge.

    Selon le média, les utilisateurs d’iPhone ayant installé la version beta d’iOS 14 ont été les premiers à faire cette découverte désagréable, parce que ce système notifie l’utilisateur si une caméra ou le microphone sont activés.

    Casually browsing Instagram when suddenly the new iOS 14 camera/microphone indicator comes on. Then control panel ratted out the app behind it. This is going to change things. #iOS14 pic.twitter.com/EnTIRsqq3R
    — KevDoy (@KevDoy) July 17, 2020

    Ainsi, l’indicateur montrant le fonctionnement de la caméra était allumé même lorsque les utilisateurs étaient en train de parcourir le flux sur Instagram.

    Un problème technique ?

    Selon les représentants d'Instagram cités par The Verge, ce problème s’explique par un bug, qui est en cours de correction.

    Ils ont assuré que l'application n’activait la caméra que lorsque l'utilisateur lui-même le souhaite.

    «Nous avons accès à votre caméra que lorsque vous nous le demandez, par exemple, lorsque vous passez du Flux à la fonction Caméra. Nous avons trouvé et corrigeons un bug dans la version bêta d'iOS 14 qui indique à tort que certaines personnes utilisent la caméra alors qu'elles ne le font pas. Nous n’avons pas accès à votre caméra dans de tels cas, et aucun contenu n'est enregistré», a déclaré le porte-parole dont les propos ont été repris par The Verge.

    Ces révélations d’iOS qui font modifier les applications

    Les alertes d’iOS 14 ont déjà révélé que plusieurs applications pour iOS, notamment TikTok, LinkedIn et Reddit, accédaient au contenu du presse-papiers des iPhone.

    La société mère de TikTok, ByteDance, basée à Pékin, a annoncé en juin qu'elle avait supprimé l’accès de l’application aux presse-papiers des appareils sous iOS, en ajoutant que cette fonctionnalité «anti-spam» n’avait jamais été introduite sur les appareils Android, rappelle le magazine. LinkedIn a pour sa part déclaré qu'il mettait fin à la pratique d’accès au presse-papiers et Reddit a indiqué qu'il corrigeait un morceau de code dans son application.

    En 2019, Facebook, la société mère d'Instagram, a corrigé un bug dans son application pour iOS, qui semblait activer les caméras des appareils en arrière-plan à l'insu des utilisateurs.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202007271044168709-instagram-espionnerait-ses-utilisateurs-au-moyen-dune-camera/

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    1. TOUS les téléphones portables ont les caméras et micros ouverts 24/24 h !
      Même un téléphone éteint communique !

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