- ENTREE de SECOURS -



mercredi 20 mai 2020

Un désert de Chine est sur le point de disparaître de la carte - vidéo

21:06 19.05.2020


L’un des quatre grands déserts de Chine, celui de Maowusu a presque disparu de la carte en quelques décennies grâce à la lutte contre la désertification, à en juger d’après les images satellite postées sur Earth.org.

La Chine a reboisé le désert de Maowusu, l’un de ses quatre grands déserts qui occupait jadis une superficie de 42.200 km² dans la province de Shaanxi et la région autonome de Mongolie-Intérieure, dans le nord-ouest du pays, a annoncé lLe Quotidien du Peuple.

Une vidéo publiée par le think tank Earth.org, montre la transformation du désert, qui est un prolongement du désert de Gobi, en région couverte de verdure de 1975 à 2018.

«L'image montre les changements de Yulin, une ville à l'extrémité sud du désert de Mu Us (Maowusu), et ses environs en 1985, 2001 et 2018. Les zones urbaines ont été agrandies et les terres voisines sont presque entièrement recouvertes de végétation!», a indiqué Earth.org sur Instagram.

Selon ses explications, la zone grise sur les images est la ville de Yulin, les taches de couleur vert foncé sont des arbres ou des buissons et le jaune vif est du sable en mouvement, tandis que le jaune plus sombre est du sable recouvert d'herbes. L'image de 2018 qui apparaît à la fin de la vidéo montre des forêts à l'ouest et au nord-ouest de Yulin, qui sont de couleur vert sombre.

L’ancien désert est couvert de verdure à plus de 90%


Le taux de verdure dans la ville de Yulin a atteint 93,24%, ce qui veut dire que le désert de Maowusu aura bientôt disparu de la carte, affirme pour sa part Le Quotidien du peuple qui se réfère aux données de l’Office des forêts de la province du Shaanxi.

Le journal chinois rappelle que le désert de Maowusu était historiquement une région fertile où pouvaient paître les vaches et les moutons. Mais à l’époque des dynasties Tang, Ming et Qing, la région est progressivement devenue un vaste désert en raison d’une exploitation déraisonnable, selon Le Quotidien du Peuple.

En 1959, les résidents locaux ont décidé de planter des arbres au bord du désert pour se protéger d’abord des tempêtes de sable, puis pour rendre la terre adaptée aux besoins agricoles. En 60 ans, leurs efforts ont porté leurs fruits.

«En tant que relief naturel, le désert de Maowusi ne disparaît pas vraiment, mais les dunes de sable mobiles sont toutes fixées», a indiqué Dang Shuangren, directeur de l'Office des forêts de la province du Shaanxi, dont les propos ont été repris par le journal chinois.

57 commentaires:

  1. Crise économique: «Il sera très difficile de trouver un emploi en France ces prochains mois»


    11:56 20.05.2020
    Par Fabien Buzzanca


    Alors que les agences Pôle emploi ont partiellement rouvert le 18 mai, Fabrice Irat, fondateur et administrateur du «Collectif Gilets jaunes emploi et dignité», assure que les chômeurs seront «les grands oubliés» du gouvernement en vue de la grave crise économique qui se profile. Il s’est confié à Sputnik France.

    «Avant la crise sanitaire du Covid-19, la situation sur le marché de l’emploi était déjà très difficile avec un trop grand nombre de chômeurs pour pas assez d’emplois disponibles. C’est ce que j’aime à appeler "l’effet entonnoir". Or nous allons entrer dans une phase où le chômage de masse va croître énormément.»

    Fabrice Irat, demandeur d’emploi de 56 ans, est très inquiet. Il est à la tête du «Collectif Gilets jaunes emploi et dignité», «petite structure d’échanges principalement active sur les réseaux sociaux». Et d’après lui, pour les chômeurs français, les temps s’annoncent très difficiles. «Sachant que les personnes sans emploi faisaient déjà partie des catégories les plus fragiles de la société, que va-t-il advenir d’elles et des centaines de milliers qui s’apprêtent à les rejoindre alors que le gouvernement ne fait rien de sérieux pour les aider ?», s’interroge-t-il.

    600.000 chômeurs de plus d’ici à la fin juin

    Le défi de l’explosion du chômage est clairement l’un des plus importants auquel le gouvernement doit s’attaquer. La crise sanitaire, qui a poussé les autorités à prendre des mesures draconiennes afin d’éviter la propagation du virus, frappe de plein fouet les économies de nombreux pays, dont la France.

    Bien que les trois premiers mois de l’année n’aient compté que 14 jours de confinement, la chute du Produit intérieur brut (PIB) français a été sévère: -5,8%. Une dégringolade qui est tout simplement la plus importante depuis 1949 et les premiers calculs de l’INSEE.

    Pour le ministre de l’Économie Bruno Le Maire, interrogé par nos confrères de France Info, l’économie française «démarre doucement, comme une belle endormie», alors que le déconfinement est effectif depuis une semaine. Reste que l’arrêt quasi total de l’activité durant deux mois aura des effets catastrophiques pour de nombreux secteurs tels que celui de l’hôtellerie-restauration, qui n’a toujours pas été autorisé à reprendre son activité.

    Dans ce contexte, l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) a évalué à 600.000 le nombre de chômeurs supplémentaires en France d’ici à la fin juin. «On sera à un taux de chômage de l'ordre de 10% en juin et peut-être au-delà de 12% à la fin de l'année», prédisait récemment dans Les Échos Éric Heyer, économiste à l'OFCE. Selon le quotidien économique, le nombre de Français en situation de sous-emploi a bondi «à 8% des personnes en emploi au premier trimestre, soit 800.000 Français de plus».

    RépondreSupprimer
  2. «Bien que les chômeurs représentent des millions de personnes en France, ils n’ont que peu l’oreille des gens de pouvoir. Des associations telles que Le Mouvement national des chômeurs et précaires (MNPC) ou Solidarités nouvelles face au chômage (SNC) sont très dévouées et travaillent bien, mais elles n’ont aucun moyen d’influencer ceux qui prennent les décisions au niveau des pouvoirs publics», souligne Fabrice Irat.

    Il poursuit: «Même chose du côté des syndicats qui sont susceptibles d’aider des chômeurs à titre individuel, mais ont beaucoup de mal à se faire entendre en ce qui concerne la masse des personnes sans emploi.»

    Afin d’amortir la crise, les autorités ont pourtant pris plusieurs décisions concernant le chômage. Tout d’abord, le gouvernement a mis en place le système de chômage partiel «le plus protecteur d’Europe», selon ses propres dires. Il permet aux travailleurs de toucher 84% de leur salaire net (100% dans le cas d’un SMIC). C’est en effet plus généreux qu’en Allemagne où Berlin a décidé de plafonner ces aides à 60% du salaire net concernant les employés sans enfant et 67% pour les parents. L’Espagne, elle, a fait le choix de limiter le taux à 70%.

    Le 11 mai, environ un million d’entreprises avaient déposé des demandes d’activité partielle pour 12,4 millions de salariés. C’est 300.000 travailleurs de plus en une semaine, d’après le service statistique du ministère du Travail. Le gouvernement a également décidé de prolonger de trois mois la période de référence pour ouvrir des droits au chômage, le délai pour s’inscrire à Pôle emploi est passé à 15 mois. Les demandeurs déjà en cours d’indemnisation et qui se trouvaient en fin de droits ont bénéficié du versement de leurs allocations de retour à l’emploi (ARE) et de solidarité spécifique (ASS) pour les mois de mars, avril et mai.

    Le deuxième volet de la réforme de l’assurance chômage pour septembre

    Des mesures «insuffisantes», pour Fabrice Irat. D’autant que le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a récemment annoncé que le dispositif de chômage partiel allait évoluer à partir du 1er juin. D’après lui, «c’est une situation d’urgence», mais «maintenir 100% de prise en charge du chômage partiel pour les entreprises par l'État, ce n'est pas souhaitable sur le long terme». Il planche donc en compagnie de la ministre du Travail Muriel Pénicaud sur un dispositif comportant un «reste à charge qui sera plus important pour les entreprises sur le chômage partiel».

    De plus, pour le moment, le report à septembre du deuxième volet de la réforme de l’assurance chômage reste un sursis alors que syndicats et associations de chômeurs demandent son annulation pure et simple. Pour rappel, le premier volet, entré en vigueur en novembre dernier, concernait «les conditions d’accès à l’indemnisation, le rechargement des droits, la dégressivité de l’allocation et l’indemnisation élargie à de nouveaux publics –les travailleurs indépendants et les démissionnaires poursuivant un projet de reconversion professionnelle», d’après l’Unedic.

    Le 1er septembre 2020, l’entrée en vigueur du second volet de la réforme doit modifier «le mode de calcul du salaire journalier de référence (SJR), qui sert de base au calcul de l’allocation. Le décret du 26 juillet précisait ainsi que la détermination du SJR prenait en compte les jours travaillés et des périodes d’inactivité», toujours selon l’Unedic. Une décision qui impactera négativement le montant des indemnités perçues par de nombreux chômeurs, selon les opposants à la réforme.

    RépondreSupprimer
  3. «Cette deuxième partie de la réforme va rendre d’autant plus difficile la vie des chômeurs qu’en septembre nous serons vraisemblablement au plus fort de la crise. Il aurait fallu tout simplement annuler ce deuxième volet», d’après Fabrice Irat.

    D’après lui, cette crise inédite doit être l’occasion de changer de modèle: «Nous allons entrer dans une société où la notion d’emploi salarié va devenir de plus en plus précaire pour énormément de citoyens. Il faut mettre en place des concepts tels que le revenu universel ou le revenu de citoyenneté. Il est également nécessaire de changer de paradigme et de donner de l’activité à tout le monde, non pas en fonction de sa capacité à participer à créer du profit, mais bien de son utilité sociale.»

    En attendant, il dit ne pas «faire confiance» au gouvernement et prend l’exemple de la récente décision d’Emmanuel Macron de prolonger les droits au chômage des professionnels du spectacle jusqu’à fin août 2021:

    «C’est très bien pour eux, ils font partie des catégories de chômeurs qui ont réussi à obtenir de la visibilité médiatique et à se faire entendre. Mais ils représentent une minorité parmi les demandeurs d’emploi. Si le gouvernement considère qu’il n’existe pas de chômeurs de première classe –que seraient les intermittents– et de chômeurs de deuxième classe –que seraient tous les autres–, eh bien je dis cela aux autorités: "Prolongez les droits de tous les demandeurs d’emploi jusqu’à août 2021." Il acterait ainsi le fait que dans la France de ces prochains mois, il sera très difficile de trouver un emploi.»

    En attendant, les agences Pôle emploi ont commencé leur réouverture progressive le 18 mai. Mais seulement sur rendez-vous.

    https://fr.sputniknews.com/points_de_vue/202005201043810995-crise-economique-il-sera-tres-difficile-de-trouver-un-emploi-en-france-ces-prochains-mois/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Remarquez bien que, dès le 'coronagate' annoncé les caisses automatiques (self) des supermarchés ont... 'bizarrement' été fermées !!!! Çà alors !

      Il y aurait-il eut transmissions virale vers les lecteurs infra-rouge-vif ? HAHAHAHA !

      Les dits 'Super-marchés' ce sont remplis les poches des magasins fermés pour cause de... de quoi au fait ? Les dits 'virus' entreraient plus en magasins qu'en grandes surfaces ? HAHAHAHAHA !

      (...) Afin d’amortir la crise, les autorités ont pourtant pris plusieurs décisions concernant le chômage. Tout d’abord, le gouvernement a mis en place le système de chômage partiel «le plus protecteur d’Europe», selon ses propres dires. Il permet aux travailleurs de toucher 84% de leur salaire net (100% dans le cas d’un SMIC). (...)

      Primo, il s'agit là d'un copié-collé des grandes surfaces américaines. Ces méga-marchés (260 000 m²/26 ha) mettent les 'consommateurs' à x kilomètres du rayon-tournevis à celui de la boite de petits pois et xx km (en prenant des raccourcis) vers le rayon viande !

      CE N'EST PAS UN PROBLEM ! Les chômeurs n'ont que çà à foutre de se promener !

      D'où la fermeture (Çà alors) de ces monstres de cavaleries envahit aujourd'hui par les fantômes, toiles d'araignées, arbres qui y poussent !

      Because que, la boutique-du-coin qui vend de l'outillage EST à proximité au centre-ville, la boutique de fringues aussi, l'alimentation aussi et, tout ceci parcourus en moins de 30 minutes ! Cà alors !

      Et, 'comptes-tenus' de l'absence de frais en moyens de transports vers l'usine, votre salaire sera de... (enlevez qq zéros) !

      LA machine se développe ! Nous sommes au siècle de l'informatique et du travail géré par ordinateurs ! (voir en Chine 145 secondes pour fabriquer une voiture et 15 secondes pour un frigo-personnalisé !).

      Les robots prennent votre travail ! (vous voulez et faire mieux qu'eux ?! Pas de salaire, travail 24/24 h, sans congé, maladie ni retraite !)

      Des esclaves travaillent pour... Pour qui au fait ? Pour vous ? Hahahaha !

      Supprimer
  4. Les «tunnels de désinfection» sont dirigés vers les supermarchés dans le monde post-COVID


    par Tyler Durden
    Mer, 20/05/2020 - 05:30


    Une entreprise française a eu l'idée ingénieuse de concevoir un tunnel de désinfection qui pourrait bientôt apparaître à l'entrée des supermarchés et / ou autres zones commerciales.

    "Les clients y entrent avec leur chariot, puis le produit est vaporisé dessus", a expliqué à La Voix du Nord Pierre Nicoletti, le directeur d'Alineair, la société française chargée de la conception et de la production des tunnels.

    Nicoletti a posté une courte vidéo sur Facebook mercredi 13 mai détaillant le fonctionnement du tunnel:


    Le tunnel pulvérise une fine brume d'eau et d'azote, a déclaré Nicoletti, ajoutant que la brume est "inoffensive" et "permet une désinfection des surfaces de plus de 99%".

    Désinfection de l'entrée du tunnel

    À l'époque pré-corona, Alineair a conçu le mobilier urbain, a vu son entreprise geler lorsque le gouvernement français a initié des fermetures il y a plusieurs mois alors que les cas de COVID-19 et les décès montaient en flèche. L'entreprise, a-t-il dit, a dû se réinventer et saisir l'occasion de développer un produit pour lutter contre la propagation du virus.

    "Jusqu'à il y a deux mois, personne n'avait travaillé sur ce type de matériel. Je dis que sans jugement, mais en France, nous ne sommes pas les plus hygiéniques, et il n'y avait pas de demande", a-t-il expliqué.

    - voir photo sur site -

    Désinfection de la sortie du tunnel

    A l'heure actuelle, plus de "400 tunnels" sont en cours de production à Alineair, note AFP News. La société attend l'approbation du gouvernement dans les prochaines semaines pour livrer les tunnels aux entreprises locales. Avec une demande croissante, la société pourrait devoir augmenter ses 15 effectifs pour augmenter sa production, car ces tunnels seront probablement en forte demande alors que l'Europe tente de rouvrir.

    Pas tout à fait le même concept mais similaire, nous avons montré début avril comment un supermarché de Philadelphie déversait des caddies dans des cuves de solutions désinfectantes pour limiter la transmission du virus.

    Les supermarchés évoluent rapidement dans un monde post-corona. Des caissiers d'un autre supermarché de Philadelphie ont récemment été repérés dans des tentes en plastique pour se protéger contre d'éventuels porteurs de virus.

    - voir photo sur site -

    Tente en plastique de supermarché de Philadelphie. h / t le New York Post

    L'entrée d'un supermarché ou de toute autre entreprise pourrait bientôt avoir des tunnels de désinfection et des contrôles thermiques.

    https://www.zerohedge.com/health/disinfecting-tunnels-are-headed-supermarkets-post-covid-world

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. WHÔôah ! Pourquoi n'y avait-on pensé plus tôt ??!! FINI les masque antivirus FFP2 ! FINI les distanciations des loups qui rôdent en forêts, les moustiques qui piquent et la télé qui emmerde ! LA DOUCHE !

      A quand la 'grille-pain' ou la chambre à gaz ?
      Jusqu'à quand l'entrée en supermarchés demeurera t-elle gratuite ?

      Supprimer
  5. Les autorités de ce pays veulent interdire de parler dans les transports en commun


    12:20 20.05.2020


    Les autorités de Singapour, qui ont entamé la levée progressive des restrictions en lien avec le Covid-19, ont exhorté les habitants à ne pas parler dans les transports en commun, cherchant ainsi à empêcher la propagation du virus. Le port de masques ainsi que le respect de la distanciation sociale seront par ailleurs obligatoires.

    Refusé dans le bus faute de masque, il caillasse le pare-brise
    Les résidents de Singapour devront porter des masques et s'abstenir de parler au téléphone ou entre eux lorsqu’ils prendront le bus et le train pour éviter la propagation du coronavirus. Ces mesures figuraient parmi celles annoncées le 19 mai par les autorités dans le cadre de la première étape de la levée des restrictions imposées en raison de la pandémie.

    Lors d’une conférence de presse, le ministre du Développement national, Lawrence Wong, a déclaré que le nombre de personnes utilisant les transports en commun augmenterait à mesure que les restrictions seraient levées et que davantage de personnes se rendraient au travail et à l’école.

    Sur sa page Facebook, M.Wong a noté que la levée de certaines mesures commencerait le 2 juin.

    L’organisation correcte des entreprises

    «Mais de nombreuses restrictions seront toujours en place. Je sais que certains espéraient avoir la possibilité de sortir librement pour commencer à manger dehors et voir leurs amis. Malheureusement, tout cela devra attendre. J'espère que tout le monde comprend pourquoi nous devons être prudents. Nous ne pouvons pas risquer que le virus connaisse une flambée de nouveau», a-t-il souligné.

    Il a ajouté qu'«il serait difficile de respecter pleinement les mesures de distanciation sociale», mais que les autorités essaieraient d'organiser les itinéraires et les horaires des entreprises de manière à réduire le nombre de personnes dans les transports en commun.

    https://fr.sputniknews.com/international/202005201043811405-les-autorites-de-ce-pays-veulent-interdire-de-parler-dans-les-transports-en-commun-/

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. Même si vous avez un FFP2 (seul masque antivirus) il n'est pas admit de communiquer vos impressions personnelles de révolutionnaire anarchiste (que dis-je ??! TERRORISTE OUAIS !) à quelqu'un.

      Demain, il vous sera INTERDIT de respirer ! VOUS ÉMETTEZ DU GAZ CARBONIQUE QUI TUE ! (voir la trisomique Gretamoilescouilles).

      Supprimer

  6. Grêle (image d'illustration)Le Mexique balayé par des grêlons «en forme de coronavirus» - images


    09:55 20.05.2020


    Des images de la grêle qui s’est abattue sur une région du Mexique ont été relayées sur les réseaux sociaux. Certains internautes ont constaté une forte ressemblance entre la forme des grêlons et celle du nouveau coronavirus, et l’ont interprétée comme un «appel divin» à rester à la maison.

    Une pluie de grêle de forme insolite est tombée dans l’État du Nuevo Léon au Mexique. Les internautes ont partagé des images de ces grêlons qui leur ont rappelé celles illustrant le nouveau coronavirus.

    Des habitants de la ville de Montemorelos, où ces intempéries se sont passées, ont décrit des boules de glace de forme sphérique couvertes de pointes, tout comme la particule virale du coronavirus. Certains ont qualifié cet incident de «message de Dieu» appelant à rester chez soi pendant la pandémie.

    Ce même type de grêle a été aperçu ces mêmes jours à l’autre bout du monde, dans la ville chinoise de Qingdao, d’après certaines publications sur Twitter.

    Début avril, une vidéo montrant des grêlons semblables avait été filmée dans le Michigan, aux États-Unis, et partagée sur YouTube.

    Ce phénomène a été expliqué par le météorologue de l’Organisation météorologique mondiale (OMM), José Miguel Vinas, interrogé par le quotidien 20 Minutos. Selon lui, il s’agit d’un processus habituel inhérent aux grandes tempêtes. Les grêlons se heurtent, s’écrasent et fusionnent, ce qui conduit à leur formation.

    «Ce n’est pas une sphère de glace qui tombe mais un disque écrasé par un coup très violent ou une fusion de grêle de différentes tailles qui revêt une forme étoilée», a-t-il ajouté.
    Selon les derniers chiffres de l’Université Johns-Hopkins, au moins 54.346 cas de contamination et plus de 5.660 décès ont été recensés au Mexique.

    https://fr.sputniknews.com/insolite/202005201043810012-le-mexique-balaye-par-des-grelons-en-forme-de-coronavirus---images/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Certains avaient la forme de croix gammées, d'étoiles jaunes ou de mains fermés avec le majeur dressé ! whôâah !

      Supprimer

  7. 5G: la nouvelle menace mondiale ?


    10:00 20.05.2020
    Par Yannick Harrel


    Annoncée comme une véritable révolution disruptive, la nouvelle norme de télécommunications 5G s’invite dans le débat sous trois plans: technique, civilisationnel et sanitaire. Toutefois, la peur d’être exclus de la course technologique ne va-t-elle pas précipiter les États réticents à franchir le pas ?

    Sous forme de lapalissade, la 5G est la continuité de la 4G, qui succède elle-même à la 3G. Il faut pourtant se dédire d’une facilité qui comparerait ces différentes technologies uniquement sur un plan d’amélioration de puissance. Chaque palier a surtout été une progression vers des applications nouvelles. La 2G a apporté la capacité d’émission-réception de messages textuels (SMS), la 3G a permis l’Internet mobile et l’acheminement des données, tandis que la 4G a rendu pleinement opérationnelles la téléphonie par Internet (VoIP), les visioconférences et l’infonuagique (cloud computing).

    Et la 5G? Le déploiement en cours de ce nouveau réseau de télécommunications est censé apporter des bienfaits théoriques sur trois plans principaux: un plus haut débit (10 Gb/s contre 30 Mb/s pour la 4G), un maillage renforcé des points de connexion par une technique de transmission par microcellules (dite MIMO), de même qu’une latence extrêmement réduite (1 milliseconde contre 10 millisecondes pour la 4G). Ce sont les avantages techniques que mettent en avant ses promoteurs (sans être toujours très diserts sur ses inconvénients).

    Une interconnexion permanente de millions d’objets

    Pour autant, la 5G, ce n’est pas seulement une connexion Internet plus rapide sur son smartphone. Cette technologie va investir nombre d’activités où elle est attendue avec impatience: l’industrie 4.0 (la robotisation intelligente), les médias interactifs, la santé 3.0 (la télémédecine comme le suivi médical personnalisé à distance), les transports intelligents (les véhicules autonomes), les grilles d’énergie évolutives (Smart Grid) ou encore l’Internet des objets (les montres connectées). De la domotique à l’industrie, tous les objets disposant d’une source d’énergie et d’un flux de données seront capables d’interagir, non seulement avec les êtres vivants à leur contact, mais aussi entre eux, ce qui ouvre des perspectives de services et de création nouvelles. Une interconnexion permanente de millions d’objets, rendue possible par la 5G.

    Seulement, l’interconnexion des réseaux aboutira à une interconnexion des failles de sécurité, qui pourront impacter non plus un individu ou une entité –privée ou publique–, mais tout un ensemble géographique ou sectoriel. La différence est de taille, à la mesure des dangers. Le cas d’un dérèglement du système de gestion des flux de circulation peut légitimement effrayer par la gravité et la densité des accidents potentiels. Les solutions existent –des plus évoluées aux plus rudimentaires–, mais elles imposent un surcoût au déploiement que les acteurs privés et publics n’ont pas toujours intégré initialement dans leur cahier des charges.

    RépondreSupprimer
  8. Ajoutons qu’il ne suffit pas de prévoir l’acheminement des données par le standard 5G pour qu’un miracle se produise: il convient de disposer d’infrastructures d’une part, et d’un écosystème d’autre part afin d’en percevoir les fruits. Ce fut par ailleurs le discours tenu par Vladimir Poutine lors de son allocution du 30 mai 2019 sur l’intelligence artificielle. De la même manière que l’eau irrigue les champs, la 5G doit s’installer dans un environnement propice et prophylactique.

    Vers une domination technologique asiatique

    La 5G, c’est aussi, bien que moins perceptible, un changement civilisationnel puisque nous entrerons définitivement, dès son adoption massive, dans une société connectée en permanence et non ponctuellement, comme actuellement.

    Ce sera l'acceptation d’une société où le chiffre sera omniscient, omniprésent et omnipotent, surtout s’il a recours à la capacité démultipliée du calcul quantique. Or, des civilisations fondées sur le chiffre diffèrent dans leur approche humaine de celles fondées sur la lettre.

    Sur un autre plan, c’est aussi le basculement vers une domination technologique asiatique et non plus occidentale. Si l’on peut citer quelques acteurs européens et américains en ce domaine (Qualcomm ou Ericsson pour les plus solides), ils subissent sèchement les années d’investissement massives par le sud-coréen Samsung, le japonais NTT Docomo et les chinois ZTE et Huawei. Le Président Donald Trump ne s’y est pas trompé en visant régulièrement cette dernière firme depuis son accession au pouvoir, une stratégie s’inscrivant dans un front plus élargi de guerre commerciale.

    La mainmise de la technologie 5G par des puissances asiatiques consacre la réalité d’un glissement de compétences, évoluant de l’imitation vers l’innovation.

    L’électrosmog : une grille de champs électromagnétiques

    Sur le plan sanitaire, les inquiétudes grandissent en raison de l’absence de recul sur l’innocuité des ondes électromagnétiques. Car, pour simplifier, la 5G vise une puissance d’ondes plus élevée, mais obligeant à un maillage plus dense d’antennes, d’où la crainte formulée par plusieurs experts et médecins de la présence d’un électrosmog. Cette grille de champs électromagnétiques à haute fréquence d’origine humaine pourrait avoir des effets nuisibles sur la santé humaine allant du trouble du sommeil aux maux de tête en passant par l’endommagement de l’ADN jusqu’à la perturbation de certains appareils comme les stimulateurs cardiaques.

    En Belgique, se fondant sur un avis du Conseil de la Santé de mai 2019, de nombreux médecins ont réclamé un moratoire sur le déploiement de la 5G sur le territoire. En France, plusieurs personnalités politiques se sont emparées de la problématique en mai 2020 afin de demander des études impartiales plus approfondies. Au niveau mondial, le mouvement 5G Space Appeal entend peser dans les décisions gouvernementales en expliquant que le risque sanitaire n’est pas uniquement terrestre, mais aussi spatial avec le déploiement prévu ces prochaines années de milliers de satellites à basse et moyenne orbite.

    Si, sur le papier, les promesses de la 5G sont alléchantes, elles sont aussi porteuses de réelles interrogations qui, en raison du flou les entourant, alimentent les rumeurs les plus folles comme celle établissant un lien entre l’épidémie de Covid-19 et l’installation d’antennes 5G.

    RépondreSupprimer
  9. Il y a là un réel dilemme. Soit les pays se passent de cette technologie affublée de la qualification de disruptive, ce qui les obligerait à opter pour des solutions alternatives plus coûteuses, plus longues à développer et plus contraignantes à installer. Soit ils adoptent cette nouvelle génération de télécommunications en acceptant tous les risques inhérents connus et inconnus à l’heure actuelle. Entre ces deux réponses radicales, il existe toute une nuance de solutions comme un mix entre la fibre optique et la 5G selon les secteurs d’activité et les territoires, ou encore un déploiement d’antennes assorti d’une période de probation sanitaire par exemple.

    Alors que le monde sort à peine de la vague épidémique du SARS-CoV2, il est raisonnable de penser que les gouvernements ayant subi frontalement la crise sanitaire, les États européens en première ligne, vont chercher à temporiser sur son déploiement pour ne pas davantage s’attirer les foudres de leur population, laissant Chine, Japon et Corée du Sud prendre une avance considérable et impulser l’avènement d’un autre modèle civilisationnel…

    En définitive, en matière de développement et de déploiement de la 5G, chaque pays doit prendre une décision stratégique après avoir soupesé toutes les conséquences résultant de l’adoption ou de l’abandon d’une technologie prometteuse avec sa part d’inconnue(s): c’est un réel choix politique.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202005201043808343-5g-la-nouvelle-menace-mondiale/

    RépondreSupprimer
  10. Les cas de COVID-19 en Afrique s'envolent au-delà de 88 000 alors que la «coronavirus apocalypse» redoute


    par Tyler Durden
    Mer, 20/05/2020 - 02:45


    Au cours de la première semaine d'avril, les cas de coronavirus en Afrique ont dépassé 10 000. Maintenant, plus d'un mois plus tard, ce nombre s'élève à 88 172 selon le tableau de bord du CDC Africa.

    Cela après une augmentation des cas de 2438 dernières heures par 2538 selon le Bureau régional de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour l'Afrique mardi. À travers le continent, au moins 2 834 personnes sont décédées des suites de COVID-19.

    L'épidémie est apparue pour la première fois en Égypte à la mi-février via ce que l'on croyait provenir de voyageurs étrangers, et s'est depuis étendue à l'ensemble des 54 pays du continent.

    - voir carte sur site -

    Le mois dernier, le directeur régional de l'OMS pour l'Afrique, le Dr Matshidiso Moeti, a tiré la sonnette d'alarme en déclarant que la pandémie en Afrique semblait potentiellement dévastatrice: "COVID-19 a le potentiel non seulement de provoquer des milliers de morts, mais aussi de déclencher des dévastation sociale ", a déclaré Moeti.

    Les grappes les plus importantes semblent concentrées dans les régions considérées comme les plaques tournantes les plus fréquentées des voyages internationaux et étrangers, comme l'Égypte et le Maroc au nord, et l'Afrique du Sud à la pointe sud.

    Cependant, le continent africain est encore loin de «l'apocalypse des coronavirus» que beaucoup prédisaient (compte tenu d'une population totale de plus de 1,3 milliard de personnes), y compris par exemple Bill et Melinda Gates:

    Dans une interview accordée à CNN le 10 avril, la philanthrope américaine Melinda Gates a exprimé sa conviction que la pandémie de coronavirus aura le pire impact dans le monde en développement. Elle a dit qu'elle prévoit des corps qui traînent dans la rue des pays africains.

    Un jour plus tard, il a été annoncé que les États-Unis, d'où est originaire Gates, avaient dépassé l'Italie en termes de nombre de morts de COVID-19.

    ... De toute évidence, malgré la crise massive que traverse l'Occident, certains leaders d'opinion occidentaux continuent d'insister sur le fait que tout un continent de 54 pays connaîtra collectivement et inévitablement une apocalypse à la suite d'une épidémie de virus. En effet, le regard blanc ne connaît pas de repos, même au milieu d'une pandémie qui a frappé l'Occident.

    Il existe une différence considérable entre une peur informée et une hypothèse non informée. Une grande partie de la conversation autour de l'impact potentiel de COVID-19 sur l'Afrique jusqu'à présent semble provenir de ce dernier.

    Gates n'est pas le seul à prédire la perte totale en Afrique. Un rapport publié par la Commission économique des Nations Unies pour l'Afrique (CEA) en avril a déclaré: "N'importe où entre 300 000 et 3,3 millions d'Africains pourraient perdre la vie en conséquence directe de COVID-19".

    RépondreSupprimer
  11. Voici une ventilation de l'endroit où la maladie est concentrée sur le continent sur la base des chiffres de l'OMS communiqués mardi matin:

    L'Afrique du Sud a le plus grand nombre de cas de coronavirus (16 433) et un bilan de 286 décès.
    L'Égypte, où 12 229 personnes ont été infectées, est responsable de la majorité des décès (630).
    L'Algérie a signalé 7 201 cas et 555 décès
    Le Maroc a identifié 6 930 patients atteints de coronavirus et enregistré 192 décès
    Le Soudan a jusqu'à présent confirmé 2 591 cas et 105 décès.
    Dans la région subsaharienne, le Nigéria a signalé 6 175 cas et 191 décès.
    Le pays est suivi par le Ghana (5 735 cas et 29 décès)
    Cameroun (3 529 cas et 140 décès)
    Guinée (2 796 cas et 16 décès)
    Sénégal (2 544 cas et 26 décès)
    Côte d'Ivoire (2 119 cas et 28 décès)
    La RDC a enregistré 1 455 cas enregistrés et 61 décès

    Comme dans d'autres parties du monde, il existe probablement une énorme différence entre les chiffres confirmés en fonction de la disponibilité des tests et la réalité sur le terrain.

    https://www.zerohedge.com/health/african-continent-covid-19-cases-soar-past-88000-now-every-country

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. L'Heure du drone (transporteur hégémonique) est arrivée !

      Supprimer
  12. CORONAVIRUS : PEUT-ON REFUSER LES PAIEMENTS EN ESPÈCES ?


    par JEAN-BAPTISTE GIRAUD
    20/05/2020


    Depuis lundi 11 mai, le plafond du paiement sans contact est passé à 50 euros.

    Non, un commerçant ne peut pas vous refuser un paiement en espèces, en arguant que la manipulation des pièces et des billets pourrait être dangereuse.

    Des paiements en liquide refusés

    Un peu partout en France, des clients mécontents d’avoir vu leur argent liquide refusé par des commerçants se sont plaints. Et à raison : la monnaie fiduciaire, l’autre nom de l’argent liquide, est le seul moyen de paiement qu’un commerçant ne peut pas vous refuser.

    À l’inverse, refuser d’accepter les chèques, c’est parfaitement légal. Vous ne pouvez pas le contraindre à accepter, même en présentant 50 pièces d’identité et justificatifs de domicile. Par ailleurs, un commerçant dont le terminal de paiement électronique ne fonctionne pas a parfaitement le droit de vous demander de régler autrement, y compris en vous proposant d’aller tirer vous-même de l’argent en liquide à un distributeur.

    Un retour de l'argent liquide ?

    En réalité, à mon avis, nombre de commerçants seront ou sont déjà ravis que certains clients les payent en liquide. Le charismatique patron d’un syndicat de restaurateurs, aujourd’hui disparu, me racontait que ses confrères avaient deux ennemis : l’inventeur du chèque et celui de la carte bancaire. La chose est vraie pour plein d’autres professions, du coiffeur au garagiste en passant par les forains sur les marchés.

    De mon point de vue, mais je peux évidemment me tromper, l’argent liquide va faire un retour en force dans notre économie au cours des prochains mois. Et vous n’aurez aucun problème pour payer avec, chez qui vous voulez.

    http://www.economiematin.fr/news-commercant-refuser-paiements-especes-coronavirus

    RépondreSupprimer
  13. Un super-masque capable de détruire le coronavirus développé aux États-Unis


    15:30 20.05.2020


    Des scientifiques américains ont développé un masque composé d’un tissu qui, en l’espace d’une seule minute, prive le coronavirus de sa capacité à infecter les êtres humains. Les chercheurs sont actuellement en attente de l’approbation des autorités pour lancer la production de ces masques.

    Un groupe de chercheurs de l’Université de l’Indiana ont mis au point un masque de protection fabriqué avec un tissu capable d’éliminer les virus, dont le Covid-19. Le résumé de leur recherche a été publié sur le site ChemRXiv, présentant l’archive de préimpression.

    Alors que les virus peuvent être chargés électriquement, le coronavirus s’appuie notamment sur des interactions électrostatiques pour pouvoir se fixer à un organisme. La structure des virus doit rester stable afin de propager l'infection. Ainsi, en entrant en contact avec le nouveau masque, cette structure est détruite, ce qui élimine la capacité infectieuse du virus.

    Comment ce masque fonctionne-t-il ?

    Ce nouveau masque est fait d'un tissu en polyester, sur lequel des éléments miniatures constitués de zinc et d’argent se trouvent. La respiration humaine hydrate le matériau et de minuscules batteries génèrent un champ électrique de 0,5 volt.

    Au fil des expériences, des dizaines de milliers de particules virales sont entrées en contact direct avec le tissu. Ce dernier ne les a pas laissées pénétrer à l'intérieur du masque. Parallèlement, le champ électrique a été absorbé. Une minute plus tard, le virus n'était plus en mesure d'infecter les cellules vivantes que les chercheurs «lui proposaient».

    «Nous espérons […] que nous pourrons largement utiliser ce tissu dans la lutte contre le Covid-19, sauvant finalement des vies», a déclaré Chandan Sen, principal auteur de l'étude et directeur de l’Indiana Center for Regenerative Medicine and Engineering de la IU School of Medicine.

    Les chercheurs attendent actuellement l’approbation des autorités pour lancer la production des masques. Le produit est commercialisé par la société Vomaris.Inc.

    https://fr.sputniknews.com/sante/202005201043813201-un-super-masque-capable-de-detruire-le-coronavirus-developpe-aux-etats-unis/

    RépondreSupprimer
  14. Le siège de Dow Michigan menacé d'inondation de «neuf pieds d'eau» après la rupture de deux barrages


    par Tyler Durden
    Mer, 20/05/2020 - 11:20


    Le siège du géant chimique Dow, qui a été séparé de DowDuPont en avril dernier, est menacé par des inondations, ce qui incite l'entreprise à activer son centre d'urgence local dans le Michigan et à mettre en œuvre un «plan de préparation aux inondations qui comprend l'arrêt en toute sécurité des unités opérationnelles sur site», la société a déclaré sur Facebook après la défaillance de deux barrages en amont de son siège social de Midland, Michigan

    Dow a déclaré que "seul le personnel essentiel de Dow avait besoin de surveiller la situation et de gérer les problèmes résultant des inondations restait sur place". D’autres sociétés opérant au complexe Dow’s Midland incluent DuPont et Corteva Agriscience, selon Bloomberg qui ajoute que les sociétés travaillent ensemble sur leur réponse.

    Le gouverneur du Michigan, Gretchen Whitmer, qui gère déjà une crise de santé publique dans l'un des États durement touchés par Covid-19, a annoncé une déclaration d'urgence en réponse à l'effondrement du barrage. Elle a dit aux gens d'évacuer la zone autour de Midland, exhortant ceux qui se trouvent dans les zones d'inondation à se rendre dans un abri.

    "Dans les 12 à 15 prochaines heures, le centre-ville de Midland pourrait avoir moins de neuf pieds d'eau", a déclaré Whitmer. "Passer par là au milieu d'une pandémie mondiale est presque impensable."

    Le barrage d'Edenville, au pied du lac Wixom, s'est rompu au milieu des hautes eaux de crue de la région, envoyant de l'eau jaillir par un trou désormais béant près de son déversoir. Un deuxième barrage, le barrage de Sanford au pied du lac de Sanford, a également échoué, selon le National Weather Service, qui a émis une alerte le prévenant de «crues soudaines extrêmement dangereuses» dans la région.

    La rivière Tittabawassee qui coule sous ces lacs, à travers Midland, a culminé à près de 34 pieds lors d'une inondation de 1986 qui a vu Dow Chemical fermer presque toutes ses activités locales. Les eaux de crue de Midland devraient atteindre près de 4 pieds de plus que mercredi, selon le Midland Daily News.

    https://www.zerohedge.com/markets/dow-michigan-hq-threatened-nine-feet-water-flood-after-two-dams-break

    RépondreSupprimer
  15. Hacksawing The Economy: How Lockdowns are in The Tradition Of Civil War Surgeons


    par Tyler Durden
    Mer, 20/05/2020 - 11:12
    Écrit par James Bovard via The Mises Institute,


    Les politiciens et les responsables de la santé publique pour justifier l'arrêt des fermetures de vastes pans de la vie américaine ont dissuadé la propagation de COVID-19. Selon le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, près de 40% des ménages gagnant moins de 40 000 $ par an ont un membre qui a perdu son emploi ces derniers mois. La dépression, l'abus de drogues et le suicide sont en hausse en raison des blocages et des commandes de «refuge sur place».

    Les taux d'infection et les décès ont grimpé en flèche malgré de sévères restrictions à la vie quotidienne. Cependant, les politiciens et les responsables de la santé du gouvernement continuent de revendiquer la victoire car sinon, plus de personnes auraient été infectées par COVID-19. La plupart de la couverture médiatique applaudit les politiciens et les fonctionnaires qui se font les champions de l'extension des blocages, quels que soient les dommages collatéraux à la vie américaine.

    La réponse politique à COVID-19 est étrangement similaire aux raisonnements des chirurgiens de la guerre civile. L'amputation était la pratique chirurgicale la plus courante au cours de cette guerre, et plus de cinquante mille soldats avaient des membres piratés après des batailles. L'amputation était une «solution» réflexive, car les membres étaient parfois brisés par les balles de Minié et aussi parce que c'était la seule astuce que de nombreux «chirurgiens» non formés connaissaient. Les chirurgiens étaient ridiculisés en tant que bouchers et étaient généralement très négligents en matière d'hygiène, entraînant des décès bien plus inutiles.

    Les chirurgiens ont justifié d'aller chercher leurs scies à métaux, car sinon, de nombreux soldats mourraient de leurs blessures gangrenées. Peu importait le nombre de soldats morts des amputations inutiles ou bâclées tant que les chirurgiens n'étaient pas blâmés pour les décès dus à la gangrène.

    Les politiciens de nombreux États justifient leurs fermetures de COVID-19 avec des justifications qui ressemblent à celles de ces chirurgiens. Peu importe le nombre de personnes qui perdent leur emploi, leur entreprise ou une santé robuste en raison des fermetures. Tant que les politiciens affirment que la situation serait pire s'ils n'avaient pas amputé une grande partie de l'économie, ils peuvent pirouette en tant que sauveurs.

    En fait, il existe une analogie plus étroite entre les chirurgiens de la guerre civile et les politiciens contemporains. Les politiciens ont rasé une grande partie de l'économie prétendument pour empêcher quiconque d'être infecté à un moment inconnu à l'avenir. C'est comme un chirurgien de la guerre civile envoyant ses assistants parcourir la campagne pour saisir de jeunes hommes malchanceux et scier leurs armes afin de les empêcher d'être des victimes dans les batailles futures.

    Voici comment le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a justifié la fermeture de l’économie de son État et le confinement de près de 20 millions de personnes chez eux il y a deux mois: "Si tout ce que nous faisons ne sauve qu’une vie, je serai heureux." Au moment du décret de Cuomo, cinq personnes ou moins avaient été testées positives pour le coronavirus dans la plupart des comtés de l'État de New York. La formule de Cuomo illustre la façon dont les politiciens récoltent les applaudissements des médias pour des actions dramatiques qui ont peu ou rien à voir avec la sécurité publique.

    RépondreSupprimer
  16. En même temps que Cuomo mettait pratiquement son État en résidence surveillée, il a également ordonné aux maisons de soins de New York d'admettre des patients COVID. Son diktat désastreux a contribué à plus de cinq mille décès par COVID dans les maisons de soins infirmiers de New York. Cuomo s'absout lui-même, parce que certains États ont un pourcentage plus élevé de décès par COVID survenant dans des maisons de soins infirmiers que New York, mais aucun État n'a près de cinq mille morts dans des maisons de soins infirmiers. La plupart des médias considèrent toujours Cuomo comme un bienfaiteur héroïque grâce à son arrêt pour sauver "une seule vie".

    «Nous avons sauvé des vies» est également l'auto-exonération annoncée par le gouverneur du Michigan Gretchen Whitmer après qu'elle a imposé les restrictions les plus punitives de la nation. Whitmer a interdit «tous les rassemblements publics et privés de toute taille» (interdisant aux gens de rendre visite à des amis) et a également interdit l'achat de semences pour la plantation de printemps dans les magasins après avoir décrété qu'il s'agissait d'une activité «non essentielle». (L'achat de billets de loterie d'État était cependant une activité «essentielle».) De nombreux comtés du Michigan ont moins d'une poignée de cas de COVID et ont eu peu ou pas de décès. Mais leurs économies ont été anéanties par les décrets de Whitmer à l'échelle de l'État, qui ont fait grimper le chômage à 24%.

    Autrefois, les politiciens pouvaient toujours proposer un économiste qui avait découvert un «multiplicateur» keynésien pour justifier davantage de dépenses incontrôlables. De nos jours, la «science» est le mot magique utilisé pour justifier toute restriction à la liberté américaine.

    Whitmer, par exemple, s'exonère: "Nous devons prendre des décisions basées sur où la science nous mène." Malheureusement, la pandémie de COVID-19 a déjà connu une longue série de débâcles de la «science». La réponse nationale à la menace du coronavirus a été sabotée, car des scientifiques incompétents des Centers for Disease Control ont contaminé des échantillons clés pour la création d'un test en février et parce que des bureaucrates scientifiques de la Food and Drug Administration ont bloqué des tests privés innovants. Il est également difficile de traiter les avertissements et les prévisions des scientifiques comme provenant du mont. Sinaï quand il y a une vive querelle entre experts sur les politiques les plus prudentes pour juguler la pandémie.

    Un autre parallèle avec les chirurgiens de la guerre civile est que les politiciens contemporains ne paient aucun prix pour les dommages inutiles qu'ils infligent. De nombreux soldats de l'Union et des Confédérés estropiés ont passé des décennies à clopiner après la guerre. Il reste à voir combien de millions d'Américains souffrent de handicaps à long terme en raison des décrets draconiens qui affligent maintenant une grande partie de la nation. Mais il est peu probable que les politiciens soient jamais tenus responsables de la vie qu'ils ont inutilement mutilée.

    Après les batailles de la guerre civile, les tentes où les chirurgiens ont scié étaient réputées comme l'un des endroits les plus horribles que de nombreux soldats aient jamais rencontrés. Même ceux qui se remettaient de leurs blessures se retrouvaient souvent avec des cauchemars perpétuels sur les cris qu'ils entendaient et la vue des piles sanglantes de bras et de jambes coupés.

    En revanche, les politiciens et les tsars de la santé publique qui ont fermé une grande partie de l’économie nationale n’ont pas été témoins de tels événements traumatisants. Au lieu de cela, ils ont leurs réunions - peut-être sur Zoom - et émettent ensuite des décrets que leurs amis dans les médias ne manqueront pas d'applaudir.

    RépondreSupprimer
  17. Les taux de chômage augmentent encore plus rapidement que les amputations des années 1860.

    Mais l'agonie se produit loin des bureaux somptueux dont jouissent les gouverneurs - dans des maisons calmes où les familles souffrent désespérément des loyers et des versements hypothécaires en attente, et dans les entreprises en perdition où les propriétaires voient leurs rêves de vie mourir semaine après semaine.

    https://www.zerohedge.com/health/hacksawing-economy-how-lockdowns-are-tradition-civil-war-surgeons

    RépondreSupprimer
  18. 10 étapes pour transformer une pandémie en une nouvelle normalité courageuse


    par Tyler Durden
    Mer, 20/05/2020 - 09:56
    Écrit par Catte Black via Off-Guardian.org,


    Maintenant, cher lecteur, je sais que vous n'êtes pas membre d'une caste d'élite institutionnellement sociopathique, essayant d'étendre votre pouvoir au bon vieux temps des monarques suprêmes ordonnés par Dieu lui-même.

    Mais imaginez que vous l'étiez.

    Imaginez que vous étiez l'une des personnes les plus riches à avoir jamais existé, et votre vaste réseau de richesse et d'influence était basé sur de l'argent imaginaire et la croyance largement cultivée «qu'il n'y a pas d'alternative».

    Imaginez maintenant que les mensonges qui sécurisent votre position sont brusquement et violemment contestés. Imaginez les manifestations des Gilets jaunes dans les rues de Paris, référendum d'indépendance en Catalogne. Les anti-mondialistes, à gauche et à droite, gagnent en popularité partout dans le monde.

    Imaginez Brexit et Bitcoin et PirateBay et la myriade de petites façons dont les gens ne font pas ce qu'on leur dit.

    Ce dont vous souffrez est une perte de contrôle du récit. Ce dont vous avez vraiment besoin, c'est d'une nouvelle histoire. De quoi inculquer à chacun le sens d'un but commun. Pour les effrayer, les distraire et les occuper.

    Vous avez besoin d'une menace, quelque chose qui fera que tout le monde «se réunira». Mettre de côté les «divisions» et la «haine» et tous travailler ensemble pour faire face à un «ennemi commun»

    Et les ennemis, comme les gâteaux et la limonade, sont toujours beaucoup plus satisfaisants lorsque vous les faites vous-même.

    Voici les 10 étapes à suivre si vous souhaitez transformer un virus non menaçant en une prise de pouvoir mondiale.

    Commencez avec un virus mal défini, ajoutez un test inexact et encouragez autant de personnes en phase terminale ou gravement malade que possible à se répéter jusqu'à ce qu'elles soient positives.

    Signalez vos taux de mortalité inévitablement très élevés et indiquez si ces personnes sont mortes DU virus ou simplement AVEC.

    Créer une «réponse» à la «crise» qui déploie un vaste réseau de mesures autoritaires, dont certaines sont en cours de planification depuis longtemps, et seule une minorité d’entre elles peut s’appliquer à la prévention des pandémies. (Assurez-vous d'annuler les élections jusqu'à nouvel ordre et d'augmenter considérablement les pouvoirs d'arrestation et de surveillance de la police)

    Fermez vos hôpitaux dans tous les cas, sauf les «cas convoités». Annuler les chirurgies électives, la dialyse rénale, les traitements contre le cancer, les consultations normales de généralistes et tous les «soins de santé non urgents». Augmentant ainsi inévitablement la mortalité toutes causes confondues.

    Modifiez vos lois de nombreuses manières pour permettre à presque tous ces nouveaux décès de contourner les freins et contrepoids normaux et d'être facilement diagnostiqués comme «liés à Covid-19», soit avec le test inexact, soit simplement par «présentation clinique».

    RépondreSupprimer
  19. Dans le cas où certains médecins traitants hésitent à accepter cela, changez la loi pour permettre à un seul médecin, qui n'a peut-être même jamais vu le patient en question, de diagnostiquer covid19 à sa discrétion.

    Signalez le nombre surprenant de «nouveaux cas» que vous trouvez à la suite de ces diverses manipulations, comme preuve de l’importance des nouvelles mesures autoritaires pour «sauver des vies».

    Sans aucun sens de l'ironie, introduisez des Ne pas réanimer (DNR) obligatoires pour tous les groupes démographiques que vous considérez comme des mangeurs inutiles. (En cas de défi, parlez de la souffrance humaine, des ressources de santé limitées et des ventilateurs)

    N'oubliez pas d'ajouter les décès qui s'ensuivent au total de covid19.

    Assurez-vous que les médias appellent toute personne qui remet en question une quelconque "théorie du complot".

    Non seulement ces dix étapes vous permettront de créer un État policier quasi fasciste, mais les classes de bavardage vous critiqueront en fait de ne pas être assez d'un État policier et en demanderont plus.

    Nul doute que certains diront que cela est excessivement cynique, peut-être même «conspirateur». Mais est-ce ?

    Depuis février 2020, nous avons consacré ce site à vous apporter la réalité factuelle de l'entité appelée «pandémie covid19». Nous l'avons fait en utilisant des statistiques et des données officielles, et le témoignage ignoré d'experts dans le domaine.

    Qu'a apporté l'histoire orthodoxe dans le même laps de temps ?

    L'affirmation selon laquelle il s'agit d'une pathologie unique nécessitant des niveaux d'intervention uniques est faite chaque jour, dans pratiquement tous les médias grand public, de nombreux médias alternatifs et par pratiquement tous les principaux gouvernements et ONG liées à la santé.

    C'est une cacophonie assourdissante, un mégaphone de peur et de certitude 24h / 24 et 7j / 7, un brouillard de manchettes et de spéculations et de «quoi faire» et «certains experts prétendent» et des forêts de nombres inexpliqués ou inexpliqués.

    Mais sur quoi est-il basé ? Quelles données, quelles statistiques, quelles observations forment la base de ce récit ?

    Y a-t-il quelque chose de solide derrière le bruit ?

    Malgré l'atmosphère de panique générée et malgré l'utilisation fréquente d'épithètes comme «virus mortel» dans la presse populaire, personne ne prétend que covid19 tue beaucoup de gens.

    En fait bien au contraire, comme nous l'avons souligné récemment. Les mêmes sources qui promeuvent la nécessité d'une action unique sur ce virus vous diront dans le prochain souffle qu'il n'y a rien de particulièrement dangereux du tout.

    Selon le médecin-chef du Royaume-Uni, 80% des personnes infectées ne présenteront aucun symptôme ou un rhume léger, seule une infime minorité aura même besoin d'un traitement à l'hôpital, et même parmi celles-ci, la grande majorité survivra.

    RépondreSupprimer
  20. Alors, qu'est-ce qui, en termes réels, est revendiqué ? Si le problème n'est pas que ce virus tue beaucoup de gens, quel est le problème ?

    La seule réponse à cela est de parler de dépassement des services de santé en raison du «R0». Comme si vous pouviez prendre ce nombre isolément et lui faire signifier quelque chose.

    C'est n'importe quoi. Un R0 élevé n'est pas préoccupant si le virus est inoffensif pour la plupart des personnes qui le rencontrent. Le rhume a un R0 compris entre 2 et 3, à peu près le même que SARSCOV2. Il peut également tuer des personnes vulnérables, parfois en grand nombre.

    Donc, si cet argument est logique, nous devrions être enfermés de façon permanente de peur d'attraper un reniflement.

    L'argument R0 permettait d'obtenir une crédibilité supplémentaire en se référant au modèle impérial et à sa prédiction selon laquelle le service de santé serait dépassé si une sorte de verrouillage n'était pas appliquée.

    Mais c'est plus que problématique. Le modèle impérial a maintenant été largement discrédité et son auteur, Neil Ferguson, a été présenté comme un incompétent en série ou un fudger de données en série pour le gouvernement ou la Fondation Gates. Il ne peut plus être utilisé pour prendre en charge la revendication d'unicité ou l'argument du verrouillage. Il n'y a rien pour montrer que cela fonctionne très bien, voire pas du tout.

    Ce qui signifie que tout le mème «aplatir la courbe» est également discrédité, soit dit en passant. Loin d'être envahi, le NHS est pratiquement fermé, à l'exception de ces quartiers de Covid19 presque vides. Pourtant, apparemment, il faudra au gouvernement britannique 12 mois pour récupérer les chirurgies électives.

    Parce que, vous savez, des raisons.

    Covid19 raisons.

    PAS une tentative opportuniste pour finalement fermer et privatiser ou réquisitionner le NHS.

    C’est certain.

    Sérieusement, les gens. Si vous pensez qu'il y a une cohérence, une pensée rationnelle ou des données derrière la position officielle mondiale et gatesienne - dites-moi où elle se trouve.

    https://www.zerohedge.com/political/10-steps-turn-pandemic-brave-new-normal

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. C'est exactement ce qui se passe dans TOUS les pays !

      Les hôpitaux sont vides, le personnel et dehors à fumer des cigarettes en attente d'accidentés, zéro porteurs de coranavirus mais, tous ceux qui meurent faute d'opération ou de soins 'non-urgents' sont marqués 'coranavirus' !

      Supprimer
  21. Les sondes d'essaim affaiblissent le champ magnétique terrestre


    par l'Agence spatiale européenne
    20 MAI 2020


    On pense que le champ magnétique est en grande partie généré par un océan de fer liquide surchauffé et tourbillonnant qui constitue le noyau externe de la Terre à 3000 km sous nos pieds. Agissant comme le conducteur en rotation dans une dynamo de bicyclette, il génère des courants électriques et donc le champ électromagnétique en constante évolution. D'autres sources de magnétisme proviennent des minéraux du manteau et de la croûte terrestre, tandis que l'ionosphère, la magnétosphère et les océans jouent également un rôle. La constellation de trois satellites Swarm de l’ESA est conçue pour identifier et mesurer précisément ces différents signaux magnétiques. Cela mènera à de nouvelles perspectives sur de nombreux processus naturels, de ceux qui se produisent au plus profond de la planète aux conditions météorologiques dans l'espace causées par l'activité solaire.

    Dans une zone s'étendant de l'Afrique à l'Amérique du Sud, le champ magnétique terrestre s'affaiblit progressivement. Ce comportement étrange a intrigué les géophysiciens et provoque des perturbations techniques dans les satellites en orbite autour de la Terre. Les scientifiques utilisent les données de la constellation Swarm de l'ESA pour améliorer notre compréhension de cette zone connue sous le nom d '«anomalie de l'Atlantique Sud».

    - voir photo sur site -

    Le champ magnétique terrestre est vital pour la vie sur notre planète. C'est une force complexe et dynamique qui nous protège du rayonnement cosmique et des particules chargées du soleil. Le champ magnétique est en grande partie généré par un océan de fer liquide surchauffé et tourbillonnant qui constitue le noyau externe à environ 3000 km sous nos pieds. Agissant comme un conducteur de rotation dans une dynamo de vélo, il crée des courants électriques, qui à leur tour, génèrent notre champ électromagnétique en constante évolution.

    Ce champ est loin d'être statique et varie à la fois en force et en direction. Par exemple, des études récentes ont montré que la position du pôle magnétique nord change rapidement.

    Au cours des 200 dernières années, le champ magnétique a perdu environ 9% de sa force en moyenne mondiale. Une grande région d'intensité magnétique réduite s'est développée entre l'Afrique et l'Amérique du Sud et est connue sous le nom d'anomalie de l'Atlantique Sud.

    De 1970 à 2020, l'intensité minimale du champ dans cette zone est passée d'environ 24000 nanoteslas à 22000, tandis que la zone de l'anomalie a augmenté et s'est déplacée vers l'ouest à un rythme d'environ 20 km par an. Au cours des cinq dernières années, un deuxième centre d'intensité minimale a émergé au sud-ouest de l'Afrique, indiquant que l'anomalie de l'Atlantique Sud pourrait se diviser en deux cellules distinctes.

    - voir photo sur site -

    L'anomalie de l'Atlantique Sud fait référence à une zone où notre bouclier protecteur est faible. Cette animation montre la force du champ magnétique à la surface de la Terre de 2014 à 2020 sur la base des données collectées par la constellation de satellites Swarm.

    RépondreSupprimer
  22. Le champ magnétique terrestre est souvent visualisé comme un puissant aimant à barres dipolaires au centre de la planète, incliné à environ 11 ° par rapport à l'axe de rotation. Cependant, la croissance de l'anomalie de l'Atlantique Sud indique que les processus impliqués dans la génération du champ sont beaucoup plus complexes. Les modèles dipolaires simples ne sont pas en mesure de tenir compte du développement récent du deuxième minimum.

    Les scientifiques du Swarm Data, Innovation and Science Cluster (DISC) utilisent les données de la constellation de satellites Swarm de l'ESA pour mieux comprendre cette anomalie. Les satellites Swarm sont conçus pour identifier et mesurer avec précision les différents signaux magnétiques qui composent le champ magnétique terrestre.

    - voir photo sur site -

    Jürgen Matzka, du Centre allemand de recherche en géosciences, a déclaré: "Le nouveau minimum oriental de l’anomalie de l’Atlantique Sud est apparu au cours de la dernière décennie et ces dernières années se développe vigoureusement. Nous sommes très chanceux d’avoir les satellites Swarm en orbite pour étudier le développement de l'anomalie de l'Atlantique Sud. Le défi consiste maintenant à comprendre les processus au cœur de la Terre qui entraînent ces changements. "

    Il a été spéculé si l'affaiblissement actuel du champ est un signe que la Terre se dirige vers une inversion des pôles éminents - dans laquelle les pôles magnétiques nord et sud changent de place. De tels événements se sont produits à plusieurs reprises au cours de l'histoire de la planète et même si nous attendons depuis longtemps le rythme moyen auquel ces inversions ont lieu (environ tous les 250 000 ans), la baisse d'intensité dans l'Atlantique Sud qui se produit maintenant se situe bien dans ce qui est considéré comme niveaux normaux de fluctuations.

    - voir photo sur site -

    L'anomalie de l'Atlantique Sud fait référence à une zone où notre bouclier protecteur est faible. Des points blancs sur la carte indiquent des événements individuels lorsque les instruments Swarm ont enregistré l'impact du rayonnement d'avril 2014 à août 2019. Le fond est la force du champ magnétique à l'altitude du satellite de 450 km. Crédit: Division of Geomagnetism, DTU Space

    Au niveau de la surface, l'anomalie de l'Atlantique Sud ne présente aucune raison de s'alarmer. Cependant, les satellites et autres engins spatiaux volant dans la région sont plus susceptibles de connaître des dysfonctionnements techniques car le champ magnétique est plus faible dans cette région, de sorte que les particules chargées peuvent pénétrer les altitudes des satellites en orbite terrestre basse.

    Le mystère de l'origine de l'anomalie de l'Atlantique Sud reste à résoudre. Cependant, une chose est certaine: les observations de champ magnétique de Swarm fournissent de nouvelles perspectives passionnantes sur les processus à peine compris de l'intérieur de la Terre.

    https://phys.org/news/2020-05-swarm-probes-weakening-earth-magnetic.html

    RépondreSupprimer
  23. Moins d'eau pourrait soutenir plus de Californiens si nous comptons chaque goutte


    20 MAI 2020
    par Edmund L. Andrews, Université de Stanford


    La Californie ne manque pas d'eau ", explique Richard Luthy." Elle manque d'eau bon marché. Mais l'État ne peut pas continuer à faire ce qu'il fait depuis 100 ans. "

    Luthy le sait. En tant que professeur de génie civil et environnemental à Stanford, ainsi que directeur d'un centre de la National Science Foundation pour réinventer l'approvisionnement en eau urbain (connu sous le nom de ReNUWIt), il a passé des décennies à étudier les régions métropolitaines de l'État.

    Dans un nouvel article de journal, il fait valoir que les villes californiennes ne peuvent plus compter sur leurs trois stratégies traditionnelles de gestion de l'eau: le sur-tirage des eaux souterraines, l'épuisement des cours d'eau et l'importation d'eau de loin. Son analyse se concentre sur plusieurs stratégies qui, prises ensemble, peuvent aider les villes à subvenir aux besoins de leur population croissante grâce à des politiques et des investissements publics prudents:

    Conserver

    La conservation est bon marché, dit Luthy. Éliminer les pelouses ou prendre des douches plus courtes sont des changements de comportement qui ne nécessitent pas de nouvelles dépenses en infrastructure.

    Certaines villes ont déjà fait de grands progrès. Los Angeles, par exemple, a ajouté 1,1 million d'habitants entre 1990 et 2010, mais a maintenu la consommation totale d'eau à plat grâce à la conservation, car les propriétaires et les constructeurs installent des choses comme des toilettes à faible débit et des machines à laver à haut rendement. De même, deux douzaines de villes de la région de la baie de San Francisco ont réduit leur consommation totale d'environ 23% entre 2004 et 2016 alors que leur population augmentait de 10%.

    Mais la conservation ne suffit pas à égaler la croissance démographique. Bien que les responsables de l'eau du sud de la Californie aient récemment prédit que d'ici 2040, les efforts de conservation accrus devraient économiser suffisamment d'eau pour approvisionner environ 2,3 millions de nouveaux résidents, les responsables s'attendent également à ce que la population augmente de 3,1 millions d'ici là.

    La Californie peut faire plus, dit Luthy. Environ 10% de l'eau distribuée dans les zones urbaines est perdue à cause de fuites. Depuis la dernière sécheresse, les services publics de Californie ont mené des audits de perte d'eau pour réduire ces déchets. "La conservation est essentielle pour aider à répondre à la demande d'eau urbaine, mais nous avons également besoin d'autres mesures pour augmenter l'offre", a déclaré Luthy.

    Réutilisation non potable

    La réutilisation de l'eau non potable pour l'irrigation ou à d'autres fins a une longue histoire en Californie. Il y a plus d'un siècle, des villes comme Fresno réutilisaient les eaux usées pour irriguer les fermes environnantes. Dans les années 1980, le district hydrologique d'Irvine Ranch a construit un système à double distribution qui fournit maintenant 25 millions de gallons par jour d'eau non potable purifiée aux fermes et aux entreprises.

    RépondreSupprimer
  24. Les villes pourraient faire de même aujourd'hui, mais pour recycler l'eau non potable, les planificateurs devraient construire des réseaux de canalisations pour séparer l'eau non potable de l'eau potable, à un coût compris entre 1 million et 10 millions de dollars par mile.

    La plupart des opportunités à courte distance ont déjà été mises en œuvre. Cela laisse encore de nouvelles opportunités pour des projets plus petits et décentralisés où les eaux usées sont générées et nécessaires. La tour Salesforce de San Francisco, par exemple, recyclera bientôt environ 30 000 gallons d'eaux usées par jour à toutes fins, à l'exception de la boisson. La réutilisation non potable distribuée fait également son chemin avec les campus technologiques de la Silicon Valley.

    Réutilisation Potable

    Le véritable avenir, dit Luthy, est la réutilisation de l'eau potable, ce qui rend l'eau recyclée suffisamment pure pour être potable.

    La réutilisation potable est un processus qui commence par la purification des eaux usées dans les usines de traitement, puis la réintroduction de cette eau épurée dans des réservoirs ou des aquifères souterrains. Les services publics de l'eau mélangent ensuite l'eau recyclée avec de l'eau fraîche et fraîche pour répondre aux normes de potabilité.

    Le district d'eau du comté d'Orange est un chef de file de la réutilisation de l'eau potable et de la pratique du «traitement avancé complet» depuis 2004, et de nombreuses autres villes ont l'intention de recycler au moins certaines eaux usées hautement traitées pour la consommation. Par exemple, Los Angeles envisage actuellement un projet ambitieux visant à recycler la quasi-totalité de ses eaux usées pour éventuellement les rendre disponibles pour une réutilisation potable d'ici 2035 pour un coût de 8 milliards de dollars. Un projet comparable pour la région de la baie de San Francisco impliquerait une infrastructure initiale coûteuse, mais ces dépenses initiales pourraient en valoir la peine car l'approvisionnement en eau importé de la Sierra diminue en raison des impacts climatiques et des besoins des écosystèmes, et le coût grimpe, comme prévu, de 60% au cours de la prochaine décennie.

    Capturer

    Des milliards de gallons d'eaux pluviales se déversent simplement dans l'océan chaque année. Cela doit changer, dit Luthy. Historiquement, les villes côtières de la Californie ont été conçues pour débusquer les eaux pluviales afin de réduire les inondations, mais aujourd'hui, les villes veulent capturer autant que possible et les utiliser. Los Angeles tire déjà 10% de son eau du ruissellement des eaux pluviales et espère plus que doubler d'ici 2035. Cependant, comme la réutilisation de l'eau potable, la capture des eaux pluviales nécessite souvent de gros investissements dans les canalisations, les sites de stockage et les installations de traitement. Les coûts d'investissement d'une telle infrastructure varient considérablement en fonction des conditions locales. Mais le coût médian du projet est souvent moins cher que les coûts d'importation d'eau à l'avenir, même en supposant qu'il sera disponible, dit Luthy.

    RépondreSupprimer

  25. Dessaler

    L'océan a une eau pratiquement illimitée et certaines communautés profitent du dessalement pour répondre à leurs besoins. Le système de dessalement de San Diego Water Authority, construit au coût de 1 milliard de dollars, fournit déjà 50 millions de gallons par jour, soit environ 8% de ses besoins. Mais le dessalement de l'eau de mer est coûteux et énergivore, et peut nuire à la vie marine, c'est pourquoi Luthy dit que d'autres communautés dessalent l'eau saumâtre des estuaires où les rivières rencontrent la mer. (L'eau saumâtre a une teneur en sel plus faible que l'eau de mer, ce qui la rend plus facile et moins chère à traiter.)

    Le comté d'Alameda produit déjà environ 10 millions de gallons d'eau potable par jour en dessalant les eaux souterraines saumâtres de Newark. Un partenariat de cinq agences dans la région de la baie envisage une usine de 200 millions de dollars qui pourrait dessaler environ 20 millions de gallons d'eau saumâtre par jour des estuaires de North Bay pour environ le même coût par gallon que les consommateurs paient actuellement pour importer de l'eau du Hetch Hetchy Réservoir.

    Dépôt

    C'est une histoire ancienne que le changement climatique rend de plus en plus courante: trop de pluie et de neige les années humides et pas assez les années sèches. Une façon de faire face à ces extrêmes est de «stocker» l'eau supplémentaire des années humides dans les aquifères souterrains. Cela est possible parce que les principales régions métropolitaines de l'État sont reliées par l'aqueduc de Californie de 400 miles. Les villes du nord peuvent "déposer" de l'eau pendant les années humides en ne prélevant pas d'eau dans l'aqueduc et en permettant à cette eau d'être pompée et stockée à la place dans le comté de Kern, cœur de la région agricole près de la fin de l'aqueduc. Pendant les années sèches, les villes du nord pourraient faire des "retraits" en prélevant de l'eau supplémentaire dans l'aqueduc et en s'appuyant sur l'eau stockée dans le comté de Kern pour être pompée dans l'aqueduc, afin de s'assurer que suffisamment d'eau continue de couler vers les villes du sud de la Californie.

    "Aucune de ces mesures ne fonctionnera isolément, mais si nous planifions judicieusement maintenant, l'eau urbaine sera disponible au moment où nous en aurons besoin", explique Luthy.

    https://phys.org/news/2020-05-sustain-californians.html

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. Le manque d'eau vient UNIQUEMENT de la privation commerciale d'eau pour les usines d'embouteillage en amont. L'eau GRATUITE des sources est vendue !

      Les 'stations d'épuration' ne servent à rien (sinon à faire payer les contribuables) car, depuis des millions d'années il y a des milliards de km3 d'eaux (venues des pluies, des fleuves & des rivières) qui se déversent dans les mers et les océans (sans qu'ils ou elles ne montent !! Çà alors !).

      Le magma recycle l'eau GRATUITEMENT et CONTINUELLEMENT qui s'infiltre vers lui et renvoie l'eau pure vers les nappes phréatique et les sources de montagnes.

      Supprimer
  26. Cette fraude de coronavirus est planifiée de panique et de meurtre dans le but de faire avancer les programmes de contrôle


    Par Gary D. Barnett
    21 mai 2020


    «Nous approchons rapidement du stade de l'inversion ultime: le stade où le gouvernement est libre de faire tout ce qui lui plaît, tandis que les citoyens ne peuvent agir que sur autorisation; qui est le stade des périodes les plus sombres de l'histoire humaine, le stade de la domination par la force brute. " ~ Ayn Rand - Ayn Rand - Nathaniel Branden, Alan Greenspan, Robert Hessen (1986). «Capitalisme: l'idéal inconnu», p. 320, Pingouin

    Aux États-Unis, il a fallu peu de temps pour devenir une société comateuse en raison de la fraude appelée coronavirus. Une prise de contrôle plus facile de l'esprit des Américains aurait difficilement pu être imaginée. Cela est dû en grande partie à l'ignorance de masse qui a été introduite dans le peuple pendant de nombreuses décennies. L'ignorance sera toujours évidente dans le troupeau, donc pour survivre en tant qu'âme libre, il faut ouvrir son esprit et changer ses perceptions afin de pouvoir échapper à l'ignorance. L'accomplissement de cette liberté nécessite de ne croire qu'en ce que l'on peut prouver, alors remettez tout en question et ne croyez qu'en vous-même. Acceptez l'amour, l'empathie, la compassion, la joie, l'humilité, la gentillesse, la compassion et la vérité, et cela conduira à un rapprochement avec les autres au lieu de la peur et de la division.

    À ce stade, la peur est le seul dénominateur commun de l'action humaine, et cette peur a conduit au chaos et à la soumission à grande échelle. C'est une recette pour la tyrannie, et cela est bien connu des ingénieurs de cette fausse crise, car ils ont structuré cette pandémie de manière à provoquer un bouleversement mondial par l'isolement et en opposant tout le monde contre son voisin. Ce faisant, les luttes intestines ont remplacé la raison et au lieu de remettre en question le faux récit du gouvernement, les gens s’interrogent mutuellement. Cela laisse les vrais criminels libres de poursuivre leur complot visant à restructurer la société pour l'adapter à leur programme de contrôle total.

    L'un des piliers de tout effort pour contrôler un grand nombre de personnes est la confusion fabriquée, car la confusion de masse ne laisse pas assez de temps pour trier la vérité. Ce qui s'est passé en quelques semaines est un raz de marée de confusion et de doute, le battage médiatique du gouvernement assurant à ces masses déjà confuses que la précipitation pour obtenir un vaccin libérera tout risque de mort. Afin de contrôler la panique, le gouvernement prétend accélérer les efforts pour créer un vaccin lorsque le vaccin est déjà disponible, et ce depuis un certain temps à mon avis. En fait, tout vaccin qui est mandaté au public à court terme sera si mortel qu'il provoquera la prochaine vague, suivie par plus de vagues de maladie et de décès, tout cela en raison des virus et des adjuvants injectés directement dans une population qui a eu leur système immunitaire détruit en raison de l'isolement imposé par le gouvernement. Essentiellement, la vaccination améliorera la mort et ne mènera qu'à plus de contrôle, à plus d'isolement et à plus de faux tests, permettant des fermetures constantes et continues, la surveillance, le traçage et l'emprisonnement.

    RépondreSupprimer
  27. C'est bien plus qu'un virus, car tout virus réel est mineur par rapport à cette réponse destinée à envahir la société. Il s'agit d'une prise de contrôle technocratique, où presque tout est contrôlé à partir d'une grille de planification centrale, où les plus favorisés et les élites auront tout ce dont ils ont besoin grâce à des services automatisés tandis que la majeure partie de la société souffrira des conséquences d'être enfermée dans un système contrôlé et surveillé. environnement de la classe ouvrière. La destruction de ce système économique actuel est déjà bien avancée, car les conséquences des fermetures, des fermetures d’entreprises, de la destruction des approvisionnements alimentaires, des maladies supplémentaires, du désespoir et du chômage non seulement nuiront à certains, mais seront dévastatrices pour tous dans cette société autre que la très haut niveau.

    De plus, toute vie privée a disparu, les mouvements sont surveillés et contrôlés, et les choix de vie futurs seront basés sur le respect par les pouvoirs publics des mandats de mise à distance, de vaccination, de dépistage et d'autres ordres obligatoires concernant tous les comportements. Être poussé, sondé, injecté et surveillé est désormais la «nouvelle norme», avec des menaces de violence de l'État si tout le monde n'obéit pas aux ordres directs des autorités centrales de planification revendiquant le droit de gouverner.

    Des gens sont assassinés quotidiennement, en particulier les personnes âgées et celles qui ont une faiblesse du système immunitaire, et ce n'est pas un accident et n'est dû à aucun virus. De nombreux hôpitaux sont fermés, les soins médicaux normaux et la chirurgie ont été supprimés ou suspendus, beaucoup meurent chez eux de peur d'aller à l'hôpital, ou sachant qu'ils ne peuvent recevoir aucun soin en raison du fait que les hôpitaux refusent d'aider ceux qui en ont besoin . La plupart des patients admis à l'hôpital mettent leur vie en danger, car tout diagnostic de Covid signifie un salaire plus élevé pour l'hôpital, et lorsque l'hôpital met un patient sous ventilation, normalement une condamnation à mort, le salaire pour l'hôpital est augmenté de plusieurs fois. Ceci est une parodie.

    D'autres choses se produisent alors que cette dystopie se poursuit, comme le gouverneur de Washington a indiqué il y a quelques jours que ceux qui ne coopèrent pas avec les «traceurs de contact» et qui n'autorisent pas les tests forcés, ne seront pas autorisés à quitter leur domicile pour une raison quelconque. Le personnel militaire armé et d'autres entrepreneurs privés embauchés par l'État imposent cette invasion de citoyens, et ces mesures totalitaires seront bientôt appliquées à l'échelle nationale si une forte résistance ne se manifeste pas.

    Notre avenir semble sombre. Notre vie privée appartient désormais au passé, nos maisons peuvent être envahies à tout moment par des hommes d'État prétendant protéger le public, et la vie est reléguée à une qui est numérique, sans espace personnel et sans interaction humaine normale. Le divertissement a été pratiquement éliminé, et les plaisirs simples comme les repas au restaurant s'apparentent désormais à un cadre de science-fiction stérile. Voyager est presque impossible, et sans la capacité de bouger, de se réunir, de rire et de jouer, la vie devient invivable.

    RépondreSupprimer
  28. Qu'est-il arrivé aux habitants de ce pays ? Pourquoi la majeure partie de la société est-elle si disposée à laisser la fausse peur les conduire à l'esclavage ? Pourquoi les gens normaux ont-ils acquiescé aux ordres de l'État ? des ordres qui ont détruit leurs moyens de subsistance, leurs biens et leurs familles, et les ont placés dans une situation de dépendance sans fin? La famine et la pauvreté frappent à la porte de beaucoup dans ce pays, mais aucune ne devrait permettre aux mauvaises intentions du gouvernement de voir le jour à cause de cette fausse pandémie créée dans le seul but de détruire tout ce qui est bon pour l'humanité afin de créer un monde d'action non humaine.

    Nous pouvons prendre notre droit à la vie et à la liberté, ou nous pouvons nous effondrer dans la peur et mourir.

    «Il y a des moments qui définissent toute la vie d'une personne. Des moments où tout ce qu'ils sont et tout ce qu'ils peuvent éventuellement atteindre l'équilibre sur une seule décision. La vie et la mort, l'espoir et le désespoir, la victoire et l'échec vacillent de façon précaire sur la décision prise à ce moment-là. Ce sont des moments non gouvernés par le hasard, pas troublés par la chance. Ce sont les moments où une personne gagne ou non le droit de vivre. »

    ~ Jonathan Maberry (2012). «Tales of the Rot & Ruin: Rot & Ruin; Poussière et pourriture; Dead & Gone, une histoire Rot & Ruin; Flesh & Bone », p.233, Simon et Schuster

    https://www.lewrockwell.com/2020/05/gary-d-barnett/this-coronavirus-fraud-is-planned-panic-and-murder-for-the-purpose-of-advancing-agendas-of-control/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. L'heure des comptes est arrivée ! Et, le plus marrant est là !

      Figurez-vous qu'une clinique ou hôpital qui annonçait 125 décès en 2019 chez elle au mois de Mars, annonce cette fois pas loin du même chiffre mais, à cette exception près que le nombre n'est plus listés dans la colonne 'Cancer, diabète, vieillesse, accident' mais dans la colonne 'coranavirus' !!

      Çà alors ! Çà c'est top ! ZÉRO MORT DE VIEILLESSE ! de cancer, diabète ou accident

      Et, de plus, bonne nouvelle: le personnel médical est dehors au soleil à fumer cigarette sur cigarette en attendant une ambulance qui ne vient pas ! L'hôpital est vide ! Les chirurgiens ont reçu l'ordre de ne pas opérer (sauf urgence) et donc, chacun crève en silence dans son coin.

      Supprimer
  29. Et si le gouvernement se trompe ?


    Judge Andrew P. Napolitano
    21 mai 2020


    Et si le gouvernement se trompe - sur la médecine et la loi ?

    Et si les masques faciaux ne peuvent pas arrêter le virus COVID-19 ? Que se passe-t-il si la mise en quarantaine du sain n'a aucun sens médical ? Et si rester à la maison pendant des mois réduit l'immunité ?

    Et si plus de personnes ont été infectées par le virus chez elles qu'à l'extérieur ?

    Et s'il y a autant de scientifiques et de médecins crédibles qui sont en désaccord avec le gouvernement que ceux qui sont d'accord avec lui ? Et si le gouvernement choisissait d'écouter uniquement les scientifiques et les médecins qui lui diraient ce qu'il voulait entendre ? Et si le gouvernement faisait taire les scientifiques et les médecins, et même renvoyait un, qui tentait de lui dire ce qu'il ne voulait pas entendre ?

    Et si le gouvernement veut attiser la peur dans la population parce que la peur de masse produit une conformité de masse ? Et si la peur individuelle réduit l'immunité individuelle ?

    Et si une immunité saine se renforce lorsqu'elle est mise à l'épreuve ? Et si une immunité choyée s'affaiblit lorsqu'elle est contestée ? Que se passe-t-il si nous transmettons tous des germes et des virus - que nous ne savons même pas que nous avons - à d'autres tout le temps, mais que leur système immunitaire repousse ce que nous leur transmettons ?

    Et si le virus COVID-19 a suivi son cours et s'est retrouvé dans des immunités naturelles ? Et si beaucoup de gens avaient eu des épisodes sans symptômes avec de nombreux virus et en étaient maintenant immunisés ? Que se passe-t-il si le gouvernement refuse de comprendre cela parce qu'il sape le pouvoir du gouvernement de nous contrôler ?

    Que se passe-t-il si le gouvernement ordonne aux foyers de soins infirmiers et aux centres de vie assistée d'accepter les malades et les contagieux sont fous ? Que se passe-t-il si le même gouvernement qui gère les maisons de soins infirmiers et les centres de vie assistée sait qu'ils ne sont pas des hôpitaux et ne sont pas équipés pour soigner les malades ou contenir la contagion ?

    Et si le gouvernement prend des décisions en matière de soins de santé non pas sur la base de la médecine ou de la nature humaine, mais sur des statistiques ? Et si le recours aux statistiques du gouvernement avait rendu de nombreuses personnes malades ?

    Et si nous étions tous en meilleure santé et plus heureux si nous faisions nos propres choix avec nos propres médecins plutôt que si le gouvernement faisait des choix pour nous ? Et s'il n'est pas américain que le gouvernement vous dise comment prendre soin de vous ? Et s'il n'est pas non plus américain de suivre le gouvernement lorsqu'il s'immisce dans vos choix personnels ?

    Que se passe-t-il si la Cour suprême a jugé à plusieurs reprises que vos décisions en matière de soins de santé sont privées, personnelles et doivent être prises entre vous et votre médecin ? Que se passe-t-il si la Cour suprême a également jugé à plusieurs reprises que vos décisions concernant les soins de santé privés ne sont pas du ressort du gouvernement ?

    RépondreSupprimer
  30. Et si nous n'avions jamais élu un gouvernement pour nous protéger de tous les virus, mais que nous l'avons choisi pour nous protéger de tous les tyrans ? Et si le gouvernement - qui ne peut pas livrer le courrier, combler les nids-de-poule, arrêter les appels automatisés ou dépenser dans les limites de ses revenus - est la dernière entité sur terre entre les mains de laquelle nous laisserions volontairement notre santé en lieu sûr ? Et si le gouvernement n'admettait pas que sa compréhension de la science est influencée par la politique ?

    Et si le gouvernement avait mal compris son mandat ? Et si le gouvernement pense qu'il peut faire son travail en nous gardant en sécurité mais non libre ? Et si, conformément à la Constitution et à la Déclaration d'indépendance, le premier devoir du gouvernement était de protéger nos droits ? Et s'il n'y a pas de base légale pour que le gouvernement nous garde chez nous ou ferme nos entreprises ?

    Et si le gouvernement se donnait le pouvoir d'interférer avec nos choix personnels ? Et si ce pouvoir auto-imposé viole le principe constitutionnel de base selon lequel le gouvernement tire ses pouvoirs du consentement des gouvernés ? Et si personne ne consentait à un gouvernement qui interfère avec nos choix personnels ? Que se passe-t-il si nos choix personnels de prendre des risques personnels n'ont jamais eu besoin d'une autorisation gouvernementale ?

    Et si la Constitution était écrite pour restreindre le gouvernement ? Et si tous les membres du gouvernement - local, étatique et fédéral - ont prêté serment de respecter et de respecter la Constitution ?

    Et si le gouvernement décrète que la vente d'alcool est essentielle, mais pas la vente de vêtements ? Et si le gouvernement décrète que les avortements sont essentiels mais que la chirurgie orthopédique ne l'est pas ? Et si le gouvernement décrète que les magasins de musique sont essentiels mais que le libre exercice de la religion ne l'est pas ?

    Et si ces décisions sur ce qui était essentiel et inessentiel devaient être prises par des individus - et non par le gouvernement -?

    Et si le barbier, le cuisinier ou le vendeur au détail, un salon de coiffure et un déjeuner et un magasin de vêtements étaient essentiels ? Et si pour ceux qui aiment Dieu, le libre exercice de la religion est essentiel ?

    Et si le gouvernement rend essentiel tout ce qui sert ses amis, augmente sa richesse, maintient sa stabilité et supprime les obstacles à son exercice du pouvoir ? Et si la Constitution - avec ses protections de nos droits de faire des choix libres - est un obstacle intentionnel au pouvoir gouvernemental ?

    Et si les fondateurs américains et les rédacteurs de la Constitution choisissaient la liberté plutôt que la sécurité ? Et si le gouvernement n'aimait pas ce choix ? Et si le gouvernement ne l'approuve que nominalement ?

    Et si - une fois la pandémie terminée - le gouvernement restait tyrannique ? Et si - lorsque la pandémie était terminée - les gens poursuivaient le gouvernement pour sa destruction de vie, de liberté et de propriété seulement pour apprendre que le gouvernement s'était accordé l'immunité contre de tels procès ? Et si - une fois la pandémie terminée - le gouvernement refusait de reconnaître sa fin ?

    Et si - comme l'a dit Thomas Jefferson - le sang des patriotes devait couler sur l'arbre de la révolution au moins une fois par génération ? Et si nous annulons le gouvernement qui a annulé nos droits ?

    Reprinted with the author’s permission.

    http://www.judgenap.com/post/what-if-the-government-has-it-wrong

    RépondreSupprimer
  31. État d'urgence actuel en Californie

    Un citoyen de Californie découvre qu'il n'y a pas de défilé de COVID-19 de niveau épidémique en Californie et que toutes les mesures de verrouillage prises par le gouverneur sont en dehors de la loi


    Par Bill Sardi
    21 mai 2020


    L'éducatrice en santé Peggy Hall (YouTube posté le 6 mai 2020 à 15 h 50) est une résidente du comté d'Orange qui a décidé d'enquêter sur les chiffres impliqués dans l'épidémie de COVID-19 en Californie en appelant le département d'État de la Santé et le comté d'Orange local. Département de la santé publique, qui a autorité sur les questions de santé dans sa région.

    Hall explique que des problèmes de santé comme une grippe ou une éclosion de coronavirus doivent répondre à certains critères pour justifier légalement un verrouillage et une mise en quarantaine. Voici ce que Peggy Hall a trouvé lors de son enquête.

    En vertu de la loi fédérale du titre 42 du Code américain, les questions de santé publique sont déléguées à l'agence la plus locale, en l'occurrence le département de la santé publique du comté d'Orange qui supervise un comté de 3,3 millions de personnes. Leur charte est de protéger la santé publique. Ils ont la compétence légale d'émettre des avertissements de santé publique.

    Hall cite l'article 8558b de la California Emergency Services Act 2015 qui définit et limite un «état d'urgence» en Californie, défini comme une «catastrophe de péril extrême», qui comprend un certain nombre de catastrophes, dont une épidémie, qui, «en raison de leur ampleur, sont ou sont susceptibles d'être hors du contrôle des services, du personnel, de l'équipement et des installations d'un comté, d'une ville et d'un comté ou d'une ville et nécessitent les forces combinées d'une ou de plusieurs régions d'entraide pour combattre. »

    OK, l'un des motifs légaux d'appeler une urgence de santé publique est une épidémie. Qu'est-ce qu'une épidémie ? Toute éclosion de maladie au-delà de la «plage normale».

    NIVEAU ÉPIDÉMIQUE DE DÉCÈS EN QUESTION

    Comme Hall l'explique, la saison de la grippe s'étend d'octobre à mai. La Californie compte 40 millions d'habitants. Au cours d'une saison typique de la grippe, il y a environ 6000 décès liés à la grippe (6917 décès dus à la grippe en 2018) en Californie, selon le département d'État de la Santé.

    Cette année, il y a eu 88 décès liés au COVID-19 et 600 décès liés à la grippe supplémentaires dans le comté d'Orange. «Par conséquent, en Californie, COVID-19 n'est pas une épidémie», explique Hall. (Hall montre 38 décès liés à COVID-19 sur une pancarte qu'elle tient à l'écran, mais c'était le 6 mai et...

    Les décès liés à COVID-19 sont passés à 88 au 20 mai 2020). Ce sont des chiffres décevants.

    NIVEAU ÉPIDÉMIQUE DE CAS (INFECTIONS) INTERROGÉS

    Du point de vue de la morbidité, au moment où j'écris le 20 mai 2020, le nombre total de cas de coronavirus COVID-19 dans le comté d'Orange est de 4500 au total (sur 3,2 millions, soit un risque d'infection de 0,0014 ou 1,4 personne sur 1000). Ainsi, 1,4 personne sur 1000 dans le comté d'Orange a contracté un virus du rhume et la plupart se sont rétablies, et beaucoup n'ont jamais présenté de symptômes. Si vous travailliez dans une université ou une entreprise avec 1 000 étudiants ou travailleurs, moins de 2 seraient atteints d'une infection à coronavirus liée à COVID-19 qui a produit des symptômes. Il peut y avoir beaucoup, beaucoup d'autres cas non diagnostiqués d'infections à coronavirus COVID-19 qui n'ont pas été diagnostiqués et qui n'ont produit aucun symptôme bénin pour amener les individus à consulter un médecin.

    RépondreSupprimer
  32. Le nombre de décès liés au COVID-19 dans le comté d'Orange, cumulativement 88 le 20 mai, sur une population de 3,2 millions, ce qui représente un taux de mortalité de 0,000027, soit 2,7 décès pour 100 000).

    CORONAVIRUS COVID-19 PROVOQUANT UNE PÉNURIE DE LITS INTERROGATOIRES (raison principale invoquée pour un verrouillage)

    Il y a environ 5376 lits d'hôpital dans le comté d'Orange et le nombre de lits remplis par les patients atteints de coronavirus COVID-19 pendant cette saison de la grippe est d'environ 200 à 250 chaque jour, avec environ un tiers des lits dans les unités de soins intensifs. Le nombre de lits en USI dans le comté d'Orange est de 673. Il n'y a donc pas eu de pénurie de lits pendant cette saison de la grippe.

    Dans le comté d'Orange, il y a eu 600 décès liés à la grippe et 88 décès liés au COVID-19.

    Le nombre total de décès liés à la grippe + décès liés à COVID-19 dans le comté d'Orange cette saison de la grippe est d'environ 600 pour la grippe et 88 décès pour COVID-19 = 688 décès totaux.

    Que signifient ces chiffres ?

    Cela signifie qu'il ne s'agit pas d'une crise étatique ou locale qui accable les agences de santé publique.

    Selon la loi californienne, toute urgence sanitaire nécessitant un verrouillage ou une mise en quarantaine doit être résiliée au plus tôt. Le verrouillage et la quarantaine auraient dû être annulés depuis longtemps.

    Il n'y a jamais eu de justification pour des restrictions telles que l'éloignement social, la fermeture des plages et le port de masques.

    Le gouverneur n'a pas la capacité juridique de prolonger l'état d'urgence. C'est illégal et illégal. Cette autorité appartient à la législature de l'État. Peggy Hall suggère à tous les Américains de contacter leurs agences de santé publique locales pour savoir s'il y avait de bonnes raisons d'appeler à un verrouillage et de protester auprès des autorités locales des États et des comtés pour demander l'arrêt du verrouillage.

    Le gouverneur de l'État de Californie a appelé l'état d'urgence le 4 mars. L'état d'urgence dit que l'urgence doit être terminée le plus tôt possible. Seule la législature de l'État peut prolonger l'urgence en Californie. Selon la loi, l'état d'urgence prend fin dans les 60 jours. Le gouverneur de Californie a prolongé le verrouillage de 90 jours.

    Peggy Hall fait ce que les médias devraient faire en Californie. Comme le rapporte le journaliste de FOXNEWS Tucker Carlson, Big Tech censure la dissidence en ligne sur les blocages de coronavirus. Lorsque vous avez un parti politique dominant en Californie et un média complice, les politiciens savent qu'ils ont le permis de faire ce qu'ils veulent.

    https://www.lewrockwell.com/2020/05/no_author/current-state-of-emergency-in-california/

    RépondreSupprimer
  33. Des responsables de la santé exceptionnellement cruels et insensibles


    Par le Dr Mark Sircus
    DrSircus.com
    21 mai 2020


    Non seulement ils sont cruels et insensibles, mais ils sont carrément des menteurs (ils aiment les prédictions effrayantes qui ne se réalisent pas) et ne veulent écouter personne qui n'est pas d'accord avec leurs plans insensibles de détruire la civilisation humaine. Ce sont des destructeurs de l'existence humaine, de l'activité humaine, du bonheur humain et même de la santé humaine.

    Être en faveur des fermetures, c'est être pour la mort de l'économie mondiale, une augmentation des décès par suicide, une augmentation de plus d'un million de décès par tuberculose, une augmentation considérable du sans-abrisme, et pour des millions de personnes qui meurent de faim. Voilà la courte liste. Cependant, si vous êtes sur une planète plus propre, la folie du verrouillage semble être une bonne chose.

    Cauchemar médical tournant apocalyptique

    Il n'a pas encore complètement coulé, mais le vrai cauchemar ne fait que commencer. Plus de quatre personnes sur cinq dans la population active mondiale de 3,3 milliards de personnes ont été frappées par des fermetures totales ou partielles du travail, selon l'Organisation internationale du Travail, qui affirme que 1,6 milliard de travailleurs de l'économie informelle «courent le danger immédiat d'avoir leurs moyens de subsistance détruit." La façon dont quelques hommes ont incité les politiciens du monde à le faire est une chose à laquelle l'histoire devra éventuellement répondre.

    Plus de 36 millions de personnes ont déposé une demande de chômage aux États-Unis depuis la mi-mars. Ce n'est pas une dépression dans laquelle nous entrons mais un effondrement qui pourrait arrêter la plupart des activités humaines.

    Si la pandémie de coronavirus continue de faire grimper les taux de chômage aussi haut que prévu, l'itinérance augmentera de 40% à 45% d'ici la fin de l'année, selon une analyse d'un professeur d'économie de l'Université Columbia. Cela signifierait que 250 000 personnes de plus aux États-Unis seraient sans abri par rapport à l'année dernière, ce qui porterait le nombre total de personnes sans abri à plus de 800 000.

    Comment peut-on mesurer la souffrance humaine à la suite de ce qui se fait suite aux ordres des responsables de la santé ? Pour ceux qui s'opposent aux ordres, ce pourrait être le bon moment pour revoir l'enseignement de Martin Luther King Jr. «Martin King, était un ministre qui a révélé la vérité que l'obéissance nous tient enchaînés. Sa synthèse cruciale était de combiner la désobéissance avec la bonté. Son travail crucial (et cela est grandement sous-estimé) était de maintenir la désobéissance et la bonté ensemble. "

    Il y a une rébellion de verrouillage ouvert en Pennsylvanie et des manifestations en Angleterre et en Allemagne. Les dirigeants politiques ont montré leurs vraies couleurs lorsqu'ils prétendent comprendre les pandémies vitales et ce qu'il faut faire à leur sujet. Ils ont clairement dépassé leurs limites mais je suppose qu'ils aiment devenir plus que jamais le patron.

    RépondreSupprimer
  34. Le bilan pour les familles est la faim, la pauvreté et une incidence plus élevée de maladies et de décès toutes causes confondues. Rester à la maison pour sortir de la crise n'est pas une option pour beaucoup, car obtenir le prochain repas signifie se dépêcher de trouver un moyen de vendre, de nettoyer, de conduire ou de travailler autrement, malgré le risque. Comme de nombreux experts éminents l'ont averti, les blocages entraîneront également plus de décès que le coronavirus en raison d'un pic horrible de pauvreté et de personnes souffrant d'autres maladies graves qui ne pourront pas obtenir de traitement.

    Les responsables de la santé dans le monde ne pratiquent pas la médecine ou la santé publique, ils pratiquent le froid. Avec les politiciens, ils agissent comme les communistes et fascistes d'origine qui croyaient que leur voie était la seule, tuant ou censurant quiconque n'était pas d'accord. Certains épidémiologistes ont déclaré qu'il y a très peu de preuves solides sur lesquelles baser les politiques de verrouillage, mais cela n'a pas empêché les politiciens d'agir comme si tout ce qu'ils disent ou font est basé sur une science solide.

    «Pendant 16 ans, nous avons couru des affaires, disparu en quelques semaines sur la base de les décisions d'un homme avec trop de pouvoir. "

    La Chine a arrêté et emprisonné des centaines de personnes pour avoir simplement discuté de l'épidémie de coronavirus dans un contexte qui s'écarte du discours du parti communiste sur l'épidémie, selon un rapport d'une organisation chinoise basée aux États-Unis.Fox News a souligné le rapport de China Digital Times contenant les statistiques qui montrent entre le 1er janvier et le 4 avril, près de 500 cents personnes ont été arrêtées et inculpées, simplement pour avoir parlé du virus.

    Près de 1,5 million de décès supplémentaires dus à la tuberculose
    sont attendus en raison des blocages du coronavirus.

    Qui allons-nous blâmer ces morts ? Et sauvons-nous vraiment des vies avec nos verrous contre le virus ? Des personnes meurent du virus en étant enfermées ou non, mais nous savons maintenant que des millions de personnes mourront d'autres causes parce que nous arrêtons l'activité humaine et enfermons les gens chez eux où la plupart ne peuvent pas travailler. Allons-nous blâmer les responsables de la santé de ces décès comme nous avons blâmé Hitler, Staline et Mao pour les millions de décès qu'ils ont causés au monde ?

    Lorsque les responsables de la santé font la promotion des avantages de «l'aplatissement de la courbe», ils ne prennent pas correctement en compte les coûts réels de l'imposition de fermetures d'entreprises et des distanciations sociales forcées: la dépression économique à venir entraînera un chômage de masse, une pauvreté croissante, des suicides, des abus domestiques , l'alcoolisme et une myriade d'autres causes potentielles de décès et de souffrance qui pourraient être bien pires que les méfaits de la pandémie elle-même

    Le ministre brésilien de la Santé a démissionné le 15 mai après moins d'un mois de travail dans un signe de bouleversements persistants sur la façon dont le pays devrait lutter contre la pandémie de coronavirus, quittant un jour après que le président Jair Bolsonaro a intensifié ses pressions sur lui pour étendre l'utilisation de l'antipaludéen chloroquine dans le traitement des patients.

    RépondreSupprimer
  35. Les responsables de la santé sont en désaccord avec les politiciens qui contournent le verrouillage ou qui insistent pour que des traitements appropriés soient appliqués au lieu d'attendre le vaccin contre le Saint-Graal qui pourrait ou non venir et qui pourrait ou non être affectif. Des millions de personnes dans le monde seront probablement touchées en permanence avant l'arrivée d'un vaccin et nous n'avons aucune assurance qu'un vaccin précipité sera sûr. Il y a de grandes chances pour que cela soit forcé dans nos gorges collectives.

    Une longue reprise économique de longue haleine entraînera un «nombre important» de décès indirects dus au coronavirus, a averti le statisticien en chef du Royaume-Uni. Face à la crainte que l'économie ne prenne cinq ans pour revenir à son niveau d'avant la crise dans le pire des cas, Sir Ian Diamond a déclaré que les effets de la pandémie seraient de grande envergure alors que les gens sont «poussés dans la pauvreté».

    Alors que de nombreuses villes européennes entament le processus de relance de leur économie, la Big Apple - l’épicentre du coronavirus américain - reste fermée, les autorités craignant de déclencher une nouvelle vague d’infections au COVID-19. Alors laissez la ville mourir et vive la peur! La Suède n'a jamais fermé ses portes en premier lieu et ils n'ont pas plus de difficultés avec le virus que les pays qui ont bloqué leur population. Nous avons laissé les craintes des autorités sanitaires étouffer le monde et créer une forme d'hystérie jamais vue auparavant.

    Le Dr Fauci, un expert respecté au niveau international sur les maladies infectieuses et un conseiller clé du président Trump tout au long de la pandémie, a déclaré au Congrès que mettre fin au verrouillage trop rapidement pourrait entraîner des conséquences «vraiment graves». Que pense-t-il que la poursuite du verrouillage apportera ou ne s'en souciera pas. Les médias et même les politiciens qui ne sont pas d'accord avec lui continuent de communiquer qu'il est respecté, mais beaucoup lui demandent de démissionner en disgrâce.

    Une vaste littérature relie les ralentissements économiques à plusieurs problèmes psychologiques, y compris l'anxiété, le stress et la dépression, qui incite souvent à divers comportements à haut risque.

    Un utilisateur d'un groupe de soutien sur la dépression sur Reddit a récemment publié: «Je suis complètement fou, je me bats avec mon esprit et je suis enfermé dans ma maison.» Un autre a dit: "Le verrouillage fait de ma dépression la pire qu'elle ait jamais été ... Je préfère être mort que coincé dans ma maison seul avec mes pensées."

    Reprinted with permission from Dr.Sircus.com.

    https://www.lewrockwell.com/2020/05/mark-sircus/exceptionally-cruel-and-insensitive-health-officials/

    RépondreSupprimer
  36. Télévision en temps de guerre: pour l'amour de l'unité


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    21 mai 2020


    Dans l'épisode d'aujourd'hui de falsification COVID sur le seigle et maintenez l'apocalypse, nous commençons par une multitude de citations d'Edward Bernays (1891-1995), le père reconnu des relations publiques modernes, alias la propagande. J'inclus ses déclarations comme document d'information sur l'échauffement ...

    «C'est l'ère de la production de masse. Dans la production de masse de matériaux, une large technique a été développée et appliquée à leur distribution. À cette époque aussi, il doit y avoir une technique de diffusion massive des idées. » (1928)

    «L'ingénierie du consentement est l'essence même du processus démocratique, la liberté de persuader et de suggérer.» (1947)

    «Il est parfois possible de changer l'attitude de millions de personnes mais impossible de changer l'attitude d'un seul homme.» (date inconnue)

    «Quand je suis revenu aux États-Unis, j'ai décidé que si vous pouviez utiliser la propagande pour la guerre, vous pouviez certainement l'utiliser pour la paix. Et la «propagande» devait être un mauvais mot à cause des Allemands qui l’utilisaient, alors ce que j’ai fait, c’était d’essayer de trouver d’autres mots. Nous avons donc trouvé les mots «conseil en relations publiques». » (date inconnue)

    "Quand Napoléon a dit:" Circonstance? Je fais la circonstance », il a exprimé très près l'esprit du travail du conseiller en relations publiques.» (1923)

    «La domination aujourd'hui n'est pas le produit d'armées ou de marines, ni de richesses ou de politiques. C'est une domination basée d'une part sur l'unité accomplie et d'autre part sur le fait que l'opposition est généralement caractérisée par un degré élevé de désunion. » (1923)

    «Le conseiller en relations publiques est donc un créateur d’informations pour le support qu’il choisit pour transmettre ses idées. Il est de son devoir de créer des nouvelles quel que soit le support qui diffuse ces nouvelles. » (1923)

    «La seule différence entre« propagande »et« éducation »est vraiment du point de vue. La défense de ce en quoi nous croyons est l'éducation. La défense de ce en quoi nous ne croyons pas est de la propagande. " (1923)

    «La manipulation consciente et intelligente des habitudes et des opinions organisées des masses est un élément important de la société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme invisible de la société constituent un gouvernement invisible qui est le véritable pouvoir au pouvoir de notre pays. Nous sommes gouvernés, nos esprits sont modelés, nos goûts formés, nos idées suggérées, en grande partie par des hommes dont nous n'avons jamais entendu parler. C'est un résultat logique de la façon dont notre société démocratique est organisée. Un grand nombre d'êtres humains doivent coopérer de cette manière s'ils veulent vivre ensemble comme une société qui fonctionne bien. » (1928)

    "La propagande est le bras exécutif du gouvernement invisible." (1928)

    RépondreSupprimer
  37. «Si vous pouvez influencer les dirigeants, avec ou sans leur coopération consciente, vous influencez automatiquement le groupe qu'ils influencent. Mais les hommes n'ont pas besoin d'être réellement réunis lors d'une réunion publique ou dans une émeute de rue, pour être soumis aux influences de la psychologie de masse. Parce que l'homme est par nature grégaire, il se sent membre d'un troupeau, même lorsqu'il est seul dans sa chambre avec les rideaux tirés. Son esprit conserve les motifs qui y ont été marqués par les influences du groupe. » (1928)

    Les responsables des actualités et des talk-shows, les responsables des sports, les annonceurs et les bureaucrates, les politiciens et les flacks et célébrités de la santé publique assurent les téléspectateurs, sans honte: nous sommes tous dans le même bateau. Encore et encore. Nuit et jour. Sur chaque chaîne.

    C'était la stratégie pendant les guerres plus anciennes. Pas de temps pour le désaccord ou la dissidence; il doit y avoir une réponse et un effort unifiés; sinon, nous pourrions perdre.

    Nous sommes tous dans le même bateau, cela signifie: faire la queue.

    Si c'est la part et le soin et l'amour, c'est l'amour du robot.

    Les annonceurs, malgré leurs études et leur sophistication et leur profilage mur à mur des consommateurs, croient encore au premier principe de propagande: la répétition.

    Faites connaître le nom de votre produit et de votre entreprise et ne vous arrêtez pas. Faites-le mille fois, un million de fois. Tant que vous avez de l'argent pour payer les publicités, faites-le.

    Regardez les publicités des compagnies d'assurance. Progressive, State Farm, Liberty, Geico. Les petites vignettes sur lesquelles elles reposent sont vraiment l'occasion de coller le nom de leur entreprise à l'écran. Rendez ces histoires de 30 secondes amicales, amusantes et folles, mais l'argent tiré est le nom de l'entreprise.

    Les annonces et messages pandémiques suivent la même règle. Dans ce cas, c'est TOGETHERNESS. UNITÉ. Pilonné encore et encore.

    Pourquoi ? Si la coopération, l'amour et l'unité sont des impulsions humaines fondamentales, pourquoi faut-il rappeler cela aux gens 24 heures sur 24, à la télévision ?

    Un mari qui aime sa femme a-t-il besoin de voir son visage et celui de sa femme sur un écran, sur chaque canal, sans relâche, accompagné d'un message l'incitant à l'adorer ?

    D'un autre côté, une personne qui a été renvoyée d'un emploi, qui ne peut pas trouver de travail, qui voit ses chèques du gouvernement s'effacer à zéro ... C'est une vente difficile. Ce travail de vente nécessite beaucoup de répétitions…

    … Afin de produire en lui de la HONTE, s'il se sent trompé et exilé et foutu. La répétition de l’unité et du faux amour l’informe que la citoyenneté collective n’est pas de son côté. Cela lui dit que sa colère juste n'a pas sa place dans le message sans relâche optimiste de «l'unité». Cela le garde isolé.

    Maintenant, nous y allons. Ne laissez pas les gens économiquement dévastés croire qu’ils peuvent se retrouver. Ferme-les. Ajoutez-y des publicités télévisées de service public qui brossent un tableau édifiant dont elles sont exclues.

    RépondreSupprimer
  38. Ils peuvent être dévastés, mais la télévision leur dit qu'ils ne font pas partie de l'équipe s'ils donnent la priorité à leurs propres préoccupations. S'ils le font, ils ne sont pas des personnes.

    Après tout, lorsqu'ils sont assis à la maison devant la télévision, voient-ils une vidéo recadrée d'un autre chômeur assis dans une pièce sombre disant: «C'EST FOU. JE VEUX TRAVAILLER. J'AI BESOIN DE NOURRITURE. MON BOSS A FERME SA SOCIETE. IL EST BANKRUPT. QUE DIABLE SE PASSE-T-IL ?"

    Leur offre-t-on ce genre d'unité ? Unité ?

    "Salut. Je suis un cornerback de la NFL. J’ai gagné trente millions au cours de ma carrière. Ici, je suis à la maison avec mes enfants. Nous jouons à des jeux sur le sol. J'apprécie ma famille. Nous allons passer au travers. Nous tous. Restez en sécurité. Utilisez le temps pour rapprocher votre famille. »

    Les principaux organes de presse sont strictement tenus de garder les «histoires d'intérêt humain troublantes» en première page et à l'écart de leurs émissions. Cela fait également partie intégrante de l'effort de guerre.

    Il faudrait que ce soit le cas, puisque la dévastation économique est la raison d'être de cette fausse pandémie. Personne dans le courant dominant ne laissera ce chat sortir du sac. Ce serait plus qu'une erreur. Ce serait une confession. Ce serait un suicide.

    Et ces titres? LES ROIS DES VACCINS VEULENT ATTÉNUER LES POPULATIONS POUR UNE AIGUILLE DANS LE BRAS. UNE POPULATION RUINEE EST PRETE A ETRE MENEE DANS UN NOUVEL ORDRE MONDIAL.

    Les propagandistes savent qu'un coup de poing de peur puis d'assurance fonctionne. Effrayez-les avec le virus, réconfortez-les ensemble.

    Mais quand même, c'est une vente difficile. Il a des pattes pendant un certain temps, mais les indigènes deviennent agités, surtout dans l'arrière-pays. Les gens qui ne sont pas coincés ensemble dans les grandes villes, qui vivent dans des espaces ouverts, ont tendance à développer une immunité au mensonge. Des prostituées de presse coiffées à la télévision qui diffusent des soi-disant nouvelles sont moins percutantes. Les agriculteurs savent que s'ils ne peuvent pas planter leurs récoltes à temps, avec les travailleurs côte à côte, ils feront faillite.

    D'une manière générale, les personnes qui ne voient pas d'autres personnes malades et qui n'entendent pas de sirènes d'ambulance commencent à se demander ce qui se passe.

    Les protestations commencent. Les protestations s'étendent.

    La fausse nuit d'obéissance se transforme en véritable jour de rébellion.

    Il s’avère qu’une histoire sur un virus invisible n’est pas tout à fait la même chose qu’une ligne de chars ennemis qui s’approche. Toutes les guerres promues ne sont pas égales.

    Fauci le sait. Birx le sait. Bill Gates le sait. Les maires et les gouverneurs le savent. Le CDC et l'OMS le savent. Ils ne se soucient pas vraiment de votre survie, mais ils savent que vous vous souciez. Donc, pour eux, c'est une course contre la montre. Combien de temps peuvent-ils garder le couvercle ? Combien de temps leur messagerie absurde peut-elle fonctionner ?

    RépondreSupprimer
  39. La magie de la scène est un jeu étrange. L'artiste doit exécuter ses tours rapidement, afin que les gens n'aient pas le luxe de s'asseoir et de réfléchir à la façon dont il les trompe. Cependant, les magiciens de la santé publique et les magiciens politiques et les magiciens de l’information sont encerclés - ce sont essentiellement des poneys à un tour. Virus, virus, virus = ensemble, ensemble, ensemble.

    Ça a l'air bien, mais ça s'use.

    Ça s'use maintenant.

    Je terminerai cette pièce avec quelques gemmes supplémentaires d’Edward Bernays - pour vous exhorter à garder un œil sur la balle. La vraie balle.

    "Si nous comprenons le mécanisme et les motivations de l'esprit de groupe, est-il maintenant possible de contrôler et de régimenter les masses selon notre volonté sans qu'elles le sachent?" (1928)

    «Une seule usine, potentiellement capable d'approvisionner tout un continent avec son produit particulier, ne peut se permettre d'attendre que le public demande son produit; elle doit maintenir un contact constant, par la publicité et la propagande, avec le vaste public afin de s'assurer la demande continue qui seule rendra rentable son usine coûteuse. Cela implique un système de distribution beaucoup plus complexe qu'auparavant. » (1928)

    «Aucun sociologue sérieux ne croit plus que la voix du peuple exprime une idée divine ou spécialement sage et noble. La voix du peuple exprime l'esprit du peuple, et cet esprit est constitué par les chefs de groupe en qui il croit et par les personnes qui comprennent la manipulation de l'opinion publique. Il est composé de préjugés et symboles hérités et de clichés et de formules verbales qui leur sont fournis par les dirigeants. » (1928)

    "La propagande n'a aucune utilité pour le politicien à moins qu'il n'ait quelque chose à dire que le public, consciemment ou inconsciemment, veuille entendre." (1928)

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2020/05/jon-rappoport/television-wartime-messaging-for-the-love-of-unity/

    RépondreSupprimer
  40. PIRATAGE : LA HADOPI EST INCONSTITUTIONNELLE


    par QUITTERIE DESJOBERT
    21/05/2020


    Le budget annuel de l'HADOPI est de 10 MILLIONS €

    Le Conseil Constitutionnel a tranché ce mercredi 20 mai 2020. La loi qui donnait à la HADOPI le pouvoir d’identifier les personnes partageant des œuvres sur Internet a été déclarée contraire à la Constitution.

    Une décision attendue

    Une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) avait été posée au Conseil Constitutionnel le 12 février 2020. Le Conseil Constitutionnel y a répondu, en déclarant inconstitutionnelle la loi qui donnait à la HADOPI des pouvoirs d’identification. En effet le juge constitutionnel a considéré que pour pouvoir lever l’anonymat de l’internaute surveillé la HADOPI devra en référé à la justice avant toute action. Or ce pouvoir, aussi appelé « riposte graduée », c’est la raison d’être de la HADOPI.

    Ce dispositif de « riposte graduée » permettait à l’entité l’envoi d’avertissements à l’adresse d’internautes suspectés de télécharger illégalement. Si plusieurs avertissements étaient envoyés à la même personne, le dossier pouvait être transmis à la justice. Sans ce dispositif la HADOPI est désarmée.

    La HADOPI vouée à disparaître ?

    Se pose alors la question de l’utilité de la HADOPI. Sans son bras armé, la haute autorité aura un champ extrêmement limité. Sa procédure deviendra plus lourde et ses résultats encore moins bons. Un constat qui remet en doute son utilité et surtout son coût. En effet le budget de l’HADOPI est de dix millions d’euros par an, une fortune en comparaison à ses résultats. La possible fusion de la HADOPI et du CSA devrait donc revenir sur le devant de la scène. Si cette fusion a été envisagée, on ne sait encore rien de ses prérogatives, de son budget, ni même de son plan pour lutter contre le piratage.

    Si la décision a été rendue le 20 mai 2020, elle ne sera effective que fin décembre. Un délai qui permettra à un nouveau texte de loi de remplacer celui déjà existant.

    http://www.economiematin.fr/news-Piratage-HADOPI-inconstitutionnelle-conseil-constitutionnel-CSA

    RépondreSupprimer
  41. Avons-nous besoin de l'État ?


    Par Doug Casey
    Homme international
    21 mai 2020


    Rousseau a peut-être été le premier à populariser la fiction maintenant enseignée dans les cours d'instruction civique sur la création du gouvernement. Il soutient que les hommes se sont assis ensemble et ont pensé rationnellement le concept de gouvernement comme solution aux problèmes auxquels ils étaient confrontés. Le gouvernement des États-Unis fut cependant le premier à se former à distance comme l’idéal de Rousseau. Même alors, il avait loin du soutien universel des trois millions de colons qu'il prétendait représenter. Après tout, le gouvernement américain est né d'une conspiration illégale pour renverser et remplacer le gouvernement actuel.

    Il ne fait aucun doute que le résultat a été, par ordre de grandeur, le meilleur schéma directeur pour un gouvernement qui ait encore été conçu. La plupart des pères fondateurs américains pensaient que le principal objectif du gouvernement était de protéger ses sujets contre le déclenchement de la violence, quelle qu'en soit la source; le gouvernement lui-même était bien en vue. Cela a rendu le gouvernement américain presque unique dans l'histoire. Et c'est ce concept - pas les ressources naturelles, la composition ethnique des immigrants américains ou la chance - qui a fait de l'Amérique le parangon qu'elle est devenue.

    L’origine du gouvernement lui-même, cependant, n’a rien à voir avec la fable de Rousseau ou l’origine de la Constitution des États-Unis. Le scénario le plus réaliste pour l'origine du gouvernement est un groupe itinérant de bandits décidant que la vie serait plus facile s'ils s'installaient dans un lieu particulier, et imposant simplement les résidents pour un pourcentage fixe (plutôt comme «de l'argent de protection») au lieu de périodiquement balayant et emportant tout ce qu'ils pouvaient faire. Ce n’est pas un hasard si les classes dirigeantes du monde entier ont des antécédents martiaux. La royauté n'est rien de plus que des maraudeurs à succès qui ont enterré les origines de leur richesse dans la romance.

    Romantiser le gouvernement, le faire ressembler à Camelot, peuplé de braves chevaliers et de rois bienveillants, le peignant comme noble et ennoblissant, aide les gens à accepter sa juridiction. Mais, comme la plupart des choses, le gouvernement est façonné par ses origines. L'auteur Rick Maybury l'a peut-être le mieux dit dans What Happened to Justice ?,

    «Un château n'était pas tant un palais somptueux que le siège d'un camp de concentration. Ces camps, appelés royaumes féodaux, ont été établis par des barbares conquérants qui avaient asservi la population locale. Lorsque vous en voyez un, demandez à voir non seulement les couloirs et chambres majestueuses, mais aussi les donjons et les chambres de torture.

    «Un château était un lieu de rencontre pour des gangsters vêtus de soie qui volaient des travailleurs sans défense. Le roi était le «seigneur» qui contrôlait le blackjack; il a revendiqué un «droit divin» spécial d’utiliser la force contre des innocents.

    «Les fantasmes sur les beaux princes et les belles princesses sont dangereux; ils blanchissent la vérité. Ils donnent aux enfants l'impression que le pouvoir politique est une chose merveilleuse. »

    RépondreSupprimer
  42. L'État est-il nécessaire ?

    La nature violente et corrompue du gouvernement est largement reconnue par presque tout le monde. C’est vrai depuis des temps immémoriaux, tout comme la satire politique et les grognements des politiciens. Pourtant, presque tout le monde ferme les yeux; la plupart non seulement le supportent, mais soutiennent activement la mascarade. C'est parce que, bien que beaucoup puissent croire que le gouvernement est un mal, ils croient que c'est un mal nécessaire (la plus grande question de savoir si tout ce qui est mal est nécessaire, ou si tout ce qui est nécessaire peut être mal, mérite d'être discutée, mais ce n'est pas 't le forum).

    Ce qui (sans doute) rend le gouvernement nécessaire, c'est le besoin de protection contre d'autres gouvernements, encore plus dangereux. Je pense qu'il est possible de prouver que la technologie moderne évite cette fonction.

    L'un des mythes les plus faussement trompeurs sur le gouvernement est qu'il favorise l'ordre au sein de son propre bailliage, empêche les groupes de se battre constamment les uns avec les autres et crée d'une manière ou d'une autre l'unité et l'harmonie. En fait, c'est exactement le contraire de la vérité. Il n’y a pas d’impératif cosmique pour que différentes personnes s’opposent… à moins qu’elles ne soient organisées en groupes politiques. Le Moyen-Orient, qui est maintenant le terreau fertile le plus fertile au monde, en est un excellent exemple.

    Les musulmans, les chrétiens et les juifs ont vécu ensemble pacifiquement en Palestine, au Liban et en Afrique du Nord pendant des siècles jusqu'à ce que la situation devienne politisée après la Première Guerre mondiale. Jusque-là, les antécédents et les croyances d'un individu n'étaient que des attributs personnels, pas un casus belli. Le gouvernement était le plus bénin, une nuisance inefficace qui concernait principalement l'extorsion des impôts. Les gens étaient occupés avec les activités les plus inoffensives: gagner de l'argent.

    Mais la politique ne traite pas les gens en tant qu'individus. Il les ramène en partis et en nations. Et certains groupes finissent inévitablement par utiliser le pouvoir de l'État (cependant «innocemment» ou «justement» au début) pour imposer ses valeurs et ses souhaits à d'autres avec des résultats destructeurs prévisibles. Ce qui serait autrement un kaléidoscope intéressant de l'humanité se trie ensuite selon le plus petit dénominateur commun propre à l'époque et au lieu.)

    Parfois, cela signifie le long de lignes religieuses, comme avec les musulmans et les hindous en Inde ou les catholiques et protestants en Irlande; ou des lignées ethniques, comme les Kurdes et les Irakiens au Moyen-Orient ou les Tamouls et les Cinghalais au Sri Lanka; Parfois, c'est principalement racial, comme les Blancs et les Indiens de l'Est se trouvaient dans toute l'Afrique dans les années 1970 ou les Asiatiques en Californie dans les années 1870. Parfois, c'est purement une question de politique, comme l'ont découvert plus récemment les Argentins, les Guatémaltèques, les Salvadoriens et d'autres Latins. Parfois, il ne s'agit que de croyances personnelles, comme l'ont prouvé l'ère McCarthy dans les années 1950 et les procès de Salem dans les années 1690.

    Tout au long de l'histoire, le gouvernement a servi de véhicule à l'organisation de la haine et de l'oppression, ne bénéficiant à personne, sauf à ceux qui sont suffisamment ambitieux et impitoyables pour en prendre le contrôle. Cela ne veut pas dire que le gouvernement n'a pas, à l'époque et maintenant, rempli de fonctions utiles. Mais les choses utiles qu'elle pourrait faire et seraient bien mieux faites par le marché.

    Reprinted with permission from International Man.

    https://www.lewrockwell.com/2020/05/doug-casey/do-we-need-the-state/

    RépondreSupprimer
  43. Qui a le contrôle de la planche à billets ?

    Qui a la main sur la planche à billets ? Des juges se disputent sur la réponse.


    21 MAI 2020
    Par Frédéric Peltier1.


    Une décision de la Cour constitutionnelle fédérale allemande du 5 mai dernier vient de jeter un pavé dans la mare s’agissant du contrôle de la politique mise en œuvre par la Banque Centrale Européenne dite de quantitative easing, version moderne de la planche à billets. Alors que le rachat de dette publique par la BCE est encore le remède d’urgence face à la pandémie de Covid-19 pour permettre d’amortir les effets de la crise en autorisant l’accroissement des déficits publics des États de l’Union européenne bien au-delà du critère de la limite 3 % du PIB, la question du contrôle de cette fameuse planche à billets consistant à faire du crédit par création monétaire est plus que jamais essentielle.

    NAISSANCE DE LA BANQUE DE FRANCE

    Laminée par plus de dix années de révolution, l’économie française au début du XIXe siècle était à genoux. Le Premier Consul Napoléon Bonaparte se laissa facilement convaincre de créer une banque centrale, la Banque de France, le 18 janvier 1800. C’est ainsi que la planche à billets renaît de ses cendres, puisqu’elle avait été symboliquement brûlée sur la place Vendôme le 18 février 1796, sur ordre du Directoire, pour mettre fin au scandale des assignats.

    On prête à celui qui deviendra Empereur la citation suivante :

    "Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain."

    Nous sommes donc au cœur de la souveraineté politique avec la planche à billets, le moyen le plus efficace d’exercice de la puissance étatique qui doit être plus forte que celle de l’argent.

    L’idée bonapartiste de créer une Banque centrale sur laquelle il aurait la main n’était pas étrangère au besoin d’argent pour l’État à cette époque trouble. Mais le Premier Consul voulait aussi trouver une solution pour mettre l’argent au service des entreprises et du développement économique privé.

    Le quoi qu’il en coûte pour sauver l’économie française consistant à ouvrir les vannes du crédit n’est donc pas nouveau. C’est toujours au travers de la création monétaire que les gouvernants se présentent comme le dernier recours pour éviter le chaos, et l’histoire monétaire n’a d’ailleurs pas commencé avec la Révolution française.

    La vielle dame créée en 1800 n’a pas fait qu’émettre des billets de banque en affirmant qu’elle disposait des stocks d’or pour assurer la contre-valeur du franc germinal.

    Pour asseoir la souveraineté monétaire de l’État français, la recette originale de la Banque de France a consisté à greffer la planche à billets sur les entreprises par la technique de l’escompte des effets de commerce. Au fil du temps, et aux ordres des ministres des Finances successifs, elle a augmenté la masse monétaire en rachetant auprès des banques le crédit représenté par les effets de commerce.

    RépondreSupprimer
  44. L’augmentation de la masse monétaire au XIXe siècle a donc accompagné la Révolution industrielle en dispensant les ressources financières pour réaliser les investissements publics et privés qui ont transformé la France. La création monétaire consistait à l’époque principalement à rendre liquides des dettes commerciales en fournissant aux créanciers les espèces qu’ils avaient prêtées.

    La planche à billets était tout à la fois aux mains du pouvoir politique, et très connectée avec ce que l’on appelle l’économie réelle, c’est-à-dire le développement industriel, y compris lors de la reconstruction à la suite des deux guerres mondiales où l’émission de dollars est venue compléter celle des devises européennes de l’époque. Il y avait un rapport direct entre l’augmentation de la masse monétaire et l’investissement industriel. Il y avait aussi un lien étroit entre cette dette monétaire créée par la banque centrale et les prix, c’est-à-dire l’inflation.

    La planche à billets était aussi au service de l’État qui s’est endetté toujours plus auprès des banques, puis sur les marchés financiers sous forme de bons du trésor. La Banque de France n’a pas manqué périodiquement de racheter aux banques les crédits qu’elles avaient octroyé à l’État sous la forme de souscription desdits bons du trésor.

    En fait la planche à billets a toujours fonctionné pour permettre l’équilibre entre la souveraineté de l’État et l’enrichissement privé, dans cette dynamique du « je t’aime moi non plus » si bien exprimée par le bonapartisme qui n’aimait pas les banques, mais qui n’a pas manqué de les choyer par l’intermédiaire de la Banque de France dont l’accompagnement bienveillant leur a toujours bénéficié.

    Au fil du temps, et surtout durant les vingt dernières années du XXe siècle, l’avertissement de Napoléon Bonaparte est passé aux oubliettes.

    Tout d’abord, l’État est redevenu l’obligé des banques et des marchés, au travers de sa politique de financement par appel d’offre de souscription de bons du trésor. Aujourd’hui, la dette de l’État français est notée comme n’importe quel autre créancier devant subir le jugement de Standard and Poor’s ou Moody’s. Cette note est la main au-dessus de la main qui reçoit, puisqu’elle se permet de fixer des conditions au maintien du rang de l’emprunteur public dans la hiérarchie de la solvabilité des emprunteurs qui se présentent sur les marchés financiers.

    Au surplus, avec le passage du franc à l’euro, l’influence déterminante du gouvernement sur sa banque centrale qui n’est plus la Banque de France, mais la Banque Centrale Européenne, s’est très largement estompée.

    Si la BCE dont le siège est à Francfort est devenue une sorte de seconde commission européenne, le gouvernement de l’euro, dont l’action est censée contrôler l’activité des banquiers et l’équilibre des marchés financiers, l’impérium de la banque centrale s’est éloigné des mains des gouvernants des États de l’Union européenne.

    La BCE qui a son mot à dire sur les décisions économiques, qu’elles soient prises au plan européen ou au niveau national pour chaque État de l’Union, et en particulier en période de crise, et les crises se multipliant, s’est imposée comme l’économiste en chef de la zone euro, marginalisant le commissaire européen en charge des affaires économiques dont la notoriété n’a jamais atteint celle du gouverneur en charge de la zone euro.

    RépondreSupprimer
  45. Quant aux ministres des Finances des États de l’Union européenne, force est de constater qu’ils pèsent individuellement tellement peu dans une prise de décision d’actionner la planche à billets, qu’ils ne sont pas vraiment en mesure, même collectivement, de faire preuve d’une réelle autorité pour s’opposer aux contraintes monétaires qu’impose la BCE.

    Les critiques de l’Union européenne focalisent sur le caractère technocratique de la Commission, qui au travers du double contrôle exercé par les chefs d’État et le Parlement européen, ne répond pas vraiment au critère démocratique selon lequel la loi serait l’expression de la volonté générale et que « tous les Citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. »

    MAIS ALORS QUE DIRE DU POUVOIR DE LA BCE…

    Son action n’est pas contrôlée par un organe issu directement ou indirectement des urnes, mais par des juges, ceux de la Cour de Justice de l’Union européenne – CJUE. La planche à billets dont l’usage a été délégué à la BCE serait-elle dès lors entre les mains des juges ?

    C’est précisément le sujet qui oppose la Cour constitutionnelle allemande de Karlsruhe à la CJUE. Un arrêt tonitruant de la première en date du 5 mai 2020, auquel la seconde a répondu par un communiqué de presse du 8 mai 2020 aussi sec qu’un revers de la main, laisse bien penser que cette question du contrôle de la planche à billets entre dans une période de forte turbulence en Europe.

    Au moment même où elle est abondamment sollicitée par chaque État pour lutter contre le Covid-19, sans aucun complexe souverainiste puisque la sûreté de chaque nation est en jeu, la question de la maîtrise de la planche à billets devient aussi brûlante qu’elle l’était lors de la Révolution française.

    L’histoire de la controverse entre les deux cours de justice remonte à la crise de l’euro de 2015.

    La Bundesbank est prise en étau entre la rigueur budgétaire allemande dont elle est garante et son obligation de mettre en œuvre les mesures décidées par la BCE, en l’occurrence un programme de rachat de dette publique pour contrer un risque de déflation préoccupant le banquier central européen, confronté à des taux d’intérêts négatifs sans aucun effet sur l’investissement des entreprises dans la zone euro.

    L’acceptation de cette mesure est très contestée en Allemagne qui ne la juge pas opportune. La question est portée devant le juge constitutionnel à qui des plaignants allemands demandent de vérifier si la dépossession du pouvoir de la Bundesbank au profit de la BCE, par le traité de Maastricht, permet à cette dernière d’aller aussi loin à l’encontre de la volonté d’une banque centrale nationale. On connait l’alignement total avec le pouvoir politique sur la question de la rigueur budgétaire en Allemagne.

    La Cour constitutionnelle allemande qui ne peut répondre à cette question sans interroger la CJUE sous la forme d’une question préjudicielle saisit donc les juges siégeant à Luxembourg, qui lui répondent par un arrêt du 16 juin 2015.

    On pourrait résumer la réponse de la CJUE avec la fameuse formule « circulez il n’y a rien à voir. » En d’autres termes, la BCE intervient selon cette décision des juges européens dans l’exercice de son mandat ; donc son action est légitime et elle ne saurait être qualifiée de financement monétaire contraire à l’objectif de stabilité des traités européens.

    RépondreSupprimer
  46. La Cour constitutionnelle de Karlsruhe aurait pu en rester à cet échec et mat qu’a voulu lui infliger la CJUE, déniant la capacité de contester en Europe au niveau national l’utilisation de la planche à billets par la BCE. Mais les plaignants allemands n’ont pas abdiqué. Ils ont contraint la CJUE à s’expliquer de nouveau dans un arrêt du 11 décembre 2018 sur les conditions permettant la mise en œuvre d’un programme d’achat de titres publics.

    Lorsque des juges sont appelés à justifier une politique monétaire dans un contexte de taux d’intérêts négatifs qui frise les limites de la rationalité financière sur laquelle les experts financiers les plus chevronnés n’en finissent pas en controverses, il y a fort à parier que la motivation du jugement va créer plus de chaleur que de lumière… Et c’est bien ce que reproche l’arrêt allemand du 5 mai 2020 qui dénonce une décision de la cour de Luxembourg incompréhensible et qui dépasse manifestement la compétence de ses rédacteurs.

    Depuis la crise des subprimes de 2008 éteinte aux États-Unis par une inondation de dollars créés par le Federal Reserve Department, sous la présidence de Ben Bernanke et sous l’impulsion très active d’Henry Paulson, le secrétaire d’État au Trésor de l’époque, la politique dite de quantitative easing, assouplissement quantitatif consistant à racheter massivement des titres de dette publique, s’est imposée comme la solution pour faire face aux crises financières.

    Pour éviter un effondrement économique et financier par effet de dominos, en concertation avec les grandes banques centrales du monde, la BCE crée des euros en devenant donc le prêteur ultime des États de l’Union européenne. Outre-Rhin cette politique est dénoncée comme une course en avant qui évite l’effort de réformes structurelles. Mais face aux crises financières, l’apport de liquidité est la seule thérapie qui permet d’éviter l’effondrement du système financier, c’est la thèse des banquiers centraux qui qualifient cette intervention de politique monétaire « non conventionnelle ».

    Alors qui croire ? Et surtout qui contrôle que la posologie monétaire est adaptée à la fièvre qu’il faut éteindre ou à la réaction thérapeutique que l’on veut provoquer ? Si les juges ne peuvent pas comprendre, ce qui s’entend, alors qui d’autre est compétent à l’exception de ces banquiers centraux parés de leur supériorité d’experts pour contrôler qu’ils font un usage approprié de ce pouvoir magique de créer de la monnaie ?

    Qui peut, qui doit, vérifier que les mesures monétaires prises sont proportionnées et que le rachat de dette publique pour assurer un équilibre économique défini d’une manière théorique selon une équation qui optimise la croissance avec un déficit public modéré et un taux d’inflation très raisonnable est adapté aux circonstances de crise ?

    Pour les juges constitutionnels allemands, la BCE ne peut pas agir « hors sol ». Or, elle semble bien hors de tout contrôle. Certes, les sages de Karlsruhe admettent que la politique monétaire relève de la compétence exclusive de l’Union européenne, et qu’elle a été déléguée à la BCE, mais les effets de la politique monétaire sur la politique économique de chaque État membre et sur leur équilibre ou déséquilibre budgétaire exigent que cette délégation s’exerce dans un contrôle qui ne saurait être de nature juridictionnelle, mais bien de nature politique.

    RépondreSupprimer
  47. Et c’est ainsi au travers du contrôle de la proportionnalité des mesures monétaires, c’est-à-dire de l’usage de la planche à billets, que les garants de la Constitution fédérale allemande estiment que c’est au gouvernement, par l’intermédiaire de sa banque centrale, et elle seule, que doit revenir la mission de s’assurer que la politique monétaire, accommodante ou pas, sert les objectifs d’équilibres économiques des nations composant l’Union européenne. Nous ne pouvons que soutenir cette position des gardiens de la Constitution allemande qui souligne que les décisions d’utilisation de la planche à billets, lorsqu’il s’agit de répondre à une crise majeure, sont des décisions politiques et non technocratiques.

    UN RISQUE PARTAGÉ

    Certes, laisser aux politiques les mains libres sur la planche à billets présente bien des risques s’ils peuvent l’utiliser sans limite. Toutefois, avec le remplacement du franc par l’euro, le pouvoir politique d’utiliser l’arme monétaire est partagé entre les États membres.

    Il est donc sujet à d’âpres négociations, notamment entre le nord et le sud de l’Europe. Ces discussions ont une dimension politique majeure. Si le choix des mesures non conventionnelles, c’est-à-dire le pouvoir de créer de l’argent est laissé entre les mains de technocrates contrôlés par des juges, l’Europe ne se remettra pas de la pandémie de Covid-19.

    La crise qui est devant nous à la sortie du confinement, voire de ses répliques, appelle un plan de relance sans doute d’une ampleur comparable au plan Marshall à la suite de la Seconde Guerre mondiale.

    Certes notre économie européenne n’est pas aussi exsangue qu’il y a 75 ans, mais le redressement de pans entiers de l’industrie et des services, à quoi il faut ajouter un retour en arrière sur les délocalisations avec une économie à la fois plus orientée sur la proximité et moins énergivore, devraient inciter les politiques à reprendre la main sur la planche à billets en mettant les objectifs sociaux et sociétaux comme priorité de l’économie, et donc assignant à la politique monétaire de tirer la conséquence de ces choix .

    Cependant deux écueils se présentent à la réaffirmation d’une souveraineté politique en matière monétaire au niveau européen.

    Le premier écueil est l’Europe elle-même, dont le socle de souveraineté est faible. Le pouvoir de battre monnaie repose sur une souveraineté politique en pleine puissance. L’organisation politique de l’Union européenne est par nature productrice d’une dilution de ce pouvoir de battre monnaie qui est la prérogative essentielle de la puissance d’un État.

    L’Europe n’est pas un État. L’efficacité de la planche à billets de l’euro souffre de la dispersion du pouvoir économique dans la zone euro et des dissensions entre les États membres. Seul un renforcement de l’exécutif européen basé sur une charte démocratique largement soutenue par les peuples composant les nations de l’Union permettra dotera l’euro de cette force monétaire lui permettant de se multiplier, comme le fait la FED avec le dollar pour soutenir l’économie réelle.

    Mais cette planche à billets, qui doit être utilisée en respectant un principe de proportionnalité pour atteindre des objectifs économiques, vient aussi buter sur le fait que cette Union européenne divisée a paradoxalement de manière unanime totalement intégré sa dépendance aux marchés financiers qui, comme le disait Napoléon Bonaparte, n’ont pas de patriotisme et peuvent d’ailleurs se jouer à leur gré des patriotismes économiques au sein de l’Europe. La main sur la planche à billets est ainsi neutralisée par la main invisible des marchés financiers.

    RépondreSupprimer
  48. LA DÉCONNEXION DE L’ÉCONOMIE RÉELLE

    Les liquidités injectées par la BCE, supposées alimenter la reprise pour éviter la déflation, voire pour sauver l’économie, sont depuis 2008 partiellement englouties dans la spéculation sur les marchés financiers dont la volatilité ne cesse de croître. De bulle spéculative en bulle spéculative, les banquiers centraux semblent impuissants pour recoller l’économie financière à l’économie réelle.

    Cette déconnexion de la planche à billets avec l’économie réelle dont les marqueurs sont le taux de croissance, l’indice des prix à la consommation, le taux de chômage, doit interroger sur l’instrument monétaire pour le replacer strictement au service d’une politique économique permettant d’atteindre les objectifs d’équilibre que seul le débat démocratique peut fixer.

    Il faut alors accepter que les marchés financiers puissent être brutalisés, ce que les banquiers centraux n’osent pas faire, mais que seule la puissance politique a la légitimité de décider et les moyens de mettre en œuvre. Les décisions d’intervention des banques centrales peuvent être suffisamment fortes et dissuasives pour impressionner quelques heures les marchés financiers après une annonce du gouverneur.

    Mais ce n’est pas suffisant. Pour que l’effet soit durable et que l’utilisation de la planche à billets ne se retourne pas au profit de la spéculation, au détriment de son effet bénéfique escompté pour l’économie réelle, seule des décisions politiques fortes, contraignantes, structurelles et durables permettent d’affecter cet argent magique à l’économie réelle.

    Voilà le véritable défi auquel nous convoque la crise du Covid-19 en matière de politique économique et monétaire.

    Plutôt que de voir dans la décision des juges allemands une crainte ancestrale de ce pays vis-à-vis de l’inflation, depuis la triste histoire de la fin de la République de Weimar dans les années 1920 symbolisée par des billets empilés à ras bord dans une brouette, il convient d’espérer que ce sursaut démocratique des gardiens de la Constitution de notre meilleur partenaire européen inspirera les gouvernements des membres de l’Union pour coordonner leur action économique autrement que sous les fourches caudines des experts monétaires de la BCE.

    Frédéric Peltier, Avocat – Le procès de l’argent Loi de la République contre loi du marché, Albin Michel ?

    https://www.contrepoints.org/2020/05/21/371785-qui-a-le-controle-de-la-planche-a-billets

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Pourquoi la 'Planche-à-billets' ? (aujourd'hui appelée 'Clavier d'Ordinateur'), parce que la connerie des 'dirigeants' depuis des millénaires a été de dire que les billets était adossés à l'or. Mais, comme il ne sort pas des mines autant d'Étalon-Or que d'enfants du ventre de leur mère et que chaqu'un de ces mioches représente une valeur (puisqu'il travaille), il y a forcément plus d'habitants en ce monde que de kilo de métal jaune !

      Et, comme tout l'or du monde (sorti de Terre depuis toujours) représente (depuis fin 2019) un cube de 21 m d'arête (durant 30 ans il est demeuré à 20,50 m), compte-tenu de sa rareté, l'or devrait donc en toutes logiques crever le plafond, le ciel et quelques planètes aperçues de loin !

      Mais non ! Comment çà 'mais non' ??! Mais non parce que (comme toutes les Matières Premières) le prix de l'or n'est pas fixé par les échanges transactionnels mais par un 'bureau' (Bureau Ducon) qui annonce chaque jour le prix de l'or à la tête du jour.

      Maintenant, pourquoi ce bas prix ? Pourquoi ce bas prix de l'once ? Parce que si elle valait son prix réel 50 millions/oz chaque pays qui en a (un peu) pourrait largement payer ses dettes ! Part contre, s'il est confiné en soutes blindées au prix des cacahuètes...

      Je ne parle pas de 'l'or-papier' qui n'a AUCUNE valeur (pas plus que la 'Planche-à-billets') et qui serait de remplacer le métal !

      Supprimer