- ENTREE de SECOURS -



mercredi 13 mai 2020

Les 7 péchés capitaux des renouvelables

La sobriété « électrique » n’est pas nécessaire, si ce n’est pour satisfaire l’idéologie de la décroissance fondée sur les énergies renouvelables en oubliant volontairement leurs sept péchés capitaux.


13 MAI 2020 
Par Michel Gay.


La production française d’électricité, abondante, peu carbonée et bon marché, fait figure de modèle au niveau mondial. Sa fin est cependant programmée par des politiques irresponsables sur l’autel d’une nouvelle divinité à la mode nommée « énergie renouvelable », en dépit de ses sept péchés capitaux.

LES SEPT PÉCHÉS CAPITAUX DES RENOUVELABLES

La promesse d’un monde paradisiaque fondé sur les énergies renouvelables fatales (EnR) issues du soleil et du vent masque les sept péchés capitaux suivants (fixés par le pape Grégoire le Grand, en 600) :

LA COLÈRE


La colère des apôtres des EnR contre la société de consommation les rend aveugles aux réalités et sourds aux raisonnements.

Malgré toutes les preuves contraires, ils s’obstinent contre vents et marées à vouloir rendre durable et permanente une production d’électricité intermittente et non stockable.

Par nature, une source de production aléatoirement variable, surtout si elle est intermittente, est incapable de garantir la production au moment où le besoin existe.

Malgré les milliers d’éoliennes installées en France (plus de 15 000 mégawatts !), le taux garanti de couverture de la consommation par cette filière est proche de 0 % : pas de vent, pas de courant !

Idem pour le soleil toutes les nuits, et aussi certains jours sombres, pluvieux ou neigeux en hiver.

Et malgré leurs espoirs fous et des recherches acharnées depuis plus d’un siècle, leurs productions ne sont pas stockables à l’échelle d’un grand pays comme la France.

LA LUXURE

Si la luxure désigne généralement un penchant immodéré pour la pratique des plaisirs sexuels, elle est aussi affaire de mensonge à l’autre et de mensonge à soi-même.

Faire croire que les EnR pourront remplacer les sources d’énergies pilotables et que l’argent public est éternellement renouvelable pour s’enrichir au détriment de l’intérêt général n’est pas le moindre des péchés. Les subventions n’entretiendront pas indéfiniment l’actuelle fuite en avant qui espère rendre durable ce qui est intermittent.

Le mensonge du mythique foisonnement des vents et du soleil se heurte à cette implacable réalité : la nuit en période anticyclonique, il n’y a pas de vent ni de soleil sur toute l’Europe en même temps !

Les centrales à gaz payées pour rester à l’arrêt en soutien des EnR et les « compteurs intelligents » chargés d’empêcher de consommer lorsque la production d’électricité sera trop faible sont des effets collatéraux de l’intermittence qui portent déjà une lourde responsabilité dans l’augmentation rapide du prix de vente de l’électricité.

L’ORGUEIL

Les thuriféraires des EnR refusent par orgueil (de quoi aurais-je l’air ?) d’admettre qu’une production intermittente n’aura jamais la même valeur qu’une production pilotable et de reconnaître les effets sanitaires néfastes de l’exposition des riverains aux vibrations, infrasons et basses fréquences émis par les éoliennes.

Le Sénat australien a pris acte de l’évidence de ces effets sanitaires et des mensonges prétendant le contraire.

En Europe, les milliers de victimes doivent fournir la preuve clinique de l’origine de leurs symptômes, ce que commence enfin à reconnaître la jurisprudence.

Les écologistes antinucléaires sont sûrs d’eux-mêmes et n’ont pas besoin de conseils. Ils se sont coupés de la communauté scientifique pour surfer sur l’émotion d’une opinion publique victime d’une désinformation sans précédent. Les enjeux et les moyens sont présentés de façon biaisée et partiale, allant jusqu’à brandir le spectre de la fin du monde et obtenir l’intervention de l’église !

Les quatre Académies scientifiques franco-allemandes tirent la sonnette d’alarme depuis longtemps sur les risques liés au développement de ces EnR.

La Cour des comptes a constaté (page 63) que : « alors qu’il engage la collectivité sur des sujets financièrement très lourds, l’État s’est insuffisamment organisé pour disposer des données de base indispensables à la conduite de la politique en faveur des énergies renouvelables. En effet, l’État ne dispose que d’informations lacunaires et dispersées sur les coûts de production ».

L’ENVIE


Les antinucléaires envient les capacités de production du nucléaire !

Ah si le vent et le soleil pouvaient être pilotables et plus productifs et créer des emplois en France… comme le nucléaire !

Les incantations à la « croissance verte » continuent alors que les emplois « verts » tuent l’emploi et que France stratégie a déjà conclu depuis longtemps à l’inefficacité des énergies renouvelables dans la lutte contre le réchauffement climatique.

Ah si les EnR pouvaient rendre les mêmes services que le nucléaire à un prix aussi compétitifs pour pouvoir  l’éradiquer !

L’AVARICE

Bien qu’il y en ait partout (mais pas tout le temps) le vent et le soleil sont, hélas, avares de leurs productions d’électricité ! Leur capacité à « donner » est faible malgré leur richesse potentielle.

Les éoliennes produisent l’équivalent annuel d’environ 20 % de leur capacité de production, avec de grandes variations aléatoires (de 0 % à 100 % selon l’humeur du vent).

Et les panneaux solaires sont avares chaque nuit (ils ne « donnent » rien du tout), ainsi que les jours nuageux ou sombres en hiver, et fournissent sur l’année moins de 15 % de leur puissance installée.

Les pingres énergies intermittentes du vent et du soleil n’assureront jamais de production garantie significative. Même l’Allemagne est confrontée à cette réalité avec ses parcs éoliens et photovoltaïques qui fournissent régulièrement moins de 1000 mégawatts (MW) de puissance sur le réseau pour environ 80 000 MW installés (cette puissance totale installée dépasse pourtant celle du parc nucléaire français).


LA PARESSE

Il s’agit ici de paresse de production des sources d’EnR les nuits sans vent, mais aussi de paresse intellectuelle de leurs promoteurs qui ne veulent pas faire l’effort de comprendre les défauts de ces moyens de productions erratiques, car le reconnaître ruinerait à coup sûr leur commerce…

Leur démarche ne consiste pas à prouver l’efficacité des EnR avec des arguments techniques mais à les imposer d’abord par la séduction (vivre de vent et de soleil), puis ensuite par la loi, et enfin à s’enrichir sans rien faire, malgré leurs tares rédhibitoires, grâce à de juteuses subventions prélevées sur les Français.

LA GOURMANDISE

L’ultime péché est le détournement abusif des délicieux fonds publics dont les promoteurs d’éoliennes et de panneaux solaires se gavent et se délectent avec gourmandise depuis 20 ans. Ces milliards d’euros auraient pu (dû ?) être affectés à la sécurisation du parc de production existant… ou à la santé.

Le soutien public opaque aux énergies renouvelables dissuade tout investissement dans le secteur de l’électricité en raison de l’absence de visibilité provoquée par la priorité d’achat donnée à leur production aléatoire.

UNE ORIENTATION IRRESPONSABLE


Les sept péchés capitaux des énergies renouvelables vont contribuer à ruiner les Français et, paradoxalement, à pérenniser les énergies fossiles (notamment le gaz russe) nécessaires pour combler l’intermittence du vent et du soleil.

Cette folle fuite en avant qui ponctionne lourdement et inutilement l’épargne des Français est guidée par une pensée unique fondée sur la croyance inconditionnelle dans les énergies renouvelables.

L’énergie de demain produira abondamment une électricité sûre, pilotable et non émettrice de gaz carbonique pendant des centaines d’années, voire des millénaires.

Les entrepreneurs courageux qui ne vivent pas de subventions publiques mais qui investissent avec leur propre argent, comme Bill Gates, ne s’y trompent pas : ils misent sur le nucléaire durable de quatrième génération avec des réacteurs surgénérateurs…

Une production d’électricité décarbonée, non polluante, et abondante peut être assurée pendant des siècles principalement par le nucléaire. La sobriété « électrique » n’est pas nécessaire, si ce n’est pour satisfaire l’idéologie de la décroissance fondée sur les EnR en oubliant volontairement leurs sept péchés capitaux.

36 commentaires:

  1. «Du jamais vu»: l’Algérie met fin à l’activité de montage automobile qui permettait «d'accaparer» le marché national


    12:42 13.05.2020
    Par Kamal Louadj


    Le gouvernement algérien a mis fin le 10 mai à l’activité de montage automobile en interdisant les importations des kits SKD/CKD. Le ministre de l’Industrie et des Mines est revenu sur cette décision et sur la nouvelle stratégie industrielle mise en place par son ministère.

    Lors du conseil des ministres tenu dimanche 10 mai, le gouvernement algérien a décidé de mettre fin à l’importation des kits SKD/CKD (Semi Knocked-Down et Completely Knocked-Down), éléments préassemblés et montés sur place qui alimentent les usines de montage automobile. Sur proposition du ministre de l’Industrie et des Mines Ferhat Aït Ali Braham, le gouvernement tourne ainsi la page de plusieurs années d’activité «d’une pseudo industrie automobile» qui n’était qu’une forme déguisée d’importation «profitant des avantages fiscaux offerts par l’État».

    En effet, lors de son passage au Forum d’El Moudjahid, M.Aït Ali Braham a expliqué les vraies raisons qui ont motivé les différents gouvernements sous la présidence de l’ex-chef d’État déchu Abdelaziz Bouteflika à lancer cette activité de montage automobile. D’ailleurs, les deux ex-Premiers ministres Ahmed Ouyahia et Abdelmalek Sellal, ainsi que deux ex-ministres de l’Industrie, Youssef Yousfi et Mahdjoub Beda, sont actuellement en prison pour des affaires de corruption liées à ce projet. Un troisième ex-ministre de l’Industrie, Abdeslam Bouchouareb, actuellement en fuite à l’étranger, a également été condamné par contumace à de la prison ferme.

    «C’est du jamais vu»

    Le ministre a évoqué à titre d’exemple le cahier des charges initié en 2017, affirmant qu’il «n’était pas conçu pour lancer une industrie automobile en Algérie, mais pour permettre à deux ou trois marques, choisies de manière discrétionnaire, d’accaparer par voie de monopole le marché national en exonération de tous droits et taxes». «C’est du jamais vu», souligne-t-il.

    Concernant le faible taux d’intégration exigé par ce cahier des charges, M.Aït Ali Braham affirme qu’il n’a «jamais été atteint» par les constructeurs automobiles. «Quand on analyse les structures des prix et des intrants intégrés, je défie tous ces constructeurs, y compris le plus vieux, en l’occurrence Renault, de me prouver les 5% d’intégration», lance-t-il.

    Pour le ministre, c’est cette situation marquée par beaucoup d’anomalies et d’incohérences qui ont poussé les constructeurs étrangers à se bousculer pour venir en Algérie. «C’est à la fois bizarre et curieux que l’Algérie enregistre 40 dossiers en deux ans de constructeurs mondiaux qui veulent venir y construire des véhicules, au moment où ils procèdent à des compressions d’effectifs chez eux», s’interroge-t-il.

    La nouvelle stratégie industrielle

    Le ministre de l’Industrie et des Mines estime que l’avenir de l’économie algérienne est intimement lié à une véritable stratégie tenant compte des nouvelles mutations mondiales. Ainsi, il a annoncé l’élaboration d’un nouveau cahier des charges pour tout constructeur automobile désirant investir en Algérie.

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  2. Par ailleurs, il a promis que ce nouveau texte «présentera la signification réelle d’une véritable usine automobile selon les normes mondialement reconnues». L’accueil à bras ouverts de tous les constructeurs «est révolu», a-t-il fait savoir.

    Enfin, M.Aït Ali Braham a indiqué que le constructeur devra «engager ses fonds, assurer un transfert du savoir-faire et un investissement sérieux». En contrepartie, l’Algérie «n’imposera pas à tout candidat capable de répondre à ces exigences de s’associer [à un investisseur algérien dans le cadre de la règle 51/49, ndlr]», a-t-il promis, expliquant que «l’obligation d’imposer des associés locaux à des partenaires étrangers ne répondait pas à un souci de souveraineté ou de promotion de l’investisseur local».

    https://fr.sputniknews.com/maghreb/202005131043773566-du-jamais-vu-lalgerie-met-fin-a-lactivite-de-montage-automobile-qui-permettait-daccaparer-le-marche-national/

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    1. Cela permettait de passer le 'Made in Algérie' de 0,01 % au chiffre exceptionnel de 0,015 % ! Whôah ! Faut dire que là-bas 'Ils travaillent comme des arabes !'

      Mais... c'est ce que font TOUS les pays d'importer des moteurs de Chine ou du Japon et de le boulonner sur un châssis de merde aux pièces en plastique ou 'biscuit d'aluminium' made in d'ici ! Donc, la saleté marquée 'Made in d'Ici' ne marchera qu'une heure (voire jusqu'à 3 h pour les meilleures motobineuses, tronçonneuses ou tondeuses à gazon), mais, grâce à la garantie d'un an pour pouvez faire réparer gratis !

      C'est pas une blague ! Vous rapporter la saloperie au magasin où vous l'avez achetée et, ils remplacent la merde cassée par... une autre merde (qui ne durera pas plus d'une heure ou trois heures pour les plus performantes !).

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  3. FACEBOOK : 52 MILLIONS POUR SES MODÉRATEURS DE CONTENUS TRAUMATISÉS


    par PAOLO GAROSCIO
    13/05/2020


    Facebook va verser 1.000 dollars à près de 11.000 modérateurs de contenus.

    Le réseau social le plus utilisé du monde, Facebook, n’est en théorie accessible qu’aux plus de 13 ans (bien que Facebook ne procède à aucun contrôle à ce sujet a priori). Dans ces conditions, mais également pour plaire au plus grand nombre d’annonceurs, il se doit de modérer toute publication problématique. Les utilisateurs, eux, ne voient rien… mais en réalité des centaines de milliers de photos et vidéos traumatisantes sont postées chaque jour sur Facebook.

    Pour que les utilisateurs soient protégés, c’est une véritable armée de modérateurs que le groupe emploie, directement ou en sous-traitance. Ces derniers développent régulièrement des syndromes de stress post-traumatique (« Post Traumatic Stress Disorder » en anglais, plus connu sous l’acronyme PTSD).

    Le coût humain d’un réseau social « sans danger »

    Facebook est loin d’être le seul réseau social concerné par la nécessité de modérer les contenus : Google, que ce soit pour le moteur de recherche ou pour sa plateforme Youtube, emploie également des modérateurs et ces derniers aussi développent des PTSD. Et, d’une manière générale, c’est pareil pour tous les réseaux sociaux et même des sites plus petits du moment où la publication de contenus est « libre ».

    Dans le cas de Facebook, toutefois, l’affaire a été portée devant les tribunaux : Selena Scola, ancienne modératrice du géant fondé par Mark Zuckerberg, a déposé une plainte en 2018 devant un tribunal californien. Elle déclarait avoir développé un PTSD après seulement 9 mois passés à modérer des contenus. « Tous les jours, les utilisateurs de Facebook diffusent des millions d'images ou de vidéos en direct d'abus sexuels sur des enfants, de viols, de torture, de bestialité, de décapitations, de suicides et de meurtres », décrit la plainte.

    Autant d’images violentes qui jouent sur le cerveau et la santé mentale : leur modération, qui permet aux utilisateurs "lambda" du site de naviguer sans inquiétudes, a un coût humain considérable. Un coût qui est surtout méconnu des plus de 2 milliards de personnes actives sur le réseau social de Menlo Park.

    Jusqu’à 50.000 dollars pour les cas les plus graves

    La plainte de Mme Scola a abouti non pas à un jugement, mais, comme c’est souvent le cas aux États-Unis, à un accord à l’amiable. Pas moins de 11.000 modérateurs se sont associés à cette action de groupe pour laquelle un accord à 52 millions de dollars a été trouvé. Facebook versera à chaque personne nommée dans la plainte collective 1.000 dollars. Soit 11 millions de dollars au total.

    Pour les cas les plus graves nécessitant des soins médicaux, ce sont jusqu’à 50.000 dollars de soins qui seront pris en charge par le géant de Menlo Park. Si on retire les 11 millions de dollars versés aux plaignants, cela représente la coquette somme de 41 millions de dollars réservés aux soins médicaux pour les personnes diagnostiquées avec des troubles spécifiques.

    http://www.economiematin.fr/news-contenu-facebook-traumatisme-moderateur-ptsd-plainte-accord-reseau-social

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    1. Faut dire qu'il y a plus de chèvres émissaires que de boucs commissaires !

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  4. LE POUVOIR D'ACHAT A BAISSÉ DE PLUS DE 500 EUROS POUR 1 FRANÇAIS SUR 4


    par PAOLO GAROSCIO
    13/05/2020


    Selon l'OFCE, les salariés français ont perdu en moyenne 410 euros à cause du confinement.

    Le comparateur en ligne LesFurets.com a réalisé, avec Yougov, un sondage sur la charge mentale subie par les ménages français durant le confinement. Sans surprise, elle est en forte augmentation. Mais une autre inquiétude grandit chez les ménages : la perte de pouvoir d’achat et le poids des dépenses contraintes.

    La charge mentale a augmenté pour près d’un Français sur deux

    Le confinement n’a clairement pas aidé les Français à gérer leur quotidien, bien au contraire : entre contraintes de sorties, chômage partiel et inquiétudes sanitaires, 43% des interrogés par Yougov estiment que leur charge mentale a augmenté depuis le confinement. Et, encore une fois sans surprise, les ménages qui ont des enfants sont 53% à avoir ressenti une augmentation de cette charge.

    Côté « égalité des sexes », on n’y est clairement pas, en France : près d’une femme sur deux estime que leur charge mentale a augmenté (47%) contre moins de quatre hommes sur dix (39%). « L’homme au bureau, la femme aux fourneaux » est un adage qui a encore de beaux jours devant lui en France.

    Les dépenses contraintes : la nouvelle inquiétude des ménages

    Malgré la mise en place du chômage partiel à grande échelle et de dispositifs d’aide inédits par le gouvernement, les ménages font face à une réelle inquiétude sur leurs finances. 19% des ménages déclarent, lors du sondage LesFurets/Yougov dévoilé le 11 mai 2020, qu’ils vont revoir leurs dépenses contraintes : abonnements téléphoniques, énergie, loyers… Dès lors qu’ils ont au moins un enfant, les ménages sont même 27% à y réfléchir. Et ce n’est pas étonnant : selon l’Insee, les dépenses contraintes représentent tout de même 30% du budget mensuel du ménage.

    Or, ces derniers estiment que leur pouvoir d’achat a baissé avec le confinement, malgré les quelques 55 milliards d’euros d’économisés (selon l’OFCE) : 28,6% des interrogés estiment la perte de pouvoir d’achat entre 100 et 250 euros, 22,9% entre 250 et 500 euros et 28,6% entre 500 et 750 euros. Des données compatibles avec celles de l’OFCE qui, le 11 mai 2020, dévoilait son étude sur la perte moyenne de revenus en France : 410 euros par salarié.

    http://www.economiematin.fr/news-pouvoir-achat-baisse-confinement-charge-mentale-menages

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    1. En l'an 1980, un boulanger de Bastia affichait la baguette à 1 Franc (15 centimes d'euro); aujourd'hui elle est à quel prix ?

      Votre salaire multiplié par 10 ? (1980-81: Essence 4F/l = 60 cts d'€).(1968-69: 15 cts d'euro le litre !)

      (...) Sans surprise, nous constatons une forte augmentation de l’essence entre 1960 et 2007, passant de 0,99 à 8,3 francs. Le prix a été multiplié par 8,38, ou bien, si l’on préfère les plus gros chiffres, son augmentation a été de 738%. C’est évidemment énorme, et cela justifie les atermoiements sur la réduction du pouvoir d’achat. (...)

      https://www.contrepoints.org/2011/01/24/11966-evolution-du-prix-de-lessence-en-france

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  5. Les Américains voient les avantages des aliments OGM


    13 Mai 2020
    par Seppi
    Joan Conrow*


    Une importante majorité d'Américains pense que les aliments génétiquement modifiés (GM) apporteront des avantages tels qu'un approvisionnement alimentaire plus important et des prix à la consommation plus bas.

    C’est la conclusion du plus récent sondage du Pew Research Center, qui a été mené auprès de 3.627 panélistes en octobre dernier ; les résultats ont été publiés cette semaine [du 16 mars 2020].

    Quelque 74 % des personnes interrogées pensent qu'il est au moins quelque peu probable que les cultures GM augmenteront l'approvisionnement alimentaire mondial, tandis que 62 % pensent que les aliments GM sont très ou assez susceptibles de se traduire par des prix alimentaires plus abordables.

    L'enquête a également révélé que la sensibilisation globale aux aliments génétiquement modifiés est mitigée. Seulement 29 % ont déclaré avoir entendu ou lu beaucoup de choses sur les aliments génétiquement modifiés, 59 % déclarant en avoir entendu un peu et 12 % affirmant n'avoir rien entendu.

    Alors que 51 % des répondants pensent que les aliments contenant des ingrédients génétiquement modifiés sont pires pour leur santé que les aliments sans eux, 41 % pensent qu'ils ne sont ni meilleurs ni pires. Quelque 7 % pensent que les aliments GM sont meilleurs pour leur santé. Selon le consensus scientifique mondial, les aliments génétiquement modifiés sont aussi sûrs que les aliments non génétiquement modifiés.

    Ceux qui croient que les aliments génétiquement modifiés sont pires pour leur santé restent préoccupés par les futurs impacts sur la santé humaine et environnementale. Mais même eux ont reconnu des avantages, avec 64 % déclarant que les plantes génétiquement modifiées sont au moins assez susceptibles d'aider à accroître l'approvisionnement alimentaire mondial et 50 % pensant qu'elles se traduiront par des produits d'épicerie plus abordables.

    Ceux qui ont dit avoir entendu beaucoup ou un peu parler des aliments génétiquement modifiés étaient généralement plus préoccupés par les problèmes de santé. Ironiquement, une analyse des consommateurs aux États-Unis, en France et en Allemagne en 2019 a déterminé que les plus grands opposants aux aliments génétiquement modifiés en savent peu sur la science, même s'ils croient qu'ils sont bien informés.

    « Ce que nous avons constaté, c'est qu'à mesure que le caractère extrême de l'opposition augmentait, les connaissances objectives diminuaient, mais les connaissances auto-évaluées augmentaient », a déclaré Philip Fernbach, chercheur à l'Université du Colorado et co-auteur du livre The Knowledge Illusion de 2017, au Guardian.

    « Cela fait partie intégrante de la psychologie de l'extrémisme », a-t-il poursuivi. « Pour se cantonner dans ces fortes opinions contre-scientifiques, vous devez en quelque sorte avoir un manque de connaissances. »

    L'enquête a également révélé que si les opinions négatives sur les effets sur la santé des aliments génétiquement modifiés ont augmenté entre 2016 et 2018 – une période où le Non-GMO Project a mené une campagne de marketing agressive – les attitudes sont restées stables depuis.

    _____________

    * Source : https://allianceforscience.cornell.edu/blog/2020/03/americans-see-benefits-in-gmo-foods/

    http://seppi.over-blog.com/2020/05/les-americains-voient-les-avantages-des-aliments-ogm.html

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    1. Depuis TOUJOURS 100% de ce que nous consommons est 100 % OGM !

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  6. Covid-19 et recherche clinique : l'Académie de Médecine enfin ! « La science n’est pas une option »


    13 Mai 2020
    par Seppi


    La vérité scientifique ne se décrète pas à l’applaudimètre. Elle n’émerge pas du discours politique, ni des pétitions, ni des réseaux sociaux. En science, ce n’est ni le poids majoritaire ni l’argument d’autorité qui font loi.

    Un exemple de manipulation de l'information, vite démontée (source)

    Le paysage de la recherche clinique sur les traitements du Covid-19 devient plus désespérant de jour en jour.

    Le malade, atteint ou potentiel, s'inquiétera de l'absence de résultats vraiment probants, ou même prometteurs... enfin dans l'hypothèse où il n'aura pas été marabouté et convaincu de l'existence d'un remède miracle, ici la combinaison hydrochloroquine-azithromycine, ailleurs un breuvage baptisé Covid-Organics à base d'Artemisia annua.

    S'il est rationaliste et curieux, il s'inquiétera des difficultés qu'il y a à produire des études crédibles – simplement crédibles, pas forcément conformes à l'étalon-or de la recherche – du fait des pressions médiatiques et, de plus en plus, de la diminution du nombre de patients (je touche du bois...). Il s'indignera de la mauvaise qualité de beaucoup d'études – ou « études ». Il en est qui sont des fraudes caractérisées.

    S'il a un minimum de sens civique, il s'offusquera des ravages occasionnés dans l'opinion publique par une communication débridée, qu'elle provienne des milieux médicaux, des médias ou des réseaux sociaux.

    C'est dans ce contexte que, enfin, le 8 mai 2020, l'Académie de Médecine s'est enfin exprimée sur le sujet. Dans un silence médiatique qui serait assourdissant s'il n'y avait pas eu (à l'heure où nous écrivons) la Dépêche et la Croix.

    Voici son communiqué

    « Recherche clinique et Covid-19 : la science n’est pas une option

    Communiqué de l’Académie nationale de Médecine

    8 mai 2020

    La vérité scientifique ne se décrète pas à l’applaudimètre. Elle n’émerge pas du discours politique, ni des pétitions, ni des réseaux sociaux. En science, ce n’est ni le poids majoritaire ni l’argument d’autorité qui font loi.

    C’est pourtant dans ce type de dérive que s’est fourvoyée la recherche de traitements médicamenteux actifs contre le Covid-19 : trop de précipitation dans la communication, trop d’annonces prématurées, trop de discordes entre les équipes, trop de pressions de toutes sortes, mais pas assez de science.

    La démarche scientifique exige du temps, de la méthode et de l’esprit critique. Dans le domaine du médicament, il faut non seulement vérifier qu’une substance est efficace, mais aussi s’assurer que ses avantages l’emportent largement sur ses effets indésirables, eu égard à la gravité de la maladie cible. C’est la balance bénéfices/risques. L’essai thérapeutique contrôlé randomisé est la seule méthode permettant de répondre à ces questions avec un niveau de preuve élevé.

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  7. Dans le cas du Covid-19, en l’absence de traitement de référence susceptible de servir de comparateur, chaque médicament candidat doit être comparé à un placebo. Ce choix est légitime en situation d’incertitude, c’est-à-dire lorsqu’on ne sait pas a priori si le patient qui sera inclus dans l’essai thérapeutique aura intérêt à être dans un groupe plutôt que dans l’autre. Mais les prises de positions passionnelles, voire compassionnelles, en faveur de l’hydroxychloroquine avant tout essai comparatif ont été si nombreuses, et les pressions si fortes dans un contexte anxiogène, que les patients n’acceptaient d’entrer dans l’essai qu’avec la certitude de ne pas être inclus dans le bras placebo, ce qui est incompatible avec le principe même de l’essai contrôlé. En conséquence, rares étant ceux qui acceptaient de contribuer à l’avancée de la science.

    Par ailleurs, l’évolution spontanément favorable de l’infection par le SARS-CoV-2 dans 85% des cas impose de recruter un grand nombre de participants pour démontrer l’efficacité d’un traitement dans la phase initiale de la maladie. Or, la regrettable dispersion des essais limite la taille des effectifs et réduit la puissance statistique des résultats.

    Enfin, le battage médiatique en faveur de l’hydroxychloroquine se déportant secondairement vers le remdesivir et le tocilizumab sur la foi de modestes résultats préliminaires, il importe de rester prudent en attendant leur confirmation.

    Si le contexte anxiogène de la pandémie stimule la compétition entre les équipes de recherche dans le monde entier, cet impératif ne saurait justifier l’utilisation de méthodes inappropriées, d’études bâclées, ni d’une communication avide d’exclusivités. Précipiter l’évaluation d’un candidat médicament, c’est exposer les patients à d’éventuels effets adverses sans être sûr de leur apporter un bénéfice. Il existe heureusement des équipes responsables qui font preuve d’imagination et de proactivité en raccourcissant autant que possible les délais d’obtention de leurs résultats.

    Le temps de la recherche et de la science n’est pas celui de l’immédiateté des médias et des réseaux sociaux. Le doute, inhérent à toute démarche scientifique, est aussi intolérable pour le public soucieux d’apaiser son anxiété que pour le politique désireux de conforter ses décisions. En temps de crise, si le doute exaspère, les croyances sont nuisibles et souvent dangereuses.

    Face au défi du Covid-19, l’Académie nationale de médecine rappelle que la recherche thérapeutique doit :

    s’appuyer sur des essais cliniques scientifiquement rigoureux et éthiquement irréprochables malgré la contrainte de délais optimisés ;

    se fonder sur des bases pharmacodynamiques et pharmacocinétiques solides ;

    coordonner des équipes nationales et internationales dans de grandes études multicentriques ;

    s’astreindre à une communication prudente et responsable de la part des chercheurs, ne divulguer que des résultats contrôlés et validés, et s’interdire de susciter de faux espoirs et de provoquer des réactions d’engouement injustifiées dans le grand public.

    http://seppi.over-blog.com/2020/05/covid-19-et-recherche-clinique-l-academie-de-medecine-enfin-la-science-n-est-pas-une-option.html

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  8. Gouverneur de WA aux résidents: les négationnistes du test COVID ne seront pas autorisés à quitter leur domicile pour faire leurs courses


    par Tyler Durden
    Mer, 13/05/2020 - 11:20


    Lors de sa conférence de presse du 12 mai, le gouverneur de l'État de Washington, Jay Inslee, a présenté les plans de l'initiative de recherche des contacts à l'échelle de l'État.

    "[L'initiative] est robuste, elle est vigoureuse et complète, et il faut que ce soit les trois pour réussir", a déclaré Inslee.

    "Si nous ne réussissons pas dans cette deuxième étape de nos efforts, ce virus pourrait revenir en arrière et nous mordre."

    Comme le note Luke Putvin de LynnwoodTimes.com, les informations fournies par Inslee étaient étiquetées comme «Contact Tracing: Box in The Virus». Les étapes étaient répertoriées comme suit:

    La recherche des contacts consiste à interroger des personnes dont les tests COVID-19 ont été positifs pour identifier avec qui elles ont été en contact, faire tester ces personnes et s'assurer qu'elles s'isolent elles-mêmes et leur famille.

    Au fil de la conférence de presse, une question revenait sans cesse: qu'en était-il de l'application ? Comment allez-vous vous assurer que les résidents de l'État de Washington se conforment et que se passera-t-il s'ils ne le font pas ?

    La réponse est aussi effrayante que beaucoup s'inquiètent. Comme le rapporte Putvin, pour les entreprises / individus qui ne se conforment pas, le gouverneur a déclaré qu'il avait confirmé avec le procureur général Bob Ferguson, qu'il y aurait des sanctions en matière civile ou pénale.

    À l'horodatage 38:55 dans la vidéo de la conférence de presse ci-dessous, un journaliste a demandé:

    - voit sur site -

    «En ce qui concerne la recherche des contacts, comment allez-vous gérer les gens ou les familles qui veulent refuser de se tester ou de s'isoler ?

    S'ils veulent quitter leur maison pour faire leurs courses, je sais que vous avez dit qu'ils ne pouvaient pas faire ça; comment allez-vous vous assurer qu'ils ne le font pas ? "

    Voici la réponse de Jay Inslee:

    «Nous aurons attaché aux familles une personne de soutien familial qui vérifiera avec elles pour voir ce dont elles ont besoin quotidiennement ... et les aider. S'ils ne parviennent pas à demander à un ami de faire leurs courses, nous les aiderons à faire leurs courses d'une manière ou d'une autre. S'ils ont besoin de produits pharmaceutiques pour être ramassés, nous veillerons à ce qu'ils obtiennent leurs produits pharmaceutiques ... Cela les encouragera également à maintenir leur isolement.

    «En ce qui concerne le refus, cela ne devrait tout simplement pas en arriver là, et ce n'est vraiment pas le cas. Nous avons eu un très bon succès lorsque nous avons demandé aux gens de s’isoler, et ils l’ont fait avec des pourcentages très élevés, nous en sommes donc heureux et nous pensons que cela continuera. »

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  9. Par conséquent, les personnes qui refusent de coopérer avec les traceurs de contact et / ou refusent les tests ne seront pas autorisées à quitter leur domicile pour acheter des produits de première nécessité tels que des produits d'épicerie et / ou des ordonnances.

    Ces personnes devront prendre des dispositions par l'intermédiaire d'amis, de la famille ou d'un «personnel de soutien familial» fourni par l'État.

    La question, bien sûr, est la suivante: combien de temps avant que ce test (ou famine) "obligatoire" ne soit remplacé par une vaccination (ou famine) "obligatoire" ?

    https://www.zerohedge.com/health/nj-governor-residents-covid-test-deniers-will-not-be-allowed-leave-home-get-groceries

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  10. Le maire de Los Angeles recule les extensions de verrouillage après une réaction furieuse


    par Tyler Durden
    Mer, 13/05/2020 - 13:33


    Le maire de Los Angeles a rapidement annulé mardi la prolongation par son principal directeur de la santé de la décision de rester à la maison qui durerait maintenant jusqu'en juillet, après que les habitants étaient furieux de la mise en quarantaine, a rapporté Reuters.

    Barbara Ferrer, directrice de la santé du comté de LA, a déclaré que le nouvel ordre de santé publique, désormais appelé "Safer at Home", entrerait en vigueur ce vendredi et durerait trois mois, même si le gouverneur Gavin Newsom a déclaré que les restaurants et autres entreprises pourraient rouvrir.

    "Alors que les commandes Safer at Home resteront en place au cours des prochains mois, les restrictions seront progressivement assouplies dans le cadre de notre Feuille de route pour le rétablissement en cinq étapes, tout en nous assurant que nous gardons nos communautés aussi sûres que possible pendant cette pandémie", a déclaré Ferrer. dans un communiqué publié mardi. "Nous sommes guidés par la science et les données qui nous feront avancer en toute sécurité sur la voie du rétablissement de manière mesurée - une qui nous permet de garantir que des mesures efficaces de mise à distance et de contrôle des infections sont en place.

    "Nous comptons sur le respect continu des ordonnances par le public pour nous permettre d'assouplir les restrictions, et nous nous engageons à faire en sorte que le comté de LA soit le mieux placé pour offrir à ses 10 millions d'habitants le plus haut niveau de bien-être possible alors que nous revenir progressivement à la normale ", a poursuivi Ferrer.

    Quelques heures après que l'extension de Ferrer a fait la une des journaux et que les habitants de la deuxième plus grande ville des États-Unis soient de plus en plus contrariés, le maire Eric Garcetti a reconduit l'extension de verrouillage de Ferrer via une interview CNN mardi soir, avec l'hôte Anderson Cooper, pour tenter de calmer les angoisses.

    Le maire Eric Garcetti sur CNN
    Il a dit: "Je veux rassurer les gens parce que je pense qu'il y a eu beaucoup de panique soudainement quand les gros titres ont dit que nous allons tous rester exactement comme nous le sommes pendant trois mois de plus alors que ce n'est pas le cas".

    "Je pense, tout simplement, qu'elle dit que nous n'allons pas rouvrir complètement Los Angeles et probablement n'importe où en Amérique, sans aucune protection ou aucun ordre de santé dans les trois prochains mois. Je pense que nous savons que ça va être encore plus long que trois mois ", a déclaré Garcetti.

    Même si Garcetti a essayé de calmer les frustrations concernant les blocages prolongés au milieu de l'été, la colère du public est revenue dans les rues alors que les manifestants anti-quarantaine étaient furieux des prolongations.

    Alors que des extensions de verrouillage ont été observées à Los Angeles, le système universitaire de l'État de Californie a également annoncé mardi qu'il annulerait les cours à l'automne.

    Ces annonces interviennent lorsque le Dr Anthony Fauci a déclaré au Congrès, plus tôt dans la journée, que la levée des blocages pourrait déclencher une deuxième vague de coronavirus. Jusqu'à présent, plus de 81 700 Américains sont morts et l'économie est entrée dans une grave récession.

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  11. Cependant, plusieurs universités privées rouvriront leurs portes cet automne, dont l'Université Chapman à Orange, avec une classe entrante prévue de 1 700. Les universités Loyola Marymount et Biola prévoient également des cours en personne à l'automne, ainsi que des chances accrues que les collèges Claremont puissent faire de même.

    Les statistiques sanitaires de l'État indiquent un nombre croissant de décès quotidiens au COVID-19 et de nouveaux cas à Los Angeles.

    Nous avons noté que les blocages devenaient également politiques, une décision des États démocratiques et des gouvernements locaux de perturber éventuellement les élections présidentielles et / ou de continuer à nuire à l'économie pour empêcher le président Trump d'être réélu.

    https://www.zerohedge.com/health/la-mayor-backpedals-lockdown-extensions-after-furious-reaction

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  12. Le modèle informatique défectueux du professeur Panic était-il un signal de vertu pour son amant radical activiste climatique ?


    par Tyler Durden
    Mer, 13/05/2020 - 18:25



    Une analyse des modèles informatiques utilisés par le professeur Neil Ferguson pour prédire que des millions de personnes mourraient des modèles COVID-19 sur lesquels les dirigeants occidentaux avaient basé les blocages en cours - ont été déchirés en lambeaux. Certains sont même allés jusqu'à suggérer que ses modèles désastreux pourraient avoir quelque chose à voir avec son amant marié étant un activiste environnemental.

    Neil Ferguson et son amant marié d'OkCupid, Antonia Staats
    Comme le rapporte Janice Davis, de Conservative Woman, «Le code source du modèle Ferguson a finalement été rendu public via le site Web de GitHub. Mark E Jeftovic, sur son site Web Axis of Easy, a déclaré:« Un examen du code a été entrepris par un un ancien ingénieur logiciel anonyme de Google ici, qui nous dit que le code du référentiel GitHub a été massivement massé par les ingénieurs de Microsoft, et d'autres, dans le but de mettre le code en forme pour l'exposer en toute sécurité au public. Hélas, ils semblent avoir échoué et de nombreux défauts et bogues du logiciel d'origine persistent dans la version publiée. Les demandes pour la version non révisée du code original derrière le modèle sont restées sans réponse. ""

    Selon Jeftovic, le code produit des "sorties non déterministes'', ce qui signifie qu'il crachera des résultats différents pour des entrées identiques - le rendant inapproprié pour une utilisation scientifique.

    "L'enquête révèle la vérité: le code produit des résultats extrêmement différents, même pour des graines et des paramètres de départ identiques", a-t-il déclaré, ajoutant que la sortie pourrait même varier en fonction du type d'ordinateur utilisé pour exécuter la simulation.

    Jeftovic a été laissé se gratter la tête sur pourquoi l'équipe de Ferguson n'a pas vu que leur logiciel était si défectueux, l'appelant "ordures entrantes / sortantes", seulement peu importe ce que l'entrée est - la sortie est toujours des ordures, qui est responsable de la des blocages qui ont stoppé l’économie mondiale.

    Un autre expert, Martin Armstrong (qui a un dossier controversé) examine également le code du modèle Ferguson et arrive à des conclusions très similaires. Il dit que «c’est une telle plaisanterie que c’est soit une fraude pure ou simple, soit la programmation la plus inepte que j’ai jamais vue de ma vie. . . C'est l'opération la moins professionnelle peut-être en informatique. Toute l'équipe devrait être dissoute et une équipe indépendante mise en place pour revoir le travail de Neil Ferguson. . . La seule conclusion raisonnable à laquelle je peux arriver est que cela a été délibérément utilisé pour justifier de fausses prévisions d'intention d'activisme politique. . . Il ne semble pas y avoir eu d'examen indépendant du travail de Ferguson, ce qui est inimaginable! »-Conservative Woman

    Pendant ce temps, la femme conservatrice souligne également que l'affaire désormais publique de Ferguson - frapper son amant marié avec des mesures de verrouillage strictes en place, juste après sa guérison du coronavirus - devrait également être remise en question.

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  13. Son amant, Antonia Staats, 38 ans, est une activiste de gauche qui travaille pour l'organisation américaine Avaaz - qui promeut l'activisme mondial sur un certain nombre de sujets, y compris le changement climatique.

    Le Guardian a appelé Avaaz le réseau d'activistes en ligne le plus grand et le plus puissant du monde, et il compte environ 10 millions de personnes dans le monde entier. Il est vaguement lié à Bill Gates, par le biais du Forum économique mondial, qui inscrit également Al Gore et Christine Lagarde à son conseil d'administration. Staats travaille en tant que militant principal sur le changement climatique pour le groupe, et serait sympathique aux objectifs de la rébellion d'extinction. Indirectement, en apparence du moins, cela lie Ferguson au changement climatique, une cause que le verrouillage a très bien servi en parvenant à arrêter l'économie mondiale. - Femme conservatrice

    Alors, était-ce de l'idiotie de la part de Ferguson et de son équipe à l'Imperial College de Londres ? Ou y a-t-il une explication plus sinistre de ce qui s'est passé ?

    https://www.zerohedge.com/markets/pandemic-computer-model-used-professor-panic-was-deeply-flawed-and-he-was-banging-radical

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  14. Greta Thunberg réorganisée pour la mairie de CNN sur le coronavirus


    par Tyler Durden
    Mer, 13/05/2020 - 16:25


    Greta Thunberg a surmonté son enfance ruinée pour devenir une experte en COVID-19, selon CNN - qui mettra en vedette la jeune activiste climatique dans une mairie jeudi pour discuter du virus.

    Apparaissant aux côtés de Thunberg pour Coronavirus: faits et craintes, d'anciens responsables administratifs d'Obama, Richard Besser, qui a été directeur des Centers for Disease Control (CDC) pendant moins de six mois, et Kathleen Sebelius, qui était la secrétaire à la Santé et aux Services sociaux d'Obama. - superviser le désastreux déploiement d'Obamacare qui a conduit les républicains à demander sa démission.

    Ce que Thunberg peut contribuer à une discussion sur COVID-19 est la supposition de n'importe qui, mais nous supposons que toute personne qui ose mettre les pieds dans un aéroport risque de se sentir coupable.

    Il ne pouvait pas y avoir de parodie plus drôle de la promo du réseau «les faits d'abord» pour l'événement:

    Comme le dit Brad Polumbo dans le Washington Examiner:

    Il n'y a presque pas de mots pour dire à quel point c'est ridicule. L'ancre Chris Cuomo a présenté CNN comme le réseau «les faits d'abord». L'animateur de Sources fiables (ironique) Brian Stelter diffuse régulièrement Fox News (parfois à juste titre) pour avoir des invités non qualifiés s'exprimant sur des sujets experts. Mais au moins, ils ne disent pas à leurs téléspectateurs de prendre leur sagesse de coronavirus à des adolescents de 17 ans en difficulté.

    Les mêmes journalistes libéraux qui ont réprimandé les gens pour avoir remis en question la sagesse des meilleurs experts du gouvernement fédéral en matière de coronavirus, tels que le Dr Anthony Fauci et le Dr Deborah Birx, disent maintenant littéralement aux gens d'obtenir leur analyse scientifique de Greta Thunberg.

    Pour être clair, vous ne devriez pas avoir de mépris pour Thunberg - vous devriez vous sentir mal pour elle. C'est une jeune femme profondément troublée avec une longue histoire de luttes contre la dépression, le TOC, les troubles de l'alimentation, l'intimidation et plus encore. Malheureusement, elle s'est accrochée à un récit apocalyptique alarmiste d'une apocalypse climatique en attente comme moyen de faire face. Il n'y a rien d'horriblement mal à cela; Thunberg est une jeune femme d'une passion admirable et devrait poursuivre ses convictions. Ce qui est troublant, c'est de voir des journalistes libéraux exploiter un si jeune activiste mal informé pour pousser leur agenda politique à son détriment.

    * * *

    Nous ne pouvions pas être plus d'accord.

    https://www.zerohedge.com/health/greta-thunberg-repurposed-cnn-town-hall-coronavirus

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  15. L'épée COVID-19 de Damoclès


    par Tyler Durden
    Mer, 13/05/2020 - 22:05
    Rédigé par Robert Weissberg via The Unz Review,


    Il existe un continuum sur la façon de lutter contre le virus Covid-19.

    D'un côté, ceux qui veulent éliminer rapidement le verrouillage («un remède pire que la maladie») malgré la montée des décès.

    Les Américains sont si terrifiés que rien de moins qu'une éradication totale du virus suffira.

    Le premier point de vue repose généralement sur une analyse coûts / avantages économiques, y compris le «désespoir humain» qui peut être proche de la mort, par exemple, la violence domestique induite par le chômage (et voir ici et ici).

    La justification de la poursuite de mesures draconiennes, du moins en dehors des «points chauds» comme la ville de New York, est cependant moins claire. Cette justification est particulièrement discutable étant donné la faible probabilité d'attraper les maladies et d'être hospitalisé - les données pertinentes les plus récentes sont de 40,4 pour 100 000 (mais 131,6 pour les 65 ans et plus, un chiffre comparable pour les taux d'hospitalisation pour la grippe saisonnière). De plus, de nombreuses personnes infectées ne présentent aucun symptôme ou se rétablissent à la maison, de sorte qu'elles sont statistiquement invisibles, de sorte que le véritable taux d'infection de 40,4 pour 100 000 est probablement trop élevé.

    Le taux de mortalité, la ligne de fond pour évaluer le risque, est extrêmement complexe et varie à mesure que de nouvelles données sont découvertes et que les chiffres passés sont recalculés. Le taux global est estimé à 5,84%, mais il est fortement lié à l'âge, varie énormément selon les États (de 1282,2 par million à New York contre 12,1 par million au Wyoming) et dépend d'autres facteurs de santé tels que l'obésité et les maladies cardiaques, telle est la nature des données compliquées, d'autres (y compris le Dr Anthony Fauci) suggèrent que le taux de mortalité peut être aussi bas que 1%, un chiffre encore nettement supérieur à la grippe saisonnière «normale». Dans l'ensemble, les données scientifiques objectives - la faible incidence globale de l'infection, son impact sélectif et le faible taux de mortalité des personnes infectées - ne justifient guère le type d'hystérie dans laquelle, par exemple, un opérateur de salon de coiffure est emprisonné pour avoir fait des affaires.

    Qu'est-ce qui explique alors la frénésie ?

    Commençons par noter que le carnage en soi n’explique pas entièrement la panique. La pandémie de grippe espagnole, extrêmement meurtrière en 1918, est bien connue, mais plus pertinente était la «grippe de Hong Kong» de 1968, une variole beaucoup plus meurtrière que l’importation asiatique d’aujourd’hui. Bien que largement oubliée, en 1968, la pandémie de H3N2 (son nom technique) a tué 100 000 Américains (plus un million de plus dans le monde), un chiffre qui dépasse le nombre de morts des guerres du Vietnam et de Corée. De plus, la population américaine en 1970 était de 209 millions contre 330 millions aujourd'hui, donc ajusté pour la population, le nombre de tués était de 136 000. Pour des raisons peu claires, cependant, la grippe de «Hong Kong» de 1968 est passée presque inaperçue lorsqu'elle a frappé, vraisemblablement éclipsée par la guerre du Vietnam et les émeutes urbaines généralisées. L'épidémie de 1957 qui a tué 116 000 personnes et l'épidémie de grippe de 2009 - H1N1 - ont touché 60,8 millions d'Américains et le nombre de morts estimé était d'environ 12 000.

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  16. Une partie de l'explication de la panique (en dehors de quelques points chauds comme New York et le nord du New Jersey) réside dans la prévisibilité d'une infection mortelle, et non dans son incidence absolue. Le pouvoir de la contrôlabilité pour calmer la peur est bien illustré par le peu d'Américains qui se sont inquiétés du sida une fois que les mécanismes de transmission ont été découverts. Depuis que l'épidémie de VIH / SIDA a explosé dans les années 80, quelque 700 000 Américains sont morts du sida, mais peu d'Américains sont paniqués par le carnage. Pour échapper au sida, il suffit d'éviter les rapports sexuels homosexuels dangereux et de tirer sur les drogues, des comportements que presque les Américains évitent facilement. Ainsi comprise, la sécurité est garantie, il n'y a donc pas d'anxiété ni de dépression quels que soient les taux de VIH / SIDA.

    Cette distinction entre la létalité contrôlable et la létalité presque aléatoire explique pourquoi la mise en évidence des statistiques de moralité américaines ne parvient pas à calmer la panique. Pour ceux qui ont peur d'aller à Whole Foods, cela ne fait absolument aucune différence si le nombre de décès en 2017 pour cause de maladie cardiaque était de 647 457, ou, d'ailleurs, de 1 000 000 ou 10 000 000 ! Personne ne contracte soudainement une maladie cardiaque en faisant ses courses chez Whole Foods. Sur les dix principales causes de décès en 2017 suivies par le CDC, la seule transmissible est la grippe et la pneumonie (55672 cas en 2017), et même ici, les victimes potentielles exercent une contrôlabilité individuelle substantielle via des vaccins antigrippaux ou en consultant un médecin tôt.

    Covid-19 est au moins actuellement différent, mais, comme le soulignent les responsables de la santé publique, il peut être atténué en évitant la foule, le lavage fréquent des mains et le port de masques. Mais, de telles actions personnelles peuvent-elles à peine garantir étant donné la science sous-jacente incertaine. Par exemple, comme un rapport récent de New York a révélé que les deux tiers des personnes admises dans les hôpitaux étaient, conformément au décret officiel, auto-mises en quarantaine en restant à la maison. Seul un petit pourcentage travaillait loin de chez eux et un petit nombre prenait les transports en commun. En d'autres termes, la sagesse officielle était peut-être inexacte, alors à qui faire confiance ?

    Des dangers potentiels inconnus se cachent partout, même si le danger réel est extrêmement éloigné. Oui, vous pouvez vous barricader, porter un costume Haz-Mat et commander des repas mais le livreur de Typhoid Mary peut déposer le virus sur la boîte à pizza. Votre masque de qualité non médicale ne protège que les autres de vous, et non l'inverse, de sorte que la personne infectée qui passe devant vous dans le parc peut être un tueur (et même les masques de qualité médicale peuvent être des contrefaçons dangereuses). Vous ne pouvez pas bannir un conjoint ou un enfant et chacun pourrait ramener la variole par inadvertance. Gardez à l'esprit qu'il faudra des mois avant de trouver un remède et, compte tenu des millions de possibilités d'infection, un seul incident peut être mortel.

    La panique reflète également l'indisponibilité de la solution traditionnelle et la plus efficace: l'évasion. Les riches Italiens pendant la Renaissance ont pratiqué la villeggiatura - fuyant la ville vers une ferme ou une villa de campagne et attendant que la peste se calme. Compte tenu de la fréquence des fléaux, la construction de villas rurales isolées a prospéré et a sans aucun doute aidé à apaiser les nerfs effilochés.

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  17. Hélas, ce n'est guère possible dans le monde d'aujourd'hui, propice aux voyages. Lorsque l'épidémie est apparue, par exemple, de nombreux New-Yorkais aisés ont fui vers leurs maisons de vacances apparemment sûres, mais peu d'habitants de la ville bénéficient de cette option coûteuse et, plus important encore, l'afflux pourrait difficilement exclure les transporteurs asymptomatiques qui infecteraient ensuite les évadés. L’omniprésence mondiale de l’épidémie empêche également un refuge facile. Un centre de villégiature bon marché en République dominicaine n'est guère un refuge sûr - qui peut garantir un personnel sans virus, et les installations médicales locales peuvent être inadéquates. Cette option d'évasion physique suppose également que le sanctuaire vous admettra.

    Ne vous y trompez pas, le carnage est réel, tragique et l'oubli de Pollyanna n'est pas le remède mais, cela étant dit, ce n'est pas l'apocalypse. La façon dont les niveaux d'anxiété extrêmement élevés sapent le débat public rationnel sur les coûts est particulièrement troublante. Il est facile de comprendre pourquoi les personnes souffrant de fièvre de la cabine sont déroutées par des données épidémiologiques CDC souvent incertaines. Les statistiques sur les risques d'infection extrêmement faibles pour les moins de 65 ans et en bonne santé n'ont aucun sens pour les joueurs de loterie habituels ou les innombrables. La terreur peut être particulièrement probable pour cette fantaisie mettant fin à la vie comme un cadavre anonyme pourrissant dans un camion réfrigéré dans un parking du Queens à New York grâce à une brève rencontre avec un employé de McDonald's.

    Bien que cela puisse apporter un soulagement thérapeutique momentané, s'en prendre au président Trump pour des tests insuffisants, stocker trop peu de ventilateurs, la désorganisation de la Maison Blanche, recommander de boire du Clorox ou simplement «rejeter la science» ne résout rien.

    https://www.zerohedge.com/health/covid-19-sword-damocles

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  18. « Plus de risque chez soi qu’à l’école » : Blanquer siffle la fin de la récré

    La sortie de Jean-Michel Blanquer nous rappelle ce qu’est une institution et un ministre en roue libre, totalement déconnecté de la réalité qu’il est supposé administrer.


    13 MAI 2020
    Par Marc André.


    Depuis que le méchant virus chinois qui ne pouvait pas passer nos frontières les a allègrement franchies, nous assistons de la part de nos gouvernants à un festival ininterrompu d’approximations, de grand n’importe quoi, quand ce ne sont pas purement des mensonges éhontés, proférés avec l’autorité que seule peut conférer l’absence totale de scrupule.

    Donc les uns à la suite des autres, nos brillants ministres viennent asséner leurs bêtises, au premier micro qui se tend. Avec le déconfinement, ils ont même enclenché le turbo. Dernier en date à creuser sa tombe s’exprimer, Jean-Michel Blanquer a déclaré face au grand Jury RTL, Le Figaro, LCI «qu’il y a plus de risques à rester chez soi que d’aller à l’école».

    BLANQUER CROIT-IL VRAIMENT CE QU’IL DIT ?

    Quelle mouche a piqué Jean Michel Toutvabien selon l’excellent mot de mon estimé confrère H16 ? Quel besoin avait-il de proférer une telle énormité ? Est-ce un moment d’égarement, dû au titre de l’émission radiophonique à laquelle il participait ? Croit-il vraiment ce qu’il dit, ou agit-il sur commande comme la désormais légendaire porte-parole du gouvernement, dont le prénom vaut toutes les mises en garde utilisateur ?

    Rappelons-nous, il y a de cela deux mois le gouvernement nous enfermait avec comme justification le fait que l’on ne pouvait pas décemment maintenir les écoles ouvertes. Les enfants étaient alors considérés comme un bouillon de culture propre (si l’on peut dire) à faire flamber la pandémie. Nos chères têtes blondes étaient les principaux vecteurs de la nouvelle peste et il convenait de les enfermer fissa, ainsi que leurs parents.

    Admettons que, le temps passant et le nombre de parents infectés par les sales mouflets avec lesquels ils ont cohabité durant deux longs mois H24, n’ayant pas explosé, les «zautorités» aient révisé leur jugement sur le péril jeune. Mais de là à considérer que l’endroit où nous avons tous été consignés et qu’il ne fallait surtout pas quitter pour sauver des vies est devenu plus dangereux que le cloaque qu’il était si urgent de fermer, après nous y avoir envoyé voter en masse, le pas était quand même énorme.

    PETIT RAPPEL DES FAITS

    Reprenons le fil des événements. Il y a deux mois, les cigales qui nous gouvernent découvrent, mais un peu tard, que le pays est à poil, sans masques, sans gel, sans respirateurs… Bref que tout ce qui se trouvait dans le stock stratégique anti-épidémie constitué par Roseline Bachelot et Nicolas Sarkozy après l’épisode avorté de grippe aviaire s’est volatilisé par enchantement bureaucratico-comptable. Ajoutez à cela un système de santé exsangue que tous se sont échinés à raboter, selon le principe bien compris que moins on a de médecins, moins il y a d’hôpitaux et moins il y a de dépenses de santé et vous obtenez la recette de la bonne catastrophe à la française.

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  19. L’absurdité de ce raisonnement conduisant naturellement à l’engorgement complet du système, il a fallu confiner, le temps que les morts s’accumulent, que les masques arrivent, etc, etc. pour que l’on en revienne à la normale. «Ces choses-là nous dépassent feignons d’en être les organisateurs», écrivait Jean Cocteau. Sa tirade est maintenant devenue le modus operandi de cette administration que le monde entier nous envie. Et c’est ainsi que la machine à raconter des bobards à la chaîne s’est mise en marche.

    Simplement confiner tout un pays parce que l’on a été totalement imprévoyant représente un coût faramineux que l’Allemagne ne semble pas très désireuse de payer, une fois de plus. Donc il convient de remettre tout le monde au boulot et vite fait, pour éviter la banqueroute. Seulement voilà, comment travailler quand les enfants sont à la maison parce que l’on a passé deux mois à expliquer à leurs parents que l’école était le lieu de tous les dangers ?

    BLANQUER APPORTE SA SOLUTION : LA FAMILLE, VOILÀ LE VRAI DANGER !

    Et partant, le ministre de l’Éducation (quel terme amusant) de nous dévoiler la vraie mission du service public dont il a la charge : une gigantesque garderie pour enfants de travailleurs, le Komsomol Soviet, ni plus ni moins. À voir le niveau toujours plus affligent des compétences exigées des élèves pour avoir leur bac, on se doutait bien que l’enseignement n’était pas l’activité principale du ministère dont monsieur Blanquer à la charge.

    Et pourtant, nombreux sont les professeurs qui ont été dupés et ont honnêtement cru qu’ils étaient recrutés pour instruire. L’Éducation nationale est un concentré de toutes les tares françaises. Une administration entière déploie des trésors d’ingéniosité pour s’assurer que les élèves en apprennent le moins possible. À coups de circulaires, de réformes des programmes et d’expérimentations pédagogiques toutes plus délirantes les unes que les autres, les fonctionnaires du ministère ont réussi à faire passer les enseignants du rang de maître à celui de garde d’enfant.

    À voir ce qu’est devenu le regretté ministère de l’Instruction publique, on se dit qu’il est grand temps de laisser les praticiens médicaux et non les médecins de laboratoire pharmaceutique s’occuper de celui de la Santé. En ce sens la sortie de Jean-Michel Blanquer a été salutaire. Elle nous a rappelé ce qu’est une institution et un ministre en roue libre, totalement déconnecté de la réalité qu’il est supposé administrer.

    https://www.contrepoints.org/2020/05/13/371412-plus-de-risque-chez-soi-qua-lecole-blanquer-siffle-la-fin-de-la-recre

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  20. La peur et la mort pour faire accepter la surveillance de masse

    En matière de surveillance de masse pour faciliter l’acceptation sociale, les leviers utilisés auront été les mêmes dans nombreuses de nos démocraties : « la peur et la mort » et pire encore, le mensonge des pouvoirs publics.


    Par Yannick Chatelain.
    13 MAI 2020


    « La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident. La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter. » Aldous Huxley

    FAIRE ADMETTRE L’ABSURDE COMME LA NORME : MODE D’EMPLOI

    En matière de surveillance de masse pour faciliter l’acceptation sociale, quitte à faire admettre l’absurde comme la norme, que cela soit pour le terrorisme, pour la pandémie mondiale actuelle, les leviers utilisés auront été les mêmes dans nombreuses de nos démocraties : « la peur et la mort » et pire encore, le mensonge des pouvoirs publics, ayant permis d’initier un transfert de responsabilité sur la population, rendant cette dernière seule garante d’une bonne gestion de la crise.

    Les pouvoirs s’appuient sur deux piliers ineptes qui seraient à défendre de façon implacable et qui gangrènent progressivement nos sociétés du monde libre, des absurdités limitantes à la vie : « le risque zéro » et maintenant, une surenchère dans le principe de précaution défini et entériné lors du sommet de Rio de 1992 : « la mort zéro ! ».

    Par delà les guerres et autres atrocités auxquels les Hommes n’ont pas renoncé, dans ces deux situations de dangers majeurs auquel notre monde est actuellement exposé : le terrorisme et le risque bactériologique – qui se traduit actuellement par la pandémie du Coronavirus – des démocraties n’auront pas hésité à avoir recours aux mensonges, à trahir leur peuple ! Quitte quelques années plus tard à réfléchir au niveau européen à la réévaluation à la hausse de méthodologie de contrôle social de plus en plus liberticide au travers par exemple d’une réflexion sur un traité de Prum nouvelle génération dédié à la surveillance des citoyens de l’UE, intégrant de façon décomplexée la reconnaissance faciale.

    Si nous prenons l’exemple de la France, le recours à l’état d’urgence pour préserver la population du terrorisme aura mis en évidence cette acceptation de l’absurde comme la norme que j’évoquais : « Fan zone dans les centres-villes », « 14 juillet maintenu »… et ce dans un temps qui avait alors vocation à être celui d’une dictature temporelle liée à un danger imminent ! Une raison d’État, lorsqu’elle impose des régimes d’exceptions, devrait inviter tous citoyens à se remémorer les propos tenu par Hannah Arendt en 1974 à leur sujet, propos qui, pardonnez-moi cette trivialité, en 46 ans n’ont en pas pris une ride :

    « Ce qui est propre à notre temps c’est l’intrusion massive de la criminalité dans la vie politique. Je veux parler ici de quelque chose qui dépasse de loin ces crimes, que l’on cherche toujours à justifier par la raison d’État, en prétextant que ce sont des exceptions à la règle. »

    L’état d’urgence d’alors était où il n’était pas ! L’entre-deux s’est de fait rapproché de « panem et circenses », avec les conséquences dramatiques inhérentes à cet état de fait : une appréciation du risque a priori juste, un traitement du risque fantasque ! Par ailleurs cela aura permis de faire voter dans l’urgence et sans en mesurer les conséquences sociales des lois intégrant des solutions technologiques de surveillance de masse supposées protéger les citoyens. Cela sera suivi d’une habituation sociale à voir des militaires patrouiller armés dans les espaces publics.

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  21. La même approche se reproduit dans le cadre de la mise en œuvre de « l’état d’urgence sanitaire », avec une contrainte exacerbée sur les corps, un état d’urgence sanitaire permettant des restrictions de libertés majeures, dont le confinement, devenu in fine, indispensable et scandaleux : indispensable pour réguler le flux de patients au regard d’un déficit de moyens en lits, respirateurs, tensions sur les médicaments comme le curare, etc. ; scandaleux du fait de la négation par les autorités d’une impréparation depuis des années.

    Une impréparation qui s’est cristallisée autour de la problématique des masques et des discours improbables tenus par les autorités à leur sujet, jusqu’à en devenir inaudible. Cet état d’urgence sanitaire, signant une deuxième étape d’un retour en force du Biopouvoir en contraignant ici les corps jusqu’à l’insupportable : tout le monde n’ayant visiblement pas eu le privilège d’expérimenter, ou d’avoir assez d’empathie pour se projeter dans un confinement de deux mois dans une famille nombreuse et un espace restreint !

    C’est ce que j’en déduis à entendre certains s’épancher dans les médias pour donner des leçons de civisme. Il est des conditions de contrainte du corps qui rendent plus aisée la parole moralisatrice quand on n’a pas ce privilège de vivre deux mois en enfer.

    LES CIBLES DU BIOPOUVOIR : LE CYBERESPACE ET LA VIE RÉELLE

    Le biopouvoir dans l’approche qu’en a Michel Foucault est un type de pouvoir qui s’exerce sur la vie : la vie des corps et celle de la population. Le biopouvoir dans sa version étatique – loin de sa version originelle ou il était alors exercé par le Clergé et s’occupait des âmes – a désormais pour vocation de prendre en charge la vie des Hommes, avec d’un côté le corps (pour le discipliner) et d’un côté la population (pour la contrôler). Il est notable que l’arrivée d’Internet l’a défié, infléchissant sa puissance sur un territoire vierge qu’il méconnaissait, la contre-attaque a depuis été engagée mondialement par les pouvoirs en place.

    — Le terrorisme

    Le retour en force du biopouvoir dans le monde s’est d’abord prioritairement focalisé sur le lieu originellement d’émancipation précité : l’internet. Sans oublier les technologies développées sur la voie publique : augmentation exponentielle des caméras de surveillances, etc. L’étape première de ce retour en force du biopouvoir – dans l’acceptation de la définition qui a été évoquée – s’est alors prioritairement attachée à reconquérir un territoire virtuel hors de son contrôle, ou tout du moins, pouvant échapper plus facilement au contrôle social traditionnel (espace physique) que les pouvoirs avaient l’habitude d’exercer.

    Cette reconquête a été marquée par le développement progressif d’une surveillance de masse des usagers légalisée plus ou moins intrusive et d’accès plus ou moins censurés. Une surveillance de masse qui ne dit pas son nom, mais qui est aujourd’hui bien réelle, bien qu’elle puisse, ici et là, demeurer sans résultats probants d’efficience : la surveillance technologique sur la voie publique (cf. une efficacité de la vidéo surveillance auto-proclamée) étant remise en cause par de nombreuses études. Pour ce qui est de celle engagée sur Internet, à l’exemple de la France, elle ne fait l’objet d’aucune évaluation d’efficience (cf. boîtes noires).

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  22. Cette technologisation de la surveillance au service du biopouvoir, n’étant pour autant pas neutre ni sans conséquence comportementale d’un citoyen qui se sait surveiller, fut-il sans danger pour la société puisque… présumé suspect par défaut. Certains se sentiront probablement protégés et rassurés (à leurs risques et péril) sans la moindre preuve scientifique. D’autres seront suspectés indûment puis, se révélant être de faux positifs, ciblés sans motifs. Je vous laisse juge des résultats de cette surveillance généralisée « en aveugle » : ici .

    Si nous prenons l’exemple de de la France, cette reconquête s’est accompagnée de lois telles que la loi Avia, une loi ouvrant la voie à une censure augmentée des plateformes, pouvant conduire à une censure proactive des citoyens, voire à une autocensure de ces derniers. Qui dit excès dans la volonté débridé de maîtrise, peut laisser présupposer des retentissements excessifs et imprévus, peu en rapport avec la liberté d’expression et pouvant rapidement dériver vers le délit d’opinion !

    — Les enseignements du printemps arabe

    Outre le terrorisme, faisant office d’argument d’autorité pour légitimer la mise en place d’une société du contrôle technologique à ce jour particulièrement dysfonctionnelle (les technologies de surveillance de masses on et off line faisant l’objet de nombreux questionnements en terme de fiabilité ) on ne saurait détacher cette volonté assidue de reconquête de territoire « perdu » par les pouvoirs, des enseignements que nombre d’entre eux auront tiré en observant la capacité d’organisation des citoyens lors du printemps arabe. Un printemps arabe ayant matérialisé la dangerosité du virtuel pour le biopouvoir, le virtuel et l’agilité des citoyens à y évoluer et s’organiser mettant en évidence son véritable talon d’Achille.

    — La pandémie Covid

    En France, l’État est resté dans son rôle ! Qui dit « guerre », comme le mot a été énoncé en France par le président de la république, dit propagande : il s’agit de faire face et d’agir comme un seul homme face à l’ennemi ! La propagande est en elle même une doctrine visant à préserver une unité nationale dans l’adversité. Toutefois si le fondement de cette dernière est un mensonge éhonté qui insulte l’intelligence de la population, l’adhésion se fait problématique. La suite peut être alors une montée en puissance de la violence du pouvoir devant la défiance légitime d’un peuple contraint. Asimov ne disait il pas : « La violence est le dernier refuge de l’incompétence »

    Il n’est pas question dans mon propos de faire grief au pouvoir en place d’une impréparation au drame collectif traversé. Cette impréparation fruit de décisions antérieures régulièrement renouvelées datent, ce que n’ont pas manqué de rappeler les observateurs.

    S’ils sont avérés, les manquements dans la gestion de la crise seront analysés, des enquêtes parlementaires menées. Il aurait été toutefois souhaitable pour une démocratie que le gouvernement actuel « en responsabilité » ne se défausse pas, et ne se mette pas en situation de s’engager, comme il a semblé le faire, dans une exploitation outrancière de la peur conjuguée à un transfert de responsabilité ! Le « bourreau » pointant du doigt les victimes (les citoyens) et ce dans une surenchère d’infantilisation, de nouvelles exigences, d’accusation d’incivisme peu convaincante, d’une communication anxiogène, qui aura été relayée à l’envi par certains médias, annonçant le pire, exploitant une normalité épidémiologique pré-déconfinement, sans conséquence dramatique comme une fin du monde annoncée (cf cluster) !

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  23. L’ensemble accompagné de solutions d’apprentis sorciers, à l’instar des applications tracking… Encore une solution technomiraculeuse, qui a été, et demeure évoquée sans que le grand public ne mesure la réalité de ce que cela pourrait impliquer, ni sans que quiconque, ne mesure, ni ne réfléchisse aux conséquences sociologiques ultérieures qui pourraient découler de l’usage de telles solutions : ostracisation, violence, délation… le traçage « anonyme » étant comme le pointe une étude disponible sur le site de risque-tracage.fr (à destination des non spécialistes) un dangereux oxymore.

    LES TECHNOSOLUTIONS MIRACULEUSES : RASSURANTES, IMPROBABLEMENT VIRUCIDE, TOTALEMENT LIBERTICIDES !

    Face aux nouvelles crises, tout problème ayant une solution, il apparaît que dans notre société technofascinée, le recours par les pouvoirs publics à une ou des technosolutions miraculeuses se fait récurrente, avec pour pendant : un advienne que pourra !

    Advienne que pourra n’est pas même en situation d’urgence une option ! À moins de vouloir jouer à la roulette russe avec nos libertés pour voir celles qui s’en sortiront indemnes ! Certes, m’objecteront mes contradicteurs à juste titre reprenant mes propos initiaux, le risque zéro n’existe pas ! De là à jouer à la roulette russe avec sept balles dans un barillet de Mosin-Nagant 1895, il y a un pas !

    « LE FASCISME CE N’EST PAS D’EMPÊCHER DE DIRE, C’EST D’OBLIGER DE DIRE » ROLAND BARTHES

    Le discours sur l’indécence de toute forme de polémique en des moments où l’unité nationale et requise est une ritournelle éculée. Qui impose ici de rappeler les propos de Roland Barthes, cette définition peut se réinventer sous d’autres termes à tout moment, lorsque des libertés publiques sont attaquées avec violence. Elles peuvent l’être à raison, dans une temporalité cadrée, comme une sauvegarde disque dur indispensable, le temps de résoudre le bug.

    Toujours est-il que la réalité s’est soldée par une assignation à résidence de l’ensemble d’un pays. L’enfer est certes pavé de bonnes intentions, mais l’usage outrancier de la peur pour masquer des carences, peut engendrer un biopouvoir excessif. Un pouvoir raisonnable ne peut s’exonérer des conséquences sociologiques de certaines de ses décisions, ni n’endosser aucune responsabilité. Ne se doit-il pas de s’assigner le devoir de rendre la démocratie dans l’état qui lui a été confié.

    Se contenter d’entretenir un climat de peur exacerbé pour conditionner des comportements salvateurs, désigner les bons citoyens, inviter insidieusement à montrer du doigt les mauvais, s’exonérer dans le même temps du moindre débat, est une ligne de fuite dangereuse sur la crête de l’irrationalité et de la déraison. Les effets d’un déconfinement dans de telles conditions pourraient fort bien être alors pavés de délation, de justiciers autoproclamés et de violence…

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  24. Quant à toutes les libertés publiques perdues, le temps pour les perdre est toujours plus rapide que pour les reconquérir, se posera alors la question de la redéfinition de la démocratie. Si le biopouvoir n’a plus de garde-fou, ni ne tolère plus les contradicteurs, alors inutile de feindre de chercher la première victime des fléaux que nous affrontons.

    Les libertés publiques perdues dans des temporalités qui l’imposent ont vocation à être recouvrées au plus tôt et à l’identique. Le peuple français a fait du mieux qu’il pouvait, a pris le relais ! Par delà les plus exposés physiquement, chacun a pris sa part, pour beaucoup d’hommes et de femmes leur part aura été d’être « simplement » confinés dans des conditions humainement effroyables, je ne pense pas que l’on puisse dès lors hiérarchiser l’apport de chacun. Aussi il me semble que ce peuple dans son ensemble, chacun à sa place, mérite applaudissement et respect de ceux et celles à qui ils ont confiés l’honneur de les gouverner !

    « Il n’est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage. » Périclès.

    https://www.contrepoints.org/2020/05/13/371283-la-peur-et-la-mort-pour-faire-accepter-la-surveillance-de-masse

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    1. (...) Asimov ne disait il pas : « La violence est le dernier refuge de l’incompétence » (...)

      Depuis toujours les dirigeants ont mené le Peuple 'à la baguette' sans qu'ils ne soient plus intelligents que lui (aujourd'hui plus de 7 milliards) mais uniquement par les armes, la répréhension et les escroqueries.

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  25. RÉVEILLEZ-VOUS, Donald ! Vos docteurs en faute professionnelle sont les vrais tueurs


    Par David Stockman
    14 mai 2020


    Si vous ne pensez pas que le correctif est disponible, veuillez prendre note des grandes nouvelles du matin. À savoir, que le prétendu ultra-occupé Dr. Fauci a eu le temps hier soir de cingler Sheryl Gay Stolberg, correspondante du «New York Times défaillant», afin de vider un camion-citerne de taille VLCC d'eau froide sur l'urgence de mettre fin Lockdown Nation, maintenant.

    Dans une nanoseconde, bien sûr, Stolberg était sur Twitter et en ligne avec la sévère mise en garde de Fauci aux indigènes agités de Flyover America de se taire et de rester sur place. De cette façon, l'ensemble du MSM a eu amplement le temps de lancer un barrage fiévreux de messages lors de la comparution de Fauci au Sénat sur la façon dont les gouverneurs de l'État rouge sautent le pistolet et mettent la vie et la boiterie en danger dans tout le pays:

    "Le message majeur que je souhaite transmettre demain au comité sénatorial du HLP est le danger d'essayer d'ouvrir le pays prématurément", a écrit Fauci dans l'e-mail, que Stolberg a publié sur Twitter.

    "Si nous sautons les points de contrôle dans les directives pour:" Ouvrir à nouveau l'Amérique ", alors nous risquons le danger de multiples épidémies dans tout le pays. Cela entraînera non seulement des souffrances et des décès inutiles, mais nous mettrait en fait en retrait dans notre quête de retour à la normale », a écrit Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses.

    Pour l'amour, RÉVEILLEZ-VOUS, Donald !

    L'intrigue du docteur fou contre vous (et le peuple américain) est jouée en public par une camarilla de personnes qui veulent être des dirigeants de la santé publique et leurs mégaphones conformes aux médias, qui prétendent contrôler tous ces mouvements et tout ce qui reste en suspens en Amérique.

    Mais pour avoir crié à haute voix, où ce vieil adepte conciliant arrive-t-il avec «des souffrances inutiles et la mort» si les travailleurs, les étudiants, les acheteurs et les consommateurs américains sont libérés de la détention à domicile ?

    Les chiffres catastrophiques de l’emploi de vendredi n’étaient-ils pas un signal d'alarme suffisant ?

    Le graphique ci-dessous montre 70 ans de variation mensuelle de l'emploi total aux États-Unis. Quelle stupidité quelqu'un doit-il être de ne pas reconnaître que Lockdown Nation a fait plonger l'économie américaine dans des eaux si insondables qu'elles n'ont jamais été imaginées auparavant.

    La baisse mensuelle la plus profonde que nous puissions trouver sur sept décennies est la perte de 1,2 million d'emplois au plus bas de la Grande Récession en janvier 2009. Mais ce que les médecins de Donald ont déclenché le mois dernier était 19 fois plus profond à 22,4 millions.

    - voir graphique sur site -

    Et ils ont fait en sorte que cela se produise dans le contexte d'un cycle économique accéléré qui remonte à 130 mois et qui est aux prises avec une dette, un mauvais investissement et des excès spéculatifs comme jamais auparavant.

    Par exemple, les 75 billions de dollars actuels de dette alourdissant l’économie américaine sont en hausse par rapport aux 52 billions de dollars déjà écrasants à la veille de la crise de 2008, et maintenant la facture du boucher arrive à échéance.

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  26. Dette non financière des États-Unis par rapport au PIB

    - voir graphique sur site -

    Source: Guggenheim Investments, Haver Analytics. Données au 31.12.2019.

    Donc, ce que Fauci et la Virus Patrol ont décidé d'arrêter de mourir dans l'eau, c'est une économie très paralysée, au jour le jour, dans laquelle la grande majorité des ménages et des petites entreprises n'ont pas de fonds matériels pour les jours de pluie, pas de réserves de liquidités et pas de bilan. résistance.

    En termes médicaux, l'économie américaine n'a pratiquement pas d'anticorps pour riposter. Infectez-le avec une perte soudaine et massive de revenus et de flux de trésorerie et vous invitez virtuellement une pandémie de commandes annulées, de dettes en souffrance, de loyers manqués, de défauts de crédit et de défauts de paiement qui vont sûrement ravager le corps économique de l'Amérique dans les semaines et les mois à venir.

    Donc, forcément, nous devons demander à nouveau, quoi ?

    Mais au moins lors de l’audience au Sénat d’aujourd’hui, le seul homme à Washington qui a encore la tête vissée à droite, le sénateur Rand Paul, l’a mis dans le visage semi-mis en quarantaine de Fauci.

    En un mot, dit le sénateur intrépide du Kentucky, où est la peste bubonique ?

    «L'histoire de cela quand nous regardons en arrière sera une mauvaise prédiction après une mauvaise prédiction après une mauvaise prédiction…

    Autant que je vous respecte, Dr. Fauci, je ne pense pas que vous soyez la fin, je ne pense pas que vous soyez la seule personne à prendre une décision », a déclaré Paul - qui a ajouté que nous devons «d'observer à l'œil ouvert ce qui s'est passé en Suède, où les enfants continuaient d'aller à l'école».

    «La mortalité par habitant en Suède est en fait inférieure à la France, inférieure à l'Italie, inférieure à l'Espagne, inférieure à la Belgique, inférieure aux Pays-Bas, à peu près la même que la Suisse. Mais au fond, je ne pense pas que qui que ce soit qui se soit passé en Suède soit un résultat inacceptable. Je pense que les gens sont intrigués par cela, et nous devrions l'être. »

    "Je ne pense pas qu’aucun d’entre nous ne soit certain lorsque nous faisons toutes ces modélisations - il y a eu plus de gens qui ont tort de modéliser que de bien. Nous ouvrons beaucoup d'économies aux États-Unis, et j'espère que les gens qui prédisent le destin et la morosité et qui disent `` oh, nous ne pouvons pas faire ça, il va y avoir une poussée '' - admettront quand il n'y en a pas '' t une flambée. "

    Bravo !

    Pourtant, avec quel mensonge mensonger Fauci a-t-il contré la vérité du sénateur Paul ?

    Pourquoi, avec un hareng rouge absolu sur une maladie infantile ultra-rare appelée le syndrome de Kawasaki, qui existe depuis 1968 et qui a été évoquée comme potentiellement présente dans une poignée de cas Covid à New York (où ailleurs ?).

    Dit Fauci,

    Par exemple, en ce moment, des enfants présentant COVID-19 ont en fait un syndrome inflammatoire très étrange, très similaire au syndrome de Kawasaki. Je pense que nous ferions mieux de ne pas être cavaliers en pensant que les enfants ne sont pas à l'abri des effets délétères.

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  27. Oh vraiment ?

    Si votre but est d'effrayer le sh * t du public américain et de répandre l'hystérie comme son Salem, MA vers 1692, vous n'auriez pas pu donner au sénateur Paul une réponse plus chargée.

    Voici donc les faits réels sur Covid et les enfants du propre décompte du corps gonflé du CDC.

    À savoir, il y a 60,9 millions d'enfants de moins de 15 ans en Amérique et, malheureusement, entre le 1er février et le 2 mai, environ 5 880 d'entre eux ont subi une mort prématurée. Pourtant, selon les propres définitions du CDC, seulement 13 de ces décès étaient AVEC Covid-19.

    C'est vrai. Au cours des trois derniers mois de l'hystérie nationale de Covid, les décès AVEC Covid parmi les enfants n'ont représenté que 0,22% de la mortalité infantile et, enfin, 0,00002% de la population de moins de 15 ans.

    Et si vous voulez être expansif et compter tous les «enfants» d'âge scolaire jusqu'à 24 ans en Amérique, il y en a 103,9 millions, ce qui en ferait autrement le 15e plus grand pays de la planète Terre.

    Pourtant, il n'y a eu que 79 décès AVEC Covid jusqu'au 2 mai, ce qui, encore une fois, ne représente que 0,62% de tous les décès de moins de 25 ans et 0,0001% de la population totale.

    De plus, le fait que le Dr Fauci agite le drapeau rouge du syndrome de Kawasaki est scandaleusement inexcusable car il s'agit d'une affection bien reconnue et étudiée, bien que extrêmement rare, chez les enfants de 5 ans et moins, qui, selon l'Organisation nationale pour les troubles rares (NORD), présente presque exactement comme la grippe ou Covid-19 chez les adultes:

    Chez de nombreux enfants touchés, le symptôme initial associé à la maladie de Kawasaki est une fièvre élevée qui monte et descend généralement (fièvre rémittente) et dure environ une à deux semaines sans traitement. Dans de nombreux cas, les enfants affectés peuvent présenter des symptômes et des signes supplémentaires, tels que comme l'irritabilité, la diarrhée, les vomissements, la toux et / ou l'inflammation articulaire (arthrite), la douleur et l'enflure.

    Bien que la cause exacte de la maladie de Kawasaki ne soit pas connue, les preuves indiquent une infection ou une réponse immunitaire inappropriée à l'infection. Cependant, malgré de nombreuses recherches dans ce domaine, aucune cause infectieuse spécifique n'a été identifiée….

    La maladie de Kawasaki affecte le plus souvent les enfants de cinq ans ou moins. Dans des cas extrêmement rares, la maladie de Kawasaki peut survenir à l'adolescence ou à l'âge adulte. Déclarée pour la première fois chez des enfants japonais dans les années 1960, la maladie est maintenant reconnue dans le monde entier et touche des individus de tous les groupes raciaux et ethniques. Cependant, la maladie de Kawasaki semble toucher le plus fréquemment les enfants asiatiques. Les estimations indiquent qu'au moins 3 000 cas de maladie de Kawasaki sont diagnostiqués chaque année aux États-Unis.

    C'est vrai. Il s'agit d'une malheureuse maladie infantile avec 3000 cas annuels, qui a longtemps été sur l'écran radar du NORD, et qui, maintenant, dispose également de nombreux protocoles de traitement efficaces, et n'est presque jamais mortelle.

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  28. Pourtant, le saint Dr. Fauci a jugé nécessaire d'ignorer tout cela et d'éviter l'éviscération succincte de Rand Paul de tout son fiasco de Lockdown Nation en recourant à la démagogie.

    Malheureusement, les médecins complotent contre la liberté et la santé mentale en Amérique a généré une Covid-Hysteria si aiguë, selon la déplorable performance de Fauci aujourd'hui, qu'elle transforme une grande partie de l'Amérique en un troupeau de moutons couchés portant un masque.

    Après tout, quand vous avez un gouverneur qui prononce solennellement sur son quotidien Covid-cast (pratiquement chaque gouverneur Dem en Amérique a une émission de télévision Covid Realty quotidienne), tout comme le gouverneur idiot de l'Illinois, Jay Pritzker, que pas plus de deux personnes peut monter dans un seul bateau, peu importe la taille du bateau et la taille de la famille, alors où est la partie de goudron et de plumes ?

    C’est ce qui aurait dû arriver à Pritzker en un clin d’œil quand il a récemment prolongé le Lockdown brutal de l’Illinois jusqu’à fin juin.

    Voici pourquoi. Au 8 mai, 48% de tous les décès de WITH Covid signalés dans l'Illinois concernaient des foyers de soins et des résidents d'établissements de soins de longue durée. C'est-à-dire les personnes très âgées et fragiles, qui ont le plus souvent des comorbidités potentiellement mortelles du type même sur lequel le coronavirus se jette.

    En effet, dans de nombreux comtés de l'Illinois selon la carte adjacente, 60%, 80% et même 100% des décès ont eu lieu dans des maisons de repos / de retraite.

    - voir carte sur site -

    Alors pourquoi verrouiller tout l'État ? En fait, lorsque vous supprimez les cas de soins de longue durée du total, les statistiques ne pourraient pas être plus déterminantes.

    À savoir, il y a environ 100 000 résidents d'établissements de soins de longue durée dans l'État et il y a eu 1 553 décès avec Covid parmi eux.

    L'IFR (taux de mortalité infectieux) implicite est donc de 1 500 pour 100 000; et juste une autre preuve de pourquoi la guerre contre Covid aurait dû être concentrée sur les maisons de retraite.

    En revanche, il y a eu seulement 1 688 décès AVEC Covid dans l'Illinois en dehors des établissements de soins de longue durée parmi une population non institutionnalisée de 12,570 millions d'habitants.

    Inutile de dire que l'IFR implicite de 13 pour 100 000 ne justifie, en aucune façon, forme ou forme, la commande de pas plus de 2 personnes par bateau sur le lac Michigan, la fermeture de presque toutes les entreprises impliquées dans la congrégation sociale et l'assignation à résidence continue de la plupart des la population de l'État.

    En fait, l'irrationalité totale du verrouillage de Pritzker, qui est similaire à celle toujours imposée dans la plupart des États bleus d'Amérique, est soulignée par la carte ci-dessus, ainsi que par les statistiques de base de la mortalité de l'État.

    L’État tout entier reste verrouillé conformément à l’ordonnance du gouverneur, mais il va de soi qu’en dehors de Chicago et des soi-disant «comtés de cols» qui l’entourent, il n’y a eu pratiquement aucun décès AVEC Covid en dehors des foyers de soins de longue durée.

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  29. De même, le taux de 13 pour 100 000 IFR parmi la population des États en général est une petite erreur d'arrondi par rapport au taux de mortalité annuel normal de l'État de 870 pour 100 000.

    C'est vrai. En réponse à un facteur de mortalité égal à seulement 1,5% des décès normaux, le gouverneur a essentiellement incarcéré l’économie de l’État et jeté la clé.

    Mais c'est sûrement la Démagogie de la Mort devenue détraquée. Après tout, chaque année dans l'État de l'Illinois, il y a plus de 110 000 décès avec des taux de mortalité pour 100 000 comme suit:

    Maladie cardiaque: 203;
    Cancer: 188;
    Accidents: 47;
    Coups: 46;
    Respiratoire inférieur: 45;
    Alzheimer: 32;
    Diabète: 23;
    Maladies rénales: 21;
    Grippe / pneumonie: 20;
    COVID-19: 13

    Voilà. Par tous les aspects de la santé publique, même vus dans un splendide isolement, Lockdown Nation est un exercice d'irrationalité et d'hystérie.

    De plus, ce qui a rendu la calamité économique encore moins tolérable à ce jour, c'est l'éruption fiscale encore plus calamiteuse qui a été déclenchée à Washington, et que nous essaierons plus en détail dans la partie 3.

    Jusqu'à présent, il a contribué à compenser un pourcentage élevé de revenus et de flux de trésorerie perdus dans les secteurs des ménages et des entreprises, respectivement, mais à un prix à long terme qui est effrayant à considérer; et qui ne peuvent être maintenus même quelques mois de plus.

    Qu'il suffise ici de dire que l'oncle Sam prévoit déjà d'émettre 5 billions de dollars de dette au cours de la seule année fiscale en cours, ce qui est une folie de rang.

    Pourtant, les Dems ont déposé ce jour-là un troisième Everything Bailout avec un prix de 3 billions de dollars - en plus des 3 billions de dollars qui ont déjà été déposés dans tous les coins et recoins de Wall Street et de la rue principale.

    Les émissions de trésorerie briseront des records en 2020: une nouvelle émission de trésorerie commercialisable

    - voir graphique sur site -

    Source: Guggenheim Investments, Haver Analytics, Trésor américain. Données f

    Bien sûr, tout cela est rendu possible par les presses à chaud rouges de la Fed.

    Mais, vraiment, pourquoi dans le monde pense-t-on que vous pouvez passer d'un bilan de 3,76 billions de dollars le 4 septembre dernier à 4,24 billions de dollars le 4 mars, puis à 6,72 billions de dollars au cours de la semaine terminée le 6 mai, et faites-le avec impunité ?

    Oui, ces imbéciles ont imprimé 3 000 milliards de dollars de crédit fiduciaire au cours des huit derniers mois !

    Inutile de dire qu'il y a maintenant une bulle spéculative comme jamais auparavant, et quand elle explose, les retombées seront horribles à voir.

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  30. - voir graphique sur site -

    Certes, la folie abjecte de la Fed a gardé les robots-machines et les day-traders dans le business de l'achat de trempettes, alors même que l'économie américaine glisse dans une véritable conflagration qui pourrait couper plus de 30% du PIB à un taux annuel au cours du trimestre en cours.

    Nous avons donc le S&P 500 en hausse de près de 33% par rapport au creux du 19 mars, tout en marchant au rythme de l'explosion du chômage et de l'effondrement économique la plus importante et la plus rapide de l'histoire enregistrée au cours des deux derniers mois.

    Pendant les heures de marché d'aujourd'hui, les moyennes ont finalement été reconduites et se sont presque effondrées dans les dernières minutes. Peut-être même que les robots-machines en ont assez.

    - voir graphique sur site -

    Oh, oui, quand et alors que Lockdown Nation sera finalement levée, ce qui nous attend est la prochaine phase quasi orwellienne de cette folie - tests massifs, recherche de contacts, passeports d'immunité et mise en quarantaine forcée des personnes prétendument infectées.

    Nous pouvons sûrement espérer que les avocats de la nature humaine et de la liberté de gauche et de droite finiront par obtenir des tribunaux un kabash constitutionnel sur les patrouilles antivirus. Mais en attendant, le fondement économique même sur lequel reposent la liberté et l'autonomie américaines est en péril comme jamais auparavant.

    Comme nous l'avons dit au début, WAKE-UP, Donald !

    Vos médecins malfaiteurs complotent votre et notre disparition.

    https://www.lewrockwell.com/2020/05/david-stockman/wake-up-donald-your-malpracticing-doctors-are-the-real-killers/

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