Devons-nous confier l’avenir de notre survie industrielle aux technocrates et affairistes français et européens, dont l’échec est patent sur la politique de santé comme sur celle de l’énergie ?
5 MAI 2020
Par Michel Gay.
Toutes ces informations contradictoires et divergentes sur le Covid-19 finissent par rendre pour le moins perplexe.
Ce qui avait été dit la veille n’est plus vrai le lendemain. Le mot scientifique est utilisé à toutes les sauces. Plus rien de sérieux ne semble soutenir les directives qui servent la dernière recette à avaler. Cette soupe sent l’enfumage qui cache le plus souvent de l’ignorance ou de puissants intérêts.
Les informations constructives manquent cruellement pour balayer la confusion qui caractérise la gestion de cette pandémie dramatique où les journaux et des émissions anxiogènes inondent les personnes confinées pour les rendre « responsables » du chaos social qui se prépare.
Les acteurs de la désinformation s’emparent de tout ce qui peut rendre chacun plus vulnérable, plus dépendant, et plus soumis aux prélèvements financiers qui se profilent.
Ce qui ressemblait à un plan de sauvetage louable contre un virus vire au cauchemar de la désinformation.
UNE AUBAINE POUR LES UNS…
Ce virus est une aubaine pour les loups. Il fait avancer à pas de géant des projets qui avaient peu de chance d’aboutir sans cela. Semer la peur pour ensuite vendre ce qui peut rassurer est un processus actuellement « en marche ».
Le dernier documentaire de Michael Moore : Planet of the Humans (censuré par les grands médias français…) a déjà été regardé plus de trois millions de fois sur YouTube, provoquant la colère des activistes de la « transition énergétique par les énergies renouvelables » qui ont appelé à son interdiction !
Planète des humains ou Comment le capitalisme a absorbé l'écologie (Jeff Gibbs, Michael Moore)
https://www.youtube.com/watch?time_continue=2&v=ycN3mVW1fow&feature=emb_logo
En effet, ce film prend position contre les éoliennes et les panneaux solaires en rappelant leurs limites, leur intermittence et leur dépendance… aux énergies fossiles pour leur fabrication et leur fonctionnement. Il s’en prend aussi à des personnages comme Al Gore qui manipule les échelles de temps et de mesures pour menacer le monde de noyade à brève échéance…
Ce confinement entraînant des millions de travailleurs dans le marasme, la population a fait deux constats : la faillite de son administration bureaucratico-technocratique, et la nécessité de maintenir une industrie efficace pour éviter l’effondrement de son niveau de vie et de son développement.
Or, fin avril 2020, le gouvernement vient de sortir dans la précipitation les décrets d’application du Programme de Planification de l’Énergie (PPE) et de la Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC) totalement déconnectés du monde réel en ignorant totalement la pandémie et ses conséquences économiques, sociales, politiques et budgétaires.
Quelle belle illustration de la rupture complète entre une technocratie hors sol continuant à mouliner en télétravail et un pays en proie à l’angoisse du lendemain.
Les visées de ces textes portant sur des objectifs en 2035 pour l’un, et en 2050 pour l’autre, n’ont aucune chance d’aboutir puisqu’ils oublient les nécessités des transports, du chauffage des bâtiments et de l’industrie, soit les trois-quarts de l’énergie consommée en France.
De plus, les mesures proposées n’auront aucune influence sur le climat et n’ont donc rien d’écologiques.
Elles sont au contraire toxiques pour la population en faisant croire à des balivernes.
Cette paperasse issue d’une structure bureaucratique et financière vise simplement à satisfaire une idéologie anti-nucléaire. Elle entrera d’autant plus vite dans les poubelles de l’histoire que ce « programme » et cette « stratégie » n’ont aucune chance d’être mis en application.
En effet, c’est un « en même temps » absurde, une provocation à l’égard d’un peuple dont le niveau de vie repose sur un tissu industriel national productif.
Or, ce dernier, déjà fragilisé par des années d’abandon, aura besoin d’une énergie abondante et bon marché pour soutenir trois millions de salariés avec un savoir-faire à conserver. Les patrons qui n’ont pas fermé leurs usines s’interrogent désormais sur leurs capacités à conserver l’intégralité de leur personnel.
… UN MALHEUR POUR LES AUTRES
Si la philosophie générale à venir consiste à faire croire que les entreprises maintiennent en esclavage un personnel rançonné, il n’y a pas de solution pour un rebond.
En revanche, un patriotisme d’entreprise permettrait de redémarrer dans les prochains mois.
L’attaque frontale contre l’organisation de la production d’électricité en France (en 2010 avec la loi NOME), puis celle (en 2011) contre les hydrocarbures ont désarticulé tout le secteur énergétique.
Depuis ces lois insensées, une fuite en avant sacralisant l’éolien et le solaire, et diabolisant les énergies fossiles jusque dans les transports, a affaibli la France.
Ces dix années ont sans doute satisfait des antinucléaires apôtres de la décroissance, mais elles ont fait disparaître un élément essentiel de la compétitivité de la France : l’énergie électrique abondante et bon marché, tandis que « en même temps » déclinait notre système de santé, « le meilleur du monde ».
L’augmentation des prix de l’énergie de 25 % ces trois dernières n’est que le début de l’appauvrissement.
La PPE nouvellement décrétée fin avril 2020 par le gouvernement promet 25 à 50 % d’augmentation supplémentaire d’ici 2035 en peuplant la France d’immenses poteaux « naturels » et « écologiques » appelés éoliennes. Cette orientation signifie que beaucoup de salariés vont rester au chômage jusqu’à… leur retraite, payées par qui et avec quoi ?
Les princes de l’absurde qui nous gouvernent veulent dorénavant relocaliser des industries en France avec une industrie éolienne, et surtout solaire, aujourd’hui délocalisée en Asie.
Encore plus grave : la Commission européenne n’a toujours pas pris la mesure de la situation en Europe en « oubliant » de préconiser une énergie électrique abondante et bon marché.
Sa présidente, l’Allemande Ursula Von Der Leyden, préconise même 100 % d’énergies renouvelables en 2050 dans son « Green Deal » (élaboré par on ne sait qui). Selon son compte Twitter, ce « pacte vert » restera sa « boussole pour préparer nos économies et sociétés à faire face au changement climatique, pour l’avenir de notre planète et de nos enfants ».
Devons-nous confier l’avenir de notre survie industrielle aux technocrates et affairistes français et européens dont l’échec est patent sur la politique de santé comme sur celle de l’énergie ?
LES AFFAIRISTES FLAIRENT LES BONNES AFFAIRES
Selon Jean-Laurent Bonnafé, administrateur directeur général de la banque d’affaires BNP Paribas et président de l’association des Entreprises pour l’Environnement, il faudrait mettre « l’environnement au cœur de la reprise économique » pour en faire un accélérateur de la transition écologique. Sa déclaration dans le journal Le Monde est soutenue par plus de 90 dirigeants d’entreprises craignant de perdre leurs investissements juteux (parce que subventionnés par les contribuables) et hasardeux (parce qu’inefficaces pour la production de richesses) dans les entreprises « vertes ».
« Nous gardons nos ambitions collectives en matière de transition écologique, et réaffirmons les engagements pris depuis plusieurs années, la continuité de cet effort est une condition de sa réussite. Pour cela, une large part des moyens financiers qui seront prochainement mobilisés pour la relance économique aurait tout intérêt à l’être dans les directions qui avaient été précédemment identifiées pour accompagner la transition écologique, avec un souci encore plus affirmé de la justice sociale ».
La planche à billets pour fabriquer des euros et le recours à l’endettement déjà excessif de la France sont des leurres pour faire croire un certain temps que les milliards d’euros… tombent du ciel !
La priorité est d’améliorer la compétitivité du secteur industriel grâce à un desserrement des contraintes règlementaires et en facilitant la production d’une énergie abondante et bon marché, donc nucléaire…
Et c’est tout le contraire de ce qui a été préparé jusqu’à présent dans cette PPE et cette SNBC qu’il faut désormais jeter d’urgence aux orties.
Escobar: Préparez-vous pour le prochain changeur de jeu - Le yuan numérique soutenu par l'or
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 05/06/2020 - 00:05
Écrit par Pepe Escobar via The Strategic Culture Foundation,
Un nouveau changement radical de paradigme est en cours. L'économie américaine pourrait diminuer jusqu'à 40% au premier semestre 2020. La Chine, déjà la plus grande économie mondiale en PPA depuis quelques années, pourrait bientôt devenir la plus grande économie mondiale, même en termes de taux de change.
Le monde post-Planet Lockdown - encore un mirage flou - pourrait bien avoir besoin d'une devise post-Planet Lockdown. Et c’est là qu’un candidat sérieux entre en scène: le yuan numérique fiat.
Le mois dernier, la Banque populaire de Chine (PBOC) a confirmé qu'un groupe de grandes banques avait entamé des essais de paiement électronique dans quatre régions chinoises différentes en utilisant le nouveau yuan numérique. Pourtant, il n'y a pas encore de calendrier pour le lancement officiel de ce qu'on appelle le paiement électronique de la monnaie numérique (DCEP).
L'homme avec le plan est le gouverneur de PBOC Yi Gang. Il a confirmé qu’outre les essais à Suzhou, Xiong’an, Chengdu et Shenzhen, le PBOC testait également des scénarios hypothétiques pour les Jeux olympiques d’hiver de 2022.
Alors que le DCEP, selon Yi, "a fait de très bons progrès", il insiste sur le fait que la PBOC sera "prudente en termes de contrôle des risques, en particulier pour étudier la lutte contre le blanchiment d'argent et" connaître votre client "à intégrer dans la conception et le système. de DCEP. "
Le DCEP devrait être interprété comme la feuille de route pour la Chine menant à un éventuel remplacement encore plus révolutionnaire du dollar américain comme monnaie de réserve mondiale. La Chine est déjà en avance dans le concours de la monnaie numérique: plus tôt le DCEP est lancé, mieux convaincre le monde, en particulier les pays du Sud, de suivre.
La PBOC développe le système avec quatre grandes banques publiques ainsi que les géants du paiement Tencent et Ant Financial.
Une application mobile développée par la Banque agricole de Chine (ABC) circule déjà sur WeChat. Il s'agit en fait d'une interface liée à DCEP. De plus, 19 restaurants et établissements de vente au détail, dont Starbucks, McDonald's et Subway, font partie des essais pilotes.
La Chine progresse rapidement sur l'ensemble du spectre numérique. Un réseau de services Blockchain (BSN) a été lancé non seulement à des fins commerciales nationales, mais aussi mondiales. Un grand comité supervise BSN, comprenant des cadres de la PBOC, de Baidu et de Tencent, selon le ministère de l'Industrie et des Technologies de l'information (MIIT).
Soutenu par l'or
Alors, que signifie tout cela ?
Des sources bancaires bien connectées à Hong Kong m'ont dit que Pékin n'était pas intéressé à ce que le yuan remplace le dollar américain - à tout l'intérêt à travers le Sud global de le contourner, surtout maintenant que le pétrodollar est dans le coma.
La position officielle de Pékin est que le dollar américain devrait être remplacé par un panier de devises avec droits de tirage spéciaux (DTS) approuvé par le FMI (dollar, euro, yuan, yen). Cela éliminerait le lourd fardeau du yuan en tant que seule monnaie de réserve.
RépondreSupprimerMais ce n'est peut-être qu'une tactique de diversion dans un environnement de guerre de l'information tous azimuts. Un panier de devises sous le FMI implique toujours le contrôle américain - pas exactement ce que la Chine veut.
Le gros du problème est qu'un yuan souverain numérique peut être soutenu par de l'or. Ce n'est pas encore confirmé. L'or pourrait servir de sauvegarde directe; pour soutenir les obligations; ou tout simplement comme garantie. Ce qui est certain, c'est qu'une fois que Pékin annoncera une monnaie numérique adossée à l'or, ce sera comme si le dollar américain était frappé par la foudre.
Dans ce nouveau cadre, les pays n'auront pas besoin d'exporter plus vers la Chine qu'ils n'en importent, de sorte qu'ils ont suffisamment de yuans pour faire du commerce. Et Pékin n'aura pas à continuer d'imprimer le yuan par voie électronique - et artificiellement, comme dans le cas du dollar américain - pour répondre aux demandes commerciales.
Le yuan numérique sera efficacement soutenu par la quantité massive de produits et services Made in China - et non par un empire transocéanique de 800 bases. Et la valeur du yuan numérique sera déterminée par le marché - comme cela se produit avec le bitcoin.
Tout ce processus a pris des années, faisant partie de discussions sérieuses déjà entamées à la fin des années 2000 lors des réunions au sommet des BRICS, en particulier par la Russie et la Chine - le partenariat stratégique de base au sein des BRICS.
Considérant plusieurs stratégies pour contourner progressivement le dollar américain, à commencer par le commerce bilatéral dans leur propre monnaie, la Russie et la Chine, par exemple, ont mis en place il y a trois ans un Fonds de coopération russo-chian RMB.
La stratégie de Pékin est soigneusement calibrée, comme jouer à long terme. En plus de stocker méthodiquement de l'or en quantité massive (tout comme la Russie) depuis sept ans maintenant, Pékin fait campagne pour une utilisation plus large des DTS tout en veillant à ne pas positionner le yuan comme un concurrent stratégique.
Mais maintenant, l'environnement post-Planet Lockdown s'annonce idéal pour que Pékin fasse un pas. Même avant le début de la crise de Covid-19, le sentiment prédominant parmi les dirigeants était que la Chine était sous une attaque à large spectre par le gouvernement américain. La guerre hybride atteint déjà un paroxysme implique que les relations bilatérales ne feront qu'empirer, pas s'améliorer.
Donc, quand nous avons la Chine comme la plus grande économie du monde en termes de PPA et de taux de change; la principale économie en pleine croissance, à l'exception du premier semestre de 2020; productif, innovant, efficace et en passe d'atteindre un niveau technologique supérieur avec le programme Made in China 2025; et capables de gagner la «guerre du peuple» contre Covid-19 en un temps record, tous les éléments nécessaires semblent être en place.
Mais ensuite, il y a le soft power. Pékin doit avoir le Sud global de son côté. Le gouvernement américain le sait très bien; pas étonnant que l'hystérie actuelle consiste à diaboliser la Chine comme «coupable» pour tous les chefs d'accusation et de mensonge à propos de Covid-19.
Une «arrivée entravée»
RépondreSupprimerUn avantage clé d'un yuan numérique souverain est que Pékin n'a pas besoin de faire flotter un yuan papier - qui est d'ailleurs mis de côté dans toute la Chine elle-même, car pratiquement tout le monde passe au paiement électronique.
Le yuan numérique, utilisant la technologie de la chaîne de blocs, flottera automatiquement - contournant ainsi le casino financiarisé mondial contrôlé par les États-Unis.
Le montant de la monnaie numérique souveraine est fixe. Cela élimine en soi un fléau: l'assouplissement quantitatif (QE), comme dans l'argent des hélicoptères. Et cela laisse la monnaie numérique souveraine comme moyen privilégié pour le commerce, avec des transferts de devises sans entrave par la géographie et, la cerise sur le gâteau, sans que les banques facturent des frais scandaleux en tant qu'intermédiaires.
Bien sûr, il y aura un refoulement. Comme dans la diabolisation continue de la Chine néo-orwellienne pour s'éloigner de tout le but du bitcoin et des crypto-monnaies - qui est de se libérer d'une structure centralisée via une propriété décentralisée. Il y aura des hurlements d'horreur à la PBOC potentiellement capable de saisir les fonds numériques de quiconque ou d'éteindre un portefeuille si le propriétaire déplaît au PCC.
La Chine y est, mais les États-Unis, le Royaume-Uni, la Russie et l'Inde sont également en passe de lancer leurs propres crypto-monnaies. Pour des raisons évidentes, la Banque des règlements internationaux (BRI), la Banque centrale des banques centrales, est très consciente que l'avenir est maintenant. Leur recherche auprès de plus de 50 banques centrales est sans équivoque: nous sommes confrontés à une «arrivée entravée». Mais qui remportera le plus gros prix ?
https://www.zerohedge.com/geopolitical/escobar-get-ready-next-game-changer-gold-backed-digital-yuan
Macron avait été alerté des dangers du Covid-19 dès décembre, affirme Le Canard Enchaîné
RépondreSupprimer11:32 06.05.2020
Selon Le Canard Enchaîné, Emmanuel Macron était alerté des dangers du coronavirus dès le mois de décembre, soit plusieurs semaines avant l’arrivée de l’épidémie en Europe.
L’ambassadeur de France à Pékin, Laurent Bili, a alerté le Quai d’Orsay et l’Élysée en décembre sur les dangers de cet alors nouveau virus signalé à Wuhan, affirme Le Canard Enchaîné dans ses colonnes.
Mais, comme le relate le journal satirique, Jean-Yves Le Drian et Emmanuel Macron n’en ont tenu aucun compte. En outre, le ministre des Affaires étrangères n’a organisé le rapatriement des ressortissants français que fin janvier.
«Quand sont parvenues à Paris les informations relatives à l’apparition d’un nouveau virus, il était encore possible, pour un Président conscient de ses responsabilités, de constituer un bon stock de masques, de tests et de respirateurs. Mais Macron n’a pas trouvé le temps d’y penser », souligne le média.
Un nouveau «patient zéro» français
Yves Cohen, chef du service réanimation des hôpitaux Avicenne à Bobigny et Jean-Verdier à Bondy (Seine-Saint-Denis), a affirmé le 3 mai sur le plateau de BFM TV qu’un patient avait été contaminé par le coronavirus dès le 27 décembre 2019, soit environ un mois avant les trois premiers cas recensés officiellement par la France.
Yves Cohen a également précisé à BFM TV que l’homme avait été malade 15 jours et avait contaminé ses deux enfants, mais pas sa femme.
Cette nouvelle information a chamboulé la chronologie du début de l’épidémie de Covid-19 dans l’Hexagone. Les trois premiers patients testés positifs en France l’avaient été le 24 janvier.
https://fr.sputniknews.com/france/202005061043726755-macron-avait-ete-alerte-des-dangers-du-covid-19-des-decembre-affirme-le-canard-enchaine/
l''ADM' Corona est une FAUSSE alerte et un traquenard proposé par les 'autorités'. La gripette 'Corona' 'ne' fait que la moitié d'une grippe saisonnière mais porte à influencer le public d'une météorite qui s'écrase sur Terre (quand elle arrivera).
SupprimerLes chiffres avancés englobent autant les décès d'accidents de la route ou chez soi que les porteurs de cancer ou de diabète. Il y a environ 500 000 morts par an de décès de vieillesse, maladies ou d'accidents.
Mais, danger le plus nouveau (comparabilité avec une grippe saisonnière) ce dernier virus touche cette fois tous les pays ! Çà alors ! Comment se fait-ce ??! Serait-il apporté par drones ?
Un frelon géant s'en prend à une souris et la tue en moins d’une minute - vidéo choc
RépondreSupprimer13:29 06.05.2020
Cette rencontre avec un frelon Vespa mandarinia est devenue fatale pour une souris. La lutte du rongeur avec l’insecte, qui tue près de 50 personnes par an au Japon, a été filmée par un témoin.
Un frelon géant Vespa mandarinia a été filmé lors de sa lutte contre une souris trois fois plus grande que lui.
Une vidéo, publiée pour la première fois en 2018 et qui a refait surface récemment, montre le combat.
- voir sur site -
Sur la séquence, le frelon asiatique tue le rongeur en moins d’une minute.
Selon le New York Post, la vidéo est réapparue alors que les Américains ont été avertis d'une éventuelle invasion de cette espèce, la plus grande au monde, en particulier dans la région de New York.
Près de 50 victimes par an
D‘après le National Geographic, la longueur des frelons Vespa mandarinia dépasse les cinq centimètres. Ils produisent un venin neurotoxique qui peut être dangereux même pour les humains. Ainsi, ces insectes tuent chaque année de 30 à 50 personnes au Japon grâce à leur puissant dard.
https://fr.sputniknews.com/societe/202005061043727349-un-frelon-geant-sen-prend-a-une-souris-et-la-tue-en-moins-dune-minute---video-choc/
Macron veut prolonger jusqu'à août 2021 les droits des intermittents du spectacle à l'assurance-chômage
RépondreSupprimer13:51 06.05.2020
Emmanuel Macron a annoncé ce mercredi 6 mai son intention de prolonger de 12 mois, jusqu'à août 2021, les droits des intermittents du spectacle à l'assurance-chômage, lourdement touchés par les conséquences financières de l'épidémie de Covid-19 en France.
S’exprimant après une réunion avec des artistes de divers secteurs, le Président français a annoncé ce mercredi 6 mai une «année blanche» pour les intermittents.
«Je veux qu'on s'engage à ce que les artistes et techniciens intermittents soient prolongés d'une année au-delà des six mois où leur activité aura été impossible ou très dégradée, c'est-à-dire jusqu'à fin août 2021», a-t-il déclaré.
Détails à suivre
https://fr.sputniknews.com/france/202005061043727340-macron-veut-prolonger-jusqua-aout-2021-les-droits-des-intermittents-du-spectacle-a-assurance-chomage/
(...) prolonger de 12 mois, jusqu'à août 2021 (...)
SupprimerBIGRE ! Qu'est-ce-à-dire ??!!
N'auront-elles ou ils plus la possibilité de s'exprimer en public ? (Et leur clips sur YT rétrogradés à la 151 000 places ?).
Comme pour le célèbre '9-11' aux States, les journalistes ont dû garder l'antenne 1/2 heure pour attendre le deuxième avion qui arrive puis, toujours à l'antenne le 3ème. Or, ce putain de '3ème' n'est pas arrivé !! Cà alors ! Et, - la tour n°7 programmée à la destruction - s'est effondrée. Ooops ! Çà alors !
Le lien CoronaBenLaden ? Le trou minuscule (3 m de côtés) où se serait enfilé un Boeing de 60 m d'envergure dans le Pentagone !
Vous saisissez l'image ?
Le rêve américain … une illusion
RépondreSupprimerle 6 mai 2020
La démocratie américaine veut imposer au monde entier sa conception de l’organisation politique … Il y a beaucoup à redire, c’est presque grotesque.
Parmi les nations dites occidentales, les Etats-Unis se distinguent en effet par leurs nombreux records :
La plus grande inégalité de revenu …
Le plus important taux de pauvreté …
Le plus grand nombre d’enfant pauvres …
Le pire style de vie pour les enfants …
La plus faible mobilité sociale …
Le plus de gens sans protection sociale …
Le plus haut taux de mortalité infantile …
Le plus grand nombre d’obèses …
Le plus important usage d’anti-dépresseurs …
La plus faible espérance de vie à la naissance …
Les plus fortes émissions de carbone …
La pire inégalité des genres …
Les plus importantes dépenses militaires …
Le plus de ventes d’armes …
La plus grande population carcérale …
Le plus grand nombre de meurtres …
Let’s make America Great Again ? Ce pays est foutu !
Quand Emmanuel Todd a écrit son essai intitulé « Après l’empire, essai sur la décomposition du système américain » en 2002 il ne pouvait pas si bien le décrire. Depuis la fin de la seconde guerre mondiale les USA ont construit leur hégémonie de façade sur la suprématie du pétro-dollar, un concept confondant le prix du pétrole et la valeur du dollar, monnaie considérée comme référence sur les marchés financiers mondiaux à la suite des accords de Bretton Woods imposés au monde occidental dans son ensemble par le vainqueur auto-proclamé de la seconde guerre mondiale. Cet état de fait accepté avec une certaine réticence par de nombreux pays européens alors confrontés à la situation de la « guerre froide » fut finalement entériné que ce soit en Europe mais aussi au Japon, en Corée, en Thaïlande ou encore en Indonésie et en Afrique du Sud sous la menace à peine dissimulée de la Maison-Blanche et ne parlons même pas des pays européens qui furent mis sous tutelle dès la fin du conflit mondial par les USA à l’ouest et par l’URSS à l’est. Il s’agissait des tractations ignominieuses entre Roosevelt et Staline, ceux qui ont la mémoire un peu moins courte que la moyenne s’en souviennent. Bref, les objectifs impérialistes du « Deep State » américain furent confortés par des coups tordus à répétition, depuis Cuba jusqu’au Golfe du Tonkin, les armes de destruction massive irakiennes, les gaz de Assad, les crimes de Kadhafi et maintenant le « virus chinois ». L’impérialisme américain, alimenté par le messianisme des Evangélistes, n’est qu’une caisse de résonance creuse qui a appauvri tout un peuple et en fin analyste de la démographie Emmanuel Todd l’a clairement montré dans son essai prémonitoire en se basant sur l’augmentation de la mortalité infantile et la baisse de l’espérance de vie aux Etats-Unis. On y est ! La plus importante conséquence de cette crise sanitaire « coronavirale » sera la chute de l’hégémonie américaine … et je le souhaite, faisant fi de toutes les accusations d’anti-américanisme primaire que certains des lecteurs de mon blog résolument contrarien m’affligent. J’ai au moins le courage de mes opinions (que je ne partage qu’avec moi-même comme avait coutume de le répéter Pierre Desproges). Je ne plaisante pas.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/05/06/le-reve-americain-une-illusion/
SupprimerDisons qu'avec la crypto-monnaie chinoise adossée à l'or... on y verra plus clair.
RépondreSupprimerL'INSTITUT MONTAIGNE PROPOSE DE SUPPRIMER DES JOURS FÉRIÉS
par PAOLO GAROSCIO
06/05/2020
Le FMI prévoit une récession mondiale de 3% en 2020.
La crise économique est là et elle est bien partie pour faire de l’année 2020 une année noire avec une France en pleine récession. L’Institut Montaigne, think-tank libéral, a donc publié, le 6 mai 2020, une note avec des propositions afin de faire repartir l’économie. Pas sûr que les Français soient forcément d’accord puisque le think-tank s’attaque… aux vacances. Mais pas seulement…
Le jeudi de l’Ascension ? On supprime… tout comme la première semaine de vacances de la Toussaint
C’est sans doute la mesure qui va le plus être critiquée, alors que les Français ont déjà perdu le lundi de Pentecôte comme jour férié, devenu « journée de solidarité » : l’institut Montaigne propose de supprimer le « jeudi de l’Ascension » qui donne lieu régulièrement à quelques ponts puisqu’il suffit de poser le vendredi pour avoir un week-end de 4 jours.
Si la mesure précédente serait destinée à perdurer dans le temps, l’institut Montaigne propose que pour 2020 la première semaine de vacances de la Toussaint soit également supprimée. Que pour l’année 2020, toutefois, afin que les élèves puissent rattraper une partie du retard accumulé durant le confinement… et que les parents puissent aller au travail.
Le temps de travail ? Il faut le reformer
Sans annoncer une durée précise de style « 39 heures hebdomadaires », l’institut Montaigne propose que le gouvernement revoie les règles du temps de travail. Par exemple « déroger au temps de repos minimum quotidien de 11 heures minimum par jour dans le cadre d’un accord sur le droit à la déconnexion. » Mais également « donner la possibilité à l’employeur, à titre temporaire (par exemple jusqu’en 2022), d’imposer le rachat de jours de RTT pour les salariés au forfait sans majorations. » Plus de RTT, en somme, pendant quelques années.
Et pour les formations, afin que cela ne fasse pas perdre d’argent à l’entreprise, l’institut Montaigne propose qu’elles puissent être « effectuées en dehors du temps de travail du salarié avec l’accord de celui-ci […] dès lors que la formation en question n’est pas obligatoire (i.e. ne conditionne pas l’exercice de l’emploi considéré) et qu’elle peut être effectuée à distance par le salarié ». Cela signifierait que pour se former, l’employé devra prendre sur son temps personnel, sans être rémunéré.
Le principe de ces mesures est donc simple : les Français vont devoir travailler plus, sans forcément gagner plus, afin de relancer l’économie.
http://www.economiematin.fr/news-travail-relance-economique-jours-feries-vacances-rtt-institut-montaigne-liberal
SupprimerJulie Ferrier gare à tes spectacles !
RépondreSupprimerLE CONFINEMENT REDÉFINIT LES STANDARDS DE L'AMOUR
par QUITTERIE DESJOBERT
06/05/2020
4% des Français pensent rompre après le confinement
Le confinement impacte la vie quotidienne mais pas seulement, il a redéfini les standards de l’amour pour beaucoup de Français.
Une baisse de l’activité sexuelle
Alors que beaucoup pensaient que le confinement engendrerait une pénurie de protections sexuelles - dont les ventes ont bondi au mois de mars avec une hausse de 22% - la situation a aujourd’hui bien changé. Les Français font de moins en moins l’amour. Un sondage de l’Ifop commandé par la plateforme de Santé Charles.co, montre que 44% des Français n'ont pas eu de rapports sexuels au cours du dernier mois, contre 26% avant le confinement.
Une situation qui touche logiquement les célibataires mais également certains couples confinés sous le même toit. Une impossibilité presque complète de faire de nouvelles rencontres, un ras-le-bol de vivre en permanence avec la même personne mais aussi une hausse des ventes de tests de grossesse + 32% au cours du mois d’avril, qui peuvent expliquer cette baisse d'activité sexuelle.
L’épreuve du feu pour certains couples
Bien que 60% des couples considèrent que le confinement n’a pas d’impact sur leur relation, il n’en va pas de même pour tout le monde. Qu’ils soient confinés ensemble ou séparément, certains couples ne survivront pas au confinement.
L’Ifop dénombre 11% des Français souhaitent s’éloigner de leur partenaire après le confinement et 4% penchent pour une rupture définitive. Une situation minoritaire qui toucherait en premier lieu les jeunes couples encore fragiles. Que les romantiques se consolent car 88% des personnes en couple choisiraient le même partenaire de confinement si cela était à refaire.
Le commerce de l'amour fortement touché
Pour certains français, la sexualité n’est pas forcément une histoire de couple. Avec le confinement la prostitution tourne au ralenti. En 2008 une étude montrait que 18% des hommes avaient eu recours au moins une fois dans sa vie au service d’une personne prostituée. Pour les clients réguliers de ces services, comme pour les personnes qui les proposent le confinement a bouleversé la donne.
Si pour les clients il y a parfois un manque affectif et sexuel, pour les personnes qui se prostituent c’est un véritable manque financier qui se fait ressentir. En France, on estime à 37 000 le nombre de prostituées et pour une majorité d’entre elles la pandémie a créé une véritable situation de précarité.
http://www.economiematin.fr/news-confinement-amour-couple-sexualite-rupture-prostitution
En visite dans une usine de masques, Trump n’en porte pas – vidéo
RépondreSupprimer13:42 06.05.2020
Une vidéo montrant Donald Trump ne porter aucun masque lors de sa visite de l’usine Honeywell, qui fabrique justement des masques, a été relayée par Reuters. Le chef d’État a ainsi enfreint les consignes prescrivant le port de moyens de protection dans les locaux.
Au cours de son déplacement dans une usine de fabrication de masques FFP2 située dans l’Arizona, le Président américain n’en portait aucun malgré les consignes de sécurité, relate Reuters.
Sur les images relayées sur les réseaux sociaux, il est possible de voir Donald Trump ainsi que son entourage porter uniquement des lunettes de protection. Et ce même si les employés de l’usine Honeywell en sont tous munis et qu’un panneau indique: «Attention: masque obligatoire dans cette zone. Merci!».
Le PDG de l’usine, Darius Adamczyk, le chef de cabinet de la Maison-Blanche, Mark Meadows, et d’autres fonctionnaires ne portaient pas non plus de masques.
Non-respect des conseils gouvernementaux
Donald Trump a toujours refusé d’en porter en public, ce qui ne correspond pas aux consignes prescrites par le gouvernement américain encourageant les citoyens à se protéger même en cas d’absence de symptômes du Covid-19. Contactée par Reuters sur la question, la Maison-Blanche n’a pas encore répondu.
Les États-Unis restent le pays le plus touché par le coronavirus. L’université Johns-Hopkins a dénombré plus de 1,2 million de cas et plus de 71.000 décès.
https://fr.sputniknews.com/international/202005061043727088-en-visite-dans-une-usine-de-masques-trump-nen-porte-pas--video/
SupprimerIl portait seulement des lunettes fermées contre l'attaque des yeux. Seuls les yeux ne peuvent se défendre contre les attaques de virus cause à l'exceptionnalité du manque de globules blancs dans les yeux.
Un symbole de Vichy surgit «par erreur» dans une infographie de la préfecture de police de Paris - image
RépondreSupprimer12:48 06.05.2020
La préfecture de police de Paris a intégré dans une infographie publiée sur Twitter un symbole du régime de Vichy, soit une francisque pétainiste. Le tweet a par la suite été supprimé, les autorités ayant reconnu «une erreur»
.
Dans un tweet publié mardi 5 mai, la préfecture de police de Paris a annoncé la tenue d’une réunion des maires d’arrondissement portant sur la levée du confinement. Le message était accompagné d’une infographie montrant une silhouette de préfet. Mais sur sa casquette se trouvait un symbole du régime de Vichy.
Voici une illustration:
Il s’agit d’une francisque placée au centre de la casquette préfectorale. Elle est typique du régime de Vichy et remonte à 1942, à en croire le site de l'antiquaire et expert en armes anciennes Bertrand Malvaux.
De plus, si l’on consulte une photo du préfet de police de Paris Didier Lallement, on peut constater que l’emplacement sur la casquette entre les feuilles de chênes est vide.
«Une erreur» reconnue
Contactée par la suite par CheckNews, la préfecture de police a reconnu une «erreur» et a supprimé le tweet en question.
https://fr.sputniknews.com/france/202005061043726968-un-symbole-de-vichy-surgit-par-erreur-dans-une-infographie-de-la-prefecture-de-police-de-paris--/
Le symbole de la francisque (hache à double tranchant pour parer les attaques de tous côtés) représente le dévouement du chef de l'État à protéger le Peuple (français) de toutes agressions.
SupprimerDes virologues allemands prédisent «avec une grande certitude» une deuxième vague de Covid-19
RépondreSupprimer11:26 06.05.2020
Alors que la pandémie de coronavirus a déjà tué plus de 257.000 personnes à travers le monde, des virologues de l’Institut Robert Koch en Allemagne affirment «avec une grande certitude» qu’il y aura une nouvelle vague. Le chef de l’Institut a souligné l’importance d’y être bien préparé.
L’humanité peut être confrontée à de nouvelles vagues de propagation du coronavirus, a déclaré Lothar H. Wieler, président de l’Institut Robert Koch (RKI) auprès du ministère allemand de la Santé lors d’une conférence de presse mardi 5 mai.
«Les virologues conviennent en grand nombre qu'il y aura "avec une grande certitude" une deuxième vague», a-t-il indiqué avant d’ajouter: «Beaucoup ont supposé qu'il y aurait également une troisième vague».
Il a souligné l’importance d’y être bien préparé.
En commentant la situation épidémiologique en Allemagne, Lothar H. Wieler a déclaré que son pays avait réussi à surmonter la première vague de Covdi-19. Il a noté que le nombre de nouvelles infections était désormais stable. Selon les derniers chiffres de l’Institut, le nombre de personnes infectées a augmenté de 685 cas entre lundi 4 mai et mardi 5 mai pour atteindre les 163.860 au niveau national.
La possibilité d’une deuxième vague déjà évoquée
La deuxième vague a déjà été prédite par de nombreux scientifiques et personnalités politiques. Ainsi, la représentante de l’Organisation mondiale de santé en Russie, Melita Vujnovic, a déclaré le 30 avril aux médias russes qu’elle était imminente car la majorité de la population mondiale n’est pas immunisée.
Selon les calculs de l’Université Johns Hopkins aux États-Unis, la pandémie a fait plus de 257.000 morts, dont 25.500 en France. Au total, plus de 3.600.000 personnes ont été contaminées.
https://fr.sputniknews.com/international/202005061043726507-des-virologues-allemands-predisent-avec-une-grande-certitude-une-deuxieme-vague-de-covid-19/
Supprimer(...) Des virologues allemands prédisent «avec une grande certitude» une deuxième vague de Covid-19 (...)
Ainsi vague que les prévisions météorologiques qui ne peuvent faire de prédictions sur le temps qu'il fera demain (compte-tenu que l'humeur du magma n'a pas de saison et peut donc s'exploser sous les bassins maritimes & océanique que proéminences terrestres créant ainsi des afflux de chaleurs qui conçoivent les vents et leur force), voici qu'arrive l'Incertitude du certain avec le fameux Corona !
Çà alors !
Le mystérieux syndrome lié au coronavirus se propage de Londres à New York
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 05/06/2020 - 06:30
Un syndrome respiratoire lié au coronavirus inhabituellement mortel, initialement observé chez un groupe d'enfants au Royaume-Uni, a apparemment fait son apparition à New York, selon les médias locaux.
ABC 7 dit qu'un groupe de 15 enfants à New York ont été hospitalisés avec des symptômes inhabituels similaires à - obtenez-le - syndrome de choc toxique, ou maladie de Kawasaki. Les symptômes incluent une inflammation des vaisseaux sanguins, y compris des artères coronaires. Bien qu'il y ait eu des rapports de COVID-19 provoquant des crises cardiaques chez certains patients atteints de certaines conditions préexistantes, ce niveau de dommages semble exceptionnellement sévère. COVID-19 n'est également généralement pas très agressif chez les jeunes enfants. Les autres symptômes comprennent de la fièvre, des éruptions cutanées, des douleurs abdominales et des vomissements.
Cependant, les 15 patients n'ont pas tous été testés positifs pour le coronavirus. Seulement 4 ont été testés positifs, tandis que 6 ont été testés positifs pour les anticorps COVID-19, ce qui signifie qu'ils avaient probablement été infectés auparavant.
À Long Island, le Cohen's Children Hospital a confirmé que 25 enfants avaient été hospitalisés pour des symptômes de type Kawasaki; 11 d'entre eux sont dans l'USI. Le commissaire de la santé du comté de Nassau a qualifié leur état de "préoccupant".
Le maire de Blasio a lancé un avertissement aux parents les conseillant de contacter immédiatement les autorités si leur enfant présente une combinaison des symptômes du mystérieux syndrome inflammatoire.
Jusqu'à présent, aucun décès n'a été signalé parmi les cas aux États-Unis.
Tous les patients, âgés de 2 à 15 ans, avaient une fièvre subjective ou mesurée et plus de la moitié ont signalé des éruptions cutanées, des douleurs abdominales, des vomissements ou de la diarrhée. Des symptômes respiratoires ont été signalés chez moins de la moitié de ces patients.
Plus de la moitié des patients signalés ont eu besoin d'une pression artérielle et cinq ont nécessité une ventilation mécanique. Aucun décès n'a été signalé parmi ces cas.
Si ces symptômes sont observés chez les enfants, les pédiatres sont invités à référer immédiatement les patients à un spécialiste des maladies infectieuses pédiatriques, de la rhumatologie et / ou des soins intensifs, comme indiqué.
Le diagnostic et le traitement précoces des patients répondant aux critères complets ou partiels de la maladie de Kawasaki sont essentiels pour prévenir les lésions des organes terminaux et d'autres complications à long terme.
Il a été constaté que les patients répondant aux critères de la maladie de Kawasaki devraient être traités par immunoglobuline intraveineuse et aspirine.
Mais l'intensité du syndrome a alarmé les médecins, en particulier au milieu de l'épidémie de COVID-19, quant à la possibilité qu'une nouvelle souche mutée du virus puisse émerger, ou peut-être qu'il s'agit d'un autre pathogène ou d'une autre sorte d'imprévu. complication ?
https://www.zerohedge.com/geopolitical/mysterious-coronavirus-linked-syndrome-spreads-london-new-york
SupprimerAlors qu'il existe à présent pas moins de 14 germes infectieux du Co19 qui vient de l'animal, comment se fait-il qu'il puisse muter si 'intelligemment' ?
Ferrari vante un "carnet de commandes solide" et prévoit de surperformer au 2S 2020 malgré l'implosion de l'industrie automobile
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 05/06/2020 - 02:45
S'il y a un sujet que nous avons largement couvert depuis le début de la pandémie de coronavirus, c'est bien l'effondrement de l'industrie automobile.
Au cours de la dernière semaine, nous avons détaillé comment les prix des voitures d'occasion paralyseront probablement le peu d'intérêt pour les voitures neuves, comment les concessionnaires se démènent pour offrir désespérément des incitations et comment les navires pleins de véhicules sont refusés dans les villes portuaires en raison d'un manque d'espace et surabondance d'inventaire.
Mais, s'il y a une doublure d'argent pour les banques centrales mondiales élargissant l'écart de richesse, c'est que les super-riches ont encore beaucoup d'argent pour acheter des véhicules exotiques. Alors que la demande peut être tiède de la part des acheteurs de voitures ordinaires, les riches ont gardé une offre inférieure au prix des voitures de luxe, a rapporté Ferrari cette semaine.
Le constructeur de la supercar de Monza à 1,74 million de dollars a déclaré cette semaine que son carnet de commandes était "solide" malgré un arrêt de 7 semaines dans ses usines italiennes, selon Bloomberg. Le directeur financier de la société a déclaré lundi que les livraisons au premier trimestre avaient en fait augmenté de 5% par rapport à l'année précédente.
Malgré le recul de son guide 2020, la société prévoit une reprise au second semestre. La société affirme qu'elle pourrait voir une croissance des revenus et des bénéfices plus rapide que prévu avec la reprise comme un vent arrière.
Michael Dean, analyste chez Bloomberg Intelligence, a déclaré: «Les preuves de la crise financière antérieure suggèrent que la demande devrait rester robuste. Cependant, le principal risque est que la production soit à nouveau interrompue en cas de deuxième vague d’infections à Covid-19 en Italie. »
Alors que Ferrari retourne au travail, l'entreprise pourrait finir par demander aux employés de travailler le samedi et de raccourcir les vacances d'été afin de rattraper son carnet de commandes.
Les usines de Maranello et Modène seront de retour à la pleine production le 8 mai et le premier ministre Giuseppe Conte travaille à une réouverture progressive de l'économie du pays après un arrêt de près de deux mois une fois qu'il a été découvert que l'Italie était l'épicentre de l'épidémie de coronavirus.
Malgré quelques annulations, Ferrari affirme que les chiffres ne sont "rien que nous jugerions alarmants". La société a introduit cinq nouveaux modèles en 2019 et a augmenté ses ventes à plus de 10000 unités par an pour la première fois de son histoire. Ferrari a livré 2 728 voitures au premier trimestre.
Massimo Vecchio, analyste pour UBI Banca, a déclaré que les résultats de l'entreprise montraient une "forte résilience". Dans le même temps, des constructeurs automobiles comme Daimler et Renault ont complètement retiré leurs directives.
https://www.zerohedge.com/economics/ferrari-touts-strong-order-book-expects-outperform-2h-2020-despite-auto-industry
Trace Mineral Selenium améliore le taux de guérison de l'infection au coronavirus COVID-19 jusqu'à 500%
RépondreSupprimerPar Bill Sardi
6 mai 2020
Datant de plus de deux décennies d'études antérieures publiées qui montrent qu'un oligo-élément essentiel diminue la virulence et inhibe les mutations dans les infections virales, des chercheurs au Royaume-Uni, aux États-Unis et en Chine rapportent en collaboration dans l'American Journal of Clinical Nutrition que le sélénium améliore le taux de guérison des COVID -19 personnes souffrant de coronavirus.
L'effet curatif du sélénium est évident dans les régions de Chine qui ont des niveaux élevés de sol en sélénium. Les chercheurs rapportent seulement un taux de guérison de 13,2% à Wuhan, en Chine, l'épicentre de la pandémie actuelle de coronavirus COVID-19, comparativement à un taux de guérison de 40,6% pour toutes les autres provinces combinées. Les patients guéris sont ceux dont la température corporelle est revenue à la normale.
Le fait que d'autres provinces chinoises ne signalent pas de taux de mortalité élevés dus aux infections à coronavirus COVID-19 a conduit à affirmer que la Chine cache ses chiffres de décès. Mais maintenant, il y a une explication plus simple - le sélénium.
En revanche, dans la province du Heilongjiang, où l'apport en sélénium est parmi les plus bas du monde, le taux de mortalité par COVID-19 était presque cinq fois plus élevé que la moyenne de toutes les autres provinces en dehors du Hubei.
Une autre ville en Chine, Enshi, connue pour avoir des niveaux élevés de sol et d'absorption de sélénium, a un taux de guérison de 36,4% contre 13,2% pour toutes les autres villes en Chine, rapportent ces enquêteurs.
Le sélénium dans le sol fait son chemin dans la chaîne alimentaire jusqu'aux humains. Il est connu comme un nutriment essentiel pour fabriquer une enzyme antioxydante clé (avec la vitamine E) appelée glutathion peroxydase.
L'effet curatif serait accru par la combinaison de sélénium et de vitamine E, les deux nutriments étant nécessaires pour produire l'enzyme antioxydante glutathion peroxydase, qui est des multivitamines suggestives qui fournissent ces deux nutriments serait un bon choix.
Il y a des niveaux de sol de sélénium très élevés et très bas en Chine. Aux États-Unis, la plupart des sols sont remplis de sélénium.
Des niveaux élevés de stockage sanguin (ferritine) de fer dans le corps ont tendance à augmenter la gravité des infections virales, ce qui peut expliquer pourquoi les infections à COVID-19 frappent plus d'hommes que de femmes. Les femelles menstruées ont tendance à être anémiques car elles déversent du fer une fois par mois ou donnent du fer à leur progéniture. Les hommes ont généralement des niveaux de stockage de fer (ferritine) plus élevés que les femmes.
Le sélénium est connu pour contrôler les maladies inflammatoires chroniques, notamment le syndrome de détresse respiratoire aiguë.
Dans une étude très convaincante, un supplément de sélénium a été administré à des individus ayant un statut bas en sélénium avant et puis continuellement après un vaccin antipoliomyélitique oral atténué. Ces sujets ont présenté une élimination plus rapide du poliovirus avec moins de mutations virales. Une carence en sélénium et / ou en vitamine E permet aux virus à ARN (comme les coronavirus) de se convertir en souches plus virulentes.
L'immunité altérée est courante chez les personnes qui ont une carence en sélénium. Par exemple, une carence en sélénium peut entraîner une diminution de la fonction des lymphocytes T et des neutrophiles, deux types de globules blancs nécessaires à l'immunité contre les virus, indique un rapport de 2004 dans Trends in Microbiology.
RépondreSupprimerMême les individus ayant un état nutritionnel normal se sont révélés vulnérables au coronavirus COVID-19 une fois que les mutations se sont produites. La carence en sélénium entraîne une augmentation des mutations virales dans le génome du virus de la grippe.
Le coronavirus COVID-19 est en mutation dans le corps humain chez les sujets qu'il infecte. Trente (30) souches différentes du virus sont signalées. Une souche particulière est 270 fois plus virulente que les autres souches. Une carence en sélénium peut entraîner la mutation d'un virus bénin en une souche virale mortelle. L'importance du sélénium adéquat comme oligo-élément pour inhiber ces mutations mortelles est d'une grande importance pour la santé humaine. Sélénium + vitamine E est suggéré lors de la lutte contre les infections à COVID-19.
Les éosinophiles sont un type de globules blancs qui combattent les infections. On rapporte qu'environ 80% des patients COVID-19 présentent un faible nombre d'éosinophiles. Le retrait du sélénium de l'alimentation des animaux induit une éosinophilie (carence en éosinophiles).
Le sélénium lié organiquement (lié à une autre protéine comme la méthionine) présente une plus grande biodisponibilité (~ 90%) par rapport au sélénium lié inorganiquement (sélénite, sélénite), tous deux vendus dans les magasins de santé.
L'apport nutritionnel recommandé pour le sélénium est de 55 microgrammes pour les adultes et 30 microgrammes pour les écoliers. Les noix du Brésil ont la plus grande quantité de sélénium (544 microgrammes 6-8 noix), les viandes et les fruits de mer étant également de riches sources alimentaires.
Selon l'Office of Dietary Supplements, l'apport quotidien moyen de sélénium chez les Américains âgés de 2 ans et plus à partir des aliments est de 108,5 mcg et des aliments et compléments est de 120,8 mcg. Les hommes adultes ont des apports quotidiens plus élevés (134 mcg des aliments et 151 mcg des aliments et suppléments) que les femmes adultes (93 mcg des aliments et 108 mcg des aliments et suppléments). Aux États-Unis, 18% à 19% des adultes et des enfants utilisent un complément alimentaire contenant du sélénium. La carence en sélénium est rare aux États-Unis
https://www.lewrockwell.com/2020/05/no_author/trace-mineral-selenium-improves-cure-rate-for-covid-19-coronavirus-infection-up-to-500/
Covid: le jeu des chiffres, la fraude et la réponse finale
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
6 mai 2020
Je veux faire une distinction essentielle qui dissipe la confusion.
Lorsque des gens, par exemple des chercheurs en médecine, jouent à un jeu pour atteindre leur objectif et que le jeu est une fraude, vous avez deux façons de procéder.
Vous pouvez ENTRER LEUR JEU, temporairement, pour montrer comment, selon leurs propres termes, selon leurs propres normes, ils se contredisent et commettent une fraude.
Ou vous pouvez vous tenir EN DEHORS DE LEUR JEU, et montrer comment la structure même, les règles et les hypothèses du jeu, pour commencer, sont criblées de mensonges.
Dans cet article, je vais faire les deux. Et je préciserai quand je serai INTÉRIEUR et quand je serai EXTÉRIEUR.
Pourquoi s'embêter ? Parce que cela clarifie l'esprit. C’est toujours une bonne chose. C'est particulièrement bien lors de cet événement criminel de mur à mur appelé COVID-19.
Et les lecteurs méritent de savoir si un écrivain accepte réellement le jeu auquel les méchants jouent; ou s'il plonge juste momentanément dans le jeu, afin de révéler ses absurdités.
OK allons y. Voyons les NUMÉROS DE CAS.
Maintenant, je suis dans leur jeu. Je suppose, comme ils le font, qu'un cas de COVID-19 est réel. Cela signifie quelque chose. Il dénote une maladie, une infection résultant d'un virus. Idem pour un cas de grippe, ou ce qu'on appelle le SG, maladie pseudo-grippale. Ces cas sont également réels, ils dénotent une infection et une maladie résultant d'un virus.
Commencez avec l'Europe et la grippe saisonnière. Pas COVID. Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS) Europe, «Pendant les mois d'hiver, la grippe peut infecter jusqu'à 20% de la population…»
La population de l'Europe est de 741 millions de personnes. Cela représente 148 millions de cas de grippe ordinaire. Pas une fois. Chaque année. CHAQUE ANNÉE.
Au 2 mai 2020, le nombre de cas de COVID en Europe était de 1 361 853, selon le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies. Supposons que nous multiplions ce nombre par 2, ou 4, ou 20, pour arriver à un chiffre annuel pour les cas COVID en Europe. Est-ce que cela approche, même vaguement, 148 millions de cas de grippe - année après année après année ?
Selon le Centre européen, le nombre de cas de COVID en Italie est de 209 328.
Selon sciencedirect.com, «Au cours des saisons d'hiver 2013/14 à 2016/17, une moyenne estimée à 5 290 000 cas de SG [syndrome grippal] s'est produite en Italie, ce qui correspond à une incidence de 9%.» C'est 5 millions de plus chaque année. Pas une seule fois.
Multipliez le nombre de cas COVID en Italie par le nombre que vous choisissez, et voyez ce qu'il faut pour arriver au niveau des cas de grippe pendant un an. Année après année.
Enfin, regardons les chiffres de la grippe ordinaire, pour la planète entière. Une étude publiée dans la revue Pharmacy and Therapeutics déclare: «La grippe est une maladie respiratoire hautement contagieuse qui est responsable d'une morbidité et d'une mortalité importantes. Environ 9% de la population mondiale est touchée chaque année, avec jusqu'à 1 milliard d’infections, 3 à 5 millions de cas graves et 300 000 à 500 000 décès chaque année. »
RépondreSupprimerCependant, l'OMS Europe établit le chiffre des décès plus haut: «Une étude récente a révélé que jusqu'à 650 000 personnes dans le monde meurent chaque année de maladies respiratoires liées à la grippe saisonnière…»
À l'heure actuelle, le bilan mondial des décès de COVID s'élève à 245 000. Pendant environ six mois. Ainsi, pour 2020, COVID pourrait approcher le nombre de décès dus à la grippe saisonnière. Qu'en est-il des 10 ou 20 prochaines années ? Les décès dus à la grippe sont astronomiquement élevés chaque année.
Dans l'ensemble, sur quelle base - en comparant la grippe saisonnière et COVID - avons-nous maintenant un verrouillage planétaire COVID, par rapport à aucun verrouillage pour la grippe saisonnière à tout moment? Cela n'a aucun sens.
Compte tenu des antécédents à long terme de la grippe et de la réponse officielle, ce qui signifie qu'il n'y a pas de verrouillage, cela n'a absolument aucun sens d'avoir un verrouillage maintenant. Les chiffres officiels ne le soutiennent pas.
Étant donné le jeu des numéros de cas officiels et en acceptant ces chiffres - par exemple, un MILLIARD d'infections grippales année après année - le refus d'administrer des blocages généralisés pour la grippe SIGNIFIE qu'il ne devrait pas y avoir de blocage COVID maintenant.
Le jeu des nombres piège et contredit et s'implique. Il cède: AUCUN VERROUILLAGE MAINTENANT.
Mais il y a un verrouillage maintenant.
D'accord. Permettez-moi de sortir du jeu des chiffres. Je vais prendre une position assez loin pour analyser sa base.
Et je dirai simplement: TOUS les numéros de cas COVID-19 n'ont aucun sens.
Pourquoi ?
ONE: Les chercheurs n'ont jamais découvert correctement un nouveau virus en Chine en premier lieu. Leur affirmation de l'avoir fait est fausse.
DEUX: Le test de diagnostic répandu du virus chez un patient, la PCR, est truffé de défauts irréparables. Il crache des faux positifs, car le test réagit à la présence de germes non pertinents qui n'ont rien à voir avec un prétendu COVID. Plus important encore, le test n'a jamais été vérifié, dans le monde réel, pour sa capacité prétendue à détecter si un patient est malade ou va le devenir.
TROIS: De nombreux diagnostics de COVID chez les patients ne reposent sur aucun test, mais plutôt sur une évaluation du globe oculaire, des conjectures, des hypothèses non prouvées, un mensonge absolu ou, en Chine, des tomodensitogrammes des poumons, qui ne prouvent rien de la présence de COVID ou de tout autre autre virus supposé être responsable.
Pour explorer les détails de mes raisons UN et DEUX, vous devez lire mes articles précédents sur la fausse pandémie de COVID. Le lien vers mes articles COVID est ci-dessous. En particulier, je suggère de lire «Deux expériences vitales qui n'ont jamais été faites» pour ma réfutation à la fois de la découverte d'un nouveau virus et de la validité du test PCR. (lien également ci-dessous)
Par conséquent, encore une fois, TOUS les numéros de cas de COVID n'ont aucun sens.
RépondreSupprimerDe même, tous les chiffres saisonniers de la grippe ou de la grippe n'ont aucun sens. Pour illustrer ce fait, j’ai publié à plusieurs reprises l’enquête choquante de Peter Doshi sur les décès américains dus à la grippe. Doshi a rapporté dans le BMJ en ligne, le 10 décembre 2005: «… Le CDC affirme que 36 000 Américains meurent chaque année de la grippe… Pendant ce temps, selon le Centre national des statistiques de la santé (NCHS) du CDC,« la grippe et la pneumonie »ont coûté la vie à 62 034 personnes en 2001 - 61 777 d'entre eux ont été attribués à la pneumonie et 257 à la grippe, et dans seulement 18 cas, le virus de la grippe a été identifié avec certitude… »
Après être tous deux sortis du jeu des chiffres et y avoir pénétré momentanément, que nous reste-t-il? Nous savons que les gens tombent malades depuis très longtemps avec des problèmes respiratoires de toutes sortes. La race humaine a survécu, sans un verrouillage à l'échelle que nous avons maintenant, et sans les décès causés par la dévastation économique. Si vous vouliez activer l'immunité générale (aka santé), quelle que soit la façon dont vous la définissez et la décrivez, vous feriez désormais la promotion de personnes en contact étroit les unes avec les autres. Si vous vouliez reporter l'immunité / la santé, vous enfermeriez les gens et les sépareriez.
Quant aux véritables causes de la maladie et de la maladie, j'ai commenté ce sujet à d'autres endroits. Ce n'est pas le but de cet article. Je dirai ceci: dans les temps modernes, nous ne devons jamais ignorer les campagnes de vaccination vénéneuses; d'autres traitements médicaux toxiques, y compris de nombreux médicaments; les insultes causées par les pesticides, les OGM, les polluants industriels et les technologies électromagnétiques; et la promotion de la peur. La théorie des germes n'est pas roi. Ça ne l'a jamais été.
SOURCES:
* https://www.ecdc.europa.eu/en/geographical-distribution-2019-ncov-cases
* https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1201971219303285
* https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3278149/
* http://www.euro.who.int/en/health-topics/communicable-diseases/influenza/seasonal-influenza/burden-of-influenza
* https://blog.nomorefakenews.com/2020/04/30/the-british-corona-middle-man/
* https://blog.nomorefakenews.com/category/covid/
* http://thinktwice.com/BMJ_Flu.pdf
* https://blog.nomorefakenews.com/2020/04/29/covid-two-vital-experiments-have-never-been-done/
* https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1046/j.1440-1843.2003.00518.x
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
https://www.lewrockwell.com/2020/05/jon-rappoport/covid-the-numbers-game-the-fraud-and-the-final-answer/
"Tout comme il n'y avait pas d'ADM, il n'y a pas de" virus de destruction massive "..."
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 05/05/2020 - 20:25
Créé (satiriquement) par C.J.Hopkins via ConsentFactory., Org,
Il arrive un moment dans l'introduction de chaque nouveau récit officiel lorsque les gens ne se souviennent plus de la façon dont cela a commencé. Ou, plutôt, ils se souviennent de la façon dont cela a commencé, mais pas de la propagande qui a commencé. Ou plutôt, ils se souviennent de tout cela (ou sont capables, si vous les appuyez dessus), mais cela ne fait plus aucune différence, car le récit officiel a supplanté la réalité.
Vous vous souviendrez de ce point de la guerre contre le terrorisme, et en particulier de l'occupation de l'Irak. À la seconde moitié de 2004, la plupart des Occidentaux avaient complètement oublié la propagande qui avait lancé l'invasion et considéraient ainsi la résistance irakienne comme des «terroristes», malgré le fait que les États-Unis avaient envahi et occupaient leur pays sans aucune raison légitime quelle qu'elle soit. À ce moment-là, il était tout à fait clair qu'il n'y avait pas d '«armes de destruction massive» et que les États-Unis avaient envahi une nation qui ne l'avait pas attaquée et ne représentaient aucune menace pour elle, tout comme la perpétration d'une guerre d'agression classique.
Ces faits n'avaient pas d'importance, pas du tout. À cette époque, les Occidentaux étaient totalement immergés dans le récit officiel de la guerre contre le terrorisme, qui avait remplacé la réalité objective. La mentalité de troupeau avait pris le dessus. Il est difficile de décrire comment cela fonctionne; c'est un état de dissociation fonctionnelle. Ce n'était pas que les gens ne connaissaient pas les faits, ou qu'ils ne comprenaient pas les faits. Ils savaient que les Irakiens n'étaient pas des «terroristes». Dans le même temps, ils savaient qu'ils étaient définitivement des «terroristes», malgré le fait qu'ils ne le savaient pas. Ils savaient qu'il n'y avait pas d'ADM, qu'il n'y en avait jamais eu, et ils étaient néanmoins certains qu'il y avait des ADM, qui seraient trouvées, bien qu'elles n'existaient manifestement pas.
La même chose s'est produite dans l'Allemagne nazie. La majorité du peuple allemand n'a jamais été un antisémite fanatique comme le hardcore N.S.D.A.P. membres. S'ils l'avaient été, il n'aurait pas été nécessaire d'avoir Goebbels et sa monstrueuse machine de propagande. Non, les Allemands pendant la période nazie, comme les Américains pendant la guerre contre le terrorisme, savaient que leurs victimes ne représentaient aucune menace pour eux, et en même temps ils croyaient exactement le contraire, et n'ont donc pas protesté car leurs voisins ont été expulsés de leurs maisons et envoyés dans des camps de la mort, camps qui, dans leur état dissociatif, existaient et n'existaient pas simultanément.
Ce que je décris ressemble probablement à de la psychose, mais techniquement, ce n'est pas… pas tout à fait. Ce n'est pas une rupture absolue avec la réalité. Les gens qui fonctionnent dans cet état savent que ce qu'ils croient n'est pas réel. Néanmoins, ils sont obligés de le croire (et le font, littéralement, le croient, aussi impossible que je sache), car les conséquences de ne pas y croire sont encore plus effrayantes que la dissonance cognitive de croire un récit qu'ils savent être une fiction. Ne pas croire le récit officiel signifie une excommunication de la «normalité», la perte d'amis, de revenus, de statut et, dans de nombreux cas, des peines bien pires.
Les animaux du troupeau, dans un état de panique, courent instinctivement vers le centre du troupeau. La séparation du troupeau en fait une proie facile pour poursuivre les prédateurs. C'est le même instinct primaire qui opère ici.
RépondreSupprimerC'est le but de chaque récit officiel de générer ce type de mentalité de troupeau, non pas pour tromper ou duper le public, mais, plutôt, pour les confondre et les terroriser au point où ils retournent à leurs instincts primaires et sont conduits purement par la peur existentielle, et les faits et la vérité n'ont plus d'importance. Une fois qu'un récit officiel atteint ce point, il est inattaquable par les faits et la raison. Il n'a plus besoin de faits pour le justifier. Il se justifie par sa propre existence. La raison ne peut pas la pénétrer. Discuter avec ses adhérents est inutile. Ils savent que c'est irrationnel. Ils s'en moquent tout simplement.
Nous arrivons à ce point avec le récit du coronavirus. Il est possible que nous y soyons déjà parvenus. Malgré le fait que nous soyons confrontés à un virus qui, oui, est clairement mortel pour les personnes âgées et celles qui ont des problèmes de santé, mais qui n'est tout aussi clairement pas une menace mortelle pour la majorité de l'espèce humaine, les gens se recroquevillent à l'intérieur leurs maisons comme si le Zombie Apocalpyse avait enfin commencé. Beaucoup semblent croire que ce virus est une sorte de grippe extraterrestre terroriste (ou virus de destruction massive) qui vous tuera à la seconde où vous le respirerez.
Ce n'est pas surprenant du tout, car, selon le récit officiel, ses pouvoirs destructeurs sont presque illimités. Non seulement il effacera vos poumons, liquidera tous vos autres organes principaux et vous tuera avec des caillots sanguins et des dommages intestinaux, mais il provoque désormais des «accidents vasculaires cérébraux chez les jeunes adultes» et peut-être un cancer de la prostate spontané, et Dieu sait ce que les autres médecins horreurs !
Selon tous les «scientifiques» et «experts médicaux» (c'est-à-dire ceux qui se conforment au récit officiel, pas tous les autres scientifiques et experts médicaux), il ne ressemble à aucun autre virus qui ait jamais existé dans l'histoire des virus.
Il ne suit certainement pas le schéma typique de propagation extensive sur une période limitée, puis de disparition rapide de lui-même, quelles que soient les mesures prises pour le contrecarrer, comme cette étude israélienne semble l'indiquer.
De plus, «nous n'avons aucune immunité contre cela», c'est pourquoi nous devons tous rester «enfermés» comme des détenus indisciplinés dans un pénitencier jusqu'à ce qu'un vaccin puisse être concocté et imposé à chaque personne vivante sur terre.
Apparemment, ce vaccin miracle obligatoire nous rendra magiquement immunisés contre ce virus contre lequel nous n'avons aucune immunité (et sommes totalement incapables de développer l'immunité), laquelle immunité sera certifiée sur nos «papiers d'immunité» obligatoires, dont nous aurons besoin pour voyager, obtenir un emploi, envoyer nos enfants à l'école et, vous savez, montrer à la police quand ils nous arrêtent dans la rue parce que nous avons peut-être l'air d'être «infectés».
L'Allemagne (où j'habite) est loin devant cela. Selon la Süddeutsche Zeitung, le gouvernement fédéral prévoit d'introduire une «carte d'immunité» contre les coronavirus dans le cadre de sa «loi sur la protection contre les infections», qui accordera aux autorités le pouvoir d'arrêter toute personne «suspectée d'être contagieuse» et de la forcer à… euh ... "quarantaine", et "leur interdire d'entrer dans certains lieux publics." Les autorités malaisiennes ont renoncé à ces subtilités et arrêtent des travailleurs migrants et des réfugiés dans les soi-disant «zones rouges de Covid-19» et les conduisent à Dieu sait où.
Oh, ouais, et j'ai presque oublié ... les chercheurs sur les germes et la guerre chimique de la DARPA (c'est-à-dire la Defense Advanced Research Projects Agency de l'armée américaine) ont développé un nouveau type de test sanguin de fantaisie qui identifiera les "porteurs asymptomatiques" (c'est-à-dire les personnes qui ne présenter aucun symptôme).
RépondreSupprimerDonc, cela sera probablement utile… surtout si les «suprémacistes blancs», les «extrémistes rouge-brun» et les «théoriciens du complot» continuent de protester contre le verrouillage avec leurs femmes et leurs enfants!
Et ce ne sont que les derniers ajouts à une liste d'exemples plutôt dystopiques du récit officiel «brave new normal» que GloboCap déploie, juste sous nos yeux (que les éditeurs d'OffGuardian ont rationalisé ici et ici, et qui se poursuit sur Twitter ). Tout est là en noir et blanc. Ils ne cachent pas le totalitarisme… ils n’ont pas à le faire. Parce que les gens le supplient. Ils demandent à être «enfermés» à l'intérieur de leurs maisons, contraints de porter des masques et à deux mètres l'un de l'autre, pour des raisons dont la plupart d'entre eux ne se souviennent plus.
Les barrières en plastique montent partout. Des flèches au sol vous indiquent le chemin à parcourir. Les boîtes vous indiquent où vous tenir. Les Blockwarts paranoïaques affichent des panneaux menaçant quiconque ne porte pas de masque. Des petits monstres fascistes hystériques dénoncent leurs voisins à la police pour avoir laissé leurs enfants jouer avec d'autres enfants. Des millions de personnes téléchargent volontairement des «applications de recherche des contacts» afin que les gouvernements et les sociétés mondiales puissent surveiller chacun de leurs mouvements. En Espagne, ils ont blanchi une plage entière, tuant tout, jusqu'aux insectes, afin de protéger le public contre les «infections». Internet est devenu un chœur orwellien de voix hurlantes et moralisatrices intimidant tout le monde en conformité avec des tableaux, des graphiques et des voyages de culpabilité désespérés, dont peu ont un lien étroit avec la réalité.
Les entreprises et les gouvernements censurent la dissidence. Nous approchons d'un niveau d'hystérie de masse fabriquée et de mentalité de troupeau que même Goebbels n'aurait pas pu imaginer.
Pendant ce temps, ils frappent les «hôpitaux de campagne», pour la plupart vides, et le «navire-hôpital» théâtral a maintenant disparu, et malgré leurs tentatives pour gonfler le nombre de décès de Covid-19 autant que possible, les centaines de millions de décès prévus ne se sont pas matérialisés (pas même proches), et la Suède va bien, comme la plupart de l'humanité, et… tout comme il n'y avait pas d'ADM, il n'y a pas de Virus de Destruction Massive.
Ce qu'il y a, c'est un nouveau récit officiel, le brave nouveau, paranoïaque, pathologiquement «normal». Comme la guerre contre le terrorisme, c'est un récit mondial. Un récit global, post-idéologique. Cela ne fait que commencer, donc on ne sait pas encore à quel point cette émission sera totalitaire, mais, étant donné la nature de l'épisode pilote, je redoute en quelque sorte le reste de la série.
https://www.zerohedge.com/economics/just-there-were-no-wmds-theres-no-virus-mass-destruction
SupprimerCertains vous diront "Moi, j'ai fait Dachau, Auschwitz, Buchenwald en 4 jours avec 'EuropaTours'. On a bien bouffé, l'ambiance était sympa. Cà changeait des Marquises !"
RépondreSupprimerLa colère s'empare du verrouillage, des masques et de l'argent: des troubles civils généralisés sont-ils sur le point d'éclater ?
par Tyler Durden
Mar., 05/05/2020 - 18:25
Rédigé par Daisy Luther via le blog The Organic Prepper,
À travers le pays, les esprits s'emballent sur les blocages continus dans de nombreuses régions d'Amérique, ainsi que sur l'obligation de porter des masques en public. J'ai déjà écrit sur la possibilité de troubles civils à cause des blocages, et malheureusement, il semble que c'est là que nous nous dirigeons.
Plus les fermetures sont prolongées, plus il est probable que la violence éclate.
Les gens semblent incapables ou peu désireux de respecter les opinions des autres concernant COVID19, qui a affecté chaque famille différemment. Certains sont dévastés par la perte ou le risque pour leurs proches, tandis que d'autres ont du mal à mettre de la nourriture sur la table et à garder un toit au-dessus de leur tête. D'autres sont à juste titre préoccupés par les pertes de liberté que nous constatons. Toutes ces préoccupations sont valables et ne s'excluent pas mutuellement.
Il y a déjà eu de la violence à cause des exigences de masque.
Au cours des derniers jours, il y a eu plusieurs incidents inquiétants de violence lorsque les gens ont refusé de porter des masques dans les entreprises qui en avaient besoin. Que vous pensiez ou non que vous devriez porter des masques, la violence envers les employés n'est pas la réponse. Les personnes travaillant dans le commerce de détail veulent simplement conserver leur emploi, et malheureusement, cela les laisse parfois dans la position vulnérable d'avoir à surveiller les clients qui ne veulent pas se conformer aux politiques du magasin.
Une bagarre physique a éclaté dans une station-service à Decatur, Illinois, lorsqu'un client a refusé de mettre un masque pour payer son carburant. Sgt. Brian Earles et Decatur Police ont parlé à la presse de l'incident. Il semble qu'un client de 59 ans se soit engagé dans une altercation verbale avec un caissier de 56 ans alors qu'il tentait de payer de l'essence sans masque, comme l'exige l'État de l'Illinois. Le client aurait poussé le caissier, qui a dit qu'il se sentait menacé, et le caissier a répondu en lui donnant un coup de poing au visage. Le client a été arrêté et accusé de batterie au cours de l'incident.
À Holly Michigan, un client de Dollar Tree a refusé de suivre la politique affichée du magasin de porter un masque. Lorsqu'une jeune employée s'est approchée de lui et lui a fait part de la politique, il a répondu en disant: «Ici, je vais juste l'utiliser comme masque» et s'est essuyé le visage sur sa manche. Le client a continué à se comporter de manière belliqueuse jusqu'à son départ. L'incident entier a été pris sous la surveillance du magasin.
Dans un magasin Family Dollar à Flint, Michigan, la réaction la plus violente à ce jour s'est produite lorsque Calvin Munerlyn, un agent de sécurité du magasin, a été tué par balle après avoir refusé d'autoriser la fille d'un client à entrer dans le magasin sans masque.
Le procureur du comté de Genesee, David Leyton, a déclaré que Sharmel Teague "a commencé à crier après Munerlyn et à lui cracher dessus et Munerlyn lui a dit de quitter le magasin et a demandé à une caissière de ne pas la servir."
RépondreSupprimerSharmel a quitté le magasin. Environ 20 minutes plus tard, elle est revenue avec deux hommes identifiés par Larry Teague et Ramonyea Bishop. Les deux hommes ont affronté Munerlyn et Bishop a tiré sur Munerlyn à l'arrière de la tête, a indiqué le parquet.
Bishop est le fils de Sharmel Teague, a indiqué le bureau. (la source)
Sharmel Teague et les deux hommes ont été accusés de la mort de Munerlyn.
Des manifestations anti-verrouillage se répandent à travers le pays.
Beaucoup de gens ne protestent pas officiellement - ils ignorent simplement les restrictions. Les parcs et les plages regorgent de gens qui en ont assez d'être coincés à la maison. Les policiers en ont assez de sortir pour briser la foule et imposer une distanciation sociale.
Alors que certains États commencent à lever les blocages, d'autres ne le sont pas. Partout aux États-Unis, les manifestants demandent la levée des restrictions. The Hill rapporte que des manifestations ont lieu en Californie, au Colorado, au Delaware, en Floride, en Illinois, au New Jersey, au Nouveau-Mexique, à New York, au Tennessee et à Washington. Des manifestations ont également lieu au Massachusetts, au Vermont et au Maine, ainsi qu'en Caroline du Nord.
Des manifestations sont prévues ce week-end à venir dans l'Oregon, le Maine, le Massachusetts, le Nevada, la Louisiane et le Wisconsin.
Beaucoup de manifestants citent la nécessité de retourner au travail tandis que d'autres disent que leur préoccupation est la liberté. Dans la plupart des médias grand public, les manifestants sont peints comme des propriétaires d'armes à feu suprémacistes blancs pro-Trump, ce qui est retiré du manuel utilisé par le gouverneur de Virginie, Ralph Northam, lors de la marche de contrôle anti-armes en janvier, quand il a déclaré que "des milices armées prévoyaient de prendre d'assaut le Capitole." Alors que de nombreux manifestants se penchent davantage vers la droite, tous les républicains ne soutiennent pas les manifestations. Et de toute évidence, tous les manifestants ne sont pas des racistes qui incitent à la haine et il est hypocrite des médias pour promouvoir cette représentation biaisée.
Des contre-manifestants se sont présentés à certaines des manifestations pour représenter les travailleurs de la santé.
Actuellement, les manifestations ont été pacifiques mais ont soulevé de graves préoccupations car les manifestants ne pratiquent pas de distanciation sociale ou ne portent pas de masques. Facebook a interdit les pages de protestation anti-verrouillage et les coordinateurs. Le Dr Deborah Birx, coordinatrice de la réponse aux coronavirus de la Maison Blanche, est mécontente de voir les protestations.
Le Dr Deborah Birx a déclaré à l'hôte de Fox News dimanche Chris Wallace que les manifestants pourraient mettre en danger la santé et la vie des membres de leur famille par inadvertance.
«C'est terriblement inquiétant pour moi personnellement parce que s'ils rentrent chez eux et infectent leur grand-mère ou leur grand-père qui a une maladie comorbide et qu'ils ont une issue grave ou très - ou malheureuse, ils se sentiront coupables pour le reste de nos vies », A déclaré Birx. (la source)
RépondreSupprimerLes manifestations devraient se poursuivre jusqu'à la fin des blocages, et nous pouvons probablement nous attendre à voir un plus grand nombre de manifestants plus les restrictions dureront.
Beaucoup de gens n’ont toujours pas l’argent qui leur a été promis.
À l'époque où les fermetures ont commencé et le président Trump a annoncé un «plan de deux semaines» pour aplanir la courbe, de nombreuses promesses ont été faites par le gouvernement fédéral pour aider les gens à surmonter la catastrophe économique causée par la fermeture des entreprises. 30 millions d'Américains sont devenus chômeurs depuis la mi-mars.
Malheureusement, bon nombre de ces promesses n'ont pas été tenues. (Pour obtenir des conseils sur la façon de passer à travers les processus de demande de prêts en cas de pandémie de chômage ou de protection de la paie, allez ici.) Que ce soit en raison de processus de demande désuets ou de pratiques commerciales louches par les grandes banques et les sociétés publiques, l'argent n'est tout simplement pas arrivé pour beaucoup de gens et ces gens commencent à devenir désespérés. Dans de nombreux États, dont le New Jersey, le Maine et la Pennsylvanie, les gens rapportent qu’ils n’ont pas encore touché un centime du chômage. En fait, 71% des Américains sans emploi n’ont pas touché leurs allocations de chômage depuis mars. Les files d'attente dans les banques alimentaires mesurent littéralement des kilomètres dans certaines régions. Les loyers et les hypothèques ne sont pas payés.
La colère augmente.
Bientôt, il va bouillonner de rage et quand il le fera, nous pourrions voir des troubles et des crimes comme nous ne les avons pas vus dans ce pays depuis des siècles.
https://www.zerohedge.com/health/tempers-flare-over-lockdown-masks-money-all-out-civil-unrest-about-erupt
LA MOITIÉ DES STATIONS-SERVICE EN ZONE RURALE POURRAIT FERMER
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
06/05/2020
L'AIE estime que la demande de pétrole va chuter de 30% en 2020.
Le prix des carburants est au plus bas en France, certaines vendent le diesel à un euro, et pourtant les pompistes ne gagnent plus rien. Et non, ce n’est pas lié à la baisse du prix des carburants qui n’influence pas, contrairement à ce qu’on pourrait penser, leurs revenus. C’est lié au confinement et au fait que plus personne ne roule. Le Conseil national des professions automobiles (CNPA) tire la sonnette d’alarme et craint des faillites massives.
4% des stations-service indépendantes sont au bord de la faillite
Le CNPA a sondé ses adhérents propriétaires de stations-service, qu’il représente également : près de 4% pourraient avoir fait faillite avant le déconfinement le 11 mai 2020. Sur l’ensemble du territoire, cela représente plus de 200 stations-service, dont 72 en zone rurale. Avec le confinement, leurs revenus ont chuté de plus de 70% en moyenne, car… les Français ne roulent plus.
Télétravail, chômage partiel, interdiction de sortir… autant d’occasions manquées de devoir faire le plein. Pas étonnant que les Français aient économisé quelque 55 milliards d’euros durant le confinement : leurs dépenses sont réduites à néant.
Mais voilà, pour le CNPA, qui demande une aide du gouvernement pour la profession de pompiste, non seulement des faillites auront lieu avant le déconfinement… mais à moyen terme il estime à 30% les stations essence qui pourraient fermer. Une situation, là encore, aggravée en zone rurale où le taux de risque de faillite est estimé à 52%... soit plus de 900 stations sur le territoire.
La baisse des prix des carburants devrait être une aubaine
La situation, pour les pompistes, est d’autant plus frustrante que la chute des prix des carburants aurait dû faire leur bonheur. Leur rémunération se fait au litre vendu, quel que soit le prix (entre 1 et 4 centimes le litre selon les contrats). Lorsque les prix des carburants sont élevés, les automobilistes font attention à leur consommation, lèvent le pied et évitent les déplacements inutiles. Mais lorsque les prix sont bas, en temps normal, les automobilistes consomment.
Le cas particulier du confinement est donc un paradoxe : alors qu’ils auraient dû gagner plus, les pompistes gagnent moins. D’autant plus que lorsque la station-service est adossée à un autre commerce, comme un restaurant ou un garage, elle a dû fermer.
http://www.economiematin.fr/news-station-service-risque-danger-fermeture-pertes-argent-coronavirus
L'ESCROQUERIE DES MASQUES DE GUIGNOLS !
RépondreSupprimerPLUS DE 40 EUROS PAR MOIS ET PAR PERSONNE : LE BUDGET « MASQUES »
par PAOLO GAROSCIO
06/05/2020
Les masques grand public filtrent 70% des particules.
Les masques sont en vente depuis lundi 4 mai 2020 dans les pharmacies, les supermarchés ou encore chez les buralistes. Et les Français vont devoir faire avec : ils vont être obligatoires dans les transports et potentiellement un peu partout sur le territoire (commerces, lieux publics, établissements scolaires…) et pour quelques mois. Selon l’UFC-Que Choisir, cela va représenter un gros budget pour les ménages.
« Un budget tout à fait colossal » : le coût des masques pour les Français
Certains seront plus chanceux que d’autres, du moins au départ, car des municipalités ont annoncé organiser des distributions de masques dans leur commune, gratuitement. Mais, sur le long terme, il va bien falloir faire un choix : soit les loisirs, soit la sécurité sanitaire. Et c’est la deuxième qui va primer, par logique mais aussi car l’obligation de porter des masques va s’imposer comme une réalité du quotidien.
Invité sur RTL, Alain Bazot, président de l’association de consommateurs UFC-Que Choisir, n’y va pas par quatre chemins : pour lui, les masques représenteront « un budget tout à fait colossal » pour les ménages. Or ces derniers seront déjà fragilisés par la crise et les incertitudes sur l’économie française. « On conteste ce choix de ne pas avoir mis à disposition gratuitement (ces masques), notamment pour l’accès aux services publics », a-t-il déclaré à la radio.
« Puisque c'est obligatoire dans les écoles, dans les transports, il faut que les services publics distribuent les masques ».
Masques : quel budget pour les ménages ?
L’UFC-Que choisir n’a pas encore réalisé d’enquête de terrain sur la question, car il est trop tôt… mais il y a fort à parier qu’elle ne manquera pas d’en faire. Alain Bazot ne donne, sur RTL, qu’une estimation rapide.
En partant du principe du masque jetable, qu’il ne faut pas garder plus de trois heures, vendu « autour de 60 centimes » pièce, et en estimant qu’il faudra « deux ou trois masques par jour » aux personnes qui reprennent une activité (travail, école, sorties…), alors cela représente 1,80 euro par jour par personne. Sur un mois, pour 20 jours ouvrés, c’est un budget de 36 euros par personne… sans compter les sorties supplémentaires (parc, visites familiales…).
Pour une famille de 4 personnes, selon le président de l’UFC-Que Choisir dont l’estimation est plus pessimiste, le budget masques tournerait autour de « 7,20 euros par jour et donc, sur un mois, on est autour de 200 euros par mois ».
http://www.economiematin.fr/news-masques-prix-cout-menage-budget-calcul-argent-securite-deconfinement
SupprimerNon-seulement CE NE SONT PAS DES FFP2 (anti-virus) qui sont proposés mais en plus, compte tenu du coût des masques de guignols, le même masque sera porté des semaines !
Prêt à faire des «conclusions très significatives» sur le Covid-19, un professeur tué par balles
RépondreSupprimer15:51 06.05.2020
Tué par balles ce samedi 2 mai dans sa maison aux États-Unis, le professeur de l’université de Pittsburgh Bing Liu avait indiqué auparavant qu’il était sur le point de faire une annonce importante en ce qui concerne le mécanisme du Covid-19, fait savoir l’université dans un communiqué.
Un professeur de l’université de Pittsburgh qui était sur le point d’annoncer «des conclusions très significatives» concernant le Covid-19, selon son université, a été tué par balles ce week-end. Le meurtre a été suivi par le suicide de l'auteur de l'attaque, fait savoir la police américaine citée par CNN.
«Bing Liu était sur le point de faire des conclusions très significatives vers la compréhension des mécanismes cellulaires qui sont à la base de l'infection SARS-CoV-2 et la base cellulaire des complications qui suivent. Nous ferons un effort pour accomplir ce qu'il a commencé afin de rendre hommage à son excellence scientifique», indique le site de l’université.
Les premiers éléments
Selon les premiers éléments de l’enquête, le tueur, Hao Gu, 46 ans, a tiré sur sa victime. Ensuite, il est parti de la maison, s’est installé dans sa propre voiture et s’est suicidé, fait savoir le journal Pittsburgh Post-Gazette.
Assistant de recherche, le professeur Bing Liu a été trouvé dans sa maison ce samedi 2 mai avec des blessures par balles à la tête, au cou et au torse, selon le département de la police de Ross.
La police a précisé que les deux hommes se connaissaient avant cette rencontre tragique, sans toutefois donner de détails. Le mobile de ce meurtre et du suicide n’est pas connu pour l’heure, indique le média.
https://fr.sputniknews.com/societe/202005061043730211-pret-a-faire-des-conclusions-tres-significatives-sur-le-covid-19-un-professeur-tue-par-balles/
S'est suicidé comme Lee Harvey Oswald ? (Jacob Leon Rubenstein, qui changea son nom en Jack Leon Ruby, né le 25 mars 1911 à Chicago et mort le 3 janvier 1967 à Dallas, était le propriétaire d'une boîte de nuit à Dallas. Il assassina Lee Harvey Oswald le 24 novembre 1963).
SupprimerUn chercheur sur le point de percer COVID-19 tué dans un meurtre-suicide bizarre
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 05/06/2020 - 11:05
Un chercheur de l'Université de Pittsburgh travaillant sur un projet de coronavirus a été tué par balle samedi à son domicile dans le canton de Ross, tandis que l'associé Hao Gu, 46 ans, a été retrouvé mort dans une voiture à environ 100 mètres de ce qui semblait être un coup de feu auto-infligé.
Le chercheur, Bing Liu, âgé de 37 ans, a été retrouvé blessé à plusieurs reprises à la tête, au cou et au torse vers midi samedi. Rien n'a été volé dans la maison de ville et il n'y a pas eu d'entrée forcée, selon la Gazette des Postes. Il a travaillé dans le département de biologie computationnelle et systémique de la Pitt School of Medicine.
"Bing était sur le point de faire des découvertes très importantes pour comprendre les mécanismes cellulaires qui sous-tendent l'infection par le SRAS-CoV-2 et la base cellulaire des complications suivantes", a annoncé le ministère dans un communiqué écrit, ajoutant: "Nous ferons un effort pour compléter ce qu'il a commencé dans un effort pour rendre hommage à son excellence scientifique. "
L'expertise de Liu consistait à développer des modèles informatiques, des techniques de simulation et d'analyse pour étudier la dynamique des systèmes biologiques - dans certains cas, en utilisant des techniques d'apprentissage automatique pour comprendre les processus cellulaires, selon sa biographie.
Il a été décrit comme un enseignant et un mentor exceptionnel.
"C'était un individu très talentueux, extrêmement intelligent et travailleur", a déclaré le chef de son département, Ivet Bahar. "Il a contribué à plusieurs projets scientifiques, publié dans des revues de grande envergure. C'était quelqu'un que nous aimions tous beaucoup, une personne très douce, très serviable, gentille, très généreuse."
"Nous sommes tous choqués d'apprendre ce qui lui est arrivé. C'était très inattendu", a-t-elle ajouté.
...Monsieur. Liu est co-auteur de plus de 30 publications, dont quatre en 2020. Mme Behar a déclaré qu'il venait de commencer des recherches sur le nouveau coronavirus.
"Il commençait tout juste à obtenir des résultats intéressants", a-t-elle déclaré. "Il partageait avec nous, essayant de comprendre le mécanisme de l'infection, nous espérons donc continuer ce qu'il faisait." »-Post Gazette
"Sa perte se fera sentir dans toute la communauté scientifique", a indiqué l'université dans un communiqué.
Le motif de la fusillade est inconnu et l'enquête est en cours. Selon le rapport, une décision officielle du bureau du médecin légiste du comté d'Allegheny concernant la cause et les modalités du décès de Gu est attendue.
https://www.zerohedge.com/health/researcher-cusp-covid-19-breakthrough-killed-bizarre-murder-suicide
Covid-19: «Si les Chinois sont des désinformateurs, toutes les télés françaises sont des désinformatrices»
RépondreSupprimer17:19 06.05.2020
Par Rachel Marsden
Le Département d’État américain, par biais du «Global Engagement Center», est parti à la chasse à la «désinformation» sur la crise sanitaire du coronavirus. Qu’entend-il par là ? Analyse de François-Bernard Huyghe, responsable de l’Observatoire géostratégique de l’information, pour le Désordre mondial.
Comment le Département d’État américain tente-t-il de modeler le discours sur le coronavirus ? Avec Donald Trump qui tient régulièrement des conférences de presse au cours desquelles il émet parfois des hypothèses hasardeuses, la «police des récits» américaine n’a-t-elle pas déjà assez à faire ?
Le Global Engagement Center (Centre d’engagement mondial) a été créé sous l’égide du Département d’État en 2016 pour lutter contre la propagande terroriste. Sa mission a ensuite évolué et il se consacre aussi à contrer les récits favorisant les intérêts russes, chinois, et iraniens, qui soulignent souvent les échecs américains. Cette structure cible dorénavant les récits qui dénigrent les États-Unis dans leur gestion de la crise du coronavirus.
«S’il y a un pays qui n’a aucune leçon à donner» sur la gestion de la crise sanitaire, «c’est bien l’Amérique»
Pourtant, les sources officielles américaines, occidentales, voire internationales, admettent qu’elles ont des connaissances limitées sur le SARS-CoV-2. De plus, elles se contredisent souvent, par exemple sur l’utilisation du masque. Dans ces conditions, une entité qui fait partie du service de relations publiques du gouvernement américain est-elle vraiment en mesure de définir la vérité sur cette pandémie ?
François-Bernard Huyghe, Directeur de recherche à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS), spécialiste en communication, cyberstratégie et intelligence économique, décrypte les mécanismes qui sous-tendent la démarche du Global Engagement Center:
«Il y a un phénomène idéologique. Dans une période où l’on est obsédé par les Fake News, par les théories complotistes, etc., c’est devenu un procédé rhétorique facile de se cacher derrière l’information scientifique et de contester toute opinion opposée, éventuellement de la censurer au nom de la désinformation, du complot. C’est une vieille technique, mais elle s’épanouit particulièrement en ce moment sur des sujets comme ça, où établir la vérité est très difficile.»
D’après un article de Politico qui décrypte un nouveau rapport sur les récentes activités du Global Engagement Center, la Chine, l’Iran, et la Russie «utilisent la crise du coronavirus pour lancer une attaque de propagande et de désinformation contre les États-Unis» et promeuvent l’idée, entre autres, que «la réponse de la Chine a été excellente alors que les États-Unis ont été négligents». Le responsable de l’Observatoire géostratégique de l’information réagit:
«Que la Chine dise que les États-Unis gèrent mal la crise, mais excusez-moi, regardez la télévision française. Si les Chinois sont des désinformateurs, toutes les télés françaises sont des désinformatrices.»
Huyghe explique comment ces enjeux de guerre informationnelle s’inscrivent dans la rivalité entre grandes puissances:
RépondreSupprimer«Derrière tout ça, à plus long terme, il y a une sorte de lutte planétaire pour le soft power... La Chine a sans doute l’intention de mettre en valeur sa probable réussite ou ses moindres dégâts économiques, de montrer qu’elle a eu de la discipline et que l’action de l’État a été efficace, et troisièmement, de dire que son système capitalo-communiste a été efficace et universel et de le présenter comme un modèle mondial. Si elle fait ça, pardonnez-moi, mais c’est de bonne guerre.»
https://fr.sputniknews.com/radio_desordre_mondial/202005061043731250-covid-19-si-les-chinois-sont-des-desinformateurs-toutes-les-teles-francaises-sont-des/
L'Amérique est devenue «le pays des vifs» pendant cette pandémie de coronavirus
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 05/06/2020 - 11:05
Écrit par Michael Snyder via TheMostImportantNews.com,
Pour ceux qui se demandaient si les Américains seraient prêts à rendre compte de leurs voisins sur une base généralisée pendant une crise majeure, vous avez maintenant votre réponse. Partout dans le pays, des appels ont été lancés aux autorités par des «citoyens inquiets» qui sont très désireux de pointer du doigt leurs voisins pour avoir violé les blocages du coronavirus. En fait, il a été signalé que certaines personnes très curieuses de l'État de Californie appelaient le 911 pour signaler que leurs voisins toussaient dans leur propre maison. Bien sûr, les médias grand public n'aident pas vraiment les choses lorsqu'ils utilisent des expressions telles que «condamnation à mort» pour décrire cette pandémie. Oui, nous devrions tous prendre ce virus très au sérieux, mais la vérité est que ce n'est pas la fin du monde et que tout le monde doit se calmer.
Voulons-nous vraiment avoir une société où chacun espionne ses voisins ? Quand j'ai lu qu'une mère du Wisconsin avait été visitée par la police parce qu'elle avait autorisé sa fille à jouer chez un ami, cela m'a vraiment touché…
Une maman du Wisconsin a filmé deux policiers qui se sont présentés à son domicile et l’ont accusée de «permettre» à sa fille de jouer chez un ami, un acte qu’ils jugeaient au mépris de l’ordonnance «Rester à la maison» du Wisconsin.
Les policiers sont clairement agités et condescendants dans leur conversation avec la mère, qui est appelée «Amy» lorsqu'elle ouvre la porte à leur arrivée.
Alors, comment la police a-t-elle su que sa fille était allée jouer dans une autre maison ?
Inutile de dire que quelqu'un l'a snippée.
Et cette prochaine histoire est vraiment bizarre. Une femme du Colorado nommée Heather Silchia a été profondément alarmée lorsqu'elle a découvert que ses «voisins» avaient mis une note vraiment désagréable sur son véhicule…
La missive disait: «VEUILLEZ RESTER À LA MAISON. J'ai remarqué quelques jours par semaine que vous quittiez la maison avec votre bébé et que vous reveniez un peu plus tard sans lui. Ensuite, je vois l'homme de la maison arriver avec le bébé plus tard dans l'après-midi alors que votre véhicule n'a pas bougé toute la journée. Cela m'amène à croire que l'enfant est en garderie. »
La lettre a poursuivi: «Arrêtez. Je suppose que l'homme a un travail essentiel puisqu'il est parti toute la journée, mais si vous êtes à la maison, il n'y a aucune raison pour que votre enfant soit à la garderie à un moment comme celui-ci. Je vous vois également partir peu de temps après que votre mari (je suppose) soit rentré chez lui. Vous ne portez aucun uniforme et je ne vous ai jamais vu porter de masque. Les bars sont fermés et vous ne pourriez peut-être pas faire vos courses tous les soirs (ce qui vous obligerait également à porter un masque), je vous demande donc à nouveau de bien vouloir rester à la maison. "
Eh bien, il s'avère que Heather Silchia est en fait une répartitrice du 911, et c'est pourquoi elle ne peut pas regarder son bébé toute la journée.
Et nous devrions être reconnaissants pour les travailleurs de première ligne comme elle, car ils sont tellement nécessaires pendant une période comme celle-ci.
Malheureusement, les exemples que je viens de partager avec vous ne sont pas des incidents isolés. En fait, il a été révélé qu'il y a des centaines de personnes qui ont sniffé leurs voisins dans le seul état du Missouri…
RépondreSupprimerDes centaines de personnes ont été dénoncées pour avoir dénoncé des personnes qui ont bafoué les règles de distanciation sociale et certaines ont maintenant peur de recevoir une réaction brutale. Les noms et adresses d'environ 900 personnes dans le Missouri ont été divulgués dans le cadre d'une demande des médias en vertu de la loi Sunshine, qui permet la divulgation d'informations soumises à un organisme public (à l'exception des actes répréhensibles et des abus).
Le comté de St. Louis avait exhorté la communauté à partager les détails de toute personne ne suivant pas les directives en réponse à la pandémie de coronavirus et a noté dans les termes et conditions que les informations peuvent être partagées publiquement. Cependant, certaines personnes n'ont peut-être pas lu les conseils soumis en petits caractères via un formulaire en ligne et par courrier électronique à partir de la fin du mois de mars. Beaucoup avaient demandé que leurs communications restent privées.
Si les choses sont si mauvaises au Missouri, on ne peut qu'imaginer le niveau de snitching qui se passe à New York ou en Californie.
Et même si certains États commencent à lever progressivement leurs ordres de «refuge sur place», la vérité est que notre société va faire face à la «distanciation sociale» pendant longtemps encore. En fait, la façon dont nous partageons plusieurs de nos espaces publics risque d'être redéfinie en permanence…
De nouveaux designs pour les lieux de restauration. McDonald’s est déjà en train de prototyper une version socialement distanciée de son restaurant qui pourrait être un modèle pour les espaces de restauration rapide à travers le monde.
Des grilles en damier sur l'herbe dans les parcs, les gens ne pouvant occuper une case que si ceux qui l'entourent sont vides.
Ou le partage de temps des lieux publics: si vous ne vous présentez pas pour votre 12h15 fente au terrain de jeu, vous n'avez pas de chance.
Vous plaisantez j'espère?
Bien sûr, les vifs auront une journée sur le terrain dans ce genre d'environnement. Si vous vous asseyez trop près d'un vif d'or à l'église ou si vous marchez trop près derrière un vif d'or sur le trottoir, vous pourriez vous retrouver à expliquer vos actions à la police.
Et ce qui est vraiment tragique, c'est qu'aucune de ces bêtises n'est même nécessaire. Veuillez prendre deux minutes et demie et regarder cette vidéo du Dr Eric Berg. C'est la vidéo la plus importante sur cette pandémie que j'ai regardée de loin.
Après avoir regardé la vidéo, je pense que vous comprendrez pourquoi tous les verrouillages de coronavirus doivent être arrêtés dès que possible.
Oui, ce virus se propage incroyablement facilement. Mais beaucoup de gens qui l'attrapent ne présentent aucun symptôme du tout, et il est devenu clair qu'il y a des choses que nous pouvons faire pour ceux qui tombent malades afin de prévenir de nombreux cas vraiment graves.
Malheureusement, les médias grand public ne vous diront pas la vérité. Au lieu de cela, ils vont juste continuer à vous dire que les prévisions du nombre de morts augmentent et que tout le monde devrait continuer à rester à la maison.
RépondreSupprimerÉcoutez, la réalité est que la majeure partie de la population finira par être exposée à ce virus, que nous ayons ou non des verrouillages. Il est donc très important de prendre vos vitamines et de faire tout ce que vous pouvez pour soutenir votre système immunitaire. Et il est également très important de comprendre que ce n'est même pas proche de la pire chose à laquelle nous allons faire face.
Si nous ne pouvons même pas gérer COVID-19, et si les médias grand public ne partagent même pas la vérité lorsque les études scientifiques montrent des résultats absolument incroyables, qu'arrivera-t-il à notre société lorsqu'une crise vraiment grave se produira ?
https://www.zerohedge.com/economics/america-has-become-land-snitches-during-coronavirus-pandemic
PATRICK CHESNAIS EST GUÉRI: «C’EST UNE VÉRITABLE SALOPERIE!»
RépondreSupprimerL'acteur était atteint de la maladie du coronavirus. Il a donné des détails sur sa convalescence.
«Je n’ai jamais connu ça de ma vie. Une telle fatigue, une telle lutte avec une espèce de bête à l’intérieur de soi, que j’appelais Alien», a décrit Patrick Chesnais.
LEMATIN.CH
06.05.2020, 16h56
Patrick Chesnais se remet de la maladie du coronavirus, qu'il avait contractée mais dont il est guéri... ou presque. L'acteur est en effet en convalescence, et il ne mâche pas ses mots face à la maladie qui l'a affecté.
«C’est une véritable saloperie! Je n’ai jamais connu ça de ma vie. Une telle fatigue, une telle lutte avec une espèce de bête à l’intérieur de soi, que j’appelais Alien. Un jour il me lâchait, et le lendemain, il remettait ça avec une violence inouïe. Moi, ça a duré presque un mois! Je ne tenais pas debout, c’était terrible! C’est comme un animal qui vous veut du mal. On a l’impression qu’il veut vous détruire. Je marchais 20 mètres dans le jardin, et j’étais obligé de m’allonger à cause de la fièvre», a-t-il dévoilé à «Nice Matin».
«Remonter la pente»
Pourtant, l'acteur assure avoir contracté une forme intermédiaire du virus, entre celle qui fait «très peu souffrir» et «les autres, très graves».
L'heure est donc maintenant à la convalescence, «remonter la pente», comme l'explique le comédien. «Ce qui demande un certain temps. Et la convalescence dure. Il y a des jours où ça va, et d'autres non», confie-t-il, ajoutant qu'il a «perdu beaucoup de gens» des suites du virus.
Cover Media
https://www.lematin.ch/people/patrick-chesnais-gueri-c-veritable-saloperie/story/11767846
L’ambassadeur en Chine avait-il alerté Macron sur le coronavirus dès décembre ? Le Quai d’Orsay répond
RépondreSupprimer23:27 06.05.2020
Alors que Le Canard enchaîné affirme que l’Élysée et le Quai d’Orsay auraient été prévenus de l’imminence d’une épidémie dès décembre, le ministère des Affaires étrangères dément l’information.
Le ministère des Affaires étrangères affirme que la France n’a été prévenue de l’apparition d’un nouveau coronavirus en Chine que le 31 décembre.
Une version qui va à l’encontre de celle présentée par Le Canard enchaîné, qui assure pour sa part que l’ambassadeur français à Pékin Laurent Bili avait alerté le ministre Jean-Yves Le Drian et le Président Emmanuel Macron dans le courant du mois de décembre.
Suite à l’apparition de ces affirmations, la diplomatie déclare que les informations sont remontées depuis le consulat de France à Wuhan jusqu’aux bureaux du Quai d’Orsay, mais qu’en aucun cas le Président n’a été directement saisi, comme le laissait entendre l’hebdomadaire satirique.
«Dès que les autorités de Wuhan ont annoncé la nouvelle pneumopathie le 31 décembre 2019, le consul général à Wuhan a alerté, le jour même, le Centre de crise et de soutien du ministère et l'ambassade» à Pékin, précise le Quai d’Orsay.
Des échanges réguliers à partir de janvier
Selon le ministère des Affaires étrangères, les échanges entre ses services et le consulat de Wuhan n’ont commencé à s’intensifier que début janvier lorsque la situation a commencé à s’aggraver en Chine. Le Quai d’Orsay rappelle qu’au 5 janvier les autorités chinoises ne faisaient encore état que de 59 personnes contaminées, dont sept dans un état grave.
S’appuyant sur les données fournies par le consulat de Wuhan, le ministère des Affaires étrangères affirme avoir alors procédé à «plusieurs actualisations de la fiche des Conseils aux voyageurs», à destination des personnes souhaitant se rendre sur place.
Face aux allégations du Canard enchaîné, affirmant que les autorités n’avaient pas tout de suite organisé le rapatriement des ressortissants français, le Quai d’Orsay répond que la question a été étudiée à partir du confinement généralisée de la ville de Wuhan. Les opérations de rapatriement se sont alors mises en place «dans un délai très rapide», souligne le ministère.
Plus de 300 personnes sont alors revenues de Chine en France et ont été placées en quarantaine de 14 jours, rappelle l’AFP.
https://fr.sputniknews.com/france/202005061043733952-lambassadeur-en-chine-avait-il-alerte-macron-sur-le-coronavirus-des-decembre-le-quai-dorsay-repond/
Des chercheurs prévoient des décès massifs dus à la tuberculose après la quarantaine
RépondreSupprimer22:42 06.05.2020
Selon des chercheurs, la pandémie de coronavirus a provoqué la négligence des autres problèmes et maladies, y compris les patients avec la tuberculose, qui pourrait provoquer de nombreux décès après la pandémie de Covid-19, informe le quotidien britannique Guardian.
Au moins 1,4 million de personnes pourraient mourir de tuberculose à cause des mesures de quarantaine imposées pour lutter contre la pandémie de coronavirus, selon une prédiction faite par les chercheurs de Stop TB Partnership, de l’Imperial College London et de l'université Johns-Hopkins, fait savoir le journal britannique Guardian.
Il souligne qu’alors que la pandémie de Covid-19 a frappé le monde, les autres problèmes, y compris le dépistage et traitement des malades avec la tuberculose, ont été négligés.
Entre 2020 et 2025, 6,3 millions de personnes pourraient développer la tuberculose et plus d'un million d'autres en mourir, indiquent les scientifiques. Selon eux, la pandémie mettrait la situation aux chiffres d'il y a cinq ou huit ans.
«Le fait est que nous reviendrons aux chiffres de 2013 et les gens en mourront», a déclaré la directrice exécutive de Stop TB Partnership, Lucica Ditiu.
Elle a ajouté qu'en 100 ans seulement deux ou trois vaccins avaient commencé à être mis au point contre la tuberculose, tandis que plus d'une centaine de vaccins étaient en cours de mise au point contre l'infection par le coronavirus, alors que seulement 120 jours s'étaient passés depuis le début de l'épidémie.
Lucica Ditiu a également rappelé que l'humanité n'avait jamais inventé de médicaments contre le VIH, la malaria et d'autres maladies.
Le média britannique a précisé que plus de 1,5 million de personnes mourraient chaque année de la tuberculose, ce qui est plus que n'importe quelle autre maladie infectieuse.
Pandémie de Covid-19
L'Organisation mondiale de la santé a reconnu le 11 mars la propagation du nouveau type de coronavirus comme pandémique. Selon les derniers chiffres, plus de 3,7 millions de personnes ont été infectées dans le monde avec plus de 260.288 décès des suites du Covid-19.
https://fr.sputniknews.com/sante/202005061043733803-des-chercheurs-prevoient-des-deces-massifs-dus-a-la-tuberculose-apres-la-quarantaine/
RépondreSupprimerPrès de 1,5 million de décès supplémentaires dus à la tuberculose sont attendus en raison des blocages du coronavirus
par Tyler Durden
Mer, 05/06/2020 - 20:05
Depuis que l'épidémie de coronavirus a forcé les médecins et les hôpitaux du monde entier à retarder la plupart des autres soins médicaux pour se concentrer à 100% sur la lutte contre l'épidémie, des défaillances dans les routines de vaccination ont conduit à la réapparition de maladies comme la polio et la rougeole. Alarmé par cette tendance, un médecin des urgences et survivant d'un coronavirus dans le Bronx a averti que les États-Unis pourraient tout aussi bien mettre fin à leurs blocages de coronavirus en raison de la vague imminente de problèmes de santé auxiliaires.
Et maintenant, le Guardian, une publication d'extrême gauche qui a poussé à des fermetures prolongées, rapporte même que les cas de tuberculose dans le monde devraient augmenter.
On prévoit que jusqu'à 6,3 millions de personnes supplémentaires développeront la tuberculose d'ici 2025 et 1,4 million de personnes supplémentaires devraient mourir à mesure que les cas ne sont pas diagnostiqués et ne sont pas traités pendant le verrouillage. Cela retardera les efforts mondiaux pour mettre fin à la tuberculose de cinq à huit ans.
"Le fait que nous soyons revenus aux chiffres de 2013 et que tant de personnes meurent, cela me rend malade", a déclaré Lucica Ditiu, directrice exécutive du partenariat Stop TB. «Je suis indigné que le simple fait de ne pas être en mesure de contrôler ce que nous faisons ... et d’oublier les programmes qui existent nous fait tant perdre, à commencer par la perte de la vie des gens.
Il n'y a pas de vaccin antituberculeux pour les adultes, seulement pour les enfants. Certains spécialistes de la tuberculose ont pris ombrage à la réalité qu'il y a tellement de candidats vaccins en préparation pour COVID-19, alors que les vaccins antituberculeux pour adultes dont on a désespérément besoin ne peuvent pas obtenir de financement parce qu'ils ne seraient tout simplement pas rentables.
"Je dois dire que nous regardons la communauté de la tuberculose d'une manière perplexe parce que la tuberculose existe depuis des milliers d'années", a déclaré Ditiu. "Pendant 100 ans, nous avons eu un vaccin et nous avons deux ou trois vaccins potentiels dans le Nous avons besoin d'environ un demi-milliard [de personnes] pour recevoir le vaccin d'ici 2027 et nous regardons avec étonnement une maladie qui… a 120 jours et qui compte 100 candidats vaccins en préparation. Je pense donc que ce monde, désolé pour mon Le français est vraiment foutu ", a-t-elle dit.
"La crainte que nous avons dans la communauté est que les chercheurs se dirigent vers le développement d'un vaccin contre Covid. C'est à l'ordre du jour de tout le monde maintenant et très peu restent concentrés sur les autres [maladies]. Nous n'avons pas de vaccin contre la tuberculose, nous n'avons pas de vaccin contre le VIH, nous n'avons pas de vaccin contre le paludisme et de tout cela, la tuberculose est la plus ancienne. Alors pourquoi cette réaction? Je pense parce que nous sommes un monde d'idiots. Que puis-je dire ? "
Les données ont été publiées mercredi; ils sont basés sur un verrouillage de trois mois et une période de 10 mois de restauration des services après la levée du verrouillage.La recherche a été commandée par le partenariat Stop TB, en collaboration avec l'Imperial College de Londres, Avenir Health et - obtenez ceci - l'Université Johns Hopkins ( qui aide à suivre l'épidémie mondiale et à mener des recherches).
La tuberculose tue 1,5 million de personnes par an, plus que toute autre maladie infectieuse.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/nearly-15-million-more-tuberculosis-deaths-expected-due-coronavirus-lockdowns
L'ARNAQUE DES FAUX MASQUES ANTIVIRUS PROPOSEES GRANDES SURFACES
RépondreSupprimerCoronavirus : ce que révèle la polémique sur les masques
Comment se fait-il qu’un élan d’amour, de respect et de compassion envers les soignants se transforme en haine envers les supermarchés ?
Par Philippe Silberzahn.
7 MAI 2020
Alors que les masques sont désormais disponibles en grand nombre dans la grande distribution, une polémique fait rage, alimentée par des professionnels de santé et des élus qui s’étonnent que les soignants en manquent toujours. Comme souvent, une vive émotion révèle des modèles mentaux profonds, reflets de notre identité nationale et de la façon dont nous voyons le monde. Cette polémique est particulièrement instructive en la matière.
Serons-nous capables de nous en extraire ?
Je ne peux en effet m’empêcher d’y penser en observant la polémique actuelle sur les masques désormais disponibles à la vente dans les grandes surfaces.
LE MARCHÉ AU BANC DES ACCUSÉS
Cela fait des mois que nous attendons ces masques, des mois que les soignants en manquent, que la population est laissée sans protection. Finalement, la grande distribution réussit à s’en procurer pour les rendre largement disponibles à tous. Et au lieu de s’en réjouir « Enfin des masques pour protéger toute la population, et pas seulement ceux qui ont des amis bien placés » que fait-on ? On attaque la grande distribution ! On la menace de poursuite au pénal. On parle de profiteurs en période de guerre.
Bien sûr, nous ne serions pas humains si nous n’étions pas scandalisés en voyant des soignants n’ayant pas de masques, et pour le moins étonnés qu’il puisse y en avoir dans les supermarchés alors que les hôpitaux en manquent. Mais comment se fait-il qu’un élan d’amour, de respect et de compassion envers les soignants se transforme en haine envers les supermarchés ?
Comme très souvent, les réactions très vives à une situation traduisent des modèles mentaux sous-jacents, c’est-à-dire des croyances très fortes sur la façon dont nous voyons le monde. Au-delà de ce qui nous fait choisir la haine plutôt que la joie, nous pouvons en identifier quelques-uns :
ACCUSER LES SUPERMARCHÉS
Au lieu de nous demander quelles sont les leçons à tirer du fait que les supermarchés parviennent à se procurer des masques alors que l’État échoue à le faire depuis deux mois, nous préférons accuser les grandes surfaces. Nous tirons sur ce qui fonctionne au lieu d’interroger ce qui ne fonctionne pas.
Ne devrions-nous pas au contraire profiter de ce bel exemple pour nous demander pourquoi l’État est incapable d’équiper ses fonctionnaires, soignants et policiers ? Pourquoi cet État qui depuis des semaines nous explique que les masques sont inutiles reproche maintenant à la grande distribution d’en avoir ?
CRITIQUER LES MARCHANDS
Cette hostilité sourde est très fortement présente en France. Le marchand c’est le profiteur, celui qui se moque de la morale. Pendant de ce modèle, une confiance très forte en l’État, acteur neutre agissant dans l’intérêt de tous. C’est pour cela que depuis le début de l’épidémie tout le monde a accepté sans discussion que l’État ait le monopole de l’achat et de la distribution des masques, en interdisant la vente au secteur privé. Nous avons vu le résultat. Aucun masque disponible : les Français peuvent mourir, les principes sont saufs.
Alors parlons morale : est-il immoral que la grande distribution vende des masques alors que les soignants en manquent ?
RépondreSupprimerLa question se pose, mais peut-être pouvons-nous la reformuler ainsi : est-il immoral que la grande distribution vende des masques à la population et réussisse ainsi à la protéger alors que l’État en est incapable depuis des semaines ? Nous pouvons en douter. Qu’on le veuille ou non, nous devrons à la grande distribution d’être protégés, pas à l’État.
C’est de cela qu’il faut tirer les leçons, pas nécessairement en assurant que « l’État ce n’est pas bien et le privé c’est bien », car l’hôpital public a très bien géré l’épidémie ; mais plutôt en nous demandant « qu’est-ce qui explique que l’État ait failli à une tâche aussi importante que celle de protéger les fonctionnaires en première ligne mais aussi sa propre population, alors que c’est son devoir premier ? »
Comment se fait-il que cette question n’intéresse pas les professeurs de morale ?
TROUVER UN COUPABLE
Nous détestons les chèvres de nos voisins et nous pensons que ce que gagnent les uns est volé à d’autres. Si la grande distribution a des masques, ceux-ci sont volés aux soignants. On parle de stocks cachés ! On veut absolument un coupable à une situation jugée inacceptable, et on va bientôt évoquer les koulaks ! On s’indigne des prix pratiqués, oubliant que les masques sont acheminés par avion alors qu’en temps normal ils le sont par bateau.
Comme le disait pourtant Michel-Édouard Leclerc à ce sujet : nous nous sommes organisés pour trouver des masques, puis nous les avons mis en vente. Bref, il a fait son métier, à la manière des marchands, sans tambour, ni trompette, ni point-presse quotidien visant à mentir aux Français et cacher ses insuffisances. Ses clients ont besoin de masques.
Dès que l’État cesse de lui en interdire la vente et lui demande même de le faire, il s’en procure, et les vend à ses clients. C’est un exploit humain, technique, logistique et commercial dans un contexte où le monde entier se bat pour en obtenir. Et il devrait s’excuser ?
ACCUEILLIR ET FÊTER LES BONNES NOUVELLES
Pourquoi ne pas célébrer cette nouvelle pour ce qu’elle est, c’est-à-dire une belle réussite qui protégera nos concitoyens ?
Pourquoi ne sommes-nous pas capables d’être simplement heureux de ce qui est objectivement une bonne nouvelle ?
Pourquoi ne sommes-nous pas capables de célébrer une réussite française, celle de son industrie et de ses acteurs économiques dont j’observe chaque jour l’incroyable énergie pour continuer à faire tourner la boutique malgré des conditions épouvantables ?
Pourquoi ne faisons-nous pas des héros de ceux qui ont rendu cela possible, leurs dirigeants et leurs collaborateurs qui ont travaillé comme des forcenés pour arriver à ce résultat, comme nous avons fait des héros de nos soignants durant des semaines, et à juste titre ? Pourquoi « ou » et pas « et » ?
Alors soyons fiers de nos entrepreneurs, de la grande distribution, de notre industrie et de ceux qui y travaillent, soyons-mêmes – Ô pensée hardie en France- fiers de nos marchands, comme nous sommes fiers de nos soignants.
Suggérons à l’État, dont nous sommes il faut bien le reconnaître, un peu moins fiers, d’admettre son incapacité à résoudre le problème, de lâcher la bride au secteur médical et de laisser les hôpitaux commander des masques aux supermarchés de leur région, et tout sera réglé en deux semaines.
RépondreSupprimerNous pourrons alors tous clouer le bec aux professeurs de vertu, aux mouches du coche et aux ectoplasmes, et nous retrouver le 14 juillet pour célébrer cette belle réussite de l’intelligence et de la fraternité, à la française car tel est, malgré tout et malgré les chèvres, notre véritable caractère. Chiche ?
https://www.contrepoints.org/2020/05/07/370796-coronavirus-ce-que-revele-la-polemique-sur-les-masques
SupprimerAprès l'hilarante situation d'un chef d'État portant une toile de jeans (teinte en noir comme Zorro) en guise de masque anti-virus, expliquant sans doute comment braquer une banque en se faisant passer pour le GIGN, voici que les supermarchés du gaspillage proposent des anti-poussière aux client(e)s !
Autant conseiller de mettre un grillage dans l'eau d'un fleuve pour l'empêcher de passer !!
Rappel qu'un virus c'est 1 micron (1 millième de millimètre) et que les masques non FFP2 sont de vulgaires saloperies de 100 ou 200 microns pour que les virus puissent passer à 100 ou 200 à la fois !
Masques : l’engrenage infernal du mensonge politique
RépondreSupprimerPassage en revue de trois mois de déni et d’errements pendant lesquels les masques furent qualifiés d’inutiles jusqu’à devenir obligatoires.
6 MAI 2020
Par Paul Zeppenfeld.
Le masque a servi de révélateur des maux d’une technocratie à la fois omniprésente et impotente, incapable de faire sauter ses verrous règlementaires face à l’urgence sanitaire et poussant l’infantilisation à son paroxysme.
Passage en revue de trois mois de déni et d’errements pendant lesquels le masque fut qualifié d’inutile jusqu’à devenir obligatoire.
Avec l’émergence du Covid-19, un virus transmissible entre humains d’une contagiosité supérieure à celle de la grippe, la prévention est très naturellement et assez rapidement devenue un sujet central dans les médias et dans l’esprit de tous. Dès le milieu du mois de janvier on savait avec certitude que le coronavirus se transmettait par voie respiratoire, par les postillons et mini-gouttelettes. Le confinement individuel de la face par le biais d’un masque apparaissait comme le dispositif de protection le plus évident.
D’ailleurs, fin janvier on entendait des médecins sur les plateaux TV affirmer sans ambages que le port du masque était un très bon moyen pour éviter la diffusion d’un virus respiratoire, comme d’ailleurs nous le montraient les reportages de Chine, de Taïwan ou de Corée, présentant l’ensemble de la population munie d’un masque chirurgical.
Le 22 janvier, le Dr. Salomon, directeur général de la Santé, indiquait que porter un masque et éviter les contacts permettait de diminuer le risque contagieux.
Le 24 janvier le ministère de la Santé conseillait même dans un tweet de porter un masque chirurgical pour aller travailler !
Le 26 janvier, Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, se voulait rassurante en indiquant qu’en cas d’épidémie il n’y aurait pas de pénurie de masques, car tout avait été programmé, des dizaines de millions de masques étaient en stock, après avoir toutefois rappelé que le risque d’introduction du virus en France était faible…
Et pourtant le 27 janvier une première commande de masques était passée par le ministère.
Nous étions donc rassurés, alors que la France venait d’enregistrer son premier cas de Covid-19.
L’ENGRENAGE INFERNAL DU MENSONGE, SOUTENU PAR UNE COMMUNICATION SCABREUSE
Face à l’urgence sanitaire, les premiers cris d’alarme des soignants en milieu hospitalier se sont fait entendre ; en plus du manque de charlottes, de surblouses, de lits et équipements de réanimation, ils se sont plaints d’un manque criant de masques ; ils ont été suivis par les médecins de ville et les directions des EPHAD. Très vite, les réactions se sont enchaînées de la part de plusieurs syndicats et fédérations de professionnels de santé, parlant d’un scandale d’État conduisant à envoyer des soignants à l’abattoir sans aucune protection.
Ce personnel de santé en première ligne a d’ailleurs payé un lourd tribut avec le décès de plusieurs médecins libéraux et plus de 4000 professionnels de santé contaminés rien qu’au sein de l’AP- HP.
Le 3 mars, Olivier Véran, nouveau ministre de la Santé confirma l’ordre de grandeur de l’évaluation des stocks de masques faite par Agnès Buzyn fin janvier, soit 150 millions, mais début mars les circonstances avaient changé : avec l’afflux de malades, les soignants commençaient à subir la pénurie et les Français comprenaient que nous étions en train reproduire la courbe italienne avec simplement quelques jours de décalage. Les déclarations du ministre sonnaient comme un premier aveu de la négligence des autorités.
RépondreSupprimerBis repetita le 17 mars 2020, lorsqu’Olivier Véran estima cette fois-ci à 110 millions de masques les stocks de l’État.
MAIS ALORS, QUID DU RÉAPPROVISIONNEMENT DEPUIS FIN JANVIER ?
Entretemps, pour faire diversion ou pour tenter de se dédouaner, on assista à un grand classique du débat politique français : le rejet de sa responsabilité sur la mandature précédente. La grande presse nationale qui fait son miel des petites querelles politiciennes lança la machine à remonter le temps pour dénicher les vrais coupables de la dilapidation d’un stock de plus d’un milliard de masques en 2012.
Certes, cela permit de comprendre que la gestion des masques avait été délocalisée pour se perdre dans les méandres de la bureaucratie hospitalière, mais surtout que le réapprovisionnement n’avait pas été jugé opportun, y compris face à l’épidémie d’Ebola de 2014-2016.
Ce débat stérile sur les causes lointaines de la pénurie n’allait pas suffire à masquer le fiasco dans la gestion actuelle de l’approvisionnement : presque deux mois après les premières constatations sur l’état des stocks, les hôpitaux comme les médecins de ville subissaient encore et toujours la même tension sur les équipements et se réjouissaient de recevoir des dons de matériels de protection de leurs propres patients et de l’étranger.
Les autorités, quant à elles, répétaient inlassablement le même discours faussement rassurant et dilatoire sur les commandes en cours dont l’arrivée était annoncée comme imminente semaine après semaine. Alors que l’on constatait que le port du masque était généralisé à l’ensemble des populations dans toute l’Asie, qu’au Maroc le masque était vendu en supermarché et qu’en Grèce il était livré avec le journal du matin…
Mais face à la colère de plus en plus vive du monde médical et des citoyens ayant vu basculer leur vie ou celle de leurs proches, notre technocratie n’a qu’une obsession : relativiser par tous les moyens l’intérêt du port du masque pour se soustraire à ses responsabilités et se couvrir devant la perspective des enquêtes et des procédures judiciaires à venir.
On assista donc, contraint et forcé, à un florilège gouvernemental de mensonges et de défausses pour instiller le doute sur une vérité pourtant limpide et admise dans le monde entier : le masque protège d’une contagion par voie respiratoire. À l’aide d’explications et d’illustrations extrêmement simples, la plupart des Français avaient compris que le masque était bien le geste barrière le plus efficace.
Mais qu’à cela ne tienne, l’infantilisation a été menée à son paroxysme : on a donc tenté de nous faire croire que le masque n’était utile que pour les soignants, puisqu’ils étaient en contact direct avec les porteurs de virus, faisant fi de tout bon sens. Et pour mieux nous faire oublier le masque, il ne fut jamais incorporé aux gestes barrières pourtant martelés avec constance.
Dans le même esprit la porte-parole du gouvernement affirmait sans rire ne pas savoir utiliser un masque, une manipulation qui ne pouvait donc être réservée qu’aux experts, puis déclara même le 17 mars que le masque n’était pas nécessaire si l’on n’était pas malade, justifiant ainsi le fait qu’ils n’étaient pas disponibles en pharmacie.
RépondreSupprimerIl est vrai qu’entretemps, le 13 mars, le Premier ministre Édouard Philippe prit un décret de réquisition des stocks et de la production de masques, répétant encore qu’en porter un dans la vie courante ne servait à rien, suivant ainsi « l’avis des médecins et des scientifiques »… alors que depuis des semaines, la direction générale de la Santé (DGS) et les experts médicaux soulignaient qu’une personne asymptomatique pouvait elle-même être contagieuse !
Et Emmanuel Macron enfonça le clou dans une interview au journal Le Point le 16 mars en laissant entendre que les masques ne servaient à rien pour se protéger !
La caution scientifique a été utilisée tout au long de la phase de déni pour valider la tenue des élections municipales comme pour fixer la date du déconfinement. En réalité le gouvernement n’a jamais été transparent sur la teneur exacte des avis du Conseil scientifique, soit en faisant une interprétation très personnelle à l’occasion des élections, soit en tardant à rendre public le détail des recommandations du Conseil. On a pu observer la même duplicité des autorités devant les décisions de l’OMS, ne manquant pas de relayer sa position timorée sur le port du masque, mais s’abstenant de vanter les recommandations sanitaires plus protectrices de l’organisation internationale.
LE MASQUE, RÉVÉLATEUR DE L’INCURIE D’UNE TECHNOCRATIE OMNIPRÉSENTE MAIS IMPOTENTE
À l’évidence la politique budgétaire de la dernière décennie privilégiant les flux par rapport aux stocks a entraîné un assèchement des réserves de masques, mais ce reproche de gestion comptable comme celui de la désindustrialisation sert souvent d’excuse à la véritable impéritie de cette bureaucratie.
Certes, la forte demande tous azimuts a mis le marché du masque sous tension et augmenté ses prix, mais les filières d’importation ont en vérité fonctionné à plein régime comme le montrent les acheminements effectués vers certains pays pendant toute la période.
Le décret de réquisition du 13 mars a constitué un véritable goulot d’étranglement. L’État a confisqué les stocks et interdit la vente des masques, mettant un coup d’arrêt aux importations habituelles réalisées par les centrales d’achat, et provoquant ainsi une pénurie.
Dans un souci de contrôle de l’approvisionnement des hôpitaux, l’État et ses annexes médicales ont bien tenté de prendre le relais, mais en faisant preuve d’un excès de confiance et en mésestimant le contexte économique et ses capacités de négociation. En comparaison, la stratégie allemande a misé avec succès sur l’intervention de la centrale d’achat de l’armée, une entité en lien direct avec les décideurs industriels et politiques chinois et dont le processus de négociation a été facilité par la qualité des liens entre fournisseurs allemands de machine-outil et clients chinois.
En réalité le masque a servi de révélateur des maux d’une technocratie à la fois omniprésente et impotente, incapable de faire sauter ses verrous règlementaires face à l’urgence sanitaire, comme le paiement de ses fournisseurs par mandat administratif à 90 jours.
Mais non content de son échec à équiper ne serait-ce que le personnel médical et les EPHAD, il a fallu qu’elle pénalise les initiatives individuelles de ceux qui avait la possibilité de suppléer à ses défaillances : c’est ainsi que les pharmaciens avaient obligation de décliner les offres d’approvisionnement de leur centrale d’achat !
RépondreSupprimerAprès tant de blocages règlementaires et d’atermoiements fautifs, la position de nos élites sur le port du masque a fini par s’assouplir, mais une fois de plus, c’est en attribuant ce changement de doctrine aux experts et scientifiques, qui auraient prétendument évolué en faveur du port du masque. Passé le déni, le temps n’était toutefois pas encore à l’aveu puisqu’ils continuèrent à prétendre que la mesure la plus efficace restait la distanciation et à se cacher derrière l’absence de consensus scientifique entre une Académie de médecine favorable au masque et une OMS dont les tergiversations n’ont d’égale que celle de notre exécutif.
Le 7 avril, Olivier Véran n’excluait plus le port du masque à l’ensemble de la population, le 13 avril Emmanuel Macron promettait un « masque grand public » à chaque Français. Après avoir organisé la pénurie, le gouvernement a fini par annoncer fin avril, non sans circonvolutions, que le port du masque était recommandé et qu’il deviendrait obligatoire dans les transports et en milieu scolaire après le déconfinement !
Trois mois de déni et d’imbroglio administratif qui seraient risibles s’il ne s’était pas agi de santé publique et accessoirement de l’image de la France.
Ce n’est qu’à l’approche de la date du déconfinement, fixée au 11 mai, qu’enfin les pharmacies étaient à nouveau autorisées à vendre des masques et que la grande distribution annonçait à grand renfort médiatique l’arrivée en grande surface de plusieurs centaines de millions masques à partir de 4 mai, provoquant la colère d’élus locaux, toujours en attente de masques commandés auprès des Agences Régionales de Santé (ARS).
Ces élus locaux, vexés d’avoir dû subir les affres de la pénurie, n’ont rien trouvé de mieux que d’accuser la grande distribution d’avoir stocké les précieux équipements malgré la réquisition, et donc d’avoir empêché l’État de se fournir. Et une grande distribution qui indique avoir passé commande sur sollicitation de l’État… Des acteurs privés réactifs et maîtrisant les filières d’importation versus une bureaucratie impotente et bouffie de suffisance.
https://www.contrepoints.org/2020/05/06/370904-masques-lengrenage-infernal-du-mensonge-politique
Supprimer(...) Et Emmanuel Macron enfonça le clou dans une interview au journal Le Point le 16 mars en laissant entendre que les masques ne servaient à rien pour se protéger ! (...)
Le masque noir porté en école n'était là que pour faire peur aux enfants !
RépondreSupprimerLa PPE ignore que la France n’est plus une nation industrielle
La France n’est plus une nation industrielle, et il faut l’expliquer aux rédacteurs de la Programmation pluriannuelle de l’énergie.
6 MAI 2020
Par Michel Negynas.
Parmi les conclusions des nombreux dysfonctionnements mis en évidence par la pandémie en France, on découvre un fonctionnement obsolète de l’administration sanitaire, en contraste avec le dévouement et la compétence du personnel de terrain. Mais l’autre constat, ou plutôt confirmation de ce que l’on savait déjà, est que la France n’est plus une nation industrielle, et donc n’a plus grand-chose comme souveraineté nationale.
Tous les experts le savaient, mais il semble que depuis l’assassinat politique de Michel Rocard et le parcours obligé Sciences Po/ENA de nos grands serviteurs de l’État, seuls les décideurs l’ignoraient, ou même le souhaitaient.
ON VA DONC RÉINDUSTRIALISER LA FRANCE. AH BON ?
Alors, il faut l’expliquer aux rédacteurs de la PPE (Programmation pluriannuelle de l’énergie) et à nos élus, qui viennent de voter le décret d’application.
Le texte de la PPE est un texte de 397 pages, qui prévoit la vie des Français dans ses moindres détails sans s’occuper vraiment de leurs aspiration, ni même de la faisabilité des objectifs, décrits avec un luxe de quantification débridé.
Mais qu’on se rassure : la PPE a fait l’objet de consultations… qui n’ont tenu aucun compte des vrais experts, voir mes précédents articles. Et tout a été modélisé, je cite :
« Encadré 2: Les scénarios utilisés pour modéliser la demande
Le scénario énergétique du Ministère de la Transition Écologique et Solidaire (MTES) considéré comme le plus probable dans les travaux de la PPE correspond au scénario « Avec mesures supplémentaires » de la SNBC pour la période qui est la sienne. Il sera mentionné comme « Scénario de référence ». Dans le cadre de la PPE, les paramètres macro-économiques que sont le PIB, la croissance démographique et le prix des énergies sont modifiés pour fournir des ordres de grandeur d’efforts supplémentaires qui devraient être faits pour tenir les objectifs de politique publique en cas de situation économique différente.
Les projections ont été réalisées à l’horizon 2050 avec des points de passage intermédiaire en 2015, 2020, 2025, 2030 et 2050. On en tire les perspectives pour l’horizon de la PPE : 2023 et 2028. Les scénarios sont le fruit de l’articulation de plusieurs modèles. Ils sont réalisés en deux étapes :
Réalisation de modélisations sectorielles technico-économiques. Ces modèles prennent en entrée les données de cadrage macro-économique, les données d’évolution de coût des technologies ainsi que les données associées aux choix de politiques publiques. Une partie des modélisations concernent uniquement des consommations d’énergie :
Dans le secteur des bâtiments, le MTES a recours aux modèles MENFIS pour le résidentiel et le modèle tertiaire du Commissariat général au développement durable (CGDD) ;
Dans le secteur des transports, le modèle MODEV permet de donner des estimations de trafic et des parts de modes de transport. Il est complété par des modélisations sur les parcs de véhicules réalisées par la Direction générale de l’énergie et du climat (DGEC) et la Direction générale des infrastructures de transport et de la mer (DGITM) ;
Dans l’agriculture, le modèle CLIM’AGRI de l’ADEME permet d’obtenir les consommations d’énergie du secteur agricole.
RépondreSupprimerAgrégation des résultats sectoriels énergétiques à l’aide du modèle MEDPRO
Cette étape permet notamment de quantifier les consommations des usages qui seraient absents des modélisations sectorielles comme l’industrie. C’est aussi lors de cette étape que les résultats de modélisation sont repris et corrigés afin de correspondre au périmètre du bilan énergétique de la France. »
- voir cadre sur site -
On est donc vraiment complètement rassuré. Les modèles ont fait leurs preuves (Climat, épidémies…) et là, on met le paquet en enchaînant MENFIS, MODEV, CLIM’AGRI, agrégé par MEDPRO ! La totale ! Sauf que… les modèles ne s’occupent pas de l’industrie !
Mais les modèles ne valent que ce qu’on y met, en particulier les hypothèses principales. Quelles sont- elles ?
Croissance de la population :
- voir cadre sur site -
En gros, cela fait 3,6% ce n’est pas rien… ça fait du monde à occuper…
- voir cadre sur site -
Une croissance un peu faiblarde pour créer des emplois, mais significative quand même. Ou est-elle, cette croissance ?
- voir cadre sur site -
Ben… pas dans l’industrie, qui stagne de 2020 à 2025… (Le texte prévoyait le coronavirus sans doute, ou les rédacteurs ont rectifié d’urgence…) et pas vraiment non plus démente jusqu’à 2030… Mais ce n’est guère étonnant, si l’on en croit les hypothèses :
- voir cadre sur site -
Le pétrole et le gaz grimpent aux molettes…
- voir cadre sur site -
Et la fiscalité n’aidera pas vraiment… on a oublié déjà les gilets et bonnets colorés.
La consommation ne devrait pas trop exploser non plus : ce sera le monde nouveau d’après coronavirus que certains appellent de leurs vœux car il faut lire entre les lignes, je cite :
« Le Plan climat adopté en juillet 2017 donne pour objectif l’atteinte de la neutralité carbone à l’horizon 2050 qui a été inscrit dans la loi du 8 novembre 2019 relative à l’énergie et au climat. La Stratégie nationale bas carbone (SNBC) précise les grandes orientations pour l’atteindre. L’énergie a une place prépondérante au regard des enjeux climatiques : en 2017, la consommation d’énergie représentait 76 % des émissions de gaz à effet de serre françaises. C’est pourquoi le respect de cet objectif dépend de la capacité de la France à :
développer des puits de carbone pour compenser les émissions de gaz à effet de serre non évitables ;
décarboner totalement le secteur de l’énergie en réalisant des efforts très ambitieux d’efficacité énergétique et de sobriété et en remplaçant toutes les énergies fossiles par des énergies n’émettant pas de gaz à effet de serre.
L’enjeu de la PPE est de donner les bonnes incitations pour orienter le système dans cette direction à l’horizon qui est le sien : 2028. Le gouvernement ne parie pas sur un développement massif de technologies non existantes aujourd’hui pour atteindre la neutralité carbone en 2050. Le progrès technologique va jouer un rôle et il est important de le stimuler, mais le système actuel doit s’orienter vers des actions ambitieuses et réalistes sans attendre. »
RépondreSupprimerLe texte lui-même donne des clés pour tout comprendre : à 2030, on décarbonera l’électricité qui l’est déjà, et il ne faut pas trop attendre des miracles technologiques. Les puits de carbone, ça ne représente pas grand-chose, d’après les calculs de l’ADEME elle-même. Il faudra donc des actions « ambitieuses sans attendre »
Qu’est-ce qui reste alors ? La sobriété ! Et la sobriété, c’est 19 degrés partout l’hiver, c’est porter 10 ans les mêmes vêtements, plus d’avions (on voit ce que ça donne en ce moment…)
Pas très bon pour la consommation. Donc difficile dans ces conditions de recréer des bases d’industrialisation sans marché intérieur.
ET POUR L’ÉLECTRICITÉ, ÇA S’ANNONCE MAL !
Par ailleurs, l’étude de l’évolution du mix électrique, inspiré des études du Réseau du transport de l’énergie, RTE, fait toujours l’impasse sur la capacité à fournir la pointe d’hiver les nuits sans vents ; tout au plus, elle se borne à mentionner que dans certains cas, il faudra importer. De quel pays, et avec quelle indépendance ?
En outre, si l’arrêt de 14 réacteurs nucléaires est minutieusement détaillé, le texte dit seulement « qu’il faudra peut être en construire d’autres, en fonction des conditions du réseau. D’ailleurs, les conditions pour engager un nouveau programme nucléaire en découragerait plus d’un. Je cite :
« Les conditions préalables et les travaux nécessaires à une prise de décision
S’agissant du nouveau nucléaire, afin de permettre une prise de décision sur le lancement éventuel d’un programme de construction de nouveaux réacteurs, le Gouvernement conduira avec la filière d’ici mi-2021 un programme de travail complet qui portera notamment sur les points suivants :
la démonstration avec la filière française de sa capacité à maîtriser un programme industriel de nouveaux réacteurs, sur la base d’une hypothèse de travail de 3 paires d’EPR, par la formalisation d’un retour d’expérience consolidé de la mise en service des premiers EPR, notamment Flamanville 3, et de la phase d’ingénierie et de mobilisation industrielle d’Hinkley
Point C, et par un programme de dérisquage du nouveau modèle de réacteur EPR 2 proposé par EDF ;
l’expertise des coûts futurs du nouveau modèle de réacteur EPR 2 proposé par EDF et la comparaison technico-économique du nucléaire avec les autres modes de production d’électricité bas-carbone, prenant en compte l’ensemble des coûts directs et indirects (développement du réseau, coût complet du stockage, gestion des déchets nucléaires, etc.) ;
l’analyse des impacts de la gestion des déchets générés par un nouveau parc, qui sera instruite dans le cadre de l’élaboration du Plan national de gestion des matières et déchets radioactifs (PNGMDR) ;
l’analyse des options envisageables pour le portage et le financement d’un programme de nouveaux réacteurs pour le système électrique français, dont la question du modèle de régulation économique de ces nouveaux réacteurs ;
RépondreSupprimerles actions nécessaires à la validation par la Commission européenne du dispositif de financement et de portage qui aura été retenu ;
les études permettant de choisir les sites d’implantation de nouveaux réacteurs ;
les actions à engager en termes de concertation du public ;
les adaptations du cadre législatif et réglementaire national qui seraient nécessaires à l’engagement d’un programme de nouveaux réacteurs.
Il apparaît également nécessaire d’expertiser, d’ici la prochaine PPE et de manière régulière, les options alternatives pour assurer un mix électrique décarboné et présentant les garanties de sécurité d’approvisionnement nécessaires.
S’agissant des options alternatives, l’État investira dans la recherche sur les batteries, le stockage hydrogène (dans le cadre du Plan hydrogène) et le power-to-gas afin de capitaliser sur le savoir-faire français dans le domaine, faire baisser les coûts et offrir une alternative robuste de mix électrique piloté par des énergies renouvelables non pilotables. »
Je reproduis intégralement ce texte, car il vaut son pesant de cacahuètes. Si on suit ce programme, on ne construire jamais de nouvelles centrales ! Et dire sans plaisanter qu’on va examiner si les énergies intermittentes peuvent être une alternative à 10 ans…
Comme c’est parti, on construira sans doute, à la hâte pour éviter une catastrophe, soit des centrales à gaz, soit du nucléaire chinois. Beau programme d’indépendance industrielle !
Et ils ont voté ça en pleine hystérie du « renouveau et de l’indépendance de l’industrie française ».
https://www.contrepoints.org/2020/05/06/370834-la-ppe-ignore-que-la-france-nest-plus-une-nation-industrielle
Le design américain fait échouer le défi COVID-19
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 05/06/2020 - 23:45
Écrit par Eric Zuesse via The Strategic Culture Foundation,
L'Amérique n'est pas le seul pays aussi corrompu qu'il se situe au sommet ou près du sommet du classement mondial des infections par coronavirus, mais, comme le titre de l'édition de juin 2020 de The Atlantic, «Nous vivons dans un État défaillant: le coronavirus n'a pas brisé l'Amérique. Cela a révélé ce qui était déjà cassé. » Pourquoi est-ce arrivé?
Presque tous les autres pays industrialisés ont mis en place des systèmes de protection sociale, tels qu'une assurance maladie couvrant 100% de la population; et, par conséquent, les résidents ne perdent pas leur assurance maladie s'ils perdent leur emploi - ils ne veulent donc pas désespérément se présenter au travail même lorsqu'ils sont malades ou peuvent propager une épidémie.
Les Américains sont généralement désespérés d'aller travailler même s'ils pourraient propager le coronavirus-19. Ils ont besoin du salaire et de la couverture d'assurance pour pouvoir acheter des soins médicaux. S'ils ne paient pas pour cela, ils ne l'obtiendront pas. Ainsi: quiconque se présente au travail peut raisonnablement être particulièrement enclin à craindre de contracter la maladie d'un collègue là-bas. C'est l'une des nombreuses raisons pour lesquelles la socialisation de la fonction de soins de santé est beaucoup plus efficace que de la laisser aux forces du marché.
Le 23 avril, Reuters a rapporté que «les États-Unis les travailleurs qui refusent de retourner à leur emploi parce qu'ils craignent d'attraper le coronavirus ne devraient pas compter sur les allocations de chômage, affirment les autorités et les experts en droit du travail. »
Dans ces États, le système d'allocations de chômage est utilisé comme un bâton afin de forcer les employés à retourner au travail, et donc d'augmenter le pourcentage de la population qui sera infectée par le coronavirus-19.
De plus, les prisons font partie des institutions qui augmentent particulièrement la propagation d'une épidémie comme Covid-19. Et les États-Unis ont un pourcentage plus élevé de leurs résidents en prison que tout autre pays dans le monde. En fait, presque tous les Américains qui sont en prison sont pauvres (puisque 100% des pauvres n'ont pas les moyens de se payer un avocat), et plus une personne est pauvre, plus elle est susceptible de contracter le coronavirus-19.
C'est encore une autre raison pour laquelle les prisons sont un lieu privilégié pour la propagation de la maladie. Et le 26 avril, le New York Times titrait "Alors que le coronavirus frappe les prisons, des centaines de milliers de personnes sont libérées: le virus s'est propagé rapidement dans les prisons surpeuplées du monde entier, ce qui a conduit les gouvernements à libérer les détenus en masse." Étant donné que l'Amérique a plus de sa population en prison que tout autre pays (beaucoup plus: alors que «le taux de la population carcérale mondiale, basé sur les estimations des Nations Unies des niveaux de population nationale, est de 145 pour 100 000», l'Amérique en a 655 pour 100 000, ou 4,5 prisonniers pour chaque 1,0 prisonnier dans le monde entier), l'Amérique a beaucoup plus de production de coronavirus-19 qui est générée par son état policier que tout autre pays - et cela ne prend même pas en compte la santé pourrie, surchargée, système de soins et le mépris public propagé par les milliardaires pour les pauvres, qui caractérisent la culture américaine et qui font de ces prisons, peut-être, les pires des nations industrialisées.
En outre, aux États-Unis, «environ 95% des affaires pénales font l'objet de négociations de plaidoyer, en partie parce que les défenseurs publics sont trop débordés pour les traduire en justice. «Cela signifie que l'État n'a même jamais à prouver que vous avez fait quoi que ce soit. Ils détiennent toutes les cartes. »Ainsi, les protections constitutionnelles, telles que le procès par jury et toutes les autres protections sur papier, ne s'appliquent même pas, en réalité, à au moins 95% des accusés. Et, dans de nombreux États américains, les condamnés - et même les anciens détenus - ne sont pas autorisés à voter. Les milliardaires américains utilisent également de nombreuses autres façons de réduire le pourcentage de pauvres qui votent.
RépondreSupprimerDans l’ensemble (et pour énumérer les autres détails remplirait un livre), la discrimination intense systématisée des États-Unis contre les pauvres constitue pratiquement une invitation à la vulnérabilité exceptionnelle de ce pays à toute épidémie. Le fait que l’Amérique compte désormais 33,3% des cas mondiaux de coronavirus-19, bien que seulement 4,2% de la population mondiale, est en fait systémique, et pas seulement particulier à ce moment dans ce pays et dans le monde entier. Donald Trump et l'actuel Congrès américain font partie d'un système d'oppression, pas vraiment d'exception (comme le prétendent les médias des milliardaires - les milliardaires démocrates accusant «les républicains» et les milliardaires républicains accusant «les démocrates»). Le comportement de ce gouvernement est en fait quelque peu normal pour ce pays depuis au moins 1980.
De plus, avant le défi des coronavirus, l'Amérique et le Royaume-Uni ont réduit, au lieu d'augmenter, leurs protections sociales; et, par conséquent, ils étaient les seuls pays industrialisés où l'espérance de vie diminuait avant même que le coronavirus-19 ne frappe. La reconnaissance et l'inquiétude suscitées par cette baisse ont commencé au Royaume-Uni, mais ont maintenant commencé à être publiées même aux États-Unis.
Le spécialiste de la santé britannique Danny Dorling a titré sur son blog "Political Insight" le 16 juillet 2016, "Austérité, aggravation rapide de la santé publique à travers le Royaume-Uni" et a rapporté que "l'Office britannique des statistiques nationales (ONS) a publié ses derniers chiffres annuels de mortalité - sur programme. Une augmentation sans précédent de la mortalité a été signalée, qui s'est révélée avoir augmenté dans tous les pays du Royaume-Uni. » Puis, le 8 juillet 2018, le Daily Express de Londres a annoncé: «La Grande-Bretagne est le SEUL pays d'Europe dont l'espérance de vie est en baisse - enquête ouverte» Puis, le 8 mars 2019, le blog du British Medical Journal avait pour titre «L'aggravation de la crise sanitaire au Royaume-Uni nécessite une intervention politique à l'échelle de la société» et a rapporté que l'espérance de vie du Royaume-Uni plongeait depuis 2014. Le BMJ a ensuite publié un article sur 27 mars 2020, «Les choses s'effondrent: la crise sanitaire britannique 2010-2020». En d'autres termes: le coronavirus a frappé le Royaume-Uni à un moment où le gouvernement s'éloignait déjà de la socialisation et de la privatisation des soins de santé; et, par conséquent, les taux de mortalité avaient déjà commencé à augmenter en 2015. Le coronavirus tue principalement les personnes déjà en mauvaise santé; et, ainsi, leur population y était au maximum vulnérable au moment où cette épidémie a éclaté.
Pendant ce temps, le même raccourcissement de la durée de vie se produisait également aux États-Unis. Le 29 novembre 2018, le Daily Mail de Londres a annoncé «l'espérance de vie américaine DROPS alors que les suicides et les surdoses de médicaments montent en flèche et que les progrès contre les maladies cardiaques s'arrêtent, révèlent les données du CDC». Un an plus tard, le JAMA Network titrait le 26 novembre 2019, «Life Espérance and Mortality Rates in the United States, 1959-2017» et signalait qu'«entre 1959 et 2016, l'espérance de vie aux États-Unis est passée de 69,9 ans à 78,9 ans, mais a diminué pour 3 années consécutives après 2014. » Donc: la durée de vie au Royaume-Uni et aux États-Unis a atteint un sommet en 2014. Contrairement à pratiquement tous les autres pays, la santé de ces deux pays a diminué.
RépondreSupprimerMême avant 2015, les États-Unis gaspillaient environ la moitié de l'ensemble de leurs dépenses publiques et privées pour les soins de santé - c'était le système de santé le plus inefficace de la planète - et avaient donc une espérance de vie nettement inférieure à celle de tous les autres pays industrialisés. Mais, maintenant, ces durées de vie remarquablement basses deviennent en fait encore plus basses.
Des études de science politique basées sur des décennies de données fiables ont établi que depuis environ 1980, les États-Unis ont été une dictature: ce que le public veut (et même a besoin) est fondamentalement ignoré, mais ce que les super-riches (les dictateurs du pays) veulent simplement se refléter dans les politiques gouvernementales. C’est la définition même d’une «dictature». Le gouvernement national américain est attentif aux désirs de ses milliardaires, pas aux besoins du public (tels que la protection de leur santé, de leur éducation et de leur bien-être, même lorsque les milliardaires ne le souhaitent pas). les études sont bien résumées dans une vidéo de six minutes, ici. Bien que les milliardaires qui financent le Parti libéral américain, le Parti démocrate, s’opposent aux milliardaires qui financent le Parti républicain (le Parti conservateur - celui qui est ouvertement en faveur de l’inégalité des richesses existante), ceci est purement à des fins de relations publiques. Chaque fois que le problème devient leur propre richesse contre l'amélioration de la richesse et des opportunités économiques pour les pauvres, ils vont tous pour étendre leur propre empire (parfois en finançant un "organisme de bienfaisance'' exonéré d'impôt qui augmentera, encore plus, leur contrôle personnel sur le total empire - en utilisant cette exonération fiscale pour tirer parti de l'opération, qui sera contrôlée par eux-mêmes plutôt que par le gouvernement public financé par les impôts). Ces «organismes de bienfaisance» sont principalement des esquives fiscales.
RépondreSupprimerCependant, dans tous les pays, les personnes les plus vulnérables aux épidémies sont les pauvres. Cela signifie également que les taux d'infection et la propagation de la maladie sont les plus élevés parmi les plus pauvres. Et, dans cette épidémie, les intérêts des super-riches sont opposés aux intérêts de tout le monde. Et, puisque le gouvernement américain sert, depuis des décennies maintenant, principalement les super-riches, au lieu du public, les personnes les plus à risque sont également les plus ignorées. C'est même une politique fière («responsabilité fiscale», etc.) du Parti républicain. Renflouer les investisseurs est «nécessaire», mais renflouer les employés et les consommateurs est «fiscalement irresponsable». Par exemple, le 27 avril, le démocrate David Sirota a titré «Les États rouges doivent plus de 500 milliards de dollars aux travailleurs - Le GOP essaie de voler l'argent: Trump stimule un plan McConnell pour aider les États à revenir sur les prestations de retraite et de santé promises à des millions de personnes. les travailleurs et les retraités. " Et il a raison. Cependant, son parti va faire des compromis avec cela (au lieu de refuser catégoriquement de l'accepter, puis de continuer à faire des scandales politiques en faisant honte au président républicain et aux membres du Congrès afin de les briser sur leur putain manifestement scandaleuse à l'ensemble de la classe milliardaire , qui veulent que leurs investissements soient renfloués avant que le public ne le soit - ce qui pourrait ne jamais se produire). C'est une routine «bon flic, mauvais flic» pour protéger les super-riches. Il accepte de tenir le public en otage de ce que veulent les grands donateurs politiques, au lieu de se concentrer contre cela comme étant la question politique centrale du moment, et au moins de l'Amérique après 1980.
C’est de la «démocratie» en tant qu’arnaque politique. Par exemple: certains des milliardaires démocrates, qui financent des publicités anti-Trump, prétendent être républicains, afin de pouvoir décoller certains des électeurs républicains de Trump, et blâment donc Trump seul pour les mauvaises performances catastrophiques de l'Amérique dans le coronavirus - crise. Ils essaient simplement de tromper leurs suceurs en votant pour Joe Biden, ou bien ils ne votent pas du tout; et, donc, leur annonce ne fait même pas mention de Biden. Il s'agit d'une annonce Biden qui ne fait aucune mention de Biden. Il cache son véritable motif. C’est typique.
C'est la raison pour laquelle l'Amérique est conçue de manière à échouer le défi du coronavirus-19. Le pouvoir de la grosse monnaie (richesse concentrée) détruit ce pays. Il contrôle les deux Parties et leurs médias respectifs, de sorte que le public ne sait pas (et ne peut certainement pas comprendre) les types de réalités qui sont rapportées (et liées) ici.
C’est aussi la raison pour laquelle le «plan» de Joe Biden pour faire face à l’épidémie de coronavirus est une blague aussi mauvaise pour les électeurs que celle de Trump. C'est un pays qui échoue, qui échoue de manière bipartite (républicaine et démocratique).
Un gouvernement «bon flic, mauvais flic» est, en réalité, tout mauvais flic.
(J'ai donc proposé un amendement à la Constitution américaine afin de rectifier certaines des raisons de cet échec structurel du gouvernement américain. La seule alternative à cela serait peut-être une révolution violente, mais cela aggraverait probablement les choses, pas mieux. )
https://www.zerohedge.com/political/americas-design-causes-it-fail-covid-19-challenge
Corona virus, un hasard à consulter pour ceux qui comprennent l'anglais... les langues se délient... ca va vite en 2020...
RépondreSupprimerjeudi, 07 mai 2020 02:52
Les langues se délient à toute vitesse. La mécanique du Corona virus qui nous a tous scotché... on s'est tous demandé comment ils avaient pu fabriquer une telle bombe. Et nous sommes nombreux à avoir admiré le génie du mal qui rôde sur terre.
Voici le témoignage d'un ex employée du sinistre FAUCI... qui parle sans à ce jour avoir été éliminée. Faut des couilles. Respect !
- voir clip en anglais sur site -
La théorie du hasard, cela n'a pas l'air d'être son truc à elle... elle préfère nettement le mot complot...
Et c'est pas moi qui le dit, mais un membre du team de dégénérés de la corona farce...
N'allez pas penser que je suis un adepte complotiste. Cela me peinerait. Le corona n'est qu'une succession de hasards qui s'enchaînent à la perfection. Même si il n'y a que dieu qui est parfait hein ?...
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/capitalisme/corona-virus-un-hasard-a-consulter-pour-ceux-qui-comprennent-l-anglais-les-langues-se-delient-ca-va-vite-en-2020.html
Comprendre les conséquences économiques cachées du corona et ce qui se trame
RépondreSupprimerCharles Dereeper
jeudi, 07 mai 2020 02:04
Jai déjà parlé du nombre de jobs détenu par l'Etat par rapport au total de jobs dans l'économie.
Il y a aussi le poids toutes couches comprises des impôts par rapport à la valeur produite par chaque individu.
Le corona virus pose la question de la monnaie et de la valeur des choses. Le concept le moins bien perçu de toute l'économie.
Prenons l'exemple du pétrole. Dans les années 70, c'est le choc. Son poids dans l'économie totale est assez élevé. Du coup tout coince.
Depuis, tout a été fait pour dévaloriser en valeur réelle son poids. Et on a réussi. On se branle du prix du pétrole qui n'impacte pas grand chose même à 100$ le baril.
Toute l'économie qui s'agite sous nos yeux est présentée en valeur faciale. La valeur faciale, celle des prix officiels est très manipulée. On détermine un taux d'inflation impossible à déterminer, une sorte de moyenne du pouvoir d'achat, avec des corrections... alors que vu les différents profils aux différentes étapes de nos vies, notre consommation n'a rien à voir. Puis, on pond des stats nettes d'inflation valables pour tout le monde alors que mécaniquement en fonction de notre position dans la pyramide des âges on est amené à se faire niquer.
Si on introduit ensuite la variable héritage, on obtient une blague d'égalité, alors que c'est écrit partout dans notre pays...
En réalité, c'est compliqué si ce n'est impossible de vraiment jauger la valeur réelle des choses.
Avec le corona, on se met à payer des gens sur le dos de la monnaie et du déficit budgétaire monétisé donc porté par une banque centrale. Et tout devrait être merveilleux... alors qu'il s'agit d'un énorme piège.
Le danger au delà de rendre les gens inutiles et de les amener au suicide, l'oisiveté étant un virus qui passe mal, c'est tout simplement de dévaloriser sur un plan réel la valeur du travail comme il a été orchestré avec le pétrole.
Y a encore pas mal de gens qui pensent que je me suis barré de France car j'avais arnaqué et que je fuyais.
Comme si quitter la France empêchait de répondre de ses actes... et en même temps je suis assez con pour indiquer où je vis... quelle cavale hahahahaha. Je suis un pro. Je suis undercover. Charles Dereeper n'est pas mon vrai nom hihihihi.
J'ai quitté la France car j'ai compris en 2007 avec l'immobilier et mon livre ACHETER OU LOUER ce que je vous écris. Je me suis dit que je devais optimiser mes efforts au lieu de me faire collecter.
Une heure de travail dans la même activité au Costa Rica ou en Thailande n'offre pas les mêmes opportunités de vie qu'une heure en France.
Un placement depuis le Costa Rica ou la Thaïlande n'a pas la même valeur, même si il est identique.
J'ai exprimé tout ceci dans la CRISE DU SIECLE et ses bonus. http://formation.objectifeco.com/crise-du-siecle/
Il y a les impôts. Il y a l'argent qu'on dépense pour vivre. Il y a aussi la quantité de femmes dispo prêtes à baiser sans faire chier la couille pendant des jours, des semaines ou des mois. Je me souviens en 2006. J'attrape une superbe blonde à Rennes. Racée. Super visage. Elle s'assoit sur mon canapé et commence à m'expliquer le premier soir que si elle couche, c'est dans l'optique de trouver un père pour faire un enfant... J'avais même pas encore mis ma bite dedans qu'on devait déjà parler enfant...
RépondreSupprimerJe me suis barré parce que la France dévalorise tout ce qui compte pour l'homme en lui rendant l'accès à ses plaisirs de plus en plus dur.
Le corona virus, derrière toute la musique mensongère, c'est une continuité de cette politique merdique. La vie avec une alloc universelle, des prêts à taux zéro, ca a l'air super géniale... sauf que c'est pas la vie. A long terme, c'est un carnage garanti.
Je ne sais pas si c'est à cause de mon grand père roumain qui a fui le communisme que je sniffe cela instinctivement. Le fait est que le corona est en train de poser les bases d'un monde affreux.
Je vous recommande une énième fois de réfléchir à vous en extraire et à jouer la partie en fuyant et en surfant sur les trends que sont la DIGITALISATION et la VIBRATION de nos vies.
http://www.objectifeco.com/economie/inflation-deflation/monnaie/comprendre-les-consequences-economiques-cachees-du-corona-et-ce-qui-se-trame.html
Le complot le complot le complot hahahaha... il a niqué une milf mariée, le père du confinement hahahaha !
RépondreSupprimerjeudi, 07 mai 2020 01:19
Avant en fait, quand les élites faisaient leurs saloperies, il fallait attendre une génération et la vérité sortait.
Désormais, c'est du real time.
Peuple je te baise et tu découvres en temps réel que c'est le cas, mais comme tes un soumis, ba en même temps que tu comprends que je te baise, tu comprends que tu es soumis.
Non, Charles... arrêtes avec ton complot...
Totalement d'accord. J'abuse... la succession de hasard se poursuit et c'est cette incompétence qui explique tout ca...
Alors le dernier hasard en date est rigolo. Je cite ma source pas lisible sans abonnement https://www.telegraph.co.uk/news/2020/05/05/exclusive-government-scientist-neil-ferguson-resigns-breaking/?utm_content=telegraph&utm_medium=Social&utm_campaign=Echobox&utm_source=Facebook#Echobox=1588703087
Le père fondateur du confinement, qui annoncaît 1 million de morts aux USA et 500.000 au UK s'est fait pécho en train de niquer une milf en plein confinement. Milf mariée que j'accueillerais bien volontiers dans mon lit également.
Ferguson-Resigns
Il a du démissionner.
Ce que nous apprenons en plus... le détail du hasard, c'est que le même mec a reçu par le plus grand des hasards encore une fois, désolé, je me répète mais je ne veux absolument plus que vous pensiez une seule seconde que je donne le moindre crédit au complot... la modique donation de 79 millions $ de la part de... Bill Gates... hihihihi oh quelle incompétence hahahahhaha. Il est bête alors ce Bill Gates de donner de l'argent bien gentiment à ce Ferguson pour qu'il améliore le monde... mais quelle bêtise alors hahahahahaa.
Perso en consultant l'article, je me suis dit que les forces du bien n'avaient pas capitulé. En effet, on apprend que la maison de la milf mariée qu'il a déglingué valait 1.9 millions £. Je trouve curieux que dans un article d'adultère en plein sur la thématique du confinement, puis la preuve de la corruption, on parle de la valeur de la maison de la femme. Y a une volonté de nuire évidente en sous entendant que la nana est riche. Et ca, c'est professionnel. Ca sent le MI5, CIA ou autres. Les forces du bien luttent contre le mal à tous les niveaux.
Toujours est il que la liste du hasard s'allonge. Toujours plus.
Alors maintenant je vais vous recommander de dépenser 1h30 de votre temps. C'est long. C'est l'équivalent d'un film. C'est pour regarder quelqu'un dont je ne suis pas fan, vraiment pas. Mais honnêtement, ses deux vidéos récentes résument et sont excellentes d'un bout à l'autre. Et comme je n'ai pas envie d'écrire ce que je sais déjà, car c'est de l'information dangereuse qui n'a pas sa place sur Objectif Eco, je préfère vous inviter à le regarder lui. A un moment il a cette phrase unique qui dit... d'âme à âme, sans peur, soumission... si on se pose la question, nous savons tous qui est derrière le COVID. Tous. (Derrière le "hasard" covid hahahaha.)
Après vous m'avez posé la question. Je l'ai évoqué une seule fois avec mon histoire de sniper. Quand j'ai vu les réactions, oui, tu as raison, mais l'écris pas... j'ai envie de dire à nouveau. Droit dans les yeux, nous savons tous que seules les armes contre le mal obtiendront un résultat. Il faut les buter un à un. Les marches pacifistes de la petite Gabrielle ISIS dont j'ai parlé, c'est méga cool... mais les mecs en face, y s'en battent les couilles. Les gilets jaunes ont rien obtenu du tout. Rien. Pendant un an... si ils ont fait de la cardio en marchant et ont pu améliorer leur forme... Y en a deux ou trois qui ont fini à l'hosto... mais comme nous le savons tous, les accidents hasardeux arrivent et le sport c'est dangereux...
RépondreSupprimerSi on veut lutter contre le mal, nous devons un à un retourner chaque gendarme, chaque policier, chaque militaire, jusqu'à ce qu'ensuite, il ne reste que les porcs. Et eux, on se les fait.
Comme SORAL, je crois à Poutine et à Trump. Ils sont imparfaits. Mais on sent tous que leur coeur est nationaliste et penche pour le peuple. Ils font ce qu'ils peuvent. S'il y a un combat à mener, c'est bien d'aller voir chaque policier et militaire de cette planète pour lui expliquer qua sa chaîne de commandement a été piratée et qu'il se trompe de cause, que la violence qu'il exerce au quotidien n'est plus légitime.
La première vidéo sur la blague du SIDA. J'en ai beaucoup débattu à Bangkok vu que je baisais 10% environ des femmes sans capotes, soit une vingtaine de sex friends sur le lot de 200. Jamais le sida ou le VIH n'a pu être observé au microscope électronique. Oui mais Charles, j'ai un copain qui vit avec le sida depuis 15 ans. Et c'est moche... on a débattu... à de nombreuses reprises. Le fait est que JAMAIS personne n'a vu le VIH et encore moins le syndrome SIDA....
La deuxième vidéo est fondamentale. C'est toute la mécanique avec toute la liste des hasards qui se répètent. Mes copains de la communauté ici à Panama savent. Je l'ai déjà écrit sur Objectif Eco, mais la plus grande peur des membres de la communauté, c'est de se faire sacrifier par leus chefs. Parce que dans le fond, TOUT LE MONDE SAIT et ferme sa gueule. Moi le premier dans cet article... que j'écris car je veux faire honneur à cette vision exprimée à la fin de la vidéo sur le combat, son combat, ce qu'il appelle introduire le virus de la vérité dans la tête des français. Certains doutent encore parmi vous. Mais le corona, c'est si énorme. Les éléments à charge sont des éléphants. Du coup il devient aussi dur de rejeter la théorie du complot...
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/capitalisme/le-complot-le-complot-le-complot-hahahaha-il-a-nique-une-milf-mariee-le-pere-du-confinement-hahahaha.html
Le cirque du coronavirus continue
RépondreSupprimerPar Bill Sardi
7 mai 2020
POINTS CLÉS
Les chercheurs rapportent que la plupart des personnes infectées par COVID-19 ne présentent que peu ou pas de symptômes; mais seulement 8% ont développé suffisamment d'anticorps dans une étude récente. Sans exposition et infection naturelles, COVID-19 reviendra sûrement en novembre.
La menace de réinfection: peut-être juste des tests sanguins faussement positifs.
Le traitement tue: une dépendance excessive à l'égard des ventilateurs peut provoquer un traumatisme pulmonaire et la mort.
(A lire comme un script publicitaire)
Bienvenue au premier verrouillage américain et mise en quarantaine, présenté par l'Organisation mondiale de la santé; financé secrètement par la Fondation Bill & Melinda Gates; et les Centers for Disease Control, une façade pour les fabricants de vaccins; et financé par la Banque mondiale; et mis en application par vos gouverneurs d’État dûment élus, qui ont interdit le soleil et détruit toutes les richesses et les économies ainsi que démoli l’avenir de nos enfants; et a fait (espérons-le) des lois temporaires interdisant l'assemblage de tout groupe religieux et a nié tous les droits et libertés garantis par la Constitution au nom d'un virus invisible moins mortel que la grippe annuelle; et contré par les travailleurs de l'habillement du Bangladesh qui ont plus peur de la famine que de l'infection à coronavirus; afin de se cacher d'un virus qui a tué 252 000 * dans le monde au 5 mai 2020, soit 3 / 1000ème de un pour cent de la population mondiale (par rapport à la grippe espagnole de 1918 qui a tué environ 17 à 50 millions de personnes (9). / 10e de un pour cent à 2,8% de la population mondiale. Tous nos sponsors méritent d'être félicités pour avoir sauvé le monde d'une oubli virtuelle (une fausse épidémie) alors que l'humanité attend avec impatience l'arrivée et le déploiement du premier vaccin COVID-19 et le premier programme mondial de vaccination prévu; un vaccin qui nécessiterait l'inoculation universelle de 7,8 milliards de personnes pour sauver la vie de 252 000 personnes (30 952 personnes devront être vaccinées pour sauver 1 vie et provoquer plus de décès qu'elle n'en empêche - voir ci-dessous); a vaccin qui n'est pas susceptible de produire des anticorps chez les personnes à haut risque (diabétiques, cancéreux, obèses, très âgés) et qui finit par provoquer ~ 1% d'effets secondaires nécessitant une hospitalisation (sur la base des données de vaccination antigrippale) ou 78000000 hospitalisations, et 1% des personnes hospitalisées devraient mourir de l'hospitalisation (780 000 décès autrement évitables). Conclusion: économisez 252 000 et tuez 780 000 pour un filet de -528 000). Restez à l'écoute pour le verrouillage de l'année prochaine… et si vous ce ne sont que de fausses nouvelles, nous avons maintenant une reprise de faux baseball en Corée du Sud ›
* Décès réclamés, pas un décompte de corps
Besoin de vaccin
Dans un rapport non publié, les chercheurs suggèrent que moins de 8% des populations ont été infectées par le coronavirus COVID-19, beaucoup moins que les 70 à 85% nécessaires pour assurer l'immunité collective (naturelle, sans vaccination). Par conséquent, une résurgence du virus est prévue.
Et si un vaccin n'est jamais approuvé ? Selon Ian Frazer, un virologue australien, les microbiologistes n'ont pas été en mesure de produire un vaccin contre les coronavirus au cours des 8 dernières années. Si toutes les mesures de sécurité sont prises, il faudra attendre 2036 pour qu'un vaccin COVID-19 approuvé soit disponible.
RépondreSupprimerQu'est-ce qui nous attend? Si COVID-19 revient en novembre, il sera imputé aux manifestants. À moins que le monde ne montre que la médecine nutritionnelle peut garder le coronavirus COVID-19 dans le placard, les masses trompées et craintives exerceront une pression sociale ou même légale pour la vaccination forcée (l'enquête montre que 9 Canadiens sur 10 approuvent la vaccination obligatoire).
Le traitement tue
J'ai l'impression que le traitement a tué les patients hospitalisés au COVID-19. Un rapport de presse daté du 28 avril 2020 révèle que des machines qui oxygénent le sang d'un patient à l'extérieur du corps ont produit un taux de survie de 68% contre 10-20% pour les patients placés sous respirateurs.
L'utilisation de canules nasales pour fournir de l'oxygène aux poumons s'avère moins traumatisante pour les poumons et améliore la survie. Pourquoi la médecine moderne ne s'en rendait pas compte auparavant dans le traitement de la pneumonie reste inexpliquée. Peut-être que les ventilateurs tuent les patients depuis longtemps. Certains rapports publiés semblent confirmer que ce sont les traumatismes respiratoires qui peuvent tuer. Le traitement lui-même (lésion pulmonaire associée au ventilateur) est une cause majeure de décès dans l'unité de soins intensifs. Certains examinateurs des soins médicaux suggèrent moins de recours aux ventilateurs, car la mortalité due à une pneumonie induite par un ventilateur était de 16% contre seulement 3% chez les patients sans pneumonie induite par un ventilateur.
Menace de réinfection
On parle beaucoup de réinfection du coronavirus COVID-19. Cela a suscité des soupçons chez les patients initialement infectés qui n'ont pas développé suffisamment d'anticorps dès la première infection. Mais maintenant, la Corée du Sud admet que 292 cas classés comme réinfection étaient simplement des tests sanguins «faussement positifs». Si cette admission n'avait pas disparu, les gouvernements publics pourraient maintenir les populations en détention indéfiniment.
Note finale
Un rapport publié dans The Atlantic s'intitule: "Habituez-vous: ce verrouillage ne sera pas le dernier."
Et puis il y a ces démonstrations inappropriées de travailleurs hospitaliers ennuyés à Tik-Tok qui travaillent sur leurs routines de danse. Et la génération moi ne s'arrête pas là. Désormais, il existe même des tenues chirurgicales élégantes pour l'infirmière soucieuse de la mode. Vous pouvez regarder la vidéo des deux femmes marchant dans un entrepôt loué de toute évidence pour la séance de photos remplie de boîtes de leur élégant costume d'hôpital. Exactement ce dont l'Amérique avait besoin…. Sauver des vies avec style.
https://www.lewrockwell.com/2020/05/no_author/the-coronavirus-circus-continues/
Avons-nous encore une Constitution ?
RépondreSupprimerJudge Andrew P. Napolitano
le 7 mai 2020
J'ai pris un peu de chaleur de mes amis et collègues pour ma défense ferme des libertés personnelles et mes arguments selon lesquels la Constitution - lorsqu'elle est interprétée conformément au sens ordinaire de ses mots et informée par l'histoire - ne permet pas au gouvernement de porter atteinte aux droits personnels. libertés, peu importe l'urgence ou la pandémie. Pour ceux qui sont d'accord avec moi, ne vous inquiétez pas. Nous persévérerons. Pour ceux qui font confiance au gouvernement, s'inquiètent beaucoup. Vous n'êtes pas entre de bonnes mains.
Le but de la Constitution est d'établir le gouvernement et de le limiter. Certaines limitations sont inscrites dans la Constitution elle-même. La plupart des limitations relatives aux libertés individuelles se trouvent dans la Déclaration des droits - les 10 premiers amendements.
Ces modifications ont été ratifiées pour empêcher le gouvernement fédéral de porter atteinte aux libertés individuelles. Depuis la promulgation du 14e amendement en 1868, et les litiges ultérieurs, ces amendements, pour la plupart, restreignent également les États. Les tribunaux ont qualifié ces libertés protégées de fondamentales.
Ainsi, les droits à la pensée, à la parole, à la presse, à l'assemblée, au culte, à la légitime défense, à la vie privée, aux voyages, à la propriété, aux activités commerciales interétatiques et au traitement équitable du gouvernement sont clairement énoncés ou rationnellement inférés dans les huit premiers amendements. Le neuvième est un fourre-tout, qui déclare que l'énumération des droits dans les huit premiers ne signifie pas qu'il n'y a pas d'autres droits fondamentaux, et le gouvernement ne doit pas dénigrer ces autres droits. Le dixième reflète le fait que les États se sont réservés des pouvoirs.
Le neuvième était particulièrement important pour son auteur, James Madison, en raison de son opinion selon laquelle les droits naturels - connus aujourd'hui sous le nom de droits fondamentaux - font partie intégrante de chaque personne, et ils sont trop nombreux pour être énumérés. Au siècle prochain, le croisé anti-esclavagiste Lysander Spooner l'expliquerait ainsi: "Les droits naturels d'un homme sont les siens, contre le monde entier; et toute violation de ceux-ci est également un crime, qu'il soit commis par un seul homme ou par des millions ; qu'il soit commis par un seul homme, se qualifiant lui-même de voleur, ... ou par des millions, se faisant appeler gouvernement. "
Les droits naturels constituent collectivement la capacité morale et l'autorité souveraine de chaque être humain de faire des choix personnels - à l'abri de toute ingérence ou autorisation gouvernementale.
Thomas Jefferson a écrit dans la Déclaration d'indépendance que le gouvernement tire tous ses pouvoirs du consentement des gouvernés. Et Madison a compris le neuvième amendement pour déclarer que nos choix personnels sont protégés de l'ingérence du gouvernement tant que leur exercice ne porte pas atteinte aux droits d'autrui.
Il s'ensuit que si les gouvernements interfèrent avec nos choix personnels - et nous n'avons pas consenti à leur pouvoir d'interférer - l'ingérence est invalide, illégale et, parce que nos choix personnels sont essentiellement protégés de l'ingérence gouvernementale par la Déclaration des droits, inconstitutionnelle.
Revenons maintenant aux contraintes actuelles de cette pandémie.
RépondreSupprimerLes interférences actuelles avec l'exercice des droits protégés par la Déclaration des droits concernent les voyages, les réunions, les activités commerciales interétatiques et l'exercice des croyances religieuses. Ces infractions proviennent toutes de gouverneurs d’États qui revendiquent le pouvoir de le faire, et elles soulèvent trois questions constitutionnelles profondes.
La première est la suivante: les gouverneurs ont-ils un pouvoir inhérent en cas d'urgence pour élaborer des règlements qui ont force de loi ? La réponse est non. La clause de garantie de la Constitution impose une forme de gouvernement républicain ("r" minuscule) dans les États. Cela signifie la séparation des pouvoirs en trois branches, chacune ayant une fonction distincte qui ne peut être constitutionnellement remplie par aucune des deux autres. Étant donné que seule une législature représentative peut rédiger des lois qui entraînent des sanctions pénales et encourent l'usage de la force, le gouverneur d'un État ne peut pas rédiger de lois constitutionnelles.
La deuxième question constitutionnelle est la suivante: les législatures des États peuvent-elles déléguer aux gouverneurs leurs pouvoirs législatifs? Encore une fois, la réponse est non, car la séparation des pouvoirs empêche une branche du gouvernement de céder à une autre branche ses pouvoirs de base. La séparation a été conçue non pas pour préserver l'intégrité de chaque branche mais pour assurer la préservation de la liberté personnelle en empêchant l'accumulation de trop de pouvoir dans une même branche.
Nous ne parlons pas d'une législature d'État déléguant à un comité de médecins légistes de l'exécutif le pouvoir de délivrer des permis aux médecins. Nous parlons de déléguer un pouvoir de base - le pouvoir de créer des crimes et d'élaborer des sanctions. Une telle délégation constituerait une violation flagrante de la clause de garantie.
La troisième question constitutionnelle est la suivante: une législature d'un État peut-elle promulguer des lois qui portent atteinte aux libertés individuelles protégées par la Déclaration des droits, prescrire des sanctions en cas de violation de ces lois et autoriser les gouverneurs à recourir à la force pour imposer le respect? Encore une fois, la réponse est non, car tout gouvernement américain est subordonné aux droits naturels énoncés dans la Déclaration des droits et inclus dans le neuvième amendement.
Nous devons nous réjouir qu’il existe une résistance à l’ignorance et à l’arrogance des gouverneurs qui ne respectent pas la Déclaration des droits. Nous avons besoin de résistance à la tyrannie pour rester libres. Le pouvoir sans résistance continue de croître et de se corrompre. L'histoire enseigne que la plupart des gens préfèrent l'illusion de la sécurité à la cacophonie de la liberté. La seule raison pour laquelle nous avons des libertés civiles aujourd'hui est que des générations de minorités déterminées - à commencer par les révolutionnaires des années 1770 - se sont battues pour eux.
Aujourd'hui, nous sommes gouvernés par des hommes et des femmes dangereux. Car ils nous ont enlevé notre capacité de faire des choix personnels et ils ont fait usage de la force pour forcer la conformité. Ce faisant, ils ont non seulement violé leurs serments pour faire respecter la Déclaration des droits, mais ils ont également commis des actes criminels en annulant nos droits. En utilisant les pouvoirs des gouvernements des États pour ce faire, ils se sont portés candidats à des poursuites pénales fédérales au retour des jours plus sains.
http://www.judgenap.com/post/do-we-still-have-a-constitution
Lockdowns: ressemble à un op, sent comme un op, se sépare de six pieds comme un op
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
7 mai 2020
Nous n'avons pas besoin de Rahm Emanuel pour nous dire qu'une crise ne devrait pas être perdue. C’est une stratégie qui a probablement démarré il y a cent mille ans. L'autre moitié consiste à créer la crise pour commencer. Alors ne le gaspillez pas.
Le plan Bill Gates implique une mère de tous les vaccins contre le COVID, mandatée à travers le monde, avant la fin des blocages. C’est son rêve psychopathe mouillé. Puis, venant derrière cela, son laquais, l'Organisation mondiale de la santé, ainsi que les menteurs professionnels du CDC, ajouteront: "nous devons mandater CHAQUE vaccin ..."
Pour retirer un vaccin mondial obligatoire pour huit milliards de personnes, il faut une crise fabriquée.
Un faux virus et un véritable verrouillage sont la crise.
Vous ne pensez pas à celui-là pendant la nuit. Tu planifies. Vous percez et vous organisez. Vous mettez tous vos canards d'affilée. Vous vous préparez, pour devenir Staline et Mao.
Ensuite, quelqu'un doit briser la glace.
Dans ce cas, c'était le régime chinois qui a enfermé 50 millions de personnes pendant la nuit dans trois villes. Passant rapidement à cent millions.
«Si les Chinois l'ont fait, nous pouvons le faire aussi. Nous devons."
Poursuivez ensuite avec une terrible prédiction. D'où cela viendra-t-il? "Poussons ce hack en panne, Neil Ferguson. Il nous donnera ce que nous voulons. Il le fait toujours. Dites-lui de gifler l'un de ses modèles informatiques. Vous savez, des prédictions de beaucoup de morts sur la route. Un demi-million au Royaume-Uni, quelques millions aux États-Unis. Fauci le saluera comme de l'argent. »
Puis LOCKDOWN.
Renvoyez les gens chez eux. Mettez-les au chômage. Fermez les entreprises. Épaves d'économies.
MAINTENANT, tenez la carotte. Le vaccin.
Remarque: Un nouveau vaccin COVID pourrait être utilisé pour modifier la constitution génétique des humains. C’est exactement ce que fait la technologie ADN émergente (et non encore autorisée). C’est une forme de thérapie génique, actuellement en essais cliniques - et, officiellement, l’un des «candidats concurrents» pour un vaccin COVID.
The New York Times, 3/10/15, «Protection sans vaccin». Il décrit une frontière de recherche. Voici des citations clés qui illustrent l'utilisation de gènes synthétiques pour «se protéger contre la maladie», tout en changeant la constitution génétique des humains. Ce n'est pas de la science fiction:
"En livrant des gènes synthétiques dans les muscles des singes [expérimentaux], les scientifiques réorganisent essentiellement les animaux pour résister aux maladies."
"" Le ciel est la limite ", a déclaré Michael Farzan, immunologiste à Scripps et auteur principal de la nouvelle étude."
«Le premier essai humain basé sur cette stratégie - appelé immunoprophylaxie par transfert de gène, ou I.G.T. - est en cours et plusieurs nouveaux sont prévus. » [C'était il y a cinq ans.]
«I.G.T. est tout à fait différent de la vaccination traditionnelle. Il s'agit plutôt d'une forme de thérapie génique. Les scientifiques isolent les gènes qui produisent des anticorps puissants contre certaines maladies, puis synthétisent des versions artificielles. Les gènes sont placés dans des virus et injectés dans des tissus humains, généralement des muscles. »
RépondreSupprimerVoici le punchline: «Les virus envahissent les cellules humaines avec leurs charges utiles d'ADN, et le gène synthétique est incorporé dans le propre ADN du destinataire. Si tout se passe bien, les nouveaux gènes demandent aux cellules de commencer à fabriquer des anticorps puissants. »
Lisez à nouveau: "le gène synthétique est incorporé dans le propre ADN du destinataire." Altération de la constitution génétique humaine. Altération permanente.
L'article du Times fait appel au Dr David Baltimore pour obtenir un avis:
"Pourtant, le Dr Baltimore dit qu'il envisage que certaines personnes pourraient se méfier d'une stratégie de vaccination qui signifie modifier leur propre ADN, même si cela empêche une maladie potentiellement mortelle."
Oui, certaines personnes peuvent être méfiantes. S'ils ont deux ou trois cellules cérébrales fonctionnelles.
Même si nous supposons (à tort) qu’il s’agit d’une épidémie causée par un virus, les chiffres officiels des cas - comme je l’ai décrit dans un article récent - NE garantissent PAS autant d’inquiétudes que les chiffres officiels annuels de la grippe.
Et, bien sûr, AUCUN verrouillage ne ressemblant légèrement à ce que nous avons maintenant n'a été recommandé, et encore moins appliqué, pour la grippe.
Et il n'y a pas de vaccin mondial contre la grippe obligatoire.
Par conséquent, un vaccin COVID obligatoire à l'échelle de la planète, en tant que carte de sortie de prison, est absurde.
La liberté de rejeter le vaccin DOIT être protégée.
Les théoriciens du complot - Gates, OMS, CDC - qui ont inventé le complot, doivent également être rejetés.
SOURCES:
* https://www.nytimes.com/2015/03/10/health/protection-without-a-vaccine.html
* https://blog.nomorefakenews.com/2020/05/05/covid-the-numbers-game-the-fraud-and-the-final-answer/
* https://medcitynews.com/2020/04/gsk-sanofi-huddle-to-develop-covid-19-recombinant-dna-vaccine/
* https://www.technologynetworks.com/biopharma/product-news/phase-1-us-trial-of-covid-19-dna-vaccine-enrollment-complete-334373
Réimprimé avec la permission du blog de Jon Rappoport.
https://www.lewrockwell.com/2020/05/jon-rappoport/lockdowns-looks-like-an-op-smells-like-an-op-walks-six-feet-apart-like-an-op/
L'ÉTAT CONFISQUE AUX SALARIES LA POSSIBILITÉ DE SE FAIRE TESTER DANS LEUR ENTREPRISE
RépondreSupprimerpar SOPHIE DE MENTHON
06/05/2020
La Chine pourrait n'avoir découvert que 5% des cas de coronavirus.
Le Mouvement ETHIC s’étonne et regrette vivement l’interdiction pour les entreprises de procéder à des tests sérologiques pour savoir si une personne qui a été exposée au Covid-19 a développé des défenses immunitaires.
En effet, après de longues négociations en concertation avec le ministère de l’Économie et des Finances ainsi que l’envoi d’un test issu d’un laboratoire étranger à l’Institut Pasteur pour le valider, la volte-face a été brutale : aucune réponse, aucune information, aucune transparence.
Dimanche 3 mai 2020, le gouvernement annonçait l’interdiction pour les employeurs de tester leurs salariés.
Après recherche de l’explication, il semble avoir été établi qu’un test relevait d’un « acte médical » et donc exclu du champ de l’entreprise.
Or il ne s’agit en aucun cas d’un test médical…de la même façon qu’on autorise la libre vente et l’utilisation du test de grossesse.
Par ailleurs, les entrepreneurs étaient prêts à assumer la dépense de ce test – sans le soutien de la Caisse Primaire de l’Assurance maladie -.
Il est évident que ledit test reposerait sur la volonté du chef d’entreprise et la liberté totale du salarié d’accepter ou non de s’y soumettre.
Ce revirement de dernière minute serait-il dû à l’absence de tests achetés par l’État qui serait donc incapable d’équiper la Fonction Publique (en quantité suffisante). Nous avons tristement vécu le retard du diagnostic du sang contaminé. Reproduisons-nous le même schéma ?
N’est-il pas dangereux de transformer en acte politique autoritaire le résultat d’une forme d’imprévoyance ?
Par ailleurs, comment comprendre l’interdiction de la prise de température à l’entrée de l’entreprise, pratique généralisée dans l’ensemble des pays qui gèrent cette crise mais jugée « trop intrusive » en France ?
http://www.economiematin.fr/news-test-covid19-entreprise-interdiction-employe-employeur-securite-sanitaire-menthon