«Un torchon»: de Lyon à Paris, les masques «grand public» suscitent des critiques - photos
22:52 12.05.2020
Avec les premiers jours de déconfinement, et alors que le port du masque est désormais obligatoire dans les transports, plusieurs mairies en ont offert à leurs administrés. Les protections ont suscité des critiques. Ainsi, à Paris, les masques destinés aux seniors font polémique.
Certains masques artisanaux distribués gratuitement par les mairies ne font pas l’unanimité auprès de la population.
La mise à disposition de ces protections dites «grand public» avait été annoncée le 13 avril par le chef de l’État, qui souhaitait les voir distribués «à chaque Français», «en lien avec les maires».
Alors que les premières distributions ont eu lieu, les commentaires affluent sur les réseaux sociaux, tantôt ironiques, tantôt désabusés, pour critiquer ces masques.
Est notamment pointée du doigt l’esthétique de l’accessoire:
- voir photos lamentables sur site -
D’autres doutent de la durabilité du produit. Certains masques semblent s’abîmer au lavage:
À Paris, Rachida Dati monte au créneau
Plusieurs personnalités politiques ont également souligné la mauvaise qualité des masques destinés au grand public. Ainsi à Paris, Rachida Dati, maire LR du 7e arrondissement, a attaqué Anne Hidalgo sur le sujet, en particulier sur un lot de masques dévolus aux seniors.
«À la veille du déconfinement, 250.000 masques, sur les 2 millions promis, sont enfin arrivés, en “sopalin” à usage unique. Madame Hidalgo a commandé ces masques sans les voir et les a payés avec l'argent des Parisiens ! Il a fallu que les maires d'arrondissement se plaignent de ces masques déchirables, inadaptés et non protecteurs, pour qu'elle le découvre et nous demande de les jeter !», a déclaré Rachida Dati au Point.
Le samedi 9 mai, l’adjoint chargé du dossier, Jean-François Martins, a finalement reconnu que les masques distribués aux mairies d’arrondissement n’étaient «pas totalement satisfaisants d'un point de vue praticité et confort pour les plus de 70 ans», rapporte Le Parisien. De nouveaux masques pour les seniors devraient être prochainement livrés, selon le quotidien.
Ce ne sont pas des 'cadeaux' (que payent le contribuable) préventifs mais uniquement des masques de mort ! Car, 1°) Ils ne SONT PAS antivirus (SEUL le FFP2 est antivirus et est fabriqué avec une machine spéciale et unique en Chine et aux USA). 2°) Ces FAUX masques antivirus entretiennent une partie mouillée, humectée où viennent se coller des milliers de virus ce qui augmente la tâche de l'organisme à les combattre et à l'avoir. 3°) Ces masques de mort entretiennent la possibilité d'avoir n'importe quel virus et d'en mourir grâce à cette politique de merde entretenue par la dictature qui oblige à les porter !! et refuse toujours d'en (des FFP2) acheter en Chine !!
L'État aurait brûlé un million et demi de masques en pleine épidémie sans que leur conformité ait été vérifiée
10:03 13.05.2020
Le gouvernement n’a contrôlé un stock de 362 millions de masques chirurgicaux jugés comme «périmés» et voués à la destruction, qu’après qu’un million et demi d’entre eux avaient déjà été réduits en cendres, indique BFM TV. Cet état des lieux a posteriori a prouvé l’utilité d’en distribuer 85 millions au grand public.
362 millions de masques chirurgicaux d’un stock caché dans la Marne avaient été estimés comme périmés avant le début de l’épidémie, ils devaient alors être intégralement incinérés. Cependant, la décision de vérifier s’ils étaient encore utilisables a été prise par le gouvernement après qu’un million et demi d’unités avaient déjà brûlé, rapporte BFM TV.
Fin mars, l’État a pris connaissance de ce stock se trouvant dans un entrepôt secret. Lancée depuis trois mois, soit en janvier 2020, la destruction des masques a été immédiatement arrêtée par le gouvernement pour officiellement contrôler l’état de ces moyens de protection, précise la chaîne de télévision.
Destinés au grand public
Le 20 avril, les résultats de l’expertise réalisée ont montré que 85 millions de ces masques étaient utilisables et pouvaient être distribués au grand public, même si leur état n’était pas suffisant pour être employés par les soignants.
Les 280 millions d’autres masques ont été déclarés complètement hors d’usage, «moisis» et «qui traînaient au fond d’un hangar», avait annoncé Olivier Véran début mai à l’Assemblée nationale, interrogé par le député des Alpes-Maritimes Éric Ciotti à ce sujet.
Comme un audit réalisé il y a quelques années avait conseillé de détruire ce stock, le ministère de la Santé affirme ne pas avoir été informé de son existence, considérant que ces masques chirurgicaux avaient déjà été détruits, souligne BFM TV.
Cette condition mathématique qui pourrait pousser l'État à reconfiner les Français
12:35 13.05.2020
Alors que l’épidémie de Covid-19 reste «active» avec 348 nouveaux décès enregistrés en 24 heures, Jean Castex, chargé du plan de déconfinement, a évoqué les raisons qui justifieraient un reconfinement des Français: la circulation du virus, la capacité hospitalière et les résultats des tests.
Jean Castex, qui a préparé le plan de déconfinement pour le gouvernement, a donné lors de son audition à l’Assemblée nationale mardi 12 mai trois éléments qui obligeraient le pays à se reconfiner.
«Il faudrait que le nombre de nouveaux cas par jour en France double pour que nous reconfinions», a déclaré Jean Castex après avoir cité à titre d’exemple l’Allemagne où «sur une période cumulée de sept jours, 50 nouvelles contaminations pour 100.000 habitants sur un territoire, c’est l’indicateur d’alerte».
Trois indicateurs à suivre
Ainsi, parmi ces critères, il désigne la circulation du virus basée sur «la proportion des passages aux urgences pour suspicion de Covid avec une analyse faite sur les sept derniers jours» et l’activité de SOS Médecins.
Par ailleurs, la capacité de lits hospitaliers, en particulier de réanimation, est également soulignée, qui est «l’un des principaux critères qui a fondé la date du 11 mai».
Cependant, Jean Castex note que cet indicateur est plutôt suivi au niveau régional, car «les capacités de réanimation dont sont dotés les établissements de santé, évidemment, sont parfois faibles dans certains départements qui ont des hôpitaux généraux qui ne sont universitaires ou qui ont un nombre de lits inférieurs compte tenu de la population de ces départements».
Enfin, selon lui, les résultats des tests virologiques sont un élément important.
La possibilité d’un reconfinement déjà évoquée
Dans un entretien lundi 11 mai au micro de RMC/BFM TV, le ministre de la Santé Olivier Véran a évoqué la possibilité d’un reconfinement. «Si le virus devait reprendre sa course folle», le gouvernement pourrait appliquer de nouveau «des mesures de confinement territorialisées et différenciées», a-t-il déclaré.
En France, le deuxième jour du déconfinement a connu une nouvelle hausse des décès, 348 en 24 heures constatés mardi 12 mai au soir, portant ainsi à au moins 26.991 morts le bilan de l’épidémie de Covid-19 depuis le 1er mars, selon la direction générale de la Santé. Plus de 178.000 personnes sont contaminées par la maladie.
Les services d'urgence enregistrent cependant une amélioration régulière avec 2.543 patients en réanimation, soit 170 de moins que la veille, indique la Direction générale de la Santé. Au plus fort de l'épidémie, le 8 avril, les services de réanimation accueillaient 7.148 cas graves.
Une infirmière met sa vie en jeu pour secourir un malade atteint de Covid-19 et décède peu après
19:31 12.05.2020
Une infirmière qui a dû soigner un patient infecté par le coronavirus sans porter de masque de protection est morte des suites du Covid-19 deux semaines après, fait savoir le Los Angeles Times qui, se référant aux collègues de l’infirmière, rapporte que l’hôpital manque de moyens de protection.
Une infirmière est décédée après avoir réanimé, sans porter de masque de protection, un homme infecté par le coronavirus, relate le Los Angeles Times.
Selon les témoignages de ses collègues, Celia Marcos, qui avait 61 ans, a soigné un malade sans masque de protection, et est elle-même décédée deux semaines après cela des suites du Covid-19. Ils expliquent que quand l'homme a arrêté de respirer, l'infirmière qui craignait de perdre du temps en allant chercher un masque, a négligé cette mesure.
Elle serait l’une des 36 soignants morts à cause du coronavirus en Californie.
Le journal cite également l’une des infirmières de l’hôpital qui, sous couvert d’anonymat, a confié que l’hôpital manquait de moyens de protection. Tandis que la Direction locale de la protection du travail a lié la mort de la femme à l'insuffisance des moyens de protection individuelle, les représentants de l'hôpital nient ces accusations. De plus, ils ne confirment pas le fait que l’infirmière a soigné un patient sans porter la protection nécessaire.
Le dernier bilan
Au moins 1.351.200 cas d’infection ont été confirmés aux États-Unis, selon les derniers chiffres de l’Université Johns-Hopkins. Le total des victimes s’élève à 80.897 personnes.
Frappée économiquement par le coronavirus, Santa Monica offre un sombre aperçu de la crise à venir
Par JOE MOZINGOSTAFF WRITER 12 MAI 20205 AM
Rick Cole a passé sa carrière à travailler pour façonner et déplacer des institutions - pas grandes, augustes avec une renommée mondiale, mais des villes de taille moyenne comme Ventura et Azusa. Plus de 34 ans dans cinq mairies, il s'est forgé une réputation régionale en tant qu'assistant de la réforme municipale.
Vif, franc, parfois brusque et diviseur, il s'est battu pour créer des communautés compactes et accessibles aux piétons près des plaques tournantes des transports en commun, tout en poussant à réduire les budgets gonflés, en utilisant des données pour identifier les services et les employés inefficaces.
En tant que directeur de la ville de Santa Monica, il avait averti pendant deux ans qu'elle devait commencer à rembourser ses dettes de retraite, car les bons moments se termineraient, comme ils le font toujours.
Il n’imaginait tout simplement pas qu’ils finiraient ainsi.
L'épidémie de coronavirus et la fermeture ont coupé les deux principaux flux de revenus de la ville, la taxe sur les lits d'hôtel et la taxe de vente. Santa Monica envisage maintenant un déficit de 226 millions de dollars d'ici juin 2021. Et tandis que la ville côtière aisée est mieux lotie que la plupart des 88 villes du comté de Los Angeles, elle fait face à des coupures et des licenciements drastiques.
Cole a réalisé qu'il n'était pas la personne la plus apte à mener Santa Monica à travers le conflit à venir, après avoir juste fini de se battre avec les syndicats d'employés pour le financement des retraites.
Le 17 avril, il a annoncé sa démission, tirant un coup de feu sur la proue des gouvernements municipaux dans le sud de la Californie. Les budgets rusés naviguaient dans une énorme tempête.
La ville a annoncé cette semaine son intention de licencier ou de racheter 373 employés.
La dévastation économique se propagera ville après ville, à travers le bassin de Los Angeles, testant des villes pauvres telles que Maywood et Bell dans le comté du sud-est, à celles des vallées de San Fernando et San Gabriel et au-delà.
«C'est l'un de ces moments qui va nous obliger à repenser. Honte à nous si nous n'utilisons pas cela comme une opportunité », a déclaré Cole. "S'il ne s'agit que d'une tragédie - et la seule chose qui en résulte est la fermeture de bibliothèques et de casernes de pompiers et le licenciement de fonctionnaires - alors nous aurons aggravé la tragédie sanitaire avec un tragique manque d'imagination et de volonté politique."
La California League of Cities estime que les villes de l'État perdront collectivement 7 milliards de dollars au cours des deux prochaines années en raison de la pandémie, et des milliards de plus si les commandes de séjour à domicile s'étendent jusqu'à l'été et au-delà. Neuf des dix villes ont indiqué que le déficit entraînerait des coupures de service ou des congés et des licenciements, principalement en raison de la chute des ventes au détail d'une falaise. Beaucoup avaient compté sur des taxes de vente d'un cent pour consolider leur budget.
"Si le cratère des ventes au détail, une taxe de vente de 1% ne vous rapporte rien. Un pour cent de zéro est toujours nul », a déclaré D.J. Waldie, auteur, historien et ancien responsable de Lakewood depuis 33 ans.
Il a déclaré que les villes ont moins d'options que les comtés et les États en termes de recherche de nouveaux revenus. «Souvent, la solution aux problèmes de l’État consiste à prendre l’argent d’autres unités du gouvernement, des comtés, des villes et des districts spéciaux. Vous en voyez beaucoup au cours des 15 ou 20 dernières années, et il n'y a aucune raison pour que l'État ne se comporte pas comme par le passé. »
Les comtés et les districts scolaires sont en partie à l'abri des ralentissements financiers car ils reçoivent une part beaucoup plus importante des impôts fonciers que les villes. Et depuis que la proposition 13 a fixé une limite à cela, les villes ont réduit leurs services et retardé les améliorations nécessaires des immobilisations.
Désormais, non seulement les revenus sont réduits, mais les obligations de retraite des villes augmenteront si Wall Street continue de bégayer et que les portefeuilles de pensions perdent des milliards de valeur.
Contrairement à Santa Monica - qui a un budget par habitant de deux fois n'importe quelle autre ville du comté - de nombreuses municipalités ont peu d'endroits à couper qui n'affectent pas les services essentiels comme la police, les pompiers, la planification, la construction et les bibliothèques. Les besoins en infrastructures attendus depuis longtemps seront retardés encore plus longtemps. Le scénario est sombre: l'asphalte se brise, la verdure du parc se dessèche, les lampadaires s'éteignent, les ordures ne sont pas ramassées, les graffitis persistent et la valeur des propriétés chute, accélérant le cycle à la baisse.
"Les solutions sont rares et difficiles à trouver", a déclaré Waldie.
Cole, 66 ans, a commencé sa carrière en tant que militant et journaliste qui a cofondé le Pasadena Weekly. Il s'est d'abord fait un nom dans le monde de l'urbanisme en tant que membre du conseil et maire de Pasadena, qui a contribué à transformer le centre-ville en détresse en un quartier de divertissement et de vente au détail qui est devenu un modèle national de réaménagement.
Il est ensuite devenu directeur de la ville d'Azusa et de Ventura. Il est rare qu'un politicien passe à un rôle d'administration plus quotidien, et Cole a été plus direct et franc que la plupart des gestionnaires.
Vers la fin de son mandat de cinq ans à Santa Monica, certains employés de la ville se sont plaints qu'il pouvait être impérieux et non transparent - une critique qui n'a fait que s'accentuer lorsque la menace de licenciements est apparue. Une pétition demandant son retrait avait recueilli 2 800 signatures.
"Ce qui est en cours de restructuration, quels postes sont supprimés, c'est complètement opaque", a déclaré un employé du service des ressources humaines. "Nous demandons pourquoi prennent-ils ces décisions et n’obtiennent aucune réponse."
Cole avait déjà emprunté cette voie, dans un sens. À Ventura, il a passé quatre ans à remodeler le développement et les quatre suivants à faire face à la Grande Récession, selon l'ancien maire Bill Fulton.
«Il voulait se placer face au problème budgétaire», a déclaré Fulton, qui dirige désormais un groupe de réflexion urbain axé principalement sur Houston. «Rick était agressif et est sorti devant. Les villes voisines ont été lentes à réduire leurs budgets, et pendant un certain temps tout le monde a dit ce qui n'allait pas avec Ventura, pourquoi Ventura a-t-il un problème que personne d'autre n'a? Et la réponse a été, grâce à Rick, nous avons été confrontés au problème de bonne heure. »
Mais d'autres membres du conseil municipal se sont plaints qu'il n'était pas déférent à leurs idées, en a parlé et se sont comportés comme des élus, et non comme le manager embauché pour réaliser leur vision. Il a démissionné en 2012.
L'année suivante, le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, a embauché Cole pour être son maire adjoint pour le budget et l'innovation, afin de chercher des moyens d'accroître l'efficacité dans tout l'hôtel de ville.
Miguel Santana, alors directeur administratif de Los Angeles à l'époque, a déclaré que Cole avait aidé le maire à concentrer les ressources de la ville sur les services qui intéressaient le plus les gens.
«Il aime regarder les choses de manière systématique et pose des questions fondamentales sur le rôle du gouvernement», a déclaré Santana, désormais président et chef de la direction de Fairplex à Pomona.
Santana pensait que le travail à Santa Monica, que Cole avait commencé en 2015, serait parfaitement adapté, car la ville était progressiste et avait les moyens de progresser sur des questions telles que le sans-abrisme et la gentrification.
Cole a déclaré qu'il espérait que ces efforts se poursuivraient, même si Santa Monica s'avance, comme tous les autres endroits, dans le territoire inexploré flambé par la crise des coronavirus. La ville ne devrait pas simplement réduire ses effectifs, a-t-il dit, tout en s'accrochant à un modèle de gouvernement inefficace qui date de l'ère progressiste et du New Deal.
«Certaines des choses les plus importantes que nous devrions faire, nous ne le faisons pas. Nous n'étions pas préparés à une pandémie. Le logement n'est pas abordable. Nous ne résolvons pas la crise des sans-abri. Nous maintenons des services hérités conçus pour une autre époque », a-t-il déclaré.
Un exemple: le service d'incendie de Santa Monica répond à plus de 15 000 appels au 911 mais moins d'une centaine pour des incendies réels, a-t-il déclaré. La grande majorité sont des réponses médicales.
"Si vous concevez un service aujourd'hui pour une réponse médicale optimale, vous ne le feriez pas avec des camions de pompiers", a déclaré Cole.
Pour cerner le dilemme, encore aggravé par la pandémie, de la manière caractéristique de Cole:
"Soit nous essayons de préserver le tronc sanglant de la façon dont nous faisions les choses - soit nous inventons de nouvelles façons de résoudre les problèmes d'aujourd'hui."
POUR LES GROS CONS QUI PENSENT ENCORE QU'UN MASQUE PEUT SE LAVER !!
DÉSINFECTION DU MASQUE EN TISSU : ATTENTION AU FAUX « PROTOCOLE »
par PERRINE DE ROBIEN 12/05/2020
Pour désinfecter un masque en tissu, il faut le laver à 60 C°.
Depuis plusieurs jours, une astuce pour désinfecter les masques en tissu circule sur les réseaux sociaux. Il suffirait de les placer 15 secondes au-dessus d’une casserole d’eau bouillante.
Un pseudo protocole à ne surtout pas suivre. Il n’est malheureusement pas possible d’éviter de passer par l’étape lavage du masque entre chaque utilisation.
Pas de désinfection en plaçant le masque au-dessus d'une casserole d'eau bouillante
Dans certaines situations, le port du masque est devenu obligatoire. Par souci d’économie ou faute de modèle jetable, beaucoup de personnes utilisent des masques en tissu, achetés ou faits maison. Puisque ces masques sont réutilisables, il convient de les laver après chaque utilisation. Mais comment ?
Sur les réseaux sociaux, on a vu circuler une information, photo à l’appui, affirmant que l’on pouvait désinfecter un masque en tissu en le plaçant au-dessus d’une casserole d’eau bouillante pendant 15 secondes. La vapeur permettrait de décontaminer le masque et d’enlever toute trace du coronavirus. Ce « protocole » soi-disant rapide et efficace n’est à appliquer en aucun cas !
Un lavage à 60 degrés pendant 30 minutes
Ce procédé ne lave absolument pas le masque ; au contraire, la vapeur fixe les résidus sur le masque. Selon Sylvie Raspaud de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre, « sous l’effet de la vapeur, des dépôts organiques (telles que des protéines), peuvent jouer le rôle d’écran protecteur du virus, neutralisant la décontamination », lit-on dans un article de l’AFP relayé par de nombreux médias.
Cela signifie que vous ne pouvez pas vous passer de l’étape « lavage du masque ». L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) recommande de le laver en machine à une température de 60 C° pendant 30 minutes. Dans l’idéal il faudrait le sécher au sèche-linge et le repasser. Pour des raisons pratiques, il vaut donc mieux avoir plusieurs masques en tissu pour pouvoir les « faire tourner ». Une petite logistique, surtout pour les familles.
Le grand cirque mondial va reprendre, comme avant mais en pire
le 13 mai 2020
Éditorial du site investir.ch du 13 mai 2020 (lien en fin de billet)
Il était une fois
Il était une fois un pangolin et une chauve-souris qui, avec l’aide — affirment certains — de fourbes scientifiques, donnèrent naissance à un virus qui allait révolutionner le monde. Le virus mit la planète à l’arrêt, permettant aux gentils dauphins de revenir dans les canaux de Venise et à plein d’autres gentils animaux de reprendre possession de territoires confisqués de longue date par les méchants humains pollueurs.
La période de confinement permit surtout à chacun de se recentrer sur ses vraies valeurs, à savoir des macaronis, du papier hygiénique et Netflix. Ainsi s’enchainent les journées de douce quiétude bercées par le lent décompte des victimes et de leurs courbes exponentielles décroissant en harmonie vers le jour du grand déconfinement, le tout rythmé par de chaleureux applaudissements aux balcons, face au coucher de soleil (oui, mon lyrisme m’emporte quelque peu au-delà du scientifiquement raisonnable).
La grande utopie
Le voici donc enfin arrivé, ce premier jour d’une ère nouvelle. Fini les voyages en avion, la surconsommation, la malbouffe, la pollution. Oui, fini le pétrole qui ne vaut d’ailleurs plus rien. Tous à vélo ou en train électrique, en attendant que St-Elon nous dévoile les secrets de la téléportation quantique.
Fini la mondialisation qui a permis aux financiers de détruire la planète au nom des profits à court terme. Fini la mainmise des banques sur l’économie. Retour aux vraies valeurs et aux légumes bio de saison (et tant pis pour ceux qui n’aiment pas le chou et le céleri).
Bien entendu, il y aura des victimes. Héros sacrifiés économiquement au champ d’honneur en vue d’un monde meilleur. Qu’à cela ne tienne, nul ne sera laissé pour compte : revenu universel inconditionnel pour tous. Et en bitcoin, afin de se débarrasser en même temps de tous ces dangereux banquiers centraux! L’ancien monde ne se relèvera pas, la prise de conscience universelle nous ouvre les portes d’un avenir radieux. Utopistes de tous bords, le grand jour est enfin arrivé!
Reality check
Il serait faux, et totalement fou, d’affirmer que rien n’aura changé. Par contre la destruction du monde d’avant suivie de la reconstruction d’un nouveau monde utopique restera pour l’instant du ressort des studios hollywoodiens.
Ce que nous observerons, ce sont des tendances qui étaient déjà présentes avant la crise et qui ont trouvé un moment propice pour toucher un public plus large. Par exemple le télétravail, expérimenté par beaucoup d’entres nous par la force des choses, possède des avantages évidents pour nombre de personnes dès lors que les outils technologiques adaptés sont à disposition. Tendance qui n’avait point échappé aux investisseurs les plus sagaces, qui se sont empressés d’acheter le titre Zoom, sauf qu’ils ont confondu la société ayant créé leur logiciel de visioconférence préféré avec une small cap inconnue dont le cours s’est envolé au point que la Fed, peu désireuse de passer à des échelles de prix logarithmiques, a du intervenir promptement. Comme quoi, stupidité et cupidité sont bien de retour, mais en pire.
Et tant que nous sommes avec les petits investisseurs, revenons un instant sur la saga du pétrole. Aucun professionnel du secteur n’a jamais envisagé de “prix négatifs”. Ce qui s’est passé en avril avec le prix d’un contrat futur résulte du market timing parfait de petits investisseurs voyant dans les cours déprimés de l’or noir une opportunité historique de profiter d’une hausse qui surviendrait immanquablement dès le déconfinement annoncé. Manque de chance, le véhicule d’investissement choisi – le désormais célèbre ETF USO – n’ayant pas le droit de prendre livraison physique (obligatoire pour les contrats WTI) des barils à l’échéance des contrats devait absolument s’en débarrasser. Les professionnels du pétrole n’allaient pas laisser passer une telle occasion et ont accepté de “racheter” les contrats en faisant porter au vendeur les coûts de la réorganisation logistique, d’où au final un vendeur forcé qui paie l’acheteur afin de ne pas se retrouver dans une situation totalement illégale.
Reste que le prix du baril est effectivement bas pour l’instant, entre autres parce que 90% du trafic aérien est cloué au sol et que les citernes sont déjà bien remplies. Ce que nos chers utopistes n’ont pas compris, c’est qu’un pétrole peu cher n’encourage pas vraiment le développement d’énergies alternatives, souvent encore trop chères en comparaison. D’ailleurs les avions redécolleront bientôt en brulant du kérosène et les jeunes continueront à plébisciter les croisières, comme a déjà pu le constater l’opérateur Carnival Cruises qui a vu les réservations pour août 2020 atteindre le double de celles d’août 2019, époque à laquelle personne ne parlait encore de virus.
Les voitures majoritairement non électriques reviendront en nombre sur les routes, chacun préférant se confiner en sécurité dans sa voiture pour aller au MacDo plutôt que de risquer un contact rapproché avec le souffle d’un potentiel corona-vérolé dans les transports publics. La pollution urbaine sera donc présente comme avant, elle aussi, mais en pire.
Une autre chose que cette crise nous aura appris, c’est que l’on ne prête encore et toujours qu’aux très riches. Nombre de petits commerçants et entrepreneurs auront du mal à se relever de 2 ou 3 mois d’arrêt, ou leurs économies disparaitront pour que survive leur commerce ou entreprise. Idem pour des sociétés de taille plus importante mais pas too big to fail: arrêt des entrées de cash mais certains paiements ne peuvent être repoussés, à commencer par les remboursements d’un emprunt bancaire existant. A moins de l’octroi d’un prêt supplémentaire, elles seront techniquement en faillite suite au défaut de paiement. Malgré les garanties étatiques promises, les banques rechignent toujours à accorder de nouveaux crédits.
Tout ceci ne peut mener qu’à une seule chose : plus de chômage à court terme (on ne voit que ça, même si cela n’affole guère les marchés) et une précarisation de l’emploi à plus long terme. Cette tendance est également déjà présente depuis des décennies et ira en augmentant. La perte d’emplois plus ou moins qualifiés amène tôt ou tard les chômeurs à considérer une reconversion vers les secteurs qui recrutent. Je ne parle pas d’être data analyst ou développeur d’applications à la mode pour mobiles. Non, je parle du renforcement de l’économie de plateformes, comme Amazon ou Uber. Des emplois par définition mal payés. Ca aussi ce sera pire qu’avant.
Alors, serons-nous tous sauvés par le revenu universel inconditionnel ? Si jamais une initiative de ce genre devait voir le jour à grande échelle, ce serait probablement la fin de la classe moyenne. Ce revenu ne sera rien d’autre qu’un revenu de survie et, par son ampleur et ses effets probablement inflationnistes si assimilables à un QE perpétuel, réduira la valeur de l’argent. Riches et pauvres seront impactés mais seuls les riches détiennent du capital qui conservera sa valeur (1 Picasso = 2 villas = 20 voitures), alors que les moins riches n’ont que les revenus de leur travail qui représentera de moins en moins de pouvoir d’achat. L’écart croissant entre riches et pauvres existait aussi depuis un moment, maintenant ce sera pire.
Vers un nouveau populisme?
Evidemment, le tableau n’est pas très rose. Un changement d’ampleur, comme nous l’enseigne l’histoire, nécessiterait une révolution mais pour une multitude de raisons, il n’y aura pas de révolution.
Par contre, la situation actuelle est propice à l’émergence d’un nouveau populisme. Non pas basé sur les ethnies ou les religions (on a déjà), ni un nouveau racisme anti-chinois (économiquement impossible), ni a priori sur les classes sociales (Marx n’a plus la cote), ni sur l’écologie (ça coûte cher et Greta va passer de mode) mais basé sur la lutte des générations (quelle ironie pour les ex-soixante-huitards).
Il suffit de regarder une pyramide des âges pour comprendre la source d’un problème allant croissant: avec le vieillissement de la population dans les pays développés, les tranches d’âge ayant un emploi donc supportant le poids fiscal du système, sont minoritaires ou en passe de l’être vu l’évolution démographique. Moins de travail, lui-même moins bien rémunéré ,mais plus de prélèvements afin de financer les tranches d’âge plus âgées dépendant des prestations sociales (couvrant entre autres des frais croissants liés à la santé), sans oublier les plus jeunes qui – même s’ils ne votent pas – ne génèrent pas de revenus.
La majorité des plus âgés ne voteront pas contre leurs acquis (bien que…). Certains plus jeunes voudraient voir le système évoluer mais se heurtent à la démographie de l’électorat et à l’immobilisme des partis politiques traditionnels. Voici le véritable risque d’assister à l’éclosion d’une forme nouvelle de populisme qui – comme tous les populismes – joue sur des contrastes binaires (jeunes vs vieux), facilement compréhensibles par une catégorie de la population de moins en moins encline à la réflexion critique comme l’a démontré une étude publiée dans la prestigieuse American Economic Review.
Même s’il resterait beaucoup à dire, je m’arrêterai ici et laisserai à Michel Houellebecq le mot de la fin:
“Un autre chiffre aura pris beaucoup d’importance en ces semaines, celui de l’âge des malades. Jusqu’à quand convient-il de les réanimer et de les soigner ? 70, 75, 80 ans ? Cela dépend, apparemment, de la région du monde où l’on vit ; mais jamais en tout cas on n’avait exprimé avec une aussi tranquille impudeur le fait que la vie de tous n’a pas la même valeur ; qu’à partir d’un certain âge (70, 75, 80 ans ?), c’est un peu comme si l’on était déjà mort.
Toutes ces tendances, je l’ai dit, existaient déjà avant le coronavirus ; elles n’ont fait que se manifester avec une évidence nouvelle. Nous ne nous réveillerons pas, après le confinement, dans un nouveau monde ; ce sera le même, en un peu pire.” (France Inter, Lettres d’intérieur, 4 mai 2020).
Le monde a toujours été entretenu à mourir dans la vie avec promesse de vivre dans la mort ! (Hahaha !) Mais, si la tyrannie tire à sa fin et s'accroche encore aux crevures vertes, un avenir en Démocratie est forcément tout tracé !
Car l'idée la plus ouf que j'ai pu entendre dans ma vie est "Éloignez-vous de vous et rapprochez-vous des autres" !!
Oui, de tout temps le maître esclavagiste a tiré profit de la main-d'œuvre gratuite ou bon-marché, et nous, nous y arrivons grâce aux machines domestiquées et aux robots apprivoisés qui travaillent pour nous. Juste qu'il faut supprimer la dictature dans tous les pays et faire valoir la majorité (7 milliards d'être humains) qui supplante le nano-groupuscule de terroristes au pouvoir !
De toutes façons, la planche-à-billets existe depuis plus de 2000 ans, alors... pourquoi parler de disparition ?
Qui contrôle la réponse du gouvernement britannique à COVID-19, partie 2
par Tyler Durden Mer, 13/05/2020 - 02h00 Écrit par Vanessa Beeley via Off-Guardian.org,
«Pour obtenir le gouvernement mondial, il est nécessaire de retirer aux esprits des hommes leur individualisme, leur loyauté envers la tradition familiale, le patriotisme national et les dogmes religieux.»
- Dr George Brock Chisholm, qui a été le premier directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) de 1948 à 1953
Dans la première partie de Qui contrôle la réponse du gouvernement britannique à Covid-19?, J'ai commencé une enquête sur les individus et les entités qui dirigent effectivement la réponse du gouvernement britannique à Covid-19.
Dans la deuxième partie, je développerai les liens Big Pharma et Intelligence artificielle (IA) déjà identifiés et introduirai de nouvelles connexions qui semblent avoir une influence considérable sur la stratégie Covid-19 du gouvernement britannique. Je développerai les liens entre Bill Gates et les diverses organisations qui défendent la vaccination mondiale.
Le conseiller médical en chef du gouvernement britannique et médecin-chef pour l'Angleterre, Chris Whitty, dit qu'un retour à la «normale» à court terme est «totalement irréaliste». Whitty nous dit que la politique de distanciation sociale «hautement perturbatrice» sera en place «pour une très longue période».
«Très perturbateur» est un euphémisme pour la dévastation de l'économie mondiale et l'effet d'entraînement horrible - environ 50% de la main-d'œuvre mondiale risque de perdre son gagne-pain.
Le gouvernement britannique a promu le concept de «passeport d'immunité» comme moyen de desserrer les mesures draconiennes de verrouillage. Il est très possible que la technologie de reconnaissance faciale dicte qui peut quitter le verrouillage et retourner au travail. Pour obtenir un passeport, les individus doivent télécharger une image de leur visage sur l'application avec leur carte d'identité (passeport ou permis de conduire).
Ils sont ensuite testés pour vérifier s'ils ont eu le virus et développé une immunité. L'application générera ensuite un code QR, que l'employeur utilisera pour vérifier l'identité et l'immunité avant de permettre à l'employé de retourner au travail.
L'application de suivi et de traçabilité d'Onfido, sérieusement étudiée par le gouvernement
L’agence d’innovation du service de santé britannique NHSx a appelé des entreprises et des experts en technologie à soumettre leurs idées pour la délivrance de passeports immunitaires. Les entreprises qui font actuellement des propositions au gouvernement britannique sont Onfido, Yoti, IDnow, OCL et iDenfy.
Ces plans du gouvernement britannique de suivi et de repérage sont toujours confrontés à divers obstacles - y compris l'exactitude douteuse de certains des tests d'anticorps - mais le spectre d'une surveillance accrue et d'un contrôle gouvernemental sur la main-d'œuvre, et de nombreux autres aspects de la liberté civile, se profile indéniablement sur le horizon.
Comme je l'ai souligné dans la première partie, ce n'est pas un hasard si la start-up de l'Université d'Oxford, la société de reconnaissance faciale financée par Microsoft Onfido «a récemment levé 100 millions de dollars (maintenant 200 millions de dollars) pour renforcer sa technologie d'identification» pour permettre la création d'une immunité passeports.
Selon un entretien avec le PDG d'Onfido, Husayn Kassai, la société avait précédemment proposé un service qui «automatise les vérifications des antécédents des futurs employés avant qu'ils ne soient acceptés pour le travail»; il semblerait que les passeports d'immunité soient une extension logique de ce qui, en fait, le secteur privé espionne la main-d'œuvre.
Un article plus récent proclame: «Onfido en pourparlers avec le gouvernement sur les systèmes pour aider les Britanniques à retourner au travail».
Onfido, déjà en «phase pilote» dans d'autres pays, prétend que ses propositions pourraient être exécutées d'ici quelques mois et que le «certificat sanitaire grâce à la technologie des applications» «gagne du terrain». Onfido affirme que cette technologie pourrait être la cheville ouvrière de la nouvelle «normalité» et la clé pour stimuler l'économie - comme soutenu par Bill Gates / Microsoft et indéniablement en phase de verrouillage avec le manifeste d'ID2020.
De nombreux analystes ont souligné le danger de l'introduction d'ID2020 sous couvert de la «crise» de Covid-19:
Nous pouvons en effet être juste au début de la mise en œuvre d'ID2020 - qui comprend la vaccination forcée, la réduction de la population et le contrôle numérique total de tout le monde, en route vers l'Ordre mondial unique; et l'hégémonie financière mondiale - Full Spectrum Dominance, comme le PNAC (Plan for a New American Century) aime l'appeler. Peter Koenig
L'ÉQUIPE DERRIÈRE LA RÉPONSE COVID – 19 DU GOUVERNEMENT DU ROYAUME-UNI
- voir croquis sur site -
Dans la première partie, je me suis concentré en grande partie sur le rôle de l'Imperial College et du professeur Neil Ferguson dans la «modélisation» de la trajectoire de l'infection virale et l'influence sur la réponse du gouvernement britannique, comme il l'a fait précédemment, avec un taux d'échec de 100% sur la précision de son prédictions virtuelles.
Mon objectif dans la deuxième partie est de mettre en lumière d'autres membres du comité consultatif du gouvernement britannique et de révéler leurs liens avec Big Pharma et le secteur à but lucratif liés à la réponse de Covid-19.
NEIL FERGUSON DÉFEND SA POLITIQUE DE VERROUILLAGE TOUT EN OUBLIANT CONVENABLEMENT LE DOSSIER D'ÉCHEC DE SON «MODÈLE» Dans une récente interview, Neil Ferguson a défendu ses prédictions Covid-19, qui semblent maintenant avoir été considérablement exagérées.
Ferguson a renforcé le message que les Britanniques [soulignement ajouté]:
ne peut pas revenir complètement à la normale, tant que nous n’aurons pas de vaccin, il y aura un certain degré de distanciation sociale. »
Ferguson a également confirmé la politique de suivi et de traçabilité du gouvernement britannique [je souligne]:
Une distanciation sociale à plus long terme sera nécessaire, pas aux niveaux que nous avons aujourd'hui, si nous avons mis en place une recherche des contacts. »
Avec des chiffres qui ne correspondent pas aux projections alarmistes de Ferguson, le verrouillage de l'économie qui s'en est suivi, et maintenant le déploiement potentiel par le gouvernement britannique des vaccinations obligatoires et de la surveillance biométrique de la main-d'œuvre, nous pourrions être pardonnés de soupçonner que l'agenda global était toujours l'augmentation. surveillance et contrôle de la majorité de la population.
ÉTUDE DE CAS FERGUSON H1N1 - PATRICK VALLANCE - GLAXOSMITHKLINE À ce stade, je voudrais remonter dans le temps en 2009 et à l'analyse de la grippe porcine par le Ferguson / Imperial College, H1N1: ils ont affirmé que ce virus tuerait 65 000 personnes au Royaume-Uni. Au final, 457 personnes sont mortes du virus.
En réponse à la menace de la grippe porcine, le géant de Big Pharma, GlaxoSmithKline (GSK), a développé le vaccin Pandemrix, avec des conséquences désastreuses.
Une soixantaine de patients qui auraient subi des lésions cérébrales à la suite du vaccin ont reçu une indemnité de 60 millions de livres sterling du gouvernement britannique. La plupart des victimes étaient des enfants.
Comme le dit un rapport:
Il a été révélé par la suite que le vaccin, Pandemrix, peut provoquer la narcolepsie et la cataplexie chez environ une personne sur 16 000, et beaucoup d'autres devraient manifester ces symptômes. »
Un rapport ultérieur du British Medical Journal (BMJ) a estimé que GSK et les autorités sanitaires n'avaient pas averti le public du "signal de sécurité" alarmant du vaccin.
Le vaccin a été développé par GSK et breveté en septembre 2006. Pandemrix contenait une souche de grippe recommandée par l'OMS. Après que des rapports de lésions cérébrales ont commencé à émerger, l'OMS a révisé ses conseils pour inciter à une «utilisation restreinte» pour les personnes de moins de 20 ans. Pandemrix n'est plus autorisé à utiliser, mais à l'époque, le gouvernement travailliste dirigé par Gordon Brown avait accordé Indemnité GSK. Les détails de cet accord n'ont jamais été rendus publics.
De 2012 à mars 2018, Sir Patrick Vallance a été président de la recherche et du développement chez GSK. Il est allé directement de GSK à son poste de conseiller scientifique en chef du gouvernement britannique.
Alors que Vallance et le gouvernement britannique favorisent AstraZeneca - en partenariat avec l'Université d'Oxford - pour accélérer le développement de vaccins, GSK est également dans la course.
GSK travaille en collaboration avec la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI), «visant à aider l'effort mondial pour développer un vaccin» pour Covid-19.
Le gouvernement britannique a investi 50 millions de livres sterling dans le CEPI pour soutenir le développement rapide de vaccins et d'immunoprophylactiques contre des «agents pathogènes inconnus» (également appelés Disease X). Bill Gates était l'un des sponsors originaux et les plus influents du CEPI; plus de détails plus loin dans cet article.
Ainsi, le gouvernement britannique semble favoriser AstraZeneca, mais Vallance et le gouvernement semblent également soutenir subtilement l'ancien employeur de Vallance, GSK, malgré leur fiasco Pandemrix.
Alors que Vallance était en charge de la recherche et du développement chez GSK, la collaboration avec la fondation Bill et Melinda Gates a été renforcée. En 2013, un nouveau partenariat entre GSK et la Fondation Gates a été annoncé: «accélérer la recherche de vaccins pour les besoins de santé mondiaux».
Ce que nous commençons à voir ici, c'est la définition même d'une politique de porte tournante entre le philanthrocapitalisme, Big Pharma et les agences gouvernementales, tous travaillant efficacement en phase de verrouillage pour promouvoir le programme mondial de vaccination, avec des bénéfices projetés massifs pour le complexe Big Pharma et en en particulier pour les membres étroitement associés à Gates, à l'OMS, à l'UNICEF et aux gouvernements du monde, comme déjà discuté dans la première partie.
LES SCIENTIFIQUES, LES ÉPIDÉMIOLOGISTES ET LES ANALYSTES NE PARLENT PAS EN UNE SEULE VOIX SUR COVID – 19
Pour revenir à l'interview de Ferguson que j'ai mentionnée plus tôt, mon observation est que Ferguson était mal à l'aise, semblant défendre un script plutôt que d'ouvrir la discussion pour inclure d'autres modèles et opinions d'experts qui sont en désaccord avec véhémence avec son évaluation.
Éminent épidémiologiste et bio-statisticien, le professeur Knut Wittkowski a été un critique franc du verrouillage et de la distanciation sociale depuis le début. Dans une récente interview, Perspectives on the Pandemic, il a parlé du modèle Ferguson:
Cela n'a aucun sens. Je n'ai aucune idée [de ce qui a inspiré Ferguson à faire ses estimations]. Je n'aime pas m'engager dans des théories du complot, donc, si vous avez un modèle qui donne des résultats qui contredisent tout le reste, alors vous contactez vos collègues, vous dites: `` Envoyez-moi votre modèle, laissez-moi l'essayer, comparons ce que nous avons, où sommes-nous d'accord et qu'est-ce qui rend mon modèle différent du vôtre? '. Voilà comment fonctionne la science. Nous commettons tous des erreurs - mais nous ne présentons pas les résultats sans une double vérification.
Même le Dr Anthony Fauci, homologue de Ferguson aux États-Unis, a également mis en doute l'efficacité de ces modèles pour déterminer la réponse du gouvernement à un virus donné:
Je n'ai jamais vu de modèle des maladies que j'ai traitées où le pire des cas est réellement apparu […] elles dépassent toujours.
Le fait que Ferguson s'efforce malgré tout - et sans aucune référence à son bilan épouvantable et à ses conséquences désastreuses pour le public britannique - suggère qu'il fonctionne en grande partie comme un agent de sensibilisation pour les acteurs ayant des intérêts acquis qui l'exploitent pour garder le gouvernement sur la bonne voie avec leurs propres campagnes Covid – 19 à but lucratif.
LE MONOPOLE BIG PHARMA DICTATE LA «NOUVELLE NORMALE» DANS LES SOINS DE SANTÉ MONDIAUX
Qui est CEPI ? Le CEPI est la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations. Le CEPI a été lancé à Davos en 2017 par les gouvernements de Norvège et d'Inde, la Fondation Bill & Melinda Gates, l'association caritative mondiale de santé Wellcome Trust basée en Grande-Bretagne et le Forum économique mondial.
Le CEPI est décrit comme un «partenariat innovant entre les organisations publiques, privées, philanthropiques et civiles», auquel j'ajouterais les gouvernements: la coalition a reçu des investissements des gouvernements d'Allemagne, du Japon, d'Australie, du Royaume-Uni, de Belgique et du Canada. Leur rôle principal par rapport à Covid-19 est le «développement de plateformes pouvant être utilisées pour le développement rapide de vaccins contre des agents pathogènes inconnus» (2018).
L'historien et auteur, le professeur Michel Chossudovsky, est convaincu que le CEPI «cherche à jouer un rôle de monopole dans le secteur de la vaccination, dont l'objectif est un projet mondial de vaccination».
Comme je l'ai indiqué précédemment, le CEPI est la clé du succès du projet «Décennie vaccinale» de Gates, qui arrive à son terme en 2020 - coïncidant avec l'épidémie de Covid-19. Le CEPI rassemble les principaux acteurs de la biotechnologie, de la Big Pharma et des associations caritatives mondiales de la santé, des agences gouvernementales et de la R&D universitaire pour nous conduire vers la vaccination mondiale.
Le CEPI, dénommé par euphémisme «communauté élargie», est représenté par cinq membres ou observateurs sans droit de vote; il s'agit notamment de la Banque mondiale, qui est la principale institution financière détenant des fonds du CEPI, et d'un représentant de l'OMS.
Chaque organe directeur ou complexe qui promeut la vaccination mondiale enregistre les mêmes entités que les influenceurs et les sponsors. À maintes reprises, la question des conflits d'intérêts doit être soulevée en relation avec la réponse de Covid-19.
Tout comme Sir Patrick Vallance était lié à GSK, Chris Whitty, conseiller médical en chef du gouvernement britannique, était membre du conseil intérimaire du CEPI jusqu'à l'annonce du conseil permanent en 2018. Faut-il s'étonner que le gouvernement britannique ait investi 50 millions de livres sterling au CEPI tout en étant conseillé par Whitty ?
Whitty avec Matt Hancock. "L'expert dont nous avons besoin dans la crise des coronavirus."
Whitty a également reçu un financement de Gates en 2008: 40 millions de dollars pour la recherche sur le paludisme en Afrique. Le fait que Whitty ait participé au lancement du CEPI, le projet de monopole de vaccination de Gates, ne devrait donc pas être une énorme surprise.
PARTENARIAT CEPI ET IMPERIAL COLLEGE
Le modèle de Ferguson a été généré sous les auspices du Vaccine Modeling Impact Consortium, hébergé par l'Imperial College - tous deux effectivement financés par Bill Gates et le Wellcome Trust britannique (principalement).
En décembre 2018, le CEPI a conclu un partenariat avec l'Imperial College de Londres.
Le CEPI a fourni un financement de 8,4 millions de dollars américains à l'Imperial College pour travailler sur une plate-forme de vaccins qui peut être utilisée pour «développer rapidement des vaccins contre les agents pathogènes - même inconnus».
La plate-forme porte le nom approprié de RapidVac et se concentre sur la production de vaccins contre le H1N1, la rage et le virus de Marburg comme «preuve de concept». La prochaine étape serait de développer rapidement des vaccins en réponse à des «agents pathogènes nouveaux et inconnus, connus sous le nom de« maladie X »».
Ainsi, un an avant l'éclosion de Covid-19, l'Imperial College travaillait sur un vaccin contre la «maladie X».
Une déclaration de l'Imperial College a affirmé que le partenariat du CEPI et de l'IC visait à développer des vaccins «contre des agents pathogènes nouveaux et inconnus dans les 16 semaines suivant l'identification de l'antigène jusqu'à la libération du produit pour les essais» (non souligné dans l'original).
C'est une affirmation extraordinaire, lorsque les vaccins ont une période de gestation typique de R&D allant jusqu'à quinze ans avant d'être approuvés en toute sécurité pour la consommation publique. En outre, nous devons également toujours considérer qu'il existe un argument très fort contre l'utilisation totale des vaccins; peut-être un sujet pour un autre article.
DÉVELOPPEMENT DE VACCINS COVID – 19
La séquence du génome de Covid-19 a été publiée en ligne à la mi-janvier et les chercheurs auraient commencé à agir. La recherche mondiale d'un vaccin dépasse de dix à quinze programmes sérieux. Le CEPI financerait six de ces programmes: CureVac, Inovio Pharmaceuticals, Moderna et les universités d'Oxford, de l'Imperial College et du Queensland en Australie. Nous pouvons également maintenant ajouter GSK à la liste des participants en partenariat avec le CEPI soutenu par le gouvernement britannique.
PARTENARIAT AVEC GAVI ET CEPI, DÉCEMBRE 2018
Dans la première partie, j'ai discuté de GAVI, l'alliance autoproclamée pour les vaccins. GAVI a été créé il y a vingt ans et intègre les membres du consortium «Global Health Leaders Launch Decade of Vaccines Collaboration»: ceux-ci incluent, une fois de plus, l'OMS, la Banque mondiale, l'UNICEF et les gouvernements.
Le gouvernement britannique est le principal sponsor de GAVI. À son tour, GAVI parraine le VIMC, où Ferguson modélise sa réponse à Covid-19 - hébergé par Imperial College.
En décembre 2018, le même mois que le CEPI a conclu un partenariat avec l'Imperial College, le conseil d'administration de GAVI a approuvé une proposition pour que le Royaume de Norvège soutienne le CEPI par le biais d'un système d'obligations soutenu par un nouveau «engagement de la Norvège envers la Facilité internationale de financement pour la vaccination». (IFFIm).
En utilisant le système d'obligations, la Norvège a financé le CEPI à hauteur de 58,1 millions de dollars. GAVI, financé par Gates et créé par Gates, était le courtier de cette entente de parrainage, qui a acheminé de l'argent vers le CEPI financé par Gates et créé par Gates.
D'autres sponsors sont clairement impliqués, mais je ne fais que souligner la politique de la porte tournante vis-à-vis de ces consortiums qui rassemblent les secteurs de la santé privé, public et mondial pour promouvoir davantage la promotion des vaccins à l'échelle mondiale. Comme l’affirme fièrement le site Web de Gavi, l’alliance vaccine désormais près de la moitié des enfants du monde.
Le gouvernement britannique brouille les frontières entre le secteur privé et le secteur public en ce qui concerne les vaccins
Infographie de la colonne britannique - du programme de nouvelles.
Le gouvernement britannique finance non seulement indirectement les projets générés par Gates par le biais du CEPI et de GAVI; il existe également une collaboration directe qui est passée inaperçue pour la plupart des rapports sur la réponse du gouvernement à Covid-19. Si vous saisissez le terme de recherche «Bill Gates» en tant que partenaire de mise en œuvre dans le tracker de développement UKAID, un certain nombre de projets liés aux vaccins sont révélés.
Cette semaine, le Premier ministre, Boris Johnson, a co-organisé la conférence internationale de promesses de contributions internationales sur le coronavirus - pour «faire avancer la course mondiale aux vaccins, traitements et tests contre les coronavirus» (non souligné dans l'original).
Selon les informations publiées, le Royaume-Uni a déjà fourni 744 millions de livres sterling de UKAID pour la réponse mondiale à Covid-19. Cela comprend 388 millions de livres sterling pour soutenir de nouveaux vaccins, tests et traitements. Le Royaume-Uni a promis 250 millions de livres sterling au CEPI (la plus grande contribution de tous les pays).
40 millions de livres ont été consacrés au développement rapide des traitements Covid-19; 23 millions de livres sterling pour développer des tests rapides pour le virus; et 75 millions de livres sterling à la réponse de l'OMS aux systèmes de santé essentiels. Le Royaume-Uni a également promis l'équivalent de 330 millions de livres sterling par an pendant cinq ans à GAVI, l'alliance autoproclamée pour les vaccins.
Le gouvernement britannique se concentre effectivement sur le secteur du marché dans lequel il a le plus investi - la vaccination mondiale - à un moment où l'économie nationale britannique est mise à genoux par la réponse du gouvernement à Covid-19.
Peut-être qu'à ce stade, on pourrait encore soutenir que le gouvernement britannique place le bien-être de ses citoyens au premier plan de son programme; mais en creusant un peu plus, il est beaucoup plus difficile de tirer cette conclusion.
LE RÉSEAU DE VACCINS DU ROYAUME-UNI
Chris Whitty était non seulement parrainé auparavant par Bill Gates et membre du conseil intérimaire du CEPI; il préside maintenant le UK Vaccine Network (UK VN). Le UK VN rassemble «l'industrie, le monde universitaire et les organismes de financement compétents pour effectuer des investissements ciblés dans des vaccins spécifiques et des technologies de vaccins contre les maladies infectieuses susceptibles de provoquer une épidémie».
Le UK Vaccine Network finance des programmes de développement de vaccins. Les projets soutenus par le DHSC à travers le UK Vaccine Network sont listés ici.
Un des projets du document de financement DHSC.
Sous l'administration de Chris Whitty - Whitty est co-chef de file du National Institute for Health Research (NIHR) - le NIHR et UK Research and Innovation versent 20 millions de livres sterling supplémentaires au CEPI pour le développement du vaccin Covid-19. Cela s'ajoute aux 50 millions de livres sterling déjà accordés par le gouvernement britannique au CEPI.
"C'EST L'HUMANITÉ CONTRE LE VIRUS" SUIT LA SEMAINE MONDIALE DE L'IMMUNISATION (26-30 AVRIL)
Il est peu probable que le moment de la conférence de Boris Johnson sur l’humanité contre le virus soit une coïncidence, car il fait chaud dans la foulée de la Semaine mondiale de la vaccination.
Une publicité de l'OMS pour les vaccins présentée à la Semaine mondiale de la vaccination.
Un document produit par Public Health England (PHE) donne une meilleure idée de la mesure dans laquelle le gouvernement britannique fait la promotion des vaccins pendant la «crise» de Covid-19. Le thème de 2020 est «Les vaccins fonctionnent pour tous» - coïncidant avec la dernière année de la «décennie des vaccins» de Gates des années 2010.
Des hashtags comme #CarryOnVaccinating sont en cours de déploiement, et la campagne «Les vaccins fonctionnent pour tous» se concentrera sur «comment les vaccins - et les personnes qui les développent, les délivrent et les reçoivent - sont des héros en travaillant pour protéger la santé de chacun, partout dans le monde».
L'OMS a désigné 2020 Année internationale de l'infirmière et de la sage-femme. Pourquoi? En raison du «rôle crucial de ces professions en tant que défenseurs précoces des vaccins pour les nouveaux parents et les futurs parents et pour la vaccination tout au long de la vie, s’assurer que les personnes âgées bénéficient de leur protection de routine». Quelle façon intelligente de mobiliser le personnel infirmier véritablement dévoué pour promouvoir les vaccins dans un vaste marché.
Infographie de la colonne britannique - du programme de nouvelles.
Le gouvernement britannique finance non seulement indirectement les projets générés par Gates par le biais du CEPI et de GAVI; il existe également une collaboration directe qui est passée inaperçue pour la plupart des rapports sur la réponse du gouvernement à Covid-19. Si vous saisissez le terme de recherche «Bill Gates» en tant que partenaire de mise en œuvre dans le tracker de développement UKAID, un certain nombre de projets liés aux vaccins sont révélés.
Cette semaine, le Premier ministre, Boris Johnson, a co-organisé la conférence internationale de promesses de contributions internationales sur le coronavirus - pour «faire avancer la course mondiale aux vaccins, traitements et tests contre les coronavirus» (non souligné dans l'original).
Selon les informations publiées, le Royaume-Uni a déjà fourni 744 millions de livres sterling de UKAID pour la réponse mondiale à Covid-19. Cela comprend 388 millions de livres sterling pour soutenir de nouveaux vaccins, tests et traitements. Le Royaume-Uni a promis 250 millions de livres sterling au CEPI (la plus grande contribution de tous les pays).
40 millions de livres ont été consacrés au développement rapide des traitements Covid-19; 23 millions de livres sterling pour développer des tests rapides pour le virus; et 75 millions de livres sterling à la réponse de l'OMS aux systèmes de santé essentiels. Le Royaume-Uni a également promis l'équivalent de 330 millions de livres sterling par an pendant cinq ans à GAVI, l'alliance autoproclamée pour les vaccins.
Le gouvernement britannique se concentre effectivement sur le secteur du marché dans lequel il a le plus investi - la vaccination mondiale - à un moment où l'économie nationale britannique est mise à genoux par la réponse du gouvernement à Covid-19.
Peut-être qu'à ce stade, on pourrait encore soutenir que le gouvernement britannique place le bien-être de ses citoyens au premier plan de son programme; mais en creusant un peu plus, il est beaucoup plus difficile de tirer cette conclusion.
LE RÉSEAU DE VACCINS DU ROYAUME-UNI Chris Whitty était non seulement parrainé auparavant par Bill Gates et membre du conseil intérimaire du CEPI; il préside maintenant le UK Vaccine Network (UK VN). Le UK VN rassemble «l'industrie, le monde universitaire et les organismes de financement compétents pour effectuer des investissements ciblés dans des vaccins spécifiques et des technologies de vaccins contre les maladies infectieuses susceptibles de provoquer une épidémie».
Le UK Vaccine Network finance des programmes de développement de vaccins. Les projets soutenus par le DHSC à travers le UK Vaccine Network sont listés ici.
Un des projets du document de financement DHSC.
Sous l'administration de Chris Whitty - Whitty est co-chef de file du National Institute for Health Research (NIHR) - le NIHR et UK Research and Innovation versent 20 millions de livres sterling supplémentaires au CEPI pour le développement du vaccin Covid-19. Cela s'ajoute aux 50 millions de livres sterling déjà accordés par le gouvernement britannique au CEPI.
"C'EST L'HUMANITÉ CONTRE LE VIRUS" SUIT LA SEMAINE MONDIALE DE L'IMMUNISATION (26-30 AVRIL)
Il est peu probable que le moment de la conférence de Boris Johnson sur l’humanité contre le virus soit une coïncidence, car il fait chaud dans la foulée de la Semaine mondiale de la vaccination.
Un document produit par Public Health England (PHE) donne une meilleure idée de la mesure dans laquelle le gouvernement britannique fait la promotion des vaccins pendant la «crise» de Covid-19. Le thème de 2020 est «Les vaccins fonctionnent pour tous» - coïncidant avec la dernière année de la «décennie des vaccins» de Gates des années 2010.
Des hashtags comme #CarryOnVaccinating sont en cours de déploiement, et la campagne «Les vaccins fonctionnent pour tous» se concentrera sur «comment les vaccins - et les personnes qui les développent, les délivrent et les reçoivent - sont des héros en travaillant pour protéger la santé de chacun, partout dans le monde».
L'OMS a désigné 2020 Année internationale de l'infirmière et de la sage-femme. Pourquoi? En raison du «rôle crucial de ces professions en tant que défenseurs précoces des vaccins pour les nouveaux parents et les futurs parents et pour la vaccination tout au long de la vie, s’assurer que les personnes âgées bénéficient de leur protection de routine». Quelle façon intelligente de mobiliser le personnel infirmier véritablement dévoué pour promouvoir les vaccins dans un vaste marché.
Infographie de la colonne britannique - du programme de nouvelles.
Le gouvernement britannique finance non seulement indirectement les projets générés par Gates par le biais du CEPI et de GAVI; il existe également une collaboration directe qui est passée inaperçue pour la plupart des rapports sur la réponse du gouvernement à Covid-19. Si vous saisissez le terme de recherche «Bill Gates» en tant que partenaire de mise en œuvre dans le tracker de développement UKAID, un certain nombre de projets liés aux vaccins sont révélés.
Cette semaine, le Premier ministre, Boris Johnson, a co-organisé la conférence internationale de promesses de contributions internationales sur le coronavirus - pour «faire avancer la course mondiale aux vaccins, traitements et tests contre les coronavirus» (non souligné dans l'original).
Selon les informations publiées, le Royaume-Uni a déjà fourni 744 millions de livres sterling de UKAID pour la réponse mondiale à Covid-19. Cela comprend 388 millions de livres sterling pour soutenir de nouveaux vaccins, tests et traitements. Le Royaume-Uni a promis 250 millions de livres sterling au CEPI (la plus grande contribution de tous les pays).
40 millions de livres ont été consacrés au développement rapide des traitements Covid-19; 23 millions de livres sterling pour développer des tests rapides pour le virus; et 75 millions de livres sterling à la réponse de l'OMS aux systèmes de santé essentiels. Le Royaume-Uni a également promis l'équivalent de 330 millions de livres sterling par an pendant cinq ans à GAVI, l'alliance autoproclamée pour les vaccins.
Le gouvernement britannique se concentre effectivement sur le secteur du marché dans lequel il a le plus investi - la vaccination mondiale - à un moment où l'économie nationale britannique est mise à genoux par la réponse du gouvernement à Covid-19.
Peut-être qu'à ce stade, on pourrait encore soutenir que le gouvernement britannique place le bien-être de ses citoyens au premier plan de son programme; mais en creusant un peu plus, il est beaucoup plus difficile de tirer cette conclusion.
LE RÉSEAU DE VACCINS DU ROYAUME-UNI
Chris Whitty était non seulement parrainé auparavant par Bill Gates et membre du conseil intérimaire du CEPI; il préside maintenant le UK Vaccine Network (UK VN). Le UK VN rassemble «l'industrie, le monde universitaire et les organismes de financement compétents pour effectuer des investissements ciblés dans des vaccins spécifiques et des technologies de vaccins contre les maladies infectieuses susceptibles de provoquer une épidémie».
Le UK Vaccine Network finance des programmes de développement de vaccins. Les projets soutenus par le DHSC à travers le UK Vaccine Network sont listés ici.
Un des projets du document de financement DHSC.
Sous l'administration de Chris Whitty - Whitty est co-chef de file du National Institute for Health Research (NIHR) - le NIHR et UK Research and Innovation versent 20 millions de livres sterling supplémentaires au CEPI pour le développement du vaccin Covid-19. Cela s'ajoute aux 50 millions de livres sterling déjà accordés par le gouvernement britannique au CEPI.
"C'EST L'HUMANITÉ CONTRE LE VIRUS" SUIT LA SEMAINE MONDIALE DE L'IMMUNISATION (26-30 AVRIL)
Il est peu probable que le moment de la conférence de Boris Johnson sur l’humanité contre le virus soit une coïncidence, car il fait chaud dans la foulée de la Semaine mondiale de la vaccination.
Une publicité de l'OMS pour les vaccins présentée à la Semaine mondiale de la vaccination.
Un document produit par Public Health England (PHE) donne une meilleure idée de la mesure dans laquelle le gouvernement britannique fait la promotion des vaccins pendant la «crise» de Covid-19. Le thème de 2020 est «Les vaccins fonctionnent pour tous» - coïncidant avec la dernière année de la «décennie des vaccins» de Gates des années 2010.
Des hashtags comme #CarryOnVaccinating sont en cours de déploiement, et la campagne «Les vaccins fonctionnent pour tous» se concentrera sur «comment les vaccins - et les personnes qui les développent, les délivrent et les reçoivent - sont des héros en travaillant pour protéger la santé de chacun, partout dans le monde».
L'OMS a désigné 2020 Année internationale de l'infirmière et de la sage-femme. Pourquoi? En raison du «rôle crucial de ces professions en tant que défenseurs précoces des vaccins pour les nouveaux parents et les futurs parents et pour la vaccination tout au long de la vie, s’assurer que les personnes âgées bénéficient de leur protection de routine». Quelle façon intelligente de mobiliser le personnel infirmier véritablement dévoué pour promouvoir les vaccins dans un vaste marché.
BABYLON HEALTH - LE NHS N'EST PAS À VENDRE (!)
Matt Hancock accusé d'avoir enfreint le code ministériel en approuvant une entreprise privée de soins de santé.
Hancock et Dominic Cummings, conseiller en chef du Premier ministre, ont des liens douteux avec Babylon Health, une importante société de technologie de la santé mettant en œuvre l'IA. Cummings a occupé un poste de consultant non divulgué dans cette entreprise de soins de santé: une entreprise approuvée par le gouvernement et en tête de liste pour recevoir une injection de fonds du National Health Service (NHS) Fund de 250 millions de livres sterling.
Selon un article du Bureau Investigates, en 2018, Cummings "a conseillé Babylon Health sur sa stratégie de communication et son recrutement de cadres supérieurs quelques mois seulement avant que son application GP at Hand ne soit publiquement soutenue par Matt Hancock".
Jonathan Ashworth, le secrétaire à l'ombre de la santé (porte-parole de l'opposition britannique sur la santé), a condamné les Cummings / Hancock
Les liens entre Dominic Cummings au cœur de Downing Street, le secrétaire à la santé et cette entreprise de santé en IA sont de plus en plus troubles et hautement irresponsables.
Si quelqu'un doute de l'enthousiasme de Hancock pour l'application Babylon GP at Hand, il est fortement conseillé de lire cet article publié dans le British Medical Journal (BMJ), écrit par Rachel Clark, un médecin spécialisé en médecine palliative:
Matt Hancock aime tellement Babylon qu'il ne se contente pas d'utiliser son application pour smartphone, GP at Hand, il suscite l'enthousiasme pour le produit à chaque occasion. Tout d'abord, à l'Expo, il a vérifié le nom de Babylon, entre autres, comme l'une des «meilleures sociétés HealthTech au monde».
Puis il a prononcé un discours faisant l'éloge de l'entreprise tout en se tenant littéralement sous ses logos à l'intérieur de son siège social de Londres. Puis, dans ses commentaires au Telegraph, il a déclaré qu'une vision haletante de l'application «révolutionnaire» était «disponible pour tous».
Et, la semaine dernière, il a figuré dans une bouffée de deux pages parrainée par Babylone dans le Evening Standard intitulée «La technologie peut être un excellent réparateur pour le NHS».
Sa pièce maîtresse était une interview proclamant l’approbation de Hancock de Babylone: ??il a déclaré que GP at Hand était «une force pour le bien au sein du NHS».
Bien que ce détail puisse sembler être une excuse de l'implication du conseil consultatif de la santé du gouvernement britannique Covid-19 dans la promotion des programmes mondiaux de vaccination, il sert de démonstration supplémentaire de la confusion entre les intérêts commerciaux et le bien-être des citoyens. .
Cette relation est mise en évidence dans le dernier documentaire du légendaire journaliste John Pilger, The Dirty War on the NHS, un film que je ne saurais trop recommander pour sa représentation austère de la privatisation furtive du NHS.
Babylon Health a été fondée par l'ancien banquier de Goldman Sachs Ali Parsa, qui a également cofondé et agi en tant que PDG d'une société de soins de santé privée, Circle - la première entreprise privée à exploiter un hôpital du NHS. Cet hôpital était Hinchingbrooke, qui s'est avéré être une entreprise désastreuse.
BABYLON ET BILL GATES Oui, Bill Gates a également un lien avec Babylone. En mars 2020, Babyl, la filiale de soins virtuels de Babylone au Rwanda, a signé un partenariat de dix ans avec le gouvernement rwandais permettant à tous les citoyens de plus de 12 ans d'accéder à des consultations de santé numériques.
Le projet est fortement subventionné par le gouvernement rwandais et la Fondation Bill Gates et promet (!) De «rendre les soins de santé abordables» même pour les communautés les plus pauvres. Encore une fois, nous devons nous demander dans quelle mesure ces applications servent d'instruments de surveillance aux agences gouvernementales.
Le présumé criminel de guerre et président du Rwanda, Paul Kagame, et Bill Gates proclament: "Chaque vaccin est une dose d'adrénaline au cœur de l'économie africaine."
Cue l'application Babylon Covid – 19 Care Assistant. L'application propose un programme de soins en quatre étapes aux abonnés: informations, vérificateur de symptômes et chat en direct avec des experts de la santé, un plan de soins et une consultation vidéo avec un professionnel de la santé.
Nous sommes informés:
«L'application est téléchargeable gratuitement. L'utilisation du service est gratuite à Birmingham et à Londres via le NHS. Cependant, les utilisateurs situés ailleurs devront s'inscrire pour des abonnements payants ou annuels au service. Les plans annuels commencent à partir de 149 £. Des consultations ponctuelles peuvent coûter jusqu'à 49 £ à chaque fois. »
CUMMINGS ET HANCOCK - ÉQUIPE D'ÉTIQUETTE QUI A POUSSÉ LE VERROUILLAGE PENDANT LA PROMOTION DES VACCINS
Cummings est accusé d'avoir fait pression sur les conseillers de Boris Johnson pour qu'ils adoptent une politique de verrouillage draconienne pour combattre Covid-19. Si cela est vrai, cela doit soulever la question, encore une fois, de savoir dans quelle mesure la politique du gouvernement britannique est influencée par une véritable opinion d'expert médical et combien par les intérêts commerciaux, Big Pharma, les intérêts et les agendas - intérêts et agendas qui sont manifestement aussi ceux des le gouvernement britannique.
Certes, les membres du comité consultatif scientifique "ont été choqués, inquiets et inquiets pour l'impartialité des conseils" après que Cummings a effectivement annulé les réunions du Groupe consultatif scientifique pour les situations d'urgence (SAGE).
Cette semaine seulement, Hancock a averti qu'il n'y avait «pas eu de plus grande démonstration dans l'histoire moderne» d'un besoin de vaccin.
Auparavant, en septembre 2019, Hancock avait déclaré que le gouvernement envisageait sérieusement les vaccins obligatoires pour les élèves des écoles publiques. La baisse des taux de vaccination des enfants au Royaume-Uni a incité Hancock à envisager d'interdire l'autodétermination chez les parents qui ne sont pas d'accord avec les régimes de vaccination.
Le fait que Cummings ait utilisé son influence pour politiser les réunions du SAGE et que Hancock ne soit pas opposé à l'utilisation de son influence pour promouvoir des entreprises du secteur privé ayant des liens avec le NHS, devrait nous alerter sur la possibilité que les deux individus exploitent Covid-19 pour aller plus loin. les objectifs de ceux à qui ils sont liés et dont ils peuvent potentiellement bénéficier.
Bill Gates occupe une place de choix au cœur du réseau de conseil qui a introduit et maintenu le verrouillage au Royaume-Uni - un verrouillage qui ne doit pas être assoupli «jusqu'à ce qu'un vaccin soit disponible».
COVID – 19 NOUS POUSSENT VERS LE FASCISME MONDIAL DE LA SANTÉ
L'une des questions que l'on me pose le plus ces jours-ci est de savoir quand le monde pourra revenir à la situation en décembre avant la pandémie de coronavirus. Ma réponse est toujours la même: quand nous avons un médicament presque parfait pour traiter COVID-19, ou quand presque chaque personne sur la planète a été vaccinée contre le coronavirus.
- Bill Gates - Notes Gates
Covid-19 menace une «nouvelle normalité» imminente de la tyrannie de la santé mondiale et un contrôle et une surveillance sans précédent du gouvernement. L’équipe SAGE a très probablement déraillé face au programme politique de Cummings et à l’influence indue qu’il a exercée sur le comité, qui aurait dû rester impartial et axé sur la science.
Les membres les plus influents de l'équipe consultative du gouvernement britannique ont démontré un conflit d'intérêts flagrant par leurs liens avec l'empire Bill Gates, mais le gouvernement britannique lui-même a beaucoup investi dans le concept mondial de vaccination que Gates conçoit à travers toutes sortes de mécanismes publics et privés. initiatives sectorielles.
L'OMS est l'organe directeur mondial de la santé et est fortement influencée et financée par Bill Gates. En janvier 2020, l'OMS a publié son plan de R&D priorisant les nouveaux essais cliniques du vaccin contre le coronavirus.
Le Groupe de travail de l’OMS pour la priorisation des vaccins visait, dans ce plan, à fournir des orientations et des recommandations aux concepteurs de vaccins et à identifier les candidats qui pourraient être envisagés pour un développement et une évaluation plus poussés.
L'OMS est effectivement une entité d'autorégulation en charge de la santé mondiale mais avec peu de responsabilité publique, en particulier en ce qui concerne les vaccins. Le Comité consultatif mondial de la sécurité des vaccins (GACVS) a été créé par l’OMS en 1999 pour répondre aux problèmes de sécurité des vaccins «d’importance mondiale potentielle».
Bill Gates demande une indemnité contre les poursuites judiciaires avant d'accepter de distribuer des vaccins. Nous accélérons tous vers un avenir où notre autodétermination médicale est gravement menacée et où ceux qui décident pour nous ne seront potentiellement pas tenus responsables des effets secondaires dangereux pour la santé.
Nous avons déjà vu les conséquences dévastatrices de la vaccination de masse pendant l'épidémie de H1N1, avec une transparence douteuse de Big Pharma concernant le risque, comme l'ont découvert ceux qui ont reçu une vaccination qui leur a laissé le cerveau endommagé à vie.
Les experts dans le domaine ont mis en garde contre la précipitation d'un vaccin Covid-19, en gardant à l'esprit que cela peut généralement prendre jusqu'à quinze ans de tests rigoureux avant l'approbation. Toute tentative de compression de ce processus doit comporter des risques.
Le Dr Peter Hotez, doyen de l'École nationale de médecine tropicale du Baylor College of Medicine, a déclaré à Reuters:
Je comprends l'importance d'accélérer les délais pour les vaccins en général […] il y a un risque de renforcement immunitaire.
En 2009, le Dr Wolfgang Wodarg a initié la commission d’enquête sur le rôle de l’OMS dans la grippe H1N1 («grippe porcine») tenue par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe à Strasbourg.
Dans cette récente interview, Wodarg décrit Bill Gates comme «fou» pour tenter de raccourcir la recherche et le développement. Wodarg parle également des «contrats secrets» entre les États et Big Pharma qui déterminent peut-être la trajectoire de développement des vaccins.
La parodie du vaccin H1N1 doit servir d'avertissement contre le développement précipité d'un vaccin motivé par la fièvre de la cabine de confinement, lorsque la fermeture elle-même semble de plus en plus susceptible d'être orchestrée pour atteindre précisément ce résultat.
Dans le même temps, alors que la possibilité d'une vaccination obligatoire est à l'étude, le gouvernement entend déployer un appareil de surveillance qui assurera un contrôle permanent sur une main-d'œuvre déjà politiquement affaiblie, enfoncée de plus en plus dans l'insécurité financière, d'abord par des mesures d'austérité et maintenant par Covid19.
Il est très important de repousser le déclenchement émotionnel généré par les médias et les agences alignés sur l'État. Les experts de la compréhension comportementale travaillent dur pour nous pousser à dépendre de l'État - mais nous ne devons pas renoncer à notre indépendance individuelle et collective.
Nous devons déterminer les moteurs de cette «crise», identifier les causes et faire face aux symptômes sans succomber à la peur ou à la panique. Ce n'est pas facile; mais notre avenir dépend de notre capacité à voir ce qui se passe réellement et à réagir en conséquence.
L'acteur Kevin James démolit l'absurdité du verrouillage et "COVID-Snitches'' dans un court métrage
par Tyler Durden Mar, 05/12/2020 - 17:05
L'acteur et comédien Kevin James vient de sortir un court-métrage déchiquetant de manière spectaculaire la montée des vipères corona.
Nous et d'autres avons de plus en plus documenté le phénomène unique des voisins qui se retournent si facilement les uns contre les autres sur la conformité aux réglementations COVID et les différentes interprétations et perceptions de la «distanciation sociale». Ceci alors que la pandémie a vu des experts et des politiciens rivaliser dans une nouvelle vague d'alarmisme et de panique.
Kevin James, qui est devenu célèbre pour avoir joué Doug Heffernan dans la sitcom de CBS The King of Queens, a sorti son nouveau court métrage intitulé "Out of Touch" sur YouTube il y a quelques jours, et il est depuis devenu viral.
Comme Fox News l'a décrit, il "se moque directement des personnes qui jugent sévèrement les autres pour ne pas porter de masques ou pratiquer la distanciation sociale dans les espaces publics au milieu de la pandémie de COVID-19 en cours".
Alors que le film d'un peu moins de 2 minutes est clairement sarcastique, hyperbolique et franchement hilarant - son éclat réside dans l'exposition de l'atmosphère extrême de peur psychologique dans laquelle beaucoup vivent.
Le climat actuel semble avoir récemment responsabilisé toute une classe de corps occupés, d'écouteurs et de personnes qui, semble-t-il, ne peuvent tout simplement pas vivre sans être dans les affaires des autres.
Même l'Associated Press a récemment remarqué une tendance à la hausse suffisante pour dresser le portrait des chiffres émergents de ce qu'elle a carrément surnommé "mouchards" le mois dernier:
Les mouchards sont en train de devenir des alliés enthousiastes alors que les villes, les États et les pays s'efforcent d'appliquer des directives destinées à limiter les contacts interpersonnels au milieu de la pandémie de virus qui a fait des dizaines de milliers de morts dans le monde. Ils téléphonent à la police et aux permanences municipales, se plaignent aux élus et font honte aux fraudeurs perçus sur les réseaux sociaux.
"Dans certains endroits, les enquêteurs patrouillent dans les rues à la recherche de contrevenants", note AP. "Dans certains cas, les résidents se tournent vers les voisins."
Dans le nouveau clip de James, le résultat final d'un voleur de COVID attrapant deux hommes se serrant la main dans un parc est que suite à une poursuite nocturne dramatique, l'un est déchiré par des chiens policiers, tandis qu'un autre est acculé par un hélicoptère de police avec une arme à feu. dessiné des flics criant l'ordre de se mettre à terre.
Acteur et comédien Kevin James
Le court-métrage a été présenté comme se moquant finalement de l'absurdité du verrouillage qui a frappé le pays à partir de fin mars. Il approche maintenant d'un million de vues.
«Un torchon»: de Lyon à Paris, les masques «grand public» suscitent des critiques - photos
RépondreSupprimer22:52 12.05.2020
Avec les premiers jours de déconfinement, et alors que le port du masque est désormais obligatoire dans les transports, plusieurs mairies en ont offert à leurs administrés. Les protections ont suscité des critiques. Ainsi, à Paris, les masques destinés aux seniors font polémique.
Certains masques artisanaux distribués gratuitement par les mairies ne font pas l’unanimité auprès de la population.
La mise à disposition de ces protections dites «grand public» avait été annoncée le 13 avril par le chef de l’État, qui souhaitait les voir distribués «à chaque Français», «en lien avec les maires».
Alors que les premières distributions ont eu lieu, les commentaires affluent sur les réseaux sociaux, tantôt ironiques, tantôt désabusés, pour critiquer ces masques.
Est notamment pointée du doigt l’esthétique de l’accessoire:
- voir photos lamentables sur site -
D’autres doutent de la durabilité du produit. Certains masques semblent s’abîmer au lavage:
À Paris, Rachida Dati monte au créneau
Plusieurs personnalités politiques ont également souligné la mauvaise qualité des masques destinés au grand public. Ainsi à Paris, Rachida Dati, maire LR du 7e arrondissement, a attaqué Anne Hidalgo sur le sujet, en particulier sur un lot de masques dévolus aux seniors.
«À la veille du déconfinement, 250.000 masques, sur les 2 millions promis, sont enfin arrivés, en “sopalin” à usage unique. Madame Hidalgo a commandé ces masques sans les voir et les a payés avec l'argent des Parisiens ! Il a fallu que les maires d'arrondissement se plaignent de ces masques déchirables, inadaptés et non protecteurs, pour qu'elle le découvre et nous demande de les jeter !», a déclaré Rachida Dati au Point.
Le samedi 9 mai, l’adjoint chargé du dossier, Jean-François Martins, a finalement reconnu que les masques distribués aux mairies d’arrondissement n’étaient «pas totalement satisfaisants d'un point de vue praticité et confort pour les plus de 70 ans», rapporte Le Parisien. De nouveaux masques pour les seniors devraient être prochainement livrés, selon le quotidien.
https://fr.sputniknews.com/france/202005121043771426-un-torchon-de-lyon-a-paris-les-masques-grand-public-suscitent-des-critiques---photos/
Ce ne sont pas des 'cadeaux' (que payent le contribuable) préventifs mais uniquement des masques de mort !
SupprimerCar,
1°) Ils ne SONT PAS antivirus (SEUL le FFP2 est antivirus et est fabriqué avec une machine spéciale et unique en Chine et aux USA).
2°) Ces FAUX masques antivirus entretiennent une partie mouillée, humectée où viennent se coller des milliers de virus ce qui augmente la tâche de l'organisme à les combattre et à l'avoir.
3°) Ces masques de mort entretiennent la possibilité d'avoir n'importe quel virus et d'en mourir grâce à cette politique de merde entretenue par la dictature qui oblige à les porter !! et refuse toujours d'en (des FFP2) acheter en Chine !!
L'État aurait brûlé un million et demi de masques en pleine épidémie sans que leur conformité ait été vérifiée
RépondreSupprimer10:03 13.05.2020
Le gouvernement n’a contrôlé un stock de 362 millions de masques chirurgicaux jugés comme «périmés» et voués à la destruction, qu’après qu’un million et demi d’entre eux avaient déjà été réduits en cendres, indique BFM TV. Cet état des lieux a posteriori a prouvé l’utilité d’en distribuer 85 millions au grand public.
362 millions de masques chirurgicaux d’un stock caché dans la Marne avaient été estimés comme périmés avant le début de l’épidémie, ils devaient alors être intégralement incinérés. Cependant, la décision de vérifier s’ils étaient encore utilisables a été prise par le gouvernement après qu’un million et demi d’unités avaient déjà brûlé, rapporte BFM TV.
Fin mars, l’État a pris connaissance de ce stock se trouvant dans un entrepôt secret. Lancée depuis trois mois, soit en janvier 2020, la destruction des masques a été immédiatement arrêtée par le gouvernement pour officiellement contrôler l’état de ces moyens de protection, précise la chaîne de télévision.
Destinés au grand public
Le 20 avril, les résultats de l’expertise réalisée ont montré que 85 millions de ces masques étaient utilisables et pouvaient être distribués au grand public, même si leur état n’était pas suffisant pour être employés par les soignants.
Les 280 millions d’autres masques ont été déclarés complètement hors d’usage, «moisis» et «qui traînaient au fond d’un hangar», avait annoncé Olivier Véran début mai à l’Assemblée nationale, interrogé par le député des Alpes-Maritimes Éric Ciotti à ce sujet.
Comme un audit réalisé il y a quelques années avait conseillé de détruire ce stock, le ministère de la Santé affirme ne pas avoir été informé de son existence, considérant que ces masques chirurgicaux avaient déjà été détruits, souligne BFM TV.
https://fr.sputniknews.com/france/202005131043772002-letat-a-brule-un-million-et-demi-de-masques-en-pleine-epidemie-sans-que-leur-etat-ait-ete-verifie/
Cette condition mathématique qui pourrait pousser l'État à reconfiner les Français
RépondreSupprimer12:35 13.05.2020
Alors que l’épidémie de Covid-19 reste «active» avec 348 nouveaux décès enregistrés en 24 heures, Jean Castex, chargé du plan de déconfinement, a évoqué les raisons qui justifieraient un reconfinement des Français: la circulation du virus, la capacité hospitalière et les résultats des tests.
Jean Castex, qui a préparé le plan de déconfinement pour le gouvernement, a donné lors de son audition à l’Assemblée nationale mardi 12 mai trois éléments qui obligeraient le pays à se reconfiner.
«Il faudrait que le nombre de nouveaux cas par jour en France double pour que nous reconfinions», a déclaré Jean Castex après avoir cité à titre d’exemple l’Allemagne où «sur une période cumulée de sept jours, 50 nouvelles contaminations pour 100.000 habitants sur un territoire, c’est l’indicateur d’alerte».
Trois indicateurs à suivre
Ainsi, parmi ces critères, il désigne la circulation du virus basée sur «la proportion des passages aux urgences pour suspicion de Covid avec une analyse faite sur les sept derniers jours» et l’activité de SOS Médecins.
Par ailleurs, la capacité de lits hospitaliers, en particulier de réanimation, est également soulignée, qui est «l’un des principaux critères qui a fondé la date du 11 mai».
Cependant, Jean Castex note que cet indicateur est plutôt suivi au niveau régional, car «les capacités de réanimation dont sont dotés les établissements de santé, évidemment, sont parfois faibles dans certains départements qui ont des hôpitaux généraux qui ne sont universitaires ou qui ont un nombre de lits inférieurs compte tenu de la population de ces départements».
Enfin, selon lui, les résultats des tests virologiques sont un élément important.
La possibilité d’un reconfinement déjà évoquée
Dans un entretien lundi 11 mai au micro de RMC/BFM TV, le ministre de la Santé Olivier Véran a évoqué la possibilité d’un reconfinement. «Si le virus devait reprendre sa course folle», le gouvernement pourrait appliquer de nouveau «des mesures de confinement territorialisées et différenciées», a-t-il déclaré.
En France, le deuxième jour du déconfinement a connu une nouvelle hausse des décès, 348 en 24 heures constatés mardi 12 mai au soir, portant ainsi à au moins 26.991 morts le bilan de l’épidémie de Covid-19 depuis le 1er mars, selon la direction générale de la Santé. Plus de 178.000 personnes sont contaminées par la maladie.
Les services d'urgence enregistrent cependant une amélioration régulière avec 2.543 patients en réanimation, soit 170 de moins que la veille, indique la Direction générale de la Santé. Au plus fort de l'épidémie, le 8 avril, les services de réanimation accueillaient 7.148 cas graves.
https://fr.sputniknews.com/france/202005131043772671-cette-condition-mathematique-qui-pourrait-pousser-letat-a-reconfiner-les-francais/
Une infirmière met sa vie en jeu pour secourir un malade atteint de Covid-19 et décède peu après
RépondreSupprimer19:31 12.05.2020
Une infirmière qui a dû soigner un patient infecté par le coronavirus sans porter de masque de protection est morte des suites du Covid-19 deux semaines après, fait savoir le Los Angeles Times qui, se référant aux collègues de l’infirmière, rapporte que l’hôpital manque de moyens de protection.
Une infirmière est décédée après avoir réanimé, sans porter de masque de protection, un homme infecté par le coronavirus, relate le Los Angeles Times.
Selon les témoignages de ses collègues, Celia Marcos, qui avait 61 ans, a soigné un malade sans masque de protection, et est elle-même décédée deux semaines après cela des suites du Covid-19. Ils expliquent que quand l'homme a arrêté de respirer, l'infirmière qui craignait de perdre du temps en allant chercher un masque, a négligé cette mesure.
Elle serait l’une des 36 soignants morts à cause du coronavirus en Californie.
Le journal cite également l’une des infirmières de l’hôpital qui, sous couvert d’anonymat, a confié que l’hôpital manquait de moyens de protection. Tandis que la Direction locale de la protection du travail a lié la mort de la femme à l'insuffisance des moyens de protection individuelle, les représentants de l'hôpital nient ces accusations. De plus, ils ne confirment pas le fait que l’infirmière a soigné un patient sans porter la protection nécessaire.
Le dernier bilan
Au moins 1.351.200 cas d’infection ont été confirmés aux États-Unis, selon les derniers chiffres de l’Université Johns-Hopkins. Le total des victimes s’élève à 80.897 personnes.
https://fr.sputniknews.com/sante/202005121043770344-une-infirmiere-met-sa-vie-en-jeu-pour-secourir-un-malade-atteint-de-covid-19-et-decede-peu-apres/
Frappée économiquement par le coronavirus, Santa Monica offre un sombre aperçu de la crise à venir
RépondreSupprimerPar JOE MOZINGOSTAFF
WRITER
12 MAI 20205 AM
Rick Cole a passé sa carrière à travailler pour façonner et déplacer des institutions - pas grandes, augustes avec une renommée mondiale, mais des villes de taille moyenne comme Ventura et Azusa. Plus de 34 ans dans cinq mairies, il s'est forgé une réputation régionale en tant qu'assistant de la réforme municipale.
Vif, franc, parfois brusque et diviseur, il s'est battu pour créer des communautés compactes et accessibles aux piétons près des plaques tournantes des transports en commun, tout en poussant à réduire les budgets gonflés, en utilisant des données pour identifier les services et les employés inefficaces.
En tant que directeur de la ville de Santa Monica, il avait averti pendant deux ans qu'elle devait commencer à rembourser ses dettes de retraite, car les bons moments se termineraient, comme ils le font toujours.
Il n’imaginait tout simplement pas qu’ils finiraient ainsi.
L'épidémie de coronavirus et la fermeture ont coupé les deux principaux flux de revenus de la ville, la taxe sur les lits d'hôtel et la taxe de vente. Santa Monica envisage maintenant un déficit de 226 millions de dollars d'ici juin 2021. Et tandis que la ville côtière aisée est mieux lotie que la plupart des 88 villes du comté de Los Angeles, elle fait face à des coupures et des licenciements drastiques.
Cole a réalisé qu'il n'était pas la personne la plus apte à mener Santa Monica à travers le conflit à venir, après avoir juste fini de se battre avec les syndicats d'employés pour le financement des retraites.
Le 17 avril, il a annoncé sa démission, tirant un coup de feu sur la proue des gouvernements municipaux dans le sud de la Californie. Les budgets rusés naviguaient dans une énorme tempête.
La ville a annoncé cette semaine son intention de licencier ou de racheter 373 employés.
La dévastation économique se propagera ville après ville, à travers le bassin de Los Angeles, testant des villes pauvres telles que Maywood et Bell dans le comté du sud-est, à celles des vallées de San Fernando et San Gabriel et au-delà.
«C'est l'un de ces moments qui va nous obliger à repenser. Honte à nous si nous n'utilisons pas cela comme une opportunité », a déclaré Cole. "S'il ne s'agit que d'une tragédie - et la seule chose qui en résulte est la fermeture de bibliothèques et de casernes de pompiers et le licenciement de fonctionnaires - alors nous aurons aggravé la tragédie sanitaire avec un tragique manque d'imagination et de volonté politique."
La California League of Cities estime que les villes de l'État perdront collectivement 7 milliards de dollars au cours des deux prochaines années en raison de la pandémie, et des milliards de plus si les commandes de séjour à domicile s'étendent jusqu'à l'été et au-delà. Neuf des dix villes ont indiqué que le déficit entraînerait des coupures de service ou des congés et des licenciements, principalement en raison de la chute des ventes au détail d'une falaise. Beaucoup avaient compté sur des taxes de vente d'un cent pour consolider leur budget.
"Si le cratère des ventes au détail, une taxe de vente de 1% ne vous rapporte rien. Un pour cent de zéro est toujours nul », a déclaré D.J. Waldie, auteur, historien et ancien responsable de Lakewood depuis 33 ans.
RépondreSupprimerIl a déclaré que les villes ont moins d'options que les comtés et les États en termes de recherche de nouveaux revenus. «Souvent, la solution aux problèmes de l’État consiste à prendre l’argent d’autres unités du gouvernement, des comtés, des villes et des districts spéciaux. Vous en voyez beaucoup au cours des 15 ou 20 dernières années, et il n'y a aucune raison pour que l'État ne se comporte pas comme par le passé. »
Les comtés et les districts scolaires sont en partie à l'abri des ralentissements financiers car ils reçoivent une part beaucoup plus importante des impôts fonciers que les villes. Et depuis que la proposition 13 a fixé une limite à cela, les villes ont réduit leurs services et retardé les améliorations nécessaires des immobilisations.
Désormais, non seulement les revenus sont réduits, mais les obligations de retraite des villes augmenteront si Wall Street continue de bégayer et que les portefeuilles de pensions perdent des milliards de valeur.
Contrairement à Santa Monica - qui a un budget par habitant de deux fois n'importe quelle autre ville du comté - de nombreuses municipalités ont peu d'endroits à couper qui n'affectent pas les services essentiels comme la police, les pompiers, la planification, la construction et les bibliothèques. Les besoins en infrastructures attendus depuis longtemps seront retardés encore plus longtemps. Le scénario est sombre: l'asphalte se brise, la verdure du parc se dessèche, les lampadaires s'éteignent, les ordures ne sont pas ramassées, les graffitis persistent et la valeur des propriétés chute, accélérant le cycle à la baisse.
"Les solutions sont rares et difficiles à trouver", a déclaré Waldie.
Cole, 66 ans, a commencé sa carrière en tant que militant et journaliste qui a cofondé le Pasadena Weekly. Il s'est d'abord fait un nom dans le monde de l'urbanisme en tant que membre du conseil et maire de Pasadena, qui a contribué à transformer le centre-ville en détresse en un quartier de divertissement et de vente au détail qui est devenu un modèle national de réaménagement.
Il est ensuite devenu directeur de la ville d'Azusa et de Ventura. Il est rare qu'un politicien passe à un rôle d'administration plus quotidien, et Cole a été plus direct et franc que la plupart des gestionnaires.
Vers la fin de son mandat de cinq ans à Santa Monica, certains employés de la ville se sont plaints qu'il pouvait être impérieux et non transparent - une critique qui n'a fait que s'accentuer lorsque la menace de licenciements est apparue. Une pétition demandant son retrait avait recueilli 2 800 signatures.
"Ce qui est en cours de restructuration, quels postes sont supprimés, c'est complètement opaque", a déclaré un employé du service des ressources humaines. "Nous demandons pourquoi prennent-ils ces décisions et n’obtiennent aucune réponse."
Cole avait déjà emprunté cette voie, dans un sens. À Ventura, il a passé quatre ans à remodeler le développement et les quatre suivants à faire face à la Grande Récession, selon l'ancien maire Bill Fulton.
«Il voulait se placer face au problème budgétaire», a déclaré Fulton, qui dirige désormais un groupe de réflexion urbain axé principalement sur Houston. «Rick était agressif et est sorti devant. Les villes voisines ont été lentes à réduire leurs budgets, et pendant un certain temps tout le monde a dit ce qui n'allait pas avec Ventura, pourquoi Ventura a-t-il un problème que personne d'autre n'a? Et la réponse a été, grâce à Rick, nous avons été confrontés au problème de bonne heure. »
RépondreSupprimerMais d'autres membres du conseil municipal se sont plaints qu'il n'était pas déférent à leurs idées, en a parlé et se sont comportés comme des élus, et non comme le manager embauché pour réaliser leur vision. Il a démissionné en 2012.
L'année suivante, le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, a embauché Cole pour être son maire adjoint pour le budget et l'innovation, afin de chercher des moyens d'accroître l'efficacité dans tout l'hôtel de ville.
Miguel Santana, alors directeur administratif de Los Angeles à l'époque, a déclaré que Cole avait aidé le maire à concentrer les ressources de la ville sur les services qui intéressaient le plus les gens.
«Il aime regarder les choses de manière systématique et pose des questions fondamentales sur le rôle du gouvernement», a déclaré Santana, désormais président et chef de la direction de Fairplex à Pomona.
Santana pensait que le travail à Santa Monica, que Cole avait commencé en 2015, serait parfaitement adapté, car la ville était progressiste et avait les moyens de progresser sur des questions telles que le sans-abrisme et la gentrification.
Cole a déclaré qu'il espérait que ces efforts se poursuivraient, même si Santa Monica s'avance, comme tous les autres endroits, dans le territoire inexploré flambé par la crise des coronavirus. La ville ne devrait pas simplement réduire ses effectifs, a-t-il dit, tout en s'accrochant à un modèle de gouvernement inefficace qui date de l'ère progressiste et du New Deal.
«Certaines des choses les plus importantes que nous devrions faire, nous ne le faisons pas. Nous n'étions pas préparés à une pandémie. Le logement n'est pas abordable. Nous ne résolvons pas la crise des sans-abri. Nous maintenons des services hérités conçus pour une autre époque », a-t-il déclaré.
Un exemple: le service d'incendie de Santa Monica répond à plus de 15 000 appels au 911 mais moins d'une centaine pour des incendies réels, a-t-il déclaré. La grande majorité sont des réponses médicales.
"Si vous concevez un service aujourd'hui pour une réponse médicale optimale, vous ne le feriez pas avec des camions de pompiers", a déclaré Cole.
Pour cerner le dilemme, encore aggravé par la pandémie, de la manière caractéristique de Cole:
"Soit nous essayons de préserver le tronc sanglant de la façon dont nous faisions les choses - soit nous inventons de nouvelles façons de résoudre les problèmes d'aujourd'hui."
https://www.latimes.com/california/story/2020-05-12/coronavirus-santa-monica-economic-impact-recession
POUR LES GROS CONS QUI PENSENT ENCORE QU'UN MASQUE PEUT SE LAVER !!
RépondreSupprimerDÉSINFECTION DU MASQUE EN TISSU : ATTENTION AU FAUX « PROTOCOLE »
par PERRINE DE ROBIEN
12/05/2020
Pour désinfecter un masque en tissu, il faut le laver à 60 C°.
Depuis plusieurs jours, une astuce pour désinfecter les masques en tissu circule sur les réseaux sociaux. Il suffirait de les placer 15 secondes au-dessus d’une casserole d’eau bouillante.
Un pseudo protocole à ne surtout pas suivre. Il n’est malheureusement pas possible d’éviter de passer par l’étape lavage du masque entre chaque utilisation.
Pas de désinfection en plaçant le masque au-dessus d'une casserole d'eau bouillante
Dans certaines situations, le port du masque est devenu obligatoire. Par souci d’économie ou faute de modèle jetable, beaucoup de personnes utilisent des masques en tissu, achetés ou faits maison. Puisque ces masques sont réutilisables, il convient de les laver après chaque utilisation. Mais comment ?
Sur les réseaux sociaux, on a vu circuler une information, photo à l’appui, affirmant que l’on pouvait désinfecter un masque en tissu en le plaçant au-dessus d’une casserole d’eau bouillante pendant 15 secondes. La vapeur permettrait de décontaminer le masque et d’enlever toute trace du coronavirus. Ce « protocole » soi-disant rapide et efficace n’est à appliquer en aucun cas !
Un lavage à 60 degrés pendant 30 minutes
Ce procédé ne lave absolument pas le masque ; au contraire, la vapeur fixe les résidus sur le masque. Selon Sylvie Raspaud de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre, « sous l’effet de la vapeur, des dépôts organiques (telles que des protéines), peuvent jouer le rôle d’écran protecteur du virus, neutralisant la décontamination », lit-on dans un article de l’AFP relayé par de nombreux médias.
Cela signifie que vous ne pouvez pas vous passer de l’étape « lavage du masque ». L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) recommande de le laver en machine à une température de 60 C° pendant 30 minutes. Dans l’idéal il faudrait le sécher au sèche-linge et le repasser. Pour des raisons pratiques, il vaut donc mieux avoir plusieurs masques en tissu pour pouvoir les « faire tourner ». Une petite logistique, surtout pour les familles.
http://www.economiematin.fr/news-faux-protocole-desinfection-masque-tissu
SupprimerUn masque NE SE LAVE PAS ! Le tissu du FFP2 (SEUL masque ANTIVIRUS) ne résiste à aucun lavage !
Les autres sont des marrons (ou qui ont voté pour) que les cons tirent du feu !
Le grand cirque mondial va reprendre, comme avant mais en pire
RépondreSupprimerle 13 mai 2020
Éditorial du site investir.ch du 13 mai 2020 (lien en fin de billet)
Il était une fois
Il était une fois un pangolin et une chauve-souris qui, avec l’aide — affirment certains — de fourbes scientifiques, donnèrent naissance à un virus qui allait révolutionner le monde. Le virus mit la planète à l’arrêt, permettant aux gentils dauphins de revenir dans les canaux de Venise et à plein d’autres gentils animaux de reprendre possession de territoires confisqués de longue date par les méchants humains pollueurs.
La période de confinement permit surtout à chacun de se recentrer sur ses vraies valeurs, à savoir des macaronis, du papier hygiénique et Netflix. Ainsi s’enchainent les journées de douce quiétude bercées par le lent décompte des victimes et de leurs courbes exponentielles décroissant en harmonie vers le jour du grand déconfinement, le tout rythmé par de chaleureux applaudissements aux balcons, face au coucher de soleil (oui, mon lyrisme m’emporte quelque peu au-delà du scientifiquement raisonnable).
La grande utopie
Le voici donc enfin arrivé, ce premier jour d’une ère nouvelle. Fini les voyages en avion, la surconsommation, la malbouffe, la pollution. Oui, fini le pétrole qui ne vaut d’ailleurs plus rien. Tous à vélo ou en train électrique, en attendant que St-Elon nous dévoile les secrets de la téléportation quantique.
Fini la mondialisation qui a permis aux financiers de détruire la planète au nom des profits à court terme. Fini la mainmise des banques sur l’économie. Retour aux vraies valeurs et aux légumes bio de saison (et tant pis pour ceux qui n’aiment pas le chou et le céleri).
Bien entendu, il y aura des victimes. Héros sacrifiés économiquement au champ d’honneur en vue d’un monde meilleur. Qu’à cela ne tienne, nul ne sera laissé pour compte : revenu universel inconditionnel pour tous. Et en bitcoin, afin de se débarrasser en même temps de tous ces dangereux banquiers centraux! L’ancien monde ne se relèvera pas, la prise de conscience universelle nous ouvre les portes d’un avenir radieux. Utopistes de tous bords, le grand jour est enfin arrivé!
Reality check
Il serait faux, et totalement fou, d’affirmer que rien n’aura changé. Par contre la destruction du monde d’avant suivie de la reconstruction d’un nouveau monde utopique restera pour l’instant du ressort des studios hollywoodiens.
Ce que nous observerons, ce sont des tendances qui étaient déjà présentes avant la crise et qui ont trouvé un moment propice pour toucher un public plus large. Par exemple le télétravail, expérimenté par beaucoup d’entres nous par la force des choses, possède des avantages évidents pour nombre de personnes dès lors que les outils technologiques adaptés sont à disposition. Tendance qui n’avait point échappé aux investisseurs les plus sagaces, qui se sont empressés d’acheter le titre Zoom, sauf qu’ils ont confondu la société ayant créé leur logiciel de visioconférence préféré avec une small cap inconnue dont le cours s’est envolé au point que la Fed, peu désireuse de passer à des échelles de prix logarithmiques, a du intervenir promptement. Comme quoi, stupidité et cupidité sont bien de retour, mais en pire.
Et tant que nous sommes avec les petits investisseurs, revenons un instant sur la saga du pétrole. Aucun professionnel du secteur n’a jamais envisagé de “prix négatifs”. Ce qui s’est passé en avril avec le prix d’un contrat futur résulte du market timing parfait de petits investisseurs voyant dans les cours déprimés de l’or noir une opportunité historique de profiter d’une hausse qui surviendrait immanquablement dès le déconfinement annoncé. Manque de chance, le véhicule d’investissement choisi – le désormais célèbre ETF USO – n’ayant pas le droit de prendre livraison physique (obligatoire pour les contrats WTI) des barils à l’échéance des contrats devait absolument s’en débarrasser. Les professionnels du pétrole n’allaient pas laisser passer une telle occasion et ont accepté de “racheter” les contrats en faisant porter au vendeur les coûts de la réorganisation logistique, d’où au final un vendeur forcé qui paie l’acheteur afin de ne pas se retrouver dans une situation totalement illégale.
RépondreSupprimerReste que le prix du baril est effectivement bas pour l’instant, entre autres parce que 90% du trafic aérien est cloué au sol et que les citernes sont déjà bien remplies. Ce que nos chers utopistes n’ont pas compris, c’est qu’un pétrole peu cher n’encourage pas vraiment le développement d’énergies alternatives, souvent encore trop chères en comparaison. D’ailleurs les avions redécolleront bientôt en brulant du kérosène et les jeunes continueront à plébisciter les croisières, comme a déjà pu le constater l’opérateur Carnival Cruises qui a vu les réservations pour août 2020 atteindre le double de celles d’août 2019, époque à laquelle personne ne parlait encore de virus.
Les voitures majoritairement non électriques reviendront en nombre sur les routes, chacun préférant se confiner en sécurité dans sa voiture pour aller au MacDo plutôt que de risquer un contact rapproché avec le souffle d’un potentiel corona-vérolé dans les transports publics. La pollution urbaine sera donc présente comme avant, elle aussi, mais en pire.
Une autre chose que cette crise nous aura appris, c’est que l’on ne prête encore et toujours qu’aux très riches. Nombre de petits commerçants et entrepreneurs auront du mal à se relever de 2 ou 3 mois d’arrêt, ou leurs économies disparaitront pour que survive leur commerce ou entreprise. Idem pour des sociétés de taille plus importante mais pas too big to fail: arrêt des entrées de cash mais certains paiements ne peuvent être repoussés, à commencer par les remboursements d’un emprunt bancaire existant. A moins de l’octroi d’un prêt supplémentaire, elles seront techniquement en faillite suite au défaut de paiement. Malgré les garanties étatiques promises, les banques rechignent toujours à accorder de nouveaux crédits.
Tout ceci ne peut mener qu’à une seule chose : plus de chômage à court terme (on ne voit que ça, même si cela n’affole guère les marchés) et une précarisation de l’emploi à plus long terme. Cette tendance est également déjà présente depuis des décennies et ira en augmentant. La perte d’emplois plus ou moins qualifiés amène tôt ou tard les chômeurs à considérer une reconversion vers les secteurs qui recrutent. Je ne parle pas d’être data analyst ou développeur d’applications à la mode pour mobiles. Non, je parle du renforcement de l’économie de plateformes, comme Amazon ou Uber. Des emplois par définition mal payés. Ca aussi ce sera pire qu’avant.
Alors, serons-nous tous sauvés par le revenu universel inconditionnel ? Si jamais une initiative de ce genre devait voir le jour à grande échelle, ce serait probablement la fin de la classe moyenne. Ce revenu ne sera rien d’autre qu’un revenu de survie et, par son ampleur et ses effets probablement inflationnistes si assimilables à un QE perpétuel, réduira la valeur de l’argent. Riches et pauvres seront impactés mais seuls les riches détiennent du capital qui conservera sa valeur (1 Picasso = 2 villas = 20 voitures), alors que les moins riches n’ont que les revenus de leur travail qui représentera de moins en moins de pouvoir d’achat. L’écart croissant entre riches et pauvres existait aussi depuis un moment, maintenant ce sera pire.
RépondreSupprimerVers un nouveau populisme?
Evidemment, le tableau n’est pas très rose. Un changement d’ampleur, comme nous l’enseigne l’histoire, nécessiterait une révolution mais pour une multitude de raisons, il n’y aura pas de révolution.
Par contre, la situation actuelle est propice à l’émergence d’un nouveau populisme. Non pas basé sur les ethnies ou les religions (on a déjà), ni un nouveau racisme anti-chinois (économiquement impossible), ni a priori sur les classes sociales (Marx n’a plus la cote), ni sur l’écologie (ça coûte cher et Greta va passer de mode) mais basé sur la lutte des générations (quelle ironie pour les ex-soixante-huitards).
Il suffit de regarder une pyramide des âges pour comprendre la source d’un problème allant croissant: avec le vieillissement de la population dans les pays développés, les tranches d’âge ayant un emploi donc supportant le poids fiscal du système, sont minoritaires ou en passe de l’être vu l’évolution démographique. Moins de travail, lui-même moins bien rémunéré ,mais plus de prélèvements afin de financer les tranches d’âge plus âgées dépendant des prestations sociales (couvrant entre autres des frais croissants liés à la santé), sans oublier les plus jeunes qui – même s’ils ne votent pas – ne génèrent pas de revenus.
La majorité des plus âgés ne voteront pas contre leurs acquis (bien que…). Certains plus jeunes voudraient voir le système évoluer mais se heurtent à la démographie de l’électorat et à l’immobilisme des partis politiques traditionnels. Voici le véritable risque d’assister à l’éclosion d’une forme nouvelle de populisme qui – comme tous les populismes – joue sur des contrastes binaires (jeunes vs vieux), facilement compréhensibles par une catégorie de la population de moins en moins encline à la réflexion critique comme l’a démontré une étude publiée dans la prestigieuse American Economic Review.
Même s’il resterait beaucoup à dire, je m’arrêterai ici et laisserai à Michel Houellebecq le mot de la fin:
“Un autre chiffre aura pris beaucoup d’importance en ces semaines, celui de l’âge des malades. Jusqu’à quand convient-il de les réanimer et de les soigner ? 70, 75, 80 ans ? Cela dépend, apparemment, de la région du monde où l’on vit ; mais jamais en tout cas on n’avait exprimé avec une aussi tranquille impudeur le fait que la vie de tous n’a pas la même valeur ; qu’à partir d’un certain âge (70, 75, 80 ans ?), c’est un peu comme si l’on était déjà mort.
Toutes ces tendances, je l’ai dit, existaient déjà avant le coronavirus ; elles n’ont fait que se manifester avec une évidence nouvelle. Nous ne nous réveillerons pas, après le confinement, dans un nouveau monde ; ce sera le même, en un peu pire.” (France Inter, Lettres d’intérieur, 4 mai 2020).
source : https://www.investir.ch/2020/05/le-grand-cirque-mondial-va-reprendre-comme-avant-mais-en-pire/
https://jacqueshenry.wordpress.com
Le monde a toujours été entretenu à mourir dans la vie avec promesse de vivre dans la mort ! (Hahaha !)
SupprimerMais, si la tyrannie tire à sa fin et s'accroche encore aux crevures vertes, un avenir en Démocratie est forcément tout tracé !
Car l'idée la plus ouf que j'ai pu entendre dans ma vie est "Éloignez-vous de vous et rapprochez-vous des autres" !!
Oui, de tout temps le maître esclavagiste a tiré profit de la main-d'œuvre gratuite ou bon-marché, et nous, nous y arrivons grâce aux machines domestiquées et aux robots apprivoisés qui travaillent pour nous. Juste qu'il faut supprimer la dictature dans tous les pays et faire valoir la majorité (7 milliards d'être humains) qui supplante le nano-groupuscule de terroristes au pouvoir !
De toutes façons, la planche-à-billets existe depuis plus de 2000 ans, alors... pourquoi parler de disparition ?
Qui contrôle la réponse du gouvernement britannique à COVID-19, partie 2
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 13/05/2020 - 02h00
Écrit par Vanessa Beeley via Off-Guardian.org,
«Pour obtenir le gouvernement mondial, il est nécessaire de retirer aux esprits des hommes leur individualisme, leur loyauté envers la tradition familiale, le patriotisme national et les dogmes religieux.»
- Dr George Brock Chisholm, qui a été le premier directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) de 1948 à 1953
Dans la première partie de Qui contrôle la réponse du gouvernement britannique à Covid-19?, J'ai commencé une enquête sur les individus et les entités qui dirigent effectivement la réponse du gouvernement britannique à Covid-19.
Dans la deuxième partie, je développerai les liens Big Pharma et Intelligence artificielle (IA) déjà identifiés et introduirai de nouvelles connexions qui semblent avoir une influence considérable sur la stratégie Covid-19 du gouvernement britannique. Je développerai les liens entre Bill Gates et les diverses organisations qui défendent la vaccination mondiale.
Le conseiller médical en chef du gouvernement britannique et médecin-chef pour l'Angleterre, Chris Whitty, dit qu'un retour à la «normale» à court terme est «totalement irréaliste». Whitty nous dit que la politique de distanciation sociale «hautement perturbatrice» sera en place «pour une très longue période».
«Très perturbateur» est un euphémisme pour la dévastation de l'économie mondiale et l'effet d'entraînement horrible - environ 50% de la main-d'œuvre mondiale risque de perdre son gagne-pain.
Le gouvernement britannique a promu le concept de «passeport d'immunité» comme moyen de desserrer les mesures draconiennes de verrouillage. Il est très possible que la technologie de reconnaissance faciale dicte qui peut quitter le verrouillage et retourner au travail. Pour obtenir un passeport, les individus doivent télécharger une image de leur visage sur l'application avec leur carte d'identité (passeport ou permis de conduire).
Ils sont ensuite testés pour vérifier s'ils ont eu le virus et développé une immunité. L'application générera ensuite un code QR, que l'employeur utilisera pour vérifier l'identité et l'immunité avant de permettre à l'employé de retourner au travail.
L'application de suivi et de traçabilité d'Onfido, sérieusement étudiée par le gouvernement
L’agence d’innovation du service de santé britannique NHSx a appelé des entreprises et des experts en technologie à soumettre leurs idées pour la délivrance de passeports immunitaires. Les entreprises qui font actuellement des propositions au gouvernement britannique sont Onfido, Yoti, IDnow, OCL et iDenfy.
Ces plans du gouvernement britannique de suivi et de repérage sont toujours confrontés à divers obstacles - y compris l'exactitude douteuse de certains des tests d'anticorps - mais le spectre d'une surveillance accrue et d'un contrôle gouvernemental sur la main-d'œuvre, et de nombreux autres aspects de la liberté civile, se profile indéniablement sur le horizon.
Comme je l'ai souligné dans la première partie, ce n'est pas un hasard si la start-up de l'Université d'Oxford, la société de reconnaissance faciale financée par Microsoft Onfido «a récemment levé 100 millions de dollars (maintenant 200 millions de dollars) pour renforcer sa technologie d'identification» pour permettre la création d'une immunité passeports.
RépondreSupprimerSelon un entretien avec le PDG d'Onfido, Husayn Kassai, la société avait précédemment proposé un service qui «automatise les vérifications des antécédents des futurs employés avant qu'ils ne soient acceptés pour le travail»; il semblerait que les passeports d'immunité soient une extension logique de ce qui, en fait, le secteur privé espionne la main-d'œuvre.
Un article plus récent proclame: «Onfido en pourparlers avec le gouvernement sur les systèmes pour aider les Britanniques à retourner au travail».
Onfido, déjà en «phase pilote» dans d'autres pays, prétend que ses propositions pourraient être exécutées d'ici quelques mois et que le «certificat sanitaire grâce à la technologie des applications» «gagne du terrain». Onfido affirme que cette technologie pourrait être la cheville ouvrière de la nouvelle «normalité» et la clé pour stimuler l'économie - comme soutenu par Bill Gates / Microsoft et indéniablement en phase de verrouillage avec le manifeste d'ID2020.
De nombreux analystes ont souligné le danger de l'introduction d'ID2020 sous couvert de la «crise» de Covid-19:
Nous pouvons en effet être juste au début de la mise en œuvre d'ID2020 - qui comprend la vaccination forcée, la réduction de la population et le contrôle numérique total de tout le monde, en route vers l'Ordre mondial unique; et l'hégémonie financière mondiale - Full Spectrum Dominance, comme le PNAC (Plan for a New American Century) aime l'appeler.
Peter Koenig
L'ÉQUIPE DERRIÈRE LA RÉPONSE COVID – 19 DU GOUVERNEMENT DU ROYAUME-UNI
- voir croquis sur site -
Dans la première partie, je me suis concentré en grande partie sur le rôle de l'Imperial College et du professeur Neil Ferguson dans la «modélisation» de la trajectoire de l'infection virale et l'influence sur la réponse du gouvernement britannique, comme il l'a fait précédemment, avec un taux d'échec de 100% sur la précision de son prédictions virtuelles.
Mon objectif dans la deuxième partie est de mettre en lumière d'autres membres du comité consultatif du gouvernement britannique et de révéler leurs liens avec Big Pharma et le secteur à but lucratif liés à la réponse de Covid-19.
NEIL FERGUSON DÉFEND SA POLITIQUE DE VERROUILLAGE TOUT EN OUBLIANT CONVENABLEMENT LE DOSSIER D'ÉCHEC DE SON «MODÈLE»
Dans une récente interview, Neil Ferguson a défendu ses prédictions Covid-19, qui semblent maintenant avoir été considérablement exagérées.
Ferguson a renforcé le message que les Britanniques [soulignement ajouté]:
ne peut pas revenir complètement à la normale, tant que nous n’aurons pas de vaccin, il y aura un certain degré de distanciation sociale. »
Ferguson a également confirmé la politique de suivi et de traçabilité du gouvernement britannique [je souligne]:
RépondreSupprimerUne distanciation sociale à plus long terme sera nécessaire, pas aux niveaux que nous avons aujourd'hui, si nous avons mis en place une recherche des contacts. »
Avec des chiffres qui ne correspondent pas aux projections alarmistes de Ferguson, le verrouillage de l'économie qui s'en est suivi, et maintenant le déploiement potentiel par le gouvernement britannique des vaccinations obligatoires et de la surveillance biométrique de la main-d'œuvre, nous pourrions être pardonnés de soupçonner que l'agenda global était toujours l'augmentation. surveillance et contrôle de la majorité de la population.
ÉTUDE DE CAS FERGUSON H1N1 - PATRICK VALLANCE - GLAXOSMITHKLINE
À ce stade, je voudrais remonter dans le temps en 2009 et à l'analyse de la grippe porcine par le Ferguson / Imperial College, H1N1: ils ont affirmé que ce virus tuerait 65 000 personnes au Royaume-Uni. Au final, 457 personnes sont mortes du virus.
En réponse à la menace de la grippe porcine, le géant de Big Pharma, GlaxoSmithKline (GSK), a développé le vaccin Pandemrix, avec des conséquences désastreuses.
Une soixantaine de patients qui auraient subi des lésions cérébrales à la suite du vaccin ont reçu une indemnité de 60 millions de livres sterling du gouvernement britannique. La plupart des victimes étaient des enfants.
Comme le dit un rapport:
Il a été révélé par la suite que le vaccin, Pandemrix, peut provoquer la narcolepsie et la cataplexie chez environ une personne sur 16 000, et beaucoup d'autres devraient manifester ces symptômes. »
Un rapport ultérieur du British Medical Journal (BMJ) a estimé que GSK et les autorités sanitaires n'avaient pas averti le public du "signal de sécurité" alarmant du vaccin.
Le vaccin a été développé par GSK et breveté en septembre 2006. Pandemrix contenait une souche de grippe recommandée par l'OMS. Après que des rapports de lésions cérébrales ont commencé à émerger, l'OMS a révisé ses conseils pour inciter à une «utilisation restreinte» pour les personnes de moins de 20 ans. Pandemrix n'est plus autorisé à utiliser, mais à l'époque, le gouvernement travailliste dirigé par Gordon Brown avait accordé Indemnité GSK. Les détails de cet accord n'ont jamais été rendus publics.
De 2012 à mars 2018, Sir Patrick Vallance a été président de la recherche et du développement chez GSK. Il est allé directement de GSK à son poste de conseiller scientifique en chef du gouvernement britannique.
Alors que Vallance et le gouvernement britannique favorisent AstraZeneca - en partenariat avec l'Université d'Oxford - pour accélérer le développement de vaccins, GSK est également dans la course.
GSK travaille en collaboration avec la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI), «visant à aider l'effort mondial pour développer un vaccin» pour Covid-19.
Le gouvernement britannique a investi 50 millions de livres sterling dans le CEPI pour soutenir le développement rapide de vaccins et d'immunoprophylactiques contre des «agents pathogènes inconnus» (également appelés Disease X). Bill Gates était l'un des sponsors originaux et les plus influents du CEPI; plus de détails plus loin dans cet article.
RépondreSupprimerAinsi, le gouvernement britannique semble favoriser AstraZeneca, mais Vallance et le gouvernement semblent également soutenir subtilement l'ancien employeur de Vallance, GSK, malgré leur fiasco Pandemrix.
Alors que Vallance était en charge de la recherche et du développement chez GSK, la collaboration avec la fondation Bill et Melinda Gates a été renforcée. En 2013, un nouveau partenariat entre GSK et la Fondation Gates a été annoncé: «accélérer la recherche de vaccins pour les besoins de santé mondiaux».
Ce que nous commençons à voir ici, c'est la définition même d'une politique de porte tournante entre le philanthrocapitalisme, Big Pharma et les agences gouvernementales, tous travaillant efficacement en phase de verrouillage pour promouvoir le programme mondial de vaccination, avec des bénéfices projetés massifs pour le complexe Big Pharma et en en particulier pour les membres étroitement associés à Gates, à l'OMS, à l'UNICEF et aux gouvernements du monde, comme déjà discuté dans la première partie.
LES SCIENTIFIQUES, LES ÉPIDÉMIOLOGISTES ET LES ANALYSTES NE PARLENT PAS EN UNE SEULE VOIX SUR COVID – 19
Pour revenir à l'interview de Ferguson que j'ai mentionnée plus tôt, mon observation est que Ferguson était mal à l'aise, semblant défendre un script plutôt que d'ouvrir la discussion pour inclure d'autres modèles et opinions d'experts qui sont en désaccord avec véhémence avec son évaluation.
Éminent épidémiologiste et bio-statisticien, le professeur Knut Wittkowski a été un critique franc du verrouillage et de la distanciation sociale depuis le début. Dans une récente interview, Perspectives on the Pandemic, il a parlé du modèle Ferguson:
Cela n'a aucun sens. Je n'ai aucune idée [de ce qui a inspiré Ferguson à faire ses estimations]. Je n'aime pas m'engager dans des théories du complot, donc, si vous avez un modèle qui donne des résultats qui contredisent tout le reste, alors vous contactez vos collègues, vous dites: `` Envoyez-moi votre modèle, laissez-moi l'essayer, comparons ce que nous avons, où sommes-nous d'accord et qu'est-ce qui rend mon modèle différent du vôtre? '. Voilà comment fonctionne la science. Nous commettons tous des erreurs - mais nous ne présentons pas les résultats sans une double vérification.
Même le Dr Anthony Fauci, homologue de Ferguson aux États-Unis, a également mis en doute l'efficacité de ces modèles pour déterminer la réponse du gouvernement à un virus donné:
Je n'ai jamais vu de modèle des maladies que j'ai traitées où le pire des cas est réellement apparu […] elles dépassent toujours.
Le fait que Ferguson s'efforce malgré tout - et sans aucune référence à son bilan épouvantable et à ses conséquences désastreuses pour le public britannique - suggère qu'il fonctionne en grande partie comme un agent de sensibilisation pour les acteurs ayant des intérêts acquis qui l'exploitent pour garder le gouvernement sur la bonne voie avec leurs propres campagnes Covid – 19 à but lucratif.
LE MONOPOLE BIG PHARMA DICTATE LA «NOUVELLE NORMALE» DANS LES SOINS DE SANTÉ MONDIAUX
Qui est CEPI ? Le CEPI est la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations. Le CEPI a été lancé à Davos en 2017 par les gouvernements de Norvège et d'Inde, la Fondation Bill & Melinda Gates, l'association caritative mondiale de santé Wellcome Trust basée en Grande-Bretagne et le Forum économique mondial.
RépondreSupprimerLe CEPI est décrit comme un «partenariat innovant entre les organisations publiques, privées, philanthropiques et civiles», auquel j'ajouterais les gouvernements: la coalition a reçu des investissements des gouvernements d'Allemagne, du Japon, d'Australie, du Royaume-Uni, de Belgique et du Canada. Leur rôle principal par rapport à Covid-19 est le «développement de plateformes pouvant être utilisées pour le développement rapide de vaccins contre des agents pathogènes inconnus» (2018).
L'historien et auteur, le professeur Michel Chossudovsky, est convaincu que le CEPI «cherche à jouer un rôle de monopole dans le secteur de la vaccination, dont l'objectif est un projet mondial de vaccination».
Comme je l'ai indiqué précédemment, le CEPI est la clé du succès du projet «Décennie vaccinale» de Gates, qui arrive à son terme en 2020 - coïncidant avec l'épidémie de Covid-19. Le CEPI rassemble les principaux acteurs de la biotechnologie, de la Big Pharma et des associations caritatives mondiales de la santé, des agences gouvernementales et de la R&D universitaire pour nous conduire vers la vaccination mondiale.
Le CEPI, dénommé par euphémisme «communauté élargie», est représenté par cinq membres ou observateurs sans droit de vote; il s'agit notamment de la Banque mondiale, qui est la principale institution financière détenant des fonds du CEPI, et d'un représentant de l'OMS.
Chaque organe directeur ou complexe qui promeut la vaccination mondiale enregistre les mêmes entités que les influenceurs et les sponsors. À maintes reprises, la question des conflits d'intérêts doit être soulevée en relation avec la réponse de Covid-19.
Tout comme Sir Patrick Vallance était lié à GSK, Chris Whitty, conseiller médical en chef du gouvernement britannique, était membre du conseil intérimaire du CEPI jusqu'à l'annonce du conseil permanent en 2018. Faut-il s'étonner que le gouvernement britannique ait investi 50 millions de livres sterling au CEPI tout en étant conseillé par Whitty ?
Whitty avec Matt Hancock. "L'expert dont nous avons besoin dans la crise des coronavirus."
Whitty a également reçu un financement de Gates en 2008: 40 millions de dollars pour la recherche sur le paludisme en Afrique. Le fait que Whitty ait participé au lancement du CEPI, le projet de monopole de vaccination de Gates, ne devrait donc pas être une énorme surprise.
PARTENARIAT CEPI ET IMPERIAL COLLEGE
Le modèle de Ferguson a été généré sous les auspices du Vaccine Modeling Impact Consortium, hébergé par l'Imperial College - tous deux effectivement financés par Bill Gates et le Wellcome Trust britannique (principalement).
En décembre 2018, le CEPI a conclu un partenariat avec l'Imperial College de Londres.
Le CEPI a fourni un financement de 8,4 millions de dollars américains à l'Imperial College pour travailler sur une plate-forme de vaccins qui peut être utilisée pour «développer rapidement des vaccins contre les agents pathogènes - même inconnus».
La plate-forme porte le nom approprié de RapidVac et se concentre sur la production de vaccins contre le H1N1, la rage et le virus de Marburg comme «preuve de concept». La prochaine étape serait de développer rapidement des vaccins en réponse à des «agents pathogènes nouveaux et inconnus, connus sous le nom de« maladie X »».
RépondreSupprimerAinsi, un an avant l'éclosion de Covid-19, l'Imperial College travaillait sur un vaccin contre la «maladie X».
Une déclaration de l'Imperial College a affirmé que le partenariat du CEPI et de l'IC visait à développer des vaccins «contre des agents pathogènes nouveaux et inconnus dans les 16 semaines suivant l'identification de l'antigène jusqu'à la libération du produit pour les essais» (non souligné dans l'original).
C'est une affirmation extraordinaire, lorsque les vaccins ont une période de gestation typique de R&D allant jusqu'à quinze ans avant d'être approuvés en toute sécurité pour la consommation publique. En outre, nous devons également toujours considérer qu'il existe un argument très fort contre l'utilisation totale des vaccins; peut-être un sujet pour un autre article.
DÉVELOPPEMENT DE VACCINS COVID – 19
La séquence du génome de Covid-19 a été publiée en ligne à la mi-janvier et les chercheurs auraient commencé à agir. La recherche mondiale d'un vaccin dépasse de dix à quinze programmes sérieux. Le CEPI financerait six de ces programmes: CureVac, Inovio Pharmaceuticals, Moderna et les universités d'Oxford, de l'Imperial College et du Queensland en Australie. Nous pouvons également maintenant ajouter GSK à la liste des participants en partenariat avec le CEPI soutenu par le gouvernement britannique.
PARTENARIAT AVEC GAVI ET CEPI, DÉCEMBRE 2018
Dans la première partie, j'ai discuté de GAVI, l'alliance autoproclamée pour les vaccins. GAVI a été créé il y a vingt ans et intègre les membres du consortium «Global Health Leaders Launch Decade of Vaccines Collaboration»: ceux-ci incluent, une fois de plus, l'OMS, la Banque mondiale, l'UNICEF et les gouvernements.
Le gouvernement britannique est le principal sponsor de GAVI. À son tour, GAVI parraine le VIMC, où Ferguson modélise sa réponse à Covid-19 - hébergé par Imperial College.
En décembre 2018, le même mois que le CEPI a conclu un partenariat avec l'Imperial College, le conseil d'administration de GAVI a approuvé une proposition pour que le Royaume de Norvège soutienne le CEPI par le biais d'un système d'obligations soutenu par un nouveau «engagement de la Norvège envers la Facilité internationale de financement pour la vaccination». (IFFIm).
En utilisant le système d'obligations, la Norvège a financé le CEPI à hauteur de 58,1 millions de dollars. GAVI, financé par Gates et créé par Gates, était le courtier de cette entente de parrainage, qui a acheminé de l'argent vers le CEPI financé par Gates et créé par Gates.
D'autres sponsors sont clairement impliqués, mais je ne fais que souligner la politique de la porte tournante vis-à-vis de ces consortiums qui rassemblent les secteurs de la santé privé, public et mondial pour promouvoir davantage la promotion des vaccins à l'échelle mondiale. Comme l’affirme fièrement le site Web de Gavi, l’alliance vaccine désormais près de la moitié des enfants du monde.
Le gouvernement britannique brouille les frontières entre le secteur privé et le secteur public en ce qui concerne les vaccins
Infographie de la colonne britannique - du programme de nouvelles.
RépondreSupprimerLe gouvernement britannique finance non seulement indirectement les projets générés par Gates par le biais du CEPI et de GAVI; il existe également une collaboration directe qui est passée inaperçue pour la plupart des rapports sur la réponse du gouvernement à Covid-19. Si vous saisissez le terme de recherche «Bill Gates» en tant que partenaire de mise en œuvre dans le tracker de développement UKAID, un certain nombre de projets liés aux vaccins sont révélés.
Cette semaine, le Premier ministre, Boris Johnson, a co-organisé la conférence internationale de promesses de contributions internationales sur le coronavirus - pour «faire avancer la course mondiale aux vaccins, traitements et tests contre les coronavirus» (non souligné dans l'original).
Selon les informations publiées, le Royaume-Uni a déjà fourni 744 millions de livres sterling de UKAID pour la réponse mondiale à Covid-19. Cela comprend 388 millions de livres sterling pour soutenir de nouveaux vaccins, tests et traitements. Le Royaume-Uni a promis 250 millions de livres sterling au CEPI (la plus grande contribution de tous les pays).
40 millions de livres ont été consacrés au développement rapide des traitements Covid-19; 23 millions de livres sterling pour développer des tests rapides pour le virus; et 75 millions de livres sterling à la réponse de l'OMS aux systèmes de santé essentiels. Le Royaume-Uni a également promis l'équivalent de 330 millions de livres sterling par an pendant cinq ans à GAVI, l'alliance autoproclamée pour les vaccins.
Le gouvernement britannique se concentre effectivement sur le secteur du marché dans lequel il a le plus investi - la vaccination mondiale - à un moment où l'économie nationale britannique est mise à genoux par la réponse du gouvernement à Covid-19.
Peut-être qu'à ce stade, on pourrait encore soutenir que le gouvernement britannique place le bien-être de ses citoyens au premier plan de son programme; mais en creusant un peu plus, il est beaucoup plus difficile de tirer cette conclusion.
LE RÉSEAU DE VACCINS DU ROYAUME-UNI
Chris Whitty était non seulement parrainé auparavant par Bill Gates et membre du conseil intérimaire du CEPI; il préside maintenant le UK Vaccine Network (UK VN). Le UK VN rassemble «l'industrie, le monde universitaire et les organismes de financement compétents pour effectuer des investissements ciblés dans des vaccins spécifiques et des technologies de vaccins contre les maladies infectieuses susceptibles de provoquer une épidémie».
Le UK Vaccine Network finance des programmes de développement de vaccins. Les projets soutenus par le DHSC à travers le UK Vaccine Network sont listés ici.
Un des projets du document de financement DHSC.
Sous l'administration de Chris Whitty - Whitty est co-chef de file du National Institute for Health Research (NIHR) - le NIHR et UK Research and Innovation versent 20 millions de livres sterling supplémentaires au CEPI pour le développement du vaccin Covid-19. Cela s'ajoute aux 50 millions de livres sterling déjà accordés par le gouvernement britannique au CEPI.
"C'EST L'HUMANITÉ CONTRE LE VIRUS" SUIT LA SEMAINE MONDIALE DE L'IMMUNISATION (26-30 AVRIL)
RépondreSupprimerIl est peu probable que le moment de la conférence de Boris Johnson sur l’humanité contre le virus soit une coïncidence, car il fait chaud dans la foulée de la Semaine mondiale de la vaccination.
Une publicité de l'OMS pour les vaccins présentée à la Semaine mondiale de la vaccination.
Un document produit par Public Health England (PHE) donne une meilleure idée de la mesure dans laquelle le gouvernement britannique fait la promotion des vaccins pendant la «crise» de Covid-19. Le thème de 2020 est «Les vaccins fonctionnent pour tous» - coïncidant avec la dernière année de la «décennie des vaccins» de Gates des années 2010.
Des hashtags comme #CarryOnVaccinating sont en cours de déploiement, et la campagne «Les vaccins fonctionnent pour tous» se concentrera sur «comment les vaccins - et les personnes qui les développent, les délivrent et les reçoivent - sont des héros en travaillant pour protéger la santé de chacun, partout dans le monde».
L'OMS a désigné 2020 Année internationale de l'infirmière et de la sage-femme. Pourquoi? En raison du «rôle crucial de ces professions en tant que défenseurs précoces des vaccins pour les nouveaux parents et les futurs parents et pour la vaccination tout au long de la vie, s’assurer que les personnes âgées bénéficient de leur protection de routine». Quelle façon intelligente de mobiliser le personnel infirmier véritablement dévoué pour promouvoir les vaccins dans un vaste marché.
Infographie de la colonne britannique - du programme de nouvelles.
Le gouvernement britannique finance non seulement indirectement les projets générés par Gates par le biais du CEPI et de GAVI; il existe également une collaboration directe qui est passée inaperçue pour la plupart des rapports sur la réponse du gouvernement à Covid-19. Si vous saisissez le terme de recherche «Bill Gates» en tant que partenaire de mise en œuvre dans le tracker de développement UKAID, un certain nombre de projets liés aux vaccins sont révélés.
Cette semaine, le Premier ministre, Boris Johnson, a co-organisé la conférence internationale de promesses de contributions internationales sur le coronavirus - pour «faire avancer la course mondiale aux vaccins, traitements et tests contre les coronavirus» (non souligné dans l'original).
Selon les informations publiées, le Royaume-Uni a déjà fourni 744 millions de livres sterling de UKAID pour la réponse mondiale à Covid-19. Cela comprend 388 millions de livres sterling pour soutenir de nouveaux vaccins, tests et traitements. Le Royaume-Uni a promis 250 millions de livres sterling au CEPI (la plus grande contribution de tous les pays).
40 millions de livres ont été consacrés au développement rapide des traitements Covid-19; 23 millions de livres sterling pour développer des tests rapides pour le virus; et 75 millions de livres sterling à la réponse de l'OMS aux systèmes de santé essentiels. Le Royaume-Uni a également promis l'équivalent de 330 millions de livres sterling par an pendant cinq ans à GAVI, l'alliance autoproclamée pour les vaccins.
Le gouvernement britannique se concentre effectivement sur le secteur du marché dans lequel il a le plus investi - la vaccination mondiale - à un moment où l'économie nationale britannique est mise à genoux par la réponse du gouvernement à Covid-19.
RépondreSupprimerPeut-être qu'à ce stade, on pourrait encore soutenir que le gouvernement britannique place le bien-être de ses citoyens au premier plan de son programme; mais en creusant un peu plus, il est beaucoup plus difficile de tirer cette conclusion.
LE RÉSEAU DE VACCINS DU ROYAUME-UNI
Chris Whitty était non seulement parrainé auparavant par Bill Gates et membre du conseil intérimaire du CEPI; il préside maintenant le UK Vaccine Network (UK VN). Le UK VN rassemble «l'industrie, le monde universitaire et les organismes de financement compétents pour effectuer des investissements ciblés dans des vaccins spécifiques et des technologies de vaccins contre les maladies infectieuses susceptibles de provoquer une épidémie».
Le UK Vaccine Network finance des programmes de développement de vaccins. Les projets soutenus par le DHSC à travers le UK Vaccine Network sont listés ici.
Un des projets du document de financement DHSC.
Sous l'administration de Chris Whitty - Whitty est co-chef de file du National Institute for Health Research (NIHR) - le NIHR et UK Research and Innovation versent 20 millions de livres sterling supplémentaires au CEPI pour le développement du vaccin Covid-19. Cela s'ajoute aux 50 millions de livres sterling déjà accordés par le gouvernement britannique au CEPI.
"C'EST L'HUMANITÉ CONTRE LE VIRUS" SUIT LA SEMAINE MONDIALE DE L'IMMUNISATION (26-30 AVRIL)
Il est peu probable que le moment de la conférence de Boris Johnson sur l’humanité contre le virus soit une coïncidence, car il fait chaud dans la foulée de la Semaine mondiale de la vaccination.
Un document produit par Public Health England (PHE) donne une meilleure idée de la mesure dans laquelle le gouvernement britannique fait la promotion des vaccins pendant la «crise» de Covid-19. Le thème de 2020 est «Les vaccins fonctionnent pour tous» - coïncidant avec la dernière année de la «décennie des vaccins» de Gates des années 2010.
Des hashtags comme #CarryOnVaccinating sont en cours de déploiement, et la campagne «Les vaccins fonctionnent pour tous» se concentrera sur «comment les vaccins - et les personnes qui les développent, les délivrent et les reçoivent - sont des héros en travaillant pour protéger la santé de chacun, partout dans le monde».
L'OMS a désigné 2020 Année internationale de l'infirmière et de la sage-femme. Pourquoi? En raison du «rôle crucial de ces professions en tant que défenseurs précoces des vaccins pour les nouveaux parents et les futurs parents et pour la vaccination tout au long de la vie, s’assurer que les personnes âgées bénéficient de leur protection de routine». Quelle façon intelligente de mobiliser le personnel infirmier véritablement dévoué pour promouvoir les vaccins dans un vaste marché.
Infographie de la colonne britannique - du programme de nouvelles.
RépondreSupprimerLe gouvernement britannique finance non seulement indirectement les projets générés par Gates par le biais du CEPI et de GAVI; il existe également une collaboration directe qui est passée inaperçue pour la plupart des rapports sur la réponse du gouvernement à Covid-19. Si vous saisissez le terme de recherche «Bill Gates» en tant que partenaire de mise en œuvre dans le tracker de développement UKAID, un certain nombre de projets liés aux vaccins sont révélés.
Cette semaine, le Premier ministre, Boris Johnson, a co-organisé la conférence internationale de promesses de contributions internationales sur le coronavirus - pour «faire avancer la course mondiale aux vaccins, traitements et tests contre les coronavirus» (non souligné dans l'original).
Selon les informations publiées, le Royaume-Uni a déjà fourni 744 millions de livres sterling de UKAID pour la réponse mondiale à Covid-19. Cela comprend 388 millions de livres sterling pour soutenir de nouveaux vaccins, tests et traitements. Le Royaume-Uni a promis 250 millions de livres sterling au CEPI (la plus grande contribution de tous les pays).
40 millions de livres ont été consacrés au développement rapide des traitements Covid-19; 23 millions de livres sterling pour développer des tests rapides pour le virus; et 75 millions de livres sterling à la réponse de l'OMS aux systèmes de santé essentiels. Le Royaume-Uni a également promis l'équivalent de 330 millions de livres sterling par an pendant cinq ans à GAVI, l'alliance autoproclamée pour les vaccins.
Le gouvernement britannique se concentre effectivement sur le secteur du marché dans lequel il a le plus investi - la vaccination mondiale - à un moment où l'économie nationale britannique est mise à genoux par la réponse du gouvernement à Covid-19.
Peut-être qu'à ce stade, on pourrait encore soutenir que le gouvernement britannique place le bien-être de ses citoyens au premier plan de son programme; mais en creusant un peu plus, il est beaucoup plus difficile de tirer cette conclusion.
LE RÉSEAU DE VACCINS DU ROYAUME-UNI
Chris Whitty était non seulement parrainé auparavant par Bill Gates et membre du conseil intérimaire du CEPI; il préside maintenant le UK Vaccine Network (UK VN). Le UK VN rassemble «l'industrie, le monde universitaire et les organismes de financement compétents pour effectuer des investissements ciblés dans des vaccins spécifiques et des technologies de vaccins contre les maladies infectieuses susceptibles de provoquer une épidémie».
Le UK Vaccine Network finance des programmes de développement de vaccins. Les projets soutenus par le DHSC à travers le UK Vaccine Network sont listés ici.
Un des projets du document de financement DHSC.
Sous l'administration de Chris Whitty - Whitty est co-chef de file du National Institute for Health Research (NIHR) - le NIHR et UK Research and Innovation versent 20 millions de livres sterling supplémentaires au CEPI pour le développement du vaccin Covid-19. Cela s'ajoute aux 50 millions de livres sterling déjà accordés par le gouvernement britannique au CEPI.
"C'EST L'HUMANITÉ CONTRE LE VIRUS" SUIT LA SEMAINE MONDIALE DE L'IMMUNISATION (26-30 AVRIL)
RépondreSupprimerIl est peu probable que le moment de la conférence de Boris Johnson sur l’humanité contre le virus soit une coïncidence, car il fait chaud dans la foulée de la Semaine mondiale de la vaccination.
Une publicité de l'OMS pour les vaccins présentée à la Semaine mondiale de la vaccination.
Un document produit par Public Health England (PHE) donne une meilleure idée de la mesure dans laquelle le gouvernement britannique fait la promotion des vaccins pendant la «crise» de Covid-19. Le thème de 2020 est «Les vaccins fonctionnent pour tous» - coïncidant avec la dernière année de la «décennie des vaccins» de Gates des années 2010.
Des hashtags comme #CarryOnVaccinating sont en cours de déploiement, et la campagne «Les vaccins fonctionnent pour tous» se concentrera sur «comment les vaccins - et les personnes qui les développent, les délivrent et les reçoivent - sont des héros en travaillant pour protéger la santé de chacun, partout dans le monde».
L'OMS a désigné 2020 Année internationale de l'infirmière et de la sage-femme. Pourquoi? En raison du «rôle crucial de ces professions en tant que défenseurs précoces des vaccins pour les nouveaux parents et les futurs parents et pour la vaccination tout au long de la vie, s’assurer que les personnes âgées bénéficient de leur protection de routine». Quelle façon intelligente de mobiliser le personnel infirmier véritablement dévoué pour promouvoir les vaccins dans un vaste marché.
BABYLON HEALTH - LE NHS N'EST PAS À VENDRE (!)
Matt Hancock accusé d'avoir enfreint le code ministériel en approuvant une entreprise privée de soins de santé.
Hancock et Dominic Cummings, conseiller en chef du Premier ministre, ont des liens douteux avec Babylon Health, une importante société de technologie de la santé mettant en œuvre l'IA. Cummings a occupé un poste de consultant non divulgué dans cette entreprise de soins de santé: une entreprise approuvée par le gouvernement et en tête de liste pour recevoir une injection de fonds du National Health Service (NHS) Fund de 250 millions de livres sterling.
Selon un article du Bureau Investigates, en 2018, Cummings "a conseillé Babylon Health sur sa stratégie de communication et son recrutement de cadres supérieurs quelques mois seulement avant que son application GP at Hand ne soit publiquement soutenue par Matt Hancock".
Jonathan Ashworth, le secrétaire à l'ombre de la santé (porte-parole de l'opposition britannique sur la santé), a condamné les Cummings / Hancock
Les liens entre Dominic Cummings au cœur de Downing Street, le secrétaire à la santé et cette entreprise de santé en IA sont de plus en plus troubles et hautement irresponsables.
Si quelqu'un doute de l'enthousiasme de Hancock pour l'application Babylon GP at Hand, il est fortement conseillé de lire cet article publié dans le British Medical Journal (BMJ), écrit par Rachel Clark, un médecin spécialisé en médecine palliative:
Matt Hancock aime tellement Babylon qu'il ne se contente pas d'utiliser son application pour smartphone, GP at Hand, il suscite l'enthousiasme pour le produit à chaque occasion. Tout d'abord, à l'Expo, il a vérifié le nom de Babylon, entre autres, comme l'une des «meilleures sociétés HealthTech au monde».
Puis il a prononcé un discours faisant l'éloge de l'entreprise tout en se tenant littéralement sous ses logos à l'intérieur de son siège social de Londres. Puis, dans ses commentaires au Telegraph, il a déclaré qu'une vision haletante de l'application «révolutionnaire» était «disponible pour tous».
RépondreSupprimerEt, la semaine dernière, il a figuré dans une bouffée de deux pages parrainée par Babylone dans le Evening Standard intitulée «La technologie peut être un excellent réparateur pour le NHS».
Sa pièce maîtresse était une interview proclamant l’approbation de Hancock de Babylone: ??il a déclaré que GP at Hand était «une force pour le bien au sein du NHS».
Bien que ce détail puisse sembler être une excuse de l'implication du conseil consultatif de la santé du gouvernement britannique Covid-19 dans la promotion des programmes mondiaux de vaccination, il sert de démonstration supplémentaire de la confusion entre les intérêts commerciaux et le bien-être des citoyens. .
Cette relation est mise en évidence dans le dernier documentaire du légendaire journaliste John Pilger, The Dirty War on the NHS, un film que je ne saurais trop recommander pour sa représentation austère de la privatisation furtive du NHS.
Babylon Health a été fondée par l'ancien banquier de Goldman Sachs Ali Parsa, qui a également cofondé et agi en tant que PDG d'une société de soins de santé privée, Circle - la première entreprise privée à exploiter un hôpital du NHS. Cet hôpital était Hinchingbrooke, qui s'est avéré être une entreprise désastreuse.
BABYLON ET BILL GATES
Oui, Bill Gates a également un lien avec Babylone. En mars 2020, Babyl, la filiale de soins virtuels de Babylone au Rwanda, a signé un partenariat de dix ans avec le gouvernement rwandais permettant à tous les citoyens de plus de 12 ans d'accéder à des consultations de santé numériques.
Le projet est fortement subventionné par le gouvernement rwandais et la Fondation Bill Gates et promet (!) De «rendre les soins de santé abordables» même pour les communautés les plus pauvres. Encore une fois, nous devons nous demander dans quelle mesure ces applications servent d'instruments de surveillance aux agences gouvernementales.
Le présumé criminel de guerre et président du Rwanda, Paul Kagame, et Bill Gates proclament: "Chaque vaccin est une dose d'adrénaline au cœur de l'économie africaine."
Cue l'application Babylon Covid – 19 Care Assistant. L'application propose un programme de soins en quatre étapes aux abonnés: informations, vérificateur de symptômes et chat en direct avec des experts de la santé, un plan de soins et une consultation vidéo avec un professionnel de la santé.
Nous sommes informés:
«L'application est téléchargeable gratuitement. L'utilisation du service est gratuite à Birmingham et à Londres via le NHS. Cependant, les utilisateurs situés ailleurs devront s'inscrire pour des abonnements payants ou annuels au service. Les plans annuels commencent à partir de 149 £. Des consultations ponctuelles peuvent coûter jusqu'à 49 £ à chaque fois. »
CUMMINGS ET HANCOCK - ÉQUIPE D'ÉTIQUETTE QUI A POUSSÉ LE VERROUILLAGE PENDANT LA PROMOTION DES VACCINS
RépondreSupprimerCummings est accusé d'avoir fait pression sur les conseillers de Boris Johnson pour qu'ils adoptent une politique de verrouillage draconienne pour combattre Covid-19. Si cela est vrai, cela doit soulever la question, encore une fois, de savoir dans quelle mesure la politique du gouvernement britannique est influencée par une véritable opinion d'expert médical et combien par les intérêts commerciaux, Big Pharma, les intérêts et les agendas - intérêts et agendas qui sont manifestement aussi ceux des le gouvernement britannique.
Certes, les membres du comité consultatif scientifique "ont été choqués, inquiets et inquiets pour l'impartialité des conseils" après que Cummings a effectivement annulé les réunions du Groupe consultatif scientifique pour les situations d'urgence (SAGE).
Cette semaine seulement, Hancock a averti qu'il n'y avait «pas eu de plus grande démonstration dans l'histoire moderne» d'un besoin de vaccin.
Auparavant, en septembre 2019, Hancock avait déclaré que le gouvernement envisageait sérieusement les vaccins obligatoires pour les élèves des écoles publiques. La baisse des taux de vaccination des enfants au Royaume-Uni a incité Hancock à envisager d'interdire l'autodétermination chez les parents qui ne sont pas d'accord avec les régimes de vaccination.
Le fait que Cummings ait utilisé son influence pour politiser les réunions du SAGE et que Hancock ne soit pas opposé à l'utilisation de son influence pour promouvoir des entreprises du secteur privé ayant des liens avec le NHS, devrait nous alerter sur la possibilité que les deux individus exploitent Covid-19 pour aller plus loin. les objectifs de ceux à qui ils sont liés et dont ils peuvent potentiellement bénéficier.
Bill Gates occupe une place de choix au cœur du réseau de conseil qui a introduit et maintenu le verrouillage au Royaume-Uni - un verrouillage qui ne doit pas être assoupli «jusqu'à ce qu'un vaccin soit disponible».
COVID – 19 NOUS POUSSENT VERS LE FASCISME MONDIAL DE LA SANTÉ
L'une des questions que l'on me pose le plus ces jours-ci est de savoir quand le monde pourra revenir à la situation en décembre avant la pandémie de coronavirus. Ma réponse est toujours la même: quand nous avons un médicament presque parfait pour traiter COVID-19, ou quand presque chaque personne sur la planète a été vaccinée contre le coronavirus.
- Bill Gates - Notes Gates
Covid-19 menace une «nouvelle normalité» imminente de la tyrannie de la santé mondiale et un contrôle et une surveillance sans précédent du gouvernement. L’équipe SAGE a très probablement déraillé face au programme politique de Cummings et à l’influence indue qu’il a exercée sur le comité, qui aurait dû rester impartial et axé sur la science.
Les membres les plus influents de l'équipe consultative du gouvernement britannique ont démontré un conflit d'intérêts flagrant par leurs liens avec l'empire Bill Gates, mais le gouvernement britannique lui-même a beaucoup investi dans le concept mondial de vaccination que Gates conçoit à travers toutes sortes de mécanismes publics et privés. initiatives sectorielles.
L'OMS est l'organe directeur mondial de la santé et est fortement influencée et financée par Bill Gates. En janvier 2020, l'OMS a publié son plan de R&D priorisant les nouveaux essais cliniques du vaccin contre le coronavirus.
RépondreSupprimerLe Groupe de travail de l’OMS pour la priorisation des vaccins visait, dans ce plan, à fournir des orientations et des recommandations aux concepteurs de vaccins et à identifier les candidats qui pourraient être envisagés pour un développement et une évaluation plus poussés.
L'OMS est effectivement une entité d'autorégulation en charge de la santé mondiale mais avec peu de responsabilité publique, en particulier en ce qui concerne les vaccins. Le Comité consultatif mondial de la sécurité des vaccins (GACVS) a été créé par l’OMS en 1999 pour répondre aux problèmes de sécurité des vaccins «d’importance mondiale potentielle».
Bill Gates demande une indemnité contre les poursuites judiciaires avant d'accepter de distribuer des vaccins. Nous accélérons tous vers un avenir où notre autodétermination médicale est gravement menacée et où ceux qui décident pour nous ne seront potentiellement pas tenus responsables des effets secondaires dangereux pour la santé.
Nous avons déjà vu les conséquences dévastatrices de la vaccination de masse pendant l'épidémie de H1N1, avec une transparence douteuse de Big Pharma concernant le risque, comme l'ont découvert ceux qui ont reçu une vaccination qui leur a laissé le cerveau endommagé à vie.
Les experts dans le domaine ont mis en garde contre la précipitation d'un vaccin Covid-19, en gardant à l'esprit que cela peut généralement prendre jusqu'à quinze ans de tests rigoureux avant l'approbation. Toute tentative de compression de ce processus doit comporter des risques.
Le Dr Peter Hotez, doyen de l'École nationale de médecine tropicale du Baylor College of Medicine, a déclaré à Reuters:
Je comprends l'importance d'accélérer les délais pour les vaccins en général […] il y a un risque de renforcement immunitaire.
En 2009, le Dr Wolfgang Wodarg a initié la commission d’enquête sur le rôle de l’OMS dans la grippe H1N1 («grippe porcine») tenue par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe à Strasbourg.
Dans cette récente interview, Wodarg décrit Bill Gates comme «fou» pour tenter de raccourcir la recherche et le développement. Wodarg parle également des «contrats secrets» entre les États et Big Pharma qui déterminent peut-être la trajectoire de développement des vaccins.
La parodie du vaccin H1N1 doit servir d'avertissement contre le développement précipité d'un vaccin motivé par la fièvre de la cabine de confinement, lorsque la fermeture elle-même semble de plus en plus susceptible d'être orchestrée pour atteindre précisément ce résultat.
Dans le même temps, alors que la possibilité d'une vaccination obligatoire est à l'étude, le gouvernement entend déployer un appareil de surveillance qui assurera un contrôle permanent sur une main-d'œuvre déjà politiquement affaiblie, enfoncée de plus en plus dans l'insécurité financière, d'abord par des mesures d'austérité et maintenant par Covid19.
Il est très important de repousser le déclenchement émotionnel généré par les médias et les agences alignés sur l'État. Les experts de la compréhension comportementale travaillent dur pour nous pousser à dépendre de l'État - mais nous ne devons pas renoncer à notre indépendance individuelle et collective.
Nous devons déterminer les moteurs de cette «crise», identifier les causes et faire face aux symptômes sans succomber à la peur ou à la panique. Ce n'est pas facile; mais notre avenir dépend de notre capacité à voir ce qui se passe réellement et à réagir en conséquence.
https://www.zerohedge.com/health/who-controls-british-government-response-covid-19-part-2
L'acteur Kevin James démolit l'absurdité du verrouillage et "COVID-Snitches'' dans un court métrage
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar, 05/12/2020 - 17:05
L'acteur et comédien Kevin James vient de sortir un court-métrage déchiquetant de manière spectaculaire la montée des vipères corona.
Nous et d'autres avons de plus en plus documenté le phénomène unique des voisins qui se retournent si facilement les uns contre les autres sur la conformité aux réglementations COVID et les différentes interprétations et perceptions de la «distanciation sociale». Ceci alors que la pandémie a vu des experts et des politiciens rivaliser dans une nouvelle vague d'alarmisme et de panique.
Kevin James, qui est devenu célèbre pour avoir joué Doug Heffernan dans la sitcom de CBS The King of Queens, a sorti son nouveau court métrage intitulé "Out of Touch" sur YouTube il y a quelques jours, et il est depuis devenu viral.
Comme Fox News l'a décrit, il "se moque directement des personnes qui jugent sévèrement les autres pour ne pas porter de masques ou pratiquer la distanciation sociale dans les espaces publics au milieu de la pandémie de COVID-19 en cours".
Alors que le film d'un peu moins de 2 minutes est clairement sarcastique, hyperbolique et franchement hilarant - son éclat réside dans l'exposition de l'atmosphère extrême de peur psychologique dans laquelle beaucoup vivent.
Le climat actuel semble avoir récemment responsabilisé toute une classe de corps occupés, d'écouteurs et de personnes qui, semble-t-il, ne peuvent tout simplement pas vivre sans être dans les affaires des autres.
Même l'Associated Press a récemment remarqué une tendance à la hausse suffisante pour dresser le portrait des chiffres émergents de ce qu'elle a carrément surnommé "mouchards" le mois dernier:
Les mouchards sont en train de devenir des alliés enthousiastes alors que les villes, les États et les pays s'efforcent d'appliquer des directives destinées à limiter les contacts interpersonnels au milieu de la pandémie de virus qui a fait des dizaines de milliers de morts dans le monde. Ils téléphonent à la police et aux permanences municipales, se plaignent aux élus et font honte aux fraudeurs perçus sur les réseaux sociaux.
"Dans certains endroits, les enquêteurs patrouillent dans les rues à la recherche de contrevenants", note AP. "Dans certains cas, les résidents se tournent vers les voisins."
Dans le nouveau clip de James, le résultat final d'un voleur de COVID attrapant deux hommes se serrant la main dans un parc est que suite à une poursuite nocturne dramatique, l'un est déchiré par des chiens policiers, tandis qu'un autre est acculé par un hélicoptère de police avec une arme à feu. dessiné des flics criant l'ordre de se mettre à terre.
Acteur et comédien Kevin James
Le court-métrage a été présenté comme se moquant finalement de l'absurdité du verrouillage qui a frappé le pays à partir de fin mars. Il approche maintenant d'un million de vues.
https://www.zerohedge.com/political/actor-kevin-james-demolishes-covid-snitches-short-film
Voir "Les mémoires d'un assassin international' (Comédie)
Supprimer