- ENTREE de SECOURS -



mardi 5 mai 2020

Les bons masques sont essentiels, mais comment les trouvez-vous ?

par Tyler Durden
Mar., 05/05/2020 - 08:22
Écrit par Mike Shedlock via MishTalk,


Des preuves récentes suggérant que la plupart des transmissions de Covis-19 se produisent chez des individus pré-symptomatiques.

Cela rend les masques critiques.

Mais comment trouvez-vous un bon masque ?

Les États-Unis ont exporté de bons masques en Chine
En janvier et février, les fabricants américains ont exporté des millions de masques faciaux et d'autres fournitures médicales vitales vers la Chine, selon le Washington Post.

Il est prudent de supposer que c'étaient de bons masques.

F.D.A. Approuve les masques KN95 de Chine
Le 3 avril, le New York Times a rapporté F.D.A. pour autoriser l'utilisation des masques KN95 approuvés par la Chine.

Les masques sont presque identiques en termes de performances aux masques N95 que les hôpitaux et autres institutions ont du mal à trouver.

Le F.D.A. a déclaré que les masques KN95 étaient éligibles à l'autorisation s'ils remplissaient certains critères, y compris les documents attestant leur authenticité.

Presque identique ?
Examinons le sens de «presque» et «authentique».

Des masques de faible qualité infiltrent l'approvisionnement américain en coronavirus
Le 3 mai, le Wall Street Journal a rapporté que des masques de faible qualité infiltraient l'approvisionnement américain en coronavirus.

Principales conclusions

Des tests effectués par le National Institute for Occupational Safety and Health ont révélé qu'environ 60% des 67 types différents de masques importés testés permettaient de contenir plus de particules minuscules dans au moins un échantillon que les normes américaines ne le permettent normalement.

Un masque testé par Niosh, vendu dans un emballage portant des logos non autorisés de la Food and Drug Administration, a filtré aussi peu que 35% des particules. Un autre, marqué KN95, une norme chinoise similaire à N95, avait un test d'échantillon inférieur à 15%, bien en deçà des 95% annoncés.

Des responsables du Colorado, de l'Illinois, du Massachusetts et du Missouri ont déclaré que de nombreux masques importés avaient échoué aux tests de qualité.

Gregory Rutledge, un professeur du MIT, a déclaré que son laboratoire avait testé plus de 40 masques dans le stock du Massachusetts qui prétendaient être fabriqués selon la norme KN95 de la Chine. Il n'en a trouvé qu'un tiers comparable aux N95 certifiés.

Boucles d'oreille

Le Lawrence General Hospital du Massachusetts a déclaré avoir distribué une partie d'un lot de masques fabriqués en Chine à l'aide de boucles d'oreille de son stock, avant de voir une alerte Niosh indiquant que les masques n'étaient pas conformes à la norme américaine N95 suggérée par leur étiquette.

Une erreur de calcul à tous les niveaux n'a pas permis aux États-Unis de lutter contre le coronavirus
Veuillez considérer une erreur de calcul à tous les niveaux, les États-Unis non équipés pour lutter contre le coronavirus

Le gouvernement américain s'est davantage concentré sur la préparation au terrorisme qu'à une pandémie. Malgré la grave grippe de 2009, le gouvernement n'avait pas de budget permanent pour acheter du matériel médical de protection pour son stock stratégique national de fournitures pour les urgences sanitaires.

L'administration Trump a encore affaibli le filet de sécurité en réorganisant la principale agence de préparation aux urgences du ministère de la Santé et des Services sociaux, en priorisant les autres menaces contre les pandémies, en supprimant des groupes tels que celui qui se concentrait sur les équipements de protection et en supprimant un petit budget prévu pour acheter des masques respiratoires. pour le stock national, selon d'anciens responsables.

L'histoire du N95 révèle des échecs de préparation à tous les niveaux.

Synopsis en trois points
Trump n'a pas pris la menace de pandémie au sérieux.

Au début de la crise, les États-Unis ont exporté des millions de bons masques vers la Chine.

Puis, dans un besoin de panique pour les masques, la FDA a abaissé les normes de qualité et importé des millions de mauvais masques de Chine.

C'est ainsi que les masques «presque identiques» (sauf qu'ils ne fonctionnent pas) sont généralisés dans les hôpitaux américains.

Anti-virus ?
Où les trouvez-vous ?
Q: Où trouvez-vous les bons ?
A: Désolé, je ne sais pas

S'ils s'attachent aux oreilles, ils ne sont pas approuvés. S'ils viennent de Chine, ils sont également suspects.

Recherche Amazon
Une recherche sur Amazon des masques N95 fait apparaître de nombreux articles qui sont: "Actuellement indisponible. Nous ne savons pas quand ni si cet article sera de nouveau en stock. ... Priorité pour les organisations sur le front répondant à COVID-19."

Il existe de nombreux masques qui se fixent derrière les oreilles mais ceux "presque identiques" ne sont pas N95.

Finder.Com a un fournisseur, Canopus, étiquetant des masques avec des boucles d'oreille comme N95. Il faut se méfier.

28 commentaires:

  1. Macron en difficulté avec son masque et les gestes barrières, dans une école de Poissy – vidéo


    17:18 05.05.2020


    En visite dans une école primaire de Poissy ce mardi matin, le chef de l’État a eu du mal à respecter les gestes barrières préconisés. Il a lui-même admis que le port du masque amenait à se toucher fréquemment le visage, après avoir saisi le masque par l'avant et l'enlever brièvement.

    Emmanuel Macron s’est rendu dans une école de Poissy ce mardi 5 mai, en prévision du déconfinement et de la réouverture prochaine des établissements scolaires. Devant les caméras, il s’est retrouvé plusieurs fois en position délicate avec le masque qui lui barrait la bouche, et a commis quelques entorses aux mesures barrières préconisées.

    En arrivant dans la salle de classe qu’il devait visiter, le président a d’abord été confronté à l’incrédulité des élèves, qui ne l’ont pas reconnu, derrière son masque noir frappé d’un liseré bleu-blanc-rouge. Emmanuel Macron a alors baissé son masque quelques secondes pour découvrir son visage. Un geste malencontreux, alors que tous les personnels de l’Éducation Nationale seront astreints au port du masque à partir du 11 mai, comme l’a rappelé le ministre de la Santé sur Franceinfo, ce mercredi 29 avril.

    Un geste qui contredit les consignes

    Alors que les autorités demandent de respecter strictement des gestes barrières en vue du prochain déconfinement, l'Association Française de Normalisation (Afnor) rappelle sur son site qu'une fois ajusté, il faut éviter de toucher le masque avec ses mains. «Chaque fois que le masque barrière est touché, l’utilisateur doit se laver les mains à l’eau et au savon ou avec une solution hydroalcoolique». Ce qu'Emmanuel Macron n'a pas fait tout de suite.

    «On n’est pas tous habitué»

    Par la suite, le chef de l’État a lui-même admis qu’il était difficile de porter un masque en permanence, sans se toucher le visage. Une erreur qu’il a avoué commettre souvent, tout en expliquant aux élèves comment y remédier.

    «Nous les adultes, on va mettre des masques, ce qui est recommandé aux enseignants. On n’est pas tous habitués. Donc parfois ? moi je n’arrête pas de le faire ? tu es obligé de toucher ton masque parce qu’il n’est pas bien ajusté. […] la seule solution pour moi après, c’est de me laver les mains avec du gel le plus souvent possible», a-t-il ainsi expliqué devant la classe, se désinfectant finalement les mains.

    Pas une première

    Ce n’est pas la première fois que des membres de l’exécutif admettent éprouver des difficultés avec les mesures d’hygiènes édictées.

    Concernant les masques, la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, avait ainsi déjà avoué ne pas savoir comment les utiliser, en mars dernier sur BFMTV.

    Plusieurs images circulent également sur les réseaux sociaux, montrant des personnalités politiques déroger aux gestes barrières.

    https://fr.sputniknews.com/france/202005051043721625-macron-en-difficulte-avec-son-masque-et-les-gestes-barrieres-dans-une-ecole-de-poissy--video/

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    1. La photo (marrante) montre bien que le chef de l'État porte un masque 'Made in Élysée' de toile (de jean ?) noire (frappée du drapeau français) et non un FF P2 qui est le SEUL masque anti-virus !

      L'exemple-même du non-savoir !

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  2. GUERRE DE L'INFORMATION ET FAKE NEWS AU TEMPS DU CORONAVIRUS


    par RÉDACTION
    05/05/2020


    Dans une version réactualisée du livre « Fake news » François Bernard Huyghe analyse les fondamentaux de la désinformation et l’actualité brûlante de « l’infodémie » sur fond de guerre planétaire de l’influence.

    Vous venez de publier (téléchargeable en attendant la version papier) « Fake news Manip, infox, infodémie en 2021 ». Tous ces mots n’étaient guère utilisés il y a quelques années ?

    On a toujours parlé de mensonge tromperie ou rumeurs. La notion de désinformation (introduire des contre-vérités nocives dans le système médiatique de son adversaire) est connotée très Guerre froide. Mais avec l’élection de Trump et le Brexit, médias et élites ont commencé à employer toutes sortes de néologismes ou d’anglicismes (il y a un glossaire français et anglais dans le livre). Souvent pour exprimer l’idée que, si les foules votaient mal, ce devait être parce qu’elles étaient abusées. Notamment par des agents russes et des extrémistes-complotiste sur les réseaux sociaux. Thèse un peu simpliste, car il faudrait surtout comprendre pourquoi les masses ne croient plus les experts, les dirigeants, les médias, etc. et se laissent séduire par des versions « alternatives » de la réalité.

    Au sens strict une fake news ou infox est un document représentant un événement qui n’a pas eu lieu : on truque ou on légende mal une photo, on raconte un incident imaginaire, on fait dire aux gens ce qu’ils n’ont pas dit...

    Donc ce n’est pas forcément de la propagande, une thèse idiote (comme certains complotismes), un délire d’interprétation idéologique... Fake sous-entend une fabrication délibérée au départ, même si ceux qui la reprennent, notamment en ligne peuvent être d’une parfaite bonne foi.

    Depuis 2016, les dispositifs législatifs (comme la loi française dite « contre la manipulation de l’information de 2018), les vérifications (fact-cheking) par des médias et des ONG, les interventions des grands du Net (avec leurs algorithmes et leurs milliers de modérateurs) ou les simples recherches d’internautes se sont multipliées. Une fausse nouvelle a peu de chances de ne pas être repérée très vite ; mais il y en a énormément, et de plus en plus sophistiquées (faux comptes, faux mouvements d’opinion, fausses sources, fausses vidéos truquées de façon presque indécelable). Et une large part de la population est très sceptique face à toute information ou démenti « officiel ».

    Et l’infodémie ?

    C’est un terme très récent, introduit, sans doute par l’OMS, pour désigner la vague de mésinformation qui accompagne la propagation du virus. Notamment sur les réseaux sociaux. Et qui peut avoir des conséquences graves. Si vous croyez en de faux médicaments ou vous trompez sur le risque d’être contaminé, cela peut vous coûter la vie. Par ailleurs ce que nous croyons à propos de la responsabilité de la pandémie, des méthodes efficaces, des fautes des gouvernements ou d’acteurs dans l’ombre peut avoir des conséquences politiques le fameux « jour d’après ».

    Certaines opérations de manipulation pourraient révéler de grandes manœuvres géopolitiques ?
    Des thèses très douteuses - accusant suivant le cas, Trump, un laboratoire français, des militaires chinois fabriquant des armes biologiques, ou Bill Gates et le grand capital - ont circulé très vite.

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  3. Mais il y a un front principal. D’un côté la Chine développe d’énormes efforts de séduction et d’influence, à travers ses postes diplomatiques et ses médias, mais beaucoup aussi sur les réseaux sociaux. Elle entend à la fois s’innocenter (le virus est d’origine animale, nous n’avons aucune responsabilité) et imposer comme modèle sa méthode efficace de lutte contre l’épidémie et le système politique qui va avec.. Une sorte d’opération « Routes de la soie idéologique ». De l’autre les Américains et beaucoup d’Occidentaux tirent à boulets rouges sur les mensonges chinois et veulent mener une opération de contre-influence planétaire. À travers ces luttes pour établir partout une croyance en une certaine réalité, cette infoguerre planétaire, l’enjeu est : au lendemain de la crise, qui, de la Chine ou des USA (ne parlons pas de l’Europe) gagnera l’hégémonie en termes de puissance et d’influence.

    http://www.economiematin.fr/news-guerre-de-l-information-et-fake-news-au-temps-du-coronavirus

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  4. LE MONDE PEUT-IL EMPRUNTER 14 000 MILLIARDS ET EN IMPRIMER 6 000 SANS RISQUER LES PROBLÈMES ?


    par LAURENT SCHWARTZ
    06/05/2020


    Près de 8.000 milliards de dollars ont été déployés pour faire face à la crise du Covid-19 dans le monde.

    Les mesures prises pour limiter l’impact du coronavirus sont sans précédent par leur ampleur et leur rapidité. En un peu plus d’un mois, elles dépassent déjà toutes les mesures annoncées en 3 ans lors de la crise financière de 2008.

    8000 milliards de mesures budgétaires …

    Dans sa dernière édition du Moniteur des Finances Publiques, publiée le 15 avril, le FMI a fait l’addition : 8 000 milliards. C’est le montant consolidé en dollars des mesures de soutien annoncées par les gouvernements du monde. Une somme faramineuse, encore provisoire, qui inclut environ 3300 milliards de dépenses directes, 1800 milliards de prêts et soutien aux entreprises, et 2700 milliards de garantie de prêts par les Etats.

    Les déficits budgétaires vont donc atteindre des records en 2020. Aux Etats-Unis, où le déficit 2019 frôlait déjà les 1000 milliards, plus de 2000 milliards de mesures de soutien ont été annoncées, et le déficit devrait avoisiner 15% du PIB. En France, il devrait se situer autour de 9.5% du PIB…

    Les dettes publiques vont augmenter mécaniquement du montant de ces déficits. Ajoutons à cela l’effet de la contraction du PIB, de parfois 10%, et voilà comment le ratio dette/PIB va croitre de 15 à 20 points dans la plupart des pays développés. Selon le FMI, la dette devrait atteindre 130% de la richesse nationale aux Etats-Unis, 250% au Japon et 115% en France. Une prévision pour l’hexagone en ligne avec celle de François de Villeroy de Galhau, le gouverneur de la banque de France.

    … plus le refinancement de la dette

    Mais en plus d’emprunter pour financer le déficit public, il faudra également emprunter pour refinancer la dette qui arrive à échéance en 2020. Et il y en a beaucoup. En reprenant les chiffres du FMI (1), nous l’estimons à plus de 8000 milliards de dollars pour les pays développés, dont plus des trois quarts pour les seuls Etats-Unis et Japon. Au total, en incluant les déficits publics projetés, les pays avancés devront emprunter plus de 14’000 milliards de dollars cette année…

    Il n’est donc pas surprenant que le FMI pointe le risque d’une envolé de la charge d’intérêt et des coûts de refinancement. Un point de vue relayé dans une tribune récente aux Echos par Jean Tirole, prix Nobel d’économie en 2014 : « les marchés financiers pourraient perdre confiance dans la valeur des obligations émises par les Etats, faisant planer le risque de crises souveraines. »

    Un scénario particulièrement plausible en Europe, où les querelles politiques pourrait par exemple poser problème à l’Italie, dont la notation de la dette doit être revue cette semaine, avec le risque qu’elle soit dégradée en terrain « spéculatif », conduisant à des ventes forcées par de nombreux investisseurs.

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  5. Dette ou monnaie, une histoire de confiance

    Toujours selon le FMI, les mesures de financement et de rachats d’actifs annoncées par les banques centrales du monde s’élèvent à 6000 milliards de dollars, un chiffre là aussi provisoire. En clair : 6000 milliards de création monétaire, soit en rachetant des actifs (de la dette publique ou privée) soit en les refinançant. En prenant ces actifs sur leurs bilans, les banques centrales remplacent tout simplement de la dette par de la monnaie dans l’économie.

    La solution est pratique pour tout le monde : les Etats s’endettent, les banques centrales achètent leur dette en créant de la monnaie, les taux d’intérêt restent bas et on repousse le problème. Cela pourrait même marcher indéfiniment…

    Mais si l’on n’avait guère confiance dans les dettes des états, pourquoi aurait-on confiance dans la monnaie émise par une banque centrale dont le bilan est bourré de ces mêmes dettes souveraines ? En d’autres termes, dans un monde ou les banques centrales rachètent massivement la dette des états, la question de la valeur des obligations d’état devient celle de la valeur de la monnaie.

    La plupart des français ont bien conscience que la dette de la France est trop élevée, certains connaissant même son montant (plus de 2000 milliards). Mais combien d’entre eux savent quelle est la masse monétaire en circulation ? (2) Et combien sauraient dire si ce montant est adapté ? (3) Il y a là une certaine opacité assez commode pour tout le monde…

    La théorie monétaire est complexe, mais il y a un principe simple : la quantité de monnaie en circulation doit être adapté au niveau d’activité économique. Le risque d’une monnaie trop abondante est la perte de valeur de celle-ci par l’inflation. Une inflation qui serait très pratique pour des états qui rembourserait ainsi leurs dettes dans une monnaie dépréciée !

    L’or réserve de valeur

    L’or a joué le rôle de monnaie dans le passé, et certains le considèrent encore aujourd’hui comme une monnaie de dernier recours. Le métal jaune n’est en effet la dette ou le passif de personne, et il ne peut pas être « imprimé » ou manipulé. C’est d’ailleurs l’argument principal de la banque d’affaire Bank of America, rapporté par Bloomberg, qui dans une note récente intitulée « La Fed ne peut pas imprimer d’or », relève sa prévision de cours à 18 mois à 3000 dollars l’once.

    S’il n’est plus utilisé comme moyen de paiement aujourd’hui, ni comme unité de compte, c’est donc bien la fonction de réserve de valeur qui séduit les investisseurs, afin de se protéger contre la perte de valeur de la monnaie.

    On dit que dans la Rome antique, une once d’or permettait d’acheter une toge raffinée, une paire de sandales de qualité et une ceinture faite main. Aujourd’hui, une once d’or permet encore d’acheter un costume raffiné, une paire de chaussure de qualité et une ceinture de marque. Voilà bien toute l’histoire de l’or : il maintient sa valeur dans le temps, et même dans le temps très long.

    le FMI dans son dernier moniteur fiscal publie une estimation du montant des dettes à refinancer en pourcentage du PIB. Données disponibles sur ce lien La réponse est environ 13'200 milliards d’euros pour la zone euro (M3) La question fait toujours réfléchir les économistes du monde entier…

    http://www.economiematin.fr/news-monnaie-helicoptere-inflation-crise-covid19-argent-emprunt-schwartz

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    1. (...) « La Fed ne peut pas imprimer d’or », relève sa prévision de cours à 18 mois à 3000 dollars l’once. (...)

      Faudrait aussi dire que la valeur de l'or est fixée par un bureau 'à la tête du jour' (comme TOUTES les Matières Premières !) et non en fonction des transactions. C'est-à-dire qu'ils peuvent fixer le prix de l'or à 1$/l'once comme demain à 1 million de $ l'once (ce qui permettrait à tous les pays dits 'endettés' de payer toutes leurs dettes du jour au lendemain !). Mais, comme le prix de l'or est maintenu au plancher, la fausse dette peut se poursuivre ad vitam eternam !

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  6. LES CHARGES DES PETITS COMMERCES TOTALEMENT ANNULÉES ?


    par PAOLO GAROSCIO
    05/05/2020


    La TVA représente 52% des recettes fiscales de l'Etat.

    Les petits commerçants s’inquiétaient : s’ils avaient bénéficié, jusqu’à présent, d’un simple report des charges, ça signifiait qu’ils allaient bien devoir les payer. Certes, en retard, mais les payer quand même. Avec une trésorerie détruite et une reprise économique qui s’annonce longue et compliquée, voilà qui aurait pu causer de nombreuses faillites dans les mois à venir.

    Le gouvernement pourrait bien avoir entendu ce énième appel de détresse.

    Une suppression des charges… mais uniquement ciblée
    Selon le journal Les Echos, qui dévoile l’information le 4 mai 2020, le gouvernement aurait dans ses cartons une annulation pure et simple des charges qui ont été reportées pour les petits commerçants. Uniquement pour eux, d’ailleurs, et même pas pour tous : les critères, selon les informations du quotidien, sont précis.

    Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes publics, aurait en effet l’intention de supprimer tout simplement les charges des petites entreprises de moins de 10 salariés… si et seulement si elles ont été contraintes de fermer administrativement du fait du Covid-19 et du confinement qui s’en est suivi.

    En somme, une mesure taillée pour les petits commerces indépendants : les enseignes n’en bénéficieraient pas, tout comme en sont exclues toutes les entreprises qui n’ont pas été contraintes de fermer administrativement, mais qui ont fermé par manque d’activité. Et bien évidemment, les commerces alimentaires ne sont pas concernés non plus.

    Trois mois de charges en moins… et autant de pertes pour l’État

    En ciblant seulement quelques entreprises, en particulier les plus fragiles, le gouvernement veut malgré tout éviter de perdre trop d’argent. Car l’annulation des charges porterait sur les trois mois concernés par le confinement, en entier : mars, avril et mai.

    En faire bénéficier toutes les entreprises aurait représenté une perte de revenus, pour l’État, de plusieurs milliards d’euros… qu’il ne peut plus se permettre. Malgré tout, ce sont près de 400.000 entreprises, selon les informations de BFMTV, qui sont incluses dans ce nouveau plan de sauvegarde… y compris les franchisés des grandes enseignes s’ils répondent aux critères.

    http://www.economiematin.fr/news-charges-tpe-commerces-annulation-gouvernement-tpe-aide-decision-darmanin-confinement

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    1. Pareillement que pour la Planche-à-billets de l'article précédant, les États ne perdraient RIEN d'accorder des remises puisqu'ils fabriquent cet 'argent'.

      Va t-on (dans les temps qui suivent) imposer les machines qui osent remplacer les humains ? Taxer les machines à café ? Taxer les machines à laver qui ont supprimé des millions de lavandières aux lavoirs municipaux et rivières ? Taxer les voitures qui ont fait disparaître des millions de cochers et de chevaux ? Taxer les chaussures qui ont fait disparaître le mal aux pieds de marcher pieds nus ?

      TOUT est fait pour que vous soyez pauvres et le restiez !

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  7. ASSURANCE AUTO : PAS DE BAISSE DE PRIME... POUR L'INSTANT


    par PAOLO GAROSCIO
    04/05/2020


    68% du montant des primes d'assurance automobile sont destinées à l'indemnisation.

    L’association de consommateurs UFC-Que Choisir a lancé une attaque contre les assurances du fait du confinement : le nombre d’accidents a chuté drastiquement en France puisque les Français ne pouvaient pas prendre leur voiture… et ce sont autant de milliards d’économisés pour les assureurs et que l’UFC voulait voir être redistribués. La Fédération française des assurances (FFA) confirme la baisse d’accident… mais pas la baisse des cotisations.

    Baisse de la prime d’assurance auto ? Pas en 2020

    Dans un courrier adressé à l’UFC-Que Choisir et rendu public, la FFA, par le biais de sa présidente, Florence Lustman, a répondu à l’association de consommateurs. La fédération des assurances confirme une baisse « d’environ 75% » du nombre d’accidents sur les routes de France depuis le confinement, par rapport à la même période de 2019, mais se retient de faire des promesses.

    « Il est dangereux de faire croire aux assurés que, parce qu'il fait beau un jour, il faudrait se faire rembourser les primes catastrophes naturelles », écrit, en tant qu’analogie, la FFA dans son courrier. Objectif : montrer que ce n’est pas parce qu’un jour il n’y a pas d’accidents qu’il n’y a pas d’accidents tout court.

    Et ça se confirme avec les chiffres : si le nombre d’accidents a baissé de 75%, cela signifie qu’il y a encore 25% d’accidents, par rapport à 2019, qui ont eu lieu durant le confinement et malgré la baisse généralisée de la circulation sur les routes de France.

    Le bilan fin 2020… et on verra pour la prime

    La FFA ne se prononce, en réalité, ni pour une baisse de la prime d’assurance, ni pour une hausse, ni pour un statu quo. « Ce n'est qu'à la fin de l'année que nous pourrons juger de la réalité des accidents automobiles pour 2020 » précise Florence Lustman. Car les assurances craignent, malgré tout, un bond des accidents avec le déconfinement et avec les vacances d’été qui se profilent.

    Et si certains assureurs ont pris des mesures, comme la Maif qui a annoncé rendre 30 euros à ses assurés auto et la Matmut qui a gelé ses tarifs pour 2021, chacun fait comme il lui plaît. En attendant, selon les calculs de l’UFC Que Choisir, ce sont près de 2,2 milliards d’euros que les assurances auto ont économisés durant le confinement. Le point sera fait fin 2020 pour que la FFA donne des lignes directrices plus générales pour les tarifs 2021.

    http://www.economiematin.fr/news-assurance-automobile-economie-argent-prime-montant-cout-FFA

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    1. Du fait que la quasi-totalité des véhicules ne circulent, le prix des assurances devraient baisser de 2/12 ème. Mais, comme 'les assureurs sont tous des voleurs'...

      Quant aux amendes aux radars pour excès de vitesse... vont-ils les augmenter pour 'manque à gagner' durant 2 mois ?

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  8. LE BIO COÛTE EN MOYENNE 75% PLUS CHER AUX CONSOMMATEURS


    par QUITTERIE DESJOBERT
    05/05/2020


    Les produits diététiques bio représentent 70% du secteur de la diététique.

    Une étude réalisée par le magazine Linéaires met en avant le fait que le bio coûte en moyenne 75% plus cher aux Français, que cela soit pour la viande, les légumes frais ou en conserve.

    Dans les rayons des supermarchés, les produit estampillés « bio » fleurissent en nombre et séduisent de plus en plus de Français, puisque plus de 9 Français sur 10 consomment du bio. Une consommation qui s’avère bonne pour la planète mais pas pour le porte-monnaie.

    La viande et les légumes bio en tête des prix

    Une grande majorité des produits bio, parmi lesquels on peut retrouver la viande, notamment le jambon, et les légumes, coûtent en effet près de deux fois le prix moyen des produits non-bio. Une différence conséquente qui peut s’expliquer par le coût de la mise en place de la filière bio notamment dans la production de jambon.

    En 2018, le jambon représentait 30% du chiffre d’affaires des rayons charcuterie, cependant sa consommation ne cesse de baisser face aux accusations pesant sur le nitrite très présent dans le jambon comme conservateur. Une situation qui a fait accelérer la mise en place de la production de jambon bio chez les principaux fournisseurs tels que Fleury-Michon, qui, dès septembre 2018, avait annoncé le développement d’une filière bio.

    Certains produits explosent tous les records comme le sucre bio qui peut atteindre jusqu’à sept fois le prix de son cousin non-bio. Mais le bio peut cependant s’avérer moins cher dans certains secteurs.

    Desserts et produits diététiques stars du rayon bio

    Les desserts et les produits diététiques bio représentent 70% et 53% du chiffre d’affaires de leurs secteurs respectifs. Ces hauts pourcentages s’expliquent par le prix de ces produits.

    Contrairement au jambon qui peut être en effet jusqu’à 2,5% plus cher, quand ils sont bio les desserts, eux, peuvent être jusqu’à 20% moins chers, une différence considérable avec les desserts non-bio, qui illustre parfaitement pourquoi ils gagnent une place de choix dans le panier des Français.

    http://www.economiematin.fr/news-bio-cher-consommateur-jambon-legumes-viande-dessert

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    1. Il est certain que si on ne traite (remèdes) pas les plantes: elles attrapent des maladies ou des insectes !

      TOUTES les plantes attrapent des maladies !

      Donc, le bio (plantes malades comme il y a 200 ans) est donc plus cher car chétif et donc peu de poids et de qualité gustative.

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  9. Responsabilité pénale des décideurs dans la crise du Covid-19, un amendement «maladroit et inutile»


    21:00 05.05.2020
    Par Maxime Perrotin


    Dans le cadre de la prorogation de l’état d’urgence sanitaire, le Sénat a déposé un amendement visant à déresponsabiliser les décideurs dans la gestion de la crise du Covid-19. Une initiative politiquement inopportune, qui, juridiquement, ne les protégera guère des conséquences de leurs décisions. Analyse avec Me Fabrice Di Vizio.

    «Il ne faut pas qu’on fasse dire à ce texte ce qu’il ne dit pas. Ce texte n’est pas du tout dans une optique de limiter l’exercice d’un droit au recours, il vient encadrer l’exercice d’un recours», nuance auprès de Sputnik France Fabrice Di Vizio, avocat spécialiste dans la défense des professionnels de santé.

    Covid-19: «Administration sclérosée», décrets «imprécis», «crise du pouvoir», le réquisitoire d’un avocat de médecins
    Adapter la législation pour renforcer la «sécurité juridique des maires» à l’heure de la reprise des classes et du déconfinement? La mesure aurait pu passer inaperçue, si une précision n’avait pas attiré l’attention de plusieurs avocats et du public.

    Elle figure dans une tribune parue dimanche 3 mai dans le JDD, cosignée par 157 parlementaires de La République en Marche (138 députés et 19 sénateurs) et intitulée La reprise de l’école est notre exigence, la protection juridique des maires également.

    Le texte appelle à «protéger les maires pénalement, mais aussi toutes les personnes dépositaires d’une mission de service public dans le cadre des opérations de déconfinement». Une formule que ses détracteurs ne pouvaient manquer, puisque Aurore Bergé, parlementaire de la majorité, l’a twittée telle quelle, le jour même.

    Une suggestion qui a rapidement provoqué un tollé sur le réseau social américain alors que le texte législatif n’était pas encore paru, plusieurs avocats fustigeant là une tentative de la majorité –sous ce qui leur apparaît comme un faux prétexte– de «mettre rétroactivement à l’abri du juge» les membres de l’exécutif pour leur gestion de la crise sanitaire.

    La presse a embrayé: une manœuvre juridique partisane, avançait Valeurs actuelles; la majorité veut-elle «l’amnistie préventive», s’interrogeaient nos confrères de RT.

    Dès le lendemain, lundi 4 mai, profitant du passage en commission des Lois du Sénat du projet de loi prorogeant l’État d’urgence sanitaire jusqu’à la fin juillet, le fameux texte était déposé sous la forme d’un amendement à celui-ci, signé par… Philippe Bas, président LR de la commission des Lois et rapporteur du texte sur la prolongation de l’état d’urgence.

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  10. «Nul ne peut voir sa responsabilité pénale engagée du fait d’avoir, pendant la durée de l’État d’urgence sanitaire déclaré […], soit exposé autrui à un risque de contamination par le coronavirus SARS-CoV-2, soit causé ou contribué à causer une telle contamination», indique l’article 1er, qui précise «à moins que les faits n’aient été commis 1) intentionnellement 2) par imprudence ou négligence […] 3) en violation manifeste délibérée d’une mesure de police administrative […] ou d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement.»

    Une série de précisions que souligne au micro de Sputnik l’avocat Fabrice Di Vizio, qui prend le contre-pied de ses confrères décriant l’initiative dont rêvait la majorité et que LR a réalisée. Il «ne comprend pas que l’on fasse une histoire» d’un texte à ses yeux «mal ficelé», mais surtout «maladroit et inutile».

    «Ce texte ne sert à rien»

    Tenant à «ne pas hurler avec les loups», cet avocat spécialiste dans la défense des professionnels de santé s’interroge quant au réel surcroît de protection pénale qu’un tel amendement pourrait octroyer aux membres de l’exécutif, chefs d’entreprise et même aux maires, dont il était initialement question. Et d’appuyer son propos par un exemple:

    «Il rouvre son école et il y a des contaminations… qu’est-ce que ce texte change ? Il pourra toujours être poursuivi sur le fondement de l’article 233-7, puisque c’est une abstention volontaire de prendre une mesure propre à permettre d’éviter le sinistre», développe Fabrice Di Vizio.

    L’avocat, qui est à l’origine de plusieurs plaintes à l’encontre de membres du gouvernement, juge que «ce texte ne sert à rien». Il dépeint le droit pénal comme déjà «protecteur», au vu de ses «interprétations strictes», ainsi qu’au besoin de remplir de nombreuses conditions pour déclencher une procédure. Fabrice Di Vizio se montre ainsi particulièrement insistant sur les difficultés déjà existantes pour le commun des mortels de mettre des élus face à leurs responsabilités pénales supposées. Il souligne par exemple que dans le cas du déconfinement à venir, mairies et établissements publics ont reçu des autorités sanitaires des consignes à observer et à mettre en œuvre.

    «La RATP a reçu un guide, si elle ne le respecte pas, peu importe les raisons pourquoi, elle commettrait une faute délibérée», assène l’avocat.

    Pour lui, ce texte qui «ne fonctionnera pas» à cette fin de protection ne traduit qu’une chose, le fait que «le gouvernement refuse de prendre le risque de gouverner», à savoir le fait de refuser de prendre des décisions face à une situation incertaine. Autre élément venant corroborer aux yeux de Me Di Vizio ce comportement de l’exécutif tricolore, la tendance de celui-ci à se cacher derrière son conseil scientifique. Un conseil scientifique qui, d’ailleurs, n’a pas approuvé le gouvernement dans sa manière de mettre en place le déconfinement, notamment quant à la réouverture des écoles. Un rejet qui scelle un peu plus le destin juridique des décideurs politiques, malgré le fameux amendement aujourd’hui décrié.

    «À partir du moment où le Conseil scientifique a dit non, si le gouvernement le fait quand même, il commet une infraction intentionnelle, délibérée: vous saviez qu’il ne fallait pas le faire et vous avez fait le choix de le faire, […] les maires qui rouvriraient les écoles, alors qu’ils ont le choix de ne pas le faire, eux-mêmes commettraient une faute délibérée.»

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  11. Bien qu’offrant une limitation de responsabilité «très limitée», l’amendement cache mal une intention des décideurs locaux (nombreux chez LR) et nationaux de se protéger «dans la limite de ce qu’ils pouvaient, sans pour autant faire basculer le texte dans le scandale juridique» face aux conséquences que pourraient avoir les mesures de déconfinement si l’épidémie venait à repartir.

    Conscient de l’effet potentiellement déplorable sur l’opinion de ce qui ressemble à une tentative d’«amnistie préventive», pour reprendre la formule de Valeurs actuelles, l’exécutif a d’ailleurs tenté le 4 mai de faire supprimer l’amendement litigieux. Le motif ? «Un risque constitutionnel au regard du principe d’égalité devant la loi pénale», selon Nicole Belloubet, garde des Sceaux. Une tentative repoussée sans grande surprise par 327 voix contre et zéro pour: l’amendement a été adopté dans la nuit du 4 au 5 mai.

    «Ce qui fait peur, c’est le déconfinement»

    Mais, pire qu’un texte maladroit, bien que vraisemblablement constitutionnel, le tempo politique de la mesure n’apparaît absolument pas bon aux yeux de l’avocat, qui souligne le contexte de prorogation de l’État d’urgence ainsi que les polémiques à répétition entourant la fourniture de masques de protection respiratoire.

    «Cela confirme cet état de fébrilité général de ce gouvernement… qui a peur et qui utilise la puissance publique pour finalement apaiser leurs craintes et tenter– dans la limite de ce qui est acceptable par l’opinion et dans la limite de ce qui est juridiquement acceptable– de se protéger. Ce n’est pas anodin, ils ont vraiment peur de ce qui peut se passer après le déconfinement. […] c’est dire à quel point leur responsabilité pénale leur pèse. Ils savent qu’ils jouent avec le feu.»

    Seul avantage notoire, aux yeux de l’avocat, de ce texte «totalement inopportun» et qui vient «grignoter quelques libertés sous couvert de protéger tout le monde», le fait qu’il vienne balayer une partie des recours attentés, telles que les plaintes pour «violences involontaires» qui, à ses yeux «n’ont quasiment aucune chance d’aboutir».

    «Il y a une tentative de limiter sa responsabilité pénale, mais surtout il y a une volonté de ne pas répondre des erreurs qui ont été commises. On veut bien répondre des fautes, mais on ne veut pas répondre des erreurs. Or, là où l’on se trompe, car on a un fantasme avec le droit pénal, c’est que celui-ci ne saisit pas l’erreur, il saisit la faute.»

    https://fr.sputniknews.com/france/202005051043724314-responsabilite-penale-decideurs-crise-covid-amendement-maladroit-inutile/

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    1. Ne parlons pas d'autre chose pour noyer le poisson ! Le déconfinement est une décision prise suivant les rapports d'hôpitaux, tandis que l'ABSENCE DE MASQUES FFP2 est une décision UNIQUEMENT prise par les dirigeants !

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  12. Le coronavirus se transforme en une forme désormais plus dominante et plus contagieuse alors que les médecins réfléchissent aux souches «Côte Est vs Côte Ouest»


    par Tyler Durden
    Mar., 05/05/2020 - 18:05


    Une nouvelle étude du Los Alamos National Laboratory a révélé une nouvelle souche désormais dominante du coronavirus qui semble être plus contagieuse, selon les auteurs. Pendant ce temps, les médecins aux États-Unis se demandent si la côte Est, plus durement touchée, est frappée par une version du virus différente de la côte Ouest.

    Apparue début février, la nouvelle souche a migré d'Europe vers la côte est des États-Unis, où elle est devenue la souche dominante à travers le monde à partir de la mi-mars. Partout où la nouvelle souche est apparue, elle a rapidement infecté bien plus de personnes que les souches antérieures qui ont émergé de Wuhan, en Chine. En quelques semaines, il est devenu la souche la plus répandue dans certains pays.

    En plus de se propager plus rapidement, il peut rendre les personnes vulnérables à une deuxième infection après un premier accès à la maladie, a averti le rapport.

    Le rapport de 33 pages a été publié jeudi sur BioRxiv, un site Web que les chercheurs utilisent pour partager leurs travaux avant leur examen par les pairs, un effort pour accélérer les collaborations avec les scientifiques travaillant sur les vaccins ou traitements COVID-19. Cette recherche a été largement basée sur la séquence génétique des souches antérieures et pourrait ne pas être efficace contre la nouvelle. -LA Times (via Yahoo)

    Selon le rapport, quatorze mutations ont été identifiées dans les protéines de pointe du SRAS-CoV-2, les protubérances à l'extérieur du virus qui composent son homonyme «corona».

    Le rapport était basé sur une analyse informatique de plus de 6 000 échantillons de coronavirus du monde entier, collectés par la Global Initiative for Sharing All Influenza Data, basée en Allemagne.

    Assistée de scientifiques de l'Université Duke et de l'Université de Sheffield en Angleterre, l'équipe de Los Alamos s'est concentrée sur une mutation appelée D614G, qui contrôle les changements dans les protéines de pointe.

    "L'histoire est inquiétante, car nous voyons une forme mutée du virus émerger très rapidement et devenir au cours du mois de mars la forme pandémique dominante", a déclaré l'auteure principale Bette Korber, biologiste informatique à Los Alamos. "Lorsque des virus porteurs de cette mutation pénètrent dans une population, ils commencent rapidement à prendre le dessus sur l'épidémie locale, ils sont donc plus transmissibles."

    Bette Korber, biologiste informatique au Los Alamos National Laboratory, dirige une équipe qui examine les mutations du nouveau coronavirus. (Laboratoire national de Los Alamos)

    Bien que le rapport de Los Alamos soit très technique et impartial, Korber a exprimé des sentiments personnels profonds concernant les implications de la découverte dans son post Facebook.

    "C'est une dure nouvelle", a écrit Korber, "mais ne vous découragez pas seulement. Notre équipe de LANL n'a pu documenter cette mutation et son impact sur la transmission qu'en raison d'un effort mondial massif de cliniciens et de groupes expérimentaux, qui mettent à disposition des nouvelles séquences du virus (SARS-CoV-2) dans leurs communautés locales le plus rapidement possible. " -LA Times

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  13. La nouvelle souche est apparue pour la première fois en Italie, presque en même temps que la souche originale de Wuhan, selon le rapport. Le 15 mars, la souche mutée était dominante. La même chose a été observée à New York, qui a été touché par le virus d'origine vers le 15 mars, mais a été submergé par la nouvelle souche en quelques jours.

    Les auteurs avertissent également que si la pandémie ne se termine pas au cours de l'été comme le font la plupart des virus, elle pourrait subir d'autres mutations dès les premiers traitements médicaux et vaccins - si le respect des délais ambitieux qui nous avaient été promis - commençait à rouler en dehors.

    "Nous ne pouvons pas nous permettre d'être aveugles alors que nous passons les vaccins et les anticorps aux tests cliniques", a ajouté Korber sur Facebook. "S'il vous plaît, soyez encouragés en sachant que la communauté scientifique mondiale est à ce sujet, et nous coopérons les uns avec les autres d'une manière que je n'ai jamais vue ... au cours de mes 30 années en tant que scientifique."

    David Montefiori, un scientifique de l'Université Duke qui a travaillé sur le rapport, a déclaré qu'il était le premier à documenter une mutation du coronavirus qui semble le rendre plus infectieux.

    Bien que les chercheurs ne connaissent pas encore les détails du comportement du pic muté à l'intérieur du corps, il fait clairement quelque chose qui lui donne un avantage évolutif par rapport à son prédécesseur et alimente sa propagation rapide. Un scientifique l'a qualifié de "cas classique de l'évolution darwinienne".

    "La fréquence du D614G augmente à un rythme alarmant, ce qui indique un avantage de fitness par rapport à la souche d'origine de Wuhan qui permet une propagation plus rapide", selon l'étude.

    Différentes souches, différents effets ?

    Comme le Times le note, les médecins aux États-Unis ont commencé à se demander si de nouvelles souches du virus pourraient expliquer les différences dans la façon dont il affecte différentes personnes, selon le professeur Alan Wu de l'Université de San Francisco, qui dirige les laboratoires de chimie clinique et de toxicologie de SF. Hôpital général.

    Selon Wu, des experts médicaux ont émis l'hypothèse ces dernières semaines qu'au moins deux souches de coronavirus circulaient aux États-Unis - une répandue sur la côte est et une sur la côte ouest.

    "Nous cherchons à identifier la mutation", a déclaré Wu, qui a souligné que son hôpital n'avait enregistré que quelques décès sur les centaines de cas traités, ce qui est "une histoire très différente de celle que nous entendons de New York".

    L'étude de Los Alamos n'indique pas que la nouvelle version du virus est plus meurtrière que l'original. Les personnes infectées par la souche mutée semblent avoir des charges virales plus élevées. Mais les auteurs de l'étude de l'Université de Sheffield ont constaté que parmi un échantillon local de 447 patients, les taux d'hospitalisation étaient à peu près les mêmes pour les personnes infectées par l'une ou l'autre version du virus.

    Même si la nouvelle souche n'est pas plus dangereuse que les autres, elle pourrait tout de même compliquer les efforts pour maîtriser la pandémie. Ce serait un problème si la mutation rend le virus si différent des souches antérieures que les personnes immunisées ne seraient pas immunisées contre la nouvelle version.

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  14. Et si la mutation revient à ceux qui ont déjà eu COVID-19, elle rendrait "des individus sensibles à une seconde infection", selon les auteurs.

    https://www.zerohedge.com/health/coronavirus-mutates-now-dominant-more-contagious-form-doctors-ponder-east-coast-vs-west

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    1. Devinez quoi ! Ce ne sont pas des masques FFP2 que larguent les drones ! Çà alors !

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  15. La France utilisera la grille de surveillance existante pour imposer la distance sociale, le port du masque; rapport


    par Tyler Durden
    Mer, 05/06/2020 - 02:00
    Écrit par Steve Watson via Summit News,


    La France utilisera son réseau existant de caméras de surveillance pour surveiller le nombre de personnes portant des masques et suivre la façon dont les citoyens se conforment à la distance sociale après que son verrouillage contre les coronavirus a été assoupli la semaine prochaine, selon des informations.

    La BBC note que «la station balnéaire de Cannes sur la Côte d’Azur a testé le logiciel de surveillance, installé sur les marchés extérieurs et dans les bus».

    Datakalab, la firme française derrière le logiciel, affirme que ses algorithmes «peuvent être intégrés aux systèmes de surveillance existants dans d'autres espaces publics, tels que les hôpitaux, les gares, les aéroports et les centres commerciaux».

    La société affirme que le logiciel installé pour fonctionner avec les caméras existantes ne viole pas les lois de l'UE sur la confidentialité des données car «aucune image n'est stockée ou transmise».

    Le maire de Cannes, David Lisnard, a déclaré: "Cette technologie n'identifie pas les gens, mais nous donne simplement une analyse mathématique pour répondre aux besoins des gens."

    Donc, pour l'essentiel, il est correct de vous suivre partout où vous allez pour vous assurer de la conformité, tant qu'ils ne gardent pas votre photo sur un disque dur.

    La France a déjà annoncé que les masques faciaux seront obligatoires dans les transports publics et dans les écoles dès la semaine prochaine. Le verrouillage du pays a été plus sévère que la plupart des personnes, toute personne voyageant en dehors de son domicile ayant besoin de papiers approuvés par les autorités. Toute personne trouvée à l'extérieur sans les documents pertinents est passible d'une amende de 135 € à la hausse.

    Le cas de la France montre comment le cadre de surveillance déjà en place et en expansion rapide depuis deux décennies est désormais utilisé pour imposer la suppression des libertés.

    Nous avons également récemment souligné comment les entreprises technologiques du monde entier développent des outils plus sophistiqués qui permettront aux forces de l'ordre de contrôler plus efficacement les règles de distanciation sociale.

    Nous sommes tellement habitués à la surveillance maintenant que pour beaucoup, cela ne semble pas être un changement beaucoup plus important que de simplement donner la conformité et l'acceptation totales d'un monde panoptique.

    Le coronavirus était juste le besoin de crise d'instaurer un verrouillage sociétal permanent en utilisant des outils déjà existants, ainsi que de nouvelles technologies qui peuvent être intégrées dans les systèmes déjà en place.

    https://www.zerohedge.com/technology/france-use-existing-surveillance-grid-enforce-social-distancing-mask-wearing-report

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    1. (...) La France a déjà annoncé que les masques faciaux seront obligatoires dans les transports publics et dans les écoles dès la semaine prochaine. (...)

      Et comme IL N'Y A PAS DE MASQUES FFP2 (SEUL anti-virus), ce sera 135€ POUR TOUT LE MONDE !

      Seuls ceux qui refusent cette mascarade hégémonique seront reconnus !

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  16. Les libéraux de Californie utilisent Corona-Crisis pour transformer l'État


    par Tyler Durden
    Mar., 05/05/2020 - 23:45


    Selon le New York Times, les libéraux de Californie - la majorité des législateurs, ont été «poussés par l'urgence de la crise des coronavirus» afin de mettre en œuvre diverses facettes de leur programme.

    En plus de permettre à près de 10 000 détenus de sortir des prisons et des prisons surpeuplées au cours des dernières semaines et d'éliminer la caution en espèces pour la plupart des délits, l'État a également hébergé davantage de sans-abri, tout en fournissant des ordinateurs portables aux enfants des zones pauvres et rurales. de l'État le plus peuplé de la nation afin de faciliter l'enseignement à distance.

    Et tandis que les mesures ci-dessus sont censées être temporaires, l'aile gauche de la Californie fait pression pour rendre les changements permanents - appelant cela la «nouvelle normale» puisque «la normale ne fonctionnait pas».

    À Los Angeles, le maire Eric M. Garcetti a proposé d'utiliser la crise comme catalyseur pour parvenir à l'enseignement supérieur gratuit et atténuer les inégalités. Invoquant Franklin D. Roosevelt et les programmes de protection sociale qu'il défendait, M. Garcetti a déclaré: «le choc de notre économie et de nos vies rappelle l'ampleur et les défis auxquels est confrontée la génération qui s'est sacrifiée pendant la Grande Dépression et la Seconde Guerre mondiale.» -New York Times

    "Que vous parliez de l'itinérance ou que vous parliez du système de justice pénale et de l'incarcération, nous faisons aujourd'hui des choses qui auraient dû être faites il y a longtemps", a déclaré l'ancien San Francisco DA qui se présente maintenant pour le même poste au Los Angeles.

    "La pandémie a forcé beaucoup de choses dont on parlait à se dérouler à un rythme très rapide", a-t-il ajouté. "Le bouton de réinitialisation a été enfoncé, et je ne nous vois pas revenir."

    Pourtant, avec le taux de pauvreté le plus élevé du pays, certains analystes ont commencé à se demander si une «utopie libérale» est possible face aux déficits budgétaires et à la baisse des recettes fiscales. Comme le note le Times: "Déjà, certains éléments d'un programme progressiste formulé il y a des mois lorsque les coffres de la Californie étaient pleins - financer les soins médicaux pour les immigrants sans papiers et fournir un meilleur accès aux services de garde d'enfants en sont deux exemples - devront peut-être maintenant être revus à la baisse."

    Quant aux libérations de prison - les partisans de mettre fin à l'incarcération de masse ont utilisé la poussée de la pandémie pour obtenir plus de libérations de détenus - faisant valoir que l'Amérique incarcère trop de gens. Ils ont fait valoir que les coûts élevés de l'entretien des prisons seront mis à rude épreuve à mesure que les budgets nationaux et locaux s'effondreront.

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  17. "Avec la libération en toute sécurité de quelques milliers de personnes supplémentaires et le maintien de ces déclins de façon permanente, la Californie pourrait sortir de cette crise avec la capacité de faire l'impossible auparavant: fermer une prison", a écrit l'ancien procureur de la SF, Lenore Anderson, président des Californiens pour Sécurité et justice.

    Et à Los Angeles, des milliers de sans-abri ont été déplacés à l'intérieur depuis le début de la propagation de la pandémie dans la ville.

    Les abris de longue date comme l'Union Rescue Mission, qui a fait face à une épidémie parmi ses résidents et son personnel - deux personnes sont décédées - ont dû réduire leur capacité à se conformer aux directives de distanciation sociale.

    Mais un programme soutenu par la FEMA, appelé Project Roomkey, a pris le relais, ouvrant des milliers de chambres de motel pour les sans-abri âgés. -New York Times

    "Il est malheureux qu'il ait fallu une pandémie, mais je suis reconnaissant à tous de réagir comme ils le sont", a déclaré Andy Bales, qui dirige la Union Resecue Mission à Los Angeles et travaille avec les sans-abri depuis des décennies. "Cela a absolument dynamisé et mobilisé notre ville, notre comté et notre État d'une manière que nous crions depuis longtemps."

    Les républicains de Californie, quant à eux, insistent sur le fait que l'État doit limiter ses dépenses et rouvrir l'État - qui a connu beaucoup moins de décès par coronavirus que New York et d'autres États de la côte Est.

    Lisez le reste du rapport ici.

    https://www.zerohedge.com/economics/california-liberals-using-corona-crisis-transform-state

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  18. Le chef de produit de YouTube insulte ses propres utilisateurs comme des idiots de logement sous-sol


    par Tyler Durden
    Mar., 05/05/2020 - 21:05
    Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Le chef de produit de YouTube a insulté ses propres utilisateurs en tant que résidents du sous-sol qui méritent d'être relégués par l'algorithme au profit de sources traditionnelles «faisant autorité».

    Neil Mohan a fait ces remarques lors d'une interview avec le rédacteur en chef de Protocol, David Pierce, après qu'on lui ait demandé si YouTube devait changer son approche de la modération du contenu compte tenu des conseils en constante évolution des autorités sanitaires concernant le coronavirus.

    Mohan a déclaré que c'était la raison pour laquelle YouTube «élevait des voix faisant autorité», ce qui est un euphémisme pour supprimer les voix qui ne font pas partie des médias grand public, malgré le fait que la confiance du public dans les médias pendant la pandémie de coronavirus a même chuté. plus loin.

    Il a ensuite insulté sa propre base d'utilisateurs en tant qu'idiots vivant au sous-sol.

    "Par opposition à, vous savez, c'est quelqu'un qui partage son opinion sur un masque, vous savez, dans son sous-sol", a déclaré Mohan.

    «Cela vient d'une chaîne faisant autorité, d'une source d'informations, d'un professionnel de la santé, et si tel est le cas, nous pensons qu'il y aura un certain contexte qui sera fourni autour de la question des masques. Et même si ces directives changent, cela se reflétera dans la manière dont une voix ou une chaîne faisant autorité en parlera. »

    Mohan a ensuite expliqué clairement comment les chaînes non traditionnelles sont interdites par l'algorithme en supprimant ou en réduisant le nombre de vues des vidéos là où ce même niveau d'autorité n'a pas été établi.

    Bien sûr, la seule raison pour laquelle les sources dites «faisant autorité» se portent maintenant si bien sur YouTube est que la société a truqué son propre algorithme pour les favoriser fortement tout en jetant les mêmes personnes qui ont aidé à construire YouTube sur le tas de déchets.

    Le mois dernier, la PDG de YouTube, Susan Wojcicki, a récemment déclaré que les informations contestant l'Organisation mondiale de la santé seraient supprimées, malgré le fait que l'OMS était directement complice d'aider la Chine à dissimuler la gravité du coronavirus à ses débuts et malgré le fait que l'organisation a donné des conseils préjudiciables en ordonnant aux pays de ne pas fermer rapidement leurs frontières.

    "Les commentaires de Mohan illustrent comment les changements apportés par YouTube en ce qui concerne le coronavirus et la couverture des nouvelles ont rendu presque impossible pour les créateurs indépendants de couvrir les événements actuels, même lorsque les médias grand public qui sont soulevés ont la réputation de se tromper », Écrit Tom Parker.

    https://www.zerohedge.com/technology/youtubes-chief-product-officer-insults-his-own-users-basement-dwelling-idiots

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  19. La plupart des Américains ont de sérieux doutes sur le décompte officiel des décès par COVID: sondage Axios-Ipsos


    par Tyler Durden
    Mar., 05/05/2020 - 20:45


    Depuis le début des blocages à l'échelle de l'État après que la pandémie de coronavirus a frappé les États-Unis, sondage après sondage a démontré que les Américains restent dans l'ensemble profondément méfiants à la fois des politiciens et des principaux médias rapportant le virus.

    Et naturellement, étant donné l'ampleur du chômage, la dévastation économique dans diverses industries et aussi tout simplement le changement radical dans la façon dont les gens mènent leur vie quotidienne, les Américains ont raison de se demander si les protocoles de verrouillage et de distanciation sociale sont allés `` trop loin ''.

    Tout cela reposait sur la question suivante depuis le début: le virus est-il aussi dangereux et mortel que les premiers rapports de santé alarmants l'indiquent? Un certain nombre d'études du cœur de l'establishment scientifique suggèrent que non, ce n'est pas aussi mortel que la plupart le pensaient au début, mais qu'il pourrait encore être plus répandu dans la société en termes de porteurs asymptomatiques.

    Et pourtant, les décès actuels dus à la maladie pourraient encore être considérablement plus élevés que ce qui est rapporté, compte tenu d'une pénurie générale de tests qui a été signalée par des hôpitaux, des cliniques et même des institutions disposant de moyens considérables comme l'armée américaine. Mardi, le nombre de décès de COVID-19 aux États-Unis avoisinait les 70 000 décès.

    Dès le début, les responsables de la santé ont averti qu'il y avait une probabilité de sous-déclaration des décès, étant donné que beaucoup sont décédés de complications liées à la maladie. Dans ces cas, les décès seraient alors répertoriés comme des complications autres que COVID-19, sauf si une autopsie était effectuée.

    - voir cadre sur site -

    Un nouveau sondage Axios-Ipsos reflète l'inquiétude grandissante du public à l'égard des décès imputables au COVID-19.

    44% des personnes interrogées pensent que le nombre de personnes décédées de la maladie aux États-Unis est en fait plus élevé que ce qui a été officiellement annoncé.

    Via Axios

    Voici les résultats du sondage, publiés mardi, en résumé:

    Seuls 24 pour cent des républicains disent que le nombre de décès par coronavirus est supérieur à ce qui a été signalé. 36% disent que c'est à peu près la même chose, tandis que 40% disent que c'est moins.
    63% des démocrates pensent que le nombre de morts est supérieur. 29% disent que c'est à peu près la même chose, contre seulement 7% qui disent que c'est moins.
    45% des indépendants disent que c'est plus, contre 31% qui disent que c'est à peu près la même chose. 24% disent que c'est moins.
    26% disent avoir rendu visite à des amis ou des parents au cours de la semaine dernière - contre 19% lors d'un sondage de la mi-avril.
    47% disent avoir annulé des plans d'été, comme des locations de camp ou de vacances.
    63% se disent préoccupés par le fait que le mois prochain pourrait entraîner des pénuries alimentaires.
    58% disent craindre que les écoles ne rouvrent pas à l'automne.

    Et pourtant, même si plus d'Américains croient que le nombre de morts pourrait être plus élevé que ce qui est officiellement annoncé, ils sont toujours prêts et disposés à prendre des mesures supplémentaires pour revenir à une vie normale et à des routines quotidiennes.

    Comme le fait remarquer Axios: "En même temps, il y a un certain fléchissement quant au risque que les Américains attachent à diverses activités et au risque qu'ils sont prêts à prendre."

    https://www.zerohedge.com/health/most-americans-think-us-covid-death-count-actually-higher-what-officials-admit

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