- ENTREE de SECOURS -



jeudi 21 mai 2020

L’alignement des planètes moteur des cycles solaires de 11 ans

15 mai 2020 
Usbek


Dans un article du site Notrickzone, le Professeur Fritz Vahrenholt  revient sur une étude publiée en mai 2019 dans la revue  Solar Physics sur l’influence du mouvement des planètes sur l’activité solaire. Le texte qui suit en est la traduction.

Depuis que le pharmacien Samuel  Schwabe a découvert en 1843 que les taches solaires du soleil augmentaient et diminuaient selon un cycle de 11 ans, les scientifiques se demandent ce qui explique cette périodicité de 11 années et pourquoi le champ magnétique solaire change de polarité selon la même périodicité : le pôle nord devient le pôle sud et vice versa.

En juillet 2019, des scientifiques du Helmholtz Center de Dresde Rossendorf ont fait une découverte peu remarquée mais passionnante. Tous les 11,07 ans, les planètes Vénus, Terre et Jupiter sont assez précisément alignées et leur force gravitationnelle s’ajoutent.

 « L’accord est incroyablement précis: nous voyons un parallélisme complet avec le mouvement des planètes sur 90 cycles », explique Frank Stefani, l’un des auteurs de la publication. Tout comme l’attraction gravitationnelle de la Lune provoque les marées sur Terre, les planètes pourraient déplacer le plasma chaud à la surface du Soleil. Mais l’effet d’une simple force gravitationnelle est trop faible pour perturber de manière significative l’écoulement à l’intérieur du Soleil, de sorte que la coïncidence temporelle a longtemps été ignorée.

Les chercheurs supposent aujourd’hui que les couches de plasma sont soumises à une instabilité dite de Taylor. L’instabilité de Rayleigh-Taylor  est l’instabilité de l’interface séparant deux fluides de densités différentes (nous connaissons tous les turbulences qui se produisent lorsque le lait est versé dans une tasse de thé). L’instabilité de Taylor est sensible même avec des forces de très faible intensité. Il suffit d’un petit éclat d’énergie pour que la polarité du champ magnétique solaire oscille d’avant en arrière tous les 11 ans. L’impulsion nécessaire pourrait être fournie par l’effet de marée des planètes  et déterminer ainsi  le rythme auquel le champ magnétique du soleil inverse sa polarité.

En plus de leur rôle dans la régulation des cycles de 11 ans, les forces de marée des planètes pourraient avoir d’autres effets sur le Soleil. Par exemple, il est concevable qu’elles puissent modifier la stratification du plasma dans la zone limite entre la zone de rayonnement interne et la zone de convection externe du Soleil, la tachocline, faisant en sorte que le flux magnétique soit plus facilement dissipé .


Dans ces conditions écrivent les chercheurs, la force des cycles d’activité solaire pourrait également changer, tout comme le « minimum de Maunder » provoque une baisse significative de l’activité solaire sur une plus longue période. L’idée selon laquelle l’activité du soleil est contrôlée par les planètes y compris la Terre elle-même est inhabituelle. Cela pourrait évoquer l’astrologie, mais c’est le dernier état de la recherche solaire.

Theodor Landscheidt  (décédé en 2004) est l’un des premiers chercheurs a avoir supposé que les planètes ont une influence sur l’activité solaire. En 1988 déjà, dans son livre  « Soleil-Terre-Homme » il prédisait la décroissance des cycles solaires 22 et suivants. Cependant, il  supposait  un mécanisme différent, selon lequel les planètes déplacent cycliquement le soleil hors du centre de gravité (barycentre) de notre système solaire.

Dans un chapitre séparé de notre livre « Le soleil oublié », le professeur Nicola Scafetta, conjecturait déjà que la conjonction de Saturne et de Jupiter était la cause des cycles de 60 ans. Dans une publication publiée en février 2020 dans la revue Solar Physics, il attribue les oscillations à plus long terme (Hallstatt -2400 ans, Eddy – 1000 ans, Suess-de Vries – 210 ans) à l’influences des grandes planètes Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune.

71 commentaires:

  1. L’évolution de la banquise antarctique : les explications de la NOAA


    18 mai 2020
    Usbek


    Nous remercions Christian Biaille de nous avoir fait connaître dans sa précieuse lettre d’information cet article publié sur le site de l’agence américaine NOAA. Nous en proposons ci-dessous une traduction. Comme on le verra la surface de la banquise antarctique est restée stable sur une période de 40 années. Le récent déclin de 2015, apparemment en voie de redressement, semble dû à des phénomènes météorologiques.

    Comme en Arctique, l’océan autour de l’Antarctique gèle en hiver et fond en été. La banquise antarctique atteint généralement son étendue maximale annuelle dans la 2ème quinzaine de septembre, et atteint son minimum de surface entre la fin du mois de février et le début du mois de mars. L’étendue minimale de 2020 (20-21 février 2020) était inférieure à la moyenne de la période 1981-2010, mais bien au-dessus du creux record enregistré en 2017.

    - voir image sur site -

    Time series of lowest daily Antarctic sea ice extents

    Le graphique ci-dessus montre l’évolution de l’étendue de la banquise à son minimum annuel depuis le début des enregistrements satellitaire en 1979. Au cours de la dernière décennie, le minimum annuel de surface a été extrêmement variable, atteignant des records de hausse et de baisse. Source : NOAA Climate.gov à partir des données du NSDIC (National Snow and Ice Data Center).

    Le timing des cycles saisonniers n’est pas la seule différence entre la banquise de l’Antarctique et celle de l’Arctique. Une différence fondamentale est l’ampleur de l’écart entre l’étendue maximale et l’étendue minimale estivale. La banquise antarctique s’étend sur environ 18 millions de km2 à son maximum en hiver (15,5 millions de km2 dans l’Arctique) et sur environ 2,6 millions de km² à son minimum estival (6,5 millions de km² en Arctique).

    La différence des écarts saisonniers est due à la géographie de base : l’Arctique est un bassin océanique largement entouré de terres. La glace se forme sur le pôle Nord lui-même (latitudes les plus froides de l’hémisphère) mais son expansion est contrôlée par l’Eurasie, l’Amérique du Nord et le Groenland. L’Antarctique est un continent entouré d’un vaste océan. La glace de mer peut s’étendre librement à travers l’océan Austral en hiver, mais elle ne peut se rapprocher du pôle Sud qu’autant que le permet la côte antarctique.

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    Antarctic min/max sea ice maps, 2019-2020

    Concentration de banquise dans l’océan Austral autour de l’Antarctique au cours du minimum estival le plus récent (février 2020) et du maximum hivernal de septembre 2019. La ligne dorée montre l’étendue médiane de la glace (la superficie totale couverte d’au moins 15% de glace) de 1981 à 2010. Cartes de Climate.gov, basées sur les données du NSIDC (National Snow and Ice Data Center)

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  2. Parce que la banquise antarctique se forme à des latitudes plus basses et plus chaudes, moins de glace survit à l’été. En Arctique, environ 40% en moyenne de la couverture de glace hivernale de l’océan survit au minimum estival, contre 15% seulement environ dans l’océan Austral. Du fait que si peu de glace antarctique persiste pendant l’été, la majorité de la glace de mer de l’Antarctique ne survit qu’un hiver au plus. En conséquence, la banquise antarctique est relativement mince, d’1 mètre ou moins. Dans l’Arctique, la glace pluriannuelle qui survit au moins un été a généralement 3 à 4 mètres d’épaisseur, et la glace saisonnière qui s’est formée depuis l’été précédent peut souvent atteindre 2 mètres d’épaisseur. Dans l’ensemble donc, l’épaisseur moyenne de la glace antarctique est très inférieure à celle de la banquise arctique. Cependant, des chutes de neige viennent souvent épaissir la banquise antarctique. La poids de la neige peut déprimer les glaces flottantes que l’eau de mer peut par la suite inonder.

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    Aircraft camera photo of a mixture of thin and heavily compacted sea ice in Antarctica's Amundsen Sea on October 19, 2009

    De la glace jeune et mince flotte dans la mer d’Amundsen le 16 octobre 2009. Plus la glace est brillante, plus elle est compactée par le vent et les vagues. Photo NASA Earth Observatory.

    Variabilité et changement à long terme

    La surface de la banquise croît et décroît avec les saisons, mais les étendues minimale et maximale ne se correspondent que rarement d’une année à l’autre ; au fil des années et des décennies, les surfaces de glace varient en été comme en hiver. Par rapport à l’Arctique, la banquise antarctique montre moins de variabilité en été et davantage en hiver. Ces changements résultent en grande partie des différences géographiques mentionnées ci-dessus, à savoir la distance au pôle de la banquise de l’Antarctique (celle-ci peut fondre jusqu’à la côte en été, ce qui en réduit la variabilité d’une année à l’autre) et d’un potentiel de croissance qui n’est pas limité en hiver . Les événements météorologiques entraînent souvent de la variabilité, mais ont des effets différents dans les hémisphères nord et sud. La météo exerce une plus grande influence sur le minimum arctique et sur le maximum antarctique.

    Les relevés satellitaires d’étendue de la banquise remontent au 25 octobre 1978. Contrairement à l’Arctique, où l’étendue de la banquise diminue dans toutes les régions en toutes saisons, les tendances en Antarctique sont moins marquées. De 1979 à 2017, l’étendue de la banquise antarctique a affiché une tendance légèrement positive dans l’ensemble, bien que certaines régions aient connu des déclins notamment dans la péninsule antarctique. Les régions situées au sud et à l’ouest de la péninsule antarctique ont affiché un déclin persistant, mais cette tendance à la baisse est faible par rapport à la grande variabilité de la banquise antarctique dans son ensemble. Une autre région située près de la pointe nord de la péninsule, dans la mer de Weddell, a enregistré un déclin sensible jusqu’en 2006, puis a rebondi ces dernières années. La région orientale de la mer de Ross a montré une augmentation modeste de l’étendue des glaces au cours de la même période.

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  3. Dans l’ensemble, la tendance à long terme de la banquise antarctique est presque plate. S’étendant sur plus de quatre décennies, les données satellitaires montrent des périodes croissance et de décroissance de l’étendue de la banquise, mais pas de tendances statistiquement significatives. En 2013, 2014 et 2015, les étendues minimales annuelles de la banquise antarctique (survenant en février ou en mars) ont non seulement dépassé la moyenne de 1981 à 2010, mais ont également dépassé presque toutes les valeurs enregistrées par satellite pour cette période de l’année. En 2012, 2013 et 2014, les étendues maximales annuelles (survenant en septembre ont été les plus élevées jamais enregistrées.

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    Charctic-derived graph, 2011-2020
    Extension annuelle de la surface de la banquise arctique. Climate.gov graph, données issues du NSID

    Jusqu’en 2015, la surface de la banquise en Antarctique affichait des valeurs proches de la moyenne de 1981-2010. Puis, la banquise antarctique est tombée sous la fourchette de variabilité à long terme (englobant 80% de la fourchette de valeurs autour de la moyenne de 1981–2010). A partir de septembre 2016, la surface de la banquise en Antarctique est tombée chaque mois bien en dessous de la moyenne de 1981-2010 terme , et même en dessous de la fourchette de variabilité à long terme. Les surfaces mesurées en 2017 et 2018 ont été les plus faibles jamais enregistrées tant pour le maximum d’hiver que le minimum d’été. En 2019, les étendues minimale et maximale sont tombées en dessous de la moyenne de 1981-2010, mais sans atteindre les records de baisse pour cette période de l’année. Les étendues en mars et début avril 2020 étaient proches de la moyenne à long terme.

    Ce changement récent ne signifie pas nécessairement un changement dans la tendance à long terme. Selon l’indice NSIDC (National Snow and Ice Data Center), début d’avril 2020, la banquise antarctique a montré une tendance à long terme légèrement positive pour tous les mois sauf celui de novembre, qui a marqué une tendance légèrement négative. Mais pour chaque mois, la plage d’erreur était supérieur à la tendance : la variabilité annuelle éclipse les tendances à long terme.

    L’impact du changement climatique sur la banquise Antarctique : compliqué et erratique

    Les configurations terre-mer affectent l’étendue de la banquise non seulement en limitant les zones où la glace peut se former, mais aussi en faisant sentir ses propres effets. Dans l’Arctique, les masses continentales entourent et donc influencent la banquise. La glace et (surtout) la neige sont hautement réfléchissantes, renvoyant une grande partie de l’énergie solaire dans l’espace. À mesure que le couvert neigeux du printemps et de l’été de l’hémisphère Nord diminue, la surface terrestre sous-jacente absorbe plus d’énergie et se réchauffe. Des conditions plus chaudes sur terre affectent l’océan à proximité, et en conséquence, davantage de glace de mer fond. Le cycle de rétroaction fusion-chaleur-fusion signifie que l’Arctique se réchauffe plus rapidement que le reste du globe.

    Cependant, aucun effet d’amplification polaire ne se produit à grande échelle dans l’hémisphère sud. L’Antarctique est entouré par l’océan, et non par des terres perdant leur couverture de neige réfléchissante et leur couvert de glace au printemps et en été. Il était déjà normal, historiquement parlant, que la glace de mer d’été fonde presque jusqu’au littoral antarctique, laissant de grandes étendues de l’océan Austral exposées à la chaleur du soleil d’été. En revanche, la perte de neige et de glace réfléchissantes dans les hautes latitudes nordiques entourant le bassin arctique représente un changement profond par rapport à ce qui est considéré comme historiquement normal.

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  4. L’océan Austral est vaste, un fait que systèmes de projections cartographiques axés sur l’hémisphère Nord ne montrent pas. Les cycles naturels dans l’océan Austral peuvent avoir des effets prononcés sur la banquise antarctique. Les régimes atmosphériques, en partie influencés par les émissions de gaz à effet de serre, sont également à l’œuvre.

    Le mode annulaire sud (SAM) est un régime de vents d’ouest qui entoure l’Antarctique. Le SAM est influencé par les conditions de l’oscillation ENSO (El Niño-Southern Oscillation), il est donc en partie entraîné par des oscillations naturelles. Dans le même temps, un signal mondial anthropique fait passer le SAM en mode positif plus fréquemment, et les effets du vent qui en résultent augmentent généralement l’étendue de la banquise antarctique. Le SAM est également en relation avec l’Amundsen Sea Low, qui exerce une influence complexe sur le transport de la glace de mer sur le côté ouest de la péninsule Antarctique.

    Pour faire court: le changement climatique a une influence perceptible sur la glace de mer arctique, mais une influence compliquée et erratique sur la banquise antarctique. (Pendant ce temps, la couche de glace de l’Antarctique perd de la masse.)

    A pair of satellite images of the sea ice off Oates Coast of Antarctica in October 2018 and January 2019

    - voir image sur site -

    Images satellites de la banquise au large de la côte Oates de l’Antarctique le 7 octobre 2018 (à gauche) et le 12 janvier 2019 (à droite). Contrairement à l’Arctique, l’Antarctique conserve généralement très peu de glace de mer en été

    Aux endroits où la banquise fond complètement pendant l’été antarctique, l’absence de glace peut avoir des effets en cascade. Par exemple, le retrait de la banquise dans la mer de Weddell le long de la pointe nord de la péninsule Antarctique a probablement contribué aux pertes du plateau glaciaire Larsen. Des glaciers en plateau (d’épaisses plaques de glace flottante attachées aux côtes et généralement alimentées par des glaciers) bordent le continent gelé. La banquise intacte devant un plateau de glace le protège des houles océaniques. Lorsque la glace a disparu, les vagues de l’océan peuvent faire fléchir le plateau et le rendre plus vulnérable à la désintégration. Selon l’ampleur de la désintégration d’un plateau, le glacier qui l’alimente peut accélérer sa descente dans l’océan. Mais le retrait de la banquise ne peut jamais à lui induire le processus de désintégration ; d’autres facteurs tels que l’eau chaude de l’océan et la fonte de la surface de la banquise sont également à l’œuvre.

    https://www.climato-realistes.fr/levolution-de-la-banquise-antarctique-les-explications-de-la-noaa/

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    1. Que l'étendue soit de glace, de terre ou d'eau elles sont toutes trois posées sur le magma.

      Lorsque le magma (en effervescence perpétuelle) explose sous la terre cela se traduit par un volcan en éruption. Lorsque ces sources chaudes sont sous la glace elle font. Lorsqu'elles sont sous les mers & océans cela se traduit par des montées de chaleurs emportées par les courants et libérées sur des côtes bien spécifiques (côtes d'azur ou bretonnes en France)

      Il n'y a aucun étonnement de scientifique à cette révélation.

      Il est bien certain que ce ne sont JAMAIS des courants venteux (venus des Tropiques ?) qui fondent les glaces polaires mais UNIQUEMENT le magma qui les font par en-dessous.

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  5. L’Algérie lance un «mégaprojet» dans le solaire avec l'Europe en ligne de mire


    10:54 21.05.2020
    Par Kamal Louadj


    Alger a annoncé la construction d’un «mégaprojet» de centrales solaires d’une puissance totale de 4.000 MW. Le coût du projet est estimé à entre 3,2 et 3,6 milliards de dollars. Il générera 50.000 emplois pendant la réalisation et 2.000 après son lancement. Le marché européen est en ligne de mire.

    Dans le cadre de sa politique de diversification de ses ressources énergétiques et de développement d’un nouveau modèle de consommation, l’Algérie va lancer la construction d’un «mégaprojet» de centrales photovoltaïques d’une capacité totale de 4.000 MW réparties sur dix wilayas (régions) du pays, annonce le Premier ministre sur son site officiel.

    Dans le contexte de la chute des prix du pétrole et du déclin du volume des réserves prouvées, le gouvernement affirme qu’en plus de «la satisfaction de la demande nationale d’énergie et la préservation de nos ressources fossiles, la réalisation de ce projet permettrait de se positionner sur le marché international, via l’exportation de l’électricité à un prix compétitif, ainsi que l’exportation du savoir-faire».

    Un important investissement

    Les experts du ministère de l’Énergie qui ont mis en place ce projet ont estimé son coût à entre 3,2 et 3,6 milliards de dollars (2,9 à 3,3 milliards d’euros environ). La durée de réalisation devrait s’étaler entre 2020 et 2024.

    Baptisé «Tafouk1», le projet sera construit sur une surface de 64.000 hectares répartis sur une dizaine de wilayas du pays.

    En termes de création d’emplois, le «mégaprojet» embauchera 50.0000 personnes pendant la phase de réalisation et créera 2.000 emplois qualifiés d’exploitation après l’entrée en service des centrales, selon l’étude présentée par le ministère de l’Énergie.

    Transition énergétique, où en est l’Algérie?

    Le Forum économique mondial (WEF) a classé, dans son rapport pour l’année 2020 consacré à l’indice de transition énergétique, le Maroc à la 51e place mondiale parmi 115 États, faisant de lui le champion des pays arabes et africains.

    Concernant les autres pays du Maghreb, l'Algérie s’est classée au 83e rang mondial, suivie par la Tunisie qui arrive à la 89e place.

    En Afrique, après le Maroc, c’est la Namibie (64e) qui arrive à la 2e place, suivie par le Ghana (66e), le Kenya (79e) et l'Algérie

    https://fr.sputniknews.com/maghreb/202005211043816702-lalgerie-lance-un-megaprojet-dans-le-solaire-avec-leurope-en-ligne-de-mire/

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    1. Çà, c'est le dernier coup-sonné des 'Hommes de l'ombre' ! HAHAHA ! (La 'Planche-à-billets' qui achète 'tout' !). L'Algérie:

      Crude Oil Reserve in Billion Barrels (GBBL) Algeria 12.2 Gbbl.
      (Libya 48.4, Venezuela 300.9, USA 35,5).
      Le pétrole abiotiques est inépuisable. Les nappes sont tributaires des effets spontanés du magma qui fabrique. Investir dans le solaire (ou moulins à vent) EST une perte constatée et SANS avenir.

      L'exportation énergétique (de l'électricité produite en centrales - gaz, pétrole, ou charbon) dépend de la performance de la centrale.

      CAPACITÉ CALORIFIQUE des COMBUSTIBLES


      Feu de bois:. .............................16 MJ/kg
      Charbon: ..............................13/30 MJ/kg
      Gaz naturel:.............................. 39 MJ/m3
      Pétrole brut: .........................45/46 MJ/kg
      Uranium (réacteur REP): 500.000 MJ/kg

      Le 1er tiers produit sert à pousser l'électricité sur les câbles, le 2ème tiers se perd en cours de route (danger d'approcher des lignes hautes tensions), le 3ème tiers arrive chez le consommateur.

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  6. Le verrouillage a-t-il sauvé des vies ?


    par Tyler Durden
    Jeu, 21/05/2020 - 04:20
    Écrit par Jeffrey Tucker via l'American Institute for Economic Research,


    Pendant deux à trois mois, les Américains ont subi une perte de liberté, de sécurité et de prospérité au nom du contrôle des virus. L'impact psychologique est au-delà de toute description. Nous pensions pouvoir compter sur les droits et libertés fondamentaux. Puis, en quelques jours en mars, tout s'est terminé d'une manière que presque personne ne pouvait croire possible.

    La manière dont les gouvernements ont traité les principes fondamentaux de la modernité a été choquante. Ils ont mis la moitié du pays en résidence surveillée et géré tous les mouvements au mépris de la Déclaration des droits et de tous les précédents juridiques, sans parler de la Constitution. Cela ressemblait à un démêlage coercitif de la civilisation elle-même. C'est comme si nous nous réveillions tous d'un mauvais rêve pour regarder autour de nous et voir l'épave qui prouve que tout était réel.

    Alors, comment pouvons-nous faire face à cette terreur qui nous est arrivée ? Une façon consiste à comprendre un aspect dans lequel notre sacrifice en a valu la peine, peut-être pas sur le net étant donné les conséquences, mais il est certain que cela a été bénéfique. Si mes e-mails et mes flux sont corrects, c'est le nombre de personnes qui ont justifié cela. La psychologie ici est enracinée dans le sophisme des coûts irrécupérables: lorsque vous engagez des ressources pour quelque chose, même s'il s'agit d'une erreur prouvée, vous avez tendance à trouver des justifications en doublant plutôt qu'en admettant simplement l'erreur.

    Ainsi, de nombreuses personnes m'ont écrit pour dire que si vous êtes d'accord ou en désaccord avec le verrouillage, nous devons admettre qu'il a sauvé des millions de vies. J'écris toujours et demande comment ils le savent. Ils m'envoient un lien vers une projection - ces projections mêmes qui supposent toutes sortes de choses sur les causes et les effets que nous ne pouvons pas connaître et qui se sont révélées erronées à maintes reprises tout au long de cette crise.

    Donc, admettons simplement qu'il est possible que les blocages puissent être crédités du ralentissement de la propagation du virus et peut-être de la préservation de la capacité hospitalière (ce qui s'est avéré inutile). Pourtant, le virus ne s'ennuie pas et ne passe pas à Wuhan ou sur une autre planète. Cela persiste, donc au mieux, ces mesures ne font que «prolonger la douleur», selon les mots de Knut Wittkowski.

    Donc, même si les verrouillages ralentissent la propagation à court terme, il n'est pas clair qu'ils ont sauvé des vies du coronavirus, même si cela entraîne en général plus de décès dus aux chirurgies et diagnostics différés, aux suicides, aux surdoses de médicaments et à la dépression.

    Le problème ici est que certaines caractéristiques de cette expérience se démarquent pour contredire l'idée que les verrouillages sauvent des vies à long terme. À New York, les deux tiers des patients hospitalisés atteints de COVID-19 étaient en fait hébergés sur place pendant l'isolement, vivant essentiellement en isolement forcé. Le verrouillage ne les a pas aidés; cela aurait pu contribuer à aggraver les choses.

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  7. Pendant ce temps, malgré la haine des médias contre les jeunes fêtards des vacances de printemps de la Floride, où des centaines de milliers de personnes ont refusé de se distancier socialement au plus fort du risque de virus, je n'ai pas encore trouvé de rapport crédible de décès au-delà de deux qui étaient probablement impossible à éviter. En effet, les risques pour la population plus jeune sont négligeables, comme nous le savons depuis longtemps.

    Dans de nombreux pays, 30% à 60% des décès en excès sont imputables aux maisons de soins infirmiers. Ces environnements ne sont ni fermés ni ouverts; le virus s'est propagé parmi la population la plus vulnérable après une seule exposition en raison d'une éventuelle négligence et distraction par frénésie de masse. Au milieu de l'enfermement du monde entier, et nos politiciens étaient épuisés par le désir de faire respecter les ordonnances de séjour à domicile et la séparation forcée, la population qui avait le plus besoin de soins a été négligée. Pire encore, à New York, en Californie et au New Jersey, les maisons de soins infirmiers ont été forcées d'accueillir des patients COVID-19.

    Une façon de discerner si et dans quelle mesure les blocages ont eu un effet sur l'infection et la mort est d'examiner le cas empirique. Dans le Wall Street Journal, T.J Rogers a examiné toutes les études existantes:

    Les arrêts rapides fonctionnent-ils pour lutter contre la propagation de Covid-19 ? Joe Malchow, Yinon Weiss et moi voulions savoir. Nous avons cherché à quantifier le nombre de décès causés par des ordonnances de fermeture différées, état par état.

    De normaliser pour une comparaison sans ambiguïté des décès entre les États au milieu d'une épidémie, nous avons compté les décès par million d'habitants pour une période fixe de 21 jours, mesurée à partir du moment où le taux de mortalité a atteint 1 par million pour la première fois - par exemple, deaths trois décès dans l'Iowa ou 19 dans l'État de New York. Les «jours de fermeture» d'un État étaient le temps qui s'écoulait après qu'un État ait franchi le seuil du 1 million pour ordonner la fermeture d'entreprises.

    Nous avons effectué une simple corrélation à une variable des décès par million et jours à l'arrêt, qui variait de moins-10 jours (certains États fermaient avant tout signe de Covid-19) à 35 jours pour le Dakota du Sud, l'un des sept États à ou pas d'arrêt. Le coefficient de corrélation était de 5,5% - si bas que les ingénieurs que j'avais l'habitude d'employer l'auraient résumé comme «aucune corrélation» et seraient ensuite allés chercher la véritable cause du problème. (La ligne de tendance est inclinée vers le bas - les États qui indiquent que les retards les plus fréquents ont tendance à avoir des taux de mortalité plus bas - mais c'est aussi un résultat dénué de sens en raison du faible coefficient de corrélation.)

    Aucune conclusion ne peut être tirée sur les États qui se sont abrités rapidement, car leurs taux de mortalité couvraient toute la gamme, de 20 par million dans l'Oregon à 360 à New York. Cette grande variation signifie que d'autres variables - comme la densité de population ou l'utilisation du métro - étaient plus importantes. Notre coefficient de corrélation entre les taux de mortalité par habitant et la densité de population était de 44%. Cela suggère que New York aurait pu bénéficier de sa fermeture, mais copier aveuglément les politiques de New York dans des endroits où le taux de mortalité de Covid-19 est faible, comme mon Wisconsin natal, n'a pas de sens.

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  8. En ce qui concerne le front international, considérons le travail d'Isaac Ben-Israel, chef du programme d'études de sécurité à l'Université de Tel Aviv et président du Conseil national pour la recherche et le développement. Son étude détaillée du monde entier compare les pays enfermés avec ceux qui sont restés ouverts. Le Times of Israel résume ses conclusions comme suit.

    Un éminent mathématicien, analyste et ancien général israélien affirme qu'une simple analyse statistique démontre que la propagation du COVID-19 culmine après environ 40 jours et diminue à presque zéro après 70 jours - peu importe où il frappe et quelles que soient les mesures que les gouvernements imposent pour essayer pour le contrecarrer.

    Même un regard désinvolte sur les sociétés ouvertes de Suède et de Corée - bien qu’elles soient allées trop loin dans les interventions - montre qu’elles ont enregistré des taux de mortalité inférieurs à ceux de l’Europe et du Royaume-Uni. Même l’Organisation mondiale de la santé a salué la réponse de la Suède.

    Et une étude empirique très minutieuse des contrefactuels en Suède a conclu:

    Sur la base des données disponibles, nous constatons qu'un verrouillage en Suède n'aurait pas limité le nombre d'infections ni le nombre de décès dus au COVID-19. La théorie suggère que cela peut être le résultat de personnes qui maintiennent une plus grande distance sociale même en l'absence de verrouillage - il pourrait y avoir, en d'autres termes, une contrainte sociale volontaire. Krueger et al. (2020), en particulier, montrent cela dans le contexte d'un modèle formel et suggèrent que cela pourrait être le cas pertinent pour la Suède

    Enfin, nous avons une étude décisive de Bloomberg qui trace soigneusement les verrouillages et les décès, concluant:

    Il existe peu de corrélation entre la sévérité des restrictions d’un pays et sa capacité à réduire les décès excessifs - une mesure qui examine le nombre total de décès par rapport aux tendances normales.

    La cause et l'effet sont notoirement difficiles à discerner dans les affaires humaines à l'échelle macroscopique. Même si cela se connecte d'une manière ou d'une autre à l'intuition selon laquelle le verrouillage éloigne le virus, ils ne tiennent pas compte du fait que le virus est toujours là, même s'il est temporairement contenu (ce qui en soi est discutable).

    Les quarantaines, les verrouillages, les ordonnances d'abris sur place, etc. reflètent un parti pris prémoderne et une impulsion non scientifique à s'enfuir et à se cacher, une méthode utilisée dans le monde antique par le biais de quarantaines sélectives dans certaines villes en 1918. Ensuite, nous sommes devenus intelligents, avons développé un théorie moderne des virus (bien expliquée ici), et les a évités dans chaque pandémie depuis la Seconde Guerre mondiale. Puis, d'une manière ou d'une autre, et mystérieusement, un siècle est passé au suivant et nous sommes redevenus muets et nous y voilà.

    Le verrouillage a-t-il sauvé des vies ? C’est possible mais pas encore prouvé, et les preuves jusqu’à présent indiquent une réponse négative. Peu importe combien nous essayons de faire tourner cela dans nos têtes, peu importe combien nous voulons croire que quelque chose de bon est sorti de cette catastrophe, nous allons tous avoir un jour à faire face à la terrible mais probable réalité que tout cela a été pour rien.

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  9. Je termine par les mots du grand médecin qui est reconnu pour l'éradication de la variole, Donald A. Henderson (1928-2016).

    L'intérêt pour la quarantaine reflète les points de vue et les conditions qui prévalaient il y a plus de 50 ans, alors que l'on en savait beaucoup moins sur l'épidémiologie des maladies infectieuses et qu'il y avait beaucoup moins de voyages internationaux et nationaux dans un monde moins densément peuplé. Il est difficile d'identifier les circonstances dans le dernier demi-siècle où une quarantaine à grande échelle a été efficacement utilisée pour lutter contre une maladie. Les conséquences négatives de la mise en quarantaine à grande échelle sont si extrêmes (confinement forcé des personnes malades avec le puits; restriction complète des mouvements de grandes populations; difficulté à fournir des fournitures, des médicaments et de la nourriture essentiels aux personnes à l'intérieur de la zone de quarantaine) que cette mesure d'atténuation devrait être éliminé de toute considération sérieuse.

    https://www.zerohedge.com/health/did-lockdown-save-lives

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  10. Scènes de la vie quotidienne. Les caissières des supermarchés.


    le 20 mai 2020


    Je loue un deux pièces meublé dans le centre-ville de Santa Cruz de Tenerife et au rez-de-chaussée de l’immeuble ou je réside il y a un supermarché. Pour y pénétrer en ces temps coronoviraux il faut avoir un masque et une fille, le plus souvent très plantureuse, vous propose des gants et contrôle la température frontale. Ce 17 mai dernier – oui c’est ouvert le dimanche ! – j’avais besoin d’une bouteille de « Chardonnay » (made in Spain, je le précise et excellent) pour boire avec un sashimi de thon que je m’étais procuré au marché ce matin du même jour, pas le sashimi mais le morceau de thon fraîchement pêché. Je me suis arrêté chez un « chinois » pour me munir de sauce au sojaà laquelle j’ai ajouté un peu de Wasabi pour le sashimi. J’ai même osé laisser un pourboire de 20 centimes à la jeune fille qui tenait la caisse de la boutique d’imports en tous genres de sauces et autres conserves provenant du monde entier. Enceinte de plus de huit mois selon mon évaluation elle me gratifia d’un charmant sourire … Au supermarché j’ai également acheté un pack de 4 litres de bière car je risquais d’être en rupture de stock ce lundi 18 mai. Je suis un gros buveur de bière, je l’avoue.

    Un pack de 4 litres de bière et une bouteille de Chardonnay : total 6,87 euros.

    Je laisse 17 centimes sur le plan de la caisse séparée par un panneau de Plexiglas, coronavirus oblige, et un billet de 10 euros. La caissière, je le répète passablement plantureuse comme celle distribuant des gants à l’entrée, sort une petite calculette et je l’observe avec curiosité, surtout son énorme poitrine, je l’avoue. Elle prend son temps pour imaginer quel sera le résultat de la caisse automatique quand elle entrera 10 euros et 17 centimes pour m’acquitter d’un somme de 6,87 euros. Je n’avais pas réalisé que je lui avais tendu un piège : pourquoi 17 centimes et pas tout simplement 7 centimes ? Cela aurait été plus logique.

    Bref la fille me rendit 3,20 euros après mûre réflexion et les 17 centimes que je lui avais proposé – elle avait tout son temps, il n’y avait pratiquement personne dans le magasin – et j’admirais son effort pour avoir calculé indépendamment de la caisse automatique (qui ne fait pas d’erreur) ce qu’elle devait me rendre, soit 3,30 euros, somme que j’avais calculé de tête bien avant d’observer son manège et sa poitrine trop grosse pour satisfaire la main d’un homme honnête.

    Elle me rendit donc 3,30 euros, ce que lui avait indiqué la caisse automatique, ainsi que les 17 centimes que j’avais laissé sur le plan de la caisse. Je lui fis remarquer dans mon espagnol approximatif qu’elle avait fait une erreur et laissais les 17 centimes d’euros. Hasta luego ! J’ai soudainement compris pourquoi ces filles sont payés ici 750 euros par mois primes comprises et qu’elles développent un embonpoint presque dérangeant, tout simplement parce qu’elles ne savent même pas faire une simple soustraction de tête. Je refuse d’utiliser ma carte bancaire pour payer sans contact et sans code confidentiel pour que les caissières réfléchissent moins car elles ne sont pas payées pour ça.

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  11. Où va-t-on ? Une coccinelle (« bug ») dans le système informatique de la banque et on fait quoi pour un achat de 6,87 euros débité sur le compte 68,7 euros ? Que cherchent à établir les banques main dans la main avec les politiciens ? Un contrôle de chaque citoyen mais pas celui du surpoids des caissières …

    Je termine avec le sashimi de thon. C’était excellent. J’ai acheté assez de thon pour au moins trois jours de vrai régal. Bon appétit et oubliez le virus, mangez, buvez, pensez, lisez et regardez de vrais bons films comme « La Belle Noiseuse » avec Emmanuelle Béart et Piccoli que j’ai re-visionné hier en apprenant la mort de Piccoli ou écoutez de la bonne musique comme les quatuors à corde de Beethoven ou Roberta Flack

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/05/20/scenes-de-la-vie-quotidienne-les-caissieres-des-supermarches/

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  12. Robert F Kennedy Jr : Les vaccins sont pour Bill Gates une « philanthropie stratégique » afin d'obtenir un contrôle dictatorial sur la politique de santé mondiale


    Robert F Kennedy Jr - Instagram
    Sott.net
    mer., 08 avr. 2020 12:21 UTC


    Les vaccins, pour Bill Gates, sont une philanthropie une utilisation stratégique qui alimente ses nombreuses entreprises liées aux vaccins (y compris l'ambition de Microsoft de contrôler une entreprise mondiale de vac ID) et lui donne un contrôle dictatorial sur la politique de santé mondiale - la pointe de lance du néo-impérialisme d'entreprise.

    L'obsession de Gates pour les vaccins semble alimentée par la conviction messianique qu'il est destiné à sauver le monde avec la technologie et une volonté divine d'expérimenter avec la vie d'êtres humains inférieurs.

    Promettant d'éradiquer la polio avec 1,2 milliard de dollars, M. Gates a pris le contrôle du Conseil Consultatif National Indien (NAB) (NdT : exactement, le groupe consultatif technique national indien sur l'immunisation (NTAGI)) et a imposé l'administration de 50 vaccins contre la polio (au lieu de 5) à chaque enfant avant l'âge de 5 ans. Les médecins indiens accusent la campagne de M. Gates d'être à l'origine d'une épidémie de polio dévastatrice qui a paralysé 496 000 enfants entre 2000 et 2017. En 2017, le gouvernement indien a abandonné le programme de vaccination de M. Gates et a expulsé ce dernier et ses acolytes du NAB. Le taux de paralysie due à la polio a chuté de façon spectaculaire. En 2017, l'Organisation mondiale de la santé a admis à contrecœur que l'explosion mondiale de la polio est principalement due à la souche vaccinale, ce qui signifie qu'elle provient du programme de vaccination de Gates. Les épidémies les plus effrayantes au Congo, aux Philippines et en Afghanistan sont toutes liées aux vaccins de Gates. En 2018, ¾ des cas de polio dans le monde provenaient des vaccins de Gates.

    GSK, GlaxoSmithKline En 2014, la Fondation Gates a financé des tests de vaccins expérimentaux contre le HPV (vaccin contre les infections à papillomavirus humain), développés par GSK et Merck (deux des dix géants de l'industrie pharmaceutique mondiale) sur 23 000 jeunes filles dans des provinces indiennes isolées. Environ 1 200 d'entre elles ont souffert d'effets secondaires graves, notamment de troubles auto-immunes et de fertilité. Sept d'entre elles sont mortes. Les enquêtes du gouvernement indien ont accusé les chercheurs financés par Gates d'avoir commis des violations éthiques généralisées : pressions exercées sur des villageoises vulnérables pour qu'elles participent à l'essai, intimidation des parents, falsification des formulaires de consentement et refus de soins médicaux aux jeunes filles victimes. L'affaire est maintenant devant la Cour suprême du pays.

    En 2010, la Fondation Gates a financé l'essai d'un vaccin expérimental contre la malaria de GSK, qui a tué 151 nourrissons africains et a causé des effets indésirables graves, dont la paralysie, des convulsions fébriles et des crises d'épilepsie, à 1 048 des 5 049 enfants.

    Au cours de la campagne MenAfriVac 2002 de Gates en Afrique subsaharienne, les agents de Gates ont vacciné de force des milliers d'enfants africains contre la méningite. Entre 50 et 500 enfants ont développé une paralysie. Les journaux sud-africains se sont plaints : "Nous sommes des cobayes pour les fabricants de médicaments".

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  13. L'ancien économiste principal de Nelson Mandela, le professeur Patrick Bond, décrit les pratiques philanthropiques de Gates comme "impitoyables" et "immorales".

    En 2010, M. Gates s'est engagé à verser 10 milliards de dollars à l'OMS en promettant de réduire la population, en partie, grâce à de nouveaux vaccins. Un mois plus tard, M. Gates a déclaré lors d'une conférence Ted Talk que les nouveaux vaccins "pourraient réduire la population". En 2014, l'Association des médecins catholiques du Kenya a accusé l'OMS de stériliser chimiquement des millions de femmes kenyanes réticentes à l'aide d'une fausse campagne de vaccination contre le "tétanos".

    Des laboratoires indépendants ont trouvé une formule de stérilité dans chaque vaccin testé.

    Après avoir nié les accusations, l'OMS a finalement admis qu'elle développait les vaccins contre la stérilité depuis plus d'une décennie.

    Des accusations similaires ont été portées par la Tanzanie, le Nicaragua, le Mexique et les Philippines.

    Une étude de 2017 (Morgensen et al. 2017) a montré que le populaire DTP (le vaccin diphtérique, tétanique et poliomyélitique) de l'OMS tue plus d'Africains que la maladie qu'il prétend prévenir. Les filles vaccinées ont souffert d'un taux de mortalité dix fois supérieur à celui des enfants non vaccinés.

    Gates et l'OMS ont refusé de rappeler le vaccin mortel que l'OMS impose à des millions d'enfants africains chaque année.

    Les défenseurs de la santé publique mondiale accusent M. Gates de détourner l'agenda de l'OMS des projets dont il est prouvé qu'ils permettent de lutter contre les maladies infectieuses : eau potable, hygiène, nutrition et développement économique. Ils affirment qu'il a détourné les ressources de l'agence pour servir son obsession personnelle, à savoir qu'une bonne santé n'est possible qu'avec une seringue.

    En plus d'utiliser sa philanthropie pour contrôler l'OMS, l'UNICEF, la GAVI (Alliance Globale pour les Vaccins et l'Immunisation) et le PATH (Programme de Technologie Appropriée en Santé), M. Gates finance des sociétés pharmaceutiques privées qui fabriquent des vaccins, ainsi qu'un vaste réseau de groupes de façade de l'industrie pharmaceutique qui diffusent une propagande trompeuse, développent des études frauduleuses, mènent des opérations de surveillance et des opérations psychologiques contre les hésitations des vaccins et utilisent le pouvoir et l'argent de M. Gates pour faire taire la dissidence et contraindre à la conformité.

    Dans ces récentes apparitions non stop dans « Pharmedia », Gates semble heureux que la crise du Covid-19 lui donne l'opportunité de mettre en place ses programmes de vaccins du tiers-monde sur les enfants américains".

    Traduction : Sott.net
    Source : message de @robertfkennedyjr sur Instagram

    https://fr.sott.net/article/35657-Robert-F-Kennedy-Jr-Les-vaccins-sont-pour-Bill-Gates-une-philanthropie-strategique-afin-d-obtenir-un-controle-dictatorial-sur-la-politique-de-sante-mondiale

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  14. Corruption dans les systèmes de santé du monde entier — Un secret de polichinelle


    Patricia J. Garcia - The Lancet
    Sott.net
    lun., 18 mai 2020 22:08 UTC


    La corruption fait partie intégrante des systèmes de santé. Tout au long de ma vie de scientifique, de professionnel de la santé publique et de ministre de la santé, j'ai pu constater que la malhonnêteté et la fraude étaient bien ancrées. Mais bien qu'elle soit l'un des principaux obstacles à la mise en place d'une couverture médicale universelle dans le monde entier, la corruption est rarement évoquée publiquement.

    J'expose dans cet article l'ampleur du problème de la corruption, ses origines et son actualité. J'expose également les craintes des populations à ce sujet, ce qu'il faut faire pour lutter contre, et les responsabilités des milieux universitaires et de la recherche dans tous les pays, quel que soit leur niveau de développement économique. Les décideurs politiques, les scientifiques et les bailleurs de fonds doivent considérer la corruption comme un domaine de recherche majeur, de la même manière que nous le faisons pour les maladies. Si nous voulons réellement atteindre les objectifs de développement durable et garantir une vie saine pour tous, la corruption dans le domaine de la santé mondiale ne doit plus être un secret de polichinelle.

    Introduction

    J'ai entendu tant de gens dans le monde entier dire que nous vivons une époque extraordinaire dans l'histoire de la santé publique, et je suis en quelque sorte d'accord. Chaque jour, de nouvelles technologies sont mises à disposition pour lutter contre les maladies et améliorer les conditions de vie, et nous réalisons en permanence de nombreux essais randomisés sophistiqués pour vérifier si une intervention ou un nouveau médicament fonctionne. Il s'agit en effet d'un moment clé de l'histoire. Cependant, toutes ces percées incroyables ne signifieront pas grand-chose si elles ne fonctionnent pas dans le monde réel et si nous ne pouvons pas atteindre tout le monde. Nous parlons de planification minutieuse, de mise en œuvre, d'engagement et de leadership pour que les choses fonctionnent dans les systèmes de santé, mais nous ne parlons pas du principal défi auquel nous sommes confrontés dans dans le domaine de la santé — la corruption mondiale.1, 2

    Je tiens à préciser ici que j'utilise le terme de santé mondiale pour désigner la santé des populations dans le contexte mondial, et non pas — comme beaucoup le font (à tort, je pense) — les investissements d'organisations, de fondations et de pays à hauts revenus dans des efforts visant à relever les défis de santé et de développement dans les pays moins développés économiquement, généralement dans l'hémisphère sud.

    J'aimerais plaider en faveur de la nécessité pour les scientifiques et les universitaires de la communauté mondiale de développer et tester de nouveaux modèles qui pourraient fonctionner pour lutter contre la corruption dans le domaine de la santé mondiale, et pour les bailleurs de fonds de soutenir cet effort. Cette tâche est urgente ; la corruption est la plus grande menace pour l'avenir de la santé dans le monde.

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  15. La principale information en ce qui me concerne tient en ce que je ne suis pas du tout expert en la matière, sauf qu'en tant que personne originaire d'un pays à revenu moyen d'Amérique latine, j'ai vécu toute ma vie entourée de corruption, qui était considérée par beaucoup comme le statu quo ou même comme un mécanisme d'adaptation. J'ai entendu des gens dans mon pays et des collègues du Nord — par lequel je fais référence aux pays à revenus élevés de l'hémisphère nord — utiliser des termes tels que « corruption de survie », pour essayer de justifier des situations injustifiables. En tant qu'étudiante en médecine, il y a trente ans, j'ai vu la corruption liée aux pratiques des fournisseurs, aux équipements, aux médicaments et ainsi de suite, mais comme à cette époque les ressources étaient rares, il n'y avait pas grand-chose à voler. Cependant, lorsque je suis devenu ministre péruvien de la Santé en 2016, j'ai réalisé l'ampleur du problème, surtout en raison du fait que les ressources sont aujourd'hui plus que jamais disponibles. Plus il y a d'argent, plus il y a de corruption. La disponibilité de l'aide étrangère pour la santé a également alimenté la corruption au niveau mondial.

    J'ai vu comment — pour faire avancer une stratégie ou achever une mise en œuvre — il était considéré comme acceptable, bien que parfois étrange — selon les termes des bailleurs de fonds — , de payer un supplément pour des activités qui faisaient partie du travail des prestataires ou de négliger simplement des choses qui étaient inconfortables.3 Un exemple est la rémunération des prestataires de soins de santé pour qu'ils assistent à des séances de formation — la formation ne fait-elle pas partie de leur travail et ne représente-t-elle pas un avantage ? Eh bien, c'était le cas dans mon pays, mais pour plusieurs programmes de santé mondiaux, payer les travailleurs de la santé pour qu'ils assistent à une session de formation est devenu coutumier et a engendré un insoutenable cercle de corruption. Cette pratique a conduit à une situation dans laquelle les travailleurs de la santé participant à la formation n'étaient pas ceux qui avaient besoin de la formation, mais ceux qui étaient choisis pour bénéficier d'avantages. Pour les experts en santé mondiale qui affirment qu'il est important d'identifier si la corruption est ou n'est pas un obstacle au succès ou à la mise en œuvre d'un programme de santé mondiale4, 5, je soutiendrai que la corruption est toujours un problème, même si le programme semble être une réussite. La corruption représente un facteur de coût non négligeable qui affecte la durabilité et l'efficacité d'un programme, et la possibilité pour un pays de sortir d'une dépendance à l'égard des autres.

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  16. Cette situation illustre la réalité d'aujourd'hui. Maintenant que nous disposons de plus de ressources que jamais au niveau mondial, le monde entier est en proie à la corruption, mais nous ne parlons pas de ce problème ni ne l'affrontons. La corruption est un secret de polichinelle connu dans le monde entier, il est systémique et se propage6. Plus des deux tiers des pays sont considérés comme endémiquement corrompus selon Transparency International7. Bien que la perception de la corruption dans le secteur de la santé varie d'un pays à l'autre, dans l'ensemble, ce secteur est perçu de manière très négative8. La corruption touche les pauvres et les plus vulnérables, et la corruption dans le secteur de la santé est plus dangereuse que dans tout autre secteur car elle est littéralement mortelle9, 10. La corruption viole les droits des individus et des communautés11. Lorsque la corruption est liée à la santé, les systèmes de santé, les individus et les résultats en matière de santé sont profondément affectés12. On estime que, chaque année, la corruption prend la vie d'au moins 140 000 enfants13, aggrave la résistance aux antimicrobiens et sape tous nos efforts pour contrôler les maladies transmissibles et non transmissibles14, 15. La corruption est une pandémie ignorée16.

    Voir aussi :
    Le virus du wétiko - La plus terrible des pandémies connue de l'humanité
    L'insatiable cupidité d'une économie tentaculaire - Une étude de cas du virus du wétiko

    Comment la corruption a commencé et s'est répandue

    Bien qu'il n'existe pas de définition unique, complète et universellement reconnue de la corruption, celle-ci est clairement « l'abus d'un pouvoir confié à des fins de profit privé »17. La corruption existe depuis longtemps, probablement depuis que les structures sociales humaines existent18. Certaines théories suggèrent que dans le développement des structures sociales, il existe des différences claires quant à ce qui s'est produit dans les nations du nord par rapport à celles du sud, ce qui pourrait expliquer l'endémicité et les niveaux de corruption plus élevés dans ces dernières. Les gouvernements du nord ont été créés pour servir les citoyens alors que dans le sud, les colonies ont été structurées pour exploiter les ressources et les populations. Plus tard, lorsque les nations colonisées ont acquis leur indépendance, les structures sociales qui maintenaient ces pratiques coloniales ont continué à profiter aux nouveaux individus occupant les places de pouvoir18, 19, 20.

    Au cours des trente à quarante dernières années, la corruption a augmenté de façon significative et, depuis le début des années 1990, elle fait l'objet d'une plus grande attention21. Certaines explications sur la propagation et la croissance de la corruption sont liées aux profonds changements intervenus après la Deuxième Guerre mondiale et pendant la Guerre froide6, 21. Après la Deuxième Guerre mondiale et une très courte période de reconstruction, les pays européens qui s'étaient accaparé une grande partie du monde ont essentiellement désoccupé ces territoires, entraînant l'émergence de nouveaux pays. Un phénomène similaire s'est produit à la toute fin des années 80 et au début des années 90, avec la fin de la Guerre froide. Les nouveaux pays créés après l'éclatement de l'Union soviétique disposaient d'institutions inexpérimentées et d'un personnel ne disposant pas de connaissances ou d'une expérience suffisantes. Ces institutions étaient faibles et vulnérables à l'exploitation, aux abus, aux mauvais usages et à la corruption22.

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  17. Parallèlement, les marchés mondiaux ont commencé à développer un éventail plus large de relations commerciales et d'échanges. Bien que les entreprises nord-américaines et européennes n'avaient pas encore expérimenté le fonctionnement des entreprises au sein de ces nouvelles régions, elles ont cherché des moyens rapides et pratiques d'interagir avec ces nouveaux territoires, ce qui a malheureusement contribué à engraisser les rouages de la corruption. De telles pratiques se répandent comme un virus, et la corruption devient le moyen de faciliter les interactions. Dans les pays à régime autoritaire, où les gens ordinaires n'avaient que très peu de pouvoir, la corruption a trouvé un espace pour s'épanouir23. Dans notre monde globalisé, nous devons reconnaître le rôle des pays développés en tant que source des problèmes de corruption dans les pays en développement. Nous devons également reconnaître l'existence de corrompus et de corrupteurs, et la nécessité de travailler ensemble à la recherche d'une solution à ce problème mondial.

    La corruption dans le domaine de la santé

    Le domaine de la santé est un secteur attrayant pour la corruption25 et elle peut être observée dans toutes les sociétés. Cependant, comme elle est influencée par des facteurs organisationnels, son ampleur observée dans un secteur en particulier, y compris celui de la santé, est liée à la société dans laquelle ce secteur intervient. Dans les sociétés où l'État de droit est moins respecté, où la transparence est réduite et où les mécanismes de responsabilité sont plus limités, les systèmes de santé sont plus corrompus26.

    La corruption menace tout effort visant à réformer le secteur public et à atteindre une couverture sanitaire universelle, ce qui affecte également les efforts déployés pour atteindre l'objectif de développement durable des Nations unies3 27, 28, 29, 30. La corruption limite l'accès aux services de santé et affaiblit toutes les dimensions qui déterminent la bonne performance des systèmes de santé : équité, qualité, réactivité, efficacité et résilience, et affecte également les résultats et les vies15, 29, 31. Elle entraîne également la démotivation et l'épuisement des ressources humaines. C'est le « cancer de nos systèmes de santé »4.

    On estime que le monde dépense plus de sept mille milliards de dollars pour les services de santé et qu'au moins dix à vingt-cinq pour cent des dépenses mondiales sont directement absorbées par la corruption, ce qui représente des centaines de milliards de dollars perdus chaque année15, 25, 32, 33. Ces milliards engloutis par la corruption dépassent les estimations de l'OMS concernant le montant nécessaire chaque année pour combler les lacunes en matière de couverture sanitaire universelle dans le monde d'ici 203034, 35. Cependant, le coût réel de la corruption pour les populations est impossible à quantifier étant donné qu'il peut en résulter une différence entre le bien-être et la maladie, et la vie et la mort.

    Dans le domaine de la santé, la corruption est enracinée et systémique. Klitgaard et ses collègues36 soulignent que l'ampleur de la corruption dépend de trois variables : le monopole (M) sur la fourniture d'un bien ou d'un service, la discrétion (D) dont jouissent les fournisseurs et la responsabilité du fournisseur (A) envers les autres. Les auteurs montrent que le montant de la corruption (C) pourrait être exprimé comme suit C=M + D - A.

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  18. Cette équation montre que plus l'approvisionnement d'un bien ou d'un service est concentré, plus le pouvoir discrétionnaire de ceux qui le contrôlent est élevé, et plus faible leur responsabilité envers les autres ; par conséquent, le niveau de corruption n'en sera que plus élevé. Malheureusement, ce sont là les caractéristiques des systèmes de santé. La complexité du système, les dépenses publiques élevées, l'incertitude du marché, l'asymétrie de l'information et la présence de nombreux acteurs — les régulateurs, les payeurs, les prestataires, les consommateurs et les fournisseurs — interagissent à différents niveaux, ce qui accroît sensiblement la corruption29, 37. En outre, les dépenses mondiales de santé sont en hausse en raison du vieillissement croissant de la population, des maladies chroniques et plus complexes, de la pression exercée pour acquérir des équipements de haute technologie et coûteux, et d'un nombre croissant de médicaments onéreux poussés par de puissants vendeurs transnationaux dans un monde interconnecté, autant de facteurs qui exercent une pression sociale sur les gouvernements et attirent davantage de corruption33.

    Les différents types de corruption dans le domaine de la santé

    La corruption dans le domaine de la santé se décline dans une large gamme, qui va de la petite corruption à la corruption nationale, voire multinationale10. Elle se présente sous différentes formes, telles que la corruption, l'extorsion, le vol, le détournement de fonds, le népotisme et l'abus d'influence38. Elle apparaît à différents points du système : dans la prestation de services par le personnel médical et les autres travailleurs de la santé, dans l'achat, la distribution et l'utilisation d'équipements, de médicaments et de matériels, dans la réglementation de la qualité des produits et des services, dans l'embauche de ressources humaines et dans la construction d'installations37. Transparency International a récemment examiné les six formes de corruption les plus courantes dans la prestation de services15. Abstraction faite des causes légitimes telles que la maladie, l'absentéisme se produit lorsque les employés ne se présentent pas au travail [et constitue la première forme de corruption - NdT].

    Dans le cas des services de santé des pays à faible revenu et à revenu intermédiaire, cette situation est souvent due au fait que ces employés exercent en cabinet privé pendant les heures de travail normales qui sont dus au service public. Cette situation informelle est soutenue par les syndicats de plusieurs pays à faible revenu et à revenu intermédiaire. L'absentéisme est associé à l'absence de responsabilité et de sanctions et, non seulement il démotive les bons travailleurs, mais il prive aussi les patients des soins dont ils ont besoin39, 40, 41, 42, 43. Malheureusement, bien que l'absentéisme soit un problème courant — qui toucherait trente-quatre à cinquante pour cent des employés dans le monde entier15 — il n'a pas été bien étudié.

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  19. La deuxième forme de corruption est constituée par les paiements informels des patients, qui comprennent toute une série de situations et de montants qui représentent des pots-de-vin dans la plupart des cas44, 45, 46. La troisième forme de corruption est le détournement et le vol d'argent, de matériels et de médicaments. Le détournement de fonds est l'une des formes de corruption les plus évidentes. La quatrième forme de corruption opère dans la prestation de services, qui comprend des activités — par exemple, des traitements, des procédures et des recommandations — qui ne sont pas uniquement motivées par des considérations médicales et qui peuvent être soit une surproduction soit une sous-production de ces activités.

    La corruption dans la prestation de services se manifeste dans le monde entier au sein des secteurs public et privé, gonflant les coûts des services et mettant les patients en danger. Un exemple en est l'excès de césariennes dans les pays d'Amérique latine et d'autres pays47, 48. Selon Naím21, « le conflit d'intérêts est à la base de tous les actes de corruption ». Un exemple au Pérou est le conflit entre les professionnels de la santé, comme le refus des médecins d'autoriser des sages-femmes professionnelles formées à effectuer des procédures particulières — par exemple, la colposcopie ou la cryothérapie — en alléguant que cela empiéterait sur leur spécialité. Le Pérou présente un important déficit en ressources de santé, notamment en ce qui concerne les médecins49, et l'un des défis à relever, compte tenu des taux élevés de cancers du col de l'utérus qui s'accompagnent d'une forte mortalité, est de déterminer la manière d'atteindre et de traiter les femmes.

    La réalité, c'est que le cœur du problème réside dans la crainte de perdre des clients et de l'argent, de sorte que le transfert et le partage des tâches ne sont pas acceptables pour ces médecins, ce qui entraîne une sous-offre de services50.

    La cinquième forme de corruption est le favoritisme, ce qui signifie que les soins sont donnés de préférence aux personnes qui sont recommandées ou qui bénéficient de relations dans le système de santé, ce qui affecte les soins que reçoivent les autres patients. La sixième forme de corruption est la manipulation des données, que Transparency International appelle la facturation de biens et de services qui n'ont jamais été envoyés ou rendus parce que la compensation est accordée en fonction du nombre de personnes traitées15, 51.

    La manipulation des données est une question qui a récemment été soulevée au Mexique52. Nous avons également vu des données être manipulées au Pérou dans le cas du dépistage de la syphilis congénital. Les prestataires ont révélé qu'ils surestimaient à plusieurs reprises les données pour des programmes particuliers par crainte de recevoir moins de matériels, pour s'assurer qu'ils bénéficiaient d'avantages à la productivité et pour ne pas être identifiés comme paresseux. Lorsque cela se produit, les données ne sont pas fiables et la santé publique est affectée.

    De mon point de vue personnel, les actes individuels de corruption au niveau des interactions quotidiennes des patients avec les services et les prestataires de santé peuvent sembler de faible ampleur, mais ils représentent des millions d'interactions négatives et ont un effet énorme et préjudiciable sur nos efforts pour améliorer la santé. Ils sont également plus difficiles à combattre que la corruption à un niveau plus élevé. En outre, ces actes se normalisent dans la société et sont considérés comme faisant partie intégrante de son fonctionnement. Il est courant de voir l'une des formes suivantes de corruption de façon quotidienne :
    un retard ou un refus des services de santé,

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  20. du matériel et des médicaments qui sont aspirés du secteur public pour alimenter le secteur privé,
    un personnel qui fait payer aux patients un prix plus élevé que les prix officiels et qui empoche la différence,
    une collusion entre le personnel hospitalier et les pharmacies externes ou les fournisseurs externes de tests médicaux,
    un absentéisme élevé des médecins ayant un second emploi dans le secteur privé,
    des médecins qui orientent leurs patients vers leur cabinet privé, et
    la détérioration délibérée d'équipements dans le secteur public pour obliger les gens à payer pour des services privés — qui, soit dit en passant, sont généralement situés à côté des établissements de santé publics et appartiennent et sont assurés par les mêmes prestataires publics qui fournissent des services dans les domaines public et privé.

    Au Pérou, on m'a montré un jour un trombone à l'intérieur d'une machine à rayons X. Le trombone avait été utilisé pour endommager l'équipement d'un centre de santé public, obligeant les patients à payer pour une radiographie dans la clinique privée située devant le centre de santé. Des dommages délibérés se produisent également avec les équipements de laboratoire, le détournement de médicaments du secteur public étant l'un des problèmes les plus graves. Le gouvernement achète des médicaments pour les donner gratuitement aux personnes bénéficiant de l'assurance nationale, mais ces traitements médicaux sont refusés aux patients des centres de santé publics parce que les médicaments semblent disparaître.

    Le ministère de la santé a lancé une enquête et a découvert une opération illégale qui consistait à retirer les médicaments du stockage et des pharmacies des hôpitaux publics pour les placer dans des pharmacies privées. Des individus appelés « jaladores » (extracteurs) ont été placés de façon adéquate à l'extérieur des pharmacies des hôpitaux et ont proposé aux patients de les emmener là où ils pourraient acheter des médicaments à un prix soi-disant raisonnable. L'opération était beaucoup plus complexe que ce que je peux décrire ici et impliquait des acteurs importants. Malheureusement, l'enquête n'a pas pu être menée à bien pendant mon mandat de ministre de la santé — une période de 14 mois — et la situation continue encore aujourd'hui, causant au pays des millions de soles de pertes [le sol étant la monnaie péruvienne - NdT].

    Lorsque j'étais ministre de la santé, la corruption était l'un de mes plus grands défis. J'ai dû gérer et surmonter la découverte d'une fraude dans le programme d'assurance maladie intégrale commise par une personne qui était le conseiller du président. Cet événement nous a permis de faire face à la fragilité du système et — avec toute la corruption que j'ai observée dans le secteur de la santé — m'a poussé à explorer ce que l'on sait faire pour lutter contre la corruption et ce qui pourrait être fait pour l'empêcher.

    Le contrôle de la corruption

    La corruption a été négligée ou ignorée au prétexte qu'elle n'est pas toujours clairement définie et a été considérée comme un moyen de faire fonctionner des systèmes dysfonctionnels. Il existe un consensus sur le fait que pour être efficaces contre la corruption, les actions doivent être fondées sur la théorie, guidées par des preuves et adaptées au contexte37. Il existe deux grands groupes de théories en ce qui concerne le contrôle de la corruption généralisée : celles qui prônent la nécessité de créer des institutions fortes et celles qui se concentrent sur la façon dont les gens pensent.

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  21. Les théories institutionnelles sont mieux décrites par le travail de Transparency International53, qui a introduit le concept d'évaluation du Système national d'intégrité, basé sur une approche holistique pour prévenir la corruption, en examinant l'ensemble des institutions concernées et leurs relations. La théorie de Transparency International est que si les institutions étaient solides, les gens ne seraient même pas tentés de participer à la corruption. Le deuxième groupe de théories, celles qui concernent la manière dont les gens pensent, se concentre sur la manière dont les gens traitent la violation des règles ou la décision d'un individu de s'engager dans la corruption54 :

    Bp>Cpsy + pp (Ccrim + Csoc) + Cfav. Dans cette équation, Bp représente le bénéfice perçu pour un acte de corruption, Cpsy le coût psychologique, pp la probabilité perçue, Ccrim le coût pénal, Csoc le coût social pour l'individu et Cfav le coût pour avoir commis un acte de corruption.

    Selon cette équation, un acte de corruption a plus de chances de se produire si le bénéfice perçu — Bp — est supérieur à la somme
    des coûts psychologiques — ou à ce que la personne ressentira, ce qui a trait à ses valeurs personnelles,
    de la probabilité perçue des coûts criminels et des coûts sociaux pour l'individu — ce qui a trait aux normes sociales, et
    des coûts pour avoir commis un acte de corruption — à quel point il serait facile ou difficile de le commettre.

    Cette théorie souligne l'importance des normes sociales. Les experts s'accordent à dire que les deux théories convergent parce que les normes sociales sont assurées par les institutions. Le défi consiste à savoir comment créer des institutions fortes et comment modifier les normes sociales pour lutter contre la corruption.

    Au cours des dix dernières années, les efforts internationaux et nationaux de lutte contre la corruption généralisée ont attiré l'attention55, 56. La bonne gouvernance est un facteur crucial pour le bon fonctionnement du système de santé et pour de meilleurs résultats en matière de santé57, 58. Toutefois, il faut chercher des solutions contre la corruption dans le secteur de la santé, même en l'absence de systèmes de santé solides, de volonté politique ou de réformes systémiques. Bien que cela puisse être difficile, il est impératif de s'attaquer à la corruption dans le secteur de la santé mondiale.

    Certains experts suggèrent qu'il existe trois facteurs clés qui augmentent les possibilités de s'engager dans des pratiques de corruption au sein du secteur de la santé : premièrement, être en position de pouvoir — la position relative d'un travailleur de la santé par rapport à un patient — dans un système dont la surveillance est inadéquate offre une possibilité d'abus ; deuxièmement, les pressions financières, des pairs ou personnelles ; et, troisièmement, une culture qui accepte la corruption37. Le renforcement de la responsabilité, l'amélioration des données, l'amélioration de la supervision, l'amélioration des salaires, la mise en place d'incitations pour récompenser les bonnes performances et de sanctions pour les mauvaises performances, l'augmentation de la transparence — divulgation active de la manière dont les décisions sont prises et des mesures de performance —, et la mise en place d'une plateforme permettant aux citoyens de s'exprimer et à la police de faire appliquer la loi — détection et application — sont toutes des mesures qui ont été suggérées10, 15.

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  22. En tant qu'académicienne et scientifique, j'ai décidé de chercher des preuves de ce qui fonctionne pour lutter contre la corruption dans le secteur de la santé et j'ai commencé par explorer le terme « corruption » dans PubMed. J'ai été choqué par la rareté des publications. Je l'ai comparé aux termes « implants mammaires » et « VIH ». Pour 2018, je n'ai trouvé que 122 articles liés à la corruption, contre 478 pour les implants mammaires et 14 718 pour le VIH.

    La plupart des articles que j'ai trouvés concernaient une description de la corruption et une analyse du problème, exploraient des cas et des situations, et fournissaient des recommandations spécifiques basées sur des théories. Toutefois, j'ai pu trouvé une analyse méthodique de 2012 et une autre issue de la bibliothèque Cochrane de 2016, qui ont toutes deux montré l'absence de preuves de ce qui fonctionne pour réduire la corruption dans le secteur de la santé59, 60.

    Rechercher dans le monde réel des mesures anti-corruption à prendre dans le domaine de la santé mondiale

    La lutte contre la corruption est possible, même si elle peut être difficile au début. Comprendre ce qui fonctionne et comment surmonter les difficultés de mise en œuvre sont des points de départ importants. Il existe de nombreuses suggestions de stratégies pour lutter contre la corruption, notamment : l'amélioration de la gestion financière, la gestion des conflits d'intérêts, l'amélioration des politiques et des processus d'enquête et la pénalisation des actes de corruption, la participation de la communauté — pouvoir du peuple —, l'utilisation de plateformes technologiques pour la surveillance active, la production participative d'informations, l'utilisation de données volumineuses et l'usage de l'exploration de ces données, et de la reconnaissance de modèles pour identifier les profils de fraude ou d'abus.

    Toutefois, les preuves de l'efficacité de ces suggestions sont encore rares61, 62, 63, 64, 65. Il convient d'étudier si l'amélioration des systèmes d'information sur la santé pourrait contribuer à la lutte contre la corruption. Les pays qui ont déjà travaillé dans ce domaine peuvent nous aider à mieux utiliser les données. Au Pérou, en 2017, le ministère de la santé a commencé à utiliser les dossiers de santé électroniques pour permettre l'utilisation des données afin d'aider à maintenir la responsabilisation. Il n'existe cependant aucun plan sur la manière d'utiliser les données pour prévenir ou détecter les situations de corruption.

    L'introduction de technologies d'authentification ou de vérification des produits pour prévenir le détournement de médicaments ou de faux médicaments devrait également être testée et leur rentabilité mesurée4. Comment les normes sociales devraient-elles être abordées ? Comment améliorer nos programmes de formation professionnelle ? Comment le système de soins de santé peut-il rompre l'asymétrie de l'information et les abus ? Est-il vrai qu'avec de meilleurs salaires, nous mettrons fin à la corruption ? Qu'est-ce qu'un bon salaire ?

    La rémunération correcte du personnel est-elle une condition préalable à la réduction des avantages offerts et propres à compléter les salaires ? En outre, comment peut-on mesurer plus précisément la corruption dans le secteur de la santé ? Ce sont là autant de questions auxquelles nous devons répondre par des recherches bien conçues, axées sur la prévention de la corruption dans le secteur de la santé. Plusieurs auteurs ont déjà mis en évidence des questions de recherche ouvertes qui doivent être abordées : nous devons commencer à y travailler15, 66.

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  23. Nous pouvons commencer par concevoir et tester des interventions anti-corruption pour le domaine de la santé, pour la santé mondiale. Nous pourrions commencer par la base, en faisant de petits pas. Nous avons besoin de méthodes de recherche rigoureuses pour prouver ou infirmer qu'une stratégie fonctionne. Pour s'attaquer à la corruption et y mettre fin, il faudra la participation de chercheurs issus de plusieurs disciplines et de multiples approches, et l'engagement des bailleurs de fonds à soutenir une recherche sérieuse. La corruption dans le domaine de la santé mondiale ne doit pas rester un secret de polichinelle, elle doit être confrontée et mise en lumière.

    Une part importante des subventions est axée sur la découverte et le développement de nouveaux outils de santé. Le financement de la recherche sur les interventions contre la corruption est encore très rare dans le monde. Tous les pays, quel que soit leur niveau de développement économique, devraient s'engager de la même manière à contribuer à ce que, dans notre monde — et je veux renforcer notre monde, et non pas le soi-disant Sud global et le Nord global, qui est une division absurde — la corruption dans le domaine de la santé soit éliminée de la même manière que nous réalisons les engagements pris pour éradiquer des maladies. J'ai bon espoir que dans les années à venir — si les interventions contre la corruption dans le domaine de la santé sont bientôt testées — nous disposerons de modèles anti-corruption efficaces qui pourraient réellement accélérer les améliorations dans le domaine de la santé mondiale.

    Voir aussi :
    Corruption - Un problème majeur pour un Européen sur trois
    De la corruption
    La lutte anti-corruption peut (aussi) être une arme de guerre économique
    La science enterrée dans la bureaucratie et la corruption : le directeur du Bureau sur l'Intégrité de la Recherche américain démissionne de dégoût
    Les dessous d'une mauvaise science devenue religieusement universelle
    Science et Religion

    Source de l'article initialement publié en anglais le 27 novembre 2019 : The Lancet
    Traduction : Sott.net

    Références

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    https://fr.sott.net/article/35653-Corruption-dans-les-systemes-de-sante-du-monde-entier-Un-secret-de-polichinelle

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  28. L'histoire secrète de Fort Detrick, la base de la CIA pour les expériences de contrôle de l'esprit


    Sott.net
    jeu., 14 mai 2020 14:06 UTC



    20 septembre 2019 - Aujourd'hui, c'est un laboratoire de pointe. Dans les années 1950 et 1960, il a été le centre des expériences les plus sombres du gouvernement américain.

    En 1954, un médecin de prison au Kentucky a isolé sept détenus noirs et leur a administré des doses « doubles, triples et quadruples » de LSD pendant 77 jours d'affilée. Personne ne sait ce qu'il est advenu des victimes. Elles sont peut-être mortes sans savoir qu'elles faisaient partie du programme très secret de la CIA visant à développer des moyens de contrôler les esprits - un programme élaboré à partir d'une base militaire peu connue au passé sombre, Fort Detrick.

    L'expansion des banlieues a englouti Fort Detrick, une base militaire située à 80 km de Washington, dans la ville de Frederick, dans le Maryland. Il y a 73 ans, cependant, lorsque l'armée a choisi Detrick pour développer ses plans super-secrets de guerre bactériologique, la zone autour de la base était bien différente. En fait, elle a été choisie pour son isolement. La raison en est que Detrick, toujours florissante aujourd'hui en tant que base principale de l'armée pour la recherche biologique et comprenant maintenant près de 600 bâtiments sur 13 000 acres, a été pendant des années le centre nerveux de l'empire caché de la CIA pour les armes chimiques et le contrôle des esprits.

    Detrick est aujourd'hui un des laboratoires de pointe pour la recherche sur les toxines et les antitoxines, le lieu où sont développées des défenses contre tous les fléaux, du champignon tueur de cultures à l'Ebola. Son rôle de leader dans ce domaine est largement reconnu. Pendant des décennies, cependant, une grande partie de ce qui se passait à la base était un secret bien gardé. Les directeurs du programme de contrôle mental MK-ULTRA de la CIA, qui utilisait Detrick comme base clé, ont détruit la plupart de leurs archives en 1973. Certains de ses secrets ont été révélés dans des documents déclassifiés, lors d'entretiens et à la suite d'enquêtes du Congrès. Ensemble, ces sources révèlent le rôle central de Detrick dans le projet MK-ULTRA et dans la fabrication de poisons destinés à tuer des dirigeants étrangers.

    En 1942, alarmée par des rapports indiquant que les forces japonaises menaient une guerre bactériologique en Chine, l'Armée Américaine a décidé de lancer un programme secret pour développer des armes biologiques. Elle a engagé un biochimiste de l'Université du Wisconsin, Ira Baldwin, pour diriger le programme et lui a demandé de trouver un site pour un nouveau complexe de recherche biologique. Baldwin a choisi une base de la Garde Nationale, pour la plupart abandonnée, sous la montagne Catoctin, appelée Detrick Field. Le 9 mars 1943, l'armée a annoncé qu'elle l'avait rebaptisée Camp Detrick, l'a désigné comme quartier général des Laboratoires de Guerre Biologique de l'Armée et a acheté plusieurs fermes adjacentes afin de fournir plus d'espace et d'intimité.

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  29. Après la Seconde Guerre Mondiale, Detrick a perdu de son importance. La raison en était simple : Les États-Unis possédaient des armes nucléaires, il ne semblait donc plus urgent de développer des armes biologiques. Cependant, au début de la Guerre Froide, deux événements apparemment sans rapport entre eux, survenus dans des parties opposées du monde, ont stupéfié la jeune Central Intelligence Agency et ont donné à Detrick une nouvelle mission.

    Le premier était le procès pour trahison du primat catholique romain de Hongrie, le Cardinal Joseph Mindszenty, en 1949. Lors de ce procès, le cardinal est apparu désorienté, a parlé d'un ton monotone et a avoué des crimes qu'il n'avait manifestement pas commis. Puis, après la fin de la Guerre de Corée, il a été révélé que de nombreux prisonniers américains avaient signé des déclarations critiquant les États-Unis et, dans certains cas, confessant des crimes de guerre. La CIA a fourni la même explication pour les deux cas : le lavage de cerveau. Les communistes, a conclu la CIA, ont dû développer une drogue ou une technique qui leur a permis de contrôler les esprits humains. Aucune preuve de cela n'est jamais apparue, mais la CIA s'est laissée prendre au jeu de la fantaisie.

    Au printemps 1949, l'armée a créé une petite équipe super-secrète de chimistes au Camp Detrick, appelée la Division des Opérations Spéciales. Sa mission était de trouver des utilisations militaires aux bactéries toxiques. L'utilisation coercitive des toxines était un nouveau domaine, et les chimistes de la Division des Opérations Spéciales devaient décider comment commencer leurs recherches.

    Au même moment, la CIA venait de créer son propre corps de magiciens de la chimie. Les agents de la CIA en Europe et en Asie capturaient régulièrement des agents ennemis présumés et voulaient développer de nouveaux moyens pour soustraire les prisonniers à leur identité lors des interrogatoires, les inciter à révéler des secrets et même éventuellement les programmer pour qu'ils commettent des actes contre leur volonté. Allen Dulles, à la tête de la direction des opérations secrètes de la CIA et bientôt promu à la tête de l'agence, considérait son projet de contrôle des esprits - d'abord appelé Bluebird, puis Artichoke, puis MK-ULTRA - comme étant d'une importance suprême, la différence entre la survie et l'extinction des États-Unis.

    En 1951, Dulles a engagé un chimiste pour concevoir et superviser une recherche systématique de la clé du contrôle de l'esprit. L'homme qu'il a choisi, Sidney Gottlieb, ne faisait pas partie de l'aristocratie née avec une cuillère d'argent dans la bouche dans laquelle la plupart des officiers de la jeune CIA ont été recrutés, c'était un Juif de 33 ans qui boitait et bégayait, issu d'une famille d'immigrants. Il méditait également, vivait dans une cabane isolée sans eau courante et se levait avant l'aube pour traire ses chèvres.

    Gottlieb voulait utiliser les ressources de Detrick pour propulser son projet de contrôle de l'esprit vers de nouveaux sommets. Il a demandé à Dulles de négocier un accord qui officialiserait le lien entre l'armée et la CIA dans cette démarche. Selon un rapport ultérieur, les dispositions de l'accord prévoient que « la CIA a acquis les connaissances, les compétences et les installations de l'armée pour développer des armes biologiques adaptées à l'usage de la CIA ».

    Profitant de cet arrangement, Gottlieb a créé une enclave cachée de la CIA à l'intérieur de Camp Detrick. Sa poignée de chimistes de la CIA a travaillé si étroitement avec leurs camarades de la Division des Opérations Spéciales qu'ils sont devenus une seule et même unité.

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  30. Certains scientifiques en dehors de ce groupe soudé soupçonnaient ce qui se passait. « Savez-vous ce qu'est une 'opération indépendante standard' ? » demanda l'un d'entre eux des années plus tard. « La CIA en menait une dans mon laboratoire. Ils testaient des produits psychochimiques et faisaient des expériences dans mes laboratoires mais ne m'en parlaient pas ».

    Gottlieb a cherché sans relâche un moyen de détruire les esprits humains afin d'en implanter de nouveaux à leur place. Il a testé une étonnante variété de combinaisons de médicaments, souvent en conjonction avec d'autres tortures comme les électrochocs ou la privation sensorielle. Aux États-Unis, ses victimes étaient des sujets involontaires dans des prisons et des hôpitaux, notamment une prison fédérale à Atlanta et un centre de recherche sur la toxicomanie à Lexington, dans le Kentucky.

    En Europe et en Asie de l'Est, des victimes de Gottlieb étaient emprisonnées dans des centres de détention secrets. L'un de ces centres, construit dans le sous-sol d'une ancienne villa de la ville allemande de Kronberg, pourrait avoir été la première prison secrète de la CIA. Pendant que les scientifiques de la CIA et leurs anciens camarades nazis étaient assis devant une cheminée en pierre pour discuter des techniques de contrôle de l'esprit, les prisonniers des cellules du sous-sol étaient préparés comme sujets d'expériences brutales et parfois fatales.

    Il s'agissait des expériences les plus macabres que le gouvernement américain ait jamais menées sur des êtres humains. Dans l'une d'entre elles, sept prisonniers de Lexington, dans le Kentucky, ont reçu de multiples doses de LSD pendant 77 jours d'affilée. Dans une autre, des Nord-Coréens capturés ont reçu des médicaments dépresseurs, puis des doses de puissants stimulants et ont été exposés à une chaleur intense et à des électrochocs alors qu'ils étaient dans un état affaibli. Ces expériences ont détruit de nombreux esprits et causé un nombre inconnu de morts. Nombre des potions, pilules et aérosols administrés aux victimes ont été créés à Detrick.

    L'une des victimes les plus connues des expériences MK-ULTRA était Frank Olson. Olson était un officier de la CIA qui avait passé toute sa carrière à Detrick et connaissait ses plus profonds secrets. Lorsqu'il a commencé à réfléchir à la possibilité de quitter la CIA, ses camarades ont vu une menace pour la sécurité. Gottlieb a convoqué l'équipe à une retraite et s'est arrangé pour qu'Olson soit drogué au LSD. Une semaine plus tard, Olson est mort dans un plongeon d'une fenêtre d'hôtel à New York. La CIA a appelé cela un suicide. La famille d'Olson pense qu'on l'a jeté de la fenêtre pour l'empêcher de révéler ce qui se préparait à l'intérieur de Camp Detrick.

    Une décennie d'expériences intenses a appris à Gottlieb qu'il existe effectivement des moyens de détruire un esprit humain. Il n'a cependant jamais trouvé le moyen d'implanter un nouvel esprit dans le vide qui en résulte. Le Graal qu'il cherchait lui a échappé. MK-ULTRA s'est soldé par un échec au début des années 1960. « La conclusion de toutes ces activités », admit-il après coup, « était qu'il était très difficile de manipuler le comportement humain de cette façon ».

    -- Commentaire : "Il n'a cependant jamais trouvé le moyen d'implanter un nouvel esprit dans le vide qui en résulte." Est-ce vraiment la réalité ? --

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  31. Néanmoins, Fort Detrick, tel qu'il a été rebaptisé en 1956, est resté une base pour les armes chimiques de Gottlieb. Après la fin de MK-ULTRA, il l'a utilisée pour développer et stocker l'arsenal de poisons de la CIA. Dans ses congélateurs, il conservait des agents biologiques susceptibles de provoquer des maladies comme la variole, la tuberculose et l'anthrax, ainsi qu'un certain nombre de toxines organiques, notamment du venin de serpent et du poison paralysant pour crustacés. Il a développé des poisons destinés à tuer le leader cubain Fidel Castro et le leader congolais Patrice Lumumba.

    Durant cette période, le profil public de Fort Detrick s'est dévellopé sous une mauvaise réputation. Personne ne savait que la CIA y fabriquait des poisons, mais son rôle en tant que principal centre de recherche du pays dans le domaine de la guerre biologique et de l'empoissonement des cultures devenait évident. De la mi-1959 à la mi-1960, les manifestants se réunissaient une fois par semaine aux portes. « Aucune rationalisation de la « défense » ne peut justifier le mal de la destruction massive et des maladies », avaient-ils écrit dans une déclaration.

    En 1970, le Président Richard Nixon a ordonné à toutes les agences gouvernementales de détruire leurs réserves de toxines biologiques. Les scientifiques de l'armée s'y sont conformés. Gottlieb hésitait. Il avait passé des années à rassembler cette pharmacopée mortelle et ne voulait pas la détruire. Après avoir rencontré le directeur de la CIA Richard Helms, il a reconnu à contrecœur qu'il n'avait pas le choix.

    Un poison extrêmement puissant pour les mollusques, connu sous le nom de saxitoxine, a cependant échappé à la destruction. Deux bidons contenant près de 11 grammes de saxitoxine - assez pour tuer 55 000 personnes - se trouvaient dans le dépôt de Gottlieb à Fort Detrick. Avant que les techniciens de l'armée ne puissent les retirer, deux officiers de la Division des Opérations Spéciales les ont mis dans le coffre d'une voiture et les ont conduits au Bureau de Médecine et de Chirurgie de la Marine à Washington, où la CIA entretenait un petit entrepôt de produits chimiques. Un des assistants de Gottlieb a témoigné plus tard qu'il avait ordonné cette opération sans en informer son patron. Au moment où la saxitoxine a été découverte et détruite en 1975, Gottlieb avait pris sa retraite.

    Gottlieb était l'Américain inconnu le plus puissant du 20e siècle - à moins que quelqu'un d'autre n'ait mené des expériences brutales sur trois continents et n'ait obtenu un permis de tuer délivré par le gouvernement américain. Detrick, sa base indispensable, contient encore des histoires inédites sur la cruauté qui a commencé là - à seulement 80 km du centre du gouvernement qui les a maintenues scellées pendant des décennies.

    Source : Politico
    Traduction : Réseau International
    Revue : Sott.net

    -- Commentaire : Voir (en anglais) : Le programme d'armement biologique du Pentagone n'a jamais pris fin : Les laboratoires biologiques américains dans le monde --

    https://fr.sott.net/article/35619-L-histoire-secrete-de-Fort-Detrick-la-base-de-la-CIA-pour-les-experiences-de-controle-de-l-esprit

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  32. «Victoire modeste» : le Conseil constitutionnel censure l'accès d'Hadopi aux données de connexion


    21 mai 2020, 13:06 -
    Avec AFP Source: AFP


    Les Sages ont estimé que plusieurs dispositions prises par la Hadopi étaient «déséquilibrées entre le droit au respect de la vie privée et l'objectif de sauvegarde de la propriété intellectuelle». Mais celle-ci ne serait pas «vaincue» pour autant. Le Conseil constitutionnel a censuré le 20 mai plusieurs dispositions portant sur l'accès de la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur internet (Hadopi) à «tous documents», dont des données de connexion des internautes.

    Il a toutefois reporté au 31 décembre 2020 l'application de sa décision, au regard de «conséquences manifestement excessives» d'une abrogation immédiate de ces dispositions du code de la propriété intellectuelle. Un des requérants, l'association de défense des internautes la Quadrature du Net, a d'abord réagi avec enthousiasme à cette censure partielle, estimant que la Hadopi était «vaincue». Mais l'organisation a toutefois considéré, dans un second communiqué, que «cette décision pourrait constituer une victoire nettement plus modeste».

    «Malgré la restriction du champ des données de connexion accessibles à la Hadopi – qui reste une victoire – une lecture plus attentive nous amène à penser que demeure une interprétation selon laquelle son activité devrait pouvoir persister», remarque la Quadrature du Net. Pas de «garanties propres à assurer une conciliation qui ne soit pas manifestement déséquilibrée» Les Sages ont de leur côté expliqué, dans leur décision, que le législateur n'avait «pas entouré la procédure» mise en œuvre par Hadopi «de garanties propres à assurer une conciliation qui ne soit pas manifestement déséquilibrée entre le droit au respect de la vie privée et l'objectif de sauvegarde de la propriété intellectuelle».

    Toutes les dispositions de l'article L331-21, en vigueur depuis la création de la Hadopi en 2009, qui définissent les pouvoirs de collecte des agents auprès des opérateurs télécoms, sont censurées. Lire aussi StopCovid : l'application de traçage controversée sera prête pour le 2 juin, selon Cédric O Le Conseil constitutionnel limite l'accès des données à l'identité des auteurs d'infraction et à leurs coordonnées électroniques, postales et téléphoniques. Il censure également l’accès aux données de connexion détenues par les opérateurs de communication électronique.

    Celles-ci «fournissent sur les personnes en cause des informations nombreuses et précises, particulièrement attentatoires à leur vie privée. Elles ne présentent pas non plus nécessairement de lien direct» avec l'obligation des internautes à veiller à ce que leur accès à internet ne soit pas utilisé pour échanger illégalement des fichiers. Pour mettre en œuvre en France la «riposte graduée» contre le piratage via les réseaux de pair à pair (P2P), la Hadopi reçoit des représentants des artistes (comme la Sacem) les adresses IP des internautes repérés en train d'échanger des fichiers de manière illégale, puis demande aux fournisseurs d'accès (Orange, Free, SFR, etc.) les coordonnées des abonnés utilisant ces adresses IP, afin de leur envoyer des messages d'avertissement.

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  33. En 2015, le Conseil constitutionnel avait jugé contraires au droit au respect de la vie privée des dispositions instaurant un droit de communication des données de connexion au profit des agents de l'Autorité de la concurrence, selon des modalités analogues au cas de la Hadopi. Dans le cadre de la loi prorogeant l'état d'urgence sanitaire, publiée au Journal officiel du 12 mai, soit un jour après la fin du confinement, le Conseil constitutionnel avait déjà censuré deux dispositions, dont une concernait la controversée pratique du traçage.

    Quelques jours plus tard, le 18 mai, c'est cette fois le Conseil d'Etat qui avait enjoint le gouvernement de cesser «sans délai» l'utilisation des drones à Paris pour surveiller le respect des règles du déconfinement, en raison de l'absence de cadre juridique pour l'utilisation de ces dispositifs techniques. La Quadrature du Net s'était déjà réjouie de cette nouvelle.

    https://francais.rt.com/france/75266-victoire-modeste-conseil-constitutionnel-censure-acces-hadopi-donnees-connexion

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  34. Révélations d'espionnage : «Le procès d'UC Global remet en question l'extradition d'Assange»


    21 mai 2020, 11:59


    Les révélations du procès de la société espagnole accusée d'espionnage d'Assange au profit des Américains, se poursuivent. Pour Guillaume Long, interrogé par RT France, elles devraient avoir un impact sur le procès d'extradition. Digne d'un film d'espionnage, la vie de Julian Assange continue de déployer son lot d'intrigues. Les dernières révélations mettent en lumière les méthodes employées contre le lanceur d'alerte en vue de l'espionner.

    Pour Guillaume Long, ex-ministre équatorien des Affaires étrangères, interrogé par RT France, elles devraient impacter le procès en extradition vers les Etats-Unis qui se tient actuellement en Grande-Bretagne. A la suite d'une plainte de Julian Assange, une enquête a été ouverte en été 2019 visant l'Espagnol David Morales et sa société de sécurité Undercover Global (UC Global), accusés d'avoir espionné durant des années le fondateur de WikiLeaks à l'ambassade d'Equateur à Londres.

    Cette enquête avait déjà révélé que la société espagnole s'était permise d'agir avec zèle pour le compte des autorités américaines. Grâce à une enquête journalistique de Max Blumenthal pour son site d'information The Grayzone, relayée par WikiLeaks sur son compte Twitter, nous apprenons cette fois la manière donc UC Global aurait participé à faire échouer un plan pour faire sortir Julian Assange de l'ambassade d'Equateur, élaboré de concert par son équipe juridique et le gouvernement équatorien de Lenin Moreno – avant que celui-ci ne lâche finalement Julian Assange.

    Une caméra pour l’Equateur, une autre pour «le client américain» L'enquête de The Grayzone révèle qu'en décembre 2017, le fondateur de WikiLeaks et ses avocats auraient élaboré un plan de sortie de l’ambassade d'Equateur où il était réfugié depuis 2012. Lire aussi Pourquoi ce qui arrive à Assange est important pour la France Quand Lenin Moreno est arrivé au pouvoir en Equateur à partir du 24 mai 2017, son gouvernement aurait envisagé, dans un premier temps, de faire en sorte que Julian Assange soit nommé diplomate équatorien auprès d'un gouvernement ami comme la Bolivie ou la Serbie, afin de lui garantir l’immunité diplomatique en vertu des protections accordées par la Convention de Vienne.

    Le dernier volet de ce plan aurait reposé sur la coopération de Rommy Vallejo, chef du Senain, le service de renseignement équatorien, qui était l'interlocuteur et l'employeur de David Morales, lui-même patron d'UC Global. Selon les informations de l'enquête espagnole obtenues par The Grayzone, Rommy Vallejo serait arrivé à l’ambassade le 20 décembre 2017, cinq jours avant la date de sortie prévue d'Assange, le 25 décembre. Ce que le chef des renseignements équatoriens ignorait à ce moment-là, selon ces informations, c'est que David Morales qui était censé travailler pour lui, travaillait surtout pour ses «amis américains», comme il se plaisait à le dire à ses employés.

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  35. «C’était la dernière étape», a déclaré à The Grayzone Aito Martinez, un des avocats espagnols de Julian Assange, à propos de la visite du chef du Senain à Londres. «[Vallejo] allait parler avec Julian [Assange] des derniers détails pour quitter l’ambassade et organiser un véhicule diplomatique. Mais on sait maintenant, après avoir vérifié tous les dossiers et les e-mails [d'UC Global], que lorsqu’il a rendu visite à Julian, Morales a dit [à son équipe] de tout enregistrer, d’explorer toutes les caméras et de prendre toutes les données de tous les téléphones portables», détaille l'avocat.

    L’équipe d’UC Global aurait également procédé à la pénétration des téléphones de Rommy Vallejo et à la saisie des codes de ses appareils portables. Les autorités américaines obtiennent rapidement l'information Une source anonyme, citée par The Grayzone, impliquée dans le projet d’accorder l’immunité diplomatique à Julian Assange, révèle les pressions exercées par Todd Chapman, l’ambassadeur américain en Equateur. Le diplomate aurait mis en garde le gouvernement de Lenin Moreno contre toute tentative d'exfiltrer Assange de l'ambassade.

    La même source a également déclaré à The Grayzone qu'un fonctionnaire équatorien impliqué dans la conception de la stratégie de libération d’Assange avait été agressé dans son véhicule officiel à Quito. Il se serait agit d'hommes armés et masqués, qui auraient volé au fonctionnaire son ordinateur portable contenant les informations détaillées sur le plan visant à faire sortir légalement Julian Assange de l’ambassade. Selon The Grayzone, ce vol présumé corroborerait des aveux d'un ancien employé d’UC Global devant le tribunal espagnol. A savoir : que David Morales avait mentionné le fait que «les Américains étaient désespérés» qu'il puisse être mis fin à la présence de Julian Assange dans l’ambassade.

    Ainsi, ils auraient opté pour des moyens plus radicaux et auraient proposé «d’activer des mesures plus extrêmes contre lui», y compris «la possibilité de laisser la porte de la mission diplomatique ouverte, en arguant que c’était une erreur accidentelle, pour permettre l’entrée et l’enlèvement du réfugié, ou même la possibilité d’empoisonner Assange», toujours selon les affirmations de l'ancien employé d'UC Global.

    Et ce n'est pas tout. Hasard du calendrier, le 21 décembre 2017, au lendemain de la rencontre de Julian Assange avec le chef du Senain, les procureurs américains ont secrètement déposé des accusations contre le fondateur de WikiLeaks devant le tribunal fédéral d’Alexandrie, en Virginie. Julian Assange y est accusé d'avoir tenté d'aider Chelsea Manning, un analyste du renseignement de l'armée américaine qui deviendra lanceur d'alerte, à déchiffrer un mot de passe crypté pour pirater un ordinateur du Pentagone et voler des documents classifiés.

    A deux pas du siège de la CIA en Virginie Du fait de ces révélations et documents versés à l'enquête espagnole, David Morales est accusé depuis octobre 2019 de violation de la vie privée d’Assange, de violation des privilèges de la relation avocat-client, ainsi que de blanchiment d’argent et de corruption. Cette enquête permettra peut-être d’établir le rôle du gouvernement américain dans l’orientation de la campagne d’espionnage d’UC Global et de révéler comment cette entreprise espagnole basée à Jerez de la Frontera (Andalousie), a trompé le gouvernement équatorien au profit de ceux que Morales appelait les «amis américains».

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  36. En outre, alors qu’UC Global n’a eu aucun contrat connu avec quelque société que ce soit en Virginie, aux Etats-Unis, des documents judiciaires obtenus par The Grayzone établissent que David Morales aurait envoyé des courriels cryptés à partir d’une adresse IP située dans la ville d'Alexandria, Virginie. Il aurait aussi payé les factures d’un hôtel pendant les huit jours suivants, dans cette ville. Alexandria, ville située non loin de Langley, où se trouve le siège de la CIA.

    Les Equatoriens ne savaient rien du rôle d'agent double de Morales Pour contenter «ses amis américains», en modifiant les caméras de l'ambassade équatorienne pour qu’elles puissent être exploitéesde l’extérieur, et en les équipant de micros cachés, David Morales aurait mis en place un mécanisme permettant d’espionner les conversations privées d’Assange avec ses amis et ses avocats. Il aurait également pris des mesures pour transmettre les images à un serveur de stockage extérieur séparé, faisant en sorte que l'opération soit indétectable par le Senain équatorien. Ce qu'on vient de découvrir est absolument révoltant, ahurissant, c'est une atteinte très grave contre la souveraineté de l'Etat équatorien sur son territoire Contacté par RT France, Guillaume Long, ministre des Affaires étrangères de l'Equateur sous la présidence de Rafael Correa, qui a été le premier à dénoncer l'espionnage dont était victime l'ambassade d'Equateur à Londres en 2016, a commenté ces nouvelles révélations qu'il juge scandaleuses.

    «Si on était bien conscients d'être espionnés dans notre ambassade depuis qu'Assange y était, on ne connaissait pas tous les détails de cet espionnage», explique-t-il. «Ce qu'on vient de découvrir [grâce aux éléments de l'enquête espagnole] est absolument révoltant, ahurissant, c'est une atteinte très grave contre la souveraineté de l'Etat équatorien sur son territoire et une atteinte au droit international», s'offusque-t-il. Pour Guillaume Long, les récentes découvertes concernant UC Global sont étourdissantes : «Elles révèlent que cette société payée par l'Etat équatorien pour garantir la sécurité de notre mission diplomatique, ne travaillait en fait pas pour son employeur, avec qui elle avait une relation contractuelle, mais pour les Etats-Unis et que les nombreuses caméras qui filmaient et enregistraient tout ce qui se passait à l'intérieur de l'ambassade étaient diffusées en temps réel aux Etats-Unis.»

    «Le procès d'UC Global remet en question toute extradition d'Assange» L'ancien chef de la diplomatie équatorienne se souvient de l'espionnage massif qui a toujours entouré l'ambassade équatorienne. «C'était une atmosphère très oppressante, pour Julian Assange en premier lieu, mais elle pesait aussi sur nos diplomates, dont certains ont subi des séquelles psychologiques assez lourdes suite à ce harcèlement permanent», déplore Guillaume Long. «On était comme assiégés.

    Passer un appel à l'intérieur de notre ambassade relevait du défi impossible. Nos téléphones et appareils se connectaient sans arrêt, de manière intempestive, à toute sorte de réseaux inconnus. On savait qu'on avait affaire à un niveau d'espionnage et d'intervention électronique assez poussés», raconte-t-il à RT France. Mais pour l'ancien diplomate, le gouvernement équatorien ignorait tout des activités américaines d'UC Global. «Evidemment, si on avait su, on aurait mis fin à ce contrat.

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  37. D'ailleurs, l'article de Max Blumenthal est assez clair : tout était fait pour que les Equatoriens ne se rendent pas compte que David Morales travaillait pour les Etats-Unis», rappelle-t-il. Si ceux qui amènent Assange devant les tribunaux sont les mêmes qui le persécutent, cela mine toute leur argumentation de neutralité inhérente à la démarche juridique Pour Guillaume Long, cet espionnage extrême et les nouvelles révélations concernant les méthodes d'UC Global devraient «remettre en question» une potentielle extradition du lanceur d'alerte par la Grande-Bretagne vers les Etats-Unis, car cela reviendrait à livrer une personne persécutée à l'Etat qui la persécute.

    «Si on espionne quelqu'un avec cette intensité pendant de nombreuses années, cela participe d'une persécution et donc l'extradition ne doit pas avoir lieu», juge Guillaume Long pour qui le procès d'UC Global devrait avoir un «énorme impact» sur le procès d'extradition qui se déroule au Royaume-Uni. «Si ceux qui amènent Assange devant les tribunaux sont les mêmes qui le persécutent, cela mine toute leur argumentation de neutralité inhérente à la démarche juridique», estime-t-il. La collaboration de Lenin Moreno avec les Américains Pour Julian Assange, l'arrivée au pouvoir en Equateur de Lenin Moreno a été fatale.

    Si le gouvernement de celui-ci, a, dans un premier temps envisagé une solution allant dans l'intérêt du lanceur d'alerte, cet engagement n'a pas duré. Si l'Equateur avait maintenu l'asile, Assange ne serait pas en train de croupir dans une prison de haute sécurité En effet, un an après son élection, Lenin Moreno, a commencé à prendre ses distances avec le réfugié politique jusqu'à finir par lui retirer le droit d'asile et la citoyenneté équatorienne qu'il lui avait lui-même accordée.

    «A ma connaissance, Julian Assange est le seul citoyen de l'histoire de l'Equateur à qui l'on a retiré sa nationalité, c'est abominable et anticonstitutionnel», déclare Guillaume Long qui rappelle à cet égard que «la déchéance de nationalité, même quand elle est acquise par naturalisation, n'est pas permise par la Constitution équatorienne». Cet ancien ministre des Affaires étrangères avait été nommé représentant permanent de l'Equateur à l'ONU sous Lenin Moreno, mais il a rapidement démissionné de ce poste lorsque le nouveau président a pris un virage «autoritaire» et s'est retourné contre son prédécesseur Rafael Correa, qui l'avait aidé à accéder au pouvoir.

    De son point de vue, dans l'affaire Assange, le plus grave est d'avoir mis fin à son asile diplomatique. «Nous avons pris la décision d'accorder l'asile à Assange en 2012 sur la base d'une crainte de persécution politique et l'histoire nous a donné raison», rappelle Guillaume Long. «Notre stratégie juridique, politique et diplomatique était basée sur le droit d'asile, élément fondamental du droit international. Elle se voulait durable et rigoureuse et si l'Equateur l'avait maintenue, Assange ne serait pas en train de croupir dans une prison de haute sécurité», regrette l'ex-diplomate.

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  38. «Tout ce qui s'est passé après a prouvé que l'Equateur [de Correa] avait raison de miser sur le droit d'asile car il y avait un vrai risque d'extradition», ajoute-t-il. «Je crois que pour l'administration Moreno, il était devenu clair qu'ils allaient chercher un pacte avec les Etats-Unis sur plusieurs dossiers, dont celui de Julian Assange», estime Guillaume Long. Lenin Moreno s'est en effet plié à l'exigence des Etats-Unis de mettre fin à l'asile diplomatique d'Assange et a autorisé son arrestation à l'ambassade le 11 avril 2019. Julian Assange se trouve actuellement en détention préventive à la prison de haute sécurité de Belmarsh, au Royaume-Uni, en attendant l'issue de son procès d'extradition vers les Etats-Unis, dont le prochain volet vient d'être reporté au mois de septembre, pour cause d'épidémie de coronavirus.

    Si la demande d'extradition de Washington devait aboutir, Julian Assange risquerait 175 ans de prison. Il est poursuivi en vertu des lois anti-espionnage de 1917 et pour piratage informatique, ainsi que pour avoir diffusé à partir de 2010 plus de 700 000 documents classifiés sur les activités militaires et diplomatiques américaines, dont des crimes de guerre, notamment en Irak et en Afghanistan. Meriem Laribi

    https://francais.rt.com/international/75208-revelations-espionnage-proces-uc-global-remet-en-question-extradition-assange

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  39. La France entérine dans un projet de loi la «fin symbolique» du franc CFA et la création de l'«Eco»


    20 mai 2020, 19:15 -


    La France entérine la transformation du franc CFA en «Eco». Parmi ses implications : la Banque centrale des Etats d'Afrique de l'Ouest n'aura plus besoin de déposer la moitié de ses réserves de change auprès de la Banque de France. Le projet de loi qui entérine la fin du franc CFA a été adopté ce 20 mai en Conseil des ministres – un texte «très attendu» par les pays de l'Union monétaire ouest-africaine (UMOA), a assuré la porte-parole du gouvernement français Sibeth Ndiaye.

    Selon cette dernière, ce texte valide la transformation du franc CFA, qui deviendra l'Eco en maintenant la parité fixe avec l'euro, ainsi que la fin de la centralisation des réserves de change des Etats d'Afrique de l'Ouest auprès du Trésor français, conformément à l'accord conclu fin décembre entre la France et l'UMOA. «Cette fin symbolique devait s'inscrire dans une renouvellement de la relation entre la France et l'Afrique et écrire une nouvelle page de notre histoire», a encore déclaré Sibeth Ndiaye.

    Cette réforme, a rappelé la porte-parole, résulte de l'accord de coopération signé le 21 décembre 2019 entre Emmanuel Macron et les gouvernements des Etats membres de l'Union monétaire ouest africaine. Huit pays d'Afrique de l'Ouest et la France avaient décidé de cette réforme d'envergure du franc CFA, qui va changer de nom pour s'appeler l'Eco en 2020, avait ainsi annoncé le président ivoirien Alassane Ouattara en présence du président français.

    «[Le franc CFA était] perçu comme l'un des vestiges de la Françafrique», avait alors déclaré Emmanuel Macron. La Banque centrale des Etats d'Afrique de l'Ouest (BCEAO) ne devra plus déposer la moitié de ses réserves de change auprès de la Banque de France, obligation qui était perçue comme une dépendance humiliante vis-à-vis de la France par les détracteurs du franc CFA. A été également décidé, le retrait de la France des instances de gouvernance dans lesquelles elle était présente.

    La parité fixe avec l'euro du franc CFA, le futur Eco, doit être maintenue (1 euro = 655,96 francs CFA). Ce point est appelé à évoluer lorsque la monnaie commune ouest-africaine verra le jour. La réforme a été négociée tout au long au second semestre 2019 entre la France et les huit pays de l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA): Bénin, Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Guinée-Bissau, Mali, Niger, Sénégal et Togo. Elle ne concerne pas pour l'instant les six pays d'Afrique centrale qui utilisent le franc CFA mais forment une zone monétaire distincte.

    Ce projet ne fait pour autant pas l'unanimité sur le continent africain : en janvier dernier, le Nigeria et plusieurs pays d'Afrique de l'Ouest, notamment anglophones, avaient dénoncé le 16 janvier la décision de remplacer le franc CFA par l'Eco, affirmant qu'elle n'était «pas conforme» au programme adopté récemment par l'ensemble de la région pour mettre en place une monnaie unique.

    https://francais.rt.com/economie/75253-france-enterine-dans-projet-loi-fin-symbolique-franc-cfa-eco

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    1. Le nom de 'l'éco' n'a PAS été choisi par les africains, car il sous-entend 'pays pauvres' !

      Le nom de 'L'AFRIQUE' aurait été plus juste. (L'Afrique aux afriqués).

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  40. La pente glissante vers le despotisme: pavée de blocages, de raids et de vaccinations forcées


    par Tyler Durden
    Ven, 22/05/2020 - 00:05
    Écrit par John Whitehead via le Rutherford Institute,


    «Vous n'avez pas le droit de ne pas être vacciné, vous n'avez pas le droit de ne pas porter de masque, vous n'avez pas le droit d'ouvrir votre entreprise… Et si vous refusez d'être vacciné, l'État a le pouvoir de vous emmener littéralement chez un médecin bureau et plongez une aiguille dans votre bras. "

    - Alan Dershowitz, professeur de droit à Harvard

    Tu n'as aucun droit.

    C’est la leçon que le gouvernement veut que nous tirions de cette entreprise COVID-19.

    Eh bien, le gouvernement a tort.

    Depuis des années, les pouvoirs en place - ces politiciens et ces bureaucrates qui pensent comme des tyrans et agissent comme de petits dictateurs quel que soit le parti auquel ils appartiennent - ont tenté de nous laver le cerveau en nous faisant croire que nous n'avons pas le droit de penser par nous-mêmes, de faire prendre des décisions concernant notre santé, protéger nos maisons, nos familles et nos entreprises, agir dans notre meilleur intérêt, exiger des comptes et de la transparence de la part du gouvernement, ou généralement fonctionner comme si nous contrôlions notre propre vie.

    Nous avons tous les droits, et vous savez pourquoi ? Parce que nous sommes nés libres.

    Comme l'indique la Déclaration d'indépendance, notre Créateur nous confère certains droits inaliénables - à la vie, à la liberté, à la propriété et à la recherche du bonheur - qu'aucun gouvernement ne peut nous enlever.

    Malheureusement, cela n'a pas empêché le gouvernement d'essayer constamment d'usurper nos libertés à chaque tour. En effet, la nature du gouvernement est telle qu'il dépasse invariablement ses limites, abuse de son autorité et fléchit ses muscles totalitaires.

    Prenez par exemple cette crise du COVID-19.

    Ce qui a commencé comme un effort apparent pour empêcher un nouveau coronavirus d'affaiblir la nation (et le monde) est devenu un autre moyen par lequel les gouvernements du monde (y compris le nôtre) peuvent étendre leurs pouvoirs, abuser de leur autorité et opprimer davantage leurs électeurs.

    Jusqu'à présent, l'État policier a été plus circonspect dans ses prises de pouvoir, mais ce dernier état d'urgence a sorti la bête de l'ombre.

    Nous sommes sur une pente glissante vers le despotisme pur et simple.

    Cette route que nous parcourons est pavée de blocages, de raids d'équipe SWAT, de surveillance de masse et de vaccinations forcées. Il est jonché des débris de nos libertés du premier et du quatrième amendement.

    C'est ce à quoi nous devons nous attendre dans les mois et les années à venir, à moins que nous ne trouvions un moyen de reprendre le contrôle de notre gouvernement en fuite.

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  41. Le gouvernement n'a pas caché ses plans.

    Suivez simplement la piste de l'argent, et vous aurez une idée de ce qui vous attend: plus de police militarisée, plus de raids d'équipe SWAT, plus de surveillance, plus de lock-out, des tactiques plus armées visant à réprimer la dissidence et à nous forcer à nous conformer au gouvernement dicte.

    C'est effrayant d'y penser, mais ce n'est pas surprenant.

    Nous avons été prévenus.

    Vous vous souvenez de cette vidéo d'entraînement du Pentagone créée par l'armée pour le Commandement des opérations spéciales des États-Unis ? Celui qui anticipe les futurs problèmes politiques et sociaux intérieurs que le gouvernement prépare ses forces armées à résoudre en utilisant la loi martiale ?

    La vidéo de formation effrayante de cinq minutes, obtenue par The Intercept grâce à une demande de la FOIA et mise à disposition en ligne, dresse un tableau dystopique du futur troublé par des «réseaux criminels», «des infrastructures de qualité inférieure», «des tensions religieuses et ethniques», «l'appauvrissement, des bidonvilles »,« des décharges ouvertes, des égouts surchargés », une« masse croissante de chômeurs »et un paysage urbain dans lequel l'élite économique prospère doit être protégée de l'appauvrissement des pauvres.

    Mais voici le truc: ce dont ils parlent vraiment, c'est de la loi martiale, présentée comme une préoccupation bien intentionnée et primordiale pour la sécurité de la nation.

    Cette crise du COVID-19 nous rapproche d'autant plus de cette vision dystopique qui devient une réalité actuelle.

    Pour commencer, parlons des stormtroopers COVID-19, des raids de l'équipe SWAT et des poussées de violence policière en cours.

    Avec des millions de dollars de fonds de relance destinés aux services de police du pays, le gouvernement fédéral prévoit de lutter contre ce virus COVID-19 avec des équipements anti-émeute, des masques à gaz, des casques balistiques, des drones et des technologies de surveillance de haute technologie.

    En effet, bien que les taux de criminalité aient chuté de façon spectaculaire au milieu de cette interdiction globale de COVID-19, il n'y a eu aucun soulagement de la brutalité et de la violence de l'État policier américain.

    Bien que la majorité du pays ait connu une distanciation sociale sous différents degrés de verrouillage, les équipes SWAT et la police du pays ont été habituées à tirer en premier et à poser des questions plus tard.

    Dans le Kentucky, des policiers en civil dans des voitures banalisées ont utilisé un bélier pour briser la porte de Breonna Taylor et effectuer une descente sans heurt chez elle après minuit. Craignant une invasion de domicile, la technicienne médicale d'urgence de 26 ans et son petit ami - qui était au lit au moment de l'invasion - ont appelé le 911 et se sont préparés à se défendre. Le petit ami de Taylor a tiré sur l'un des intrus - identifié plus tard comme étant un policier - à la jambe. La police a tiré au moins 20 coups de feu dans l'appartement et une maison voisine, tuant Taylor. Le trafiquant de drogue qui était la cible du raid de fin de soirée vivait à 16 kilomètres et avait déjà été arrêté avant le raid sur la maison de Taylor.

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  42. Dans l'Illinois, la police a ouvert le feu dans une station de métro, tirant sur un homme de 33 ans qui aurait résisté à leurs tentatives de l'attaquer et de l'arrêter pour avoir violé une ordonnance de la ville en passant entre deux voitures d'un train en marche. Ariel Roman, un cuisinier de courte durée, a affirmé qu'il souffrait d'une crise d'angoisse lorsqu'il a été "harcelé, poursuivi, plaqué, aspergé de poivre, taser et abattu deux fois" par la police.

    Dans le Maryland, la police a dépêché un appel gênant pour briser une foule d'enfants du quartier (la moitié d'entre eux des adolescents et l'autre moitié des jeunes de 4 et 5 ans environ) rassemblés dans un complexe d'appartements. Un vieil homme est vu sortir de sa voiture avec une arme à feu. Un témoin oculaire a affirmé que "l'officier a pointé une lampe de poche et son arme sur le groupe immédiatement et a commencé à courir et à tirer une minute ou deux après être sorti de la voiture de patrouille". La police aurait tiré sur l'homme après qu'il ait jeté son arme et couru dans la direction opposée.

    En Virginie, plus de 80 agents de police locaux, étatiques et fédéraux ont risqué de propager COVID-19 à «une population très vulnérable» lorsqu'ils ont fait une descente dans une communauté de logements sociaux à faible revenu dans le but de réprimer six individus soupçonnés de vendre, sur moyenne de 20 à 100 $ de médicaments.

    Au Texas, une équipe du SWAT appuyée par un char militaire blindé de transport de troupes a attaqué le Big Daddy Zane’s Bar dont le propriétaire et les patrons organisaient une première et une deuxième modification pacifiques pour protester contre les arrêtés du gouverneur.

    La police a même été appelée à fermer des églises, des écoles, des parcs publics et des plages qui ont été jugées «en violation» de diverses ordonnances de verrouillage.

    Il est maintenant question de mobiliser l'armée pour administrer des vaccinations forcées, une surveillance de masse afin de rechercher les contacts, et de lourdes amendes et des peines de prison pour ceux qui osent s'aventurer sans masque, se rassembler dans le culte sans la bénédiction du gouvernement, ou ouvrir leurs entreprises sans le dire du gouvernement.

    Il y a des rumeurs selon lesquelles la Transportation Security Administration (TSA) commencera des vérifications thermiques pour surveiller la température des passagers dans les semaines à venir. Cela s'ajoute aux fouilles à nu virtuelles qui sont devenues des aspects courants de la sécurité aéroportuaire.

    Les restaurants dans certaines parties du pays sont chargés de tenir des journaux quotidiens des numéros de téléphone, des e-mails et des heures d'arrivée pour tous ceux qui participent aux services de restauration, sans aucune mention de la durée de conservation de ces enregistrements, avec qui ils seront partagé et dans quelles circonstances.

    Avec l'aide des caméras Google et Nest, les hôpitaux se transforment en centres de surveillance en temps réel avec des caméras de surveillance 24 heures sur 24 qui surveillent le trafic dans les chambres des patients. Oubliez cependant la vie privée des patients. Google a un historique de partage de séquences de surveillance avec la police.

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  43. Et pour compléter les pouvoirs, le Sénat vient de voter pour donner à la police un accès aux données de navigation sur le Web sans mandat, ce qui élargirait considérablement les pouvoirs de surveillance du Patriot Act du gouvernement. Le Sénat a également voté pour donner au procureur général William Barr la possibilité de parcourir l'historique de navigation sur le Web de tout Américain - y compris les journalistes, les politiciens et les rivaux politiques - sans mandat, simplement en disant qu'il est pertinent pour une enquête. Si elles sont adoptées, les experts de la protection de la vie privée avertissent que les nouvelles dispositions menacent de saper la liberté de la presse en empêchant potentiellement les médias de dénoncer les abus de pouvoir ou d'agir en tant que chien de garde contre les dirigeants politiques.

    Si nous ne l'avons pas déjà franchi, nous patinons dangereusement près de cette ligne qui nous maintient du côté fonctionnel d'une république constitutionnelle. Il ne faudra pas grand-chose pour nous pousser au-delà de ce bord dans une république bananière à part entière.

    À bien des égards, il s'agit simplement de la même tactique brutale que nous avons vue ces dernières années, mais avec une différence majeure: cet état d'urgence COVID-19 a investi des fonctionnaires (et ceux qui considèrent leur vie comme plus précieuse) que la nôtre) avec une approche moralisatrice, auto-justifiée, arrogante et Big Brother Knows Best pour une gouvernance descendante, et les retombées sont visibles de loin.

    C'est un état d'esprit laid et égoïste qui considère les besoins, la vie et les droits de «nous les gens» comme insignifiants par rapport à ceux au pouvoir.

    C'est ainsi que quelqu'un qui devrait mieux connaître, comme Alan Dershowitz, ancien professeur de droit à Harvard, peut suggérer qu'un peuple libre - né en liberté, doté par son créateur de droits inaliénables, et vivant dans un pays né d'une lutte révolutionnaire pour l'individu liberté - n'ont aucun droit à la liberté économique, à l'intégrité corporelle ou à refuser de se conformer à un ordre du gouvernement avec lequel ils ne sont pas d'accord.

    Selon Dershowitz, qui est devenu un peu plus qu'un apologiste légal de l'élite au pouvoir, «vous n'avez pas le droit de ne pas vous faire vacciner, vous n'avez pas le droit de ne pas porter de masque, vous n'avez pas le droit d'ouvrir votre entreprise… Et si vous refusez d'être vacciné, l'État a le pouvoir de vous emmener littéralement chez le médecin et de plonger une aiguille dans votre bras. »

    Dershowitz a tort: ??bien que les tribunaux puissent de plus en plus s’en tenir à l’autoritarisme du gouvernement Nanny State, nous avons toujours des droits.

    Le gouvernement peut essayer d'abréger ces droits, il peut refuser de les reconnaître, il peut même tenter de déclarer la loi martiale et de les annuler, mais il ne peut pas plaider, légiférer ou les éliminer de force.

    Jusqu'à présent, nous avons été des participants largement passifs dans cette expérience d'auto-gouvernance. Notre inaction et notre inattention nous ont laissés à la merci de politiciens avides de pouvoir, de sociétés corrompues et de milices brutales financées par le gouvernement.

    Réveille-toi, Amérique.

    Comme je l'indique clairement dans mon livre Battlefield America: The War on the American People, ces violations continues de nos droits - cette attitude du gouvernement que nous n'avons aucun droit - ce mouvement tyrannique qui dépasse notre république constitutionnelle et gagne en dynamisme et en puissance à la minute - ce bloc d'enchères incessant dans lequel les représentants du gouvernement nommés pour représenter nos meilleurs intérêts continuent de nous vendre au plus offrant - toutes ces trahisons appellent une réponse.

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  44. Pour citer le grand Rod Serling: «Si nous n'écoutons pas ce cri - et si nous n'y répondons pas - nous pourrions bien nous retrouver assis au milieu de nos propres décombres, à la recherche du camion qui nous a frappés - ou de la bombe qui nous a pulvérisés. Obtenez le numéro de licence de tout ce qui a détruit le rêve. Et je pense que nous constaterons que le véhicule a été immatriculé à notre nom. »

    https://www.zerohedge.com/markets/slippery-slope-despotism-paved-lockdowns-raids-forced-vaccinations

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  45. Pourquoi la Californie est en difficulté: 340 000 employés publics avec 100 000 $ + chèques de paie coûtent 45 milliards de dollars aux contribuables


    par Tyler Durden
    Jeu, 21/05/2020 - 18:45
    Présenté par Adam Andrzejewski,


    Malgré le déficit budgétaire de 54 milliards de dollars de la Californie et 1 000 milliards de dollars de dettes de retraite non capitalisées, 340 390 employés du gouvernement rapportent des chèques de salaire et de pension à six chiffres. Récemment, cependant, le gouverneur Gavin Newsom a demandé aux contribuables américains un plan de sauvetage.

    Le gouverneur a écrit une lettre au Congrès demandant 1 billion de dollars en aide d'État à 50 États pour le coronavirus. Ensuite, la présidente de la Chambre, Nancy Pelosi, a obligé en ajoutant 500 milliards de dollars aux États dans la loi HEROES - le projet de loi a été adopté et attend maintenant une action au Sénat.

    Voici, en partie, pourquoi la Californie demande de l'aide aux contribuables.

    - voir tableau sur site -

    Nos vérificateurs chez OpentheBooks.com ont trouvé des chauffeurs de camion à San Francisco gagnant 159 000 $ par an; les sauveteurs du comté de LA coûtent 365 000 $ aux contribuables; les infirmières de l'UCSF gagnent jusqu'à 501 000 $; le directeur sportif de l'UCLA gagnant 1,8 million de dollars; et 1 420 employés de la ville ont gagné plus que les 50 gouverneurs d'État (202 000 dollars).

    À l'aide de notre nouvel outil de cartographie interactive, passez rapidement en revue (par code postal) les 340 390 employés publics et retraités californiens qui gagnent plus de 100 000 $ et coûtent 45 milliards de dollars aux contribuables (exercice 2018-2019). Cliquez simplement sur une épingle et faites défiler vers le bas pour voir les résultats affichés dans le graphique sous la carte.

    Voici quelques exemples de ce que vous découvrirez:

    109 627 enseignants et administrateurs scolaires - dont la PDG des écoles à charte Summit Everest, Diane Tavenner (450 115 $); et les surintendants Michael Lin (443 875 $) chez Corona-Norco Unified; Polly Bove (395 257 $) à Fremont Union High; Christopher Hoffman (351 885 $) chez Elk Grove Unified; et Al Mijares (348 276 $) au ministère de l'Éducation du comté d'Orange.

    66 403 employés des collèges et universités - dont le directeur sportif de l'UCLA, Daniel Guerrero (1,8 million de dollars), qui prend sa retraite au milieu des critiques selon lesquelles ses équipes ont perdu trop souvent. L’entraîneur de football de l’école, Charles (Chip) Kelly (3,3 millions de dollars), a établi un record de 7-17 au cours de ses deux premières années et est l’employé public le plus rémunéré de l’État. De plus, 11 310 employés collégiaux et universitaires gagnent plus de 200 000 $.

    62 204 employés de l'État de Californie - dont une infirmière, Ito Chikako, de l'Université de Californie, qui a touché 501 391 $ - ont payé par le biais du système d'État. David Winsor Sirkin, psychiatre principal aux services correctionnels et de réadaptation, a fait 409 399 $. Les services correctionnels ont payé 385 596 $ à deux dentistes l'an dernier. Le régulateur en chef de la coiffure et de la cosmétologie a gagné 124 296 $.

    45 718 employés de ville et de ville - dont 1 420 administrateurs municipaux et employés qui ont dépassé le poste de gouverneur de Californie - le gouverneur d'État le mieux payé (202 000 $). Les directeurs municipaux hautement rémunérés comprenaient Deanna Santana (Santa Clara - 396 158 $); Paul Arevalo (West Hollywood - 353 603 $); Fredrick Cole (Santa Monica - 342 780 $); David Ready (Palm Springs - 340 149 $); Edward Shikada (Palo Alto - 329 080 $); et Scott Ochoa (Ontario - 328 500 $).

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  46. Tendant la main à tous les gouvernements mentionnés, Santa Clara a répondu en disant que leur ville est complexe et qu'ils se disputent les talents dans la Silicon Valley. Palm Springs a répondu en disant que le directeur municipal réduisait son salaire de 20% à 288 579 $.

    En 2017, nous avons constaté que 44 sauveteurs dans le comté de Los Angeles coûtaient aux contribuables entre 200 000 $ et 365 000 $. Aujourd'hui, c'est pire avec des salaires ne représentant qu'environ la moitié du coût total en incluant les heures supplémentaires, la rémunération supplémentaire et les avantages sociaux.

    Au total, 45 milliards de dollars de compensation en espèces sont versés aux employés des gouvernements locaux et des États de la Californie, gagnant six chiffres. Nos auditeurs n'ont pas inclus le coût des avantages.

    Nous n'avons pas non plus inclus les coûts salariaux d'au moins 28 000 employés fédéraux gagnant 100 000 $ + au sein des agences exécutives basées en Californie.

    La corruption à San Francisco

    L’auto-intitulé de San Francisco «Mr. Propre », Mohammed Nuru, directeur des travaux publics, est surtout connu pour ses efforts infructueux pour garder les matières fécales et les aiguilles hypodermiques hors de la voie publique. Les cas de déchets humains dans les rues de la ville ont atteint 31000 en 2019, un record historique.

    Nuru a gagné un salaire annuel de 269500 ??$ en 2018 (en hausse de 55000 $ sur une période de sept ans). Apparemment, cela ne suffisait pas. En février, Nuru a été arrêté pour des accusations de corruption.

    Ce n'est qu'à San Francisco que les membres de l'équipe de la «patrouille de caca» peuvent coûter aux contribuables jusqu'à 184 000 $ chacun.

    Cartographie du défi des déchets humains à San Francisco - 141 000 cas de déchets humains dans la voie publique
    Éducateurs chers aux contribuables

    Dans le système des collèges communautaires, 10 807 employés ont fait six chiffres et 247 ont fait plus de 200 000 $ l'an dernier.

    Edward Hernandez, Jr. (Rancho Santiago - 325 799 $) et Francis Gorrick (West Hills - 316 034 $) ont les pensions les plus élevées. En 2015, les parties prenantes ont critiqué le président d'alors du Collège El Camino, Thomas Fallo, pour son salaire «surdimensionné» de 345 000 $. Fallo a pris sa retraite et reçoit une pension de 314 021 $.

    Les livres de paie de la maternelle à la 12e année indiquent que 109 627 enseignants et administrateurs ont gagné plus de 100 000 $ par année. Près de 94 000 de ces éducateurs hautement rémunérés sont actuellement employés et les 15 735 autres sont retraités avec des pensions à six chiffres.

    Dix éducateurs ont touché le jackpot des pensions et ont pris leur retraite avec plus de 300 000 $. Ceux-ci incluent: William Habermehl (ministère de l'Éducation du comté d'Orange - 380 096 $); Richard Bray (district scolaire unifié de Tustin - 329 826 $); Virginia Shattuck, (district scolaire unifié Norwalk – La Mirada - 327 139 $); James Smith (Evergreen Elementary - 309 725 $); et Richard Miller (Santa Anna Unified - 305 066 $).

    Associations privées, organisations à but non lucratif et législateurs

    Toutes sortes d'entités sautent dans le train de sauce. Des associations privées, des organisations à but non lucratif et d'anciens législateurs ont joué le système à des fins personnelles.

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  47. Le Député Jim Cooper (D-Elk Grove) double les régimes de rémunération et de retraite. Retraité à 50 ans du shérif du comté de Sacramento, Cooper a touché une pension de 173 820 $. Il gagne 107 242 $ en tant que membre élu de l'assemblée générale - bien qu'il ait refusé le per diem non imposable estimé à 39 000 $ par an. Bénéfice total: 281162 $

    Qui savait que les «syndicats étudiants» sur les campus universitaires versent à leurs administrateurs jusqu'à 206 000 $ et que leurs pensions sont garanties par les contribuables ? Le syndicat de l'UCLA - Associated Students, Inc. - a payé quatre administrateurs entre 191 000 $ et 206 000 $ l'an dernier. Il y a 52 administrateurs de syndicats étudiants à travers l'État qui ont fait six chiffres l'année dernière. Les retraités ont reçu des pensions jusqu'à 136 000 $.

    Les «associations» gouvernementales de tous types sont intégrées dans le système public de retraite. Ces associations sont organisées comme des «organisations à but non lucratif» et comprennent des associations de gouvernements, des commissions scolaires, des districts d'eau, des services publics, des districts spéciaux et même des associations de lutte contre les inondations.

    Nous avons trouvé 314 administrateurs à six chiffres qui dirigent ces associations gouvernementales, qui sont financées par les contribuables pour 44 millions de dollars par an. Darin Chidsey {Association des gouvernements de Californie du Sud (SCAG) - 289 109 $} a été la personne la mieux rémunérée.

    Le SCAG a répondu à notre demande de commentaires en disant qu'ils sont «la plus grande organisation de planification métropolitaine du pays» et situés dans «un marché du travail très concurrentiel».

    Des sections locales hautement compensées

    Dans la ville de Fremont, près de 700 employés à six chiffres ont gagné 91 millions de dollars l'an dernier. L'avocat de la ville, Harvey Levine, a été le plus haut revenu avec 291 031 $. Même le gestionnaire des services aux animaux a coûté aux contribuables jusqu'à 130 000 $ avec plus de quatre semaines de prise de force, de pension et de rentes de retraite supplémentaires - au cours de la première année d'emploi.

    Le Sanitation District de Los Angeles a une histoire de hausse des salaires pour augmenter les pensions. En fait, quatre des cinq meilleurs salariés de tous les temps en assainissement sont actuellement employés ou retraités de ce district: Stephen Maguin (366 387 $ - pension); Grace Robinson Hyde (329 131 $ - salaire); James Stahl (321 838 $ - pension); et Robert Ferrante (306 552 $ - salaire).

    Le district d'assainissement a répondu à notre demande de commentaires en disant que toutes les lois en matière d'indemnisation ont été suivies et que le «relèvement des pensions» n'est pas autorisé. Cependant, nous avons remarqué que certaines de ces pensions de retraite dépassent les salaires actuels.

    Avant la crise du COVID-19, les gouvernements étatiques et locaux de Californie fonctionnaient de manière plausible. Maintenant, avec la baisse des recettes fiscales, les faiblesses financières sous-jacentes sont exposées.

    Dans un geste salué par les réformateurs budgétaires, le gouverneur Newsom a proposé une réduction généralisée de 10% des salaires des employés de l'État ainsi que des coupes budgétaires de 5% pour les agences d'État.

    Cependant, le gouverneur a admis que si le gouvernement fédéral envoie plus d'aide aux États, les réductions de salaire seront rétablies.

    En d'autres termes, la Californie, comme de nombreux États avec des salaires et des coûts de retraite excessifs, compte sur le contribuable américain pour les sortir de la crise.

    https://www.zerohedge.com/markets/why-california-trouble-340000-public-employees-100000-paychecks-cost-taxpayers-45-billion

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  48. Un quart des Américains n'ont aucun intérêt à prendre un vaccin COVID


    par Tyler Durden
    Jeu, 21/05/2020 - 17:45


    Une «enquête» révèle que l'opération «Warp Speed» du président Trump, un partenariat public-privé pour développer un vaccin et le préparer à la production de masse d'ici le début de 2021, a suscité des inquiétudes anti-vaccin chez certains Américains.

    L'enquête, publiée jeudi sur Reuters / Ipsos, a révélé que 25% des Américains n'avaient aucun intérêt à prendre un vaccin contre le coronavirus.

    Environ 36% des personnes interrogées ont déclaré qu'elles seraient moins disposées à prendre un vaccin si le président Trump affirmait qu'il était sûr. Seulement 14% ont dit qu'ils seraient intéressés.

    Reuters / Ipsos, qui a interrogé 4 428 Américains entre le 13 et le 19 mai, a déclaré qu'ils devraient revoir des recherches supplémentaires sur le vaccin pour déterminer s'il était sûr.


    Un peu moins de 66% étaient «très» ou «quelque peu» intéressés par un vaccin s'il était facilement disponible.

    Le Dr William Schaffner, expert en maladies infectieuses au centre médical de l'Université Vanderbilt à Nashville, a déclaré à Reuters, considérant qu'il y avait 92000 décès liés au virus, il pensait qu'il y aurait un nombre beaucoup plus élevé de personnes qui voudraient le vaccin.

    "Il est un peu plus bas que je ne le pensais avec toute l'attention portée à COVID-19", a déclaré Schaffner. "Je m'attendais à environ 75%."

    L'enquête a révélé que 14% n'étaient pas du tout intéressés, 10% n'étaient pas très intéressés et 11% n'étaient pas sûrs de se soumettre à un vaccin.

    Les experts de la santé disent à Reuters qu '"au moins 70% des Américains devraient être immunisés par un vaccin ou une infection antérieure pour atteindre ce qu'on appelle" l'immunité collective ", quand suffisamment de personnes résistent à une maladie infectieuse pour empêcher sa propagation."


    Le programme Operation Warp Speed ??du président Trump vise à produire 300 millions de doses d'un vaccin d'ici janvier, un objectif qui, nous l'avons dit, est largement irréaliste.

    Le battage médiatique constant du président a conduit certaines personnes à croire que de nombreux médicaments en développement sont précipités et pourraient avoir des effets secondaires dangereux. Ron Paul a récemment averti que les vaccins "précipités en production" contre d'autres virus avaient des conséquences désastreuses pour la santé de certaines personnes.

    Près de 84% des personnes interrogées ont déclaré que les vaccins contre la rougeole sont sûrs, ce qui suggère que les gens doutent d'un vaccin précipité pour COVID-19. Parmi les personnes qui n'étaient "pas très" intéressées par la prise du vaccin, 29% d'entre elles ont déclaré qu'elles réévalueraient leurs pensées une fois que la FDA l'aurait approuvé.

    Peter Hotez, doyen de l'École nationale de médecine tropicale du Baylor College of Medicine, où son personnel développe actuellement un vaccin, a déclaré:

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  49. "Il n'est pas surprenant qu'un pourcentage significatif d'Américains ne vont pas prendre le vaccin à cause des terribles messages que nous avons reçus, de l'absence d'un plan de communication autour du vaccin et de ce mouvement anti-vaccin très agressif."

    Le sondage souligne comment les clivages politiques entre démocrates et républicains sont antérieurs à la pandémie, mais les blocages ont depuis catalysé de nouveaux clivages et exacerbé les anciens. Cela étant, près de 20% des républicains ont déclaré qu'ils n'avaient aucun intérêt pour un vaccin, ce qui était plus du double de la proportion de démocrates qui ont dit la même chose.

    Avec le milliardaire effrayant Bill Gates et le grand gouvernement précipitant les vaccins dans le développement et pour une production de masse possible l'année prochaine - le mouvement anti-vaccin en Amérique continue de croître.

    Lire "Les manifestations anti-verrouillage s'accélèrent à travers l'Europe à mesure que la deuxième menace de vague COVID-19 émerge", ce qui explique les mouvements anti-vaccins en plein essor dans le monde occidental.

    https://www.zerohedge.com/health/quarter-americans-have-no-interest-taking-covid-vaccine

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  50. Le lavage de cerveau et le nouveau vocabulaire: 12 mots et phrases que nous ne voulons plus jamais entendre


    par Tyler Durden
    Jeu, 21/05/2020 - 16:45
    Rédigé par Daisy Luther via le blog The Organic Prepper,


    Vous vous souvenez comment, après le 11 septembre, il y a eu ce méchant projet de loi qui a formé la TSA et a autorisé toutes sortes de surveillance contre le peuple américain et ils l'ont appelé, ironiquement, le Patriot Act ?

    Bien sûr, nous savions alors que le projet de loi était tout sauf patriotique, ce qui ne l’empêchait pas d’être adopté et de piétiner la constitution. Le mot «patriote» a été perverti par ceux qui étaient au pouvoir et qui voulaient que tout le monde tombe au contact des fouilles inconstitutionnelles dans les aéroports et de nombreuses autres invasions dans notre vie privée.

    Ce qui nous amène à un autre mot qui ne signifie pas ce que les gens pensent que cela signifie - tout a été fait au nom de la «sécurité».

    Si vous avez regardé tout type de couverture médiatique ou lu des articles, vous avez probablement vu ou entendu une pléthore de mots et de phrases qui sont actuellement pervertis en raison de la pandémie de coronavirus. Je ne sais pas pour vous, mais si je n’entendais plus jamais «sûr» ou «nouveau normal», je serais beaucoup plus heureux.

    Si vous avez l'impression que les gens subissent un lavage de cerveau par répétition, c'est parce qu'ils le sont. Tout simplement, ces mots à la mode et plusieurs autres dont nous parlerons sont utilisés pour endoctriner le public. Comme Joseph Goebbels, le ministre du Reich de la propagande de l'Allemagne nazie, a écrit:

    «Si vous dites un mensonge assez gros et que vous le répétez, les gens finiront par le croire. Le mensonge ne peut être maintenu que tant que l'État peut protéger le peuple des conséquences politiques, économiques et / ou militaires du mensonge. Il devient donc d'une importance vitale pour l'État d'utiliser tous ses pouvoirs pour réprimer la dissidence, car la vérité est l'ennemi mortel du mensonge, et donc par extension, la vérité est le plus grand ennemi de l'État. » (la source)

    Nous sommes incroyablement divisés en ce moment et les mots alimentent les arguments enflammés qui se déroulent en ligne et en personne, au cours d'altercations au cours desquelles une partie a l'impression que l'autre est insensible et horrible.

    Jetons un coup d’œil à cette prise de contrôle hostile de notre vocabulaire avec une douzaine de mots que j’aurais voulu éliminer des conversations, de la publicité et des médias.

    1. La nouvelle normalité

    Bien qu'il soit absolument vrai que nous ne retournons jamais à la «normale» comme nous l'étions avant la pandémie, il y a une «nouvelle normalité» qui nous est imposée et qui est manifestement alimentée par la peur. Plus tôt dans le lock-out, j'ai utilisé cette expression à quelques reprises en référence à l'économie. Désolé pour ça.

    La «nouvelle norme» est le plus souvent utilisée pour amener les gens à accepter toute règle inconstitutionnelle ou indigne que les responsables veulent que nous trouvions tolérable, comme des carrés collés sur le sol dans lesquels nous sommes censés nous tenir en attendant dans des lignes correctement espacées. Vous savez comment les chats se recroquevilleront dans un carré scotché au sol comme s'il s'agissait d'une boîte? Maintenant, ils veulent que les humains fassent cela pour avoir le privilège d'acheter de l'alcool ou de la nourriture.

    D'autres activités «nouvelles normales» bizarres consistent à faire prendre votre température par quelqu'un brandissant un pistolet à thermomètre infrarouge, se promenant dans un masque dans les magasins en essayant d'éviter d'autres humains comme si vous jouiez à une sorte de jeu d'étiquette bizarre et hontant publiquement ceux qui n'agissez pas terrifiés parce qu'ils détestent clairement les personnes âgées.

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  51. 2. Nous sommes tous dans le même bateau

    Les phrases saccharines «nous sommes tous dans le même bateau» ou «nous sommes tous dans le même bateau… à part» ont été évoquées au début des blocages. Les célébrités nous ont mal servis avec les chansons de John Lennon. Ils ont fait des vidéos d'eux-mêmes qui regardaient leurs maisons avec inquiétude, nous disant de ne pas nous inquiéter, car "nous sommes tous dans le même bateau". Sauf, bien sûr, qu'ils ont encore des millions de dollars en banque et le reste d'entre nous n'étaient pas censés aller travailler ou ouvrir nos entreprises pour gagner l'argent dont nous avons besoin pour survivre.

    En effet, nous devons tous à ces célébrités une dette de gratitude insondable pour nous avoir rappelé qu’elles aussi sont «dans le même bateau».

    Les médias sociaux ont même créé de petits cadres pour vos photos de profil portant ces mots extrêmement ennuyeux. Des articles nous encourageant à nous asseoir dans nos maisons nous ont rappelé que tout le monde, riches ou pauvres, était «dans le même bateau» aussi. C'est juste que les riches étaient «dans le même bateau sur des yachts et des îles privées tandis que le reste d'entre nous entassés dans la cuisine lors des réunions Zoom avec nos employeurs tout en interdisant à nos enfants de diffuser quoi que ce soit afin d'avoir suffisamment d'Internet.

    3. Restez à la maison.

    Rester à la maison. Restez à la maison.

    Combien de fois avez-vous entendu cette phrase au début du verrouillage ? Vous avez probablement perdu le compte de plus de dix millions. #StayHome était un hashtag viral sur Twitter, les gens ont mis fin aux mises à jour du statut des médias sociaux en encourageant les autres à simplement «rester à la maison» et on nous a tous dit que si nous ne restions pas à la maison, nous risquions la vie de chaque personne que nous aimions et quelques-uns nous détestions parce que nous allions propager inconsciemment le virus et tuer des gens.

    De toute évidence, les seules personnes asymptomatiques étaient les trous a $$ qui ne voulaient pas «rester à la maison». Ils étaient COVID Marys et COVID Marks, propageant sans réfléchir des maladies aux personnes âgées et aux enfants atteints de cancer simplement parce qu'ils ne «resteraient pas à la maison».

    Afin de nous amener à tous les magasins «rester à la maison» dans certains États, il a fallu établir ce que leur gouvernement considérait comme des achats «essentiels» et interdire tous les autres achats même si vous étiez déjà dans le même magasin. (Plus sur le mot «essentiel» dans un instant. Les gens irréfléchis ne se rendaient pas compte que si vous n'achetiez que de la laitue ou un gallon de lait, vous ne transmettriez pas vos cooties. .

    Bon sang. Restez à la maison, imbéciles.

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  52. 4. Distanciation sociale

    Une autre phrase qui me donne envie de grogner méchamment à ceux qui l'utilisent est «distanciation sociale». J'admets, j'ai toujours eu une bulle d'espace personnel invisible que je n'aime pas avoir envahie, mais toute la distance sociale signifie maintenant que les magasins ont des flèches vous indiquant dans quelle direction vous pouvez marcher dans une allée et ce qui précède des boîtes collées ou des X sur le sol pour se tenir dans une ligne de distance sociale appropriée.

    En raison de la «distanciation sociale», nous avons passé des mois à ne pas pouvoir rendre visite à nos proches, aller dans les restaurants pour manger ou aller dans les allées des magasins d'alcools pour sélectionner notre propre whisky indispensable. Nous continuerons à prendre des distances sociales de toutes sortes de façons ridicules dans le futur "nouveau normal", les sites ne permettant qu'une petite partie de leur ancienne capacité de clients à l'intérieur à la fois.

    5. Six pieds

    Main dans la main avec l'éloignement social est l'expression «six pieds». Si quelqu'un s'approche trop près de vous dans le magasin, vous pouvez crier avec colère derrière votre masque, "Six pieds, mofo !" et c'est parfaitement acceptable. Six pieds est l'étalon-or, la bulle de protection qui vous garde «en sécurité» contre COVID 19 lorsque vous ne pouvez pas «rester à la maison».

    Tous ces X sur le sol des magasins sont mesurés à six pieds l'un de l'autre. Les enfants qui retournent à l'école devront rester à six pieds des autres enfants tout en marchant autour de l'aire de jeux en triste formation. Les bureaux sont en cours de refonte afin que chacun puisse rester à six pieds de tout le monde.

    6. Essentiel

    Le mot «essentiel» a également été corrompu. Si vous avez pu continuer à travailler tout au long du verrouillage, c'est parce que vous étiez un travailleur «essentiel» effectuant un travail «essentiel». «Essentiel» a été défini séparément par le gouverneur de chaque État, il variait donc d'un endroit à l'autre. Ma fille, qui travaille dans un magasin de produits de beauté, n'était pas au départ «essentielle» mais un mois après que les racines de tout le monde ont commencé à se montrer, elle est devenue essentielle et a obtenu les papiers de voyage pour le prouver.

    Le mot «essentiel» a également été utilisé pour décrire les achats que le gouvernement jugeait suffisamment importants pour que vous puissiez faire en personne et pour les voyages à l'extérieur du domicile. Il était «essentiel» d'aller à l'épicerie, au médecin, à la pharmacie et de promener votre chien. Cependant, le chien devait être promené dans les rues du quartier avec toutes les autres personnes promenant essentiellement leurs chiens, plutôt que sur un sentier dans la forêt uniquement, car les sentiers étaient fermés parce qu'ils n'étaient pas essentiels.

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  53. 7. Pivot

    Selon l'entreprise dans laquelle vous travaillez, vous avez peut-être entendu le mot «pivot» jusqu'à ce que vous vouliez vomir. Les petites entreprises étaient très occupées à «pivoter» pour essayer de rester à flot tandis que les prêts qui leur étaient destinés allaient à des milliardaires et à des sociétés géantes. Vous pouvez «pivoter» en fabriquant quelque chose d'autre - quelque chose d '«essentiel» comme un désinfectant pour les mains - ou en offrant la livraison ou la collecte sélective de vos produits.

    Une partie du «pivot» était simplement un marketing différent. Achetez ce savon à lessive, car nous y lavons des vêtements pour les professionnels de la santé. Achetez notre voiture, car nous soutenons les travailleurs essentiels. Achetez chez nous, car voici comment nous assurons la sécurité de nos employés.

    D'autres «pivots» permettaient aux gens de travailler à domicile, soutenaient vos clients de différentes manières et vendaient des marchandises à une distance sociale appropriée, comme vendre littéralement de nouveaux véhicules sur Internet et les déposer dans les allées des gens.

    8. Temps incertains ou sans précédent

    Combien d'e-mails pourraient éventuellement avoir la ligne d'objet commençant par «en ces temps incertains» ou «en ces temps sans précédent» ?

    Il s'avère que, beaucoup. Je ne peux pas énumérer le nombre d’e-mails que j’ai reçus pour m’assurer que diverses sociétés me soutenaient en ces «temps incertains». Tout le monde, de Victoria’s Secret à mon fournisseur de services Internet, m’a envoyé un message me faisant savoir comment ils faisaient des affaires en ces «temps sans précédent».

    Les marques de voitures avaient des publicités expliquant pourquoi vous aviez besoin d'un véhicule particulier en ces temps incertains, car nous avons tous absolument besoin d'une nouvelle voiture pendant que l'entreprise qui nous emploie essaie de pivoter. Les articles ont fait les gros titres sur la façon de gérer ces «temps incertains». J'avoue, moi aussi j'avais un article sur l'incertitude au début de la crise. Encore une fois, désolé d'avoir utilisé ce mot.

    L'utilisation continue de ce mot rend les gens désireux de s'accrocher à tout ce qui est «certain». Cela leur donne envie d’accepter «la nouvelle norme» afin qu’ils n’aient pas à être aussi «incertains». Et comme tout cela est "sans précédent", nous n'avons aucune idée de ce que sera cette "nouvelle normalité", donc ça peut être n'importe quoi, aussi draconien soit-il.

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  54. 9. Aplatissez la courbe

    Lorsque les blocages ont été annoncés pour la première fois en mars, tout l'objectif était «d'aplatir la courbe». Cela signifiait que les hôpitaux ne seraient pas submergés comme les hôpitaux d'Italie et de Chine. Au lieu d'un graphique remontant directement dans la stratosphère, nous aurions une pente douce, espaçant les maladies.

    Tout a consisté à «aplatir la courbe». Vous ne pouvez pas "aplatir la courbe" lors de la conduite de vos affaires. CBS News a expliqué (en utilisant 4 de nos mots et phrases les moins préférés):

    Les communautés sont invitées à pratiquer l'éloignement social, certaines écoles ferment, les événements sportifs et culturels sont annulés et les entreprises demandent aux employés de travailler à domicile - même s'ils ne présentent pas de symptômes de coronavirus. Beaucoup se demandent pourquoi ils sont essentiellement auto-mis en quarantaine malgré le fait qu'ils ne soient pas malades. La réponse a à voir avec «l'aplatissement de la courbe» - une réponse qui pourrait laisser certaines personnes confuses.

    Vous avez probablement vu des graphiques "aplatir la courbe" utilisés dans des articles et partagés sur les réseaux sociaux comme un moyen d'expliquer l'importance d'une réponse agressive pour freiner la propagation du coronavirus. Mais qu'est-ce que cela signifie pour aplatir la courbe, et comment le faisons-nous ?

    Vendredi sur «CBS This Morning», le correspondant médical en chef de CBS News, le Dr Jon LaPook, a expliqué ce qui est devenu un mot à la mode à la suite de l'épidémie.

    «Cela vaut-il vraiment la peine de faire toutes ces distanciations sociales et de se laver les mains ? La réponse est oui », a déclaré le Dr LaPook. «Normalement, en ce moment - sans aucune mesure - l'épidémie pourrait augmenter [fortement] et diminuer. Ce nombre maximal de cas pourrait surcharger le système et c'est ce qui inquiète les gens. » (la source)

    Malheureusement, même après que la courbe a été aplatie dans tout le pays en avril, cela ne suffisait plus. Beaucoup de gens sont toujours bloqués à la maison et de nombreuses entreprises ne peuvent toujours pas rouvrir.

    10. Coffre-fort

    Le mot le plus utilisé dans toute cette liste de vocabulaire détourné doit être «sûr».

    Si prendre une photo chaque fois que vous entendiez ou lisez le mot «sûr» était un jeu d’alcool, nous serions tous perdus avant 9 h 30. De tous les mots que je ne veux plus jamais utiliser, «sûr» est l'avant-dernier. Le mot a déjà été quelque peu détourné par le non-sens des «espaces sûrs» où les gens étaient censés aller quand ils se sentaient vulnérables parce que quelqu'un disait quelque chose de méchant ou portait un chapeau MAGA autour d'eux.

    Maintenant, «sûr» a traversé le Rubicon. Tous les autres articles sur Internet parlent de rester «en sécurité». Les chapiteaux d'église veulent que vous restiez loin du service pour être «en sécurité». Au lieu de dire «au revoir» ou «à plus tard», la salutation lorsque quelqu'un part est maintenant et implore de «rester en sécurité».

    Certaines choses qui allaient bien mais qui ne sont plus sécuritaires sont: les enfants qui jouent dans une aire de jeux, les adultes qui se serrent la main avec d'autres adultes quand ils font des affaires, font une randonnée, mangent à une table dans un restaurant, se font couper les cheveux, ou s'amuser fondamentalement de quelque façon que ce soit au-delà de jouer à un jeu sauvage de Scrabble contre ceux avec qui vous «restez à la maison».

    Vous savez tous que Ben Franklin cite la sécurité et la liberté. Je ne vais même pas le citer.

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  55. 11. et 12. Mentions déshonorantes: «enrayer la propagation» et «se laver les mains»

    Bien que je ne sois pas tout à fait au même niveau vertigineux que les mots ci-dessus, je suis également assez malade d'entendre parler de "freiner la propagation" du coronavirus et "se laver les mains".

    Tout d'abord, chaque entreprise qui m'a envoyé un e-mail «incertain» ou «sans précédent» voulait que je sache ce qu'elle faisait pour «freiner la propagation» du virus. Chaque conférence de presse de la Maison Blanche ou du gouverneur expliquait avec une profonde sincérité comment le respect de toutes les règles entraînerait un «frein à la propagation» de COVID19. (Bien sûr, ils ont également déclaré que le verrouillage ne durerait que pendant 2 semaines, et ici, nous émergeons enfin 60 jours plus tard dans certaines parties du pays, presque aussi longtemps que je l'avais prédit dans l'analyse que j'ai écrite en mars quand un tas de lecteurs ont dit que j'étais fou. Permettez-moi également de noter que le verrouillage n'a pas encore été complètement levé dans plusieurs régions très peuplées des États-Unis.)

    Et je me lavais déjà les mains, merci beaucoup. Si vous avez besoin qu'on vous dise de vous laver les mains à l'âge adulte, vous avez clairement manqué certaines leçons importantes de votre enfance.

    Voilà à quoi ressemble le lavage de cerveau.

    Si vous vous êtes déjà demandé ce que c'était que de laver le cerveau de quelqu'un, voici à quoi ça ressemble. Ayant les mêmes mots utilisés à plusieurs reprises, des mots qui signifiaient quelque chose, jusqu'à ce qu'ils commencent à sortir de votre bouche aussi. Lorsque vous entendez régulièrement ces phrases et que le contraire de ces phrases est utilisé pour inciter à une peur irrationnelle, c'est un lavage de cerveau.

    Je ne suis pas un dingue paranoïaque portant du diadème en papier d'aluminium quand je vous dis que nous sommes tous les cibles d'une opération médiatique pour nous faire accepter cette «nouvelle norme» scandaleuse et draconienne. Lorsque vous entendez des choses encore et encore, lorsque vous entendez un script provenant des médias grand public, des médias sociaux, de votre meuf d'un voisin qui repousse des enfants jouant à l'extérieur, et quand chaque autre article contient un ou plusieurs de ces mots dans le titre, il y a un ordre du jour.

    Et ce programme va entraîner la perte de plus de liberté et l'ajout de plus de surveillance. (Toute personne à la recherche d'un emploi de recherche de contacts ?)

    Je ne dis pas que ce virus n’était pas réel ou qu’il ne constituait pas une menace pour la santé publique. C'était. Le fait que les choses n’aient pas été aussi mauvaises que prévu ne signifie pas que les mesures prises étaient inutiles - cela signifie qu’elles ont fonctionné. Mais cela ne signifie pas que ces mesures doivent être poursuivies à tout jamais.

    Cependant… comme pour tout, lorsque le gouvernement obtient un peu plus de pouvoir et de contrôle, il devient plus gourmand. Ils n'ont pas laissé cette crise se gâcher, et ils ne laissent pas l'herbe pousser sous leurs pieds pendant qu'ils complotent pour rendre toutes ces bêtises permanentes.

    Une population effrayée et endoctrinée est une population facile à contrôler.

    Quels mots vous rendent fou ?

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  56. Quels mots ou expressions vous donnent envie de vous jeter (ou de la personne qui les utilise) dans le trafic venant en sens inverse ?

    Peut-être que je suis juste grincheux après avoir été enfermé pendant 2 mois, mais je suis stupéfait que toutes mes dents aient survécu sans être fissurées alors que je serre ma mâchoire d'agacement chaque fois que j'entends ou lis ces phrases.

    Si vous vous surprenez à utiliser ces mots, s'il vous plaît, pour l'amour des chatons, ARRÊTEZ. Arrêtez de perpétuer la propagande.

    https://www.zerohedge.com/political/brainwashing-new-vocabulary-12-words-phrases-we-never-want-hear-again

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    Réponses

    1. Sans parler du 'réchauffement climatique' ! Hahaha ! QUI NE VEUT PAS VENIR ! Les raisins ont près de 2 mois de retard !
      Des melons et pastèques qui ne mûrissent pas ! Les hivers sont de plus en plus froids. Suffit de demander aux paysans et non à des 'journalistes' ou 'climatologue/ventologues.pluitologues' !

      Vous devez respecter les distances ! Hahaha ! Les boxeurs obligés de boxer à 3 m, les pelotons au Tour de France seront interdits ! Distances 3 mètres ! Basket, Volley-ball, Foot-ball, escrimes, tiercé hippique, etc. Trottoirs élargis, bouchons routiers interdit. Couchez à 3 m de votre femme !

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  57. Un responsable du Parti démocrate admet qu'il a pris des pots-de-vin pour remplir des urnes


    par Tyler Durden
    Jeu, 21/05/2020 - 16:25

    Le bureau du procureur américain de Philadelphie a obtenu un plaidoyer de culpabilité d'un juge des élections du Parti démocrate, qui a admis avoir accepté des pots-de-vin pour remplir des urnes en faveur de candidats démocrates en 2014, 2015 et 2016.

    Selon le ministère de la Justice, Domenick J. DeMuro, 73 ans, a été inculpé pour "complot visant à priver les électeurs de Philadelphie de leurs droits civils en bourrant frauduleusement les urnes de candidats démocrates spécifiques", ainsi que pour violation de la loi sur les voyages, qui "interdit l'utilisation de toute installation dans le commerce interétatique (ici, un téléphone portable) dans le but de promouvoir certaines activités illégales (ici, la corruption)."

    DeMuro a facturé jusqu'à 5 000 $ par élection pour truquer les votes d'un "consultant politique" anonyme, qui à son tour a facturé à ses clients des "honoraires de consultation" qui ont été utilisés pour rembourser plusieurs fonctionnaires du Conseil électoral.

    Le juge des élections est un poste électif et un poste rémunéré. À ce titre, DeMuro était chargé de superviser l'ensemble du processus électoral et les activités des électeurs de sa division. Le juge des élections est chargé de superviser le bureau de scrutin de la division conformément aux lois électorales fédérales et étatiques et doit suivre une formation sur le conseil électoral dispensée par les commissaires de Philadelphie.

    Les machines à voter de chaque bureau de vote, y compris le bureau de DeMuro, génèrent des enregistrements sous la forme d'un reçu imprimé documentant l'utilisation de chaque machine à voter. Le reçu imprimé, également connu sous le nom de «reçu des résultats», indique le total des votes, et le juge des élections et les autres fonctionnaires du bureau des élections de chaque bureau de vote attestent de l'exactitude des résultats de la machine.

    Au cours de son audience de plaidoyer de culpabilité, DeMuro a admis qu'un consultant politique anonyme avait donné à DeMuro des instructions et lui avait payé de l'argent pour ajouter illégalement des voix à certains candidats démocrates. Ces candidats étaient des candidats à des fonctions judiciaires dont les campagnes avaient embauché le consultant, ainsi que d'autres candidats à divers postes électifs fédéraux, étatiques et locaux qui étaient préférés par ce consultant pour diverses raisons. -DOJ

    "DeMuro a frauduleusement bourré l'urne en se tenant littéralement dans une cabine de vote et en votant encore et encore, aussi vite qu'il le pouvait, alors qu'il pensait que la côte était dégagée", a déclaré le procureur américain William M. McSwain. "Le vote est la pierre angulaire de notre démocratie. Si un seul vote est frauduleusement déclenché, l'intégrité de cette élection est compromise."

    https://www.zerohedge.com/political/democratic-party-official-admits-he-took-bribes-stuff-ballot-boxes

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  58. Vidéo de censure de YouTube avec des médecins disant que l'hydroxychloroquine pourrait aider à traiter COVID-19


    par Tyler Durden
    Jeu, 21/05/2020 - 15:20
    Écrit par Daniel Payne via JustTheNews.com,


    Mercredi, YouTube a rétabli une vidéo qu'il avait précédemment censurée dans laquelle plusieurs médecins suggéraient que le médicament hydroxychloroquine pourrait être utile dans le traitement du coronavirus, la société affirmant au moment de la censure que la présentation était "dangereuse".

    Le rapport vidéo, présenté par Sharyl Attkisson à Full Measure News, a examiné les avantages possibles de l'hydroxychloroquine comme traitement du COVID-19 et l'intérêt financier éventuel de certaines parties à minimiser le médicament et à promouvoir un traitement distinct appelé remdesivir.

    L'un des médecins interrogés dans la vidéo, William O'Neill, a déclaré à Attkisson, également contributeur de Just the News, qu'il y avait "une certaine valeur" à l'hydroxychloroquine et "qu'elle devait être testée".

    O'Neill, cardiologue à Détroit, a prescrit le médicament à plusieurs patients et "a constaté une amélioration chez chacun d'eux", a indiqué Attkisson.

    Au Henry Ford Health System, où O'Neill travaille, les responsables travaillent avec l'hydroxychloroquine et le remdesivir. Le médecin a déclaré que la campagne médiatique contre le médicament, qui a commencé à peu près au moment où le président Trump a commencé à le vanter, a laissé les patients "effrayés d'utiliser le médicament sans aucune préoccupation scientifiquement valable".

    "Nous avons parlé avec nos collègues de l'Université du Minnesota qui font une étude similaire et de l'Université de Washington", a-t-il déclaré.

    "Nous avons traité 400 patients et nous n'avons vu aucun événement indésirable. Et ce qui se passe à cause de ces fausses nouvelles et de ces fausses sciences, les vrais efforts scientifiques sont compromis parce que les gens sont maintenant tellement inquiets qu'ils ne veulent pas s'inscrire aux essais. "

    Un autre médecin, le Dr Jane Orient, le directeur exécutif de l'Association des médecins et chirurgiens américains ainsi qu'un professeur clinique au University of Arizona College of Medicine, a exhorté les téléspectateurs à "regarder l'argent" en ce qui concerne les deux médicaments .

    "Il n'y a pas de gros bénéfices réalisés avec l'hydroxychloroquine", a déclaré Orient.

    "Il est très bon marché, facile à fabriquer, existe depuis 70 ans. Il est générique. Le remdesivir est un nouveau médicament qui pourrait être très cher et très lucratif s'il est jamais approuvé. Je pense donc que nous devons vraiment considérer qu'il y a un intérêt financier impliqué ici."

    «Ce sont des efforts organisés»

    Mercredi après-midi, Sharyl Attkisson a déclaré à Just the News qu'il n'était pas immédiatement clair quand la vidéo a été supprimée

    Il a été initialement téléchargé sur YouTube il y a deux jours. Attkisson a déclaré que YouTube avait supprimé la présentation avec une note affirmant qu'elle était "dangereuse", sans fournir d'explication quant à la raison.

    Elle a déclaré que Full Measure News avait fait appel de la suppression, après quoi YouTube l'a ensuite rétabli.

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  59. Attkisson a cité un rapport critique de Media Matters, publié le même jour que son rapport, comme la cause probable du renvoi.

    "Ce sont des efforts organisés", a-t-elle déclaré, arguant que les partis politiques avaient des efforts pour supprimer ou censurer les informations contraires sur les réseaux sociaux.

    "Ils savent qu'ils peuvent utiliser ces systèmes pour limiter l'information. C'est très effrayant parce que j'ai l'impression que si quelque chose n'est pas fait, dans cinq ans, nous allons dire à nos enfants:" Il était une fois où nous pouvions obtenir toutes les informations que nous recherché sur Internet. Cela change. Nous ne pouvons plus. "

    Elle a noté les efforts récents du représentant démocrate Adam Schiff, président de la House Intelligence Committee, pour faire pression sur les sociétés de médias sociaux pour censurer et rétrograder le matériel lié aux coronavirus "nuisibles" et pousser les utilisateurs à la place vers des informations de l'Organisation mondiale de la santé.

    "Je ne sais pas pourquoi nous autorisons cela", a déclaré Attkisson.

    "Personne n'a nommé Adam Schiff pour contrôler notre contenu sur les réseaux sociaux."

    Full Measure News a noté qu'elle avait tenté de contacter le Dr Anthony Fauci, membre du groupe de travail sur les coronavirus de la Maison Blanche, la société pharmaceutique Gilead (qui fabrique du remdesivir) et de nombreux médecins qui ont "critiqué ou sont sceptiques à l'égard de l'hydroxycholoroloquine". Aucun n'a répondu aux demandes d'entrevue.

    https://www.zerohedge.com/health/youtube-censors-video-medical-doctors-saying-hydroxychloroquine-might-help-treat-covid-19

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  60. Qui pousse l'idée d'une épidémie; Quels sont leurs crimes ?


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    22 mai 2020


    «Il n'est tout simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique publiée ou de se fier au jugement de médecins de confiance ou à des directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédacteur en chef du New England Journal of Medicine. » –Marcia Angell, MD («Drug Companies and Doctors: A story of Corruption». NY Review of Books, 15 janvier 2009.)

    Avec ma couverture de la soi-disant pandémie, nous voyons de nombreux nouveaux lecteurs apparaître et prêter attention. Je veux donc exposer quelques faits sur le système médical moderne - faits que j'ai présentés à plusieurs reprises au cours des 10 dernières années.

    Je le fais à cause d'une petite chose appelée RÉPUTATION. Si les antécédents des principaux responsables médicaux étaient vraiment compris, les gens ignoreraient leurs déclarations actuelles d'un simple coup d'œil. Des déclarations comme: LE VIRUS S'ÉPANDE; C'EST UNE ÉPIDÉMIE MAJEURE; NOUS TESTONONS UN NOUVEAU VACCIN PROTECTEUR ET TOUT LE MONDE DOIT LE PRENDRE.

    J'expose également des faits parce que la MORT MÉDICALE EST MORTÉE est systématiquement balayée sous le tapis par la presse grand public. En fait, en raison du silence des médias, le sujet des dommages médicaux se situe là où se trouvait le sujet des aliments gravement empoisonnés au 19e et au début du 20e siècles. À cette époque, des transformateurs alimentaires géants avaient créé leur propre Far West, où ils pouvaient vendre du poison mortel (manger, tomber mort) caché dans les produits. La presse a contribué à dénoncer ces crimes et à transpercer le public, ce qui a conduit à des réformes partielles. Aujourd'hui, dans le domaine médical, la presse est partenaire des crimes capitaux.

    Les principaux responsables médicaux sont assis sur une bombe à retardement. L'éventail des mutilations et des meurtres médicaux est étonnant.

    Imaginez une audience du Congrès tenue devant les caméras des médias, avec des journalistes du monde entier prêts avec des faits choquants sur l'une des principales causes de décès ...

    SÉNATEUR: Monsieur, j'ai devant moi les chiffres des décès médicaux courants. Comment pouvez-vous garder ce secret du public ?

    COMMISSAIRE DE LA FDA: Ce n'est pas un secret, monsieur. De nombreux experts le savent.

    SÉNATEUR: Je regarde le budget fédéral de mille milliards de dollars. Je cherche l'argent alloué pour régler cette horrible situation. Où sont ces fonds ?

    COMMISSAIRE DE LA FDA: Nulle part. Ne nous blâmez pas.

    SÉNATEUR: Pourquoi pas ?

    COMMISSAIRE DE LA FDA: Parce que nous ne pouvons jamais être démantelés. Nous sommes éternels. Dieu a créé la FDA. Dieu a créé le CDC.

    Je sais que les principaux médias n’enquêteront pas sur les décès dus à des raisons médicales, parce que je publie des rapports depuis des années et j’ai contacté les journalistes avec les faits; et rien ne se passe.

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  61. Nous commençons donc par quelques citations.

    26 juillet 2000, Journal de l'American Medical Association; l'auteure, la Dre Barbara Starfield, vénérée experte en santé publique à la Johns Hopkins School of Public Health; "La santé américaine est-elle vraiment la meilleure au monde ?"

    Starfield a rapporté que le système médical américain tue 225 000 Américains par an. 106 000 en raison de médicaments approuvés par la FDA et 119 000 en raison de mauvais traitements et d'erreurs dans les hôpitaux. Extrapoler les chiffres à une décennie: c'est 2,25 millions de morts. Vous voudrez peut-être relire ce dernier numéro.

    J'ai interviewé Starfield en 2009. Je lui ai demandé si elle était au courant des efforts globaux déployés par le gouvernement américain pour éliminer cet holocauste et si elle avait déjà été contactée par un organisme gouvernemental pour consulter sur un tel effort. Elle a répondu par un NON retentissant aux deux questions. Elle a également déclaré que son estimation des décès d'origine médicale en Amérique était du côté conservateur.

    Voici une autre citation: BMJ 7 juin 2012 (BMJ 2012: 344: e3989). Auteur, Jeanne Lenzer. Lenzer se réfère à un rapport de l'Institute for Safe Medication Practices: «Il [l'Institut] a calculé qu'en 2011, les médicaments sur ordonnance étaient associés à deux à quatre millions de personnes aux États-Unis souffrant de blessures graves, invalidantes ou mortelles, dont 128 000 décès. «»

    Le rapport a appelé cela "l'un des dangers les plus importants pour l'homme résultant de l'activité humaine."

    Le rapport a été compilé par des chercheurs extérieurs qui sont entrés dans la propre base de données de la FDA des «événements indésirables [médicamenteux] graves».

    Par conséquent, dire que la FDA n'est pas au courant de cette conclusion serait absurde. La FDA le sait. La FDA le sait et ne dit rien à ce sujet, car la FDA certifie, comme sûrs et efficaces, tous les médicaments qui mutilent et tuent régulièrement les Américains. Chaque agence de santé publique connaît la vérité.

    Voici une autre citation: L'article est, "L'épidémie de maladie et de mort par les médicaments sur ordonnance." L'auteur est Donald Light, qui enseigne à l'Université de Rowan, et a été le récipiendaire 2013 du Distinguished Career Award de l'ASA [American Sociological Association] pour la pratique de la sociologie. Light est membre fondateur du Center for Bioethics de l'Université de Pennsylvanie. En 2013, il était boursier au Edmond J. Safra Center for Ethics à Harvard. Il est professeur invité Lokey à l'Université de Stanford.

    Donald Light: «Sur le plan épidémiologique, les médicaments d'ordonnance prescrits de manière appropriée sont la quatrième cause de décès, en lien avec un AVC avec environ 2 460 décès par semaine aux États-Unis. Aux États-Unis et en Europe, environ 330 000 patients meurent chaque année de médicaments sur ordonnance. Ils [les médicaments] provoquent une épidémie d'environ 20 fois plus d'hospitalisations [6,6 millions par an], ainsi que des chutes, des accidents de la route et [annuellement] environ 80 millions de problèmes médicalement mineurs tels que des douleurs, des inconforts et des dysfonctionnements qui entravent la productivité ou la capacité de prendre soin des autres. Les décès et les effets indésirables de la surmédication, des erreurs et de l'automédication augmenteraient ces chiffres. » (Publication ASA, «Footnotes», novembre 2014)

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  62. —Une autre étude, publiée dans le Journal de l'American Medical Association le 15 avril 1998: «Incidence des effets indésirables des médicaments chez les patients hospitalisés». C'est aussi ahurissant.

    Les auteurs, dirigés par Jason Lazarou, ont aboli 39 études antérieures sur des patients hospitalisés. Ces patients, qui ont reçu des médicaments dans les hôpitaux ou ont été admis dans des hôpitaux parce qu'ils souffraient des médicaments que les médecins leur avaient administrés, ont connu le sort suivant:

    Aux États-Unis, entre 76 000 et 137 000 patients hospitalisés meurent chaque année des suites directes des médicaments.

    Au-delà de cela, chaque année, 2,2 millions de patients hospitalisés subissent de graves effets indésirables des médicaments.

    Les auteurs écrivent: «… Notre étude sur les effets indésirables [effets indésirables des médicaments], qui exclut les erreurs de médication, avait un objectif différent: montrer qu'il existe un grand nombre d'effets indésirables même lorsque les médicaments sont correctement prescrits et administrés.»

    Cette étude n'avait donc rien à voir avec les erreurs du médecin, les erreurs de l'infirmière ou une mauvaise combinaison de médicaments. Et il ne comptait que les personnes tuées qui ont été admises dans les hôpitaux. Il n'a pas commencé à compter toutes les personnes prenant des produits pharmaceutiques qui sont décédées des suites des médicaments, sans être admises à l'hôpital. (Remarque: aucune des études et des critiques que je cite dans cet article n'inclut les dommages et les décès dus aux vaccins.)

    Les statistiques que je cite révèlent un problème humain au niveau d’un tsunami qui déferle sur toute l’Amérique et l’Europe.

    Pourquoi les grands médias ne rapportent-ils pas ces faits et ne réfléchissent-ils pas à leur signification?

    La raison évidente: leurs annonceurs pharmaceutiques qui dépensaient beaucoup les déposaient comme des pommes de terre chaudes.

    Mais il y a d'autres raisons.

    Chaque bureaucrate médical, médecin ou expert médical qui monte à bord du train médiatique pour assurer au public que les médicaments et les vaccins sont remarquablement sûrs est assis sur la bombe à retardement que j'ai décrite ci-dessus.

    Si cette bombe était largement reconnue, qui continuerait à croire ces experts professionnels ? Qui accepterait tout ce qu'ils disent ? Comment pourraient-ils éventuellement maintenir leur crédibilité ?

    «Eh bien, le système que je représente tue 2,25 millions de personnes par décennie et mutile entre 20 et 40 millions de personnes supplémentaires par décennie, mais je tiens à vous assurer que ce vaccin ne présente aucun problème. C'est incroyablement sûr. "

    Chaque déclaration, sur n'importe quel sujet, émise par le biais du ministère de la Vérité du cartel médical (les principaux médias), tomberait dans l'oreille des incrédules et ne ferait qu'augmenter l'indignation générale.

    Les journalistes, éditeurs et éditeurs grand public sont bien conscients que dire la vérité nuirait à une institution fondamentale de la société.

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  63. Les médias sont là pour donner de la crédibilité à la société et à ses structures. C’est pourquoi ils sont appelés «majeurs» au lieu de «mineurs».

    Lorsque les fortes pluies tombent, les médias sont là avec un parapluie pour tenir la tête de la société organisée. Se retirer au milieu d'une averse laisserait le statu quo sans protection.

    «Défendre la Couronne» est une autre façon de le dire. Le roi peut faire des erreurs, il peut commettre des délits odieux, mais il est le roi, et donc sa position doit rester sûre.

    Les jeunes journalistes apprennent rapidement ce point. Si dans leur zèle, ils franchissent le seuil et tentent d'exposer un mythe central, conte de fées, légende, ils sont remis à leur place. Ils absorbent le message. Le journalisme a des limites. Certaines vérités sont des vérités silencieuses.

    Au fil des ans, j’ai parlé à des journalistes qui sont solidement accros à l’obscurcissement. Comme tout toxicomane, ils ont une armée d'excuses pour rationaliser leur comportement.

    Les experts médicaux sont pires. Leur prétention à l'idéalisme ne connaît pas de limites et n'a d'égal que leur prétention fatale à une connaissance à toute épreuve.

    Lorsque vous enlevez le placage, ce sont des facilitateurs, des personnes d'intérêt, des co-conspirateurs.

    Il n'y a rien de tel qu'un membre haut placé, socialement positionné et porteur de cartes du cercle de protecteurs du Roi. L'arrogance est titanesque. Parce que ce qui est caché est tellement explosif.

    Il est du devoir de la Couronne de faire en sorte que ses sujets se sentent en sécurité, protégés et même aimés.

    Pas étonnant qu'il ait besoin d'une si grande armée d'aides qualifiés dans et autour de la presse.

    Il les a.

    Mais leur monopole s'effondre.

    Nous sommes dans un nouveau niveau de vérité. C'est ce qu'on appelle les médias indépendants.

    Donc… au sujet des épidémies, lorsque les responsables de la santé publique, leurs facilitateurs gouvernementaux, la presse conforme et les médecins nous disent qu'un nouveau virus balaie le monde, un vaccin l'arrêtera et nous devons prendre ce vaccin… pourquoi quelqu'un devrait-il faire la queue et accepter ses paroles?

    Les menteurs professionnels, les criminels professionnels peuvent prétendre qu'ils font jaillir la science, mais ils comptent simplement sur l'ignorance du public.

    Il peut vous intéresser de savoir que le système américain de déclaration des effets indésirables graves des vaccins est rompu. Il n'y a pas de chiffres fiables.

    Barbara Loe Fisher, du Centre national privé d'information sur les vaccins, a établi une estimation raisonnable:

    «Mais combien d'enfants ont des réactions vaccinales [indésirables] chaque année? Est-ce vraiment seulement un sur 110 000 ou un sur un million qui reste invalide de façon permanente après la vaccination? L'ancien commissaire de la FDA, David Kessler, a observé en 1993 que moins de 1% des médecins signalaient des événements indésirables suite à l'utilisation de médicaments sur ordonnance. [Voir DA Kessler, «Introducing MEDWatch», JAMA, 2 juin 1993: 2765-2768] »

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  64. «Selon certaines estimations, moins de 5 à 10% des médecins signalent des hospitalisations, des blessures, des décès ou d'autres problèmes de santé graves après la vaccination. La loi de 1986 sur les blessures par vaccin ne prévoyait aucune sanction légale en cas de non-déclaration; les médecins peuvent refuser de se présenter et n'en subir aucune conséquence. »

    «Même ainsi, chaque année, environ 12 000 déclarations sont faites au Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins [VAERS]; les parents ainsi que les médecins peuvent faire ces rapports. [Voir RT Chen, B. Hibbs, «Vaccine safety», Pediatric Annals, juillet 1998: 445-458] »

    «Cependant, si ce nombre ne représente que 10% de ce qui se passe réellement, le nombre réel pourrait être de 120 000 événements indésirables liés au vaccin [par an]. Si les médecins signalent des réactions au vaccin aussi rarement que le Dr Kessler a déclaré qu'ils signalent des réactions aux médicaments sur ordonnance, et que le nombre de 12 000 ne représente que 1% du total réel, alors le nombre réel pourrait être de 1,2 million d'événements indésirables dus au vaccin chaque année.

    L'analphabétisme médical dans la population - les experts en santé publique et les titans pharmaceutiques s'en régalent. Cela leur permet de s'en tirer tous les jours avec des meurtres de masse.

    Pour ceux qui pensent que le meurtre est un mot trop fort, je terminerai par ceci: c'est simple - quand vous êtes dans une profession qui continue de tuer et de mutiler des gens à un rythme tragique et étonnant, et vous le savez et ne faites rien à ce sujet , tu es coupable. Période. Aucune évasion ou excuse ne change le fait.

    CE SONT les gens qui vous disent de croire leur histoire sur une pandémie. CE SONT les gens qui prétendent que le village doit être dynamité pour le sauver.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2020/05/jon-rappoport/who-pushes-the-idea-of-an-epidemic-what-are-their-crimes/

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  65. LES FRANÇAIS SE DÉBROUILLENT BIEN MIEUX SANS « EUX » !


    par CHARLES SANNAT
    22/05/2020


    57% de la création de richesse en France finit dans les caisses de l'Etat.

    Ce n’est pas de moi, c’est la « Une » actuelle du magazine Marianne qui revient sur une liste à la Prévert de portraits de Français d’en bas, nos concitoyens, derniers de cordée, de ceux qui ne sont rien, mais qui font tout… Ils ramassent nos ordures, nous permettent d’acheter à manger, nous produisent de quoi ne pas être affamés, et même le papier wc pour s’essuyer !

    Marianne leur oppose les premiers de cordée qui sont les premiers à être inoccupés et de citer l’exemple de tous ces consultants de hauts niveaux ! Accenture, McKinsey, Mazars et les autres, « leur domaine d’excellence ? les notions insérées dans des tableaux excel, les procédures colorisée sur papier glacé, les formalité – pardon, les « process »- soulignés sur les slides PowerPoint » !

    J’en rigole encore de la lecture de cet article, ces toujours plus proches de la direction et toujours très loin de la base ne servent strictement à rien dans le vrai monde.

    Le vrai monde c’est celui qui tient notre pays et tous les autres, loin, très loin de tous ces parasites que tous les petits et ceux qui ne sont rien payent et financent de leur pauvreté !

    Nous sommes pauvres parce que la parasitocratie nous tond !
    L’Etat prélève aujourd’hui 57 % de la production de richesses de ce pays. En réalité plus, puisque l’Etat c’est aussi le public, et la sphère publique se prélève moins elle-même – bien qu’elle soit suffisamment délirante pour réussir à s’imposer en partie elle-même – mais l’essentiel de la ponction fiscale se trouve sur la création de richesses du privé… jusqu’à 80 % d’impôts et taxes, il faut dire qu’il y en a plus de 200 dans notre pays.

    Pourquoi ?

    La pandémie a cruellement montré que l’Etat ne sert plus à rien si ce n’est à nous emmerder !

    Tout simplement.

    Quelle est l’efficacité de ce pouvoir ?

    Nous pouvions dire avant « les impôts sont chers, mais nous avons le meilleur système de santé du monde ». Cette affirmation n’est plus vraie. Elle est devenue fausse, mais nous avons la pression fiscale la plus forte.

    Les parasites qui ont pris partout le pouvoir ne valent plus un clou.

    Ils ne pensent qu’à s’enrichir.

    Ils ne savent plus servir.

    Ils ne savent plus que sévir…

    Amendes, répression, punition…

    Pourquoi ?

    Pour se maintenir et perpétuer la pompe à fric pour les zautres.
    Les zautres c’est qui ?

    Ceux qui pompent vos sous, consciencieusement. Avidement.

    Les multinationales et le totalitarisme marchand.

    Oui, nous l’Etat bloque tout, y compris l’achat et le commerce de masques quand nous en avions tant besoin.

    Oui nous pouvons nous débrouiller sans l’Etat.

    Mieux, nous devons nous débrouiller sans l’Etat.

    La liberté se paye le prix de la responsabilité individuelle.

    C’est un bien faible prix pour un bien grand accomplissement.

    Ce pays se meurt et étouffe de la place trop importante d’un Etat aussi omniprésent qu’impotent.

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  66. Nous, les petits, les sans-grades, nous qui ne sommes rien ou si peu, n’avons plus besoin des « premiers de cordée ».

    Ils ne sont pas la solution, ils sont notre problème.

    N’oublions jamais… « les nations sont vendues par les riches et sauvées par les gueux ».

    N’oublions jamais qu’ils ont nettement plus besoin de nous que l’inverse. En réalité si nous arrêtions tous de jouer, alors… ils tomberaient, sans haine, ni violence.

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

    http://www.economiematin.fr/news-français-pouvoir-gouvernement-etat-reussite-crise-sannat

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    1. Fidèle à ses problèmes personnels il ne vous parlera jamais de la Démocratie ni ne commettra l'erreur de parler de la Suisse (seule Démocratie au monde).

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