15:54 21.05.2020
Les fraises sont votre régal favori? Ces vidéos ont donc toutes les chances de vous décevoir. Sur TikTok, une séquence montrant ce qui sort de ces fruits placés dans de l’eau salée a non seulement collecté des vues, mais en a poussé certains à suivre cet exemple et refaire la même expérience.
Savez-vous combien de petits insectes et vers vivent à l’intérieur des fraises ? Sur TikTok, l'écrivain Krista Torres a partagé une vidéo d'une méthode montrant comment il faut les nettoyer.
Elle a plongé des fraises dans de l'eau salée pour 30 minutes, puis elle montre aux abonnés un ver sortir de la chair du fruit.
«Ça bouge. Ça y est !», dit-elle sans cacher son dégoût.
D’autres ont suivi son exemple
D’autres vidéos n’ont pas tardé à émerger. Ainsi l’utilisatrice @31toni a montré aux abonnés de petits insectes sortir des fraises toutes belles achetées au supermarché.
Sur YouTube et TikTok plusieurs séquences dédiées au même sujet ont également été partagées.
«Après près de 25 ans de vie, TikTok m'a appris à laver correctement les fraises. Elles sont remplies de minuscules insectes et de tonnes de saleté», écrit Lauren McKenzie Gambrell sur Facebook.
Pas d’inquiétude: on en a toujours mangé
En réaction à ces vidéos, le magazine Health rappelle que les hommes mangent, apparemment depuis des siècles, des larves cachées dans divers aliments et que rien ne prouve que ceci puisse avoir des effets négatifs sur la santé.
L’entomologiste Sriyanka Lahiri, de l’université de Floride, indique ainsi à l’édition: «Même si la vue de vers translucides émergeant de fraises fraîches peut ne pas paraître attrayante, aucun effet néfaste lié à leur consommation n’est connu. [...] En effet, si vous avez accidentellement consommé quelques larves, vous n’avez que fait obtenir un supplément de protéines animales dans votre salade ou votre cocktail de fruits».
ÔH QUE C'EST BIO ! Des centaines de petits vers sortent des fraises bio !
RépondreSupprimerEh oui, il ne suffit pas de laver des fruits & légumes bio, les vers sont à l'intérieur !
C'est pourquoi les paysans traitent TOUS les fruits & légumes contre les maladies (apportées par les insectes ?), et, grâce à ces remèdes apportés par le paysan vous pouvez donc consommer des fruits et légumes sains ! (sans vers et sans maladie !).
Mais, certaines personnes continuent encore d'acheter bio ! Elles consomment de la vache folle, du porc diarrhéique, de la tremblante du mouton, de la grippe aviaire ou myxomatose du lapin, fruits & légumes malades parce que c'est bio ! Sans remède ! Oui mais... oui mais après vont en pharmacies ou docteurs pour dire qu'elles souffrent. Souffrent de quoi ? Hahahaha !
TOUTES les plantes du monde attrapent des maladies, TOUS les animaux du monde attrapent des maladies. Parfois, ces maladies sont transmises à l'être humain (chauve-souris/coranavirus)
L’Etna, de nouveau en éruption, crache une colonne de fumée de 4,5 km - images
RépondreSupprimer16:36 22.05.2020
En Sicile, l’Etna s’est réveillé le 21 mai. Des photos prises par des témoins montrent une épaisse colonne de fumée se dégager au-dessus du volcan.
Deux éruptions ont été enregistrées dans la nuit du 21 au 22 mai par l’Institut national de géophysique et de volcanologie (INGV).
Celle qui s’est produite à 6h05 (heure locale) depuis le nouveau cratère sud-est a craché un important panache de cendres qui a atteint environ 4.500 mètres de haut.
- voir photo sur site -
L’activité volcanique a duré pendant environ trois heures avant de se calmer plus tard dans la matinée.
- voir photo sur site -
Le nuages de fumée s’est déplacé en direction sud-ouest.
- voir photo sur site -
L’éruption n’a toutefois pas perturbé l’aéroport de Catane qui continue de fonctionner en régime réduit dans le contexte de l’épidémie, selon des médias locaux.
- voir photo sur site -
En avril, l’Etna s’était déjà réveillé. Des coulées de lave avaient alors été immortalisées.
https://fr.sputniknews.com/societe/202005221043826779-letna-de-nouveau-en-eruption-crache-une-colonne-de-fumee-de-45-km---images/
La pression magmatique sort d'où elle peut.
SupprimerUn trou noir à « proximité » de notre Soleil !
RépondreSupprimerle 21 mai 2020
Le diamètre de la galaxie dans laquelle se trouve notre Soleil est d’environ 100000 années-lumière et ce Soleil se trouve à environ 27000 années-lumière du centre de la galaxie. Ce centre gravitationnel semble être constitué d’une multitude de trous noirs représentés par l’illustration ci-dessus qui est en réalité une déformation de l’espace-temps provoquée par le champ gravitationnel intense du trou noir car il est par définition invisible puisque aucun photon ne peut en échapper en raison de ce champ gravitationnel très élevé. Cependant les trous noirs sont animés d’un mouvement de rotation, comme notre Soleil, et émettent des jets de photons de très haute énergie depuis chacune des extrémités de leur axe de rotation. Pour détecter de tels jets de photons encore faut-il que ces émissions soient orientées vers la Terre.
- voir image sur site -
Malgré toutes ces contraintes il est possible de déduire la présence d’un trou noir par les conséquences induites par son champ gravitationnel très puissant et c’est ce que les astrophysiciens de l’observatoire austral européen (ESO) ont réussi à obtenir avec une télescope de 2,2 m de diamètre en observant un système d’étoiles binaires justement situé dans la constellation du Télescope. Ce système binaire appelé HR6819 est constitué de deux étoiles visibles à l’oeil nu par temps clair et il est distant de seulement 1000 années-lumière de notre Terre. En étudiant très précisément le mouvement des deux étoiles visibles les astrophysiciens ont réalisé qu’ils étaient confrontés à un système ternaire dont l’un des partenaires était invisible, c’est-à-dire rien d’autre qu’un trou noir.
- voir image sur site -
La masse de ce trou noir a pu être calculée comme étant égale à 4 fois celle du Soleil. L’une des étoiles visibles d’une masse proche de 5 fois celle du Soleil parcourt son orbite autour du trou noir en 40 jours et l’autre étoile tourne autour de cet ensemble à une distance beaucoup plus grande. Ce système ternaire est ce qui reste de l’explosion d’une étoile qui eut lieu il y a 15 millions d’années. Cette évaluation a pu être réalisée en analysant les données spectroscopiques des deux étoiles visibles.
Les physiciens ont déduit de leur étude qu’il existait dans notre galaxie des centaines de milliers, peut-être des millions, de trous noirs pouvant peut-être expliquer ce que les théoriciens de l’astrophysique appellent la matière sombre ou matière noire.
Source : Astronomy & Astrophysics, doi : 10.1051/0004-6361/203038020
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/05/21/un-trou-noir-a-proximite-de-notre-soleil/
Plan USA qui risque de s'étendre partout : contrôle militarisé de la population
RépondreSupprimerManlio Dinucci
Mondialisation.ca
jeu., 21 mai 2020 22:08 UTC
La Fondation Rockefeller a présenté le "Plan d'action national pour le contrôle du Covid-19", en indiquant les "pas pragmatiques pour ré-ouvrir nos lieux de travail et nos communautés".
ssssMais il ne s'agit pas, comme il apparaît dans le titre, simplement de mesures sanitaires. Le Plan -auquel ont contribué certaines des plus prestigieuses universités (Harvard, Yale, Johns Hopkins et autres) — préfigure un véritable modèle social hiérarchisé et militarisé. Au sommet : le "Conseil de contrôle de la pandémie, analogue au Conseil de production de guerre que les États-Unis créèrent dans la Seconde guerre mondiale".
Il serait composé de "leaders du monde des affaires, du gouvernement et du monde universitaire" ( ainsi listé par ordre d'importance, avec au premier rang non pas les représentants gouvernementaux mais ceux de la finance et de l'économie ). Ce Conseil suprême aurait le pouvoir de décider productions et services, avec une autorité analogue à celle conférée au président des États-Unis en temps de guerre par la Loi pour la production de la Défense. Le Plan prévoit qu'il faut soumettre au test Covid-19, hebdomadairement, 3 millions de citoyens étasuniens, et que le nombre doit être porté à 30 millions par semaine en six mois. L'objectif, à réaliser en une année, est celui d'atteindre la capacité de soumettre à des tests Covid-19 30 millions de personnes par jour.
Pour chaque test on prévoit "un remboursement adéquat à un prix de marché de 100 dollars". Il faudra donc, en argent public, "des milliards de dollars par mois".
La Fondation Rockefeller et ses partenaires financiers contribueront à créer un réseau pour la fourniture de garanties de crédit et la signature des contrats avec les fournisseurs, c'est-à-dire avec les grandes sociétés productrices de médicaments et équipements médicaux.
Selon le Plan, le "Conseil de contrôle de la pandémie" est aussi autorisé à créer un "Corps de réponse à la pandémie" : une force spéciale ( non fortuitement nommée "Corps" comme celui des Marines ) avec un personnel de 100-300 mille membres. Ils seraient recrutés parmi les volontaires des Peace Corps et des Americorps ( créés par le gouvernement USA officiellement pour "aider les pays en voie de développement" ) et parmi les militaires de la Garde Nationale.
Les membres du "Corps de réponse à la pandémie" recevraient un salaire moyen brut de 40.000 dollars annuels, pour lequel est prévue une dépense publique de 4-12 milliards de dollars annuels. Le "Corps de réponse à la pandémie" aurait surtout la tâche de contrôler la population avec des techniques de type militaire, à travers des systèmes digitaux de traciation et identification, dans les lieux de travail et d'étude, dans les quartiers de résidence, dans les locaux publics et dans les déplacements. Des systèmes de ce type -rappelle la Fondation Rockefeller- sont réalisés par Apple, Google et Facebook.
Selon le Plan, les informations sur les personnes individuelles, relatives à leur état de santé et à leurs activités, resteraient réservées "autant qu'il est possible". Elles seraient cependant toutes centralisées dans une plate-forme digitale cogérée par l'État Fédéral et par des sociétés privées.
Sur la base des données fournies par le "Conseil de contrôle de la pandémie", serait décidé tour à tour quelles zones seraient soumises au confinement et pour combien de temps. Ceci, en synthèse, est le plan que la Fondation Rockefeller veut opérer aux États-Unis et ailleurs. S'il était réalisé même partiellement, se produirait une ultérieure concentration du pouvoir économique et politique dans les mains d'élites encore plus restreintes, au détriment d'une majorité croissante qui se verrait privée des droits démocratiques fondamentaux.
RépondreSupprimerOpération conduite au nom du "contrôle du Covid-19", dont le taux de mortalité, d'après les données officielles, est jusqu'à présent inférieur à 0,03% de la population étasunienne. Dans le Plan de la Fondation Rockefeller le virus se trouve utilisé comme une véritable arme, plus dangereuse encore que le Covid-19 même.
https://fr.sott.net/article/35663-Plan-USA-qui-risque-des-etendre-partout-controle-militarise-de-la-population
Test Covid : le président tanzanien pense qu'il se passe des choses étranges...
RépondreSupprimerChez Neo
Youtube
jeu., 21 mai 2020 05:56 UTC
- voir clip sur site -
Le Président de Tanzanie John Magufuli parle de certains tests sur le Covid19 qui semblent très suspects. En fait il dit qu'ils sont contaminés avec du Coronavirus.
https://fr.sott.net/article/35659-Test-Covid-le-president-tanzanien-pense-qu-il-se-passe-des-choses-etranges
Coronavirus, une urgence planétaire ? Pas pour ceux que l’on croit !
RépondreSupprimerle 22 mai 2020
Durant ces nombreuses semaines de confinement que je n’ai pas vraiment respecté puisque j’ai marché tous les jours jusqu’au marché couvert pour acheter du pain ou du fromage français j’ai tenté de trouver quelle était la motivation profonde des politiciens lorsqu’ils avaient opté pour un confinement massif des populations – supposant qu’ils ne sont pas complètement stupides – en ayant soit une arrière-pensée soit un ordre reçu de plus haut, mais de qui et comment ? Si tant est que cette hypothèse puisse être vérifiable. Je ne suis pas un journaliste d’investigation et pour discerner la lumière au fond du tunnel il est nécessaire de disposer d’informations fiables. Comme je l’ai déjà écrit cette grippe coronavirale n’aura certainement pas, au final provoqué plus de morts que la grippe de Hong-Kong qui fut gérée par les gouvernements de l’époque, il y a cinquante ans, comme n’importe quelle grippe saisonnière, c’est-à-dire sans prendre de décisions démesurées comme ce confinement total, autoritaire et inutile sinon qu’il a permis de réduire le pic épidémique, les capacités d’accueil hospitalières ayant été réduites les années passées pour des raisons d’austérité économique imposée par la Commission de Bruxelles pour les pays européens.
L’Italie, l’Espagne, la France, la Belgique et la Grande-Bretagne totalisent à eux 5 le plus grand nombre de morts dans le monde provoquées par ce virus. Et il est intéressant de faire cette constatation morbide.
En quelques semaines ces Etats dits démocratiques ont bafoué les libertés fondamentales : interdiction de sortir de chez soi sous peine d’amende ou de prison. La France, le pays des droits de l’homme s’est même payé le luxe de rétablir le laissez-passer, « l’Ausweis » dont les très vieux Français se souviennent, du temps de l’occupation nazie, du moins ceux qui n’ont pas succombé à ce virus. Cette France, le pays des droits de l’homme faut-il le répéter, a osé revenir à l’Ancien Régime dictatorial des rois et de leurs courtisans en s’inspirant, le seul pays du monde ayant osé prendre cette mesure détestable d’instaurer un « Ausweis », de la Gestapo du temps d’Hitler.
Fallait-il que le Président Macron ait suivi des ordres venus d’en haut pour s’afficher en élève modèle, en continuant à mépriser le peuple français comme il l’a fait systématiquement depuis le début de son mandat ? Depuis des semaines, donc, je tente de trouver une explication à ces décisions stupides de confinement qu’ont adopté ces pays occidentaux où le décompte des victimes du virus sont les plus significatives. Quel en a été l’objectif final et pour quelles raisons ? Afin de m’éclairer ou de clarifier mes idées sans tomber dans les stupides théories de complot comme par exemple la diffusion intentionnelle de ce virus par les Chinois (ce que pensent les Américains) ou par les Américains (ce que pensent les Chinois) dans un contexte de guerre commerciale surtout organisé pour rassurer l’électorat républicain américain à l’approche des élections présidentielles, je n’ai attaché aucune importance à ces gesticulations ridicules. Alors, une organisation coordonnée presque mondialement pour arrêter les économies occidentales édictée par je ne sais quelle autorité supra-nationale ? C’est possible.
Pour tenter de trouver une explication chaque jour je ratisse très largement la presse internationale depuis des semaines, inlassablement, ne constatant qu’un désastre économique dans ces démocraties occidentales – je pense ici aux pays européens cités plus haut – désastre qui ne fait que montrer les prémices du précipice dans lequel ces pays vont plonger dans les prochains mois. Le confinement a conduit au télétravail pour de nombreuses entreprises mais elles n’ont pas songé un instant que leurs activités étaient soigneusement espionnées par les « Five Eyes », les pays anglo-saxons qui ont mis au point le système de surveillance global de toutes les communications circulant par satellite, par fibre optique ou localement par réseau wifi. Tous les secrets de toutes les entreprises ayant encouragé le télé-travail ont déjà été espionnées, leurs secrets ont été percés, leurs interlocuteurs ont été démasqués, c’est déjà trop tard pour elles. Seuls des pays comme la Chine ou la Russie et quelques autres rares exceptions ont échappé à cet espionnage global car elles ont construit des systèmes de protection infranchissables par ces Anglo-saxons dont le seul projet est de dominer le monde.
RépondreSupprimerLe confinement généralisé et obligatoire tel qu’il a été décrété par les démocraties occidentales qui ne sont plus que l’ombre d’elles-mêmes n’a jamais été prouvé comme étant la solution idéale ni ultime pour lutter contre une épidémie. Pourquoi les démocraties occidentales se sont pliées à cette mesure – je parle toujours ici des pays européens cités plus haut – alors qu’elles savaient qu’une telle mesure conduirait à la ruine de leurs économies ? Faut-il obéir à des raisons ou des injonctions impérieuses pour prendre de telles décisions dévastatrices ! L’éventualité d’une pandémie a été depuis le HIV étudiée en détail par les politiciens il y a maintenant plus de 40 ans et ce virus pour lequel on n’a toujours pas trouvé de vaccin tue chaque année entre 500000 et un million de personnes. La tri-thérapie n’éradique pas le virus mais freine seulement sa multiplication et sa propagation et les médicaments utilisés sont depuis longtemps dans le domaine public. Il s’agit d’une maladie virale qui tue toujours mais ne procure plus aucun profit aux grandes entreprises pharmaceutiques multinationales, les vaccins et les « nouveaux médicaments » sont beaucoup plus « juteux » pour les actionnaires de ces grandes entreprises apatrides. Le coronavirus est arrivé presque comme un messie salvateur car rien ne se profilait à l’horizon pour réaliser encore plus de profit pour enrichir encore plus les actionnaires.
Les projections mathématiques délirantes écrites noir sur blanc dans The Lancet (lien en fin de billet) ont répandu la panique parmi les dirigeants de l’Union européenne, pas tous mais presque, dirigeants tous conviés aux raouts de Davos et diverses conférences confidentielles réservées aux décideurs stratégiques.
Le concept de confinement généralisé obligatoire a été imaginé il y a plus de 30 ans par l’administration Bush pour se prémunir non pas contre une épidémie virale banale mais contre une attaque bio-terroriste. Cette idée de confinement a été imaginée par un certain Donald Rumsfeld alors CEO des laboratoires pharmaceutiques G.D.Searle dont est issu le Laboratoire Gilead. Rumsfeld, figure éminente de l’administration Bush, prévoyait de financiariser la santé dans le cadre de la financiarisation globale de l’économie, ce à quoi on a assisté ces 30 dernières années. Le plan de Rumsfeld consistait à réorganiser la planète en divisant géographiquement les fonctions de chaque pays. Les pays qui refusaient de s’intégrer à l’économie globale n’aurait plus d’autre utilité que de fournir des matières premières et les zones développées comme l’Union européenne, la Russie et la Chine ne se contenteraient que de produire et les USA assureraient dans le cadre de ce plan la sécurité et la police mondiale. L’American Enterprise Institute fut chargé de conforter ce projet et les évènements du 11 septembre 2001 permirent la mise en place du Patriot Act, première étape significative de la réduction des libertés, assorti du concept de « guerre sans fin » géré par les USA dans le monde entier.
RépondreSupprimerNous en sommes là aujourd’hui. L’épisode du confinement généralisé avec tous les contrôles qui lui sont associés, tous des atteintes aux libertés individuelles, sont un prolongement de la doctrine de Rumsfeld qui par conséquent favorise en premier lieu le gigantesque lobby pharmaceutique dont la mission première est de contrôler la santé des individus mais également les individus eux-mêmes. On comprend dès lors, à la lumière des évènements qui ont secoué la France au sujet de la chloroquine ou de son dérivé l’hydroxy-chloroquine quelle fut l’opposition véhémente de l’administration française à l’encontre du traitement préconisé par les autorités sanitaires chinoises et repris avec le succès que l’on n’ignore plus maintenant par le Professeur Didier Raoult en France. Le Président Donald Trump a fait confiance au traitement préventif préconisé par Didier Raoult en se traitant lui-même et en adjoignant tout son entourage à se traiter préventivement avec ce dérivé de la chloroquine.
Donald Trump a-t-il mesuré l’ampleur de son attaque contre le lobby pharmaceutique qui jouit d’une rente de situation : la santé de chaque être humain sur la planète ? Ce lobby, comme le complexe militaro-industriel, fait partie du « marigot » du District de Columbia qu’il a décidé de combattre. Trump subit des attaques incessantes de la part de la presse inféodée aux grands groupes financiers qui considère que son comportement est désinvolte ! Pour l’avenir des libertés de tous, et pas seulement des Américains, il faut espérer que Donald Trump sera réélu et qu’il pourra mettre en prison tous ces individus nuisibles au monde entier, d’autant plus que la mise au point d’un vaccin contre le coronavirus ne provoquant pas d’ « orage immunitaire » est très loin d’être acquise.
Inspiré d’un article de Thierry Meyssan paru il y a quelques jours sur le site Voltaire.org et lien ci-dessous. Prochains billets à venir sur le même sujet.
https://books.google.es/books?id=dsHADwAAQBAJ&pg=PA546&lpg=PA546&dq=10.1016/S1473-3099(09)70176-8&source=bl&ots=0qA59iY6Ow&sig=ACfU3U1fMacjBi0VNeF3n6rnCZd2VyiGSg&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiQiaCY_sDpAhVlyoUKHQVPASsQ6AEwAnoECAsQAQ#v=onepage&q=10.1016%2FS1473-3099(09)70176-8&f=false
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/05/22/coronavirus-une-urgence-planetaire-pas-pour-ceux-que-lon-croit/
CRISE SANITAIRE : LES DÉPISTAGES DU CANCER ONT BAISSÉ DE MOITIÉ
RépondreSupprimerpar PERRINE DE ROBIEN
22/05/2020
Environ 30.000 cancers n'ont pas été dépistés à cause de la crise sanitaire.
Conséquence de la crise sanitaire, le nombre de dépistage du cancer a baissé de 50%. Les hôpitaux s’attendent à un afflux important des patients.
Dépistage du cancer : une baisse de 50% en 2 mois
La crise sanitaire a mis beaucoup de choses en pause. Opérations reportées, rendez-vous annulés… Le domaine de la santé a également été au ralenti. Une conséquence de l’épidémie de coronavirus qui inquiète les cancérologues. Ils estiment en effet que le nombre de dépistages a beaucoup baissé ces deux derniers mois.
Selon une étude réalisée par Unicancer, qui réunit 18 centres de lutte contre le cancer en France, le nombre de patients dépistés ces deux derniers mois a baissé de 50% par rapport aux autres années sur la même période. Par conséquent, on estime que près de 30.000 cancers n’ont pas été dépistés à cause de la crise sanitaire.
Rendez-vous « tout de suite » dans les centres de dépistage
Non seulement le nombre de dépistages du cancer a baissé de manière préoccupante mais des patients déjà diagnostiqués ont repoussé leur traitement. Un phénomène qui s’explique par la crainte d’être contaminé en se rendant à l’hôpital. Tout comme les maladies chroniques, le cancer est en effet un facteur de risque de développer une forme plus grave du coronavirus.
Selon Axel Kahn président de la Ligue nationale contre le cancer, « Deux mois de retard dans le diagnostic, ce n’est pas catastrophique pour la plupart des cancers. Mais il ne faut pas traîner. Notre inquiétude est là. Et il peut y avoir des embouteillages, des temps d’attente plus longs, c’est pour cela que notre conseil est de se rendre dans les centres de dépistage tout de suite », rapporte Libération. Par conséquent, les hôpitaux réfléchissent à une nouvelle organisation qui permettrait d’absorber un flux important de patients.
http://www.economiematin.fr/news-crise-sanitaire-baisse-depistages-cancer
Les infirmières n'ont plus de masques FFP2 antivirus !
SupprimerMERCI, PAUL !
RépondreSupprimerpar BILL BONNER
25/05/2020
Le déficit fiscal américain a atteint 737 milliards de dollars en
avril 2020.
Paul Volcker a sauvé le dollar dans les années 1980 – et permis à cette « fausse monnaie » de devenir la devise de réserve mondiale. Aujourd’hui, nous en payons le prix…
Mercredi, nous avons étudié notre théorie selon laquelle aucune devise purement fiduciaire n’a jamais survécu à un cycle de taux d’intérêt complet.
Aujourd’hui, nous la mettons à l’épreuve… une fois encore !
Notre hypothèse de départ : tous les dégâts engendrés par le Covid-19… et par le confinement universel désastreux des gouvernements… ne sont qu’un prélude.
L’économie a rétréci. 38,6 millions d’emplois ont été perdus rien qu’aux Etats-Unis. La production industrielle et manufacturière a été atteinte de plein fouet. Les ventes au détail ont connu une chute record au mois d’avril.
L’industrie ne s’est jamais remise de la crise de 2008-2009 – de sorte que ce sont les secteurs des loisirs, de la restauration et de l’hôtellerie qui ont engendré quasiment toute la croissance de ces 10 dernières années.
A présent, tous les éléments liés aux loisirs, au tourisme et à la restauration – le seul canot de sauvetage disponible pour la classe ouvrière après le naufrage de l’industrie – ont été torpillés par les autorités.
Où est-ce que tout cela nous mène ?
Tout cela n’était qu’un échauffement… comme des artistes de second rang préparant le public à la vraie tragédie qui arrive. Aussi idiot qu’il ait été de fermer l’économie entière, il est encore plus idiot de prétendre qu’on peut remplacer de vraies pertes économiques par de la monnaie papier vide et sans valeur.
Nous allons nous retrouver à court de métaphores pour décrire ce phénomène. Les anciennes formules – imprimer de l’argent « à ne plus savoir qu’en faire »… « à tour de bras »… « jusqu’à plus soif » – ne semblent plus suffire.
La folie d’impression monétaire a commencé, rappelez-vous, le 17 septembre 2019. C’est à ce moment-là que les grandes banques ont découvert qu’elles avaient besoin de plus de cash pour acheter les obligations gouvernementales.
La Réserve fédérale est intervenue sur les marchés de rachats au jour le jour, avec son programme de folie repo. Au cours des semaines qui ont suivi, achetant des obligations avec de la fausse monnaie, elle a ajouté 3 000 Mds$ de nouvel argent au système financier US.
Tout le monde sait où cela nous mène. L’émission de dette corporate, par exemple, devrait doubler cette année. Les PDG (déjà profondément endettés) obtiennent de l’argent aux taux les plus bas de l’Histoire… tandis que les acheteurs obligataires savent qu’ils peuvent espérer se débarrasser de ces cochonneries auprès des autorités à des prix plus élevés.
Au milieu de la pire crise économique de ces 90 dernières années au moins, les spéculateurs font grimper les actions à des niveaux constatés d’ordinaire au plus haut d’un boom.
Fou ? Bien sûr… mais ils comptent sur l’impression monétaire des autorités pour les faire grimper plus encore.
RépondreSupprimerRevenons un peu en arrière pour voir comment nous en sommes arrivés là…
Plancher générationnel
Après la Deuxième guerre mondiale, les taux d’intérêt remontaient depuis un plancher générationnel. Ensuite, ils ont grimpé pendant 36 ans environ.
Le système de monnaie papier des Etats-Unis a commencé le 15 août 1971. Toute l’arnaque de la fausse monnaie se serait probablement effondrée dans les années 80… sans le président de la Fed de l’époque, Paul Volcker.
Démontrant un courage et une force d’âme rares chez un fonctionnaire, Volcker a contraint le dollar à se comporter comme si c’était du vrai argent.
En d’autres termes, alors que l’inflation et les taux d’intérêt grimpaient à des niveaux à deux chiffres durant les années 1980, il a mis le taux directeur de la Fed jusqu’à 20%. Cela a causé une récession – mais a sauvé le système du dollar factice.
Ce sauvetage de la part de Volcker a donné au dollar une vie plus longue que prévu… et a mené les gens à penser que le dollar était une devise fiable pour le long terme. Si jamais il y a une autre crise, se sont-ils dit, il y aura sûrement un autre fonctionnaire têtu comme Volcker pour rétablir la situation.
Un « nouveau » dollar
Nous sommes désormais dans la 49ème année du système de fausse monnaie. La planche à billets est chauffée à blanc.
Mercredi, nous avons vu que le cycle de taux d’intérêt dure 60 ans environ. Il faut une génération pour apprendre… et une autre pour oublier, avons-nous résumé.
Le dernier sommet (en termes de rendements) s’est produit en 1981. Le prochain devrait se situer aux environs de l’an 2040. Quelque part entre les deux – c’est-à-dire en ce moment ou à peu près – la tendance devrait passer d’une chute des taux à une hausse des taux. En d’autres termes, une hausse des taux est en chemin.
D’ici à la fin de cette tendance – couronnée par un nouveau sommet du cycle des taux d’intérêt –, nous devrions voir des taux d’inflation bien plus élevés… voire carrément de l’hyperinflation.
Ensuite, afin d’échapper à la catastrophe financière, les autorités américaines introduiront probablement un « nouveau » dollar… peut-être adossé à l’or… peut-être une forme de devise numérique. Qui sait ?
Bienvenue dans la Dépression Trump
Nous venons de passer le point de non-retour, sans le moindre Volcker en vue. La Dépression Trump se profile à l’horizon.
La nécessité est mère de l’invention… mais aussi père indigne de sottises catastrophiques. Dos au mur, les gens sont prêts à faire à peu près n’importe quoi… aussi idiot ou absurde que ce soit.
Déjà, à peine la moitié des Américains travaillent. Et personne – républicains ou démocrates – n’a de plan pour gérer tout cela, à part imprimer encore plus de fausse monnaie pour « remplacer » les pertes causées et « relancer » l’économie afin qu’elle revienne à la « normale ».
C’est la recette du désastre. Il faut vraiment être diplômé d’économie pour ne pas s’en rendre compte.
Pour plus d'informations et de conseils de ce genre, c'est ici
http://www.economiematin.fr/news-paul-volcker-usa-fed-crise-fausse-monnaie-coupable-histoire-bonner
SupprimerLes banques sont des entreprises PRIVÉES et non publiques (nationalisées) et, lorsqu'elles tombent en faillite par l'impression de fausses monnaies (essayez vous-mêmes d'en faire autant !) ce sont les citoyens qui doivent... les renflouer et non de les foutre en prisons !
Agriculture locale: «les Québécois ne veulent plus travailler dans les champs»
RépondreSupprimer18:04 22.05.2020
Par Jérôme Blanchet-Gravel
Avec le Covid-19, l’autonomie alimentaire est redevenue un thème d’actualité au Québec. Toutefois, l’agriculture locale dépend encore de travailleurs saisonniers migrants, qui continuent d’affluer pour les récoltes. Selon certains témoignages, il faudrait huit travailleurs québécois pour remplacer un seul travailleur mexicain. Mythe ou réalité ?
Dans la Belle Province, la pandémie de Covid-19 a relancé le débat autour de la souveraineté alimentaire.
Comme d’autres chefs d’État à travers le monde, François Legault, Premier ministre québécois, envisage de restaurer l’autosuffisance de son État en matière de nourriture et de médicaments. Jusqu’à présent, une très grande quantité de fruits et légumes consommés par les Québécois proviennent des États-Unis et de pays latino-américains, comme le Mexique.
«Avec la pandémie qui sévit, le gouvernement semble reconnaître enfin la vulnérabilité de la chaîne d’approvisionnement de certains secteurs de l’industrie québécoise et le rôle qu’elle peut jouer», peut-on lire dans le rapport de l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques du Québec, publié le 13 avril dernier.
Le débat relancé, certains observateurs ont aussitôt rappelé qu’une grande partie de l’agriculture reposait toujours sur les travailleurs saisonniers, ce qui entrerait selon eux en contradiction avec le principe même d’autosuffisance.
Chaque année pour les récoltes, les producteurs agricoles font appel à des travailleurs étrangers, en grande majorité latino-américains. Récemment, la presse a appris qu’un producteur de fraises et de framboises de l’île d’Orléans, près de Québec, avait préféré affréter un avion pour faire venir 166 travailleurs mexicains plutôt que de tenter de recruter au Québec. Les compagnies aériennes ayant suspendu la plupart de leurs activités, la facture s’élève pour l’entreprise à 140.000 dollars canadiens (91.600 euros).
Agriculture locale: des travailleurs latinos à la rescousse
«L’agriculture québécoise aura besoin de combien de Mexicains et de Guatémaltèques de plus pour augmenter de 1% son taux d’autosuffisance alimentaire? Ils sont déjà 16.000 à venir et ils fournissent l’équivalent de ce que feraient 32.000 Québécois», écrit Michel Morisset, professeur honoraire d’histoire et de politiques agroalimentaires à l’Université Laval, dans Le Devoir.
«Nous avons posé la question aux Québécois: ils ne voulaient plus faire ce travail. Les Québécois sont un peu devenus des enfants gâtés. On ne manque de rien, donc plus personne n’est motivé pour faire les travaux plus durs. À l’opposé, les travailleurs mexicains sont extrêmement motivés. Ils peuvent gagner ici en une heure ce qu’ils gagnent en une journée au Mexique», affirme à Sputnik Daniel Mercier, ex-propriétaire d’une vaste plantation de sapins en Beauce.
Située au sud de la capitale de Québec, la Beauce est l’une des régions où arrivent chaque année quelques centaines de travailleurs mexicains et guatémaltèques. Daniel Mercier, qui a planté 40.000 sapins chaque saison pendant 40 ans, explique qu’il n’aurait pas pu se passer d’eux à partir des années 2010, lorsqu’il y a eu «un changement de mentalité et de démographie». «Je ne peux pas vous dire s’il faut huit Québécois pour remplacer un Mexicain, mais il en faut plusieurs, ça c’est certain», nous confie-t-il. Ces dernières années, son entreprise a d’ailleurs écoulé des sapins de Noël jusqu’au Mexique.
RépondreSupprimer«C’est incroyable à quel point les Mexicains sont dévoués. Au début, je voulais faire travailler mes travailleurs 8h par jour et 5 jours par semaine, mais ils m’ont demandé s’ils pouvaient travailler 10h par jour et 6 jours par semaine. Je n’ai pas pu refuser […] Il y a une vraie pénurie de main-d’œuvre, mais il y aurait encore des Québécois disponibles. Les travailleurs étrangers sont le poumon économique de l’agriculture. Dans un avenir rapproché, le nombre de travailleurs saisonniers va doubler», poursuit l’entrepreneur beauceron.
Certains organismes affirment pourtant que l’emploi de travailleurs étrangers représente dans certains cas une nouvelle forme d’exploitation au Canada.
Travailleurs étrangers: une nouvelle forme d’exploitation ?
Ainsi, selon un rapport publié en 2017 par des membres de l’Université du Québec à Montréal, les pratiques de recrutement de certaines fermes imposent un mauvais climat de travail à certaines catégories de travailleurs guatémaltèques. En contractant une dette envers leur employeur à leur arrivée au Québec, des travailleurs se retrouvaient en conséquence dans une trop grande situation de dépendance envers eux.
Avocat spécialisé en immigration, Maxime Lapointe rappelle toutefois que des règles strictes régissent le Programme des travailleurs étrangers temporaires du gouvernement fédéral, grâce auquel des étrangers peuvent venir travailler au pays de l’érable.
«C’est important que beaucoup de surveillance soit faite. Les employeurs ont de nombreuses obligations. Les employeurs doivent notamment leur fournir un logement selon certaines exigences. […] Le Programme des travailleurs étrangers temporaires oblige les employeurs à fournir un salaire équivalent à celui qu’ils verseraient aux Québécois», précise l’avocat basé à Québec.
Dans le contexte de la pandémie, le Premier ministre fédéral, Justin Trudeau, a lancé un vaste programme d’aide financière destiné aux personnes ayant perdu leur emploi. De nombreux producteurs locaux estiment qu’en rendant admissibles les étudiants à ce programme, Ottawa nuit encore davantage à l’embauche de citoyens canadiens par les producteurs agricoles. Le fédéral permettra aux étudiants d’empocher un montant de 1.250 dollars canadiens (818 euros) par mois au lieu d’avoir à travailler cet été.
Toutefois, selon Roméo Bouchard, l’un des leaders du mouvement démondialiste au Québec, «la problématique des travailleurs saisonniers est aussi liée au modèle industriel adopté par les grands joueurs de l’industrie».
«Si les Québécois ne veulent plus travailler, c’est aussi parce que les conditions de travail sont celles du modèle de la mondialisation qui tend à baisser les salaires. Les Québécois qui travaillent encore dans le domaine se retrouvent souvent dans les petites exploitations alternatives», observe Roméo Bouchard.
https://fr.sputniknews.com/canada/202005221043827810-agriculture-locale-les-quebecois-ne-veulent-plus-travailler-dans-les-champs-/
La campagne, faut y être né (d'un père paysan) pour savoir.
SupprimerL'agriculture ne s'apprend pas à 15 jours ou 15 ans !
Les paysans sont des hommes libres.
En campagnes, on parle même en travaillant !
Faillites et licenciements dans les mois qui viennent, la France face au désastre économique
RépondreSupprimer17:17 22.05.2020
Par Fabien Buzzanca
De nombreuses entreprises françaises sont au bord du gouffre. Les mesures prises pour endiguer la pandémie de coronavirus et qui ont mis l’économie du pays quasiment à l’arrêt ont des conséquences dramatiques au niveau financier dans beaucoup de secteurs. La situation pourrait durer des mois. Sputnik France fait le point.
«Il y aura des faillites et il y aura des licenciements dans les mois qui viennent.»
Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a préféré jouer la carte de la franchise chez nos confrères d’Europe 1. «Beaucoup de secteurs sont très durement touchés» par la crise et «même si la croissance redémarre, elle ne repartira pas au même rythme», a-t-il précisé.
Alors qu’un déconfinement progressif est effectif depuis le 11 mai et que de nombreux commerces ont pu rouvrir leurs portes, ces derniers sont restés de longues semaines privés d’activité. Pour d’autres secteurs tels que l’hôtellerie-restauration ou le monde de la nuit, la situation est encore plus grave: ils n’ont toujours pas repris leur activité à ce jour.
Bien que le premier trimestre 2020 n’ait compté que 14 jours du confinement qui est entré en vigueur le 16 mars, il a pourtant enregistré une chute record du Produit intérieur brut (PIB): -5,8%. Selon toute vraisemblance, la baisse sera encore pire au deuxième trimestre.
D’après l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), les huit semaines de confinement ont coûté pas moins de 120 milliards d’euros à l’économie française. Sur ce montant astronomique, 40 milliards pèsent sur les entreprises.
Un dispositif de chômage partiel moins généreux
100 milliards d’euros ont bien mis été sur la table par l’exécutif, dont une partie sert à financer le dispositif de chômage partiel qui a vu 12,7 millions de demandes déposées depuis le 1er mars. Mais ce filet de sécurité, qui a permis à des millions de travailleurs de pouvoir continuer à joindre les deux bouts, ne peut pas faire office de solution miracle.
Bruno Le Maire a d’ailleurs fait part de la volonté de faire évoluer le dispositif qui permet aux salariés de toucher 84% de leur salaire net (100% dans le cas d’un SMIC). Le gouvernement souhaite réduire le montant de la prise en charge «de façon à inciter au retour de l’activité puisque c’est ça qui nous permettra au bout du compte de créer des emplois et de créer de la prospérité».
«Ce n’est pas une situation normale d’avoir l’État qui prend en charge 100% des salaires», a-t-il ajouté.
Pour François Asselin, président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME), une telle décision entraînera des licenciements. Il souhaite que l’exécutif attende le mois de septembre avant toute réduction d’ampleur du dispositif.
Du côté du patronat, le Medef s’oppose lui aussi à une modification de la prise en charge du chômage partiel.
L’État a également fait en sorte de faciliter l’obtention de prêts pour de nombreuses sociétés. D’après Bercy, 80 milliards d’euros ont été accordés au bénéfice de 445.000 entreprises au 21 mai. Des sommes qu’il faudra rembourser. Le paiement de certains loyers et charges sociales a également été reporté, mais non annulé.
De longs mois de catastrophe économique à l’horizon ?
RépondreSupprimerS’il est fort probable que l’on ne soit qu’au début de la vague de faillites, de nombreuses sociétés sont déjà au bord du gouffre.
«Pour l’instant, les entreprises sont portées par les mesures gouvernementales. Mais la vague viendra dans les mois prochains. Elle touchera tous les secteurs, notamment les groupes qui ont des contrats internationaux, qui se trouvent inévitablement fragilisés», explique à nos confrères du Monde Loïc Belleil, président du tribunal de commerce de Nantes.
L’enseigne d’ameublement Alinéa, qui emploie environ 2.000 personnes, a été placée en redressement judiciaire le 13 mai. Même chose du côté du groupe André, spécialisée dans la vente de chaussures. Le tribunal de commerce de Bobigny (Seine-Saint-Denis) a quant à lui ordonné le 15 mai la mise en redressement judiciaire de Naf Naf, qui emploie 1.170 salariés.
D’autres entreprises comme l'enseigne de chaussures et de vêtements La Halle (Vivarte) et ses plus de 6.000 employés sont placés en procédure de sauvegarde.
Le secteur de l’audiovisuel est également touché. NextRadioTV, maison mère de BFMTV et RMC, a annoncé le 19 mai qu’elle mettait en place un «plan de transformation et de reconquête post-Covid». Ce dernier prévoit de réduire les effectifs. Le recours aux intermittents, pigistes et consultants devrait être divisé par deux.
Même de grands fleurons industriels français comme Renault sont touchés. Le constructeur automobile envisagerait de fermer quatre sites en France, selon Le Canard Enchaîné. Du côté du géant de l’aéronautique Airbus, les temps sont également difficiles. D’après nos confrères du Figaro, Guillaume Faury, président exécutif de l’avionneur européen, a envoyé un courrier aux 135.000 salariés du groupe afin de les prévenir «de se préparer à des réductions d’emplois potentiellement plus importantes qu’annoncé».
Pas mieux du côté du sport. Selon Mediapart, plusieurs clubs de football professionnels français sont au bord de la faillite.
Jérôme Gernais, président de la chambre du commerce et de l’industrie de l’Indre, a souligné la gravité de la situation au quotidien Le Monde:
«Il ne faut pas se laisser tromper par les entreprises qui ont continué à travailler durant ces deux mois de confinement: elles assuraient des commandes antérieures. Mais les carnets de commandes ne vont pas se remplir de sitôt, cela va être très long et c’est un problème mondial.»
https://fr.sputniknews.com/economie/202005221043826672-faillites-et-licenciements-dans-les-mois-qui-viennent-la-france-face-au-desastre-economique-/
SupprimerIl n'y a pas plus de virus en magasins qu'en supermarchés ! Mais, il y a eu un 'arrangement' pour couler les petits magasins qui font du tort aux grandes surfaces. En supermarchés on ne discute pas ! (on ne connait personne !) En magasins il y a le dialogue, l'amitié, et cela n'a pas de prix.
Des milliers de véhicules Toyota non demandés transportés vers des stades en Californie – photos
RépondreSupprimer17:49 22.05.2020
Avec la pandémie de Covid-19, de nombreuses entreprises se sont retrouvées à l’arrêt. Le constructeur japonais Toyota et des sociétés de location de voitures ont dû garé des milliers de véhicules sur des parkings de sites sportifs en Californie.
De nombreux sites sportifs en Californie sont devenus de véritables parkings géants en plein air face à la crise provoquée par la Covid-19, rapporte le Los Angeles Times.
Ainsi, plusieurs parkings de stades se sont retrouvés inondés de milliers de voitures non demandées, notamment de véhicules Toyota neufs livrés du Japon, mais pas encore acheminées vers les concessionnaires, ainsi que des voitures de sociétés de location et d'autopartage.
Les voitures sont transportées vers des complexes sportifs en Californie, comme les stades des équipes de baseball des Dodgers et des Angels, ou encore l'hippodrome Santa Anita Park.
Des stocks de Toyota
Quant aux Toyota, elles ont été livrées par bateau au port de Long Beach où elles ont été déchargées. Mais les livraisons aux concessionnaires ont été retardées à cause de la pandémie.
Les entrepôts portuaires étant déjà bondés, le constructeur japonais a dû louer des parkings à côté des stades fermés car tous les événements sportifs ont été annulés en raison du coronavirus.
https://fr.sputniknews.com/societe/202005221043827661-des-milliers-de-vehicules-toyota-non-demandes-transportes-vers-des-stades-en-californie--photos/
Pourquoi ces modèles COVID-19 ne sont pas de la vraie science
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 22/05/2020 - 12:40
Écrit par Gary Galles via The Mises Institute,
Depuis le début de la crise du COVID-19, les Américains ont été informés à maintes reprises que la politique publique était basée sur la science (avec un S majuscule) et que le public devrait simplement obéir aux scientifiques.
Mais l'exactitude de leurs prédictions et la pertinence des politiques qui en résulte semblent avoir été à peine meilleures que Ask Dr. Science et le taux de précision de 0% de ses réponses.
En fait, les erreurs massives de mesure qui ont fait partie intégrante de l'exposition scientifique COVID Kops devraient nous ramener à ce que Lord Kelvin a dit à propos de la science et de la mesure:
"Si vous ne pouvez pas le mesurer, alors ce n'est pas de la science" et "votre théorie est plus susceptible d'être basée sur l'imagination que sur la connaissance."
Pour avoir une idée de la gravité des problèmes de mesure de COVID, il suffit de se tourner vers les deux experts médicaux qui apparaissent le plus souvent sur nos écrans de télévision.
Le Dr Anthony Fauci a récemment déclaré qu'il croyait que son nombre de morts était «presque certainement plus élevé» que ce qui avait été indiqué, car «il peut y avoir des personnes décédées à la maison qui avaient un COVID, qui n'ont pas été comptées comme COVID parce qu'elles n'ont jamais vraiment atteint le hôpital."
En revanche, le Washington Post a récemment rapporté que Deborah Birx pensait que le système de comptabilité des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) comptait deux fois certains cas, augmentant les mesures de cas et de mortalité "jusqu'à 25%". Et quel pourrait être un énoncé plus clair des problèmes de mesure que l'affirmation de Birx selon laquelle «il n'y a rien du CDC en qui je puisse avoir confiance» ?
Les mesures déformées nous accompagnent depuis le début de la crise COVID.
Les cas bénins étaient (et sont toujours) fréquemment non détectés. Cela signifie que nous avons sous-estimé le nombre de personnes qui ont (ou ont eu) la maladie. Cela signifie également que nous avons surestimé le risque de contagion, qui est peut-être le déterminant le plus crucial du risque de COVID pour les autres.
Au début, le nombre de tests était très limité et bon nombre des premiers étaient défectueux. Ainsi, alors que de plus en plus de personnes sont testées, en particulier de manière systématique, plutôt que de cibler uniquement ceux qui sont déjà soupçonnés d'être atteints de COVID, nous devons démêler la partie de la hausse des cas signalés et l'ajustement implicite à la baisse des chances de décès et du risque. de propagation, causée par le test d'une plus grande partie de la population pour déterminer s'il y a une incidence croissante de la maladie. Lorsque les tests pour les anticorps COVID ont commencé à être effectués, cela a également suggéré que davantage avaient déjà été exposés, modifiant à nouveau les nombres critiques. Et puis il y a des questions sur l'immunité collective, y compris si le fait de se loger à la maison compromet réellement son développement. De même, le nombre constamment mis à jour de cas de COVID dans des zones particulières a surestimé le risque pour les autres, car ceux qui se sont améliorés et ne sont pas une source potentielle de contagion sont toujours inclus dans ces chiffres.
Cette évolution continue de ce que la science nous dit révèle que ce qui nous est dit à un moment donné est très susceptible d'être révisé, sinon inversé, bientôt et peut-être à plusieurs reprises.
RépondreSupprimerCela devrait nous faire méfier de toutes les affirmations, y compris les prévisions, fondées sur la vérité de la science actuelle. Et si cela ne suffisait pas, même l'exactitude des données de base a été compromise.
Dans certains endroits, les décès signalés par COVID incluent tous ceux qui en souffrent à leur mort, surestimant (à un degré que nous ne pouvons pas connaître sans informations plus détaillées que nous avons maintenant, et peut-être jamais, dans de nombreux cas) les risques de COVID. Le directeur du département de la santé publique de l'Illinois, le Dr Ngozi Ezike, a illustré le problème lorsqu'elle a déclaré: «Si vous étiez dans un hospice et que vous aviez déjà eu quelques semaines à vivre, et que vous aviez également eu COVID, que serait compté comme un décès COVID .... [E] ven si vous êtes décédé d'une cause alternative claire, mais vous aviez COVID en même temps, il est toujours répertorié comme un décès COVID. " De plus, l'erreur de calcul n'est souvent pas due à des jugements sur les nuances de gris. Par exemple, le Colorado a compté un homme décédé d'un empoisonnement aigu à l'alcool (son taux d'alcoolémie (BAC) était de 0,55, alors que 0,30 est considéré comme mortel) comme un décès COVID. Et lorsque l'État a recompté pour n'inclure que les décès causés par le COVID, son total est tombé de 1 150 à seulement 878.
New York a également compté comme des cas de décès par COVID impliquant des symptômes de type flulike, même lorsque les tests COVID post-mortem ont été négatifs. Les directives du CDC indiquent explicitement que les cas «suspects», même en l'absence de preuves de test, peuvent être signalés comme des décès COVID. C'est pourquoi le New York Times pourrait signaler que le 21 avril, le nombre de morts dans la ville a été augmenté de «3 700 personnes supplémentaires présumées mortes du coronavirus mais n'ayant jamais été testées positives».
Ensuite, il y a aussi beaucoup de preuves qui portent sur la politique COVID appropriée. Par exemple, Charles Murray a démontré que «la relation entre la densité de population et la propagation du coronavirus crée des ensembles d'options politiques qui sont radicalement différentes dans les zones à haute densité et à faible densité», de sorte que «trop de gens dans les hauts lieux, dans le gouvernement et les médias, ont agi comme s'il y avait une politique morale et juste envers la pandémie qui s'applique à travers l'Amérique. C'est faux."
Randal O'Toole a également cité des études montrant que «les systèmes de transport de masse offrent un moyen efficace d'accélérer la propagation des maladies infectieuses», que «les personnes qui utilisent le transport en commun étaient presque six fois plus susceptibles d'avoir des infections respiratoires aiguës que celles qui n'en ont pas» t », que les métros de New York étaient« un diffuseur majeur - sinon le principal véhicule de transmission - de l'infection à coronavirus », et qu'il existe« une forte corrélation état par état entre transit et coronavirus », pour se demander pourquoi les systèmes de transport en commun n'ont pas été fermés pour arrêter le mal. Ailleurs, il a noté que «le chef de la Metropolitan Transit Authority de New York a été infecté par le virus et le chef du New Jersey Transit en est décédé.»
Toutes ces preuves révèlent que la science COVID et les conclusions que les Américains étaient censés suivre incontestablement ont été incroyablement incomplètes ou erronées, avec la stabilité des sables mouvants. Une telle science est un roseau trop fragile pour en dépendre dans l'élaboration de politiques avec des étiquettes de prix de plusieurs milliards de dollars. Ce qu'il soutient, c'est beaucoup plus d'humilité, reflétant la reconnaissance de Kelvin que:
RépondreSupprimerLorsque vous pouvez mesurer ce dont vous parlez et l'exprimer en chiffres, vous en savez quelque chose; mais quand vous ne pouvez pas le mesurer, quand vous ne pouvez pas l'exprimer en chiffres, votre connaissance est d'un genre maigre et insatisfaisant; ce peut être le début de la connaissance, mais vous avez à peine, dans vos pensées, avancé au stade de la science.
https://www.zerohedge.com/technology/why-those-covid-19-models-arent-real-science
Devriez-vous vous faire tester pour COVID-19 ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 22/05/2020 - 11:10
Écrit par Chris Campbell via lfb.org,
Qu'est-ce qu'un «cas confirmé» de COVID-19 ?
Non, ce n'est pas une question piège.
C'est quelqu'un qui a été testé positif pour COVID – 19.
Autrement dit, vous pouvez être en parfaite santé, avoir un test positif et devenir un «cas confirmé».
(Vous êtes donc classé comme «asymptomatique».)
Donc, à la lumière de toutes les politiques incroyablement fortes créées en réponse aux «cas confirmés» qui brûlent dans le monde ...
Tout dépend donc de la précision des tests PCR - la méthode la plus utilisée aujourd'hui.
Bien sûr, une précision de 100% est impossible dans quoi que ce soit.
Mais la question est, quelle est leur précision ?
Même de minuscules inexactitudes deviennent significatives à l'échelle.
"Si le test est précis à 99%", a souligné le chercheur David Crowe dans cet article, "dans une ville de plus de 10 millions d'habitants, comme Wuhan, il y aurait environ 100 000 faux positifs (1%)".
Le hic ?
Le test d'une population non infectée ne produira que des faux positifs et aucun faux négatif.
Étrangement, le problème potentiel de faux positifs avec les tests PCR n'est guère pris en compte dans l'équation.
Si l'histoire est un guide, cependant, c'est inévitable.
Et ces études ne font qu'effleurer la surface:
Le South African Medical Journal a publié un article en 2012 montrant que 40 nourrissons sur 718 testés par PCR au cours d'une période de 6 ans avaient en fait été de faux positifs, à un taux de 5,57%.
Dans une étude menée par des chercheurs à Taïwan, les tests de PCR se sont révélés avoir entraîné «une fausse positivité dans au moins 13,2% des 250 échantillons de selles cliniques».
En outre, en utilisant le même test (PCR) pour la coqueluche ou la coqueluche, le CDC a déclaré:
«Il faut éviter de tester les personnes asymptomatiques car cela augmente la probabilité d'obtenir des résultats faussement positifs. Les contacts étroits asymptomatiques des cas confirmés ne doivent pas être testés et le test des contacts ne doit pas être utilisé pour les décisions de prophylaxie post-exposition. »
Est-ce que cela pourrait se poursuivre avec le test COVID-19?
Peut-être.
Le problème est que nous ne savons pas.
Pourquoi ?
Il n'y a pas d'étalon or
Le test PCR est une technique de fabrication d'ADN qui utilise des «cycles» pour agrandir du matériel génétique spécifique.
Les tests COVID – 19 recherchent de petits segments d'ARN (gènes) du génome COVID – 19. (Sur le génome total, ils pourraient rechercher environ 1%.)
RépondreSupprimerLa FDA a approuvé 33 tests PCR différents de fabricants différents.
Problème n ° 1: il n'y a pas de norme unique sur ce qu'il faut détecter.
Certains des tests approuvés par la FDA ne nécessitent qu'un seul segment pour être positif. D'autres en nécessitent deux. D'autres en nécessitent deux, mais un seul doit être présent. D'autres nécessitent trois, mais nécessitent deux pour être présents. D'autres insistent sur les trois.
Lequel fonctionne le mieux ? Nous n'avons aucune idée. Ils sont tous approuvés.
Problème n ° 2: il n'y a pas de norme unique pour la coupure.
Lorsqu'elle est utilisée comme test, la technique de PCR ne produit pas de résultat binaire négatif / positif.
Il montre le nombre de cycles requis pour détecter suffisamment de matériel génétique pour battre le seuil.
Cependant, si la coupure est trop élevée ou trop basse, cela pourrait produire un faux positif ou négatif.
Le professeur expert en PCR Stephen Bustin a déclaré que les cycles devraient être limités à 35, car tout ce qui est au-dessus pourrait générer un faux positif.
En outre, les lignes directrices de l'Information minimale pour la publication des expériences de PCR quantitative en temps réel (MIQE) recommandaient de rejeter tout ce qui était de 40 ou plus.
Cependant, dans l'examen de 33 tests approuvés par la FDA, la coupure variait considérablement.
Un fabricant a recommandé 30 cycles. Un autre 31. Un autre 35. Un autre 36. Un autre 37. Et un autre 38. Un autre 39.
40 cycles était le plus populaire, choisi par 12 fabricants.
Deux autres ont recommandé 43 et 45.
Ainsi, selon le fabricant d'où proviennent les tests, cela peut dépendre du nombre de faux positifs ou négatifs affichés.
(Qui envoie des tests à toutes ces usines de conditionnement de viande ? Sont-elles fiables ? Le savons-nous ?)
Tester les mésaventures ?
De plus, il n'y a pas de cohérence dans ce que les tests montrent chez des patients individuels qui sont testés à plusieurs reprises.
- Les personnes qui se sont complètement remises de la maladie - «cas confirmés» - ont commencé à subir un test négatif, puis à nouveau positif, sans rechute des symptômes.
- Dans une des premières études de Singapour, la majorité des 18 patients ont eu un test positif, puis négatif, suivi d'un test positif.
- Des scientifiques chinois ont rapporté que 29 des 610 patients d'un hôpital de Wuhan ont subi 3 à 6 tests qui ont basculé entre négatif, positif et indéfini.
- Pourtant, offrant peut-être un indice, lorsqu'un groupe de médecins a testé 4 084 échantillons pour le COVID-19, ils ont trouvé des résultats ZÉRO positifs.
Cela comprenait 337 personnes rentrant de Chine, testées deux fois, et 32 ??personnes suspectées d'infection.
"Il est statistiquement improbable", dit Crowe, "que ce laboratoire ait eu la chance de ne pas obtenir de cas COVID-19, il est plus probable qu'ils aient utilisé des critères plus stricts, illustrant que les performances non seulement des kits de test, mais des laboratoires, avec ce nouveau test, est complètement inconnu. Pourtant, un positif reste incontesté dans tous les cas. »
RépondreSupprimerPlus d'étrangeté abonde…
- La quantité d'ARN n'est pas corrélée à la maladie.
Dans une enquête auprès de personnes positives pour l'ARN à Guangdong, en Chine, les scientifiques ont examiné la «charge virale» (quantité d'ARN) et ont conclu: «La charge virale détectée chez le patient asymptomatique était similaire à celle des patients symptomatiques.»
Pour certains, cela signifiait que les personnes asymptomatiques étaient tout aussi contagieuses que les personnes symptomatiques.
Cependant, cela pourrait aussi plutôt montrer que les tests de «charge virale» ne sont pas en corrélation avec le niveau de maladie. Et cette manière de tester pourrait être fondamentalement erronée.
C'est peut-être pour cela que Kary Mullis, inventeur du test PCR, a déclaré:
«La PCR quantitative est un oxymore. La PCR vise à identifier qualitativement les substances, mais de par sa nature même, elle n'est pas adaptée à l'estimation des nombres. »
- Les symptômes persistent sous le seuil.
Un autre article a montré que les positifs à l'ARN de la PCR allaient «indétectables» (négatifs ou non infectés) jusqu'à 3 à 11 jours avant la fin des symptômes.
Cela implique que le virus causait la maladie, mais n'apparaissait pas réellement dans le corps.
(Est-ce possible ?)
Le plus gros problème
Nous utilisons ces tests comme base de chaque décision - locale et nationale.
Et il y a peu de cohérence.
À l'hôpital, par exemple, dès qu'une personne présentant des symptômes est testée positive, elle est traitée comme si elle souffrait de COVID – 19 / SRAS.
Cela peut conduire les médecins et les infirmières à passer à des traitements invasifs et agressifs, qui pourraient tous avoir de graves effets secondaires.
Après la panique du SRAS, de nombreux médecins ont montré que les traitements (dont beaucoup sont utilisés aujourd'hui pour le COVID) étaient souvent inefficaces et avaient des effets secondaires nocifs, dont un était lié à un taux de mortalité plus élevé.
(Voir le chapitre 1 du mythe infectieux.)
Dans cette veine…
Des taux de mortalité plus élevés
Beaucoup considèrent les chiffres des «décès excessifs» comme une preuve qu'il y a plus de décès COVID – 19 que ceux déclarés.
Mais souvent, ce qui n’est pas pris en compte dans l’équation, ce sont les effets de second ordre de la réaction COVID-19.
1] Traitement médical agressif.
RépondreSupprimerComme dit, s'il est testé positif et avec des symptômes, le patient reçoit une sorte de traitement. L'intubation et les traitements médicamenteux ont des effets secondaires qui peuvent être mortels pour les personnes déjà faibles.
2] Isolement
Les patients sont souvent isolés, laissés seuls et interdits aux visiteurs, ce qui augmente potentiellement les risques de décès.
Il est bien connu que l’isolement est terrible pour la santé humaine.
Crowe:
«La littérature sur les avantages des visites aux patients est trop vaste pour être citée ici, mais les visiteurs peuvent aider les patients à comprendre ce que le personnel médical dit et propose de faire, à fournir un confort émotionnel, à soulager l'ennui et à faire croire au patient que sa vie vaut la peine de continuer. "
3] Retarder le traitement
En plus d'interdire toutes les chirurgies électives et de décourager les gens d'aller à l'hôpital (de peur d'attraper le virus), les New-Yorkais en arrêt cardiaque dont le cœur ne peut pas démarrer sur la scène ne peuvent, en règle générale, être transportés à l'hôpital.
4] Conséquences de l'accouchement à domicile
Un groupe d'action juridique canadien appelé le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles a écrit à Trudeau et aux premiers ministres provinciaux pour leur demander de quantifier les méfaits de l'isolement à domicile et les restrictions de mouvement et d'association.
Ils ont demandé la mort de:
- Augmentation des taux de suicide en raison du chômage, de la faillite ou de la pauvreté en raison de la perte d'emploi ou de la fermeture d'une entreprise.
- Décès dus à l'alcoolisme et à la toxicomanie, aggravés par l'isolement, la perte d'emploi et les interactions sociales.
- La violence domestique en forçant les individus à rester dans des quartiers étroits avec des partenaires violents.
- Décès de personnes âgées, infirmes par manque de visiteurs pour observer leurs conditions et réagir de manière appropriée
- Décès dus à l'annulation de chirurgies électives et incapacité d'accéder aux services hospitaliers. Edge Health a averti le 25 avril qu'il pourrait y avoir 2 000 décès médicaux PAR SEMAINE à cause des effets non COVID de la panique, tels que les AVC, les crises cardiaques et le diabète.
- Décès futurs dus à une mauvaise santé accrue des enfants qui ont peu de possibilités d'exercice ou d'air frais.
5] Conséquences de la germophobie
La désinfection enragée pourrait causer des problèmes à long terme, mais à court terme, elle a déjà été associée à une forte augmentation des appels aux centres antipoison des États-Unis, selon le CDC.
De plus, cela pourrait nous rendre tous plus sensibles aux agents pathogènes, car notre système immunitaire ne construit pas les anticorps appropriés.
6] Pollution atmosphérique
RépondreSupprimerLa pollution de l'air aurait pu être un facteur énorme dans les premiers cas, entraînant un traitement médical agressif… et plus de décès.
Les scientifiques de l'Université de Harvard ont découvert qu'une augmentation de 1 microgramme de particules fines par mètre cube était associée à une augmentation de 8% des décès par COVID – 19.
Une étude italienne a montré que «les personnes vivant dans une zone à forte concentration de polluants sont plus sujettes à développer des affections respiratoires chroniques et adaptées à tout agent infectieux. De plus, une exposition prolongée à la pollution atmosphérique entraîne une réponse inflammatoire chronique, un stimulus, même chez des sujets jeunes et en bonne santé. Nous concluons que le niveau élevé de pollution dans le nord de l'Italie doit être considéré comme un cofacteur supplémentaire du niveau élevé de létalité enregistré dans cette zone. »
7] Régime alimentaire et nutrition
Une étude comparant des patients COVID – 19 en soins intensifs à des patients en salle régulière a révélé que la carence en vitamine D était présente dans 85% des premiers, mais 57% des seconds.
TOUS les patients de moins de 75 ans de l'USI COVID – 19 avaient une carence en vitamine D.
Les auteurs ont également noté que la carence en vitamine D est plus fréquente chez les personnes de plus de 60 ans et les personnes à la peau plus foncée. Ils ont également noté que l'hydroxychloroquine augmente les taux plasmatiques de vitamine D.
Conclusion ?
Selon les mots de David Crowe: «Il se passe très peu de science. Il y a une précipitation à expliquer tout ce qui se passe d'une manière qui ne remet pas en cause le paradigme viral, ne remet pas en cause la signification des résultats des tests et qui favorise l'utilisation de médicaments antiviraux non testés.
«Et, avec suffisamment de temps, un vaccin sera développé et, pour certains pays traumatisés, il pourra devenir obligatoire, même s'il est développé après la disparition de l'épidémie, de sorte que prouver qu'il réduit le risque de développer un test positif sera impossible."
Donc, jusqu'à ce qu'il y ait de l'uniformité, de la raison et de la clarté sur les tests ...
Réfléchissez bien si vous en avez réellement besoin ou non.
https://www.zerohedge.com/health/should-you-get-tested-covid-19
HCQ, Moderna et la politique de la «médecine» pandémique
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven., 22/05/2020 - 10:41
Écrit par Adam Taggart via PeakProsperity.com,
Il semble bien que la science perd beaucoup d'argent ...
Pourquoi l'hydroxychloroquine (HCQ), l'un des médicaments les plus prescrits de l'histoire, est-elle soudainement étiquetée comme une menace mortelle? Et pourtant, des composés à peine testés, comme le «vaccin» de Moderna, sont rapidement et fortement défendus?
Il devient de plus en plus difficile de voir l'incohérence / l'hypocrisie comme tout sauf un spectacle hautement politique dans lequel la science perd beaucoup d'argent.
Peut-être que rien ne le fait mieux que Moderna et son annonce à succès lundi que son «vaccin» a généré suffisamment d'anticorps pour donner aux destinataires l'immunité à covid-19.
Le stock a grimpé en conséquence… puis la société a immédiatement annoncé un nouveau cycle de financement.
Et maintenant, tout à coup, les experts disent que Moderna n'a pas fourni de données essentielles pour vérifier ses réclamations.
Attendez… les «nouvelles» de lundi auraient-elles pu être une supercherie?
Et puis nous découvrons que le nouveau «tsar de vaccin» de la Maison Blanche, le Dr Moncef Slaoui, qui a siégé au conseil d'administration de Moderna il y a quelques jours à peine, abandonne ses 156 000 options d'achat d'actions dans l'entreprise à un prix avantageux.
Est-ce que Moderna est vanté parce qu'il est vraiment plus prometteur que HCQ largement disponible et bon marché? Ou parce que ceux qui dirigent le spectacle en profitent? Nous ne savons pas avec certitude, mais ça pue comme si c'était le dernier.
N'oubliez pas de télécharger gratuitement le livre Prosper de Peak Prosperity !. Compte tenu de sa pertinence pour se préparer à tout type de crise, pandémique ou autre, Chris et moi le rendons maintenant disponible gratuitement dans le monde pendant le verrouillage de Covid-19.
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https://www.zerohedge.com/health/hcq-moderna-politics-pandemic-medicine
De grandes choses se produisent !
RépondreSupprimerPar Karen Kwiatkowski
23 mai 2020
Avant d'expliquer à quel point l'ère COVID-19 est merveilleuse et va l'être pour nous et pour la liberté, je dois faire un clin d'œil aux préoccupations très réelles concernant l'agriculture des êtres humains par l'État. Le nouveau projet américain semble consister à convertir les vagues ambrées de grains républicains en un seul CAFO géant, avec une alimentation contrôlée centralement, des médicaments prescrits et de nombreuses allées à sens unique et des portes.
Nous ne buvons pas tous du Brawndo, pas encore.
Alors que l'État préfère que nous soyons des moutons, nous devons approcher le troupeau du gouvernement comme un border collie bien formé, depuis la position arrière, avec un œil vif et concentré. Que fait le troupeau et pourquoi fait-il cela? Où sont les leaders et où sont les idiots (pas mutuellement exclusifs, bien sûr)! Quel est notre objectif pour le troupeau? Après tout, le border collie est aussi intelligent que n'importe quel enfant avancé de quatre ans, connaît son travail et a confiance en sa capacité à atteindre un objectif. De plus, il n'a aucun doute qu'il réussira.
2020 est le moment idéal pour être un consommateur d'informations. Bien sûr, les médias sociaux et les géants de l'informatique / de la télévision / de l'infodivertissement / de l'humanitaire (parler de vous, Bill Gates) et de leurs marionnettes politiques visent à façonner ce que nous consommons et comprenons et savons, pour maintenir la confusion, promouvoir la peur et l'obéissance culturelle comme dans un laboratoire, sur gélose. Pourtant, non seulement je suis encore capable de lire LRC, mais de nombreuses autres ressources prolifèrent l'économie autrichienne, l'histoire réelle et des informations réelles dans un contexte réel. The Last American Vagabond a une grande liste de sources d'information qui intéresserait toute personne réfléchie. Cela n'était tout simplement pas disponible, il y a même dix ans. L'AIER et FEE, ainsi que Mises.org et une centaine d'autres ont offert un solide contenu économique et autre qui est repris (peut-être à son insu) par des porte-parole traditionnels (The Post, The Times, Drudge, etc.), et des tendances . Même si les médias grand public - c'est-à-dire les médias du gouvernement d'entreprise - ont du mal à rester pertinents et intéressants et «en contrôle» - nous observons une évolution d'un merveilleux contenu mondial qui compte vraiment.
Je vois le génie des jeunes générations et le doux âge de la communauté Internet, et je suis impressionné.
Au-delà, voici une courte liste qui me fait sourire.
La bulle de l'éducation publique éclate. La maison, privée, indépendante et non scolarisée est imparable, et la technologie permet de surpasser n'importe quelle école publique de mille manières différentes. Les collèges et l'énorme dette fédérale qu'ils consomment sur le dos des étudiants et des parents doivent enfin rendre des comptes. Ces dernières années, la prise de conscience du fardeau de la dette des prêts universitaires pour les jeunes générations et l'amélioration de l'information sur ce que l'économie (vos voisins du monde entier) veulent vraiment et ont besoin que vous fassiez pour eux améliorent la prise de décision des jeunes générations. Ils empruntaient déjà moins pour les études collégiales, et la réponse actuelle du gouvernement à la mégacorona ramène le clou.
La préparation est une tendance. Tout le monde est intéressé à cuisiner et à stocker des aliments, à faire preuve de créativité à la maison, à acquérir des compétences de productivité et de survie, et le bricolage, toujours populaire, se fait tirer une vraie balle dans le bras, pour ainsi dire. Les mêmes conglomérats de médias, les médias sociaux, Youtube et d'autres contrôleurs de gouvernement d'entreprise (sur le modèle du message de la CIA façonnant ici et ici) constatent que nous aimons beaucoup de choses différentes, et cela comprend des compétences de préparation et de survie.
RépondreSupprimerL'histoire est de plus en plus accessible à la génération Internet. Par exemple, cette remarquable série de Whitney Webb sur l'affaire Amerithrax est remarquable par sa profondeur et sa portée, et c'est mieux que tout ce que Hollywood pourrait jamais tirer. Pour la première fois, les personnes qui n'ont jamais regardé la télévision et choisissent leurs films à la demande, en fonction de ce que leur propre réseau - et non celui du gouvernement d'entreprise - conseillent, peuvent apprendre comment les choses se connectent. Qui savait que les six degrés de séparation de Stanley Milgram ne sont plus que trois ? Ils l'ont fait !
L'authentification est le nouveau sixième sens. Sentir la vérité, identifier qui est et n'est pas authentique, et ce qui est et n'est pas réel et vrai, a évolué avec les médias de masse et Internet, la compression des données et l'IA. Presque personne sur la planète ne croit que la télé-réalité est réelle. Très peu de gens croient que n'importe quel gouvernement a à dire, n'importe où, et bien sûr, Donald Trump a été extrêmement efficace pour aider ce récit fondamental. Au-delà de cela, Wikileaks a été d'une grande aide, révélant ce qui se cache derrière les nouvelles que nous entendons et les mensonges que les politiciens et les entreprises crachent. Cette évolution a mis du temps à arriver - et maintenant, elle sape la confiance, même dans le meilleur organisme d'application de la loi. La réaction au rejet du dossier du général Flynn pour malversations par le FBI obtient un signe de tête et un haussement d'épaules, car nous savons déjà que la police peut légalement vous mentir, le gouvernement vous mettra en place et les négociations de plaidoyer sont généralement conçues. On pourrait appeler cela un âge de cynisme, mais les Américains ne sont en aucun cas des cyniques. C'est simple «nous et eux», c'est exactement la façon dont le gouvernement se comporte. Tout le monde sait ça.
Nous comprenons l'état de surveillance. C'est une question délicate, comme le souligne John Whitehead, et le souligne avec précision depuis des années. Les générations Internet acceptent cela comme le coût de faire des affaires et, à certains égards, sont dans l'intérêt de l'État, de déplacer toute notre vie en ligne, sans argent liquide, sans papier, avec une consommation organisée 24h / 24 et 7j / 7 par le gouvernement / l'entreprise, car cela est plus facile que l'alternative. Beaucoup de gens aiment l'idée d'une voiture ou d'un taxi sans conducteur, et ont grandi avec et acceptent des procédures de sécurité intrusives, des verrouillages, des policiers militarisés et le panoptique. Cependant, ils comprennent également que ce qui leur appartient est le leur, et ils apprécient le chiffrement facile et bon marché, et sont prêts à l'utiliser, contrairement à leurs parents et grands-parents qui se plaignent de l'état de surveillance et ne chiffrent pas leurs messages, utilisent un non-Five Eyes country VPN, ou un outil de chat et de réunion en ligne sécurisé.
Nous avons perdu tout intérêt pour la guerre. La féminisation de la société occidentale peut créer des moutons, et les moutons ne se battent pas bien. Ce n’est pas un hasard si le langage de la «guerre» est devenu omniprésent, de la part des gouvernements, des entreprises et des religieux. Il y a quelque chose de convaincant dans la dichotomie de la clarté sociale en temps de guerre, même si la confusion, la destruction et le hasard prévalent. Ce mélange de clarté et de brouillard entrecoupé fait couler notre adrénaline, et l'adrénaline est un médicament que tous les autres médicaments veulent être lorsqu'ils grandissent. Dans un exemple parfait d'idiocratie gouvernementale, nous avons des rapports simultanés de militaires américains aidant à la vaccination de la population totale pour le nCorona tout en interdisant à quiconque possédant les anticorps de s'enrôler, sans dérogation. Pas sûr, quelqu'un?
RépondreSupprimerLa planification centrale de l'hôpital a été révélée non réparable. C'est la leçon 99 de la formation continue en soins de santé que tous les Américains reçoivent depuis le groupe de travail sur les soins de santé de Clinton en 1993. Les mandats COVID et des décennies d'édits antérieurs du gouvernement ont coûté des milliards de dollars aux hôpitaux et aux patients, ainsi que 250 000 à 400 000 décès. par an, et illustrent les défauts de la planification centrale. Ici, en Virginie bleue, en vertu de l'ordonnance 53 Lockdown, seuls 22% des ventilateurs sont même en service, et les hôpitaux sont largement vacants, avec des agents de santé de toutes sortes qui ont été licenciés ou lâchés. Alors que la médecine planifiée échoue à nouveau audacieusement, par exemple, le nombre de personnes disposant d'un approvisionnement en oxygène portable et privé dans leurs maisons ne cesse d'augmenter, présent dans 1,5 million de foyers il y a quelques années à peine. Les Américains cherchent de plus en plus à se guérir et le font.
Le verrouillage a créé 100 millions de foyers de résistance - même parmi ceux qui pensent que le gouvernement aide. Vous enlevez des emplois, des opportunités, de l'exercice, des liens familiaux et fournissez de l'argent «gratuit», une surveillance de masse et un État policier - cela devrait fonctionner, n'est-ce pas, Go? Mais de nombreux humains sont au moins aussi intelligents que les border collies, et nous avons trouvé toutes sortes de nouvelles façons d'obtenir nos correctifs, dont la plupart nécessitaient de nouveaux apprentissages et de nouveaux outils, même de nouvelles priorités et de nouveaux objectifs qui compléteront l'insurrection à venir. Rien de ce que nous apprenons ne fait de nous de meilleurs citoyens, mais une partie de ce que nous apprenons va nous aider à survivre. Que ce soit exprès ou par accident, que nous soyons d'accord politiquement ou non, nous accélérons tous l'effondrement de l'état déjà en train de s'effondrer, et nous voyons même au-delà de cet horizon vers quelque chose de mieux.
J'ai déjà mentionné le livre fantastique Deep Survival, avec pour thème qui survit et qui ne survit pas. Le survivant est le gars ou la fille qui admet très tôt qu'ils mourront probablement dans et dans leur situation difficile, et d'une manière ou d'une autre, cette reconnaissance déclenche une sorte de créativité et d'intrépidité et de réflexion qui permet de bonnes décisions et des actions sages, si parfois risquées, . Bien sûr, vous avez besoin de grain et de quelque chose dont un romancier à succès parle ici. Paulette Jiles, auteur d'un certain nombre de livres historiques et de science-fiction, y compris les Nouvelles du monde, dit:
L'esprit a également besoin de diverses choses, mais je pense que dans le monde contemporain, il nous manque un élément vraiment vital, qui est le monde de l'imagination. C'est pourquoi les gens affluent vers ces remakes de Spiderman et Superman et Deadpool et tous les Star Wars, Star Trek, Doctor Who, peu importe, parce que ceux-ci sont stupides et drôles et vous pouvez simplement vous envoler dans le monde de l'imagination sur un monde magique ballon — et vous devez le faire. Ce n'est pas du sucre. Ce n'est pas un dessert. C'est aussi nécessaire que la protéine.
RépondreSupprimerJe ne peux m'empêcher de penser que la réponse du gouvernement COVID-19, dans toute sa puissante désorganisation enflammée et son grand autoritarisme, fait en fait avancer les choses assez bien pour la cause de la liberté, si vous savez où chercher.
https://www.lewrockwell.com/2020/05/karen-kwiatkowski/great-things-are-happening/
Les médecins de Californie affirment que les décès par suicide dépassent les décès par coronavirus
RépondreSupprimerUne étude de JP Morgan indique que les verrouillages détruisent maintenant des millions de moyens de subsistance dans le monde
Par Bill Sardi
23 mai 2020
Un médecin californien dit avoir vu un an de suicides au cours des quatre dernières semaines de détention.
Plus de personnes seraient mortes d'un suicide dans un comté du Tennessee que de coronavirus dans tout l'État.
Un porte-parole du Well Being Trust à Oakland, en Californie, a publié un rapport qui prédit jusqu'à 75 000 décès dus à l'abus de drogues ou d'alcool et au suicide directement causés par des blocages dus au coronavirus. Peur, terreur et isolement sont les mots utilisés pour décrire ces morts de désespoir. La peur du chômage, pas d'avenir, la vaccination forcée, ont fait perdre espoir à beaucoup. Ce rapport émane de Californie où le gouverneur vient de prolonger le verrouillage forcé de 90 jours.
Une autre étude menée par Just Facts prédit que les verrouillages détruiront 7 fois plus d'années de vie humaine que les verrouillages stricts peuvent sauver.
Les décès et le verrouillage des coronavirus ont produit une angoisse et un chagrin disproportionnés face à la mort d'êtres chers. Bien que limités à une petite fraction du public (le coronavirus aurait tué 1 Américain sur 5000, contre 1 Américain sur 116 qui meurent chaque année), ces décès ont ondulé à travers le tissu de l'Amérique moderne.
Plus troublant, avec 35% à 55% des travailleurs américains ayant perdu leur emploi ou ayant subi une réduction des heures de salaire, les études montrent qu'il y a un risque de mortalité 63% plus élevé associé au chômage.
Il est difficile de conclure autre chose que le fait que les soins aux patients souffrant de coronavirus dans l'État de New York doivent être remis en question étant donné que NY a un taux de mortalité beaucoup plus élevé que dans d'autres États. Ce n'est peut-être pas l'infection virale mais les soins qui ont causé tant de décès. L'admission forcée de patients âgés en phase de coronavirus en convalescence des hôpitaux vers les maisons de soins infirmiers a été remise en question. Le recours excessif aux ventilateurs est une autre préoccupation. Les ventilateurs peuvent provoquer des lésions pulmonaires fatales. Dans certains cas, le traitement peut être pire que la maladie. Certains patients sont venus à l'hôpital avec un rhume ou la grippe et ont contracté l'infection redoutée du coronavirus COVID-19 parce que 10 à 20% des travailleurs de la santé sont porteurs du virus.
Une étude récente de JP MORGAN indique que de nombreux États américains ont connu des taux d'infection plus faibles après la fin des blocages "qui détruisent maintenant des millions de moyens de subsistance dans le monde".
"Les lock-out ont été administrés sans trop se soucier du fait qu'ils pourraient non seulement causer des ravages économiques, mais potentiellement plus de morts que COVID-19 lui-même", a déclaré l'auteur Marko Kolanovic, physicien de formation et stratège pour JP Morgan.
https://www.lewrockwell.com/2020/05/no_author/california-doctors-say-suicide-deaths-exceed-coronavirus-fatalities/
Moderna et le vaccin COVID: quel genre de folie ?
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
23 mai 2020
"Il est tout à fait exact de dire que le NIAID réalisera un bénéfice sur le vaccin Moderna / NIAID. Il y a 6 scientifiques du NIAID qui travaillent pour le Dr Fauci, dont chacun recevrait indéfiniment 150 000 $ / an en récompense. C'est donc 900 000 $ à perpétuité pour ses subordonnés. » Mary Holland, avocate générale, Défense de la santé des enfants
Achèteriez-vous une voiture d'occasion de la société appelée Moderna ?
Le gouvernement américain a déboursé 500 millions de dollars pour cette entreprise de biotechnologie du Massachusetts pour un vaccin COVID.
Sur quoi ?
Forbes, 8 mai: «C'est un gros pari pour la société de dix ans, qui a actuellement 24 produits en préparation, mais rien pour l'instant sur le marché. La biotechnologie arbore une énorme capitalisation boursière de 17,5 milliards de dollars, mais elle a enregistré une perte nette de 514 millions de dollars sur des revenus de seulement 60 millions de dollars l'an dernier. Et la majeure partie de cet argent entrant provient de subventions gouvernementales et de collaborations de recherche avec de grandes sociétés pharmaceutiques. »
Moderna n'a jamais mis un seul produit sur le marché.
L'année dernière, il a perdu 514 millions de dollars.
Il a fallu 60 millions de dollars.
Mais cela vaut en quelque sorte des milliards.
Le vaccin COVID sur lequel il travaille utilise une toute nouvelle technologie d'ARN.
Aucun médicament à base d'ARN ou de vaccin n'a jamais été certifié pour un usage public.
D'autres entreprises ont essayé et échoué, principalement parce que la sécurité était un problème grave.
Moderna travaille en partenariat avec l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), l'agence fédérale dirigée par Tony Fauci.
De combien de drapeaux rouges avez-vous besoin ?
Que se passe-t-il ?
ONE: Fauci, Gates et d'autres sont impatients de faire approuver un produit ARN pour un usage public. Dans le domaine des vaccins, le processus de fabrication est beaucoup plus rapide et plus facile que l'approche traditionnelle. Ainsi, ils peuvent inonder le monde avec toutes sortes de nouveaux vaccins en un rien de temps. C’est ce qu’ils veulent: une planète massivement vaccinée sous le canon.
DEUX: Si Fauci peut ramper à travers le vaccin de son partenaire Moderna, le faire approuver et le publier, son statut héroïque parmi le public stupide monterait en flèche encore plus haut. Il pouvait écrire son propre ticket. Directeur du géant National Institutes of Health. Directeur général de l'Organisation mondiale de la santé.
TROIS: Fauci est-il susceptible de tirer une fortune personnelle de sa connexion avec Moderna, si le vaccin à ARN COVID est approuvé? Je ne sais pas, mais bien sûr, un accord discret sur le marché avec Fauci serait une proposition simple.
Aussi simple que le sourire du milliardaire Bill Gates, Howdy Doody.
RépondreSupprimerSi Fauci n'avait pas 80 ans, il serait un colistier idéal pour Joe Biden. Et si Joe vacillait et ne terminait pas son mandat, Fauci deviendrait le président des États-Unis. Après tout, il est président par intérim depuis des mois, dictant la politique de verrouillage et la destruction massive de l’économie.
Peut-être que Tony pourrait taquiner quelques centaines de millions de plus pour Moderna, afin qu'ils puissent préparer une crème anti-âge super spéciale pour lui. Frottez-vous, attendez cinq minutes et vous en avez l'air trente. Voila.
Il est temps pour un médecin de remporter la présidence. C’est naturel. Test pour tout le monde, recherche de contacts mur à mur, score de crédit social, vaccination obligatoire, certificats d'immunité, annulation de la Constitution, lois contre la liberté, destruction de la vie humaine telle que nous la connaissons, mises à jour médicales quotidiennes des conneries du bureau ovale…
«… Aujourd'hui, le président a sorti son carnet de prescription et a écrit ses dernières ordonnances à la nation:« Si après avoir reçu votre injection d'ARN Cybervaxx, vous tombez dans la rue en moussant à la bouche, sachez que vous vivez un événement indésirable . C'est ce qu'on appelle une réponse auto-immune. Fondamentalement, votre corps s’attaque. J'espère que vous portez votre téléphone portable avec vous. Première étape: retirez votre masque pour éviter de vous noyer dans vos propres liquides. Deuxième étape: essayez de maîtriser vos tremblements et vos mouvements de flopp. Troisième étape: sortez votre cellule et appuyez sur 9 ^ 83 * 2A-7bX6. Ce code est sensible à la casse. Quatrième étape - un abri sur place, de l'aide est en route. Dans certaines régions, en particulier les grandes villes, il y aura des retards, en raison d'une surcharge du système technique. Des foules de libéraux errants sont des émeutes. Ils s'attendaient à un miracle en douceur avec Cybervaxx. Mais le déploiement de nouvelles technologies implique toujours des problèmes et des ajustements. Voilà comment fonctionne la science. Et maintenant un mot du secrétaire au Trésor sur la nouvelle monnaie. Bill, emportez-le »…»
Réimprimé avec la permission du blog de Jon Rappoport.
https://www.lewrockwell.com/2020/05/jon-rappoport/moderna-and-the-covid-vaccine-what-kind-of-lunacy/
ÉTATS-UNIS - ILS TROUVENT UN MILLION DE DOLLARS EN LIQUIDE SUR LA ROUTE
RépondreSupprimerUne famille américaine a remis à la police deux sacs postaux remplis de billets de banque qui trainaient sur une route en Virginie.
21.05.2020
Une famille de l'Etat américain de Virginie a trouvé le weekend dernier sur la route deux sacs postaux contenant près d'un million de dollars en liquide. Elle a remis les fonds à la police.
Emily Schantz a raconté à la chaîne de télévision locale WTVR qu'elle était partie en vadrouille en famille, samedi, lorsqu'une voiture devant eux a fait une embardée pour contourner un objet qu'elle n'a pu éviter.
Ils se sont alors arrêtés pour ramasser ce qui leur a semblé être à première vue un gros sac d'ordures, et en ont trouvé un deuxième dans le fossé. Ce n'est qu'en rentrant de leur excursion qu'ils ont découvert le contenu des deux sacs laissés à l'arrière de leur pick-up: une multitude d'enveloppes en plastique contenant de l'argent liquide.
Un geste «exceptionnel»
La famille a honnêtement remis les sacs au bureau du shérif du comté de Caroline, au nord de la capitale de l'Etat de Virginie, Richmond. Un geste «exceptionnel», a salué l'un des agents, Scott Moser. «Nous sommes fiers, ils ont bien représenté le comté en se montrant si honnêtes.»
Emily Schantz a confié à WTVR que remettre les sacs à la police était tout simplement «la meilleure chose à faire», car «ils ne nous appartenaient pas». La police dit ne pas savoir comment les sacs ont pu se retrouver au milieu de la route, mais pense qu'ils étaient destinés à une banque. Ils ont été remis à la poste américaine, qui veillera cette fois à ce qu'ils parviennent à leur destinataire. (AFP/nxp)
https://www.lematin.ch/faits-divers/trouvent-million-dollars-liquide-route/story/13258124
LA CHALEUR EN ARCTIQUE INQUIÈTE LES SCIENTIFIQUES
RépondreSupprimerLa saison de la fonte des glaces au Groenland a débuté à nouveau précocement. Et une vague record de chaleur a été enregistrée en mai en Sibérie. Les experts sont préoccupés.
Des chercheurs ont révélé qu’en 2019, la fonte au Groenland représentait 40% de l’augmentation du niveau des eaux.
22.05.2020, 18h37
La vague de chaleur en Sibérie conjuguée à une fonte précoce des glaces au Groenland ravivent les préoccupations de la communauté scientifique à l'approche de l'été dans la région arctique.
Le début de la saison de la fonte des glaces au Groenland - défini comme le moment où celle-ci s'étend sur au moins 5% de la calotte glaciaire - a été enregistré le 13 mai, selon l'Institut météorologique danois (DMI). Soit avec «près de deux semaines d'avance» par rapport à la date médiane issue de 40 ans de données, a expliqué vendredi à l'AFP Martin Stendel, chercheur au DMI.
En 2019, la saison des fontes avait débuté le 30 avril, mais un début précoce comme cette année reste une source d'inquiétude, selon les scientifiques.
Le Groenland va entrer dans la saison dite d'«ablation» - lorsque les chutes de neige ne compenseront plus la fonte, entraînant un rétrécissement général de la calotte glaciaire - avec un niveau de glace déjà faible dû au peu de neige tombé pendant l'hiver.
Chaleur record en Sibérie
Les chercheurs du DMI ont également noté une vague record de chaleur en Sibérie occidentale en mai. En utilisant ce qu'on appelle la réanalyse - une méthode qui vise à obtenir une vue comparable des enregistrements météorologiques tout en ajustant le manque de disponibilité et de qualité des observations s'étendant sur des décennies - M. Stendel explique que son équipe n'avait pas observé une tellevague de chaleur depuis une soixantaine d'années pour cette période de l'année.
Durant la dernière décennie, plusieurs vagues de chaleur ont été observées dans certaines parties de l'Arctique et à différentes périodes de l'année.
Ce qui se passe aujourd'hui «n'est pas sans précédent, mais c'est quand même assez inhabituel», explique M. Stendel. Il rappelle l'importance de garder un oeil sur la région où «il y a d'énormes quantités de gaz à effet de serre piégées sous la glace» du permafrost. Les températures moyennes dans la région arctique ont augmenté de deux degrés depuis le milieu du XIXe siècle, soit deux fois plus que la moyenne mondiale.
La fonte des glaciers au Groenland n'est pas non plus sans conséquences sur le niveau mondial des mers et des océans. Selon le DMI, la fonte des glaces dans cette région du monde a contribué à l'augmentation d'un centimètre du niveau des mers depuis 2002.
Dans un rapport publié en avril dans la revue The Cryosphere, des chercheurs ont révélé qu'en 2019, la fonte au Groenland représentait 40% de l'augmentation du niveau des eaux. (afp/nxp)
https://www.lematin.ch/sante/chaleur-arctique-inquiete-scientifiques/story/27351561
Ce n'est pas la chaleur du soleil qui font les glaces de l'hémisphère Nord (penché à 11 °) mais uniquement le magma qui sort plutôt à cet endroit lorsqu'il s'approche de l'astre. Les glaciers sont donc fondus de par en-dessous.
Supprimer(...) Des chercheurs ont révélé qu’en 2019, la fonte au Groenland représentait 40% de l’augmentation du niveau des eaux. (...)
Un peu tarés les 'chercheurs' du Matin !
Lorsque la glace font ELLE PERD du volume et non en gagne.