La Ville de Paris distribuera gratuitement 2 millions de masques et explique comment s’en procurer
11:48 10.05.2020
La Ville de Paris mettra gratuitement à disposition de ses habitants des masques en tissu réutilisables. Le maire adjoint chargé des transports a expliqué comment en obtenir.
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La Ville de Paris a annoncé en début de semaine qu’elle allait distribuer gratuitement 2,2 millions de masques aux Parisiens, soit autant que d’habitants. Ils seront disponibles dès lundi 11 mai pour le début du déconfinement. Le maire adjoint chargé des transports, Christophe Najdovski, a expliqué ce samedi sur BFM TV comment s’en procurer.
«Nous allons distribuer des masques réutilisables et lavables à la population avec le réseau des pharmacies», a-t-il indiqué auprès de la chaîne.
Les résidents devront d’abord se rendre sur le site Paris.fr pour obtenir une contremarque qui leur indiquera à quel endroit ils peuvent aller le chercher. L’accès à ces masques est garanti jusqu’au 8 juin. «Les mairies d’arrondissement distribuent, en complément, des masques chirurgicaux pour les personnes âgées de plus de 70 ans», a-t-il ajouté, précisant que leur usage sera obligatoire dans les transports publics.
Ces masques en tissu gratuits sont conformes aux normes de l’Association française de normalisation (AFNOR) et ont été testés par la Délégation générale à l’armement, a assuré la Ville dans un communiqué. Toutefois, l’AFNOR recommande de ne pas les porter plus de quatre heures. Après lavage à 60°C, ils doivent être bien séchés et repassés avant d’être mis à nouveau.
Plus de mesures pour les transports
L’adjoint aux transports a confirmé que les stations de métro, de RER et de bus seront équipées de gel hydroalcoolique dès lundi. Des masques pourront être achetés auprès de la RATP et de la SNCF, via des distributeurs automatiques. Bien que les masques ne soient pas obligatoires partout, M.Najdovski a indiqué que son utilisation était «hautement souhaitable dans l’ensemble de l’espace public».
Notons qu'après le '11 Septembre 2001' (New-York), '11 Mars 2011' (Fukushima), existe désormais le '11 Mai 2020' (Marron) où, 95 % de la pop s'est faite maître de la situation (attente d'explosion de naissances en Décembre !) et pas que là où vous pensez !! Hahahaha !
(...) Après lavage à 60°C, ils doivent être bien séchés et repassés avant d’être mis à nouveau. (...)
HAHAHAHAHAHAHAHA !
UN MASQUE NE SE LAVE PAS ! Il se jette et se brûle !
Quel est le risque de contracter le coronavirus pendant les baignades et sur la plage ?
08:37 10.05.2020
Il est peu probable qu’une personne soit contaminée par le coronavirus lors d’une baignade, aussi bien à la mer que dans les piscines et les spas, estiment des chercheurs du Conseil supérieur de la recherche scientifique en Espagne. Le risque est toutefois plus élevé dans les rivières, les lacs ou les réservoirs non traités.
Les chercheurs du Conseil supérieur de la recherche scientifique en Espagne (CSIC) ont évalué les chances d’être infecté par le nouveau coronavirus pendant les baignades. Les résultats de leurs travaux ont été publiés sur le portail de l’organisation le 5 mai.
Les spécialistes ont tenu à souligné que le sel présent dans l'eau de mer, en combinaison avec l'effet de dilution, contribue probablement à la désactivation du virus. Dans le même temps, les piscines et les spas ont activement recours aux désinfectants, ce qui devrait également être suffisant pour la destruction du coronavirus.
De plus, la température dans les saunas et les spas est normalement supérieure à 60 degrés, ce qui est également nocif pour le virus.
Le risque est plus élevé dans les lacs et rivières
Néanmoins, la survie du virus sera plus élevée dans les rivières, les lacs, dans l'eau douce de manière générale, et les réservoirs non traités. Ainsi, des précautions extrêmes doivent être prises lors de leur visite.
Les chercheurs ont également indiqué que le risque de contracter le coronavirus peut être présent sur la terre ferme, à savoir sur la plage ou au bord d'un réservoir.
Pourtant, les auteurs de l'étude ont suggéré que l'effet combiné du sel de mer, de radiations solaires ultraviolettes et de la température élevée qui réchauffe le sable peut également désactiver le virus.
(...) Les spécialistes ont tenu à souligné que le sel présent dans l'eau de mer, en combinaison avec l'effet de dilution, contribue probablement à la désactivation du virus. (...)
ÔÔOH PUTAING ! 'combinaison avec l'effet de dilution' !! Combinaison 'StarWar' ou 'Malibu' ?
Fallait y penser ! LE MANQUE DE SEL !!
Saupoudrez-vous de sel avant de sortir et VOUS ÊTES SAUVÉ !"
N'oubliez pas de sauvez les autres en salant tous les anus marrons sortis le 11 Mai !
Selon un virologiste allemand le Covid-19 est beaucoup moins létal qu’on ne le pensait initialement !
le 9 mai 2020
Biologiste allemand, le professeur Hendrik Streeck a étudié des groupes de sujets dans son pays et est arrivé à un certain nombre de conclusions provisoires convaincantes concernant le comportement du nouveau coronavirus.
Streeck explique également pourquoi il pense que des mesures draconiennes de «verrouillage» (confinement) ont été décidées à la hâte et peuvent finalement être considérées comme totalement inutiles.
Il a également présenté des données qui donnent une indication d’un «taux de létalité» c’est-à-dire le pourcentage de personnes infectées qui finiront par mourir. De nouvelles découvertes montrent un taux de mortalité par infection à COVID-19 compris entre 0,24 et 0,36% (contrairement à Neil Ferguson qui prétend que ce taux est légèrement inférieur à 1%, peut-être 0,8-0,9%). D’autres experts comme Johan Giesecke pensent que ce taux de létalité est plus proche de 0,1%, soit un mort pour mille personnes infectées.
La différence entre ces taux de létalité est importante, notamment parce que cette statistique est utilisée par les gouvernements pour déterminer la gravité relative de la menace en question. Après que des «experts» britanniques tels que le professeur Ferguson aient massivement surestimé ce taux de létalité, le gouvernement de Boris Johnson a ensuite changé de cap – loin d’une approche plus sensée et fondée sur la science comme la Suède – et a plutôt mis en œuvre une quarantaine expérimentale de style médiéval, ou «confinement» pour essayer de contenir le coronavirus. Au final, la politique britannique s’est avérée être un désastre, conduisant à une catastrophe économique sans précédent ainsi qu’au plus haut total de décès COVID en Europe.
«Cela peut ressembler à un coupage de cheveux en quatre – ces taux sont tous deux inférieurs à un pour cent après tout – mais en réalité, la différence entre ces estimations change tout. À l’extrémité inférieure de 0,1 %, une politique beaucoup plus laxiste devient possible, et à 30 000 décès, elle commence à ressembler au Royaume-Uni qui a déjà traversé le pire. Cependant à l’extrémité supérieure, jusqu’à 1 % selon Neil Ferguson, une politique d’ultra-prudence soutenue est alors nécessaire car une approche plus laxiste pourrait entraîner des centaines de milliers de décès supplémentaires. »
Streeck a également fourni une analyse approfondie des différences de capacité contagieuse du SRAS1 et du nouveau SARS-CoV2, ainsi que des facteurs qui pourraient déterminer l’immunité et quel type de «distanciation sociale» pourrait être utile à l’avenir.
L’animateur Freddie Sayers discute avec le professeur Streeck de ce que son équipe a appris de leur récente étude. Regardez si vous êtes anglophones :
Notes. Neil Ferguson, épidémiologiste, a été conseiller du gouvernement de BoJo. Ayant prié sa compagne de lui rendre visite il a été contraint de démissionner de son poste pour avoir enfreint les mesures de confinement strict qu’il avait mis en place en Grande-Bretagne. Johan Giesecke, épidémiologiste, est conseillé du gouvernement suédois pour la gestion de l’épidémie de Covid-19, il est également membre du groupe sur les risques infectieux à l’OMS. La gestion catastrophique de l’épidémie en Espagne, Italie, France, Belgique et Grande-Bretagne sans stratégie de dépistage systématique à l’aide de tests PCR et mise en quarantaine avec traitement préventif des seuls sujets infectés a conduit à une bien plus grave crise non plus médicale mais commerciale et financière qui conduira pour ces pays à un nombre de morts, pour l’instant incalculable, dont seront responsables les décideurs politiques. Ces derniers devront rendre des comptes aux populations. Il est urgent que des « class-actions » se mettent dès à présent en place pour poursuivre ces politiciens incapables ainsi que leurs conseillers supposés être des scientifiques de haut niveau, mais seulement de haut niveau de corruption et de conflits d’intérêt et ceci dans tous les pays européens précités.
(...) Streeck explique également pourquoi il pense que des mesures draconiennes de «verrouillage» (confinement) ont été décidées à la hâte et peuvent finalement être considérées comme totalement inutiles. (...)
'voire létales' ajouterai-je. Car, le 'confinement' (emprisonnement illégal) est un homicide approuvé et testé/étudié par la dictature. Le fait qu'un masque 'fait-maison' soit recommandé inclue que l'enculé(e) qui s'y prête reconnais crever en toute sérénité, justesse et justice. Effectivement, TOUS les masques FFP2 (SEULS MASQUES ANTI-VIRUS) sont mouillés (comme tout autres) par expirations et retiennent donc plus de virus au fil des heures. C'est pourquoi il est OBLIGATOIRE d'en changer toutes les 4 heures et de brûler le dit-masque.
L'enfermement de populations urbaines est plus nocive que protectrice.
Plus d’amendes pour les habitants de la Seine-Saint-Denis que pour les autres pendant le confinement. Pourquoi ?
16:47 10.05.2020
La période de confinement semble toucher à sa fin et, selon des chiffres cités par le HuffPost, le département de Seine-Saint-Denis aurait totalisé un plus grand nombre d’amendes que les autres. Le journal a demandé à un avocat et à un membre de SOS Racisme leur point de vue sur la situation.
Les habitants de Seine-Saint-Denis se sont vu infliger trois fois plus d'amendes que ceux des autres départements lors des contrôles d'attestation dans le cadre du confinement, a indiqué le HuffPost. Ainsi, entre le 18 mars et le 25 avril, plus d’un million d’amendes ont été recensées sur l’ensemble du territoire et c’est le 93 qui affichait le taux de contraventions par contrôle le plus élevé de France: 17%.
Les habitants de ce département ont-ils moins respecté le confinement que les autres ? C’est la question que s’est posée le journal qui est allé questionner à ce sujet un avocat et un membre de SOS Racisme qui estiment tous les deux que le confinement a mis en exergue la pression subie par ces populations.
«Les personnes qui sont issues de ces quartiers-là vivent beaucoup plus de contrôles d’identité que le reste de la population […] Une personne d’apparence d’origine étrangère était sept fois à huit fois plus contrôlée qu’une personne qui apparaissait comme blanche», a affirmé Nicolas Abdelaziz, membre de SOS racisme.
Il a évoqué dans ce contexte les caractéristiques des logements dans ce département, le plus jeune de France métropolitaine mais aussi le plus pauvre, rappelle le journal.
«Quand on a de petits appartements, qu’on peut être plusieurs dedans et ça incite aussi un peu plus à sortir parce que ça devient très vite pesant de rester dans le même appartement avec une famille ou avec une colocation», a-t-il expliqué.
Nicolas Abdelaziz estime ainsi que les conditions de vie ont aussi influé sur les sorties.
«Une situation juridiquement dangereuse»
Pour Loïc Lequellec, avocat au barreau de Seine-Saint-Denis, le dispositif exceptionnel mis en place favorise un plus grand nombre de contrôles «jugés abusifs, aléatoires».
«On est dans une situation qui est juridiquement très dangereuse puisqu’on laisse une large marge d’appréciation à un agent verbalisateur sur le terrain pour après caractériser un délit qui peut vous conduire en garde à vue, au tribunal, en comparution immédiate et potentiellement en prison», a-t-il constaté.
Dans ce contexte, il a indiqué que le dispositif exceptionnel mis en place favorisait un plus grand nombre de contrôles et éventuellement des décisions arbitraires.
«C’est très difficile de prouver qu’on avait un motif réel de sortie. C’est très subjectif», a-t-il noté.
Selon lui, il existe actuellement «plus de cadre légal au contrôle d’identité, au contrôle par la police».
Les habitants du département ont été verbalisés plus de 41.000 fois entre le début du confinement et le 25 avril dernier pour une population de 1,6 million d’habitants. Soit jusqu’à 900 amendes par jour.
Onu: le monde risque d’être confronté à des famines gigantesques
15:18 10.05.2020
Le monde est exposé au risque de famines colossales s’il ne parvient pas à éliminer les séquelles de la pandémie actuelle de Covid-19, surtout dans les pays les plus fragiles qui sont déjà aux prises avec l'insécurité alimentaire, a déclaré le directeur exécutif du Programme alimentaire mondial, David Beasley.
Des famines «aux proportions bibliques» pourraient frapper le monde à cause du coronavirus, a averti David Beasley, directeur exécutif du Programme alimentaire mondial (PAM) de l’Onu.
«Nous risquons actuellement d’être confrontés à une double pandémie de famines qui pourrait nous toucher aux proportions bibliques», a indiqué M.Beasley lors d'une conférence à Genève.
Selon lui, avant le début de la pandémie de Covid-19, 135 millions de personnes se trouvaient déjà au bord de la famine, 821 millions de personnes souffraient de faim chronique et certaines parties de l'Afrique de l'Est et de l'Asie du Sud étaient déjà confrontées à de graves pénuries alimentaires causées par la sécheresse et les pires invasions de criquets de ces dernières décennies.
L’agence alimentaire de l'Onu aide actuellement près de 100 millions de personnes par jour, mais si elle ne parvient pas à accomplir cette mission faute de fonds, «la pandémie de santé sera bientôt suivie d'une pandémie de faim», a noté M.Beasley.
La récession économique est une autre cause des famines
En plus, la récession mondiale causée notamment par les restrictions de mouvement imposées pendant la pandémie peut perturber les chaînes d'approvisionnement alimentaire, entraîner la hausse des prix, du chômage et, par conséquence, réduire le pouvoir d’achat de certaines personnes, a ajouté le responsable.
Le 7 mai, l'Onu a lancé un appel à de nouveaux fonds à hauteur de 4,7 milliards de dollars pour lutter contre la faim, «protéger des millions de vies et endiguer la propagation du coronavirus dans les pays fragiles». L'organisation intergouvernementale avait déjà demandé des dons à hauteur de 2 milliards de dollars au début de la pandémie. Elle n’en a reçu jusqu’ici que la moitié.
Son appel du 7 mai tient compte des besoins de neuf autres pays vulnérables: le Bénin, Djibouti, le Libéria, le Mozambique, le Pakistan, les Philippines, la Sierra Leone, le Togo et le Zimbabwe.
Faute d'avoir des produits de traitements (remèdes obligatoires) contre les maladies de plantes et insectes, l'Afrique est comme l'Europe dans un objectif de famine !
Cette vitamine pourrait réduire de moitié le taux de mortalité du Covid-19
18:00 10.05.2020
Selon une nouvelle étude, le taux de mortalité du Covid-19 pourrait être réduit de moitié grâce à la vitamine D qui améliore notre système immunitaire et l’empêche surtout de devenir dangereusement hyperactif, entraînant une tempête de cytokines.
Des chercheurs de l'université Northwestern, dans l’Illinois, ont découvert une importante corrélation entre les carences graves en vitamine D et les taux de mortalité des suites du Covid-19.
Ils ont analysé les relevés d’hôpitaux et de cliniques dans de nombreux pays, notamment en Chine, en France, en Iran et en Corée du Sud, et ont constaté que les patients des pays à taux de mortalité élevés, comme l'Italie, l'Espagne et le Royaume-Uni, avaient des niveaux de vitamine D inférieurs à ceux des patients des pays qui n'étaient pas aussi gravement touchés.
Et bien que certains évoquent une éventuelle différence de la qualité des soins, la répartition des âges dans la population, le nombre de tests ou les souches de coronavirus, l’équipe s’est tournée vers une autre hypothèse.
«Aucun de ces facteurs ne semble jouer un rôle important et le système de santé du nord de l'Italie est l'un des meilleurs au monde», a déclaré Vadim Backman qui a dirigé l’étude. En outre, des différences de mortalité existent dans le même groupe d'âge et des disparités dans le taux de mortalité restent présentes même lors de l’examen de pays avec un nombre similaire de tests, a-t-il précisé.
La tempête de cytokines
En analysant les données de patients du monde entier, les chercheurs ont découvert qu’il existait un lien entre le niveau de vitamine D et la tempête de cytokines, une hyper-inflammation causée par un système immunitaire qui réagit de manière excessive.
«La tempête de cytokines peut gravement endommager les poumons et entraîner un syndrome de détresse respiratoire aiguë et la mort […] C'est ce qui semble tuer la majorité des patients atteints de Covid-19, et non la destruction des poumons par le virus lui-même», a fait remarquer pour sa part Ali Daneshkhah, co-auteur de l’étude. Les scientifiques estiment qu’un niveau «correct» de vitamine D pourrait jouer un rôle protecteur.
«Cela n'empêchera pas un patient de contracter le virus, mais cela peut réduire les complications et empêcher la mort des personnes infectées», suppute l’étude. Non seulement la vitamine D améliore notre système immunitaire, mais encore elle l’empêche de devenir dangereusement hyperactif.
«Notre analyse montre que cela pourrait réduire le taux de mortalité de moitié, a affirmé David Backman. Selon lui, cette corrélation permettrait d’expliquer notamment pourquoi les enfants sont moins susceptibles de mourir. En effet, les petits n'ont pas encore de système immunitaire acquis pleinement développé qui est plus susceptible de réagir de manière excessive.
David Backman fait remarquer dans ce contexte qu’il ne s’agit pas de prendre des doses excessives de vitamine D, notamment pour les personnes sans carence évidente, ce qui pourrait entraîner des effets secondaires négatifs.
«Il est difficile de dire quelle dose est la plus bénéfique pour le Covid-19», a déclaré David Backman. En outre, le sujet a besoin de plus de recherches pour savoir comment la vitamine D pourrait être utilisée le plus efficacement possible pour se protéger contre les complications liées au Covid-19.
Âge, sexe, appartenance ethnique: qui sont les plus vulnérables face au Covid-19 ?
22:57 10.05.2020
Une nouvelle étude répertoriant les facteurs de risque, réalisée au Royaume-Uni, conclut que certains groupes minoritaires sont surreprésentés dans les registres des hospitalisations et des décès dus au nouveau coronavirus.
Des chercheurs de l’université d’Oxford et de l'École d'hygiène et de médecine tropicale de Londres ont analysé les données de plus de 17 millions de Britanniques pour définir les principaux facteurs de risques de mourir du Covid-19. Les résultats de leur étude sont publiés sur le site medRxiv.
Ainsi, l’équipe a collecté des informations sur la santé de 17.425.445 adultes et s’est basée sur la régression de Cox, qui est une classe de modèles de survie en statistiques, pour établir des ratios de risque. Dans ce cas concret, les scientifiques ont évalué la probabilité de décès du Covid-19. Pendant la période examinée, du 1er février au 25 avril dernier, 5.683 personnes sont décédées.
Il s’est avéré que les personnes issues des groupes ethniques asiatiques et noirs couraient un risque nettement plus accru de mourir des suites du Covid-19 que les personnes blanches. En outre, contrairement à certaines affirmations antérieures, cela n'est que partiellement dû à des comorbidités ou des problèmes de santé.
«Il est par conséquent urgent de poursuivre les recherches sur les raisons de cette association», indique l’étude.
Les chercheurs ont également constaté que le risque de mourir était plus important chez les pauvres et était associé au fait d’être de sexe masculin, à l’âge et aux comorbidités comme le diabète ou l’asthme notamment.
Une étude similaire
Selon une autre recherche réalisée précédemment par l’Institute for Fiscal Studies (IFS) et portant sur les groupes ethniques minoritaires au Royaume-Uni, les décès dus au Covid-19 à l'hôpital par habitant sont les plus élevés parmi la population d’Afrique noire: 3,7 fois plus importants que dans le groupe britannique blanc. Ce chiffre est de 2,9 pour les habitants d’origine pakistanaise et de 2 pour la population d’origine bangladaise.
En outre, les groupes ethniques indiens, noirs des Caraïbes et «autres blancs» ont également des décès plus élevés que les Britanniques blancs. Le groupe irlandais blanc est le seul à avoir moins de décès.
La Chine dévoile des lunettes T1 intelligentes qui luttent contre les pandémies et qui "voient" les températures des gens en temps réel
par Tyler Durden Dim, 05/10/2020 - 21:30
Une startup chinoise qui développe des lunettes de réalité augmentée pour un usage quotidien, ou pour d'autres applications telles que la fabrication et les jeux, a peaufiné l'un de ses produits avec un capteur thermique pour créer des lunettes pandémiques. Ces lunettes peuvent détecter d'éventuels porteurs de COVID-19 en scannant les températures corporelles.
Les lunettes pandémiques sont appelées lunettes T1 et sont développées par la startup basée à Hangzhou Rokid. Les lunettes aident le porteur à dépister les symptômes qui sont courants chez les porteurs tardifs de COVID-19 tels que les températures corporelles élevées, a rapporté Reuters.
Le vice-président de Rokid, Xiang Wenjie, a déclaré que la demande de lunettes de réalité augmentée avait augmenté de 1 000 paires achetées par les gouvernements, les parcs industriels et les écoles.
"En plus de la mesure de température fixe, T1 peut fournir une vérification de température portable, distante et rapide, ce qui serait d'une grande aide", a déclaré Xiang.
Les lunettes ont un capteur infrarouge et une caméra qui permettent au porteur de "voir" les températures des gens. Des versions améliorées sont à venir, permettront au porteur de prendre plusieurs lectures à la fois dans les espaces publics.
L'évolution du balayage des personnes avec des caméras thermiques portables ou fixes finira par passer aux lunettes pandémiques, cela se produit déjà dans un centre d'entreprise à Hangzhou.
"Avec la sortie de nouveaux produits, en particulier ces verres, nous pensons que nous pouvons les utiliser pour effectuer des mesures de température sans contact, ils sont très efficaces face à une grande foule de personnes", a déclaré Jin Keli, président de Greentown Property Management.
Amazon pourrait envisager des lunettes en cas de pandémie, étant donné qu'elle équipe ses entrepôts de caméras thermiques fixes pour surveiller les températures des employés.
Nous pouvons maintenant envisager l'avenir: des drones pandémiques tournent au-dessus avec des capteurs thermiques, à la recherche de transporteurs COVID-19 tandis que les agents d'application de la loi au sol portant des lunettes pandémiques font de même.
Veuillez nous ramener dans un monde pré-corona! Le monde post-corona est dystopique alors que l'état de surveillance est inauguré. Ce n'est qu'une question de temps avant que les gens commencent à porter des vêtements qui bloquent leur signature thermique des capteurs thermiques.
Le Venezuela présente des bateaux et des armes militaires qui, selon lui, faisaient partie de l'invasion des mercenaires américains
par Tyler Durden Dim, 05/10/2020 - 21:00 Via Southfront.org
La tentative ratée de mercenaires américains opérant depuis la Colombie pour organiser un coup d'État au Venezuela continue de se développer et de plus en plus de détails apparaissent.
Le 9 mai, les militaires vénézuéliens ont déclaré avoir saisi trois bateaux de combat légers colombiens abandonnés que des soldats ont trouvés dans la région de l'Orénoque.
Cela s'est produit plusieurs jours après que le gouvernement a accusé son voisin d'avoir aidé à une invasion ratée organisée par des mercenaires américains.
Le ministère de la Défense a déclaré que les bateaux étaient équipés de mitrailleuses et de munitions, mais n’avaient pas d’équipage, ajoutant qu’ils avaient été découverts dans le cadre d’une opération nationale visant à garantir la «liberté et la souveraineté» du Venezuela.
La marine colombienne a déclaré que les bateaux venaient d’être entraînés par les forts courants fluviaux.
Probablement, des mercenaires américains sont également apparus au Venezuela grâce aux «forts courants» dans la région.
Des mitrailleuses et des munitions auraient été récupérées dans le cadre de l'enquête sur l'invasion mercenaire du Venezuela la semaine dernière:
The Guardian a décrit précédemment:
Un mercenaire américain capturé après une tentative ratée de renverser Nicolás Maduro a affirmé qu'il était en mission pour prendre le contrôle de l'aéroport principal du Venezuela afin d'enlever son chef autoritaire - et il a allégué qu'il agissait sous le commandement de Donald Trump.
... Dans une confession vidéo fortement éditée, diffusée mercredi par le diffuseur d'État, VTV, Denman a déclaré qu'il s'était envolé pour la Colombie à la mi-janvier, où il avait été chargé de former des combattants vénézuéliens près de Riohacha, une ville à 55 miles à l'ouest de la Frontière vénézuélienne.
De là, Denman - qui a déclaré n'avoir jamais mis les pieds dans aucun des pays d'Amérique du Sud - a affirmé que le groupe prévoyait de se rendre à Caracas pour «sécuriser» la ville et l'aéroport international Simón Bolívar voisin, avant de faire tomber Maduro.
Le groupe d'une douzaine d'hommes au moins, qui ont été formés par la société de sécurité privée basée en Floride Silvercorp, aurait tenté de se faufiler au Venezuela via des bateaux de pêche il y a une semaine, mais a été capturé peu de temps après avoir mis les pieds sur terre.
Et si la crise est sans fin ... comme la guerre perpétuelle de George Orwell
par Tyler Durden Dim, 05/10/2020 - 20:05 Soumis par Luke Eastwood
Notions de liberté
Nous vivons en effet des temps étranges, cette crise soulève de nombreuses questions sur la nature de la liberté et quelles sont ou devraient être nos attentes. Chacun a ses propres notions sur ce que signifie la liberté et dans quelle mesure cela devrait s'étendre à soi-même et, en fait, à tout le monde.
Je veux commencer par regarder d'où nous venons avant de regarder où nous en sommes maintenant, car je pense que cela donne une meilleure compréhension de nos définitions de la liberté et un meilleur contexte pour voir où nous en sommes, en ce moment dans temps.
La société a probablement commencé avec la tribu - peut-être même sans chef si le nombre est assez petit, par exemple 10 personnes. Les tribus de scores ou plus devinrent évidemment difficiles à gérer, ce qui conduisit sans aucun doute à l'idée d'un chef ou d'un groupe de chefs - un chef ou un conseil de chefs. Un tel système semble avoir bien fonctionné, tant que les chefs ont agi dans le meilleur intérêt de la tribu, et non dans leur propre intérêt. Les tribus et les premiers royaumes disposaient souvent d'un mécanisme pour traiter avec un pauvre leader - le mariage symbolique du leader avec la terre et le droit de déposer, voire d'excuser, un leader qui n'a pas répondu aux attentes.
Ces concepts de leadership sont anciens mais ont survécu à divers endroits dans l'ère moderne, y compris en Irlande où je vis. Bien que la pratique associée à cette coutume soit révolue depuis longtemps, sa connaissance reste vaguement dans la conscience publique et plus définitivement dans les domaines de l'érudition et du néo-paganisme celtique. Cependant, les sociétés du monde entier ont commencé à aller au-delà de cette responsabilité chérie il y a des millénaires - avec la montée de la monarchie depsotique, quelque chose qui existe encore aujourd'hui comme un anachronisme malheureux.
À mesure que les tribus devenaient des pays et que les pays devenaient des empires, les monarques devenaient de moins en moins responsables devant leurs citoyens, ou plutôt leurs sujets - ceux qui étaient soumis. Alors que de nombreux monarques se sentaient obligés, à la fois «divins» et moraux de se comporter avec soin et responsabilité, d’autres agissaient dans leur propre intérêt, sans aucune responsabilité pour leurs actes. Avec le soutien d'une grande armée ou d'une garde personnelle importante, il est devenu de plus en plus difficile de tenir les monarques responsables et il fallait dans la plupart des cas se fier à la bonne volonté plutôt qu'à l'application.
Bien sûr, il y a eu d'innombrables destitution de monarques, par le peuple ou par des prétendants rivaux, bien que ces derniers ne se soient pas toujours révélés bénéfiques. Le plus célèbre d'entre eux est probablement celui de Galus Jules César, le dictateur à vie des dernières années de la République romaine, qui a donné son nom au titre César, Tsar et Keizer. Il a été brutalement assassiné par Brutus (d'où le mot brutal) et nous savons tous comment cela s'est avéré pour la République romaine.
La république elle-même était une forme de démocratie, basée sur un modèle antérieur de la Grèce, une civilisation qui avait une immense influence sur Rome. Bien sûr, la démocratie athénienne ne ressemblait en rien à ce que nous considérons maintenant comme la démocratie. Le droit de décider comment le gouvernement était organisé et ce qu'il faisait incombait à un groupe d'élite - la démokratia, ou «gouvernement par le peuple», était réservé aux citoyens et parmi eux, seuls les hommes pouvaient voter. À l'époque (507 avant JC), cela signifiait 40 000 hommes, sur une population beaucoup plus importante, mais en réalité, pas plus de 5 000 hommes environ pouvaient assister aux assemblées, en raison d'autres engagements. Pourtant, c'était une étape révolutionnaire, tant que vous n'étiez pas un étranger, un criminel, une femme, un enfant ou un esclave.
C'est de ces origines grecques que nous obtenons le mot démocratie et la notion de droits et de liberté pour tous. Au fil du temps, il y a eu des variantes de ce modèle qui ont été testées - monarchies constitutionnelles, républiques, États socialistes, États fascistes et États communistes, qui ont différents niveaux d'entrée pour les masses. Les masses pourraient également être qualifiées de «plébéiens» comme les Romains aimaient appeler les gens ordinaires, une forme corrompue qui existe toujours comme une insulte mineure - plèbe.
Cependant, à travers la majeure partie de l'histoire enregistrée, le système le plus courant a été la monarchie, bien que l'on puisse difficilement le décrire comme le plus populaire. Plus simple qu'une démocratie et facile à appliquer - des notions telles que la corruption, l'équité et la responsabilité n'entrent pas en jeu, car la règle divine (par exemple le droit divin des rois) donne au souverain carte blanche pour faire tout ce qu'il veut, sauf si leur le despotisme provoque une révolte. Bien sûr, la révolte s'est produite, de temps en temps, tout au long de l'histoire et l'une des plus célèbres est celle des barons en Angleterre contre le roi Jean.
La Magna Carta (Grande Charte de 1215) est considérée par beaucoup comme le fondement de la civilisation et de la démocratie occidentales, malgré le fait qu'elle n'a accordé que des concessions limitées à un très petit nombre de nobles. C'était un début au moins, et peut-être permis de nouvelles percées dans le monopole monarchique sur le pouvoir. La révolte des paysans de 1381 contre Richard II d’Angleterre a été un tournant majeur. Dirigée par un roturier (Wat Tyler), c'était une grande gêne pour Richard, qui n'avait pas d'armée permanente sous la main. Il a été forcé de faire semblant de négocier avec les rebelles, qui campaient à Blackheath, alors qu'il a secrètement ordonné au maire de Londres de lever une armée pour disperser et exécuter les manifestants.
Il existe d'innombrables autres exemples de rébellion contre les monarques à travers le monde, mais la plupart d'entre eux sont oubliés. La rébellion dont on se souvient peut-être le plus est celle des pauvres français, contre la monarchie bourbonienne et toute l'aristocratie française. Cette révolution violente et assoiffée de sang a fait frémir de terreur dans les monarchies du monde et a précipité un programme de réforme, fondé sur la crainte que des événements similaires ne se produisent.
Bien sûr, certains pays ont continué malgré tout - la Russie et l'Amérique en sont des exemples particulièrement tristes, car la Russie n'a aboli le surfdom en 1861, tandis que les États-Unis n'ont aboli l'esclavage qu'en 1865. On pourrait à juste titre dire que la vie de ces gens ordinaires, qui étaient maintenant des «citoyens 'guère amélioré car leur liberté était à peu près nominale. Cela, en Russie, a conduit à la révolution de 1917, en raison de l'intransigeance du tsar / tsar (César) Nicholai II Alexandrovich Romanov II. Le renversement du système russe, inspiré par les idées de Marx et Engels, a conduit à un gouvernement bolchevique dirigé par Vladimir Lénine. Quelles que soient les notions des Soviétiques, Lénine était un Tzar de facto en attente et Staline était certainement cela, sinon un héritier sans couronne d'Ivan Le Terrible.
Après la Seconde Guerre mondiale, nous aurions une nouvelle ère de démocratie et de liberté, mais cela ne s'applique qu'à certains. En vérité, presque toute la collection mondiale de gouvernements a appris l'art de la propagande - grâce aux efforts étonnants de montée en compétence des national-socialistes (nazis) d'Allemagne, qui ont porté cela à de nouveaux sommets (ou plutôt plutôt), le transformant presque en un Forme d'art. Alors que nous avons été amenés à croire que nous sommes libres et démocratiques, nous n'avons jamais été plus exposés aux mensonges et à la propagande que nous ne le sommes actuellement. Le plus grand mensonge de tous est que nous vivons dans une démocratie, alors qu'en fait, nous ne pouvons en fait choisir un nouvel ensemble de narcissiques corrompus et égoïstes, tous les 4 ou 5 ans.
Les démocraties, dans le monde entier, ont été achetées - les lobbyistes ont bien plus de pouvoir que l'électorat ne pourrait jamais espérer obtenir. Ce que nous avons en fait, c'est l'illusion de la démocratie - les agences d'État agissent sans surveillance, les individus n'ont pas leur mot à dire sur le manifeste et les politiques des partis au pouvoir et n'ont aucun mécanisme pour annuler ou empêcher les actions indésirables des gouvernements. Les seuls mécanismes disponibles sont les référendums occasionnels (déclenchés sous pression), les protestations (pacifiques ou autres) et les renversements violents.
Dans la plupart des cas, l'effort et le risque de renversement violent sont trop considérés pour la majorité des gens - il faut une pauvreté extrême, la famine et une coercition horrible avant que la «plèbe» ne soit poussée au bord du gouffre. Les gouvernements en sont conscients et appliquent généralement la méthode de la "grenouille bouillante" pour restreindre les libertés des personnes et supprimer la vie privée et les droits généraux. Cependant, ils dépassent parfois la marque ou ne parviennent pas à dissimuler adéquatement leurs actions néfastes furtives - ce qui conduit inévitablement à la protestation ou à l'insurrection.
L'histoire a prouvé que l'insurrection violente échoue généralement, mais il est plutôt insensé de la part de gouvernements autoritaires de parier que cela ne se produit pas. Ce qui est beaucoup plus efficace pour nous, la «plèbe», est une insurrection non violente, sous la forme de non-conformité - cela a fait des merveilles à la fois pour Gandhi et pour Martin Luther-King, deux des dirigeants les plus inspirants du XXe siècle. Nelson Mandella est un autre bel exemple de quelqu'un qui a dirigé un changement monumental, en Afrique du Sud, tout en évitant un bain de sang catastrophique, encore une fois en prônant la non-violence et en faisant preuve de compétences exceptionnelles en leadership.
En ce moment, nous sommes pris en otage par un virus et la peur de ce qu'il pourrait faire à l'humanité. Alors que la sécurité publique doit être une priorité, il faut se poser la question - de quoi s'agit-il vraiment ? S'agit-il d'une crise artificielle ou s'agit-il simplement de gouvernements opportunistes tirant parti de leurs meilleures chances de déployer de nouvelles mesures draconiennes? Les pouvoirs d'urgence temporaires sont une chose, mais s'il n'y a pas de retour en arrière après la fin de la crise, alors quoi? Et si la crise était sans fin - comme la guerre perpétuelle de George Orwell dans son roman 1984 ?
Nous nous attendons à la liberté, on nous dit que nous vivons dans le «monde libre», mais nous voyons nos droits et libertés et notre vie privée érodés par la législation gouvernementale, la technologie invasive des entreprises et la collecte de données. Où trace-t-on la ligne? Quand disons-nous que c'est assez? Étrangement, la même technologie qui permet notre surveillance est également l'outil le plus puissant à notre disposition. Internet et les télécommunications nous permettent de partager des informations, tout comme le «système» recueille des informations sur nous tous. Pour beaucoup, cela nous a ouvert les yeux sur les agendas, les méthodes et les opérations du gouvernement, car nous avons maintenant un accès sans précédent aux informations mondiales, souvent en temps réel, ou en quelques minutes et quelques heures après les événements.
Beaucoup croient qu'une nouvelle ère d'oppression est en train de se déployer, en ce moment même que nous sommes assis chez nous, grâce au réseau 5G haute puissance, haute vitesse et à faible latence, dans le monde entier par une agence cachée. Mis à part les complots, il y a de nombreuses questions à se poser sur nos droits, en quoi devraient consister nos libertés et quelles devraient être les limites des actions gouvernementales et des entreprises. Nous devons poser ces questions, nous devons exiger des réponses et montrer les «pouvoirs en place» que la soif de la vraie démocratie est toujours vivante. Si nous nous portons volontaires pour être emprisonnés ou pour devenir nos propres geôliers, alors il n'y a aucun espoir pour l'humanité. Comme par le passé, l'humanité doit s'affirmer pour rester à l'abri du despotisme et cela n'a jamais été aussi urgent que maintenant. Corny que cela puisse être, la façon la plus simple d'exprimer cela est pour moi de répéter les mots de feu Bob Marley - "Lève-toi, lève-toi, défends tes droits !"
Comment le plus grand pays du monde en est-il arrivé là ?
Par Bill Sardi 11 mai 2020
Préparez-vous pour ce que j'ai à vous révéler. Les États-Unis portent un masque depuis longtemps. Ce que vous apprendrez dans ce rapport est quelque chose que les politiciens et les médias ont caché au public pendant des décennies. Les chefs de gouvernement cachaient le fait qu'ils achetaient votre vote avec de l'argent emprunté.
Ne vous laissez pas prendre dans le théâtre politique ou COVID-19 actuel. La microbiologiste qui a déjà travaillé dans un laboratoire de virologie gouvernemental pour le Dr Anthony Fauci et qui a un livre révélateur sur les vaccins, aussi courageuse qu'elle soit, n'est qu'une distraction. Pour tirer un vieux slogan de l'ère Clinton: "C'est l'économie stupide !"
L'ordre du jour caché est de cacher une économie effondrée derrière la peur d'un virus mortel. L'économie défaillante et le chômage sans précédent ne sont pas dus au virus. L'économiste John Williams de ShadowStats.com signale un taux de chômage caché de 20% depuis quelques années. Le MAGA de M. Trump ne faisait que donner un visage positif à tout cela dans l'espoir de garder le moral des Américains. Cette implosion financière a pris du temps. Il est resté caché pendant si longtemps que sa divulgation finale devait être un événement planifié.
Contradictions
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les États-Unis luttent illogiquement contre un virus qui tue moins de personnes que la tuberculose ?
Vous voulez savoir pourquoi 1300 grands chefs d'entreprise américains ont pris leurs paiements l'an dernier et ont démissionné ?
Pourquoi l'Amérique a-t-elle un homme avec la maladie d'Alzheimer qui se présente à la présidence ?
Pourquoi nos dirigeants tolèrent-ils que le Dr Anthony Fauci fasse cesser les activités des propriétaires de magasins et de restaurants américains alors que ni eux ni aucun de leurs clients ne courent un risque important de voir le coronavirus COVID-19 les tuer ? Verrons-nous la population parce que certaines personnes meurent de la grippe ?
L'Amérique vit maintenant de nombreuses contradictions.
Le plus grand pays de l'histoire du monde
Ne sommes-nous pas le plus grand pays de l’histoire humaine ? N'avons-nous pas le produit intérieur brut (PIB) le plus élevé de tous les pays par une large marge ? En fait, une baisse du PIB est un autre fait caché aux yeux du public.
Il doit y avoir quelque chose que le gouvernement ne nous dit pas. Oui, et cela ne nous dit rien depuis quelques décennies.
Réponses adoucies
Je dois ici adoucir les réponses à ces questions car c'est une réalité trop dure. C’est parce que la peur artificielle de la mort par le virus est utilisée pour détourner les Américains d’une réalité plus terrible - 30 millions d’emplois ont été perdus en raison du pillage de l’économie américaine par les classes financières et les politiciens. Les Américains ont obtenu un crédit jusqu'à ce qu'il n'y ait aucun moyen de le rembourser. Depuis des années, les États-Unis ont un taux de chômage de 20%, mais le Bureau of Labor Standards a gardé cela caché.
Les autorités tentent secrètement de garder 30 millions d'Américains au chômage à l'intérieur et dans la rue pour une bonne raison. Lorsqu'elles apprennent qu'elles ont perdu leur emploi pour de bon, les masses peuvent penser à allumer des allumettes pour protester. L'émission de chèques et de paiements de 1 200 $ pour garder les travailleurs occupés n'est qu'un apaisement temporaire.
Les troupes de la garde nationale en attente
Toute richesse a été détruite. Les troupes de la garde nationale sont prêtes à occuper des villes en difficulté financière pour maintenir l'ordre, et non pour maintenir une distanciation sociale dans les municipalités où les décès ou infections au COVID-19 sont les plus élevés.
Le succès de nos suzerains est maintenant combien de temps ils peuvent garder cela caché sous le tapis ? Sinon, insurrection possible. Gardez les masses à l'intérieur. De cette façon, la protestation publique n’éclatera pas en émeutes.
La menace de la vaccination forcée touche désormais des millions de personnes. Certains craignent davantage le vaccin que le virus. Qui sait combien de suicides se produiront parmi ceux qui refuseront de se soumettre à la vaccination ? Les Américains sont désormais obligés de se conformer, sinon.
Oui, le virus est réel. Le nombre de morts est faux. Et l'économie a implosé (il y a des années, franchement).
Au point de disparaître
Oui, les Américains meurent. Les Noirs sont d'abord abattus, puis vieillis dans les maisons de retraite. Le virus tue sélectivement celui qui coûte le plus cher au gouvernement.
Les soins de santé devront être presque entièrement remplacés par des soins personnels. Le divertissement consistera à jouer à des jeux de table comme Monopoly et à reconstituer des puzzles, comme le font actuellement les Américains enfermés. Les voyages d'affaires en avion et les vacances sont terminés. Zoom et Skype remplaceront les voyages d'affaires. Telle est la nouvelle réalité. Une baisse d'environ 50% de notre niveau de vie. Je suis désolé de devoir te le dire.
Il n'y aura pas de retour à la normale. Il n'y aura pas de réinitialisation. Les diplômés des collèges déçus n'auront pas de carrière. Comprenez vous ?
L'homme-argent
Vous ne voyez pas que cet homme de l'argent, promoteur immobilier, maître négociateur Donald Trump a été amené pour faire le sale boulot ? Aimeriez-vous diriger le pays alors que 30 millions d’Américains ne paient pas leurs impôts parce qu’ils n’ont pas d’emploi ?
Comment équilibrez-vous le budget américain? Non, vous ordonnez simplement au département du Trésor américain d'imprimer de l'argent et à la Réserve fédérale de distribuer des dollars presque gratuits aux classes financières. Mais qu'en est-il du gars qui vient de perdre son emploi et qui ne peut pas payer son hypothèque ? Les banques hypothécaires viennent d'être payées. Pourquoi les soldes hypothécaires n’ont-ils pas été dépréciés ?
Le gouvernement est le faux dieu américain depuis trop longtemps
Les deux partis politiques sont rouillés. Le Congrès est irréprochable dans les impasses chauffées. Il n'y a qu'un seul homme pour faire face à ces réalités - Donald Trump. Et la presse de presse nationale veut le forcer à démissionner, à être destitué ou à perdre les élections. Les États-Unis sont un pays sans gouvernail sans lui. Je ne suis pas un apologiste de Trump. C'est juste qui avez-vous comme alternative ?
Peut-être quelqu'un qui a un cœur pour les pauvres ? AOC (membre du Congrès Alexandria Ocasio-Cortez) ? Vous ne voulez toujours pas que Hillary revienne, n'est-ce pas ? Michelle Obama en tant que commandant et chef ? Elle ne saurait même pas lire un rapport financier d'entreprise.
L'Amérique a ~ 16 billions de dollars de dettes ? Et Oprah, elle a beaucoup d'argent. Et l'Amérique aurait sa première femme présidente. Il y a beaucoup d'Américains qui sont complètement trompés.
Un candidat à la présidence aurait-il une idée de comment éviter que Medicare ne devienne insolvable, un événement qui se profile ? (Prévu de faire faillite en 2026, mais maintenant qu'aucune déduction FICA ne vient de 30 millions de chômeurs, cette date doit être avancée.) Pour aggraver les choses, COVID-19 coûte des milliards.
Et le retour de Barack ? Ensuite, les seules personnes qui pourraient se permettre des soins de santé seraient celles d'Obamacare !
Voyez si vous pouvez avaler cela (tableau ci-dessous). Le gouvernement ne ressent aucune douleur. Le gouvernement fédéral se développe en vertu de tout le reste en contraction.
- voir graphique sur site -
L'attitude des politiciens est que les Américains ne peuvent pas faire face aux réalités économiques. Ainsi, les politiciens continuent d'acheter des votes avec de fausses promesses. Le pays recouvre depuis longtemps le PIB réel, le chômage, l'inflation et la dette. La presse a été complice de ce crime.
Voici un langage qui donne à réfléchir pour expliquer la situation difficile dans laquelle se trouve l'Amérique:
Les problèmes fiscaux du gouvernement américain ont échappé à tout contrôle et ne peuvent plus être maîtrisés dans le système actuel. Le déficit annuel réel des opérations du gouvernement américain pour cet exercice (30 septembre) était de 3,7 billions de dollars. Mis en perspective, cela signifie que si le Trésor américain avait saisi tous les salaires et traitements avec un impôt sur le revenu de 100%, il y aurait toujours eu un déficit! Les perspectives concernant les chiffres de l'exercice sont encore pires.
Considérant que le déficit budgétaire communément rapporté était de 374 milliards de dollars, soit un dixième du chiffre cité ci-dessus, cette tranche sur les rapports du gouvernement se concentre sur la provenance du chiffre incrédule de 3,7 billions de dollars, comment et pourquoi le Trésor le rapporte, et pourquoi la presse financière et les politiciens fédéraux l'ignorent.
Pour rappel, le chiffre de 3,7 billions de dollars provient des états financiers du gouvernement préparés selon les principes comptables généralement reconnus (PCGR), et une grande partie du déficit élargi provient de l'augmentation annuelle de la valeur actuelle nette des obligations non financées de sécurité sociale et d'assurance-maladie.
L'impossibilité que cette circonstance se déroule avec bonheur est la raison pour laquelle un président de la Réserve fédérale boiteux a soudainement exhorté les politiciens de Washington à ne pas être en mesure de fournir les prestations de sécurité sociale et d'assurance-maladie promises déjà sous obligation. Il suggère, à juste titre, qu'il n'y a aucune chance de croissance économique ou de productivité pour résoudre le problème.
Même si l’Administration et le Congrès ont tenu compte des conseils du président de la Réserve fédérale, le désastre fiscal en cours se heurte à l’une des deux seules solutions générales très désagréables.
La première solution est une réduction draconienne des dépenses, en particulier dans la sécurité sociale et l'assurance-maladie, même si elle s'accompagne d'une augmentation massive des impôts. Cela semble être une impossibilité politique à l'heure actuelle.
En l'absence d'action politique, la deuxième solution est que le gouvernement américain soit confronté à une forme d'insolvabilité au cours de la prochaine décennie. Timide de l'oncle Sam en défaut de paiement, le résultat le plus probable est que la Fed doive éventuellement monétiser fortement la dette américaine, déclenchant une hyperinflation. Les obligations américaines seraient finalement remboursées en dollars considérablement dévalorisés et dévalués.
La comptabilité trompeuse utilisée par le gouvernement américain, à la fois dans les rapports financiers et économiques, dépasse de loin la portée des actes répréhensibles de comptabilité d'entreprise qui ont reçu un crédit partiel pour les récentes turbulences boursières. Les mauvais garçons de Corporate America, cependant, étaient encore soumis à des contrôles réglementaires importants et à l'application de la comptabilité GAAP à leurs livres. En revanche, les opérations du gouvernement et les rapports économiques ont été soumis à la surveillance uniquement du Congrès, la seule «classe criminelle distinctement indigène» des États-Unis.
L'ignorance et / ou la complicité des analystes de Pollyannaish à Wall Street et dans les médias financiers, désireux de décourager les activités négatives du marché, ont contribué à empêcher la crise budgétaire de susciter de vives inquiétudes parmi une population américaine abasourdie.
Qui a écrit ça ? L'économiste John Williams en 2004 ! (ShadowStats.com)
Revenu garanti ? Après avoir lu ceci, vous devez croire que ses défenseurs sont totalement déconnectés de la réalité. Idem pour la Force spatiale de M. Trump et les astronautes qui atterrissent sur la lune.
Se retirer des combustibles fossiles dans un New Green Deal ? L'Amérique va avoir du mal à voir ses citoyens au chômage avoir assez d'argent pour acheter de l'essence pour se rendre au travail lorsqu'ils trouvent un emploi. Les Américains brûlent actuellement environ 2,5 millions de barils de pétrole de moins par jour pendant le verrouillage. Personne n'appellerait ce progrès.
$$ Implosion: les apocalyptiques soufflaient-ils de la fumée ?
J'avais des lecteurs à juste titre qui m'ont pris à partie lorsque j'ai prédit en 2012 qu'un jour d'effondrement financier était un coup de main. Les lecteurs m'ont écrit pour dire qu'ils avaient acheté leur or et stocké de la nourriture et cela ne s'est jamais produit. C'est parce qu'il a été recouvert par le gouvernement et n'a jamais été rapporté par les médias. Cela s'est produit et était en cours, mais n'a pas été signalé.
Ne les laissez pas le faire par distraction avec un virus cette fois. Le virus est un masque pour une économie effondrée.
PS: L'ironie de ceci est que pendant que j'étais occupé à préparer ce jour d'infamie, j'ai été aveuglé par une femme qui est sortie, a divorcé, a pris tout l'or et l'argent, et mon fils, et a eu le culot de m'appeler un théoricien du complot wacko au juge du tribunal de la famille. Maintenant, toutes ces théories du complot sont apparues. J'ai dû dépenser 350 000 $ en frais juridiques juste pour ne pas être emprisonné pour de fausses allégations d'outrage au tribunal et de révocation d'ordonnances de blocage dans de nombreuses tentatives pour obtenir des visites significatives avec mon fils (les prisonniers ont plus de temps avec leurs enfants que je ne le fais actuellement) ). Mes efforts pour me préparer à une telle crise financière ont été vaincus. Donc, la leçon est, surveillez vos fesses. Les ennemis les plus puissants sont ceux de l'intérieur.
Le jour du jugement est enfin arrivé.
Maintenant, voyez si vous pouvez esquiver cette aiguille de vaccin.
Pourquoi serait-ce à moi de prendre une assurance pour qu'en cas de chômage mes cotisations prennent en charge mon crédit et non pas les banques qui prennent le risque de me prêter de l'argent ?
Tout simplement parce qu'une banque ne prend JAMAIS de risque de prêter de la fausse valeur car elle est assurée de toujours se faire remboursée en vraies valeurs !
C'est une drôle de pandémie, mettant en vedette des hôpitaux vides
8 mai 2020 By Robert W. Felix
Si vous faites attention aux nouvelles, vous pourriez supposer qu'un nombre record de personnes meurent. L'inverse est vrai.
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C'est une drôle de pandémie, mettant en vedette des hôpitaux vides
Adoni
La façon dont tout cela s'est déroulé me ??montre qu'il n'y a tout simplement pas de «nouveau virus corona», du moins pas dans le sens où les médias le poussent. Une pandémie s'identifie en tuant très rapidement un grand nombre de personnes et en se propageant rapidement sur toute la planète. S'il y avait effectivement une pandémie, ces deux caractéristiques seraient extrêmement évidentes et il n'y aurait pas besoin d'une pression médiatique 24/7 pour cimenter l'idée dans l'esprit des gens. S'il y avait une véritable pandémie, le nombre de décès et de nouveaux cas d'infection serait irréfutablement évident, avec des hôpitaux massivement envahis et des enterrements de masse dans tous les pays de la Terre.
C'est une drôle de pandémie, cependant; mettant en vedette des hôpitaux vides, relativement peu de décès, beaucoup de temps pour que les politiciens se débattent pour faire des déclarations ridicules, et absolument aucune preuve de la propagation d'une maladie unique pouvant être prouvée en raison de ce supposé "nouveau virus". Cette pandémie présente également une liste presque infinie de symptômes et affirme que les porteurs infectés sont asymptomatiques. Comme c'est pratique pour ceux qui poussent cette fraude.
Une autre caractéristique de ce nouveau type de pandémie est que les décès dus à d'autres maladies semblent avoir cessé presque entièrement. Voir: Les taux de mortalité aux États-Unis ont baissé, pas augmenté (24 avril 2020 par le Dr Klaus L.E. Kaiser)
Si vous faites attention aux nouvelles, vous pourriez supposer qu'un nombre record de personnes meurent. L'inverse est vrai.
Il s'agit d'une pandémie de panique injustifiée qui se propage en raison de mensonges médiatiques et non d'une pandémie de virus mortel. L'infection est cependant auto-infligée. Vous pouvez l'empêcher de vous infecter en éteignant votre téléviseur ou en l'utilisant simplement pour regarder de vieux films sur DVD.
Consommer le flux continu de porno panique sur les émissions de nouvelles télévisées entraîne généralement une infection. Les symptômes de l'infection comprennent le port de masques (improvisés ou fabriqués), l'errance en public avec des gants d'examen et le saut de toute personne qui s'éloigne à moins de dix pieds de vous. Les personnes infectées par cette panique sont faciles à éviter, mais les personnes à l'origine de cette réaction deviendront de plus en plus inévitables lorsqu'elles penseront à de nouvelles façons d'infliger leurs idées à tout le monde.
Les Américains - beaucoup d'entre eux - sont tellement stupides qu'ils peuvent être convaincus qu'il est raisonnable de transformer le pays en un goulag de maladie permanent au nom d'une guerre permanente contre les germes - une guerre qui ne peut pas être gagnée.
Ce qui peut être juste le point.
Une guerre sans fin - menée au nom de la «santé» - est la santé de l'État. Il fournit un prétexte sans fin et illimité à ceux qui sont l'État - les fonctionnaires et les exécuteurs - pour décréter et punir.
Comment s'opposer à cela alors que les victimes en sont convaincues que c'est le seul moyen de les faire respirer ? Nonobstant les preuves - y compris celles qu’ils voient (ou plutôt ne voient pas) de leurs propres yeux.
La peur supplante les faits. Ferme les yeux - et les esprits - aux preuves, à la raison. Tels que les corps ne s'accumulent pas.
Ou ne pas s'empiler de façon inhabituelle.
Les corps s'accumulent toujours. Tout d'un coup, cela est redéfini comme anormal. une crise."
L'hystérie actuelle sur Corona aurait tout aussi bien pu être fabriquée en 2013 - une mauvaise année Corona (grippe) ordinaire. 56 000 personnes sont décédées cette année-là, à cause ou à cause de la grippe ordinaire, selon le CDC. Mais ce n'était pas une «crise» parce qu'ils ne l'ont pas créée.
Malgré le fait que «des gens sont morts!» la vie reprit alors normalement.
Pas maintenant.
Même si les métriques sont similaires. Les personnes âgées et les personnes en danger pour leur santé sont toujours plus vulnérables à un rhume / grippe / corona qui empire - comme la pneumonie - et cela peut en tuer des milliers chaque année.
C'est triste - mais pas anormal.
La réaction actuelle à ce sujet est cependant.
Mon état compte environ 8,5 millions de personnes; environ 500 sont morts à cause (ou avec) Corona. On a de meilleures chances d'être frappé par la foudre que d'être abattu par Corona, par les chiffres. Mais l'État n'ordonne pas à l'ensemble de la population de «s'abriter sur place» lors des orages.
Cela serait considéré comme ridicule - ainsi que des preuves d'un trouble anxieux grave (et irrationnel) sur une base individuelle. Nous avions l'habitude de traiter des gens si affligés. Ce qui a changé, c'est que tout le monde devrait mimer être affligé - et ceux qui refusent de jouer le jeu sont rapidement «accusés» de souffrir de troubles mentaux, qui seront bientôt punis pour leur normalité aberrante.
Le monde est à l'envers.
Personne n'est obligé de sortir. Le problème oblige les gens à rester. Et à rester fermés.
Les personnes âgées et celles qui souffrent d'autres affections devraient prendre les précautions nécessaires - comme elles l'ont fait dans le passé ou devraient le faire dans le passé. Mais c'est . . . malade d'imposer un goulag de maladie au reste de la population - qui n'est pas malade et dont 99% ne mourront pas même s'ils tombent malades.
Cependant, il a été accepté - par beaucoup - parce qu'ils ont été conditionnés pour l'accepter.
Pas le masquage de la peur et l'abattage du bétail - mais le principe derrière eux. C'est le même principe derrière les points de contrôle de cause non probable (et papier s'il vous plaît), où il est présumé que tout le monde est un conducteur "ivre" jusqu'à ce qu'ils convainquent un employé du gouvernement armé qu'ils ne le sont pas.
Parce que quelqu'un peut être en état d'ivresse au volant - porter atteinte au droit (ancien) de chacun d'être à l'abri de recherches et de saisies abusives est un petit prix à payer. . . s'il sauve même une vie.
Peu importe l'effet sur des millions de vies.
Tout le monde doit «attacher sa ceinture de sécurité» - car cela sauve des vies. Hypothétiquement. Il n'y a pas de cause à effet exacte. En fait, il n'y a généralement aucun effet - de ne pas «boucler». Des accidents mortels se produisent, mais ils sont statistiquement et numériquement peu courants. La plupart des gens conduisent toute leur vie sans y être impliqués - attachés ou non.
Mais quelqu'un pourrait mourir. Par conséquent, tous doivent boucler leur ceinture.
Voyez-vous une relation entre cela et les «lignes directrices» de masquage de la peur / distanciation antisociale (vraiment ? Ce ne sont pas des «lignes directrices» auxquelles vous n'êtes pas obligé d'obéir ?) Et la maladie Kabuki, en général ?
Des millions de conducteurs ne meurent pas chaque année. Vos chances de mourir parce que vous conduisez sont pratiquement nulles - ou du moins suffisamment proches de zéro pour que la plupart des gens n'aient pas peur de conduire.
Chaque année, seulement 40 000 conducteurs meurent dans des épaves. Et la plupart d'entre eux sont «bouclés» - c'est la loi et la plupart des gens sont, malheureusement, servilement obéissants à la loi. Ainsi, le fait est que si les ceintures de sécurité peuvent sauver et sauvent probablement des vies, pour la plupart des conducteurs, elles ne sont pas pertinentes, une nuisance et un prétexte - si elles ne sont pas portées - pour mettre leur vie en danger. . . par des employés gouvernementaux armés, qui appliquent la loi.
Est-il donc surprenant que des centaines de millions de personnes soient désormais traitées comme des malades présumés - comme des malades présumés mortels ? Est-il surprenant qu'une telle politique injustifiable (par les faits) soit non seulement imposée à tous, mais exigée par beaucoup ?
Si cela ne sauve qu'une seule vie !
Peu importe combien de vies il ruine.
Certaines personnes sont plus vulnérables à la noyade - parce qu’elles ne savent pas nager. Est-ce que cela signifie «verrouiller» toutes les piscines aux extrémités profondes ? Des gilets de sauvetage obligatoires pour tout le monde ?
Cela pourrait sauver une vie - même si cela gâche la vie de tout le monde.
Y a-t-il un remède à cela. . . maladie de l'esprit ?
Oui - et ce n'est pas un vaccin. C'est tout simplement la ré-acceptation du risque faisant partie de la vie. Et le respect du droit de chaque être humain de peser les risques pour lui-même et de ne pas se voir imposer de frais par les autres, pour apaiser ses angoisses face au risque.
Un retour à l'hygiène mentale et morale, en d'autres termes.
C'est soit ça, soit nous devenons tous des zeks dans le Goulag de Maladie.
«Nous devons prendre le pouvoir» : l'appel d'un Gilet jaune du Vaucluse pour le 11 mai
10 mai 2020, 10:26
Après plusieurs publications du même acabit, le Gilet jaune Christophe Chalençon a posté sa «dernière» vidéo avant le 11 mai. Il y présente «un appel national pour monter à Paris» et d'autres actions visant, selon lui, à «prendre le pouvoir». Réitérant l'appel qu'il avait formulé via de récentes publications sur sa page Facebook, Christophe Chalençon, un Gilet jaune du Vaucluse particulièrement actif dès les premiers mois de la mobilisation, a posté le 9 mai ce qu'il a présenté comme sa «dernière vidéo avant lundi».
Le 11 mai est un jour pour lequel il lance «un appel national», suggérant aux uns de «monter à Paris», aux autres de «verrouiller toutes les préfectures et sous-préfectures» afin de «demander audience aux préfets». On verrouille le périphérique, à l'intérieur il y a des troupes Dans sa vidéo, Christophe Chalençon évoque «des appuis très puissants» dans son département, sans donner plus de détails.
Quant à l'opération visant la capitale, dont il décrit brièvement l'architecture, le Gilet jaune déclare par exemple : «Nous passerons par les [routes] départementales et nationales […] On verrouille le périphérique, à l'intérieur il y a des troupes, des citoyens libres qui agiront de l'intérieur.» Lire aussi «Continuez le combat» : le Gilet jaune boxeur s'explique avant de se rendre à la police (VIDEO) Trois généraux pour porter les fondations de la première démocratie En substance, le Vauclusien estime qu'il n'y a «pas d'autre alternative» que celle de «prendre le pouvoir». «Nous voulons mettre en place un gouvernement de transition, de salut public avec à la tête trois généraux pour porter les fondations de la première démocratie […]
Une nouvelle constitution sera mise en place», affirme-t-il, rappelant l'existence d'«un travail de construction sur 18 mois», probablement en référence à l'histoire du mouvement citoyen. Ce n'est pas la première fois que Christophe Chalençon suggère un renversement du pouvoir. En février 2019, il évoquait déjà la présence dans ses rangs de «paramilitaires prêts à faire tomber le gouvernement français».
Le nombre de vues des dernières vidéos de Christophe Chalençon s'est envolé et certains ont fait part de leur inquiétude quant au scénario présenté par l'activiste. Evoquant l'une des vidéos dans laquelle le Gilet jaune détaille son appel, le député LREM de la Loire, Jean-Michel Mis, en a appelé au Premier ministre et au ministère de l'Intérieur. «Il est temps d’agir […]
Les salariés du public et du privé qui ont permis, malgré la crise sanitaire sans précédent, au pays de tenir debout, les commerçants, artisans du pays, nos entrepreneurs, ne nous le pardonneraient pas», a ainsi commenté le député, en référence à la publication qui a cumulé près d'un demi-million de vues sur Twitter.
D'autres ne semblent pas prendre la vidéo au sérieux, à l'image de la section Officiers et Commissaires de police du Syndicat des cadres de la sécurité intérieure (SCSI), qui a ironisé sur Twitter au sujet des «terribles effets secondaires du confinement». Un militant qui avait déjà été entendu pour des propos contre Macron Comme l'a récemment rapporté le Dauphiné Libéré, Christophe Chalençon avait été entendu au commissariat d’Avignon, le 29 avril 2020, pour s’expliquer sur certaines de ses publications dans lesquelles il visait directement le président de la République, Emmanuel Macron.
Il lui était reproché de vouloir «ouvrir le corps et le cœur» du chef de l’Etat «pour les éteindre à jamais», toujours selon le quotidien du Sud-Est. Le Gilet jaune avait alors défendu des images qui symboliseraient, selon lui, les clés du pouvoir, telles que l’Elysée ou l’Assemblée nationale. «On me reproche des métaphores», avait-il plaidé. Forgeron de profession, Christophe Chalençon avait, à l'instar d'autres Gilets jaunes, lancé son initiative politique, baptisée «L'Évolution citoyenne», à l'occasion des élections européennes, initiative qui n'avait pas fait l'unanimité au sein du mouvement.
Pour la Première fois, il est enfin proposé LA Démocratie !
Après la Suisse (seul pays au monde en Démocratie), la France y parviendra t-elle ?
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(...) S'exprimant jeudi avec une poignée de journalistes, le président français écarte toute idée que la France s'inspire de la démocratie directe helvétique, «qui ne marche pas aussi bien qu'on le pense». (...)
Venezuela : le contrat ayant conduit à «l'invasion de mercenaires» révélé par le Washington Post
9 mai 2020, 20:31
L'«invasion» d'une poignée de combattants au Venezuela serait le fruit d'un contrat signé entre des membres de l'opposition et la société Silvercorp. Le Washington Post a publié le document, qu'il affirme avoir obtenu de l'opposition. Des membres de l'opposition vénézuélienne très proches de Juan Guaido – le président autoproclamé du pays qui bénéficie du soutien des Occidentaux – ont négocié en octobre dernier un accord avec une petite société de sécurité de Floride, Silvercorp USA, pour qu'elle mène dans le pays une opération visant à chasser du pouvoir le président Nicolas Maduro.
Une information confirmée – et assumée – par l'un des signataires de ce contrat, Juan José Rendon, chef du comité stratégique de Guaido basé à Miami, qui a toutefois assuré qu'il n'avait pas donné suite à l'opération. Le Washington Post a publié ce 7 mai un document sous forme scannée qui reproduirait ce contrat expurgé de certaines parties, dans lequel est fait état d'un accord de près de 213 millions de dollars entre l'entreprise américaine et les signataires pour ce projet de renversement politique.
D'après le journal, les termes généraux de l'«accord de service» ont été rédigés par le directeur de Silvercorp, Jordan Goudreau, qui a publiquement revendiqué l'organisation de l'opération. «Ce document a été fourni par des responsables de l'opposition vénézuélienne à la condition que l'une des pièces jointes soit expurgée», précise le quotidien américain.
Lire aussi Pour Maduro, Trump est derrière la «tentative d'invasion» au Venezuela, Washington dément
Le document est on ne peut plus clair quant à la finalité de l'opération : les deux parties prenantes devaient collaborer dans «la planification et l'exécution d'une opération pour capturer / détenir / renverser Nicolas Maduro, renverser le régime actuel et installer le président reconnu Juan Guaido».
Un projet qui corrobore les aveux des deux Américains, Luke Denman et Airan Berry, arrêtés le 4 mai, qui ont expliqué, dans un interrogatoire vidéo dont des images ont été diffusées par la télévision publique vénézuélienne, qu'ils avaient été chargés par Silvercorp de prendre le contrôle de l'aéroport de la capitale, Caracas, dans le but d'en exfiltrer Nicolas Maduro.
Pour rappel, les autorités vénézuéliennes ont arrêté sur leur sol plus d'une douzaine de personnes depuis le 3 mai, dont deux ressortissants américains travaillant pour la société de sécurité Silvercorp USA, qu'elles accusent d'une opération d'incursion destinée à renverser Nicolas Maduro. Le président vénézuélien, dénonçant une «invasion de mercenaires», avait à cette occasion lui-même évoqué le contrat, accusant Juan Guaido d'en être partie prenante.
Si la signature de Juan Guaido n'apparaît pas dans le document publié par le Washington Post, Nicolas Maduro avait révélé un autre document en rapport avec ce contrat, sur lequel le président autoproclamé aurait apposé sa signature.
Patricia Poleo, une journaliste qui affiche pourtant son opposition au gouvernement vénézuélien et qui a été la première à interviewer Jordan Goudreau, dès le 4 mai, a d'ailleurs publié ce document, qui s'étend sur huit pages. En dépit de cette révélation, Juan Guaido nie toute implication dans cette affaire ainsi que tout lien avec Silvercorp. Paiement possible en baril de pétrole Le document de 41 pages publié par le Washington Post, dont RT France ne peut confirmer l'authenticité, détaille en outre de nombreux éléments tactiques – notamment le matériel militaire à utiliser – mais ne fournit aucune explication sur la manière dont un si petit commando pouvait envisager de venir à bout de centaines de milliers de membres des forces de sécurité loyales à Maduro.
A cet égard, le vétéran Airan Berry avait déclaré dans ses aveux que les objectifs de la mission étaient également de contrôler des cibles spécifiques telles que le service de renseignement vénézuélien «Sebin» et le groupe de renseignement militaire «DGCIM», et de «récupérer» Maduro. Le contrat prévoit par ailleurs l'après-opération. Silvercorp propose en effet de trouver des investisseurs capables de prêter aux signataires la somme nécessaire pour financer le projet.
Un service qui a bien entendu un coût à long terme : «Après l'achèvement de ce projet, les investisseurs auront un statut de fournisseur privilégié avec le nouveau gouvernement au Venezuela». S'il n'est pas précisé ce qu'entend Silvercorp par ce statut de «fournisseur privilégié», l'entreprise américaine précise, un peu plus loin, qu'en cas d'insolvabilité, les signataires pourront toujours effectuer le payement... en barils de pétrole. Opération «suicide» ?
Juan Rendon, chef du comité stratégique de Guaido, dont la signature apparaît sur le document, a déclaré lors d'une interview à CNN le 6 mai qu'il avait négocié l'accord «exploratoire», mais qu'il avait rompu ses liens avec le directeur de Silvercorp, Jordan Goudreau, en novembre. Celui-ci aurait, selon Juan Rendon, tout de même donné suite à l'opération, envoyant les soldats en «mission suicide bâclée», sans le soutien de Juan Guaido. Lire aussi «Ils sont muets» : Nicolas Maduro assure que Washington ne répond plus au téléphone «Ils mentent», a de son côté déclaré Jordan Goudreau lors d'une conversation téléphonique avec Bloomberg le 4 mai .
«Je mène une guerre de l'information contre ceux qui m'ont engagé. Ils ont de l'argent aux Etats-Unis sur un compte Citgo, ils avaient l'argent pour me payer, mais ils ne m'ont pas payé», a-t-il expliqué. Citgo est la branche américaine de la compagnie pétrolière d'Etat vénézuélienne PDVSA. Nicolas Maduro et la justice vénézuélienne accusent donc Juan Guaido d'avoir recruté des «mercenaires» avec les fonds bloqués par des sanctions américaines pour fomenter cette opération avec Jordan Goudreau.
En outre, le procureur général du Venezuela, Tarek Saab, a déclaré le 8 mai que son bureau avait demandé des ordonnances de détention et d'extradition de l'ancien militaire américain Jordan Goudreau et de deux Vénézuéliens accusés d'avoir participé à l'incursion armée ratée au début de la semaine. Si je voulais aller au Venezuela, je n'en ferais pas un secret Pour comprendre les motivations de Jordan Goudreau à envoyer une poignée d'hommes, il faut peut-être se souvenir que le 26 mars, les Etats-Unis avaient offert une récompense pouvant atteindre 15 millions de dollars pour toute information permettant d'arrêter le président vénézuélien Nicolas Maduro.
Pour le président vénézuélien, la responsabilité du président américain ne fait aucun doute : «Donald Trump est le chef direct de cette invasion», a-t-il ouvertement accusé. Dans une réponse musclée formulée le 8 mai, Donald Trump a assuré que les Etats-Unis n'étaient pas derrière l'opération avortée au Venezuela, mais que s'il intervenait contre le gouvernement socialiste, il s'agirait bel et bien d'une «invasion». «Si je voulais aller au Venezuela, je n'en ferais pas un secret», a confié sur un ton belliqueux le président américain à la chaîne Fox News.
«J'y entrerais et ils ne pourraient rien y faire. Ils s'écraseraient. Je n'enverrais pas un petit groupe, non, non, non. Ca s'appellerait une armée, ça s'appellerait une invasion», a insisté le locataire de la Maison Blanche, expliquant «ne pas savoir grand-chose» du groupe de personnes arrêtées. L'opposition vénézuélienne, qui est loin de se ranger comme un seul homme derrière Guaido, soutient encore moins cette opération paramilitaire. Le 7 mai, deux partis d'opposition, Primera Justicia et Voluntad popular, auxquels Guaido est affilié, ont déclaré dans un communiqué que «les forces démocratiques ne promeuvent ni ne financent des guérillas, des flambées de violence ou des groupes paramilitaires», tout en réitérant les appels à un gouvernement de transition.
Covid-19 — Le fer de lance pour la mise en place d'une « nouvelle ère » de VACCINS à haut risque, génétiquement MODIFIÉS
Children's Health Defense Sott.net dim., 10 mai 2020 16:08 UTC
Depuis des semaines, les têtes parlantes font la promotion du ou des vaccins qui sauveront le monde — c'est ce que proclament Bill Gates et Tony Fauci — dans ce que Gates a maintenant baptisé « Pandémie 1 » ; des vaccins dont les fabricants cherchent à s'exonérer de toute responsabilité quant aux risques qu'ils peuvent faire courir aux populations. Alors que Microsoft News colporte des histoires auto-élogieuses sur la réorientation des priorités de la Fondation Gates pour consacrer « une attention totale » à la pandémie, Fauci — qui fait le tour des talk-shows — promet qu'un vaccin sera disponible en janvier 2021. Pour ne pas être en reste, la Maison Blanche a maintenant dévoilé l'« Opération Warp Speed » — un effort conjoint des secteurs pharmaceutique, gouvernemental et militaire visant à « considérablement réduire le temps nécessaire au développement d'un vaccin » — et le Président Trump en promet un d'ici la fin de l'année.
Vaccination planétaire contre le Covid-19L'idée d'une vaccination planétaire contre le Covid-19 — l'objectif déclaré qui fait saliver par anticipation tous ses acteurs — néglige un certain nombre d'obstacles irréfutables. Tout d'abord, le virus à ARN visé, le SRAS-CoV-2, a déjà « muté en au moins trente variantes génétiques différentes ». Parmi ces variantes, on en compte dix-neuf qui sont inédites ainsi que « de rares changements que les scientifiques n'avaient jamais imaginé pouvoir se produire ». La connaissance de ces mutations peut s'avérer utile aux cliniciens désireux de mieux adapter leurs traitements contre le Covid-19, mais la prolifération des mutations rend les chances de développer un vaccin efficace immensément plus incertaines.
Il n'y a pas lieu de s'inquiéter, disent les entités financées par Gates — et aussi le Pentagone. Les scientifiques qui travaillent dans le domaine florissant de la biologie synthétique sont convaincus qu'ils peuvent « supplanter » et surpasser la Nature en utilisant les technologies de vaccination de nouvelle génération telles que le transfert de gènes et les nanoparticules auto-assemblées — ainsi que les nouveaux mécanismes invasifs d'administration de vaccins et de gestion de données tels que les tatouages à points quantiques lisibles par smartphone. Est-ce important si les chercheurs ayant expérimenté ces approches n'ont jamais réussi à surmonter les « dangereux effets secondaires » ? Apparemment pas. Grâce à la générosité de M. Gates et au financement militaire, la planification du vaccin contre le Covid-19, qui suscite un vif intérêt, progresse rapidement.
Les scientifiques ont réitéré ce point : le principal obstacle pour la plupart des vaccins contre les virus émergents n'est pas l'efficacité des approches conventionnelles mais la nécessité d'un développement plus rapide et d'un déploiement à grande échelle.
La rapidité, pas la sécurité
Du point de vue de la production, les fabricants de vaccins — et en particulier ceux qui fabriquent des vaccins viraux — s'irritent depuis longtemps des limites inhérentes aux technologies traditionnelles, qui reposent sur des processus qui impliquent nécessairement « un délai considérable entre la production d'antigènes et la livraison du vaccin ». Les chercheurs ont à nouveau réitéré ce point en 2018, en écrivant dans Nature Reviews Drug Discovery que « le principal obstacle pour la plupart des vaccins anti-virus émergents ne réside pas dans l'efficacité des approches classiques mais dans la nécessité de les développer plus rapidement et de les déployer à grande échelle ».
Dans les années 1980, les fabricants ont été ravis lorsque les scientifiques ont mis au point de nouvelles techniques de génie génétique par la technologie de l'ADN recombinant qui — grâce à l'utilisation de « systèmes d'expression » comme les bactéries, les levures, les cellules d'insectes, les cellules de mammifères ou de plantes comme le tabac — ont permis de relancer la production de vaccins et de produire des vaccins dits « sous-unités » [ou conjugués - NdT]. Le premier vaccin pour lequel cette approche « entièrement nouvelle » de production de vaccins fut utilisée est le vaccin contre l'hépatite B, et un certain nombre de vaccins contre le Covid-19 actuellement en cours de développement utilisent ces mêmes techniques. Cependant, il existe un facteur de complication pour ces vaccins sous-unités : ils doivent être associés à des adjuvants « immunologiques » qui ont tendance à déclencher une réponse immunitaire déséquilibrée.
Désireux de rationaliser encore davantage la technologie vaccinale et de permettre la constitution de stocks de vaccins dans un délai encore plus court, les scientifiques ont commencé à bricoler au milieu des années 1990 des vaccins à base d'acide nucléique, qui comprennent des vaccins à ADN et des vaccins à ARN messager (ARNm). En tant que forme de thérapie génique, ces deux types de vaccins représentent une différence importante par rapport aux vaccins classiques.
-- Commentaire : C'est là que se trouve la distinction cruciale à faire lorsque l'on accuse les experts dissidents d'être « anti-vaccination ». Ils ne sont pas contre les vaccins en tant que tels, mais contre la direction terrifiante qu'ont pris le développement et la production de vaccins. Pour en savoir plus, lisez ce qui suit... --
Alors que les vaccins classiques introduisent un antigène vaccinal pour produire une réponse immunitaire, les vaccins à acide nucléique envoient au contraire à l'organisme des instructions pour produire l'antigène lui-même. Comme l'explique un scientifique, les acides nucléiques « amènent les cellules à fabriquer des morceaux du virus », l'objectif étant que le système immunitaire « déclenche ensuite une réponse à ces morceaux du virus ».
L'illustration montre la principale différence entre l'ARNm et la thérapie génique de l'ADN. Pour que l'ARNm fonctionne, il suffit de le délivrer au cytoplasme, tandis que la délivrance de l'ADN nécessite une étape supplémentaire, mais difficile, qui passe par le noyau. La différence entre les deux est importante tant pour l'efficacité que pour la sécurité.
Les scientifiques ont rapidement compris que les vaccins à ADN et à ARNm présentent tous deux de sérieux inconvénients, et c'est la raison pour laquelle ce type de vaccin n'a jamais été homologué. Néanmoins, près d'un quart (20/83) des vaccins répertoriés, au 23 avril, par l'Organisation mondiale de la santé comme « vaccins candidats » dans la lutte contre le Covid-19, dont deux des principaux prétendants sont des vaccins à ADN (Inovio) ou à ARNm (Moderna) — voir le tableau à la fin de l'article.
Les vaccins à ADN sont destinés à pénétrer jusqu'au noyau d'une cellule. Selon un scientifique en biotechnologie, « C'est une tâche incroyablement difficile étant donné que les noyaux de nos cellules ont évolué pour empêcher tout ADN étranger d'y pénétrer — pensez aux virus ! » Il n'est donc pas surprenant que lorsque certains vaccins à ADN ont fait l'objet d'essais cliniques à la fin des années 2000, ils se définissaient par une « puissance sous-optimale ». Les scientifiques ont alors eu l'idée de résoudre ce problème en augmentant l'administration du vaccin par « électroporation » — des chocs électriques appliqués à l'aide d'un « dispositif intelligent » [appelé électroporateur - NdT] dans la zone où le vaccin est injecté pour rendre les membranes cellulaires plus perméables et forcer l'ADN à pénétrer dans les cellules. [L'application d'impulsions de champ électrique permet à l'ADN présent dans l'espace extracellulaire de rentrer dans les cellules en migrant vers le pôle positif de la charge, étant lui-même chargé négativement - NdT]. Les améliorations obtenues dans l'efficacité du vaccin ont été suffisamment importantes pour que l'électroporation reste aujourd'hui une caractéristique clé de la conception de certains candidats vaccins dans la lutte contre le Covid-19, y compris le vaccin Moderna qui passe maintenant à la phase 2 des essais cliniques.
Un deuxième aspect des vaccins à ADN leurs propriétés de modification génétique — est encore plus troublant et reste sans réponse. Par définition, les vaccins à ADN comportent le risque d'« intégrer de l'ADN exogène dans le génome de l'hôte, ce qui peut provoquer une mutagenèse grave et induire de nouvelles maladies ». En termes plus compréhensibles, « la perturbation causé par l'ADN est comparable à l'insertion d'un ingrédient étranger dans une recette de cuisine existante, susceptible de modifier le plat qui en résulte ». L'incorporation permanente de gènes synthétiques dans l'ADN du receveur produit essentiellement un être humain génétiquement modifié, avec des effets à long terme inconnus. En parlant de la thérapie génique de l'ADN, un chercheur a déclaré : « Les intégrations génétiques utilisant des thérapies géniques virales... peuvent avoir un effet dévastateur si l'intégration est placée au mauvais endroit dans le génome ». Au sujet des vaccins à ADN en particulier, le Harvard College Global Health Review donne des précisions :
« Puisque le vaccin stimule continuellement le système immunitaire afin qu'il produise des anticorps, les effets secondaires potentiels pourraient inclure une inflammation chronique. D'autres préoccupations concernent l'intégration possible de l'ADN plasmidique dans le génome de l'hôte, ce qui entraînerait des mutations, des problèmes de réplication de l'ADN, le déclenchement de réponses auto-immunes et l'activation de gènes cancérigènes. » Les vaccins à ARNm
Parce qu'ils sont « particulièrement adaptés à un développement rapide », il n'est peut-être pas surprenant que les vaccins à ARNm attirent l'attention en tant que « précurseurs dans la lutte contre le Covid-19 ». Les vaccins à ARNm peuvent apparemment générer un gain de temps qui se compterait « en mois ou en années dans le cadre de la standardisation et de l'accélération... d'une production de masse ». En s'arrangeant pour rendre bénéfique une chose qui ne l'est pas, les initiés déclarent avec désinvolture que « bien qu'aucun vaccin à ARNm n'ait jamais été homologué, la menace d'une pandémie constitue une formidable motivation pour accélérer leur progression ».
Les entreprises sont séduites par l'approche de l'ARNm en dépit des observations selon lesquelles les grandes molécules d'ARNm sont « intrinsèquement instables », « sujettes à la dégradation » et susceptibles de sur-activer le système immunitaire. D'un autre côté, et du point de vue des scientifiques, les vaccins à ARNm ne devraient atteindre que le cytoplasme de la cellule plutôt que son noyau — un « défi technique plus simple » en apparence — bien que l'approche exige encore « des technologies de distribution capables d'assurer la stabilisation de l'ARNm dans des conditions physiologiques ». Des formulations telles que celles qui composent le vaccin ARNm-1273 de Moderna relèvent ces défis en utilisant « des modifications chimiques pour stabiliser l'ARNm » et des nanoparticules liquides pour « l'emballer sous une forme injectable ».
Les approches ARNm semblent attirer les scientifiques pourvus d'une vision très mécaniste de l'être humain. L'une de ces personnes fait l'éloge de l'ARNm pour son « inhérente capacité de programmation », en déclarant : « Tout comme un ordinateur [système d'exploitation], la thérapie par ARNm peut reprogrammer [un] corps pour qu'il produise ses propres thérapies » [mis en gras dans le texte original]. Les approches ARNm — qui utilisent des brins d'ARNm « sur mesure » pour « transformer les cellules du corps en usines à médicaments ad hoc » — sont comparés par le PDG de Moderna à « un logiciel : il suffit de tourner la manivelle et de mettre au point toute une kyrielle de produits ». De même, la revue Nature — qui commente la technologie de l'ARNm « d'un point de vue biotechnologique et industriel » — s'enthousiasme du fait que cette approche « permet un peaufinage rapide avec des combinaisons dérivées presque illimitées ».
Les scientifiques en charge de la recherche sur les vaccins qui connaissent bien les vaccins à ADN et à ARNm mettent en valeur la fiabilité des vaccins à ARNm, en arguant qu'ils n'ont pas besoin de pénétrer dans le noyau de la cellule. Cependant, après des années d'expérimentation de vaccins à ARNm, aucun de ces scientifiques n'a encore obtenu la moindre autorisation d'exploitation. Pourquoi ? Une des réponses possibles à cette question serait que les études pré-cliniques sur les vaccins à ARNm ont révélé une composante inflammatoire « intrinsèque » qui ne permet pas vraiment d'établir un « profil risque/bénéfice acceptable ». Les partisans de l'ARNm admettent qu'il n'existe à ce jour aucune compréhension adéquate de l'inflammation et des réactions auto-immunes qui peuvent en résulter. Cela soulève de nombreuses questions quant aux conséquences d'une décision des autorités réglementaires à même d'exaucer le souhait des fabricants de vaccins à ARNm dans la lutte contre le Covid-19 à disposer « d'un processus accéléré permettant aux vaccins à ARNm d'être administrés le plus vite possible ».
La course aux profits
Le « piratage » de la quasi-totalité des activités économiques, sociales, artistiques et religieuses par le SARS-CoV-2 est inquiétant à bien des égards, notamment parce qu'il témoigne d'une acceptation aveugle de la propagande officielle servie à un public qui aspire à des « remèdes miracles ». Comme l'a déclaré un scientifique qui travaille à la recherche de vaccins à l'Institut Karolinska de Suède :
« Lorsque la Chine a mis en quarantaine toute une mégapole en janvier, les gens ont dit « seule la Chine peut faire ça ». Ensuite, nous avons vu des mesures aussi drastiques dans plusieurs pays démocratiques. Je pense que cela en dit long sur notre confiance dans les solutions médicales. Aujourd'hui, nous espérons pouvoir développer des médicaments et des vaccins contre différentes maladies comme jamais auparavant. »
L'empressement à développer des vaccins contre le Covid-19 qui altèrent les gènes accélère également la fusion entre les secteurs pharmaceutique et biotechnologique. Le lucratif secteur biopharmaceutique est désormais le segment de l'industrie pharmaceutique mondiale qui connaît la croissance la plus rapide, qui représente actuellement 20 % du marché mondial et qui affiche un taux de croissance annuel plus de deux fois supérieur à celui de l'industrie pharmaceutique conventionnelle. Et les vaccins contre le Covid-19 contribuent à sauver les résultats financiers chancelants de certaines entreprises biopharmaceutiques. En 2017, par exemple, Moderna s'efforçait de « tenir son impétueuse promesse de réinventer la médecine » après qu'une thérapie expérimentale sur laquelle elle comptait se soit révélée trop dangereuse pour être testée sur l'homme. Avance rapide jusqu'en 2020, où « les mauvaises nouvelles concernant le coronavirus sont de bonnes nouvelles pour les actions de Moderna ». D'autres sociétés biopharmaceutiques, qui étaient auparavant sur le déclin, sont également sur le point de réaliser des bénéfices records avec le Covid-19.
Alors que la biopharmacie poursuit sa course effrénée — et que l'éthique médicale soit damnée — pour obtenir une immense source de profits grâce au Covid-19, le public doit jeter un regard critique sur les mesures de dissuasion utilisées par l'industrie pharmaceutique pour « garantir la salubrité de ses produits » et devrait fermement s'opposer à la perspective effrayante d'un vaccin obligatoire contre le coronavirus. Si le public ne prend pas garde, il est probable que les vaccins génétiquement modifiés pour lutter contre le Covid-19 altéreront les gènes de façon permanente, déclencheront une auto-immunité et serviront de catalyseur pour d'autres préjudices ou décès dus au vaccin, et — sans que la responsabilité juridique ne soit engagée — il est également probable qu'aucun des acteurs commerciaux ou gouvernementaux responsables ne s'en souciera. vaccines covid-19 big pharma
Liste des vaccins répertoriés, au 23 avril, par l'Organisation mondiale de la santé comme « vaccins candidats » dans la lutte contre le Covid-19
Source de l'article initialement publié en anglais le 7 mai 2020 : Children's Health Defense Traduction : Sott.net
-- Commentaire : Voir aussi : Coronavirus : les clés pour reconnaître une opération mondialiste Covid-19, pots-de-vin et corruption — Le cartel criminel Big-Pharma supervise le nouveau vaccin Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur : « On ne sait pas comment marchent les vaccins » Vaccination : 30 ans de mensonges Le talentueux docteur Fauci Nouvel ordre mondial - Bill Gates annonce le programme : « Vacciner la planète entière » --
Comment Rockefeller a fondé la médecine moderne et tué les remèdes naturels
Chris Kanthan Sott.net dim., 10 mai 2020 15:46 UTC
De nos jours, la plupart des gens vous regardent comme un fou si vous parlez des propriétés curatives des plantes ou de toute autre pratique holistique. Comme pour toute autre chose, notre système médical moderne est soutenu par beaucoup de politique et d'argent.
Rockfeller: "Je ne veux pas des penseurs, mais des travailleurs"
Tout commence avec John D. Rockefeller (1839 - 1937), magnat du pétrole, industriel véreux, premier milliardaire américain et monopoliste né. Au tournant du XXe siècle, il contrôlait 90 % de toutes les raffineries de pétrole aux États-Unis par l'intermédiaire de sa compagnie pétrolière, Standard Oil, qui a ensuite été démantelée pour devenir Chevron, Exxon, Mobil, etc.
Au même moment, vers 1900, les scientifiques découvraient la "pétrochimie" et la possibilité de créer toutes sortes de d'ersatz dérivés du pétrole. Par exemple, le premier plastique — appelé bakélite — fut fabriqué à partir du pétrole en 1907. Les scientifiques découvraient également à cette époque diverses vitamines et pressentaient que de nombreux médicaments pharmaceutiques pouvaient être fabriqués à partir du pétrole. Ce fut une merveilleuse opportunité pour Rockefeller qui découvrit rapidement qu'il était possible de monopoliser à la fois les industries pétrolière, chimique et médicale !
Le plus grand avantage de la pétrochimie fut de pouvoir tout breveter et vendre en réalisant des profits élevés.
Mais le plan de Rockefeller pour l'industrie médicale posait un problème : les médicaments naturels/à base de plantes étaient cette époque très populaires aux États-Unis. Près de la moitié des médecins y pratiquaient une médecine holistique, utilisant les connaissances de l'Europe et des Amérindiens qui étaient enseignés dans les facultés de médecine des États-Unis.
Rockefeller, le monopoliste, devait trouver un moyen de se débarrasser de son plus grand concurrent. Il a donc utilisé la stratégie classique de « problème-réaction-solution ». C'est-à-dire, créer un problème et effrayer les gens, puis proposer une solution — pré-planifiée. Ce fut en cela semblable à la peur du terrorisme qui fut suivie du « Patriot Act ».
-- Commentaire : Et semblable à ce qui se produit actuellement avec le Covid-19 et la nécessité d'accepter sans broncher de porter un masque, d'accepter « avec joie » l'établissement d'une surveillance de masse grâce à la 5G, d'être « avec soulagement » tous vaccinés et d'être probablement « pucé » sans même le savoir. --
Il est allé voir son ami Andrew Carnegie — un autre ploutocrate tirant d'immenses revenus par son monopole de l'industrie de l'acier — qui a mis au point un stratagème. Ils ont alors envoyé un homme nommé Abraham Flexner issu de la prestigieuse Fondation Carnegie, dont la mission était de parcourir le pays et d'établir un rapport sur le statut des facultés de médecine et des hôpitaux situés aux quatre coins du pays.
Cette mission a produit le rapport Flexner dont découle la médecine moderne telle que nous la connaissons. Il va sans dire que le rapport évoquait la nécessité de réorganiser et de centraliser les institutions médicales. Sur la base de ce rapport, plus de la moitié des facultés de médecine ont rapidement été fermées. L'homéopathie et les médecines naturelles ont été bafouées et diabolisées, et des médecins ont même été emprisonnés.
Pour faciliter la transition et faire changer d'avis les autres médecins et scientifiques, Rockefeller a donné plus de 100 millions de dollars aux universités et aux hôpitaux, et a fondé un groupe de façade philanthropique appelé « Conseil général de l'éducation » [General Education Board - NdT]. C'est l'approche classique de la carotte et du bâton.
En très peu de temps, les facultés de médecine ont toutes été restructurées et homogénéisées. Tous les étudiants apprenaient la même chose, et la médecine consistait à utiliser des médicaments brevetés.
Les scientifiques recevaient d'énormes subventions pour étudier comment les plantes guérissaient les maladies, mais leur but était d'abord d'identifier les substances chimiques efficaces contenues dans la plante, puis de recréer en laboratoire une substance chimique similaire — mais pas identique — une substance qui pourrait bien sûr être brevetée.
Une pilule pour un malade est devenue le mantra de la médecine moderne.
Et vous pensiez que les frères Koch étaient mauvais ?
-- Note du traducteur : Toutefois : « La philanthropie de Rockefeller s'appuie de façon permanente sur des états des lieux, des enquêtes (état sanitaire des populations), des évaluations de la qualité des enseignements, des formations puis des programmes. Ce fut à la suite d'enquêtes (1910 et 1912) ordonnées par l'autre grande fondation, la « Carnegie », sur l'enseignement de la médecine aux États-Unis et en Europe (Allemagne, France, Grande-Bretagne) que le « mécène utilitariste », John Davison Rockefeller, magnat du pétrole, mena des réflexions qui furent à l'origine de la création de l'institut de recherche médical du même nom. L'opposition de l'opinion publique américaine aux pratiques des « barons voleurs » fut si vive que l'empire pétrolier de Rockefeller fut démantelé en 1911. Aussi, pour s'amender, J. D. Rockefeller créa, en 1913, la fondation dont il est ici question et y intégra l'institut.
En France, tout comme en Grande-Bretagne, l'hôpital était le lieu privilégié de l'enseignement clinique. L'Allemagne, comme dans d'autres secteurs scientifiques sut associer la méthode analytique, privilégier l'enseignement dans les facultés des sciences, soutint la recherche en laboratoire. C'est dans ce pays, le premier à avoir considéré la recherche comme une affaire d'État, qu'est née la médecine moderne alliant observation clinique et recherche scientifique. Les Rockefeller surent toujours s'entourer de conseillers avisés, utilisèrent le principe des enquêteurs pour s'informer en permanence de ce qui prévalait sur le vieux continent, mais aussi dans le reste du monde à mesure que le temps passait.
Et l'on retrouve, ici, la façon dont les Américains, qu'il s'agisse de science, de technique ou d'industrie, sont venus étudier avec profit en Europe au cours du XIXe siècle pour créer chez eux universités, instituts, centres de recherche médicaux et industriels. Ainsi l'Institut de recherche médical Rockefeller s'inspire directement de l'Institut Pasteur et de l'Institut Koch à Berlin. Certaines universités américaines bénéficièrent ou furent créées grâce aux philanthropes en s'inspirant du modèle européen. »
~ Source : La Revue pour l'histoire du CNRS --
Aujourd'hui, cent ans plus tard, nous produisons à la chaîne des médecins complètement ignorants des bienfaits de la nutrition, des herbes médicinales ou de toute autre pratique holistique, et nous nous retrouvons avec une société entière dont le bien-être est esclave des multinationales.
La nation des États-Unis dépense 15 % de son PIB en soins de santé, que nous devrions en réalité appeler « soins aux malades ». Puisque ces soins se concentrent uniquement sur les symptômes et non sur la guérison des patients, ces derniers deviennent des patients/clients perpétuels. Il n'existe pas de remède contre le cancer, le diabète, l'autisme, l'asthme ou même la grippe.
-- Commentaire : Encore que le régime cétogène pourrait bien être une possible réponse, notamment pour le cancer, dont les cellules se nourrissent de glucides : Gary Taubes : les recommandations nutritionnelles rendent les gens malades Cancer et études frauduleuses La (malfaisante) industrie du cancer dévoilée par des médecins Un lien évident entre le sucre et le cancer Le régime cétogène pourrait être la clé pour guérir du cancer Cancer du cerveau : guérir grâce au régime cétogène --
Pourquoi y aurait-il de véritables remèdes ? C'est un système fondé par des oligarques et des ploutocrates, pas par des médecins.
Quant au cancer, Oh ! oui, l'American Cancer Society a été fondée par nul autre que Rockefeller en 1913.
-- Note du traducteur : En voici une petite définition : « L'American Cancer Society a débuté sous le nom de American Society for the Control of Cancer en 1913 [Organize to Fight Cancer, New York Times, 10 juin 1913]. Depuis lors, elle est devenue le « veau d'or » des organisations caritatives et ses efforts pour rechercher et diffuser les causes et fournir des fonds pour trouver un remède se sont égarés. Aujourd'hui, il semblerait que son travail consiste à amasser beaucoup d'argent, en protégeant ses partisans, et comme l'ont demandé de nombreux critiques, pourquoi voudraient-ils mettre un terme à cette activité lucrative en plein essor ?
Pourquoi tuer la poule aux œufs d'or ? »
~ Source : Wellness Journeys Voir aussi : La Fondation Rockefeller et le programme international pour la santé ou l'ancêtre des fondements de l'OMS --
Article initialement publié en anglais le 20 octobre 2015
Quand Sibeth Ndiaye arrange à sa convenance les recommandations de l’OMS – vidéo
12:30 11.05.2020
La porte-parole du gouvernement a tenté de se défendre sur le recours jugé trop faible et tardif aux tests de dépistage du coronavirus en France, mais s’est montrée très approximative. Selon elle, les recommandations de l’OMS à ce sujet datent du mois d’avril, alors que celles-ci remontent au 16 mars.
Invitée dimanche sur le plateau de BFM TV, Sibeth Ndiaye a été interrogée sur la question des tests, sur laquelle la France s’est montrée particulièrement à la traîne, notamment en comparaison avec l’Allemagne. La porte-parole, à l’instar du gouvernement qu’elle défend, s’est retranchée derrière les recommandations de l’OMS, avec une erreur de calendrier qui va curieusement dans son sens.
«Je me permets d’apporter une petite correction», a-t-elle coupé alors qu’Apolline de Malherbe évoquait un problème de moyens de l’État en matière de masques et de tests.
«L’OMS a commencé à dire qu’il fallait tester de manière massive quelque part, de mémoire, au mois d’avril». «Nous avons dès lors augmenté notre capacité de tests», a-t-elle affirmé.
Sauf que sa mémoire lui a joué des tours. L’OMS recommandait de «tester chaque cas suspect» dès le 16 mars. «Nous avons un message simple pour tous les pays: testez, testez, testez», avait insisté Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’organisation, lors de son discours depuis Genève. En cette période, la France était encore bien loin d’annoncer des dépistages massifs de sa population.
Pas de «consensus scientifique» sur le port du masque
Sibeth Ndiaye avait déjà détourné les consignes de l’OMS pour justifier la décision de l’exécutif de ne pas rendre obligatoire l’usage du masque. Le 9 avril, elle avait ainsi déclaré «qu’il n’y avait pas de consensus scientifique en la matière». Dans un même temps, l’Académie de médecine recommandait l’obligation d’en porter à chaque sortie, à la fois pendant et après le confinement.
Elle avait ensuite assuré que l’OMS «ne recommande pas le port du masque dans la population de manière générale». Le service Checknews de Libération avait alors démontré que l’organisation défendait bien son usage «en complément des actions prioritaires liées à l’hygiène et à la distanciation sociale».
La représentante s’est justifiée dimanche à ce propos, assurant que «le consensus scientifique a évolué sur la question» et que le gouvernement a toujours adapté ses décisions «sur une base rationnelle et scientifique». «Il n’y avait pas de raisons que nous allions plus loin que le consensus scientifique», a-t-elle ajouté.
Après les critiques infondées sur la Chine et la 'fabrication d'un virus en laboratoire' ! Whôah ! et, le départ du virus à Huwan (alors qu'il n'y est apparu qu'en Novembre et en Italie (Lombardie) en Octobre), Il n'y avait PAS DE MASQUE (FFP2). Les Américains (critiqueurs) ont dû payé 3 fois le prix pour les avoir. D'où, la pénurie de masque anti-virus (FFP2) en France et l'apparition de remplaçant (toile de jeans noir) porté par le chef de l'État dans une école de tout petits !
Une biologiste explique les faux résultats négatifs de certains tests de dépistage du Covid-19
12:23 11.05.2020
Les tests de dépistage du coronavirus et des anticorps associés peuvent être trompeurs et révéler de faux résultats négatifs à tous les stades de la maladie. Ancha Baranova, docteur en sciences biologiques, a fourni des explications à Sputnik.
Ancha Baranova, docteur en sciences biologiques, professeur du School of Systems Biology de l’Université de George Mason, a expliqué le 11 mai à Sputnik pourquoi des tests de dépistage du Covid-19 et des anticorps peuvent donner un faux résultat négatif.
Au premier stade, même en l'absence de symptômes de la maladie, le virus se reproduit et la personne contaminée est porteuse de l’infection.
«Environ 40% des personnes contractent le virus via des porteurs asymptomatiques (Se dit d’un trouble ou d’une maladie qui est dépourvue de tout symptôme). Après la première étape, l'étape où les symptômes sont visibles commence. Néanmoins, pour certaines personnes, la maladie ne dépasse pas la première étape», a-t-elle déclaré.
Selon la biologiste, à ce stade, la destruction du virus se produit grâce à des interférons, qui créent le système de défense naturel du corps. Ce dernier est capable de vaincre le virus sans produire d'anticorps, en conséquence, un test d'anticorps chez une personne contaminée peut être négatif.
Ce qu’il se passe à la deuxième phase
Pendant la deuxième phase, des symptômes apparaissent: température et toux, puis essoufflement. À ce stade, le virus continue de se reproduire et là, il est recommandé d’utiliser des médicaments antiviraux prévus par le traitement du Covid-19. En outre, le corps déclenche une protection supplémentaire. Vers le milieu de la deuxième étape, il commence à produire des anticorps.
«Une personne peut également rester au deuxième stade, et la maladie ne se transformera pas en une forme plus aiguë. À ce stade, le virus peut être vaincu par des anticorps. Dans le pire des cas, la maladie ne s'arrêtera pas parce que l'inflammation est toujours en cours, avec une pneumonie mais à cause d'autres facteurs. Une telle situation peut conduire à un test négatif. Vient par la suite la prochaine étape, elle est encore plus difficile. Je répète, à ce stade, le virus peut être à l'intérieur d'une personne, ou peut ne déjà plus y être», a ajouté Mme Baranova.
Risque d’une inflammation incontrôlée
La spécialiste a également détaillé ce qu’il se passe au troisième stade: un choc cytokinique peut se produire (une inflammation incontrôlée qui endommage les tissus du corps). Le plus souvent, à ce stade, une personne est hospitalisée et il est nécessaire de la connecter à un respirateur artificiel.
«Pendant la troisième étape, le virus se reproduit assez faiblement et la résistance du corps humain devient le facteur le plus important de la récupération», a résumé Mme Baranova.
L'appel de Poutine pour un nouveau système et la bataille de Bretton Woods en 1944: leçons pour le jour de la victoire
par Tyler Durden Lun, 05/11/2020 - 00:00 Écrit par Matthew Ehret via le blog The Saker,
Alors que le monde d'aujourd'hui vacille au bord d'un effondrement financier plus important que tout ce que le monde a connu à Weimar en 1923 ou dans la Grande Dépression de 1929, les dirigeants de la Russie et de la Chine ont entamé une discussion sérieuse sur les termes du nouveau système qui doit inévitablement remplacer l'ordre néolibéral en voie de disparition. Plus récemment, Vladimir Poutine a relancé son appel le 16 janvier 2020 pour une nouvelle conférence économique d'urgence pour faire face à la catastrophe imminente sur la base d'une session en direct avec des représentants des cinq puissances nucléaires du Conseil de sécurité des Nations Unies.
Alors que l'engagement de Poutine pour ce nouveau système repose sur des principes multipolaires de coopération et de respect de la souveraineté nationale, l'oligarchie financière et les structures étatiques profondes plus larges infestant les nations occidentales qui ont déclenché cette crise au cours de décennies de mondialisation ont appelé à leur propre version d'un nouveau système.
Ce nouveau système, comme nous l'avons vu promu par des personnalités comme la Banque d'Angleterre et les principaux technocrates au cours de l'année écoulée, est basé sur un système unipolaire anti-nation qui s'appelle généralement «Green New Deal». En d'autres termes, il s'agit d'un système dirigé par une élite technocratique gérant la réduction de la population mondiale grâce à la monétisation des pratiques de réduction du carbone sous un gouvernement mondial.
Peu importe comment vous le voyez, un nouveau système sera créé à partir des cendres de l'ordre mondial actuellement en train de mourir. La question est seulement: cela bénéficiera-t-il à l'oligarchie ou au peuple ?
Afin d'éclairer la prise de décision nécessaire à cette conférence d'urgence, il est utile de revoir la dernière conférence d'urgence de ce type qui a défini les termes d'une architecture économique mondiale en juillet 1944 afin que des erreurs similaires qui ont ensuite été commises par les forces anti-impérialistes soient pas encore fait.
Qu'est-ce que le Bretton Woods ?
Alors qu'il devenait évident que la guerre allait bientôt prendre fin, un combat majeur a éclaté lors d'une conférence de deux semaines à Bretton Woods, dans le New Hampshire, où un représentant de 44 nations s'est réuni pour établir les termes du nouveau système d'après-guerre. La question était: ce nouveau système serait-il régi par des principes impériaux britanniques similaires à ceux qui dominaient le monde avant le début de la guerre ou serait-il façonné par une communauté d'États-nations souverains ?
D'un côté, des personnalités alliées à la vision du président américain Franklin Delano Roosevelt pour un ordre mondial anti-impérial se sont alignées derrière le champion du FDR, Harry Dexter White, tandis que ces forces puissantes se sont engagées à maintenir les structures de la dictature des banquiers (la Grande-Bretagne a toujours été principalement un banquier empire) alignés derrière la figure de John Maynard Keynes.
John Maynard Keynes était l'un des principaux contrôleurs de la Fabian Society et trésorier de la British Eugenics Association (qui a servi de modèle pour les protocoles eugéniques d'Hitler avant et pendant la guerre). Au cours de la conférence de Bretton Woods, Keynes a fortement insisté pour que le nouveau système soit fondé sur une monnaie mondiale entièrement contrôlée par la Banque d'Angleterre connue sous le nom de Bancor. Il a proposé qu'une banque mondiale appelée Clearing Union soit contrôlée par la Banque d'Angleterre qui utiliserait le Bancor (échangeable avec les monnaies nationales) et servirait d'unité de compte pour mesurer les excédents ou les déficits commerciaux dans le cadre du mandat mathématique de maintenir «l'équilibre» des le système.
Harry Dexter White, d'autre part, a lutté sans relâche pour garder la ville de Londres hors du siège des pilotes de la finance mondiale et a plutôt défendu l'institution de la souveraineté nationale et des monnaies souveraines sur la base d'une croissance scientifique et technologique à long terme. Bien que White et FDR aient exigé que les dollars américains deviennent la monnaie de réserve dans le nouveau système mondial de taux de change fixes, cela n'a pas été fait pour créer un «nouvel empire américain» comme la plupart des analystes modernes l'ont supposé, mais a plutôt été conçu pour utiliser le statut américain comme la puissance mondiale productive la plus forte pour assurer une stabilité anti-spéculative parmi les monnaies internationales qui manquaient totalement de stabilité au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.
Leur combat pour des taux de change fixes et des principes de «prix de parité» ont été conçus par FDR et White strictement autour de la nécessité d'abolir les formes de flux chaotiques des marchés non réglementés qui ont fait la spéculation rampante sous le libre-échange britannique et détruit la capacité de penser et planifier le type de développement à long terme nécessaire pour moderniser les États-nations. Il ne s'agissait pas pour eux d'un «équilibre mathématique», mais plutôt d'un «élimination de la pauvreté» grâce à une VRAIE croissance économique physique des colonies qui gagneraient ainsi une véritable indépendance économique.
Comme des personnalités comme Henry Wallace (fidèle vice-président du FDR et candidat au 3e parti en 1948), le représentant William Wilkie (lieutenant républicain et nouveau concessionnaire du FDR) et Dexter White ont tous préconisé à plusieurs reprises, les mécanismes de la Banque mondiale, du FMI et des Nations Unies étaient censés pour devenir les moteurs d'une internationalisation du New Deal qui a transformé l'Amérique d'un puisard en 1932 en une centrale de fabrication moderne et avancée 12 ans plus tard. Tous ces nouveaux concessionnaires internationaux étaient de fervents défenseurs du leadership américano-russe-chinois dans le monde de l'après-guerre, ce qui est un fait oublié d'une importance capitale.
Dans son livre de 1944 Notre travail dans le Pacifique, Wallace a déclaré:
«Il est vital pour les États-Unis, pour la Chine et pour la Russie, qu'il y ait des relations pacifiques et amicales entre la Chine et la Russie, la Chine et l'Amérique et la Russie et l'Amérique. La Chine et la Russie se complètent et se complètent sur le continent asiatique et les deux complètent et complètent la position de l'Amérique dans le Pacifique. »
Contredisant le mythe selon lequel FDR était un keynésien, l'assistant de FDR, Francis Perkins, a enregistré l'interaction de 1934 entre les deux hommes lorsque Roosevelt lui a dit:
«J'ai vu ton ami Keynes. Il a laissé toute une fourchette de chiffres. Il doit être un mathématicien plutôt qu'un économiste politique. » En réponse, Keynes, qui essayait alors de coopter le récit intellectuel du New Deal, a déclaré qu'il avait "supposé que le président était plus alphabétisé, économiquement parlant".
Dans son édition allemande de 1936 de sa théorie générale de l'emploi, des intérêts et de l'argent, Keynes écrivait:
«Car j'avoue qu'une grande partie du livre suivant est illustrée et exposée principalement en référence aux conditions existant dans les pays anglo-saxons. Néanmoins, la théorie de la production dans son ensemble, ce que le livre suivant prétend fournir, est beaucoup plus facilement adaptée aux conditions d'un État totalitaire. »
Tandis que Keynes représentait «l'impérialisme doux» de la «gauche» de l'intelligentsia britannique, Churchill représentait l'impérialisme dur et sans vergogne de l'Ancien empire, moins sophistiqué, qui préférait l'usage intensif de la force brute pour maîtriser les sauvages. Tous deux cependant étaient des racistes et des fascistes sans vergogne (Churchill a même écrit avec admiration sur les chemises noires de Mussolini) et tous deux représentaient les pratiques les plus viles de l'impérialisme britannique.
Révision de la vision anti-coloniale oubliée du FDR
La bataille du FDR avec Churchill sur la question de l'empire est mieux connue que ses divergences avec Keynes qu'il n'a rencontré qu'à quelques reprises. Cet affrontement bien documenté est mieux illustré dans le livre de son fils / assistant Elliot Roosevelt, As He Saw It (1946), qui cite son père:
"J'ai essayé de faire comprendre ... que même si nous sommes des alliés [de la Grande-Bretagne] et que nous voulons la victoire à leurs côtés, ils ne doivent jamais avoir l'idée que nous y sommes juste pour les aider à conserver leur archaïque, des idées d'empire médiéval… J'espère qu'ils se rendent compte qu'ils ne sont pas des partenaires seniors; que nous n'allons pas nous asseoir et regarder leur système freiner la croissance de tous les pays d'Asie et de la moitié des pays d'Europe pour démarrer. »
FDR a poursuivi:
«Le système colonial signifie la guerre. Exploiter les ressources d'une Inde, d'une Birmanie, d'un Java; enlevez toutes les richesses de ces pays, mais n'y remettez jamais rien, comme l'éducation, un niveau de vie décent, des exigences minimales de santé - tout ce que vous faites, c'est stocker le genre de problèmes qui mènent à la guerre. Tout ce que vous faites, c'est nier la valeur de tout type de structure organisationnelle pour la paix avant qu'elle ne commence. "
Écrivant de Washington dans une hystérie à Churchill, le ministre des Affaires étrangères Anthony Eden a déclaré que Roosevelt "envisage le démantèlement des empires britannique et néerlandais".
Malheureusement pour le monde, FDR mourut le 12 avril 1945. Un coup d'État au sein de l'establishment démocrate, alors rempli de Fabians et Rhodes Scholars, avait déjà assuré qu'Henry Wallace perdrait la vice-présidence de 1944 au profit de Anglophile Wall Street Stooge Harry Truman. Truman n'a pas tardé à renverser toutes les intentions du FDR, nettoyant les renseignements américains de tous les patriotes restants avec la fermeture de l'OSS et la création de la CIA, le lancement de bombes nucléaires inutiles sur le Japon et l'établissement de relations spéciales anglo-américaines. L'adhésion de Truman au nouvel ordre mondial de Churchill a détruit la relation positive avec la Russie et la Chine que recherchaient FDR, White et Wallace et bientôt l'Amérique était devenue le géant muet de la Grande-Bretagne.
La prise de contrôle de l'État profond moderne après 1945 Le FDR a averti son fils avant sa mort de sa compréhension de la prise de contrôle britannique de la politique étrangère américaine, mais ne pouvait toujours pas inverser ce programme. Son fils a raconté la perspicacité inquiétante de son père:
«Vous savez, un certain nombre de fois où les hommes du Département d'État ont essayé de me cacher des messages, de les retarder, de les maintenir en quelque sorte, simplement parce que certains de ces diplomates de carrière là-bas ne sont pas d'accord avec ce qu'ils savent, je pense . Ils devraient travailler pour Winston. En fait, la plupart du temps, ils [travaillent pour Churchill]. Arrêtez de penser à eux: un certain nombre d'entre eux sont convaincus que la façon pour l'Amérique de mener sa politique étrangère est de découvrir ce que font les Britanniques et de copier cela! » On m'a dit… il y a six ans, de nettoyer ce département d'État. C’est comme le British Foreign Office… ».
Avant d'être renvoyé du cabinet de Truman pour son plaidoyer en faveur de l'amitié américano-russe pendant la guerre froide, Wallace a déclaré:
Le «fascisme américain», connu depuis quelques années sous le nom de Deep State. «Le fascisme de l'après-guerre poussera inévitablement de façon constante à l'impérialisme anglo-saxon et, éventuellement, à la guerre avec la Russie. Déjà, les fascistes américains parlent et écrivent sur ce conflit et l'utilisent comme excuse pour leurs haines internes et leurs intolérances envers certaines races, croyances et classes. »
Dans sa mission soviétique en Asie en 1946, Wallace a déclaré: «Avant que le sang de nos garçons ne soit à peine sec sur le champ de bataille, ces ennemis de la paix tentent de jeter les bases de la troisième guerre mondiale. Ces gens ne doivent pas réussir leur fausse entreprise. Nous devons neutraliser leur poison en suivant la politique de Roosevelt en cultivant l'amitié de la Russie dans la paix comme dans la guerre. »
En effet, c'est exactement ce qui s'est produit. Les trois années de fonctionnement de Dexter White à la tête du Fonds monétaire international ont été assombries par ses attaques constantes comme étant un pantin soviétique qui le hantait jusqu'au jour de sa mort en 1948 après une session d'investigation exténuante à la House of Un-American Activities. White avait précédemment soutenu l'élection de son ami Wallace à la présidence aux côtés de ses compatriotes patriotes Paul Robeson et Albert Einstein.
Aujourd'hui, le monde a saisi une deuxième chance de raviver le rêve du FDR d'un monde anticolonial. Au 21e siècle, ce grand rêve a pris la forme de la Nouvelle Route de la Soie, dirigée par la Russie et la Chine (et rejointe par un chœur croissant de nations aspirant à sortir de la cage invisible du colonialisme).
Si les pays occidentaux souhaitent survivre à l'effondrement imminent, ils feraient bien de répondre à l'appel de Poutine pour un nouveau système international, de rejoindre la BRI et de rejeter les technocrates keynésiens prônant un faux "New Bretton Woods" et "Green New Deal".
Il est vital que la monnaie (apparue après l'Âge du Troc) ait un adossement responsable et honnête. Si la capacité de l'or n'a aucun avenir (15 Août 1971) est est adossée 'à la tête du client' (Hahaha !), l'or n'a lui-même plus d'adossement honnête.
Donc, la valeur d'une monnaie (passée l'Âge de la Planche à billets supplantée par l'Âge du clavier d'ordinateur) doit exister. Or, la Chine, a plus d'or aujourd'hui que tout le monde ! (d'où l'apparition de 'l'or-papier' !! Hahaha !).
Or, SEUL l'être humain au monde a une valeur. Mais, l'adossement à l'Étalon-Humain est lui-même supplanté par la machine (ordi, machine-outil, robots), d'où la difficulté d'adossement d'une monnaie réelle. (Rien à voir avec l''Intelligence Artificielle' qui n'est qu'un faux jeton comparatif à une calculette de poche ou interrupteur (Clic c'est allumé, Clic c'est éteint). Il ne faut pas confondre l'intelligence humaine avec un mécanisme électrique qui serait son palliatif.
Union monétaire européenne : funeste conflit juridique au sommet
le 11 mai 2020
Je ne suis ni économiste ni juriste et je tente de m’informer objectivement dans le fatras des articles de la presse dont je ne lis plus que les titres. De plus mes yeux filtrent ces titres et dès qu’ils voient « coronavirus » je passe au titre suivant. Comme 80 % de ces titres de presse comportent ce mot ma revue de presse européenne du matin ne dure plus que quelques minutes. Il y a pourtant une information qui m’a interpellé la semaine dernière. La Cour constitutionnelle allemande de Karlsruhe a remis vertement la Banque centrale européenne (BCE) a sa place car elle outrepassait ses droits et devoirs tels qu’ils ont été décrits par les traités européens. En d’autres termes pour les juristes allemands la BCE n’a pas l’autorisation de racheter des titres de dette souveraine pourris sur les marchés. Or avec la gigantesque crise économique qui se profile les titres de dette souveraine des pays cigales vont être classés dans la catégorie « junk », tout simplement du papier sans valeur, car tous ces pays ne pourront même pas honorer les intérêts qu’ils doivent auprès de leurs créanciers, je ne parle même pas du « principal ». Ces pays sont l’Italie, l’Espagne, la France, la Belgique et bien entendu la Grèce pour ne citer que les principales économies européennes. La BCE a racheté pour plus de 1000 milliards de titres pourris la semaine dernière et envisage d’en faire encore plus et de faire de même pour des obligations pourries d’entreprises zombies.
Et là les juristes de Karlsruhe se sont énervés car agir ainsi n’est pas autorisé selon les statuts de la BCE. Quelques jours plus tard la Cour européenne de justice (CEJ) a répliqué dans un communiqué très court estimant que les juristes allemands eux-mêmes outrepassaient leurs droits car les juristes de la CEJ ont seuls le pouvoir de juger si une action de la BCE est contraire ou non à l’esprit des traités fondateurs de l’Union monétaire européenne. On peut se dire qu’après tout il ne s’agit que d’une querelle de juristes et qu’il n’y aura aucune conséquence. Détrompez vous chers lecteurs ! Cet événement d’apparence anodine est d’une gravité extrême alors que l’ensemble de l’Europe entre tête baissée et les yeux fermés dans une crise économique qui pourrait être plus grave que celle de 1929. Je dis tête baissée et les yeux fermés parce que tous les politiciens des pays précités se disent « la BCE va payer, on peut dormir tranquillement, demain sera un autre jour ».
Grave erreur ! L’Allemagne, accompagnée des Pays-Bas et de quelques autres pays, je pense à l’Autriche, la République tchèque, la Slovaquie, la Hongrie et la Pologne et même la Finlande, vont tourner le dos à l’euro et par conséquent à l’Union européenne. Le simple fait que la cour constitutionnelle allemande conteste les décisions de la BCE est LE signe avant-coureur de l’effondrement dans un proche avenir de l’Union européenne. Il y aura dès lors soit un retour aux monnaies nationales soit l’émergence d’un « euro-mark » apprécié par les marchés et d’un « euro-cigale » qui ne vaudra plus rien. Cette dernière hypothèse est fantaisiste et malheur à tous les pays qui n’ont pas su gérer leurs finances depuis la création de l’Union européenne ou ne l’ont pas pu en raison de cette construction bancale qu’était l’euro dès son origine.
Brève. « Déconfinement » et histoire de masques et de fromages
le 10 mai 2020
Ici à Tenerife le déconfinement est prévu pour ce prochain mercredi 13 mai. Nous aurons donc été contraints de rester chez nous pendant 9 semaines ½, ironiquement le titre du fameux film avec Mickey Rourke et Kim Bassinger (1986). Ma vendeuse de fromage français à qui j’ai rendu visite ce matin pour lui acheter un « tonnelet » du beaujolais et une « bûche » me parlait en ayant baissé son masque, je n’avais moi-même ni masque ni gants. Un flic en maraude est venu lui relever les bretelles pour lui dire que ce n’était pas bien. Ici les flics sont plutôt débonnaires et ne verbalisent pas, d’ailleurs les Espagnols n’aiment pas ça car ils ont, les vieux surtout, un mauvais souvenir des heures sombres de la dictature franquiste.
J’en ai profité pour expliquer à cette charmante nîmoise que le port du masque n’est utile que pour les personnes présentant des symptômes grippaux afin de ne pas contaminer d’autres personnes quand ils toussent ou éternuent. Quand on marche dans la rue le port d’un masque est inutile (si on n’est pas grippé) mais par contre dans un métro, un bus ou un tramway, il ne faut pas compter sur le civisme des passagers qui pourraient être grippés, alors autant que tous les passagers soient masqués : c’est à peu près la seule décision intelligente que le gouvernement français ait pris depuis la première alerte de l’OMS, fin janvier si j’ai bonne mémoire, dont il n’a pas tenu compte puisqu’il savait que tout manquait pour faire face à cette épidémie venue de Chine comme le répète inlassablement le Donald.
Et puisque j’ai mentionné la dictature franquiste il me semble que la France s’achemine vers la mise en place d’une sorte de dictature « soft » pour l’instant sous couvert de l’épidémie mais qui pourrait durcir jusqu’à devenir franchement insupportable pour tous les citoyens. Les prochains mois seront très intéressants à vivre …
Suite de la décision de la Cour Suprême allemande :
Jeudi dernier, Mme LAGARDE a rappelé publiquement que la Banque centrale est « ?une institution européenne, responsable devant le Parlement européen et sous la juridiction de la Cour de justice de l'UE? »
Vendredi, la Cour Européenne de Justice a aussi rappelé qu’elle était la « seule compétente » pour juger des actions de la BCE et qu’un jugement avait été rendu sur les faits mis en cause par la Cour Suprême allemande.
« Les juridictions nationales sont obligées de garantir le plein effet du droit de l'Union»
Hier dimanche, Mme. Ursula von der Leyen a publié un communiqué où elle précise que
1 -« le droit européen prévaut sur le droit national » et que 2 - la Commission Européenne pourrait poursuivre l’Allemagne, de ce fait.
Rappelons que Mme. von der Leyen est allemande; deux fois ministre auprès de Mme. Merkel et vue favorablement par cette dernière comme pouvant lui succéder. Ce n’est pas une franc-tireuse incontrôlable.
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De l'autre côté, l'ultimatum de trois mois lancé à la BCE par la Cour Suprême est toujours actif.
Les enjeux sont réels: D'un côté, la porte ouverte à tout pays de s'affranchir du droit européen De l'autre, la mise en évidence pour le peuple allemand de sa perte de souveraineté.
Sortie probable: une explication technique incompréhensible de la BCE et sans valeur contraignante; explication qui sera acceptée par la Cour Suprême dans un communiqué tout aussi incompréhensible.
Les autres alternatives améneraient à une crise structurelle.
Dans tous les cas, l'Allemagne pose ses jalons, pour justifier rétrospectivement d'une sortie de l'Euro.
Et si la situation se tendait, Mme von der Leyen pourra toujours démissionner la tête haute: "J'ai fait mon devoir dans le cadre de mes fonctions, mais c'est désormais contre mes convictions." Elle resterait dans la course pour devenir la prochaine chancelière allemande.
Je suppose que nous sommes tous dans le même état d’esprit, la question tourne en boucle dans notre tête : que va-t-il se passer maintenant ?
Car nous le savons intimement, il va se passer quelque chose… de grave. La suite logique ou illogique de tout ce qui s’est passé… qui est grave.
Je ne suis pas dans votre tête et je n’ai pas la prétention d’y pénétrer, juste l’envie de vous inviter dans la mienne, ce dernier jour de confinement… après se sera chacun pour sa peau, probablement.
Ce qui se passe dans ma tête est résumé dans le titre de ce billet : “quand même…”
A vingt ans je me suis installé à mon compte. Dans l’immobilier. Evidemment, je me suis tout de suite posé la question de la difficulté qu’il y aurait à être intègre moralement tout en rentrant dans le monde des affaires.
Finalement c’était une fausse angoisse.
Il est très facile d’être un homme d’affaires honnête. Il suffit de limiter sa rémunération à un pourcentage de ce que l’on fait gagner à son client. Ainsi nul mécontent, nul appauvrissement.
Je dirais en fait que c’est le principe même du monde des affaires d’être honnête. Les brebis galeuses ne font pas long feu. Sauf, sauf si elle possède un pouvoir de négocier quelque chose sans valeur ajoutée, mais indispensable, tel que par exemple une autorisation administrative.
Je ne suis jamais rentré dans la connivence ou la corruption, pas même à l’occasion d’un repas ou d’un avantage payé par une entreprise, alors que j’étais architecte.
Par ailleurs, peut-être bien pourvu en sens de l’organisation j’ai eu l’occasion de le mettre au service de la collectivité dans des activités bénévoles, où j’ai été vraiment bénévole, qui m’ont même coûté en temps et en argent.
Et enfin j’ai toujours été un bon payeur, payant rubis sur l’ongle factures, charges et impôts.
Au terme de tout cela j’ai donc rencontré, pour mon malheur, une cinglée du fisc – pléonasme –, Madame Jourde, qui au moyen de falsifications a tenté de me déposséder de plusieurs centaines de milliers d’Euro à l’occasion de la succession de ma mère, laquelle était entièrement à ma charge depuis vingt ans quand elle est décédée.
Au bout de vingt ans de résistance, récemment, la justice — à contre cœur — a dû me donner raison, mais sans indemnité.
Jourde, vexée par ma résistance, avait appelé à l’aide d’autres véreux du fisc, en est-il qui ne le sont pas ? C’est ainsi que j’ai vu débarquer Martino, puis Garcia, qui ont monté de toutes pièces des redressements indus qui m’ont ruiné.
Donc, soudain, je suis devenu un paria.
D’abord socialement puisque traité de “fraudeur fiscal”, puis professionnellement lorsque tous mes biens ont été saisis, mes comptes en banque bloqués puis fermés m’obligeant à aller quémander à la Banque de France un compte forcé dans une banque que je n’ai pas choisie – qui s’avère plutôt sympathique – la SMC.
Privé de revenu, je suis devenu un mauvais payeur, un tricheur, pour survivre.
Jusqu’à ce jour j’ai eu la chance de ne pas être envahi par la haine, alors que franchement il y aurait eu de quoi. La merde dans laquelle ils m’ont mis après quarante-cinq ans de droiture de vie l’aurait justifiée.
J’ai ouvert ce blog et, au fil du temps, j’ai pu constater que nous sommes des centaines de milliers dans mon cas.
C’est là que : quand même…
Voyons un peu. Nous avons été pillés par des personnes au-dessus de tout soupçon. Nous savons bien les mensonges ou contorsions auxquelles elles se sont prêtées pour arriver à leur fin. Nous en connaissons la grossièreté, la fausseté, la perversion.
Force est de constater que nul ne nous a écouté, rendu justice ou même simplement compris et réconforté.
Tout cela parce que le pillage était motivé. Il s’agissait de solidarité. De juste répartition des richesses. Une évidence, qui s’imposait à tous.
Entendez par là que les richesses que j’ai créées n’ont aucune raison de m’appartenir, qu’il n’est pas légitime que je les utilise pour aider ma mère lors de sa fin de vie, pour aider mes enfants lors de leur entrée dans la vie, pour assurer ma propre fin de vie, pour me faire aussi un peu plaisir.
Non, je devais mettre mes gains dans le pot commun, intégralement, ne conservant que le strict minimum pour continuer à produire des richesses. Et pour ma mère, l’Etat s’en occuperait, pour mes enfants idem, tout pareil pour ma vieillesse, pour la vie courante à peine plus que le smic devait être suffisant.
Mes angoisses, mes risques, mon énergie, mon travail de 20 heures par jour, sans jour férié ? Si c’est ce que j’ai choisi, c’est que cela me plait, ce plaisir est suffisant, inutile de l’accompagner d’une récompense. A la limite, je dois m’estimer heureux de pouvoir le faire, alors que l’Etat pourrait parfaitement le faire à ma place, d’ailleurs aujourd’hui il le fait. Voir cette vidéo, 1h18 : LE LIEN
Nul ne peut aller contre cette magnifique organisation collective dont se portent garants les fonctionnaires. Ma résistance et mes plaintes pour conserver ma propriété, les fruits de mon travail ou pour tout simplement continuer à travailler, sont obscènes, c’est le syndicat unifié des impôts qui le dit et l’imprime en première page de son journal.
Je suis plaqué au sol avec vous, bâillonné, inaudible, ridicule, ruiné, dans la misère après une vie de travail et de réussite, rien de plus normal, de plus solidaire.
La foule applaudit le pouce vers la terre, elle jubile, elle hurle en cœur : vive la solidarité, la vraie, pas la fausse limitée à sa famille, aux siens. Non l’autre, l’anonyme, que seuls les fonctionnaires sont habilités à répartir — mais limitée uniquement aux autres franchouillards évidemment —
La foule adule les fonctionnaires, tout le monde veut en être. Ne sont-ils pas les hérauts de la répartition, les justiciers de l’égalité ? Leurs privilèges mérités leur confèrent le statut qui va avec la très grande compétence et la très grande sagesse. Ils sont la perfection, et ne se gênent pas pour le dire, voire le faire entrer de force dans nos têtes.
Nous sommes des sous-hommes, des reliquats d’une ère primitive en voie de disparition. Ils sont l’avenir de la France et notre éradication est parfaitement justifiée.
Les bourreaux chargés de nous éliminer le font sans état d’âme, en ce qui me concerne ils s’appellent Brabant et Flory, ils sont intelligents, parfaitement conscients de ce qu’ils font, mais ils le font. Un point c’est tout.
Arrive de CORONAVIRUS
Non seulement les fonctionnaires font la démonstration, visible pour tous, de leur incompétence, mais aussi de leur manque de courage, de leur irresponsabilité.
Passons rapidement sur ce que nous avons tous constaté, leur infinie prétention à gérer seuls le problème avec leur hôpitaux pourtant largement en déshérence, à paralyser par des lois de circonstance la médecine de ville, à mentir comme des arracheurs de dents.
Mais voyons le résultat.
Les morts ? Pas plus que ça… de toute façon il en faut, surtout les vieux…
Les fonctionnaires auront été le plus gros bataillon des confinés. Et pourtant ils vont toucher l’intégralité de leur salaire, pendant ces vacances imprévues mais bienvenues.
Les salariés du privé ne toucheront que 80% de leur salaire, ceux qui le toucheront.
Les indépendants les plus heureux sortent de là avec un crédit sur le cul pour ceux qui vont s’en sortir ou essayer, pour les autres c’est la faillite, la misère.
Une nouvelle race de fonctionnaire est née “les espions de la santé”, organisée en brigades volantes qui vont directement venir espionner chez chacun de nous, préalablement dénoncé par son médecin, qui touchera un petit bakchiche pour la peine.
Les fonctionnaires et leurs employés en communication : les élus, se sont votés une loi dégageant leur responsabilité du bordel qu’ils ont foutu.
Une grande ferveur nationale, un immense chagrin collectif est prévu, accompagné probablement d’un gouvernement d’intérêt national composé exclusivement de fonctionnaires, c’est “la passionata”.
Le crédit ? Quel crédit ? Ah, vous voulez parler sans doute de la fausse monnaie ?
Où est le problème, répondent les fonctionnaires, puisque tout le monde croit qu’elle est vraie ? Cessez de vous faire de la bile. Nous ne sommes pas allés au bout du pillage. Il reste du gras.
Nous allons déplacer tous les indépendants, donner leurs biens à des fonctionnaires ou à des nécessiteux, qui engagés collectivement les géreront mieux et au bénéfice de l’Etat. Ne vous inquiétez pas. C’est gagné.
Vu que les infos publiées sur le net sont fausses ou insignifiantes.... mon conseil pour vous enrichir est...
Charles Dereeper dimanche, 10 mai 2020 13:20
Une vidéo explosive mais confidentielle de 50.000 vues sur la joke corona via l'interview d'un membre du team FAUCI. Je l'ai publié moins de 24h après sa publication... ici
Très rapidement en seulement quelques jours, elle s'est fait repérer et... dépublier de youtube.
Ce qui m'amène à la seule conclusion de bon sens qui puisse être...
Les infos vraiment dérangeantes sont systématiquement effacées de google, youtube et du net. Avec un délai désormais record de seulement quelques jours...
Je le constate depuis 1 an.
Par voie de conséquence, les infos en libre accès sont soit insignifiantes, soit fausses... (je ne parle pas des analyses, mais typiquement des témoignages et des faits)
C'est toute la beauté de la vie sur terre. Le monde ne peut tourner qu'avec du secret. Que ce soit militaire, politique ou économique, seul le secret permet de faire de la marge...
Il reste à inventer une nouvelle manière de vivre collectivement.
C'est quelque part tout le système humain qui déconne à sa racine.
S'occuper des autres devrait être récompensé. Aujourd'hui, nous sommes dans l'inverse où baiser la gueule aux autres payent le plus.
Pour baiser la gueule à un homme, il faut posséder des infos secrètes offrant un avantage compétitif.
Derrière chaque entrepreneur, il y a ce dilemne, le conflit entre honnêteté et malhonnêteté, arnaque de son prochain ou élévation de son prochain.
Chacun fait son choix. Nous savons tous que 80 à 90% des entrepreneurs sont malhonnêtes. Arnaque entre associés. Arnaque des clients. Des fournisseurs. Vol en tout genre. Manipulation. Détournement. Tricheries... (dans mon échelle de valeur perso, seul un vol est noble, celui de ne pas payer les 67% d'impôts réclamés par la France, car c'est une rebellion justifiée contre une arnaque d'Etat).
Au delà de réinventer un nouveau paradigme entre les humains, c'est également tout le système de récompense qui doit être repensé et modifié à sa racine. Evidemment, c'est impossible. Car cela revient à accuser chaque mère actuellement de pondre des humains voleurs menteurs et j'en passe... c'est tabou. On ne peut pas aller voir les femmes en leur expliquant que si elles continuent avec leurs concepts actuels, on aura une énième fois en bout de pistes des adultes comme on les connaît actuellement. Si un mec se dévouait pour réinventer la manière d'éduquer les enfants, je parie qu'il se ferait zigouiller sur le champs...
Quand on me demande quoi faire pour s'enrichir rapidement, je réponds invariablement que si c'est vital, alors perfectionnez vous dans l'arnaque des humains. Ce qui en surprend plus d'un alors que la logique est implacable, même si elle me désole.
Quand on me demande si les entrepreneurs sont vilains, c'est le secret le plus dérangeant que j'ai compris à l'âge de 45 ans... il n'y a pas d'entrepreneurs vilains sans des clients inconsciemment maso réclamant de se faire arnaquer. Le jeu marche en pair obligatoirement. Ce qui veut dire que beaucoup d'offres ne marchent pas commercialement car elles permettent à leurs clients d'obtenir un résultat, de vraiment changer de vie, de vraiment réduire leurs peines et souffrances diverses et variées. Ce qui n'intéresse en réalité qu'une toute petite minorité, la grande majorité des clients cherchant en réalité à échouer et à se faire mal... ce qui est contre intuitif... !
Le chef d'entreprise qui ne veut pas participer à ces échanges basses fréquences est condamné à migrer vers des niches où les transactions entre consommateurs et entreprises sont à peu près normales. C'est le même jeu pour les ménages et les Etats, entre contribuables et percepteurs. Très peu de pays offrent aujourd'hui encore la possiblité de réaliser une transaction saine. C'est toute la réflexion qui est proposée dans la formation MONTER SON BUSINESS SANS SE PLANTER ici http://formation.objectifeco.com/montersonbusiness-sansseplanter/
L'avenir qui se déroule rapidement des tissus intelligents
11 MAI 2020 par David L. Chandler, Massachusetts Institute of Technology
Dans un article d'opinion publié dans la revue Matter, les membres du groupe de recherche Fibres @ MIT ont récemment présenté une vision détaillée de la façon dont le domaine en croissance rapide des fibres et tissus avancés pourrait transformer de nombreux aspects de nos vies. Par exemple, les «vêtements intelligents» peuvent surveiller en continu la température, la fréquence cardiaque et d'autres signes vitaux, puis analyser les données et donner des avertissements sur les problèmes de santé potentiels. Dirigé par le professeur Yoel Fink, le groupe développe des fibres et des tissus aux propriétés de calcul avancées. MIT News a demandé un doctorat. l'étudiant Gabriel Loke, qui était l'auteur principal de l'article, avec Fink et six autres, pour développer les perspectives de l'équipe.
Q: Le document que vous venez de publier décrit une vision pour un ordinateur en tissu. Ces ordinateurs pourraient-ils aider à faire face à une situation pandémique comme celle à laquelle nous sommes confrontés actuellement ?
R: La pandémie actuelle a révélé la nécessité de nouveaux paradigmes pour évaluer la santé de grandes populations en temps réel. Les approches actuelles des tests axés sur les symptômes sont des indicateurs à la traîne et peuvent être assimilées à une conduite uniquement avec votre rétroviseur, en ce qui concerne la propagation du COVID-19. Alors, comment pouvons-nous créer des systèmes prédictifs, prospectifs et capables de fournir des indicateurs avancés ? Et si vous aviez un moyen d'accéder à vos signes vitaux de façon continue ? Des changements subtils et imperceptiblement petits pourraient-ils devenir des signes avant-coureurs des problèmes de santé d'un individu? Et si vous pouviez corréler dans l'espace et dans le temps ces changements pour une grande population, et le faire en temps réel, pour identifier la propagation de la maladie ?
Aucun objet créé par l'homme n'est plus omniprésent ou exposé à des données plus vitales que les vêtements que nous portons tous. Ne serait-il pas formidable que nous puissions apprendre à nos tissus à détecter, stocker, analyser, extraire et communiquer ces informations potentiellement utiles ?
Dans cette pièce, je décris les quatre principes de ce nouvel ordinateur. Premièrement, les capacités d'un seul brin de fibre progresseront rapidement au fil du temps grâce à de nouvelles conceptions de matériaux et à des approches de fabrication de fibres évolutives. La deuxième étape est l'assemblage synergique de ces fibres dans un tissu positionné de manière unique pour capturer, stocker et traiter de grandes quantités de données libérées par notre corps. Le troisième est le développement de tissus artificiellement intelligents, où des algorithmes d'apprentissage automatique spécialement conçus et programmés dans les tissus pourraient découvrir et acquérir de nouvelles perspectives sur les modèles corporels cachés. Quatrièmement, les tissus deviennent des plates-formes sophistiquées pour des services à valeur ajoutée destinés à une large population.
Q: Vous décrivez une «loi de Moore» potentielle, qui décrivait à l'origine un doublement de la capacité de calcul tous les 18 mois, pour le développement de structures de calcul. Pourriez-vous décrire ce que vous entendez par là ?
R: Pour qu'une loi de Moore émerge des fibres, les fibres doivent être constituées de plusieurs matériaux, précisément disposés dans une seule section transversale de fibres pour produire des dispositifs de différentes fonctionnalités, y compris le calcul. Le domaine des fibres multimatériaux est jeune, par rapport à celui de la technologie des couches minces pour les micropuces. Mais ce que nous voyons maintenant dans les articles et la recherche, c'est une forte augmentation du nombre de fonctions qu'une fibre peut présenter.
Par exemple, au cours des dernières années, le procédé de fabrication appelé étirage de fibres thermiques a abouti à une variété de combinaisons de matériaux et de fonctions, notamment la surveillance de la fréquence cardiaque et la communication optique. Avec une loi de Moore pour les fibres, nous imaginons un avenir où les structures de calcul seront constamment mises à jour avec de nouvelles fonctions et capacités, similaires à la façon dont nous mettons constamment à jour les logiciels dans nos ordinateurs.
Q: Vous avez défini une vision et un plan à long terme pour l'avenir des tissus informatiques. Selon vous, quelles sont les étapes les plus importantes à court terme dans cette direction que nous pouvons nous attendre à voir au cours des prochaines années ?
R: Le plus important est de s'assurer que les gens, en particulier les étudiants, réalisent ce qui se passe dans les tissus et à quel point ils deviendront bientôt capables. Dans notre groupe, une foule d'étudiants de différentes disciplines travaillent à la création d'ordinateurs en tissu au moment où nous parlons. Semblable à l'évolution de l'ordinateur personnel, il existe de vastes opportunités pour les nouvelles entreprises et l'innovation dans cet espace. J'anticipe que les fibres entrent dans le domaine numérique et l'introduction de la fibre d'entrée et de sortie. Les ordinateurs modernes sont constitués de millions de portes logiques, donc l'incorporation de circuits et de portes numériques dans une fibre représente la première des nombreuses étapes vers la réalisation de capacités informatiques complètes dans les fibres et les tissus.
Deuxièmement, pour la réalisation d'un ordinateur en tissu, l'étape importante à court terme sera le développement d'architectures en tissu qui permettent aux fibres de communiquer entre elles tout en conservant les qualités conventionnelles des tissus.
Enfin, pour activer les structures dotées de capacités d'intelligence artificielle, la formation de réseaux utiles à des prévisions précises nécessite de grands ensembles de données. Cela nécessite la collecte de grandes quantités de données de notre corps. Il est alors nécessaire que les capteurs en tissus soient aussi homogènes et résistants que possible afin que ces capteurs puissent être portés pendant des durées prolongées. Les travaux sur ces fronts, tels que l'amélioration de la flexibilité, de la lavabilité et des besoins en énergie des capteurs à fibre optique, nous permettront d'avancer dans l'échantillonnage omniprésent des données sur le corps humain.
Les scientifiques créent une nouvelle recette pour les transistors à un seul atome
11 MAI 2020 par l'Institut national des normes et de la technologie
Une fois inimaginables, les transistors constitués uniquement de grappes de plusieurs atomes ou même d'atomes uniques promettent de devenir les éléments constitutifs d'une nouvelle génération d'ordinateurs dotés d'une mémoire et d'une puissance de traitement inégalées. Mais pour réaliser le plein potentiel de ces minuscules transistors - des interrupteurs électriques miniatures - les chercheurs doivent trouver un moyen de faire de nombreuses copies de ces composants notoirement difficiles à fabriquer.
Maintenant, des chercheurs de l'Institut national des normes et de la technologie (NIST) et leurs collègues de l'Université du Maryland ont développé une recette étape par étape pour produire les dispositifs à l'échelle atomique. À l'aide de ces instructions, l'équipe dirigée par le NIST n'est devenue que la deuxième au monde à construire un transistor à un atome et la première à fabriquer une série de transistors à électron unique avec un contrôle à l'échelle atomique de la géométrie des appareils.
Les scientifiques ont démontré qu'ils pouvaient ajuster avec précision la vitesse à laquelle les électrons individuels traversent un espace physique ou une barrière électrique dans leur transistor - même si la physique classique interdirait aux électrons de le faire parce qu'ils manquent d'énergie. Ce phénomène strictement quantique, connu sous le nom de tunneling quantique, ne devient important que lorsque les écarts sont extrêmement minuscules, comme dans les transistors miniatures. Un contrôle précis de la tunnelisation quantique est essentiel car il permet aux transistors de s'entremêler ou de se relier d'une manière uniquement possible grâce à la mécanique quantique et ouvre de nouvelles possibilités pour créer des bits quantiques (qubits) qui pourraient être utilisés dans l'informatique quantique.
Pour fabriquer des transistors à un seul atome et à quelques atomes, l'équipe s'est appuyée sur une technique connue dans laquelle une puce de silicium est recouverte d'une couche d'atomes d'hydrogène, qui se lient facilement au silicium. La pointe fine d'un microscope à effet tunnel a ensuite retiré les atomes d'hydrogène à des sites sélectionnés. L'hydrogène restant a agi comme une barrière de sorte que lorsque l'équipe a dirigé le gaz de phosphine (PH3) à la surface du silicium, les molécules individuelles de PH3 se sont attachées uniquement aux endroits où l'hydrogène avait été retiré (voir l'animation). Les chercheurs ont ensuite chauffé la surface du silicium. La chaleur a éjecté des atomes d'hydrogène du PH3 et a fait que l'atome de phosphore qui a été laissé derrière lui s'incorpore dans la surface. Avec un traitement supplémentaire, les atomes de phosphore liés ont créé la base d'une série de dispositifs à un ou quelques atomes hautement stables qui ont le potentiel de servir de qubits.
Deux des étapes de la méthode mise au point par les équipes du NIST - sceller les atomes de phosphore avec des couches protectrices de silicium et ensuite établir un contact électrique avec les atomes incorporés - semblent avoir été essentielles pour fabriquer de manière fiable de nombreuses copies de dispositifs atomiquement précis, selon le chercheur du NIST, Richard Dit Silver.
Dans le passé, les chercheurs ont généralement appliqué de la chaleur pendant la croissance de toutes les couches de silicium, afin d'éliminer les défauts et de garantir que le silicium a la structure cristalline pure requise pour intégrer les dispositifs à un atome avec les composants électriques à puce de silicium conventionnels. Mais les scientifiques du NIST ont découvert qu'un tel chauffage pouvait déloger les atomes de phosphore liés et potentiellement perturber la structure des appareils à l'échelle atomique. Au lieu de cela, l'équipe a déposé les premières couches de silicium à température ambiante, permettant aux atomes de phosphore de rester en place. Ce n'est que lorsque les couches suivantes ont été déposées que l'équipe a appliqué de la chaleur.
"Nous pensons que notre méthode d'application des couches fournit des dispositifs à l'échelle atomique plus stables et plus précis", a déclaré Silver. Le fait d'avoir un seul atome à sa place peut altérer la conductivité et d'autres propriétés des composants électriques qui comportent des groupes d'atomes uniques ou petits.
L'équipe a également développé une nouvelle technique pour l'étape cruciale consistant à établir un contact électrique avec les atomes enterrés afin qu'ils puissent fonctionner dans le cadre d'un circuit. Les scientifiques du NIST ont chauffé doucement une couche de palladium métallique appliquée à des régions spécifiques de la surface du silicium qui résidaient directement au-dessus des composants sélectionnés du dispositif incorporé au silicium. Le palladium chauffé réagit avec le silicium pour former un alliage électriquement conducteur appelé siliciure de palladium, qui pénètre naturellement à travers le silicium et entre en contact avec les atomes de phosphore.
Dans une édition récente de Advanced Functional Materials, Silver et ses collègues, dont Xiqiao Wang, Jonathan Wyrick, Michael Stewart Jr. et Curt Richter, ont souligné que leur méthode de contact a un taux de réussite de près de 100%. C'est une réalisation clé, a noté Wyrick. "Vous pouvez avoir le meilleur dispositif à transistor à un atome au monde, mais si vous ne pouvez pas le contacter, c'est inutile", a-t-il déclaré.
La fabrication de transistors à un seul atome "est un processus difficile et compliqué auquel tout le monde doit peut-être se mordre, mais nous avons défini les étapes afin que les autres équipes n'aient pas à procéder par essais et erreurs", a déclaré Richter.
Dans des travaux connexes publiés aujourd'hui dans Communications Physics, Silver et ses collègues ont démontré qu'ils pouvaient contrôler avec précision la vitesse à laquelle les électrons individuels tunnelent à travers des barrières tunnel atomiquement précises dans les transistors à un électron. Les chercheurs du NIST et leurs collègues ont fabriqué une série de transistors à électron unique identiques à tous points de vue, à l'exception des différences de taille de l'espace de tunnelisation. Les mesures du flux de courant ont indiqué qu'en augmentant ou en diminuant l'écart entre les composants du transistor de moins d'un nanomètre (milliardième de mètre), l'équipe pouvait contrôler avec précision le flux d'un seul électron à travers le transistor d'une manière prévisible.
"Parce que la tunnelisation quantique est si fondamentale pour tout appareil quantique, y compris la construction de qubits, la capacité de contrôler le flux d'un électron à la fois est une réalisation importante", a déclaré Wyrick. De plus, alors que les ingénieurs emballent de plus en plus de circuits sur une petite puce informatique et que l'écart entre les composants continue de se réduire, la compréhension et le contrôle des effets du tunneling quantique deviendront encore plus critiques, a déclaré Richter.
Quarantaine à venir dans trois semaines: le Royaume-Uni conseille effectivement aux personnes infectées à l'étranger de se précipiter au Royaume-Uni maintenant
May 11th, 2020
C’est presque comme si le marais du Royaume-Uni voulait maintenir les infections le plus longtemps possible.
Le gouvernement britannique a marqué la chaleur du sabotage inutile de leur propre verrouillage en survolant le virus à travers des frontières ouvertes. Donc, en réponse, au lieu de faire une quarantaine appropriée immédiate, comme la plupart des pays dans le monde, le Royaume-Uni donne à tout le monde infecté et aux moyens de voyager trois bonnes semaines pour planifier son voyage afin d'éviter la quarantaine de deux semaines.
S'ils dépassent l'échéance facile, ils peuvent rester à la maison pendant sept jours à la place et «seulement» sortir pour infecter les gens dans les pharmacies, les magasins et partout où ils le jugent essentiel, y compris leur lieu de travail, pendant cette semaine.
Boris a besoin de nouveaux conseillers.
Le Royaume-Uni «prévoit une quarantaine de 14 jours» pour les passagers aériens
Tom Burridge, BBC
Les compagnies aériennes britanniques disent avoir été informées que le gouvernement imposera une quarantaine de 14 jours à toute personne arrivant au Royaume-Uni en provenance de n'importe quel pays en dehors de la République d'Irlande en réponse à la pandémie de coronavirus.
La nouvelle restriction devrait entrer en vigueur à la fin de ce mois.
L'organisme de l'industrie, Airlines UK, a déclaré que la politique avait besoin d'un «plan de sortie crédible» et devrait être revue chaque semaine.
Les personnes arrivant au Royaume-Uni devraient s'isoler dans une résidence privée.
Des sources gouvernementales et aéronautiques ont déclaré à BBC News que la mise en quarantaine signifierait que les personnes devraient fournir une adresse à leur arrivée à la frontière.
La quarantaine 14 n'est toujours pas une quarantaine, sauf en cas d'isolement forcé. Les Australiens qui rentrent chez eux doivent rester dans des hôtels et sont nourris et gardés.
À Victoria, lorsque les gens ont été autorisés à «s'isoler» - même en sachant qu'il y aurait des contrôles et des suivis, 20% des personnes isolées ont bafoué les règles et ont été prises en train de sortir.
La police de Victoria inflige une amende de 142 personnes en une journée pour avoir enfreint la quarantaine des coronavirus Josh Hanrahan, Daily Mail
Jusqu'à présent ce week-end, plus de 140 personnes ont été condamnées à une amende à Victoria pour avoir enfreint les lois sur l'auto-isolement ou l'éloignement social.
Sur les 751 contrôles ponctuels effectués dans les domiciles et les entreprises par la police, près d'un sur cinq a enfreint les lois récemment mises en œuvre.
Lorsque l'Italie a pris au sérieux un verrouillage, elle n'a donné aux gens qu'un préavis de plusieurs heures et les masses ont entassé des trains qui tentaient de «battre» (ce qui signifie «ruiner») la quarantaine. Nous sommes tous humains, et étant donné le coût de rester coincé loin de chez eux, leur réaction est très compréhensible. Mais si le gouvernement britannique voulait sérieusement ralentir la charge de travail, il déclencherait immédiatement une quarantaine forcée de deux semaines.
Il doit y avoir des milliers de chambres d'amis dans les hôtels en ce moment qui aimeraient l'entreprise, et le coût de son paiement n'est rien comparé à la détention de la nation dans une autre semaine sabotée de verrouillage.
Infos intéressantes sur Coronavirus:
Les quarantaines fonctionnent: 12 jours après les blocages, les quarantaines et l'isolement, le coronavirus ralentit. C'est la microbiologie des manuels scolaires. De nombreux pays recherchent un coronavirus nul dans le monde entier Le virus de l'AVC ? Covid provoque des centaines de micro-caillots dans les poumons (et partout ailleurs) Le coronavirus provoque la coagulation: tenir les ventilateurs, arrêter les caillots sanguins à la place Le coronavirus peut affecter le cerveau et augmenter le risque d'AVC. Résolvez d'abord la carence en vitamine D pour aider à vaincre le coronavirus. New York est «comme un événement de masse»: les coronavirus et autres décès ont triplé Le coronavirus peut être créé par l'homme. Pourquoi le PCC a-t-il détruit les preuves? Il semble que nous puissions mettre à zéro le suivi de Coronavirus: Australie et NZ. Les tests aléatoires sur les grands coronavirus en Autriche n'ont révélé que 1% d'infection Lire Crush the Curve - sauver l'économie
Entretien avec Lucien Cerise : "Face au biopouvoir, nous n’avons pas le capital économique. Mais nous avons le capital humain"
samedi 9 mai 2020
Dans un récent entretien avec Vice, le dénonciateur de la NSA, Edward Snowden, a exprimé ses inquiétudes concernant le programme de surveillance à venir, l’appelant « l’architecture de l’oppression ». Nous avons demandé à Lucien Cerise son analyse du nouveau contrôle social à venir.
Rébellion : L’état d’urgence sanitaire est-il pour vous un bon moyen pour les gouvernements mondiaux de poursuivre la réduction de nos libertés collectives et individuelles ? Pour vous, le confinement est-il un instrument d’ingénierie sociale ?
Lucien cerise : Cet état d’urgence sanitaire est le prétexte idéal pour tenter de fabriquer le consentement des populations à une transformation du lien social sur une base transhumaniste, c’est-à-dire fondée sur un encadrement scientifique général, présentant un fort caractère carcéral et concentrationnaire, et allant dans le sens de l’artificialisation et de la réification du vivant, sa chosification, sa réduction à un objet. On peut reprendre à Michel Foucault et Giorgio Agamben la notion de biopouvoir pour décrire un pouvoir politique qui étudie la biologie, la médecine et les sciences de la vie autant que le droit ou l’économie. Le biopouvoir, qui n’est qu’une mise à jour de la notion d’eugénisme, se caractérise donc par une intrusion toujours croissante dans l’intimité physique des gens pour la modifier et surtout la contrôler.
En effet, ce qui dérange le biopouvoir, c’est la prolifération de la vie et de l’organique, impossible à contrôler totalement. Le transhumanisme est une tentative d’enfermement de l’organique dans une forme prétendument augmentée, mais surtout aseptisée, standardisée et sous contrôle, tentative de meurtre du vivant et de son aspect toujours imprévisible et débordant. Les gens normaux se refusent donc naturellement au transhumanisme. Pour parvenir à les emprisonner là-dedans malgré tout, il faut les séduire ou leur faire peur, afin de les soumettre volontairement par des manœuvres d’ingénierie sociale du type « pompier pyromane » et triangle de Karpman, consistant à exploiter les projections psycho-émotionnelles de la trilogie bourreau/victime/sauveur.
Cela commence par le déclenchement d’une crise, suivi d’une opération d’hameçonnage (phishing), c’est-à-dire un piratage de l’esprit par usurpation d’identité et abus de confiance, où le responsable de la crise, en position de « bourreau », se présente comme le « sauveur » qui va protéger les « victimes » de la crise. Quand le piratage est accompli, que le bourreau a gagné la confiance de la population victime et qu’elle s’ouvre à lui en abaissant ses défenses parce qu’elle le perçoit comme un sauveur, alors le pirate-bourreau peut passer à la deuxième phase sans rencontrer de résistance, c’est-à-dire la réécriture de l’architecture sociale selon un nouveau plan présenté comme une solution de sortie de crise.
Cette restructuration du lien social consiste à prendre le contrôle des relations que les gens entretiennent librement pour les recomposer à leur place. Comment ? Cela se fait toujours en jouant sur les relations de confiance et de méfiance, afin de prendre le contrôle des relations de proximité et de distance. Avec cette crise du coronavirus, la relation à autrui et au monde est réécrite pour être fondée sur la méfiance et la paranoïa, selon une sorte de conflit triangulé généralisé, où chacun est potentiellement bourreau de chacun. Je dois apprendre à me méfier d’autrui et de la nature, avec le maintien d’une distance entre moi, autrui et le monde, et cette distance m’est dictée par le biopouvoir auquel, en revanche, je suis tenu d’accorder une confiance aveugle, au risque d’être accusé de « conspirationnisme » et d’encourir des représailles judiciaires. En résumé : pour le biopouvoir, cette crise du Covid-19 doit couper l’Histoire en deux et faire entrer l’humanité dans une nouvelle ère où l’auto-organisation du vivant sera progressivement abolie pour être entièrement subordonnée et rationalisée par un pouvoir scientifique eugéniste.
La surveillance numérique de masse passe par les fameuses applications d’Apple ou de Google de contrôle sanitaire. Comment les États et les grandes multinationales de la Silicon Valley se partagent les informations et les rôles dans cette opération ?
Les États et les grandes multinationales sont toujours en fait dirigés directement ou indirectement par ce que l’on appelle le complexe militaro-industriel, qui n’est pas exclusivement américain, chaque pays possède le sien, mais celui des USA est le plus agressif. L’avant-garde de la recherche scientifique est toujours sponsorisée, surveillée et récupérée en premier lieu par les unités de « recherche et développement » militaires. Au niveau géopolitique international, tout est militarisé (weaponized, comme disent les anglophones), tout est rapport de forces, tout est volonté de puissance et relations dominant/dominé. Les applications de géolocalisation et de surveillance numérique de masse sont des outils de contrôle social, c’est-à-dire en fait de militarisation des comportements.
Nous sommes dans une guerre hybride mondiale. Par exemple, la Chine, qui est sous attaque permanente des USA et des réseaux de George Soros, a besoin de militariser et discipliner sa population par un encadrement informatique global. Afin de conserver sa souveraineté numérique et le contrôle de sa population, la Chine doit aussi prévenir et limiter les risques de piratages informatiques de l’étranger, d’où la campagne lancée par Pékin pour débarrasser totalement son parc informatique des systèmes d’exploitation étrangers, dont le plus connu est Windows de Microsoft, et développer de nouveaux systèmes d’exploitation et outils informatiques de conception chinoise et fabriqués en Chine, et qui seront dépourvus des backdoors et autres logiciels espions de la NSA.
À terme, la Chine va donc devenir un trou noir pour les services de renseignement anglophones, les Five Eyes de l’accord UKUSA et du système Echelon, et leurs associés israéliens et autres. Dans quelques années, il sera pratiquement impossible de pirater, espionner et attaquer le parc informatique chinois, qui sera beaucoup mieux sécurisé qu’aujourd’hui. Cet exemple chinois aura une forte capacité d’entraînement à l’international et fera des émules par effet domino en Asie et partout dans le monde. On comprend que cette émancipation chinoise de l’hégémonie numérique occidentale provoque un vent de panique de la Silicon Valley à Washington en passant par Tel-Aviv : c’est la fin du projet néoconservateur de domination mondiale. Ce qui ne veut pas dire que le gouvernement chinois va instaurer le paradis sur Terre, mais qu’il pourra certainement relâcher la surveillance de sa population quand les risques de déstabilisation de la Chine par des attaques extérieures et intérieures de cinquièmes colonnes pro-occidentales auront été jugulés.
Les Français auront-ils le choix de refuser le traçage numérique ?
Pour le biopouvoir, il n’est pas prévu que nous ayons le choix. Comme beaucoup de gens, je vois les pièces du puzzle s’assembler depuis un certain temps, mais c’est l’affaire de Tarnac en 2008 qui a joué pour moi un rôle de catalyseur et m’a poussé à rédiger un texte que j’ai publié sous anonymat, « Gouverner par le chaos – Ingénierie sociale et mondialisation ».
J’exposais dans cet opuscule comment certaines forces politiques et économiques cherchaient à implémenter une dictature numérique au moyen d’une stratégie du choc qui pouvait être une épidémie, et je citais à l’appui de cette prospective un texte manifeste de 2004, le Livre bleu, rédigé par le lobby du numérique en France, le GIXEL (devenu ACSIEL en 2013), dans lequel étaient exposés certains stratagèmes pour faire accepter dans l’opinion publique le développement de l’identité numérique [1].
Dans le cadre de sa fondation ID-2020, Bill Gates élabore aussi un système d’identification numérique pour le monde entier et cherche à le vendre ainsi : à cause du coronavirus, il faut vacciner toute la planète, et nous devons tous recevoir un certificat numérique de vaccination. Plusieurs technologies de certificat numérique plus ou moins invasives sont à l’étude : dans votre smartphone ; dans un bracelet électronique ; sur la peau sous forme de tatouage à points quantiques ; sous la peau sous forme de puces électroniques. Si finalement nous pouvons avoir le choix et échapper à ce sort, c’est parce que nous aurons remporté le rapport de forces pour dire « Non ! » Tout est axé autour de la formule confinement/distanciation sociale/vaccination/surveillance électronique, dont il faut attaquer chaque point.
Que nous réserve la suite des événements, selon vous ?
En fait, il faut se poser la question : comment vais-je peser sur la suite des événements ? Il faut sortir du rôle de spectateur ou d’analyste des événements, il faut créer les événements. Le biopouvoir mondialiste a de gros moyens financiers pour créer des événements au niveau international, impacter le réel et écrire l’Histoire. Il possède des millions, donc, en face, nous devons être des millions.
Nous n’avons pas le capital économique, mais nous avons le capital humain. Pour créer l’événement, impacter le réel et écrire l’Histoire contre le biopouvoir, pour faire dérailler son programme, il faut se poser deux questions concrètes : comment gagner la bataille de l’opinion publique et comment organiser les masses politiquement ?
La bataille de l’opinion publique se gagne en se formant aux méthodes de communication stratégique et d’ingénierie sociale, rhétorique et retournement de l’opinion (spin), dans le réel ou sur les réseaux sociaux, du moins tant que c’est possible, car la prochaine crise devrait être cyber et toucher Internet, comme l’a annoncé Alain Bauer [2]. Cette grande crise cybernétique et numérique, d’ampleur géopolitique et déclenchée par un virus informatique qui provoquerait le « bug du siècle », permettra au pouvoir de couper Internet au moins partiellement, et surtout de mettre fin à la réinformation indépendante avec un bon prétexte. C’est le programme du Grand Confinement, par l’addition du confinement physique et du confinement mental – cognitif et informationnel.
Le but ultime est d’abolir toute auto-organisation du peuple, donc toute autonomie dans l’organisation horizontale de la société. Pour cela, il faut d’abord couper les gens physiquement les uns des autres dans le réel, par le confinement physique, la distanciation sociale, le télétravail, et tenter de pérenniser ce nouvel ordre social en annonçant que « plus rien ne sera comme avant », comme on nous le martèle depuis des semaines. Puis, dans un deuxième temps, au prétexte d’une crise numérique globale, le pouvoir coupera les gens les uns des autres dans le virtuel aussi, avec un Internet en mode dégradé, limité au télétravail et à quelques messageries et portails inoffensifs, usages qui seront malgré tout conservés, ce qui sera présenté comme une victoire. Il faut essayer d’imaginer l’enfer que serait un confinement physique sans Internet, c’est-à-dire sans aucun accès à la réinformation, sans aucune possibilité de comprendre ce qu’il se passe car nous serions enfermés physiquement à domicile, ou dans un périmètre limité, et enfermés mentalement dans la narration exclusive du pouvoir, dans une seule version des événements. Dans d’autres publications, j’ai baptisé cette fabrique de l’aliénation mentale « reality-building », car elle repose sur le principe de l’hypnose : la parole de l’hypnotiseur devient la réalité de l’hypnotisé [3].
Comment cela est-il possible ? Parce que l’hypnotisé, qui n’est pas forcément endormi, n’a pas d’autre source d’information que la parole de l’hypnotiseur. Avant d’en arriver là, avant qu’il ne soit trop tard, il y a urgence à gagner le combat politique, ce qui signifie prendre le pouvoir, et ne pas se contenter des contre-pouvoirs, dans la rue ou sur Internet, qui risquent fort de devenir impraticables de toute façon. Prendre le pouvoir signifie être en capacité de se faire obéir par les forces de l’ordre. L’activité métapolitique n’est donc pas suffisante, il faut investir aussi le champ politique du pouvoir légal. Les forces de l’ordre, qui ont une capacité de contrainte sur votre corps et votre esprit, n’obéissent pas à la métapolitique mais au gouvernement et à ses représentants locaux, c’est-à-dire à l’État. Il faut donc reprendre le contrôle de l’État si nous voulons sortir de l’impuissance à laquelle la métapolitique nous limite. Ceci suppose d’organiser les masses de manière structurée dans une perspective de conquête du pouvoir, ce qui suppose à son tour, et inévitablement, de jouer le jeu quelque peu ingrat de la politique politicienne et des organisations politiques de masse.
Le 'Capital humain' est ciblé grâce à cet emprisonnement de 8 semaines. Ce Capital a une IP et, cela permet d'étudier au mieux la réaction de tous au sein même d'une famille confinée. D'où les réactions téléphoniques et faites par l'Internet (rassurez vous la NSA est là !). Ce Centre informatique américain écoute tout et lit tous les messages. Donc, l'on connait mieux les idées de chaque foyer que la dispersion dans la foule à n'importe quelle heure.
Une étude révèle que le taux de mortalité de la COVID-19 aux États-Unis est de 1,3 %.
8 MAI 2020
(HealthDay)- Parmi les cas détectés de COVID-19 aux États-Unis, 1,3 % des patients mourront de la maladie, selon un nouveau calcul. Mais ce taux pourrait augmenter si les précautions actuelles et les capacités de soins de santé changent, a déclaré l'auteur de l'étude.
Le calcul du taux de 1,3 % est basé sur le nombre cumulé de décès et de cas détectés dans l'ensemble des États-Unis, mais il ne tient pas compte des cas non détectés, où une personne est infectée mais ne présente que peu ou pas de symptômes, selon le chercheur Anirban Basu.
Si ces cas étaient ajoutés à l'équation, le taux de mortalité global pourrait se rapprocher de 1 %, a déclaré M. Basu. Il dirige le département de pharmacie de l'Université de Washington à Seattle.
Basu a souligné que les estimations actuelles s'appliquent "dans l'hypothèse où l'offre actuelle [au 20 avril] de services de soins de santé, y compris les lits d'hôpitaux, les ventilateurs et l'accès aux prestataires de soins de santé, se poursuivrait à l'avenir". La diminution de la disponibilité des services de soins de santé pourrait augmenter les taux de mortalité par COVID-19.
Plus important encore, la distanciation sociale et d'autres mesures préventives contribueront à maintenir le taux de mortalité COVID-19 aux États-Unis à un niveau bas, a déclaré M. Basu. En conséquence, les récentes projections du groupe de travail COVID-19 de la Maison Blanche, qui prévoient entre 100 000 et 200 000 décès cette année du fait de COVID-19, sont faites avec des hypothèses sur l'efficacité des mesures actuellement en place, a-t-il dit.
De nombreux États ont déjà pris des mesures pour assouplir les règles relatives aux "abris en place", avec la réouverture d'entreprises, de plages et de parcs.
Le taux de mortalité COVID-19 estimé à 1,3 % est encore beaucoup plus élevé que le taux de mortalité américain pour la grippe saisonnière pour 2018-2019, qui n'était que de 0,1 % des cas, selon les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies.
D'autre part, la nouvelle estimation est beaucoup plus basse que les calculs précédents du taux de mortalité. Par exemple, le taux de mortalité en Chine pour le COVID-19 était initialement de 5,6 %, et est tombé à 3,8 % le 20 février. Mais cela pourrait être dû au calendrier : Comme en Chine, les taux américains étaient beaucoup plus élevés au début de la pandémie, a noté M. Basu.
Les conclusions de la nouvelle étude sont basées sur 40 835 cas confirmés de COVID-19 et 1 620 décès confirmés dans 116 comtés de 33 États jusqu'au 20 avril. Les taux de mortalité varient considérablement d'un endroit à l'autre, certains comtés enregistrant un taux de mortalité de seulement 0,5 %, tandis que d'autres vont jusqu'à 3,6 %. Selon M. Basu, la détermination du taux de mortalité lié à la COVID-19 est cruciale dans la lutte contre la pandémie de coronavirus.
"Lorsqu'ils sont utilisés avec d'autres approches d'estimation, notre modèle et nos estimations peuvent aider les modélisateurs de la maladie et des politiques à obtenir des prévisions plus précises pour l'épidémiologie de la maladie et l'impact des leviers politiques alternatifs pour contenir cette pandémie", a-t-il écrit dans le rapport publié en ligne le 7 mai dans Health Affairs.
"Le CDC fait état d'une variation significative des taux de mortalité par groupes d'âge. Des travaux supplémentaires sont nécessaires sur ce front", a ajouté M. Basu dans un communiqué de presse de la revue.
L'estimation du taux de mortalité de la COVID-19 aux États-Unis n'est "pas en dehors de la fourchette" des taux estimés disponibles dans d'autres pays, mais elle est inférieure, a-t-il conclu. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
L'OMS prévient que 500 000 Africains risquent de mourir alors que l'approvisionnement en antiviraux diminue à cause du coronavirus : Mise à jour en direct
par Tyler Durden lun, 05/11/2020 - 10:17
Résumé :
Selon l'OMS, 500 000 personnes pourraient mourir du sida en raison des perturbations dans la distribution des antiviraux La dernière vague de Corée du Sud passe à plus de 80 élèves ; la réouverture des écoles est retardée Wuhan fait état des premiers nouveaux cas depuis la réouverture L'Allemagne franchit un nouveau "dos d'âne" à l'occasion de la réouverture L'Iran connaît une recrudescence des infections et impose à nouveau le confinement dans un point chaud Réouverture de Disneyland Shanghai Le Royaume-Uni passe officiellement de la formule "Stay at Home" à la formule "Stay Alert". La Russie enregistre un nouveau record Tokyo est accusé d'avoir exclu 100 cas du compte officiel L'Espagne voit le nombre de nouveaux cas chuter à son niveau le plus bas depuis deux mois Des dizaines d'États américains prennent des mesures plus draconiennes en vue de la réouverture
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Mise à jour (1010ET) : L'OMS vient d'annoncer qu'elle s'attend désormais à ce que les "interruptions" de la distribution des antiviraux entraînent la mort de 500 000 Africains à cause du VIH. Il s'agit du dernier exemple en date de la manière dont l'interruption des soins médicaux soi-disant "non urgents" due au virus pourrait entraîner une augmentation globale du nombre de décès.
LES PERTURBATIONS DE LA DISTRIBUTION DES ANTIVIRAUX LIÉES AU COVID-19 POURRAIENT TUER 500 000 PERSONNES : QUI LA PÉNURIE POURRAIT CAUSER 500 000 DÉCÈS SUPPLÉMENTAIRES DUS AU VIH EN AFRIQUE : QUI
Bien entendu, la Fondation Gates est l'une des plus grandes organisations caritatives qui s'occupent de l'accès aux médicaments contre le sida en Afrique. Nous ne serions pas surpris de voir l'OMS, la Chine - et n'oubliez pas la presse américaine dominante - essayer de rejeter la responsabilité de ces décès sur le président Trump.
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Hier soir, nous avons rapporté que les autorités sanitaires nationales de Pékin avaient confirmé le premier cas de coronavirus à Wuhan lundi matin depuis le 3 avril, ce qui signifie que c'est le premier cas découvert dans la ville depuis le début de la réouverture.
Et tout comme pour les cafards, lorsque nous trouvons un cas de virus, il est raisonnable de penser qu'il y en a d'autres.
Tout cela n'a peut-être rien à voir - souvenez-vous, c'est de la Chine qu'il s'agit ici : Les fonctionnaires ont suivi assidûment les protocoles de propagande du PCC, même si les quelques reporters étrangers restés dans le pays parviennent encore souvent à faire connaître à la presse internationale les incidents de récurrence du virus.
Comme l'a rapporté le Nikkei Asian Review lundi matin, heure de Tokyo, en citant les autorités chinoises, une ville du nord-est de la Chine a été reclassée comme "à haut risque", le niveau le plus grave dans un nouveau système de zonage à trois niveaux adopté par le gouvernement chinois. Ce niveau devrait imposer un retour à des conditions de verrouillage, plus ou moins. Les autorités municipales de Jilin ont fait passer le niveau de risque de la ville de Shulan de "moyen" à "élevé", après l'avoir fait passer de "faible" à "moyen" un jour plus tôt lorsqu'une femme locale a été testée positive. Depuis, 11 nouveaux cas ont été détectés à Shulan depuis samedi, tous étant des parents ou des contacts proches de la femme qui a été infectée à l'origine.
Le rédacteur en chef du Global Times, Hu Xijin, s'est vanté sur Twitter lundi que "tous les Chinois" avaient été informés de ces derniers développements.
Voici d'autres extraits du rapport Nikkei :
Shulan a renforcé les mesures de contrôle des virus, notamment en fermant les complexes résidentiels, en interdisant les transports non essentiels et en fermant les écoles, a déclaré le gouvernement Jilin.
Les nouveaux cas ont fait passer le nombre total de nouveaux cas confirmés en Chine continentale du 9 au 14 mai, selon la Commission nationale de la santé, dimanche, le nombre le plus élevé depuis le 28 avril.
Parmi eux se trouvait le premier cas depuis plus d'un mois dans la ville de Wuhan, dans la province centrale du Hubei, où l'épidémie a été détectée pour la première fois à la fin de l'année dernière. La Corée du Nord n'a pas confirmé la moindre infection, bien qu'il soit largement soupçonné que le virus ait profondément pénétré la société nord-coréenne.
Puis, lundi, les responsables de la ville de Wuhan ont déclaré que cinq nouveaux cas avaient été confirmés dans la ville, qui ont tous été infectés à l'intérieur du pays, selon les responsables.
Entre-temps, comme nous l'avons déjà signalé, Disneyland Shanghai a rouvert lundi en grande pompe, même si le parc n'a pu être rempli qu'à 20 % de sa capacité, un niveau auquel il pourrait être impossible d'exploiter le parc de manière rentable.
Par ailleurs, un groupe de nouveaux cas découverts dans un quartier nocturne de Séoul qui a incité la ville à fermer des bars et des commerces nocturnes a atteint 86 cas, ce qui en fait un événement "super-diffuseur". Ces infections auraient commencé avec un seul client de club infecté. Jung Eun-kyeong, responsable du CDC coréen, a déclaré que le nombre total de cas liés aux boîtes de nuit de l'Itaewon à Séoul est passé à 86 à partir de lundi midi, après que le premier cas ait été confirmé le 6 mai. Parmi ces 86 cas, 63 ont visité les clubs et 23 sont des membres de la famille et des collègues de travail de personnes infectées. 51 cas ont été signalés à Séoul, 21 à Gyeonggi, 7 à Incheon, 5 à North Chungcheong, 1 à Busan et 1 à Jeju. Les cas concernaient 78 hommes et 8 femmes. Les responsables ont notamment déclaré qu'ils s'attendaient à d'autres cas liés aux clubs cette semaine, étant donné la période d'incubation parfois longue du virus.
Le président sud-coréen Moon Jae-in a déclaré dimanche que l'épidémie "n'est pas terminée tant qu'elle n'est pas terminée".
En réponse à cette dernière, la Corée du Sud a choisi de retarder la réouverture des écoles, qu'elle avait prévu de faire cette semaine, en raison de la grappe d'Itaewon.
Heureusement, ont-ils ajouté, cette dernière épidémie n'est pas comparable à celle de l'église Shincheonji de Daegu, qui a contribué à déclencher l'épidémie de SK.
Ailleurs, le gouvernement métropolitain de Tokyo a confirmé 22 nouveaux cas dimanche, soit le nombre le plus bas de la ville en une seule journée depuis le 30 mars. Cependant, l'organisation médiatique japonaise Yomiuri aurait trouvé 100 cas à Tokyo qui auraient été omis du total.
Le Japon a également été accusé de relâcher sa réaction aux coronavirus, bien que sa résurgence ait évité la gravité de celle de Singapour, qui est passée de moins de 2 000 cas début avril à plus de 23 000 cas confirmés dès lundi matin aux États-Unis.
En conséquence, Singapour accélère la recherche des contacts, les restrictions de mouvement et même le déploiement de chiens robots pour encourager la distanciation sociale alors qu'elle tente de contrôler son épidémie. Pendant ce temps, Hong Kong a passé 21 jours sans aucun cas de transmission locale, ce qui a suscité des rumeurs selon lesquelles le territoire autonome de Chine serait déclaré "exempt de virus".
En Europe, la Suisse est devenue le premier pays d'Europe occidentale à rouvrir des restaurants, des cafés, des magasins et des musées dans tout le pays, car elle assouplit toutes ses restrictions de confinement, sauf les plus strictes. Les autorités sanitaires suisses n'ont signalé que 39 nouvelles infections par des coronavirus lundi, ce qui porte le total du pays à 30 344. Jusqu'à présent, 1 543 patients sont décédés en Suisse.
L'Autriche suivra dans le courant de la semaine et les restaurants et cafés seront autorisés à rouvrir à partir de vendredi.
En Espagne, le nombre de décès quotidiens dus à des coronavirus a atteint lundi son niveau le plus bas depuis deux mois, le pays ayant assoupli une grande partie des restrictions de confinement dans environ 51 % du pays (à l'exclusion de plusieurs de ses grandes villes, dont Madrid).
Le ministère de la santé a déclaré lundi que 123 personnes étaient décédées la veille, le plus faible nombre de décès depuis le 18 mars, soit à peine trois jours après l'imposition de la quarantaine. Les données d'un institut de santé espagnol ont montré que la "surmortalité" dans le pays a diminué, éliminant la marge entre la moyenne historique des décès et les décès signalés chaque semaine en Espagne.
En Grande-Bretagne, les Britanniques commencent à vivre dans les nouvelles conditions de confinement dévoilées par le Premier ministre Boris Johnson hier soir. L'Ecosse et le Pays de Galles ont insisté pour conserver le slogan "Stay At Home" (restez chez vous) - au lieu de le changer - en raison de ce qui semble être un désaccord mineur sur la sémantique, bien que les dirigeants des deux républiques constitutives du Royaume-Uni aient affirmé que les nouvelles orientations mettent des vies en danger.
Pourtant, alors que des dizaines d'États américains commencent à prendre des mesures plus draconiennes pour rouvrir leurs économies cette semaine, certaines des réouvertures les plus suivies rencontrent des obstacles. Comme nous l'avons signalé hier, le nombre de cas d'infection en Allemagne est passé à environ 1,1, dépassant le seuil de "1" - ce qui signifie que le nombre de patients infectés augmente au lieu de diminuer -, seuil auquel le gouvernement allemand a déclaré qu'il arrêterait, voire inverserait, la réouverture de son économie.
L'Iran a fait état de 45 nouveaux décès lundi, ce qui porte le nombre total de victimes à 6 685. Le nombre total d'infections a atteint 109 286, avec 1 683 nouveaux cas signalés dans la nuit, contre 1 383 la veille. Ce pic survient alors que les autorités ont imposé à nouveau le confinement de larges pans de la province du Khuzestan, au sud du pays, la semaine dernière. Le taux d'infection reste également alarmant dans la capitale de Téhéran.
Enfin, en Russie, les autorités ont fait état d'une nouvelle hausse record des nouvelles infections, tandis que le nombre de décès dans tout le pays a dépassé les 2 000 lundi, ce qui souligne l'aggravation de l'épidémie en Russie et la réalité que le gouvernement de Moscou semble pour la plupart impuissant à enrayer la propagation.
Ces derniers chiffres ont fait passer la Russie devant l'Italie en tant que pays ayant la troisième plus grande épidémie au monde (à l'exclusion de la Chine, bien sûr).
Après avoir confirmé 11 656 cas supplémentaires lundi, le nombre total de cas en Russie a dépassé les 220 000, tandis que 94 personnes sont mortes, portant le bilan à 2 009 morts.
La Russie a maintenant le deuxième taux de nouvelles infections le plus rapide au monde après les États-Unis, selon le Moscow Times.
Lundi. Le président Vladimir Poutine doit rencontrer de hauts fonctionnaires pour discuter d'une nouvelle prolongation du verrouillage national de la Russie, qui doit prendre fin mardi, alors que de nombreux fonctionnaires russes ont chuchoté que l'économie pourrait ne pas rouvrir avant fin juin.
La réduction de moitié des pièces de monnaie est là. Êtes-vous prêt ?
par Tyler Durden lun, 05/11/2020 - 09:35
Après un compte à rebours de quatre ans et des mois de spéculation, la réduction de moitié des bitcoins est sur le point de se produire...
- voir graphique sur site -
Comme le précise Tim Copeland de Decrypt.co, à 19 heures UTC (15 heures ET) aujourd'hui, la nouvelle offre de Bitcoin va chuter de 50%, ce qui signifie qu'il y a peu de satoshis créés chaque jour.
Comment le récit de l'or numérique tiendra-t-il après la réduction de moitié des bitcoins ?
Il y a beaucoup de pression sur la réduction de moitié de cette année. Les partisans du bitcoin ont fait circuler deux récits autour de cette question : L'événement entraînera un boom des prix, ou bien Bitcoin ressemblera davantage à l'or dans sa rareté et sa stabilité. Nous examinons ci-dessous les idées qui sous-tendent ces deux scénarios et ce qui se passera si aucun des deux ne se réalise.
L'heure de la course au taureau de Bitcoin
Après la réduction de moitié, de nombreux bitcoiners espèrent voir le prix du bitcoin repartir à la hausse, atteindre de nouveaux sommets et des objectifs ambitieux comme 288 000 dollars d'ici 2024, 250 000 dollars cette année ou même un million de dollars dans un avenir proche. Mais sur quoi ces prévisions sont-elles fondées et sont-elles probables ?
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Il s'agit en partie d'examiner des données historiques. Lorsque vous examinez les deux dernières réductions de moitié, elles ont toutes deux précédé des encierros. Prenez 2016, un an plus tard, Bitcoin a atteint 20 000 dollars et a attiré une couverture médiatique mondiale.
L'autre partie est le ratio stocks-flux. Il s'agit de la différence entre la quantité de bitcoin produite et la quantité en circulation. Si la demande reste stable et que la nouvelle offre de pièces diminue, cela devrait en théorie exercer une pression à la hausse sur le prix.
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h/t @ 100 trillions de dollars US
Mais il y a des défis à relever. Certains signes indiquent que cette dernière activité - le prix de Bitcoin a rebondi de 4 500 à 10 000 dollars, avant de revenir à 8 600 dollars - n'est pas portée par un nouvel intérêt des acheteurs au détail. Alors que le nombre de personnes s'inscrivant à des échanges augmente, il est loin d'atteindre le niveau de la fin 2017. Et si l'on considère que la tendance haussière de 2017 a été largement menée par les investisseurs particuliers, cela pourrait être un signe inquiétant.
Des difficultés existent également sur le plan technique. La réduction de moitié des bitcoins va diminuer de moitié les revenus des mineurs de bitcoins. Cela éliminera en grande partie les mineurs de détail, mettant l'exploitation minière uniquement entre les mains de grandes exploitations minières dotées des dernières plates-formes minières. Mais si les mineurs abandonnent le réseau, la sécurité du réseau s'en trouvera affaiblie, à moins que le prix ne double pour compenser, ce qui n'est pas du tout garanti.
Dans le même temps, les tarifs augmentent en flèche. Une grande vague de négociants et d'acheteurs a fait augmenter le nombre de transactions de Bitcoin, ce qui a entraîné une hausse des frais en réaction. Un effet secondaire de la réduction de moitié, qui réduira les revenus des mineurs, pourrait être une augmentation supplémentaire des frais, car les mineurs ont besoin de revenus supplémentaires pour soutenir leurs opérations minières. Si cela se produit, cela pourrait rendre le réseau encore plus cher et plus lent à utiliser. Mais le jury ne sait pas si cela se produira.
Dans l'ensemble, il y a beaucoup d'optimisme, mais guère plus que de l'espoir. Une forte hausse justifiera l'optimisme, mais seulement si elle se concrétise.
Bitcoin comme or numérique
Les Bitcoiners ont tendance à parler de l'or numérique, non pas dans la mesure où il s'agit d'une représentation physique, mais pour faire référence à ce que représente l'or. Il est rare, précieux et sa valeur tend à augmenter avec le temps. C'est ce qu'on appelle le bitcoin, dont la valeur a augmenté depuis sa création. Il existe cependant de grandes différences, la volatilité errante de Bitcoin rendant cette comparaison difficile.
Mais comme pour l'or, l'offre de nouveaux bitcoins est rare. Et elle se raréfiera avec le temps. La réduction de moitié est essentielle à cet égard - c'est le moment où l'offre est réduite, même artificiellement. Ainsi, bien que ce récit s'applique généralement aux pièces de monnaie, c'est dans ces rares moments qu'il prend toute son importance.
La partie importante est l'idée que cette rareté accrue se traduira par une augmentation de la valeur au fil du temps - en supposant une demande constante, ou croissante. Nous avons déjà évoqué le modèle stock-to-flow plus haut. Si la réduction de moitié des bitcoins conduit à une course de taureaux, cela réaffirmerait le récit de l'or numérique.
Mais si cela ne se produit pas, et que le prix continue à baisser - il est toujours en baisse de 50 % depuis décembre 2017 - comme s'il était retombé à 4 500 dollars, il serait encore plus difficile de maintenir cette connexion. Comment une chose peut-elle baisser de 50 % - voire de 75 % - et se qualifier de réserve de valeur ?
Cette année, la célébration de la réduction de moitié des pièces de monnaie est plus importante que jamais, avec des flux et des fêtes organisés pour la couvrir - et bien plus de personnes impliquées que la dernière fois.
L'événement suscite de grandes attentes, beaucoup espérant qu'il s'agit de la rampe de lancement de la monnaie nécessaire pour devenir un véritable actif mondial. Mais si le prix n'est pas à la hauteur - et Bitcoin a l'habitude de ne pas suivre scrupuleusement les conventions - l'hyperbole est le dernier de leurs soucis.
ENTREPRISE : 5 CHOSES QUE VOUS IGNOREZ SUR L?ÉCORESPONSABILITÉ
par RAPHAËL DE PERLINGHI 12/05/2020
58% des consommateurs seraient prêts à payer plus cher si la marque s'avérait plus respectueuse de l'environnement.
La pression de plus en plus importante exercée par les décideurs politiques ou les consommateurs a contribué à positionner l’écoresponsabilité parmi les principales priorités des entreprises en France comme à l’international.
Malheureusement, de nombreux chefs d’entreprises ne considèrent l’écoresponsabilité que comme un simple critère à remplir dans la longue liste d’initiatives liées à la RSE. Cependant, cette approche est loin d’être viable. Effectivement, sans la mise en place d’une réelle stratégie commune à l’ensemble des services de l’entreprise, ces initiatives peuvent rapidement s’effondrer et mettre l’entreprise en difficulté. Le constructeur Volkswagen en a par exemple fait les frais et est tombée en disgrâce pour cause de greenwashing auprès de ses clients.
S’engager sur la voie de l’écoresponsabilité – qu’elle concerne des dimensions environnementales, éthiques ou sociales, est un projet d’envergure. La meilleure façon de s’assurer de son succès est d’amener les discussions aux plus hauts niveaux, avec une optique stratégique et une vision globale de l’entreprise.
Nous vous proposons ici de lever 5 préjugés autour l’écoresponsabilité afin de vous démontrer que chaque entreprise peut s’y retrouver.
Les matières premières issues de bouteilles plastiques ne sont pas si facile à obtenir
Lorsqu’il s’agit de recyclage, beaucoup d'entre nous associent le concept aux montagnes de bouteilles en plastique accumulées dans les décharges ou flottant au gré des cours d’eau. Les consommateurs se demandent d’ailleurs pourquoi les entreprises n’utilisent pas davantage de bouteilles plastiques recyclées dans la fabrication de leurs produits et cela n’est pas étonnant au vu de la situation.
En réalité, même si le nombre de bouteilles en plastique semble important, les matières premières nécessaires à la production de produits recyclés peuvent être difficiles à trouver. Les usines capables de transformer les bouteilles plastiques en matériau exploitable sont en effet peu nombreuses, limitant ainsi l’approvisionnement des fabricants.
De plus, les bouteilles doivent passer par de nombreuses étapes avant de pouvoir être réutilisées sous d'autres formes : premièrement, elles doivent être déchiquetées en petits flocons devant être re-polymérisés en copeaux de plastique. Puis, les copeaux sont ensuite chauffés et filés pour obtenir un fil malléable et flexible pouvant être utilisé dans les coutures d’une multitude d'accessoires - des sacs aux vêtements, les options sont presque infinies !
Les acteurs du secteur du retail associent souvent les gammes écoresponsables à des produits peu ou pas rentables, étant donné les coûts associés au recyclage, à l'approvisionnement en matériaux, à la production, à l'emballage et à la livraison « verte », etc. Une enquête réalisée par Economist Intelligence Unit (EIU) a révélé que 57% des cadres supérieurs considèrent que les bénéfices à retirer des efforts liés au concept d’écoresponsabilité sont supérieurs aux coûts de sa mise en place.
Néanmoins, il est indéniable que les opérations durables de fabrication et de gestion sont à envisager sur le long terme pour toute entreprise qui se dit innovante. Cet état d’esprit pourra, sur le long terme, permettre à l’entreprise d’apprécier de nouveaux bénéfices sur son activité, qu’ils concernent sa valeur actionnariale ou encore son image. Au final, tout cela contribuera directement ou indirectement à l’amélioration à sa rentabilité.
La prise de conscience autour de l’écoresponsabilité et de l’engagement nécessaire (sur le long terme) est indispensable et pourra faire toute la différence.
Les consommateurs n’ont que faire des certifications
En tant que détaillants ou encore fabricants, nous ne connaissons que trop bien les certifications (telle que la Global Recycling Standard) et l’engagement que cela implique pour la mise en place de processus durables au sein de l’entreprise. Ces certifications sont d’excellents moyens de prouver aux consommateurs ainsi qu’aux parties prenantes que la démarche engagée en matière d’écoresponsabilité n’est pas simplement un écran de fumée. Octroyées par des tiers assermentés, ces certifications sont des preuves concrètes de l’engagement des entreprises.
Mais les consommateurs connaissent-ils et comprennent-ils pleinement la signification de ces certifications ? Plus important encore, se soucient-ils que la marque de sacs ou de chaussures qu'ils achètent respecte les réglementations imposées pour l’obtention de ces mêmes certifications ?
La réponse est non. Les décisions d'achat d'un consommateur sont principalement basées sur des critères tels que le prix, la praticité ou encore sa fidélité à la marque. Il incombe alors aux entreprises non seulement de veiller à éduquer les consommateurs vis-à-vis de ces certifications, mais également de faire en sorte que leurs produits soient aussi pratiques que durables pour rester attrayants.
Les entreprises qui délaissent l’écoresponsabilité prennent un risque énorme
Président et Directeur Général chez Walmart, H. Lee Scott, indique que « l’écoresponsabilité représente une opportunité commerciale unique du 21ème siècle et qu’elle sera à la source d’un véritable avantage concurrentiel ». De nos jours, cela est valable pour chacune des entreprises.
Trop souvent, les entreprises ne modifient leur mode de fonctionnement que lorsqu'elles se sentent menacées, et il est parfois déjà trop tard. Prenons l'exemple de l'industrie automobile. Avant que Tesla ne mette ses solutions révolutionnaires sur le marché, les autres constructeurs automobiles sont restés dans leur pré carré et ne sont pas allés au-devant d’innovations de rupture. Quand ils ont dû faire face à l’arrivée de Tesla, les constructeurs avaient déjà accumulé beaucoup trop de retard sans même s’en rendre compte.
Il en est de même pour l’écoresponsabilité. Que ce soit à un niveau mondial ou Européen, de nombreuses mesures sont prises par les décideurs politiques pour durcir les normes associées à l’environnement. En tant qu’entreprise, la pire des situations serait d’être mise au pied du mur lorsque ces initiatives seront amenées à devenir des réglementations – et cela n’est qu’une question de temps.
Les entreprises les plus expérimentées (autrement dit les plus anciennes) n’avaient pas pour projet ni pour priorité de devenir écoresponsables. Il est naturel de penser que le passage vers des pratiques plus durables peut sembler difficile pour ces mêmes entreprises, d’autant plus lorsque cela affecte l’ensemble de leurs opérations.
À mesure que les exigences de la société évoluent, toute entreprise se doit de répondre aux besoins naissants aussi bien au travers de leurs produits que de leur modèle commercial. De plus, ceux-ci doivent être pris en compte dans la construction des stratégies commerciales des entreprises afin de pouvoir transparaitre dans la relation qu’ils pourront établir avec leurs clients.
L’écoresponsabilité n’est pas un effet de mode
Au cours des deux dernières décennies, nous avons vu de nombreux effets de mode aller et venir, mais l’écoresponsabilité n’en fait pas partie. Pour les prochaines années, nous nous attendons à ce que ce courant soit de plus en plus présent dans de nombreux aspects de la vie des entreprises et des consommateurs.
Une récente enquête menée par Nielsen a montré que 58% des consommateurs seraient prêts à payer plus cher si la marque s’avérait plus respectueuse de l'environnement. Ce chiffre est d’autant plus parlant qu’il atteint 72% pour les nouvelles générations, autrement dit les 15-20 ans.
Il est clair que l'écoresponsabilité est un état d'esprit qui se transmet de génération en génération, et les entreprises ont un rôle énorme à jouer pour assurer sa démocratisation. La durabilité sera un facteur important dans les futures décisions prises par les entreprises et les consommateurs. Moi-même haut responsable au sein de mon entreprise, je considère qu'il est de ma responsabilité de contribuer, dès aujourd’hui, au développement d’un monde et d’un avenir plus durables.
Le port du masque va-t-il faire exploser la délinquance ?
19:44 11.05.2020 Par Fabien Buzzanca
Le déconfinement dont fait l’objet la France à partir de ce 11 mai s’accompagne de mesures de sécurité strictes. Le port du masque est notamment obligatoire dans de nombreuses situations. De quoi poser un problème aux forces de l’ordre? Stanislas Gaudon, délégué général à la communication au syndicat de police Alliance, répond à Sputnik France.
«Oui, bien sûr que ça va poser un problème, tout comme ceux qui mettent une écharpe ou se dissimulent parfois le visage avec un foulard lorsqu’ils ne veulent pas être reconnus», s’inquiète Stanislas Gaudon au micro de Sputnik. Le délégué général à la communication au syndicat Alliance, organisation du personnel majoritaire dans la police nationale, anticipe quelques soucis de sécurité avec le déconfinement et le port généralisé du masque. Comme l’a annoncé Édouard Philippe, les Français sont à partir de 11 mai à nouveau libres de se déplacer sans attestation dans un rayon de 100 kilomètres autour de leur domicile. Beaucoup de commerces vont rouvrir leurs portes, de même que certaines classes.
Cependant, ce retour à la semi-liberté s’accompagne de contraintes. Comme l’avait annoncé le Premier ministre le 28 avril à l’Assemblée nationale, «nous allons devoir vivre avec le virus. Ce n’est pas réjouissant, mais c’est un fait. Il faut donc apprendre à nous en protéger.»
«Les règles vont changer»
Parmi les mesures de sécurité qui accompagnent le déconfinement, on trouve le port du masque. Désormais recommandé par le gouvernement, après avoir été jugé inutile, il sera même obligatoire dans de nombreuses situations, comme dans les transports publics ou certains commerces. De quoi rendre plus difficile le travail de la police ?
«Le port du masque à grande échelle est susceptible de compliquer le travail d’investigation des forces de l’ordre lorsque ces dernières doivent identifier les suspects de crime ou délit», explique Stanislas Gaudon.
Le policier juge cependant difficile de prédire une possible augmentation de la délinquance du fait de la généralisation du port du masque.
«Est-ce que l’on va assister à une montée de la délinquance ? C’est difficile à dire, car en temps normal, le délinquant n’hésite pas à se cacher le visage quand il ne veut pas être reconnu. Nous l’avons encore constaté lors des récentes manifestations contre le gouvernement. Ceux qui ne voulaient pas être pris quand ils jetaient des cocktails Molotov sur les policiers se dissimulaient le visage avec une écharpe ou une cagoule. C’est là que le travail d’investigation de mes collègues entre en jeu.»
D’après Stanislas Gaudon, la priorité va de toute façon à la santé des Français: «Les règles sanitaires sont, dans cette “guerre sanitaire”, la priorité du moment. Et il ne s’agira pas de changer des règles pour que d’un côté cela soit plus facile pour les forces de sécurité, mais que de l’autre, le virus se propage sur le territoire national. L’équilibre est difficile à trouver».
Pour le membre d’Alliance, la police dispose de moyens pour gérer la situation:
«Il n’y a pas que la reconnaissance visuelle. Il y a aussi tout un travail qui peut être fait avec la téléphonie, avec des recoupements, avec parfois des témoignages, sans parler de la vidéoprotection, qui équipe beaucoup de municipalités, pas seulement en région parisienne, mais également en province. Elle peut nous permettre de mener des enquêtes et d’interpeller des individus qui ont commis des faits graves.»
En dehors du port du masque obligatoire dans certaines circonstances, le déconfinement s’accompagne de deux mesures phare: l’attestation employeur nécessaire dans les transports en commun franciliens aux heures de pointe, ainsi qu’une autorisation de déplacement limitée à 100 kilomètres autour du domicile.
Pour Stanislas Gaudon, le travail de la police va s’adapter en fonction de ces nouvelles contraintes:
«Les règles vont changer. Il s’agira notamment pour les forces de l’ordre de contrôler le port des masques dans les lieux où il est obligatoire, comme dans les transports en commun, où il sera également nécessaire de contrôler les attestations aux heures de pointe en Île-de-France. Il faudra également veiller au respect de la distance des 100 kilomètres à partir du domicile pour les déplacements et ainsi empêcher qu’un individu issu d’une zone rouge se rende dans une zone verte, avec les risques de propagation du virus que cela implique.»
Stanislas Gaudon se félicite d’une «baisse significative des crimes et délits» durant le confinement. Des bons chiffres notamment dus «à une absence de victimes dans les rues» et à «des gens confinés à leur domicile, ce qui rendait plus difficiles les cambriolages». Dorénavant, la priorité du moment pour les forces de l’ordre sera de «faire appliquer les règles du déconfinement»:
«Maintenant, nous axons, nous priorisons. Nous nous occupons d’abord de tout ce qui est flagrants délits, tout ce qui est prioritaire. Je pense aux violences conjugales, aux violences intrafamiliales, je pense aux agressions, je pense également à tout ce qui est vol, notamment sur la voie publique, par exemple lorsque des délinquants arrachent des colliers ou des bijoux sur les personnes qui se déplacent sur la voie publique.»
Pour le policier, la problématique du port du masque est un danger moindre que la situation explosive dans les quartiers sensibles. Nombre d’entre eux se sont embrasés à la suite de l’accident d’un jeune père de famille sans emploi le 18 avril à Villeneuve-la-Garenne. Ce dernier est entré en collision avec une voiture de police alors qu’il roulait sans casque sur une motocross non homologuée et qu’il a été grièvement blessé.
Nécessaire «reconquête républicaine»?
Dans les jours qui ont suivi l’accident, de nombreux quartiers sensibles à travers tout le pays ont connu des épisodes de violences urbaines. Le 9 mai, c’est un Carrefour Market qui a été incendié à Nanterre à la suite d’un contrôle de confinement qui a dégénéré.
Stanislas Gaudon juge la situation critique: «Les craintes pour le déconfinement sont les mêmes craintes que l’on a eues par rapport au contrôle du confinement dans les quartiers sensibles. Ces derniers sont à la limite de l’insurrection, avec parfois des basculements complets dans les violences urbaines. On a des évènements qui se déroulent quasiment tous les week-ends en petit couronne et en grande couronne parisienne, mais aussi dans les villes de province.»
Si le policier assure que «ce n’est pas la population entière de ces quartiers qui est responsable, mais une minorité qui décide de mettre le chaos», il tire la sonnette d’alarme:
«Il est très difficile de faire appliquer les règles de la République dans des quartiers qui n’appréciaient déjà pas la police avant cette crise sanitaire. Certains issus de ces quartiers ont bien l’intention de faire comprendre qu’il ne s’agit pas du territoire de la République ni de celui de la police nationale. Il faut que l’impunité cesse et que la reconquête républicaine se fasse, notamment pour les habitants de ces quartiers qui, eux aussi, n’en peuvent plus.»
(...) «Est-ce que l’on va assister à une montée de la délinquance ? C’est difficile à dire, car en temps normal, le délinquant n’hésite pas à se cacher le visage quand il ne veut pas être reconnu. (...)
Faut-il se poser la question ?! Les magasins devraient avoir le droit d'interdire les masques chez eux !
La Ville de Paris distribuera gratuitement 2 millions de masques et explique comment s’en procurer
RépondreSupprimer11:48 10.05.2020
La Ville de Paris mettra gratuitement à disposition de ses habitants des masques en tissu réutilisables. Le maire adjoint chargé des transports a expliqué comment en obtenir.
- voir photo ci-contre -
La Ville de Paris a annoncé en début de semaine qu’elle allait distribuer gratuitement 2,2 millions de masques aux Parisiens, soit autant que d’habitants. Ils seront disponibles dès lundi 11 mai pour le début du déconfinement. Le maire adjoint chargé des transports, Christophe Najdovski, a expliqué ce samedi sur BFM TV comment s’en procurer.
«Nous allons distribuer des masques réutilisables et lavables à la population avec le réseau des pharmacies», a-t-il indiqué auprès de la chaîne.
Les résidents devront d’abord se rendre sur le site Paris.fr pour obtenir une contremarque qui leur indiquera à quel endroit ils peuvent aller le chercher. L’accès à ces masques est garanti jusqu’au 8 juin. «Les mairies d’arrondissement distribuent, en complément, des masques chirurgicaux pour les personnes âgées de plus de 70 ans», a-t-il ajouté, précisant que leur usage sera obligatoire dans les transports publics.
Ces masques en tissu gratuits sont conformes aux normes de l’Association française de normalisation (AFNOR) et ont été testés par la Délégation générale à l’armement, a assuré la Ville dans un communiqué. Toutefois, l’AFNOR recommande de ne pas les porter plus de quatre heures. Après lavage à 60°C, ils doivent être bien séchés et repassés avant d’être mis à nouveau.
Plus de mesures pour les transports
L’adjoint aux transports a confirmé que les stations de métro, de RER et de bus seront équipées de gel hydroalcoolique dès lundi. Des masques pourront être achetés auprès de la RATP et de la SNCF, via des distributeurs automatiques. Bien que les masques ne soient pas obligatoires partout, M.Najdovski a indiqué que son utilisation était «hautement souhaitable dans l’ensemble de l’espace public».
https://fr.sputniknews.com/france/202005101043755641-la-ville-de-paris-distribuera-gratuitement-2-millions-de-masques-et-explique-comment-sen-procurer/
Notons qu'après le '11 Septembre 2001' (New-York), '11 Mars 2011' (Fukushima), existe désormais le '11 Mai 2020' (Marron) où, 95 % de la pop s'est faite maître de la situation (attente d'explosion de naissances en Décembre !) et pas que là où vous pensez !! Hahahaha !
Supprimer(...) Après lavage à 60°C, ils doivent être bien séchés et repassés avant d’être mis à nouveau. (...)
HAHAHAHAHAHAHAHA !
UN MASQUE NE SE LAVE PAS ! Il se jette et se brûle !
Quel est le risque de contracter le coronavirus pendant les baignades et sur la plage ?
RépondreSupprimer08:37 10.05.2020
Il est peu probable qu’une personne soit contaminée par le coronavirus lors d’une baignade, aussi bien à la mer que dans les piscines et les spas, estiment des chercheurs du Conseil supérieur de la recherche scientifique en Espagne. Le risque est toutefois plus élevé dans les rivières, les lacs ou les réservoirs non traités.
Les chercheurs du Conseil supérieur de la recherche scientifique en Espagne (CSIC) ont évalué les chances d’être infecté par le nouveau coronavirus pendant les baignades. Les résultats de leurs travaux ont été publiés sur le portail de l’organisation le 5 mai.
Les spécialistes ont tenu à souligné que le sel présent dans l'eau de mer, en combinaison avec l'effet de dilution, contribue probablement à la désactivation du virus. Dans le même temps, les piscines et les spas ont activement recours aux désinfectants, ce qui devrait également être suffisant pour la destruction du coronavirus.
De plus, la température dans les saunas et les spas est normalement supérieure à 60 degrés, ce qui est également nocif pour le virus.
Le risque est plus élevé dans les lacs et rivières
Néanmoins, la survie du virus sera plus élevée dans les rivières, les lacs, dans l'eau douce de manière générale, et les réservoirs non traités. Ainsi, des précautions extrêmes doivent être prises lors de leur visite.
Les chercheurs ont également indiqué que le risque de contracter le coronavirus peut être présent sur la terre ferme, à savoir sur la plage ou au bord d'un réservoir.
Pourtant, les auteurs de l'étude ont suggéré que l'effet combiné du sel de mer, de radiations solaires ultraviolettes et de la température élevée qui réchauffe le sable peut également désactiver le virus.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202005101043755126-quel-est-le-risque-de-contracter-le-coronavirus-pendant-les-baignades-et-sur-la-plage/
(...) Les spécialistes ont tenu à souligné que le sel présent dans l'eau de mer, en combinaison avec l'effet de dilution, contribue probablement à la désactivation du virus. (...)
SupprimerÔÔOH PUTAING ! 'combinaison avec l'effet de dilution' !! Combinaison 'StarWar' ou 'Malibu' ?
Fallait y penser ! LE MANQUE DE SEL !!
Saupoudrez-vous de sel avant de sortir et VOUS ÊTES SAUVÉ !"
N'oubliez pas de sauvez les autres en salant tous les anus marrons sortis le 11 Mai !
Selon un virologiste allemand le Covid-19 est beaucoup moins létal qu’on ne le pensait initialement !
RépondreSupprimerle 9 mai 2020
Biologiste allemand, le professeur Hendrik Streeck a étudié des groupes de sujets dans son pays et est arrivé à un certain nombre de conclusions provisoires convaincantes concernant le comportement du nouveau coronavirus.
Streeck explique également pourquoi il pense que des mesures draconiennes de «verrouillage» (confinement) ont été décidées à la hâte et peuvent finalement être considérées comme totalement inutiles.
Il a également présenté des données qui donnent une indication d’un «taux de létalité» c’est-à-dire le pourcentage de personnes infectées qui finiront par mourir. De nouvelles découvertes montrent un taux de mortalité par infection à COVID-19 compris entre 0,24 et 0,36% (contrairement à Neil Ferguson qui prétend que ce taux est légèrement inférieur à 1%, peut-être 0,8-0,9%). D’autres experts comme Johan Giesecke pensent que ce taux de létalité est plus proche de 0,1%, soit un mort pour mille personnes infectées.
La différence entre ces taux de létalité est importante, notamment parce que cette statistique est utilisée par les gouvernements pour déterminer la gravité relative de la menace en question. Après que des «experts» britanniques tels que le professeur Ferguson aient massivement surestimé ce taux de létalité, le gouvernement de Boris Johnson a ensuite changé de cap – loin d’une approche plus sensée et fondée sur la science comme la Suède – et a plutôt mis en œuvre une quarantaine expérimentale de style médiéval, ou «confinement» pour essayer de contenir le coronavirus. Au final, la politique britannique s’est avérée être un désastre, conduisant à une catastrophe économique sans précédent ainsi qu’au plus haut total de décès COVID en Europe.
«Cela peut ressembler à un coupage de cheveux en quatre – ces taux sont tous deux inférieurs à un pour cent après tout – mais en réalité, la différence entre ces estimations change tout. À l’extrémité inférieure de 0,1 %, une politique beaucoup plus laxiste devient possible, et à 30 000 décès, elle commence à ressembler au Royaume-Uni qui a déjà traversé le pire. Cependant à l’extrémité supérieure, jusqu’à 1 % selon Neil Ferguson, une politique d’ultra-prudence soutenue est alors nécessaire car une approche plus laxiste pourrait entraîner des centaines de milliers de décès supplémentaires. »
Streeck a également fourni une analyse approfondie des différences de capacité contagieuse du SRAS1 et du nouveau SARS-CoV2, ainsi que des facteurs qui pourraient déterminer l’immunité et quel type de «distanciation sociale» pourrait être utile à l’avenir.
L’animateur Freddie Sayers discute avec le professeur Streeck de ce que son équipe a appris de leur récente étude. Regardez si vous êtes anglophones :
https://youtu.be/vrL9QKGQrWk
Notes. Neil Ferguson, épidémiologiste, a été conseiller du gouvernement de BoJo. Ayant prié sa compagne de lui rendre visite il a été contraint de démissionner de son poste pour avoir enfreint les mesures de confinement strict qu’il avait mis en place en Grande-Bretagne. Johan Giesecke, épidémiologiste, est conseillé du gouvernement suédois pour la gestion de l’épidémie de Covid-19, il est également membre du groupe sur les risques infectieux à l’OMS. La gestion catastrophique de l’épidémie en Espagne, Italie, France, Belgique et Grande-Bretagne sans stratégie de dépistage systématique à l’aide de tests PCR et mise en quarantaine avec traitement préventif des seuls sujets infectés a conduit à une bien plus grave crise non plus médicale mais commerciale et financière qui conduira pour ces pays à un nombre de morts, pour l’instant incalculable, dont seront responsables les décideurs politiques. Ces derniers devront rendre des comptes aux populations. Il est urgent que des « class-actions » se mettent dès à présent en place pour poursuivre ces politiciens incapables ainsi que leurs conseillers supposés être des scientifiques de haut niveau, mais seulement de haut niveau de corruption et de conflits d’intérêt et ceci dans tous les pays européens précités.
RépondreSupprimerSource : 21stCenturyWire.com
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/05/09/selon-un-virologiste-allemand-le-covid-19-est-beaucoup-moins-letal-quon-ne-le-pensait-initialement/
Supprimer(...) Streeck explique également pourquoi il pense que des mesures draconiennes de «verrouillage» (confinement) ont été décidées à la hâte et peuvent finalement être considérées comme totalement inutiles. (...)
'voire létales' ajouterai-je. Car, le 'confinement' (emprisonnement illégal) est un homicide approuvé et testé/étudié par la dictature. Le fait qu'un masque 'fait-maison' soit recommandé inclue que l'enculé(e) qui s'y prête reconnais crever en toute sérénité, justesse et justice. Effectivement, TOUS les masques FFP2 (SEULS MASQUES ANTI-VIRUS) sont mouillés (comme tout autres) par expirations et retiennent donc plus de virus au fil des heures. C'est pourquoi il est OBLIGATOIRE d'en changer toutes les 4 heures et de brûler le dit-masque.
L'enfermement de populations urbaines est plus nocive que protectrice.
RépondreSupprimerPlus d’amendes pour les habitants de la Seine-Saint-Denis que pour les autres pendant le confinement. Pourquoi ?
16:47 10.05.2020
La période de confinement semble toucher à sa fin et, selon des chiffres cités par le HuffPost, le département de Seine-Saint-Denis aurait totalisé un plus grand nombre d’amendes que les autres. Le journal a demandé à un avocat et à un membre de SOS Racisme leur point de vue sur la situation.
Les habitants de Seine-Saint-Denis se sont vu infliger trois fois plus d'amendes que ceux des autres départements lors des contrôles d'attestation dans le cadre du confinement, a indiqué le HuffPost. Ainsi, entre le 18 mars et le 25 avril, plus d’un million d’amendes ont été recensées sur l’ensemble du territoire et c’est le 93 qui affichait le taux de contraventions par contrôle le plus élevé de France: 17%.
Les habitants de ce département ont-ils moins respecté le confinement que les autres ? C’est la question que s’est posée le journal qui est allé questionner à ce sujet un avocat et un membre de SOS Racisme qui estiment tous les deux que le confinement a mis en exergue la pression subie par ces populations.
«Les personnes qui sont issues de ces quartiers-là vivent beaucoup plus de contrôles d’identité que le reste de la population […] Une personne d’apparence d’origine étrangère était sept fois à huit fois plus contrôlée qu’une personne qui apparaissait comme blanche», a affirmé Nicolas Abdelaziz, membre de SOS racisme.
Il a évoqué dans ce contexte les caractéristiques des logements dans ce département, le plus jeune de France métropolitaine mais aussi le plus pauvre, rappelle le journal.
«Quand on a de petits appartements, qu’on peut être plusieurs dedans et ça incite aussi un peu plus à sortir parce que ça devient très vite pesant de rester dans le même appartement avec une famille ou avec une colocation», a-t-il expliqué.
Nicolas Abdelaziz estime ainsi que les conditions de vie ont aussi influé sur les sorties.
«Une situation juridiquement dangereuse»
Pour Loïc Lequellec, avocat au barreau de Seine-Saint-Denis, le dispositif exceptionnel mis en place favorise un plus grand nombre de contrôles «jugés abusifs, aléatoires».
«On est dans une situation qui est juridiquement très dangereuse puisqu’on laisse une large marge d’appréciation à un agent verbalisateur sur le terrain pour après caractériser un délit qui peut vous conduire en garde à vue, au tribunal, en comparution immédiate et potentiellement en prison», a-t-il constaté.
Dans ce contexte, il a indiqué que le dispositif exceptionnel mis en place favorisait un plus grand nombre de contrôles et éventuellement des décisions arbitraires.
«C’est très difficile de prouver qu’on avait un motif réel de sortie. C’est très subjectif», a-t-il noté.
Selon lui, il existe actuellement «plus de cadre légal au contrôle d’identité, au contrôle par la police».
Les habitants du département ont été verbalisés plus de 41.000 fois entre le début du confinement et le 25 avril dernier pour une population de 1,6 million d’habitants. Soit jusqu’à 900 amendes par jour.
https://fr.sputniknews.com/france/202005101043756978-plus-damendes-pour-les-habitants-de-la-seine-saint-denis-que-pour-les-autres-pendant-le-confinement/
RépondreSupprimerOnu: le monde risque d’être confronté à des famines gigantesques
15:18 10.05.2020
Le monde est exposé au risque de famines colossales s’il ne parvient pas à éliminer les séquelles de la pandémie actuelle de Covid-19, surtout dans les pays les plus fragiles qui sont déjà aux prises avec l'insécurité alimentaire, a déclaré le directeur exécutif du Programme alimentaire mondial, David Beasley.
Des famines «aux proportions bibliques» pourraient frapper le monde à cause du coronavirus, a averti David Beasley, directeur exécutif du Programme alimentaire mondial (PAM) de l’Onu.
«Nous risquons actuellement d’être confrontés à une double pandémie de famines qui pourrait nous toucher aux proportions bibliques», a indiqué M.Beasley lors d'une conférence à Genève.
Selon lui, avant le début de la pandémie de Covid-19, 135 millions de personnes se trouvaient déjà au bord de la famine, 821 millions de personnes souffraient de faim chronique et certaines parties de l'Afrique de l'Est et de l'Asie du Sud étaient déjà confrontées à de graves pénuries alimentaires causées par la sécheresse et les pires invasions de criquets de ces dernières décennies.
L’agence alimentaire de l'Onu aide actuellement près de 100 millions de personnes par jour, mais si elle ne parvient pas à accomplir cette mission faute de fonds, «la pandémie de santé sera bientôt suivie d'une pandémie de faim», a noté M.Beasley.
La récession économique est une autre cause des famines
En plus, la récession mondiale causée notamment par les restrictions de mouvement imposées pendant la pandémie peut perturber les chaînes d'approvisionnement alimentaire, entraîner la hausse des prix, du chômage et, par conséquence, réduire le pouvoir d’achat de certaines personnes, a ajouté le responsable.
Le 7 mai, l'Onu a lancé un appel à de nouveaux fonds à hauteur de 4,7 milliards de dollars pour lutter contre la faim, «protéger des millions de vies et endiguer la propagation du coronavirus dans les pays fragiles». L'organisation intergouvernementale avait déjà demandé des dons à hauteur de 2 milliards de dollars au début de la pandémie. Elle n’en a reçu jusqu’ici que la moitié.
Son appel du 7 mai tient compte des besoins de neuf autres pays vulnérables: le Bénin, Djibouti, le Libéria, le Mozambique, le Pakistan, les Philippines, la Sierra Leone, le Togo et le Zimbabwe.
https://fr.sputniknews.com/international/202005101043756198-onu-le-monde-risque-detre-confronte-a-des-famines-gigantesques/
RépondreSupprimerFaute d'avoir des produits de traitements (remèdes obligatoires) contre les maladies de plantes et insectes, l'Afrique est comme l'Europe dans un objectif de famine !
Cette vitamine pourrait réduire de moitié le taux de mortalité du Covid-19
RépondreSupprimer18:00 10.05.2020
Selon une nouvelle étude, le taux de mortalité du Covid-19 pourrait être réduit de moitié grâce à la vitamine D qui améliore notre système immunitaire et l’empêche surtout de devenir dangereusement hyperactif, entraînant une tempête de cytokines.
Des chercheurs de l'université Northwestern, dans l’Illinois, ont découvert une importante corrélation entre les carences graves en vitamine D et les taux de mortalité des suites du Covid-19.
Ils ont analysé les relevés d’hôpitaux et de cliniques dans de nombreux pays, notamment en Chine, en France, en Iran et en Corée du Sud, et ont constaté que les patients des pays à taux de mortalité élevés, comme l'Italie, l'Espagne et le Royaume-Uni, avaient des niveaux de vitamine D inférieurs à ceux des patients des pays qui n'étaient pas aussi gravement touchés.
Et bien que certains évoquent une éventuelle différence de la qualité des soins, la répartition des âges dans la population, le nombre de tests ou les souches de coronavirus, l’équipe s’est tournée vers une autre hypothèse.
«Aucun de ces facteurs ne semble jouer un rôle important et le système de santé du nord de l'Italie est l'un des meilleurs au monde», a déclaré Vadim Backman qui a dirigé l’étude.
En outre, des différences de mortalité existent dans le même groupe d'âge et des disparités dans le taux de mortalité restent présentes même lors de l’examen de pays avec un nombre similaire de tests, a-t-il précisé.
La tempête de cytokines
En analysant les données de patients du monde entier, les chercheurs ont découvert qu’il existait un lien entre le niveau de vitamine D et la tempête de cytokines, une hyper-inflammation causée par un système immunitaire qui réagit de manière excessive.
«La tempête de cytokines peut gravement endommager les poumons et entraîner un syndrome de détresse respiratoire aiguë et la mort […] C'est ce qui semble tuer la majorité des patients atteints de Covid-19, et non la destruction des poumons par le virus lui-même», a fait remarquer pour sa part Ali Daneshkhah, co-auteur de l’étude.
Les scientifiques estiment qu’un niveau «correct» de vitamine D pourrait jouer un rôle protecteur.
«Cela n'empêchera pas un patient de contracter le virus, mais cela peut réduire les complications et empêcher la mort des personnes infectées», suppute l’étude.
RépondreSupprimerNon seulement la vitamine D améliore notre système immunitaire, mais encore elle l’empêche de devenir dangereusement hyperactif.
«Notre analyse montre que cela pourrait réduire le taux de mortalité de moitié, a affirmé David Backman.
Selon lui, cette corrélation permettrait d’expliquer notamment pourquoi les enfants sont moins susceptibles de mourir. En effet, les petits n'ont pas encore de système immunitaire acquis pleinement développé qui est plus susceptible de réagir de manière excessive.
David Backman fait remarquer dans ce contexte qu’il ne s’agit pas de prendre des doses excessives de vitamine D, notamment pour les personnes sans carence évidente, ce qui pourrait entraîner des effets secondaires négatifs.
«Il est difficile de dire quelle dose est la plus bénéfique pour le Covid-19», a déclaré David Backman.
En outre, le sujet a besoin de plus de recherches pour savoir comment la vitamine D pourrait être utilisée le plus efficacement possible pour se protéger contre les complications liées au Covid-19.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202005101043757271-cette-vitamine-pourrait-reduire-de-moitie-le-taux-de-mortalite-du-covid-19/
Âge, sexe, appartenance ethnique: qui sont les plus vulnérables face au Covid-19 ?
RépondreSupprimer22:57 10.05.2020
Une nouvelle étude répertoriant les facteurs de risque, réalisée au Royaume-Uni, conclut que certains groupes minoritaires sont surreprésentés dans les registres des hospitalisations et des décès dus au nouveau coronavirus.
Des chercheurs de l’université d’Oxford et de l'École d'hygiène et de médecine tropicale de Londres ont analysé les données de plus de 17 millions de Britanniques pour définir les principaux facteurs de risques de mourir du Covid-19. Les résultats de leur étude sont publiés sur le site medRxiv.
Ainsi, l’équipe a collecté des informations sur la santé de 17.425.445 adultes et s’est basée sur la régression de Cox, qui est une classe de modèles de survie en statistiques, pour établir des ratios de risque. Dans ce cas concret, les scientifiques ont évalué la probabilité de décès du Covid-19. Pendant la période examinée, du 1er février au 25 avril dernier, 5.683 personnes sont décédées.
Il s’est avéré que les personnes issues des groupes ethniques asiatiques et noirs couraient un risque nettement plus accru de mourir des suites du Covid-19 que les personnes blanches. En outre, contrairement à certaines affirmations antérieures, cela n'est que partiellement dû à des comorbidités ou des problèmes de santé.
«Il est par conséquent urgent de poursuivre les recherches sur les raisons de cette association», indique l’étude.
Les chercheurs ont également constaté que le risque de mourir était plus important chez les pauvres et était associé au fait d’être de sexe masculin, à l’âge et aux comorbidités comme le diabète ou l’asthme notamment.
Une étude similaire
Selon une autre recherche réalisée précédemment par l’Institute for Fiscal Studies (IFS) et portant sur les groupes ethniques minoritaires au Royaume-Uni, les décès dus au Covid-19 à l'hôpital par habitant sont les plus élevés parmi la population d’Afrique noire: 3,7 fois plus importants que dans le groupe britannique blanc. Ce chiffre est de 2,9 pour les habitants d’origine pakistanaise et de 2 pour la population d’origine bangladaise.
En outre, les groupes ethniques indiens, noirs des Caraïbes et «autres blancs» ont également des décès plus élevés que les Britanniques blancs. Le groupe irlandais blanc est le seul à avoir moins de décès.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202005101043758557-age-sexe-appartenance-ethnique-qui-sont-les-plus-vulnerables-face-au-covid-19/
Dès la première semaine de l'épidémie les scientifiques ont expliqué qu'il s'agissait d'une grippe ethnique. Ils avaient raison.
SupprimerLa Chine dévoile des lunettes T1 intelligentes qui luttent contre les pandémies et qui "voient" les températures des gens en temps réel
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 05/10/2020 - 21:30
Une startup chinoise qui développe des lunettes de réalité augmentée pour un usage quotidien, ou pour d'autres applications telles que la fabrication et les jeux, a peaufiné l'un de ses produits avec un capteur thermique pour créer des lunettes pandémiques. Ces lunettes peuvent détecter d'éventuels porteurs de COVID-19 en scannant les températures corporelles.
Les lunettes pandémiques sont appelées lunettes T1 et sont développées par la startup basée à Hangzhou Rokid. Les lunettes aident le porteur à dépister les symptômes qui sont courants chez les porteurs tardifs de COVID-19 tels que les températures corporelles élevées, a rapporté Reuters.
Le vice-président de Rokid, Xiang Wenjie, a déclaré que la demande de lunettes de réalité augmentée avait augmenté de 1 000 paires achetées par les gouvernements, les parcs industriels et les écoles.
"En plus de la mesure de température fixe, T1 peut fournir une vérification de température portable, distante et rapide, ce qui serait d'une grande aide", a déclaré Xiang.
Les lunettes ont un capteur infrarouge et une caméra qui permettent au porteur de "voir" les températures des gens. Des versions améliorées sont à venir, permettront au porteur de prendre plusieurs lectures à la fois dans les espaces publics.
L'évolution du balayage des personnes avec des caméras thermiques portables ou fixes finira par passer aux lunettes pandémiques, cela se produit déjà dans un centre d'entreprise à Hangzhou.
"Avec la sortie de nouveaux produits, en particulier ces verres, nous pensons que nous pouvons les utiliser pour effectuer des mesures de température sans contact, ils sont très efficaces face à une grande foule de personnes", a déclaré Jin Keli, président de Greentown Property Management.
Amazon pourrait envisager des lunettes en cas de pandémie, étant donné qu'elle équipe ses entrepôts de caméras thermiques fixes pour surveiller les températures des employés.
Nous pouvons maintenant envisager l'avenir: des drones pandémiques tournent au-dessus avec des capteurs thermiques, à la recherche de transporteurs COVID-19 tandis que les agents d'application de la loi au sol portant des lunettes pandémiques font de même.
Veuillez nous ramener dans un monde pré-corona! Le monde post-corona est dystopique alors que l'état de surveillance est inauguré. Ce n'est qu'une question de temps avant que les gens commencent à porter des vêtements qui bloquent leur signature thermique des capteurs thermiques.
https://www.zerohedge.com/markets/china-unveils-pandemic-glasses-see-peoples-temperatures-real-time
Le Venezuela présente des bateaux et des armes militaires qui, selon lui, faisaient partie de l'invasion des mercenaires américains
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 05/10/2020 - 21:00
Via Southfront.org
La tentative ratée de mercenaires américains opérant depuis la Colombie pour organiser un coup d'État au Venezuela continue de se développer et de plus en plus de détails apparaissent.
Le 9 mai, les militaires vénézuéliens ont déclaré avoir saisi trois bateaux de combat légers colombiens abandonnés que des soldats ont trouvés dans la région de l'Orénoque.
Cela s'est produit plusieurs jours après que le gouvernement a accusé son voisin d'avoir aidé à une invasion ratée organisée par des mercenaires américains.
Le ministère de la Défense a déclaré que les bateaux étaient équipés de mitrailleuses et de munitions, mais n’avaient pas d’équipage, ajoutant qu’ils avaient été découverts dans le cadre d’une opération nationale visant à garantir la «liberté et la souveraineté» du Venezuela.
La marine colombienne a déclaré que les bateaux venaient d’être entraînés par les forts courants fluviaux.
Probablement, des mercenaires américains sont également apparus au Venezuela grâce aux «forts courants» dans la région.
Des mitrailleuses et des munitions auraient été récupérées dans le cadre de l'enquête sur l'invasion mercenaire du Venezuela la semaine dernière:
The Guardian a décrit précédemment:
Un mercenaire américain capturé après une tentative ratée de renverser Nicolás Maduro a affirmé qu'il était en mission pour prendre le contrôle de l'aéroport principal du Venezuela afin d'enlever son chef autoritaire - et il a allégué qu'il agissait sous le commandement de Donald Trump.
... Dans une confession vidéo fortement éditée, diffusée mercredi par le diffuseur d'État, VTV, Denman a déclaré qu'il s'était envolé pour la Colombie à la mi-janvier, où il avait été chargé de former des combattants vénézuéliens près de Riohacha, une ville à 55 miles à l'ouest de la Frontière vénézuélienne.
De là, Denman - qui a déclaré n'avoir jamais mis les pieds dans aucun des pays d'Amérique du Sud - a affirmé que le groupe prévoyait de se rendre à Caracas pour «sécuriser» la ville et l'aéroport international Simón Bolívar voisin, avant de faire tomber Maduro.
Le groupe d'une douzaine d'hommes au moins, qui ont été formés par la société de sécurité privée basée en Floride Silvercorp, aurait tenté de se faufiler au Venezuela via des bateaux de pêche il y a une semaine, mais a été capturé peu de temps après avoir mis les pieds sur terre.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/venezuela-displays-military-boats-weapons-it-says-were-part-us-mercenary-invasion
Et si la crise est sans fin ... comme la guerre perpétuelle de George Orwell
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 05/10/2020 - 20:05
Soumis par Luke Eastwood
Notions de liberté
Nous vivons en effet des temps étranges, cette crise soulève de nombreuses questions sur la nature de la liberté et quelles sont ou devraient être nos attentes. Chacun a ses propres notions sur ce que signifie la liberté et dans quelle mesure cela devrait s'étendre à soi-même et, en fait, à tout le monde.
Je veux commencer par regarder d'où nous venons avant de regarder où nous en sommes maintenant, car je pense que cela donne une meilleure compréhension de nos définitions de la liberté et un meilleur contexte pour voir où nous en sommes, en ce moment dans temps.
La société a probablement commencé avec la tribu - peut-être même sans chef si le nombre est assez petit, par exemple 10 personnes. Les tribus de scores ou plus devinrent évidemment difficiles à gérer, ce qui conduisit sans aucun doute à l'idée d'un chef ou d'un groupe de chefs - un chef ou un conseil de chefs. Un tel système semble avoir bien fonctionné, tant que les chefs ont agi dans le meilleur intérêt de la tribu, et non dans leur propre intérêt. Les tribus et les premiers royaumes disposaient souvent d'un mécanisme pour traiter avec un pauvre leader - le mariage symbolique du leader avec la terre et le droit de déposer, voire d'excuser, un leader qui n'a pas répondu aux attentes.
Ces concepts de leadership sont anciens mais ont survécu à divers endroits dans l'ère moderne, y compris en Irlande où je vis. Bien que la pratique associée à cette coutume soit révolue depuis longtemps, sa connaissance reste vaguement dans la conscience publique et plus définitivement dans les domaines de l'érudition et du néo-paganisme celtique. Cependant, les sociétés du monde entier ont commencé à aller au-delà de cette responsabilité chérie il y a des millénaires - avec la montée de la monarchie depsotique, quelque chose qui existe encore aujourd'hui comme un anachronisme malheureux.
À mesure que les tribus devenaient des pays et que les pays devenaient des empires, les monarques devenaient de moins en moins responsables devant leurs citoyens, ou plutôt leurs sujets - ceux qui étaient soumis. Alors que de nombreux monarques se sentaient obligés, à la fois «divins» et moraux de se comporter avec soin et responsabilité, d’autres agissaient dans leur propre intérêt, sans aucune responsabilité pour leurs actes. Avec le soutien d'une grande armée ou d'une garde personnelle importante, il est devenu de plus en plus difficile de tenir les monarques responsables et il fallait dans la plupart des cas se fier à la bonne volonté plutôt qu'à l'application.
Bien sûr, il y a eu d'innombrables destitution de monarques, par le peuple ou par des prétendants rivaux, bien que ces derniers ne se soient pas toujours révélés bénéfiques. Le plus célèbre d'entre eux est probablement celui de Galus Jules César, le dictateur à vie des dernières années de la République romaine, qui a donné son nom au titre César, Tsar et Keizer. Il a été brutalement assassiné par Brutus (d'où le mot brutal) et nous savons tous comment cela s'est avéré pour la République romaine.
La république elle-même était une forme de démocratie, basée sur un modèle antérieur de la Grèce, une civilisation qui avait une immense influence sur Rome. Bien sûr, la démocratie athénienne ne ressemblait en rien à ce que nous considérons maintenant comme la démocratie. Le droit de décider comment le gouvernement était organisé et ce qu'il faisait incombait à un groupe d'élite - la démokratia, ou «gouvernement par le peuple», était réservé aux citoyens et parmi eux, seuls les hommes pouvaient voter. À l'époque (507 avant JC), cela signifiait 40 000 hommes, sur une population beaucoup plus importante, mais en réalité, pas plus de 5 000 hommes environ pouvaient assister aux assemblées, en raison d'autres engagements. Pourtant, c'était une étape révolutionnaire, tant que vous n'étiez pas un étranger, un criminel, une femme, un enfant ou un esclave.
RépondreSupprimerC'est de ces origines grecques que nous obtenons le mot démocratie et la notion de droits et de liberté pour tous. Au fil du temps, il y a eu des variantes de ce modèle qui ont été testées - monarchies constitutionnelles, républiques, États socialistes, États fascistes et États communistes, qui ont différents niveaux d'entrée pour les masses. Les masses pourraient également être qualifiées de «plébéiens» comme les Romains aimaient appeler les gens ordinaires, une forme corrompue qui existe toujours comme une insulte mineure - plèbe.
Cependant, à travers la majeure partie de l'histoire enregistrée, le système le plus courant a été la monarchie, bien que l'on puisse difficilement le décrire comme le plus populaire. Plus simple qu'une démocratie et facile à appliquer - des notions telles que la corruption, l'équité et la responsabilité n'entrent pas en jeu, car la règle divine (par exemple le droit divin des rois) donne au souverain carte blanche pour faire tout ce qu'il veut, sauf si leur le despotisme provoque une révolte. Bien sûr, la révolte s'est produite, de temps en temps, tout au long de l'histoire et l'une des plus célèbres est celle des barons en Angleterre contre le roi Jean.
La Magna Carta (Grande Charte de 1215) est considérée par beaucoup comme le fondement de la civilisation et de la démocratie occidentales, malgré le fait qu'elle n'a accordé que des concessions limitées à un très petit nombre de nobles. C'était un début au moins, et peut-être permis de nouvelles percées dans le monopole monarchique sur le pouvoir. La révolte des paysans de 1381 contre Richard II d’Angleterre a été un tournant majeur. Dirigée par un roturier (Wat Tyler), c'était une grande gêne pour Richard, qui n'avait pas d'armée permanente sous la main. Il a été forcé de faire semblant de négocier avec les rebelles, qui campaient à Blackheath, alors qu'il a secrètement ordonné au maire de Londres de lever une armée pour disperser et exécuter les manifestants.
Il existe d'innombrables autres exemples de rébellion contre les monarques à travers le monde, mais la plupart d'entre eux sont oubliés. La rébellion dont on se souvient peut-être le plus est celle des pauvres français, contre la monarchie bourbonienne et toute l'aristocratie française. Cette révolution violente et assoiffée de sang a fait frémir de terreur dans les monarchies du monde et a précipité un programme de réforme, fondé sur la crainte que des événements similaires ne se produisent.
Bien sûr, certains pays ont continué malgré tout - la Russie et l'Amérique en sont des exemples particulièrement tristes, car la Russie n'a aboli le surfdom en 1861, tandis que les États-Unis n'ont aboli l'esclavage qu'en 1865. On pourrait à juste titre dire que la vie de ces gens ordinaires, qui étaient maintenant des «citoyens 'guère amélioré car leur liberté était à peu près nominale. Cela, en Russie, a conduit à la révolution de 1917, en raison de l'intransigeance du tsar / tsar (César) Nicholai II Alexandrovich Romanov II. Le renversement du système russe, inspiré par les idées de Marx et Engels, a conduit à un gouvernement bolchevique dirigé par Vladimir Lénine. Quelles que soient les notions des Soviétiques, Lénine était un Tzar de facto en attente et Staline était certainement cela, sinon un héritier sans couronne d'Ivan Le Terrible.
RépondreSupprimerAprès la Seconde Guerre mondiale, nous aurions une nouvelle ère de démocratie et de liberté, mais cela ne s'applique qu'à certains. En vérité, presque toute la collection mondiale de gouvernements a appris l'art de la propagande - grâce aux efforts étonnants de montée en compétence des national-socialistes (nazis) d'Allemagne, qui ont porté cela à de nouveaux sommets (ou plutôt plutôt), le transformant presque en un Forme d'art. Alors que nous avons été amenés à croire que nous sommes libres et démocratiques, nous n'avons jamais été plus exposés aux mensonges et à la propagande que nous ne le sommes actuellement. Le plus grand mensonge de tous est que nous vivons dans une démocratie, alors qu'en fait, nous ne pouvons en fait choisir un nouvel ensemble de narcissiques corrompus et égoïstes, tous les 4 ou 5 ans.
Les démocraties, dans le monde entier, ont été achetées - les lobbyistes ont bien plus de pouvoir que l'électorat ne pourrait jamais espérer obtenir. Ce que nous avons en fait, c'est l'illusion de la démocratie - les agences d'État agissent sans surveillance, les individus n'ont pas leur mot à dire sur le manifeste et les politiques des partis au pouvoir et n'ont aucun mécanisme pour annuler ou empêcher les actions indésirables des gouvernements. Les seuls mécanismes disponibles sont les référendums occasionnels (déclenchés sous pression), les protestations (pacifiques ou autres) et les renversements violents.
Dans la plupart des cas, l'effort et le risque de renversement violent sont trop considérés pour la majorité des gens - il faut une pauvreté extrême, la famine et une coercition horrible avant que la «plèbe» ne soit poussée au bord du gouffre. Les gouvernements en sont conscients et appliquent généralement la méthode de la "grenouille bouillante" pour restreindre les libertés des personnes et supprimer la vie privée et les droits généraux. Cependant, ils dépassent parfois la marque ou ne parviennent pas à dissimuler adéquatement leurs actions néfastes furtives - ce qui conduit inévitablement à la protestation ou à l'insurrection.
L'histoire a prouvé que l'insurrection violente échoue généralement, mais il est plutôt insensé de la part de gouvernements autoritaires de parier que cela ne se produit pas. Ce qui est beaucoup plus efficace pour nous, la «plèbe», est une insurrection non violente, sous la forme de non-conformité - cela a fait des merveilles à la fois pour Gandhi et pour Martin Luther-King, deux des dirigeants les plus inspirants du XXe siècle. Nelson Mandella est un autre bel exemple de quelqu'un qui a dirigé un changement monumental, en Afrique du Sud, tout en évitant un bain de sang catastrophique, encore une fois en prônant la non-violence et en faisant preuve de compétences exceptionnelles en leadership.
En ce moment, nous sommes pris en otage par un virus et la peur de ce qu'il pourrait faire à l'humanité. Alors que la sécurité publique doit être une priorité, il faut se poser la question - de quoi s'agit-il vraiment ? S'agit-il d'une crise artificielle ou s'agit-il simplement de gouvernements opportunistes tirant parti de leurs meilleures chances de déployer de nouvelles mesures draconiennes? Les pouvoirs d'urgence temporaires sont une chose, mais s'il n'y a pas de retour en arrière après la fin de la crise, alors quoi? Et si la crise était sans fin - comme la guerre perpétuelle de George Orwell dans son roman 1984 ?
RépondreSupprimerNous nous attendons à la liberté, on nous dit que nous vivons dans le «monde libre», mais nous voyons nos droits et libertés et notre vie privée érodés par la législation gouvernementale, la technologie invasive des entreprises et la collecte de données. Où trace-t-on la ligne? Quand disons-nous que c'est assez? Étrangement, la même technologie qui permet notre surveillance est également l'outil le plus puissant à notre disposition. Internet et les télécommunications nous permettent de partager des informations, tout comme le «système» recueille des informations sur nous tous. Pour beaucoup, cela nous a ouvert les yeux sur les agendas, les méthodes et les opérations du gouvernement, car nous avons maintenant un accès sans précédent aux informations mondiales, souvent en temps réel, ou en quelques minutes et quelques heures après les événements.
Beaucoup croient qu'une nouvelle ère d'oppression est en train de se déployer, en ce moment même que nous sommes assis chez nous, grâce au réseau 5G haute puissance, haute vitesse et à faible latence, dans le monde entier par une agence cachée. Mis à part les complots, il y a de nombreuses questions à se poser sur nos droits, en quoi devraient consister nos libertés et quelles devraient être les limites des actions gouvernementales et des entreprises. Nous devons poser ces questions, nous devons exiger des réponses et montrer les «pouvoirs en place» que la soif de la vraie démocratie est toujours vivante. Si nous nous portons volontaires pour être emprisonnés ou pour devenir nos propres geôliers, alors il n'y a aucun espoir pour l'humanité. Comme par le passé, l'humanité doit s'affirmer pour rester à l'abri du despotisme et cela n'a jamais été aussi urgent que maintenant. Corny que cela puisse être, la façon la plus simple d'exprimer cela est pour moi de répéter les mots de feu Bob Marley - "Lève-toi, lève-toi, défends tes droits !"
Lire plus de travaux de Luke sur lukeeastwood.com
https://www.zerohedge.com/markets/what-if-crisis-one-without-end-george-orwells-perpetual-war
Comment le plus grand pays du monde en est-il arrivé là ?
RépondreSupprimerPar Bill Sardi
11 mai 2020
Préparez-vous pour ce que j'ai à vous révéler. Les États-Unis portent un masque depuis longtemps. Ce que vous apprendrez dans ce rapport est quelque chose que les politiciens et les médias ont caché au public pendant des décennies. Les chefs de gouvernement cachaient le fait qu'ils achetaient votre vote avec de l'argent emprunté.
Ne vous laissez pas prendre dans le théâtre politique ou COVID-19 actuel. La microbiologiste qui a déjà travaillé dans un laboratoire de virologie gouvernemental pour le Dr Anthony Fauci et qui a un livre révélateur sur les vaccins, aussi courageuse qu'elle soit, n'est qu'une distraction. Pour tirer un vieux slogan de l'ère Clinton: "C'est l'économie stupide !"
L'ordre du jour caché est de cacher une économie effondrée derrière la peur d'un virus mortel. L'économie défaillante et le chômage sans précédent ne sont pas dus au virus. L'économiste John Williams de ShadowStats.com signale un taux de chômage caché de 20% depuis quelques années. Le MAGA de M. Trump ne faisait que donner un visage positif à tout cela dans l'espoir de garder le moral des Américains. Cette implosion financière a pris du temps. Il est resté caché pendant si longtemps que sa divulgation finale devait être un événement planifié.
Contradictions
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les États-Unis luttent illogiquement contre un virus qui tue moins de personnes que la tuberculose ?
Vous voulez savoir pourquoi 1300 grands chefs d'entreprise américains ont pris leurs paiements l'an dernier et ont démissionné ?
Pourquoi l'Amérique a-t-elle un homme avec la maladie d'Alzheimer qui se présente à la présidence ?
Pourquoi nos dirigeants tolèrent-ils que le Dr Anthony Fauci fasse cesser les activités des propriétaires de magasins et de restaurants américains alors que ni eux ni aucun de leurs clients ne courent un risque important de voir le coronavirus COVID-19 les tuer ? Verrons-nous la population parce que certaines personnes meurent de la grippe ?
L'Amérique vit maintenant de nombreuses contradictions.
Le plus grand pays de l'histoire du monde
Ne sommes-nous pas le plus grand pays de l’histoire humaine ? N'avons-nous pas le produit intérieur brut (PIB) le plus élevé de tous les pays par une large marge ? En fait, une baisse du PIB est un autre fait caché aux yeux du public.
Il doit y avoir quelque chose que le gouvernement ne nous dit pas. Oui, et cela ne nous dit rien depuis quelques décennies.
Réponses adoucies
Je dois ici adoucir les réponses à ces questions car c'est une réalité trop dure. C’est parce que la peur artificielle de la mort par le virus est utilisée pour détourner les Américains d’une réalité plus terrible - 30 millions d’emplois ont été perdus en raison du pillage de l’économie américaine par les classes financières et les politiciens. Les Américains ont obtenu un crédit jusqu'à ce qu'il n'y ait aucun moyen de le rembourser. Depuis des années, les États-Unis ont un taux de chômage de 20%, mais le Bureau of Labor Standards a gardé cela caché.
Les autorités tentent secrètement de garder 30 millions d'Américains au chômage à l'intérieur et dans la rue pour une bonne raison. Lorsqu'elles apprennent qu'elles ont perdu leur emploi pour de bon, les masses peuvent penser à allumer des allumettes pour protester. L'émission de chèques et de paiements de 1 200 $ pour garder les travailleurs occupés n'est qu'un apaisement temporaire.
RépondreSupprimerLes troupes de la garde nationale en attente
Toute richesse a été détruite. Les troupes de la garde nationale sont prêtes à occuper des villes en difficulté financière pour maintenir l'ordre, et non pour maintenir une distanciation sociale dans les municipalités où les décès ou infections au COVID-19 sont les plus élevés.
Le succès de nos suzerains est maintenant combien de temps ils peuvent garder cela caché sous le tapis ? Sinon, insurrection possible. Gardez les masses à l'intérieur. De cette façon, la protestation publique n’éclatera pas en émeutes.
La menace de la vaccination forcée touche désormais des millions de personnes. Certains craignent davantage le vaccin que le virus. Qui sait combien de suicides se produiront parmi ceux qui refuseront de se soumettre à la vaccination ? Les Américains sont désormais obligés de se conformer, sinon.
Oui, le virus est réel. Le nombre de morts est faux. Et l'économie a implosé (il y a des années, franchement).
Au point de disparaître
Oui, les Américains meurent. Les Noirs sont d'abord abattus, puis vieillis dans les maisons de retraite. Le virus tue sélectivement celui qui coûte le plus cher au gouvernement.
Les soins de santé devront être presque entièrement remplacés par des soins personnels. Le divertissement consistera à jouer à des jeux de table comme Monopoly et à reconstituer des puzzles, comme le font actuellement les Américains enfermés. Les voyages d'affaires en avion et les vacances sont terminés. Zoom et Skype remplaceront les voyages d'affaires. Telle est la nouvelle réalité. Une baisse d'environ 50% de notre niveau de vie. Je suis désolé de devoir te le dire.
Il n'y aura pas de retour à la normale. Il n'y aura pas de réinitialisation. Les diplômés des collèges déçus n'auront pas de carrière. Comprenez vous ?
L'homme-argent
Vous ne voyez pas que cet homme de l'argent, promoteur immobilier, maître négociateur Donald Trump a été amené pour faire le sale boulot ? Aimeriez-vous diriger le pays alors que 30 millions d’Américains ne paient pas leurs impôts parce qu’ils n’ont pas d’emploi ?
Comment équilibrez-vous le budget américain? Non, vous ordonnez simplement au département du Trésor américain d'imprimer de l'argent et à la Réserve fédérale de distribuer des dollars presque gratuits aux classes financières. Mais qu'en est-il du gars qui vient de perdre son emploi et qui ne peut pas payer son hypothèque ? Les banques hypothécaires viennent d'être payées. Pourquoi les soldes hypothécaires n’ont-ils pas été dépréciés ?
Le gouvernement est le faux dieu américain depuis trop longtemps
Les deux partis politiques sont rouillés. Le Congrès est irréprochable dans les impasses chauffées. Il n'y a qu'un seul homme pour faire face à ces réalités - Donald Trump. Et la presse de presse nationale veut le forcer à démissionner, à être destitué ou à perdre les élections. Les États-Unis sont un pays sans gouvernail sans lui. Je ne suis pas un apologiste de Trump. C'est juste qui avez-vous comme alternative ?
RépondreSupprimerPeut-être quelqu'un qui a un cœur pour les pauvres ? AOC (membre du Congrès Alexandria Ocasio-Cortez) ? Vous ne voulez toujours pas que Hillary revienne, n'est-ce pas ? Michelle Obama en tant que commandant et chef ? Elle ne saurait même pas lire un rapport financier d'entreprise.
L'Amérique a ~ 16 billions de dollars de dettes ? Et Oprah, elle a beaucoup d'argent. Et l'Amérique aurait sa première femme présidente. Il y a beaucoup d'Américains qui sont complètement trompés.
Un candidat à la présidence aurait-il une idée de comment éviter que Medicare ne devienne insolvable, un événement qui se profile ? (Prévu de faire faillite en 2026, mais maintenant qu'aucune déduction FICA ne vient de 30 millions de chômeurs, cette date doit être avancée.) Pour aggraver les choses, COVID-19 coûte des milliards.
Et le retour de Barack ? Ensuite, les seules personnes qui pourraient se permettre des soins de santé seraient celles d'Obamacare !
Voyez si vous pouvez avaler cela (tableau ci-dessous). Le gouvernement ne ressent aucune douleur. Le gouvernement fédéral se développe en vertu de tout le reste en contraction.
- voir graphique sur site -
L'attitude des politiciens est que les Américains ne peuvent pas faire face aux réalités économiques. Ainsi, les politiciens continuent d'acheter des votes avec de fausses promesses. Le pays recouvre depuis longtemps le PIB réel, le chômage, l'inflation et la dette. La presse a été complice de ce crime.
Voici un langage qui donne à réfléchir pour expliquer la situation difficile dans laquelle se trouve l'Amérique:
Les problèmes fiscaux du gouvernement américain ont échappé à tout contrôle et ne peuvent plus être maîtrisés dans le système actuel. Le déficit annuel réel des opérations du gouvernement américain pour cet exercice (30 septembre) était de 3,7 billions de dollars. Mis en perspective, cela signifie que si le Trésor américain avait saisi tous les salaires et traitements avec un impôt sur le revenu de 100%, il y aurait toujours eu un déficit! Les perspectives concernant les chiffres de l'exercice sont encore pires.
Considérant que le déficit budgétaire communément rapporté était de 374 milliards de dollars, soit un dixième du chiffre cité ci-dessus, cette tranche sur les rapports du gouvernement se concentre sur la provenance du chiffre incrédule de 3,7 billions de dollars, comment et pourquoi le Trésor le rapporte, et pourquoi la presse financière et les politiciens fédéraux l'ignorent.
Pour rappel, le chiffre de 3,7 billions de dollars provient des états financiers du gouvernement préparés selon les principes comptables généralement reconnus (PCGR), et une grande partie du déficit élargi provient de l'augmentation annuelle de la valeur actuelle nette des obligations non financées de sécurité sociale et d'assurance-maladie.
L'impossibilité que cette circonstance se déroule avec bonheur est la raison pour laquelle un président de la Réserve fédérale boiteux a soudainement exhorté les politiciens de Washington à ne pas être en mesure de fournir les prestations de sécurité sociale et d'assurance-maladie promises déjà sous obligation. Il suggère, à juste titre, qu'il n'y a aucune chance de croissance économique ou de productivité pour résoudre le problème.
RépondreSupprimerMême si l’Administration et le Congrès ont tenu compte des conseils du président de la Réserve fédérale, le désastre fiscal en cours se heurte à l’une des deux seules solutions générales très désagréables.
La première solution est une réduction draconienne des dépenses, en particulier dans la sécurité sociale et l'assurance-maladie, même si elle s'accompagne d'une augmentation massive des impôts. Cela semble être une impossibilité politique à l'heure actuelle.
En l'absence d'action politique, la deuxième solution est que le gouvernement américain soit confronté à une forme d'insolvabilité au cours de la prochaine décennie. Timide de l'oncle Sam en défaut de paiement, le résultat le plus probable est que la Fed doive éventuellement monétiser fortement la dette américaine, déclenchant une hyperinflation. Les obligations américaines seraient finalement remboursées en dollars considérablement dévalorisés et dévalués.
La comptabilité trompeuse utilisée par le gouvernement américain, à la fois dans les rapports financiers et économiques, dépasse de loin la portée des actes répréhensibles de comptabilité d'entreprise qui ont reçu un crédit partiel pour les récentes turbulences boursières. Les mauvais garçons de Corporate America, cependant, étaient encore soumis à des contrôles réglementaires importants et à l'application de la comptabilité GAAP à leurs livres. En revanche, les opérations du gouvernement et les rapports économiques ont été soumis à la surveillance uniquement du Congrès, la seule «classe criminelle distinctement indigène» des États-Unis.
L'ignorance et / ou la complicité des analystes de Pollyannaish à Wall Street et dans les médias financiers, désireux de décourager les activités négatives du marché, ont contribué à empêcher la crise budgétaire de susciter de vives inquiétudes parmi une population américaine abasourdie.
Qui a écrit ça ? L'économiste John Williams en 2004 ! (ShadowStats.com)
Revenu garanti ? Après avoir lu ceci, vous devez croire que ses défenseurs sont totalement déconnectés de la réalité. Idem pour la Force spatiale de M. Trump et les astronautes qui atterrissent sur la lune.
Se retirer des combustibles fossiles dans un New Green Deal ? L'Amérique va avoir du mal à voir ses citoyens au chômage avoir assez d'argent pour acheter de l'essence pour se rendre au travail lorsqu'ils trouvent un emploi. Les Américains brûlent actuellement environ 2,5 millions de barils de pétrole de moins par jour pendant le verrouillage. Personne n'appellerait ce progrès.
$$ Implosion: les apocalyptiques soufflaient-ils de la fumée ?
J'avais des lecteurs à juste titre qui m'ont pris à partie lorsque j'ai prédit en 2012 qu'un jour d'effondrement financier était un coup de main. Les lecteurs m'ont écrit pour dire qu'ils avaient acheté leur or et stocké de la nourriture et cela ne s'est jamais produit. C'est parce qu'il a été recouvert par le gouvernement et n'a jamais été rapporté par les médias. Cela s'est produit et était en cours, mais n'a pas été signalé.
RépondreSupprimerNe les laissez pas le faire par distraction avec un virus cette fois. Le virus est un masque pour une économie effondrée.
PS: L'ironie de ceci est que pendant que j'étais occupé à préparer ce jour d'infamie, j'ai été aveuglé par une femme qui est sortie, a divorcé, a pris tout l'or et l'argent, et mon fils, et a eu le culot de m'appeler un théoricien du complot wacko au juge du tribunal de la famille. Maintenant, toutes ces théories du complot sont apparues. J'ai dû dépenser 350 000 $ en frais juridiques juste pour ne pas être emprisonné pour de fausses allégations d'outrage au tribunal et de révocation d'ordonnances de blocage dans de nombreuses tentatives pour obtenir des visites significatives avec mon fils (les prisonniers ont plus de temps avec leurs enfants que je ne le fais actuellement) ). Mes efforts pour me préparer à une telle crise financière ont été vaincus. Donc, la leçon est, surveillez vos fesses. Les ennemis les plus puissants sont ceux de l'intérieur.
Le jour du jugement est enfin arrivé.
Maintenant, voyez si vous pouvez esquiver cette aiguille de vaccin.
https://www.lewrockwell.com/2020/05/no_author/how-did-the-greatest-country-in-the-world-get-to-this-point/
(...) Comment le plus grand pays du monde en est-il arrivé là ? (...)
SupprimerLa Russie est deux fois plus grande que les USA.
Pourquoi serait-ce à moi de prendre une assurance pour qu'en cas de chômage mes cotisations prennent en charge mon crédit et non pas les banques qui prennent le risque de me prêter de l'argent ?
SupprimerTout simplement parce qu'une banque ne prend JAMAIS de risque de prêter de la fausse valeur car elle est assurée de toujours se faire remboursée en vraies valeurs !
C'est une drôle de pandémie, mettant en vedette des hôpitaux vides
RépondreSupprimer8 mai 2020
By Robert W. Felix
Si vous faites attention aux nouvelles, vous pourriez supposer qu'un nombre record de personnes meurent. L'inverse est vrai.
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C'est une drôle de pandémie, mettant en vedette des hôpitaux vides
Adoni
La façon dont tout cela s'est déroulé me ??montre qu'il n'y a tout simplement pas de «nouveau virus corona», du moins pas dans le sens où les médias le poussent. Une pandémie s'identifie en tuant très rapidement un grand nombre de personnes et en se propageant rapidement sur toute la planète. S'il y avait effectivement une pandémie, ces deux caractéristiques seraient extrêmement évidentes et il n'y aurait pas besoin d'une pression médiatique 24/7 pour cimenter l'idée dans l'esprit des gens. S'il y avait une véritable pandémie, le nombre de décès et de nouveaux cas d'infection serait irréfutablement évident, avec des hôpitaux massivement envahis et des enterrements de masse dans tous les pays de la Terre.
C'est une drôle de pandémie, cependant; mettant en vedette des hôpitaux vides, relativement peu de décès, beaucoup de temps pour que les politiciens se débattent pour faire des déclarations ridicules, et absolument aucune preuve de la propagation d'une maladie unique pouvant être prouvée en raison de ce supposé "nouveau virus". Cette pandémie présente également une liste presque infinie de symptômes et affirme que les porteurs infectés sont asymptomatiques. Comme c'est pratique pour ceux qui poussent cette fraude.
Une autre caractéristique de ce nouveau type de pandémie est que les décès dus à d'autres maladies semblent avoir cessé presque entièrement. Voir: Les taux de mortalité aux États-Unis ont baissé, pas augmenté (24 avril 2020 par le Dr Klaus L.E. Kaiser)
Si vous faites attention aux nouvelles, vous pourriez supposer qu'un nombre record de personnes meurent. L'inverse est vrai.
Il s'agit d'une pandémie de panique injustifiée qui se propage en raison de mensonges médiatiques et non d'une pandémie de virus mortel. L'infection est cependant auto-infligée. Vous pouvez l'empêcher de vous infecter en éteignant votre téléviseur ou en l'utilisant simplement pour regarder de vieux films sur DVD.
Consommer le flux continu de porno panique sur les émissions de nouvelles télévisées entraîne généralement une infection. Les symptômes de l'infection comprennent le port de masques (improvisés ou fabriqués), l'errance en public avec des gants d'examen et le saut de toute personne qui s'éloigne à moins de dix pieds de vous. Les personnes infectées par cette panique sont faciles à éviter, mais les personnes à l'origine de cette réaction deviendront de plus en plus inévitables lorsqu'elles penseront à de nouvelles façons d'infliger leurs idées à tout le monde.
Bonne chance à tous.
https://www.iceagenow.info/this-is-a-funny-kind-of-pandemic-featuring-empty-hospitals/
Le goulag de la maladie
RépondreSupprimerPar Eric Peters
Eric Peters Autos
11 mai 2020
Les Américains - beaucoup d'entre eux - sont tellement stupides qu'ils peuvent être convaincus qu'il est raisonnable de transformer le pays en un goulag de maladie permanent au nom d'une guerre permanente contre les germes - une guerre qui ne peut pas être gagnée.
Ce qui peut être juste le point.
Une guerre sans fin - menée au nom de la «santé» - est la santé de l'État. Il fournit un prétexte sans fin et illimité à ceux qui sont l'État - les fonctionnaires et les exécuteurs - pour décréter et punir.
Comment s'opposer à cela alors que les victimes en sont convaincues que c'est le seul moyen de les faire respirer ? Nonobstant les preuves - y compris celles qu’ils voient (ou plutôt ne voient pas) de leurs propres yeux.
La peur supplante les faits. Ferme les yeux - et les esprits - aux preuves, à la raison. Tels que les corps ne s'accumulent pas.
Ou ne pas s'empiler de façon inhabituelle.
Les corps s'accumulent toujours. Tout d'un coup, cela est redéfini comme anormal. une crise."
L'hystérie actuelle sur Corona aurait tout aussi bien pu être fabriquée en 2013 - une mauvaise année Corona (grippe) ordinaire. 56 000 personnes sont décédées cette année-là, à cause ou à cause de la grippe ordinaire, selon le CDC. Mais ce n'était pas une «crise» parce qu'ils ne l'ont pas créée.
Malgré le fait que «des gens sont morts!» la vie reprit alors normalement.
Pas maintenant.
Même si les métriques sont similaires. Les personnes âgées et les personnes en danger pour leur santé sont toujours plus vulnérables à un rhume / grippe / corona qui empire - comme la pneumonie - et cela peut en tuer des milliers chaque année.
C'est triste - mais pas anormal.
La réaction actuelle à ce sujet est cependant.
Mon état compte environ 8,5 millions de personnes; environ 500 sont morts à cause (ou avec) Corona. On a de meilleures chances d'être frappé par la foudre que d'être abattu par Corona, par les chiffres. Mais l'État n'ordonne pas à l'ensemble de la population de «s'abriter sur place» lors des orages.
Cela serait considéré comme ridicule - ainsi que des preuves d'un trouble anxieux grave (et irrationnel) sur une base individuelle. Nous avions l'habitude de traiter des gens si affligés. Ce qui a changé, c'est que tout le monde devrait mimer être affligé - et ceux qui refusent de jouer le jeu sont rapidement «accusés» de souffrir de troubles mentaux, qui seront bientôt punis pour leur normalité aberrante.
Le monde est à l'envers.
Personne n'est obligé de sortir. Le problème oblige les gens à rester. Et à rester fermés.
Les personnes âgées et celles qui souffrent d'autres affections devraient prendre les précautions nécessaires - comme elles l'ont fait dans le passé ou devraient le faire dans le passé. Mais c'est . . . malade d'imposer un goulag de maladie au reste de la population - qui n'est pas malade et dont 99% ne mourront pas même s'ils tombent malades.
Cependant, il a été accepté - par beaucoup - parce qu'ils ont été conditionnés pour l'accepter.
RépondreSupprimerPas le masquage de la peur et l'abattage du bétail - mais le principe derrière eux. C'est le même principe derrière les points de contrôle de cause non probable (et papier s'il vous plaît), où il est présumé que tout le monde est un conducteur "ivre" jusqu'à ce qu'ils convainquent un employé du gouvernement armé qu'ils ne le sont pas.
Parce que quelqu'un peut être en état d'ivresse au volant - porter atteinte au droit (ancien) de chacun d'être à l'abri de recherches et de saisies abusives est un petit prix à payer. . . s'il sauve même une vie.
Peu importe l'effet sur des millions de vies.
Tout le monde doit «attacher sa ceinture de sécurité» - car cela sauve des vies. Hypothétiquement. Il n'y a pas de cause à effet exacte. En fait, il n'y a généralement aucun effet - de ne pas «boucler». Des accidents mortels se produisent, mais ils sont statistiquement et numériquement peu courants. La plupart des gens conduisent toute leur vie sans y être impliqués - attachés ou non.
Mais quelqu'un pourrait mourir. Par conséquent, tous doivent boucler leur ceinture.
Voyez-vous une relation entre cela et les «lignes directrices» de masquage de la peur / distanciation antisociale (vraiment ? Ce ne sont pas des «lignes directrices» auxquelles vous n'êtes pas obligé d'obéir ?) Et la maladie Kabuki, en général ?
Des millions de conducteurs ne meurent pas chaque année. Vos chances de mourir parce que vous conduisez sont pratiquement nulles - ou du moins suffisamment proches de zéro pour que la plupart des gens n'aient pas peur de conduire.
Chaque année, seulement 40 000 conducteurs meurent dans des épaves. Et la plupart d'entre eux sont «bouclés» - c'est la loi et la plupart des gens sont, malheureusement, servilement obéissants à la loi. Ainsi, le fait est que si les ceintures de sécurité peuvent sauver et sauvent probablement des vies, pour la plupart des conducteurs, elles ne sont pas pertinentes, une nuisance et un prétexte - si elles ne sont pas portées - pour mettre leur vie en danger. . . par des employés gouvernementaux armés, qui appliquent la loi.
Est-il donc surprenant que des centaines de millions de personnes soient désormais traitées comme des malades présumés - comme des malades présumés mortels ? Est-il surprenant qu'une telle politique injustifiable (par les faits) soit non seulement imposée à tous, mais exigée par beaucoup ?
Si cela ne sauve qu'une seule vie !
Peu importe combien de vies il ruine.
Certaines personnes sont plus vulnérables à la noyade - parce qu’elles ne savent pas nager. Est-ce que cela signifie «verrouiller» toutes les piscines aux extrémités profondes ? Des gilets de sauvetage obligatoires pour tout le monde ?
Cela pourrait sauver une vie - même si cela gâche la vie de tout le monde.
Y a-t-il un remède à cela. . . maladie de l'esprit ?
Oui - et ce n'est pas un vaccin. C'est tout simplement la ré-acceptation du risque faisant partie de la vie. Et le respect du droit de chaque être humain de peser les risques pour lui-même et de ne pas se voir imposer de frais par les autres, pour apaiser ses angoisses face au risque.
RépondreSupprimerUn retour à l'hygiène mentale et morale, en d'autres termes.
C'est soit ça, soit nous devenons tous des zeks dans le Goulag de Maladie.
https://www.ericpetersautos.com/2020/05/08/the-sickness-gulag/
«Nous devons prendre le pouvoir» : l'appel d'un Gilet jaune du Vaucluse pour le 11 mai
RépondreSupprimer10 mai 2020, 10:26
Après plusieurs publications du même acabit, le Gilet jaune Christophe Chalençon a posté sa «dernière» vidéo avant le 11 mai. Il y présente «un appel national pour monter à Paris» et d'autres actions visant, selon lui, à «prendre le pouvoir». Réitérant l'appel qu'il avait formulé via de récentes publications sur sa page Facebook, Christophe Chalençon, un Gilet jaune du Vaucluse particulièrement actif dès les premiers mois de la mobilisation, a posté le 9 mai ce qu'il a présenté comme sa «dernière vidéo avant lundi».
Le 11 mai est un jour pour lequel il lance «un appel national», suggérant aux uns de «monter à Paris», aux autres de «verrouiller toutes les préfectures et sous-préfectures» afin de «demander audience aux préfets». On verrouille le périphérique, à l'intérieur il y a des troupes Dans sa vidéo, Christophe Chalençon évoque «des appuis très puissants» dans son département, sans donner plus de détails.
Quant à l'opération visant la capitale, dont il décrit brièvement l'architecture, le Gilet jaune déclare par exemple : «Nous passerons par les [routes] départementales et nationales […] On verrouille le périphérique, à l'intérieur il y a des troupes, des citoyens libres qui agiront de l'intérieur.» Lire aussi «Continuez le combat» : le Gilet jaune boxeur s'explique avant de se rendre à la police (VIDEO) Trois généraux pour porter les fondations de la première démocratie En substance, le Vauclusien estime qu'il n'y a «pas d'autre alternative» que celle de «prendre le pouvoir». «Nous voulons mettre en place un gouvernement de transition, de salut public avec à la tête trois généraux pour porter les fondations de la première démocratie […]
Une nouvelle constitution sera mise en place», affirme-t-il, rappelant l'existence d'«un travail de construction sur 18 mois», probablement en référence à l'histoire du mouvement citoyen. Ce n'est pas la première fois que Christophe Chalençon suggère un renversement du pouvoir. En février 2019, il évoquait déjà la présence dans ses rangs de «paramilitaires prêts à faire tomber le gouvernement français».
Le nombre de vues des dernières vidéos de Christophe Chalençon s'est envolé et certains ont fait part de leur inquiétude quant au scénario présenté par l'activiste. Evoquant l'une des vidéos dans laquelle le Gilet jaune détaille son appel, le député LREM de la Loire, Jean-Michel Mis, en a appelé au Premier ministre et au ministère de l'Intérieur. «Il est temps d’agir […]
Les salariés du public et du privé qui ont permis, malgré la crise sanitaire sans précédent, au pays de tenir debout, les commerçants, artisans du pays, nos entrepreneurs, ne nous le pardonneraient pas», a ainsi commenté le député, en référence à la publication qui a cumulé près d'un demi-million de vues sur Twitter.
D'autres ne semblent pas prendre la vidéo au sérieux, à l'image de la section Officiers et Commissaires de police du Syndicat des cadres de la sécurité intérieure (SCSI), qui a ironisé sur Twitter au sujet des «terribles effets secondaires du confinement». Un militant qui avait déjà été entendu pour des propos contre Macron Comme l'a récemment rapporté le Dauphiné Libéré, Christophe Chalençon avait été entendu au commissariat d’Avignon, le 29 avril 2020, pour s’expliquer sur certaines de ses publications dans lesquelles il visait directement le président de la République, Emmanuel Macron.
RépondreSupprimerIl lui était reproché de vouloir «ouvrir le corps et le cœur» du chef de l’Etat «pour les éteindre à jamais», toujours selon le quotidien du Sud-Est. Le Gilet jaune avait alors défendu des images qui symboliseraient, selon lui, les clés du pouvoir, telles que l’Elysée ou l’Assemblée nationale. «On me reproche des métaphores», avait-il plaidé. Forgeron de profession, Christophe Chalençon avait, à l'instar d'autres Gilets jaunes, lancé son initiative politique, baptisée «L'Évolution citoyenne», à l'occasion des élections européennes, initiative qui n'avait pas fait l'unanimité au sein du mouvement.
https://francais.rt.com/france/74952-nous-devons-prendre-pouvoir-appel-gilet-jaune-vaucluse-11-mai
SupprimerPour la Première fois, il est enfin proposé LA Démocratie !
Après la Suisse (seul pays au monde en Démocratie), la France y parviendra t-elle ?
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(...) S'exprimant jeudi avec une poignée de journalistes, le président français écarte toute idée que la France s'inspire de la démocratie directe helvétique, «qui ne marche pas aussi bien qu'on le pense». (...)
https://huemaurice5.blogspot.com/2019/02/coin-du-feu-pour-macron-la-suisse-nest.html
Venezuela : le contrat ayant conduit à «l'invasion de mercenaires» révélé par le Washington Post
RépondreSupprimer9 mai 2020, 20:31
L'«invasion» d'une poignée de combattants au Venezuela serait le fruit d'un contrat signé entre des membres de l'opposition et la société Silvercorp. Le Washington Post a publié le document, qu'il affirme avoir obtenu de l'opposition. Des membres de l'opposition vénézuélienne très proches de Juan Guaido – le président autoproclamé du pays qui bénéficie du soutien des Occidentaux – ont négocié en octobre dernier un accord avec une petite société de sécurité de Floride, Silvercorp USA, pour qu'elle mène dans le pays une opération visant à chasser du pouvoir le président Nicolas Maduro.
Une information confirmée – et assumée – par l'un des signataires de ce contrat, Juan José Rendon, chef du comité stratégique de Guaido basé à Miami, qui a toutefois assuré qu'il n'avait pas donné suite à l'opération. Le Washington Post a publié ce 7 mai un document sous forme scannée qui reproduirait ce contrat expurgé de certaines parties, dans lequel est fait état d'un accord de près de 213 millions de dollars entre l'entreprise américaine et les signataires pour ce projet de renversement politique.
D'après le journal, les termes généraux de l'«accord de service» ont été rédigés par le directeur de Silvercorp, Jordan Goudreau, qui a publiquement revendiqué l'organisation de l'opération. «Ce document a été fourni par des responsables de l'opposition vénézuélienne à la condition que l'une des pièces jointes soit expurgée», précise le quotidien américain.
Lire aussi Pour Maduro, Trump est derrière la «tentative d'invasion» au Venezuela, Washington dément
Le document est on ne peut plus clair quant à la finalité de l'opération : les deux parties prenantes devaient collaborer dans «la planification et l'exécution d'une opération pour capturer / détenir / renverser Nicolas Maduro, renverser le régime actuel et installer le président reconnu Juan Guaido».
Un projet qui corrobore les aveux des deux Américains, Luke Denman et Airan Berry, arrêtés le 4 mai, qui ont expliqué, dans un interrogatoire vidéo dont des images ont été diffusées par la télévision publique vénézuélienne, qu'ils avaient été chargés par Silvercorp de prendre le contrôle de l'aéroport de la capitale, Caracas, dans le but d'en exfiltrer Nicolas Maduro.
Pour rappel, les autorités vénézuéliennes ont arrêté sur leur sol plus d'une douzaine de personnes depuis le 3 mai, dont deux ressortissants américains travaillant pour la société de sécurité Silvercorp USA, qu'elles accusent d'une opération d'incursion destinée à renverser Nicolas Maduro. Le président vénézuélien, dénonçant une «invasion de mercenaires», avait à cette occasion lui-même évoqué le contrat, accusant Juan Guaido d'en être partie prenante.
Si la signature de Juan Guaido n'apparaît pas dans le document publié par le Washington Post, Nicolas Maduro avait révélé un autre document en rapport avec ce contrat, sur lequel le président autoproclamé aurait apposé sa signature.
Patricia Poleo, une journaliste qui affiche pourtant son opposition au gouvernement vénézuélien et qui a été la première à interviewer Jordan Goudreau, dès le 4 mai, a d'ailleurs publié ce document, qui s'étend sur huit pages. En dépit de cette révélation, Juan Guaido nie toute implication dans cette affaire ainsi que tout lien avec Silvercorp. Paiement possible en baril de pétrole Le document de 41 pages publié par le Washington Post, dont RT France ne peut confirmer l'authenticité, détaille en outre de nombreux éléments tactiques – notamment le matériel militaire à utiliser – mais ne fournit aucune explication sur la manière dont un si petit commando pouvait envisager de venir à bout de centaines de milliers de membres des forces de sécurité loyales à Maduro.
RépondreSupprimerA cet égard, le vétéran Airan Berry avait déclaré dans ses aveux que les objectifs de la mission étaient également de contrôler des cibles spécifiques telles que le service de renseignement vénézuélien «Sebin» et le groupe de renseignement militaire «DGCIM», et de «récupérer» Maduro. Le contrat prévoit par ailleurs l'après-opération. Silvercorp propose en effet de trouver des investisseurs capables de prêter aux signataires la somme nécessaire pour financer le projet.
Un service qui a bien entendu un coût à long terme : «Après l'achèvement de ce projet, les investisseurs auront un statut de fournisseur privilégié avec le nouveau gouvernement au Venezuela». S'il n'est pas précisé ce qu'entend Silvercorp par ce statut de «fournisseur privilégié», l'entreprise américaine précise, un peu plus loin, qu'en cas d'insolvabilité, les signataires pourront toujours effectuer le payement... en barils de pétrole. Opération «suicide» ?
Juan Rendon, chef du comité stratégique de Guaido, dont la signature apparaît sur le document, a déclaré lors d'une interview à CNN le 6 mai qu'il avait négocié l'accord «exploratoire», mais qu'il avait rompu ses liens avec le directeur de Silvercorp, Jordan Goudreau, en novembre. Celui-ci aurait, selon Juan Rendon, tout de même donné suite à l'opération, envoyant les soldats en «mission suicide bâclée», sans le soutien de Juan Guaido. Lire aussi «Ils sont muets» : Nicolas Maduro assure que Washington ne répond plus au téléphone «Ils mentent», a de son côté déclaré Jordan Goudreau lors d'une conversation téléphonique avec Bloomberg le 4 mai .
«Je mène une guerre de l'information contre ceux qui m'ont engagé. Ils ont de l'argent aux Etats-Unis sur un compte Citgo, ils avaient l'argent pour me payer, mais ils ne m'ont pas payé», a-t-il expliqué. Citgo est la branche américaine de la compagnie pétrolière d'Etat vénézuélienne PDVSA. Nicolas Maduro et la justice vénézuélienne accusent donc Juan Guaido d'avoir recruté des «mercenaires» avec les fonds bloqués par des sanctions américaines pour fomenter cette opération avec Jordan Goudreau.
En outre, le procureur général du Venezuela, Tarek Saab, a déclaré le 8 mai que son bureau avait demandé des ordonnances de détention et d'extradition de l'ancien militaire américain Jordan Goudreau et de deux Vénézuéliens accusés d'avoir participé à l'incursion armée ratée au début de la semaine. Si je voulais aller au Venezuela, je n'en ferais pas un secret Pour comprendre les motivations de Jordan Goudreau à envoyer une poignée d'hommes, il faut peut-être se souvenir que le 26 mars, les Etats-Unis avaient offert une récompense pouvant atteindre 15 millions de dollars pour toute information permettant d'arrêter le président vénézuélien Nicolas Maduro.
Pour le président vénézuélien, la responsabilité du président américain ne fait aucun doute : «Donald Trump est le chef direct de cette invasion», a-t-il ouvertement accusé. Dans une réponse musclée formulée le 8 mai, Donald Trump a assuré que les Etats-Unis n'étaient pas derrière l'opération avortée au Venezuela, mais que s'il intervenait contre le gouvernement socialiste, il s'agirait bel et bien d'une «invasion». «Si je voulais aller au Venezuela, je n'en ferais pas un secret», a confié sur un ton belliqueux le président américain à la chaîne Fox News.
RépondreSupprimer«J'y entrerais et ils ne pourraient rien y faire. Ils s'écraseraient. Je n'enverrais pas un petit groupe, non, non, non. Ca s'appellerait une armée, ça s'appellerait une invasion», a insisté le locataire de la Maison Blanche, expliquant «ne pas savoir grand-chose» du groupe de personnes arrêtées. L'opposition vénézuélienne, qui est loin de se ranger comme un seul homme derrière Guaido, soutient encore moins cette opération paramilitaire. Le 7 mai, deux partis d'opposition, Primera Justicia et Voluntad popular, auxquels Guaido est affilié, ont déclaré dans un communiqué que «les forces démocratiques ne promeuvent ni ne financent des guérillas, des flambées de violence ou des groupes paramilitaires», tout en réitérant les appels à un gouvernement de transition.
Meriem Laribi
https://francais.rt.com/international/74944-venezuela-contrat-qui-a-conduit-invasion-mercenaires-revele-washington-post
Covid-19 — Le fer de lance pour la mise en place d'une « nouvelle ère » de VACCINS à haut risque, génétiquement MODIFIÉS
RépondreSupprimerChildren's Health Defense
Sott.net
dim., 10 mai 2020 16:08 UTC
Depuis des semaines, les têtes parlantes font la promotion du ou des vaccins qui sauveront le monde — c'est ce que proclament Bill Gates et Tony Fauci — dans ce que Gates a maintenant baptisé « Pandémie 1 » ; des vaccins dont les fabricants cherchent à s'exonérer de toute responsabilité quant aux risques qu'ils peuvent faire courir aux populations. Alors que Microsoft News colporte des histoires auto-élogieuses sur la réorientation des priorités de la Fondation Gates pour consacrer « une attention totale » à la pandémie, Fauci — qui fait le tour des talk-shows — promet qu'un vaccin sera disponible en janvier 2021. Pour ne pas être en reste, la Maison Blanche a maintenant dévoilé l'« Opération Warp Speed » — un effort conjoint des secteurs pharmaceutique, gouvernemental et militaire visant à « considérablement réduire le temps nécessaire au développement d'un vaccin » — et le Président Trump en promet un d'ici la fin de l'année.
Vaccination planétaire contre le Covid-19L'idée d'une vaccination planétaire contre le Covid-19 — l'objectif déclaré qui fait saliver par anticipation tous ses acteurs — néglige un certain nombre d'obstacles irréfutables. Tout d'abord, le virus à ARN visé, le SRAS-CoV-2, a déjà « muté en au moins trente variantes génétiques différentes ». Parmi ces variantes, on en compte dix-neuf qui sont inédites ainsi que « de rares changements que les scientifiques n'avaient jamais imaginé pouvoir se produire ». La connaissance de ces mutations peut s'avérer utile aux cliniciens désireux de mieux adapter leurs traitements contre le Covid-19, mais la prolifération des mutations rend les chances de développer un vaccin efficace immensément plus incertaines.
Il n'y a pas lieu de s'inquiéter, disent les entités financées par Gates — et aussi le Pentagone. Les scientifiques qui travaillent dans le domaine florissant de la biologie synthétique sont convaincus qu'ils peuvent « supplanter » et surpasser la Nature en utilisant les technologies de vaccination de nouvelle génération telles que le transfert de gènes et les nanoparticules auto-assemblées — ainsi que les nouveaux mécanismes invasifs d'administration de vaccins et de gestion de données tels que les tatouages à points quantiques lisibles par smartphone. Est-ce important si les chercheurs ayant expérimenté ces approches n'ont jamais réussi à surmonter les « dangereux effets secondaires » ? Apparemment pas. Grâce à la générosité de M. Gates et au financement militaire, la planification du vaccin contre le Covid-19, qui suscite un vif intérêt, progresse rapidement.
Les scientifiques ont réitéré ce point : le principal obstacle pour la plupart des vaccins contre les virus émergents n'est pas l'efficacité des approches conventionnelles mais la nécessité d'un développement plus rapide et d'un déploiement à grande échelle.
La rapidité, pas la sécurité
Du point de vue de la production, les fabricants de vaccins — et en particulier ceux qui fabriquent des vaccins viraux — s'irritent depuis longtemps des limites inhérentes aux technologies traditionnelles, qui reposent sur des processus qui impliquent nécessairement « un délai considérable entre la production d'antigènes et la livraison du vaccin ». Les chercheurs ont à nouveau réitéré ce point en 2018, en écrivant dans Nature Reviews Drug Discovery que « le principal obstacle pour la plupart des vaccins anti-virus émergents ne réside pas dans l'efficacité des approches classiques mais dans la nécessité de les développer plus rapidement et de les déployer à grande échelle ».
Dans les années 1980, les fabricants ont été ravis lorsque les scientifiques ont mis au point de nouvelles techniques de génie génétique par la technologie de l'ADN recombinant qui — grâce à l'utilisation de « systèmes d'expression » comme les bactéries, les levures, les cellules d'insectes, les cellules de mammifères ou de plantes comme le tabac — ont permis de relancer la production de vaccins et de produire des vaccins dits « sous-unités » [ou conjugués - NdT]. Le premier vaccin pour lequel cette approche « entièrement nouvelle » de production de vaccins fut utilisée est le vaccin contre l'hépatite B, et un certain nombre de vaccins contre le Covid-19 actuellement en cours de développement utilisent ces mêmes techniques. Cependant, il existe un facteur de complication pour ces vaccins sous-unités : ils doivent être associés à des adjuvants « immunologiques » qui ont tendance à déclencher une réponse immunitaire déséquilibrée.
RépondreSupprimerDésireux de rationaliser encore davantage la technologie vaccinale et de permettre la constitution de stocks de vaccins dans un délai encore plus court, les scientifiques ont commencé à bricoler au milieu des années 1990 des vaccins à base d'acide nucléique, qui comprennent des vaccins à ADN et des vaccins à ARN messager (ARNm). En tant que forme de thérapie génique, ces deux types de vaccins représentent une différence importante par rapport aux vaccins classiques.
-- Commentaire : C'est là que se trouve la distinction cruciale à faire lorsque l'on accuse les experts dissidents d'être « anti-vaccination ». Ils ne sont pas contre les vaccins en tant que tels, mais contre la direction terrifiante qu'ont pris le développement et la production de vaccins. Pour en savoir plus, lisez ce qui suit... --
Alors que les vaccins classiques introduisent un antigène vaccinal pour produire une réponse immunitaire, les vaccins à acide nucléique envoient au contraire à l'organisme des instructions pour produire l'antigène lui-même. Comme l'explique un scientifique, les acides nucléiques « amènent les cellules à fabriquer des morceaux du virus », l'objectif étant que le système immunitaire « déclenche ensuite une réponse à ces morceaux du virus ».
L'illustration montre la principale différence entre l'ARNm et la thérapie génique de l'ADN. Pour que l'ARNm fonctionne, il suffit de le délivrer au cytoplasme, tandis que la délivrance de l'ADN nécessite une étape supplémentaire, mais difficile, qui passe par le noyau. La différence entre les deux est importante tant pour l'efficacité que pour la sécurité.
Les scientifiques ont rapidement compris que les vaccins à ADN et à ARNm présentent tous deux de sérieux inconvénients, et c'est la raison pour laquelle ce type de vaccin n'a jamais été homologué. Néanmoins, près d'un quart (20/83) des vaccins répertoriés, au 23 avril, par l'Organisation mondiale de la santé comme « vaccins candidats » dans la lutte contre le Covid-19, dont deux des principaux prétendants sont des vaccins à ADN (Inovio) ou à ARNm (Moderna) — voir le tableau à la fin de l'article.
Les vaccins à ADN
RépondreSupprimerLes vaccins à ADN sont destinés à pénétrer jusqu'au noyau d'une cellule. Selon un scientifique en biotechnologie,
« C'est une tâche incroyablement difficile étant donné que les noyaux de nos cellules ont évolué pour empêcher tout ADN étranger d'y pénétrer — pensez aux virus ! »
Il n'est donc pas surprenant que lorsque certains vaccins à ADN ont fait l'objet d'essais cliniques à la fin des années 2000, ils se définissaient par une « puissance sous-optimale ». Les scientifiques ont alors eu l'idée de résoudre ce problème en augmentant l'administration du vaccin par « électroporation » — des chocs électriques appliqués à l'aide d'un « dispositif intelligent » [appelé électroporateur - NdT] dans la zone où le vaccin est injecté pour rendre les membranes cellulaires plus perméables et forcer l'ADN à pénétrer dans les cellules. [L'application d'impulsions de champ électrique permet à l'ADN présent dans l'espace extracellulaire de rentrer dans les cellules en migrant vers le pôle positif de la charge, étant lui-même chargé négativement - NdT]. Les améliorations obtenues dans l'efficacité du vaccin ont été suffisamment importantes pour que l'électroporation reste aujourd'hui une caractéristique clé de la conception de certains candidats vaccins dans la lutte contre le Covid-19, y compris le vaccin Moderna qui passe maintenant à la phase 2 des essais cliniques.
Un deuxième aspect des vaccins à ADN leurs propriétés de modification génétique — est encore plus troublant et reste sans réponse. Par définition, les vaccins à ADN comportent le risque d'« intégrer de l'ADN exogène dans le génome de l'hôte, ce qui peut provoquer une mutagenèse grave et induire de nouvelles maladies ». En termes plus compréhensibles, « la perturbation causé par l'ADN est comparable à l'insertion d'un ingrédient étranger dans une recette de cuisine existante, susceptible de modifier le plat qui en résulte ». L'incorporation permanente de gènes synthétiques dans l'ADN du receveur produit essentiellement un être humain génétiquement modifié, avec des effets à long terme inconnus. En parlant de la thérapie génique de l'ADN, un chercheur a déclaré : « Les intégrations génétiques utilisant des thérapies géniques virales... peuvent avoir un effet dévastateur si l'intégration est placée au mauvais endroit dans le génome ». Au sujet des vaccins à ADN en particulier, le Harvard College Global Health Review donne des précisions :
« Puisque le vaccin stimule continuellement le système immunitaire afin qu'il produise des anticorps, les effets secondaires potentiels pourraient inclure une inflammation chronique. D'autres préoccupations concernent l'intégration possible de l'ADN plasmidique dans le génome de l'hôte, ce qui entraînerait des mutations, des problèmes de réplication de l'ADN, le déclenchement de réponses auto-immunes et l'activation de gènes cancérigènes. »
Les vaccins à ARNm
Parce qu'ils sont « particulièrement adaptés à un développement rapide », il n'est peut-être pas surprenant que les vaccins à ARNm attirent l'attention en tant que « précurseurs dans la lutte contre le Covid-19 ». Les vaccins à ARNm peuvent apparemment générer un gain de temps qui se compterait « en mois ou en années dans le cadre de la standardisation et de l'accélération... d'une production de masse ». En s'arrangeant pour rendre bénéfique une chose qui ne l'est pas, les initiés déclarent avec désinvolture que « bien qu'aucun vaccin à ARNm n'ait jamais été homologué, la menace d'une pandémie constitue une formidable motivation pour accélérer leur progression ».
Les entreprises sont séduites par l'approche de l'ARNm en dépit des observations selon lesquelles les grandes molécules d'ARNm sont « intrinsèquement instables », « sujettes à la dégradation » et susceptibles de sur-activer le système immunitaire. D'un autre côté, et du point de vue des scientifiques, les vaccins à ARNm ne devraient atteindre que le cytoplasme de la cellule plutôt que son noyau — un « défi technique plus simple » en apparence — bien que l'approche exige encore « des technologies de distribution capables d'assurer la stabilisation de l'ARNm dans des conditions physiologiques ». Des formulations telles que celles qui composent le vaccin ARNm-1273 de Moderna relèvent ces défis en utilisant « des modifications chimiques pour stabiliser l'ARNm » et des nanoparticules liquides pour « l'emballer sous une forme injectable ».
RépondreSupprimerLes approches ARNm semblent attirer les scientifiques pourvus d'une vision très mécaniste de l'être humain. L'une de ces personnes fait l'éloge de l'ARNm pour son « inhérente capacité de programmation », en déclarant : « Tout comme un ordinateur [système d'exploitation], la thérapie par ARNm peut reprogrammer [un] corps pour qu'il produise ses propres thérapies » [mis en gras dans le texte original]. Les approches ARNm — qui utilisent des brins d'ARNm « sur mesure » pour « transformer les cellules du corps en usines à médicaments ad hoc » — sont comparés par le PDG de Moderna à « un logiciel : il suffit de tourner la manivelle et de mettre au point toute une kyrielle de produits ». De même, la revue Nature — qui commente la technologie de l'ARNm « d'un point de vue biotechnologique et industriel » — s'enthousiasme du fait que cette approche « permet un peaufinage rapide avec des combinaisons dérivées presque illimitées ».
Les scientifiques en charge de la recherche sur les vaccins qui connaissent bien les vaccins à ADN et à ARNm mettent en valeur la fiabilité des vaccins à ARNm, en arguant qu'ils n'ont pas besoin de pénétrer dans le noyau de la cellule. Cependant, après des années d'expérimentation de vaccins à ARNm, aucun de ces scientifiques n'a encore obtenu la moindre autorisation d'exploitation. Pourquoi ? Une des réponses possibles à cette question serait que les études pré-cliniques sur les vaccins à ARNm ont révélé une composante inflammatoire « intrinsèque » qui ne permet pas vraiment d'établir un « profil risque/bénéfice acceptable ». Les partisans de l'ARNm admettent qu'il n'existe à ce jour aucune compréhension adéquate de l'inflammation et des réactions auto-immunes qui peuvent en résulter. Cela soulève de nombreuses questions quant aux conséquences d'une décision des autorités réglementaires à même d'exaucer le souhait des fabricants de vaccins à ARNm dans la lutte contre le Covid-19 à disposer « d'un processus accéléré permettant aux vaccins à ARNm d'être administrés le plus vite possible ».
La course aux profits
Le « piratage » de la quasi-totalité des activités économiques, sociales, artistiques et religieuses par le SARS-CoV-2 est inquiétant à bien des égards, notamment parce qu'il témoigne d'une acceptation aveugle de la propagande officielle servie à un public qui aspire à des « remèdes miracles ». Comme l'a déclaré un scientifique qui travaille à la recherche de vaccins à l'Institut Karolinska de Suède :
« Lorsque la Chine a mis en quarantaine toute une mégapole en janvier, les gens ont dit « seule la Chine peut faire ça ». Ensuite, nous avons vu des mesures aussi drastiques dans plusieurs pays démocratiques. Je pense que cela en dit long sur notre confiance dans les solutions médicales. Aujourd'hui, nous espérons pouvoir développer des médicaments et des vaccins contre différentes maladies comme jamais auparavant. »
RépondreSupprimerL'empressement à développer des vaccins contre le Covid-19 qui altèrent les gènes accélère également la fusion entre les secteurs pharmaceutique et biotechnologique. Le lucratif secteur biopharmaceutique est désormais le segment de l'industrie pharmaceutique mondiale qui connaît la croissance la plus rapide, qui représente actuellement 20 % du marché mondial et qui affiche un taux de croissance annuel plus de deux fois supérieur à celui de l'industrie pharmaceutique conventionnelle. Et les vaccins contre le Covid-19 contribuent à sauver les résultats financiers chancelants de certaines entreprises biopharmaceutiques. En 2017, par exemple, Moderna s'efforçait de « tenir son impétueuse promesse de réinventer la médecine » après qu'une thérapie expérimentale sur laquelle elle comptait se soit révélée trop dangereuse pour être testée sur l'homme. Avance rapide jusqu'en 2020, où « les mauvaises nouvelles concernant le coronavirus sont de bonnes nouvelles pour les actions de Moderna ». D'autres sociétés biopharmaceutiques, qui étaient auparavant sur le déclin, sont également sur le point de réaliser des bénéfices records avec le Covid-19.
Alors que la biopharmacie poursuit sa course effrénée — et que l'éthique médicale soit damnée — pour obtenir une immense source de profits grâce au Covid-19, le public doit jeter un regard critique sur les mesures de dissuasion utilisées par l'industrie pharmaceutique pour « garantir la salubrité de ses produits » et devrait fermement s'opposer à la perspective effrayante d'un vaccin obligatoire contre le coronavirus. Si le public ne prend pas garde, il est probable que les vaccins génétiquement modifiés pour lutter contre le Covid-19 altéreront les gènes de façon permanente, déclencheront une auto-immunité et serviront de catalyseur pour d'autres préjudices ou décès dus au vaccin, et — sans que la responsabilité juridique ne soit engagée — il est également probable qu'aucun des acteurs commerciaux ou gouvernementaux responsables ne s'en souciera.
vaccines covid-19 big pharma
Liste des vaccins répertoriés, au 23 avril, par l'Organisation mondiale de la santé comme « vaccins candidats » dans la lutte contre le Covid-19
Source de l'article initialement publié en anglais le 7 mai 2020 : Children's Health Defense
Traduction : Sott.net
-- Commentaire : Voir aussi :
Coronavirus : les clés pour reconnaître une opération mondialiste
Covid-19, pots-de-vin et corruption — Le cartel criminel Big-Pharma supervise le nouveau vaccin
Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur : « On ne sait pas comment marchent les vaccins »
Vaccination : 30 ans de mensonges
Le talentueux docteur Fauci
Nouvel ordre mondial - Bill Gates annonce le programme : « Vacciner la planète entière » --
https://fr.sott.net/article/35577-Covid-19-Le-fer-de-lance-pour-la-mise-en-place-d-une-nouvelle-ere-de-VACCINS-a-haut-risque-genetiquement-MODIFIES
Le prochain vaccintue sera sans contestation !
SupprimerComment Rockefeller a fondé la médecine moderne et tué les remèdes naturels
RépondreSupprimerChris Kanthan
Sott.net
dim., 10 mai 2020 15:46 UTC
De nos jours, la plupart des gens vous regardent comme un fou si vous parlez des propriétés curatives des plantes ou de toute autre pratique holistique. Comme pour toute autre chose, notre système médical moderne est soutenu par beaucoup de politique et d'argent.
Rockfeller: "Je ne veux pas des penseurs, mais des travailleurs"
Tout commence avec John D. Rockefeller (1839 - 1937), magnat du pétrole, industriel véreux, premier milliardaire américain et monopoliste né. Au tournant du XXe siècle, il contrôlait 90 % de toutes les raffineries de pétrole aux États-Unis par l'intermédiaire de sa compagnie pétrolière, Standard Oil, qui a ensuite été démantelée pour devenir Chevron, Exxon, Mobil, etc.
Au même moment, vers 1900, les scientifiques découvraient la "pétrochimie" et la possibilité de créer toutes sortes de d'ersatz dérivés du pétrole. Par exemple, le premier plastique — appelé bakélite — fut fabriqué à partir du pétrole en 1907. Les scientifiques découvraient également à cette époque diverses vitamines et pressentaient que de nombreux médicaments pharmaceutiques pouvaient être fabriqués à partir du pétrole. Ce fut une merveilleuse opportunité pour Rockefeller qui découvrit rapidement qu'il était possible de monopoliser à la fois les industries pétrolière, chimique et médicale !
Le plus grand avantage de la pétrochimie fut de pouvoir tout breveter et vendre en réalisant des profits élevés.
Mais le plan de Rockefeller pour l'industrie médicale posait un problème : les médicaments naturels/à base de plantes étaient cette époque très populaires aux États-Unis. Près de la moitié des médecins y pratiquaient une médecine holistique, utilisant les connaissances de l'Europe et des Amérindiens qui étaient enseignés dans les facultés de médecine des États-Unis.
Rockefeller, le monopoliste, devait trouver un moyen de se débarrasser de son plus grand concurrent. Il a donc utilisé la stratégie classique de « problème-réaction-solution ». C'est-à-dire, créer un problème et effrayer les gens, puis proposer une solution — pré-planifiée. Ce fut en cela semblable à la peur du terrorisme qui fut suivie du « Patriot Act ».
-- Commentaire : Et semblable à ce qui se produit actuellement avec le Covid-19 et la nécessité d'accepter sans broncher de porter un masque, d'accepter « avec joie » l'établissement d'une surveillance de masse grâce à la 5G, d'être « avec soulagement » tous vaccinés et d'être probablement « pucé » sans même le savoir. --
Il est allé voir son ami Andrew Carnegie — un autre ploutocrate tirant d'immenses revenus par son monopole de l'industrie de l'acier — qui a mis au point un stratagème. Ils ont alors envoyé un homme nommé Abraham Flexner issu de la prestigieuse Fondation Carnegie, dont la mission était de parcourir le pays et d'établir un rapport sur le statut des facultés de médecine et des hôpitaux situés aux quatre coins du pays.
Cette mission a produit le rapport Flexner dont découle la médecine moderne telle que nous la connaissons. Il va sans dire que le rapport évoquait la nécessité de réorganiser et de centraliser les institutions médicales. Sur la base de ce rapport, plus de la moitié des facultés de médecine ont rapidement été fermées. L'homéopathie et les médecines naturelles ont été bafouées et diabolisées, et des médecins ont même été emprisonnés.
RépondreSupprimerPour faciliter la transition et faire changer d'avis les autres médecins et scientifiques, Rockefeller a donné plus de 100 millions de dollars aux universités et aux hôpitaux, et a fondé un groupe de façade philanthropique appelé « Conseil général de l'éducation » [General Education Board - NdT]. C'est l'approche classique de la carotte et du bâton.
En très peu de temps, les facultés de médecine ont toutes été restructurées et homogénéisées. Tous les étudiants apprenaient la même chose, et la médecine consistait à utiliser des médicaments brevetés.
Les scientifiques recevaient d'énormes subventions pour étudier comment les plantes guérissaient les maladies, mais leur but était d'abord d'identifier les substances chimiques efficaces contenues dans la plante, puis de recréer en laboratoire une substance chimique similaire — mais pas identique — une substance qui pourrait bien sûr être brevetée.
Une pilule pour un malade est devenue le mantra de la médecine moderne.
Et vous pensiez que les frères Koch étaient mauvais ?
-- Note du traducteur : Toutefois :
« La philanthropie de Rockefeller s'appuie de façon permanente sur des états des lieux, des enquêtes (état sanitaire des populations), des évaluations de la qualité des enseignements, des formations puis des programmes. Ce fut à la suite d'enquêtes (1910 et 1912) ordonnées par l'autre grande fondation, la « Carnegie », sur l'enseignement de la médecine aux États-Unis et en Europe (Allemagne, France, Grande-Bretagne) que le « mécène utilitariste », John Davison Rockefeller, magnat du pétrole, mena des réflexions qui furent à l'origine de la création de l'institut de recherche médical du même nom. L'opposition de l'opinion publique américaine aux pratiques des « barons voleurs » fut si vive que l'empire pétrolier de Rockefeller fut démantelé en 1911. Aussi, pour s'amender, J. D. Rockefeller créa, en 1913, la fondation dont il est ici question et y intégra l'institut.
En France, tout comme en Grande-Bretagne, l'hôpital était le lieu privilégié de l'enseignement clinique. L'Allemagne, comme dans d'autres secteurs scientifiques sut associer la méthode analytique, privilégier l'enseignement dans les facultés des sciences, soutint la recherche en laboratoire. C'est dans ce pays, le premier à avoir considéré la recherche comme une affaire d'État, qu'est née la médecine moderne alliant observation clinique et recherche scientifique. Les Rockefeller surent toujours s'entourer de conseillers avisés, utilisèrent le principe des enquêteurs pour s'informer en permanence de ce qui prévalait sur le vieux continent, mais aussi dans le reste du monde à mesure que le temps passait.
Et l'on retrouve, ici, la façon dont les Américains, qu'il s'agisse de science, de technique ou d'industrie, sont venus étudier avec profit en Europe au cours du XIXe siècle pour créer chez eux universités, instituts, centres de recherche médicaux et industriels. Ainsi l'Institut de recherche médical Rockefeller s'inspire directement de l'Institut Pasteur et de l'Institut Koch à Berlin. Certaines universités américaines bénéficièrent ou furent créées grâce aux philanthropes en s'inspirant du modèle européen. »
RépondreSupprimer~ Source : La Revue pour l'histoire du CNRS --
Aujourd'hui, cent ans plus tard, nous produisons à la chaîne des médecins complètement ignorants des bienfaits de la nutrition, des herbes médicinales ou de toute autre pratique holistique, et nous nous retrouvons avec une société entière dont le bien-être est esclave des multinationales.
La nation des États-Unis dépense 15 % de son PIB en soins de santé, que nous devrions en réalité appeler « soins aux malades ». Puisque ces soins se concentrent uniquement sur les symptômes et non sur la guérison des patients, ces derniers deviennent des patients/clients perpétuels. Il n'existe pas de remède contre le cancer, le diabète, l'autisme, l'asthme ou même la grippe.
-- Commentaire : Encore que le régime cétogène pourrait bien être une possible réponse, notamment pour le cancer, dont les cellules se nourrissent de glucides :
Gary Taubes : les recommandations nutritionnelles rendent les gens malades
Cancer et études frauduleuses
La (malfaisante) industrie du cancer dévoilée par des médecins
Un lien évident entre le sucre et le cancer
Le régime cétogène pourrait être la clé pour guérir du cancer
Cancer du cerveau : guérir grâce au régime cétogène --
Pourquoi y aurait-il de véritables remèdes ? C'est un système fondé par des oligarques et des ploutocrates, pas par des médecins.
Quant au cancer, Oh ! oui, l'American Cancer Society a été fondée par nul autre que Rockefeller en 1913.
-- Note du traducteur : En voici une petite définition :
« L'American Cancer Society a débuté sous le nom de American Society for the Control of Cancer en 1913 [Organize to Fight Cancer, New York Times, 10 juin 1913]. Depuis lors, elle est devenue le « veau d'or » des organisations caritatives et ses efforts pour rechercher et diffuser les causes et fournir des fonds pour trouver un remède se sont égarés. Aujourd'hui, il semblerait que son travail consiste à amasser beaucoup d'argent, en protégeant ses partisans, et comme l'ont demandé de nombreux critiques, pourquoi voudraient-ils mettre un terme à cette activité lucrative en plein essor ?
Pourquoi tuer la poule aux œufs d'or ? »
~ Source : Wellness Journeys
Voir aussi : La Fondation Rockefeller et le programme international pour la santé ou l'ancêtre des fondements de l'OMS --
Article initialement publié en anglais le 20 octobre 2015
https://fr.sott.net/article/35573-Comment-Rockefeller-a-fonde-la-medecine-moderne-et-tue-les-remedes-naturels
Quand Sibeth Ndiaye arrange à sa convenance les recommandations de l’OMS – vidéo
RépondreSupprimer12:30 11.05.2020
La porte-parole du gouvernement a tenté de se défendre sur le recours jugé trop faible et tardif aux tests de dépistage du coronavirus en France, mais s’est montrée très approximative. Selon elle, les recommandations de l’OMS à ce sujet datent du mois d’avril, alors que celles-ci remontent au 16 mars.
Invitée dimanche sur le plateau de BFM TV, Sibeth Ndiaye a été interrogée sur la question des tests, sur laquelle la France s’est montrée particulièrement à la traîne, notamment en comparaison avec l’Allemagne. La porte-parole, à l’instar du gouvernement qu’elle défend, s’est retranchée derrière les recommandations de l’OMS, avec une erreur de calendrier qui va curieusement dans son sens.
«Je me permets d’apporter une petite correction», a-t-elle coupé alors qu’Apolline de Malherbe évoquait un problème de moyens de l’État en matière de masques et de tests.
«L’OMS a commencé à dire qu’il fallait tester de manière massive quelque part, de mémoire, au mois d’avril». «Nous avons dès lors augmenté notre capacité de tests», a-t-elle affirmé.
Sauf que sa mémoire lui a joué des tours. L’OMS recommandait de «tester chaque cas suspect» dès le 16 mars. «Nous avons un message simple pour tous les pays: testez, testez, testez», avait insisté Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’organisation, lors de son discours depuis Genève. En cette période, la France était encore bien loin d’annoncer des dépistages massifs de sa population.
Pas de «consensus scientifique» sur le port du masque
Sibeth Ndiaye avait déjà détourné les consignes de l’OMS pour justifier la décision de l’exécutif de ne pas rendre obligatoire l’usage du masque. Le 9 avril, elle avait ainsi déclaré «qu’il n’y avait pas de consensus scientifique en la matière». Dans un même temps, l’Académie de médecine recommandait l’obligation d’en porter à chaque sortie, à la fois pendant et après le confinement.
Elle avait ensuite assuré que l’OMS «ne recommande pas le port du masque dans la population de manière générale». Le service Checknews de Libération avait alors démontré que l’organisation défendait bien son usage «en complément des actions prioritaires liées à l’hygiène et à la distanciation sociale».
La représentante s’est justifiée dimanche à ce propos, assurant que «le consensus scientifique a évolué sur la question» et que le gouvernement a toujours adapté ses décisions «sur une base rationnelle et scientifique». «Il n’y avait pas de raisons que nous allions plus loin que le consensus scientifique», a-t-elle ajouté.
https://fr.sputniknews.com/france/202005111043759598-quand-sibeth-ndiaye-arrange-a-sa-convenance-les-recommandations-de-loms--video/
Après les critiques infondées sur la Chine et la 'fabrication d'un virus en laboratoire' ! Whôah ! et, le départ du virus à Huwan (alors qu'il n'y est apparu qu'en Novembre et en Italie (Lombardie) en Octobre), Il n'y avait PAS DE MASQUE (FFP2).
SupprimerLes Américains (critiqueurs) ont dû payé 3 fois le prix pour les avoir. D'où, la pénurie de masque anti-virus (FFP2) en France et l'apparition de remplaçant (toile de jeans noir) porté par le chef de l'État dans une école de tout petits !
Une biologiste explique les faux résultats négatifs de certains tests de dépistage du Covid-19
RépondreSupprimer12:23 11.05.2020
Les tests de dépistage du coronavirus et des anticorps associés peuvent être trompeurs et révéler de faux résultats négatifs à tous les stades de la maladie. Ancha Baranova, docteur en sciences biologiques, a fourni des explications à Sputnik.
Ancha Baranova, docteur en sciences biologiques, professeur du School of Systems Biology de l’Université de George Mason, a expliqué le 11 mai à Sputnik pourquoi des tests de dépistage du Covid-19 et des anticorps peuvent donner un faux résultat négatif.
Au premier stade, même en l'absence de symptômes de la maladie, le virus se reproduit et la personne contaminée est porteuse de l’infection.
«Environ 40% des personnes contractent le virus via des porteurs asymptomatiques (Se dit d’un trouble ou d’une maladie qui est dépourvue de tout symptôme). Après la première étape, l'étape où les symptômes sont visibles commence. Néanmoins, pour certaines personnes, la maladie ne dépasse pas la première étape», a-t-elle déclaré.
Selon la biologiste, à ce stade, la destruction du virus se produit grâce à des interférons, qui créent le système de défense naturel du corps. Ce dernier est capable de vaincre le virus sans produire d'anticorps, en conséquence, un test d'anticorps chez une personne contaminée peut être négatif.
Ce qu’il se passe à la deuxième phase
Pendant la deuxième phase, des symptômes apparaissent: température et toux, puis essoufflement. À ce stade, le virus continue de se reproduire et là, il est recommandé d’utiliser des médicaments antiviraux prévus par le traitement du Covid-19. En outre, le corps déclenche une protection supplémentaire. Vers le milieu de la deuxième étape, il commence à produire des anticorps.
«Une personne peut également rester au deuxième stade, et la maladie ne se transformera pas en une forme plus aiguë. À ce stade, le virus peut être vaincu par des anticorps. Dans le pire des cas, la maladie ne s'arrêtera pas parce que l'inflammation est toujours en cours, avec une pneumonie mais à cause d'autres facteurs. Une telle situation peut conduire à un test négatif. Vient par la suite la prochaine étape, elle est encore plus difficile. Je répète, à ce stade, le virus peut être à l'intérieur d'une personne, ou peut ne déjà plus y être», a ajouté Mme Baranova.
Risque d’une inflammation incontrôlée
La spécialiste a également détaillé ce qu’il se passe au troisième stade: un choc cytokinique peut se produire (une inflammation incontrôlée qui endommage les tissus du corps). Le plus souvent, à ce stade, une personne est hospitalisée et il est nécessaire de la connecter à un respirateur artificiel.
«Pendant la troisième étape, le virus se reproduit assez faiblement et la résistance du corps humain devient le facteur le plus important de la récupération», a résumé Mme Baranova.
https://fr.sputniknews.com/sante/202005111043759578-une-biologiste-explique-les-faux-resultats-negatifs-de-certains-tests-de-depistage-du-covid-19/
L'appel de Poutine pour un nouveau système et la bataille de Bretton Woods en 1944: leçons pour le jour de la victoire
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 05/11/2020 - 00:00
Écrit par Matthew Ehret via le blog The Saker,
Alors que le monde d'aujourd'hui vacille au bord d'un effondrement financier plus important que tout ce que le monde a connu à Weimar en 1923 ou dans la Grande Dépression de 1929, les dirigeants de la Russie et de la Chine ont entamé une discussion sérieuse sur les termes du nouveau système qui doit inévitablement remplacer l'ordre néolibéral en voie de disparition. Plus récemment, Vladimir Poutine a relancé son appel le 16 janvier 2020 pour une nouvelle conférence économique d'urgence pour faire face à la catastrophe imminente sur la base d'une session en direct avec des représentants des cinq puissances nucléaires du Conseil de sécurité des Nations Unies.
Alors que l'engagement de Poutine pour ce nouveau système repose sur des principes multipolaires de coopération et de respect de la souveraineté nationale, l'oligarchie financière et les structures étatiques profondes plus larges infestant les nations occidentales qui ont déclenché cette crise au cours de décennies de mondialisation ont appelé à leur propre version d'un nouveau système.
Ce nouveau système, comme nous l'avons vu promu par des personnalités comme la Banque d'Angleterre et les principaux technocrates au cours de l'année écoulée, est basé sur un système unipolaire anti-nation qui s'appelle généralement «Green New Deal». En d'autres termes, il s'agit d'un système dirigé par une élite technocratique gérant la réduction de la population mondiale grâce à la monétisation des pratiques de réduction du carbone sous un gouvernement mondial.
Peu importe comment vous le voyez, un nouveau système sera créé à partir des cendres de l'ordre mondial actuellement en train de mourir. La question est seulement: cela bénéficiera-t-il à l'oligarchie ou au peuple ?
Afin d'éclairer la prise de décision nécessaire à cette conférence d'urgence, il est utile de revoir la dernière conférence d'urgence de ce type qui a défini les termes d'une architecture économique mondiale en juillet 1944 afin que des erreurs similaires qui ont ensuite été commises par les forces anti-impérialistes soient pas encore fait.
Qu'est-ce que le Bretton Woods ?
Alors qu'il devenait évident que la guerre allait bientôt prendre fin, un combat majeur a éclaté lors d'une conférence de deux semaines à Bretton Woods, dans le New Hampshire, où un représentant de 44 nations s'est réuni pour établir les termes du nouveau système d'après-guerre. La question était: ce nouveau système serait-il régi par des principes impériaux britanniques similaires à ceux qui dominaient le monde avant le début de la guerre ou serait-il façonné par une communauté d'États-nations souverains ?
D'un côté, des personnalités alliées à la vision du président américain Franklin Delano Roosevelt pour un ordre mondial anti-impérial se sont alignées derrière le champion du FDR, Harry Dexter White, tandis que ces forces puissantes se sont engagées à maintenir les structures de la dictature des banquiers (la Grande-Bretagne a toujours été principalement un banquier empire) alignés derrière la figure de John Maynard Keynes.
John Maynard Keynes était l'un des principaux contrôleurs de la Fabian Society et trésorier de la British Eugenics Association (qui a servi de modèle pour les protocoles eugéniques d'Hitler avant et pendant la guerre). Au cours de la conférence de Bretton Woods, Keynes a fortement insisté pour que le nouveau système soit fondé sur une monnaie mondiale entièrement contrôlée par la Banque d'Angleterre connue sous le nom de Bancor. Il a proposé qu'une banque mondiale appelée Clearing Union soit contrôlée par la Banque d'Angleterre qui utiliserait le Bancor (échangeable avec les monnaies nationales) et servirait d'unité de compte pour mesurer les excédents ou les déficits commerciaux dans le cadre du mandat mathématique de maintenir «l'équilibre» des le système.
RépondreSupprimerHarry Dexter White, d'autre part, a lutté sans relâche pour garder la ville de Londres hors du siège des pilotes de la finance mondiale et a plutôt défendu l'institution de la souveraineté nationale et des monnaies souveraines sur la base d'une croissance scientifique et technologique à long terme. Bien que White et FDR aient exigé que les dollars américains deviennent la monnaie de réserve dans le nouveau système mondial de taux de change fixes, cela n'a pas été fait pour créer un «nouvel empire américain» comme la plupart des analystes modernes l'ont supposé, mais a plutôt été conçu pour utiliser le statut américain comme la puissance mondiale productive la plus forte pour assurer une stabilité anti-spéculative parmi les monnaies internationales qui manquaient totalement de stabilité au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.
Leur combat pour des taux de change fixes et des principes de «prix de parité» ont été conçus par FDR et White strictement autour de la nécessité d'abolir les formes de flux chaotiques des marchés non réglementés qui ont fait la spéculation rampante sous le libre-échange britannique et détruit la capacité de penser et planifier le type de développement à long terme nécessaire pour moderniser les États-nations. Il ne s'agissait pas pour eux d'un «équilibre mathématique», mais plutôt d'un «élimination de la pauvreté» grâce à une VRAIE croissance économique physique des colonies qui gagneraient ainsi une véritable indépendance économique.
Comme des personnalités comme Henry Wallace (fidèle vice-président du FDR et candidat au 3e parti en 1948), le représentant William Wilkie (lieutenant républicain et nouveau concessionnaire du FDR) et Dexter White ont tous préconisé à plusieurs reprises, les mécanismes de la Banque mondiale, du FMI et des Nations Unies étaient censés pour devenir les moteurs d'une internationalisation du New Deal qui a transformé l'Amérique d'un puisard en 1932 en une centrale de fabrication moderne et avancée 12 ans plus tard. Tous ces nouveaux concessionnaires internationaux étaient de fervents défenseurs du leadership américano-russe-chinois dans le monde de l'après-guerre, ce qui est un fait oublié d'une importance capitale.
Dans son livre de 1944 Notre travail dans le Pacifique, Wallace a déclaré:
«Il est vital pour les États-Unis, pour la Chine et pour la Russie, qu'il y ait des relations pacifiques et amicales entre la Chine et la Russie, la Chine et l'Amérique et la Russie et l'Amérique. La Chine et la Russie se complètent et se complètent sur le continent asiatique et les deux complètent et complètent la position de l'Amérique dans le Pacifique. »
Contredisant le mythe selon lequel FDR était un keynésien, l'assistant de FDR, Francis Perkins, a enregistré l'interaction de 1934 entre les deux hommes lorsque Roosevelt lui a dit:
«J'ai vu ton ami Keynes. Il a laissé toute une fourchette de chiffres. Il doit être un mathématicien plutôt qu'un économiste politique. » En réponse, Keynes, qui essayait alors de coopter le récit intellectuel du New Deal, a déclaré qu'il avait "supposé que le président était plus alphabétisé, économiquement parlant".
RépondreSupprimerDans son édition allemande de 1936 de sa théorie générale de l'emploi, des intérêts et de l'argent, Keynes écrivait:
«Car j'avoue qu'une grande partie du livre suivant est illustrée et exposée principalement en référence aux conditions existant dans les pays anglo-saxons. Néanmoins, la théorie de la production dans son ensemble, ce que le livre suivant prétend fournir, est beaucoup plus facilement adaptée aux conditions d'un État totalitaire. »
Tandis que Keynes représentait «l'impérialisme doux» de la «gauche» de l'intelligentsia britannique, Churchill représentait l'impérialisme dur et sans vergogne de l'Ancien empire, moins sophistiqué, qui préférait l'usage intensif de la force brute pour maîtriser les sauvages. Tous deux cependant étaient des racistes et des fascistes sans vergogne (Churchill a même écrit avec admiration sur les chemises noires de Mussolini) et tous deux représentaient les pratiques les plus viles de l'impérialisme britannique.
Révision de la vision anti-coloniale oubliée du FDR
La bataille du FDR avec Churchill sur la question de l'empire est mieux connue que ses divergences avec Keynes qu'il n'a rencontré qu'à quelques reprises. Cet affrontement bien documenté est mieux illustré dans le livre de son fils / assistant Elliot Roosevelt, As He Saw It (1946), qui cite son père:
"J'ai essayé de faire comprendre ... que même si nous sommes des alliés [de la Grande-Bretagne] et que nous voulons la victoire à leurs côtés, ils ne doivent jamais avoir l'idée que nous y sommes juste pour les aider à conserver leur archaïque, des idées d'empire médiéval… J'espère qu'ils se rendent compte qu'ils ne sont pas des partenaires seniors; que nous n'allons pas nous asseoir et regarder leur système freiner la croissance de tous les pays d'Asie et de la moitié des pays d'Europe pour démarrer. »
FDR a poursuivi:
«Le système colonial signifie la guerre. Exploiter les ressources d'une Inde, d'une Birmanie, d'un Java; enlevez toutes les richesses de ces pays, mais n'y remettez jamais rien, comme l'éducation, un niveau de vie décent, des exigences minimales de santé - tout ce que vous faites, c'est stocker le genre de problèmes qui mènent à la guerre. Tout ce que vous faites, c'est nier la valeur de tout type de structure organisationnelle pour la paix avant qu'elle ne commence. "
Écrivant de Washington dans une hystérie à Churchill, le ministre des Affaires étrangères Anthony Eden a déclaré que Roosevelt "envisage le démantèlement des empires britannique et néerlandais".
Malheureusement pour le monde, FDR mourut le 12 avril 1945. Un coup d'État au sein de l'establishment démocrate, alors rempli de Fabians et Rhodes Scholars, avait déjà assuré qu'Henry Wallace perdrait la vice-présidence de 1944 au profit de Anglophile Wall Street Stooge Harry Truman. Truman n'a pas tardé à renverser toutes les intentions du FDR, nettoyant les renseignements américains de tous les patriotes restants avec la fermeture de l'OSS et la création de la CIA, le lancement de bombes nucléaires inutiles sur le Japon et l'établissement de relations spéciales anglo-américaines. L'adhésion de Truman au nouvel ordre mondial de Churchill a détruit la relation positive avec la Russie et la Chine que recherchaient FDR, White et Wallace et bientôt l'Amérique était devenue le géant muet de la Grande-Bretagne.
La prise de contrôle de l'État profond moderne après 1945
RépondreSupprimerLe FDR a averti son fils avant sa mort de sa compréhension de la prise de contrôle britannique de la politique étrangère américaine, mais ne pouvait toujours pas inverser ce programme. Son fils a raconté la perspicacité inquiétante de son père:
«Vous savez, un certain nombre de fois où les hommes du Département d'État ont essayé de me cacher des messages, de les retarder, de les maintenir en quelque sorte, simplement parce que certains de ces diplomates de carrière là-bas ne sont pas d'accord avec ce qu'ils savent, je pense . Ils devraient travailler pour Winston. En fait, la plupart du temps, ils [travaillent pour Churchill]. Arrêtez de penser à eux: un certain nombre d'entre eux sont convaincus que la façon pour l'Amérique de mener sa politique étrangère est de découvrir ce que font les Britanniques et de copier cela! » On m'a dit… il y a six ans, de nettoyer ce département d'État. C’est comme le British Foreign Office… ».
Avant d'être renvoyé du cabinet de Truman pour son plaidoyer en faveur de l'amitié américano-russe pendant la guerre froide, Wallace a déclaré:
Le «fascisme américain», connu depuis quelques années sous le nom de Deep State. «Le fascisme de l'après-guerre poussera inévitablement de façon constante à l'impérialisme anglo-saxon et, éventuellement, à la guerre avec la Russie. Déjà, les fascistes américains parlent et écrivent sur ce conflit et l'utilisent comme excuse pour leurs haines internes et leurs intolérances envers certaines races, croyances et classes. »
Dans sa mission soviétique en Asie en 1946, Wallace a déclaré: «Avant que le sang de nos garçons ne soit à peine sec sur le champ de bataille, ces ennemis de la paix tentent de jeter les bases de la troisième guerre mondiale. Ces gens ne doivent pas réussir leur fausse entreprise. Nous devons neutraliser leur poison en suivant la politique de Roosevelt en cultivant l'amitié de la Russie dans la paix comme dans la guerre. »
En effet, c'est exactement ce qui s'est produit. Les trois années de fonctionnement de Dexter White à la tête du Fonds monétaire international ont été assombries par ses attaques constantes comme étant un pantin soviétique qui le hantait jusqu'au jour de sa mort en 1948 après une session d'investigation exténuante à la House of Un-American Activities. White avait précédemment soutenu l'élection de son ami Wallace à la présidence aux côtés de ses compatriotes patriotes Paul Robeson et Albert Einstein.
Aujourd'hui, le monde a saisi une deuxième chance de raviver le rêve du FDR d'un monde anticolonial. Au 21e siècle, ce grand rêve a pris la forme de la Nouvelle Route de la Soie, dirigée par la Russie et la Chine (et rejointe par un chœur croissant de nations aspirant à sortir de la cage invisible du colonialisme).
Si les pays occidentaux souhaitent survivre à l'effondrement imminent, ils feraient bien de répondre à l'appel de Poutine pour un nouveau système international, de rejoindre la BRI et de rejeter les technocrates keynésiens prônant un faux "New Bretton Woods" et "Green New Deal".
https://www.zerohedge.com/geopolitical/putins-call-new-system-1944-battle-bretton-woods-lessons-victory-day
Il est vital que la monnaie (apparue après l'Âge du Troc) ait un adossement responsable et honnête. Si la capacité de l'or n'a aucun avenir (15 Août 1971) est est adossée 'à la tête du client' (Hahaha !), l'or n'a lui-même plus d'adossement honnête.
SupprimerDonc, la valeur d'une monnaie (passée l'Âge de la Planche à billets supplantée par l'Âge du clavier d'ordinateur) doit exister. Or, la Chine, a plus d'or aujourd'hui que tout le monde ! (d'où l'apparition de 'l'or-papier' !! Hahaha !).
Or, SEUL l'être humain au monde a une valeur. Mais, l'adossement à l'Étalon-Humain est lui-même supplanté par la machine (ordi, machine-outil, robots), d'où la difficulté d'adossement d'une monnaie réelle. (Rien à voir avec l''Intelligence Artificielle' qui n'est qu'un faux jeton comparatif à une calculette de poche ou interrupteur (Clic c'est allumé, Clic c'est éteint). Il ne faut pas confondre l'intelligence humaine avec un mécanisme électrique qui serait son palliatif.
Union monétaire européenne : funeste conflit juridique au sommet
RépondreSupprimerle 11 mai 2020
Je ne suis ni économiste ni juriste et je tente de m’informer objectivement dans le fatras des articles de la presse dont je ne lis plus que les titres. De plus mes yeux filtrent ces titres et dès qu’ils voient « coronavirus » je passe au titre suivant. Comme 80 % de ces titres de presse comportent ce mot ma revue de presse européenne du matin ne dure plus que quelques minutes. Il y a pourtant une information qui m’a interpellé la semaine dernière. La Cour constitutionnelle allemande de Karlsruhe a remis vertement la Banque centrale européenne (BCE) a sa place car elle outrepassait ses droits et devoirs tels qu’ils ont été décrits par les traités européens. En d’autres termes pour les juristes allemands la BCE n’a pas l’autorisation de racheter des titres de dette souveraine pourris sur les marchés. Or avec la gigantesque crise économique qui se profile les titres de dette souveraine des pays cigales vont être classés dans la catégorie « junk », tout simplement du papier sans valeur, car tous ces pays ne pourront même pas honorer les intérêts qu’ils doivent auprès de leurs créanciers, je ne parle même pas du « principal ». Ces pays sont l’Italie, l’Espagne, la France, la Belgique et bien entendu la Grèce pour ne citer que les principales économies européennes. La BCE a racheté pour plus de 1000 milliards de titres pourris la semaine dernière et envisage d’en faire encore plus et de faire de même pour des obligations pourries d’entreprises zombies.
Et là les juristes de Karlsruhe se sont énervés car agir ainsi n’est pas autorisé selon les statuts de la BCE. Quelques jours plus tard la Cour européenne de justice (CEJ) a répliqué dans un communiqué très court estimant que les juristes allemands eux-mêmes outrepassaient leurs droits car les juristes de la CEJ ont seuls le pouvoir de juger si une action de la BCE est contraire ou non à l’esprit des traités fondateurs de l’Union monétaire européenne. On peut se dire qu’après tout il ne s’agit que d’une querelle de juristes et qu’il n’y aura aucune conséquence. Détrompez vous chers lecteurs ! Cet événement d’apparence anodine est d’une gravité extrême alors que l’ensemble de l’Europe entre tête baissée et les yeux fermés dans une crise économique qui pourrait être plus grave que celle de 1929. Je dis tête baissée et les yeux fermés parce que tous les politiciens des pays précités se disent « la BCE va payer, on peut dormir tranquillement, demain sera un autre jour ».
Grave erreur ! L’Allemagne, accompagnée des Pays-Bas et de quelques autres pays, je pense à l’Autriche, la République tchèque, la Slovaquie, la Hongrie et la Pologne et même la Finlande, vont tourner le dos à l’euro et par conséquent à l’Union européenne. Le simple fait que la cour constitutionnelle allemande conteste les décisions de la BCE est LE signe avant-coureur de l’effondrement dans un proche avenir de l’Union européenne. Il y aura dès lors soit un retour aux monnaies nationales soit l’émergence d’un « euro-mark » apprécié par les marchés et d’un « euro-cigale » qui ne vaudra plus rien. Cette dernière hypothèse est fantaisiste et malheur à tous les pays qui n’ont pas su gérer leurs finances depuis la création de l’Union européenne ou ne l’ont pas pu en raison de cette construction bancale qu’était l’euro dès son origine.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/05/11/union-monetaire-europeenne-conflit-juridique-au-sommet-funeste/
Brève. « Déconfinement » et histoire de masques et de fromages
RépondreSupprimerle 10 mai 2020
Ici à Tenerife le déconfinement est prévu pour ce prochain mercredi 13 mai. Nous aurons donc été contraints de rester chez nous pendant 9 semaines ½, ironiquement le titre du fameux film avec Mickey Rourke et Kim Bassinger (1986). Ma vendeuse de fromage français à qui j’ai rendu visite ce matin pour lui acheter un « tonnelet » du beaujolais et une « bûche » me parlait en ayant baissé son masque, je n’avais moi-même ni masque ni gants. Un flic en maraude est venu lui relever les bretelles pour lui dire que ce n’était pas bien. Ici les flics sont plutôt débonnaires et ne verbalisent pas, d’ailleurs les Espagnols n’aiment pas ça car ils ont, les vieux surtout, un mauvais souvenir des heures sombres de la dictature franquiste.
J’en ai profité pour expliquer à cette charmante nîmoise que le port du masque n’est utile que pour les personnes présentant des symptômes grippaux afin de ne pas contaminer d’autres personnes quand ils toussent ou éternuent. Quand on marche dans la rue le port d’un masque est inutile (si on n’est pas grippé) mais par contre dans un métro, un bus ou un tramway, il ne faut pas compter sur le civisme des passagers qui pourraient être grippés, alors autant que tous les passagers soient masqués : c’est à peu près la seule décision intelligente que le gouvernement français ait pris depuis la première alerte de l’OMS, fin janvier si j’ai bonne mémoire, dont il n’a pas tenu compte puisqu’il savait que tout manquait pour faire face à cette épidémie venue de Chine comme le répète inlassablement le Donald.
Et puisque j’ai mentionné la dictature franquiste il me semble que la France s’achemine vers la mise en place d’une sorte de dictature « soft » pour l’instant sous couvert de l’épidémie mais qui pourrait durcir jusqu’à devenir franchement insupportable pour tous les citoyens. Les prochains mois seront très intéressants à vivre …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/05/10/breve-deconfinement-et-histoire-de-masques-et-de-fromages/
UE - Allemagne: le bras de fer est en place
RépondreSupprimerlundi, 11 mai 2020 09:31
Suite de la décision de la Cour Suprême allemande :
Jeudi dernier, Mme LAGARDE a rappelé publiquement que la Banque centrale est « ?une institution européenne, responsable devant le Parlement européen et sous la juridiction de la Cour de justice de l'UE? »
Vendredi, la Cour Européenne de Justice a aussi rappelé qu’elle était la « seule compétente » pour juger des actions de la BCE et qu’un jugement avait été rendu sur les faits mis en cause par la Cour Suprême allemande.
« Les juridictions nationales sont obligées de garantir le plein effet du droit de l'Union»
Hier dimanche, Mme. Ursula von der Leyen a publié un communiqué où elle précise que
1 -« le droit européen prévaut sur le droit national » et que
2 - la Commission Européenne pourrait poursuivre l’Allemagne, de ce fait.
Rappelons que Mme. von der Leyen est allemande; deux fois ministre auprès de Mme. Merkel et vue favorablement par cette dernière comme pouvant lui succéder. Ce n’est pas une franc-tireuse incontrôlable.
____
De l'autre côté, l'ultimatum de trois mois lancé à la BCE par la Cour Suprême est toujours actif.
Les enjeux sont réels:
D'un côté, la porte ouverte à tout pays de s'affranchir du droit européen
De l'autre, la mise en évidence pour le peuple allemand de sa perte de souveraineté.
Sortie probable: une explication technique incompréhensible de la BCE et sans valeur contraignante; explication qui sera acceptée par la Cour Suprême dans un communiqué tout aussi incompréhensible.
Les autres alternatives améneraient à une crise structurelle.
Dans tous les cas, l'Allemagne pose ses jalons, pour justifier rétrospectivement d'une sortie de l'Euro.
Et si la situation se tendait, Mme von der Leyen pourra toujours démissionner la tête haute: "J'ai fait mon devoir dans le cadre de mes fonctions, mais c'est désormais contre mes convictions."
Elle resterait dans la course pour devenir la prochaine chancelière allemande.
« Mal sehen* »
* On va voir.
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/banques-centrales/ue-allemagne-le-bras-de-fer-est-en-place.html
Quand même...
RépondreSupprimerdimanche, 10 mai 2020 16:07
Je suppose que nous sommes tous dans le même état d’esprit, la question tourne en boucle dans notre tête : que va-t-il se passer maintenant ?
Car nous le savons intimement, il va se passer quelque chose… de grave. La suite logique ou illogique de tout ce qui s’est passé… qui est grave.
Je ne suis pas dans votre tête et je n’ai pas la prétention d’y pénétrer, juste l’envie de vous inviter dans la mienne, ce dernier jour de confinement… après se sera chacun pour sa peau, probablement.
Ce qui se passe dans ma tête est résumé dans le titre de ce billet : “quand même…”
A vingt ans je me suis installé à mon compte. Dans l’immobilier. Evidemment, je me suis tout de suite posé la question de la difficulté qu’il y aurait à être intègre moralement tout en rentrant dans le monde des affaires.
Finalement c’était une fausse angoisse.
Il est très facile d’être un homme d’affaires honnête. Il suffit de limiter sa rémunération à un pourcentage de ce que l’on fait gagner à son client. Ainsi nul mécontent, nul appauvrissement.
Je dirais en fait que c’est le principe même du monde des affaires d’être honnête. Les brebis galeuses ne font pas long feu. Sauf, sauf si elle possède un pouvoir de négocier quelque chose sans valeur ajoutée, mais indispensable, tel que par exemple une autorisation administrative.
Je ne suis jamais rentré dans la connivence ou la corruption, pas même à l’occasion d’un repas ou d’un avantage payé par une entreprise, alors que j’étais architecte.
Par ailleurs, peut-être bien pourvu en sens de l’organisation j’ai eu l’occasion de le mettre au service de la collectivité dans des activités bénévoles, où j’ai été vraiment bénévole, qui m’ont même coûté en temps et en argent.
Et enfin j’ai toujours été un bon payeur, payant rubis sur l’ongle factures, charges et impôts.
Au terme de tout cela j’ai donc rencontré, pour mon malheur, une cinglée du fisc – pléonasme –, Madame Jourde, qui au moyen de falsifications a tenté de me déposséder de plusieurs centaines de milliers d’Euro à l’occasion de la succession de ma mère, laquelle était entièrement à ma charge depuis vingt ans quand elle est décédée.
Au bout de vingt ans de résistance, récemment, la justice — à contre cœur — a dû me donner raison, mais sans indemnité.
Jourde, vexée par ma résistance, avait appelé à l’aide d’autres véreux du fisc, en est-il qui ne le sont pas ? C’est ainsi que j’ai vu débarquer Martino, puis Garcia, qui ont monté de toutes pièces des redressements indus qui m’ont ruiné.
Donc, soudain, je suis devenu un paria.
D’abord socialement puisque traité de “fraudeur fiscal”, puis professionnellement lorsque tous mes biens ont été saisis, mes comptes en banque bloqués puis fermés m’obligeant à aller quémander à la Banque de France un compte forcé dans une banque que je n’ai pas choisie – qui s’avère plutôt sympathique – la SMC.
Privé de revenu, je suis devenu un mauvais payeur, un tricheur, pour survivre.
Jusqu’à ce jour j’ai eu la chance de ne pas être envahi par la haine, alors que franchement il y aurait eu de quoi. La merde dans laquelle ils m’ont mis après quarante-cinq ans de droiture de vie l’aurait justifiée.
RépondreSupprimerJ’ai ouvert ce blog et, au fil du temps, j’ai pu constater que nous sommes des centaines de milliers dans mon cas.
C’est là que : quand même…
Voyons un peu. Nous avons été pillés par des personnes au-dessus de tout soupçon. Nous savons bien les mensonges ou contorsions auxquelles elles se sont prêtées pour arriver à leur fin. Nous en connaissons la grossièreté, la fausseté, la perversion.
Force est de constater que nul ne nous a écouté, rendu justice ou même simplement compris et réconforté.
Tout cela parce que le pillage était motivé. Il s’agissait de solidarité. De juste répartition des richesses. Une évidence, qui s’imposait à tous.
Entendez par là que les richesses que j’ai créées n’ont aucune raison de m’appartenir, qu’il n’est pas légitime que je les utilise pour aider ma mère lors de sa fin de vie, pour aider mes enfants lors de leur entrée dans la vie, pour assurer ma propre fin de vie, pour me faire aussi un peu plaisir.
Non, je devais mettre mes gains dans le pot commun, intégralement, ne conservant que le strict minimum pour continuer à produire des richesses. Et pour ma mère, l’Etat s’en occuperait, pour mes enfants idem, tout pareil pour ma vieillesse, pour la vie courante à peine plus que le smic devait être suffisant.
Mes angoisses, mes risques, mon énergie, mon travail de 20 heures par jour, sans jour férié ? Si c’est ce que j’ai choisi, c’est que cela me plait, ce plaisir est suffisant, inutile de l’accompagner d’une récompense. A la limite, je dois m’estimer heureux de pouvoir le faire, alors que l’Etat pourrait parfaitement le faire à ma place, d’ailleurs aujourd’hui il le fait. Voir cette vidéo, 1h18 : LE LIEN
Nul ne peut aller contre cette magnifique organisation collective dont se portent garants les fonctionnaires. Ma résistance et mes plaintes pour conserver ma propriété, les fruits de mon travail ou pour tout simplement continuer à travailler, sont obscènes, c’est le syndicat unifié des impôts qui le dit et l’imprime en première page de son journal.
Je suis plaqué au sol avec vous, bâillonné, inaudible, ridicule, ruiné, dans la misère après une vie de travail et de réussite, rien de plus normal, de plus solidaire.
La foule applaudit le pouce vers la terre, elle jubile, elle hurle en cœur : vive la solidarité, la vraie, pas la fausse limitée à sa famille, aux siens. Non l’autre, l’anonyme, que seuls les fonctionnaires sont habilités à répartir — mais limitée uniquement aux autres franchouillards évidemment —
La foule adule les fonctionnaires, tout le monde veut en être. Ne sont-ils pas les hérauts de la répartition, les justiciers de l’égalité ? Leurs privilèges mérités leur confèrent le statut qui va avec la très grande compétence et la très grande sagesse. Ils sont la perfection, et ne se gênent pas pour le dire, voire le faire entrer de force dans nos têtes.
Nous sommes des sous-hommes, des reliquats d’une ère primitive en voie de disparition. Ils sont l’avenir de la France et notre éradication est parfaitement justifiée.
RépondreSupprimerLes bourreaux chargés de nous éliminer le font sans état d’âme, en ce qui me concerne ils s’appellent Brabant et Flory, ils sont intelligents, parfaitement conscients de ce qu’ils font, mais ils le font. Un point c’est tout.
Arrive de CORONAVIRUS
Non seulement les fonctionnaires font la démonstration, visible pour tous, de leur incompétence, mais aussi de leur manque de courage, de leur irresponsabilité.
Passons rapidement sur ce que nous avons tous constaté, leur infinie prétention à gérer seuls le problème avec leur hôpitaux pourtant largement en déshérence, à paralyser par des lois de circonstance la médecine de ville, à mentir comme des arracheurs de dents.
Mais voyons le résultat.
Les morts ? Pas plus que ça… de toute façon il en faut, surtout les vieux…
Les fonctionnaires auront été le plus gros bataillon des confinés. Et pourtant ils vont toucher l’intégralité de leur salaire, pendant ces vacances imprévues mais bienvenues.
Les salariés du privé ne toucheront que 80% de leur salaire, ceux qui le toucheront.
Les indépendants les plus heureux sortent de là avec un crédit sur le cul pour ceux qui vont s’en sortir ou essayer, pour les autres c’est la faillite, la misère.
Une nouvelle race de fonctionnaire est née “les espions de la santé”, organisée en brigades volantes qui vont directement venir espionner chez chacun de nous, préalablement dénoncé par son médecin, qui touchera un petit bakchiche pour la peine.
Les fonctionnaires et leurs employés en communication : les élus, se sont votés une loi dégageant leur responsabilité du bordel qu’ils ont foutu.
Une grande ferveur nationale, un immense chagrin collectif est prévu, accompagné probablement d’un gouvernement d’intérêt national composé exclusivement de fonctionnaires, c’est “la passionata”.
Le crédit ? Quel crédit ? Ah, vous voulez parler sans doute de la fausse monnaie ?
Où est le problème, répondent les fonctionnaires, puisque tout le monde croit qu’elle est vraie ? Cessez de vous faire de la bile. Nous ne sommes pas allés au bout du pillage. Il reste du gras.
Nous allons déplacer tous les indépendants, donner leurs biens à des fonctionnaires ou à des nécessiteux, qui engagés collectivement les géreront mieux et au bénéfice de l’Etat. Ne vous inquiétez pas. C’est gagné.
Oui mais, quand même… à moins que…
Bien à vous. H. Dumas
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/liberalisme/quand-meme.html
Vu que les infos publiées sur le net sont fausses ou insignifiantes.... mon conseil pour vous enrichir est...
RépondreSupprimerCharles Dereeper
dimanche, 10 mai 2020 13:20
Une vidéo explosive mais confidentielle de 50.000 vues sur la joke corona via l'interview d'un membre du team FAUCI. Je l'ai publié moins de 24h après sa publication... ici
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/capitalisme/corona-virus-un-hasard-a-consulter-pour-ceux-qui-comprennent-l-anglais-les-langues-se-delient-ca-va-vite-en-2020.html
Très rapidement en seulement quelques jours, elle s'est fait repérer et... dépublier de youtube.
Ce qui m'amène à la seule conclusion de bon sens qui puisse être...
Les infos vraiment dérangeantes sont systématiquement effacées de google, youtube et du net. Avec un délai désormais record de seulement quelques jours...
Je le constate depuis 1 an.
Par voie de conséquence, les infos en libre accès sont soit insignifiantes, soit fausses... (je ne parle pas des analyses, mais typiquement des témoignages et des faits)
C'est toute la beauté de la vie sur terre. Le monde ne peut tourner qu'avec du secret. Que ce soit militaire, politique ou économique, seul le secret permet de faire de la marge...
Il reste à inventer une nouvelle manière de vivre collectivement.
C'est quelque part tout le système humain qui déconne à sa racine.
S'occuper des autres devrait être récompensé. Aujourd'hui, nous sommes dans l'inverse où baiser la gueule aux autres payent le plus.
Pour baiser la gueule à un homme, il faut posséder des infos secrètes offrant un avantage compétitif.
Derrière chaque entrepreneur, il y a ce dilemne, le conflit entre honnêteté et malhonnêteté, arnaque de son prochain ou élévation de son prochain.
Chacun fait son choix. Nous savons tous que 80 à 90% des entrepreneurs sont malhonnêtes. Arnaque entre associés. Arnaque des clients. Des fournisseurs. Vol en tout genre. Manipulation. Détournement. Tricheries... (dans mon échelle de valeur perso, seul un vol est noble, celui de ne pas payer les 67% d'impôts réclamés par la France, car c'est une rebellion justifiée contre une arnaque d'Etat).
Au delà de réinventer un nouveau paradigme entre les humains, c'est également tout le système de récompense qui doit être repensé et modifié à sa racine. Evidemment, c'est impossible. Car cela revient à accuser chaque mère actuellement de pondre des humains voleurs menteurs et j'en passe... c'est tabou. On ne peut pas aller voir les femmes en leur expliquant que si elles continuent avec leurs concepts actuels, on aura une énième fois en bout de pistes des adultes comme on les connaît actuellement. Si un mec se dévouait pour réinventer la manière d'éduquer les enfants, je parie qu'il se ferait zigouiller sur le champs...
Quand on me demande quoi faire pour s'enrichir rapidement, je réponds invariablement que si c'est vital, alors perfectionnez vous dans l'arnaque des humains. Ce qui en surprend plus d'un alors que la logique est implacable, même si elle me désole.
RépondreSupprimerQuand on me demande si les entrepreneurs sont vilains, c'est le secret le plus dérangeant que j'ai compris à l'âge de 45 ans... il n'y a pas d'entrepreneurs vilains sans des clients inconsciemment maso réclamant de se faire arnaquer. Le jeu marche en pair obligatoirement. Ce qui veut dire que beaucoup d'offres ne marchent pas commercialement car elles permettent à leurs clients d'obtenir un résultat, de vraiment changer de vie, de vraiment réduire leurs peines et souffrances diverses et variées. Ce qui n'intéresse en réalité qu'une toute petite minorité, la grande majorité des clients cherchant en réalité à échouer et à se faire mal... ce qui est contre intuitif... !
Le chef d'entreprise qui ne veut pas participer à ces échanges basses fréquences est condamné à migrer vers des niches où les transactions entre consommateurs et entreprises sont à peu près normales. C'est le même jeu pour les ménages et les Etats, entre contribuables et percepteurs. Très peu de pays offrent aujourd'hui encore la possiblité de réaliser une transaction saine. C'est toute la réflexion qui est proposée dans la formation MONTER SON BUSINESS SANS SE PLANTER ici http://formation.objectifeco.com/montersonbusiness-sansseplanter/
http://www.objectifeco.com/entreprendre/strategie-et-croissance/vu-que-les-infos-publiees-sur-le-net-sont-fausses-ou-insignifiantes-mon-conseil-pour-vous-enrichir-est.html
L'avenir qui se déroule rapidement des tissus intelligents
RépondreSupprimer11 MAI 2020
par David L. Chandler,
Massachusetts Institute of Technology
Dans un article d'opinion publié dans la revue Matter, les membres du groupe de recherche Fibres @ MIT ont récemment présenté une vision détaillée de la façon dont le domaine en croissance rapide des fibres et tissus avancés pourrait transformer de nombreux aspects de nos vies. Par exemple, les «vêtements intelligents» peuvent surveiller en continu la température, la fréquence cardiaque et d'autres signes vitaux, puis analyser les données et donner des avertissements sur les problèmes de santé potentiels. Dirigé par le professeur Yoel Fink, le groupe développe des fibres et des tissus aux propriétés de calcul avancées. MIT News a demandé un doctorat. l'étudiant Gabriel Loke, qui était l'auteur principal de l'article, avec Fink et six autres, pour développer les perspectives de l'équipe.
Q: Le document que vous venez de publier décrit une vision pour un ordinateur en tissu. Ces ordinateurs pourraient-ils aider à faire face à une situation pandémique comme celle à laquelle nous sommes confrontés actuellement ?
R: La pandémie actuelle a révélé la nécessité de nouveaux paradigmes pour évaluer la santé de grandes populations en temps réel. Les approches actuelles des tests axés sur les symptômes sont des indicateurs à la traîne et peuvent être assimilées à une conduite uniquement avec votre rétroviseur, en ce qui concerne la propagation du COVID-19. Alors, comment pouvons-nous créer des systèmes prédictifs, prospectifs et capables de fournir des indicateurs avancés ? Et si vous aviez un moyen d'accéder à vos signes vitaux de façon continue ? Des changements subtils et imperceptiblement petits pourraient-ils devenir des signes avant-coureurs des problèmes de santé d'un individu? Et si vous pouviez corréler dans l'espace et dans le temps ces changements pour une grande population, et le faire en temps réel, pour identifier la propagation de la maladie ?
Aucun objet créé par l'homme n'est plus omniprésent ou exposé à des données plus vitales que les vêtements que nous portons tous. Ne serait-il pas formidable que nous puissions apprendre à nos tissus à détecter, stocker, analyser, extraire et communiquer ces informations potentiellement utiles ?
Dans cette pièce, je décris les quatre principes de ce nouvel ordinateur. Premièrement, les capacités d'un seul brin de fibre progresseront rapidement au fil du temps grâce à de nouvelles conceptions de matériaux et à des approches de fabrication de fibres évolutives. La deuxième étape est l'assemblage synergique de ces fibres dans un tissu positionné de manière unique pour capturer, stocker et traiter de grandes quantités de données libérées par notre corps. Le troisième est le développement de tissus artificiellement intelligents, où des algorithmes d'apprentissage automatique spécialement conçus et programmés dans les tissus pourraient découvrir et acquérir de nouvelles perspectives sur les modèles corporels cachés. Quatrièmement, les tissus deviennent des plates-formes sophistiquées pour des services à valeur ajoutée destinés à une large population.
Q: Vous décrivez une «loi de Moore» potentielle, qui décrivait à l'origine un doublement de la capacité de calcul tous les 18 mois, pour le développement de structures de calcul. Pourriez-vous décrire ce que vous entendez par là ?
RépondreSupprimerR: Pour qu'une loi de Moore émerge des fibres, les fibres doivent être constituées de plusieurs matériaux, précisément disposés dans une seule section transversale de fibres pour produire des dispositifs de différentes fonctionnalités, y compris le calcul. Le domaine des fibres multimatériaux est jeune, par rapport à celui de la technologie des couches minces pour les micropuces. Mais ce que nous voyons maintenant dans les articles et la recherche, c'est une forte augmentation du nombre de fonctions qu'une fibre peut présenter.
Par exemple, au cours des dernières années, le procédé de fabrication appelé étirage de fibres thermiques a abouti à une variété de combinaisons de matériaux et de fonctions, notamment la surveillance de la fréquence cardiaque et la communication optique. Avec une loi de Moore pour les fibres, nous imaginons un avenir où les structures de calcul seront constamment mises à jour avec de nouvelles fonctions et capacités, similaires à la façon dont nous mettons constamment à jour les logiciels dans nos ordinateurs.
Q: Vous avez défini une vision et un plan à long terme pour l'avenir des tissus informatiques. Selon vous, quelles sont les étapes les plus importantes à court terme dans cette direction que nous pouvons nous attendre à voir au cours des prochaines années ?
R: Le plus important est de s'assurer que les gens, en particulier les étudiants, réalisent ce qui se passe dans les tissus et à quel point ils deviendront bientôt capables. Dans notre groupe, une foule d'étudiants de différentes disciplines travaillent à la création d'ordinateurs en tissu au moment où nous parlons. Semblable à l'évolution de l'ordinateur personnel, il existe de vastes opportunités pour les nouvelles entreprises et l'innovation dans cet espace. J'anticipe que les fibres entrent dans le domaine numérique et l'introduction de la fibre d'entrée et de sortie. Les ordinateurs modernes sont constitués de millions de portes logiques, donc l'incorporation de circuits et de portes numériques dans une fibre représente la première des nombreuses étapes vers la réalisation de capacités informatiques complètes dans les fibres et les tissus.
Deuxièmement, pour la réalisation d'un ordinateur en tissu, l'étape importante à court terme sera le développement d'architectures en tissu qui permettent aux fibres de communiquer entre elles tout en conservant les qualités conventionnelles des tissus.
Enfin, pour activer les structures dotées de capacités d'intelligence artificielle, la formation de réseaux utiles à des prévisions précises nécessite de grands ensembles de données. Cela nécessite la collecte de grandes quantités de données de notre corps. Il est alors nécessaire que les capteurs en tissus soient aussi homogènes et résistants que possible afin que ces capteurs puissent être portés pendant des durées prolongées. Les travaux sur ces fronts, tels que l'amélioration de la flexibilité, de la lavabilité et des besoins en énergie des capteurs à fibre optique, nous permettront d'avancer dans l'échantillonnage omniprésent des données sur le corps humain.
https://phys.org/news/2020-05-rapidly-unfolding-future-smart-fabrics.html
Les scientifiques créent une nouvelle recette pour les transistors à un seul atome
RépondreSupprimer11 MAI 2020
par l'Institut national des normes et de la technologie
Une fois inimaginables, les transistors constitués uniquement de grappes de plusieurs atomes ou même d'atomes uniques promettent de devenir les éléments constitutifs d'une nouvelle génération d'ordinateurs dotés d'une mémoire et d'une puissance de traitement inégalées. Mais pour réaliser le plein potentiel de ces minuscules transistors - des interrupteurs électriques miniatures - les chercheurs doivent trouver un moyen de faire de nombreuses copies de ces composants notoirement difficiles à fabriquer.
Maintenant, des chercheurs de l'Institut national des normes et de la technologie (NIST) et leurs collègues de l'Université du Maryland ont développé une recette étape par étape pour produire les dispositifs à l'échelle atomique. À l'aide de ces instructions, l'équipe dirigée par le NIST n'est devenue que la deuxième au monde à construire un transistor à un atome et la première à fabriquer une série de transistors à électron unique avec un contrôle à l'échelle atomique de la géométrie des appareils.
Les scientifiques ont démontré qu'ils pouvaient ajuster avec précision la vitesse à laquelle les électrons individuels traversent un espace physique ou une barrière électrique dans leur transistor - même si la physique classique interdirait aux électrons de le faire parce qu'ils manquent d'énergie. Ce phénomène strictement quantique, connu sous le nom de tunneling quantique, ne devient important que lorsque les écarts sont extrêmement minuscules, comme dans les transistors miniatures. Un contrôle précis de la tunnelisation quantique est essentiel car il permet aux transistors de s'entremêler ou de se relier d'une manière uniquement possible grâce à la mécanique quantique et ouvre de nouvelles possibilités pour créer des bits quantiques (qubits) qui pourraient être utilisés dans l'informatique quantique.
Pour fabriquer des transistors à un seul atome et à quelques atomes, l'équipe s'est appuyée sur une technique connue dans laquelle une puce de silicium est recouverte d'une couche d'atomes d'hydrogène, qui se lient facilement au silicium. La pointe fine d'un microscope à effet tunnel a ensuite retiré les atomes d'hydrogène à des sites sélectionnés. L'hydrogène restant a agi comme une barrière de sorte que lorsque l'équipe a dirigé le gaz de phosphine (PH3) à la surface du silicium, les molécules individuelles de PH3 se sont attachées uniquement aux endroits où l'hydrogène avait été retiré (voir l'animation). Les chercheurs ont ensuite chauffé la surface du silicium. La chaleur a éjecté des atomes d'hydrogène du PH3 et a fait que l'atome de phosphore qui a été laissé derrière lui s'incorpore dans la surface. Avec un traitement supplémentaire, les atomes de phosphore liés ont créé la base d'une série de dispositifs à un ou quelques atomes hautement stables qui ont le potentiel de servir de qubits.
Deux des étapes de la méthode mise au point par les équipes du NIST - sceller les atomes de phosphore avec des couches protectrices de silicium et ensuite établir un contact électrique avec les atomes incorporés - semblent avoir été essentielles pour fabriquer de manière fiable de nombreuses copies de dispositifs atomiquement précis, selon le chercheur du NIST, Richard Dit Silver.
Dans le passé, les chercheurs ont généralement appliqué de la chaleur pendant la croissance de toutes les couches de silicium, afin d'éliminer les défauts et de garantir que le silicium a la structure cristalline pure requise pour intégrer les dispositifs à un atome avec les composants électriques à puce de silicium conventionnels. Mais les scientifiques du NIST ont découvert qu'un tel chauffage pouvait déloger les atomes de phosphore liés et potentiellement perturber la structure des appareils à l'échelle atomique. Au lieu de cela, l'équipe a déposé les premières couches de silicium à température ambiante, permettant aux atomes de phosphore de rester en place. Ce n'est que lorsque les couches suivantes ont été déposées que l'équipe a appliqué de la chaleur.
RépondreSupprimer"Nous pensons que notre méthode d'application des couches fournit des dispositifs à l'échelle atomique plus stables et plus précis", a déclaré Silver. Le fait d'avoir un seul atome à sa place peut altérer la conductivité et d'autres propriétés des composants électriques qui comportent des groupes d'atomes uniques ou petits.
L'équipe a également développé une nouvelle technique pour l'étape cruciale consistant à établir un contact électrique avec les atomes enterrés afin qu'ils puissent fonctionner dans le cadre d'un circuit. Les scientifiques du NIST ont chauffé doucement une couche de palladium métallique appliquée à des régions spécifiques de la surface du silicium qui résidaient directement au-dessus des composants sélectionnés du dispositif incorporé au silicium. Le palladium chauffé réagit avec le silicium pour former un alliage électriquement conducteur appelé siliciure de palladium, qui pénètre naturellement à travers le silicium et entre en contact avec les atomes de phosphore.
Dans une édition récente de Advanced Functional Materials, Silver et ses collègues, dont Xiqiao Wang, Jonathan Wyrick, Michael Stewart Jr. et Curt Richter, ont souligné que leur méthode de contact a un taux de réussite de près de 100%. C'est une réalisation clé, a noté Wyrick. "Vous pouvez avoir le meilleur dispositif à transistor à un atome au monde, mais si vous ne pouvez pas le contacter, c'est inutile", a-t-il déclaré.
La fabrication de transistors à un seul atome "est un processus difficile et compliqué auquel tout le monde doit peut-être se mordre, mais nous avons défini les étapes afin que les autres équipes n'aient pas à procéder par essais et erreurs", a déclaré Richter.
Dans des travaux connexes publiés aujourd'hui dans Communications Physics, Silver et ses collègues ont démontré qu'ils pouvaient contrôler avec précision la vitesse à laquelle les électrons individuels tunnelent à travers des barrières tunnel atomiquement précises dans les transistors à un électron. Les chercheurs du NIST et leurs collègues ont fabriqué une série de transistors à électron unique identiques à tous points de vue, à l'exception des différences de taille de l'espace de tunnelisation. Les mesures du flux de courant ont indiqué qu'en augmentant ou en diminuant l'écart entre les composants du transistor de moins d'un nanomètre (milliardième de mètre), l'équipe pouvait contrôler avec précision le flux d'un seul électron à travers le transistor d'une manière prévisible.
"Parce que la tunnelisation quantique est si fondamentale pour tout appareil quantique, y compris la construction de qubits, la capacité de contrôler le flux d'un électron à la fois est une réalisation importante", a déclaré Wyrick. De plus, alors que les ingénieurs emballent de plus en plus de circuits sur une petite puce informatique et que l'écart entre les composants continue de se réduire, la compréhension et le contrôle des effets du tunneling quantique deviendront encore plus critiques, a déclaré Richter.
https://phys.org/news/2020-05-scientists-recipe-single-atom-transistors.html
Quarantaine à venir dans trois semaines: le Royaume-Uni conseille effectivement aux personnes infectées à l'étranger de se précipiter au Royaume-Uni maintenant
RépondreSupprimerMay 11th, 2020
C’est presque comme si le marais du Royaume-Uni voulait maintenir les infections le plus longtemps possible.
Le gouvernement britannique a marqué la chaleur du sabotage inutile de leur propre verrouillage en survolant le virus à travers des frontières ouvertes. Donc, en réponse, au lieu de faire une quarantaine appropriée immédiate, comme la plupart des pays dans le monde, le Royaume-Uni donne à tout le monde infecté et aux moyens de voyager trois bonnes semaines pour planifier son voyage afin d'éviter la quarantaine de deux semaines.
S'ils dépassent l'échéance facile, ils peuvent rester à la maison pendant sept jours à la place et «seulement» sortir pour infecter les gens dans les pharmacies, les magasins et partout où ils le jugent essentiel, y compris leur lieu de travail, pendant cette semaine.
Boris a besoin de nouveaux conseillers.
Le Royaume-Uni «prévoit une quarantaine de 14 jours» pour les passagers aériens
Tom Burridge, BBC
Les compagnies aériennes britanniques disent avoir été informées que le gouvernement imposera une quarantaine de 14 jours à toute personne arrivant au Royaume-Uni en provenance de n'importe quel pays en dehors de la République d'Irlande en réponse à la pandémie de coronavirus.
La nouvelle restriction devrait entrer en vigueur à la fin de ce mois.
L'organisme de l'industrie, Airlines UK, a déclaré que la politique avait besoin d'un «plan de sortie crédible» et devrait être revue chaque semaine.
Les personnes arrivant au Royaume-Uni devraient s'isoler dans une résidence privée.
Des sources gouvernementales et aéronautiques ont déclaré à BBC News que la mise en quarantaine signifierait que les personnes devraient fournir une adresse à leur arrivée à la frontière.
La quarantaine 14 n'est toujours pas une quarantaine, sauf en cas d'isolement forcé. Les Australiens qui rentrent chez eux doivent rester dans des hôtels et sont nourris et gardés.
À Victoria, lorsque les gens ont été autorisés à «s'isoler» - même en sachant qu'il y aurait des contrôles et des suivis, 20% des personnes isolées ont bafoué les règles et ont été prises en train de sortir.
La police de Victoria inflige une amende de 142 personnes en une journée pour avoir enfreint la quarantaine des coronavirus
Josh Hanrahan, Daily Mail
Jusqu'à présent ce week-end, plus de 140 personnes ont été condamnées à une amende à Victoria pour avoir enfreint les lois sur l'auto-isolement ou l'éloignement social.
Sur les 751 contrôles ponctuels effectués dans les domiciles et les entreprises par la police, près d'un sur cinq a enfreint les lois récemment mises en œuvre.
Lorsque l'Italie a pris au sérieux un verrouillage, elle n'a donné aux gens qu'un préavis de plusieurs heures et les masses ont entassé des trains qui tentaient de «battre» (ce qui signifie «ruiner») la quarantaine. Nous sommes tous humains, et étant donné le coût de rester coincé loin de chez eux, leur réaction est très compréhensible. Mais si le gouvernement britannique voulait sérieusement ralentir la charge de travail, il déclencherait immédiatement une quarantaine forcée de deux semaines.
RépondreSupprimerIl doit y avoir des milliers de chambres d'amis dans les hôtels en ce moment qui aimeraient l'entreprise, et le coût de son paiement n'est rien comparé à la détention de la nation dans une autre semaine sabotée de verrouillage.
Infos intéressantes sur Coronavirus:
Les quarantaines fonctionnent: 12 jours après les blocages, les quarantaines et l'isolement, le coronavirus ralentit. C'est la microbiologie des manuels scolaires.
De nombreux pays recherchent un coronavirus nul dans le monde entier
Le virus de l'AVC ? Covid provoque des centaines de micro-caillots dans les poumons (et partout ailleurs)
Le coronavirus provoque la coagulation: tenir les ventilateurs, arrêter les caillots sanguins à la place
Le coronavirus peut affecter le cerveau et augmenter le risque d'AVC.
Résolvez d'abord la carence en vitamine D pour aider à vaincre le coronavirus.
New York est «comme un événement de masse»: les coronavirus et autres décès ont triplé
Le coronavirus peut être créé par l'homme. Pourquoi le PCC a-t-il détruit les preuves?
Il semble que nous puissions mettre à zéro le suivi de Coronavirus: Australie et NZ.
Les tests aléatoires sur les grands coronavirus en Autriche n'ont révélé que 1% d'infection
Lire Crush the Curve - sauver l'économie
http://joannenova.com.au/2020/05/quarantine-coming-in-three-weeks-uk-advises-infected-people-overseas-to-come-to-uk-pronto/
Entretien avec Lucien Cerise : "Face au biopouvoir, nous n’avons pas le capital économique. Mais nous avons le capital humain"
RépondreSupprimersamedi 9 mai 2020
Dans un récent entretien avec Vice, le dénonciateur de la NSA, Edward Snowden, a exprimé ses inquiétudes concernant le programme de surveillance à venir, l’appelant « l’architecture de l’oppression ». Nous avons demandé à Lucien Cerise son analyse du nouveau contrôle social à venir.
Rébellion : L’état d’urgence sanitaire est-il pour vous un bon moyen pour les gouvernements mondiaux de poursuivre la réduction de nos libertés collectives et individuelles ? Pour vous, le confinement est-il un instrument d’ingénierie sociale ?
Lucien cerise : Cet état d’urgence sanitaire est le prétexte idéal pour tenter de fabriquer le consentement des populations à une transformation du lien social sur une base transhumaniste, c’est-à-dire fondée sur un encadrement scientifique général, présentant un fort caractère carcéral et concentrationnaire, et allant dans le sens de l’artificialisation et de la réification du vivant, sa chosification, sa réduction à un objet. On peut reprendre à Michel Foucault et Giorgio Agamben la notion de biopouvoir pour décrire un pouvoir politique qui étudie la biologie, la médecine et les sciences de la vie autant que le droit ou l’économie. Le biopouvoir, qui n’est qu’une mise à jour de la notion d’eugénisme, se caractérise donc par une intrusion toujours croissante dans l’intimité physique des gens pour la modifier et surtout la contrôler.
En effet, ce qui dérange le biopouvoir, c’est la prolifération de la vie et de l’organique, impossible à contrôler totalement. Le transhumanisme est une tentative d’enfermement de l’organique dans une forme prétendument augmentée, mais surtout aseptisée, standardisée et sous contrôle, tentative de meurtre du vivant et de son aspect toujours imprévisible et débordant. Les gens normaux se refusent donc naturellement au transhumanisme. Pour parvenir à les emprisonner là-dedans malgré tout, il faut les séduire ou leur faire peur, afin de les soumettre volontairement par des manœuvres d’ingénierie sociale du type « pompier pyromane » et triangle de Karpman, consistant à exploiter les projections psycho-émotionnelles de la trilogie bourreau/victime/sauveur.
Cela commence par le déclenchement d’une crise, suivi d’une opération d’hameçonnage (phishing), c’est-à-dire un piratage de l’esprit par usurpation d’identité et abus de confiance, où le responsable de la crise, en position de « bourreau », se présente comme le « sauveur » qui va protéger les « victimes » de la crise. Quand le piratage est accompli, que le bourreau a gagné la confiance de la population victime et qu’elle s’ouvre à lui en abaissant ses défenses parce qu’elle le perçoit comme un sauveur, alors le pirate-bourreau peut passer à la deuxième phase sans rencontrer de résistance, c’est-à-dire la réécriture de l’architecture sociale selon un nouveau plan présenté comme une solution de sortie de crise.
Cette restructuration du lien social consiste à prendre le contrôle des relations que les gens entretiennent librement pour les recomposer à leur place. Comment ? Cela se fait toujours en jouant sur les relations de confiance et de méfiance, afin de prendre le contrôle des relations de proximité et de distance. Avec cette crise du coronavirus, la relation à autrui et au monde est réécrite pour être fondée sur la méfiance et la paranoïa, selon une sorte de conflit triangulé généralisé, où chacun est potentiellement bourreau de chacun. Je dois apprendre à me méfier d’autrui et de la nature, avec le maintien d’une distance entre moi, autrui et le monde, et cette distance m’est dictée par le biopouvoir auquel, en revanche, je suis tenu d’accorder une confiance aveugle, au risque d’être accusé de « conspirationnisme » et d’encourir des représailles judiciaires. En résumé : pour le biopouvoir, cette crise du Covid-19 doit couper l’Histoire en deux et faire entrer l’humanité dans une nouvelle ère où l’auto-organisation du vivant sera progressivement abolie pour être entièrement subordonnée et rationalisée par un pouvoir scientifique eugéniste.
RépondreSupprimerLa surveillance numérique de masse passe par les fameuses applications d’Apple ou de Google de contrôle sanitaire. Comment les États et les grandes multinationales de la Silicon Valley se partagent les informations et les rôles dans cette opération ?
Les États et les grandes multinationales sont toujours en fait dirigés directement ou indirectement par ce que l’on appelle le complexe militaro-industriel, qui n’est pas exclusivement américain, chaque pays possède le sien, mais celui des USA est le plus agressif. L’avant-garde de la recherche scientifique est toujours sponsorisée, surveillée et récupérée en premier lieu par les unités de « recherche et développement » militaires. Au niveau géopolitique international, tout est militarisé (weaponized, comme disent les anglophones), tout est rapport de forces, tout est volonté de puissance et relations dominant/dominé. Les applications de géolocalisation et de surveillance numérique de masse sont des outils de contrôle social, c’est-à-dire en fait de militarisation des comportements.
Nous sommes dans une guerre hybride mondiale. Par exemple, la Chine, qui est sous attaque permanente des USA et des réseaux de George Soros, a besoin de militariser et discipliner sa population par un encadrement informatique global. Afin de conserver sa souveraineté numérique et le contrôle de sa population, la Chine doit aussi prévenir et limiter les risques de piratages informatiques de l’étranger, d’où la campagne lancée par Pékin pour débarrasser totalement son parc informatique des systèmes d’exploitation étrangers, dont le plus connu est Windows de Microsoft, et développer de nouveaux systèmes d’exploitation et outils informatiques de conception chinoise et fabriqués en Chine, et qui seront dépourvus des backdoors et autres logiciels espions de la NSA.
À terme, la Chine va donc devenir un trou noir pour les services de renseignement anglophones, les Five Eyes de l’accord UKUSA et du système Echelon, et leurs associés israéliens et autres. Dans quelques années, il sera pratiquement impossible de pirater, espionner et attaquer le parc informatique chinois, qui sera beaucoup mieux sécurisé qu’aujourd’hui. Cet exemple chinois aura une forte capacité d’entraînement à l’international et fera des émules par effet domino en Asie et partout dans le monde. On comprend que cette émancipation chinoise de l’hégémonie numérique occidentale provoque un vent de panique de la Silicon Valley à Washington en passant par Tel-Aviv : c’est la fin du projet néoconservateur de domination mondiale. Ce qui ne veut pas dire que le gouvernement chinois va instaurer le paradis sur Terre, mais qu’il pourra certainement relâcher la surveillance de sa population quand les risques de déstabilisation de la Chine par des attaques extérieures et intérieures de cinquièmes colonnes pro-occidentales auront été jugulés.
Les Français auront-ils le choix de refuser le traçage numérique ?
RépondreSupprimerPour le biopouvoir, il n’est pas prévu que nous ayons le choix. Comme beaucoup de gens, je vois les pièces du puzzle s’assembler depuis un certain temps, mais c’est l’affaire de Tarnac en 2008 qui a joué pour moi un rôle de catalyseur et m’a poussé à rédiger un texte que j’ai publié sous anonymat, « Gouverner par le chaos – Ingénierie sociale et mondialisation ».
J’exposais dans cet opuscule comment certaines forces politiques et économiques cherchaient à implémenter une dictature numérique au moyen d’une stratégie du choc qui pouvait être une épidémie, et je citais à l’appui de cette prospective un texte manifeste de 2004, le Livre bleu, rédigé par le lobby du numérique en France, le GIXEL (devenu ACSIEL en 2013), dans lequel étaient exposés certains stratagèmes pour faire accepter dans l’opinion publique le développement de l’identité numérique [1].
Dans le cadre de sa fondation ID-2020, Bill Gates élabore aussi un système d’identification numérique pour le monde entier et cherche à le vendre ainsi : à cause du coronavirus, il faut vacciner toute la planète, et nous devons tous recevoir un certificat numérique de vaccination. Plusieurs technologies de certificat numérique plus ou moins invasives sont à l’étude : dans votre smartphone ; dans un bracelet électronique ; sur la peau sous forme de tatouage à points quantiques ; sous la peau sous forme de puces électroniques. Si finalement nous pouvons avoir le choix et échapper à ce sort, c’est parce que nous aurons remporté le rapport de forces pour dire « Non ! » Tout est axé autour de la formule confinement/distanciation sociale/vaccination/surveillance électronique, dont il faut attaquer chaque point.
Que nous réserve la suite des événements, selon vous ?
En fait, il faut se poser la question : comment vais-je peser sur la suite des événements ? Il faut sortir du rôle de spectateur ou d’analyste des événements, il faut créer les événements. Le biopouvoir mondialiste a de gros moyens financiers pour créer des événements au niveau international, impacter le réel et écrire l’Histoire. Il possède des millions, donc, en face, nous devons être des millions.
Nous n’avons pas le capital économique, mais nous avons le capital humain. Pour créer l’événement, impacter le réel et écrire l’Histoire contre le biopouvoir, pour faire dérailler son programme, il faut se poser deux questions concrètes : comment gagner la bataille de l’opinion publique et comment organiser les masses politiquement ?
La bataille de l’opinion publique se gagne en se formant aux méthodes de communication stratégique et d’ingénierie sociale, rhétorique et retournement de l’opinion (spin), dans le réel ou sur les réseaux sociaux, du moins tant que c’est possible, car la prochaine crise devrait être cyber et toucher Internet, comme l’a annoncé Alain Bauer [2]. Cette grande crise cybernétique et numérique, d’ampleur géopolitique et déclenchée par un virus informatique qui provoquerait le « bug du siècle », permettra au pouvoir de couper Internet au moins partiellement, et surtout de mettre fin à la réinformation indépendante avec un bon prétexte. C’est le programme du Grand Confinement, par l’addition du confinement physique et du confinement mental – cognitif et informationnel.
Le but ultime est d’abolir toute auto-organisation du peuple, donc toute autonomie dans l’organisation horizontale de la société. Pour cela, il faut d’abord couper les gens physiquement les uns des autres dans le réel, par le confinement physique, la distanciation sociale, le télétravail, et tenter de pérenniser ce nouvel ordre social en annonçant que « plus rien ne sera comme avant », comme on nous le martèle depuis des semaines. Puis, dans un deuxième temps, au prétexte d’une crise numérique globale, le pouvoir coupera les gens les uns des autres dans le virtuel aussi, avec un Internet en mode dégradé, limité au télétravail et à quelques messageries et portails inoffensifs, usages qui seront malgré tout conservés, ce qui sera présenté comme une victoire. Il faut essayer d’imaginer l’enfer que serait un confinement physique sans Internet, c’est-à-dire sans aucun accès à la réinformation, sans aucune possibilité de comprendre ce qu’il se passe car nous serions enfermés physiquement à domicile, ou dans un périmètre limité, et enfermés mentalement dans la narration exclusive du pouvoir, dans une seule version des événements. Dans d’autres publications, j’ai baptisé cette fabrique de l’aliénation mentale « reality-building », car elle repose sur le principe de l’hypnose : la parole de l’hypnotiseur devient la réalité de l’hypnotisé [3].
RépondreSupprimerComment cela est-il possible ? Parce que l’hypnotisé, qui n’est pas forcément endormi, n’a pas d’autre source d’information que la parole de l’hypnotiseur. Avant d’en arriver là, avant qu’il ne soit trop tard, il y a urgence à gagner le combat politique, ce qui signifie prendre le pouvoir, et ne pas se contenter des contre-pouvoirs, dans la rue ou sur Internet, qui risquent fort de devenir impraticables de toute façon. Prendre le pouvoir signifie être en capacité de se faire obéir par les forces de l’ordre. L’activité métapolitique n’est donc pas suffisante, il faut investir aussi le champ politique du pouvoir légal. Les forces de l’ordre, qui ont une capacité de contrainte sur votre corps et votre esprit, n’obéissent pas à la métapolitique mais au gouvernement et à ses représentants locaux, c’est-à-dire à l’État. Il faut donc reprendre le contrôle de l’État si nous voulons sortir de l’impuissance à laquelle la métapolitique nous limite. Ceci suppose d’organiser les masses de manière structurée dans une perspective de conquête du pouvoir, ce qui suppose à son tour, et inévitablement, de jouer le jeu quelque peu ingrat de la politique politicienne et des organisations politiques de masse.
Notes
[1] https://reflets.info/articles/pierr...
[2] https://www.youtube.com/watch?v=Gmx...
[3] https://flux.md/stiri/geopolitique-...
https://www.egaliteetreconciliation.fr/Entretien-avec-Lucien-Cerise-Face-au-biopouvoir-nous-n-avons-pas-le-capital-economique-Mais-nous-59323.html
Le 'Capital humain' est ciblé grâce à cet emprisonnement de 8 semaines. Ce Capital a une IP et, cela permet d'étudier au mieux la réaction de tous au sein même d'une famille confinée. D'où les réactions téléphoniques et faites par l'Internet (rassurez vous la NSA est là !). Ce Centre informatique américain écoute tout et lit tous les messages. Donc, l'on connait mieux les idées de chaque foyer que la dispersion dans la foule à n'importe quelle heure.
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RépondreSupprimerUne étude révèle que le taux de mortalité de la COVID-19 aux États-Unis est de 1,3 %.
8 MAI 2020
(HealthDay)- Parmi les cas détectés de COVID-19 aux États-Unis, 1,3 % des patients mourront de la maladie, selon un nouveau calcul. Mais ce taux pourrait augmenter si les précautions actuelles et les capacités de soins de santé changent, a déclaré l'auteur de l'étude.
Le calcul du taux de 1,3 % est basé sur le nombre cumulé de décès et de cas détectés dans l'ensemble des États-Unis, mais il ne tient pas compte des cas non détectés, où une personne est infectée mais ne présente que peu ou pas de symptômes, selon le chercheur Anirban Basu.
Si ces cas étaient ajoutés à l'équation, le taux de mortalité global pourrait se rapprocher de 1 %, a déclaré M. Basu.
Il dirige le département de pharmacie de l'Université de Washington à Seattle.
Basu a souligné que les estimations actuelles s'appliquent "dans l'hypothèse où l'offre actuelle [au 20 avril] de services de soins de santé, y compris les lits d'hôpitaux, les ventilateurs et l'accès aux prestataires de soins de santé, se poursuivrait à l'avenir". La diminution de la disponibilité des services de soins de santé pourrait augmenter les taux de mortalité par COVID-19.
Plus important encore, la distanciation sociale et d'autres mesures préventives contribueront à maintenir le taux de mortalité COVID-19 aux États-Unis à un niveau bas, a déclaré M. Basu. En conséquence, les récentes projections du groupe de travail COVID-19 de la Maison Blanche, qui prévoient entre 100 000 et 200 000 décès cette année du fait de COVID-19, sont faites avec des hypothèses sur l'efficacité des mesures actuellement en place, a-t-il dit.
De nombreux États ont déjà pris des mesures pour assouplir les règles relatives aux "abris en place", avec la réouverture d'entreprises, de plages et de parcs.
Le taux de mortalité COVID-19 estimé à 1,3 % est encore beaucoup plus élevé que le taux de mortalité américain pour la grippe saisonnière pour 2018-2019, qui n'était que de 0,1 % des cas, selon les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies.
D'autre part, la nouvelle estimation est beaucoup plus basse que les calculs précédents du taux de mortalité. Par exemple, le taux de mortalité en Chine pour le COVID-19 était initialement de 5,6 %, et est tombé à 3,8 % le 20 février. Mais cela pourrait être dû au calendrier : Comme en Chine, les taux américains étaient beaucoup plus élevés au début de la pandémie, a noté M. Basu.
Les conclusions de la nouvelle étude sont basées sur 40 835 cas confirmés de COVID-19 et 1 620 décès confirmés dans 116 comtés de 33 États jusqu'au 20 avril. Les taux de mortalité varient considérablement d'un endroit à l'autre, certains comtés enregistrant un taux de mortalité de seulement 0,5 %, tandis que d'autres vont jusqu'à 3,6 %.
Selon M. Basu, la détermination du taux de mortalité lié à la COVID-19 est cruciale dans la lutte contre la pandémie de coronavirus.
"Lorsqu'ils sont utilisés avec d'autres approches d'estimation, notre modèle et nos estimations peuvent aider les modélisateurs de la maladie et des politiques à obtenir des prévisions plus précises pour l'épidémiologie de la maladie et l'impact des leviers politiques alternatifs pour contenir cette pandémie", a-t-il écrit dans le rapport publié en ligne le 7 mai dans Health Affairs.
RépondreSupprimer"Le CDC fait état d'une variation significative des taux de mortalité par groupes d'âge. Des travaux supplémentaires sont nécessaires sur ce front", a ajouté M. Basu dans un communiqué de presse de la revue.
L'estimation du taux de mortalité de la COVID-19 aux États-Unis n'est "pas en dehors de la fourchette" des taux estimés disponibles dans d'autres pays, mais elle est inférieure, a-t-il conclu.
Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
https://medicalxpress.com/news/2020-05-covid-death.html
L'OMS prévient que 500 000 Africains risquent de mourir alors que l'approvisionnement en antiviraux diminue à cause du coronavirus : Mise à jour en direct
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
lun, 05/11/2020 - 10:17
Résumé :
Selon l'OMS, 500 000 personnes pourraient mourir du sida en raison des perturbations dans la distribution des antiviraux
La dernière vague de Corée du Sud passe à plus de 80 élèves ; la réouverture des écoles est retardée
Wuhan fait état des premiers nouveaux cas depuis la réouverture
L'Allemagne franchit un nouveau "dos d'âne" à l'occasion de la réouverture
L'Iran connaît une recrudescence des infections et impose à nouveau le confinement dans un point chaud
Réouverture de Disneyland Shanghai
Le Royaume-Uni passe officiellement de la formule "Stay at Home" à la formule "Stay Alert".
La Russie enregistre un nouveau record
Tokyo est accusé d'avoir exclu 100 cas du compte officiel
L'Espagne voit le nombre de nouveaux cas chuter à son niveau le plus bas depuis deux mois
Des dizaines d'États américains prennent des mesures plus draconiennes en vue de la réouverture
* * *
Mise à jour (1010ET) : L'OMS vient d'annoncer qu'elle s'attend désormais à ce que les "interruptions" de la distribution des antiviraux entraînent la mort de 500 000 Africains à cause du VIH. Il s'agit du dernier exemple en date de la manière dont l'interruption des soins médicaux soi-disant "non urgents" due au virus pourrait entraîner une augmentation globale du nombre de décès.
LES PERTURBATIONS DE LA DISTRIBUTION DES ANTIVIRAUX LIÉES AU COVID-19 POURRAIENT TUER 500 000 PERSONNES : QUI
LA PÉNURIE POURRAIT CAUSER 500 000 DÉCÈS SUPPLÉMENTAIRES DUS AU VIH EN AFRIQUE : QUI
Bien entendu, la Fondation Gates est l'une des plus grandes organisations caritatives qui s'occupent de l'accès aux médicaments contre le sida en Afrique. Nous ne serions pas surpris de voir l'OMS, la Chine - et n'oubliez pas la presse américaine dominante - essayer de rejeter la responsabilité de ces décès sur le président Trump.
* * *
Hier soir, nous avons rapporté que les autorités sanitaires nationales de Pékin avaient confirmé le premier cas de coronavirus à Wuhan lundi matin depuis le 3 avril, ce qui signifie que c'est le premier cas découvert dans la ville depuis le début de la réouverture.
Et tout comme pour les cafards, lorsque nous trouvons un cas de virus, il est raisonnable de penser qu'il y en a d'autres.
Tout cela n'a peut-être rien à voir - souvenez-vous, c'est de la Chine qu'il s'agit ici : Les fonctionnaires ont suivi assidûment les protocoles de propagande du PCC, même si les quelques reporters étrangers restés dans le pays parviennent encore souvent à faire connaître à la presse internationale les incidents de récurrence du virus.
Comme l'a rapporté le Nikkei Asian Review lundi matin, heure de Tokyo, en citant les autorités chinoises, une ville du nord-est de la Chine a été reclassée comme "à haut risque", le niveau le plus grave dans un nouveau système de zonage à trois niveaux adopté par le gouvernement chinois. Ce niveau devrait imposer un retour à des conditions de verrouillage, plus ou moins. Les autorités municipales de Jilin ont fait passer le niveau de risque de la ville de Shulan de "moyen" à "élevé", après l'avoir fait passer de "faible" à "moyen" un jour plus tôt lorsqu'une femme locale a été testée positive. Depuis, 11 nouveaux cas ont été détectés à Shulan depuis samedi, tous étant des parents ou des contacts proches de la femme qui a été infectée à l'origine.
RépondreSupprimerLe rédacteur en chef du Global Times, Hu Xijin, s'est vanté sur Twitter lundi que "tous les Chinois" avaient été informés de ces derniers développements.
Voici d'autres extraits du rapport Nikkei :
Shulan a renforcé les mesures de contrôle des virus, notamment en fermant les complexes résidentiels, en interdisant les transports non essentiels et en fermant les écoles, a déclaré le gouvernement Jilin.
Les nouveaux cas ont fait passer le nombre total de nouveaux cas confirmés en Chine continentale du 9 au 14 mai, selon la Commission nationale de la santé, dimanche, le nombre le plus élevé depuis le 28 avril.
Parmi eux se trouvait le premier cas depuis plus d'un mois dans la ville de Wuhan, dans la province centrale du Hubei, où l'épidémie a été détectée pour la première fois à la fin de l'année dernière.
La Corée du Nord n'a pas confirmé la moindre infection, bien qu'il soit largement soupçonné que le virus ait profondément pénétré la société nord-coréenne.
Puis, lundi, les responsables de la ville de Wuhan ont déclaré que cinq nouveaux cas avaient été confirmés dans la ville, qui ont tous été infectés à l'intérieur du pays, selon les responsables.
Entre-temps, comme nous l'avons déjà signalé, Disneyland Shanghai a rouvert lundi en grande pompe, même si le parc n'a pu être rempli qu'à 20 % de sa capacité, un niveau auquel il pourrait être impossible d'exploiter le parc de manière rentable.
Par ailleurs, un groupe de nouveaux cas découverts dans un quartier nocturne de Séoul qui a incité la ville à fermer des bars et des commerces nocturnes a atteint 86 cas, ce qui en fait un événement "super-diffuseur". Ces infections auraient commencé avec un seul client de club infecté. Jung Eun-kyeong, responsable du CDC coréen, a déclaré que le nombre total de cas liés aux boîtes de nuit de l'Itaewon à Séoul est passé à 86 à partir de lundi midi, après que le premier cas ait été confirmé le 6 mai. Parmi ces 86 cas, 63 ont visité les clubs et 23 sont des membres de la famille et des collègues de travail de personnes infectées. 51 cas ont été signalés à Séoul, 21 à Gyeonggi, 7 à Incheon, 5 à North Chungcheong, 1 à Busan et 1 à Jeju. Les cas concernaient 78 hommes et 8 femmes. Les responsables ont notamment déclaré qu'ils s'attendaient à d'autres cas liés aux clubs cette semaine, étant donné la période d'incubation parfois longue du virus.
Le président sud-coréen Moon Jae-in a déclaré dimanche que l'épidémie "n'est pas terminée tant qu'elle n'est pas terminée".
RépondreSupprimerEn réponse à cette dernière, la Corée du Sud a choisi de retarder la réouverture des écoles, qu'elle avait prévu de faire cette semaine, en raison de la grappe d'Itaewon.
Heureusement, ont-ils ajouté, cette dernière épidémie n'est pas comparable à celle de l'église Shincheonji de Daegu, qui a contribué à déclencher l'épidémie de SK.
Ailleurs, le gouvernement métropolitain de Tokyo a confirmé 22 nouveaux cas dimanche, soit le nombre le plus bas de la ville en une seule journée depuis le 30 mars. Cependant, l'organisation médiatique japonaise Yomiuri aurait trouvé 100 cas à Tokyo qui auraient été omis du total.
Le Japon a également été accusé de relâcher sa réaction aux coronavirus, bien que sa résurgence ait évité la gravité de celle de Singapour, qui est passée de moins de 2 000 cas début avril à plus de 23 000 cas confirmés dès lundi matin aux États-Unis.
En conséquence, Singapour accélère la recherche des contacts, les restrictions de mouvement et même le déploiement de chiens robots pour encourager la distanciation sociale alors qu'elle tente de contrôler son épidémie. Pendant ce temps, Hong Kong a passé 21 jours sans aucun cas de transmission locale, ce qui a suscité des rumeurs selon lesquelles le territoire autonome de Chine serait déclaré "exempt de virus".
En Europe, la Suisse est devenue le premier pays d'Europe occidentale à rouvrir des restaurants, des cafés, des magasins et des musées dans tout le pays, car elle assouplit toutes ses restrictions de confinement, sauf les plus strictes. Les autorités sanitaires suisses n'ont signalé que 39 nouvelles infections par des coronavirus lundi, ce qui porte le total du pays à 30 344. Jusqu'à présent, 1 543 patients sont décédés en Suisse.
L'Autriche suivra dans le courant de la semaine et les restaurants et cafés seront autorisés à rouvrir à partir de vendredi.
En Espagne, le nombre de décès quotidiens dus à des coronavirus a atteint lundi son niveau le plus bas depuis deux mois, le pays ayant assoupli une grande partie des restrictions de confinement dans environ 51 % du pays (à l'exclusion de plusieurs de ses grandes villes, dont Madrid).
Le ministère de la santé a déclaré lundi que 123 personnes étaient décédées la veille, le plus faible nombre de décès depuis le 18 mars, soit à peine trois jours après l'imposition de la quarantaine. Les données d'un institut de santé espagnol ont montré que la "surmortalité" dans le pays a diminué, éliminant la marge entre la moyenne historique des décès et les décès signalés chaque semaine en Espagne.
En Grande-Bretagne, les Britanniques commencent à vivre dans les nouvelles conditions de confinement dévoilées par le Premier ministre Boris Johnson hier soir. L'Ecosse et le Pays de Galles ont insisté pour conserver le slogan "Stay At Home" (restez chez vous) - au lieu de le changer - en raison de ce qui semble être un désaccord mineur sur la sémantique, bien que les dirigeants des deux républiques constitutives du Royaume-Uni aient affirmé que les nouvelles orientations mettent des vies en danger.
Pourtant, alors que des dizaines d'États américains commencent à prendre des mesures plus draconiennes pour rouvrir leurs économies cette semaine, certaines des réouvertures les plus suivies rencontrent des obstacles. Comme nous l'avons signalé hier, le nombre de cas d'infection en Allemagne est passé à environ 1,1, dépassant le seuil de "1" - ce qui signifie que le nombre de patients infectés augmente au lieu de diminuer -, seuil auquel le gouvernement allemand a déclaré qu'il arrêterait, voire inverserait, la réouverture de son économie.
RépondreSupprimerL'Iran a fait état de 45 nouveaux décès lundi, ce qui porte le nombre total de victimes à 6 685. Le nombre total d'infections a atteint 109 286, avec 1 683 nouveaux cas signalés dans la nuit, contre 1 383 la veille. Ce pic survient alors que les autorités ont imposé à nouveau le confinement de larges pans de la province du Khuzestan, au sud du pays, la semaine dernière. Le taux d'infection reste également alarmant dans la capitale de Téhéran.
Enfin, en Russie, les autorités ont fait état d'une nouvelle hausse record des nouvelles infections, tandis que le nombre de décès dans tout le pays a dépassé les 2 000 lundi, ce qui souligne l'aggravation de l'épidémie en Russie et la réalité que le gouvernement de Moscou semble pour la plupart impuissant à enrayer la propagation.
Ces derniers chiffres ont fait passer la Russie devant l'Italie en tant que pays ayant la troisième plus grande épidémie au monde (à l'exclusion de la Chine, bien sûr).
Après avoir confirmé 11 656 cas supplémentaires lundi, le nombre total de cas en Russie a dépassé les 220 000, tandis que 94 personnes sont mortes, portant le bilan à 2 009 morts.
La Russie a maintenant le deuxième taux de nouvelles infections le plus rapide au monde après les États-Unis, selon le Moscow Times.
Lundi. Le président Vladimir Poutine doit rencontrer de hauts fonctionnaires pour discuter d'une nouvelle prolongation du verrouillage national de la Russie, qui doit prendre fin mardi, alors que de nombreux fonctionnaires russes ont chuchoté que l'économie pourrait ne pas rouvrir avant fin juin.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/germany-south-korea-report-surge-new-covid-19-cases-lockdowns-eased-live-updates
La réduction de moitié des pièces de monnaie est là. Êtes-vous prêt ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
lun, 05/11/2020 - 09:35
Après un compte à rebours de quatre ans et des mois de spéculation, la réduction de moitié des bitcoins est sur le point de se produire...
- voir graphique sur site -
Comme le précise Tim Copeland de Decrypt.co, à 19 heures UTC (15 heures ET) aujourd'hui, la nouvelle offre de Bitcoin va chuter de 50%, ce qui signifie qu'il y a peu de satoshis créés chaque jour.
Comment le récit de l'or numérique tiendra-t-il après la réduction de moitié des bitcoins ?
Il y a beaucoup de pression sur la réduction de moitié de cette année. Les partisans du bitcoin ont fait circuler deux récits autour de cette question : L'événement entraînera un boom des prix, ou bien Bitcoin ressemblera davantage à l'or dans sa rareté et sa stabilité. Nous examinons ci-dessous les idées qui sous-tendent ces deux scénarios et ce qui se passera si aucun des deux ne se réalise.
L'heure de la course au taureau de Bitcoin
Après la réduction de moitié, de nombreux bitcoiners espèrent voir le prix du bitcoin repartir à la hausse, atteindre de nouveaux sommets et des objectifs ambitieux comme 288 000 dollars d'ici 2024, 250 000 dollars cette année ou même un million de dollars dans un avenir proche. Mais sur quoi ces prévisions sont-elles fondées et sont-elles probables ?
- voir graphique sur site -
Il s'agit en partie d'examiner des données historiques. Lorsque vous examinez les deux dernières réductions de moitié, elles ont toutes deux précédé des encierros. Prenez 2016, un an plus tard, Bitcoin a atteint 20 000 dollars et a attiré une couverture médiatique mondiale.
L'autre partie est le ratio stocks-flux. Il s'agit de la différence entre la quantité de bitcoin produite et la quantité en circulation. Si la demande reste stable et que la nouvelle offre de pièces diminue, cela devrait en théorie exercer une pression à la hausse sur le prix.
- voir graphique sur site -
h/t @ 100 trillions de dollars US
Mais il y a des défis à relever. Certains signes indiquent que cette dernière activité - le prix de Bitcoin a rebondi de 4 500 à 10 000 dollars, avant de revenir à 8 600 dollars - n'est pas portée par un nouvel intérêt des acheteurs au détail. Alors que le nombre de personnes s'inscrivant à des échanges augmente, il est loin d'atteindre le niveau de la fin 2017. Et si l'on considère que la tendance haussière de 2017 a été largement menée par les investisseurs particuliers, cela pourrait être un signe inquiétant.
Des difficultés existent également sur le plan technique. La réduction de moitié des bitcoins va diminuer de moitié les revenus des mineurs de bitcoins. Cela éliminera en grande partie les mineurs de détail, mettant l'exploitation minière uniquement entre les mains de grandes exploitations minières dotées des dernières plates-formes minières. Mais si les mineurs abandonnent le réseau, la sécurité du réseau s'en trouvera affaiblie, à moins que le prix ne double pour compenser, ce qui n'est pas du tout garanti.
Dans le même temps, les tarifs augmentent en flèche. Une grande vague de négociants et d'acheteurs a fait augmenter le nombre de transactions de Bitcoin, ce qui a entraîné une hausse des frais en réaction. Un effet secondaire de la réduction de moitié, qui réduira les revenus des mineurs, pourrait être une augmentation supplémentaire des frais, car les mineurs ont besoin de revenus supplémentaires pour soutenir leurs opérations minières. Si cela se produit, cela pourrait rendre le réseau encore plus cher et plus lent à utiliser. Mais le jury ne sait pas si cela se produira.
RépondreSupprimerDans l'ensemble, il y a beaucoup d'optimisme, mais guère plus que de l'espoir. Une forte hausse justifiera l'optimisme, mais seulement si elle se concrétise.
Bitcoin comme or numérique
Les Bitcoiners ont tendance à parler de l'or numérique, non pas dans la mesure où il s'agit d'une représentation physique, mais pour faire référence à ce que représente l'or. Il est rare, précieux et sa valeur tend à augmenter avec le temps. C'est ce qu'on appelle le bitcoin, dont la valeur a augmenté depuis sa création. Il existe cependant de grandes différences, la volatilité errante de Bitcoin rendant cette comparaison difficile.
Mais comme pour l'or, l'offre de nouveaux bitcoins est rare. Et elle se raréfiera avec le temps. La réduction de moitié est essentielle à cet égard - c'est le moment où l'offre est réduite, même artificiellement. Ainsi, bien que ce récit s'applique généralement aux pièces de monnaie, c'est dans ces rares moments qu'il prend toute son importance.
La partie importante est l'idée que cette rareté accrue se traduira par une augmentation de la valeur au fil du temps - en supposant une demande constante, ou croissante. Nous avons déjà évoqué le modèle stock-to-flow plus haut. Si la réduction de moitié des bitcoins conduit à une course de taureaux, cela réaffirmerait le récit de l'or numérique.
Mais si cela ne se produit pas, et que le prix continue à baisser - il est toujours en baisse de 50 % depuis décembre 2017 - comme s'il était retombé à 4 500 dollars, il serait encore plus difficile de maintenir cette connexion. Comment une chose peut-elle baisser de 50 % - voire de 75 % - et se qualifier de réserve de valeur ?
Cette année, la célébration de la réduction de moitié des pièces de monnaie est plus importante que jamais, avec des flux et des fêtes organisés pour la couvrir - et bien plus de personnes impliquées que la dernière fois.
L'événement suscite de grandes attentes, beaucoup espérant qu'il s'agit de la rampe de lancement de la monnaie nécessaire pour devenir un véritable actif mondial. Mais si le prix n'est pas à la hauteur - et Bitcoin a l'habitude de ne pas suivre scrupuleusement les conventions - l'hyperbole est le dernier de leurs soucis.
https://www.zerohedge.com/crypto/bitcoin-halving-here-are-you-ready
ENTREPRISE : 5 CHOSES QUE VOUS IGNOREZ SUR L?ÉCORESPONSABILITÉ
RépondreSupprimerpar RAPHAËL DE PERLINGHI
12/05/2020
58% des consommateurs seraient prêts à payer plus cher si la marque s'avérait plus respectueuse de l'environnement.
La pression de plus en plus importante exercée par les décideurs politiques ou les consommateurs a contribué à positionner l’écoresponsabilité parmi les principales priorités des entreprises en France comme à l’international.
Malheureusement, de nombreux chefs d’entreprises ne considèrent l’écoresponsabilité que comme un simple critère à remplir dans la longue liste d’initiatives liées à la RSE. Cependant, cette approche est loin d’être viable. Effectivement, sans la mise en place d’une réelle stratégie commune à l’ensemble des services de l’entreprise, ces initiatives peuvent rapidement s’effondrer et mettre l’entreprise en difficulté. Le constructeur Volkswagen en a par exemple fait les frais et est tombée en disgrâce pour cause de greenwashing auprès de ses clients.
S’engager sur la voie de l’écoresponsabilité – qu’elle concerne des dimensions environnementales, éthiques ou sociales, est un projet d’envergure. La meilleure façon de s’assurer de son succès est d’amener les discussions aux plus hauts niveaux, avec une optique stratégique et une vision globale de l’entreprise.
Nous vous proposons ici de lever 5 préjugés autour l’écoresponsabilité afin de vous démontrer que chaque entreprise peut s’y retrouver.
Les matières premières issues de bouteilles plastiques ne sont pas si facile à obtenir
Lorsqu’il s’agit de recyclage, beaucoup d'entre nous associent le concept aux montagnes de bouteilles en plastique accumulées dans les décharges ou flottant au gré des cours d’eau. Les consommateurs se demandent d’ailleurs pourquoi les entreprises n’utilisent pas davantage de bouteilles plastiques recyclées dans la fabrication de leurs produits et cela n’est pas étonnant au vu de la situation.
En réalité, même si le nombre de bouteilles en plastique semble important, les matières premières nécessaires à la production de produits recyclés peuvent être difficiles à trouver. Les usines capables de transformer les bouteilles plastiques en matériau exploitable sont en effet peu nombreuses, limitant ainsi l’approvisionnement des fabricants.
De plus, les bouteilles doivent passer par de nombreuses étapes avant de pouvoir être réutilisées sous d'autres formes : premièrement, elles doivent être déchiquetées en petits flocons devant être re-polymérisés en copeaux de plastique. Puis, les copeaux sont ensuite chauffés et filés pour obtenir un fil malléable et flexible pouvant être utilisé dans les coutures d’une multitude d'accessoires - des sacs aux vêtements, les options sont presque infinies !
Une conception durable peut être rentable
RépondreSupprimerLes acteurs du secteur du retail associent souvent les gammes écoresponsables à des produits peu ou pas rentables, étant donné les coûts associés au recyclage, à l'approvisionnement en matériaux, à la production, à l'emballage et à la livraison « verte », etc. Une enquête réalisée par Economist Intelligence Unit (EIU) a révélé que 57% des cadres supérieurs considèrent que les bénéfices à retirer des efforts liés au concept d’écoresponsabilité sont supérieurs aux coûts de sa mise en place.
Néanmoins, il est indéniable que les opérations durables de fabrication et de gestion sont à envisager sur le long terme pour toute entreprise qui se dit innovante. Cet état d’esprit pourra, sur le long terme, permettre à l’entreprise d’apprécier de nouveaux bénéfices sur son activité, qu’ils concernent sa valeur actionnariale ou encore son image. Au final, tout cela contribuera directement ou indirectement à l’amélioration à sa rentabilité.
La prise de conscience autour de l’écoresponsabilité et de l’engagement nécessaire (sur le long terme) est indispensable et pourra faire toute la différence.
Les consommateurs n’ont que faire des certifications
En tant que détaillants ou encore fabricants, nous ne connaissons que trop bien les certifications (telle que la Global Recycling Standard) et l’engagement que cela implique pour la mise en place de processus durables au sein de l’entreprise. Ces certifications sont d’excellents moyens de prouver aux consommateurs ainsi qu’aux parties prenantes que la démarche engagée en matière d’écoresponsabilité n’est pas simplement un écran de fumée. Octroyées par des tiers assermentés, ces certifications sont des preuves concrètes de l’engagement des entreprises.
Mais les consommateurs connaissent-ils et comprennent-ils pleinement la signification de ces certifications ? Plus important encore, se soucient-ils que la marque de sacs ou de chaussures qu'ils achètent respecte les réglementations imposées pour l’obtention de ces mêmes certifications ?
La réponse est non. Les décisions d'achat d'un consommateur sont principalement basées sur des critères tels que le prix, la praticité ou encore sa fidélité à la marque. Il incombe alors aux entreprises non seulement de veiller à éduquer les consommateurs vis-à-vis de ces certifications, mais également de faire en sorte que leurs produits soient aussi pratiques que durables pour rester attrayants.
Les entreprises qui délaissent l’écoresponsabilité prennent un risque énorme
Président et Directeur Général chez Walmart, H. Lee Scott, indique que « l’écoresponsabilité représente une opportunité commerciale unique du 21ème siècle et qu’elle sera à la source d’un véritable avantage concurrentiel ». De nos jours, cela est valable pour chacune des entreprises.
Trop souvent, les entreprises ne modifient leur mode de fonctionnement que lorsqu'elles se sentent menacées, et il est parfois déjà trop tard. Prenons l'exemple de l'industrie automobile. Avant que Tesla ne mette ses solutions révolutionnaires sur le marché, les autres constructeurs automobiles sont restés dans leur pré carré et ne sont pas allés au-devant d’innovations de rupture. Quand ils ont dû faire face à l’arrivée de Tesla, les constructeurs avaient déjà accumulé beaucoup trop de retard sans même s’en rendre compte.
Il en est de même pour l’écoresponsabilité. Que ce soit à un niveau mondial ou Européen, de nombreuses mesures sont prises par les décideurs politiques pour durcir les normes associées à l’environnement. En tant qu’entreprise, la pire des situations serait d’être mise au pied du mur lorsque ces initiatives seront amenées à devenir des réglementations – et cela n’est qu’une question de temps.
RépondreSupprimerLes entreprises les plus expérimentées (autrement dit les plus anciennes) n’avaient pas pour projet ni pour priorité de devenir écoresponsables. Il est naturel de penser que le passage vers des pratiques plus durables peut sembler difficile pour ces mêmes entreprises, d’autant plus lorsque cela affecte l’ensemble de leurs opérations.
À mesure que les exigences de la société évoluent, toute entreprise se doit de répondre aux besoins naissants aussi bien au travers de leurs produits que de leur modèle commercial. De plus, ceux-ci doivent être pris en compte dans la construction des stratégies commerciales des entreprises afin de pouvoir transparaitre dans la relation qu’ils pourront établir avec leurs clients.
L’écoresponsabilité n’est pas un effet de mode
Au cours des deux dernières décennies, nous avons vu de nombreux effets de mode aller et venir, mais l’écoresponsabilité n’en fait pas partie. Pour les prochaines années, nous nous attendons à ce que ce courant soit de plus en plus présent dans de nombreux aspects de la vie des entreprises et des consommateurs.
Une récente enquête menée par Nielsen a montré que 58% des consommateurs seraient prêts à payer plus cher si la marque s’avérait plus respectueuse de l'environnement. Ce chiffre est d’autant plus parlant qu’il atteint 72% pour les nouvelles générations, autrement dit les 15-20 ans.
Il est clair que l'écoresponsabilité est un état d'esprit qui se transmet de génération en génération, et les entreprises ont un rôle énorme à jouer pour assurer sa démocratisation. La durabilité sera un facteur important dans les futures décisions prises par les entreprises et les consommateurs. Moi-même haut responsable au sein de mon entreprise, je considère qu'il est de ma responsabilité de contribuer, dès aujourd’hui, au développement d’un monde et d’un avenir plus durables.
http://www.economiematin.fr/news-entreprise-ecoresponsabilite-consommateur-ecologie-recyclage
La dictature se recycle.
SupprimerLe port du masque va-t-il faire exploser la délinquance ?
RépondreSupprimer19:44 11.05.2020
Par Fabien Buzzanca
Le déconfinement dont fait l’objet la France à partir de ce 11 mai s’accompagne de mesures de sécurité strictes. Le port du masque est notamment obligatoire dans de nombreuses situations. De quoi poser un problème aux forces de l’ordre? Stanislas Gaudon, délégué général à la communication au syndicat de police Alliance, répond à Sputnik France.
«Oui, bien sûr que ça va poser un problème, tout comme ceux qui mettent une écharpe ou se dissimulent parfois le visage avec un foulard lorsqu’ils ne veulent pas être reconnus», s’inquiète Stanislas Gaudon au micro de Sputnik.
Le délégué général à la communication au syndicat Alliance, organisation du personnel majoritaire dans la police nationale, anticipe quelques soucis de sécurité avec le déconfinement et le port généralisé du masque. Comme l’a annoncé Édouard Philippe, les Français sont à partir de 11 mai à nouveau libres de se déplacer sans attestation dans un rayon de 100 kilomètres autour de leur domicile. Beaucoup de commerces vont rouvrir leurs portes, de même que certaines classes.
Cependant, ce retour à la semi-liberté s’accompagne de contraintes. Comme l’avait annoncé le Premier ministre le 28 avril à l’Assemblée nationale, «nous allons devoir vivre avec le virus. Ce n’est pas réjouissant, mais c’est un fait. Il faut donc apprendre à nous en protéger.»
«Les règles vont changer»
Parmi les mesures de sécurité qui accompagnent le déconfinement, on trouve le port du masque. Désormais recommandé par le gouvernement, après avoir été jugé inutile, il sera même obligatoire dans de nombreuses situations, comme dans les transports publics ou certains commerces. De quoi rendre plus difficile le travail de la police ?
«Le port du masque à grande échelle est susceptible de compliquer le travail d’investigation des forces de l’ordre lorsque ces dernières doivent identifier les suspects de crime ou délit», explique Stanislas Gaudon.
Le policier juge cependant difficile de prédire une possible augmentation de la délinquance du fait de la généralisation du port du masque.
«Est-ce que l’on va assister à une montée de la délinquance ? C’est difficile à dire, car en temps normal, le délinquant n’hésite pas à se cacher le visage quand il ne veut pas être reconnu. Nous l’avons encore constaté lors des récentes manifestations contre le gouvernement. Ceux qui ne voulaient pas être pris quand ils jetaient des cocktails Molotov sur les policiers se dissimulaient le visage avec une écharpe ou une cagoule. C’est là que le travail d’investigation de mes collègues entre en jeu.»
D’après Stanislas Gaudon, la priorité va de toute façon à la santé des Français: «Les règles sanitaires sont, dans cette “guerre sanitaire”, la priorité du moment. Et il ne s’agira pas de changer des règles pour que d’un côté cela soit plus facile pour les forces de sécurité, mais que de l’autre, le virus se propage sur le territoire national. L’équilibre est difficile à trouver».
Pour le membre d’Alliance, la police dispose de moyens pour gérer la situation:
RépondreSupprimer«Il n’y a pas que la reconnaissance visuelle. Il y a aussi tout un travail qui peut être fait avec la téléphonie, avec des recoupements, avec parfois des témoignages, sans parler de la vidéoprotection, qui équipe beaucoup de municipalités, pas seulement en région parisienne, mais également en province. Elle peut nous permettre de mener des enquêtes et d’interpeller des individus qui ont commis des faits graves.»
En dehors du port du masque obligatoire dans certaines circonstances, le déconfinement s’accompagne de deux mesures phare: l’attestation employeur nécessaire dans les transports en commun franciliens aux heures de pointe, ainsi qu’une autorisation de déplacement limitée à 100 kilomètres autour du domicile.
Pour Stanislas Gaudon, le travail de la police va s’adapter en fonction de ces nouvelles contraintes:
«Les règles vont changer. Il s’agira notamment pour les forces de l’ordre de contrôler le port des masques dans les lieux où il est obligatoire, comme dans les transports en commun, où il sera également nécessaire de contrôler les attestations aux heures de pointe en Île-de-France. Il faudra également veiller au respect de la distance des 100 kilomètres à partir du domicile pour les déplacements et ainsi empêcher qu’un individu issu d’une zone rouge se rende dans une zone verte, avec les risques de propagation du virus que cela implique.»
Stanislas Gaudon se félicite d’une «baisse significative des crimes et délits» durant le confinement. Des bons chiffres notamment dus «à une absence de victimes dans les rues» et à «des gens confinés à leur domicile, ce qui rendait plus difficiles les cambriolages». Dorénavant, la priorité du moment pour les forces de l’ordre sera de «faire appliquer les règles du déconfinement»:
«Maintenant, nous axons, nous priorisons. Nous nous occupons d’abord de tout ce qui est flagrants délits, tout ce qui est prioritaire. Je pense aux violences conjugales, aux violences intrafamiliales, je pense aux agressions, je pense également à tout ce qui est vol, notamment sur la voie publique, par exemple lorsque des délinquants arrachent des colliers ou des bijoux sur les personnes qui se déplacent sur la voie publique.»
Pour le policier, la problématique du port du masque est un danger moindre que la situation explosive dans les quartiers sensibles. Nombre d’entre eux se sont embrasés à la suite de l’accident d’un jeune père de famille sans emploi le 18 avril à Villeneuve-la-Garenne. Ce dernier est entré en collision avec une voiture de police alors qu’il roulait sans casque sur une motocross non homologuée et qu’il a été grièvement blessé.
Nécessaire «reconquête républicaine»?
Dans les jours qui ont suivi l’accident, de nombreux quartiers sensibles à travers tout le pays ont connu des épisodes de violences urbaines. Le 9 mai, c’est un Carrefour Market qui a été incendié à Nanterre à la suite d’un contrôle de confinement qui a dégénéré.
Stanislas Gaudon juge la situation critique: «Les craintes pour le déconfinement sont les mêmes craintes que l’on a eues par rapport au contrôle du confinement dans les quartiers sensibles. Ces derniers sont à la limite de l’insurrection, avec parfois des basculements complets dans les violences urbaines. On a des évènements qui se déroulent quasiment tous les week-ends en petit couronne et en grande couronne parisienne, mais aussi dans les villes de province.»
RépondreSupprimerSi le policier assure que «ce n’est pas la population entière de ces quartiers qui est responsable, mais une minorité qui décide de mettre le chaos», il tire la sonnette d’alarme:
«Il est très difficile de faire appliquer les règles de la République dans des quartiers qui n’appréciaient déjà pas la police avant cette crise sanitaire. Certains issus de ces quartiers ont bien l’intention de faire comprendre qu’il ne s’agit pas du territoire de la République ni de celui de la police nationale. Il faut que l’impunité cesse et que la reconquête républicaine se fasse, notamment pour les habitants de ces quartiers qui, eux aussi, n’en peuvent plus.»
https://fr.sputniknews.com/france/202005111043761055-le-port-du-masque-va-t-il-faire-exploser-la-delinquance/
(...) «Est-ce que l’on va assister à une montée de la délinquance ? C’est difficile à dire, car en temps normal, le délinquant n’hésite pas à se cacher le visage quand il ne veut pas être reconnu. (...)
SupprimerFaut-il se poser la question ?! Les magasins devraient avoir le droit d'interdire les masques chez eux !
"Quelqu'un m'a attaqué !"
"Comment était-il ?"
"Masqué !"