«Personne ne sait faire un virus pathogène»: Didier Raoult dément l'origine humaine du Covid-19 – vidéo
13:28 18.05.2020
Le professeur Raoult a donné plus d’explications sur l’origine du nouveau coronavirus. Il estime que personne n’est encore capable de créer un virus pathogène, confirmant l’hypothèse que le virus a été transmis, pour évoluer ensuite et devenir transmissible entre humains.
Lors d’un entretien donné dimanche 17 mai à la télévision chinoise dans son IHU Méditerranée Infection à Marseille, Didier Raoult est revenu sur l’origine de l’épidémie. Il a rappelé que le coronavirus avait, comme toutes les infections virales jusqu’ici, d’abord circulé chez une espèce animale et s’est transmise à l’homme par la suite. Il rejette ainsi la théorie selon laquelle le virus a été créé artificiellement en laboratoire.
«L’hypothèse la plus vraisemblable est qu’au départ, c’était une zoonose», a-t-il indiqué.
Selon lui, les animaux qui sont les plus susceptibles d’être à l’origine d’un virus contagieux sont ceux qui vivent «en collectivité importante». Cela explique les épidémies liées aux animaux d’élevage comme le cochon ou la poule.
Concernant le nouveau coronavirus, le virologue penche vers une théorie déjà très répandue, à savoir que la chauve-souris en est probablement à l’origine. «Il y a beaucoup de virus, de bactéries qui viennent des chauves-souris, parce qu’elles vivent avec des collectivités très importantes. Dans une grotte, il peut y avoir 100.000 chauve-souris», a-t-il précisé.
Il ne souhaite cependant pas en arriver à une conclusion trop hâtive, estimant qu’il faudra encore des données scientifiques réelles pour confirmer ce fait.
L’OMS cherche à connaître la genèse du virus
L’Organisation mondiale de la santé continue d’affirmer que l’origine du virus reste incertaine, mais que sa compréhension est essentielle. Pour Sylvie Briand, qui a dirigé le programme Grippe de l’organisation lors de la pandémie de H1N1 en 2009, ainsi que de nombreux chercheurs, le virus est bien né chez la chauve-souris, mais s’est transmis chez une autre espèce avant de passer à l’homme.
«Le virus s'est multiplié chez ces animaux, s'est transformé un petit peu au fur et à mesure de ces passages et finalement a abouti à une forme de virus transmissible à l'homme», a-t-elle expliqué, citée par l’AFP. La spécialiste insiste sur le fait que «retracer l’origine du virus permettrait d’éviter que le phénomène se reproduise».
«Des milliers de prélèvements ont été effectués», notamment sur des animaux dans le marché de Wuhan et sur des chiens à Hong Kong, mais ces analyses demandent du temps, a-t-elle précisé. L’OMS a appelé Pékin à l'«inviter» pour enquêter sur le sujet. Début mai, les autorités chinoises ont proposé la création d’une commission internationale pour évaluer «la réponse mondiale» à la pandémie, mais uniquement après la fin de celle-ci.
PAS DE MÉDAILLES POUR LES SOIGNANTS ET SUPPRESSION DES ARS !
par NICOLE DELEPINE 19/05/2020
11% du PIB de la France est dédié au système de santé.
Crise de notre système de santé : sans suppression de la dictature des agences régionales de santé ARS, pas d’amélioration possible, ni à l’hôpital, ni en ville.
Le manque d’argent n’est qu’apparent dans notre système de santé et en rajouter sans modifier profondément sa gouvernance ne servirait à rien. Les politiques qui désirent vraiment être efficaces et ne pas se contenter de surfer sur la vague du soignant héros auquel on attribue une médaille, et même 300 € par mois, devraient s’attaquer aux racines du désastre. Ne remplissons pas le tonneau des Danaïdes sans en colmater les fuites.
L’augmentation des salaires des paramédicaux, aussi importante soit-elle, ne résoudra pas le manque de couches pour les patients, les compresses comptées par les cadres, les durées limitées pour réaliser un pansement (avec rappel sonore à l’infirmière qui dépasse les 3 mn), etc. Les exemples ont déjà rempli de nombreux livres sans effet, car le problème principal n’est pas au manque d’argent (11 % du PIB), mais à la gestion calamiteuse des technocrates échappés de cabinets ministériels qui voient l’hôpital comme une entreprise à soumettre au dieu informatique et qui vit de plus en plus sur elle-même, oubliant les malades. Ma question la plus fréquente à l’hôpital : « au fait, c’est quoi un malade ? » Hallucinant mais réel !
« « La bureaucratie est dangereuse pour la liberté. Max Weber affirme qu’elle l’est à deux points de vue : elle nuit d’une part à la liberté individuelle en rendant la vie individuelle de plus en plus dépendante et en limitant la marge d’autonomie des individus ; elle réduit d’autre part la liberté politique en accroissant le rôle politique des fonctionnaires au détriment de celui des dirigeants politiques. Dans cette seconde perspective, la bureaucratie apparaît comme un instrument de domination tendant à devenir une instance de pouvoir autonome, à tel point que l’idée se répand, selon laquelle le « pouvoir réel » se trouverait entre les mains de la bureaucratie. Il est dès lors nécessaire de réintroduire un rapport approprié entre les bureaucrates et les hommes politiques. « Les hommes politiques, écrit Max Weber, doivent constituer un contrepoids contre la domination de l’appareil administratif d’État » (Économie et Société).
Cette bureaucratie titanesque, qui croit à chaque réforme et manifestation, nous avale lentement mais sûrement comme un monstre du Loch Ness qui n’aurait jamais fini de dévorer sa proie. Les québécois l’ont décrit avant nous, car ils nous ont malheureusement servi de modèle tant pour les fameuses références médicales opposables devenues recommandations, puis injonctions, que pour cette organisation bureaucratique de la santé. « L'incroyable organigramme du réseau de la santé, croisement entre la toile d'une araignée maniaco-dépressive et un cube de Rubik surdimensionné, illustre parfaitement ce point. De sorte que la question véritable est : quelle proportion de la bureaucratie de la santé ne fait-elle que s'occuper d'elle-même, sans que l'existence de patients dans le monde réel n'y compte pour quoi que ce soit ? »
Que sont ces funestes agences régionales de santé (ARH puis ARS) dont les citoyens au travers de cette crise du Covid19 ont découvert le pouvoir de nuisance ?
Elles ont été créées en 1996, par les ordonnances Juppé, dans la discrétion la plus totale, à la suite de la grande grève de fin décembre 1995 restée dans les mémoires des Parisiens privés de transport pendant plusieurs semaines. Le peuple défendait la sécurité sociale de 1946 attaquée par un Juppé droit dans ses bottes. Sous l’influence du Président plus politique, il céda en apparence, mais pris sa revanche quelques mois plus tard en rédigeant les funestes ordonnances instaurant les agences régionales d’hospitalisation. Début de la destruction progressive de notre système de santé dont le point d’orgue est aujourd’hui la crise du Covid19 et le refus des soins pendant 2 mois de toute pathologie non Covid19. Cauchemar qui risque fort de se poursuivre par la disparition de la sécurité sociale, si l’on n’y prend garde. Le ministre actuel de la santé O. Véran avait déjà tenté de l’inscrire dans les faits en remplaçant en 2018 le nom « sécurité sociale » par « protection sociale », dans la loi de financement. Des esprits attentifs stoppèrent ce défi. Il n’était que député. Il est maintenant ministre. Vigilance.
Le coup de massue, création des ARH en 1996
Va donner de nouvelles armes aux technocrates pour définitivement priver les médecins de liberté de soigner. L’état centralisateur a créé une « autorité dédiée afin de rendre plus lisibles les actions dans le domaine de l’hospitalisation et de « concentrer suffisamment de pouvoirs administratifs ». Il l'exprime clairement !
Elimination des représentants élus dans la gestion des hôpitaux de leur commune ! Trop proche de la plèbe et incapable de fermer leur hôpital de proximité efficace, utile même si pas toujours rentable ! les technocrates le feront sans état d’âme, contre l’avis des habitants usagers.
Les ARH sont placées sous la tutelle du ministère de la santé et sous le contrôle économique de l’Etat constituées sous la forme de groupement d’intérêt public (GIP) associant des personnes publiques compétentes dans le domaine de l’hospitalisation : l’Etat (préfets, DRASS et DDASS), organismes d’assurance maladie (caisses régionales et les unions régionales des caisses crées dans la même ordonnance que celle instituant les ARH).
Les ARH sont chargées des missions de planification et d’allocations des ressources hospitalières. Les ARH, et c’est là l’innovation, reçoivent une véritable délégation de pouvoir à l’imitation des recteurs et des préfets, pour mettre en œuvre la politique régionale d’offre de soins hospitaliers, d’analyser et coordonner l’activité des établissements de santé publics et privés, de contrôler leur fonctionnement et de déterminer leurs ressources (article L6115-1 CPS.). Fini les pouvoirs des chefs de service, des compétences MEDICALES.
Les ARH officialisent la disparition de l’autonomie de la sécurité sociale issue du programme du comité national de la résistance (les Jours heureux) et des ordonnances de De Gaulle de 1946. »
L’ordonnance du 4 septembre 2003 a renforcé les pouvoirs des directeurs des ARH, leur transférant un certain nombre d’attributions alors détenues par les préfets.
C’en est fini de la liberté de gestion médicale des hôpitaux publics qui marchait si bien. Notre système de soin était classé premier lors d’une évaluation de l’OMS en 2000) : la multiplication sans frein des administratifs se développe de plus en plus à partir de 1995 avec la mise en place des SROSS, schémas régionaux d’organisation sanitaire et sociale.
La technocratie avait largement préparé le terrain : l'hôpital Hérold à Paris, par exemple comportait en 1975 près de 400 lits gérés par une quarantaine d'administratifs, idem pour Bretonneau. La fusion en 1988 des hôpitaux Herold + Bretonneau à Paris remplacés par l’hôpital R Debré s'accompagna d'une réduction de lits limités à 360 lits environ lors de l'ouverture (beaucoup moins que les deux établissements réunis), gérés par près de 400 personnels administratifs non médicaux. Avec la création des ARH, le pouvoir décisionnaire et le nombre de ces administratifs va croitre et embellir sans limites, dilapidant une part croissance des ressources officiellement allouées à la santé.
ARH et fonctionnement des SROSS : disparition des petites maternités (mois de 300 accouchements par an
A partir du premier SROSS (1995) et la création des ARH, commence la chasse aux petites maternités, malgré la défense courageuse de leurs médecins, personnels et citoyens concernés. Les manifestations se multiplient d’un bout à l’autre de la France, de la Corrèze aux Ardennes en passant par la Normandie, etc. sans unir suffisamment leurs efforts, faute d’une vue globale. Les comités de défense des petites maternités ont dû mal à porter leur parole au-delà des locaux et le plan national tente de réduire leurs doléances à des conditions locales et de masquer le projet de fermeture de milliers de lits, selon la politique thatchérienne appliquée dans l’ombre depuis les années 83- 84.
Destruction du maillage territorial du système de soins
Chacun se bat localement, mais manque de vue globale, la propagande gouvernementale bien orchestrée orientée sur l’amélioration de la qualité des soins qui serait mise en cause dans les petites structures[1]. Manipulation déjà. Des drames liés à ces fermetures surviennent avec des accouchements dans des voitures ou en hélicoptère, lorsque la neige allonge les trajets et la mise en danger réelle des mères et des nouveau-nés. En même temps que les maternités, les lits de psychiatrie, de chirurgie disparaissent dans tout le pays, y compris en Ile de France.
Bref, le maillage territorial de la santé est progressivement détricoté. Les français ferment les yeux, croient au mythe de la technique toute puissante dont les médecins auraient absolument besoin. Chacun sait que l’accouchement n’est pas un acte naturel… Lorsque leur maternité ou leurs urgences sont menacées, ils manifestent, trop tard, et séparément.
ARH deviennent ARS aux pouvoirs élargis à l’ensemble du système de soins²
« Depuis le 1er avril 2010, elles sont remplacées par des Agences régionales de santé, dont les compétences ont été élargies aux professionnels libéraux et aux maisons de retraite. Les ARS ont la charge de la déclinaison et de la mise en œuvre régionale de la politique nationale de santé, de la définition d'une politique régionale de santé, de l'organisation des soins, de la veille et de la sécurité sanitaire, ainsi que de la prévention dans leur région ».
Les ARS ont intégré en leur sein plusieurs structures, dont elles reprennent les missions : les ARH, les directions régionales et départementales des affaires sanitaires et sociales (Drass et Ddass), les Urcam, les groupements régionaux de santé publique (GRSP), les missions régionales de santé, ainsi que le pôle sanitaire des Caisses régionales d'Assurance maladie (Cram).
Ainsi l’autonomie des caisses de Sécurité sociale a été complètement supprimée, et la sécurité sociale sous le joug complet de l’état.
Elles possèdent le pouvoir de fermer les établissements en fonction de leurs propres critères, via le système d’autorisations dites « accréditations » qui vérifient la soumission des services aux normes établies par les multiples agences de santé (dont le nombre augmente au fil des années, point de chute rêvé des anciens collaborateurs ministériels). Elles peuvent aussi limiter ou interdire l’exercice médical d’un médecin, comme cela s’est produit pour un célèbre professeur de chirurgie plastique (pour des problèmes purement comptables !).
La dictature des ARS rappelle celle de l’Inquisition, car toute puissante, s’auto saisissant d’un problème de son propre chef, enquêtant sans respect d’un code de procédure, instruisant seulement à charge et jugeant seule, sans débat contradictoire et sans possibilité d’appel.
L’exercice de la cancérologie a été complètement transformé via ces accréditations qui déterminent l’autorisation d’ouverture ou fermeture des services de cancérologie : le service doit appliquer pour au moins 70 % de ses patients les choix thérapeutiques venus d’en haut, via l’institut national du cancer INCa, autre agence créée en 2003 avec le premier plan cancer. Ses injonctions dans le traitement des malades se sont accentuées au cours du temps, selon le phénomène bureaucratique bien connu décrit par Althusser.
Le hold-up de la médecine par la bureaucratie
Avant 1996 et la création des ARH, agences régionales d’hospitalisation, le maire était de droit le président du conseil d’administration de l’hôpital local et le préfet de département (et la direction départementale des affaires sanitaires et sociales (DDASS) placé sous son autorité), exerçait la tutelle des établissements de santé assurant le service public hospitalier et la tutelle des établissements médico-sociaux.
Il gérait aussi la permanence des soins et pour partie la question des urgences via un comité départemental, le CODAMU. Officiellement les orientations nationales de santé publique fixées par l’état devaient se décliner sous la responsabilité du préfet, mais il voyait cela de loin sans s’immiscer dans les « choix » médicaux.
Les élus locaux avaient encore un poids (relatif car les réformes développées depuis le début des années 80 avaient déjà commencé le travail de sabotage avec les lois de 1984 sur le statut des médecins devenus "praticiens hospitaliers, la loi de 1991 créant la double hiérarchie, séparant médecins et paramédicaux. Mais cette présence discrète de représentants du peuple était insupportable pour les technocrates.
Aggravation de la tutelle des agences au fil des années
C’est le ministre qui décide. On dit agences indépendantes. C’est faux. Les directeurs des ARS, nommés par décret en conseil des ministres, exercent leurs attributions au nom de l’Etat, sont chargés de définir par activité et équipement les territoires de santé, de se prononcer sur le retrait d'autorisation ou sur la modification de son contenu, de créer les établissements publics de santé, (…) conclure les contrats de concession pour l'exécution du service public hospitalier, passer les conventions relatives à la santé mentale, prendre la décision d'admission à participer au service public hospitalier.
Ces directeurs tout puissants, ex-médecins ou non, ne peuvent évidemment pas connaitre tous les besoins des diverses villes, des spécialités multiples et ils sont trop souvent sous influence de lobbies politiques, financiers, associatifs ou autres.
La multiplication des partenariats public privé va fondamentalement modifier l’exercice hospitalier public et le concept même de service public. Car les enjeux financiers sont devenus deviennent prioritaires sur les préoccupations médicales pour les directions administratives qui décident !
La mondialisation des plus importants laboratoires pharmaceutiques et leur gouvernance purement boursière, la création de certaines structures privées d’hospitalisation et de sociétés type start-up par des hospitaliers du public vont également troubler les contours de l’hôpital public depuis le début du nouveau siècle. Tout ceci sous le « contrôle de l’ARS.
Les décisions d’activité médicale échappent aux chefs de service, aux médecins et aux soignants. Les directeurs d’ARS ont un pouvoir quasi absolu, malgré les commissions qui l’entourent. Dès 2002, les Pr Even et Debré alertent les élus, les médecins et les citoyens sur la suradministration qui déjà ruine l’hôpital.
La création des pôles médicaux par la loi Bachelot ne fait qu’aggraver les choses.
Des chefs de pôle réunissant plusieurs services sous la tutelle d’un seul d’entre eux sèment un peu plus la zizanie, d’autant que le chef de pôle travaille avec le directeur d’hôpital, (de fait sous sa poigne). Les indépendants démissionnent vite de cette fonction hybride, les plus souples restent, donnant une image plus lisse à la dictature administrative qui s’intensifie chaque année. Les rôles des médecins et cadres de santé en tant que tels sont nuls, même si leur nombre n’y est pas négligeable. En peu de temps, ils sont conditionnés à remplir des tableaux Excel, à faire du « reporting » à longueur de journée, dont beaucoup diront qu’ils ne savent pas à quoi ils servent.
La culture du chiffre est devenue le dieu de la gestion managériale dirigée circonstance aggravante par des non-médecins pour lesquels ce qui convient au patient est une entité théorique, apprise dans les écoles à des années-lumière de la réalité du terrain.
L’autoritarisme et la puissance des ARS
Leur mainmise va s’étaler largement sur tous les secteurs de la médecine française, sans exception. Ce nouveau régime juridique est « marqué en tout point par la transversalité entre l’hospitalier, le médico-social et l’ambulatoire, par la démocratie sanitaire et par la lisibilité de la politique de santé en région ».
Comme le reste de la politique, on est de plus en plus plongé dans Orwell et le nouveau langage qui modifie le sens des mots. Citons les plus célèbres : « La guerre, c'est la paix, la liberté c'est l'esclavage, l'ignorance c'est la force. »
La démocratie sanitaire est une vaste plaisanterie à l’heure où les médecins généralistes et spécialistes hospitaliers publics ou libéraux sont privés de toute liberté de soigner. Quant aux soignés, ils sont menu fretin, jamais reçus au ministère, malgré des manifestations importantes ou des grèves de la faim répétitives. Le fossé se creuse entre autorités de l’état replié sur lui-même, y compris à l’échelle des ARS et les citoyens.
Les ARS ne sont en aucun cas indépendantes. Elles sont le bras armé du ministère, comme les autres préfectures : délégation de pouvoirs, pouvoirs renforcés, aucun lien hiérarchique avec le préfet de région.
Les pouvoirs du nouveau Directeur Général d’ARS sont considérables. Leur apparition marque la disparition complète des pouvoirs des préfets sur les questions de santé. La loi HPST dite Bachelot, son article 129, présente l’organisation de l’ARS dont la mise en place constitue une véritable fusion entre organismes différents comprenant des personnels de statuts différents.
« Les ressources de l'agence sont constituées par une subvention de l'Etat, des contributions des régimes d'assurance maladie ; des contributions de la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie, des ressources propres, dons et legs ; sur une base volontaire, des versements de collectivités territoriales ou d'autres établissements publics, des crédits du fonds pour la modernisation des établissements de santé publics et privés dans des conditions définies par décret ». Bref pour l'essentiel nos impôts.
Le personnel des agences (une par région) comprend, des fonctionnaires, des personnels mentionnés au 1° de l'article, des agents contractuels de droit public, des agents de droit privé régis par les conventions collectives applicables au personnel des organismes de sécurité sociale.
Le directeur de l'agence a autorité sur l'ensemble des personnels de l'agence. La grande révolution achevée par cette loi complète celle engagée avec les ARH et constitue un « véritable hold-up de tout le secteur médical par la technocratie ».
Un gros budget
En 2011, les budgets des 26 ARS s’évaluent environ à 1 milliard d’euros (800 millions proviennent de l’Etat et 200 millions de contributions des régimes d’assurance maladie) : 625 millions d’euros pour les dépenses de personnels, 101 millions d’euros pour les dépenses de fonctionnement, 1,7 million d’euros pour l’investissement et 286 millions pour les crédits d’intervention.
Le budget de fonctionnement de l’ARS Ile-de-France, la plus importante en nombre de personnel, est de 150 millions d’euros en 2011. Par ailleurs, les ARS régulent plus de 40 milliards d’euros de crédits en 2011, là aussi source d’économies importantes si on acceptait de revoir les attributions décidées par ces ARS.
En 2017, à titre d’exemple (choisi chez les ARS transparentes …), l’ARS Auvergne-Rhône Alpes comprend 1 000 collaborateurs, dont plus de la moitié dans les délégations départementales avec un budget annuel de fonctionnement et d’intervention de 490 M€ pour une population de 7,7 millions d’habitants.
L’ARS Hauts-de-France est constituée de plus de 650 professionnels du secteur de la santé. Troisième Agence de France au regard de la population couverte, agit pour la santé des 6 millions d'habitants de la région. L'Agence alloue directement plus de 4 milliards d'euros par an au système de santé en région, parmi les 18 milliards d'euros de dépenses consacrées à la santé dans les Hauts-de-France. Sur quels critères, ces attributions de fonds publics ?
Total des crédits consommés en 2016 58 607 302 € HAUTS DE France : personnel 47 165 717 € ; fonctionnement 6 675 973 € ; intervention 4 058 664 € ; investissement 706 948 €.
Au total, actuellement après fusion de certaines ARS en raison de la diminution des régions, on est passé de 26 à 17 ARS, dont 13 en métropole et 4 outre-mer 9000 personnels médecins, administratifs, juristes ingénieurs, géographes, etc. [2]
Un pouvoir excessif qui défie les décisions présidentielles
Leur pouvoir invraisemblable, non médical, fut illustré récemment par la suppression du droit de visite des familles aux ainés dans les EHPADs (ils étaient en prison, ils les mirent au mitard). Le président de la République s’émût enfin le 13 avril à la télévision des privations de visite des personnes âgées et promis que dès le lendemain les familles pourraient rencontrer leurs proches. Plusieurs longs jours se passèrent dans certains établissements sans plus de possibilité de visite. On attendait que le directeur de l’ARS locale donne le feu vert !
Les sordides histoires de masques détournées de leur acheteur à l’atterrissage d’avions ont nourri les éditoriaux des médias ; l’ARS avait donné ordre de livrer ses masques ailleurs. Idem pour interdiction aux pharmaciens de vendre les masques sans contrôle tatillon de l’ARS ou de fabriquer du gel hydroalcoolique.
Et que dire des tests qui depuis le début de la crise ne parviennent toujours pas à satisfaire les normes invraisemblables que l’administration exige ; ce totalitarisme omniprésent et ces normes qu’aucun pays (et surtout pas l’Allemagne) n’exige, a privé les français d’un moyen même imparfait de lutte antiCovid19. Mais c’est promis (une fois de plus), ils seront bientôt agréés et disponibles… une fois l’épidémie terminée. L’étude des chiffres de contaminations journalières publiés par l’OMS montre que l’épidémie sera terminée fin mai.
Pendant ces quelques jours, les français ont pu approcher les dérives totalitaires des décisions des ARS, mais personne n’a bronché, pas même le ministre.
Une fois seulement, une erreur de communication ! Le directeur de l’ARS Grand Est a annoncé que la fermeture de lits et réduction de personnels de l’hôpital de Metz se poursuivraient alors que les hôpitaux étaient soi-disant bondés[3]. Bien sûr, ce sera le cas, mais le dire à la télé après tant de morts dans sa région lui valut sa suspension. Toute vérité n’est pas bonne à dire. On l’a vu chaque jour pendant cette crise.
Sans la suppression du pouvoir dictatorial des ARS et des multiples agences de l’état qui amoncellent normes et injonctions aux hôpitaux publics et privés et aux professionnels de la santé, ruinant leurs finances et bloquant leur efficacité, la France ne sortira pas des gouffres financiers et sanitaires, dans lesquels cette surabondance de bureaucrates l’ont mis. La France, soi-disant pays libéral additionne les effets pervers d’une gestion bureaucratique à la soviétique et d’une gestion financière au service de la Bourse (médicaments innovants, priorité à la recherche tels que les essais thérapeutiques, et aux établissements cotés en Bourse).
Ce système de gestion de crise est très proche de celui de la Chine, dont on a vu que la réponse sanitaire ou politique a tenté plusieurs pays européens (Italie, Espagne, Belgique et France) qui se sont hissés, grâce à cela aux quatre premières places mondiales de mortalité Covid par millions d’habitants. Il serait temps que les politiques qui nous gouvernent, ou que ceux qui l’envisagent, tirent les conséquences de cette dérive ruineuse et meurtrière et redonne liberté et responsabilité aux médecins, aux malades et aux élus en supprimant les agences régionales de santé et leurs nombreuses annexes sous forme d’observatoires, autres agences etc.[4]
Cette technocratie surabondante, aggravée à chaque ministère depuis 1996, prive les médecins de leur liberté de soigner, coûtent des milliards d’euros de fonctionnement à l’état et distribuent d’énormes sommes d’argent, sans base médicale réelle. La chute de notre système de santé au niveau mondial démontre l’échec de ce modèle.
Revenir à une organisation du système de santé centré sur le soin, décidée localement par les soignants et approbation des soignés et citoyens via leurs élus locaux, ne laissant à l’administration que son rôle propre de gestion des ressources, permettrait de larges économies, et de plus de réintégrer les personnels dans les structures médicales et d’en embaucher d’autres, singulièrement dans les EHPAD, ces établissements pour personnes âgées dont la misère a éclaboussé largement la gestion de la crise du covid19.
Ce retour d’argent au médical permettrait aussi de rémunérer les libéraux selon les critères européens (moyenne de la consultation du généraliste en Europe : 50 €)) et ainsi de lutter contre les déserts médicaux en rendant les conditions de vie des médecins plus correctes.
Surtout rendre la main aux professionnels de santé dans les décisions et organisations médicales permettrait de retrouver le sens de nos missions et de donner goût aux plus jeunes pour s’installer.
Sans liberté de soigner, pas de solution. La médecine est un art fondé sur la science, dans lequel le serment d’Hippocrate est essentiel et inapplicable actuellement. En dehors de ceux qui acceptent la robotisation au prix de leur état psychique conduisant au burnout et au suicide, les autres s’échappent progressivement de la profession, déplaquent, trouvent un poste salarié loin du patient, s’expatrient ou exercent un autre métier comme ce chirurgien transplanteur devenu glacier.
[1] Ce qui n’a jamais été prouvé sur une étude française pourtant facilement réalisable compte tenu des fichiers de la Sécurité Sociale
La classe dirigeante totalitaire américaine et ses esclaves volontaires
Par Thomas DiLorenzo 18 mai 2020
Si la calamité du virus du corona froid nous apprend quelque chose, c'est que, à quelques exceptions près, la classe politique américaine est largement dominée par les fascistes et les totalitaires. Je parle bien sûr de tous les gouverneurs, maires et membres des conseils de ville et de comté qui se sont engagés à déclarer que leurs paroles étaient légales et à utiliser les forces de police lourdement armées à leur disposition pour faire appliquer leurs «lois». Le gouverneur de Michigan, Morticia Adams, est devenu le visage de la classe politique totalitaire fasciste d'aujourd'hui.
Les lois réelles sont adoptées par le Congrès et les législatures des États et sont signées par les chefs de secrétariat. AUCUNE des ordonnances de «séjour à la maison» n'est une loi; ce ne sont que les paroles de politiciens et de bureaucrates. Ils ne sont pas non plus basés sur la «science». Dans le véritable esprit d'Abraham Lincoln, qui a arbitrairement redéfini la «trahison» de sa définition de l'article 3, section 3, de «faire la guerre» aux États libres et indépendants (dont il était coupable) pour se critiquer lui-même et ses politiques, la classe politique n'a pas modifié mais simplement redéfini la Constitution pour signifier tous les mots qui sortent des deux côtés de leur bouche. Cela rappelle à votre auteur un vieux film, «L'île du docteur Moreau», dans lequel Burt Lancaster dépeint un scientifique fou qui expérimente sur des animaux qu'il fait en partie humain. Pour contrôler les bêtes, il leur dit qu'il est leur père et et "Le Sayer de la loi". Tout ce qu'il dit est «la loi» du fait qu'il l'a dit. L'Amérique est devenue une grande île du Dr Moreaus se cachant derrière leurs titres de «gouverneur» ou de «maire».
La Déclaration des droits ne dit pas que nous avons des droits inaliénables à la liberté de parole, de réunion et de religion «à moins que les gens ne tombent malades», après tout. Mais, hélas, la Constitution est essentiellement restée lettre morte pendant des générations. Les Américains ont longtemps vécu sous la «constitution hamiltonienne», ce que disent les politiciens de l'époque. Le «constructionnisme strict» jeffersonien a été abandonné, essentiellement, à la fin de la «guerre civile».
C'est pourquoi presque tous ceux qui sont attirés par la politique comme carrière aujourd'hui sont des voyous à l'esprit totalitaire. Ils se lancent en politique précisément parce qu'ils veulent exercer ce pouvoir monopolistique et totalitaire contre leurs concitoyens, qu'ils méprisent et détestent souvent, en les étiquetant publiquement avec des mots «déplorables» et bien pire. Il y a bien sûr quelques exceptions, dont la plus magnifique est l'ancien membre du Congrès Ron Paul, mais ce sont les exceptions qui prouvent la règle.
Je parle également de l'ensemble du Congrès américain, du ministère américain de la Justice et de pratiquement tout le système judiciaire, dont chaque membre est resté aussi silencieux qu'une souris d'église tandis que l'état de droit en Amérique a été balayé en seulement six semaines. Pensez-y la prochaine fois qu'un «républicain conservateur» à Washington prétend se consacrer à la Constitution.
Le public américain a perdu le contrôle du gouvernement fédéral lorsque les droits de sécession et d'annulation ont été abolis en 1865. John C. Calhoun avait raison lorsqu'il a expliqué dans son Disquisition on Government qu'une constitution écrite ne serait jamais suffisante pour contrôler et restreindre le pillage légal. Un mécanisme qui pourrait être utilisé par le peuple des États libres et indépendants, organisé en communautés politiques, était nécessaire si le gouvernement central devait être le serviteur plutôt que le maître du peuple, a-t-il dit. Naturellement, Calhoun est l'une des figures politiques les plus diabolisées de l'histoire américaine par la classe dirigeante américaine.
Puis vint la déification et la glorification de la dictature de Lincoln, qui se transforma en déification de la présidence en général et de tous ses «pouvoirs exécutifs» (c'est-à-dire, principalement anticonstitutionnels, des pouvoirs dictatoriaux pour faire la guerre, asservir les citoyens par la conscription et tout le reste). Le fédéralisme a été détruit par la «guerre civile», après quoi les États sont devenus de simples franchises ou appendices du gouvernement central de Washington. Le gouvernement fédéral a été transformé en un monopole géant du pire: celui auquel il ne peut y avoir d'échappatoire une fois qu'il a acquis les pouvoirs de l'impression monétaire et de l'impôt sur le revenu.
La tentation d'être l'un des rares élus à produire de tels pouvoirs totalitaires est ce qui pousse les pires éléments de la société à poursuivre une carrière politique, comme l'a expliqué F.A.Hayek dans The Road to Serfdom. Il est loin le temps où des citoyens à l'esprit public siégeaient au Congrès pendant quelques années, leur comportement étant contraint par «les chaînes de la Constitution», comme Jefferson l'a dit une fois, puis retournaient à leur vie privée.
Votre auteur avait l'habitude d'avoir une citation sur la porte de son bureau de Ringo Starr, de toutes les personnes, qui disait: "Tout ce que le gouvernement touche se transforme en merde." Aucun mot plus vrai n'a jamais été prononcé. Les échecs inévitables du gouvernement (les Centers for Disease Control ont-ils réussi à contrôler la maladie des coronavirus?) Suscitent une réponse typique des politiciens: intensifier leurs dictats totalitaires, comme le font actuellement de nombreux gouverneurs, après que les dictats originaux se sont avérés être des échecs. Comme Hayek l'a écrit (p. 135): «Ils devraient bientôt choisir entre le mépris de la morale ordinaire et l'échec. C'est pour cette raison que les sans scrupules et les décomplexés ont plus de chances de réussir dans une société qui tend vers le totalitarisme. » Cette dernière phrase est une description parfaite de ce que l'Amérique est devenue ces derniers mois. Hayek l'a écrit dans son célèbre chapitre 10, «Pourquoi les pires montent-ils au sommet».
«Le pire» ne le fait pas tout seul. Ils bénéficient de l'aide d'un large segment de la population qui les aide à en faire leurs propres esclaves de fait. Cela prend un grand groupe, a écrit Hayek, afin de présenter l'apparence de légitimité aux pouvoirs totalitaires de l'État. De plus, le type parfait de grand groupe suffisamment grand pour «imposer leurs vues sur les valeurs de la vie à tous les autres» sera «ceux qui forment la« masse »au sens péjoratif du terme, le moins original et indépendant. . . " Ainsi, le fasciste totalitaire pourra obtenir le «soutien de tous les dociles et crédules, qui n'ont pas de fortes convictions de leur part mais sont prêts à accepter un système de valeurs prêt à l'emploi s'il n'est que suffisamment percuté dans leurs oreilles et bruyamment et fréquemment »(c.-à-d.« Nous sommes tous dans le même bateau. Nous sommes tous dans le même bateau. Nous sommes tous dans le même bateau. Nous sommes tous dans le même bateau ... »). Ce seront «ceux dont les idées vagues et imparfaitement formées sont facilement influençables et dont les passions et les émotions sont facilement excitées qui gonflent bien les rangs du parti totalitaire», écrit Hayek (p. 139).
Vous voyez ces gens tous les jours partout en Amérique: l'homme conduisant seul dans sa voiture portant un masque facial. Le couple sort en marchant un jour venteux avec des masques et se dépêche chaque fois qu'il voit un autre être humain; ceux qui répondent par l'affirmative aux sondages d'opinion lorsqu'on leur a demandé si le verrouillage devait durer «jusqu'à ce qu'un vaccin soit disponible»; les gens qui vous regardent à l'épicerie, ou se plaignent à la crèche, que vous êtes plus près d'eux qu'à six pieds. Tous ceux que le juge Napolitano appelle «la brebis», en d'autres termes.
Le «démagogue habile», a poursuivi Hayek, comprend qu'il est «plus facile pour les gens de s'entendre sur un programme négatif - sur la haine d'un ennemi, sur l'envie de ceux qui sont mieux [l'essence du marxisme] - que sur n'importe quelle tâche positive . " Dans l'Allemagne de la jeunesse de Hayek, «c'était le Juif» qui «était devenu considéré comme le représentant du capitalisme. . . . L'antisémitisme et l'anticapitalisme allemands sont issus de la même racine. . . (pp. 139-140).
Le gouvernement américain fabrique constamment «un autre Hitler», que ce soit Manuel Noriega, Saddam Hussein, Kadhafi, les Sandinistes, Poutine et une myriade d'autres. Cependant, il est encore plus délicat et un niveau de démagogie plus élevé de définir «l'ennemi» comme quelque chose comme la «terreur» ou «l'ennemi invisible» d'un virus que personne ne semble comprendre. De telles choses peuvent sembler être aussi courantes que l'air que nous respirons (littéralement, dans le cas des virus), de sorte que mener une «guerre» contre eux, et la prise sans fin de plus de pouvoir gouvernemental et l'abolition de tout ce qui reste de liberté, peut durer éternellement.
Les «dociles et crédules» ne surgissent pas spontanément en tant que partisans des voyous fascistes qui dominent désormais la majeure partie de l'Amérique. Ils sont cultivés par le système politique. La classe dirigeante politique de n'importe quel pays est toujours une minuscule minorité numérique qui peut être balayée par les masses, qui se comptent par millions. Par conséquent, l'État a un impératif de faire au moins une majorité des «masses» en serfs dociles et crédules. Pour ce faire, il monopolise tous les aspects de l'éducation. Comme Murray Rothbard l'a expliqué dans son essai, «La nature de l'État»: «Particulièrement important. . . c'est à l'État de prendre le contrôle de l'éducation et ainsi de façonner l'esprit de ses sujets. En plus d'influencer les universités par toutes sortes de subventions financières et directement par le biais des universités publiques, l'État contrôle l'enseignement aux niveaux inférieurs par le biais des institutions universelles de l'école publique, par les exigences de certification des écoles privées et par les lois sur la fréquentation obligatoire. . Ajoutez à cela un contrôle pratiquement total sur la radio et la télévision - soit par le biais de la propriété pure et simple de l'État. . . ou, comme aux États-Unis, par la nationalisation des ondes et par le pouvoir d'une commission fédérale de concéder le droit des stations d'utiliser ces fréquences et ces canaux. »
Personne n'est né avec une affinité pour être un esclave; ils doivent être conditionnés à penser de cette façon par le contrôle totalitaire de l'État sur tous les aspects de «l'éducation». En contrepartie d'être une partie essentielle de l'appareil de propagande implacable de l'État, les «serviteurs idéologiques» de l'État, par lesquels Rothbard entendait principalement des professeurs d'université, sont récompensés par des chaires dotées dans des universités prestigieuses, des subventions gouvernementales, des récompenses, la notoriété, la renommée et des postes de conseillers exaltés auprès du gouvernement.
Tout cela est la raison pour laquelle tous les cours à domicile engendrés par tous les ordres inconstitutionnels de verrouillage / séjour à la maison ont créé un véritable sentiment de panique parmi les sbires idéologiques de l'État. À tel point qu'ils ont déniché des «chercheurs» pédagogiques de l'Université de Harvard pour proclamer que l'un des effets insidieux et nuisibles des fermetures a été l'augmentation de l'enseignement pédagogique indépendant qui n'est pas si directement sous leur contrôle et les pouvoirs qui sont pour qui ils travaillent. En d'autres termes, leur plus grande crainte est qu'une prise de conscience répandue que les travaux à domicile puissent être un cheval de Troie, ou le nez de chameau proverbial sous la tente, qui pourrait révéler la vérité que l'empereur n'a pas vraiment un bel ensemble de vêtements après tout.
Un chercheur dit qu'il peut être possible d'utiliser vos propres anticorps salivaires pour envoyer un signal au cerveau pour que le corps fabrique des anticorps plus naturels sans vaccins
Par Bill Sardi 18 mai 2020
La situation critique posée par le coronavirus COVID-19 chez les individus à haut risque et la vulnérabilité de la population humaine de 7,9 milliards de personnes à un coronavirus COVID-19 nouvellement muté sans vaccin éprouvé a incité Moshe Shifrine PhD à proposer une thérapie révolutionnaire basée sur son des décennies de recherche dans le domaine de la thérapie olfactive (olfactive).
Le Dr Shifrine détient deux brevets sur l'utilisation des odeurs pour chatouiller le bulbe olfactif du nez afin de produire des hormones comme la testostérone et l'insuline. Le Dr Shifrine écrit:
«Il suffit d'un petit nombre de molécules (dans une concentration en milliardièmes de gramme) dans les voies nasales pour transmettre l'odeur aux 20 000 récepteurs nerveux du bulbe olfactif situé sur les deux hémisphères du cerveau antérieur. Lorsque les molécules s'attachent à ces récepteurs, leur signature vibratoire envoie un signal électrique à l'hypothalamus dans le cerveau qui se traduit par la production de la substance odorante. Par exemple, l'odeur de la testostérone ou de l'insuline stimule la production de ces hormones par l'organisme. "
Le Dr Shifrine enseigne: Le système olfactif est capable de distinguer 12 000 arômes différents.
Le Dr Shifrine détient un brevet (US 8 679 507 B2) pour l'utilisation d'extrait de truffe qui contient une très petite quantité de testostérone naturelle. Une bouffée de même a été démontrée pour doubler les niveaux de testostérone chez les hommes dans les dix sujets testés. L'extrait de truffe, disponible dans le commerce, élève également les niveaux de testostérone chez les femmes et il a été démontré qu'il atténuait les symptômes courants de la ménopause.
Shifrine, qui a passé 15 ans à enquêter sur la science olfactive, suggère, via un mécanisme naturel qu'il appelle IMMUNITÉ OLFACTIVE HARMONIQUE, qu'il pourrait être possible, chez un patient atteint d'une infection à coronavirus COVID-19, d'obtenir des anticorps naturels de la salive via un tampon buccal et leur exposer le bulbe olfactif par les voies nasales. Ceci à son tour établirait un contact direct avec le cerveau et augmenterait donc prétendument la réponse en anticorps dans tout le corps.
Bien que cet effet spécifique n'ait pas encore été mis à l'épreuve, dit le Dr Shifrine, étant donné les circonstances désespérées actuelles sans vaccin provoquant des anticorps en place, il demande aux professionnels de la santé qui traitent les patients infectés par le coronavirus COVID-19 de commencer à exposer le système olfactif à Anticorps anti-coronavirus COVID-19 lorsqu'ils obtiennent des prélèvements buccaux pour le dépistage des anticorps. Effectuez ensuite des tests avant et après pour voir s'il existe un effet de stimulation des anticorps. La présomption est que les patients infectés produisent déjà des anticorps, mais peut-être pas assez. C’est un peu comme un rappel de vaccin.
La thérapie à la truffe peut être utile pour les hommes traités par COVID-19
Plus convaincant, l'extrait de truffe du Dr Shifrine a une application directe pour les hommes infectés par COVID-19 avec des niveaux de testostérone sévèrement bas qui sont maintenant signalés comme présentant un risque mortel élevé élevé dans l'unité de soins intensifs de l'hôpital. Près de 70% des hommes hospitalisés avaient un taux de testostérone étonnamment bas qui est corrélé à une issue grave et fatale. Plus d'hommes que de femmes sont atteints d'une infection à COVID-19.
Les mâles infectés par le coronavirus COVID-19 présentent des niveaux de testostérone très bas, ce qui signifie que le virus peut être la cause de la carence.
Le diabète aussi
La technologie olfactive du Dr Shifrine est également un remède proposé contre le diabète. La testostérone injectée peut entraîner une réduction significative de la quantité d'insuline nécessaire pour ramener la glycémie à la normale. Dans certains cas, la thérapie à la truffe / testostérone entraîne une rémission complète de tous les symptômes du diabète, rapporte le Dr Shifrine. L'odeur de l'insuline elle-même peut également entraîner la production d'insuline par le corps, ajoute-t-il.
Les diabétiques peuvent déterminer si la thérapie à la truffe / aux odeurs fonctionne en mesurant leur tension artérielle, explique le Dr Shifrine. Si la glycémie est sous contrôle, la pression artérielle devrait se normaliser, dit-il.
Pour référence, les jeunes hommes produisent ~ 6 milligrammes de testostérone par jour; les femmes en bonne santé produisent 0,3 milligrammes / jour.
Les pharmacologues reconnaissent immédiatement l'avantage distinct de la stimulation directe de l'hypothalamus via la stimulation olfactive car il n'a pas besoin de passer à travers la barrière hémato-encéphalique comme le font les médicaments.
La baisse des niveaux de testostérone chez les hommes ne fait pas partie du vieillissement normal. Dans une étude, seuls les hommes obèses qui étaient d'anciens fumeurs ont connu une baisse significative des niveaux de testostérone. Les hommes dont la masse corporelle est plus élevée subissent également un double déclin de la testostérone par rapport aux hommes de poids normal.
Les hommes non mariés connaissent également des réductions de testostérone plus importantes que les hommes mariés. Un T si bas n'est pas autant régi par l'âge que par le reflet de nos habitudes de santé et de notre alimentation.
Les niveaux de testostérone chez les hommes ont diminué de façon inquiétante au cours des dernières décennies.
Il existe des preuves considérables que la force de préhension des mains est en corrélation avec les niveaux de testostérone.
Dans un article écrit sur Forbes.com intitulé "Vous n'êtes pas l'homme que votre père était", il a été noté dans une étude de 2016 que les jeunes hommes âgés de 20 à 34 ans ne pouvaient appliquer que 98 livres de force avec une prise à droite, contre 117 livres par un homme du même âge en 1985.
Le déclin naturel de la force de préhension commence généralement vers l'âge de 55 ans. Les hommes ayant une force de préhension plus forte ont des érections de meilleure qualité.
Et ce n'est pas seulement la virilité et la libido qui manquent de pénurie de testostérone. C’est également un bon indicateur de la mortalité future. Les hommes avec de faibles niveaux de T perdent également de la masse osseuse et musculaire et deviennent fragiles à la 8e décennie de la vie. Et oui, comme on pouvait s'y attendre, les hommes avec de faibles niveaux de T commencent également à perdre la tête.
L'extrait de truffe est disponible dans un flacon pulvérisateur et est utilisé un peu comme le parfum. Cet écrivain trouve que cela rend un homme plus jeune. Ma force de préhension est de 160+. Il est disponible dans le commerce sous le nom commercial VITAL-T-BOOST.
Un rapport plus complet sur la façon dont les hommes peuvent augmenter leur taux de testostérone via la thérapie olfactive à la truffe rédigé par son auteur est disponible en ligne.
C’est pourquoi vous ne pouvez pas faire confiance aux vérificateurs des faits
11 MAI 2020 PAR DERRICK BROZE
Au cours des huit dernières années, j'ai travaillé comme écrivain, chercheur et journaliste d'investigation pour de nombreux médias indépendants américains bien connus. J'ai passé mon temps à enquêter sur la technologie de surveillance numérique, les attaques contre les communautés autochtones et la croissance globale du gouvernement et du pouvoir des entreprises. En tant que personne travaillant dans ce domaine, écrire sur des sujets qui sont souvent considérés comme controversés ou «en dehors du courant dominant» - la censure et les attaques personnelles font partie de la description de poste.
Cependant, les attaques contre les médias indépendants ont rapidement augmenté au cours des quatre dernières années, de nombreux organes de presse autrefois actifs ayant cessé d'exister en raison du manque de trafic et donc du manque de fonds. Nous avons vu des médias qualifiés de «fausses nouvelles» ou accusés de collusion avec le gouvernement russe. Certains canaux et sites Web n'ont pas pu faire de demande de publicité ou utiliser certains produits numériques basés sur ces étiquettes. Certaines chaînes et reporters ont été supprimés des réseaux sociaux et d'autres plateformes numériques. Et, si les responsables des médias sociaux ne vous suppriment pas, ils peuvent simplement utiliser l'algorithme pour masquer vos publications, ce qui limite votre capacité à interagir avec le public.
ATTAQUE DES CONTRÔLEURS «FAITS» Vérificateurs des faits
La méthode la plus insidieuse est peut-être l'utilisation récente de «vérificateurs des faits» pour limiter la portée d'un point de vente, ou simplement les étiqueter avec la fausse lettre écarlate pour décourager les lecteurs de s'engager. Cela a augmenté au cours des 2 dernières années et je connais personnellement plusieurs autres médias indiens qui ont dû décider de publier ou non certains articles ou reportages vidéo de peur qu'ils soient censurés ou interdits. Bien sûr, avec les jeux algorithmiques joués par les plateformes de médias sociaux, la plupart des points de vente atteignent une infime fraction de ce qu'ils étaient autrefois.
Exemple concret, The Mind Unleashed. Je fais partie ou non de l'équipe TMU depuis un an environ. Pendant ce temps, nous avons eu du mal à atteindre une petite fraction de nos 9 millions d'abonnés Facebook. Une partie de la raison pour laquelle nous avons du mal à atteindre les gens est parce que nous avons la reconnaissance douteuse d'être étiquetés comme de fausses nouvelles par Facebook et les vérificateurs de faits affiliés.
Dans un récent article publié dans Newsweek Espanol, en partenariat avec Newsguard, The Mind Unleashed est décrit comme un "site qui promet de" promouvoir et inspirer une pensée non conventionnelle ", mais qui est en fait dédié à la publication de mensonges.". La citation faisait référence à une histoire que TMU avait écrite sur les origines de COVID-19 et la possibilité que le virus ait été créé en tant qu'arme biologique.
Newsguard est l'un des nombreux services de vérification des faits qui se sont multipliés depuis l'élection de Donald Trump au président américain. Newsguard est un plug-in de navigateur pour Chrome et Microsoft Edge qui attribue des notes de fiabilité à la plupart des sites les plus fréquentés d'Internet. Il utilise un système à code couleur pour avertir les lecteurs de la fiabilité d'un article ou d'un site Web. Dans une enquête précédente, l'écrivain TLAV Whitney Webb a révélé les racines néoconservatrices de l'équipe Newsguard. Webb a écrit:
«Le conseil consultatif de Newsguard indique clairement que Newsguard a été créé pour servir les intérêts de l'oligarchie américaine. Le chef des conseillers de Newsguard est Tom Ridge, le premier secrétaire à la sécurité intérieure de George W. Bush et Ret. Le général Michael Hayden, ancien directeur de la CIA, ancien directeur de la NSA et directeur du groupe Chertoff, un cabinet de conseil en sécurité cherchant à «conseiller les entreprises et les gouvernements, y compris les gouvernements étrangers» sur les questions de sécurité, cofondé par l'ancien secrétaire à la sécurité intérieure Michael Chertoff, qui est également actuellement président du conseil d'administration du principal fabricant d'armes BAE systems. »
Newsguard a commencé comme un partenariat entre Steven Brill et Louis Gordon Crovitz, Crovitz semblant être le lien avec le monde de la finance, des médias et de la géopolitique. Crovitz a occupé plusieurs postes au Dow Jones et au Wall Street Journal, est membre du conseil d'administration de Business Insider, membre du Council on Foreign Relations, et prétend avoir été «éditeur ou contributeur de livres publiés par l'American Enterprise Institut et Fondation du patrimoine. ” Comme l'a noté Webb, «l'American Enterprise Institute (AEI) est l'un des groupes de réflexion néoconservateurs les plus influents du pays et ses« universitaires », directeurs et boursiers, comprenaient des personnalités néoconservatrices comme Paul Wolfowitz, Richard Perle, John Bolton et Frederick Kagan. "
Plus récemment, Newsguard a créé une liste de «sites Web publiant de fausses informations sur les coronavirus» et une liste «super diffuseurs» de fausses informations. Ces listes comprennent de nombreux médias indépendants bien connus et crédibles. Cela ne veut pas dire que tous les sites Web répertoriés sont crédibles et doivent être pris en charge. Le fait est que ces types de listes ne servent qu'à «blackballer» certains points de vente et écoles de pensée qui contrent la version dominante des événements.
Newsguard n'est pas le seul service de vérification des faits opérant dans «l'ère post-vérité» actuelle. Des sociétés de médias sociaux comme Facebook se sont associées à plusieurs organisations dans le but déclaré de vérifier les faits et de démystifier la désinformation. Bien sûr, ces organisations ont tendance à renforcer les récits tissés par les porte-parole des médias d'entreprise et les marionnettistes travaillant pour les politiciens. Pendant un moment, Facebook s'est associé à Snopes, un «vérificateur des faits» injurieux, mais, après que Snopes a été discrédité, Facebook s'est maintenant associé à des entreprises comme Lead Stories.
Lead Stories a également «vérifié les faits» The Mind Unleashed à quelques reprises, utilisant toujours des normes et une sémantique arbitraires pour faire paraître une histoire fausse ou trompeuse. Dans une histoire, Lead Stories s'appuie sur les données du Newsguard susmentionné. Alors, qui est Lead Stories ? La page À propos indique que depuis janvier 2019, ils font partie du programme de vérification des faits de Facebook. Ils décrivent le partenariat comme suit:
"Selon les termes de ce partenariat, nous avons accès à des listes de contenu qui a été signalé comme potentiellement faux par les systèmes de Facebook ou ses utilisateurs et nous pouvons décider indépendamment si nous voulons le vérifier ou non. En plus de cela, nous pouvons saisir nos vérifications des faits dans un outil fourni par Facebook et Facebook utilise ensuite nos données pour aider à ralentir la propagation de fausses informations sur sa plate-forme. Facebook nous paie pour fournir ce service pour eux, mais ils n'ont aucun mot à dire ni influence sur ce que nous vérifions les faits ou sur nos conclusions, et ils ne veulent pas non plus.
Lead Stories est dirigé par Perry Sanders Jr., un avocat connu pour avoir représenté la famille du rappeur Notorious B.I.G. après son meurtre, et le rédacteur en chef Alan Duke, qui a aidé à créer des histoires de plomb après 26 ans avec CNN. Malgré la biographie de Duke affirmant qu'il "a réalisé des reportages d'enquête révolutionnaires sur le scandale du trafic sexuel de Jeffrey Epstein", CNN est surtout connu comme un "super diffuseur" de propagande et de fausses nouvelles. Ce sont CNN, ABC, CBS, le Washington Post et d’autres qui ont réellement aidé à dissimuler les crimes d’Epstein. Toute l'équipe Lead Stories est remplie d'anciens et actuels employés de CNN, ainsi que d'autres points de vente MSM.
Deux autres organisations qui se sont associées à Facebook et ont vérifié TMU sont Science Feedback et Africa Check, qui prétendent toutes deux identifier et dénoncer la propagation de la désinformation. Science Feedback se décrit comme «un réseau mondial de scientifiques triant les faits de la fiction dans la couverture médiatique scientifique. Notre objectif est d'aider les lecteurs à savoir à quelles nouvelles se fier ». Africa Check dit qu'ils sont une organisation à but non lucratif qui tente "d'améliorer la qualité des informations disponibles pour la société à travers le continent".
Comme avec Lead Stories et Newsguard, Africa Check utilise la sémantique pour étiqueter une histoire fausse ou trompeuse. Science Feedback utilise une stratégie similaire, projetant The Mind Unleashed (et d'autres sites médiatiques alternatifs) dans un réseau de «désinformation» lié à un rapport sur le potentiel d'une «mini-ère glaciaire».
Fait intéressant, la liste des partenaires d’Africa Check comprend la Fondation Bill et Melinda Gates, encore un autre exemple de la façon dont les Gates ont étendu leur influence et leur programme dans le monde - cette fois dans le cadre d’un effort pour contrôler le dialogue autour de sujets brûlants. Gates a également financé l'exercice de simulation de pandémie Event 201 qui a discuté de la possibilité de censurer Internet ou même d'arrêter des individus qui diffusaient des informations jugées fausses. Africa Check est également partenaire des Fondations Open Society financées par George Soros.
COMMENT LIMITER LA DISCUSSION ET CONTRÔLER LE NARRATIF
La stratégie pour les sociétés de médias sociaux et les vérificateurs de faits est simple: étiqueter quelqu'un de fausses nouvelles, réduire sa portée avec une manipulation algorithmique, l'obliger à se conformer à des commandes arbitraires si elles veulent que la fausse étiquette soit supprimée, contrôler le récit et façonner la conversation.
Au cours des deux dernières années, j'ai vu de bons journalistes travaillant dur et des membres des médias indépendants / alternatifs se battre pour maintenir l'intégrité et faire des reportages véridiques sur des sujets controversés tout en marchant sur des coquilles d'œufs pour ne pas déranger les vérificateurs des faits. Par exemple, fin février, un écrivain a fait vérifier un article pour discuter des divers rapports sur COVID-19 en cours de conception dans un laboratoire. Le vérificateur des faits de Facebook a déclaré:
«Comme expliqué dans notre vérification des faits, l'allégation qui a été rapportée dans votre article, à savoir que le coronavirus a été créé dans un laboratoire, n'est pas étayée par des preuves et est en fait contredite par de multiples études scientifiques indiquant que le virus est originaire naturellement de la faune. "
L'auteur de cet ordre particulier a en fait fait de grands efforts pour indiquer clairement que certaines sources n'étaient pas d'accord avec la réclamation, mais selon le vérificateur des faits de Facebook, «il ne reconnaît pas que la réclamation est fausse au départ, donnant aux lecteurs l'impression trompeuse que il existe un doute scientifique légitime sur la question lorsque ce n'est pas le cas. »
En d'autres termes, il n'y a aucune raison de dire au public que certains professionnels et chercheurs ont une théorie différente sur les origines du virus. Peu importe ce qui était proposé au vérificateur des faits, il n'y avait aucun compromis. Non seulement ils voulaient que le titre soit modifié et qu'une note de l'éditeur soit jointe reconnaissant la prétendue affirmation «fausse», mais ils ont dit qu'ils ne supprimeraient pas la fausse étiquette de nouvelles si nous supprimions l'article. Les options consistaient essentiellement à maintenir l'article en place et à le respecter, ou à le maintenir, à ne rien changer et à être étiqueté comme de fausses nouvelles.
Dans les courriels de Newsguard, TMU a été admonesté pour "son histoire de promotion des théories du complot liées aux attaques du 11 septembre et aux attaques d'armes chimiques de Douma, en Syrie, ainsi que sa promotion de la marijuana comme remède contre le cancer dans les histoires". Il est clair que quiconque n'achètera pas les récits officiels des grands événements géopolitiques de notre époque, ou ne soutiendra pas le Big Pharma kool-aid - sera puni.
Malheureusement, les censeurs gagnent parce que de nombreux médias alternatifs choisissent de s'autocensurer dans l'espoir que les choses s'améliorent à long terme ou que cela leur permettra de rester sur la plate-forme plus longtemps et de continuer à toucher plus de personnes. . Comme nous le voyons maintenant, c'est une stratégie perdante.
DEUX ANS APRÈS LE PARTENARIAT FB-ATLANTIC COUNCIL ET LA PURGE INDÉPENDANTE DES MÉDIAS Vérificateurs des faits
Ce que nous assistons aujourd'hui, en mai 2020, c'est la poursuite de la lutte contre les «fausses nouvelles» qui a commencé immédiatement après l'élection de Donald Trump. En novembre 2016, le professeur agrégé du Merrimack College, Melissa Zimdars, a publié un document public de Google intitulé «Faux, trompeuses, Clickbait-y et / ou sources d'actualités satiriques», qui est devenu viral après avoir été signalé par la plupart des médias traditionnels.
En l'espace de quelques semaines, une nouvelle liste est apparue en ligne d'une organisation s'appelant PropOrNot, un groupe de chercheurs prétendument indépendant essayant de trouver la vérité sur la diffusion de la propagande russe et des fausses nouvelles. Cette liste contenait également des noms d'éminents médias indépendants comme Anti Media, The Corbett Report, Mint Press News et bien d'autres.
C'est cette combinaison de la liste Zimdars et de la liste PropOrNot qui a eu pour effet immédiat de placer une cible sur la grande majorité des journalistes et médias indépendants qui ont également été accusés d'avoir conspiré directement ou indirectement avec les Russes. Les sites Web et les pages de médias sociaux de ces points de vente ont commencé à subir une réduction drastique de la portée et de l'interaction avec leur public. De nombreux sites Web ont perdu l'accès à l'argent publicitaire de Google en raison de ces fausses associations. Le problème est que la majorité des médias traditionnels ont incontestablement rapporté et répété les affirmations de ces deux listes sans aucune tentative d'enquête.
En janvier 2018, PropOrNot serait exposé pour ses liens avec The Atlantic Council, un groupe de réflexion ayant des liens avec le complexe militaro-industriel de l'ouest. Par coïncidence, en mai 2018, Facebook a annoncé un partenariat avec le Conseil de l'Atlantique, qui prétend officiellement offrir un forum aux dirigeants politiques, commerciaux et intellectuels internationaux. Le géant des médias sociaux a déclaré que le partenariat visait à empêcher Facebook de «subir des abus pendant les élections».
Le communiqué de presse a encouragé les efforts de Facebook pour lutter contre les fausses informations en utilisant l'intelligence artificielle, ainsi qu'en travaillant avec des experts externes et des gouvernements.
«Aujourd'hui, nous sommes ravis de lancer un nouveau partenariat avec le Conseil de l'Atlantique, qui jouit d'une excellente réputation dans la recherche de solutions innovantes à des problèmes difficiles. Les experts de leur laboratoire de recherche judiciaire numérique travailleront en étroite collaboration avec nos équipes de sécurité, de politique et de produits pour obtenir des informations et des mises à jour Facebook en temps réel sur les menaces émergentes et les campagnes de désinformation du monde entier. Cela contribuera à augmenter le nombre «d'yeux et d'oreilles» que nous avons pour repérer les abus potentiels sur notre service - nous permettant d'identifier plus efficacement les lacunes dans nos systèmes, de prévenir les obstacles et de garantir que Facebook joue un rôle positif lors des élections tout autour du monde."
Le Conseil atlantique des États-Unis a été créé en 1961 pour renforcer le soutien aux relations internationales. Bien qu'il ne soit pas officiellement lié à l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord, le Conseil de l'Atlantique a consacré des décennies à promouvoir des causes et des problèmes qui profitent aux États membres de l'OTAN. En outre, le Conseil de l'Atlantique est membre de l'Organisation du Traité de l'Atlantique, une organisation faîtière qui «agit en tant que facilitateur de réseau dans la région euro-atlantique et au-delà». L'ATO fonctionne de manière similaire au Conseil de l'Atlantique, réunissant des dirigeants politiques, des universitaires, des responsables militaires, des journalistes et des diplomates pour promouvoir des valeurs favorables aux États membres de l'OTAN.
Officiellement, l'ATO est indépendant de l'OTAN, mais la ligne entre les deux est très mince.
Essentiellement, le Conseil de l'Atlantique est un groupe de réflexion qui peut offrir aux entreprises ou aux États-nations l'accès à des responsables militaires, des politiciens, des journalistes, des diplomates, etc., pour les aider à élaborer un plan de mise en œuvre de leur stratégie ou vision. Ces stratégies impliquent souvent d'amener les gouvernements de l'OTAN ou les initiés de l'industrie à prendre des décisions qu'ils n'auraient peut-être pas prises sans la visite de l'équipe du Conseil de l'Atlantique. Cela permet à des individus ou à des nations de faire valoir leurs idées sous le couvert de l'embauche de ce qui semble être une agence de relations publiques, mais vend en fait l'accès à des individus de haut niveau ayant le pouvoir d'affecter la politique publique. En effet, tout le monde de George H.W. Bush à Bill Clinton à la famille de l'agent international du désordre Zbigniew Brzezinski ont pris la parole ou assisté à des événements du conseil.
En 2016, le New York Times a écrit: «L'Atlantic Council, qui a vu ses revenus annuels augmenter de 21 millions de dollars à 21 millions de dollars au cours de la dernière décennie, offre un accès aux représentants des États-Unis et des gouvernements étrangers en échange de contributions. Des donateurs individuels, comme FedEx, ont également aidé à financer des rapports spécifiques qui cadrent avec leurs programmes. » Le Times a écrit que l'octroi d'un soutien financier est récompensé par «un« niveau d'information et d'accès sans précédent », y compris la possibilité d'avoir un dirigeant d'entreprise, si la société fait un don d'au moins 50 000 $ par an, parler lors d'un événement du Conseil de l'Atlantique» avec les meilleurs États-Unis. et les dirigeants étrangers présents. "
Selon leur site Web, «le laboratoire de recherche judiciaire numérique du Conseil atlantique (DFRLab) a opérationnalisé l'étude de la désinformation en révélant des mensonges et des fausses nouvelles, en documentant les violations des droits de l'homme et en renforçant la résilience numérique dans le monde entier.» Le DFRLab suit les campagnes mondiales de désinfo, les fausses nouvelles et les «tentatives subversives contre la démocratie tout en enseignant aux compétences du public à identifier et dénoncer les tentatives de polluer l'espace d'information».
La liste des soutiens financiers du Conseil de l'Atlantique se lit comme un who's who des think tanks et des organisations non gouvernementales. Le Conseil de l'Atlantique reçoit des fonds de la Brookings Institution, de la Carnegie Endowment, du Cato Institute, du Council on Foreign Relations et de la Rand Corporation, pour n'en nommer que quelques-uns. En outre, divers membres du Complexe militaro-industriel sont des bienfaiteurs du Conseil de l’Atlantique, notamment Huntington Ingalls, le seul fabricant américain de porte-avions; Airbus, le constructeur d'avions; Lockheed Martin, le constructeur naval et la société d'aviation; et Raytheon, qui fabrique des systèmes de missiles. Toutes les entreprises ont des contrats avec le département américain de la Défense et offrent un soutien financier au Conseil de l'Atlantique. Le Conseil reçoit également le soutien de Chevron et de la Fondation Thomson Reuters. Enfin, le Conseil de l'Atlantique reçoit un soutien financier direct des départements américains de l'armée de l'air, de l'armée, de la marine et de l'énergie et de la mission américaine auprès de l'OTAN.
En octobre 2018 - seulement cinq mois après le partenariat du Conseil de l'Atlantique avec Facebook - le géant des médias sociaux a annoncé qu'il ne publierait pas ou ne purgerait pas plus de 500 pages et 200 comptes qui sont accusés de diffuser du spam politique. Plusieurs de ces pages et écrivains ont également été supprimés de Twitter le même jour.
"Aujourd'hui, nous supprimons 559 pages et 251 comptes qui ont systématiquement enfreint nos règles contre le spam et coordonné un comportement inauthentique", a déclaré Facebook dans un article de blog. Facebook déclare que les personnes derrière ce spam présumé "créent des réseaux de pages en utilisant de faux comptes ou plusieurs comptes avec les mêmes noms" et "publient les mêmes messages sur les appâts cliquables dans des dizaines de groupes Facebook".
Près de 3 ans plus tard, nous voyons toujours les répercussions de la purge des voix des médias indépendants. Dans le sillage de COVID-19 et des appels à endiguer le flux de «désinformation», nous verrons probablement plus de censure et de purge numérique. Ceux qui tentent de rester informés et conscients doivent reconnaître que le fait de recevoir vos nouvelles de Google, Facebook, YouTube, etc., vous gardera piégé dans une bulle d'informations aseptisées et approuvées par l'État.
Gestion des crises de coronavirus - ce qui s'est réellement passé et pourquoi il a échoué
Antony Mueller 15 mai · 13 min de lecture
La fermeture de l’économie et l’arrêt de la vie sociale n’ont pas contenu l’épidémie. Le virus s'est propagé et en plus des dommages causés par l'épidémie elle-même, d'immenses dégâts supplémentaires ont frappé de nombreuses personnes en raison de la fermeture.
Prédictions problématiques
En tant qu'économiste, je suis formé à faire des prévisions et suis donc familier avec les pièges de faire des prévisions. De nombreux processus économiques ont des tendances similaires à celles des épidémies. De la propagation de nouveaux produits aux récessions et aux contagions qui se produisent lors des crises monétaires, des processus similaires aux «pandémies» ont lieu. Largement ignorée lors de sa création, et au début, elle ne progresse que lentement, et les crises restent souvent non détectées jusqu'à ce qu'il soit trop tard. Lorsque le problème retient enfin l'attention, les autorités ont tendance à réagir de manière excessive. Des contre-mesures sont prises qui ne contiennent pas le problème mais aggravent les problèmes.
Il aurait souvent été préférable de ne rien faire et de laisser les choses suivre leur cours. Pourtant, les gouvernements sont invités à faire quelque chose. La population est surexcitée alors que les médias demandent sans réserve que quelque chose doit être fait. Le même type d'erreur qu'il se produit souvent dans la politique économique a également été le cas avec le verrouillage en 2020.
Les modèles de prévision épidémiologique ne sont pas meilleurs que ceux des économistes. Peu différent des évolutions dynamiques de l'économie, il est également presque impossible de prévoir dans le temps et avec clarté la forme et la dimension futures d'une épidémie. Les processus épidémiques se produisent sous la forme d'une «courbe de croissance» qui est un développement quantitatif bien connu en économie, finance et biologie.
Lorsqu'un processus se développe à un rythme constant, l'augmentation globale commence petit mais devient de plus en plus importante au fil du temps jusqu'à son effondrement inévitable. Une culture bactérienne, par exemple, se développera lentement au début et gagnera en vitesse au fil du temps jusqu'à ce qu'elle se termine par un effondrement total lorsqu'il ne reste plus d'hôte.
Comme on peut le voir dans le graphique ci-dessous (figure 1), l'épidémie de coronavirus suit le schéma typique d'une courbe dite de croissance logistique avec les caractéristiques d'une croissance presque plate au début, suivie d'une augmentation de plus en plus forte jusqu'à un pic de où la courbe se baisse.
- voir graphique sur site - Figure 1: Décès quotidiens mondiaux de COVID-19 signalés du 22 janvier au 15 mai 2020
Source: Notre monde en données. Rapport 15 mai 2020
On peut voir que la courbe est presque plate de janvier à début mars mais a pris un virage à la hausse marqué dans la seconde moitié de mars 2020, d'abord modérément et fin mars à une vitesse croissante. De la mi-mars au début de mai 2020, le nombre de décès confirmés quotidiennement a augmenté jusqu'à ce qu'il atteigne un sommet au début de mai et diminue depuis la mi-avril 2020.
Pour mieux expliquer un tel processus de croissance plus en détail et mettre en évidence ses caractéristiques, il permet de styliser la courbe et de se concentrer sur son début et la partie exponentielle du processus de croissance (figure 2).
- voir graphique sur site - Figure 2: Exponential growth process
Les courbes de ce graphique (figure 2) indiquent qu'au début du processus avec son déplacement de a à b le long de l'axe du temps (t), l'existence d'un processus exponentiel est encore méconnaissable. Dans le monde réel, sous l'incertitude des données, un pronostic précoce aurait facilement pu être linéaire comme le montre la ligne P1. Au cours de la première moitié du processus, de presque plat au début (ab) à l'étirement auquel la courbe devient visiblement exponentielle (bc), la moitié du temps s'est déjà écoulée (de a à b) jusqu'à son point final (d) a été atteint. Néanmoins, autour du point b, la projection suggérerait encore un développement relativement modéré (P2) car le mouvement de la courbe n'est encore que légèrement courbé vers le haut après avoir atteint le stade b et les effets du processus (Q1) sont encore faibles par rapport à ce qu'ils sera à la fin. Entre b et c, il peut sembler que le processus est toujours gérable. Après tout, l'effet quantitatif (axe vertical) n'a augmenté que jusqu'à Q2 sur l'axe vertical.
La partie de c à d représente la partie dramatique de la courbe de croissance exponentielle. Dans environ un septième du laps de temps total de presque plat à presque vertical (en d), la plus grande partie des effets se produit dans le laps de temps de c à d. Dans cette phase, la vitesse du changement est si rapide qu'en cas de problème politique néfaste, les autorités sont surchargées par les événements et tombent dans une panique, ce qui favorise la prise de mauvaises décisions.
À leur début, les processus de croissance exponentielle restent généralement non détectés. Pourtant, lorsqu'ils sont reconnus, ils motivent souvent leurs découvreurs à exagérer leur dimension. Lorsqu'il s'agit d'une question de politique et que les médias se saisissent de la question, la prise de décision publique a tendance à rejeter un jugement sain.
Une prise de décision désastreuse a également eu lieu lors de la confrontation avec la pandémie du coronavirus. Dans une attaque de panique, les gouvernements du monde entier ont mis en œuvre des mesures sévères pour bloquer la propagation du coronavirus. Le verrouillage de l'économie comprenait la fermeture d'écoles, la suspension d'événements sportifs et culturels, la fermeture de restaurants et la fermeture d'entreprises non essentielles. De nombreux gouvernements ont implanté une politique de distanciation sociale.
Échec de la politique «d'aplatissement de la courbe»
Les militants pour un verrouillage de l'économie ont justifié les mesures par l'affirmation que les mesures de contrôle «aplatiraient la courbe». Ces défenseurs de la politique et de la science ont affirmé que sans verrouillage, le système de santé existant serait surchargé par la vague de patients. Dans de nombreuses variantes, le modèle a balayé le monde entier et a été reproduit dans chaque coin du monde qui montrait la courbe avec un pic élevé et une petite base contrairement à une courbe avec un pic bas et une base plus large (figure 3).
- voir graphique sur site - Figure 3: Le concept «d'aplatir la courbe»
Source: Tout ce que vous devez savoir sur le coronavirus. Filaire
Comme s'il s'agissait d'une commande venant d'en haut, le modèle d '«aplatissement de la courbe» a rapidement été adopté dans les échelons du pouvoir. «Aplatir la courbe» est devenu le mantra à travers l'Europe à quelques exceptions près. Les États-Unis ont également déclenché des blocages dans tout le pays. Les décideurs ont rejeté la critique selon laquelle les modèles ne représentent pas pleinement la réalité et sont nécessairement basés sur des hypothèses. Dans le cas du modèle d'aplatissement de la courbe, l'hypothèse était que l'on sait très tôt qu'un processus de croissance exponentielle est en marche. En tant que tel, le modèle d'aplatissement de la courbe laisse entendre que les autorités pourraient savoir dès le départ qu'une épidémie dangereuse se profile. Comme on peut le voir sur le graphique (figure 3), les mesures de protection sont supposées commencer dès le début à un moment où l'épidémie commence. Pourtant, cela est impossible en réalité.
Il faut du temps avant que la propagation d'une maladie infectieuse puisse être identifiée comme une épidémie. Il existe un décalage considérable entre le début factuel du processus et sa reconnaissance. D'autres décalages se produisent entre la reconnaissance et le diagnostic. Des retards supplémentaires découlent de l'évaluation des risques de l'événement jusqu'à la prise de décision et la mise en œuvre des mesures. Enfin, le temps passe jusqu'à ce que les mesures prennent effet. Il arrive rarement que les mesures de politique publique donnent le résultat escompté et nécessitent donc un réglage fin qui prend du temps.
Le modèle d'aplatissement de la courbe (figure 3) suggère qu'avec des mesures de protection, la propagation du virus se produirait plus lentement et conduirait à un point haut plus bas que ce ne serait le cas sans mesures de protection. La politique affirme que le pic du nombre de patients serait plus faible car le nombre total de cas à traiter s'étalerait sur une plus longue période.
Ce qui s'est vraiment passé était tout à fait différent.
Comme expliqué ci-dessus, un processus de croissance exponentielle (figure 2) apparaît à ses débuts car rien de particulier et basé sur les données disponibles ne suggère une projection linéaire de son évolution. Ce fut également le cas avec le coronavirus. Début 2020, la propagation exponentielle du coronavirus était à peine reconnaissable. Pourtant, à l'époque, l'épidémie était déjà bien avancée. Lorsque les mesures d'aplanissement de la courbe ont commencé, l'épidémie se dirigeait déjà vers son apogée. La représentation correcte des courbes dans le modèle d'aplatissement de la courbe ne doit pas laisser la courbe aplatie commencer au même moment que la courbe qui montre le développement sans mesures de protection.
Un modèle réaliste doit tenir compte des décalages temporels. Ensuite, il y a un décalage entre le développement de l'épidémie dans le monde réel et la mise en place de mesures de protection. Le processus «d'aplatissement de la courbe» commence bien plus tard que l'épidémie elle-même (figure 4).
- voir graphique sur site - Figure 4: Courbes de croissance épidémique réelles, projetées et prévues par les politiques
Le graphique (figure 4) montre dans la courbe C3 le développement de facto de l'épidémie, dans la courbe C1 l'épidémie telle qu'elle a été projetée par des modèles proéminents, et dans la courbe C2 ce que les décideurs souhaitaient réaliser en «aplatissant la courbe».
Dans ce modèle (figure 4), le coronavirus a été identifié comme une épidémie au point t1. À cette époque, l'épidémie était déjà entrée dans sa phase exponentielle. Comme expliqué ci-dessus (figure 2), les processus de croissance exponentielle restent non détectés au début. Caché dans les ordures de données, seuls les spécialistes peuvent avoir un indice aux premiers stades que quelque chose est en train de se faire. Cependant, même pour l'expert, il faut du temps pour reconnaître la nature exponentielle du processus. Au moment de sa découverte (t1), une épidémie (C3) bat déjà son plein et son origine remonte dans le temps. Lorsqu'un observateur découvre que quelque chose d'inhabituel est en train de se produire, les données suffisantes sur l'origine du phénomène à l'étude sont difficilement disponibles et le chercheur doit donc utiliser ce qui est à portée de main et qui, dans le cas d'une épidémie présumée, est en train de tester. Dans le cas des épidémies, les tests à ce moment-là découvrent généralement un processus de croissance exponentiel.
Lorsque les experts font leurs projections, la véritable dimension du processus est nécessairement encore inconnue. Pourtant, plus la projection d'un processus nuisible est dramatique, plus il est probable qu'elle attirera l'attention des médias, du public et, surtout, des décideurs politiques. C'est ce qui s'est produit dans le cas de l'épidémie de coronavirus.
Comme on le sait maintenant, les projections des effets de l'épidémie de coronavirus en termes de «cas» qui nécessiteraient un traitement médical (C1) ont été massivement exagérées par rapport à sa trajectoire réelle (C3), qui, bien sûr, n'était pas encore connue au moment du pronostic. Pourtant, c'est la projection (C1) de leur exagération qui a incité les décideurs à initier (t2) leurs mesures afin d'aplatir la courbe (C2). Ce n'est qu'avec un retard considérable qu'un verrouillage pourrait prendre effet. Comme il s'est avéré à ce jour, la véritable dimension de l'épidémie de coronavirus était beaucoup plus petite que prévu. Le verrouillage est arrivé trop tard pour avoir des effets significatifs sur la propagation des infections et, plus encore, la fermeture de l'économie et l'arrêt de la société étaient également inutiles. Même si la pandémie avait atteint la dimension prévue, les mesures pour la contenir seraient venues trop tard.
En Europe et aux États-Unis, le coronavirus était reconnu comme une épidémie potentielle à une époque où le véritable processus épidémique était déjà bien avancé pour que les observations aient lieu alors que la courbe de croissance était déjà au stade de sa croissance exponentielle (t1) . À cette époque, le modèle de pronostic prédictif prévoyait une pandémie extrême (C1) qui, comparée à ce qui s'est produit plus tard (C3), suggérait une dimension de cas qui dépasserait largement la pleine capacité (FC) des systèmes de soins de santé existants. Les décideurs politiques ont opté pour une mise en œuvre rapide de mesures de confinement sévères (C2) afin d'aplatir la courbe C1 imaginaire et de réduire le nombre de cas nécessitant un traitement en adéquation avec les capacités existantes.
L'Allemagne, par exemple, est célébrée pour sa maîtrise réussie de l'épidémie, mais il est largement passé inaperçu que le verrouillage et l'application de la distanciation sociale ont été mis en œuvre le 23 mars 2020, alors que le taux de contagion était déjà tombé en dessous du seuil de 1. (un) ce qui signifie que la propagation de l'infection n'est plus à la hausse. (Figure 5)
- voir graphique sur site - Figure 5: Taux de reproduction (R) du coronavirus en Allemagne
D'après des données du Robert-Koch-Institut, Allemagne (RKI)
Le verrouillage n'a pas aidé à contenir l'épidémie, mais a causé d'immenses dégâts, y compris des pertes de vie et de santé. Alors que les gouvernements ont déclaré que sauver des vies était l'objectif de fermer une grande partie de l'économie, les mesures ont produit le contraire et continueront de coûter le bien-être matériel et la santé de nombreuses personnes même après la levée de l'isolement.
Les mesures d'aplatissement de la courbe ont commencé lorsque le nombre de nouvelles infections a augmenté à ses vitesses maximales approchant déjà de leur pic. À ce stade, les mesures prises ne prendraient nécessairement effet qu'après un délai de mise en œuvre, de sorte que le verrouillage deviendrait effectif à un moment où les mesures étaient inutiles pour contenir l'épidémie car le nombre de nouvelles infections dépassait déjà son maximum (voir figure 6) .
- voir graphique sur site - Figure 6: Time Lag of Flattening the Curve through Lockdown
Comme le montre le graphique et comme le confirment les statistiques disponibles, le verrouillage n'a pas aplati la courbe. Le verrouillage est arrivé trop tard pour avoir un effet important. De plus, l'épidémie a été moins dramatique que ce qu'elle avait perçu au moment du déclenchement des fermetures. Ce n'est que dans quelques pays, notamment en Italie et en Espagne (figure 7), ou dans des endroits spécifiques, que les pics ont été pendant un court moment supérieurs à la capacité du système de soins de santé, qui s'est également avéré plus flexible que prévu.
- voir graphique sur site - Figure 7: Nombre total de décès déclarés pour l'Italie et l'Espagne, 2016-2020, semaine 20
Source: EuroMOMO: rapport pour la semaine 20, 2020
Selon le Bulletin EuroMOMO, qui surveille les taux de mortalité en Europe, la majorité des pays n'ont pas connu de surmortalité au cours de la saison d'hiver 2019/2020 et les pics de mortalité sont restés en dessous ou dans la fourchette des phases précédentes des épidémies de grippe. Dans les pays où le pic de 2020 a dépassé les taux de mortalité excédentaire antérieurs, le sommet des pics était plus élevé, mais sa base était plus petite, ce qui signifie que dans ces pays également, le nombre total de décès saisonniers n'a pas augmenté.
Le score pour tous les âges (figure 8) pour les décès signalés en Europe montre qu'il y avait un pic plus élevé en 2020 que les années précédentes. Cependant, comme la base en 2020 était plus petite que les années précédentes, le nombre total de décès n'était pas significativement plus élevé. Figure 8: Nombre total de décès signalés tous âges confondus, Europe 2016 à 2020 semaine 20
- voir graphique sur site - Source: EuroMONO: rapport pour la semaine 20, 2020
Même après des mois de son apparition, la véritable nature du coronavirus reste encore floue. En revanche, les dégâts du verrouillage sont déjà certains. Bien qu'il faudra du temps avant que les coûts et les avantages ne soient pleinement vérifiés, il est évident que la fermeture de l'économie et l'arrêt de la vie sociale coûteront plus de vies que celles qui ont été sauvées. En ce sens, le verrouillage de 2020 représente un démocide, défini comme un meurtre par son propre gouvernement.
Alors que nous sommes sur le point d'entrer dans une nouvelle grande dépression, il y a une ressemblance tragique entre ce qui s'est passé pendant la Grande Dépression des années 1930 et ce qui se passe actuellement avec les ravages du blocage. Dans les deux cas, les gouvernements ont prolongé et approfondi l'agonie.
Le verrouillage de 2020 entrera très probablement dans l'histoire comme le premier démocide du 21e siècle, comme une guerre mondiale que les gouvernements ont infligée à leurs propres nations sans aucun besoin rationnel dans une pure panique - à partir d'une combinaison d'orgueil, l'arrogance du pouvoir et de la folie pure et simple avec le plein soutien de leurs populations endoctrinées par les médias, médiatisées.
Lorsque la misère totale de l'isolement devient visible, nous devons nous rappeler que les politiciens n'ont pas agi seuls mais avec le soutien des médias, de certains experts et de la grande majorité de la population. Ce qui s'est produit et se poursuit n'est rien d'autre qu'un suicide collectif.
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Please check my earlier articles on the subject published at Medium: Coronavirus: The Economic Consequences of a Failed Response (March 16, 2020) Operation successful — Patient dead (March 26, 2020) Fooled. How Gullible Politicians Promoted the Destruction of the Global Economy and Threw Us into the Abyss of Serfdom (March 31, 2020) How to Survive the Coronavirus. The government will not protect us — we must do it ourselves (April 22, 2020)
La représentante Alexandria Ocasio-Cortez (D-NY, 14e arrondissement) a appelé à un contrôle national des loyers. Le plan d’AOC est de ne pas autoriser des augmentations de loyer supérieures à 3% par an. Cela est quelque peu surprenant, étant donné qu'elle s'est spécialisée en économie à la prestigieuse Université de Boston. Avec presque tous les autres professeurs d’économie du pays, je m’efforce toujours de présenter dans mes cours d’introduction à la microéconomie le diagramme familier de l’offre et de la demande. Il démontre que les loyers inférieurs aux niveaux d'équilibre créent des pénuries. Je suppose qu'elle a raté cette conférence. Si c'est le cas, elle aurait vraiment dû obtenir les notes de cours de quelqu'un d'autre et / ou lire attentivement son manuel d'introduction.
Le sénateur Bernie Sanders lui a, au moins, fait mieux: il réclame une politique nationale de contrôle des loyers. Le gouverneur de Californie Gavin Newsom a promulgué une politique dans le même sens: les augmentations de loyer doivent être limitées à 5% par an, en plus de toute augmentation inflationniste; cela va de pair avec le fait qu'il est plus difficile d'expulser les locataires.
La politique actuelle de la ville de New York est tout à fait conforme au plan du représentant Ocasio-Cortez. Il a récemment aggravé sa précédente législation plutôt draconienne sur le contrôle des loyers. L'objectif présumé est d'aider les locataires. Mais il y a quelque chose en économie appelé «conséquences involontaires». Traduction: «les plans des souris et des hommes s'égarent souvent.»
Supposons, au lieu d'exacerber ses règles de contrôle des loyers, que le conseil municipal de cette grande ville ait essayé ce genre de chose avec un bien de consommation différent. Supposons que la Big Apple ait adopté une loi fixant un plafond de 1 $ pour un repas de restauration rapide.Le résultat évident serait que McDonalds, Burger King, Wendy’s et leurs semblables quitteraient à peu près toute la ville. Postez que le conseil municipal a exigé que les stations-service ne facturent pas plus de 1 $ par gallon. Un résultat similaire s'ensuivrait. Les habitants de la ville de New York seraient grandement incommodés.
M. DeBlasio n'instaurerait jamais une initiative aussi ridicule. Il rirait de son bureau s'il le faisait. Pourquoi, alors, le maire pense-t-il pouvoir s'en tirer en inculquant des règles analogues pour l'immobilier résidentiel ? En effet, si les hamburgers à hamburger et à gaz peuvent facilement être installés ailleurs, il n'en va pas de même pour les bâtiments. Si les propriétaires avaient leurs «druthers», ce qui était économiquement et légalement possible, ils hissaient leurs biens immobiliers sur des véhicules à roues géants et les faisaient sortir de la ville dès que possible. La ville de New York n'aurait alors pas plus de logements pour les locataires qu'elle n'aurait de points de restauration rapide ou de stations-service, selon nos scénarios hypothétiques contraires aux faits.
Bien sûr, les propriétaires ne peuvent rien faire de tel qu’ils le souhaiteraient; diable, ils se donneraient les dents pour pouvoir tirer un snook sur les politiciens de cette manière.
Mais cette incapacité des propriétaires ne signifie pas que le contrôle des loyers n'a pas d'effets négatifs sur les résidents locaux. Ils peuvent certainement construire moins de nouvelles capacités que ce ne serait le cas autrement. Ils peuvent être légalement obligés d'entretenir et d'entretenir les appartements existants, mais ils ne le feront qu'à contrecœur. «Le client a toujours raison», qui prévaut dans la plupart des industries, et continuera de le faire pour l'immobilier commercial et industriel, qui n'a pas de tels contrôles de prix imprudents, mais ne s'appliquera pas aux unités résidentielles. Ils se battront comme les dickens pour convertir leurs avoirs en copropriétés et coopératives. Ils seront incités à - comment dire cela délicatement - à ne pas être trop mécontents si leurs bâtiments prennent feu accidentellement. Voulons-nous vraiment promouvoir de telles incitations, qu'elles soient ou non effectivement mises en œuvre ?
Les taux de vacance vont encore chuter avec ces nouvelles dispenses. Cela aura des répercussions négatives sur la mobilité de la main-d'œuvre, lorsque les occupants craignent de renoncer à leurs logements à loyer contrôlé. Il y aura une tendance à convertir les appartements en magasins, à des fins industrielles et commerciales. De nouvelles lois devront être promulguées pour empêcher cela et ne seront pas totalement couronnées de succès. Les relations entre les propriétaires et les locataires vont encore s'effondrer (pas bien sûr pour les unités non contrôlées et non résidentielles.) New York dispose déjà de tribunaux spéciaux chargés de résoudre ces affrontements. C'est quelque chose qui n'est absolument pas nécessaire dans aucune autre industrie. Ces coûts sont importants et l'argent mal alloué dans cette direction aurait pu être dépensé de manière beaucoup plus judicieuse.
La profession d'économique n'est pas unifiée sur trop de sujets, mais celle-ci fait exception. L'opposition au contrôle des loyers s'étend de Milton Friedman et Friedrich Hayek sur un tronçon du spectre politique à plusieurs universitaires du côté opposé. Par exemple, selon le lauréat du prix Nobel d'économie Gunner Myrdal, «Le contrôle des loyers a constitué, dans certains pays occidentaux, peut-être le pire exemple de mauvaise planification par des gouvernements manquant de courage et de vision. Et selon Assar Lindbeck, un économiste suédois, "Dans de nombreux cas, le contrôle des loyers semble être la technique la plus efficace actuellement connue pour détruire une ville, sauf pour les bombardements". Presque à titre de suivi, le ministre vietnamien des Affaires étrangères Nguyen Co Thach a déclaré: "Les Américains ne pouvaient pas détruire Hanoi, mais nous avons détruit notre ville par les loyers très bas."
Il est vivement recommandé en faveur de cette politique que les locataires soient plus pauvres que les propriétaires fonciers et soient souvent obligés de consacrer un pourcentage démesuré de leur salaire au loyer. Mais, avec moins de bâtiments en construction, et un plus grand nombre d'entre eux tombant dans le désarroi en raison de l'entretien réduit, une pression à la hausse sur les niveaux des loyers, paradoxalement, aura tendance à en résulter. C'est un truisme économique que moins l'offre, toutes choses égales par ailleurs, plus le prix est élevé. Il n'y a pas d'exceptions pour le logement, ou basé sur le fait que ces dépenses jouent un rôle important dans les budgets des ménages pauvres et de la classe moyenne.
Dans tous les cas, nous ne distinguons pas les fabricants de textiles et insistons pour qu'ils aident seuls à vêtir les pauvres, que seuls les épiciers et les restaurants les nourrissent, que les fournisseurs d'automobiles, de climatiseurs et de téléviseurs mettent seuls ces produits à la disposition de ceux qui n'en ont pas les moyens. . Tous ces transferts de revenus proviennent des fonds généraux. Je ne suis en faveur d'aucune de ces politiques, mais juste est juste. Pourquoi le logement devrait-il être différent? Pourquoi les propriétaires devraient-ils, seuls, supporter tout le fardeau du logement des pauvres ?
Non seulement ces dernières violations des droits de propriété privée devraient être annulées, mais l'idée même que le contrôle des loyers peut atténuer les pénuries de logements et les frais élevés devrait être confinée dans la poubelle non seulement de l'histoire, mais aussi de l'économie. D'un point de vue juridique, c'est une prise. Les propriétaires devraient être indemnisés pour cette saisie de la (valeur de) leur propriété.
Ce n'est pas le "virus" qui a écrasé l'économie, ce sont les gens qui ont obéi
Par Mac Slavo SHTFplan.com 18 mai 2020
La plupart des atrocités de l'histoire humaine ont toutes été commises par des individus et des agents du gouvernement qui «ne faisaient que suivre les ordres» ou «obéissaient simplement à la loi». Le virus n'a donné aucun ordre. Ce sont les gens qui ont obéi aux ordres des tyrans qui ont écrasé l'économie et ruiné les moyens de subsistance des autres.
La plupart des êtres humains pensent encore comme des esclaves. Au lieu de poser des questions ou d'utiliser des compétences de pensée critique pour demander si quelque chose va bien avant de le faire, ils obéissent simplement à une «autorité» perçue. La vérité est que ce verrouillage est la faute de tous ceux qui se sont conformés et de tous ceux qui ont utilisé forcé de se venger de ceux qui ont désobéi. C'était la même chose dans toutes les prises de contrôle tyranniques de l'histoire.
Les médias grand public continuent de blâmer la dévastation économique du coronavirus, mais ce n'était pas la faute d'un virus. C'était la faute du gouvernement et la mentalité d'esclave de la police et du public obéissant volontiers à leurs ordres.
Les médias grand public essaient toujours désespérément de faire tourner le récit et de reprocher à «l’ennemi invisible» le bilan très réel de la vie humaine que la réaction excessive du gouvernement a déjà causé. Ce n'est rien de plus que de la propagande, et une fois que vous l'aurez récupérée, vous pourrez la voir. Les médias ne veulent pas que vous mettiez le blâme là où il appartient et que vous compreniez les choses par vous-même, alors ils se cachent derrière des titres de tromperie qui vous garderont dans la peur de COVID-19 aussi longtemps que possible.
Tout cela fait partie du plan plus large visant à empêcher le public de paniquer à propos d'un virus et à détourner le regard lorsque les bottes tyranniques de l'État tombent dessus. Nous savons que c'est ce que font les médias, et nous savons qu'ils le font pour maintenir la classe dirigeante au pouvoir et le public paniqué et dans un état de peur constant afin qu'ils se conforment à toutes les mesures d'asservissement.
Larken Rose, l'auteur de Most Dangerous Superstition, explique à quel point il est horriblement dévastateur pour les humains de ne pas évoluer au point de ne pas dire «non» à un commandement immoral. La principale menace à la liberté et à la justice n'est ni la cupidité, ni la haine, ni aucune des autres émotions ou défauts humains généralement blâmés pour de telles choses. Au lieu de cela, c'est une superstition omniprésente qui infecte l'esprit des gens de toutes races, religions et nationalités, qui trompe les personnes décentes et bien intentionnées en soutenant et en préconisant la violence et l'oppression. Même sans rendre les êtres humains un peu plus sages ou vertueux, supprimer cette superstition éliminerait la grande majorité des injustices et des souffrances du monde.
Au lieu d'obéir aveuglément aux commandes, réfléchissez-y et demandez si ce que vous faites est bien. Avez-vous le droit moral de prendre les droits des autres? Appliquer même la plus petite quantité de pensée critique à quelque chose peut généralement amener les gens à ce qui est bien. Mais vous devez être prêt à vous regarder, à corriger vous-même vos erreurs et à assumer la responsabilité de vos propres actions. C'est exactement pourquoi la plupart des Américains ne le feront pas. Blâmer un virus et obéir aveuglément à la classe dirigeante et à ses fantassins est beaucoup plus facile que la pensée critique.
L'état policier et la tyrannie vous sont apportés par ceux qui souhaitent suivre les ordres, quelle que soit la moralité de l'ordre. Les tyrans ne peuvent pas avoir le pouvoir sans que les gens soient prêts à faire respecter la tyrannie. S'il n'y a pas de suiveurs d'ordre, il n'y a pas d'ordre.
REGARDER: Le chef britannique confirme (encore une fois) que covid19 est inoffensif pour la grande majorité
Depuis le début de cette crise, nous avons souligné qu'il y a deux messages mutuellement contradictoires au cœur du déploiement de covid19, et, tout comme Orwell le décrit en 1984, un point majeur de l'exercice semble être d'amener les gens à croire les deux à la fois.
Catte Black
1. «AYEZ PEUR…»
Le premier message est que covid19 est terrifiant, unique, une menace existentielle pour la race humaine.
Ce message ne provient jamais de beaucoup de faits, car les faits concernant le virus ne le soutiennent pas vraiment. S'il cite quoi que ce soit de solide, c'est le modèle informatique impérial affreusement bâclé et discrédité, ou certaines recherches génériques sur la pathologie des infections graves ou des syndromes viraux rares, qu'il essaie de considérer comme uniques à covid19, même si ce n'est pas le cas. Mais surtout, il ne cite rien du tout. Ou vraiment réclamer quoi que ce soit.
Cela dit simplement aux gens d'avoir peur. Très effrayé. De la mort, de l'incertitude, du «virus», des autres, des «fausses nouvelles».
La peur encouragée n'est pas ancrée dans les faits et leur est donc imperméable.
2. «IL N'Y A RIEN DE PEU D'AVOIR…»
Le deuxième message est que covid19 est en fait assez inoffensif et pas grave.
Ce message est enraciné dans de nombreux faits, car, comme nous l'avons souligné depuis le premier jour, presque toutes les données provenant de ce virus corroborent exactement cette conclusion.
Aucun organisme officiel ne l'a jamais nié, et la plupart d'entre eux l'admettent volontiers. Régulièrement et sans ambiguïté. Ici et ici et ici et ici.
Toutes ces sources admettent que le virus est «doux» ou même asymptomatique dans la majorité des cas, et ne constitue un danger que pour les personnes déjà malades ou gravement immunodéprimées. Tout comme la plupart des coronavirus.
Donc, Chris Whitty ci-dessus n'est que l'un des nombreux à le souligner et ce n'est même pas son premier essai (voir ici) pour expliquer clairement que covid19 n'est dangereux que pour une très très petite minorité de personnes, et que la plupart de ceux qui l'obtiendront le feront être très bien.
Voici une diapositive de son discours du 30 avril:
Maintenant, regardons ce qu'il dit dans la vidéo ci-dessus, le 11 mai [notre accent]:
[L] a grande majorité des gens ne mourront pas de cela et je vais juste répéter quelque chose que j'ai dit dès le début parce que je pense que cela mérite d'être renforcé:
La plupart des gens, une proportion importante de la population, ne recevront pas du tout ce virus, à aucun moment de l'épidémie qui va durer longtemps.
Parmi ceux qui le font, certains attraperont le virus sans même le savoir, ils auront le virus sans aucun symptôme, portage asymptomatique, et nous savons que cela se produit.
Parmi ceux qui présentent des symptômes, la grande majorité, probablement 80%, aura une maladie légère ou modérée. Cela pourrait être assez mauvais pour qu'ils doivent aller se coucher pendant quelques jours, pas assez pour qu'ils aient à aller chez le médecin.
Une minorité malheureuse devra aller jusqu'à l'hôpital, mais la majorité d'entre eux auront juste besoin d'oxygène et quitteront ensuite l'hôpital.
Et puis une minorité de ceux-ci finiront par devoir recourir à des soins intensifs intensifs et certains mourront malheureusement.
Mais c'est une minorité, c'est 1% ou peut-être même moins de 1% dans l'ensemble.
Et même dans le groupe à risque le plus élevé, cela est nettement inférieur à 20%, c'est-à-dire. la grande majorité des gens, même les groupes les plus élevés, s'ils attrapent ce virus, ne mourront pas.
Et je voulais vraiment faire valoir ce point très clairement…
Il semble que tous les fonctionnaires veuillent «faire valoir ce point très clairement», même s’ils se comportent comme si ce n’était pas vrai.
Pourquoi ?
Il y a beaucoup de place pour la spéculation là-bas, et nous laissons le soin aux lecteurs d'entrer dans ce BTL.
Les motifs, cependant, sont moins importants que le fait fondamental et indéniable - la peur qui saisit actuellement l’esprit du public est simultanément encouragée et reconnue comme inutile par les organes qui supervisent la «réponse».
Et si suffisamment de gens se réveillaient face à la ruse du pois et du dé à coudre qu'on leur tirait, alors le coup d'État le plus dangereux et le plus ambitieux que nous ayons jamais vu contre la liberté humaine serait essentiellement stoppé.
Je dis depuis des mois maintenant que l'oxygénothérapie hyperbare (HBOT) serait un excellent traitement d'appoint contre le COVID-19 sévère et une alternative supérieure aux ventilateurs, qui se sont révélés nuire à de nombreux patients et augmenter le risque de décès.
La ventilation mécanique peut facilement endommager les poumons du fait qu'elle pousse l'air dans les poumons avec force dans une maladie où les alvéoles sont compromises et remplies de liquide provenant de cytokines inflammatoires en raison de la résistance à l'insuline. L'OHB contourne ce problème en fournissant 100% d'oxygène dans une chambre sous pression, ce qui permet à votre corps de contourner ce défaut et d'absorber l'oxygène directement dans vos tissus.
Aucun flux d'air n'est forcé directement dans les poumons. L'OHB améliore également la fonction mitochondriale, aide à la détoxication, inhibe et contrôle l'inflammation et optimise la capacité de guérison innée de votre corps.
L'hôpital de Louisiane déploie l'OHB pour COVID-19
Le 23 avril 2020, WGNO, une station de presse locale de la Louisiane, a rapporté1 que l'hôpital général d'Opelousas en Louisiane, qui possède un centre hyperbare, déployait une «utilisation compassionnelle hors AMM» de l'OHB comme alternative pour les patients qui auraient autrement eu besoin d'une ventilation. Le Dr Kelly Thibodeaux a déclaré à WGNO:
«La chose que nous voyons avec les patients COVID-19 sévères est une complication avec une incapacité à transporter l'oxygène en plus du problème aux poumons lui-même. Ce n’est pas seulement une lésion pulmonaire. Le virus fait quelque chose aux globules rouges de certains patients…
Être à l'intérieur des chambres hyperbares ne causera pas de blessures. C'est un moyen moins invasif de fournir de l'oxygène qui ne nécessite pas de coller un tube dans la trachée. "
HBOT dans le traitement de COVID-19
- voir clip sur site -
Thibodeaux a présenté ses conclusions de cas lors d'un récent webinaire organisé par l'Association pour l'avancement des soins des plaies (AAWC). Comme expliqué dans ce webinaire, l'OHB peut aider à traiter COVID-19 en:
Inverser l'hypoxie Réduire l'inflammation dans les poumons Augmentation des espèces d'oxygène réactif viricide Augmenter la régulation des peptides de défense de l'hôte augmentant le HIF Réduction des cytokines pro-inflammatoires telles que IL-6, IL-1B, IL 18, TNF alpha et NF kappa B
Thibodeaux, qui est certifié en chirurgie générale et en soins des plaies, a collaboré avec le Dr Amer Raza, docteur en pneumologie et en soins intensifs, pour élaborer un plan de traitement inclusif utilisant l'OHB une fois par jour pendant 90 minutes.2
Dans la vidéo ci-dessus, Thibodeaux passe en revue les détails des cinq premiers cas. Tous ont constaté une amélioration rapide de leur fréquence respiratoire et une diminution spectaculaire de la CRP (un marqueur inflammatoire) et du D-dimère (une mesure de la coagulation sanguine). Le nombre de traitements requis variait entre un et neuf.
Au moment de l'enregistrement de cette vidéo, 11 patients avaient reçu l'OHB. Aucun d'entre eux n'avait besoin de ventilation et cinq avaient été libérés avec succès. À la suite de ces résultats positifs, l'Hôpital général d'Opelousas utilise maintenant l'OHB pour tous les patients souffrant d'hypoxémie résistante à l'oxygène.
Les médecins chinois rapportent des résultats positifs en utilisant l'OHB
La décision de l'hôpital général d'Opelousas de déployer l'OHB à des fins compassionnelles a été en partie étayée par les conclusions de médecins chinois qui ont fait état3 de "résultats prometteurs" après avoir traité cinq patients atteints de COVID-19 avec l'OHB. Deux étaient dans un état critique et trois étaient graves. Tel que rapporté par l'International Hyperbarics Association: 4
«De l'oxygène hyperbare a été ajouté aux traitements complets en cours à l'hôpital pour les patients atteints de COVID-19, avec une dose de 90 à 120 minutes à des pressions de traitement de 1,4 à 1 fi.ATA.
Les résultats ont été très encourageants car ces cinq patients ont bénéficié d'importants avantages thérapeutiques, notamment un soulagement rapide des symptômes après la première séance.
La justification de l'ajout de cette procédure est d'aider à lutter contre l'hypoxémie progressive (faible taux d'oxygène dans le sang) que COVID-19 peut provoquer. L'oxygène hyperbare a la capacité d'ajouter un apport substantiel d'oxygène supplémentaire dans la circulation sanguine… »
L'OHB présente de nombreux avantages par rapport aux alternatives
Le rapport5 de Chine indique que les patients atteints d'une maladie grave à COVID-19 ont connu un soulagement rapide des symptômes hypoxiques, une correction rapide de l'hypoxémie, une amélioration de la pathologie pulmonaire et une inversion générale des conditions associées, y compris les symptômes gastro-intestinaux, l'appétit, les maux de tête et l'état mental.
Le rapport détaille également certains des mécanismes derrière HBOT et pourquoi il profite à COVID-19. Surtout, la livraison d'oxygène sous pression permet une plus grande absorption d'oxygène par le tissu pulmonaire enflammé.
Il améliore également l'absorption d'oxygène cellulaire en général, et à un degré plus élevé que l'oxygénation de la membrane extracorporelle (ECMO), qui implique l'oxygénation du sang du patient à l'extérieur du corps, puis sa remontée en circulation.
Et, alors que l'ECMO est recommandé6,7 pour les patients relativement jeunes avec peu de comorbidités qui ne répondent pas au traitement par ventilateur, le travail de l'hôpital général d'Opelousas montre que l'OHB peut être utilisé avec succès sur les patients plus âgés qui ont plusieurs comorbidités. En outre, comme indiqué dans le rapport chinois, l'OHB n'est pas en conflit avec d'autres moyens conventionnels de traitement critique: 8
«L'OHB n'est pas le traitement étiologique de COVID-19, c'est le traitement symptomatique de l'hypoxie chez les patients atteints de COVID-19, et c'est un complément à la technologie existante de traitement à l'oxygène…
En plus de l'OHB, les cliniciens des soins intensifs sont toujours responsables du traitement complet quotidien des patients sévères susmentionnés. Il n'y a aucun conflit dans la technologie de traitement. Au contraire, il peut fournir un meilleur soutien pour d'autres traitements de soutien. »
Essai HBOT pour COVID-19 en cours
NYU Langone Health recrute également des patients COVID-19 pour une étude utilisant HBOT.9 L'étude a été publiée le 2 avril 2020 et devrait se terminer en juillet 2020. Comme détaillé sur ClinicalTrials.gov:10
«Il s'agit d'une étude de cohorte pilote prospective à centre unique visant à évaluer l'innocuité et l'efficacité de l'oxygénothérapie hyperbare (HBOT) en tant que dispositif d'investigation d'urgence pour le traitement des patients atteints d'un nouveau coronavirus, maladie, COVID-19…
Le patient recevra 90 minutes d'oxygène hyperbare à 2,0 ATA avec ou sans coupure d'air par le médecin hyperbare. À la fin du traitement, le patient retournera ensuite à l'unité médicale et continuera toutes les normes de soins…
Après la partie intervention de cette étude, un examen des dossiers sera effectué pour comparer les résultats des patients d'intervention par rapport aux patients qui ont reçu la norme de soins. "
Cette étude examinera également si l'OHB réduit la réaction aux tempêtes de cytokines qui est si répandue chez les patients atteints d'une infection sévère au COVID-19, et comment cela pourrait avoir un impact sur le processus de récupération.11 Au total, 40 patients seront inscrits. Pour être éligibles, les patients doivent être positifs pour COVID-19 et diagnostiquer une détresse respiratoire. Tous les patients seront recrutés à l'hôpital NYU Winthrop.
L'hypoxie est la première indication de l'OHB
Comme mentionné, l'Hôpital général d'Opelousas utilise désormais l'OHB pour tous les patients souffrant d'hypoxémie résistante à l'oxygène. De même, le rapport chinois12 déclare que «l'hypoxie est la première indication de l'OHB». Une autre indication de l'OHB est un diagnostic d'anoxie, c'est-à-dire une hypoxie sévère où le patient est gravement privé d'oxygène.
«L'effet thérapeutique de cinq patients a été très important, et les indices cliniques subjectifs et objectifs ont montré que la détérioration de l'hypoxie a été interrompue immédiatement, puis tout le corps s'est rétabli progressivement après le premier HBOT», indique le rapport chinois13.
«Une telle réponse de traitement cohérente, selon la loi statistique, ne peut pas être expliquée par hasard. Le mécanisme ci-dessus a démontré que l'efficacité de l'OHB chez cinq patients n'était pas accidentelle…
Les articles scientifiques, la littérature et les travaux pertinents sont infinis. La supériorité de l'OHB dans la résolution de l'hypoxie sévère chez les patients atteints de COVID-19 est clairement scientifique.
Contrairement au stade de traitement nouvellement développé ou à l'efficacité de la médecine qui est encore au stade de l'hypothèse scientifique, l'OHB n'a pas besoin de vérification des essais cliniques et d'autres méthodes d'oxygénothérapie qui ont été utilisées cliniquement, telles que la ventilation mécanique ou l'ECMO, cela peut être raisonnablement utilisé."
Thibodeaux et le rapport chinois examinent également l'excellent bilan de sécurité de l'OHB. Il n'y a vraiment aucun inconvénient au traitement, à part le fait que certains patients peuvent être trop vulnérables pour être transportés à la chambre.
Dans l'ensemble, il semble clair que l'OHB peut être un complément extrêmement précieux dans le traitement au COVID-19 et peut aider à réduire le taux de mortalité. Vous pouvez en apprendre davantage sur l'OHB - comment il fonctionne et quels sont ses avantages - dans mon article précédent, «La thérapie à l'oxygène hyperbare en tant que modalité de guérison adjointe».
Autres utilisations de l'OHB
Il est passionnant de voir cette précieuse intervention fournir des résultats aussi prometteurs dans COVID-19, ce qui est précisément ce que j'avais prévu. Cependant, l'OHB est également utile dans un large éventail d'autres troubles tels que les lésions cérébrales traumatiques (TBI), les accidents vasculaires cérébraux, les plaies et même les traitements adjuvants du cancer.
Il existe principalement deux types différents de chambres hyperbares, des coquilles souples peu coûteuses qui coûtent de 5 000 à 30 000 $ ou des chambres à coque dure de qualité hospitalière. Dans la chambre à coque dure, certains utilisent des concentrateurs d'oxygène pour fournir l'oxygène, mais les meilleurs utilisent 100% d'oxygène liquide.
Ces chambres coûtent généralement plus de 100 000 $. Le plus courant est fabriqué par Sechrist, qui est ce qu'ils utilisent dans le centre hyperbare de l'hôpital général d'Opelousas, qui a six chambres.
Sources and References
1 WGNO April 23, 2020 2 KATC3 April 16, 2020 3, 5, 8, 12, 13 Demonstration Report on Inclusion of Hyperbaric Oxygen Therapy in Treatment of COVID-19 Severe Cases (PDF) 4 International Hyperbarics Association, HBOT for COVID-19 6 ASAIO Journal March 30, 2020 doi: 10.1097/MAT.0000000000001173 7 Newswise April 24, 2020 9, 11 Clinical Research Studies NYU Langone Health, Emergency Hyperbaric Oxygen for Respiratory Distress or Failure for COVID-19 Patients 10 clinicaltrials.gov Identifier NCT04332081, Hyperbaric Oxygen for COVID-19 Patients
LES RISQUES PÉNAUX ENCOURUS PAR LES DIRIGEANTS D'ENTREPRISE DANS LE CADRE DE LA REPRISE D'ACTIVITÉ
par HORTENSE BÉTHUNE ET JACQUES-HENRI DE BOURMONT 19/05/2020
L'infraction de mise en danger d'autrui est punie d'un an d'emprisonnement et 15.000 euros d'amende pour les dirigeants
Dans le contexte actuel de crise sanitaire liée au Covid-19, la reprise d’activité fait se poser de nombreuses interrogations quant à la responsabilité pénale des dirigeants d’entreprise.
Les dirigeants d’entreprise doivent prendre un certain nombre de mesures pour assurer la sécurité et la santé des salariés.
Le Ministère du travail a mis à disposition des dirigeants des notes et fiches pratiques ainsi que des guides métiers et un protocole de déconfinement auxquels il est vivement recommandé de se référer.
Nonobstant, ces recommandations il existe de nombreuses incertitudes quant au risque pénal pesant sur les dirigeants dans le contexte actuel.
C’est la raison pour laquelle l’amendement relatif à l’atténuation de la responsabilité pénale des décideurs publics et privés adopté en première lecture par le Sénat a été très vivement débattu :
"nul ne peut voir sa responsabilité pénale engagée (...) du fait d'avoir soit exposé autrui à un risque de contamination par le coronavirus SARS-CoV-2, soit causé ou contribué à causer une telle contamination"
L’Assemblée nationale n’a finalement pas adopté cet amendement et s’est contentée de rappeler que toute appréciation d’un risque pénal doit se faire in concreto.
L’article 1 de la loi n° 2020-546 prorogeant l’état d’urgence sanitaire adoptée le 11 mai 2020 a ainsi inséré un nouvel article L.3136-2 dans le Code de la santé publique qui dispose que :
« (…) L'article 121-3 du code pénal est applicable en tenant compte des compétences, du pouvoir et des moyens dont disposait l'auteur des faits dans la situation de crise ayant justifié l'état d'urgence sanitaire, ainsi que de la nature de ses missions ou de ses fonctions, notamment en tant qu'autorité locale ou employeur. »
Ces dispositions ont été validées par le Conseil constitutionnel dans sa décision n°2020-800 du 11 mai 2020, considérant qu’elles ne modifiaient pas le droit existant et n’instauraient pas de régime dérogatoire limitant la responsabilité des décideurs publics.
Il convient de préciser les conditions dans lesquelles la responsabilité pénale des dirigeants est susceptible d’être engagée, ainsi que les mesures à mettre en œuvre pour limiter ce risque.
A. Les conditions de mise en œuvre de la responsabilité des dirigeants Aucune infraction nouvelle particulière relative à la protection des salariés face au Covid-19 n’a été adoptée dans notre corpus législatif, ni dans le code pénal, ni dans le code du travail.
Il faut donc se référer aux infractions existantes, notamment aux infractions involontaires.
En cas de risque de contamination d’un salarié, l’infraction de mise en danger d’autrui (art. 223-1 et 223-2 du code pénal) pourra être recherchée.
En cas de contamination d’un salarié, les infractions d’atteintes involontaires à la vie (art. 221-6 et 221-7 du code pénal) ou à l’intégrité physique (art. 222-19, 222-20, 222-21, R.625-2, R.625-3 et R.622-1 du code pénal) pourront être qualifiées.
1. La mise en danger d’autrui
Cette infraction est définie par l’article 223-1 du code pénal comme :
« le fait d’exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement »
Cette infraction suppose donc un lien de causalité direct et immédiat entre la faute, l’exposition directe d’autrui, et le dommage, le risque immédiat de mort ou de blessure permanente.
En pratique, cette infraction pose plusieurs difficultés de qualification dans le contexte actuel.
Concernant le lien de causalité direct et immédiat, il sera très difficile voire impossible d’établir avec certitude l’origine d’un risque de contamination du salarié en raison des incertitudes scientifiques, et notamment de la vitesse de propagation et du temps d’incubation du virus.
Comment déterminer avec certitude si le salarié est exposé à un risque de contamination dans l’entreprise, dans les transports en commun ou encore au contact de ses proches ?
Concernant l’obligation particulière de prudence ou de sécurité, elle doit présenter un caractère suffisamment précis et circonstancié. Elle doit en outre résulter d’une règle à valeur normative, absolue.
Or, sur ce point, le code pénal et le code du travail ne contiennent aucune infraction nouvelle particulière liée à la protection des salariés face au Covid-19.
Le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 semble trop général et imprécis, la loi pénale étant d’interprétation stricte.
Les notes et fiches pratiques diffusées par le Ministère du travail en application de ce décret sont suffisamment précises mais dépourvues de valeur contraignante.
Enfin, la violation manifestement délibérée exclut toute faute simple de maladresse, d’imprudence, d’inattention, de négligence et d’omission.
Le risque semble donc pouvoir être limité si le dirigeant est en mesure de rapporter la preuve qu’il a, a minima, tenter de mettre en œuvre les consignes gouvernementales dans l’entreprise.
L’infraction de mise en danger d’autrui est punie d’un an d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende pour les dirigeants, et de 75 000 euros pour les entreprises.
Il existe en outre un certain nombre de peines complémentaires, dont notamment l’interdiction d’exercer certaines activités professionnelles ou sociales, et l’affichage ou la diffusion de la décision pénale.
2. Les atteintes involontaires à la vie ou à l’intégrité physique.
Ces infractions sont définies par les articles 221-6 et 222-19 du code pénal qui visent :
« le fait de causer, dans les conditions et selon les distinctions prévues à l'article 121-3, par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement (…) » la mort d’autrui ou des blessures à autrui
L’article 222-20 du code pénal vise :
« le fait de causer à autrui, par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement (…) » des blessures à autrui
Les difficultés de qualification évoquées relatives au lien de causalité direct et immédiat sont identiques concernant ces infractions.
B. Les mesures pouvant être mise en œuvre pour limiter ce risque
1. La mise en place de délégations de pouvoirs
Les dirigeants disposent de moyens pour limiter au maximum le risque d’engagement de leur responsabilité pénale, notamment en mettant en place des délégations de pouvoirs.
Dans le contexte actuel lié au Covid-19, il est donc essentiel de s’assurer de l’effectivité des délégations de pouvoirs en matière de sécurité et de protection de la santé des salariés.
Ces délégations permettent de déléguer des pouvoirs normalement exercés par le dirigeant à des personnes plus à même d’exercer effectivement ces pouvoirs.
Il est fortement recommandé de formaliser les délégations de pouvoirs par écrit, même si cela n’est pas obligatoire, et de vérifier que les conditions de validité? sont bien remplies.
Concernant les conditions de validité, le délégataire doit :
avoir consenti à la délégation ; et disposer de l'autorité, des moyens (matériels, techniques, financiers) et de la compétence nécessaires pour mettre en œuvre cette délégation.
2. Le respect des consignes sanitaires et gouvernementales
Dans le contexte actuel, il est très fortement recommandé aux dirigeants de respecter un certain nombre de mesures, dont notamment :
le protocole national de déconfinement du Ministère du travail en date du 3 mai 2020 (privilégier le télétravail, rappeler les mesures barrières, respecter les règles de distanciation…) ; les guides métiers du Ministère du travail ; le Document Unique d’Évaluation des Risques mis à jour en y associant les représentants du personnel… Sur ce point, le Ministère du Travail a rappelé à de nombreuses reprises aux employeurs que la reprise d’activité doit se faire dans le respect des consignes sanitaires.
***
Par conséquent, il est donc vivement recommandé aux dirigeants d’entreprise d’user de la plus grande prudence et de favoriser le dialogue, la concertation et la transparence pour favoriser le rebond et rétablir la confiance.
DRAME DES MALADES TOUTES PATHOLOGIES MIS EN DANGER PAR LES MESURES ANTI-COVID. IL FAUT ROUVRIR TOUS LES BLOCS OPÉRATOIRES, MAINTENANT !
par GÉRARD DELÉPINE 13/05/2020
En France, 20 millions de personnes souffriraient de pathologies chroniques, prises en charge à 100 % par la sécurité sociale.
« Edicté pour lutter contre le risque COVID, le plan blanc a maintenant des effets délétères pour la santé publique, alors même que l’épidémie est presque éteinte sur une grande partie du territoire. Son rapport bénéfice/risque est devenu catastrophique »[1].
Le carcan bureaucratique des agences régionales de santé (ARS) est actuellement responsable de pertes de chances de vie de nombreux français. Il faut libérer le système de santé pour qu’il puisse de nouveau les traiter.
Le blocage autoritaire des soins hors Covid19 par le Plan Blanc Dans l’affolement qui a suivi l’annonce par Ferguson[2] que les hôpitaux français allaient être submergés par les malades du Covid19, et qu’il en résulterait 510 000 morts [3] en France, le gouvernement décida immédiatement, d’astreindre à résidence autoritaire tous les Français, et de consacrer tous les moyens médicaux à cette épidémie, en actionnant le Plan blanc [4] [5].
Celui-ci comportait l’orientation prioritaire et exclusive (en dehors des urgences) des hôpitaux publics sur cette unique maladie et la réquisition des cliniques privées comme réserve théorique de lits, de matériel et de personnel.
En moins de 24 heures, sans organisation préalable, toutes les activités non immédiatement vitales furent brutalement interrompues, les salles d’opération vidées, les malades programmés joints par téléphone, et leurs interventions supprimées, remises à une date inconnue, en application des injonctions de l’Agence Régionale de Santé locale (une ARS par région).
Les anesthésistes et les infirmières de bloc attendirent en vain les malades qui ne leur furent qu’exceptionnellement adressés (seulement dans quelques endroits de l’ile de France après quelques semaines et diffusion dans la presse de ce dysfonctionnement). Chirurgiens et anesthésistes, en l’absence d’activité normale autorisée (et sans indemnisation pour leur perte nette de revenus), ne virent pour la plupart aucun malade Covid. Leurs établissements, un certain nombre de personnels paramédicaux et administratifs furent finalement mis au chômage et le sont toujours.
Les lits d’hospitalisation ordinaires des établissements privés étaient vides pendant que les télévisions clamaient l’absence de lits disponibles. Ces mesures étaient destinées à masquer en partie l’état déplorable de notre système sanitaire mis à mal depuis de nombreuses années par des politiques de gestion bureaucratique purement comptable, et probablement de poursuivre la destruction du réseau privé entreprise depuis plusieurs années. Les mises en garde et appels au secours des personnels soignants et leurs grèves répétées n’eurent comme seule réponse que la répression brutale de ceux qu’il est maintenant de bon ton de célébrer chaque soir. Le soignant tabassé le 17 décembre est maintenant transformé en héros pour tenter de rallier le peuple à une politique délirante. Communion de foule toujours efficace, un temps.
En fait, ce plan blanc ne servit qu’à saborder un peu plus les soins des patients ordinaires, car toute activité non covid19 fut interdite dans toute la France. Les internes de l’hôpital Tenon par exemple racontèrent sur les réseaux sociaux comment ils s’ennuyaient faute de patients. Dans les hôpitaux recevant des malades suspects de Covid, les urgences avaient été élargies, ainsi que les services de réanimation et deux ou trois services de médecine utilisés. Le reste de l’hôpital resta vide et ainsi dans tous les hôpitaux français publics et privés et encore à ce jour, malgré un déconfinement partiel.
Conséquences désastreuses du confinement aveugle généralisé [6] Nous avons largement démontré [7] [8] [9] [10] [11] que l’enfermement de la population, sans séparer les porteurs de virus des personnes non infectées, était une mesure inefficace qui a été directement responsable d’environ 20000 morts de Covid19 supplémentaires par rapport à l’Allemagne ou l’Autriche et d’environ 9000 morts Covid19 évitables par rapport à la Suède[12]. Mais ces mesures sont aussi responsables d’un nombre important de victimes collatérales parmi les malades ordinaires.
Ces mesures ont nui et nuisent toujours aussi aux malades ordinaires Ceux qui souffrent de maladies chroniques nécessitant la surveillance et la poursuite de leurs traitements ou de pathologies nouvelles, telles que les cancers qu’on ne diagnostique plus (plus de biopsies chirurgicales au temps du Covid19) ou qu’on ne traite plus par chimiothérapie en hospitalisation ou par chirurgie, même quand cela est nécessaire et urgent.
Le comble est qu’on conseille par exemple à un patient en attente d’ablation de sa tumeur du colon de faire de la radiothérapie. Le malade discipliné appelle le très grand centre de radiothérapie proche de chez lui en région parisienne et après x coups de téléphone, il attend toujours depuis près de deux mois un simple rendez-vous…
En France, 20 millions de personnes souffriraient de pathologies chroniques, prises en charge à 100 % par la sécurité sociale. Chaque année, plus de 600 000 d’entre elles nécessitent des soins réguliers, près de 320 000 des chimiothérapies, 210 000 des séances de radiothérapie, et plus de 82 000 doivent être dialysés trois fois par semaine pour insuffisance rénale. Des patients fragiles, désespérés, encore majoritairement réduits au silence, dont on ne connaitra vraiment l’état qu’après un véritable déconfinement autorisant soignants et familles à les rencontrer. Mais si le patient est à 105 km, doit-on demander au premier ministre une autorisation spéciale ?
La peur dissuade les malades de consulter
La propagande du gouvernement[13] et des médias entretenant la panique a paralysé les malades qui n’osent plus consulter pour ne pas risquer le contact des nouveaux pestiférés et/ou ne pas « encombrer les soignants » qui seraient débordés.
De fait, depuis trois semaines environ, le gouvernement rétropédale ainsi que les médecins qui font appel aux malades pour revenir consulter. Ils savent bien que les malades Covid19 diminuent régulièrement en nombre et que les hôpitaux privés, ou publics et consultations de ville ou hospitalières sont vides …
« Infarctus, AVC, cancer… De nombreux malades chroniques ne vont plus chez le médecin ou désertent les urgences depuis le début du confinement[14]. Le corps médical s’inquiète de voir exploser le nombre de victimes collatérales à l’épidémie de Covid-19 ».
« Deux fois moins d’infarctus, ce n’est pas normal », s’étonne Eric Favreau. Jusqu’à ce que nos grands statisticiens qui ne connaissent des malades que les chiffres qui s’affichent sur leurs ordinateurs parviennent à nous convaincre que le Covid19 protège de l’infarctus, sait-on jamais ? Mais aussi les accidents vasculaires cérébraux (AVC) ont largement disparu des consultations !
« On ne comprend pas[15]. On a fait un groupe de travail avec d’autres établissements et d’autres services pour tenter d’analyser ce qui se passe. Car on reçoit beaucoup moins de victimes d’AVC, au moins 50% en moins. Ce n’est pas normal. C’est inquiétant. Les patients, ont-ils peur de gêner ? Pour certains, ils arrivent trop tard ou ils meurent à la maison. C’est vrai que si on attend une demi-heure une réponse du Samu, cela peut être parfois problématique. »
Les rhumatologues sont inquiets [16] « Attention à la bombe à retardement, je crains le retour de bâton à la fin de l’épidémie, s’alarme un chef de service. » Il y aura tout de même un moment où les patients se rendront compte que leur problème est important. »
Cette peur de consulter touche aussi les malades du cancer justifiant le communiqué de l’institut de cancer[17] : « COVID-19 et patients atteints de cancer : pendant l’épidémie, l’Institut national du cancer rappelle aux patients que le lien avec les médecins ne doit pas être interrompu ». dans la société virtuelle du nouveau monde, trop de médecins administratifs ou cadres de l’éducation nationale ont cru au tout informatique. Mais rien ne remplace un contact direct entre médecin et malade, le fameux et intangible colloque singulier. Dites-le à l’INCa !
C’est oublier les retards au diagnostic de nombreux citoyens confinés dont les troubles divers et variés passent souvent pour de la dépression, ou de l’angoisse. Devant des crises de colères inhabituelles, des céphalées tenaces, qui pensera aux signes prémonitoires d’une tumeur cérébrale ? La banale fièvre d’un enfant sera facilement cataloguée Covid19 ; et si elle dure, qui pensera à évoquer un cancer des surrénales (appelé neuroblastome), une maladie de Hodgkin ou une tumeur osseuse (sarcome d’Ewing) qui ont la particularité de se révéler parfois par une fièvre au long cours. On attendra sous doliprane que le supposé Covid19 passe et les métastases pourront proliférer sans encombre.
Les agences régionales de santé empêchent trop souvent les patients d’être traités Le 13 mars, le Plan Blanc a imposé à tous les établissements de soins de consacrer tous leurs moyens à la prise en charge de l’épidémie COVID-19. En moins de 24 heures, tout a été mis en place pour faire face à cette épidémie : des dizaines de milliers d’examens diagnostiques et d’interventions ont été déprogrammées, des centaines de milliers de consultations ont été annulées.
Certains bureaucrates des agences régionales de Santé ont osé demander aux cancérologues de remplacer la chirurgie prévue d’un cancer du côlon ou des poumons par la radiothérapie car les blocs opératoires privés et publics ont été interdits de travailler -hors urgence-pour soi-disant conserver une réserve de lits.
Pourtant les cancérologues savent -mais peut-être pas les directeurs des ARS qui décident de tout- qu’un patient atteint d’un cancer du poumon localisé opéré rapidement peut guérir au vrai sens du terme. Au contraire, ce même patient chez lequel l’ARS impose de recourir à la radiothérapie verra ses chances diminuer, pour faire la place à un possible malade Covid19 qui n’occupera même pas le lit libéré.
Des cures de chimiothérapie ont été espacées ou modifiées, remplaçant un traitement par voie intraveineuse par un traitement oral, éventuellement moins efficace pour s’adapter au blocage des lits d’hospitalisation. Et qui a pesé le bénéfice-risque de ces changements impromptus ? Des opérations urgentes ont été annulées, remises à période ultérieure sans précision, comme si le cancer prenait des vacances pendant le confinement.
Pourtant depuis une cinquantaine d’années que les traitements efficaces du cancer existent, on a compris que le temps de doublement de tumeur était, dans certains cancers qui évoluent très vite, un facteur capital à prendre en compte. Jusqu’aux années 2000, avant que les cadres de santé aux ordres des technocrates de l’hôpital ne prennent le pouvoir absolu sur les médecins, on expliquait aux patients que si la cure tombait un weekend ou pendant un pont, la cure serait réalisée tout de même. Nos patients guéris de longue date peuvent en témoigner. Cette médecine au service du malade est morte depuis le début du XXI ième siècle mais l’apogée de cette dérive, pendant ce confinement, dépasse l’entendement.
Lits vides inoccupés depuis deux mois sur ordre et la surveillance inquisitoriale des agences régionales de santé, petites dictatures locales contre lesquelles il n’existe aucune voie de recours. Elles vérifient que les patients opérés « en urgence » soient vraiment des urgences à leur sens et non à celui du patient et du chirurgien, et des sanctions financières ou une interdiction de la clinique de fonctionner menacent.
En vue de la réouverture, les pharmacies ont commencé à remplir leurs tiroirs de médicaments. Mais depuis quelques semaines, les agences régionales de santé empêchent l’approvisionnement libre en médicaments des cliniques. Elles les ont obligées d’acheter un programme informatique à une entreprise privé (amie ?) pour prendre le contrôle de leur commande de médicaments, jusqu’alors exclusivement assurée par le pharmacien de l’établissement dont c’est la profession. Maintenant, elles soumettent les commandes à leur imprimatur préalable aussi bien en public qu’en privé. Qui croit encore qu’il existe une médecine véritablement privée en France ?
Or un établissement ne peut pas fonctionner sans être certain de la pérennité de ses approvisionnements et en particulier des produits anesthésiques et des antibiotiques. Cette scandaleuse mise sous tutelle des approvisionnements, totalement injustifiée, paraît destinée en fait à empêcher la reprise des activités de ces établissements.
Les agences régionales de santé sont donc responsables de la poursuite de l’arrêt de la prise en charge chirurgicale des français qu’elles ne jugent pas urgente et donc de pertes de chances de nombreux patients, dont ceux atteints de cancer[18].
Ces mesures des agences régionales de Santé doivent être abolies maintenant !
Le Bloc[19] et l’Union des chirurgiens de France dans de récents communiqués[20] [21] témoignent : « nous constatons chaque jour et de plus en plus l’aggravation des morbidités et de la mortalité des malades non COVID. Les patients présentent des états aggravés avec des retards diagnostiques et thérapeutiques lourds de conséquences. Toutes les spécialités médicales sont concernées.
Edicté pour lutter contre le risque COVID, le plan blanc a maintenant des effets délétères pour la santé publique, alors même que l’épidémie est presque éteinte sur une grande partie du territoire. Son rapport bénéfice/risque est devenu catastrophique.
Par crainte d’un risque potentiel, les pouvoirs publics font courir à toute la population un risque certain. Dans l’intérêt de la santé publique, il est plus que temps de mettre fin à cette incohérence administrative qu’est devenu le plan blanc élargi. »
Comme les syndicats de chirurgiens, la fédération hospitalière privée[22] réclame le retour aux soins : « une levée sécurisée des plans blancs est indispensable »
« Depuis plusieurs semaines, la FHP et les syndicats de médecins libéraux rappellent l’importance du retour aux soins pour les patients. Différer les soins ou y renoncer peut avoir des conséquences graves sur l’état de santé de la population ».[23]
Combien faudra-t-il de morts évitables supplémentaires pour que le gouvernement mette fin à cette tyrannie bureaucratique qui nuit à la médecine et à la santé des Français ?
[1] LE BLOC APPELLE A STOPPER IMMEDIATEMENT LE PLAN BLANC ELARGI communiqué du 7 mai 2020
[2] N Ferguson Rapport 9 Imperial College 2020 3 16
[3] N Ferguson : « Nous constatons que des politiques d'atténuation optimales pourraient réduire le pic de la demande de soins de santé de 2 / 3 et des décès de moitié. Cependant, l'épidémie atténuée qui en résulterait entraînerait probablement encore des centaines de milliers de décès et les systèmes de santé (notamment les unités de soins intensifs) seraient submergés à plusieurs reprises »
[4] Le Plan blanc est un plan spécifique d’urgence sanitaire qui peut être mis en place dans les établissements de santé publics et privés.
« Le Plan Blanc contient des mesures d’organisations destinées à faire face à une situation sanitaire exceptionnelle ou une activité accrue d’un hôpital. Il permet d’organiser l’accueil et la prise en charge d’un afflux massif de victimes d’un accident, d’une catastrophe, d’une épidémie ou d’un événement climatique meurtrier et durable ».
« Le Plan Blanc peut être déclenché par le directeur ou le responsable de l’établissement, qui en informe sans délai le représentant de l’Etat dans le département, ou à la demande de ce dernier.
Dans tous les cas, le représentant de l’État dans le département informe sans délai le directeur général de l’agence régionale de santé, le service d’aide médicale urgente départemental et les représentants des collectivités territoriales concernées du déclenchement d’un ou plusieurs plans blancs.
La compétence attribuée au représentant de l’État dans le département peut être exercée, dans les mêmes conditions, par les préfets de zone de défense et par le Premier ministre si la nature de la situation sanitaire ou l’ampleur de l’afflux de patients ou de victimes le justifient. »
[5] Les principales dispositions législatives et réglementaires qui déterminent la mise en place et l’organisation du plan blanc dans le système de santé lors d’une crise sanitaire sont :- Articles L3131-1 à 11 du Code de la santé publique sur les mesures d’urgence et les menaces sanitaires graves- Articles R3131-4 à 10 du Code de la santé publique sur le plan zonal de mobilisation et le dispositif ” ORSAN”- Articles R3131-13 à 14 du Code de la santé publique sur le plan blanc- Loi 2004-806 du 9...
[7] Delépine Confinement, cette mesure d’enferment collectif-elle efficace ? Chiffres OMS de mortalité comparés Agoravox 8 avril 2020
[8] Delépine Non, le confinement ne sauve pas, il aggrave la mortalité du Covid19, l’économie et la santé des Français Agoravox 28 avril 2020
[9] Delépine Covid19 et confinement aveugle, combien de morts évitables ? Son site 8 mai 2020
[10] Ancrehttp://docteur.nicoledelepine.fr/covid19-et-confinement-aveugle-combien-de-morts-evitables/ voir aussi la vidéo du DR G Delépine sur le site de Jérémy Mercier sur le déconfinement et les conséquences du confinement du 7 mai 2020 https://youtu.be/orjBSTWMTKE
[13] Dont l’annonce mortifère chaque soir de Jérôme Salomon égrenant le nombre de victimes lorsqu’il était élevé et plus discret depuis que ce nombre diminue fortement
[18] Chaque année environ 450000 cancéreux sont diagnostiqués en France ; durant les deux mois de confinement c’est donc environ 40000 malades qui auraient dû être diagnostiqués et traités. En France ; le retard de traitement de ces malades aura entraîné au moins 10000 décès évitables
[19] Union syndicale AAL (Syndicat de médecins Anesthésistes Réanimateurs Libéraux) - SYNGOF - UCDF* est le premier syndicat représentatif des anesthésistes, gynécologues obstétriciens, et chirurgiens de France. Il est signataire de la convention avec l’UNCAM en 2016. Il est le deuxième syndicat des médecins spécialistes libéraux Français.
[20] LE BLOC APPELLE A STOPPER IMMEDIATEMENT LE PLAN BLANC ELARGI communiqué du 7 mai 2020
[21] Union des chirurgiens de France publication du 24 avril 2020COVID 19 - Reprise des activités
Publication : vendredi 24 avril 2020 12 :20 Écrit par UCDF
par Tyler Durden Lun, 18/05/2020 - 02h00 Écrit par Jeffrey Tucker via l'American Institute for Economic Research,
Commence maintenant le grand effort, affiché quotidiennement dans des milliers d'articles et de nouvelles, pour en quelque sorte normaliser le verrouillage et toute sa destruction des deux derniers mois. Nous n'avons pas enfermé presque tout le pays en 1968/69, 1957 ou 1949-1952, ni même en 1918. Mais en quelques jours terrifiants en mars 2020, cela nous est arrivé à tous, provoquant une avalanche de problèmes sociaux, destruction culturelle et économique qui résonnera à travers les âges.
Il n'y avait rien de normal à tout cela. Nous allons essayer de comprendre ce qui nous est arrivé dans des décennies.
Comment un plan temporaire visant à préserver la capacité hospitalière s'est-il transformé en une assignation à résidence quasi universelle de deux à trois mois qui a fini par entraîner des départs de travailleurs dans 256 hôpitaux, un arrêt des voyages internationaux, une perte d'emploi de 40% chez les personnes gagnant moins de 40 $ K par an, dévastation de tous les secteurs économiques, confusion et démoralisation de masse, ignorance totale de tous les droits et libertés fondamentaux, sans parler de la confiscation massive de propriétés privées avec fermeture forcée de millions d'entreprises?
Quelle que soit la réponse, ce doit être un conte bizarre. Ce qui est vraiment surprenant, c'est à quel point la théorie derrière le verrouillage et l'éloignement forcé est récente. Autant que l'on puisse dire, la machinerie intellectuelle qui a provoqué ce gâchis a été inventée il y a 14 ans, non par des épidémiologistes mais par des modélisateurs de simulation informatique. Il a été adopté non pas par des médecins expérimentés - ils l'ont mis en garde avec férocité - mais par des politiciens.
Commençons par l'expression distanciation sociale, qui s'est transformée en séparation humaine forcée. La première fois que je l'ai entendu, c'était dans le film Contagion de 2009. La première fois qu'il est apparu dans le New York Times, c'était le 12 février 2006:
Si la grippe aviaire devient pandémique alors que le Tamiflu et les vaccins sont encore rares, les experts disent que la seule protection que la plupart des Américains auront sera la «distanciation sociale», qui est la nouvelle façon politiquement correcte de dire «quarantaine».
Mais l'éloignement englobe également des mesures moins drastiques, comme le port de masques faciaux, le maintien hors des ascenseurs - et la bosse [du coude]. De tels stratagèmes, disent ces experts, réécriront la façon dont nous interagissons, du moins pendant les semaines où les vagues de grippe nous envahissent.
Peut-être que vous ne vous souvenez pas que la grippe aviaire de 2006 n’était pas beaucoup. C'est vrai, malgré tous les avertissements extrêmes sur sa létalité, le H5N1 ne s'est pas transformé en grand-chose. Ce qu'il a fait, cependant, a été d'envoyer le président actuel, George W. Bush, à la bibliothèque pour lire sur la grippe de 1918 et ses résultats catastrophiques. Il a demandé à certains experts de lui soumettre des plans sur ce qu'il fallait faire lorsque la vraie chose se présenterait.
Le New York Times (22 avril 2020) raconte l'histoire à partir de là:
Il y a quatorze ans, deux médecins du gouvernement fédéral, Richard Hatchett et Carter Mecher, ont rencontré un collègue d'un hamburger dans la banlieue de Washington pour un examen final d'une proposition qu'ils savaient être traitée comme une piñata: dire aux Américains de rester à la maison du travail et l'école la prochaine fois que le pays a été frappé par une pandémie mortelle.
Quand ils ont présenté leur plan peu de temps après, ils ont été accueillis avec scepticisme et un certain ridicule par des hauts fonctionnaires qui, comme d'autres aux États-Unis, s'étaient habitués à dépendre de l'industrie pharmaceutique, avec sa gamme toujours croissante de nouveaux traitements, pour faire face à l'évolution des problèmes de santé.
Drs. Hatchett et Mecher proposaient à la place que les Américains, dans certains endroits, pourraient avoir à revenir à une approche, l'auto-isolement, d'abord largement utilisée au Moyen Âge.
Comment cette idée - née d'une demande du président George W. Bush de s'assurer que la nation était mieux préparée à la prochaine épidémie de maladie contagieuse - est devenue le cœur du manuel national pour répondre à une pandémie est l'une des histoires inédites du coronavirus crise.
Il a fallu que les principaux partisans - le Dr Mecher, un médecin du Département des anciens combattants et le Dr Hatchett, un oncologue devenu conseiller de la Maison Blanche - parviennent à surmonter une intense opposition initiale.
Il a réuni leur travail avec celui d'une équipe du Département de la Défense affectée à une tâche similaire.
Et il a eu des détours inattendus, y compris une plongée profonde dans l'histoire de la grippe espagnole de 1918 et une découverte importante lancée par un projet de recherche au lycée poursuivi par la fille d'un scientifique des Laboratoires nationaux Sandia.
Le concept de distanciation sociale est désormais intimement familier à presque tout le monde. Mais comme il a fait son chemin dans la bureaucratie fédérale en 2006 et 2007, il a été considéré comme impraticable, inutile et politiquement irréalisable.
Notez qu'au cours de cette planification, ni des experts juridiques ni des experts économiques n'ont été sollicités pour consulter et conseiller. Au lieu de cela, il incomba à Mecher (anciennement de Chicago et médecin de soins intensifs sans expertise préalable en pandémie) et à l'oncologue Hatchett.
Mais quelle est cette mention de la lycéenne de 14 ans? Son nom est Laura M. Glass, et elle a récemment refusé d'être interviewée lorsque le Albuquerque Journal a plongé profondément dans cette histoire.
Laura, avec quelques conseils de son père, a conçu une simulation informatique qui a montré comment les gens - les membres de la famille, les collègues, les élèves des écoles, les personnes en situation sociale - interagissent. Ce qu'elle a découvert, c'est que les écoliers entrent en contact avec environ 140 personnes par jour, plus que tout autre groupe. Sur la base de cette constatation, son programme a montré que dans une ville hypothétique de 10 000 habitants, 5 000 seraient infectés pendant une pandémie si aucune mesure n'était prise, mais seulement 500 seraient infectés si les écoles étaient fermées.
Le nom de Laura apparaît sur le document de base plaidant pour des verrouillages et une séparation humaine forcée. Ce document s'intitule Plans de distanciation sociale ciblés pour la grippe pandémique (2006). Il a établi un modèle de séparation forcée et l'a appliqué avec de bons résultats dans le temps jusqu'en 1957. Ils concluent par un appel effrayant pour ce qui équivaut à un verrouillage totalitaire, tous déclarés très concrètement.
La mise en œuvre de stratégies de distanciation sociale est difficile. Ils doivent probablement être imposés pendant la durée de l'épidémie locale et éventuellement jusqu'à ce qu'un vaccin spécifique à la souche soit développé et distribué. Si le respect de la stratégie est élevé au cours de cette période, une épidémie au sein d'une communauté peut être évitée. Cependant, si les communautés voisines n'utilisent pas également ces interventions, les voisins infectés continueront d'introduire la grippe et de prolonger l'épidémie locale, bien qu'à un niveau déprimé plus facilement adapté aux systèmes de santé.
En d'autres termes, c'était une expérience scientifique au lycée qui est finalement devenue la loi du pays, et par une voie détournée propulsée non pas par la science mais par la politique.
L'auteur principal de cet article était Robert J. Glass, analyste des systèmes complexes chez Sandia National Laboratories. Il n'avait aucune formation médicale, encore moins une expertise en immunologie ou en épidémiologie.
Cela explique pourquoi le Dr D.A. Henderson, «qui avait été le chef de file de l'effort international pour éradiquer la variole», a complètement rejeté l'ensemble du projet.
Dit le NYT:
Le Dr Henderson était convaincu que cela n'avait aucun sens de forcer les écoles à fermer ou d'arrêter des rassemblements publics. Les adolescents s'échappaient de leurs maisons pour traîner au centre commercial. Les programmes de repas scolaires fermeraient et les enfants pauvres n'auraient pas assez à manger. Le personnel hospitalier aurait du mal à travailler si ses enfants étaient à la maison.
Les mesures adoptées par les Drs. Mecher et Hatchett «entraîneraient une perturbation importante du fonctionnement social des communautés et entraîneraient des problèmes économiques potentiellement graves», a écrit le Dr Henderson dans son propre article universitaire répondant à leurs idées.
La réponse, a-t-il insisté, était de l'endurcir: laissez la pandémie se propager, traitez les personnes qui tombent malades et travaillez rapidement pour mettre au point un vaccin pour l'empêcher de revenir.
Phil Magness de AIER s'est mis au travail pour trouver la littérature répondant à ce 2006 et a découvert: Mesures d'atténuation des maladies dans le contrôle de la grippe pandémique. Les auteurs comprenaient D.A. Henderson, ainsi que trois professeurs de Johns Hopkins: le spécialiste des maladies infectieuses Thomas V.Inglesby, l’épidémiologiste Jennifer B. Nuzzo et le médecin Tara O’Toole.
Leur article est une réfutation remarquablement lisible de l'ensemble du modèle de verrouillage.
Il n'y a pas d'observations historiques ou d'études scientifiques qui soutiennent le confinement par mise en quarantaine de groupes de personnes potentiellement infectées pendant de longues périodes afin de ralentir la propagation de la grippe. … Il est difficile d'identifier les circonstances au cours du dernier demi-siècle où une quarantaine à grande échelle a été efficacement utilisée pour lutter contre une maladie. Les conséquences négatives de la mise en quarantaine à grande échelle sont si extrêmes (confinement forcé des personnes malades avec le puits; restriction complète des mouvements de grandes populations; difficulté à fournir des fournitures, des médicaments et de la nourriture essentiels aux personnes à l'intérieur de la zone de quarantaine) que cette mesure d'atténuation devrait être éliminé de toute considération sérieuse…
La quarantaine à domicile soulève également des questions éthiques. La mise en œuvre de la quarantaine à domicile pourrait entraîner le risque d'infection pour les personnes saines et non infectées par les membres malades du ménage. Des pratiques visant à réduire les risques de transmission (lavage des mains, maintien à une distance de 3 pieds des personnes infectées, etc.) pourraient être recommandées, mais une politique imposant la mise en quarantaine à domicile empêcherait, par exemple, d'envoyer des enfants en bonne santé chez des parents lorsqu'ils un membre de la famille tombe malade. Une telle politique serait également particulièrement difficile et dangereuse pour les personnes vivant dans des quartiers étroits, où le risque d'infection serait accru….
Les restrictions de voyage, telles que la fermeture d'aéroports et le contrôle des voyageurs aux frontières, ont toujours été inefficaces. Le Groupe de rédaction de l'Organisation mondiale de la santé a conclu que «le dépistage et la mise en quarantaine des voyageurs entrant aux frontières internationales n'ont pas retardé considérablement l'introduction du virus lors des pandémies passées. . . et sera probablement encore moins efficace à l'ère moderne. »… Il est raisonnable de supposer que les coûts économiques de l'arrêt des voyages en avion ou en train seraient très élevés, et les coûts sociaux impliqués dans l'interruption de tous les voyages en avion ou en train seraient extrêmes. . …
Lors d'épidémies saisonnières de grippe, des événements publics auxquels une forte fréquentation est attendue ont parfois été annulés ou reportés, la raison étant de diminuer le nombre de contacts avec ceux qui pourraient être contagieux. Il n'y a cependant aucune indication certaine que ces actions aient eu un effet définitif sur la gravité ou la durée d'une épidémie. Si l'on envisageait de le faire à une échelle plus étendue et sur une période plus longue, des questions se posent immédiatement quant au nombre de ces événements qui seraient affectés. Il existe de nombreux rassemblements sociaux qui impliquent des contacts étroits entre les gens, et cette interdiction pourrait inclure les services religieux, les événements sportifs, peut-être toutes les réunions de plus de 100 personnes. Cela pourrait signifier la fermeture de théâtres, de restaurants, de centres commerciaux, de grands magasins et de bars. La mise en œuvre de telles mesures aurait de graves conséquences perturbatrices…
Les écoles sont souvent fermées pendant 1 à 2 semaines au début de l'apparition d'épidémies saisonnières de grippe dans la communauté, principalement en raison des taux d'absentéisme élevés, en particulier dans les écoles élémentaires, et en raison de la maladie chez les enseignants. Cela semblerait raisonnable pour des raisons pratiques. Cependant, la fermeture des écoles pour de plus longues périodes est non seulement irréalisable, mais entraîne la possibilité d'une issue défavorable grave….
Ainsi, l'annulation ou le report de grandes réunions ne seraient pas susceptibles d'avoir un effet significatif sur le développement de l'épidémie. Bien que les préoccupations locales puissent entraîner la fermeture d'événements particuliers pour des raisons logiques, une politique ordonnant la fermeture à l'échelle communautaire des événements publics semble déconseillée. Quarantaine. Comme le montre l'expérience, rien ne permet de recommander la mise en quarantaine de groupes ou d'individus. Les problèmes liés à la mise en œuvre de telles mesures sont redoutables et les effets secondaires de l'absentéisme et des perturbations communautaires ainsi que les éventuelles conséquences négatives, telles que la perte de confiance du public dans le gouvernement et la stigmatisation des personnes et des groupes mis en quarantaine, sont susceptibles d'être considérables….
Enfin, la conclusion remarquable:
L'expérience a montré que les communautés confrontées à des épidémies ou à d'autres événements indésirables réagissent mieux et avec le moins d'anxiété lorsque le fonctionnement social normal de la communauté est le moins perturbé. Un solide leadership politique et en santé publique pour rassurer et garantir que les services de soins médicaux nécessaires sont fournis sont des éléments essentiels. Si l’un ou l’autre s’avère moins qu'optimal, une épidémie gérable pourrait évoluer vers une catastrophe.
Faire face à une épidémie gérable et la transformer en catastrophe: cela semble être une bonne description de tout ce qui s'est passé lors de la crise COVID-19 de 2020.
C'est ainsi que certains des experts les plus qualifiés et les plus expérimentés en matière d'épidémies ont mis en garde avec une rhétorique mordante contre tout ce que les partisans du verrouillage proposaient. Ce n'était même pas une idée du monde réel en premier lieu et ne montrait aucune connaissance réelle des virus et de l'atténuation des maladies. Encore une fois, l'idée est née d'une expérience scientifique au lycée utilisant des techniques de modélisation basées sur des agents n'ayant rien à voir avec la vraie vie, la vraie science ou la vraie médecine.
La question devient donc: comment la vision extrême a-t-elle prévalu ?
Le New York Times a la réponse:
L'administration [Bush] s'est finalement ralliée aux partisans de l'éloignement social et des fermetures - bien que leur victoire n'ait pas été remarquée en dehors des cercles de santé publique. Leur politique deviendrait la base de la planification gouvernementale et serait largement utilisée dans les simulations utilisées pour se préparer aux pandémies, et de manière limitée en 2009 lors d'une épidémie de grippe appelée H1N1. Puis le coronavirus est arrivé et le plan a été mis en œuvre pour la première fois à travers le pays.
Le Times a appelé l'un des chercheurs pro-verrouillage, le Dr Howard Markel, et lui a demandé ce qu'il pensait des blocages. Sa réponse: il est content que son travail ait été utilisé pour "sauver des vies" mais a ajouté: "C'est aussi horrible". "Nous avons toujours su que cela serait appliqué dans les pires scénarios", a-t-il déclaré. "Même lorsque vous travaillez sur des concepts dystopiques, vous espérez toujours qu'il ne sera jamais utilisé."
Les idées ont des conséquences, comme on dit. Imaginez une idée pour une société totalitaire contrôlant les virus, sans société sans fin et évitant toute preuve basée sur l'expérience qu'elle atteindrait l'objectif, et vous pourriez la voir mise en œuvre un jour. Le verrouillage peut être la nouvelle orthodoxie, mais cela ne le rend pas médicalement sain ou moralement correct. Au moins maintenant, nous savons que de nombreux grands médecins et universitaires en 2006 ont fait de leur mieux pour empêcher ce cauchemar de se dérouler. Leur puissant document devrait servir de modèle pour faire face à la prochaine pandémie.
Covid-19 : Le cauchemar des mères porteuses en Ukraine
le 18 mai 2020
Comme les rivets qui éclatent sur la coque du Titanic qui coule, le stress de la pandémie de grippe « coronavirale » révèle des faiblesses inattendues dans nos sociétés. Tout à coup, nous avons réalisé que ce n’était pas une bonne idée de se procurer des masques de protection en Chine, que les hospices pour personnes âgées dont dangereux, que nous avons plus besoin de caissières de supermarchés que de gestionnaires, etc.
Mais il y a une catastrophe qui passe sous le radar – l’industrie internationale de la maternité de substitution, autrement dit des mères porteuses pour autrui.
Le point chaud de la maternité de substitution internationale est l’Ukraine. La maternité de substitution commerciale y est légale, les installations médicales sont de bonne qualité, le coût est relativement faible, et les jeunes femmes pauvres sont nombreuses. Les pays asiatiques comme l’Inde, le Népal, la Thaïlande et le Cambodge n’accueillent plus les couples d’outre-mer.
L’Ukraine reconnaît également les parents commanditaires en tant que parents biologiques et n’impose aucune limite quant au montant pouvant être payé à une mère porteuse.
On estime que 500 couples viennent chaque année en Ukraine pour prendre livraison de leur bébé. Mais la pandémie de Covid-19 a frappé. En Ukraine, comme partout ailleurs, les frontières se sont fermées, avec les nourrissons d’un côté, les parents de l’autre. Les agences de maternité de substitution ont été littéralement abandonnées à leur sort avec de nombreux bébé dans les bras.
Les résultats peuvent être vus dans cette vidéo à couper le souffle de BioTexCom, une agence de maternité de substitution à Kiev – probablement la plus grande du pays. Cette agence a certainement le marketing le plus agressif.
La vidéo montre une grande chambre dans un hôtel – pas un hôpital – à Kiev avec 46 bébés côte à côte dans des corbeilles identiques. Ils proviennent d’un large éventail de pays – États-Unis, Chili, Italie, Espagne, Grande-Bretagne, Chine, France, Allemagne, Bulgarie, Roumanie, Autriche, Mexique et Portugal.
Le bruit de 46 nouveau-nés gémissants est déchirant. La pièce ressemble à une scène d’un couvoir dans « Brave New World ». Les «baby-sitters» passent d’un bébé à un autre, changeant leurs couches, les baignant, les nourrissant, les câlinant.
Il y a une stricte quarantaine à Kiev, donc les infirmières doivent vivre à l’hôtel.
https://youtu.be/xPdRx_L96C0
La vidéo a été réalisée pour rassurer les clients désemparés de BioTexCom en montrant que leurs bébés sont en sécurité et en bonne santé. Le personnel montre les bébés à leurs parents en ligne et les informe par des appels vidéo sur leur alimentation, leur sommeil et leur santé. « Alors ne vous inquiétez pas, la santé de votre bébé est entre de bonnes mains », explique Marina, la narratrice masquée.
Ce ne sont que les bébés d’une seule agence. Comment les autres agences gèrent-elles le problème? Il pourrait y avoir des centaines d’autres bébés en gestation pour des couples étrangers entre les mains de mères porteuses de plus en plus exaspérées.
C’est un cauchemar. Qu’en est-il des bébés nés avec des problèmes médicaux ? Et les clients qui perdent tout intérêt ? Qui paie l’hébergement supplémentaire ? Qui paie le temps supplémentaire avec les mères porteuses ? La paperasse pour extraire des bébés d’Ukraine est Kafkaïenne dans le meilleur des cas. Et maintenant ? Combien de temps faudra-t-il avant que les parents commanditaires puissent aller chercher leurs enfants ?
Et surtout, les bébés? Les scènes de la vidéo rappellent ces images poignantes des orphelinats roumains après la chute du communisme. Ils n’étaient ni allaités, ni câlinés, ni embrassés, ni aimés… Les femmes souriantes et masquées dans la vidéo ne peuvent pas faire grand-chose pour 46 bébés qui hurlent, vagissent et vomissent. Comment le manque d’amour inconditionnel dans les semaines cruciales après la naissance affectera-t-il ces tout-petits ?
ASSURANCE AUTO : FAITES DES ÉCONOMIES AVEC LES COMPARATEURS
par PARTENAIRE 18/05/2020
En 2012, les Français auraient dépensé en moyenne 2270 euros en assurances.
L’assurance automobile, obligatoire pour rouler sur les routes de France selon le code de la Route, est une dépense importante pour les ménages. Alors que la situation économique n’est pas des meilleures, la France se dirige vers une récession de plus de 8% en 2020 liée à la crise du Covid-19, il est temps de réfléchir à des moyens de faire des économies.
Depuis plusieurs années, les ménages sont de plus en plus nombreux à comparer leurs assurances (auto, habitation…) avec des comparateurs en ligne pour trouver le meilleur prix.
Assurance auto : un budget de plus de 600 euros par an L’importance de l’assurance automobile dans le budget d’un ménage français n’est pas anodine : en moyenne, pour une seule voiture, un ménage paye 618 euros par an, soit un peu moins de 60 euros par mois. Pour le peu que Monsieur et Madame aient besoin chacun d’un véhicule et la facture grimpe à plus de 100 euros par mois.
Et le montant final peut encore augmenter si le ménage a un enfant en âge de conduire et qu’il a, lui aussi, besoin d’un véhicule pour se déplacer : les jeunes de 18 à 25 ans payent généralement beaucoup plus cher en tant que « jeune conducteur » et la prime annuelle moyenne grimpe en flèche : plus de 1.000 euros par an.
Des économies avec les comparateurs
Heureusement, il est possible de faire des économies de plusieurs centaines d’euros ; nous avons testés ce comparateur d'assurances qui confirme ce que de nombreux Français savent déjà car ils ont pris l’habitude de chercher le meilleur prix pour leurs abonnements en tout genre : le prix baisse fortement bien que les garanties soient les mêmes.
Certaines compagnies d’assurances proposent des prix pouvant être plusieurs centaines d’euros inférieurs à ceux de leurs concurrents, alors que le véhicule et son conducteur sont assurés de la même manière.
Un astéroïde géant s’approche de l'orbite terrestre à une vitesse de 41.842 km/h, la NASA alerte
09:57 18.05.2020
Un astéroïde mesurant entre 670 mètres et 1,5 kilomètre de diamètre devrait s’approcher de l’orbite de la Terre le 21 mai. Les corps célestes d’une telle dimension sont susceptibles de provoquer de sérieux cataclysmes de portée mondiale, avertit la NASA.
Le Center for Near-Earth Object Studies de la NASA observe un astéroïde mesurant entre 670 mètres et 1,5 kilomètre de diamètre, qui s’apprête à approcher l'orbite de la Terre le 21 mai, relate le Daily Star.
Surnommé 136796 (1997 BQ), il a été découvert en 1997 et est classé comme un astéroïde Apollo, c’est-à-dire celui qui croise l'orbite de la Terre pendant son voyage dans l'espace.
L'astéroïde devrait approcher l'orbite de la Terre le 21 mai à 21h45 EST (est nord-américain), ou à 2h45 le 22 mai GMT.
Le danger des astéroïdes
La NASA avait précédemment averti que les astéroïdes mesurant jusqu'à 1 kilomètre de diamètre pouvaient déclencher une chaîne d'événements dévastateurs et causer des dommages à échelle mondiale, tels que des tremblements de terre, des tsunamis et d'autres effets secondaires qui s'étendent bien au-delà de la zone d'impact immédiat.
Un astéroïde de 10 kilomètres de large aurait provoqué l'extinction des dinosaures lorsqu'il a frappé la péninsule du Yucatan il y a environ 65 millions d'années, selon l’agence.
Les astronomes observent actuellement près de 2.000 astéroïdes, comètes et autres objets qui menacent notre planète.
Les cas de coronavirus aux États-Unis dépassent 1,5 million de décès, soit 90 000 décès; Le Brésil dépasse le Royaume-Uni avec la troisième épidémie au monde
par Tyler Durden Lun., 18/05/2020 - 18:47 Sommaire:
Le nombre de cas aux États-Unis dépasse 1,5 mil, les décès dépassent 90 000 Le Brésil dépasse le Royaume-Uni pour devenir la troisième épidémie en importance Cali Gov dit que la plupart des entreprises pourraient rouvrir dans les prochaines semaines Un juge de l'Oregon statue contre une ordonnance de verrouillage Le gouvernement du Texas déclare que l'État est prêt à entamer la «phase 2» de sa réouverture Le gouvernement publie un plan de réouverture des entreprises, des bars et des restaurants dans certaines parties du nord du Mich. Le Royaume-Uni rapporte moins de 200 décès La Grande-Bretagne ajoute "l'anosmie" à la liste des symptômes officiels de COVID L'Italie annonce ses meilleurs chiffres depuis mars La Floride signale une légère hausse dans de nouveaux cas alors que davantage d'entreprises rouvrent Début de la conférence de presse de Cuomo La Chine impose de nouveaux droits antidumping à l'Australie alors que les guerres du commerce mondial s'intensifient Le Dr Tedros de l'OMS promet "transparence et responsabilité" alors que la réunion annuelle des membres de l'OMS commence Conn & Mass sont les 2 derniers États qui n'ont levé aucune restriction de verrouillage 108 millions de personnes bloquées au nord-est de la Chine Les plages et les parcs rouvrent aux États-Unis et en Europe La Nouvelle-Zélande rouvre ses écoles lundi L'Italie prévoit de rouvrir la plupart des restaurants et des entreprises d'ici la fin de la semaine. De nouveaux cas au Brésil et en Russie ralentissent alors que les décès s'accélèrent Aux États-Unis, tous les États sauf quatre ont "partiellement rouvert" La réunion annuelle de l'OMS commence avec le discours du président Xi L'Afrique du Sud signale le plus grand pic d'une journée dans les cas
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Mise à jour (1834ET): Quelques jours seulement après avoir dépassé l'Italie et l'Espagne, le Brésil a dépassé le Royaume-Uni en tant que troisième hotspot COVID-19 au monde, avec environ 254 000 cas signalés.
- voir graphique sur site -
L'épidémie dans la plus grande économie d'Amérique latine représente désormais environ 13% des nouveaux cas signalés dans le monde chaque jour, ce qui en fait l'épidémie la plus rapide au monde, dépassant même la Russie.
Pendant ce temps, aux États-Unis, le nombre de cas signalés a dépassé 1,5 million - avec 1 504 386 selon JHU à 18 h 30 HE - alors que le nombre de morts a dépassé 90 000, avec 90 194 décès signalés.
Et en Californie, le gouverneur Gavin Newsom a déclaré que l'État pourrait rouvrir encore plus d'entreprises au cours des prochaines semaines lors de sa conférence de presse quotidienne. Voici plus sur cette courtoisie du Guardian.
Les coupes de cheveux, les achats au détail en personne, les événements sportifs et les services religieux pourraient redevenir une réalité dans certains comtés de Californie dans les prochaines semaines, a déclaré lundi le gouverneur Gavin Newsom.
Newsom a fourni une perspective optimiste pour l'État dans son exposé quotidien, où il a modifié les critères que chacun des 58 comtés de Californie doit satisfaire pour rouvrir et rejoindre l'État dans la phase deux de confinement des coronavirus.
"Nous attendons avec impatience au cours des prochaines semaines un certain nombre de jalons importants", a-t-il déclaré. "Nous prévoyons que si nous maintenons le taux de transmission, nous maintenons le taux de positivité vers le bas et continuons à rendre justice au nombre d'hospitalisations, que nous ferons des annonces dans tout l'État."
Newsom avait déjà autorisé la variance locale à la phase deux de l'ordre de séjour à la maison - la Californie, en tant que grand État aux besoins divers, avait été frappée de manière inégale par le virus, certains comtés ruraux connaissant de faibles taux d'infection et d'autres comme Los Le comté d'Angeles connaît plus de la moitié des décès dans tout l'État. Alors que dans tout l'État, tous les détaillants étaient autorisés à rouvrir pour la collecte en bordure de rue, les comtés pouvaient également demander des restrictions plus souples, telles que le feu vert pour la réouverture de certains bureaux, écoles et restaurants. Ces comtés devaient répondre à des critères tels qu’aucun décès en 14 jours. Maintenant, selon les critères modifiés annoncés lundi, dans lesquels les comtés doivent afficher un taux de 8% de tests positifs sur sept jours et un taux d'hospitalisation inférieur à 5%, Newsom estime que 53 des 58 comtés de l'État pourraient entrer plus profondément dans la phase deux si leur les responsables de la santé publique le souhaitaient.
Cependant, Newsom a laissé suffisamment de marge de manœuvre pour le "Dr." du comté de LA Barbara Ferrer insiste pour que le plus grand comté du pays soit également le dernier en Californie à rouvrir.
Il a répété à nouveau que la décision appartenait à chaque comté. «Ce n'est pas parce que nous créons la capacité et la disponibilité pour passer à la phase deux que chaque comté est prêt», a-t-il déclaré. "Le comté de LA, par exemple, j'imagine, sera prudent à cet égard." En Californie, il y a eu un total de 78 839 cas positifs et 3 261 décès
Newsom a commencé à adoucir son insistance sur le fait que l'État ne commencerait pas à rouvrir `` de sitôt '' il y a quelques semaines, et depuis lors, l'État - qui s'en sort beaucoup mieux que New York - a commencé à assouplir les restrictions, comme nous l'avons noté ci-dessous. .
En revenant au Brésil, bien sûr, beaucoup soupçonnent que l'épidémie du Brésil est beaucoup plus importante - peut-être même la plus grande épidémie au monde - en raison de la réticence du président Jair Bolsonaro à le prendre au sérieux.
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Mise à jour (1730ET): Dans la dernière indication que la légalité des ordonnances de verrouillage de l'État pourrait un jour être examinée par la Cour suprême, un juge de l'Oregon rural lundi après-midi a statué contre Dem
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Mise à jour (1730ET): Dans la dernière indication que la légalité des ordonnances de verrouillage de l'État pourrait un jour être examinée par la Cour suprême, un juge de l'Oregon rural lundi après-midi a statué contre les restrictions imposées par le gouverneur démocrate Kate Brown aux personnes et aux entreprises.
Un juge de l'Oregon rural a levé lundi les restrictions sur les coronavirus à l'échelle de l'État imposées par le gouverneur démocrate Kate Brown, affirmant qu'elle n'avait pas demandé l'approbation de l'Assemblée législative pour prolonger les ordonnances de séjour à domicile au-delà d'une limite de 28 jours.
Le juge du circuit du comté de Baker, Matthew Shirtcliff, a rendu son avis en réponse à une action en justice déposée plus tôt ce mois-ci par 10 églises de l'Oregon qui affirmaient que les directives de l'État en matière de distanciation sociale étaient inconstitutionnelles.
Brown a déclaré qu'elle demanderait immédiatement un examen d'urgence par la Cour suprême de l'Oregon. Ses avocats ont demandé au juge de suspendre sa décision jusqu'à ce que la Haute Cour puisse réexaminer l'affaire, mais il a refusé.
Dans un communiqué, Brown a déclaré: «La science derrière ces décrets n'a pas changé du tout. La distance physique continue, le fait de rester à la maison autant que possible et le port de couvre-visages sauveront des vies à travers l'Oregon. "
Notamment, le juge a expliqué dans un avis de 7 pages qu'il avait basé sa décision sur l'idée que les fermetures imposées par le gouvernement étaient plus dommageables que le virus.
Le procès a été déposé il y a quelques semaines par un groupe d'églises de l'État. Comme le note l'AP, plusieurs poursuites similaires sont en cours dans d'autres États.
Dans une opinion de sept pages, Shirtcliff a écrit que les dommages causés aux Oregonians et à leurs moyens de subsistance étaient plus importants que les dangers présentés par le coronavirus. Il a également noté que d'autres entreprises jugées essentielles, telles que les épiceries, avaient été autorisées à rester ouvertes même avec un grand nombre de personnes présentes et avaient compté sur les masques, la distanciation sociale et d'autres mesures pour protéger le public.
"Les ordonnances du gouverneur ne sont pas nécessaires pour la sécurité publique lorsque les plaignants peuvent continuer à utiliser la distance sociale et les protocoles de sécurité lors de rassemblements plus importants impliquant le culte spirituel", a-t-il écrit.
Des actions similaires se sont produites dans d'autres États.
Mercredi dernier, la Cour suprême du Wisconsin a annulé l’ordonnance de maintien à domicile du coronavirus du gouverneur Tony Evers, jugeant que son administration avait outrepassé son autorité en la prolongeant d’un mois sans consulter les législateurs.
Et un juge fédéral en Caroline du Nord a pris parti samedi pour les dirigeants chrétiens conservateurs et a bloqué l'application des restrictions que le gouverneur Roy Cooper a ordonnées concernant les services religieux intérieurs pendant la pandémie de coronavirus.
L’ordonnance du juge James C. Dever III est intervenue quelques jours après que deux églises baptistes, un ministre et un groupe néo-chrétien ont déposé une plainte fédérale visant à bloquer immédiatement l’application des règles couvrant les services religieux dans les décrets du gouverneur démocrate.
En Louisiane, un juge fédéral a refusé vendredi la demande d’un ministre de suspendre temporairement l’ordonnance de séjour à la maison du gouverneur John Bel Edwards, qui a expiré le même jour.
Brown prévoit de faire appel de la décision, ce qui signifie qu'une décision de la Cour suprême de l'État peut être attendue dans les prochains jours.
Mise à jour (1535ET): Comme plusieurs grands journaux du Texas l'ont rapporté plus tôt lundi, le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a annoncé la dernière vague de réouvertures alors que l'État entrait dans la "phase 2" de sa relance économique. Voici un résumé des nouvelles réouvertures, en vigueur lundi, gracieuseté de l'Austin American-Statesman.
La dernière vague de réouvertures limitées, en vigueur lundi, concernait les gymnases, les bureaux et les usines.
Les gymnases et les installations et classes d'exercice peuvent fonctionner jusqu'à 25% de leur capacité. Les vestiaires et les douches doivent rester fermés, mais les toilettes peuvent s'ouvrir.
Les immeubles de bureaux peuvent reprendre des opérations limitées à une capacité de 25%, tant qu'ils respectent les exigences de distanciation sociale.
De même, les installations de fabrication non essentielles peuvent désormais reprendre leurs activités jusqu'à 25% de leur capacité tout en respectant les directives sanitaires.
Abbott a laissé son ordre de séjour à la maison expirer à la fin du mois d'avril et a rouvert des restaurants, des églises, des centres commerciaux, des magasins de détail et quelques autres entreprises de capacité limitée.
Ce n'est que la dernière annonce liée à la réouverture d'un jour qui a vu sa juste part, y compris l'annonce de Michigan Gov Whitmer, que nous avons couverte ci-dessous.
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Mise à jour (1430ET): Après des semaines de manifestations mettant en vedette des manifestants armés exigeant que le gouverneur Gretchen Whitmer lève son ordre de «rester à la maison», ce qui a soumis les entreprises opérant illégalement à de graves sanctions. Et au milieu d'une pile croissante de données montrant que - contrairement à des critiques comme le NYT, Robert Reich et le reste du complexe MSM / Parti démocrate - la plupart des réouvertures en Géorgie et ailleurs n'ont pas déclenché la flambée des nouveaux cas et des décès qui beaucoup avaient craint.
Le gouverneur a annoncé lundi que les commerces de détail dans les parties nord du Michigan, y compris les bars et restaurants, pourraient rouvrir vendredi alors que le nombre de cas et de décès liés aux coronavirus continue de diminuer rapidement à travers l'État. Le gouverneur a signé un décret définissant son plan, qui prévoit d'élargir la "protection des travailleurs" au fur et à mesure de la réouverture.
Surtout pour les propriétaires, la réouverture intervient juste avant le week-end du Memorial Day. Les bars et les restaurants seront autorisés à fonctionner tant qu'ils resteront inférieurs à 50% de la capacité, et les bureaux où le travail est effectué qui ne peut être effectué à distance peuvent également rouvrir, sous réserve des règles de distanciation sociale, a déclaré le gouverneur.
L'hébergement continuera d'être fermé pour l'instant. Les gens seront également tenus de porter des masques et de tout mettre en œuvre pour se tenir à six pieds des autres. Mais cela représente toujours une avancée significative.
"Nous constatons qu'il est prudent de franchir cette étape en ce moment", a déclaré Whitmer lors du briefing.
"Dans certaines régions de l'Etat, ils n'ont tout simplement pas été aussi durement touchés", a-t-elle ajouté. Mais elle a averti que les gens doivent toujours garder leurs distances et que les autorités locales peuvent appliquer des règles plus strictes - comme exiger des places à l'extérieur
dans les bars et restaurants - s'ils le jugent nécessaire.
La garde d'enfants sera autorisée afin d'aider les parents à retourner au travail.
On ne sait pas encore quand d'autres parties plus densément peuplées de l'État - en particulier la région de Detroit et ses environs où les usines automobiles ont redémarré - verront les conditions de réouverture élargies.
Pour ce que ça vaut, le gouverneur a divisé l'État en 8 "zones" pour permettre des décisions plus étroitement adaptées, selon Detroit Free Press.
- voir carte sur site -
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Mise à jour (1230ET): le Royaume-Uni a communiqué ses derniers chiffres ...
Notamment, les décès ont diminué pour un deuxième jour, avec un total quotidien inférieur à 200.
De plus, le ministère de la Santé et des Affaires sociales a officiellement ajouté «Anosmie» - la perte ou la modification de l'odorat d'une personne - à sa liste officielle de symptômes COVID. Il a ajouté dans une déclaration qu '"il peut également affecter votre sens du goût car les deux sont étroitement liés".
Les médecins hygiénistes en chef des quatre nations du Royaume-Uni ont approuvé cette expansion des symptômes reconnus, affirmant qu'ils "ont suivi de près les données et les preuves émergentes sur Covid-19 et, après un examen approfondi ... sont maintenant suffisamment confiants pour le recommander. nouvelle mesure ", selon CNN.
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Mise à jour (1220ET): Le service de la protection civile italien vient de publier les derniers chiffres alors que davantage d'entreprises rouvrent et que la vie revient à un semblant de normal en Italie, bien que la société italienne commence à peine à guérir d'une épidémie dévastatrice. Le pays n'a enregistré que 451 nouveaux cas de coronavirus et 99 nouveaux décès - de nouveaux creux pour les deux depuis les premiers jours de l'épidémie.
Les hospitalisations et le nombre de patients en soins intensifs ont continué de baisser, tandis que le nombre de patients qui ont guéri a de nouveau dépassé le nombre de nouveaux diagnostics. Les nouveaux chiffres ont porté le total à 225 886 cas et 32 ??007 décès. Les données (rapportées avec un décalage de 24 heures) marquent la première fois depuis le 9 mars que l'Italie a signalé moins de 100 décès.
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Mise à jour (1120ET): Gov Cuomo donnera son point de presse quotidien à 1130ET. Regardez en direct ci-dessous.
En outre, la Floride a signalé un autre ralentissement du nombre de nouveaux cas, le département de la Santé de l'État ayant confirmé 854 cas supplémentaires de COVID-19 dans tout l'État lundi matin, alors que davantage d'entreprises agréées à travers l'État rouvraient pour la première fois depuis que Gov DeSantis a autorisé le verrouillage, rapporte le Miami Herald.
L'État compte désormais au total 46 442 cas confirmés. Il y a également eu 24 nouveaux décès annoncés, ce qui porte le nombre de morts à l'échelle de l'État à près de 2 000. Le bilan est de 1 997.
Mise à jour (0945ET): Comme nous l'avons signalé précédemment, presque tous les États américains ont au moins partiellement levé les mesures de verrouillage imposées il y a près de 2 mois. Une carte que nous avons notée ci-dessous montre que seulement quatre États ont été classés comme "pré-levée" (puisque le NJ et NY viennent de lever les restrictions dans certaines régions, tandis que d'autres seront probablement parmi les dernières régions du pays à rouvrir).
Maintenant, CNN rapporte que seuls deux États ont jusqu'à présent refusé de lever toute restriction: les États de la Nouvelle-Angleterre du Connecticut et du Massachusetts. Alors que les deux États sont généralement penchés sur le bleu, le Massachusetts est actuellement dirigé par un gouverneur républicain, tandis que le gouverneur démocrate du Connecticut, Ned Lamont, a promis de commencer à lever les restrictions cette semaine.
Mais ce qui est encore plus notable: dans un article publié sur son site Web lundi, même CNN a été forcé de reconnaître que la plupart des États américains n'ont pas vu le pic dans les cas où les `` chèques bleus '' libéraux sur Twitter criaient depuis des semaines. Les trois États qui ont connu les améliorations les plus importantes sont le New Jersey, le Missouri et l'Idaho, tandis que les États qui ont connu les "plus fortes augmentations" n'ont vu les taux d'infection augmenter que de 1 ou 2 personnes pour 100 000.
Pourtant, CNN fait l'hypothèse de l'angle `` rester à la maison, sauver des vies '' partout où cela est possible, même s'il reconnaît que les cas en Géorgie ont été généralement stables alors que l'État a rouvert, malgré une accélération des tests.
Et dans l'État de New York, Andrew Cuomo reproche désormais aux résidents d'être "trop ??paresseux" pour se faire tester. Il y a un peu plus d'un mois, il exhortait les résidents à ne pas avoir besoin d'être testés à moins d'avoir des symptômes qui s'aggravent rapidement (malgré le fait que les chercheurs soupçonnent que jusqu'à 47% des patients ont peu ou pas de symptômes).
C'est presque comme si les plaintes des démocrates concernant les fournitures de test sévèrement limitées étaient un stratagème politique pour frapper le président qui a semé la confusion, car la plupart des membres du public ont probablement encore l'impression que les tests sont rares et devraient être réservés à ceux qui sont visiblement malade.
Pendant ce temps, plus tôt ce matin, le Dr Tedros de l'OMS s'est engagé à assurer "la transparence et la responsabilité" sur la gestion de la pandémie par son organisation, et a insisté pour que le monde investisse dans l'OMS pour "renforcer" l'organisation, car c'est la seule ONG qui fait ce que fait l'OMS, jouant un rôle essentiel dans le système de santé mondial. Entre-temps, hier soir, Axios a rapporté que Trump se penchait vers la mise en œuvre de la totalité des réductions annoncées précédemment des dépenses américaines à l'OMS, après avoir déclaré samedi que les États-Unis pourraient rétablir un certain financement.
Dans son dernier acte d'agression envers des alliés américains provocants, insistant sur une enquête sur les premiers jours de l'épidémie, la Chine a annoncé un nouveau taux de droit antidumping de 73,6% et un taux de droit antisubvention de 6,9% sur l'orge importée d'Australie, après "Une enquête a révélé que l'orge australienne avait nui à l'industrie locale", selon le ministère chinois du Commerce. Ce n'est que le dernier signe de l'augmentation des tensions commerciales liées au thème du «découplage chinois». L'Australie et l'UE se joignent aux États-Unis pour faire pression pour une enquête sur les premiers jours de la pandémie en Chine, ce que le président Xi a déclaré qu'il soutiendrait un "examen complet" une fois la pandémie "maîtrisée". Peu le croient cependant, car la Chine est devenue plus secrète et peu coopérative quant au partage d'informations liées aux premiers jours de l'épidémie.
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Avec deux semaines restantes en mai, le rythme des décès aux États-Unis a considérablement ralenti, reflétant les progrès réalisés par les États les plus touchés comme New York, Michigan, New Jersey, Californie et État de Washington, et - ce qui est important - une répudiation des prévisions alarmistes publiées par le NYT plus tôt ce mois-ci appelant à un taux de 3 000 décès par jour liés au COVID-19 américain. Hier, les États-Unis n'ont signalé que 808 décès (rappelez-vous, ces données sont rapportées avec un décalage de 24 heures) selon les données fournies par l'Université Johns Hopkins.
- voir graphique sur site -
Lundi matin, les États-Unis avaient confirmé 1 486 742 cas (avec des milliers de patients probablement non diagnostiqués) et 89 564 décès, ce qui le placerait sur la bonne voie pour dépasser 90 000 décès d'ici la fin de la journée.
- voir graphique sur site -
Pendant ce temps, alors que les épidémies en Russie et au Brésil continuent de faire rage, les deux pays ont officiellement compté des centaines de milliers de cas supplémentaires au cours des 2 dernières semaines. Les deux pays, qui comptent le plus grand nombre de cas "officiels'' au monde (n ° 2 (Russie) et n ° 4 (Brésil)), abordent le problème sous des angles différents: en Russie, le président Poutine renforce le verrouillage et la distanciation sociale tandis que le Brésil - sous le président Jair Bolsonaro, qui a qualifié le virus de "petite grippe" - continue de rouvrir son économie à la consternation de ses voisins.
Le nombre de morts a grimpé dans la nation sud-américaine à 16.118 lundi matin aux États-Unis, le 6e plus haut rassemblement au monde. Il y a deux semaines, le nombre de décès était de 7 025. Dimanche, le Brésil a signalé 485 décès supplémentaires et 7 938 cas supplémentaires. C'était après que le Brésil a rapporté samedi 816 décès supplémentaires, juste derrière les États-Unis avec 1 218 et plus de 14 000 cas supplémentaires. Les chiffres ont poussé le Brésil devant l'Italie et l'Espagne dans le classement des pays les plus touchés. Le décompte "officiel" du Brésil était de 241 080, mais avec des taux de tests loin derrière l'Europe, beaucoup soupçonnent que le nombre exact est beaucoup plus élevé.
Alors que la plupart des États-Unis et de l'Europe ont continué de rouvrir, la capitale du Chili, Santiago, a été verrouillée dimanche à la suite d'une résurgence de nouveaux cas et de décès liés au virus.
La Russie a déclaré lundi avoir enregistré 9 000 nouveaux cas de coronavirus au cours des dernières 24 heures, le niveau le plus bas depuis début mai (le pays signalait plus de 10 000 cas par jour). Les autorités sanitaires ont signalé 8 926 nouvelles infections au cours des dernières 24 heures, portant le total du pays à 290 678, le deuxième plus élevé au monde après les États-Unis. Il s'agit du plus faible nombre de nouveaux cas de virus depuis le 1er mai, lorsque la Russie a annoncé 7 933 cas, selon le Japanese Times.
Un peu plus au sud de la Nouvelle-Zélande, des centaines de milliers d'enfants se préparaient à retourner à l'école lundi après une pause de 2 mois à domicile.
Des centaines de milliers d'enfants néo-zélandais sont retournés à l'école lundi après deux mois d'enseignement à domicile dans le cadre d'un verrouillage COVID-19, selon l'AFP. Avec une population de 5 millions d'habitants, la Nouvelle-Zélande n'a enregistré que 1 149 cas de virus et 21 décès, attribués à une interdiction stricte adoptée en mars. La plupart des mesures de verrouillage de la NZ ont pris fin jeudi.
De retour aux États-Unis, alors que davantage d'États entament le processus de réouverture, Apple prévoit de rouvrir plus de 25 de ses magasins de marque aux États-Unis, selon un rapport de Reuters. La société a annoncé dimanche que d'ici la fin de la semaine, 1/5 de ses magasins de détail dans le monde auront rouvert.
- voir carte USA sur site -
Hier, nous avons signalé que des dizaines de millions de Chinois dans le nord-est du pays avaient de nouveau été placés en détention à la suite d'une nouvelle épidémie près de la frontière avec la Russie. Apparemment, ce nombre était loin d'être atteint: en ce moment, quelque 100 millions de Chinois sont de retour sous verrouillage.
Quelque 108 millions de personnes dans la région nord-est de Jilin en Chine sont de retour dans des conditions de verrouillage, rapporte BBG, "dans un renversement brutal de la réouverture qui a lieu à travers le pays, les villes de la province de Jilin ont coupé des trains et des bus, fermé des écoles et mis en quarantaine des dizaines de milliers de personnes. " Les mesures strictes ont consterné de nombreux habitants qui pensaient que le pire de l’épidémie nationale était révolu.
Les gens «se sentent de plus en plus prudents», a expliqué Fan Pai, un travailleur de Jilin. «Les enfants qui jouent dehors portent à nouveau des masques» et les agents de santé se promènent avec des vêtements de protection, a-t-elle déclaré. "C'est frustrant parce que vous ne savez pas quand cela se terminera."
Pendant ce temps, selon un autre rapport de Reuters, le beau temps d'été à travers l'hémisphère nord attire des millions de personnes dans des «points chauds» de virus de New York aux côtes méditerranéennes d'Italie et d'Espagne pour visiter les parcs publics et les plages, ce qui en fait les principaux centres de loisirs à l'ère COVID.
La plupart des villes ont adopté de nouvelles précautions pour empêcher la propagation du virus. De nombreuses personnes choisissent de garder leurs distances et de porter des masques. Les Grecs ont afflué vers les plages samedi alors que plus de 500 plages ont rouvert, coïncidant avec des températures de 34 degrés Celsius (93,2 degrés Fahrenheit).
Alors que le nombre de nouveaux cas s'accélère rapidement à travers l'Afrique, attisant les craintes concernant de nouveaux "points chauds'', l'Afrique du Sud a signalé dimanche son plus fort bond en un jour des cas de coronavirus signalés, avec une augmentation de 1160 infections, selon le département national du pays. Santé. Cela porte le nombre total de cas à 15 515, la province du Cap occidental représentant environ 60% de ce total.
Dans le Domino Park de Brooklyn, des cercles blancs ont été peints sur la pelouse pour aider les baigneurs et les pique-niqueurs à garder une distance de sécurité. Environ la moitié des personnes dans le parc semblaient porter une sorte de couvre-visage alors qu'elles se rassemblaient en petits groupes par un samedi après-midi chaud, tandis que les flics masqués surveillaient.
En Italie, de nombreux restaurants, bars et cafés ont rouvert depuis que l'Italie a vu les décès quotidiens tomber à des niveaux jamais vus depuis les premiers jours de la pandémie.
Après avoir publié des données sur les prix des biens de consommation faisant allusion à une vague de déflation déstabilisatrice qui a conduit la Chine, la presse continentale a recherché de loin des experts "étrangers" pour rassurer le peuple chinois que l'économie chinoise atteindra ses repères de croissance pré-COVID, tout comme le président Xi l'a dit.
Comme nous l'avons signalé hier soir, l'OMS tient une réunion annuelle de deux jours à partir de lundi. Le président chinois Xi Jinping a prononcé le discours d'ouverture lundi pendant que les membres se disputent pour autoriser une enquête sur les premiers jours de l'épidémie à Wuhan, ainsi que pour faire de Taiwan un membre à part entière de l'organisation face à la résistance rapide de la CCP.
Comment les Centers for Disease Control pourraient prolonger le verrouillage de 3 ans de plus en classant de manière erronée les décès par tuberculose induits par le verrouillage pour les décès provoqués par le coronavirus Covid-19 ?
Par Bill Sardi 19 mai 2020
Et si le verrouillage allait causer plusieurs millions de décès de plus d'une autre maladie pulmonaire infectieuse ? Et puis les décès dus à cette autre maladie pulmonaire vont être classés à tort comme des décès dus à COVID-19 pour prolonger le verrouillage ?
On estime que 1,4 million de décès supplémentaires sont prévus dans le monde à cause d'une autre maladie infectieuse causée par le verrouillage et la mise en quarantaine du fiasco du coronavirus COVID-19. Oui, c'est l'estimation alarmante de la mortalité accrue publiée par STOP TB PARTNERSHIP.
En bout de ligne, le verrouillage et la quarantaine vont causer beaucoup plus de décès d'une autre maladie pulmonaire infectieuse que COVID-19.
Le verrouillage mondial de COVID-19 perturbe l'accès aux soins pour 1,8 milliard de personnes atteintes de tuberculose sur la planète. Quelque 10 millions de personnes atteintes de tuberculose dans le monde tombent malades et se convertissent à la forme infectieuse active de tuberculose chaque année, et 1,5 million meurent, un nombre qui dépasse de loin celui des infections et des décès dus aux coronavirus COVID-19. Mais inexplicablement, pas de verrouillage et de quarantaine demandés par les autorités sanitaires pour une épidémie de tuberculose plus mortelle.
Il y a environ 14 millions d'Américains, la majorité qui sont nés à l'étranger, qui ont la tuberculose et 9 000 autres cas détectés chaque année. De façon inattendue, en 2019, les cas de tuberculose aux États-Unis étaient les plus bas jamais signalés. Environ 80% des cas de tuberculose aux États-Unis sont des réactivations d'une tuberculose latente (dormante) antérieure. Cela signifie que les États-Unis ont une énorme population de patients tuberculeux dormants qui pourraient éclater en TB infectieuse active à tout moment, en particulier après un hiver très froid lorsque les niveaux de vitamine D au soleil sont faibles. La tuberculose a la même apparition saisonnière que les virus du rhume et de la grippe et sa prévalence est élevée parmi les mêmes groupes à haut risque - - Noirs / Afro-Américains, patients des maisons de soins infirmiers.
Maintenant, incapable de se rendre chez les médecins et les antibiotiques nécessaires, et leur système immunitaire s'effondre en raison du manque de vitamine D, et peut-être de vivre dans des quartiers plus proches avec des membres de la famille qui ont une tuberculose latente (dormante), 1 367 300 millions de décès supplémentaires sont attendus au cours des 5 prochaines années.
Pour chaque mois de fermeture, on estime qu'il y aura 608 000 nouveaux cas de tuberculose et 126 100 décès supplémentaires.
La mauvaise direction au milieu de cette épidémie de coronavirus COVID-19 vivant est que 100 vaccins sont en cours de développement pour une maladie infectieuse qui n'a que 120 jours alors que la tuberculose existe depuis des milliers d'années sans vaccin.
Lucica Ditiu, directrice du partenariat STOP TB, dit qu'elle est dégoûtée par la recherche qui prédit maintenant que des millions de personnes supplémentaires devraient désormais contracter la maladie (TB) en raison des restrictions COVID-19.
Des progrès ont été réalisés dans l'éradication de la tuberculose ces dernières années, mais maintenant, ces chiffres d'infection et de décès sont revenus à 2013. Selon un rapport récemment publié, 6,3 millions de cas supplémentaires de tuberculose devraient survenir en raison du verrouillage et de la mise en quarantaine prématurés du COVID-19 au cours des cinq prochaines années. Ces cas de tuberculose en excès devraient entraîner environ 1,4 million de décès par tuberculose supplémentaires au cours des 5 prochaines années! (Cela s'ajoute aux 1,3 million de personnes qui meurent généralement de tuberculose chaque année.)
L'étude prédictive était basée sur un verrouillage de 3 mois et 10 mois pour restaurer les services de soins antituberculeux. La Californie vient de prolonger son verrouillage de 3 mois supplémentaires au-delà du verrouillage initial de 3 mois. Ainsi, le nombre de cas de tuberculose et de décès dépassera ces projections.
Actuellement, les patients tuberculeux, qui doivent se présenter à une clinique antituberculeuse pour surveiller leur régime antibiotique requis, sont en détention.
L'Organisation mondiale de la santé affirme maintenant que le coronavirus «va être avec nous pendant longtemps». Ils chuchotent à propos d'un blocage de 3 ans.
Nulle part ne peut-on trouver le nombre actuel de décès par tuberculose, probablement parce qu'ils sont classés à tort comme des décès dus au coronavirus COVID-19. Il convient également de noter que les trois points chauds géographiquement responsables des décès liés au COVID-19 dans le monde, Wuhan, Chine; Modène, en Italie et à New York, luttaient contre les épidémies de tuberculose avant que l'épidémie de COVID-19 n'attire l'attention, car il s'agirait d'une nouvelle mutation du coronavirus qui a laissé la population mondiale entière sans anticorps protecteurs.
La tuberculose affecte généralement les jeunes adultes âgés de 18 à 44 ans, tandis que les décès dus au COVID-19 sont concentrés chez les très âgés, en particulier les adultes de plus de 80 ans. virus, vaccins à base d'ADN, protéines recombinantes, particules de type viral) depuis 8 ans maintenant, mais aucun n'a obtenu l'approbation finale.
Les microbiologistes disent que la principale différence clinique entre le coronavirus COVID-19 et la tuberculose est que la tuberculose a un début lent (souvent de nombreuses années) tandis que COVID-19 éclate dans les quelques jours suivant l'infection. Mais franchement, la plupart des cas de COVID-19 sont asymptomatiques et les personnes infectées ignorent que l'infection va et vient. Ce n'est que maintenant que les enquêteurs prennent conscience que la co-infection pourrait entraîner la disparition de nombreux cas de tuberculose. Ou peut-être que de nombreux cas de COVID-19 sont uniquement de la tuberculose.
N'oublions pas que la grippe espagnole de 1918 qui aurait tué 50 millions de personnes a été plus récemment découverte comme étant causée par la tuberculose par des démographes de l'Université de Californie qui prétendent que la co-infection TB + grippe (H1N1) a probablement favorisé la progression et la gravité de la pandémie. Ainsi, deux pandémies, virale et tuberculeuse, peuvent maintenant entrer en collision.
On parle peu de la difficulté de distinguer le coronavirus COVID-10 de la tuberculose.
Ce ne serait pas la première fois que les mêmes virologues du CDC (Fauci, Birx et Redfield) confondent TB et virus. Ils l'ont fait avec le SIDA, explique l'enquêteur Lawrence Broxmeyer MD.
Il note que la tuberculose n'a cessé d'apparaître chez les patients atteints du SIDA comme l'infection prédominante entraînant la mort. Dès le début, note Broxmeyer, le vétérinaire Max Myron Essex, le premier scientifique à proposer le dépistage du VIH, savait que la tuberculose produit des tests faussement positifs pour le VIH dans près de 70% des cas. Cela a amené Essex et son protégé Oscar Kashala à avertir que les tests de dépistage du VIH «doivent être interprétés avec prudence lors du dépistage des personnes atteintes de tuberculose ou d'autres espèces mycobactériennes». D'autres chercheurs ont également trouvé des tests de dépistage du VIH faussement positifs chez des patients atteints de lèpre qui avaient également la tuberculose.
Thermo-Fischer, un fabricant de kits de diagnostic de 25 milliards de dollars pour le coronavirus COVID-19, inclut Mycobacterium tuberculosis dans sa liste d'agents infectieux possibles qui pourraient réagir de manière croisée dans leur test RT-PCR pour COVID-19, mais refuser de divulguer les données réelles utilisé pour déterminer cela, explique le Dr Broxmeyer.
Alors, le monde entier est-il induit en erreur en pensant que les décès sont causés par COVID-19 alors que les conséquences mortelles sont principalement générées par la tuberculose ou la TB + COVID-19? Et ces décès cachés de tuberculose seront-ils utilisés pour prolonger indéfiniment le verrouillage mondial et entraîner des tentatives futiles pour développer un vaccin?
Le verrouillage empêche les décès ?
Les experts affirment que la raison pour laquelle 2 millions de décès liés au COVID-19 n'ont pas été enregistrés aux États-Unis est due aux mesures de verrouillage. Mais même si cela est vrai, que se passe-t-il si les conséquences du verrouillage sont beaucoup plus destructrices et mortelles médicalement que le virus ?
Numéros de décès bidons
La fausse idée que des millions de personnes mourront à cause du coronavirus a déjà été révélée comme un mensonge mathématique. Le professeur financé par Bill Gates à l'Imperial College de Londres, dont le logiciel de 13 ans a prédit des millions de décès liés au COVID-19 et a été utilisé pour justifier un verrouillage mondial, a été catégoriquement rejeté par d'autres épidémiologistes. Le cerveau du coronavirus de l'Imperial College a démissionné pour son propre mépris des mesures de verrouillage. Les prédictions de décès de l'Imperial College n'ont jamais été vérifiées. Des évaluateurs indépendants qualifient ces chiffres de décès de «peu fiables». Mais le nombre de morts continue d'être rapporté à la télévision.
COVID-19 provoque plus de décès que la grippe ?
Vous pouvez lire de fausses informations selon lesquelles le coronavirus COVID-19 cause plus de décès que les souches normales de virus grippaux qui sont en circulation pendant les mois d'hiver. Mais les Centers for Disease Control induisent les Américains en erreur depuis des années: en moyenne, 36 000 Américains meurent de la grippe chaque année. Les médias complices (faux reporters achetés par de grandes entreprises) n’ont pas vérifié les faits auprès du gouvernement fédéral. Alors, comment le public peut-il faire confiance aux nombres de décès distribués par le CDC pour COVID-19 ?
L'American Lung Association publie le nombre réel de décès dus à la grippe, aussi bas que 257, 727 et 411 en un an. Le CDC combine les décès par grippe et les décès par pneumonie pour arriver à ces chiffres dans un effort pour effrayer les Américains à se faire vacciner contre la grippe. Le CDC est devenu la servante des fabricants de vaccins.
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Le nombre de décès a été stimulé par d'autres facteurs:
La confirmation en laboratoire du coronavirus COVID-19 suppose que ce virus est la cause du décès. Ce n'est peut-être rien de plus qu'un virus compagnon. Les patients peuvent mourir d'autres causes et mourir avec COVID-19 mais pas.
Le CDC estime combien de décès en excès se produisent au-delà des saisons précédentes. Pour la période du 11 mars au 2 mai 2020, 32 107 décès supplémentaires ont été signalés. Ces décès excessifs sont probablement causés par le coronavirus COVID-19. Mais le fait que le CDC ait donné une incitation financière (de 13000 $ à 39000 $) aux hôpitaux pour mettre à niveau d'autres maladies respiratoires (pneumonie, tuberculose) en COVID-19 fait soupçonner les estimations des décès excessifs des CDC.
Les hôpitaux ont également changé leur façon de traiter cette maladie pulmonaire, admettant tacitement qu'ils soumettaient les poumons à un traumatisme pulmonaire induit par un ventilateur qui a précipité la mort de nombreux patients fragiles. Le traitement, et non un virus, peut avoir causé bon nombre de ces décès dus au COVID-19.
De plus, la plupart (99% en Italie; 73% aux États-Unis) des décès liés au COVID-19 surviennent chez des personnes qui avaient des problèmes de santé préexistants qui les rendaient fragiles et vulnérables aux infections et aux décès. En Italie, 7% des décès concernaient des patients âgés de 90 ans ou plus. Par conséquent, un verrouillage de populations entières n'a pas été nécessaire. En d'autres termes, bon nombre de ces patients étaient sur leur lit de mort et étaient de toute façon quelques jours après leur mort.
Le graphique suivant révèle comment le CDC et d'autres alarmistes ont dénigré les chiffres de mortalité pour effrayer les masses dans un verrouillage et une quarantaine artificiels. Des décès liés à COVID-19 en Italie ont été largement signalés. La plupart de ces décès sont parmi les très anciens. Examinez le graphique ci-dessous. Il montre que le nombre de décès en Italie (pour 1000 personnes) est déjà sur une trajectoire ascendante raide en raison du grand nombre d'Italiens âgés de 80 ans et plus, et non en raison de COVID-19. (Macrotrends graphiques)
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Les chiffres de mortalité COVID-19 sont erronés si, pour aucune autre raison que la preuve de la causalité n'a encore à être confirmée.
En Afrique du Sud, 264 décès liés au COVID-19 ont été signalés (18 mai 2020). Mais l'année dernière, il y a eu 63 000 décès par tuberculose dans une population de 59 millions de personnes. Le taux de mortalité COVID-19 est de 0,00000366 ou 3 sur un million en Afrique du Sud. Pourtant, ils ont été contraints de s'enfermer avec le reste du monde.
Pourquoi les microbiologistes, les responsables de la santé publique et les médias ignorent-ils une épidémie toujours plus grande qui fait déjà des millions de morts ? Pourquoi l'ordre de verrouillage et de quarantaine est-il émis pour une infection à coronavirus beaucoup moins mortelle ?
L'écoute des «experts» du coronavirus a conduit à la mort et au désespoir
Par Ron Paul Institut Ron Paul 19 mai 2020
Le 21 avril, le Washington Post a violé la décision du gouverneur de Géorgie, Brian Kemp, de commencer à ouvrir son État après avoir été enfermé pendant des semaines. "La Géorgie mène la course pour devenir la destination de mort numéro 1 en Amérique", raillait le titre.
L'auteur, l'ex-libéral Dana Milbank, a en fait trouvé la possibilité que les Géorgiens mourant soient hilarants, suggérant que, "en tant que promotion, la Géorgie pourrait offrir des ventilateurs aux 100 premiers clients de l'hôtel pour s'inscrire".
Milbank, qui est de toute évidence toujours rémunéré alors que des millions de personnes sont sans emploi, voit son travail comme poussant le discours général à dire que nous devons rester dans la peur et ne jamais remettre en question ce que des «experts» comme le Dr Fauci nous disent.
Eh bien, trois semaines se sont écoulées depuis l'attaque de Milbank contre la Géorgie et son gouverneur, prédisant une mort généralisée qu'il a trouvée humoristique. Ses prédictions sont à peu près aussi inutiles que son personnage. Non seulement la Géorgie n'a pas vu "de coronavirus ... brûler à travers la Géorgie comme rien ne l'a été depuis William Tecumseh Sherman", comme Milbank a ri, mais les cas de Covid, les hospitalisations et les décès ont connu une forte baisse depuis que le gouverneur a commencé à ouvrir l'État.
Peut-être que sortir au grand air et au soleil n'aurait pas dû être interdit en premier lieu!
En fait, comme nous avons maintenant beaucoup plus de données, il devient de plus en plus clair que les États américains et les pays qui ont le plus verrouillé ont également enregistré les taux de mortalité les plus élevés. L'Italie ultra verrouillée a subi 495 décès par million de Covid tandis que la Corée du Sud, relativement non verrouillée, n'a subi que cinq décès par million. Il en va de même aux États-Unis, où des États non bloquants comme le Dakota du Sud étaient relativement épargnés par le virus, tandis que le Michigan, New York et la Californie, dirigés par les autorités, ont été les plus durement touchés.
Dans ces États les plus durement touchés, nous constatons maintenant que la plupart des décès sont survenus dans des établissements de soins pour personnes âgées - après que les gouverneurs ont ordonné aux patients atteints de Covid de quitter les hôpitaux et de retourner dans leurs établissements. Là, ils ont infecté leurs concitoyens qui étaient les plus susceptibles d'avoir les multiples comorbidités et l'âge avancé qui ont transformé le virus en une condamnation à mort. Ces gouverneurs seront-ils obligés de répondre de ce mépris insensé de la vie?
Hier, le secrétaire à la Santé et aux Services sociaux, Alex Azar, a admis l’évidence: «Nous constatons que dans les endroits qui s’ouvrent, nous ne voyons pas ce pic dans les cas. Alors pourquoi ne pas tout ouvrir ? Parce que ces petits tyrans ne supportent pas l'idée de perdre la capacité de pousser les gens.
La fermeture de l'ensemble des États-Unis pour un virus qui semble moins mortel qu'un virus de la grippe moyen - en particulier parmi les moins de 80 ans qui ne sont pas déjà malades - a entraîné un chômage de masse et une destruction économique. Plus d'Américains peuvent mourir des efforts mal faits pour combattre le virus que du virus lui-même.
Les Américains devraient faire une pause et réfléchir aux mensonges qu'ils sont vendus. Les masques ne sont qu'une forme de manipulation psychologique. De nombreux médecins et scientifiques réputés ont déclaré qu'ils étaient sans valeur et potentiellement dangereux. Les verrouillages sont destinés à conditionner les gens à obéir sans poser de questions. Une nation de gens qui font ce que les «experts» leur disent sans aucun doute est une nation mûre pour une descente dans la tyrannie totale. Ce n'est pas un avertissement vide - il est soutenu par l'histoire. Il est temps de tenir tête à tous les petits tyrans de nos villes natales à Washington DC. Il est temps de reprendre notre liberté.
Parfois, je me demande ce que les gens diront dans 100 ans à propos des événements sans précédent de 2020 - pas seulement à propos de la pandémie, mais des mesures juridiques et économiques extraordinaires imposées par les gouvernements du monde entier, prétendument dans le but de sauver des vies. Nos arrière-arrière-petits-enfants accepteront-ils placidement l’histoire officielle du gouvernement aujourd’hui - qu’un blocage de l’économie était le seul moyen «d’aplanir la courbe» et de sauver des vies ? Ou se demanderont-ils à quoi pensaient leurs ancêtres pour permettre une telle erreur colossale, alors qu'il existait déjà une connaissance abondante du genre de ravages économiques et sociaux que de telles mesures feraient ?
Des informations alarmantes ont déjà commencé à circuler sur le coût financier des fermetures liées à la pandémie. Les données d'avril de Statistique Canada indiquent une baisse de 15,7% de l'emploi depuis février. Le Bureau du budget parlementaire a prévu une baisse du PIB pouvant aller jusqu'à 25% au deuxième trimestre de cette année. Ce serait un déclin pire que jamais, y compris pendant la Grande Dépression des années 1930.
Beaucoup de gens soutiennent que les blocages étaient - et sont toujours - nécessaires, en utilisant un argument qui ressemble à ceci: vous ne pouvez pas peser les dollars perdus contre les vies humaines perdues. Ou ils disent que chaque vie est si précieuse que sa valeur ne peut pas être mesurée par rapport à l'argent. Ces personnes ne semblent pas avoir remarqué que notre société effectue régulièrement cet acte de pesée dans diverses situations.
Par exemple, dans les litiges civils, nous indemnisons les familles des personnes tuées par négligence ou malveillance de la seule manière possible: par une allocation d'argent. Les économistes utilisent depuis plusieurs décennies un concept appelé VSL («valeur de la durée de vie statistique») pour déterminer le niveau optimal de réglementation de sécurité. Essentiellement, cela implique de limiter le montant à dépenser pour la sécurité en essayant de déterminer ce qu'il en coûterait pour sauver une vie supplémentaire. Actuellement, la valeur se situe entre 6,7 millions $ US et 10 millions $ US par vie.
Personne ne se sent jamais à l'aise avec ces concepts. Tout le monde reconnaît que si c'était votre enfant ou votre conjoint dont la vie était en jeu, le montant de l'indemnisation dont vous auriez besoin pourrait être pratiquement infini. Cependant, le chaos de la pandémie ne devrait pas nous faire perdre de vue le fait que nous faisons constamment des compromis comme ceux-ci dans la vie de tous les jours, et un nouveau risque à l'horizon n'est pas une raison pour s'écarter des pratiques établies d'évaluation du risque / récompense.
Mais peu importe à quel point il peut être désagréable de peser des vies contre de l'argent, il ne devrait pas être question de la légitimité de peser des vies contre des vies. Plus précisément, nous pouvons et devons peser les vies que les verrouillages sauveraient prétendument de COVID-19 par rapport aux vies que les mêmes verrouillages prendront probablement fin prématurément.
Heureusement, le Fraser Institute («FI») nous a fourni un outil qui nous permettra de faire des estimations raisonnables et fondées sur des preuves du nombre de décès qui résulteront probablement de la catastrophe économique déclenchée par les récents édits gouvernementaux.
Depuis 1996, FI publie un rapport annuel intitulé Economic Freedom of the World. L'édition la plus récente, publiée en septembre 2019 et traitant des statistiques de l'année 2017, est disponible ici. Les chercheurs collectent chaque année des données dans 162 pays, examinant 42 éléments de politique économique dans chaque pays. Chaque élément est classé sur une échelle de zéro à dix, selon le degré de liberté que le pays accorde à ses citoyens, 10 étant le maximum de liberté pour cette question. Les 42 éléments sont ensuite moyennés en un seul score sur une échelle de 10. Le Canada, par exemple, a obtenu 8,07 sur 10 sur le score de liberté économique en 2017, ce qui l'a placé en huitième position parmi tous les pays classés.
La figure 1 montre les pays du monde classés selon leur score de liberté économique. Les 162 pays sont divisés en quatre quartiles, du plus libre (montré ici en bleu sarcelle) au moins libre (montré en rouge).
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Le rapport montre ensuite le revenu moyen par habitant par quartile, dans sa pièce 1.6. Sans surprise, le quartile qui a le plus de liberté économique a également le revenu par habitant le plus élevé, et ainsi de suite.
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Le graphique suivant (pièce 1.7 du rapport FI) montre la corrélation entre la liberté économique et l'espérance de vie. Il montre que les pays du quartile le plus libre (comme le Canada) ont une espérance de vie moyenne de 79,4 ans. Les pays du deuxième quartile le plus libre ont une espérance de vie de seulement 74,08 ans, soit 5,32 ans de moins que ceux du quartile le plus libre.
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Cela a du sens car nous savons que même à l'intérieur d'un pays, la santé est positivement corrélée à la richesse. L'agence ontarienne connue sous le nom de Qualité des services de santé Ontario a publié ce rapport analysant les facteurs qui semblent produire de meilleurs résultats pour la santé. La figure 3.1 (reproduite ici) montre l’état de santé de la population de l’Ontario, divisé en quintiles de revenu. Dans le quintile le plus riche de la population, 72,9% des personnes interrogées ont déclaré que leur santé était excellente ou très bonne. Dans le quintile le plus pauvre, seulement 49,4% ont déclaré une bonne santé similaire.
Par conséquent, si la réduction de la liberté économique entraîne une réduction des revenus, elle est également statistiquement susceptible d'entraîner une réduction de la santé, avec une réduction conséquente de l'espérance de vie.
Voici les implications FI Pièce 1.7. Si la liberté économique du Canada demeure suffisamment compromise pour la ramener à la même cote de liberté que celle qui prévalait auparavant dans le deuxième quartile le plus élevé, nous pouvons nous attendre à ce que l'espérance de vie moyenne de nos citoyens diminue en moyenne de 5,32 ans, à 74,08. En 2019, 37590 000 personnes vivaient au Canada. Si chacun perd 5,32 années de vie en raison de contraintes à la liberté économique, le nombre d’années-personnes perdues serait de 199 978 800. Cela équivaut à 2 518 625 durées de vie à l'ancien taux moyen de 79,4 ans par personne.
Est-ce que tu a reçu sa ? Le déclin de notre liberté économique pourrait entraîner un déclin de la vie humaine équivalent à la mort de 2,5 millions de personnes. C’est bien pire que tout ce qui avait été prévu pour COVID-19.
Mais vous pensez peut-être que ce n'est pas une comparaison réaliste, car personne ne meurt en raison de la réglementation économique. Ils ne vivent tout simplement pas aussi longtemps. En d'autres termes, ils meurent plus tôt.
Mais exactement la même chose pourrait être dite des victimes de COVID-19. La très grande majorité des personnes décédées du COVID-19 étaient des personnes âgées. Plus de 90% des Canadiens qui en seraient morts sont âgés de plus de 60 ans et au moins la moitié de toutes les victimes résident dans des foyers de soins de longue durée. Les statistiques sur l'espérance de vie des personnes dans les foyers de soins de longue durée du Canada semblent être un secret bien gardé, mais voici un site Web en Caroline du Sud qui dit que la durée moyenne de séjour dans une vie assistée est de 28 ou 29 mois (environ 2,4 ans). La plupart ne partent pas vivants et retournent vivre dans leurs anciennes maisons privées. Leur résidence au foyer de soins se termine presque toujours par leur décès.
Cette étude menée en Finlande indique que l'espérance de vie moyenne des personnes bénéficiant de soins de longue durée n'est que de 2,07 ans pour les hommes et de 2,70 ans pour les femmes.
Par conséquent, lorsque COVID-19 réclame la vie d'une personne dans un foyer de soins de longue durée, cela raccourcit la vie d'une personne dont l'espérance de vie était déjà extrêmement courte. N'oubliez pas que les personnes dans les foyers de soins de longue durée sont des personnes atteintes de maladies chroniques graves. Leur qualité de vie est déjà très mauvaise. S'ils meurent en mars alors qu'ils seraient autrement morts en septembre, quelqu'un considère-t-il vraiment que c'est une terrible tragédie?
Au cours des 24 années où j'ai pratiqué le droit successoral et préparé des testaments et des procurations pour des centaines de clients, j'ai régulièrement reçu des instructions de personnes selon lesquelles elles ne voulaient pas prolonger leur vie alors que tout espoir d'une existence normale et pleinement fonctionnelle avait disparu. Les gens ne voulaient pas être le vieillard ou la femme pathétique languissant de douleur ou de confusion mentale, attendant que la mort les réclame par pitié.
Le Canada aurait eu 5 679 décès dus à COVID-19 au moment où j'ai écrit ceci. (Soit dit en passant, il existe un doute sur l'exactitude de ce chiffre en raison de plusieurs rapports - en particulier des États-Unis et de l'Italie - selon lesquels les médecins sont poussés à inscrire COVID-19 comme cause de décès sur les certificats de décès des personnes lorsqu'elles sont effectivement décédées de certains autres maladies chroniques de longue durée. Voici une discussion aux États-Unis sur cette question, et une en Italie.)
Néanmoins, si nous acceptons l'exactitude du nombre de morts «officiel», et si la moitié de ces victimes se trouvaient dans des foyers de soins de longue durée et perdaient au maximum 2,70 années de vie auxquelles elles auraient pu s'attendre, la perte serait toujours (jusqu'à présent ) seulement 7 667 années-personnes. Même si l'autre moitié des victimes a perdu 50 ans de vie chacune, cela n'ajouterait que 141 975 années-personnes au total perdu - seulement une infime fraction des près de 200 millions d'années-personnes que nous pouvons nous attendre à perdre en raison des effets indésirables. résultats économiques.
Le rapport FI nous donne un autre graphique intéressant à regarder. La pièce 1.8 montre la mortalité infantile par quartile, c'est-à-dire le nombre de nourrissons qui meurent avant d'avoir atteint un an pour 1 000 naissances vivantes. Dans le quartile le plus libre où le Canada a toujours habité, le taux moyen en 2016 n'était que de 6,67 nourrissons. Dans le deuxième quartile le plus libre, la mortalité infantile a grimpé jusqu'à 15,35 pour 1 000.
En d'autres termes, si le Canada descend au niveau de liberté économique qui prévalait dans ce qui était auparavant le deuxième quartile le plus libre, il peut s'attendre à voir 8,68 bébés supplémentaires mourir au cours de leur première année pour 1000 naissances vivantes (15,35-6,67 = 8,68) .
Il y avait 382 533 enfants nés au Canada en 2019. Si 8,68 bébés supplémentaires devaient mourir pour 1 000 naissances vivantes, cela signifie que 3 320 nouveau-nés devraient mourir (382 533 x 8,68 = 3 320). Ils perdraient toute leur vie, pas seulement les 2,7 dernières années qui seraient autrement passées dans une maison de soins infirmiers. Cela représenterait une perte de 263 608 années-personnes. C'est plus de trois fois le nombre que COVID-19 devrait réclamer.
De nombreux commentateurs ont maintenant commencé à remarquer que le coût économique des fermetures avait été excessif. Ces chiffres corroborent leur opinion, exprimée en termes que personne ne devrait pouvoir contester: les vies perdues si les blocages se poursuivent dépasseront de loin les vies sauvées.
Ce qui me fait particulièrement peur, c'est que tous les efforts du gouvernement pour sauver des vies visent à empêcher les gens d'entrer en contact avec le coronavirus. On nous dit de rester loin des autres, de nous laver les mains fréquemment, de porter des gants et des masques, de ne pas toucher nos visages, etc. Il existe une autre stratégie complètement différente que les gouvernements du monde entier, y compris le Canada, ont complètement ignorée: savoir informer les gens sur la façon d'optimiser le fonctionnement de leur système immunitaire en s'assurant qu'ils disposent des nutriments essentiels à cette fin.
La plupart des personnes infectées par COVID-19 parviennent à se rétablir rapidement, sans aucun problème durable. Leur système immunitaire inné est capable de vaincre l'infection. Il existe de nombreuses recherches sur les nutriments essentiels au bon fonctionnement du système immunitaire: en particulier, les vitamines C et D, l'iode et le zinc. Les Canadiens sont bien connus pour être chroniquement déficients en vitamine D, et Santé Canada leur a dit pendant des années de rester à l'abri du soleil, renonçant ainsi à l'avantage d'obtenir de la vitamine D gratuitement.
Le gouvernement pourrait sauver beaucoup plus de vies s'il détournait une partie de son budget publicitaire de dire aux gens de se laver les mains et de leur dire plutôt de prendre des vitamines et des minéraux adéquats.
Une autre raison pour laquelle cette «pandémie» ressemble davantage à une expérience d'ingénierie sociale
Par Richard Enos Évolution collective 19 mai 2020
Pourquoi cette pandémie ressemble plus à une expérience d'ingénierie sociale, partie 1
Quand quelque chose se répète encore et encore, il a souvent la capacité de nous endormir. Mais parfois, cela a l'effet inverse. Parfois, à la suite de messages redondants, nos sens sont réveillés par un goût amer ou une odeur périmée qui nous dit que quelque chose ne va pas.
J'ai eu une telle expérience en écoutant le briefing quotidien COVID-19 de l'Ontario aujourd'hui que j'avais fait, avec optimisme, pour voir s'il y avait une avance sur le moment où les écoles ouvriraient pour mon enfant de 6 ans. (pas de chance). Cela est venu au début du segment de la ministre de la Santé Christine Elliot:
Avant de commencer, j'aimerais souligner et célébrer nos incroyables infirmières, en ce premier jour de la Semaine nationale des infirmières. Jour et nuit, nos infirmières héroïques travaillent sans relâche pour prendre soin de la population de l'Ontario. Du fond du cœur, merci. Au cours des derniers mois, le système de santé de l’Ontario a démontré une réactivité remarquable à l’éclosion de COVID-19. Cela est en grande partie attribuable à nos partenaires de première ligne, notamment nos infirmières, nos médecins, nos soins à domicile, notre personnel hospitalier et de soins de longue durée, nos préposés aux services de soutien à la personne et nos premiers intervenants, entre autres. Alors que nous affrontions COVID-19, nous avons fait des investissements historiques pour augmenter considérablement la capacité hospitalière et soutenir les héros courageux qui travaillent en première ligne de notre système de santé.
Elliot jaillissait littéralement en vantant les vertus de nos travailleurs de la santé. C'était presque comme si elle s'était convaincue que ses applaudissements étaient sincères.
Quel est le motif ?
Le motif politique apparent pour nombre de nos dirigeants de faire l'éloge des travailleurs de la santé et d'encourager le public à faire de même est assez simple. En remerciant les autres, on arrive à se prélasser dans la gloire reflétée de leurs réalisations.
Mais après une réflexion plus approfondie, on peut voir que cette stratégie est si largement utilisée dans le cas de cette pandémie car elle touche simultanément toutes les bases que notre autorité veut véhiculer lors de leurs proclamations publiques. En fait, je pense que peu de techniques de programmation sociale sont plus puissantes ou efficaces. Voyons nous-mêmes quelques-unes des bases:
Amplifier la gravité de la pandémie. Grâce à l'astucieux tour de passe-passe des louanges d'autrui, que le public qui écoute a tendance à accepter facilement avec sa garde baissée et ses filtres de discernement en pause, l'orateur est en mesure de nous convaincre pleinement du danger auquel nous sommes confrontés, en félicitant les travailleurs de la santé d'être prêts à affronter ce danger. Plus nous sommes amenés à penser qu'ils sont héroïques, plus le danger est implicite. Alors que les éloges envers nos semblables (qui ne font pas partie de l'autorité) nous font du bien dans une certaine mesure, ce qui est vraiment accru en nous, c'est que la peur de bas niveau que ce virus se cache, prête à bondir sur nous à tout faux pas. Un public qui est dans cet état de peur est beaucoup plus facile à contrôler et à manipuler.
Légitimer la médecine occidentale. Écoutez sa terminologie. «Nos partenaires en première ligne… les héros courageux qui travaillent en première ligne.» Pourquoi «Front lines»? Pourquoi les soins de santé sont-ils un «combat», toujours une sorte de «guerre» ? Parce que cela a toujours été la stratégie prééminente de la médecine occidentale - pour nous faire sentir qu'il y a eu une invasion ennemie (un virus). Pour nous faire sentir que notre corps n'a pas les mécanismes de défense nécessaires (la médecine occidentale ignore pratiquement notre système immunitaire). Pour nous faire sentir que nous sommes attaqués, que nous avons besoin de protection, et l'armée de médecins et de chercheurs issue de l'école de médecine occidentale est notre seul espoir (bien sûr, c'est pourquoi la médecine traditionnelle, qui travaille de concert avec le système immunitaire, a pour cela longtemps dénommé charlatanisme et pseudoscience).
Renforcer l'autorité gouvernementale. En faisant l'éloge des travailleurs de la santé et du système dans lequel ils opèrent, notre autorité renforce en fait sa propre louabilité sans le dire directement. Au lieu de cela, le gouvernement est perçu comme le gestionnaire bienveillant de tout le processus, «en partenariat» avec ces héros louables du système de santé. Alors, lorsque le gouvernement se vante d’avoir «fait des investissements historiques pour augmenter considérablement la capacité des hôpitaux», devrions-nous nous lever et applaudir ? Ou devrions-nous demander, si tout ce partenariat gouvernement-système médical fonctionne si bien, ne devrions-nous pas voir une réduction des lits d'hôpitaux au lieu d'une augmentation constante? Les citoyens dans leur ensemble ne devraient-ils pas être en meilleure santé, plutôt que de devenir plus malades et d'avoir davantage besoin de médicaments et de traitements, comme le prouvent toutes les preuves et les statistiques ?
Personne ne frappe nos travailleurs de la santé
Maintenant, avant que personne ne commence à dire que je frappe nos agents de santé, arrêtez. En fait, si vous êtes allé aussi loin dans l'article, je n'ai probablement pas à vous soucier de vous. Ce sont ceux qui viennent de lire les gros titres et qui se sentent alors justifiés de faire connaître leur indignation sur Facebook à l'idée de voir "une autre théorie du complot ridicule". Le fait est qu'un peu de réflexion honnête nous obligera à admettre qu'à un certain niveau, nous savons tous que notre autorité essaie de nous tirer quelque chose à chaque fois qu’ils parlent.
Pour mémoire, je crois que les soins de santé sont une profession très noble, une majorité de ceux qui travaillent au sein du système étant vraiment dévoués à la santé et au bien-être des patients avec lesquels ils entrent en contact.
Cependant, cette pandémie n'a pas transformé toutes les personnes travaillant dans les soins de santé en Florence Nightengales, comme nos dirigeants et les médias grand public voudraient nous le faire croire. Ceux qui étaient compétents et attentionnés en 2018 et 2019 sont compétents et attentionnés en 2020 pendant cette pandémie. Ceux qui étaient incompétents et apathiques envers leurs patients dans le passé sont pour la plupart probablement restés ainsi dans les circonstances auxquelles nous sommes actuellement confrontés. Comme dans toute profession, il y a de bons et de mauvais travailleurs. Quand un patient dit «merci» à une infirmière ou à un médecin pour ses services et ses soins, c'est spontané et authentique. C'est significatif. D'un autre côté, appeler le grand public à dire «merci» à tous les professionnels de la santé, dans des discours et des publicités promotionnelles partout, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, est probablement mis en scène et fondé sur un programme très différent.
Plus tôt nous verrons à travers les motifs de ces tentatives pour nous dire quoi penser et comment ressentir, plus tôt nous aurons une société fondée sur la vérité et l'authenticité.
Aujourd'hui, les Gouvernements du monde entier s'impliquent dans tout et, ce ne sont pas les merdias (télés, radios & journaux du monde entier qui appartiennent a moins de 10 personnes qui diront le contraire). Les Hommes de l'ombre veillent sur eux, mais, ils accumulent les échecs dans tout ce qu'ils entreprennent ! Pourquoi ? Parce qu'il ne sont qu'un nano-groupuscule de dictateurs psychopathes qui n'ont pas le cerveau de 7 milliards de personnes ! Et, quand on ne demande pas l'avis à 7 milliards de personnes, on a toute les chances de faire 7 milliards de mécontents.
Le feuilleton politique a atteint les proportions de Jump The Shark. La claire réalité de l'État policier et le ballet des personnages qui le soutiennent et le font avancer sont trop loin pour être critiqués, encore moins pour tenter d'avertir une population somnolente. Vous savez comment les enfants grincheux obtiennent quand ils ne «sortent pas leur sieste» ou, pire encore, quand ils ne réussissent pas. Il est plus que temps de passer du conseil pédagogique à la condamnation pure et simple. Au moins, ce dernier a un effet moralement purifiant. Hélas, la race humaine continue de décevoir.
L'avantage, cependant, est la source d'observations durables qui soutiennent le concept de l'anarchie comme lieu de repos final pour la liberté. L'autonomie gouvernementale, l'absence de lois et le fardeau de la force extérieure créée par l'homme sont aussi proches que quiconque pourra aborder la perfection. Tout ce qu'il faut, bien sûr, c'est la mise en garde de la responsabilité individuelle. N'avoir personne à blâmer est une étape géante que la plupart ne veulent pas ou ne peuvent pas faire.
Mais d'un point de vue purement politique, les D et les R ont démontré en profondeur l'incapacité de l'homme à gouverner l'homme. Appelez-le «Nature humaine», «Imperfection», «Bullshit-On-A-Stick»… les étiquettes ne sont nécessaires que pour envelopper la définition avec des noms facilement stockés. Les libertaires - en tant que parti - sont la vitrine de l'anneau central du cirque politique qui vient en ville tous les 4 ans, avec ces préliminaires à quickie «à mi-parcours» entre les deux. Le Parti libertaire est un résumé de la contradiction libertaire. Comme les D et les R, ils ont construit une «plate-forme» non durable que leur Parti ne supporte pas (sauf pour animer des talk-shows et Letters To The Editor). Je ne sais pas ce qui est plus risible: le LP a du mal à obtenir un million de votes au niveau national ou un million de dollars en dons de campagne. Ensuite, il y a l'insurmontable établissement politique, la machine bureaucratique suffocante et le défi sans réponse: «Si je vote pour vous, le démocrate gagnera.» Et cela ne résout même pas le conflit du principe de non-agression, la pierre angulaire du libertarisme, qui crée la prochaine question embarrassante: comment un libertarien occupe-t-il un poste élu qui repose sur l'initiation de la force du gouvernement? La seule réponse est: impossible (à moins qu'il ne veuille gonfler les rangs de la Dead Hypocrites Society.
Et cela laisse Anarchy comme la dernière alternative pour ceux qui recherchent une piste de gouvernance personnelle. Vous êtes votre propre président, roi, souverain pour la vie ! Votre bien-être est votre préoccupation. Votre vie est à vous de vivre, d'aimer, de dépenser, de gaspiller comme vous le souhaitez. La seule chose à faire est de ne pas engager la force contre un autre - à moins, bien sûr, que vous ne vouliez faire monter les enchères sur l'option «gaspillez votre vie» énumérée ci-dessus, car votre violation du droit d'autrui de vivre dans une liberté anarchique similaire vous coûtera probablement la vôtre. Est-ce simple et parfait ?
Coopération mutuelle si on le souhaite… le respect mutuel comme une extension logique du désir de chacun de vivre en paix et d'être laissé seul, libre de l'initiation de la force obligeant l'un à vivre comme un autre décide L'anarchie est le seul espoir pour la majorité des humains. Ou peut-être pas la «majorité». Peut-être que la majorité sera satisfaite d'être «soignée» par ceux qui ne peuvent tout simplement pas résister à dire aux autres à quel point ils seraient heureux s’ils le faisaient «à leur façon». En retour, ils leur donneront la sécurité de la servitude à une norme imposée, comme la discipline pour les enfants; la sécurité des frontières imposées au-delà desquelles on ne peut leur faire confiance pour être autonomes et encore moins se discipliner eux-mêmes. Le cycle de la nature humaine est donc complet: les maîtres ont besoin des esclaves et les esclaves sont d'accord avec ça. La liberté ne devient attrayante que lorsque l'esclavage devient laid. Tant que l'on peut échanger du travail, du temps, de la vie contre un Happy Meal, un Super Bowl et une télévision grand écran, la vie est belle ! Continuer…
La Silicon Valley invente "Le déjeuner gratuit" - L'arbitrage Doordash-Pizza
par Tyler Durden Lun, 18/05/2020 - 14h30 Écrit par Ranjan Roy via la sous-pile The Margins,
Si le capitalisme est poussé par une recherche de profit, le commerce de livraison de nourriture me dérange. Chaque plateforme perd de l'argent. Les restaurants ont l'impression de se faire défoncer. Les chauffeurs-livreurs sont des enfants d'affiches pour les problèmes d'économie de gig. Les clients sont ennuyés par les frais de livraison.
Les entreprises ne sont-elles pas censées résoudre les problèmes ?
Les nouvelles d'Uber-Grubhub de la semaine dernière ont déclenché des alarmes antitrust pour moi et m'ont fait réfléchir sur le secteur de la livraison de nourriture dans son ensemble. Mais permettez-moi de commencer cette newsletter avec une histoire sur Pizza Arbitrage.
Inefficacités du marché
En mars 2019, un bon ami qui possède quelques pizzerias m'a envoyé un message (cet ami a fait des apparitions dans les pièces précédentes de Margins). Pendant plus d'une décennie, il a résisté à l'ajout de la livraison comme option pour ses restaurants. Il a estimé que cela nuirait à la concentration sur l'expérience du dîner et entraînerait une concurrence avec Domino.
Mais il avait soudainement commencé à faire appeler des clients avec des plaintes concernant leurs livraisons.
Les clients ont appelé pour dire que leur pizza était livrée froide. Ou la mauvaise pizza a été livrée et ils voulaient une nouvelle pizza.
Encore une fois, aucun de ses restaurants n'a livré.
Il s'est rendu compte qu'une option de livraison était mystérieusement apparue sur la fiche Google de leur entreprise. L'option de livraison a été créée par Doordash.
Pour confirmer, il n'avait jamais parlé à personne de Doordash et après des années à résister au chant de la sirène des revenus de livraison, il ne voulait certainement pas être répertorié. Mais les mots "livraison de commande" étaient là, bien en vue sur l'extrait de Google.
Il m'a envoyé un message me demandant si je savais quoi que ce soit à propos de Doordash, et oh boy, ai-je été déclenché par Softbank. Je venais de lire leur série F de 400 millions de dollars et c'était parmi la classe d'entreprises WeWorkian qui, pour moi, représentait tout ce qui ne allait pas dans l'évolution des startups au cours des années 2010. Amassez une tonne d'argent, perdez une tonne d'argent et effacez simplement l'économie de base d'une industrie.
Doordash lui causait de vrais problèmes. Le plus courant était que les chauffeurs-livreurs de Doordash n'avaient pas les bons sacs pour la pizza, donc elle arriverait inévitablement froide. Cela a conduit ses employés à perdre du temps à répondre aux plaintes et même à de mauvaises critiques Yelp.
Mais il a soulevé un autre problème - les prix étaient bas. Il était frustré que les clients voient des prix incorrectement bas.
Une pizza pour laquelle il a facturé 24 $ a été classée 16 $ par Doordash.
Ma première pensée: je me suis demandé si Doordash abaissait artificiellement les prix à des fins d'acquisition de clients.
Ma deuxième pensée: je connaissais Doordash gratté les sites Web des restaurants. Après en avoir discuté davantage, il était clair que la façon dont son menu était configuré sur son site Web, Doordash avait pris par erreur le prix d'une pizza au fromage nature et l'avait appliqué à une pizza "de spécialité'' avec un tas de garnitures.
Ma troisième pensée: Cue le commerçant de Wall Street en moi… ..ARBITRAGE !!!!
Si quelqu'un pouvait payer à Doordash 16 $ la pizza et que Doordash paierait 24 $ la pizza à son restaurant, il devrait clairement commander lui-même des pizzas via Doordash, toute la journée. Vous obtiendrez un profit net de 8 $ par pizza [insérer une blague économique ringarde à propos d'un déjeuner gratuit].
Il pensait que c'était une idée stupide. "Une entreprise aussi prospère qu'un Doordash et valant des milliards de dollars ne donnerait clairement pas simplement de l'argent comme ça." Mais j'ai repoussé qu'en raison de leur récente collecte de fonds obscène, ils seraient assez étrangement heureux de perdre cet argent. Un directeur régional serait en mesure d'afficher une croissance des revenus de premier plan tandis que certains postes comptables, quelque part, ne correspondraient pas, mais l'entreprise perdait déjà des centaines de millions de dollars. J'imaginais que leurs systèmes pourraient même être construits pour décourager la capture de ces erreurs, car cela nuirait, ou à tout le moins, distrait, aux revenus de première ligne.
Nous avons donc passé la première commande de 10 pizzas.
Les nombres Il a appelé et passé une commande de 10 pizzas chez un ami et a débité 160 $ sur sa carte de crédit personnelle. Un centre d'appels de Doordash a alors appelé son restaurant et a passé la commande de ces 10 pizzas. Un chauffeur de Doordash s'est présenté avec une carte de crédit et a payé 240 $ pour les pizzas.
Ça a marché.
Commerce 1 Nous avons dépassé les coûts réels. Chaque pizza lui a coûté environ 7 $ (6,50 $ en ingrédients, 0,50 $ pour la boîte). Donc, s'il a payé 160 $ de sa poche plus 70 $ de dépenses pour déduire 240 $ de Doordash, il vient de faire 10 $ de profit d'arbitrage pur. Malgré tous ces ennuis, cela n'en valait pas vraiment la peine, mais cette première expérience a fonctionné.
Mon esprit, en tant que commerçant combiné et personne en démarrage, avait instantanément la pensée - exécutez cet arbitrage encore et encore. Vous pourriez même augmenter massivement votre chiffre d'affaires tout en réalisant un bénéfice sans risque, et peut-être même vous faire acquérir à une valorisation gonflée :) Il m'a dit de me détendre. C'est peut-être la raison pour laquelle il dirige une "entreprise réelle" pendant que je négocie des options tout en faisant du conseil en marque et en écrivant des newsletters.
Mais nous nous sommes rendu compte que si vous supprimiez les coûts alimentaires, cela pourrait devenir plus intéressant.
Commerce 2 La commande a été passée pour 10 autres pizzas. Mais cette fois, il a simplement mis la pâte sans garniture (il a indiqué que la pâte était essentiellement sans coût à cette échelle, bien que la cuisson pandémique ait pu changer les choses).
Désormais, chaque transaction rapporterait 75 $ de bénéfices sans risque ? 240 $ de Doordash moins (160 $ en frais + 5 $ en boîtes).
C'est devenu un peu plus intéressant. Si vous le faisiez plusieurs fois par nuit, vous pourriez commencer à voir des milliers de croissance du chiffre d'affaires avec des centaines de profits purs, et peut-être pourriez-vous le faire pendant des jours.
Donc en quelques semaines, presque pour me faire plaisir, nous avons fait quelques-uns de ces "métiers". J'étais vraiment curieux de savoir si Doordash allait faire son chemin, mais ils ne l'ont pas fait. J'avais des visions de construire un réseau de restauranteurs exécutant tous cette stratégie en tandem, tous buvant à la tétine Softbank avant que l'argent ne se tarisse, mais je suis retourné au travail pour faire des trucs de stratégie de contenu.
C'était un peu louche ? Peut-être, mais putain Doordash. Remarque: J'ai confirmé à mon ami qu'il était d'accord pour que j'écrive ceci, et nous avons tous les deux accepté de baiser Doordash.
Détournement de Google et faux numéros de téléphone
Tromper les entreprises sur votre plate-forme et créer des maux de tête supplémentaires pour les propriétaires de petites entreprises dans la poursuite de la croissance Softbankian est une mauvaise chose. De nombreux restaurateurs se plaignaient que leurs annonces Google étaient "détournées" par Doordash, usurpant même parfois leur propre livraison préférée.
Cependant, ces astuces sournoises ne sont pas uniques à Doordash. Au cours des dernières semaines, il y a eu un excellent travail autour d'une arnaque téléphonique sur Yelp - Grubhub. Celui-ci est tout simplement inestimable (sérieusement, lisez ce morceau Buzzfeed). Grubhub pour leurs propres sites génère un numéro de téléphone pour chaque restaurant qui se rend à un centre d'appels centralisé appartenant à Grubhub. Si quelqu'un appelle et commande via ce numéro, le restaurant est facturé. Apparemment, certaines personnes entreprenantes de BD ont eu l'idée que Yelp pourrait mettre les numéros de téléphone Grubhub à la place du vrai numéro de téléphone du restaurant sur la liste Yelp. Les clients qui pensent «aider» leurs restaurants locaux en appelant la commande continuent de créer des frais pour Grubhub.
Existentialisme de la plate-forme de livraison de nourriture
Ce qui nous amène à la question - quel est l'intérêt de tout cela ? Ces plateformes perdent toutes de l'argent. Il suffit de penser à toutes les réunions et les lignes de code et les appels téléphoniques pour faire en sorte que toutes ces choses néfastes se produisent qui continuent de saigner de l'argent. Pourquoi traverser tous ces ennuis ?
Grubhub vient de perdre 33 millions de dollars sur 360 millions de revenus au premier trimestre.
Doordash aurait perdu 450 millions de dollars sur 900 millions de dollars de revenus en 2019 (ce qui me fait me demander si mon rêve d'un réseau décentralisé d'arbitrageurs de pizza existe).
Uber Eats est la "division la plus rentable" d'Uber. Uber Eats a perdu 461 millions de dollars au quatrième trimestre 2019 sur des revenus de 734 millions de dollars. Parfois, je dois écrire ceci pour me souvenir. Uber Eats a dépensé 1,2 milliard de dollars pour gagner 734 millions de dollars. En un trimestre .
Amazon vient de renflouer la livraison d'un restaurant aux États-Unis
En quoi consiste la plate-forme de livraison de nourriture? Les restaurants sont blessés. Le travail primaire est mal traité. Et les entreprises elles-mêmes sont terribles.
Cette pièce Business Insider a fait un bon travail couvrant la dynamique problématique de l'industrie:
Alors que ce conflit touche à sa fin, une chose devient claire: il n'y a pas de vainqueur dans ce combat.
Les restaurateurs perdent de l'argent. Les convives voient leurs coûts augmenter, soit par les sociétés de livraison qui doivent payer les chauffeurs-livreurs, soit par les restaurateurs qui augmentent les prix pour compenser les frais de livraison. Et les chauffeurs-livreurs continuent de faire des salaires bas et imprévisibles souvent sans avantages sociaux.
Comment en sommes-nous arrivés à un endroit où des milliards de dollars sont échangés dans des millions de transactions commerciales mais où il n'y a pas de gagnants? Mon coanimateur Can et mon ami au restaurant ont tous deux manqué à la notion «la livraison est une affaire de marge de merde» lors de la discussion de ce post. Mais je ne pense pas que ce soit suffisant ici. La livraison peut fonctionner. Regardez simplement le graphique boursier de Domino. Mais la livraison a été soigneusement conçue dans le cadre d'un modèle commercial et d'une infrastructure holistiques. C'est peut-être le modèle viable.
Après le début de cette pandémie, mon ami a en fait lancé la livraison à domicile dans l'un de ses restaurants. Il a dit qu'il commençait à avoir une idée de l'économie et a expliqué qu'il commençait à avoir une idée du volume requis par emplacement pour que l'économie fonctionne raisonnablement. C'est ce qui m'est si étrange avec les plateformes de livraison tierces. L'entreprise de livraison de nourriture n'est clairement pas intrinsèquement perdante. Domino l'a compris. Chaque restaurant chinois de New York semblait l'avoir compris bien avant l'arrivée d'une plate-forme. Mon ami le comprend.
C’est la façon dont les industries ont évolué au cours de la dernière décennie. Je sais que j'attribue ZIRP comme la cause de tous les maux dans le monde, mais cela ressemble parfois à la plus grande histoire ZIRP jamais racontée.
Vous avez des pools de capitaux incroyablement importants créant un modèle commercial incroyablement inefficace et perdant de l'argent. Il sert à subventionner une attente client insoutenable. Vous tirez parti d'une main-d'œuvre cassée pour minimiser vos dépenses de main-d'œuvre réelles. Les sociétés déchargent leurs canons de capitaux sur l'acquisition de clients, alors que les nouvelles d'Uber-Grubhub de cette semaine nous rappellent que la seule fin de jeu viable est une promesse de concentration de monopole et d'augmentation des prix. Mais est-ce même viable ?
Les plates-formes de livraison tierces, telles qu'elles ont été construites, semblent être le mauvais modèle, mais au lieu de tester, d'échouer et d'évoluer, elles ont été subventionnées pour dominer le marché. Peut-être que le bon modèle est une chaîne d'approvisionnement en propriété exclusive comme Domino. C'est peut-être un hybride de cuisine / plate-forme fantôme. Peut-être que ce ne sont que de petits réseaux de restaurants avec des logiciels prêts à l'emploi. Quoi qu'il en soit, nous avons tardé à le découvrir grâce à cette concurrence étrangement financée qui ressemble parfois à une ingénierie financière digne de mes propres efforts de négoce de pizzas.
Plus j'en apprends sur les plateformes de livraison de nourriture, telles qu'elles existent aujourd'hui, je me demande si nous avons réussi à voir une industrie entière évoluer artificiellement et incorrectement. L’arbitrage consiste à tirer parti des inefficiences du marché et pour tous les day-traders nouvellement créés, il est peut-être temps de commencer à se pencher sur les marchés pionniers comme la pizza.
* * *
Note 1: Nous avons découvert par la suite que tout était le résultat d'un «test de demande» par Doordash. Ils ont une période de test où ils grattent le site Web du restaurant et ne facturent aucun frais à personne, ils peuvent donc idéalement aller au restaurant avec des données de commande positives pour ensuite faire signer le restaurant sur la plate-forme. Si nous devions payer des frais de client sur la commande, cela aurait encore réduit nos bénéfices d'arbitrage (bien que nous aurions peut-être pu intégrer DashPass dans le calcul).
Note 2: Il y a quelques mois, à l'époque pré-pandémique, j'étais dans une pizzeria East Village et j'ai regardé le propriétaire se disputer avec un chauffeur Doordash. Le propriétaire a insisté pour que le chauffeur prenne la pizza dans un sac chauffé afin que le client ne reçoive pas de pizza froide, mais laisse une pièce d'identité pour que le chauffeur soit obligé de retourner le sac. Le chauffeur a fait valoir que le temps qu'il faudrait pour revenir pour retourner le sac signifierait qu'il ne pourrait pas effectuer suffisamment de livraisons pour «payer mon loyer». #Innovation.
Perso, j'aurai proposé que la boite que transporte la moto de livraison ne soit plus une 'boite de plastique ou d'aluminium mais... un four ! Une boite aux 6 côtés revêtus de briques réfractaires, le four est branché sur la moto qui livre. Le chauffeur-livreur part donc avec une pizza juste prête à mettre au four. Elle cuit donc durant le trajet. Cela permet de livrer une pizza chaude sortie du four au client sorti de chez lui pour la prendre.
Par contre, ceux qui ont un VE il suffit de brancher le four directement (ou indirectement si le four électrique est dans votre voiture/ à côté de la machine à laver ?) sur la prise pour avoir une électricité pas chère !
La police des Anciens Combattants achète du matériel anti-émeute, citant la pandémie de COVID-19
par Tyler Durden Lun., 18/05/2020 - 23:05
Le gouvernement fédéral accélère les nouveaux achats de matériel anti-émeute, citant la pandémie de virus, à un moment où l'économie est plongée dans la récession, et le chômage élevé a provoqué une inquiétude accrue à travers le pays.
Selon l'Intercept, une récente ordonnance du ministère des Anciens Combattants (VA) montre que "des menottes jetables, des masques à gaz, des casques balistiques et des gants anti-émeute, ainsi que des équipements de protection contre la répression" ont été achetés pour la police fédérale chargée de surveiller les installations d'AV. L'ordre a été rapidement exécuté en vertu d'une autorisation spéciale "en réponse à l'épidémie de Covid-19".
Le département VA gère 1 243 établissements de santé, dont 170 centres médicaux VA et 1 063 centres de soins ambulatoires aux États-Unis, qui desservent des millions de vétérans.
Redcon Solutions Group est le fournisseur du dernier contrat. L'Intercept indique que la société a reçu 1,6 $ en contrats pour la fourniture d'équipement pour les «services de contrôle de sécurité Covid-19». D'autres sociétés de sécurité ont obtenu des contrats similaires, fournissant des équipements défensifs à la police fédérale qui garde les bâtiments VA à San Francisco, Des Moines et Fayetteville.
Le bon de commande peut être expliqué par le dernier rapport de l'inspecteur général (IG) selon lequel une pénurie de travailleurs VA et de policiers VA a créé une pression supplémentaire sur l'agence lors des fermetures. Le rapport de l'IG indique que certaines installations de VA sont devenues le site de "projections liées au COVID-19", ce qui signifiait que la VA devait renforcer la sécurité.
L'Intercept note que la police fédérale dans les installations de VA n'était armée qu'après 2011, à peu près au moment où le Pentagone a commencé à militariser les forces de police à travers le pays.
"Entre 2005 et 2014, les services de police de VA ont acquis pour des millions de dollars de gilets pare-balles, d'agents chimiques, d'équipements de vision nocturne et d'autres armes et équipements tactiques", a déclaré The Intercept.
Dans le cadre de la loi CARES de 2 200 milliards de dollars, 850 millions de dollars ont été alloués au programme de financement supplémentaire d'urgence pour les coronavirus, qui est un programme de subvention fédéral qui injecte de nouveaux capitaux dans les forces de police du pays. Il a été utilisé pour couvrir les heures supplémentaires, augmenter l'équipement de protection individuelle et couvrir les dépenses supplémentaires liées au virus.
La militarisation des forces de police américaines illustrée ci-dessous:
Le président Trump a signé un décret exécutif en 2017 autorisant les forces de police à recevoir des armes militaires. Plus récemment, le président Trump a signé un décret qui permet d'activer jusqu'à un million de soldats.
Quant à savoir pourquoi la police de VA aurait besoin d'un équipement anti-émeute, personne ne peut le deviner. Cependant, la militarisation rapide des forces de police au cours de la dernière décennie montre que le gouvernement fédéral pourrait se préparer à des troubles sociaux.
Big Tech transforme les hôpitaux en centres de surveillance en temps réel
par Tyler Durden Lun., 18/05/2020 - 23:25 via le blog Mass Private I,
Des événements récents ont mis en lumière la surveillance hospitalière qui devrait concerner tout le monde.
Big Tech utilise la pandémie comme excuse pour transformer les hôpitaux en images miroir des centres de la criminalité en temps réel des forces de l'ordre.
Lorsque Google a annoncé qu'ils faisaient don de 10 000 caméras Nest à des hôpitaux, ma mâchoire a chuté.
"Avec ces Nest Cam, les infirmières et les médecins pourront enregistrer les patients, complétant les contrôles en personne. Cela signifie qu'il y aura une réduction des contacts physiques, et donc moins de besoin d'équipement de protection individuelle (EPI), ce qui est rapidement devenu une ressource effrayante. "
Ce qui rend le don de Google si stupéfiant, c'est la façon dont les entreprises de Big Tech utilisent la pandémie pour les faire paraître magnanimes.
"Cependant, avec le suivi des contacts et la solution Nest Cam, Google doit se forger une réputation d'entreprise soucieuse de la confidentialité en raison de la nature sensible des deux projets. Ce ne sera pas une tâche facile, mais qui devrait rester à l'avant-garde. de tous ces efforts. "
Parce que rien ne dit le constructeur de réputation, comme mettre des caméras de surveillance en temps réel dans les chambres des patients. Non seulement les hôpitaux enregistreront les patients, mais ils enregistreront également les infirmières, les médecins, le personnel hospitalier et toute autre personne entrant dans la chambre des patients. Cela inclut également les mineurs, donc personne ne sera à l'abri des regards indiscrets de Big Brother.
Comme l'a découvert The Guardian, il envoie également ces informations aux serveurs de Google.
"Cependant, Nest admet que lorsqu'il est connecté au système" Works with Nest integration "de Google, qui permet à d'autres appareils tels que les ventilateurs de plafond, les lave-linge et les capteurs de voiture de s'intégrer aux produits Nest, il partage des informations personnelles avec Google."
Pourquoi Google ferait-il don de 10 000 caméras Nest à 6 146 hôpitaux ? Parce qu'ils espèrent que le personnel et les patients s'habitueront à être surveillés 24h / 24 et 7j / 7, et ils espèrent que les hôpitaux finiront par acheter un abonnement Nest Aware.
Les caméras Nest enregistrent également le son, ce qui en fait l'outil de surveillance hospitalière idéal pour les forces de l'ordre. Bien qu'une recherche Google sur le "total des services de police hospitaliers aux États-Unis'' rien, nous savons qu'il y a plus de 6000 hôpitaux et plus de 17000 organismes d'application de la loi aux États-Unis.
Donc, si nous devions faire une supposition prudente et dire qu'au moins la moitié des hôpitaux américains ont des services de police, cela porte le nombre à environ 3 075. Est-ce que quelqu'un pense vraiment que 3 075 services de police hospitaliers rendront les caméras Nest de Google après la pandémie ?
Un récent article du Wall Street Journal a averti que les hôpitaux utilisent également l'imagerie thermique pour scanner tout le monde entrant dans les hôpitaux.
Il est répréhensible de voir comment les médias de masse présentent la Big Tech sous un jour aussi positif, car ils transforment lentement nos hôpitaux en centres de surveillance en temps réel.
Un récent communiqué de presse de Care.ai a révélé que la plus grande association hospitalière du pays, la Texas Hospital Association (THA), utilise l'intelligence artificielle (IA) pour surveiller les patients en temps réel.
«Grâce à ce nouveau partenariat avec care.ai, les hôpitaux du Texas auront l'occasion de découvrir l'utilisation de l'IA dans un environnement de laboratoire local pratique. Ils verront en temps réel la valeur que la surveillance autonome peut apporter à leurs installations. Nous sommes fiers de connecter nos membres aux technologies de pointe qui ont un impact transformateur sur la prestation des soins de santé au Texas », a déclaré Fernando Martinez, Ph.D., président-directeur général de la Texas Hospital Association Foundation.
Comme le note la page «historique» de la THA, ils sont facilement la plus grande association de soins de santé au pays.
«Aujourd'hui, la THA est l'une des associations de soins de santé les plus importantes et les plus respectées du pays, et la seule association qui représente l'ensemble de l'industrie hospitalière du Texas. La Texas Hospital Association sert de défenseur politique et éducatif de plus de 430 hôpitaux et systèmes de santé. dans tout l'État. "
Si «l'association de soins de santé la plus respectée du pays» pense qu'il est acceptable d'utiliser l'IA pour surveiller les patients en temps réel, alors les hôpitaux américains sont vraiment devenus des centres de surveillance en temps réel.
Le modèle commercial de Care ai n'est pas conçu pour aider les patients à se remettre du coronavirus: il repose sur la surveillance des patients en temps réel.
"Une surveillance continue qui peut localiser et identifier les individus et leurs comportements en temps réel, minimisant les risques avant qu'ils ne se produisent."
Selon Care ai, ils surveillent en permanence tout le monde dans chaque chambre d'hôpital du Texas. Care ai l'appelle "la salle de conscience de soi", je l'appelle la salle de surveillance en temps réel.
Care ai a pris des appareils intelligents et les a pervertis en trois appareils de surveillance en temps réel.
Les appareils intelligents AMS-M1, AMS-M2 et AMS-M2R sont équipés de caméras et de capteurs d'apprentissage en profondeur.
Question: si Google fait don de 10 000 caméras Nest et Care ai utilise plusieurs appareils intelligents équipés de caméras, à quel moment demandons-nous, combien d'appareils de surveillance sont trop nombreux ?
Il n'y a pas de mot si Google prévoit de «faire don» de Nest Hub Max aux hôpitaux, mais s'ils le font, ils transformeraient les hôpitaux américains en centres de reconnaissance faciale en temps réel.
Voulons-nous vraiment vivre dans un avenir où les hôpitaux reflètent les centres de criminalité en temps réel des services de police ? Une fois que les hôpitaux ont acquis la technologie de surveillance, le glissement de mission dicte qu'elle va grandir et se développer jusqu'à ce qu'il n'y ait pas de retour en arrière.
10 000 caméras dites 'de surveillance' = 10 000 écrans. Si un agent téléspectateur suit 10 écrans il faut donc 1000 personnes à visionner les écrans.
Mais, comme un agent ne va pas rester 24 h devant sa télé-merde, il n'y sera que 6 ou 8 h par jour. C-à-d qu'il faut 3000 ou 4000 agents dits 'de surveillance' (payés par le contribuable qui paie déjà pour les millions de caméras de ville !
Regardez: «La ville de 400 navires étrangers» pêchant illégalement au large de l'Argentine prend vie chaque nuit
par Tyler Durden Lun, 18/05/2020 - 23:45
Le journal argentin Clarín a publié des images mettant en évidence un problème croissant pour le gouvernement et l'écologie environnante unique du pays - la pêche illégale.
Chaque nuit, plusieurs centaines de navires de pêche internationaux descendent sur une zone océanique non loin de la côte argentine, traversant souvent la zone économique exclusive (ZEE) du pays et donc illégalement, afin de profiter des eaux apparemment infinies de calmars et d'autres poissons .
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Image fixe tirée du journal Clarín.
De nouvelles images montrent ce que la publication qualifie de "ville de navires étrangers" après que des journalistes soient montés à bord d'un récent vol militaire argentin pour surveiller la pêche illégale ci-dessous.
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La vidéo montre des navires avec des lumières vives perçant la surface sombre de l'océan à perte de vue, comme si l'on regarde la mystérieuse planète depuis l'espace.
- voir clip sur site -
Ils pêchent souvent à l'aide de chalutiers de fond, et la plupart recherchent l'abondance de calmars dans ces eaux lointaines du sud, très appréciées notamment en Asie de l'Est.
Clarín décrit que:
Dans les 200 milles, il y a une véritable ville de navires étrangers, estimés entre 350 et 400. Ils viennent pour rester dans ces secteurs éloignés de la mer jusqu'à deux ans. Ils sont généralement d'origine orientale. Il y a des navires chinois et coréens. Mais aussi des Russes, des Espagnols, des Anglais et des Sud-Africains. Ce sont des tangoneros (ceux qui pêchent uniquement des calmars) et des chalutiers (pêchant avec un filet).
«Ville des navires étrangers» à moins de 200 miles au large des côtes argentines illuminée la nuit:
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"Ce sont des navires-usines. Ils gèlent et transforment à bord. Ensuite, ils transfèrent le produit à un autre qui les transporte dans les ports de leur pays ou les débarque en Uruguay", indique le rapport.
Et une couverture distincte, montrant la «ville des navires» depuis la surface de l'eau:
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"Ce sont de vrais congélateurs flottants. Et ils s'attaquent à toute la zone qui est un véritable sanctuaire. Parce que les chalutiers ne font aucune sélection", a déclaré un activiste environnemental cité dans le rapport en langue espagnole.
"Dans ce couloir biologique, il y a des orques, des baleines, des éléphants et des lions de mer et des dauphins. Ils tombent tous dans les filets", a ajouté le porte-parole.
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Image satellite d'une "ville" de bateaux pêchant illégalement en mer d'Argentine, via Clarín.
Les navires sont généralement estimés capables de rattraper jusqu'à 50 tonnes par nuit, en particulier certains des bateaux les plus massifs mesurant jusqu'à 70 mètres.
"Les rues sont vidées par le coronavirus, mais la mer se remplit de navires, certains sans drapeau pour exploiter nos ressources", a ironisé un porte-parole de Greenpeace.
Photo satellite antérieure montrant les groupes de navires étrangers ressemblant à des villes depuis l'espace:
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Le problème persiste depuis des années, une publication présentant précédemment des images satellites des grappes de bateaux de pêche.
"Ces navires émettent plus de lumière dans l'espace que presque toutes les villes argentines, y compris les centres urbains tels que Cordoue ou Rosario", indique la publication.
«Personne ne sait faire un virus pathogène»: Didier Raoult dément l'origine humaine du Covid-19 – vidéo
RépondreSupprimer13:28 18.05.2020
Le professeur Raoult a donné plus d’explications sur l’origine du nouveau coronavirus. Il estime que personne n’est encore capable de créer un virus pathogène, confirmant l’hypothèse que le virus a été transmis, pour évoluer ensuite et devenir transmissible entre humains.
Lors d’un entretien donné dimanche 17 mai à la télévision chinoise dans son IHU Méditerranée Infection à Marseille, Didier Raoult est revenu sur l’origine de l’épidémie. Il a rappelé que le coronavirus avait, comme toutes les infections virales jusqu’ici, d’abord circulé chez une espèce animale et s’est transmise à l’homme par la suite. Il rejette ainsi la théorie selon laquelle le virus a été créé artificiellement en laboratoire.
«L’hypothèse la plus vraisemblable est qu’au départ, c’était une zoonose», a-t-il indiqué.
Selon lui, les animaux qui sont les plus susceptibles d’être à l’origine d’un virus contagieux sont ceux qui vivent «en collectivité importante». Cela explique les épidémies liées aux animaux d’élevage comme le cochon ou la poule.
Concernant le nouveau coronavirus, le virologue penche vers une théorie déjà très répandue, à savoir que la chauve-souris en est probablement à l’origine. «Il y a beaucoup de virus, de bactéries qui viennent des chauves-souris, parce qu’elles vivent avec des collectivités très importantes. Dans une grotte, il peut y avoir 100.000 chauve-souris», a-t-il précisé.
Il ne souhaite cependant pas en arriver à une conclusion trop hâtive, estimant qu’il faudra encore des données scientifiques réelles pour confirmer ce fait.
L’OMS cherche à connaître la genèse du virus
L’Organisation mondiale de la santé continue d’affirmer que l’origine du virus reste incertaine, mais que sa compréhension est essentielle. Pour Sylvie Briand, qui a dirigé le programme Grippe de l’organisation lors de la pandémie de H1N1 en 2009, ainsi que de nombreux chercheurs, le virus est bien né chez la chauve-souris, mais s’est transmis chez une autre espèce avant de passer à l’homme.
«Le virus s'est multiplié chez ces animaux, s'est transformé un petit peu au fur et à mesure de ces passages et finalement a abouti à une forme de virus transmissible à l'homme», a-t-elle expliqué, citée par l’AFP. La spécialiste insiste sur le fait que «retracer l’origine du virus permettrait d’éviter que le phénomène se reproduise».
«Des milliers de prélèvements ont été effectués», notamment sur des animaux dans le marché de Wuhan et sur des chiens à Hong Kong, mais ces analyses demandent du temps, a-t-elle précisé. L’OMS a appelé Pékin à l'«inviter» pour enquêter sur le sujet. Début mai, les autorités chinoises ont proposé la création d’une commission internationale pour évaluer «la réponse mondiale» à la pandémie, mais uniquement après la fin de celle-ci.
https://fr.sputniknews.com/france/202005181043799411-personne-ne-sait-faire-un-virus-pathogene-didier-raoult-dement-lorigine-humaine-du-covid-19--video/
PAS DE MÉDAILLES POUR LES SOIGNANTS ET SUPPRESSION DES ARS !
RépondreSupprimerpar NICOLE DELEPINE
19/05/2020
11% du PIB de la France est dédié au système de santé.
Crise de notre système de santé : sans suppression de la dictature des agences régionales de santé ARS, pas d’amélioration possible, ni à l’hôpital, ni en ville.
Le manque d’argent n’est qu’apparent dans notre système de santé et en rajouter sans modifier profondément sa gouvernance ne servirait à rien. Les politiques qui désirent vraiment être efficaces et ne pas se contenter de surfer sur la vague du soignant héros auquel on attribue une médaille, et même 300 € par mois, devraient s’attaquer aux racines du désastre. Ne remplissons pas le tonneau des Danaïdes sans en colmater les fuites.
L’augmentation des salaires des paramédicaux, aussi importante soit-elle, ne résoudra pas le manque de couches pour les patients, les compresses comptées par les cadres, les durées limitées pour réaliser un pansement (avec rappel sonore à l’infirmière qui dépasse les 3 mn), etc. Les exemples ont déjà rempli de nombreux livres sans effet, car le problème principal n’est pas au manque d’argent (11 % du PIB), mais à la gestion calamiteuse des technocrates échappés de cabinets ministériels qui voient l’hôpital comme une entreprise à soumettre au dieu informatique et qui vit de plus en plus sur elle-même, oubliant les malades. Ma question la plus fréquente à l’hôpital : « au fait, c’est quoi un malade ? » Hallucinant mais réel !
« « La bureaucratie est dangereuse pour la liberté. Max Weber affirme qu’elle l’est à deux points de vue : elle nuit d’une part à la liberté individuelle en rendant la vie individuelle de plus en plus dépendante et en limitant la marge d’autonomie des individus ; elle réduit d’autre part la liberté politique en accroissant le rôle politique des fonctionnaires au détriment de celui des dirigeants politiques. Dans cette seconde perspective, la bureaucratie apparaît comme un instrument de domination tendant à devenir une instance de pouvoir autonome, à tel point que l’idée se répand, selon laquelle le « pouvoir réel » se trouverait entre les mains de la bureaucratie. Il est dès lors nécessaire de réintroduire un rapport approprié entre les bureaucrates et les hommes politiques. « Les hommes politiques, écrit Max Weber, doivent constituer un contrepoids contre la domination de l’appareil administratif d’État » (Économie et Société).
Cette bureaucratie titanesque, qui croit à chaque réforme et manifestation, nous avale lentement mais sûrement comme un monstre du Loch Ness qui n’aurait jamais fini de dévorer sa proie. Les québécois l’ont décrit avant nous, car ils nous ont malheureusement servi de modèle tant pour les fameuses références médicales opposables devenues recommandations, puis injonctions, que pour cette organisation bureaucratique de la santé. « L'incroyable organigramme du réseau de la santé, croisement entre la toile d'une araignée maniaco-dépressive et un cube de Rubik surdimensionné, illustre parfaitement ce point. De sorte que la question véritable est : quelle proportion de la bureaucratie de la santé ne fait-elle que s'occuper d'elle-même, sans que l'existence de patients dans le monde réel n'y compte pour quoi que ce soit ? »
Que sont ces funestes agences régionales de santé (ARH puis ARS) dont les citoyens au travers de cette crise du Covid19 ont découvert le pouvoir de nuisance ?
RépondreSupprimerElles ont été créées en 1996, par les ordonnances Juppé, dans la discrétion la plus totale, à la suite de la grande grève de fin décembre 1995 restée dans les mémoires des Parisiens privés de transport pendant plusieurs semaines. Le peuple défendait la sécurité sociale de 1946 attaquée par un Juppé droit dans ses bottes. Sous l’influence du Président plus politique, il céda en apparence, mais pris sa revanche quelques mois plus tard en rédigeant les funestes ordonnances instaurant les agences régionales d’hospitalisation. Début de la destruction progressive de notre système de santé dont le point d’orgue est aujourd’hui la crise du Covid19 et le refus des soins pendant 2 mois de toute pathologie non Covid19. Cauchemar qui risque fort de se poursuivre par la disparition de la sécurité sociale, si l’on n’y prend garde. Le ministre actuel de la santé O. Véran avait déjà tenté de l’inscrire dans les faits en remplaçant en 2018 le nom « sécurité sociale » par « protection sociale », dans la loi de financement. Des esprits attentifs stoppèrent ce défi. Il n’était que député. Il est maintenant ministre. Vigilance.
Le coup de massue, création des ARH en 1996
Va donner de nouvelles armes aux technocrates pour définitivement priver les médecins de liberté de soigner. L’état centralisateur a créé une « autorité dédiée afin de rendre plus lisibles les actions dans le domaine de l’hospitalisation et de « concentrer suffisamment de pouvoirs administratifs ». Il l'exprime clairement !
Elimination des représentants élus dans la gestion des hôpitaux de leur commune ! Trop proche de la plèbe et incapable de fermer leur hôpital de proximité efficace, utile même si pas toujours rentable ! les technocrates le feront sans état d’âme, contre l’avis des habitants usagers.
Les ARH sont placées sous la tutelle du ministère de la santé et sous le contrôle économique de l’Etat constituées sous la forme de groupement d’intérêt public (GIP) associant des personnes publiques compétentes dans le domaine de l’hospitalisation : l’Etat (préfets, DRASS et DDASS), organismes d’assurance maladie (caisses régionales et les unions régionales des caisses crées dans la même ordonnance que celle instituant les ARH).
Les ARH sont chargées des missions de planification et d’allocations des ressources hospitalières. Les ARH, et c’est là l’innovation, reçoivent une véritable délégation de pouvoir à l’imitation des recteurs et des préfets, pour mettre en œuvre la politique régionale d’offre de soins hospitaliers, d’analyser et coordonner l’activité des établissements de santé publics et privés, de contrôler leur fonctionnement et de déterminer leurs ressources (article L6115-1 CPS.). Fini les pouvoirs des chefs de service, des compétences MEDICALES.
Les ARH officialisent la disparition de l’autonomie de la sécurité sociale issue du programme du comité national de la résistance (les Jours heureux) et des ordonnances de De Gaulle de 1946. »
L’ordonnance du 4 septembre 2003 a renforcé les pouvoirs des directeurs des ARH, leur transférant un certain nombre d’attributions alors détenues par les préfets.
C’en est fini de la liberté de gestion médicale des hôpitaux publics qui marchait si bien. Notre système de soin était classé premier lors d’une évaluation de l’OMS en 2000) : la multiplication sans frein des administratifs se développe de plus en plus à partir de 1995 avec la mise en place des SROSS, schémas régionaux d’organisation sanitaire et sociale.
La technocratie avait largement préparé le terrain : l'hôpital Hérold à Paris, par exemple comportait en 1975 près de 400 lits gérés par une quarantaine d'administratifs, idem pour Bretonneau. La fusion en 1988 des hôpitaux Herold + Bretonneau à Paris remplacés par l’hôpital R Debré s'accompagna d'une réduction de lits limités à 360 lits environ lors de l'ouverture (beaucoup moins que les deux établissements réunis), gérés par près de 400 personnels administratifs non médicaux. Avec la création des ARH, le pouvoir décisionnaire et le nombre de ces administratifs va croitre et embellir sans limites, dilapidant une part croissance des ressources officiellement allouées à la santé.
RépondreSupprimerARH et fonctionnement des SROSS : disparition des petites maternités (mois de 300 accouchements par an
A partir du premier SROSS (1995) et la création des ARH, commence la chasse aux petites maternités, malgré la défense courageuse de leurs médecins, personnels et citoyens concernés. Les manifestations se multiplient d’un bout à l’autre de la France, de la Corrèze aux Ardennes en passant par la Normandie, etc. sans unir suffisamment leurs efforts, faute d’une vue globale. Les comités de défense des petites maternités ont dû mal à porter leur parole au-delà des locaux et le plan national tente de réduire leurs doléances à des conditions locales et de masquer le projet de fermeture de milliers de lits, selon la politique thatchérienne appliquée dans l’ombre depuis les années 83- 84.
Destruction du maillage territorial du système de soins
Chacun se bat localement, mais manque de vue globale, la propagande gouvernementale bien orchestrée orientée sur l’amélioration de la qualité des soins qui serait mise en cause dans les petites structures[1]. Manipulation déjà. Des drames liés à ces fermetures surviennent avec des accouchements dans des voitures ou en hélicoptère, lorsque la neige allonge les trajets et la mise en danger réelle des mères et des nouveau-nés. En même temps que les maternités, les lits de psychiatrie, de chirurgie disparaissent dans tout le pays, y compris en Ile de France.
Bref, le maillage territorial de la santé est progressivement détricoté. Les français ferment les yeux, croient au mythe de la technique toute puissante dont les médecins auraient absolument besoin. Chacun sait que l’accouchement n’est pas un acte naturel…
Lorsque leur maternité ou leurs urgences sont menacées, ils manifestent, trop tard, et séparément.
ARH deviennent ARS aux pouvoirs élargis à l’ensemble du système de soins²
« Depuis le 1er avril 2010, elles sont remplacées par des Agences régionales de santé, dont les compétences ont été élargies aux professionnels libéraux et aux maisons de retraite. Les ARS ont la charge de la déclinaison et de la mise en œuvre régionale de la politique nationale de santé, de la définition d'une politique régionale de santé, de l'organisation des soins, de la veille et de la sécurité sanitaire, ainsi que de la prévention dans leur région ».
Les ARS ont intégré en leur sein plusieurs structures, dont elles reprennent les missions : les ARH, les directions régionales et départementales des affaires sanitaires et sociales (Drass et Ddass), les Urcam, les groupements régionaux de santé publique (GRSP), les missions régionales de santé, ainsi que le pôle sanitaire des Caisses régionales d'Assurance maladie (Cram).
Ainsi l’autonomie des caisses de Sécurité sociale a été complètement supprimée, et la sécurité sociale sous le joug complet de l’état.
Modes de gestion des ARS
RépondreSupprimerElles possèdent le pouvoir de fermer les établissements en fonction de leurs propres critères, via le système d’autorisations dites « accréditations » qui vérifient la soumission des services aux normes établies par les multiples agences de santé (dont le nombre augmente au fil des années, point de chute rêvé des anciens collaborateurs ministériels). Elles peuvent aussi limiter ou interdire l’exercice médical d’un médecin, comme cela s’est produit pour un célèbre professeur de chirurgie plastique (pour des problèmes purement comptables !).
La dictature des ARS rappelle celle de l’Inquisition, car toute puissante, s’auto saisissant d’un problème de son propre chef, enquêtant sans respect d’un code de procédure, instruisant seulement à charge et jugeant seule, sans débat contradictoire et sans possibilité d’appel.
L’exercice de la cancérologie a été complètement transformé via ces accréditations qui déterminent l’autorisation d’ouverture ou fermeture des services de cancérologie : le service doit appliquer pour au moins 70 % de ses patients les choix thérapeutiques venus d’en haut, via l’institut national du cancer INCa, autre agence créée en 2003 avec le premier plan cancer. Ses injonctions dans le traitement des malades se sont accentuées au cours du temps, selon le phénomène bureaucratique bien connu décrit par Althusser.
Le hold-up de la médecine par la bureaucratie
Avant 1996 et la création des ARH, agences régionales d’hospitalisation, le maire était de droit le président du conseil d’administration de l’hôpital local et le préfet de département (et la direction départementale des affaires sanitaires et sociales (DDASS) placé sous son autorité), exerçait la tutelle des établissements de santé assurant le service public hospitalier et la tutelle des établissements médico-sociaux.
Il gérait aussi la permanence des soins et pour partie la question des urgences via un comité départemental, le CODAMU. Officiellement les orientations nationales de santé publique fixées par l’état devaient se décliner sous la responsabilité du préfet, mais il voyait cela de loin sans s’immiscer dans les « choix » médicaux.
Les élus locaux avaient encore un poids (relatif car les réformes développées depuis le début des années 80 avaient déjà commencé le travail de sabotage avec les lois de 1984 sur le statut des médecins devenus "praticiens hospitaliers, la loi de 1991 créant la double hiérarchie, séparant médecins et paramédicaux. Mais cette présence discrète de représentants du peuple était insupportable pour les technocrates.
Aggravation de la tutelle des agences au fil des années
C’est le ministre qui décide. On dit agences indépendantes. C’est faux. Les directeurs des ARS, nommés par décret en conseil des ministres, exercent leurs attributions au nom de l’Etat, sont chargés de définir par activité et équipement les territoires de santé, de se prononcer sur le retrait d'autorisation ou sur la modification de son contenu, de créer les établissements publics de santé, (…) conclure les contrats de concession pour l'exécution du service public hospitalier, passer les conventions relatives à la santé mentale, prendre la décision d'admission à participer au service public hospitalier.
Ces directeurs tout puissants, ex-médecins ou non, ne peuvent évidemment pas connaitre tous les besoins des diverses villes, des spécialités multiples et ils sont trop souvent sous influence de lobbies politiques, financiers, associatifs ou autres.
La multiplication des partenariats public privé va fondamentalement modifier l’exercice hospitalier public et le concept même de service public. Car les enjeux financiers sont devenus deviennent prioritaires sur les préoccupations médicales pour les directions administratives qui décident !
RépondreSupprimerLa mondialisation des plus importants laboratoires pharmaceutiques et leur gouvernance purement boursière, la création de certaines structures privées d’hospitalisation et de sociétés type start-up par des hospitaliers du public vont également troubler les contours de l’hôpital public depuis le début du nouveau siècle. Tout ceci sous le « contrôle de l’ARS.
Les décisions d’activité médicale échappent aux chefs de service, aux médecins et aux soignants. Les directeurs d’ARS ont un pouvoir quasi absolu, malgré les commissions qui l’entourent. Dès 2002, les Pr Even et Debré alertent les élus, les médecins et les citoyens sur la suradministration qui déjà ruine l’hôpital.
La création des pôles médicaux par la loi Bachelot ne fait qu’aggraver les choses.
Des chefs de pôle réunissant plusieurs services sous la tutelle d’un seul d’entre eux sèment un peu plus la zizanie, d’autant que le chef de pôle travaille avec le directeur d’hôpital, (de fait sous sa poigne). Les indépendants démissionnent vite de cette fonction hybride, les plus souples restent, donnant une image plus lisse à la dictature administrative qui s’intensifie chaque année. Les rôles des médecins et cadres de santé en tant que tels sont nuls, même si leur nombre n’y est pas négligeable. En peu de temps, ils sont conditionnés à remplir des tableaux Excel, à faire du « reporting » à longueur de journée, dont beaucoup diront qu’ils ne savent pas à quoi ils servent.
La culture du chiffre est devenue le dieu de la gestion managériale dirigée circonstance aggravante par des non-médecins pour lesquels ce qui convient au patient est une entité théorique, apprise dans les écoles à des années-lumière de la réalité du terrain.
L’autoritarisme et la puissance des ARS
Leur mainmise va s’étaler largement sur tous les secteurs de la médecine française, sans exception. Ce nouveau régime juridique est « marqué en tout point par la transversalité entre l’hospitalier, le médico-social et l’ambulatoire, par la démocratie sanitaire et par la lisibilité de la politique de santé en région ».
Comme le reste de la politique, on est de plus en plus plongé dans Orwell et le nouveau langage qui modifie le sens des mots. Citons les plus célèbres : « La guerre, c'est la paix, la liberté c'est l'esclavage, l'ignorance c'est la force. »
La démocratie sanitaire est une vaste plaisanterie à l’heure où les médecins généralistes et spécialistes hospitaliers publics ou libéraux sont privés de toute liberté de soigner. Quant aux soignés, ils sont menu fretin, jamais reçus au ministère, malgré des manifestations importantes ou des grèves de la faim répétitives. Le fossé se creuse entre autorités de l’état replié sur lui-même, y compris à l’échelle des ARS et les citoyens.
Les ARS ne sont en aucun cas indépendantes. Elles sont le bras armé du ministère, comme les autres préfectures : délégation de pouvoirs, pouvoirs renforcés, aucun lien hiérarchique avec le préfet de région.
Les pouvoirs du nouveau Directeur Général d’ARS sont considérables. Leur apparition marque la disparition complète des pouvoirs des préfets sur les questions de santé. La loi HPST dite Bachelot, son article 129, présente l’organisation de l’ARS dont la mise en place constitue une véritable fusion entre organismes différents comprenant des personnels de statuts différents.
Argent magique ?
RépondreSupprimer« Les ressources de l'agence sont constituées par une subvention de l'Etat, des contributions des régimes d'assurance maladie ; des contributions de la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie, des ressources propres, dons et legs ; sur une base volontaire, des versements de collectivités territoriales ou d'autres établissements publics, des crédits du fonds pour la modernisation des établissements de santé publics et privés dans des conditions définies par décret ». Bref pour l'essentiel nos impôts.
Le personnel des agences (une par région) comprend, des fonctionnaires, des personnels mentionnés au 1° de l'article, des agents contractuels de droit public, des agents de droit privé régis par les conventions collectives applicables au personnel des organismes de sécurité sociale.
Le directeur de l'agence a autorité sur l'ensemble des personnels de l'agence. La grande révolution achevée par cette loi complète celle engagée avec les ARH et constitue un « véritable hold-up de tout le secteur médical par la technocratie ».
Un gros budget
En 2011, les budgets des 26 ARS s’évaluent environ à 1 milliard d’euros (800 millions proviennent de l’Etat et 200 millions de contributions des régimes d’assurance maladie) : 625 millions d’euros pour les dépenses de personnels, 101 millions d’euros pour les dépenses de fonctionnement, 1,7 million d’euros pour l’investissement et 286 millions pour les crédits d’intervention.
Le budget de fonctionnement de l’ARS Ile-de-France, la plus importante en nombre de personnel, est de 150 millions d’euros en 2011. Par ailleurs, les ARS régulent plus de 40 milliards d’euros de crédits en 2011, là aussi source d’économies importantes si on acceptait de revoir les attributions décidées par ces ARS.
En 2017, à titre d’exemple (choisi chez les ARS transparentes …), l’ARS Auvergne-Rhône Alpes comprend 1 000 collaborateurs, dont plus de la moitié dans les délégations départementales avec un budget annuel de fonctionnement et d’intervention de 490 M€ pour une population de 7,7 millions d’habitants.
L’ARS Hauts-de-France est constituée de plus de 650 professionnels du secteur de la santé. Troisième Agence de France au regard de la population couverte, agit pour la santé des 6 millions d'habitants de la région. L'Agence alloue directement plus de 4 milliards d'euros par an au système de santé en région, parmi les 18 milliards d'euros de dépenses consacrées à la santé dans les Hauts-de-France. Sur quels critères, ces attributions de fonds publics ?
Total des crédits consommés en 2016 58 607 302 € HAUTS DE France : personnel 47 165 717 € ; fonctionnement 6 675 973 € ; intervention 4 058 664 € ; investissement 706 948 €.
Au total, actuellement après fusion de certaines ARS en raison de la diminution des régions, on est passé de 26 à 17 ARS, dont 13 en métropole et 4 outre-mer 9000 personnels médecins, administratifs, juristes ingénieurs, géographes, etc. [2]
Un pouvoir excessif qui défie les décisions présidentielles
Leur pouvoir invraisemblable, non médical, fut illustré récemment par la suppression du droit de visite des familles aux ainés dans les EHPADs (ils étaient en prison, ils les mirent au mitard). Le président de la République s’émût enfin le 13 avril à la télévision des privations de visite des personnes âgées et promis que dès le lendemain les familles pourraient rencontrer leurs proches. Plusieurs longs jours se passèrent dans certains établissements sans plus de possibilité de visite. On attendait que le directeur de l’ARS locale donne le feu vert !
Les sordides histoires de masques détournées de leur acheteur à l’atterrissage d’avions ont nourri les éditoriaux des médias ; l’ARS avait donné ordre de livrer ses masques ailleurs. Idem pour interdiction aux pharmaciens de vendre les masques sans contrôle tatillon de l’ARS ou de fabriquer du gel hydroalcoolique.
RépondreSupprimerEt que dire des tests qui depuis le début de la crise ne parviennent toujours pas à satisfaire les normes invraisemblables que l’administration exige ; ce totalitarisme omniprésent et ces normes qu’aucun pays (et surtout pas l’Allemagne) n’exige, a privé les français d’un moyen même imparfait de lutte antiCovid19. Mais c’est promis (une fois de plus), ils seront bientôt agréés et disponibles… une fois l’épidémie terminée. L’étude des chiffres de contaminations journalières publiés par l’OMS montre que l’épidémie sera terminée fin mai.
Pendant ces quelques jours, les français ont pu approcher les dérives totalitaires des décisions des ARS, mais personne n’a bronché, pas même le ministre.
Une fois seulement, une erreur de communication ! Le directeur de l’ARS Grand Est a annoncé que la fermeture de lits et réduction de personnels de l’hôpital de Metz se poursuivraient alors que les hôpitaux étaient soi-disant bondés[3]. Bien sûr, ce sera le cas, mais le dire à la télé après tant de morts dans sa région lui valut sa suspension. Toute vérité n’est pas bonne à dire. On l’a vu chaque jour pendant cette crise.
Sans la suppression du pouvoir dictatorial des ARS et des multiples agences de l’état qui amoncellent normes et injonctions aux hôpitaux publics et privés et aux professionnels de la santé, ruinant leurs finances et bloquant leur efficacité, la France ne sortira pas des gouffres financiers et sanitaires, dans lesquels cette surabondance de bureaucrates l’ont mis. La France, soi-disant pays libéral additionne les effets pervers d’une gestion bureaucratique à la soviétique et d’une gestion financière au service de la Bourse (médicaments innovants, priorité à la recherche tels que les essais thérapeutiques, et aux établissements cotés en Bourse).
Ce système de gestion de crise est très proche de celui de la Chine, dont on a vu que la réponse sanitaire ou politique a tenté plusieurs pays européens (Italie, Espagne, Belgique et France) qui se sont hissés, grâce à cela aux quatre premières places mondiales de mortalité Covid par millions d’habitants. Il serait temps que les politiques qui nous gouvernent, ou que ceux qui l’envisagent, tirent les conséquences de cette dérive ruineuse et meurtrière et redonne liberté et responsabilité aux médecins, aux malades et aux élus en supprimant les agences régionales de santé et leurs nombreuses annexes sous forme d’observatoires, autres agences etc.[4]
Cette technocratie surabondante, aggravée à chaque ministère depuis 1996, prive les médecins de leur liberté de soigner, coûtent des milliards d’euros de fonctionnement à l’état et distribuent d’énormes sommes d’argent, sans base médicale réelle. La chute de notre système de santé au niveau mondial démontre l’échec de ce modèle.
Revenir à une organisation du système de santé centré sur le soin, décidée localement par les soignants et approbation des soignés et citoyens via leurs élus locaux, ne laissant à l’administration que son rôle propre de gestion des ressources, permettrait de larges économies, et de plus de réintégrer les personnels dans les structures médicales et d’en embaucher d’autres, singulièrement dans les EHPAD, ces établissements pour personnes âgées dont la misère a éclaboussé largement la gestion de la crise du covid19.
Ce retour d’argent au médical permettrait aussi de rémunérer les libéraux selon les critères européens (moyenne de la consultation du généraliste en Europe : 50 €)) et ainsi de lutter contre les déserts médicaux en rendant les conditions de vie des médecins plus correctes.
RépondreSupprimerSurtout rendre la main aux professionnels de santé dans les décisions et organisations médicales permettrait de retrouver le sens de nos missions et de donner goût aux plus jeunes pour s’installer.
Sans liberté de soigner, pas de solution. La médecine est un art fondé sur la science, dans lequel le serment d’Hippocrate est essentiel et inapplicable actuellement. En dehors de ceux qui acceptent la robotisation au prix de leur état psychique conduisant au burnout et au suicide, les autres s’échappent progressivement de la profession, déplaquent, trouvent un poste salarié loin du patient, s’expatrient ou exercent un autre métier comme ce chirurgien transplanteur devenu glacier.
[1] Ce qui n’a jamais été prouvé sur une étude française pourtant facilement réalisable compte tenu des fichiers de la Sécurité Sociale
[2] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/sante-et-argent-magique-le-hold-up-204197
[3] La très grande majorité des cliniques privées où les ARS refusaient d’adresser les malades sont restées vides
[4] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/sante-et-argent-magique-le-hold-up-204197
http://www.economiematin.fr/news-medaille-medecin-hommage-suppression-ars-sante-organisation-covid19-delepine
La classe dirigeante totalitaire américaine et ses esclaves volontaires
RépondreSupprimerPar Thomas DiLorenzo
18 mai 2020
Si la calamité du virus du corona froid nous apprend quelque chose, c'est que, à quelques exceptions près, la classe politique américaine est largement dominée par les fascistes et les totalitaires. Je parle bien sûr de tous les gouverneurs, maires et membres des conseils de ville et de comté qui se sont engagés à déclarer que leurs paroles étaient légales et à utiliser les forces de police lourdement armées à leur disposition pour faire appliquer leurs «lois». Le gouverneur de Michigan, Morticia Adams, est devenu le visage de la classe politique totalitaire fasciste d'aujourd'hui.
Les lois réelles sont adoptées par le Congrès et les législatures des États et sont signées par les chefs de secrétariat. AUCUNE des ordonnances de «séjour à la maison» n'est une loi; ce ne sont que les paroles de politiciens et de bureaucrates. Ils ne sont pas non plus basés sur la «science». Dans le véritable esprit d'Abraham Lincoln, qui a arbitrairement redéfini la «trahison» de sa définition de l'article 3, section 3, de «faire la guerre» aux États libres et indépendants (dont il était coupable) pour se critiquer lui-même et ses politiques, la classe politique n'a pas modifié mais simplement redéfini la Constitution pour signifier tous les mots qui sortent des deux côtés de leur bouche. Cela rappelle à votre auteur un vieux film, «L'île du docteur Moreau», dans lequel Burt Lancaster dépeint un scientifique fou qui expérimente sur des animaux qu'il fait en partie humain. Pour contrôler les bêtes, il leur dit qu'il est leur père et et "Le Sayer de la loi". Tout ce qu'il dit est «la loi» du fait qu'il l'a dit. L'Amérique est devenue une grande île du Dr Moreaus se cachant derrière leurs titres de «gouverneur» ou de «maire».
La Déclaration des droits ne dit pas que nous avons des droits inaliénables à la liberté de parole, de réunion et de religion «à moins que les gens ne tombent malades», après tout. Mais, hélas, la Constitution est essentiellement restée lettre morte pendant des générations. Les Américains ont longtemps vécu sous la «constitution hamiltonienne», ce que disent les politiciens de l'époque. Le «constructionnisme strict» jeffersonien a été abandonné, essentiellement, à la fin de la «guerre civile».
C'est pourquoi presque tous ceux qui sont attirés par la politique comme carrière aujourd'hui sont des voyous à l'esprit totalitaire. Ils se lancent en politique précisément parce qu'ils veulent exercer ce pouvoir monopolistique et totalitaire contre leurs concitoyens, qu'ils méprisent et détestent souvent, en les étiquetant publiquement avec des mots «déplorables» et bien pire. Il y a bien sûr quelques exceptions, dont la plus magnifique est l'ancien membre du Congrès Ron Paul, mais ce sont les exceptions qui prouvent la règle.
Je parle également de l'ensemble du Congrès américain, du ministère américain de la Justice et de pratiquement tout le système judiciaire, dont chaque membre est resté aussi silencieux qu'une souris d'église tandis que l'état de droit en Amérique a été balayé en seulement six semaines. Pensez-y la prochaine fois qu'un «républicain conservateur» à Washington prétend se consacrer à la Constitution.
Le public américain a perdu le contrôle du gouvernement fédéral lorsque les droits de sécession et d'annulation ont été abolis en 1865. John C. Calhoun avait raison lorsqu'il a expliqué dans son Disquisition on Government qu'une constitution écrite ne serait jamais suffisante pour contrôler et restreindre le pillage légal. Un mécanisme qui pourrait être utilisé par le peuple des États libres et indépendants, organisé en communautés politiques, était nécessaire si le gouvernement central devait être le serviteur plutôt que le maître du peuple, a-t-il dit. Naturellement, Calhoun est l'une des figures politiques les plus diabolisées de l'histoire américaine par la classe dirigeante américaine.
RépondreSupprimerPuis vint la déification et la glorification de la dictature de Lincoln, qui se transforma en déification de la présidence en général et de tous ses «pouvoirs exécutifs» (c'est-à-dire, principalement anticonstitutionnels, des pouvoirs dictatoriaux pour faire la guerre, asservir les citoyens par la conscription et tout le reste). Le fédéralisme a été détruit par la «guerre civile», après quoi les États sont devenus de simples franchises ou appendices du gouvernement central de Washington. Le gouvernement fédéral a été transformé en un monopole géant du pire: celui auquel il ne peut y avoir d'échappatoire une fois qu'il a acquis les pouvoirs de l'impression monétaire et de l'impôt sur le revenu.
La tentation d'être l'un des rares élus à produire de tels pouvoirs totalitaires est ce qui pousse les pires éléments de la société à poursuivre une carrière politique, comme l'a expliqué F.A.Hayek dans The Road to Serfdom. Il est loin le temps où des citoyens à l'esprit public siégeaient au Congrès pendant quelques années, leur comportement étant contraint par «les chaînes de la Constitution», comme Jefferson l'a dit une fois, puis retournaient à leur vie privée.
Votre auteur avait l'habitude d'avoir une citation sur la porte de son bureau de Ringo Starr, de toutes les personnes, qui disait: "Tout ce que le gouvernement touche se transforme en merde." Aucun mot plus vrai n'a jamais été prononcé. Les échecs inévitables du gouvernement (les Centers for Disease Control ont-ils réussi à contrôler la maladie des coronavirus?) Suscitent une réponse typique des politiciens: intensifier leurs dictats totalitaires, comme le font actuellement de nombreux gouverneurs, après que les dictats originaux se sont avérés être des échecs. Comme Hayek l'a écrit (p. 135): «Ils devraient bientôt choisir entre le mépris de la morale ordinaire et l'échec. C'est pour cette raison que les sans scrupules et les décomplexés ont plus de chances de réussir dans une société qui tend vers le totalitarisme. » Cette dernière phrase est une description parfaite de ce que l'Amérique est devenue ces derniers mois. Hayek l'a écrit dans son célèbre chapitre 10, «Pourquoi les pires montent-ils au sommet».
«Le pire» ne le fait pas tout seul. Ils bénéficient de l'aide d'un large segment de la population qui les aide à en faire leurs propres esclaves de fait. Cela prend un grand groupe, a écrit Hayek, afin de présenter l'apparence de légitimité aux pouvoirs totalitaires de l'État. De plus, le type parfait de grand groupe suffisamment grand pour «imposer leurs vues sur les valeurs de la vie à tous les autres» sera «ceux qui forment la« masse »au sens péjoratif du terme, le moins original et indépendant. . . " Ainsi, le fasciste totalitaire pourra obtenir le «soutien de tous les dociles et crédules, qui n'ont pas de fortes convictions de leur part mais sont prêts à accepter un système de valeurs prêt à l'emploi s'il n'est que suffisamment percuté dans leurs oreilles et bruyamment et fréquemment »(c.-à-d.« Nous sommes tous dans le même bateau. Nous sommes tous dans le même bateau. Nous sommes tous dans le même bateau. Nous sommes tous dans le même bateau ... »). Ce seront «ceux dont les idées vagues et imparfaitement formées sont facilement influençables et dont les passions et les émotions sont facilement excitées qui gonflent bien les rangs du parti totalitaire», écrit Hayek (p. 139).
RépondreSupprimerVous voyez ces gens tous les jours partout en Amérique: l'homme conduisant seul dans sa voiture portant un masque facial. Le couple sort en marchant un jour venteux avec des masques et se dépêche chaque fois qu'il voit un autre être humain; ceux qui répondent par l'affirmative aux sondages d'opinion lorsqu'on leur a demandé si le verrouillage devait durer «jusqu'à ce qu'un vaccin soit disponible»; les gens qui vous regardent à l'épicerie, ou se plaignent à la crèche, que vous êtes plus près d'eux qu'à six pieds. Tous ceux que le juge Napolitano appelle «la brebis», en d'autres termes.
Le «démagogue habile», a poursuivi Hayek, comprend qu'il est «plus facile pour les gens de s'entendre sur un programme négatif - sur la haine d'un ennemi, sur l'envie de ceux qui sont mieux [l'essence du marxisme] - que sur n'importe quelle tâche positive . " Dans l'Allemagne de la jeunesse de Hayek, «c'était le Juif» qui «était devenu considéré comme le représentant du capitalisme. . . . L'antisémitisme et l'anticapitalisme allemands sont issus de la même racine. . . (pp. 139-140).
Le gouvernement américain fabrique constamment «un autre Hitler», que ce soit Manuel Noriega, Saddam Hussein, Kadhafi, les Sandinistes, Poutine et une myriade d'autres. Cependant, il est encore plus délicat et un niveau de démagogie plus élevé de définir «l'ennemi» comme quelque chose comme la «terreur» ou «l'ennemi invisible» d'un virus que personne ne semble comprendre. De telles choses peuvent sembler être aussi courantes que l'air que nous respirons (littéralement, dans le cas des virus), de sorte que mener une «guerre» contre eux, et la prise sans fin de plus de pouvoir gouvernemental et l'abolition de tout ce qui reste de liberté, peut durer éternellement.
Les «dociles et crédules» ne surgissent pas spontanément en tant que partisans des voyous fascistes qui dominent désormais la majeure partie de l'Amérique. Ils sont cultivés par le système politique. La classe dirigeante politique de n'importe quel pays est toujours une minuscule minorité numérique qui peut être balayée par les masses, qui se comptent par millions. Par conséquent, l'État a un impératif de faire au moins une majorité des «masses» en serfs dociles et crédules. Pour ce faire, il monopolise tous les aspects de l'éducation. Comme Murray Rothbard l'a expliqué dans son essai, «La nature de l'État»: «Particulièrement important. . . c'est à l'État de prendre le contrôle de l'éducation et ainsi de façonner l'esprit de ses sujets. En plus d'influencer les universités par toutes sortes de subventions financières et directement par le biais des universités publiques, l'État contrôle l'enseignement aux niveaux inférieurs par le biais des institutions universelles de l'école publique, par les exigences de certification des écoles privées et par les lois sur la fréquentation obligatoire. . Ajoutez à cela un contrôle pratiquement total sur la radio et la télévision - soit par le biais de la propriété pure et simple de l'État. . . ou, comme aux États-Unis, par la nationalisation des ondes et par le pouvoir d'une commission fédérale de concéder le droit des stations d'utiliser ces fréquences et ces canaux. »
RépondreSupprimerPersonne n'est né avec une affinité pour être un esclave; ils doivent être conditionnés à penser de cette façon par le contrôle totalitaire de l'État sur tous les aspects de «l'éducation». En contrepartie d'être une partie essentielle de l'appareil de propagande implacable de l'État, les «serviteurs idéologiques» de l'État, par lesquels Rothbard entendait principalement des professeurs d'université, sont récompensés par des chaires dotées dans des universités prestigieuses, des subventions gouvernementales, des récompenses, la notoriété, la renommée et des postes de conseillers exaltés auprès du gouvernement.
Tout cela est la raison pour laquelle tous les cours à domicile engendrés par tous les ordres inconstitutionnels de verrouillage / séjour à la maison ont créé un véritable sentiment de panique parmi les sbires idéologiques de l'État. À tel point qu'ils ont déniché des «chercheurs» pédagogiques de l'Université de Harvard pour proclamer que l'un des effets insidieux et nuisibles des fermetures a été l'augmentation de l'enseignement pédagogique indépendant qui n'est pas si directement sous leur contrôle et les pouvoirs qui sont pour qui ils travaillent. En d'autres termes, leur plus grande crainte est qu'une prise de conscience répandue que les travaux à domicile puissent être un cheval de Troie, ou le nez de chameau proverbial sous la tente, qui pourrait révéler la vérité que l'empereur n'a pas vraiment un bel ensemble de vêtements après tout.
https://www.lewrockwell.com/2020/05/thomas-dilorenzo/americas-totalitarian-ruling-class-and-its-willing-slaves/
COVID-19 Coronavirus et testostérone
RépondreSupprimerUn chercheur dit qu'il peut être possible d'utiliser vos propres anticorps salivaires pour envoyer un signal au cerveau pour que le corps fabrique des anticorps plus naturels sans vaccins
Par Bill Sardi
18 mai 2020
La situation critique posée par le coronavirus COVID-19 chez les individus à haut risque et la vulnérabilité de la population humaine de 7,9 milliards de personnes à un coronavirus COVID-19 nouvellement muté sans vaccin éprouvé a incité Moshe Shifrine PhD à proposer une thérapie révolutionnaire basée sur son des décennies de recherche dans le domaine de la thérapie olfactive (olfactive).
Le Dr Shifrine détient deux brevets sur l'utilisation des odeurs pour chatouiller le bulbe olfactif du nez afin de produire des hormones comme la testostérone et l'insuline. Le Dr Shifrine écrit:
«Il suffit d'un petit nombre de molécules (dans une concentration en milliardièmes de gramme) dans les voies nasales pour transmettre l'odeur aux 20 000 récepteurs nerveux du bulbe olfactif situé sur les deux hémisphères du cerveau antérieur. Lorsque les molécules s'attachent à ces récepteurs, leur signature vibratoire envoie un signal électrique à l'hypothalamus dans le cerveau qui se traduit par la production de la substance odorante. Par exemple, l'odeur de la testostérone ou de l'insuline stimule la production de ces hormones par l'organisme. "
Le Dr Shifrine enseigne: Le système olfactif est capable de distinguer 12 000 arômes différents.
Le Dr Shifrine détient un brevet (US 8 679 507 B2) pour l'utilisation d'extrait de truffe qui contient une très petite quantité de testostérone naturelle. Une bouffée de même a été démontrée pour doubler les niveaux de testostérone chez les hommes dans les dix sujets testés. L'extrait de truffe, disponible dans le commerce, élève également les niveaux de testostérone chez les femmes et il a été démontré qu'il atténuait les symptômes courants de la ménopause.
Shifrine, qui a passé 15 ans à enquêter sur la science olfactive, suggère, via un mécanisme naturel qu'il appelle IMMUNITÉ OLFACTIVE HARMONIQUE, qu'il pourrait être possible, chez un patient atteint d'une infection à coronavirus COVID-19, d'obtenir des anticorps naturels de la salive via un tampon buccal et leur exposer le bulbe olfactif par les voies nasales. Ceci à son tour établirait un contact direct avec le cerveau et augmenterait donc prétendument la réponse en anticorps dans tout le corps.
Bien que cet effet spécifique n'ait pas encore été mis à l'épreuve, dit le Dr Shifrine, étant donné les circonstances désespérées actuelles sans vaccin provoquant des anticorps en place, il demande aux professionnels de la santé qui traitent les patients infectés par le coronavirus COVID-19 de commencer à exposer le système olfactif à Anticorps anti-coronavirus COVID-19 lorsqu'ils obtiennent des prélèvements buccaux pour le dépistage des anticorps. Effectuez ensuite des tests avant et après pour voir s'il existe un effet de stimulation des anticorps. La présomption est que les patients infectés produisent déjà des anticorps, mais peut-être pas assez. C’est un peu comme un rappel de vaccin.
La thérapie à la truffe peut être utile pour les hommes traités par COVID-19
Plus convaincant, l'extrait de truffe du Dr Shifrine a une application directe pour les hommes infectés par COVID-19 avec des niveaux de testostérone sévèrement bas qui sont maintenant signalés comme présentant un risque mortel élevé élevé dans l'unité de soins intensifs de l'hôpital. Près de 70% des hommes hospitalisés avaient un taux de testostérone étonnamment bas qui est corrélé à une issue grave et fatale. Plus d'hommes que de femmes sont atteints d'une infection à COVID-19.
RépondreSupprimerLes mâles infectés par le coronavirus COVID-19 présentent des niveaux de testostérone très bas, ce qui signifie que le virus peut être la cause de la carence.
Le diabète aussi
La technologie olfactive du Dr Shifrine est également un remède proposé contre le diabète. La testostérone injectée peut entraîner une réduction significative de la quantité d'insuline nécessaire pour ramener la glycémie à la normale. Dans certains cas, la thérapie à la truffe / testostérone entraîne une rémission complète de tous les symptômes du diabète, rapporte le Dr Shifrine. L'odeur de l'insuline elle-même peut également entraîner la production d'insuline par le corps, ajoute-t-il.
Les diabétiques peuvent déterminer si la thérapie à la truffe / aux odeurs fonctionne en mesurant leur tension artérielle, explique le Dr Shifrine. Si la glycémie est sous contrôle, la pression artérielle devrait se normaliser, dit-il.
Pour référence, les jeunes hommes produisent ~ 6 milligrammes de testostérone par jour; les femmes en bonne santé produisent 0,3 milligrammes / jour.
Les pharmacologues reconnaissent immédiatement l'avantage distinct de la stimulation directe de l'hypothalamus via la stimulation olfactive car il n'a pas besoin de passer à travers la barrière hémato-encéphalique comme le font les médicaments.
La baisse des niveaux de testostérone chez les hommes ne fait pas partie du vieillissement normal. Dans une étude, seuls les hommes obèses qui étaient d'anciens fumeurs ont connu une baisse significative des niveaux de testostérone. Les hommes dont la masse corporelle est plus élevée subissent également un double déclin de la testostérone par rapport aux hommes de poids normal.
Les hommes non mariés connaissent également des réductions de testostérone plus importantes que les hommes mariés. Un T si bas n'est pas autant régi par l'âge que par le reflet de nos habitudes de santé et de notre alimentation.
Les niveaux de testostérone chez les hommes ont diminué de façon inquiétante au cours des dernières décennies.
Il existe des preuves considérables que la force de préhension des mains est en corrélation avec les niveaux de testostérone.
Dans un article écrit sur Forbes.com intitulé "Vous n'êtes pas l'homme que votre père était", il a été noté dans une étude de 2016 que les jeunes hommes âgés de 20 à 34 ans ne pouvaient appliquer que 98 livres de force avec une prise à droite, contre 117 livres par un homme du même âge en 1985.
Le déclin naturel de la force de préhension commence généralement vers l'âge de 55 ans. Les hommes ayant une force de préhension plus forte ont des érections de meilleure qualité.
Et ce n'est pas seulement la virilité et la libido qui manquent de pénurie de testostérone. C’est également un bon indicateur de la mortalité future. Les hommes avec de faibles niveaux de T perdent également de la masse osseuse et musculaire et deviennent fragiles à la 8e décennie de la vie. Et oui, comme on pouvait s'y attendre, les hommes avec de faibles niveaux de T commencent également à perdre la tête.
RépondreSupprimerL'extrait de truffe est disponible dans un flacon pulvérisateur et est utilisé un peu comme le parfum. Cet écrivain trouve que cela rend un homme plus jeune. Ma force de préhension est de 160+. Il est disponible dans le commerce sous le nom commercial VITAL-T-BOOST.
Un rapport plus complet sur la façon dont les hommes peuvent augmenter leur taux de testostérone via la thérapie olfactive à la truffe rédigé par son auteur est disponible en ligne.
https://www.lewrockwell.com/2020/05/no_author/covid-19-coronavirus-testosterone/
C’est pourquoi vous ne pouvez pas faire confiance aux vérificateurs des faits
RépondreSupprimer11 MAI 2020
PAR DERRICK BROZE
Au cours des huit dernières années, j'ai travaillé comme écrivain, chercheur et journaliste d'investigation pour de nombreux médias indépendants américains bien connus. J'ai passé mon temps à enquêter sur la technologie de surveillance numérique, les attaques contre les communautés autochtones et la croissance globale du gouvernement et du pouvoir des entreprises. En tant que personne travaillant dans ce domaine, écrire sur des sujets qui sont souvent considérés comme controversés ou «en dehors du courant dominant» - la censure et les attaques personnelles font partie de la description de poste.
Cependant, les attaques contre les médias indépendants ont rapidement augmenté au cours des quatre dernières années, de nombreux organes de presse autrefois actifs ayant cessé d'exister en raison du manque de trafic et donc du manque de fonds. Nous avons vu des médias qualifiés de «fausses nouvelles» ou accusés de collusion avec le gouvernement russe. Certains canaux et sites Web n'ont pas pu faire de demande de publicité ou utiliser certains produits numériques basés sur ces étiquettes. Certaines chaînes et reporters ont été supprimés des réseaux sociaux et d'autres plateformes numériques. Et, si les responsables des médias sociaux ne vous suppriment pas, ils peuvent simplement utiliser l'algorithme pour masquer vos publications, ce qui limite votre capacité à interagir avec le public.
ATTAQUE DES CONTRÔLEURS «FAITS»
Vérificateurs des faits
La méthode la plus insidieuse est peut-être l'utilisation récente de «vérificateurs des faits» pour limiter la portée d'un point de vente, ou simplement les étiqueter avec la fausse lettre écarlate pour décourager les lecteurs de s'engager. Cela a augmenté au cours des 2 dernières années et je connais personnellement plusieurs autres médias indiens qui ont dû décider de publier ou non certains articles ou reportages vidéo de peur qu'ils soient censurés ou interdits. Bien sûr, avec les jeux algorithmiques joués par les plateformes de médias sociaux, la plupart des points de vente atteignent une infime fraction de ce qu'ils étaient autrefois.
Exemple concret, The Mind Unleashed. Je fais partie ou non de l'équipe TMU depuis un an environ. Pendant ce temps, nous avons eu du mal à atteindre une petite fraction de nos 9 millions d'abonnés Facebook. Une partie de la raison pour laquelle nous avons du mal à atteindre les gens est parce que nous avons la reconnaissance douteuse d'être étiquetés comme de fausses nouvelles par Facebook et les vérificateurs de faits affiliés.
Dans un récent article publié dans Newsweek Espanol, en partenariat avec Newsguard, The Mind Unleashed est décrit comme un "site qui promet de" promouvoir et inspirer une pensée non conventionnelle ", mais qui est en fait dédié à la publication de mensonges.". La citation faisait référence à une histoire que TMU avait écrite sur les origines de COVID-19 et la possibilité que le virus ait été créé en tant qu'arme biologique.
Newsguard est l'un des nombreux services de vérification des faits qui se sont multipliés depuis l'élection de Donald Trump au président américain. Newsguard est un plug-in de navigateur pour Chrome et Microsoft Edge qui attribue des notes de fiabilité à la plupart des sites les plus fréquentés d'Internet. Il utilise un système à code couleur pour avertir les lecteurs de la fiabilité d'un article ou d'un site Web. Dans une enquête précédente, l'écrivain TLAV Whitney Webb a révélé les racines néoconservatrices de l'équipe Newsguard. Webb a écrit:
«Le conseil consultatif de Newsguard indique clairement que Newsguard a été créé pour servir les intérêts de l'oligarchie américaine. Le chef des conseillers de Newsguard est Tom Ridge, le premier secrétaire à la sécurité intérieure de George W. Bush et Ret. Le général Michael Hayden, ancien directeur de la CIA, ancien directeur de la NSA et directeur du groupe Chertoff, un cabinet de conseil en sécurité cherchant à «conseiller les entreprises et les gouvernements, y compris les gouvernements étrangers» sur les questions de sécurité, cofondé par l'ancien secrétaire à la sécurité intérieure Michael Chertoff, qui est également actuellement président du conseil d'administration du principal fabricant d'armes BAE systems. »
RépondreSupprimerNewsguard a commencé comme un partenariat entre Steven Brill et Louis Gordon Crovitz, Crovitz semblant être le lien avec le monde de la finance, des médias et de la géopolitique. Crovitz a occupé plusieurs postes au Dow Jones et au Wall Street Journal, est membre du conseil d'administration de Business Insider, membre du Council on Foreign Relations, et prétend avoir été «éditeur ou contributeur de livres publiés par l'American Enterprise Institut et Fondation du patrimoine. ” Comme l'a noté Webb, «l'American Enterprise Institute (AEI) est l'un des groupes de réflexion néoconservateurs les plus influents du pays et ses« universitaires », directeurs et boursiers, comprenaient des personnalités néoconservatrices comme Paul Wolfowitz, Richard Perle, John Bolton et Frederick Kagan. "
Plus récemment, Newsguard a créé une liste de «sites Web publiant de fausses informations sur les coronavirus» et une liste «super diffuseurs» de fausses informations. Ces listes comprennent de nombreux médias indépendants bien connus et crédibles. Cela ne veut pas dire que tous les sites Web répertoriés sont crédibles et doivent être pris en charge. Le fait est que ces types de listes ne servent qu'à «blackballer» certains points de vente et écoles de pensée qui contrent la version dominante des événements.
Newsguard n'est pas le seul service de vérification des faits opérant dans «l'ère post-vérité» actuelle. Des sociétés de médias sociaux comme Facebook se sont associées à plusieurs organisations dans le but déclaré de vérifier les faits et de démystifier la désinformation. Bien sûr, ces organisations ont tendance à renforcer les récits tissés par les porte-parole des médias d'entreprise et les marionnettistes travaillant pour les politiciens. Pendant un moment, Facebook s'est associé à Snopes, un «vérificateur des faits» injurieux, mais, après que Snopes a été discrédité, Facebook s'est maintenant associé à des entreprises comme Lead Stories.
Lead Stories a également «vérifié les faits» The Mind Unleashed à quelques reprises, utilisant toujours des normes et une sémantique arbitraires pour faire paraître une histoire fausse ou trompeuse. Dans une histoire, Lead Stories s'appuie sur les données du Newsguard susmentionné. Alors, qui est Lead Stories ? La page À propos indique que depuis janvier 2019, ils font partie du programme de vérification des faits de Facebook. Ils décrivent le partenariat comme suit:
"Selon les termes de ce partenariat, nous avons accès à des listes de contenu qui a été signalé comme potentiellement faux par les systèmes de Facebook ou ses utilisateurs et nous pouvons décider indépendamment si nous voulons le vérifier ou non. En plus de cela, nous pouvons saisir nos vérifications des faits dans un outil fourni par Facebook et Facebook utilise ensuite nos données pour aider à ralentir la propagation de fausses informations sur sa plate-forme. Facebook nous paie pour fournir ce service pour eux, mais ils n'ont aucun mot à dire ni influence sur ce que nous vérifions les faits ou sur nos conclusions, et ils ne veulent pas non plus.
Lead Stories est dirigé par Perry Sanders Jr., un avocat connu pour avoir représenté la famille du rappeur Notorious B.I.G. après son meurtre, et le rédacteur en chef Alan Duke, qui a aidé à créer des histoires de plomb après 26 ans avec CNN. Malgré la biographie de Duke affirmant qu'il "a réalisé des reportages d'enquête révolutionnaires sur le scandale du trafic sexuel de Jeffrey Epstein", CNN est surtout connu comme un "super diffuseur" de propagande et de fausses nouvelles. Ce sont CNN, ABC, CBS, le Washington Post et d’autres qui ont réellement aidé à dissimuler les crimes d’Epstein. Toute l'équipe Lead Stories est remplie d'anciens et actuels employés de CNN, ainsi que d'autres points de vente MSM.
RépondreSupprimerDeux autres organisations qui se sont associées à Facebook et ont vérifié TMU sont Science Feedback et Africa Check, qui prétendent toutes deux identifier et dénoncer la propagation de la désinformation. Science Feedback se décrit comme «un réseau mondial de scientifiques triant les faits de la fiction dans la couverture médiatique scientifique. Notre objectif est d'aider les lecteurs à savoir à quelles nouvelles se fier ». Africa Check dit qu'ils sont une organisation à but non lucratif qui tente "d'améliorer la qualité des informations disponibles pour la société à travers le continent".
Comme avec Lead Stories et Newsguard, Africa Check utilise la sémantique pour étiqueter une histoire fausse ou trompeuse. Science Feedback utilise une stratégie similaire, projetant The Mind Unleashed (et d'autres sites médiatiques alternatifs) dans un réseau de «désinformation» lié à un rapport sur le potentiel d'une «mini-ère glaciaire».
Fait intéressant, la liste des partenaires d’Africa Check comprend la Fondation Bill et Melinda Gates, encore un autre exemple de la façon dont les Gates ont étendu leur influence et leur programme dans le monde - cette fois dans le cadre d’un effort pour contrôler le dialogue autour de sujets brûlants. Gates a également financé l'exercice de simulation de pandémie Event 201 qui a discuté de la possibilité de censurer Internet ou même d'arrêter des individus qui diffusaient des informations jugées fausses. Africa Check est également partenaire des Fondations Open Society financées par George Soros.
COMMENT LIMITER LA DISCUSSION ET CONTRÔLER LE NARRATIF
La stratégie pour les sociétés de médias sociaux et les vérificateurs de faits est simple: étiqueter quelqu'un de fausses nouvelles, réduire sa portée avec une manipulation algorithmique, l'obliger à se conformer à des commandes arbitraires si elles veulent que la fausse étiquette soit supprimée, contrôler le récit et façonner la conversation.
Au cours des deux dernières années, j'ai vu de bons journalistes travaillant dur et des membres des médias indépendants / alternatifs se battre pour maintenir l'intégrité et faire des reportages véridiques sur des sujets controversés tout en marchant sur des coquilles d'œufs pour ne pas déranger les vérificateurs des faits. Par exemple, fin février, un écrivain a fait vérifier un article pour discuter des divers rapports sur COVID-19 en cours de conception dans un laboratoire. Le vérificateur des faits de Facebook a déclaré:
«Comme expliqué dans notre vérification des faits, l'allégation qui a été rapportée dans votre article, à savoir que le coronavirus a été créé dans un laboratoire, n'est pas étayée par des preuves et est en fait contredite par de multiples études scientifiques indiquant que le virus est originaire naturellement de la faune. "
L'auteur de cet ordre particulier a en fait fait de grands efforts pour indiquer clairement que certaines sources n'étaient pas d'accord avec la réclamation, mais selon le vérificateur des faits de Facebook, «il ne reconnaît pas que la réclamation est fausse au départ, donnant aux lecteurs l'impression trompeuse que il existe un doute scientifique légitime sur la question lorsque ce n'est pas le cas. »
RépondreSupprimerEn d'autres termes, il n'y a aucune raison de dire au public que certains professionnels et chercheurs ont une théorie différente sur les origines du virus. Peu importe ce qui était proposé au vérificateur des faits, il n'y avait aucun compromis. Non seulement ils voulaient que le titre soit modifié et qu'une note de l'éditeur soit jointe reconnaissant la prétendue affirmation «fausse», mais ils ont dit qu'ils ne supprimeraient pas la fausse étiquette de nouvelles si nous supprimions l'article. Les options consistaient essentiellement à maintenir l'article en place et à le respecter, ou à le maintenir, à ne rien changer et à être étiqueté comme de fausses nouvelles.
Dans les courriels de Newsguard, TMU a été admonesté pour "son histoire de promotion des théories du complot liées aux attaques du 11 septembre et aux attaques d'armes chimiques de Douma, en Syrie, ainsi que sa promotion de la marijuana comme remède contre le cancer dans les histoires". Il est clair que quiconque n'achètera pas les récits officiels des grands événements géopolitiques de notre époque, ou ne soutiendra pas le Big Pharma kool-aid - sera puni.
Malheureusement, les censeurs gagnent parce que de nombreux médias alternatifs choisissent de s'autocensurer dans l'espoir que les choses s'améliorent à long terme ou que cela leur permettra de rester sur la plate-forme plus longtemps et de continuer à toucher plus de personnes. . Comme nous le voyons maintenant, c'est une stratégie perdante.
DEUX ANS APRÈS LE PARTENARIAT FB-ATLANTIC COUNCIL ET LA PURGE INDÉPENDANTE DES MÉDIAS
Vérificateurs des faits
Ce que nous assistons aujourd'hui, en mai 2020, c'est la poursuite de la lutte contre les «fausses nouvelles» qui a commencé immédiatement après l'élection de Donald Trump. En novembre 2016, le professeur agrégé du Merrimack College, Melissa Zimdars, a publié un document public de Google intitulé «Faux, trompeuses, Clickbait-y et / ou sources d'actualités satiriques», qui est devenu viral après avoir été signalé par la plupart des médias traditionnels.
En l'espace de quelques semaines, une nouvelle liste est apparue en ligne d'une organisation s'appelant PropOrNot, un groupe de chercheurs prétendument indépendant essayant de trouver la vérité sur la diffusion de la propagande russe et des fausses nouvelles. Cette liste contenait également des noms d'éminents médias indépendants comme Anti Media, The Corbett Report, Mint Press News et bien d'autres.
C'est cette combinaison de la liste Zimdars et de la liste PropOrNot qui a eu pour effet immédiat de placer une cible sur la grande majorité des journalistes et médias indépendants qui ont également été accusés d'avoir conspiré directement ou indirectement avec les Russes. Les sites Web et les pages de médias sociaux de ces points de vente ont commencé à subir une réduction drastique de la portée et de l'interaction avec leur public. De nombreux sites Web ont perdu l'accès à l'argent publicitaire de Google en raison de ces fausses associations. Le problème est que la majorité des médias traditionnels ont incontestablement rapporté et répété les affirmations de ces deux listes sans aucune tentative d'enquête.
En janvier 2018, PropOrNot serait exposé pour ses liens avec The Atlantic Council, un groupe de réflexion ayant des liens avec le complexe militaro-industriel de l'ouest. Par coïncidence, en mai 2018, Facebook a annoncé un partenariat avec le Conseil de l'Atlantique, qui prétend officiellement offrir un forum aux dirigeants politiques, commerciaux et intellectuels internationaux. Le géant des médias sociaux a déclaré que le partenariat visait à empêcher Facebook de «subir des abus pendant les élections».
RépondreSupprimerLe communiqué de presse a encouragé les efforts de Facebook pour lutter contre les fausses informations en utilisant l'intelligence artificielle, ainsi qu'en travaillant avec des experts externes et des gouvernements.
«Aujourd'hui, nous sommes ravis de lancer un nouveau partenariat avec le Conseil de l'Atlantique, qui jouit d'une excellente réputation dans la recherche de solutions innovantes à des problèmes difficiles. Les experts de leur laboratoire de recherche judiciaire numérique travailleront en étroite collaboration avec nos équipes de sécurité, de politique et de produits pour obtenir des informations et des mises à jour Facebook en temps réel sur les menaces émergentes et les campagnes de désinformation du monde entier. Cela contribuera à augmenter le nombre «d'yeux et d'oreilles» que nous avons pour repérer les abus potentiels sur notre service - nous permettant d'identifier plus efficacement les lacunes dans nos systèmes, de prévenir les obstacles et de garantir que Facebook joue un rôle positif lors des élections tout autour du monde."
Le Conseil atlantique des États-Unis a été créé en 1961 pour renforcer le soutien aux relations internationales. Bien qu'il ne soit pas officiellement lié à l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord, le Conseil de l'Atlantique a consacré des décennies à promouvoir des causes et des problèmes qui profitent aux États membres de l'OTAN. En outre, le Conseil de l'Atlantique est membre de l'Organisation du Traité de l'Atlantique, une organisation faîtière qui «agit en tant que facilitateur de réseau dans la région euro-atlantique et au-delà». L'ATO fonctionne de manière similaire au Conseil de l'Atlantique, réunissant des dirigeants politiques, des universitaires, des responsables militaires, des journalistes et des diplomates pour promouvoir des valeurs favorables aux États membres de l'OTAN.
Officiellement, l'ATO est indépendant de l'OTAN, mais la ligne entre les deux est très mince.
Essentiellement, le Conseil de l'Atlantique est un groupe de réflexion qui peut offrir aux entreprises ou aux États-nations l'accès à des responsables militaires, des politiciens, des journalistes, des diplomates, etc., pour les aider à élaborer un plan de mise en œuvre de leur stratégie ou vision. Ces stratégies impliquent souvent d'amener les gouvernements de l'OTAN ou les initiés de l'industrie à prendre des décisions qu'ils n'auraient peut-être pas prises sans la visite de l'équipe du Conseil de l'Atlantique. Cela permet à des individus ou à des nations de faire valoir leurs idées sous le couvert de l'embauche de ce qui semble être une agence de relations publiques, mais vend en fait l'accès à des individus de haut niveau ayant le pouvoir d'affecter la politique publique. En effet, tout le monde de George H.W. Bush à Bill Clinton à la famille de l'agent international du désordre Zbigniew Brzezinski ont pris la parole ou assisté à des événements du conseil.
En 2016, le New York Times a écrit: «L'Atlantic Council, qui a vu ses revenus annuels augmenter de 21 millions de dollars à 21 millions de dollars au cours de la dernière décennie, offre un accès aux représentants des États-Unis et des gouvernements étrangers en échange de contributions. Des donateurs individuels, comme FedEx, ont également aidé à financer des rapports spécifiques qui cadrent avec leurs programmes. » Le Times a écrit que l'octroi d'un soutien financier est récompensé par «un« niveau d'information et d'accès sans précédent », y compris la possibilité d'avoir un dirigeant d'entreprise, si la société fait un don d'au moins 50 000 $ par an, parler lors d'un événement du Conseil de l'Atlantique» avec les meilleurs États-Unis. et les dirigeants étrangers présents. "
RépondreSupprimerSelon leur site Web, «le laboratoire de recherche judiciaire numérique du Conseil atlantique (DFRLab) a opérationnalisé l'étude de la désinformation en révélant des mensonges et des fausses nouvelles, en documentant les violations des droits de l'homme et en renforçant la résilience numérique dans le monde entier.» Le DFRLab suit les campagnes mondiales de désinfo, les fausses nouvelles et les «tentatives subversives contre la démocratie tout en enseignant aux compétences du public à identifier et dénoncer les tentatives de polluer l'espace d'information».
La liste des soutiens financiers du Conseil de l'Atlantique se lit comme un who's who des think tanks et des organisations non gouvernementales. Le Conseil de l'Atlantique reçoit des fonds de la Brookings Institution, de la Carnegie Endowment, du Cato Institute, du Council on Foreign Relations et de la Rand Corporation, pour n'en nommer que quelques-uns. En outre, divers membres du Complexe militaro-industriel sont des bienfaiteurs du Conseil de l’Atlantique, notamment Huntington Ingalls, le seul fabricant américain de porte-avions; Airbus, le constructeur d'avions; Lockheed Martin, le constructeur naval et la société d'aviation; et Raytheon, qui fabrique des systèmes de missiles. Toutes les entreprises ont des contrats avec le département américain de la Défense et offrent un soutien financier au Conseil de l'Atlantique. Le Conseil reçoit également le soutien de Chevron et de la Fondation Thomson Reuters. Enfin, le Conseil de l'Atlantique reçoit un soutien financier direct des départements américains de l'armée de l'air, de l'armée, de la marine et de l'énergie et de la mission américaine auprès de l'OTAN.
En octobre 2018 - seulement cinq mois après le partenariat du Conseil de l'Atlantique avec Facebook - le géant des médias sociaux a annoncé qu'il ne publierait pas ou ne purgerait pas plus de 500 pages et 200 comptes qui sont accusés de diffuser du spam politique. Plusieurs de ces pages et écrivains ont également été supprimés de Twitter le même jour.
"Aujourd'hui, nous supprimons 559 pages et 251 comptes qui ont systématiquement enfreint nos règles contre le spam et coordonné un comportement inauthentique", a déclaré Facebook dans un article de blog. Facebook déclare que les personnes derrière ce spam présumé "créent des réseaux de pages en utilisant de faux comptes ou plusieurs comptes avec les mêmes noms" et "publient les mêmes messages sur les appâts cliquables dans des dizaines de groupes Facebook".
Près de 3 ans plus tard, nous voyons toujours les répercussions de la purge des voix des médias indépendants. Dans le sillage de COVID-19 et des appels à endiguer le flux de «désinformation», nous verrons probablement plus de censure et de purge numérique. Ceux qui tentent de rester informés et conscients doivent reconnaître que le fait de recevoir vos nouvelles de Google, Facebook, YouTube, etc., vous gardera piégé dans une bulle d'informations aseptisées et approuvées par l'État.
https://www.thelastamericanvagabond.com/censorship/this-is-why-you-cant-trust-the-fact-checkers/
Gestion des crises de coronavirus - ce qui s'est réellement passé et pourquoi il a échoué
RépondreSupprimerAntony Mueller
15 mai · 13 min de lecture
La fermeture de l’économie et l’arrêt de la vie sociale n’ont pas contenu l’épidémie. Le virus s'est propagé et en plus des dommages causés par l'épidémie elle-même, d'immenses dégâts supplémentaires ont frappé de nombreuses personnes en raison de la fermeture.
Prédictions problématiques
En tant qu'économiste, je suis formé à faire des prévisions et suis donc familier avec les pièges de faire des prévisions. De nombreux processus économiques ont des tendances similaires à celles des épidémies. De la propagation de nouveaux produits aux récessions et aux contagions qui se produisent lors des crises monétaires, des processus similaires aux «pandémies» ont lieu. Largement ignorée lors de sa création, et au début, elle ne progresse que lentement, et les crises restent souvent non détectées jusqu'à ce qu'il soit trop tard. Lorsque le problème retient enfin l'attention, les autorités ont tendance à réagir de manière excessive. Des contre-mesures sont prises qui ne contiennent pas le problème mais aggravent les problèmes.
Il aurait souvent été préférable de ne rien faire et de laisser les choses suivre leur cours. Pourtant, les gouvernements sont invités à faire quelque chose. La population est surexcitée alors que les médias demandent sans réserve que quelque chose doit être fait. Le même type d'erreur qu'il se produit souvent dans la politique économique a également été le cas avec le verrouillage en 2020.
Les modèles de prévision épidémiologique ne sont pas meilleurs que ceux des économistes. Peu différent des évolutions dynamiques de l'économie, il est également presque impossible de prévoir dans le temps et avec clarté la forme et la dimension futures d'une épidémie. Les processus épidémiques se produisent sous la forme d'une «courbe de croissance» qui est un développement quantitatif bien connu en économie, finance et biologie.
Lorsqu'un processus se développe à un rythme constant, l'augmentation globale commence petit mais devient de plus en plus importante au fil du temps jusqu'à son effondrement inévitable. Une culture bactérienne, par exemple, se développera lentement au début et gagnera en vitesse au fil du temps jusqu'à ce qu'elle se termine par un effondrement total lorsqu'il ne reste plus d'hôte.
Comme on peut le voir dans le graphique ci-dessous (figure 1), l'épidémie de coronavirus suit le schéma typique d'une courbe dite de croissance logistique avec les caractéristiques d'une croissance presque plate au début, suivie d'une augmentation de plus en plus forte jusqu'à un pic de où la courbe se baisse.
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Figure 1: Décès quotidiens mondiaux de COVID-19 signalés du 22 janvier au 15 mai 2020
Source: Notre monde en données. Rapport 15 mai 2020
On peut voir que la courbe est presque plate de janvier à début mars mais a pris un virage à la hausse marqué dans la seconde moitié de mars 2020, d'abord modérément et fin mars à une vitesse croissante. De la mi-mars au début de mai 2020, le nombre de décès confirmés quotidiennement a augmenté jusqu'à ce qu'il atteigne un sommet au début de mai et diminue depuis la mi-avril 2020.
Pour mieux expliquer un tel processus de croissance plus en détail et mettre en évidence ses caractéristiques, il permet de styliser la courbe et de se concentrer sur son début et la partie exponentielle du processus de croissance (figure 2).
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Figure 2: Exponential growth process
Les courbes de ce graphique (figure 2) indiquent qu'au début du processus avec son déplacement de a à b le long de l'axe du temps (t), l'existence d'un processus exponentiel est encore méconnaissable. Dans le monde réel, sous l'incertitude des données, un pronostic précoce aurait facilement pu être linéaire comme le montre la ligne P1. Au cours de la première moitié du processus, de presque plat au début (ab) à l'étirement auquel la courbe devient visiblement exponentielle (bc), la moitié du temps s'est déjà écoulée (de a à b) jusqu'à son point final (d) a été atteint. Néanmoins, autour du point b, la projection suggérerait encore un développement relativement modéré (P2) car le mouvement de la courbe n'est encore que légèrement courbé vers le haut après avoir atteint le stade b et les effets du processus (Q1) sont encore faibles par rapport à ce qu'ils sera à la fin. Entre b et c, il peut sembler que le processus est toujours gérable. Après tout, l'effet quantitatif (axe vertical) n'a augmenté que jusqu'à Q2 sur l'axe vertical.
La partie de c à d représente la partie dramatique de la courbe de croissance exponentielle. Dans environ un septième du laps de temps total de presque plat à presque vertical (en d), la plus grande partie des effets se produit dans le laps de temps de c à d. Dans cette phase, la vitesse du changement est si rapide qu'en cas de problème politique néfaste, les autorités sont surchargées par les événements et tombent dans une panique, ce qui favorise la prise de mauvaises décisions.
À leur début, les processus de croissance exponentielle restent généralement non détectés. Pourtant, lorsqu'ils sont reconnus, ils motivent souvent leurs découvreurs à exagérer leur dimension. Lorsqu'il s'agit d'une question de politique et que les médias se saisissent de la question, la prise de décision publique a tendance à rejeter un jugement sain.
Une prise de décision désastreuse a également eu lieu lors de la confrontation avec la pandémie du coronavirus. Dans une attaque de panique, les gouvernements du monde entier ont mis en œuvre des mesures sévères pour bloquer la propagation du coronavirus. Le verrouillage de l'économie comprenait la fermeture d'écoles, la suspension d'événements sportifs et culturels, la fermeture de restaurants et la fermeture d'entreprises non essentielles. De nombreux gouvernements ont implanté une politique de distanciation sociale.
Échec de la politique «d'aplatissement de la courbe»
Les militants pour un verrouillage de l'économie ont justifié les mesures par l'affirmation que les mesures de contrôle «aplatiraient la courbe». Ces défenseurs de la politique et de la science ont affirmé que sans verrouillage, le système de santé existant serait surchargé par la vague de patients. Dans de nombreuses variantes, le modèle a balayé le monde entier et a été reproduit dans chaque coin du monde qui montrait la courbe avec un pic élevé et une petite base contrairement à une courbe avec un pic bas et une base plus large (figure 3).
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Figure 3: Le concept «d'aplatir la courbe»
Source: Tout ce que vous devez savoir sur le coronavirus. Filaire
Comme s'il s'agissait d'une commande venant d'en haut, le modèle d '«aplatissement de la courbe» a rapidement été adopté dans les échelons du pouvoir. «Aplatir la courbe» est devenu le mantra à travers l'Europe à quelques exceptions près. Les États-Unis ont également déclenché des blocages dans tout le pays. Les décideurs ont rejeté la critique selon laquelle les modèles ne représentent pas pleinement la réalité et sont nécessairement basés sur des hypothèses. Dans le cas du modèle d'aplatissement de la courbe, l'hypothèse était que l'on sait très tôt qu'un processus de croissance exponentielle est en marche. En tant que tel, le modèle d'aplatissement de la courbe laisse entendre que les autorités pourraient savoir dès le départ qu'une épidémie dangereuse se profile. Comme on peut le voir sur le graphique (figure 3), les mesures de protection sont supposées commencer dès le début à un moment où l'épidémie commence. Pourtant, cela est impossible en réalité.
RépondreSupprimerIl faut du temps avant que la propagation d'une maladie infectieuse puisse être identifiée comme une épidémie. Il existe un décalage considérable entre le début factuel du processus et sa reconnaissance. D'autres décalages se produisent entre la reconnaissance et le diagnostic. Des retards supplémentaires découlent de l'évaluation des risques de l'événement jusqu'à la prise de décision et la mise en œuvre des mesures. Enfin, le temps passe jusqu'à ce que les mesures prennent effet. Il arrive rarement que les mesures de politique publique donnent le résultat escompté et nécessitent donc un réglage fin qui prend du temps.
Le modèle d'aplatissement de la courbe (figure 3) suggère qu'avec des mesures de protection, la propagation du virus se produirait plus lentement et conduirait à un point haut plus bas que ce ne serait le cas sans mesures de protection. La politique affirme que le pic du nombre de patients serait plus faible car le nombre total de cas à traiter s'étalerait sur une plus longue période.
Ce qui s'est vraiment passé était tout à fait différent.
Comme expliqué ci-dessus, un processus de croissance exponentielle (figure 2) apparaît à ses débuts car rien de particulier et basé sur les données disponibles ne suggère une projection linéaire de son évolution. Ce fut également le cas avec le coronavirus. Début 2020, la propagation exponentielle du coronavirus était à peine reconnaissable. Pourtant, à l'époque, l'épidémie était déjà bien avancée. Lorsque les mesures d'aplanissement de la courbe ont commencé, l'épidémie se dirigeait déjà vers son apogée. La représentation correcte des courbes dans le modèle d'aplatissement de la courbe ne doit pas laisser la courbe aplatie commencer au même moment que la courbe qui montre le développement sans mesures de protection.
Un modèle réaliste doit tenir compte des décalages temporels. Ensuite, il y a un décalage entre le développement de l'épidémie dans le monde réel et la mise en place de mesures de protection. Le processus «d'aplatissement de la courbe» commence bien plus tard que l'épidémie elle-même (figure 4).
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Figure 4: Courbes de croissance épidémique réelles, projetées et prévues par les politiques
Le graphique (figure 4) montre dans la courbe C3 le développement de facto de l'épidémie, dans la courbe C1 l'épidémie telle qu'elle a été projetée par des modèles proéminents, et dans la courbe C2 ce que les décideurs souhaitaient réaliser en «aplatissant la courbe».
Dans ce modèle (figure 4), le coronavirus a été identifié comme une épidémie au point t1. À cette époque, l'épidémie était déjà entrée dans sa phase exponentielle. Comme expliqué ci-dessus (figure 2), les processus de croissance exponentielle restent non détectés au début. Caché dans les ordures de données, seuls les spécialistes peuvent avoir un indice aux premiers stades que quelque chose est en train de se faire. Cependant, même pour l'expert, il faut du temps pour reconnaître la nature exponentielle du processus. Au moment de sa découverte (t1), une épidémie (C3) bat déjà son plein et son origine remonte dans le temps. Lorsqu'un observateur découvre que quelque chose d'inhabituel est en train de se produire, les données suffisantes sur l'origine du phénomène à l'étude sont difficilement disponibles et le chercheur doit donc utiliser ce qui est à portée de main et qui, dans le cas d'une épidémie présumée, est en train de tester. Dans le cas des épidémies, les tests à ce moment-là découvrent généralement un processus de croissance exponentiel.
RépondreSupprimerLorsque les experts font leurs projections, la véritable dimension du processus est nécessairement encore inconnue. Pourtant, plus la projection d'un processus nuisible est dramatique, plus il est probable qu'elle attirera l'attention des médias, du public et, surtout, des décideurs politiques. C'est ce qui s'est produit dans le cas de l'épidémie de coronavirus.
Comme on le sait maintenant, les projections des effets de l'épidémie de coronavirus en termes de «cas» qui nécessiteraient un traitement médical (C1) ont été massivement exagérées par rapport à sa trajectoire réelle (C3), qui, bien sûr, n'était pas encore connue au moment du pronostic. Pourtant, c'est la projection (C1) de leur exagération qui a incité les décideurs à initier (t2) leurs mesures afin d'aplatir la courbe (C2). Ce n'est qu'avec un retard considérable qu'un verrouillage pourrait prendre effet. Comme il s'est avéré à ce jour, la véritable dimension de l'épidémie de coronavirus était beaucoup plus petite que prévu. Le verrouillage est arrivé trop tard pour avoir des effets significatifs sur la propagation des infections et, plus encore, la fermeture de l'économie et l'arrêt de la société étaient également inutiles. Même si la pandémie avait atteint la dimension prévue, les mesures pour la contenir seraient venues trop tard.
En Europe et aux États-Unis, le coronavirus était reconnu comme une épidémie potentielle à une époque où le véritable processus épidémique était déjà bien avancé pour que les observations aient lieu alors que la courbe de croissance était déjà au stade de sa croissance exponentielle (t1) . À cette époque, le modèle de pronostic prédictif prévoyait une pandémie extrême (C1) qui, comparée à ce qui s'est produit plus tard (C3), suggérait une dimension de cas qui dépasserait largement la pleine capacité (FC) des systèmes de soins de santé existants. Les décideurs politiques ont opté pour une mise en œuvre rapide de mesures de confinement sévères (C2) afin d'aplatir la courbe C1 imaginaire et de réduire le nombre de cas nécessitant un traitement en adéquation avec les capacités existantes.
L'Allemagne, par exemple, est célébrée pour sa maîtrise réussie de l'épidémie, mais il est largement passé inaperçu que le verrouillage et l'application de la distanciation sociale ont été mis en œuvre le 23 mars 2020, alors que le taux de contagion était déjà tombé en dessous du seuil de 1. (un) ce qui signifie que la propagation de l'infection n'est plus à la hausse. (Figure 5)
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Figure 5: Taux de reproduction (R) du coronavirus en Allemagne
D'après des données du Robert-Koch-Institut, Allemagne (RKI)
Les chiffres du Centre allemand officiel pour le contrôle et la prévention des maladies, l'Institut Robert Koch (RKI), montrent que le soi-disant «taux de reproduction» des infections par le coronavirus a commencé à reculer de son pic dès le 11 mars (b) et avait tombé en dessous du niveau critique d'un jour déjà avant la mise en œuvre du verrouillage ©. À cette époque, la propagation de l'infection était déjà terminée. Pas différent de ce qui s'était passé dans de nombreux autres pays, des projections dramatiques ont été publiées en Allemagne à une époque où le taux de reproduction était dans sa phase d'accélération (a) pourtant quand les mesures préventives ont été prises, la vitesse de contagion était déjà au-delà de son pic b) et au moment où le verrouillage a été imposé ©, une telle mesure avait déjà perdu toute raison d'être.
RépondreSupprimerVerrouillage inefficace
Le verrouillage n'a pas aidé à contenir l'épidémie, mais a causé d'immenses dégâts, y compris des pertes de vie et de santé. Alors que les gouvernements ont déclaré que sauver des vies était l'objectif de fermer une grande partie de l'économie, les mesures ont produit le contraire et continueront de coûter le bien-être matériel et la santé de nombreuses personnes même après la levée de l'isolement.
Les mesures d'aplatissement de la courbe ont commencé lorsque le nombre de nouvelles infections a augmenté à ses vitesses maximales approchant déjà de leur pic. À ce stade, les mesures prises ne prendraient nécessairement effet qu'après un délai de mise en œuvre, de sorte que le verrouillage deviendrait effectif à un moment où les mesures étaient inutiles pour contenir l'épidémie car le nombre de nouvelles infections dépassait déjà son maximum (voir figure 6) .
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Figure 6: Time Lag of Flattening the Curve through Lockdown
Comme le montre le graphique et comme le confirment les statistiques disponibles, le verrouillage n'a pas aplati la courbe. Le verrouillage est arrivé trop tard pour avoir un effet important. De plus, l'épidémie a été moins dramatique que ce qu'elle avait perçu au moment du déclenchement des fermetures. Ce n'est que dans quelques pays, notamment en Italie et en Espagne (figure 7), ou dans des endroits spécifiques, que les pics ont été pendant un court moment supérieurs à la capacité du système de soins de santé, qui s'est également avéré plus flexible que prévu.
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Figure 7: Nombre total de décès déclarés pour l'Italie et l'Espagne, 2016-2020, semaine 20
Source: EuroMOMO: rapport pour la semaine 20, 2020
Selon le Bulletin EuroMOMO, qui surveille les taux de mortalité en Europe, la majorité des pays n'ont pas connu de surmortalité au cours de la saison d'hiver 2019/2020 et les pics de mortalité sont restés en dessous ou dans la fourchette des phases précédentes des épidémies de grippe. Dans les pays où le pic de 2020 a dépassé les taux de mortalité excédentaire antérieurs, le sommet des pics était plus élevé, mais sa base était plus petite, ce qui signifie que dans ces pays également, le nombre total de décès saisonniers n'a pas augmenté.
Le score pour tous les âges (figure 8) pour les décès signalés en Europe montre qu'il y avait un pic plus élevé en 2020 que les années précédentes. Cependant, comme la base en 2020 était plus petite que les années précédentes, le nombre total de décès n'était pas significativement plus élevé.
Figure 8: Nombre total de décès signalés tous âges confondus, Europe 2016 à 2020 semaine 20
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Source: EuroMONO: rapport pour la semaine 20, 2020
Conclusion
RépondreSupprimerMême après des mois de son apparition, la véritable nature du coronavirus reste encore floue. En revanche, les dégâts du verrouillage sont déjà certains. Bien qu'il faudra du temps avant que les coûts et les avantages ne soient pleinement vérifiés, il est évident que la fermeture de l'économie et l'arrêt de la vie sociale coûteront plus de vies que celles qui ont été sauvées. En ce sens, le verrouillage de 2020 représente un démocide, défini comme un meurtre par son propre gouvernement.
Alors que nous sommes sur le point d'entrer dans une nouvelle grande dépression, il y a une ressemblance tragique entre ce qui s'est passé pendant la Grande Dépression des années 1930 et ce qui se passe actuellement avec les ravages du blocage. Dans les deux cas, les gouvernements ont prolongé et approfondi l'agonie.
Le verrouillage de 2020 entrera très probablement dans l'histoire comme le premier démocide du 21e siècle, comme une guerre mondiale que les gouvernements ont infligée à leurs propres nations sans aucun besoin rationnel dans une pure panique - à partir d'une combinaison d'orgueil, l'arrogance du pouvoir et de la folie pure et simple avec le plein soutien de leurs populations endoctrinées par les médias, médiatisées.
Lorsque la misère totale de l'isolement devient visible, nous devons nous rappeler que les politiciens n'ont pas agi seuls mais avec le soutien des médias, de certains experts et de la grande majorité de la population. Ce qui s'est produit et se poursuit n'est rien d'autre qu'un suicide collectif.
………..
Please check my earlier articles on the subject published at Medium:
Coronavirus: The Economic Consequences of a Failed Response (March 16, 2020)
Operation successful — Patient dead (March 26, 2020)
Fooled. How Gullible Politicians Promoted the Destruction of the Global Economy and Threw Us into the Abyss of Serfdom (March 31, 2020)
How to Survive the Coronavirus. The government will not protect us — we must do it ourselves (April 22, 2020)
https://medium.com/@antonymueller/coronavirus-crisis-management-what-really-happened-and-why-it-failed-844b4c927942
Contrôle de loyers
RépondreSupprimerPar Walter E. Block
18 mai 2020
La représentante Alexandria Ocasio-Cortez (D-NY, 14e arrondissement) a appelé à un contrôle national des loyers. Le plan d’AOC est de ne pas autoriser des augmentations de loyer supérieures à 3% par an. Cela est quelque peu surprenant, étant donné qu'elle s'est spécialisée en économie à la prestigieuse Université de Boston. Avec presque tous les autres professeurs d’économie du pays, je m’efforce toujours de présenter dans mes cours d’introduction à la microéconomie le diagramme familier de l’offre et de la demande. Il démontre que les loyers inférieurs aux niveaux d'équilibre créent des pénuries. Je suppose qu'elle a raté cette conférence. Si c'est le cas, elle aurait vraiment dû obtenir les notes de cours de quelqu'un d'autre et / ou lire attentivement son manuel d'introduction.
Le sénateur Bernie Sanders lui a, au moins, fait mieux: il réclame une politique nationale de contrôle des loyers. Le gouverneur de Californie Gavin Newsom a promulgué une politique dans le même sens: les augmentations de loyer doivent être limitées à 5% par an, en plus de toute augmentation inflationniste; cela va de pair avec le fait qu'il est plus difficile d'expulser les locataires.
La politique actuelle de la ville de New York est tout à fait conforme au plan du représentant Ocasio-Cortez. Il a récemment aggravé sa précédente législation plutôt draconienne sur le contrôle des loyers. L'objectif présumé est d'aider les locataires. Mais il y a quelque chose en économie appelé «conséquences involontaires». Traduction: «les plans des souris et des hommes s'égarent souvent.»
Supposons, au lieu d'exacerber ses règles de contrôle des loyers, que le conseil municipal de cette grande ville ait essayé ce genre de chose avec un bien de consommation différent. Supposons que la Big Apple ait adopté une loi fixant un plafond de 1 $ pour un repas de restauration rapide.Le résultat évident serait que McDonalds, Burger King, Wendy’s et leurs semblables quitteraient à peu près toute la ville. Postez que le conseil municipal a exigé que les stations-service ne facturent pas plus de 1 $ par gallon. Un résultat similaire s'ensuivrait. Les habitants de la ville de New York seraient grandement incommodés.
M. DeBlasio n'instaurerait jamais une initiative aussi ridicule. Il rirait de son bureau s'il le faisait. Pourquoi, alors, le maire pense-t-il pouvoir s'en tirer en inculquant des règles analogues pour l'immobilier résidentiel ? En effet, si les hamburgers à hamburger et à gaz peuvent facilement être installés ailleurs, il n'en va pas de même pour les bâtiments. Si les propriétaires avaient leurs «druthers», ce qui était économiquement et légalement possible, ils hissaient leurs biens immobiliers sur des véhicules à roues géants et les faisaient sortir de la ville dès que possible. La ville de New York n'aurait alors pas plus de logements pour les locataires qu'elle n'aurait de points de restauration rapide ou de stations-service, selon nos scénarios hypothétiques contraires aux faits.
Bien sûr, les propriétaires ne peuvent rien faire de tel qu’ils le souhaiteraient; diable, ils se donneraient les dents pour pouvoir tirer un snook sur les politiciens de cette manière.
Mais cette incapacité des propriétaires ne signifie pas que le contrôle des loyers n'a pas d'effets négatifs sur les résidents locaux. Ils peuvent certainement construire moins de nouvelles capacités que ce ne serait le cas autrement. Ils peuvent être légalement obligés d'entretenir et d'entretenir les appartements existants, mais ils ne le feront qu'à contrecœur. «Le client a toujours raison», qui prévaut dans la plupart des industries, et continuera de le faire pour l'immobilier commercial et industriel, qui n'a pas de tels contrôles de prix imprudents, mais ne s'appliquera pas aux unités résidentielles. Ils se battront comme les dickens pour convertir leurs avoirs en copropriétés et coopératives. Ils seront incités à - comment dire cela délicatement - à ne pas être trop mécontents si leurs bâtiments prennent feu accidentellement. Voulons-nous vraiment promouvoir de telles incitations, qu'elles soient ou non effectivement mises en œuvre ?
RépondreSupprimerLes taux de vacance vont encore chuter avec ces nouvelles dispenses. Cela aura des répercussions négatives sur la mobilité de la main-d'œuvre, lorsque les occupants craignent de renoncer à leurs logements à loyer contrôlé. Il y aura une tendance à convertir les appartements en magasins, à des fins industrielles et commerciales. De nouvelles lois devront être promulguées pour empêcher cela et ne seront pas totalement couronnées de succès. Les relations entre les propriétaires et les locataires vont encore s'effondrer (pas bien sûr pour les unités non contrôlées et non résidentielles.) New York dispose déjà de tribunaux spéciaux chargés de résoudre ces affrontements. C'est quelque chose qui n'est absolument pas nécessaire dans aucune autre industrie. Ces coûts sont importants et l'argent mal alloué dans cette direction aurait pu être dépensé de manière beaucoup plus judicieuse.
La profession d'économique n'est pas unifiée sur trop de sujets, mais celle-ci fait exception. L'opposition au contrôle des loyers s'étend de Milton Friedman et Friedrich Hayek sur un tronçon du spectre politique à plusieurs universitaires du côté opposé. Par exemple, selon le lauréat du prix Nobel d'économie Gunner Myrdal, «Le contrôle des loyers a constitué, dans certains pays occidentaux, peut-être le pire exemple de mauvaise planification par des gouvernements manquant de courage et de vision. Et selon Assar Lindbeck, un économiste suédois, "Dans de nombreux cas, le contrôle des loyers semble être la technique la plus efficace actuellement connue pour détruire une ville, sauf pour les bombardements". Presque à titre de suivi, le ministre vietnamien des Affaires étrangères Nguyen Co Thach a déclaré: "Les Américains ne pouvaient pas détruire Hanoi, mais nous avons détruit notre ville par les loyers très bas."
Il est vivement recommandé en faveur de cette politique que les locataires soient plus pauvres que les propriétaires fonciers et soient souvent obligés de consacrer un pourcentage démesuré de leur salaire au loyer. Mais, avec moins de bâtiments en construction, et un plus grand nombre d'entre eux tombant dans le désarroi en raison de l'entretien réduit, une pression à la hausse sur les niveaux des loyers, paradoxalement, aura tendance à en résulter. C'est un truisme économique que moins l'offre, toutes choses égales par ailleurs, plus le prix est élevé. Il n'y a pas d'exceptions pour le logement, ou basé sur le fait que ces dépenses jouent un rôle important dans les budgets des ménages pauvres et de la classe moyenne.
RépondreSupprimerDans tous les cas, nous ne distinguons pas les fabricants de textiles et insistons pour qu'ils aident seuls à vêtir les pauvres, que seuls les épiciers et les restaurants les nourrissent, que les fournisseurs d'automobiles, de climatiseurs et de téléviseurs mettent seuls ces produits à la disposition de ceux qui n'en ont pas les moyens. . Tous ces transferts de revenus proviennent des fonds généraux. Je ne suis en faveur d'aucune de ces politiques, mais juste est juste. Pourquoi le logement devrait-il être différent? Pourquoi les propriétaires devraient-ils, seuls, supporter tout le fardeau du logement des pauvres ?
Non seulement ces dernières violations des droits de propriété privée devraient être annulées, mais l'idée même que le contrôle des loyers peut atténuer les pénuries de logements et les frais élevés devrait être confinée dans la poubelle non seulement de l'histoire, mais aussi de l'économie. D'un point de vue juridique, c'est une prise. Les propriétaires devraient être indemnisés pour cette saisie de la (valeur de) leur propriété.
https://www.lewrockwell.com/2020/05/walter-e-block/rent-control/
Ce n'est pas le "virus" qui a écrasé l'économie, ce sont les gens qui ont obéi
RépondreSupprimerPar Mac Slavo
SHTFplan.com
18 mai 2020
La plupart des atrocités de l'histoire humaine ont toutes été commises par des individus et des agents du gouvernement qui «ne faisaient que suivre les ordres» ou «obéissaient simplement à la loi». Le virus n'a donné aucun ordre. Ce sont les gens qui ont obéi aux ordres des tyrans qui ont écrasé l'économie et ruiné les moyens de subsistance des autres.
La plupart des êtres humains pensent encore comme des esclaves. Au lieu de poser des questions ou d'utiliser des compétences de pensée critique pour demander si quelque chose va bien avant de le faire, ils obéissent simplement à une «autorité» perçue. La vérité est que ce verrouillage est la faute de tous ceux qui se sont conformés et de tous ceux qui ont utilisé forcé de se venger de ceux qui ont désobéi. C'était la même chose dans toutes les prises de contrôle tyranniques de l'histoire.
Les médias grand public continuent de blâmer la dévastation économique du coronavirus, mais ce n'était pas la faute d'un virus. C'était la faute du gouvernement et la mentalité d'esclave de la police et du public obéissant volontiers à leurs ordres.
Les médias grand public essaient toujours désespérément de faire tourner le récit et de reprocher à «l’ennemi invisible» le bilan très réel de la vie humaine que la réaction excessive du gouvernement a déjà causé. Ce n'est rien de plus que de la propagande, et une fois que vous l'aurez récupérée, vous pourrez la voir. Les médias ne veulent pas que vous mettiez le blâme là où il appartient et que vous compreniez les choses par vous-même, alors ils se cachent derrière des titres de tromperie qui vous garderont dans la peur de COVID-19 aussi longtemps que possible.
Tout cela fait partie du plan plus large visant à empêcher le public de paniquer à propos d'un virus et à détourner le regard lorsque les bottes tyranniques de l'État tombent dessus. Nous savons que c'est ce que font les médias, et nous savons qu'ils le font pour maintenir la classe dirigeante au pouvoir et le public paniqué et dans un état de peur constant afin qu'ils se conforment à toutes les mesures d'asservissement.
Larken Rose, l'auteur de Most Dangerous Superstition, explique à quel point il est horriblement dévastateur pour les humains de ne pas évoluer au point de ne pas dire «non» à un commandement immoral. La principale menace à la liberté et à la justice n'est ni la cupidité, ni la haine, ni aucune des autres émotions ou défauts humains généralement blâmés pour de telles choses. Au lieu de cela, c'est une superstition omniprésente qui infecte l'esprit des gens de toutes races, religions et nationalités, qui trompe les personnes décentes et bien intentionnées en soutenant et en préconisant la violence et l'oppression. Même sans rendre les êtres humains un peu plus sages ou vertueux, supprimer cette superstition éliminerait la grande majorité des injustices et des souffrances du monde.
RépondreSupprimerAu lieu d'obéir aveuglément aux commandes, réfléchissez-y et demandez si ce que vous faites est bien. Avez-vous le droit moral de prendre les droits des autres? Appliquer même la plus petite quantité de pensée critique à quelque chose peut généralement amener les gens à ce qui est bien. Mais vous devez être prêt à vous regarder, à corriger vous-même vos erreurs et à assumer la responsabilité de vos propres actions. C'est exactement pourquoi la plupart des Américains ne le feront pas. Blâmer un virus et obéir aveuglément à la classe dirigeante et à ses fantassins est beaucoup plus facile que la pensée critique.
L'état policier et la tyrannie vous sont apportés par ceux qui souhaitent suivre les ordres, quelle que soit la moralité de l'ordre. Les tyrans ne peuvent pas avoir le pouvoir sans que les gens soient prêts à faire respecter la tyrannie. S'il n'y a pas de suiveurs d'ordre, il n'y a pas d'ordre.
Reprinted with permission from SHTFplan.com.
https://www.lewrockwell.com/2020/05/mac-slavo/it-wasnt-the-virus-that-crashed-the-economy-it-was-the-people-who-obeyed/
REGARDER: Le chef britannique confirme (encore une fois) que covid19 est inoffensif pour la grande majorité
RépondreSupprimerDepuis le début de cette crise, nous avons souligné qu'il y a deux messages mutuellement contradictoires au cœur du déploiement de covid19, et, tout comme Orwell le décrit en 1984, un point majeur de l'exercice semble être d'amener les gens à croire les deux à la fois.
Catte Black
1. «AYEZ PEUR…»
Le premier message est que covid19 est terrifiant, unique, une menace existentielle pour la race humaine.
Ce message ne provient jamais de beaucoup de faits, car les faits concernant le virus ne le soutiennent pas vraiment. S'il cite quoi que ce soit de solide, c'est le modèle informatique impérial affreusement bâclé et discrédité, ou certaines recherches génériques sur la pathologie des infections graves ou des syndromes viraux rares, qu'il essaie de considérer comme uniques à covid19, même si ce n'est pas le cas. Mais surtout, il ne cite rien du tout. Ou vraiment réclamer quoi que ce soit.
Cela dit simplement aux gens d'avoir peur. Très effrayé. De la mort, de l'incertitude, du «virus», des autres, des «fausses nouvelles».
La peur encouragée n'est pas ancrée dans les faits et leur est donc imperméable.
2. «IL N'Y A RIEN DE PEU D'AVOIR…»
Le deuxième message est que covid19 est en fait assez inoffensif et pas grave.
Ce message est enraciné dans de nombreux faits, car, comme nous l'avons souligné depuis le premier jour, presque toutes les données provenant de ce virus corroborent exactement cette conclusion.
Aucun organisme officiel ne l'a jamais nié, et la plupart d'entre eux l'admettent volontiers. Régulièrement et sans ambiguïté. Ici et ici et ici et ici.
Toutes ces sources admettent que le virus est «doux» ou même asymptomatique dans la majorité des cas, et ne constitue un danger que pour les personnes déjà malades ou gravement immunodéprimées. Tout comme la plupart des coronavirus.
Donc, Chris Whitty ci-dessus n'est que l'un des nombreux à le souligner et ce n'est même pas son premier essai (voir ici) pour expliquer clairement que covid19 n'est dangereux que pour une très très petite minorité de personnes, et que la plupart de ceux qui l'obtiendront le feront être très bien.
Voici une diapositive de son discours du 30 avril:
Maintenant, regardons ce qu'il dit dans la vidéo ci-dessus, le 11 mai [notre accent]:
[L] a grande majorité des gens ne mourront pas de cela et je vais juste répéter quelque chose que j'ai dit dès le début parce que je pense que cela mérite d'être renforcé:
La plupart des gens, une proportion importante de la population, ne recevront pas du tout ce virus, à aucun moment de l'épidémie qui va durer longtemps.
Parmi ceux qui le font, certains attraperont le virus sans même le savoir, ils auront le virus sans aucun symptôme, portage asymptomatique, et nous savons que cela se produit.
Parmi ceux qui présentent des symptômes, la grande majorité, probablement 80%, aura une maladie légère ou modérée. Cela pourrait être assez mauvais pour qu'ils doivent aller se coucher pendant quelques jours, pas assez pour qu'ils aient à aller chez le médecin.
RépondreSupprimerUne minorité malheureuse devra aller jusqu'à l'hôpital, mais la majorité d'entre eux auront juste besoin d'oxygène et quitteront ensuite l'hôpital.
Et puis une minorité de ceux-ci finiront par devoir recourir à des soins intensifs intensifs et certains mourront malheureusement.
Mais c'est une minorité, c'est 1% ou peut-être même moins de 1% dans l'ensemble.
Et même dans le groupe à risque le plus élevé, cela est nettement inférieur à 20%, c'est-à-dire. la grande majorité des gens, même les groupes les plus élevés, s'ils attrapent ce virus, ne mourront pas.
Et je voulais vraiment faire valoir ce point très clairement…
Il semble que tous les fonctionnaires veuillent «faire valoir ce point très clairement», même s’ils se comportent comme si ce n’était pas vrai.
Pourquoi ?
Il y a beaucoup de place pour la spéculation là-bas, et nous laissons le soin aux lecteurs d'entrer dans ce BTL.
Les motifs, cependant, sont moins importants que le fait fondamental et indéniable - la peur qui saisit actuellement l’esprit du public est simultanément encouragée et reconnue comme inutile par les organes qui supervisent la «réponse».
Et si suffisamment de gens se réveillaient face à la ruse du pois et du dé à coudre qu'on leur tirait, alors le coup d'État le plus dangereux et le plus ambitieux que nous ayons jamais vu contre la liberté humaine serait essentiellement stoppé.
https://off-guardian.org/2020/05/15/watch-uk-chief-medic-confirms-again-covid19-harmless-to-vast-majority/
Oxygénothérapie hyperbare pour COVID-19
RépondreSupprimerPar Joseph Mercola
Mercola.com
18 mai 2020
Je dis depuis des mois maintenant que l'oxygénothérapie hyperbare (HBOT) serait un excellent traitement d'appoint contre le COVID-19 sévère et une alternative supérieure aux ventilateurs, qui se sont révélés nuire à de nombreux patients et augmenter le risque de décès.
La ventilation mécanique peut facilement endommager les poumons du fait qu'elle pousse l'air dans les poumons avec force dans une maladie où les alvéoles sont compromises et remplies de liquide provenant de cytokines inflammatoires en raison de la résistance à l'insuline. L'OHB contourne ce problème en fournissant 100% d'oxygène dans une chambre sous pression, ce qui permet à votre corps de contourner ce défaut et d'absorber l'oxygène directement dans vos tissus.
Aucun flux d'air n'est forcé directement dans les poumons. L'OHB améliore également la fonction mitochondriale, aide à la détoxication, inhibe et contrôle l'inflammation et optimise la capacité de guérison innée de votre corps.
L'hôpital de Louisiane déploie l'OHB pour COVID-19
Le 23 avril 2020, WGNO, une station de presse locale de la Louisiane, a rapporté1 que l'hôpital général d'Opelousas en Louisiane, qui possède un centre hyperbare, déployait une «utilisation compassionnelle hors AMM» de l'OHB comme alternative pour les patients qui auraient autrement eu besoin d'une ventilation. Le Dr Kelly Thibodeaux a déclaré à WGNO:
«La chose que nous voyons avec les patients COVID-19 sévères est une complication avec une incapacité à transporter l'oxygène en plus du problème aux poumons lui-même. Ce n’est pas seulement une lésion pulmonaire. Le virus fait quelque chose aux globules rouges de certains patients…
Être à l'intérieur des chambres hyperbares ne causera pas de blessures. C'est un moyen moins invasif de fournir de l'oxygène qui ne nécessite pas de coller un tube dans la trachée. "
HBOT dans le traitement de COVID-19
- voir clip sur site -
Thibodeaux a présenté ses conclusions de cas lors d'un récent webinaire organisé par l'Association pour l'avancement des soins des plaies (AAWC). Comme expliqué dans ce webinaire, l'OHB peut aider à traiter COVID-19 en:
Inverser l'hypoxie
Réduire l'inflammation dans les poumons
Augmentation des espèces d'oxygène réactif viricide
Augmenter la régulation des peptides de défense de l'hôte augmentant le HIF
Réduction des cytokines pro-inflammatoires telles que IL-6, IL-1B, IL 18, TNF alpha et NF kappa B
Thibodeaux, qui est certifié en chirurgie générale et en soins des plaies, a collaboré avec le Dr Amer Raza, docteur en pneumologie et en soins intensifs, pour élaborer un plan de traitement inclusif utilisant l'OHB une fois par jour pendant 90 minutes.2
Dans la vidéo ci-dessus, Thibodeaux passe en revue les détails des cinq premiers cas. Tous ont constaté une amélioration rapide de leur fréquence respiratoire et une diminution spectaculaire de la CRP (un marqueur inflammatoire) et du D-dimère (une mesure de la coagulation sanguine). Le nombre de traitements requis variait entre un et neuf.
Au moment de l'enregistrement de cette vidéo, 11 patients avaient reçu l'OHB. Aucun d'entre eux n'avait besoin de ventilation et cinq avaient été libérés avec succès. À la suite de ces résultats positifs, l'Hôpital général d'Opelousas utilise maintenant l'OHB pour tous les patients souffrant d'hypoxémie résistante à l'oxygène.
RépondreSupprimerLes médecins chinois rapportent des résultats positifs en utilisant l'OHB
La décision de l'hôpital général d'Opelousas de déployer l'OHB à des fins compassionnelles a été en partie étayée par les conclusions de médecins chinois qui ont fait état3 de "résultats prometteurs" après avoir traité cinq patients atteints de COVID-19 avec l'OHB. Deux étaient dans un état critique et trois étaient graves. Tel que rapporté par l'International Hyperbarics Association: 4
«De l'oxygène hyperbare a été ajouté aux traitements complets en cours à l'hôpital pour les patients atteints de COVID-19, avec une dose de 90 à 120 minutes à des pressions de traitement de 1,4 à 1 fi.ATA.
Les résultats ont été très encourageants car ces cinq patients ont bénéficié d'importants avantages thérapeutiques, notamment un soulagement rapide des symptômes après la première séance.
La justification de l'ajout de cette procédure est d'aider à lutter contre l'hypoxémie progressive (faible taux d'oxygène dans le sang) que COVID-19 peut provoquer. L'oxygène hyperbare a la capacité d'ajouter un apport substantiel d'oxygène supplémentaire dans la circulation sanguine… »
L'OHB présente de nombreux avantages par rapport aux alternatives
Le rapport5 de Chine indique que les patients atteints d'une maladie grave à COVID-19 ont connu un soulagement rapide des symptômes hypoxiques, une correction rapide de l'hypoxémie, une amélioration de la pathologie pulmonaire et une inversion générale des conditions associées, y compris les symptômes gastro-intestinaux, l'appétit, les maux de tête et l'état mental.
Le rapport détaille également certains des mécanismes derrière HBOT et pourquoi il profite à COVID-19. Surtout, la livraison d'oxygène sous pression permet une plus grande absorption d'oxygène par le tissu pulmonaire enflammé.
Il améliore également l'absorption d'oxygène cellulaire en général, et à un degré plus élevé que l'oxygénation de la membrane extracorporelle (ECMO), qui implique l'oxygénation du sang du patient à l'extérieur du corps, puis sa remontée en circulation.
Et, alors que l'ECMO est recommandé6,7 pour les patients relativement jeunes avec peu de comorbidités qui ne répondent pas au traitement par ventilateur, le travail de l'hôpital général d'Opelousas montre que l'OHB peut être utilisé avec succès sur les patients plus âgés qui ont plusieurs comorbidités. En outre, comme indiqué dans le rapport chinois, l'OHB n'est pas en conflit avec d'autres moyens conventionnels de traitement critique: 8
«L'OHB n'est pas le traitement étiologique de COVID-19, c'est le traitement symptomatique de l'hypoxie chez les patients atteints de COVID-19, et c'est un complément à la technologie existante de traitement à l'oxygène…
En plus de l'OHB, les cliniciens des soins intensifs sont toujours responsables du traitement complet quotidien des patients sévères susmentionnés. Il n'y a aucun conflit dans la technologie de traitement. Au contraire, il peut fournir un meilleur soutien pour d'autres traitements de soutien. »
RépondreSupprimerEssai HBOT pour COVID-19 en cours
NYU Langone Health recrute également des patients COVID-19 pour une étude utilisant HBOT.9 L'étude a été publiée le 2 avril 2020 et devrait se terminer en juillet 2020. Comme détaillé sur ClinicalTrials.gov:10
«Il s'agit d'une étude de cohorte pilote prospective à centre unique visant à évaluer l'innocuité et l'efficacité de l'oxygénothérapie hyperbare (HBOT) en tant que dispositif d'investigation d'urgence pour le traitement des patients atteints d'un nouveau coronavirus, maladie, COVID-19…
Le patient recevra 90 minutes d'oxygène hyperbare à 2,0 ATA avec ou sans coupure d'air par le médecin hyperbare. À la fin du traitement, le patient retournera ensuite à l'unité médicale et continuera toutes les normes de soins…
Après la partie intervention de cette étude, un examen des dossiers sera effectué pour comparer les résultats des patients d'intervention par rapport aux patients qui ont reçu la norme de soins. "
Cette étude examinera également si l'OHB réduit la réaction aux tempêtes de cytokines qui est si répandue chez les patients atteints d'une infection sévère au COVID-19, et comment cela pourrait avoir un impact sur le processus de récupération.11 Au total, 40 patients seront inscrits. Pour être éligibles, les patients doivent être positifs pour COVID-19 et diagnostiquer une détresse respiratoire. Tous les patients seront recrutés à l'hôpital NYU Winthrop.
L'hypoxie est la première indication de l'OHB
Comme mentionné, l'Hôpital général d'Opelousas utilise désormais l'OHB pour tous les patients souffrant d'hypoxémie résistante à l'oxygène. De même, le rapport chinois12 déclare que «l'hypoxie est la première indication de l'OHB». Une autre indication de l'OHB est un diagnostic d'anoxie, c'est-à-dire une hypoxie sévère où le patient est gravement privé d'oxygène.
«L'effet thérapeutique de cinq patients a été très important, et les indices cliniques subjectifs et objectifs ont montré que la détérioration de l'hypoxie a été interrompue immédiatement, puis tout le corps s'est rétabli progressivement après le premier HBOT», indique le rapport chinois13.
«Une telle réponse de traitement cohérente, selon la loi statistique, ne peut pas être expliquée par hasard. Le mécanisme ci-dessus a démontré que l'efficacité de l'OHB chez cinq patients n'était pas accidentelle…
Les articles scientifiques, la littérature et les travaux pertinents sont infinis. La supériorité de l'OHB dans la résolution de l'hypoxie sévère chez les patients atteints de COVID-19 est clairement scientifique.
Contrairement au stade de traitement nouvellement développé ou à l'efficacité de la médecine qui est encore au stade de l'hypothèse scientifique, l'OHB n'a pas besoin de vérification des essais cliniques et d'autres méthodes d'oxygénothérapie qui ont été utilisées cliniquement, telles que la ventilation mécanique ou l'ECMO, cela peut être raisonnablement utilisé."
Thibodeaux et le rapport chinois examinent également l'excellent bilan de sécurité de l'OHB. Il n'y a vraiment aucun inconvénient au traitement, à part le fait que certains patients peuvent être trop vulnérables pour être transportés à la chambre.
RépondreSupprimerDans l'ensemble, il semble clair que l'OHB peut être un complément extrêmement précieux dans le traitement au COVID-19 et peut aider à réduire le taux de mortalité. Vous pouvez en apprendre davantage sur l'OHB - comment il fonctionne et quels sont ses avantages - dans mon article précédent, «La thérapie à l'oxygène hyperbare en tant que modalité de guérison adjointe».
Autres utilisations de l'OHB
Il est passionnant de voir cette précieuse intervention fournir des résultats aussi prometteurs dans COVID-19, ce qui est précisément ce que j'avais prévu. Cependant, l'OHB est également utile dans un large éventail d'autres troubles tels que les lésions cérébrales traumatiques (TBI), les accidents vasculaires cérébraux, les plaies et même les traitements adjuvants du cancer.
Il existe principalement deux types différents de chambres hyperbares, des coquilles souples peu coûteuses qui coûtent de 5 000 à 30 000 $ ou des chambres à coque dure de qualité hospitalière. Dans la chambre à coque dure, certains utilisent des concentrateurs d'oxygène pour fournir l'oxygène, mais les meilleurs utilisent 100% d'oxygène liquide.
Ces chambres coûtent généralement plus de 100 000 $. Le plus courant est fabriqué par Sechrist, qui est ce qu'ils utilisent dans le centre hyperbare de l'hôpital général d'Opelousas, qui a six chambres.
Sources and References
1 WGNO April 23, 2020
2 KATC3 April 16, 2020
3, 5, 8, 12, 13 Demonstration Report on Inclusion of Hyperbaric Oxygen Therapy in Treatment of COVID-19 Severe Cases (PDF)
4 International Hyperbarics Association, HBOT for COVID-19
6 ASAIO Journal March 30, 2020 doi: 10.1097/MAT.0000000000001173
7 Newswise April 24, 2020
9, 11 Clinical Research Studies NYU Langone Health, Emergency Hyperbaric Oxygen for Respiratory Distress or Failure for COVID-19 Patients
10 clinicaltrials.gov Identifier NCT04332081, Hyperbaric Oxygen for COVID-19 Patients
https://www.lewrockwell.com/2020/05/joseph-mercola/hyperbaric-oxygen-therapy-for-covid-19/
LES RISQUES PÉNAUX ENCOURUS PAR LES DIRIGEANTS D'ENTREPRISE DANS LE CADRE DE LA REPRISE D'ACTIVITÉ
RépondreSupprimerpar HORTENSE BÉTHUNE ET JACQUES-HENRI DE BOURMONT
19/05/2020
L'infraction de mise en danger d'autrui est punie d'un an d'emprisonnement et 15.000 euros d'amende pour les dirigeants
Dans le contexte actuel de crise sanitaire liée au Covid-19, la reprise d’activité fait se poser de nombreuses interrogations quant à la responsabilité pénale des dirigeants d’entreprise.
Les dirigeants d’entreprise doivent prendre un certain nombre de mesures pour assurer la sécurité et la santé des salariés.
Le Ministère du travail a mis à disposition des dirigeants des notes et fiches pratiques ainsi que des guides métiers et un protocole de déconfinement auxquels il est vivement recommandé de se référer.
Nonobstant, ces recommandations il existe de nombreuses incertitudes quant au risque pénal pesant sur les dirigeants dans le contexte actuel.
C’est la raison pour laquelle l’amendement relatif à l’atténuation de la responsabilité pénale des décideurs publics et privés adopté en première lecture par le Sénat a été très vivement débattu :
"nul ne peut voir sa responsabilité pénale engagée (...) du fait d'avoir soit exposé autrui à un risque de contamination par le coronavirus SARS-CoV-2, soit causé ou contribué à causer une telle contamination"
L’Assemblée nationale n’a finalement pas adopté cet amendement et s’est contentée de rappeler que toute appréciation d’un risque pénal doit se faire in concreto.
L’article 1 de la loi n° 2020-546 prorogeant l’état d’urgence sanitaire adoptée le 11 mai 2020 a ainsi inséré un nouvel article L.3136-2 dans le Code de la santé publique qui dispose que :
« (…) L'article 121-3 du code pénal est applicable en tenant compte des compétences, du pouvoir et des moyens dont disposait l'auteur des faits dans la situation de crise ayant justifié l'état d'urgence sanitaire, ainsi que de la nature de ses missions ou de ses fonctions, notamment en tant qu'autorité locale ou employeur. »
Ces dispositions ont été validées par le Conseil constitutionnel dans sa décision n°2020-800 du 11 mai 2020, considérant qu’elles ne modifiaient pas le droit existant et n’instauraient pas de régime dérogatoire limitant la responsabilité des décideurs publics.
Il convient de préciser les conditions dans lesquelles la responsabilité pénale des dirigeants est susceptible d’être engagée, ainsi que les mesures à mettre en œuvre pour limiter ce risque.
A. Les conditions de mise en œuvre de la responsabilité des dirigeants
Aucune infraction nouvelle particulière relative à la protection des salariés face au Covid-19 n’a été adoptée dans notre corpus législatif, ni dans le code pénal, ni dans le code du travail.
Il faut donc se référer aux infractions existantes, notamment aux infractions involontaires.
En cas de risque de contamination d’un salarié, l’infraction de mise en danger d’autrui (art. 223-1 et 223-2 du code pénal) pourra être recherchée.
RépondreSupprimerEn cas de contamination d’un salarié, les infractions d’atteintes involontaires à la vie (art. 221-6 et 221-7 du code pénal) ou à l’intégrité physique (art. 222-19, 222-20, 222-21, R.625-2, R.625-3 et R.622-1 du code pénal) pourront être qualifiées.
1. La mise en danger d’autrui
Cette infraction est définie par l’article 223-1 du code pénal comme :
« le fait d’exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement »
Cette infraction suppose donc un lien de causalité direct et immédiat entre la faute, l’exposition directe d’autrui, et le dommage, le risque immédiat de mort ou de blessure permanente.
En pratique, cette infraction pose plusieurs difficultés de qualification dans le contexte actuel.
Concernant le lien de causalité direct et immédiat, il sera très difficile voire impossible d’établir avec certitude l’origine d’un risque de contamination du salarié en raison des incertitudes scientifiques, et notamment de la vitesse de propagation et du temps d’incubation du virus.
Comment déterminer avec certitude si le salarié est exposé à un risque de contamination dans l’entreprise, dans les transports en commun ou encore au contact de ses proches ?
Concernant l’obligation particulière de prudence ou de sécurité, elle doit présenter un caractère suffisamment précis et circonstancié. Elle doit en outre résulter d’une règle à valeur normative, absolue.
Or, sur ce point, le code pénal et le code du travail ne contiennent aucune infraction nouvelle particulière liée à la protection des salariés face au Covid-19.
Le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 semble trop général et imprécis, la loi pénale étant d’interprétation stricte.
Les notes et fiches pratiques diffusées par le Ministère du travail en application de ce décret sont suffisamment précises mais dépourvues de valeur contraignante.
Enfin, la violation manifestement délibérée exclut toute faute simple de maladresse, d’imprudence, d’inattention, de négligence et d’omission.
Le risque semble donc pouvoir être limité si le dirigeant est en mesure de rapporter la preuve qu’il a, a minima, tenter de mettre en œuvre les consignes gouvernementales dans l’entreprise.
L’infraction de mise en danger d’autrui est punie d’un an d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende pour les dirigeants, et de 75 000 euros pour les entreprises.
Il existe en outre un certain nombre de peines complémentaires, dont notamment l’interdiction d’exercer certaines activités professionnelles ou sociales, et l’affichage ou la diffusion de la décision pénale.
2. Les atteintes involontaires à la vie ou à l’intégrité physique.
Ces infractions sont définies par les articles 221-6 et 222-19 du code pénal qui visent :
« le fait de causer, dans les conditions et selon les distinctions prévues à l'article 121-3, par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement (…) » la mort d’autrui ou des blessures à autrui
RépondreSupprimerL’article 222-20 du code pénal vise :
« le fait de causer à autrui, par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement (…) » des blessures à autrui
Les difficultés de qualification évoquées relatives au lien de causalité direct et immédiat sont identiques concernant ces infractions.
B. Les mesures pouvant être mise en œuvre pour limiter ce risque
1. La mise en place de délégations de pouvoirs
Les dirigeants disposent de moyens pour limiter au maximum le risque d’engagement de leur responsabilité pénale, notamment en mettant en place des délégations de pouvoirs.
Dans le contexte actuel lié au Covid-19, il est donc essentiel de s’assurer de l’effectivité des délégations de pouvoirs en matière de sécurité et de protection de la santé des salariés.
Ces délégations permettent de déléguer des pouvoirs normalement exercés par le dirigeant à des personnes plus à même d’exercer effectivement ces pouvoirs.
Il est fortement recommandé de formaliser les délégations de pouvoirs par écrit, même si cela n’est pas obligatoire, et de vérifier que les conditions de validité? sont bien remplies.
Concernant les conditions de validité, le délégataire doit :
avoir consenti à la délégation ; et disposer de l'autorité, des moyens (matériels, techniques, financiers) et de la compétence nécessaires pour mettre en œuvre cette délégation.
2. Le respect des consignes sanitaires et gouvernementales
Dans le contexte actuel, il est très fortement recommandé aux dirigeants de respecter un certain nombre de mesures, dont notamment :
le protocole national de déconfinement du Ministère du travail en date du 3 mai 2020 (privilégier le télétravail, rappeler les mesures barrières, respecter les règles de distanciation…) ; les guides métiers du Ministère du travail ; le Document Unique d’Évaluation des Risques mis à jour en y associant les représentants du personnel…
Sur ce point, le Ministère du Travail a rappelé à de nombreuses reprises aux employeurs que la reprise d’activité doit se faire dans le respect des consignes sanitaires.
***
Par conséquent, il est donc vivement recommandé aux dirigeants d’entreprise d’user de la plus grande prudence et de favoriser le dialogue, la concertation et la transparence pour favoriser le rebond et rétablir la confiance.
http://www.economiematin.fr/news-reprise-activite-risque-penal-entreprise-dirigeant-loi-travail-responsabilite-bourmont-bethune
DRAME DES MALADES TOUTES PATHOLOGIES MIS EN DANGER PAR LES MESURES ANTI-COVID. IL FAUT ROUVRIR TOUS LES BLOCS OPÉRATOIRES, MAINTENANT !
RépondreSupprimerpar GÉRARD DELÉPINE
13/05/2020
En France, 20 millions de personnes souffriraient de pathologies chroniques, prises en charge à 100 % par la sécurité sociale.
« Edicté pour lutter contre le risque COVID, le plan blanc a maintenant des effets délétères pour la santé publique, alors même que l’épidémie est presque éteinte sur une grande partie du territoire. Son rapport bénéfice/risque est devenu catastrophique »[1].
Le carcan bureaucratique des agences régionales de santé (ARS) est actuellement responsable de pertes de chances de vie de nombreux français. Il faut libérer le système de santé pour qu’il puisse de nouveau les traiter.
Le blocage autoritaire des soins hors Covid19 par le Plan Blanc
Dans l’affolement qui a suivi l’annonce par Ferguson[2] que les hôpitaux français allaient être submergés par les malades du Covid19, et qu’il en résulterait 510 000 morts [3] en France, le gouvernement décida immédiatement, d’astreindre à résidence autoritaire tous les Français, et de consacrer tous les moyens médicaux à cette épidémie, en actionnant le Plan blanc [4] [5].
Celui-ci comportait l’orientation prioritaire et exclusive (en dehors des urgences) des hôpitaux publics sur cette unique maladie et la réquisition des cliniques privées comme réserve théorique de lits, de matériel et de personnel.
En moins de 24 heures, sans organisation préalable, toutes les activités non immédiatement vitales furent brutalement interrompues, les salles d’opération vidées, les malades programmés joints par téléphone, et leurs interventions supprimées, remises à une date inconnue, en application des injonctions de l’Agence Régionale de Santé locale (une ARS par région).
Les anesthésistes et les infirmières de bloc attendirent en vain les malades qui ne leur furent qu’exceptionnellement adressés (seulement dans quelques endroits de l’ile de France après quelques semaines et diffusion dans la presse de ce dysfonctionnement). Chirurgiens et anesthésistes, en l’absence d’activité normale autorisée (et sans indemnisation pour leur perte nette de revenus), ne virent pour la plupart aucun malade Covid. Leurs établissements, un certain nombre de personnels paramédicaux et administratifs furent finalement mis au chômage et le sont toujours.
Les lits d’hospitalisation ordinaires des établissements privés étaient vides pendant que les télévisions clamaient l’absence de lits disponibles. Ces mesures étaient destinées à masquer en partie l’état déplorable de notre système sanitaire mis à mal depuis de nombreuses années par des politiques de gestion bureaucratique purement comptable, et probablement de poursuivre la destruction du réseau privé entreprise depuis plusieurs années. Les mises en garde et appels au secours des personnels soignants et leurs grèves répétées n’eurent comme seule réponse que la répression brutale de ceux qu’il est maintenant de bon ton de célébrer chaque soir. Le soignant tabassé le 17 décembre est maintenant transformé en héros pour tenter de rallier le peuple à une politique délirante. Communion de foule toujours efficace, un temps.
En fait, ce plan blanc ne servit qu’à saborder un peu plus les soins des patients ordinaires, car toute activité non covid19 fut interdite dans toute la France. Les internes de l’hôpital Tenon par exemple racontèrent sur les réseaux sociaux comment ils s’ennuyaient faute de patients. Dans les hôpitaux recevant des malades suspects de Covid, les urgences avaient été élargies, ainsi que les services de réanimation et deux ou trois services de médecine utilisés. Le reste de l’hôpital resta vide et ainsi dans tous les hôpitaux français publics et privés et encore à ce jour, malgré un déconfinement partiel.
RépondreSupprimerConséquences désastreuses du confinement aveugle généralisé [6]
Nous avons largement démontré [7] [8] [9] [10] [11] que l’enfermement de la population, sans séparer les porteurs de virus des personnes non infectées, était une mesure inefficace qui a été directement responsable d’environ 20000 morts de Covid19 supplémentaires par rapport à l’Allemagne ou l’Autriche et d’environ 9000 morts Covid19 évitables par rapport à la Suède[12]. Mais ces mesures sont aussi responsables d’un nombre important de victimes collatérales parmi les malades ordinaires.
Ces mesures ont nui et nuisent toujours aussi aux malades ordinaires
Ceux qui souffrent de maladies chroniques nécessitant la surveillance et la poursuite de leurs traitements ou de pathologies nouvelles, telles que les cancers qu’on ne diagnostique plus (plus de biopsies chirurgicales au temps du Covid19) ou qu’on ne traite plus par chimiothérapie en hospitalisation ou par chirurgie, même quand cela est nécessaire et urgent.
Le comble est qu’on conseille par exemple à un patient en attente d’ablation de sa tumeur du colon de faire de la radiothérapie. Le malade discipliné appelle le très grand centre de radiothérapie proche de chez lui en région parisienne et après x coups de téléphone, il attend toujours depuis près de deux mois un simple rendez-vous…
En France, 20 millions de personnes souffriraient de pathologies chroniques, prises en charge à 100 % par la sécurité sociale. Chaque année, plus de 600 000 d’entre elles nécessitent des soins réguliers, près de 320 000 des chimiothérapies, 210 000 des séances de radiothérapie, et plus de 82 000 doivent être dialysés trois fois par semaine pour insuffisance rénale. Des patients fragiles, désespérés, encore majoritairement réduits au silence, dont on ne connaitra vraiment l’état qu’après un véritable déconfinement autorisant soignants et familles à les rencontrer. Mais si le patient est à 105 km, doit-on demander au premier ministre une autorisation spéciale ?
La peur dissuade les malades de consulter
La propagande du gouvernement[13] et des médias entretenant la panique a paralysé les malades qui n’osent plus consulter pour ne pas risquer le contact des nouveaux pestiférés et/ou ne pas « encombrer les soignants » qui seraient débordés.
De fait, depuis trois semaines environ, le gouvernement rétropédale ainsi que les médecins qui font appel aux malades pour revenir consulter. Ils savent bien que les malades Covid19 diminuent régulièrement en nombre et que les hôpitaux privés, ou publics et consultations de ville ou hospitalières sont vides …
« Infarctus, AVC, cancer… De nombreux malades chroniques ne vont plus chez le médecin ou désertent les urgences depuis le début du confinement[14]. Le corps médical s’inquiète de voir exploser le nombre de victimes collatérales à l’épidémie de Covid-19 ».
RépondreSupprimer« Deux fois moins d’infarctus, ce n’est pas normal », s’étonne Eric Favreau. Jusqu’à ce que nos grands statisticiens qui ne connaissent des malades que les chiffres qui s’affichent sur leurs ordinateurs parviennent à nous convaincre que le Covid19 protège de l’infarctus, sait-on jamais ? Mais aussi les accidents vasculaires cérébraux (AVC) ont largement disparu des consultations !
« On ne comprend pas[15]. On a fait un groupe de travail avec d’autres établissements et d’autres services pour tenter d’analyser ce qui se passe. Car on reçoit beaucoup moins de victimes d’AVC, au moins 50% en moins. Ce n’est pas normal. C’est inquiétant. Les patients, ont-ils peur de gêner ? Pour certains, ils arrivent trop tard ou ils meurent à la maison. C’est vrai que si on attend une demi-heure une réponse du Samu, cela peut être parfois problématique. »
Les rhumatologues sont inquiets [16] « Attention à la bombe à retardement, je crains le retour de bâton à la fin de l’épidémie, s’alarme un chef de service. » Il y aura tout de même un moment où les patients se rendront compte que leur problème est important. »
Cette peur de consulter touche aussi les malades du cancer justifiant le communiqué de l’institut de cancer[17] : « COVID-19 et patients atteints de cancer : pendant l’épidémie, l’Institut national du cancer rappelle aux patients que le lien avec les médecins ne doit pas être interrompu ». dans la société virtuelle du nouveau monde, trop de médecins administratifs ou cadres de l’éducation nationale ont cru au tout informatique. Mais rien ne remplace un contact direct entre médecin et malade, le fameux et intangible colloque singulier. Dites-le à l’INCa !
C’est oublier les retards au diagnostic de nombreux citoyens confinés dont les troubles divers et variés passent souvent pour de la dépression, ou de l’angoisse. Devant des crises de colères inhabituelles, des céphalées tenaces, qui pensera aux signes prémonitoires d’une tumeur cérébrale ? La banale fièvre d’un enfant sera facilement cataloguée Covid19 ; et si elle dure, qui pensera à évoquer un cancer des surrénales (appelé neuroblastome), une maladie de Hodgkin ou une tumeur osseuse (sarcome d’Ewing) qui ont la particularité de se révéler parfois par une fièvre au long cours. On attendra sous doliprane que le supposé Covid19 passe et les métastases pourront proliférer sans encombre.
Les agences régionales de santé empêchent trop souvent les patients d’être traités
Le 13 mars, le Plan Blanc a imposé à tous les établissements de soins de consacrer tous leurs moyens à la prise en charge de l’épidémie COVID-19. En moins de 24 heures, tout a été mis en place pour faire face à cette épidémie : des dizaines de milliers d’examens diagnostiques et d’interventions ont été déprogrammées, des centaines de milliers de consultations ont été annulées.
Certains bureaucrates des agences régionales de Santé ont osé demander aux cancérologues de remplacer la chirurgie prévue d’un cancer du côlon ou des poumons par la radiothérapie car les blocs opératoires privés et publics ont été interdits de travailler -hors urgence-pour soi-disant conserver une réserve de lits.
Pourtant les cancérologues savent -mais peut-être pas les directeurs des ARS qui décident de tout- qu’un patient atteint d’un cancer du poumon localisé opéré rapidement peut guérir au vrai sens du terme. Au contraire, ce même patient chez lequel l’ARS impose de recourir à la radiothérapie verra ses chances diminuer, pour faire la place à un possible malade Covid19 qui n’occupera même pas le lit libéré.
RépondreSupprimerDes cures de chimiothérapie ont été espacées ou modifiées, remplaçant un traitement par voie intraveineuse par un traitement oral, éventuellement moins efficace pour s’adapter au blocage des lits d’hospitalisation. Et qui a pesé le bénéfice-risque de ces changements impromptus ? Des opérations urgentes ont été annulées, remises à période ultérieure sans précision, comme si le cancer prenait des vacances pendant le confinement.
Pourtant depuis une cinquantaine d’années que les traitements efficaces du cancer existent, on a compris que le temps de doublement de tumeur était, dans certains cancers qui évoluent très vite, un facteur capital à prendre en compte. Jusqu’aux années 2000, avant que les cadres de santé aux ordres des technocrates de l’hôpital ne prennent le pouvoir absolu sur les médecins, on expliquait aux patients que si la cure tombait un weekend ou pendant un pont, la cure serait réalisée tout de même. Nos patients guéris de longue date peuvent en témoigner.
Cette médecine au service du malade est morte depuis le début du XXI ième siècle mais l’apogée de cette dérive, pendant ce confinement, dépasse l’entendement.
Lits vides inoccupés depuis deux mois sur ordre et la surveillance inquisitoriale des agences régionales de santé, petites dictatures locales contre lesquelles il n’existe aucune voie de recours. Elles vérifient que les patients opérés « en urgence » soient vraiment des urgences à leur sens et non à celui du patient et du chirurgien, et des sanctions financières ou une interdiction de la clinique de fonctionner menacent.
En vue de la réouverture, les pharmacies ont commencé à remplir leurs tiroirs de médicaments. Mais depuis quelques semaines, les agences régionales de santé empêchent l’approvisionnement libre en médicaments des cliniques. Elles les ont obligées d’acheter un programme informatique à une entreprise privé (amie ?) pour prendre le contrôle de leur commande de médicaments, jusqu’alors exclusivement assurée par le pharmacien de l’établissement dont c’est la profession. Maintenant, elles soumettent les commandes à leur imprimatur préalable aussi bien en public qu’en privé. Qui croit encore qu’il existe une médecine véritablement privée en France ?
Or un établissement ne peut pas fonctionner sans être certain de la pérennité de ses approvisionnements et en particulier des produits anesthésiques et des antibiotiques. Cette scandaleuse mise sous tutelle des approvisionnements, totalement injustifiée, paraît destinée en fait à empêcher la reprise des activités de ces établissements.
Les agences régionales de santé sont donc responsables de la poursuite de l’arrêt de la prise en charge chirurgicale des français qu’elles ne jugent pas urgente et donc de pertes de chances de nombreux patients, dont ceux atteints de cancer[18].
Ces mesures des agences régionales de Santé doivent être abolies maintenant !
Le Bloc[19] et l’Union des chirurgiens de France dans de récents communiqués[20] [21] témoignent : « nous constatons chaque jour et de plus en plus l’aggravation des morbidités et de la mortalité des malades non COVID. Les patients présentent des états aggravés avec des retards diagnostiques et thérapeutiques lourds de conséquences. Toutes les spécialités médicales sont concernées.
RépondreSupprimerEdicté pour lutter contre le risque COVID, le plan blanc a maintenant des effets délétères pour la santé publique, alors même que l’épidémie est presque éteinte sur une grande partie du territoire. Son rapport bénéfice/risque est devenu catastrophique.
Par crainte d’un risque potentiel, les pouvoirs publics font courir à toute la population un risque certain. Dans l’intérêt de la santé publique, il est plus que temps de mettre fin à cette incohérence administrative qu’est devenu le plan blanc élargi. »
Comme les syndicats de chirurgiens, la fédération hospitalière privée[22] réclame le retour aux soins : « une levée sécurisée des plans blancs est indispensable »
« Depuis plusieurs semaines, la FHP et les syndicats de médecins libéraux rappellent l’importance du retour aux soins pour les patients. Différer les soins ou y renoncer peut avoir des conséquences graves sur l’état de santé de la population ».[23]
Combien faudra-t-il de morts évitables supplémentaires pour que le gouvernement mette fin à cette tyrannie bureaucratique qui nuit à la médecine et à la santé des Français ?
[1] LE BLOC APPELLE A STOPPER IMMEDIATEMENT LE PLAN BLANC ELARGI communiqué du 7 mai 2020
[2] N Ferguson Rapport 9 Imperial College 2020 3 16
[3] N Ferguson : « Nous constatons que des politiques d'atténuation optimales pourraient réduire le pic de la demande de soins de santé de 2 / 3 et des décès de moitié. Cependant, l'épidémie atténuée qui en résulterait entraînerait probablement encore des centaines de milliers de décès et les systèmes de santé (notamment les unités de soins intensifs) seraient submergés à plusieurs reprises »
[4] Le Plan blanc est un plan spécifique d’urgence sanitaire qui peut être mis en place dans les établissements de santé publics et privés.
« Le Plan Blanc contient des mesures d’organisations destinées à faire face à une situation sanitaire exceptionnelle ou une activité accrue d’un hôpital. Il permet d’organiser l’accueil et la prise en charge d’un afflux massif de victimes d’un accident, d’une catastrophe, d’une épidémie ou d’un événement climatique meurtrier et durable ».
infosdroits.fr/le-plan-blanc-dans-les-etablissements-publics-ou-prives-de-sante-definition-declenchement-mesures-dorganisation/
« Le Plan Blanc peut être déclenché par le directeur ou le responsable de l’établissement, qui en informe sans délai le représentant de l’Etat dans le département, ou à la demande de ce dernier.
Dans tous les cas, le représentant de l’État dans le département informe sans délai le directeur général de l’agence régionale de santé, le service d’aide médicale urgente départemental et les représentants des collectivités territoriales concernées du déclenchement d’un ou plusieurs plans blancs.
La compétence attribuée au représentant de l’État dans le département peut être exercée, dans les mêmes conditions, par les préfets de zone de défense et par le Premier ministre si la nature de la situation sanitaire ou l’ampleur de l’afflux de patients ou de victimes le justifient. »
RépondreSupprimer[5] Les principales dispositions législatives et réglementaires qui déterminent la mise en place et l’organisation du plan blanc dans le système de santé lors d’une crise sanitaire sont :- Articles L3131-1 à 11 du Code de la santé publique sur les mesures d’urgence et les menaces sanitaires graves- Articles R3131-4 à 10 du Code de la santé publique sur le plan zonal de mobilisation et le dispositif ” ORSAN”- Articles R3131-13 à 14 du Code de la santé publique sur le plan blanc- Loi 2004-806 du 9...
[6] http://www.economiematin.fr/news-epidemie-coronavirus-confinement-mesure-succes-resultats-delepine
[7] Delépine Confinement, cette mesure d’enferment collectif-elle efficace ? Chiffres OMS de mortalité comparés Agoravox 8 avril 2020
[8] Delépine Non, le confinement ne sauve pas, il aggrave la mortalité du Covid19, l’économie et la santé des Français Agoravox 28 avril 2020
[9] Delépine Covid19 et confinement aveugle, combien de morts évitables ? Son site 8 mai 2020
[10] Ancrehttp://docteur.nicoledelepine.fr/covid19-et-confinement-aveugle-combien-de-morts-evitables/ voir aussi la vidéo du DR G Delépine sur le site de Jérémy Mercier sur le déconfinement et les conséquences du confinement du 7 mai 2020 https://youtu.be/orjBSTWMTKE
[11] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/bilan-catastrophique-chiffre-du-224302 ?
[12] G Delépine la suède donne une leçon de liberté à la France Economie matin 05/05/2020
Http://www.economiematin.fr/news-suede-liberte-confinement-echec-difference-france-coronavirus-strategie-delepine
[13] Dont l’annonce mortifère chaque soir de Jérôme Salomon égrenant le nombre de victimes lorsqu’il était élevé et plus discret depuis que ce nombre diminue fortement
[14] https://www.liberation.fr/france/2020/04/05/deux-fois-moins-d-infarctus-ce-n-est-pas-normal_1784267?Utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1586112019
[15] Sophie Crozier responsable de l’unité de prise en charge des AVC à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris dans une interview à Libération
[16] https://www.egora.fr/actus-pro/conditions-d-exercice/58975-attention-a-la-bombe-a-retardement-post-epidemie-les-medecins
[17] INCa communiqué du 17/04/2020
[18] Chaque année environ 450000 cancéreux sont diagnostiqués en France ; durant les deux mois de confinement c’est donc environ 40000 malades qui auraient dû être diagnostiqués et traités. En France ; le retard de traitement de ces malades aura entraîné au moins 10000 décès évitables
[19] Union syndicale AAL (Syndicat de médecins Anesthésistes Réanimateurs Libéraux) - SYNGOF - UCDF* est le premier syndicat représentatif des anesthésistes, gynécologues obstétriciens, et chirurgiens de France. Il est signataire de la convention avec l’UNCAM en 2016. Il est le deuxième syndicat des médecins spécialistes libéraux Français.
RépondreSupprimer[20] LE BLOC APPELLE A STOPPER IMMEDIATEMENT LE PLAN BLANC ELARGI communiqué du 7 mai 2020
[21] Union des chirurgiens de France publication du 24 avril 2020COVID 19 - Reprise des activités
Publication : vendredi 24 avril 2020 12 :20 Écrit par UCDF
[22] Communiqué de presse du 8 mai 2020
[23] https://www.fhp.fr/1-fhp/7-espace-presse/2088-communiques-de-presse-2020.aspx
http://www.economiematin.fr/news-ouverture-bloc-operatoire-danger-malades-confinement-coronavirus-delepine
Les origines 2006 de l'idée de «verrouillage»
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 18/05/2020 - 02h00
Écrit par Jeffrey Tucker via l'American Institute for Economic Research,
Commence maintenant le grand effort, affiché quotidiennement dans des milliers d'articles et de nouvelles, pour en quelque sorte normaliser le verrouillage et toute sa destruction des deux derniers mois. Nous n'avons pas enfermé presque tout le pays en 1968/69, 1957 ou 1949-1952, ni même en 1918. Mais en quelques jours terrifiants en mars 2020, cela nous est arrivé à tous, provoquant une avalanche de problèmes sociaux, destruction culturelle et économique qui résonnera à travers les âges.
Il n'y avait rien de normal à tout cela. Nous allons essayer de comprendre ce qui nous est arrivé dans des décennies.
Comment un plan temporaire visant à préserver la capacité hospitalière s'est-il transformé en une assignation à résidence quasi universelle de deux à trois mois qui a fini par entraîner des départs de travailleurs dans 256 hôpitaux, un arrêt des voyages internationaux, une perte d'emploi de 40% chez les personnes gagnant moins de 40 $ K par an, dévastation de tous les secteurs économiques, confusion et démoralisation de masse, ignorance totale de tous les droits et libertés fondamentaux, sans parler de la confiscation massive de propriétés privées avec fermeture forcée de millions d'entreprises?
Quelle que soit la réponse, ce doit être un conte bizarre. Ce qui est vraiment surprenant, c'est à quel point la théorie derrière le verrouillage et l'éloignement forcé est récente. Autant que l'on puisse dire, la machinerie intellectuelle qui a provoqué ce gâchis a été inventée il y a 14 ans, non par des épidémiologistes mais par des modélisateurs de simulation informatique. Il a été adopté non pas par des médecins expérimentés - ils l'ont mis en garde avec férocité - mais par des politiciens.
Commençons par l'expression distanciation sociale, qui s'est transformée en séparation humaine forcée. La première fois que je l'ai entendu, c'était dans le film Contagion de 2009. La première fois qu'il est apparu dans le New York Times, c'était le 12 février 2006:
Si la grippe aviaire devient pandémique alors que le Tamiflu et les vaccins sont encore rares, les experts disent que la seule protection que la plupart des Américains auront sera la «distanciation sociale», qui est la nouvelle façon politiquement correcte de dire «quarantaine».
Mais l'éloignement englobe également des mesures moins drastiques, comme le port de masques faciaux, le maintien hors des ascenseurs - et la bosse [du coude]. De tels stratagèmes, disent ces experts, réécriront la façon dont nous interagissons, du moins pendant les semaines où les vagues de grippe nous envahissent.
Peut-être que vous ne vous souvenez pas que la grippe aviaire de 2006 n’était pas beaucoup. C'est vrai, malgré tous les avertissements extrêmes sur sa létalité, le H5N1 ne s'est pas transformé en grand-chose. Ce qu'il a fait, cependant, a été d'envoyer le président actuel, George W. Bush, à la bibliothèque pour lire sur la grippe de 1918 et ses résultats catastrophiques. Il a demandé à certains experts de lui soumettre des plans sur ce qu'il fallait faire lorsque la vraie chose se présenterait.
Le New York Times (22 avril 2020) raconte l'histoire à partir de là:
Il y a quatorze ans, deux médecins du gouvernement fédéral, Richard Hatchett et Carter Mecher, ont rencontré un collègue d'un hamburger dans la banlieue de Washington pour un examen final d'une proposition qu'ils savaient être traitée comme une piñata: dire aux Américains de rester à la maison du travail et l'école la prochaine fois que le pays a été frappé par une pandémie mortelle.
RépondreSupprimerQuand ils ont présenté leur plan peu de temps après, ils ont été accueillis avec scepticisme et un certain ridicule par des hauts fonctionnaires qui, comme d'autres aux États-Unis, s'étaient habitués à dépendre de l'industrie pharmaceutique, avec sa gamme toujours croissante de nouveaux traitements, pour faire face à l'évolution des problèmes de santé.
Drs. Hatchett et Mecher proposaient à la place que les Américains, dans certains endroits, pourraient avoir à revenir à une approche, l'auto-isolement, d'abord largement utilisée au Moyen Âge.
Comment cette idée - née d'une demande du président George W. Bush de s'assurer que la nation était mieux préparée à la prochaine épidémie de maladie contagieuse - est devenue le cœur du manuel national pour répondre à une pandémie est l'une des histoires inédites du coronavirus crise.
Il a fallu que les principaux partisans - le Dr Mecher, un médecin du Département des anciens combattants et le Dr Hatchett, un oncologue devenu conseiller de la Maison Blanche - parviennent à surmonter une intense opposition initiale.
Il a réuni leur travail avec celui d'une équipe du Département de la Défense affectée à une tâche similaire.
Et il a eu des détours inattendus, y compris une plongée profonde dans l'histoire de la grippe espagnole de 1918 et une découverte importante lancée par un projet de recherche au lycée poursuivi par la fille d'un scientifique des Laboratoires nationaux Sandia.
Le concept de distanciation sociale est désormais intimement familier à presque tout le monde. Mais comme il a fait son chemin dans la bureaucratie fédérale en 2006 et 2007, il a été considéré comme impraticable, inutile et politiquement irréalisable.
Notez qu'au cours de cette planification, ni des experts juridiques ni des experts économiques n'ont été sollicités pour consulter et conseiller. Au lieu de cela, il incomba à Mecher (anciennement de Chicago et médecin de soins intensifs sans expertise préalable en pandémie) et à l'oncologue Hatchett.
Mais quelle est cette mention de la lycéenne de 14 ans? Son nom est Laura M. Glass, et elle a récemment refusé d'être interviewée lorsque le Albuquerque Journal a plongé profondément dans cette histoire.
Laura, avec quelques conseils de son père, a conçu une simulation informatique qui a montré comment les gens - les membres de la famille, les collègues, les élèves des écoles, les personnes en situation sociale - interagissent. Ce qu'elle a découvert, c'est que les écoliers entrent en contact avec environ 140 personnes par jour, plus que tout autre groupe. Sur la base de cette constatation, son programme a montré que dans une ville hypothétique de 10 000 habitants, 5 000 seraient infectés pendant une pandémie si aucune mesure n'était prise, mais seulement 500 seraient infectés si les écoles étaient fermées.
Le nom de Laura apparaît sur le document de base plaidant pour des verrouillages et une séparation humaine forcée. Ce document s'intitule Plans de distanciation sociale ciblés pour la grippe pandémique (2006). Il a établi un modèle de séparation forcée et l'a appliqué avec de bons résultats dans le temps jusqu'en 1957. Ils concluent par un appel effrayant pour ce qui équivaut à un verrouillage totalitaire, tous déclarés très concrètement.
RépondreSupprimerLa mise en œuvre de stratégies de distanciation sociale est difficile. Ils doivent probablement être imposés pendant la durée de l'épidémie locale et éventuellement jusqu'à ce qu'un vaccin spécifique à la souche soit développé et distribué. Si le respect de la stratégie est élevé au cours de cette période, une épidémie au sein d'une communauté peut être évitée. Cependant, si les communautés voisines n'utilisent pas également ces interventions, les voisins infectés continueront d'introduire la grippe et de prolonger l'épidémie locale, bien qu'à un niveau déprimé plus facilement adapté aux systèmes de santé.
En d'autres termes, c'était une expérience scientifique au lycée qui est finalement devenue la loi du pays, et par une voie détournée propulsée non pas par la science mais par la politique.
L'auteur principal de cet article était Robert J. Glass, analyste des systèmes complexes chez Sandia National Laboratories. Il n'avait aucune formation médicale, encore moins une expertise en immunologie ou en épidémiologie.
Cela explique pourquoi le Dr D.A. Henderson, «qui avait été le chef de file de l'effort international pour éradiquer la variole», a complètement rejeté l'ensemble du projet.
Dit le NYT:
Le Dr Henderson était convaincu que cela n'avait aucun sens de forcer les écoles à fermer ou d'arrêter des rassemblements publics. Les adolescents s'échappaient de leurs maisons pour traîner au centre commercial. Les programmes de repas scolaires fermeraient et les enfants pauvres n'auraient pas assez à manger. Le personnel hospitalier aurait du mal à travailler si ses enfants étaient à la maison.
Les mesures adoptées par les Drs. Mecher et Hatchett «entraîneraient une perturbation importante du fonctionnement social des communautés et entraîneraient des problèmes économiques potentiellement graves», a écrit le Dr Henderson dans son propre article universitaire répondant à leurs idées.
La réponse, a-t-il insisté, était de l'endurcir: laissez la pandémie se propager, traitez les personnes qui tombent malades et travaillez rapidement pour mettre au point un vaccin pour l'empêcher de revenir.
Phil Magness de AIER s'est mis au travail pour trouver la littérature répondant à ce 2006 et a découvert: Mesures d'atténuation des maladies dans le contrôle de la grippe pandémique. Les auteurs comprenaient D.A. Henderson, ainsi que trois professeurs de Johns Hopkins: le spécialiste des maladies infectieuses Thomas V.Inglesby, l’épidémiologiste Jennifer B. Nuzzo et le médecin Tara O’Toole.
Leur article est une réfutation remarquablement lisible de l'ensemble du modèle de verrouillage.
Il n'y a pas d'observations historiques ou d'études scientifiques qui soutiennent le confinement par mise en quarantaine de groupes de personnes potentiellement infectées pendant de longues périodes afin de ralentir la propagation de la grippe. … Il est difficile d'identifier les circonstances au cours du dernier demi-siècle où une quarantaine à grande échelle a été efficacement utilisée pour lutter contre une maladie. Les conséquences négatives de la mise en quarantaine à grande échelle sont si extrêmes (confinement forcé des personnes malades avec le puits; restriction complète des mouvements de grandes populations; difficulté à fournir des fournitures, des médicaments et de la nourriture essentiels aux personnes à l'intérieur de la zone de quarantaine) que cette mesure d'atténuation devrait être éliminé de toute considération sérieuse…
RépondreSupprimerLa quarantaine à domicile soulève également des questions éthiques. La mise en œuvre de la quarantaine à domicile pourrait entraîner le risque d'infection pour les personnes saines et non infectées par les membres malades du ménage. Des pratiques visant à réduire les risques de transmission (lavage des mains, maintien à une distance de 3 pieds des personnes infectées, etc.) pourraient être recommandées, mais une politique imposant la mise en quarantaine à domicile empêcherait, par exemple, d'envoyer des enfants en bonne santé chez des parents lorsqu'ils un membre de la famille tombe malade. Une telle politique serait également particulièrement difficile et dangereuse pour les personnes vivant dans des quartiers étroits, où le risque d'infection serait accru….
Les restrictions de voyage, telles que la fermeture d'aéroports et le contrôle des voyageurs aux frontières, ont toujours été inefficaces. Le Groupe de rédaction de l'Organisation mondiale de la santé a conclu que «le dépistage et la mise en quarantaine des voyageurs entrant aux frontières internationales n'ont pas retardé considérablement l'introduction du virus lors des pandémies passées. . . et sera probablement encore moins efficace à l'ère moderne. »… Il est raisonnable de supposer que les coûts économiques de l'arrêt des voyages en avion ou en train seraient très élevés, et les coûts sociaux impliqués dans l'interruption de tous les voyages en avion ou en train seraient extrêmes. . …
Lors d'épidémies saisonnières de grippe, des événements publics auxquels une forte fréquentation est attendue ont parfois été annulés ou reportés, la raison étant de diminuer le nombre de contacts avec ceux qui pourraient être contagieux. Il n'y a cependant aucune indication certaine que ces actions aient eu un effet définitif sur la gravité ou la durée d'une épidémie. Si l'on envisageait de le faire à une échelle plus étendue et sur une période plus longue, des questions se posent immédiatement quant au nombre de ces événements qui seraient affectés. Il existe de nombreux rassemblements sociaux qui impliquent des contacts étroits entre les gens, et cette interdiction pourrait inclure les services religieux, les événements sportifs, peut-être toutes les réunions de plus de 100 personnes. Cela pourrait signifier la fermeture de théâtres, de restaurants, de centres commerciaux, de grands magasins et de bars. La mise en œuvre de telles mesures aurait de graves conséquences perturbatrices…
Les écoles sont souvent fermées pendant 1 à 2 semaines au début de l'apparition d'épidémies saisonnières de grippe dans la communauté, principalement en raison des taux d'absentéisme élevés, en particulier dans les écoles élémentaires, et en raison de la maladie chez les enseignants. Cela semblerait raisonnable pour des raisons pratiques. Cependant, la fermeture des écoles pour de plus longues périodes est non seulement irréalisable, mais entraîne la possibilité d'une issue défavorable grave….
Ainsi, l'annulation ou le report de grandes réunions ne seraient pas susceptibles d'avoir un effet significatif sur le développement de l'épidémie. Bien que les préoccupations locales puissent entraîner la fermeture d'événements particuliers pour des raisons logiques, une politique ordonnant la fermeture à l'échelle communautaire des événements publics semble déconseillée. Quarantaine. Comme le montre l'expérience, rien ne permet de recommander la mise en quarantaine de groupes ou d'individus. Les problèmes liés à la mise en œuvre de telles mesures sont redoutables et les effets secondaires de l'absentéisme et des perturbations communautaires ainsi que les éventuelles conséquences négatives, telles que la perte de confiance du public dans le gouvernement et la stigmatisation des personnes et des groupes mis en quarantaine, sont susceptibles d'être considérables….
RépondreSupprimerEnfin, la conclusion remarquable:
L'expérience a montré que les communautés confrontées à des épidémies ou à d'autres événements indésirables réagissent mieux et avec le moins d'anxiété lorsque le fonctionnement social normal de la communauté est le moins perturbé. Un solide leadership politique et en santé publique pour rassurer et garantir que les services de soins médicaux nécessaires sont fournis sont des éléments essentiels. Si l’un ou l’autre s’avère moins qu'optimal, une épidémie gérable pourrait évoluer vers une catastrophe.
Faire face à une épidémie gérable et la transformer en catastrophe: cela semble être une bonne description de tout ce qui s'est passé lors de la crise COVID-19 de 2020.
C'est ainsi que certains des experts les plus qualifiés et les plus expérimentés en matière d'épidémies ont mis en garde avec une rhétorique mordante contre tout ce que les partisans du verrouillage proposaient. Ce n'était même pas une idée du monde réel en premier lieu et ne montrait aucune connaissance réelle des virus et de l'atténuation des maladies. Encore une fois, l'idée est née d'une expérience scientifique au lycée utilisant des techniques de modélisation basées sur des agents n'ayant rien à voir avec la vraie vie, la vraie science ou la vraie médecine.
La question devient donc: comment la vision extrême a-t-elle prévalu ?
Le New York Times a la réponse:
L'administration [Bush] s'est finalement ralliée aux partisans de l'éloignement social et des fermetures - bien que leur victoire n'ait pas été remarquée en dehors des cercles de santé publique. Leur politique deviendrait la base de la planification gouvernementale et serait largement utilisée dans les simulations utilisées pour se préparer aux pandémies, et de manière limitée en 2009 lors d'une épidémie de grippe appelée H1N1. Puis le coronavirus est arrivé et le plan a été mis en œuvre pour la première fois à travers le pays.
Le Times a appelé l'un des chercheurs pro-verrouillage, le Dr Howard Markel, et lui a demandé ce qu'il pensait des blocages. Sa réponse: il est content que son travail ait été utilisé pour "sauver des vies" mais a ajouté: "C'est aussi horrible". "Nous avons toujours su que cela serait appliqué dans les pires scénarios", a-t-il déclaré. "Même lorsque vous travaillez sur des concepts dystopiques, vous espérez toujours qu'il ne sera jamais utilisé."
RépondreSupprimerLes idées ont des conséquences, comme on dit. Imaginez une idée pour une société totalitaire contrôlant les virus, sans société sans fin et évitant toute preuve basée sur l'expérience qu'elle atteindrait l'objectif, et vous pourriez la voir mise en œuvre un jour. Le verrouillage peut être la nouvelle orthodoxie, mais cela ne le rend pas médicalement sain ou moralement correct. Au moins maintenant, nous savons que de nombreux grands médecins et universitaires en 2006 ont fait de leur mieux pour empêcher ce cauchemar de se dérouler. Leur puissant document devrait servir de modèle pour faire face à la prochaine pandémie.
https://www.zerohedge.com/health/2006-origins-lockdown-idea
Covid-19 : Le cauchemar des mères porteuses en Ukraine
RépondreSupprimerle 18 mai 2020
Comme les rivets qui éclatent sur la coque du Titanic qui coule, le stress de la pandémie de grippe « coronavirale » révèle des faiblesses inattendues dans nos sociétés. Tout à coup, nous avons réalisé que ce n’était pas une bonne idée de se procurer des masques de protection en Chine, que les hospices pour personnes âgées dont dangereux, que nous avons plus besoin de caissières de supermarchés que de gestionnaires, etc.
Mais il y a une catastrophe qui passe sous le radar – l’industrie internationale de la maternité de substitution, autrement dit des mères porteuses pour autrui.
Le point chaud de la maternité de substitution internationale est l’Ukraine. La maternité de substitution commerciale y est légale, les installations médicales sont de bonne qualité, le coût est relativement faible, et les jeunes femmes pauvres sont nombreuses. Les pays asiatiques comme l’Inde, le Népal, la Thaïlande et le Cambodge n’accueillent plus les couples d’outre-mer.
L’Ukraine reconnaît également les parents commanditaires en tant que parents biologiques et n’impose aucune limite quant au montant pouvant être payé à une mère porteuse.
On estime que 500 couples viennent chaque année en Ukraine pour prendre livraison de leur bébé. Mais la pandémie de Covid-19 a frappé. En Ukraine, comme partout ailleurs, les frontières se sont fermées, avec les nourrissons d’un côté, les parents de l’autre. Les agences de maternité de substitution ont été littéralement abandonnées à leur sort avec de nombreux bébé dans les bras.
Les résultats peuvent être vus dans cette vidéo à couper le souffle de BioTexCom, une agence de maternité de substitution à Kiev – probablement la plus grande du pays. Cette agence a certainement le marketing le plus agressif.
La vidéo montre une grande chambre dans un hôtel – pas un hôpital – à Kiev avec 46 bébés côte à côte dans des corbeilles identiques. Ils proviennent d’un large éventail de pays – États-Unis, Chili, Italie, Espagne, Grande-Bretagne, Chine, France, Allemagne, Bulgarie, Roumanie, Autriche, Mexique et Portugal.
Le bruit de 46 nouveau-nés gémissants est déchirant. La pièce ressemble à une scène d’un couvoir dans « Brave New World ». Les «baby-sitters» passent d’un bébé à un autre, changeant leurs couches, les baignant, les nourrissant, les câlinant.
Il y a une stricte quarantaine à Kiev, donc les infirmières doivent vivre à l’hôtel.
https://youtu.be/xPdRx_L96C0
La vidéo a été réalisée pour rassurer les clients désemparés de BioTexCom en montrant que leurs bébés sont en sécurité et en bonne santé. Le personnel montre les bébés à leurs parents en ligne et les informe par des appels vidéo sur leur alimentation, leur sommeil et leur santé. « Alors ne vous inquiétez pas, la santé de votre bébé est entre de bonnes mains », explique Marina, la narratrice masquée.
Ce ne sont que les bébés d’une seule agence. Comment les autres agences gèrent-elles le problème? Il pourrait y avoir des centaines d’autres bébés en gestation pour des couples étrangers entre les mains de mères porteuses de plus en plus exaspérées.
C’est un cauchemar. Qu’en est-il des bébés nés avec des problèmes médicaux ? Et les clients qui perdent tout intérêt ? Qui paie l’hébergement supplémentaire ? Qui paie le temps supplémentaire avec les mères porteuses ? La paperasse pour extraire des bébés d’Ukraine est Kafkaïenne dans le meilleur des cas. Et maintenant ? Combien de temps faudra-t-il avant que les parents commanditaires puissent aller chercher leurs enfants ?
RépondreSupprimerEt surtout, les bébés? Les scènes de la vidéo rappellent ces images poignantes des orphelinats roumains après la chute du communisme. Ils n’étaient ni allaités, ni câlinés, ni embrassés, ni aimés… Les femmes souriantes et masquées dans la vidéo ne peuvent pas faire grand-chose pour 46 bébés qui hurlent, vagissent et vomissent. Comment le manque d’amour inconditionnel dans les semaines cruciales après la naissance affectera-t-il ces tout-petits ?
Source : BioEdge et https://biotexcom.com/
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/05/18/covid-19-le-cauchemar-des-meres-porteuses-en-ukraine/
ASSURANCE AUTO : FAITES DES ÉCONOMIES AVEC LES COMPARATEURS
RépondreSupprimerpar PARTENAIRE
18/05/2020
En 2012, les Français auraient dépensé en moyenne 2270 euros en assurances.
L’assurance automobile, obligatoire pour rouler sur les routes de France selon le code de la Route, est une dépense importante pour les ménages. Alors que la situation économique n’est pas des meilleures, la France se dirige vers une récession de plus de 8% en 2020 liée à la crise du Covid-19, il est temps de réfléchir à des moyens de faire des économies.
Depuis plusieurs années, les ménages sont de plus en plus nombreux à comparer leurs assurances (auto, habitation…) avec des comparateurs en ligne pour trouver le meilleur prix.
Assurance auto : un budget de plus de 600 euros par an
L’importance de l’assurance automobile dans le budget d’un ménage français n’est pas anodine : en moyenne, pour une seule voiture, un ménage paye 618 euros par an, soit un peu moins de 60 euros par mois. Pour le peu que Monsieur et Madame aient besoin chacun d’un véhicule et la facture grimpe à plus de 100 euros par mois.
Et le montant final peut encore augmenter si le ménage a un enfant en âge de conduire et qu’il a, lui aussi, besoin d’un véhicule pour se déplacer : les jeunes de 18 à 25 ans payent généralement beaucoup plus cher en tant que « jeune conducteur » et la prime annuelle moyenne grimpe en flèche : plus de 1.000 euros par an.
Des économies avec les comparateurs
Heureusement, il est possible de faire des économies de plusieurs centaines d’euros ; nous avons testés ce comparateur d'assurances qui confirme ce que de nombreux Français savent déjà car ils ont pris l’habitude de chercher le meilleur prix pour leurs abonnements en tout genre : le prix baisse fortement bien que les garanties soient les mêmes.
Certaines compagnies d’assurances proposent des prix pouvant être plusieurs centaines d’euros inférieurs à ceux de leurs concurrents, alors que le véhicule et son conducteur sont assurés de la même manière.
http://www.economiematin.fr/news-economie-assurance-comparateur-automobile-cout-budget-partenaire
Un astéroïde géant s’approche de l'orbite terrestre à une vitesse de 41.842 km/h, la NASA alerte
RépondreSupprimer09:57 18.05.2020
Un astéroïde mesurant entre 670 mètres et 1,5 kilomètre de diamètre devrait s’approcher de l’orbite de la Terre le 21 mai. Les corps célestes d’une telle dimension sont susceptibles de provoquer de sérieux cataclysmes de portée mondiale, avertit la NASA.
Le Center for Near-Earth Object Studies de la NASA observe un astéroïde mesurant entre 670 mètres et 1,5 kilomètre de diamètre, qui s’apprête à approcher l'orbite de la Terre le 21 mai, relate le Daily Star.
Surnommé 136796 (1997 BQ), il a été découvert en 1997 et est classé comme un astéroïde Apollo, c’est-à-dire celui qui croise l'orbite de la Terre pendant son voyage dans l'espace.
L'astéroïde devrait approcher l'orbite de la Terre le 21 mai à 21h45 EST (est nord-américain), ou à 2h45 le 22 mai GMT.
Le danger des astéroïdes
La NASA avait précédemment averti que les astéroïdes mesurant jusqu'à 1 kilomètre de diamètre pouvaient déclencher une chaîne d'événements dévastateurs et causer des dommages à échelle mondiale, tels que des tremblements de terre, des tsunamis et d'autres effets secondaires qui s'étendent bien au-delà de la zone d'impact immédiat.
Un astéroïde de 10 kilomètres de large aurait provoqué l'extinction des dinosaures lorsqu'il a frappé la péninsule du Yucatan il y a environ 65 millions d'années, selon l’agence.
Les astronomes observent actuellement près de 2.000 astéroïdes, comètes et autres objets qui menacent notre planète.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202005181043799119-un-asteroide-geant-sapproche-de-lorbite-terrestre-a-une-vitesse-de-41842-kmh-la-nasa-alerte/
Sur RSOE c'est:
SupprimerNASA NEO Earth Close Approaches (objects that are known in the next 30 days)
136795 May 21 2020 09:45 PM 3 day
0.041153392997964 (Distane Unité Astronomique)
0.0411551925708451 (Distance Terre/Lune)
18.0 km/s (64.800 km/h)
http://hisz.rsoe.hu/alertmap/index2.php
Les cas de coronavirus aux États-Unis dépassent 1,5 million de décès, soit 90 000 décès; Le Brésil dépasse le Royaume-Uni avec la troisième épidémie au monde
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun., 18/05/2020 - 18:47
Sommaire:
Le nombre de cas aux États-Unis dépasse 1,5 mil, les décès dépassent 90 000
Le Brésil dépasse le Royaume-Uni pour devenir la troisième épidémie en importance
Cali Gov dit que la plupart des entreprises pourraient rouvrir dans les prochaines semaines
Un juge de l'Oregon statue contre une ordonnance de verrouillage
Le gouvernement du Texas déclare que l'État est prêt à entamer la «phase 2» de sa réouverture
Le gouvernement publie un plan de réouverture des entreprises, des bars et des restaurants dans certaines parties du nord du Mich.
Le Royaume-Uni rapporte moins de 200 décès
La Grande-Bretagne ajoute "l'anosmie" à la liste des symptômes officiels de COVID
L'Italie annonce ses meilleurs chiffres depuis mars
La Floride signale une légère hausse dans de nouveaux cas alors que davantage d'entreprises rouvrent
Début de la conférence de presse de Cuomo
La Chine impose de nouveaux droits antidumping à l'Australie alors que les guerres du commerce mondial s'intensifient
Le Dr Tedros de l'OMS promet "transparence et responsabilité" alors que la réunion annuelle des membres de l'OMS commence
Conn & Mass sont les 2 derniers États qui n'ont levé aucune restriction de verrouillage
108 millions de personnes bloquées au nord-est de la Chine
Les plages et les parcs rouvrent aux États-Unis et en Europe
La Nouvelle-Zélande rouvre ses écoles lundi
L'Italie prévoit de rouvrir la plupart des restaurants et des entreprises d'ici la fin de la semaine.
De nouveaux cas au Brésil et en Russie ralentissent alors que les décès s'accélèrent
Aux États-Unis, tous les États sauf quatre ont "partiellement rouvert"
La réunion annuelle de l'OMS commence avec le discours du président Xi
L'Afrique du Sud signale le plus grand pic d'une journée dans les cas
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Mise à jour (1834ET): Quelques jours seulement après avoir dépassé l'Italie et l'Espagne, le Brésil a dépassé le Royaume-Uni en tant que troisième hotspot COVID-19 au monde, avec environ 254 000 cas signalés.
- voir graphique sur site -
L'épidémie dans la plus grande économie d'Amérique latine représente désormais environ 13% des nouveaux cas signalés dans le monde chaque jour, ce qui en fait l'épidémie la plus rapide au monde, dépassant même la Russie.
Pendant ce temps, aux États-Unis, le nombre de cas signalés a dépassé 1,5 million - avec 1 504 386 selon JHU à 18 h 30 HE - alors que le nombre de morts a dépassé 90 000, avec 90 194 décès signalés.
Et en Californie, le gouverneur Gavin Newsom a déclaré que l'État pourrait rouvrir encore plus d'entreprises au cours des prochaines semaines lors de sa conférence de presse quotidienne. Voici plus sur cette courtoisie du Guardian.
Les coupes de cheveux, les achats au détail en personne, les événements sportifs et les services religieux pourraient redevenir une réalité dans certains comtés de Californie dans les prochaines semaines, a déclaré lundi le gouverneur Gavin Newsom.
Newsom a fourni une perspective optimiste pour l'État dans son exposé quotidien, où il a modifié les critères que chacun des 58 comtés de Californie doit satisfaire pour rouvrir et rejoindre l'État dans la phase deux de confinement des coronavirus.
RépondreSupprimer"Nous attendons avec impatience au cours des prochaines semaines un certain nombre de jalons importants", a-t-il déclaré. "Nous prévoyons que si nous maintenons le taux de transmission, nous maintenons le taux de positivité vers le bas et continuons à rendre justice au nombre d'hospitalisations, que nous ferons des annonces dans tout l'État."
Newsom avait déjà autorisé la variance locale à la phase deux de l'ordre de séjour à la maison - la Californie, en tant que grand État aux besoins divers, avait été frappée de manière inégale par le virus, certains comtés ruraux connaissant de faibles taux d'infection et d'autres comme Los Le comté d'Angeles connaît plus de la moitié des décès dans tout l'État. Alors que dans tout l'État, tous les détaillants étaient autorisés à rouvrir pour la collecte en bordure de rue, les comtés pouvaient également demander des restrictions plus souples, telles que le feu vert pour la réouverture de certains bureaux, écoles et restaurants. Ces comtés devaient répondre à des critères tels qu’aucun décès en 14 jours. Maintenant, selon les critères modifiés annoncés lundi, dans lesquels les comtés doivent afficher un taux de 8% de tests positifs sur sept jours et un taux d'hospitalisation inférieur à 5%, Newsom estime que 53 des 58 comtés de l'État pourraient entrer plus profondément dans la phase deux si leur les responsables de la santé publique le souhaitaient.
Cependant, Newsom a laissé suffisamment de marge de manœuvre pour le "Dr." du comté de LA Barbara Ferrer insiste pour que le plus grand comté du pays soit également le dernier en Californie à rouvrir.
Il a répété à nouveau que la décision appartenait à chaque comté. «Ce n'est pas parce que nous créons la capacité et la disponibilité pour passer à la phase deux que chaque comté est prêt», a-t-il déclaré. "Le comté de LA, par exemple, j'imagine, sera prudent à cet égard."
En Californie, il y a eu un total de 78 839 cas positifs et 3 261 décès
Newsom a commencé à adoucir son insistance sur le fait que l'État ne commencerait pas à rouvrir `` de sitôt '' il y a quelques semaines, et depuis lors, l'État - qui s'en sort beaucoup mieux que New York - a commencé à assouplir les restrictions, comme nous l'avons noté ci-dessous. .
En revenant au Brésil, bien sûr, beaucoup soupçonnent que l'épidémie du Brésil est beaucoup plus importante - peut-être même la plus grande épidémie au monde - en raison de la réticence du président Jair Bolsonaro à le prendre au sérieux.
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Mise à jour (1730ET): Dans la dernière indication que la légalité des ordonnances de verrouillage de l'État pourrait un jour être examinée par la Cour suprême, un juge de l'Oregon rural lundi après-midi a statué contre Dem
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Mise à jour (1730ET): Dans la dernière indication que la légalité des ordonnances de verrouillage de l'État pourrait un jour être examinée par la Cour suprême, un juge de l'Oregon rural lundi après-midi a statué contre les restrictions imposées par le gouverneur démocrate Kate Brown aux personnes et aux entreprises.
L'Associated Press rapporte:
Un juge de l'Oregon rural a levé lundi les restrictions sur les coronavirus à l'échelle de l'État imposées par le gouverneur démocrate Kate Brown, affirmant qu'elle n'avait pas demandé l'approbation de l'Assemblée législative pour prolonger les ordonnances de séjour à domicile au-delà d'une limite de 28 jours.
RépondreSupprimerLe juge du circuit du comté de Baker, Matthew Shirtcliff, a rendu son avis en réponse à une action en justice déposée plus tôt ce mois-ci par 10 églises de l'Oregon qui affirmaient que les directives de l'État en matière de distanciation sociale étaient inconstitutionnelles.
Brown a déclaré qu'elle demanderait immédiatement un examen d'urgence par la Cour suprême de l'Oregon. Ses avocats ont demandé au juge de suspendre sa décision jusqu'à ce que la Haute Cour puisse réexaminer l'affaire, mais il a refusé.
Dans un communiqué, Brown a déclaré: «La science derrière ces décrets n'a pas changé du tout. La distance physique continue, le fait de rester à la maison autant que possible et le port de couvre-visages sauveront des vies à travers l'Oregon. "
Notamment, le juge a expliqué dans un avis de 7 pages qu'il avait basé sa décision sur l'idée que les fermetures imposées par le gouvernement étaient plus dommageables que le virus.
Le procès a été déposé il y a quelques semaines par un groupe d'églises de l'État. Comme le note l'AP, plusieurs poursuites similaires sont en cours dans d'autres États.
Dans une opinion de sept pages, Shirtcliff a écrit que les dommages causés aux Oregonians et à leurs moyens de subsistance étaient plus importants que les dangers présentés par le coronavirus. Il a également noté que d'autres entreprises jugées essentielles, telles que les épiceries, avaient été autorisées à rester ouvertes même avec un grand nombre de personnes présentes et avaient compté sur les masques, la distanciation sociale et d'autres mesures pour protéger le public.
"Les ordonnances du gouverneur ne sont pas nécessaires pour la sécurité publique lorsque les plaignants peuvent continuer à utiliser la distance sociale et les protocoles de sécurité lors de rassemblements plus importants impliquant le culte spirituel", a-t-il écrit.
Des actions similaires se sont produites dans d'autres États.
Mercredi dernier, la Cour suprême du Wisconsin a annulé l’ordonnance de maintien à domicile du coronavirus du gouverneur Tony Evers, jugeant que son administration avait outrepassé son autorité en la prolongeant d’un mois sans consulter les législateurs.
Et un juge fédéral en Caroline du Nord a pris parti samedi pour les dirigeants chrétiens conservateurs et a bloqué l'application des restrictions que le gouverneur Roy Cooper a ordonnées concernant les services religieux intérieurs pendant la pandémie de coronavirus.
L’ordonnance du juge James C. Dever III est intervenue quelques jours après que deux églises baptistes, un ministre et un groupe néo-chrétien ont déposé une plainte fédérale visant à bloquer immédiatement l’application des règles couvrant les services religieux dans les décrets du gouverneur démocrate.
En Louisiane, un juge fédéral a refusé vendredi la demande d’un ministre de suspendre temporairement l’ordonnance de séjour à la maison du gouverneur John Bel Edwards, qui a expiré le même jour.
Brown prévoit de faire appel de la décision, ce qui signifie qu'une décision de la Cour suprême de l'État peut être attendue dans les prochains jours.
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Mise à jour (1535ET): Comme plusieurs grands journaux du Texas l'ont rapporté plus tôt lundi, le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a annoncé la dernière vague de réouvertures alors que l'État entrait dans la "phase 2" de sa relance économique. Voici un résumé des nouvelles réouvertures, en vigueur lundi, gracieuseté de l'Austin American-Statesman.
RépondreSupprimerLa dernière vague de réouvertures limitées, en vigueur lundi, concernait les gymnases, les bureaux et les usines.
Les gymnases et les installations et classes d'exercice peuvent fonctionner jusqu'à 25% de leur capacité. Les vestiaires et les douches doivent rester fermés, mais les toilettes peuvent s'ouvrir.
Les immeubles de bureaux peuvent reprendre des opérations limitées à une capacité de 25%, tant qu'ils respectent les exigences de distanciation sociale.
De même, les installations de fabrication non essentielles peuvent désormais reprendre leurs activités jusqu'à 25% de leur capacité tout en respectant les directives sanitaires.
Abbott a laissé son ordre de séjour à la maison expirer à la fin du mois d'avril et a rouvert des restaurants, des églises, des centres commerciaux, des magasins de détail et quelques autres entreprises de capacité limitée.
Ce n'est que la dernière annonce liée à la réouverture d'un jour qui a vu sa juste part, y compris l'annonce de Michigan Gov Whitmer, que nous avons couverte ci-dessous.
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Mise à jour (1430ET): Après des semaines de manifestations mettant en vedette des manifestants armés exigeant que le gouverneur Gretchen Whitmer lève son ordre de «rester à la maison», ce qui a soumis les entreprises opérant illégalement à de graves sanctions. Et au milieu d'une pile croissante de données montrant que - contrairement à des critiques comme le NYT, Robert Reich et le reste du complexe MSM / Parti démocrate - la plupart des réouvertures en Géorgie et ailleurs n'ont pas déclenché la flambée des nouveaux cas et des décès qui beaucoup avaient craint.
Le gouverneur a annoncé lundi que les commerces de détail dans les parties nord du Michigan, y compris les bars et restaurants, pourraient rouvrir vendredi alors que le nombre de cas et de décès liés aux coronavirus continue de diminuer rapidement à travers l'État. Le gouverneur a signé un décret définissant son plan, qui prévoit d'élargir la "protection des travailleurs" au fur et à mesure de la réouverture.
Surtout pour les propriétaires, la réouverture intervient juste avant le week-end du Memorial Day. Les bars et les restaurants seront autorisés à fonctionner tant qu'ils resteront inférieurs à 50% de la capacité, et les bureaux où le travail est effectué qui ne peut être effectué à distance peuvent également rouvrir, sous réserve des règles de distanciation sociale, a déclaré le gouverneur.
L'hébergement continuera d'être fermé pour l'instant. Les gens seront également tenus de porter des masques et de tout mettre en œuvre pour se tenir à six pieds des autres. Mais cela représente toujours une avancée significative.
"Nous constatons qu'il est prudent de franchir cette étape en ce moment", a déclaré Whitmer lors du briefing.
"Dans certaines régions de l'Etat, ils n'ont tout simplement pas été aussi durement touchés", a-t-elle ajouté. Mais elle a averti que les gens doivent toujours garder leurs distances et que les autorités locales peuvent appliquer des règles plus strictes - comme exiger des places à l'extérieur
dans les bars et restaurants - s'ils le jugent nécessaire.
RépondreSupprimerLa garde d'enfants sera autorisée afin d'aider les parents à retourner au travail.
On ne sait pas encore quand d'autres parties plus densément peuplées de l'État - en particulier la région de Detroit et ses environs où les usines automobiles ont redémarré - verront les conditions de réouverture élargies.
Pour ce que ça vaut, le gouverneur a divisé l'État en 8 "zones" pour permettre des décisions plus étroitement adaptées, selon Detroit Free Press.
- voir carte sur site -
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Mise à jour (1230ET): le Royaume-Uni a communiqué ses derniers chiffres ...
Notamment, les décès ont diminué pour un deuxième jour, avec un total quotidien inférieur à 200.
De plus, le ministère de la Santé et des Affaires sociales a officiellement ajouté «Anosmie» - la perte ou la modification de l'odorat d'une personne - à sa liste officielle de symptômes COVID. Il a ajouté dans une déclaration qu '"il peut également affecter votre sens du goût car les deux sont étroitement liés".
Les médecins hygiénistes en chef des quatre nations du Royaume-Uni ont approuvé cette expansion des symptômes reconnus, affirmant qu'ils "ont suivi de près les données et les preuves émergentes sur Covid-19 et, après un examen approfondi ... sont maintenant suffisamment confiants pour le recommander. nouvelle mesure ", selon CNN.
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Mise à jour (1220ET): Le service de la protection civile italien vient de publier les derniers chiffres alors que davantage d'entreprises rouvrent et que la vie revient à un semblant de normal en Italie, bien que la société italienne commence à peine à guérir d'une épidémie dévastatrice. Le pays n'a enregistré que 451 nouveaux cas de coronavirus et 99 nouveaux décès - de nouveaux creux pour les deux depuis les premiers jours de l'épidémie.
Les hospitalisations et le nombre de patients en soins intensifs ont continué de baisser, tandis que le nombre de patients qui ont guéri a de nouveau dépassé le nombre de nouveaux diagnostics. Les nouveaux chiffres ont porté le total à 225 886 cas et 32 ??007 décès. Les données (rapportées avec un décalage de 24 heures) marquent la première fois depuis le 9 mars que l'Italie a signalé moins de 100 décès.
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Mise à jour (1120ET): Gov Cuomo donnera son point de presse quotidien à 1130ET. Regardez en direct ci-dessous.
En outre, la Floride a signalé un autre ralentissement du nombre de nouveaux cas, le département de la Santé de l'État ayant confirmé 854 cas supplémentaires de COVID-19 dans tout l'État lundi matin, alors que davantage d'entreprises agréées à travers l'État rouvraient pour la première fois depuis que Gov DeSantis a autorisé le verrouillage, rapporte le Miami Herald.
L'État compte désormais au total 46 442 cas confirmés. Il y a également eu 24 nouveaux décès annoncés, ce qui porte le nombre de morts à l'échelle de l'État à près de 2 000. Le bilan est de 1 997.
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Mise à jour (0945ET): Comme nous l'avons signalé précédemment, presque tous les États américains ont au moins partiellement levé les mesures de verrouillage imposées il y a près de 2 mois. Une carte que nous avons notée ci-dessous montre que seulement quatre États ont été classés comme "pré-levée" (puisque le NJ et NY viennent de lever les restrictions dans certaines régions, tandis que d'autres seront probablement parmi les dernières régions du pays à rouvrir).
RépondreSupprimerMaintenant, CNN rapporte que seuls deux États ont jusqu'à présent refusé de lever toute restriction: les États de la Nouvelle-Angleterre du Connecticut et du Massachusetts. Alors que les deux États sont généralement penchés sur le bleu, le Massachusetts est actuellement dirigé par un gouverneur républicain, tandis que le gouverneur démocrate du Connecticut, Ned Lamont, a promis de commencer à lever les restrictions cette semaine.
Mais ce qui est encore plus notable: dans un article publié sur son site Web lundi, même CNN a été forcé de reconnaître que la plupart des États américains n'ont pas vu le pic dans les cas où les `` chèques bleus '' libéraux sur Twitter criaient depuis des semaines. Les trois États qui ont connu les améliorations les plus importantes sont le New Jersey, le Missouri et l'Idaho, tandis que les États qui ont connu les "plus fortes augmentations" n'ont vu les taux d'infection augmenter que de 1 ou 2 personnes pour 100 000.
Pourtant, CNN fait l'hypothèse de l'angle `` rester à la maison, sauver des vies '' partout où cela est possible, même s'il reconnaît que les cas en Géorgie ont été généralement stables alors que l'État a rouvert, malgré une accélération des tests.
Et dans l'État de New York, Andrew Cuomo reproche désormais aux résidents d'être "trop ??paresseux" pour se faire tester. Il y a un peu plus d'un mois, il exhortait les résidents à ne pas avoir besoin d'être testés à moins d'avoir des symptômes qui s'aggravent rapidement (malgré le fait que les chercheurs soupçonnent que jusqu'à 47% des patients ont peu ou pas de symptômes).
C'est presque comme si les plaintes des démocrates concernant les fournitures de test sévèrement limitées étaient un stratagème politique pour frapper le président qui a semé la confusion, car la plupart des membres du public ont probablement encore l'impression que les tests sont rares et devraient être réservés à ceux qui sont visiblement malade.
Pendant ce temps, plus tôt ce matin, le Dr Tedros de l'OMS s'est engagé à assurer "la transparence et la responsabilité" sur la gestion de la pandémie par son organisation, et a insisté pour que le monde investisse dans l'OMS pour "renforcer" l'organisation, car c'est la seule ONG qui fait ce que fait l'OMS, jouant un rôle essentiel dans le système de santé mondial. Entre-temps, hier soir, Axios a rapporté que Trump se penchait vers la mise en œuvre de la totalité des réductions annoncées précédemment des dépenses américaines à l'OMS, après avoir déclaré samedi que les États-Unis pourraient rétablir un certain financement.
Dans son dernier acte d'agression envers des alliés américains provocants, insistant sur une enquête sur les premiers jours de l'épidémie, la Chine a annoncé un nouveau taux de droit antidumping de 73,6% et un taux de droit antisubvention de 6,9% sur l'orge importée d'Australie, après "Une enquête a révélé que l'orge australienne avait nui à l'industrie locale", selon le ministère chinois du Commerce. Ce n'est que le dernier signe de l'augmentation des tensions commerciales liées au thème du «découplage chinois». L'Australie et l'UE se joignent aux États-Unis pour faire pression pour une enquête sur les premiers jours de la pandémie en Chine, ce que le président Xi a déclaré qu'il soutiendrait un "examen complet" une fois la pandémie "maîtrisée". Peu le croient cependant, car la Chine est devenue plus secrète et peu coopérative quant au partage d'informations liées aux premiers jours de l'épidémie.
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Avec deux semaines restantes en mai, le rythme des décès aux États-Unis a considérablement ralenti, reflétant les progrès réalisés par les États les plus touchés comme New York, Michigan, New Jersey, Californie et État de Washington, et - ce qui est important - une répudiation des prévisions alarmistes publiées par le NYT plus tôt ce mois-ci appelant à un taux de 3 000 décès par jour liés au COVID-19 américain. Hier, les États-Unis n'ont signalé que 808 décès (rappelez-vous, ces données sont rapportées avec un décalage de 24 heures) selon les données fournies par l'Université Johns Hopkins.
- voir graphique sur site -
Lundi matin, les États-Unis avaient confirmé 1 486 742 cas (avec des milliers de patients probablement non diagnostiqués) et 89 564 décès, ce qui le placerait sur la bonne voie pour dépasser 90 000 décès d'ici la fin de la journée.
- voir graphique sur site -
Pendant ce temps, alors que les épidémies en Russie et au Brésil continuent de faire rage, les deux pays ont officiellement compté des centaines de milliers de cas supplémentaires au cours des 2 dernières semaines. Les deux pays, qui comptent le plus grand nombre de cas "officiels'' au monde (n ° 2 (Russie) et n ° 4 (Brésil)), abordent le problème sous des angles différents: en Russie, le président Poutine renforce le verrouillage et la distanciation sociale tandis que le Brésil - sous le président Jair Bolsonaro, qui a qualifié le virus de "petite grippe" - continue de rouvrir son économie à la consternation de ses voisins.
Le nombre de morts a grimpé dans la nation sud-américaine à 16.118 lundi matin aux États-Unis, le 6e plus haut rassemblement au monde. Il y a deux semaines, le nombre de décès était de 7 025. Dimanche, le Brésil a signalé 485 décès supplémentaires et 7 938 cas supplémentaires. C'était après que le Brésil a rapporté samedi 816 décès supplémentaires, juste derrière les États-Unis avec 1 218 et plus de 14 000 cas supplémentaires. Les chiffres ont poussé le Brésil devant l'Italie et l'Espagne dans le classement des pays les plus touchés. Le décompte "officiel" du Brésil était de 241 080, mais avec des taux de tests loin derrière l'Europe, beaucoup soupçonnent que le nombre exact est beaucoup plus élevé.
Alors que la plupart des États-Unis et de l'Europe ont continué de rouvrir, la capitale du Chili, Santiago, a été verrouillée dimanche à la suite d'une résurgence de nouveaux cas et de décès liés au virus.
RépondreSupprimerLa Russie a déclaré lundi avoir enregistré 9 000 nouveaux cas de coronavirus au cours des dernières 24 heures, le niveau le plus bas depuis début mai (le pays signalait plus de 10 000 cas par jour). Les autorités sanitaires ont signalé 8 926 nouvelles infections au cours des dernières 24 heures, portant le total du pays à 290 678, le deuxième plus élevé au monde après les États-Unis. Il s'agit du plus faible nombre de nouveaux cas de virus depuis le 1er mai, lorsque la Russie a annoncé 7 933 cas, selon le Japanese Times.
Un peu plus au sud de la Nouvelle-Zélande, des centaines de milliers d'enfants se préparaient à retourner à l'école lundi après une pause de 2 mois à domicile.
Des centaines de milliers d'enfants néo-zélandais sont retournés à l'école lundi après deux mois d'enseignement à domicile dans le cadre d'un verrouillage COVID-19, selon l'AFP. Avec une population de 5 millions d'habitants, la Nouvelle-Zélande n'a enregistré que 1 149 cas de virus et 21 décès, attribués à une interdiction stricte adoptée en mars. La plupart des mesures de verrouillage de la NZ ont pris fin jeudi.
De retour aux États-Unis, alors que davantage d'États entament le processus de réouverture, Apple prévoit de rouvrir plus de 25 de ses magasins de marque aux États-Unis, selon un rapport de Reuters. La société a annoncé dimanche que d'ici la fin de la semaine, 1/5 de ses magasins de détail dans le monde auront rouvert.
- voir carte USA sur site -
Hier, nous avons signalé que des dizaines de millions de Chinois dans le nord-est du pays avaient de nouveau été placés en détention à la suite d'une nouvelle épidémie près de la frontière avec la Russie. Apparemment, ce nombre était loin d'être atteint: en ce moment, quelque 100 millions de Chinois sont de retour sous verrouillage.
Quelque 108 millions de personnes dans la région nord-est de Jilin en Chine sont de retour dans des conditions de verrouillage, rapporte BBG, "dans un renversement brutal de la réouverture qui a lieu à travers le pays, les villes de la province de Jilin ont coupé des trains et des bus, fermé des écoles et mis en quarantaine des dizaines de milliers de personnes. " Les mesures strictes ont consterné de nombreux habitants qui pensaient que le pire de l’épidémie nationale était révolu.
Les gens «se sentent de plus en plus prudents», a expliqué Fan Pai, un travailleur de Jilin. «Les enfants qui jouent dehors portent à nouveau des masques» et les agents de santé se promènent avec des vêtements de protection, a-t-elle déclaré. "C'est frustrant parce que vous ne savez pas quand cela se terminera."
Pendant ce temps, selon un autre rapport de Reuters, le beau temps d'été à travers l'hémisphère nord attire des millions de personnes dans des «points chauds» de virus de New York aux côtes méditerranéennes d'Italie et d'Espagne pour visiter les parcs publics et les plages, ce qui en fait les principaux centres de loisirs à l'ère COVID.
La plupart des villes ont adopté de nouvelles précautions pour empêcher la propagation du virus. De nombreuses personnes choisissent de garder leurs distances et de porter des masques. Les Grecs ont afflué vers les plages samedi alors que plus de 500 plages ont rouvert, coïncidant avec des températures de 34 degrés Celsius (93,2 degrés Fahrenheit).
Alors que le nombre de nouveaux cas s'accélère rapidement à travers l'Afrique, attisant les craintes concernant de nouveaux "points chauds'', l'Afrique du Sud a signalé dimanche son plus fort bond en un jour des cas de coronavirus signalés, avec une augmentation de 1160 infections, selon le département national du pays. Santé. Cela porte le nombre total de cas à 15 515, la province du Cap occidental représentant environ 60% de ce total.
RépondreSupprimerDans le Domino Park de Brooklyn, des cercles blancs ont été peints sur la pelouse pour aider les baigneurs et les pique-niqueurs à garder une distance de sécurité. Environ la moitié des personnes dans le parc semblaient porter une sorte de couvre-visage alors qu'elles se rassemblaient en petits groupes par un samedi après-midi chaud, tandis que les flics masqués surveillaient.
En Italie, de nombreux restaurants, bars et cafés ont rouvert depuis que l'Italie a vu les décès quotidiens tomber à des niveaux jamais vus depuis les premiers jours de la pandémie.
Après avoir publié des données sur les prix des biens de consommation faisant allusion à une vague de déflation déstabilisatrice qui a conduit la Chine, la presse continentale a recherché de loin des experts "étrangers" pour rassurer le peuple chinois que l'économie chinoise atteindra ses repères de croissance pré-COVID, tout comme le président Xi l'a dit.
Comme nous l'avons signalé hier soir, l'OMS tient une réunion annuelle de deux jours à partir de lundi. Le président chinois Xi Jinping a prononcé le discours d'ouverture lundi pendant que les membres se disputent pour autoriser une enquête sur les premiers jours de l'épidémie à Wuhan, ainsi que pour faire de Taiwan un membre à part entière de l'organisation face à la résistance rapide de la CCP.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/100-million-chinese-back-under-lockdown-millions-americans-europeans-flock-parks
Comment les Centers for Disease Control pourraient prolonger le verrouillage de 3 ans de plus en classant de manière erronée les décès par tuberculose induits par le verrouillage pour les décès provoqués par le coronavirus Covid-19 ?
RépondreSupprimerPar Bill Sardi
19 mai 2020
Et si le verrouillage allait causer plusieurs millions de décès de plus d'une autre maladie pulmonaire infectieuse ? Et puis les décès dus à cette autre maladie pulmonaire vont être classés à tort comme des décès dus à COVID-19 pour prolonger le verrouillage ?
On estime que 1,4 million de décès supplémentaires sont prévus dans le monde à cause d'une autre maladie infectieuse causée par le verrouillage et la mise en quarantaine du fiasco du coronavirus COVID-19. Oui, c'est l'estimation alarmante de la mortalité accrue publiée par STOP TB PARTNERSHIP.
En bout de ligne, le verrouillage et la quarantaine vont causer beaucoup plus de décès d'une autre maladie pulmonaire infectieuse que COVID-19.
Le verrouillage mondial de COVID-19 perturbe l'accès aux soins pour 1,8 milliard de personnes atteintes de tuberculose sur la planète. Quelque 10 millions de personnes atteintes de tuberculose dans le monde tombent malades et se convertissent à la forme infectieuse active de tuberculose chaque année, et 1,5 million meurent, un nombre qui dépasse de loin celui des infections et des décès dus aux coronavirus COVID-19. Mais inexplicablement, pas de verrouillage et de quarantaine demandés par les autorités sanitaires pour une épidémie de tuberculose plus mortelle.
Il y a environ 14 millions d'Américains, la majorité qui sont nés à l'étranger, qui ont la tuberculose et 9 000 autres cas détectés chaque année. De façon inattendue, en 2019, les cas de tuberculose aux États-Unis étaient les plus bas jamais signalés. Environ 80% des cas de tuberculose aux États-Unis sont des réactivations d'une tuberculose latente (dormante) antérieure. Cela signifie que les États-Unis ont une énorme population de patients tuberculeux dormants qui pourraient éclater en TB infectieuse active à tout moment, en particulier après un hiver très froid lorsque les niveaux de vitamine D au soleil sont faibles. La tuberculose a la même apparition saisonnière que les virus du rhume et de la grippe et sa prévalence est élevée parmi les mêmes groupes à haut risque - - Noirs / Afro-Américains, patients des maisons de soins infirmiers.
Maintenant, incapable de se rendre chez les médecins et les antibiotiques nécessaires, et leur système immunitaire s'effondre en raison du manque de vitamine D, et peut-être de vivre dans des quartiers plus proches avec des membres de la famille qui ont une tuberculose latente (dormante), 1 367 300 millions de décès supplémentaires sont attendus au cours des 5 prochaines années.
Pour chaque mois de fermeture, on estime qu'il y aura 608 000 nouveaux cas de tuberculose et 126 100 décès supplémentaires.
La mauvaise direction au milieu de cette épidémie de coronavirus COVID-19 vivant est que 100 vaccins sont en cours de développement pour une maladie infectieuse qui n'a que 120 jours alors que la tuberculose existe depuis des milliers d'années sans vaccin.
Lucica Ditiu, directrice du partenariat STOP TB, dit qu'elle est dégoûtée par la recherche qui prédit maintenant que des millions de personnes supplémentaires devraient désormais contracter la maladie (TB) en raison des restrictions COVID-19.
Des progrès ont été réalisés dans l'éradication de la tuberculose ces dernières années, mais maintenant, ces chiffres d'infection et de décès sont revenus à 2013. Selon un rapport récemment publié, 6,3 millions de cas supplémentaires de tuberculose devraient survenir en raison du verrouillage et de la mise en quarantaine prématurés du COVID-19 au cours des cinq prochaines années. Ces cas de tuberculose en excès devraient entraîner environ 1,4 million de décès par tuberculose supplémentaires au cours des 5 prochaines années! (Cela s'ajoute aux 1,3 million de personnes qui meurent généralement de tuberculose chaque année.)
RépondreSupprimerL'étude prédictive était basée sur un verrouillage de 3 mois et 10 mois pour restaurer les services de soins antituberculeux. La Californie vient de prolonger son verrouillage de 3 mois supplémentaires au-delà du verrouillage initial de 3 mois. Ainsi, le nombre de cas de tuberculose et de décès dépassera ces projections.
Actuellement, les patients tuberculeux, qui doivent se présenter à une clinique antituberculeuse pour surveiller leur régime antibiotique requis, sont en détention.
L'Organisation mondiale de la santé affirme maintenant que le coronavirus «va être avec nous pendant longtemps». Ils chuchotent à propos d'un blocage de 3 ans.
Nulle part ne peut-on trouver le nombre actuel de décès par tuberculose, probablement parce qu'ils sont classés à tort comme des décès dus au coronavirus COVID-19. Il convient également de noter que les trois points chauds géographiquement responsables des décès liés au COVID-19 dans le monde, Wuhan, Chine; Modène, en Italie et à New York, luttaient contre les épidémies de tuberculose avant que l'épidémie de COVID-19 n'attire l'attention, car il s'agirait d'une nouvelle mutation du coronavirus qui a laissé la population mondiale entière sans anticorps protecteurs.
La tuberculose affecte généralement les jeunes adultes âgés de 18 à 44 ans, tandis que les décès dus au COVID-19 sont concentrés chez les très âgés, en particulier les adultes de plus de 80 ans. virus, vaccins à base d'ADN, protéines recombinantes, particules de type viral) depuis 8 ans maintenant, mais aucun n'a obtenu l'approbation finale.
Les microbiologistes disent que la principale différence clinique entre le coronavirus COVID-19 et la tuberculose est que la tuberculose a un début lent (souvent de nombreuses années) tandis que COVID-19 éclate dans les quelques jours suivant l'infection. Mais franchement, la plupart des cas de COVID-19 sont asymptomatiques et les personnes infectées ignorent que l'infection va et vient. Ce n'est que maintenant que les enquêteurs prennent conscience que la co-infection pourrait entraîner la disparition de nombreux cas de tuberculose. Ou peut-être que de nombreux cas de COVID-19 sont uniquement de la tuberculose.
N'oublions pas que la grippe espagnole de 1918 qui aurait tué 50 millions de personnes a été plus récemment découverte comme étant causée par la tuberculose par des démographes de l'Université de Californie qui prétendent que la co-infection TB + grippe (H1N1) a probablement favorisé la progression et la gravité de la pandémie. Ainsi, deux pandémies, virale et tuberculeuse, peuvent maintenant entrer en collision.
On parle peu de la difficulté de distinguer le coronavirus COVID-10 de la tuberculose.
- voir graphique sur site -
Ce ne serait pas la première fois que les mêmes virologues du CDC (Fauci, Birx et Redfield) confondent TB et virus. Ils l'ont fait avec le SIDA, explique l'enquêteur Lawrence Broxmeyer MD.
RépondreSupprimerIl note que la tuberculose n'a cessé d'apparaître chez les patients atteints du SIDA comme l'infection prédominante entraînant la mort. Dès le début, note Broxmeyer, le vétérinaire Max Myron Essex, le premier scientifique à proposer le dépistage du VIH, savait que la tuberculose produit des tests faussement positifs pour le VIH dans près de 70% des cas. Cela a amené Essex et son protégé Oscar Kashala à avertir que les tests de dépistage du VIH «doivent être interprétés avec prudence lors du dépistage des personnes atteintes de tuberculose ou d'autres espèces mycobactériennes». D'autres chercheurs ont également trouvé des tests de dépistage du VIH faussement positifs chez des patients atteints de lèpre qui avaient également la tuberculose.
Thermo-Fischer, un fabricant de kits de diagnostic de 25 milliards de dollars pour le coronavirus COVID-19, inclut Mycobacterium tuberculosis dans sa liste d'agents infectieux possibles qui pourraient réagir de manière croisée dans leur test RT-PCR pour COVID-19, mais refuser de divulguer les données réelles utilisé pour déterminer cela, explique le Dr Broxmeyer.
Alors, le monde entier est-il induit en erreur en pensant que les décès sont causés par COVID-19 alors que les conséquences mortelles sont principalement générées par la tuberculose ou la TB + COVID-19? Et ces décès cachés de tuberculose seront-ils utilisés pour prolonger indéfiniment le verrouillage mondial et entraîner des tentatives futiles pour développer un vaccin?
Le verrouillage empêche les décès ?
Les experts affirment que la raison pour laquelle 2 millions de décès liés au COVID-19 n'ont pas été enregistrés aux États-Unis est due aux mesures de verrouillage. Mais même si cela est vrai, que se passe-t-il si les conséquences du verrouillage sont beaucoup plus destructrices et mortelles médicalement que le virus ?
Numéros de décès bidons
La fausse idée que des millions de personnes mourront à cause du coronavirus a déjà été révélée comme un mensonge mathématique. Le professeur financé par Bill Gates à l'Imperial College de Londres, dont le logiciel de 13 ans a prédit des millions de décès liés au COVID-19 et a été utilisé pour justifier un verrouillage mondial, a été catégoriquement rejeté par d'autres épidémiologistes. Le cerveau du coronavirus de l'Imperial College a démissionné pour son propre mépris des mesures de verrouillage. Les prédictions de décès de l'Imperial College n'ont jamais été vérifiées. Des évaluateurs indépendants qualifient ces chiffres de décès de «peu fiables». Mais le nombre de morts continue d'être rapporté à la télévision.
COVID-19 provoque plus de décès que la grippe ?
Vous pouvez lire de fausses informations selon lesquelles le coronavirus COVID-19 cause plus de décès que les souches normales de virus grippaux qui sont en circulation pendant les mois d'hiver. Mais les Centers for Disease Control induisent les Américains en erreur depuis des années: en moyenne, 36 000 Américains meurent de la grippe chaque année. Les médias complices (faux reporters achetés par de grandes entreprises) n’ont pas vérifié les faits auprès du gouvernement fédéral. Alors, comment le public peut-il faire confiance aux nombres de décès distribués par le CDC pour COVID-19 ?
L'American Lung Association publie le nombre réel de décès dus à la grippe, aussi bas que 257, 727 et 411 en un an. Le CDC combine les décès par grippe et les décès par pneumonie pour arriver à ces chiffres dans un effort pour effrayer les Américains à se faire vacciner contre la grippe. Le CDC est devenu la servante des fabricants de vaccins.
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
Le nombre de décès a été stimulé par d'autres facteurs:
La confirmation en laboratoire du coronavirus COVID-19 suppose que ce virus est la cause du décès. Ce n'est peut-être rien de plus qu'un virus compagnon. Les patients peuvent mourir d'autres causes et mourir avec COVID-19 mais pas.
Le CDC estime combien de décès en excès se produisent au-delà des saisons précédentes. Pour la période du 11 mars au 2 mai 2020, 32 107 décès supplémentaires ont été signalés. Ces décès excessifs sont probablement causés par le coronavirus COVID-19. Mais le fait que le CDC ait donné une incitation financière (de 13000 $ à 39000 $) aux hôpitaux pour mettre à niveau d'autres maladies respiratoires (pneumonie, tuberculose) en COVID-19 fait soupçonner les estimations des décès excessifs des CDC.
Les hôpitaux ont également changé leur façon de traiter cette maladie pulmonaire, admettant tacitement qu'ils soumettaient les poumons à un traumatisme pulmonaire induit par un ventilateur qui a précipité la mort de nombreux patients fragiles. Le traitement, et non un virus, peut avoir causé bon nombre de ces décès dus au COVID-19.
De plus, la plupart (99% en Italie; 73% aux États-Unis) des décès liés au COVID-19 surviennent chez des personnes qui avaient des problèmes de santé préexistants qui les rendaient fragiles et vulnérables aux infections et aux décès. En Italie, 7% des décès concernaient des patients âgés de 90 ans ou plus. Par conséquent, un verrouillage de populations entières n'a pas été nécessaire. En d'autres termes, bon nombre de ces patients étaient sur leur lit de mort et étaient de toute façon quelques jours après leur mort.
Le graphique suivant révèle comment le CDC et d'autres alarmistes ont dénigré les chiffres de mortalité pour effrayer les masses dans un verrouillage et une quarantaine artificiels. Des décès liés à COVID-19 en Italie ont été largement signalés. La plupart de ces décès sont parmi les très anciens. Examinez le graphique ci-dessous. Il montre que le nombre de décès en Italie (pour 1000 personnes) est déjà sur une trajectoire ascendante raide en raison du grand nombre d'Italiens âgés de 80 ans et plus, et non en raison de COVID-19. (Macrotrends graphiques)
- voir graphique sur site -
Les chiffres de mortalité COVID-19 sont erronés si, pour aucune autre raison que la preuve de la causalité n'a encore à être confirmée.
En Afrique du Sud, 264 décès liés au COVID-19 ont été signalés (18 mai 2020). Mais l'année dernière, il y a eu 63 000 décès par tuberculose dans une population de 59 millions de personnes. Le taux de mortalité COVID-19 est de 0,00000366 ou 3 sur un million en Afrique du Sud. Pourtant, ils ont été contraints de s'enfermer avec le reste du monde.
Pourquoi les microbiologistes, les responsables de la santé publique et les médias ignorent-ils une épidémie toujours plus grande qui fait déjà des millions de morts ? Pourquoi l'ordre de verrouillage et de quarantaine est-il émis pour une infection à coronavirus beaucoup moins mortelle ?
RépondreSupprimerLes experts en maladies infectieuses semblent mener le monde à une impasse littérale.
https://www.lewrockwell.com/2020/05/no_author/how-the-centers-for-disease-control-could-prolong-the-lockdown-3-more-years-by-misclassifying-lockdown-induced-tuberculosis-deaths-for-covid-19-coronavirus-induced-deaths/
L'écoute des «experts» du coronavirus a conduit à la mort et au désespoir
RépondreSupprimerPar Ron Paul
Institut Ron Paul
19 mai 2020
Le 21 avril, le Washington Post a violé la décision du gouverneur de Géorgie, Brian Kemp, de commencer à ouvrir son État après avoir été enfermé pendant des semaines. "La Géorgie mène la course pour devenir la destination de mort numéro 1 en Amérique", raillait le titre.
L'auteur, l'ex-libéral Dana Milbank, a en fait trouvé la possibilité que les Géorgiens mourant soient hilarants, suggérant que, "en tant que promotion, la Géorgie pourrait offrir des ventilateurs aux 100 premiers clients de l'hôtel pour s'inscrire".
Milbank, qui est de toute évidence toujours rémunéré alors que des millions de personnes sont sans emploi, voit son travail comme poussant le discours général à dire que nous devons rester dans la peur et ne jamais remettre en question ce que des «experts» comme le Dr Fauci nous disent.
Eh bien, trois semaines se sont écoulées depuis l'attaque de Milbank contre la Géorgie et son gouverneur, prédisant une mort généralisée qu'il a trouvée humoristique. Ses prédictions sont à peu près aussi inutiles que son personnage. Non seulement la Géorgie n'a pas vu "de coronavirus ... brûler à travers la Géorgie comme rien ne l'a été depuis William Tecumseh Sherman", comme Milbank a ri, mais les cas de Covid, les hospitalisations et les décès ont connu une forte baisse depuis que le gouverneur a commencé à ouvrir l'État.
Peut-être que sortir au grand air et au soleil n'aurait pas dû être interdit en premier lieu!
En fait, comme nous avons maintenant beaucoup plus de données, il devient de plus en plus clair que les États américains et les pays qui ont le plus verrouillé ont également enregistré les taux de mortalité les plus élevés. L'Italie ultra verrouillée a subi 495 décès par million de Covid tandis que la Corée du Sud, relativement non verrouillée, n'a subi que cinq décès par million. Il en va de même aux États-Unis, où des États non bloquants comme le Dakota du Sud étaient relativement épargnés par le virus, tandis que le Michigan, New York et la Californie, dirigés par les autorités, ont été les plus durement touchés.
Dans ces États les plus durement touchés, nous constatons maintenant que la plupart des décès sont survenus dans des établissements de soins pour personnes âgées - après que les gouverneurs ont ordonné aux patients atteints de Covid de quitter les hôpitaux et de retourner dans leurs établissements. Là, ils ont infecté leurs concitoyens qui étaient les plus susceptibles d'avoir les multiples comorbidités et l'âge avancé qui ont transformé le virus en une condamnation à mort. Ces gouverneurs seront-ils obligés de répondre de ce mépris insensé de la vie?
Hier, le secrétaire à la Santé et aux Services sociaux, Alex Azar, a admis l’évidence: «Nous constatons que dans les endroits qui s’ouvrent, nous ne voyons pas ce pic dans les cas. Alors pourquoi ne pas tout ouvrir ? Parce que ces petits tyrans ne supportent pas l'idée de perdre la capacité de pousser les gens.
La fermeture de l'ensemble des États-Unis pour un virus qui semble moins mortel qu'un virus de la grippe moyen - en particulier parmi les moins de 80 ans qui ne sont pas déjà malades - a entraîné un chômage de masse et une destruction économique. Plus d'Américains peuvent mourir des efforts mal faits pour combattre le virus que du virus lui-même.
RépondreSupprimerLes Américains devraient faire une pause et réfléchir aux mensonges qu'ils sont vendus. Les masques ne sont qu'une forme de manipulation psychologique. De nombreux médecins et scientifiques réputés ont déclaré qu'ils étaient sans valeur et potentiellement dangereux. Les verrouillages sont destinés à conditionner les gens à obéir sans poser de questions. Une nation de gens qui font ce que les «experts» leur disent sans aucun doute est une nation mûre pour une descente dans la tyrannie totale. Ce n'est pas un avertissement vide - il est soutenu par l'histoire. Il est temps de tenir tête à tous les petits tyrans de nos villes natales à Washington DC. Il est temps de reprendre notre liberté.
https://www.lewrockwell.com/2020/05/ron-paul/listening-to-the-coronavirus-experts-has-led-to-death-and-despair/
Comparer des vies à des vies
RépondreSupprimerPar Karen Selick
19 mai 2020
Parfois, je me demande ce que les gens diront dans 100 ans à propos des événements sans précédent de 2020 - pas seulement à propos de la pandémie, mais des mesures juridiques et économiques extraordinaires imposées par les gouvernements du monde entier, prétendument dans le but de sauver des vies. Nos arrière-arrière-petits-enfants accepteront-ils placidement l’histoire officielle du gouvernement aujourd’hui - qu’un blocage de l’économie était le seul moyen «d’aplanir la courbe» et de sauver des vies ? Ou se demanderont-ils à quoi pensaient leurs ancêtres pour permettre une telle erreur colossale, alors qu'il existait déjà une connaissance abondante du genre de ravages économiques et sociaux que de telles mesures feraient ?
Des informations alarmantes ont déjà commencé à circuler sur le coût financier des fermetures liées à la pandémie. Les données d'avril de Statistique Canada indiquent une baisse de 15,7% de l'emploi depuis février. Le Bureau du budget parlementaire a prévu une baisse du PIB pouvant aller jusqu'à 25% au deuxième trimestre de cette année. Ce serait un déclin pire que jamais, y compris pendant la Grande Dépression des années 1930.
Beaucoup de gens soutiennent que les blocages étaient - et sont toujours - nécessaires, en utilisant un argument qui ressemble à ceci: vous ne pouvez pas peser les dollars perdus contre les vies humaines perdues. Ou ils disent que chaque vie est si précieuse que sa valeur ne peut pas être mesurée par rapport à l'argent. Ces personnes ne semblent pas avoir remarqué que notre société effectue régulièrement cet acte de pesée dans diverses situations.
Par exemple, dans les litiges civils, nous indemnisons les familles des personnes tuées par négligence ou malveillance de la seule manière possible: par une allocation d'argent. Les économistes utilisent depuis plusieurs décennies un concept appelé VSL («valeur de la durée de vie statistique») pour déterminer le niveau optimal de réglementation de sécurité. Essentiellement, cela implique de limiter le montant à dépenser pour la sécurité en essayant de déterminer ce qu'il en coûterait pour sauver une vie supplémentaire. Actuellement, la valeur se situe entre 6,7 millions $ US et 10 millions $ US par vie.
Personne ne se sent jamais à l'aise avec ces concepts. Tout le monde reconnaît que si c'était votre enfant ou votre conjoint dont la vie était en jeu, le montant de l'indemnisation dont vous auriez besoin pourrait être pratiquement infini. Cependant, le chaos de la pandémie ne devrait pas nous faire perdre de vue le fait que nous faisons constamment des compromis comme ceux-ci dans la vie de tous les jours, et un nouveau risque à l'horizon n'est pas une raison pour s'écarter des pratiques établies d'évaluation du risque / récompense.
Mais peu importe à quel point il peut être désagréable de peser des vies contre de l'argent, il ne devrait pas être question de la légitimité de peser des vies contre des vies. Plus précisément, nous pouvons et devons peser les vies que les verrouillages sauveraient prétendument de COVID-19 par rapport aux vies que les mêmes verrouillages prendront probablement fin prématurément.
Heureusement, le Fraser Institute («FI») nous a fourni un outil qui nous permettra de faire des estimations raisonnables et fondées sur des preuves du nombre de décès qui résulteront probablement de la catastrophe économique déclenchée par les récents édits gouvernementaux.
Depuis 1996, FI publie un rapport annuel intitulé Economic Freedom of the World. L'édition la plus récente, publiée en septembre 2019 et traitant des statistiques de l'année 2017, est disponible ici. Les chercheurs collectent chaque année des données dans 162 pays, examinant 42 éléments de politique économique dans chaque pays. Chaque élément est classé sur une échelle de zéro à dix, selon le degré de liberté que le pays accorde à ses citoyens, 10 étant le maximum de liberté pour cette question. Les 42 éléments sont ensuite moyennés en un seul score sur une échelle de 10. Le Canada, par exemple, a obtenu 8,07 sur 10 sur le score de liberté économique en 2017, ce qui l'a placé en huitième position parmi tous les pays classés.
RépondreSupprimerLa figure 1 montre les pays du monde classés selon leur score de liberté économique. Les 162 pays sont divisés en quatre quartiles, du plus libre (montré ici en bleu sarcelle) au moins libre (montré en rouge).
- voir graphique sur site -
Le rapport montre ensuite le revenu moyen par habitant par quartile, dans sa pièce 1.6. Sans surprise, le quartile qui a le plus de liberté économique a également le revenu par habitant le plus élevé, et ainsi de suite.
- voir graphique sur site -
Le graphique suivant (pièce 1.7 du rapport FI) montre la corrélation entre la liberté économique et l'espérance de vie. Il montre que les pays du quartile le plus libre (comme le Canada) ont une espérance de vie moyenne de 79,4 ans. Les pays du deuxième quartile le plus libre ont une espérance de vie de seulement 74,08 ans, soit 5,32 ans de moins que ceux du quartile le plus libre.
- voir graphique sur site -
Cela a du sens car nous savons que même à l'intérieur d'un pays, la santé est positivement corrélée à la richesse. L'agence ontarienne connue sous le nom de Qualité des services de santé Ontario a publié ce rapport analysant les facteurs qui semblent produire de meilleurs résultats pour la santé. La figure 3.1 (reproduite ici) montre l’état de santé de la population de l’Ontario, divisé en quintiles de revenu. Dans le quintile le plus riche de la population, 72,9% des personnes interrogées ont déclaré que leur santé était excellente ou très bonne. Dans le quintile le plus pauvre, seulement 49,4% ont déclaré une bonne santé similaire.
Par conséquent, si la réduction de la liberté économique entraîne une réduction des revenus, elle est également statistiquement susceptible d'entraîner une réduction de la santé, avec une réduction conséquente de l'espérance de vie.
Voici les implications FI Pièce 1.7. Si la liberté économique du Canada demeure suffisamment compromise pour la ramener à la même cote de liberté que celle qui prévalait auparavant dans le deuxième quartile le plus élevé, nous pouvons nous attendre à ce que l'espérance de vie moyenne de nos citoyens diminue en moyenne de 5,32 ans, à 74,08. En 2019, 37590 000 personnes vivaient au Canada. Si chacun perd 5,32 années de vie en raison de contraintes à la liberté économique, le nombre d’années-personnes perdues serait de 199 978 800. Cela équivaut à 2 518 625 durées de vie à l'ancien taux moyen de 79,4 ans par personne.
Est-ce que tu a reçu sa ? Le déclin de notre liberté économique pourrait entraîner un déclin de la vie humaine équivalent à la mort de 2,5 millions de personnes. C’est bien pire que tout ce qui avait été prévu pour COVID-19.
Mais vous pensez peut-être que ce n'est pas une comparaison réaliste, car personne ne meurt en raison de la réglementation économique. Ils ne vivent tout simplement pas aussi longtemps. En d'autres termes, ils meurent plus tôt.
Mais exactement la même chose pourrait être dite des victimes de COVID-19. La très grande majorité des personnes décédées du COVID-19 étaient des personnes âgées. Plus de 90% des Canadiens qui en seraient morts sont âgés de plus de 60 ans et au moins la moitié de toutes les victimes résident dans des foyers de soins de longue durée. Les statistiques sur l'espérance de vie des personnes dans les foyers de soins de longue durée du Canada semblent être un secret bien gardé, mais voici un site Web en Caroline du Sud qui dit que la durée moyenne de séjour dans une vie assistée est de 28 ou 29 mois (environ 2,4 ans). La plupart ne partent pas vivants et retournent vivre dans leurs anciennes maisons privées. Leur résidence au foyer de soins se termine presque toujours par leur décès.
RépondreSupprimerCette étude menée en Finlande indique que l'espérance de vie moyenne des personnes bénéficiant de soins de longue durée n'est que de 2,07 ans pour les hommes et de 2,70 ans pour les femmes.
Par conséquent, lorsque COVID-19 réclame la vie d'une personne dans un foyer de soins de longue durée, cela raccourcit la vie d'une personne dont l'espérance de vie était déjà extrêmement courte. N'oubliez pas que les personnes dans les foyers de soins de longue durée sont des personnes atteintes de maladies chroniques graves. Leur qualité de vie est déjà très mauvaise. S'ils meurent en mars alors qu'ils seraient autrement morts en septembre, quelqu'un considère-t-il vraiment que c'est une terrible tragédie?
Au cours des 24 années où j'ai pratiqué le droit successoral et préparé des testaments et des procurations pour des centaines de clients, j'ai régulièrement reçu des instructions de personnes selon lesquelles elles ne voulaient pas prolonger leur vie alors que tout espoir d'une existence normale et pleinement fonctionnelle avait disparu. Les gens ne voulaient pas être le vieillard ou la femme pathétique languissant de douleur ou de confusion mentale, attendant que la mort les réclame par pitié.
Le Canada aurait eu 5 679 décès dus à COVID-19 au moment où j'ai écrit ceci. (Soit dit en passant, il existe un doute sur l'exactitude de ce chiffre en raison de plusieurs rapports - en particulier des États-Unis et de l'Italie - selon lesquels les médecins sont poussés à inscrire COVID-19 comme cause de décès sur les certificats de décès des personnes lorsqu'elles sont effectivement décédées de certains autres maladies chroniques de longue durée. Voici une discussion aux États-Unis sur cette question, et une en Italie.)
Néanmoins, si nous acceptons l'exactitude du nombre de morts «officiel», et si la moitié de ces victimes se trouvaient dans des foyers de soins de longue durée et perdaient au maximum 2,70 années de vie auxquelles elles auraient pu s'attendre, la perte serait toujours (jusqu'à présent ) seulement 7 667 années-personnes. Même si l'autre moitié des victimes a perdu 50 ans de vie chacune, cela n'ajouterait que 141 975 années-personnes au total perdu - seulement une infime fraction des près de 200 millions d'années-personnes que nous pouvons nous attendre à perdre en raison des effets indésirables. résultats économiques.
Le rapport FI nous donne un autre graphique intéressant à regarder. La pièce 1.8 montre la mortalité infantile par quartile, c'est-à-dire le nombre de nourrissons qui meurent avant d'avoir atteint un an pour 1 000 naissances vivantes. Dans le quartile le plus libre où le Canada a toujours habité, le taux moyen en 2016 n'était que de 6,67 nourrissons. Dans le deuxième quartile le plus libre, la mortalité infantile a grimpé jusqu'à 15,35 pour 1 000.
En d'autres termes, si le Canada descend au niveau de liberté économique qui prévalait dans ce qui était auparavant le deuxième quartile le plus libre, il peut s'attendre à voir 8,68 bébés supplémentaires mourir au cours de leur première année pour 1000 naissances vivantes (15,35-6,67 = 8,68) .
RépondreSupprimerIl y avait 382 533 enfants nés au Canada en 2019. Si 8,68 bébés supplémentaires devaient mourir pour 1 000 naissances vivantes, cela signifie que 3 320 nouveau-nés devraient mourir (382 533 x 8,68 = 3 320). Ils perdraient toute leur vie, pas seulement les 2,7 dernières années qui seraient autrement passées dans une maison de soins infirmiers. Cela représenterait une perte de 263 608 années-personnes. C'est plus de trois fois le nombre que COVID-19 devrait réclamer.
De nombreux commentateurs ont maintenant commencé à remarquer que le coût économique des fermetures avait été excessif. Ces chiffres corroborent leur opinion, exprimée en termes que personne ne devrait pouvoir contester: les vies perdues si les blocages se poursuivent dépasseront de loin les vies sauvées.
Ce qui me fait particulièrement peur, c'est que tous les efforts du gouvernement pour sauver des vies visent à empêcher les gens d'entrer en contact avec le coronavirus. On nous dit de rester loin des autres, de nous laver les mains fréquemment, de porter des gants et des masques, de ne pas toucher nos visages, etc. Il existe une autre stratégie complètement différente que les gouvernements du monde entier, y compris le Canada, ont complètement ignorée: savoir informer les gens sur la façon d'optimiser le fonctionnement de leur système immunitaire en s'assurant qu'ils disposent des nutriments essentiels à cette fin.
La plupart des personnes infectées par COVID-19 parviennent à se rétablir rapidement, sans aucun problème durable. Leur système immunitaire inné est capable de vaincre l'infection. Il existe de nombreuses recherches sur les nutriments essentiels au bon fonctionnement du système immunitaire: en particulier, les vitamines C et D, l'iode et le zinc. Les Canadiens sont bien connus pour être chroniquement déficients en vitamine D, et Santé Canada leur a dit pendant des années de rester à l'abri du soleil, renonçant ainsi à l'avantage d'obtenir de la vitamine D gratuitement.
Le gouvernement pourrait sauver beaucoup plus de vies s'il détournait une partie de son budget publicitaire de dire aux gens de se laver les mains et de leur dire plutôt de prendre des vitamines et des minéraux adéquats.
https://www.lewrockwell.com/2020/05/no_author/selick-compares-lives-to-lives/
Quand je vois les compliqués sortir de chez eux avec des masques tricotés par eux-mêmes... Çà tue !
SupprimerUne autre raison pour laquelle cette «pandémie» ressemble davantage à une expérience d'ingénierie sociale
RépondreSupprimerPar Richard Enos
Évolution collective
19 mai 2020
Pourquoi cette pandémie ressemble plus à une expérience d'ingénierie sociale, partie 1
Quand quelque chose se répète encore et encore, il a souvent la capacité de nous endormir. Mais parfois, cela a l'effet inverse. Parfois, à la suite de messages redondants, nos sens sont réveillés par un goût amer ou une odeur périmée qui nous dit que quelque chose ne va pas.
J'ai eu une telle expérience en écoutant le briefing quotidien COVID-19 de l'Ontario aujourd'hui que j'avais fait, avec optimisme, pour voir s'il y avait une avance sur le moment où les écoles ouvriraient pour mon enfant de 6 ans. (pas de chance). Cela est venu au début du segment de la ministre de la Santé Christine Elliot:
Avant de commencer, j'aimerais souligner et célébrer nos incroyables infirmières, en ce premier jour de la Semaine nationale des infirmières. Jour et nuit, nos infirmières héroïques travaillent sans relâche pour prendre soin de la population de l'Ontario. Du fond du cœur, merci. Au cours des derniers mois, le système de santé de l’Ontario a démontré une réactivité remarquable à l’éclosion de COVID-19. Cela est en grande partie attribuable à nos partenaires de première ligne, notamment nos infirmières, nos médecins, nos soins à domicile, notre personnel hospitalier et de soins de longue durée, nos préposés aux services de soutien à la personne et nos premiers intervenants, entre autres. Alors que nous affrontions COVID-19, nous avons fait des investissements historiques pour augmenter considérablement la capacité hospitalière et soutenir les héros courageux qui travaillent en première ligne de notre système de santé.
Elliot jaillissait littéralement en vantant les vertus de nos travailleurs de la santé. C'était presque comme si elle s'était convaincue que ses applaudissements étaient sincères.
Quel est le motif ?
Le motif politique apparent pour nombre de nos dirigeants de faire l'éloge des travailleurs de la santé et d'encourager le public à faire de même est assez simple. En remerciant les autres, on arrive à se prélasser dans la gloire reflétée de leurs réalisations.
Mais après une réflexion plus approfondie, on peut voir que cette stratégie est si largement utilisée dans le cas de cette pandémie car elle touche simultanément toutes les bases que notre autorité veut véhiculer lors de leurs proclamations publiques. En fait, je pense que peu de techniques de programmation sociale sont plus puissantes ou efficaces. Voyons nous-mêmes quelques-unes des bases:
Amplifier la gravité de la pandémie. Grâce à l'astucieux tour de passe-passe des louanges d'autrui, que le public qui écoute a tendance à accepter facilement avec sa garde baissée et ses filtres de discernement en pause, l'orateur est en mesure de nous convaincre pleinement du danger auquel nous sommes confrontés, en félicitant les travailleurs de la santé d'être prêts à affronter ce danger. Plus nous sommes amenés à penser qu'ils sont héroïques, plus le danger est implicite. Alors que les éloges envers nos semblables (qui ne font pas partie de l'autorité) nous font du bien dans une certaine mesure, ce qui est vraiment accru en nous, c'est que la peur de bas niveau que ce virus se cache, prête à bondir sur nous à tout faux pas. Un public qui est dans cet état de peur est beaucoup plus facile à contrôler et à manipuler.
Légitimer la médecine occidentale. Écoutez sa terminologie. «Nos partenaires en première ligne… les héros courageux qui travaillent en première ligne.» Pourquoi «Front lines»? Pourquoi les soins de santé sont-ils un «combat», toujours une sorte de «guerre» ? Parce que cela a toujours été la stratégie prééminente de la médecine occidentale - pour nous faire sentir qu'il y a eu une invasion ennemie (un virus). Pour nous faire sentir que notre corps n'a pas les mécanismes de défense nécessaires (la médecine occidentale ignore pratiquement notre système immunitaire). Pour nous faire sentir que nous sommes attaqués, que nous avons besoin de protection, et l'armée de médecins et de chercheurs issue de l'école de médecine occidentale est notre seul espoir (bien sûr, c'est pourquoi la médecine traditionnelle, qui travaille de concert avec le système immunitaire, a pour cela longtemps dénommé charlatanisme et pseudoscience).
RépondreSupprimerRenforcer l'autorité gouvernementale. En faisant l'éloge des travailleurs de la santé et du système dans lequel ils opèrent, notre autorité renforce en fait sa propre louabilité sans le dire directement. Au lieu de cela, le gouvernement est perçu comme le gestionnaire bienveillant de tout le processus, «en partenariat» avec ces héros louables du système de santé. Alors, lorsque le gouvernement se vante d’avoir «fait des investissements historiques pour augmenter considérablement la capacité des hôpitaux», devrions-nous nous lever et applaudir ? Ou devrions-nous demander, si tout ce partenariat gouvernement-système médical fonctionne si bien, ne devrions-nous pas voir une réduction des lits d'hôpitaux au lieu d'une augmentation constante? Les citoyens dans leur ensemble ne devraient-ils pas être en meilleure santé, plutôt que de devenir plus malades et d'avoir davantage besoin de médicaments et de traitements, comme le prouvent toutes les preuves et les statistiques ?
Personne ne frappe nos travailleurs de la santé
Maintenant, avant que personne ne commence à dire que je frappe nos agents de santé, arrêtez. En fait, si vous êtes allé aussi loin dans l'article, je n'ai probablement pas à vous soucier de vous. Ce sont ceux qui viennent de lire les gros titres et qui se sentent alors justifiés de faire connaître leur indignation sur Facebook à l'idée de voir "une autre théorie du complot ridicule". Le fait est qu'un peu de réflexion honnête nous obligera à admettre qu'à un certain niveau, nous savons tous que notre autorité essaie de nous tirer quelque chose à chaque fois qu’ils parlent.
Pour mémoire, je crois que les soins de santé sont une profession très noble, une majorité de ceux qui travaillent au sein du système étant vraiment dévoués à la santé et au bien-être des patients avec lesquels ils entrent en contact.
Cependant, cette pandémie n'a pas transformé toutes les personnes travaillant dans les soins de santé en Florence Nightengales, comme nos dirigeants et les médias grand public voudraient nous le faire croire. Ceux qui étaient compétents et attentionnés en 2018 et 2019 sont compétents et attentionnés en 2020 pendant cette pandémie. Ceux qui étaient incompétents et apathiques envers leurs patients dans le passé sont pour la plupart probablement restés ainsi dans les circonstances auxquelles nous sommes actuellement confrontés. Comme dans toute profession, il y a de bons et de mauvais travailleurs. Quand un patient dit «merci» à une infirmière ou à un médecin pour ses services et ses soins, c'est spontané et authentique. C'est significatif. D'un autre côté, appeler le grand public à dire «merci» à tous les professionnels de la santé, dans des discours et des publicités promotionnelles partout, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, est probablement mis en scène et fondé sur un programme très différent.
RépondreSupprimerThe Takeaway
Plus tôt nous verrons à travers les motifs de ces tentatives pour nous dire quoi penser et comment ressentir, plus tôt nous aurons une société fondée sur la vérité et l'authenticité.
https://www.lewrockwell.com/2020/05/no_author/another-reason-why-this-pandemic-is-looking-more-like-a-social-engineering-experiment/
Aujourd'hui, les Gouvernements du monde entier s'impliquent dans tout et, ce ne sont pas les merdias (télés, radios & journaux du monde entier qui appartiennent a moins de 10 personnes qui diront le contraire). Les Hommes de l'ombre veillent sur eux, mais, ils accumulent les échecs dans tout ce qu'ils entreprennent ! Pourquoi ? Parce qu'il ne sont qu'un nano-groupuscule de dictateurs psychopathes qui n'ont pas le cerveau de 7 milliards de personnes ! Et, quand on ne demande pas l'avis à 7 milliards de personnes, on a toute les chances de faire 7 milliards de mécontents.
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RépondreSupprimerLieu de repos final de la liberté
Par Brian Wilson
19 mai 2020
Le feuilleton politique a atteint les proportions de Jump The Shark. La claire réalité de l'État policier et le ballet des personnages qui le soutiennent et le font avancer sont trop loin pour être critiqués, encore moins pour tenter d'avertir une population somnolente. Vous savez comment les enfants grincheux obtiennent quand ils ne «sortent pas leur sieste» ou, pire encore, quand ils ne réussissent pas. Il est plus que temps de passer du conseil pédagogique à la condamnation pure et simple. Au moins, ce dernier a un effet moralement purifiant. Hélas, la race humaine continue de décevoir.
L'avantage, cependant, est la source d'observations durables qui soutiennent le concept de l'anarchie comme lieu de repos final pour la liberté. L'autonomie gouvernementale, l'absence de lois et le fardeau de la force extérieure créée par l'homme sont aussi proches que quiconque pourra aborder la perfection. Tout ce qu'il faut, bien sûr, c'est la mise en garde de la responsabilité individuelle. N'avoir personne à blâmer est une étape géante que la plupart ne veulent pas ou ne peuvent pas faire.
Mais d'un point de vue purement politique, les D et les R ont démontré en profondeur l'incapacité de l'homme à gouverner l'homme. Appelez-le «Nature humaine», «Imperfection», «Bullshit-On-A-Stick»… les étiquettes ne sont nécessaires que pour envelopper la définition avec des noms facilement stockés. Les libertaires - en tant que parti - sont la vitrine de l'anneau central du cirque politique qui vient en ville tous les 4 ans, avec ces préliminaires à quickie «à mi-parcours» entre les deux. Le Parti libertaire est un résumé de la contradiction libertaire. Comme les D et les R, ils ont construit une «plate-forme» non durable que leur Parti ne supporte pas (sauf pour animer des talk-shows et Letters To The Editor). Je ne sais pas ce qui est plus risible: le LP a du mal à obtenir un million de votes au niveau national ou un million de dollars en dons de campagne. Ensuite, il y a l'insurmontable établissement politique, la machine bureaucratique suffocante et le défi sans réponse: «Si je vote pour vous, le démocrate gagnera.» Et cela ne résout même pas le conflit du principe de non-agression, la pierre angulaire du libertarisme, qui crée la prochaine question embarrassante: comment un libertarien occupe-t-il un poste élu qui repose sur l'initiation de la force du gouvernement? La seule réponse est: impossible (à moins qu'il ne veuille gonfler les rangs de la Dead Hypocrites Society.
Et cela laisse Anarchy comme la dernière alternative pour ceux qui recherchent une piste de gouvernance personnelle. Vous êtes votre propre président, roi, souverain pour la vie ! Votre bien-être est votre préoccupation. Votre vie est à vous de vivre, d'aimer, de dépenser, de gaspiller comme vous le souhaitez. La seule chose à faire est de ne pas engager la force contre un autre - à moins, bien sûr, que vous ne vouliez faire monter les enchères sur l'option «gaspillez votre vie» énumérée ci-dessus, car votre violation du droit d'autrui de vivre dans une liberté anarchique similaire vous coûtera probablement la vôtre. Est-ce simple et parfait ?
Coopération mutuelle si on le souhaite… le respect mutuel comme une extension logique du désir de chacun de vivre en paix et d'être laissé seul, libre de l'initiation de la force obligeant l'un à vivre comme un autre décide L'anarchie est le seul espoir pour la majorité des humains. Ou peut-être pas la «majorité». Peut-être que la majorité sera satisfaite d'être «soignée» par ceux qui ne peuvent tout simplement pas résister à dire aux autres à quel point ils seraient heureux s’ils le faisaient «à leur façon». En retour, ils leur donneront la sécurité de la servitude à une norme imposée, comme la discipline pour les enfants; la sécurité des frontières imposées au-delà desquelles on ne peut leur faire confiance pour être autonomes et encore moins se discipliner eux-mêmes. Le cycle de la nature humaine est donc complet: les maîtres ont besoin des esclaves et les esclaves sont d'accord avec ça. La liberté ne devient attrayante que lorsque l'esclavage devient laid. Tant que l'on peut échanger du travail, du temps, de la vie contre un Happy Meal, un Super Bowl et une télévision grand écran, la vie est belle ! Continuer…
RépondreSupprimerhttps://www.lewrockwell.com/2020/05/brian-wilson/freedoms-final-resting-place/
RépondreSupprimerLa Silicon Valley invente "Le déjeuner gratuit" - L'arbitrage Doordash-Pizza
par Tyler Durden
Lun, 18/05/2020 - 14h30
Écrit par Ranjan Roy via la sous-pile The Margins,
Si le capitalisme est poussé par une recherche de profit, le commerce de livraison de nourriture me dérange. Chaque plateforme perd de l'argent. Les restaurants ont l'impression de se faire défoncer. Les chauffeurs-livreurs sont des enfants d'affiches pour les problèmes d'économie de gig. Les clients sont ennuyés par les frais de livraison.
Les entreprises ne sont-elles pas censées résoudre les problèmes ?
Les nouvelles d'Uber-Grubhub de la semaine dernière ont déclenché des alarmes antitrust pour moi et m'ont fait réfléchir sur le secteur de la livraison de nourriture dans son ensemble. Mais permettez-moi de commencer cette newsletter avec une histoire sur Pizza Arbitrage.
Inefficacités du marché
En mars 2019, un bon ami qui possède quelques pizzerias m'a envoyé un message (cet ami a fait des apparitions dans les pièces précédentes de Margins). Pendant plus d'une décennie, il a résisté à l'ajout de la livraison comme option pour ses restaurants. Il a estimé que cela nuirait à la concentration sur l'expérience du dîner et entraînerait une concurrence avec Domino.
Mais il avait soudainement commencé à faire appeler des clients avec des plaintes concernant leurs livraisons.
Les clients ont appelé pour dire que leur pizza était livrée froide. Ou la mauvaise pizza a été livrée et ils voulaient une nouvelle pizza.
Encore une fois, aucun de ses restaurants n'a livré.
Il s'est rendu compte qu'une option de livraison était mystérieusement apparue sur la fiche Google de leur entreprise. L'option de livraison a été créée par Doordash.
Pour confirmer, il n'avait jamais parlé à personne de Doordash et après des années à résister au chant de la sirène des revenus de livraison, il ne voulait certainement pas être répertorié. Mais les mots "livraison de commande" étaient là, bien en vue sur l'extrait de Google.
Il m'a envoyé un message me demandant si je savais quoi que ce soit à propos de Doordash, et oh boy, ai-je été déclenché par Softbank. Je venais de lire leur série F de 400 millions de dollars et c'était parmi la classe d'entreprises WeWorkian qui, pour moi, représentait tout ce qui ne allait pas dans l'évolution des startups au cours des années 2010. Amassez une tonne d'argent, perdez une tonne d'argent et effacez simplement l'économie de base d'une industrie.
Doordash lui causait de vrais problèmes. Le plus courant était que les chauffeurs-livreurs de Doordash n'avaient pas les bons sacs pour la pizza, donc elle arriverait inévitablement froide. Cela a conduit ses employés à perdre du temps à répondre aux plaintes et même à de mauvaises critiques Yelp.
Mais il a soulevé un autre problème - les prix étaient bas. Il était frustré que les clients voient des prix incorrectement bas.
RépondreSupprimerUne pizza pour laquelle il a facturé 24 $ a été classée 16 $ par Doordash.
Ma première pensée: je me suis demandé si Doordash abaissait artificiellement les prix à des fins d'acquisition de clients.
Ma deuxième pensée: je connaissais Doordash gratté les sites Web des restaurants. Après en avoir discuté davantage, il était clair que la façon dont son menu était configuré sur son site Web, Doordash avait pris par erreur le prix d'une pizza au fromage nature et l'avait appliqué à une pizza "de spécialité'' avec un tas de garnitures.
Ma troisième pensée: Cue le commerçant de Wall Street en moi… ..ARBITRAGE !!!!
Si quelqu'un pouvait payer à Doordash 16 $ la pizza et que Doordash paierait 24 $ la pizza à son restaurant, il devrait clairement commander lui-même des pizzas via Doordash, toute la journée. Vous obtiendrez un profit net de 8 $ par pizza [insérer une blague économique ringarde à propos d'un déjeuner gratuit].
Il pensait que c'était une idée stupide. "Une entreprise aussi prospère qu'un Doordash et valant des milliards de dollars ne donnerait clairement pas simplement de l'argent comme ça." Mais j'ai repoussé qu'en raison de leur récente collecte de fonds obscène, ils seraient assez étrangement heureux de perdre cet argent. Un directeur régional serait en mesure d'afficher une croissance des revenus de premier plan tandis que certains postes comptables, quelque part, ne correspondraient pas, mais l'entreprise perdait déjà des centaines de millions de dollars. J'imaginais que leurs systèmes pourraient même être construits pour décourager la capture de ces erreurs, car cela nuirait, ou à tout le moins, distrait, aux revenus de première ligne.
Nous avons donc passé la première commande de 10 pizzas.
Les nombres
Il a appelé et passé une commande de 10 pizzas chez un ami et a débité 160 $ sur sa carte de crédit personnelle. Un centre d'appels de Doordash a alors appelé son restaurant et a passé la commande de ces 10 pizzas. Un chauffeur de Doordash s'est présenté avec une carte de crédit et a payé 240 $ pour les pizzas.
Ça a marché.
Commerce 1
Nous avons dépassé les coûts réels. Chaque pizza lui a coûté environ 7 $ (6,50 $ en ingrédients, 0,50 $ pour la boîte). Donc, s'il a payé 160 $ de sa poche plus 70 $ de dépenses pour déduire 240 $ de Doordash, il vient de faire 10 $ de profit d'arbitrage pur. Malgré tous ces ennuis, cela n'en valait pas vraiment la peine, mais cette première expérience a fonctionné.
Mon esprit, en tant que commerçant combiné et personne en démarrage, avait instantanément la pensée - exécutez cet arbitrage encore et encore. Vous pourriez même augmenter massivement votre chiffre d'affaires tout en réalisant un bénéfice sans risque, et peut-être même vous faire acquérir à une valorisation gonflée :) Il m'a dit de me détendre. C'est peut-être la raison pour laquelle il dirige une "entreprise réelle" pendant que je négocie des options tout en faisant du conseil en marque et en écrivant des newsletters.
Mais nous nous sommes rendu compte que si vous supprimiez les coûts alimentaires, cela pourrait devenir plus intéressant.
Commerce 2
RépondreSupprimerLa commande a été passée pour 10 autres pizzas. Mais cette fois, il a simplement mis la pâte sans garniture (il a indiqué que la pâte était essentiellement sans coût à cette échelle, bien que la cuisson pandémique ait pu changer les choses).
Désormais, chaque transaction rapporterait 75 $ de bénéfices sans risque ? 240 $ de Doordash moins (160 $ en frais + 5 $ en boîtes).
C'est devenu un peu plus intéressant. Si vous le faisiez plusieurs fois par nuit, vous pourriez commencer à voir des milliers de croissance du chiffre d'affaires avec des centaines de profits purs, et peut-être pourriez-vous le faire pendant des jours.
Donc en quelques semaines, presque pour me faire plaisir, nous avons fait quelques-uns de ces "métiers". J'étais vraiment curieux de savoir si Doordash allait faire son chemin, mais ils ne l'ont pas fait. J'avais des visions de construire un réseau de restauranteurs exécutant tous cette stratégie en tandem, tous buvant à la tétine Softbank avant que l'argent ne se tarisse, mais je suis retourné au travail pour faire des trucs de stratégie de contenu.
C'était un peu louche ? Peut-être, mais putain Doordash. Remarque: J'ai confirmé à mon ami qu'il était d'accord pour que j'écrive ceci, et nous avons tous les deux accepté de baiser Doordash.
Détournement de Google et faux numéros de téléphone
Tromper les entreprises sur votre plate-forme et créer des maux de tête supplémentaires pour les propriétaires de petites entreprises dans la poursuite de la croissance Softbankian est une mauvaise chose. De nombreux restaurateurs se plaignaient que leurs annonces Google étaient "détournées" par Doordash, usurpant même parfois leur propre livraison préférée.
Cependant, ces astuces sournoises ne sont pas uniques à Doordash. Au cours des dernières semaines, il y a eu un excellent travail autour d'une arnaque téléphonique sur Yelp - Grubhub. Celui-ci est tout simplement inestimable (sérieusement, lisez ce morceau Buzzfeed). Grubhub pour leurs propres sites génère un numéro de téléphone pour chaque restaurant qui se rend à un centre d'appels centralisé appartenant à Grubhub. Si quelqu'un appelle et commande via ce numéro, le restaurant est facturé. Apparemment, certaines personnes entreprenantes de BD ont eu l'idée que Yelp pourrait mettre les numéros de téléphone Grubhub à la place du vrai numéro de téléphone du restaurant sur la liste Yelp. Les clients qui pensent «aider» leurs restaurants locaux en appelant la commande continuent de créer des frais pour Grubhub.
Existentialisme de la plate-forme de livraison de nourriture
Ce qui nous amène à la question - quel est l'intérêt de tout cela ? Ces plateformes perdent toutes de l'argent. Il suffit de penser à toutes les réunions et les lignes de code et les appels téléphoniques pour faire en sorte que toutes ces choses néfastes se produisent qui continuent de saigner de l'argent. Pourquoi traverser tous ces ennuis ?
Grubhub vient de perdre 33 millions de dollars sur 360 millions de revenus au premier trimestre.
Doordash aurait perdu 450 millions de dollars sur 900 millions de dollars de revenus en 2019 (ce qui me fait me demander si mon rêve d'un réseau décentralisé d'arbitrageurs de pizza existe).
Uber Eats est la "division la plus rentable" d'Uber. Uber Eats a perdu 461 millions de dollars au quatrième trimestre 2019 sur des revenus de 734 millions de dollars. Parfois, je dois écrire ceci pour me souvenir. Uber Eats a dépensé 1,2 milliard de dollars pour gagner 734 millions de dollars. En un trimestre .
RépondreSupprimerAmazon vient de renflouer la livraison d'un restaurant aux États-Unis
En quoi consiste la plate-forme de livraison de nourriture? Les restaurants sont blessés. Le travail primaire est mal traité. Et les entreprises elles-mêmes sont terribles.
Cette pièce Business Insider a fait un bon travail couvrant la dynamique problématique de l'industrie:
Alors que ce conflit touche à sa fin, une chose devient claire: il n'y a pas de vainqueur dans ce combat.
Les restaurateurs perdent de l'argent. Les convives voient leurs coûts augmenter, soit par les sociétés de livraison qui doivent payer les chauffeurs-livreurs, soit par les restaurateurs qui augmentent les prix pour compenser les frais de livraison. Et les chauffeurs-livreurs continuent de faire des salaires bas et imprévisibles souvent sans avantages sociaux.
Comment en sommes-nous arrivés à un endroit où des milliards de dollars sont échangés dans des millions de transactions commerciales mais où il n'y a pas de gagnants? Mon coanimateur Can et mon ami au restaurant ont tous deux manqué à la notion «la livraison est une affaire de marge de merde» lors de la discussion de ce post. Mais je ne pense pas que ce soit suffisant ici. La livraison peut fonctionner. Regardez simplement le graphique boursier de Domino. Mais la livraison a été soigneusement conçue dans le cadre d'un modèle commercial et d'une infrastructure holistiques. C'est peut-être le modèle viable.
Après le début de cette pandémie, mon ami a en fait lancé la livraison à domicile dans l'un de ses restaurants. Il a dit qu'il commençait à avoir une idée de l'économie et a expliqué qu'il commençait à avoir une idée du volume requis par emplacement pour que l'économie fonctionne raisonnablement. C'est ce qui m'est si étrange avec les plateformes de livraison tierces. L'entreprise de livraison de nourriture n'est clairement pas intrinsèquement perdante. Domino l'a compris. Chaque restaurant chinois de New York semblait l'avoir compris bien avant l'arrivée d'une plate-forme. Mon ami le comprend.
C’est la façon dont les industries ont évolué au cours de la dernière décennie. Je sais que j'attribue ZIRP comme la cause de tous les maux dans le monde, mais cela ressemble parfois à la plus grande histoire ZIRP jamais racontée.
Vous avez des pools de capitaux incroyablement importants créant un modèle commercial incroyablement inefficace et perdant de l'argent. Il sert à subventionner une attente client insoutenable. Vous tirez parti d'une main-d'œuvre cassée pour minimiser vos dépenses de main-d'œuvre réelles. Les sociétés déchargent leurs canons de capitaux sur l'acquisition de clients, alors que les nouvelles d'Uber-Grubhub de cette semaine nous rappellent que la seule fin de jeu viable est une promesse de concentration de monopole et d'augmentation des prix. Mais est-ce même viable ?
Les plates-formes de livraison tierces, telles qu'elles ont été construites, semblent être le mauvais modèle, mais au lieu de tester, d'échouer et d'évoluer, elles ont été subventionnées pour dominer le marché. Peut-être que le bon modèle est une chaîne d'approvisionnement en propriété exclusive comme Domino. C'est peut-être un hybride de cuisine / plate-forme fantôme. Peut-être que ce ne sont que de petits réseaux de restaurants avec des logiciels prêts à l'emploi. Quoi qu'il en soit, nous avons tardé à le découvrir grâce à cette concurrence étrangement financée qui ressemble parfois à une ingénierie financière digne de mes propres efforts de négoce de pizzas.
RépondreSupprimerPlus j'en apprends sur les plateformes de livraison de nourriture, telles qu'elles existent aujourd'hui, je me demande si nous avons réussi à voir une industrie entière évoluer artificiellement et incorrectement. L’arbitrage consiste à tirer parti des inefficiences du marché et pour tous les day-traders nouvellement créés, il est peut-être temps de commencer à se pencher sur les marchés pionniers comme la pizza.
* * *
Note 1: Nous avons découvert par la suite que tout était le résultat d'un «test de demande» par Doordash. Ils ont une période de test où ils grattent le site Web du restaurant et ne facturent aucun frais à personne, ils peuvent donc idéalement aller au restaurant avec des données de commande positives pour ensuite faire signer le restaurant sur la plate-forme. Si nous devions payer des frais de client sur la commande, cela aurait encore réduit nos bénéfices d'arbitrage (bien que nous aurions peut-être pu intégrer DashPass dans le calcul).
Note 2: Il y a quelques mois, à l'époque pré-pandémique, j'étais dans une pizzeria East Village et j'ai regardé le propriétaire se disputer avec un chauffeur Doordash. Le propriétaire a insisté pour que le chauffeur prenne la pizza dans un sac chauffé afin que le client ne reçoive pas de pizza froide, mais laisse une pièce d'identité pour que le chauffeur soit obligé de retourner le sac. Le chauffeur a fait valoir que le temps qu'il faudrait pour revenir pour retourner le sac signifierait qu'il ne pourrait pas effectuer suffisamment de livraisons pour «payer mon loyer». #Innovation.
https://www.zerohedge.com/technology/silicon-valley-invents-free-lunch-doordash-pizza-arbitrage
Perso, j'aurai proposé que la boite que transporte la moto de livraison ne soit plus une 'boite de plastique ou d'aluminium mais... un four ! Une boite aux 6 côtés revêtus de briques réfractaires, le four est branché sur la moto qui livre.
SupprimerLe chauffeur-livreur part donc avec une pizza juste prête à mettre au four. Elle cuit donc durant le trajet. Cela permet de livrer une pizza chaude sortie du four au client sorti de chez lui pour la prendre.
Par contre, ceux qui ont un VE il suffit de brancher le four directement (ou indirectement si le four électrique est dans votre voiture/ à côté de la machine à laver ?) sur la prise pour avoir une électricité pas chère !
La police des Anciens Combattants achète du matériel anti-émeute, citant la pandémie de COVID-19
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun., 18/05/2020 - 23:05
Le gouvernement fédéral accélère les nouveaux achats de matériel anti-émeute, citant la pandémie de virus, à un moment où l'économie est plongée dans la récession, et le chômage élevé a provoqué une inquiétude accrue à travers le pays.
Selon l'Intercept, une récente ordonnance du ministère des Anciens Combattants (VA) montre que "des menottes jetables, des masques à gaz, des casques balistiques et des gants anti-émeute, ainsi que des équipements de protection contre la répression" ont été achetés pour la police fédérale chargée de surveiller les installations d'AV. L'ordre a été rapidement exécuté en vertu d'une autorisation spéciale "en réponse à l'épidémie de Covid-19".
Le département VA gère 1 243 établissements de santé, dont 170 centres médicaux VA et 1 063 centres de soins ambulatoires aux États-Unis, qui desservent des millions de vétérans.
Redcon Solutions Group est le fournisseur du dernier contrat. L'Intercept indique que la société a reçu 1,6 $ en contrats pour la fourniture d'équipement pour les «services de contrôle de sécurité Covid-19». D'autres sociétés de sécurité ont obtenu des contrats similaires, fournissant des équipements défensifs à la police fédérale qui garde les bâtiments VA à San Francisco, Des Moines et Fayetteville.
Le bon de commande peut être expliqué par le dernier rapport de l'inspecteur général (IG) selon lequel une pénurie de travailleurs VA et de policiers VA a créé une pression supplémentaire sur l'agence lors des fermetures. Le rapport de l'IG indique que certaines installations de VA sont devenues le site de "projections liées au COVID-19", ce qui signifiait que la VA devait renforcer la sécurité.
L'Intercept note que la police fédérale dans les installations de VA n'était armée qu'après 2011, à peu près au moment où le Pentagone a commencé à militariser les forces de police à travers le pays.
"Entre 2005 et 2014, les services de police de VA ont acquis pour des millions de dollars de gilets pare-balles, d'agents chimiques, d'équipements de vision nocturne et d'autres armes et équipements tactiques", a déclaré The Intercept.
Dans le cadre de la loi CARES de 2 200 milliards de dollars, 850 millions de dollars ont été alloués au programme de financement supplémentaire d'urgence pour les coronavirus, qui est un programme de subvention fédéral qui injecte de nouveaux capitaux dans les forces de police du pays. Il a été utilisé pour couvrir les heures supplémentaires, augmenter l'équipement de protection individuelle et couvrir les dépenses supplémentaires liées au virus.
La militarisation des forces de police américaines illustrée ci-dessous:
Le président Trump a signé un décret exécutif en 2017 autorisant les forces de police à recevoir des armes militaires. Plus récemment, le président Trump a signé un décret qui permet d'activer jusqu'à un million de soldats.
Quant à savoir pourquoi la police de VA aurait besoin d'un équipement anti-émeute, personne ne peut le deviner. Cependant, la militarisation rapide des forces de police au cours de la dernière décennie montre que le gouvernement fédéral pourrait se préparer à des troubles sociaux.
https://www.zerohedge.com/political/veterans-affairs-police-buys-riot-gear-citing-covid-19-pandemic
Big Tech transforme les hôpitaux en centres de surveillance en temps réel
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun., 18/05/2020 - 23:25
via le blog Mass Private I,
Des événements récents ont mis en lumière la surveillance hospitalière qui devrait concerner tout le monde.
Big Tech utilise la pandémie comme excuse pour transformer les hôpitaux en images miroir des centres de la criminalité en temps réel des forces de l'ordre.
Lorsque Google a annoncé qu'ils faisaient don de 10 000 caméras Nest à des hôpitaux, ma mâchoire a chuté.
"Avec ces Nest Cam, les infirmières et les médecins pourront enregistrer les patients, complétant les contrôles en personne. Cela signifie qu'il y aura une réduction des contacts physiques, et donc moins de besoin d'équipement de protection individuelle (EPI), ce qui est rapidement devenu une ressource effrayante. "
Ce qui rend le don de Google si stupéfiant, c'est la façon dont les entreprises de Big Tech utilisent la pandémie pour les faire paraître magnanimes.
"Cependant, avec le suivi des contacts et la solution Nest Cam, Google doit se forger une réputation d'entreprise soucieuse de la confidentialité en raison de la nature sensible des deux projets. Ce ne sera pas une tâche facile, mais qui devrait rester à l'avant-garde. de tous ces efforts. "
Parce que rien ne dit le constructeur de réputation, comme mettre des caméras de surveillance en temps réel dans les chambres des patients. Non seulement les hôpitaux enregistreront les patients, mais ils enregistreront également les infirmières, les médecins, le personnel hospitalier et toute autre personne entrant dans la chambre des patients. Cela inclut également les mineurs, donc personne ne sera à l'abri des regards indiscrets de Big Brother.
Comme l'a découvert The Guardian, il envoie également ces informations aux serveurs de Google.
"Cependant, Nest admet que lorsqu'il est connecté au système" Works with Nest integration "de Google, qui permet à d'autres appareils tels que les ventilateurs de plafond, les lave-linge et les capteurs de voiture de s'intégrer aux produits Nest, il partage des informations personnelles avec Google."
Pourquoi Google ferait-il don de 10 000 caméras Nest à 6 146 hôpitaux ? Parce qu'ils espèrent que le personnel et les patients s'habitueront à être surveillés 24h / 24 et 7j / 7, et ils espèrent que les hôpitaux finiront par acheter un abonnement Nest Aware.
Les caméras Nest enregistrent également le son, ce qui en fait l'outil de surveillance hospitalière idéal pour les forces de l'ordre. Bien qu'une recherche Google sur le "total des services de police hospitaliers aux États-Unis'' rien, nous savons qu'il y a plus de 6000 hôpitaux et plus de 17000 organismes d'application de la loi aux États-Unis.
Donc, si nous devions faire une supposition prudente et dire qu'au moins la moitié des hôpitaux américains ont des services de police, cela porte le nombre à environ 3 075. Est-ce que quelqu'un pense vraiment que 3 075 services de police hospitaliers rendront les caméras Nest de Google après la pandémie ?
Un récent article du Wall Street Journal a averti que les hôpitaux utilisent également l'imagerie thermique pour scanner tout le monde entrant dans les hôpitaux.
RépondreSupprimerIl est répréhensible de voir comment les médias de masse présentent la Big Tech sous un jour aussi positif, car ils transforment lentement nos hôpitaux en centres de surveillance en temps réel.
Un récent communiqué de presse de Care.ai a révélé que la plus grande association hospitalière du pays, la Texas Hospital Association (THA), utilise l'intelligence artificielle (IA) pour surveiller les patients en temps réel.
«Grâce à ce nouveau partenariat avec care.ai, les hôpitaux du Texas auront l'occasion de découvrir l'utilisation de l'IA dans un environnement de laboratoire local pratique. Ils verront en temps réel la valeur que la surveillance autonome peut apporter à leurs installations. Nous sommes fiers de connecter nos membres aux technologies de pointe qui ont un impact transformateur sur la prestation des soins de santé au Texas », a déclaré Fernando Martinez, Ph.D., président-directeur général de la Texas Hospital Association Foundation.
Comme le note la page «historique» de la THA, ils sont facilement la plus grande association de soins de santé au pays.
«Aujourd'hui, la THA est l'une des associations de soins de santé les plus importantes et les plus respectées du pays, et la seule association qui représente l'ensemble de l'industrie hospitalière du Texas. La Texas Hospital Association sert de défenseur politique et éducatif de plus de 430 hôpitaux et systèmes de santé. dans tout l'État. "
Si «l'association de soins de santé la plus respectée du pays» pense qu'il est acceptable d'utiliser l'IA pour surveiller les patients en temps réel, alors les hôpitaux américains sont vraiment devenus des centres de surveillance en temps réel.
Le modèle commercial de Care ai n'est pas conçu pour aider les patients à se remettre du coronavirus: il repose sur la surveillance des patients en temps réel.
"Une surveillance continue qui peut localiser et identifier les individus et leurs comportements en temps réel, minimisant les risques avant qu'ils ne se produisent."
Selon Care ai, ils surveillent en permanence tout le monde dans chaque chambre d'hôpital du Texas. Care ai l'appelle "la salle de conscience de soi", je l'appelle la salle de surveillance en temps réel.
Care ai a pris des appareils intelligents et les a pervertis en trois appareils de surveillance en temps réel.
Les appareils intelligents AMS-M1, AMS-M2 et AMS-M2R sont équipés de caméras et de capteurs d'apprentissage en profondeur.
Question: si Google fait don de 10 000 caméras Nest et Care ai utilise plusieurs appareils intelligents équipés de caméras, à quel moment demandons-nous, combien d'appareils de surveillance sont trop nombreux ?
Il n'y a pas de mot si Google prévoit de «faire don» de Nest Hub Max aux hôpitaux, mais s'ils le font, ils transformeraient les hôpitaux américains en centres de reconnaissance faciale en temps réel.
Voulons-nous vraiment vivre dans un avenir où les hôpitaux reflètent les centres de criminalité en temps réel des services de police ? Une fois que les hôpitaux ont acquis la technologie de surveillance, le glissement de mission dicte qu'elle va grandir et se développer jusqu'à ce qu'il n'y ait pas de retour en arrière.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/political/big-tech-turning-hospitals-real-time-surveillance-centers
10 000 caméras dites 'de surveillance' = 10 000 écrans.
SupprimerSi un agent téléspectateur suit 10 écrans il faut donc 1000 personnes à visionner les écrans.
Mais, comme un agent ne va pas rester 24 h devant sa télé-merde, il n'y sera que 6 ou 8 h par jour. C-à-d qu'il faut 3000 ou 4000 agents dits 'de surveillance' (payés par le contribuable qui paie déjà pour les millions de caméras de ville !
Regardez: «La ville de 400 navires étrangers» pêchant illégalement au large de l'Argentine prend vie chaque nuit
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 18/05/2020 - 23:45
Le journal argentin Clarín a publié des images mettant en évidence un problème croissant pour le gouvernement et l'écologie environnante unique du pays - la pêche illégale.
Chaque nuit, plusieurs centaines de navires de pêche internationaux descendent sur une zone océanique non loin de la côte argentine, traversant souvent la zone économique exclusive (ZEE) du pays et donc illégalement, afin de profiter des eaux apparemment infinies de calmars et d'autres poissons .
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Image fixe tirée du journal Clarín.
De nouvelles images montrent ce que la publication qualifie de "ville de navires étrangers" après que des journalistes soient montés à bord d'un récent vol militaire argentin pour surveiller la pêche illégale ci-dessous.
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La vidéo montre des navires avec des lumières vives perçant la surface sombre de l'océan à perte de vue, comme si l'on regarde la mystérieuse planète depuis l'espace.
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Ils pêchent souvent à l'aide de chalutiers de fond, et la plupart recherchent l'abondance de calmars dans ces eaux lointaines du sud, très appréciées notamment en Asie de l'Est.
Clarín décrit que:
Dans les 200 milles, il y a une véritable ville de navires étrangers, estimés entre 350 et 400. Ils viennent pour rester dans ces secteurs éloignés de la mer jusqu'à deux ans. Ils sont généralement d'origine orientale. Il y a des navires chinois et coréens. Mais aussi des Russes, des Espagnols, des Anglais et des Sud-Africains. Ce sont des tangoneros (ceux qui pêchent uniquement des calmars) et des chalutiers (pêchant avec un filet).
«Ville des navires étrangers» à moins de 200 miles au large des côtes argentines illuminée la nuit:
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"Ce sont des navires-usines. Ils gèlent et transforment à bord. Ensuite, ils transfèrent le produit à un autre qui les transporte dans les ports de leur pays ou les débarque en Uruguay", indique le rapport.
Et une couverture distincte, montrant la «ville des navires» depuis la surface de l'eau:
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"Ce sont de vrais congélateurs flottants. Et ils s'attaquent à toute la zone qui est un véritable sanctuaire. Parce que les chalutiers ne font aucune sélection", a déclaré un activiste environnemental cité dans le rapport en langue espagnole.
"Dans ce couloir biologique, il y a des orques, des baleines, des éléphants et des lions de mer et des dauphins. Ils tombent tous dans les filets", a ajouté le porte-parole.
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Image satellite d'une "ville" de bateaux pêchant illégalement en mer d'Argentine, via Clarín.
Les navires sont généralement estimés capables de rattraper jusqu'à 50 tonnes par nuit, en particulier certains des bateaux les plus massifs mesurant jusqu'à 70 mètres.
"Les rues sont vidées par le coronavirus, mais la mer se remplit de navires, certains sans drapeau pour exploiter nos ressources", a ironisé un porte-parole de Greenpeace.
Photo satellite antérieure montrant les groupes de navires étrangers ressemblant à des villes depuis l'espace:
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Le problème persiste depuis des années, une publication présentant précédemment des images satellites des grappes de bateaux de pêche.
"Ces navires émettent plus de lumière dans l'espace que presque toutes les villes argentines, y compris les centres urbains tels que Cordoue ou Rosario", indique la publication.
https://www.zerohedge.com/economics/watch-city-400-foreign-ships-argentinas-coast-conduct-illegal-fishing-night
Bêh ouais, faut que tout le monde bouffe !
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