- ENTREE de SECOURS -



samedi 30 mai 2020

Des essaims de millions de criquets déferlent sur l’Inde, du jamais-vu depuis 30 ans - vidéos

14:35 30.05.2020


En provenance du Pakistan, des millions de criquets pèlerins ont déferlé sur de nombreux États indiens. Les autorités sont obligées d’avoir recours à des drones pour asperger de pesticides ces insectes qui ont déjà ravagé plus de 50.000 hectares de cultures.

L'Inde fait actuellement face à sa pire invasion de criquets pèlerins depuis près de trois décennies, selon le média indien Outlook. Les essaims sont arrivés depuis le Pakistan dans l’État du Rajasthan en avril, affectant plusieurs districts puis se propageant dans d'autres États de l'ouest et du nord-ouest. Ils ont détruit près de 50.000 hectares de cultures, soit leur pire invasion depuis 1993.

De nombreuses vidéos montrent d’immenses essaims recouvrir le paysage. 

Une catastrophe naturelle

Le ministre de l'Agriculture de l’État du Madhya Pradesh, Kamal Patel, a déclaré que le gouvernement prévoyait de qualifier de catastrophe naturelle les attaques des essaims, à la suite d'une enquête sur les pertes qui leur sont dues.

Les autorités recourent à des drones, des tracteurs et des voitures pour suivre ces insectes et les asperger de pesticides.

«Huit à dix essaims, mesurant chacun environ un kilomètre carré, sont actifs dans des poches du Rajasthan et du Madhya Pradesh», a déclaré à l'AFP K L Gurjar, le directeur adjoint de la Locust Warning Organisation (LWO), un département du ministère indien de l’Agriculture.

D'autres, plus petits, se trouvent également dans les États du Maharashtra, du Gujarat, du Penjab et d'Uttar Pradesh.


Ils «se reproduisent 400 fois plus que d’habitude»

«Cette année, les criquets se reproduisent 400 fois plus que d'habitude en raison des conditions climatiques favorables créées par des pluies inhabituelles et une activité cyclonique accrue», a expliqué Devinder Sharma, un analyste spécialiste des questions agricoles.

«Les criquets pèlerins font des destructions pires qu'une sécheresse, non seulement les cultures sont détruites mais les arbres cassent sous le poids» des essaims, a-t-il expliqué.

31 commentaires:

  1. Un chercheur chinois affirme que le Covid-19 existait «bien avant» son apparition à Wuhan


    09:50 30.05.2020


    D'après le directeur du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies, aucun animal du marché de fruits de mer de Wuhan n'était contaminé par le coronavirus. Cela signifie, selon lui, que cet endroit a surtout fait l’effet d'un «propagateur».

    Le marché de fruits de mer de Wuhan, dans la province chinoise du Hubei et qui est soupçonné d’être le foyer du Covid-19, ressemble plus à une «victime» du virus, a déclaré le 25 mai le directeur du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies, Gao Fu, relate le quotidien local Global Times.

    «Au début, nous avons supposé que le marché de fruits de mer pourrait être à l’origine du virus, mais maintenant le marché ressemble plus à une victime. Le nouveau coronavirus existait bien avant», a-t-il indiqué.

    Selon M.Fu, les chercheurs ont examiné des échantillons d'animaux vendus à cet endroit. Les résultats de leurs tests au Covid-19 étant négatifs, cela signifie que les acheteurs n’ont pas pu être infectés.

    Selon Colin Carlson, zoologiste à l'Université de Georgetown cité par le site Live Science, le marché de Wuhan est probablement devenu un site d'infection généralisée où une personne a propagé le virus à beaucoup d'autres.

    L’origine probable du Covid-19

    Auparavant, une équipe de scientifiques chinois avait découvert que les mutations inhabituelles qui caractérisent le coronavirus SARS-CoV-2 se retrouvaient dans un autre virus récemment identifié, issu de chauves-souris.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202005301043869304-un-chercheur-dement-lorigine-du-coronavirus/

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  2. Crimes d’Etat


    le 30 mai 2020
    par Christophe Claudel


    Suite à l’étude statistique très controversée publiée la semaine dernière dans le magazine The Lancet mettant en cause l’efficacité de l’hydroxychloroquine, étude par ailleurs réalisée par des personnes ayant toutes au moins un conflit d’intérêt avec un laboratoire cherchant à promouvoir un médicament concurrent de l’hydroxychloroquine, le gouvernement vient donc d’interdire ni plus ni moins toute prescription de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19 en France.

    De même les essais thérapeutiques réalisés sur ce médicament sont désormais suspendus.

    Quant aux informations partagées publiquement par des professionnels ou des particuliers sur le Covid-19, l’origine de l’épidémie, les modes de propagation, les méthodes prophylactiques et thérapeutiques, celles-ci restent étroitement surveillées. Les écarts à la vérité officielle validée par le gouvernement et son Comité Scientifique sont sévèrement réprimés sinon pénalisés, tant dans les médias que sur internet ou les réseaux sociaux, grâce à l’arsenal de mesures de surveillance répressive mises en place depuis avril dernier.

    En droit, se substituer à l’autorité médicale et scientifique pour interdire autoritairement de poursuivre des essais thérapeutiques sur un médicament, interdire la prescription ou l’administration d’un traitement pour sauver des vies, interdire à la presse de publier certaines informations scientifiquement vérifiées, ou aux citoyens de les relayer, cela s’appelle une entrave à l’exercice de la médecine, un abus de pouvoir, une atteinte à la liberté d’expression et à la liberté de la presse. Des méthodes dignes d’une dictature totalitaire.

    Compte tenu des morts inévitables que cette interdiction du seul traitement avéré efficace contre le Covid-19 va provoquer, nous sommes face à un authentique crime d’Etat. Pour ne pas dire à un crime contre l’humanité ou un génocide.

    On ne pourra plus dire que nos dirigeants ne savaient pas. Puisqu’aucun d’entre eux mis à part Véran n’est médecin, ils auraient dû s’en remettre à l’avis des autorités scientifiques compétentes, nationales et mondiales. Or l’Académie de Médecine est muette depuis le début de l’épidémie. Ne parlons pas de l’Ordre des Médecins ni de l’Agence du Médecin, deux institutions très largement corrompues par le lobby pharmaceutique.

    Au lieu de cela, le gouvernement a préféré faire mine de se retrancher derrière l’avis d’un aréopage de lampistes réunis autour du Président pour relayer la Doxa des labos, pompeusement baptisé « Comité Scientifique ». Un peu comme si BlackRock siégeant au Conseil des Ministres s’était rebaptisé Conseil Economique et Social.

    Prendre la liberté de contester arbitrairement des études médicales internationales convergentes pour nier l’efficacité d’un médicament et en interdire l’usage, cela revient à confisquer l’autorité du savant, du médecin, à la subordonner entièrement à l’autorité arbitraire du politique et de l’administration qui en dépend. Et faire un pied de nez à toute la communauté scientifique internationale, quasi unanime, et aux nombreux états qui ont adopté le protocole du Professeur Raoult pour sauver des vies. Un cas unique au monde. Et un abus très grave. Surtout quand une telle décision impacte des milliers de vies en suspens sur notre territoire.

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  3. Si l’on pousse le raisonnement à son terme, toutes proportions gardées, quelle différence objective y a-t-il entre une administration aux ordres d’un régime nazi qui durant la guerre a commandé en masse du Zyclon B au laboratoire Bayer pour gazer des juifs dans les camps, et une administration aux ordres d’une secte dictatoriale néolibérale qui ordonne d’interdire la seule molécule produite par un laboratoire français (Sanofi), par ailleurs très peu coûteuse (4,17€)*(voir note en fin de billet), seule capable de sauver des vies en période d’épidémie ? Ligotant ainsi les mains des médecins et condamnant de facto ceux qui auraient pu en bénéficier à une mort probable ?

    D’un côté une réquisition de moyens et une organisation logistique à des fins génocidaires. De l’autre un empêchement d’exercer la médecine et une suppression administrative de moyens à des fins… on n’ose comprendre les vrais motifs de ces criminels qui nous dirigent…

    Il faudrait vraiment que les politiques de l’opposition les journalistes gangrénés par le politiquement correct et perclus de trouille fassent pour une fois leur boulot osent aujourd’hui NOMMER les choses !

    Et ne se contentent plus d’ânonner comme depuis 4 mois les mêmes poncifs sur « les erreurs du gouvernement« , « l’irresponsabilité » ou « l’incompétence« , les « cafouillages » de nos dirigeants. Il y a longtemps que nous n’en sommes plus à ces circonvolutions approximatives. Et qu’au contraire toute la mascarade de cette crise se révèle dans une détermination cohérente, un cynisme, un machiavélisme qui glacent le sang.

    Car on ne plus mettre toutes ces entraves délibérées à ce qui paraît à toute personne équipée de bon sens comme des décisions évidentes qu’il eût fallu mettre en œuvre dans l’intérêt des citoyens pour faire reculer l’épidémie et la mortalité, sur le compte d’un quelconque égarement ou d’une incohérence de nos responsables dépassés par l’ampleur de la crise.

    Toute cette cabale pseudo scientifique et médiatique tous ces mensonges et toutes ces tentatives de manipulation de l’opinion pour entacher la réputation d’un de nos plus grand experts français en épidémiologie, pour discréditer de façon calomnieuse son équipe et ses travaux, pour produire de fausses informations et de fausses études scientifiques, propager de fausses rumeurs sur la prétendue « inefficacité » et la toxicité gravissime de l’hydroxychloroquine, n’ont en vérité qu’un seul but : favoriser des laboratoires pharmaceutiques qui cherchent à imposer leur propre médicament, presque toujours inefficace, toxique, dangereux et ruineux, comme l’alternative frauduleuse au seul traitement aujourd’hui efficace au monde (mis à part l’artemisa) : celui mis au point par le Pr. Raoult.

    Autant les nommer : d’abord Roche avec le Kalétra (invirase), antirétroviral conçu pour traiter l’infection au VIH et testé sur le Covid-19, mais rapidement écarté compte tenu de son inefficacité.

    Et surtout Gilead Science, le laboratoire le plus cynique et le champion du monde de la corruption. Et son remdésevir : un autre antirétroviral que toutes les études ont jusqu’ici démontré inefficace sur le Covid-19.

    Il faudrait bien évidemment ajouter tous les autres labos en lice pour décrocher la timbale, principal but à court terme de cette « crise sanitaire » savamment orchestrée. Ceux qui concourent dans les 78 essais au monde, avec l’aide de mécènes comme Bill Gates et sa fondation, pour mettre au point un potentiel vaccin, qui devrait être administré de façon obligatoire à toute la population mondiale après un formatage méthodique durant près d’un an de l’opinion. Si toutefois la stratégie de son parrain Bill Gates, par ailleurs principal financeur de l’OMS, parvient à son terme.

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  4. On l’aura compris : tout ceci n’est qu’une sale histoire de mensonges énormes, de corruption massive et de gros sous. Dans laquelle nos dirigeants sont malheureusement mouillés jusqu’au cou.

    Faut-il rappeler que la France est l’un des pays au monde les plus corrompus, et ce depuis des décennies, notamment par les puissants lobbies agrochimique et pharmaceutique ?

    Quant à Emmanuel Macron et ses amis, on ne compte plus les laboratoires pharmaceutiques qui ont participé au financement de sa campagne de 2017, qui financent toujours LREM, qui graissent la patte de quelques ministres ou décideurs de santé publique (Agnès Buzyn, son mari Yves Lévy, ex Président de L’INSERM, Olivier Véran…), et qui subventionnent (à hauteur de 450.000€ « officiellement » tout de même) ce fameux « Comité Scientifique » constitué sans aucune base légale et composé exclusivement de pseudos experts, tous bardés de conflits d’intérêt. A commencer par son Président Jean-François Delfraissy, omniprésent dans les médias.

    Un Comité chargé d’édicter la seule Vérité admise en France en matière de connaissances épidémiologiques sur le Covid-19, de stratégie prophylactique et thérapeutique, de consignes sanitaires. Et qui désormais impose son autorité quasi dictatoriale à tout le corps médical, aux soignants et prescripteurs, au milieu hospitalier, aux chercheurs, aux médias, et même aux internautes, pourchassés s’ils osent publier des informations contraires aux dogmes établis dans le but non pas de sauver des vies mais de satisfaire quelques généreux mécènes.

    Nous voici donc donc arrivés au summum de la corruption, de la violation du Serment d’Hippocrate, de règles de déontologie scientifique, de toutes les valeurs républicaines et de tous les principes éthiques et démocratiques. Tout ça pour répondre à la cupidité de quelques-uns. Avec lesquels nos propres dirigeants sont cul et chemise. S’ajoute à ce tableau des méthodes arbitraires, autoritaires et répressives qui violent totalement nos lois, et s’apparent aux pires dictatures du monde.

    Ce que cette crise révèle, c’est toute la trame hideuse d’un système. Un système où les politiques sont les obligés des lobbies, et qui transforme les autres pouvoirs, scientifique, médical, administratif, judiciaire, médiatique, technologique, en obligés ou en valets serviles d’un pouvoir politique dévoyé en courroie de transmission du seul vrai pouvoir économico-financier.

    Il est temps non seulement de dénoncer les coupables, les complices, d’instruire sans relâche des procès pour juger les crimes et punir ceux qui les ont commis ou permis. D’informer et de mobiliser le plus possible une opinion sidérée, abusée, en état de narcose prolongée. Mais aussi de renverser la table une fois pour toutes. De changer la donne et de mettre un terme définitif à cette imposture, à cette confiscation de la vérité et de la démocratie au profit d’une clique de pourris cyniques et de leur agenda totalitaire.

    L’un des tout premiers bénéfices de cette « crise sanitaire » bidon orchestrée autour d’une banale grippe dès la fin 2019 fut de mettre un terme immédiat aux troubles sociaux, manifestations d’envergure, émeutes, insurrections et guerres civiles qui avaient explosé spontanément dans 27 états du monde en 2019. De Hong Kong à Paris, de Santiago à Beyrouth, de Téhéran à Berlin. On l’a vu de façon éloquente en France avec l’interdiction progressive des rassemblements de plus de 10.000, 5.000, 1.000, 100 puis 5 personnes, pour « raisons sanitaires ». Aucune mesure répressive n’aurait été plus efficace pour tuer le mouvement des Gilets jaunes, et mettre fin au bourbier politique de ce mouvement de grèves record contre la réforme des retraites.

    Note. J’ignore le prix d’une boite de 100 comprimés dosés à 100 mg d’hydroxychloroquine. Il y a 20 ans 100 comprimés de chloroquine coûtaient 7,15 euros, j’ai toujours la boite avec moi depuis 20 ans en cas de crise sévère de malaria.

    Source : https://christopheclaudelblog.wordpress.com/

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/05/30/crimes-detat/

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    1. Après les recommandations et obligations de porter un masque inutile à filtrer les virus et la destination meurtrière de le conserver sur sa gueule afin qu'en cas d'éternuements les virus qui seraient restés collés dessus depuis x heures puissent contaminer enfin les personnes en face en rajoutant des virus, voici de nouveaux la dictature NON-SCIENTIFIQUE qui prend la décision d'interdire les remèdes !

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  5. CDC admet que les tests d'anticorps COVID-19 sont erronés la moitié du temps et que le virus n'est pas si mortel


    par Tyler Durden
    Ven, 29/05/2020 - 21:10
    Créé par Mac Slavo via SHTFplan.com,


    Les médias traditionnels ignorent le fait que le CDC a admis que le taux de mortalité pour COVID-19 est en fait inférieur à celui de la grippe. Cela se produit car les médias admettent que les tests d'anticorps sont erronés 50% du temps !

    L'escroquerie alarmiste est en cours et la propagande empire de jour en jour, même si leurs PROPRES DONNÉES en témoignent autrement. Au lieu de donner au public les faits, les médias continuent de faire pression pour un verrouillage prolongé, des règles de piétinement de la liberté, une surveillance de masse et notre asservissement permanent pour leurs suzerains politiques.

    Le CDC vient de publier un rapport qui devrait bouleverser le récit de la classe politique, mais il entrera dans la pile épaisse de données vitales et d'informations sur le virus qui ne sont pas rendues publiques. Pour la première fois, le CDC a tenté d'offrir une estimation réelle du taux de mortalité global pour COVID-19, et dans son scénario le plus probable, le nombre est de 0,26%.

    Jusqu'à présent, nous avons été ridiculisés pour penser que le taux de mortalité était aussi bas, contrairement à l'estimation de 3,4% de l'Organisation mondiale de la santé, qui a contribué à alimenter la panique et les blocages. Maintenant, le CDC accepte le taux inférieur à l'encre ordinaire.

    De plus, en fin de compte, nous pourrions découvrir que l'IFR est encore plus faible parce que de nombreuses études et dénombrements durs de populations confinées ont montré un pourcentage beaucoup plus élevé de cas asymptomatiques. Un simple ajustement pour un taux asymptomatique de 50% réduirait leur taux de mortalité à 0,2% - exactement le taux de mortalité projeté par le Dr John Ionnidis de l'Université de Stanford.

    Plus important encore, comme je l'ai mentionné précédemment, le taux de mortalité global n'a pas de sens car les chiffres sont tellement déséquilibrés. Étant donné qu'au moins la moitié des décès sont survenus dans des maisons de soins infirmiers, une estimation au dos de l'enveloppe montrerait que le taux de mortalité par infection pour les résidents des maisons de repos non-seulement ne serait que de 0,1 pour cent ou 1 pour 1000. Et cela inclut les personnes de tous âges et de tous les états de santé en dehors des maisons de soins infirmiers. Étant donné que presque tous les décès sont dus à des comorbidités. -L'Institut Ron Paul pour la paix et la prospérité

    C'est quelque chose que la plupart des gens ont connu relativement tôt, alors que le gouvernement continuait de gonfler les chiffres et de qualifier chaque décès de victime COVID-19 afin qu'ils puissent commettre un terrorisme économique sur la planète entière. Et ces tests d'anticorps que la classe dirigeante veut que nous fassions tous avant même de penser à sortir de la détention à domicile ? Ce ne sont que la moitié du temps. Comment CNN a-t-elle transformé cela en pornographie et en propagande plus peur ? Vérifiez-le:

    «Les résultats des tests sérologiques ne doivent pas être utilisés pour prendre des décisions concernant le retour des personnes sur le lieu de travail.»

    Les responsables de la santé ou les prestataires de soins de santé qui utilisent des tests d'anticorps doivent utiliser le test le plus précis qu'ils puissent trouver et pourraient avoir besoin de tester les gens deux fois, a déclaré le CDC dans les nouvelles directives. –CNN

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  6. Donc, vous ne pouvez pas être libre, ce qui est votre droit d'aînesse, car leurs tests sont inexacts. Il est en fait assez choquant que les gens acceptent même ces tests en premier lieu, tous pour compléter les chiffres de cette arnaque qui n'a été qu'un canular depuis le premier jour. C'est devenu si ridiculement flagrant qu'il est en fait difficile de croire que quiconque soutient toujours le gouvernement et leurs marionnettes dans les médias grand public. Ils veulent que vous ayez toujours peur. Ils ont besoin de toi dans la peur. Ne vous conformez pas.

    https://www.zerohedge.com/health/cdc-admits-covid-19-antibody-tests-are-wrong-half-time-virus-isnt-deadly

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    1. Ce n'est PAS le coronavirus qui est dangereux mais les merdias ! Cette putain de propagande de mensonges et de terreur diffusée aux télés, radios et journaux par un nano-groupuscule de propriétaires !

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  7. Le schéma pandémique - Comment se construit l'illusion


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    30 mai 2020


    Cet article est basé sur mon étude et mon enquête sur les soi-disant épidémies au cours des 30 dernières années.

    Dans le cas de COVID-19, j’ai écrit au moins une pièce couvrant en détail chaque élément principal de l’illusion. Ici, je présente le modèle. Il en est de même pour chaque fausse épidémie.

    UN: Une structure est en place pour promouvoir et lancer l'IDEA d'une épidémie. Organisation mondiale de la santé, CDC, responsables influents de la santé publique attachés aux gouvernements du monde entier, etc.

    DEUX: Il y a un prétendu incident. Une épidémie. La cause la plus évidente est intentionnellement négligée. Par exemple, la pollution atmosphérique horrible, ou les excréments grotesques et la pollution urinaire dans une ferme industrielle porcine géante. Au lieu de cela, le monde est informé qu'un nouveau virus a été découvert. Les chercheurs locaux, le cas échéant, sont complétés par des chercheurs du CDC, de l'OMS.

    TROIS: Il n'y a pas de chaîne de preuve étanche à l'air expliquant exactement comment le prétendu nouveau virus a été découvert. D'après les détails publiés, il n'y a aucune preuve de découverte par des méthodes convaincantes, aucune étude unifiée appropriée de NOMBREUX patients supposés épidémiques.

    QUATRE: Mais l'OMS / CDC dit au monde qu'il s'agit d'une épidémie en cours, causée par le nouveau virus. L'appareil de promotion et de propagande / médias passe à la vitesse supérieure. Déclarations inquiétantes.

    CINQ: Des tests de diagnostic pour le nouveau virus non prouvé sont déployés. Ils crachent de fausses «preuves» d'infection comme des pièces d'une machine à sous à jackpot.

    SIX: Ainsi, tous les numéros de cas et de décès, qui sont basés sur les tests, sont vides de sens. Et… ils étaient déjà vides de sens, car le supposé nouveau virus «en cours de test» n'a jamais été correctement découvert en premier lieu.

    SEPT: Néanmoins, ces tests (plus un diagnostic inutile du globe oculaire) sont utilisés pour établir des rapports officiels sur les numéros de cas. Pendant la durée de l '«épidémie», les rapports continuent de venir, et l'escalade des chiffres est annoncée. Au sein de la structure fondamentalement dénuée de sens de ces rapports, il y a un jeu de totaux, pour les rendre encore plus impressionnants et effrayants.

    HUIT: Les vraies personnes tombent vraiment malades et meurent, mais pour la plupart, ce sont des personnes qui meurent de conditions traditionnelles et de longue date - maladie pseudo-grippale, pneumonie, autres infections pulmonaires, etc. Ces personnes sont sous la nouvelle étiquette épidémique - Grippe porcine, COVID, etc. La description officielle de la «nouvelle maladie épidémique» - les symptômes cliniques - est suffisamment générale pour permettre facilement ce reconditionnement.

    NEUF: S'il y a une nouvelle maladie, elle peut s'expliquer par des causes n'ayant rien à voir avec le prétendu nouveau virus. Par exemple, une campagne de vaccination toxique. Un médicament hautement destructeur. Pesticides hautement toxiques.

    DIX: Au fil du temps, la définition de l'épidémie est arbitrairement élargie pour inclure davantage de symptômes et de caractéristiques cliniques, afin d'augmenter le nombre de cas.

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  8. ONZE: Le contrôle des informations sur «l'épidémie» est durci au sommet. Les têtes parlantes, de la presse et des agences de santé publique, en savent autant sur la science réelle que les lapins sur les frappes de drones. Mais ils sont «en charge». Les informations dissidentes sont attaquées et censurées.

    DOUZE: Les médicaments utilisés pour traiter les patients sont toxiques. Si un vaccin est déployé, il est lui aussi toxique. Les maladies et les décès résultant de ces attaques et d'autres attaques médicales sont considérés comme des «cas épidémiques causés par le virus».

    TREIZE: PAR-DESSUS TOUTES LES AUTRES ILLUSIONS, la principale tromperie est: «l'épidémie est une maladie ou un syndrome causé par un germe». Ceci est vendu avec une propagande incessante. La plupart des gens tombent amoureux. Ils se disputeront même entre eux sur le «qui» est la seule cause de la maladie du «it». Il n'y a pas de cause ou de maladie «it».

    QUATORZE: Le public est vendu mensonge après mensonge sur la contagion et la «propagation» du «ça».

    QUINZE: Les chants publics (comme si personne n'était jamais mort auparavant), "Les gens meurent, ce doit être le virus."

    SEIZE: Le conte de fées de virus fonctionne toujours comme une histoire de couverture pour des délits gouvernementaux ou d'entreprise ou médicaux. Il obscurcit et cache ces crimes. Par exemple, une grande usine crache une horrible pollution dans le sol et l'eau d'une région, et les gens tombent malades et meurent? Non, la cause est en fait un nouveau virus que personne n'a jamais vu auparavant.

    Comme je l'ai écrit au début de l'illusion COVID, la seule différence cette fois, en 2020, est le poids des mensonges - car ils ont conduit aux blocages et à la dévastation économique. Il s'agit du Nil occidental, du SRAS, de la grippe porcine, du Zika, en gros.

    Il va sans dire que les personnes et les groupes responsables du lancement de ces opérations d’illusion doivent cacher leurs crimes.

    Les criminels ont leurs armes, bien sûr. Parmi leurs plus puissants: contrôle de la presse, et langage technique obscur qui prétend à la pertinence. Cette langue est si dense que les non-initiés n'ont aucune chance de la pénétrer.

    Par exemple, les chercheurs peuvent babiller pendant des heures sur leur test de diagnostic tant vanté, la PCR. Cependant, la simple vérité est qu'un élément crucial du test n'a jamais été vérifié. Le test n'a jamais été testé dans le monde réel en dehors du laboratoire.

    J'ai beaucoup écrit à ce sujet. En utilisant une petite ligne directrice appelée SCIENCE, vous «testeriez le test» en alignant, disons, un millier de patients, certains en bonne santé, d'autres malades d'un virus supposé. Tout virus. Des échantillons de tissus seraient prélevés sur chaque patient.

    Les mavens de PCR passeraient ces échantillons à travers leur équipement, signalant quels patients montrent ce qu'ils appellent une «charge virale» élevée.

    Cela signifie: ces patients particuliers ont des millions et des millions de virus se répliquant activement dans leur corps, et ils seront indubitablement et visiblement malades.

    Les princes de la PCR annonceraient alors: «Les patients 3,45,65,76,132… sont tous définitivement malades.»

    Maintenant, nous dévoilons l'étude et voyons ce qui est quoi et qui est qui. Ces patients désignés sont-ils malades ou courent-ils des marathons ? C'est ce qu'on appelle une méthode scientifique simple. Gobbledygook pas technique.

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  9. Ce morceau de recherche n'a jamais été fait. Cela ne se fera jamais. C'est trop réel. Trop nue. Les partisans de la PCR auraient trop à perdre si leurs évaluations de qui sont en bonne santé et qui sont malades s'avéraient absurdement erronées, et leur rhétorique technique mystérieuse sur la PCR finissait par être du charabia inutile.

    J'inclus cette illustration pour indiquer qu'il y a, en effet, des moyens d'exposer des menteurs professionnels, si vous changez de lieu sur eux, si vous utilisez le bon sens, si vous vous tenez à l'extérieur de leurs temples auto-désignés de fer à cheval mystique et observez à quoi ressemblent leurs mensonges quand on les résume en termes humains…

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2020/05/jon-rappoport/the-pandemic-pattern-how-the-illusion-is-built/

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    1. PS: DIX-SEPT: Il n'y a PAS de masques anti-virus !! Les États-Unis fabrique seulement 25 millions de N95 (équivalent FFP2) pour 328 millions d'habitants ! (Le reste est acheté en Chine).

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  10. Il y aura beaucoup plus d'émeutes, de pillages et de troubles civils alors que l'économie américaine continue de s'effondrer


    par Tyler Durden
    Sam, 30/05/2020 - 08:10
    Écrit par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,


    Ce que nous avons vu dans les rues de Minneapolis n'est qu'un début. Notre nation est si profondément divisée et une grande partie de la population perd confiance dans les institutions fondamentales qui régissent notre société. Personnellement, je ne sais pas comment on peut regarder la vidéo de ce qui est arrivé à George Floyd sans avoir de réaction émotionnelle. La brutalité policière est un problème majeur aux États-Unis depuis de nombreuses années, et elle est arrivée au point où la plus grande partie du pays n'a plus confiance en la police.

    Bien sûr, les émeutiers n'aident pas leur cause en incendiant les communautés qu'ils sont censés défendre. Et après avoir provoqué tant de chaos mercredi soir, les manifestants étaient de retour dans les rues de Minneapolis jeudi…

    Les manifestations et, dans certains cas, la violence, se sont poursuivies jeudi au lendemain de la mort de George Floyd, un homme noir décédé en garde à vue après qu'un officier blanc l'ait cloué au sol sous le genou.

    Des centaines de manifestants ont inondé les rues de Minneapolis jeudi soir pour une marche dans le centre-ville. La circulation a été interrompue alors qu'une foule de personnes s'étirait jusqu'à quatre pâtés de maisons. Les manifestants ont crié «Je ne peux pas respirer» et «pas de justice, pas de paix; poursuivre la police »en tant que maréchaux volontaires dans des gilets de couleur surligneur dirigés contre la circulation.

    Malheureusement, ce n'est qu'un petit aperçu de ce qui arrive dans les grandes villes de toute l'Amérique.

    Si vous pensez que ces émeutes sur la brutalité policière sont intenses, attendez le début des émeutes économiques.

    Nous entrons dans une époque où des millions et des millions d'Américains deviendront de plus en plus désespérés alors que nous plongerons encore plus profondément dans une nouvelle dépression économique. Jeudi, nous avons appris qu'un autre 2,1 millions d'Américains avaient déposé des demandes initiales de prestations de chômage la semaine dernière…

    Les premières demandes d'allocations de chômage se sont élevées à 2,1 millions la semaine dernière, le total le plus bas depuis le début de la crise des coronavirus, bien qu'indiquant qu'un nombre historiquement élevé d'Américains restent séparés de leur emploi.

    Les économistes interrogés par Dow Jones recherchaient 2,05 millions. Le total représente une diminution de 323 000 par rapport aux 2,438 millions révisés à la hausse la semaine précédente.

    C'était la 10e semaine consécutive où le nombre de nouvelles demandes d'allocations de chômage dépassait les 2 millions.

    Comme je le rappelle à mes lecteurs, avant cette année, le nombre le plus élevé jamais atteint pour une seule semaine était de 695 000 en 1982.

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  11. Donc, même après tant de semaines catastrophiques d'affilée, nous sommes toujours à un niveau qui est environ trois fois plus élevé que cet ancien record.

    Dans l'ensemble, 40,8 millions d'Américains ont déposé de nouvelles demandes d'allocations de chômage au cours des 10 dernières semaines. C'est le plus fort pic de chômage de toute l'histoire des États-Unis dans une très large mesure, et cela signifie que plus d'un quart de tous les emplois aux États-Unis ont déjà été supprimés.

    Mais pour l'instant, l'impact de ces pertes d'emplois a été amorti par les primes de chômage extrêmement généreuses de 600 $ par semaine que le gouvernement fédéral a distribuées, mais ces prestations devraient expirer fin juillet…

    À l'heure actuelle, beaucoup sont en mesure de profiter de 600 $ supplémentaires par semaine en prestations de chômage fournies par le gouvernement fédéral en plus des prestations de chômage standard de chaque État. Mais cet avantage devrait expirer fin juillet si le Congrès ne vote pas un autre projet de loi de relance pour étendre les avantages.

    Si ces avantages ne sont pas prolongés, nous assisterons à une crise de colère nationale massive et, à l'heure actuelle, le président Trump et les dirigeants républicains du Sénat ne prévoient pas de les prolonger.

    Nous verrons ce qui se passera, mais nous aurons peut-être bientôt des dizaines de millions d'Américains au chômage très en colère qui ne sont plus en mesure de payer leurs factures.

    Et chaque jour qui passe, de plus en plus de mauvaises nouvelles économiques continuent d'affluer. Nous venons d'apprendre que les commandes de biens durables ont baissé de 19,4% d'une année sur l'autre le mois dernier, et nous venons également d'apprendre que les ventes de maisons en attente ont baissé de 34,6% en Avril par rapport au même mois il y a un an.

    Comme je l'ai dit hier, nous regardons un effondrement économique à grande échelle commencer à se dérouler, et le fait que de nombreux États américains commencent à «rouvrir leurs portes» ne va pas arrêter l'élan qui a été créé.

    Pendant les premières semaines de la pandémie, il y a eu juste un filet de faillites majeures, mais maintenant ce filet est devenu un déluge…

    Au cours des premières semaines de la pandémie, ce n'était qu'un filet: des entreprises comme la compagnie aérienne alaskienne Ravn Air ont fait faillite alors que les voyages s'arrêtaient et que les marchés s'effondraient. Mais la détresse financière provoquée par les fermetures n’a fait que s’aggraver, produisant ce qui est maintenant une vague d’insolvabilité qui déferle sur les sociétés américaines.

    Rien qu'en mai, quelque 27 sociétés déclarant au moins 50 millions de dollars de dettes ont demandé la protection des créanciers contre les tribunaux - le nombre le plus élevé depuis la Grande Récession. Ils vont des piliers américains bien connus tels que J.C.Penney Co. et J. Crew Group Inc. aux transporteurs aériens Latam Airlines Group SA et Avianca Holdings, leur entreprise décimée alors que les voyageurs ne bougeaient pas.

    Et nous regardons les fermetures de magasins se produire à un rythme que nous n'avons jamais vu auparavant dans toute notre histoire.

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  12. À ce stade, Coresight Research prévoit qu'environ 25 000 magasins fermeront définitivement d'ici la fin de cette année civile…

    Coresight Research, qui suit les ouvertures et fermetures de magasins, a augmenté ses fermetures de magasins prévues pour 2020 de 8 000 au début de l'année à 15 000 au début de mars pour environ 25 000 maintenant.

    "Cela ne ressemble à rien de ce que l'industrie ait jamais vu", a déclaré la PDG et fondatrice de Coresight, Deborah Weinswig. "C'est la vitesse à laquelle tout cela se passe qui a été un peu surprenant."

    Il y avait tellement de colère dans toute l'Amérique pendant les «bonnes années», et maintenant cette nouvelle dépression économique va empirer les choses.

    Lorsqu'il n'y a pas d'emplois disponibles et que les gens ne peuvent même pas fournir les éléments de base à leurs familles, nous allons voir une frustration à une échelle qui ne ressemble à rien de ce que nous avons jamais vu auparavant.

    Veuillez donc noter attentivement ce qui se passe dans les rues de Minneapolis en ce moment, car c'est ce à quoi l'avenir ressemblera dans toutes nos grandes villes.

    https://www.zerohedge.com/markets/there-will-be-lot-more-rioting-looting-and-civil-unrest-us-economy-continues-crumble

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  13. Les violences urbaines s'étendent, et avec elles les territoires perdus de la République ?


    10:51 30.05.2020
    Par Edouard Chanot


    Un palier dans la violence a-t-il été franchi dans les zones sensibles avec la crise du Covid-19 ? Pour l’ancien préfet Michel Aubouin, c’est plutôt leur propagation qui devrait inquiéter, car de nouveaux quartiers ont en effet été touchés par les émeutes. Les «zones de non-droit» semblent s’étendre. Entretien choc.

    Dans les zones sensibles, les tensions s’accumulent. Le 27 mai, un policier municipal retrouvait dans son gilet pare-balles, au niveau de l’abdomen, une ogive de 9 mm, après une confrontation avec cinquante individus à Noisy-le-Sec (93). Le 28 mai, un homme menotté était jeté au sol et frappé par des fonctionnaires de police à Neuilly-sur-Marne (93). L'IGPN a été saisie. Des faits qui s’ajoutent aux rodéos sauvages et aux scènes de guérilla urbaine de ces dernières semaines.

    «Les phénomènes de violence urbaine, qui sont très limités, très contenus, qui ne concernent qu’une minorité de personnes, sont traités avec fermeté», déclarait pourtant Laurent Nuñez à l’Assemblée nationale le 19 mai. À l’en croire, force serait donc restée à la Loi: «je veux battre en brèche l’idée qu’il y aurait un embrasement des quartiers.» Vraiment ?

    «Le gouvernement minimise, mais tous les jours des événements graves ont lieu», constate l’ancien préfet Michel Aubouin, qui n’est plus tenu par son devoir de réserve, au micro de Sputnik:

    «À la vérité, il y a un décalage de plus en grand entre la parole du ministre de l’Intérieur et l’action de la police sur le terrain: l’un déclare “je contrôle tout”, mais c’est le terrain qui fait la jauge.»

    Auteur de l’essai 40 ans dans les cités (Éd. Presses de la cité, 2019), l’ancien haut fonctionnaire a vu la dégringolade de quartiers entiers sur près d’un demi-siècle. Sans surprise, lui qui a longuement travaillé sur les zones criminogènes avait prévu les violences des dernières semaines: «le confinement allait provoquer des tensions graves, chaque contrôle de circulation donnant le sentiment d’une répression.»

    Dépassés par les événements ?

    Bien sûr, la tension actuelle reste en deçà de la situation de 2005, qu’il a connue en première ligne, alors qu’il était en poste à la préfecture de l’Essonne: «il y a malheureusement eu des décès pendant une intervention de police cette année-là», rappelle-t-il avant d’ajouter: «mais on n’est pas passé loin de l’explosion.»

    Une chance que la pandémie ralentisse en cette fin de mai: «si le confinement avait mordu sur l’été, les choses auraient pu s’accentuer.» Ainsi, est-il probable que les tensions dans les zones sensibles aient servi d’argument à l’exécutif pour hâter le déconfinement. Pour autant, la situation n’est pas réglée: «cette année, les jeunes vont rester dans les quartiers.» Les vacances «au bled» sont en effet à écarter: «les communes s’en inquiètent beaucoup», nous souffle notre interlocuteur, qui conseille encore de nombreux maires. Ainsi faut-il s’attendre à un autre rituel des quartiers dans les prochaines semaines: aux rodéos et confrontations avec la police s’ajouteront les canalisations brisées et les piscines dans les rues pendant les vagues de chaleur.

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  14. Le territoire est un enjeu

    C’est d’ailleurs ce genre de signaux faibles que notre interlocuteur semble le plus remarquer. À Grigny (91), les jeunes du quartier de la Grande Borne ont invité ceux des Tarterêts de Corbeil-Essonne, pour un match de football réunissant entre 300 et 500 personnes sur des terrains municipaux. Aubouin n’a aucun doute: «même si cela prête à sourire, cela révèle l’incapacité absolue des institutions à contrôler quoi que ce soit dans ces quartiers», souligne-t-il, évoquant le cortège de plusieurs dizaines de voitures d’une cité à l’autre, «que personne n’a repéré.» L'évidence s'impose: l'information échappe à la police à mesure qu’elle perd du terrain.

    Car ces loisirs ne reflètent pas seulement «un besoin ludique»: ils sont aussi, selon Michel Aubouin, «l’affirmation d’un territoire.» On dit souvent ces zones «perdues pour la République». Mais une chose est sûre: leurs nouveaux propriétaires entendent bien le rester.

    Inexorablement, la contagion s’étend

    «La tension est perceptible partout», constate-t-il: «elle arrive dans des communes jusque-là totalement épargnées par ces phénomènes, de nouveaux quartiers sont entrés dans la violence: Meudon (92), Suresnes (92) ou Rueil-Malmaison (78)...» et même Versailles (78), peut-on ajouter.

    Des tensions sporadiques dans ces communes, bien sûr, mais à n'en pas douter des signaux faibles. Pourquoi une telle propagation ? Du fait d’une émulation entre délinquants de cités via les réseaux sociaux ? De la propagation d’une sous-culture traversée par la «haine antiflic» ? Sans doute. Mais Michel Aubouin y voit surtout une dynamique profonde:

    «C’est la logique des logements sociaux», dit-il avant de préciser: «des familles entières partent des grandes cités pour s’installer dans de nouvelles et plus petites cités.»

    Et parmi les centaines de familles, quelques rejetons violents. Mais il en suffit de quelques-uns pour faire basculer un quartier jusque-là préservé. En effet, selon des documents internes à la police que Sputnik a pu consulter, les échauffourées de Meudon ou de Versailles ne comptaient pas plus d’une quinzaine de jeunes mineurs.

    Un drame inexorable: «la contagion prend petit à petit», résume Michel Aubouin.

    «Le cœur du problème, c’est la gestion du parc HLM», poursuit l’ancien haut fonctionnaire. Au titre de la mixité sociale ou du desserrement, mais surtout de la Loi Borloo de 2003, les déplacements de population s’opèrent, imperceptibles, mais bien réels. Il n’existe en effet aucun moyen de filtrer les familles: toutes ont le droit de rester dans le parc HLM, géré par le contingent préfectoral.

    Les victimes ne sont pas celles que l'on croit

    Le territoire des délinquants augmente en conséquence. Et Michel Aubouin de rapporter un «cas récent»: celui d’un trafiquant de drogue, tout juste sorti de prison, qui a demandé une maison HLM pour sa famille nombreuse et l’a obtenue: «ça arrange tout le monde…», souffle notre interlocuteur avant d’ajouter:

    «On est dans la société du pardon en permanence. On a du mal à comprendre que certaines personnes n’ont pas des comportements habituels et que seule la sanction peut fonctionner.»

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  15. Briser cette dynamique invisible exigerait une décision politique et administrative forte: «clairement, la seule façon serait de renvoyer le locataire du secteur public». Un choix politiquement incorrect à l’heure actuelle: «ce serait un scandale», admet Michel Aubouin, avant de souligner l’injustice de la situation: «mais ceux qui n’ont pas de logement, comment font-ils ?»

    Achetant la paix sociale, l’État et les communes ont-ils oublié les plus faibles ? «Une vieille dame ne peut sortir de chez elle qu’une demi-heure par jour, quand la cage d’escalier n’est pas occupée par les dealers… quand vous dépassez cette borne-là, vous ne devriez pas avoir le droit de rester dans le logement public», tranche l’ancien préfet. Ce sont ces oubliés des zones sensibles qui voudraient revoir la police.

    https://fr.sputniknews.com/points_de_vue/202005301043869442-les-violences-urbaines-setendent-et-avec-elles-les-territoires-perdus-de-la-republique/

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    1. L'ouverture des frontières, l'appel et la mise en œuvre des transports pour importer des étrangers en France (appelés 'réfugiés climatiques' !!! HAHAHAHA !), l'offre d'allocations qui crèvent les plafonds, les zones dites 'de non-droit' et la libération d'assassins pour cause de grippe en prison (! HAHAHAHA !) fait que, la dictature républicaine doit disparaître au profit de la dictature islamique (la différence c'est quoi ?). Tout avance comme prévu, tout est mené de front vers les chambres à gaz et camps de la mort avec la bénédiction des pères noel, des fées, des trolls et d'autres miracles holographiques qui permettent de voir des extraterrestres partout !

      Le rouge et le vert ne font-ils pas 'couleur merde' ?

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  16. Polémique : l'Unef fait pression pour interdire toute note inférieure à 10/20 à la Sorbonne


    30 mai 2020, 08:43


    Le syndicat Unef exige que la Sorbonne note au-dessus de la moyenne tous les examens de fin d'année, compte tenu des conditions de travail durant le confinement. Tous les étudiants et professeurs ne semblent pas soutenir cette mesure. La polémique est de plus en plus importante dans la célèbre université de la Sorbonne à Paris après la publication d'une tribune du syndicat étudiant de gauche, l'Unef.

    Ecrit en langue inclusive et paru le 8 avril sur le site Mediapart, le texte estime que pour «lutter contre l'échec de masse […] de toute une génération», la Sorbonne se doit de remplacer les examens par «des devoirs maison, sans télésurveillance et aux délais indicatifs». De même, tous les étudiants devraient obtenir «a minima la note de 10/20 à leur semestre, filet de sécurité assurant une évaluation sans faire échouer toute une génération».

    L'Unef argumente ainsi : «Nous faisons également face à l’anxiété et au stress du confinement et sommes ainsi bien loin de conditions sanitaires propices à une évaluation classique […] Aucun.e étudiant.e ne doit être pénalisé.e par les mesures prises pour la santé de tou.te.s. Aucun.e étudiant.e ne doit rater son semestre faute de matériel informatique, faute de logement décent, faute d’argent tout simplement.»

    Une pétition a été lancée sur change.org pour étendre cette idée à plusieurs universités. Cette injonction n'a pas été au goût de certains étudiants, à l'instar de Margot Nicoulaud. Sur Twitter, elle se dit «partagée entre rire et dégoût» et s'adresse à l'Unef : «En plus d'exclure toute notion de mérite, vous propagez l'idée selon laquelle la fac est effectivement un vaste centre aéré», s'insurge-t-elle. Le syndicat souverainiste La Cocarde étudiante s'est aussi ému de la proposition de l'Unef, estimant que «le diplôme "pour tous", c'est la dévaluation pour tous».

    Et d'ajouter que «cela revient à faire valider automatiquement l'année pour tous. Il faut bien comprendre que le contexte sanitaire n'a été qu'un prétexte à tout ceci, et que cette braderie des diplômes s'inscrit parfaitement dans le logiciel idéologique de la gauche étudiante». Le responsable du syndicat Uni (classé à droite) à Paris 1, Guilhem Carayon, pose aussi la question du mérite : «Sans la possibilité de l’échec, quel sens donne-t-on à la réussite ?»

    Sauf que le lobbying de l'Unef a, semble-t-il, fonctionné. A la Sorbonne comme dans plusieurs universités, dont celles d’Aix Marseille et d’Avignon d'après BFM TV, la règle de l'interdiction des notes en dessous de la moyenne pour les étudiants va être appliquée. Après ce choix, 13 enseignants se sont insurgés et ont contesté la directive en référé devant le tribunal administratif de Paris, le 7 mai, rapporte Le Monde. Face à eux se trouvaient l'Association générale des étudiants (AGE-Unef), les syndicats d'enseignants Snesup-FSU et CGT, ainsi que l’association de la Communauté juridique des étudiants de la Sorbonne (CJES).

    Le 20 mai, le juge s'est rangé de leur côté. Après cette décision, la ministre de l’Enseignement supérieur, Frédérique Vidal, a déclaré dans un communiqué qu’elle «appuiera les enseignants-chercheurs qui souhaiteront se pourvoir en cassation devant le Conseil d’Etat». Le recteur de Paris a également décidé de saisir le tribunal le 22 mai, soutenu par François-Guy Trébulle, directeur de l’Ecole de droit de la Sorbonne. Le 27 mai, celui-ci a expliqué sur RMC que «donner la moyenne à tout le monde, c’est en réalité refuser qu’une évaluation digne de ce nom puisse avoir lieu.

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  17. Et ça, c’est quelque chose qui nous paraît d’une absolue gravité et qui, je crois, ne s’est à peu près jamais passée. Sans la possibilité de l’échec, quel est le sens de la réussite ? Encore une fois, cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas tenir compte de situations d’inégalité numérique et des situations dans lesquelles il y a des étudiants qui peuvent avoir des difficultés de connexion. Il ne faut pas du tout le nier.»

    L'organisation Uni a également annoncé, le 28 mai, vouloir contester judiciairement l'automatisation du 10/20 en déposant «un mémoire au tribunal administratif pour faire annuler cette motion».

    https://francais.rt.com/france/75480-polemique-unef-fait-pression-pour-interdire-note-inferieur-10-sorbonne

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  18. L'Amérique descend dans le chaos au milieu d'attaques à l'échelle nationale "conçues pour déstabiliser la société civile"


    par Tyler Durden
    Sam, 30/05/2020 - 11h00


    Mise à jour (13: 35ET): Daily Mail rapporte que le Pentagone a dit à la police militaire en service actif d'être prête à se déployer à Minneapolis, une mesure qui, espérons-le, écraserait les troubles sociaux persistants. La dernière fois que l'armée a été envoyée dans une zone métropolitaine des États-Unis pour disperser de grandes foules, c'était lors des émeutes de Los Angeles en 1992.

    "Alors que les troubles se répandaient dans des dizaines de villes américaines vendredi, le Pentagone a pris la rare mesure d'ordonner à l'armée de mettre plusieurs unités de police militaire américaine en service prêt à se déployer à Minneapolis, où le meurtre de George Floyd par la police a déclenché la propagation protestations.

    "Des soldats de Fort Bragg en Caroline du Nord et de Fort Drum à New York ont ??reçu l'ordre d'être prêts à se déployer dans les quatre heures s'ils sont appelés, selon trois personnes connaissant directement les ordres."

    "On a dit aux soldats de Fort Carson, dans le Colorado et de Fort Riley au Kansas, d'être prêts dans les 24 heures.

    "Les gens ne voulaient pas que leur nom soit utilisé parce qu'ils n'étaient pas autorisés à discuter des préparatifs." - Courrier quotidien

    Fox News a rapporté que des manifestations pouvaient être vues dans plus de 50 villes samedi soir.

    * * *

    Mise à jour (12: 50ET): Plusieurs vidéos ont fait surface en ligne de manifestants (vendredi soir) à Oakland volant des voitures de concessionnaires.

    - voir clip sur site -

    Dans un cas, des manifestants ont incendié des voitures de sport exotiques chez un concessionnaire Mercedes.

    * * *

    Mise à jour (11:19 ET): Préparez-vous à une nuit d'enfer, selon le rapport de Fox News selon lequel 50 villes pourraient voir des manifestations samedi soir.

    * * *

    Le gouverneur du Minnesota, Tim Walz, a parfaitement résumé le chaos actuel qui a éclaté à l'échelle nationale:

    "Il ne s'agit plus de George Floyd ou de la lutte contre les inégalités. Il s'agit d'une attaque organisée destinée à déstabiliser la société civile."

    Des manifestations ont fait rage du jour au lendemain dans des dizaines de villes américaines, dont Minneapolis, Washington, D.C., New York, Atlanta, Houston et plusieurs grandes zones métropolitaines de la côte ouest.

    Vendredi soir, des manifestations ou des troubles sociaux ont été observés dans ces grandes métros:

    Houston et Fort Worth, TX
    NYC
    Chicago, IL
    Atlanta, GA
    Washington DC.
    Détroit, MI
    Fort Wayne, IN
    Kansas City, MO
    Des Moines, IA
    Vegas, NV
    Charlotte, Caroline du Nord
    San Jose, Californie
    Boston, MA
    Memphis, TN
    Columbus, OH
    Denver, CO
    Cincinnati, OH
    Portland, ME
    Louisville, KY

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  19. À partir de Minneapolis, où les troubles se sont poursuivis jusqu'à la quatrième nuit après la mort de George Floyd, un homme qui a été tué par la police de Minneapolis lundi, l'adjudant-général de la Garde nationale du Minnesota Jon Jensen et le gouverneur Tim Walz ont annoncé la demande de 1000 soldats supplémentaires Garde nationale alors que les émeutes et les pillages se poursuivaient.

    "Il s'agit du plus grand déploiement civil de l'histoire du Minnesota que nous ayons aujourd'hui, et franchement en ce moment, nous n'avons pas les chiffres", a déclaré Walz samedi matin. "Nous ne pouvons pas arrêter des gens lorsque nous essayons de garder le terrain à cause de la taille, la dynamique et la violence gratuite. "

    Jensen prévoit que samedi soir, jusqu'à 1 700 soldats seront "prêts à partir". Vendredi soir, des soldats armés de fusils d'assaut ont été repérés dans les rues de la police locale.

    Manifestation de Minneapolis le 29 mai. H / t Unicorn Riot
    Une flotte de Humvees blindés bordait la rue "sur Chicago Ave entre Lake St. et 31st alors que les pompiers combattaient des incendies faisant rage à 8 pâtés de maisons de l'endroit où George Floyd avait été tué", a tweeté Unicorn Riot.

    Manifestation de Minneapolis le 29 mai. H / t Unicorn Riot
    Les manifestants semblaient avoir incendié une banque Wells Fargo.

    - voir clip sur site -

    La ou les structures du bâtiment sont toujours en feu samedi matin.

    Le chaos et la destruction se poursuivent ce week-end.

    Hier soir, des scènes de l'Interstate 35W, un réseau routier majeur aux États-Unis qui traverse le centre-ville de Minneapolis, où des manifestants ont fait irruption dans un camion UPS en mouvement et ont volé des colis.

    - voir clip sur site -

    En réponse aux manifestations de Washington D.C., vendredi soir, le président Trump a remercié les services secrets samedi matin pour avoir protégé la Maison Blanche.

    "De nombreux agents des services secrets n'attendent que l'action", a tweeté le président Trump.

    - voir clip sur site -

    Pendant ce temps, le Département du Trésor à DC a été violé par des émeutiers, qui ont peint à la bombe le bâtiment. Selon CNN, certains des manifestants ont été arrêtés par les services secrets américains, mais ont finalement été lâchés.


    À Atlanta, le siège de CNN a été attaqué par des manifestants vendredi soir.

    h / t Ryan Maue 29 mai

    h / t Ryan Maue 29 mai
    Plusieurs images étonnantes des troubles à Atlanta la nuit dernière.

    h / t Twitter gérer kieroncg 29 mai
    Une foule en colère a allumé des camionnettes de la police du NYPD en feu hier soir

    h / t Twitter 29 mai

    Émeute à Brooklyn pendant la nuit.

    - voir clip sur site -

    De Houston à Phoenix en passant par Portland, les forces de police ont signalé des troubles sociaux généralisés.

    Alors que les choses tournent mal

    - voir clip sur site -

    Alors que les choses devenaient incontrôlables, deux agents du Service fédéral de protection ont été blessés par balle à Oakland, en Californie, la nuit dernière, faisant l'un d'eux mort.

    Oakland était fou dans la nuit, un manifestant a volé un tracteur avec chargeuse compacte et l'a conduit dans la rue.

    - voir clip sur site -

    Des manifestants se sont affrontés avec la police à Oakland.

    - voir clip sur site -

    Des manifestants pillent un concessionnaire automobile à Oakland.

    - voir clip sur site -

    Il y a plusieurs années, le US Northern Command a "répété des tactiques anti-émeutes non létales" à Davis-Monthan AFB en Arizona. Peut-être la préparation à des troubles sociaux généralisés à travers le pays. Le gouvernement a su que ce jour arrivait ...

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  20. - voir clip sur site -

    Formation du Northern Command des États-Unis pour les émeutes en 2018
    Le président Trump a signé un décret exécutif fin mars qui permet au Pentagone de mobiliser jusqu'à un million de soldats pour lutter contre l'épidémie de coronavirus dans le pays. L'ordre pourrait désormais viser les troubles sociaux. Ce n'est qu'une question de temps avant que davantage de gouverneurs d'État activent les troupes de la Garde nationale comme le Minnesota l'a fait au début de la semaine.

    Nous avons été les premiers à noter vendredi que le gouvernement fédéral a fait voler un drone militaire au-dessus de Minneapolis pour espionner les manifestants.

    - voir clip sur site -

    Une tempête parfaite se développe: 40 millions de chômeurs, une crise économique, une polarisation record et des inégalités de richesse extrêmes, le pays sombre rapidement dans le chaos pendant les mois d'été. Alors, que se passe-t-il lorsque le gouvernement cesse de libérer de l'argent par hélicoptère pour les personnes qui ont récemment perdu leur emploi ?

    https://www.zerohedge.com/political/america-descends-chaos-nationwide-unrest-erupts

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    1. Les merdias qui veulent diriger le Peuple payent des gens pour manifester, pour casser des vitrines, brûler des voitures et tuer des gens.

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  21. L'organisme le plus commun dans les océans abrite un virus dans son ADN


    Charles Rotter
    29 mai 2020
    Université de Washington


    L'organisme le plus commun dans les océans, et peut-être sur toute la planète, est une famille de bactéries marines unicellulaires appelées SAR11. Ces organismes à la dérive ressemblent à de minuscules fèves à la gelée et ont évolué pour concurrencer d'autres bactéries pour des ressources rares dans les océans.

    Nous savons maintenant que ce groupe d'organismes prospère malgré - ou peut-être à cause de - la capacité d'héberger des virus dans leur ADN. Une étude publiée en mai dans Nature Microbiology pourrait conduire à une nouvelle compréhension des stratégies de survie virale.

    Les océanographes de l'Université de Washington ont découvert que la bactérie qui domine l'eau de mer, connue sous le nom de Pelagibacter ou SAR11, héberge un virus unique. Le virus est d'un type qui passe la majeure partie de son temps en sommeil dans l'ADN de l'hôte, mais éclate parfois pour infecter d'autres cellules, potentiellement porteur d'une partie du matériel génétique de son hôte.

    «De nombreuses bactéries ont des virus qui existent dans leurs génomes. Mais les gens ne les avaient pas trouvés dans les organismes les plus abondants de l'océan », a déclaré le co-auteur principal Robert Morris, professeur agrégé d'océanographie à l'UW. "Nous soupçonnons que c'est probablement commun, ou plus commun que nous ne le pensions - nous ne l'avions tout simplement jamais vu."

    La stratégie de survie à deux volets de ce virus diffère de celles que l'on trouve dans d'autres organismes. Le virus se cache dans l'ADN de l'hôte et est copié à mesure que les cellules se divisent, mais pour des raisons encore mal connues, il se réplique également et est libéré à partir d'autres cellules.

    La nouvelle étude montre que jusqu'à 3% des cellules SAR11 peuvent avoir le virus se multiplier et se diviser, ou lyser, la cellule - un pourcentage beaucoup plus élevé que pour la plupart des virus qui habitent le génome d'un hôte. Cela produit un grand nombre de virus libres et pourrait être essentiel à sa survie.

    "Il y a 10 fois plus de virus dans l'océan qu'il n'y a de bactéries", a déclaré Morris. «Il est important de comprendre comment ces grands nombres sont maintenus. Comment un virus survit-il ? Si vous tuez votre hôte, comment trouvez-vous un autre hôte avant de vous dégrader? »

    L'étude pourrait inciter à la recherche fondamentale qui pourrait aider à clarifier les interactions hôte-virus dans d'autres contextes.

    "Si vous étudiez un système bactérien, qui est plus facile à manipuler, vous pouvez alors trier les mécanismes de base", a déclaré Morris. "Ce n'est pas trop exagéré de dire que cela pourrait éventuellement aider dans les applications biomédicales."

    Le groupe d'océanographie de l'UW avait publié un précédent article en 2019 sur la façon dont le phytoplancton marin, y compris le SAR11, utilise le soufre. Cela a permis aux chercheurs de cultiver deux nouvelles souches de l'organisme océanique et d'analyser une souche, NP1, avec les dernières techniques génétiques.

    L'auteure coresponsable Kelsy Cain a prélevé des échantillons au large des côtes de l'Oregon lors d'une croisière de recherche en juillet 2017. Elle a dilué l'eau de mer plusieurs fois, puis a utilisé une substance contenant du soufre pour faire croître les échantillons en laboratoire - un processus difficile, pour les organismes qui préfèrent exister dans l'eau de mer.

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  22. L'équipe a ensuite séquencé l'ADN de cette souche au centre de séquençage UW PacBio de Seattle.

    "Dans le passé, nous avons obtenu un génome complet, premier essai", a déclaré Morris. "Celui-ci n'a pas fait ça, et c'était déroutant parce que c'est un très petit génome."

    Les chercheurs ont découvert qu'un virus compliquait la tâche de séquençage du génome. Ensuite, ils ont découvert qu'un virus n'était pas seulement dans cette seule souche.

    «Quand nous sommes allés développer la culture de contrôle NP2, voilà, il y avait un autre virus. C'était surprenant de voir comment vous ne pouviez pas vous éloigner d'un virus ", a déclaré Cain, diplômé en 2019 d'un baccalauréat en océanographie de l'UW et travaillant maintenant dans un laboratoire de recherche de l'UW.

    Les expériences de Cain ont montré que le passage du virus à la réplication et à l'éclatement des cellules est plus actif lorsque les cellules sont privées de nutriments, lysant jusqu'à 30% des cellules hôtes. Les auteurs pensent que les gènes bactériens qui s'attaquent aux virus pourraient aider d'autres SAR11 à maintenir leur avantage concurrentiel dans des conditions pauvres en nutriments.

    "Nous voulons comprendre comment cela a contribué à l'évolution et à l'écologie de la vie dans les océans", a déclaré Morris.

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    Les autres co-auteurs sont le chercheur postdoctoral Kelli Hvorecny et le professeur agrégé Justin Kollman au département de biochimie de l'UW. L'étude a été financée par la National Science Foundation et l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses des National Institutes of Health.

    De EurekAlert!

    https://wattsupwiththat.com/2020/05/29/the-most-common-organism-in-the-oceans-harbors-a-virus-in-its-dna/

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  23. Un juge juge fausse la «vérification des faits» sur Facebook


    28 mai 2020
    Par Christopher Monckton


    Die Welt rapporte que la Cour d'appel régionale de Karlsruhe s'est prononcée contre une «vérification des faits» factice sur Facebook. En septembre dernier, Tichys Einblick (Tichy's Insight), un magazine de centre-droit en Allemagne, avait publié une lettre ouverte au Secrétaire général de l'ONU de plus de 500 scientifiques, chercheurs et professionnels du Climate Intelligence Group (CLINTEL) dans le monde entier, déclarant: n'est pas une urgence climatique ».


    Le réseau de «recherche» Correctiv, que Facebook utilise pour garantir la censure du contenu non communiste, avait signalé l'article de Tichy comme «partiellement faux». À présent, un juge a jugé fausse la «vérification des faits» de Facebook et a ordonné sa suppression, sous peine d'une amende pouvant aller jusqu'à 250 000 euros ou d'une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à deux ans par défaut.

    Selon Correctiv, tous les signataires n'étaient pas des scientifiques, certains des points de la lettre ouverte étaient incorrects et la ligne du Parti sur le climat n'avait pas été suffisamment prise en compte. Tichy's a poursuivi Facebook en disant que la supposée «vérification des faits» de Correctiv n'était qu'une expression d'opinion et que le statut spécial de Correctiv en tant que fact factager de Facebook constituait une concurrence déloyale.

    Tichy’s Insight se plaignait que l’évaluation de Correctiv n’était pas du tout une vérification des faits, mais une simple expression d’opinion, et que son statut spécial de vérificateur des faits sur Facebook constituait une concurrence déloyale.

    Le tribunal a constaté que, bien que Tichy’s Insight et Correctiv puissent publier leurs articles sur le réseau social, Correctiv s’établissait comme ayant le droit de vérifier et d’évaluer Tichy’s, établissant une fausse hiérarchie des vérités.

    De plus, lorsque Correctiv décide qu'une publication sur Facebook n'est pas suffisamment à gauche, Facebook interdit cette publication pour réduire son accessibilité et son nombre de visites. Pire encore, si les utilisateurs partagent la publication insuffisamment communiste, Facebook joint invariablement le commentaire de Correctiv, ainsi qu'un lien pour que les lecteurs puissent faire un don à Correctiv, lui donnant ce que la Cour considère comme un autre avantage commercial déraisonnable.

    Dans un premier temps, le tribunal régional de Mannheim avait statué en faveur de Correctiv. La Cour d'appel a annulé la décision. Correctiv n’est plus autorisé à marquer l’article de Tichy avec les mots «Non: ce ne sont pas« 500 scientifiques »: prétend en partie faux». La Cour a également ordonné la suppression de la fausse référence à la «vérification des faits» lorsque l'article est partagé. Si Facebook bafoue la décision de la Cour, il encourt une amende administrative pouvant aller jusqu'à 250 000 euros ou jusqu'à deux ans de prison.

    Le ratio decidendi de la Cour de Karlsruhe est que le lien avec la soi-disant «vérification des faits» est trompeur. La falsification des faits de Correctiv s’était concentrée dans une très large mesure sur les erreurs alléguées dans la lettre ouverte plutôt que sur les rapports de Tichy.

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  24. Joachim Steinhöfel, qui représentait la perspicacité de Tichy, a décrit l’arrêt de la Cour d’appel comme une victoire pour la liberté d’opinion: «La question fondamentale à trancher par la Cour était de savoir qui devrait décider ce qui est bien ou mal dans une société ouverte. Cette affaire marque le début de la fin du système actuel de «vérification des faits» de Facebook. »

    Cependant, la Cour a souligné qu'elle n'avait pas statué sur «la légalité des vérifications des faits sur Facebook en général».

    Commentant la décision, Correctiv a déclaré que la Cour n'avait trouvé sa «vérification des faits» que trompeuse sur l'article de Tichy: «Par conséquent, la Cour n'a remis en question ni le système de vérification des faits de Facebook ni nos activités en général. Nous attendons maintenant le jugement complet, puis nous déciderons si et comment la procédure se poursuivra. Quoi qu'il en soit, nous continuerons notre travail contre les fausses nouvelles sans relâche. »

    Pendant ce temps, l'avocat de Naomi Seibt a écrit à Reuters pour insister sur les corrections à apporter à un article trompeur sur sa plainte contre la State Media Authority de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, qui lui avait ordonné de retirer deux de ses vidéos sur le climat ou son visage. amendes totalisant 2 640 $ ou jusqu'à 14 jours de prison par défaut.

    Reuters avait répété le communiqué de presse de l'Autorité selon lequel elle n'avait pas infligé d'amende à Naomi. En fait, son «acte administratif» - en fait, un jugement rendu par lui dans une affaire à laquelle il est partie et sans entendre la partie de l'affaire Naomi - l'avait menacée d'amendes de 1000 euros plus 200 euros de frais pour chaque vidéo à moins qu'elle ne prenne les vidéos vers le bas.

    Reuters avait également déclaré que Naomi n'avait pas répondu à sa demande de commentaires, mais Naomi ne se souvenait pas avoir reçu une telle demande. Enfin, Reuters a déclaré que Naomi n’était pas en mesure de répondre aux allégations de l’Autorité, alors qu’en fait elle est en mesure de leur répondre et fait appel de son propre jugement.

    https://wattsupwiththat.com/2020/05/28/judge-finds-fact-faking-facebook-fact-check-false/

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  25. Les parcs éoliens ont payé un record de 9,3 millions de livres sterling pour éteindre leurs turbines vendredi


    25 mai 2020
    Par Paul Homewood


    Les parcs éoliens en Grande-Bretagne ont reçu un montant record de 9,3 millions de livres sterling pour éteindre leurs turbines vendredi, The Telegraph peut révéler.

    Plus de 80 usines à travers l'Angleterre et l'Écosse ont reçu les soi-disant «paiements de contrainte», lorsque l'offre dépasse la demande, par le National Grid, alors que des milliers de bâtiments vides à la suite de la fermeture du coronavirus ont contribué à une baisse de la demande d'énergie.

    Dans ce qui a été déclaré «embarras national» et «honte» de la gestion de l'énergie par les militants, les consommateurs paieront finalement la facture de 6,9 millions de livres sterling à 66 usines écossaises et de 1,9 million de livres sterling à 14 usines offshore en Angleterre.

    C'est presque le double du paiement record d'un jour précédent aux exploitants de parcs éoliens, qui était de 4,8 millions de livres sterling le 8 octobre 2018, lorsque les turbines ont été arrêtées en raison d'un vent trop fort.

    On pense que la faible demande d'électricité le 22 mai était due au temps venteux et ensoleillé de cette semaine, les panneaux solaires ayant probablement produit beaucoup d'énergie, combinés au manque de demande d'électricité étant donné le verrouillage de Covid-19 qui a vu de nombreuses entreprises ferment.

    Le développement était si inquiétant que le National Grid a émis une alerte pour l'empêcher de se produire pour une deuxième journée consécutive.

    Le Dr John Constable, directeur de la Renewable Energy Foundation, un organisme de bienfaisance britannique qui surveille la consommation d'énergie, a déclaré: «Le surdéploiement des énergies renouvelables au Royaume-Uni, en particulier l'énergie éolienne et solaire incontrôlable, a entraîné un système électrique très fragile, qui est inflexible et incapable de faire face aux accidents et aux circonstances inattendues à un coût raisonnable pour les consommateurs.

    «Les dépenses d'équilibrage du réseau jusqu'à présent cette année sont déjà horribles et d'ici la fin de l'été, elles seront terrifiantes.

    «Il s'agit d'un embarras national et d'une honte pour la gestion du secteur de l'électricité qui a permis avec complaisance à cette crise de se développer au cours de la dernière décennie.»

    L'organisme de bienfaisance avait précédemment révélé que les exploitants de 86 parcs éoliens en Grande-Bretagne avaient reçu un record de plus de 136 millions de livres sterling en paiements de contrainte l'année dernière.

    Le directeur des communications stratégiques de RenewableUK, Luke Clark, a déclaré: «L’énergie éolienne est l’une des plus grandes sources d’énergie au Royaume-Uni, générant 30% de notre électricité au premier trimestre de cette année.

    «Il est essentiel d'investir dans de nouvelles infrastructures de réseau pour que les générateurs renouvelables puissent continuer à fournir aux consommateurs les quantités massives d'électricité bon marché dont nous avons besoin pour atteindre zéro émission nette.

    «Les paiements par contrainte sont le moyen le moins cher pour National Grid de gérer le réseau électrique dans ses limites actuelles.

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  26. «Tous les types de production, y compris les combustibles fossiles, les reçoivent, mais contrairement aux technologies plus anciennes, les parcs éoliens peuvent s'éteindre ou s'allumer en quelques secondes, et donc le vent est souvent appelé par National Grid pour varier sa production. C'est donc en fait le meilleur moyen de maintenir les factures aussi basses que possible. »

    https://www.telegraph.co.uk/news/2020/05/23/wind-farms-paid-record-93m-switch-turbines/

    C'est pourquoi le Telegraph a inclus les commentaires inexacts de RenewableUK, l'organisme commercial des parcs éoliens est un mystère.

    Il est clair que si l'investissement dans de nouvelles infrastructures de réseau est nécessaire pour accueillir l'énergie éolienne, ce coût devrait être supporté par les entreprises renouvelables, et non répercuté sur le public.

    Il n'est pas vrai non plus que les générateurs renouvelables génèrent d'énormes quantités d'électricité bon marché. Le contraire est le cas.

    Quant au dernier paragraphe, je suppose que ce doit être une sorte de blague. Le National Grid nous a déjà dit que leurs coûts d'équilibrage du système devraient être supérieurs de 500 millions de livres sterling à ceux de l'année dernière. Et cela est uniquement dû à la non-fiabilité inhérente de l'énergie éolienne et solaire pour être en mesure de répondre à la quantité de demande sur le système jour après jour et heure par heure.

    Hier, les paiements de contraintes aux parcs éoliens ont ajouté 6,9 millions de livres sterling à nos factures, au taux exorbitant de 80 livres sterling / MWh jusqu'à présent ce mois-ci. Le prix est si élevé parce que les parcs éoliens doivent renoncer à des subventions obscènes.

    - voir graphique sur site -

    Actuellement, les prix du marché de l'électricité sont tombés à 14 £ / MWh, mais les consommateurs ne peuvent pas en profiter pleinement.

    Au lieu de cela, les consommateurs sont obligés de payer des prix compris entre 139 £ et 173 £ / MWh pour les six parcs éoliens offshore actuellement exploités en vertu de contrats de différence:

    - voir tableau sur site -

    https://ref.org.uk/generators/search.php?TechGroup=WD&TechCode=FW&start=0&dir=asc&order=8

    https://wattsupwiththat.com/2020/05/25/wind-farms-paid-record-9-3m-to-switch-off-their-turbines-on-friday/

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