44 02.05.2020
L'état d'urgence sanitaire contre le Covid-19, en vigueur depuis le 24 mars, sera prolongé de deux mois, selon l'avant-projet de loi consulté ce jeudi par l'AFP.
Après un 1er-Mai confiné pour cause de coronavirus, le conseil des ministres se penche sur le projet de loi prorogeant l'urgence sanitaire à compter du 24 mai. Son examen au Sénat est prévu dès lundi, avant qu'il ne soit transmis à l'Assemblée nationale en vue d'une adoption définitive dans la semaine.
Le texte précise que la mise en quarantaine et le placement à l'isolement, afin de lutter contre la propagation du virus, pourront intervenir «lors de l'arrivée sur le territoire national».
Le coronavirus a tué depuis le 1er mars 24.594 personnes en France, dont 218 au cours des dernières 24 heures. La tension dans les services de réanimation s'est encore un peu allégée avec 141 personnes en moins, a fait valoir le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon.
Alors que le gouvernement a dévoilé les cartes de déconfinement progressif, Emmanuel Macron a prévenu encore vendredi lors d'une réception à l'Élysée que le 11 mai serait «une étape importante» mais pas le retour «à une vie normale».
La question de la réouverture des établissements scolaires
En tête des préoccupations, la réouverture des écoles qui s'annonce très périlleuse. La «majorité des écoles» maternelles et primaires seront au rendez-vous du 11 mai, a affirmé Jean-Michel Blanquer au Figaro, avec un maximum de 15 enfants par classe. Mais certains édiles ne veulent pas en entendre parler.
Ainsi, huit maires centristes de Seine-Saint-Denis (Bobigny, Drancy, Saint-Ouen, Coubron, Livry-Gargan, Noisy-le-Sec, Le Raincy et Le Bourget) avaient déjà exprimé, avant même le discours du Premier ministre mardi, leur intention de ne pas rouvrir leurs établissements scolaires.
Ces édiles, comme beaucoup d'autres, s'inquiètent de la possible mise en cause de leur responsabilité pénale en cas de contamination d'enfants, d'enseignants ou de personnels.
À Paris, la réouverture des écoles sera réservée, au moins dans un premier temps, «à un public prioritaire», c'est-à-dire aux enfants de certaines professions et aux élèves décrocheurs, a indiqué vendredi à l'AFP l'adjoint de la mairie en charge de l'éducation.
Vente des masques
Autre source de tension en prévision du 11 mai: la vente des masques dont le port sera obligatoire dans les transports publics.
À dix jours du déconfinement, le gouvernement a décidé de plafonner le prix de vente des masques chirurgicaux à 95 centimes l'unité, mais pas celui des masques en tissu, en raison de la diversité des modèles et de leur provenance.
On trouve sur Internet des masques vendus 20 ou 30 euros pièce. Face au risque d'abus, la secrétaire d'État Agnès Pannier-Runacher a promis des enquêtes de la DGCCRF «chaque semaine, avec des relevés de prix, circuit de distribution par circuit de distribution», pour garantir l'accès à des prix raisonnables.
L'objectif est «qu'une offre abondante de masques lavables et réutilisables à filtration garantie soit mise à disposition du public à un coût de l'ordre de 20 à 30 centimes d'euros à l'usage», a précisé le ministère de l'Économie dans un communiqué.
Face à l'abondance de l'offre après une période de rareté, les ordres des professions de santé se sont offusqués dans un texte cinglant du nombre «sidérant» de masques annoncés à la vente par la grande distribution. Celle-ci a répliqué qu'elle n'avait pas de «stocks cachés» et que les commandes n'allaient être livrées que «très progressivement».
«Il n'y avait pas de stocks de masques cachés en France», a également assuré vendredi soir le directeur de la Santé Jérôme Salomon, interrogé sur le sujet.
La grande distribution, qui pourra vendre des masques à partir du 4 mai, «s'investit dans la distribution de masques grand public (...) Il ont aussi commandé des masques sanitaires comme c'est autorisé en tenant compte des règles strictes de la réquisition qui effectivement s'appliquent. Ce sont des petits volumes», a-t-il ajouté.
La sénatrice de Gironde Nathalie Delattre (Mouvement radical) a demandé la constitution d'une commission d'enquête sur le sujet, dans un courrier au président du Sénat Gérard Larcher et transmis à l'AFP. Et le chef de file des Insoumis, Jean-Luc Mélenchon, s'est dit vendredi «écoeuré» face au nombre de masques annoncés à la vente par la grande distribution.
LA HONTE !!!
RépondreSupprimer(...) L'objectif est «qu'une offre abondante de masques lavables et réutilisables à filtration garantie soit mise à disposition du public à un coût de l'ordre de 20 à 30 centimes d'euros à l'usage», a précisé le ministère de l'Économie dans un communiqué. (...)
LES MASQUES NE SONT PAS RÉUTILISABLES NI LAVABLES ! Bordel de dieu !
Faut pas prendre les gens pour des cons !
Les masques tissus fabriqués par n'importe qui NE SONT PAS DES MASQUES ANTI VIRUS !
Un virus c'est 1µ et passent aisément entre des mailles de 500 ou 1000 microns !
SEUL le masque FFP2 est utilisable pour contrer un virus.
Le masque FFP1 est un anti-poussière !
et, le masque FFP3 a un filtre extérieur pour souffler. Il ne peut être utilisé que MOMENTANÉMENT car il a des mailles si fines qui 'empêchent' la respiration ! (presque un sac en plastique sur la tête !!).
Donc, ARRÊTEZ de proposer des merdes qui tuent !
L'État est incapable d'apporter des masques FFP2 à la population !
voir:
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/04/quelque-16-millions-de-masques-destines.html
Un masque FFP2 dure 1 jour et ne doit JAMAIS être jeté dans un sac en plastique fermé et ouvert à la décharge publique ! IL DOIT ÊTRE BRULÉ ! (à la flamme du gaz ?).
Point sur la pandémie: l'OMS donne l’origine du Covid-19
RépondreSupprimer08:41 02.05.2020
Alors que le Président américain pointe du doigt un laboratoire chinois, l'OMS a déclaré vendredi que le nouveau coronavirus était d'«origine naturelle». Entre-temps, les manifestations anti-confinement se poursuivent dans le monde. Le gouvernement français va prolonger l'état d'urgence sanitaire. Revue des actualités sur la pandémie.
L’OMS, qui appelle Pékin à l'associer aux enquêtes sur l'origine du coronavirus, a souligné que l’infection avait une origine naturelle, malgré de nombreuses accusations de Donald Trump.
«En ce qui concerne l'origine du virus à Wuhan, nous avons écouté de nombreux scientifiques qui ont étudié ce virus, et on nous assure que ce virus est d'origine naturelle», a affirmé le directeur des programmes d'urgence de l'Organisation mondiale de la santé, Michael Ryan, interrogé par un journaliste. «Ce qui est important, c'est que l'on détermine l'hôte naturel de ce virus».
Le spécialiste international a expliqué que l'«objectif principal est de faire en sorte que nous puissions bien comprendre le virus, que nous comprenions la transmission d'animal à humain et que nous comprenions comment la barrière entre les espèces animale et humaine a été franchie».
Manifestations contre le confinement
Des milliers de personnes ont manifesté vendredi en Californie pour exiger la levée du confinement en vigueur depuis six semaines.«Ouvrez la Californie! Ouvrez la Californie!», ont scandé les protestataires près des plages de Huntington Beach, fermées sur ordre du gouverneur Gavin Newsom après avoir vu un afflux de personnes le week-end dernier.
La police allemande a procédé vendredi à de multiples interpellations qui ont tenté de faire du 1er mai un temps fort de l’opposition au confinement à Berlin.
Prolongation de l'état d'urgence sanitaire en France
Le gouvernement français entérine samedi la prolongation pour deux mois de l'état d'urgence sanitaire contre le Covid-19, mais il est aussi sous pression pour clarifier les modalités concrètes du déconfinement, notamment le casse-tête de la réouverture des écoles et la polémique sur la vente des masques.
Après un 1er-Mai confiné pour cause de coronavirus, le conseil des ministres se penche sur le projet de loi prorogeant l'urgence sanitaire à compter du 24 mai. Son examen au Sénat est prévu dès lundi, avant qu'il ne soit transmis l'Assemblée nationale en vue d'une adoption définitive dans la semaine.
Le texte précise que la mise en quarantaine et le placement à l'isolement, afin de lutter contre la propagation du virus, pourront intervenir «lors de l'arrivée sur le territoire national».
Voici un résumé des actualités sur la propagation du Covid-19 dans le monde:
Les États-Unis annoncent cette nuit 1.800 décès supplémentaires des suites du coronavirus en 24 heures
Des dizaines de journalistes sont morts depuis deux mois dans le monde à cause du nouveau coronavirus, a estimé vendredi l'organisation suisse Press Emblem Campaign
Le bilan continue de s'alourdir en Allemagne: le nombre de cas de contamination a grimpé pour atteindre les161.703 tandis que 6.575 morts ont été recensés
RépondreSupprimerLes États-Unis autorisent en urgence l'antiviral remdesivir, médicament expérimental initialement développé pour soigner les malades de la fièvre hémorragique Ebola
3.000 membres d'équipage d'un navire de croisière du géant du tourisme TUI mis en quarantaine
12:56
Le bilan dépasse la barre des 25.000 morts en Espagne
Après que 276 personnes sont mortes en Espagne au cours des dernières 24 heures, le pays totalise désormais 25.100 décès. Le nombre total de cas est passé à 216.582, contre 215.216 vendredi.
12:53
Un premier vol de rapatriement de 264 Belges depuis le Maroc a eu lieu vendredi, a indiqué samedi le ministre des Affaires étrangères et de la Défense Philippe Goffin.
12:46
Le coronavirus a fait 6.156 morts en Iran
Avec 65 décès supplémentaires au cours des dernières 24 heures, l'Iran déplore désormais 6.156 morts depuis le début de l'épidémie, a annoncé samedi le ministère de la Santé.
Le nombre total de contaminations est passé à 96.448 cas, a ajouté un porte-parole du ministère, précisant que 2.787 patients souffrant d'une infection Covid-19 était dans un état critique.
12:21
À Moscou, 2% des habitants ont le coronavirus, annonce le maire
«D'après des tests de dépistage réalisés sur des groupes de population variés, le nombre réel de personnes infectées est d'environ 2% de la population totale de la ville», a écrit le maire Sergueï Sobianine sur son blog.
La Russie avait jusqu'ici déclaré plus de 114.000 cas de coronavirus dont 57.300 cas à Moscou, épicentre de la contagion.
12:13
En Israël, un homme est recherché pour s'être rendu dans un magasin IKEA, sachant qu'il était malade du coronavirus
12:12
L'arrêt des sports aux États-Unis depuis mi-mars va engendrer une perte d'au moins 12 milliards de dollars et de centaines de milliers d'emplois, selon une analyse réalisée pour la chaîne américaine ESPN
11:20
Plus d'un million et demi de cas déclarés en Europe, selon un comptage AFP
Plus d'un million et demi de cas de contamination par le nouveau coronavirus ont été officiellement diagnostiqués en Europe, soit un peu moins de la moitié du total mondial, selon un comptage réalisé par l'AFP samedi à 8h50 GMT.
Avec au moins 1.506.853 cas, pour 140.260 décès, l'Europe est le continent le plus touché par la pandémie de Covid-19. Au total dans le monde, 3.350.224 cas et 238.334 morts ont été recensés.
L'Espagne (215.216 cas, 24.824 décès), l'Italie (207.428, 28.236), le Royaume-Uni (177.454, 27.510), la France (167.346, 24.594) et l'Allemagne (161.703, 6.575) sont les cinq pays européens comptant officiellement plus de 150.000 cas sur leur territoire, tandis que la Russie (124.054, 1.222) est celui qui enregistre actuellement quotidiennement le plus grand nombre de nouveaux cas.
11:15
RépondreSupprimerLe FMI accorde un prêt d'urgence à l'Équateur
Le Fonds monétaire international a approuvé vendredi le versement de 643 millions de dollars d'aide d'urgence à l'Équateur, frappé par l'épidémie de coronavirus mais également par la chute des prix du pétrole.
Le ministre des Finances et de l'Économie de cet État d'Amérique du Sud a indiqué dans un communiqué que ce prêt avait été obtenu dans des «conditions favorables» avec un taux d'intérêt de 1,05%.
Selon l'Organisation mondiale de la santé, l'Équateur a déclaré 24.000 cas de Covid-19, et le décès de 900 personnes, ce qui a provoqué une urgence sanitaire particulièrement forte dans la capitale économique du pays, Guayaquil.
11:01
En termes de propagation du virus, la Russie vit un scénario européen, pas celui de la Chine, a déclaré le maire de Moscou
10:36
Nombre de contaminations record en Russie: 9.623 en 24 heures
La Russie recense désormais 124.054 infectés et 1.222 décès (+57 en 24 heures).
10:33
2 milliards d'euros de manque à gagner pour la SNCF, selon son PDG
10:13
La Tunisie demande à la Russie des respirateurs, des masques et de l’équipement médical
La Tunisie demande à la Russie de lui fournir des respirateurs, des masques et de l’équipement médical pour lutter contre le coronavirus, a déclaré à Sputnik l'ambassadeur du pays à Moscou, Tarek Ben Salem.
«Cette demande d'aide se fait dans le cadre des relations amicales entre la Tunisie et la Russie. La Tunisie, comme de nombreux autres pays, connait une crise sans précédent dans les secteurs de la santé et de l'économie. Des respirateurs, des masques et de l’équipement médical sont nécessaires pour aider à fournir des services dans les hôpitaux publics», a constaté l'ambassadeur.
L'ambassadeur a souligné que les autorités tunisiennes saluaient le travail des services de santé russes. La Tunisie, pays proche de l'Italie, apprécie l'aide apportée par la Russie à ce pays ami voisin», a-t-il ajouté.
«Les autorités russes ont reçu notre demande d'aide. La Tunisie espère faire un pas en avant vers la Russie, qui a promis d'examiner notre demande. Cela ne peut que confirmer la qualité des relations amicales et fraternelles entre nos pays et nos peuples», a conclu l'ambassadeur.
10:00
L'Afrique compte plus de 40.000 cas d'infection
Selon le Centre africain de contrôle et de prévention des maladies, le continent recense plus de 1.600 décès et 40.000 infectés
09:30
L'Irlande l'a prolongé jusqu'au 18 mai et les écoles ne rouvriront pas avant septembre
09:24
RépondreSupprimerLa pratique sportive en club pourra reprendre en France à partir du 11 mai
«Les enfants vont avoir besoin de pouvoir ressortir, de pouvoir bouger, évidemment dans le respect des règles de distanciation», a annoncé samedi la ministre des Sports Roxana Maracineanu sur France Info.
«La pratique en club à partir du 11 mai pourra se faire avec dix personnes, en accueillant dix adhérents, en outdoor, en extérieur pour le moment», a-t-elle précisé.
09:08
Le prix de la cocaïne produite illégalement au Pérou s'est effondré de 58% en raison de la crise sanitaire, ont indiqué vendredi les autorités
08:54
L’Inde prolonge le confinement de deux semaines
Le gouvernement indien a annoncé vendredi la prolongation pour deux semaines du confinement national qui devait prendre fin le 4 mai, tout en assurant qu'il autoriserait «des allègements importants» dans les zones jugées les moins risquées.
Les déplacements en avion, en train ou en métro et les trajets routiers entre différents États du pays resteront interdits dans l'ensemble du pays, a précisé le ministère des Affaires intérieures dans un communiqué. Les établissement scolaires, les hôtels, les restaurants, les centres commerciaux, les cinémas et les lieux de culte demeureront fermés.
Les échanges de marchandises entre États et la fabrication et la distribution de produits essentiels seront autorisés, a précisé le ministère.
08:33
La compagnie irlandaise Ryanair va supprimer 3.000 emplois pour «survivre»
08:28
Le rapatriement des Européens presque achevé
Le rapatriement des Européens qui se trouvaient hors de l'UE au moment de la fermeture des frontières est presque achevé, affirme samedi le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell.
«Lorsque l'urgence sanitaire mondiale a atteint son point culminant, de nombreux Européens se sont retrouvés bloqués à l'étranger et n'ont pas pu rentrer en Europe. Cela a touché environ 600.000 de nos citoyens», rappelle dans le quotidien allemand Die Welt le Haut-représentant de l'Union européenne pour les affaires étrangères.
«Au 1er mai, nous avions rendu plus de 550.000 Européens à leurs familles - ce qui signifie que 90% d'entre eux ont été ramenés de l'étranger», ajoute l'Espagnol, saluant une «coopération consulaire unique entre l'Union européenne et ses États membres».
«Nous continuerons à travailler pour aider les 10% d'Européens qui restent à prendre des vols de retour», promet-il.
Pour M.Borrell, cette opération de rapatriement à grande échelle montre que «l'UE est capable de réagir rapidement et efficacement à des situations imprévues et de soutenir ses citoyens».
08:18
L'Équateur admet des «problèmes» avec les cadavres
Le Président de l'Équateur a reconnu vendredi que son gouvernement avait affronté des «problèmes» dans la gestion des corps des nombreuses victimes du coronavirus, en raison de l'effondrement du système hospitalier et du manque de place dans les morgues.
«Nous devons reconnaître que dans la phase initiale, nous avons eu des problèmes dans la gestion des morts parce que nous avons pris la décision de donner une sépulture digne à chaque Équatorien, non comme dans d'autres pays qui ont ouvert des fosses communes», a déclaré M. Moreno à une chaîne de télévision et de radio.
RépondreSupprimerEn mars, lorsque le président équatorien a déclaré l'état d'urgence sanitaire, la ville de Guayaquil (sud-ouest), devenue l'épicentre de l'épidémie, a été débordée par le nombre de cadavres, certains étant laissés dans les maisons ou abandonnés en pleine rue.
Le chaos vécu par ce port sur la côte pacifique a conduit le gouvernement à créer une force conjointe entre l'armée et la police pour retirer ces centaines de corps abandonnés.
Les autorités ont également été réduites à installer des conteneurs pour stocker ces corps face au manque de capacité des morgues dans les hôpitaux.
Le pays, qui compte 17,5 millions d'habitants, a enregistré vendredi 26.336 cas de coronavirus, et plus de 1.000 morts depuis le début de l'épidémie. L'Éqauteur est, proportionnellement, l'un des pays les plus touchés en Amérique latine. La seule ville de Guyaquil compte quelque 8.100 cas de personnes contaminées.
https://fr.sputniknews.com/international/202005021043703406-point-sur-la-pandemie-loms-donne-lorigine-du-covid-19/
(...) Alors que le Président américain pointe du doigt un laboratoire chinois, (...)
SupprimerLe caranavirus est apparu en Novembre en Chine et en Octobre en Italie (Lombardie).
Il n'y a pas de sortie de COVID-19, seulement le confinement
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 05/01/2020 - 23:20
Créé par M.K.Bhadrakumar via le blog The Indian Punchline,
De ce point, la balle s'arrête avec le gouvernement Modi, alors que le pays chemine le long de l'autoroute Covid. La décision politique de puiser dans l'esprit résiduel du fédéralisme indien dans notre régime politique fortement polarisé a aidé jusqu'à présent, car le gouvernement central pouvait injecter dans ses décisions un aspect de consensus national. Alors que le gouvernement central a pris toutes les décisions importantes et la plupart des décisions mineures.
Cependant, les conditions physiques ou matérielles varient d'un État à l'autre tandis que, d'un autre côté, le moment est venu pour le gouvernement central de prendre une décision épineuse - quand et comment redémarrer l'économie qui a été fermée presque du jour au lendemain.
De toute évidence, une économie de la taille de l'Inde ne redémarrera pas simplement parce que le gouvernement en a décidé ainsi. Le refrain est que le redémarrage sera progressif. Mais le diable réside dans les détails. Dans quelles circonstances les entreprises seront-elles autorisées à rouvrir ? Il semble que certaines régions et entreprises / industries pourraient être mises sur une voie rapide. Le secteur des MPME, qui emploie 12 crore, a besoin d'une attention particulière.
Cependant, il sera difficile de définir un critère, car l'économie est un réseau complexe de chaînes d'approvisionnement et de pièces imbriquées avec une dynamique qui leur est propre. Dans une interview à la BBC Radio la semaine dernière, le propriétaire de Mahindra & Mahindra a déclaré qu'il ne voyait tout simplement aucune possibilité que son entreprise devienne opérationnelle avant mai 2021, car, entre autres choses, cela n'a aucun sens de fabriquer des voitures sans les nombreux fournisseurs et points de vente renaissent d'abord et, surtout, jusqu'à ce que la confiance des consommateurs revienne.
De toute évidence, les recommandations des épidémiologistes ou les décisions du gouvernement ne seront pas le dernier mot. Si un fabricant à Chennai dépend d'une pièce fabriquée à Ahmedabad, par exemple, où le virus se propage toujours, une décision du gouvernement de commencer la production devient vide de sens. Autrement dit, il faudra beaucoup plus de temps pour dégeler l'économie que pour la geler.
Ensuite, il y a la corrélation entre une réouverture progressive de l'économie et des critères de santé publique. Le mieux que l'on puisse dire au sujet du verrouillage est qu'il a probablement ralenti la propagation du virus. Mais nous poursuivons une chimère ici. L'authenticité des chiffres disponibles est sérieusement mise en doute. Personne n'est à blâmer parce que le suivi du coronavirus est difficile dans de telles conditions anormales de verrouillage.
Le New York Times d’aujourd’hui a rapporté que le nombre de morts de coronavirus aux États-Unis est en réalité bien plus élevé que celui annoncé. Le FT a également publié aujourd'hui un rapport étonnant selon lequel le nombre réel de morts en Grande-Bretagne pourrait être plausible dans la région de 41 000, par rapport aux données sur les décès dans les hôpitaux qui indiquent que 17 337 personnes sont décédées.
La vérité est qu'il n'y a pas de «stratégie de sortie» possible hors de l'isolement en l'absence d'un vaccin ou d'une thérapie éprouvée.
«Nous devrons apprendre à vivre avec le virus», a déclaré le Premier ministre français Édouard Philippe le 28 avril, tout en exposant son projet de commencer la réouverture du pays à l'Assemblée nationale à Paris, jusqu'à ce qu'un vaccin ou un traitement efficace soit disponible.
RépondreSupprimerCette dure réalité devrait laisser aux États indiens les mains libres pour élaborer leurs propres feuilles de route et décider soit de persister dans le verrouillage, soit de se retirer de différentes manières et à différentes vitesses. Ce qui ne peut être ignoré, c'est que tout cela se déroule sous la menace d'une deuxième vague ou flambée mondiale - un scénario de catastrophe.
Les épidémies arrivent par vagues. Dans la pandémie de grippe espagnole de 1918, la plus meurtrière de l'histoire, la première vague n'était rien en comparaison de la deuxième vague virulente, qui a laissé une trace horrible. Il s'agit sans aucun doute d'une situation de Catch-22 - qu'il s'agisse de supprimer le virus pour retarder une épidémie répétée ou de lever plus rapidement les restrictions pour limiter les retombées économiques. Le plus grand risque est que vous vous ouvriez trop vite, trop largement.
L'avertissement de l'Allemagne sur l'assouplissement du verrouillage transmet un message sombre. Une semaine seulement après le début de l'assouplissement en Allemagne avec la réouverture des magasins (avec toutes les précautions imaginables mises en place avec une efficacité et une minutie teutoniques caractéristiques), il semble que Berlin doive resserrer son verrouillage car le virus se propage trop rapidement.
Le taux de reproduction du virus - mesurant le nombre de personnes infectées par Covid-19 en moyenne - est passé à 1,0. (Toute valeur supérieure à 1,0 est considérée comme entraînant une augmentation exponentielle des infections.) La chancelière Angela Merkel a déclaré qu'une hausse à 1,2 (du soi-disant «nombre RE») pourrait signifier que les hôpitaux atteignent un point de crise en juillet: «Si nous atteignons 1,2 personne, donc tout le monde infecte 20% de plus, sur cinq personnes, une en infecte deux et les autres, puis nous atteindrons la limite de notre système de santé en juillet ».
Rappelez-vous, c'est l'un des pays les plus riches du monde - et une social-démocratie avec un système de santé bien développé. C'est un signe inquiétant. Certes, de nombreuses variables tourbillonnent dans l'éther et l'épidémiologie est une entreprise complexe.
L'essentiel, c'est qu'en l'absence de connaissances sur les vaccins ou les remèdes, le gouvernement devra décider du nombre de décès qui serait acceptable pour restaurer une économie brisée. Si le nombre «RE» augmente après un assouplissement des restrictions le 3 mai et que nous sommes obligés de faire marche arrière, les dégâts économiques seront amplifiés, laissant de côté le potentiel de démoraliser la détermination du public.
Les tests de masse de personnes asymptomatiques semblent être la mesure déterminante du succès de la lutte contre le virus à l'échelle mondiale, mais en Inde, nous manquons de l'infrastructure nécessaire. Le temps et les tests sont essentiels et plus une quarantaine peut être prolongée, mieux c'est, et plus il y a de tests disponibles, plus il serait facile de calibrer correctement une réouverture et de répondre à toute nouvelle épidémie. Sans aucun doute, attendre que des tests complets fournissent une meilleure carte de l'endroit où l'infection s'est propagée.
Devi Sridhar, président de la santé publique mondiale à l'Edinburgh Medical School et directeur du programme Global Health Governance, a récemment tweeté sur les trois options ouvertes. Sridhar a écrit:
«Il y a peu d'options à court terme.
RépondreSupprimer1: Lâchez le virus et des milliers de personnes meurent.
2: Cycles de verrouillage et de libération qui détruiront l'économie et la société.
3: Test agressif, trace, stratégie d'isolat soutenue par une distanciation physique douce. »
Cela dit, la double réalité horrible reste que la fin du verrouillage ne représentera en aucun cas un retour à la normalité et, également, une deuxième vague beaucoup plus destructrice est pratiquement une possibilité inévitable, malgré la réduction des infections l'éloignement social en tant que «nouvelle norme» dans notre vie quotidienne.
Dans ces circonstances, même si l'atténuation des attentes du public n'est peut-être pas la meilleure option en politique, le moral du public est mieux maintenu sur la base d'une communication transparente et réaliste. C'est un long parcours. Ne vous méprenez pas qu'en l'absence d'un vaccin sûr et efficace et / ou d'un médicament sûr et efficace pour éliminer l'infection au COVID-19 une fois qu'elle s'est produite, notre récit se réduit à une stratégie de confinement adaptée aux conditions indiennes, par excellence - qui, ne devient en aucun cas une stratégie de sortie.
https://www.zerohedge.com/health/there-no-exit-covid-19-only-containment
SupprimerEN L'ABSENCE DE MASQUES FFP2 C'EST TOUT LE MONDE QUI VA Y PASSER !
SEUL le masque FFP2 stoppent TOUS les virus !
C'est à croire que le caranavirus est largué par drones à hautes altitudes !
Une personne (ou plusieurs) vit en appartement. Donc: au bout de 24 h ou 48 h ELLE OUVRE la ou les fenêtres ou portes ! L'air extérieur entre. VOUS VIVEZ EN INTÉRIEUR COMME A L'EXTÉRIEUR !
Si vous sortez vous êtes susceptible de le ramener chez vous ! (Vous n'AVEZ PAS de combinaison étanche dévêtue avant d'entrer chez vous !).
RépondreSupprimerUne nouvelle étude sur les coronavirus affirme que l'épidémie durera plus de 2 ans, car les deux tiers de l'humanité sont infectés
par Tyler Durden
Ven, 05/01/2020 - 23:00
Cela fait un moment que nous n'avons pas vu une étude projetant une fin extrêmement dramatique pour l'épidémie de coronavirus.
Pourtant, alors que la bataille pour rouvrir immédiatement ou attendre quelques semaines devient presque universellement partisane, une étude non évaluée par les pairs du Midwest a prévu que le virus pourrait se propager pendant encore 2 ans et que l'épidémie a gagné et ne s'apaisera jusqu'à ce que plus de 60% de la population mondiale soit immunisée, rapporte Bloomberg.
Selon les recherches du Center for Infectious Disease Research and Policy de l'Université du Minnesota, la pandémie de coronavirus est susceptible de durer jusqu'à deux ans et ne sera maîtrisée que si environ les deux tiers de la population mondiale sont immunisés.
Le rapport a été rédigé par le directeur du CIDRAP Michael Osterholm et le directeur médical Kristen Moore, l'historien de la santé publique de l'Université Tulane John Barry et l'épidémiologiste de Harvard Marc Lipsitch, dont le nom est apparu dans d'autres recherches et commentaires importants sur les coronavirus.
De plus, étant donné que tant de personnes infectées par le virus sont asymptomatiques ou principalement asymptomatiques, les blocages et autres mesures agressives pourraient ne pas suffire à le supprimer complètement. Cette «invisibilité» est ce qui fait du SARS-CoV-2 un virus si difficile à contenir.
Cela pourrait aider à expliquer pourquoi l'approche de la Suède a été si populaire, tout en offrant peut-être le meilleur argument à ce jour pour expliquer pourquoi les États pourraient aussi rouvrir. Selon les chercheurs, le virus continuera probablement d'apparaître par vagues peut-être jusqu'à la fin de 2022, voire plus, alors que les sociétés pharmaceutiques se démènent pour développer un vaccin ou un remède.
En raison de sa capacité à se propager d'une personne à l'autre sans la présence de symptômes, le virus sera probablement beaucoup plus difficile à contrôler que la grippe. Le virus est également plus mortel que la grippe - et certaines souches mutées se sont révélées beaucoup plus virulentes.
Selon le rapport, les gens pourraient en fait être à leur plus infectieux avant même que les symptômes commencent à apparaître.
"Les messages de communication des risques émanant de responsables gouvernementaux devraient intégrer le concept selon lequel cette pandémie ne se terminera pas bientôt", ont-ils déclaré, "et que les gens doivent être préparés à d'éventuelles résurgences périodiques de la maladie au cours des deux prochaines années".
C'est la dernière chose que les traders d'actions voudront probablement entendre vendredi.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/new-coronavirus-study-claims-outbreak-will-last-longer-2-years-23rds-humanity-infected
Si l'expérience suédoise est concluante, les mesures de confinement n'auront servi à rien
RépondreSupprimerDaniel Hannan - The Telegraph
Sott.net
mar., 28 avr. 2020 22:09 UTC
L'article qui suit est une critique des mesures de confinement draconiennes, publiée dans un média mainstream (on n'entend pas beaucoup les médias alternatifs s'exprimer sur le sujet ces temps-ci). Le postulat de départ est que la « pandémie de COVID-19 est réelle - c'est-à-dire que l'auteur part du principe que les chiffres officiels sont exacts et que les gouvernements et la population doivent de toute évidence se prémunir contre ce virus.
Néanmoins, l'auteur fait remarquer que la Suède - le SEUL État chrétien dont le gouvernement n'a pas pris de mesures hitlériennes contre sa population - rapporte en essence le même taux de mortalité (très très bas) par COVID-19 que les autres pays, un « hic » qui laisse apparaître que les mesures de confinement n'ont AUCUN EFFET préventif ou réducteur sur la progression de cette prétendue « pandémie ».
Lorsque des commentateurs étrangers débattent des mesures très légères prises par la Suède contre le Covid-19, ils ont tendance à prendre un ton offensé. Ce qui est surprenant à première vue. On aurait pensé que chacun aurait à cœur la réussite de l'expérience menée par ce pays nordique. Après tout, si la Suède parvient à venir à bout de cette épidémie sans faire exploser son économie, il y a de l'espoir pour le reste du monde. Jusque-là, il y a de nombreux signes encourageants. La maladie semble essentiellement suivre la même trajectoire en Suède qu'ailleurs.
Même si nous devons attendre des données plus complètes, les modélisations réalisées par les autorités du pays laissent suggérer que le taux d'infection à Stockholm a atteint un pic le 8 avril. Si tel est le cas, nous devons réfléchir aux implications, à savoir qu'une fois mises en place des règles d'hygiène de base et de distanciation sociale, resserrer la vis ne change peut-être pas grand-chose. Ce qui serait une bonne nouvelle pour le reste d'entre nous. L'approche du « laisser-faire » ne rétablirait peut-être pas complètement nos économies, mais cela nous permettrait au moins de les sortir du coma artificiel dans lequel nous les avons plongées.
Dans les grandes lignes, la Suède suit l'approche adoptée par le Royaume-Uni la semaine précédant les mesures de confinement - l'approche que nos stratèges adoptaient autrefois, lorsqu'on savait garder la tête froide. Le 23 mars, dans un revirement brutal, les magasins britanniques fermaient et on priait les gens de rester chez eux.
Pourquoi ce revirement ? Était-ce à cause des médias qui, dans un accès d'hystérie, avaient exigé des mesures de confinement similaires à celles instaurées sur le continent ? Ou des réactions d'indignation après que des gens avaient visité des sites pittoresques le jour de la Fête des mères en Angleterre ? Ou de la modélisation réalisée par l'Imperial College, publiée quelques jours auparavant, qui prévoyait des centaines de milliers de morts en l'absence de quarantaine de masse ? Quelle que soit l'explication, le confinement est monté en puissance naturellement, chaque nouveau décès servant d'argument pour imposer des restrictions encore plus sévères.
Il est important de souligner que la Suède ne fait pas preuve d'insouciance. Les autorités ont recommandé à la population de privilégier le télétravail si possible, et d'éviter tout contact superflu. Les rencontres sportives et les réunions de plus de 50 personnes sont interdites. Les cafés peuvent servir les clients à table, mais pas au comptoir. De nombreux Suédois, en particulier les personnes âgées, se confinent d'elles-mêmes, par choix. Les dépenses personnelles, estimées à partir des règlements par cartes bancaires, ont chuté de 30% - bien qu'à titre de comparaison, elles aient chuté de 66% en Norvège et de 70% en Finlande.
RépondreSupprimer« J'étais sceptique au début », m'a dit une amie vivant dans la province du Blekinge, dans le sud. « Mais chaque jour, je suis toujours plus confiante. Nos autorités sanitaires ont apparemment pris la bonne décision. »
La plupart des Suédois sont du même avis. Selon l'institut de sondage Novus, 76% de la population soutient l'agence de santé publique suédoise.
« Politiquement parlant, c'est une mauvaise nouvelle », admet un député conservateur. « Le gouvernement socialiste a gagné 21 points dans les sondages. Mais je suis patriote, et je veux ce qu'il y a de mieux pour mon pays. Je critique les ministres parce qu'ils n'aident pas les petites entreprises. Mais je ne critique pas leur décision de se fier aux faits scientifiques, tandis que d'autres pays ont décidé de céder aux sirènes du populisme. »
Le consensus national suédois n'est pas reflété au niveau international. « Nous craignons que la Suède n'ait choisi le pire moment pour s'essayer au chauvinisme national », affirme le Washington Post sur un ton réprobateur.
- Commentaire : C'est gonflé, de la part du journal favori de la CIA. -
Donald Trump, justifiant sa propre politique de fermeture, a affirmé que la Suède « a fait un essai, a vu que la situation était vraiment alarmante, et a immédiatement décidé de verrouiller le pays. »
- Commentaire : MENSONGE. -
Aujourd'hui The Guardian se pince le nez lorsqu'il mentionne son ancien chouchou. En témoignent ses dernières Unes : « Des commentateurs s'interrogent sur l'approche suédoise tandis que le bilan des victimes du coronavirus se monte à 1 millier », et « Colère en Suède tandis que les seniors paient le prix de la stratégie adoptée contre le coronavirus. »
Il est vrai que la Suède compte plus de décès, en proportion, que ses voisins du Nord (mais moins que l'Espagne, la France et le Royaume-Uni). En partie parce que le virus s'est tragiquement frayé un chemin jusque dans les maisons de retraite. Mais il est important de garder à l'esprit que la stratégie suédoise a toujours envisagé la possibilité d'un taux de mortalité initial plus élevé.
Le Royaume-Uni, rappelez-vous, a verrouillé son économie afin d'« aplatir le sombrero » - c'est-à-dire d'étaler le nombre d'infections dans le temps pour éviter de paralyser le National Health Service. Cette politique semble avoir porté ses fruits : le pays dispose de plus de lits de réanimation qu'avant le début de la pandémie. Les autorités suédoises ont calculé que leurs hôpitaux n'avaient pas besoin de faire traîner les choses en longueur, et croient que ce choix s'est avéré probant. L'agence de santé publique suédoise a déclaré qu'un tiers des habitants de Stockholm auront été infectés à la date du 1er mai. Si avoir contracté la maladie confère une forme d'immunité, la Suède émergera de cette crise bien avant les pays qui font traîner les choses en longueur.
Ça reste une énorme supposition. Mais les politiques publiques devraient se reposer sur le principe de proportionnalité. Ce n'est pas à moi de prouver que le confinement est complètement inefficace. La charge de la preuve incombe à ceux qui proposent de supprimer nos libertés, pas à ceux qui défendent le statu quo pré-Covid.
RépondreSupprimerLorsque le verrouillage du Royaume-Uni a été annoncé, l'objectif était clair : faire gagner du temps au National Health Service. Ça a fonctionné : l'horreur qui a submergé plusieurs régions d'Italie nous a été épargnée. Le gouvernement estime que la mortalité a atteint un pic le 8 avril, laissant suggérer que le taux d'infection a atteint un pic autour du 18 mars - autrement dit, quand le Royaume-Uni suivait encore une politique similaire à celle de la Suède : distanciation sociale et lavage de mains.
Alors pourquoi ne pas revenir à cette politique ? Comment « aplanir la courbe » a-t-il pu se transformer en « éviter une deuxième vague » ? Il n'est pas difficile de voir que mettre fin à une quarantaine de masse entraînera une légère hausse - y compris des rhumes ordinaires et des accidents de la route. Bien sûr, notre objectif devrait être de faire en sorte que cette légère hausse ne submerge pas le système. Autrement dit, nous devons faire en sorte d'empêcher les gens de mourir par manque de soins médicaux, pas empêcher toutes les morts - ce qui, en l'absence d'un remède, est impossible.
L'un des biais humains les plus dangereux est la notion fallacieuse des « coûts irrécupérables », selon laquelle nous avons fait trop de sacrifices pour revenir en arrière. Cette notion peut mener à la catastrophe. À titre d'exemple, au cours de la Première Guerre mondiale, aucun objectif de guerre possible et imaginable n'aurait pu justifier ce qu'a souffert chaque nation belligérante ; mais une fois que la boucherie avait commencé, elle est devenue sa propre justification. Parvenir à un accord de paix aurait signifié que tous ces jeunes hommes étaient morts pour rien. Seule une victoire totale leur rendrait hommage.
Remarquez les expressions employées lors des points-presse quotidiens de 17h. Nous ne devons pas lâcher maintenant, nous répète-t-on, sinon tout ce que nous avons accompli jusque-ici aura été en vain. Comme l'a déclaré Matt Hancock jeudi dernier, nous avons « fait trop de chemin ensemble pour faire marche arrière maintenant. »
Quid si la sévérité des mesures de confinement avaient peu d'impact sur le taux global de mortalité ? En Europe, la France, l'Espagne et l'Italie - qui ont toutes imposé des restrictions sévères - ont davantage souffert que, par exemple, la Suède. Bien sûr, il y a peut-être d'autres explications : la démographie, le densité de population, les pratiques culturelles. Mais, une fois encore, c'est aux partisans d'une coercition étatique sans précédent de prouver leur thèse, et non à leurs opposants de l'infirmer.
Se pourrait-il, comme le soutient Isaac Ben-Israel, que la maladie suive la même trajectoire, quelle que soit la sévérité des mesures de confinement ? Selon ce scientifique israélien : « Il apparaît qu'un schéma similaire - augmentation rapide du taux d'infection, qui culmine à la sixième semaine puis décline à partir de la huitième semaine, est commune à tous les pays dans lesquels le virus est apparu, quelles que soient les mesures mises en œuvre. »
Peut-être a-t-il tort. Mais il ne suffit pas de répondre : « Prolongeons encore un peu les mesures de confinement, juste au cas où. » L'attitude par défaut devrait être de conserver nos libertés à moins que des données solides ne prouvent que les abandonner aura un impact significatif. En tous les cas, à 2,4 milliards de livres la journée, le temps est un luxe que nous ne possédons pas.
La rancœur dont la Suède est l'objet reflète le sentiment désagréable que nous sommes peut-être en train de nous condamner à des années de pauvreté injustifiée. La Suède fait figure de contrôle dans cette expérience. Si elle réussit, les fans du confinement ne pourront plus jamais prétendre que, sans leurs mesures, la situation aurait été bien pire. Pas étonnant que ça les rende nerveux.
RépondreSupprimerDaniel Hannan a été député européen de 1999 à 2020 (Brexit).
Traduction : SOTT
Article source paru le 25 avril 2020 dans The Telegraph
https://fr.sott.net/article/35490-Si-l-experience-suedoise-est-concluante-les-mesures-de-confinement-n-auront-servi-a-rien
Si les paysans (qui nourrissent le monde) attrapent le coranavirus NOUS SERONS TOUS MORTS ! (Ils nourrissent tout le service médical).
SupprimerPas de masque FFP2 = MORT !
Covid-19 - La catastrophe humanitaire provoquée par le Plan diabolique de « confinement » mondial voulu par Bill Gates, Rockfeller et autres psychopathes
RépondreSupprimerPeter Koenig - Global Research
Sott.net
jeu., 30 avr. 2020 13:26 UTC
D'abord, il y a la fourbe mystification, un gouvernement — presque — universel ment dans le monde entier au sujet d'un virus mortel que l'OMS a nommé Covid-19. La décision d'un confinement mondial — littéralement conçu pour provoquer un effondrement économique mondiale — avait déjà été prise lors de la conférence du Forum économique mondial de Davos, qui s'est tenu du 21 au 24 janvier 2020. Le 30 janvier, l'OMS déclarait le Covid-19 urgence de santé publique de portée internationale. À ce moment-là, seuls 150 cas de Covid-19 étaient recensés en dehors de la Chine. Déclarer une pandémie n'était en rien justifié. Le 11 mars, Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'OMS, a transformé l'urgence de santé publique de portée internationale en pandémie. Cette déclaration a donné le feu vert pour la mise en œuvre du « Plan ».
La pandémie était nécessaire pour servir de prétexte à l'arrêt de l'économie mondiale propre à provoquer son effondrement et le naufrage de la vie sociale qui lui est inhérente.
Il ne s'agit en aucun cas d'une coïncidence. Un certain nombre d'événements préparatoires se sont produits, tous orientés vers une monumentale catastrophe historique mondiale. Tout a commencé il y a au moins dix ans — probablement bien avant — avec le tristement célèbre rapport Rockefeller de 2010, qui décrit la première phase d'un plan monstrueux, appelé scénario « Lock Step » [Étape de confinement - NdT]. L'Event 201, qui s'est tenu à New York le 18 octobre 2019 figure parmi les derniers préparatifs de la « pandémie ».
L'événement était parrainé par le Centre de santé publique Johns Hopkins, la Fondation Bill et Melinda Gates et le Forum économique mondial, le club des riches et des puissants qui se réunit chaque année en janvier à Davos, en Suisse. Un certain nombre de groupes pharmaceutiques — notamment des groupes d'intérêt en faveur des vaccins — ainsi que les Centres de contrôle et de prévention des maladies des États-Unis et de la Chine y ont participé.
-- Commentaire : Lire aussi :
L'OMS, dirigée par le pantin de Bill Gates, s'empêtre dans ses mensonges
Bill Gates refuse de recommander une bonne nutrition (zinc, vitamine D, vitamine C) et se concentre entièrement sur les vaccins et le suivi de l'état par la police
Coronavirus - Mensonges et propagandes où les « remèdes » du Covid-19 seront pires que le mal
Bill Gates continue de pousser les « passeports d'immunité » et l'État de surveillance technologique pour lutter contre le COVID
Bill Gates et l'élite mondiale NE VACCINENT PAS leurs propres enfants... et pour cause --
L'un des objectifs de l'Event 201 était une simulation informatique d'une pandémie de virus à corona. Le virus simulé avait au départ été nommé SARS-2-nCoV, pour être ensuite renommé 2019-nCoV. Les résultats de la simulation ont été désastreux : en 18 mois, 65 millions de personnes en étaient mortes et la bourse avait chuté de plus de 30 %, entraînant un chômage et des faillites sans précédent. Il s'agit précisément du scénario dont nous vivons aujourd'hui le premier stade.
RépondreSupprimerLe scénario « Lock Step » prévoit un certain nombre d'événements ou d'éléments épouvantables et inquiétants du plan qui sera mis en œuvre par l'Agenda ID2020, une création de Bill Gates entièrement intégrée aux objectifs de développement durable des Nations unies, par le biais d'un autre agenda plus connu sous le nom d'Agenda 2030, dont la date cible d'achèvement est fixée à 2030, la même que celle de l'Agenda ID2020, lui-même caché à la plupart des membres des Nations unies.
-- Commentaire : Voir nos articles :
Lock Step /Covid-19 : la Fondation Rockefeller avait tout prévu en 2010 ( Vidéo )
Les dangereuses expérimentations de Bill Gates
Dépeuplement, ID2020 et preuve d'immunité numérique - La doctrine agressive de la Fondation Gates pour une vaccination massive, article qui décrit, notamment, le programme massif de vaccination contre le tétanos, parrainé par l'OMS et l'UNICEF mené au Kenya en 2014 et 2015. --
Pour démontrer à quel point cette imposture entièrement criminelle a été planifiée, nous présenterons seulement les éléments clés qui préfigurent ce que le monde vit actuellement, mais également ce qui suivra... si nous n'arrêtons pas cette folie. Certaines parties du scénario sont :
Un programme généralisé de vaccination, probablement par le biais de la vaccination obligatoire — le fantasme idéologique de Bill Gates étant de vacciner 7 milliards de personnes.
Une réduction massive de la population, un plan d'eugénisme — en partie par la vaccination et d'autres moyens, en référence au discours prononcé par Bill Gates lors de la conférence annuelle TED2010, Long Beach, Californie, 18 février 2010 : « si nous fournissons le meilleur travail possible concernant les nouveaux vaccins, les soins de santé et les programmes de santé en matière de reproduction, nous pourrions réduire ce chiffre de 10 ou 15 %. »
Bill Gates défend depuis des années la nécessité d'une réduction massive de la population — et en effet, depuis plus de 20 ans, les programmes de vaccination étendus de la Fondation Bill & Melinda Gates en Afrique, en Inde et dans d'autres parties du monde ont enregistré un record de stérilisations non consenties des femmes âgées de 14 et 49 ans.
Une identification électronique pour chaque personne sur la planète — sous la forme d'une nano-puce, éventuellement injectée en même temps que la vaccination obligatoire. Cette nano-puce pourrait être téléchargée à distance avec toutes les données personnelles.
De l'argent numérisé, la fin de la monnaie sonnante et trébuchante.
Déploiement universel de la 5G, suivi plus tard par la 6G.
Il résulte de ces quelques points clés un contrôle total de chaque individu sur la planète. Il est présenté au public sous le nom d'Internet des objets (TIT), ce qui signifie voitures à conduite automatique, équipement de cuisine robotisé, intelligence artificielle, au service d'une production et d'une livraison des marchandises pour tous les articles vendus. À quel point les humains seraient marginalisés et réduits en esclavage n'est bien sûr pas précisé dans le discours de présentation. Pour faire avancer ce plan directeur, des ondes électromagnétiques à haute fréquence sont nécessaires. Par conséquent, le déploiement de la 5G est indispensable, quel que soit l'impact sur la santé des êtres humains, de la faune et de la flore — et quelle que soit son influence sur les infections virales, comme peut-être l'actuel Covid-19.
L'OMS reste silencieuse, bien qu'elle admette qu'aucune étude officielle indépendante n'a été réalisée sur les dangers de la 5G — et des champs électromagnétiques en général. Cela signifie-t-il que l'OMS est dans ce baratin mortifère cooptée par les Grands et les Puissants ? Pour y répondre, contentons-nous de dire que, contrairement aux autres agences de l'ONU, l'OMS a été créée en 1948 par la Fondation Rockefeller — voir l'article dans The Lancet. Il convient également de noter qu'environ la moitié du budget de l'OMS provient de sources d'intérêt privées [et la Fondation Gates en premier lieu - NdT], principalement de l'industrie pharmaceutique, mais aussi d'autres sources, comme les géants des télécommunications.
RépondreSupprimerCeci étant posé, nous pouvons partir de ce fait précurseur pour comprendre comment les choses sont planifiées et peut nous aider à relier les points en vue de déterminer ce qui est à venir.
Cet aspect peut également nous aider à comprendre ce qui se passe actuellement, dans la première phase du scénario « Lock Step ». Il dépeint en couleurs vives la nature criminelle de l'opaque et sinistre État profond.
Peu importe le crash boursier — c'est un syndrome de spéculateur, un jeu de Risk™ pour les riches, car la bourse est une invention occidentale élaborée pour leur permettre de jouer avec le capital et ses plus-values au détriment des travailleurs, dont la vie dépend du travail de ce même capital. Lorsque le grand capital appelle à une fusion — ou à une faillite — ils sont les premiers à tomber.
Le confinement presque universelle et TOTALEMENT injustifiée engendre une hécatombe impitoyable : le blocage complet de toutes les entreprises, petites ou grandes — restauration, construction, tourisme, petites et grandes quincailleries, boulangeries, compagnies aériennes, transports — les chaînes d'approvisionnement interrompues — usines, transformation des aliments... et la liste continue, ad nauseam.
-- Commentaire : Selon les pays, voire les régions, les magasins et autres hyper-marchés ne sont pas tous affectés de la même façon : en France, tous les Carrefour sont restés ouverts depuis le début du confinement, par exemple ; et certaines boutiques fermées depuis presque deux mois, ouvrent à nouveau leurs portes. Le tout étant de savoir si les prochaines semaines ne les obligeront pas à fermer à nouveau, et peut-être, cette fois, de façon définitive...
Coronavirus - Mensonges et propagandes où les « remèdes » du Covid-19 seront pires que le mal --
Dans les pays de l'hémisphère Nord, jusqu'à 90 % des transactions commerciales proviennent des petites et moyennes entreprises. La quasi-totalité d'entre elles sont aujourd'hui fermées. Deux tiers ou plus d'entre elles pourraient bien ne plus jamais ouvrir. Les employés et les travailleurs sont licenciés ou réduits à un travail à temps partiel, c'est-à-dire à un salaire à temps partiel — mais ils doivent quand même subvenir aux besoins de leur famille. La pauvreté et le désespoir s'installent et se généralisent. Aucun avenir en vue. Les taux de suicide vont augmenter — voir la Grèce lors de la crise de 2008-2009, et jusqu'à dix ans plus tard — familles brisées, saisies, familles expulsées des appartements en location parce qu'elles ne peuvent plus payer leur loyer. La mendicité de rue devient la norme, sauf qu'il n'y a plus personne pour épargner le moindre centime.
RépondreSupprimerEn Europe, au moins un tiers, voire peut-être jusqu'à 50 % ou plus de la main-d'œuvre — selon le pays et la structure de la main-d'œuvre — devrait être au chômage ou réduit à un travail à temps partiel. Et ce n'est que le début. Aux États-Unis, les chiffres officiels du chômage dépassent à l'heure actuelle les 23 millions — et devraient, selon les prévisions de la FED, Goldman Sachs et Bloomberg — atteindre entre 32 et 40 % au cours du prochain trimestre. Les faillites pourraient devenir incontrôlables.
Le FMI prévoit pour 2020 une contraction de l'économie mondiale de seulement 3 % — et un faible taux de croissance dans la dernière partie de 2021. C'est tout à fait ridicule ! Sur quelle planète vivent donc ces gens ? Qui essaient-ils de tromper, et pourquoi ? Peut-être pour encourager les pays à emprunter d'énormes quantités de devises étrangères à ces institutions prédatrices que sont Bretton Woods, le FMI et la Banque mondiale ? Pour que ces pays se retrouvent endettés jusqu'au cou, en ayant d'abord pensé qu'ils s'en sortiraient pas trop mal sur la base des prédictions du FMI ? Pour accroître leur asservissement ? Tout ça par leur hypocrite perfidie ?
Et là, on parle du Nord de la planète — qui dispose d'une sorte de filet de sécurité sociale, aussi fragile soit-il — qui offre pour le moment l'espoir d'un répit. Une autre lueur d'espoir pourrait aussi se construire sur les prémisses que l'humanité continuera de créer — en travaillant ingénieusement, en inventant — en avançant d'une manière fluide vers de nouveaux horizons, en créant de nouvelles dynamiques, de nouveaux emplois... Oui, l'humanité en est capable — même si dans notre confort, nous avons oublié cette vertu pourtant essentielle à la survie — et en l'occurrence, la survie face à la crise du coronavirus.
Quant à lui, l'hémisphère Sud — où les pays dits « en développement » — présente une histoire plus sombre. Dans des circonstances normales, de un tiers à la moitié de l'économie est informelle, c'est-à-dire qu'elle n'est soumise à aucune norme d'organisation officielle ou juridique. Ce sont des travailleurs intérimaires, des journaliers, des ouvriers payés à l'heure — qui vivent au jour le jour, sans épargne, sans filet de sécurité — et, dans la plupart des cas, sans couverture médicale. Ils sont laissés aux caprices du « marché », au sens propre du terme. Or, le marché s'est effondré.
Il ne reste rien. Pas de travail, pas de revenu, pas d'argent pour payer la nourriture, le loyer, les médicaments — et le gouvernement leur ordonne, à eux, les plus démunis, de rester « chez eux » — « enfermés » en quarantaine — pour se protéger d'un virus, un virus que tout le monde subit mais que personne ne voit. Mais le gouvernement et les médias veillent à ce que vous soyez conscients — et PRÉOCCUPÉS — de ses dangers, et vous ne savez jamais si ce qu'ils disent est vrai ou faux.
Confinement à « domicile » ? — Où est la maison ? I n'y a plus de maison. Pas d'argent pour payer le loyer. Gardez une distance sociale — ne vous réunissez pas. Restez à l'écart. L'infection pourrait se propager. La peur est essentielle.
-- Commentaire : La peur engendrée par le battage médiatique sur le Covid-19 pourrait précipiter la mort de personnes vulnérables --
RépondreSupprimerVoir l'inhibition transmarginale :
« L'inhibition transmarginale décrit la réaction d'un organisme soumis à d'intenses stimuli. Ivan Pavlov a découvert que les organismes avaient différents niveau de tolérance. Il explique : « La différence héréditaire fondamentale entre les gens réside dans la vitesse à laquelle ils atteignent le point de rupture, et ceux qui s'effondrent rapidement possèdent un type de système nerveux fondamentalement différent. Ironiquement, l'acronyme populaire TMI signifie Too Much Information (trop d'informations), ce qui peut être un facteur commun de l'inhibition transmarginale dans la culture contemporaine. À l'époque, j'ai pris conscience de ce qui se passait ; les techniques découvertes/développées par Pavlov pour amener les chiens au point de rupture en provoquant chez eux un état de stress sont aujourd'hui utilisées sur la population humaine à l'échelle mondiale. »
Prenez une ville comme Lima, au Pérou. La population totale du Pérou est d'environ 30 millions d'habitants. Lima, environ onze millions d'habitants — dont 3 à 4 millions vivent en marge ou survivent, dans des bidonvilles, ou pire. Travailleurs journaliers ou horaires. Ils vivent parfois à plusieurs heures de leur lieu de travail. Aujourd'hui, il n'y a plus de lieu de travail. Ils n'ont pas d'argent pour payer la nourriture, le transport ou le loyer — les propriétaires les mettent à la rue, les expulsent de leurs propriétés. Comment peuvent-ils rester confinés ? Comment peuvent-ils prendre soin d'eux-mêmes en étant mis en quarantaine — enfermés, sans abri, sans nourriture — cherchant désespérément à gagner juste assez d'argent pour survivre un jour de plus — et peut-être pour partager avec leur famille ? Ils ne le peuvent pas.
La protection grâce au confinement (sic-sic) est réservée aux riches. Les pauvres, eux, meurent de faim avec leurs enfants et leurs familles — et très probablement du Covid-19. Ils vivent dans des conditions de pauvreté et de misère, où il n'y a rien à économiser. Personne n'a rien. Même pas dans le cadre d'une solidarité. Il n'y a tout simplement rien. Une privation totale, causée par un arrêt économique total — imposé au monde et surtout aux pauvres par des hommes mauvais — et peut-être aussi par des femmes non moins mauvaises.
Ces 3 à 4 ou 5 millions de personnes ont toutes quitté les provinces rurales pour lesquelles le gouvernement ne fait rien, ou pas assez pour qu'elles puissent y rester. En quête d'une vie meilleure, elles abandonnent leurs « çhacras » (petites parcelles de terre) et partent pour la grande ville — au paradis — où, pour vivre, elles sont relégués dans plus de misère encore que dans leurs maigres installations provinciales. Elles endurent — toujours avec espoir. Aujourd'hui, la « crise du coronavirus » provoquée par l'homme a encore aggravé leur situation et la vie est pour elles bien pire qu'avant. Il n'y a pas ou très peu de subventions gouvernementales — ou alors elles arrivent trop tard ou se perdent dans la corruption.
Ils se réunissent par solidarité. Ils doivent retourner dans leur province d'origine, dans leurs çhacras, dans leur famille — où ils trouveront un abri et de la nourriture, où ils pourront à nouveau se sentir « chez eux » et aimés ou du moins accueillis.
Un gouvernement dictatorial de style militaire les empêche de partir — pour des raisons de sécurité, bien sûr — ils peuvent infecter d'autres personnes — et la macabre mascarade se poursuit. Et personne ne pipe mot. Personne n'ose, de peur d'être emprisonné. La brutalité policière — matraques, gaz lacrymogènes — la répression — retour à la case sans abri, sans nourriture. Jusqu'à ce que le gouvernement central tout-puissant décide d'« organiser » les rapatriements — par bus, mais les places manquent et l'organisation fait défaut — le chaos s'installe — et le destin s'acharne — et comment cela peut-il être pire que ça ne l'est déjà ? La famine frappera, les rendra de plus en plus faibles, plus sujets aux maladies et à la mort — non pas à cause du Covid-19 en tant que tel, mais bien de la famine, causée par la « crise du coronavirus ». Mais sur ordre des maîtres, ces décès seront toutefois systématiquement attribués à la pandémie de coronavirus, car c'est ainsi que sont établies les statistiques, elles le DOIVENT. Naturellement. C'est ce qui se fait ailleurs, dans l'hémisphère nord. Pourquoi pas dans l'hémisphère sud ?
RépondreSupprimerLima n'est qu'un exemple parmi d'autres, mais représente probablement ce qui se produit dans la majeure partie de l'Amérique latine, à l'exception du Venezuela, du Nicaragua et de Cuba où, au milieu de la misère, un sentiment de solidarité unit encore les populations — où les gouvernements sont aux côtés du peuple, dans des pays qui souffrent toutefois plus gravement que les autres en raison des sanctions occidentales — ils sont littéralement assassinés par les sanctions occidentales — en premier lieu les États-Unis d'Amérique. Une nation génocidaire.
-- Commentaire : Coronavirus - Une pandémie virale ou une scène de crime ? --
Le New York Times en date du 22 avril 2020 rapporte : « C'est la faim qui nous tuera, pas le coronavirus ». Une crise alimentaire mondiale est imminente. Selon les experts, le monde n'a jamais été confronté à une telle menace de famine qui pourrait doubler le nombre de personnes gravement sous-alimentées pour atteindre 265 millions d'ici la fin de l'année.
Le New York Times décrit aussi la situation ailleurs dans le monde :
« À Kibera, le plus grand bidonville de Nairobi au Kenya, les habitants vivent déjà dans une extrême pauvreté. Des populations désespérés de ne pouvoir se nourrir ont déclenché une ruée lors d'une récente distribution de farine et d'huile de cuisson, faisant deux morts et de nombreux blessés. »
«En Inde, des milliers de travailleurs font la queue deux fois par jour pour obtenir du pain et des légumes frits pour ne pas mourir de faim. »
« Et un peu partout en Colombie, des foyers pauvres accrochent des vêtements rouges et des drapeaux à leurs fenêtres et à leurs balcons pour signaler qu'ils ont faim. »
Cela rappelle la fameuse citation de Kissinger des années 1970 sur la famine, « qui contrôle l'approvisionnement alimentaire contrôle les populations » — et la citation poursuit par : « Qui contrôle l'énergie peut contrôler des continents entiers ; qui contrôle l'argent peut contrôler le monde. »
« Contrôlez le pétrole et vous contrôlez les nations ; contrôlez la nourriture et vous contrôlez les populations. »
Kissinger, comme les Gates, les Rockefeller sont soit-disant « bien intentionnés » n'ont jamais caché leur désir de réduire la population mondiale sous une forme qui rappelle l'eugénisme, en « éradiquant la pauvreté », par exemple par la vaccination — en commençant par l'Afrique.
-- Commentaire : Deux éminents médecins français veulent tester un vaccin contre le Covid-19 sur les Africains --
Bill Gates a récemment suggéré d'essayer son nouveau vaccin contre le coronavirus en Afrique — proposition contre laquelle même son copain Tedros de l'OMS a protesté.
La pandémie de coronavirus a provoqué la pauvreté et la famine pour des millions de personnes dans le monde. Et on en voit pas le bout.
RépondreSupprimerAu contraire, on a vraiment l'impression que presque tous les gouvernements sont cooptés ou contraints de manière tacite à adhérer aux « lignes directrices ».
C'est à la fois diabolique et incompréhensible. Pourquoi ? Parce que les « élites mondiales » pensent a priori vraiment qu'elles contribuent à l'avenir et au bien-être de l'humanité. Pourtant, leurs actions ont entraîné une misère abjecte, du chômage et du désespoir.
Sans de telles mesures coercitives, il serait difficile d'expliquer pourquoi presque tous les gouvernements de la planète se soumettent à cet horrible programme social et économique et mentent, encore et encore à leur population de façon abjecte. Ces populations même qu'ils sont censés protéger contre le chômage, la famine et le désespoir.
Dans les circonstances « normales » propres à l'inégalité prédatrice « habituelle » de notre planète, quelque 9 millions de personnes meurent chaque année de la faim et de maladies liées à la famine. Ce chiffre pourrait augmenter de façon exponentielle. Peut-être des dizaines de millions, voire plus.
La famine et les décès dus à la famine pourraient être encore plus prononcés par des pénuries alimentaires provoquées de manière artificielle, ou par des sécheresses ou des inondations — résultant d'un changement climatique soi-disant à dessein provoqué par l'homme — non pas par l'augmentation de la température due au CO2 grotesquement mis en avant, mais causé par le système avancé HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program) de l'US Air Force.
-- Commentaire : Il y a toutefois lieu de penser que les changements climatiques sont « naturels » et que HAARP est plutôt un système de contrôle des populations qui manipule à distance les émotions d'autrui. Voir aussi « Chemtrails, désinformation et sixième extinction » et « Podcast 63 : Haarp, contrôle mental et catastrophe à venir ». --
Cependant, HAARP a très bien pu développer — en parallèle — des systèmes d'action à distance propres à modifier l'environnement météorologique à certains endroits, encore que, sous forme de COINTELPRO, cet aspect pourrait permettre de couvrir le précédent, bien plus insidieux, obscur et diabolique, parce qu'invisible... Voir aussi : « Les Temps manquants : les médias, les Ovnis, Cointelpro et les comètes ».
« Pendant la guerre du Vietnam, des techniques d'ensemencement des nuages ont été utilisées à partir de 1967 dans le cadre du projet Popeye, dont l'objectif était de prolonger la saison des moussons et de bloquer les voies d'approvisionnement ennemies le long de la piste Ho Chi Minh. »
Aujourd'hui, le système HAARP a été perfectionné et transformé en arme. Selon le document de l'US Air Force AF 2025 Final Report, la modification de la météorologie à usage militaire,
« offre au combattant un large éventail d'options possibles pour vaincre ou contraindre un adversaire [...] La modification de la météorologie fera partie de la sécurité nationale et internationale et pourrait être conduite de façon unilatérale [...] Elle pourrait avoir des applications offensives et défensives et même être utilisée à des fins de dissuasion. La capacité de générer des précipitations, du brouillard et des tempêtes sur Terre ou de modifier la météo spatiale [...] et la production de météo artificielle font toutes partie d'un ensemble intégré de technologies [militaires]. »
Dans le cadre du programme de vaccination imposée proposé par la Fondation Gates, ceux qui refusent la vaccination pourraient, par exemple, ne pas pouvoir voyager.
RépondreSupprimerLa misère abjecte délibérément imposée à l'humanité devient de plus en plus apparente. Au-delà de l'anéantissement des biens personnels des populations et des entreprises, c'est la misère et la famine...
Il n'existe aujourd'hui aucun tribunal de type Nuremberg, qui soit honnête, éthique et suffisamment puissant pour tenir les élites mondiales responsables de leurs actes et les traduire en justice.
Nous, le peuple, devons prendre les rênes de ce changement de paradigme en cours.
Nous, le peuple, devons sortir de cet atroce confinement.
Pas de confrontation, mais de la sagesse et de l'astuce. Laisser les forces féroces de l'ennemi renforcer notre faiblesse — et nous surpasser.
Un bon général n'aime pas l'agression.
Un bon guerrier ne connaît pas la haine.
Si vous voulez conquérir votre ennemi, ne l'affrontez pas.
Placez-vous en-dessous de lui.
C'est ce qu'on appelle le pouvoir de ne pas se battre.
Il s'agit d'utiliser la capacité des hommes.
Depuis les temps anciens, on l'appelle ainsi pour être en harmonie avec le ciel,
Et c'est la plus grande puissance qui existe.
~ Tao 68
À propos de l'auteur
Peter Koenig est économiste et analyste géopolitique. Il est également spécialiste des ressources en eau et de l'environnement. Il a travaillé pendant plus de 30 ans à la Banque mondiale et à l'Organisation mondiale de la santé dans le monde entier dans les domaines de l'environnement et de l'eau. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour Global Research, ICH, RT, Sputnik, PressTV, The 21st Century, Greanville Post, Defend Democracy Press, TeleSUR, The Saker Blog, le New Eastern Outlook (NEO) et d'autres sites Internet. Il est l'auteur de Implosion - An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed [« Implosion - Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l'environnement et la cupidité des entreprises - NdT] — une fiction basée sur des faits et sur 30 ans d'expérience de la Banque mondiale dans le monde entier. Il est également co-auteur de The World Order and Revolution ! - Essays from the Resistance [« L'ordre du monde et la Révolution - Essais sur la Résistance » - NdT]. Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.
Source de l'article initialement publié en anglais le 27 avril 2020 : Global Research
Traduction : Sott.net
https://fr.sott.net/article/35489-Covid-19-La-catastrophe-humanitaire-provoquee-par-le-Plan-diabolique-de-confinement-mondial-voulu-par-Bill-Gates-Rockfeller-et-autres-psychopathes
(...) Le New York Times en date du 22 avril 2020 rapporte : « C'est la faim qui nous tuera, pas le coronavirus ». Une crise alimentaire mondiale est imminente. (...)
SupprimerSEULS les paysans (sous serres fermées, qui y dorment et y travaillent aux côtés de leurs animaux et tracteurs) seront les survivants ?
RépondreSupprimerLa grippe « coronavirale » : du pain béni pour les écolos !
le 2 mai 2020
Cette grippe à coronavirale, pour l’instant, est loin d’atteindre les records de mortalité enregistrés lors des grippe asiatique et de Hong-Kong puisque les statistiques mondiales indiquent un nombre global de morts dix fois inférieur à celui de la grippe asiatique et 5 fois inférieur à celui de la grippe de Hong-Kong, les deux dernières pandémies grippales des 60 dernières années que la mémoire humaine semble avoir totalement occulté. On insiste sur toutes les chaines de télévision en Europe et naturellement aux Etats-Unis en rappelant que ce virus vient de tuer plus d’Américains que la guerre du Viet-Nam mais ces journalistes à la solde de la CIA oublient de mentionner que la grippe de Hong-Kong tua 100 000 Américains de 1968 à 1970, alors cette désinformations soigneusement organisée prouve que le monde politique a fait jouer la peur pour soigneusement détruire les économies avec ces mesures de confinement, mais dans quel but ? Cette une question à laquelle je ne trouve toujours pas de réponse claire.
Le confinement aveugle, autoritaire, adopté par de nombreux pays occidentaux, bafouant les libertés fondamentales et sans effet sur l’évolution de l’épidémie qui aurait, confinement ou non, suivi son cours normal, ce confinement a eu pour effet de stopper totalement l’économie, un événement qui n’avait même pas eu lieu au plus fort de la seconde guerre mondiale ni jamais auparavant dans l’histoire humaine. La Chine a à peine confiné 5 % de sa population et dans son ensemble son économie n’a chuté que de quelques points de pourcentage mais les principaux pays européens ayant adopté la stratégie du confinement de la presque totalité de leur population, Italie, Espagne, France, Belgique et Grande-Bretagne, vont avoir la désagréable surprise de constater que leurs économies vont chuter d’au moins 30 % quoiqu’en pensent les politiciens, du jamais vu depuis la révolution industrielle, même en 1929-1930, et il en sera de même pour les USA.
Les seuls à se réjouir dès à présent et à voix haute qui plus est – ils osent tout et c’est à ça qu’on les reconnait – sont les écologistes. En effet l’Agence Internationale de l’Énergie prévoit une chute spectaculaire des émissions de gaz carbonique dans l’atmosphère prévue pour être 7 fois plus profonde que la baisse des émissions observée correspondant à la crise de 2008-2009. Or les émissions de gaz carbonique sont une bonne mesure de la consommation d’énergies fossiles, donc une bonne mesure de l’activité économique puisque cette activité économique, pour perdurer, consomme de l’énergie fossile, les usines électriques nucléaires ne produisant pas de gaz carbonique. Cette seule estimation permet donc d’évaluer que la récession à venir sera 7 fois plus violente que celle qui suivit la crise des sub-primes et affecta le monde entier, telle une pandémie. Donc la grippe « coronavirale » avec sa gestion grotesque par de nombreux pays occidentaux est arrivée à point nommé pour ne satisfaire que les écologistes qui ressassent depuis des dizaines d’années que le gaz carbonique et donc l’activité humaine sont mauvais pour le climat alors que rien n’a encore été scientifiquement prouvé.
Source et illustration : dernier rapport de l’IEA paru le 30 Avril 2020, toutes les données numériques relatives aux précédentes pandémies sont disponibles sur Wikipedia.
https://www.iea.org/reports/global-energy-review-2020
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/05/02/la-grippe-coronavirale-du-pain-beni-pour-les-ecolos/
(...) la grippe de Hong-Kong tua 100 000 Américains de 1968 à 1970, (...)
SupprimerAujourd'hui, c'est 60 000 morts du coranavirus aux Etats-Unis
Rappelons que le gaz carbonique (comme l'oxygène que l'on respire) est fourni par le magma. Comme nous, les plante respirent. La végétation aspire comme nous TOUS les gaz des environs. Seule différence, la végétation ne conserve que le gaz carbonique pour sa croissance (contrairement à l'être humain et animal qui ne conservent que l'oxygène).
Si le magma ne fournissait pas l'oxygène il n'y aurait AUCUN poissons en mers.
L'état d'urgence sanitaire prolongé jusqu'au 24 juillet, annonce Véran
RépondreSupprimer16:04 02.05.2020
Le ministre de la Santé a annoncé l'approbation par le gouvernement français du projet de loi prévoyant de proroger l'état d'urgence sanitaire jusqu'à fin juillet.
Le gouvernement a décidé samedi 2 mai, au cours d'un Conseil des ministres, la prolongation pour deux mois, jusqu'au 24 juillet, de l'état d'urgence sanitaire en France pour lutter contre la pandémie de coronavirus, a déclaré le ministre de la Santé Olivier Véran.
Entré en vigueur le 24 mars, l'état d'urgence sanitaire est prorogé car sa levée le 23 mai «serait prématurée», «les risques de reprise épidémique» étant «avérés en cas d'interruption soudaine des mesures en cours», indique le projet de loi qui va être examiné à partir de lundi par le Parlement.
«Apprendre à vivre avec le virus»
Le texte, qui comporte sept articles, vise à «conforter le cadre juridique» et l'«élargir» pour «y intégrer les enjeux du déconfinement», qui doit débuter le 11 mai, a précisé M.Véran, cité par l'AFP.
«Nous allons devoir vivre pour un temps avec le virus», a-t-il souligné. «Apprendre à vivre avec le virus, voilà l'enjeu des prochains mois», a renchéri le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, à l'issue du Conseil des ministres qui s'est tenu durant plus de deux heures à l’Élysée.
Le texte précise notamment les conditions de quarantaine des personnes arrivant en France et atteintes du virus. Il porte aussi sur la mise en œuvre d'un «système d'information» concernant les personnes malades et leur entourage pour une durée maximale d'un an.
Le projet de loi devrait être discuté par les sénateurs à partir de lundi après-midi, puis par les députés, probablement à partir du lendemain, a précisé la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye.
https://fr.sputniknews.com/france/202005021043704519-letat-durgence-sanitaire-prolonge-jusquau-24-juillet-annonce-veran/
«Pire» qu'avant, on «ne se réfugie nulle part»: les femmes plus souvent agressées lors du confinement
RépondreSupprimer14:35 02.05.2020
Elles confient n'avoir «jamais eu peur en Île-de-France» avant. Dans les rues désertes, une flambée d'agressions sexuelles est constatée, les témoignages de femmes victimes de harcèlement et des agressions sexuelles se multipliant.
Rues désertes, transports peu fréquentés: en cette période de confinement, de nombreuses femmes témoignent de harcèlement et d'agressions sexuelles dans l'espace public, où elles ont désormais «autant peur le jour que la nuit».
Dans la rue
Fatima Benomar s'est fait suivre «par une bande de jeunes», rue de Rivoli, à Paris. «Ils se sont collés à moi car je ne répondais pas à leurs avances, m'ont insultée, menacée et m'ont suivie en criant "de toute façon, ça se voit que t'es une salope"», raconte-t-elle à l'AFP.
Cette militante féministe de 36 ans confie «avoir vraiment eu peur»: «Je ne pouvais me réfugier nulle part, tous les magasins étaient fermés et je pouvais demander de l'aide à personne». Depuis, pour se rendre au travail, elle emprunte les petits rues adjacentes.
Dans le métro
Laurène Martin, 28 ans, «n'avait jamais eu peur en Île-de-France». Depuis le 17 mars, les trajets quotidiens banlieue-Paris de cette infirmière sont devenus un calvaire.
«Le deuxième jour du confinement, des mecs m'ont sauté dessus dans le métro pour me piquer mon téléphone. J'ai crié, ils sont partis et le seul autre passager de la rame, un homme, est venu se coller à moi et m'a demandé si j'avais un mari...», relate-t-elle.
Après avoir accumulé les expériences désagréables, elle s'est mise au vélo. «C'est mieux, même si tous les hommes me regardent comme s'il n'avaient jamais vu une femme», s'étonne-t-elle.
A ses yeux, c'«est clairement pire» qu'avant: «il y a moins de personnes à agresser, moins de témoins, et les groupes d'hommes qui restent dehors sont ceux qui ne respectent absolument pas le confinement».
«La journée devient la nuit»
«Nous sommes enfermés chez nous, donc normalement les sorties à l'extérieur, pour voir le soleil, sont des bouffées d'air. Or, elles se transforment en des moments d'angoisse et les femmes se reconfinent rapidement par peur», constate Géraldine Franck, 37 ans, militante féministe, qui a vu pulluler les témoignages sur les réseaux sociaux. «La journée devient la nuit, il n'y a plus de différence pour les femmes».
En Seine-Saint-Denis, la semaine dernière, deux femmes ont été violées en l'espace de 24 heures sur la voie publique, l'une dans un parc à Aulnay-sous-Bois, l'autre dans une rue de Montreuil.
Confinement, un «précipité» du quotidien
Pour l'anthropologue Chris Blache, la période de confinement offre «un précipité de ce qu'on connaît d'habitude» en matière de domination des hommes dans l'espace public.
«Quand on vide l'espace public, des principes mécaniques reviennent: les propriétaires de ces espaces expérimentent leur droit à la propriété», ajoute la cofondatrice du laboratoire Genre et ville, évoquant une «impunité/immunité» face au coronavirus chez des hommes pour lesquels «il est plus facile de jouer au chat et à la souris» dans ces espaces désertés.
Sourires insistants
RépondreSupprimerChaque jour, depuis mi-mars, Daniella Corallo-Martin subit dans le métro regards et sourires insistants, devant répondre régulièrement par «des doigts d'honneur». «J'ai forcément une interaction avec un mec pendant mon trajet», regrette-t-elle.
Évoquant elle aussi «une peur» qu'elle ressent «normalement la nuit», elle a adopté des réflexes: «Je fais attention aux gens qui me suivent, sur le quai du métro je me mets toujours à côté de quelqu'un, je monte jamais dans une rame quasi-vide et je ne mets pas de musique dans mes écouteurs.»
«C'est un décor très particulier, des zonards, des fous, des personnes qui sont normalement noyés dans le flot», affirme-t-elle.
La secrétaire d’État à l'égalité femmes-hommes Marlène Schiappa, qui a jugé utile de rappeler que le harcèlement de rue restait «évidemment interdit pendant le confinement», a dit jeudi craindre «une vague de violences sexuelles au déconfinement», pointant du doigt «le sentiment d'impunité des agresseurs conjugué au phénomène de décompensation».
https://fr.sputniknews.com/france/202005021043704583-pire-quavant-on-ne-se-refugie-nulle-part-les-femmes-plus-souvent-agressees-lors-du-confinement/
Les défenseurs de la confidentialité des données alarmés par la nouvelle application de «recherche de contacts» du NHS
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 05/02/2020 - 07:35
Alors que les deux pays se préparent à commencer à lever les interdictions strictes à l'échelle nationale imposées il y a plus de 6 semaines, le Royaume-Uni et la France collaborent à une nouvelle application de surveillance "volontaire'' censée être conçue pour aider à la "recherche des contacts'' des patients atteints de coronavirus.
Le Evening Standard rapporte que les ministres des deux pays ont "assuré la liaison" sur le développement de la nouvelle technologie, qui devrait être prête dans deux ou trois semaines.
Mais pourquoi les deux alliés collaborent-ils pour construire leur propre application de «surveillance» au lieu d'adopter un modèle proposé par Apple ou Google ? Eh bien, apparemment, les responsables britanniques ont estimé que le traitement par Apple de la confidentialité des utilisateurs était "trop prudent".
L'application utilisera le bluetooth pour collecter les données des téléphones de tous ceux que l'on passe; si l'un d'entre eux est positif, un utilisateur en sera informé.
Un consultant du gouvernement français a déclaré: "Apple semble être beaucoup plus prudent quant à la protection des données clients et de la vie privée que les autorités françaises ou britanniques".
L'application pour smartphone suivra et retracera toutes les personnes éventuellement affectées à proximité de l'utilisateur. Certains craignent que son utilisation de Bluetooth puisse divulguer des informations confidentielles sur les emplacements des personnes.
Pour être sûr, Matthew Gould, chef de l'unité au NHS qui est en charge du développement de l'application, a déclaré que la fonctionnalité de suivi de localisation - à peu près la seule raison d'utiliser l'application - serait "opt-in".
Matthew Gould, chef de l'unité du NHS développant l'application, a déclaré que l'aspect emplacement du système serait «une option» et non obligatoire.
"Si vous voulez protéger le NHS et éviter qu'il ne soit submergé tout en voulant faire bouger l'économie, l'application va faire partie de la stratégie essentielle", a-t-il déclaré au comité scientifique et technologique de Commons.
Mais Bruno Macaes, diplomate et expert en politique des cyber-opérations, pense que les applications traceuses britanniques et françaises sont peut-être sous-alimentées.
Il pense qu'ils auront besoin d'au moins 60% de participation de la population, induite soit par des paiements en espèces, soit par la baisse des frais de téléphone, soit en rendant la loi obligatoire.
Ce qui soulève des questions quant à son efficacité, car les responsables de la santé craignent que moins de la moitié des Britanniques téléchargent volontiers la loi compte tenu des risques potentiels pour la vie privée.
Nous ne pouvons pas nous empêcher de nous demander: pourquoi HMG consacre-t-il tant de temps et d'argent à développer une application que de nombreux membres du public pourraient être mal à l'aise avec l'utilisation ?
Juste quelque chose à penser.
https://www.zerohedge.com/markets/data-privacy-advocates-alarmed-nhss-new-contact-tracing-app
Pourquoi les agriculteurs jettent-ils du lait ? COVID-19 crée des problèmes insondables de gaspillage alimentaire
RépondreSupprimerPar Michelle Miller, Farm Babehttp: //www.thefarmbabe.com Publié: 21 avril 2020
Pourquoi les agriculteurs déversent-ils du lait ? À l'heure actuelle, vous avez probablement vu les gros titres alors que les agriculteurs du pays - et du monde entier - sont obligés de regarder leur dur labeur littéralement abandonné.
Le vieil adage dit: «Ne pleure pas sur le lait renversé», mais dans ce cas, je pense qu'il est parfaitement acceptable de pleurer.
Voici l'explication de CliffsNotes (au meilleur de ma connaissance actuelle) pour expliquer pourquoi cela se produit:
Comme les restaurants, les parcs à thème, les centres de villégiature, les hôtels, les écoles, etc. sont tous fermés, il y a une énorme pénurie pour la demande de lait. Les usines prennent le lait cru et le pasteurisent et le transforment en, disons, d'énormes sacs de 50 livres de fromage ou d'énormes produits laitiers en vrac pour ces clients de taille massive. Comme ces industries sont toutes fermées, il n'y a pas de place pour prendre le lait. Les usines sont conçues pour fabriquer des produits très spécifiques, des énormes sacs en vrac aux minuscules portions de beurre ou de crème sure individuelle.
Les habitudes d'achat des produits laitiers de consommation se sont déplacées vers les étagères des épiceries, mais les épiceries imposent souvent des limites (c.-à-d. Limitent deux gallons de lait par personne), alors maintenant, encore une fois, trop de lait liquide. La logistique du camionnage joue également un rôle.
Il y a également des pénuries de conteneurs. Donc, même si vous vouliez prendre du lait liquide et le transformer en crème sure, fromage ou autres produits dans des emballages de plus petite taille pour les épiciers, beaucoup de ces usines fonctionnent à pleine capacité, et parfois les usines n'ont pas de conteneurs, car ces usines sont également fermées ou à pleine capacité avec besoin de plus de colis. Les épiciers n'ont également que peu d'espace sur les étagères.
Tout est goulot d’étranglement et coincé.
Maintenant, pensez-y aussi d'un point de vue logistique. Le lait liquide cru a une durée de conservation assez courte. La plupart du lait passe de la vache à l'épicerie en moins de 48 heures. Donc… si les usines sont à pleine capacité, les épiciers limitent les achats (pour s'assurer que tout le monde en a assez), les camionneurs ont des réglementations sur la fréquence à laquelle ils peuvent conduire et livrer, ET vous ne pouvez pas légalement vendre du lait à moins qu'il ne soit pasteurisé d'abord… eh bien… c'est un tempête parfaite de résultats imparfaits.
Vous devez littéralement regarder tout votre dur labeur s'effondrer.
Et ce n'est pas seulement les produits laitiers qui ont des problèmes. Les cultures qui sont cultivées et vendues pour l'exportation ont également du mal à arriver n'importe où en raison du COVID-19 et des fermetures de frontières. La valeur marchande des agriculteurs a fléchi, tout comme la bourse. Les fruits et légumes pourrissent dans les champs, sans nulle part où aller.
Pourquoi ne pas simplement en faire don, vous pouvez demander. Eh bien, les produits laitiers sont d'abord pasteurisés et transformés avant d'être consommés, en raison des réglementations de sécurité alimentaire décrites ici par la FDA.
RépondreSupprimerSelon les circonstances et les exigences et réglementations légales, certains aliments peuvent être donnés, mais nous parlons de quantités massives - des dizaines de millions de livres. Le volume de nourriture utilisé pour des événements spéciaux, la restauration, les hôtels et autres choses est presque trop grand et insondable pour même être compris.
Ensuite, il y a des pénuries de main-d'œuvre. Dans des endroits comme les États-Unis et le Canada, les travailleurs immigrés du Mexique dépendent fortement de leur solide éthique de travail, mais que se passe-t-il lorsque les frontières sont fermées ? Tu l'as deviné. S'ils ne peuvent pas entrer dans le pays, les fermes sont obligées de fermer sans personne pour planter, entretenir ou récolter. Ils essaient tout ce qui est en leur pouvoir pour obtenir de l'aide, mais le travail est très fastidieux et difficile. Trouver de la main-d'œuvre dans l'agriculture est généralement un défi en soi, mais en plus des fermetures de frontières et des communautés rurales, les difficultés sont encore plus grandes.
C’est absolument dévastateur. Nos pensées vont aux agriculteurs et à tous ceux qui ont été tragiquement touchés par cela.
Michelle Miller, the Farm Babe, is an Iowa-based farmer, public speaker, and writer, who lives and works with her boyfriend on their farm, which consists of row crops, beef cattle, and sheep. She believes education is key in bridging the gap between farmers and consumers.
https://www.agdaily.com/livestock/why-are-farmers-dumping-milk-covid-creates-unfathomable-food-waste-problems/
Le renseignement français contredit les accusations de Trump sur l’origine du coronavirus
RépondreSupprimer17:16 02.05.2020
Alors que Donald Trump affirme que Pékin est responsable de la propagation du coronavirus à cause d’une fuite dans un laboratoire de Wuhan, plusieurs sources au sein des services de renseignement français ont partagé leurs propres conclusions à cet égard à Valeurs actuelles. Celles-ci ne coïncident pas avec l’avis du Président américain.
Dans le cadre d’une enquête exclusive que Valeurs actuelles mènent depuis quelques semaines, de nombreuses sources dans les services de renseignement français ont été interrogées entre le 23 et le 29 avril sur l’origine du coronavirus.
Comme le précise le magazine, ceux-ci et leurs équipes de contre-espionnage et celles spécialisées dans les armes chimiques et bactériologiques «ont été activés très tôt», dès le début de l’épidémie afin d’en apprendre plus. Leurs conclusions contredisent les accusations de Donald Trump à l’encontre du laboratoire chinois de Wuhan.
«Nous avons l’absolue certitude que ce n’est pas une fuite du laboratoire P4», explique ainsi un spécialiste du sujet au sein des services français.
Plusieurs dizaines de souches du virus analysées
D’après un autre, ils ont pu, «assez tôt», récupérer «plusieurs dizaines de souches du virus» et les ont «faites analyser par des experts scientifiques».
«Toutes les souches analysées montrent qu’elles n’ont pas été modifiées humainement. La souche est bien animale, elle a été transmise à l’homme sans qu’on sache encore exactement pourquoi. Elle ne vient pas d’une fausse manipulation ou d’une fuite».
Une troisième source a tenu à souligner: «Cela se voit très vite si la souche a été manipulée par l’Homme».
Des failles de sécurité
Interrogés par le magazine, les agents du renseignement ont fait savoir que les autorités françaises «ont la conviction depuis plusieurs semaines que le virus n’est ni issu d’une manipulation, ni d’une fuite, ni même d’une action volontaire».
Par contre, les failles de sécurité du laboratoire P4 sont évoquées:
«Il n’est pas aux normes, il est en fait plutôt du niveau P3», a indiqué une source de Valeurs actuelles. Un autre a résumé: «On a beau se dire tout cela…ça n’exonère en rien, pour autant, la responsabilité considérable de la Chine dans la crise que nous vivons.»
Les accusations de Donald Trump
Le Président américain a à plusieurs reprises accusé la Chine de la propagation du coronavirus dans le monde. Et en dépit des affirmations de ses services de renseignement selon lesquelles le Covid-19 n’a pas été créé par l'Homme ou modifié génétiquement, Donald Trump a dit penser le 30 avril que le virus proviendrait d’un laboratoire de Wuhan. Il a également menacé Pékin de représailles.
https://fr.sputniknews.com/france/202005021043705532-le-renseignement-francais-contredit-les-accusations-de-trump-sur-lorigine-du-coronavirus/
#RendezNousLaMer: la Bretagne appelle à «libérer les plages» le 11 mai
RépondreSupprimer17:19 02.05.2020
En Bretagne, les appels #RendezNousLaMer se multiplient, exigeant notamment que l'accès aux plages soit ouvert à partir de la date de déconfinement, le 11 mai.
Depuis que le Premier ministre, Édouard Philippe, a exclu de rouvrir l'accès aux plages avant au moins le 1er juin, les appels se multiplient pour «libérer les plages» bretonnes dès le 11 mai, et pour un accès raisonné au littoral, rapporte l'AFP.
«En Bretagne, nos plages sont nos parcs et jardins. Je plaide pour que, sous l'autorité des maires, nous puissions les rouvrir au plus vite sans prendre de risques pour notre santé», a tweeté le 30 avril le président de région Loïg Chesnais-Girard (PS).
Départements «verts»
Les quatre départements de la Bretagne, première région littorale en kilomètres côtiers, sont classés en vert selon la carte publiée jeudi par le gouvernement en vue du déconfinement.
«Nos plages et nos côtes ne sont pas exactement les mêmes que celles de la Côte-d'Azur au regard de la faible pression de l'épidémie et de la configuration de la plupart de nos plages», constate pour l'AFP Loïg Chesnais-Girard.
«C'est illogique»
«A partir du 11 mai on pourra se promener dans un rayon de 100 km dans les parcs et les bois des départements "verts" et on ne serait pas capable de le faire sur les grèves et les sentiers littoraux de Bretagne ?», interroge Dominique Cap, président de l'association des maires du Finistère, qui a adressé un courrier au Premier ministre avec d'autres maires de la région.
De même, souligne-t-il, «on aura le droit de faire du vélo seul mais pas de canoë-kayak ni de planche à voile, et les pêcheurs de plaisance ne pourront pas non plus sortir, c'est illogique».
«Il faut que l'ouverture redevienne la règle et la fermeture, via un arrêté, l'exception», plaide Dominique Cap, faisant la différence entre «une plage urbaine lors d'un pont ensoleillé qui peut poser problème», et l'accès aux milliers de kilomètres du littoral sauvage.
Accès organisé
Alain Cadec, président LR des Côtes d'Armor, milite, lui, pour un accès organisé aux plages «dans le respect des préconisations sanitaires et sous l'autorité des maires».
Une pétition lancée mardi à destination des quatre préfets de la façade atlantique a recueilli plus de 26.000 signatures. Elle réclame une réouverture des plages du littoral «pour les surfeurs, les nageurs, les joggeurs, les promeneurs et toute autre personne pratiquant une activité physique pour une durée déterminée sans regroupement».
La navigatrice Anne Quéméré, qui réside dans le Finistère, s'est dite «en colère et sidérée», dans Ouest-France, par la décision du gouvernement. «Lorsqu'ils ont interdit la pratique des sports de loisirs pour se focaliser sur les priorités, les évacuations sanitaires ou les secours [...] je l'ai très bien compris, mais marcher sur une plage, franchement je ne vois pas très bien où est le danger», explique-t-elle.
Dans un communiqué, l'Association des ports de plaisance de Bretagne a également souhaité un retour «à la liberté de navigation» dès le 11 mai.
https://fr.sputniknews.com/france/202005021043705617-rendeznouslamer-la-bretagne-appelle-a-liberer-les-plages-le-11-mai/
Les hôpitaux sont vides !
SupprimerRendez-vous compte que les chirurgiens sont interdits d'opérer (sauf cas d'urgence) !
Vous avez mal aux dents ? Pas de dentiste !
Vous avez cassé vos lunettes ? Pas d'opticiens !
Vous voulez vous faire couper les cheveux comme les ministres ? Pas de coiffeur !
La chaleur arrive. C'est TOUT LE MONDE qui dormira fenêtres ouvertes !
Mise en place imminente et définitive d'une gouvernance mondiale dont la COVID-19 est, sans nul doute, le catalyseur...
RépondreSupprimersamedi 2 mai 2020
Vous trouverez, en bas de page, le "plan d'intelligence stratégique" de la nouvelle gouvernance mondiale affiché sur le "Forum économique mondial", lequel semble s'inspirer dramatiquement du modèle chinois !
Depuis le début de l'épidémie de COVID-19, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a joué un rôle de premier plan dans la gestion de la pandémie au niveau mondial. Le pouvoir et l'influence incontestés de cette organisation créée par les Nations Unies ont conduit la plupart des gouvernements du monde à façonner leurs politiques et leur riposte à la pandémie conformément aux données et directives de l'OMS.
Une organisation internationale de coopération public-privé a émergé pour agir en gestionnaire de crise, en "sauveur de l'humanité", pour mobiliser toutes les parties prenantes pour protéger des vies et la survie de l'économie mondiale. Il s'agit du Forum économique mondial.
Voici la raison d'être de cette organisation internationale dans le contexte de la COVID-19, passages pris sur son site web:
"La propagation spectaculaire de COVID-19 a perturbé des vies, des moyens de subsistance, des communautés et des entreprises dans le monde entier. Toutes les parties prenantes, en particulier les entreprises mondiales, doivent se réunir de toute urgence pour minimiser son impact sur la santé publique et limiter son potentiel de perturbation supplémentaire des vies et des économies du monde entier."
"La somme de nombreuses actions individuelles n'apportera pas une réponse suffisante. Seule une action coordonnée des entreprises, combinée à une coopération mondiale multipartite - à une échelle et à une vitesse exceptionnelles - peut potentiellement atténuer le risque et l'impact de cette crise sans précédent."
Maintenant...
Un exercice de simulation intitulé "Event 201", mettant en scène un scénario de pandémie mondiale d'un nouveau coronavirus, s'est déroulé le 17 octobre 2019. Scénario d'une pandémie qui se poursuivrait sur une période de 18 mois, jusqu'à ce qu'il existe un vaccin efficace ou jusqu'à ce que 80 à 90% de la population mondiale soit exposée.
Un autre exercice pandémique s'est tenu en mai 2018 intitulé "Clade X", scénario au cours duquel des "joueurs" personnifiaient des hauts responsables du gouvernement
pour mettre en place un plan de gestion d'un nouveau virus pouvant tuer jusqu’à 900 millions de personne.
Il y eu des exercices similaires, toujours aux Etats-Unis, avec "Dark Winter" (2001) et "Atlantic Storm" (2005).
Ces exercices, peut-on lire, prévoyaient des perturbations sur les économies mondiales nécessitant une coopération et une coordination entre l'industrie, les gouvernements nationaux, les principales institutions internationales et la société civile, afin d'éviter les conséquences catastrophiques qui pourraient découler d'une pandémie à grande échelle.
Ces événements ont été réalisés par le Johns Hopkins Center for Health Security, le Forum économique mondial, la Fondation Bill & Melinda Gates et l'Open philantropy (dont le président est un co-fondateur de Facebook).
Il est évident que la crise de la COVID-19 exige une coopération mondiale entre les gouvernements, les organisations internationales et les industries.
RépondreSupprimerCette "coopération multipartite" face à la pandémie mondiale a déjà été prévue, organisée et annoncée par le Forum économique mondial en tant que "organisation internationale de coopération public-privé", soit une "gouvernance mondiale intégrée".
Sur le site du Forum économique mondial, vous trouverez le "plan d'intelligence stratégique" en forme de virus dont chaque spicule mène vers un ensemble de thématiques directement liées aux objectifs de l'Agenda 2030.
On peut voir le plan de gestion de la COVID-19, lequel mène à une série de stratégies dont une "gouvernance mondiale", laquelle intègre la 5G, technologie qui sert à l'identité numérique, au déploiement des villes intelligentes, la nouvelle monnaie, la surveillance globale...
Ce "plan d'intelligence stratégique" est nul autre que le programme de la gouvernance mondiale qui s'inspire, sans nul doute, du modèle communiste chinois et de son système de crédit social.
Voici le plan de gouvernance mondiale qui comprend environ 250 tentacules. Avec un téléphone, il n'est pas possible d'y accéder.
Est-ce que cette pandémie a été fabriquée ? Je ne sais pas. Mais ce que l'on peut constater est que la COVID-19 est "une crise mondiale qui exige une action coordonnée des entreprises, combinée à une coopération mondiale multipartite".
- voir tableaux importants sur site -
https://intelligence.weforum.org/topics/a1G0X000006O6EHUA0?tab=publications
https://conscience-du-peuple.blogspot.com/2020/05/mise-en-place-imminente-et-definitive.html
Les non-vaccinés: envoyez-les dans un camp de détention !
RépondreSupprimervendredi 1 mai 2020
Mario Dumont, journaliste et commentateur au Québec, sur le web (TVA), à la radio (QUB) et à la télévision (LCN), écrit ce matin que ceux qui remettent en question la sécurité et l'efficacité des vaccins en général et particulièrement celui de la COVID19, sont des personnes "irresponsables", "égoïstes" et "dangereuses pour la collectivité", qui méritent d'être "sanctionnées" et même, envoyées dans un "habitat à circuit fermé" situé dans le fin fond du Nord du Québec!
Dumont en appelle en plus à un débat sur la vaccination obligatoire au Québec !
Toutes ces affirmations ne sont pas banales, même extrêmement graves. Il oriente le libre-choix vaccinal vers une définition du terrorisme et catégorise ce droit inaliénable prévu par le Code Civil comme étant une menace à la collectivité. Il pointe les anti-vaccins et ceux qui osent questionner l'inocuité des vaccins comme étant des parias, citoyens indésirables qui doivent être écartés et isolés de la population civile.
Dumont veut voir les "anti-vaccins" dans un camp de détention dans le Nord du Québec après avoir été jugés "indésirables" par la société... ??
On interdit et légifère les discours haineux, racistes, homophobes... mais on va permettre à un journaliste de tenir des propos qui frôlent, d'un point de vue de la sémantique, un appel à l'exécution de masse!
Si j'avais un dépôt d'accusations criminelles à faire dans ma bucket list, elles seraient dirigées envers Dumont qui n'a aucune légitimité ici à réclamer la libre expression.
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Cours d’histoire : Gagnon est une ancienne ville minière située entre Baie-Comeau et Fermont. Elle fut fermée officiellement en 1985 après la fermeture des mines de fer qui y constituaient l’unique industrie.
J’ai pensé à Gagnon ces derniers jours en cherchant une solution pour ces gens qui ont déjà décidé de ne pas recevoir un éventuel vaccin contre la COVID-19.
Oui, oui, pendant que les meilleurs cerveaux de la médecine et de la pharmacologie s’évertuent à développer un vaccin, certains d’entre nous savent déjà tout à propos du vaccin à venir.
Encore les conspirationnistes
Le vaccin sera le résultat d’un complot. Mieux informés que tous ceux qui ont étudié pendant 20 ans les sciences, ces fins renards se font une fierté d’annoncer sur les réseaux sociaux leur intention de ne pas tomber dans le piège. Ils refuseront le vaccin.
Qu’il soit développé par une entreprise pharmaceutique allemande, une université canadienne ou un groupe de chercheurs de San Francisco, c’est déjà décidé : ce vaccin sera une menace.
Les tenants des théories complotistes considèrent qu’il ne sera pas la solution à une pandémie, mais plutôt un coup monté.
Si le vaccin arrive dans un an, nous serons peut-être trop épuisés pour nous obstiner avec des illuminés qui ont lu une conspiration sur Facebook.
RépondreSupprimerMais les tragédies provoquées par ce damné virus sont trop lourdes pour qu’on accepte de laisser courir, magasiner et travailler parmi nous ceux qui refuseraient le vaccin.
Rouvrir Gagnon pour leur créer un habitat en circuit fermé ? Je blague à peine. Dans le difficile équilibre entre libertés individuelles et obligations envers la collectivité, le cas présent est extrême.
Bien que l’espoir d’un vaccin soit lointain, le débat sur le caractère obligatoire ou non de la vaccination est lancé. Monsieur Trudeau a dû patiner sur la question.
Patience et tolérance ?
Imaginons un vaccin qui nous arrive comme une rédemption en juin 2021. Des milliers de personnes auront perdu la vie. Des aînés, mais aussi des travailleurs de la santé, des employés de services essentiels et d’autres.
Des milliers d’entrepreneurs auront tout perdu. Une proportion importante de la population aura vu ses revenus chuter, parfois radicalement.
Nos gouvernements seront dans le trou pour une génération. Et je ne mentionne pas la déprime collective qui vient avec tout cela.
Sincèrement, quelle patience aurons-nous pour le beau parleur qui dira non au vaccin en jouant à l’intéressant informé ? Celui qui a lu sur internet une histoire saugrenue sur le site d’un Américain détraqué qui écrit des conspirations dans son sous-sol.
Apprendre que son voisin de bureau croit que la Terre est plate, ça peut être comique. Apprendre que son voisin de bureau refuse le vaccin de la COVID-19 dû à ses croyances bizarres, ça risque de moins bien passer.
La réponse classique consiste à dire que lorsque 95 % d’une population est vaccinée, les autres se retrouvent protégés par l’absence de circulation de la maladie. ?? Qui acceptera que l’égoïsme et l’irresponsabilité restent non sanctionnés ?
https://www.journaldemontreal.com/2020/05/01/rouvrez-gagnon
https://conscience-du-peuple.blogspot.com/2020/05/les-non-vaccines-envoyez-les-dans-un.html
La situation actualisée pour votre département: les cartes de déconfinement mises à jour
RépondreSupprimer20:53 02.05.2020
Le ministère de la Santé publie le troisième lot des cartes de déconfinement dépeignant la situation actuelle dans chacun des départements selon deux critères: circulation du virus et tension hospitalière. Selon un bilan actualisé, la France a enregistré 199 morts en l'espace des dernières 24 heures, ce qui porte le total à 24.760.
Le coronavirus a causé 166 décès supplémentaires en 24 heures en France, soit un total de 24.760 décès depuis le 1er mars, a indiqué samedi 2 mai le ministère de la Santé. 15.487 patients sont décédés dans les hôpitaux et 9.273 personnes dans les établissements sociaux et médico-sociaux, essentiellement des Ehpad.
La pression sur les services de réanimation continue à s'amoindrir, avec 51 patients Covid-19 en moins, mais le nombre total de malades hospitalisés dans ces services reste supérieur aux capacités initiales, selon un communiqué. 25.827 personnes sont actuellement hospitalisées dans le pays (+453 en 24 heures), avec 3.827 patients graves en réanimation, a précisé le ministère dans un communiqué.
«64 nouveaux cas graves ont été admis, le solde reste négatif en réanimation avec 51 patients atteints de Covid-19 en moins», d'après le ministère.
La situation actualisée pour chaque département
- voir carte sur site -
«Les cartes de synthèse de suivi de l'épidémie montrent une évolution importante aujourd'hui: les tensions hospitalières en région PACA diminuent, ce qui entraîne le passage de l'ensemble de ses départements du "orange" au "vert" sur la carte de synthèse», selon le communiqué.
La nouvelle carte qui fait la synthèse de deux indicateurs (circulation active du virus et les capacités de réanimation) comporte désormais 32 départements rouges (inchangé), 22 oranges (contre 28 la veille) et 47 verts (contre 41 la veille), est-il précisé.
- voir carte sur site -
Dans les départements en vert, une moindre présence du virus permettra d'organiser un déconfinement plus large, constate l'AFP. Ceux en orange (une catégorie provisoire) ne présentent qu'un seul des deux critères favorable - la circulation active du virus ou les capacités en réanimation.
Le 7 mai, ne resteront que deux catégories -vert et rouge- qui détermineront le niveau de relâchement des restrictions mises en oeuvre depuis le 17 mars.
Le gouvernement a décidé précédemment, au cours d'un Conseil des ministres, la prolongation pour deux mois, jusqu'au 24 juillet, de l'état d'urgence sanitaire en France.
https://fr.sputniknews.com/france/202005021043705931-la-situation-actualisee-pour-votre-departement-les-cartes-de-deconfinement-mises-a-jour/