- ENTREE de SECOURS -



mardi 19 mai 2020

Le commerce honteux des indulgences renouvelables

Un fournisseur d’énergie a le droit de dire qu’il est 100 % renouvelable car il a payé une Garantie d’origine, un impôt vert, une forme de racket institutionnalisé.


Par Michel Gay.
19 MAI 2020


Comme au Moyen-Âge, le gouvernement a rétabli le commerce lucratif des indulgences pour enrichir les producteurs d’électricité renouvelables qui peuvent ainsi verdir l’électricité, quel que soit le « péché » de son origine fossile ou nucléaire.

FINANCEMENT DU PARC NUCLÉAIRE FRANÇAIS

Le financement de la construction du parc nucléaire français actuel n’a bénéficié d’aucun apport de l’État.

La société EDF a dû emprunter, y compris hors de l’Hexagone, et assumer le remboursement répercuté sur le prix de vente de l’électricité parmi la moins chère d’Europe. L’entreprise EDF a pris tous les risques industriels de l’investissement et de la construction des 58 réacteurs actuellement en fonctionnement dont profitent tous les Français depuis plus de 30 ans.

Cependant, le marché de l’électricité ayant été ouvert à la concurrence en 2007, l’État a souhaité favoriser l’arrivée de concurrents afin qu’ils puissent trouver leur place sur le marché.

L’État a donc imposé à l’entreprise EDF des tarifs réglementés de vente et l’a obligé à céder un quart de sa production nucléaire (100 térawattheures) à un « prix d’ami » aux nouveaux fournisseurs alternatifs souhaitant la concurrencer.

De plus, EDF doit assumer « en même temps » tous les risques du système et de la production (dont l’intermittence des énergies renouvelables éoliennes et solaires).

L’ARENH (Accès Régulé à l’Électricité Nucléaire Historique) a ainsi été créé par la loi n° 2010-1488 du 7 décembre 2010 portant nouvelle organisation du marché de l’électricité (dite loi NOME) afin que chaque fournisseur alternatif concurrent d’EDF puisse bénéficier, s’il le souhaite, d’un accès à l’électricité nucléaire de 42 euros par mégawattheure, fixé depuis 2012.

Ce droit « de tirage » est partagé entre tous les fournisseurs et couvre en moyenne 68 % de leurs besoins. Si la demande totale dépasse ce plafond, les droits de chacun sont revus à la baisse.

Les fournisseurs alternatifs achètent la différence auprès d’autres producteurs ou sur le marché de l’énergie au prix du marché. Quasiment aucun fournisseur alternatif n’est producteur d’électricité. Le fournisseur n’est qu’un intermédiaire qui veut bien se servir chez EDF mais sans en prendre les risques !

Le plafond de l’ARENH n’étant plus suffisant pour répondre à la demande, une plus grande quantité d’électricité est achetée sur le marché à un prix plus élevé que celui fixé par l’ARENH (sauf en périodes de prix négatifs dues aux surproductions intempestives éoliennes et solaires), et les factures des Français augmentent, alors que le prix de l’électricité nucléaire historique n’augmente pas.

L’ARENH EST-IL OBLIGATOIRE ?


Non.

Les fournisseurs sont libres d’exercer ce droit ou non pour leurs clients. Il est possible d’acheter la totalité de l’énergie nécessaire à l’approvisionnement des clients via d’autres canaux.

Certains fournisseurs renoncent à leur droit d’ARENH pour des raisons politiques ou d’image (c’est le cas du fournisseur Enercoop).

Ce dispositif appauvrit donc EDF en réduisant ses marges sur l’énergie du côté des clients (avec les tarifs réglementés de vente) et du coté des fournisseurs (avec l’ARENH).

L’ÉLECTRICITÉ PEUT-ELLE ÊTRE VRAIMENT VERTE ?

Il n’existe qu’un seul réseau électrique en France qui mélange toutes les productions, qu’elles soient d’origine fossile, nucléaire, renouvelable, ou autres.  Il est donc impossible de certifier à un client que l’électricité est 100 % verte.

Néanmoins, il existe un système de traçabilité via les Garanties d’origine afin de pouvoir suivre la quantité d’énergies renouvelables injectée dans le réseau électrique français (ou européen).

Les fournisseurs d’électricité (y compris EDF…) en achètent pour la consommation de leurs clients qui veulent acheter « vert ».

Ainsi, un producteur d’électricité issue de sources d’énergies renouvelables peut vendre d’un côté son électricité à un acteur et de l’autre ses garanties d’origine…

Un des deux acteurs pourra alors se revendiquer 100 % vert alors qu’il produit son électricité avec du gaz ou du charbon !

C’est ainsi qu’un fournisseur d’énergie a le droit de dire qu’il est 100 % renouvelable car il a payé une Garantie d’origine, un impôt vert, une forme de racket institutionnalisé.

65 commentaires:

  1. Dès lors qu'une éolienne (qui doit tourner - pour éviter le grippage - même s'il n'y a pas de vent) consomme PLUS d'énergie que ce qu'elle ne peut fournir, il y a ce que l'on appelle en jargon branché un déficit. Déficit comblé continuellement par EdF (a un prix 'd'ami').

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  2. «Nous n’avons jamais été en rupture» de masques: cette phrase de Macron qui passe mal


    08:49 19.05.2020


    Interrogé sur BFM TV le 18 mai au sujet de la crise sanitaire en France, Emmanuel Macron a, entre autres, indiqué que «les choses ont été gérées» et que «nous n’avons jamais été en rupture» de masques. Cette dernière affirmation a suscité l’indignation de l’opposition.

    Dans une interview accordée à BFM TV, le Président français a été invité à commenter les possibles «erreurs de communication autour de la pénurie des masques».

    «Les choses ont été dites, les choses ont été gérées», a-t-il dit ajoutant qu’il existe «une doctrine restrictive pour ne jamais être en rupture, que le gouvernement a prise et qui, je le pense, était la bonne».

    «Ce qui est vrai, c’est qu’il y a eu des manques, des tensions»

    Emmanuel Macron a également affirmé qu’«il y a eu ensuite un approvisionnement renforcé et une production renforcée, et nous n’avons jamais été en rupture. Ce qui est vrai, c’est qu’il y a eu des manques, des tensions, c’est cela qu’il faut regarder pour le corriger et pour prévenir».

    «On voit bien que cela nous amène à changer de logique en profondeur sur certains de ces sujets, qui paraissaient totalement innocents. Mais ayons collectivement l’honnêteté de dire qu’au début du mois de mars, même encore plus en janvier ou en février, personne ne parlait des masques, parce que nous n’aurions jamais pensé être obligés de restreindre la distribution de ces masques pour les soignants», a tenu à souligner le Président.

    Les paroles de Macron font réagir

    Les propos d’Emmanuel Macron sur les masques ont été mal perçus par l’opposition qui s’est exprimée sur les réseaux sociaux.

    «Comment le Président peut-il oser dire cela alors que son gouvernement a MENTI sur l’utilité même des masques justement pour cacher la pénurie ?», s’est indignée Marine Le Pen, la présidente du Rassemblement national.

    «Nous demandons des masques et des tests depuis des mois!», a lancé Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France.

    «C'est au-delà des mots, de l’entendement», a écrit, quant à elle, Danièle Obono, porte-parole de La France insoumise.

    https://fr.sputniknews.com/france/202005191043802906-nous-navons-jamais-ete-en-rupture-de-masques-cette-phrase-de-macron-qui-passe-mal/

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    1. Masques masqués

      HAHAHAHA ! 1/10 000 000 éme de la population a des masques antivirus (FFP2), le manque ??!! Où çà ??!! HAHAHAHA !

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  3. L’UE débloque un fonds de 100 millions d’euros pour lutter contre le Covid-19 en Côte d’Ivoire


    13:00 19.05.2020


    Le gouvernement ivoirien, l’Union européenne et ses États membres, et le secteur privé ivoirien se sont réunis pour discuter des mesures à mettre en place dans le cadre de la lutte contre le Covid-19. L’appui de 100 millions d’euros se fait en partenariat avec la Banque européenne d’investissement.

    L’ambassadeur de l’Union européenne en Côte d’Ivoire Jobst von Kirchmann a annoncé un appui de 100 millions d’euros en partenariat avec la Banque européenne d’investissement, au gouvernement ivoirien pour lutter contre la maladie à Coronavirus (Covid-19), indique un communiqué transmis ce lundi 18 mai à l’AIP.

    À Abidjan, les drones entrent en action contre le coronavirus
    L’annonce a été faite au cours d’un trilogue entre le gouvernement ivoirien, l’Union européenne et ses États membres, et le secteur privé ivoirien qui a eu pour objectif d’échanger sur les mesures à mettre en place dans le cadre du plan réponse à la crise Covid-19. Il concerne plus précisément les modalités de fonctionnement des Fonds de soutien aux PME et aux grandes entreprises, institués dans le cadre du Plan de soutien économique, social et humanitaire du gouvernement ivoirien.

    M. Kirchmann a également salué les efforts consentis par le secteur bancaire pour soutenir le tissu économique ivoirien dans ce contexte de crise sanitaire.

    Pour le diplomate européen, l’Union se devait d’être présente auprès du gouvernement ivoirien pour soutenir l’économie autant qu’elle a pu l’être auprès des citoyens ivoiriens, vulnérables à travers la caravane de la solidarité.

    «Nous devons tout faire pour préparer le plus rapidement possible un plan efficace de relance de l’activité économique», a-t-il indiqué mercredi au cours de cette rencontre à Abidjan.

    Au cours de cette rencontre étaient présents le ministre de l’Économie et des Finances ivoirien, Adama Coulibaly, les ambassadeurs de France et d’Allemagne Gilles Huberson et Michael Grau, le vice-président d’Eurocham Aymeric Villebrun, et les présidents des comités de gestion des Fonds de soutien aux PME et grandes entreprises.

    Il a également été suivi par visioconférence par une dizaine d’experts représentant notamment les bailleurs de fonds (la Banque européenne d’investissement), les organisations patronales, le secteur bancaire et la Cellule de coordination de la coopération CI-UE.

    https://fr.sputniknews.com/afrique/202005191043803564-lue-debloque-un-fonds-de-100-millions-deuros-pour-lutter-contre-le-covid-19-en-cote-divoire/

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    1. Population de la Côte d'Ivoire 27 481 086 hab.
      100 000 000 d'euros
      Soit un masque (FFP2 ?) ) 36,30 euros/jour) ! (23.811 FCFA)

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  4. En Tunisie, les ouvrières agricoles victimes d’accidents mortels: la série noire continue !


    12:00 19.05.2020
    Par Hanène Zbiss


    Le drame des ouvrières agricoles tunisiennes qui perdent la vie dans des accidents routiers en se rendant sur leur lieu de travail ne semble pas s’arrêter. Une collision a encore eu lieu le 8 mai, à Regueb, dans le centre du pays, faisant plusieurs blessées. La société civile appelle l’État à mettre fin à l’hémorragie.

    Pendant la période du confinement en Tunisie (du 22 mars au 3 mai), les ouvrières agricoles ont fait partie des rares catégories socioprofessionnelles qui ont poursuivi leur activité pour assurer le maintien de l’approvisionnement des marchés en denrées alimentaires.

    Pourtant, elles n’ont bénéficié d’aucune aide de l’État, ni même d’amélioration de leurs conditions de travail. Elles ont donc continué à exercer dans des situations difficiles, montant à bord de camions non sécurisés et s’exposant ainsi très fréquemment à des accidents mortels. Le dernier a eu lieu le 8 mai sur la route de Gouadria, dans la délégation de Regueb (gouvernorat de Sidi Bouzid, dans le centre de la Tunisie). Le véhicule qui transportait les travailleuses a percuté une voiture qui roulait en sens inverse. Bilan de la collision: sept ouvrières ont été blessées, dont une assez gravement pour nécessiter son transfert à l’hôpital régional de Sfax.

    Indignation de la société civile

    La société civile a aussitôt réagi pour dénoncer ce feuilleton «dramatique» sans fin d’accidents mortels dont sont victimes les ouvrières agricoles et qui amplifie encore la précarité de leurs conditions de travail. Elle a appelé l’État à prendre des mesures pour mettre fin à cette situation.

    Quatre organisations ont exprimé leur «profonde tristesse face à cet acte criminel et au non-respect des forces productrices du pays, l’un des piliers les plus importants de la ligne de front pour faire face à la pandémie, qui sont les ouvrières agricoles, lesquelles n'ont cessé de travailler pour nourrir les Tunisiens», dans un communiqué publié le 9 mai.

    Les organisations signataires ont appelé à l’arrêt de «cette hémorragie causée par les conditions inhumaines de transport et qui continue, au vu et au su des autorités, notamment la présidence du gouvernement». Pour elles, il faudrait opter pour une solution radicale: le changement du modèle économique actuel qui «consacre la marginalisation économique et sociale des femmes».

    Romdhane Ben Amor, du Forum tunisien pour les droits économiques et sociaux (FTDES), l’une des organisations signataires du communiqué, décrit à Sputnik ce modèle économique tunisien:

    «Le secteur agricole tunisien favorise les grands investissements et ne donne pas la possibilité aux petits agriculteurs de lancer leurs propres projets. Le modèle économique actuel en Tunisie exclut plusieurs catégories sociales, dont les ouvrières agricoles. Et de fait, il y a un constat général, que ce soit de la part de la société civile ou de l’État, concernant les conditions inhumaines dans lesquelles exercent ces ouvrières, que ce soit au niveau des heures de travail, du salaire ou du mode de transport.»

    Les ouvrières doivent se lever avant l’aube et rentrent vers le coucher du soleil. Elles travaillent à la journée et sont payées entre 10 et 14 dinars (3 à 4,45 euros) dont il faut retrancher 3 à 4 dinars (0,95 à 1,27 euro)* pour le chauffeur du camion qui va les transporter car généralement, les champs se situent à 30, voire 40 km de leur domicile.

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  5. Le transport se fait dans des conditions pour le moins précaires. Les travailleuses s’entassent par dizaines à l’arrière du camion, debout, pour gagner de la place, bien que ce mode de transport soit en principe interdit. Embarquées de cette manière, dans des véhicules qui ne sont pas sécurisés, elles se trouvent très souvent victimes d’accidents routiers mortels. D’après le FTDES, plus de 40 ouvrières ont perdu la vie et 492 autres ont été blessées pendant leur transport au cours des quatre dernières années.

    Mesures gouvernementales insuffisantes

    Le 27 avril 2019, une tragédie a secoué le pays. Un camion transportant des ouvrières agricoles a eu un accident dans la localité de Sabbela à Sidi Bouzid. Bilan: 13 femmes ont trouvé la mort et 20 autres ont été blessées. Le lendemain, plusieurs représentants de la société civile et du gouvernement se sont rendus dans la commune pour présenter leurs condoléances aux familles des victimes.

    Se rendant compte des conditions de précarité extrême de ces familles, l’État a annoncé une batterie de mesures pour aider ces travailleuses. L’initiative «Ahmini» (Protège-moi) leur permet notamment d’avoir une couverture sociale en payant elles-mêmes une cotisation de 1 dinar (0,30 euro) par jour à la CNSS (Caisse nationale de Sécurité sociale). 500.000 femmes travaillant dans le secteur agricole devaient bénéficier de cette mesure.

    Un an après, qu’en est-il aujourd’hui de ces dispositions? Ont-elles permis de mettre fin au drame ?

    «Les mesures qui ont été prises sont insuffisantes. Si l’on considère l’initiative ‘Ahmini’, nous avons remarqué, à travers nos recherches sur le terrain, qu’il n’y avait pas eu une affluence massive pour s’y inscrire. En effet, avec leur salaire dérisoire, ces femmes n’ont pas les moyens de payer sur leurs fonds propres une couverture sociale, ce n’est pas chose évidente», souligne Romdhane Ben Amor.

    Il explique, par ailleurs, que les accidents mortels dont elles sont victimes continuent, faute de pouvoir fournir une alternative de transport plus sécurisé par l’État. «Les autorités ont déclaré être incapables de contrôler les routes agricoles où elles estiment que les accidents ont lieu. Or, la plupart se produisent sur des routes normales», note-t-il.

    Que faire alors pour protéger ces ouvrières, obligées de travailler dans de si mauvaises conditions ?

    Romdhane Ben Amor propose de s’attaquer au fond du problème, à savoir la nécessité de changer le modèle économique pour donner plus d’avantages à ces ouvrières.

    «Il faudrait augmenter leurs salaires, leur garantir une couverture sociale et l’accès gratuit aux soins, en plus de favoriser leur autonomisation économique –en l’occurrence les aider à créer leurs propres projets agricoles, vu que plusieurs d’entre elles possèdent déjà des terrains, mais n’ont pas les moyens de les exploiter», suggère-t-il.

    https://fr.sputniknews.com/maghreb/202005191043803334-en-tunisie-les-ouvrieres-agricoles-victimes-daccidents-mortels-la-serie-noire-continue/

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  6. Raoult défend Trump et dénonce une «hallucination collective» contre l’hydroxychloroquine


    12:59 19.05.2020


    «Cela doit être préventif de la folie, car ceux qui ne veulent pas en prendre deviennent fous». Grand partisan de l'hydroxychloroquine contre le Covid-19, le Pr Didier Raoult a commenté les propos de Donald Trump qui a annoncé prendre, depuis maintenant une semaine et demie, le fameux traitement de manière préventive.

    Malgré une efficacité encore remise en cause et l’avertissement des autorités sanitaires sur les effets secondaires, Donald Trump a annoncé prendre de l’hydroxychloroquine tous les jours de manière préventive contre le coronavirus. Le directeur de l'IHU de Marseille, qui prône depuis le début de la pandémie l’utilisation de ce médicament, a tenu dès le lendemain à clarifier les choses.

    «Je ne suis pas au courant, je ne suis pas son médecin traitant», a-t-il lancé, interrogé sur Radio Classique sur cette approche du Président américain.

    Le professeur a rapidement tenu à rappeler que l'hydroxychloroquine ne peut être considérée comme dangereuse.

    «Dramatisation d'un médicament banal»

    «Je voudrais qu'on remette les choses en perspective et voir à quel point il y a eu une hallucination collective des médias et de certains dirigeants sur l'hydroxychloroquine, qui est l'un des médicaments les plus prescrits au monde. Tous les médecins en ont déjà prescrit», a ajouté Didier Raoult.

    «Il y a eu une dramatisation d'un médicament banal, classique, on a inventé de tout, des arrêts cardiaques, etc... Cela doit être préventif de la folie, car ceux qui ne veulent pas en prendre deviennent fous. Il y aura un examen à faire de comment les médias se sont emballés», a-t-il conclu.

    Deux études mettent en doute l'efficacité de l'hydroxychloroquine

    Deux études publiées par la revue scientifique britannique BMJ ont mis en doute l'efficacité de l'hydroxychloroquine comme traitement contre le Covid-19. Selon une étude chinoise, l'antipaludéen n'a pas permis d'amélioration significative. Des effets secondaires indésirables ont en revanche été signalés pour une partie des patients.

    Selon une autre étude française, l'hydroxychloroquine n'a pas réduit les admissions en réanimation ou les décès de patients atteints du coronavirus.

    https://fr.sputniknews.com/international/202005191043804938-raoult-defend-trump-et-denonce-une-hallucination-collective-contre-lhydroxychloroquine/

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  7. Philippe de Villiers: «l’État préfère les animaux exotiques aux Gaulois réfractaires» - exclusif


    12:38 19.05.2020
    Par Oxana Bobrovitch


    L’ouverture du Puy du Fou, le célèbre parc vendéen de spectacle historique, n’est pas pour tout de suite. Au contraire des zoos et des sites historiques, «la colline du hêtre» resterait déserte au-delà du 2 juin, malgré le «feu vert» sanitaire dans le département. Philippe de Villiers, fondateur du complexe, ne décolère pas.

    Déjà reportée à deux reprises, l’ouverture du Puy du Fou se fait encore attendre. Et ce n’est pas du goût des dirigeants du site vendéen, classé troisième parc à thème en France, juste après Disneyland Paris, avec ses parcs Disneyland et Walt Disney Studios.

    Philippe de Villiers, fondateur du complexe de loisirs à thématique historique, regrette «la décision prise par Matignon d’ouvrir les parcs zoologiques et les sites historiques, sauf le Puy du Fou» et juge au micro de Sputnik «cette mesure injuste et scandaleuse».

    «Nous n’avons aucune date, aucune visibilité, aucun calendrier. Le Premier ministre s’entête dans un refus et un mépris déplorables. La position du Président de la République est différente. Le char de l’État est tiré à hue et à dia», s’insurge Philippe de Villiers.

    Avec 2,3 millions de visiteurs, la saison 2019 a été fructueuse et en 2020, le Puy du Fou a investi 62 millions d’euros dans trois créations originales: 15 millions d’euros sont alloués au spectacle grandiose «Les Noces de Feu», le reste financerait «Le Grand Siècle», un hôtel quatre étoiles, et «Le Théâtre Molière», un espace consacré aux événements d’entreprises.

    Le Puy du Fou inquiet pour son avenir financier

    L’impatience de la direction du parc d’attractions est compréhensible, puisque ce dernier perd un million d’euros par jour d’inactivité.

    «Il y a un risque mortel pour l’avenir de notre aventure. Le Puy du Fou n’a pas de “magot caché”, il n’est adossé à aucune collectivité, aucune structure publique, ni à aucun groupe d’actionnaires extérieurs qui viendrait nous renflouer», s’inquiète Philippe de Villiers.

    Visiblement, le parc construit «sur un modèle associatif» n’a pas l’intention de taper dans la cagnotte de 18 millions d’euros promise par Édouard Philippe dans le cadre du «plan tourisme» pour atténuer les effets de la crise économique qui frappe le secteur suite à la pandémie de Covid-19.

    «J’insiste: le Puy du Fou n’est pas un “parc d’attractions”, contrairement à ce qu’on croit à Matignon. C’est l’expression du légendaire français, c’est là que bat le cœur de la France», s’enflamme Philippe de Villiers, qui n’a pas peur de la grandiloquence.

    Et l’avenir semble aussi incertain pour Cinéscénie, le plus grand spectacle nocturne au monde, puisque «l’État ne répond pas».

    «Les Gaulois réfractaires» se plient aux règles sanitaires

    La direction du Puy du Fou ne reste pourtant pas les bras croisés et en attendant de s’être «mis d’accord avec les représentants de l’État», elle affiche sa volonté de respecter strictement les règles de déconfinement qu’elle s’apprête à appliquer. Néanmoins, alors que les aquariums et parcs zoologiques commencent à rouvrir, les parcs d’attractions n’ont toujours pas de date de reprise de leur activité.

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  8. «Le Puy du Fou est une référence en France. C’est un haut lieu de la mémoire vivante. Mais j’ai l’impression que l’État préfère les animaux exotiques aux Gaulois réfractaires», glisse Philippe de Villiers.

    L’une des raisons du retard de l’ouverture des parcs d’attractions est qu’ils sont considérés comme des «lieux de rassemblement», avec des «regroupements de plus de dix personnes», proscrits en France. Deuxième raison: la crainte que les parcs «veuillent accueillir trop de monde», avec une possible contamination dans les files d’attente. Et pourtant, le Puy du Fou est dans un département classé «vert» sur la carte du déconfinement.

    «Le Premier ministre a reconnu lui-même que le protocole de règles sanitaires proposé par le Puy du Fou était le meilleur de France. Il a même ajouté qu’il était deux fois plus rigoureux que ceux proposés au niveau national», assure Philippe de Villiers.

    Le créateur du parc souligne aussi l’absence de «problème d’espace» et par conséquent, l’absence de «croisement de flux» sur son territoire de 80 hectares. Il juge que les raisons avancées par les autorités «relèvent de l’incompétence et de la mauvaise foi», ce qui n’empêche pas un soutien massif dans la région. Ainsi, Véronique Besse, maire des Herbiers, a-t-elle lancé une pétition où «une signature s’ajoute chaque seconde» (chaque minute, pour être plus précis), pour atteindre au moment de parution de cet article 22.370 signatures.

    https://fr.sputniknews.com/france/202005191043803612-philippe-de-villiers-letat-prefere-les-animaux-exotiques-aux-gaulois-refractaires---exclusif/

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  9. COVID-19 Décès en contexte: combien de personnes meurent chaque jour ?


    par Tyler Durden
    Mar., 19/05/2020 - 05:30


    Alors que la pandémie de COVID-19 fait rage, les médias continuent de produire des statistiques à plein régime.

    Cependant, comme le note Jenna Ross de Visual Capitalist, sans cadre de référence, des chiffres tels que le nombre de morts peuvent être difficiles à interpréter. Les mortalités attribuées au virus, par exemple, sont souvent mesurées dans des milliers de personnes par jour dans le monde - mais ce nombre est-il un peu ou beaucoup, par rapport aux causes typiques de décès ?

    Le graphique d'aujourd'hui utilise les données de Notre monde dans les données pour fournir un contexte avec le nombre total de décès quotidiens dans le monde. Il indique également combien de personnes meurent chaque jour de causes spécifiques.

    Décès dans le monde par cause

    - voir tableau sur site -

    D'après les dernières recherches approfondies publiées en 2017, près de 150 000 personnes meurent par jour dans le monde. Quelles maladies sont les plus meurtrières et combien de vies prennent-elles par jour ?

    Voici combien de personnes meurent chaque jour en moyenne, triées par cause:

    - voir tableau sur site -

    Les maladies cardiovasculaires, ou maladies du cœur et des vaisseaux sanguins, sont la principale cause de décès. Cependant, leur importance ne se reflète pas dans nos perceptions de la mort ni dans les médias.

    Alors que le nombre de morts du VIH / sida a atteint un sommet en 2004, il affecte encore de nombreuses personnes aujourd'hui. La maladie provoque en moyenne plus de 2 600 décès par jour.

    Fait intéressant, le terrorisme et les catastrophes naturelles provoquent très peu de décès par rapport à d'autres causes. Cela dit, ces chiffres peuvent varier d'un jour à l'autre et d'une année à l'autre en fonction de la gravité de chaque instance individuelle.

    Total des décès quotidiens par pays

    - voir tableau sur site -

    Au niveau national, ces statistiques varient encore. Vous trouverez ci-dessous le nombre total de décès de toutes causes pour certains pays, sur la base des données de 2017.

    La Chine et l'Inde connaissent toutes les deux plus de 25 000 décès au total par jour, en raison de leur grande population.

    Cependant, avec 34,7 décès quotidiens par million d'habitants chaque jour, la Russie a le plus grand nombre de décès proportionnels à la population de tous ces pays.

    Garder la perspective

    Bien que ces chiffres aident à fournir un certain contexte à l'échelle mondiale des décès dus au COVID-19, ils n'offrent pas de comparaison directe.

    Le fait est que bon nombre des taux de mortalité susmentionnés sont fondés sur des échantillons de données beaucoup plus vastes et cohérents. D'un autre côté, depuis que l'OMS a déclaré COVID-19 une pandémie le 11 mars 2020, les décès quotidiens confirmés ont chuté dans une large fourchette entre 272 et 10520 par jour - et on ne sait pas ce qui pourrait arriver à l'avenir.

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  10. En plus de cette variance, les données sur les décès confirmés de COVID-19 ont d'autres caprices. Par exemple, les taux de dépistage du virus peuvent varier entre les juridictions, et il y a également eu des désaccords entre les autorités sur la façon dont les décès devraient même être comptabilisés en premier lieu. Cela rend étonnamment compliquée l'obtention d'une image précise.

    Bien qu'il soit impossible de connaître le véritable nombre de morts de COVID-19, il est clair que dans certains pays, les décès quotidiens ont atteint des taux de 50% ou plus que la moyenne historique pour des périodes de temps:

    - voir tableau sur site -

    Du temps et une analyse plus approfondie seront nécessaires pour déterminer un décompte plus précis des décès dus au COVID-19.

    https://www.zerohedge.com/health/covid-19-deaths-context-how-many-people-die-each-day

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  11. Whitney: dans la course à l'immunité, la Suède en tête


    par Tyler Durden
    Mar., 19/05/2020 - 05:00
    Écrit par Mike Whitney via The Unz Review,


    Dans une pandémie, il n'y a pas de substitut à l'immunité, car l'immunité offre la meilleure protection contre la réinfection. C’est pourquoi la Suède a mis l’accent sur l’immunité dès le début. Ils ont élaboré une politique conçue pour protéger les personnes âgées et vulnérables, empêcher le système de santé publique d'être submergé et, plus important encore, permettre aux personnes jeunes et à faible risque d'interagir librement afin de contracter le virus et de développer les anticorps qu'elles aurais besoin de lutter contre les infections futures. C'était le plan et cela a fonctionné comme un charme. Maintenant, la Suède n'est plus qu'à quelques semaines de la réalisation de l'immunité collective (ce qui signifie que les futures épidémies ne seront pas aussi graves) tandis que les pays bloqués - qui assouplissent actuellement les restrictions - sont confrontés à une aigreuse montée qui peut ou non réussir. Conclusion: la Suède a analysé le problème, a déterminé quoi faire et l'a fait. C'est pourquoi ils se rapprochent de la ligne d'arrivée alors que la plupart des états de verrouillage sont toujours bloqués au carré 1.

    Au moment d'écrire ces lignes, aucune des autres nations n'a identifié l'immunité comme leur objectif principal, c'est pourquoi leur orientation a été erronée dès le départ. Vous ne pouvez pas atteindre un objectif que vous n'avez pas identifié. La stratégie américaine actuelle se concentre sur des procédures de confinement strictes (abri sur place, auto-isolement), dont la plupart ont peu de fondement historique ou scientifique. La vérité est que l'administration Trump a réagi précipitamment lorsque le nombre de cas positifs pour Covid a commencé à augmenter de façon exponentielle aux États-Unis. Cela a ouvert la voie à une politique de verrouillage qui résulte davantage de la pensée de groupe et de modèles informatiques défectueux que de l'analyse basée sur les données et d'une planification stratégique agile. Et les résultats parlent d'eux-mêmes. Le verrouillage de 8 semaines est probablement la plus grande catastrophe politique de l'histoire des États-Unis. Des millions d'emplois ont été perdus, des milliers de petites et moyennes entreprises vont maintenant faire faillite et les perspectives d'avenir de toute une génération de jeunes ont été anéanties. L'administration aurait pu faire exploser plusieurs bombes nucléaires dans le pays et faire moins de dégâts qu'elle ne l'a fait avec sa politique de verrouillage lunatique.

    À l'heure actuelle, 24 États ont entamé le processus de réouverture de leurs économies. Il n'y a pas de critères uniformes pour lever les restrictions, aucune approche standardisée pour ouvrir un secteur sur l'autre, et aucun plan pour faire face à l'inévitable flambée de nouveaux cas et de décès. Tout cela ressemble à une autre catastrophe en préparation, mais nous réserverons notre jugement jusqu'à ce que les résultats soient connus. Ce que nous savons avec certitude, c'est que personne au sein de l'administration Trump n'a pensé le moins possible aux problèmes qui pourraient découler de la levée des restrictions. Nous le savons parce que nous savons qu'il n'y avait pas de «stratégie de sortie», il suffit de le faire à la volée et d'espérer pour le mieux.

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  12. En revanche, la Suède n’aura pas besoin d’une stratégie de sortie car elle n’a jamais fermé son économie ni mis en quarantaine ses habitants au départ. La transition vers une vie normale et une intensification de l'activité économique ne sera donc pas aussi difficile. C’est l’avantage de la planification stratégique, elle anticipe les problèmes que l’on pourrait rencontrer sur le chemin de l’objectif. Voici un extrait d'une entrevue avec un clinicien suédois spécialiste des maladies infectieuses, Johan Giesecke, qui a été épidémiologiste d'État en Suède et scientifique en chef au Centre européen de prévention et de contrôle des maladies. Giesecke aide à expliquer pourquoi l'approche suédoise est différente. C'est une question de perception et d'analyse:

    «Ce que nous voyons est une infection plutôt bénigne qui se propage dans le monde entier. Je pense qu'il y a relativement peu de chances d'arrêter cela quelles que soient les mesures que nous prenons. La plupart des gens seront infectés par cela et la plupart ne le remarqueront même pas. Nous avons maintenant des données en Suède selon lesquelles entre 98 et 99% des cas ont eu une infection très légère ou ne se rendaient même pas compte qu’ils étaient infectés. Nous avons donc la propagation de cette maladie bénigne dans le monde entier et la plupart se produisent là où nous ne la voyons pas, car elle se produit chez des personnes qui ne tombent pas très malades et la transmettent à quelqu'un d'autre malades… Ce que nous regardons (avec le nombre officiel de cas et de décès) est une couche mince au sommet des personnes qui développent la maladie et une couche encore plus mince de personnes qui vont en soins intensifs et une couche encore plus mince de personnes qui mourir. Mais la véritable épidémie se produit là où nous ne la voyons pas. » ("Le scientifique suédois Johan Giesecke demande à l'Australie comment elle prévoit de lever son verrouillage sans décès", vous tube ... 52 seconde marque à 1:48)

    L’analyse de Giesecke s’éloigne de la vision conventionnelle du virus, ce qui explique pourquoi la réponse suédoise a été si différente. Par exemple, il dit: "Je pense qu'il y a relativement peu de chances d'arrêter cela quelles que soient les mesures que nous prenons."

    Cela va à la racine de l'approche suédoise. La Suède n'essaie pas de supprimer l'infection qu'elle considère comme une force de la nature (comme un tsunami) qui ne peut être contenue mais seulement atténuée. Dès le début, l'approche suédoise a consisté à «contrôler la propagation du virus», et non à le supprimer par des stratégies de confinement. Il y a une différence fondamentale ici, et cette différence est exprimée dans la politique.

    Deuxièmement, "Nous avons maintenant des données de Suède selon lesquelles entre 98 et 99% des cas ont eu une infection très légère ou ne se rendaient même pas compte qu'ils étaient infectés." En d'autres termes, il s'agit d'une infection hautement contagieuse qui représente peu ou pas de menace pour la plupart des gens. Cela suggère que l'économie peut rester ouverte sans mettre en danger la vie des groupes à faible risque. L'avantage supplémentaire de permettre à certaines entreprises de rester ouvertes est qu'elles créent un environnement contrôlé dans lequel l'infection peut se propager rapidement à travers la population en bonne santé qui, à son tour, développe les anticorps dont elle a besoin pour de futures épidémies. Tout cela s’inscrit dans le plan suédois de gestion plutôt que d’évitement du virus.

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  13. Enfin, «ce que nous examinons, c'est une couche mince au sommet des personnes qui développent la maladie et une couche encore plus mince de personnes qui se rendent en soins intensifs et une couche encore plus mince de personnes qui meurent.» La grande majorité des personnes décédées de Covid ont plus de 65 ans et souffrent de multiples affections sous-jacentes. C’est une terrible tragédie qu’ils meurent, mais il est insensé et impardonnable de détruire la vie et les moyens de subsistance de millions de travailleurs dans une tentative futile d’arrêter une force imparable comme Covid. La réponse appropriée consiste à protéger autant que possible les personnes âgées et les infirmes, à surveiller attentivement l'augmentation des cas pour empêcher le système de santé publique de s'effondrer et à maintenir l'économie à un niveau inférieur. Et c’est exactement ce que la Suède a fait.

    FAUCI vs. PAUL: Opération «Immunité obscurcie»

    Il n'est pas surprenant que la question de l'immunité ait été soulevée mardi lors du témoignage du Dr Anthony Fauci à Capitol Hill. Il y a eu un échange houleux entre Fauci et le sénateur Rand Paul qui a mis au défi l'expert en maladies infectieuses des informations trompeuses que l'OMS a diffusées dans les médias. Voici un extrait de la transcription:

    Le sénateur Rand Paul: «Dr. Fauci, des études montrent que les patients en convalescence COVID-19 de l'asymptomatique au très malade présentent une réponse anticorps significative. Des études montrent que le SRAS et le MERS, également des coronavirus, induisent une immunité pendant au moins 2 à 3 ans, et pourtant les médias continuent de signaler que nous n'avons aucune preuve que les patients qui survivent au coronavirus ont une immunité. Je pense qu'en fait la vérité est le contraire. Nous n'avons aucune preuve que les survivants du coronavirus n'ont pas d'immunité et beaucoup de preuves suggèrent qu'ils le font…

    Vous avez déclaré publiquement que vous parieriez que les survivants du coronavirus ont une certaine forme d'immunité. Pouvez-vous aider à établir clairement que le dossier scientifique, au fur et à mesure qu'il s'accumule, confirme que l'infection par le coronavirus mène probablement à une certaine forme d'immunité, Dr Fauci?

    Dr Anthony Fauci: «Merci pour la question, sénateur Paul. Oui, vous avez raison de dire que, compte tenu de ce que nous savons de la guérison de virus tels que les coronavirus en général, ou même de toute maladie infectieuse à quelques exceptions près, lorsque vous avez des anticorps présents, cela indique très probablement un degré de protection.

    Je pense que c'est dans la sémantique de la façon dont cela est exprimé. Lorsque vous dites que cela a été officiellement prouvé par des études d'histoire naturelle à long terme, ce qui est la seule façon de prouver, premièrement, qu'il est protecteur, ce que j'ai dit et je le répéterai, il est probable que c'est le cas, mais aussi quel est le degré ou titre d'anticorps qui vous donne ce niveau critique de protection et quelle est la durabilité. Comme je l'ai souvent répété et répété, vous pouvez faire une supposition raisonnable que ce serait protecteur, mais les études d'histoire naturelle sur une période de plusieurs mois à plusieurs années vous diront alors définitivement si c'est le cas. " (Politique claire et réelle)

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  14. Il s'agit d'un échange critique qui permet de souligner ce qu'est vraiment un caractère politique insaisissable et calculateur, Fauci. Vous remarquerez que sa réponse est entièrement écrite, complètement détournée et évite soigneusement toute mention du mot «immunité».

    La question de Rand Paul ne pourrait pas être plus simple: les survivants de Covid sont-ils immunisés ou non? Oui ou non?

    Et, la réponse est: «Oui, ils le font. Les survivants de Covid jouissent de l'immunité. »

    Mais Fauci ne fournit pas cette réponse, après une rumination de longue haleine, Fauci offre enfin la réponse la plus opaque qu'il puisse imaginer, dit-il, "vous pouvez faire une supposition raisonnable que ce serait protecteur." En d'autres termes, il évite soigneusement une réponse définitive. Mais, bien sûr, cela est compréhensible puisque l'OMS a répandu de fausses rumeurs sur l'immunité du troupeau essayant de brouiller la science car elle ne correspond pas à son programme pro-vaccin. C’est de cela qu’il s’agit de dénigrer l’immunité naturelle pour ouvrir la voie à un vaccin. Découvrez ce clip extrait d'un article de Business Insider:

    «… Les dirigeants de l'Organisation mondiale de la santé ont exprimé lundi leur indignation à l'idée que certaines personnes pourraient mourir en poursuivant une stratégie farfelue de lutte contre les virus appelée immunité collective.

    "Cette idée que," peut-être, des pays qui avaient des mesures laxistes et qui n’ont rien fait atteindront soudainement par magie une certaine immunité collective, et qu’en est-il si nous perdons quelques personnes âgées en cours de route? " dangereux, calcul dangereux », a déclaré le directeur exécutif des urgences sanitaires de l'OMS, Mike Ryan, lors d'un appel avec des journalistes.

    Ryan n'a pas mentionné de pays spécifiques par son nom, mais il était difficile de ne pas penser au taux de mortalité élevé dans les maisons de retraite suédoises car il a mentionné que «dans certains pays, plus de la moitié des cas se sont produits dans des établissements de soins de longue durée», où les gens n'ont pas été «correctement protégés».…

    "Les humains ne sont pas des troupeaux", a déclaré Ryan. "Je pense que nous devons être très prudents lorsque nous utilisons des termes de cette manière autour des infections naturelles chez l'homme, car cela peut conduire à une arithmétique très brutale qui ne place pas les gens, la vie et la souffrance au centre de cette équation."

    Ryan était visiblement troublé par l'idée que le monde accepterait une infection se propageant à travers une population, et même tuant certaines personnes, pour fournir une sorte de protection du troupeau, en particulier une dont les scientifiques ne savent même pas qu'elle existe. Il a dit que ce n'est pas un calcul qu'un pays "responsable" devrait être prêt à prendre. " («Les humains ne sont pas des troupeaux», Business Insider)

    Comme vous pouvez le voir, le Gates Vaccine Gestapo a lancé une campagne de propagande visant à discréditer, obscurcir et ridiculiser d'autres méthodes pour atteindre l'immunité qui ne coïncident pas avec leurs ambitions grandioses d'utiliser les vaccins comme point d'entrée pour un suivi, une surveillance et un controle social. est-ce que quelqu'un est surpris par ça ?

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  15. Mais le fait demeure que - comme le dit Paul, "les patients en convalescence COVID-19 ... présentent une réponse immunitaire significative (et auront probablement) une immunité pendant au moins 2 à 3 ans." Voici plus de l'épidémiologiste en chef de la Suède Anders Tegnell qui a fait ce commentaire dans une interview la semaine dernière:

    «Il est tout à fait certain que l'immunité existe…. Pour tous les cas que nous avons connus en Suède, il n'y a pas eu une seule personne qui ait eu cette maladie deux fois. Et nous avons un système d'identification très strict. Il n'y a donc aucun moyen de manquer une personne qui l'a eu deux fois. Je n’ai entendu aucun rapport de pays dans lesquels il y a eu un cas certifié qui en a eu deux fois. Il y a eu des rumeurs à ce sujet. Mais à la fin, ils ont été démentis. » («Citations clés: le meilleur épidémiologiste suédois remet en question la sagesse conventionnelle sur COVID-19» ijnet)

    Répétez: "il n'y a pas eu une seule personne qui ait eu cette maladie deux fois."

    La science est claire, l'immunité est réelle et la Suède est en passe de parvenir à l'immunité collective dans le mois.

    Les experts suédois de la santé publique ont relâché l'emprise d'une pandémie vicieuse et ont livré le peuple suédois dans un lieu sûr où il peut continuer sa vie sans craindre de contracter une infection mortelle.

    Vive la Suède !

    https://www.zerohedge.com/health/whitney-race-immunity-sweden-leads-pack

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  16. Porter un masque anti-virus ou faire face à la prison au Koweït et au Qatar


    par Tyler Durden
    Mar., 19/05/2020 - 04:15

    Un monde post-corona sera rempli de nombreux défis et surprises. Tous les voyageurs internationaux qui osent monter dans un avion et dans un autre pays feraient mieux de suivre un cours intensif sur les règles de distanciation sociale de chaque pays. Pourquoi? Eh bien, vous pourriez vous retrouver en prison si vous ne portez pas de masque dans certains pays du Moyen-Orient.

    Quiconque voyage au Koweït et au Qatar à court terme doit vraiment prêter attention aux nouvelles règles de distanciation sociale publiées dimanche. Les autorités sanitaires de chaque pays ont établi une règle très stricte selon laquelle aucun port de masque n'entraînera une lourde amende et peut-être même une peine de prison, a rapporté Reuters.

    S'il était pris sans masque au Koweït, on pourrait encourir trois mois de prison et 5 000 dinars (16 200 dollars) d'amende. Au Qatar, la peine est un peu plus sévère, on pourrait encourir jusqu'à trois ans de prison et 200 000 riyals (55 000 $) d'amende.

    Des sanctions plus sévères dans les deux pays interviennent dans le contexte d'une récente augmentation des cas de COVID-19 dans la région. Le Koweït et le Qatar ont tous deux prolongé les blocages nationaux. Le Qatar a resserré les restrictions sur les activités commerciales lundi et fermé tous les magasins jusqu'à la fin du mois de mai.

    Une flambée de cas de virus a incité le gouvernement saoudien à imposer un couvre-feu de 24 heures pendant les vacances de l'Aïd al-Fitr prévues pour plus tard ce mois-ci.

    "Un couvre-feu total sera imposé dans toutes les villes et régions du Royaume", a déclaré le 23 mai au 27 mai le ministère saoudien de l'Intérieur dans un communiqué la semaine dernière.

    Par habitant, l'Arabie saoudite, le Qatar et les Émirats arabes unis ont certains des cas de COVID-19 les plus élevés dans la région du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord (MENA).

    - voir graphique sur site -

    Les dernières données de JPMorgan suggèrent que certaines parties de l'Asie pourraient connaître les phases initiales de la deuxième vague de virus. Cela donnerait à penser que d'autres régions du monde pourraient suivre plus tard cette année.

    - voir graphique sur site -

    Pays entrant dans la deuxième phase de vague

    Positionnement des pays sur la courbe pandémique

    - voir graphique sur site -

    Alors que certains pays de la région MENA sont très stricts en matière de port de masques, d'autres pays d'Europe, en particulier la Suède, ont découragé les citoyens de porter des masques. La Suède allègue que le port du masque est inutile contre le virus.

    Tous les pays ne portent pas le même masque - si vous voyagez à l'étranger, il serait bon de rattraper les règles de distanciation sociale de chaque pays.

    https://www.zerohedge.com/health/wear-virus-mask-or-face-jail-kuwait-and-qatar

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  17. La raison tacite des blocages


    par Tyler Durden
    Mar., 19/05/2020 - 03:30
    Écrit par Robert Skidelsky via Project-Syndicate,


    La pandémie de COVID-19 est la première crise mondiale majeure de l'histoire humaine à être traitée comme un problème mathématique, les gouvernements considérant la politique comme la solution à un ensemble d'équations différentielles. À l'exception de quelques valeurs aberrantes - y compris, bien sûr, le président américain Donald Trump - la plupart des dirigeants politiques se sont servilement servis de «science» pour lutter contre le virus. L’exemple le plus clair en est le changement soudain du gouvernement britannique le 23 mars vers une politique de verrouillage agressive, à la suite d’une prévision cauchemardesque de 550 000 décès des chercheurs de l’Imperial College London si rien n’était fait pour lutter contre la pandémie.

    Une telle modélisation est la bonne approche scientifique lorsque la question des barres d'expérimentation est expérimentée. Vous pouvez tester un nouveau médicament en soumettant deux groupes de rats de laboratoire à des conditions identiques, à l'exception du médicament qui leur est administré, ou en l'administrant à des humains sélectionnés au hasard dans des essais cliniques.

    Mais vous ne pouvez pas délibérément insérer un virus dans une population humaine pour tester ses effets, bien que certains médecins des camps de concentration nazis aient fait exactement cela. Au lieu de cela, les scientifiques utilisent leur connaissance de l'agent pathogène infectieux pour modéliser le modèle de contagion d'une maladie, puis déterminer quelles interventions politiques le modifieront.

    La modélisation prédictive a été développée pour la première fois pour le paludisme il y a plus d'un siècle par un médecin anglais presque oublié, Ronald Ross. Dans un livre fascinant de 2020, le mathématicien et épidémiologiste Adam Kucharski a montré comment Ross a identifié le moustique comme l'agent infectieux pour la première fois lors d'expériences sur des oiseaux. À partir de ce fait, il a développé un modèle prédictif de transmission du paludisme, qui a ensuite été généralisé en tant que modèle SIR (sensible, infecté et récupéré) des épidémies de maladies contagieuses.

    La question qui intéressait les épidémiologistes n'était pas ce qui déclenche une épidémie, mais ce qui la fait cesser. Ils ont conclu que les épidémies cessent naturellement lorsque suffisamment de personnes ont contracté la maladie, de sorte que les taux de transmission diminuent. Fondamentalement, le virus manque d'hôtes sur lesquels il peut se reproduire. Dans le jargon d'aujourd'hui, la population développe une «immunité collective».

    La science développée à partir du modèle original de Ross est presque universellement acceptée et a été appliquée avec succès dans d'autres contextes, comme la contagion financière. Mais aucun décideur n'est prêt à laisser une épidémie meurtrière suivre son cours naturel, car le nombre potentiel de morts serait inacceptable.

    Après tout, la grippe espagnole de 1918-1919 a tué quelque 50 à 100 millions de personnes sur une population mondiale de deux milliards de personnes: un taux de mortalité compris entre 2,5% et 5%. Personne ne savait avec certitude quel aurait été le taux de mortalité par COVID-19 si la propagation du coronavirus n'avait pas été maîtrisée.

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  18. Parce qu'il n'y a actuellement aucun vaccin COVID-19, les gouvernements ont dû trouver d'autres moyens de prévenir les «décès excessifs». La plupart ont opté pour des verrouillages, qui retirent des populations entières du chemin du virus et le privent ainsi d'hôtes.

    Cependant, deux mois après le verrouillage européen, les preuves suggèrent que ces mesures à elles seules n'ont pas eu beaucoup d'effet médical. Par exemple, la Suède, avec son verrouillage exceptionnellement léger, a enregistré moins de décès dus au COVID-19 par rapport à sa population que l'Italie et l'Espagne étroitement enfermées. Et tandis que le Royaume-Uni et l'Allemagne ont tous deux été bloqués de manière agressive, l'Allemagne a jusqu'à présent signalé 96 décès par million d'habitants, contre 520 par million au Royaume-Uni.

    La différence cruciale entre l'Allemagne et le Royaume-Uni semble résider dans leurs réponses médicales respectives. L'Allemagne a commencé les tests de masse, la recherche des contacts et l'isolement des personnes infectées et exposées dans les quelques jours suivant la confirmation de ses premiers cas de COVID-19, se donnant ainsi une longueur d'avance pour ralentir la propagation du virus.

    Le Royaume-Uni, en revanche, est entravé par l'incohérence au centre du gouvernement et par ce que l'ancien secrétaire aux Affaires étrangères David Owen (lui-même médecin) a appelé le «vandalisme structurel» infligé au National Health Service par des années de coupures, de fragmentation et de centralisation. En conséquence, le pays manquait d'outils médicaux pour une réponse à l'allemande.

    La science ne peut pas déterminer quelle aurait dû être la réponse COVID-19 correcte pour chaque pays. Un modèle peut être considéré comme validé si ses prévisions correspondent à des résultats dans la vie réelle. Mais en épidémiologie, nous pouvons être sûrs que cela ne se produira que si un virus aux propriétés connues est autorisé à suivre son cours naturel dans une population donnée, ou s'il y a une seule intervention comme un vaccin, dont les résultats peuvent être prédits avec précision .

    Trop de variables - y compris, par exemple, la capacité médicale ou les caractéristiques culturelles - brouillent le modèle, et il commence à vomir des scénarios et des prédictions comme un robot dément. Aujourd'hui, les épidémiologistes ne peuvent pas nous dire quels seront les effets de l'actuel dosage de politiques COVID-19. «Nous ne le saurons que dans un an environ», disent-ils.

    Le résultat dépendra donc de la politique. Et la politique de COVID-19 est suffisamment claire: les gouvernements ne pouvaient pas risquer la propagation naturelle de l'infection et pensaient qu'il était trop compliqué ou politiquement difficile d'essayer d'isoler uniquement les personnes les plus à risque de maladie grave ou de décès, à savoir les 15-20% de la population âgée de plus de 65 ans.

    La réponse politique par défaut a été de ralentir la propagation de l'immunité naturelle jusqu'à ce qu'un vaccin puisse être développé. Ce que signifie vraiment «aplatir la courbe», c'est espacer le nombre de décès attendus sur une période suffisamment longue pour que les établissements médicaux puissent faire face et qu'un vaccin puisse démarrer.

    Mais cette stratégie a une terrible faiblesse: les gouvernements ne peuvent pas garder leurs populations enfermées jusqu'à l'arrivée d'un vaccin. En dehors de toute autre chose, le coût économique serait impensable. Ils doivent donc assouplir progressivement le verrouillage.

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  19. Ce faisant, cependant, lève le plafond de la non-exposition acquise grâce au verrouillage. C'est pourquoi aucun gouvernement n'a de stratégie de sortie explicite: ce que les dirigeants politiques appellent l '«assouplissement contrôlé» des blocages signifie en fait des progrès contrôlés vers l'immunité collective.

    Les gouvernements ne peuvent pas l'avouer ouvertement, car cela reviendrait à admettre que l'immunité collective est l'objectif. Et on ne sait même pas encore si et pendant combien de temps l'infection confère l'immunité.

    Il vaut donc beaucoup mieux poursuivre silencieusement cet objectif, sous un nuage d'obscurcissement, et espérer qu'un vaccin arrive avant que la majeure partie de la population ne soit infectée.

    https://www.zerohedge.com/political/unspoken-reason-lockdowns

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  20. Les Nations Unies affirment qu'il est politiquement incorrect de dire "mari" ou "femme"


    par Tyler Durden
    Mar., 19/05/2020 - 02h00
    Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Les Nations Unies ont publié un tweet affirmant que les gens ne devraient pas utiliser des termes politiquement incorrects comme "petit ami", "petite amie", "mari" et "femme" afin "d'aider à créer un monde plus égal".

    «Ce que vous dites est important. Aidez à créer un monde plus égalitaire en utilisant un langage non sexiste si vous n'êtes pas sûr du sexe de quelqu'un ou si vous faites référence à un groupe », déclare le tweet.

    Il énumère ensuite un certain nombre de termes à côté de leur alternative politiquement correcte.

    Il s'agit notamment de l'humanité, président, membre du Congrès, policier, propriétaire, petit ami / petite amie, main-d'œuvre, nom de jeune fille, pompier et mari / femme.

    Une bureaucratie mondialiste sans visage disant aux gens quels sons sont autorisés à sortir de leur bouche n’a pas trop bien fonctionné.

    "Arrêtez d'essayer de contrôler le langage des gens. C'est effrayant et inutile », a déclaré Lucy Harris.

    "Sommes-nous autorisés à dire fils ou fille ou mon conjoint et moi aurons-nous la visite d'un policier ?" demanda un autre.

    "Sommes-nous encore autorisés à dire une plaque d'égout ?" a plaisanté un autre.

    * * *

    Ma voix est réduite au silence par les géants de la Silicon Valley qui détestent la liberté d'expression et qui veulent que je disparaisse à jamais. C'est CRUCIAL que vous me souteniez. Veuillez vous inscrire à la newsletter gratuite ici. Faites-moi un don sur SubscribeStar ici. Soutenez mon sponsor - Turbo Force - un coup de pouce suralimenté d'énergie propre sans la descente.

    https://www.zerohedge.com/political/united-nations-claims-its-politically-incorrect-say-husband-or-wife

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  21. La menace nucléaire à venir: les missiles hypersoniques


    par Tyler Durden
    Mar., 19/05/2020 - 00:05
    Écrit par Karl Grossman via Counterpunch.org,


    Les États-Unis cherchent à acquérir "des volumes de centaines, voire de milliers" de missiles hypersoniques à capacité nucléaire qui sont "furtifs" et peuvent voler sans être détectés à 3 600 miles par heure, (5.793 kilometers/h) cinq fois plus vite que la vitesse du son.

    Pourquoi tant ?

    Un responsable du Pentagone, cité dans le numéro actuel de Aviation Week & Space Technology, a déclaré: «nous devons faire attention à ne pas fabriquer d'armes de boutique. Si nous construisons des armes de boutique, nous ne serons pas - nous serons très réticents à - les utiliser. "

    L'article de la revue spécialisée de l'industrie aérospatiale est intitulé: «Hypersonic Mass Production». Un sous-titre se lit comme suit: "Le Pentagone forme une" salle de guerre "pour l'industrie hypersonique."

    Le 19 mars 2020, les États-Unis ont effectué leur premier test de missile hypersonique à partir de leur installation de missile du Pacifique à Kauai, à Hawaï.

    «Fast and Furiously Accurate» est le titre d'un article sur les missiles hypersoniques écrit par un officier de la marine américaine et paru l'année dernière sur un site Web de l'US Naval Institute.

    La pièce déclare qu'en «intégrant spécifiquement les armes hypersoniques aux sous-marins de la marine américaine, les États-Unis pourraient gagner un avantage dans le développement des armes les plus rapides et les plus précises que le monde ait jamais vues».

    «Les armes hypersoniques», explique l'article du lieutenant de la marine américaine Andrea Howard, «voyagent plus vite que Mach 5 - au moins cinq fois la vitesse du son, environ 3 600 mph, ou un mile par seconde…. Elles sont similaires mais plus rapides que celles existantes. des missiles, comme le missile subsonique américain Tomahawk, qui atteint un maximum d'environ 550 mph (885 kilometers/h). "

    «Alors que les armes hypersoniques peuvent transporter des ogives conventionnelles ou nucléaires, elles diffèrent des technologies existantes de trois manières essentielles», écrit Howard. «Premièrement… un objet d'un kilogramme livré avec précision et des multiples de déplacement de la vitesse du son peuvent être plus destructeurs qu'un kilogramme de TNT. Deuxièmement, la trajectoire à basse altitude permet de masquer les HCM [missiles de croisière hypersoniques] lorsqu'ils sont couplés à la courbure de la Terre »et donc« ils sont pour la plupart invisibles aux radars d'alerte précoce. Et troisièmement… ils peuvent manœuvrer pendant le vol; contrairement à la descente prévisible des missiles balistiques, ils sont plus difficiles à intercepter, même s'ils sont détectés. »

    «En offrant la précision des armes quasi nulles, la vitesse des missiles balistiques et la maniabilité des missiles de croisière, les armes hypersoniques sont une technologie perturbatrice capable de frapper n'importe où sur le globe en moins d'une heure», déclare l'officier de marine. .

    L'article note également que le président russe Vladimir Poutine a dévoilé six nouveaux missiles hypersoniques «invincibles» dans le cadre d'un discours sur l'état de la nation en mars 2018. "La Russie a testé avec succès le missile hypersonique air-sol" nommé Kinzhal pour poignard", à plusieurs reprises en utilisant le chasseur MIG-31." Il "monte le Kinzhal sur son bombardier stratégique Tu-22M3". L'article indique également que "la Chine travaille également sur les technologies hypersoniques".

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  22. La pièce conclut:

    «Alors que la tradition de maîtrise des armements s'affaiblit avec la rupture de l'accord sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (INF), il serait naïf d'anticiper autre chose que le développement d'armes à part entière par la Russie et la Chine dans les décennies à venir…. est que les armes hypersoniques détermineront précisément qui est suffisamment «rapide» dans les conflits du XXIe siècle. »

    Les États-Unis sous le président Trump se sont retirés l'an dernier du traité INF, un accord historique qui avait interdit tous les missiles balistiques et de croisière terrestres d'une portée de 310 à 3420 milles (498 kilometers à 5503 kilometers). Il avait été signé en 1987 par le président Reagan et le secrétaire général soviétique Mikhaïl Gorbatchev. Le traité «marque la première fois que les superpuissances acceptent de réduire leurs arsenaux nucléaires, d'éliminer toute une catégorie d'armes nucléaires et de recourir à des inspections sur site approfondies pour vérification», note l'Association de contrôle des armements.

    «Les missiles hypersoniques peuvent être imparables. La société est-elle prête ? " était le titre d'un article en mars dans The Christian Science Monitor. Cette pièce note: «Les missiles hypersoniques ne sont pas seulement très rapides, ils sont maniables et furtifs. Cette combinaison de vitesse et de furtivité signifie qu'ils peuvent surprendre un adversaire d'une manière que les missiles conventionnels ne peuvent pas, tout en évitant la détection radar. Et ils ont injecté un niveau supplémentaire de risque et d'ambiguïté dans ce qui était déjà une course aux armements accélérée entre des rivaux dotés d'armes nucléaires. »

    L'article soulève la question de la vitesse des missiles hypersoniques à l'image des décisions militaires. «Pour un missile conventionnel entrant, les commandants militaires peuvent avoir 30 minutes pour détecter et répondre; un missile hypersonique pourrait arriver à cette même destination en 10 minutes. » Ainsi, «l'intelligence artificielle» ou «l'IA» serait utilisée.

    L'article de Christian Science Monitor cite Patrick Lin, professeur de philosophie à la California Polytechnic State University à San Luis Obispo, qui note:

    «La technologie échouera toujours. Telle est la nature de la technologie. »

    Et, dit l'article: «Dr. Lin fait valoir que les avantages des armes hypersoniques par rapport au risque qu'elles créent sont «largement flous», ainsi que les avantages des systèmes d'IA qui les informent. »

    Il cite le Dr Lin comme disant, sagement:

    "Je pense qu'il est important de se rappeler que la diplomatie fonctionne et que les solutions politiques fonctionnent ... Je pense qu'un autre outil de notre boîte à outils n'est pas seulement d'investir dans plus d'armes, mais aussi d'investir dans la diplomatie pour développer la communauté."

    L'article de la Semaine de l'aviation et des technologies spatiales commence: «Alors que la stratégie américaine des armes hypersoniques penche vers l'évaluation d'une approche quantitative, le nouvel objectif des meilleurs planificateurs de la défense - même si une batterie de tests en vol de quatre ans commence - est de créer une base industrielle qui peut produire des missiles à un prix abordable pour que les armes à grande vitesse puissent être achetées en volumes de centaines, voire de milliers. »

    Elle poursuit: «Pour ouvrir la voie à une stratégie de production abordable, la division Recherche et ingénierie du Pentagone s'est associée à la branche Acquisition et Développement durable pour créer une« salle de guerre »pour la base industrielle hypersonique, déclare Mark Lewis, directeur de la recherche et l'ingénierie de la modernisation.

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  23. La pièce cite ensuite Lewis comme disant:

    "En fin de compte, nous devons faire attention à ne pas fabriquer d'armes de boutique. Si nous construisons des armes de boutique, nous ne les utiliserons pas - nous serons très réticents à les utiliser. Et cela tient à nouveau compte de nos plans de mise à disposition d'hypersoniques à grande échelle. »

    L'article indique que «les responsables de l'armée de l'air et de la défense ont fait la promotion de concepts pour l'utilisation de missiles hypersoniques lancés par air lors d'attaques à l'essaim. Le B-1B [bombardier], par exemple, sera modifié pour transporter ”six missiles hypersoniques.

    "Je pense que c'est une question mal posée à poser sur l'abordabilité par unité", a déclaré le journal, selon Lewis.

    «Nous devons y penser en termes d’abordabilité des capacités que nous proposons. Je veux dire par là: si j'ai un système hypersonique qui coûte deux fois plus cher que son homologue subsonique mais qui est cinq fois plus efficace, eh bien, clairement, c'est un scénario de coût avantageux. "

    Les missiles hypersoniques seront en effet probablement «invincibles». Et ils seraient prêts à cause du retrait, par l'administration Trump, du traité INF et d'autres accords internationaux sur le contrôle des armements, l'un après l'autre.

    Avec le grand nombre de missiles hypersoniques à capacité nucléaire recherchés, le monde sera complètement revenu à la folie dans les profondeurs de la guerre froide - comme présenté dans le film de 1964 Dr Strangelove ou: Comment j'ai appris à arrêter de m'inquiéter et à aimer la bombe .

    L'apocalypse sera très probable. L'intelligence artificielle ne va pas nous sauver. Ces armes doivent être interdites, non produites et achetées en masse. Et nous devons, en effet, «investir dans la diplomatie pour développer la communauté» - une communauté mondiale en paix, pas un monde de guerre horrible et imparable.

    https://www.zerohedge.com/political/coming-nuclear-menace-hypersonic-missiles

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  24. LE CONSEIL D'ETAT SUSPEND L'UTILISATION DES DRONES DE CONTRÔLE À PARIS


    par QUITTERIE DESJOBERT
    19/05/2020


    L'appel d'offres du ministère de l'Intérieur pour l'acquisiton de nouveaux drones s'élève à 4 MILLIONS €

    Alors qu’ils servaient à contrôler le déconfinement à Paris, les drones ne sont plus autorisés. Le Conseil d’Etat considérant que leur emploi découlait d’un traitement de données personnelles non encadré, a prononcé la suspension de leur utilisation.

    Une décision « généralisable à l’ensemble de la France »

    La décision prise par le Conseil d’Etat ce lundi 18 mai 2020, intervient après une saisine de ce dernier par l’avocat de la Ligue des droits de l’Homme Maître Patrice Spinosi. Ce dernier s’était porté contre l’utilisation des drones à Paris, comme outil de contrôle du confinement, ainsi que du déconfinement.

    Ainsi le Conseil d’Etat a considéré que cette utilisation de drone résultait d’un traitement de données personnelles non encadré, faute de texte. Si pour le moment cette décision ne concerne que la capitale parisienne Maître Spinosi estime qu’elle est « généralisable à l'ensemble de la France »

    Un encadrement nécessaire

    Pour que les drones puissent recommencer leur mission de contrôle du déconfinement, il faut que leur usage soit prévu par un texte législatif ou réglementaire. Utilisés lors de manifestations publiques, depuis le début de crise sanitaire du Covid-19 les drones ont une nouvelle fonction. À Paris durant la période du déconfinement leur mission est de repérer les contrevenants et de diffuser des messages de prévention.

    Cette nouvelle mission a continué avec le déconfinement, afin de surveiller les potentiels attroupements. En l’état et sans texte pour pouvoir recommencer leur mission, il faudrait équiper les engins de dispositif technique de brouillage, qui rendraient impossible l’identification des personnes filmées.

    Une commande de drones polémique

    En parallèle de cette décision de justice, le ministère de l’Intérieur a publié un appel d’offres qui fait polémique. L’appel d’offres d’un montant de 4 millions d’euros publié en plein confinement, le 12 avril 2020, a pour but de faire l’acquisition de 650 drones. Une commande qui pose beaucoup de questions quant à l’utilisation future des drones. Cependant le ministère dément tout lien avec la crise sanitaire actuelle.

    http://www.economiematin.fr/news-conseil-etat-drone-controle-paris-confinement-coronavirus

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  25. MERKRON ET LE DERNIER PLAN BIDON !


    par CHARLES SANNAT
    19/05/2020


    Macron et MErkel ont annoncé un plan à 500 milliards d'euros pour l'Union européenne.

    Voyez, le problème, parfois, c’est que l’on sait exactement ce qu’il va se passer avant même que cela n’arrive. Tous ceux parmi vous qui sont parents d’enfants savent très bien de quoi je parle. De l’instinct, à la compréhension et à l’expérience du vieux singe à qui plus personne ou presque ne peut plus apprendre à faire une nouvelle grimace, l’avenir est déjà connu.

    Alors nous devrons supporter les médias serviles, remplis de jeunes blanc-bec et de blanche-bec également, soyons paritaire, les « hourras » de rigueur, nous devrons communier à la cathédrale cathodique les vraies étant encore fermées au culte, saluer notre grand timonier à la barre au Palais qui se prenait ce week-end pour le Général de Gaulle, et depuis hier pour le sauveur de l’Europe et du couple franco-allemand sans lequel … « rien n’est possible en Europe ».

    Simagrées prévisibles.

    Communication pathétique.

    La réalité elle est la suivante.

    500 milliards d’euros qui seront empruntés et répartis par la Commission Européenne de Bruxelles qui n’a jamais servi à rien si ce n’est à pondre des règlements ineptes sur la contenance des chasses d’eau des cuvettes à chiottes de l’Union ou encore le diamètre de la noix sur le marché de Foix… C’est important le diamètre de la noix même si c’est un sujet à la noix.

    Je peux donc déjà vous dire très précisément que ces 500 milliards ne représentent strictement rien dans une zone euro dont le PIB est déjà de 14 000 milliards d’euros !

    Nous parlons de 3.6 % du PIB de l’eurozone et de 2 % en gros de l’Union Européenne tout entière ! Bref, une goutte d’eau dans un océan d’endettement qui est en train de se créer dans chaque pays d’Europe. L’Allemagne va dépenser presque 900 milliards à elle seule, la France terminera sur son budget propre à 500 milliards d’euros, l’Italie et l’Espagne également, bref, ces 500 milliards ne représentent rien, mais ce n’est pas là le plus important.

    Comme je suis voyant, je peux vous dire très exactement comment la Commission Européenne va les répartir.

    Par exemple l’Allemagne percevra après toutes les circonvolutions bruxelloises de rigueur 27,1464 % de ces 500 milliards d’euros soit précisément 135 milliards et 732 millions d’euros. Je vous épargne les centimes.

    La France recevra 101 milliards et 929 millions.

    Puis, plus nous irons vers les « petits » pays plus les sommes baisseront.

    Si l’Europe veut être « sympa » et souhaite faire un peu de démagogie facile, ils s’écarteront des répartitions traditionnelles pour donner un peu plus aux plus petits ou à ceux qui en auront le plus besoin, mais cela ne changera rien au bout du compte au fonctionnement déjà moribond de la zone euro que le couple Merkron n’a pas pu sauvé hier.

    Ils ont offert aux peuples d’Europe un petit répit et une nouvelle séance de communication comme toutes celles auxquelles nous avons eu droit lors de la crise précédente de 2008 à 2012 où tous les deux mois un « sommet de la dernière chance » sauvait à nouveau l’Europe.

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  26. D’ailleurs je crois que c’est Nicolas Sarkozy qui a le plus souvent sauvé l’Europe à lui tout seul aidé de Merkel déjà à l’époque.

    Souvenez-vous… la crise de 2007, il faudra attendre 2010 pour que l’Europe mette au point le Le Fonds européen de stabilité financière (FESF) pour la zone euro.

    Mais il y aura aussi le Le Mécanisme européen de stabilité financière (MESF)… pour les pays de l’Union Européenne mais hors zone euro.

    Puis tout cela sera consolidé et fusionné dans le MES, le mécanisme européen de stabilité…

    Déjà à l’époque le mécanisme était très simple.

    Des pays surendettés, en déficit chronique, se portaient « garants » d’un fonds qui empruntait pour prêter de l’argent à ces mêmes pays en faillite théorique.

    Il fallait là aussi s’extasier sur l’intelligence remarquable d’une telle décision européenne.

    Aujourd’hui nous ne savons pas très bien comment tout cela va fonctionner, mais en gros l’idée, c’est que l’Union Européenne puisse emprunter. Mais pour emprunter, encore faut-il qu’elle dispose de ressources… des impôts quoi. Il n’y a pas d’impôts européens pour le moment. Soit les pays vont abonder un peu plus selon leur quote-part, soit nous aurons droit à la mise en place d’un nouvel impôt, fédéral et européen cette fois.

    Ils en rêvent depuis le départ.

    L’impôt européen.

    Haaaaaa…. quelle idée géniale.

    Nous paierons, car au bout du compte c’est toujours les petits gueux qui payent, du fin fonds de la Grèce, à la campagne portugaise, aux coins reculés de la Creuse, nous sommes taxés et rapinés avec une grande constance.

    Évidemment l’Europe n’est pas sauvée du tout, et nous ne sommes globalement d’accord sur rien, si ce n’est sur une petite chose, faire de la communication et des moulinets dans l’eau.

    Encore quelques instants de plus Monsieur le bourreau, cela peut durer encore longtemps, mais il va falloir cette fois payer une crise aux coûts monstrueux.

    Je ne suis pas persuadé compte tenu des montants concernés que les accords a minima et les expédients marketing soient suffisants.

    Pas cette fois, surtout que la crise n’est pas terminée.

    Elle ne fait que commencer.

    http://www.economiematin.fr/news-plan-merkel-macron-europe-pret-bidon-aide-coronavirus-sannat

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  27. DÉCONFINEMENT : NE SORTEZ JAMAIS SANS UN JUSTIFICATIF DE DOMICILE


    par PAOLO GAROSCIO
    14/05/2020


    L'amende pour non respect des règles de déplacement du déconfinement est de 135 euros.

    La communication aurait pu être un peu plus claire de la part du gouvernement : s’il n’y a plus besoin d’attestation pour sortir de chez soi, pour se déplacer dans son département (même au-delà de 100 kilomètres) et pour se déplacer dans un rayon de 100 kilomètres à vol d’oiseau autour de son domicile (même en dehors de son département)… Comment les forces de l’ordre peuvent-elles vérifier votre lieu d’habitation ?

    Pas d’attestation… mais un justificatif de domicile

    Sur l’attestation de déplacement qui accompagnera certains Français durant le déconfinement, le gouvernement a été clair (du moins, sur son site internet) : elle n’est nécessaire que si le déplacement est à plus de 100 kilomètres à vol d’oiseau autour du domicile et que ce déplacement vous fait sortir de votre département. Les deux conditions doivent être réunies pour que l’attestation soit bien nécessaire et puisse vous être demandée.

    Mais une question se pose : sachant que les documents d’identité comme la carte d’identité ou le permis de conduire ne mentionnent pas forcément le bon lieu de résidence (lorsqu’on déménage on ne change pas de carte d’identité, par exemple), comment les policiers et gendarmes peuvent-ils savoir exactement où vous habitez (et donc vérifier si vous n’êtes pas sorti du département ou des 100 kilomètres) ?

    Le justificatif de domicile vous sera demandé en cas de contrôle

    LCI a interrogé, au sujet de ce problème, une source policière qui confirme bien que sans justificatif de domicile il leur est impossible, sauf à faire une vérification en bonne et due forme dans leur base de données, de savoir où la personne contrôlée habite. « Il faut bien savoir d'où les automobilistes, motards et autres routiers sont partis, pour être certains que la limite des 100 km n'a pas été franchie. Rien de surprenant finalement, mais c'est certain, il risque d'y avoir des oublis. » Il vous faudra donc bien justifier votre domicile… avec un justificatif de domicile.

    Nombreux seront les documents potentiellement acceptés : « une attestation d'assurance, un chéquier, une pièce d'identité, un justificatif d'assurance de la voiture, une facture » selon le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner.

    Et pour celles et ceux qui n’ont rien à leur nom, notamment les jeunes ou certains conjoints, il faudra probablement un de ces documents accompagné d’une attestation de la personne nommée qui dit qu’elle vous héberge bien chez elle.

    http://www.economiematin.fr/news-deconfinement-attestation-sortie-justificatif-domicile-controle-route-france

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  28. Chronique cinématographique : Knock


    le 19 mai 2020


    Knock (ou le triomphe de la médecine) fut une pièce de théâtre écrite par Jules Romains mise en scène et jouée pour la première fois en 1923 par Louis Jouvet dans le rôle du Docteur. Celui-ci joua le rôle du Docteur Knock 30 ans plus tard dans le film de Guy Lefranc qui sortit sur les écrans en 1951. Ce film est d’une actualité saisissante en ces temps de peur mondiale d’une épidémie, de celle qui se termine mais aussi d’autres épidémies à venir. Ce que l’on peut retenir du scénario écrit par Jules Romains s’insère dans le contexte civilisationnel troublé dans le quel nous vivons. Malgré les immenses progrès technologiques modernes qui ont envahi notre vie quotidienne et en particulier la médecine, nos mentalités n’ont pas vraiment évolué depuis 1923. À cette époque, dans les villages de la France périphérique il y avait l’instituteur, le médecin, le pharmacien, le maire, le tambour de ville et le garde-champêtre et ces six personnages occupaient une place centrale dans le quotidien des villageois.

    Arrive Knock avec l’idée bien précise de non pas mettre la médecine et la pharmacie (avec le pharmacien local) au service des malades « qui s’ignorent … » mais de mettre ces derniers au service de ces deux corporations.

    Petit extrait du dialogue entre le Docteur Parpalaid et Madame Rémy environ 8 minutes avant la fin du film.

    Dr Parpalaid (Jean Brochard) : « Alors vous croyez qu’un « vrai » médecin peut combattre une épidémie mondiale, à peu près comme le garde-champêtre peut combattre un tremblement de terre, attendez la prochaine et vous verrez si le Docteur Knock s’en tire mieux que moi » (il faisait allusion à la grippe espagnole qui était encore dans les mémoires).

    Madame Rémy (Mireille Perrey), la tenancière de l’hôtel du village transformé en hôpital : « Je commence à savoir ce que c’est qu’un malade et dans un village où tous les gens chétifs sont déjà au lit, on l’attend de pied ferme votre épidémie mondiale » (allusion aux futurs EHPADs ?).

    Alors que la pandémie de SARS-Cov2 touche à sa fin et qu’elle aura fait à peine plus de victimes que la grippe à influenza dite de Hong-Kong, il est remarquable de constater que Jules Romains, cent ans plus tôt, avait entrevu l’évolution de la médecine et de la pharmacie qui utilisent les malades pour réaliser le maximum de profits. Les politiciens se sont emparé de l’événement sanitaire présent pour détruire durablement l’économie mondiale par leurs décisions iniques et contre-productives de confinement. Comme disait je crois Churchill la guerre est une affaire trop grave pour la laisser entre les mains des politiciens et pour paraphraser cette citation je dirai que la santé est une affaire trop grave pour la laisser entre les mains de ces mêmes politiciens ni entre les mains des médecins qui font de la politique à temps plein. Le cas de la gestion française de cette épidémie en est l’exemple caricatural.

    Un chef-d’oeuvre du cinéma français à voir et revoir …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/05/19/chronique-cinematographique-knock/

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  29. Une deuxième «pyramide de Khéops» découverte par hasard en Russie - photo


    16:52 19.05.2020


    Un groupe de touristes a découvert dans l’Oural, en Russie, une montagne rappelant dans sa forme la pyramide de Khéops, annonce le 19 mai le site d’information Ekaterinbourg online. Elle est visible sur des images prises depuis l’espace.

    Une montagne ressemblant à la pyramide de Khéops, ou grande pyramide de Gizeh, a été repérée dans le district autonome des Khantys-Mansis — Iougra, dans la chaîne de montagnes Pripolyarny Oural, en Russie, rapporte le portail d’information Ekaterinbourg online.

    La forme pyramidale de la montagne est visible sur des images prises par un satellite.

    C’est un groupe de touristes du club d’expéditions Dikiy Sever (Nord sauvage) qui a fait cette découverte.

    Près de 800 mètres de haut

    Le chef du club, Evgueni Svitov, a raconté au média qu’ils avaient aperçu la montagne alors qu’ils préparaient un itinéraire et se trouvaient à bord d’un hélicoptère.

    «Selon les données fournies par un satellite, la montagne répète exactement dans sa forme la célèbre pyramide de Khéops en Égypte. Seulement sa taille est deux fois plus grande. La hauteur de la pyramide est de 774 mètres, la longueur de chacune de ses arêtes est de près d'un kilomètre», a-t-il raconté.
    Pour accéder à la «pyramide», il faut soit marcher 400 kilomètres le long de la chaîne de montagne, soit s’y rendre en hélicoptère.

    https://fr.sputniknews.com/russie/202005191043807317-une-deuxieme-pyramide-de-kheops-decouverte-par-hasard-en-russie---photo/

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    1. (...) La hauteur de la pyramide est de 774 mètres, la longueur de chacune de ses arêtes est de près d'un kilomètre» (...)

      C'est un gag ou quoi ?!

      Découverte en l'an 2020 !! 774 m de haut et... personne ne l'a vu !

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  30. «Macron prend les gens pour des imbéciles» concernant le plan de relance franco-allemand


    18:10 19.05.2020
    Par Fabien Buzzanca


    Emmanuel Macron et Angela Merkel ont proposé un plan de relance de 500 milliards d’euros afin de faire face à la crise économique. Nouveauté, les chefs d’État proposent de mutualiser la dette des pays européens. Pour Charles-Henri Gallois, responsable national à l’UPR en charge de l'économie, un tel plan conduirait à l’austérité.

    «Ce plan est très mauvais pour la France !»

    Sans surprise, Charles-Henri Gallois, responsable national chargé de l’économie au sein de l’Union Populaire Républicaine (UPR), parti pro-Frexit, n’est pas séduit par la dernière proposition du couple franco-allemand.

    Ce qui est ressorti de la réunion du 18 mai entre Emmanuel Macron et la chancelière allemande Angela Merkel est pourtant inédit. Afin de faire face à la grave crise économique entraînée par la pandémie de coronavirus, les deux dirigeants ont proposé un plan de relance de 500 milliards d’euros. Jusque-là, rien de bien nouveau. C’est du côté du financement que vient la surprise.

    Qui va payer ?

    Paris et Berlin ont soumis l’idée que ce plan de soutien destiné à être reversé en «dépenses budgétaires» aux pays européens et «aux secteurs et régions les plus touchés» soit financé par des emprunts de la Commission sur les marchés «au nom de l’UE». En d’autres termes, la dette européenne serait mutualisée. Une option dont l’Allemagne ne voulait, jusqu’à présent, pas entendre parler.

    «Beaucoup de médias jouent de la trompette par rapport à cet événement, alors que c’est beaucoup de bruit pour rien», ironise Charles-Henri Gallois.

    Les 500 milliards d’euros du plan franco-allemand viendraient s’ajouter aux 500 milliards d’aide déjà mis sur la table par Bruxelles et porterait donc l’aide de l’Europe à environ 1.000 milliards d’euros.

    Une somme colossale qui serait destinée à contrer la forte récession qui frappera la zone euro en 2020 et qui, selon les dernières prévisions de la Commission, devrait atteindre le chiffre record de -7,7% de croissance.

    La proposition franco-allemande est un «signal historique» pour Henrik Enderlein, directeur du Centre Jacques Delors de Berlin. «Vraiment important», lance quant à lui Jacob F. Kirkegaard, du Peterson institute for International Economics. Les superlatifs pour décrire le projet n’ont pas manqué du côté des europhiles. Des propos qui tranchent avec ceux tenus par Jean-Luc Mélenchon, leader de la France insoumise: «Humiliante séance Macron/Merkel, où la France fait le porte-serviette du gouvernement de coalition droite/PS en Allemagne. Ambiance de condominium excluant les autres pays. Plan de relance rikiki. Mesquineries de Merkel. Refus de l’annulation de la dette. Un naufrage dangereux.»

    De l’autre côté de l’échiquier politique, Marine Le Pen a également fustigé les déclarations de Paris et Berlin: «Les Français doivent lire entre les lignes des annonces faites par Macron et Merkel: nous allons perdre encore en souveraineté, payer encore plus pour l’UE, et peut-être aller demain vers un impôt européen.»

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  31. «La France est contributeur net au budget de l’Union européenne. Pour Paris, il s’agit d’une arnaque, comme toutes les initiatives de ce type qui passent par Bruxelles. Ces 500 milliards d’euros ne sont pas de l’argent magique qui sort de nulle part. C’est un emprunt qu’il faudra rembourser et cela se fera sur le budget de l’Union européenne. Résultat: la France va surpayer pour d’autres pays», analyse Charles-Henri Gallois.

    Il poursuit: «De plus, nous n’aurons pas la libre utilisation des fonds. C’est comme si je prenais un billet de 500 euros à un individu, lui en rendait seulement 300 et qu’en plus je lui imposais d’utiliser cet argent comme je le souhaite. Voilà ce qui va arriver à la France.»

    Le locataire de l’Élysée l’a martelé: «Ce ne seront pas des prêts, mais des dotations.» «Ces 500 milliards ne seront pas remboursés par les bénéficiaires de ceux qui utiliseront cet argent», a-t-il affirmé.

    Vers plus de fédéralisme européen

    «Dans tous les cas, des ressources de l’État vont être détournées pour financer ce plan. Emmanuel Macron prend les gens pour des imbéciles quand il dit que les bénéficiaires de l’argent ne rembourseront pas. Soit le budget européen augmentera et ce sont les contributeurs nets qui paieront, soit de nouveaux impôts européens seront créés», répond Charles-Henri Gallois.

    Le membre de l’UPR insiste également sur ce qu’il considère comme «le revers de la médaille» du plan franco-allemand: «Ce qui n’est pas mis en avant concerne les contreparties à l’obtention de ces fonds.»

    Pauvreté, prostitution, chômage, dette… l’UE qui rit, la Grèce qui pleure

    «Les pays qui en bénéficieront devront mettre en place “des politiques économiques saines et un programme de réforme ambitieux”. Dans la novlangue européenne, cela signifie plus d’austérité et de réformes antisociales. C’est exactement ce modèle qui avait été appliqué il y a quelques années à la Grèce pour la mettre à genoux et qui a totalement paupérisé la population. Ceci s’était notamment fait par le Mécanisme Européen de Stabilité (MES) qui sera à nouveau mis à contribution avec l’autre plan d’emprunt de 500 milliards d’euros décidé par l’Eurogroupe», précise-t-il, avant d’ajouter:

    «Ceci aura des conséquences très claires pour la France, comme l’application de la réforme des retraites voulue par Bruxelles. Et cela pourrait même aller plus loin vu que les déficits se sont davantage creusés avec la crise du coronavirus. Ce que propose l’Allemagne, la France et Bruxelles en général n’est pas une politique de relance keynésienne et généreuse, mais bien de l’austérité exacerbée.»

    Comme le souligne Henrik Enderlein, le projet d’Emmanuel Macron et d’Angela Merkel va vers plus de fédéralisme: «Ce qui compte le plus aujourd’hui, c’est que France et Allemagne sont d’accord pour que dans une crise, l’UE puisse émettre sa propre dette à grande échelle. Le signal politique est que l’UE est plus qu’un groupe d’États-nations et a sa propre identité fédérale. Nous avons peut-être assisté à un moment hamiltonien.»

    Alexander Hamilton, ce n’est ni plus ni moins que l’un des fondateurs du fédéralisme étasunien, à l’initiative de la centralisation des dettes des États américains dans les années 1790.

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  32. Opposition des pays du nord ?

    Le 12 mars, Emmanuel Macron s’adressait aux Français et lançait d’un ton martial: «Déléguer notre alimentation, notre protection, notre capacité à soigner, notre cadre de vie, au fond, à d’autres est une folie. Nous devons en reprendre le contrôle, construire plus encore que nous ne le faisons déjà une France et une Europe souveraine.»

    Deux mois plus tard, aux côtés d’Angela Merkel, il déclarait:

    «Notre volonté est de doter l’Europe de compétences très concrètes en matière de santé. Avec des stocks communs de masques et de tests, des capacités d’achat communes et coordonnées pour les traitements et les vaccins, des plans de prévention partagés des épidémies, des méthodes communes pour recenser les cas. Cette Europe de la santé n’a jamais existé, elle doit devenir notre priorité.»

    Est-ce sa définition du «souverainisme européen», raillé notamment par le philosophe Michel Onfray, qui qualifie l’expression d’«oxymore»?

    «Tout ceci est l’inverse de ce qu’il faudrait faire. Cette crise du Covid-19 a démontré que la seule manière d’agir sérieusement est en tant qu’État-nation», insiste Charles-Henri Gallois, avant de poursuivre: «Les délocalisations sont inscrites dans le marbre des traités européens grâce à la libre circulation des capitaux. Au contraire, il faudrait relocaliser et retrouver de la souveraineté nationale.

    La souveraineté au niveau européen ne sert à rien. Pour la France, à quoi bon relocaliser la production de médicaments en Allemagne ou en Roumanie? En cas de crise grave, nous n’y aurions pas accès. Qu’a fait l’Allemagne au début de la crise du coronavirus? Elle a interdit les exportations de matériel médical, car elle a veillé d’abord à ses intérêts nationaux.»

    Sans surprise, du côté de l’Italie et de l’Espagne, la proposition d’Emmanuel Macron et d’Angela Merkel a été saluée comme «un pas dans la bonne direction». Son de cloche différent pour Sebastian Kurz, chancelier autrichien, qui s’est dit favorable à des «prêts», mais contre une augmentation du budget de l’UE. Il s’est d’ailleurs entretenu à ce sujet avec d’autres dirigeants susceptibles de s’opposer au projet franco-allemand, notamment des pays d’Europe du Nord.

    «Il n’est pas dit que ce plan soit accepté. Des pays comme l’Autriche, les Pays-Bas, le Danemark ou la Suède vont être difficiles à convaincre. Il y a 25 autres pays dans l’Union européenne et je pense qu’ils ne seront pas tous ravis de savoir que leur voix compte moins que celle de la France ou de l’Allemagne», souligne Charles-Henri Gallois avant de s’en prendre une nouvelle fois à l’exécutif français:

    «La France devrait veiller à ses intérêts nationaux en premier. L’attitude des dirigeants est criminelle vis-à-vis des intérêts de la France. Quand l’Allemagne arrive plus ou moins à préserver sa souveraineté sur un certain nombre de sujets, les dirigeants français jouent les idiots utiles de l’Union européenne. Ils sont toujours prêts à sacrifier les intérêts français sur l’autel d’une UE fantasmée.»

    https://fr.sputniknews.com/economie/202005191043807369-macron-prend-les-gens-pour-des-imbeciles-concernant-le-plan-de-relance-franco-allemand/

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    1. Charles-Henri Gallois, responsable national chargé de l’économie au sein de l’Union Populaire Républicaine (UPR), dit:
      (...) «La France est contributeur net au budget de l’Union européenne. Pour Paris, il s’agit d’une arnaque, comme toutes les initiatives de ce type qui passent par Bruxelles. Ces 500 milliards d’euros ne sont pas de l’argent magique qui sort de nulle part. C’est un emprunt qu’il faudra rembourser et cela se fera sur le budget de l’Union européenne.» (...)

      'Ces 500 milliards d’euros ne sont pas de l’argent magique qui sort de nulle part' ! HAHAHA ! SI ! IL SORT DE NULLE PART ! Il sort des claviers d'ordinateurs très imaginatifs en fortune en laissant quelques minutes le doigt posé sur la touche zéro après un 1 !

      C’est un emprunt qu’il faudra rembourser ?! PAS QUESTION DE REMBOURSER EN BILLETS DE BANQUES CE QUI EST APPARU SUR ORDINATEUR !
      Le 'remboursement' ne peut se faire QU'AVEC l'ordinateur !

      Voici ma contribution: 1000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000 euros !

      Vous en voulez encore ?
      1000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000 euros !

      Servez-vous c'est offert !

      (Si vous en voulez encore: faire des photocopies !).

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  33. Cartoon Network enseigne aux enfants les identités de genre «intersexuelles, non binaires»


    par Tyler Durden
    Mar., 19/05/2020 - 12:45
    Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Une émission du Cartoon Network enseigne aux enfants les identités de genre «intersexuées, non binaires».

    Un clip de l'émission Steven Universe réalisé en partenariat avec le projet Dove Self-Esteem a été téléchargé sur Twitter dans lequel l'un des personnages dit: "Parlons des médias sociaux, voici ma page."

    - voir clip sur site -

    La page de profil appartenant au personnage se lit "Intersex, non binaire, ils-eux".

    Alors que le personnage fait défiler la chronologie des médias sociaux, les mots "Les droits intersexes sont des droits humains !" et «Intersex Awareness Day 28 octobre» sont affichés.

    Steven Universe, qui a également été transformé en film l'année dernière, a été créé par l'animatrice Rebecca Sugar, une «femme bisexuelle non binaire» autoproclamée, une identité qui, selon sa page Wikipedia, «l'a encouragée à souligner l'importance de la représentation LGBT dans l'art, en particulier dans le divertissement pour enfants. "

    Comme nous l'avons déjà souligné, bombarder des enfants de plus en plus jeunes avec des informations sur la sexualité et la fluidité de genre est devenu un objectif du progressisme.

    Les «Normes pour l’éducation sexuelle en Europe: un cadre pour les décideurs politiques, les autorités éducatives et sanitaires et les spécialistes» de l’Organisation mondiale de la santé, conseillent aux enfants d’apprendre à se faire plaisir sexuellement et au transgenre avant même d’avoir pleinement appris à parler.

    - voir clip sur site -

    Drag Queen Story Time, au cours de laquelle les drag queens lisent et exécutent parfois des routines sexuellement suggestives pour les tout-petits, a également été célébré par les médias, tout comme les «drag kids» comme Desmond is Amazing.

    https://www.zerohedge.com/health/cartoon-network-teaches-kids-about-intersex-non-binary-gender-identities

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  34. Les fanatiques du verrouillage se comportent comme des membres du culte; Un psychothérapeute met en garde


    par Tyler Durden
    Mar., 19/05/2020 - 09:25
    Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Le psychothérapeute, le Dr Hugh Willbourn, a déclaré que les fanatiques du lock-out affichent tous les signes classiques des membres de la secte en doublant leurs croyances, même s'ils se sont révélés faux.

    Dans un article sur son site Web, Willbourn met en évidence le travail du respecté psychologue social Leon Festinger, qui a analysé les croyances d'un culte OVNI dans les années 1950 qui croyaient qu'une soucoupe volante les sauverait de l'apocalypse.


    Cependant, après que les tremblements de terre et les inondations catastrophiques dont ils s'attendaient à frapper les États-Unis ne sont jamais arrivés et que leurs croyances ont été totalement réfutées, "les membres de la secte deviendraient non moins mais plus convaincus de leurs croyances."

    Festinger a identifié cinq conditions qui devaient être remplies pour que les membres du culte reviennent sur leurs croyances et évitent la dissonance cognitive.

    1. Il doit y avoir une condamnation

    2. Il doit y avoir un engagement envers cette conviction

    3. La condamnation doit pouvoir faire l'objet d'une annulation sans équivoque

    4. Une telle confirmation sans équivoque doit se produire

    5. Un soutien social doit être disponible après la confirmation.

    «Les cinq conditions de Festinger et le comportement des croyants cultes correspondent étroitement à la situation avec Brexit, Climate Change et Covid-19: une prophétie est faite, les croyants s'y investissent, leur temps, leur argent et leur prestige, la prophétie échoue et les croyants devenir plus fervent », écrit Willbourn.

    Le médecin note à quel point les prédictions terrifiantes du nombre de personnes que COVID-19 tuerait sont tombées massivement à court et les modèles qui ont produit ces chiffres ont été complètement démystifiés. Malgré les avertissements selon lesquels le coronavirus tuerait 500 000 personnes rien qu'au Royaume-Uni, la maladie n'a fait que 318 000 morts dans le monde.

    «Pour mettre ce chiffre en perspective, le nombre de personnes décédées de Covid-19 ou avec lui en quatre mois et demi environ est le même que le nombre de personnes décédées en cinq jours des suites d'une maladie cardiovasculaire», écrit Willbourn.


    Le médecin note que les «experts» continuent de doubler de toute façon, avertissant de la mort de masse si le verrouillage est levé trop tôt et d'une deuxième vague d'infections.

    En réalité, les recherches suggèrent que les fermetures ont eu un impact minimal sur le nombre d’infections, et le nombre de morts par habitant en Suède est inférieur à celui du Royaume-Uni et de nombreux autres pays, bien que le pays scandinave n’ait imposé aucune interdiction ferme.

    "Ne vous attendez pas à des excuses de notre gouvernement, ou de tout autre gouvernement, de si tôt", écrit Willbourn.

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  35. "L'effet Festinger est de loin, beaucoup plus répandu qu'une vision clairvoyante de la réalité et la tragédie est d'autant plus grande."

    "Est-ce que ça commence à vous sembler familier?" demande Toby Young. «Comme Willbourn le fait remarquer, la séquence dont Festinger a écrit il y a plus de 50 ans rappelle étrangement ce qui se passe aujourd'hui: une prophétie apocalyptique a été livrée d'en haut (« la science »), ceux qui la croyaient ont radicalement modifié leur comportement, le la prophétie s'est avérée ne pas être vraie, mais au lieu d'abandonner leur condamnation, les croyants sont devenus encore plus fervents, attaquant tous ceux qui soulignent l'écart entre la fantaisie et la réalité comme des hérétiques dangereux ("fausses nouvelles", "désinformation", "complot" théories ", etc.)."

    "La différence, bien sûr, est que le culte des OVNIS de Festinger comptait quelques dizaines de membres, alors que le culte de Covid semble avoir infecté la moitié du monde. Si Festinger a raison, la mauvaise nouvelle est que nous ne pourrons pas persuader les gens de mettre fin à la distanciation sociale si nous prouvons que le danger posé par COVID-19 a été considérablement surestimé. Au contraire, l'opposition des gens au retour à la normale s'intensifiera plutôt qu'elle ne diminuera au fur et à mesure que les preuves s'accumuleront. "

    Pendant ce temps, les Karens du monde entier ne montrent aucun signe d'abandon de quelque chose qui légitime leur chose préférée dans le monde; Faire la leçon à d'autres personnes sur leur comportement.

    https://www.zerohedge.com/health/psychotherapist-lockdown-zealots-are-behaving-cult-members

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  36. New York voit seulement 106 décès comme des cas de syndrome mystérieux affectant les enfants jusqu'à 137: mises à jour en direct


    par Tyler Durden
    Mar., 19/05/2020 - 12:48


    Sommaire:

    Le NJ autorise les concessionnaires automobiles à rouvrir et voit le nombre de patients en USI glisser en dessous de 1000
    New York fait état de 106 nouveaux décès
    Floride: 2 000 morts
    6 joueurs de Premier League testés positifs
    L'Espagne suit l'Italie en déclarant moins de 100 morts
    Un rapport de l'AP révèle que le Mexique a tué COVID-19
    La Cour suprême de l'Oregon ordonne le verrouillage, d'autres restrictions peuvent continuer
    L'ambassadeur chinois à Canberra dit que l'idée qu'une enquête de l'OMS satisfait l'appel de l'Australie pour une enquête "indépendante" est "une blague"
    Trump menace de retirer définitivement des fonds et de mettre fin à l'adhésion à l'OMS
    Le Brésil dépasse le Royaume-Uni pour devenir la troisième épidémie au monde
    Le total des cas en Inde passe à 100 000
    La nation Navajo abrite désormais la «plus grande épidémie aux États-Unis» selon CNN
    Singapour prévoit d'entamer une réouverture progressive le 2 juin

    * * *

    Mise à jour (1300 HE): Le gouverneur du New Jersey, Phil Murphy, a annoncé mardi que les concessionnaires automobiles et les magasins de vélos pourraient rouvrir immédiatement, avant de fournir les dernières statistiques sur l'épidémie de l'État.

    Le nombre de nouveaux cas (1 055) et de décès (162) a montré que - comme l'a dit Gov Murphy - l'infection "la courbe continue de se déplacer dans la bonne direction".

    Le nombre de patients en soins intensifs et critiques est tombé en dessous de 1 000 dans l'État pour la première fois depuis mars.

    Jersey fait partie des quatre États du pays - NY, NJ, CT & MA - qui ont adopté une approche beaucoup plus lente pour lever les restrictions.

    * * *

    Mise à jour (1210ET): NY Gov Cuomo tient un briefing quotidien un peu plus tard mardi (peut-être à cause de la grande audience d'aujourd'hui sur la colline), mais juste avant sa mise en ligne, son État n'a signalé que 106 décès, soit une augmentation de 0,4% (inférieure à moyenne de la semaine dernière de 0,7%), tout en annonçant que la région de la capitale de l'État rouvrira demain.

    New York commencera également à autoriser des rassemblements de 10 personnes ou moins. Et il semble que le sujet du briefing d'aujourd'hui soit l'importance de porter des masques.

    Le gouverneur a également signalé que le nombre de cas d'un syndrome inflammatoire mystérieux affectant les systèmes respiratoires des enfants a maintenant été observé chez 137 enfants à travers l'État, mais principalement à New York et dans les environs.

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  37. La Floride a fait 2000 morts mardi alors que le gouvernement DeSantis continuait de rouvrir l'État, avec la majorité des décès observés dans le sud de la Floride, selon un communiqué du ministère de la Santé mardi. Les comtés de Broward, Miami-Dade et Palm Beach ont signalé 1 144 décès au total, soit 22 de plus que la veille.

    Dans tout l'État, le nombre de morts s'élève à 2 052, en hausse de 55 par rapport à hier. Des responsables de la Floride ont également annoncé mardi que l'État comptait 46 944 cas de COVID-19, soit 502 de plus que lundi. Depuis le début de la pandémie, 8 494 personnes ont été traitées dans des hôpitaux de Floride, a indiqué l'État, soit une augmentation de 190 par rapport au dernier jour.

    * * *

    Mise à jour (1055ET): Le bilan quotidien des décès par coronavirus en Espagne a augmenté mardi à 83 contre 59 la veille, selon le ministère de la Santé, mais il a quand même réussi à atteindre un nouveau jalon optimiste alors que le pays continue de rouvrir progressivement.

    C'est la première fois depuis le début de l'épidémie que l'Espagne enregistre moins de 100 décès pendant trois jours consécutifs (le dernier point de données n'a pas encore été ajouté au graphique ci-dessous).

    Le nombre total de décès en Espagne est désormais de 27 778, a indiqué le ministère, tandis que le nombre de cas diagnostiqués est passé à 232 037.

    Le nombre total de décès est désormais de 27 778, a indiqué le ministère, tandis que le nombre de cas diagnostiqués est passé à 232 037.

    Au Royaume-Uni, la Premier League a confirmé mardi qu'à compter de dimanche, six joueurs s'étaient révélés positifs après que la ligue eut testé des centaines de joueurs et d'entraîneurs.

    Lisez la déclaration ci-dessous:

    La Premier League peut confirmer aujourd'hui que le dimanche 17 mai et le lundi 18 mai, 748 joueurs et membres du personnel du club ont été testés pour le COVID-19.

    Parmi ceux-ci, six ont été testés positifs dans trois clubs.

    Les joueurs ou le personnel du club qui ont été testés positifs s'auto-isoleront désormais pendant une période de sept jours.

    La Premier League fournit ces informations agrégées à des fins d'intégrité et de surveillance de la concurrence.

    Aucun détail spécifique sur les clubs ou les individus ne sera fourni par la Premier League en raison des exigences légales et opérationnelles.

    Les tests sont effectués dans le cadre d'un processus conçu pour permettre aux matchs de redémarrer en juin. Les escouades ont été autorisées à reprendre l'entraînement mardi tant qu'elles ont continué à prendre leurs distances sociales.

    * * *

    Mise à jour (0830ET): Confirmant ce qui était déjà largement soupçonné, une enquête de l'Associated Press semble avoir définitivement prouvé que le gouvernement mexicain a délibérément sous-estimé les décès liés au COVID-19, signe que la véritable ampleur de l'épidémie en le pays est beaucoup plus grand que les chiffres officiels ne le montrent. En utilisant des données acheminées vers l'AP via un groupe anti-corruption (il semble que le groupe ait piraté ou cajolé illégalement vers la base de données), l'AP a déterminé que le nombre de morts au Mexique est au moins 3 fois supérieur au nombre officiel.

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  38. Bien que les tests se soient quelque peu améliorés depuis le début de l'épidémie, les tests de dépistage du virus restent "rares" au Mexique, où le leader de gauche AMLO n'a pas été disposé à imposer le même niveau de restrictions (verrouillage, etc.) qui ont été mises en œuvre ailleurs en Amérique du Nord et dans le monde.

    Fait intéressant, les données ont été

    Le groupe anti-corruption Mexicains contre la corruption a déclaré lundi dans un rapport qu'il avait eu accès à une base de données de certificats de décès délivrés à Mexico entre le 18 mars et le 12 mai. Il a montré que dans les notes explicatives jointes à 4577 certificats de décès, les médecins avaient inclus les mots «SRAS», «COV2», «COV», «Covid 19» ou «nouveau coronavirus».

    [...]

    Seuls 323 certificats répertorient le coronavirus confirmé comme cause de décès; 1 045 autres certificats de décès ont répertorié COVID-19 mais n'ont pas précisé s'il était suspecté ou confirmé.

    [...]

    La mairesse de Mexico, Claudia Sheinbaum, a reconnu qu'il y avait plus de décès que ce qui avait été officiellement annoncé, et a déclaré qu'une commission spéciale examinerait les chiffres des décès. Son bureau n'a pas immédiatement répondu aux demandes de commentaires sur le nouveau rapport.

    Le Mexique effectue relativement peu de tests; à ce jour, environ 150 000 seulement ont été menées dans une nation d'environ 125 millions d'habitants. Les autorités fédérales reconnaissent que certaines victimes sont décédées sans avoir été testées et ont promis que les cas où les certificats de décès mentionnent le coronavirus comme cause possible ou probable de décès seraient éventuellement ajoutés au bilan officiel. Mais ils ont suggéré que ces cas «suspects» ne représentaient qu'un dixième des décès confirmés par les tests.

    Le groupe n'a pas précisé comment il avait accédé à la base de données, qui était conservée par les tribunaux locaux. Mais il a noté que les dénombrements officiels n'ont montré que 1 060 décès de coronavirus au cours de cette période du 18 mars au 12 mai.

    [...]

    Mexico, avec environ 9 millions d'habitants, a été la partie la plus touchée du pays. Les 3245 décès supplémentaires à Mexico, s'ils sont confirmés ou ajoutés aux chiffres officiels, porteraient le nombre de morts national des 5332 déclarés par les autorités fédérales lundi à 8577.

    Aux États-Unis, la Cour suprême de l'Oregon a suspendu une ordonnance d'un juge rural qui avait annulé le verrouillage et d'autres restrictions liées au virus par le gouverneur démocrate Kate Brown.

    Pendant ce temps, dans l'Équateur durement touché, le virus continue de submerger le modeste système de soins de santé du pays, alors que de plus en plus de personnes atteintes de virus finissent par apparaître dans la rue, évoquant des images des premiers jours à Wuhan.

    - voir graphique sur site -

    Source: AP

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  39. Le virus a même pénétré jusqu'aux tribus indigènes vivant profondément dans la partie de l'Amazonie à l'intérieur des frontières de l'Équateur.

    À court d'argent, l'Équateur redémarre certaines opérations minières qui ont été interrompues pendant près de deux mois en raison de la pandémie de coronavirus alors que le gouvernement, affamé de revenus, repousse les travailleurs dans les mines alors que les citoyens craignent que ces réouvertures ne contribuent qu'à propager le virus. L'activité minière a chuté de 60% en raison de mesures de quarantaine pour endiguer ce que Reuters a appelé "l'une des pires épidémies de coronavirus en Amérique latine".

    Les deux plus grandes mines équatoriennes, Fruta del Norte et Mirador, se préparent à reprendre progressivement leurs activités, a déclaré Fernando Benalcazar, vice-ministre des mines du pays, tandis que les plus petits mineurs d'or du sud ont déjà commencé à transporter des minéraux.

    elle survient alors que l'épidémie d'Amérique latine semble s'intensifier alors que le Chili verrouille sa capitale, tandis que l'épidémie du Brésil submerge le système de santé du pays alors que son président continue de résister à toute action contre le virus.


    * * *

    La grande nouvelle de mardi est la réunion de l'Assemblée mondiale de la santé, qui devrait soutenir une enquête parrainée par l'OMS sur la gestion par la Chine des premiers jours de l'épidémie de coronavirus. Hier soir, le président Trump a remis une lettre menaçante dans laquelle les États-Unis ont averti qu'ils pourraient réduire définitivement leur financement et même annuler leur adhésion à l'OMS.

    En réponse, la Chine a accusé les États-Unis d'avoir tenté de détourner l'attention du monde de la façon dont le président Trump avait géré l'épidémie en jouant un "jeu du blâme" avec Pékin. La Maison Blanche a porté des accusations similaires à Pékin. Mais encore plus révélateur, l'ambassadeur de Chine à Canberra a critiqué l'appel de l'Australie à une enquête indépendante sur la façon dont la Chine a traité les premiers jours de l'épidémie comme une "plaisanterie". L'ambassadeur a affirmé que l'enquête sur le point d'être autorisée par la WHA ne ressemble pas au type d'enquête que l'Australie a demandé. Ce jubilation intervient après que le président Xi a déclaré qu'il accueillerait favorablement un examen complet, mais seulement après que l'épidémie se soit apaisée.

    "Revendiquer la résolution de la WHA pour justifier l'appel de l'Australie n'est qu'une plaisanterie", a déclaré l'ambassadeur.

    Après avoir dépassé le seuil de 1,5 million de cas confirmés hier, dans le monde, il y a maintenant plus de 4,8 millions de cas confirmés de COVID-19 et plus de 318 500 personnes sont décédées, selon l'Université Johns Hopkins. Près de 1,8 million de personnes se sont rétablies.

    Certaines des dernières mises à jour locales incluent la Russie, qui a signalé 9 263 nouveaux cas et 115 nouveaux décès mardi matin, portant son total à 299 941 et 2 837 décès. En Allemagne, où la réouverture économique progressive s'est poursuivie sans relâche, les responsables de la santé publique n'ont signalé que 513 nouveaux cas, portant le total de l'Allemagne à 175 210 cas, tout en signalant 72 autres décès, portant le total à 8 007 décès. Hier soir, le Brésil a dépassé le Royaume-Uni pour devenir le pays avec la troisième épidémie en importance au monde après avoir signalé environ 13 000 cas.

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  40. De plus, l'Inde a dépassé le seuil de 100 000 cas officiels quelques jours seulement après avoir prolongé son verrouillage extrêmement rigoureux pendant encore 2 semaines. Les responsables de la santé ont signalé 4 970 nouveaux cas, portant le total de l'Inde à 101 139 cas et 132 décès, portant le nombre de morts à 3 163. Alors que l'Inde a dépassé la Chine sur les chiffres "officiels'', il est largement admis que l'épidémie sur le continent était bien pire que les chiffres officiels le montrent, et plus de 40 nouveaux cas ont été signalés à Wuhan et dans la province du Jilin du nord-est au cours des deux dernières années. semaines, entraînant de nouvelles mesures de fermeture intenses.

    Alors que les États d'Europe occidentale continuent d'assouplir leurs restrictions de voyage, l'Espagne a levé l'interdiction de tous les vols directs et navires en provenance d'Italie, bien que les voyageurs en provenance d'Italie devront se conformer à une quarantaine de deux semaines comme les autres visiteurs étrangers jusqu'à ce que l'état d'urgence de l'Espagne soit officiellement levé.

    Aux États-Unis, CNN a apparemment décidé de se concentrer sur le sort de la nation navajo dans l'ouest, affirmant dans un article publié hier soir que la communauté amérindienne abrite maintenant la plus grande épidémie du pays (une désignation que CNN avait l'habitude de désigner décrire une usine de conditionnement de viande dans le Dakota du Sud).

    La nation Navajo a signalé 69 nouveaux cas de coronavirus et deux décès supplémentaires lundi, selon un communiqué de presse du président et du vice-président de la nation Navajo, qui a porté le total des cas de la nation à 4071, avec 142 décès, sur une population d'environ 200 000 habitants. Bien sûr, le taux d'environ 2 035 infections pour 100 000 placerait le taux d'infection du pays bien au-dessus de celui de la plupart des États américains. Mais nous pensons que ce n'est pas vraiment une comparaison de pommes à pommes.

    Passons à la grande nouvelle à Washington DC mardi: le secrétaire au Trésor Steven Mnuchin et le président de la Fed Jerome Powell témoigneront devant le Sénat sur la réponse du coronavirus: le secrétaire au Trésor Steven Mnuchin et le président de la Réserve fédérale Jerome Powell témoigneront à partir de 10 heures du matin devant le Sénat. Comité, où ils présenteront "Le rapport trimestriel de la loi CARES au Congrès" - témoignage qui est mandaté conformément au projet de loi de relance de 2,2 billions de dollars.

    Mardi, Ivanka Trump rencontrera des chefs de file de l'industrie, notamment Tim Cook, PDG d'Apple, Marilyn Hewson, PDG de Lockheed Martin et Ginni Rometty, cadre chez IBM.

    Alors que l'épidémie sévit dans son pays, le Premier ministre russe Mikhail Mishustin est retourné à son poste après avoir pris près de 3 semaines de congé pour se remettre du virus, période pendant laquelle l'épidémie dans son pays est devenue incontrôlable.

    Nous n'avons pas beaucoup entendu parler de Singapour depuis quelques jours, car les nouvelles campagnes strictes de verrouillage et de test de la ville-État ont finalement semblé réduire le nombre de travailleurs migrants tombés malades du virus. Singapour n'a signalé mardi que 451 nouveaux cas de coronavirus (supérieurs à la baisse de lundi mais bien en dessous du sommet de la ville), alors que la dissipation de cette deuxième vague d'infections des travailleurs migrants s'estompait. Cependant, le gouvernement de Singapour a émis un avertissement concernant le risque accru de patients attrapant la dengue en raison du verrouillage, la dernière indication de la façon dont la fermeture des services de santé non urgents pourrait entraîner des crises sanitaires accessoires dans le monde.

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  41. Singapour s'est également excusée auprès de 357 patients COVID-19 qui ont reçu un message texte erroné leur disant qu'ils avaient à nouveau testé positifs pour le virus, alors qu'ils ne l'avaient pas fait. La direction de Singapour a également annoncé mardi son intention de commencer une réouverture en trois étapes le 2 juin.

    À Jérusalem, la mosquée Al-Aqsa rouvrira ses portes aux fidèles après la fête de l'Aïd, selon un communiqué de son organe directeur.

    "Le conseil a décidé de lever la suspension imposée aux fidèles entrant dans la bienheureuse mosquée Al-Aqsa après la fête de l'Aïd al-Fitr", selon un communiqué de l'organisation Waqf.

    Enfin, à Hong Kong, le chef de la direction, Carrie Lam, a déclaré mardi que les mesures de distanciation sociale interdisant les rassemblements de plus de huit personnes seraient prolongées dans une tentative transparente pour annuler les manifestations anti-Pékin résurgentes, qui ont refait surface à mesure que l'épidémie de coronavirus dans la région autonome s'est apaisé.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/chinese-ambassador-says-independent-who-investigation-joke-virus-updates

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  42. Les façons absurdes (et parfois effrayantes) dont les entreprises imposent la distanciation sociale


    par Tyler Durden
    Mar., 19/05/2020 - 16:25
    Rédigé par Daisy Luther via le blog The Organic Prepper,


    2020 a été une année troublante tout autour, avec une pandémie, la peur des contagions, des blocages obligatoires et des dévastations économiques. Nous avons tout, du virus mortel aux extraterrestres au meurtre de frelons. Et juste au moment où vous pensiez cette année, ne pouvait pas avoir d'étranger, accrochez-vous à votre halo.

    Attendez de voir quelques-unes des façons époustouflantes que les entreprises appliquent des mesures de distanciation sociale.

    Mannequins, personnages en carton et poupées sexuelles

    Des lieux autrefois animés de clients humains et de spectateurs sont désormais peuplés de… mannequins, découpes en carton et poupées sexuelles. On dirait que j'invente ça. Je ne suis pas.

    - voir photo sur site -

    Par exemple, Patrick O’Connell, le chef et propriétaire de The Inn at Little Washington à Washington, en Virginie, s'est associé à un théâtre local pour habiller les mannequins dans les parures de la Seconde Guerre mondiale pour remplir les stands et s'assurer que les clients «maintiennent une distance sociale».

    … Tout en ajoutant un élément amusant, les mannequins espèrent vraiment apporter une partie de ce qui a fait défaut car de nombreux Américains cherchent à se connecter dans une pandémie d'isolement.

    "Nous avons tous envie de nous réunir et de voir d'autres personnes en ce moment", a déclaré O’Connell. "Ils n'ont pas nécessairement tous besoin d'être de vraies personnes." (la source)

    Je déteste être méchant parce que je sais que les intentions sont bonnes. Mais assis dans une pièce remplie de mannequins ressemble plus à cet épisode du Bates Motel où Norman a dîné avec le cadavre taxidermié de sa mère qu'à un retour réconfortant à la normalité pour moi.

    Ce n'est pas non plus unique.

    Ensuite sur «Dining with Dummies», les amateurs de restaurants australiens peuvent s'asseoir dans un café avec des gens en carton, bercés par le bourdonnement des conversations enregistrées sur les haut-parleurs.

    - voir photo sur site -

    Au Five Dock Dining, les découpes en carton vous tiendront compagnie pendant que vous dînerez.

    À Sydney, en Australie, le restaurant s'adapte à un post-coronavirus normal en ajoutant des découpes en carton aux tables à manger. Le restaurant prévoit également de jouer le «bavardage» des invités sur les haut-parleurs…

    … La limite des invités a posé un défi à Frank Angeletta, le propriétaire du restaurant. Five Dock Dining dispose d'un grand espace de restauration, et il craignait que la zone ne se sente vide. (la source)

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  43. J'applaudis l'effort et la créativité, vraiment. Mais est-ce juste moi ou ces efforts pour mettre de faux humains dans les restaurants sont-ils plutôt effrayants? Je préférerais de loin m'asseoir dans un restaurant presque vide plutôt que d'être entouré de faux humains. Si vous pardonnez la référence de la culture pop, quiconque a déjà regardé l'émission Supernatural sait ce qui va se passer ensuite.

    Ensuite, il y a les événements sportifs.

    - voir photo sur site -

    Une ligue de football professionnelle en Corée du Sud a fait le choix déconcertant d'étayer les gradins avec des poupées gonflables brandissant des pancartes pour encourager leurs équipes.

    Le club du FC Seoul s'est excusé lundi après que ce qu'il croyait être des mannequins ordinaires - rapidement reconnus par de nombreux fans comme des poupées sexuelles - aient été placés dans les tribunes pour un match contre le Gwangju FC.

    Certains sur les médias sociaux ont noté les signes révélateurs, comme les logos commerciaux des vendeurs de jouets sexuels sur les vêtements des poupées, ou leur physique incroyablement généreux. Sur environ deux douzaines de poupées dans les stands, presque toutes étaient des femmes.

    "Nous avions essayé d'ajouter du plaisir dans le match sans spectateurs", a déclaré le FC Seoul dans un communiqué. "Mais nous n'avons pas vérifié tous les détails, et c'est clairement notre faute." (la source)

    A Taiwan, un match de baseball a été joué devant un stade plein. Le truc, c'est que le stade était plein de découpes en carton et de mannequins en plastique tenant des pancartes. Oh, et une bande de robots batteurs.

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    Par un doux samedi soir dans l'un des plus grands stades de baseball de Taïwan, les projecteurs se sont allumés et les joueurs ont pris position.

    Les pom-pom girls ont commencé leur routine rah-rah. La musique d'orgue retentit à travers les haut-parleurs.

    Mais alors que le premier frappeur s'approchait de l'assiette et que le lanceur prenait une profonde inspiration, les seuls fans à l'intérieur du stade de 20 000 places dans la ville de Taoyuan, dans le nord du pays, étaient des découpes en carton et des mannequins en plastique.

    Certains portaient des perruques rose vif et des masques chirurgicaux. D'autres arboraient des pancartes avec ce joyeux message: "Nous serons toujours avec toi!" Un groupe de robots composé de cinq membres jouait de la batterie dans les tribunes - un substitut à la cacophonie habituelle de la musique live. (la source)

    Je vais juste présenter ceci sans autre commentaire.

    Il y a ensuite ces façons de séparer les humains.

    Les méthodes de distanciation sociale bizarres ne s'arrêtent pas à l'utilisation de faux humains. Lisez la suite pour les méthodes indignes d'autres restaurants maintiennent les humains à part.

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    Un restaurant à Ocean City, dans le Maryland, place les clients dans des tables individuelles de «bateaux tamponneurs».

    "C'est comme un bateau tamponneur, mais c'est en fait une table", a déclaré le propriétaire Shawn Harmon à propos du design, qui a été développé par Revolution Event Design and Production à Baltimore.

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  44. Un client se tiendra au centre de la table circulaire entouré d'une barrière en caoutchouc qui le maintiendra en toute sécurité séparé des autres clients conformément aux directives de distanciation sociale. Les tables reposent sur des roues qui leur permettent de rester mobiles. (la source)

    Oh super. Vous pouvez vous promener avec votre grande table de bateau tamponneuse maladroite. Et qui ne veut pas rester debout pendant tout le temps qu'ils mangent ou prennent une bière ?

    Le ciel vous aide en cas d'attaque ou d'urgence et si vous devez vous déplacer rapidement. J'ai une image mentale horrible d'un groupe de personnes dans des tubes internes essayant tous de sortir de la sortie à la fois.

    Si vous vous trouvez dans un tube intérieur géant pour le dîner, ce n'est pas votre idée de s'amuser, ne désespérez pas. Il existe de nombreuses autres méthodes bizarres pour un dîner socialement distant.

    Un restaurant à Schwerin, en Allemagne, distribue des chapeaux de nouilles pour la piscine à leurs clients. Cette phrase a tellement dérouté mon logiciel d'édition qu'il n'avait aucune suggestion pour améliorer la clarté.

    Le Café Rothe dans la ville de Schwerin, avec la chaîne de télévision allemande RTL, a célébré sa réouverture en distribuant des chapeaux de nouilles pour la piscine aux clients en guise de gadget.

    "En ces temps difficiles, c'est un plaisir de faire sourire les autres", a déclaré la propriétaire du restaurant, Jacqueline Rothe, à Insider. (la source)

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    Mais que faire si vous ne voulez pas vous asseoir avec de faux humains, vous tenir dans un tube intérieur ou porter un drôle de chapeau ? Est-ce à dire que vous ne pouvez plus sortir dîner ?

    Ne désespérez pas.

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    Un restaurant en Thaïlande a une approche câline de la distanciation sociale. La Maison Saigon utilise des jouets en peluche pour tenir compagnie aux convives pendant qu'ils mangent.

    «Auparavant, nous n'avions qu'une seule chaise pour les tables où le client venait seul. Mais pour moi, c'était étrange, alors j'ai pensé leur donner de la compagnie », a déclaré Natthwut Rodchanapanthkul, le propriétaire de Maison Saigon, un restaurant vietnamien à Bangkok.

    Assis en face de l'une des poupées panda, le diner Sawit Chaiphuek a déclaré qu'il était heureux d'avoir de la compagnie en sortant pour manger pour la première fois depuis des mois.

    «La poupée me fait me sentir moins seule à manger seule», a déclaré Sawit, 25 ans. (Source)

    Bien que cela semble être un bon moyen de garder les enfants heureux, apparemment, certains adultes se sentent mieux quand ils ont quelque chose… n'importe quoi… à table avec eux dans un restaurant. Et ici, je viens de prendre un livre avec moi pendant des moments comme celui-ci.

    Est-ce la «nouvelle normalité» ?

    Je sais que j'ai écrit avant que nous ne reviendrions jamais "à la normale" mais ce n'est vraiment pas ce que je voulais dire. Jamais au cours des dix dernières années de création de contenu, je n'ai écrit un article avec autant de fois potentiel pour utiliser le mot «sidéré». Nous assistons à la mort de la dignité humaine. La fin d'un empire. La perte collective de tous les mécanismes d'adaptation rationnels.

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  45. Il ne peut pas être mentalement sain d’être entouré de fausses personnes tout le temps. Mon esprit est époustouflé par le fait qu'il y a des gens hébétards qui préfèrent s'asseoir avec des animaux en peluche ou des mannequins plutôt que de s'asseoir à une table dans un restaurant partiellement vide. Allons-nous faire cela pendant six mois? Une année? Pour toujours ?

    C’était une chose quand le personnage de Tom Hanks sur Castaway avait une profonde amitié avec un volley-ball nommé Wilson. Il était légitimement isolé. Mais nous ne le sommes pas. Nous n'avons pas besoin d'avoir des "amis" inanimés. Qu'est-ce que cela dit sur les gens ? À propos de notre avenir en tant que société ?

    C’est un vrai feu de poubelle. Les gens sont tellement inquiets d'être «en sécurité» qu'ils embrassent le bizarre et l'extrême, au lieu d'aller de l'avant et de poursuivre leur vie. Bien que je prenne le virus au sérieux, je n'ai pas peur. Imaginez simplement le niveau de peur qu'un adulte doit ressentir quand il dîne en public avec un jouet en peluche, il se sent mieux.

    Il est difficile d'imaginer un monde aussi aberrant à couper le souffle, rempli d'amis imaginaires et de bulles d'espace réelles, physiques et personnelles. Imaginez si cela continue, les dommages causés aux enfants qui grandissent sans rien savoir d'autre. Comment développeront-ils l'empathie et des relations humaines saines ? Il s'agit d'un environnement qui favorise la peur et la méfiance des autres, tout comme le scénario horrible de la rentrée des classes où les enfants marchaient en formation de 5 pieds de distance pour «récréation».

    Cela prend la partie «diviser» de «diviser pour mieux régner» à un nouveau niveau inimaginable.

    https://www.zerohedge.com/health/absurd-and-sometimes-creepy-ways-businesses-are-enforcing-social-distancing

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    1. Bien sûr qu'il y a des fous partout, nous les avons tous vu avec leurs masques à la con ou leur vitre en plastique ! HAHAHAHA ! Et, parmi ces cons alignés aux supermarchés il y avait des commerçants qui, lâchés, refaisaient chez eux les mêmes gestes.

      Heureusement ils ne sont pas nombreux à reproduire ces images d'arriérés mentaux, les autres commerces se frottent les mains !

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  46. Moments oubliés de l'histoire des vaccins; Oui, l'histoire compte


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    20 mai 2020


    La propagande scientifique sur les vaccins a atteint des sommets vertigineux, alors que les responsables pointent le public non informé vers le jour de la libération, lorsqu'un coup de COVID, autrement connu sous le nom de Dieu, sauvera la Terre.

    Ici, à partir d'un chapitre de mon livre de 1988, AIDS INC., Est un extrait exposant certains des moments tristement célèbres de l'histoire de la vaccination - cachés par la presse, ou simplement oubliés.

    Pour les négationnistes qui s'accrochent à la notion que les vaccins sont remarquablement sûrs et efficaces, cet article est une pilule que vous pouvez avaler, amer certes, mais immunisant contre les effets des mensonges chauves de l'établissement médical courbé.

    Comprenez: ce n'est qu'une histoire partielle de catastrophes et de révélations, et cela s'arrête à 1988.

    «Le taux de mortalité combiné de la scarlatine, de la diphtérie, de la coqueluche et de la rougeole chez les enfants de moins de quinze ans montre que près de 90% de la baisse totale de la mortalité entre 1860 et 1965 s'était produite avant l'introduction des antibiotiques et la vaccination généralisée. En partie, cette récession peut être attribuée à l'amélioration de l'habitat et à une diminution de la virulence des micro-organismes, mais le facteur de loin le plus important était une résistance plus élevée de l'hôte en raison d'une meilleure nutrition. » Ivan Illich, Némésis médical, Bantam Books, 1977

    «Lors d'une récente épidémie de coqueluche au Royaume-Uni, par exemple, même des enfants complètement immunisés ont contracté la maladie en assez grand nombre; et les taux de complications graves et de décès n'ont été que légèrement réduits. Dans une autre flambée récente de coqueluche, 46 des 85 enfants entièrement immunisés étudiés ont finalement contracté la maladie. »

    «En 1977, 34 nouveaux cas de rougeole ont été signalés sur le campus de l'UCLA, dans une population censée être à 91% immunisée, selon des tests sérologiques minutieux. Vingt autres cas de rougeole ont été signalés dans la région de Pecos, au Nouveau-Mexique, en quelques mois en 1981, et 75% d'entre eux avaient été entièrement vaccinés, certains récemment. Une enquête auprès des élèves de sixième année dans une communauté urbaine bien immunisée a révélé qu'environ 15% de ce groupe d'âge sont toujours sensibles à la rubéole, un chiffre essentiellement identique à celui de l'ère pré-vaccinale. »

    «Enfin, bien que l'incidence globale de la rougeole aiguë typique aux États-Unis ait fortement chuté, passant d'environ 400 000 cas par an au début des années 1960 à environ 30 000 cas en 1974-1976, le taux de mortalité est resté exactement le même; et, avec le pic d'incidence qui se produit actuellement chez les adolescents et les jeunes adultes, le risque de pneumonie et d'anomalies hépatiques démontrables a en fait augmenté considérablement, selon une étude récente, à bien plus de 3% et 2%, respectivement. » Richard Moskowitz, MD, Le cas contre les vaccinations, 1983, American Institute of Homéopathie.

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  47. «De tous les cas de coqueluche signalés entre 1979 et 1984 chez des enfants de plus de 7 mois - c'est-à-dire suffisamment âgés pour avoir reçu le cycle primaire des injections DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos) - 41% sont survenus chez des enfants ayant reçu trois coups de feu ou plus et 22% chez les enfants qui ont eu une ou deux vaccinations. "

    «Parmi les enfants de moins de 7 mois souffrant de coqueluche, 34% ont été vaccinés entre une et trois fois…»

    «… Sur la base des seules conclusions américaines sur les réactions indésirables au DPT, une étude financée par la FDA à l'Université de Californie à Los Angeles, un enfant sur 350 aura une convulsion; un enfant sur 180 subira des cris aigus [peut indiquer des lésions cérébrales]; et un sur 66 aura une fièvre de 105 degrés ou plus. » Jennifer Hyman, Democrat and Chronicle, Rochester, New York, supplément spécial sur le DPT, daté d'avril 1987.

    «Une étude entreprise en 1979 à l'Université de Californie à Los Angeles, sous le parrainage de la Food and Drug Administration, et qui a été confirmée par d'autres études, indique qu'aux États-Unis, environ 1 000 nourrissons meurent chaque année des suites directes du DPT. vaccinations, et ceux-ci sont classés comme des décès dus au SMSN (syndrome de mort subite du nourrisson). Ceux-ci représentent environ 10 à 15% du nombre total de décès dus au SMSN survenant chaque année aux États-Unis (entre 8 000 et 10 000 selon les statistiques utilisées). » Leon Chaitow, Vaccination and Immunization, CW Daniel Company Limited, Saffron Walden, Essex, Angleterre, 1987.

    "Le secrétaire adjoint à la santé Edward Brandt, Jr., MD, témoignant devant le comité sénatorial américain du travail et des ressources humaines, a arrondi… 9 000 cas de convulsions, 9 000 cas d'effondrement et 17 000 cas de cris aigus pour un au total, 35 000 réactions neurologiques aiguës survenant dans les quarante-huit heures suivant une injection de DPT parmi les enfants américains chaque année. » DPT: A Shot in the Dark, par Harris L. Coulter et Barbara Loe Fischer, Harcourt Brace Jovanovich.

    «Alors que 70 à 80% des enfants britanniques ont été vaccinés contre la coqueluche en 1970-1971, le taux est désormais de 39%. Le comité prévoit que la prochaine épidémie de coqueluche se révélera probablement plus grave que celle de 1974/75. Cependant, ils n'expliquent pas pourquoi, en 1970/71, il y avait plus de 33 000 cas de coqueluche avec 41 cas mortels parmi la population infantile britannique très bien immunisée; alors qu'en 1974/75, avec un taux de vaccination en baisse, une épidémie de coqueluche n'a causé que 25 000 cas avec 25 décès. » Wolfgang Ehrengut, Lancet, 18 février 1978, p. 370.

    "... Barker et Pichichero, dans une étude prospective de 1232 enfants à Denver, Colorado, ont découvert après le DTC que seulement 7% des personnes vaccinées étaient exemptes de réactions fâcheuses, dont la pyrexie (53%), les changements de comportement aigus (82%), cris prolongés (13%) et apathie, anorexie et vomissements. 71% de ceux qui reçoivent des secondes injections de DTP ont connu au moins deux des réactions surveillées. » Lancet, 28 mai 1983, p. 1217

    «Les publications de l'Organisation mondiale de la santé montrent que la diphtérie est en baisse constante dans la plupart des pays européens, y compris ceux où il n'y a pas eu de vaccination. Le déclin a commencé bien avant le développement de la vaccination. Il n'y a certainement aucune garantie que la vaccination protégera un enfant contre la maladie; en fait, plus de 30 000 cas de diphtérie ont été enregistrés au Royaume-Uni chez des enfants entièrement vaccinés. » Leon Chaitow, Vaccination et immunisation, p. 58.

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  48. «La vaccination contre la coqueluche (coqueluche) est controversée, car les effets secondaires ont reçu beaucoup de publicité. La contre-affirmation est que l'efficacité et la protection offertes par la procédure l'emportent de loin sur les effets néfastes possibles… les décès annuels, par million d'enfants, de cette maladie au cours de la période de 1900 au milieu des années soixante-dix, montrent que d'un point haut de juste moins de 900 décès par million d'enfants (de moins de 15 ans) en 1905, la baisse a été constante et dramatique. Il y avait eu une baisse des taux de mortalité d'environ 80% au moment où la vaccination a été introduite à grande échelle, au milieu des années cinquante. Depuis, la baisse s'est poursuivie, quoique à un rythme plus lent. Aucun crédit ne peut être accordé à la vaccination pour la majeure partie de la baisse car elle n'était pas utilisée. » Chaitow, Vaccination et immunisation, p. 63.

    «… Le programme de vaccination contre la grippe porcine a été l'une de ses plus grandes erreurs (CDC). Tout a commencé en 1976 lorsque les scientifiques du CDC ont vu qu'un virus impliqué dans une épidémie de grippe à Fort Dix, NJ, était similaire au virus de la grippe porcine qui a tué 500 000 Américains en 1918. Les autorités sanitaires ont immédiatement lancé un programme de 100 millions de dollars pour immuniser tous les Américains. Mais l'épidémie attendue ne s'est jamais matérialisée et le vaccin a entraîné une paralysie partielle chez 532 personnes. Il y a eu 32 morts. » U.S.News and World Report, Joseph Carey, 14 octobre 1985, p. 70, «Comment les détectives médicaux suivent les maladies mortelles».

    «Malgré (les cas) où la vaccination (variole) n'a manifestement pas protégé la population et malgré les effets secondaires généralisés des méthodes, les partisans de la vaccination ont poursuivi leurs tentatives pour justifier les méthodes en affirmant que la maladie avait décliné en Europe comme un ensemble pendant la durée de son utilisation obligatoire. Si la baisse pouvait être corrélée à l'utilisation de la vaccination, alors tout le reste pourrait être annulé, et l'avantage entre sa faible incidence actuelle pourrait l'emporter sur les échecs périodiques de la méthode et favoriser le maintien de la vaccination. Cependant, le crédit pour la baisse de l'incidence de la variole n'a pas pu être attribué à la vaccination. Le fait est que son incidence a diminué dans toutes les régions d'Europe, que la vaccination ait été utilisée ou non. » Chaitow, Vaccination and Immunization, p. 6-7.

    «La variole, comme le typhus, est en train de disparaître (en Angleterre) depuis 1780. La vaccination dans ce pays est en grande partie tombée en désuétude depuis que les gens ont commencé à réaliser comment sa valeur a été discréditée par la grande épidémie de variole de 1871-2 (qui s'est produite après une longue vaccination)." W. Scott Webb, Un siècle de vaccination, Swan Sonnenschein, 1898.

    "Dans cet incident (Kyoto, Japon, 1948) - le plus grave du genre - un lot toxique d'anatoxine précipité par l'alun (APT) était responsable de la maladie de plus de 600 nourrissons et de pas moins de 68 décès."

    «Les 20 et 22 octobre 1948, un grand nombre de bébés et d'enfants de la ville de Kyoto ont reçu leur première injection d'APT. Les 4 et 5 novembre, 15 561 bébés et enfants âgés de quelques mois à 13 ans ont reçu leur deuxième dose. Un à deux jours plus tard, 606 de ceux qui avaient été injectés sont tombés malades. Parmi eux, 9 sont morts de paralysie diphtérique aiguë en sept à quatorze jours et 59 de paralysie tardive principalement en quatre à sept semaines. » Sir Graham Wilson, Hazards of Immunization, Athone Press, Université de Londres, 1967.

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  49. «Des accidents peuvent toutefois suivre l'utilisation de ce soi-disant vaccin tué (rage) en raison d'un traitement inadéquat. Un événement très grave de ce type s'est produit à Fortaleza, Ceara, Brésil, en 1960. Pas moins de 18 personnes sur 66 vaccinées avec le vaccin carbolisé (rage) de Fermi souffraient d'encéphalomyélite et chacun des dix-huit est décédé. » Sir Graham Wilson, Dangers de la vaccination.

    «Lors d'une conférence de presse à Washington le 24 juillet 1942, le secrétaire à la Guerre a rapporté que 28 585 cas de jaunisse avaient été observés dans l'armée (américaine) entre le 1er janvier et le 4 juillet après la vaccination contre la fièvre jaune, dont 62 se sont révélés mortels. " Wilson, Hazards of Immunization.

    "Le plus grand essai au monde (mené dans le sud de l'Inde) pour évaluer la valeur du vaccin contre la tuberculose BCG a fait la révélation surprenante que le vaccin" ne donne aucune protection contre les formes bacillaires de la tuberculose. "L'étude a déclaré être" la plus exhaustive et méticuleuse », a été lancé en 1968 par le Conseil indien de la recherche médicale (ICMR) avec l'aide de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et des Centers for Disease Control des États-Unis à Atlanta, en Géorgie.

    «L'incidence de nouveaux cas dans le groupe vacciné par le BCG était légèrement (mais statistiquement non significative) plus élevée que dans le groupe témoin, une conclusion qui a conduit à la conclusion que l'effet protecteur du BCG« était nul ».» New Scientist, 15 novembre 1979, cité par Hans Ruesch dans Naked Empress, Civis Publishers, Suisse, 1982.

    «Entre le 10 décembre 1929 et le 30 avril 1930, 251 des 412 nourrissons nés à Lubeck ont reçu trois doses de vaccin BCG par la bouche au cours des dix premiers jours de vie. Sur ces 251, 72 sont morts de tuberculose, la plupart en deux à cinq mois et tous sauf un avant la fin de la première année. De plus, 135 souffraient de tuberculose clinique mais ont finalement récupéré; et 44 sont devenus tuberculeux positifs mais sont restés bien. Aucun des 161 nourrissons non vaccinés nés à l'époque n'a été affecté de cette manière et aucun d'entre eux n'est mort de la tuberculose au cours des trois années suivantes. » Dangers de la vaccination, Wilson.

    «Nous avons mené un essai randomisé en double aveugle contre placebo pour tester l'efficacité du vaccin polysaccharidique capsulaire contre le pneumocoque 14 valents chez 2295 patients à haut risque… Soixante et onze épisodes de pneumonie ou bronchite pneumococcique prouvée ou probable se sont produits chez 63 des patients (27 receveurs de placebo et 36 vaccins)… Nous n'avons pas pu démontrer l'efficacité du vaccin contre le pneumocoque dans la prévention de la pneumonie ou de la bronchite dans cette population. » New England Journal of Medicine, 20 novembre 1986, p. 1318, Michael Simberkoff et al.

    «Mais déjà avant que Salk ne développe son vaccin, la polio avait constamment régressé; les 39 cas sur 100 000 habitants enregistrés en 1942 avaient progressivement diminué d'année en année jusqu'à être réduits à seulement 15 cas en 1952… selon M. Beddow Baylay, chirurgien et historien de la médecine anglais. » Massacre des Innocents, Hans Reusch, Civitas Publishers, Suisse, et Swain, New York, 1983.

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  50. «De nombreux articles et rapports publiés ont déclaré, sous-entendu et autrement conduit les professionnels et le public à croire que la forte réduction des cas (et des décès) de poliomyélite en 1955 par rapport à 1954 est attribuable au vaccin Salk ... une idée fausse découle de ces considérations. Le nombre d'enfants vaccinés a été trop faible pour expliquer la diminution. La forte diminution était apparente avant le début ou pourrait prendre effet des inoculations et était du même ordre que la diminution suivant la période post-inoculation immédiate. » Dr Herbert Ratner, Enfant et famille, vol. 20, non. 1, 1987.

    «Jusqu'à présent, il n'est guère possible de comprendre l'ampleur de la catastrophe vaccinale de 1955 aux États-Unis. On peut considérer comme certain que les 200 cas (de polio) officiellement constatés qui ont été causés directement ou indirectement par la vaccination (polio) constituent des chiffres minimaux… On peut difficilement estimer combien des 1359 cas (polio) parmi les personnes vaccinées doivent être considérés comme des échecs du vaccin et combien d'entre eux ont été infectés par le vaccin. Une étude minutieuse de l'évolution épidémiologique de la polio aux États-Unis donne des indications d'une grande importance. Dans de nombreux États des États-Unis, les premières épidémies typiques se sont développées avec les vaccinations au printemps 1955… Les incidents de vaccination de l'année 1955 ne peuvent pas être exclusivement retracés jusqu'à l'échec d'une entreprise manufacturière. » Dr Herbert Ratner, Enfant et famille, 1980, vol. 19, non. 4, «Histoire du vaccin contre la salade (partie 2)».

    «Il suffit de dire que la plupart des grandes épidémies (de polio) qui se sont produites dans ce pays depuis l'introduction du vaccin Salk ont ??suivi l'utilisation à grande échelle du vaccin et se sont caractérisées par une apparition saisonnière précoce peu commune. Pour n'en nommer que quelques-uns, il y a l'épidémie du Massachusetts de 1955; l'épidémie de Chicago de 1956; et l'épidémie de Des Moines de 1959. » Dr Herbert Ratner, Enfant et famille, 1980 vol. 19, non. 4.

    "Le vaccin antipoliomyélitique vivant (Sabin) est la cause prédominante des cas de poliomyélite paralytique d'origine nationale aux États-Unis depuis 1972. Pour éviter la survenue de tels cas, il faudrait cesser l'utilisation systématique du vaccin antipoliomyélitique vivant." Jonas Salk, Science, 4 mars 1977, p. 845.

    «De l'aveu même du gouvernement (américain), il y a eu un taux d'échec de 41% chez les personnes précédemment vaccinées contre le virus (de la rougeole).» Dr Anthony Morris, John Chriss, BG Young, «Présence de la rougeole chez des personnes déjà vaccinées», 1979; présenté lors d'une réunion de l'American Society for Microbiology à Fort Detrick, Maryland, le 27 avril 1979.

    «Avant que les médecins ne commencent à vacciner contre la rubéole, environ 85% des adultes étaient naturellement immunisés contre la maladie (à vie). En raison de la vaccination, la grande majorité des femmes n'acquièrent jamais l'immunité naturelle (ou la protection à vie). » Dr. Robert Mendelsohn, Let’s Live, décembre 1983, cité par Carolyn Reuben dans LA WEEKLY, 28 juin 1985.

    "L'administration de KMV (vaccin contre la rougeole tué) a apparemment déclenché une réponse immunologique aberrante qui a non seulement échoué à protéger les enfants contre la rougeole naturelle, mais a entraîné une sensibilité accrue." JAMA 22 août 1980, vol. 244, p. 804, Vincent Fulginiti et Ray Helfer. Les auteurs indiquent que de tels enfants faussement protégés peuvent souffrir «d'une forme souvent grave et atypique de rougeole. La rougeole atypique est caractérisée par de la fièvre, des maux de tête… et une éruption cutanée diversifiée (qui)… peut consister en un mélange de macules, papules, vésicules et pustules… »

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  51. Les citations ci-dessus ne reflètent qu'une simple fraction d'une littérature disponible.

    Il est criminellement trompeur de dire: «Les vaccins sont simples; ils stimulent le système immunitaire et confèrent une immunité contre des agents germinatifs spécifiques. »

    Les rapports officiels sur les réactions vaccinales sont souvent en contradiction avec des estimations non officielles en raison de la méthode d'analyse utilisée. Si la réaction indésirable au vaccin est définie comme un petit ensemble d'effets possibles ressentis dans les 72 heures suivant l'inoculation, alors les chiffres seront plus petits. Mais des médecins comme G.T. Stewart, de l'Université de Glasgow, a découvert grâce à une enquête minutieuse, y compris des visites dans les hôpitaux et des entretiens avec des parents d'enfants vaccinés, que des réactions aussi graves que des lésions cérébrales (par exemple, du vaccin DPT) peuvent être ignorées, ne pas être déclarées et peuvent être supposé provenir d'autres causes.

    —Eh bien, c'était ma conclusion, en 1988, quand j'ai regardé sous la surface de la question du vaccin.

    Maintenant, nous sommes dans des eaux très profondes. L'hystérie COVID-19 a été réglée sur le besoin d'un vaccin.

    NOUS devons éliminer ce mauvais rêve promu et tenir ferme contre les petits dieux qui trafiquent leurs fioles dans chaque bureau de médecin, hôpital, école, pharmacie et parking sous tente, ce qui en fait des galeries de tir.

    Nous avons déjà un système immunitaire naturel. Ils travaillent.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2020/05/jon-rappoport/forgotten-moments-from-the-history-of-vaccines-yes-history-matters/

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  52. La farce et l'agenda diabolique d'un «verrouillage universel»


    Par Peter Koenig
    Recherche globale
    20 mai 2020


    Vient d'abord la farce, un gouvernement (presque) universel ment autour du globe à propos d'un virus mortel, l'OMS a nommé COVID-19. La décision d'un verrouillage mondial - littéralement pour l'effondrement de l'économie mondiale - a déjà été prise lors de la conférence du WEF à Davos, du 21 au 24 janvier 2020. Le 30 janvier, l'OMS a déclaré COVID-19 une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) ). À cette époque, il n'y avait que 150 cas connus de COVID-19 en dehors de la Chine. Aucune raison de déclarer une pandémie. Le 11 mars, le Dr Tedros, DG de l'OMS, a transformé la PHEIC en pandémie. Cela a donné le feu vert au démarrage de la mise en œuvre du «Plan».

    La pandémie était nécessaire comme prétexte pour arrêter et effondrer l'économie mondiale et le tissu social sous-jacent.

    Il n'y a pas de coïncidence. Il y a eu un certain nombre d'événements préparatoires, tous pointant dans la direction d'une catastrophe historique monumentale mondiale. Cela a commencé il y a au moins 10 ans - probablement beaucoup plus tôt - avec le tristement célèbre rapport Rockefeller 2010, qui a peint la première phase d'un plan monstrueux, appelé le scénario «Lock Step». L'événement 201, qui s'est tenu à New York le 18 octobre 2019, a été l'une des dernières mesures préparatoires à la «pandémie».

    L'événement était parrainé par le Johns Hopkins Center for Public Health, la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF) et le World Economic Forum (WEF), le club des riches et des puissants qui se réunit chaque mois de janvier à Davos, en Suisse. Y ont participé un certain nombre de produits pharmaceutiques (groupes d’intérêt pour les vaccins), ainsi que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis et de la Chine.

    L'un des objectifs de l'événement 201 était une simulation informatique d'une pandémie de virus corona. Le virus simulé était appelé SARS-2-nCoV, ou plus tard 2019-nCoV. Les résultats de la simulation ont été désastreux, tuant 65 millions de personnes en 18 mois et plongeant la bourse de plus de 30% - provoquant un chômage et des faillites incalculables. C'est précisément le scénario dont nous vivons maintenant le début.

    Le scénario de l'étape de verrouillage prévoit un certain nombre d'événements ou de composants horribles et inquiétants du plan à mettre en œuvre par le soi-disant Agenda ID2020, une création de Bill Gates, entièrement intégré dans les objectifs de développement durable (ODD) de l'ONU - date cible d'achèvement - 2030 (également appelé Agenda 2030, l'agenda caché inconnu de la plupart des membres de l'ONU), la même date cible pour l'achèvement de l'Agenda ID02020.

    Ici, juste les éléments clés en tant que précurseur de ce que le monde vit maintenant et de ce qui est à venir, si nous ne l’arrêtons pas - pour montrer comment ce simulacre entièrement criminel a été planifié. Certaines parties du scénario sont les suivantes:

    Un programme de vaccination massif, probablement par le biais de la vaccination obligatoire - le rêve et l’idée originale de Bill Gates vaccinent 7 milliards de personnes.

    Une réduction massive de la population, un plan eugénique - en partie grâce à la vaccination et à d'autres moyens (Réf. Bill Gates, «si nous faisons vraiment du bon travail en vaccinant, nous pouvons réduire la population mondiale de 10% à 15%». Voir «Innover pour Zero ! ”, Discours prononcé lors de la conférence annuelle TED2010, Long Beach, Californie, 18 février 2010).

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  53. Bill Gates prône depuis des années la nécessité d'une réduction massive de la population - et en effet, les plus de 20 ans des vastes programmes de vaccination du BMGF en Afrique, en Inde et ailleurs dans le monde ont connu un record de stérilisation involontaire des femmes âgées de 14 à 49 ans. Voir En 2014 et 2015, le Kenya a mené un vaste programme de vaccination contre le tétanos, parrainé par l'OMS et l'UNICEF.

    Une pièce d'identité électronique pour chaque personne sur la planète - sous la forme d'une nanopuce, éventuellement injectée avec la vaccination obligatoire. Cette nano-puce peut être téléchargée à distance avec toutes les données personnelles.
    De l'argent numérisé, plus d'argent.
    Déploiement universel de 5G, suivi plus tard de 6G.
    Cela conduit à un contrôle total de chaque individu sur la planète. Il est vendu au public sous le nom d'Internet des objets (TIT), c'est-à-dire des voitures autonomes, des équipements de cuisine robotisés, de l'intelligence artificielle (IA) pour la production et la livraison de tout. Ce que l'argument de vente ne dit pas, c'est comment les humains seraient marginalisés et réduits en esclavage. Pour faire avancer ce plan directeur, des ondes électromagnétiques à haute fréquence sont nécessaires. Par conséquent, le déploiement de la 5G est un must, quel que soit l'impact sur la santé des humains, de la faune et de la flore - et quelle que soit la manière dont il peut influencer les infections virales, comme peut-être le COVID19 actuel.

    L'OMS reste silencieuse, bien qu'elle admette qu'aucune étude officielle indépendante n'a été menée sur les dangers de la 5G - et des champs électromagnétiques en général. Est-ce à dire que l'OMS est cooptée par les Grands et les Puissants dans ce spiel mortel ? - Qu'il suffise de dire qu'à la différence des autres agences des Nations Unies, l'OMS a été créée en 1948 par la Fondation Rockefeller (RF) - voir The Lancet. Il convient également de noter qu'environ la moitié du budget de l'OMS provient de sources d'intérêt privées, principalement les p

    L'OMS reste silencieuse, bien qu'elle admette qu'aucune étude officielle indépendante n'a été menée sur les dangers de la 5G - et des champs électromagnétiques en général. Est-ce à dire que l'OMS est cooptée par les Grands et les Puissants dans ce spiel mortel ? - Qu'il suffise de dire qu'à la différence des autres agences des Nations Unies, l'OMS a été créée en 1948 par la Fondation Rockefeller (RF) - voir The Lancet. Il convient également de noter qu'environ la moitié du budget de l'OMS provient de sources d'intérêt privées, principalement l'industrie pharmaceutique, mais aussi d'autres, comme les géants des télécommunications.

    C'est un précurseur pour comprendre comment les choses sont planifiées. Cela peut aider à relier les points pour ce qui s'en vient.

    Cela peut également nous aider à comprendre ce qui se passe en ce moment, dans la première phase du scénario Lock Step. Il dépeint de couleurs vives la nature criminelle de l'État sombre profond.

    Peu importe le krach boursier - c'est un syndrome de spéculateur, des risques pour les riches, car le marché boursier est une invention occidentale pour jouer avec le capital et les gains en capital au détriment des travailleurs, dont la vie dépend du fonctionnement de ce capital. Ils sont les premiers à partir, lorsque Big Money appelle à une fusion - ou à une faillite.

    Désormais presque universel et justifié par RIEN en quarantaine, verrouillage total de toutes les entreprises, petites ou grandes - restaurants, construction, tourisme, petites et grandes quincailleries, boulangeries, lignes aériennes, transports - chaînes d'approvisionnement interrompues - usines, transformation des aliments - et continue encore et encore.

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  54. Dans le Grand Nord, jusqu'à 90% des transactions commerciales émanent de petites et moyennes entreprises (PME). Presque tous sont fermés maintenant. Deux tiers ou plus d'entre eux peuvent ne plus jamais s'ouvrir. Les employés et les travailleurs sont mis à pied ou sont réduits à un travail à temps partiel, ce qui signifie un salaire à temps partiel - mais doivent encore subvenir aux besoins de leur famille. La pauvreté et le désespoir s'installent et deviennent endémiques. Aucun avenir en vue. Les taux de suicide augmenteront - voir la Grèce dans la crise de 2008/2009 - et jusqu'à dix ans plus tard - des familles brisées, des saisies, des familles expulsées des appartements locatifs parce qu'elles ne peuvent plus payer leurs loyers. La mendicité dans la rue devient normale, sauf qu'il ne reste plus personne pour épargner un centime.

    En Europe, au moins un tiers à peut-être 50% ou plus de la population active - selon le pays et la structure de la population active - devrait être au chômage ou sera réduit à un travail à temps partiel. Et ce n’est que le début. Aux États-Unis, les chiffres officiels du chômage dépassent actuellement 23 millions de personnes - et devraient, selon les prévisions de la FED, Goldman Sachs, Bloomberg - atteindre entre 32% et 40% au cours du prochain trimestre. Les faillites peuvent devenir incontrôlables.

    Le FMI prévoit pour 2020 une contraction économique mondiale de seulement 3% - et un faible taux de croissance dans la dernière partie de 2021. Quelle ridicule! - Sur quelle planète sont ces gens ? Qui essaient-ils de tromper, et pourquoi ? Peut-être pour encourager les pays à emprunter d'énormes quantités de devises à ces institutions prédatrices de Bretton Woods, au FMI et à la Banque mondiale - pour s'endetter profondément, pensant avec les prévisions du FMI qu'elles iront bien ? - Encore l'esclavage par tromperie ?

    Il s'agit du Grand Nord - qui dispose d'une sorte de filets de sécurité sociale, quelle que soit leur fragilité - il y a une lueur d'espoir de secours. Une autre lueur d’espoir est construite sur les prémisses que l’humanité créera constamment - travaillant ingénieusement en inventant - se déplaçant vers l’avant comme un fleuve vers de nouveaux horizons, créant de nouvelles dynamiques, de nouveaux emplois… oui, c’est ce que l’humanité peut faire - et dans notre confort, nous ont oublié cette vertu - une vertu essentielle à la survie - la survie de la crise corona.

    Le Sud global - ou pays en développement - présente une histoire plus sombre. Dans des circonstances normales, un tiers à la moitié de l'économie est informelle, ce qui signifie qu'elle n'est conforme à aucune norme d'organisation formelle ou légale. Ce sont des travailleurs à court terme, des journaliers, des ouvriers horaires - vivant de la main à la bouche, pas d'épargne, pas de filets de sécurité - et dans la plupart des cas pas de couverture sanitaire. Ils sont laissés aux caprices du «marché», littéralement. Maintenant, le marché s'est effondré.

    Il ne reste rien. Pas de travail, pas de revenus, pas d'argent pour payer la nourriture, le loyer, les médicaments - et le gouvernement leur ordonne, aux pauvres démunis, de rester «chez eux» - «d'isolement» en quarantaine - pour se protéger contre un virus, une loi imposée virus que personne ne voit, mais le gouvernement et les médias s'assurent que vous êtes conscients - et effrayés - de ses dangers, vous ne savez jamais si c'est vrai ou faux.

    Confinement à «domicile» ? - Où est la maison ? La maison est partie. Pas d'argent pour payer le loyer. Gardez une distance sociale - ne vous réunissez pas. Restez à l'écart. L'infection pourrait se propager. La peur est essentielle.

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  55. Prenez une ville comme Lima, au Pérou. La population totale du Pérou est d’environ 30 millions d’habitants. Lima, environ onze millions - dont environ 3 à 4 millions vivent en marge ou en dessous - dans des bidonvilles, ou pire. Ouvriers journaliers ou horaires. Ils vivent parfois à des heures de leur lieu de travail. Maintenant, il n'y a plus de lieu de travail. Ils n'ont pas d'argent pour payer la nourriture, le transport ou le loyer - les propriétaires les mettent dans les rues, les expulsent de leurs propriétés. Comment peuvent-ils rester en détention? Comment peuvent-ils prendre soin d'eux-mêmes par mise en quarantaine - verrouillage - sans abri, sans nourriture - cherchant désespérément à gagner juste assez d'argent pour survivre un autre jour - et peut-être à partager avec leur famille? Ils ne peuvent pas.

    La protection contre le verrouillage (sic-sic) est réservée aux riches. Les pauvres meurent de faim avec les enfants et les familles - et très probablement avec la maladie corona. Ils vivent dans des cercles de pauvreté et de misère, où il n'y a rien à épargner. Personne n'a rien. Pas même par solidarité. Il n'y a tout simplement rien. Privation totale, causée par un blocage économique total - imposé au monde et en particulier aux pauvres par des hommes mauvais - et peut-être aussi des femmes mauvaises.

    Ces 3 à 4 ou 5 millions de personnes, elles sont toutes venues à un moment ou à un autre des provinces rurales, pour lesquelles le gouvernement ne fait rien, ou pas assez pour les y maintenir. Alors, à la recherche d'une vie meilleure, ils abandonnent leurs «çhacras» (petites parcelles de terrain) et se déplacent vers la Grande Ville - au paradis - où ils sont relégués pour vivre dans plus de misère que dans leurs maigres colonies provinciales. Ils perdurent - toujours avec espoir. Maintenant, cela - la crise corona provoquée par l'homme - a rendu la vie encore pire, bien pire pour eux. Il n'y a pas ou pas assez de documents gouvernementaux - ou ils arrivent trop tard ou se perdent dans la corruption.

    Par solidarité, ils se rassemblent. Ils ont besoin de revenir à leurs origines provinciales, à leurs çhacras, à leurs familles - où ils trouveront un abri et de la nourriture, où ils pourront à nouveau se sentir «chez eux» et aimés ou du moins bienvenus.

    Un gouvernement de style militaire dictatorial les empêche de partir - pour des raisons de sécurité, bien sûr - ils peuvent infecter d'autres personnes, - continue la farse. Et personne ne dit peep. Personne n'ose, de peur d'être enfermé. Violence policière - bâtons, gaz lacrymogènes - répression - retour à aucun abri - pas de nourriture. Jusqu'à ce que le gouvernement tout-puissant central décide «d'organiser» le rapatriement - par bus, mais il n'y a pas assez de capacité, ni d'organisation - le chaos émerge - et la situation empire - et à quel point peut-il s'aggraver? La famine frappera, les rendra de plus en plus faibles, plus sujets aux maladies et à mourir - pas de COVID19, mais de la famine. Mais comme les statistiques disparaissent, DOIVENT disparaître, sur ordre du Maître, de tels décès seront automatiquement attribués à la pandémie corona. Naturellement. Cela se fait ailleurs, dans le Grand Nord. Pourquoi pas dans le Sud Global ?

    Lima n'est qu'un exemple - son représentant probablement pour la majeure partie de l'Amérique latine, à l'exception du Venezuela, du Nicaragua et de Cuba - où, au milieu de la misère, il y a toujours un sentiment de solidarité qui unit le peuple - où le gouvernement se tient avec le les gens, pourtant, où les gens souffrent plus gravement, à cause des sanctions occidentales - ils sont littéralement assassinés par les sanctions occidentales - avant tout les États-Unis d'A.

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  56. Le New York Times (22 avril 2020) rapporte: «Au lieu du coronavirus, la faim nous tuera». Une crise alimentaire mondiale se profile. Le monde n'a jamais fait face à une telle urgence de la faim, disent les experts. Il pourrait doubler le nombre de personnes confrontées à une faim aiguë à 265 millions d'ici la fin de cette année.

    Aussi, par le NYT -

    «À Kibera, le plus grand bidonville de Nairobi, au Kenya, les habitants vivent déjà dans une extrême pauvreté. Désespéré de manger a déclenché une bousculade lors d'un récent cadeau de farine et d'huile de cuisson, faisant des dizaines de blessés et deux morts. »

    «En Inde, des milliers de travailleurs font la queue deux fois par jour pour du pain et des légumes frits pour éviter la faim.»

    «Et partout en Colombie, les ménages pauvres accrochent des vêtements et des drapeaux rouges à leurs fenêtres et à leurs balcons pour montrer qu'ils ont faim.»

    Cela rappelle la tristement célèbre citation de Kissinger des années 1970 sur la famine,

    "Qui contrôle l'approvisionnement alimentaire contrôle les gens - la citation continue en disant:

    «Qui contrôle l'énergie peut contrôler des continents entiers; qui contrôle l'argent peut contrôler le monde. "

    Kissinger, comme les Gates, les Rockefeller sont «bien intentionnés»: ils n'ont jamais caché leur désir de réduire la population mondiale dans un format qui rappelle l'eugénisme, en «éradiquant la pauvreté», par exemple par la vaccination - à partir de Afrique.

    Gates a récemment suggéré d'essayer son nouveau vaccin corona en Afrique - contre lequel même son ami, le Dr Tedros, le Directeur général de l'OMS, a protesté.

    La pandémie de coronavirus a apporté la pauvreté et la famine à des millions de personnes dans le monde. Et il n'y a pas de fin en vue.

    Au contraire, il semblerait que presque tous les gouvernements soient cooptés ou forcés tacitement à adhérer aux «directives».

    C'est à la fois diabolique et au-delà de la compréhension. Pourquoi ? Les «élites mondiales» croient vraiment qu’elles contribuent à l’avenir et au bien-être de l’humanité. Pourtant, leurs actions ont entraîné une misère abjecte, le chômage et le désespoir.

    Sans de telles mesures coercitives, il est difficile d'expliquer pourquoi presque tous les gouvernements de la planète se soumettent à cet horrible programme social et économique - et mentent, mentent, mentent abjectement - à leur peuple. Les personnes mêmes qu’elles sont censées protéger contre le chômage, la famine et le désespoir.

    Corona Tyranny - et la mort par la famine

    Dans des circonstances «normales» de l'inégalité prédatrice de notre planète, quelque 9 millions de personnes meurent chaque année de faim et de maladies liées à la famine. Ce chiffre peut maintenant exploser de façon exponentielle. Peut-être dans les dizaines de millions ou plus.

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  57. La famine et la mort par la famine pourraient être davantage affectées par des pénuries alimentaires artificiellement provoquées, ou par des sécheresses ou des inondations - résultant de changements climatiques délibérément provoqués par l'homme - non pas par l'augmentation de température provoquée par le gaz carbonique ridiculement vantée - mais par le système avancé HAARP de l'US Air Force (HAARP = Programme de recherche aurorale active à haute fréquence).

    «Pendant la guerre du Vietnam, des techniques d'ensemencement des nuages ont été utilisées, à partir de 1967 dans le cadre du projet Popeye, dont l'objectif était de prolonger la saison de la mousson et de bloquer les voies d'approvisionnement ennemies le long du sentier Ho Chi Minh». Aujourd'hui, le système HAARP a été perfectionné et militarisé. Selon le document final de l'US Air Force AF 2025 Final Report, modification des conditions météorologiques (à usage militaire):

    «Offre au combattant un large éventail d'options possibles pour vaincre ou contraindre un adversaire…

    «La modification des conditions météorologiques fera partie de la sécurité nationale et internationale et pourrait se faire unilatéralement… Elle pourrait avoir des applications offensives et défensives et même être utilisée à des fins de dissuasion. La capacité de générer des précipitations, du brouillard et des tempêtes sur terre ou de modifier la météo spatiale… et la production de conditions météorologiques artificielles font toutes partie d'un ensemble intégré de technologies [militaires]. »

    Dans le cadre du programme proposé de vaccination forcée de la Fondation Gates - ceux qui refusent la vaccination peuvent, par exemple, ne pas pouvoir voyager.

    La misère abjecte qui est délibérément imposée à l'humanité devient de plus en plus visible. Mis à part l’effacement des actifs des gens et des entreprises, c’est la pauvreté et la famine…

    Il n'existe aujourd'hui aucun tribunal de type Nuremberg, honnête, éthique et suffisamment puissant pour tenir les élites mondiales responsables et les traduire en justice.

    Nous, le peuple, devons prendre le contrôle de ce changement de paradigme en cours.

    Nous, les gens, devons sortir de cet atroce verrouillage.

    Pas conflictuel, mais avec sagesse et savoir-faire. Laisser les forces féroces de l'ennemi renforcer notre faiblesse - et nous faire vaincre.
    Un bon général n'aime pas l'agression
    Un bon guerrier ne connaît pas la haine
    Si vous voulez conquérir votre ennemi, ne le confrontez pas.
    Mettez-vous en dessous de lui
    C'est ce qu'on appelle le pouvoir de ne pas se battre
    Cela utilise la capacité des hommes
    Ceci est appelé depuis les temps anciens, pour être en harmonie avec le ciel,
    Et c'est la plus grande puissance qui soit (Tao 68)

    Reproduit avec la permission de Global Research.

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    Peter Koenig est économiste et analyste géopolitique. Il est également spécialiste des ressources en eau et de l'environnement. Il a travaillé pendant plus de 30 ans avec la Banque mondiale et l'Organisation mondiale de la santé dans le monde dans les domaines de l'environnement et de l'eau. Il enseigne dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour Global Research; ICH; RT; Spoutnik; PressTV; Le 21e siècle; Greanville Post; Defend Democracy Press, TeleSUR; Le blog Saker, le New Eastern Outlook (NEO); et d'autres sites Internet. Il est l'auteur d'Implosion - Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l'environnement et la cupidité des entreprises - fiction basée sur des faits et sur 30 ans d'expérience de la Banque mondiale dans le monde. Il est également co-auteur de The World Order and Revolution! - Essais de la résistance. Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.

    https://www.lewrockwell.com/2020/05/no_author/the-farce-and-diabolical-agenda-of-a-universal-lockdown/

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  58. «Ils ne veulent pas retourner au travail» - Un restaurant blâme CARES Act pour une pénurie de main-d'œuvre


    par Tyler Durden
    Mar., 19/05/2020 - 19:45


    L'une des grandes tragédies en Amérique aujourd'hui est celle de la CARES Act, qui comprenait un chèque de relance de 1200 $ et un paiement hebdomadaire supplémentaire de 600 $ pour les chômeurs, a donné à des millions d'Américains leur premier vrai goût du socialisme, c'est-à-dire le goût sucré du fruit défendu sans argent.

    L'administration Trump a débloqué de l'argent par hélicoptère destiné aux ménages, ce qui aura de graves conséquences. Il n'y a pas si longtemps, nous avons remarqué comment l'intervention du gouvernement, protégeant les ménages d'une dépression économique, prolongera la reprise sur le marché du travail car les gens sont mieux payés pour s'asseoir à la maison que pour travailler et être productifs dans la société:

    "Alors ne vous attendez pas à ce que le taux de chômage rebondisse beaucoup une fois que cette pandémie commencera à se calmer. Le Congrès a décidé de rendre très gratifiant financièrement de ne pas travailler, et des millions et des millions d'Américains seront plus qu'heureux d'en profiter de cette opportunité aussi longtemps qu'elle dure. "

    Alors que l'économie de l'Arizona rouvre, un propriétaire de restaurant a blâmé la loi CARES pour les pénuries de main-d'œuvre, même si elle dit que le taux de chômage national est très élevé.

    "Avec un taux de chômage de près de 20%, on pourrait penser que nous aurions beaucoup de candidats, mais nous ne le sommes pas", a déclaré Paullette Cano, propriétaire du restaurant italien de Times Square, qui a récemment parlé avec AZFamily.

    Cano a déclaré que la loi CARES et les contrôles du chômage ont permis à plusieurs de ses employés en congé de rester à la maison. Ils lui ont dit collectivement que leur salaire du gouvernement était bien meilleur que de travailler dans son restaurant.

    "Ils ne veulent pas retourner au travail", a déclaré Cano. "C'est le chômage. Ils reçoivent environ 840 $ par semaine, ce qui leur rapporte environ 22 $ par heure."

    À l'heure actuelle, il y a 30 postes vacants au restaurant avec des dizaines d'employés en congé assis à la maison pour percevoir l'aide sociale. Elle a dit que la réembauche est difficile parce que les gens demandent + 20 $ de l'heure, ou environ le taux horaire, ils reçoivent du chômage et des dollars fédéraux.

    "Ils demandent 20 $ de l'heure, ce qui rend les choses difficiles parce que nous opérons avec de faibles marges", a déclaré Cano.

    Le propriétaire du restaurant italien de Times Square, Paullette Cano

    Si Cano développe une pénurie de main-d'œuvre avec un afflux de demande dans son restaurant en raison de la réouverture, elle pourrait avoir à recourir à une main-d'œuvre coûteuse qui entraînerait moins d'embauches.

    Ce n'est pas seulement en Arizona, les travailleurs de nombreux autres États peuvent gagner plus d'argent à la maison qu'à l'emploi.

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  59. Nous avons récemment écrit «Quand le travail est puni: la« généreuse »loi CARES a-t-elle simplement garanti un taux de chômage élevé ?» - là où il a été noté que la loi CARES a le potentiel de créer une toute nouvelle génération de serfs de bien-être social, bénéficiant de prestations sociales importantes sans aucune incitation à "retourner au travail'', même après la levée des interdictions. Cela conduira à un marché du travail qui ne se rétablira pas de sitôt, contrecarrant tout espoir d'une reprise en forme de V cette année.

    Le virus, à son crédit, a déclenché une réponse politique dangereuse de la part du gouvernement de l'argent des hélicoptères qui retardera efficacement la reprise. Récemment, Powell sur 60 minutes de CBS pense qu'une reprise pourrait être vue à la fin de 2021 - que dire que la reprise pourrait ne pas être visible avant 2022-2024?

    https://www.zerohedge.com/markets/arizona-restaurant-blames-cares-act-labor-shortage

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