- ENTREE de SECOURS -



lundi 4 mai 2020

L'ingéniosité de l'astuce

Depuis des décennies, la NSA se casse le cul à écouter et lire les messages Internet & téléphoniques pour savoir qui est con et le plus con de tous, c'est alors qu'est entrée la Découverte de l'ingéniosité de l'astuce (Buffet ? Gates ? ou Kim Jong-un ?) avec (roulement de tambours :) l'arrivée de l'exceptionnalité différente dans son extra-territorialité la grande 'Corana Virus' (20 ans, 3 km de tour de poitrine et un cul Papossible) déesse suprême pour... 'compter le nombre de cons sur Terre' !

Whôâah !

En moins de 7 semaines (prolongations pour les pays qui ont plus de cons que les autres), l'on a pu admirer et se fendre la gueule devant les files d'attente aux supermarchés dont les clientes & clients portaient un masque 'fait-maison' !! HAHAHAHAHA !

Des chandails, cols roulés et visières en plastique (si-si ! çà existe !!) aux serviettes périodiques munies de 2 élastiques (Sponsors marqués 'CHANEL, COCA-COLA, BRICOMARCHÉ, KRONENBOURG, LIDL) qu'ils ou elles traînent depuis x semaines !

ÂH les cons, âh les cons !

Le top revient aux visières en plastique (de type 'employé municipal coupant l'herbe des routes avec un engin rotatif qui fait du bruit') où, le putain de scélérat de merde de virus à la con serait obligé de faire le tour pour entrer lors des inspirations ! Âh putain celle-là tu me la copieras ! (même s'il est prédécesseurs et de ses frères).
Bon, calculette en main (Intelligence Artificielle ?), 99 % des gens SONT DES CONS ! (aux gouvernements mais, dans le Peuple il y en a combien ?).

C'est carnaval tous les jours !

Ils (ou elles) ne semblent pas savoir qu'un virus est une espèce (non en voie de disparition) qui se calibre au micronième de degré ! et, ce dit virus d'1µ passe donc AISÉMENT entre TOUTES les mailles de 500 ou 1000 microns (500 ou 1000 à la fois !) des 'masques' faits-maison ou des masques anti-poussières, anti-mouches, antisémites, et anti-nucléaire ou météorites vendus comme étant 'anti-virus' !! (avec l'accord et les félicitations des Gouvernements) !

Or, il se trouve que, SEUL le masque FF P2 (anti-virus) protège de TOUS les virus (+ des lunettes de plongée pour protéger les yeux qui n'ont de globules blancs), avec le 'FF P3' qui est un peu comme de respirer dans un sac en plastique ! et comporte une valve de sécurité à l'expiration mais, ne doit qu'être porté que MOMENTANÉMENT et SANS 'faire du sport'.

Mais, ce dit masque FF P2, n'est disponible que sur commande (10 ans à l'avance) et, compte-tenu des remarques désobligeantes gouvernementales face au seul fournisseur au monde, le dit chinois a fait un bras d'honneur aux acheteurs médisants ! Et toc ! Bravo Xi !

80 commentaires:

  1. «Desinfox Coronavirus»: des journalistes rappellent que «l’État n’est pas l’arbitre de l’information»


    13:24 04.05.2020


    Pour lutter contre les fake news sur le coronavirus, le gouvernement a mis en ligne une sélection d'articles qu'il juge fiables. L’initiative a été critiquée par plusieurs sociétés de journalistes qui dénoncent le pouvoir de «la défiance qu’il nourrit à l’endroit d’une presse libre et plurielle».

    Dans une tribune intitulée «L’État n’est pas l’arbitre de l’information», publiée le 3 mai, une trentaine de sociétés de journalistes et de rédacteurs ont dénoncé «avec la plus grande fermeté» la rubrique lancée par le gouvernement qui reproduit sur un site officiel de la République un florilège d’articles estampillés fiables, consacrés au coronavirus.

    «En distinguant tel ou tel article sur son site Internet, le gouvernement donne l’impression, dans un mélange des genres délétère, de labelliser la production de certains médias», regrettent dans leur tribune les sociétés de journalistes et rédacteurs (SDJ et SDR).

    Selon eux, le pouvoir actuel démontre ainsi «la défiance qu’il nourrit à l’endroit d’une presse libre et plurielle».

    En citant la Cour européenne des droits de l’Homme pour qui les journalistes sont les «“chiens de garde” de la démocratie» et en rappelant que la presse française est indépendante de l’État et du pouvoir politique, les SDJ et SDR, signataires du texte, demandent donc que cette rubrique du site www.gouvernement.fr soit supprimée sans délai.

    Un site contre les «fake news»

    Le 30 avril, le gouvernement a annoncé le lancement du site «Desinfox Coronavirus»* qui recense certains articles de vérification des faits parus dans la presse au sujet de l'épidémie.

    Cette page «a vocation à être supprimée une fois la crise terminée», a assuré Sibeth Ndiaye, la porte-parole du gouvernement, interrogée à l'issue du conseil des ministres sur la polémique créée par sa mise en ligne.

    https://fr.sputniknews.com/france/202005041043712676-desinfox-coronavirus-des-journalistes-rappellent-que-letat-nest-pas-larbitre-de-linformation/

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    1. *Voici ci-dessous des pages issues de:

      https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/desinfox


      POINT DE SITUATION

      #RestezChezVous

      En application de l’état d’urgence sanitaire, jusqu’au 11 mai, les déplacements sont interdits sauf dans les cas suivants et uniquement à condition d'être munis d'une attestation pour :

      Déplacements entre le domicile et le lieu d’exercice de l’activité professionnelle, lorsqu’ils sont indispensables à l’exercice d’activités ne pouvant être organisées sous forme de télétravail ou déplacements professionnels ne pouvant être différés.

      Déplacements pour effectuer des achats de fournitures nécessaires à l’activité professionnelle et des achats de première nécessité, y compris les acquisitions à titre gratuit (distribution de denrées alimentaires…) et les déplacements liés à la perception de prestations sociales et au retrait d’espèces, dans des établissements dont les activités demeurent autorisées.

      Consultations et soins ne pouvant être assurés à distance et ne pouvant être différés ; soin des patients atteints d'une affection de longue durée.
      Déplacements pour motif familial impérieux, pour l’assistance aux personnes vulnérables ou la garde d’enfants.
      Déplacements brefs, dans la limite d'une heure quotidienne et dans un rayon maximal d'un kilomètre autour du domicile, liés soit à l'activité physique individuelle des personnes, à l'exclusion de toute pratique sportive collective et de toute proximité avec d'autres personnes, soit à la promenade avec les seules personnes regroupées dans un même domicile, soit aux besoins des animaux de compagnie.
      Convocation judiciaire ou administrative.
      Participation à des missions d’intérêt général sur demande de l’autorité administrative.

      Le Premier ministre a présenté le mardi 28 avril 2020 la stratégie nationale de déconfinement à l'Assemblée nationale. Retrouvez toutes les informations sur cet espace dédié au déconfinement.

      https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus
      ______________________________

      (...) Déplacements brefs, dans la limite d'une heure quotidienne et dans un rayon maximal d'un kilomètre autour du domicile, liés soit à l'activité physique individuelle des personnes, à l'exclusion de toute pratique sportive collective et de toute proximité avec d'autres personnes, soit à la promenade avec les seules personnes regroupées dans un même domicile, soit aux besoins des animaux de compagnie. (...)

      Sans parler de celles ou ceux qui habitent la campagne à plus de 1 km des supermarchés !!

      ------------------------------

      STRATÉGIE DE DÉCONFINEMENT

      REDIFFUSION

      Présentation des grands axes du plan de déconfinement à compter du 11 mai 2020 : retrouvez ici le discours du Premier ministre prononcé à l’Assemblée nationale le mardi 28 avril.

      La sécurité des Français est la priorité de ce plan, progressif et qui sera adapté dans trois semaines en fonction de l’évolution de l’épidémie. Le principe est national mais des aménagements peuvent être opérés au niveau territorial, sur l’impulsion des préfets et des maires.

      La réussite de ce plan de déconfinement progressif dépendra de l'engagement responsable de chaque Français.

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    2. LES INFORMATIONS ESSENTIELLES DU PLAN

      Le déconfinement est prévu pour le 11 mai. Il se prépare en surveillant tous les indicateurs pour vérifier, département par département, l’évolution de l’épidémie. C’est cette observation qui permettra de décider si les opérations peuvent bien être lancées à cette date ou si des mesures plus strictes doivent être prises.

      Si la situation sanitaire au 11 mai le permet, alors commencera une seconde phase qui s’étendra jusqu’au 2 juin. Elle permettra de vérifier que les mesures mises en œuvre permettent de contenir l’épidémie. Et d’envisager les mesures pour la phase suivante : du 2 juin jusqu’à l’été.

      Le déconfinement prendra une forme plus stricte dans les départements qui sont dans une ou plusieurs de ces situations :

      le taux de nouveaux cas dans la population sur une période de 7 jours reste élevé ;
      les capacités hospitalières en réanimation restent saturées ;
      le système local de tests et de détection des cas contacts n'est pas suffisamment prêt.
      Le 7 mai, les résultats permettront d'indiquer les départements qui basculent le 11 mai en catégorie rouge (circulation élevée du virus) ou verte (circulation limitée du virus).

      Dès jeudi 30 avril, le Directeur général de la Santé présentera chaque soir une carte avec ces résultats, département par département. Cette carte guidera chaque département dans la préparation du 11 mai.

      https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/strategie-de-deconfinement

      ---------------------

      MASQUES GRAND PUBLIC

      POINT DE SITUATION
      #TousMobilisés

      Le port d’un masque grand public est préconisé dans certaines situations pour se protéger et protéger les autres. Il ne se substitue en aucune manière au respect des gestes barrières et des règles de distanciation sociale.

      Depuis le début de la crise sanitaire, l’État se mobilise pour accroître le stock de masques grand public :

      il agit pour renforcer la production sur le territoire national : avec son appui, les entreprises françaises industrielles fabriquent des masques de haute protection pour les Français, en adaptant pour certaines d’entre elles leurs outils de production.
      dans la perspective du déconfinement, l’État met au service des Français un ensemble d’informations et de contacts leur permettant de fabriquer leur propre masque dans le respect du cadre défini par les autorités sanitaires et des spécifications de l’AFNOR (Association Française de NORmalisation).

      LES INFORMATIONS ESSENTIELLES

      Protégeons-nous, portons tous des masques
      Lorsqu’un malade du Covid19 ne porte pas de masque et que vous n’en portez pas non plus, votre niveau de protection contre le coronavirus est inexistant.
      Lorsqu’un malade du Covid19 ne porte pas de masque mais que vous en portez un, votre niveau de protection contre le coronavirus est faible.
      Lorsqu’un malade du Covid19 porte un masque et que vous n’en portez pas, votre niveau de protection contre le coronavirus est modéré.
      Lorsqu’un malade du Covid19 porte un masque et que vous en portez un également, votre niveau de protection contre le coronavirus est fort.
      Attention, le masque ne remplace pas les gestes barrières. Il ajoute une barrière physique lorsque vous êtes en contact avec d’autres personnes.

      https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/masques-grand-public

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    3. (...) il agit pour renforcer la production sur le territoire national : avec son appui, les entreprises françaises industrielles fabriquent des masques de haute protection pour les Français, en adaptant pour certaines d’entre elles leurs outils de production.
      dans la perspective du déconfinement, l’État met au service des Français un ensemble d’informations et de contacts leur permettant de fabriquer leur propre masque dans le respect du cadre défini par les autorités sanitaires et des spécifications de l’AFNOR (Association Française de NORmalisation). (...)

      HAHAHAHA !

      NON ! 'l’État met au service des Français un ensemble d’informations et de contacts leur permettant de fabriquer leur propre masque dans le respect du cadre défini par les autorités sanitaires et des spécifications de l’AFNOR (Association Française de NORmalisation).'

      PERSONNE ne peut fabriquer (avec son 'matériel' et sa machine à coudre) 'son' masque FFP2 d'ouverture 1 micron ! PERSONNE !

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  2. Un médecin compare la mortalité liée au Covid-19 à celle d’autres maladies


    13:33 04.05.2020


    Un docteur russe a indiqué au quotidien Komsomolskaïa Pravda que la létalité des pathologies cardiovasculaires était plus élevée que celle du coronavirus. L'immunologiste estime que la mortalité liée au Covid-19 ne dépassera pas les 2%.
    L’immunologiste, expert en santé publique et en santé internationale, docteur en sciences médicales, Nikolaï Krioutchkov a comparé dans une interview au quotidien Komsomolskaïa Pravda la mortalité liée au coronavirus à celle d’autres infections et maladies.

    Alors que tous les regard sont aujourd'hui tournés vers le Covid-19, le spécialiste a tenu à rappeler que la létalité des maladies cardiovasculaires est la plus grave, tandis que celle du cancer, en particulier du cancer du poumon, est également très élevée.

    M.Krioutchkov a également comparé les statistiques des cas mortels de rotavirus, l’infection qui a causé des centaines de milliers de décès par an dans le monde, et du nouveau coronavirus.

    Il a ainsi rappelé que le rotavirus posait principalement problème dans des pays pauvres à climat chaud, précisant que la létalité de cette maladie se situait entre 0,05% et 0,09% dans le monde mais pouvait parfois atteindre 2%. Ceci est comparable, avec la mortalité de la grippe saisonnière.

    L’absence de vaccin

    Par ailleurs l’immunologiste a estimé que la létalité mondiale du Covid-19 serait de 2% tout au plus.

    Le médecin a expliqué que la situation autour du rotavirus était sous contrôle tandis que le nombre de décès par le coronavirus augmentait actuellement en raison de la montée des cas d'infection.

    M.Krioutchkov a également souligné qu'il existait d'autres infections dangereuses dans le monde, mais qu’il était facile de se prémunir contre la plupart d’entre elles grâce au vaccin, ce qu'il n'est pas à ce jour le cas du Covid-19.

    Plus de 247.000 morts

    Selon le bilan de l’Université Johns-Hopkins du 4 mai, plus de 3,5 millions de personnes ont été contaminées par le coronavirus dans le monde. Le nombre de cas de décès a dépassé les 247.000.

    https://fr.sputniknews.com/sante/202005041043714014-un-medecincompare-la-mortalite-liee-aucovid-19a-celle-dautres-maladies/

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    1. (...) Ceci est comparable, avec la mortalité de la grippe saisonnière. (...)

      Grippe saisonnière : 500 000 morts
      Coronavirus : 247.000 morts !

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  3. Pandémie, en continu: le taux de contamination des soignants en France est dix fois supérieur à celui de la population


    13:49 04.05.2020


    À partir de ce lundi 4 mai, de premières mesures de déconfinement entrent en vigueur dans plusieurs pays, comme en Italie ou au Portugal. En France, Édouard Philippe doit défendre son plan de déconfinement devant le Sénat. Voici la revue des actualités sur la pandémie, dont le bilan des décès à travers le monde avoisine désormais les 250.000.

    Certains pays européens continuent ce lundi d’assouplir les restrictions liées au coronavirus qui a touché à ce jour plus de 3,5 millions de personnes sur la planète et a été fatal pour plus de 247.000 personnes, selon l’Université Johns-Hopkins.

    L'Algérie referme des commerces à cause d'une indiscipline

    En France, Édouard Philippe soumettra lundi au Sénat sa stratégie nationale de déconfinement aux contours encore très flous, qu'il s'agisse de la réouverture des écoles ou des mesures de quarantaine à partir du 11 mai. La présentation sera suivie d'un débat et d'un vote. Le Sénat se penchera également sur le projet de loi prorogeant l'état d'urgence de deux mois jusqu'au 24 juillet. La France procédera par ailleurs ce lundi à la distribution de masques gratuits.

    Collecte de fonds pour le vaccin contre le coronavirus

    Ce lundi, une collecte de fonds mondiale a lieu à Bruxelles pour la recherche d'un vaccin et de traitements contre le nouveau coronavirus. Organisatrice de cette grande conférence en ligne d'appels aux dons, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen espère lever 7,5 milliards d'euros.

    Il existe une centaine de projets de vaccins anti-Covid-19 à travers le monde, dont une dizaine en phase d'essais cliniques, selon des données diffusées par la London School of Hygiene & Tropical Medicine.

    Évaluation de la situation dans les autres pays du monde

    Les Italiens sont désormais autorisés de rendre visite à leurs familles ou à se réunir en nombre limité. La veille, le pays avait enregistré son bilan de décès quotidien le plus bas depuis le début de l’épidémie.

    En Espagne, où le 3 mai a également été marqué par un niveau particulièrement bas du nombre de morts, certains petits commerces, comme les coiffeurs, pourront recevoir des clients individuellement sur rendez-vous. Certaines écoles rouvriront progressivement dans certains Länder en Allemagne.

    Le Portugal, qui a levé dimanche son état d'urgence en vigueur depuis six semaines, autorise à partir de ce 4 mai la réouverture des petits commerces, salons de coiffure ou concessionnaires automobiles.

    La Nouvelle-Zélande n’a enregistré aucun cas de virus ni de décès supplémentaires en l’espace de ces dernières 24h, une première pour le pays. Selon le Premier ministre Jacinda Ardern, la Nouvelle-Zélande réexaminera son niveau d'alerte, actuellement de niveau 3, le 11 mai.

    Le Japon se prépare à prolonger ce lundi jusque fin mai son état d'urgence dans la perspective d'une longue bataille contre l'épidémie de coronavirus. Cette mesure est entrée en vigueur le 7 avril à Tokyo et a ensuite été étendue par Shinzo Abe sur tout le pays.

    14:32
    Édouard Philippe présente la stratégie nationale du plan de déconfinement au Sénat

    13:58
    Trump pointe une «terrible erreur» de la Chine sur le Covid-19

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  4. 13:28 04.05.2020
    Le fait que la Chine n’a pas autorisé des officiels US et de l’OMS à mener des études sur le terrain a été qualifié par Donald Trump de «terrible erreur» qu’elle ne veut pas reconnaître, tout comme celle d’avoir permis aux Chinois de sortir du pays.

    13:39
    La CGT-Santé révèle une forte surcontamination des personnels soignants
    Selon une enquête publiée lundi par la CGT-Santé, au moins 12.000 salariés des hôpitaux, cliniques, Ehpad et autres établissements sociaux ont été contaminés par le coronavirus. Il s'agit d'un taux de contamination dix fois supérieur à celui de la population française.

    13:35
    Un médecin compare la mortalité liée au Covid-19 à celle d’autres maladies

    13:33 04.05.2020
    Un docteur russe a indiqué au quotidien Komsomolskaïa Pravda que la létalité des pathologies cardiovasculaires était plus élevée que celle du coronavirus. L'immunologiste estime que la mortalité liée au Covid-19 ne dépassera pas les 2%.

    13:15
    Au Maroc, le nombre d'infectés a atteint les 5.000
    Selon le ministère de la Santé du pays, 1.565 personnes se sont rétablies, alors que le nombre de décès est de 177.

    12:57
    En Ukraine, la quarantaine est prorogée jusqu'au 22 mai, selon le Premier ministre du pays
    Dans le même temps, les autorités rouvriront les cafés et les restaurants d'extérieur à partir du 11 mai.

    12:38
    Le nombre de décès en lien avec l'épidémie en Iran s'est établi à 6.277 avec 74 morts supplémentaires annoncés en 24h
    Selon le ministère iranien de la Santé, le pays dénombre plus de 98.000 cas.

    12:23
    Des journaux
    «Desinfox Coronavirus»: des journalistes rappellent que «l’État n’est pas l’arbitre de l’information»
    https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/desinfox

    12:22 04.05.2020
    Pour lutter contre les fake news sur le coronavirus, le gouvernement a mis en ligne une sélection d'articles qu'il juge fiables. L’initiative a été critiquée par plusieurs sociétés de journalistes qui dénoncent le pouvoir de «la défiance qu’il nourrit à l’endroit d’une presse libre et plurielle».

    12:11
    Le monde après l'épidémie sera le même, mais «en pire», selon Michel Houellebecq
    «Nous ne nous réveillerons pas, après le confinement, dans un nouveau monde; ce sera le même, en un peu pire», insiste l'écrivain français dans une lettre lue lundi sur France Inter.
    L'épidémie de coronavirus, estime l'auteur de Sérotonine, «devrait avoir pour principal résultat d'accélérer certaines mutations en cours» dont, notamment, «la diminution des contacts humains».

    11:57
    En 2020, les filières noix de cajou et coton de Côte d'Ivoire vont perdre l'équivalent de 455 millions d'euros

    La Côte d'Ivoire est le premier producteur mondial de noix de cajou (appelé aussi anacarde) et le troisième producteur africain de coton.
    «Sur le marché international, les offres en direction de la Côte d'Ivoire étaient de 1.400 dollars la tonne pour la noix de cajou», a indiqué à l'AFP le directeur du CCA Adama Coulibaly.
    «Les même contrats négociés ont chuté, à l'apparition de la pandémie pour se situer à 900 dollars soit un gap de 500 dollars, sur 600.000 tonnes de produits à exporter vers le Vietnam et l'Inde», a expliqué M.Coulibaly, évoquant une perte de plus de 300 millions de dollars.

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  5. 11:39
    Dans le Pacifique Sud, les surfeurs reprennent goût à la mer
    Grâce à l'allègement des mesures de confinement côté Pacifique Sud, les surfeurs ont la possibilité de s'adonner à leur sport, rapporte l'AFP. À Tahiti, retourner à l'eau est autorisé depuis le 29 avril.

    11:20
    La barre des 50.000 cas dépassée en Belgique

    Ce 4 mai, l'institut de santé publique belge (Sciensano) fait état de 80 décès supplémentaires enregistrés en 24h dans le royaume pour un total de presque 8.000.
    Dans le même temps, le pays a recensé depuis le début de l'épidémie plus de 50.000 cas d'infection au Covid-19 avec 361 dépistés en l'espace de 24h.

    11:06
    En 24h, 164 décès supplémentaires ont été confirmés en Espagne. Le pays maintient ainsi son niveau le plus bas de morts établi le 3 mai
    Le nombre de décès des suites du coronavirus a atteint les 25.428 en Espagne, où 218.011 infectés ont été recensés au total depuis le début de l'épidémie.

    10:50
    L'Exposition universelle 2020 à Dubaï va être reportée
    L'Exposition universelle de 2020 à Dubaï va être reportée d'un an, du 1er octobre 2021 au 31 mars 2022, a annoncé lundi le Bureau international des expositions (BIE). Cette décision sera formellement approuvée par l'organisation, la résolution ayant obtenu à ce jour plus que le seuil des deux-tiers requis, indique un communiqué.

    10:41
    Un scientifique désigne une condition permettant de s’immuniser contre le coronavirus

    09:22 04.05.2020
    Dans une interview au journal Rossiskaïa Gazeta, un scientifique russe a indiqué que la forme modérée du coronavirus est optimale pour que l’organisme s’immunise contre la maladie. Selon lui, dans une forme légère, l’organisme ne produit pas les anticorps nécessaires alors que pour une forme grave, l’organisme se prive de ses forces.

    10:28
    Un télétravail massif jusqu'en été: Muriel Pénicaud juge le principe «raisonnable»
    La ministre du Travail a jugé lundi «raisonnable de dire» qu'en France, le télétravail sera massif jusqu'à l'été. La responsable a appelé les partenaires sociaux à négocier rapidement un encadrement de ce mode de travail s'ils le souhaitent.
    «Il y a aujourd'hui cinq millions de Français qui travaillent en télétravail, et dans le contexte de déconfinement progressif, c'est important qu'ils continuent à télétravailler», a affirmé Mme Pénicaud sur Franceinfo.

    10:15
    L'état d'urgence au Japon est prolongé jusqu'au 31 mai, selon le Premier ministre du pays
    Toutes les préfectures japonaises sont concernées par la mesure.

    10:10
    Une psychologue du sport russe explique à Sputnik comment se remettre en forme physique pour affronter la sortie du confinement.

    09:46 04.05.2020
    Alors que la majeure partie de l’humanité est confinée depuis une longue période, une psychologue russe a détaillé à Sputnik ce qu’il fallait faire pour sortir du confinement dans des conditions optimales pour sa santé.

    10:00
    En 24h, le nombre de cas en Russie a grimpé de plus de 10.000 pour atteindre les 145.268, selon l'état-major opérationnel
    Et de préciser que 50,6% des cas révélés en 24h sont asymptomatiques.
    Toujours selon la même source, le nombre de patients qui se sont rétablis du coronavirus s'élève à plus de 18.000.
    En l'espace de 24h, 76 personnes sont décédées. Au total, le pays déplore la mort de 1.356 personnes des suites du coronavirus.

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  6. 09:54
    En direct depuis Madrid, alors que l'Espagne commence à assouplir ses restrictions liées au Covid-19

    09:46
    «L'État sera aux côtés de la SNCF», annonce la ministre des Transports et de la Transition écologique Elisabeth Borne.

    09:30
    La Bourse de Paris ouvre ce lundi en forte baisse de 3,48%
    À 9h, l'indice CAC 40 perdait 159,04 points à 4.413,14 points. Jeudi, il avait fini en baisse de 2,12%

    09:17
    En direct depuis Milan où l'assouplissement des mesures de restrictions est en cours

    09:06
    L'aide française de 7 milliards d'euros à Air France autorisée par l'UE
    La Commission européenne a autorisé ce 4 mai la France à octroyer un soutien de sept milliards d'euros à Air France pour affronter les conséquences de la crise du coronavirus.
    «Cette garantie et ce prêt d'actionnaire accordés par la France, d'un montant de sept milliards d'euros, fourniront à Air France les liquidités dont elle a un urgent besoin pour résister aux répercussions de la pandémie», a expliqué la commissaire européenne à la Concurrence, Margrethe Vestager, citée dans un communiqué.
    Pour Air France, les prêts français se décomposeront en quatre milliards de prêts bancaires garantis à 90% par l’État et trois milliards de prêt direct de l’État, avec en contrepartie des engagements sur l'amélioration de sa rentabilité et sur la réduction de ses émissions de CO2.
    Air France a subi une réduction drastique de son activité à la suite des restrictions imposées dans le monde entier en matière de voyages pour limiter la transmission du coronavirus, qui se traduisent par des pertes d'exploitation importantes, relaye l'AFP.
    La France et les Pays-Bas possèdent chacun 14% du groupe franco-néerlandais que la compagnie aérienne forme avec KLM.
    Le gouvernement néerlandais projette pour sa part d'aider KLM à hauteur de deux à quatre milliards d'euros sous forme de prêts et garanties.

    08:50
    Bruno Le Maire sur France Inter: «Il est indispensable que le plus grand nombre de Français puissent reprendre le chemin du travail et retrouver une vie la plus normale possible»

    08:44
    Dans la lettre ouverte publiée le 3 mai sur le site de La Tribune, des maires d’Ile-de-France appellent Emmanuel Macron à repousser la réouverture des écoles.
    Une écharpe tricolore est posée le 20 février 2001 sur le bureau du maire de Paris à l'Hôtel de Ville
    Des maires d'Île-de-France disent à Macron leur refus de rouvrir les écoles le 11 mai

    07:21 04.05.2020
    En dénonçant un déconfinement «à marche forcée», l'association des maires d'Île-de-France a écrit à Emmanuel Macron pour lui demander de repousser la réouverture des écoles à une date ultérieure au 11 mai pour que «l’État s’assure que toutes les conditions sanitaires soient réunies».

    https://fr.sputniknews.com/international/202005041043711638-pandemie-en-continu-la-strategie-nationale-du-deconfinement-en-france-mise-a-lepreuve-au-senat/

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  7. L'ESCROQUERIE DES SUPERMARCHÉS :

    DES MASQUES VENDUS À PRIX COÛTANT EN SUPERMARCHÉ


    par JEAN-BAPTISTE GIRAUD
    04/05/2020



    Les masques devraient être vendus entre 60 centimes et 1 euro l'unité.

    Dès ce lundi, vous devriez pouvoir acheter des masques dans la plupart des supermarchés et supérettes de France. Auchan, Aldi, Carrefour, Cora, Casino, Intermarché, Leclerc, Lidl, Netto et Système U ont tous annoncé avoir déjà des masques en stock.

    Des masques à 60 centimes

    Mieux : ces masques devraient normalement être vendus à prix coûtant. On parle de 60 centimes à 1 euro l’unité. Pour autant, il n’est pas certain que vous trouverez ces masques, des masques chirurgicaux basiques pour l’essentiel, entre les mouchoirs et le sopalin.

    Chez Intermarché par exemple, les clients porteurs d’une carte de fidélité ont reçu ou vont recevoir un bon de réservation par mail. Chez Leclerc, les masques seront vendus à l’accueil, par lots de 10. Chez Carrefour, c’est à la caisse qu’ils seront proposés.

    Des masques destinés aux enfants

    Par ailleurs, vous pourrez aussi acheter des masques lavables, vendus un peu plus cher, autour de 2 à 3 euros l’unité. Ici pas, de packs, il faudra les acheter avec parcimonie. Il se dit aussi que la Poste devrait bientôt proposer des masques à la vente, en bureau, mais aussi sur son site Internet.

    Enfin, comme l’enjeu demain, consistera aussi à réussir à faire porter un masque aux enfants, je vous signale que Playmobil propose sur son site Internet des masques en plastiques colorés et sympathiques, pour 5 euros l’unité. Avantage, ils sont équipés d’un système à cartouche rechargeable et livrés avec 10 cartouches en papier filtrant. Cartouches en papier faciles à fabriquer soi-même par la suite.

    http://www.economiematin.fr/news-masques-vendus-prix-coutant-supermarche-coronavirus

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    1. (...) On parle de 60 centimes à 1 euro l’unité. Pour autant, il n’est pas certain que vous trouverez ces masques, des masques chirurgicaux basiques pour l’essentiel, entre les mouchoirs et le sopalin. (...)

      Du PQ ou des serviettes hygiéniques ? hahahaha §

      SEUL le masque marqué FF P2 est anti virus.
      TOUS les autres sont des ARNAQUES pour les cons !

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  8. Fausse pandémie de COVID-19 : deux médecins sur le terrain expliquent pourquoi le confinement est inutile


    Vanessa Beeley - The Wall Will Fall
    Sott.net
    dim., 03 mai 2020 18:25 UTC


    Comment: YouTube a supprimé tous les partages vidéos de ce briefing de deux médecins californiens, et les médias mènent actuellement une campagne de diffamation contre eux, qualifiant de « douteuses » leurs critiques des mesures de confinement. Nous nous faisons donc une joie de diffuser leur vidéo (ci-dessous/voir sur site).

    COVID-19 Doctors Erickson

    Le Covid-19 analysé avec logique par deux médecins urgentistes californiens possédant une grande expérience en immunologie et en microbiologie. Leur analyse se base sur les statistiques au niveau national.

    « BAKERSFIELD, Calif., (KBAK/KBFX) — Les Drs Dan Erickson et Artin Massihi d'Accelerated Urgent Care appellent à la réouverture du comté»

    À VOIR ABSOLUMENT. « Des millions de cas, un petit nombre de décès »

    Briefing COVID-19 du Dr Erickson :

    L'isolement, le confinement à domicile sont-ils justifiés ?

    « Les hôpitaux, les urgences sont vides... ils ferment des services... »

    « Lorsque je raconte ce qui se passe à des médecins urgentistes à travers le pays - parce que tout le monde est focalisé sur le COVID, des gens souffrant de maladies cardiaques, de cancers, d'hypertension et d'autres pathologies critiques décident de ne pas venir, parce qu'ils ont peur. »

    « Donc dans les faits, on oblige le système de santé à se focaliser sur le COVID, au détriment d'une myriade d'autres problèmes critiques. »

    « Il y a beaucoup de dommages collatéraux, et on n'en parle pas. »

    « Il y a deux mois, la réponse au COVID a été fondée sur la peur, pas sur les faits. »

    « Typiquement, on met les malades en quarantaine. On n'a jamais vu des personnes en bonne santé mises en quarantaine, des gens qui ne sont pas malades et qui sont asymptomatiques assignés à résidence. »

    « Ces deux derniers mois, nous avons collecté de nombreuses données. »

    « Une infection virale à grande échelle similaire à la grippe. »

    « Les chiffres d'hier pour la Californie (...) 12% des Californiens étaient positifs au COVID. Les modèles initiaux étaient terriblement inexacts, ils avaient prédit des millions de décès ; pas des millions de cas de contamination, mais des millions de décès. Cette prédiction ne s'est toujours pas réalisée. »

    « Ce qu'on observe, dans l'État de Californie, c'est 12% de cas positifs. »

    « Vous avez 0,03% de risque de mourir *du* COVID-19 dans l'État de Californie. »

    « 0,03% de risque de mourir du COVID-19 dans l'État de Californie. Cela justifie-t-il le confinement ? Cela justifie-t-il de verrouiller le système médical ? Cela justifie-t-il de mettre les gens au chômage ? »

    « 96% des gens en Californie qui contractent le COVID se RÉTABLISSENT sans aucune séquelle grave à long terme. »

    « Nous partageons nos propres données. Il ne s'agit pas de données filtrées par quelqu'un d'autre, ce sont nos propres données. »

    « Le taux d'infection augmente et le taux de mortalité ne bouge pas, donc il baisse de plus en plus chaque jour. »

    « Je veux que vous reteniez ça : des millions de cas, un petit nombre de morts, et vous verrez ça dans chaque État. »

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  9. « L'État de New York - on en parle beaucoup aux infos. Leurs chiffres sont critiques. »

    « 39% des New-Yorkais ont été testés positifs au COVID-19 - ces données sont disponibles publiquement » (649 000 personnes ont été testées)

    19 410 morts - sur 19 millions d'habitants. 0,01% de risque de mourir du COVID-19 dans l'État de New York. Le taux de rétablissement y est de 92%.

    « Des millions de cas, un petit nombre de décès »

    « Est-ce si différent des Grippes A et B ? Si ce n'est pas le cas, pourquoi une telle réponse ? »

    « Les États-Unis. C'est une info essentielle : 802 590 cas au 22 avril 2020. Nous avons testé plus de 4 millions de personnes. C'est le double de n'importe quel pays. L'Allemagne en est à 2 millions de tests. »

    « Ça nous fait 19,6% de cas positifs parmi les gens qui ont été testés. 64 millions, ça fait un sacré nombre de personnes infectées par le COVID. »

    « [Les chiffres] sont similaires à ceux de la grippe. Si vous étudiez les chiffres de 2017/18, nous avons eu 50-60 millions de cas de grippe. Pour un taux de mortalité similaire. »

    « Le nombre de décès aux États-Unis a toujours oscillé entre 37 000 et 60 000, chaque année sans exception. Mais dans ces cas-là, aucune mention de « pandémie ». Aucune mesure de confinement. Aucune fermeture d'entreprises, aucun renvoi de médecins chez eux. »

    * * *

    Les extraits ci-dessus sont issus des 11 premières minutes. Je suis convaincue que ces informations sont d'une logique effarante, et qu'elles devraient nous faire tous prendre conscience des mensonges que nous servent les gouvernements pour s'assurer que la « nouvelle normalité » soit tout bonnement l'imposition en toute impunité d'un système féodal qui nous transformera tous en nations-esclaves et qui redoublera d'efforts pour mettre la pression maximale sur des États « ennemis » tels que la Syrie et l'Iran. Comme l'ONU l'a déjà fait en Iraq et au Yémen. Cela avec le soutien de l'OMS et de l'UNICEF, organisations onusiennes de premier plan.

    Traduction : SOTT. Article originel de Vanessa Beeley publié le 25/04 sur The Wall Will Fall

    Commentaire : Voir aussi : Tucker Carlson : les mesures de confinement sont-elles efficaces ?

    https://fr.sott.net/article/35517-Fausse-pandemie-de-COVID-19-deux-medecins-sur-le-terrain-expliquent-pourquoi-le-confinement-est-inutile

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  10. Neil Ferguson, l'homme de main de Bill Gates


    Jon Rappoport - NoMoreFakeNews
    Sott.net
    dim., 03 mai 2020 12:18 UTC


    Neil Ferguson joue-t-il le rôle d'intermédiaire dans le canular du corona ?
    Je vous présente Neil Ferguson : le fantôme dans la machine, l'intermédiaire entre l'OMS et Bill Gates.

    Pourquoi les gouvernements applaudissent-ils lorsqu'il prédit une pandémie et qu'il leur dit de verrouiller leurs pays ?

    Y en a-t-il que son passé intéresse ?

    Pourquoi jouit-il encore d'un emploi prestigieux ?

    De qui est-il proche ?

    D'abord, mettons les choses au clair : on voit des articles affirmant que les prédictions informatiques n'ont pas vraiment pour objectif d'être précises, que la modélisation COVID à laquelle ont adhéré les États-Unis, la Grande-Bretagne et d'autres pays a été mise de côté. Ces articles racontent en essence des foutaises. Pourquoi ? Parce que les gouvernements obéissent à un modèle. Ils obéissent aux projections prédisant le plus grand nombre de morts... voilà un fait accablant.

    Neil Ferguson, par l'intermédiaire de son institut à l'Imperial College de Londres, peut décider du sort d'un pourcentage important de la population mondiale (en inventant des morts). C'est lui qui mène la danse.

    C'est le Monsieur Génie de la modélisation informatique des épidémies.

    Ses collègues experts gonflent sa réputation.

    Selon le Business Insider (25/04)) :
    L'équipe de Ferguson a prévenu Boris Johnson que la quête de « l'immunité collective » [laisser les gens vivre leur vie au grand jour au Royaume-Uni] pourrait coûter 510 000 vies, provoquant un brusque retournement de situation [verrouillage national massif au Royaume-Uni]... Ses simulations ont également influencé d'autres pays, et ont été citées par les autorités américaines, allemandes et françaises.
    Non seulement ils les ont citées, non seulement elles les ont influencées, mais ils les ont avalées telles des couleuvres.

    Business Insider poursuit :
    Le 23 mars, le Royaume-Uni a laissé tombé la thèse de l'immunité collective en faveur d'une stratégie de répression, et le pays s'est préparé à des semaines de blocage. On doit ces décisions à l'étude de Ferguson.
    Et ce n'est pas tout.

    Dans le même article :
    Le Dr Deborah Birx, coordinatrice de la réponse au coronavirus pour l'administration Trump, a déclaré aux journalistes lors d'un point presse le 16 mars que l'étude de l'Imperial [la projection informatique de Ferguson] avait incité le CDC à recommander le télétravail et d'éviter les rassemblements de plus de 10 personnes.
    Ferguson, l'instigateur du CONFINEMENT, de la privation des libertés fondamentales et du désastre économique.

    Examinons donc les antécédents de Ferguson, détaillés dans l'article du Business Insider :
    Ferguson a cofondé le MRC Centre for Global Infectious Disease Analysis, basé à l'Imperial, en 2008. C'est le principal organisme qui conseille les gouvernements nationaux sur les épidémies d'agents pathogènes.

    Il reçoit des dizaines de millions de dollars de financement annuel de la Fondation Bill & Melinda Gates, et travaille avec le National Health Service britannique et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) aux États-Unis. Il est chargé de fournir à l'OMS une « analyse rapide des problèmes urgents liés aux maladies infectieuses ».
    Vous voyez le topo ?

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  11. Gates arrose Ferguson.

    Gates demande des vaccins, toujours plus de vaccins.

    Gates veut un vaccin contre le COVID avant que tous les aspects du confinement planétaire ne prennent fin. Bien sûr, les mesures de confinement sont déjà en train de ravager les économies planétaires.

    Récemment, M. Gates a encore fait des mamours à l'OMS en y injectant 350 millions de dollars pour « combattre le coronavirus », renforçant ainsi son contrôle sur l'organisation. Il s'est déjà engagé à verser sur les 10 prochaines années 10 milliards de dollars à diverses organisations, pour le développement de vaccins à destination de la population mondiale.

    Ferguson fournit au CDC et à l'OMS une projection informatique effrayante des décès COVID. Ferguson apporte ainsi une caution au plan de vaccination de Gates.

    Sur la base des desiderata de Gates, le CDC et l'OMS agissent conformément aux recommandations de Ferguson.

    Les gouvernements nationaux sont soumis à l'OMS et au CDC.

    Lisez la suite :
    Michael Thrusfield, professeur d'épidémiologie vétérinaire à l'Université d'Edimbourg, a déclaré au journal qu'il avait eu une impression de « déjà vu » en lisant l'étude [de Ferguson] pour l'Imperial [sur le COVID], affirmant que Ferguson était responsable de l'abattage excessif d'animaux lors de l'épidémie de fièvre aphteuse de 2001.

    « Ferguson a averti le gouvernement que 150 000 personnes risquaient de mourir. Six millions d'animaux furent abattus à titre préventif, ce qui coûta au pays des milliards de dollars en revenus agricoles. Au final, 200 personnes sont mortes. »

    En outre, il [Ferguson] a été accusé de créer la panique en surestimant le nombre de morts potentielles lors de l'épidémie de grippe aviaire de 2005. Ferguson avait estimé que 200 millions de personnes risquaient de mourir. Le nombre réel fut de l'ordre de quelques centaines. »

    En 2009, une des modélisations de Ferguson avait prédit que 65 000 personnes risquaient de mourir de l'épidémie de grippe porcine au Royaume-Uni - le chiffre final fut inférieur à 500. »
    Dès lors, comment quiconque peut croire aux prédictions de Ferguson concernant l'arnaque du COVID ?

    Ses collègues experts sont-ils à ce point stupides ?

    Les présidents et les Premiers ministres sont-ils à ce point stupides ?

    Et la réponse est : il s'agit d'une opération secrète monumentale ; certaines personnes sont effectivement très stupides ; d'autres sont mouillées jusqu'au coup dans cette opération et ont peur de dire que l'empereur est nu ; d'autres encore sont conscientes de ce qui se passe, et veulent détruire les économies nationales et nous entraîner vers un Nouvel Ordre Mondial.

    Surtout, n'oubliez jamais que l'OMS est un bras actif des Nations Unies, qui ont publié quantité de rapports, prises de position et communiqués de presse prônant un monde technocratique sans frontières, surveillé et fonctionnant plus ou moins comme une gigantesque multinationale - au sein de laquelle chaque citoyen, pour son propre bien, pour se protéger contre de futures pandémies, sera irrémédiablement mis dans une case bien délimitée et sous contrôle.

    Ensemble, toutes ces cases formeront une « civilisation pérenne » - la LIBERTÉ en moins.

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  12. La liberté dans toutes ses expressions - mouvement, dissidence, rassemblements, etc. - doit disparaître. Sans quoi des virus sauvages nous infecteront et nous détruiront tous. C'est le fer de lance poli de la propagande officielle.

    Gates sait qu'il tient son homme : Ferguson. En tant que bénéficiaire de dizaines de millions de dollars par an de la Fondation Gates, Ferguson n'est pas près de publier un modèle qui affirme que le COVID n'est pas un problème, qu'il faut laisser les gens vivre leur vie et que tout ira bien. Les chances que cela se produise sont comparables à celles de chercheurs qui admettraient n'avoir jamais correctement identifié un nouveau virus comme cause de la maladie en 2019, à Wuhan.

    Pour justifier l'injection de métaux lourds, de gènes synthétiques qui altèrent le patrimoine génétique, d'une foule de germes et de que sais-je encore dans les organismes de chaque homme, femme et enfant sur la planète, M. Gates a besoin d'une histoire sur un virus mortel qui nécessite de verrouiller et de confiner la planète entière, sous les yeux d'un public rendu captif.

    Il a désormais son histoire, enrobée dans un modèle informatique conçu par un homme au parcours semé d'échecs pitoyables et dévastateurs.

    Neil Ferguson est le fantôme dans la machine. La machine, c'est l'OMS et le CDC. L'homme derrière le fantôme est Bill Gates.

    Traduction : SOTT
    Article source publié le 30/04 sur le blog de Jon Rappoport.

    https://fr.sott.net/article/35511-Neil-Ferguson-l-homme-de-main-de-Bill-Gates

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  13. La Fondation Rockefeller et le programme international pour la santé ou l'ancêtre des fondements de l'OMS


    Anne-Emmanuelle Birn & Elisabeth Fee - The Lancet
    Sott.net
    ven., 01 mai 2020 14:16 UTC


    Bien qu'elle ne soit plus la seule institution philanthropique assimilée à la santé mondiale, la Fondation Rockefeller a marqué ce domaine comme aucune autre organisation. Créée il y a un siècle ce mois-ci [l'article est de 2013 - NdT], la Fondation Rockefeller a fait de la coopération en matière de santé une initiative qui est à la fois un organisme intergouvernemental officiel et une agence privée, et en a façonné les principes, les pratiques et les institutions clés dans le domaine de la santé internationale [dont les fondements sont les mêmes que ceux que l'on retrouve aujourd'hui au sein de l'OMS et de la Fondation Bill & Melinda Gates - NdT]. Contrairement aux acteurs de la santé mondiale qui sont aujourd'hui à l'aise avec les médias, la Fondation Rockefeller n'a pas fait étalage de son rôle, ce qui ne l'a pas empêché de rester dans les coulisses : on pourrait comparer son omniprésente influence à la manière dont son fondateur éponyme fonctionnait, comme l'a observé son secrétaire de longue date en 1925 : « Il n'est jamais là, et pourtant il est toujours là ».

    La Fondation Rockfeller a été créée en 1913 par le magnat de la Standard Oil, John D Rockefeller, « pour promouvoir le bien-être de l'humanité dans le monde entier ». Ses efforts s'inscrivaient dans un nouveau mouvement américain de « philanthropie scientifique », lancé par le magnat de l'acier d'origine écossaise Andrew Carnegie dans son essai de 1889 L'évangile de la richesse. Cette approche appelait les riches à canaliser leurs richesses pour le bien de la société en remplaçant la charité individuelle par un soutien à l'amélioration sociale systématique, qui était propice à l'ordre, à la productivité et au progrès séculaire. Dans la tumultueuse ère progressiste du début du XXe siècle, de nombreux contemporains considéraient la philanthropie comme une utilisation cynique des profits tirés de l'exploitation pour contrer la menace de l'agitation de la classe ouvrière et du radicalisme politique croissant. Ces efforts philanthropiques ont contribué à repousser l'État-providence aux États-Unis et ont donné aux intérêts privés un contrôle considérable sur le bien-être social.

    Rockefeller s'est appuyé sur les idées de Carnegie, en partant des dons initialement effectués aux hôpitaux, aux églises et aux universités pour les étendre aux domaines de l'éducation publique, de la médecine et des sciences. La santé publique est devenue le vecteur idéal par lequel Rockefeller pouvait par le biais de sa philanthropie appliquer au bien public les découvertes scientifiques. Les conseillers commerciaux, scientifiques et philanthropiques de Rockefeller, Frederick T. Gates, Charles Wardell Stiles et Wickliffe Rose, ont considéré que l'anémie causée par l'ankylostome était à la fois un facteur clé qui expliquait le « retard » économique des États du sud des États-Unis, et un obstacle à son industrialisation. Ces hommes ont contribué à structurer la Commission sanitaire Rockefeller pour l'éradication de l'ankylostome, qui a fonctionné de 1910 à 1914. Cette campagne a permis de découvrir les possibilités qu'offrait la santé publique pour éliminer la maladie grâce à un médicament anthelminthique [vermifuge - NdT], à la promotion du port de chaussures et à l'usage des latrines ; et à la propagande de santé publique. Suite à ce succès, la Fondation Rockfeller a créé un Conseil international de santé, qui a été réorganisé en 1927 sous le nom de Division internationale de la santé [« International Health Division », IHD - NdT].

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  14. La Division internationale de la santé — qui disposait d'une importante bureaucratie, notamment d'un personnel exécutif et d'un conseil consultatif à New York, ainsi que de bureaux locaux à Paris, New Delhi, en Colombie et au Mexique, et de centaines de fonctionnaires sur place — s'est lié d'amitié avec des dizaines de gouvernements dans le monde entier en s'attaquant aux maladies considérées comme causant le sous-développement, en aidant à construire et à moderniser les institutions de santé, en promouvant l'importance de la santé publique auprès d'innombrables populations et en préparant de vastes régions à l'investissement et à l'augmentation de la productivité. Elle a également financé des écoles de santé publique en Amérique du Nord, en Europe, en Asie et en Amérique du Sud, notamment dans les universités Johns Hopkins, Harvard, Toronto et São Paulo, ainsi que la London School of Hygiene and Tropical Medicine, et a parrainé 2 500 professionnels de la santé publique pour qu'ils poursuivent des études supérieures.

    Au moment de son démantèlement en 1951, la Division internationale de la santé avait dépensé l'équivalent actuel de milliards de dollars dans des dizaines de campagnes contre les ankylostomes, la fièvre jaune et le paludisme, ainsi que dans des efforts plus délimités contre la tuberculose, le pian, la grippe, la rage, la schistosomiase, la malnutrition et d'autres problèmes de santé dans quelque 93 pays et colonies. Les campagnes de lutte contre les maladies de la Fondation Rockfeller avaient tendance à être menés tambour battant avec une efficacité de type commercial : des interventions spécifiques étaient planifiées avec des objectifs et des résultats mesurables régulièrement communiqués au bureau central, ce qui permettait de responsabiliser les agents sur le terrain et de quantifier les progrès dans des rapports trimestriels examinés par les administrateurs, des acteurs centraux établis dans les domaines de la médecine, de l'éducation et de la banque.

    Le génie de la Fondation Rockfeller réside dans sa capacité à transformer les campagnes de lutte contre la maladie en agences de santé publique permanentes soutenues par les circonscriptions locales. Avec ses propres agents de terrain stationnés dans pratiquement tous les lieux où elle opérait, elle pouvait compter sur un personnel bien rodé pour insuffler — souvent malgré les résistances et les remises en question — ses idées et approches particulières dans les efforts locaux d'institutionnalisation de la santé publique.

    Il est certain que la Fondation Rockfeller était une institution complexe qui a évolué au fil du temps, pour répondre en fonction du moment à certains membres du personnel et du conseil d'administration, à des homologues sur le terrain et à un terrain politique changeant. Elle a également fait face à des adaptations locales et institutionnelles et a même parfois relevé des défis auxquels ses efforts étaient confrontés. Parmi les milliers de médecins, d'infirmières et d'ingénieurs en santé publique qu'elle formait en tant que boursiers, elle s'était constitué de puissants interlocuteurs locaux : formés pour devenir des cadres dirigeants en santé publique, les boursiers étaient encouragés à contourner les guérisseurs et les connaissances médicales locales, et à s'affilier à des collègues internationaux. La Fondation Rockfeller a soigneusement évité les campagnes de lutte contre les maladies qui auraient pu s'avérer coûteuses, trop complexes, longues ou gênantes pour son modèle de santé publique à vocation technologique et ses méthodes ciblées pour mesurer le succès.

    -- Commentaire : La Fondation Bill & Melinda Gates, elle, n'évite soigneusement rien : elle a pris en mains ce que la Fondation Rockfeller avait soigneusement évité. --

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  15. L'une des plus célèbres réussites de la Fondation Rockfeller concerne la lutte contre la fièvre jaune, qui a impliqué de vastes campagnes dans toute l'Amérique latine pour réduire la présence du moustique vecteur Aedes aegypti, par la pulvérisation d'insecticide, le drainage, l'utilisation de poissons larvicides et la mise au point du vaccin contre la fièvre jaune qui a reçu le prix Nobel en 1936. Ironiquement, ce fut un bien plus grand succès pour le commerce international que pour la santé locale — étant donné que le virus de la fièvre jaune était transporté en même temps que la cargaison qui acheminait le vaccin, et qu'il était principalement mortel pour les personnes non exposées jusque-là, alors qu'il ne l'était pas là où la maladie était endémique. La Division internationale de la santé a elle-même identifié sa plus importante contribution comme étant « l'aide aux organisations officielles de santé publique dans le développement de mesures administratives adaptées aux coutumes, besoins, traditions et conditions locales ». Ainsi, le critère de réussite que la Fondation Rockfeller s'est elle-même attribué concerne son rôle dans la création d'un soutien politique et populaire pour la santé publique dans le monde entier, et dans la défense et le maintien de l'institutionnalisation de la santé internationale.

    La Fondation Rockfeller a eu un rôle géopolitique qui allait bien au-delà de la santé, en stimulant l'investissement, le développement et la croissance économique ; en stabilisant les colonies et les États-nations émergents en les aidant à répondre aux demandes sociales de leurs populations ; en améliorant les relations diplomatiques ; en élargissant les marchés de consommation ; et en encourageant le transfert et l'internationalisation des valeurs scientifiques et culturelles. En même temps que la Fondation Rockfeller participait à des activités pays par pays, elle cartographiait également le cadre institutionnel de la santé internationale. Son organisation et ses pratiques ont jeté les bases d'une nouvelle architecture sanitaire internationale légalisée, dotée de sa propre bureaucratie et de son propre mode de fonctionnement.

    L'Organisation d'hygiène de la Société des Nations, fondée après la Première Guerre mondiale, a été partiellement modelée sur le Conseil international de santé de la Fondation Rockfeller et partageait nombre de ses valeurs, de ses experts et de son savoir-faire en matière de contrôle des maladies, de renforcement des institutions, d'éducation et de recherche. Lorsque l'Organisation d'hygiène de la Société des Nations a été confrontée à une crise financière, la Fédération de Russie est devenue son principal mécène, finançant finalement une grande partie de son budget de fonctionnement.

    Après la création de l'OMS en 1948, la Division internationale de la santé a été dissoute. Pourtant, elle a maintenu une présence indirecte pendant des décennies : le directeur du bureau de l'OMS pour les Amériques de l'après-guerre et le deuxième directeur général de l'OMS, en poste depuis longtemps, dirigeaient les hommes de la Division internationale de la santé au Brésil. Même après que la Fondation Rockfeller se soit retirée de sa fonction première dans le domaine de la santé internationale, elle a gardé une main sur les activités liées à la santé et au développement — en finançant la « révolution verte » dans l'agriculture, le Population Council [« Conseil de la population » - NdT], et la recherche en sciences sociales et médicales.

    -- Commentaire : Le Population Council est une ONG qui mène « des recherches en biomédecine, en sciences sociales et en santé publique et aide à renforcer les capacités de recherche dans les pays en développement », autant dire que nous parlons de dépopulation forcée et d'eugénisme.

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  16. Selon Wikipédia :
    Dès 1913, la Fondation Rockefeller finance les programmes eugénistes américains ainsi que la Société eugénique Française en 1913. Elle finance également les programmes eugénistes de l'Allemagne nazie en aidant à la création et en finançant la Société Kaiser-Wilhelm et ce jusqu'en 1939. La fondation Rockefeller contribue également à l'institutionnalisation de l'eugénisme au Danemark en finançant, en 1938, la création de l'Institut de génétique humaine de l'université de Copenhague. Elle avait auparavant joué un rôle dans la carrière de celui qui allait devenir son premier directeur et l'une des figures majeures de l'eugénisme danois : Tage Kemp. Médecin et biologiste, Kemp est parti en 1932 étudier la génétique aux États-Unis avec une bourse de la fondation Rockefeller puis a fait, en 1934, à la demande de la fondation, le tour des principaux centres de recherche d'Europe. Il a en particulier rencontré Otmar von Verschuer, figure majeure de l'eugénisme nazi dont il reconnaît, dans son rapport, les qualités scientifiques tout en soulignant l'engagement national-socialiste. Après la guerre, la fondation décide de changer le nom d'eugénisme pour celui d'étude de biologie sociale qu'elle intègre dans la nouvellement créée Society for the Study of Social Biology.
    Et voilà, on change de nom, et le tour est joué... --

    À partir de la fin des années 1970, la Fondation Rockfeller a requis que l'OMS amorce un virage en faveur d'une variante plus technique et moins sociopolitique que la seule action dédiée jusqu'alors aux soins de santé primaires. Au cours des années 1980, la Fondation Rockfeller a créé le International Clinical Epidemiology Network [« Réseau international d'Épidémiologie clinique » - NdT] et le Great Neglected Diseases of Mankind Program [« Programme des grandes maladies négligées de l'Humanité » - NdT]. Dans les années 1990, elle a créé les Public Health Schools Without Walls [« Écoles de santé publique sans Murs » - NdT], lancé une initiative d'équité en matière de santé et largement inventé le modèle de partenariats public-privé qui est aujourd'hui si omniprésent dans le domaine de la santé mondiale. Mais la Fondation Rockfeller ne retrouvera pas son rôle influent antérieur dans la santé internationale.

    -- Commentaire : Elle n'en avait plus besoin, tout était en place, partout, pour que ses programmes initiaux se perpétuent sans qu'elle n'ait besoin de faire quoi que ce soit.

    À noter que toutes les créations mentionnées dans le paragraphe ci-dessus ne trouvent aucune occurrence précise en français lors d'une recherche Internet. Toutefois, quelques informations utiles sur cette page Web. Rappelons que la Fondation Rockfeller a été fondée en 1913 pour « promouvoir le bien-être de l'humanité dans le monde », par John Davison Rockefeller et Frederick T. Gates. --

    La disparition de la Division internationale de la santé a servi de prophétie auto-réalisatrice en matière de réussite : grâce à ses propres efforts, elle n'était plus nécessaire. Mais elle ne sonnait pas le glas de la santé internationale chère à Rockefeller. Les principes lancés par la Fédération de Russie et introduits dans les relations avec les pays de la Division internationale de la santé ont laissé un héritage colossal — et parfois problématique — pour la santé mondiale. Ces principes comprennent l'établissement par la hiérarchie des programmes à l'ordre du jour, l'utilisation d'incitations budgétaires, un paradigme techno-biologique, des interventions étroites pour maximiser l'efficacité et le succès, un consensus par le biais de professionnels transnationaux et l'adaptation aux conditions locales.

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  17. Bien que ces principes soient sans doute génériques, leur durabilité reflète ce que Steven Palmer a appelé « les asymétries marquées du pouvoir politique et médical » qui caractérisent la plupart des interactions internationales en matière de santé, à l'époque comme aujourd'hui. La Fédération de Russie s'est aussi parfois écartée de ses propres principes, en finançant des études sur l'assurance maladie universelle et en soutenant certains efforts de médecine sociale qui intégraient dans le travail général pour la santé publique les conditions sociopolitiques inhérentes à la santé. Mais il s'agissait là d'un accompagnement de l'approche de la Fondation Rockfeller en matière de santé internationale, plutôt que d'un élément central. Les principes de la Fondation Rockfeller ont conservé une saveur idéologique et une commodité bureaucratique, comme en témoignent la structure, les stratégies et les principes du domaine de la santé mondiale actuelle.

    Aujourd'hui, bien sûr, nous ne pouvons pas parler de philanthropie dans le domaine de la santé sans évoquer la Fondation Bill & Melinda Gates, qui a imité l'approche technique de la santé de la Fondation Rockfeller. Pourtant, ces deux fondations diffèrent actuellement de la Fondation Rockfeller d'autrefois. Dans le passé, la Fondation Rockfeller se faisait le champion de la responsabilité publique en matière de santé publique et était ouvert à de vastes discussions. Plus récemment, la Fondation Rockfeller, ayant redynamisé son rôle en matière de santé mondiale, a exprimé son soutien à la couverture universelle des soins de santé, mais uniquement en « exploitant les ressources du secteur privé pour financer et fournir des services de santé ». La Fondation Rockfeller encourage également l'« investissement d'impact », en incitant les investisseurs en capital-risque à « s'attaquer aux problèmes sociaux et/ou environnementaux tout en réalisant des bénéfices ». La célébration du centenaire de la Fondation Rockfeller stimulera peut-être la réflexion interne, en incitant la fondation à revenir à ses objectifs historiques d'amélioration générale du bien-être, plutôt que de générer des profits pour les investisseurs.

    -- Commentaire : Le centenaire de la Fondation s'est tenu en juillet 2013 après la publication de cet article. --

    Source de l'article initialement publié en anglais le 11 mai 2013 : The Lancet
    Traduction : Sott.net

    -- Commentaire : Voir aussi :
    Lock Step /Covid-19 : la Fondation Rockefeller avait tout prévu en 2010 ( Vidéo )
    Covid-19 - La catastrophe humanitaire provoquée par le Plan diabolique de « confinement » mondial voulu par Bill Gates, Rockfeller et autres psychopathes
    Marion Sigaut sur l'imposteur Alfred Kinsey - « révolution sexuelle » et pédophilie
    Sois confiné et tais-toi ! --

    https://fr.sott.net/article/35505-La-Fondation-Rockefeller-et-le-programme-international-pour-la-sante-ou-l-ancetre-des-fondements-de-l-OMS

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  18. «S’il y avait eu des masques»: la veuve d’un médecin décédé du Covid-19 va porter plainte contre Véran


    16:34 04.05.2020


    Plus d’une semaine après la mort du Covid-19 de son mari médecin à un hôpital du Jura, sa veuve compte déposer plainte contre le directeur de l’hôpital, l’ARS de la Bourgogne-Franche-Comté, le ministre de la Santé et Agnès Buzyn. Elle dénonce le manque de protections et la mauvaise gestion de la crise au niveau national.

    La veuve d’Éric Loupiac, médecin urgentiste à l’hôpital de Lons-le-Saunier (Jura), décédé du Covid-19 le 23 avril, envisage de porter plainte «à plusieurs niveaux, pour négligence et mise en danger de la santé d’autrui», rapporte le Monde.

    Selon le quotidien, sa plainte vise Guillaume Ducolomb, directeur de l’hôpital, l’agence régionale de santé (ARS) de Bourgogne-Franche-Comté dirigée par Pierre Pribile, le ministre de la santé Olivier Véran ainsi que son prédécesseur Agnès Buzyn.

    «J’attends que justice soit rendue, que les coupables soient trouvés et qu’ils s’expliquent pour cette négligence qui a causé la mort de mon mari. Dès décembre [2019, ndlr], il m’avait dit qu’on ne serait pas prêt à l’hôpital s’il y avait une catastrophe. On a sous-estimé le manque d’équipements, notamment en masques. J’en veux à ceux qui ont mal géré la crise au niveau national», raconte Mme Loupiac au quotidien.

    «S’il y avait eu des masques FFP2, mon mari serait encore là», déplore-t-elle.

    Elle assure que son mari a réclamé un sas d’entrée pour trier les patients «suspects Covid», mais la direction a refusé pour ensuite avoir eu besoin de quinze jours pour le mettre en place.

    Les réactions du directeur de l’hôpital

    Contacté par le média, Guillaume Ducolomb a nié toutes les accusations, affirmant avoir eu une «prise de conscience précoce qui a permis d’organiser très tôt l’achat et la diffusion de matériels de protection, ainsi que la mise en place de cette filière dédiée aux patients "suspects Covid" dès leur arrivée aux urgences».

    «Jamais nous n’avons manqué de moyens de protection à Lons. Nous avons toujours eu des masques, très tôt, dès février. Les protocoles de soins et la filière ont été opérationnels dès le 28 février. Aux urgences, tout avait été prévu avant même le confinement», insiste-t-il.
    L'ARS se refuse de tout commentaire

    Jointe par le Monde, l’ARS de Bourgogne-Franche-Comté n’a pas souhaité «commenter une décision [de porter plainte, ndlr] qui appartient pleinement à la famille du docteur Loupiac» et a rendu «hommage à l’engagement du médecin et militant, qui était de longue date un interlocuteur actif de l’agence en tant que membre du comité technique régional des urgences».

    Le ministère de la Santé n’a pas encore réagi, tout comme Agnès Buzyn.

    https://fr.sputniknews.com/france/202005041043715589-sil-y-avait-eu-des-masques-la-veuve-dun-medecin-decede-du-covid-19-va-porter-plainte-contre-veran/

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  19. La crise inévitable de la censure des coronavirus est arrivée


    par Tyler Durden
    Lun, 05/04/2020 - 10:15
    Écrit par Matt Taibbi,


    Alors que la crise de Covid-19 progresse, les programmes de censure progressent, au milieu des appels à un contrôle chinois de l'Internet ...

    Plus tôt cette semaine, le magazine Atlantic - devenu rapidement le média privilégié des élites intellectuelles autoproclamées du type Aspen Institute - a publié un article approfondi sur les problèmes que la liberté d'expression pose à la société américaine à l'ère des coronavirus. Le titre:

    La parole sur Internet ne reviendra jamais à la normale

    Dans le débat sur la liberté contre le contrôle du réseau mondial, la Chine avait largement raison et les États-Unis avaient tort.

    Rédigé par une paire de professeurs de droit de Harvard et de l'Université de l'Arizona, Jack Goldsmith et Andrew Keane Woods, l'article soutenait que les approches américaines et chinoises de la surveillance d'Internet n'étaient déjà pas si différentes:

    Les différences constitutionnelles et culturelles signifient que le secteur privé, plutôt que les gouvernements fédéral et des États, prend actuellement les devants dans ces pratiques… Mais la tendance à une plus grande surveillance et à un meilleur contrôle de la parole ici, et à une implication croissante du gouvernement, est indéniable et probablement inexorable.

    Ils ont ensuite énuméré toutes les raisons pour lesquelles, étant donné que nous sommes déjà sur une voie «inexorable» vers la censure, un système de contrôle de la parole de style chinois n'est peut-être pas une si mauvaise chose. En fait, ont-ils soutenu, l'un des avantages du coronavirus était qu'il nous réveillait «comment la magie technique, la centralisation des données et la collaboration privé-public peuvent faire un énorme bien public».

    Selon eux, les Américains pourraient peut-être être incités à reconsidérer leur «compréhension» des premier et quatrième amendements, alors que «les méfaits de la parole numérique» continuent de croître et que «les coûts sociaux d'un Internet relativement ouvert se multiplient».

    Cette interprétation intéressante du premier amendement est la dernière d'une série de «Repensons cette question de la démocratie dans son ensemble» qui a commencé à germer sérieusement il y a quatre ans. Des articles avec des titres tels que «Les démocraties cessent quand ils deviennent trop démocratiques» et «Trop de bonnes choses: pourquoi nous avons besoin de moins de démocratie» sont devenus courants après deux événements en particulier: la victoire de Donald Trump dans la course républicaine primaire et la décision de Les électeurs britanniques se retireront de l'UE, c'est-à-dire le «Brexit».

    Une complainte constante dans ces articles était le déclin généralisé du respect des «experts» parmi les masses ignorantes, mieux connu sous le nom de personnes dont Trump parlait quand il a jailli en février 2016, «J'aime les personnes peu instruites !

    L'Atlantique était au premier plan de l'argument selon lequel le peuple est une grande bête, à qui on ne peut pas faire confiance pour jouer de manière responsable avec les jouets de la liberté. Un article de 2016 intitulé «La politique américaine est devenue folle» a poussé le retour de la «pièce enfumée» pour aider à sauver les électeurs d'eux-mêmes. L'auteur Jonathan Rauch a utilisé une métaphore qui est frappante rétrospectivement, décrivant l'élite intellectuelle et politique souvent vilipendée de l'Amérique comme le système immunitaire de la société:

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  20. Les Américains ont été occupés à diaboliser et à démanteler les professionnels et partis politiques, ce qui revient à passer des décennies à abuser et à attaquer votre propre système immunitaire. Finalement, vous tomberez malade.

    La nouvelle pièce de Goldsmith and Woods dit que nous sommes là, rendus littéralement malades par notre refus d'accepter la sagesse des experts. Le temps de demander aux (encore, littéralement) non lavés d'écouter plus attentivement leurs parieurs est révolu. Le système chinois offre une issue. En ce qui concerne le discours, ne demandez pas: dites.

    Alors que les avocats de l'Atlantique faisaient valoir leurs arguments, YouTube a retiré une vidéo largement diffusée sur le coronavirus, invoquant une violation des «directives communautaires».

    Les contrevenants étaient les Drs. Dan Erickson et Artin Massahi, copropriétaires d'une clinique «Urgent Care» à Bakersfield, en Californie. Ils avaient tenu une présentation dans laquelle ils ont fait valoir que des blocages généralisés n'étaient peut-être pas nécessaires, selon les données qu'ils collectaient et analysaient.

    "Des millions de cas, de petites quantités de décès", a déclaré Erickson, un Norvégien américain vigoureux et joyeux qui a fait valoir que les chiffres montraient que Covid-19 était similaire à la grippe dans le taux de mortalité.

    «Est-ce que cela nécessite des fermetures, des pertes d'emplois, la destruction des compagnies pétrolières, des médecins en congé…? Je pense que la réponse sera de plus en plus claire. »

    La réaction de la communauté médicale a été sévère. Il a été souligné que les deux hommes possédaient une clinique qui perdait des affaires en raison du verrouillage. Les babillards électroniques de vrais médecins E.R.sont allumés avec des commentaires en colère, se moquant des méthodes de collecte de données douteuses des médecins et même de leur choix quelque peu dramatique de s'habiller en gommage pour leur présentation vidéo.

    L'American Academy of Emergency Medicine (AAEM) et l'American College of Emergency Physicians (ACEP) se sont empressés de publier une déclaration conjointe pour «condamner catégoriquement» les deux médecins, qui «ne parlent pas au nom de la société médicale» et avaient publié «des préjugés non des données examinées par les pairs pour faire avancer leurs intérêts financiers personnels. »

    Comme c'est maintenant presque automatiquement le cas dans le traitement médiatique de toute controverse, l'histoire a immédiatement été présentée aux téléspectateurs «gauche» et «droit» par les réseaux de télévision. Tucker Carlson sur Fox a confirmé les affirmations des médecins, affirmant que «ce sont des gens sérieux qui ont fait cela pendant des décennies» et YouTube et Google ont «officiellement interdit la dissidence».

    Pendant ce temps, sur la chaîne de numéros opposés de Carlson, MSNBC, l'ancre Chris Hayes du programme All In a réagi avec fureur au monologue de Carlson:

    Il y a un effort concerté de la part de personnes influentes du réseau que nous appelons tout de suite Trump TV pour colporter une fausse information dangereuse sur le coronavirus… Appelons cela le vérité du coronavirus.

    Hayes, une vieille connaissance à moi, bouillonnait de ce qu'il qualifiait d'indifférence flagrante des républicains Trump face aux dangers du coronavirus.

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  21. "Au début de cette horrible période, le président, avec ses laquais et ses propagandistes, ils ont tous minimisé ce qui allait arriver", a-t-il dit en ricanant. «Ils ont dit que c'était comme un rhume ou la grippe.»

    Il a demandé avec colère que si les acolytes de Fox comme Carlson croyaient si fortement que la société devrait être rouverte, ils devraient aller travailler dans une usine de transformation de viande.

    "Allez-y si vous pensez que c'est si mauvais. Allez couper du porc. "

    Le ton des nombreuses réactions des médias à Erickson, Carlson, Trump, le gouverneur de Géorgie Brian Kemp, et à d'autres qui ont suggéré des interdictions et des lois strictes sur les abris sur place sont soit inutiles, soit font plus de mal que de bien, correspond à ce que l'écrivain Thomas Frank décrit comme une nouvelle «utopie de la réprimande»:

    Qui a besoin de gagner des élections lorsque vous pouvez rétablir personnellement l'ordre social chaque jour sur Twitter et Facebook ? Quand vous pouvez gronder, gronder et gronder. C’est leur avenir, et c’est satisfaisant: un doigt qui remue dans le visage d’un vulgaire prolétaire, pour toujours.

    Dans les années Trump, le secteur de la société que nous décrivions comme l'Amérique libérale est devenu une gigantesque machine à remuer les doigts. Les médias, le monde universitaire, le Parti démocrate, les célébrités du show-business et des masses de virtuoses Twitter à carreaux bleus sont devenus une sorte de société-cadre, unis par la répugnance de Trump et la fureur envers tous ceux qui étaient en désaccord avec leurs préoccupations.

    Parce que cette sagesse conventionnelle se considérait comme uniquement préoccupée par la seule chose importante, c'est-à-dire retirer Trump, il n'y avait plus d'excuse légitime pour être en désaccord avec ses prises de position sur la Russie, Julian Assange, Jill Stein, Joe Rogan, le 25e amendement, Ukraine, l'utilisation du mot «trahison», la suppression d'Alex Jones, du film Joker, ou de tout ce qui s'est avéré être la fixation #Resistance de la journée.

    Lorsque la crise de Covid-19 a éclaté, l'utopie réprimandée n'était plus une abstraction. Le rêve était réalité ! Le communisme pur était arrivé ! Ne pas suivre les conseils de l'élite n'était plus seulement un faux pas déplorable. Ne pas tenir compte des experts était désormais un meurtre. Cela ne pouvait pas être toléré. La couverture médiatique est rapidement devenue une tirade unique et florissante contre les «négationnistes». Par exemple, le titre de l’Atlantique sur la décision de Kemp de mettre fin à certains arrêts était «L’expérience de la Géorgie dans le sacrifice humain».

    Au début de la crise, les plus grandes plates-formes Internet américaines - Facebook, Twitter, Google, LinkedIn et Reddit - ont pris une mesure sans précédent pour lutter contre la "fraude et la désinformation" en promettant une vaste coopération pour faire passer les informations "faisant autorité" sur des sources moins fiables.

    HL Mencken a dit un jour qu'en Amérique, «la moyenne générale de l'intelligence, de la connaissance, de la compétence, de l'intégrité, du respect de soi, de l'honneur est si faible que tout homme qui connaît son métier, n'a pas peur des fantômes, a lu cinquante de bons livres, et pratique les décences communes se démarque aussi brillamment qu'une verrue sur une tête chauve. "

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  22. Nous avons beaucoup de gens stupides dans ce pays. Mais la différence entre les stupidités chéries par l'ensemble des idiocrates qui ingèrent du poisson plus propre, et celles poussées dans des endroits comme l'Atlantique, est que les jackassins de la classe «experte» aggravent leur erreur en étant si sûrs d'eux-mêmes qu'ils forcent les autres à partir le long de. En d'autres termes, pour combattre «l'ignorance», les grondeurs en créent une espèce nouvelle et plus virulente: l'ignorance exclusive, l'ignorance forcée, l'ignorance avec persévérance.

    Les personnes qui veulent ajouter un régime de censure à une crise sanitaire sont plus dangereuses et plus stupides à pas de géant qu'un président qui dit aux gens d'injecter du désinfectant. Il est étonnant qu’ils ne voient pas cela.

    Les journalistes sont des testeurs professionnels. Notre travail consiste à obtenir une mission lundi matin et, mardi soir, agir comme si nous étions des autorités sur le piratage intellectuel, la guerre civile au Yémen, la procédure du caucus de l'Iowa, le coronavirus, peu importe. En fait, nous connaissons Jack: nous lisons rapidement, faisons quelques appels téléphoniques et, en un clin d'œil, les gens nous invitent à la télévision pour dire à des millions de personnes ce qu'il faut penser des problèmes complexes du monde.

    Lorsque nous arrivons à un sujet froid, le travail consiste à consulter le plus de personnes qui connaissent vraiment leurs affaires le plus rapidement possible et à discuter - souvent sur la base de rien que des intuitions ou des impressions des personnalités impliquées - quel ensemble d'explications est le plus crédible . Les rédacteurs sportifs qui ont couvert le scandale du football Deflategate devaient le faire pour expliquer la loi sur les gaz parfaits, je devais le faire pour couvrir le scandale des prêts hypothécaires à risque, et les journalistes en janvier et février derniers devaient le faire lorsqu'ils étaient chargés d'évaluer le coronavirus à venir menace.

    Il ne faut pas beaucoup de travail pour revenir en arrière et constater qu'une partie importante de l'établissement médical et épidémiologique a qualifié cette catastrophe de mal lorsqu'ils ont été interrogés par des journalistes au début de l'année. Les membres de droite s'amusent à faire la une des journaux, et ils devraient, étant donné les coups de poing à des endroits comme MSNBC à propos d'autres qui «minimisent le risque». Voici un bref échantillon:

    Get a Grippe, America: La grippe est une menace beaucoup plus grande que le coronavirus, pour l'instant: Washington Post

    Le coronavirus fait peur, mais la grippe est plus mortelle, plus répandue: USA Today

    Vous voulez vous protéger contre le coronavirus? Faites les mêmes choses que vous faites chaque hiver: le temps

    Voici mon préféré, de Wired le 29 janvier:

    Nous devons désamorcer la guerre contre les coronavirus

    Il existe des dizaines de ces histoires et elles contiennent presque toutes les mêmes éléments, y compris une citation inévitable ou une série de citations d'experts nous disant de calmer l'enfer. Cela vient de la pièce Time:

    «Un bon lavage des mains aide. Rester en bonne santé et manger sainement sera également utile », explique la Dre Sharon Nachman, spécialiste des maladies infectieuses pédiatriques au Stony Brook Children’s Hospital de New York. «Les choses que nous tenons pour acquises fonctionnent réellement. Peu importe le virus. Les choses de routine fonctionnent. "

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  23. Il y a une raison pour laquelle les journalistes devraient toujours garder leurs distances avec les prêtres dans tous les domaines. C'est particulièrement dans la nature des communautés insulaires d'experts en la matière de fusionner autour des orthodoxies qui aveuglent les personnes mêmes dans la boucle qui devraient être les plus compétentes.

    Les «experts» se trompent pour des raisons qui sont innocentes (on leur a tous enseigné la même chose incorrecte à l'école) et moins (ils ont un intérêt financier ou professionnel à nier la vérité).

    Du côté le moins néfaste, toute la communauté des sondeurs en 2016 a dénoncé comme tristement célèbre l'idée que Donald Trump pourrait remporter l'investiture républicaine, sans parler des élections générales. Ils croyaient cela parce qu'ils ne prêtaient pas attention aux électeurs (leurs emplois ostensibles), mais aussi parce qu'ils n'avaient jamais rien vu de semblable. Dans un exemple plus suspect, si vous avez demandé à une centaine d'analystes de Wall Street en septembre 2008 ce qui a provoqué la crise financière, probablement pas plus d'une poignée n'aurait mentionné la fraude ou la malversation.

    Les deux exemples ci-dessus soulignent un problème central à essayer d'automatiser le processus de vérification des faits comme les plates-formes Internet l'ont fait récemment, en mettant l'accent sur les opinions «faisant autorité».

    Les «autorités» par leur nature ne sont pas dignes de confiance. Parfois, ils ont intérêt à nier les vérités, et parfois ils essaient en fait de définir la vérité comme étant ce qu'ils disent. «Élever le contenu faisant autorité» par rapport à des sources indépendantes ou moins connues est une approche algorithmique de l'obsession journalistique de la certification qui détruit lentement notre entreprise depuis des décennies.

    Le fiasco des ADM s'est produit parce que les journalistes ont écouté les personnes ayant des grades et des titres militaires au lieu d'exiger des preuves et d'écouter leur propre instinct. La même chose s'est produite avec Russiagate, une histoire alimentée par des «experts» du renseignement avec de grands titres dont il est désormais prouvé qu'ils se sont trompés de manière spectaculaire, sinon en réalité pénalement responsables en poussant une fraude.

    Nous sommes devenus incapables de parler calmement des solutions possibles parce que nous avons perdu la capacité de dissocier les discussions scientifiques ou politiques, ou de simples questions de fait, d'un argument politique. Le reportage sur la crise de Covid-19 est devenu le dernier d'une série de manies morales avec Donald Trump au milieu.

    Au lieu de demander calmement si l'hydroxychloroquine fonctionne, ou si la réponse suédoise moins restrictive à la crise a du mérite, ou de se demander pourquoi certaines hypothèses statistiques sur la gravité de la crise auraient pu être écartées, nous dénonçons les questions elles-mêmes comme infâmes. Ou nous politisons le cadrage des histoires d'une manière qui signale aux lecteurs ce que devrait être leur avis avant même de digérer le matériel. "Les conservateurs américains voient l'espoir des coronavirus dans la Suède progressiste", lit un titre Politico, comme si seuls les conservateurs devaient ressentir de l'optimisme quant à la possibilité qu'une approche non bloquante ait du mérite! Enracinons-nous pour qu'une telle approche ne fonctionne pas ?

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  24. D'après tout ce que j'ai entendu, parler aux médecins et lire la documentation, les médecins de Bakersfield ne sont probablement pas les meilleures sources. Mais l'impact fonctionnel de la suppression de leurs vidéos (en plus de leur donner une presse qu'ils n'auraient pas eue autrement) est d'étouffer la discussion sur des choses qui doivent réellement être discutées, comme quand les dommages à l'économie et les effets d'autres les problèmes liés à la crise - violence domestique, toxicomanie, suicide, accident vasculaire cérébral, maltraitance des enfants, etc. - deviennent une menace pour le public aussi importante que la pandémie. Nous devons en fait en parler. Nous ne pouvons pas en parler par crainte d’être censuré ou parce que nous confondons un préjudice réel avec un préjudice politique.

    Nous transformer en Chine pour une raison quelconque est la définition d'un remède pire que la maladie. Les grondeurs qui sont séduits par une telle pensée doivent se réveiller, avant de finir par ajouter une autre catastrophe en plus de la terrible à laquelle nous sommes déjà confrontés.

    https://www.zerohedge.com/health/inevitable-coronavirus-censorship-crisis-here

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    1. (...) «Les démocraties cessent quand ils deviennent trop démocratiques» et «Trop de bonnes choses: pourquoi nous avons besoin de moins de démocratie» (...)

      La dictature n'est pas de discuter mais d'effacer les commentaires vrais. La Démocratie c'est le Peuple (Par le Peuple Pour le Peuple).

      Ainsi le Peuple devient l'ADM de toutes sociétés intelligentes. Les dictatures combattent tout ceux qui ne gouvernent pas.

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  25. 53% de nouvelles immatriculations Porsche en plus malgré la crise de Corona, alors que la concurrence subit de lourdes pertes


    par Tyler Durden
    Lun, 05/04/2020 - 09:19
    Présenté par Raphael Adrian de Kryptoszene,


    En janvier, environ 53% de nouveaux véhicules Porsche ont été immatriculés en Allemagne par rapport au même mois de l'année dernière. Le nombre d'immatriculations de véhicules neufs pour tous les constructeurs et marques automobiles a diminué de 7% sur la même période. Comme le montre une nouvelle infographie de Kryptoszene.de, Porsche a également souffert moins sévèrement au premier trimestre que ses concurrents allemands et internationaux.

    - voir graphique sur site -

    Par rapport au trimestre équivalent de l'année dernière, Porsche a livré 19,9% de véhicules en plus en Europe, malgré la crise corona actuelle. Cependant, les ventes mondiales ont diminué de 4,6%, comme le montrent les données du rapport trimestriel publié. Cette baisse est toutefois inférieure à celles des autres constructeurs automobiles.

    Les ventes mondiales de Tesla ont diminué de 12,8% par rapport au premier trimestre de l'année dernière. Les ventes de Daimler ont baissé de 14,9% et celles de BMW ont baissé de près de 20,6%, selon les rapports publiés par les sociétés respectives. Les ventes de l'industrie ont chuté de 24,6%.

    - voir graphique sur site -

    Porsche prouve sa résistance à la crise

    En février, Porsche a été le seul constructeur automobile allemand à augmenter ses ventes en République fédérale par rapport au même mois l'an dernier. Parallèlement, les chiffres négatifs en Amérique et en Chine ont été presque compensés par une activité florissante en Europe.

    Ce n'est pas la seule façon dont Porsche a été exceptionnel - les employés de l'entreprise ont tous reçu une prime de 9 700 €. Bien que Porsche encourage ses employés à donner une partie de ce montant, la mesure a suscité certaines critiques. Par exemple, la ministre de l'économie, du travail et du logement du Bade-Wurtemberg, Nicole Hoffmeister-Kraut (CDU), a affirmé que le constructeur automobile envoyait le mauvais message: «Étant donné que Porsche a actuellement demandé des avantages réduits pour les heures de travail, tels que de généreux bonus donnent certainement le mauvais signal ».

    Porsche a également fait don de 1,3 million d'euros à la clinique de Stuttgart et à l'hôpital Marien. L'argent sera utilisé pour acheter du matériel de laboratoire et de radiographie ainsi que des masques de protection.

    Comme l'illustrent les infographies, Porsche s'est révélée relativement immunisée contre les conséquences de la pandémie corona. Une comparaison avec d'autres acteurs de l'industrie automobile le démontre clairement. Néanmoins, la situation sur le parquet est source d'incertitude: depuis le krach boursier du 19 février, le cours des actions Porsche a baissé de 31,44%.

    https://www.zerohedge.com/markets/53-more-new-porsche-registrations-despite-corona-crisis-competition-suffers-heavy-losses

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  26. Deux médecins californiens affirment que le taux de mortalité est comparable à celui de la grippe, mais qu'il s'agissait plutôt d'un biais d'échantillonnage


    May 2nd, 2020


    Quelques personnes se posent des questions sur la vidéo supprimée de Youtube qui est maintenant sur Bitchute. (h / t AC Osborne) Le coup de main de Youtube frappe à nouveau avec une censure inutile. Mais même si les documents étaient erronés, il vaut mieux discuter pourquoi que d'essayer de les faire disparaître - nous pouvons tous apprendre quelque chose. De plus, la censure leur confère de facto un statut de héros chez certains, mais pour de mauvaises raisons.

    Le point principal des médecins est une erreur de biais d'échantillonnage

    Les médecins Dan Erickson et Artin Massihi de Accelerated Urgent Care sont des médecins urgentistes, ils ont l'air convaincants et parlent bien, mais leur thèse repose entièrement sur une erreur. Ils prennent les résultats des tests d'un groupe de personnes à haut risque et extrapolent les résultats à l'ensemble de l'État. Ce qu'ils ont, ce sont des données non randomisées, et ils supposent que cela représente des millions de personnes qui ne sont pas sorties pour des tests. Ce n'est pas un petit point ou accessoire. C’est le fondement de presque tout ce qu’ils disent.

    Ils répètent cette même erreur encore et encore, et disent «nous suivons la science». Ils proposent des rationalisations justes, des truismes qui ne sont pas vrais, et y injectent un vocabulaire superflu pour que les gens sachent qu'ils ont étudié la virologie une fois. (Oui, l'ADN signifie l'acide désoxyribnucléique, mais ces virus sont des ARN, et aucun de ce jargon ne devait être là.) Ils ne disposent pratiquement d'aucune donnée à l'appui de leurs autres allégations, et ils ignorent simplement, ou ne sont pas au courant les études correctement randomisées qui ne sont pas d'accord avec eux. En Autriche, seulement 0,3% avait une infection actuelle à ce moment-là, donc probablement 1% seulement de la population autrichienne totale est immunisée (si elle existe).

    MISE À JOUR: Comment le biais d'échantillonnage fait apparaître le taux de mortalité trop bas: si les personnes atteintes d'une maladie sont plus susceptibles de sortir et de se faire tester, alors l'échantillon qu'elles fournissent surestimera le véritable taux d'infection, ce qui conduit à une sous-estimation de la mortalité taux.

    Les personnes sans Covid sont moins susceptibles de vouloir se faire dépister - il est peu probable que celles qui se sont soigneusement isolées se précipitent vers les stations de test où elles pourraient attraper un coronavirus. Et s'ils pensent qu'ils sont négatifs, ils ne voudront pas non plus payer pour un test.

    Imaginez 1% de la population est infectée par la maladie X, mais une entreprise vend des tests pour X, et cela attire 100 personnes qui ont eu une sorte de rhume ou de grippe et qui pensent avoir eu X. En fin de compte, 20% d'entre elles se révèlent avoir X, le reste avait un rhume normal. Les chercheurs pourraient prétendre que 20% de l'ensemble de l'État ont X (ce qui serait faux). Le taux réel d'infection est toujours de 1%. Et si le taux de mortalité était de 5% (parmi les personnes infectées), après que le nombre d'infections est accidentellement augmenté de 1 à 20%, le taux de mortalité semble passer de 5% à 0,25%.

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  27. Rien ne peut les sauver du péché d'extrapoler à partir de petites données non représentatives
    Essentiellement, ils disent que leurs tests de 5 000 personnes dans le pays de Curran ont révélé que 6,5% étaient positifs «de la population», disent-ils (à tort). C'est «répandu». Ils pointent vers des tests dans toute la Californie qui donnent un résultat positif de 12% et calculent que les gens ont 0,03% de chances de mourir en Californie. Ce qui est trompeur et faux. Négligent.

    33 865 cas Covid sur 280 000 testés. Cela représente 12% des Californiens infectés. Nous avons 39 millions de personnes. Cela représente 4,7 millions de cas. Nous avons vu 1 227 décès, ce qui signifie que vous avez 0,03 chance de mourir….

    À un moment donné, Erickson poursuit en disant que près de 96% des gens se rétablissent sans séquelles importantes, comme si c'était une bonne nouvelle - mais si 4% ne se rétablissent pas, n'est-ce pas un problème? (D'après ses propres calculs, jusqu'à 1,5 million de Californiens sont confrontés à une menace dont ils pourraient ne pas se remettre complètement et qui pourraient avoir des problèmes de santé à long terme - en supposant qu'ils ne meurent pas.)

    Il répète comme un mantra: des millions de cas, peu de morts.

    Au cœur de leur message, les deux docs ont un message selon lequel les taux de test positifs élevés à New York, en Espagne et leur propre travail soutiennent leur théorie selon laquelle des millions de personnes sont infectées, et donc le taux de mortalité est minuscule, afin que nous puissions abandonner le verrouillage. Mais un taux de test positif élevé signifie principalement qu'un État ne fait pas suffisamment de tests. Ce n'est pas un bon indicateur de la prévalence qui nécessite des tests aléatoires. (Voir L'Atlantique sur les taux de test positifs élevés.) De toute évidence, les tests actuels manquent à toutes les personnes qui se sont isolées à la maison ou qui n'ont présenté aucun symptôme et sont moins susceptibles de se présenter à une clinique de dépistage et de payer de l'argent pour découvrir qu'elles sont probablement ne pas avoir de coronavirus.

    Les médecins Dan Erickson et Artin Massihi de Accelerated Urgent Care sont des médecins des urgences, et ils dirigent une entreprise effectuant ces tests. Nous pensons donc qu’ils seraient conscients du biais d’échantillonnage. Et comme leur entreprise gagnerait à lever le verrouillage, nous pensons qu'ils feraient très attention à formuler des mises en garde raisonnables lorsqu'ils s'exprimeraient lors d'un point de presse, mais ils ne le font pas - même lorsque les journalistes leur demandent pourquoi leur message est en conflit avec tant d'autres médecins.

    Peut-être qu'ils ne se rendaient pas compte qu'ils se jetaient dans un feu mondial. Après que la vidéo soit devenue virale et qu'Elon Musk ait déliré sur Twitter à ses 33 millions d'adeptes, de nombreux autres médecins sont sortis et ont expliqué pourquoi c'était mal.

    En voici un:

    Deux médecins californiens deviennent viraux avec des conclusions de test COVID douteuses
    Par Calmatters, Mercury News

    Les médecins ne devraient jamais supposer que les patients qu'ils ont testés - qui sont venus pour des tests COVID-19 sans rendez-vous ou qui ont demandé des soins urgents pour les symptômes qu'ils ont ressentis au milieu d'une pandémie - sont représentatifs de la population générale, a déclaré le Dr Carl Bergstrom. , biologiste à l'Université de Washington, spécialisée dans la modélisation des maladies infectieuses. Il a comparé leurs extrapolations à «l'estimation de la taille moyenne des Américains à partir des joueurs sur un terrain de la NBA». Et les études les plus crédibles sur les taux de mortalité liés au COVID-19 sont en réalité bien plus élevées que celles présentées par les médecins.

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  28. "Ils ont utilisé des méthodes ridicules pour obtenir des résultats totalement invraisemblables", a déclaré Bergstrom.

    Juste un peu de malbouffe:… "nous n'avons jamais vu de situation où vous mettez en quarantaine les personnes en bonne santé".

    Il y avait beaucoup d'autres signes qu'ils n'avaient pas trop réfléchi à leur théorie. Dès le début, Erickson déclare: «En règle générale, vous mettez les malades en quarantaine, et nous n'avons jamais vu de situation où vous mettez en quarantaine les personnes en bonne santé». Oui, eh bien, c'est à l'exception de toute l'histoire. Le recours à la quarantaine remonte à l'époque biblique et signifiait souvent l'isolement des personnes susceptibles de souffrir d'une maladie, qu'elles soient malades ou non. C'était le point, nous mettons en quarantaine des animaux en bonne santé qui volent à l'étranger, non pas parce que nous savons qu'ils sont malades, mais parce que même les chiens asymptomatiques peuvent être porteurs de maladies désagréables. Évidemment, si nous savions qui était en bonne santé et qui ne l'était pas, nous ne mettrions pas en quarantaine les personnes en bonne santé. Voir, par exemple, les Samoa américaines où ils ont échappé à la grippe espagnole en insistant pour que tous les bateaux attendent 5 jours au large. La quarantaine doit fonctionner de cette façon si la maladie se propage de manière asymptomatique.

    Erickson et al ont quelques critiques justes du verrouillage, et des manières hypocrites et contradictoires dont les gouvernements ont géré la situation. Mais beaucoup d'autres commentateurs plus prudents le disent déjà. Ayons cette conversation. Mais ne confondez pas le succès de base des mesures d'isolement avec l'autre débat sur les types d'isolement les plus rentables, avec l'autre débat sur la façon dont les plans de préparation à une pandémie ont été une catastrophe, nous n'avions pas l'EPI (protection individuelle équipement) et nous avons dû fermer la chirurgie élective parce que toutes les usines de masques et de drogues avaient déménagé en Chine.

    Ce n'est pas la grippe

    Il n'y a pas d'équivalence comparant le nombre de décès simples après 2 mois à une année entière de statistiques sur la grippe, et pourtant ils le font:

    Drs. Dan Erickson et Artin Massihi, qui sont copropriétaires d'établissements de soins d'urgence accélérés dans le comté de Kern, ont déclaré: "Le taux de mortalité du coronavirus est similaire en prévalence à la grippe", selon ABC 23.

    "Si vous étudiez les chiffres en 2017 et 2018, nous avions 50 à 60 millions de personnes atteintes de la grippe", a déclaré Erickson. «Et nous avons eu un taux de mortalité similaire dans les décès aux États-Unis étaient 43 545 - similaire à la grippe de 2017-2018. Nous avons toujours entre 37 000 et 60 000 décès aux États-Unis, chaque année. Pas de discours pandémique. Pas d'abri sur place. Pas de fermeture d'entreprises. »

    En 8 semaines, dont la moitié était sous les mesures d'isolement les plus sévères que les États-Unis aient jamais vues, le coronavirus a déjà tué autant de personnes que la pire saison de grippe de tous les temps. Imaginez ce que cela pourrait faire, s'il n'y avait aucun effort pour le ralentir ?

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  29. Lorsque les journalistes demandent pourquoi leur point de vue est si différent de celui de presque tous les autres experts, ils mentionnent vaguement «les théories et les modèles», et «comment ils travaillent avec les patients» sans être liés au bureau. C'est à ce moment-là qu'une bonne équipe scientifique aurait parlé des études contradictoires et dit quelque chose qui donnait un aperçu de l'insuffisance des autres tests. Au lieu de cela, nous n'obtenons que des clichés de maternité, et parfois un cliché mord le suivant. Comme quand ils discutent de New York, ils expliquent qu’ils ont raison parce qu’ils «n’ont pas à vivre à Manhattan pour regarder les données». Donc, parfois, être un jockey de bureau est OK après tout.

    Quelques jours plus tard, Doc Erickson a un peu reculé lorsqu'on lui a demandé à nouveau sur Fox News. Le Dr Erickson prétend maintenant qu'il venait de répondre à des questions de données brutes, ce qui n'est évidemment pas le cas. Il reconnaît maintenant que ce n'était pas aléatoire et affirme qu'ils ne faisaient pas de commentaire biostatistique, alors qu'ils l'étaient. Il s'est trompé. Ses calculs de mortalité dans la première vidéo étaient son point principal, répété tout au long. Ils étaient le raisonnement derrière tout ce qu'il recommandait, mais ils étaient indésirables. Il avait prétendu calculer la prévalence et savait qu'il extrapolait. Erickson ne fait que déplacer les poteaux de but. Après les critiques cinglantes, il a été poussé à dire simplement la banale vérité qu'il s'agit d'un équilibre entre des intérêts contradictoires, quelque chose que nous savions tous.

    Erickson et Massihi n'avaient probablement jamais eu l'intention de devenir viraux, ils n'y ont pas réfléchi, ils l'ont juste fait sortir, mais ils sont tombés dans une cuve d'incubation et sont devenus une gargouille. Nous voulons tous que le coronavirus revienne dans sa boîte. Mais étant sceptiques, nous recherchons le point de vue opposé.

    Ok ?

    Infos intéressantes sur Coronavirus:

    Quarantines work: 12 days after lockdowns, quarantines and isolation, Coronavirus slows. This is text book microbiology.
    Coronavirus causes clotting: hold the ventilators, stop blood clots instead
    Coronavirus can affect brains, may increase stroke risk.
    Solve Vitamin D deficiency first to help beat Coronavirus.
    New York is “like mass casualty event”: coronavirus and other deaths are up three-fold
    Coronavirus may be man made. Why did the CCP destroy the evidence?
    Looks like we can extinguish Coronavirus: Australia and NZ tracking to zero.
    Large coronavirus random tests in Austria show only 1% infected
    Read Crush the Curve — save the economy.

    http://joannenova.com.au/2020/05/two-californians-doctors-say-the-mortality-rate-is-like-the-flu-but-it-was-sampling-bias-instead/

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  30. Mystérieux, niveaux d'oxygène incroyablement bas, comment l'oxymètre de pouls donne le premier avertissement de coronavirus


    May 3rd, 2020


    Un appareil bon marché peut éloigner les personnes des ventilateurs et être le premier avertissement de problème

    Dans les coronavirus, les niveaux d'oxygène dans le sang peuvent chuter en silence jusqu'à des niveaux inouïs. Les gens peuvent ignorer qu'ils ont même un coronavirus car les niveaux d'oxygène tombent au point, les médecins réécrivent les registres. Il s'agit d'une crise d'hypoxie - c'est une caractéristique déterminante de la maladie. Au Royaume-Uni, la demande d'oxygène dans les hôpitaux est si grande que le NHS s'épuise, le rationne et demande aux médecins d'abaisser leurs cibles d'oxygène dans le sang.

    Les gens surveillent leurs «sang oxy sats» à la maison afin qu'ils soient rapidement avertis qu'ils ont besoin d'une aide médicale plus sérieuse. Les niveaux normaux d'oxygène dans le sang sont saturés à 95-100%. Les médecins avaient l'habitude de se calmer à des niveaux inférieurs à 92%, et les alarmes des hôpitaux se déclenchent souvent si les enfants asthmatiques tombent en dessous de 90%. À 88%, les médecins mettent les gens sous oxygénothérapie continue. Les niveaux inférieurs à 80% sont considérés comme suffisamment dangereux pour commencer à endommager les organes. Mais le personnel médical trouve des patients conscients et convulsés avec des niveaux si bas qu'ils sont inconnus - un incroyable 50 pour cent. J'ai lu quelque part qu'un ambulancier a trouvé quelqu'un avec une lecture de 35%.

    Le Dr Levitan, médecin urgentiste à New York, a recommandé il y a une semaine qu'un oxymètre de pouls à la maison sauverait des vies et empêcherait les patients d'avoir finalement besoin d'un traitement respiratoire très invasif et coûteux, si dangereux et si épuisant pour les hôpitaux.

    Les oxymètres sont des appareils bon marché, qui devraient disparaître des étagères des pharmacies et d'Ebay et d'Amazon en ce moment, mais si vous êtes à haut risque ou dans une zone à haut risque, il pourrait être utile d'essayer d'en trouver un.

    L'infection qui tue silencieusement les patients atteints de coronavirus
    Richard Levitan dans un éditorial du New York Times

    … Presque tous les patients E.R. avaient une pneumonie Covid.

    Apparemment, certains de ces cas asymptomatiques souffrent déjà de pneumonie. Ce n'était pas le but de l'article, mais le message impliqué ici est qu'il peut y avoir des cas ambulants de convoitise qui pensent qu'ils vont bien, mais qu'ils souffrent déjà de lésions pulmonaires.

    Même les patients sans troubles respiratoires avaient une pneumonie Covid. Le patient a été poignardé à l'épaule, que nous avons radiographiée parce que nous craignions qu'il se soit effondré aux poumons, en fait avait une pneumonie Covid. Chez les patients sur lesquels nous avons fait une tomodensitométrie parce qu'ils étaient blessés lors de chutes, nous avons par hasard trouvé une pneumonie Covid. Les patients âgés qui s'étaient évanouis pour des raisons inconnues et un certain nombre de patients diabétiques en avaient.

    Et voici ce qui nous a vraiment surpris: ces patients n'ont signalé aucune sensation de problèmes respiratoires, même si leurs radiographies pulmonaires ont montré une pneumonie diffuse et que leur oxygène était inférieur à la normale. Comment est-ce possible ?

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  31. Normalement, les personnes ayant de faibles niveaux d'oxygène ont du mal à respirer, à haleter, à travailler leurs muscles thoraciques intercostaux entre leurs côtes. Ils sont en détresse. Mais avec les patients de Covid, ils peuvent se sentir bien et pouvoir parler au téléphone. Au moment où ils arrivent à l'hôpital, ils ont déjà un cas assez grave de pneumonie et les radiographies pulmonaires le montrent. Environ 20% de ces patients subiront le type de pneumonie pulmonaire humide le plus grave qui nécessite un ventilateur. L'espoir est que les personnes qui reçoivent un traitement tôt pourront éviter le stade du ventilateur.

    … Lorsque la pneumonie Covid frappe pour la première fois, les patients ne se sentent pas essoufflés, même lorsque leur taux d'oxygène chute. Et au moment où ils le font, ils ont des niveaux d'oxygène alarmants et une pneumonie modérée à sévère (comme on le voit sur les radiographies pulmonaires).

    Il recommande à toutes les personnes dont le test de dépistage du coronavirus est positif ou qui présentent des symptômes respiratoires d'utiliser un oxymètre pendant deux semaines.

    Les oxymètres de pouls ont aidé à sauver la vie de deux médecins d'urgence que je connais, les alertant dès le début de la nécessité d'un traitement. Lorsqu'ils ont remarqué que leur taux d'oxygène diminuait, les deux sont allés à l'hôpital et se sont rétablis (bien que l'un ait attendu plus longtemps et ait eu besoin de plus de traitements). La détection de l'hypoxie, un traitement précoce et une surveillance étroite ont apparemment également fonctionné pour Boris Johnson, le Premier ministre britannique.

    Les équipes travaillent actuellement sur toutes sortes de façons de surveiller les niveaux d'oxygène dans le sang, y compris avec Rapberry Pi.

    Tous les médecins ne pensent pas que c'est une bonne idée, mais pour un public intelligent qui peut peser le pour et le contre et se donner un peu de formation, c'est une assurance bon marché. J'en ai un et je l'utilise depuis des années.

    Qu'est-ce qu'un oxymètre de pouls ? Est-ce une bonne idée d'en acheter un ?
    Laurel Walmsley

    … Un oxymètre de pouls peut signaler que vous avez des problèmes avant de vous en rendre compte. C'est ce que Levitan a vu quand il a passé 10 jours à travailler aux urgences de l'hôpital Bellevue de New York au début du mois: de nombreux patients COVID étaient déjà très malades avec une pneumonie COVID au moment de leur arrivée. Ils respiraient rapidement, leur taux d'oxygène dans le sang était dangereusement bas. Comme les alpinistes, les patients s’étaient habitués à une diminution progressive des niveaux d’oxygène et ne se rendaient pas compte qu’ils étaient en détresse.

    Beaucoup d'entre eux ont déclaré qu'ils n'avaient commencé à se sentir essoufflés que récemment alors qu'ils avaient éprouvé des symptômes de COVID-19 pendant des jours. Au moment où les patients sont allés à l'hôpital, dit Levitan, le virus avait déjà endommagé leurs poumons et beaucoup étaient dans un état critique. Il a vu des patients atteints de pneumonie COVID avec des niveaux de saturation en oxygène aussi bas que 50 pour cent.

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  32. NPR poursuit en discutant des raisons d'en obtenir un, ainsi que des raisons de ne pas le faire avec des avertissements et des instructions. Lisez l'article NPR et d'autres liens, mais la plupart des avertissements concernant leur utilisation ne s'appliquent probablement pas à l'ensemble bien éduqué. Les avertissements concernant les utilisateurs non formés sonnent comme les messages anti-masque - contradictoires et condescendants. Des lumières vives peuvent fausser les lectures, tout comme le vernis à ongles ou des conditions préexistantes comme l'anémie, l'asthme ou les maladies pulmonaires, donc en utiliser une lorsque vous êtes en bonne santé est une bonne pratique pour obtenir la ligne de tendance «normale».

    Comme les masques et les EPI, les oxymètres de pouls vont soudainement devenir une propriété chaude, et donc, produits en masse.

    Curieusement, les ventes d'oxymètres de pouls ont considérablement augmenté aux États-Unis le 20 janvier lorsque le premier cas de coronavirus a été enregistré aux États-Unis, mais il me semble plus probable que ce soit le signe de nos sympathiques agents du PCC au travail - affichant des compteurs en Chine sans mentionner aux gens autour d'eux qu'ils pourraient être utiles à la maison.

    Note aux commentateurs: Puisque les vies et les moyens de subsistance sont tous deux en jeu, les bonnes manières et la grâce iront un long chemin. Parfois, les pires alarmistes sont ceux qui se plaignent des autres alarmistes.

    h/t Mum.

    Infos intéressantes sur Coronavirus:

    Quarantines work: 12 days after lockdowns, quarantines and isolation, Coronavirus slows. This is text book microbiology.
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    Looks like we can extinguish Coronavirus: Australia and NZ tracking to zero.
    Large coronavirus random tests in Austria show only 1% infected
    Read Crush the Curve — save the economy.

    http://joannenova.com.au/2020/05/mysterious-amazingly-low-oxygen-levels-how-pulse-oximeter-gives-the-first-warning-of-coronavirus/

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  33. Le Sénat rejette le plan du gouvernement sur le déconfinement en France


    19:05 04.05.2020


    Avec 89 voix contre 81, et 174 abstentions, le Sénat n’a pas validé ce lundi 4 mai le plan national de déconfinement élaboré par le gouvernement d’Édouard Philippe.

    Le Sénat, à majorité de droite, n'a pas validé lundi 4 mai la «stratégie nationale de déconfinement» à 89 voix contre 81 et 174 abstentions, avec une abstention «massive» des élus LR et un vote contre des groupes socialiste et communiste, informe l’AFP.

    Présenté par le Premier ministre, ce plan avait été approuvé par l'Assemblée nationale mardi dernier par 368 voix contre 100, et 103 abstentions. Ces deux votes, en application de l'article 50-1 de la Constitution, ont surtout une valeur symbolique et pas d'impact sur le lancement du déconfinement prévu à partir du 11 mai.

    Le plan en question prévoit une réouverture des commerces et une reprise progressive de l'activité économique, ainsi que la réouverture des écoles à partir du 11 mai.

    Allocution d'Édouard Philippe

    Avant le vote, le chef du gouvernement a insisté devant les sénateurs sur le «coût social et économique» du confinement qui «déchire notre tissu social» et «aggrave les difficultés que rencontrent certaines familles, certains secteurs, certains territoires».

    Édouard Philippe a également qualifié la fermeture des écoles de «catastrophe pour les plus vulnérables des enfants et des adolescents», le décrochage scolaire étant selon lui «probablement une bombe à retardement», alors que certains élus locaux contestent la réouverture des écoles le 11 mai.

    Durant ses 50 minutes d'allocution, le Premier ministre a martelé que les «clés du déconfinement se trouvent sur le terrain, entre les mains des acteurs locaux», renouvelant ainsi sa promesse de différenciation.

    Il a souligné souhaiter conserver «l'équilibre» actuel de la loi sur la responsabilité des maires, malgré leurs inquiétudes quant aux décisions à prendre pour le déconfinement.

    Le Premier ministre a par ailleurs annoncé une aide de 200 euros versée en juin à 800.000 jeunes de moins de 25 ans «précaires ou modestes», dont les «étudiants ayant perdu leur travail ou leur stage» et les «étudiants ultramarins isolés qui n'ont pas pu rentrer chez eux».

    Cette aide s'ajoute à celle de 150 euros (plus 100 euros par enfant) qui sera versée le 15 mai «à quatre millions de familles pauvres et modestes» touchant le revenu de solidarité active et l'allocation de solidarité spécifique. «Et les ménages bénéficiaires des allocations logement recevront 100 euros par enfant», a rappelé M.Philippe.

    Interpellé sur la disponibilité des tests, alors que l'exécutif compte en effectuer jusqu'à 700.000 par semaine à partir du 11 mai, le chef du gouvernement a dit plutôt craindre le manque de «bras» pour les analyser et remonter les «chaînes de contamination», visant notamment le déploiement des «brigades sanitaires» (environ trois à 4.000 personnes).

    Enfin, Édouard Philippe a annoncé que le gouvernement était «prêt à étudier» la reprise des offices religieux le 29 mai au lieu de la date du 2 juin précédemment établie.

    https://fr.sputniknews.com/france/202005041043716612-le-senat-rejette-le-plan-du-gouvernement-sur-le-deconfinement-en-france/

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  34. Coronavirus vaincu par un anticorps expérimental qui cible la protéine Spike


    par Tyler Durden
    Lun, 05/04/2020 - 12:35


    Un anticorps expérimental développé par des chercheurs de l'Université d'Utrecht aux Pays-Bas peut vaincre le coronavirus en laboratoire, selon une nouvelle étude publiée dans Nature Communications Bloomberg, qui note que l'anticorps - connu sous le nom de 47D11 - a neutralisé le virus dans des cultures cellulaires.

    Les anticorps monoclonaux sont des protéines créées dans un laboratoire qui ressemblent à des versions naturelles utilisées par le système immunitaire pour combattre les virus et les bactéries. 47D11 a été créé en utilisant des souris génétiquement modifiées pour produire des anticorps qui ciblent un site spécifique sur un virus - dans ce cas, la protéine de pointe, que le coronavirus utilise pour se fixer et entrer dans les cellules humaines.

    Après que les anticorps de souris se soient révélés efficaces pour vaincre le coronavirus, les chercheurs l'ont «reformaté» pour créer une version entièrement humaine, selon l'étude.

    L'anticorps expérimental a neutralisé le virus dans les cultures cellulaires. Bien que ce soit au début du processus de développement du médicament - avant la recherche animale et les essais sur l'homme - l'anticorps peut aider à prévenir ou à traiter le Covid-19 et les maladies apparentées à l'avenir, seul ou en combinaison de médicaments, selon une étude publiée lundi dans la revue Nature Communications.

    Selon Berend-Jan Bosch de l'Université d'Utrecht, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour confirmer les résultats en milieu clinique. Selon les chercheurs, l'anticorps peut également tuer d'autres virus équipés de protéines de pointe similaires telles que le syndrome respiratoire aigu soudain (SRAS).

    "Les anticorps monoclonaux ciblant les sites vulnérables sur les protéines de surface virales sont de plus en plus reconnus comme une classe prometteuse de médicaments contre les maladies infectieuses et ont montré une efficacité thérapeutique pour un certain nombre de virus", ont écrit Bosch et ses collègues.

    Ils sont déjà utilisés dans les traitements du cancer, de l'inflammation, de l'ébola et d'autres applications.

    https://www.zerohedge.com/health/coronavirus-defeated-experimental-antibody-targets-spike-protein

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  35. "Nous sommes tous des chasseurs nés" - Les Américains se tournent vers le gibier de chasse en raison des craintes de pandémie de pénurie alimentaire


    par Tyler Durden
    Lun, 05/04/2020 - 11:15


    Le ralentissement, voire la fermeture des usines de transformation de la viande en raison des flambées de coronavirus a entraîné des pénuries de viande et une flambée de l'inflation alimentaire. La chaîne de supermarchés Kroger a annoncé vendredi qu'elle avait imposé des "limites d'achat" sur le bœuf haché et le porc frais dans certains de ses magasins à la suite de préoccupations croissantes concernant les perturbations de la chaîne d'approvisionnement alimentaire. Nous avons noté le mois dernier que des pénuries de viande pouvaient être observées dans les épiceries des États-Unis au cours de la première moitié de mai. La pandémie et tout son chaos ont conduit certains Américains à acheter un fusil de chasse et à s'aventurer dans le désert pour chasser le gros gibier et mettre de la nourriture sur leurs tables.

    Reuters interroge plusieurs Américains et examine les données des permis de chasse au niveau de l'État pour déterminer qu'un nombre croissant de personnes chassent le gros gibier pour nourrir leur famille pendant la pandémie.

    David Elliot, responsable des urgences à l'hôpital Holy Cross de Taos, au Nouveau-Mexique, a déclaré que la pandémie lui avait donné l'envie de remplir son congélateur de viande en libre parcours, super maigre qu'il obtiendra en chassant le wapiti. Il a récemment reçu son permis d'élan et prévoit d'emprunter un cheval et un fusil, et de parcourir les vastes plaines de Taos, à la recherche de gros gibier.

    "Je comprends que certaines personnes pourraient être conduites par des bois ou une sorte de gloire. Je ne veux pas faire ça", a déclaré Elliot. "Je veux m'assurer que c'est un coup propre et humain, autant que possible, et obtenir un tas de nourriture."

    Les agences de chasse et de pêche du Minnesota au Nouveau-Mexique ont remarqué une augmentation des ventes de permis de chasse, des demandes de permis ou des deux au cours des derniers mois.

    L'Indiana a signalé une augmentation de 28% des ventes de licences de dinde au cours de la première semaine de la saison qui a commencé le 22 avril, a déclaré Marty Benson, porte-parole du département des Ressources naturelles de l'État.

    Les ventes d'armes à feu ont bondi en mars, et le FBI a effectué 3,74 millions de vérifications des antécédents, le plus élevé de tous les mois. La raison du saut n'est pas la chasse, mais plutôt, comme nous l'avons noté, les gens paniquent les armes et les munitions accumulées par peur que la pandémie ne conduise à des instabilités sociales.

    Hank Forester de Quality Deer Management Association s'attend à une relance de la chasse par de nombreux Américains qui sont maintenant témoins des rayons des supermarchés à nu et des pénuries de viande.

    "Les gens commencent à penser à l'autosuffisance et à l'origine de leur nourriture", a déclaré Forester. "Nous sommes tous des chasseurs nés."

    Brian Van Nevel et Nathaniel Evans, deux enseignants de la région de Taos, se sont réveillés très tôt pour chasser la dinde sauvage. Evans a dit qu'il avait vu beaucoup plus de chasseurs cette année, principalement parce que les blocages ont laissé beaucoup de gens à la maison. Il a dit que la chasse lui avait permis de "nettoyer ma carte mentale et de simplement aller être présent".

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  36. La National Rifle Association (NRA) s'est entretenue avec les gouverneurs et les représentants de l'État pour ouvrir des terres fermées en raison des fermetures, comme on dit, les gens doivent chasser pour se nourrir.

    Nina Stafford, un entrepreneur en construction à Fayetteville, en Géorgie, a abattu son premier cerf plus tôt cette année. Elle a dit que la pandémie "ne m'a fait que vouloir aller plus loin pour que je n'aie pas le sentiment effrayé d'où viendra mon prochain repas".

    Stafford possède également un jardin qui la rend moins dépendante des supermarchés et couvre son approvisionnement alimentaire en cas de perturbation dans les supermarchés.

    Le mois dernier, nous avons noté que les tendances de recherche sur Internet pour "acheter des graines" ont éclaté, car les Américains sont devenus très préoccupés par le fait que leur prochain repas pourrait être perturbé pendant ces horaires sans précédent.

    Les données préliminaires de l'État montrent que le nombre de chasseurs de dindes en Géorgie a augmenté de 47% cette année par rapport à l'année dernière, tandis que le nombre de dindes tuées au cours des 23 premiers jours de la saison a augmenté de 26%.

    "Ce n'est pas seulement à cause de ce qui se passe dans le monde en ce moment. Franchement, je ne gagne pas beaucoup d'argent, donc c'est juste une bonne idée de toute façon", a déclaré Elliot.

    Les Américains ne se contentent pas de ramasser des fusils de chasse à la recherche de gros gibier pour nourrir leur famille, car la sécurité alimentaire devient un problème important; les gens quittent également les grandes villes pour les communautés rurales pendant la pandémie.

    La pandémie oblige les gens à devenir plus autonomes et à retrouver un état de chasseurs-cueilleurs.

    https://www.zerohedge.com/health/were-all-born-hunters-americans-turn-hunting-during-pandemic-meat-shortages-develop

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    1. Retour à la période hippie ? 50 ans après Woodstock, pourquoi pas !

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  37. Le Covid-19 sert de prétexte pour établir une surveillance de masse et un traçage numérique de tous impossibles sans la 5G


    Sott.net
    sam., 02 mai 2020 10:26 UTC


    L'aggravation effrayante de l'emprise des Technologies de l'information et de la communication (TIC) sur nos vies et son corollaire constitué par les projets de traçage électronique des populations au nom de la nécessité de limiter la contagion du Covid-19, constituent deux évolutions caractérisées par une accélération des Pouvoirs en place dans l'usage massif des technologies. Dès lors, la bascule de nos sociétés vers un nouveau régime social doublé d'un totalitarisme mortifère n'a plus rien d'une science-fiction. Notre unique fenêtre sur le monde s'ouvrira-t-elle sur nos seuls écrans, froids et inhumains ?

    Tous confinés sans fil

    Pour beaucoup, les écrans deviennent un mode quasi-exclusif d'accès au monde ; le commerce en ligne explose, et même l'organisation de réseaux d'approvisionnements locaux en légumes et produits frais passe souvent par des sites Internet ; la consommation de jeux vidéo s'envole ; le nombre de consultations de « télémédecine » montent en flèche — alors qu'elles n'apportent rien de plus en général qu'une conversation téléphonique ; la « continuité pédagogique » se fait aussi par ordinateur, au mépris de toutes les recommandations médicales de limiter l'exposition des enfants aux écrans ; et des millions de personnes se retrouvent à travailler chez elles — non plus « métro-boulot-dodo », mais directement « du lit à l'ordi ».

    Dans une société dont l'usage du tout numérique est devenu boulimique, la dématérialisation s'est accélérée dans un confinement forcé, non seulement parfaitement inutile mais contre-productif, anticonstitutionnel, liberticide, et dévastateur pour l'économie et le lien social vital à l'espèce humaine. Devrait-on penser que les « Grands de ce monde » qui nous imposent leurs diktats ne sont pas humains ? Nous, simples citoyens, ressentons violemment la fragilité de nos existences face à la « menace fantôme » d'un virus à corona somme toute pas plus dangereux qu'une grippe saisonnière, et d'un confinement long, l'ordre politique et économique en vigueur semble, lui, à la fois ébranlé et renforcé par la secousse en cours. Il paraît en même temps fragile, et très solide sur ses bases les plus « modernes », c'est-à-dire les plus destructrices socialement.

    Il n'a bien sûr pas échappé à grand-monde que la situation présente a permis aux gouvernements de nombreux pays de tétaniser, pour un temps indéterminé, les contestations parfois extrêmement vives dont ils faisaient l'objet depuis plusieurs mois. Ce qui est tout aussi frappant, c'est que les mesures de distanciation interpersonnelle et la peur du contact avec l'autre générées par l'épidémie entrent puissamment en résonance avec des tendances lourdes de la société contemporaine.

    Dans le cadre de l'état d'urgence « sanitaire », le gouvernement a établi une ordonnance qui permet, pendant toute sa durée, l'installation d'antennes 5G sans aucune autorisation — ni de l'ANFR ni des mairies ni des régies ou syndic d'immeubles ! Dans le même temps, il a mis en place un Comité d'Analyse, de Recherche et d'Expertise — CARE, ça s'invente pas !! — dont le principal objectif est d'élaborer des dispositifs de traçage numérique qui, on peut le craindre, survivront à l'urgence.

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  38. « Sauvez des vies, restez chez vous »... sur Internet

    Le gouvernement a décrété l'« état d'urgence sanitaire » le 22 mars, texte qui, a priori, aurait dû privilégier des mesures permettant enfin de lutter efficacement contre la pandémie de coronavirus : quarantaines pour ceux venant de pays ou zones à risque ; généralisation des tests ; doter soignants, malades et porteurs sains de masques ; investir massivement dans les lits, respirateurs et traitements ; mesures spécifiques pour les plus exposés — soignants, pensionnaires des EPHAD, prisonniers, migrants, travailleurs de l'alimentation, milieux populaires mal logés... Pour ce faire, il aurait dû généraliser les réquisitions de cliniques privées, d'usines, prévoir une dotation exceptionnelle pour un système de santé publique exsangue suite aux restrictions budgétaires...

    Les grands médias ne voient en général rien d'inquiétant à cette réduction de toutes les activités humaines à une seule et ils se gardent bien de préciser que rien ne pourra changer en matière de précarisation sociale et d'écologie si nous continuons de tout faire par Internet. Les grands médias ne voient en général rien d'inquiétant à cette réduction de toutes les activités humaines à une seule. À cette campagne incessante de promotion de la vie numérique ne répond aucune alarme dans le débat d'idées : l'informatisation totale ne semble un problème pour personne.

    Confinement et Internet

    Le président Macron, quant à lui, se permet de faire des allusions répétées au programme du Conseil national de la Résistance et à son esprit de compromis social ; mais dans les faits, le projet de conversion de la France en start-up nation n'est nullement en pause, au contraire il connaît un grand bond en avant.

    Le confinement est par ailleurs une aubaine pour s'approcher de l'objectif de remplacement de tous les services publics par des portails en ligne, fixé par le plan Action publique 2022. Comme on le voit avec la suppression des guichets SNCF, cette numérisation accélère la privatisation des services publics, par le transfert de leur travail à des plateformes commerciales aux pratiques opaques, fondées sur le profilage massif des individus.

    Elle évince violemment l'ensemble des usagers peu ou pas connectés — un cinquième de la population, parmi lesquels les personnes âgées, les plus vulnérables économiquement et les récalcitrants. Elle oblige désormais des catégories en voie de paupérisation massive à s'acheter parfois autant d'équipements informatiques « de base » — PC, smartphone, imprimante, scanner... — que le foyer compte de membres.

    Elle nous fait basculer dans un monde profondément déshumanisé et kafkaïen. :

    « La numérisation de tout ce qui peut l'être est le moyen pour le capitalisme du XXIème siècle d'obtenir de nouvelles baisses de coût [...] Cette crise sanitaire apparaîtra peut-être rétrospectivement comme un moment d'accélération de cette virtualisation du monde. Comme le point d'inflexion du passage du capitalisme industriel au capitalisme numérique, et de son corollaire, l'effondrement des promesses humanistes de la société [de services]. »

    Cette analyse de bon sens suffit à comprendre que la « stratégie du choc » utilisée dans le contexte actuel se déroule en partie sous nos yeux, dans ce surcroît de numérisation de la vie domestique et économique. Voir la bonne analyse faite sur la « stratégie du choc » dans le cadre du Covid-19. On ne peut que se rendre à l'évidence de Pouvoirs en place aux abois qui ont aujourd'hui abattu leurs cartes :

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  39. « Dans La Stratégie du Choc : la montée d'un capitalisme du désastre, Naomi Klein met en évidence les modes opératoires du capitalisme libéral et de la torture scientifique telle que théorisée dans les manuels de la CIA (MK ultra, Monarch), à savoir la production intentionnelle de chocs régressifs, sous la forme de crises économiques planifiées et/ou de traumatismes émotionnels méthodiques, afin d'anéantir les structures données. Les bases du contrôle mental, que ce soit sur un individu ou sur une population entière, sont les mêmes : traumatiser pour reprogrammer... Ordo Ab Chao (l'ordre par le chaos); le modus operandi qui efface la personnalité d'origine chez un individu par une succession de traumatismes s'applique donc également sur les foules... En 1963, le patron des administrateurs de L'Institut Tavistock, Eric Trist, a déclaré : "L'administration d'une série de chocs traumatiques successifs sur une société a pour effet de la déstabiliser et de créer des conditions permanentes de turbulence sociale..." qui serviront à générer une société nouvelle en effaçant les cultures, les patrimoines, les frontières, bref les racines... pour l'établissement d'un Nouvel Ordre Mondial... »

    Il semble juste de parler de « stratégie du choc » numérique, au sens où la crise sanitaire crée l'occasion de renforcer la dépendance aux outils informatiques, et de déployer des projets économiques et politiques pré-existants : enseignement à distance, recours massif au télétravail, « e-santé », Internet des objets et robotisation, élimination de l'argent liquide au profit de la monnaie électronique, promotion de la 5G, smart city...

    On peut aussi faire figurer dans ce tableau les projets de suivi des individus par leur smartphone, au-delà de ce qui se pratiquait déjà en matière de surveillance policière, de marketing, ou de rencontres amoureuses par applications dédiées. Ainsi le risque n'est-il pas seulement que les choses restent « comme avant », mais qu'elles empirent nettement, à l'image de ce qui existe déjà en Chine, où le nombre de caméras a tellement explosé qu'on en compte une pour deux citoyens.

    Quand la Chine devient notre modèle pour activer Big Brother

    Il est à peu près acquis que plusieurs gouvernements européens vont mettre en place de nouveaux dispositifs de surveillance par smartphone — dans un premier temps — en contrepartie de la sortie, ou du relâchement, du confinement. Alors qu'à la peur de tomber malade s'ajoute la lassitude et l'impossibilité économique de rester confinés pendant des mois, c'est un véritable chantage auquel les populations sont soumises. Grâce à son système de crédit social orwellien, celui où vous gagnez ou perdez des points en fonction de votre comportement, ses horribles camps de rééducation, sa répression brutale des voix dissidentes et sa surveillance constante de sa population, la Chine a été le laboratoire d'un nouvel ordre mondial de haute technologie. En outre, plusieurs sociétés liées à l'élite ont aidé la Chine à atteindre ses objectifs. Sans surprise, l'OMS n'a cessé de louer ce régime oppressif.

    La crise du coronavirus est marquée par l'idée que l'efficacité, en matière de lutte contre les coronavirus, serait à chercher du côté de l'Asie en général et de la Chine en particulier. En France, médias et politiques portent plutôt leur regard vers la Corée du Sud, Taïwan ou Singapour, dont l'hyper-modernité technologique n'est pas associée — à tort ou à raison — au despotisme politique.

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  40. En Espagne, par contre, le début de la crise sanitaire a vu la presse dominante se demander ouvertement si la « démocratie » n'est pas un fardeau qui condamne à l'inefficacité, tandis que de vieux politiciens « libéraux » faisaient part de leur admiration pour l'autoritarisme chinois high tech : géolocalisation des téléphones mobiles, systèmes de notation sociale alimentée par les données recueillies en permanence sur les citoyens avec Internet, reconnaissance faciale, usage de drones pour surveiller et sanctionner la population.

    C'est un des éléments du tournant que nous vivons peut-être : nous avons été habitués depuis des décennies à lire notre avenir dans les évolutions de la société nord-américaine, et tout à coup, c'est la Chine post-maoïste qui semble devenir notre horizon — elle qui fait un usage véritablement décomplexé des innovations de la Silicon Valley.

    Prenons la mesure de l'imposture : dans un contexte de pénurie grave des moyens ordinaires pour lutter contre la contagion — trop peu de masques et de blouses à l'hôpital, manque de soignants et de lits à l'hôpital et en dehors, peu de tests — on nous propose à la place un « apparent » gadget de science-fiction, les applications de détection électronique de la transmission du coronavirus. Aucune annonce claire n'est faite dans le sens d'un soutien financier massif et structurel aux hôpitaux publics pour faire face à une crise qui va durer ; par contre, on s'apprête à franchir un nouveau cap dans la traçabilité systématique des déplacements et des relations sociales — au moins, dans un premier temps, pour ceux qui l'acceptent. Et après ?

    Le fait de se savoir tracé en permanence est source de conformisme et de soumission aux autorités, même quand on ne vit pas sous une dictature. Les éléments de langage gouvernementaux assurent que les informations données par les applications de traçage des personnes porteuses du Covid-19 seront anonymisées puis détruites, mais il suffit de lire les mémoires d'Edward Snowden à propos de la surveillance électronique pour voir que ce genre de garantie ne tient pas.

    Qui plus est, un coup d'œil à l'histoire récente des technologies montre qu'il n'y a pratiquement jamais de retour en arrière avec les dispositifs liberticides introduits en temps de crise : si elles sont mises en œuvre à grande échelle sous l'égide de l'État, les applications de traçage resteront, et il sera difficile d'en empêcher l'extension à toute la population.

    Pensons au fichage ADN, introduit à la fin des années 1990 suite à une série de meurtres à caractère sexuel et dont les ministres de l'époque juraient qu'il resterait toujours limité aux grands criminels — de nos jours, il est devenu quasi-automatique, quand on est arrêté pour être resté un peu tard en manifestation. Pensons aussi, tout simplement, que nous n'avons aucune idée de la durée de cet « épisode épidémique » — six mois ? trois ans ? bien plus ? Et lors d'une éventuelle prochaine pandémie, réelle, celle-là, et possiblement bien plus dévastatrice sur le plan du nombre de morts, que ferons-nous ? Que feront-ils ?

    Pendant que les conséquences politiques ne font pas de doute, les résultats sanitaires, eux, sont plus qu'incertains.

    Lignes à haute tension

    Le mode de vie connecté est globalement nocif pour notre santé. Addictions, difficultés relationnelles et d'apprentissage chez les plus jeunes, mais aussi électro-hypersensibilité : l'Agence de sécurité sanitaire (Anses) estime ainsi à 3,3 millions le nombre de Français qui disent en souffrir — soit 5 % de la population — et affirme la nécessité d'importantes recherches pour comprendre comment ces souffrances se déclenchent et s'amplifient.

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  41. Accélération des installations de la 5G pour couvrir au nom du Covid-19 les besoins d'une traçabilité tous azimuts

    Par ailleurs, l'« état d'urgence » déclaré par le président Macron sert surtout à imposer un dispositif répressif aveugle, des mesures défavorables aux salariés et d'autres qui n'ont rien à voir avec l'urgence sanitaire.

    Il a ainsi promulgué très rapidement — seulement trois jours après ! — une ordonnance le 25 mars qui, pour la pose des nouvelles antennes 5G, supprime toute obligation de contrôle par les mairies et l'Agence nationale des fréquences — ANFR, qui doit notamment veiller à la protection des écoles — permet l'accès sans autorisation préalable aux parties communes des immeubles et aux toits pendant toute la durée de l'état d'urgence sanitaire. C'est un cadeau fait à Orange, Bouygues, SFR et Free pour leur permettre de déployer très rapidement, et sans contestation citoyenne possible, leur réseau pour la 5G, donc avant son démarrage prévu initialement en France à partir de juillet 2020.

    Pourquoi si vite ? Parce qu'ils ont besoin de la 5G pour établir leur surveillance de masse !

    L'accélération « silencieuse » de l'installation de la 5G est un coup de force qui permet d'ignorer les garanties apportées par la loi Abeille du 9 février 2015, laquelle impose une concertation avant toute installation, pour garantir que soient protégées les personnes électro hypersensibles (EHS), ainsi que les enfants, face aux ondes électromagnétiques. Il est manifeste que ce gouvernement préfère la santé des intérêts privés, industriels et financiers, à celle de la population. Or, de nombreuses études scientifiques menées par des chercheurs de renommée internationale ont mis en évidence les effets non thermiques — non pris en compte par les normes officielles — des champs électromagnétiques sur le vivant. La 5G a précisément été conçue pour générer des pulsations très puissantes afin de pouvoir acheminer un volume de données colossal. Les conséquences gravissimes pour la santé s'accompagnent d'une baisse généralisée des défenses immunitaires. Si les autorités sanitaires des différents pays continuent de minorer l'ensemble de ces effets, la justice commence à les prendre en compte, comme la Cour d'Appel de Turin le 13 janvier 2020.

    Ce que les promoteurs de la géolocalisation cherchent à préserver, ce n'est pas d'abord notre santé, ni notre « système de santé » : c'est la société de masse. C'est même une société de masse renforcée, au sens où les individus qui la composent seront encore plus esseulés, appauvris et renfermés sur eux-mêmes, par la peur et par la technologie.
    Surenchère technologique

    La Quadrature du Net demande que le gouvernement « s'engage à faire immédiatement la transparence sur toutes les mesures de surveillance de la population mises en œuvre ». Amnesty International et d'autres organisations dénoncent :

    « Les initiatives des Etats visant à contenir le virus ne doivent pas servir de prétexte à entrer dans une nouvelle ère de systèmes généralisés de surveillance numérique invasive. »

    Alors que la pandémie actuelle devrait nous inciter à transformer radicalement une société où l'urbanisation galopante, la pollution de l'air et la surmobilité peuvent avoir des conséquences aussi incontrôlables, le déconfinement géré par Big Data menace de nous y enfoncer un peu plus. On le sait bien, ces mesures prises « dans des circonstances exceptionnelles » pourront être intégrées dans la législation ordinaire comme cela s'est passé avec l'état d'urgence contre le terrorisme. C'est la fameuse « stratégie du choc » : un état utilise une crise, renforcée par une mise en scène guerrière, pour imposer à la population des mesures prévues de longue date à travers un Plan diabolique.

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  42. Dans le même temps, l'explosion du trafic Internet lié au confinement « justifie » de façon très commode la poursuite du déploiement du réseau 5G. Les Gafam vont jusqu'à envisager ces derniers jours de supprimer de nombreuses publications en ligne qui alarment sur les effets de cette nouvelle étape dans l'intensification des champs électromagnétiques artificiels.

    Mais in fine, le plus grand danger que comporte l'accélération massive du déploiement de la 5G se cache derrière les raisons qui nous sont présentées comme la panacée, à savoir que la 5G va rendre tout dix fois plus rapide : le temps de connexion, le temps de téléchargement, le temps de latence, c'est-à-dire la durée qui sépare l'ordre de son exécution : elle va nous faire entrer dans l'ère de la simultanéité. Ce sont là les raisons « grand public ». La réalité est toute autre : la 5G permettra une traçabilité de tous partout, tout le temps, via, d'abord des « applis » téléphoniques « a priori relativement inoffensives », qui seraient très vite remplacées par un puçage numérique généralisé à travers un vaccin que Bill Gates promet d'inoculer aux sept milliards d'habitants de cette planète.

    Nous le répétons : ils ont besoin de la 5G pour établir leur surveillance de masse !

    Nous n'avons pas besoin de technologies qui nous déresponsabilisent, en disant et décidant à notre place où nous pouvons aller. Ce dont nous avons besoin, c'est d'exercer notre responsabilité personnelle, pour pallier les défaillances et le cynisme des dirigeants.

    Il se dit régulièrement qu'à un moment donné de cette crise, il faudra demander des comptes aux dirigeants. Et comme à l'accoutumée, les réclamations en matière de dotations budgétaires, d'abus patronaux et financiers, de redistribution économique, ne manqueront pas. Mais à côté de ces indispensables revendications, d'autres mesures sont à prendre nous-mêmes ou à arracher aux décideurs, si nous voulons préserver notre liberté — c'est-à-dire si nous voulons préserver la possibilité de combattre les logiques de concurrence et de rentabilité, de construire un monde où la peur de l'autre et l'atomisation de la population ne dominent pas pour longtemps.

    Ces jours-ci, il semble que de nombreuses personnes laissent leur smartphone chez elles, quand elles quittent leur domicile. Nous appelons à la généralisation de ce genre de geste et au boycott des applications privées ou publiques de traçage électronique. Au-delà, nous invitons chacun et chacune à réfléchir sérieusement à la possibilité d'abandonner son téléphone intelligent, et de réduire massivement son usage des technologies de pointe. Revenons enfin à la réalité.

    Les populations devraient se renseigner sur les conséquences économiques, écologiques et sanitaires du déploiement planifié du réseau dit « 5G », et à s'y opposer activement. Plus largement, chacun et chacune est invité à se renseigner sur les antennes de téléphonie mobile qui existent déjà près de chez vous, et à s'opposer aux installations de nouvelles antennes-relais.

    Une prise de conscience du problème de la numérisation en cours de tous les services publics est nécessaire. Un des enjeux de la période d'après-confinement — ou des périodes entre deux confinements ? — sera d'obtenir que des guichets physiques soient encore ou à nouveau disponibles pour les habitants des villes et des campagnes, dans les gares, à la Sécurité sociale, dans les préfectures et autres administrations. Des batailles mériteraient d'être engagées pour la défense du service postal — essentiel par exemple à la circulation d'idées sans numérique — et le maintien d'un service de téléphone fixe, bon marché et indépendant des abonnements à Internet.

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  43. Une autre bataille essentielle pour l'avenir de la société est le rejet de l'école numérique. La période critique que nous vivons est mise à profit pour normaliser l'enseignement à distance par Internet, et seule une réaction d'envergure des enseignants et des parents pourra l'empêcher. Malgré toutes les critiques qu'on peut faire de divers points de vue à l'institution scolaire, la période actuelle devrait illustrer aux yeux d'un grand nombre qu'il y a du sens à apprendre à plusieurs et qu'il est précieux pour les enfants d'être au contact d'enseignants en chair et en os.

    L'économie n'est pas et n'a jamais complètement été à l'arrêt ; les conflits sociaux ne doivent donc pas l'être non plus. Nous soutenons toutes celles et ceux qui se sentent mis en danger, du point de vue de la santé, à leur poste de travail habituel ou dans leurs déplacements. Mais nous attirons aussi l'attention sur les abus et les souffrances dans le cadre du télétravail, à domicile. Certains d'entre nous dénoncent l'informatisation du travail depuis des années ; il est clair que l'extension du télétravail contraint est un processus à endiguer par de nouvelles formes de luttes, de boycott, de retrait.

    Du point de vue économique, les mois à venir s'annoncent terribles. Un appauvrissement très important des populations est possible, au même titre que des effondrements bancaires et monétaires. Face à ces périls, il nous faut penser à comment manger et comment cultiver des terres ; comment s'inscrire dans des réseaux d'approvisionnement de proximité, et comment étendre ces possibilités au plus grand nombre ; comment soutenir les agriculteurs qui produisent de la nourriture saine près de chez nous et comment en aider d'autres à s'installer.

    Enfin, il va nous falloir défendre les moyens de nous rencontrer physiquement, inventer ou retrouver des lieux de discussion publique dans ce contexte difficile où vont se jouer des batailles décisives. Bien sûr, il faudra prévoir des modalités qui prennent en compte les risques de contagion. Mais la vie connectée ne peut durablement se substituer à la vie vécue, et les succédanés de débats par Internet ne remplaceront jamais la présence en chair et en os, le dialogue de vive voix. Chacune et chacun doit réfléchir dès maintenant à la manière dont il est possible de défendre ce droit à la rencontre — réunions d'habitants, assemblées populaires, manifestations — sans lequel aucun droit politique n'est possible, et sans lequel aucun rapport de force, pour quelque lutte que ce soit, ne peut jamais se constituer.

    La pandémie de coronavirus a provoqué la pauvreté et la famine pour des millions de personnes dans le monde. Et on en voit pas le bout.

    On a vraiment l'impression que presque tous les gouvernements sont cooptés ou contraints de manière tacite à adhérer aux « lignes directrices ». C'est à la fois diabolique et incompréhensible. Pourquoi ? Parce que les « élites mondiales » pensent a priori vraiment qu'elles contribuent à l'avenir et au bien-être de l'humanité. Pourtant, leurs actions ont entraîné une misère abjecte, du chômage et du désespoir. Sans de telles mesures coercitives, il serait difficile d'expliquer pourquoi presque tous les gouvernements de la planète se soumettent à cet horrible programme social et économique et mentent, encore et encore à leur population de façon abjecte. Ces populations même qu'ils sont censés protéger contre le chômage, la famine et le désespoir.

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  44. Les technocrates du monde entier prétendent nous préserver du coronavirus aujourd'hui, en accélérant un système de production qui compromet déjà notre survie demain matin. En plus d'être voué à l'échec, c'est absurde... Quoique du point de vue des Pouvoirs en place, ça ne l'est certainement pas : entre l'« Event 101 », le « Lock-Step », Bill Gates et sa GAVI, Rockfeller ou l'OMS, il y a tout lieu de penser que ce que nous vivons aujourd'hui correspond à des scénarii pré-établis, propres à nous faire passer à toute vitesse dans un monde orwellien dématérialisé, inhumain et mortifère, qui aurait fait rêver Hitler ou Staline.

    https://fr.sott.net/article/35522-Le-Covid-19-sert-de-pretexte-pour-etablir-une-surveillance-de-masse-et-un-tracage-numerique-de-tous-impossibles-sans-la-5G

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  45. Les protestations à travers la Californie montrent que vous ne pouvez pousser les gens jusqu'à présent


    par Tyler Durden
    Lun, 05/04/2020 - 23:10
    Créé par Mac Slavo via SHTFplan.com,


    Même en Californie, un état-nounou tyrannique très socialiste et autoritaire, les gens défendent leurs droits. Les êtres humains n'ont jamais été destinés à être mis en cage par quelques élitistes et les gens sont finalement tombés malades de leur asservissement aux suzerains politiques.

    Les manifestations ont fait rage partout aux États-Unis au cours du week-end alors que des millions de personnes ont supplié le gouvernement même qui les a réduits en esclavage pour les libérer. Évidemment, ce n’est pas ainsi que cela fonctionne, mais le fait qu’ils se rendent compte qu’aucun autre être humain n’a autant de droits sur eux est au moins un pas dans la bonne direction.

    Les gens se sont enfin lassés d’obéir aux ordres de la classe dirigeante, et ils se sont mis à désobéir aux ordres de s’emprisonner chez eux afin de ne pas propager un virus qui, même par les chiffres exagérés du gouvernement, n’est pas pire que la grippe.

    La principale menace à la liberté et à la justice n'est ni la cupidité, ni la haine, ni aucune des autres émotions ou défauts humains généralement blâmés pour de telles choses. Au lieu de cela, c'est une superstition omniprésente qui infecte l'esprit des gens de toutes races, religions et nationalités, qui trompe les personnes décentes et bien intentionnées en soutenant et en préconisant la violence et l'oppression. Même sans rendre les êtres humains un peu plus sages ou vertueux, supprimer cette superstition (la croyance en l'autorité, que certains ont le droit de commander et d'autres doivent obéir) éliminerait la grande majorité des injustices et des souffrances du monde.

    La solution à ces blocages a toujours été avec nous. Nous sommes plus nombreux que l'État policier et les politiciens par «ordres de grandeur». Si nous décidons de vivre notre vie en tant qu'êtres humains libres que nous étions censés être, il n'y a rien que la classe dirigeante puisse faire pour nous empêcher d'essayer de faire un exemple d'une poignée de personnes. Mais une fois que nous serons solidaires et les interdirons de faire des exemples de ces personnes, nous serons libres.

    Il n'y a pas besoin de violence ou de mendicité. Être libre est notre droit d'aînesse et nous devons désobéir à toute commande qui nous emprisonne et nous fait du mal ou fait du mal aux autres. Nous devons tous réaliser qu’il est temps de faire la bonne chose, pas la chose «légale».

    Si vous avez peur de tomber malade, restez chez vous. Si vous ne voulez pas ouvrir votre entreprise, ne le faites pas. Mais c'est le plus grand privilège de mépriser ceux qui vivent simplement leur vie sans les chaînes dans lesquelles la classe dirigeante essaie désespérément de les forcer. Partout, les gens se rendent compte qu'ils ne sont pas nés pour être esclaves de quelques élites et que les «adeptes de l'ordre» tels que la police et l'armée doivent se regarder attentivement et ce qu'ils appliquent.

    Flics et militaires: vos enfants devront vivre le monde que vous imposez. Si vous voulez qu'ils se plient à un État policier totalitaire, continuez à «faire respecter» la volonté des tyrans sur les gens libres. Mais si vous aspirez à la liberté et que vous voulez que vos enfants vivent sans esclavage, il est temps de vous lever et de le dire.

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  46. C'est devenu noir et blanc. Soit vous êtes libre, soit vous ne l'êtes pas. Soit vous imposez la tyrannie, soit vous ne le faites pas. Ce n'est pas une zone grise.

    Pour les quelques flics qui se sont levés et ont refusé de violer les droits des gens, c'est apprécié. Maintenant, tenez-vous avec ceux qui veulent la liberté, ou alignez-vous avec l'asservissement et la tyrannie. Il n'y a pas de terrain d'entente.

    Tout cela se termine lorsque NOUS le disons. Je l'ai dit depuis le début. Ils ne peuvent pas nous asservir une fois que nous réalisons tous que c'est notre droit d'aînesse d'être libres et que nous menons nos vies au mépris de leurs ordres et coexistons pacifiquement les uns avec les autres. Nous sommes plus puissants qu'ils ne nous le permettront jamais de savoir, et tout ce que nous avons à faire est de le réaliser.

    Ce n'est que le début de l'humanité qui se met à genoux. Cela a commencé lorsque le gouvernement a tenté de forcer la falsification de données sur un virus dans nos gorges, et cela se termine lorsque nous le disons. Otez leur pouvoir en étant incontrôlable. Reprenez votre esprit des médias grand public et ne vous laissez plus jamais asservir.

    Si vous voulez entendre un message édifiant expliquant pourquoi il est important de dire la vérité au pouvoir et de reprendre votre pouvoir et de simplement vivre en tant qu'humain libre que vous êtes, regardez la vidéo ci-dessous. C'est long, mais seules les premières minutes sont positives et vous aideront à vous rendre compte que vous êtes plus puissant que n'importe quel politicien, policier tyrannique ou élitiste. Il suffit de le réaliser.

    C'est la vérité que la "cabale" ne veut pas que vous sachiez:

    "L'univers ne fonctionne pas en faveur de l'humanité en ce moment, car l'humanité a externalisé son pouvoir à d'autres entités. Et tout ce qui se passe… tout ce qui se passe en ce moment sur la planète est… à cause de l'ignorance de l'humanité. » –Ralph Smart

    Il est temps de se réveiller et d'être libre comme nous étions tous censés l'être. Vous n'avez pas besoin de la permission du gouvernement, des élitistes ou des flics pour être libre. C’est ce que la classe dirigeante ne veut pas que vous sachiez.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/protests-across-california-show-you-can-only-push-people-so-far

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  47. 17 avr. 2020 18:56 - Thomas Deszpot

    Belgique: 425,2 décès par million d'habitants
    Espagne: 413,4
    Italie: 366,9
    France: 267,8
    R-U: 206,9
    Pays-Bas: 193,1
    Suisse: 154,4
    Suède: 130,9
    USA: 100,6
    Allemagne: 48,9
    Chine: 2,4

    https://www.lci.fr/population/non-la-france-ne-compte-pas-le-plus-grand-nombre-de-morts-du-covid-19-en-proportion-de-sa-population-2151307.html

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  48. L'Amérique est une technocratie, pas une démocratie


    par Tyler Durden
    Lun, 05/04/2020 - 20:30
    Écrit par Ryan McMaken via The Mises Institute,


    Peut-être jamais auparavant dans l'histoire américaine les technocrates non élus n'ont-ils joué un rôle aussi énorme dans l'élaboration des politiques publiques en Amérique ...

    Ces dernières semaines, des membres du Congrès ont été portés disparus. À la fin du mois dernier, la Chambre des représentants a adopté le plus grand projet de loi de dépenses de l'histoire alors que la plupart des membres étaient absents. Les votes des membres n'ont pas été enregistrés et le projet de loi a été adopté par un vote vocal, qui n'a requis qu'une infime poignée de membres.

    Quelques semaines plus tard, le Sénat refuse même de se réunir et pourrait enfin se mettre à débattre de certaines questions législatives en mai. Comme à la Chambre, une poignée de députés se sont réunis plus tôt pour approuver un autre énorme projet de loi de relance. De nombreux sénateurs sont restés à la maison. Il s'agit du «gouvernement représentatif» de l'Amérique moderne.

    Mais si vous pensiez que ce manque d'action du Congrès signifie qu'il ne se passe pas grand-chose à Washington en termes d'élaboration des politiques, vous auriez très tort. C'est juste que les institutions démocratiquement élues sont maintenant devenues un spectacle secondaire largement hors de propos. Le véritable processus d'élaboration des politiques a lieu entre des experts non élus, qui décident eux-mêmes - avec un minimum de supervision ou de contrôle de la part d'élus réels - de ce qui se passera en termes de politique publique. Les personnes qui dirigent vraiment le pays sont ces experts et ces bureaucrates des banques centrales, des agences de santé publique, des agences d'espionnage et d'un réseau en expansion de conseils et de commissions.

    La montée de la technocratie

    Ce n'est pas une nouvelle tendance. Au cours des dernières décennies - et en particulier depuis le New Deal - les experts officiels du gouvernement ont progressivement remplacé les élus comme principaux décideurs au sein du gouvernement. Le débat public a été abandonné au profit de rencontres entre de petites poignées de technocrates non élus. La politique a été remplacée par la «science», qu'il s'agisse des sciences sociales ou des sciences physiques. Ces décideurs puissants et largement irresponsables sont aujourd'hui plus visibles dans les tribunaux fédéraux, dans les agences de "renseignement" de la Réserve fédérale et - longtemps ignorés jusqu'à présent - dans les agences gouvernementales de santé publique.

    La technocratie en tant que style de gouvernement existe depuis au moins l'ère du progrès, bien qu'elle ait souvent été restreinte par les institutions et les acteurs politiques législatifs et élus traditionnels. À l'échelle mondiale, il a pris de l'importance à divers moments et en divers endroits, par exemple au Mexique au cours des années 80 et 90.

    Mais le pouvoir de la technocratie se développe depuis longtemps aux États-Unis également.

    Cela peut sembler étrange dans un monde où l'on nous dit que la démocratie figure parmi les valeurs politiques les plus élevées, mais les technocrates ont néanmoins réussi à se justifier par des mythes affirmant que les technocrates prennent des décisions scientifiques guidées uniquement par The Data. Ces technocrates, nous dit-on, ne se soucient pas de la politique et ne prennent de bonnes décisions qu'en fonction de l'orientation de la science.

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  49. Bien que tout cela puisse sembler plus raisonnable ou logique pour certains, la vérité est qu'il n'y a rien de non politique, scientifique ou même maniériste dans le gouvernement par un technocrate. Les technocrates, comme tout le monde, ont leurs propres idéologies, leurs propres programmes et leurs propres intérêts. Souvent, leurs intérêts sont très en contradiction avec ceux du grand public qui paie les salaires des technocrates et est soumis aux décrets de la technocratie. La montée de la technocratie a seulement signifié que les moyens d'influencer la politique sont désormais limités à un nombre beaucoup plus restreint de personnes - à savoir celles qui sont déjà influentes et puissantes dans les couloirs du gouvernement. La technocratie semble moins politique, car les querelles politiques se limitent à ce que l'on appelait autrefois des «pièces enfumées». Autrement dit, la technocratie est en réalité une sorte d'oligarchie, bien qu'elle ne se limite pas aux riches financièrement. Il est limité aux personnes qui sont allées dans les «bonnes» écoles ou contrôlent de puissantes sociétés telles que Google ou Facebook, ou travaillent pour des médias influents. Il est qualifié de «non politique», car les électeurs ordinaires et les contribuables sont exclus de même savoir qui est impliqué ou quelles politiques sont proposées. En d'autres termes, la technocratie est gérée par un petit club exclusif. Et vous n'y êtes pas.

    Alors, comment la technocratie survit-elle dans un système qui prétend fonder sa légitimité sur des institutions démocratiques ? Après tout, la technocratie est de par sa nature même conçue pour être antidémocratique. En effet, comme la gauche a aigri sur la démocratie, les gauchistes ont commencé à exiger que des méthodes plus technocratiques soient mises en œuvre pour contourner les institutions démocratiques. Dans un article de 2011 largement cité pour la Nouvelle République, le banquier et économiste influent Peter Orszag se plaint que les institutions démocratiques telles que le Congrès ne mettent pas suffisamment en œuvre ses politiques préférées. Par conséquent, il insiste sur le fait qu'il est temps de "rejeter le conte de fées Civics 101 sur la démocratie représentative pure et de commencer à construire un nouvel ensemble de règles et d'institutions". Il veut que le technocrate règne sur un système de «commissions» composées «d'experts indépendants».

    Il s'agit du nouveau modèle de gouvernement «efficace». Mais dans de nombreux domaines, c'est déjà ainsi que les États-Unis sont gouvernés. Il n'y a pas de pénurie de conseils, de groupes spéciaux, de tribunaux et d'organismes contrôlés par des experts qui fonctionnent en grande partie sans aucune surveillance des électeurs, des contribuables ou des élus.

    On peut citer plusieurs institutions dans lesquelles l'esprit de technocratie est à la fois bien établi et très influent.

    Un: la Cour suprême des États-Unis

    Cette tendance à la technocratie s'est d'abord manifestée sous la forme de la Cour suprême des États-Unis. Le tribunal, bien sûr, a longtemps été considéré comme un corps d'experts juridiques, en quelque sorte. Ils étaient censés considérer les questions juridiques techniques en dehors des vicissitudes de la politique électorale. Mais cette expertise n'est pas venue sans limites. Le tribunal devait limiter son propre pouvoir ou risquer des accusations de tentative d'ingérence dans le fonctionnement de la démocratie. Au milieu du XXe siècle, cependant, ces limites avaient été largement abandonnées. Au cours des années 50 et 60, la Cour suprême a créé une grande variété de nouveaux «droits» que le Congrès n'avait jamais montré la volonté de créer. Roe c.Wade, par exemple, a créé un nouveau droit légal fédéral à l'avortement fondé uniquement sur les désirs d'une poignée de juges et indépendamment du fait que pratiquement tout le monde a toujours supposé que l'avortement était une question pour les législatures des États.

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  50. Avant cette période, tout changement d'une telle ampleur aurait nécessité un amendement constitutionnel. C'est-à-dire qu'avant la montée en puissance du SCOTUS moderne suralimenté, on supposait que des changements majeurs à la Constitution nécessitaient un long débat public et la participation de nombreux électeurs et législateurs. Mais avec l'essor de la Cour suprême en tant que créateurs experts de la nouvelle loi, il est devenu la norme pour les juges de se passer du débat public et de la prise de décision électorale. Au lieu de cela, les experts «découvriraient» ce que la Constitution signifiait réellement et créeraient leurs propres lois sur la base d'une «expertise» juridique.

    Deux: la Réserve fédérale

    Un deuxième bloc de construction de la technocratie a été la Réserve fédérale. Depuis sa création en 1935, le Conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale a de plus en plus agi en tant que conseil de décision des technocrates qui fonctionnent en dehors du processus législatif, tout en promulguant des réglementations et des politiques qui ont des effets extrêmement importants sur les systèmes bancaires, le secteur financier et même la politique budgétaire. .

    Les décideurs politiques de la Fed sont des technocrates par excellence dans la mesure où ils prendraient prétendument des décisions basées uniquement sur "les données" et ne se plient pas aux préoccupations politiques. La nature sacro-sainte des décisions de ces technocrates a été étayée par des années de revendications invraisemblables sur «l'indépendance» de la Fed face aux pressions politiques de la Maison Blanche ou du Congrès.

    En réalité, bien sûr, la Fed n'a jamais été une institution apolitique, et cela a été démontré par une variété d'érudits, dont beaucoup de politologues. Les Fed Boards ont toujours été influencés par les présidents et autres. (La plupart des économistes sont trop naïfs pour comprendre les dimensions politiques de la Fed.) De nos jours, il est devenu douloureusement évident que la Fed existe pour soutenir le régime et le secteur financier par tous les moyens nécessaires. L'idée que ce processus est guidé par une considération impartiale des «données» doit être considérée comme risible.

    Trois: les experts médicaux

    Un nouvel ajout aux rangs croissants des technocrates en Amérique est la légion d'experts médicaux - à tous les niveaux de gouvernement - qui ont tenté de dicter la politique pendant la panique COVID-19 de 2020. Mené à l'échelle nationale par des bureaucrates du gouvernement à vie tels que Anthony Fauci et Deborah Birx, les experts en santé publique ont adopté le personnage typique du technocrate: ils ne sont guidés que par «la science», insistent-ils, et il est affirmé que seuls ces experts ont la capacité de mettre en œuvre et de dicter correctement les politiques publiques qui abordera les risques posés par diverses maladies.

    Comme pour la Réserve fédérale et la Cour suprême, ceux qui s'opposent aux experts médicaux sacrifieraient l'objectivité apolitique - une vertu dont ne jouissent que les technocrates (et leurs partisans) - sur l'autel de l'obtention d'un avantage politique.

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  51. Quatre: les agences de renseignement

    Depuis 1945, le gouvernement américain a constitué un réseau de plus en plus important d'agences de renseignement, composé de plus d'une douzaine d'agences dotées d'officiers de carrière. Comme nous l'avons vu ces dernières années à travers une variété de scandales à la CIA, à la NSA et au FBI, ces technocrates n'ont aucun scrupule à tenter de saper le gouvernement civil élu afin d'affirmer leur propre programme à sa place. Dans bien des cas, ces bureaucrates du soi-disant État profond se considèrent comme sans réponse au gouvernement élu et cherchent même à passer outre les décisions de politique étrangère qu'il a prises.

    Pourquoi les politiciens élus habilitent les technocrates

    Dans tous ces cas, les élus peuvent intervenir pour limiter le pouvoir des technocrates, mais ils choisissent de ne pas le faire.

    Dans le cas de la Cour suprême, le Congrès pourrait limiter la compétence des cours d'appel - et donc la compétence de la Cour suprême elle-même - simplement en modifiant la législation. De même, le Congrès pourrait abolir ou limiter fortement les pouvoirs de la Réserve fédérale. Encore une fois, le Congrès choisit de ne pas le faire. Et, bien sûr, le Congrès et les législatures des États pourraient facilement intervenir pour faire reculer non seulement les pouvoirs des technocrates médicaux, mais les pouvoirs d'urgence de l'exécutif lui-même. Pourtant, cela ne s'est pas produit.

    La raison en est que les politiciens aiment «sous-traiter» l'élaboration des politiques à des technocrates non élus. Cela permet aux élus de prétendre plus facilement qu'ils n'étaient pas responsables des mesures impopulaires mises en œuvre par les institutions technocratiques. En mettant plus de pouvoir entre les mains des technocrates, les élus peuvent également prétendre plus tard respecter la nature "apolitique" de ces institutions et chercher à respecter "l'expertise". "Ne me blâmez pas", diront plus tard les politiciens, "j'essayais seulement de respecter" la science "ou" les données "ou" la loi "."

    Renforcer la technocratie est un moyen utile de répandre le blâme à Washington, et c'est aussi un moyen, comme le suggère Orszag, de contourner les institutions législatives qui font ce qu'elles sont censées faire: empêcher les actions du gouvernement lorsqu'il n'y a pas assez de votes.

    Mais avec la technocratie, un manque de votes au Congrès n'est pas un problème: il suffit de tout remettre à une douzaine de technocrates qui décideront quoi faire. Tout cela peut alors être fait en dehors des yeux du public et avec l'avantage supplémentaire d'être la décision d '"experts" non politiques.

    Malheureusement, ce schéma a fonctionné. Les électeurs sont enclins à "faire confiance aux experts" et les sondages montrent souvent que le public fait davantage confiance aux "experts" non élus qu'il ne fait confiance au Congrès. C'est une grande victoire pour les bureaucrates et pour ceux qui militent pour un État toujours plus puissant.

    https://huemaurice5.blogspot.com/2020/05/le-boss-samuel-ljackson-et-son-sqc.html

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  52. Les thailandais découvrent les joies du socialisme


    Charles Dereeper
    lundi, 04 mai 2020 12:32


    La Thailande, c'est environ 69.5 millions d'habitants.

    Chaque année sur les routes, environ 22 à 25.000 personnes meurent... https://www.independent.co.uk/news/long_reads/thailand-roads-deadly-traffic-accidents-class-inequality-a9071696.html

    Motorbike ou voiture.

    Un ratio presque trois fois supérieur à celui des USA.

    Actuellement, le corona virus étant très très très dangereux, mais vraiment très dangereux à couper le souffle, surtout pour un pays à structure démographique jeune... il y a 54 morts ouh la la...

    thail corona virus

    Les autorités ont donc en leur âme et conscience fermé le pays économiquement. Afin de protéger la population de cet énorme danger... ouf... on a eu chaud putain !

    Ne souriez pas. La moitié de la France est encore persuadée que le lockdown est une bonne action...

    Remarquez au Panama (4 177 000 hab.), le corona virus a violement heurté la population et le pays avec 160 morts. Une hécatombe. Une horreur. Un cauchemar sanitaire et humain que nous pleurons tous... Le Panama ne sera plus jamais le même après une telle épreuve... Moi perso, suis tellement choqué que j'en dors plus la nuit. Les autorités ont bien sûr mis en place des services psy post traumatiques pour nous accompagner... tandis que toute l'économie locale est decimée, un détail...

    Si on s'avise d'expliquer à un singe ou à un mouton du socialisme que les morts du corona virus en France ne sont pas en âge de travailler et que donc, les travailleurs n'ont pas à être bouclés... leur petite cervelle fume très rapidement. Puis s'enclenchent alors leur norme étroite qui tranche la gorge de celui qui professe une telle énormité qui empêche tout le monde de tourner en rond peinard.

    Ma femme thaïe me demandait hier comment c'était possible tout ce bordel...

    Je lui ai répondu que l'Occident a l'habitude de se faire faire le cul tous les 15 ans.

    La dernière fois, on leur a fait le coup des attentats du 11 septembre avec derrière des super méga archi dangereuses armes de destruction massive qu'on va les trouver pour sauver le monde car plus personne n'en dormait avec un tel risque... mais après avoir fait la guerre... que même que après, ben on a pas trouvé... rien. Que dalle... enfin bon, par contre on a bien pété la gueule à Saddam et au peuple irakien... tout en leur piquant un max de blé sous forme de pétrole au passage...

    Je lui ai donc dit qu'il ne fallait pas qu'elle s'inquiète... la Thaïlande est juste en train de rattraper son retard en terme de ramonage de cul socialiste. L'habitude vient en mangeant...

    Charles

    PS : Le Budha est grand... mais le budha est désormais colonisé...

    http://www.objectifeco.com/expatriation/mode-demploi/pour-expatries-confirmes/les-thailandais-decouvrent-les-joies-du-socialisme.html

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  53. Les CDC maintiennent la nation en lock-out en utilisant des nombres de décès incomplets et probables


    Par Bill Sardi
    5 mai 2020


    Alors que les sites Web SNOPES et BUZZFEED NEWS vérifient les idées selon lesquelles le décompte des décès nouvellement émis par le CDC à cause des infections à COVID-19 est inexact, toutes les données émises par le CDC sur la base d'estimations quotidiennes et hebdomadaires sont émises avec la mise en garde qu'elles représentent provisoires (incomplètes ) données susceptibles de changer en raison de la notification tardive des certificats de décès.

    Ce qui soulève une tempête, c'est que les 65735 décès COVID-19 répertoriés par le CDC sur son décompte QUOTIDIEN ne correspondent pas à une estimation plus précise des décès HEBDOMADAIRE COVID-19 de 37308 à la semaine se terminant le 25 avril (voir ci-dessous).

    SNOPES dit que le «grand écart» est expliqué par la section en petits caractères «À propos des données» qui explique que les chiffres sont préliminaires et comprennent «à la fois des décès confirmés et probablement des décès». SNOPES dit de manière trompeuse: «Cette affirmation revient à comparer les cours des actions d'un journal de deux semaines avec ceux proposés aujourd'hui par une station de télévision par câble, puis à attribuer toute différence à un complot plutôt qu'au simple passage du temps, comme en témoignent les plus récents rapports. " Non! Les données de deux semaines incluent plus de données et les agences ont eu plus de temps pour vérifier les certificats de décès.

    - voir graphique sur site -

    Un journaliste de BUZZFEED NEWS fait également la même erreur, niant que le CDC a révisé à la baisse le nombre de décès.

    Depuis le lundi 4 mai, les principales agences de presse continuent d'utiliser les chiffres de plus de soixante mille morts.

    Plus de 67 000 décès liés au COVID-19 ont été enregistrés. - CNN 4 mai 2020

    Le nouveau coronavirus a déjà coûté la vie à plus de 61 000 Américains, mais les experts craignent que ce nombre soit beaucoup plus élevé… ». - ABC News, 30 avril 2020

    Le niveau de précision des rapports sur les cas et les décès est embourbé par les rapports tardifs. Le CDC dit:

    «Actuellement, 63% de tous les décès aux États-Unis sont signalés dans les 10 jours suivant la date du décès, mais il existe des variations importantes entre les juridictions. Il faut plus de temps pour coder les décès COVID-19. Alors que 80% des décès sont traités et codés électroniquement par le National Center for Health Statistics en quelques minutes, la plupart des décès dus à COVID-19 doivent être codés manuellement, ce qui prend en moyenne 7 jours. D'autres systèmes de notification utilisent différentes définitions ou méthodes pour compter les décès. »

    C'est sur ces données spécieuses que les Américains sont détenus en captivité dans un lock-out sans précédent qui a l'un des principaux virologues du pays qui est un porte-parole du CDC / Maison Blanche disant que les partis qui violent le lock-out "se sentiront coupables pour le reste de leur vie ... si ils rentrent chez eux et infectent leur grand-mère ou grand-père qui a une maladie comorbide et ils ont une issue grave ou très malheureuse. »

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  54. COVID-19 est-il dix fois plus mortel que la grippe ?

    Dans un témoignage au Congrès le 11 mars, le Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des maladies infectieuses, a déclaré que le coronavirus actuel est «10 fois plus mortel que la grippe saisonnière».

    À d'autres occasions, le Dr Fauci a émis des estimations plus réservées, affirmant que COVID-19 pourrait en fin de compte provoquer des décès plus semblables à la grippe saisonnière. Mais encore une fois, le 26 mars, le Dr Fauci aurait déclaré: «La mortalité de [COVID-19] est environ 10 fois [celle de la grippe].»

    - voir graphique sur site -

    Mais comme présenté dans les dernières données hebdomadaires publiées par le CDC, les décès dus à la grippe étaient bien plus importants que les décès dus au COVID-19 jusqu'à ce que le CDC modifie les données du nombre de décès le 14 avril pour inclure les décès confirmés en laboratoire et les décès probables (voir le graphique ci-dessous). Vous pouvez voir les décès du COVID-19 atteindre des sommets invraisemblables. Le décompte hebdomadaire final du 25/04/2020 montre une baisse spectaculaire des décès dus au COVID-19, tandis que les virologues continuent de maintenir des millions de vies en danger et que l'isolement doit se poursuivre pendant l'été.

    DONNÉES CDC: DÉCÈS PROVISOIRES DE
    COVID-19 CORONAVIRUS, PNEUMONIE ET ??INFLUENZA

    (Les cas ne reflètent que la quantité de tests; les décès sont une meilleure indication des tendances)

    DATA.CDC.gov

    - voir graphique sur site -

    * Au 14 avril 2020, le nombre de cas de CDC et le nombre de décès incluent les cas confirmés et probables et les décès. Un cas ou un décès confirmé est défini par la réunion de preuves de laboratoire confirmant COVID-19. Un cas ou un décès probable est défini par l'un des éléments suivants:

    Satisfaire aux critères cliniques ET aux preuves épidémiologiques sans tests de laboratoire de confirmation effectués pour COVID-19
    Satisfaire aux preuves de laboratoire présumées ET aux critères cliniques OU aux preuves épidémiologiques
    Satisfaire aux critères de l'état civil sans tests de laboratoire de confirmation effectués pour COVID19
    Décès excessifs

    Le graphique suivant montre que le nombre de décès excessifs aux États-Unis n'a dépassé les prévisions que deux fois au cours des quatre dernières années (2017-2020) et qu'au 1er avril 2020, il avait atteint un creux de quatre ans.

    - voir graphique sur site -

    Le nombre de décès signalés sur cette page est le nombre total de décès reçus et codés à la date de l'analyse et ne représente pas tous les décès survenus au cours de cette période. Les données sont incomplètes en raison du décalage entre le moment où le décès est survenu et celui où le certificat de décès est rempli, soumis au NCHS et traité à des fins de déclaration. Ce délai peut aller de 1 semaine à 8 semaines ou plus

    - voir graphique sur site -

    https://www.lewrockwell.com/2020/05/no_author/cdc-keeps-nation-in-lockdown-using-incomplete-probable-death-numbers/

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  55. Le professeur Neil Ferguson et les présidents idiots et les premiers ministres qui croient à ses prévisions informatiques
    Rien n'y fait, sauf l'avenir immédiat de la race humaine


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    5 mai 2020


    En achetant, pour le moment, l'histoire officielle de la «pandémie», il y avait deux choix de base:

    Laisser les gens vivre leur vie et développer, par contact, une immunité naturelle à la maladie; ou emprisonner des populations chez elles.

    Pourquoi le deuxième choix a-t-il été fait ?

    Ceci est mon deuxième article sur Neil Ferguson (premier article, ici), le professeur britannique dont le modèle informatique de COVID-19 a changé le monde et a conduit ce deuxième choix.

    Le modèle de Ferguson prédit une estimation du pire des cas de 510 000 décès au Royaume-Uni et de 2,2 millions de décès aux États-Unis.

    À ce moment-là, quiconque était quelqu'un s'est levé et a salué.

    Les deux chefs de gouvernement, Trump et Johnson, ont radicalement changé de cap. Au lieu de permettre aux gens de vaquer à leurs occupations et de développer une immunité naturelle, ils ont adopté l'approche du verrouillage, dévastant leurs économies.

    Ci-dessous, je vais réimprimer des citations de mon premier article, exposant les antécédents du professeur Ferguson en matière d'échecs abyssaux et destructeurs dans la prévision de la propagation des maladies.

    Ce record était accessible à tous - y compris Trump, Fauci, Deborah Birx, Boris Johnson - mais bien sûr, ces personnes importantes n'ont pas le temps de lire ou de penser.

    Apparemment, une conversation clé de la Maison Blanche a ressemblé à ceci:

    FAUCI: Monsieur le Président, nous avons un nouveau rapport du Royaume-Uni. Un modèle informatique prévoit la propagation de l'épidémie. Il pourrait y avoir 2 millions de morts aux États-Unis, si nous ne prenons pas de mesures drastiques. Il doit y avoir de lourds verrouillages. Les gouverneurs des États devront porter cette balle, mais votre position à ce sujet doit être sans équivoque.

    ATOUT: deux millions de morts. Tu es sûre ?
    FAUCI: Oui, monsieur. Assez sûr.
    ATOUT: Pas d'issue ? Sauf les blocages ?
    FAUCI: C'est vrai.
    ATOUT: Eh bien, alors. D'accord.

    L'éclat pur dans le bureau ovale ce jour-là devait être aveuglant.

    Alors, tout d'abord, jetons un coup d'œil à un récent article de Nature, le vénérable journal médical britannique. 2 avril, «Dossier spécial: les simulations [informatiques] conduisant la réponse du monde à COVID-19»:

    "... il est naturel de se demander à quel point les simulations [informatiques] sont fiables. Malheureusement, au cours d’une pandémie, il est difficile d’obtenir des données - telles que les taux d’infection - par rapport auxquelles juger les projections d’un modèle. »

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  56. C'est ce qu'on appelle un indice. Les modèles informatiques prédisant la propagation des maladies peuvent être un exercice académique intéressant, mais dans le monde réel, où les vies et les nations sont en jeu, LES DONNÉES, sur lesquelles les projections sont basées, sont difficiles à atteindre. Sans données précises, qu'avez-vous ? Qu'en est-il de l'opinion, des préjugés et des conjectures ?

    Nature: ""Vous pouvez projeter [via des modèles informatiques] vers l'avant et ensuite comparer avec ce que vous obtenez. Mais le problème est que nos systèmes de surveillance sont plutôt des ordures », explique John Edmunds, qui est modélisateur à la LSHTM [London School of Hygiene and Tropical Medicine]. «Le nombre total de cas signalés, est-ce exact ? Non. Précis n'importe où ? Non'."

    Je vois. Ordures. Nombre total de cas — inexact partout. Mauvaises données. Pas de données. En d'autres termes, les modèles informatiques sont des tripes sophistiqués.

    Nature: «'Les prévisions faites lors d'une épidémie sont rarement étudiées pendant ou après l'événement pour leur exactitude, et ce n'est que récemment que les prévisionnistes ont commencé à rendre les résultats, le code, les modèles et les données disponibles pour une analyse rétrospective' ', a noté Edmunds et son équipe l'année dernière dans un document qui a évalué la performance des prévisions faites lors d'une épidémie d'Ebola en 2014-2015 en Sierra Leone. Ils ont constaté qu’il était possible de prédire de manière fiable l’évolution de l’épidémie une ou deux semaines à l’avance, mais plus, en raison de l’incertitude inhérente et du manque de connaissances sur l’épidémie. »

    Les prédictions informatiques sont rarement étudiées pour leur précision. Impossible de faire des prévisions précises pendant plus de deux semaines à l'avance. Supposez-vous que Fauci, qui a été dictateur de la santé publique depuis l'époque médiévale, en soit conscient, mais l'ignore ? C’est une question rhétorique, Votre Honneur. Je le retire. La réponse est évidente.

    Enfin, Nature nous fournit ce factoïde surprenant: «Les simulations du 16 mars que l'équipe [Neil Ferguson] a menées pour informer la réponse COVID-19 du gouvernement britannique ont utilisé un modèle basé sur des agents construit en 2005 pour voir ce qui se passerait en Thaïlande si le H5N1 la grippe aviaire a muté en une version qui pourrait se propager facilement entre les gens. »

    C'est comme dire: «Cette année, le conducteur de l'Indianapolis 500 est assis dans une voiture construite il y a 15 ans. Il est dépoussiéré et espère que cela fonctionne et ne s'écrase pas contre le mur. "

    Vous pensez peut-être que c'est une comparaison désobligeante, mais nous savons quelque chose sur ce modèle informatique poussiéreux de la grippe aviaire de Ferguson 2005. Voici une citation de l'initié Business, 4/25:

    «… Il [Ferguson] a été accusé d'avoir semé la panique en surestimant le nombre potentiel de morts lors de l'épidémie de grippe aviaire de 2005. Ferguson a estimé que 200 millions de personnes pourraient mourir. Le vrai nombre était dans les centaines faibles. "

    CECI est le modèle de base utilisé par Ferguson pour prévoir les décès dus à COVID-19.

    Vos globes oculaires éclatent-ils ? Ils devraient être.

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  57. Sans plus tarder, voici le Business Insider, 4/25, rapportant les autres échecs grotesques de prédiction de Neil Ferguson:

    "Michael Thrusfield, professeur d'épidémiologie vétérinaire à l'Université d'Edimbourg, a déclaré au journal qu'il avait" déjà vu "après avoir lu le journal [Ferguson] Imperial [sur COVID], affirmant que Ferguson était responsable de l'abattage excessif des animaux pendant la fièvre aphteuse de 2001 [ en fait, la maladie de la vache folle]. »

    «Ferguson a averti le gouvernement que 150 000 personnes pourraient mourir. Six millions d'animaux ont été abattus par mesure de précaution, ce qui a coûté au pays des milliards de dollars de revenus agricoles. Au final, 200 personnes sont mortes. »

    "En 2009, l'un des modèles de Ferguson a prédit que 65 000 personnes pourraient mourir de l'épidémie de grippe porcine au Royaume-Uni - le chiffre final était inférieur à 500."

    Vouloir plus ? Le Business Insider élève le niveau de choc encore plus haut.

    "Ferguson a cofondé le MRC Center for Global Infectious Disease Analysis, basé à l'Imperial [College], en 2008. C'est le principal organisme qui conseille les gouvernements nationaux sur les flambées de pathogènes."

    «Il reçoit des dizaines de millions de dollars de financement annuel de la Fondation Bill & Melinda Gates, et travaille avec le National Health Service du Royaume-Uni, les Centers for Disease Prevention and Control (CDC) des États-Unis et est chargé de fournir à l'Organisation mondiale de la santé «analyse rapide des problèmes urgents de maladies infectieuses». »

    Vous obtenez l'image ?

    Bill Gates veut un vaccin COVID avant la fin des blocages planétaires. Les blocages, bien sûr, sont déjà en train de ruiner les économies de la Terre.

    L’argent de Bill Gates va à Ferguson.

    Ferguson fournit au CDC et à l'OMS une projection informatique largement sans valeur mais effrayante des décès par COVID. Ferguson communique ainsi une justification du plan mondial de vaccination de Gates.

    Le CDC et l'OMS agissent, sur la base de ce que veut Gates, comme l'a exprimé Ferguson.

    Les gouvernements nationaux se rendent à l'OMS et au CDC. VERROUILLAGES.

    Que dites-vous, Trump, Johnson, Merkel, Macron, et al ? Êtes-vous simplement des idiots désemparés, pas plus brillants que certains passants au coin d'une rue qui ont tendu une pancarte pour protester et qui se joignent à la ligne, sans aucune idée de ce qu'il soutient ? Êtes-vous aussi stupide, comme vous l'indiquez à la farce de Ferguson d'un modèle informatique, les yeux vitreux ?

    Avez-vous simplement peur des experts qui, le plus beau jour, devraient être affectés à la modélisation du nombre de cafards dans les chambres de motel ?

    Ou êtes-vous des idiots hostiles, qui ont l'intention de détruire d'innombrables vies alors que l'économie s'enfonce de jour en jour ?

    P.S. Vous pensez peut-être: "Ces gouvernements ne pourraient pas être AUSSI fous, stupides et vicieux. Ils n'auraient pas pu agir sur la base du modèle informatique de Neil Ferguson… »

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  58. Business Insider, 4/25: «L'équipe de Ferguson a averti Boris Johnson que la quête de« l'immunité collective »[laisser les gens vivre leur vie en plein air au Royaume-Uni] pourrait coûter 510 000 vies, provoquant un demi-tour brusque [verrouillage national massif] au Royaume-Uni]… Ses simulations [de Ferguson] ont également eu une influence dans d'autres pays, citées par les autorités américaines, allemandes et françaises. ”

    «Le 23 mars, le Royaume-Uni a supprimé l’immunité collective en faveur d’une stratégie de répression et le pays a préparé des semaines de verrouillage. L'étude de Ferguson était responsable. "

    "Le Dr Deborah Birx, coordinatrice de la réponse aux coronavirus à l'administration Trump, a déclaré aux journalistes lors d'un point de presse le 16 mars que le journal impérial [projection informatique de Ferguson] avait incité les nouveaux conseils du CDC à travailler à domicile et à éviter les rassemblements de 10 personnes ou plus."

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2020/05/jon-rappoport/professor-neil-ferguson-and-the-idiot-presidents-and-prime-ministers-who-believe-his-computer-predictions/

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  59. Le maire de Nice exige des «passeports santé» pour entrer / quitter la France


    par Tyler Durden
    Mar., 05/05/2020 - 02:45


    La Food and Drug Administration (FDA) a autorisé dimanche un nouveau test d'anticorps du géant du diagnostic Roche Holding AG, qui devrait inonder le monde occidental de plus de 100 millions de tests d'ici la fin de 2020, déterminera si des individus ont déjà été exposés au COVID-19 et en sont probablement immunisés.

    Le test d'anticorps est un précurseur des «cartes d'immunité» ou, comme certains l'appellent «passeports de santé». Déjà, avant même le lancement des tests, certains pays ont suggéré que les passeports sanitaires pourraient être les prochains. La France est le dernier pays à avoir appelé à de nouvelles règles de voyage pendant la pandémie qui restreindraient fermement les déplacements dans le pays, a rapporté RT News.

    Le maire de Nice a exhorté le Premier ministre français Edouard Philippe la semaine dernière à introduire de nouveaux contrôles de voyage en utilisant des passeports de santé dans les régions de France frontalières d'autres pays.

    Christian Estrosi, le maire de Nice, a posté une lettre sur Facebook un jour après que Philippe a dévoilé ses plans pour assouplir les restrictions de séjour au pays qui commenceraient en mai, ces règles pourraient limiter la distance de déplacement d'une personne à 62 miles (100 km) de leur domicile .

    Philippe a déclaré que les gens doivent s'adapter à un monde post-corona où ils doivent "apprendre à vivre avec le virus" à mesure que les restrictions seront levées.

    Estrosi a déclaré que le nouveau passeport montrerait le porteur testé négatif pour COVID-19 au cours des 48 dernières heures avant le voyage. La proposition intervient alors que les blocages sévères introduits le 17 mars sont assouplis. Il a déclaré que les passeports de santé sont probablement la seule méthode pour assouplir complètement les mesures de verrouillage.

    La France n'est pas le seul pays à avoir parlé de l'introduction des passeports de santé. D'autres pays d'Europe, comme l'Italie, la Grèce, l'Allemagne et le Royaume-Uni, ont également parlé des nouvelles règles de voyage. Même aux États-Unis, Bill Gates a poussé pour les passeports d'immunité et l'érection de l'État de surveillance pour lutter contre le virus.

    Le mois dernier, nous avons noté que l'économie mondiale était en chute libre alors que les cas mondiaux atteignaient de nouveaux sommets, la suggestion des responsables du gouvernement occidental d'ouvrir les économies en panne s'était faite par le biais de passeports d'immunité.

    Nous avons soulevé plusieurs questions concernant les passeports d'immunité: premièrement, personne ne sait combien de temps dure l'immunité, et deuxièmement, les tests d'anticorps ne sont pas «suffisamment précis». Et un troisième problème sur lequel nous avons attiré notre attention concerne les implications sociales des passeports d'immunité.

    La proposition de passeports d'immunité à travers le monde occidental est un signe que les gouvernements vont prendre un plus grand contrôle sur la vie des gens. Et que se passe-t-il quand quelqu'un n'est pas considéré comme immunisé ? Le gouvernement leur refuse un passeport ? Ce qui signifie qu'ils seraient sans travail et ne pourraient pas voyager. Mais, oh oui, c'est pourquoi le revenu de base universel deviendra une chose plus concrète.

    https://www.zerohedge.com/health/mayor-nice-demands-health-passports-enterleave-france

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  60. Syndrome de Lockdown Stockholm


    par Tyler Durden
    Mar., 05/05/2020 - 02:00
    Écrit par Rob Slane via TheBlogMire.com,


    Syndrome de Stockholm:

    Une condition dans laquelle les otages développent une alliance psychologique avec leurs ravisseurs pendant la captivité.

    Syndrome de Lockdown Stockholm:

    Un état d'esprit psychologique qui fait que ses victimes adorent voir leurs économies et leurs libertés être détruites, tout en étant incapables d'accepter que la Suède maintienne sa société sans recourir à de telles mesures.

    - voir graphique sur site -

    Je continue d'être déconcerté par ceux qui ne peuvent se résoudre à admettre que la Suède a mené une politique relativement sensée sur Covid-19, alors que la réponse de tant d'autres pays a été autoritaire et franchement déséquilibrée. L'idée de mettre en quarantaine des millions de personnes en parfaite santé et de les empêcher de faire des choses normales et saines est quelque chose qui n'a apparemment jamais été proposé à aucun dirigeant national par le passé, ou du moins si c'est le cas, ils ne l'ont probablement jamais adopté par peur de la révolte.

    Pas une telle peur aujourd'hui. Il est tout simplement stupéfiant de voir combien de personnes ont non seulement accepté la destruction inévitable de l'économie et la réduction des libertés civiles comme un prix à payer pour faire face à une maladie qui tue des chiffres à peu près au même niveau qu'une mauvaise grippe. saison, mais sont en fait devenus des pom-pom girls pour l'expérience sociale géante qui leur est faite. Cela me rappelle la ligne effrayante et décourageante de la fin de 1984: "Il aimait Big Brother." Aujourd'hui, pour des raisons qui ne sont pas du tout claires pour moi, beaucoup semblent «Love Lockdown» - c'est-à-dire, ils semblent être tout à fait d'accord pour se voir retirer leurs libertés; très bien d'avoir le droit de faire un travail licite qui leur est enlevé; et très bien d'avoir le droit de faire des choses normales et saines qui leur sont enlevées. Si quelqu'un a une explication, assurez-vous de me le faire savoir.

    Mais ça empire. Non seulement ils semblent parfaitement disposés à accepter ces choses, mais ils semblent être totalement inconscients et même apathiques face à l'épave du train économique qui s'est dirigée à cause de la politique qu'ils soutiennent. Pourquoi ? Qu'est-ce qui les sortira de cette apathie et de cette complaisance ? Sera-ce quand ils entendront parler des niveaux de chômage de l'ère de la Grande Dépression ? Non ! Même cela ne le fait pas. Le graphique ci-dessous est l'un des plus vraiment effrayants que j'ai jamais vu, montrant que le chômage américain a augmenté de plus de 30 000 000 en seulement sept semaines à des niveaux jamais vus depuis les années 1930. Et pourtant, quand je le montre, beaucoup le rejettent simplement avec un haussement d'épaules comme si ce n'était pas pertinent. Ce ne sera peut-être que s'ils perdent leur propre emploi et ne peuvent pas payer le loyer ou ne peuvent pas acheter des trucs dans les magasins comme ils le faisaient auparavant. Qui sait ?

    - voir graphique sur site -

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  61. Si vous essayez de montrer à de telles personnes que cela ne doit pas être ainsi, en comparant le Royaume-Uni avec la Suède, ou la Suède avec d'autres pays, ou la Suède avec ce que le modèle de l'Imperial College aurait pu prédire, ils le rejettent ou se mettent en colère ou ignorez-le. C'est une pensée qu'ils ne veulent pas entretenir, probablement parce qu'ils se sont convaincus à fond que le «verrouillage» est la seule politique qui peut éventuellement fonctionner, et toutes les données qui montrent que ce n'est pas le cas doivent être erronées ou ignorées (pour ceux qui veulent voir un véritable expert réfuter à fond l'idée que le verrouillage était ou est nécessaire, je recommande cette interview avec le professeur Knut Wittkowski).

    Malgré l'étude des données pendant un certain nombre de semaines, je n'ai pas encore trouvé de preuve perceptible que la politique suédoise a nui à ce pays de la même manière que les prédicateurs les condamnent. Tout aussi important, je n'ai pu trouver aucune preuve perceptible que la destruction de votre économie et la destruction des libertés civiles - qui est la politique de «verrouillage» - était nécessaire.

    Par exemple, le graphique ci-dessous montre deux pays ayant une politique très différente - la Suède et le Royaume-Uni - en termes de décès quotidiens par million d'habitants (note, les chiffres britanniques sont quelque peu biaisés le 29 avril, le gouvernement ayant décidé de compter les décès dans les ce jour-là ((extraordinaire que cela ait été oublié auparavant)) .Ce qui est en fait clair, c'est que la Suède a en fait mieux réussi que le Royaume-Uni, avec un total de décès enregistrés à 256,6 par million, contre 419,1 par million pour le Royaume-Uni, au 3 mai:

    - voir graphique sur site -

    Ou nous pourrions examiner les décès hebdomadaires enregistrés pour 13 pays européens, plus les États-Unis. Fait intéressant, dans tous les cas (sauf au Royaume-Uni en raison de la pointe du foyer de soins le 29 avril), le nombre de décès diminue désormais clairement et, semble-t-il, commence à s'essouffler, y compris en Suède:

    - voir graphique sur site -

    Ou voici une façon cumulative de regarder les mêmes données:

    - voir graphique sur site -

    Ce que j'ai remarqué, cependant, c'est que plus les chiffres de la Suède n'ont pas réussi à monter dans la stratosphère, plus certaines personnes ont grincé des dents, creusant et affirmant que parce que le nombre de décès en Suède est pire que celui du Danemark, de la Finlande et de la Norvège, ceci d'une manière ou d'une autre prouve le point qu'ils ont gâché beaucoup de temps. Le fait-il ? Voici une autre façon de voir les choses.

    À ce jour, le pays a connu près de 2 700 décès. C'est:

    Environ 265,62 décès par million d'habitants
    Environ 0,0265% de l'ensemble de leur population.

    Ce n'est même pas proche de ce que les malfaiteurs prédisaient. Ma propre estimation très prudente de ce que le modèle de l’Imperial College aurait pu prévoir pour eux, en vertu des mesures qu’ils ont prises, s’est chiffrée à environ 32 500 décès (environ 3 250 décès par million). Cependant, une étude réalisée par l’Université suédoise d’Uppsala en avril a appliqué le modèle de l’Imperial College à la Suède et a donné des résultats bien plus importants que mon estimation prudente. Selon leurs projections, si la Suède poursuivait sa réponse actuelle:

    Il ferait 40 000 morts peu après le 1er mai

    Cela continuerait à atteindre près de 100 000 décès d'ici juin.

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  62. Mais permettez-moi de vous rappeler encore une fois: jusqu'à présent, la Suède a fait un peu moins de 2 700 morts et nous avons maintenant dépassé le 1er mai. C’est de nombreux ordres de grandeur en dessous de ce que le modèle de l’Imperial College aurait prédit pour lui.

    Je pense que nous pouvons dire en toute sécurité (si nous ne le savions pas déjà) que le modèle de l’Imperial College a surestimé les décès de Covid-19 par une énorme marge. Un peu comme leurs estimations pour la maladie de la vache folle. Et la grippe porcine. Et la grippe aviaire H5N1. En fait, peut-être que la question que nous devrions nous poser est de savoir si quelqu'un connaît un cas où l'équipe de Neil Ferguson a bien fait ses prédictions - ou du moins dans quelques dizaines de milliers au moins ?

    Et pourtant, voici la chose: non seulement la politique draconienne du gouvernement britannique est basée sur ces prédictions erronées, mais beaucoup ont adopté ces mesures draconiennes basées sur une soi-disant science défectueuse comme les canards à l'eau. Je trouve ça extraordinaire. Je serais ravi de savoir pourquoi. N'importe qui ?

    https://www.zerohedge.com/markets/lockdown-stockholm-syndrome

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  63. Les modèles COVID douteux, les tests, et maintenant, les conséquences


    par Tyler Durden
    Lun, 05/04/2020 - 23:50
    Écrit par William Engdahl via GlobalResearch.ca,


    Depuis fin janvier, le monde a subi des changements stupéfiants qui, dans de nombreux cas, peuvent être irréparables. Nous avons donné des décisions sur tous les aspects de notre vie au jugement des tests et aux projections de modèles informatiques pour le coronavirus qui aurait d'abord éclaté à Wuhan en Chine, maintenant surnommé SARS-CoV-2. Avec un étonnant manque de transparence ou de contrôle, un gouvernement après l'autre a imposé des blocages sur le modèle chinois à l'ensemble de sa population. Il semble que nous soyons conduits comme des moutons à abattre pour une science corrompue.

    Les modèles COVID douteux

    Deux modèles majeurs sont utilisés en Occident depuis la prétendue propagation du coronavirus en Europe et aux États-Unis pour «prédire» et répondre à la propagation de la maladie à COVID-19. L'un a été développé à l'Imperial College de Londres. Le deuxième a été développé, en mettant l'accent sur les effets aux États-Unis, par l'Institut de métrologie et d'évaluation de la santé de l'Université de Washington (IHME) à Seattle, près du domicile du fondateur de Microsoft, Bill Gates. Ce que peu de gens savent, c'est que les deux groupes doivent leur existence à un financement généreux d'une fondation exonérée d'impôt qui devrait faire littéralement des milliards de dollars sur les prétendus vaccins et autres médicaments pour traiter le coronavirus - la Fondation Bill et Melinda Gates.

    Début mars, le professeur Neil Ferguson, chef du MRC Center for Global Infectious Disease Analysis de l'Imperial College de Londres, a publié un modèle largement discuté qui prévoit des décès COVID-19 possibles au Royaume-Uni jusqu'à 500 000. Ferguson travaille en étroite collaboration avec l'OMS. Ce rapport a été tenu pour responsable d'un revirement spectaculaire de la part du gouvernement britannique d'une politique traditionnelle de santé publique consistant à isoler les patients à risque tout en permettant à la société et à l'économie de fonctionner normalement.

    Quelques jours après le verrouillage du Royaume-Uni, l'institut de Ferguson a timidement révisé à la baisse ses estimations de décès, plusieurs fois et de façon spectaculaire. Ses avertissements désastreux ne sont pas venus et l'économie britannique, comme la plupart des autres dans le monde, est entrée dans une crise profonde sur la base d'estimations gonflées.

    Ferguson et ses modélistes de l'Imperial College ont une expérience notoire pour prédire les conséquences désastreuses des maladies. En 2002, Ferguson a prédit que jusqu'à 50 000 personnes au Royaume-Uni mourraient d'une variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, la «maladie de la vache folle», probablement à 150 000 si l'épidémie s'étendait aux moutons. Au total, 178 personnes ont été officiellement déclarées mortes de la vMCJ. En 2005, Ferguson a affirmé que jusqu'à 200 millions (!) De personnes dans le monde seraient tuées par la grippe aviaire ou le H5N1. Début 2006, l'OMS n'avait lié que 78 décès au virus. Puis, en 2009, le groupe de Ferguson à l'Imperial College a informé le gouvernement que la grippe porcine ou H1N1 tuerait probablement 65 000 personnes au Royaume-Uni. Au final, la grippe porcine a coûté la vie à 457 personnes. Ferguson et son groupe Imperial College ont des antécédents notoirement mauvais pour prédire les conséquences de la maladie.

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  64. Pourtant, le même groupe Ferguson de l'Imperial College, avec l'approbation de l'OMS, était à l'origine des chiffres de panique qui ont déclenché un verrouillage du gouvernement britannique. Ferguson a également été à l'origine de la «prédiction» sauvage selon laquelle 2,2 millions d'Américains mourraient probablement si le verrouillage immédiat de l'économie américaine ne se produisait pas. Selon le modèle de Ferguson, le Dr Anthony Fauci du NIAID aurait confronté le président Trump et l'aurait poussé à déclarer une urgence sanitaire nationale. Tout comme au Royaume-Uni, une fois que les dommages à l’économie ont commencé, le modèle de Ferguson a ensuite abaissé considérablement les estimations de décès aux États-Unis entre 100 000 et 200 000 décès. Aux États-Unis et au Royaume-Uni, Neil Ferguson s'est appuyé sur des données du gouvernement chinois, données qui se sont révélées peu fiables.

    Neil Ferguson et son groupe de mannequins à l'Imperial College, en plus d'être soutenus par l'OMS, reçoivent des millions de la Fondation Bill & Melinda Gates. Ferguson dirige le Vaccine Impact Modeling Consortium de l'Imperial College qui répertorie comme bailleurs de fonds la Fondation Bill & Melinda Gates et la GAVI-l'alliance vaccinale soutenue par Gates. De 2006 à 2018, la Fondation Gates a investi un montant impressionnant de 184 872 226,99 $ dans les opérations de modélisation du Collège impérial de Ferguson.

    Notamment, la fondation Gates a commencé à verser des millions dans les opérations de modélisation de Ferguson bien après que son manque catastrophique de précision ait été connu, ce qui a conduit certains à suggérer que Ferguson était une autre opération de «science for location».

    Université de Washington — Gates aussi…

    Plus récemment, les modèles de prévision utilisés pour justifier les mesures de verrouillage sans précédent aux États-Unis ont été élaborés à l'Institut de métrologie et d'évaluation de la santé de l'Université de Washington (IHME) à Seattle.

    Son modèle COVID-19 prévoit les décès et l'utilisation des ressources hospitalières telles que les lits d'hôpital, les lits de soins intensifs et les ventilateurs. À la fin du mois de mars, le modèle de l'IHME a également «prédit» jusqu'à 2,2 millions de décès de coronavirus américain à moins que des mesures de verrouillage drastiques ne soient suivies. Le 7 avril, les modèles IHME ont révisé ce chiffre jusqu'à 200 000 décès. Leur dernière révision à la baisse place les décès à un peu plus de 60 000. L'affirmation est que les révisions à la baisse sont informées par des données réelles. Pourtant, les projections extrêmement inexactes étaient celles utilisées pour imposer des restrictions sociales et économiques catastrophiques aux États-Unis.

    Alex Berenson, un ancien journaliste du New York Times a remis en question le modèle IMHE:

    «Hormis New York, il n’ya pas eu de crise du système de santé au niveau national. En fait, pour être vraiment correct, il y a eu une crise du système de santé, mais la crise est que les hôpitaux sont vides », a-t-il déclaré. «C'est vrai en Floride où le verrouillage a été tardif, c'est vrai dans le sud de la Californie où le verrouillage a été précoce, c'est vrai en Oklahoma où il n'y a pas de verrouillage à l'échelle de l'État. Il ne semble pas y avoir de corrélation entre le verrouillage et si oui ou non l'épidémie s'est propagée à grande échelle et rapidement. "

    IHME affirme que ses révisions sont le résultat de la mise en vigueur du verrouillage, même si cela prendrait des semaines pour apparaître.

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  65. Comme Neil Ferguson à l'Imperial College de Londres, l'IHME de l'Université de Washington est un autre projet de la Fondation Gates. Il a été créé en 2007 grâce à une importante subvention de la Fondation Bill & Melinda Gates. En mai 2015, l'IHME et l'Organisation mondiale de la santé ont signé un accord majeur pour collaborer sur les données utilisées pour estimer les tendances de la santé dans le monde. Puis, en 2017, l'IHME a obtenu 279 millions de dollars supplémentaires de la Fondation Gates pour étendre son travail au cours de la prochaine décennie. Cela, en plus d'un autre don de 210 millions de dollars en 2016 de la Fondation Bill & Melinda Gates pour financer la construction d'un nouveau bâtiment pour abriter plusieurs unités UW travaillant dans le domaine de la santé de la population, dont l'IHME. En d'autres termes, l'IHME est un élément crucial de la stratégie de santé mondiale de Gates depuis plus de 13 ans.

    Ils se sont avérés des modèles très gonflés pour les demandes de salle d'urgence état par état. Ces projections gonflées, de New York à la Californie et au-delà ont fait des ravages sur l'ensemble du système de santé. Lorsqu'un modèle IHME a prédit le besoin de 430 000 lits de soins intensifs aux États-Unis en mars, les États sont passés en mode panique de New York à la Californie en Pennsylvanie et au-delà. À la troisième semaine d'avril, la réalité était que les lits d'hôpital étaient vides et qu'un nombre incalculable d'autres opérations avaient été annulées pour faire de la place pour les patients de Covid19 qui ne se sont jamais matérialisés.

    Tests défectueux

    La grande variété de tests différents qui sont censés dire si l'on est infecté par le virus SARS-CoV-2 a ajouté un élément crucial à la tempête dystopique parfaite qui fait rage dans le monde entier. Autrement dit, les tests ne sont pas si fiables.

    Un laboratoire allemand de premier plan a signalé début avril que, selon les recommandations de l'OMS, les tests du virus Covid19 sont désormais considérés comme positifs, même si la séquence cible spécifique du virus Covid19 est négative et que seule la séquence cible du virus corona plus générale est positive. Cela peut conduire à d'autres virus corona tels que les virus froids déclenchant également un résultat de test faussement positif. Cela signifie que vous pouvez avoir un simple rhume et que vous êtes considéré comme positif au coronavirus. Pas étonnant que le décompte des coronavirus «infectés» explose ces dernières semaines. Mais que signifie vraiment ce chiffre? Nous ne savons tout simplement pas. Pourtant, nos politiciens sont en train de fermer avec fermeté des économies entières et de causer des dommages sociaux inconcevables sur la base de fausses projections de modèle et des directives de l'OMS sur les tests douteux.

    En Allemagne, le Robert Koch Institute (RKI), l'agence gouvernementale responsable de la réponse au COVID19, a délibérément refusé de répertorier le nombre quotidien réel de personnes testées malgré les demandes. Le professeur Christopher Kuhbander, auteur d'une étude détaillée déclare,

    «Les chiffres rapportés sur les nouvelles infections surestiment considérablement la véritable propagation du virus corona. L'augmentation rapide observée des nouvelles infections est presque exclusivement due au fait que le nombre de tests a augmenté rapidement au fil du temps. Ainsi, au moins selon les chiffres rapportés, il n'y a en réalité jamais eu de propagation exponentielle du coronavirus. Les chiffres rapportés sur les nouvelles infections cachent le fait que le nombre de nouvelles infections diminue depuis environ le début ou la mi-mars. »

    Pourtant, la présentation médiatique non critique de statistiques sans fin du chef du RKI a suscité une anxiété et une peur sans précédent dans la population allemande.

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  66. Le médecin californien Dr Dan Erickson a décrit ses observations concernant Covid19 dans un point de presse. Il a déclaré que les hôpitaux et les unités de soins intensifs en Californie et dans d'autres États sont restés largement vides jusqu'à présent. Le Dr Erickson rapporte que des médecins de plusieurs États américains ont été «contraints» de délivrer des certificats de décès mentionnant Covid19, même s'ils n'étaient pas d'accord eux-mêmes. En Pennsylvanie, l'État a été contraint de retirer quelque 200 décès par «coronavirus» après que l'autopsie du médecin eut révélé la mort de causes préexistantes telles que les maladies cardiaques ou pulmonaires.

    Plus des faits réels émergent autour de cette pandémie et de ses conséquences, il devient clair qu'on leur dit de se suicider sur les plans économique et social sur la base de méthodes et d'informations erronées.

    https://www.zerohedge.com/health/dubious-covid-models-tests-now-consequences

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  67. Bientôt du « super-riz » ?


    le 5 mai 2020


    Alors que les plantes convertissent la lumière du soleil en sucre, leurs cellules jouent avec le feu. La photosynthèse génère des sous-produits chimiques qui peuvent endommager la machinerie de conversion de la lumière elle-même – et plus le temps est chaud, plus le processus risque de s’emballer car certaines réactions chimiques s’accélèrent et d’autres ralentissent. Maintenant, une équipe de généticiens a conçu des plantes pour mieux réparer les dommages causés par la chaleur, une avancée qui pourrait aider à préserver les rendements des cultures car le réchauffement climatique (?) rendra les vagues de chaleur plus courantes. Et sans une surprise, ce changement a rendu les plantes plus productives à des températures normales.

    « C’est une nouvelle passionnante », explique Maria Ermakova de l’Université nationale australienne, qui travaille à l’amélioration de la photosynthèse. La modification génétique a fonctionné dans trois types de plantes – une moutarde (Arabidopsis thaliana) qui est le modèle de plante de laboratoire le plus courant, le tabac et le riz, suggérant que n’importe quelle plante cultivée pourrait être aidée. Le travail a détourné la sagesse conventionnelle des scientifiques de la photosynthèse, et certains biologistes des plantes se demandent exactement comment le gène ajouté produit des avantages. Pourtant, Peter Nixon, biochimiste des plantes à l’Imperial College de Londres, prévoit que l’étude « attirera une attention considérable ».

    Lorsque les plantes sont exposées à la lumière, un complexe de protéines appelé photosystème II (PSII, un complexe d’une vingtaine de protéines, de pigments et de manganèse) dynamise les électrons qui aident ensuite à alimenter la photosynthèse ( lien en fin de billet en anglais et illustration ci-dessus). Mais la chaleur ou la lumière intense peuvent endommager une sous-unité clé, connue sous le nom de D1, interrompant le travail du PSII jusqu’à ce que la plante en fabrique et en insère une nouvelle dans le complexe. Les plantes qui produisent du D1 supplémentaire devraient aider à accélérer ces réparations. Les chloroplastes, les organites qui hébergent la photosynthèse, ont leur propre ADN, y compris un gène codant pour la protéine D1, et la plupart des biologistes ont supposé que la protéine devait être fabriquée dans le chloroplaste. Mais le génome chloroplastique est beaucoup plus difficile à modifier que les gènes du noyau d’une cellule végétale.

    - voir schema sur site -

    Une équipe dirigée par le biologiste moléculaire des plantes Fang-Qing Guo de l’Académie chinoise des sciences a parié que le D1 fabriqué par un gène nucléaire pourrait tout aussi bien fonctionner – et être rendu plus efficace – car sa synthèse dans le cytoplasme au lieu du chloroplaste serait protégée des sous-produits corrosifs des réactions photosynthétiques. Guo et ses collègues ont testé l’idée dans la moutarde Arabidopsis thaliana. Ils ont pris son gène chloroplastique codant pour D1, l’ont couplé à une séquence d’ADN qui s’allume pendant le stress thermique et l’ont déplacé vers le noyau.

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  68. L’équipe a découvert que les semis modifiés d’Arabidopsis pouvaient survivre à une chaleur extrême en laboratoire – 8 heures et demi à 41 ° C – qui a tué la plupart des plantes témoins. Le même gène d’Arabidopsis protégeait également le tabac et le riz. Dans les trois espèces, la photosynthèse et la croissance ont diminué moins que dans les plantes témoins survivantes à un strress de température. Et en 2017, lorsque Shanghai a dépassé 36 ° C pendant 18 jours, le riz transgénique planté dans des parcelles d’essai a donné 8 à 10% de céréales de plus que les plantes témoins. Le choc thermique a ressemblé à ce qui s’est passé à des températures normales. Les plantes modifiées des trois espèces avaient une meilleure photosynthèse – le taux de photosynthèse du tabac a augmenté de 48% – et elles ont montré une croissance supérieure à celles des plantes témoins. Au champ, le riz transgénique a produit jusqu’à 20% de céréales en plus. «Cela nous a vraiment surpris», dit Guo. «Je sentais que nous avions attrapé un gros poisson.»

    Le chercheur vétéran en photosynthèse Donald Ort de l’Université de l’Illinois, Urbana-Champaigne, a déclaré que le groupe présentait des preuves crédibles des avantages de la plante, mais il n’était pas encore convaincu que le D1 fabriqué par les gènes nucléaires aurait pu réparer le PSII dans le chloroplaste. «Tout ce qui est potentiellement important va susciter un certain scepticisme. Il y a beaucoup d’expériences à faire pour comprendre pourquoi cela fonctionne », a-t-il dit.

    Guo prévoit de nouveaux tests du mécanisme. Il a également un objectif pratique : une augmentation plus importante du rendement du riz. Le gain de productivité que son équipe a constaté chez Arabidopsis modifié était la plus grande des trois espèces – 80% de biomasse de plus que les témoins – peut-être parce que les chercheurs ont simplement déplacé le propre gène D1 d’Arabidopsis. Guo pense que le rendement du riz pourrait également augmenter s’il pouvait être modifié avec son propre gène chloroplastique plutôt que celui de la moutarde, ce qui « réchaufferait encore plus ces résultats déjà très chauds ».

    https://www.nature.com/articles/s41477-020-0629-z

    Lire aussi : https://en.wikipedia.org/wiki/Photosystem_II

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/05/05/bientot-du-super-riz/

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    Réponses

    1. (...) car le réchauffement climatique (?) rendra les vagues de chaleur plus courantes. (...)

      NUL ne peut prédire un réchauffement climatique (car il ne vient ni du rapprochement de la Terre au soleil (sauf l'été) ni des gaz émis par le magma. Il y a des millions (milliards ?) de sources chaudes (volcans qui tapissent les fonds de bassins maritimes & océanique) qui font que, de temps à autres, ils évacuent plus ou moins de chaleur (d'où l'origine des vents). Quant au refroidissement à venir, ils s'examine suivant des graphiques de millénaires où il y a eu des périodes de réchauffements et des périodes de refroidissements. Nous sommes entrés en période glaciaire où, les courants marins (lames de fonds) rapportent plus ou moins les températures élevées des fonds maritimes et océaniques. La chaleur s'élevant est transportées par ces courants jusqu'aux littoraux qui en bénéficient (voir côtes bretonnes ou côte d'azur).

      La chaleur émise par le magma se disperse donc dans l'atmosphère où des régions en tire profit.

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  69. Premiers résultats de la carte de mission ICESat-2 de la NASA 16 ans de fonte des calottes glaciaires


    Charles Rotter
    5 mai 2020
    Université de Washington



    En utilisant l'instrument laser d'observation de la Terre le plus avancé que la NASA ait jamais volé dans l'espace, une équipe de scientifiques dirigée par l'Université de Washington a effectué des mesures précises de la façon dont les calottes glaciaires du Groenland et de l'Antarctique ont changé en 16 ans.

    Dans une nouvelle étude publiée dans la revue Science le 30 avril, les scientifiques ont découvert que la perte nette de glace de l'Antarctique, ainsi que la calotte glaciaire rétrécissante du Groenland, étaient responsables de l'élévation du niveau de la mer de 0,55 pouce (14 millimètres) dans l'océan mondial depuis 2003. En Antarctique, l'élévation du niveau de la mer est due à la perte des plates-formes de glace flottantes fondant dans un océan qui se réchauffe. Les plateaux de glace aident à retenir le flux de glace terrestre dans l'océan.

    Les résultats proviennent du satellite de glace, de nuages et d'élévation terrestre 2 (ICESat-2), qui a été lancé en orbite à l'automne 2018 et a commencé à prendre des mesures d'élévation globales détaillées, y compris au-dessus des régions gelées de la Terre. En comparant les nouvelles données aux mesures prises par l'ICESat original de 2003 à 2009, les chercheurs ont dressé un portrait complet de la complexité du changement de la calotte glaciaire - et des perspectives sur l'avenir du Groenland et de l'Antarctique.

    "Si vous observez un glacier ou une calotte glaciaire pendant un mois ou un an, vous n'apprendrez pas grand-chose sur ce que le climat y fait", a déclaré l'auteur principal Benjamin Smith, glaciologue à l'Université de Washington. «Nous avons maintenant un intervalle de 16 ans entre ICESat et ICESat-2 et pouvons être beaucoup plus confiants que les changements que nous voyons dans la glace ont à voir avec les changements à long terme du climat. Et ICESat-2 est un outil vraiment remarquable pour faire ces mesures. Nous constatons des mesures de haute qualité qui tapissent les deux calottes glaciaires, ce qui nous permet de faire une comparaison détaillée et précise avec les données ICESat. »

    Les études antérieures sur la perte ou le gain de glace analysent souvent les données de plusieurs satellites et missions aéroportées. La nouvelle étude prend un seul type de mesure - la hauteur mesurée par un instrument qui fait rebondir les impulsions laser sur la surface de la glace - fournissant l'image la plus détaillée et la plus précise du changement de la calotte glaciaire à ce jour.

    Les chercheurs ont pris des traces des mesures ICESat et ont superposé les pistes plus denses des mesures ICESat-2 de 2019. Lorsque les deux ensembles de données se sont croisés - des dizaines de millions de sites - ils ont exécuté les données via des programmes informatiques qui tenaient compte de la densité de la neige et d'autres facteurs, puis calculé la masse de glace perdue ou gagnée.

    "La nouvelle analyse révèle la réponse des calottes glaciaires aux changements climatiques avec des détails sans précédent, révélant des indices sur la raison et la réaction des calottes glaciaires", a déclaré le co-auteur Alex Gardner, glaciologue au Jet Propulsion Laboratory de la NASA. à Pasadena, en Californie.

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  70. L’étude a révélé que la calotte glaciaire du Groenland perdait en moyenne 200 gigatonnes de glace par an et que la calotte glaciaire de l’Antarctique perdait en moyenne 118 gigatonnes de glace par an. Un gigaton de glace suffit pour remplir 400 000 piscines olympiques.

    De l'élévation du niveau de la mer résultant de la fonte des nappes de glace et du vêlage des icebergs, environ les deux tiers venaient du Groenland, l'autre tiers de l'Antarctique, Smith et ses collègues ont trouvé.

    "C'était incroyable de voir à quel point les données ICESat-2 étaient bonnes, dès la sortie de la porte", a déclaré le co-auteur Tom Neumann au Goddard Space Flight Center de la NASA à Greenbelt, Maryland. «Ces premiers résultats sur la glace terrestre confirment le consensus d'autres groupes de recherche, mais ils nous permettent également d'examiner les détails du changement dans les glaciers et les plates-formes de glace en même temps.»

    Au Groenland, il y a eu un amincissement important des glaciers côtiers, a déclaré Smith. Les glaciers Kangerlussuaq et Jakobshavn, par exemple, ont perdu de 14 à 20 pieds (4 à 6 mètres) d'altitude par an. Les températures estivales plus chaudes ont fait fondre la glace de la surface des glaciers et des calottes glaciaires, et à certains endroits, l'eau océanique plus chaude érode la glace sur leurs fronts.

    En Antarctique, les traces denses des mesures ICESat-2 ont montré que la calotte glaciaire s'épaissit dans certaines parties de l'intérieur du continent, probablement en raison de l'augmentation des chutes de neige, a déclaré Smith. Mais la perte de glace des marges du continent, en particulier dans l’Antarctique occidental et dans la péninsule antarctique, dépasse de loin tout gain à l’intérieur. À ces endroits, l'océan est également susceptible de blâmer.

    "En Antarctique occidental, nous voyons beaucoup de glaciers s’amincir très rapidement", a déclaré Smith. «Il y a des plateaux de glace à l'extrémité aval de ces glaciers, flottant sur l'eau. Et ces plateaux de glace s'amincissent, laissant plus de glace s'écouler dans l'océan alors que l'eau plus chaude érode la glace. »

    Ces plateaux de glace, qui montent et descendent avec les marées, peuvent être difficiles à mesurer, a déclaré la co-auteure Helen Amanda Fricker, glaciologue à la Scripps Institution of Oceanography de l'Université de Californie à San Diego. Certains d'entre eux ont des surfaces rugueuses, avec des crevasses et des crêtes, mais la précision et la haute résolution de ICESat-2 permettent aux chercheurs de mesurer les changements globaux, sans se soucier de ces caractéristiques faussant les résultats.

    C’est l’une des premières fois que les chercheurs mesurent la perte des plates-formes de glace flottantes autour de l’Antarctique simultanément à la perte de la calotte glaciaire du continent.

    La glace qui fond des plateaux de glace n'augmente pas le niveau de la mer, car elle flotte déjà - tout comme un glaçon dans une tasse d'eau pleine ne déborde pas le verre. Mais les plateaux de glace assurent la stabilité des glaciers et des calottes glaciaires derrière eux.

    "C’est comme un contrefort architectural qui soutient une cathédrale", a expliqué Fricker. «Les plateaux de glace maintiennent la calotte glaciaire. Si vous enlevez les plateaux de glace, ou même si vous les amincissez, vous réduisez cette force d'appui, de sorte que la glace fondue peut couler plus rapidement. "

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  71. Les chercheurs ont découvert que des plates-formes de glace dans l’Antarctique occidental, où se trouvent bon nombre des glaciers les plus rapides du continent, perdent de la masse. Les modèles d'éclaircie montrent que les plates-formes de glace Thwaites et Crosson se sont le plus amincies, en moyenne environ cinq mètres (16 pieds) et trois mètres (10 pieds) de glace par an, respectivement.

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    L'étude a été financée par la NASA. Les autres co-auteurs sont Johan Nilsson et Fernando Paolo au Jet Propulsion Laboratory de la NASA; Brooke Medley, Thorsten Markus et H. Jay Zwally au Goddard Space Flight Center de la NASA; Nicholas Holschuh au Amherst College; Susheel Adusumilli à l'Université de Californie, San Diego; Kelly Brunt à l'Université du Maryland; Bea Csatho à l'Université de Buffalo; Kaitlin Harbeck chez KBR; et Matthew Siegfried à la Colorado School of Mines.

    From EurekAlert!

    https://wattsupwiththat.com/2020/05/05/first-results-from-nasas-icesat-2-mission-map-16-years-of-melting-ice-sheets/

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    1. (...) Dans une nouvelle étude publiée dans la revue Science le 30 avril, les scientifiques ont découvert que la perte nette de glace de l'Antarctique, ainsi que la calotte glaciaire rétrécissante du Groenland, étaient responsables de l'élévation du niveau de la mer de 0,55 pouce (14 millimètres) dans l'océan mondial depuis 2003. (...)

      HAHAHA ! Si la glace fond... elle gagne du volme ! HAHAHAHA !
      NON ! La glace qui fond (composée d'eau et d'air) ne peut en fondant représenter un volume supérieur !
      D'où, l'IMPOSSIBILITÉ d'apporter une élévation du niveau des mers & océans !

      Depuis des millions d'années il y a des milliards de km³ d'eaux douces (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans... SANS QU'ELLES OU ILS NE MONTENT !!! Çà alors ! Tout simplement parce que l'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océaniques et maritimes vers le magma où cette soupe toxique (les poissons chient dans la mer !) y est chauffée/bouillie et remonte donc (comme dans une cafetière électrique) vers les sources (chaudes ou froides suivant l'altitude) et vers les nappes phréatique qu'elle remplit.

      (...) Au Groenland, il y a eu un amincissement important des glaciers côtiers, a déclaré Smith. Les glaciers Kangerlussuaq et Jakobshavn, par exemple, ont perdu de 14 à 20 pieds (4 à 6 mètres) d'altitude par an. Les températures estivales plus chaudes ont fait fondre la glace de la surface des glaciers et des calottes glaciaires, et à certains endroits, l'eau océanique plus chaude érode la glace sur leurs fronts. (...)

      Lorsque les glaciers fondent c'est PAR EN-DESSOUS ! et non de vents chauds portés de l'Équateur !
      Les calottes glacières Nord & Sud ont aussi sur DES SOURCES CHAUDES comme le reste des mers & océans. Et, si un glacier fond, il flotte (1/10ème émerge), or, si ce glacier est décroché du fond depuis x temps (exemple: 2000 m de haut = 200 m d'émergés, 1000 m de haut... 100 m) il émerge ! Cà alors !!

      (...) "En Antarctique occidental, nous voyons beaucoup de glaciers s’amincir très rapidement", a déclaré Smith. «Il y a des plateaux de glace à l'extrémité aval de ces glaciers, flottant sur l'eau. Et ces plateaux de glace s'amincissent, laissant plus de glace s'écouler dans l'océan alors que l'eau plus chaude érode la glace. » (...)

      Exact. De nouvelles études sous marines ont montré (via mini-sous-marin) qu'il existe une vingtaine de sources chaudes au pôle Sud qui détachent régulièrement les glaciers du fond des eaux. Glaciers qui parfois sont entrainés par les courants et présentent donc un danger pour la navigation.

      C'est régulièrement que les volcans (sources chaudes magmatique) 'changent' de place. Parfois certains se bouchent tandis que d'autres s'ouvrent. C'est ce qui fait sur terre le changement climatique observé en toutes saisons.
      Ces foyers génèrent de la chaleur qui monte et s'élève dans l'atmosphère. D'où la présence de vents et de force de ces vents.

      Si le magma venait à s'éteindre (comme sur la lune) il n'y aurait pas de sursaut climatique mais seulement une différence de températures entre le jour et la nuit et suivant le rapprochement ou l'éloignement du soleil.

      La masse ferrique du magma perd de son aimantation lors de son extinction ou quasi-extinction.

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