Voir aussi la politique de merde envers les farmers de Californie qui doivent acheter l'eau pour irriguer les cultures !! Alors que le fleuve Colorado (500 m³/s) jette son eau dans le Golfe de Californie ! Même pas un barrage pour retenir l'eau et nourrir des millions de personnes !
L'eau est INÉPUISABLE ! (et GRATUITE !) Il ne manque PAS UNE GOUTTE d'EAU depuis des milliards d'années !
L’eau solide qui pourrait révolutionner l’agriculture mondiale
RépondreSupprimerBy lejournaldusiecle
1 septembre 2013
Sergio Rico, ingénieur polytechnicien mexicain, est l’inventeur de la pluie solide, une potion magique très simple qui pourrait révolutionner l’agriculture mondiale.
Depuis une dizaine d’années, le Mexique subit des sécheresses terribles dans le nord du pays. Sergio Rico, sensible aux problèmes de pauvreté, de famine et de migration, a cherché comment mieux utiliser les faibles pluies qui tombent malgré tout sur ces zones arides.
"En travaillant sur la récupération de l’eau de pluie, déclare Sergio Rico, nous avons trouvé le moyen de la solidifier pour lui donner une autre valeur. Je me suis inspiré des couches pour bébés qui permettent d’absorber un liquide dans un minimum d’espace, et c’est à partir de là que j’ai eu l’idée de transformer l’eau de pluie en la gardant sous forme moléculaire dans un acrylate très absorbant dont la caractéristique est d’emmagasiner jusqu’à 500 fois son poids en eau sans en modifier la structure chimique."
L’eau de pluie, captée des toits, est canalisée vers un réservoir dans lequel il suffit de verser une dose de 1,5 gramme de polyacrylate de potassium pour 1 litre d’eau. En 15 minutes, on assiste au processus de solidification de l’eau. Se produisent alors une ionisation et une précipitation qui permettent aux molécules d’eau de se coller aux polymères, ce qui donne de l’eau en grains, à l’état solide. Avec ce procédé, plus besoin de pompes, de tuyaux, d’énergie électrique, de camions-citernes pour transporter le liquide. L’eau solidifiée peut se mettre dans des sacs en plastique que l’on peut stocker facilement jusqu’à en avoir besoin.
Les plantes n’ont aucun stress
Le polyacrylate de potassium permet de gélifier les liquides et de les réhydrater autant de fois que l’on veut pendant huit à dix ans. C’est une sorte de poudre blanche qui ressemble à du sucre. Pour le mélange, le chimiste mexicain, qui connaît bien son pays, utilise comme unité de mesure la capsule de n’importe quelle bouteille de boisson gazeuse, car il sait que les paysans des hameaux ou des petits villages auxquels s’adresse en priorité cette technologie ne possèdent pas une balance précise permettant de peser 1,60 gramme de polyacrylate.
Pour démontrer la fiabilité de son invention, Sergio Rico a comparé dans l’État du Sonora, où le thermomètre monte facilement au-dessus de 45 degrés, deux systèmes d’irrigation. Avec le système traditionnel, où le paysan attend la saison des pluies pour arroser son champ, le rendement est de 600 kilos de maïs pour un hectare. Dans le champ d’à côté, la même culture avec de la pluie solide a permis une récolte de 10 tonnes par hectare !
Les résultats sont incroyables, car la racine des plantes est maintenue humide pendant plusieurs mois et se réhydrate chaque fois qu’il y a une ondée ou un petit arrosage. La plante n’a, d’autre part, aucun stress, car elle sait qu’elle peut compter sur l’exacte quantité d’eau qui lui est nécessaire sans qu’il y ait de déperdition, car l’eau solide ne s’infiltre pas dans la terre ni ne s’évapore.
Nul n’est prophète en son pays
RépondreSupprimerSergio Rico améliore sa technique depuis cinq ans. Il a déposé un brevet dans le monde entier sous le nom de "Silos de Agua". Sa technique est déjà employée avec succès en Inde pour les cultures de fruits, de cacahuètes, de coton, de blé et palmes. Avec un système traditionnel, ces cultures requièrent une irrigation de 80 litres d’eau par semaine, avec l’utilisation de l’eau solide, il ne faut que 50 litres tous les 3 mois. Un même succès en Colombie, en Équateur, en Espagne et au Portugal où son procédé est utilisé pour les cultures en serres ou dans les programmes de reforestation.
"Les agriculteurs, qui connaissent les coûts de production, sont les plus intéressés, car ils voient immédiatement les économies d’eau qu’ils vont faire avec notre produit."
Silos de Agua est très bon marché puisque le sac de 25 kilos pour un hectare ne coûte que 400 euros et dure 10 ans.
Autre avantage, l’eau solide se transporte facilement, ce qui est très pratique pour les lieux difficiles d’accès, que ce soit à dos de mule ou en hélicoptère. Les grandes sociétés agricoles mexicaines commencent à s’habituer à cette nouvelle technologie et ont de plus en plus souvent un stock d’eau solide au cas où les pluies cesseraient avant la récolte.
C’est également un produit idéal pour arrêter les incendies. En déposant à même le sol des sacs d’eau solide, les feux rencontrent une masse d’humidité qui ne s’évapore pas, ils s’éteignent d’eux-mêmes sans mettre en danger la vie des pompiers.
Le rêve de Sergio Rico serait bien sûr de convaincre le ministre de l’Agriculture du Mexique de lancer une campagne d’information et d’assistance technique pour permettre aux zones les plus touchées par le changement climatique d’optimiser l’usage de l’eau de pluie. Il aimerait voir sa technologie au service des paysans mexicains les plus démunis. Pour l’heure, il ne recueille que des applaudissements, des diplômes et de bonnes paroles.
Sources : WIFUproject / Le Point / Le Journal du Siècle
http://lejournaldusiecle.com/2013/09/01/leau-solide-qui-pourrait-revolutionner-lagriculture-mondiale/
http://lebulldozerdanslatete.over-blog.com/article-l-eau-solide-qui-pourrait-revolutionner-l-agriculture-mondiale-119894598.html
https://huemaurice5.blogspot.com/2013/09/leau-solide-qui-pourrait-revolutionner.html
Climat : le fanatisme a encore de beaux jours devant lui.
RépondreSupprimerle 9 janvier 2020
Il y a 5 ans (et 2 jours) deux fanatiques musulmans d’origine algérienne massacrèrent de sang froid la direction de Charlie Hebdo et quelques autres personnes qui se trouvaient au mauvais moment et au mauvais endroit ce jour-là. Leur motivation résidait dans le fait que ce journal satirique blasphémait le « prophète ». La liberté de la presse et la liberté d’expression en prirent un sale coup. Mais le fanatisme, au sens général du terme, a-t-il disparu ? Pas vraiment. De nos jours surgit une autre forme de fanatisme, et cette fois il concerne le climat. Mais oui ! C’est vrai et ça se passe au Canada.
Le Winnipeg Free Press, le 6 janvier, la veille de l’anniversaire de la tuerie de Charlie Hebdo, titrait son éditorial : « Time to Silence Voices of Denial », en français il est temps de réduire au silence ceux qui nient [ le changement climatique ]. Dans cet éditorial il est question d’un large consensus de scientifiques affirmant que le changement du climat d’origine humaine est bien réel. Par deux fois le terme « climate change deniers » est employé, ce qui veut dire que quiconque diffère de l’opinion majoritaire est un dépravé moralement toxique, un blasphémateur.
Dans le passé de nombreuses tentatives de prédiction de l’avenir ont échoué en particulier les plus pessimistes mais, selon cet éditorial, si on se hasarde à nier toute cause d’origine humaine au changement climatique on est un individu vil qu’il faut faire taire par tous les moyens. Depuis des années les gouvernements, les médias, les grands dirigeants de banques et d’entreprises, les églises et jusqu’aux enseignants dans les écoles primaires insistent sur le fait qu’il y a une urgence climatique. Les penseurs indépendants (comme votre serviteur) qui mettent en cause cette doctrine nagent à contre courant de cette marée idéologique et l’opinion main-stream considère qu’il est normal qu’ils soient diabolisés.
L’Alberta est particulièrement affecté par les décisions du gouvernement fédéral qui a interdit tout nouvel investissement dans l’extraction du pétrole de schiste provoquant la mise à pied de dizaines de milliers de personnes. Et pourtant l’éditorial de ce journal du Manitoba connait les difficultés de l’Alberta, alors pour justifier la décision du gouvernement fédéral il enfonce le clou en dénonçant l’influence néfaste des « climato-sceptiques », les rendant responsables des vagues de chaleur, des sécheresses, des inondations et des feux qui ravagent le bush australien.
- voir sur site repro d'article -
Le Winnipeg Free Press prétend que c’est assez et qu’il faut faire taire les dénialistes, le fondamentalisme intellectuel est arrivé et il n’y a qu’une seule vérité. Les survivants du massacre de Charlie Hebdo savent très exactement où ce type de fondamentalisme conduit …
Adapté d’un billet de Donna Laframboise, journaliste canadienne. Traduction de l’insert ci-dessus : en 2020 il n’y a plus de place pour les débats au sujet du changement climatique. Il faut des leaders (politiques) pour faire du changement climatique une priorité, mais pour cela il faut cesser les débats en boucle avec les dénialistes alors que le monde est en feu autour de nous tous.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/01/09/climat-le-fanatisme-a-encore-de-beaux-jours-devant-lui/
Notez bien que comme la liberté de la presse N'A JAMAIS EXISTÉ et que les ouvriers (journalistes) qui y travaillent doivent faire ce que le patron leur a dit de faire, il n'y a donc pas de journal d'opposition ou de radio d'opposition ou de télé d'opposition. Mais, mais il y a Internet ! C'est-à-dire la Démocratie où chacun peut dire ce qu'il pense et pouvoir discuter de la validité de ce qu'il dit ou de ce que les autres disent.
SupprimerLa Démocratie c'est le dialogue (c'est de là que nait la vérité)
La dictature c'est le monologue (c'est de là que subsistent les mensonges).
Notez bien qu'il s'agit là d'un nano groupuscule de dictateurs qui dirigent, qui parlent et publient face à 7 milliards d'habitants !
Réformez les politiques d'aide à l'énergie de l'USAID maintenant !
RépondreSupprimerPar Paul Driessen, David Wojick
7 janvier 2020
Apparemment incapable de saisir l'ironie cruelle, le commissaire de l'USAID, Mark Green, se vante que «l'électricité permet d'accéder à la réfrigération pour stocker le poisson, le lait et les vaccins. L'électricité égaye la nuit et aide les écoliers à étudier. L'électricité permet aux entreprises de rester ouvertes plus tard et rend les collectivités plus sûres. »
Une électricité abondante, fiable et abordable fait absolument tout cela, comme les pays développés le prouvent quotidiennement. Une énergie coûteuse et intermittente ne fait rien de tout cela. Une alimentation tout ou rien imprévisible promet cruellement la réfrigération, la chaleur, la lumière, les usines, les entreprises, les emplois, les écoles et les hôpitaux modernes, de meilleures conditions de vie, une vie plus longue et plus saine - puis les emporte tous, pendant des heures, des jours ou des semaines à un temps.
En ce moment, l'Afrique subsaharienne moyenne bénéficie des bienfaits de l'électricité moderne 1 heure par jour, 8 heures par semaine, 411 heures par an - à des moments totalement imprévisibles, pendant quelques minutes, heures ou jours consécutifs. Sous la direction de M. Green, l'Agence américaine pour le développement international «améliorerait» cette situation horrible en assurant l'électricité peut-être 25 à 30% de l'année: 7 heures par jour, 50 heures par semaine, 2 628 heures (110 jours) par an, toujours à des moments totalement imprévisibles, grâce aux éoliennes et aux panneaux solaires.
C'est parce que l'USAID ne soutiendra pas l'énergie réelle. Ses politiques de l'ère Deep State Obama auraient dû être approfondies le jour où le président Trump a pris ses fonctions. Au lieu de cela, trois ans plus tard, ils imposent toujours une punition cruelle et inhabituelle pour le «crime» de l'Afrique d'être le dernier continent à se moderniser avec l'électricité 24/7.
L'USAID gère un programme sous le nom prometteur et prestigieux de «Power Africa». Il a commencé six ans après la présidence d'Obama. Pourtant, cinq ans plus tard, il a livré moins de 3 500 mégawatts (MW) de nouvelle capacité de production. La capacité totale de production d'électricité installée aux États-Unis en été est 314 fois supérieure à 1,1 million de MW, pour soutenir moins du tiers du nombre de personnes vivant en Afrique subsaharienne.
Pire encore, cette minuscule amélioration n'inclut ni le charbon ni le nucléaire. Il s’agit principalement de la production d’électricité éolienne, solaire et au gaz naturel, ainsi que d’un tout petit peu de production d’énergie géothermique et même un peu de pétrole lourd - même si ce continent sans lumière "sombre" possède d’énormes gisements de charbon. En fait, environ 60% de l'aide financière de Power Africa va au Nigéria et à l'Afrique du Sud, relativement riches, et non aux nombreux pays vraiment pauvres - et les pays qui reçoivent des fonds pour l'énergie éolienne et solaire ne reçoivent pas d'argent pour l'électricité au gaz. De nombreux pays ne reçoivent aucune aide énergétique; chacun des autres n'en reçoit que peu.
Tout cela parce que le programme énergétique «phare» de l'USAID est centré sur le «développement économique à faibles émissions» et obsédé par celui-ci. Les émissions dans ce contexte signifient bien sûr du gaz carbonique fertilisant pour les plantes, le gaz en trace (0,04% ou 400 ppm de l'atmosphère terrestre) qui rend possible la vie sur la planète Terre.
RépondreSupprimerAinsi, même sous le président Trump, l'USAID reste enfermé dans la notion que le gaz carbonique d'origine humaine est le facteur principal ou unique du changement climatique, et toutes les fluctuations climatiques ou météorologiques seront catastrophiques. En effet, l’USAID se vante, le changement climatique joue un rôle central dans tous les efforts de développement de l’agence et dans ses partenariats avec d’autres agences fédérales et plusieurs pays en développement.
L’USAID affirme que ses programmes «aident les pays à atteindre l’autosuffisance tout en poursuivant une croissance économique propre et un développement résilient». Ce sont des déchets complets, égoïstes et colonialistes du carbone.
Premièrement, l'énergie éolienne et solaire (ou à batterie) n'a rien de propre, de vert, de renouvelable ou de durable. Le vent et l'énergie solaire nécessitent 200 fois plus de matières premières par mégawatt que l'énergie fossile ou nucléaire - et l'électrification de l'Afrique, des États-Unis ou du monde avec l'énergie éolienne et solaire nécessiterait la plus grande expansion de l'extraction de métaux, de minéraux et de calcaire de l'histoire humaine. Pour mettre fin à leur intermittence, vous auriez besoin de milliards de batteries coûteuses de 100 kWh, encore plus d'exploitation minière - et beaucoup plus de travail des enfants et du travail des esclaves.
De plus, les économies alimentées par une électricité intermittente insuffisante ne peuvent pas être «résilientes».
Le slogan «lumières allumées» de l'USAID est tout aussi faux. L'énergie solaire ne fournit aucune électricité la nuit et alimente la société peut-être 30% du temps toute l'année. Une centrale au charbon de 600 MW génère environ 600 MW 24 heures sur 24; 600 MW de capacité solaire fournissent peut-être 200 MW d'électricité en morceaux, au milieu des nuages, des pluies et de la nuit. La batterie de secours pour les villes ou les pays est d'un coût prohibitif.
Le vent est encore pire. Il faut généralement des vents soutenus de plus de 30 mph pour générer la pleine puissance, ce qui se produit rarement dans la plupart des pays africains. Pourtant, Power Africa possède près de 2 500 MW de parcs éoliens très intermittents.
Les programmes de l'USAID pour fournir de l'électricité aux gens pour la première fois signifient que tous les Africains obtiendront de l'électricité intermittente. C'est cruel et injuste - une façon stupide, insensible et éco-impérialiste de dépenser des milliards de dollars d'aide.
Les politiques anti-combustibles fossiles, anti-développement et anti-personnes de l'USAID sont dissimulées dans un langage de signalisation de vertu élevé. Greenwashing PR guide et justifie la politique. L'agence affirme partager ses «connaissances, données et outils de classe mondiale» pour «aider les pays à prévoir, à se préparer et à s'adapter aux» changements climatiques et «à jeter les bases d'une croissance durable propulsée par une énergie propre et fiable et des paysages sains».
RépondreSupprimerCes affirmations échouent à tous les tests factuels et humanitaires. Ils peuvent faire plaisir aux États profonds, à l'ONU, à l'IPCC, à la Banque mondiale et aux technocrates de l'UE - et à leurs alliés écologistes -. Mais ils garderont l'Afrique embourbée dans la pauvreté, la maladie, la misère, le désespoir et la mort prématurée inutilement pendant des générations.
Les «stratégies de développement à faibles émissions» de l'USAID ne «forgent pas de partenariats» avec les pays pauvres. Ils imposent des «partenariats» qui fournissent un financement inadéquat pour un approvisionnement insuffisant en énergie intermittente - tout en ne faisant rien pour «atténuer» les changements climatiques qui ne sont pas différents, plus fréquents ou plus intenses de ce que l'Afrique (et le monde) ont affronté à de nombreuses reprises au cours de l'histoire. Et la majeure partie de l'argent de l'aide se retrouve dans les comptes bancaires des élites dirigeantes et des fabricants d'énergie éolienne et solaire.
La vie des familles pauvres s’améliore peu et seulement en marge. L'électricité que l'USAID, la Banque mondiale, les banques de l'UE et même la Banque africaine de développement (BAD) financent à contrecœur ne peut pas soutenir les maisons, les hôpitaux, les entreprises, les usines, les communautés et les nations modernes.
Ces politiques anti-développement centrées sur le climat obligent les pays africains à se tourner de plus en plus vers les banques et les sociétés minières chinoises, à accepter les conditions préalables onéreuses souvent attachées à leurs contrats et à vivre avec les conditions horribles qui existent dans leurs mines et usines de traitement. L'Amérique, l'Europe, le Canada et l'Australie - et leurs lois, réglementations et normes d'exploitation - seront relégués au second plan.
Quant aux affirmations selon lesquelles le dioxyde de carbone et d'autres «gaz à effet de serre» ont remplacé le Soleil et d'autres forces naturelles puissantes qui régissent réellement le climat et le temps de la Terre: avec la Chine, l'Inde et des dizaines d'autres pays construisant chaque semaine de nouvelles centrales au charbon et au gaz, et conduisant des millions de voitures et de camions en plus chaque année, les politiques et stratégies de l'USAID «à faibles émissions» ne feront aucune différence.
Les familles et les communautés africaines ne sont pas menacées par le climat ou les conditions météorologiques induits par les combustibles fossiles, qui diffèrent peu de ce à quoi elles ont été confrontées et ont survécu de nombreuses fois au cours de l'histoire. Ils sont menacés par des politiques alarmistes climatiques qui les maintiennent appauvris et privés d'énergie - avec peu de chances de jouir du niveau de vie, de la santé et de la longévité dont ils rêvent - et qu'ils méritent.
Il est temps de réformer ou de mettre fin aux politiques inhumaines de l'USAID. L'agence devrait financer des projets de charbon, de gaz et d'électricité nucléaire dans les pays africains démunis, insister sur des contrôles de pointe pour la pollution réelle, mais abandonner toutes les règles d'émission de gaz carbonique. Cela transformerait les économies et sauverait des vies. Si les banques et les gouvernements africains finançaient le charbon, le gaz et l’énergie nucléaire, ils créeraient eux aussi des emplois, de la croissance et des revenus.
Le président Trump devrait exiger cela via un décret - et refuser le financement américain de la Banque mondiale, de la BAD et d'autres banques anti-développement jusqu'à ce qu'elles soutiennent également le charbon, le gaz et l'énergie nucléaire. Il se tiendrait debout comme un véritable leader mondial de l'énergie, du changement climatique, de la prospérité et de la santé humaine - un leader qui a finalement mis fin aux politiques meurtrières de la communauté mondiale de l'aide financière.
RépondreSupprimerLe soutien à une électricité abondante, fiable et abordable est une bonne politique non seulement pour les États-Unis, l'Europe, l'Asie et d'autres régions industrialisées et en développement - mais pour le continent le plus pauvre de la Terre. Ce changement de politique serait le meilleur peuple africain désespéré du Nouvel An jamais reçu.
https://www.cfact.org/2020/01/07/reform-usaid-energy-aid-policies-now/
(...) Ainsi, même sous le président Trump, l'USAID reste enfermé dans la notion que le gaz carbonique d'origine humaine est le facteur principal ou unique du changement climatique, et toutes les fluctuations climatiques ou météorologiques seront catastrophiques (...)
SupprimerEffectivement en été l'atmosphère et le sol est chaud et, à cela, est ajouté... la présence humaine !!! 37°C qui se promènent ! Çà vous réchauffe bien un atmosphère jusqu'à 50 m et même jusqu'à 200 quand il pète, non ? Hahahaha !
D'où la preuve bien réelle que les abrutis qui dirigent ne connaissent RIEN à la science par plus que les tuteurs (Députés/Sénateurs) qui imaginent et votent des lois sans avoir fait seulement 1 heure d'étude de Droit !
Idem pour les journalistes et présentateurs météo qui ne connaissent rien de ce qu'ils disent et lisent au prompteur devant eux mais qui sont payés pour ne pas comprendre.
D'où le choix des plus cons pour être journalistes ou sportifs.
En Afrique des mesures sont prises pour apporter de l'électricité non pas aux cuisinières électrique mais aux ventilateurs ! Hahahaha !
Interrogés, certains Américains situent l’Iran en France, au Maroc, et même aux USA
RépondreSupprimer13:26 09.01.2020
Un peu moins d’un quart des Américains participant à un sondage ont situé correctement l’Iran sur une mappemonde, et 28% ont réussi à le faire sur une carte qui montre uniquement le moyen-orient. Par ailleurs, un peu moins de la moitié d’entre eux (47%) sont en faveur de la frappe américaine qui a tué le général Soleimani.
Alors que les tensions entre Washington et Téhéran se sont considérablement aggravées depuis la mort du général Soleimani, de nombreux Américains ne parviennent pas à localiser l’Iran sur une carte. C’est ce qu’a révélé un sondage mené sur 2.000 personnes durant le week-end du 4 et 5 janvier par Morning Consult et Politico.
Parmi les participants, tous Américains et âgés de plus de 18 ans, seulement 23% ont pu situer la république islamique d’Iran sur une mappemonde et 28% ont été en mesure de le faire sur une carte du moyen-orient. Certains points sur la carte étonnent, tant ils sont éloignés du pays en question. Ainsi, nombreux sont ceux situés en Europe de l’Est, en Afrique subsaharienne, en Amérique du Sud, et même aux États-Unis. Plusieurs ont montré la France ou encore le Maroc.
Difficile de savoir si les participants ont voulu «troller» le sondage ou s’ils ont de véritables lacunes en matière de géographie. Deux ans plus tôt, un autre sondage de Morning Consult leur avait demandé de situer la Corée du Nord, avec un résultat légèrement meilleur: 36% l’avaient correctement placée sur une carte de l’Asie.
Les hommes (38%) ont été plus nombreux à correctement situer l’Iran que les femmes (20%). Les facteurs d’éducation et de richesse ont largement distingué les participants. En effet, 38% des personnes disposant d’un diplôme universitaire ont correctement répondu, contre 24% parmi ceux qui n’en ont pas. Enfin, il y a eu beaucoup plus de bonnes réponses chez les participants qui gagnent plus de 100.000 dollars par an (39%), par rapport à ceux gagnant moins de 50.000 dollars par an (21%).
Morning Consult a également souhaité connaître leur opinion sur l’opération américaine qui a conduit à la mort du général iranien Qassem Soleimani dans la nuit du 2 au 3 janvier. 49% ont affirmé en avoir «beaucoup» entendu parler. 47% soutiennent cette décision de Trump et 40% s’y opposent. Plus des deux tiers (69%) estiment que cet acte a augmenté la possibilité d’une guerre avec l’Iran.
https://fr.sputniknews.com/international/202001091042724468-interroges-certains-americains-situent-liran-en-france-au-maroc-et-meme-aux-usa-/
Les lycées comme les universités sont des gouffres à cons qui croient en leurs diplômes !
SupprimerLes 10 meilleures idées bellicistes de la journée de Mish
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 01/09/2020 - 10:20
Écrit par Mike Shedlock via MishTalk,
La liste des excuses bellicistes est presque sans fin.
Voici 10 d'entre eux.
Il est normal de tuer quelqu'un aujourd'hui s'il y a des raisons de croire qu'il pourrait faire quelque chose de mal à l'avenir: le sénateur Lindsey Graham, le 3 janvier 2020. "Ce n'était pas un acte de vengeance pour ce qu'il avait fait dans le passé. C'était une mesure préventive. , une grève défensive prévoyait de retirer l'organisateur des attentats à venir. " Apparemment, seuls les États-Unis ont ce droit.
Assassiner des dirigeants étrangers est OK et ne constitue pas un acte de guerre. Trump, Graham, Ben Shapiro et trop de néoconservateurs pour compter.
Guerres déclarées, qui en a besoin? Bush, Obama, Hillary, Trump. Rand Paul se moque de l'idée le 15 octobre 2019. "Le sénateur Graham et Hillary Clinton se sont unis pour soutenir les extrémistes islamiques dans la guerre civile syrienne. L'Amérique devrait venir en premier", a déclaré Paul
Ce sera une courte guerre: le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld novembre 2002
Le maintien des troupes américaines en Irak ne coûtera que 3,9 milliards de dollars: le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld 2003
Il est normal que les États-Unis mènent la guerre de tout le monde: Bush, Cheney, Obama, Hillary, Trump et tous les néoconservateurs, trop pour les nommer. En revanche, "je suis fatigué que l'Amérique paie toujours pour la guerre de tous les autres", a déclaré Rand Paul, le 4 février 2019.
Des sanctions économiques paralysantes ne sont pas un acte de guerre. Peu importe combien de personnes meurent de faim? Trop de néoconserves pour compter.
"Nous sommes venus, nous avons vu, il est mort!": Hillary Clinton a plaisanté en 2011 lorsqu'elle a appris la mort du leader libyen Moammar Kadhafi aux États-Unis. La Libye est maintenant un pays des merveilles djihadistes dirigé par l'Etat islamique et Al-Qaueda.
Les représailles de l'Iran en réponse à l'assassinat par Trump d'un leader étranger étaient un "acte de guerre", mais l'assassinat ne l'a pas été: Sénatrice Lindsey Graham, 7 janvier 2020.
"Pour être élu, Barrack Obama va déclencher une guerre avec l'Iran": Donald Trump 29 novembre 2011.
Voici un 11e bonus. "Nous devons les amener là-bas pour qu'ils ne nous amènent pas ici."
Cela remonte au moins à la merveilleuse théorie des dominos et à l'incident sous faux drapeau qui a déclenché la guerre du Vietnam.
Leçon d'histoire de l'Iran
L'Iran a toutes les raisons de se méfier, voire de haïr les États-Unis pour leur rôle dans le coup d'État iranien de 1953.
Le coup d'État a renversé le 19 août 1953 le Premier ministre démocratiquement élu Mohammad Mosaddegh en faveur du renforcement du pouvoir monarchique de Mohammad Reza Pahlavi, orchestré par les États-Unis (sous le nom de TPAJAX Project ou "Operation Ajax") et le Royaume-Uni ( sous le nom "Operation Boot"). C'était la première action secrète des États-Unis pour renverser un gouvernement étranger en temps de paix.
RépondreSupprimerEn août 2013, soixante ans plus tard, le gouvernement américain a officiellement reconnu le rôle des États-Unis dans le coup d'État en publiant une grande partie des documents gouvernementaux précédemment classés prouvant qu'il était responsable à la fois de la planification et de l'exécution du coup d'État, y compris la corruption d'Iraniens. les politiciens, les hauts responsables de la sécurité et de l'armée, ainsi que la propagande pro-coup d'État. La CIA est citée reconnaissant que le coup d'État a été mené "sous la direction de la CIA" et "en tant qu'acte de politique étrangère américaine, conçu et approuvé au plus haut niveau du gouvernement".
C'est ce qui a conduit à la révolte iranienne des années plus tard sous le président Carter.
Des dossiers de la CIA prouvent que l'Amérique a aidé Saddam Hussein en gazant l'Iran
Le magazine Foreign Policy rapporte que la CIA déclare que l'Amérique a aidé Saddam Hussein à gazer l'Iran
En 1988, pendant les derniers jours de la guerre de l’Iraq contre l’Iran, les États-Unis ont appris par imagerie satellite que l’Iran était sur le point d’obtenir un avantage stratégique majeur en exploitant un trou dans les défenses irakiennes. Les responsables du renseignement américain ont communiqué l'emplacement des troupes iraniennes en Irak, parfaitement conscients que l'armée de Hussein attaquerait avec des armes chimiques, y compris le sarin, un agent nerveux mortel.
Les renseignements comprenaient des images et des cartes sur les mouvements de troupes iraniens, ainsi que l'emplacement des installations logistiques iraniennes et des détails sur les défenses aériennes iraniennes. Les Irakiens ont utilisé du gaz moutarde et du sarin avant quatre offensives majeures au début de 1988 qui s'appuyaient sur des images satellites américaines, des cartes et d'autres renseignements. Ces attaques ont contribué à faire pencher la guerre en faveur de l’Iraq et à amener l’Iran à la table des négociations, et elles ont assuré la réussite de la politique de longue date de l’administration Reagan visant à obtenir une victoire irakienne. Mais ils étaient également les derniers d'une série de frappes chimiques remontant à plusieurs années que l'administration Reagan connaissait et n'a pas révélées.
Les autorités américaines ont longtemps nié avoir accepté les attaques chimiques irakiennes, insistant sur le fait que le gouvernement de Hussein n'a jamais annoncé qu'il allait utiliser les armes. Mais le colonel à la retraite de l'armée de l'air Rick Francona, qui était attaché militaire à Bagdad lors des frappes de 1988, brosse un tableau différent.
«Les Irakiens ne nous ont jamais dit qu'ils avaient l'intention d'utiliser du gaz neurotoxique. Ils n'étaient pas obligés. Nous le savions déjà », a-t-il déclaré à Foreign Policy.
Saddam & Rumsfeld se serrant la main
Et où l'Iraq a-t-il obtenu les armes chimiques ? Certains allèguent les États-Unis.
Au minimum, les États-Unis ont détourné le regard.
Voici un joli clip vidéo du futur secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld serrant la main de Saddam Hussein le 20 décembre 1983.
- voir clip sur site -
RépondreSupprimerDonald Rumsfeld était alors envoyé spécial du président Ronald Reagan.
Trump traite ses alliés américains comme de la viande de chien contaminée
Le 8 mai 2018, Trump s'est retiré unilatéralement d'un accord nucléaire avec l'Iran que la Chine, la France, l'Allemagne, la Russie, le Royaume-Uni, les États-Unis et l'Allemagne ont signé.
Tous les pays, à l'exception des États-Unis, ont déclaré que l'Iran suivait l'accord.
Le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France, qui se sont tous opposés aux sanctions, ont mis en place un mécanisme de paiement alternatif visant à aider les entreprises internationales à commercer avec l'Iran sans encourir de sanctions américaines.
Malheureusement, le mécanisme de paiement a été un gros échec. L'Iran n'a pas été en mesure de vendre des quantités de pétrole plus que minimales.
Les États-Unis volent les actifs de l'Iran et les rendent
Ben Shapiro a affirmé aujourd'hui que l'argent pour l'attaque de l'Iran contre les États-Unis en Irak provenait des États-Unis.
Ce mensonge provient du fait que, en vertu de l'accord, l'Iran a eu accès à plus de 100 milliards de dollars d'actifs gelés à l'étranger.
Nous confisquons les actifs iraniens, les restituons, et des gens comme Ben Shapiro agissent comme si nous «donnions» de l'argent à l'Iran.
Les États-Unis, de loin, le leader mondial du terrorisme d'État
"Poule mouillée !"
- voir cadre sur site -
Si vous ne soutenez pas la guerre, vous êtes accusé d'être une Amérique incompréhensible détestant Sissy.
Faisons de cette idée belliciste le numéro 12.
Notes bellicistes de John Bolton
Image des notes bellicistes de John Bolton par Brian McFadden sur The Nib.
Pas en noir et blanc
Oui, les États-Unis ont fait beaucoup de bien.
Et comme je l'ai souligné à plusieurs reprises, les États-Unis ont les marchés financiers les plus vastes et les plus ouverts au monde. Google, Apple et Microsoft ne pouvaient pas exister dans l'UE car l'UE les ferait exploser au nom de la concurrence.
Google prospère car il permet aux gens d'utiliser gratuitement son moteur de recherche. Les gens l'utilisent parce qu'ils l'aiment. Ceux qui ne l'aiment pas sont libres d'essayer autre chose. À partir de ses énormes profits sur les moteurs de recherche, Google a lancé le tout nouveau domaine de la conduite autonome.
Plus tôt dans la journée, quelqu'un m'a demandé pourquoi je suis aux États-Unis, comme si mon opinion sur le bellicisme était importante.
RépondreSupprimerPour répondre, car c'est là que je veux être.
Mais cela ne signifie pas que l'on ne puisse jamais critiquer les États-Unis ou les dirigeants américains.
Ça ne va peut-être pas
Il ne faut jamais accepter le principe qui pourrait faire le bien, ou que les dirigeants américains ne peuvent pas faire de mal (ou de bien). Pour la discussion, veuillez consulter la personne numéro un atteinte de TDS est Trump.
Le fait est que les actions de Trump sont loin de ce que la constitution permettrait. Nous sommes passés d'une guerre non déclarée à une autre.
Le deuxième fait est que les États-Unis ont gaspillé des milliards de dollars non seulement pour des guerres stupides, mais contre-productives.
La thèse décisive d'envahir l'Irak et d'éliminer Saddam Hussein, notre ancien allié sur la thèse de "l'ennemi de mon ennemi est mon ami", a conduit à la création de l'Etat islamique.
Décision rationnelle de l'Iran
Quand vous regardez 7 décennies de politique américaine et de belligérance envers l'Iran, il serait fou de ne pas vouloir de bombe nucléaire. Leur principale raison serait de se défendre contre les États-Unis.
Aux États-Unis, peu de gens peuvent se mettre à la place de quelqu'un d'autre. Si vous viviez en Irak, en Iran, au Pakistan ou en Afghanistan et qu'un drone américain a tué votre enfant, vous auriez toutes les raisons de vouloir riposter, non ?
Au lieu de cela, le public américain stupide, soumis au lavage de cerveau par les néoconservateurs et les médias bellicistes, ne pouvait pas se soucier moins des dommages collatéraux. Notez que les «médias libéraux» de gauche acclament la guerre et les assassinats
Les questions abondent
Que devons-nous montrer pendant deux décennies de guerres sans fin ?
Nous avons gaspillé plusieurs billions de dollars pour quoi ?
Quelle ?
Est-ce que cela pourrait bien
Ne pourrions-nous pas faire un meilleur usage de cet argent sur l'infrastructure américaine que de faire exploser le monde et de se faire des ennemis dans le processus ?
Non. Ce genre de pensée est pour les poules mouillées. Les vrais hommes sont prêts à tuer des hommes et des femmes innocents avec des drones et à faire exploser des sites culturels au nom de la paix.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/mishs-top-10-warmongering-ideas-day
Carney suggère que des milliards de dollars d'actifs sans valeur pestent l'industrie pétrolière et gazière
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 01/09/2020 - 09:45
Écrit par Nick Cunningham via OilPrice.com,
Les investisseurs, les fonds de pension et les entreprises doivent devancer le risque financier du changement climatique, car de nombreux actifs de combustibles fossiles risquent de devenir sans valeur.
"Nous ne pouvons pas avoir un secteur financier qui ignore un problème, et alors tout d'un coup, il doit y faire face", a déclaré Mark Carney, le gouverneur sortant de la Banque d'Angleterre, dans une récente interview à la BBC. Carney fait référence au fait que les plans actuels des sociétés de combustibles fossiles et des investisseurs qui détiennent des actifs dans ces sociétés doivent continuer sur une trajectoire qui place le monde sur une trajectoire de réchauffement de 3,7-3,8 degrés, «bien au-dessus des 1,5 degrés que les gouvernements disent qu'ils veulent et que les gens exigent. »
Toutefois, l'action gouvernementale pour limiter les émissions perturberait évidemment cette trajectoire. En conséquence, la valorisation de tant d'actifs restera à un certain niveau, jusqu'à ce que tout à coup il y ait une refacturation massive des entreprises et des secteurs entiers. "Combien de ces actifs qui existent aujourd'hui vont être bloqués ?"
Carney a déploré que la situation fâcheuse soit une «tragédie de l'horizon», qui fait référence au fait que le problème du changement climatique est à long terme, ce qui rend difficile de convaincre les investisseurs et les entreprises d'agir. Le problème est qu'une fois que le problème climatique réel deviendra impossible à ignorer, des politiques draconiennes seront mises en place. Et, en termes financiers, une fois qu'il devient impossible de l'ignorer, une forte perte de valeur devient impossible à éviter.
C’est exactement pourquoi il exhorte les investisseurs à prendre de l’avance sur cette question. Cela signifie que les fonds de pension, les banques et de nombreuses autres institutions financières doivent limiter leurs investissements dans les combustibles fossiles et divulguer davantage d'informations sur leur exposition. Carney assumera bientôt le rôle d'envoyé spécial des Nations Unies pour l'action climatique et les finances. Il sonne l'alarme concernant les actifs bloqués et le risque financier du changement climatique depuis des années.
"Une question pour chaque entreprise, chaque institution financière, est" quel est votre plan ? "", A déclaré Carney.
«S'il n'y a pas d'action, nous serons en situation d'urgence climatique.» Chaque fonds de pension et investisseur doit justifier ses participations dans les énergies fossiles, a-t-il déclaré.
Carney tentera de resserrer les normes internationales avant les discussions sur le climat à Glasgow plus tard cette année.
La concentration croissante sur le secteur financier et les investisseurs représente une autre menace pour les sociétés pétrolières et gazières. Mais les entreprises sont vulnérables de différentes manières. Le forage de schiste américain, par exemple, n'est peut-être pas tout à fait exposé à cette bulle financière. La majeure partie de la production d'un puits de schiste se produit en quelques années seulement, ce qui leur permet d'esquiver les restrictions gouvernementales et d'exiger des risques qui se présenteront probablement à l'avenir. Cela ne veut pas dire que le schiste n'est pas jonché de ses propres problèmes financiers, mais le problème des actifs bloqués est un problème plus profond pour les projets pétroliers et gaziers à long terme.
Cela comprend les projets de sables bitumineux, de GNL, de forage pétrolier extracôtier et de pipelines au Canada.
RépondreSupprimer"Mark Carney est une personne réfléchie, je veux donc écouter attentivement ce qu'il a à dire", a déclaré au Financial Post Michael Tims, vice-président de Matco Investments, basé à Calgary.
«La partie la plus difficile est d'essayer d'évaluer rationnellement les implications de la valeur pour les projets à plus long terme.»
Ces projets reposent sur l'hypothèse qu'ils dureront des décennies. Le problème est que beaucoup d'entre eux ne sont pas viables dans un monde qui prend au sérieux le changement climatique. Donc, soit le monde dépasse les objectifs climatiques et fonce vers la catastrophe, soit les gouvernements répriment le pétrole et le gaz, augmentant les actifs valant actuellement des centaines de milliards de dollars.
https://www.zerohedge.com/energy/billions-worthless-assets-plague-oil-gas-industry
Autant pourris les uns que les autres !
SupprimerQu'une entreprise soit nationalisée ou privée c'est pareil en dictatures. Par contre, en Démocratie, une entreprise publique est gérée par le Peuple !
LE MORAL DES MÉNAGES FRANÇAIS BAISSE, LA CROISSANCE MENACÉE
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
09/01/2020
Le gouvernement espère une croissance de 1,3% en 2020 en France.
Alors que la Banque mondiale annonce une croissance qui ralentit dans les pays riches, dont la France fait partie, et que la possibilité d’une crise financière en 2020 est désormais prise en compte par les analystes, l’Hexagone doit faire face à une autre menace : le moral des ménages. Selon les données de l’Insee, il est en baisse en décembre 2019. La faute aux grèves que même les fêtes de Noël n’ont pu compenser.
Le moral des ménages est en baisse
Forcément, un mois de décembre passé à attendre des trains, ce n’est guère joyeux… et le début du mois de janvier 2020 ne semble pas changer la donne. Résultat : selon les données publiées par l’Insee mercredi 8 janvier 2020 sur le moral des ménages, celui-ci a baissé en décembre 2019 par rapport à novembre 2019.
Si ce n’est pas encore la dépression chez les Français, le chiffre est important : le moral en décembre est tombé à 102 points, contre 105 points en novembre 2019. S’il reste au-dessus de la moyenne de long terme de 100, l’inquiétude pour le futur est bien présente.
Ainsi, les Français sont pessimistes… sur leur situation financière future, sur leur capacité d’épargne future et sur leur niveau de vie futur. Si le gouvernement a tout fait pour convaincre les Français d’avoir augmenté leur pouvoir d’achat, le message n’est pas passé…
Une menace sérieuse sur la consommation et donc… la croissance
Il est évident que le début de l’année 2020 n’a pas de quoi redonner le sourire aux Français, même si 17 millions de foyers ont reçu un mail leur annonçant une baisse de l’impôt sur le revenu. Les grèves continuent, la réforme des retraites fait toujours débat et la lassitude commence à prendre le dessus.
Un véritable problème alors qu’ont commencé, le 8 janvier 2020, la période des soldes d’hiver qui, pour la première fois, ne dure que 4 semaines. Les ménages ne semblent pas avoir le coeur à consommer ce qui va peser sur les résultats des ventes des commerces, déjà durement touchés par les grèves.
Si la situation continue, la menace sur l’économie va prendre encore plus d’ampleur : la consommation des ménages, toutes dépenses confondues, pèse en France plus de la moitié du PIB, (53 % en 2017). Son évolution influence donc automatiquement l’évolution du PIB français : si elle stagne ou, pire, baisse, les objectifs de croissance du gouvernement, 1,3 % en 2020, ne seront pas atteints. Et s’ils ne sont pas atteints, ce seront les objectifs budgétaires qui échoueront, causant un risque d’augmentation de la dette publique… et ainsi de suite.
http://www.economiematin.fr/news-moral-menage-france-decembre-2019-menace-croissance-pib-2020
SupprimerAjoutez-y le prix de l'essence, les réclames sur l'éthanol qui casse tous les moteurs mais qui se frayent un chemin vers les trop cons à cause de l'augmentation du prix du plein et surtout... surtout dans TOUTES les 'manifestations' sont remarquées les absences de pancartes ou banderoles 'ON VEUT LA DÉMOCRATIE PAS LA RAIE PUBLIQUE' !
«On se dirige peut-être vers la spoliation des détenteurs de cash» pour Philippe Béchade
RépondreSupprimer19:18 09.01.2020
Par Fabien Buzzanca
Des membres du Fonds monétaire international envisagent de partir en guerre contre le cash. Le tout dans un contexte de taux très bas, voire négatifs dans plusieurs parties du globe et notamment en Europe, pour une politique qui fait mal aux épargnants. Philippe Béchade, président des Éconoclastes, nous livre son analyse de la situation.
Se dirige-t-on vers la disparition du cash ? La question semble légitime à l'heure où plusieurs banques centrales à travers la planète pratiquent une politique de taux bas, voire négatifs. En Europe, la Banque centrale européenne (BCE) facture les banques qui placent leurs excès de liquidité dans ses coffres en appliquant un taux de -0,5%. Voyant leurs marges rognées, plusieurs banques n'hésitent plus à appliquer elles-mêmes des taux négatifs sur certains comptes courants.
Ce type de politique a des effets dévastateurs sur l'épargne. Et ce n'est pas le seul problème, comme le relève le conseiller en gestion de patrimoine Nicolas Perrin dans Économie Matin. Il cite notamment un Flash Eco de Natixis publié en octobre dernier:
«Le problème majeur avec les taux d’intérêt nominaux très faibles ou négatifs est l’existence de la monnaie (billets, dépôts à vue) rémunérée à 0%. Cette existence implique que les taux d’intérêt nominaux très bas conduisent au report de l’épargne vers la monnaie (M1 regroupe les billets et les dépôts à vue), ce qui rend plus difficile le financement de l’économie et affaiblit les banques, dont l’essentiel des ressources provient des dépôts rémunérés à 0%.»
Le cash est donc un problème dans un tel contexte. Et le Fonds monétaire international a quelques idées sur la question. Ruchir Agarwal, économiste au FMI, et Signe Krogstrup, conseillère auprès du FMI et accessoirement gouverneure adjointe de la Banque nationale du Danemark, ont lancé quelques pistes en 2019. «Lorsque les espèces sont disponibles, pratiquer des taux d’intérêt très négatifs devient impossible. Les espèces ont le même pouvoir d’achat que les dépôts bancaires, mais un taux d’intérêt nominal nul. […] L’une des possibilités pour franchir la limite inférieure de zéro serait de supprimer les espèces. Mais ce n’est pas simple. Dans de nombreux pays, elles continuent à jouer un rôle important dans les paiements», constataient-ils.
Leur solution ?
«Pour contourner ce problème, nous avons examiné dans une récente étude des services du FMI et dans des recherches antérieures une proposition destinée aux banques centrales, à savoir de rendre la détention d’espèces aussi onéreuse que celle de dépôts bancaires assortis de taux d’intérêt négatifs, afin de pratiquer des taux d’intérêt très négatifs tout en préservant le rôle des espèces.»
En d'autres termes: rendre coûteux d'utiliser des espèces, comme l'explique l'analyste financière Simone Wapler, citée par Nicolas Perrin:
«D’où la dernière proposition des enragés du FMI: une monnaie numérique qui pourrait être soumise à un taux négatif et des espèces qui se verraient appliquer un taux de change dissuasif. Soit vous avez de la monnaie numérique et vos dépôts en banque sont taxés. Si vous refusez et que vous voulez convertir vos dépôts en espèces, on vous applique un taux de change.»
Philippe Béchade, président du think tank des Éconoclastes, est un ardent défenseur du cash. Il livre à Sputnik France son analyse de l'avenir de nos pièces et billets dans une économie en pleine mutation.
RépondreSupprimerSputnik France: Des membres du FMI envisagent de rendre onéreuse la détention d'espèces. Est-ce que nous nous dirigeons lentement mais sûrement vers la fin du cash ?
Philippe Béchade: «La fin du cash je ne crois pas. Mais la spoliation de ceux qui en détiennent... peut-être. Reste à voir les procédés qui pourraient être mis en œuvre. Ce qui me paraît le plus simple reste la facturation des retraits d'espèces depuis les distributeurs automatiques de billets. Admettons que cela soit gratuit jusqu'à 100 euros, puis qu’ensuite un taux de facturation s'appliquerait en fonction du montant retiré: plus il est important, plus le taux augmente. Il faut également noter qu'à partir du moment où l'argent est stocké numériquement, il est possible de le taxer à volonté.»
Sputnik France: Quelles conséquences une disparition du cash aurait-elle pour les citoyens ?
Philippe Béchade: «On se retrouverait avec de l'argent uniquement numérique. D'une certaine manière, il n'appartiendrait plus totalement à ses détenteurs. Cela rendrait ce que possèdent les épargnants susceptible d'être soumis à toutes sortes de taxes et autres pénalités. Il suffirait de prélever quelques pourcents sur les comptes sans que personne n'y puisse rien.»
Sputnik France: Peut-on parler de volonté de contrôle ?
Philippe Béchade: «Oui et toujours au nom de prétextes comme la lutte contre le blanchiment, l'argent sale, le financement du terrorisme etc. Qui s'opposerait à une volonté d'empêcher les terroristes de disposer de cash avec de mauvaises intentions ? N'est-ce pas ?»
Sputnik France: Selon vous, la politique de taux négatifs pourrait-elle mener à la taxation des dépôts des particuliers ?
Philippe Béchade: «C'est déjà le cas pour de gros montants dans des pays comme le Danemark ou l'Allemagne. Nous sommes dans le temps de l’expérimentation et des tests pour savoir ce que seront prêts à accepter les épargnants. Ceux qui sont aujourd'hui taxés comme en Allemagne disposent de beaucoup de liquidités. Ils ne tarderont pas à les convertir en d'autres actifs comme l'or et ne laisseront sur leur compte que le minimum pour faire face aux dépenses courantes. Il y a toujours moyen de transformer son cash en autre chose.»
Sputnik France: Encore combien de temps ces politiques de taux négatifs pourraient-elles continuer ?
Philippe Béchade: «Les derniers propos de Christine Lagarde, la patronne de la Banque centrale européenne, me semblent plus nuancés que l’approbation sans réserve des taux négatifs. Elle souhaite évaluer les effets collatéraux et éventuellement négatifs de cette politique de taux inverses. Mis à part des acteurs institutionnels jouant la hausse du prix des actifs obligataires, je ne vois pas qui pourrait souhaiter se laisser déposséder de son argent pour l'investir dans quelque chose qui offre un rendement négatif. Ces rendements négatifs ne gênent pas uniquement ceux qui achètent des emprunts d'État et qui croient dans la promesse des Banques centrales d'empêcher le cours des dettes de progresser. Si j'achète des obligations assimilables du Trésor (OAT) à trois mois à moins 0,5% et que d'ici à trois mois les tranches prennent 1 ou 1,5% c'est une très bonne affaire. Évidemment, l'épargnant lambda qui, lui, place sur des durées de 10, 15 ou 20 ans et n'a jamais la main pour prendre des bénéfices sur des dettes ayant atteint des cours astronomiques, celui-là n'aura que son rendement, et donc ses yeux, pour pleurer.»
https://fr.sputniknews.com/economie/202001091042726860-on-se-dirige-peut-etre-vers-la-spoliation-des-detenteurs-de-cash-pour-philippe-bechade/
Malgré les taux négatifs appliqués pour encourager les citoyens à dépenser leur argent, le commerce n'a pas été relancé pour çà. Donc, n'hésitant plus depuis longtemps à cracher à la gueule des français, ils ont tenté de faire croire que la disparition du cash était nécessaire pour empêcher le commerce de la drogue et des armes payés en liquide !!!
SupprimerOr, tout le monde sait très bien que le commerce se fera donc en dollars ou autre monnaie et continuera donc pareil.
Ce qui se passe est que les banques n'ont pas d'argent (cause aux fermetures d'usines qui osaient acheter des robots qui rapportent de l'argent et rivalisent avec ceux à l'autre bout du monde!!) et demandent a ce que toutes les transactions se fassent électriquement. Dès lors, elles seront en possession de TOUT l'argent des citoyens et pourront passer à la razia de vider tous les comptes et puis de dire que les comptes ont été piratés parce qu'il existe l'Internet et qu'il faut donc fermer (provisoirement ?) Internet afin que plus personne n'y ait accès !
'L'info' se fera donc uniquement par les merdias qui continueront de cracher sur la gueule des français déculottés de la Démocratie !
Paul Craig Roberts: le ministère de la Justice est dépourvu de justice
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 01/09/2020 - 23:05
Écrit par Paul Craig Roberts,
Aux États-Unis, le système de justice pénale (sic) n'est lui-même pas soumis à la loi. Nous voyons l'immunité devant la loi continuellement alors que la police commet des crimes contre les citoyens et même assassine des enfants et s'en va librement. Nous le voyons tout le temps lorsque les procureurs mènent des poursuites politiques et lorsqu'ils poursuivent des innocents afin de construire leur dossier de condamnation. Nous le constatons lorsque les juges ne parviennent pas à empêcher les procureurs de retenir des preuves à décharge et de soudoyer des témoins et lorsque les juges acceptent des accords de plaidoyer forcés qui privent l'accusé d'un procès avec jury.
Nous venons de le voir à nouveau lorsque les procureurs fédéraux ont recommandé une peine de six mois de prison pour le lieutenant-général Flynn, l'ancien chef de la Defense Intelligence Agency accusé d'avoir menti au FBI sur rien de toute importance, pour ne pas avoir coopéré à la Justice (sic) Effort du ministère pour inculper le président Trump avec de fausses accusations de «russiagate». Le procureur du ministère de la Justice (sic) a déclaré:
«La peine devrait dissuader de manière adéquate l'accusé de violer la loi et promouvoir le respect de la loi. Il est clair que l'accusé n'a pas appris sa leçon. Il s'est comporté comme si la loi ne s'appliquait pas à lui et comme s'il n'y avait aucune conséquence pour ses actes. »
C'est précisément ce que le ministère de la Justice a fait pendant des années dans son orchestration des fausses accusations du Russiagate contre Trump.
L’hypocrisie du procureur est écrasante.
Le ministère de la Justice (sic) est une organisation criminelle. Il n'a aucun sens de la justice. La condamnation des innocents augmente le taux de condamnation du procureur aussi efficacement que la condamnation des coupables. Le rapport Horowitz des mensonges du ministère de la Justice (sic) au tribunal de la FISA ne recommandait pas une peine d'emprisonnement de six mois pour les fonctionnaires du ministère de la Justice (sic) qui ont menti au gouvernement. Horowitz a dissimulé les crimes en les transformant en «erreurs». Oui, ce sont des «erreurs» embarrassantes, mais les erreurs n'entraînent pas de peines de prison.
Le général Flynn, qui était le conseiller à la sécurité nationale du président Trump pendant quelques semaines avant que Mueller et les avocats de Flynn ne le conduisent à une négociation de plaidoyer, aurait menti au FBI pour savoir s'il avait rencontré un Russe. Flynn et ses avocats n'auraient jamais dû accepter la proposition selon laquelle un conseiller à la sécurité nationale ne devrait pas rencontrer de Russes. Henry Kissinger et Zbigniew Brzezinski rencontraient tout le temps les Russes. Cela faisait partie de leur travail. Trump avait initialement l'intention de normaliser les relations tendues avec la Russie. Flynn aurait dû rencontrer des Russes. C'était son boulot.
Quatre-vingt-dix-sept pour cent des affaires de crime sont résolues par des négociations de plaidoyer. En d'autres termes, il n'y a pas de procès. L’accusé reconnaît sa culpabilité pour une peine plus légère, et s’il fait preuve de «coopération», ce qui signifie généralement donner de faux éléments de preuve contre une autre personne dans le filet du procureur, pas de peine du tout. Flynn devait aider à encadrer Trump et l'ancien partenaire commercial de Flynn, Bijan Rafiekian, sur une question non liée. Il ne l'a pas fait, ce qui signifie qu'il est «peu coopératif» et mérite une peine de prison.
RépondreSupprimerLes négociations de plaidoyer ont remplacé les procès pour trois raisons principales.
Le premier est que l'avocat de la défense ne veut pas du travail acharné de défendre son client.
La première est que la majorité des accusés ne peuvent pas payer les frais de défense.
La première est que refuser de plaider coupable et exiger un procès agacent le procureur et le juge.
Les procès prennent du temps et fournissent un test de preuves policières et de poursuites souvent peu fiables. Ils signifient du travail pour le procureur. Même s'il obtient une condamnation, dans le même temps, il aurait pu obtenir beaucoup plus de condamnations pour négociation de plaidoyer. Pour le juge, les procès sauvegardent son dossier. Par conséquent, un procès signifie pour l'accusé des risques très élevés de condamnation beaucoup plus longue et plus sévère que celle qu'il obtiendrait en échange d'un gain de temps et d'énergie pour le procureur et le juge. Tout cela est expliqué à l'accusé par son avocat.
Cela a été expliqué au général Flynn. Il a accepté un plaidoyer, a très probablement informé que son «infraction» était si mineure qu'aucune peine ne serait prononcée. Flynn a ensuite tenté de retirer son plaidoyer, affirmant qu'il était contraint, mais le juge nommé par Clinton a refusé de le laisser sortir du piège.
Maintenant que nous savons que le seul scandale du Russiagate a été son orchestration par la CIA, le ministère de la Justice (sic) et les démocrates, ne pas coopérer avec l'enquête du conseil spécial sur l'ingérence présumée de la Russie dans les élections de 2016 est absurde, car nous savons avec certitude que il n'y a pas eu une telle ingérence.
C'est ainsi que la loi américaine corrompue est devenue. Un homme est en prison depuis 6 mois pour ne pas avoir coopéré à une enquête sur un événement qui ne s'est pas produit!
Si Trump ne pardonne pas à Flynn (et Manafort et Stone) et licencie les procureurs corrompus qui ont faussement poursuivi Flynn, Trump ne mérite le soutien de personne.
Un président qui ne défendra pas son propre peuple contre des poursuites injustifiées n'est pas digne de soutien.
Dans le cas de Flynn, nous ne pouvons pas écarter le soupçon que la vengeance contre Flynn était le facteur déterminant. Le général Flynn est l'officiel qui a révélé à la télévision qu'Obama avait pris la décision délibérée d'envoyer ISIS ou tout ce que nous voulons les appeler en Syrie. Bien sûr, le régime Obama a prétendu que les djihadistes étaient des modérés cherchant à renverser le présumé dictateur Assad et à instaurer la démocratie en Syrie. Washington a ensuite prétendu qu'il combattait les mercenaires qu'il avait envoyés en Syrie. Même si les suppléants ont fait de leur mieux pour ignorer les informations de Flynn, Flynn a été extrêmement offensant en divulguant ces informations. Ce peu de vérité était la véritable offense de Flynn.
https://www.zerohedge.com/political/paul-craig-roberts-justice-department-devoid-justice
La justice ne peut exister qu'en Démocratie, pas en dictatures
SupprimerGlacier Park, dans le Montana, supprimera les panneaux "Glaciers Will Gone By Gone By 2020"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 01/09/2020 - 14:40
Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,
Le parc national des Glaciers du Montana est obligé de supprimer tous les panneaux indiquant «les glaciers seront tous partis d'ici 2020», une fois que le scénario apocalyptique ne s'est pas produit.
Certains des signes ont déjà été supprimés l'année dernière, car il est devenu clair que la prédiction n'allait pas se dérouler.
Maintenant, le reste des panneaux devra également être retiré.
La porte-parole du parc national des Glaciers, Gina Kurzmen, a déclaré à MTN News que les dernières recherches montrent une diminution, mais de manière beaucoup plus complexe que ce qui avait été prévu. Pour cette raison, le parc doit mettre à jour tous les panneaux autour du parc indiquant que tous les glaciers seront fondus d'ici 2020 », rapporte 8KPAX.
À la fin des années 90 et au début des années 2000, les scientifiques ont prédit que le réchauffement climatique provoqué par l'homme entraînerait la fonte des glaciers, entraînant une élévation rapide du niveau de la mer qui coulerait des villes côtières.
Les prévisions les plus désastreuses se sont révélées totalement inexactes et certains glaciers se développent maintenant.
En juin, la NASA a rapporté que le glacier Jakobshavn dans l'ouest du Groenland s'était épaissi et "avait augmenté pour la troisième année consécutive".
La prévision des glaciers n'est nullement la seule prévision alarmiste du réchauffement climatique qui se soit trompée de façon spectaculaire.
À la fin des années 70, les experts du climat ont annoncé qu’une nouvelle ère glaciaire allait arriver. Cela ne s'est pas produit.
La prédiction de Paul Erlich selon laquelle des centaines de millions de personnes mourraient de faim à cause des mauvaises récoltes dans les années 80 n’a pas non plus eu lieu.
La prévision de 2004 selon laquelle les grandes villes européennes seraient sous l'eau et que la Grande-Bretagne serait plongée dans un climat sibérien d'ici 2020 ne s'est pas réalisée.
Le jour du Jugement dernier d'Al Gore selon lequel l'Arctique aurait des étés sans glace d'ici 2013 ne s'est pas produit non plus.
Peut-être que depuis que ces «experts» ont été surpris à mentir maintes et maintes fois, nous devrions cesser de les écouter.
https://www.zerohedge.com/health/glacier-park-montana-set-remove-glaciers-will-all-be-gone-2020-signs
Delingpole: le parc national des Glaciers supprime les panneaux «Glaciers Gone by 2020»
RépondreSupprimerDOSSIER - Cette photo de fichier du 4 septembre 2017 montre une vue de la route Going-to-the-Sun dans le parc national des Glaciers au Montana, avec un lac entouré de montagnes et de grands arbres. Les responsables du parc national des Glaciers sont au courant d'un rapport selon lequel des touristes frappaient des balles de golf sur la route Going-to-the-Sun pendant…
JAMES DELINGPOLE
8 janv 2020840
- voir photo sur site -
Le parc national des Glaciers remplace les panneaux prédisant que ses glaciers auront «disparu d'ici 2020».
Les visiteurs aux yeux perçants ont remarqué que loin d'avoir disparu d'ici 2020, certains d'entre eux ont en fait augmenté en taille, et 29 des glaciers du parc du Montana restent obstinément insensibles, malgré les «changements climatiques».
Le National Park Service (NPS) - vraisemblablement pour cacher son embarras - a commencé à supprimer les panneaux furtivement l'année dernière.
Mais il a été grondé par Roger Roots, fondateur de l'Université Lysander Spooner, qui a écrit dans un article à Watts Up With That ?:
La pièce maîtresse du centre d'accueil de St. Mary près de la limite est est un grand diorama tridimensionnel montrant des lumières s'éteignant à mesure que les glaciers disparaissent. Les visiteurs appuient sur un bouton pour voir le diorama illuminé comme un arbre de Noël en 1850, puis montrer de moins en moins de lumières jusqu'à ce que le diorama devienne complètement sombre. Pas plus tard qu'en septembre 2018, le diorama a affiché un panneau indiquant que les glaciers du PNB devraient disparaître complètement d'ici 2020.
Mais à un moment donné au cours de l'hiver dernier (le centre d'accueil étant fermé au public), les travailleurs ont remplacé la gravure «disparu d'ici 2020» du diorama par un nouveau panneau indiquant que les glaciers disparaîtront dans les «générations futures».
Presque partout, les allégations spécifiques du Parc concernant la disparition imminente des glaciers ont été remplacées par des messages plus nuancés indiquant que tout le monde est d'accord pour dire que les glaciers fondent. Certains signes indiquent que la fonte des glaciers «s'accélère».
Une astuce couramment utilisée par le National Park Service au GNP est d'afficher de vieilles photos en noir et blanc de glaciers d'années révolues (disons, «1922») à côté de photos des mêmes glaciers prises ces dernières années montrant les glaciers beaucoup diminués (disons «2006»). Quiconque connaît les glaciers du nord des Rocheuses sait que les glaciers ont tendance à croître pendant neuf mois chaque hiver et à fondre pendant trois mois chaque été. Ainsi, de tels affichages de photos sans dates de calendrier précises peuvent être très trompeurs.
Une porte-parole du parc, Gina Kurzman, a maintenant confirmé les modifications apportées à CNN:
Les panneaux dans le parc du Montana ont été ajoutés il y a plus de dix ans pour refléter les prévisions du changement climatique de l'époque par l'US Geological Survey, a déclaré à CNN la porte-parole du parc, Gina Kurzmen.
En 2017, l'agence a informé le parc que la fonte complète des glaciers ne devait plus avoir lieu si rapidement en raison de changements dans le modèle de prévision, a déclaré Kurzmen. Mais les budgets d'entretien serrés ont empêché le parc de changer immédiatement les panneaux.
RépondreSupprimerLes pancartes les plus en vue, au centre d'accueil de St. Mary, ont été changées l'an dernier. Kurzmen dit que le parc attend toujours l'autorisation budgétaire pour mettre à jour les panneaux à deux autres endroits.
Mais l'avertissement de glacier n'est pas entièrement supprimé, a-t-elle déclaré à CNN. Au lieu de cela, les nouveaux signes diront: «Le moment où ils disparaîtront complètement dépendra de la manière et du moment où nous agirons. Une chose est cohérente: les glaciers du parc rétrécissent. »
Cependant, même les signes modifiés ne sont pas exacts.
Selon Roots - dont la vidéo documentant les changements peut être visionnée ici - certains des glaciers les plus célèbres du parc ont en fait augmenté au cours de la dernière décennie:
Des équipes de l'Université Lysander Spooner visitant le parc en septembre ont noté que les glaciers les plus célèbres du GNP, tels que le glacier Grinnell et le glacier Jackson, semblent avoir augmenté - et non rétréci - depuis environ 2010. (Le glacier Jackson - facilement visible depuis le Going- Route vers le soleil - peut avoir augmenté de 25% ou plus au cours de la dernière décennie.)
Les signes indiquent maintenant: «Actuellement, ils diminuent rapidement en raison du changement climatique accéléré par l'homme. Mais quand ils disparaîtront complètement, cela dépendra de la manière et du moment où nous agirons. »
Mais c'est de la propagande verte, pas de la science.
En fait, le retrait des glaciers n'a rien à voir avec le «changement climatique accéléré par l'homme» (quel qu'il soit). Comme le note Gregory Wrightstone dans son livre Inconvenient Facts, les glaciers du monde ont commencé à reculer vers 1820 (bien avant que les émissions anthropiques de gaz carbonique n'aient pu avoir une incidence sur le climat) alors que la planète commençait à émerger du petit âge glaciaire.
https://www.breitbart.com/politics/2020/01/08/glacier-national-park-removes-glaciers-gone-2020-signs/
Les incendies en Australie ne sont pas le climat
RépondreSupprimerPar Craig Rucker
8 janvier 2020
CFACT s'est récemment rendu en Australie où nous avons effectué un travail politique sérieux. Au fil des ans, les liens d'amitié que nous avons tissés avec nos amis et collègues australiens sont devenus incassables. C'est personnel.
Les feux de brousse massifs qui sévissent en Australie sont un cauchemar. Le bilan qu'ils ont fait peser sur la population et la faune australiennes est déchirant.
Ceux qui exploitent cette tragédie pour faire avancer l'agenda du réchauffement climatique sont un véritable cauchemar.
Les acteurs hollywoodiens, bien que l'hôte Ricky Gervais plaisante en disant qu'ils ont tendance à avoir moins de scolarité que Greta Thunberg, ont utilisé les Golden Globes pour pousser le récit chaleureux. "La tragédie qui se déroule en Australie est basée sur le changement climatique", a déclaré l'Australien Russel Crowe dans un message. "Quand un pays fait face à une catastrophe climatique, nous sommes tous confrontés à une catastrophe climatique, alors nous y sommes ensemble", a déclaré Cate Blanchett. C'est un non-sens et est en train d'être évoqué dans les médias.
S'il y a un élément humain dans les feux de brousse en Australie, ce sont les Verts qui empêchent la gestion des forêts couplée à des incendies criminels par des voyous. Le reste est naturel, historiquement normal et NON climatique.
CFACT a récemment présenté une paire d'articles percutants qui démystifient complètement le battage médiatique climatique australien.
- voir graphique sur site -
Brouillon automatique 51
Jennifer Marohasy est une scientifique australienne de l'environnement. Elle a partagé les données dures de CFACT.org qui révèlent que la température de cette année en Australie, bien que très chaude, est également historiquement normale, l'été 1938-1939 étant probablement le plus chaud d'Australie. L'enregistrement de température le plus chaud jamais enregistré en Australie a été de 51,7 degrés Celsius (125 degrés Fahrenheit) au bureau de poste de Bourke le 3 janvier 1909. En outre, les feux de brousse de cette année, malgré leur terrible bilan sur les personnes et la faune, ne sont en aucun cas les plus importants d'Australie.
Les incendies les plus répandus en Australie se sont probablement produits "le 13 janvier 1939 (Vendredi noir), 2 millions d'hectares brûlés avec des cendres seraient tombés sur la Nouvelle-Zélande. Ce fut probablement la pire catastrophe de feu de brousse de l'histoire moderne enregistrée en Australie en termes de superficie brûlée et c'était il y a 80 ans. »
- voir graphique sur site -
James Delingpole a embrouillé ceux qui confondaient le feu de l'Australie avec le climat en utilisant son approche de prise de prisonniers. CFACT l'a présenté sur Facebook. Brouillon automatique 52
Alors que l'Australie peut être sèche, ses précipitations sont historiquement normales. Découvrez les années 1950 sur le graphique ci-dessus. Delingpole ne mâche jamais ses mots. «Donc, pour être clair, il n'y a aucune preuve de changement dans les conditions climatiques qui aurait pu augmenter la probabilité ou la gravité de ces feux de brousse. Ce n'est pas - répétez PAS - une histoire de changement climatique créée par l'homme, et quiconque prétend le contraire est soit un idiot crédule, soit un charlatan couché. »
RépondreSupprimerAlors que les conditions qui ont rendu l'Australie mûre pour les feux de brousse sont des conditions météorologiques normales, il peut en effet y avoir un lien «anthropique». Les militants écologistes ont délibérément entravé les efforts de leur gouvernement pour nettoyer les broussailles et effectuer des brûlures contrôlées pour créer des coupe-feu. Ensuite, il y a un incendie criminel. Plus d'une centaine de pyromanes ont été arrêtés. Les Verts étaient des idiots. Les pyromanes maléfiques.
Rien de tout cela n'a à voir avec votre économie gratuite ou votre consommation d'énergie. Encore une fois, votre style de vie exagéré, SUV et réfrigérateur sont décrochés.
Prions tous pour l'Australie et poursuivons nos prières avec l'aide généreuse et efficace nécessaire.
La prochaine fois que vous entendrez quelqu'un utiliser sans vergogne les feux de l'Australie pour faire avancer l'agenda du réchauffement climatique, ou pire encore, le socialisme, leur montrer les faits.
https://www.cfact.org/2020/01/08/australias-fires-are-not-climate/
N'oublions pas que chaque fois que nait quelqu'un c'est 37°C de plus qui sont ajoutés au climat !
SupprimerEt, avec 1 million de naissance = 37 000 000 °C !
Soit pour 7 milliards d'habitants 259 000 000 000°C !
Et, à 259 milliards de degrés, si les glaciers ne fondent pas avec çà...
HAHAHAHAHAHAHAHA !